État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich

Par Jean-Michel Grau

Le Dr Reiner Fuellmich résume l’état actuel de la procédure judiciaire contre la dictature sanitaire mondialiste au 20 mars 2021, dont voici l’adaptation résumée de la traduction. (([1] fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-06-www-corona-schadensersatzklage-de/))

« Comme on a déjà pu le constater sur nos chaînes (([2] corona-ausschuss.de/ (chaîne en allemand avec quelques traductions en anglais) )), de nouveaux développements sont intervenus au Canada et aux États-Unis, mais aussi en Europe et notamment en Allemagne, qui montrent qu’il s’agit d’une bataille très difficile qui va bien au-delà du domaine purement juridique.

I.

Il est particulièrement important pour nous de souligner une fois de plus, que seule la coopération internationale très bien coordonnée des professions juridiques, en particulier des professions juridiques allemandes, autrichiennes, françaises et italiennes avec les professions juridiques anglo-américaines qui seules disposent du puissant outil de la « class action » et d’un véritable droit de la preuve, permettra d’atteindre notre but.

Car ce que nous voyons ici dans le monde entier, encore laborieusement déguisé en « pandémie », mais néanmoins de plus en plus clairement visible, est en vérité la plus grande attaque contre la démocratie qu’il n’y ait jamais eu, menée par des élites politiques et économiques transnationales. Le but de cette attaque est de spolier la richesse de la classe moyenne et des contribuables par ces soi-disant « élites » autoproclamées et, à l’aide du passeport numérique de vaccination, d’obtenir un contrôle permanent sur chaque citoyen, en particulier, sur ceux qui se laissent « vacciner ».

Car les profiteurs de la panique de masse la plus répandue comme jamais dans le monde sont les industries pharmaceutiques et technologiques, dont les « vaccins », les tests et les masques sont payés par les centaines de milliards de dollars de l’argent des contribuables.

Ils veulent utiliser nos données génétiques stockées dans nos cartes de vaccination pour prendre le contrôle, en particulier de ceux qui sont « vaccinés », parce que personne ne les informe qu’en violation massive du code de Nuremberg et des accords d’Helsinki ainsi que du principe de « consentement éclairé », une expérience médicale est testée sur eux. En effet, il n’existe pas d’études scientifiques du type de celles qui sont habituellement menées, sur l’efficacité et la sécurité d’un nouveau médicament avant sa mise sur le marché.

II.

Dans le contexte de ces faits, il est alors compréhensible que les « élites » susmentionnées aient veillé à ce que les postes de pouvoir décisifs soient occupés par des personnes qui mettent en œuvre ces objectifs pour elles, telles des marionnettes. Nous le voyons en Allemagne à la tête du gouvernement fédéral et surtout du gouvernement de l’État de Bavière, mais aussi à la tête de la Cour constitutionnelle fédérale, et nous le voyons en Europe surtout à la tête de la Commission européenne.

III.

1.

La première action collective en dommages et intérêts au Canada a été rejetée par le tribunal de première instance. Mais ce procès se poursuit maintenant devant la plus haute juridiction canadienne. Et toujours au Canada, une autre action collective internationale est en cours de finalisation, cette fois pour les enfants, c’est-à-dire les enfants du monde entier, victimes des mesures Drosten. Ainsi, tous les enfants devraient pouvoir faire valoir leurs droits à des dommages et intérêts pour préjudice moral et corporel. Une fois encore, les deux fausses affirmations factuelles centrales de M. Drosten, qui ont ensuite été diffusées dans le monde entier par l’OMS, sont au cœur du problème, à savoir les questions :

– « Existe-t-il des  » infections asymptomatiques  » ? »

Bien sûr que non, car une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé et ne peut donc donner aucune réponse à un médecin lorsqu’on lui demande quels sont ses symptômes ;

– « Un test PCR peut-il détecter une infection ? »

Bien sûr que non, même l’OMS a dû l’admettre entre-temps. C’est pourquoi les tests PCR ne sont pas approuvés à des fins de diagnostic. Sans l’affirmation selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, personne n’aurait pensé que des personnes en bonne santé et ne présentant aucun symptôme pouvaient être malades, et certainement personne n’aurait pensé à tester des personnes en bonne santé et ne présentant aucun symptôme.

2.

Le procès en cours à New York par nos collègues de Childrens Health Defense (([3] childrenshealthdefense.eu/)) n’a jamais été un recours collectif. Il s’agit d’un procès qui conteste l’exigence du test PCR pour les enfants qui veulent aller à l’école. C’est ainsi que nous resserrons dans le monde l’étau autour de M. Drosten et de ses affirmations. Pour l’instant, seule la motion d’urgence a été rejetée, manifestement motivée par des raisons politiques, mais le procès se poursuit.

Cependant, nous avons maintenant l’intention de déposer une véritable action collective aux États-Unis, ainsi qu’en Australie. Nous sommes en contact étroit avec nos collègues de ces deux pays.

IV.

Entre-temps, deux collègues israéliens (([4] francesoir.fr/videos-les-debriefings/ruth-makhacholovsky-et-aryeh-suchowolski-la-plainte-la-cour-penale?utm_source=NL)) avec lesquels nous sommes en échange ont engagé une procédure pénale auprès de la Cour Pénale Internationale en raison des expériences humaines en cours, étonnamment aussi en Israël. On peut trouver le lien ici :
fr.rt.com/international/114629-israeli-vaccine-critics-file-lawsuit-at-international-criminal-court/.
[Note : le lien n’est plus fonctionnel]

Par ailleurs, un juge du tribunal de première instance de Ludwigsburg a rendu une autre très bonne décision, et surtout très bien motivée, selon laquelle, comme l’a déjà déclaré le tribunal de première instance de Weimar, les mesures anti-Covid sont anticonstitutionnelles et nulles.

On peut trouver le lien ici :
www.lkz.de/lokales/stadt-ludwigsburg_artikel,-richterin-am-amtsgericht-ludwigsburg-zerpflueckt-corona-verordnung-_arid,628632.html

Pour conclure : une victoire juridique n’est possible que dans le cadre d’une coopération internationale d’avocats éclairés, notamment sur les problèmes du test PCR et des infections asymptomatiques, et surtout dans le cadre d’une coopération avec des collègues anglo-américains. Cela passe avant tout par les scientifiques en tant qu’experts et témoins experts que nous avons entendus au sein du Comité Covid.

Deux procédures particulièrement importantes ont été mises en place qui mèneront à la victoire, mais nous ne pouvons pas encore en parler pour ne pas compromettre leur succès.

Nous avons également l’intention d’organiser une visioconférence zoom en direct avec nos collègues canadiens la semaine prochaine. Nous annoncerons les dates exactes ultérieurement.

Nous profitons de cette occasion pour remercier toutes celles et ceux qui nous soutiennent au quotidien par leurs mots gentils et motivants.

Nous vaincrons le régime criminel qui tente de s’établir.»

Dr. Reiner Fuellmich





“Brûlez vos masques !” Des manifestations massives contre le confinement font rage dans le monde entier

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Des milliers, voire des dizaines de milliers de manifestants à travers l’Europe ont défilé samedi contre la poursuite des mesures de confinement gouvernementales et autres restrictions en cas de pandémie fondées sur des données scientifiques douteuses, qui ont entraîné un chômage de masse, détruit des petites entreprises, alimenté une dépression et une maladie mentale généralisées et coûté aux contribuables des milliards de dollars pour empêcher le navire de sombrer.

Des manifestants de Londres, d’Allemagne, de France, de Suède, des Pays-Bas, d’Australie, de Belgique, du Japon, de Vienne et d’ailleurs ont participé au Rassemblement mondial pour la liberté.

Dans le centre de Londres, des milliers de militants anti-confinement ont déambulé dans Hyde Park en scandant “Debout, reprenons notre liberté !”

En Allemagne, la police a utilisé du gaz lacrymogène sur les manifestants dans la ville de Kassel, où 15 000 à 20 000 manifestants étaient présentes, selon le Daily Mail. Quelque 1 800 agents ont été placés en état d’alerte à Berlin.

Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées sur le principal site de protestation sur une place du centre-ville de Kessel, serrées les unes contre les autres sans porter de masques,

a constaté un journaliste de l’AFP.

Des échauffourées ont éclaté lorsqu’un groupe de manifestants a tenté de franchir un cordon de police pour rejoindre d’autres manifestants, provoquant des bousculades et incitant les agents à utiliser du gaz lacrymogène.

Daily Mail

En photo : Des manifestants participent à une marche pour demander le respect des droits fondamentaux et la fin des mesures restrictives liées au coronavirus à Kassel, dans le centre de l’Allemagne, le 20 mars.

Des manifestants ont affronté la police en Allemagne et en Croatie samedi, tandis que de nouvelles mesures de confinement ont été introduites en France, en Pologne et en Ukraine pour lutter contre une troisième vague de coronavirus.
En photo : Des manifestants affrontent la police à Kassel, dans le centre de l’Allemagne (via le Daily Mail).

À Melbourne, en Australie, des manifestants ont scandé “Libre de parler. Libre de respirer” sont sortis par milliers.

https://twitter.com/freddie1999/status/1373272180063145986?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1373272180063145986%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.aubedigitale.com%2Fbrulez-vos-masques-des-manifestations-massives-contre-le-confinement-font-rage-dans-le-monde-entier%2F

Plus :

Aux Pays-Bas :

Au Japon :

En Autriche :

En Belgique :

C’est ce qui arrive quand on détruit des économies basées sur une science douteuse.




Ce n’est pas de vaccin dont les étudiants ont besoin, mais d’enseignement et de liberté

Par Dr G et N Delépine

« Ne nous jouons pas de mots. Cette campagne vaccinale relève d’une expérimentation inédite et planétaire qui impacte nos sociétés. L’un de ses risques serait de ne pas anticiper les conséquences humaines et politiques d’une impatience ou de négligences qu’aucun principe supérieur ne saurait justifier. » (([1] Décembre 2020 Quelles règles éthiques pour organiser la vaccination contre le SARS-CoV-2 en Ehpad ? (theconversation.com) ))

Pr Emmanuel Hirsch
Professeur d’éthique médicale, Université Paris-Saclay

Dans un article récent France Soir informe que « la Conférence des présidents d’université (CPU) demande au gouvernement une vaccination massive des étudiants pour envisager une rentrée 2021 en présentiel. », demande également appuyée Virginie Dupont, vice-présidente de la CPU, et par l’Avuf (Association des villes universitaires) présidée par Catherine Vautrin.

Mais pourquoi ne demandent-ils pas plutôt la reprise immédiate des cours en présentiel ?

RISQUE QUASIMENT ZÉRO POUR LES ÉTUDIANTS

Les étudiants n’ont aucun bénéfice individuel à espérer de la vaccination puisqu’ils ne risquent pratiquement rien du covid19. De même, la motivation altruiste n’a aucun intérêt dans cette maladie, puisque la vaccination semble incapable d’interrompre la transmission de la maladie.

Si les présidents des universités veulent mettre fin aux graves souffrances des étudiants et des enseignants, c’est la suppression immédiate des mesures liberticides inutilement imposées dans leurs établissements qu’ils doivent réclamer !

Les mesures tyranniques prises à l’encontre des étudiants et le chantage « présentiel seulement si vacciné » n’ont en effet aucune justification médicale, car les étudiants ne risquent pratiquement rien du covid19 et leur contamination naturelle constituerait un bien meilleur rempart contre le covid19 des populations à risque que les vaccinations actuelles.

Les étudiants ne risquent pratiquement rien du Covid-19

Une enquête récente de l’Ined([2] https://dc-covid.site.ined.fr/fr/presentation/q7/)) portant sur la France, l’Italie, l’Espagne et l’Allemagne montre que les moins de 50 ans ne participent que pour 1 à 2% des morts attribuées au Covid-19. En France, les adultes de moins de 30 ans ne regroupent que moins de 5% des malades de Covid-19 en réanimation et beaucoup environ 0,1% des décès.

Il n’y a donc aucun espoir de bénéfice individuel à espérer pour eux, alors que les complications des vaccins expérimentaux commencent à faire la une des médias. La Haute Autorité de Santé vient d’émettre le 19 mars un avis défavorable à l’utilisation du vaccin Astra Zeneca chez eux (et pour tous les moins de 55 ans)(([3] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3244283/fr/avis-n-2021-0018/ac/seesp-du-19-mars-2021-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-sur-la-place-du-vaccin-astrazeneca-dans-la-strategie-vaccinale-suite-a-l-avis-de-l-agence-europeenne-des-medicaments-concernant-des-evenements-indesirables-survenus-dans-plusieurs-pays-europeens-chez-des-personnes-vaccinees)).

Les vaccins actuels ne protègent pas de la transmission

Aucun essai phase 3 d’aucun vaccin n’est terminé ni analysé, ni publié :
tous les vaccins anti covid19 actuellement commercialisés sont donc expérimentaux.

Les données communiquées montrent qu’il est douteux qu’ils soient susceptibles d’empêcher la transmission de la maladie. Être vacciné ne protège pas les proches !

L’évolution de l’épidémie dans les pays récemment largement vaccinés laisse même craindre que la vaccination augmente la diffusion de la maladie au moins durant les premières semaines qui suivent le début des campagnes de vaccination, partout marquées par une augmentation considérable des nombres de contaminés selon les données de l’OMS.

Qu’il s’agisse d’Israël où trois mois après le début de la vaccination (20/12) le taux hebdomadaire de contaminations, après avoir culminé à 58299 en janvier 2021, reste encore supérieur (18916) à la moyenne observée durant les 4 semaines d’avant vaccination (10000). Après dix mois d’épidémie, le pays comptait 373275 cas ; trois mois après la vaccination, ce chiffre a plus que doublé atteignant 823899 cas. La mortalité a suivi une évolution similaire avec un total de 3089 le 19 décembre passé à 6064 le 18 mars 2021.

L’amélioration constatée depuis quelques semaines dans ce pays s’observe également au niveau mondial avec une baisse de près de 60% depuis janvier 2021.

Les Émirats Arabes Unis

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec plus de 45% de sa population vaccinée depuis le 23 décembre 2020.

À cette date, près dix mois d’épidémie le pays comptait 195878 cas ; trois mois après la vaccination, ce chiffre atteint 436825 (+123%). La mortalité a suivi un accroissement similaire avec un total de 642 le 23 décembre passé à 1428 (+122%) le 18 mars 2021.

Au Bahreïn

Après dix mois d’épidémie, le pays comptait 87929 cas ; trois mois après la vaccination, ce chiffre atteint 134510 (+53%). La mortalité a suivi une évolution similaire avec un total de 343 le 7 décembre passé à 493 (+43%) le 18 mars 2021.

Il ne peut donc pas y avoir de motivation altruiste à se faire vacciner pour l’instant.

L’immunité naturelle de la majorité des étudiants protégerait la nation

Les jeunes qui ont été contaminés par le covid19 guérissent en acquérant une immunité solide qui les protégera la vie durant comme cela est le cas habituel pour les maladies virales (([4] Cette protection n’existe que pour la souche virale initiale et n’empêche pas un nouveau virus de nuire)). Si suffisamment d’étudiants se contaminent, cette immunité acquise sans risque constituerait une protection pour les plus âgés. Il n’y a donc pas de logique sanitaire à tenter de limiter les contaminations dans ce groupe d’âge. Il suffit de leur recommander de ne pas rendre visite à leurs aînés lorsqu’ils se sentent malades(([5] En effet la contamination par les asymptomatiques, si elle est possible ne joue qu’un rôle infime dans la transmission)).

Alors pourquoi détruit-on l’enseignement universitaire et pousse-t-on les étudiants au suicide ?

L’arrêt des activités universitaires normales et les autres contraintes sanitaires, qui n’ont pas fait la preuve scientifique de leur efficacité (masque, confinement) sont directement responsables de la perte d’un an d’enseignement, de l’accroissement extrême de la misère étudiante, de la perte de vocations et de graves troubles psychiques qui ont déjà poussé de nombreux étudiants au suicide.

Il est très curieux que dès avril 2020 des doyens aient réclamé la fermeture des universités au moins jusqu’en janvier 2021 sans connaissance de l’évolution de l’épidémie qui commençait en France.

Tout se passe comme s’ils étaient les porte-voix des décideurs de l’OMS et gouvernements affidés, suivant les prédictions délirantes(([6] Dans le rapport 9 de Ferguson le risque réel du covid19 et surestimé par 10 !)) – décisions pour le futur, de Ferguson et de ses confinements successifs.

L’intérêt sanitaire, déjà suspect, pour les étudiants l’est encore plus devant cette demande honteuse de prise de risque via des médicaments expérimentaux d’une classe d’âge qui en retour n’a à attendre aucun bénéfice puisque quasiment pas touché par le covid.

L’alliance des doyens, en lien étroit avec les présidents d’université de médecine, est pour le moins suspecte et à interroger. Serait-il indécent de se demander si les partenariats public-privé sur lesquels reposent maintenant les financements des universités ne seraient pas en cause dans ces liens peut-être incestueux avec l’industrie pharmaceutique ?

Sinon, quelles sont les compétences des doyens pour trancher une question aussi lourde de conséquences ?

De quel droit suprême interviennent-ils dans un domaine qui aurait dû rester de la compétence médicale et de fait verse complètement dans le politique, comme leur position le démontre encore.

Les vaccins sont encore expérimentaux : les imposer est contraire à l’éthique et au code de Nuremberg et à la convention d’Oviedo signée par la France.

Comme nous l’avons prouvé lors d’une tribune(([7] Dr Gérard Delépine OUI, les vaccins sont expérimentaux contrairement à ce que l’AFP et J. Mansour affirment dans leur fast check ” Réseau international 19/3/2021 ou directement ici)) démentant des affirmations erronées de l’AFP, les vaccins anticovid19 actuellement commercialisés sont tous expérimentaux, puisqu’aucun de leurs essais de phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023. Tapez clinicaltrials.gov et retrouvez les détails des essais en cours dont sont extraites ces images.

Leur utilisation chez des volontaires informés de manière loyale comme le prince héritier de Bahreïn, Salman ben Hamad est respectable(([8] Le prince héritier de Bahreïn participe aux essais du vaccin contre la Covid-19 https://arab.news/wthwc)).

Mais mentir en faisant une propagande mensongère pour les vaccins, prôner une obligation ou discriminer ceux qui ne veulent pas être vaccinés est contraire à l’éthique médicale et aux valeurs des pays démocratiques ainsi que l’a rappelé l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe(([9] L’Assemblée regroupe les parlementaires [députés, sénateurs] des 47 États membres du Conseil de l’Europe – dont les pays de l’Union européenne, mais aussi la Turquie, la Russie et les pays du Caucase. Ses résolutions ne sont pas juridiquement contraignantes. L’assemblée représente la « conscience démocratique » de l’Europe « et ses positions portent une valeur morale sur le plan international » : « Elles ont une influence indirecte sur la législation nationale puisque les mêmes parlementaires regroupés au sein de l’Assemblée votent — dans leurs parlements — les lois nationales. »)) le 27/1/2021 par la résolution 2361.

La demande des présidents d’université au gouvernement pour une vaccination massive des étudiants n’est ni éthique ni médicalement justifiée en l’état actuel de la science, et questionne largement sur leurs motivations. Il eût été intéressant qu’ils tiennent compte de l’avis d’un professeur d’éthique médicale, le Pr Emmanuel Hirsch (Université Paris-Saclay) qui mettait en garde en décembre 2020 sur les risques éthiques de la vaccination rapide et quasi forcée dans les Ehpad.(([10] Quelles règles éthiques pour organiser la vaccination contre le SARS-CoV-2 en Ehpad Les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS), sollicitée par les instances gouvernementales pour édicter les bonnes pratiques, en concertation avec notamment le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale française, évoquent, une fois rappelées l’exigence de sécurité, la transparence dans l’information, les priorités dans les phases de diffusion du vaccin, la liberté de décider pour soi d’être vacciné ou non. Qu’en sera-t-il en Ehpad, espaces particuliers où culminent les vulnérabilités, que l’on a choisis pour lancer la phase 1 de la vaccination ? ? (theconversation.com)))

Rappelons ses dires en décembre 2020 :

« Serait-il acceptable qu’ils situent au rang des critères d’arbitrage, et donc de leurs responsabilités, le principe selon lequel les premiers mois d’implémentation du vaccin constitueraient une phase transitoire, une quatrième phase en quelque sorte d’expérimentation populationnelle du vaccin ?

Si tel était le cas, cette situation sans précédent imposerait des lignes de conduite spécifiques en termes de concertation avec notre représentation nationale, d’information publique, d’inclusion, d’accompagnement du protocole de vaccination et plus encore de pharmacovigilance. Une telle option engagerait à justifier une position inédite, dans un contexte de crise sanitaire majeure aux textes éthiques s’appliquant à la recherche biomédicale. Car ceux-ci visent à ce que « la recherche ne présente pour la personne concernée qu’un risque minimal et une contrainte minimale ; aucune considération quant à l’importance des bénéfices potentiels de la recherche ne peut être utilisée pour justifier un niveau accru du risque ou de la contrainte ». Et encore, il s’agissait de la population la plus à risque. Comment ignorer les règles éthiques concernant une population à risque quasi nul pour satisfaire les relations des doyens avec le pouvoir ? Impensable.

Ce n’est pas de vaccin dont les étudiants ont besoin, mais de conditions d’études normales, et de vie libre tant dans leurs activités de loisir que sportives, culturelles, etc.

Sans délai ni condition non médicalement justifiée et à risques encore non correctement évalués.





De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

[Source : Les 7 du quebec]

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

Le 29 mars prochain, l’un des plus grands scandales sanitaires ayant directement concerné notre pays va trouver son épilogue. C’est celui du Médiator.

Près de 5 000 victimes, 376 avocats,  25 prévenus révèlent l’ampleur de ce  scandale dans lequel sont impliqués le laboratoire pharmaceutique Servier (le corrupteur), mais surtout les présumés corrompus, de l’appareil exécutif, politique ou sanitaire de notre pays, poursuivis par la justice (source pour la liste nominative ci dessous: Wikipedia)

Marie Thèrèse Hermange, ancienne sénatrice, rapporteur du rapport sénatorial sur le Médiator de 2011, mise en examen pour trafic d’influence ou complicité de trafic d’influence (selon les sources). Claude Griscelli, Professeur de médecine, soupçonné d’avoir fait modifier le rapport sénatorial sur le Médiator de 2011 par Marie Thèrèse Hermange, consultant médical au laboratoire Servier pour 90000 euros/an. Mis en examen pour trafic d’influence. Jean-Michel Alexandre, président de la commission d’autorisation de mise sur le marché (AMM) au ministère de la Santé de 1985 à 1993, puis directeur de l’évaluation du médicament de l’Agence du médicament de 1993 à 2000. À sa retraite, il devient consultant pour Servier via une société écran, rémunéré plus de 1,1 million d’euros pour la période 2001-2009. Il est soupçonné d’avoir été mis sous influence financière par Servier lorsqu’il était fonctionnaire. Éric Abadie (décédé), directeur de l’évaluation à l’Afssaps à partir de 2007, chargé de la pharmacovigilance, mis en cause pour avoir caché que son épouse était l’avocate des laboratoires Servier. Dominique Maraninchi mis en examen pour homicides et blessures involontaires comme représentant légal de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament). Michel Detilleux, Jean-Roger Claude et Bernard Rouveix: experts rémunérés par Servier qui siégeaient simultanément à des commissions des autorités de santé statuant notamment sur des produits du groupe pharmaceutique, ils sont mis en examen pour «prise illégale d’intérêts». Jacques Massol, ancien membre de la Haute Autorité de santé et de la Direction générale de la santé, et François Lhoste, ancien chargé de mission au ministère de la Santé, sont mis en examen pour «prise illégale d’intérêts».

Outre les chefs d’inculpation retenus contre les personnes physiques, ceux retenus contre les personnes morales  (laboratoire Servier, ses filiales et l’ANSM sont, eux aussi édifiants: «tromperie aggravée», «homicides et blessures involontaires», et «escroquerie» au préjudice de la sécurité sociale et des mutuelles.

Rappelons que les effets nocifs du Médiator  étaient dénoncés dès 1997 dans «la revue Prescrire», que ce médicament avait été retiré du marché en Italie (2003) et en Espagne (2004) pour ses effets nocifs, mais qu’il a pu se maintenir en France jusqu’en Novembre 2009 grâce à la corruption par «Big Pharma» qui gangrène les institutions politiques et sanitaires de la France. Il est surprenant et choquant pour les honnêtes gens et pour les victimes, qu’il ait fallu 11 ans pour que justice soit rendue dans cette affaire alors que plusieurs prévenus et de nombreux plaignants sont déjà décédés.

Il ne serait pas surprenant, en revanche, que l’ampleur et l’étendue de la corruption étant ce qu’elles sont devenues, aujourd’hui, dans notre pays, le verdict du 29 mars dans le procès du «Médiator» soit plus clément qu’attendu pour les corrupteurs et les corrompus …«Selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou noir …..».

C’est dans ce contexte judiciaire que survient la pandémie de la Covid-19. Il nous faut bien constater, hélas, ce qui apparaît de plus en plus clairement dans la gestion calamiteuse de cette épidémie en France, que rien n’a véritablement changé pour ce qui est de la corruption  encore trop importante d’une partie de notre personnel politique et de nos institutions sanitaires.

Ce n’est pas sans raisons que Transparency International a déjà dénoncé cette corruption par l’industrie pharmaceutique, 
https://www.lesechos.fr/2016/06/transparency-international-denonce-la-corruption-dans-lindustrie-pharmaceutique-207127  et  que celle-ci a été, dans le passé, régulièrement pointée du doigt, arguments à l’appui, par certains médias.   
https://www.monde-diplomatique.fr/2003/10/RIVIERE/10610

Ce qui pose problème aujourd’hui, c’est que les médias mainstream français ne dénoncent plus ce genre de «détails». Ils font cause commune avec les laboratoires pour une raison très simple. Une poignée de milliardaires ont pris le contrôle de 90% des médias en France. La connivence et la collusion entre eux et les politiques au pouvoir qui accordent les subventions sont d’un intérêt mutuel bien compris. Leur connivence et leur collusion avec les milliardaires qui contrôlent Big Pharmales GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), les banques et la spéculation boursière, sont également d’un intérêt mutuel bien compris. Les requins ne se dévorent pas entre eux, surtout lorsqu’ils appartiennent au petit monde qui contrôle la finance et l’économie mondiale et qu’ils appartiennent, le plus souvent, à la même communauté.

Corrupteurs et corruptibles 

Mais pour qu’il y ait des corrupteurs, encore faut-il qu’il y ait des responsables politiques et sanitaires prêts à se laisser corrompre. C’est, hélas, trop souvent le cas au sein de la commission européenne et du parlement européen mais aussi au sein des exécutifs de tous les états de l’UE, et, pour ce qui nous concerne, au sein de l’exécutif français et de ses instances sanitaires.

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

L’affaire du Remdesivir

Analyser les sagas concernant l’achat massif par l’Europe et la promotion surprenante d’un médicament notoirement nocif (Remdesivir) qui rappelle fâcheusement le précédent du Médiator.  Analyser le choix d’un cabinet de conseil sur la stratégie vaccinale d’une campagne de vaccination française chaotique et désorganisée, avec des vaccins encore «expérimentaux» et donc non «aboutis», tout cela est édifiant pour qui accepte de se livrer à cet exercice.

Il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que le bras de fer mené par les suppôts corrompus de Big Pharma et leurs relais complices des médias mainstream contre la chloroquine et l’azytromicine recommandées par le professeur Raoult n’avait qu’un seul but: promouvoir le Remdesivir et le vaccin, au plus grand profit de Big Pharma …. La pitoyable étude du Lancet, rétractée pour fraude avérée, mais prétexte, en France, à l’interdiction faite aux médecins de ville de prescrire, a montré de triste manière jusqu’où les corrupteurs de Big Pharma pouvaient aller et à quel point ils pouvaient réussir leur manœuvre  auprès d’un appareil exécutif peut être plus corrompu qu’ailleurs.

La technique utilisée dans cette «guerre de l’information» était bien connue et a été parfaitement décrite par Anne Morelli.  Le 3ème principe élémentaire de cette propagande de guerre contre la chloroquine a été utilisé: il consistait à répéter un mantra (ce que BFMTV et France Intox savent faire et font à longueur de journée): «le chef du camp adverse (Raoult) a le visage du diable (ou «du charlatan de service»).

Faire douter l’opinion, salir, décrédibiliser, détruire le chef du camp adverse, c’est remporter la partie. Manque de chance pour les corrompus, Raoult est un «géant» et il n’était pas seul. Il avait à ses côtés son équipe de professeurs d’élite de l’IHU de Marseille, tous plus titrés les uns que les autres, dont aucun n’a fait défaut ou n’a trahi ses convictions malgré les sollicitations dont ils ont du faire l’objet. Il avait derrière lui des dizaines de milliers de médecins français, des centaines de milliers de médecins dans le monde entier qui soutenaient et appliquaient son protocole.  Une étude anglosaxonne a d’ailleurs montré que les deux médicaments les plus prescrits contre la Covid dans le monde, par les médecins de terrain, ont été   1 – l’Azytromycine 54% et 2 – la chloroquine 49% avec des résultats «observés» bien meilleurs que dans tous les pays qui ont fait l’impasse sur ces traitements efficaces et peu onéreux. https://www.maltraites-ledoc.com/

S’agissant de la stratégie vaccinale en France, les plus hauts niveaux de l’État français ont fait appel à un cabinet US (Mc Kinsey) pour la diriger. Ceci doit inciter le citoyen français à se poser quelques séries de questions:

1 – N’existe-t-il pas, en France, suffisamment de structures compétentes pour remplir ce genre de mission ? Pourquoi faire appel et sous traiter à un cabinet de conseil US une mission qui concerne directement les intérêts et la santé des français ? La gestion US de la crise sanitaire, la plus mauvaise au monde si l’on s’en tient aux résultats, doit-elle être considérée comme un modèle à suivre par nos dirigeants ?

2 – Pourquoi choisir le «sulfureux» cabinet conseil Mc Kinsey dont l’histoire récente a été marquée par des scandales à répétition ? Ce cabinet vient tout juste de verser 573 millions de dollars pour clore les procédures engagées contre lui par 49 États US, après la mort de 500 000 Américains suite à un usage abusif d’opioïdes (conseillés par McKinsey). Ce cabinet est  également  à la  base du  plus gros scandale financier de l’Histoire: ENRON !   voir le paragraphe scandales et controverses sur l’article de Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/McKinsey_%26_Company

3 – N’y aurait-il pas encore derrière le choix d’un cabinet mafieux, US de surcroît, une nouvelle saga de corruption dont l’appareil d’État français semble aujourd’hui avoir le secret?

S’agissant des attitudes contrastées de l’exécutif sur l’administration du vaccin AstraZeneca à la population, on note celle de Mr Véran s’accrochant,  comme ses prédécesseurs  l’avaient fait en soutien du Médiator, à l’innocuité  du produit, s’opposant aux décisions prises dans 7 pays européens et en Afrique du Sud.  On note avec amusement teinté de scepticisme et de mépris pour  l’intéressé, que le vaccin est, pour lui, inoffensif donc recommandé malgré quelques «rares??» effets secondaires. https://www.francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir  mais qu’en revanche, la chloroquine qui, administrée aux bonnes doses en début de maladie, est efficace et sans aucun effet secondaire sur des millions de patients, reste interdite de prescription en France (?????)

S’agissant du Président, qui gère beaucoup mieux que son ministre son risque pénal en se défaussant sur la décision de l’Agence Européenne du médicament, il n’ignore pas, évidemment, que cette agence européenne est aujourd’hui la plus corrompue de toute, ce que l’on peut comprendre lorsque des dizaines de milliards de profit sont en jeu pour Big Pharma… On connaît d’avance la préconisation qui sera faite et qui ne tiendra, évidemment, aucun compte de l’intérêt et de la santé des populations européennes.

Lorsqu’on prend conscience du marigot putride de corruption dans lequel baignent nos institutions européennes et nationales, on ne s’étonne plus qu’un sondage récent révèle qu’Emmanuel Macron inspire principalement de la “colère” (28%), du “dégoût” et  du “désespoir”  (21%), de la honte (18%) aux Français 
https://www.tvlibertes.com/actus/un-sondage-revele-quemmanuel-macron-inspire-principalement-de-la-colere-du-degout-et-du-desespoir-aux-francais

Rien d’étonnant non plus que des appels argumentés à la résistance civile se multiplient sur la toile: 
https://videos.files.wordpress.com/kAglcnp3/appel-a-la-resistance-civile-et-au-reveil-des-consciences_mp4_dvd.mp4

Rien ne vaut, pour conclure, un peu d’humour lié à la situation que nous connaissons:

Moins drôle :  La crise sanitaire a coûté plus de 160 milliards d’euros à l’État en 2020 (lefigaro.fr)




3e Guerre US contre l’Europe

[Source : Pars Today]

La Seconde Guerre mondiale, les USA l’ont fait sur le dos de l’Europe. La Guerre froide, ils l’ont mené contre les intérêts de l’Europe et leur guerre nucléaire qu’ils disent vouloir conduire à l’aide des bombes tactiques nucléaires et pour laquelle ils ont même fait des essais à Ramstein en Allemagne, essais secrets bien sûr ils iront le commencer sur le territoire de « SmallBrother » ?…

Probable vu la concentration de bombes nucléaires tactiques à travers tout le vieux continent et ces divers prétextes qu’ils trouvent pour faire remonter l’Europe orientale contre la Russie tout comme l’Europe Nord. Le ministère russe de la Défense confirme qu’il est prêt à agir avec fermeté en cas de déploiement du MRBM en Europe.

Le ministre de la Défense de la Fédération de Russie, Sergueï Choigou, a déclaré que la partie russe était prête à agir avec fermeté au cas où l’armée américaine déploierait des missiles balistiques à moyenne portée et d’autres armes de missiles en Europe. La déclaration est intervenue sur fond d’informations diffusées par Washington sur ses intentions de commencer à déployer ses missiles balistiques à moyenne portée en Europe.

« Nous nous sommes engagés à ne pas déployer de telles armes si elles ne sont pas déployées en Europe. Autrement dit, nous ne le ferons pas non plus. Mais s’il est affiché, nous y répondrons naturellement de manière appropriée. Ainsi que dans l’est de notre pays, bien sûr, je veux dire le déploiement possible sur le territoire du Japon et de la Corée du Sud » – a déclaré le ministre russe.

Les experts n’excluent pas que la partie russe soit prête à mettre en service les derniers systèmes de missiles balistiques, ainsi que les systèmes de missiles « Calibre » et « Dagger », ce qui procure beaucoup de mécontentement chez les Américains, puisque ces derniers ont une portée qui atteint presque n’importe quel point sur les territoires de l’Europe.

Puis, on a appris la rupture de tous les contacts existants entre la Russie et l’OTAN. Le ministère des Affaires étrangères de Russie a indiqué que la Russie a complètement rompu tous les contacts avec l’OTAN. « Après les accusations européennes, la tenue des rencontres n’a plus de sens. L’OTAN a abandonné toutes les structures préparatoires, c’est-à-dire : un groupe de travail, un comité préparatoire et le conseil lui-même au niveau des ambassadeurs. Tous les éléments, à l’exception de la réunion des ambassadeurs, ont été détruits, ils ne fonctionnent plus. », a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie Alexander Grushko.

Une guerre avec la Russie n’est pas un expédient aisé, loin s’en faut, c’est même une voie suicidaire. Mais les USA n’ont plus d’options alternatives. Leur narrative ne suscite plus l’adhésion, comme le démontre l’échec de l’ingénierie sociale en Syrie ou encore au Myanmar en dépit d’efforts colossaux. Le cycle entamé laisse entrevoir le pire pour l’Europe qui risque de devenir un terrain de jeu US par la faute des Américains. Et dire que la Chine pourrait s’y rallier. La Chine, longtemps adepte du profil bas et effacé, d’une politique étrangère basée sur le développement économique, est maintenant persuadée de l’inéluctabilité de cette éventualité du clash. Et cette évaluation n’est pas en relation avec le statut de Taïwan ou les îlots de la mer de Chine méridionale, mais avec une perception assez lucide des intentions réelles de ses adversaires.




Le monde peut-il encore éviter une guerre entre les États-Unis et la Russie?

[Source : Strategika 51]

Loin des diversions médiatiques ou les futilités absolues des réseaux sociaux, la montée en puissance des capacités d’une frappe fulgurante contre la Russie en Europe orientale continue à une cadence soutenue.

La crise économique et financière mondiale, l’effondrement total de la propagande occidentale et la faillite du système politique US ne laissent à l’État profond qu’une option. La pire de toutes: une escalade de la politique hostile contre la Russie, laquelle ne peut aboutir qu’à un affrontement. D’abord par proxy. Puis direct. Avec des conséquences fort désastreuses pour l’ensemble des protagonistes et des retombées catastrophiques pour le système de sécurité collectif.

En réalité, le leadership russe, tout comme son homologue US, est préparé à cette ultime éventualité. La seule variante est de savoir qui le premier va perdre son sang-froid et la maîtrise du jeu de dupes pour dévoiler son intention finale. Tous les éléments laissent entendre que c’est l’actuelle équipe à la Maison Blanche qui va déclencher les hostilités et mener ouvertement une campagne hostile d’une ampleur inédite contre Moscou. Peu importe le prétexte avancé, que ce soit la reprise d’éléments de guerre psychologique basés essentiellement sur l’accusation d’une ingenrence russe dans les élections présidentielles US et par voie de conséquence une ingérence russe visant le sabotage de la démocratie parfaite et exceptionnelle (l’image ne tient pas mais la symbolique est un élément à charge) ou encore le blocage de la guerre en Syrie, la paralysie de l’Ukraine, l’accès de la marine de guerre en Méditerranée, la guerre des vaccins et les pertes occasionnées aux Big Pharma par une soi-disant contre-propagande russe visant à décrédibiliser les vaccins occidentaux, l’alliance avec la Chine, la percée russe en Afrique australe et occidentale, etc. Le prétexte de l’ingérence russe dans des présidentielles US chaotiques et dignes d’une république bananière (le terme a été lancé par l’ex-président George Bush Junior) de quatrième ordre sera probablement utilisé par l’État profond qui a désigné Joe Biden pour relancer un conflit “dur” avec la Russie. Cela permettra de camoufler la faillite du système politique US, totalement obsolète et corrompu sous les bruits de bottes et le tonnerre d’une guerre symétrique d’envergure mondiale.

Une guerre avec la Russie n’est pas un expédient aisé, loin s’en faut, c’est même une voie suicidaire. Mais l’Empire n’a plus d’options alternatives. Sa narration ne suscite plus d’adhésion comme le démontre l’échec de l’ingénierie sociale en Syrie ou encore au Myanmar en dépit d’efforts colossaux. La manipulation autour du nouveau coronavirus a achevé le peu de crédibilité qu’avait son appareil médiatique auprès de ses propres populations. L’épisode du Capitole n’est pas clos. A force de vouloir supprimer la symbolique de cet incident inhérent au déclin des nations, ce ne seront pas des manifestants dans une ambiance bon enfant qui vont menacer le siège du pouvoir législatif américain mais des missiles hypersoniques à têtes nucléaires tactiques multiples et indépendantes. Le scénario de l’horloge sonnant minuit n’a jamais été aussi proche du réel.

Le monde pourra t-il éviter une guerre entre les États-Unis et la Russie avant qu’il ne soit trop tard?

Le cycle entamé laisse entrevoir des épisodes pires que celux des années précédentes. La plupart des pays se préparent à la guerre. La Chine, longtemps adepte du profil bas et effacé, d’une politique étrangère sort basée sur le développement économique, est maintement persuadée de l’inéluctabilité de cette éventualité. Et cette évaluation n’est pas en relation avec le statut de Taïwan ou les îlots de la mer de Chine méridionale mais avec une perception assez lucide des intentions réelles de ses adversaires.

L’Etat profond à court de moyens, veut venger ses revers en diabolisant Vladimir Poutine comme il l’a fait avec tout chef d’État dont la posture est jugée non-conforme et hostile aux intérêts de l’Empire. C’est un schéma usé et dangereux. Le retour des bellicistes à Washington fut marqué par une manœuvre très mal habile visant à supprimer toute référence au passé d’une caste vivant essentiellement de la guerre. Prétendre la naïveté est un moyen de diversion et dé-concentration.

La paix mondiale n’existe plus. Le cycle d’airain vient tout juste de commencer.




De l’État profond au gouvernement mondial

[Source : Site officiel de Valérie Bugault (valeriebugault.fr) via reseauinternational.net]

par Valérie Bugault et Pierre Bergerault – TVL

Valérie Bugault, docteur en droit, ancien avocat fiscaliste, reconvertie dans la géopolitique juridique et économique.

Vous êtes l’auteur de plusieurs ouvrages « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie » co-écrit avec Jean Rémy, « La nouvelle entreprise », « Les raisons cachées du désordre mondial » et « Demain dès l’aube… le renouveau » tous édités chez Sigest.

1) « La géopolitique est conçue comme l’étude des stratégies d’approche, d’attaque et de défense militaire d’un État vis-à-vis d’un ou de plusieurs autres ». Cette définition est-elle toujours de mise ?

Cette notion, la « géopolitque », a évolué deux fois au cours des dernières décennies sans d’ailleurs que les analystes en soient toujours clairement conscients :

  • À partir de la seconde GM et en particulier à partir de la signature des accords de Bretton Woods, le terrain de la « géopolitique » s’est déplacé du champ de bataille militaire vers le champ de bataille économique et monétaire et
  • Depuis quelques mois, nous assistons à une seconde évolution de la « géopolitique ». Le terrain économique et financier est en effet en cours de déplacement vers le terrain juridique. Le « droit » existait auparavant mais il n’était pas perçu comme enjeu majeur. Il était perçu comme un simple moyen d’action car les finalités du droit n’étaient plus discutées depuis trop longtemps. On arrive aujourd’hui à un moment particulier de l’Histoire où le droit va devenir, il faudrait dire « redevenir », le véritable champ de bataille, supplantant le domaine monétaire et économique, pour devenir le véritable enjeu de la géopolitique moderne.

En effet, outre sa fonction d’être un moyen d’action politique, le « Droit » en tant que « système » véhicule une culture, une conception du monde et de la vie en commun. Les décennies qui viennent verront la confrontation des systèmes de droit en raison du nécessaire renouveau politique.

Le « droit anglo-saxon » et le « droit continental » véhiculent une conception antagoniste de la vie en Société. Le droit britannique est, depuis le XVIe siècle, conçu comme une arme règlementaire au profit des puissants tandis que le droit continental traditionnel s’est développé, jusqu’à l’avènement du Code civil de 1804, comme un art politique : l’art d’améliorer la vie du groupe (c’est-à-dire de la Société), le moyen de pacifier les relations interpersonnelles en imposant aux « hommes de l’art » la recherche de justice.

Alors que le droit civil est le seul « Droit » à véhiculer le concept de justice, de vie en commun et in fine de civilisation, ce dernier est, malheureusement, en voie de fusion-absorption par le système britannique commercialiste.

Pour la France, et par extension pour le monde, l’enjeu majeur des prochaines décennies sera de réinitialiser notre droit civil en tant que « droit commun », lui-même développé autour du droit naturel.

2) « De façon subreptice et sournoise depuis le XVIIIe siècle, nous sommes collectivement entrés dans une ère qui interdit le libre arbitre humain au profit exclusif des puissances financières qui se sont emparées réellement et anonymement du pouvoir ». Comment ce changement de paradigme s’est-il opéré ? 

Ce changement de paradigme s’est opéré par la double prise de contrôle monétaire et politique par les puissances d’argent.

La prise de contrôle monétaire s’est faite de façon directe par la centralisation de la gestion monétaire dans les mains des banquiers au moyen de la création de « banques centrales ».

La prise de contrôle politique fut plus sournoise ; elle s’est réalisée par l’avènement et la généralisation d’un système politique axé autour du parlementarisme représentatif et d’une pseudo séparation des pouvoirs (qui est en réalité une disparition du pouvoir politique), dans lequel la vie politique a été captée par les « partis politiques ». Or, les partis obéissent à ceux qui les financent, ce qui a permis d’établir :

  • L’omnipotence hégémonique et anonyme des puissances financières et
  • La disparition des contrepouvoirs internes, qui devraient normalement structurer la vie politique.

3) Le contrôle de l’or opéré par les banquiers changeurs du Moyen-âge se terminera, dites-vous par un gouvernement mondial dictatorial de nature technocratique entièrement dirigé par les puissances financières dominantes. Que répondre à ceux qui voient là une vision simpliste, affirmant que toutes les nations n’ont pas intérêt à se fondre dans une structure mondiale ? 

Aucun peuple, aucune Nation, n’a « intérêt » à se fondre dans une structure globale dominée par les financiers. La volonté populaire n’entre pas en ligne de compte car tout est organisé de façon opaque, par le biais du mensonge, on fait passer des choses en prétendant qu’elles sont l’inverse… Ce pouvoir hégémonique s’est toujours imposé sans demander l’avis des peuples, par la corruption, l’illusionnisme et le mensonge !

À partir du moment où la vie politique est captée par les puissances financières – ce qui est vrai de la très grande majorité des pays du monde – l’intérêt commun des dirigeants à se fondre dans une structure mondiale dominée par les financiers est de facto, par principe, établi. Seuls des incidents mineurs lié à l’existence d’intérêt personnel des uns ou des autres doivent être contournés par les globalistes afin d’établir leur projet de gouvernement mondial totalitaire.

4) Au-delà d’imposer leur empire politico-financier, vous affirmez que les tenants d’un Nouvel Ordre Mondial souhaitent édicter une religion mondiale. Quels en seraient les dogmes ?

Je ne suis pas spécialiste des religions mais il me semble que cette religion existe déjà en filigrane : culte de l’argent, concurrence de tous contre tous, métissage de tous les monothéismes en un seul magma synthétique (sur le modèle des produits financiers).

La laïcité aura été un moyen de détruire le pouvoir spirituel en Europe et non, comme on pourrait le croire, un moyen de neutralité bienveillant. Or, faire disparaître le pouvoir spirituel a eu en réalité à la fois pour cause et pour conséquence de faire disparaître tout contrepouvoir politique à la toute-puissance des financiers.

Un autre moyen de destruction du pouvoir spirituel aura été l’exacerbation des antagonismes entre les trois monothéismes. La « religion mondiale » aura été imposée par la manipulation à l’extrême des anciens monothéismes en montant les uns contre les autres. Les dominants financiers ont utilisé, une fois de plus (on ne change pas une méthode qui marche), le principe de bonne politique consistant à « diviser pour mieux régner ».

En montant les religions les unes contre les autres, ils réussissent à créer un vide spirituel dans lequel ils vont engouffrer leurs propres croyances, qu’à vrai dire je ne suis pas sûre qu’il faille appeler « religion ». En effet, lesdites croyances ressemblent plus à la domination du mal absolu qu’à une quelconque spiritualité véhiculant des principes de « vie en commun » que les religions traditionnelles portent en elles. Peut-on appeler « religion » une croyance de quelques hommes qui consiste à :

  • Estimer que la population mondiale ne doit pas dépasser 500 millions d’âmes (Georgia Guidestones) ;
  • Pirater le fonctionnement intime (génétique) du vivant (Trans humanisme) pour permettre la vie éternelle à ceux qui resteront sur cette terre ?

Alors même que toutes les religions ont, jusqu’à ce jour, respecté le droit naturel supérieur, une croyance en la toute-puissance de l’homme, censé devenir éternel, ne me semble, après réflexion, pas devoir être désigné du terme de « religion ». Cela ressemble davantage à une secte sataniste qu’à une religion stricto sensu.

5) Pourquoi voyez-vous dans le droit anglo-saxon et la City de Londres l’alpha et l’oméga de cette volonté mondialiste ?

L’émancipation en 1531 de la papauté par le roi Henri VIII d’Angleterre au moyen de la création de l’église réformé (à mi-chemin entre protestantisme et catholicisme) sous la houlette de l’archevêque de Cantorbéry, nommé par le Roi, a modifié fondamentalement la façon de concevoir le droit en Angleterre. Le droit anglais est devenu l’apanage du seul pouvoir temporel (cf. pour le catholicisme l’équivalent de 1531 est 1929 et les Accords du Latran), autrement dit, un simple instrument de puissance dans les mains du détenteur du pouvoir temporel, d’abord identifié par le Roi puis par les puissances financières.

Le développement des visées impériales britanniques, cristallisées sous Cromwell (1599-1658) par l’établissement d’un « Commonwealth républicain » [Cf. wikipedia.org/wiki/Oliver_Cromwell], a acté la suprématie du pouvoir économique et monétaire sur le pouvoir politique.

La puissance financière est à l’origine du développement de l’empire britannique et le droit fut son arme de domination. C’est précisément cette conception, très affairiste et utilitariste, du « droit » qui s’est imposée sur la scène internationale tout au long des XIXe et surtout XXe siècles. Nous sommes ici dans un contresens par rapport à ce que signifie traditionnellement la notion de « Droit », ce type de normes est un « droit » qui n’est ni « droit » ni du « Droit ».

6) Vous dites que le droit anglo-saxon aurait pris le pas sur notre droit continental mais en quoi ce droit continental est-il différent du droit anglo-saxon ?

Tous les développements juridiques sur la personne, les rapports de l’individu au groupe, à la puissance et à l’autorité ont été formalisés, conceptualisés par les grands légistes de droit canon (penseurs catholiques) tout au long du Moyen-âge et en particulier au haut Moyen-Âge avec Saint-Augustin, puis, à partir du XIe siècle avec l’évêque Fulbert (1006 – 1028), le Décret de Gratien 1140, Saint Thomas d’Aquin (1225 – 1274) au XIIIe siècle… [Cf. cairn.info/la-formation-de-la-pensee-juridique-moderne ; cours.unjf.fr/repository/coursefilearea ; books.openedition.orgjstor.org/stable]. Le droit canon ou, plus précisément, son métissage avec les apports structurels du droit romain, est à l’origine du développement de « la civilisation européenne ».

Or, le droit britannique s’est, à partir de 1531, émancipé des apports du droit développé sur le modèle ci-dessus décrit pour se fonder sur la suprématie maritime et commerciale propre à servir le développement impérial et les intérêts financiers dominants qui le supportait.

À la même époque, le droit continental est, tout au contraire, resté fondé sur un droit commun de nature civile issu de l’équilibre des forces entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel. Les choses ont commencé à changer sur le continent européen à partir de la Révolution française – qui a beaucoup affaibli l’Église catholique – jusqu’à 1929, date des accords du Latran, qui correspond, en Europe et pour le monde catholique, à ce que fut l’année 1531 pour l’Angleterre : la soumission définitive et radicale du pouvoir spirituel, via Mussolini, au pouvoir financier mené par la City.

Tout au long des XIXe et XXe siècles, la puissance de l’empire britannique n’a fait que croître pour finalement se transférer dans l’empire américain, lequel a utilisé les mêmes armes monétaire, économique et juridique en les déployant partout dans le monde grâce à sa puissance de frappe militaire et financière.

C’est la raison pour laquelle toutes les institutions internationales ou supranationales nées au cours du siècle passé – parées pour la façade et très hypocritement de vertus humanistes ou d’une prétendue pacification du monde – n’auront finalement été que des appendices, des projections mondiales, de la puissance financière des banquiers globalistes apatrides (BRI, FMI, banque mondiale, OCDE, ONU, Union européenne, OMC, OMS…).

7) Comment se traduit concrètement cette soumission du droit continental au droit anglo-saxon ?

