PCB : Les pièces de € 20 du Vatican et la vaccination transgénique

Par Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Nous sommes témoins d’un événement choquant. Le Vatican a commencé à faire frapper des pièces de 20 euros à la gloire de la vaccination des enfants ! Une face de cette pièce montre les armoiries de François. L’autre face représente deux personnes et un garçon prêts à recevoir une injection, ces trois personnes portant des masques sur la bouche. On peut observer un crucifix accroché en arrière-plan, suggérant qu’il s’agit d’un centre de vaccination chrétien. Cette association du Vatican à la politique vaccinale est choquante.


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Le pseudo-pape François est un fervent défenseur de la vaccination contre le Covid. Il a été le premier représentant de l’État européen à instituer le licenciement des employés non-vaccinés.

Cette caricature imprimée sur la pièce de 20 euros – l’homme, la femme et l’enfant – fait directement référence à la Sainte Famille. Le pseudo-Pape dirige ainsi sa propagande vaccinale vers les familles afin de les inciter à faire vacciner leurs enfants ! Marie et Joseph feraient-ils vacciner Jésus avec un produit expérimental et toxique ? Non, jamais ! Prendraient-ils le risque de tuer Jésus ? En AUCUN cas, ils ne prendraient ce risque !

La préparation de la vaccination obligatoire des enfants est un travail diabolique qui ai été débuté par Pfizer en janvier 2021.

Les données de 2021 de l’Office for National Statistics du Royaume-Uni, montrent que les enfants âgés de 10 à 14 ans qui ont reçu deux doses du « vaccin » contre le Covid-19 ont eu un risque 51 fois plus élevé de mourir entre janvier et octobre 2021 que ceux qui n’ont pas été vaccinés. Le pseudo-pape François boycotte de façon notoire cette effroyable réalité.

En France, sans l’annoncer publiquement, les autorités préparent la vaccination expérimentale des enfants pour la rentrée scolaire 2022-2023, comme l’indique le document de la plus haute autorité sanitaire de France : la Haute Autorité de Santé.

Le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste, prévient que les injections transgéniques vont remplacer les vaccins conventionnels. La France et d’autres pays prévoient d’inclure ces produits dangereux dans la vaccination obligatoire des enfants de moins de 3 ans ! Mais ce sera une plus grande calamité que le Grand Déluge ! Il y aura toute une génération d’organismes génétiquement modifiés, et la question est de savoir si ces enfants pourront avoir une descendance, et si oui, de quel type. Tout cela se passe en accord avec les objectifs du Vatican apostat.

Le Vatican promeut sa stratégie diabolique en reprenant les arguments manipulateurs de Big Pharma. Le Vatican est déjà devenu le siège de « l’Eglise profonde » et de la collusion avec les grands maîtres du monde.

Que le Vatican ait été pénétré par des forces adverses est évident pour les catholiques. Mais qu’il accepte et promeuve ouvertement l’idéologie satanique actuelle du mal ébranle le monde. Le Vatican a abusé du pouvoir suprême de l’Église contre les enfants. Les catholiques, tels des filicides, vont à présent conduire leurs enfants vers les centres de vaccination. Et si quelqu’un les met en garde à ce sujet, ils répéteront stupidement comme un mantra : « N’offensez pas notre Saint-Père ! ».

Dans son livre « Le Nouvel Ordre des Barbares », le Dr Richard Day déclare : 

« Dès que l’Église catholique romaine sera à terre, le reste de la chrétienté suivra facilement… Certains penseront que l’Église s’opposera à tout cela, mais en réalité l’Église y aidera. »

[Voir : Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins]

Les évêques, les prêtres et les laïcs ne partagent pas tous la même opinion sur les injections transgéniques que le pseudo-pape. Il ne fait aucun doute que l’inoculation maléfique d’enfants divisera davantage l’Église exsangue.

Nous avons cité les faits d’un article informatif. Le Patriarcat Catholique Byzantin ne peut qu’ajouter les mots de la Bible. Dieu avertit par l’intermédiaire du prophète Isaïe : « Les chefs de (mon) peuple les ont égarés. Ils les ont conduits sur le chemin de la destruction ! » (Is 9,16).

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr            + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires




Pourquoi n’arrive-t-on pas à résoudre définitivement les crises de l’euro ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

À la suite de la réunion de la BCE (Banque Centrale Européenne) qui s’est tenue le 21 juillet 2022, François Asselineau fait le point sur la nouvelle crise de l’euro en examinant les questions fondamentales qui font que ces crises répétitives ne sont jamais résolues.




Pour Bill Gates, la variole du singe c’est « Moneypox »

Urgence sanitaire mondiale due à la variole du singe. Pour Bill Gates, c’est « Moneypox » : Simulation d’une pandémie fictive du virus de la variole du singe en mars 2021, mise en service en mai 2022.

Par Prof Michel Chossudovsky

Note de l’auteur et mise à jour

L’OMS déclare une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC)

Dans les derniers développements, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, est allé à l’encontre du vote majoritaire du comité d’experts de l’OMS (9 contre 6 en faveur) : c’est-à-dire CONTRE la déclaration d’une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC).

« Nous avons une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier grâce à de nouveaux modes de transmission », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’un point de presse à Genève, samedi 22 juillet. « J’ai décidé que la flambée mondiale de variole du singe représente une urgence de santé publique de portée internationale. » 

Les preuves sont minces, la motivation est politique.

L’objectif non avoué est de soutenir la campagne de peur.

Selon Bloomberg, « la déclaration de Tedros… souligne les divisions au sein de l’organisation sur la gravité de la menace. L’agent pathogène provoque généralement des symptômes semblables à ceux de la grippe, suivis d’une éruption cutanée qui commence souvent sur le visage et se propage sur le ventre. » (Bloomberg)

Le Dr Tedros est-il en conflit d’intérêts, allant à l’encontre d’un comité de médecins et de scientifiques ? L’OMS est financée par la Fondation Gates. Et Bill Gates est au centre de l’attention. Il fait pression pour le scénario de la variole du singe depuis 2017. (voir l’analyse ci-dessous).

Et devinez quoi : c’est le test PCR en temps réel que les CDC ont déclaré invalide pour détecter le SRAS-CoV-2 (à compter du 31 décembre 2021) qui est maintenant utilisé pour « détecter l’agent pathogène de la variole du singe ».

L’avis du CDC de juillet 2021 relatif aux échecs du test RT-PCR se lit comme suit :

« Les CDC encouragent les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui puisse faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et de la grippe ».

Et maintenant, le CDC a mis en avant une procédure « utilisée pour la détection de l’ADN du virus de la variole du singe dans les spécimens cliniques par PCR en temps réel » :

« Ce test [RT-PCR] détecte l’ADN à des concentrations variables, fournissant un résultat qualitatif soit positif, soit négatif, soit non concluant dans l’identification des infections par le virus Monkeypox. » (CDC)

Si votre test RT-PCR est positif pour le Covid-19, il peut être comptabilisé « par erreur » comme une infection « positive » au virus Monkeypox.

La polyvalence du test RT-PCR ! Tout est permis. SARS-CoV-2, grippe, MonkeyPox. Il est également appliqué pour détecter les « dangereux » variants omicron de Covid et les sous-variants BA 4 et 5.

Michel Chossudovsky


Cet article a été publié initialement le 25 mai 2022.

Un autre chapitre de la « fausse science » se déroule

Dites au revoir au SRAS-CoV-2, dites bonjour à l’agent pathogène de la variole du singe.

Bill Gates nous met en garde contre des attaques terroristes à la variole et invite les dirigeants à se préparer au moyen de « germ games » (jeux de germes).
Le fondateur de Microsoft a également appelé à la création d’un nouveau groupe de travail sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, doté d’un budget de plusieurs milliards de dollars.
Capture d’écran 4 novembre 2021 Article publié sur Evening Standard

En novembre 2021, Bill Gates annonce de possibles « attaques terroristes à la variole »

Dans une interview télévisée avec Jeremy Hunt début novembre 2021Bill Gates a averti les gouvernements de se préparer à des attaques terroristes simultanées à la variole dans 10 aéroports :

« Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies provoquées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui », a-t-il déclaré (c’est nous qui soulignons).

Dix pays, dix aéroports. (C’est là que se déroulent les tests)

Comparez cela au dernier bulletin d’information du 19 mai 2022, soit plus de six mois plus tard (c’est nous qui soulignons) :

Une épidémie sans précédent de virus de la variole du singe s’est officiellement propagée à 10 pays en dehors de l’Afrique, avec 107 cas confirmés ou suspects signalés à ce jour, au Royaume-Uni (9 cas), au Portugal (34), en Espagne (32), en France (1), en Belgique (2), en Suède (1), en Italie (3), au Canada (22), aux États-Unis (2) et en Australie (1). (WSWS, 19 mai 2022)

Pour regarder l’interview vidéo de Bill Gates, cliquez ici


 Video: Variole du singe et traité pandémie de l’OMS. Michel Chossudovsky




« Investir des milliards dans la recherche ». Pour Bill Gates, c’est « Moneypox »

Selon l’Evening Standard (4 novembre 2021), Bill Gates a mis en garde les gouvernements « pour qu’ils se préparent aux futures pandémies et aux attaques terroristes de la variole en investissant des milliards dans la recherche et le développement ».

M. Gates a lancé cet avertissement lors d’une interview accordée à Policy Exchange par le président de la commission d’enquête sur la santé, Jeremy Hunt.

Le fondateur de Microsoft a également appelé à la création d’un nouveau groupe de travail sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, doté d’un budget de plusieurs milliards de dollars.

Il a déclaré que des pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni doivent dépenser des « dizaines de milliards » pour financer la recherche.

J’espère que dans cinq ans, je pourrai écrire un livre intitulé « Nous sommes prêts pour la prochaine pandémie, mais il faudra des dizaines de milliards en R&D – les États-Unis et le Royaume-Uni y participeront », a-t-il déclaré.

Il faudra probablement environ un milliard par an pour un groupe de travail sur les pandémies au niveau de l’OMS, qui se chargera de la surveillance et de ce que j’appelle des « jeux de germes » où l’on s’entraîne.
lEWvening SDtandrad cliquez ici pour lire l’article en entier.

Mais il y a plus dans cette saga de plusieurs milliards de dollars sur la variole du singe. Une nouvelle campagne de peur est-elle en préparation ?

L’agenda au sujet de la variole du singe e été planifié bien à l’avance. Cela a commencé en décembre 2020. La chronologie est la suivante :

  • Décembre 2020 : Réunion d’experts américains en matière de sécurité nationale sous les auspices de l’Initiative sur la menace nucléaire (NTI). Planification et formulation d’une simulation d’une pandémie de variole du singe.
  • Mars 2021 : Simulation sur table d’une pandémie fictive de variole du singe à la conférence sur la sécurité de Munich.
  • Novembre 2021. Bill Gates met en garde les gouvernements
  • Mai 2022. Vers une pandémie de variole du singe. Campagne « Unfolding Fear ».
  • Mai 2022. La commercialisation des vaccins antivarioliques, efficaces contre la variole du singe.

Décembre 2020 : La planification experte d’une simulation d’une pandémie de virus de la variole du singe

Dès décembre 2020, une simulation d’une pandémie de variole du singe avait été envisagée par la NTI.

L’ITN a réuni un groupe d’experts pour le conseiller sur le scénario de l’exercice de simulation. Parmi ces experts figuraient des hauts fonctionnaires, des scientifiques et des experts, entre autres, provenant exclusivement d’entités américaines, dont le ministère de la Sécurité intérieure, l’USAID, le département d’État, l’université de la Défense, John Hopkins, l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard, le ministère de la Santé et des Services sociaux, etc.

« Ces experts ont participé à titre individuel – et non en tant que représentants de leurs organisations respectives – et ils n’approuvent pas nécessairement les recommandations de ce rapport. »
Voir le rapport page 27

Mars 2021 : Scénario d’exercice fictif d’une pandémie mortelle du virus de la variole du singe

Quelques mois plus tard, après les consultations de décembre 2020, une simulation sur table d’un : « scénario d’exercice fictif décrivant une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe » a été organisée par la NTI lors de la conférence sur la sécurité de Munich en mars 2021 :

Le rapport suivant du NTI intitulé :

Strengthening Global Systems to Prevent and Respond to High-Consequence Biological Threats: Results from the 2021 Tabletop Exercise Conducted in Partnership with the Munich Security Conference

parJaime M. Yassif, Ph.D., Kevin P. O’Prey, Ph.D., and Christopher R. Isaac, M.Sc.

a été réalisé par le Global Biological Policy and Programs, de la Nuclear Threat Initiative (NTI). Le rapport résume les principales conclusions de l’exercice qui a été généreusement financé par Open Philanthropy.

Note sur l’histoire des simulations de scénarios de pandémie

Les simulations de scénarios de pandémies ont été initiées par le « Lock Step Scenario » de Rockefeller en 2010, qui consistait à utiliser la « planification de scénarios » comme un moyen de réaliser la « gouvernance mondiale ». Dans le rapport Rockefeller de 2010 intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », des scénarios de gouvernance mondiale et les mesures à prendre en cas de pandémie mondiale ont été envisagés.

Plus précisément, le rapport envisageait (p 18) la simulation d’un scénario Lock Step incluant une souche virulente de grippe mondiale. Le rapport Rockefeller de 2010 a été publié dans le sillage immédiat de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009.

Et puis, en 2018, la simulation Clade X (The Clade X Table Top Simulation) a été réalisée sous les auspices du John Hopkins Center for Health Security.

Clade X a été décrit par ses organisateurs comme un exercice de simulation de pandémie d’une journée dont le but « était d’illustrer des décisions stratégiques de haut niveau aux États-Unis et dans le monde … pour prévenir une pandémie ».

Il a été « joué par des personnes éminentes dans les domaines de la sécurité nationale ou de la réponse aux épidémies ».

Événement 201

Clade X a été suivie d’une autre simulation [pandemic tabletop exercise] intitulée Event 201 (également sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security en octobre 2019). L’événement 201 concernait une épidémie de coronavirus intitulée 2019-nCoV.

Parmi les 201 « joueurs » du scénario de table John Hopkins figuraient des personnalités clés occupant des postes consultatifs et de direction dans un certain nombre d’organisations centrales. Moins de trois mois plus tard, ces 201 « joueurs » ont été activement impliqués dans la réponse politique à la pandémie de Covid-19.

Résumé de l’exercice du scénario du Monkeypox [variole du singe]

Vous trouverez ci-dessous le résumé de la simulation NTI de mars (c’est nous qui soulignons), suivi d’extraits pertinents ainsi que de la liste des participants.

Il convient de noter que si l’équipe de décembre 2020 qui a formulé le projet de simulation était exclusivement américaine et se concentrait sur les questions de sécurité nationale, les participants au scénario de table étaient issus de Big Pharma, de la Fondation Gates, du Wellcome Trust, de l’OMS, de l’ONU, ainsi que des représentants de l’UE, de la Chine et de l’Afrique. (Voir liste ci-dessous)

En mars 2021, l’Initiative sur la menace nucléaire (NTI) s’est associée à la Conférence sur la sécurité de Munich (CSM) pour réaliser un exercice sur table sur la réduction des menaces biologiques de haute gravité. Réalisé virtuellement, l’exercice a permis d’examiner les lacunes des architectures nationales et internationales de biosécurité et de préparation aux pandémies et d’explorer les possibilités d’améliorer les capacités de prévention et de réaction aux événements biologiques de haute gravité. Parmi les participants figuraient 19 hauts responsables et experts venus d’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe et possédant des décennies d’expérience combinée dans les domaines de la santé publique, de l’industrie biotechnologique, de la sécurité internationale et de la philanthropie.

Le scénario de l’exercice décrivait une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe, apparue dans la nation fictive de Brinia et qui s’est propagée dans le monde entier en 18 mois. En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène fabriqué dans un laboratoire dont les dispositions en matière de biosécurité et de sûreté biologique étaient inadéquates et dont la surveillance était faible.

À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde.

La nature de la simulation frise le ridicule : Les « terroristes de l’Arnica » attaquent le Brinia

Annexe B. Résumé du modèle épidémiologique

Développé par le Dr Ellie Graeden Trae Wallace, Talus Analytics

Les éléments épidémiologiques du scénario de l’exercice ont été développés à l’aide d’un modèle standard compartimenté Susceptible-Exposé-Infectieux-Récouvert (SEIR). Le modèle suppose l’absence de propagation asymptomatique. La structure du modèle est résumée à la figure B-1. Une version modifiée en laboratoire de la variole du singe a été intentionnellement diffusée par aérosols dans les gares du pays fictif de Brinia (250 millions d’habitants) par des agents d’un groupe terroriste opérant dans le pays voisin, Arnica (75 millions d’habitants). [L’arnica est un médicament homéopathique].

Grâce à des modifications intentionnelles effectuées par des scientifiques du laboratoire de virologie d’Arnica sympathisant avec les terroristes d’Arnica, cette souche de variole du singe est supposée être plus contagieuse que la variole du singe naturelle – avec un nombre de reproduction de base (R0) pour la souche modifiée de 3, contre 2,13 pour la souche sauvage11.

La souche modifiée en laboratoire est également conçue pour être résistante au vaccin antivariolique.

On suppose que la résistance au vaccin est due à l’introduction du gène de l’interleukine-4, comme cela a été démontré dans des études antérieures sur la variole des souris.12 Nous supposons un taux de létalité d’environ 10 %, ce qui correspond aux épidémies de variole des singes précédemment décrites.13

Pour répondre à ces conclusions fictives concernant les « attaques terroristes à l’Arnica », les joueurs ont élaboré une série de recommandations de grande portée :

  • L’OMS devrait mettre en place un système international d’alerte sanitaire gradué et transparent.
    Développer et instituer des déclencheurs au niveau national pour une réponse précoce et proactive à la pandémie.
  • Les gouvernements nationaux doivent adopter une approche « sans regrets » de la réponse à la pandémie, en prenant des mesures anticipées.
  • Créer une entité internationale chargée de réduire les risques biologiques émergents liés aux progrès technologiques rapides.
  • Créer un fonds catalytique pour la sécurité sanitaire mondiale afin d’accélérer le renforcement des capacités de préparation à la pandémie dans les pays du monde entier.
  • Ces recommandations vont dans le sens d’un soutien au traité de l’OMS sur les pandémies (couplé au QR Code) qui consiste à établir une banque de données numériques mondiale qui déroge aux droits des différents États membres.

Et actuellement, George Fu Gao joue un rôle clé dans la mise en œuvre de la stratégie chinoise « Zéro Covid », qui a conduit au verrouillage de Shanghai fin mars 2022, ainsi que de plusieurs autres grandes zones urbaines.

Remarques finales. Une nouvelle campagne de peur est-elle lancée ?

Les gouvernements ont déjà passé des commandes pour la livraison de vaccins contre la variole.

La préparation à la pandémie aux États-Unis

Aux États-Unis, selon un rapport de Forbes du 19 mai 2022, le gouvernement américain a déjà commandé « des millions de doses d’un vaccin qui protège contre le virus ».

Bavarian Nordic, la société de biotechnologie qui fabrique le vaccin, a annoncé une commande de 119 millions de dollars passée par les États-Unis, avec la possibilité d’acheter 180 millions de dollars supplémentaires s’ils le souhaitent. Si cette deuxième option était exercée, cela représenterait environ 13 millions de doses.

La commande permettra de convertir les vaccins antivarioliques existants, qui sont également efficaces contre la variole du singe, en versions lyophilisées, qui ont une durée de conservation plus longue. Les vaccins convertis seront fabriqués en 2023 et 2024, précise la société.

Selon un rapport de presse publié le 19 mai, seuls deux cas de variole du singe ont été confirmés aux États-Unis.

En Chine, les médias sociaux se sont emballés

According to a Daily Mail Report

Des théories du complot circulent en Chine, selon lesquelles les États-Unis auraient délibérément propagé le virus de la variole, suite à la désinformation généralisée sur le Covid-19.
Les utilisateurs des médias sociaux chinois se sont emparés du rapport d’une ONG qui a modélisé un scénario fictif d’épidémie de variole du singe pour prouver que les États-Unis ont propagé le virus.
La Nuclear Threat Initiative présente des scénarios sur la manière dont les pays peuvent se préparer aux retombées nucléaires, aux armes chimiques, aux cyberattaques et aux épidémies biologiques.
Dans le scénario hypothétique publié en novembre 2021, une souche modifiée de la variole du singe entraîne plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès.

Article original en anglais :

For Bill Gates, It’s “Moneypox”: Simulation of Fictitious Monkeypox Virus Pandemic in March 2021, Goes Live in May 2022

Traduit par Mondialisation.ca (traduction révisé par l’auteur)
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Selon Apti Aronovich Alaudinov, commandant du détachement spécial « Akhmat », la Russie s’est engagée dans une « guerre sainte » contre l’armée de l’Antéchrist

[Source : guyboulianne.com]

Le commandant des forces tchétchènes russes est apparu à la télévision d’État russe pour affirmer que la Russie est engagée dans une « guerre sainte » en Ukraine. Apti Alaudinov, assistant du chef de la République tchétchène Ramzan Kadyrov et commandant de l’unité d’opérations spéciales Akhmat en Ukraine, a fait ses commentaires à l’animatrice de l’émission 60 minutes (60 минут) sur la chaîne Russie-1, Olga Skabeyeva, sur un segment du 15 juillet dernier et traduit par la chroniqueuse du Daily Beast Julia Davis, créatrice du « Russian Media Monitor ». Alaudinov, apparemment revenu des combats en Ukraine, a fait un certain nombre de revendications, appelant à l’unité islamo-chrétienne dans un conflit contre l’Occident « satanique ».

[…]

Les propos de Apti Alaudinov à l’émission 60 Minutes

[Apti Alaudinov] — Avant de parler de Oleksii Reznikov, j’espère que vous me permettrez de dire ce que je pense de ce qui se passe dans le monde aujourd’hui, en général. Reznikov est probablement le dernier « bug » en ligne qu’il nous reste à mettre à sa place. En grandissant, pendant toute ma jeunesse, je me suis préparé à cette guerre que nous voyons aujourd’hui. C’est la guerre sainte dont parlaient nos saints et nos anciens. J’ai grandi avec ça. Je vais vous dire une chose : je loue le Très-Haut que je vis en Russie aujourd’hui. Je loue le Très-Haut que ce pays soit dirigé par Vladimir Vladimirovitch Poutine, car c’est lui qui a refusé d’accepter les soi-disant valeurs européennes. En réalité, ce sont des valeurs satanistes qui s’imposent au monde entier. Je lui suis reconnaissant de rester cette personne qui adhère aux valeurs et cette nation avance sur le chemin du Très-Haut.

Nous ne sommes pas sous les drapeaux des LGBT et tant qu’il est vivant, nous ne serons pas sous ces drapeaux. Je crois que c’est la chose la plus importante à voir. Je suis reconnaissant au Très-Haut que le chef de notre République, le héros de la Russie, Ramzan Akhmadovich Kadyrov, soit l’allié le plus proche de Vladimir Vladimirovitch Poutine.

Permettez-moi de revenir sur les raisons pour lesquelles je crois qu’il s’agit d’une guerre sainte et pourquoi je crois que nous allons certainement gagner cette guerre. Tout ce qu’on voit aujourd’hui, ce bloc de l’OTAN et tout ça, quand je lisais les écritures islamiques, et les écritures chrétiennes, j’étudiais la Bible, le Coran et la Torah, j’étudiais tout ce qui pouvait être étudié. De toutes ces écritures, je sais que nous sommes confrontés à la guerre contre l’armée du diable contre l’armée d’Al-Dajjâl, l’Antéchrist. Appelez-le comme vous voulez. Quand on me demande : « Qu’est-ce qui te fait penser que tu es l’armée qui va affronter l’armée de l’Antéchrist ? », beaucoup ont été surpris quand j’ai dit que Spetsnaz Akhmat est l’armée d’Isa Alaihis Salam, l’armée de Jésus, parce que nous attendons la venue du Christ plus que quiconque. Spetsnaz Akhmat n’est pas la seule dans l’armée d’Isa Alaihis Salam. Toutes les forces et unités combattant aux côtés de la Russie sont l’armée de Jésus, Isa Alaihis Salam.

Nous luttons contre ces forces qui nous imposent tout ce qui est désagréable et détesté par Dieu. Tout ce qui n’est pas naturel pour un homme. Un homme devait épouser une femme pour qu’ils aient des enfants, pour que nous répandions sur la terre tout ce qui est divin. Sous cette démocratie de l’Amérique, principal ennemi de l’humanité, et de l’Europe, serviteur du bloc de l’OTAN, qui porte en elle tout ce qui est satanique. C’est l’armée d’Al-Dajjâl, l’Antéchrist. Nous affrontons cette armée.

Si quelqu’un dans ce pays doute que nous puissions perdre dans cette bataille, il doit s’asseoir et prier intensément. Si Dieu l’entend et qu’il entend Dieu, il viendra et dira : « Je suis désolé, j’ai eu tort ».

Nous avons gagné uniquement parce que ce pays est dirigé par Poutine. Nous avons gagné uniquement parce qu’il avait la volonté de se dresser contre ces gens. Nous avons gagné parce que nous nous sommes ralliés à Poutine et ce pays a lentement commencé à réaliser ce qui nous attend. C’est notre principale victoire que nous avons déjà remportée et qui nous attend dans le futur. [Oleksii Reznikov] peut dire ce qu’il veut, je vous le dis, soyez confiant, personne dans ce pays ne devrait douter. L’Europe tombera et l’Amérique tombera, mais la Russie se tiendra si fermement sur ses pieds qu’ils supplieront de nous rejoindre et demanderont notre pardon.

Ce sont eux qui ont froid, ils n’ont pas de gaz. Ces gens dans ce monde qui disent qu’ils ont froid sont ceux qui suivent les valeurs européennes. Le Très-Haut les réchauffera au jour du jugement, en enfer. Dans ce monde, jusqu’à ce qu’ils comprennent leur place, ils seront froids et affamés. Mais pas parce que nous sommes mauvais, la Russie n’est pas mauvaise, mais parce qu’ils se sont éloignés de Dieu. Ceci est ma réponse à Reznikov.

[Olga Skabeyeva] — Bref, succint et convaincant ! Vous avez peint les perspectives des personnes que nous avions l’habitude d’appeler nos partenaires pour une raison incroyable. Maintenant, nous pouvons les appeler nos ennemis en toute confiance. Indépendamment de ce qu’est un gars de bas niveau, Reznikov, puisque Zelensky est le gars de bas niveau le plus bas, qui est alors le ministre de la Défense d’un pays actuellement inexistant. Il y a une guerre de propagande grandiose, ils essaient de nous écraser avec des informations qui n’aboutiront pas.

[Apti Alaudinov] — Nous avons déjà gagné. La question est de savoir quand nous arriverons à Kiev, j’espère que nous ne serons pas arrêtés et que nous arriverons à Varsovie et au reste des villes, qui doivent être remises à leur place une fois tous les cent ans, à la place où elles sont censées être. S’il y aura un commandement de notre commandant en chef, les forces de notre nation pourront vaincre les forces de l’OTAN, qui ne sont que des théâtres de marionnettes appelés forces de l’OTAN. Laissez-moi vous dire pourquoi je suis reconnaissant envers Poutine. Il a fait ce que les pays islamiques auraient dû faire il y a longtemps. Les dirigeants des pays islamiques n’ont pas eu assez de courage pour s’unir et se battre contre l’Amérique et le bloc de l’OTAN. Mais Poutine a été capable de le faire, de prendre cette décision et d’affronter cette nation, et nous sommes fiers d’être ses compatriotes.

[Olga Skabeyeva] — Étonnamment, tout le monde islamique est de notre côté, pratiquement tout le monde islamique est de notre côté.

[Apti Alaudinov] — Ceux du monde islamique qui n’ont pas peur que leurs comptes bancaires soient saisis, tous disent aujourd’hui qu’ils sont pour la Russie, qu’ils soutiennent la Russie. J’ai une initiative à présenter à nos législateurs et au chef de notre pays, pour prendre une décision permettant aux étrangers qui veulent combattre aux côtés de nos forces, d’entrer dans notre pays.

[Olga Skabeyeva] — Y en a-t-il beaucoup qui veulent ?

[Apti Alaudinov] — Un grand nombre d’Arabes, de Grecs, de Serbes et beaucoup, beaucoup, beaucoup d’autres pays qui veulent se battre aux côtés de la Russie, mais la loi ne nous permet pas de les accepter. C’est aussi un indicateur que l’OTAN est forte, alors pourquoi ne veulent-ils pas les rejoindre ? Au lieu de cela, ils veulent nous rejoindre. Parce qu’ils ont encore Dieu dans leur cœur. Ils ne veulent pas vivre sous des drapeaux LGBT, ils ne veulent pas ça non plus. J’espère que le monde s’unira lentement autour de la Russie. Les Américains pensent qu’aujourd’hui nous sommes une minorité, mais demain nous serons la majorité. Ils regarderont en arrière, parce qu’il n’y aura personne derrière eux.




COVID, VIH, VARIOLE, Monkeypox… Ces virus adorent qu’on les aide à muter

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Le scénario de la Covid recommence avec le Monkeypox et des vaccins dix fois plus dangereux que le Pfizer, autorisés sans essais…

Face à l’augmentation des cas de variole du singe en France, la vaccination préventive contre maladie a été élargie le 8 juillet, les télétoubibs annoncent la cata… Attendons la présentation des gestes barrières ??

Le MPX n’est pas un agent pathogène susceptible de devenir une MST dans la population hétérosexuelle. La raison en est que les personnes infectées peuvent la transmettre efficacement à d’autres pendant environ 4 semaines au maximum, puis l’éliminer et devenir essentiellement immunisées à vie.

~ 50 % symptomatiques et ne se livrant pas à des relations sexuelles ~50 % de taux d’attaque (transmission lors de l’exposition) — > MPX ne se propage que dans les réseaux où les gens ont > 1 partenaire sexuel/semaine.

Dans sa forme actuelle, il est très peu probable que MPX devienne une MST en dehors de certains cercles HSH. Les MST sont définies par leur principale voie de transmission (le sexe), mais plus encore, par leur capacité à provoquer des infections à long terme, l’hôte restant infectieux pour les autres pendant des décennies.

Vont-ils tous nous piquer contre la variole du singe ? Mêmes les anciens vaccinés avant82 ?

@NiusMarco

·Je rappelle qu’en raison des risques de myocardites des vaxcons covid et monkeypox il faut attendre 4 semaines entre les 2. ACAM 2000 c’est 5,7 myocardites pour 1000. C’est 10x plus de « chance » que d’avoir 2 bons numéros au loto 🤦(0,5 %) Des tarés

https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/71/wr/mm7122e1.htm

On autorise d’abord et on fait ensuite une étude observationnelle en population générale sans passer par des essais cliniques :

https://www.ema.europa.eu/en/news/ema-recommends-approval-imvanex-prevention-monkeypox-disease

Le bénéfice/risque ne résiste pas à l’analyse. Même le vieux vaccin antivariolique n’est pas miraculeux et les effets secondaires sont connus et nombreux. La piste des antiviraux est ancienne et si les molécules nouvelles sont coûteuses et inefficaces. D’autres pistes sont bien connues

Le monkeypox ne demande qu’à muter et les manipulations inquiètent…

https://www.science-et-vie.com/les-chroniques-de-science-et-vie-tv/on-a-recree-le-virus-de-la-variole-60600.html

Il aura fallu attendre des mois pour que la Haute Autorité de Santé (HAS) se décide enfin le 8 juillet à définir noir sur blanc les « groupes les plus exposés au virus » de la variole du singe. Soit « les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle ».

Au total, quatre poxvirus peuvent infecter l’homme : le monkeypox virus (MXV), le virus de la variole (VARV), le cowpoxvirus (CXV) ou variole de la vache et le virus de la vaccine (VACV) longtemps assimilé au précédent.

La première épidémie non africaine de variole du singe est survenue en 2003 aux USA où elle a été importée depuis le Ghana par plusieurs espèces de rongeurs sauvages, dont le rat de Gambie

Une transmission interhumaine est également possible. En Europe et Amérique du Nord, la maladie atteint surtout de jeunes adultes de sexe masculin et plus fréquemment les homosexuels et bisexuels. Ainsi, le cas d’un sauna du centre de Madrid (aujourd’hui fermé) où les utilisateurs avaient des relations sexuelles.

Ceux qui ont jadis été vaccinés contre la variole présentent pour certains encore des anticorps (immunité humorale) croisés efficaces contre la variole du singe de l’ordre de 10 ans plus tard.

La contagion peut se produire par contact étroit avec la peau ou les muqueuses (yeux, nez, bouche, organes génitaux…), rapports sexuels, face à face avec un positif et contact avec des sécrétions, du sang, des objets (p. ex. vêtements, literie, articles d’hygiène) contaminés par un patient.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est dit « inquiet », jeudi 21 juillet, de l’augmentation du nombre de cas de variole du singe lors de l’ouverture de la réunion du Comité d’urgence, demandant conseil aux experts avant de trancher sur l’accession au plus haut niveau d’alerte de l’organisation.

https://twitter.com/Carterj37919661/status/1551521950014529537

1) LES MANIPULATEURS SE PRÉPARENT À RENDRE LA MONKEYPOX PLUS LÉTALE

Les médecins savent bien qu’on ne vaccine pas quelqu’un susceptible d’avoir déjà le virus en lui… Vont-ils à un moment se réveiller et réviser leurs classiques ? Faire autant d’études pour en arriver là ça devient grotesque ! Vacciner les cas contact (qui incubent la maladie) rend la maladie mortelle.

Hélène Banoun le rappelle avec justesse

@BanounHelene

La monkeypox, peu létale, va devenir sans doute + sévère si on vaccine les contacts comme le recommande la HAS https://has-sante.fr/jcms/p_3340378/fr/avis-n2022-0034/sespev-du-20-mai-2022-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-relatif-a-la-vaccination-contre-la-variole-du-singe-monkeypox-virus… Incubation 5 à 21 j Vacc entre 4 et 14 j après contact La vaccination des contacts pour la variole rendait la variole encore + mortelle

https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/

idem avec la rougeole https://xiahepublishing.com/2472-0712/ERHM-2022-00018… Banoun H. Measles and Antibody-Dependent Enhancement (ADE): History and Mechanisms. Explor Res Hypothesis Med. Rougeole et facilitation dépendante des anticorps (ADE) : historique et mécanismes7

Bernard Guennebaud rappelle les heurts et malheurs du confinement et de la vaccination systématique des sujets contacts s’agissant non pas de l’entourage des malades atteints de la variole dans les années 1970. Cet article représente la suite logique des deux premiers de la série (*) (**) et vise à faire comprendre qu’en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ?

Éradication de la variole, la désastreuse vaccination des sujets contacts :

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Deux nouveaux concepts, les « effets Buchwald »

Dr. Gerhardt Buchwald, 1920-2009

Une hypothèse va permettre d’en proposer une explication : le vaccin antivariolique utilisé au cours de la campagne d’éradication et avant posséderait ce que j’appelle « les effets Buchwald » du nom du médecin allemand Gerhard Buchwald qui l’affirma courageusement et sans ambages à la télévision allemande le 2 février 1970, en pleine épidémie d’importation dans l’hôpital de Meschede où il y eu 20 cas et alors que le gouvernement s’apprêtait à vacciner au moins 200 000 personnes ([6] p. 44) :

« Sur la première chaîne de télévision publique allemande, (ARD) à l’émission Report, j’ai lancé un avertissement contre ces vaccinations. À la fin du reportage, j’ai dit que l’élève infirmière Barbara Berndt, 17 ans, n’était pas décédée suite à la variole, mais suite à la vaccination antivariolique administrée peu de temps avant. »

Cette élève infirmière avait été vaccinée de façon obligatoire deux fois auparavant puis elle avait reçu une nouvelle vaccination le 16 ou 17 janvier après la déclaration d’un foyer de variole dans l’hôpital de Meschede. Elle décédera le 29 janvier 1970, d’une variole hémorragique 12 jours après cette vaccination. G. Buchwald décrit dans son livre les cas de quatre femmes qui moururent en Allemagne de variole hémorragique peu de temps après avoir reçu une vaccination à l’occasion d’une importation de variole.

Toutes avaient reçu deux vaccinations antivarioliques auparavant et les délais écoulés entre la dernière vaccination et les décès sont entre 10 et 14 jours. La détermination et la lucidité de ce médecin m’ont conduit à proposer de nommer « effets Buchwald » le phénomène qu’il avait bien identifié même si cela était déjà connu un siècle auparavant comme on le verra.

Premier effet Buchwald : chez une personne non immunisée, la vaccination pendant la période d’incubation ou quelques jours auparavant aggravera la maladie. Collectivement, cet effet se manifestera par un accroissement des formes graves et de la mortalité chez les malades (létalité).

Second effet Buchwald : chez une personne immunisée (par une ancienne vaccination ou une ancienne variole) la même vaccination déclenchera la maladie qu’elle aurait sinon évitée. Collectivement cet effet se manifestera par une amplification des épidémies.

Il devient alors possible d’énoncer le théorème de Buchwald :

Après l’importation d’un cas, la vaccination des vrais contacts avec un vaccin doté du second effet Buchwald déclenchera des épidémies dans des populations même immunisées à 100 %.

2) Depuis des milliers d’années, le virus de la variole n’a cessé de muter et de devenir plus méchant avant son éradication (?)

Il faut remonter loin dans le temps: tout commence par une étude sur le mouvement des populations vikings à la fin du premier millénaire. Un projet connexe voit alors le jour, dont l’objectif est d’évaluer la présence d’ADN de la variole sur les restes de 1867 individus. Les scientifiques identifient ainsi 11 personnes du nord de l’Europe, de l’ouest de la Russie et du Royaume-Uni, qui seraient mortes de la maladie entre l’an 603 et l’an 1050.

Avant cette étude, les traces génétiques les plus anciennes de la variole provenaient du corps partiellement momifié d’un jeune enfant lituanien décédé au 17siècle. La découverte de cet ADN sur des individus de l’époque viking prouve donc que la maladie faisait déjà des ravages 1000 ans plus tôt.

Par ailleurs, les résultats indiquent que le virus qui circulait chez les Vikings ne serait pas un ancêtre de la variole moderne, mais plutôt son petit frère. Ils partageraient en effet un parent commun, qui aurait circulé il y a au moins 1700 ans, c’est-à-dire avant la chute de l’Empire romain. Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous savons de l’histoire de la variole: des sources en décrivaient des cas en Inde au 7e siècle et en Asie Mineure au 10e siècle.

Mais depuis quand la variole s’attaque-t-elle à l’humain ? Un des auteurs de l’étude, interrogé par la revue Nature, a analysé les restes de plusieurs individus ayant vécu à l’âge de Bronze, c’est-à-dire il y a entre 10 000 et 13 000 ans. Il n’a trouvé aucune trace de variole.

Le chercheur estime que la maladie aurait commencé à circuler pour de bon il y a 3000 à 4000 ans. Des lésions semblables à celles occasionnées par la variole seraient d’ailleurs visibles sur des momies égyptiennes vieilles de 3000 ans, dont celles du pharaon Ramsès V.

La variole fait partie d’une grande famille, les poxvirus, qui ont pour origine un ancêtre commun qui pouvait apparemment infecter plusieurs hôtes différents. Avec le temps, ce virus se serait spécialisé pour s’attaquer seulement à certaines espèces. C’est ainsi que le virus de la variole en serait venu à préférer l’humain.

Étrangement, la variole ancienne et la variole moderne auraient inactivé des gènes différents. Les deux « frères » auraient donc trouvé chacun leur façon de se reproduire chez l’humain. Certains experts soulignent que ces variations entre les deux génomes signifient que la maladie était probablement différente à ses débuts: elle était peut-être plus répandue, mais moins sévère.

https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2020/08/20/retour-aux-origines-variole

La variole, responsable de 300 millions de morts au XXe siècle, a été déclarée éradiquée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 8 mai 1980, au terme d’une campagne de vaccination massive.

3) UNE HISTOIRE COMPARABLE POUR LE VIH QUI A PU PROFITER DE LA VACCINATION DE MASSE CONTRE LA VARIOLE POUR MUTER ET DE L’ARRÊT DE CETTE VACCINATION POUR EXPLOSER

En 1987, on a envisagé la possibilité que « l’épidémie de SIDA ait été déclenchée par la campagne de vaccination de masse qui a éradiqué la variole ». Un article du Times l’a suggéré, citant un « conseiller de L’OMS » anonyme avec « je crois que la théorie du vaccin contre la variole est l’explication de l’explosion du SIDA ».,

On pense maintenant que le vaccin contre la variole provoque de graves complications chez les personnes qui ont déjà un système immunitaire altéré, et L’article du Times a décrit le cas d’une recrue militaire atteinte du « VIH dormant » qui est décédée dans les mois qui ont suivi sa réception. Mais aucune citation n’a été fournie concernant les personnes qui n’avaient pas auparavant le VIH.

Actuellement, le VIH est considéré comme une contre-indication au vaccin contre la variole à la fois pour une personne infectée et pour ses partenaires sexuels et les membres du ménage.

En revanche, un article de recherche a été publié en 2010 suggérant que c’était peut-être l’éradication réelle de la variole et la fin ultérieure de la campagne de vaccination de masse qui ont contribué à l’émergence soudaine du VIH. La théorie était la possibilité que la vaccination contre la variole « pourrait jouer un rôle en fournissant à une personne un certain degré de protection contre l’infection à VIH et/ou la progression de la maladie., »

En se basant sur l’histoire naturelle du VIH et son extension en Afrique, Raymond Weinstein et ses collègues ont proposé l’hypothèse que le déclin des réponses immunologiques à la variole, lié à une éradication de la maladie et à l’arrêt des vaccinations, pourrait être associé à l’explosion du VIH.

La phase épidémique commença à la fin des années 1970-début des années 1980. C’est en Afrique noire que l’on a relevé le plus grand nombre de sous-types du virus VIH-1, phénomène marquant l’ancienneté de la circulation des virus.

Pour vérifier cette hypothèse, les chercheurs ont pratiqué des analyses sanguines auprès de 10 participants vaccinés contre la variole et 10 non vaccinés, et ont exposé leurs cellules au VIH in vitro.

Malgré le petit nombre de participants, les auteurs ont décelé des différences entre les deux groupes quant à la résistance à l’infection au VIH. Les patients vaccinés seraient quatre fois plus résistants au VIH que les non-vaccinés.

Il semble que le VIH ne soit pas parvenu à se multiplier ou à un niveau très faible dans les cellules des patients vaccinés contre la variole. Ces résultats suggèrent que la vaccination antivariolique pourrait être adaptée pour conférer une protection significative contre l’infection au VIH.

Indépendamment des effets du vaccin contre la variole lui-même, son utilisation en pratique en Afrique fait partie des catégories d’injections non stériles qui ont pu contribuer à la propagation et à la mutation des virus de l’immunodéficience.

Et oui le VIH mute et deviendrait plus méchant comme en témoigne un variant détecté au Bénélux.

Le virus du VIH est en constante évolution, de telle sorte que chaque personne infectée en présente une version légèrement différente, ce qui n’a la plupart du temps pas d’importance. Mais le variant découvert comporte lui plus de 500 mutations. 

Ce variant répond en effet aux traitements existants, et est en déclin depuis 2010. « Il n’y a pas de raison de s’alarmer », a assuré à l’AFP Chris Wymant, chercheur en épidémiologie à l’Université d’Oxford et auteur principal de cette étude, publiée ce jeudi 3 février dans la revue Science.

Mais cette découverte pourrait aider à mieux comprendre comment le virus du VIH, à l’origine de la maladie du sida, attaque les cellules.

Ces travaux démontrent également qu’un virus peut bien évoluer pour devenir plus virulent :

Un article scientifique synthétise les mécanismes spécifiques qui conduisent à des maladies graves après des injections (cancer, thromboses, Guillain Barré, Alzheimer), mécanismes qui n’existent pas après une infection par le virus :
https://pgibertie.com/2022/07/25/un-article-scientifique-synthetise-les-mecanismes-specifiques-qui-conduisent-a-des-maladies-graves-apres-des-injections-cancer-thromboses-guillain-barre-alzheimer-mecanismes-qui-n/… 
via @giberpa




Multipolarité contre unipolarité, par une guerre proxy ukrainienne, pour une gouvernance mondiale ?

Par DJERRAD Amar

Cette campagne russe en Ukraine a été, en effet, surprenante et décisive surtout pour les atlantistes aveuglés par ce sentiment de supériorité et ankylosés par leurs suffisance et rassasiement. Le risque nucléaire est à poser aux atlantistes provocateurs de la Russie depuis au moins les 15 dernières années et non à la victime qui a le droit suprême inaliénable de se protéger ! Tout le problème vient bien des USA. 

Neutraliser la Russie et la Chine pour une gouvernance mondiale ? 

L’occasion de neutraliser la Russie, par une guerre hybride, a été planifiée en Ukraine. Planification erronée qui semble aboutir à un échec lamentable ! Il faudra bien que la Russie réponde par une stratégie pour se défendre d’une menace existentielle ! Si l’OTAN était certaine que c’était « gagnable », elle n’hésiterait pas à frapper directement, comme les USA l’avaient fait au Japon, assurés qu’il n’avait pas la même arme pour répliquer !

Si l’OTAN, avec ses 30 pays, se cache derrière un seul, l’Ukraine, contre la Russie, c’est que pour cette alliance il était très hasardeux, voire dangereux, de lui déclarer officiellement la guerre sachant qu’ils seront « vitrifiés » seulement avec les armes conventionnelles hors pair qu’ils ne possèdent pas !

Mobiliser l’Europe, dans l’hystérie (une trentaine de pays), pour faire la guerre à la Russie par proxy ukrainien, sans résultat tangible et oser gesticuler sur une capacité d’affronter aussi la Chine sur la question de Taiwan, ses projets économiques mondiaux et de sa « ceinture » et route, c’est funambulesque ! Faire deux guerres majeures en même temps ? C’est du bluff américain ! Nous recommandons, à l’occasion, deux livres collectifs, intéressants, intitulés « La Chine sans œillères » et « La Russie sans œillères » qui rétablissent la vérité, sur plusieurs sujets, concernant ces deux pays. Ils savent ce que cela coûtera et où cela mènera ! De plus, raisonnablement, il faut d’abord faire la liste des guerres gagnées (dans leurs objectifs et les pertes) directement contre des pays faibles ! Par des sanctions économiques aussi contre la Chine ? Trêve de plaisanterie ! Ce ne sera plus se tirer « une balle dans le pied », mais un « missile sur sa maison » ! « Qu’ils essaient », propose Sieur Poutine pour ce qui concerne son pays !

Leur néoconservatisme effréné et ravageur, en voulant ‘manger’ tout le monde pour assouvir les sales instincts avides de domination de ses géniteurs, se retrouve, par excès de cupidité, d’immoralité et de démesure, à se consumer graduellement, pris à revers par les contradictions de son propre système économique et idéologique à savoir le « mondialisme » qui vise à mettre en place une « gouvernance mondiale » selon une doctrine obligeant les autres états et peuples à ouvrir leurs marchés, leur commerce, à céder leurs matières premières, à bannir les barrières douanières et leur culture, suivant les « règles » édictées par le gouverneur autoproclamé à savoir les États-Unis !

Les USA savent qu’ils n’ont jamais gagné de guerres dans ses objectifs. Ils ont toujours surestimé leurs forces en négligeant avec dédain celle de leurs adversaires choisis toujours parmi les pays « faibles » les considérants inaptes à la réplique comme s’il s’agit une partie de chasse qui, en fin de compte, à chaque fois, s’avèrent être de redoutables défenseurs de leur patrie, réussissant à leur infliger des dégâts intenables et inattendus ! Cela rappelle une citation du Général de Gaulle : « La guerre, c’est comme la chasse, sauf qu’à la guerre les lapins tirent ». C’est parce qu’ils le savent qu’ils ont trouvé l’astuce des guerres par proxy afin de pouvoir s’en tirer à bon compte en cas d’ennuis.

Très souvent c’est parce qu’on est en manque d’une chose qu’on l’évoque de façon obsessionnelle contre un adversaire ou concurrent qui souvent nous dépasse dans cette chose ou la fait mieux que nous ! C’est le cas des prétextes « libertés », « démocratie », « droits de l’homme » que les Occidentaux évoquent cyniquement contre leurs rivaux pour cacher leurs tares et convoiter des intérêts illégitimes ou illicites. Réellement, ils souhaitent dans ces pays des dirigeants pantins, car les valeurs qu’ils prônent entravent leurs projets prédateurs. Ce sont des criminels qui s’habillent d’oripeaux élogieux pour mieux tromper les consciences, spolier et imposer leur diktat. Leurs prétentions les aveugles au point où ils perdent la raison.   

Imbus de leur personne, leur arrogance et leur sentiment d’infaillibilité et d’invincibilité — en voulant tout réguler, tout gagner, régenter le monde, tout changer en défaisant les autres, sans changer soi-même — ils se retrouvent poussés au-delà des limites du raisonnable au point qu’ils se permettent de décider d’abord, absurdement, d’actions ou de guerres, puis de réfléchir ensuite, mais une fois trop tard, lorsque les conséquences devenant irréversibles, les solutions caduques et l’échec certain ! « Les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard. » dit Douglas MacArthur. Il reste toutefois, toujours, du temps pour décamper ! Kadyrov, le président de la Tchétchénie, pense que la réflexion avant l’action est « un luxe que certains dirigeants occidentaux ne peuvent pas se permettre » ; pour lui aucun « n’aurait pensé qu’un nombre sans précédent de sanctions contre la Russie ne ferait absolument rien ». Même à la 7e série de sanctions incluant notamment un embargo sur l’or russe, qui semble sans effet significatif, on a observé un relâchement sur certaines restrictions (transport, les denrées alimentaires, les engrais et même le pétrole et le gaz), car elles leur nuisaient dangereusement !

Multipolarité « dictatoriale » et unipolarité « démocratique »

L’heure des atlantistes ne paraît plus à la décence et au ridicule, mais à frapper perfidement « tout ce qui bouge » vers l’indépendance et le souverainisme, voies assurées par la multipolarité que soutient la Russie face à leur unipolarité (deux modes qu’ils présentent, curieusement, comme un affrontement entre « dictature » et « démocratie »). Comme si le multipartisme est une dictature et le parti unique une démocratie ! Le ridicule est même poussé au-delà du contre nature. Selon Sergueï Ryabkov (aux journalistes), les États-Unis auraient demandé à la Russie de reconnaître les mercenaires en Ukraine comme des « combattants au sens des Conventions de Genève » !

Les atlantistes, pris dans leur égoïsme, leur cupidité et leur démence, disent et font des choses et leurs contraires, menacent puis se rétractent, sanctionnent puis réajustent, lient amitié et désavouent, méprisent la charte de l’ONU et la revendiquent, aident et volent, engagent et renient, pratiquent l’injustice et le racisme tout en le condamnant, interdisent ce qu’ils s’autorisent, fomentent des « révolutions de couleurs » ; voir en particulier le livre du Dr Ahmed Bensaada « Arabesque américaine », etc., tout cela pour se garantir des intérêts exclusifs, quitte à menacer par leurs puissances militaires, économiques et financières !  

Une mentalité funeste et arrogante qui considère que la puissance militaire fait force de loi « internationale » (qui ne s’appliquent pas sur eux) qui peut rendre licite, l’illicite et vice versa, légal l’illégal et vice versa ; qui donne le droit de sanctionner arbitrairement quiconque, sans légitimité de riposte, qui donne aussi le droit de confisquer les biens des autres par la force, etc. ne peut conduire qu’à des conflits particulièrement violents et destructeurs ! Cela s’est vu contre des pays opprimés considérés « nains » militairement et économiquement, mais qui ont réussi à mettre ces « puissances » dans des situations d’échec insupportable ! Qu’en sera-t-il si une puissance opprimante et prédatrice se retrouve face à une autre puissance, sage et patiente, plusieurs fois humiliée, qui décide d’en découdre militairement au nom de la justice ? C’est le cas présentement des USA (avec leurs vassaux pseudo-puissances européennes) qui se retrouvent face à la puissance russe par Ukraine comme mandataire ! Sergueï Lavrov explique largement à Margarita Simonian (de Russia Today) l’opération militaire en Ukraine, la question des sanctions et de la crise énergétique ainsi que l’attitude des atlantistes dans une interview d’une heure environ. Nous recommandons aussi cette récente vidéo de Xavier Moreau qui fait sur ces évènements d’Ukraine, depuis le début, un travail remarquable d’information et d’analyse.