Cette soumission s’est réalisée, au fur et à mesure du temps, en quatre grandes étapes, qui furent des attaques en règles contre le Droit continental traditionnel :

  • La première attaque est d’ordre institutionnel, elle concerne la méthodologie du droit avec l’instauration d’un parlement dont la seule mission est de « créer » du droit, ce qui va à l’encontre de la mission traditionnelle du droit continental, qui comportait des règles simples et peu nombreuses.
  • La 2ème attaque est d’ordre conceptuel : avènement de la théorie pure du droit d’Hans Kelsen (1881 – 1973) qui impose un droit positif émancipé des principes du droit naturel [Cf. wikipedia.org/wiki/Hans_Kelsen].
  • La 3ème attaque est à nouveau d’ordre institutionnel : avènement des institutions européennes, dominées par le « principe réglementaire » issu des multinationales et véhiculé (ne l’oublions pas !) par les pouvoirs exécutifs des principales puissances économiques de l’Union. Ce système aggrave considérablement et à dessein la confusion des genres entre « règlementation professionnelle » et « Droit ».
  • La 4ème et dernière attaque est à nouveau d’ordre conceptuel : il s’agit de « moderniser le droit français », c’est-à-dire qu’il s’agit de transformer le droit civil en droit commercial (sur le modèle du droit de propriété économique) de façon à le rendre compatible avec le droit anglo-saxon, d’essence commercialiste. Il s’agit aussi de financiariser et opacifier ce nouveau « droit commun commercial ». Ce qui se traduit en termes de droit positif par toujours plus :
    • d’anonymat capitalistique et contractuel,
    • d’irresponsabilité juridique des dirigeants et décideurs réels,
    • de disparition de la corrélation entre responsabilité et pouvoir,
    • d’accaparement,

La disparition « de fait » (de facto) des libertés, inhérente à la domination économique, deviendra, par un glissement appelé (par les partisans du globalisme) « réalisme juridique », une disparition « de droit » (de jure). C’est ainsi que l’hégémonie financière se traduira fatalement, tôt ou tard, en droit positif par la suppression :

  • de la liberté d’expression,
  • de la propriété privée.

8) Vous évoquez l’intrusion de la fiducie en droit français à la fin des années 2000 grâce à une pression sur les élus de la République… En quoi consiste l’opération de la fiducie ?

Il s’est agi de permettre sur le territoire français des opérations patrimoniales faisant intervenir trois personnes différentes : le constituant, le fiduciaire et le bénéficiaire.

Techniquement, l’intervention d’une tierce personne gestionnaire, appelée trustee ou fiduciaire, permet de rendre discrètement anonyme le nom du bénéficiaire réel des opérations réalisées sous fiducie. La fiducie introduit une dose supplémentaire de confusion dans la responsabilité juridique qui incombe aux décideurs économiques. Le droit français était beaucoup plus clair sur les responsabilités lorsque les parties à un contrat d’organisation patrimoniale étaient identifiées clairement comme cédant et cessionnaire d’un bien ou d’un droit, ou comme bénéficiaire et débiteur d’une sûreté. La fiducie introduit un degré d’opacité dans la responsabilité juridique en matière de gestion patrimoniale. Ce n’est pas un hasard si les dominants financiers ont utilisé le trust et non le droit civil français pour organiser le contrôle et la circulation des capitaux dans le monde entier.

Politiquement cette intrusion répondait aux besoins de la liberté de circulation des capitaux imposée par l’ordre économique mondial, c’est-à-dire par les tenanciers des paradis fiscaux anglo-saxons. L’opération s’inscrivant, rappelons-le, dans le contexte de la disparition des paradis fiscaux à comptes numérotés, qui étaient des « corsaires juridiques » sous contrôle de certains États, au profit des paradis terrestres hébergeant des trusts anonymes. Pour être tout à fait claire, on identifie ici un plan organisé et prémédité, que l’on pourrait appeler « complot », puisque l’intervention de la fiducie, en France en 2007, a précédé les grandes manœuvres géopolitiques lancées par l’OCDE en 2009, avec Nicolas Sarkozy en tête de pont, tendant à liquider les paradis fiscaux fondés sur les comptes numérotés. « L’a-France » est, très souvent, dans le wagon de tête des félonies politico-juridiques ; mais elle n’est pas la locomotive de ces manœuvres.

L’intervention de la fiducie par la loi Marini du 19 février 2007, qui est une modification législative majeure, s’inscrit dans le contexte de la vague scélérate de « modernisation du droit français » consistant à rendre le droit civil compatible avec le droit anglo-saxon d’essence commercialiste.

Enfin, il faut remarquer la concomitance historique entre la trahison juridique que fut l’introduction, le 19 février 2007, de la « fiducie » en droit français et la trahison politique que fut la signature, le 13 décembre de la même année, du Traité de Lisbonne par les chefs d’État ou de gouvernement des 27 États membres de l’Union européenne. Rappelons que cette Trahison politique fut actée par les parlementaires français en 2009, lesquels ont ratifié ce traité signé en 2007 alors même que le peuple français avait rejeté, en mai 2005, la Constitution européenne, version initiale quasi identique dudit Traité. Nous avons ici, soit dit en passant, une magnifique application – un cas d’école – du fait que le principe du parlement dit représentatif existe à la seule fin de domestiquer la volonté populaire (ce que dénonçait déjà en son temps Jean-Jacques Rousseau !).

La trahison juridique n’est jamais très éloignée de la trahison politique ; ces deux « félonies » fonctionnent en osmose.

9) Drôle de découverte : La République française est, selon « société.com », site web d’informations légales sur les entreprises françaises, enregistrée à l’INSEE d’une façon similaire à une entreprise commerciale. Qu’est-ce que cela signifie ? (un numéro SIREN (100000017), numéro SIRET, réservé aux entreprises (10000001700010), un numéro de TVA intracommunautaire (FR15100000017))

Cela signifie que nous sommes anglo-saxonnisés !

Cela signifie que nos institutions civiles et politiques ont vocation à devenir, sur le modèle britannique, des institutions commerciales, ce qu’elles n’ont historiquement, politiquement et philosophiquement JAMAIS été ni dans notre pays, ni sur le continent européen, ni dans tous les pays ayant adopté notre système de droit continental.

À cet égard, je voudrais rappeler que la dénonciation, à grands cris, par le milieu des affaires, de « l’extraterritorialité du droit américain » qui veut mettre la main sur les multinationales dites françaises et le mutisme intégral de ce même milieu face à la colonisation forcée de notre droit par le droit anglo-saxon a quelque chose de grotesque qui s’apparente aux « Précieuses ridicules » de Molières.

Ce deux poids deux mesures des milieux des affaires, qui poussent des cris d’orfraie et appellent dans un cas au « patriotisme économique » alors que, dans l’autre cas, ils s’écrasent littéralement pour ne pas dire qu’ils rampent en pratiquant même la surenchère des mesures, est finalement assez comique à observer ! Les acteurs économiques, qui ont eux-mêmes trahi et vendu leur « système de droit », appellent ce dernier à la rescousse dès qu’ils sentent, sur eux-mêmes, les premiers effets de leur trahison ! Rappelons que « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».

L’hypocrisie endémique, liée à l’esprit de collaboration, traditionnellement très prisée des « dirigeants français », a définitivement condamné les milieux juridiques français à finir, sauf improbable sursaut, dans les poubelles de l’histoire…

10) « Les puissances financières anonymes ont juridiquement développé un système économique mondial de type monopolistique qui leur permet de capter et contrôler toutes les technologies ; technologies qui deviennent, dans leurs mains, des armes employées contre les peuples ». Au-delà de la censure qu’utilisent les GAFAM, jusqu’où ces armes peuvent être utilisées ?

Levons une ambiguïté : ce système est couramment appelé, à tort, capitaliste. À tort car il ne s’agit pas, et ne s’est jamais agi, d’une idéologie mais d’une volonté d’hégémonie politique des banquiers, ce qui est très différent.

Le terme « capitalisme » organise une confusion volontaire en parant une volonté bancaire hégémonique d’oripeaux intellectuels qui a permis de justifier :

  • le développement de l’anonymisation des décideurs ;
  • le développement subséquent de la déresponsabilisation juridique des décideurs ;
  • le développement de la dérégulation, c’est-à-dire de la disparition du « droit » remplacé par de la simple « règlementation » adossée à l’idéologie de la « liberté du Commerce ». Une fois encore la liberté du commerce ne signifie qu’une seule chose : la mise en esclavage des petites entités économiques par les grosses ;
  • la création d’énormes conglomérats économiques appuyés sur les banques et dont la seule vocation est l’accaparement des richesses ;

Le terme même de « capitalisme » est une escroquerie destinée à justifier intellectuellement, c’est-à-dire à cacher aux yeux de tous par de savantes constructions fondées sur des postulats erronés ou biaisés, l’accaparement opéré par les puissances financières. OR, l’accaparement est incompatible avec la civilisation. Toutes les civilisations de l’Histoire humaine ont lutté contre l’accaparement. Et justement, le « capitalisme » a rendu l’accaparement légal et légitime !!!

On se situe avec le prétendu « capitalisme » qualifié de « liberté » dans le même rapport d’illusionnisme et de domination qu’avec le « parlementarisme représentatif » qualifié de « démocratie » : une imposture pure et simple !

11) Les dominants financiers, dites-vous, n’ont jamais caché leur volonté et motivation génocidaires. Volonté que vous désignez sous l’appellation de « dette de sang ». Expliquez-nous ?

Plus exactement, j’ai dit que, depuis l’avènement du Club de Rome, les dominants financiers ne cachent plus leur volonté génocidaire.

Par ailleurs, il faut se souvenir qu’au-delà du génocide, il est surtout question du lien indéfectible entre développement des puissances financières et esclavagisme des masses. À titre d’exemple : l’État du Delaware aux États-Unis n’a accepté (et il fut le dernier État à le faire) de renoncer à l’esclavage que pour devenir un « paradis fiscal ». La dette est un puissant moyen de domination car, comme l’a si bien dit Napoléon : « La main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit ».

Une fois que vous êtes englués dans les liens de la dette, vous ne pouvez plus rien refuser à votre/vos créancier(s), surtout si ce dernier s’est arrangé pour contrôler le pouvoir législatif de façon à organiser son anonymat !

Tout cela n’a pu se produire que parce que le concept de « personne morale » (sic), organisée sur le modèle capitaliste Britannico-hollandais (en opposition au modèle de la participation ou de la cogestion), est intervenu pour cacher le nom véritable des quelques personnes physiques qui contrôlaient in fine ce système organisé par le « droit » dans un ballet très structuré de clair/obscur.

12) Pourquoi dites-vous qu’il est inutile de dénoncer un gouvernement des juges »? (sous la dépendance du pouvoir en place, en l’occurrence le pouvoir financier)

Car c’est en réalité l’intégralité de l’appareil d’État qui est au service, via le partis politiques, du pouvoir financier ! Le prétendu pouvoir des juges fait partie intégrante du pouvoir exécutif et donc de l’appareil d’État. Parler de « gouvernement des juges » c’est vraiment l’arbre qui cache la forêt ! L’imposture politique élevée au niveau de « grand art », du pur illusionnisme !

13) Pour vous, la contestation de l’actuel pouvoir français, illégitime, dictatorial et outrancier, est nécessaire et même indispensable. Que pensez-vous de la gestion gouvernementale du covid ?

Plus précisément, je dis que l’intégralité de l’appareil d’État est aux mains des puissances financières. Nos institutions politique ont organisé consciencieusement, bien que discrètement, la disparition de tout contrepouvoir interne.

L’absence de contrepouvoir interne, initiale et consubstantielle à nos institutions, a été mise en évidence par la disparition du contrepouvoir politique externe que constituait l’existence d’un « bloc de l’Est ». IL FAUT maintenant LE CONSTATER.

Or, une organisation politique sans contrepouvoir est antinomique non seulement avec une quelconque démocratie, avec la liberté individuelle et collective mais aussi et surtout avec le concept même de CIVILISATION.

Les mesures législatives et règlementaires prises, à l’occasion de la crise covidique, par les « autorités chargées de la gestion du territoire français » (il ne s’agit pas à proprement parler de personnel politique puisque les « gouvernements » ne sont plus des « entités politiques ») s’inscrivent évidemment dans cette tendance lourde de la toute puissance financière.

14) Vous jugez la contestation du pouvoir nécessaire pour ne pas nous voir imposer le fameux Great Reset ? Quelle définition donnez-vous à ce projet d’agenda proposé par le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab ? (projet monétaro-politique) ; Pour faire face à cette Grande Réinitialisation, à ce gouvernement mondial, vous proposez de remettre les institutions politiques et étatiques au service de la population, vaste programme. Mais avant cela, comment amener cette population à prendre conscience de sa servitude ? (Modèle financiariste contre modèle politique)

Le forum de Davos via son directeur Klaus Schwab, lequel s’est récemment fait l’écho officiel (à grand renfort médiatique) du « Great Reset », est le dernier avatar de la prise de pouvoir mondiale par les puissances financières globalistes. Cette prise de pouvoir, qui s’inscrit dans une dimension historique pluri-centenaire, arrive aujourd’hui à maturité.

Dans ce contexte, le seul moyen pour les peuples, de s’opposer à l’inéluctabilité de leur mise en esclavage, est de reprendre le contrôle de leurs institutions, lesquelles sont aujourd’hui fondées sur l’imposture politique. Retrouver des institutions politiques signifie mettre fin à l’hégémonie mondiale des puissances financières. C’est aussi simple que cela. Mais pour y arriver, il faut avoir une vision claire des forces en présences et des enjeux civilisationnels qui en découlent.

Les gens doivent prendre l’habitude de raisonner par eux-mêmes, de confronter leurs intérêts et ne plus se laisser manipuler par l’avalanche de « mots » dépourvus de sens que les dominants financiers leur imposent, générant volontairement une variété infinie de « maux » politiques et sociaux. Lorsque les politiques, médias ou « sachants » universitaires et autres experts de plateaux parlent de « liberté », il faut aujourd’hui comprendre « servitude ». La liberté, lorsqu’elle existe, n’a pas besoin d’être mentionnée à tout bout de champ. On ne parle des choses que lorsqu’elles ont disparu !

Il est temps d’instaurer une organisation sociétale dans laquelle tous les intérêts catégoriels traversant la Société seront politiquement représentés. Ce qui signifie qu’il est temps de se séparer de nos systèmes politiques actuels, pures impostures politiques, dans lesquels les seuls intérêts politiquement représentés sont, via les partis politiques, les intérêts financiers supérieurs. Je renvoie les auditeurs intéressés à mes travaux sur la rénovation institutionnelle (voir mon site internet et mes différents ouvrages), c’est-à-dire à ma proposition de réinitialisation de l’État telle qu’elle figure sur mon site et telle qu’elle est décrite dans mes différents articles.

15 et 16) Vous avez récemment lancé sur votre blog un cercle de réflexion que vous avez appelé « Révoludroit » pour « un droit au service des humains ». Qu’est-ce que c’est ? Vous dites qu’il faut réactualiser les fondamentaux du Droit, avec une réforme du droit civil (contrat, responsabilité, famille, respect du vivant), économique (droit de l’entreprise à nouveau compris comme une institution et réhabilitation de la monnaie) et pénal. Quelle forme devra prendre cette réforme ?

L’ambition à terme est de faire de RévoluDroit une école de droit alternative. Cette initiative a également pour vocation de préparer l’avenir institutionnel et juridique.

RévoluDroit s’adresse principalement aux juristes afin de rétablir un système de droit digne de ce nom, fondé sur un droit commun (le droit commun est civil ou n’est pas !) adossé au droit naturel, lequel doit être réévalué à l’aune de nos connaissances, scientifiques et humaines, actuelles.

Mais RévoluDroit s’adresse également à toute personne qui pourrait organiser des débats, physiques ou dématérialisés, afin de diffuser dans le public la réforme des institutions et de l’entreprise que j’ai élaborées et que je préconise hautement de mettre en œuvre. L’enjeu de cette mise en œuvre est, n’ayons pas peur de le dire, la survie de l’humanité.

Les auditeurs pourront trouver sur mon site internet, en première page, le schéma de la nécessaire réforme institutionnelle.

Quant à la, non moins nécessaire, réforme de l’entreprise, elle correspond à mon travail de thèse, vulgarisé dans mon livre « La nouvelle entreprise ». Il s’agit, in fine, de mettre en musique juridique le concept de « participation » qui, rappelons-le, trouve sa première manifestation dans la doctrine sociale de l’Église élaborée au XIXe siècle. Cette réforme est tout à fait fondamentale car elle seule permettra de rétablir l’équilibre entre les rapports de force, équilibre que l’imposture du « capitalisme » a volontairement rompu à la seule fin – et les français doivent enfin le comprendre – d’hégémonie politique des puissances financières.

Il n’y a que des perdants à ce jeu de dupe que les puissances financières dominantes appellent fallacieusement « capitalisme » et qui ne sert qu’à monter une partie de la population (ceux qui détiennent un peu d’argent) contre l’autre (ceux qui ne détiennent que leur force de travail). Finalement tout le monde appartient forcément, à un moment ou à un autre, à la catégorie des perdants du « capitalisme », y compris, et peut-être en premier lieu, les grands capitaines d’industrie qui se sont tous plus ou moins fait vampiriser par le jeu de la haute finance prédatrice.

Ce jeu, appelé « capitalisme » est un jeu de dupe pour plusieurs raisons :

  1. Il habille d’honorabilité des pratiques de pures prédations non seulement économiques mais aussi et surtout humaines avec le brevetage et la commercialisation du vivant ;
  2. Il fait passer pour « la liberté », ce qui n’est que la « liberté du commerce », qui se traduit par la simple loi du plus fort dans la savane capitalistique et financière ;
  3. Il est instable par nature: les règles du jeu sont toujours susceptibles de changer brutalement en fonction du seul intérêt, bien compris, des seules puissances financières dominantes. Les partisans des petites crypto-monnaies privées risquent, bientôt, de le découvrir à leur dépens. Car lorsque les dominants financiers décideront de mettre fin à ce qu’il faut considérer comme une expérimentation grandeur nature, toute l’armada juridique de répression de l’émission de fausse monnaie est prête à être mis en œuvre. A minima, ces cryptomonnaies ne pourront plus être converties en monnaies légales. Ce qui, d’ailleurs, peut s’avérer être à double tranchant pour le pouvoir actuel. Néanmoins, le pouvoir en place aura, fatalement, le dernier mot car il contrôle, politiquement et militairement, l’émission énergétique nécessaire au concept de cryptomonnaie.

En conclusion, j’insiste lourdement sur le fait que toutes les catégories – y compris les chefs d’entreprises (petites et moyennes) et les gens ayant fait des « économies » (plans d’épargnes, assurances-vie…) – ayant cru bénéficier de ce jeu fallacieusement appelé « capitalisme » se retrouveront immanquablement flouées à un moment où à un autre. Il est temps de le comprendre !

Il est surtout temps de changer de paradigme socio-politique, de passer de l’imposture à la réalité, de passer de la domination à la protection du vivant, de passer de l’excès de division à la réinitialisation de la vie en commun, c’est-à-dire de « retrouver le chemin de la civilisation ». Rejoignez RévoluDroit pour préparer la suite…




Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber

[Source : Le quotidien du médecin]

Par Gérard Maudrux

Le vaccin Astra Zeneca bat de l’aile. Est-ce la petite goutte d’eau qui va faire déborder le vase ? C’en est une, il va y en avoir d’autres, dans les semaines et les mois à venir, et encore dans quelques années on découvrira des secrets bien gardés.

On a mis des années pour admettre que le nuage de Tchernobyl ne s’était pas arrêté à la frontière, et que le discours rassurant des autorités de l’époque était mensonger, et de plus dangereux car a empêché de prendre les précautions qu’il fallait.

L’histoire se répète car rien n’a changé dans notre pays. Cette fois, c’est la gestion, et surtout le traitement de l’épidémie de Covid-19 qui va exploser en montrant ses dessous. Christian Perronne écrivait il y a 9 mois Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?. Oui, et il pourrait en écrire un second car il y en a eu d’autres, notamment la gestion des traitements, de la recherche à la validation.

Le vaccin Astra Zeneca n’est que la partie émergée de l’iceberg des traitements. Vous l’avez lu partout : de plus en plus d’accidents avoués, de plus en plus d’accidents cachés, mais encore hier, nos gouvernants, nos scientifiques, la presse, nous expliquaient qu’il ne fallait pas céder au complotisme. Il a fallu que le reste du monde bouge, car sans eux, nous aurions toujours le même discours, les mêmes mensonges. On tente encore de nous rassurer, l’OMS, l’Europe vont nous rassurer et dire que nous avions raison. Ce discours montre que nos autorités sont incapables de voir ce qui se passe sur le terrain, d’en tirer des conclusions, et d’agir. Ils s’en remettent aux autres pour observer, pour décider. Que va-t-il sortir de ces décisions Européennes ? Un discours rassurant, mais croyez-vous que les pays qui ont décidé d’arrêter, en leur âme et conscience, sans attendre les autres, vont se déjuger ? Face à cette situation, même si on redonne l’autorisation, croyez-vous que les gens vont accepter de l’Astra ?

Le problème Astra révèle nombre de problèmes, et vous verrez que cela va suivre avec les autres traitements qui ont été bloqués systématiquement. Pour l’Ivermectine, vous apprendrez bientôt bien pire. Nous allons apprendre aussi que les antibiotiques, ça marche, et vous saurez un jour pourquoi et qui a bloqué tout cela depuis le début. D’autres masques vont tomber progressivement. La vérité finit toujours par sortir un jour.

Astra, après le Remdesivir, le Bambalaba, le refus de certaines RTU, c’est la faillite de nos autorités sanitaires. Chargées de vérifier, de certifier, elles ont montré qu’elles en étaient incapables. Le Boeing 737 Max est un autre exemple de ces « certifications ». Le dossier, la certification ont été faits par Boeing, les autorités « compétentes » n’ont fait que valider. Il a fallu des morts pour voir comment cela se passait en réalité. Cela se passe exactement de la même manière avec les médicaments. Le labo fait le dossier, ceux qui sont chargés de vérifier ne vérifient pas (d’ailleurs on a vu que maintenant on commandait avant de savoir si cela allait être certifié). Pourquoi les effets secondaires actuels, ne sont pas apparus dans les études ayant servi à la certification ? Tout est là. On n’est même pas sûrs de l’immunité, de sa durée, mais on valide quand même, sans précautions. Et quand il n’y a pas de labo pour monter leur propre dossier de validation, comme pour l’Ivermectine, les autorités ont des problèmes, on dirait qu’elles ne savent pas faire.

Nos autorités, pour traiter le Covid ne font rien, elles s’en remettent à l’industrie pharmaceutique. « Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche », disait le Général De Gaulle. 50 ans après, on cherche toujours.

Pour revenir à l’Ivermectine, et à d’autres traitements qui pourraient rendre service, tombés dans le domaine public, avez-vous remarqué d’où viennent les études ? Inde, Bangladesh, Iran, Irak, Colombie, Pérou, république Dominicaine, Argentine, etc. Rien, strictement rien chez nous. On n’a plus de chercheurs ? Regardez pour les vaccins, 200 dans le monde, combien au pays de Pasteur ? Nous sommes tombés très très bas. Non seulement nous sommes très bas, mais nous refusons de voir ce qui se passe dans ces pays qui ne méritent pas notre attention. Ce sont des « petits », nous nous somme un grand pays, qui a marqué le monde avec sa médecine, nous n’avons de leçons à recevoir de personne.

Pourtant il y a des médecins qui cherchent à traiter, qui demandent à tester ici et là, mais on leur refuse, c’est pour cela que nous ne publions rien. Et quand il y en a un qui passe outre, qui a les moyens de le faire, tout le monde lui tombe dessus et le traite de charlatan. Alors où est-ce que cela s’arrête ? Connaissez-vous l’Inserm ? Le comité REACTing ? C’est là que passent une bonne partie des bonnes volontés qui se font casser.

C’est là qu’est passé un de nos confrères qui après avoir constaté les bienfaits d’une cure d’Ivermectine en Ehpad (avant la même histoire en Seine et Marne), a voulu reproduire la chose dans d’autres Ehpads pour vérifier, prouver. Il avait les fonds, un groupe prêt à suivre, réponse : non, on ne vérifie pas, on ne cherche pas de traitement. Pire ces gens ne savaient pas ce qui se passait dans les Ehpads, ne voulaient pas le croire, ne connaissaient pas l’Ivermectine, l’Onchocercose. Tout ce qu’ils ont sorti comme excuse, c’est l’étude frauduleuse de 1997 (patients badigeonnés avec 2 insecticides mortels en sus de Ivermectine). « Vous allez tuer les patients », avec un médicament qu’ils ne savaient pas avoir le meilleur rapport bénéfice/risque au monde. Ils ont refusé de regarder.

Franz-Olivier-Giesbert dans Le Point du 11 mars, racontait que du temps des communistes, il racontait à un cadre du PC avoir vu des prostituées en bas de son hôtel. « C’est impossible, lui a-t-on répondu, il n’y a pas de prostituées en Union Soviétique ». « Si, si, j’ai bien vu, venez vérifier avec moi ». « C’est inutile, le communisme a mis fin à la prostitution ». Pas besoin d’aller voir, c’est comme ça. Eh bien il en est de même avec l’Ivermectine. Allez voir Mme Castigliola de l’Inserm, membre du comité REACTing, que l’on voit partout, qui écrit partout contre l’Ivermectine. Pas la peine de faire des essais pour savoir si cela marche, parce que cela ne marche pas, point. Voilà pourquoi on n’essaie pas de trouver un traitement pour le Covid.

Et ces gens-là, pendant qu’on rame sur le terrain avec les patients, s’auto-congratulent, se distribuent des médailles, comme pour les 7 d’or. Les Grands prix de l’Inserm 2020 ont récompensé ceux qui ont œuvré pour le traitement de l’épidémie du Covid. De Gaulle aurait bien aimé savoir ce qu’ils ont trouvé pour justifier ces prix.

Voici les lauréats des prix 2020 décernés en décembre :

Grand Prix, Dominique Costagliola, qui « a mis son expertise de la recherche anti-VIH au service de la lutte anti-Covid dans le cadre de REACTing ».

Prix recherche, Florence Ader, « qui a piloté Discovery » (avec succès, on attend toujours le résultat). « Si à ce jour, les premiers traitements proposés n’ont pas fait preuve d’efficacité, le formidable réseau de recherche clinique créé à cette occasion est opérationnel pour permettre d’essayer de nouveaux traitements candidats contre la covid-19. » (Sic)

France Mentré, « responsable méthodologie de Discovery ». Méthode, on l’a vu, efficace.

Prix OPECST-INSERM, Yazdan Yazdanpanah. Tête pensante de REACTting avec La Castafiore.

Prix innovation, Frédérique Lesaulnier. Déléguée à la protection des données.

Hélène Espérou. Chargée des projets de recherches cliniques.

Jean Christophe Hébert, montages juridiques des projets de recherche.

Voilà pour la brochette de chercheurs récompensés pour leur « excellence scientifique au service de la lutte contre la pandémie de Covid-19 », ce n’est pas moi qui le dit, c’est l’Inserm, c’est le titre du communiqué. Moi en matière d’excellence, je n’ai pas vu de traitement sortir, et n’ai vu que des blocages et des échecs. J’ai dû rater quelque chose.

Il fut un temps où l’on récompensait la réussite et les résultats, maintenant on récompense ceux qui bloquent, cachent et échouent.

Pourquoi ont-ils échoué ? Tout comme les soviets niaient les prostituées en refusant de regarder dans la rue, nos « excellents scientifiques » nient l’existence de traitements car ils refusent de regarder. Les pays étrangers refusent Astra après avoir vu ce qui se passait sur le terrain, nous avons continué à le saluer parce que notre « élite » refuse de regarder ce qui se passe sur le terrain. Et si leurs décisions ne sont guidées que par ce qui se passe chez nos voisins, à l’OMS ou à l’Agence Européenne du médicament, à quoi servent toutes nos agences, comités et fonctionnaires ?

Avec un Président qui depuis 2 mois ne peut plus voir ces « conseils scientifiques » (j’en ai 2 preuves matérielles), ne supporte plus son ministre de la Santé, a dû prendre la main sur Astra ; avec un Ministère qui asphyxié par le nombre de (hauts) fonctionnaires énarques est obligé d’avoir recours systématiquement à des agences étrangères pour des expertises (on paye des gens pour faire le boulot, et on le fait faire à d’autres, cf les 28 études commandées) ; avec des agences qui ne savent que suivre les avis des agences étrangères et des gros labos ; avec nos nombreuses institutions de chercheurs qui ne cherchent pas et refusent que d’autres cherchent, chez nous, on n’a pas de prostituées (des labos), mais le bordel. Maintenant, vous me direz que ce n’est pas vrai, il n’y a plus de bordel depuis la Loi Marthe Richard du 13 avril 1946, je vous répondrais si, si, regardez par la fenêtre et vous verrez, encore faut-il que vous regardiez.




Pétition : NON au passeport vaccinal

[Source : leslignesbougent.org]

Par Rodolphe Bacquet

Vos libertés sont en jeu !

Adressé à : M. Olivier Véran, Ministre de la Santé et des Solidarités

Alors que les campagnes de vaccination battent leur plein en France et partout en Europe, de plus en plus de pays envisagent l’instauration d’un passeport vaccinal.

ATTENTION : le gouvernement, jouant sur les mots, parle désormais de “passeport sanitaire”.

C’est strictement la même chose.

Un tel “passeport” restreindrait :

  • Votre liberté de vous déplacer.
  • Votre droit de fréquenter certains lieux.
  • Votre droit d’accéder à certains services.

C’est de la vaccination obligatoire déguisée. Et c’est du fichage.

POUR NOUS, LE PASSEPORT VACCINAL C’EST NON !

La Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé qu’un projet de législation sur un tel passeport serait présenté le 17 mars 2021, ce qui permettrait un “retour gradué” à la libre circulation. (1)

Nous devons réagir D’URGENCE, avant que ce projet aboutisse.

Mettre en place un passeport vaccinal n’a AUCUN SENS :

1. Ce n’est pas parce que vous êtes vacciné que vous n’êtes pas contagieux, et même Pfizer et Moderna l’ont reconnu ! Leurs vaccins portent sur la diminution des symptômes du Covid-19… pas sur l’absence de contagiosité de la personne vaccinée. (2)

2. Que le vaccin soit fiable ou non, le bienfait attendu d’un passeport vaccinal est limité et ne justifie absolument pas de nous priver de notre liberté de choix :

  • si le vaccin protège efficacement, ceux qui l’ont reçu ne devront pas craindre de se retrouver près de personnes non vaccinées.
  • si le vaccin ne protège que partiellement, un passeport vaccinal engendrerait un faux sentiment de sécurité. (3)

3. Refuser de se faire vacciner est un droit. Début mars, seuls 59% de nos concitoyens se disent prêts à subir une vaccination Covid. (4) Cette méfiance est d’autant plus compréhensible que nous avons encore très peu de recul sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins sur le long terme.

4. Il est beaucoup trop tôt pour ce genre de mesures. La France accuse un retard important en termes de vaccination. Avec seulement 0,10% de sa population qui a reçu les 2 doses du vaccin, notre pays est le “mauvais élève de l’Union Européenne”. (5) Comment pourrait-on imposer un passeport vaccinal alors que la plupart de la population n’a pas encore accès au vaccin ?

Disons “non”, maintenant à un tel projet !

Si, vous aussi, vous refusez qu’un passeport vaccinal devienne un laisser-passer pour certains (les citoyens vaccinés) et une restriction de libertés pour les autres (les non-vaccinés)…

…alors signez cette pétition !

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Demain, une ségrégation par le vaccin ?

Pour encourager le passeport vaccinal, l’argument du “retour à la normale” est employé.

Le gouvernement et les médias font croire qu’un passeport vaccinal vous permettra de voyager plus librement, de revoir vos proches fréquemment. Ce serait donc “pour votre bien”.

C’est le contraire qui se produira.

Ce passeport accroîtra les restrictions et portera une grave atteinte à nos libertés individuelles.

Ce ne sont pas seulement les restrictions d’accès à un pays, un restaurant, un cinéma, un musée, qui sont en cause.

C’est le jour où un petit-fils sera exclu de l’école car il ne sera pas vacciné.

C’est le jour où un frère perdra son emploi car son passeport vaccinal ne portera pas la case “Covid”.

Malheureusement, cette ségrégation est déjà dans les têtes de tous !

Au Vatican, les opposants aux vaccins Covid sont qualifiés de “négationnistes suicidaires” par le Pape François et les employés qui refusent l’injection sont menacés de licenciement. (6)

En Suisse, l’Union patronale suisse (UPS) a estimé que : “Dans le secteur privé, il doit être possible pour les employeurs de faire la différence entre les salariés vaccinés et non vaccinés” (7)

Tout cela est inacceptable.

Nous n’accepterons pas cette manière détournée d’imposer le vaccin à toute la population. (8)

Un tel passeport irait à l’encontre de la résolution 2361/2021 prise par le Conseil de l’Europe le 27 janvier dernier.

Cette résolution stipule que toute obligation de vaccination est désormais illégale par défaut : personne ne peut être vacciné contre sa volonté, sous la pression. (9)

Que dit cette résolution ?

  • Que les 47 États membres sont obligés de signaler avant toute injection que la vaccination n’est PAS obligatoire (7.3.1) ;
  • Que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination (7.3.2) ;
  • Que la discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée (7.3.2)
  • Que les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité des vaccins (7.3.4).

L’obligation d’un tel vaccin serait une atteinte aux droits de l’Homme, ni plus ni moins.

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Renoncer aux vaccins Covid, c’est un droit

Nous ne portons aucun jugement sur ceux qui ont choisi de se faire vacciner.

Qu’on ne porte pas de jugement sur ceux qui choisissent d’y renoncer !

Certains ont peur des dangers pour leur santé, manquent de confiance en l’efficacité ou la fiabilité des vaccins Covid, ont besoin de plus de recul, etc…

Ils en ont le droit !

Chaque individu est libre de l’usage qu’il fait de son corps, conformément à ses choix. (10) Le droit de disposer de son corps a été reconnu par la Cour Européenne des Droits de l’Homme en 2002 ! (11)

Le passeport vaccinal nous privera de cette liberté de décider de notre santé.

Le passeport vaccinal menacera la protection de nos données personnelles.

Après les confinements, l’enfermement de nos aînés dans les Ehpads, le port du masque obligatoire, l’application TousAntiCovid et le traçage numérique, le passeport vaccinal sera le coup de grâce à nos libertés individuelles.

Ne nous laissons pas faire !

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Mettre en place un passeport vaccinal serait enfin un véritable catalyseur d’inégalités : les vaccinés du Covid auront des droits que les autres n’auront pas.

Nous devons refuser qu’un fossé se creuse entre personnes vaccinées et non-vaccinées, qu’ils soient riches ou pauvres, en bonne santé ou malades.

C’est pourquoi nous exigeons du gouvernement :

  • Qu’à la réunion du 17 mars de la Commission européenne, jour de présentation du projet de passeport vaccinal, il déclare renoncer officiellement et définitivement à la mise en place de tout passeport vaccinal, certificat de vaccination ou passeport sanitaire
  • Qu’il reconnaisse la liberté de choix de chacun face à la vaccination contre le Covid-19
  • Qu’il définisse un cadre strict pour empêcher le secteur privé d’imposer des obligations vaccinales à ses salariés
  • Qu’il poursuive les recherches sur les vaccins en s’assurant que la sécurité de tous est garantie.

Signez et partagez cette pétition pour faire valoir votre liberté !

Plus nous serons nombreux, moins le passeport vaccinal aura de chances de s’imposer !

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

À l’attention de M. Olivier Véran, Ministre de la Santé et des Solidarités

Monsieur le Ministre de la Santé,

Votre devoir est de protéger la santé des Français.

Jusqu’à présent, votre stratégie se concentre sur la vaccination généralisée de la population, et nous espérons que cela portera ces fruits.

Certains Français refusent de se faire vacciner. C’est aussi de votre devoir que de respecter leur liberté et de les protéger.

Ayant eu vent du projet imminent de passeport vaccinal de la Commission européenne, nous vous demandons solennellement :

  • De signifier à la Commission européenne votre rejet officiel et définitif de la mise en place du passeport vaccinal, certificat de vaccination, passeport sanitaire ou toutes les formes qu’il pourrait prendre,
  • De reconnaître la liberté de choix de chacun face à la vaccination contre le Covid-19,
  • De définir un cadre strict pour empêcher le secteur privé d’imposer des obligations vaccinales à ses salariés,
  • De poursuivre les recherches sur les vaccins en vous assurant que la sécurité de tous est garantie.

Nous comptons, Monsieur le Ministre, sur votre compréhension des enjeux derrière cette pétition et vous prions de croire en l’expression de notre haute considération.

Je signe la pétition contre le passeport vaccinal

Auteur : Rodolphe Bacquet, Rédacteur en chef d’Alternatif Bien-Être


Sources

  1. https://www.france24.com/fr/europe/20210301-union-europ%C3%A9enne-un-projet-de-l%C3%A9gislation-sur-un-passeport-vaccinal-propos%C3%A9-en-mars 
  2. Kern, J. (2021). Covid-19 : la vaccination signifie-t-elle l’arrêt du port du masque ? Futura-sciences, Santé.https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-covid-19-vaccination-signifie-t-elle-arret-port-masque-84711/
  3. https://www.tdg.ch/le-passeport-vaccinal-non-merci-909596024175
  4. https://www.lejdd.fr/Societe/sondage-covid-19-la-campagne-francaise-de-vaccination-durement-jugee-en-france-et-a-letranger-4028281
  5. https://www.capital.fr/economie-politique/deuxieme-dose-du-vaccin-la-france-est-encore-en-retard-par-rapport-a-ses-voisins-europeens-1392790
  6. https://www.europe1.fr/international/covid-19-au-vatican-ceux-qui-refusent-le-vaccin-risquent-le-licenciement-4026269
  7. https://www.lepoint.fr/monde/suisse-licencier-les-employes-qui-refusent-la-vaccination-25-02-2021-2415500_24.php
  8. https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/les-non-dits-du-passeport-vaccinal-1290601 
  9. Assemblée parlementaire. (2021). Résolution 2361 : Vaccins contre la covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques. https://pace.coe.int/fr/files/29004/html
  10. https://cours-de-droit.net/le-droit-de-disposer-de-son-corps-et-le-droit-a-l-integrite-physique-a121609240/#:~:text=L’Expression%20contest%C3%A9e%20%C2%AB%20libre%20disposition,capacit%C3%A9%20et%20de%20sa%20personne
  11. Cour eur. D.H., arrêt Pretty c. Royaume-Uni du 29 avril 2002, §§ 61-62 et 66, http://echr.coe.int (7 mai 2014)



Hiraks, Gilets Jaunes : répressions, partis-pris médiatiques

Par Yazid Ben Hounet*

En octobre 2016, apparaissait le hirak du Rif (Maroc). J’étais alors en poste au Centre Jacques Berque, à Rabat. En 2018, quelques semaines après mon retour en France, le mouvement des gilets jaunes naissait (novembre). Trois mois plus tard (février 2019), le hirak algérien commençait. Je me suis intéressé à ces mobilisations populaires, et en particulier aux deux dernières. J’ai été attentif aux formes de répression auxquelles elles ont été confrontées, mais aussi à leurs débouchées politiques. J’ai vu aussi comment, du moins en France, certains épisodes de ces événements ont été montrés, éludés ou passés sous silence. Voici ici quelques éléments de mise en contexte et de réflexion.  

Scène de la répression des Gilets Jaunes au pays de la Déclaration des droits de l’Homme. Bilan : sur 10 mois de mouvement des gilets jaunes (novembre 2018-septembre 2019), on dénombre plus de 3000 condamnations, dont plus de 1000 à de la prison ferme, et au moins 440 avec mandats de dépôt. Il y a eu un mort directement du fait de la répression : Zineb Redouane (2 décembre 2018) ; et dix personnes décédées dans des accidents de la route liées aux manifestations. À cela s’ajoutent les 25 personnes éborgnées, les 5 mains arrachées et des centaines de blessés (plus de 2500 selon le Mur Jaune).

La mort du poissonnier, Mouhcine Fikri, le 28 octobre 2016, à Al Hoceima, a été le point de départ du hirak du Rif. Il avait été happé par une benne à ordures, alors qu’il souhaitait y récupérer sa marchandise saisie par la police. Cette mort atroce, filmée et relayée dans les médias sociaux, avait été l’élément déclencheur de la mobilisation populaire. L’historien Maâti Monjib (L’Humanité, 3 juillet 2017), resitue les causes initiales du soulèvement :

« L’une des raisons de la révolte rifaine, c’est l’injustice que représente la mort du jeune poissonnier Mouhcine Fikri dans des conditions abjectes. Une grande partie de son corps a été broyée par un camion poubelle. La population demandait tout d’abord une véritable enquête pour clarifier les causes directes et profondes de sa mort. Les manifestants ont montré du doigt dès le début du mouvement la corruption qui règne dans le secteur de la pêche et qui fut l’une des raisons indirectes de ce crime indicible. Ils ont donc demandé la tête d’Aziz Akhannouch, le ministre de tutelle et proche ami du roi Mohammed VI. Le régime a refusé ces revendications somme toute raisonnables et faciles à réaliser » (1).

C’était la première fois que le terme arabe hirak (mouvement) et l’expression hirak shaabi (mouvement populaire) étaient amplement utilisés au Maghreb. Ils étaient employés, auparavant, au Proche-Orient (Jordanie et Yémen). Bien que m’informant sur ces mobilisations, je n’ai pas senti la nécessité d’écrire sur le sujet. Je considérais le hirak du Rif comme une affaire maroco-marocaine. Par ailleurs, ma situation de chercheur affecté au Maroc, de surcroît de nationalités algérienne et française, me plaçait dans une position délicate (2). Mais surtout les chercheurs, journalistes et plus largement intellectuels marocains, à l’instar de l’historien Maâti Monjib ou du journaliste Omar Radi, étaient les mieux placés pour rendre compte de ce qui se passait au Maroc (3).

J’ai, par contre, ressenti le besoin de rédiger, dès janvier 2019, un texte sur le mouvement des gilets jaunes. Il figure sur ma page Academia depuis (4) (et a été publié plus tard en Algérie). J’avais été effaré par l’ampleur des violences en France et, en tant que chercheur et fonctionnaire, je voulais signifier, par ce texte, ma profonde condamnation de la répression étatique. J’étais aussi indigné par les procédés médiatiques de disqualification de ce mouvement, et le long silence initial sur les violences policières. Il a fallu, en effet, attendre plus de deux mois, dans la semaine du 14 janvier 2019, pour que soit mentionné sur des médias importants, mais sans le dire vraiment, ce qui a bien constitué le caractère inédit et barbare de la réponse étatique : une répression policière et judiciaire inouïe et sans précédent, sous la VèmeRépublique, d’un mouvement social (5) ! Dans les comptes Twitter de l’Observatoire des Violences Policières et du journaliste David Dufresne se succédaient en effet, à un rythme effréné, depuis la mi-novembre 2018 des témoignages accablants de ces violences (6).

J’ai également publié, en mars 2019, quelques analyses sur le hirak algérien, enthousiasmé par ce que je considérais (et considère toujours) être la deuxième révolution algérienne (7).

Près de deux ans après le début du hirak en Algérie, un premier petit bilan comparé (Maroc, France, Algérie) s’impose. Qu’en est-il des répressions et des avancées politiques ?

Bilan des répressions

Maroc — sur 10 mois du hirak (entre octobre 2016 et août 2017), plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées (chiffre précis inconnu) — près de 300 selon le journaliste Omar Radi (entretien du 12 août 2017, note de bas de l’article). On peut estimer les détenus à, au moins, 320 (plus de 500 selon le CADTM) (8), si on compte les 188 graciés en août 2018, les 107 en 2019 (juin), les 20 graciés en juillet 2020. À cela s’ajoutent les personnes encore incarcérées, dont Nasser Zefzafi (l’un des leaders de la mobilisation), condamné à 20 ans de prison (9) ;

Il faut aussi mentionner les répressions subséquentes au hirak, dont l’emprisonnement des journalistes Omar Radi (en décembre 2019, puis depuis juillet 2020), Souleimane Raissouni (depuis mai 2020) et celui de l’historien Maâti Monjib (depuis le 29 décembre 2020).

On dénombre enfin 3 morts liés à ce mouvement, du fait de la répression : Mouhcine Fikri (28 octobre 2016), Imad Al Attabi (8 août 2017) (10) et celle controversée (asthme et inhalation de gaz lacrymogène) d’AbdelHafid El Haddad (18 août 2017) (11).

Dessin d’Osama Hajjaj représentant la mort du poissonnier, Mouhcine Fikri, le 28 octobre 2016, à Al Hoceima, qui a été le point de départ du hirak du Rif, comme ce fut le cas en Tunisie, en décembre 2010 avec la mort atroce du marchand ambulant Bouazizi qui avait l’étincelle qui a emporté le régime de Ben Ali. Fikri avait été happé par une benne à ordures, alors qu’il souhaitait y récupérer sa marchandise saisie par la police. Cette mort atroce, filmée et relayée dans les médias sociaux, avait été l’élément déclencheur de la mobilisation populaire. Sur 10 mois du hirak (entre octobre 2016 et août 2017), plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées (chiffre précis inconnu) — près de 300 selon le journaliste Omar Radi. On peut estimer les détenus à, au moins, 320 (plus de 500 selon le CADTM) (8), si on compte les 188 graciés en août 2018, les 107 en 2019 (juin), les 20 graciés en juillet 2020. À cela s’ajoutent les personnes encore incarcérées, dont Nasser Zefzafi (l’un des leaders de la mobilisation), condamné à 20 ans de prison (9).

France — sur 10 mois de mouvement des gilets jaunes (novembre 2018-septembre 2019) : on dénombre plus de 3000 condamnations, dont plus de 1000 à de la prison ferme, et au moins 440 avec mandats de dépôt (12). Il y a eu un mort directement du fait de la répression : Zineb Redouane (2 décembre 2018) ; et dix personnes décédées dans des accidents de la route liées aux manifestations. À cela s’ajoutent les 25 personnes éborgnées, les 5 mains arrachées et des centaines de blessés (plus de 2500 selon le Mur Jaune) (13).

J’ai signé, il y a plus de deux ans, une pétition pour une amnistie des gilets jaunes (https://amnistiegj.fr/). Mais il ne me semble pas qu’Emmanuel Macron ait accordé la moindre grâce à leur égard.

Algérie — sur 2 ans de hirak (de février 2019 à mars 2021, dont pause pandémie) : on dénombre près de 150 détenus, selon le décompte du Comité National pour la Libération des Détenus – CNLD (14). Au 10 mars 2021, le nombre de personnes (toujours en prison) était de 32. La plupart avaient soit purgé leur peine, soit été relaxés, soit graciés. Abdelmadjid Tebboune a usé de la grâce présidentielle quelques jours après sa prise de fonction (le 6 février 2020), à l’occasion de la fête de l’indépendance (5 juillet 2020) et tout récemment, le 19 février 2021, à l’occasion de l’anniversaire du hirak (événement constitutionnalisé). Une personne est morte du fait de la répression policière : Ramzi Yettou (19 avril 2019) (15); 3 autres personnes, dont le fils de l’ancien président du gouvernement provisoire, Benyoucef Benkhedda, sont décédées en raison de crises cardiaques durant les marches et manifestations (en mars, mai et juillet 2019). Enfin, au moment de l’élection présidentielle, le 11 et 12 décembre 2019, 4 jeunes Algériens au moins ont été blessés à l’œil par des balles en caoutchouc (16).

Au final, si nous comparons ces trois mouvements, la répression (en chiffres absolus de détenus, morts et blessés graves) a été moindre en Algérie. Elle a été encore bien moins importante rapportée à l’ampleur du hirak algérien (des centaines de milliers, voire des millions de manifestants lors des premières semaines) et à sa durée. Paradoxalement, c’est la répression en Algérie qui a été davantage pointée du doigt par certaines institutions internationales (ONU, Parlement européen) et grands médias en France. J’y reviendrai par la suite.

Quant au bilan politique, force est de constater que les choses ont davantage évolué en Algérie.

Bilan politique

Au Maroc, aucun changement notable : le ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, Aziz Akhannouch (cité plus haut par Maâti Monjib,) est resté depuis en poste et a même vu son portefeuille ministériel s’agrandir. Quelques remaniements ministériels ont été opérés en avril 2017 (changement du Premier ministre), puis en octobre 2017, pour des raisons de politiques internes et non seulement à cause du mouvement social du Rif.

En France, la prime de fin d’année (2018) attribuée de manière aléatoire et au bon vouloir des entreprises, a été le seul petit cadeau offert aux gilets jaunes. Le grand débat, davantage dispendieux que grand, n’a débouché sur aucune avancée concrète. Exit le RIC, la hausse des minimas sociaux, la réintroduction de l’ISF, le retour aux urnes ; au profit de la répression policière et judiciaire, et de lois liberticides (loi anticasseurs, loi de sécurité globale). Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, est longtemps resté à son poste, avant de retourner tranquillement au parlement, en tant que président du groupe de la majorité présidentielle. Quant au préfet de Paris… il campe toujours à la même place.

En Algérie, la tentative de 5e mandat de la zawyia Bouteflika (17) a avorté. Les trois B (Belaiz – président du Conseil constitutionnel ; Bensalah — président du sénat ; Bedoui — Premier ministre) sont partis. Une élection présidentielle s’est tenue en décembre 2019. Un nouveau président a été élu et un nouveau gouvernement formé. L’ancien ministre de l’Intérieur — Salah-Eddine Dahmoune — a été remercié par le nouveau président Abdelmadjid Tebboune (le 19 décembre 2019), en raison notamment des répressions des 11 et 12 décembre (cf. plus haut). Plus de vingt hauts responsables de l’ère précédente, dont Ouyahia et Sellal (anciens premiers ministres), ont été jugés et condamnés depuis, ou font l’objet de mandats d’arrêt internationaux (Chakib Khelil et Abdeslam Bouchouareb notamment). Une nouvelle constitution a été élaborée et adoptée par referendum. Des élections législatives anticipées auront lieu en juin 2021. En somme, outre les nombreux jugements pour corruption, une transition constitutionnelle, marquée par des mécanismes de type démocratiques (18), a été mise en place (plutôt que l’aventure hasardeuse de la constituante) : retour aux urnes, ouverture à de nouveaux partis, mécanismes de contrôle des élections via l’ANIE, l’Autorité nationale indépendante des élections, présidée par Mohamed Chorfi. Cette structure a été créée en septembre 2019, à la suite du travail effectué par l’instance de dialogue et de médiation (dirigée par Karim Younes). Elle semble plutôt bien fonctionner puisqu’elle a permis de mieux encadrer la participation électorale et elle a publiquement affiché des taux de participation crédibles aux élections qui ont eu lieu depuis (présidentielle de décembre 2019 ; referendum de novembre 2020). Les taux affichés sont, par ailleurs, réalistes au point que les oppositions qui s’offusquaient auparavant des taux exagérés de participation (notamment pour les délégitimer) … en sont venues à se plaindre de la faible participation des électeurs, en s’appuyant sur les données de l’ANIE, pour mieux critiquer la légitimité du nouveau président et celle de la nouvelle constitution.

En articulant le bilan des répressions au bilan politique, il ressort aussi que la responsabilité politique est moins engagée s’agissant des autorités algériennes actuelles. Le président algérien et le gouvernement actuel (instauré au début de l’année 2020), ne peuvent en effet être tenus responsables des événements de l’année 2019. Seuls les ministres des Affaires étrangères et de la Justice (Sabri Boukadoum, en poste depuis le 2 avril 2019 ; Belkacem Zeghmati, en poste depuis le 1er août 2019) ont intégré le gouvernement Djerad, formé en janvier 2020.

Parti-pris des instances internationales : ONU, Parlement Européen

 S’agissant du Maroc : les instances officielles en charge des droits de l’homme, au niveau de l’ONU et du Parlement Européen, n’ont pas pris de position ou de résolution à l’égard du mouvement du Rif et de sa répression. Les autorités marocaines n’ont pas été pointées du doigt. De surcroît, ni Nasser Zefzafi, ni les journalistes comme Omar Radi, n’ont été officiellement soutenus, en dépit de la mobilisation d’ONGs et de parlementaires, et de rapports d’experts en droits de l’homme.

S’agissant de la France : le 14 février 2019, le Parlement Européen a voté une résolution sur le droit à manifester pacifiquement et l’usage proportionné de la force — et ce sans citer un État membre en particulier (19). La condamnation de l’usage des lanceurs de balles de défense ayant été refusé par la majorité. Le 6 mars 2019, Michelle Bachelet, cheffe des droits de l’homme à l’ONU, a courtoisement demandé une enquête sur les « Gilets jaunes » en France (20).

S’agissant de l’Algérie : le 16 septembre 2020, des experts des droits de l’homme de l’ONU ont condamné la peine de prison prononcée en appel à l’encontre du journaliste algérien, Khaled Drareni, et demandé sa libération (21). Le 25 novembre 2020, le Parlement européen a voté une résolution sur la détérioration de la situation des droits de l’homme en Algérie, en particulier le cas du journaliste Khaled Drareni (22), dans laquelle il « condamne fermement l’escalade des arrestations et détentions illégales et arbitraires et du harcèlement juridique dont sont victimes les journalistes, les défenseurs des droits de l’homme, les syndicalistes, les avocats, les membres de la société civile et les militants pacifiques en Algérie ». Le 5 mars 2021, l’ONU a réclamé une enquête et la fin des détentions arbitraires. Le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU a également demandé, aux autorités algériennes de mettre immédiatement fin aux violences contre des manifestants pacifiques et aux arrestations arbitraires (23).

On est un peu interloqué par les exigences de l’ONU et du Parlement Européen, à l’égard des autorités algériennes, au regard de leur silence s’agissant du Maroc, de leur bienveillance envers la France, et des réalités des répressions qui ont eu lieu dans ces trois pays (cf. les bilans plus haut). On s’interroge, en outre, sur les raisons pour lesquelles, dans sa déclaration du 5 mars 2021, « le Bureau des droits de l’homme de l’ONU réclame des enquêtes “rapides, impartiales et rigoureuses” sur les allégations de torture et de mauvais traitements en détention », alors même que le parquet général d’Algérie s’est saisi de cette question dès le 7 février 2021. Cette dernière décision faisant suite à l’affaire Walid Nekkiche, relayée par la presse algérienne, concernant des allégations de torture datant de décembre 2019, au moment de son témoignage à l’occasion de son procès au début du mois de février 2021 (24). La résolution du Parlement Européen datant du 25 novembre 2020 fait également mention de ces allégations (note de bas de page 22, article D).

Il est normal que l’ONU et le Parlement Européen se saisissent des cas potentiels ou avérés de torture. Mais pourquoi ne l’ont-ils pas fait, et en particulier le Parlement Européen, s’agissant de Nasser Zefzati (Maroc) — alors même que cette institution était destinataire d’une lettre, lue publiquement par son père, au parlement européen même, à l’occasion du prix Sakharov, et dans laquelle Nasser Zefzafi témoignait des tortures subies (25)? En dépit des nombreuses allégations de torture, ni l’ONU, ni le parlement européen n’ont exigé des enquêtes « rapides, impartiales et rigoureuses » aux autorités marocaines ; rien n’a été demandé officiellement ; aucune enquête n’a été réclamée à la France s’agissant des nombreux cas d’éborgnement, de mains arrachées, qui ne sont ni plus ni moins que des actes de torture. Rappelons que la simple condamnation de l’usage des lanceurs de balles de défense avait été refusée par la majorité du Parlement Européen, le 14 février 2019.

Cette partialité des instances officielles internationales révèle et s’explique par deux phénomènes conjoints : le traitement médiatique en Europe, et plus particulièrement en France, de ces événements (hiraks et mouvement des gilets jaunes) ; les intérêts économiques et politiques.

Traitement médiatique : which side are you on (Loach, 1984)?

[Ndlr: « which side are you on » = De quel côté êtes-vous ?]

« If you’re not careful, the newspapers will have you hating the people who are being oppressed, and loving the people who are doing the oppressing » [« Si vous ne faites pas attention, les journaux vous feront haïr les gens qui sont opprimés et aimer ceux qui font l’oppression »]

 Malcolm X

Le pacifisme du hirak en Algérie, mis en avant dans les grands médias français, a aussi pour corollaire un maintien de l’ordre « relativement » correct (à l’exception des répressions à l’approche de l’élection de décembre 2019). Doit-on le rappeler ? La responsabilité du maintien de l’ordre, et avant tout de l’intégrité physique des citoyennes et citoyens, incombe, en premier lieu, à la force publique (police, gendarmerie). Le pacifisme, comme la violence, n’est pas un état naturel, mais résulte de dynamiques entre différents acteurs. Pour le dire autrement, et pour rappeler une évidence rendue étrangement opaque par certains filtres médiatiques : les Algériens ne sont ni plus ni moins pacifistes que les Français (Gilets Jaunes) ou les Marocains (hirak du Rif). Les dynamiques de répression (encadrement, « nassage » et organisation du désordre) ne sont pas les mêmes et les focales médiatiques différentes (embellissement des manifestations d’un côté ; criminalisation, disqualification ou opacité de l’autre). Le hirak en Algérie n’a pas été exempt de certains actes de vandalisme et de violence (26), des femmes revendiquant un changement vers l’égalité ont aussi été agressées par des hommes (27). Si je mentionne ces quelques éléments, ce n’est pas pour dévaloriser le hirak, mais pour signaler le hiatus que j’ai ressenti s’agissant du traitement médiatique de ces mobilisations : l’étrange embellissement du hirak algérien par les mêmes médias qui disqualifiaient, avilissaient, au même moment, le mouvement des gilets jaunes, et antérieurement, faisaient silence sur le hirak du Rif.

La méfiance vis-à-vis des grands médias français (essentiellement détenus, rappelons-le, par quelques milliardaires) (28), exacerbée par le traitement médiatique des gilets jaunes (29), doit nous amener à être attentif à la question du parti-pris — ce qui est montré, caché, embelli, avili, et dans quels intérêts. Dans son film Which side are you on? (1984), Ken Loach traitait déjà de ces questions s’agissant des mineurs grévistes du nord de l’Angleterre.

Par exemple, les mobilisations médiatiques de « l’establishment journalistique » en France, de Laurent Delahousse, Anne-Claire Coudray, Bernard de la Villardière, etc. devant l’ambassade d’Algérie (7 septembre 2020) (30), les nombreuses émissions sur Europe 1, France inter (sans parler de France 24 et TV5 monde), RSF et les grandes campagnes d’affichage en soutien au journaliste Khaled Drareni, tout cela m’a laissé assez perplexe en comparaison de ce qui a été fait, par ces mêmes personnes et structures, pour les gilets jaunes ou encore pour le journaliste Omar Radi (31). Qu’on me permette au moins de penser que la « danse du ventre » de Bernard de la Villardière devant l’ambassade d’Algérie avait davantage pour objet d’exprimer son mépris de l’Algérie et de ses autorités, qu’un sincère soutien à la liberté et à la pluralité de la presse (32).

« Djeïch, chaâb, khawa khawa » (armée, peuple : tous frères) : le slogan porté par les manifestants algériens. Sur 2 ans de hirak (de février 2019 à mars 2021, dont pause pandémie) : on dénombre près de 150 détenus, selon le décompte du Comité National pour la Libération des Détenus — CNLD. Au 10 mars 2021, le nombre de personnes (toujours en prison) était de 32. La plupart avaient soit purgé leur peine, soit été relaxés, soit graciés. Abdelmadjid Tebboune a usé de la grâce présidentielle quelques jours après sa prise de fonction (le 6 février 2020), à l’occasion de la fête de l’indépendance (5 juillet 2020) et tout récemment, le 19 février 2021, à l’occasion de l’anniversaire du hirak (événement constitutionnalisé). Une personne est morte du fait de la répression policière : Ramzi Yettou (19 avril 2019) (15); 3 autres personnes, dont le fils de l’ancien président du gouvernement provisoire, Benyoucef Benkhedda, sont décédées en raison de crises cardiaques durant les marches et manifestations (en mars, mai et juillet 2019). Enfin, au moment de l’élection présidentielle, le 11 et 12 décembre 2019, 4 jeunes Algériens au moins ont été blessés à l’œil par des balles en caoutchouc.

Frantz Fanon écrivait dans Les damnés de la terre : « Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir ». Je ne m’étais pas rendu compte, lorsque j’avais lu son livre, de l’importance des mots suivants : « dans une relative opacité ». La comparaison de ces trois mobilisations (Rif, gilets jaunes, Algérie) et de leur traitement médiatique m’a rendu davantage sensible à cette question. Il n’est pas sûr d’ailleurs qu’elle soit intentionnelle de la part des journalistes et responsables médiatiques. Elle révèle néanmoins de jugements de valeur intriqués dans des faisceaux d’intérêts économiques, politiques et sociaux. La bienveillance à l’égard des autorités marocaines, y compris s’agissant de la question du Sahara Occidental, est à resituer à l’aune de ces derniers. Par exemple, le réseau des établissements scolaires d’enseignement français y est l’un des plus denses au monde. L’électricité et l’eau sont gérées dans la métropole de Rabat par une filiale de Véolia ; une autre filiale de Véolia gère les villes de Tétouan et Tanger; à Casablanca, c’est une filiale du groupe Suez ; une bonne part des riads touristiques de Marrakech, de Fès et d’Essaouira (et d’autres villes) sont détenus par des Français ou Européens ; plusieurs grandes entreprises françaises et européennes y sont installées, à des conditions favorables (dont plusieurs appartiennent en tout ou en partie aux milliardaires qui détiennent l’essentiel des médias en France — comme Drahi, Bolloré, Bouygues, Lagardère, etc.). Le Maroc est aussi un bon client des ONGs de développement et coopère doctement aux politiques européennes de gestion des migrations africaines. On saura donc bien lui passer ses écarts (fussent-il bien grands) en matière des droits de l’homme dans son territoire et dans ceux occupés du Sahara occidental… ou du moins lui trouver des circonstances atténuantes.

À moins que ce soit le fait que tous ces éléments (faisceaux d’intérêts économiques et politiques) ne s’appliquent pas à l’Algérie, qui explique l’attitude sévère de grands médias français, du Parlement Européen et de l’ONU à l’égard des autorités algériennes ?

Un dernier point de mise en contexte sur les détenus d’opinion en Algérie : c’est à partir de septembre 2019, suite à la décision d’aller vers des élections présidentielles en décembre, que des groupes (guidés par quels enjeux ?) se sont mis à diffuser des annonces pour manifester les samedis (en plus du vendredi) et qu’il y a eu des postures de radicalisation. Les interpellations se sont accélérées à cette période et les détentions également (personnes jugées notamment en vertu des articles 97 et suivants du Code pénal — attroupement non armé pouvant troubler l’ordre public). Il n’y a pas eu, à cette occasion, de loi de circonstance, comme la loi anticasseur (France), ni de procédé judiciaire inique : comme les accusations de viol pour Omar Radi (Maroc) ou la tentative d’accusation de viol pour Julian Assange (Suède). C’est, précisons-le, lors d’une manifestation ayant lieu un samedi (7 mars 2020), que le journaliste Khaled Drareni a été interpellé. La dépêche de l’AFP (08/03/2020 – 18:15:46) en faisait mention, mais cette précision a systématiquement été oblitérée dans les articles qui ont été publiés par la suite (à l’exception d’un article du Monde datant du 9 mars 2020) (33).

La peur d’une ingérence étrangère et/ou d’un scénario « printemps arabe » se transformant en « hiver macabre » ou en « printemps du désert », a pu également braquer d’autres Algériens, y compris des procureurs et des juges… On ne saurait écarter cette hypothèse quand on connaît l’histoire politique récente et moins récente. Il suffit d’évoquer les printemps arabes ou l’histoire de la Françafrique — que le grand public a pu découvrir avec le documentaire Décolonisation : du sang et des larmes (34). Il paraît même qu’un intellectuel a théorisé la mise à profit de troubles politiques internes pour déstabiliser un pays ou un État, ou pour y favoriser un régime plutôt qu’un autre. Il s’appelle Sun Tzu et son ouvrage s’appelle L’art de la guerre. Il aurait été rédigé au Vème siècle avant J.-C. et serait encore enseigné dans de nombreuses académies militaires, de relations internationales et de sciences politiques.

*Yazid Ben Hounet

Chargé de recherche au CNRS

Laboratoire d’Anthropologie Sociale

  • Ce texte n’a pas été écrit par un défenseur du « régime » algérien — processus de disqualification habituel dès lors qu’on ne crie pas avec les loups — mais par un chercheur critique, qui cite ses sources. C’est le texte d’un fils d’ouvrier algérien, venu travailler en France au début des années 70, appartenant à une famille d’ouvriers agricoles et n’ayant pas eu la chance d’aller à l’école, comme la majorité des Algériens durant la période coloniale (les bienfaits de la colonisation ?). De mon père, j’ai néanmoins reçu quelques principes fondamentaux : le profond respect de la dignité humaine, l’évitement des postures hypocrites et le sens de l’indépendance (particulièrement exacerbé, il est vrai, chez les Algériens comme lui).

« Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir… »

(Frantz Fanon)


Notes et références

  1. https://www.humanite.fr/maati-monjib-le-hirak-un-mouvement-populaire-autonome-non-separatiste-et-prodemocratique-638309
  2. Pour ne pas m’autocensurer, j’ai signé en avril 2018, avec une centaine d’autres chercheurs, une lettre ouverte sur la responsabilité française dans la non-décolonisation du Sahara Occidental (https://www.humanite.fr/la-france-une-lourde-responsabilite-dans-la-non-decolonisation-du-sahara-occidental-654034). J’avais pris soin de la signer en mentionnant seulement mon rattachement au Laboratoire d’Anthropologie Sociale, à Paris. Cela me valut tout de même une campagne de diffamation publique au Maroc.
  3. On pourra se référer entre autres au film produit par ATTAC Maroc au printemps 2017, aux analyses de Maati Monjib (juin 2017), aux informations transmises par le journaliste Omar Radi (août 2017). https://www.cadtm.org/Film-ATTAC-Maroc-Death-Over-Humiliation-Mourir-pour-ne-pas-accepter-l ; https://www.middleeasteye.net/fr/entretiens/interview-maati-monjib-le-regime-marocain-sest-specialise-dans-laffaiblissement-des ; https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/al-hoceima-apres-les-funerailles-dimad-ettabi-le-hirak-appelle-de-nouvelles
  4.  https://www.academia.edu/38172908/Les_gilets_jaunes_et_lEtat_de_Barbarie_docx
  5. On n’intègre pas ici les massacres du 19 octobre 1961 et de la station du métro de Charonne (8 février 1962), qui ont lieu durant la guerre d’Algérie et dont les actions réprimées ne relèvent pas à proprement parler du mouvement social, mais du mouvement de libération national.
  6. https://twitter.com/obs_violences?lang=frhttps://twitter.com/davduf
  7. https://aoc.media/auteur/yazid-ben-hounet/
  8. https://www.cadtm.org/spip.php?page=imprimer&id_article=16377
  9. Nasser Zefzafi a été l’un des trois finalistes du prix Sakharov (Parlement européen) pour la liberté de pensée 2018 : https://www.europarl.europa.eu/news/fr/headlines/eu-affairs/20181005STO15106/prix-sakharov-2018-les-trois-finalistes-annonces
  10. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/08/08/maroc-un-manifestant-blesse-a-al-hoceima-meurt-apres-trois-semaines-dans-le-coma_5170115_3212.html ; https://www.humanite.fr/maroc-imad-al-attabi-succombe-ses-blessures-640286
  11. https://www.h24info.ma/maroc/al-hoceima-deces-manifestant-abdelhafid-el-haddad/
  12. Information datée de septembre et novembre 2019 : https://www.bastamag.net/gilets-jaunes-champs-elysees-justice-repression-condamnations-violences-police-loi-anti-casseurs-prison ; https://www.liberation.fr/checknews/2019/11/08/un-millier-de-gilets-jaunes-condamnes-a-de-la-prison-ferme-depuis-le-debut-du-mouvement_1762173/
  13. http://lemurjaune.fr/
  14. https://www.facebook.com/comitenationalpourlaliberationdesdetenusCNLD/
  15. https://www.elwatan.com/edition/actualite/le-jeune-manifestant-est-decede-le-19-avril-dernier-amnesty-international-reclame-une-enquete-approfondie-sur-la-mort-de-ramzi-yettou-29-05-2019
  16. https://www.elwatan.com/edition/actualite/tous-solidaires-avec-les-eborgnes-de-la-revolution-19-12-2019
  17. mon texte  : https://aoc.media/opinion/2019/03/13/algerie-breve-sociologie-dune-deuxieme-revolution/https://www.academia.edu/38520068/Algerie_br%C3%A8ve_sociologie_dune_deuxieme_revolution
  18. J’avais rédigé un article en mars 2019 évoquant ce scénario de sortie de crise et de transition démocratique : https://www.lesoirdalgerie.com/contribution/ou-pourquoi-lalgerie-nest-ni-la-syrie-ni-legypte-21196.
  19. https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/02/14/le-parlement-europeen-condamne-l-usage-des-lanceurs-de-balles-de-defense-par-les-forces-de-l-ordre_5423513_3224.html
  20. https://news.un.org/fr/story/2019/03/1037951
  21. https://news.un.org/fr/story/2020/09/1077362
  22. https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/RC-9-2020-0375_FR.html
  23. https://news.un.org/fr/story/2021/03/1090972
  24. https://www.radioalgerie.dz/news/fr/article/20210207/206812.html ; https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/02/08/en-algerie-le-parquet-ouvre-une-enquete-apres-des-accusations-de-torture-d-un-etudiant_6069204_3212.html
  25. https://amazighinformatiecentrum.medium.com/lettre-de-nasser-zefzafi-parlement-europ%C3%A9en-2016-37f1fa140638
  26. https://www.tsa-algerie.com/marches-contre-le-5e-mandat-en-algerie-183-blesses-et-un-mort/
  27. https://www.elwatan.com/edition/contributions/reappropriation-de-la-revolution-algerienne-et-ou-de-lindependance-26-05-2019
  28. https://www.acrimed.org/Medias-francais-qui-possede-quoi ; https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA
  29. Ce qui explique le déploiement et l’intérêt croissant pour des médias indépendants tels que Bastamag, Streetpress, Le Media, Quartier Général et plus récemment Blast.
  30. https://information.tv5monde.com/video/khaled-drareni-laurent-delahousse-anne-claire-coudray-les-grandes-figures-de-la-television
  31. Pour ce dernier, heureusement qu’il y a eu le travail de Rosa Moussaoui (L’Humanité) et Rachia el Azzouzi (Mediapart). Mais elles n’ont que peu de visibilité en comparaison.
  32. https://www.liberation.fr/medias/2009/12/04/bernard-de-la-villardiere-en-quete-d-exclusivite_597283/
  33. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/03/09/en-algerie-garde-a-vue-prolongee-pour-deux-figures-du-hirak_6032344_3212.html
  34. https://www.france.tv/france-2/decolonisations-du-sang-et-des-larmes/



Le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

Par Jean-Michel Grau

Après la déconfiture du vaccin d’Astra-Zeneca, suspendu successivement par l’Autriche, l’Italie, l’Irlande, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie, le Luxembourg, le Danemark, la Norvège, l’Islande, la Bulgarie, les Pays-Bas, l’Allemagne et la France, le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

On peut raisonnablement se poser la question à l’heure où la décision de continuer à vacciner avec ce vaccin mortifère est suspendue à l’avis de l’Agence européenne du médicament (EMA).

En effet, les effets secondaires se sont multipliés ces dernières semaines sur les personnes vaccinées dans les pays européens par Astra-Zeneca, avec les nombreux cas de formation de caillots sanguins observés, depuis le décès d’une femme de 49 ans en Autriche pour cause de mauvaise coagulation sanguine suite à l’injection de ce vaccin.

Il a, entre autres, été constaté des troubles de la coagulation intravasculaire avec parfois des embolies pulmonaires. Selon un biochimiste interrogé, « il n’est pas impossible que les composantes de ce vaccin entraînent des jambes lourdes se transformant en thromboses. » Enfin, certains parlent de « micro-arrêts cardiaques », tel ce chef de corps des sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône ayant décidé de suspendre l’injection du vaccin d’Astra-Zeneca auprès de son personnel, suite aux pertes de connaissance répétées d’un agent des sapeurs-pompiers d’Arles, 48 heures après l’injection du vaccin. (([1] medias-presse.info/le-chef-de-corps-des-pompiers-des-bouches-du-rhone-suspend-toute-vaccination-avec-astrazeneca-apres-de-nombreux-effets-secondaires-parmi-les-pompiers/140870/))

Tous ces effets secondaires inquiétants entraînant la rétractation en cascade d’un nombre croissant de pays européens de la vaccination par Astra-Zeneca n’ont pas empêché jusqu’à aujourd’hui le Premier ministre ainsi que le ministre de la santé français de clamer haut et fort qu’il fallait « avoir confiance en ce vaccin et se faire vacciner. » Sauf que, dès qu’on a su que l’Allemagne suspendait, elle aussi, le vaccin d’Astra-Zeneca « à titre préventif » après le signalement d’effets indésirables, la France qui ne peut rien décider sans l’Allemagne, lui a immédiatement emboîté le pas.

On attend maintenant la décision de l’EMA qui doit décider « si et comment les nouvelles connaissances sur ces effets indésirables se répercutent sur l’autorisation du vaccin. » Malgré les suspensions d’une quinzaine de pays d’Europe du vaccin d’Astra-Zeneca pour de graves effets secondaires tels des thromboses, l’EMA reste « fermement convaincue que les bénéfices l’emportent sur les risques » et reporte sa décision finale au 18 mars.

Cette nouvelle déconvenue pour Astra-Zeneca vient s’ajouter aux problèmes de production et de livraison que rencontrent aussi ses concurrents occidentaux Pfizer-BioNTech et Moderna. Ainsi, le laboratoire anglo-suédois a annoncé dernièrement une nouvelle baisse des livraisons dans l’UE, invoquant « des restrictions d’exportation » pour les vaccins fabriqués hors UE.

Rappelons que « le vaccin Astra-Zeneca se compose d’un virus de singe (un adénovirus), modifié génétiquement pour y intégrer une petite partie du virus contre lequel on souhaite développer une immunité » explique le Dr Steve Pascolo, immunologiste à l’Université de Zurich. (([2] topsante.com/medecine/maladies-infectieuses/zoonoses/vaccin-covid-astra-zeneka-efficacite-securite-641593))

Il faut bien savoir qu’aucun des vaccins disponibles en Europe à ce jour n’a reçu d’autorisation définitive de mise sur le marché de l’EMA, mais seulement une autorisation provisoire, que ce soit le vaccin Astra-Zeneca, le vaccin Pfizer-BioNTech ou encore le vaccin Moderna, tous encore en phase 3 d’expérimentation. Et l’on peut comprendre pourquoi !

Comme le dit la généticienne Alexandra Henrion-Claude à propos des vaccins Pfizer et Moderna :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… L’essai de Pfizer se terminera en 2022. D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet de protocole biomédical, c’est-à-dire un cobaye. » (([3] reseauinternational.net/des-dizaines-de-milliers-deffets-secondaires-plus-de-4-000-morts-en-europe/))

Un collectif de médecins du monde entier a ainsi adressé une lettre ouverte à Emer Cooke, directeur de l’Agence européenne du médicament (EMA) à Amsterdam, lui enjoignant de retirer l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique jusqu’à ce qu’ils aient terminé leur phase d’expérimentation. Dans le cas contraire, l’administration des vaccins constituera une expérimentation humaine, qui entre en violation du Code de Nuremberg. (([4] nouveau-monde.ca/fr/lettre-ouverte-de-medecins-et-de-scientifiques-a-lagence-europeenne-du-medicament-sur-la-securite-des-vaccins-covid-19/))
(Passible de « Crime contre l’humanité. » Ndlr)

Pour bien comprendre ce qui se joue aujourd’hui avec le marché juteux des vaccins, il convient de savoir que l’autorisation de mise sur le marché des vaccins est conditionnée à l’absence de traitement.

On comprend mieux pourquoi les laboratoires s’évertuent à financer des études dont l’objectif est de court-circuiter tout traitement disponible et très peu onéreux comme l’hydroxychloroquine, perçu par l’industrie pharmaceutique comme une menace juridico-financière. En témoigne l’attaque démentielle dont l’hydroxychloroquine est l’objet ainsi que son promoteur le professeur Raoult qui rappelle fort à propos que cette molécule utilisée depuis 70 ans dans le monde entier a soigné des milliards de malades, dont 14000 rien qu’à Marseille.

Il faut croire que la puissance financière des labos pharmaceutiques était suffisamment forte pour financer une étude démontrant l’inefficacité de l’hydroxychloroquine et publiée illico presto dans la prestigieuse revue du Lancet qui s’est ridiculisée au passage, l’étude en question ayant été démasquée quelques jours après comme étant totalement bidon. Trop tard : notre ministre de la santé s’était déjà engouffré dans la brèche pour interdire la molécule maudite. Le mal était fait. C’est une attaque en règle dont fait l’objet l’hydroxychloroquine sur tous les plateaux télé H24 où les médecins de service collectionnent les conflits d’intérêts avec les labos. L’azithromicine, l’ivermectine et la colchicine, autres molécules à la fois efficaces et bon marché, ont ainsi eu le droit au même sort médiatico-politique. Fermez le ban. Adieu traitements, bonjour les vaccins !

Aujourd’hui, le nombre de décès officiels post vaccination recensés par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) se monte à 251 morts en France. (([5] francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir)) C’est un chiffre dont personne ne veut parler, et pour cause ! Dans ce recensement, on est frappé d’apprendre que les effets indésirables des vaccins Covid, catégorie à laquelle appartiennent les décès, concernent 23% de la tranche d’âge 16-49 ans et 45% des 50-64 ans !

Dans ces conditions, peut-on encore raisonnablement parler de « passeport vert »?

Rappelons brièvement ce qu’est le passeport vert : le « passeport vert », anciennement « passeport vaccinal », puis « passeport sanitaire » est un passeport conditionnant le droit d’entrée à certains lieux (restaurants, cinémas, théâtres, musées…), à certains transports (avion, train…) à l’injection préalable d’un vaccin contre le Covid19. En d’autres termes, la promesse de devenir un citoyen de seconde zone en cas de refus de se faire piquer… Ce passeport est d’autant plus absurde qu’il risque fort d’être renouvelé chaque année vu le haut degré d’inefficacité des vaccins sur tous les variants et en revanche l’incertitude concernant leur réelle efficacité sur la transmission du virus…

Ce passeport vert, voulu par l’Europe bleue aux étoiles jaunes, s’avère ni plus, ni moins qu’un passeport discriminatoire pour créer des alpha plus et des bêta moins, version 2.0 du roman dystopique d’Aldous Huxley.

Voilà le Meilleur des Mondes que nous promet l’Union européenne si ce passeport vert voit le jour.

Un monde qui nous fait revenir 800 ans en arrière, au temps des lépreux et des pestiférés.

« Le combat contre ce passeport n’est donc pas seulement un combat pour la liberté. Il est aussi un combat pour l’égalité et pour la fraternité. » (([6] Florian Philippot, Covid-19 la grande bascule, 2021))

Pourtant, le passeport vert est bien inscrit à l’agenda européen.

C’est ce qu’a affirmé très officiellement la Commission européenne le 15 janvier 2021 par la voix de sa présidente qui explique que « ce passeport doit être mis en place avant juin pour préserver la saison touristique… » (sic) (([7] lejdd.fr/Societe/covid-19-a-quoi-va-ressembler-le-passeport-vert-que-lue-veut-mettre-en-place-des-juin-4031373))

On se demande bien comment, alors que l’écrasante majorité des infrastructures touristiques (hôtels, restaurants, bars…) sont actuellement encore fermées et que beaucoup sont déjà en quasi-faillite…

À l’heure où la stratégie des vaccins s’avère déjà être un monumental échec, comme le montre la déconfiture d’Astra-Zeneca et probablement bientôt celles de Pfizer-BioNTech et de Moderna, concernant à la fois les effets secondaires importants, la morbidité, mais aussi la production et la distribution, les concepteurs européens du passeport vert essayent encore de se raccrocher à ce qu’ils peuvent, à savoir le résultat d’un test négatif.

Mais quels tests ? Ceux de Drosten, le conseiller de Merkel dont on sait aujourd’hui qu’ils sont bidon, car faussant le protocole des tests PCR en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, provoquant des résultats positifs dans l’écrasante majorité des cas avec des traces infimes de virus, ou bien les tests du Professeur Raoult, honni par tout l’establishment pharmaco-financier pour son franc-parler et son professionnalisme ?

Sans compter que ces passeports peuvent générer des inégalités entre les États membres en fonction de l’avancée des campagnes vaccinales, mais aussi des problèmes de confidentialité des données, de préservation du secret médical, de cybersécurité. Enfin, ces passeports seront perçus comme un chantage d’imposer la vaccination que ne manquera pas de faire remarquer l’armée d’avocats qui planche déjà sur la question.

Au-delà des ratés des vaccins, le passeport vert est-il légal ?

Voici en résumé ce que Xavier Bioy, professeur de droit public, Nicolas Hervieu, juriste en droit public, et Serge Slama, professeur de droit public ont répondu à la question de France Info. (([8] francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-passeport-vaccinal-serait-il-legal_4238285.html))

La création d’un « passeport vert » se heurte à un premier obstacle de taille, relève Xavier Bioy.

« Interdire l’accès à une longue liste de lieux ou de services publics ou privés à toute personne non vaccinée, cela revient à créer une obligation vaccinale. Problème : le vaccin contre le Covid 19 n’est pas obligatoire. »

Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public, y voit lui aussi, une incohérence juridique de taille : « Les actes quotidiens de la vie vont devoir requérir le vaccin, si bien que, en réalité, il sera obligatoire sans le dire. C’est cette incohérence, ou le caractère excessif des restrictions de la liberté d’aller et venir et de la liberté individuelle qui pose problème dans cet article du projet de loi.»

Autre écueil : le passeport vert ne peut être instauré tant qu’il existe une inégalité des citoyens face au vaccin. (Or les difficultés de production, de logistique et d’approvisionnement rencontrées par les fabricants et les producteurs de vaccins sont telles que l’on ne peut raisonnablement imaginer vacciner toute la population volontaire avant fin 2022… Ndlr)

« Il faudrait que le vaccin soit réellement accessible à tous » fait observer Serge Slama. « Tant que ce n’est pas le cas, les pouvoirs publics ne peuvent décider de permettre le retour à la vie normale à ceux qui sont vaccinés, alors que les autres seraient privés d’activités collectives, sous couvre-feu ou confinés. » « Ce serait trop discriminatoire. » appuie Nicolas Hervieu.

Autre chausse-trappe : le champ d’application. Il ne suffit pas qu’une loi dise qu’on peut exiger d’un usager ou d’un client qu’il présente la preuve de sa vaccination, encore faut-il qu’un décret détermine la liste précise des lieux et services autorisés à le faire. S’agirait-il des lieux culturels, des administrations, des transports, de tous les commerces « essentiels » comme « non essentiels » ? Dans ce dernier cas, « ce serait impossible », tranche Nicolas Hervieu.

« Vous empêchez des gens de subvenir à des besoins fondamentaux parce qu’ils ne sont pas vaccinés, donc vous les contraignez à se faire vacciner. »

Or, une fois de plus, ce vaccin n’est pas obligatoire.

Autre limite : les modalités de contrôle. « Comment prouve-t-on qu’on est vacciné, et qui peut le contrôler ? Cela touche à des données personnelles de santé qui sont particulièrement protégées. Cela pose la question de savoir si le moindre commerçant peut s’ingérer dans votre vie personnelle pour déterminer si vous êtes vacciné ou non, et si vous ne l’êtes pas, pour quelle raison. »

Le juriste met en garde contre le caractère « très intrusif » d’une telle mesure et contre « les grands risques de discriminations fondées sur la situation de santé » auxquels on expose les Français.

« Si vous n’êtes pas vacciné, vous pourriez être contraint d’indiquer au commerçant que vous avez une contre-indication, ce qui peut révéler un état de santé défaillant qui peut conduire le commerçant à adopter un certain comportement. »

« Sur ce point, c’est la justice administrative qui serait saisie par des personnes s’estimant discriminées », précise Xavier Bioy.

De son côté, Nicolas Hervieu avertit le législateur :

« C’est un terrain miné juridiquement. C’est très dangereux. »

Sans même parler du risque politique d’une mesure si décriée, conclut France Info.

Après la déconfiture prévisible des vaccins, on peut en conclure que le passeport vert qui ne repose que sur eux voit son avenir sérieusement compromis. Le Grand Reset eugéniste de Klaus Schwab et Bill Gates qui ne tient que par la vaccination généralisée afin de supprimer toute liberté pour mettre en œuvre la spoliation programmée des classes moyennes, ne tient plus qu’à un fil. Ciseaux, vite !





Lucien Cerise — Apartheid sanitaire et stratégie du langage pour manipuler la population

[Source : France Liberté via Les 7 du quebec]

Au Canada comme en France, aux États-Unis et en Europe on constate une recrudescence des maladies mentales parmi la population tétanisée, causée par les mesures de répression sociale : confinement, isolement, couvre-feu, apartheid sanitaire,  terrorisme pandémique et propagande alarmiste des gouvernements désemparés. Lucien Cerise explique le lien de causalité entre cette  propagande gouvernementale alarmiste et la recrudescence des pathologies mentales. (Robert Bibeau)

https://youtu.be/-gYfbzZ9Jgo

Lucien Cerise a une formation en sciences humaines et sociales, avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie. Il est aussi spécialiste des sciences comportementales et de l’ingénierie sociale. Il a écrit plusieurs ouvrages dont:
« Gouverner par le chaos », Max Milo
« Neuro-pirates » Kontre Kulture

  1. L’Apartheid sanitaire
    Quelles sont aujourd’hui les principales menaces sur l’intégrité humaine (au niveau physique, mental et psychique) et particulièrement dans le contexte du terrorisme viral?
  2. La linguistique et sémantique du pouvoir gouvernemental et présidentiel pour manipuler et hypnotiser l’opinion
    Dans l’histoire de la philosophie, remontant à la Grêce antique, il y a une guerre silencieuse mais mortelle entre Réalistes et Nominalistes vous pouvez nous expliquer de quoi il s’agit?



Lettre ouverte de médecins et de scientifiques à l’Agence Européenne du Médicament sur la sécurité des vaccins COVID-19

[Source : Les DéQodeurs (lesdeqodeurs.fr)]

A l’attention de nos lecteurs : Nous avons vérifié minutieusement la traduction de tous les termes médicaux, mais faute de compétences scientifiques aussi pointues dans l’équipe, nous ne saurions garantir une parfaite traduction d’ensemble des processus biochimiques mis en cause. Nous nous excusons pour toute éventuelle imprécision.


A Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne du Médicament (EMA), Amsterdam, Pays-Bas :

28 février 2021

Mesdames, Messieurs

En tant que médecins et scientifiques, nous sommes en principe favorables à l’utilisation de nouvelles interventions médicales qui sont développées et déployées de manière appropriée, après avoir obtenu le consentement éclairé du patient. Cette position englobe les vaccins au même titre que les thérapeutiques.

À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE : EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DU MÉDICAMENT

Nous constatons qu’un large éventail d’effets secondaires est signalé à la suite de la vaccination de jeunes individus auparavant en bonne santé avec les vaccins à base génétique COVID-19. En outre, de nombreux médias du monde entier ont rapporté que des résidences pour personnes dépendantes et de soins avaient été frappées par le COVID-19 quelques jours après la vaccination de leurs résidents. Tout en reconnaissant que ces événements peuvent tous être de malheureuses coïncidences, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a eu et qu’il continue d’y avoir un examen inadéquat des causes possibles de maladie ou de décès dans ces circonstances, en particulier en l’absence d’examens post-mortem.

En particulier, nous nous demandons si les questions essentielles concernant la sécurité des vaccins ont été traitées de manière adéquate avant leur approbation par l’Agence Européenne du Médicament (EMA).

De toute urgence, nous demandons par la présente que l’EMA nous fournisse des réponses aux questions suivantes :

1. Après une injection intramusculaire, on peut s’attendre à ce que les vaccins à base génétique puissent atteindre la circulation sanguine et se diffusent dans tout le corps [1]. Nous demandons des preuves que cette possibilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

2. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que les vaccins restent piégés dans la circulation et soient absorbés par les cellules endothéliales. Il y a des raisons de penser que cela se produira en particulier aux endroits où la circulation sanguine est lente, c’est-à-dire dans les petits vaisseaux et les capillaires [2]. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

3. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que, lors de l’expression des acides nucléiques des vaccins, les peptides dérivés de la protéine de spicule soient présentés par la voie du CMH I – voie de passage à la surface luminale des cellules. De nombreux individus sains possèdent des lymphocytes CD8 qui reconnaissent ces peptides, ce qui peut être dû à une contamination antérieure par le COVID, mais aussi à des réactions croisées avec d’autres types de Coronavirus [3 ; 4] [5]. Nous devons supposer que ces lymphocytes vont attaquer les cellules concernées. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

4. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que des lésions endothéliales avec déclenchement ultérieur de la coagulation sanguine par activation plaquettaire se produisent en d’innombrables endroits du corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

5. En l’absence de telles preuves, il faut s’attendre à ce que cela entraîne une baisse du nombre de plaquettes, l’apparition de D-dimères dans le sang et une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. Des troubles hémorragiques pourraient survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome de CIVD, y compris, entre autres, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons des preuves que toutes ces possibilités ont été exclues dans des modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

6. La protéine spiculaire du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 des plaquettes, ce qui entraîne leur activation [6]. Une thrombocytopénie a été signalée dans des cas graves d’infection par le SRAS-CoV-2 [7]. Une thrombocytopénie a également été signalée chez des personnes vaccinées [8]. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d’activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.

7. La propagation du SRAS-CoV-2 à travers le monde a créé une pandémie de maladie associée à de nombreux décès. Cependant, au moment de l’examen de l’approbation des vaccins, les systèmes de santé de la plupart des pays n’étaient plus sous la menace imminente d’être submergés de cas car une proportion croissante du monde avait déjà été contaminée et que le pire de la pandémie avait déjà diminué. Par conséquent, nous exigeons des preuves concluantes de l’existence d’une urgence réelle au moment où l’EMA a accordé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle aux fabricants des trois vaccins, afin de justifier leur autorisation d’utilisation chez l’homme par l’EMA, prétendument en raison d’une telle urgence.

En l’absence de l’ensemble de ces preuves, nous demandons que l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique soit retirée jusqu’à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l’EMA avec le zèle nécessaire.

Il existe de sérieuses inquiétudes, y compris, mais sans s’y limiter, celles décrites ci-dessus, selon lesquelles l’approbation des vaccins contre le COVID-19 par l’EMA était prématurée et imprudente, et que l’administration des vaccins constituait et constitue toujours une « expérimentation humaine », ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.

Compte tenu de l’urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à ce courriel dans un délai de sept jours et de répondre à toutes nos préoccupations sur le fond. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique.

Une copie de cet e-mail est adressée à :

Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe

Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne.

Les médecins et les scientifiques peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise, leur pays et toute affiliation qu’ils souhaitent citer, à l’adresse
Doctors4CovidEthics@protonmail.com.

– Références

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[5] Sekine, T., Perez-Potti, A., Rivera-Ballesteros, O., Strålin, K., Gorin, J.-B., Olsson, A., Llewellyn-Lacey, S., Kamal, H., Bogdanovic, G., Muschiol, S. et autres (2020). Robust T Cell Immunity in Convalescent Individuals with Asymptomatic or Mild COVID-19, Cell 183 : 158-168.e14.

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[8] Grady, D. (2021). A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, The New York Times, 8 février 2021.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués,

Professor Sucharit Bhakdi MD, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène, Université Johannes Gutenberg de Mayence (médecin et scientifique) (Allemagne et Thaïlande)

Dr Marco Chiesa MD FRCPsych, psychiatre consultant et professeur invité, University College London (médecin) (Royaume-Uni et Italie)

Dr C Stephen Frost BSc MBChB Spécialiste en radiologie diagnostique, Stockholm, Suède (médecin) (Royaume-Uni et Suède)

Dr Margareta Griesz-Brisson MD PhD, consultante en neurologie et neurophysiologie (études de médecine à Fribourg, en Allemagne, formation spécialisée en neurologie à l’université de New York, spécialisation en neurophysiologie au centre médical du Mont Sinaï, à New York ; doctorat en pharmacologie avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie chronique de faible niveau et les effets des facteurs environnementaux sur la santé du cerveau), directrice médicale de la London Neurology and Pain Clinic (médecin et scientifique) (Allemagne et Royaume-Uni).

Professeur Martin Haditsch MD PhD, Spécialiste (Autriche) en hygiène et microbiologie, Spécialiste (Allemagne) en microbiologie, virologie, épidémiologie/maladies infectieuses, Spécialiste (Autriche) en maladies infectieuses et médecine tropicale, Directeur médical, TravelMedCenter, Leonding, Autriche, Directeur médical, Labor Hannover MVZ GmbH (médecin et scientifique) (Autriche et Allemagne)

Professeur Stefan Hockertz, professeur de toxicologie et de pharmacologie, toxicologue agréé européen, spécialiste en immunologie et immunotoxicologie, PDG de tpi consult GmbH. (Scientifique) (Allemagne)

Dr Lissa Johnson, BSc BA(Media) MPsych(Clin) PhD, psychologue clinique et psychologue du comportement, experte en psychologie sociale de la torture, de l’atrocité, de la violence collective et de la propagande de la peur, ancien membre du groupe consultatif d’intérêt public de l’Australian Psychological Society (psychologue clinique et scientifique du comportement) (Australie).

Professeur Ulrike Kämmerer PhD, professeur associé d’immunologie expérimentale de la reproduction et de biologie tumorale au département d’obstétrique et de gynécologie de l’hôpital universitaire de Würzburg, Allemagne, virologue moléculaire de formation (diplôme, thèse de doctorat) et immunologiste (habilitation), reste engagée dans des recherches actives en laboratoire (biologie moléculaire, biologie cellulaire (scientifique) (Allemagne).

Professeur associé Michael Palmer, MD, Département de chimie (a étudié la médecine et la microbiologie médicale en Allemagne, enseigne la biochimie depuis 2001 dans son université actuelle au Canada ; se concentre sur la pharmacologie, le métabolisme, les membranes biologiques, la programmation informatique ; la recherche expérimentale se concentre sur les toxines bactériennes et les antibiotiques (Daptomycine) ; a écrit un manuel sur la pharmacologie biochimique, Université de Waterloo, Ontario, Canada (médecin et scientifique) (Canada et Allemagne).

Professeur Karina Reiss PhD, Professeur de biochimie, Université Christian Albrecht de Kiel, Expertise en biologie cellulaire, biochimie (scientifique) (Allemagne)

Professeur Andreas Sönnichsen MD, Professeur de médecine générale et de médecine de famille, Département de médecine générale et de médecine de famille, Centre de santé publique, Université médicale de Vienne, Vienne (médecin) (Autriche)

Dr Michael Yeadon BSc (Joint Honours in Biochemistry and Toxicology) PhD (Pharmacology), anciennement Vice-président et Directeur scientifique Allergy & Respiratory, Pfizer Global R&D ; Co-fondateur et PDG, Ziarco Pharma Ltd ; Consultant indépendant (Scientifique) (Royaume-Uni)
DOCTORS4COVIDETHICS.MEDIUM.COMUrgent Open Letter from Doctors and Scientists to the European Medicines Agency regarding …
Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands




L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ?

Par Dr Gérard Delépine

Depuis maintenant près de 3 semaines, le gouvernement et les médias s’agitent pour promouvoir une obligation vaccinale chez les soignants alors qu’il n’existe aucune preuve que le vaccin est capable d’empêcher les transmissions de la maladie, ni que les médecins contaminent leurs malades, ni que les vaccins sont sans risque et enfin que l’obligation d’un traitement expérimental est contraire à la déclaration d’Helsinki.

Il montre ainsi une fois de plus son autoritarisme et l’absence de logique médicale de sa stratégie basée sur la peur.

Mais reportons-nous aux faits démontrés, et en particulier les données publiées par l’OMS.

Les vaccins paraissent incapables d’éviter les transmissions

Les maigres données fournies par les laboratoires sur les résultats phase 3 ne démontrent pas que les vaccins soient capables de diminuer les contagions. Et leurs résultats finaux ne seront pas connus au plus tôt, avant 2023.

L’évolution de l’épidémie dans les 3 pays champions de la vaccination constitue donc les seules données objectives actuellement disponibles pour l’analyse. Pour l’instant, elles montrent que les vaccins n’empêchent pas la contagion et même peut-être les augmentent transitoirement.

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination commencée le 23 décembre 2020 avec plus de 40 % de sa population vaccinée depuis cette date. D’après les courbes OMS du 11 mars 2021, a été suivie d’une augmentation considérable (+200 %) des contaminations journalières, leur nombre passant de 1226 cas le 23/12 à 6688 le 18/2 avant de se stabiliser au double d’avant la vaccination.

Après neuf mois d’épidémie, les EAU comptaient 1955

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer en nombre de citoyens vaccinés. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

L’augmentation des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas. Et dans l’immédiat de mars, l’incertitude plane en Israël(([1] i24NEWS 28 février 2021,)) : « le coefficient de reproduction en hausse, l’épidémie en passe de se propager ». De plus le vaccin ne paraît pas non plus protéger les vaccinés longtemps des contaminations puisque B. Netanyahou a déclaré le 1/3(([2] I 24)) : « Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois ».

La Grande-Bretagne est le second champion de la vaccination. Au 1er mars 2021, un total de 21 322 717 doses de vaccin avait été administré. Commencée le 4 décembre, la vaccination a été suivie pendant 6 semaines d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 contaminations. 3 mois après le démarrage de la campagne de vaccination, le 11 mars 2021, ce chiffre est passé à 4 229 002 cas confirmés (+165 %).(([3] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3235868/fr/strategie-de-vaccination-contre-la-covid-19-place-du-covid-19-vaccine-astrazeneca))

Ce n’est qu’après le déclin mondial de l’épidémie que le nombre quotidien des contaminations a baissé en Grande-Bretagne.

Cette évolution immédiatement défavorable du nombre des contaminations après vaccination dans les 3 pays champions de la vaccination suggère que le vaccin est incapable de prévenir la transmission de la maladie.

D’ailleurs cette incertitude sur la capacité de prévenir la transmission par le vaccin Astra Zeneca est reconnue par la haute autorité de santé. « Au vu des données limitées à ce jour sur l’impact de la vaccination avec le vaccin d’Astra Zeneca sur le risque de transmission du SARS-CoV-2, la HAS insiste sur la nécessité de maintenir l’ensemble des gestes barrières et des mesures de distanciation sociale ».

Alors, pourquoi vouloir imposer ce vaccin, soi-disant pour protéger les autres ?

Les médecins et les infirmières ne contaminent pas les malades

La recherche sur PubMed des articles répondant aux mots clefs « Nosocomial Covid » le 12/3/2021 permet de lister 613 publications.

Si elles insistent sur le risque de contamination que courent les soignants et les patients hospitalisés au contact des malades du Covid19, aucun article ne rapporte la contamination d’un patient par un médecin ou une infirmière en France. Il faut certainement y voir là l’effet de la conscience professionnelle de ces soignants qui arrêtent de travailler au moindre soupçon de Covid débutant. Il faut aussi souligner l’importance des garanties de maintien de salaire des personnels au contact des personnes fragiles en cas d’arrêt maladie.

Dans les Ehpad suédois, le personnel souvent peu qualifié et mal payé ne l’était plus s’il arrêtait de travailler. Pour cette raison, beaucoup de ces personnes peu qualifiées préféraient travailler même quand elles se savaient malades, entraînant des foyers mortifères de contamination. La sécurité a un coût ; ne pas maintenir le salaire complet de ces personnels en cas de maladie peut aboutir à des catastrophes sanitaires.

La retenue de salaire du jour de carence aux soignants malades après la vaccination dans certains hôpitaux et la perte de la prime d’assiduité participent peut-être aussi à la réticence des soignants français à se faire vacciner.

Le personnel soignant français n’est pas un facteur d’infection nosocomiale, mais la surcharge et la promiscuité dans certains hôpitaux pourrait l’être. Rouvrir des lits où ils manquent cruellement chaque hiver constitue une nécessité sanitaire malheureusement ignorée par nos dirigeants. Et parlons de l’ensemble des lits de médecine interne, d’infectiologie, etc. et sortons de la polémique sur les lits de réanimation qui n’auraient pas diminué !

Néanmoins cent mille lits au moins ont disparu en vingt ans et le service de réanimation ne travaille pas sur une île déserte, les patients ne trouvant pas de lits en médecine atterrissent parfois en réa pour bénéficier d’un personnel soignant suffisant et la sortie de réa nécessite aussi des lits de médecine interne pour récupérer les patients améliorés, mais pas encore sortants.

Les discussions sur les TV des lits de réa qui n’ont pas diminué sont hors sol de la réalité quotidienne de l’hôpital et de son fonctionnement. Le personnel soignant a diminué drastiquement au bénéfice des administratifs (oui le budget est stable relativement au PIB, mais l’important est de savoir à quoi on attribue l’argent). Les lits permettant l’accueil précoce et à proximité des malades et les hôpitaux locaux ont disparu, fermés au bénéfice des grandes machines bureaucratiques à essais que sont les centres hospitaliers universitaires concentrés dans les grandes villes.

Oui le nombre de lits de réa est stable en chiffre absolu (si on compte tous ses versants : unité de soins continue, de soins intensifs et enfin de réanimation qui permet de jouer sur les tarifications à l’activité afin que les lits lucratifs soient à peu près toujours pleins (donc « saturés »)… mais a diminué de plus de 10 % si on le ramène à la population ce qui explique que les réa soient constamment saturées chaque hiver depuis 10 ans. La manipulation quotidienne utilisant ce nombre de lits de « réa » est une imposture. Le mal hospitalier est réel, plus profond et plus complexe que ces explications quotidiennes de médecins loin du malade et pire d’éditorialistes loin de la réalité.

Les vaccins actuels sont expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires. Et que des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques aient pu vérifier la pertinence et la cohérence des données fournies. Actuellement aucun des vaccins anticovid19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité. Ils sont donc tous expérimentaux.

Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 3(([4] Les candidats vaccins qui semblent suffisamment efficaces après les essais animaliers et les essais humains phase1 et2 poursuivent leur développement en phase III. A ce stade, le nouveau vaccin est comparé à l’absence de vaccin. Les personnes reçoivent, de façon aléatoire, soit un placebo supposé inerte, soit le vaccin en cours d’évaluation afin de mesurer son efficacité et sa toxicité.)) terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinical trials.gov à https://clinicaltrials.gov/ct2/home).

Ces vaccins expérimentaux ont d’ailleurs été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de victimes.

Les vaccins actuels ne sont pas sans risques

Les vaccins trop rapidement mis sur le marché ont été suivis de complications dont certaines non décrites dans les rapports préliminaires remis aux agences telles que des syndromes grippaux sévères (obligeant 25 % à 40 % des soignants vaccinés à s’arrêter de travailler), des désordres hématologiques et aussi des morts par accidents cardiaques, thromboses, accidents vasculaires… Comme d’habitude les promoteurs des vaccins nient tout lien de causalité. Il est vrai que démontrer un lien de causalité n’est jamais facile et que dans une affaire récente(([5] En juin 2017, la justice européenne a estimé que la responsabilité d’un vaccin dans le développement d’un effet secondaire grave pourrait être reconnue même en l’absence de certitude scientifique.)) la Cour européenne de justice a pour cette raison jugé qu’un faisceau d’indices graves et concordants suffit à déterminer la responsabilité du vaccin.

Le vaccin Astra Zeneca que l’on veut imposer aux soignants a été refusé par la Suisse et vient d’être suspendu par les agences sanitaires de 9 pays européens et l’Afrique du Sud montrant bien que son efficacité et son innocuité sont douteuses.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

La différence avec les essais officiels c’est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes. Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques déclarés. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués ni publiés contrairement aux essais traditionnels.

Il est certes admis par la convention d’Helsinki(([6] L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables. La Déclaration est conçue comme un tout indissociable. Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Conformément au mandat de l’AMM, cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins.)) (([7] https://www.espace-ethique.org/ressources/charte-declaration-position/declaration-dhelsinki)) que, faute d’interventions avérées, le médecin puisse recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie, ou préserver la santé du patient. Mais dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable et les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées dans de nombreux pays dont la France(([8] Il y a 3 jours une de mes vidéos a été supprimée de YouTube alors qu’elle ne faisait état que d’informations vérifiées et accessibles ; et mon épouse fait l’objet d’une plainte par le conseil de l’ordre parce qu’elle ne répétait pas la propagande de l’état.)) (([9] France soir a vu son compte Twitter supprimé et une ministre demander de l’exclure des organes de presse)), empêchant tout débat démocratique. Leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’Ehpad en France et à l’étranger et l’hospitalisation du Premier ministre australien Greg Hunt, admis à l’hôpital seulement un jour après avoir reçu une dose du vaccin Oxford/Astra Zeneca Covid(([10] selon plusieurs sources dont le New Daily et le Daily Expose deux sites en ligne. Et la censure quotidienne des médias par YouTube, Facebook ou Twitter devient le jeu à la mode. Mettre rapidement les vidéos susceptibles d’être censurées sur odyssee.com ou planete360 pour pouvoir les retrouver quand les puissants du jour les supprimeront. Puissants du jour, morts demain, ils signent leur faire-part de disparition dont seule la date nous est inconnue. Twitter qui permet la suppression de comptes informatifs se voit supplanté par Telegramm et FB par Signal et bien d’autres. La vérité a toujours raison même si elle prend l’escalier au lieu de l’ascenseur. Le totalitarisme perd toujours, le problème est le nombre de victimes évitables.