Leur crétinisme les pousse jusqu’à oser provoquer en même temps que la Russie, le mastodonte chinois tout en lançant des piques sur l’Inde ! Allez savoir quelle mouche les a piqués pour aller gratter les anus des ours ou des lions ! À ce jour, le courageux homme qui l’aurait fait n’est pas encore revenu pour nous raconter son aventure !

Dernière phase de l’impérialisme

En Ukraine, la Russie semble n’avoir donné qu’un grognement lointain et nous voyons les effets. Comme le fort honnête agit souvent raisonnablement, Poutine a bien prévenu les atlantistes en délire que « chacun doit savoir que nous n’avons pas encore commencé les choses sérieuses »… « qu’ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine… » suggérant ainsi que le monde impérialiste — avec son esclavagisme, son colonialisme et néo-colonialisme, ses actions prédatrices et ses génocides — est arrivé à la dernière phase de son évolution historique. Il ne nous semble pas qu’il s’agisse d’une « accélération de l’Histoire » avec cet évènement ukrainien ! Tous les Empires pillards, à travers l’Histoire, sont arrivés à cette fin par les contradictions qu’ils renferment. Celui de notre époque, avec ses absurdités et antagonismes, menées à leurs paroxysmes, ne fera pas exception ! C’est dans l’ordre de la nature où chaque cause entraîne un effet ! « Toutes les doctrines, toutes les écoles, toutes les révoltes n’ont qu’un temps. » selon le même De Gaulle. On peut ajouter « tous les empires ».

Si l’Ukraine, par son pantin de président, affiche un certain abattement et mécontentement chaque semaine et à chaque occasion en réclamant encore plus « d’aide », c’est que la demeure prend l’eau (ou feu), menaçant surtout par là qu’elle ne pourra plus faire jouer le patriotisme/nationalisme à ses formations armées engagées par « procuration » pour des intérêts qui sont loin d’être ukrainiens ! Cette attitude, ainsi que la réaction des USA, s’inscrit à notre sens plus dans l’objectif de tenir bon en attendant les effets attendus « dévastateurs » des sanctions sur la Russie que dans le but de gagner militairement, sachant que le temps joue indubitablement contre eux !

Au vu de l’évolution des choses sur le champ de bataille, on constate bien que l’armée russe avance sans empressement, délicatement avec méthode et modération sans pertes significatives tout en consolidant ses positions ! Ceci est bien reconnu par Scott Ritter (ancien officier du renseignement américain) dans une vidéo : « La Russie est en train de gagner sur tous les fronts… ». Entre-temps, elle paraît titiller l’OTAN en lui faisant apparemment préjuger une force/faiblesse de l’armée afin d’une part la dissuader d’aller trop loin et d’autre part l’inciter à dépenser davantage, à armer plus l’Ukraine, à concentrer plus d’armement et de troupes pour finalement sortir brièvement les armes furtives pour les détruire en quelques frappes avec un moindre coût, comparativement ! Comme c’est encore le cas de la frappe russe sur Odessa ayant détruit, entre autres, un navire de guerre ukrainien transportant des missiles antinavires fournis par l’OTAN. Le lien fait par la propagande Otanesque avec l’accord d’Istanbul concernant les exportations céréalières est un vulgaire mensonge. Et bis repetita ! À ce train, avec déjà 75 milliards de dollars de dépenses sans résultats probants (auxquels s’ajoutent les coûts colossaux du boomerang des sanctions), on se dirige droit vers un gouffre financier annonciateur d’un rétropédalage au risque d’une récession ruineuse économiquement et politiquement ! Si malgré tous les efforts les résultats pointent vers cet échec, alors les Ukrainiens seront discrètement autorisés à négocier, car ce sont les États-Unis les cobelligérants, les parrains, qui décident et financent tout depuis le début ; l’Ukraine n’étant qu’un faire-valoir. Dans ce cas, on verra qu’ils seront laissés à eux-mêmes et l’OTAN leur imputera l’échec tout en cherchant une autre voie !

A la réflexion, se peut-il que tout cela soit une stratégie russe élaborée (peut-être en concertation avec d’autres puissances) pour une guerre à un niveau bien plus élevé afin de mettre un terme définitivement à l’hégémonie funeste et insupportable, qui a trop durée, de la caste anglo-saxonne ? Possible, car des voix russes réclament cette option de guerre élargie aux décideurs !

Rupture, dernier souffle et situation kafkaïenne

Les atlantistes se retrouvent confrontés à quatre situations dont les effets sont plus ou moins pénibles : admettre l’échec, déclarer une guerre ouverte, poursuivre la même démarche ou fomenter des troubles internes à finalité séparatiste. Chacune supporte un coût qu’il leur appartient d’évaluer au vu d’un bilan sérieux et objectif de leurs actions passées. Ce qui est certain, c’est que chacune des quatre situations les place dans un affreux choix « bouillante d’un côté et brûlante de l’autre » (comme disent les Maghrébins). La corde tendue est à sa rupture !

 Au regard de la carte de l’opération spéciale des forces armées russes en Ukraine au 24.07.2022, le choix paraît évident : destruction de 16 aérodromes, 260 avions, 144 hélicoptères, 1 605 drones, 357 systèmes de missiles antiaériens, 763 systèmes de lance-roquettes multiples, 4 146 chars et autres véhicules blindés, 3 196 pièces d’artillerie de campagne et 4 457 unités de véhicules militaires spéciaux et ce, en 5 mois ! Pour remplacer ces engins militaires (et infrastructures), il faudra réunir des dizaines de milliards de dollars, les fabriquer, les acheminer et former les militaires, sans compter le fait qu’ils seront en grande partie détruits, lors de leur acheminement, par l’armée russe qui les guette, puisque le ministère russe de la Défense ne cesse d’avertir que « les dépôts d’armes deviendraient des cibles légitimes pour les forces aérospatiales » ! L’avertissement va encore plus loin si d’aventure l’Ukraine est destinataire d’armes à longue portée ! Dans ce cas les « objectifs géographiques de l’opération spéciale se déplaceront même plus loin de la ligne actuelle ».

Ils refusent, jusqu’au dernier souffle, d’admettre que le monde a totalement changé dans les relations politiques et économiques, dans les rapports de force, dans les alliances stratégiques à cause des crises, des contradictions, des spéculations et des injustices suscitant des conflits d’intérêts, voire d’existence. C’est donc sans compter, cette fois, sur le double défi russe et chinois soutenus par le BRICS que les menaces et complots en cours ou en préparation seront un coup d’épée dans l’eau et les changements irréversibles ! Leur dernier souffle paraît être qu’aujourd’hui, pour justifier leur déroute (militaire et sanctions) aux yeux de leurs peuples, voire au reste du monde, pour sauver leur face, ils s’emploient indignement à imputer à la Russie toutes les conséquences de leurs fourberies ; de l’inflation aux pénuries en passant par le gros risque d’instabilité sociale avec l’arrêt de leurs usines et l’accentuation du chômage ! Sur un autre volet, ils s’échinent, par leur mensonge et propagande, à l’accuser de « crimes de guerre » sur la base de mise en scène de scénarios montés de toute pièce comme les bombardements des quartiers résidentiels, etc. ! (« massacre » de Bucha, maternité de Marioupol, garnison de l’île aux serpents, missiles sur Donetsk et la gare de Kramatorsk, Supermarché de Krementchouk, etc.) et ce, paradoxalement, à des moments, où l’armée russe et en pause ou en position dominante ! En revanche, et en soutien à la Russie, la Chine demande des enquêtes sur les crimes de guerre et les violations des droits de l’homme commis par les États-Unis et le Royaume-Uni, au cours des 20 dernières années notamment en Afghanistan, l’Irak et la Syrie, faisant jusqu’à 48 000 morts civiles. Leur dernier souffle enfin est de montrer qu’ils ont encore la capacité et la marge de nuire à la Russie en décidant d’imposer, « comme ça », un prix d’achat plancher (égal ou inférieur au coût de production) au pétrole brut russe — qui représente 30 % du marché européen et 12 % du commerce mondial — uniquement pour ne pas l’enrichir sans se soucier du risque d’avoir une réponse économique simple : celle de ne pas vendre à ce prix aux pays qui l’imposent ! C’est bien la loi du marché !

Il faut rappeler que, globalement, les pays de l’UE ont acheté en 2021 à la Russie, 30% de pétrole brut, 15% de produits pétroliers et 45% du gaz naturel. Boycott ou pas, tous ces produits énergétiques ont déjà trouvé acheteurs ! Respectueuse des contrats signés (contrairement aux atlantistes), c’est plutôt l’Europe qui peut faire crouler sa propre économie si elle choisit de proscrire le pétrole et le gaz russe et non cette dernière qui pourrait décider « de couper l’approvisionnement » à l’Europe.

Vivre son destin avec un autre ordre mondial

Quelles que soient les intentions des Russes, ils sont dans leur droit de répondre comme ils l’entendent à une injustice ou à une provocation. Si les Européens trouvent, dans leur sens, légitime qu’ils « militarisent » les sanctions contre la Russie pour la priver d’argent, pourquoi s’offusquent-ils à l’idée (seulement) que la Russie pourrait, en réponse, « militariser » l’approvisionnement énergétique qu’ils jugent illégal dans l’autre sens ? Curieuse logique !

Au fil des développements, il est fortement prévisible que l’on s’attende à ce que l’UE se divise, l’OTAN de désagrège, parce que construites sur des bases irrationnelles et anachroniques, sans particularismes (pays baltes, région scandinave, zone d’Europe centrale, Hongrie, Turquie…)

En revanche, les états prônant le multilatéralisme et le souverainisme ont intérêt à ériger une alliance, hors Europe, fondée sur des valeurs plus sûres et plus sécurisantes. Ce processus semble en bonne voie ! C’est dans cette alliance décisive, exceptionnelle, historique et courageuse avec ce nouveau bloc souverainiste et multipolaire que sera assuré le nouvel ordre mondial basé sur d’autres règles plus équitables, d’autres principes, d’autres valeurs, d’autres ONG. C’est cela une « révolution » dans les relations internationales !

On ne peut s’empêcher de conclure en citant cet extrait de discours de Poutine devant les dirigeants de la Douma :

« … C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire — un monde fondé non pas sur des règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie, non pas sur des doubles standards hypocrites, mais sur le droit international, sur la véritable souveraineté des peuples et des civilisations, sur leur volonté de vivre leur destin historique, leurs valeurs et leurs traditions et de construire une coopération sur la base de la démocratie, de la justice et de l’égalité. Et nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté… »

Quel autre choix raisonnable reste-t-il ?

Amar Djerrad




LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale

NOTE DE COPYRIGHT

Ce document [PDF. Voir plus bas] contient une sélection des informations les plus importantes présentées au cours de la deuxième journée de la procédure modèle du Grand Jury, dirigée par le comité d’enquête Corona de l’avocat, le Dr Reiner Fuellmich.

Il n’y a aucun droit d’auteur sur ces informations et, en fait, chaque lecteur est encouragé à diffuser ces informations à grande échelle sous la stricte condition qu’elles ne soient pas vendues à des fins lucratives.

Des copies imprimées de ce document peuvent être obtenues sur le site Web suivant :
StopWorldControl.com/jury

Ce document fait partie de la première des cinq sessions du grand jury.

Les autres sessions seront également disponibles en format imprimable.

Traduction française par Dawid E.R. et google translate, pour cogiito.com

CONTENU

GRAND JURY
Présentation des preuves pour crimes contre l’humanité
PAGE 3

LA CITY DE LONDRES
L’élite Britannique et leur agenda pour la domination mondiale
PAGE 6

MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE
Contrôler les esprits de la population pour changer leur comportement
PAGE 33

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ
L’OMS a été mis en place pour fonctionner comme un gouvernement mondial unique
PAGE 54

CONCLUSION
Entités privées s’emparent du monde
PAGE 81

RESOURCES
More information about the criminal elite
PAGE 86

[Traduction de la page 86 :

Assurez-vous de consulter les ressources critiques suivantes qui en révèlent beaucoup plus sur les entités criminelles qui prévoient de réduire l’humanité en esclavage. Ces ressources fournissent plus d’informations, ce qui vous permet de résister à leurs plans et d’aider à construire un monde meilleur de liberté, de bonté et de vérité.

MONOPOLY

Le documentaire MONOPOLY – Who Owns the World (MONOPOLY – Qui possède le monde ?) est un documentaire brillant et éblouissant que tout le monde devrait regarder dans ce contexte. Ce film montre toutes les preuves de la façon dont pratiquement tout ce qui existe dans notre monde est détenu par un très petit groupe de personnes super riches. Nombreux sont ceux qui ont fait l’éloge de ce documentaire, le qualifiant d’incontournable pour toute l’humanité et d’un des meilleurs documentaires de tous les temps. Monopoly peut être visionné ici :
StopWorldControl.com/monopoly
[Version française :
Qui possède le monde ?]

LA CHUTE DE LA CABALE

Il s’agit de la meilleure ressource au monde pour en savoir plus sur l’identité de ces oligarques criminels et sur le type de crimes qu’ils commettent depuis des siècles. Il existe deux séries : la série originale Fall of the Cabal [La chute de la Cabale], qui expose les horreurs indicibles infligées à l’humanité – et en particulier aux enfants. La suite continue avec plus d’informations sur qui ils sont, quel genre d’organisations ils dirigent, et ainsi de suite. Ces séries changent la vie et doivent être vues par tous ceux qui veulent aider à mettre fin à ces crimes cruels et à construire un monde d’espoir pour nos enfants. Regardez The Fall of the Cabal ici :
StopWorldControl.com/cabal

RONALD BERNARD

Le témoignage de ce courageux dénonciateur est l’un des plus choquants et des plus révélateurs de tous les temps. Une fois que Ronald a accédé aux plus hauts niveaux du monde financier, il a été invité à participer au sacrifice d’enfants. Il a découvert que la plupart de ceux qui opèrent aux plus hauts niveaux, sont impliqués dans une religion appelée Luciférianisme. Ronald n’a pas pu le faire et s’en est éloigné. En conséquence, il a été physiquement torturé pour s’assurer qu’il ne révélerait aucun de leurs noms au monde. Dans la vidéo suivante, il confirme une grande partie de ce qui est dit par les dénonciateurs dans le résumé du Grand Jury. À voir absolument pour tous ceux qui veulent construire un monde meilleur.

Regardez Ronald Bernard ici :
StopWorldControl.com/bernard

RAPPORT SUR LA MORT PAR LES VACCINS

Le Vaccine Death Report est le rapport le plus complet et le plus détaillé au monde sur les destructions innommables causées par la thérapie génique expérimentale, faussement commercialisée sous forme de vaccins. Des millions de personnes sont déjà mortes, et des centaines de millions sont handicapées à vie. Et ce n’est que la première vague de dévastation à court terme. À long terme, les effets dépasseront toute imagination. Il s’agit véritablement de la pire attaque contre la race humaine de tous les temps. Téléchargez le rapport sur les décès dus aux vaccins ici :
StopWorldControl.com/report
[Version française :
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

L’ÂGE DES CYBORGS

L’une des réalités les plus inquiétantes révélées au cours de ce Grand Jury est la manière dont les oligarques prévoient de soumettre l’ensemble de l’humanité à un système sans précédent de contrôle total de nos esprits et de nos émotions. Nous préparons un documentaire qui montrera des dizaines de ces criminels parlant ouvertement de ce programme d’éradication complète du libre arbitre, de la libre pensée et de la libre émotion. Il s’agira du plus important cri d’alarme de l’humanité, de notre époque. Si ces psychopathes parviennent à réaliser leur projet fou, tout le monde sera un esclave contrôlé, dans son esprit, son âme et son corps. La 5G joue un rôle clé à cet égard, ainsi que l’oxyde de graphène, qui est ajouté aux vaccins, à l’eau potable, aux chemtrails, à la nourriture, aux compléments alimentaires, aux produits pour femmes, aux couches, etc. Une fois que le public sera suffisamment saturé d’oxyde de graphène, il pourra être contrôlé par la 5G. Inscrivez-vous à nos courriels gratuits pour rester informé de ce documentaire à venir, et pour recevoir d’autres informations critiques qui vous aideront à défendre votre vie.

Inscrivez-vous ici : StopWorldControl.com]

[Voir aussi les 8 vidéos du Grand Jury :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




REVUE DE PRESSE DU 23 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Immunité biologique versus immunité juridique

Si un vaccin est approuvé aux USA pour les enfants, son fabricant ne peut être poursuivi pour les effets indésirables qu’il provoque, qu’il s’agisse d’adultes ou d’enfants, et même si ce produit n’assure pas la protection avancée, d’où la course à l’approbation pour les laboratoires déjà en selle, tandis que Valneva voit ses contrats annulés en Europe et au Royaume-Uni, pour cause de retard à l’AMM : deux poids deux mesures.

L’immunité acquise avec Omicron reste forte contre les sous-variants, et les masques une fois de plus se révèlent inutiles et dangereux, comme en témoigne le désastre de leur utilisation en Nouvelle-Zélande.

Les vaccinés affichent une surmortalité toutes causes, y compris avec une explosion de la mort subite de l’adulte. Mais les caciques de la HAS et de l’Académie de médecine aux conflits d’intérêts bien connus ont conforté le gouvernement dans son refus de réintégrer les soignants suspendus, malgré un été sous tension dans tous les services d’urgence.

Quant à l’OTAN s’il considère l’esprit humain comme un nouveau domaine de guerre, la manipulation est visible pour les esprits éveillés et selon le Pr Perronne, le mensonge ne durera pas éternellement. Exemple au Royaume-Uni où l’on a découvert les morts cachés sous le tapis du groupe non vacciné alors qu’ils sont décédés après la première dose de « vaccin ».

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS dit non à la réintégration des soignants suspendus

https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/le-gouvernement-suit-lavis-de-la-has-et-dit-non-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines

Hélas, sur des arguments dont on sait qu’ils sont faux (l’efficacité n’est pas au rendez-vous, ni contre la contamination, ni contre les formes graves et décès).

Pour comprendre cette décision, il faut en connaître les auteurs et leurs conflits d’intérêts

Exemple, le Pr Aubier, membre de l’Académie de médecine

https://www.transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=45432

À ce niveau-là, tout s’explique.

France, le seul pays au monde, avec l’Italie, à maintenir la suspension des soignants et pompiers

https://pgibertie.com/2022/07/22/la-protection-vacxxxinale-a-disparu-meme-en-france-seul-pays-au-monde-avec-litalie-a-maintenir-lobligation-pour-soignants-et-pompiers/

Malgré l’absence de protection des injections contre les formes graves.

La forfaiture du gouvernement et de ses alliés

https://pgibertie.com/2022/07/23/non-reintegration-des-soignants-et-pompiers-non-vaccines-la-forfaiture-du-gouvernement-et-de-ses-allies-verifiez-vous-memes-les-stats-qui-le-prouvent/

Les non-vaccinés représentent le quart de la population française et « seulement » 15 % des cas et décès. « Affirmer, en juillet 2022 que les injections protègent les plus vulnérables, c’est du même ordre que présenter le Médiator comme l’invention médicale du siècle et le tabac comme un produit efficace contre le cancer ».

Les statistiques de la DREES parlent toutes seules

France — pour la première fois les statistiques officielles révèlent l’absence de protection vaccinale contre les formes graves

https://pgibertie.com/2022/07/22/pour-la-premiere-fois-en-france-les-statistiques-officielles-revelent-que-la-protection-vaccxxinale-contre-les-formes-graves-n-existe-pas/

et

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/rapport-vaccinesnon-vaccines

« 5 décès par 10 millions pour les vaccinés et 4 pour les non-vaccinés. » Pour autant on ne sait pas de quoi sont décédées ces personnes, dont le diagnostic est « avec Covid » et non « du Covid ».

Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

On souhaite qu’un jour prochain quand le bon sens aura réintégré les institutions, hôpitaux et facultés de médecine, cette jeune étudiante puisse reprendre ses études interrompues avec un courage moral qui force le respect.

ÉTRANGER

Les actions de l’OTAN pour le contrôle de l’opinion publique

https://fr.sott.net/article/40404-Propagande-operations-psychologiques-et-guerre-cognitive-Les-actions-de-l-OTAN-pour-le-controle-de-l-opinion-publique

« Elle a mis en place dès avril 2020 une structure dédiée à l’étude de ce qu’ils appellent “l’infodémie”, et lancé dès avril 2020 l’Information Network for Epidemics (EPI-WIN) » ; « En mai 2020 elle fait passer la résolution WHA73.1 qui affirme que le contrôle des infos non conformes est un point essentiel dans la lutte “contre le Covid”, impose aux États de produire des contenus conformes et prendre des mesures contre les infos non conformes. »

« L’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de guerre ». « Les armées développent déjà des armes neurologiques qui visent le système nerveux et les capacités cognitives. Des expérimentations dans ce sens sont très certainement menées actuellement en Amérique latine avec la DARPA. »

L’UE abandonne Valneva

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/lue-abandonne-valneva/

Annulation quasi totale de la commande, car l’AMM a tardé à venir (l’appréciation de l’urgence n’est pas la même selon le laboratoire concerné).

ROYAUME-UNI — les morts cachés sous le tapis

https://pgibertie.com/2022/07/16/en-soulevant-le-tapis-on-a-retrouve-planques-des-milliers-de-morts-victimes-de-la-premiere-dose/

Ces morts survenues après la première injection avaient été comptabilisées dans le groupe des non-vaccinés.

ROYAUME-UNI — près de 19 millions de citoyens non vaccinés

Depuis avril 90 % des décès dus au Covid se trouvent chez les triple-vaccinés.

JUSTICE

Les sénateurs refusent la signification par huissier du courrier de l’association Bon Sens

Déni de considération des citoyens et refus d’entendre ce qu’ils ne veulent pas savoir.

ITALIE — décision historique contre la vaccination obligatoire

Décision largement argumentée autant juridiquement que scientifiquement.

USA — les familles s’unissent pour dénoncer les protocoles hospitaliers qui ont conduit à la mort de leurs proches

https://www.epochtimes.fr/nous-allons-obtenir-justice-les-familles-sunissent-pour-denoncer-les-protocoles-hospitaliers-douteux-qui-ont-conduit-a-la-mort-de-leurs-proches-2070225.html

« Les détails des récits présentés par les familles dont des proches sont décédés à l’hôpital en raison de ce qu’elles appellent les “protocoles mortels” sont étrangement similaires.Ils ont terrifié ces personnes en les maltraitant émotionnellement et psychologiquement” »

COVID

Immunité naturelle acquise avec Omicron forte contre les sous-variants

https://www.aubedigitale.com/limmunite-naturelle-acquise-avec-omicron-est-forte-contre-les-autres-sous-variants-etude/

« Des scientifiques du Qatar ont constaté que la protection conférée par la résistance au COVID-19 était forte contre les plus récents sous-variants du virus, y compris celui qui domine actuellement aux États-Unis. »

TRAITEMENTS ET MESURES

Les masques sont INUTILES et DANGEREUX, l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-lexperience-desastreuse-de-la-nouvelle-zelande/

Inutiles, car les virus sont 5000 fois plus petits que les trous des masques, dangereux, car ils augmentent la contamination au lieu de la diminuer et provoquent des troubles cutanés, respiratoires, psychologiques et neurodéveloppementaux chez les enfants.

INJECTIONS

La FDA approuve l’utilisation d’urgence de Novavax

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/19/la-fda-approuve-lutilisation-durgence-du-vaccin-de-novavax/

Pour les réticents aux vaccins à ARNmessager… mais pas de réelle étude de pharmacovigilance pour ce vaccin qui injecte la fameuse Spike, toxique.

Les vaccins anti-Covid sont inefficaces et toxiques pour les enfants

https://pgibertie.com/2022/07/18/la-biologiste-helene-banoun-accuseles-vaccins-covid-sont-inefficaces-et-toxiques-pour-les-enfants/

« L’efficacité a été mesurée uniquement selon la méthode de l’‘immunobridging », c’est-à-dire sur le taux d’anticorps observé après les injections et non sur la capacité du vaccin à empêcher une infection par le virus. Aucun enfant déjà naturellement immunisé par une infection antérieure n’a été infecté : ceci démontre l’efficacité à 100 % de l’immunité naturelle. »

Mais alors, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les enfants ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/que-cache-la-marche-forcee-de-la-vaccination-covid-des-enfants-par-laurent-aventin/

Selon l’avocat Robert Kennedy Jr, aux USA, “quand les ‘vaccins’ sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi”.

EFFETS INDÉSIRABLES

La mort subite de l’adulte, bien pratique pour cacher les effets indésirables des injections

https://www.lavieensante.com/2022-07-07-syndrome-de-la-mort-subite-de-adulte/

« Les chiffres sont si inquiétants qu’en Australie, par exemple, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre de MSA « pour obtenir davantage d’informations » sur ce phénomène. »

Surmortalité des personnes vaccinées contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/18/lavocat-todd-callender-associe-a-la-direction-dun-groupe-dassurance-denonce-la-surmortalite-des-personnes-vaccinees-contre-covid-par-laure/

Toutes les formes de maladies parmi ceux qui ont reçu les injections contre Covid montent en flèche.”

En Angleterre et au Pays de Galles, près de 10 000 décès excédents non covid au cours des 2 derniers mois, en grande partie dus à des troubles vasculaires et cardiaques

https://dailysceptic.org/2022/07/19/excess-non-covid-deaths-approach-9500-in-last-11-weeks/

Les personnes vaccinées et contaminées contagieuses plus longtemps que les non-vaccinées

https://www.israelnationalnews.com/news/356245

les données du ministère israélien de la santé montrent que dans la population plus âgée (plus de 60 ans), le fait d’avoir reçu un plus grand nombre de vaccins COVID est souvent lié à une plus grande probabilité d’être infecté par le COVID.”