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés : vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes). Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller. Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald. Comment un universitaire spécialiste de l’éthique peut-il avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. » Mais L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort.

Depuis mars 2020 nous sommes paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications qui ont justifié son retrait dans 9 pays européens et dans de nombreux pays lointains ?

Vacciner les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres quels qu’ils soient est criminel !

Enfin, il convient de signaler la position claire du conseil de l’Europe

TOUTE OBLIGATION DE VACCINATION anticovid EST DÉSORMAIS ILLÉGALE *

PAR DÉFAUT LE CONSEIL DE L’EUROPE (à ne pas confondre avec l’UE) auquel appartiennent TOUS les États européens, à l’exception du Belarus, du Kosovo et du Vatican qui est le parrain de la Cour européenne des DROITS DE L’HOMME a décidé́ le 27.01.2021 dans sa résolution 2361/2021, entre autres, que personne ne peut être vacciné contre sa volonté́, sous la pression.

Les 47 États membres sont invités à̀ signaler avant la vaccination que la vaccination n’est pas obligatoire et que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination.

La discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée.

Les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité́ des vaccins. Avec cette résolution, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme en Europe a désormais établi des normes et des obligations, ainsi que créé des lignes directrices en vertu du droit international, qui doivent être appliquées par les 47 États membres, y compris l’UE en tant qu’organisation.

Les discriminations, par exemple sur le lieu de travail ou les interdictions de voyager pour les personnes non vaccinées, sont donc légalement exclues.

Dans toute procédure judiciaire, contre toute autorité́, tout employeur, tout fournisseur de voyages, tout responsable de maison, etc.


*Perma | pace.coe.int [Cependant, cette résolution n’est pas contraignante]




Qu’est-ce que « l’islamo-gauchisme » ?

[Source : voltairenet.org]

[NdNM : la présentation par Thierry Meyssan de faits historiques relatifs à l’islamo-gauchisme représente une bonne illustration de la manière dont divers groupes ou peuples peuvent se faire manipuler par le biais de l’idéologie, que celle-ci soit de source religieuse, politique, économique ou autre.]

par Thierry Meyssan

La France, et dans une moindre mesure plusieurs autres pays européens, est traversée par un débat sur « l’islamo-gauchisme » ; des personnalités de gauche qui soutiennent l’islam politique malgré l’exemple de Daesh. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne s’agit pas là d’une tactique électorale momentanée, mais d’une conséquence d’une stratégie de la guerre froide, ravivée par l’administration Biden.

La ministre française chargée des universités, Frédérique Vidal, vient de commander un rapport sur la sociologie de l’islamo-gauchisme dans les universités.

Au XVIe et XVIIe siècle, les Européens distinguaient la « sphère publique » visible de tous, de la « sphère privée » plus intime. Cependant, au XVIIIe siècle, la Révolution française donna une définition différente de ces deux expressions : la « sphère privée » devint le domaine du travail, de la famille et de la religion, tandis que la « sphère publique » [devint] celui de la politique et de la nation. Dès lors, si des militants politiques trouvent dans des religions la force de leur engagement, il paraît incongru qu’ils soutiennent des religions particulières.

Or, cette manière de voir est désormais battue en brèche par le soutien apporté par quelques personnalités et groupes politiques à des mouvements « islamistes ». Par islamisme, je ne désigne rien ayant un rapport avec la religion musulmane, mais une idéologie politique qui instrumente cette religion. Mahomet ayant été à la fois un prophète, un leader politique et un chef militaire, son héritage est facile à détourner.

Rouhollah Khomeiny rencontra Hassan el-Banna en 1938 au Caire. Les deux hommes conclurent un pacte de non-agression mutuelle et se partagèrent le Moyen-Orient.

L’islam politique

Dans la pratique, l’islam politique consiste à mobiliser les foules en invoquant la religion musulmane. Cela peut-être avec des moyens très différents et des objectifs opposés, selon la conception que l’on a de cette religion. Le fait de recourir à des arguments religieux pour faire de la politique permet d’obtenir un sens du sacrifice sans limites qui peut vite tourner au fanatisme. La langue arabe contemporaine, qui accorde plus de valeur aux émotions qu’aux raisonnements, rend probablement les Arabes beaucoup plus réceptifs que d’autres à ce type d’engagement.

Au XXe siècle, les Britanniques ont demandé au mufti d’Al-Azhar de déterminer une version unique du Coran pour contrer la secte du Mahdi au Soudan. Il y en avait jusque là une quarantaine de différentes. Ils ont également demandé à Hassan al-Banna de créer une société secrète, la Confrérie des Frères musulmans, sur le modèle de la Grande Loge Unie d’Angleterre pour disposer d’un moyen de pression sur le pouvoir égyptien. Durant la Guerre froide, la CIA a placé deux de ses agents, Sayyed Qtob et Saïd Ramadan, dans cette société secrète sunnite pour y théoriser le jihad.

D’autres écoles d’islam politique contemporaines se sont développées d’abord au sein du soufisme contre les empires russe et chinois, puis avec Rouhollah Khomeiny au sein du chiisme contre l’Empire britannique. Si l’école soufie a fait alliance avec la Confrérie des Frères musulmans autour du président Recep Tayyip Erdoğan, l’école chiite a au contraire passé un accord de non-ingérence réciproque avec elles. Cependant, tous se sont battus ensemble contre les Russes et sous les ordres de l’OTAN durant la guerre de Bosnie-Herzégovine. À l’époque, ils croyaient partager la même idéologie, mais aujourd’hui ils considèrent tous que ce n’était et n’est toujours pas le cas.

Les Français font remonter le soutien de penseurs de gauche à l’islamisme à l’exil de l’ayatollah Khomeiny en région parisienne (1978-9). À l’époque, Jean-Paul Sartre et Michel Foucault l’avaient rencontré et lui avaient apporté leur soutien. Ils avaient parfaitement compris son combat contre l’impérialisme occidental, tandis que Zbigniew Brzeziński (le conseiller de Sécurité nationale du président Jimmy Carter) le considérait, à tort, comme superficiel.

Mais ce dont on parle aujourd’hui est d’une tout autre nature : des penseurs de gauche attribuent aux musulmans dans leur ensemble la même fonction d’avant-garde populaire qu’au prolétariat du XIXe siècle. C’est une stupidité. En effet :
 les musulmans appartiennent à toutes les classes sociales ;
 l’islam est absolument compatible avec le capitalisme le plus débridé.

En réalité, ils appréhendent différemment les musulmans selon qu’ils sont sunnites ou chiites. Les premiers seraient progressistes, tandis que les seconds seraient réactionnaires. Ils ont soutenu le pro-US Frère musulman Mohamed Morsi en Égypte, mais dénoncent le nationaliste Mahmoud Ahmadinejad en Iran. Or le président Morsi n’a jamais cherché à améliorer les conditions de vie des plus pauvres, tandis que le président Ahmadinejad l’a fait avec succès jusqu’à la fin de ses mandats. Identiquement, Mohamed Morsi n’est devenu président qu’en menaçant de mort les magistrats du conseil électoral et leurs familles(([1] « La Commission électorale présidentielle égyptienne cède au chantage des Frères musulmans », Réseau Voltaire, 20 juin 2012.)), tandis que Mahmoud Ahmadinejad a été élu démocratiquement. Force est de constater que les islamo-gauchistes ne se déterminent pas par rapport à l’action intérieure des personnes qu’ils soutiennent, mais à leur politique étrangère. Ils approuvent l’islam politique pro-US et dénoncent l’islam politique anti-impérialiste.

L’islamo-gauchisme n’existe que dans les pays occidentaux, à l’exception de la Tunisie. L’opposant en exil Moncef Marzouki apporte son soutien à la Confrérie des Frères musulmans et devient de premier président de la République du Printemps arabe. Il servira de paravent aux Frères d’Ennahdha et est écarté du pouvoir aux élections présidentielles de 2014.

Le révolutionnaire bolchevik Léon Trotski (1879-1940) servit les intérêts britanniques contre la Russie. Il entra en conflit avec Staline qui l’expulsa d’URSS et le fit assassiner à Mexico. Certains de ses partisans n’ont pas hésité à poursuivre son œuvre en se mettant au service des États-Unis

La stratégie de la NED :
alliance de certains trotskistes avec certains islamistes

Le soutien de personnalités de gauche à la Confrérie des Frères musulmans et à l’Ordre des Naqshbandi a été organisé par la National Endowment for Démocracy (NED) dans le cadre de la Guerre froide, dès 1983. Le président Ronald Reagan venait de rallier à lui un groupe de trotskistes juifs et new-yorkais pour lutter contre l’URSS. En vertu du conflit qui opposa le pro-Britannique Trotski(([2] Il n’a jamais été démontré que Trotski ait été un agent de la Couronne, mais que sa secrétaire était, elle, une agente britannique. Cependant Léon Trotsky décapita la Marine russe dont il fit assassiner presque tous les officiers pour la plus grande joie du Royaume-Uni.)) et Staline, ces disciples rejoignirent les services secrets des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni). Ils fondèrent notamment la NED. Dans le contexte des scandales entourant la CIA, ils imaginèrent de réaliser certaines parties de ses opérations par la voie légale. Ils recrutèrent des personnalités trotskistes de par le monde pour se joindre à leur combat, particulièrement dans les deux théâtres d’opérations de l’époque : l’Afghanistan et le Liban.

Pour son combat antisoviétique en Afghanistan, la NED recrute le « french doctor » (médecin français) Bernard Kouchner. C’est un ancien de l’Union des étudiants communistes qui a quitté cette organisation lors de la purge contre les trotskistes. Le jeune homme soignera au Pakistan les anticommunistes afghans et les moudjahidines arabes d’Oussama ben Laden. À l’époque ces derniers sont applaudis en Occident comme des « combattants de la Liberté ».

Au même moment, durant la guerre civile libanaise, la NED peine à recruter. Finalement elle choisit les scissionnistes du Parti communiste syrien, Riyad Al-Turk, Georges Sabra et Michel Kilo. Les trois hommes signent un manifeste qui assimile les Frères musulmans à un nouveau prolétariat et appelle de ses vœux une intervention militaire états-unienne au Moyen-Orient. Pour la Syrie, c’est un soutien clair au putsch des Frères musulmans à Hama. Le président Hafez el-Assad les fait donc arrêter et emprisonner jusqu’à ce qu’ils abjurent ce texte.

La guerre de Bosnie-Herzégovine est l’occasion pour la NED de recruter l’essayiste Bernard-Henri Lévy. Celui-ci deviendra le conseiller médiatique du président Alija Izetbegović. Au même moment, celui-ci prend pour conseiller politique le néoconservateur Richard Perle et pour conseiller militaire Oussama ben Laden.

Dans le contexte de la guerre froide, toutes les personnalités citées ci-dessus ont probablement sincèrement cru agir pour le mieux. Mais une fois l’URSS dissoute, certaines d’entre elles ont poursuivi leur parcours dans cette voie nauséabonde.

Ainsi Riyad Al-Turk, Georges Sabra et Michel Kilo sont devenus des porte-parole du Pentagone lors des événements en Syrie. Au nom de leur passé communiste, ils ont convaincu la gauche européenne qu’il s’agissait d’une guerre civile et non pas d’une attaque par des jihadistes internationaux. Ils ont même réussi à leur faire croire que le Front al-Nosra (branche d’Al-Qaïda en Syrie) était une organisation révolutionnaire syrienne.

Ou encore Bernard-Henri Lévy, après avoir fait l’apologie de Guantánamo, est devenu le porte-parole des jihadistes libyens. Il a présenté la Jamahiriya arabe libyenne — un régime inspiré des socialistes utopistes français du XIXe siècle — comme une dictature. Il a soutenu le bombardement de Tripoli par l’OTAN et la nomination d’un des chefs historiques d’Al-Qaïda, Abdelhakim Belhaj, comme gouverneur militaire de Tripoli. Pour finir, il a même aidé à la réception officielle de celui-ci au ministère français des Affaires étrangères à Paris.

Le Collectif contre l’islamophobie en France, association proche de la Confrérie des Frères musulmans, a été dissoute en 2020 juste avant que le gouvernement français ne l’interdise. Des leaders de gauche de premier plan ont participé à ses manifestations.

La théorisation de l’islamo-gauchisme

Si l’islamo-gauchisme est d’abord une pratique des services secrets occidentaux, il est devenu une théorie politique en 1994 autour de Chris Harman. Ce penseur trotskiste britannique est un militant du Socialist Workers Party (Parti socialiste des travailleurs). Il publia en 1994, dans Socialism International, un article intitulé « The prophet and the proletariat » (Le prophète et le prolétariat). Il tente d’y démontrer que les musulmans ne sont ni des fascistes ni des progressistes, mais qu’ils forment le nouveau prolétariat.

Les trotskistes de Reagan comme Claude Harman ont tous adhéré à la théorie d’Ygael Gluckstein (dit « Tony Cliff ») de la « révolution permanente déviée » selon laquelle tous les États dits « communistes » (Chine, Corée du Nord, Cuba) sont en réalité staliniens. Cette manière de voir leur permet à la fois de militer pour la révolution mondiale et de condamner les adversaires des États-Unis. Ils ont été exclus de la Quatrième internationale. Il ne s’agit donc pas d’assimiler tous les trotskistes à leur dérive.

Au vu de ces éléments, l’islamo-gauchisme ne s’explique pas tant par une course aux voix des musulmans immigrés en Europe que par l’inversion des valeurs depuis la dissolution de l’Union soviétique. La disparition des partis communistes a laissé le champ libre à une gauche atlantiste. Celle-ci a spontanément choisi la direction idéologique de ses alliés US. Elle l’a épousée au point de participer à ses coups tordus, notamment à son instrumentation de l’islam politique sunnite.

Désormais la logique des services secrets comme celle des idéologies sont subverties par le réveil (woke) du puritanisme états-unien. Ces derniers trouvent chez les Frères musulmans la même quête de pureté qui les anime. Plusieurs membres de l’administration Biden participaient, le 13 juin 2013, à la réunion du Conseil de sécurité nationale à laquelle un délégué officiel de la Confrérie, cheik Abdallah Bin Bayyah, était invité. Il existe donc un réel danger de voir maintenant s’inscrire dans la durée l’islamo-gauchisme dans les partis politiques, d’autant que les Occidentaux n’ont toujours pas assimilé que tous les chefs d’Al-Qaïda et de Daesh sont ou ont été membres de la Confrérie des Frères musulmans.

Thierry Meyssan




Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Si certaines personnes n’ont toujours pas compris les tenants et les aboutissants réels de ce que l’on nomme habituellement la « crise COVID-19 », c’est qu’elles n’ont pas lu l’ensemble des mes articles, au moins depuis le 1er janvier 2020. La crise humanitaire actuelle a été préparée de très longue date par les élites babyloniennes (que l’on nomme aujourd’hui «globalistes»). C’est ce que j’ai tenté d’expliquer dans mon dernier livre «La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués». Cette « crise » dépasse amplement les gouvernements et les tribunaux locaux. Cette « crise » a été concoctée depuis très longtemps dans les repaires de voleurs tels que le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, le Council on Foreign Relations et le Forum économique mondial.

Du 30 mai au 2 juin 2019, c’est-à-dire six mois avant le déclenchement de l’opération Covid-19, eut lieu la rencontre de Bilderberg au Palace de Montreux en Suisse, durant laquelle 128 personnalités étaient présentes. Sur la liste, on relevait le secrétaire général de l’OTAN, la directrice générale de l’UNESCO, le président du Council on Foreign Relations, la directrice de la London School of Economics (Société fabienne), le PDG de Microsoft, et l’ancien président de la Commission européenne. Sans oublier Jared Kushner, ancien conseiller personnel et gendre de Donald Trump, ainsi que Willem-Alexander, roi des Pays-Bas et petit-fils du prince nazi Bernhard de Lippe-Biesterfeld, fondateur du groupe Bilderberg.

Parmi les participants se trouvaient aussi les membres de la plus haute hiérarchie militaire de Trump, ainsi que l’ancien PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Michael Sabia, et la juriste québécoise Louise Arbour, aujourd’hui représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour les migrations. Le groupe Bilderberg a également reçu une visite « surprise » puisque Mike Pompeo, ancien secrétaire d’Etat américain de Trump, s’est lui aussi rendu en Suisse le 1er juin, comme le rapporte le quotidien belge L’Echo (il n’était pas inscrit sur la liste présentée sur le site du club Bilderberg).

Il est donc évident que cette rencontre du groupe Bildergerg n’avait rien à voir avec un club social. Que complotaient donc ces individus pour l’avenir de l’humanité ? Nous savons que les enjeux principaux — entre autres sujets — étaient l’avenir de l’Europe, les changements climatiques et durabilité, la Chine, l’avenir du capitalisme, la militarisation des médias sociaux, l’importance de l’espace, les cybermenaces et l’éthique de l’intelligence artificielle. Notons que Michael Sabia était aussi présent à la réunion du groupe Bilderberg en 2018 à Turin avec la députée libérale provinciale Dominique Anglade. À ce moment, les participants ont discuté du monde « post-vérité », de l’avenir du travail, de l’informatique quantique et, encore une fois, de l’intelligence artificielle (incluant le développement du réseau 5G).

Le 9 mars dernier, j’ai énuméré la stratégie de mise en esclavage de l’humanité de la façon suivante :

« J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma “méritocratique”.

« L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total. »

Au mois de mai 2020, le Premier ministre Benjamin Netanyahu disait explicitement :

« Nous nous préparons à la possibilité qu’avant la découverte du vaccin, nous recevrons une deuxième vague d’épidémie. Cela signifie des technologies que nous n’avons pas utilisées jusqu’à aujourd’hui. Des technologies permises par la loi, que nous utiliserons. Par exemple, des puces sous-cutanées, qu’il y aura sur chacun, sur chaque enfant. Je veux qu’elles soient tout d’abord sur les enfants, qu’il y ait une sorte de capteur qui avertit, comme dans les voitures. Comme une voiture, si tu t’approches trop, ça sonne ! Et non moins important, nous voulons TUER [lapsus?!] nous voulons AIDER, sans avoir recours à une bureaucratie. »

La traduction nous a été donnée par Amnon Itshak, un rabbin Israélien juif d’origine Yémenite (c’est-à-dire un véritable sémite, contrairement aux Khazars comme Benjamin Netanyahu qui se disent juifs, mais ne le sont pas). En 1986, il fonde en Israël “Shofar”, une organisation à but non lucratif qui vise à promouvoir le retour des juifs aux fondements du judaïsme.

Le projet transhumaniste et de domination de la population mondiale a été gravé sur la médaille commémorative de « l’Accord d’Abraham », frappée en Israël par l’organisation qui veut reconstruire le Troisième Temple de Jérusalem. La pièce de monnaie a été émise par Temple Coins pour souligner la signature de « l’Accord d’Abraham », un traité de paix révolutionnaire au Moyen-Orient normalisant les relations entre Israël et les Émirats arabes unis. Pour en savoir plus à ce sujet, je vous convie à lire mon article intitulé « La “grande conjonction” entre les planètes Jupiter et Saturne annonce-t-elle le début de la Grande Réinitialisation pour les occultistes ? ».

Je partage ci-dessous un article de Celeste McGovern intitulé, « Le programme de vaccination israélien “Passeport vert” a créé un “apartheid médical”, disent des citoyens désemparés », qui fut publié le 9 mars dernier sur le site internet de LifeSiteNews.


Le programme de vaccination israélien « Passeport vert »

[Celeste McGovern, 9 mars 2021]  Israël s’est rapidement transformé en pays de ségrégation qui discrimine à l’égard des personnes qui n’ont pas reçu la vaccination expérimentale COVID-19, selon des citoyens israéliens qui appellent à l’aide sur les plateformes médiatiques.

Bracelet électronique Coronavirus

« C’est très fort, ce qui se passe ici en Israël. Je ne sais pas à quel point vous le percevez », a déclaré Ilana Rachel Daniel dans une vidéo publiée le 3 mars sur Bitchute.

« C’est affreux. C’est une situation très, très, très effrayante. Ils sont en train de faire ce passeport vert par lequel la moitié de la population ne pourra pas entrer dans les théâtres, les centres commerciaux ou toutes sortes de choses, à moins d’avoir été vacciné. Ils créent un apartheid médical », dit-elle.

Dans le cadre d’un programme appelé « Operation Back to Life » (Opération retour à la vie), le système du « Passeport vert » limite l’entrée aux gymnases, théâtres, hôtels, restaurants, universités et écoles secondaires enregistrés aux seuls détenteurs d’un passeport de vaccination scannable. « C’est le premier pas vers un retour à une vie presque normale », a déclaré le ministre israélien de la santé, Yuli Edelstein, lors d’une réunion d’information sur le programme qui a commencé à être mis en place la semaine dernière.

Le gouvernement israélien a annoncé une série de nouvelles règles le 6 mars dans une déclaration publiée conjointement par le cabinet du premier ministre, le ministère de la santé et le ministère des transports. Ce document gouvernemental sera en vigueur jusqu’au prochain bilan gouvernemental, le 20 mars. Les élèves du secondaire devaient ainsi être autorisés à retourner en classe cette semaine dans les territoires où 70 % de la population de plus de 50 ans avait été vaccinée.

Les universités et autres établissements d’enseignement devaient ouvrir des cours en personne à partir du dimanche aux détenteurs d’un laissez-passer vert uniquement. Ceux qui n’ont pas été vaccinés seront autorisés à assister aux cours en ligne uniquement. Les restaurants doivent permettre aux détenteurs de Passeports verts, vaccinés, de manger à l’intérieur, tandis que les personnes non vaccinées seront autorisées à se restaurer uniquement à l’extérieur.

Les personnes qui enfreignent l’ordonnance gouvernementale sont menacés d’une amende de 5.000 nouveaux shekels israéliens (NIS), soit environ 1.900 dollars canadiens.

Les étudiants israéliens ont été obligés de se faire injecter le vaccin COVID pour pouvoir passer leurs examens de fin d’études secondaires, selon un rapport de la BBC en janvier. Les résultats des examens de fin d’études peuvent avoir une incidence sur leur inscription à l’université et leur placement dans le service militaire obligatoire.

Le passeport est délivré par un site Internet géré par le gouvernement qui délivre un certificat vert comportant un code QR de haute sécurité pouvant être scanné par texto, courriel ou courrier, selon un rapport du Jerusalem Post. Les Israéliens doivent présenter leur passeport vert pour la numérisation avec une pièce d’identité avant d’entrer dans les entreprises enregistrées.

Le communiqué du gouvernement publié samedi a déclaré que l’interdiction d’entrée des Israéliens par voie aérienne dans le pays est annulée (les passages terrestres restent en place), permettant aux citoyens israéliens et aux résidents permanents d’entrer en Israël. « Ceux qui détiennent des certificats de vaccination ou de récupération pourront quitter Israël librement », ajoute cependant le communiqué.

Plus tôt dans le mois, Edelstein a déclaré au public que « les vaccins ne seront pas obligatoires, mais quiconque falsifie un certificat de vaccin ira en prison ». Le ministre israélien de la Santé a également déclaré que bientôt les employeurs seront tenus de faire vacciner leur personnel ou de subir des tests de coronavirus toutes les 48 heures.

La campagne de vaccination contre le COVID-19 en Israël a été la plus rapide au monde où 10% de la population a reçu des vaccins expérimentaux entre le 19 décembre et la fin de 2020, et 50% des neuf millions d’habitants du pays avaient reçu au moins un vaccin contre le COVID en date du 26 février, selon une déclaration du ministre de la Santé Edelstein. « J’ai convenu avec mon ami, le président-directeur général de Pfizer, Albert Bourla, que nous apporterions expédition après expédition et terminerions la vaccination de la population des plus de 16 ans en Israël en mars »a tweeté le 10 janvier le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu . Bourla de Pfizer a annulé un voyage prévu en Israël parce qu’il n’a pas reçu sa deuxième dose de vaccin COVID-19 de Pfizer, a rapporté le Jerusalem Post. Le PDG a déclaré qu’il ne voulait pas « couper la ligne » pour l’injection de son entreprise et a retardé sa visite dans le pays où il envisage d’établir un site de fabrication.

Le 24 février, le parlement israélien a adopté une loi permettant au gouvernement de partager les noms, adresses et numéros de téléphone des personnes qui n’avaient pas reçu un vaccin Covid avec d’autres autorités dans les ministères de l’éducation et le bien-être. « Ils obligent les gens à porter un bracelet à la cheville, un bracelet de sécurité lorsqu’ils reviennent de voyage », a déclaré Daniel, affilié au parti Rapeh. « C’est absolument insensé. »

Bracelet électronique Coronavirus en Israêl

Les gens se voient offrir des bracelets de cheville de sécurité électroniques, similaires à ceux portés par les prisonniers, pour surveiller où ils se trouvent après avoir voyagé en dehors d’Israël au lieu d’être forcés de loger dans des installations de quarantainea rapporté le Jerusalem Post le 25 février. « Nous appelons cela un “bracelet de liberté” parce que nous n’emprisonnons personne, mais que nous leur donnons plutôt l’opportunité de rentrer chez eux », a déclaré Ordan Trabelsi, président et chef de la direction de SuperCom, la société derrière le système de surveillance.

« Ils nous censurent et nous attaquent et ils n’autoriseront aucun média. Rien. Ils ont enlevé le chef de la licence médicale du parti », a déclaré Ilana Rachel Daniel, affiliée au parti politique israélien Rapeh, qui signifie « guérir » en anglais. Le Parti Rapeh a été fondé par un médecin Aryeh Avni dont la licence médicale a été révoqué par le ministère de la Santé d’Israël le 24 février, lorsqu’un juge a statué qu’il était « une pierre d’achoppement », dont le comportement pose un réel danger pour la sécurité publique et de la santé.

« Ils ont supprimé nos plates-formes de Facebook et maintenant ils ne laissent même pas les médias écrire sur nous. Nous voulons donc demander à tout le monde [inaudible] — partout où nous pouvons aller — de faire connaître ce que nous disons. « Si je m’arrête pour y penser, je pleurerai, tu sais », dit Ilana Rachel, qui peut être entendue fondre en larmes. « Nous continuons de nous battre, vous savez, de nous battre autant que nous le pouvons. »

« Nous avons besoin de l’aide de tout le monde car tout ce qui se passe ici se produira partout », a-t-elle déclaré. « Donc, nous nous battons pour nous-mêmes et nous nous battons pour le monde entier. Nous devons aider… chaque main sur le pont. » Daniel a depuis enregistré une interview d’une heure avec le journaliste britannique James Delingpole.

Dans une autre vidéo, publiée sur la page Facebook Radiant Israel le 18 février, l’Israélien Gilad Rosinger a décrit le système de passeport vert comme un “agenda pré-holocauste”. « Si vous ne vous soumettez pas à cet agenda diabolique, démoniaque et tyrannique, si vous choisissez de dire “vous savez quoi, je ne suis pas prêt à participer à ce programme expérimental”, alors vous êtes maintenant considéré comme un citoyen de seconde zone en Israël. », a déclaré Rosinger. « Mon grand-père était le seul survivant de toute sa famille de l’Holocauste et c’est exactement ainsi que cela a commencé. Avec la discrimination, avec des entreprises essentielles et non essentielles, avec des gens qui disent que les Juifs sont des citoyens de seconde zone », a-t-il dit.

« Eh bien, maintenant, il ne s’agit pas de juifs, ni d’arabes, ni de cela. Non, il s’agit de savoir qui se fera vacciner », a déclaré Rosinger. « Si vous ne le faites pas, vous êtes méchant, vous êtes méchant, vous êtes un citoyen de seconde zone. » Les hauts responsables du gouvernement israélien parlent d’envoyer des policiers au domicile de personnes non vaccinées et d’exiger que leurs noms soient rendus publics, a déclaré Rosinger.

Malgré sa campagne de vaccination agressive, Israël a imposé un troisième verrouillage national strict le 7 janvier 2021 à la suite d’une flambée de nouveaux cas de COVID. Les médias israéliens ont rapporté que 4500 personnes avaient reçu un diagnostic de COVID après avoir reçu un premier vaccin contre le coronavirus, et que parmi elles 375 personnes avaient été hospitalisées.

Appelant la nouvelle société israélienne une « zone crépusculaire » qui est « encouragée » par les médias grand public, il a ajouté que de nombreuses personnes ont peur de s’exprimer. « Nous devons tirer la sonnette d’alarme », a déclaré Rosinger. 

« Où sont les tribunaux internationaux des droits de l’homme à ce sujet ? Où sont les poursuites ? Où est l’indignation ? Vous n’avez même pas besoin de croire en Dieu pour savoir que c’est faux. »

« Israël, malheureusement, a été utilisé comme prototype pour les nations parce que s’il réussit ici, il arrive dans une ville près de chez vous, il arrive dans un pays près de chez vous. Il arrive dans votre ville », a déclaré Rosinger. « C’est pourquoi vous devez vous en soucier. »


« Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent »

Apocalypse 3:9




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Le ministre australien de la santé hospitalisé dans un état critique quelques jours après sa vaccination… un covid vaccinal?

[Source : LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

Par pgibertie

La presse n’a pas fait echo des malheurs du ministre australien victime du Pfizer .

Le Danemark, l’Italie, l’Autriche la Norvège ont décidé de suspendre lAztraZENECA , jeudi 11 mars et jusqu’à nouvel ordre, son utilisation. L’Agence nationale de la Santé du pays a fait état « des rapports de cas graves de formation de caillots sanguins chez des personnes qui ont été vaccinées avec le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca », dont un décès.

L’agence européenne permet de suivre les effets secondaires rapportés : quelques centaines de décès et 20 000 effets secondaires pour Aztra Zeneca . C est en France qu’il y en aurait le plus.

Pour le Pfizer ( près de 100 000 cas et entre 2000 et 5000 décès en Europe) :

Ce qui arrive à Greg Hunt  n’est certainement pas lié à la vaccination, c’est ce qu’il vont dire… Bon certains avouent, comme cet habitué des plateaux lui aussi vacciné qui a été contaminé :Jean-Michel Constantin, chef du service réa à la Pitié-Salpêtrière, a attrapé le Covid via le variant sud-africain après s’être fait vacciner par le Pfizer ! Il est bon de rappeler que le vaccin n’est pas la baguette magique et que le passeport vaccinal est d’une débilité sans nom

Un autre reconnait même l’inavouable  « A court terme, l’effet positif des vaccins risque de ne pas suffire pour compenser l’impact délétère des variants ».

Nous ne nous en sortirons pas sans le recours aux molécules efficaces qui ont permis à l’Inde de soigner 30 millions de patients et d’avoir six fois moins de décès par million d’habitants de plus de 65 ans…

Au moins 5351 morts suite à la vaccination Covid-19 (maj)

https://cv19.fr/2021/03/06/au-moins-5351-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19/embed/#?secret=EyrUKgkzSh

Depuis le début deux mondes s’affrontent :

« Aucun effet indésirable fatal n’a été confirmé » mais plusieurs milliers de décès sont directement liés à la vaccination …

Comment passer sous silence les statistiques officielles de l’agence européenne

http://www.adrreports.eu/fr/index.html

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LES CAPTURES D’ÉCRAN AU 6 MARS :

Captures ecran au 6 mars: Télécharger

C’est l’information  qui dérange, les vaccins expérimentaux à ARN messagers ne sont pas un long fleuve tranquille. L’accès au site officiel  pour vérifier les remontées est difficile, alors j’ai choisi de fournir les captures d’écran.

Le nombre de cas  rapportés est il sous ou sur évalué ? Étude du rapport sur le Pfizer.

Réponse : tout dépend des pays

Il n’est pas possible que d’un pays à l’autre les effets soient différents et pourtant 40% des cas  rapportés viennent d’Italie et 3% du Royaume uni qui a le plus vacciné . On compte pour le Pfizer 24000 cas d’effets secondaires rapportés en Italie et 8000 en France.

Aucun gouvernement n’a intérêt à majorer le nombre d’effets secondaires, au contraire . La sous évaluation n’est donc pas contestable, si le nombre de cas relevés en Italie est généralisé à toute l’Europe il faudrait multiplier par trois ou quatre le nombre d’effets secondaires réels

Allant également dans le sens de la sous évaluation, le trop faible nombre de cas  enregistrés chez les plus âgés donc plus fragiles. Il semble évident que des effets secondaires associés à une grande fragilité n’ont pas été rapportés mais associés plus à l’état général des malades qu’à la vaccination ;

Plus de 80%  des cas  concernent les moins de 65 ans , ce qui n’est pas normal

Le total officiel est de 90 000 personnes victimes de ces effets secondaires  et de 250 000 cas répertoriés ; une personne pouvant en effet apparaitre deux ou trois fois ( par exemples troubles généraux et problème cardiaques)

Les décès rapportés sont liès au vaccin même si celui-ci n’en est pas obligatoirement la cause unique. Un même décès peut être associéà plusieurs causes. Si nous additionnons les causes signalés  nous doublons ou triplons  le nombre total de décès avoués . Nous obtenons pour le Pfizer 3000 décès reconnus qui n’en sont sans doute que 1500 avoués.

Mais si nous tentons de corriger compte tenu de la sous évalution manifeste il nous faut à nouveau multiplier par trois ou quatre.

Pour le Pfizer le chiffre de 2000 à 5000 décès pour 90 000 cas peut être avancé…




Le Texas mène à la liberté

[Source : Entre La Plume et l’Enclume (plumenclume.org)]

Par Israël Adam Shamir

L’araignée a découvert une guêpe qui s’échappait de sa toile. Elle est furax. Comment ose-t-elle ? La guêpe avait été capturée, ligotée, empoisonnée. Elle était prête à être tuée et dévorée. Et tout à coup, la voici qui se réveille et qui déchire la toile. Espèce de Neandertalienne! s’exclame l’araignée enragée, vous finirez comme les Néandertaliens, bande de dodos, Ruphus Cucullatus éteints pour toujours !

C’est ce que Biden a dit aux habitants du Texas qui ont osé se libérer de son régime de masques. Biden, le roi des morts et son équipe étaient sûrs de tenir le monde sous leur contrôle ; ils avaient prévu de mener l’humanité à la Grande Réinitialisation, à la fin sinistre de l’Homo Sapiens, à la cruelle dystopie des esclaves masqués gouvernés par les algorithmes de Google. Mais les Texans ont changé le cours de l’histoire. Ils ont été immédiatement suivis par le Mississippi, l’Iowa, le Montana et le Dakota du Nord ; les États qui avaient voté pour Trump et pour la liberté.

La population a accueilli avec joie cette décision sage et courageuse, rapporte le Daily Mail :

Oxford, où se trouve Ole Miss, a vu les gens sortir en force, se précipiter au restaurant et envahir les magasins… En Floride, les Spring Breakers ont également abandonné les masques alors que les étudiants, bikini à l’air, s’engouffraient sur les plages et s’entassaient dans les bars de Miami et de Fort Lauderdale pour donner le coup d’envoi à leurs vacances. Et dans l’Idaho, un groupe s’est réuni pour brûler ses masques devant le Capitole pour protester contre les restrictions COVID-19 après que d’autres États aient décidé cette semaine de s’asseoir sur les ordres et de rouvrir à tout bout de champ. Un groupe d’enfants a rejoint les parents, dont plusieurs étaient armés, pour brûler des photos de Joe Biden et de Nancy Pelosi, avant de jeter leurs masques chirurgicaux au feu ».

Les gouverneurs ont condamné Biden pour son injure à Néandertal. C’est pire qu’une insulte : c’était une menace de meurtre pour les électeurs de l’Union européenne, rien de moins. Les Néandertaliens, nos ancêtres intelligents mais peu bavards, ne sont pas morts d’ennui : ils ont été exterminés par leurs cousins plus avancés. Le président américain a même menacé de « nettoyage » son propre peuple, comme les Néandertaliens ont été nettoyés. Avait-il l’intention de semer un nouveau virus à Houston pour atteindre cet objectif ? Ou bien prévoit-il de remplacer les Texans – trumpistes et déplorables – par un flot de nouveaux immigrants d’Amérique latine qui voteront pour Biden ? Pour ce faire, il a déjà ouvert les portes de la frontière mexicaine et rompu les accords que Trump avait conclus avec les Latino-Américains. Le président Trump a longuement commenté ces changements au Comité d’action politique des conservateurs à Orlando, en Floride, mais il n’est pas facile de trouver et de regarder ce discours, car YouTube en a retiré pratiquement toutes les copies qui ont été publiées. (En voici une que j’ai trouvée.) Je pense que la menace de Biden constitue une bonne raison pour déclencher sa destitution, et à défaut, pour faire sécession.

Les actes de bravoure des Texans ont été très bien accueillis. Un vent de liberté a soufflé sur le monde entier. Des Suédois placides et obéissants, récemment contraints au servage par les masques, ont protesté en faisant brûler leurs masques dans le centre de Stockholm. Les Russes ont vu pratiquement toutes leurs restrictions covidiques levées il y a quelques jours ; les théâtres et les églises fonctionnent comme d’habitude à pleine capacité. Même les Israéliens, les esclaves volontaires des Ténèbres (Exode 21:6), ont obtenu quelques jours de liberté relative (à condition d’avoir un passeport vert pour aller boire un verre) et leur aéroport a été rouvert pour un bref interlude après des mois de siège auto-imposé. Néanmoins, ils ont reçu un avertissement: ils vont devoir retourner à leur quatrième confinement dans quelques jours.

Tout le monde n’est pas content que les gens s’échappent de prison. Il faut une certaine chutzpah  pour apprécier la contemplation d’un cimetière, à la place de ce qui était jusqu’à une date récente une ville animée, mais nos seigneurs et supposés maîtres ne manquent pas de chutzpah. Le gang de Davos, la force qui est derrière les pandémies de Covid-19, dans un moment de vérité, a annoncé : « Les confinements sont en train d’améliorer doucement les villes du monde entier ». Vous avez souffert, mais ils ont apprécié !

Ils nous aiment morts. Ou presque morts. Au moins, qu’on reste là où on est au lieu de nous précipiter partout ailleurs. Le virus leur a fourni une excuse ; la prochaine fois, ils utiliseront un autre script au même effet. Le grand quotidien de fausse gauche The Guardian a déjà proposé de verrouiller le monde tous les deux ans.

En fait, les plans de nos supérieurs ne sont pas nouveaux. En septembre 1944, le secrétaire américain au Trésor, Henry Morgenthau, avait proposé de détruire toutes les capacités industrielles de l’Allemagne. Les installations industrielles devaient être détruites, les mines devaient être dévastées et comblées, les experts en production et en fabrication devaient être retirés de force de la région et mis au travail ailleurs. L’Allemagne allait devenir un État féodal agraire, avec un recul de près de mille ans.

Ce serait merveilleux pour les petites Greta tourmentées par le CO2 ! Un seul problème : le plan Morgenthau n’éliminait pas les vaches, les vaches grasses et péteuses. Dans l’Allemagne heureuse et désindustrialisée, il est vrai que peu d’entre elles auraient survécu à la famine de l’après-guerre, mais elles étaient censées continuer à produire de la viande. Ce point avait été amélioré par le coreligionnaire de Morgenthau, Theodore N Kaufmann. Dans son livre L’Allemagne doit périr, il proposait de stériliser tous les Allemands en âge de procréer, ce qui serait sûrement encore mieux que de nous confiner pour l’amour du CO2.

La Grande Réinitialisation, c’est le plan Morgenthau-Kaufmann, étendu au monde entier, et d’abord aux Européens. Les Allemands ont été sauvés de ce sinistre destin par Josef Staline, le dirigeant russe victorieux. Il n’avait aucune animosité envers les Allemands qu’il avait vaincus ; il a explicitement rejeté ces plans de vengeance judéo-américains (vous pouvez le lire dans sa correspondance avec Roosevelt) et il a procédé à la reconstruction de l’Allemagne socialiste avec son excellente industrie et son agriculture. (De nombreux Ossètes regrettent encore le démantèlement de la RDA en 1990.) Les États-Unis n’ont eu d’autre choix que de le suivre avec leur plan Marshall.

Poutine jouera-t-il le rôle de Staline et nous sauvera-t-il du grand Reset? ? Après tout, il n’y a aucun avantage, du point de vue des Resetteurs, à détruire l’Ouest si l’Est reste en sécurité. Ils veulent aller jusqu’au bout, et sauver la Russie pourrait faire avorter le plan. Poutine est un homme rusé, un maître de l’aïkido, art martial japonais qui consiste à utiliser la force de son adversaire contre lui, et il peut parfaitement sécuriser son royaume. Il penche pour les accomodements avec ses adversaires dominants, puis, lorsqu’ils sont sûrs de leur victoire imminente, il introduit un nouvel élément et retourne le jeu à son avantage.

  • Il était apparemment d’accord avec le récit covidique tel que présenté par les maîtres du discours, et au dernier moment, il a produit son vaccin Sputnik-V, annulant tous les gains de l’ennemi. Ils pensaient que la Russie allait les supplier de leur fournir le vaccin, mais il s’est avéré que c’était l’inverse. Aujourd’hui, les Européens, les Tchèques et les Hongrois ainsi que les Vénézuéliens et les Biélorusses font la queue pour obtenir le vaccin russe qui est plus sûr et plus efficace que les vaccins occidentaux. Il a déjà rapporté 25 milliards de dollars, soit plus que les exportations d’armements (11 milliards de dollars). Le vaccin russe est un vaccin traditionnel, sans technologie d’ARNm douteuse, et il fonctionne. Je ne suis pas un fan des vaccins, mais le vaccin russe semble être un moindre mal, car  les Russes ne sont pas armés face à la vaccination.
  • Il était apparemment d’accord avec le programme des Verts, qui était bel et bien destiné à ruiner la Russie, grand producteur de pétrole et de gaz ; et au dernier moment, il a déclaré que la meilleure façon de minimiser le CO2 c’est d’utiliser l’énergie nucléaire du type de celle produite par le Russe RosAtom. A l’heure actuelle, Rosatom possède le plus grand portefeuille de projets de construction de centrales nucléaires à l’étranger, dont 36 unités de production dans 12 pays. L’Inde, la Chine, la Turquie, l’Iran et le Bangladesh sont devenus les principaux clients de Rosatom. Rosatom met en œuvre le projet de construction d’une centrale nucléaire en Finlande, ainsi qu’en Hongrie et en Biélorussie. Poutine a déclaré que revenir au vent et au soleil, ce serait comme retourner vivre à l’âge des cavernes. L’énergie nucléaire est préférable pour l’avenir, alors que le pétrole et le gaz devraient suffire pour le présent.
  • Il était apparemment d’accord avec Davos, il s’est entretenu avec eux de manière polie et affable. Le leitmotiv de Davos 2021 était que la pandémie de coronavirus a changé le monde de manière irrévocable, et a prouvé l’incapacité des Etats-nations à faire face aux problèmes. Les entreprises mondiales devraient prendre le contrôle de la situation et elles le feront, et elles reconstruiront le monde en mieux. Elles préviendront les épidémies et protégeront le climat. Pourquoi devriez-vous conduire des voitures et piloter des avions, polluer l’air avec des émissions et propager des virus – restez chez vous, nous vous dirons tout et vous en montrerons autant sur une télévision intelligente en 3D avec une immersion totale dans la réalité, comme dans Matrix, qui pourrait bien s’avérer être un film prophétique.
  • Seulement voilà, à Davos, pour la première fois, Poutine a déclaré qu’il n’y avait que peu de bénéficiaires de la mondialisation ; lutter contre le virus c’est bien, mais il faut d’abord empêcher les géants de l’informatique de prendre le contrôle du monde. Ce Poutine qui avait la bouche si suave, si peu conflictuelle, et qui soudain atteint un sommet. Lisez donc l’excellent résumé de son discours à Davos par notre ami Mike Whitney, pour comprendre.
  • Une personne plus simplette, comme moi, serait immédiatement en désaccord avec les salauds et plongerait le pays dans une lutte titanesque avec une faible chance de victoire. Mais un Poutine rusé est d’accord pour commencer, et bat ensuite l’adversaire en utilisant sa force. L’ennemi devrait se méfier lorsque Poutine est d’accord avec lui.
  • Pourtant, Poutine n’est pas tout-puissant, même au cœur de Moscou. Si nous voulons retrouver une vie normale, nous ne pouvons pas compter sur la Russie ou la Chine pour nous servir la victoire sur un plat.

En Russie, la montée du régime Biden et le grand Reset ont été bien jaugés par deux hommes, et leurs évaluations diffèrent. L’un considère que c’est une agression contre la Russie, l’autre dit que c’est une agression contre nous tous, et en premier lieu contre les Américains. Le premier est important car il se rapporte à la politique réelle ; le second est encore plus important car il nous parle de notre destinée.

Le premier, c’est un conseiller de haut rang du ministre russe de la défense, Andrei Ilnitsky, dont la puissante apparition au Sénat russe (Federacii soviétique) en décembre de l’année dernière a fait sensation, lorsqu’il a dit ceci: « Klaus Schwab, au nom des multinationales, a déclaré qu’elles ne nous permettraient pas de revenir à un monde pré-Covid. Elles considèrent le Covid comme leur propre projet. Aucun État national indépendant ne sera plus autorisé à exister ; elles dirigeront le monde ». Selon lui, le virus n’est pas particulièrement mortel mais hautement contagieux, de par sa conception; l’idée serait de saper les systèmes de santé comme une ouverture vers quelque chose de pire. Il a maintenant publié deux articles politiques (ici, sur le site du ministère de la Défense, et ici, dans le journal du Parlement , tous deux en russe).

Ilnitsky compare les récentes déclarations des dirigeants et des experts américains avec le discours de Churchill à Fulton (sur le « rideau de fer ») prononcé il y a exactement 75 ans, le 5 mars 1946, le discours qui a lancé la guerre froide. La désobéissance russe au plan Marshall en 1946 et au grand Reset en 2021 s’est heurtée à une rhétorique guerrière, puis à une guerre hybride. C’est une comparaison pertinente. Le régime Biden est extrêmement agressif. Au cours du premier mois de son règne, Biden a déjà tué plus de Syriens que Trump en quatre ans. Il menace l’Iran, la Russie et la Chine, malgré ses déclarations pacifiques. Il a décidé d’annuler le retrait des troupes d’Afghanistan. Et chaque action brutale est accompagnée d’expressions traîtreuses.

Avec l’accès à la présidence de Biden, l’hypocrisie est de retour, en Amérique et sur la planète. Trump était tout sauf hypocrite ; Trump est parti et l’hypocrisie revient en force. Alors que Trump bombardait la Syrie pour le pétrole, Biden massacre les Syriens car « les États-Unis ont le droit de se défendre », et ce afin de « réduire la tension en Syrie ». Trump avait provoqué l’indignation de l’opinion publique américaine progressiste, tandis que Biden la réjouit. Un exemple typique est celui d’Amy Siskind (sur la photo), une lesbienne juive anti-Trumpist SJW, ancienne directrice de Wall Street. Elle a apprécié le bombardement de la Syrie. Elle a tweeté : « C’est tellement différent d’avoir une action militaire sous Biden. Pas de menaces niveau école primaire sur Twitter. Faites confiance à la compétence de Biden et de son équipe ».

La Russie n’avait pas eu afffaire à une équipe aussi agressive que le régime de Biden depuis les années 1950. Si Biden devait bombarder Moscou, il n’oublierait pas de dire qu’il l’a fait au nom de l’égalité des sexes. Mais un bombardement est très peu probable : La Russie est protégée par son système de périmètre « de main morte » dont la réputation égale celle du Dr Folamour. Mais l’ex-ambassadeur américain McFaul, l’amiral Charles Richard et le secrétaire d’État Anthony Blinken ont demandé que l’on fasse pression sur la Russie. Pour Ilnitsky, les plans de Schwab ne sont qu’un prélude à la véritable guerre américaine contre la Russie, à mener tout d’abord dans le cyberespace. Selon Ilnitsky, « la Russie sera confrontée à une dure confrontation avec les États-Unis. Les menaces pour notre pays seront existentielles ».

Pourquoi le régime Biden est-il si agressif ? Pour la même raison que la France révolutionnaire était  agressive. (Avec très peu de succès, l’URSS a également essayé d’être agressive juste après la révolution de 1917). Biden est une façade pour le nouveau régime planétaire des grandes entreprises. Ces régimes ont le sentiment que l’avenir leur appartient, que l’histoire leur donnera raison, et ils n’hésitent pas à imposer leur programme.

La deuxième voix, plus importante, est celle du philosophe politique russe de premier plan, Alexandre Douguine, dont le Manifeste du grand réveil contre le grand Reset (en anglais) vient de sortir, il y a quelques jours, le 3 mars, et a déjà été traduit dans de nombreuses langues. Pour Douguine, la bataille finale à venir ce n’est pas l’Occident contre l’Orient, ni les États-Unis et l’OTAN contre tous les autres, mais les libéraux contre l’humanité – y compris ce segment de l’humanité sur le territoire de l’Occident qui rejette ses propres élites mondialistes.

En un mot, Douguine propose de répondre à leur grande Réinitialisation par notre grand Réveil, par notre reconnaissance d’un terrible danger imminent. La Réinitialisation proclamée par Schwab est en marche depuis la prise de pouvoir aux États-Unis par Biden. L’objectif des Resetteurs n’est pas seulement le confinement tous azimuts, ni le pouvoir, ni notre appauvrissement ; ils visent à détruire totalement l’Homme. Il s’agit de l’étape finale du projet libéral, qui dépouille l’Homme de tous ses liens collectifs. D’abord, ils se sont débarrassés de l’Église, puis de la race, de la nation, de la classe, du sexe.

L’Église en tant que « corps mystique du Christ » a été détruite et remplacée par des clubs de loisirs créés par le libre consentement de la base… Les socialistes, les sociaux-démocrates et les communistes ont contré les libéraux avec des identités de classe, appelant les travailleurs du monde entier à s’unir pour renverser le pouvoir de la bourgeoisie mondiale. … Parallèlement aux communistes, des forces nationalistes extrêmes sont arrivées au pouvoir en Europe occidentale. Elles agissaient au nom de la « nation » ou d’une « race », opposant à nouveau l’individualisme libéral à quelque chose de « commun », un « être collectif ». En utilisant tactiquement la Russie soviétique, le capitalisme a d’abord réussi à traiter avec les régimes fascistes, et ce fut le résultat idéologique de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide qui s’ensuivit entre l’Est et l’Ouest à la fin des années 1980 se termina par une victoire libérale sur les communistes. Voilà comment le projet de libération de l’individu de toute forme d’identité collective est passé par une autre étape.

Après avoir vaincu l’ennemi extérieur, les libéraux ont découvert deux autres formes d’identité collective. Tout d’abord, le genre. Après tout, le genre est aussi quelque chose de collectif : soit masculin, soit féminin. Le genre devait être aboli, comme toutes les autres formes d’identité collective. La migration de masse atomise les populations en Occident en utilisant une idéologie des droits de l’homme qui s’adresse à l’individu sans tenir compte des aspects culturels, religieux, sociaux ou nationaux. Les libéraux n’avaient plus qu’un dernier pas à franchir : abolir les humains. Après tout, l’humain est aussi une identité collective, ce qui signifie qu’il doit être surmonté, aboli, détruit et que les humains doivent être remplacés – certes partiellement – par des cyborgs, des réseaux d’intelligence artificielle et des produits du génie génétique.

Une personne sans religion, sans patrie, sans peuple d’appartenance, et maintenant sans sexe accède à la Singularité, quand elle est en passe de devenir un ordinateur ou une calculatrice parmi d’autres, c’est-à-dire qu’elle cesse d’être. Douguine retrace le chemin du libéralisme depuis le nominalisme – le modèle d’Occam du début du Moyen Âge – jusqu’à Schwab. Or juste avant leur victoire complète, les Resetteurs butent sur un caillou : le grand Réveil, qui est proche.

Le grand Réveil ne concerne pas les élites et les intellectuels, mais le peuple, les masses, le peuple en tant que tel. Ce n’est pas une question d’analyse idéologique. C’est une réaction spontanée des masses qui réalisent soudainement, comme le bétail devant l’abattoir, que leur sort a déjà été décidé par leurs dirigeants et qu’il n’y a plus de place pour les gens à l’avenir. Le Grand Réveil est spontané, largement inconscient, intuitif et aveugle.

La thèse du grand Réveil ne doit pas être hâtivement chargée de détails idéologiques, qu’il s’agisse du conservatisme fondamental, du traditionalisme, de la critique marxiste du capital ou de la protestation anarchiste pour l’amour de la contestation. Le Grand Réveil, c’est quelque chose de plus organique, de plus spontané et en même temps tectonique. C’est ainsi que l’humanité se voit soudainement éclairée par la proximité de sa fin imminente. C’est pourquoi le grand Réveil nous vient de l’intérieur des États-Unis, là où l’obscurité est la plus profonde. C’est un cri qui sort de l’enfer lui-même, de cette zone où le futur noir est déjà là, en partie arrivé.

Douguine croit en la victoire de l’Homme. Nous sommes des alliés – les déplorables Américains, les populistes européens (qui doivent absolument laisser tomber le différend daté entre la gauche et la droite), les pays islamiques : La Turquie et l’Iran, la Chine géante, qui tente de s’élever sur la vague mondiale, mais s’y oppose néanmoins, et conserve son identité civilisationnelle, et enfin la Russie, avec son expérience de l’opposition mondiale à l’hégémonie. Les ennemis sont forts, mais nous sommes encore plus forts, dit-il.

Le pouvoir des mondialistes est basé sur des illusions qu’ils essaient de nous inculquer de façon maniaque. La grande réinitialisation a été proclamée par une poignée de vieux dégénérés au bord de la démence (comme Biden, le méchant ratatiné Soros, ou le gros bourgeois Schwab) et une racaille marginale et perverse. Ils tiennent les bourses et les presses à imprimer ; les escrocs de Wall Street et les drogués à l’inventivité de la Silicon Valley travaillent pour eux. Des agents de renseignement disciplinés et des généraux d’armée obéissants leur sont subordonnés. Mais cela est négligeable par rapport à l’humanité tout entière, aux gens du travail et de la pensée, aux profondeurs des institutions religieuses et à la richesse fondamentale des cultures.

La libération a déjà commencé au Texas. Leur rejet du régime des masques est la preuve que le peuple américain a compris où on veut le mener. Car Praemonitus praemunitus(([1] Ce proverbe est la devise en latin de nombreux corps d’armées dans le monde et notamment aux États-Unis, mais aussi le titre de la deuxième édition américaine des Protocoles des sages de Sion.)) : un homme averti en vaut deux.


Contacter l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: Maria Poumier

Original https://www.unz.com/ishamir/texas-leads-to-freedom/


Note




Un pas de plus au Canada vers l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial — Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

Tel qu’annoncé par le consultant Jean-Claude Larochelle, le 22 février 2021, la députée Julie Dzerowicz a présenté le Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien visant à instaurer un revenu de base national garanti.(([1] Jean-Claude Larochelle : « Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien pour un revenu de base universel ». Bourse technique, 7 mars 2021.)) Comme il est expliqué sur la plateforme UBI Works, c’est la première étape pour le gouvernement canadien afin de créer un revenu de base national en répondant à des questions importantes sur la meilleure façon de le mettre en place et de l’appliquer partout au Canada.

Le Projet de loi C-273 prévoit que la ministre des Finances Chrystia Freeland crée une stratégie nationale pour un revenu de base garanti, en incluant des partenariats potentiels avec les provinces, afin de déterminer la meilleure façon de structurer et de mettre en œuvre un revenu de base. Le projet de loi prévoit de soutenir des recherches spécifiques sur le revenu de base afin de déterminer comment il affecterait l’efficacité du gouvernement, comment il pourrait encourager l’esprit d’entreprise, la création d’emplois et les initiatives civiques dans une nouvelle économie, et comment il impacterait les Canadiens et nos communautés. Le projet de loi prévoit également un ensemble de normes nationales pour guider la conception et la mise en œuvre du revenu de base à travers le Canada.(([2] Chambre des communes du Canada : « Projet de loi C-273 – Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti ». Deuxième session, quarante-troisième législature, 69-70 Elizabeth II, 2020-2021. Première lecture le 22 février 2021. [PDF]))

Julie Dzerowicz s’exprime ainsi dans un communiqué de presse en date du 23 février :

« Le monde du travail est en constante évolution, nombre d’entre eux passant à l’économie des petits boulots de contrats temporaires et à court terme; et d’autres étant touchés par l’effet de l’automatisation et de l’Intelligence Artificielle. Il est important pour notre système de protection sociale de mieux refléter les besoins des Canadiens d’aujourd’hui et de demain et d’être beaucoup plus flexible dans la gestion des changements, des interruptions et des transitions de main-d’œuvre. (…) Alors que le Canada traverse cette pandémie, il planifie le post-COVID avec l’intention de dépenser 70 à 100 milliards de dollars sur trois ans pour relancer l’économie canadienne. C’est le moment idéal pour résoudre les problèmes structurels, tester des idées novatrices et mieux reconstruire nos fondements économiques et sociaux. »

(([3] Jessie Cooke : « La députée Julie Dzerowicz présente le projet de loi d’initiative parlementaire C-273 – Loi instituant une stratégie pour un revenu de base garanti ». Bureau de la députée Julie Dzerowicz, Toronto, 23 février 2021. Courriel: julie.dzerowicz.a2@parl.gc.ca | Tél.: 416-525-1949.))

Le terme revenu de base garanti est parfois utilisé de manière interchangeable avec un revenu vital garanti ou un revenu annuel garanti pour désigner un programme d’assistance sociale conçu pour aider les plus bas revenus de la société à vivre au-dessus du seuil de pauvreté en s’assurant qu’ils ont suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de base de la vie comme la nourriture, les vêtements et le logement. Le revenu de base universel est un autre terme utilisé par ses défenseurs. Ce terme est synonyme de « démogrant », qui englobe un modèle où tout le monde est éligible à un chèque.

La députée libérale Annie Koutrakis a déclaré que s’il y avait quelque chose à apprendre de la pandémie COVID-19, c’est qu’il fallait un programme de revenu de base.(([4] Zi-Ann Lum : « Liberal MP Says Some Cabinet Ministers ‘Very Supportive’ Of Basic Income ». HuffPost, February 25, 2021.))

Le revenu de base est une idée utopique qui remonte à 500 ans et qui a toujours été promue par des Socialistes et des Fabiens de la première heure tels que Charles FourierJohn Stuart MillBertrand RussellGeorge D.H. ColeJames MeadeJames Tobin et John Kenneth Galbraith. Elle est fondée sur l’idée que donner de l’argent à ceux qui vivent dans la pauvreté serait un moyen plus efficace de prévenir le crime qu’en punissant des individus. Floyd Marinescu est le fondateur de UBI Works, un groupe à but non lucratif qui préconise le soutien d’un revenu de base universel. Rejoignant la conférence de presse de Dzerowicz, il a déclaré : 

« Chaque crise est une tendance accélérée. Et ce que COVID nous a montré, en accéléré, aurait pu prendre de cinq à dix ans en termes d’impacts des progrès technologiques sur le marché du travail — ce qui profite à certains, mais en nuit à beaucoup d’autres. »



.

L’auteur de la chaîne Grand Angle, Richard Détente, écrit : 

« Le déclin des pays de l’Occident​ n’est plus à démontrer. Les États-Unis​ et l’Europe​ sont des économies appauvries dont les systèmes politiques sont régulièrement mis à mal par les élans démocratiques des peuples. Les élites d’en haut sont en recherche active de nouvelles stratégies destinées à ré-établir une vision progressiste et solide digne de concurrencer la Chine. » 

(([5] Richard Détente : « Great Reset & Théorie monétaire moderne | Moins de liberté contre un revenu universel ? ». Grand Angle, Youtube, 7 décembre 2020.))

Le soutien au revenu de base a pris un nouvel élan pendant la pandémie avec le déploiement par le gouvernement fédéral de l’Allocation canadienne d’intervention d’urgence (CERB) de 2000 $ par mois comme moyen de fournir de l’argent aux Canadiens dont les moyens de subsistance ont soudainement été touchés par le COVID-19. Ce programme, qui a été exécuté à la fois par l’Agence du revenu du Canada et le système d’assurance-emploi, a versé 81,6 milliards de dollars à 8,9 millions de personnes entre le 15 mars et le 3 octobre, selon les données gouvernementales.

Liliane Held-Khawam écrivait le 3 septembre 2019 sur son site internet : 

« Les néolibéraux d’hier et d’aujourd’hui prônent d’une seule et même voix le revenu universel. Après les taux négatifs confiscatoires, il s’agit donc d’une nouvelle étape du concept néolibéral. Probablement l’ultime avant le reset global. Avant de vous réjouir trop de cette supposée manne, dites-vous bien que quelqu’un va payer cette masse financière. Il s’agira très certainement de nouveaux gages que votre gouvernement et/ou des dirigeants de votre collectivité territoriale vont offrir contre cette création monétaire. A moins qu’il ne s’agisse tout bêtement de la redistribution de votre épargne (y compris assurances-vie, retraites, etc.). Dans tous les cas, la Dépossession entre dans sa dernière phase. »

(([6] Liliane Held-Khawam : « Revenu universel, dernière phase avant le reset global ? Vincent Held ». Publié le 3 septembre 2019.))

L’auteure et économiste écrivait plus récemment :

« A l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale. »

« Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national. Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents “officiels” émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation. Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr. »

« Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods. »

(([7] Liliane Held-Khawam : « Un passeport vert pour un Etat mondial numérisé ». Publié le 5 mars 2021.))

La dernière lubie des ultra-riches, réunis à Davos, est le “Great Reset”, la « grande réinitialisation ». Derrière les démonstrations d’amitié habituelles, c’est un programme mondial pour surveiller et contrôler le monde grâce à la surveillance numérique. Klaus Schwab a annoncé le Great Reset en juin 2020. Selon le journaliste William Kergroach, cela consistera à nous dépouiller de tous nos actifs privés. Le Great Reset propose une identification électronique liée à votre compte bancaire et à vos dossiers de santé, qui finira, tout simplement, par vous dicter votre vie. Mais ils préfèrent nous dire qu’il faut se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise. Il faut les remplacer par du « développement durable » et du « capitalisme des parties prenantes », où l’entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de ses employés autant que de ses clients.

« La réinitialisation affectera tout, du gouvernement, de l’énergie et des finances à l’alimentation, à la médecine, à l’immobilier, à la police, et même aux interactions entre individus. La protection de la vie privée, bien sûr, est un obstacle majeur dans ce plan. C’est pourquoi ils font tout pour nous amener à renoncer à notre vie privée. Le transhumanisme, qui nous “améliorera” avec des machines, permettra également d’orienter nos pensées. Les mondialistes ont déclenché la pandémie covid-19 pour passer outre les oppositions et nous imposer ces réformes. » 

(([8] William Kergroach : « Leur “Great Reset”, c’est quoi ? ». Riposte Laïque, 16 décembre 2020.))

La dissidence est impensable et la soumission à ce système sera obligatoire. Les Chinois expérimentent déjà ce système. On punit, là-bas, un “mauvais” citoyen en bloquant ses accès à certains endroits ou en bloquant son compte bancaire. Dans un article daté du 12 décembre 2020, William Kergroach va jusqu’à écrire : 

« Plutôt que de mettre en place un revenu minimum garanti pour des masses désœuvrées, les élites mondialistes ont décidé de faire diminuer la population mondiale. La covid n’est que le début d’une guerre bactériologique engagée contre l’humanité. On s’attaque aujourd’hui aux plus âgés, demain, on attaquera dans la masse. Pourquoi ? Parce que les ressources de la planète diminuent, parce que l’on aura de moins en moins de travail à donner aux masses, parce que cela coûte cher et que l’alternative consisterait à ce que les plus riches partagent leurs richesses. »

(([9] William Kergroach : « L’avenir est au chômage mondial, sauf si on diminue la population… ». Riposte Laïque, 12 décembre 2020.))

J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma « méritocratique ».

L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total.


Projet de loi C-273 — Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

SOMMAIRE

Le texte prévoit l’obligation pour le ministre des Finances d’établir une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans le cadre de la stratégie du Canada en matière d’innovation et de croissance économique. Il prévoit aussi l’obligation de faire rapport relativement à cette stratégie.

2e session, 43e législature,
69-70 Elizabeth II, 2020-2021

CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

PROJET DE LOI C-273

Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

Préambule

Attendu :

que tous les Canadiens ont le droit de voir leurs besoins essentiels satisfaits, de participer pleinement à la société et de vivre dans la dignité, quel que soit leur statut d’emploi;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à promouvoir ces droits, notamment en réduisant les inégalités de revenu et autres disparités dans les collectivités partout au pays;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à appuyer la main-d’œuvre du 21e siècle grâce à des structures de prestation de programmes et de services qui répondent mieux aux perturbations touchant la main-d’œuvre, ainsi qu’à un système d’aide sociale souple et adaptable;

que le gouvernement du Canada est déterminé à veiller à ce que le système d’aide sociale réponde aux besoins actuels et futurs des Canadiens et à rééquilibrer ses structures de prestation de programmes et de services afin d’optimiser la capacité des Canadiens à innover;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait accroître la capacité de croissance de l’économie et améliorer sa productivité;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait permettre à de nombreux Canadiens d’échapper à la pauvreté et leur offrirait la stabilité dont ils ont besoin pour accéder à des programmes d’études, obtenir des occasions d’emploi et réaliser leur plein potentiel,

Sa Majesté, sur l’avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte :

Titre abrégé

Titre abrégé

1 Loi sur la stratégie nationale sur le revenu de base garanti.

Définition

Définition de ministre

2 Dans la présente loi, ministre s’entend du ministre des Finances.

Stratégie nationale

Établissement de la stratégie

3 (1) Le ministre établit une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti au Canada.

Consultation

(2) Pour établir la stratégie, le ministre consulte le ministre de l’Emploi et du Développement social, le ministre de l’Industrie, les représentants des gouvernements provinciaux responsables de l’emploi et du développement social, les chefs des collectivités et des gouvernements autochtones, les représentants des administrations municipales, des experts en matière de projets pilotes sur le revenu de base garanti, des universitaires et des intervenants clés, y compris des représentants d’organisations qui œuvrent dans les domaines du travail et de l’emploi et de l’entrepreneuriat et de l’innovation.

Contenu

(3) La stratégie comprend des mesures visant :

a) à lancer un projet pilote dans une ou plusieurs provinces afin de mettre à l’essai divers modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti;

b) à créer un cadre de normes nationales pour guider la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans toute province;

c) à appuyer les programmes de recherche qui généreront des données pour guider la conception et la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans chaque province, notamment par voie de collaboration avec des organisations et des institutions internationales qui possèdent de l’expérience en la matière;

d) à recueillir et à analyser des données afin d’évaluer, pour chaque modèle mis à l’essai, les éléments suivants :

(i) l’effet sur l’administration publique, notamment en ce qui concerne l’efficacité, la souplesse, le coût, la pérennité et la capacité d’adaptation des modèles de prestation de programmes et de services, de même que le potentiel d’un programme de revenu de base garanti pour ce qui est de réduire la complexité des programmes sociaux existants ou de les remplacer, de faire reculer la pauvreté et de soutenir la croissance économique,

(ii) l’effet sur les bénéficiaires et leur famille, notamment en ce qui concerne leur qualité de vie, leur santé physique et mentale, leur recours aux services de santé, de même qu’en ce qui concerne la stabilité du logement, le niveau de vie, l’alimentation, l’épargne, l’éducation, les relations sociales et la participation au marché du travail,

(iii) les bienfaits, directs ou indirects, pour le milieu de vie des bénéficiaires, notamment en ce qui concerne l’entrepreneuriat, la création d’emplois et l’action citoyenne;

e) à développer des paramètres permettant de mesurer les effets et bienfaits mentionnés aux sous-alinéas d)‍(i) à (iii).

Accords fédéro-provinciaux

4 Avec l’agrément du gouverneur en conseil, le ministre peut conclure avec le gouvernement d’une province un accord sur la collecte, l’analyse et l’échange de données dans le but de déterminer la meilleure manière de structurer et de mettre en œuvre un programme de revenu de base garanti dans la province.

Rapports au Parlement

Dépôt de la stratégie nationale

5 (1) Dans les deux ans suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le ministre établit un rapport énonçant la stratégie nationale et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.

Publication

(2) Le ministre publie le rapport sur le site Web du ministère des Finances dans les dix jours suivant la date de son dépôt devant les deux chambres du Parlement.

Rapport

6 Dans les deux ans suivant la date du dépôt du rapport visé à l’article 5 devant les deux chambres du Parlement, le ministre établit, en consultation avec les parties mentionnées au paragraphe 3(2), un rapport faisant état des résultats de la mise en œuvre de la stratégie nationale dans chaque province et énonçant ses conclusions et recommandations, et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.



RÉFÉRENCES :



De la démocratie pervertie à la guerre hybride contre les peuples

Par Alain Nicolaï, Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et me mal n’est pas un homme. »

Proverbe touareg, Mali — Niger (Guide de la sagesse africaine, Liliane Prevost et Barnabé Laye, L’Harmattan, Paris/Toronto, 1999, page 180).

Première séquence : la métaphysique

Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre.

Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristote, méta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparaît dès l’origine [source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].

Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :

0 — 1 = Fermé — Ouvert = Non — Oui = Faux — Vrai = Mauvais — Bon

L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.

Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs

La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein : « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. » (Tractacus logico-philosophicus, Ludwig Wittgenstein Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).

Deuxième séquence : la démocratie

Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.

Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple » [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].

Troisième séquence : la république

Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.

République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens. [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].

Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens.

La devise de la République française « Liberté — Égalité — Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.

Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.

À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.

Quatrième séquence : le court-circuitage 

Au niveau mondial et des continents, depuis de nombreuses décennies un important réseau d’instances internationales c’est mis en place : ONU, OMS (qui dépend de l’ONU), OMC, FMI, OTAN, Parlement européen…

Au niveau national, les citoyens élisent leurs représentants. En France en plus des municipales et des régionales, ils votent pour le choix des députés et des députés européens. En votant pour leur candidat, les citoyens pensent que celui-ci sera le meilleur des postulants pour défendre ses intérêts et/ou les intérêts de la collectivité. Le citoyen souhaite donc que son député ait la volonté, l’honnêteté et la capacité de le représenter justement.

Tant au niveau mondial et des continents, qu’au niveau national, toutes ces institutions fonctionnent, on veut bien le croire, démocratiquement, c’est-à-dire dans le sens exclusif du principe : la majorité décide des actions à mener.

Cinquième séquence : la démocratie utilisée comme arme contre les peuples

Un seul exemple parmi une multitude : Parlement européen, le vote du 27 novembre 2014

Ce funeste jour, le Parlement européen a massivement rejeté une motion de censure contre la nouvelle Commission présidée par Jean-Claude Juncker, déposée après les révélations sur le scandale d’évasion fiscale LuxLeaks. La motion, présentée par le groupe EFDD (Europe de la liberté et de la démocratie directe) du leader de l’Ukip britannique Nigel Farage, soutenue par le groupe de la Gauche unitaire européenne — Gauche verte nordique (GUE), a recueilli 101 voix, contre 461 et 88 abstentions.

EFDD (Europe de la liberté et de la démocratie directe) avait lancé la première riposte politique après des révélations fracassantes sur le vaste système d’évasion fiscale au Luxembourg, au profit des multinationales, mis en place sous l’autorité du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, lorsque ce dernier était Premier ministre du Grand-Duché de 1995 à 2013. C’était un système d’accords fiscaux « anticipés », négociés (tax rulings) avec plus de 2300 multinationales. Ces avantages scandaleux faits à l’insu de tous et lésant l’ensemble des contribuables européens avaient permis pendant toutes ces années une évasion fiscale colossale.

En clair, en votant contre, l’écrasante majorité des élus du peuple siégeant au Parlement européen a soutenu Jean-Claude Juncker. Les députés européens lui ont donné leur bénédiction.

Lors de ce vote, les citoyens ont été ignorés et bafoués, eux, à qui l’Europe demandait depuis des années, comme aux états, de se serrer la ceinture. Le Parlement européen a ainsi permis à Juncker de poursuivre tranquillement son mandat, comme si de rien n’était.

https://www.europarl.europa.eu/news/fr/press-room/20141121IPR79864/la-motion-de-censure-contre-la-commission-rejetee-par-une-large-majorite

Mais ce n’est pas tout, cet énorme scandale qui aurait du faire pendant longtemps les unes de la presse, et provoquer une révolution, a été étouffé par les médias dominants et par l’essentiel de la classe politique.

Encore une information cachée qui montre bien qu’ils se foutent de vous :

http://www.profession-gendarme.com/lunion-europeenne-sest-couchee-devant-les-labos-pharmaceutiques-whaouuuu-quelle-video/

combien d’autres ?

Sixième séquence : la guerre hybride contre les peuples

Les faits par Olivier Piacentini, diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris section économie et finances :

https://nouveau-monde.ca/fr/strategie-financiere-et-great-reset/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/strategie-financiere-et-great-reset/

Les faits par Philippe Herlin, Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) :

https://nouveau-monde.ca/fr/grand-reset-on-assiste-a-un-transfert-de-richesses-qui-est-voulu-par-ceux-qui-nous-dirigent/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/grand-reset-on-assiste-a-un-transfert-de-richesses-qui-est-voulu-par-ceux-qui-nous-dirigent/

Les faits par Grégory Mannarino, Trader :

https://nouveau-monde.ca/fr/gregory-mannarino-le-virus-est-un-leurre-les-banques-centrales-veulent-tout-posseder-la-classe-moyenne-est-laminee-nous-vivons-dans-lillusion-reveillez-vous/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/gregory-mannarino-le-virus-est-un-leurre-les-banques-centrales-veulent-tout-posseder-la-classe-moyenne-est-laminee-nous-vivons-dans-lillusion-reveillez-vous/

L’analyse de l’ouvrage The Great Reset du président du Forum de Davos par des journalistes du Guardian :

https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset=
Version française :
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

L’analyse de l’Agenda 2030 des Nations Unies, version intégrale non expurgée par Liliane Held Khawam  :

Vaccination :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/

https://nouveau-monde.ca/fr/comprendre-les-specificites-de-la-vaccination-anti-covid19/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/comprendre-les-specificites-de-la-vaccination-anti-covid19/

Septième séquence : censure, désinformation, manipulation, terreur sanitaire… les autres armes de la guerre contre les peuples

Le savez-vous ?

France :

https://nouveau-monde.ca/fr/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/

https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Collectif « laissons les médecins prescrire » : la liste des 30.000 médecins engagés ! – Le Libre Penseur

Russie :

https://nouveau-monde.ca/fr/devant-le-conseil-des-droits-de-lhomme-de-lonu-moscou-denonce-la-manipulation-de-lopinion-et-la-censure-des-points-de-vue-alternatifs/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/devant-le-conseil-des-droits-de-lhomme-de-lonu-moscou-denonce-la-manipulation-de-lopinion-et-la-censure-des-points-de-vue-alternatifs/

https://nouveau-monde.ca/fr/la-russie-contre-le-passeport-vaccinal-voulu-par-lunion-europeenne/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-russie-contre-le-passeport-vaccinal-voulu-par-lunion-europeenne/

Chine (le pompon) :

22 septembre 2020, question du journaliste de BFMTV lors de la conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France :

BFMTV: vous avez réaffirmé tout à l’heure que la Chine a vaincu l’épidémie de Covid-19. Quels conseils la Chine peut donc apporter à la France? Certains spécialistes s’inquiètent que l’épidémie reparte à la hausse, que les chiffres repartent à la hausse. Quels conseils la Chine peut donner à la France pour vaincre elle aussi l’épidémie, par exemple en matière de dépistage ?

Lu Shaye : effectivement, la Chine a bien réussi à maîtriser l’épidémie de Covid-19. Et maintenant, la Chine ne compte plus de cas locaux. On compte seulement quelques dizaines de cas importés chaque jour. Je n’ai pas de conseil à donner à la France. Les Chinois n’ont pas l’habitude de donner des leçons aux autres pays.

L’intégralité de la conférence de presse, la fin de l’épidémie et le retour à la normale en Chine grâce à ce lien : 
http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm 
D’autres infos sur le site de l’Ambassade de Chine en France…

Les dissidents de l’ONU se réveillent

https://nouveau-monde.ca/fr/info-verifiee-la-pandemie-est-utilisee-comme-un-pretexte-selon-lonu/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/info-verifiee-la-pandemie-est-utilisee-comme-un-pretexte-selon-lonu/

Pendant que vous dormez, la Russie et la Chine avancent… vous l’aurez deux fois dans l’os ! 

Deux éléments supplémentaires pour une conclusion qui s’impose

Le mépris absolu : 

https://www.businessbourse.com/2021/03/06/reponse-demmanuel-macron-a-une-femme-desesperee-et-a-bout-je-ne-suis-pas-la-pour-passer-vos-humeurs-trouvez-vous-quelquun-dautre/

« Le plus con des veaux est celui qui court après le boucher. »

.

.

Alain Nicolaï, Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)




Vaccins anticovid expérimentaux : essai thérapeutique déjà responsable de 2500 décès en UE

Par Dr Nicole Delépine*

Il paraît que des gens font la queue pour se faire vacciner après avoir fait la queue pour pratiquer un test PCR (non fiable et poursuivi en justice) (([1] COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) (([2] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) (([3] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques (nicoledelepine.fr) )), comme, paraît-il, les personnes juives firent la queue pour récupérer l’étoile jaune et se faire lister. Pourquoi l’homme se précipite-t-il au-devant des catastrophes ? Quel est cet instinct grégaire que nous évoquions récemment(([4] Sortir de l’instinct grégaire, N delepine, Nouveau-monde.ca)) pour tenter de comprendre, au-delà de la perversion sadique du pouvoir, qui amène un grand nombre d’entre nous à obéir, voire à aller au-devant du danger.

Le passeport sanitaire, une menace peu crédible pour l’instant

La menace du passeport sanitaire semble précipiter de nombreux réticents vers l’acceptation du vaccin pour pouvoir « voyager », etc. Mais nous n’en sommes pas là, le pouvoir teste nos réactions. Et de toute façon, il n’a pas résolu les problèmes d’approvisionnement, d’efficacité et sera bien obligé, à plus ou moins moyen terme, de stopper ces vaccins géniques et autres dont le nombre de décès et d’ accidents précoces dépasse toutes les craintes. Et c’est sans compter sur les décès possibles à moyen terme dans quelques mois qu’annoncent des généticiens spécialistes des virus ARN.(([5] Faire un #COVID vaccinal n’est pas une bonne chose ! 100 000 évènements dont 2500 décès en Europe | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Dans l’immédiat, le problème du passeport vaccinal ne se pose qu’en théorie. Mais soulignons l’importance de ne pas céder à la panique, à la pression des amis, des généralistes, de la pub à la télévision ou sur les panneaux publicitaires (illégaux pour ce médicament remboursé). Ne pas aller vous jeter dans la gueule du loup et en croyant sauver votre peau et en vous exposant aux effets secondaires et parfois la mort surtout chez les plus âgés fragiles et en particulier les centenaires. D’autant que tant qu’on sera officiellement en démocratie, il sera bien difficile au pouvoir d’imposer une obligation pour un médicament en essai thérapeutique. Ils menaceront, mais avant d’avouer ressembler à Mengele et aux autres médecins nazis, il y a une petite marge pour que nous tous réagissions (([6] https://docteur.nicoledelepine.fr/vaccins-obligatoires-et-ethique-medicale-quest-devenue-la-reference-au-code-de-nuremberg-dans-la-loi-soumise-au-parlement-en-novembre-2017/)) (([7] https://michelledastier.com/opposer-le-code-de-nuremberg-a-lobligation-vaccinale/))

Attention à nos aînés, ne les précipitons pas vers le tombeau

Chacun, même un petit enfant peut sentir que son arrière – arrière-grand-mère est fragile, même si elle va bien. Quelle idée de vacciner tous les doyens de département malgré l’alerte internationale lancée par l’agence sanitaire norvégienne ! Une course à la mort qui a déjà éliminé les doyens de nombreux départements comme Camille Lehoux, doyen des Bretons(([8] https://www.breizh-info.com/2021/02/04/158476/necrologie-le-doyen-de-la-bretagne-sest-eteint-4-jours-apres-setre-fait-vacciner-contre-le-covid-19/)), Marie-Claudine Fourrier doyenne de Saône-et-Loire(([9] https://www.lejsl.com/societe/2021/02/03/a-110-ans-la-doyenne-de-la-saone-et-loire-nous-a-quittes#))?

Essai phase 3 des vaccins utilisés en France (([10] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363))

Cette thérapie génique et les autres vaccins mis sur le marché sur AMM conditionnelle (c’est-à-dire sans résultats des essais thérapeutiques habituellement exigés) sont donc en cours d’essai de phase 3 ; ils entraînent des effets secondaires précoces qui devraient dissuader les plus demandeurs. S’ils ne le savent pas. Informez-les.

En France, tout va bien dans le meilleur des mondes. En 1938, on croyait trouver un arrangement avec Hitler. Le 6 mai 1986, un communiqué du ministère de l’Agriculture affirmait : « le territoire français », en raison de son éloignement, a été totalement épargné par les retombées de radionucléides consécutives à l’accident de Tchernobyl ». D’après l’agence du médicament, le Vioxx qui a fait plus de 30000 morts aux USA n’aurait tué personne chez nous. Ainsi va la France de déni en négation et en chute libre. (Une des seules choses qui reste libre aujourd’hui.)

En France, il est difficile d’avoir une idée exacte des complications des médicaments et encore plus des vaccins, car l’ANSM agence du médicament tarde à retenir comme liés aux vaccins beaucoup d’incidents. Restent les articles de journaux (([11] La presse de la Manche Covid-19. Dans la Manche, des soignants malades après l’injection du vaccin Astra Zeneca 11 février 2021)) (([12] La dépêche Covid-19 : des soignants bretons victimes de nombreux effets secondaires après le vaccin Astra Zeneca 12 février 2021)) (([13] BFM Covid-19 : face aux effets secondaires, le vaccin Astra Zeneca très critiqué par les soignants 17/2/2021)) qui informent sur tel ou tel hôpital qui stoppe ou étale la vaccination de son personnel, car les services sont désorganisés quand 25 à 50 % du personnel vacciné est au tapis, en arrêt de travail. Informations confirmées par l’agence du médicament qui a recommandé de vacciner « de façon échelonnée le personnel d’un même service ». Certes, le gouvernement clame qu’il ne s’agit que de troubles transitoires et pas graves, mais avouez que ce phénomène en soi est déjà très inhabituel et dissuasif.

Des témoignages sur les réseaux sociaux de telle aide-soignante en EHPAD, établissement que le covid avait épargné et qui a perdu 4 résidents dans les cinq jours suivant le vaccin. Pas de chance, ils étaient vieux et fragiles, ce qui est vrai, mais ils étaient vivants et en forme. Elle se dit anéantie comme de nombreuses autres sur tweeter ou FB.

Hasard ou nécessité ? Pour qui ?

Informations de l’Agence européenne Eudravigilance.

Statistiques officielles vérifiables par tous

Réveillez-vous : le ministre a osé interdire l’usage de la chloroquine utilisé depuis 70 ans sans prescription, et fait traîner l’accord pour l’ivermectine antiparasitaire complètement anodin, mais accepte de poursuivre une campagne de vaccination expérimentale, alors que l’UE aux dires même de son agence avoue déjà 2500 morts reconnus en lien avec le vaccin.

L’hystérie collective si bien créée et entretenue par le gouvernement et la censure dans les médias des opposants à sa politique depuis un an peut seule expliquer la sidération ambiante qui empêche d’hurler tout un chacun pour que stoppe cette expérimentation à grande échelle, manifestement un échec.

Presque 2500 morts officiels et le silence médiatique et politique. Pas d’infos dans les conférences de presse du Premier ministre ou d’O. Véran…

En tous cas, prudence !

Si vous souhaitez vraiment vous faire vacciner, assurez-vous ne pas être malade, de ne pas avoir eu le covid récemment et restez en quarantaine avant la deuxième injection.

La vaccination est un acte médical qui suppose de nombreuses précautions, interrogatoire, examen clinique qui passent en pertes et profits quand on rend cet acte banal et en n’avertissant pas des personnes mises en danger. La vaccination par des non-médecins prônée pour ce week-end de mars par le gouvernement montre que ce qu’est l’acte médical dont la vaccination est un exemple oublié par les dirigeants, mais aussi par ceux qui vont accepter la piqûre sans examen clinique ni entretien. La médecine en agonie.

Le modèle américain de la santé a failli, avant la crise du covid l’espérance de vie (77,8 ans) y est inférieure à celle de Cuba (79.92 ans), et comparable à celle de l’Algérie (77,2) …

La toute-puissance de Big Pharma, la disparition des médecins qui soignent, les études randomisées à la place de traitements connus actifs à trois sous, tout cela se paiera en millions d’années de vie perdues.

Risquer de modifier l’ADN des générations futures

ne pose apparemment pas de problème éthique ni moral aux militants du climat … Comment peuvent-ils être plus intéressés par la santé de la planète que par celle de l’espèce humaine ? Personne ne sait ce que pourraient être les modifications génétiques transgénérationnelles et on ose nous faire la leçon sur le pétrole tout en consommant le lithium extrait par des enfants pour nos voitures électriques.

Il faut espérer que la folie vaccinale cesse avant qu’une trop grande partie de la population ait reçu cette thérapie, pour que l’impact générationnel reste limité. Informons un maximum. C’est là notre seule arme contre ce désastre annoncé.

Les décès liés au vaccin, mais aussi les effets secondaires

Pour beaucoup, les effets secondaires seraient comparables à la maladie, nommés covid vaccinal.
L’agence européenne centralise les effets secondaires jugés suffisamment graves pour être remontés. À ce jour nous sommes à près de 2500 décès et 100 000 évènements pour toute l’UE. http://www.adrreports.eu/fr/index.html

Le plus dangereux, mais également le plus utilisé, serait le vaccin de Pfizer–BioNTech (Tozinaméran nom de code BNT162b2, vendu sous la marque Comirnaty) avec 78000 évènements et 2000 décès au 27/2/2021.

Astra Zeneca (CHADOX1 NCOV-19) fait une arrivée tonitruante avec 13983 évènements et plus de 200 décès et va être imposé (si le personnel est soumis) aux soignants de l’Est alors que refusé par l’Afrique du Sud …

Moderna (CX-024414) fait son entrée dans la liste avec 3,266 évènements graves au 27/02/2021.

Rappelons à tous les futurs vaccinés qu’ils sont libres d’être cobayes, mais que ces vaccins sont en phase d’essai thérapeutique et que l’obligation est un leurre qui ne pourra résister aux nombreux avocats qui se penchent en France et à l’étranger sur cette thérapie génique expérimentale. Nous ne sommes pas encore au temps de Mengele et des médecins nazis. Faisons le nécessaire tous ensemble pour ne pas en arriver là.


[*] Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France




La Russie contre le passeport vaccinal voulu par l’Union Européenne

[Source : Médias-Presse.Info]

Par Francesca de Villasmundo

Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a témoigné, lors d’une conférence de presse à l’issue de sa rencontre avec le ministre des Affaires étrangères d’Ouzbékistan, de l’opposition de la Russie au passeport vert vaccinal que l’Union Européenne veut imposer : « La mise en place du passeport vaccinal dans l’UE remettrait en cause le principe du volontariat de la vaccination » a-t-il déclaré hier mardi après l’annonce faite par la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, d’une proposition législative visant à instaurer un Digital Green Pass.

« À ce que je comprends, a souligné Lavrov, il s’agit d’une idée qui est encore en développement. Selon nos collègues en Europe, elle suscite une attitude contradictoire dans les pays européens et ce projet de la bureaucratie bruxelloise est pris au sérieux. Beaucoup s’expriment de la façon suivante: il s’avère que ce projet est contraire aux règles de la bureaucratie car les pays de l’Union européenne ont décidé que la vaccination est une affaire bénévole. »

« Cela veut dire que les gens y seront forcés s’ils veulent se déplacer et en Europe la population envisage mal sa vie sans se déplacer entre les pays de l’Union européenne», a ajouté le ministre.

L’introduction de passeports covid sur le territoire de l’Union européenne serait en contradiction avec le principe de la vaccination volontaire, a déclaré Lavrov: http://go.tass.ru/QeIY

Se faisant l’écho du bien commun des Russes, Sergueï Lavrov a indiqué que la Russie, qui ne tombe pas dans la dérive totalitaire du covid, a informé les collègues de l’UE qu’elle compte sur des décisions qui ne discrimineront pas les Russes.

Quant aux Européens qui ne se feront pas vacciner, les technocrates et politiciens européens n’ayant aucun respect pour leur liberté de choix, ils risquent fort bien d’être  les seuls discriminés dans l’affaire, car on image mal cette même Union Européenne imposer le passeport vaccinal aux clandestins, immigrés, réfugiés, et autres extra-communautaires désirant venir chez nous comme s’ils étaient chez eux…

Francesca de Villasmundo




Irresponsabilité spatiale ? Starlink, le plan géant d’Elon Musk pour occuper l’espace

[Source : reporterre.net]

Starlink, le plan géant d’Elon Musk pour occuper l’espace

ENQUÊTE 1/3 — Le projet du milliardaire Elon Musk se concrétise. Son offre d’une connexion haut-débit à internet sur toute la planète via une constellation de satellites est déjà en fonctionnement aux États-Unis. Et ses antennes domestiques sont désormais disponibles en France en précommande.

550 kilomètres nous séparent des premiers satellites de SpaceX, la société d’Elon Musk. En plus de les voir rayonner parmi les vraies étoiles de notre ciel une fois la nuit tombée, les 12.000 satellites prévus à terme vont pouvoir transmettre une connexion haut débit en France et en Europe à partir du milieu de l’année 2021.

Les précommandes pour la version bêta sont déjà disponibles sur le site de SpaceX pour s’offrir l’antenne, de la taille «d’une pizza médium», qui recevra le signal des satellites et permettra une connexion internet. Le prix du forfait est pour l’instant «la principale préoccupation» d’Elon Musk puisqu’il serait d’environ 82 euros par mois (99 dollars). Il faut ajouter à cela plus de 410 euros pour le kit Starlink, qui comprend un trépied de montage, un routeur Wifi et un terminal pour se connecter aux satellites. Une application mobile permet de choisir le meilleur angle et la meilleure position pour l’antenne.

Un acompte est demandé pour la précommande, qui sera ensuite déduit des 410 euros à payer pour le kit.

L’Arcep, l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse, a donné son feu vert à Starlink le 9 février, pour exploiter les fréquences qui transmettront le signal du satellite à l’antenne domestique.

Comment ça marche?

Concrètement, si on lance une recherche internet via Starlink, l’information sera envoyée au routeur Wifi, puis à l’antenne domestique placée sur le toit ou le balcon. Cette antenne dirigée vers le ciel va envoyer l’information au satellite le plus proche, qui va lui-même envoyer l’information à une station au sol pour la connexion. L’information va ensuite effectuer le chemin inverse jusqu’au routeur Wifi de l’utilisateur.

Ce projet hors-norme fait appel à une technologie qui n’est pas nouvelle. Se connecter à internet par satellite est possible depuis la fin des années 1990. Les bateaux, les avions, les trains ou les zones très reculées sont pourvus de l’internet satellitaire depuis de nombreuses années pour permettre un accès à haut débit indépendamment des antennes terrestres. Au milieu de l’océan Pacifique par exemple, un navigateur peut avoir accès à une connexion en envoyant sa requête au satellite le plus proche, plutôt qu’à une antenne terrestre inaccessible.

Un nombre de satellites inédit

Les fournisseurs d’internet par satellite, comme NordNet en France, proposent ce genre de services. Ce qui différencie le projet Starlink de ce qui existe, c’est avant tout le nombre de satellites et l’ampleur des infrastructures. NordNet, qui appartient au groupe Orange, utilise un seul satellite en orbite géostationnaire (qui ne bouge pas) à 36.000 km d’altitude ce qui lui permet de couvrir une zone très large. La latence — la durée que prend l’information pour aller jusqu’au satellite — et le ping — la durée du voyage aller-retour —, sont bien plus longs que ce qu’annonce l’offre de Starlink.

La société Iridium propose quant à elle une couverture mondiale avec quatre-vingt-dix satellites en orbite basse. Cette constellation s’approche de celle d’Elon Musk mais à une échelle bien plus minime puisque le milliardaire étasunien prévoit d’envoyer 12.000 satellites. «C’est une technologie révolutionnaire dans le sens où c’est la première fois qu’il existe une constellation suffisamment maillée pour que les satellites puissent communiquer entre eux», confirme Christophe Bonnal, chercheur au Cnes, le Centre national d’études spatiales.

Pour Daniele Pitrolo, président de franciliens.net, une association qui fournit un accès au réseau et œuvre pour un internet neutre et transparent, «la connexion satellitaire, c’est un fantasme dans le milieu des bidouilleurs et des informaticiens depuis des décennies!»

Des performances prometteuses…

Pour l’instant la version test, baptisée «Better than nothing» («Mieux que rien»), de Starlink est loin des objectifs annoncés par Elon Musk, mais n’est pas non plus ridicule. Les quelque 10.000 utilisateurs aux États-Unis déjà connectés au service notent un débit de 100 Mb/s en moyenne et une latence d’environ 40 millisecondes.

Ce sont ces performances que peuvent attendre les premiers utilisateurs français entre le milieu et la fin de l’année 2021. La fibre optique, disponible avec les opérateurs classiques demeure cependant encore loin devant avec un débit pouvant aller jusqu’à 1 Gb/s et 17 ms de latence.

Starlink développe également la transmission laser entre ses satellites pour que l’information circule plus vite. Cette technique permettrait à sa constellation d’être encore plus indépendante des structures terrestres et améliorerait le temps de latence.

…et vouées à s’améliorer

Sur le site web communautaire Reddit, des ingénieurs de SpaceX répondent durant des heures à certains utilisateurs étasuniens et se montrent confiants dans l’amélioration du service. «Nous nous mettons au défi chaque jour de pousser Starlink vers les limites fondamentales de la physique. Les satellites Starlink actuels fonctionnent à 550 km, et le temps de trajets vers la terre est de 1,8 milliseconde avec la vitesse de la lumière. Le trajet aller-retour entre votre maison et un serveur de jeu est au mieux de 4 fois 1,8 milliseconde à ces altitudes, soit moins de 8 millisecondes. […] On va travailler pour s’approcher de ce ping.»

Cette vitesse peut également varier en fonction de la météo et des fréquences utilisées. Pour Daniele Pitrolo, c’est la faille majeure de cette technologie. 

«La connexion par satellite n’est pas aussi stable que la fibre ou le câble. Vous devez communiquer avec un objet extérieur à la terre via un signal qui peut être perturbé par tout ce qui passe devant. Cela fonctionne moins bien quand il y a beaucoup de brouillard, par exemple.»

Selon un sondage du service de consommateurs Reviews.org, 51% des Étasuniens disent vouloir souscrire à l’offre de Starlink, et 55% se disent prêt à changer d’opérateur internet si la connexion est plus rapide. Reviews.org rappelle que la vitesse de connexion moyenne aux États-Unis est de 57,2 mégabits par seconde alors que Starlink propose une vitesse d’environ 103,1 Mb/s.

Un village dans la Manche s’oppose à Starlink

Annoncé pour la première fois en 2015, le projet semble se concrétiser en France à la surprise générale, sans informations précises quant à l’utilisation des antennes domestiques. Mardi 16 février, soixante nouveaux satellites ont été déployés par SpaceX. Avec 1.145 satellites, Starlink constitue désormais la constellation la plus importante de l’histoire de l’aéronautique.

Au début de l’année, la mairie de Saint-Senier-de-Beuvron, dans la Manche, a refusé l’installation de neuf antennes relais Starlink. Le manque d’informations et de garanties a poussé les élus de la commune de 350 habitants à se montrer méfiants.

La municipalité a transmis à Reporterre les documents justifiant l’installation de ces antennes. «On a sollicité différentes analyses, ils nous ont renvoyé des documents en anglais, avec des normes étasuniennes. Nous, on n’acceptera pas d’antenne si on n’a pas des documents qui justifient la non-dangerosité d’une telle installation avec des normes françaises», justifie Valentin Quéhin, le secrétaire de mairie.

Une puissance comparable aux antennes des camions de télévision

Pourtant une autorisation avait été délivrée par l’Arcep en décembre dernier. «On n’a pas d’inquiétude sur ces antennes terrestres. Sur cet équipement, la puissance est à peu près équivalente à des antennes dont disposent les camions de télévision», assure Gilles Brégant, directeur général de l’Agence nationale des fréquences (ANFR), qui veille au respect des valeurs limites d’exposition aux ondes électromagnétiques. D’autres antennes de ce type sont prévues à Gravelines, dans le Nord, et une est déjà installée à Villenave-d’Ornon, juste à côté de Bordeaux (Gironde).

C’est Starlink France SARL, visiblement la filiale française du groupe étasunien, qui a fait la demande d’autorisation à l’Arcep. Starlink France est dirigé par David Anderman, avocat général de SpaceX, et Lauren Dreyer, directrice des ressources humaines de la même société, tous les deux Étasuniens. Le siège social de la filiale, qui se situe dans une rue parallèle aux Champs-Élysées, n’est pas en ébullition. Le rez-de-chaussée est tenu par un ancien magasin de déblocage et de réparation de téléphones «Clope and Phone», et les locaux sont indiqués comme étant à louer. Impossible de s’entretenir avec un interlocuteur physique. Même en ligne, aucune adresse électronique ou numéro français n’est disponible pour échanger. La société Sipartech, qui collabore avec Starlink France SARL pour la mise en place des antennes, n’est pas plus renseignée. «On a un accord de confidentialité avec eux, mais pour tout vous dire, je n’ai pas de contact direct ni de mail», affirme la directrice de la communication de Sipartech.

L’adresse du siège social de Starlink France à Paris.

Cette absence d’interlocuteur contraste avec la surmédiatisation et l’incarnation du projet par Elon Musk. Toutes les informations quant à l’utilisation du service doivent être glanées sur des forums ou des sites spécialisés. Sur le site Reddit, un utilisateur demande : «Y a-t-il un service client ou quoi que ce soit? Je voudrais parler à un humain avant d’acheter. J’ai de nombreuses questions.»

«On ne peut pas prendre Elon Musk au sérieux, il est fou!»

Le manque d’informations que constate la mairie de Saint-Senier-de-Beuvron et certains utilisateurs vient sans doute du fait que même les autorités de régulation françaises ont été prises de court. Sophie Pelletier est présidente de l’association Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques) et elle est membre du Comité national de dialogue des fréquences, qui réunit des chercheurs, des scientifiques et des membres des différentes autorités de régulation comme l’Arcep ou l’ANFR.

«Ça fait au moins deux ans qu’on questionne les membres du comité de dialogue là-dessus. On nous répond : “On ne peut pas prendre Elon Musk au sérieux, il est fou! Il fait beaucoup d’annonces et il n’y en a aucune qui se concrétise!” Finalement, maintenant que cela arrive en France, j’ai l’impression d’être la gamine qui criait au loup et que personne ne croit.»

Pour le déploiement de la 4G et de la 5G, les autorités de régulation françaises demandent aux opérateurs de nombreux justificatifs. Des études sont menées en parallèle sur l’exposition aux champs électromagnétiques, l’utilité du projet ou encore sur le coût environnemental par le Haut Conseil pour le climat.

Pour Starlink, c’est autre chose. Les satellites sont envoyés depuis les États-Unis et la régulation ne semble pas ou très peu s’appliquer dans l’espace. Elon Musk peut envoyer des satellites et les faire graviter au-dessus de l’Hexagone sans réel contrôle préalable. Plusieurs milliers, qui plus est, qui émettent en permanence des ondes électromagnétiques vers le sol français.


Avec Starlink, Elon Musk innove dans la pollution

ENQUÊTE 2/3 — Avec l’envoi envisagé de 42.000 engins dans l’espace, dont 12.000 en orbite constante, l’offre de réseau internet haut-débit par satellite d’Elon Musk enserre la Terre. Cette profusion d’objets produit une énorme pollution lumineuse dans l’espace et met également en danger l’environnement terrestre.

«La 5G a au moins le mérite d’avoir fait émerger les problématiques climatique et énergétique, mais là, avec Starlink, on balance 42.000 satellites dans l’espace dans l’indifférence générale.» 

La question écologique n’est certes pas la première interrogation lorsqu’on évoque le projet Starlink. Mais Sophie Pelletier, présidente de Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), tente d’obtenir des informations sur ce projet depuis plusieurs années.

Elle fait partie du Comité national de dialogue des fréquences, qui réunit plusieurs experts et scientifiques du secteur des télécommunications. Reporterre a eu accès aux comptes-rendus de ces comités depuis 2018, qui réunissent notamment les autorités de régulations françaises comme l’Agence nationale des fréquences (ANFR) et l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep). Les questions de Sophie Pelletier butent régulièrement sur la méconnaissance du projet Starlink par ces régulateurs et sur ses potentiels conséquences environnementales et sanitaires.

Durant une séance du Comité de dialogue en 2019, un participant s’exclamait : 

«Il faudra bien un jour demander à tous ces organismes qui travaillent dans les développements technologiques qu’avant de multiplier les satellites, il faut se poser la question de la répercussion de leurs inventions sur nos organismes humains, sur les animaux et sur la biodiversité.»

Un lot de soixante satellites Starlink encore attachés à leur fusée, sur le point d’être mis en orbite.

Le coût écologique du projet Starlink n’est pas chiffré, mais on peut estimer que notre consommation de données numériques et d’objets connectés pourrait exploser. Elon Musk a d’ailleurs annoncé, lors d’une conférence le 9 mars 2020, que «les clients pourront regarder des films en haute définition, jouer à des jeux vidéo et faire tout ce qu’ils veulent», et tout cela «avec des performances qui dépassent celles d’internet par satellite traditionnel avec un réseau mondial sans limite d’infrastructure au sol», peut-on lire sur le site de Starlink.

Selon un rapport de France Stratégie d’octobre 2020, la consommation globale du numérique a augmenté de 50% entre 2013 et 2017. De plus, «l’adjonction d’une fonction de connexion à une multitude d’objets devrait avoir une incidence sur l’évolution de la consommation globale du numérique», peut-on lire dans le rapport. L’Ademe (Agence de la transition écologique) souligne que le secteur informatique est responsable aujourd’hui de 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Des millions d’antennes à venir

Pour réceptionner le signal des satellites, Elon Musk va devoir s’atteler à la construction de millions d’antennes domestiques. Dix mille Étasuniens en sont déjà pourvus, et la moitié du pays se dit déjà prête à basculer vers cette nouvelle offre. Ces antennes ne seront pas produites aux États-Unis mais seront «Made in Taiwan». Elles devront bien entendu être alimentées constamment en électricité chez le client. Ce qui signifie une consommation nouvelle de matières premières et tout autant de déchets à venir.

SpaceX continue aussi de produire des satellites à un rythme industriel, environ 120 par mois. Elle les envoie ensuite en orbite par lots, à des coûts relativement bas puisque l’entreprise réutilise ses propres lanceurs spatiaux. Ces satellites pèsent 227 kilogrammes chacun pour une taille équivalente à celle d’une grosse machine à laver.

Au total, le patron de Tesla souhaite produire 42.000 satellites, du jamais-vu dans l’histoire de l’aéronautique. Là-encore, la prédation en ressources terrestres et en énergie pour produire des millions de composants pourrait être gigantesque.

Un train de satellites dans le ciel

L’autre pollution générée par Starlink est celle de l’espace. Les satellites nouvellement envoyés sont régulièrement visibles dans le ciel nocturne. En effet, lors de la première phase de la mise en orbite, les engins se suivent et forment une ligne de points lumineux très visibles avant de se disperser et de rejoindre leur orbite finale.