BELGIQUE — le risque d’être hospitalisé pour le Covid est plus important pour les vaccinés que les non-vaccinés

Autrement dit “efficacité négative” !!

La 4e dose est la pire de toutes !

https://pgibertie.com/2022/07/20/on-sait-maintenant-que-la-quatrieme-dose-est-la-pire-de-toutes-deux-plus-plus-de-risques-detre-contamine-pour-100-000-habitants/

Comme le montrent les données canadiennes, 20 fois plus de décès par million de personnes pour les 4 doses et plus que pour les 0 dose.

RÉSISTANCES

Touche pas à mon Doc !

https://www.aimsib.org/2022/07/23/touche-pas-a-mon-doc-et-plus-de-qr-code-pour-decider-de-qui-ils-soignent/

“Les services de la Sécurité Sociale épluchent les ordonnances des médecins (Ivermectine, Azythromycine) et des centaines de médecins sont convoqués par les Conseils de l’Ordre pour répondre de ces prescriptions. Et demain, est-ce que les médecins seront encore indépendants ?”

CSI n° 63, 21 juillet 2022, avec Marc Girardot



Un regard différent sur les contre-vérités Covid”

Faut s’réveiller, chanson de Xavier Domingue

… “les droits d’l’homme aujourd’hui sont bien bafoués
le crédit social est planifié
on est manipulés…”

Le mensonge ne durera pas éternellement

https://www.profession-gendarme.com/exclu-360-le-professeur-perr0nne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/

Le Pr Perronne revient sur toutes les mesures absurdes, inutiles et dangereuses prises dans l’épidémie de Covid-19 et croit en l’éveil des consciences pour que cette folie cesse.

Un témoignage du nord de l’Inde

https://reinfocovid.fr/temoignage/nouvelles-du-nord-de-linde/

Je pourrais allonger la liste de choses impensables dont je fus pourtant témoin. J’arrête là, car le peu de personnes à qui je me confie restent incrédules quant à mes propos ; celles et ceux qui me croient sont comme nous : non vaccinés, voire non testés.”

USA, la vérité en train d’éclater

Jean-Dominique Michel, interviewé par Pierre Barnérias



Variole du Singe : ce qu’ils mijotent vraiment !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




L’étendue de la neige en Amérique du Sud atteint des sommets sans précédent

[Source : numidia-liberum]

L’étendue de la neige en Amérique du Sud atteint des sommets sans précédent, un précurseur de l’hiver à venir dans l’hémisphère nord…

Alors que les médias se concentrent sur une vague de chaleur quelques jours en Europe et une saison des incendies de forêt habituelle l’été, cette chaleur a été anormalement tirée vers le nord par un flux de courant-jet « méridien », induit par une faible activité solaire, non signalé, est le fait que l’ensemble de l’hémisphère sud se maintient PLUS FROID que la moyenne de 1979-2000, depuis un certain temps maintenant, selon les données fournies par le Climate Change Institute de l’Université du Maine.

À partir de l’Antarctique, et comme les lecteurs réguliers d’Electroverse le savent bien, mais cela mérite d’être répété, le continent dans son ensemble a été exceptionnellement FROID au cours des 18 derniers mois et plus, le gel ne semblant que s’intensifier.

Le premier -80C (-112F) de 2022, à l’échelle mondiale, a été enregistré le 8 juillet à la base antarctique franco-italienne ‘Concordia’ – le premier sous -80C depuis 2019.

Plus révélateur cependant, entre avril et septembre 2021, le pôle Sud affichait en moyenne -61,1°C (-78°F) , ce qui en faisait sa période de six mois la plus froide de tous les temps, battant confortablement son précédent « hiver sans noyau » le plus froid jamais enregistré – le -60,6°C (-77°F). ) reculé en 1976 (minimum solaire du cycle faible 20).

Le froid a également persisté jusqu’en 2022, le mois d’avril à la station du pôle Sud s’est terminé à environ -2°C en dessous de la norme multidécennale ; tandis qu’une anomalie de -3C a été notée à la tristement célèbre station Vostok par rapport à la moyenne 1958-2021.

Le froid s’est prolongé jusqu’en mai, juin et s’empare maintenant de juillet également, avec une anomalie féroce régulièrement enregistrée sur tout le continent.

Le refroidissement indubitable de l’Antarctique au cours des 18 derniers mois environ est également révélateur d’une tendance à plus long terme.

Les données officielles révèlent que l’Antarctique de l’Est, qui couvre les deux tiers du continent, s’est refroidi de 2,8 °C au cours des 40 dernières années environ, tandis que l’Antarctique de l’Ouest s’est refroidi de 1,6°C. Il s’avère que seule une petite partie de l’Antarctique (la péninsule antarctique) a connu un réchauffement, un réchauffement statistiquement insignifiant, en plus, mais il n’y a pas de prix pour deviner sur quelle région la maffia du réchauffisme se concentre.

Un Antarctique glacial a, comme on pouvait s’y attendre, un impact sur d’autres masses terrestres de l’hémisphère sud, son air plus froid que la moyenne est transporté vers le nord, via le courant-jet, exceptionnellement loin au nord, en fait, grâce à ce flux de courant-jet  » méridien « .

L’Australie et l’Amérique du Sud, les plus grandes masses terrestres de l’hémisphère, ont enregistré des conditions de froid record au cours des dernières semaines et des derniers mois.

L’Australie est en fait sur son hiver le plus froid jamais enregistré, après avoir connu son début le plus enneigé de l’histoire enregistrée.

Le mois de juin a été exceptionnellement froid, selon les données fournies par le Bureau de météorologie du pays ; et juillet continue dans la même veine et voit le massacre d’une myriade de records de froid de tous les temps.

L’activité volcanique joue probablement un rôle clé dans ce refroidissement brutal, à savoir l’éruption mésopsphérique record de Hunga Tonga-Hunga Ha’apai en janvier :

Source




Italie : Giorgia Meloni, une anti-islam bientôt présidente du Conseil?

[Source : ripostelaique.com]

Par Christian Navis

Giorgia Meloni, un nom à retenir

Depuis la fin de 2020, elle est la personnalité politique préférée des Italiens. Peut-être parce qu’elle est la seule à dénoncer sans détours l’islamisation de l’Europe, et à se prononcer pour la fermeture des ports afin d’empêcher les navires d’ONG financées par Soros et sa clique de débarquer des clandestins. Avec raccompagnement des intrus au large, à la limite des eaux territoriales, par des navires de guerre.

[Note de Joseph : cette approche favorise néanmoins la division sociale d’une nation, à la grande joie probable de ceux qui aiment diviser pour mieux régner. Puisque l’Islam leur pose des problèmes, il serait plus sage et constructif d’une part de renforcer la religion chrétienne qui représente encore le socle de la culture européenne, ceci en retournant à son essence d’il y a deux mille ans puisque c’est à ce niveau que se situe la sève parcourant les racines de la civilisation européenne, sève qui pourrait réveiller l’arbre au printemps d’une nouvelle ère. Et d’autre part, il vaut toujours mieux offrir un choix aux clandestins (si l’on souhaite notamment éviter d’en faire des ennemis) plutôt que de les expulser manu militari : s’intégrer à la civilisation italienne et accepter ses valeurs chrétiennes (sans pour autant se convertir) ; ou bien repartir dans leur pays d’origine, en leur fournissant au besoin des moyens pour pouvoir y vivre sans crever de faim et sans être bombardés par nos armes. Et afin de diminuer le facteur diviseur des ghettos religieux (musulmans ou autres) dans les villes qui en comptent, il serait bon d’adopter une politique de dispersion et d’accueil basée sur l’assimilation dans tous les autres quartiers ou villages.]

En août 2019, alors que les autres partis italiens papotaient sur le nombre d’envahisseurs qu’on pourrait laisser passer depuis l’intrusion des navires de l’ONG Proactiva Open, elle a proposé de créer un blocus naval autour des côtes Nord- Africaines qui empêcherait l’embarquement des migrants depuis la Libye ou la Tunisie.

Selon des sondages pourtant financés par les médias main stream, les deux tiers des Italiens approuvaient cette proposition.

Les pisse-copie en mal d’inspiration l’ont appelée « la Marine italienne ». Je changerais et intervertirais une voyelle. Pour que ça fasse « Marion ». Car à la différence de MLP, son éloquence et son sens de la répartie font merveille dans les médias et les débats. Elle ne se serait jamais aplatie devant un paltoquet inverti.

Les « pisse-copie » francarabiens atterrés la découvrent, depuis que son parti est en tête des sondages pour les prochaines législatives anticipées. Car cette fois, les Italiens ne veulent plus d’un technocrate non élu, imposé par l’Eurocrature, à la tête d’un gouvernement de figurants, de traîtres, de vendus et de profiteurs.

Brillante, courageuse, mais pas carriériste

Fille d’un communiste (!) elle crée à 15 ans la Coordination étudiante  de la Droite nationale, et milite au Front de la jeunesse du Mouvement social italien (MSI), que les pourritures gauchistes présentent comme les héritiers de Mussolini.

Un choix qu’elle ne reniera pas, bien que cette étiquette lui nuise par la suite dans sa carrière de journaliste.

À noter que, comme en France avec le FN, un « arc constitutionnel » fait copuler dans une joyeuse partouze tous les partis, des communistes aux monarchistes en passant par la démocratie chrétienne mafieuse, le parti socialiste corrompu et le parti libéral vendu au plus offrant, pour « en toutes circonstances exclure les élus du MSI de toute alliance électorale ou gouvernementale, à quelque niveau que ce soit. » Un ostracisme qui sera brisé par Berlusconi en 1994.

Députée, et plus jeune vice-présidente de la Chambre, puis ministre à 29 ans dans le premier gouvernement de Berlusconi, elle fonde en 2014 le parti national conservateur Fratelli d’Italia.  Rien à voir avec les frères trois points. Son emblème est une flamme semblable à celle du Front National, vert-blanc-rouge, conforme au drapeau de son pays.

En 2020, elle est élue présidente du parti des conservateurs européens. Et l’année suivante, elle évite de commettre l’erreur de Matteo Salvini en participant au gouvernement de l’imposteur Draghi, créature maléfique du mondialisme intrusif.

« On ne peut pas critiquer un gouvernement et en faire partie » dit-elle très justement.  La concurrence avec Matteo Salvini ne se joue pas sur le domaine des idées, très proches, mais sur le terrain du refus du compromis.

Elle sait qu’elle aura besoin des voix de « La Ligue du Nord » et de « Forza Italia » si elle veut constituer une majorité de patriotes, naturellement appelés à gouverner s’ils obtiennent une majorité à la Chambre.

Mais à la différence de ses alliés potentiels elle apparaît comme propre, honnête et désintéressée. Parce qu’elle n’est pas allée à la soupe. Malgré l’insistance du Président fantoche Matarella et les promesses de l’usurpateur Draghi, découvrant les mérites de l’unité nationale quand ça peut servir ses intérêts et ceux de ses sponsors du NWO.

Elle fait la course en tête et s’y maintient

Depuis plusieurs mois, cette femme de 45 ans, aussi affable qu’intraitable sur ses convictions, mère d’une petite fille de 5 ans, peut compter sur un socle électoral de l’ordre de 25 %, devant les berlusconistes à 22 % et la Ligue à 14 %. Mais le tout additionné, ça fait une belle majorité de 61 %. Surtout dans un pays où l’on vote à la proportionnelle pour les cinq huitièmes des circonscriptions et à l’uninominale à un seul tour pour les trois autres.

Fratelli d’Italia est perçu aujourd’hui comme le seul parti d’opposition réelle, sans compromissions, sur le plan politique et culturel.

Tous les partis se sont plus ou moins laissé tenter par des arrangements. Pas elle. Sa formation est la seule qui dézingue systématiquement toutes les décisions gouvernementales, au niveau économique, sanitaire et social. Les bien-pensants lui prédisaient l’échec et le rejet de ses méthodes. C’est le contraire qui se produit dans un pays qui, comme en France, a perdu toute confiance dans ses zélites traditionnelles.

Giorgia a parfaitement intégré les analyses du communiste Gramsci selon lesquelles la domination culturelle par la diffusion de nouvelles valeurs, antithèses de celles en vigueur, prépare l’accession au pouvoir.

Or dans une Italie déboussolée par l’invasion migratoire, la dictature sanitaire et une guerre contre la Russie dont la majorité ne veut pas, Giorgia apparaît comme le symbole le plus crédible de la révolte. Avec son parti et ses alliés, elle peut renverser la table, si on lui en donne les moyens.

La trouille des eurotocrates

Résumé du programme de Giorgia Meloni  : « Notre nation a un besoin désespéré de recouvrer sa conscience, sa fierté et sa liberté.»

Dommage qu’en France on n’ait pas une personnalité de ce calibre, aussi proche du pouvoir !

L’éventualité de sa victoire électorale contrarie vivement les gnomes de Bruxelles, les banksters cupides et la bande des parasites lobbyistes qui vampirisent les États.

Car sans prôner une sortie sèche de l’UE, ni jeter l’euro, Fratelli d’Italia propose une révision des traités et le remplacement de l’Eurocrature par une confédération d’États souverains. Grosso modo, retour à l’Europe des Nations d’antan.

Les distingués politologues, sondeurs et autres faiseurs d’opinion qui pontifient dans les médias étalent leur effarement parce qu’ils n’ont rien compris à l’électorat italien. Incapables d’interpréter le malaise de la population et de suggérer d’autres solutions que les faux-fuyants moisis des faux opposants tous d’accord pour ne rien changer.

Ils ont cru les Ritals soumis comme les Français devant les muselières, les restrictions de liberté et les faux vaccins. Terrorisés par les vaticinations des VRP de Pfizer & Co.

Ils les ont cru hébétés, tétanisés devant les hordes barbares qui déferlent chaque jour sur leurs côtes. Résignés au point d’accepter l’inacceptable. Se laisser dépouiller de leur patrie par des pouilleux, encouragés par des cafards collabos.

Ils se sont imaginés que les mouvement 5 étoiles fondé par le Coluche italien était d’extrême gauche. Alors qu’une majorité de ses électeurs ont des sympathies nationalistes. Surtout dans le Sud. Le concept d’anarchiste de droite est étranger à leurs structures mentales préformatées.

Que pourrait faire Giorgia Meloni au pouvoir ?

Salvini a raté son histoire d’amour avec le Sud car il a été trop critique envers les gens du Mezzogiorno qui ont la rancune tenace. Quant à la Ligue du Nord, comme son nom l’indique, le Sud ne l’intéresse guère. Pour Giorgia, la voie est libre. Et elle est aussi bien perçue au Nord que dans le centre de la botte.

Son principal atout : elle a les mains libres. Le clientélisme, les petits arrangements entre amis, les renvois d’ascenseur, ce n’est pas son truc. Même si on peut imaginer que les ordures mondialo-immigrationnistes doivent se creuser la tête pour lui coller des casseroles, elles ont peu de chances de produire des accusations crédibles.

Favorable au modèle familial traditionnel, elle milite contre le mariage homosexuel et l’adoption par des gays. Sans prétendre les interdire. Mais au moins mettre un frein à la publicité qui leur est faite auprès de la jeunesse. Et elle peut le dire sans être censurée ni condamnée. Car à la différence de la France, les médias et les juges ne sont pas tous la coupe de jaquettes flottantes islamo-gauchistes.

Quant aux mesures sociales, elle veut bien aider les plus défavorisés. À condition qu’ils soient Italiens. Fini l’assistanat et le logement pour les parasites exotiques !

Nobody is perfect

Le seul reproche que je lui ferai concerne son attitude face à la Russie. Après avoir tenu des propos louangeurs sur Poutine, déclarant que son pays « fait partie du système de valeurs européennes, défend l’identité chrétienne et combat le fondamentalisme islamique » elle a fini par approuver la livraison d’armes « uniquement défensives » au Zygomyr par Draghi.

Premier faux pas qu’on lui pardonnera. Car d’ici qu’elle exerce le pouvoir, on peut espérer que le Zygomyr et sa bande pourriront dans les poubelles de l’histoire.




Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

[Voir aussi sur : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par Dr Nicole Delépine

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ». 

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Il est bien triste que la Première ministre néo-zélandaise(([1] femme d’État néo-zélandaisePremière ministre depuis le 26 octobre 2017. Membre de la Chambre des représentants depuis 2008, elle devient chef du Parti travailliste de Nouvelle-Zélande le 1er août 2017 et à ce titre, se trouve dès lors à la tête de l’opposition. Après les élections législatives du 23 septembre 2017 où son parti obtient 35,7 % des suffrages, elle parvient en octobre à un accord avec le parti Nouvelle-Zélande d’abord et avec le Parti vert pour former un gouvernement de coalition. Serait une des personnes les plus influentes au monde…)) ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte.

Être plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

UNE MUSELIÈRE NÉGATION DU RAPPORT A L’AUTRE, NÉGATION DE L’ÊTRE

Qui peut s’en étonner. Des dizaines d’articles ont déjà démontré depuis le début de la folie covid que le masque n’est qu’une muselière fort symbolique des pouvoirs désireux de mater leur population et qu’il est parfaitement incapable de limiter les contaminations covid..

Nous avions écrit à ce sujet en octobre 21 une petite tribune inspirée de Jean-Claude Paye et Tülay Umay (Mondialisation.ca, 01 octobre 2021) (([2] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Coronavirus.
https://reseauinternational.net/le-port-du-masque-un-mimetisme-sacrificiel/)):

« Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position “d’être un” avec l’intentionnalité du pouvoir. Il représente une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. »

Malgré la disparition du virus de la covid remplacé par des variants de moins en moins contagieux, les gouvernements mondialistes imaginent de réimposer le masque obligatoire dès que possible. Objet de contraintes psychologiques qui isolent les personnes, bloquent de fait les conversations et enferment la population dans la peur, l’angoisse l’isolement.

Il FAUT REFUSER LE PORT DU MASQUE INUTILE (les virus passent allègrement les pores (c’est écrit sur la boîte) et toxique sur différents plans comme cela a été démontré à de nombreuses reprises par des auteurs de tous pays. Il favorise les surinfections bactériennes, les mycoses et diminue l’apport correct d’oxygène tout en favorisant sa propre intoxication par son CO2 mal expulsé.

Summit.news rapporte : Le taux de mortalité par habitant du COVID en Nouvelle-Zélande a également dépassé celui de l’Australie en mars, en dépit de ses obligations strictes en matière de masques, et est resté plus élevé depuis.

« À Singapour, les taux de mortalité sont passés sous la barre de l’Australie en avril après avoir fait la course en tête entre octobre et Noël, mais ils font maintenant une folle remontée et sont prêts à dépasser à nouveau l’Australie », rapporte le Daily Mail.

« Bien sûr, ce n’est que le dernier exemple en date qui montre que les masques ne font rien ou presque pour empêcher la propagation des virus en suspension dans l’air, et peuvent même aggraver les choses », écrit Will Jones.

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes » .(([3] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([4] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

Malgré les données accablantes selon lesquelles les masques sont inutiles ou peuvent même exacerber le problème, certains pays se préparent déjà à les réintroduire. L’Allemagne est prête à réimposer son obligation de porter un masque en septembre, bien que la vague estivale de COVID ait déjà « perdu de son élan ». Ces règles seraient en passe de devenir permanentes si les citoyens ne s’y opposent pas de toutes leurs forces.

Rappelons notre revue récente de la littérature internationale(([5] Masques inutiles et dangereux : refusons cette nouvelle mascarade – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) (toutes les références des articles ci-dessous insérées). Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel: « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous le (faux) prétexte qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19(([6] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim)) ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est près de deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Et pourquoi ce masque est-il dangereux : l’effet FOEGEN

L’étude observationnelle — « The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate » (([7] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/ ))
(L’effet Foegen : Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19) — a été publiée dans la revue Medicine en février 2022, sous la direction du médecin allemand Zacharias Fögen.(([8] L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

Thenationalpulse.com rapporte : L’article a analysé « si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité par cas au Kansas » pendant la période allant du 1er août 2020 au 15 octobre. Le Kansas a été utilisé à des fins de comparaison parce que l’État a permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque, 81 comtés ayant décidé de s’opposer à cette mesure.

« La conclusion la plus importante de cette étude est que, contrairement à la pensée admise selon laquelle moins de personnes meurent parce que les taux d’infection sont réduits par les masques, ce n’était pas le cas », résume l’article.

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que les obligations de masques ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50 % de décès supplémentaires par rapport aux mandats sans masque. »

“Une justification de l’augmentation du RR en rendant le masque obligatoire est probablement que les virions qui pénètrent ou ceux qui sont crachés dans les gouttelettes sont retenus dans le tissu du masque facial, et après une évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions qui ne sont pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont réinspirés à une très courte distance pendant l’inspiration.”

Baptisée « effet Foegen », cette théorie suggère que les virions du COVID-19 :

“se propagent (en raison de leur plus petite taille) plus profondément dans les voies respiratoires”. « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale. »

Un autre article publié dans la revue Cureus(([9] Cureus | Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe avril 2022)) et intitulé « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » (Corrélation entre le respect du port du masque et les résultats du COVID-19 en Europe) est arrivé à la conclusion étonnante que plus le taux de respect du masque est élevé, plus le taux de cas de COVID-19 est élevé.

Pour ceux qui ne sont pas très au fait des statistiques, c’est exactement le contraire de ce que les chercheurs devraient trouver si les masques étaient effectivement « efficaces ».

“Le masquage a été l’intervention non pharmaceutique la plus courante au cours de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19)”, indique l’article.

« La plupart des pays ont mis en œuvre des recommandations ou des obligations concernant l’utilisation de masques dans les espaces publics. L’objectif de cette courte étude était d’analyser la corrélation entre le port du masque et les taux de morbidité et de mortalité au cours de l’hiver 2020-2021 en Europe. Les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois ont été analysées et croisées. »

« Ces résultats indiquent que les pays ayant des niveaux élevés de respect des masques n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation des masques », écrit l’auteur Beny Spira, professeur à Sao Paolo.

« Pour cette analyse, tous les pays européens, y compris l’Europe de l’Ouest et de l’Est, comptant plus d’un million d’habitants ont été sélectionnés, ce qui représente un total de 602 millions de personnes. Tous les pays analysés ont connu un pic d’infection au COVID-19 pendant ces six mois », écrit le professeur avant de fournir l’ensemble des données.

« De manière surprenante, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque le respect du masque a été rapporté à la morbidité (cas/million) ou à la mortalité (décès/million) dans chaque pays », note l’étude.

Le professeur montre un diagramme de dispersion de la conformité des masques par rapport aux cas et aux décès par million, ainsi qu’une ligne de régression ajustée. Comme on peut le voir, la relation est positive (pas bonne).

« Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation de masques et les cas et décès de COVID-19 suggère que l’utilisation généralisée de masques à un moment où une intervention efficace était la plus nécessaire, c’est-à-dire pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021, n’a pas permis de réduire la transmission de COVID-19 », conclut l’étude. « En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences néfastes involontaires. »

Les résultats de l’étude sur les masques sont similaires à ceux des chercheurs dirigés par Harvard lorsqu’ils ont constaté que plus les taux de vaccination d’une nation étaient élevés, plus les taux de cas étaient élevés. L’étude de Harvard, portant sur 68 nations et 2 947 comtés des États-Unis, a été publiée dans le European Journal of Epidemiology à la fin de 2021.

AUCUN GOUVERNEMENT JOURNALISTES ACADÉMIES OU AUTRES NE PEUVENT AFFIRMER UN EFFET BÉNÉFIQUE DU MASQUE

BIEN AU CONTRAIRE IL FAUT LES JETER (de surcroît ils polluent la planète qu’on oublie bizarrement !)(([10] Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Le port du masque est source de nombreuses complications(([11] Ibid réf 5 avec l’ensemble des références.))

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. (([12] L’étude coréenne de Choi SY précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.
Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.))

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise, ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste joue un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress, d’abord constatée en Chine s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils craignent encore qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine que de porter un masque! Il faut rester méfiant, car le pouvoir veut nous faire prescrire du Paxlovid à la rentrée inefficace toxique et cher.

Et AVEU DE FAUCI(([13] Vidéo : Fauci admet ouvertement que le mandat de Biden sur les masques vise à préserver son « autorité » (anguillesousroche.com) ))

« C’est plus une question de principe de savoir où se trouve l’autorité. »

Lors de son passage récent sur Fox News, Anthony Fauci a semblé admettre que les efforts de l’administration Biden pour rétablir l’obligation de porter un masque dans les avions et les trains visaient à préserver l’« autorité » sur les décisions de santé publique, et non à assurer la sécurité des personnes.

Notes et références :




Le dossier Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne

[Source : Kla.tv]

Des parlementaires européens demandent la démission de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Motif : elle ferait partie d’une gigantesque fraude scientifique Covid-19 et d’une campagne de propagande. En raison de ses activités et des importants conflits d’intérêts, elle devrait démissionner. Kla.tv examine d’un peu plus près les activités d’Ursula von der Leyen et arrive à des conclusions qui devraient faire la une de tous les journaux !



Transcription

Ursula von der Leyen, mère de sept enfants, a mené une carrière ressemblant à un compte de fées. D’abord ministre de la famille, puis ministre de la défense, elle est devenue commissaire européenne en 2019. L’ensemble de son parcours politique a été aussi surprenant que ses fréquents scandales tombés à l’eau.

En février dernier, lors d’une conférence de presse, un groupe de parlementaires européens réunis autour du député roumain CristianTerheș a exigé la démission immédiate de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. La raison :

« Ursula von der Leyen fait partie d’une gigantesque fraude scientifique Covid-19 et d’une campagne de propagande qui a causé et continuera de causer une violation massive des droits de l’homme et des libertés. Il s’agit d’une menace pour la démocratie en Europe. En raison de ses activités et des conflits d’intérêts majeurs, elle devrait démissionner de son poste de présidente de la Commission. »

Fraude Covid ? Violation des droits de l’homme et de la liberté ? Menace pour la démocratie ? Conflits d’intérêts ? Les accusations sont lourdes. Kla.TV examine dans quelle mesure elles doivent être prises au sérieux.

1) Des affaires peu transparentes

Ursula von der Leyen est une farouche partisane des vaccins et dispose d’un excellent réseau dans l’industrie des vaccins. Elle entretient ainsi une relation de grande confiance avec le chef du géant pharmaceutique américain Pfizer – Albert Bourla. Il a parlé au « New York Times » d’une « relation étroite » avec la présidente de la Commission, qui s’est établie par des appels téléphoniques et des messages écrits. L’entreprise de Bourla a réalisé un chiffre d’affaires de 14,6 milliards de dollars rien qu’au troisième trimestre de l’année dernière dans le secteur des vaccins.
Cette sorte de diplomatie personnelle d’Ursula von der Leyen a culminé en avril 2021 avec la conclusion du plus grand contrat pharmaceutique de l’histoire de l’UE : la Communauté a commandé 1,8 milliard de doses de vaccins à Pfizer. Le volume estimé du contrat : 35 milliards d’euros, financés par l’argent des contribuables – le tout par téléphone portable, sans passer par le Parlement.

Le journaliste autrichien Alexander Fanta de Netzpolitik.org souhaite examiner de plus près ce méga-deal et a demandé à consulter les messages textuels. Fanta s’exprime ainsi :

« Ce qu’Ursula von der Leyen tape dans son téléphone n’est, franchement, pas une affaire privée. Nous avons besoin d’un contrôle public des petits messages de l’UE s’ils sont utilisés pour faire des affaires de vaccins qui se chiffrent en milliards. »

La Commission européenne rechigne : les données des téléphones portables ne seraient pas soumises aux règles de transparence de l’UE.

Ce n’est pas le premier scandale de marchés troubles. Déjà en 2019, lorsqu’elle était ministre de la Défense, son ministère, selon le Tagesspiegel, avait dépensé des centaines de millions d’euros pour des conseillers externes. Des entreprises externes auraient également obtenu directement, c’est-à-dire sans appel d’offres, des contrats de plusieurs millions pour l’armée allemande. Une violation claire de la loi. Là également, les contrats avaient été conclus par téléphone portable.

Une commission d’enquête a déclaré que les messages écrits constituaient des preuves. Peu de temps après, ils ont toutefois été complètement effacés. Ursula von der Leyen n’est au courant de rien. Des conséquences dans les deux deals ? Aucune jusqu’à présent.

Ce n’est pas une nouveauté dans sa biographie. D’autres scandales se sont également miraculeusement calmés après un bref tollé médiatique.

2) Des anomalités dans sa biographie

En 1987, Ursula von der Leyen a passé son examen d’État de médecin, suivi quatre ans plus tard par un doctorat. Celui-ci n’a toutefois pas passé l’examen du chasseur de plagiat Martin Heidingsfelder de Vroniplag. Le reproche : 27 pages de sa thèse de 62 pages au total correspondaient à des contenus sciemment copiés.

Heidingsfelder s’exprime ainsi :

« Elle était extrêmement paresseuse et a copié sans pitié. Pour cette raison, la faculté de médecine devrait lui retirer son titre. La science ne se rend pas service en protégeant des politiciens renommés ».

Le résultat ? 7 des 9 membres du sénat de la faculté de médecine de Hanovre ont voté contre le retrait de son titre en 2016.

Un deuxième reproche consiste en ce que von der Leyen aurait enjolivé son CV. Ainsi, selon ses propres dires, elle aurait été auditrice invitée à la prestigieuse université de Stanford à partir de 1993 et aurait même réalisé une analyse de marché pour le StanfordHealth Services Hospital Administration en 1995. Un atout important si l’on veut jouer dans la cour des grands.

L’université de Stanford n’était au courant de rien et s’est défendue contre l’utilisation abusive de son nom. Il n’existe pas de travail de Mme von der Leyen. Elle n’était pas inscrite à cette université et l’université ne lui avait pas délivré de certificats pour des séminaires.

Quelque temps plus tard, en 2015, l’université a soudainement retiré ses accusations contre Mme von der Leyen. Y avait-il des mécènes dans l’ombre qui destinaient von der Leyen à de plus hautes fonctions ? Un autre fait le laisse supposer.

3) Record du Bilderberg et bond en avant dans la carrière

Avant qu’Ursula von der Leyen ne devienne commissaire européenne, elle a officiellement participé à quatre conférences Bilderberg – un record absolu. La conférence Bilderberg est une réunion exclusive de dirigeants mondiaux. Depuis 1954, elle a lieu une fois par an à huis clos, afin de permettre des réunions à l’abri des regards, dans une totale opacité. Des participants jusqu’alors peu connus se retrouvent souvent à des postes élevés peu après avoir participé aux conférences Bilderberg.

Ursula von der Leyen a participé pour la première fois à la réunion Bilderberg en 2015, puis l’année suivante, en 2016, alors que les accusations de doctorat illégal et d’usurpation de nom de l’université de Stanford avaient soudainement cessé et n’étaient plus suivies par les médias. Mme Von der Leyen a participé à deux autres réunions en 2018 et 2019, juste avant sa nomination particulièrement inhabituelle en tant que commissaire européenne en 2019. Cela a donné lieu à une brève protestation dans les médias en raison d’un scandale solide : la « ZEIT » a écrit le 16 juillet 2019 :

« Ceux qui votaient aux élections européennes pensaient aux têtes de file […], mais certainement pas à la ministre allemande de la Défense de l’époque. La manière dont Ursula von der Leyen est passée en quelques jours de la position de chef du département allemand de la Défense à la fonction la plus élevée de l’UE est donc un scandale. »

L’UE a trompé ses citoyens.

On a l’impression que des cercles invisibles ont sorti Ursula von der Leyen du second plan pour la placer exactement là où ils voulaient la voir. Les scandales s’estompent et les accusateurs se taisent… Reste la question : qui sert-elle ? Pour le savoir, nous allons nous concentrer sur l’affaire de la vaccination Covid.

4) Interrelations

Point 1 : Liens familiaux

Le père d’Ursula von der Leyen, Ernst Albrecht, était déjà un homme politique de haut rang. Il avait ainsi occupé différents postes dans les organisations qui ont précédé l’UE – la Communauté du charbon et de l’acier et la Communauté européenne (CE) – et a ensuite été ministre-président de Basse-Saxe. On peut supposer que cela a favorisé la carrière fulgurante de Ursula von der Leyen et la bienveillance des médias.

Son mari Heiko von der Leyen est devenu en 2020 directeur médical du groupe biopharmaceutique américain Orgenesis Inc., une entreprise qui travaille sur des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base de cellules, ce qui constitue un conflit d’intérêts évident.

Point 2 : Interdépendance avec les profiteurs des dons de vaccins pour l’Afrique

Fin 2021, le vaccin de Johnson & Johnson était critiqué dans le monde entier en raison de ses effets secondaires. Le marché du fabricant de vaccins s’effondre. C’est ce qu’avait titré le journal télévisé : Des experts américains déconseillent Johnson & Johnson. Le journal FrankfurterRundschau :

Vaccination Covid avec Johnson & Johnson : des effets secondaires graves responsables de plusieurs décès.

Pas de problème pour la Commission européenne. Presque simultanément, la soi-disant « Team Europe » a annoncé le don de 100 millions de doses du vaccin discrédité à l’Afrique.

Ursula von der Leyen :

« Team Europe fait avancer les efforts de solidarité mondiale contre le COVID-19. Ce lot de près de 100 millions de doses de Johnson & Johnson, livré via COVAX [COVAX se concentre sur l’accès mondial aux vaccins], fait partie de notre engagement à distribuer au moins 500 millions de doses de vaccins aux pays les plus vulnérables dans les mois à venir. »

Là encore, ce n’est que le début. D’autres engagements ont été pris par un certain nombre de chefs de gouvernement pour faire don de plus de 1,3 milliard de doses de vaccins.

Mais qui est exactement « Team Europe »? « Team Europe » s’engage prétendument pour un « accès équitable aux vaccins » des pays à faibles revenus. Ses soutiens : la Commission européenne, sous la houlette de la commissaire européenne Ursula von der Leyen, le fabricant de vaccins Johnson & Johnson et l’alliance pour la vaccination GAVI [en abrégé Alliance pour la vaccination].

La GAVI a été fondée en 2000 par la plateforme d’entreprises FEM [Forum Economique Mondial] et est sponsorisée par Bill Gates. Le Dr Seth Berkley, membre du conseil d’administration de l’Alliance pour la vaccination GAVI, se réjouit :

« Dès le début, nous avons travaillé main dans la main avec la présidente von der Leyen et son équipe, ainsi qu’avec la Banque européenne d’investissement et les États membres de l’UE, pour faire de COVAX un succès. »

COVAX a été créée en 2020 par l’OMS, la Commission européenne et la France, et vise à garantir l’accès universel aux vaccins. COVAX est étroitement liée aux fabricants de vaccins et à la Banque mondiale. Au cœur de l’action se trouve le Dr Seth Berkley – un proche allié de Mme von der Leyen. Selon le magazine Time de 2009, celui-ci fait partie des « 100 personnes les plus influentes du monde ». Par le passé, il a occupé, entre autres, de nombreux postes au sein de la Fondation Rockefeller.

Point 3 : Liens avec les « chuchoteurs politiques ».

Une analyse de réseau réalisée par un spécialiste informatique resté anonyme montre en détail l’énorme influence de la Fondation Bill & Melinda Gates et d’autres acteurs puissants. Une personne qui se distingue particulièrement est Peter Piot . Il exerce son influence par le biais de nombreux postes clés à des endroits décisifs tels que l’Institut Robert Koch, la Leopoldina [Académie nationale des sciences en Allemagne] et la Commission européenne, pour ne citer que quelques exemples. Piot est le conseiller personnel d’Ursula von der Leyen en ce qui concerne les événements Covid. Il occupe un poste de direction au sein de la fondation milliardaire Bill et Melinda Gates. Dans le cadre de son activité principale, Piot est directeur de la London School of Hygiene & Tropical Medicine. Celle-ci a reçu 185 millions de dollars de dons de la Fondation Bill et Melinda Gates au cours des dix dernières années. Peter Piot siège également, entre autres, à la fondation de l’entreprise pharmaceutique Novartis.

Point 4 : Liens avec les tireurs de ficelles mondialistes

Ursula von der Leyen est le premier point de contact en Europe pour le puissant tireur de ficelles David M. Rubenstein. Rubenstein est un grand investisseur dont la fortune se chiffre en milliards et qui est membre de la Commission trilatérale [réunion des élites d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie de l’Est], l’un des think tanks les plus puissants du monde. Celui-ci, tout comme le FEM, a été fondé par de grands banquiers comme Rothschild et Rockefeller. Rubenstein est étroitement lié à des personnalités économiques et politiques de haut rang dans le monde. Il est également à la tête des réunions du Council on Foreign Relations. Le Council est l’un des plus importants think tanks américains, fondé par des banquiers comme les Warburg.

D’autres liens avec l’élite mondialiste apparaîtront en novembre 2021 lors de la célébration des 60 ans de l’Atlantic Council, un autre groupe de réflexion très influent. Alors que dans de nombreux pays, on a attisé la panique des Covid et que le port du masque était obligatoire, l’Atlantic Council a fait la fête en grande pompe et s’est couvert de prix – sans masque ni distance. Les plus grands honneurs ont été décernés à Ursula von der Leyen ainsi qu’aux directeurs de Biontech et de Pfizer. L’Atlantic Council est une autre confédération mondialiste de super-riches. Bien qu’aucune de ces personnes n’ait été directement élue par le peuple, ils prétendent s’engager pour la démocratie. Les sponsors de cet événement sont One American Bank, Goldmann Sachs, Bank of America, et d’autres…

Que veulent exactement ces élites ?

5) Objectifs des réseaux mondialistes

Ursula Von der Leyen est étroitement liée à Klaus Schwab, membre du groupe Bilderberg et chef de file du Forum Economique Mondial [FEM]. Le FEM est une plate-forme de dirigeants d’entreprises et de stratèges mondiaux, fondée par l’élite financière comme la Dynastie Rothschild et Rockefeller. Le FEM souhaite mettre en place une société technocratique. Ursula von der Leyen se déclare favorable à ce que l’on appelle le Great Reset, que le FEM fait avancer rapidement en profitant de la crise Covid.

Le FEM a déclaré les objectifs suivants d’ici 2030 :

  • la création d’un gouvernement mondial unique
  • une monnaie mondiale contrôlée, sans argent liquide
  • la fin de toute souveraineté nationale
  • la fin de toute propriété privée
  • l’abolition des transports privés
  • un système mondial de crédit social
  • dépopulation, contrôle de la croissance démographique
  • identité numérique de chaque être humain (ID 2020)
  • une souveraineté absolue des médias par la censure des médias indépendants
  • la création d’un nouvel homme par la fusion de l’homme et de l’IA [Intelligence Artificielle], c’est-à-dire le transhumanisme
  • instauration d’une technocratie
  • le « Green Deal » pour imposer une économie planifiée centralisée, semblable à la gestion étatique de tous les domaines sous le socialisme ; le changement climatique ne sert que de prétexte.

Veuillez consulter les émissions très instructives qui s’affichent à l’écran. Les choses mentionnées y sont bien documentées et expliquées de manière compréhensible. Vous trouverez également les liens à ce sujet sous l’émission.

www.kla.tv/18200 Une initiative de l’élite financière
www.kla.tv/19023 L’Agenda 2030, un étiquetage frauduleux
www.kla.tv/18851 (pas en français) Klaus Schwab : A propos du Great Reset dans la dictature totale mondiale
www.kla.tv/20436 « Régime coercitif » – Le vrai visage du Nouvel Ordre Mondial

Dans le générique de fin, vous trouverez en outre des sources originales, par exemple du FEM, qui étayent ces déclarations insaisissables. N’hésitez pas à télécharger les textes des émissions et à vérifier vous-même les sources indiquées.

6) Conclusion

Les faits mentionnés ne sont que la pointe de l’iceberg. Il est évident qu’il existe des réseaux créés par les plus riches et les plus puissants et qu’ils sont étroitement liés à des personnages clés comme Ursula von der Leyen. Ces organisations et ces liens doivent être révélés au grand public. C’est la seule façon d’éveiller une nouvelle conscience chez les gens et de mettre un terme à la réalisation des fantasmes de toute-puissance de quelques-uns. Si vous êtes d’avis que ces liens doivent être connus de tous, diffusez cette émission à un grand nombre de vos connaissances par e-mail, via WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook. Nous afficherons le lien vers cette émission ! Merci de votre aide !

de ag./str.

Sources / Liens :

Rücktrittsforderung https://transition-news.org/eu-parlamentarier-fordern-sofortigen-rucktritt-von-
kommissionsprasidentin https://t.me/DieWahrheitundnurdieWahrheit/59571
https://philosophia-perennis.com/2022/02/20/leyen-pfizer-skandal-eu-abgeordnete-fordern-sofortigen-ruecktritt-von-der-leyens/
https://www.youtube.com/watch?v=qhe20QRG_Rw
Intransparente Deals https://reitschuster.de/post/ursula-von-der-leyen-immer-aerger-mit-den-handydaten/
https://www.tagesspiegel.de/politik/berateraffaere-um-von-der-leyen-handydaten-
geloescht-obwohl-sie-als-beweise-dienen-sollten/25431484.html https://www.tagesschau.de/inland/vonderleyen-handydaten-101.html
https://www.tagesspiegel.de/politik/berateraffaere-der-bundeswehr-wuetende-
offiziere-millionen-fuer-mckinsey-und-ein-unschuldslamm/25540248.html https://www.welt.de/politik/deutschland/plus183268400/Ursula-von-der-Leyen-Eine-
Ministerin-verstrickt-im-Netzwerk-der-Berater.html Auffälligkeiten in der Biografie https://vroniplag.fandom.com/de/wiki/Ugv
https://portal.dnb.de/opac/showFullRecord?currentResultId=%22120285169%22%26
any¤tPosition=0 https://www.zeit.de/studium/hochschule/2015-10/ursula-von-der-leyen-stanford-lebenslauf-betrugsverdacht?sort=desc&page=3
https://www.sueddeutsche.de/karriere/hochschule-als-marke-meine-zeit-in-stanford-1.2688843
https://taz.de/Kommentar-Von-der-Leyens-Doktortitel/!5285935/
https://www.tagesspiegel.de/wissen/neue-vorwuerfe-gegen-verteidigungsministerin-
us-uni-stanford-wirft-von-der-leyen-missbrauch-des-namens-vor/12435316.html https://www.tagesspiegel.de/wissen/lebenslauf-der-verteidigungsministerin-stanford-zieht-vorwurf-gegen-von-der-leyen-zurueck/12438318.html
https://www.t-online.de/nachrichten/panorama/menschen-schicksale/id_75743922/
von-der-leyen-am-pranger-us-elite-uni-spricht-von-namensmissbrauch.html https://www.sueddeutsche.de/bildung/doktorarbeit-von-ministerin-von-der-leyen-
sie-war-extrem-faul-1.2668077 https://www.sueddeutsche.de/politik/plagiatsvorwuerfe-gegen-von-der-leyen-es-ist-
ernst-1.2666546 Bilderberger-Rekord und Karrieresprung https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_von_Teilnehmern_an_Bilderberg-Konferenzen
https://www.cfr.org/event/conversation-president-ursula-von-der-leyen-european-commission
https://www.sueddeutsche.de/politik/von-der-leyen-eu-kritik-kommission-1.4509421
https://www.zeit.de/politik/ausland/2019-07/ursula-von-der-leyen-eu-kommissionspraesidentin-wahlsieg?utm_referrer=https%3A%2F%2Fwww.startpage.com%2F
Verflechtungen Familie Vater https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_Albrecht
Ehemann https://de.wikipedia.org/wiki/Ursula_von_der_Leyen
https://orgenesis.com/team
https://d-nb.info/972645632/04
www.reuters.com/article/brief-orgenesis-announces-cell-based-vac-idUSFWN2CV0M4
Impfstoffprofiteure Afrika https://www.gavi.org/news/media-room/team-europe-vaccine-sharing-almost-100-
million-j-j-doses-be-donated-end-2021-first https://www.gavi.org/news/media-room/world-leaders-unite-commit-global-equitable-access-covid-19-vaccines
Seth Berkley https://www.weforum.org/agenda/authors/seth-berkley
Peter Piot https://transition-news.org/wie-bill-gates-die-gesundheitsbehorden-gekapert-hat
https://www.corodok.de/wie-coronafolgen-leugnern/
https://www.gatesfoundation.org/ideas/media-center/press-releases/2009/01/dr-peter-piot-joins-foundation-as-a-senior-fellow
Thomas Röper: Inside Corona J.K. Fischer Verlag S. 55-64 https://ec.europa.eu/transparency/expert-groups-register/screen/expert-groups/consult?lang=en&groupId=3719&fromMeetings=true&meetingId=20410
https://ec.europa.eu/research-and-innovation/en/events/upcoming-events/research-innovation-days/speakers/peter-piot
https://cepi.net/about/whoweare/
https://www.leopoldina.org/mitgliederverzeichnis/mitglieder/member/Member/show/
peter-piot/ David Rubenstein https://de.wikipedia.org/wiki/David_Rubenstein
https://de.wikipedia.org/wiki/Carlyle_Group
https://www.cfr.org/event/conversation-president-ursula-von-der-leyen-european-commission
Preisverleihung Atlantic Council https://report24.news/bourla-sahin-von-der-leyen-pandemie-hintermaenner-ueberhaeufen-sich-mit-preisen/
Trilaterale Kommission, Atlantic Council, Council on Foreign Relation www.kla.tv/11585:
Fassadendemokratie: Vortrag von Hermann Ploppa www.kla.tv/19404:
Council on Foreign Relation – Geheime Weltregierung? Inhalt des Great Reset und Klaus Schwab www.kla.tv/18007:
The Great Reset – ein Schachzug der Finanzelite www.kla.tv/18739:
Etikettenschwindel Agenda 2030 www.kla.tv/18851:
Klaus Schwab: Über den Great Reset in die globale Total- Diktatur https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants#Germany
www.kla.tv/20291:
„Zwangsherrschaft“ – Das wahre Gesicht der Neuen Weltordnung www3.weforum.org/docs/WEF_The_Great_Reset_AM21_German.pdfhttps://dieunbestechlichen.com/2020/12/dystopischer-great-reset-nichts-besitzen-und-gluecklich-sein-mensch-sein-im-jahr-2030-video/ www.tagesschau.de/wirtschaft/das-wef-und-der-grosse-neustart-corona-krise-101.html
www.weforum.org/great-reset




LE MONDE SE RÉVOLTE : nous sommes des milliards contre quelques milliers ! courage !

Par Nicole Delépine

Manifestations dans le monde entier contre les mesures vaccinales et la fausse pandémie

Les chefs d’État partisans des sanctions contre la Russie tombent les uns après les autres, dont le symbolique et important banquier italien Mario Draghi.

  • ➡️27,06 Kiril Petkov Bulgarie
  • ➡️ 01.07 Naftali Bennett Israël
  • ➡️ 07.07 Boris Johnson Royaume-Uni
  • ➡️ 08.07 Kaya Kallas Estonie
  • ➡️ 09.07 R Wikremesinge SriLanka
  • ➡️ 14.07 Mario Draghi Italie

Dans la semaine du 11 au 17 juillet : Manifestations au Portugal, Chili, Canada, Australie, Autriche, France, Hollande, Allemagne, etc., sans compter les énormes manifestations italiennes qui ont abouti au départ du banquier non élu Mario Draghi ce 21 juillet à l’occasion du scandale Uberfiles après tant d’autres.

Informez vos amis, vos voisins, car ces très nombreuses manifestations pacifistes pour la levée de toutes les mesures sanitaires et des obligations vaccinales est occultée par les médias mainstream au service des milliardaires qui les possèdent.

Une énorme clameur monte du monde entier et singulièrement d’Allemagne dont les enfants et petits-enfants n’ont pas oublié le drame du nazisme et ne veulent absolument pas le revivre. Ils ont culpabilisé pendant des décennies alors qu’ils n’y étaient pour rien et les mondialistes voudraient les replonger dans l’horreur… Non merci.

« Remarquez surtout les raz de marée allemands ! »

Un ami belge médecin et historien de cette période m’envoie cette vidéo et ses réflexions réconfortantes à méditer.

« Dès le début de cette Troisième Guerre mondiale qui ne dit pas son nom, j’ai toujours eu l’intime conviction que l’Allemagne avait rendez-vous avec “son” Histoire !

Notez les slogans : la vérité, la liberté, mais aussi et surtout “Aus auf dem NATO” ! SORTIR DE L’OTAN.

C’est une vérité empirique depuis la (ré-) apparition dans le monde de “Pfizer”, petite-fille (…) de IG-Farben des Von der Leyen, Klaus Schwab et autres monstres apparentés : l’Allemagne nazie n’a jamais été totalement épurée en 1945. Il n’y a pas que l’élite militaro-industrielle (et pharmaceutique) nazie, sauvée par les Américains et les Russes qui a continué à prospérer : souvenez-vous des certificats dits “Persil” (qui lave plus blanc que blanc) de l’époque qui ont permis à des millions d’Allemands d’être absous de toute complicité avec le régime hitlérien à partir d’une déclaration sur l’honneur ».

Le plus rassurant et intéressant de son commentaire est la démonstration qu’à travers ces manifestations dans de très nombreuses villes et avec beaucoup de participants, les Allemands refusent de rentrer une nouvelle fois dans cette horreur du nazisme. Le réarmement prévu de l’Allemagne, qui d’après ses dirigeants actuels serait la plus importante de l’UE ne convient pas à la population qui changera bientôt ses puissants qui la trahissent. Comme les Italiens ont viré Draghi le banquier de la BCE et de Goldman Sachs.

« Les Allemands que nous voyons manifester passivement dans les rues aujourd’hui sont porteurs d’un message véritablement rédempteur. Un quitus à une période terrible de leur histoire en quelque sorte. Que leurs aïeux reposent en paix. C’est également rassurant de voir une telle masse humaine s’ériger en rempart contre les velléités belliqueuses de leurs dirigeants (?) souhaitant, par le biais de l’OTAN, remettre le couvert gravé aux initiales néonazies ».

B.

De nombreux articles témoignent de l’influence des anciens nazis dans l’Allemagne moderne et surtout dans la création de l’UE.(([1] Les racines de l’Union Européenne – AgoraVox le média citoyen))

« Des faits historiques vont également dans le sens du rapport. John J. McCloy : président de la Banque mondiale, de la Chase Manhattan Bank, président de la fondation Ford, administrateur de la fondation Rockfeller, président du Council on Foreign Relations, conseiller sous Kennedy, Johnson, Nixon, Carter, Reagan, et surtout Haut-commissaire de la zone occupée américaine de 1949 à 1952. En occupant cette fonction, il mena une campagne de pardon incluant quasiment tous les noms des industriels cités dans le rapport : Friedrich Flick, Alfried Krupp, IG Farben, … Juste avant la création de la CECA. »

Quand les nazis construisirent l’Union Européenne

« Dès 1944 des industriels nazis qui préparent l’après-guerre, qui évoquent le retour du Reich, et qui passent par des sociétés-écrans, et des banques suisses pour fuiter des capitaux, et qui blanchiront leur image après-guerre. Le futur empire allemand ne sera plus militaire, mais économique aux mains des industriels. »

« Il n’y eut pas seulement des ingénieurs, et des techniciens nazis qui continuèrent à sévir. Des politiciens, des industriels, et des économistes en firent tout autant. Et qu’il faut rester critique vis-à-vis de politiciens qui aujourd’hui veulent nous imposer un fédéralisme européen en nous menaçant avec la dette qu’ils ont créée. Je terminerai cet article par la citation du Dr Michael Pinto-Duschinsky, un conseiller de l’ancien parti ouvrier juif :

« Pour de nombreuses personnalités du monde industriel proche du régime nazi, l’Europe est devenue une sorte de couverture pour la poursuite des intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité entre l’économie de l’Allemagne et les économies européennes de l’après-guerre est frappante. Certaines des grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principales bâtisseuses de l’Union européenne. »

Souvenons-nous de qui est Schwab le fondateur du forum économique et mondial.(([2] Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne, mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui espère infecter nos corps avec de la « Smart Dust » et dans laquelle la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux. Et lui et ses complices instrumentalisent la crise Covid-19 pour contourner la démocratie, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » ou le « Great Reset ».
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS — Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant.))