Ce phénomène inédit a entraîné une levée de boucliers des astronomes et des amoureux de l’espace, qui voient leur instrument de travail ou plaisir visuel, le ciel, irrémédiablement dégradé.

Cliché à 333 secondes d’exposition du téléscope Blanco (4 mètres) du CTIO, les lignes sont issues de la pollution lumineuse des satellites Starlink.

«Les objets célestes étudiés par les astrophysiciens sont très peu lumineux, toute autre source de lumière peut être une gêne considérable. Cela les oblige à s’éloigner des zones urbaines et de la pollution lumineuse pour observer le ciel , dit à Reporterre Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay.  Avec les satellites Starlink, surtout à leur lancement quand ils sont encore relativement groupés, ils forment des traînées lumineuses qui polluent toutes les observations ou photos du ciel et qui rend impossible le travail des astronomes», déplore-t-il. Vouloir observer des objets célestes à ce moment-là, c’est comme si vous tentez d’observer une flamme de bougie et qu’un phare maritime vous éclaire en même temps.»

Elon Musk a proposé d’équiper ces satellites de pare-soleil et de les peindre en noir pour diminuer la gêne occasionnée. Mais, selon Roland Lehoucq, «peindre les satellites en noir, c’est de l’enfumage. C’est prendre le risque qu’il s’échauffe considérablement en absorbant la lumière du soleil. Pour préserver son équilibre thermique, un satellite doit avoir des parties peu absorbantes, donc réfléchissantes. Cette solution ne résout pas le problème, les satellites resteront toujours visibles par les instruments astronomiques modernes.» D’autant plus que la durée de vie de ces satellites est extrêmement courte (de cinq à sept ans) et fait naître une inquiétude quant aux débris spatiaux.

De dangereux débris spatiaux

À l’heure actuelle, «on a environ 34.000 débris de dix centimètres ou plus, environ 900.000 qui font un centimètre, et 135 millions qui font moins de un millimètre», selon Christophe Bonnal, spécialiste des débris spatiaux au Centre national d’études spatiales (CNES). 

«Tous ces débris sont engagés dans une spirale descendante jusqu’à ce qu’ils brûlent dans l’atmosphère. Il y a tout de même 10 ou 20% du débris qui ne brûle pas et qui fait courir un risque aux populations. Mais c’est également à tempérer, puisque seulement 3% de la surface de la Terre est densément peuplée.»

Ces débris représentent parfois une menace pour les satellites et les engins spatiaux. «Un débris à 800 km d’altitude va rester 200 ans avant de se désintégrer dans l’atmosphère. Durant ces 200 ans, il va poursuivre son orbite à environ 30.000 km/h. La probabilité d’une collision est donc assez importante», dit Christophe Bonnal.

Pour donner un ordre de grandeur, la plateforme LeoLabs a réalisé un impressionnant travail pour recenser les débris spatiaux et les matérialiser sur une carte interactive disponible en ligne.

Instantané de déchets spatiaux, en violet, au-dessus de l’ouest de l’Europe.

Anticipant les critiques, Elon Musk a mis au point une nouvelle technologie pour ses satellites. «L’avantage de Starlink, c’est son orbite basse. Il n’y a quasiment personne à 550 km d’altitude. Et ces satellites sont conçus pour fondre dans l’atmosphère sans générer de débris. C’est quelque chose de très rusé»,observe l’expert des débris spatiaux du CNES.

Cette mesure n’est pas suffisante, selon Roland Lehoucq : 

«Elon Musk peut argumenter qu’il fera redescendre les satellites en fin de vie, qu’ils fondront dans l’atmosphère ou que sais-je, mais, sur ces 12.000 satellites, si on estime qu’il y aura seulement 1% d’entre eux qui rencontrent un problème, ça fait tout de même 120 débris orbitaux supplémentaires.»

Pour Christophe Bonnal, ce risque de collision et cette pollution spatiale sont le prix à payer pour le progrès technologique. «Dans l’esprit d’Elon Musk, il est logique de développer cette technologie puisqu’elle est là, on ne peut pas rester au tam-tam.» C’est le même esprit que la diatribe d’Emmanuel Macron sur les amishs et le développement de la 5G. Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay, propose une approche différente. : 

«Est-ce que c’est un progrès technologique qui permettra à la Terre de rester habitable? La réponse est non.»

Incertitudes sanitaires

Avec sa constellation de satellites, la plus importante de l’histoire de l’aéronautique, Starlink fait également naître des questionnements autour des fréquences utilisées. Ces satellites vont constamment émettre et recevoir des ondes électromagnétiques et les conséquences sanitaires de ces rayonnements, surtout à long terme, sont peu connues.

Gilles Brégant, président de l’ANFR, tempère cette inquiétude. «Vu la distance de ces satellites, ces rayonnements auront une incidence infinitésimale sur le niveau d’exposition aux ondes électromagnétiques, même si on y est exposé constamment», dit-il à Reporterre.

Même s’il est faible, le niveau d’exposition constant imposé par ces satellites inquiète. En premier lieu, les personnes qui se disent électrosensibles, comme Sophie Pelletier. En 2017, lors d’un Comité de dialogue auquel elle participe avec des experts du secteur des télécommunications, l’un des membres souligne que 

«la multiplication des réseaux, qu’ils soient satellites ou autres, va entraîner une pollution partout : l’électrosmog». 

Ce terme traduit la densification du champ électromagnétique dans lequel nous baignons constamment. Cette «pollution» non visible à cependant des effets sur la santé de personnes qui se disent sensibles aux ondes électromagnétiques.

Ce qui pose question également, ce sont les valeurs d’exposition des antennes domestiques pour communiquer avec les satellites en orbite. «Il faudra peut-être mettre en place une zone d’exclusion autour de l’antenne domestique, comme il en existe pour les antennes 5G», dit Guy Pujolle, professeur émérite au Laboratoire d’informatique de Sorbonne Université (Lip6) et auteur de Faut-il avoir peur de la 5G? (Larousse, septembre 2020).

Le train des satellites Starlink vu depuis Buenos Aires, en Argentine.

Ces antennes déjà disponibles en précommande recevront, mais surtout émettront un signal vers l’espace. Dans un échange de courriels avec l’ANFR, un responsable a répondu à Sophie Pelletier : 

«La difficulté est que nous n’avons, a priori, pas d’éléments chiffrés pour l’exposition créée par une installation radioélectrique chez un particulier qui pointe vers les satellites.»

Gilles Brégant justifie cette absence d’information : «Starlink n’a pas à nous transmettre de documents ou de justificatifs. En Europe, on a un système d’autocertification, c’est-à-dire que n’importe quel importateur peut apporter sur le marché européen des appareils émissifs (comme les antennes domestiques Starlink). C’est après leur importation et leur mise en circulation que l’ANFR va effectuer des mesures pour voir si tout est conforme. Ce système mise sur la responsabilité des fabricants. Nous prélèverons sans doute une antenne Starlink pour voir si elle répond aux normes », indique-t-il.

Même son de cloche chez l’Anses, qui réalise des mesures des taux d’expositions près des antennes 5G par exemple. 

«On n’a pas encore assez d’éléments concrets sur ces antennes pour fournir des réponses à vos questions, mais nous travaillerons prochainement là-dessus.»

Pour Guy Pujolle, «avec les satellites, les fréquences sont moins surveillées, il y a moins d’études. Je pense que c’est un vrai problème.» Ce spécialiste des réseaux insiste : 

«La 3G et la 4G, on commence à maîtriser, à être documenté à leur sujet; la 5G, c’est déjà un peu plus compliqué, mais Starlink… on a très peu d’informations.» 

Un déficit d’informations critique alors que Starlink va engendrer une pression considérable sur l’environnement terrestre et spatial.


Starlink vise la conquête marchande de l’espace

ENQUÊTE 3/3 — Le réseau de satellites Starlink doit rendre l’accès à internet haut-débit possible partout sur la planète. Les militaires et les particuliers isolés — s’ils en ont les moyens — pourraient en bénéficier mais ce ne sera pas le cas d’une grande partie de la population mondiale. Ce déploiement servira en revanche d’appui pour les projets de conquête marchande de l’espace.

«Je me sens désormais comme une personne normale, Starlink est ma bouée de sauvetage.» Sur le site de Starlink, les commentaires des clients ne tarissent pas d’éloges sur la croisade d’Elon Musk contre les zones sans internet. Mais le fournisseur d’accès à internet par satellite du milliardaire n’est pas un projet philanthropique. Avec un forfait mensuel à plus de 80 euros, et 410 euros de frais d’installation, «Elon Musk ne vise pas les Inuits ou les tribus dans le désert mais les gens qui ont beaucoup d’argent», rappelle Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay.

Selon la banque américaine Morgan Stanley, la valeur de Starlink pourrait exploser dans les prochaines années. Évaluée à 42 milliards de dollars en juillet 2020 puis à 81 milliards en octobre, la valeur de l’entreprise devrait continuer à grimper. Morgan Stanley estime que Starlink pourrait attirer 364 millions de clients à l’horizon 2040, environ 5% de la population mondiale. Pour amasser plus de fonds, Gwynne Shotwell, présidente de SpaceX – l’entreprise américaine du domaine de l’astronautique fondée par Elon Musk -, a annoncé vouloir rapidement introduire Starlink en bourse.

Elon Musk peut également compter sur des financements publics massifs. Le 7 décembre 2020, SpaceX a bénéficié de 885 millions de dollars de subvention de la Commission fédérale des communications (FCC), pour développer internet dans des zones rurales aux États-Unis grâce à son offre de haut-débit satellitaire.

Lancement de satellites Starlink.

Les 12.000 satellites que Starlink veut envoyer en orbite autour du globe ne cibleront pas seulement les zones blanches mais l’intégralité de la planète. Les zones urbaines équipées en fibre optique avec un réseau internet terrestre en général plus rapide et moins cher risquent d’avoir plus de mal à voir l’intérêt de la liaison satellitaire.

«Qui en a besoin? Pas nous clairement, le réseau terrestre continue de se déployer, même l’Aveyron ou le Gers ont la fibre maintenant»,

dit Roland Lehoucq à Reporterre.

Mais permettre à de nouvelles populations d’accéder à Internet, c’est également la possibilité d’élargir le marché et de trouver de nouveaux clients. Dans son livre Le Nouvel impérialisme (Oxford University Press, 2003) le géographe économiste David Harvey estime que 

«la tendance générale de toute logique capitaliste du pouvoir n’est pas de laisser des territoires à l’écart du développement capitaliste, mais de les ouvrir continuellement à celui-ci».

L’armée des États-Unis intéressée

Lors d’une session du Comité de dialogue des fréquences qui réunit des experts du secteur des télécommunications, Sophie Pelletier, présidente de Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), a demandé : 

«Quel est l’intérêt de développer des constellations qui vont couvrir l’ensemble du monde et modifier de manière durable, grâce à des investissements de long terme, la composition électromagnétique de notre atmosphère, pour me connecter à internet en plein désert?» «Il ne faut pas oublier un point : dans le désert se déroulent aussi des opérations militaires»,

lui a répondu l’un des membres.

Le Pentagone n’a en effet pas caché son intérêt pour le projet qui ouvre de nouvelles perspectives pour l’armée étasunienne sur ses terrains de guerre. L’US Army a signé un contrat de trois ans avec l’entreprise d’Elon Musk. L’objectif est d’utiliser les satellites Starlink pour obtenir une connexion internet plus stable avec moins de latence qu’une connexion satellitaire traditionnelle, et tester une nouvelle technologie de GPS.

Une jeep de l’armée étasunienne.

Fin 2020, l’armée américaine a également signé un contrat avec SpaceX de 149 millions de dollars afin de construire quatre satellites de détection de missiles balistiques dans l’usine où sont produits ceux de la constellation Starlink.

Selon Daniele Pitrolo, président de franciliens.net, une association qui fournit un accès au réseau et œuvre pour un internet neutre et transparent, un autre département de la Défense américaine pourrait être intéressé par Starlink. 

«Le rêve de la NSA (National Security Agency, qui pratique une surveillance électronique massive), c’est de n’avoir plus qu’un opérateur à surveiller pour avoir accès aux données de millions de personnes.»

Daniele Pitrolo a toujours en tête les révélations d’Edward Snowden en 2013. Cette année-là, le lanceur d’alerte américain avait fourni aux journaux Der Spiegel et The Intercept des documents d’archives de la NSA, qui comportaient un programme top secret, Treasure Map. Cette mission de la NSA et de l’agence d’espionnage britannique, le GCHQ, visait à cartographier l’Internet mondial, à identifier et localiser chaque appareil connecté à Internet dans le monde — chaque smartphone, tablette et ordinateur — «n’importe où, tout le temps», selon les documents de la NSA. Un opérateur était notamment ciblé, Stellar PCS, fournisseur d’accès à internet par satellite.

«Les grandes entreprises capitalistes transforment les utilisateurs en clients»

«Que Starlink puisse gérer autant d’informations d’utilisateurs n’est pas du tout compatible avec une garantie de nos droits», poursuit le président de franciliens.net, 

«c’est un pas de plus vers la mondialisation d’une certaine vision d’internet. Le réseau doit être considéré comme un bien commun, un outil citoyen qui peut amener le changement. Ce n’est pas possible de laisser cela dans les mains de grandes entreprises capitalistes qui détournent cet outil et transforment les utilisateurs en clients. Ces entreprises finiront toujours par léser le droit des utilisateurs.»

Daniele Pitrolo est également membre de la Fédération des fournisseurs d’accès à internet associatifs (FFDN) qui regroupe des opérateurs «alternatifs», mobilisés pour construire des réseaux Internet communautaires «conçus pour la communication des humains (plutôt que celle des objets ou des machines); des réseaux construits et gérés en commun, par et pour les populations locales».

Pour contrer Starlink, la Russie a annoncé vouloir infliger des amendes allant de 110 à 350 euros à toute personne utilisant le service. Une mesure qui rappelle le rôle primordial d’Internet dans la souveraineté et la volonté de contrôle des flux de données par les gouvernements.

Starlink attire aussi la finance

Le secteur de la finance pourrait lui aussi être intéressé par les satellites Starlink, en particulier pour le «trading automatique» appelé également «trading hautes-fréquences». Ces transactions financières sont réalisées à grande vitesse par des ordinateurs suivant des algorithmes précis. La technologie Starlink, si elle s’avère plus rapide que les solutions classiques en termes de latence, comme l’espère Elon Musk, pourrait assurer un sérieux avantage aux entités financières qui l’adopteront suffisamment tôt.

Dans ce secteur, certains acteurs déboursent aujourd’hui des millions de dollars dans des câbles sous-marins en fibre optique pour réduire de quelques millisecondes la latence de leurs communications.

L’autre objectif de Starlink, moins évident à première vue, est la conquête de Mars. «Soit on devient une espèce multiplanétaire là-bas parmi les étoiles, soit une espèce qui vit uniquement sur Terre, en attendant un évènement provoquant notre extinction,», disait déjà Elon Musk en 2016. Il a depuis déclaré vouloir bâtir une colonie humaine sur Mars d’ici à 2050. Le patron de Tesla voit dans Starlink la «clé» pour financer ses expéditions spatiales vers Mars et le développement de ses fusées Starship.

«Donner une nouvelle chance à l’humanité»

La présidente de SpaceX, Gwynne Shotwell, rejoint Elon Musk dans sa vision de la conquête spatiale. «Il s’agit en fait de donner une nouvelle chance à l’humanité au cas où il y aurait un événement horrible sur Terre : de déplacer les gens et de sauver l’humanité en leur permettant de vivre sur une deuxième planète, une deuxième Terre», a-t-elle déclaré.

Une navette spatiale SpaceX.

Mais pourquoi alors développer un réseau de communication aussi massif, si le milliardaire n’a plus d’espoir pour la planète Terre? Dans un entretien vidéo pour le magazine Time, la présidente de SpaceX explique qu’une fois que les humains auront colonisé Mars, «il leur faudra un moyen de communiquer», et qu’une constellation Starlink autour de la planète rouge pourrait être une solution.

Dans les conditions d’utilisations de Starlink, un utilisateur a relevé des informations intrigantes, aussitôt reprises par plusieurs médias comme The Independent. À la section neuf des conditions, Starlink explique que les services fournis autour de la Terre ou de la Lune suivront la loi régie par l’État de Californie. Jusque-là rien d’anormal, mais la partie suivante laisse songeur : «Pour les services fournis sur Mars, ou en transit vers Mars via un vaisseau spatial, de colonisation ou non, les parties reconnaissent que Mars est une planète libre et qu’aucun gouvernement basé sur Terre n’a d’autorité ou de souveraineté sur les activités martiennes. En conséquence, les différends seront réglés par des principes d’autogestion, établis de bonne foi, au moment de l’installation.»

«Fantasmes libertariens»

Pour Daniele Pitrolo, ces projets sont révélateurs de la vision politique d’Elon Musk : «La conquête de l’espace, c’est le fantasme des libertariens Starlink est d’ailleurs loin d’être le seul acteur de cette nouvelle conquête spatiale. Jeff Bezos, avec son projet Kuiper et Gregory Wyler, milliardaire de l’informatique avec son projet OneWeb veulent eux aussi envoyer à eux deux environ 8.500 satellites en orbite basse, et commercialiser un service de haut-débit.

Dans leur livre La finance autoritaire (Raisons d’agir, 2021), les sociologues Marlène Benquet et Théo Bourgeron écrivent que cette philosophie politique «correspond à un nouveau moment de la pénétration par les logiques capitalistes de territoires extérieurs à elles-mêmes, les espaces naturels».

Les auteurs rappellent également l’émergence du mouvement libertarien Free Market Environmentalism («Écologie de marché») en 1979, qui portait l’idée que personne n’avait intérêt à préserver des ressources possédées en commun, et qu’en conséquence, le moyen le plus sûr de protéger la nature était de la privatiser intégralement «de façon que chaque portion de la planète possède un propriétaire et un protecteur». Elon Musk, avec son entreprise SpaceX, se positionne comme «propriétaire» et «protecteur» de l’espace, persuadé, avec sa constellation Starlink, d’être le garant d’une gestion qui va dans le sens du progrès et de l’évolution humaine.


C’est maintenant que tout se joue…

La communauté scientifique ne cesse d’alerter sur le désastre environnemental qui s’accélère et s’aggrave, la population est de plus en plus préoccupée, et pourtant, le sujet reste secondaire dans le paysage médiatique. Ce bouleversement étant le problème fondamental de ce siècle, nous estimons qu’il doit occuper une place centrale dans le traitement de l’actualité.
Contrairement à de nombreux autres médias, nous avons fait des choix drastiques :

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Devant le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, Moscou dénonce la manipulation de l’opinion et la censure des points de vue alternatifs

[Source : RT France]

Le ministre russe des Affaires étrangères a pris la parole lors du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Prônant la coopération internationale en cette période de pandémie, il a appelé à un cadre mondial pour réguler l’action des réseaux sociaux.

Le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s’est exprimé lors de la 46e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDH) par visioconférence. Dans son allocution, le chef de la diplomatie russe a appelé à une approche multilatérale pour traiter les problèmes mondiaux, souligné les conséquences économiques et sociales désastreuses du Covid-19, regretté l’égoïsme de certains Etats occidentaux, appelé de ses vœux à une régulation mondiale des grandes entreprises des réseaux sociaux et condamné fermement les discriminations faites aux populations russophones.

Rappelant l’implication de la Russie dans les travaux du CDH et sa volonté de préserver une approche multilatérale sur les problèmes mondiaux, Sergueï Lavrov a débuté son intervention en soulignant les conséquences néfastes du Covid-19 avec un fort creusement des inégalités dans le monde. «Le Covid-19 a causé des dommages importants aux fondements socio-économiques des Etats et aux droits des citoyens. L’essentiel, le droit à la vie, est menacé. La récession de l’économie mondiale due à la pandémie a entraîné une augmentation significative du chômage et une insécurité sociale accrue. L’inégalité dans le développement des différents Etats et régions augmente. Les inégalités se creusent dans certains pays distincts, y compris dans les pays relevant du « milliard d’or », c’est-à-dire la population aisée des pays occidentaux. C’est sur ces problèmes que nous devons nous concentrer aujourd’hui, en recherchant ensemble les moyens de les résoudre et en utilisant, entre autres, le potentiel du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU» a-t-il déclaré.

Évoquant ce contexte, qui, d’après lui, devrait pousser à une collaboration toujours plus étroite entre les pays, le diplomate a souligné : «Certains collègues occidentaux n’ont toujours pas l’intention de reconsidérer leur vision égoïste, d’abandonner les stratégies fondées sur l’usage de la force, les méthodes illégitimes de chantage et de pression», et a fait remarquer : «Les appels du Secrétaire général des Nations unies et du Haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme de suspendre les sanctions unilatérales concernant l’approvisionnement en nourriture, médicaments et équipements nécessaires pour lutter contre le virus et les transactions financières associées ont été ignorés». Le diplomate en a profité pour rappeler l’initiative du président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, de créer des «couloirs verts» dans le commerce international, libres de sanctions et d’autres barrières artificielles.

Moscou dénonce la «censure politique» dans de nombreux pays

Le diplomate a poursuivi son intervention en regrettant que l’«espace médiatique mondial» devienne «un lieu de promotion d’intérêts géopolitiques mercantiles». Avec des propos qui font étonnamment écho à ceux qui ont été prononcés la veille, par Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, Sergueï Lavrov a regretté que «ceux qui donnent des leçons de liberté de parole et d’expression au monde entier depuis des décennies [aient fait] preuve d’une intolérance envers les points de vue alternatifs». «Dans un certain nombre de pays, il existe une politique déterminée de mise en place de censure politique et de restriction de l’accès à l’information en violation des engagements pris au sein des Nations unies, de l’OSCE et du Conseil de l’Europe», avant de rappeler la fermeture récente de chaînes de télévision russophones en Ukraine.

Les «censures» et les «manipulations» faites, selon Sergueï Lavrov, par les réseaux sociaux sont également au cœur des préoccupations de la Russie. Le diplomate russe a condamné les «politiques non transparentes des médias sociaux qui interdisent ou censurent le contenu des utilisateurs, manipulent ouvertement l’opinion publique, suscitent une inquiétude croissante». À cet égard, la Russie appelle de ses vœux à une régulation des réseaux sociaux aux niveaux national et international, cette nécessité devenant «cruciale».

Enfin, le diplomate s’est fortement inquiété de la discrimination faite aux populations russophones dans les pays Baltes et en Ukraine en dénonçant des idéologies «extrémistes». Il a notamment rappelé que depuis septembre 2020, l’Ukraine avait commencé à exclure les langues des minorités ethniques du domaine social et de celui de l’enseignement alors que la langue russe est la langue maternelle de 30 à 50% de la population.

Le chef de la diplomatie russe a conclu son intervention en rappelant que la Russie était en faveur du «renforcement de principe de coopération dans les activités du Conseil, tout comme pour un dialogue honnête, respectueux et égal sur des sujets d’actualité». L’Etat russe continuera, d’après lui, à défendre les priorités telles que la lutte contre la discrimination envers les minorités linguistiques et religieuses ainsi que contre l’apatridie, ou l’intégrité du système judiciaire, la protection des groupes de population vulnérables et de leurs droits sociaux et économiques. «D’une manière générale, nous allons faire le maximum pour que les droits de l’Homme soient considérés en tant que facteur favorisant le rapprochement et non la désunion des Etats, renforçant le climat de confiance et de respect mutuel», a-t-il conclu.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/84145-serguei-lavrov-exprime-lors-46e-session-conseil-droits-homme-nations-unies-russie




Sortir de l’instinct grégaire ?

Par Dr Nicole Delépine

« Ce n’est pas d’un vaccin pour s’immuniser contre les infections virales dont l’humanité a besoin, mais d’un vaccin contre la peur afin de s’immuniser contre la stratégie du choc et les manipulations politiques qui sont en train de l’asservir. »

Vincent Mathieu, Ph.D.

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées. »

« Dociles, maladifs, médiocres » disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Instinct nous poussant tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, « de manière aveugle et sans réflexion ». Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage.(([1] Extrait de « à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde » par Agnès Beaufeuil.))

Le plus fascinant dans la période que nous vivons est l’enthousiasme des foules et pas seulement françaises, pour se précipiter se faire tester, et pire se faire vacciner. Pourtant il faut vraiment vouloir ne pas savoir que le coronavirus de l’année 2019 est très peu mortel et en tous cas pas plus que la grippe qui n’a jamais entraîné un tel délire collectif.

Une hystérie mondiale qui continue malgré les preuves accumulées de la faible nocivité du virus, l’existence de traitements précoces efficaces, de la mascarade des tests PCR faux positifs à 97% quand ils sont utilisés en dépistage chez des gens sains, des doutes majeurs sur l’efficacité et la toxicité des vaccins dont l’expérimentation (phase 3) ne se terminera qu’en 2023.

Bizarre, bizarre, la ruée vers l’or (transformée en plomb) qui se poursuit malgré le défilé quotidien d’informations sur tel EHPAD allemand, puis norvégien ou espagnol dans lesquels un tiers des résidents autrefois bien portants sont morts très vite dans les jours ou semaines qui ont suivi l’injection vaccinale miraculeuse. Pour rejoindre le ciel plus vite ? Et bien sûr, sans recul suffisant, on ne sait que très peu de choses de ce qui pourrait se passer chez les vaccinés rencontrant le coronavirus d’ici quelques semaines. On peut être inquiet quand on connaît les expériences sur les animaux dans la tentative de vaccin contre les précédents coronavirus pathogènes, SRAS et le Mers et les décès des animaux vaccinés. Évidemment on aurait pu penser que cela rendrait prudents expérimentateurs apprentis sorciers, et citoyens cobayes, mais il n’en est rien. La puissance des médias répétant inlassablement les mêmes mensonges est fascinante et surtout inquiétante pour l’avenir de notre démocratie. Après les députés godillots (qui prolongent indéfiniment l’état d’urgence), de trop nombreux juges français qui valident sans examen réel tout ce qui vient de l’exécutif, les médias, dernier pilier de la démocratie se sont à leur tour agenouillés devant l’exécutif, empêchant le pluralisme de s’exprimer.

Pourtant les scientifiques et médecins réunis résument bien les éléments importants sur cette crise covid (suivre par exemple collectif ISOFIA sur Telegramm pour infos en temps réel).

Voici une petite synthèse.

1. Nous n’avons JAMAIS dans le passé, réussi à vacciner contre un coronavirus

Un vaccin efficace contre un coronavirus n’a jamais été mis au point. Les scientifiques ont essayé pendant des années de fabriquer un vaccin contre le SRAS et le MERS, toujours sans succès. En fait, certains des vaccins anti-SRAS ont causé une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement faire la maladie plus sévèrement que les souris non vaccinées.

2. ll faut habituellement de 5 à 10 ans pour qu’un vaccin soit entièrement mis au point, processus lent et ardu et de nombreuses années entre le développement et les essais jusqu’à l’approbation à l’usage public. Les différents vaccins pour Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Bizarre ?

Aucun des vaccins n’a encore fait l’objet d’études appropriées. Beaucoup d’entre eux ont complètement sauté les premières études (animales en particulier), n’ont pas publié leurs données, et les études humaines tardives n’ont pas été évaluées par des pairs, ne se termineront pas avant 2023, ou ont été annulées après des « effets indésirables graves ».

3. Le « vaccin » Covid est basé sur une nouvelle technologie jamais approuvée pour utilisation sur l’homme. Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Théoriquement, les vaccins contre l’ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant de l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique dans les cellules et stimule l’organisme à reconnaître les protéines spike du virus et à produire des antigènes contre eux. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais aucun vaccin contre l’ARNm n’a jamais été approuvé avant 2020.

4. Si le vaccin entraîne des accidents ou tue, les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être poursuivies. Dès le printemps 2020, de nombreux gouvernements du monde entier ont accordé aux fabricants de vaccins l’immunité contre la responsabilité civile en se référant aux lois existantes ou en rédigeant de nouvelles lois.

La Loi de préparation au public et de préparation aux situations d’urgence (PREP) des États-Unis accorde l’immunité au moins jusqu’en 2024.

La loi UE sur l’approbation des produits fait de même, et des clauses de responsabilité confidentielle ont été signalées dans les contrats conclus par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, donnant au gouvernement et à ses employés une indemnité juridique permanente pour tout préjudice causé par le traitement d’un patient pour Covid19 ou « covid19 présumé ».

Or rappelons que 99,8% des gens survivent à Covid19.

Le taux de mortalité par infection par le Sars-Cov-2 est certainement beaucoup plus faible que tous les modèles initiaux prévus. À l’origine, il était massivement excessif, l’OMS a supposé 3,4%. Des études ultérieures ont montré qu’il est beaucoup plus faible, dans certains cas même en dessous de 0,1%. Un rapport publié dans le propre bulletin de recherche de l’OMS en octobre a révélé un CFR de 0,23 %, « ou peut-être significativement inférieur »

Cela signifie que même selon l’OMS, au moins 99,77 % des personnes infectées par le virus survivront.

Pourquoi tant de hâte ?

Nous sommes enfermés de fait depuis onze mois et l’obsession de tout un chacun est de sortir de prison. L’emprise des mondialistes qui ont concocté et appliqué ce plan terrible explique probablement les réactions tout à fait extravagantes envers les tests PCR et surtout les vaccins auxquelles nous assistons.

Une grande partie de la planète a subi cet enfermement doublé de bourrage de crâne pluriquotidien, transformant des milliards d’individus en adeptes d’une « secte covid19 » dont il est terriblement difficile de s’extraire comme de toute secte. Il nous faudrait des psychiatres efficaces et compétents pour une immense thérapie de groupe.

Jusqu’où courberons-nous l’échine ?

« En tant que professionnel de la santé mentale, j’ai entendu maintes histoires de personnes qui se sont mises à genoux devant leur intimidateur en pensant retrouver la paix et la vie d’avant. La peur, la culpabilisation et l’emprise sont les armes des manipulateurs pervers. Elles mènent les gens à faire bien des courbettes et les ingénieurs sociaux le savent très bien.

Telle une personne abusée, la population se trouve-t-elle présentement tétanisée et soumise devant le harcèlement brutal du gouvernement ? »

(([2] Ces éduqués non cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Serions-nous atteints d’un syndrome de Stockholm ?(([3] Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique s’observant chez des otages qui vivent pendant une période prolongée avec leur(s) ravisseur(s). Le syndrome s’exprime par une sympathie et un sentiment de confiance grandissants de l’otage envers le ravisseur et une certaine hostilité ressentie à l’égard de ceux qui cherchent à combattre le ravisseur. Ce serait une manifestation inconsciente de l’instinct de survie permettant de se sentir hors de danger, mais aussi d’influer sur ses réelles chances de survie par cette fraternisation avec le ravisseur.)) Eric Fromm décrit un phénomène semblable dans son livre « la peur de la liberté ».

« Il élabore sur la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation du régime politique. L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue ».

Un silence abyssal

On peut s’étonner et s’effarer de l’absence de réactions construites et raisonnées sur la gestion de cette pseudo-crise sanitaire construite depuis le début avec la mise sur le marché des tests PCR non spécifiques par le conseiller de Mme Merkel, C. Drosten actuellement poursuivi pour fausses déclarations médiatiques et conseils politiques inadaptés en Allemagne.

Les fausses prévisions des prophètes Ferguson en Angleterre et alter ego en Allemagne sur des modélisations mathématiques adaptées à la demande des politiques ont été dénoncées relativement tôt dans l’année 2020 et n’ont recueilli aucun écho ni des politiques de tous bords, ni des « intellectuels », artistes, universitaires en dehors de quelques exceptions dénommées curieusement lanceurs d’alerte.

Citons ici les révélations « colossales » de « Slobodan Despot, (8/02/2021 COVID-19)

Kolossale ! Les politiques dictaient les analyses « scientifiques » !

« La Welt-am-Sonntag du 7 février révèle qu’en mars 2020, un groupe de juristes du ministère fédéral de l’Intérieur allemand a pris contact avec diverses institutions scientifiques et médicales — dont le Robert-Koch-Institut de Berlin — et leur a demandé d’élaborer un modèle de propagation de l’épidémie sur la base de laquelle le ministère d’Horst Seehofer pourrait justifier les mesures les plus dures dans la lutte contre le coronavirus.

Dans les plus de 200 pages d’échanges par e-mail, on découvre par exemple que le secrétaire d’État Markus Kerber lui-même demande aux chercheurs de travailler à un modèle qui permette de justifier des « mesures préventives et répressives ». Selon ces échanges, les scientifiques ont rédigé, en étroite collaboration avec le ministère et en moins de quatre jours, un document astucieusement classifié « SECRET », que l’on a ensuite laissé filtrer dans la presse. La cerise sur le gâteau fut le scénario du pire prédisant un million de morts en Allemagne.

A Paris, comme à Berlin et ailleurs, pourtant, les politiques nous ont assuré qu’ils s’appuyaient sur les analyses des spécialistes — en particulier des médecins — pour prendre leurs décisions. Mais que faudra-t-il penser si l’on découvre que les analyses « scientifiques » ont été dictées — au sens propre — par les politiques eux-mêmes ? »

Idem au Québec :

« En date du 9 décembre 2020, le directeur de santé publique québécois, Dr Horacio Arruda, nous a confirmé que les directions de santé publique (DSP) au Québec n’ont pas recommandé la fermeture des lieux publics comme les restaurants et les cinémas. Ces décisions ont été totalement prises par le politique alors qu’on prétendait se baser sur des données scientifiques ».

Ces démonstrations de la tromperie monumentale changent-elles quelque chose ? Non, aujourd’hui circulent des pétitions afin que les vaccins soient accessibles à tous ! Mais ceux qui diffusent cette demande se rendent-ils compte qu’ils sont complètement captés par la « propagande vaccinale », comme pour n’importe quel objet commercial et font le jeu du gouvernement mondial qui veut nous soumettre, ne serait-ce que par le passeport vaccinal ?

« Nos intellectuels gradés semblent en effet vivre dans un monde désincarné du réel. Un monde où le simulacre est pris pour le vrai. C’est à croire qu’ils sont inconscients de l’impact des coteries oligarchiques sur la géopolitique internationale ».

(([4] Ibid. 2))

ET POURTANT il serait temps que les populations se réveillent de cette immense sidération organisée et discutent du but réel de cet abrutissement généralisé et organisé.

Ce n’est évidemment pas ce pauvre virus, mais bien le plan des milliardaires pour sortir de leur crise endémique depuis de nombreuses années et nous réduire en esclaves obéissants, pucés, dépossédés, sagement cloîtres dans des appartements loués (fin de la propriété individuelle) en échange du revenu universel minimal proposé par Hamon et cie.

« L’insécurité et l’impuissance propres à l’individu le mènent souvent à calquer sa pensée sur les idées dominantes. Sentir faire partie du groupe est parfois plus fort que le désir de trouver la vérité ».

La citation suivante de Bertrand Russell résume tout :

« Là où les enfants vont à l’école et que les écoles sont contrôlées par le gouvernement, les autorités peuvent fermer les esprits à tout ce qui est contraire à l’orthodoxie ». On leur apprend à parler et à penser pour ne blesser personne, utilisant un langage pauvre, non genré et carboneutre ».

Est-ce que le choc traumatique de la réalité va les réveiller alors que ce Grand Reset se met en place ?

Pour se remémorer le projet, écouter l’économiste Verhaeghe parler de son livre « le Grand Reset mythes et réalité ». Great Reset : mythes et réalités par Eric Verhaeghe (Vidéo) – Terre et Peuple – Résistance Identitaire Européenne

https://youtu.be/c2yfii_deGY

Petit résumé de la vidéo :

« Klaus Schwab a fondé le forum de Davos dans les années 1970 qui est une entreprise, initialement think tank de management. Thierry Malleret, le coauteur, est dans la sphère de la 2e gauche qui prétend vouloir une gauche libérale. (il cite Rocard).

Leur principe est que les grandes entreprises ont besoin de têtes pensantes. Le « soft power » est un pouvoir d’influence, ces gens n’imposent rien de fait. Ils font se rencontrer entre eux des gens qui ont besoin de se rencontrer, construisent un « mainstream » avec des personnes qui influencent les décisions des décideurs de façon feutrée.

Les idées du Great Reset : l’épidémie de coronavirus est l’occasion de mettre en place les idées qu’ils concoctaient et en particulier les idées de la quatrième révolution numérique. (voir livre de Schwab de 2017.)

On trouve dans le livre de Schwab et Malleret une compilation détaillée de toutes les technologies utilisées pour changer les comportements individuels. La surveillance généralisée, comme à Singapour, des promeneurs.

De façon explicite, les auteurs pensent que l’épidémie doit légitimer les outils de privation de la vie privée, traçage permanent savoir qui rencontre qui et en relation avec outils de reconnaissance faciale. Ce qui est prôné est Orwell 1984, la surveillance de l’individu au sens de la protection de la collectivité prioritaire sur l’individu.

Schwab prône la suppression de la propriété privée et veut imposer la location généralisée. L’économie circulaire est l’expropriation généralisée. Quelques grandes multinationales vont louer la TV, la machine à laver. Rien ne vous appartiendra plus. Outil de mort sociale, expropriation, collectivisation des biens.

Fascination de Schwab avec le dirigeant chinois invité à Davos en 2017 et cette année. Quelle est la relation d’intérêt entre KS et le président chinois ? Il faudrait investiguer dit Verhaeghe.

Néanmoins, les milliardaires et dirigeants à la tête du gouvernement mondial en gestation ne sont pas tous d’accord. Soros désapprouve les liens de KS avec le président chinois. Soros est pour la suppression des États-nations. Il finance les militants de décolonisation en France, mais reste très hostile au rapprochement avec la Chine et à l’inclination de l’Europe pour la stratégie chinoise.

Nous sommes dans une phase de décroissance du rendement du capital et donc il y a une dynamique économique du capitalisme à la suppression des frontières ; dans les syndicats des riches, il y a des divergences entre des puissants plus morcelés.

La Chine parie sur le multilatéralisme et certains pays pensent que les partenariats avec la Chine sont plus intéressants.

La question du Great Reset : où ferons-nous du profit demain ?

L’essentiel du profit est fondé sur la surconsommation, biens à obsolescence programmée et gaspillage. Cela ne pourra pas durer. Et donc, comment faire si on arrête de gaspiller ?

Chercher des substituts : transformer l’écologie en business. Ainsi, au lieu de les vendre, on va louer les biens aux gens, comme le font déjà Microsoft pour certains de ses programmes informatiques et de nombreux constructeurs de voitures. On va influencer par la pensée dominante l’économie circulaire, surveiller les gens. Œuvre d’une stratégie de faiblesse. Chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Ce n’est pas un modèle durable, car le totalitarisme des GAFAM est inacceptable pour les peuples.

En France, combat entre mondialistes et souverainistes ? Savoir si notre avenir passe par l’État-nation ou par une organisation comme l’UE.

Revenir à l’état nation, cela veut dire être compétitif. Il faudra 560 milliards d’euros dépensés pour le système de protection sociale en 2020. Il devrait être réduit à 400 milliards. Et pourtant ce qui a apporté la liberté est bien l’État-nation.

Ce qui est vraiment étonnant, c’est dans quelle mesure, nous, en tant que sociétés, permettons aux politiciens qui n’ont pas de qualifications en médecine de déployer des décrets draconiens.

Ces mesures sont vraiment l’intention de diviser la population pour prévenir les troubles civils parce que le système socialiste s’effondre et qu’ils avaient besoin d’une excuse pour jeter toutes les restrictions économiques par la fenêtre ».

Quand les gens se réveilleront-ils et se rendront-ils compte que tout cet ensemble de règlements, des masques(([5] Aucune preuve scientifique que les masques obligatoires pour tous diminuent les contagions et la seule étude prospective randomisée sur le sujet (pourtant réalisée par ses partisans) a été incapable de prouver qu’il servait à quelque chose !)) aux confinements(([6] Toutes les études dans le monde réel des résultats sanitaires des confinements, couvre-feux et autres restrictions concluent qu’ils n’empêchent guère la propagation des virus, n’évitent au total aucune mort virale, mais causent infiniment plus de victimes par défaut de soins, anxiété, suicide, famine…)), n’est vraiment qu’un moyen de suppression des libertés pour faire avancer le programme de l’oligarchie ?

Il ne s’agit pas de santé. Même le Washington Post, qui déteste le capitalisme, a dû admettre que les masques n’ont pas fonctionné pendant l’épidémie de grippe espagnole de 1918 où près de 3% de la population est morte(([7] Toutes les études sur les causes de mort de cette pandémie et, en particulier, celle d’Antony Fauci, ont prouvé que la « deuxième vague » n’était pas virale, mais bactérienne.)).

Voilà quelques mots extraits de la vidéo à écouter en totalité pour tous les détails. De plus en plus de personnes expriment des avis souvent différents sur le net et même parfois maintenant sur les radios et TV.

Diffusons-les en espérant faire sortir les covidiens de leur secte et pouvoir tous ensemble refaire société civilisée.


Notes




Documentaire sur les chemtrails

[Source : Quantum Leap]

BYE BYE BLUE SKY ! Un documentaire de Patrick Pasin

Depuis plus de vingt ans un peu partout dans le monde, d’abord aux États-Unis et au Canada, ont commencé à apparaître dans le ciel d’étranges traînées laissées par les avions. Dans le même temps, les populations sont de plus en plus malades (Alzheimer, cancer, autisme, sclérose en plaques, etc.). Il en est de même pour les arbres, les plantes et les animaux. Y a-t-il un lien ?

La première question que pose le film « Bye Bye Blue Sky », c’est de savoir s’il existe des épandages aériens illégaux de particules métalliques (baryum, aluminium, lithium…) et de micro-organismes. Si oui, dans quel(s) but(s) ?
Les militaires, les scientifiques, les gouvernements martèlent pourtant que tout est normal et que de telles pratiques n’existent pas. Est-ce si sûr ?
Ce documentaire prouve le contraire. Des informations qu’il révèle ont même été effacées ensuite par l’armée française.

Un voyage en première ligne, de l’Amérique du Nord à l’Europe, de l’Afrique à l’Asie.




[Voir aussi :




Il faut défendre les enfants, exiger la suppression du port du masque

Par Dr Nicole Delépine

Les reniements des intervenants sur les TV bien briefés

Le Pr Douste Blazy, ancien ministre, qui avait courageusement défendu la chloroquine en avril 2020 ne parle brutalement plus de traitement, mais prône des camps d’internement pour les testés positifs récalcitrants. Que lui est-il arrivé ? Faut-il voir dans ses derniers propos honteux et discordants l’effet de rumeur de dossiers compromettants, ou l’espoir d’un poste mirobolant au gouvernement ou à l’OMS ?

Autre très choquante surprise : Madame Le Guen pédiatre et représentante sur les médias de la société française de pédiatrie (les fameuses sociétés dites savantes) : retournement à 180° sur le port des masques chez l’enfant. Retournements jamais argumentés par des études scientifiques.(([1] La seule étude randomisée sur l’intérêt du port du masque, la Danmasq19 n’a pas mis en évidence d’efficacité significative du masque pour éviter la contagion.))

Mr Alain Tortosa en est sorti de son silence devant tant de mauvaise foi contre les enfants qu’elle devrait, en tant que pédiatre, défendre contre vents et marées.

Quand la pensée unique, la quête de notoriété, une bêtise sans limite, la corruption ou, pourquoi pas, des menaces, mènent à l’immonde ?

Les enfants sont innocents du COVID

Notons que les pédiatres jusqu’à une période récente avaient donné des avis raisonnables en accord avec l’état de la science sur l’absence de danger de contamination par les enfants.

Avis conforme à toutes les études internationales dont nous avons souvent parlées confirmant TOUTES depuis février 2020 que les enfants ne font jamais de formes graves (sauf de grands malades immunodéprimés) (([2] Rappelons que selon Santé Publique France le covid n’a tué que 3 enfants de moins de 15 ans tous souffrant au préalable de maladie mortelle alors que chaque année la grippe fait entre 7 et 10 victimes dans ce groupe d’âge.)), ne contaminent jamais, ni les adultes, ni les enfants. Quand ils sont contaminés, ils l’ont toujours été par un adulte ou un très proche, surtout si confinés ensemble.

Rappelons ces évidences confirmées par la littérature internationale revue régulièrement, édictées alors par cette pédiatre renégate aujourd’hui :

« En juin 2021, Mme le Guen (je précise « Mme » et non « docteur », car comment pourrais-je lui accorder la légitimité de se nommer docteur ou professeur en pédiatrie. Un pédiatre est un médecin au service des enfants, primum non nocere). Elle a été corédactrice d’un texte appelé « Primum non nocere : tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! (([3] Société Française de Pédiatrie Primum non nocere : Tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! 11/06/2020 https://snmpmi.org/IMG/pdf/tribune_societe_francaise_pediatrie_11juin_2020.pdf)) »

Primum non nocere qui veut dire « en premier, ne pas nuire ».

Texte dans lequel il était possible de lire notamment :

« Les enfants qui n’ont que très peu été concernés par cette infection sont pourtant aujourd’hui ceux qui font l’objet des mesures les plus coercitives. »
« Aujourd’hui, en dépit des données scientifiques internationales qui s’accumulent et confirment que les enfants sont moins souvent infectés et moins contaminants que les adultes, force est de constater que les enfants, les adolescents et les spécialistes de leur santé physique, psychique et sociale n’ont pas encore été entendus. »

« Quatre semaines après la réouverture progressive des écoles, fixée par le Président de la République au 11 mai, les conditions d’accueil des enfants en collectivité sont très disparates et parfois coercitives lorsqu’elles sont appliquées à la lettre, voire conduisent à des maltraitances institutionnelles »

Le 26 avril, dans un document « Propositions de la société française de pédiatrie et des sociétés de spécialités pédiatriques pour favoriser le retour des enfants avec maladie chronique dans leur établissement scolaire » (([4] 1 20h00 du 23 février 2021
https://www.france.tv/france-2/journal-20h00/2264029-edition-du-mardi-23-fevrier-2021.html)) il était précisé :

« Le port d’un masque dans les crèches, les écoles maternelles et primaires pour les enfants sans pathologie sous-jacente grave n’est ni nécessaire, ni souhaitable, ni raisonnable. 

En revanche, le port de masque pour les adolescents ainsi que pour les
adultes en charge d’enfants peut être envisagé. »
« De plus, et si l’usage du masque se généralise, la SNP veut attirer l’attention sur le respect des gestes barrière et le « bon usage du masque chez l’enfant » pour bien signifier que ce n’est pas d’avoir un masque qui protège, tant que la manière de l’utiliser et de le porter, et le lavage des mains est tout aussi important. »

 Alors, comment aujourd’hui oser prétendre que le masque chez l’enfant n’a pas de danger, alors que s’accumulent les données tant sur les conséquences psychologiques majeures que sur l’hypoxie importante chez les petits soumis à un port sectaire du masque (prolongé sans échappement de quelques minutes ou laissés gentiment sous le nez).

La peur instillée aux enseignants qui ont pourtant la littérature internationale à leur disposition reste incompréhensible, mais en tous cas ils n’ont, pour trop d’entre eux, pas protégé leurs élèves, pas plus que les parents qui ont préféré se soumettre.

De nombreuses procédures sont en cours dans lesquelles vous retrouverez tous les inconvénients du masque chez l’enfant, comme le site de Maître Brusa reaction19fr, mais aussi dans la procédure judiciaire mise en ligne le 23 février

Procédure judiciaire de Maître JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire
Date : 23/02/2021 22 :44 :43 Europe/Paris

Associez-vous à cette procédure   pour la suppression du masque obligatoire !

Tous documents explicites dans l’article du site à télécharger Procédure judiciaire de Maître JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire

Télécharger : REQUETE PDT T.J. avec Pièces

#stopconfinement, #stopmasques il faut exiger réouverture de tout, et suppression de toutes les mesures liberticides avant qu’il ne soit trop tard.

Il faut dire stop MAINTENANT avant qu’il ne soit trop tard, car de renoncements en renoncements qui paraissent à chaque fois petit, excusable, pas si grave, on passe doucement à l’irréversible. Relisons l’expérience des Allemands durant l’irrésistible ascension d’Hitler sans bruit en Allemagne, mais aussi en France ou en Angleterre. On pourra négocier avec Hitler …croyaient certains alors. Eh bien non on n’a pas pu…

« Et vous êtes un alarmiste. Vous vous écriez que ceci mènera à cela, mais vous ne pouvez rien prouver. C’est un commencement, mais savez-vous ce que réserve la finalité, et comment elle se présentera ? D’une part, vos ennemis, la loi, le régime, le Parti, vous intimident. De l’autre, vos collègues vous accusent d’être pessimiste ou névrotique. Il ne vous reste que vos amis proches, qui pensent naturellement comme vous l’avez toujours fait.

Mais vous en avez de moins en moins. Certains se sont déplacés, d’autres sont submergés par le travail. Vous n’en voyez plus autant aux réunions et aux sorties habituelles. Les groupes informels deviennent plus petits, et eux-mêmes se désintègrent. Parmi le petit groupe d’amis qu’il vous reste, vous avez l’impression de parler entre vous, d’être isolés de la réalité des choses. Cela ne fait que contribuer à votre incertitude et vous retient davantage — mais de faire quoi ? Il est clair que, si vous décidez de faire quelque chose, vous devez en faire un évènement, et devenez un fauteur de trouble. Alors vous attendez, toujours plus longtemps.

Mais le grand choc, qui fera affluer des centaines, des milliers d’autres dans vos rangs, ne se produit jamais. C’est là le paradoxe.

Si le premier et le dernier des actes affreux commis par le régime étaient survenus en même temps, des millions de personnes auraient été suffisamment secouées et se seraient soulevées — disons si l’extermination de Juifs en 1943 était survenue juste après le placardage d’autocollants ‘Juif’ sur les fenêtres des magasins juifs en 1933. Mais ce n’est pas ainsi que les choses se sont déroulées. Entre les deux, des centaines d’autres actions ont été entreprises, certaines imperceptibles, chacune visant à vous désensibiliser à la prochaine. L’étape C est toujours plus violente que l’étape B, mais si vous ne vous soulevez pas à l’étape B, alors pourquoi le faire à l’étape C ? Et ainsi de suite…

Et puis un jour, il est trop tard ; vos principes, si vous y étiez sensibles, vous sautaient au visage. La déception de vous-même est devenue trop lourde à porter, et un incident mineur, dans mon cas mon petit garçon, pas plus âgé qu’un bébé, prononçant les mots ‘porc juif’, fait tout s’effondrer autour de vous.

Et puis vous voyez tout, tout ce qui a changé sous votre nez. Le monde dans lequel vous vivez, votre nation, votre peuple, n’est plus celui dans lequel vous avez grandi. Ses formes sont toujours là, identiques et rassurantes, les maisons, les magasins, les emplois, les pauses repas, les visites, les concerts, le cinéma, les vacances… Mais l’esprit, auquel vous n’avez jamais prêté attention parce que vous avez fait l’erreur de l’identifier avec la forme, a changé. Vous vivez dans un monde de haine et de crainte, et ceux qui haïssent et qui craignent ne le savent pas eux-mêmes. Quand tout le monde a changé, personne n’a changé. Vous vivez désormais dans un système qui règne sans aucune responsabilité, pas même devant Dieu. Le système lui-même n’y était pas destiné, mais pour survivre, il a dû aller jusqu’au bout »(([5] Quand les Nazis sont arrivés : le peuple qui se croyait libre par Charleston Voice (24hgold.com) )) (([6] L’Histoire se répète parce que la nature humaine ne change pas… Lecture recommandée par Ron Paul.
Un extrait de : They Thought They Were Free The Germans, 1933-45 Milton Mayer, 1955))

CHANGEMENTS PERVERS INSIDIEUX ACCUMULÉS PENDANT DES MOIS OU DES ANNÉES

Alors oui prêtons attention aux changements insidieux que nous acceptons de fait, à chaque fois parce que « pas si terrible » et pas envie de se prendre un LBD dans l’œil. Ce fut l’enfermement et la fermeture des écoles pour frapper les esprits et montrer que la situation était grave(([7] En réalité beaucoup moins grave qu’annoncée par Ferguson dans sa prophétie cataclysmique puisque les suédois qui ont refusé ce mauvais scénario de film catastrophe et n’ont été confinés n’ont pas vu leurs hôpitaux débordés et ne comptent pas plus de morts que nous et ont préservé leurs enfants, leurs travailleurs et leur économie.)), nous séparer de notre famille et amis, puis ce fut l’interdiction de rassemblements de plus de x personnes selon les petits capos locaux trop contents d’avoir un peu de pouvoir. Interdiction aussi sotte que de se promener à deux (souvenez-vous au début du confinement n°1). Une femme promenant ses deux filles dont une handicapée verbalisée parce que 3 au lieu de 2. Et ça a continué, interdiction du surf, des promenades à cheval, de la promenade sur la plage cadenassée. Fin juin alors que l’épidémie était terminée on l’a remplacé par l’épidémie de tests trompeurs qui ne dépistent que des bouts de virus qui ne permettent pas d’affirmer que l’on est porteur de virus actif, ni malade, ni contagieux. Les moutons ne sont pas encore montés dans les camions, mais ils font la queue, sagement masqués, pendant des heures pour un test non significatif pour le virus, mais seulement pour l’obéissance. Et cette épidémie de masques y compris en montagne ou seul dans sa voiture ou sur la plage pendant que les transports en commun parisiens sont bondés.