On comprend pourquoi les jeunes et moins jeunes Allemands nés largement après la fin de la Deuxième Guerre mondiale veulent absolument sortir de ce système et de cet héritage morbide. La remilitarisation de l’Allemagne prévue par l’UE doit leur sembler dangereuse et nauséabonde.

MERCI À EUX DE LEURS MANIFESTATIONS NOMBREUSES ET RÉPÉTÉES

Puissent leurs échos arriver aux oreilles de nos journalistes.



Prenez le temps de visualiser ces manifestations d’une seule semaine dans le monde contre la folie, le cinéma et le film d’Horreur Covid.(([3] STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et aussi les manifestations géantes des dockers à Hambourg dont nos médias ne nous parlent pas non plus

ProRital
@Vatixan14
17 juil.

« Stopper le monstre de l’inflation » : manifestation géante des dockers à Hambourg en Allemagne. Depuis hier, des milliers de dockers sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires et une compensation de l’inflation. De graves affrontements ont eu lieu avec la police..

Libertatem
@pasdhypocrisie
14 juil.

Impressionnant convoi d’agriculteurs allemands vers la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas pour soutenir la manifestation des agriculteurs néerlandais.

Frex
15 juil.

#BREAKING: Appel video à une manifestation pour les agriculteurs néerlandais. Prévue le 23 juillet, elle demande le soutien des agriculteurs, des pêcheurs, des camionneurs en Angleterre, aux US, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, au Canada et partout ailleurs.

À SUIVRE …





Accélération de l’Histoire et défaite de l’Occident

[Source : vududroit.com]

Par RÉGIS DE CASTELNAU 

L’intervention russe en Ukraine du 24 février a constitué une grande surprise en Occident. Y compris chez ceux qui, comme l’auteur de ces lignes, considéraient que la responsabilité de l’OTAN et de l’Union européenne était lourdement engagée. Cette surprise est finalement le symptôme de ce sentiment de supériorité occidentale si présent dans les têtes, y compris chez ceux qui tentent de ne pas trop s’éloigner du réel et assistent, consternés, au basculement des élites dirigeantes dans un délire inepte. À base de refus d’évidences, de décisions absurdes, de propagande imbécile, de racisme sommaire, de pulsions suicidaires, et pour tout dire d’aveuglement assez terrifiant.

Nous avions dit dans ces colonnes qu’il était possible que l’intervention militaire du 24 février 2022 enclenche un processus pouvant mettre fin à la domination multiséculaire de l’Occident sur le monde. Les événements qui se déroulent depuis quatre mois semblent confirmer cette hypothèse, et en tout cas c’est manifestement la voie que la Russie et les pays « du Sud » ont décidé d’emprunter.

L’Histoire change par bonds, et c’est irréversible

L’aspect militaire de la guerre en Ukraine, sans être secondaire, apparaît comme un élément parmi d’autres de cette soudaine accélération de l’Histoire. Nous assistons en parallèle de la conduite méthodique par la Russie de son « opération spéciale », à la recomposition géostratégique de la planète où l’Occident, isolé, affronte le reste du monde. Ce qui est impressionnant, c’est que l’enjeu de cet affrontement est très clair. Nous avons d’une part une puissance, les États-Unis, qui se considère exceptionnelle et destinée à conduire le monde en organisant sa globalisation comme forme moderne de sa domination. Son système économique est celui du néolibéralisme financier assis sur sa monnaie, son système politique (celui de la démocratie représentative abâtardie en oligarchie, voire aujourd’hui ploutocratie), son outil juridique (le fameux « ordre international fondé sur les règles » qu’il est le seul à connaître et produit en fonction de ses besoins), et son moyen principal, la violence militaire. En face, les pays qui représentent l’énorme majorité de la population mondiale, ne veulent plus de cette hégémonie, aspirent à une organisation multipolaire d’États-nations territoriaux, régulée par le droit international issu du dispositif juridique mis en place à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Et dont les économies rejettent le néolibéralisme au profit de schémas où l’État garde sa place.

Les deux systèmes sont incompatibles. Arrêtons-nous quelques instants sur une anecdote qui renvoie à cette différence fondamentale et à l’incompatibilité qui en découle. Deux événements se sont télescopés au début de l’année 2021. Dans le tumulte qui a suivi le scrutin présidentiel américain de novembre précédent, Donald Trump a mis en cause la légitimité démocratique de l’élection en invoquant des fraudes. Son compte Twitter rassemblant près de 90 millions « followers » a été, d’autorité, supprimé par Jack Dorsey, le milliardaire propriétaire du réseau et partisan de Joe Biden. Au même moment, Jack Ma, milliardaire chinois propriétaire du site de vente en ligne Alibaba s’est livré publiquement à une critique virulente du régime chinois. Il a été immédiatement « exfiltré » du monde des affaires, et prié, s’il souhaitait conserver une partie de son immense fortune, de bien vouloir se taire. Par conséquent, en Amérique, ce sont les milliardaires qui ont le pouvoir de retirer la parole au Président en exercice, en Chine, c’est le contraire… Cette anecdote montre la différence entre deux systèmes, avec deux protagonistes identiques, président et oligarque. Il ne s’agit pas d’un jugement moral ou qualitatif, mais simplement du constat d’une différence irréductible.

Il est manifeste aujourd’hui que la Russie, soutenue par la Chine, a décidé avec sa guerre en Ukraine d’initier le processus destiné à mettre fin à l’hégémonie américaine sur le monde. Le social-démocrate britannique Tony Blair, complice des crimes de guerre américains en Irak et quintessence de ce que l’Occident produit de plus cynique et corrompu, reconnaissait récemment : « Nous arrivons à la fin de la domination politique et économique de l’Occident. Le monde va être au moins bipolaire et peut-être multipolaire ». Eh oui…

Il est parfois possible d’importer des concepts de sciences dures dans les sciences dites molles, en l’occurrence les sciences humaines. Pour appréhender la révolution qui vient de commencer, et en particulier cette accélération de l’Histoire, on peut s’inspirer du concept introduit par Stephen Jay Gould dans la théorie de l’Évolution, celui « des équilibres ponctués ». Par opposition à une vision gradualiste lente, le savant américain considérait que l’Évolution progressait par bonds succédant à de longues périodes de stabilité. C’est un peu la même chose en Histoire, comme le démontre par exemple la Révolution française qui commença avec la première réunion des États généraux le 5 mai 1789. Sept jours plus tard, les institutions d’un royaume quasi millénaire étaient à terre et un bouleversement fulgurant allait secouer toute l’Europe.

L’invasion du 24 février en Ukraine a bien évidemment servi de catalyseur à la mise en mouvement d’éléments préexistants qui, finalement, ne demandaient qu’à bouger. L’Occident domine le monde depuis un demi-millénaire, il a conduit la deuxième mondialisation du XVe siècle avec la conquête de la planète, la troisième avec la Révolution industrielle et impériale du XIXe siècle, et la contemporaine comme la forme moderne de sa domination. Comme le dit Tony Blair — et pas seulement lui — il est possible et peut-être probable que cette phase se termine.

Juste un autre petit détour par les sciences dures avec le deuxième principe de la thermodynamique qui établit l’irréversibilité des phénomènes physiques. Il en est de même en Histoire, et il n’y aura pas de retour à la situation antérieure au 24 février 2022.

Le problème est que cette accélération et le principe d’irréversibilité sont contre-intuitifs, car pour les appréhender, il faut accepter la fin du monde ancien, renoncer à ses convictions rassurantes, et gérer l’anxiété de l’imprévisibilité de ce qui vient. Parce qu’il faut être clair, quiconque prétend savoir quel sera l’état de notre maison humaine dans trente ans est un charlatan. Y compris que parmi les hypothèses qui ont actuellement cours, celle de la destruction nucléaire n’est pas la moins probable. Mais on sait en tout cas que l’on ne reviendra pas au 23 février 2022.

Examinons trois domaines où l’impact de cette révolution et son étonnante rapidité se fait sentir. C’est tout d’abord la brutale inversion des rapports de force mondiaux, quand l’Occident bardé de son arrogance et de sa conviction d’incarner la « communauté internationale » ne mesure pas que c’est lui-même qui est désormais isolé. Il y a ensuite la « panique cognitive » qui a saisi les élites occidentales, panique qui se manifeste par un refus furieux du réel. Et enfin les conséquences sociales et politiques que ne vont pas manquer de provoquer les décisions économiques délirantes mises en œuvre pour provoquer « l’effondrement de l’économie russe », selon l’expression de Bruno Le Maire, l’incapable puéril qui sert malheureusement de ministre de l’Économie à la France.

Isolement de l’Occident

La réaction à l’invasion russe a été immédiate surtout dans l’Union européenne qui, sous l’égide d’Ursula von der Leyen s’attribuant des compétences qui n’étaient pas les siennes, a adopté un train complet de sanctions de toutes natures. Première erreur, puisqu’aucune modulation postérieure n’était possible qui n’apparaisse pas comme un recul, et qu’à l’évidence cette réaction ne pouvait que rebuter, même les pays du Sud favorables à l’Occident. La condamnation de l’invasion a été adoptée à l’ONU, mais sur la base du droit international, précisément celui que les États-Unis ne veulent plus appliquer au profit de leur conception de « l’ordre international selon les règles ». Concernant les sanctions, la grande majorité des pays a regardé ailleurs. Les dirigeants occidentaux ont pourtant multiplié les déplacements pour les amener à obéir. Ils se sont fait claquer la porte au nez plus ou moins poliment. Dernier exemple pathétique avec le désastre Biden en Arabie Saoudite. On peut aussi citer la liste absolument ridicule des 40 pays (sur 195) qui se sont prononcés pour des « poursuites pénales contre la Russie », où figurent triomphalement les principautés de Monaco, Andorre et San Marin. On imagine la terreur de Vladimir Poutine.

Le problème, c’est que le refus massif de la part de pays représentant près de 90 % de la population mondiale d’appliquer les sanctions se combine avec des réticences et des comportements à la carte de la part des pays occidentaux. Comme avec totale duplicité les États-Unis qui les ont levées sur les engrais russes considérés comme indispensables, ou le pétrole dont les importations ont été massivement augmentées…

Mais surtout, beaucoup de grands pays ont parfaitement vu l’ouverture que fournissait l’initiative russe. Et s’y sont engouffrés, comme l’a montré le parallèle — consternant pour les Occidentaux — des réunions du G7 et des BRICS. L’organisation qui rassemble la Russie, la Chine, l’Inde le Brésil et l’Afrique du Sud représente près de 3,5 milliards d’habitants, contre 750 millions pour les pays du G7. Dont les dirigeants ridicules (et pour certains en sursis) se sont comportés en bras de chemise comme des galopins de cour d’école devant les caméras. Pendant que ceux des BRICS manifestaient ostensiblement leur solidarité avec Vladimir Poutine. Avant de recevoir les candidatures empressées de plusieurs autres grands pays. Les médias du système français se sont par ailleurs bien gardés de faire écho à la catastrophe politique du « Sommet des Amériques » organisé en Californie par Biden. Sommet largement boycotté par l’Amérique latine et en particulier par le Mexique, grand voisin des USA. Que dire également du G20 organisé en Indonésie où les Occidentaux se sont fait en général sévèrement rembarrer, comme Anthony Blinken le secrétaire d’État américain par son homologue chinois ou le pitoyable Josep Borrell qui représentait l’UE ? On retiendra de ce dernier une extraordinaire réflexion : « Certains diplomates du G20 sont plus préoccupés par les conséquences de la guerre pour leur pays que par le fait de s’en prendre au coupable présumé. » Vous vous rendez compte, ces gens pensent à leur intérêt national au lieu de défendre le nôtre !

Il y a également quelque chose d’étrange c’est le silence en Occident sur la supériorité militaire stratégique de la Russie. Le contexte dans lequel se déroule « l’opération spéciale » est quand même celui où la Russie a fait la démonstration de sa maîtrise des missiles hypersoniques qui avec d’autres équipements lui ont conféré une supériorité nucléaire stratégique. Pendant que les États-Unis ont privilégié « la guerre contre le terrorisme » après le 11 septembre, et accepté de passer sous Les Fourches caudines d’un complexe militaro-industriel corrompu jusqu’à l’os. Il y a désormais et pour moi une dizaine d’années un déséquilibre stratégique entre les États-Unis et la Russie. Au profit de celle-ci…

La liste de tous ces exemples qui donnent une idée de la rapidité d’un monde qui change s’allonge tous les jours. On citera celui-là pour terminer qui raconte en creux le processus de la chute du dollar. D’ici novembre, les cinq plus grandes économies d’Asie du Sud-Est (les Philippines, la Malaisie, l’Indonésie, Singapour et la Thaïlande) signeront un accord sur l’intégration de leurs systèmes de paiement mobile. Cela rendra les transferts transfrontaliers beaucoup plus efficaces, et ce sans utiliser le dollar.

Panique cognitive

Plutôt que de psychiatriser Vladimir Poutine et de s’inventer un monde qui n’existe pas, il vaudrait mieux écouter ce qu’il dit et essayer de comprendre le basculement qui vient de s’opérer. Le problème est que les élites au pouvoir dans le bloc occidental sont devenues incapables d’appréhender le réel, et en sont réduites à tanguer sur un sol qui se dérobe sous leurs pieds. Parler du caractère suicidaire de la stratégie de l’UE vis-à-vis de la Russie est devenu un lieu commun banal. Nous sommes complètement à sa merci, elle qui pourrait tout à fait couper nos approvisionnements énergétiques au seuil de l’hiver. Provoquant instantanément l’effondrement économique de l’Europe. Sans parler bien sûr de l’arme alimentaire, et des autres matières premières indispensables. La seule chose qui nous en protégerait serait justement la construction de ce nouvel ordre international multipolaire dont la Russie est un des acteurs principaux. Ordre qu’elle entend préserver en ménageant ses grands partenaires. Jusqu’à présent, elle a respecté ses engagements internationaux, y compris vis-à-vis d’un Occident qui lui a pourtant déclaré la guerre. Pas pour des raisons morales évidemment, mais parce que c’est son intérêt. Et sûrement pas non plus par bienveillance vis-à-vis de l’Occident dont elle se moque désormais et dont elle sait que la rupture avec lui est irréversible.

Quant aux élites au pouvoir, il ne s’agit pas seulement de ces très médiocres dirigeants de rencontre qui sont à la tête des États, mais également de l’ensemble du dispositif institutionnel. Et en particulier l’alliance frauduleuse entre l’oligarchie et le système médiatique à base de journalistes dévoyés, d’experts stipendiés, et de gradés incompétents. On ne reviendra pas sur l’ineptie des « narratifs », en particulier militaires, qui nous ont été servis depuis cinq mois, si ce n’est pour préciser qu’il s’agit autant de propagande que d’auto-intoxication. Dans ce domaine, la France a été particulièrement lamentable, les médias se contentant de reproduire servilement et exclusivement les discours ukrainiens, même les plus grotesques. Mais, ce qui est tout à fait étonnant c’est le spectacle de cette presse-système que l’on sent de loin en loin fléchir et commencer, face à l’évidence du réel, à nuancer sa présentation. Pour se reprendre très rapidement et revenir au bout de quelques jours à un descriptif dont la principale, sinon essentielle motivation n’est pas de dire la vérité, ni même de poursuivre sa propagande, mais finalement de se rassurer. Malheureusement, la défaite de l’Occident commence à prendre tournure, et pas seulement sur le terrain militaire en Ukraine. C’est la raison pour laquelle le terme de « panique cognitive », semble s’imposer pour caractériser leur attitude. Et qui est le fruit de la difficulté à appréhender un changement majeur du monde qui leur est insupportable.

J’invite, sans qu’il faille y voir le moindre point Godwin, à la lecture du journal de Joseph Goebbels et en particulier la partie qui concerne la dernière année du IIIe Reich. Comme la majorité du peuple allemand, alors qu’il est un professionnel de la propagande et qu’il est aux premières loges pour accéder au réel, il refuse celui-ci de manière pathétique et suicidaire. Jusqu’à la catastrophe finale.

Veillée d’armes

La France a connu un épisode politique bizarre, avec une réélection d’Emmanuel Macron assez confortable, suivie d’une défaite de la Macronie aux législatives qui a pour effet de la ligoter. Ses marges de manœuvre sont très faibles, et la façon qu’a Emmanuel Macron de gouverner, si tant est que l’on puisse qualifier ainsi sa méthode consistant exclusivement à se mettre en scène, le conduit directement à l’impuissance. Il y a bien sûr la situation économique, due notamment à la crise du Covid, à la récession et à l’inflation, que l’effet boomerang des stupides sanctions anti-russes va considérablement aggraver. Une partie des versements Covid par la BCE est subordonnée à la mise en œuvre d’un train de réformes impopulaires comme celle des retraites ou la finalisation de la privatisation/destruction des services publics. La combinaison des crises économiques, politiques et financières peut, de ce point de vue, confronter Emmanuel Macron à une situation inextricable. Et cet été caniculaire commence à ressembler à une veillée d’armes politique et sociale.

Face à ces perspectives dangereuses, quand l’hypothèse d’un conflit nucléaire ne peut pas être écartée de façon désinvolte, répétons encore une fois, que plutôt que de traiter Vladimir Poutine de fou ou de prétendre qu’il développe une collection de cancers, il aurait mieux valu l’écouter. Par exemple ce qu’il dit à propos des « élites » occidentales :

« Ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine. C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire — un monde fondé non pas sur des règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie — [……] Et nous, nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté ».

La guerre en Ukraine n’est qu’un des aspects de l’affrontement « Occident contre reste du Monde ». La défaite de l’Ukraine bien sûr, mais en fait celle de l’OTAN est consommée. Ce sera probablement la « Bataille d’Andrinople » de l’empire américain.

Bienvenue dans le Nouveau Monde.




Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens

Par Gérard Delépine

Le certificat COVID numérique de l’UE est entré en vigueur le 1er juillet 2021. Son règlement a été officiellement modifié le 14 juin 2022 prolongeant sa durée jusqu’en 2023. Le but officiel de ce passe sanitaire européen serait de « faciliter la libre circulation entre les pays membres » alors qu’en réalité il empêche la circulation des non-vaccinés et viole ainsi les principes fondateurs de l’Union européenne : libre circulation et non-discrimination des citoyens.

Ce certificat COVID numérique exprime en réalité la volonté de la Commission européenne de ficher tous les citoyens pour possiblement instaurer un contrôle de la population à la chinoise. Nous rappellerons ici que ce certificat comme tous les passes :

  • 1°) n’a aucune efficacité contre la propagation de l’épidémie ;
  • 2°) parce que les vaccins sont inefficaces ;
  • 3°) il constitue un pur chantage pour forcer le consentement à des médicaments expérimentaux ;
  • 4°) il crée une discrimination intolérable entre les citoyens ;
  • 5°) il organise la conservation illimitée des données personnelles particulièrement sensibles.

Les passes sanitaires ont tous été totalement incapables de ralentir la diffusion de l’épidémie

Nous l’avons observé en France (données de l’OMS) avec l’explosion des cas début 2022 :

Même constatation en Roumanie en février 2022 :

Mais aussi en Suède :

Cette incapacité des passes à enrayer l’épidémie a été constatée dans tous les pays qui les ont instaurés comme le montre le graphique ci-après des évolutions de l’épidémie en Europe.

Les passes donnent un faux sentiment de sécurité favorisant l’abandon des précautions d’hygiène propice à la reprise des contaminations.

L’échec total des passes a motivé leur abandon dans la quasi-totalité des pays qui les ont utilisés. Cet échec résulte de l’inefficacité des pseudo vaccins à empêcher les transmissions.

La pseudo vaccination est inefficace contre les transmissions et paraît même les augmenter !

Soulignons que les pseudo vaccins qu’on tente de nous imposer ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène ni aucune anatoxine), mais des médicaments. Ils sont de plus expérimentaux, puisque leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023. Leur utilisation généralisée en population mal informée constitue un essai qui ne respecte pas les conditions de surveillance traditionnelles, ni le code de Nuremberg, ni la convention d’Oviedo (cf infra) que la France a signée et nous est opposable.

Fin octobre 2021, trois adultes sur quatre dans l’UE étaient complètement vaccinés. Or, dans le même temps, on observait une recrudescence de la pandémie de Covid-19 dans de nombreux États membres. La comparaison avec l’Afrique et les USA suggère même qu’un taux élevé de vaccinations dans une population serait susceptible d’augmenter le risque de contaminations ainsi que le montre le graphique suivant :

L’Afrique, très peu vaccinée (10 %), mais qui utilise des traitements antipaludéens, comptabilise 60 fois moins de cas par million d’habitants (8000 cas/M) que la France (477 000 cas/M). Et on ne peut pas prétendre que c’est l’âge plus jeune des Africains qui explique telle différence, car si la gravité de la maladie est très dépendante de l’âge la contamination l’est beaucoup moins.

Un des buts du certificat covid européen est de contraindre les Européens à accepter les injections

En réalité le certificat Covid numérique de l’Union européenne ne veut qu’institutionnaliser le chantage « vacciné continuellement ou astreint à résidence dans son pays ». Pour ce faire elle recommande aux États membres de se mettent d’accord sur une durée de validité de neuf mois pour les certificats, pour forcer l’acceptation de doses de rappel itérative six mois après le schéma complet de vaccination.

Si son but était de faciliter la circulation, comme elle le prétend, elle exigerait la suppression de toutes les mesures de restrictions des libertés comme le font d’ailleurs progressivement presque tous les États européens (sauf la France, Malte et l’Italie)

Mais la commission a commandé 1,3 milliard de doses qu’elle veut nous injecter de force alors que pourtant elle ne peut plus ignorer que les pseudo vaccins sont inefficaces et dangereux. !

Ce contournement du consentement libre et éclairé pour tout acte médical sur l’être humain, contraire au serment d’Hippocrate de l’association médicale internationale.(([1] https://www.wma.net/fr/news-post/lassociation-medicale-mondiale-approuve-un-nouveau-serment-pour-les-medecins/))(([2] https://www.atousante.com/sante-travail/medecin-sante-travail/serment-du-medecin-association-medicale-mondiale/))

De plus comme les injections sont expérimentales, leur utilisation constitue un essai qui viole la convention d’Oviedo(([3] https://www.coe.int/en/web/conventions/full-list?module=treaty-detail&treatynum=195))(([4] https://rm.coe.int/168008372e)) signée par les pays européens et qui stipule entre autres :

« L’intérêt et le bien de l’être humain qui participe à une recherche doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »

Article 12 — Absence de pression :

« Aucune pression y compris d’ordre financier, ne sera exercée sur des personnes pour obtenir leur participation à une recherche »

Article 13 — Information à fournir aux personnes participant à une recherche :

« Les personnes sollicitées pour participer à un projet de recherche reçoivent une information adéquate, sous une forme compréhensible ».

Lors du procès des médecins à Nuremberg, huit des médecins accusés ont été condamnés à mort précisément parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux (dont plus de la moitié étaient des vaccins) sans demander le consentement libre et éclairé des participants.

Ce certificat européen crée une discrimination majeure, inefficace et nocive entre citoyens

Entre les vaccinés autorisés à voyager d’un pays à l’autre et les autres, devenus citoyens de seconde zone parce qu’ils n’acceptent pas l’injection expérimentale parfaitement inefficace contre la transmission virale. Une telle discrimination entre citoyens privant de travail de nombreux pompiers et soignants parce qu’ils sont vaccino prudents n’avait plus été instituée en Europe depuis celle des juifs par les nazis. Outre qu’elle est contraire à l’éthique, elle est totalement disproportionnée puisque totalement inefficace contre la propagation de la maladie.

Les conséquences délétères de cette discrimination sont considérables puisqu’elle prive les vieux des Ehpads et les hospitalisés de visites, les malades non vaccinés de consultations programmées et les hôpitaux d’un personnel devenu si rare que les urgences ferment et que les blocs opératoires rationnent les interventions pendant que le nombre de déserts médicaux augmente rapidement.

La commission européenne montre qu’elle est douée d’humour puisqu’elle proclame dans les attendus de son certificat covid : « toute mesure restreignant la libre circulation doit être non discriminatoire et proportionnée. »

Mais le but réel est peut-être le stockage informatique des données les plus personnelles des citoyens afin de les préparer à un « crédit social » à la chinoise ?

En France, nous avons l’expérience du provisoire qui dure longtemps. Le certificat sanitaire européen organise le stockage électronique de données médicales personnelles particulièrement sensibles qui avait d’ailleurs été refusé lors de la progression du Sida pourtant autrement plus mortifère.

La commission prétend que ces informations sont protégées et seulement détenues par chaque gouvernement, mais l’expérience du piratage de sites extrêmement protégés (pentagone, CIA…) et l’hébergement de nos données par des organismes américains rendent cette prétendue sécurisation très douteuse.

Alors pourquoi la commission s’obstine-t-elle à pérenniser sans date limite définitive un fichage inefficace contre une épidémie avec laquelle on nous dit « qu’il faut vivre avec ? »

On peut craindre que ce passe rebaptisé constitue l’amorce du fichage global de la population auquel la commission demandera d’ajouter bientôt le profil énergétique de chacun (pour sauver la planète !) puis ses informations financières (pour lutter contre les trafics de drogues !), et bancaires (pour imposer la suppression de l’argent liquide) puis fiscales… le but de ce fichage global de la population étant le contrôle total de la population à la chinoise.

Les vrais démocrates ne peuvent que refuser ce certificat qui n’a aucun intérêt sanitaire, qui instaure une discrimination majeure sous un prétexte sanitaire. Depuis 2 siècles nous avons toujours vaincu les pires épidémies modernes (peste, choléra, typhus, typhoïde, Hépatite A, poliomyélite, dysenterie…) par l’hygiène sans aucune restriction de nos libertés. Nous n’avons aucune raison scientifique d’en accepter pour cette mauvaise grippe appelée Covid, car lorsqu’on accepte une perte de liberté transitoire, on ne sait jamais si on pourra un jour la récupérer.

La liberté est le plus précieux des droits fondamentaux conquis par nos ancêtres. Ne laissons plus des gouvernants totalitaires nous en priver sous de vains prétextes !





L’État en bien mauvais état

(aménagement, sécurité, santé, économie, diplomatie…)

Par Lucien SA Oulahbib

[Photo : AFP/Eric CABANIS]

En été 1911, les fortes chaleurs durèrent plus de deux mois et demi et il y eut plus de quarante-six mille morts rappelle Epoch Times  dans un article résumant plusieurs sources. Par ailleurs, le fait qu’en ces périodes le feu fasse son apparition apparaît chose commune, en particulier pour les pyromanes et les accidents électriques. Un débroussaillage intempestif ne le préviendrait pas nécessairement, tant il s’agit d’entretenir la forêt avec discernement, analysent certains spécialistes hors salons médiatiques. Ceci implique ni de refuser d’en faire ni de l’effectuer de façon systématique d’après eux, tout en reboisant perpétuellement afin d’oxygéner les paysages, villes comprises. Et il y a bien sûr plus (et dans nos cordes) : le manque de préparation flagrant avec déjà [seulement] neuf canadairs [fonctionnels] sur vingt-deux à disposition, montrant en quoi la dégradation systématique désormais des services publics est devenue reine…

Comme si, à l’instar de ce qui se passe dans le nucléaire (une centrale sur deux en arrêt), à l’hôpital, dans la police, l’armée, l’enseignement — n’en jetez plus ! —, l’abandon était devenu la règle et la rustine l’exception. Ou comment passer d’un État dit « régalien » et prévoyant à un État assemblé en un tas d’expédients surplombés par un état d’exception perpétuel. Amin Dada en mode white face.

Tandis que la maison France flambe de ses impérities, nos gouvernants regardent ailleurs (pour reprendre et adapter une autre formule chiraquienne bien plus seyante que celle employée récemment par celui qui se dit Président), un « ailleurs » qui permet d’aller déverser des milliards jugés sans doute inutiles en France tant cela inciterait les Français à réclamer plus de sécurité et de confort, ce qu’il ne faut surtout plus avoir en « économie de guerre » et en « politique de sobriété » (pour les gueux). Sus, donc contre LE virus, LE Poutine et LE réchauffement climatique ma bonne Brigitte !…

« Nous » sommes non seulement gouvernés par des ânes, mais en plus ceux-ci masquent qu’ils sont d’abord des monstres froids de type néronien sachant cependant parfaitement l’effacer par leur poker face. Visages chirurgicaux façon docteur Folamour (retour du masque à l’Assemblée) et chiens de faïence pour les servir dans les médias (les lyres néroniennes) déversant sans honte bue et hormis quelques exceptions (C.News encore un peu et uniquement désormais. Même Sud Radio a basculé du Côté Obscur) ainsi que les réseaux de réinformation qui gênent de plus en plus d’ailleurs les incompétents recyclés dans la vérification propagandiste au sens de repérer ce qui reste encore de « vraies » nouvelles pour en dénoncer les sources, une sorte de brouillage (l’AFP en tête) tel celui effectué par les camionnettes de la Gestapo lorsqu’elles passaient dans les rues conspirationnistes (soupçonnées d’écouter radio Londres).

Ces spadassins de l’immatériel s’offusqueront bien sûr de les avoir comparés ainsi, mais il faut bien quelques analogies auxquelles d’ailleurs l’on pourrait ajouter les actions du KGB et de la Stasi sans oublier celles du régime maoïste qui profite des tensions actuelles pour avancer ses pions vers Taïwan visant à effacer jusqu’à l’image de la révolution démocratique de 1911 (encore cette année…) qui a vu Sun Yat-Sen proclamer la République, ses descendants s’étant par la suite réfugiés à Taïwan (ex-Formose) du fait du coup d’État maoïste de 1949 ayant cependant été rendu possible par l’incompétence des dirigeants du camp nationaliste.

Aussi est-il dommageable de voir la Russie actuelle se rapprocher faute de mieux de ce régime honni, alors qu’il serait bien plus profitable pour elle comme pour la France et l’Europe de revenir à l’application des accords de Minsk2, afin de pousser à la négociation avec une Russie qui par ailleurs s’avère plus efficace dans ses soutiens que les USA comme on le voit aujourd’hui au Mali (hier en Syrie) et également bien sûr à l’encontre du régime mis à la tête de Kiev et tenu à bout de bras par une OTAN conquérante (et si pro LGBTQ+ qu’il en a fait de plus en plus en sourdine un autre casus belli).

C’est sans doute ce qui a manqué à Zemmour et à Marine Le Pen (à moins de se contenter d’être derrière la Nupes ou d’être hypnotisé par le chiffre 7) : afficher clairement une politique nationaliste idoine et ferme permettant de montrer que l’on ne s’en laisse pas compter, pas plus sur ce point que sur l’abandon des soignants, et de la sécurité publique comme privée ; rétorquer a contrario que c’était là la ligne des Patriotes et qu’ils ont fait encore moins que Reconquête, ce propos rate le coche, car il ne s’agit pas de viser la part de gâteau du voisin, mais d’agrandir celui-ci en l’occurrence par cette désormais marée et manne humaine d’abstentionnistes qui vraisemblablement attendent un discours maîtrisé surtous ces problèmes et non pas seulement une maîtrise du discours (une sophistique) pour paraphraser Roland Barthes.




ARRÊTEZ LES INJECTIONS !

« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines(([1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Jul 14 22
Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.))

Par Nicole Delépine

« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »

Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »

Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.

« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH(([2] https://www.nih.gov

Official website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …)), de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».

Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »

Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…

Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.

La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :

— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?

— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.

« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».

Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC(([3] Center for disease control and prevention: officiel dans chaque état et un fédéral
Centers for Disease Control and Prevention (cdc.gov) )) a connu un exode similaire.

Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »

Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.

Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».

« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».

LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?

Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.

On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…

La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :

« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.

Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »

« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.

« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».

ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL

Une scientifique du CDC :

« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »

confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Fauves éditions))

Un responsable de la FDA :

« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »

LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS

Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »

TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.

Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.

LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES

« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »

Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.

Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.

UNE GIFLE À LA SCIENCE

Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.

Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».

Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.

Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.

ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER

La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle(([5] https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-quon-dramatise-un-peu-emmanuel-macron-et-ses-ministres-jouent-le-tout-pour-le-tout_474389)) répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.(([6] Appel aux Sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.(([7] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juillet-2022/160722-lettre-ouverte-a-julien-dray-ex-elephant-socialiste-sur-les-dangers-et-linefficacite-des-injections-anticovid-dr-nicole-delepine/))

Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.

Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.

En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.

La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.

DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE

Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.

Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.

Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !

« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »

ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI

Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.

« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »

Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.

Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….

L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE

Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?

En février 2022, 75 % des enfants aux États-Unis avaient déjà une immunité naturelle contre une infection antérieure. Cela pourrait représenter plus de 90 % des enfants aujourd’hui étant donné l’omniprésence d’Omicron depuis lors.

Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.

La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.

La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.

Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.

Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».





La canicule de l’été 1911, cette terrible vague de chaleur oubliée qui a fait plus de 40.000 morts en France

[Source : epochtimes.fr]

Par NATHALIE DIEUL

Alors que les épisodes de fortes chaleurs se succèdent en cet été 2022, on se souvient des canicules précédentes, dont celle de 2003 qui a fait 15 000 morts en France. Mais qui se souvient encore de celle de l’été 1911, qui avait frappé toute l’Europe de juillet à septembre ? Elle avait été tellement dramatique qu’elle avait causé plus de 40 000 décès rien que dans l’Hexagone.

La canicule de 1911 a duré 70 jours, du 4 juillet au 13 septembre. Elle a touché toute l’Europe, dont la France. Non seulement les températures ont été très élevées pendant toute cette période, avec de courtes interruptions, mais il y a eu une absence totale de pluie, rapporte Ouest‑France. Dès le mois de juillet, certains quartiers de Paris n’avaient plus d’eau.

Certaines données parlent de plus de 40.000 victimes, mais selon Patrick Zylberman, professeur émérite d’histoire de la santé à l’École des hautes études en santé publique (EHESP), le bilan est encore plus lourd. « Au total 46.719 personnes meurent pendant cette période de fortes chaleurs », explique‑t‑il.

Chaleur et manque de pluie pendant une longue période

« Ce sont plus de deux mois d’extrême sécheresse et de températures élevées qu’ont connus les habitants de la France en 1911 », résume Catherine Rollet, auteur de La canicule de 1911 : observations démographiques et médicales et réactions politiques.

Cette historienne et démographe, décédée en 2016, détaille dans un article cité par La Croix : « La caractéristique de cette canicule, c’est que ces températures très élevées, associées à une insolation importante, sans pluie, ont duré très longtemps. »

La totalité du pays est touchée, mais « plus durement peut‑être le nord de la France », remarque Patrick Zylberman.

Les principales victimes : « les tout‑petits élevés au biberon »

« Il faudra marquer cette année 1911 d’une croix noire », écrivait un médecin du département de la Seine inférieure, notant que « pendant la longue période de chaleur, la mort n’a cessé de faucher les tout‑petits élevés au biberon ».

En effet, parmi les victimes, près de 30.000 sont des bébés de moins d’un an, la majorité des autres décès étant des personnes âgées. Les bébés les plus touchés sont les enfants assistés (ceux qui ont été abandonnés) et les enfants protégés (ceux qui sont placés en nourrice). Il s’agit en fait des bébés nourris au biberon.

Cela s’explique entre autres par le fait qu’en plus de la vague de chaleur, une épidémie de fièvre aphteuse sévissait dans une bonne partie de la France, ce qui a eu un impact sur la quantité et la qualité du lait donné aux nourrissons.

Après une température maximale de 29,7 °C en moyenne à Paris pendant le mois d’août 1911 (soit 5,3 °C de plus qu’entre 1971 et 2000) et quatorze jours avec des maximales supérieures à 30 °C, c’est finalement mi‑septembre que les températures finissent par baisser, au grand soulagement de tous.

D’autres canicules historiques

En plus de cet épisode de forte chaleur au début du 20siècle il y a eu une autre canicule en 1947 en France, mais celle‑ci n’a pas fait beaucoup de victimes, indique Le Parisien.

Avant le 20e siècle, on dispose de peu de données pour évaluer les précédentes canicules, mais les travaux d’Emmanuel Le Roy‑Ladurie révèlent que l’été 1636 a connu un tel coup de chaleur que 500.000 personnes y auraient perdu la vie. Quant aux étés 1718 — 19, ils auraient eu une canicule qui a fait 700.000 victimes enregistrées. À ces époques, les épisodes de fortes chaleurs étaient liés à des épidémies de dysenterie à cause du manque d’eau.




Cet eurodéputé belge dénonce le « deux poids, deux mesures » des Occidentaux concernant la guerre en Ukraine

[Source : dissidentofficiel.com]

L’eurodéputé Marc Botanga, du parti PTB en Belgique, a délivré un discours percutant et de qualité au Parlement Européen il y a 3 semaines. Il y dénonce l’arrogance des Occidentaux qui cherchent absolument à imposer leur vision de la guerre en Ukraine au reste du monde. Comme si les autres étaient des enfants et « n’avaient pas compris ». Or, certains ont des désaccords tout simplement, comme il l’explique très bien.

Plus encore, il démontre que le principal reproche des pays non-Occidentaux est le « deux poids deux mesures » permanent de l’Occident concernant ses propres guerres.






Du chaos des aéroports à la sécurité des vols. La santé des pilotes au centre des questions

[Source : LHK]

Le chaos généré par le sous-effectif de manutentionnaires de bagages est qualifié de Armageddon par l’intervenante.

Vous prenez l’avion pour partir ou revenir de vacances ? Méfiez-vous des annulations de vols qui frappent le secteur de l’aviation au niveau mondial, mais aussi de la possibilité de perdre vos bagages dans les aéroports ! Une pandémie semble paralyser à un niveau ou un autre les processus d’activités de l’industrie aéroportuaire, ainsi que ceux des compagnies aériennes. Le chaos qui en résulte paralyse les déplacements par avion.

À qui la faute ? Au Covid-19 bien sûr, le point 0 du Nouveau Monde dont le narratif qui tourne en boucle est :

Le Covid a généré une crise économique dans le secteur de l’aviation suite à la chute drastique du nombre de passagers, à la suite de quoi les compagnies concernées ont dû licencier et mettre à la retraite anticipée passablement de monde. Alors quand la demande des passagers augmente, les prestations ne peuvent suivre par manque de personnel.

Mais voilà que ces arguments connus de tous occultent un problème de fond sévère qui concerne la santé des pilotes. Il y a ceux qui refusent la vaccination et se font virer, et ceux qui se font vacciner qui ont et qui posent des problèmes en termes de sécurité. Une audition au sein du Parlement européen est relayée ci-dessous.

Le problème de base, une pénurie de personnel

Certains médias francophones nous ont alertés il y a quelques semaines au sujet d’une suppression massive de vols. Swissinfo titrait récemment : Lufthansa supprime 900 vols cet été faute de personnel. CNBC l’avait annoncé plus tôt en mai : Une grave pénurie de pilotes aux États-Unis oblige les compagnies aériennes à chercher des solutions. Encore plus tôt en avril, c’est la compagnie Swiss qui avait anticipé la pénurie : Swiss supprime des vols cet été en raison d’un manque de personnel.

https://www.swissinfo.ch/fre/lufthansa-supprime-900-vols-cet-%C3%A9t%C3%A9-faute-de-personnel/47661332
https://www.rts.ch/info/economie/13041255-swiss-supprime-des-vols-cet-ete-en-raison-dun-manque-de-personnel.html

Les retards en tous genres et la désorganisation généralisée rendent de plus en plus de passagers nerveux, voire agressifs. Le média de Swisscom fait état de chaos à l’aéroport de Zurich.

Si vous voyagez en avion, vous avez besoin de patience. De nombreux aéroports en Europe sont en difficulté au milieu de la haute saison des voyages. (…) A l’aéroport de Zurich, la police doit désormais intervenir tous les jours. Swissport le confirme au « Tages-Anzeiger ». À titre de comparaison : Avant la pandémie, il y avait en moyenne une opération de police par mois.

https://www.bluewin.ch/de/services/bluewin-session-lost.html

Au cas où vous seriez concerné par ce genre de difficultés, voici une lettre type mise à disposition par Que choisir. Il s’agit de vous faire rembourser vos billets d’avion en argent et non en avoir comme pourrait l’imposer la compagnie :

https://www.quechoisir.org/lettre-type-vol-annule-par-la-compagnie-aerienne-coronavirus-demande-de-remboursement-en-argent-et-non-en-avoir-n78891/

ou à télécharger directement ici:

demande-de-remboursement-en-argent-et-non-en-avoir1Source Que Choisir

Le problème est donc réel, sérieux, et d’ampleur inédite.

Les bagages des passages jetés en vrac à Heathrow, le plus grand aéroport européen, et le 7e mondial.

L’aspect économique ne tient pas la route. Des paquets de milliards d’argent public évaporés

L’excuse des difficultés économiques ne tient pas la route (en tout cas à court terme). Des sauvetages massifs ont eu lieu dès le printemps 2020 grâce au robinet financier public que les gouvernements ont bien voulu ouvrir.

Ce sont des dizaines et des dizaines et encore des dizaines de milliards qui ont été versés aux compagnies aériennes européennes et américaines justement pour anticiper d’abord puis faire face à la baisse de clientèle en période de confinement et autres barrières posées aux voyageurs. Cet argent aurait dû normalement permettre de maintenir suffisamment de personnel pour relancer les processus le moment venu.

https://www.theguardian.com/business/2020/apr/14/us-government-coronavirus-bailout-airlines-industry
https://www.euronews.com/my-europe/2021/04/16/as-europe-s-airlines-get-billions-in-covid-bailouts-is-rail-being-left-behind

Avec autant d’argent dépensé, l’explication de la crise économique devient trop courte, ce qui n’a pas échappé au Congress américain. Ainsi, celui-ci a demandé des explications à fin 2021 déjà à cette industrie face aux vagues d’annulations de vols par les compagnies aériennes qui clouent au sol des milliers d’avions. A quoi a servi l’argent du sauvetage versé précisément pour faciliter la prise en charge des passagers à la sortie de la crise Covid?

Cela a également provoqué la colère des législateurs qui avaient donné à l’industrie du transport aérien plus de 50 milliards de dollars en fonds de secours contre la pandémie au cours de la dernière année et demie — sur la base de la promesse des transporteurs que l’argent les aiderait à être prêts pour le retour des voyageurs dans le ciel. Maintenant, le Congrès demande des réponses sur les raisons pour lesquelles les compagnies aériennes ont été si mal préparées à l’augmentation inévitable de la demande de passagers (…)

https://www.politico.com/news/2021/11/20/airlines-pandemic-bailout-cancellations-523100

Et voilà qu’en 2022, c’est l’association des pilotes américains qui monte au créneau et qui accuse l’industrie de l’aviation pour incompétence. Elle leur demande des comptes quant aux 63 milliards de dollars versés pour rien!

Selon l’ALPA, « actuellement, de nombreuses compagnies aériennes américaines affirment qu’elles ne peuvent pas embaucher de pilotes assez rapidement alors que l’industrie aéronautique se remet de la pandémie de COVID-19 et que la demande de voyages aériens rebondit. Ironiquement, l’argent des contribuables pris par les compagnies aériennes était expressément destiné à garder les travailleurs sur la liste de paie afin que les entreprises puissent répondre à la demande croissante de voyages que l’industrie connaît aujourd’hui ».

https://www.alpa.org/news-and-events/news-room/2022-05-06-airlines-mismanaging-taxpayer-bailout-funds

Nous abordons ici deux familles de causes: celles admises et donc relayées par les médias officiels et celles censurées, car elles remettraient en question la vaccination anti-Covid.

A- Une alerte sur la pénurie actuelle de personnel volant lancée en 2016

L’affaire est d’ampleur, et se justifie par un départ à la retraite des pilotes, voire leur licenciement pour des raisons économiques. Selon le narratif officiel, il y aurait pénurie de pilotes. Ainsi on aurait réduit l’effectif des pilotes, alors que les compagnies d’aviation recevaient des subsides dès 2020?

https://www.cnbc.com/2022/05/15/us-pilot-shortage-forces-airlines-to-cut-flights-scramble-for-solutions.html

Quel manager sensé se sépare de ceux qui portent l’activité principale génératrice des revenus de l’entreprise? L’acte devient franchement stupide lorsque la formation de ceux-ci est longue et coûteuse. Cette présentation des évènements repose sur une grande aberration à moins qu’il n’y ait volonté de liquidation du secteur d’activité concerné.

Cela vous rappelle-t-il d’autres secteurs vitaux sabotés par des mesures politiques et qui sont en crise aiguë à l’heure actuelle?

https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/entretien-fermetures-de-services-d-urgences-a-l-hopital-le-cri-d-alarme-de-patrick-pelloux-46920464-d69f-11ec-9b2d-786031940fdf
https://www.midilibre.fr/2021/11/26/grogne-des-sapeurs-pompiers-qui-se-disent-en-sous-effectif-9951645.php

Une pénurie attendue bien avant le Covid.

La National Aviation Academy commentait en 2018 un rapport émis par Boeing:

Boeing’s Pilot and Technician Outlook est une étude respectée de l’industrie compilée chaque année pour prévoir la croissance projetée dans l’industrie aéronautique. Depuis plus de 55 ans, Boeing étudie les données économiques, aériennes, de voyage et de flotte pour projeter la demande sur une période de 20 ans. Les études de Boeing continuent d’être la norme de l’industrie pour comprendre la croissance de l’aviation commerciale.

« À tous points de vue, le secteur de l’aviation commerciale est en plein essor. Plus de gens prennent l’air que jamais auparavant… », a déterminé Boeing. Les perspectives de cette année suggèrent que 754 000 nouveaux techniciens de maintenance seront nécessaires pour entretenir la flotte mondiale au cours des 20 prochaines années. (…)

(…)De plus, à mesure que la demande de personnel augmentera au cours des deux prochaines décennies, il sera impératif que l’industrie aéronautique trouve des solutions innovantes pour suivre le rythme des besoins de formation. (…)

https://www.naa.edu/boeing-pilot-technician-outlook-2018-2037/

Voici un autre commentaire fait du même rapport fait en juillet 2019. Toujours avant la crise Covid.

L’industrie aéronautique est confrontée depuis longtemps à une grave pénurie de professionnels qualifiés, mais ce n’est que depuis quelques années que le problème a atteint des niveaux inquiétants et sans précédent.

Qu’ils soient en grève en raison de bas salaires, découragés par des formations de plus en plus difficiles ou attirés par des marchés plus concurrentiels, les travailleurs des aéroports et des avions sont de moins en moins nombreux, ce qui entraîne souvent des perturbations des vols et un service limité à travers le monde.

Les chiffres du Pilot and Technician Outlook 2018-2037 de Boeing suggèrent que la situation pourrait même s’aggraver si elle n’est pas traitée de toute urgence. Selon les estimations de l’entreprise, l’industrie aura besoin de deux millions de nouveaux pilotes de lignes commerciales, de techniciens de maintenance et de membres d’équipage de cabine au cours des 20 prochaines années.

https://www.airport-technology.com/analysis/aviation-staff-shortages/

Et le site de Boeing de préciser:

Au cours des 20 prochaines années, la région Asie-Pacifique sera en tête de la croissance mondiale de la demande de pilotes, avec un besoin de 253 000 nouveaux pilotes. L’Amérique du Nord en nécessitera 117 000, l’Europe 106 000, le Moyen-Orient 63 000, l’Amérique latine 52 000, l’Afrique 24 000 et la CEI/Russie 22 000.

https://web.archive.org/web/20180704002734/http://www.boeing.com/commercial/market/pilot-technician-outlook/2017-pilot-outlook/

https://web.archive.org/web/20180704002734/http://www.boeing.com/commercial/market/pilot-technician-outlook/2017-pilot-outlook/
Plus de pilotes en 2022 qu’en 2019 selon l’association des pilotes américains, l’ALPA

L’argument de la baisse de l’effectif de pilotes est battu en brèche par divers sites. L’ALPA va jusqu’à dire qu’il y aurait plus de pilotes au sein des grands groupes qu’en 2019. On peut les croire, je suppose, non?

Contrairement à ce que les compagnies aériennes tentent de dépeindre, cinq des sept plus grands transporteurs aériens de passagers ont actuellement plus de pilotes qu’ils n’en avaient en 2019 avant la pandémie.

https://www.alpa.org/news-and-events/news-room/2022-05-06-airlines-mismanaging-taxpayer-bailout-funds

B- L’autre explication de la pénurie passée sous silence par les médias

Mais voilà qu’en creusant la problématique extraordinaire de la pénurie de pilotes, on découvre un autre problème de taille et particulièrement inquiétant. Dans les faits, le chaos aéroportuaire cache un volet bien plus problématique que celui des retards, annulation et autres bagages perdus, car il a de potentielles conséquences sur la sécurité même des vols. il s’agit de la santé du personnel et plus particulièrement de celle des pilotes, conséquence de la vaccination des pilotes contre le Covid.

Le personnel non-vacciné exclu

Comme pour les médecins hospitaliers, les pompiers et autres membres de la vie économique et sociale, les pilotes ont reçu une injonction pour se faire vacciner contre le covid, faute de quoi ils ont été licenciés. Le principe mondialisé est de mettre sous pression l’ensemble des agents économiques afin de les forcer à recevoir les injections expérimentales. Les récalcitrants ont été mis au ban de la société, grâce à des politiciens complaisants qui ont légalisé la chose.

https://www.tdg.ch/licencie-pour-refus-de-vaccin-legal-a-titre-exceptionnel-359176965969

En fait, il y aurait passablement de pilotes désireux de travailler, mais dont on ne veut pas. Leur tort? Ils ne sont pas vaccinés contre le Covid. La compagnie-fille de Lufthansa, Swiss, empêche ses employés non vaccinés de travailler.

À cause du manque de personnel, près de 100 vols de Swiss ont été annulés. Or, le personnel désireux de travailler ne manque pas. Le problème: ces employés ne sont pas vaccinés, et la compagnie aérienne ne démord pas sur l’obligation vaccinale de ses travailleurs.

https://www.blick.ch/fr/news/suisse/malgre-le-manque-de-personnel-swiss-empeche-ses-employes-non-vaccines-de-travailler-id17570813.html

Alors, sont-ils si nombreux que cela les non-vaccinés? Peut-être, mais cela n’explique pas tout.

La multiplication d’incidents en plein vol.

Les risques post-vaccination dus aux effets secondaires ont évolué en risques de sécurité des voyageurs. Voici la preuve du propos. Cela se passe au Parlement européen où une audition s’est tenue le 5 juillet 2022. Il y est question d’inquiétudes qui entachent l’aviation commerciale, la situation de celle-ci ayant radicalement changé depuis le début de la pandémie.

En plus des vols suspendus, des exigences multiples et variées plus ou moins contraignantes, voire absurdes, de l’obligation de porter un masque y compris pour des enfants de 2 ans, des évènements extrêmes de l’aviation sont apparus depuis le début des vaccinations contre le Covid.

Voir l’audition ici. Traduction en français.
https://www.europarl.europa.eu/streaming/fr.html?event=20220705-1930-SPECIAL-OTHER&rampActive=true&language=fr&fbclid=IwAR1yXmophcDxS8YMqq8hRXXRzrI3S2A1MqIsyILCUo4JXg6MO7N6pjtoJZk

Or, en plus du chaos aéroportuaire, des évènements -tus par les médias — mettent en danger la sécurité des vols.

Seuls les pilotes non vaccinés ne génèrent pas de risques en vol

Dans le numéro actuel 2022/02 de la revue allemande ZLW pour le droit de l’aviation et de l’espace du 2 juin 2022, l’article « Sur l’exigence de vaccination des pilotes dans la tension entre la sécurité des vols et les besoins opérationnels des compagnies aériennes » a été publié.