Chacun peut écrire la suite, de petits faits « supportables » parfois même rigolos … danger du bain de mer seul, de la promenade seul en forêt ou en montagne, verbalisé aussi… Mais soyons lucides, c’est exactement ce que raconte l’excellent Milton Meyer. Alors oui peut-être faut-il prendre son courage à deux mains, rejoindre les manifestations prévues sans peur de l’immédiat, le futur menaçant d’être bien pire si on laisse faire.

Rappelez-vous que la grenouille qui ne saute pas de sa casserole parce que la température augmente doucement finit cuite.

Méditez le poème écrit à Dachau en 1942 par le Pasteur Martin Niemöller

« Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas communiste.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas juif.

Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas catholique.

Puis ils sont venus me chercher, Et il ne restait plus personne pour protester. »

L’histoire se répète parce que l’homme ne change pas. Essayons de faire mentir cette triste évidence.


Notes




MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL SUR LA COVID19 AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Source : United-Health-Professionals-France.pdf depuis Le collectif United Health Professionals lance une campagne d’alerte internationale sur l’épidémie de COVID-19 (reseauinternational.net)

Transmis par Nicole Delépine.

Document complet en version PDF :

Document international en anglais, version PDF :


Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses, impact horrible sur l’économie mondiale… autodestruction et suicide collectif. Il faut lire l’intégralité de cette lettre au président de la République, et pour les plus courageux ouvrir les liens et articles qui démontrent leurs dires.

Très Urgent :
message d’alerte international sur la COVID-19
12 FÉVRIER 2021

Mr Emmanuel Macron : Président de la France,
Mr Jean Castex : Premier Ministre
et Mr Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé,

EXTRAITS

Nous sommes des professionnels de santé du collectif international : United Health Professionals,

composé de plus de 1 500 membres (y compris des professeurs de médecine, des anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et

d’Océanie, et nous avons adressé le 26 août 2020 aux gouvernements et aux citoyens des pays du monde entier un message d’alerte concernant l’épidémie de COVID. Tout d’abord, commençons par les conclusions du rapport de 2010 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de l’épidémie de H1N1 (…)

Les conclusions majeures sont les suivantes

1– Levez toutes les restrictions :

supprimez les mesures illégales, non scientifiques et non sanitaires suivantes : confinement, port du masque obligatoire pour les sujets sains, distanciation sociale d’un ou deux mètres.

Ces mesures folles et stupides sont des hérésies inventées en 2020 qui n’existent ni en médecine ni en santé publique et qui ne reposent sur aucune preuve scientifique.

Ce n’est pas comme ça qu’on gère une épidémie :

« Le monde est devenu fou » en mettant en place les confinements qui « vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus »

(Dr Anders Tegnell, épidémiologiste en chef de la Suède, 24 juin 2020)

« Le taux de létalité réel semble être à peu près le même que pour la grippe, mais nous n’avons jamais introduit ces mesures drastiques auparavant, lorsque nous avons eu des pandémies de grippe »

(Pr Peter Gøtzsche, 1er décembre 2020)

« La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques… »

(Pr Didier Raoult, 24 juin 2020)

« L’histoire naturelle du virus [le coronavirus] n’est pas influencée par des mesures sociales [confinement, masques, fermeture des restaurants, couvre-feu, etc.]… Le confinement n’a pas enclenché la décroissance des cas…Quant à la fermeture des restaurants qui avaient mis en place des protocoles sanitaires très stricts… je n’ai, bien entendu, aucun moyen de le défendre… il n’a pas du tout influencé l’épidémie… Le confinement n’a rien changé… »

(Pr Philippe Parola, 3 décembre 2020)

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous »

(Professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, 19 juin 2020)

« Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses… un impact horrible sur l’économie mondiale… Autodestruction et suicide collectif… »

(Pr Sucharit Bhakdi, mars 2020. Il a aussi envoyé, à l’époque, une lettre à la Chancelière allemande Angela Merkel)

Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme
dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30
et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF
dans ses articles : 28, 29, 32, 37.

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme… Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas »

(Pr Peter Gøtzsche, 4 décembre 2020)

Obliger des gens non malades à porter des masques est non seulement une hérésie mais c’est aussi nuisible à la santé ainsi qu’à l’écologie et une maltraitance évidente :

« Dictature des masques totalement infondée »

(Pr Christian Perronne, 22 septembre 2020)

« Le couvre-feu… c’était pendant l’occupation allemande où la milice et la Gestapo venaient à la maison. Et maintenant on va avoir la police débarquée à la maison pour voir s’il y a plus de six personnes à table ! C’est quoi ce délire ?! »

(Pr Christian Perronne, 15 octobre 2020)

« Tous les hivers à Paris, les lits de réanimation sont totalement saturés. Nous transférons des patients…tous les hivers, en temps normal »

(Pr Bruno Mégarbane, anesthésiste-réanimateur, 27 septembre 2020)

« Dans aucune des deux vagues… toutes les réanimations n’ont été saturées, c’est faux ! »

(Pr Michaël Peyromaure, 18 janvier 2021)

2– Ouvrez l’économie, les écoles, les universités, le transport aérien et les services hospitaliers

3– Écartez vos experts et vos conseillers qui ont des liens ou des conflits d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques

4– Exigez une enquête internationale et indépendante

et que les responsables de cette escroquerie soient jugés : Le 1er octobre 2020, Reiner Fuellmich — un avocat allemand — annonce qu’un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps :

« Les mesures anti coronavirus ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par (…) l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité tels que définis dans la section 7 du Code pénal international ».

Il a dit aussi qu’on doit parler d’un

« scandale du coronavirus et les responsables doivent être poursuivis pénalement et pour dommages civils ».

Les effets du confinement

« ont été absolument délétères. Ils n’ont pas sauvé les vies qu’ils avaient annoncé pouvoir être capables de sauver… C’est une arme de destruction massive dont on voit les effets sanitaires… sociaux… économiques… qui forment la réelle deuxième vague »

(Pr Jean-François Toussaint, 24 septembre 2020)

Emprisonner son peuple est un crime contre l’humanité que même les nazis n’ont pas commis !

« Ce pays vit une erreur dramatique… qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ! … on est en train de mettre le feu à la planète »

(Pr Didier Raoult, 27 octobre 2020)

« C’est un grand délire, mais qui est instrumentalisé par Big Pharma et aussi les politiciens… C’est une peur qui est organisée pour des raisons politiques et économiques »

(Pr Christian Perronne, 31 août 2020)

« Il ne s’agit que d’une arnaque mondiale pour générer des profits monstrueux, renflouer les banques et pendant ce temps ruiner les classes moyennes au nom d’une épidémie…rendue destructrice p par des mesures liberticides prétendument sanitaires »

(Dr Nicole Delépine, 18 décembre 2020)

« Nous avons des preuves médicales qu’il s’agit d’une escroquerie »

(Dr Heiko Schöning, juillet 2020)

5– Ne suivez plus aveuglément les recommandations de l’OMS et exigez qu’elle soit totalement réformée

6– Utilisez les mesures reconnues pour la gestion des épidémies

7– Responsabilisez les médias

Ils doivent, par exemple, arrêter de parler du coronavirus.

8– Supprimez l’obligation de tests

Les gens qui incitent à rendre ces tests obligatoires escroquent les gouvernements et visent uniquement des objectifs économiques. Rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. La grippe infecte chaque année un milliard de personnes, soit beaucoup plus que le SARS-CoV-2, se propage plus rapidement et comporte plus de populations à risque et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9– Arrêtez les campagnes de vaccination et refusez l’escroquerie du passeport pseudo-sanitaire qui est en réalité un projet politico-commercial

« On n’en a aucun besoin [le vaccin]… Tout ça, c’est une histoire purement commerciale »

(Pr Christian Perronne, 16 juin 2020)

Le vaccin COVID est

« tellement, tellement inutile »

(Pr Sucharit Bhakdi, 2 décembre 2020)

« Je n’ai jamais vu dans l’histoire de la médecine qu’on développe en urgence des vaccins pour vacciner des millions, des milliards d’individus pour un virus qui ne tue plus sauf des personnes à risque qu’on peut identifier, qu’on pourrait traiter… Je n’ai jamais vu un vaccin comme ça sortir du chapeau en deux mois ! Il faut des années ! »

(Pr Christian Perronne, 2 décembre 2020)

À la question : « On n’a pas besoin d’un vaccin général pour l’humanité entière avec 0,05% de morts ? », le Pr Christian Perronne a répondu : « C’est une évidence ! ».

Le 30 novembre 2020 : le Pr Christian Perronne rédige une lettre où il alerte sur le danger des vaccins à base de génie génétique :

« Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent (…) les citoyens du monde pour des cobayes ».

Si les gens acceptent le vaccin, ça sera :

« une erreur parce qu’on risque d’avoir des effets absolument imprévisibles : par exemple, des cancers… On joue à l’apprenti sorcier totalement… Il ne faut pas que l’homme serve de cobaye, il ne faut pas que les enfants servent de cobayes, c’est absolument non éthique. Il ne faut pas qu’il y ait des morts à cause des vaccins »

(Pr Luc Montagnier, Virologue et prix Nobel de médecine, 17 décembre 2020)

En Suisse, un collectif de 700 médecins et professionnels de la santé a demandé le 15 janvier 2021 d’interrompre la campagne de vaccination.

Le virus est totalement innocent dans ce qui se passe (la pauvreté, les pertes d’emploi, les suicides, les morts, la récession économique, le chômage, etc.) et les vrais coupables sont ceux qui ont poussé le monde à utiliser ces mesures et les gouvernements qui continuent d’appliquer ces mesures malgré les alertes et les avertissements.

« La Banque mondiale vient d’estimer que la pandémie de coronavirus a provoqué une augmentation d’environ 100 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Ce n’est pas à cause du COVID-19. C’est à cause des mesures draconiennes que nous avons mises en place. »

(Pr Peter Gøtzsche, 1er décembre 2020)

La discordance et la disproportion entre le niveau de dangerosité du virus et l’importance des mesures prises (qui sont en plus totalement hérétiques) sont tellement flagrantes que ça pousse inéluctablement à la conclusion qu’il y a d’autres objectifs derrière.

Le collectif insiste pour que le président lise la lettre et ses annexes de près pour éviter ce qui est arrivé par exemple au gouvernement philippin.

Ne faites pas l’erreur de sous-estimer notre lettre ou de l’ignorer

Voici 2 exemples de ce qui se passe lorsqu’un gouvernement fait cette erreur

  • Malgré les alertes de plusieurs experts sur le danger du Dengvaxia (vaccin contre la dengue), le gouvernement philippin a décidé en 2016 de lancer une campagne de vaccination qui s’est terminée, plus tard, par un scandale d’état. En effet, selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades.
    Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables. Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire.

  • Le 2e exemple est celui du scandale du vaccin H1N1 qui a été acheté par plusieurs pays malgré les alertes du Dr Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, alerte : « Fausses pandémies ») .Le vaccin a fait, rien qu’en Europe, 1500 victimes de narcolepsie, dont 80% d’enfants, à tel point que le 24 novembre 2013, le ministre des Affaires sociales de la Suède, Göran Hägglund, s’est dit prêt à présenter des excuses publiques aux victimes du vaccin contre la grippe A.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer nos salutations respectueuses.
Le collectif international : United Health Professionals


VOILÀ QUELQUES PISTES DE RÉFLEXION POUR LE PRÉSIDENT, nos élus, vos voisins et amis et ennemis qui accepteraient de lire…

Diffusons largement.




Pour en finir avec le National Economic Security and Recovery Act (NESARA) qui conduit les gens à accepter docilement la Grande Réinitialisation

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Il y a très longtemps que j’y songeais et j’ai maintenant décidé d’écrire un article pour en finir avec l’arnaque du « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) qui conduit les gens non avertis à accepter docilement le plan des globalistes de la Grande Réinitialisation (Great Reset). Cet ensemble de propositions de réformes économiques préparées entre 1980 et 1990 par Harvey Francis Barnard partaient d’une bonne intention. Par contre, elles ont vite été récupérées par des gens sans scrupules, — reliés au mouvement New Age —, afin de tromper le monde et l’amener à croire en une réforme bienfaitrice pour l’humanité. En fait, elle amène les gens à faire confiance et à adopter aveuglément le remise à zéro promue par les élitistes du Forum économique mondial (FEM).

C’est pour cette raison que j’en ai assez de ces gens qui manipulent leur auditoire en propageant des mensonges ou des demi-vérités. Ici, l’ignorance n’est pas une excuse puisque lorsqu’on ne maîtrise pas son sujet, on ne peut prétendre l’enseigner aux autres. Je prends pour exemple les frères jumeaux Daniel et Eric Tadros qui partagent la plupart du temps des informations biaisées et souvent erronées. Cela ne les empêchent nullement de quémander de multiples dons comme pour les récompenser de leur paresse intellectuelle. Il faut souligner que les personnes qui promeuvent d’une façon ou d’une autre le projet NESARA – en fait – font le jeu d’une fraude financière reconnue depuis longtemps.

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) est désormais utilisé à des fins d’opération psychologique et vise à faire adopter la Grande Réinitialisation (Great Reset) de Klaus Schwab. Le 11 Novembre 2016, la socialiste danoise Ida Auken écrivait sur le site internet du FEM :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil ni aucun vêtement. (…) Tout ce que vous considérez comme un produit est maintenant devenu un service. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA)

Dr Harvey Francis Barnard

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) était un ensemble de propositions de réformes économiques pour les États-Unis suggérées au cours des années 1990 par le Dr Harvey Francis Barnard. Barnard a affirmé que les propositions, qui comprenaient le remplacement de l’impôt sur le revenu par une taxe de vente nationale, la suppression des intérêts composés sur les prêts garantis et le retour à une monnaie bimétallique, entraîneraient une inflation de 0% et une économie plus stable. Les propositions n’ont jamais été présentées au Congrès.

NESARA est depuis devenu plus connu comme le sujet d’une théorie de type sectaire promue par Shaini Candace Goodwin, également connue sous le nom de “Colombe de l’Unité” (Dove of Oneness), qui a affirmé que la loi avait en fait été adoptée avec des dispositions supplémentaires telles que la Loi sur la sécurité économique nationale et la réforme, puis réprimé par l’administration George W. Bush et la Cour suprême. Les courriels de conspiration de Goodwin ont été traduits en plusieurs langues et ont un grand nombre de fans en ligne.

Harvey Francis Barnard est né le 22 septembre 1941. Il est retourné dans la région de Baton Rouge, en Louisiane, après une absence de 20 ans en tant que conseiller pédagogique auprès de l’industrie de l’énergie dans des villes à travers les États-Unis. Il a appliqué son doctorat en théorie des systèmes à l’économie dans son livre publié, « Draining the Swamp ». Il a proposé des modifications du système monétaire et fiscal pour favoriser l’accession à la propriété et l’équité pour les contribuables. Il a succombé à une insuffisance cardiaque le mercredi 18 mai 2005 dans un hôpital local.

Nous pouvons lire sur le site Web de Signature Book Printing, Inc. : « Le Dr Harvey F. Barnard écrit sur l’argent mais n’est pas un économiste, sur la banque mais n’est pas un banquier, sur le droit mais n’est pas un avocat, sur la morale mais n’est pas un ministre, sur l’histoire mais n’est pas un historien, sur la société mais n’est pas sociologue, et sur la politique mais n’est pas un politicien. Il a commencé sa carrière en tant que dépanneur de systèmes, la personne que vous appelez pour « réparer » quand il est en panne. Au cours des trente dernières années, il a travaillé en tant que consultant technique enseignant des techniques de dépannage de grands systèmes à une variété de clients. Sa recherche d’une cause profonde et des solutions aux problèmes américains a commencé à la fin des années 60. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA) from Éditions Dédicaces

Proposition de réforme monétaire

Harvey F. Barnard, diplômé de la Louisiana State University en philosophie des systèmes et consultant et enseignant en ingénierie, a créé la proposition NESARA à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Il a imprimé 1000 copies de sa proposition, intitulée « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform » (1996) et a envoyé des copies aux membres du Congrès, croyant qu’elle passerait rapidement sur ses mérites.

Basé sur une théorie selon laquelle la dette est le premier facteur économique inhibant la croissance de l’économie, et l’intérêt composé le « mal moral » numéro un et la raison de la dette, Barnard a fait plusieurs autres tentatives au cours des années 1990 pour attirer l’attention politique sur les problèmes qu’il voyait dans l’économie américaine, et sa proposition de reprise économique basée sur les causes profondes qu’il a déterminées. Après que ceux-ci n’aient pas abouti, il a décidé en 2000 de libérer la proposition dans le domaine public et de la publier sur Internet.

Barnard a créé l’Institut NESARA en 2001 et a publié la deuxième édition de son livre en 2005, sous le titre « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform ». Le 29 juillet 2002, on pouvait lire sur le site internet de NESARA : « Le projet de loi n’a pas été promulgué, n’a pas été présenté au Congrès et n’a pas encore reçu de numéro de suivi. Numéro de projet de loi : Aucun. Les membres du Congrès soutenant publiquement le projet de loi : Aucun. » Il est toujours possible de consulter le projet NESARA sur la plateforme d’archivage « Internet Archive ».

Shaini Goodwin, la Colombe de l’Unicité

Cadence «Shaini» Goodwin

Peu de temps après que Barnard a publié NESARA sur Internet, une femme connue sous le nom de “Dove of Uneness” (Colombe de l’Unicité) a commencé à publier à ce sujet sur des forums Internet. La “Colombe de l’Unité” a été plus tard identifiée comme étant Cadence «Shaini» Goodwin, une ancienne élève de la Ramtha’s School of Enlightenment (RSE), qualifiée dans les médias de “reine cyberculte”. Ramtha’s School of Enlightenment est une secte spirituelle américaine New Age près de la ville rurale de Yelm, à Washington.

L’école a été créée en 1988 par JZ Knight, qui prétend canaliser un être de 35000 ans appelé Ramtha l’Éclairé. Les enseignements de l’école sont basés sur ces sessions de canalisation.

Shaini Goodwin était une fille sombre et extravertie, originaire d’une petite ville de l’État de Washington. Quelques décennies plus tard, elle était une consultante en informatique divorcée et sans succès vivant avec sa mère dans sa maison mobile. Vers la fin des années 1990, elle a commencé à devenir active sur les forums de discussion en ligne de Omega Trust (probablement comme l’un des investisseurs prometteurs) sous le nom de Dove.

Lorsque Barnard a publié en ligne son texte NESARA au format PDF, il a été rapidement repris par Goodwin qui avait maintenant une nouvelle carotte à pendre devant les victimes de l’arnaque Omega, toujours pleines d’espoir. Goodwin a créé son propre logo et a lancé un site Web copieur, nesara.us, où elle a réinterprété la proposition de Barnard et ajouté des fonctionnalités toujours plus extravagantes et séduisantes telles qu’une nouvelle « monnaie arc-en-ciel » soutenue par des métaux précieux et affirmant qu’il y avait au moins 50 « programmes de prospérité » qui commenceraient à être distribués dès que la « loi secrète NESARA » serait officiellement annoncée. Plus la paix mondiale et l’énergie alternative gratuite.

Le faux logo NESARA par Dove of Oneness

Selon le site internet de Goodwin, le projet de loi NESARA a langui au Congrès avant d’être finalement adopté par une session secrète en mars 2000 et signé par le président Bill Clinton. On prétend que la nouvelle loi devait être appliquée à 10 heures du matin le 11 septembre 2001, mais que les ordinateurs et les données (des bénéficiaires des billions de dollars des « fonds de prospérité ») ont été détruits au deuxième étage d’un des tours du World Trade Center à New York pendant les attaques terroristes. Il semblerait qu’un ordre de bâillon antérieur émis par la Cour suprême avait interdit à toute source officielle ou privée d’en discuter, sous peine de mort.

Goodwin a fait référence aux « Chevaliers blancs », la plupart d’entre eux étant des hauts fonctionnaires militaires, qui luttent depuis pour faire appliquer la loi malgré l’opposition du président George W. Bush. Goodwin croyait et prétendait que Bush avait orchestré les attaques du 11 septembre et la guerre en Irak comme une distraction de NESARA. La description de Goodwin de NESARA va bien au-delà de la proposition de Barnard en annulant toutes les dettes personnelles, en supprimant l’Internal Revenue Service, en déclarant la paix mondiale et en exigeant de nouvelles élections présidentielles et au Congrès. Goodwin a souvent affirmé que les fonctionnaires de Bush tentaient de pirater et de faire tomber son site Web pour l’empêcher de publier la loi.

Harvey Francis Barnard a pris connaissance de la description de Goodwin de NESARA avant sa mort en 2005. Il a nié que NESARA avait été promulguée dans la loi ou même assigné un numéro de projet de loi, et a condamné les allégations de Goodwin comme une campagne de désinformation. Le site Web de l’Institut NESARA, nesara.org, a publié une déclaration essayant de corriger les distorsions de son texte par la secte NESARA, et même l’acronyme original. Goodwin, pour sa part, a rejetté l’Institut NESARA comme une couverture de désinformation pour la famille Bush.

Goodwin a commencé à commenter NESARA en relation avec Omega Trust, un stratagème d’investissement frauduleux dont le créateur, Clyde Hood, était alors jugé. Selon Goodwin, les investisseurs d’Omega Trust recevraient leurs rendements après l’annonce de NESARA. Goodwin a prédit à plusieurs reprises que l’annonce NESARA se produirait dans un avenir très proche, bien que dans les années plus tard, elle soit devenue plus réservée dans ces prédictions.



Les autres développements

Après que Goodwin a commencé à commenter NESARA, d’autres théoriciens de la conspiration basés sur Internet s’y sont accrochés. Un partisan, Sheldan Nidle, lie l’annonce imminente de NESARA dans sa prophétie vieille de plusieurs années d’une visite imminente d’OVNI à grande échelle par des extraterrestres bienveillants (occasionnellement sur son site Web, mais plus en évidence dans ses vidéos, séminaires et apparitions publiques). Jennifer Lee, qui avait l’habitude de publier des rapports de situation sur Internet NESARA presque quotidiennement sur son site maintenant disparu, a discuté d’une foule d’êtres d’un autre monde et « interdimensionnels » qui aident dans les coulisses à faire annoncer NESARA. L’évangéliste Internet Sherry Shriner, qui exploite de nombreux sites Web, considère NESARA comme lié à des extraterrestres reptiloïdes malveillants qui, selon elle, contrôlent depuis longtemps le gouvernement américain.

Les groupes NESARA sont connus à coup sûr pour exister et pour avoir attiré l’attention de la presse en Utah et aux Pays-Bas. Les membres de ces groupes se réunissent pour discuter du statut de NESARA, lire les divers rapports, organiser des manifestations et distribuer des dépliants sur NESARA au public. Goodwin affirmait que les groupes NESARA existent dans plusieurs pays et États américains, y compris la Californie, Washington, l’Arizona et le Texas, et fournit des centaines de preuves photographiques de personnes participant à des manifestations publiques tenant des bannières NESARA, mais il n’est pas clair dans quelle mesure les personnes qui tiennent les banderoles savent ce qu’est NESARA, ni pendant combien de temps ces groupes sont actifs. Le News Tribune a retracé l’histoire derrière au moins certaines de ces photos (photos de camions circulant dans Washington, DC portant les mots “NESARA Announcement Now!”), et a constaté qu’elles faisaient partie d’une campagne publicitaire de 40 000 $ qui aurait été payée par un un résident âgé de San Francisco qui avait fait des dons à Goodwin.

Critique et comparaison à une secte

Le « Maître Ascensionné » Saint-Germain

Les critiques considèrent NESARA comme une secte. Soulignant le fait que Goodwin, Lee et Nidle sollicitaient fréquemment des dons de leurs lecteurs, ils accusent ces dirigeants d’être principalement intéressés à assurer un flux régulier de revenus pour eux-mêmes. Goodwin, qui a également demandé aux lecteurs de faire don de leurs miles de fidélisation, a affirmé qu’elle avait besoin et avait utilisé les fonds pour se rendre dans divers endroits à travers le monde afin de rencontrer secrètement des hauts fonctionnaires du gouvernement au sujet de l’annonce de NESARA.

Certains partisans de NESARA affirment également que des êtres d’un autre monde travaillent pour faire annoncer NESARA. Ceux-ci incluent un être cosmique « canalisé » appelé « Hatonn » (un androïde Pléiadien), et un autre nommé Sananda. Selon certains partisans des enseignements des maîtres ascensionnés, tels que Joshua David Stone, Sheldan Nidle et Luis Prada, Sananda est le “nom galactique” du Maître Ascensionné Jésus, qu’il utilise dans son rôle de commandant en chef du commandement Ashtar, flotte de soucoupes volantes.

Pallas Athena est considéré comme le vice-commandant de la flotte de soucoupes. Ashtar (Ashtar Sheran) est considéré dans ces enseignements comme étant le troisième commandant. La désignation de George W. Bush comme reptilien déguisé coïncide souvent avec cette affirmation. Goodwin a affirmé que le Maître Ascensionné Saint-Germain est descendu du plan éthérique pour rencontrer physiquement les chefs de banques et les dirigeants mondiaux concernant l’annonce de NESARA.

La proéminence de la prophétie ratée apporte également un soutien à la théorie du culte. Les partisans de NESARA disent souvent à leurs lecteurs que l’annonce de NESARA va avoir lieu dans quelques jours. Ces affirmations ont été faites trop souvent pour être énumérées, sans jamais aboutir. Selon le documentaire Waiting For NESARA, il a également été affirmé avant mars 2003 que George Bush planifiait la guerre avec l’Irak dans le seul but de retarder l’annonce de NESARA. Il a été prophétisé que les êtres spirituels et les OVNIS interviendraient avec les plans de Bush et empêcheraient la guerre.

Une plainte déposée en juin 2006 auprès de la division de protection des consommateurs de Washington a accusé Goodwin d’avoir utilisé l’histoire de NESARA pour escroquer au moins 10 000 dollars une femme de 64 ans à San Francisco. La fille de la femme a déclaré que le montant réel était beaucoup plus élevé, des centaines de milliers de dollars. (The News Tribune, 18 juin 2006)


NESARA : Drain the Swamp (Free book) ; Global Currency Reset from The Free School

À propos de Clyde D. Hood et Omega Trust

La fraude financière de Clyde D. Hood (The Free Lance-Star, 31 août 2000)

Clyde D. Hood est un ancien électricien de Mattoon, dans l’Illinois. En 1994, Hood a formé Omega Trust and Trading Limited et a commencé à donner des conférences aux groupes religieux. Il a dit que le Seigneur lui avait donné une mission. Il a affirmé qu’il était l’un des négociants internationaux qui pouvaient conclure des transactions secrètes de plusieurs millions de dollars au profit de programmes humanitaires par le biais de débentures et de « billets de banque de premier ordre » dans des banques étrangères. Hood a demandé un investissement de 100 $ et a promis un versement de 5 100 $ dans les 275 jours. Il voulait que l’argent livré soit emballé dans du papier d’aluminium et via Federal Express parce que le gouvernement fédéral américain tentait de bloquer les échanges via le service postal des États-Unis. Par conséquent, le schéma doit rester secret. Des milliers de personnes des États-Unis et de l’étranger ont envoyé de l’argent.

Le programme a cessé d’accepter de nouveaux investisseurs en 1995. À ce moment-là, Hood avait reçu plus de 10 millions de dollars. Il a commencé à présenter un certain nombre d’excuses expliquant pourquoi les investisseurs n’avaient pas été payés, accusant les coûts administratifs, les problèmes avec les banques étrangères et les conflits financiers internationaux. Alors que certaines personnes voulaient encore se joindre au programme, Hood et ses complices ont affirmé qu’ils pouvaient vendre des unités d’actions de personnes qui avaient voulu quitter le programme. Le montant total estimé était de 20 millions de dollars.

En outre, Hood a commencé de nouveaux plans d’investissement nommés Alpha et Destiny et a obtenu plus d’argent de ceux qui avaient investi dans Omega. Avec l’argent, Hood et ses associés ont acheté des terrains et des entreprises à Mattoon, ont accordé des prêts sans intérêt et ont fait des voyages en Europe. Une partie de l’argent a également servi à financer les activités d’autres associés de Hood comme l’entrepreneur en construction Chris Engel.

Engel a coopéré plus tard avec la police et les a laissés enregistrer une conversation téléphonique avec Hood. L’avocat de Hood Steve Ryan a également été retiré de l’affaire par la suite lorsqu’il a été assigné à comparaître en tant que témoin et pour une éventuelle collusion.

Clyde Hood et ses 18 associés ont été inculpés en 2000. Certains d’entre eux ont plaidé coupable ou ont été reconnus coupables de multiples chefs d’accusation de fraude, de fraude postale, de blanchiment d’argent et de dépôt d’une fausse déclaration de revenus (voir 26 U.S.C. § 7206). Le 10 avril 2001, Hood a plaidé coupable de complot de fraude postale ou électronique, de complot de blanchiment d’argent et de production d’une fausse déclaration de revenus.

Le 24 janvier 2002, Hood a été condamné à 14 ans de prison et à une amende de 5 000 $. Cinq de ses associés ont été reconnus coupables de participation active au programme et condamnés à restituer. Treize associés ont été reconnus coupables de blanchiment d’argent. Trois cent cinquante-cinq victimes ont reçu une restitution des fonds confisqués par Omega Trust pour un montant total de 1 697 310,00 $.

L’Omega Trust existe toujours sur Internet en tant que prétendu programme mondial de lutte contre la pauvreté (NESARA). Hood a été emprisonné au « Federal Medical Center Devens », au nord de Worcester, Massachusetts, et devait être libéré en novembre 2012, mais il est décédé plus tôt la même année à l’âge de 78 ans. (Journal Gazette & Times-Courier, 27 juillet 2012)

Entrevue de Shaini Goodwin qui parle de toutes les choses fantastiques sur NESARA et ses vaillants chevaliers blancs.

Les différentes versions d’« OMEGA » et de « NESARA »

Inger G. Nordangård écrit sur le site internet suédois Pharos : « En août 2000, alors que Hood était à court d’excuses pour le non-retour des fonds investis et était poursuivi en justice, Dove s’est présentée comme la nouvelle cheffe. Elle a simplement pris le contrôle des nombreux abonnés de Hood, qui ont refusé de croire qu’ils avaient été arnaqués. Dès le lendemain, elle a commencé à inventer des histoires pour calmer la foule et garder leur espoir vivant. L’arrestation n’était qu’un “complot” contre Hood pour “arrêter les paiements” et les accusations seraient bientôt abandonnées. » Shaini Goodwin a vivement averti les membres qui feraient des recherches d’informations sur l’affaire :

« Restez à l’écart des site Web qui contiennet des informations sur cette affaire !!! », a-t-elle écrit. « Vous serez suivi si vous accédez à ces sites Web. Et évitez absolument de remplir des plaintes – vous pourriez perdre votre financement si vous faites cela! »

Le site internet “Un souffle de la vie” conclut ainsi : « À côté des arguments de base de la fraude — argent facile et rapide, mettre à la portée de tout à chacun une spéculation réservée à une élite — Dove a animé une histoire dans l’histoire en plaçant le produit “OMEGA” au cœur d’une intrigue. Le produit “OMEGA” est devenu un maillon parmi une cinquantaine de “Programmes de prospérité”. Des programmes qui devaient financer de vastes projets “humanitaires”. Des sommes de plusieurs “milliards de dollars” pour initier un “nouveau paradigme”. L’intrigue prît encore plus d’ampleur lorsque le déblocage des gains générés devait être conditionné à l’annonce publique d’un projet “NESARA” qui réformerait le système bancaire fiscal au niveau mondial. »

Vous connaissez maintenant la véritable histoire de l’arnaque actuelle de NESARA.



Les Bruxellois mettent bas les masques et la police constate qu’il est impossible de verbaliser tous ceux qui ne respectent pas les mesures sanitaires

[Source : Médias-Presse-Info]

Le nombre ne fait pas la Vérité. Mais le nombre peut se révéler bien précieux pour faire infléchir certaines pratiques iniques. La leçon nous en a été donnée ce week-end à Bruxelles et devrait valoir pour la France et pour le reste de l’Europe soumise à l’hystérie covidienne.

Avec le beau temps, tous les espaces verts bruxellois, et notamment le Parc du Cinquantenaire et le Bois de la Cambre, ont connu une très importante fréquentation dimanche. Et une très grande proportion des promeneurs ont baissé le masque dans un mouvement spontané de libération et ce sans plus aucun respect des fameuses distances sociales.

Face à l’ampleur du phénomène, la police a renoncé à verbaliser les nombreuses personnes ne respectant plus les restrictions sanitaires.

Observation : beaucoup de gens sans masque. La police veille mais ne peut pas être partout malgré le déploiement de patrouilles supplémentaires“, a laconiquement déclaré Ilse Van de Keere, porte-parole de la police de Bruxelles-Capitale/Ixelles. Et d’avouer : “Il était impossible de verbaliser tous ceux qui ne respectaient pas les mesures.”


[Voir aussi :]

https://twitter.com/OSTERElizabeth1/status/1363599443463921667



Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR

[Source : Belgian Alternative Media]

Par Stéphane Dumonceau-Krsmanovic

Lettre ouverte à Yves Coppieters*

Lettre ouverte à Yves Coppieters

Cher Monsieur Coppieters,

C’est en tant qu’ancien de l’ULB [Université Libre de Bruxelles], collaborateur scientifique ISEPK-ULB, chercheur en neurosciences et auteur de nombreuses études scientifiques dans le cadre d’un doctorat à l’ULB que je vous interpelle.
C’est aussi en ma qualité de citoyen que j’interviens, ce bref résumé mentionnant simplement ma relative capacité à savoir lire des chiffres, des études scientifiques et à interpréter des tests statistiques adéquats
ou non. J’attire votre attention sur la lecture toute relative des chiffres révélés par l’utilisation du test PCR. J’entends tous les jours l’annonce de «cas» positifs à la radio ou la télévision.

Or, le test PCR n’est PAS un test révélant directement une infection mais une trace infinitésimale de segments d’un virus amplifié plus de mille milliards de fois ([à] CT40).
Une infection ne se teste pas à partir d’un test génétique. On teste plutôt d’habitude une charge virale dans le sang. Le test PCR, qui convient bien pour déceler la présence ou non d’un individu sur une scène de crime (1 ou 0), ne convient pas pour mesurer le développement d’une épidémie. Il ne mesure pas la quantité de virus présent sur l’échantillon et comme il en est incapable, il amplifie la trace trouvée éventuellement jusqu’à ce que celle-ci devienne significative!  
Il s’agit carrément d’une forme de fraude.

Ici, il n’y a pas un consensus scientifique précis et/ou international entre l’importance de l’amplification et la preuve d’une infection. Les labos ont donc libre appréciation et cela n’a rien de scientifique, de cartésien. Les labos n’ont pas testé une population de symptomatiques covid-19 en vérifiant une moyenne d’amplification nécessaire pour déclencher leur réactif. Ils ont donc fait un choix arbitraire qui ne veut rien dire. Or ce choix ne reposait pas sur une estimation logique.
En effet, voyons en détail pourquoi le protocole fixé à CT40 ou CT45 est absurde dans le nombre d’amplifications.

Après modification d’un ou deux segments d’ARN en ADN, celui-ci est dupliqué à nouveau en deux exemplaires (CT2). Et ainsi de suite, chaque nombre étant dupliqué en deux. Concrètement, cela donne ceci :

  • CT10 cycles : 2 segments, 4 segments, 8, 16, 32, 64, 128, 256, 500 (pour faire simple), 1000 segments
  • CT20 cycles : 2000, 4000, 8000, 16000, 32000, 64000, 128000, 250000, 500.000, 1 million
  • CT30 cycles : 2M, 4 M, 8 M, 16M, 32M, 64M, 128M, 256M, 500 M, 1 milliard de segments
  • CT40 cycles : 2, 4, 8, 16, 32, 64, 128, 500 milliards, mille milliards de segments
  • CT45 cycles : 1000 milliards, 2000 milliards, 4000 milliards, 8000 milliards, 16.000 milliards de segments.

L’amplification à CT40 ou CT45 est tellement exagérée que les «cas» testés positifs s’avèrent dans [au moins] 97% des cas asymptomatiques ! 

[Voir aussi : L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade et Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs]

Force est de constater que le test est donc un échec tellement il est inexact.
Soit la quantité de virus fut insuffisante pour créer une infection chez le cas positif asymptomatique, soit il est immunisé: dans les deux cas, il n’y a pas lieu de citer au JT et tout au long de la journée qu’ «aujourd’hui on recense encore 200 (ou que sais-je?), cas infectés»… Car c’est tout simplement FAUX à [plus de] 97%. Or ce test a été cautionné par tous les experts jusqu’ici…

Je vous propose donc de saisir cette opportunité et de proposer l’arrêt immédiat de l’utilisation des tests PCR, qui trompent la population quant à la réalité de l’épidémie. L’analyse des égouts donne une idée plus précise pour les pouvoirs publics et tester une population immunisée ou non «contaminée», au sens réel de ce mot, est absurde. Comme vous le savez, un test doit servir à préciser le diagnostic d’un malade et ne convient pas à des gens en bonne santé. A moins de passer sa vie à faire les milliers de tests existants sur tout le corps…

Je précise que, malgré ce qu’affirme le journal Le Monde (visiblement un média non objectif), il existe bien une interview en live de l’inventeur du test PCR (Karry Mullis), dans laquelle il précise que son test n’est pas fiable pour déceler des infections. Il décèle uniquement des traces infinitésimales (1).

Les virus se trouvent par milliards dans l’air respiré et si on utilisait ce test PCR pour repérer d’autres virus, on en trouverait donc aisément toute une quantité dans le nez (le filtre à air du corps) de la population.

Je me permets de préciser aussi que la Cour pénale de Lisbonne a rejeté l’usage de ce test. Idem en Allemagne. Je précise aussi que le Dr Drosten, expert auprès d’Angela Merkel pour la crise sanitaire, a fait l’objet de poursuites en justice en Allemagne pour avoir configuré le protocole PCR du covid-19 à 45 CT, alors que la profession considère qu’au-delà d’un certain nombre de cycles d’amplification, établir une corrélation avec une infection est déraisonnable et inadéquat.

Quand on pense aux conséquences économiques et sociales de l’utilisation de ces tests, et aussi aux conséquences sur les soins de santé, on ne peut plus tolérer l’utilisation de ces résultats faussés. Plusieurs associations en Belgique ont d’ailleurs vu le jour pour lutter notamment contre cette aberration, telles que www.parents2021.com ou encore https://docs4opendebate.be/ (730 médecins, 2580 professionnels de la santé, 19789 citoyens belges) (2), qui ont toutes deux tenté d’attirer l’attention sur l’incroyable invalidité de ce test. Pourquoi ne les écoute-t’on donc pas?

Je vous encourage à lire le rapport envoyé à Eurosurveillance par un consortium de scientifiques
à ce sujet (3).

En vous remerciant pour votre lecture et en espérant avoir attiré votre attention sur le plan scientifique, j’espère avoir un retour de votre part et pouvoir bénéficier de votre expertise dans le domaine.

Cordialement,

Stéphane Dumonceau-Krsmanovic


[Notes]

  1. Textuellement les paroles de l’inventeur : «Le {PCR} est un procédé qui ne dit pas si vous êtes malade»  (ni à fortiori contagieux). «Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire…»; «Avec le test PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui…»; «Je veux dire, si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à obtenir quelque chose de vraiment mesurable – ce que le test PCR peut faire – alors il n’y a que très peu de molécules que vous n’ayez pas au moins en un seul exemplaire dans votre corps. On pourrait donc considérer ça comme un usage détourné…» Kary Mullis – interview (tout le monde peut la trouver via GOOGLE:
    https://www.youtube.com/watch?v=57YQjM5_30E&feature=share&fbclid=IwAR2EKSANU_D_F8mJb5Z2JJv7hyufDw0-cX0PWziCbsirw0ZqdximfEPxf6E
  2. Lien vers l’argumentaire du collectif «docs4opendebate»: 
    https://docs4opendebate.be/wp-content/uploads/2020/12/PCR-fr.pdf
  3. Un consortium de scientifiques a déposé le 27 novembre un rapport et une demande de rétractation du test PCR auprès du Comité de rédaction d’Eurosurveillance («Eurosurveillance is an open-access medical journal covering epidemiology, surveillance, prevention and control of communicable diseases with a focus on topics relevant for Europe. The journal is a non-profit publication and is published by the European Centre for Disease Prevention and Control»).
    https://cormandrostenreview.com/report/

Source photo :
https://www.qwant.com/?q=test%20pcr&t=images&license=public


[*] : épidémiologiste belge.




La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19

[Source : Mondialisation.ca]

« Entre dépeuplement planifié et cynisme financier, l’humanité doit se réveiller »

Nous sommes-nous trompés ?

La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence Européenne du Médicament (EMA-AEM) [1].

Même la revue Prescrire, après son article partial et critique en défaveur de l’ivermectine [2] -voir la réponse du docteur Gérard Maudrux [3], sur le vaccin ADN d’Astra Zeneca et Oxford le souligne :

  • Le niveau de preuves des données est globalement faible, entre autres parce que les essais ne se sont pas déroulés comme prévu, et que les données d’efficacité clinique rendues publiques ne portent que sur environ la moitié des participants aux essais.
  • Dans les essais, la diminution relative du risque d’être atteint d’une maladie covid-19 a été d’environ 70 % dans les groupes vaccin ChAdOx1 nCoV19, avec une incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité plus grande qu’avec les deux vaccins à ARNm déjà autorisés. Une réduction de la fréquence de covid-19 grave est vraisemblable mais non démontrée.
  • 36 % des participants avaient au moins un facteur de risque de covid-19 grave autre que l’âge, mais l’incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité chez eux est encore plus grande que pour l’ensemble des participants. Seulement 6 % environ des participants étaient âgés de 65 ans ou plus.
  • Les effets indésirables connus du vaccin ChAdOx1 nCoV19 sont surtout des réactions locales et systémiques très fréquentes. Il existe encore de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation, notamment de ce vecteur viral chez les êtres humains.

Des niveaux de preuve globalement faibles, de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation.

Toute mise sur le marché d’un produit, d’un médicament, à fortiori d’un vaccin destiné à des personnes non malades, nécessite plusieurs phases d’évaluation, étalées sur plusieurs années, principe de précaution court-circuité dans cette crise avec tous les dangers que cette précipitation peut engendrer.

Le principe de précaution violé

Quoi qu’en disent, sans preuves, les firmes productrices des vaccins nouvelle génération (ARNm ou ADN avec vecteur viral modifié génétiquement), l’introduction d’ARNm ou d’ADN avec vecteur viral dans nos cellules comporte le risque potentiel de modifier notre ADN. La sécurité génétique de cette technique n’a pas pu être évaluée puisque plusieurs décennies seraient nécessaires pour le faire.

Ces « vaccins géniques » au mécanisme d’action très particulier exposent l’humanité à des risques inconnus, non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution pourtant si cher à nos autorités sanitaires.

Le principe de précaution est à la base de la plupart des mesures liberticides imposées par nos gouvernements : port du masque obligatoire même en rue, distances sociales, fermeture des lieux publics tels que restaurants ou bars, interdiction de se rassembler ou de manifester, fermeture des cinémas, des piscines et des parcs de loisirs.

Pour les vaccins, le principe de précaution est violé, bafoué.

Délai normal de mise sur le marché d’un vaccin

Ce qui suit est encore plus vrai avec les coronavirus comme le SARS-CoV-2.

La journaliste Céline Deluzarche, dans un article sur Futura Sciences (Futura Santé) du 19 mars 2020 revu le 15 juin, le dit :

« Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte.

Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer au mieux, contre-productive, au pire causer des morts.

Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin  chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. » [4]

« Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). » [5]

Pour avoir l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament ou d’un vaccin, les essais doivent franchir plusieurs étapes ou phases. 

Ces étapes et ce délai sont la clé de la sécurité du produit.

La phase préclinique consiste à faire des tests sur animaux : cette étape préclinique animalière est très importante pour la sécurité.

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de l’aggravation de la maladie par la vaccination, ce risque est connu depuis 30 ans [6-7].

Ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV-1, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du MERS, les lapins ont développé des anticorps mais leur pathologie pulmonaire s’est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus. [8]

Cette complication est appelée VAED.

Avec les vaccins, « le plus gros problème est la crainte d’un ADE (Antibody-Dependant Enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines » [9-10]

Le 5 mars 2020, devant le congrès états-unien, Peter Hotez (expert vaccinal – Peter Hotez, Wikipédia) met en garde contre la facilitation de l’infection par les anticorps, et sa relation avec la vaccination :

« Il faut être très prudent et aller doucement avec les essais cliniques, les essais sur animaux ont montré la facilitation » !

Peter Hotez nous conseille la plus grande prudence :

« Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-Dependent Enhancement ou «ADE en anglais) » 

Vaccination COVID et VAED

Pour le VIDAL, organe de référence médical français, la question est posée :

Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s’inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées ? [11]

Malgré 30 ans d’efforts, aucun vaccin efficace n’a jamais été mis au point pour aucune des nombreuses souches de coronavirus.

« À ce jour, il n’y jamais eu de vaccin efficace contre les coronavirus, en raison de la nature de ces virus. En plus, les tentatives passées de créer un vaccin anti-coronavirus ont eu comme seul résultat des personnes vaccinées avec un plus grand risque de maladie sévère et de décès une fois à nouveau exposées à une autre souche du virus. » [12-13]

La phase pré-clinique, animale, a été laissée de côté par les firmes et la vaccination, lancée sans s’assurer de l’absence de VAED.

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats, le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

Les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Après la phase pré-clinique sur les animaux, le produit doit traverser la phase I (évaluation de la toxicité à court terme chez l’humain et du taux d’anticorps produits), la phase II (en moyenne 4 ans) qui doit confirmer l’absence de danger, l’efficacité et déterminer la dose optimale et le schéma d’administration, et enfin la phase III (durée 3 à 5 ans) sur un groupe représentatif de la population cible, comportant des milliers de personnes. Le succès de la phase III fournit le dossier indispensable à l’autorisation de mise sur le marché, analysé par des experts indépendants des firmes pour le compte de l’Agence du médicament.

Tout ceci explique pourquoi cette mise sur le marché prend normalement plusieurs années, dans l’intérêt de la population qui va recevoir ce médicament ou ce vaccin.

Il faut être sûr de l’efficacité ET d’un danger acceptable au regard des risques de la maladie ciblée.

Cela permet surtout de pouvoir informer correctement la population afin qu’elle fournisse un consentement éclairé au traitement ou à la vaccination.

La mise sur le marché en moins d’un an des vaccins COVID n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais, et non des moindre, les essais sur les animaux.

Ceci est d’autant plus vrai en matière de vaccins contre les coronavirus, comme l’ont montré les tentatives désastreuses de vaccination contre le SRAS-CoV-1 et le MERS.

En matière de vaccination contre le COVID, les firmes PFIZER-BioNTech, Astra Zeneca, Moderna ont court-circuité ou bâclé toutes les étapes qui permettent de s’assurer de la sécurité :

  • Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.
  • Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.
  • Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 de 2009 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).
  • Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées. [14]
  • La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement, comme le détaille Pfizer, dans sa publication sur clinicaltrials.gov : première analyse en aout 2021 et fin de l’essai en janvier 2023.

« Le miracle de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses.

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles. » [15]

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit d’une négativation de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [16].

De toute façon, la capacité d’interrompre la transmission du virus par les vaccins (immunité stérilisante) n’est pas étudiée dans les essais cliniques, comme le dit l’éditorialiste du British Medical Journal Peter Doshi [17] :

Le monde a parié sur la production de vaccins comme solution à la pandémie, mais les essais ne visent pas à répondre aux questions que beaucoup pourraient se poser.

Peter Doshi a montré que les essais cliniques « randomisés » ne montreront pas si les vaccins sont capables d’éviter les formes graves chez les personnes fragiles ni s’ils auront un effet sur la mortalité globale.

Les essais cliniques sont conçus pour déterminer si les futurs vaccins seront capables d’éviter une maladie bénigne ou même asymptomatique, pas pour éviter une maladie grave ou le décès par COVID-19. Les essais ne montreront pas que les vaccins peuvent éviter la transmission interhumaine.

Précautions bafouées par les médecins vaccinateurs

Le font-ils exprès ? Savent-ils ce qu’ils font ?

La vaccination n’est pas un traitement, mais une prévention dont l’efficacité dépend de la bonne santé du système immunitaire de la personne vaccinée. Si ce système immunitaire (immunités spécifiques à mémoire via les lymphocytes B producteurs d’anticorps et les lymphocytes T) est compromis, non seulement la vaccination sera inutile, mais aussi potentiellement dangereuse, pouvant provoquer la maladie qu’elle est censée prévenir !

Avant de vacciner, il est conseillé d’évaluer le statut immunitaire de la personne : sérologies anticorps, mesure des taux de lymphocytes par un laboratoire spécialisé.

Les médecins ou autres personnes qui vaccinent sont-ils en mesure d’informer correctement leurs patients en droit d’être informés avant de donner leur consentement éclairé à tout traitement, toute prévention ?

Ces vaccinateurs connaissent-ils les études sur les effets toxiques des adjuvants, aluminium, nanoparticules, poly-éthylènes glycols (PEG) ou autres ?

« Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin de fournir de nouvelles informations, une méthode d’investigation par microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un microscope électronique à balayage environnemental équipé d’une microsonde à rayons X. Les résultats de cette nouvelle enquête montrent la présence de particules micro et nanométriques composées d’éléments inorganiques dans les échantillons de vaccins qui ne sont pas déclarées parmi les composants et dont la présence indûment est, pour le moment, inexplicable. Une partie considérable de ces contaminants particulaires a déjà été vérifiée dans d’autres matrices et signalée dans la littérature comme non biodégradable et non biocompatible. » [18]

Les nanoparticules traversent le placenta [19].

Les nanotubes pénètrent dans les poumons [20].

Les nanoparticules bouchent les vaisseaux sanguins et capillaires [21].

Les nanoparticules endommagent l’ADN [22].

Il y a des risques d’allergies graves et de maladies auto-immunes liées à la présence de PEG (polyéthylène glycol) utilisés dans les nanoparticules vectrices des vaccins à ARNm [23].

Il existe des anticorps contre les PEG chez 72% des Américains [24]. Cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes et c’est une molécule très toxique [25].

Le risque de maladies auto-immunes notamment neuronales est très sérieux du fait notamment du mimétisme entre épitopes de la protéine Spike et certaines protéines neuronales humaines [26].

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils la recombinaison ?

Ce risque est indépendant du vecteur utilisé, plasmides, nanoparticules ou virus génétiquement modifié.

Les VIRUS oint une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès que les génomes des virus sont de même nature, ADN ou ARN, et qu’ils partagent des séquences de gènes qui se ressemblent.

Ces virus recombinants peuvent être beaucoup plus virulents que le virus d’origine et peuvent donc aggraver la situation.

Le phénomène de recombinaison a été démontré chez des plantes transgéniques dans le génome desquelles un gène viral avait été volontairement introduit.

Exemple de virus recombinant : H1N1, recombinant 3 souches de virus de la grippe, porcine, humaine et aviaire.

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils le risque de cette vaccination COVID avec la grippe ou du COVID avec la vaccination antigrippale ?

La vaccination antigrippale est fortement suspectée de favoriser les infections à coronavirus chez l’adulte ! [27]

Cela a été montré également chez l’enfant [28]. 

Et le risque de maladie déclenchée par la vaccination (VAED) a également été documenté pour le vaccin antigrippal [29].

Effets secondaires graves voire décès déjà documentés

La FDA (USA) a signalé à la suite de la vaccination COVID la survenue d’effets secondaires, indésirables graves appelés effets systémiques de grade III, c’est-à-dire empêchant l’activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale [30].

Le CDC (haute autorité de santé aux USA) a rassemblé les réactions indésirables au vaccin Pfizer entre le 14 et le 18 décembre 2020 au Royaume-Uni et a recensé presque 3% d’effets secondaires graves. 3%  :  c’est énorme ! Pour contrer une maladie qui a un taux de mortalité de seulement 0,23%, pour l’ensemble de la population ! [31]

L’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre plusieurs décès et les effets secondaires du vaccin ARNm.

Selon le médecin en chef de l’autorité sanitaire, « les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles ». Le gouvernement norvégien est préoccupé par le décès de 29 personnes âgées qui ont été soumises au vaccin COVID-19 de Pfizer.

La Norvège a émis le 15 janvier 2021 une alerte après la constatation de 29 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. »

« Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet [32-33].

En Espagne, après « vaccination génétique », 7 morts et 100% des résidents infectés dans une maison de retraite espagnole avec le « vaccin » expérimental à ARNm de Pfizer [34].

De très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d’Ehpad après vaccination.

24 morts dans une maison de retraite aux USA suite à la vaccination en pleine flambée épidémique : les décès ont commencé à se produire 7 jours après le début de la campagne de vaccination (80% des résidents et 50% du personnel a été vacciné). Il n’y avait pourtant eu aucun décès dû au Covid dans les maisons de retraite de la région ! [35]

Comme souligné et prouvé dans les points précédents, vacciner en pleine période épidémique comporte les risques de recombinaison virale avec virus recombinants plus virulents (variants) comme nous le verrons plus loin avec les cas d’Israël ou de la Grande-Bretagne, d’interférence virale et de VAED (aggravation de l’infection par la vaccination).

Malgré ces données, les pays continuent à vacciner à tour de bras !

Floride, décès d’un médecin, attribué au vaccin par un expert [36].

Les responsables de la santé publique et les porte-parole de l’industrie aiment à dire que les risques de blessures graves liés à la vaccination sont de « un sur un million ».

Le ministère de la santé a prétendu, en 2010, que le VAERS (Vaccination Adverse Effects Reporting System) avait recueilli « moins de 1% des effets graves » dus aux vaccins.  Les taux réels de blessures dues aux vaccins obligatoires étaient en réalité plus de 100 fois supérieurs à ce que le ministère de la santé avait dit au public ! [37]

Dans la vaccination anti-COVID, au cours de la première semaine de distribution des vaccins, les Américains ont pris 200 000 doses de vaccins COVID et ont signalé 5 000 effets « graves » (c’est-à-dire des journées de travail manquées ou une intervention médicale nécessaire).

Cela représente un taux de blessure de 1 sur 40 piqûres. 

Cela signifie que les 150 piqûres nécessaires pour éviter un cas bénin de COVID causeront des blessures graves à au moins trois personnes. 

L’analyse de l’étude de 2010 du HHS a révélé que le risque réel d’événements indésirables graves était de 26/1000, soit un sur 37 [38].

Déjà 132 décès déclarés dans Eudravigilance seulement 26 jours après l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer [39].

Les autorités masquent la vérité.

Réactions allergiques graves documentées

Des allergies sévères sont causées par les vaccins ARNm [40-41].

Que se passe-t-il en Israël, en Grande Bretagne et à Gibraltar, champions de la vaccination génétique ?

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.

La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie (VAED).à

Vaccination en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. 

Depuis, la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Après presque un an d’épidémie, Gibraltar ne comptait que 15 décès attribués au COVID-19. En 3 semaines de vaccination, le nombre total de morts a été multiplié par 5 !

Immunité juridique pour les fabricants de vaccins

Les commandes de vaccins engendrent des bénéfices pour les actionnaires de l’entreprise et un coût pour le public. Mais le plus grave est la mise en danger des populations qui paient pour cela !

Les fabricants de vaccin ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits.

Aux USA, les fabricants de vaccins sont protégés de toute poursuite légale en cas de dommages causés par les vaccins, ce coût sera supporté par l’état, donc ses contribuables [42].

En Europe, les fabricants de vaccins font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique [43].

Astra Zeneca organise son exemption juridique [44].

L’Union Européenne (UE) indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus [45].

Vaccins obligatoires ?

D’après l’OMS et le Conseil de l’Europe, les vaccins ne devraient pas être obligatoires, et dans le même temps, des gouvernements parlent ouvertement d’imposer un passeport vaccinal avec discrimination certaine des non-vaccinés :

Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020 [46].

Pourtant, d’autres gouvernements plus avisés et qui protègent vraiment leurs populations ont décidé de faire un moratoire sur ces vaccinations aux effets inconnus, grevées d’effets secondaires et décès de par le monde, dont on nous dit qu’elles ne sont pas destinées à nous protéger des formes graves ni de la contagion et pour lesquelles toutes les étapes de sécurité ont été court-circuitées, foulant au sol le principe de précaution le plus élémentaire.

Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

Le premier ministre thaïlandais a déclaré dimanche qu’il ne permettrait pas aux Thaïlandais d’être utilisés comme cobayes pour tester l’efficacité des vaccins Covid-19. Tous les vaccins déployés en Thaïlande doivent être sans danger [47].

De même, Madagascar et les Suédois refusent ces vaccins [48-49].

Y avait-il vraiment urgence ?

L’urgence est pourtant toute relative, avec un taux de mortalité (IFR-Infection Fatality Rate) dans toute la population mondiale, selon l’OMS, de 0,23%, soit un taux de survie au COVID-19 de 99,77% ! [50]

L’argument pour justifier une mise sur le marché à la hâte d’un vaccin anti-COVID est l’ampleur de la pandémie COVID-19 ayant imposé l’arrêt de toute l’économie jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible.

Pourtant, toutes les prévisions catastrophiques ont été revues à la baisse [51].

Les projections de décès faites par l’Imperial College de Londres (Neil Fergusson) en l’absence de confinement étaient très exagérées [52].

Les chercheurs qui ont écrit dans le UK Telegraph le 16 mai dernier l’ont qualifié de « l’erreur logicielle la plus dévastatrice de tous les temps ». Ils ont écrit que « nous virerions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci » et que la question était « pourquoi notre gouvernement n’a pas obtenu un second avis avant d’avaler la prescription d’Imperial » [53].

N’y avait-t-il rien d’autre à faire ?

D’autres solutions plus naturelles, moins dangereuses, pour lesquelles nous disposons de dizaines d’années de recul sur les éventuels effets secondaires, existent, rendant encore plus relative cette notion d’urgence vaccinale avec des produits expérimentaux, dont les phases d’évaluation (efficacité et dangers) ne sont pas terminées, vaccinations grevée de dangers graves pour la santé humaine, en particulier en matière de coronavirus !

Beaucoup de médecins soutiennent ces solutions alternatives :

  • Ivermectine [54] associée à un antibiotique
  • Antibiotique (Azithromycine) [55]
  • Hydroxychloroquine [56] associée à un antibiotique [57]
  • Vitamine D3 [58]
  • Vitamine C [59]
  • ZINC [60] 
  • Sélénium [61]
  • Artemisia Annua [62]
  • Mélatonine [63]
  • Colchicine [64]

Pour certains de ces produits, le nombre de références et de preuves d’efficacité et surtout de sécurité est impressionnant, et les tentatives des autorités pro-vaccinales et des médias écrits et parlés qui répètent leurs mantras comme des perroquets sont de plus en plus ridicules. Cela ne serait que risible, si ces dénis et mensonges n’entraînaient pas autant de morts et de maladies évitables.

Épilogue

L’humanité est l’objet d’une expérimentation à grande échelle.

Tout cet article, références à l’appui, montre que :

  • L’urgence sanitaire utilisée comme prétexte à une telle prise de risque avec nos santés, nos libertés et nos patrimoines génétiques ne tient pas la route, avec un taux de survie spontanée au COVID-19 (en ne faisant rien) de 99,77 % pour toute la population. Le taux de survie et la qualité de survie seraient encore plus élevés en permettant aux médecins de prescrire les traitements efficaces dont l’ivermectine.
  • Les vaccins, surtout les formes génétiques, ADN et ARNm, préparées en moins d’un an en court-circuitant toutes les étapes de sécurité habituelles dont les essais sur animaux, et sans attendre un recul indispensable, sont de petites bombes à retardement dans nos cellules, et les effets secondaires graves, les décès déjà rapportés montrent que le remède est pire que le problème.
  • Des solutions alternatives, efficaces et surtout plus sûres, existent. Seulement elles ne rapportent rien aux firmes pharmaceutiques qui ont déjà empoché des milliards de dollars et d’euros, et ce n’est rien à côté des milliards de dollars que les maladies auto-immunes et autres fléaux engendrés par ces vaccins préparés à la hâte leur promettent, tout en ayant fait attention à échapper à toute poursuite pénale pour tous les dommages que leurs vaccins ne manqueront pas de causer. C’est déjà commencé.

Humanité ! Est-ce vraiment ce que tu veux ?

Sinon, il faut se réveiller.

Dr Pascal Sacré


Notes (sources) :

[1] Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments : 
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html

[2] https://www.prescrire.org/Fr/203/1845/60820/0/PositionDetails.aspx 

[3] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/livermectine-victime-dattaques-malhonnetes 

[4] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-dangers-vaccin-elabore-hate-80089/

[5] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363 

[6] Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[7] Hohdatsu, T & al, A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3335060/ , 2012, PloS One
Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus

[9] Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry, Journal of Virology

[10] SARS vaccines : where are we ?, Expert Rev Vaccines 2009 Jul ; 8(7) :887-98. Doi : 10.1586/erv.09.43.

[11] https://www.vidal.fr/actualites/26105/vaccins_contre_la_covid_19_doit_on_s_inquieter_du_risque_de_maladie_aggravee_chez_les_personnes_vaccinees/

[12] https://fort-russ.com/2020/05/were-conspiracy-theorists-right-bill-gates-supported-moderna-inc-prepares-mid-stage-trials-for-covid-19-vaccine/ , 8 mai 2020

[13] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31607599/ , Vaccine, 10 janvier 2020, Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season.

[14] https://blogs.bmj.com/bmj/2021/01/04/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-we-need-more-details-and-the-raw-data/ 

[15] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363

[16] PCR : Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :
http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[17] Will covid-19 vaccines save lives ? Current trials aren’t designed to tell us  
BMJ  2020
https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

[18] https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html  New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro- and Nanocontamination, par Antonietta M Gatti et Stefano Montanari, 23 janvier 2017

[19] https://www.santelog.com/actualites/grossesse-et-pollution-les-microparticules-traversent-le-placenta :  GROSSESSE et POLLUTION : Les microparticules traversent le placenta

[20] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/enfant-nanotubes-carbone-trouves-poumons-petits-parisiens-60199/ : Des chercheurs de l’université de Paris-Saclay ont trouvé des nanotubes de carbone dans les cellules des voies respiratoires d’enfants asthmatiques vivant en région parisienne. Ces nanotubes pourraient provenir d’émissions de gaz d’échappement et entrer dans les poumons de chacun d’entre nous.

[21] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-pollution-air-fait-mal-coeur-26390/#xtor=RSS-8 : La pollution de l’air modifie le diamètre des microvaisseaux et augmente ainsi les risques de maladies cardiovasculaires.

[22] https://changera.blogspot.com/2014/04/les-nano-particules-endommagent-ladn.html : Les nanoparticules dans les produits de consommation courante et leurs actions sur l’ADN pouvant mener au cancer !

[23] https://www.sciencemag.org/news/2020/11/fever-aches-pfizer-moderna-jabs-aren-t-dangerous-may-be-intense-some

[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27804292/

[25] Szabó, G., Jr., Kiss, A. and Trón, L. (1982), Permeabilization of lymphocytes with polyethylene glycol 1000. Discrimination of permeabilized cells by flow cytometry. Cytometry, 3 : 59-63. 
https://doi.org/10.1002/cyto.990030113,Shiraishi K, Yokoyama M. Toxicity and immunogenicity concerns related to PEGylated-micelle carrier systems : a review. Sci Technol Adv Mater. 2019 ;20(1):324-336. Published 2019 Apr 15. Doi :10.1080/14686996.2019.1590126

[26] Lucchese G, Flöel A. Molecular mimicry between SARS-CoV-2 and respiratory pacemaker neurons. Rev. 2020 ;19(7) :102556. Doi : 10.1016/j.autrev.2020.102556
Lucchese, G., Flöel, A. SARS-CoV-2 and Guillain-Barré syndrome : Molecular mimicry with human heat shock proteins as potential pathogenic mechanism. Cell Stress and Chaperones 25, 731–735 (2020). 
https://doi.org/10.1007/s12192-020-01145-6

[27] https://peerj.com/articles/10112/ : Positive association between COVID-19 deaths and influenza vaccination rates in elderly people worldwide
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31607599 : Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season

[28] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22423139 : Increased risk of non influenza respiratory virus infections associated with receipt of inactivated influenza vaccine Benjamin J. Cowling & al.

[29] https://www.aimsib.org/2020/09/27/vaccin-anti-grippal-et-facilitation-de-linfection-par-les-anticorps/

[30] Toxicity Grading Scale for Healthy Adult and Adolescent Volunteers Enrolled in Preventive Vaccine Clinical Trials : 
https://www.fda.gov/media/73679/download 

[31] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf

[32] https://lesakerfrancophone.fr/effets-secondaires-du-vaccin-pfizer

[33] https://www.mondialisation.ca/de-plus-en-plus-de-deces-decoulent-de-la-reussite-du-vaccin-pfizer/5653321

[34] https://twitter.com/pacharlotte3/status/1356609473054453760

[35] https://www.syracuse.com/coronavirus/2021/01/covid-19-outbreak-at-auburn-nursing-home-infects-137-residents-kills-24.html

[36] https://www.nytimes.com/2021/01/12/health/covid-vaccine-death.html

[37] https://childrenshealthdefense.org/defender/death-by-coincidence/
Comment les nombreux effets secondaires graves et les décès suite au vaccin sont masqués malgré les rapports dans les fichiers de recueil
Par Robert F Kennedy Jr

[38] https://childrenshealthdefense.org/defender/thousands-covid-vaccine-injuries-13-deaths-reported-december/

[39] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg48-deja-132-deces-declares-dans-eudravigilance-seulement-26-jours 

[40] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2775646
Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine, 21 janvier 2021, Tom Shimabukuro & al.

[41] Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine — United States, December 14–23, 2020 : 
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7002e1.htm 
PDF à télécharger : 
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf 

[42] https://www.hrsa.gov/vaccine-compensation/index.html, The National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) is a no-fault alternative to the traditional legal system for resolving vaccine injury petitions.
https://www.bclplaw.com/en-US/insights/immunity-from-liability-under-the-us-prep-act-for-medical-countermeasures-during-the-sars-cov-2covid-19-pandemic.html , 22 mai 2020
Key Points

  • HHS Declaration Provides Immunity : During a public health emergency, the Secretary of HHS can issue a Declaration providing broad tort immunity for “Covered Persons” engaging in “Recommended Activities” with “Covered Countermeasures.”
  • Covered Persons : The entities covered include, among others, manufacturers and distributors.

[43] 26 août 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d

[44] 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN

[45] 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072

[46] https://lecourrier-du-soir.com/covid-19-le-vaccin-sera-obligatoire-pour-obtenir-un-emploi-voyager-aller-au-resto-ou-assister-a-un-evenement-sportif-ou-culturel/ 

[47] Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

[48] https://www.rfi.fr/fr/afrique/20201127-covid-19-%C3%A0-madagascar-le-gouvernement-refuse-les-vaccins-et-pr%C3%A9f%C3%A8re-les-rem%C3%A8des-locaux

[49] https://www.lematin.ch/story/echaudes-les-suedois-refusent-le-vaccin-du-covid-371594447544?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0IHlw8J-voxhA3TdwD4dYlYaDix21nnF43Uh2RTcFEL4sX3zAyUO9Gk-s#Echobox=1606467567

[50] https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

[51] https://www.newswire.ca/news-releases/new-cdc-data-on-covid-19-828847530.html

[52] https://www.nytimes.com/2020/03/17/world/europe/coronavirus-imperial-college-johnson.html : It wasn’t so much the numbers themselves, frightening though they were, as who reported them : Imperial College London. The report, which warned that an uncontrolled spread of the disease could cause as many as 510,000 deaths in Britain, triggered a sudden shift in the government’s comparatively relaxed response to the virus. American officials said the report, which projected up to 2.2 million deaths in the United States from such a spread, also influenced the White House to strengthen its measures to isolate members of the public.

[53] Neil Ferguson’s Imperial model could be the most devastating software mistake of all time (telegraph.co.uk) 

[54] IVERMECTINE

1- FLCCC Front Line Covid-19 Critical Care Alliance
https://covid19criticalcare.com/flccc-ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-covid-19/

https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/faq-on-ivermectin/
https://www.youtube.com/watch?v=MEk-VOufVGQ

https://youtu.be/n2MlliaLC0Ahttps://www.youtube.com/watch?v=blpV5QDJrn4                                        
Dr Pierre Kory :  » Nous avons un traitement qui marche ! « 

2- Dr Tess Lawrie  

https://www.researchgate.net/profile/Theresa_Lawrie

https://www.e-bmc.co.uk/

Ivermectin reduces the risk of death from COVID-19 – a rapid review and meta-analysis in support of the recommendation of the Front Line COVID-19 Critical Care Alliance.

PDF : https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_1b1399cb64514dc4bdcbef0cd15f7878.pdf 

Ivermectin is an essential drug to reduce morbidity and mortality from COVID-19 infection.  Placebo-controlled trials of ivermectin treatment among people with COVID-19 infection are no longer ethical and active placebo-controlled trials should be closed.

Baisse de 83% de la mortalité
Une médecin et chercheuse britannique, la Doctoresse Tess Lawrie, qui dirige une entreprise spécialisée dans l’évaluation indépendante de données médicales et qui est régulièrement mandatée par l’OMS, a repris et vérifié consciencieusement toutes les études présentées dans le rapport de la FLCCC pour publier sa propre méta-analyse, disponible sur son site (rapport) (EtD Framework).  

Elle arrive exactement aux mêmes conclusions : “Nous avons maintenant des preuves solides de l’existence d’un traitement efficace de la covid-19”.

3- Swiss Policy Research

Covid-19 : WHO-sponsored preliminary review indicates Ivermectin effectiveness

4 – https://www.youtube.com/watch?v=eu61dtsSLrk 

Dr. Andrew Hill’s Ivermectin meta-analysis, from University of Liverpool, England
https://www.researchgate.net/publication/348610643_Meta-analysis_of_randomized_trials_of_ivermectin_to_treat_SARS-CoV-2_infection

5- https://c19ivermectin.com/

6-  https://ivermectine-covid.ch/quattend-on-pour-utiliser-livermectine-en-suisse-romande/

Un traitement efficace contre le Covid existe, selon un nombre croissant d’experts. Il réduit la mortalité de près de 80%, est bon marché et sans danger.

7-https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/un-traitement-efficace-existe-mais-il-est-ignore

8- https://nouvelle-page-sante.com/ne-renoncez-pas-trop-vite-a-livermectine/

9- https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/10428194.2020.1786559

Continuous high-dose ivermectin appears to be safe in patients with acute myelogenous leukemia and could inform clinical repurposing for COVID-19 infection

Le Dr Kory et son collectif (FLCCC) ne sont pas les seuls à penser que l’ivermectine peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la covid-19. Le Dr Thomas Borody, inventeur de la trithérapie contre le H. Pylori, la bactérie responsable des ulcères, l’affirmait également cet été à tous les médias qui voulaient bien l’écouter (c’est-à-dire quelques-uns seulement): l’ivermectine est une “vraie tueuse de coronavirus”.

Médicament sûr :

Kircik, LH, Del Rosso, JQ, Layton AM, Schauber J. Over 25 Years of Clinical Experience With Ivermectin : An Overview of Safety for an Increasing Number of Indications. J Drugs Derm 2016 ; 15 :325-332. 

Médicament essentiel :

World Health Organization. 21st Model List of Essential Medicines. Geneva, Switzerland. 2019. 
https://www.who.int/publications/i/item/WHOMVPEMPIAU2019.06.  Accessed 29 December 2020.

[55] ANTIBIOTIQUE – AZITHROMYCINE

https://papers.ssrn.com/sol3/Delivery.cfm/SSRN_ID3712423_code4425108.pdf?abstractid=3712423&mirid=1, PDF : The Role of Macrolide Antibiotics in the Prevention of Severe COVID-19 Disease Progression Via the Disruption of Bacteria/virus Co-Operation. The use of Azithromycin (ATM) to prevent the adverse effects of the COVID-19 represents a potential avenue for further research. This article reviewed the clinical evidence and specialised molecular research to describe the dual antiviral and antibacterial role of ATM, and the potential co-operation between mycoplasmas and SARS-CoV-2.

[56] HYDROXYCHLOROQUINE HCQ :

IN VITRO – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32150618/   28 juillet 2020

In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2)

Clinique :

Prof. Harvey Risch, Yale University : 
Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis – PubMed (nih.gov)

The American Journal of Medicine : 
Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection – The American Journal of Medicine (amjmed.com)

Un professeur d’épidémiologie de Yale recommande la généralisation du traitement Raoult aux Etats-Unis (covexit.com)

HCQ for COVID-19 : real-time analysis of all 248 studies (c19study.com) 

Covid-19 : Quel est le traitement standard ? Inclut-il l’hydroxychloroquine ? MAJ le 4/08/2020 (francesoir.fr)

Le petit livre blanc au sujet de l’hydroxychloroquine (francesoir.fr)

L’hydroxychloroquine, du rationnel scientifique au traitement des patients – YouTube 

Use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italian CORIST study – European Journal of Internal Medicine (ejinme.com) : European journal of internal medicine 25 août 2020, use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italia. HCQ use was associated with a 30% lower risk of death in COVID-19 hospitalized patients. Within the limits of an observational study and awaiting results from randomized controlled trials, these data do not discourage the use of HCQ in inpatients with COVID-19.  33 hôpitaux italiens rapportent une réduction de mortalité de 30% avec l’hydroxychloroquine dans une grande étude rétrospective bien menée.

Risk of hydroxychloroquine alone and in combination with azithromycin in the treatment of rheumatoid arthritis : a multinational, retrospective study – The Lancet Rheumatology : 1 million de patients traités à l’HCQ, pas d’effets secondaires cardiaques en usage de moins de 30 jours. En parallèle, le Lancet rapporte que l’HCQ n’accroît pas le risque cardiaque quand elle est prescrite pour moins de 30 jours, donc, il ne devrait plus y avoir de problème pour l’administrer en médecine de ville…pour les médecins qui y voient un bénéfice pour leurs patients.

Un argument pour l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour la prophylaxie du SRAS-CoV-2 : 
Hydroxychloroquine : stop mensonges ! – Anthropo-logiques (tdg.ch)

Meta-analysis on chloroquine derivatives and COVID-19 mortality – October, 20, 2020 Update – IHU (mediterranee-infection.com) : META-ANALYSIS ON CHLOROQUINE DERIVATIVES AND COVID-19 MORTALITY – OCTOBER, 20, 2020 UPDATE.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead, 73 pour cent des articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts, 83 pour cent des articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne.

Influence of conflicts of interest on public positions in the COVID-19 era, the case of Gilead : 
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297520300627?via%3Dihub 

Étude frauduleuse du Lancet : 
Hydroxychloroquine : les auteurs de l’étude publiée par le Lancet ont tous un conflit d’intérêt… (entelekheia.fr)

Coronavirus : Pays où l’hydroxychloroquine est recommandée – IHU (mediterranee-infection.com), avec tous leurs protocoles de traitement

Résultats de terrain : 
Lorraine | Coronavirus. Chloroquine : le bilan très positif d’un praticien lorrain (estrepublicain.fr)

[57] HYDROXYCHLOROQUINE + ANTIBIOTIQUE

Azithromycin and Hydroxychloroquine Accelerate Recovery of Outpatients with Mild/Moderate COVID-19

PDF : https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224/56706

https://fortunejournals.com/articles/revisiting-a-metaanalysis-shows-that-hydroxychloroquine-with-azithromycin-may-be-efficient-in-covid19-patients.html : Revisiting a Meta-analysis Shows that Hydroxychloroquine with Azithromycin may be Efficient in Covid-19 patients

[58] VITAMINE D3

In patients hospitalized with COVID-19, calcifediol treatment at the time of hospitalization significantly reduced ICU admission and mortality : 
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3771318# 

“Effect of calcifediol treatment and best available therapy versus best available therapy on intensive care unit admission and mortality among patients hospitalized for COVID-19 : A pilot randomized clinical study” – ScienceDirect

Vitamin D for COVID-19 : real-time analysis of all 65 studies (c19vitamind.com)

The role of vitamin D in the prevention of coronavirus disease 2019 infection and mortality : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7202265/

Vitamin D and Inflammation : Potential Implications for Severity of Covid-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32603576/

COVID-19 severity and mortality appear related to vitamin D deficiency : 
COVID-19 ’ICU’ risk – 20-fold greater in the Vitamin D Deficient. BAME, African Americans, the Older, Institutionalised and Obese, are at greatest risk. Sun and ‘D’-supplementation – Game-changers ? Research urgently required. | The BMJ

Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès : 
Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès (trustmyscience.com)

Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? : 
Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? (Nih.gov)

The mortality of COVID-19 (cases/ million population) shows a clear dependence on latitude. Below latitude 35, mortality decreases markedly. 

These comorbidities, together with the often concomitant vitamin D deficiency, increase the risk of severe COVID-19 events. Much more attention should be paid to the importance of vitamin D status for the development and course of the disease. Particularly in the methods used to control the pandemic (lockdown), the skin’s natural vitamin D synthesis is reduced when people have few opportunities to be exposed to the sun. The short half-lives of the vitamin therefore make an increasing vitamin D deficiency more likely. Specific dietary advice, moderate supplementation or fortified foods can help prevent this deficiency. In the event of hospitalisation, the status should be urgently reviewed and, if possible, improved : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276229/pdf/main.pdf

Vitamin D deficiency and the COVID-19 pandemic : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7256612/

Analysis of vitamin D level among asymptomatic and critically ill COVID-19 patients and its correlation with inflammatory markers : 
https://www.nature.com/articles/s41598-020-77093-z 

Vitamin D insufficiency is prevalent in severe COVID-19 : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20075838v1

Evidence that Vitamin D Supplementation Could Reduce Risk of Influenza and COVID-19 Infections and Deaths : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7231123/#B93-nutrients-12-00988

Vitamin D Supplementation Associated to Better Survival in Hospitalized Frail Elderly COVID-19 Patients : The GERIA-COVID Quasi-Experimental Study : 
https://www.mdpi.com/2072-6643/12/11/3377

[59] VITAMINE C 

La carence en vitamine C est fréquente dans les populations à risque (hommes seuls, personnes âgées, sans domicile fixe, troubles psychiatriques…) et sous-évaluée dans la population générale. : 
Carences en vitamine C – EM consulte (em-consulte.com) 

Vitamin C for COVID-19 : real-time analysis of all 4 studies (c19vitaminc.com) 

https://www.evms.edu/media/evms_public/departments/internal_medicine/EVMS_Critical_Care_COVID-19_Protocol.pdf

Virologiste Anne-Mieke Vandamme KUL : fortes doses de vitamine C

La vitamine C aide-t-elle à résister au coronavirus COVID-19 ? : 
https://frankdelsaert.wordpress.com/2020/03/14/helpt-vitamine-c-weerstand-tegen-covid-19-coronavirus/ 

https://efsa.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdfdirect/10.2903/j.efsa.2009.1226

De la Vitamine C hautement dosée pour prévenir et traiter le COVID-19 ? (Pressenza.com)

Quercetin and Vitamin C : An Experimental, Synergistic Therapy for the Prevention and Treatment of SARS-CoV-2 Related Disease (COVID-19) : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7318306/ 

[60] ZINC

Rôles du zinc dans l’immunité

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov)

Oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.

https://academic.oup.com/advances/article/10/4/696/5476413 , dans cet article paru le 22 avril 2019, dans la revue internationale « Advances in Nutrition », intitulé « The Role of Zinc in Antiviral Immunity », il y est dit que le Zinc joue un rôle essentiel dans la santé humaine : « The role of zinc as an antiviral can be separated into 2 categories : 1) zinc supplementation implemented to improve the antiviral response and systemic immunity in patients with zinc deficiency, and 2) zinc treatment performed to specifically inhibit viral replication or infection-related symptoms. »

Traduction : « Le rôle antiviral du Zinc peut être séparé en deux catégories : 1) Le Zinc comme prévention : une supplémentation en Zinc pour améliorer la réponse antivirale et l’immunité systémique chez les patients déficitaires en zinc, et 2) Le Zinc comme traitement spécifique pour inhiber la réplication virale ou les symptômes liés à l’infection. » 

Carences en ZINC :

OLIGO-ELEMENTS – IBC – ULB % (ulb-ibc.be) PDF à télécharger. Page 3/6 :

➢ Déficits en zinc et sélénium liés aux habitudes alimentaires (aliments à densité calorique élevée pauvres en micronutriments) et à l’augmentation des besoins liée au stress oxydant et à l’inflammation.

➢ Si le déficit en zinc est important et si la couverture des besoins est difficile, le recours à des formes orales de zinc est parfois justifié.

➢ Déficit en zinc plus fréquent chez les personnes institutionnalisées : apports alimentaires insuffisants, polymédication fréquente (IEC/ARA II). Associé à une incidence accrue d’infections, un défaut de cicatrisation des plaies (escarres) et une dysfonction du système immunitaire.

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov) Immun Ageing. 2009 Jun 12 ;6 :9. Doi : 10.1186/1742-4933-6-9 : The immune system and the impact of zinc during aging.

 “The trace element zinc is essential for the immune system, and zinc deficiency affects multiple aspects of innate and adaptive immunity.

Many studies confirm a decline of zinc levels with age.

Even marginal zinc deprivation can affect immune function.

Consequently, oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.”

Zinc et infections respiratoires :

OMS | Supplémentation en zinc visant à améliorer les effets du traitement chez les enfants atteints d’infections respiratoires (who.int), 2011

Zinc contre infections virales (in vitro) :

Zn2+ Inhibits Coronavirus and Arterivirus RNA Polymerase Activity In Vitro and Zinc Ionophores Block the Replication of These Viruses in Cell Culture (nih.gov) Une expérience conduite in vitro indique que lorsque les limitations à la pénétration intracellulaire du Zn2+ étaient levées, celui-ci inhibe efficacement, à des doses équivalentes à 2.0 μmol/L, l’activité de synthèse de l’ARN viral par le complexe de réplication et de transcription multiprotéique du SARS-CoV, poussant certains auteurs à considérer le zinc comme une option thérapeutique chez les patients atteint par le SARS-CoV-2

Zinc contre COVID-19 :

Zinc for COVID-19 : real-time analysis of all 9 studies (c19zinc.com)

Zinc for the prevention and treatment of SARS-CoV-2 and other acute viral respiratory infections : a rapid review (nih.gov)

[61] SELENIUM

An exploratory study of selenium status in healthy individuals and in patients with COVID-19 in a south Indian population : The case for adequate selenium status : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7657009/ 
Selenium Deficiency Is Associated with Mortality Risk from COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32708526/ 
Early Nutritional Interventions with Zinc, Selenium and Vitamin D for Raising Anti-Viral Resistance Against Progressive COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32784601/ 
Selenium and selenoproteins in viral infection with potential relevance to COVID-19 :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32992282/
Coronavirus : mise en évidence d’un lien entre les niveaux de sélénium et l’évolution de l’infection (trustmyscience.com) 
What about incorporating selenium in the therapeutic regimen of SARS-CoV-2 ? : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7744964/ 

[62] ARTEMISIA ANNUA :

L’ArtemisiaAnnua (armoise annuelle) est un antipaludéen de la pharmacopée traditionnelle africaine et chinoise ayant une action contre le COVID.
Covid-19 : Quel sort pour l’Artemisia ? – Entelekheia.fr
Pas assez chère ? L’Artemisia, mal aimée de la lutte contre la malaria (entelekheia.fr)

Artemisia annua L. extracts prevent in vitro replication of SARS-CoV-2 : 
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.01.08.425825v1 

Artemisia annua : Trials are needed for COVID‐19 : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276816/

Artemisia Spp. Derivatives for COVID-19 Treatment : Anecdotal Use, Political Hype, Treatment Potential, Challenges, and Road Map to Randomized Clinical Trials : 
https://www.ajtmh.org/view/journals/tpmd/103/3/article-p960.xml?tab_body=fulltext 

Artemisia Annua Could Be Promising Treatment for COVID-19 : 
https://med.uky.edu/news/artemisia-annua-could-be-promising-treatment-covid-19 

Recent lab studies by chemists at the Max Planck Institute of Colloids and Interfaces (Potsdam, Germany) in close collaboration with virologists at Freie Universität Berlin have shown that extract from the medicinal plant Artemisia annua, also known as Sweet Wormwood, is active against SARS-CoV-2

[63] MELATONINE :

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7574268/

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients, 18 octobre 2020 Preprint medRixv, Vijendra Ramlall & al
Complete version : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1 

PDF : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 

Melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 and non-COVID-19 patients. Additionally, melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 patients requiring mechanical ventilation.
COVID-19 : La mélatonine est également incorporée dans les protocoles préventifs et thérapeutiques de la FLCCC Alliance et du professeur Paul Marik, aux USA.

I-MASK + : 
https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/i-mask-protocol-translations/ 

I-MATH + : 
https://covid19criticalcare.com/math-hospital-treatment/pdf-translations/ 
https://www.youtube.com/watch?v=bJZcDBTEGio  

A master-class comprehensive review by Dr. Paul E. Marik (FLCCC Alliance) of the most current scientific insights into the origin, replication, transmission, infectivity, pathophysiology, and treatment of COVID-19.

[64] COLCHICINE :

https://www.icm-mhi.org/fr/salle-presse/nouvelles/linstitut-cardiologie-montreal-icm-annonce-que-letude-clinique-colcorona-patients-atteints-covid-19

Étude COLCORONA
La colchicine, un médicament connu pour traiter la goutte, est évaluée comme traitement potentiel dans la lutte au coronavirus

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Incubateur Héra : la commission européenne vous consulte

[Source : Ciel Voilé]

Transformer chaque européen en client de Big Pharma ?

Informations reçues hier d’un contact européen :

«  J’ai appris de sources internes qu’en réalité, la feuille de route qui est actuellement publique sera beaucoup plus avancée donc avril-mai pour la proposition juridique de création d’HERA, par opposition à la fin de l’année comme mentionné actuellement ce qui signifie que tous les freins et contrepoids démocratiques seront supprimés, y compris la consultation publique obligatoire (la consultation actuelle étant uniquement une consultation sur le projet d’AII, et non sur l’agence en tant que telle).

Cela signifie qu’il n’y aura probablement pas d’autre possibilité pour le public de faire des commentaires, et à partir des commentaires plutôt positifs existants, ils peuvent facilement conclure que le public voit cette initiative de manière positive.

Parmi ces commentaires « C’est une bonne chose car cela augmentera la souveraineté industrielle de l’Europe. », ce qui est une idée très séduisante qui plaît à beaucoup, sans parler du fait que la création d’une nouvelle agence est un important créateur de richesse pour le pays où elle est mise en place, donc beaucoup de gens sautent joyeusement sur l’idée, pensant qu’ils en tireront profit.

Enfin, un lien vers une initiative lancée la semaine dernière sur l’accélération de la production de vaccins (où ils informent déjà subtilement la population encore une fois, quelque chose qui passera inaperçu !  qu’une troisième injection sera probablement nécessaire d’ici l’automne) pour Covid, et qu’ils ont gentiment baptisé « incubateur HERA«  — un avant-goût de ce que cette agence est en fait censée faire, c’est-à-dire créer d’énormes contrats au niveau du continent pour les grandes entreprises pharmaceutiques afin de soutenir leur croissance et de nous faire tous consommateurs garantis de leur proposition incessante de nouveaux médicaments toujours plus chers. »

Soyons nombreux à commenter négativement : date butoir 24 février !




L’échec du confinement et des vaccins, reconnu par ceux qui les ont conseillés, le Pr Delfraissy et coll.

Par le Dr Gérard Delépine

Mieux vaut tard que jamais

Après nous avoir chanté les vertus des confinements, des autres mesures prétendument sanitaires et des vaccins pendant presque un an, cinq membres du comité scientifique, dont le président, reconnaissent que le confinement est nocif et que les vaccins ne résoudront vraisemblablement pas la crise, voire l’aggraveront !

Dans une courte lettre au Lancet [1] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy et Denis Malvy proclament :

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire… »

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale»

« Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Constats courageux, mais terribles et bien trop tardifs de ceux qui ont promu ces mesures liberticides pendant dix mois et joué aux apprentis sorciers avec nos vies !

Il n’était pas nécessaire d’être réputé scientifique pour le prévoir d’emblée fin mars 2020

Nous sommes de simples médecins, mais dès le 21 mars 2020 nous dénoncions dans une tribune[2] le caractère non scientifique, médicalement stupide, socialement et économiquement désastreux d’une telle mesure. Le 27 mars, nous récidivions[3] espérant ainsi réveiller les réflexions d’une population tétanisée par la peur créée par une propagande d’une intensité jusque-là inégalée en France. En vain.

L’expérience marseillaise de l’an 1720

Nous rappelions que le confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants) n’avait jamais fait la preuve de son efficacité dans le monde réel et qu’enfermer ensemble malades et bien portants avait un grand risque d’accélérer les contagions.

Cela avait été démontré lors de la grande peste de Marseille de 1720[4] où le confinement militaire strict avait abouti à la mort de la moitié de la population de la cité, sans empêcher la propagation de l’épidémie à la Provence et à l’Italie. La comparaison, d’après les chiffres de l’OMS, des évolutions de l’épidémie en Belgique confinée et aux Pays-Bas non confinés a malheureusement confirmé nos craintes.

Et pendant toute cette terrible année, nous avons dénoncé chiffres à l’appui dans un livre[5] et de nombreuses tribunes dans les quelques médias qui sauvaient l’honneur de la profession[6], et acceptaient la parole non officielle, les mesures tyranniques et médicalement infondées qu’ils nous imposaient et imposent encore contre toute logique.

Au début, nous n’étions qu’une poignée de médecins à analyser les faits (en tous cas ouvertement), à démentir la désinformation forcenée des gouvernements et des médias et à réclamer la transparence sur les liens d’intérêt et les décisions dont le Dr Peter El Baze, le pharmacien Serge Rader, et à l’étranger le Pr Denis Rancourt, le Pr Jean-Dominique Michel[7]. Le Pr Toussaint[8] [9] chez André Bercoff, fut un des premiers en avril 2020 à dénoncer l’enfermement des Français sur une radio.

Dans un article de « la Recherche » appelé « confinement aveugle » et oublié des médias officiels, il prévenait dès le 20 avril 2020 :

« Il faudra, après le confinement, également prendre en compte son impact sur les patients souffrant d’une leucémie non diagnostiquée, d’un infarctus pris en charge trop tardivement, d’une drépanocytose mal suivie, parmi toutes les pathologies qui manquent à l’appel. Les mesures à n’importe quel prix ont un coût. Il est élevé. Et, si tout cela n’a servi qu’à réduire de dix pour cent la hauteur de la vague, il faudra oser rapporter ces totaux ahurissants au nombre d’années de vies réellement gagnées pour obtenir une évaluation sincère de nos choix.

D’autant que les effets psychologiques (refus de tout déplacement par peur de la contamination) ou contre-productifs (réduction ou arrêt des consultations) de ces mesures devront se confronter aux choix des Néerlandais et des Suédois qui continuent de vaquer, prudemment certes, mais librement, à leurs occupations. La perte de chance risque d’être lourde.

Les auteurs de ces simulations, tout à la charge de démontrer la qualité de leurs modèles, auront toutes les peines du monde à accepter d’inclure ces dégâts collatéraux auxquels s’ajouteront les conséquences sur la recherche, l’annulation des grands rendez-vous scientifiques, culturels ou climatiques, mais aussi l’abattement des personnes seules qui se seront laissé glisser lentement dans l’abandon.

Paradoxe que de tenter de sauver des vies par des moyens qui en auront peut-être tout autant détruit. »

Tout était déjà écrit.

Il continua régulièrement sur les ondes, lorsqu’on l’invitait, jusqu’à parler d’arme de destruction massive. [10] (septembre 2020).

« “En réalité le confinement est un instrument sociétal majeur, c’est la seule arme de destruction massive qui a été utilisée au 21e siècle puisque c’est la seule qui a concerné quasiment la moitié de l’humanité. […] Les conséquences socio-économiques qui vont maintenant se dégager vont concerner non pas les conseillers qui sont assis sur leurs certitudes, mais les jeunes générations qui vont devoir ramer. […] Et quand on n’est pas capable d’assumer ces conséquences, alors on continue à faire croire à une crise sanitaire qui n’est plus présente.”

Les effets du confinement qui effondre l’économie […] ont aussi retiré 30 à 40% des moyens de la recherche… »[11]

Au fil du temps, certains trompés au début de l’épidémie, se sont réveillés devant l’évidence des faits constatés et les tribunes des contestataires et ont rejoint les dissidents. Et maintenant, sur le confinement, même le conseil scientifique confirme ce que nous disions !

D’autres universitaires se sont regroupés pour publier des tribunes, en particulier sous l’incitation de Laurent Muchielli[12], 29 octobre 2020.

« Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française

Plus de 500 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement ».

Inquiétude majeure sur la toxicité des vaccins ARN et le risque génétique[13] et les effets secondaires inconnus

Et sur les vaccins, le Pr Delfraissy et coll. partagent certaines de nos inquiétudes et celles de très nombreux collègues maintenant regroupés dans divers collectifs internationaux comme ISOFIA (sur Telegramm) ou « laissonslesprescrire », le collectif de 30000 médecins et le manifeste des médecins engagés (et leurs noms pour les joindre sur le site du même nom), le collectif Reinfocovid et ses antennes en Province, etc.

Les gouvernements, médias et lobbys ont tenté de museler les médecins et chercheurs libres de leur parole

Les médias ont presque tous refusé de relayer les informations que nous diffusions comme celles de nos collègues qui lançaient l’alerte. Comme le Monde et Libération et leurs « décodeurs », certains ont même tout fait, au mépris de leur déontologie de journalistes[14], pour décrédibiliser nos informations qu’ils qualifiaient de « fake news » et pour nous discréditer en nous traitant de « complotistes », d’extrême droite et/ou de « rassuristes ». Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ[15] « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical » et ces calomnies répétées n’ont pas épargné les plus connus et reconnus comme les PR Raoult, Perronne, Toussaint, etc. qui furent rarement invités sur les chaînes de TV, privées comme publiques.

Le conseil de l’ordre s’est érigé en collabo du pouvoir

Création de Vichy, l’ordre des Médecins s’est illustré dès sa naissance en dénonçant les médecins juifs à la Gestapo, et en demandant aux confrères de rompre le secret médical pour signaler à la police les blessés par balle. Rien n’a changé apparemment.

Poursuivis pour soigner !

En 2020, il a traduit pour charlatanisme devant son tribunal d’exception les médecins qui osaient traiter leurs malades comme, entre autres, les Drs Denis Gastaldi, généraliste à Morhange, et son confrère Jean-Jacques Erbstein[16], généraliste à Créhange qui a relaté son expérience dans un livre à lire absolument[17].

Il n’a pas défendu l’indépendance du médecin, fondement essentiel du serment d’Hippocrate. II n’a pas non plus protesté lorsque le gouvernement a interdit aux médecins de prescrire la chloroquine et a poursuivi ceux qui ont osé administrer des antibiotiques comme dans toutes les pneumopathies des grippes antérieures et pire oser le dire. Convocations devant leur ordre régional, lettres de menaces se sont multipliées pour faire taire et obéir la grande majorité des médecins libéraux. Certains ont continué à soigner selon leur âme et conscience et le serment d’Hippocrate, mais de plus en plus dans le silence jusqu’à la période récente et le manifeste des médecins engagés. L’impossibilité de prescrire en fonction de chaque malade et de façon indépendante a été et reste un des plus grands scandales de la gestion de cette crise sanitaire, aggravée par la forte injonction de prescrire du Rivotril pour sédation irréversible chez les personnes âgées « suspectes » de Covid (décret de mars 2020, renouvelé en octobre).

Pas de poursuite pour non-respect de la loi

Le même conseil a refusé de rappeler à l’ordre, comme la loi l’en a pourtant chargé, les médecins vantant dans les médias le Remdesevir puis les vaccins, sans préciser leurs liens d’intérêt[18] alors que la loi française les y oblige et calomniant leurs collègues y compris les plus éminents.

Poursuite pour délit d’opinion

Le conseil de l’ordre des médecins a réinventé le « délit d’opinion » aboli lors de la révolution et contraire à l’article 10 de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 qui proclame :

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi ».

L’article 11 ajoute : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». La Déclaration de 1789 a valeur constitutionnelle. Elle possède donc une véritable portée juridique contraignante.

Mais l’ordre des médecins n’en a cure et poursuit ceux qui dénoncent les mensonges des médias et du gouvernement comme le Dr Maudrux[19] accusé « d’affirmations à propos de certains traitements controversés » ou le Pr Raoult pour « charlatanisme, promotion de traitement controversé, essai thérapeutique non déclaré » et cinq autres médecins, dont le Pr Joyeux et les Drs N Delepine, N Zeller, médecin généraliste, et Rezeau-Frantz, également généraliste.

Les autorités sanitaires se comportent en tyran en éliminant professionnellement les opposants qui osent parler. En Belgique, le Dr Pascal Sacré a été viré de son poste de médecin hospitalier pour avoir énoncé des vérités qui dérangent. A Paris le Pr Péronne a été démis de sa chefferie de service parce qu’il a osé parler…

Rendons hommage à ces militants de l’éthique et de la vérité qui ont sauvé l’honneur de la médecine et battons-nous pour que justice leur soit rendue. Il en apparaît beaucoup d’autres chaque jour.

Mais la vérité est têtue

La promotion des confinements est progressivement devenue insoutenable, car toutes les études sérieuses prouvent qu’il est au mieux inefficace[20] [21] [22] [23] [24] et plus habituellement délétère[25] [26] [27] [28] [29] ce que reconnaissent à demi-mot les membres du conseil scientifique qui le qualifie d « aléatoire » et détaille ses dégâts collatéraux.

Mais leur mea culpa est incomplet. C’est l’ensemble des mesures restrictives médicalement infondées qu’il faut abroger : les tests de dépistage chez les personnes saines (dites asymptomatiques), le port généralisé des masques (qu’il faut réserver aux malades et aux médecins qui les soignent)[30], les couvre-feux (aucune preuve du moindre intérêt médical), et les distanciations sociales dans leur ensemble.

La Suède et les Pays-Bas ont amplement démontré qu’en respectant les libertés fondamentales des populations et en leur donnant des conseils fondés sur la vraie science, on obtenait de bien meilleurs résultats sanitaires, sociaux et économiques qu’en utilisant la coercition à la chinoise. Mais est-ce l’objectif ?

Qui peut encore croire que les vaccins sont la solution ?

À court terme, les résultats des campagnes de vaccination sont franchement mauvais avec un doublement, voire un triplement des nombres quotidiens des contaminations et des décès comme le montrent les courbes d’incidence et de mortalité publiées par l’OMS.

Ainsi en Israël dont près de 70% de la population a été vaccinée depuis le 20 décembre le mois de janvier a été le plus meurtrier depuis le début de l’épidémie, totalisant à lui seul 30% de la mortalité globale.

Même phénomène en Grande-Bretagne. Depuis que la vaccination a été entreprise, les contaminations et la mortalité journalières se sont considérablement accrues dépassant les pics du plus fort de l’épidémie.

La régression mondiale actuelle de l’épidémie, observée en même temps dans les pays confinés ou pas, vaccinés ou pas est heureusement venue limiter l’hécatombe en stabilisant la mortalité au niveau d’avant les vaccinations.

Le vaccin a déçu ses plus fervents défenseurs

Même les signataires du comité scientifique ne croient plus beaucoup à la solution vaccinale :

« l’arrivée rapide des variants du SRAS-CoV-2 tels que les variants identifiés pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une évasion immunitaire dite naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue.

Si une évasion immunitaire importante se produit, les vaccins actuels offriront probablement encore un certain bénéfice aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Alors pourquoi nous a-t-on confinés aveuglément ?

Les membres du comité scientifique expliquent le choix du confinement d’E. Macron comme : « une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant une responsabilité juridique pour des réponses nationales lentes ou indécises ».

Cette hypothèse est corroborée par la déclaration très courageuse et honnête de la ministre norvégienne à la télévision nationale en mai dernier : « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur »

Nos responsables devraient peut-être aussi prendre en compte le risque de plaintes des familles des morts du confinement et changer radicalement de stratégie.


Notes

[1] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext

[2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020

[3] Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox » https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[4] L’Histoire Marseille en quarantaine : la peste de 1720 Le vendredi 17 avril 2020 https://www.lhistoire.fr/marseille-en-quarantaine%C2%A0-la-peste-de-1720

[5] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Edition Fauve septembre 2020

[6] Dont Agoravox, France Soir, Riposte laïque, Economie matin, Nouveau-Monde Ca, Sud radio, Tv libertés, Putsch, mondialisation.ca

[7] Anatomie d’un désastre — Jean-Dominique Michel — 2020 — Bing video 27 AVRIL 2020

[8] professeur de physiologie à Université de Paris, directeur de l’Institut de Recherche bioMédicale et d’Épidémiologie du Sport, Jean-François Toussaint

[9] Sortir d’un confinement aveugle | larecherche.fr 22 AVRIL 2020

[10] “Le confinement a été une arme de destruction massive” selon le Pr Jean-François Toussaint | Covid Infos

[11] Sud radio 17 sept 2020 : Pr. Jean-François Toussaint au micro d’André Bercoff – Le face-à-face

[12] TRIBUNE. Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française — regards.fr

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
  • Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
  • Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1 ;
  • Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
  • Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
  • Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des États Généraux de la Prévention
  • Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
  • Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et Sociales (DRASS) honoraire
  • Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Éthique à l’Université de Paris
  • Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
  • Et all.

[13] Voir les vidéos du Pr alexandra Henrion Caude généticienne, trop souvent censurées par FB et YouTube, mais qu’on peut retrouver sur Viméo

[14] Un journaliste digne de ce nom ne doit pas prendre parti, mais relater les faits le plus objectivement possible et laisser s’exprimer des opinions différentes. Sur le Covid ils se sont comportés en mercenaires des lobbys.

[15] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314

[16] Qui a raconté son expérience dans son livre « Je ne pouvais pas les laisser mourir »

[17] France soir Deux médecins ont soigné et guéri leurs patients Covid, menacés par le conseil de l’ordre. Une honte ? Publié le 13/06/2020

[18] Alors que le code de santé publique a expressément chargé le conseil de l’ordre de faire respecter la loi transparence santé de 2011

[19] Debriefing Dr Gérard Maudrux : « les médecins ont peur, ils se taisent » Publié le 02/01/2021 à 15 :33
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/video-debriefing-dr-gerard-maudrux

[20] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020
https://arxiv.org/abs/2005.02090

[21] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.

[22] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic. medRxiv preprint doi :
https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;

[23] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936

[24] Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19
Eran Bendavid

[25] Joseph Stroberg Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28 https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/

[26] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260

[27] Philip Thomas Written evidence submitted by, Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563

[28] Bendavid1, Christophe Oh | Jay Bhattacharya John P. A. Ioannidis Assessing mandatory stay- at- home and business closure effects on the spread of COVID- 19Eran Eur J Clin Invest. 2021 ;00 : e13484

[29] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[30] Le docteur Patrick Bellier a été suspendu cinq mois pour refus du port du masque. Il a besoin de voir le visage de ses malades, une évidence pourtant. Finalement il a renoncé, encore un médecin clinicien de moins.