Lien vers ZLW — Journal de droit aérien et spatial :
https://shop.wolterskluwer-online.de/rechtsgebiete/verwaltungsrecht/verkehrsplanung-verkehrswesen/56054202-zlw-zeitschrift-fuer-luft-und-weltraumrecht-heft-2-2022.html

Et voilà ce que nous pouvons y lire:

« L’état de santé d’un pilote (…) Leur existence ne peut être considérée comme certaine que s’ils ne sont pas vaccinés. (…) Si les fabricants BioNTech et Moderna, en consultation avec l’Agence européenne des médicaments et le Paul-Ehrlich-Institut, estiment que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques, alors cette évaluation inclut l’affirmation qu’il existe encore des risques (inexplorés). Considérer un pilote vacciné comme apte à voler dans cette situation serait donc un niveau inacceptable de sécurité des vols (…) En tout état de cause, cela doit s’appliquer tant que la complète neutralité des vaccins en termes de navigabilité n’a pas été positivement prouvée. » 

https://www.aerzteklaerenauf.de/luftfahrt/

L’association internationale « Global Aviation Advocacy Coalition » a réalisé une vidéo très instructive sur le sujet. La vidéo, intitulée « Fit to Fly ? », peut être visionnée sur le site Web suivant de la GAA Coalition :
https://gaacoalition.substack.com/p/global-aviation-fit-to-fly

Quelques incidents qui ont eu lieu en plein vol
http://www.aerzteklaerenauf.de/luftfahrt/

15/06/2022

Le 8 juin 2022, un Jazz Embraer ERJ-175, immatriculé C-FRQW, effectuait le vol QK-8944 de Montréal, QC (Canada) à Newark, NJ (USA). Il y avait 44 personnes à bord. Lors de la montée au départ de Montréal, à plus de 16 000 pieds d’altitude, un des pilotes a été victime d’hypoxie. Par mesure de précaution, les pilotes enfilent leurs masques à oxygène, descendent l’avion à 9 000 pieds et rentrent à Montréal. L’avion a ensuite atterri en toute sécurité sur la piste 24L environ 15 minutes plus tard.
Le BST canadien a signalé que l’équipage n’avait pas lancé d’appel de détresse ni demandé la priorité. Lors de l’inspection ultérieure de la machine, les mécaniciens ont pu ne pas découvrir d’erreur ou de défaut technique pouvant expliquer l’incident.
Sur le graphique du trekking, on peut aussi voir (marque rouge) que l’engin a dû remonter d’une altitude très basse avant d’atterrir et a dû refaire une approche d’atterrissage.

06/12/2022

Un Airbus A320-200 d’Easyjet immatriculé G-EZTK effectuait le vol U2-6938 d’Héraklion (Grèce) à Édimbourg, SC (Grande-Bretagne) la nuit dernière (11/12 juin 2022). Peu avant l’approche d’Édimbourg, le commandant de bord quitte le cockpit pour aller aux toilettes. Cependant, il n’est pas revenu dans le cockpit. Lors de la descente au FL160, le copilote a déclaré l’urgence et a fait atterrir l’avion en toute sécurité sur la piste 24.
La compagnie aérienne a déclaré que le copilote avait demandé un atterrissage immédiat en raison de la mauvaise santé du commandant de bord lors de l’approche d’Édimbourg. Les ambulanciers ont pris en charge le capitaine malade après l’atterrissage.

04/11/2022

Situation du trafic aérien 14
Un Airbus A320-200N d’Easyjet, immatriculé G-UZHA, effectuait hier le vol U2-2213 de Londres Luton, DE (Royaume-Uni) à destination d’Agadir (Maroc) au FL370 à environ 60 nm au nord de Faro (Portugal), lorsqu’un des pilotes déclare l’état d’urgence et signale que son collègue est tombé subitement malade et qu’il est dans l’incapacité d’agir. L’avion a atterri en toute sécurité sur la piste 10 de Faro environ 18 minutes après le départ du FL370.
Les autorités de Faro ont signalé que l’avion avait été détourné en raison de la maladie soudaine de l’un des pilotes. Après l’atterrissage, le pilote a été soigné et transporté à l’hôpital.
L’avion est toujours au sol à Faro environ 26 heures après l’atterrissage.
Les passagers ont été emmenés dans des hôtels. Le vol retour U2-2214 a été annulé.
(Addendum : Le 14 avril 2022, on a appris que le pilote avait abandonné en raison d’une luxation de l’épaule et de la douleur associée. Mais il est très étrange qu’un pilote attaché dans son siège de pilote se soit disloqué l’épaule.)

19/02/2022

Situation du trafic aérien 13
Hier, un Boeing 737-800 immatriculé PH-HXN de la compagnie aérienne Transavia effectuait le vol HV-5662 de Las Palmas (Espagne) à Amsterdam (Pays-Bas). Alors que l’engin se trouvait sur la route à environ 140 milles marins au sud-ouest de Faro (Portugal), le copilote est soudainement tombé malade. L’engin atterrit donc inopinément environ 25 minutes plus tard sur la piste 28 de Faro. Le pilote est immédiatement remis en charge médicale.

28/01/2022

Situation du trafic aérien 12
Le 17 janvier 2022, un Airbus A330-900 Corsair, immatriculé F-HHUG, effectuait le vol SS-925 de Fort-de-France (Martinique) à destination de Paris Orly (France). L’engin se trouvait au FL370 au-dessus de l’Atlantique, à environ 150 nm à l’ouest-sud-ouest de Lajes aux Açores (Portugal) lorsque le commandant de bord tomba subitement malade. Le premier officier a pris le contrôle de l’avion, a appelé mayday et a détourné le vol vers Lajes, où il a atterri en toute sécurité sur la piste 15 environ 30 minutes plus tard.
L’avion s’est immobilisé pendant environ 13 heures, puis a repris le vol et a atteint Paris avec un retard d’environ 13,5 heures.
Le BEA a qualifié l’incident d’incident grave et a ouvert une enquête.

26/01/2022

Situation du trafic aérien 11
Le 23 janvier 2022, un Boeing 787-9 Dreamliner d’All Nippon Airways immatriculé JA888A effectuait le vol NH-801 de Tokyo à Singapour. Il y avait 30 passagers et 11 membres d’équipage à bord lorsque le capitaine a soudainement développé des problèmes de santé au-dessus de l’océan Pacifique, à environ 480 milles marins au sud de Tokyo. L’avion a ensuite fait marche arrière et a atterri à Tokyo environ 2,5 heures après le décollage. Le commandant de bord a été immédiatement pris en charge médicalement et le vol a été annulé.

01/01/2022

Situation du trafic aérien 10
Hier, l’autorité canadienne de contrôle du trafic aérien TSB a publié un autre incident. Lundi dernier (27.12.2021), un Boeing 737-800 de WestJet immatriculé C-FUSM effectuait le vol WS-656 de Calgary à Toronto (Canada) à environ 70 nm au nord-est de la ville de Winnipeg lorsque l’un des pilotes est soudainement tombé malade et son ne pouvait pas continuer le service. Un commandant de bord de la compagnie aérienne voyageant en tant que passager a pris la relève du copilote malade. Les pilotes ont immédiatement fait demi-tour et ont atterri à Winnipeg environ 40 minutes plus tard, où des secouristes ont attendu le pilote malade et l’ont transporté à l’hôpital.

09.12.2021

Lundi dernier (12/06/2021), un Boeing 737-8 MAX de Westjet, immatriculé C-GXAX, sur le vol WS-1590 de Calgary (Canada) à Atlanta (États-Unis) se trouvait à environ 150 nm au sud-est de Calgary, alors qu’un du pilote a perdu connaissance. Alors que les agents de bord et un médecin et une infirmière de bord s’occupaient du pilote malade, l’autre pilote a atterri en toute sécurité à Calgary environ 35 minutes plus tard. Ici, le pilote malade a été immédiatement pris en charge par une équipe médicale.

06.12.2021

Un Airbus A321-200 d’Asiana Airlines, immatriculé HL8071, effectuait le vol OZ-717 de Séoul (Corée du Sud) à Kaohsiung (Taiwan) le 29 novembre 2021 lorsque le premier officier a soudainement perdu connaissance environ 30 minutes avant l’atterrissage. Le commandant de bord, qui dirigeait l’engin avec 145 passagers et 9 membres d’équipage, a tenté en vain de réveiller son collègue en lui parlant et en le touchant. Le pilote inconscient a ensuite été sorti du cockpit, une recherche de professionnels de la santé a été effectuée dans la cabine et le commandant de bord a envoyé un message d’urgence à l’aéroport de destination, où des médecins attendaient le patient après l’atterrissage.
Le copilote a repris connaissance avant d’atterrir.

01.12.2021

Situation du trafic aérien 7
Le 29 novembre 2021, un Airbus A330-300 de Brussels Airlines a décollé de Brussels Airport avec 285 personnes à bord. L’engin immatriculé OO-SFF se trouvait sur le vol SN-277 de Bruxelles à Accra (Ghana) lorsque l’équipage a interrompu la montée au FL 250 après le décollage car le commandant de bord est soudainement tombé malade. Le premier officier a pris les commandes et a fait atterrir l’avion en toute sécurité à Brussels Airport après un temps de vol de près de 50 minutes.
Deux heures plus tard, l’avion a décollé avec un commandant de bord remplaçant et a atterri à Accra avec 3 heures de retard. La compagnie aérienne a déclaré que la maladie du capitaine n’était pas liée au COVID-19.

Des pilotes malades

Les conséquences dévastatrices des effets secondaires des injections expérimentales anti-Covid font l’objet de diverses vidéos et articles. En voici un qui vous permettrait de creuser le sujet en cas d’intérêt.

https://childrenshealthdefense-org.translate.goog/defender/pilots-injured-covid-vaccines-speak/?_x_tr_sl=de&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

Des pilotes décèdent

Et la chose dépasse les « simples » effets secondaires handicapants. On constatait fin 2021 une explosion du nombre de pilotes décédés. Et ce sont les fact checkers de Reuters qui rapportent lest chiffres. Et s’ils critiquent le manque de contexte, ils confirment la progression du nombre de décès. La page « in memoriam » d’Air Line Pilot Magazine, une publication mensuelle de l’Air Line Pilot Association (ALPA), répertorie les noms des pilotes décédés, ainsi que le mois et l’année du décès.

Dans l’édition d’octobre à novembre, les utilisateurs des médias sociaux ont noté que la page avait répertorié 111 noms de pilotes décédés durant les 9 premiers mois de 2021, contre six pour toute l’année 2020 et un seul en 2019.

https://www.reuters.com/article/factcheck-coronavirus-pilots-idUSL1N2T21YR?fbclid=IwAR2-g-NzukTvYZQ9G6vhIhO7dP6YUmt6B2ahxzLHLCzycoWMjq0RhT7CU3E

Je finirai ce papier en rendant hommage à cette jeune femme apprentie-pilote qui serait décédée suite à une piqûre de moustique. Ça vaut l’incident précédemment rapporté du commandant qui se luxe l’épaule alors qu’il est sagement assis sur son siège… Comme quoi l’imagination des médias narrateurs n’a plus de limites…

https://www.blick.ch/fr/news/monde/infection-au-cerveau-une-jeune-pilote-meurt-apres-une-piq-re-de-moustique-id17642022.html?fbclid=IwAR0Ff6JNqPz87NuNOkh4n46NeYY1a_YRB_R2xpCY_pM1vXraAWvEyKPPXFQ



Dans une interview à Algérie54, Anne Laure Bonnel raconte Dombass

[Source : algerie54.dz]

Par Mehdi Messaoudi

Elle fait partie de cette catégorie de reporters qui ne lésinent pas sur les moyens pour rapporter en toute objectivité les faits loin du diktat des lobbys et cercles politico-idéologiques. Il s’agit de la reporter et réalisatrice française Anne Laure Bonnel, qui contre toute forme de pressions, réussira à nous offrir une image objective de la situation dans le Dombass, à l’origine du conflit ukrainien. Algérie54 l’a interviewée sur son travail documentaire effectué dans cette région et cette campagne d’hostilité, de dénigrement et de censure à son égard, menée par les partisans des médias de la Mainstream, soutenus par le silence et la complaisance de certaines ONG dites de défense de liberté d’expression dont RSF.

Algérie54 : Suite à votre passage sur CNews, vous avez mis la lumière sur l’information à sens unique ou à vrai dire l’information sélective. 
Votre témoignage sur les crimes contre l’humanité commis par les forces ukrainiennes dans le Donbass a révélé au grand monde l’information orientée des multinationales des médias en faveur d’un monde préétabli. Qu’en pensez-vous ?

Anne Laure Bonnel : Je pense que le traitement médiatique a manqué de mise en perspective dès 2014. Je m’explique à travers un bref rappel des faits : le mouvement du Maïdan, fin 2013/début 2014 à Kiev a entraîné la destitution du gouvernement de Viktor Ianoukovitch qui était plutôt tourné vers la Russie et l’arrivée d’un gouvernement « pro-européen ». Très vite, dans l’est du pays, éclatent des manifestations pro-russes. En Crimée, un mouvement aboutit à un référendum le 16 mars 2014 qui entérine le rattachement de la Crimée à la Russie. Une insurrection éclate également dans la région du Donbass contre le gouvernement central. Sont proclamées deux républiques indépendantes : la République populaire de Donetsk et la République populaire de Lougansk. L’armée ukrainienne intervient alors dans l’est du pays, entraînant une guerre civile. Plusieurs accords de paix sont signés à Minsk (5 septembre 2014 puis 12 février 2015), mais ne sont pas respectés. Le conflit a fait plus de 6 000 morts en onze mois.

Certains aspects du conflit sont traités avec un regard très pro-occidental. Nombre d’articles soulignent — à juste titre — la volonté de propagande de la Russie sur ce sujet, mais dans le même temps, ces mêmes médias  ne sont pas exempts d’une certaine partialité, que ce soit en étant essentiellement «embedded » côté ukrainien , ou en prenant moins de distance avec les sources ukrainiennes qu’avec les sources russes. Ou tout simplement en médiatisant plus ou moins certains sujets. Quelques exemples :

Soutien de Washington versus soutien de la Russie 2014

Quelques rares articles dans la presse française ont rapporté courant avril que des troupes américaines s’apprêtent à entraîner des soldats ukrainiens. On trouve un article dans le Figaro et un sur le site de RFI, ainsi qu’une dépêche AFP, peu reprise par les autres médias. 

Ainsi, 300 soldats américains vont entraîner 900 soldats de la Garde nationale ukrainienne. Précisons qu’il ne s’agit donc pas de l’armée régulière ukrainienne, mais, selon l’article de RFI, de la garde «composée notamment de volontaires ayant fait partie des milices d’autodéfense lors de la révolution du Maïdan », placée sous l’autorité du ministère de l’Intérieur. Dans cette garde, se trouvent donc des membres de brigades d’extrême droite comme le bataillon Azov, responsable de plusieurs exactions (on y revient dans une autre partie). Alors que plusieurs articles dénonçaient l’intervention russe en Crimée et dans l’est de l’Ukraine, l’aide militaire de Washington n’est pas discutée ni interrogée, ni par les pouvoirs publics ni par les médias, qui y consacrent peu d’articles. 

Les États-Unis et la Russie ne sont probablement pas à mettre sur le même plan en termes de démocratie et de liberté de la presse notamment, mais on peut s’étonner tout de même que lorsque ces des deux puissances soutiennent un camp ou l’autre au sein d’un même pays, la réaction  médiatique est loin d’être la même. 

Traitement des exactions : difficulté à évoquer les victimes pro-russes et la responsabilité des pro-Maïdan.

Odessa :

Après plusieurs mois de médiatisation du mouvement Maïdan, on assiste à une forme de tournant, en mai 2014, avec l’incendie de la maison des syndicats, dans lequel une quarantaine de pro-russes sont morts.  Que s’est-il passé ? 

Au départ, un groupe de « pro-russe » affronte dans la rue un groupe de supporters de foot, « pro-Maidan ». Difficile, selon les articles, de dire qui a provoqué qui… Toujours est-il que les pro-russes ont dû se réfugier dans la maison des syndicats d’Odessa, mais très vite, celle-ci prend feu. Une quarantaine de « pro-russes » a  péri dans l’incendie.  Pour cet événement, dans les premières heures, on assiste à une information très partielle voir inverse de la réalité. Sur France 3, le Soir 3 du  2 mai évoque l’incendie, mais sans jamais dire qui sont les victimes. L’AFP, dans ses premières dépêches, ne précise pas qu’il s’agit de « pro russes » qui sont morts dans l’incendie. Il faut attendre le lendemain pour avoir la première dépêche qui le précise…

Or, puisque jusque-là les victimes étaient les pro-Maïdan, les téléspectateurs  logiquement perçoivent l’information par ce prisme et pensent que ce sont des pro-Maïdan qui sont une fois de plus attaqués par des pro-russes, alors qu’ici c’est l’inverse. Tout se passe comme s’il était difficile pour certains médias de dire que cette fois-ci ce sont des « pro-Maïdan » qui sont les bourreaux. On trouve peu de choses dans les médias français, mais ce reportage sur Channel 3 montre des exactions commises à Marioupol par le bataillon Azov et l’armée ukrainienne. Plusieurs civils sont touchés. La presse française l’évoque très peu. À titre de comparaison, à l’inverse, dans un reportage du JDD auprès du bataillon Azov en octobre 2014 à Marioupol, il n’est pas fait mention de ces exactions. Les exemples sont nombreux. Certainement le manque de temps au cœur des rédactions explique cette absence de traitement médiatique par mes confrères. 

Algérie54 : Pouvez-vous nous parler de votre documentaire sur le Donbass réalisé en 2016, et votre témoignage en tant que reporter bien aguerrie maîtrisant son sujet loin du diktat idéologique et politique ?

Anne Laure Bonnel : Alors que le mouvement du Maïdan entraîne à Kiev fin 2013 l’arrivée d’un nouveau gouvernement « pro-européen », une insurrection éclate dans la région du Donbass, à l’est du pays. Face à ce gouvernement qui les inquiète, les villes de Donetsk et de Lougansk, frontalières de la Russie, s’autoproclament Républiques autonomes. Quelques mois plus tard, le gouvernement de Kiev répond par la force et bombarde les deux régions. Le conflit a fait plus de 10 000 morts militaires et civils compris en onze mois.

Que savons-nous de cette guerre ? Peu de choses. Une guerre pour l’Europe, contre des pro-russes. Partout dans les journaux, on nous présente un gouvernement ukrainien acculé par des offensives russes, menées par des rebelles sans visages. Mais ces rebelles de l’Est, qui sont-ils ?

Mon film Donbass est une errance sur ces territoires en guerre, au cœur des régions autonomes, à la recherche de ces visages qu’on ne nous montre pas, ceux d’une population civile recluse dans des caves depuis des mois. Ici rien d’autre que des ruines, des maisons aux flans éventrés et des immeubles aux vitres brisées, transpercés par les obus, des villes infestées de zones minées. Nous sillonnons ce paysage lugubre pendant des heures sans croiser âme qui vive. Parfois une silhouette se dessine sur le bord de la route, des âmes en errance. Les banques et les mines sont fermées et les magasins vidés, les plus jeunes ont fui ou sont au front, ne laissant derrière eux que les personnes âgées qui ne touchent plus ni salaires ni retraites. Dans certaines villes, il n’y a plus de gaz ni d’électricité. Des chiens errants devenus fous lors des bombardements hurlent à la mort et aboient sans interruption. Partout la peur est palpable ; dans le Donbass les gens chuchotent, les paranoïas se créent. Chaque jour compte son nouveau lot de disparitions.

Cette guerre qui pour nous n’était jusqu’alors qu’un spectacle télévisé, lointain, crypté de messages politiques nous fouette en plein visage : notre arrivée se fait le deuxième jour de la reprise des bombardements de janvier 2015. Alors que nous traversons la ville de Pervomaisk, nous sommes braqués à la tempe par des militaires. Notre ami et traducteur Andreï se fait enlever sous nos yeux. Son corps est retrouvé le lendemain, criblé de balles dans le dos, à quelques mètres de la ligne de front. Ce jour-là, deux autres personnes, dont le commandant du bataillon armé de la région, sont enlevées et tuées.

Et qui sont ces hommes qui font la guerre et pourquoi la font-ils ? Qui sont ceux qui la subissent ?
Ce film est une interpellation aux internautes à s’intéresser de plus près à ce conflit et à se rappeler que derrière la vision lointaine que nous avons de chaque guerre, se cache à peine sa face humaine, dans sa cruauté quotidienne. Et si nous la regardions en face, pourrions-nous rester là, sans nous révolter ?

Je conçois mon travail de réalisatrice comme une passerelle entre le public et une zone filmée. Je donne à voir l’envers du décor médiatique. Et je suis fière de travailler ainsi. Libre. 

Donbass est là pour rééquilibrer le débat. Pour donner la parole à ceux qui sont au cœur du conflit et que pourtant l’on voit et entend peu. Pour que puisse exister une autre manière de concevoir ce conflit, à l’abri des discours propagandistes et des positionnements non assumés. Le film n’est pas là pour déterminer qui du gouvernement ukrainien ou du gouvernement russe est le plus coupable. Donbass ne cherche pas à démontrer une théorie ou à défendre un camp plutôt que l’autre. Son objectif est de donner à voir le quotidien des populations civiles de l’Est plongées dans le tourment de la guerre. De comprendre quels peuvent être les ressentis de ces habitants. De raconter les à-côtés de ces combats.

Donbass n’est pas un reportage d’investigation. Donbass ne se prétend pas objectif, neutre ou encore exhaustif. Donbass est un film documentaire, et c’est pourquoi Donbass se veut subjectif. Subjectif non pas au sens d’une partialité politique, mais au sens du point de vue d’un auteur, du regard singulier d’un artiste, qui fait le choix de creuser plus en profondeur telle question plutôt que telle autre, et d’expérimenter telle forme cinématographique plutôt que telle autre. Donbass est avant tout une balade poétique dans une région en ruine, où les images et les mots font figure, non pas de preuves, mais de témoins.

Algérie54 : Votre sortie médiatique courageuse vous a attiré certainement  beaucoup d’hostilités et même une campagne de dénigrement. Comment  avez-vous réagi à cette campagne et est-ce que vous avez bénéficié du soutien de certaines ONG comme RSF ?

Anne Laure Bonnel : Je n’ai reçu aucun soutien face aux pressions, dénigrements et attaques médiatiques infondées. Je patiente. 

Hormis le précieux soutien de mes confrères canadiens, que je remercie, ceux de Sud Radio, Valeurs actuelles, le Figaro et les internautes, que je remercie chaleureusement, aucune réaction d’ONG ou de RSF ne s’est fait entendre. Ça viendra, je l’espère. 

Algérie54 : RT France a été interdite sur recommandation de la commission de l’Union Européenne. Quelle est votre opinion ?

Anne Laure Bonnel : Je prône la liberté d’expression et la transparence. Cela me désole. Nous n’avons rien à gagner en muselant les voix.

Entretien réalisé par Mehdi Messaoudi




Après Johnson, Draghi démissionnaire… Les Italiens vont-ils enfin pouvoir voter à nouveau ?

[Source : resistancerepublicaine.com]

Par Christine Tasin

[Photo : Jakub Porzycki / Nurphoto /AFP]

Enfin ! Ça fait 4 ans qu’on attend ça. Depuis le départ de Salvini qui espérait des élections législatives anticipées qu’il aurait dû remporter avec ses alliés.  Et qu’il n’a jamais obtenues. Que le peuple italien n’a jamais obtenues, empêché de voter par les différentes coalitions qui se sont succédé à la Chambre. Un véritable scandale, un véritable déni de démocratie.

Grâce aux trahisons du Mouvement 5 Étoiles, les mondialistes se sont dépêchés de former une autre coalition, avec le mondialiste Draghi à sa tête. Draghi le peureux qui, conscient d’avoir contre lui nombre d’Italiens à la suite de l’épouvantable politique sanitaire menée par leur Macron italien, se déplaçait avec pas moins de 15 voitures bourrées d’agents de sécurité…

Le chef du gouvernement est affaibli notamment par la décision du Mouvement 5 Étoiles (M5S, antisystème), membre de la coalition au pouvoir, de boycotter un vote de confiance au Sénat. « La majorité d’unité nationale qui a soutenu ce gouvernement depuis sa création n’existe plus. Le pacte de confiance fondant l’action de ce gouvernement a disparu », a-t-il expliqué. La coalition soutenant Mario Draghi rassemblait jusqu’ici toutes les forces politiques représentées au parlement, à l’exception du parti d’extrême droite Fratelli d’Italia.

https://www.francetvinfo.fr/monde/italie/le-premier-ministre-italien-mario-draghi-annonce-qu-il-demissionnera-ce-soir_5256649.html

Alors, depuis 2019, la grogne monte, au profit cette fois non plus de Salvini qui est entré dans la coalition et a soutenu Draghi depuis 202, mais de Fratelli d’Italia considéré, bien évidemment, comme un parti d’extrême droite. Nous savons bien, nous aussi ce que cela signifie !

Et voilà que le fameux M5s fiche encore le bordel. Sentant qu’il perd de plus en plus de légitimité et d’assise électorale (tu m’étonnes, il bouffe à tous les râteliers), il essaie de se refaire la cerise en sortant de la coalition sous prétexte de demander ce que Draghi ne peut et ne veut lui accorder, des revendications sociales, notamment un « revenu citoyen » (le fameux « revenu universel » dont rêvent aussi Macron  et autres Insoumis ? ).

Le M5S s’oppose aux incinérateurs qu’il trouve coûteux, polluants, peu efficaces et n’incitant pas la population au tri sélectif. Il réclame aussi l’instauration d’un salaire minimum et d’un revenu citoyen. Mais le mouvement a aussi, voire surtout, des arrière-pensées électoralistes, selon les analystes. « Le M5S s’écroule dans les sondages et a besoin de récupérer de la visibilité (…). Il veut être au centre de l’attention », a expliqué Lorenzo Codogno, ancien économiste en chef du Trésor italien.

La coalition soutenant Draghi n’a donc plus la majorité absolue, même si elle peut encore gouverner. Alors comme les mondialistes ont une peur bleue, celle de voir apparaître un phénomène à la Zemmour qui prendrait le pouvoir, le Président de la République, le vieux madré Mattarella, refuse la démission de Draghi, espérant que, face au danger majeur, une autre coalition apparaisse…

Le Premier ministre italien Mario Draghi, confronté à l’effritement de sa coalition, a annoncé en Conseil des ministres qu’il remettrait sa démission ce jeudi 14 juillet au soir, a indiqué le gouvernement. Mais le président italien Sergio Mattarella a refusé cette démission. « Le président de la République n’a pas accepté la démission du président du Conseil et l’a invité à se présenter au parlement (…) afin qu’ait lieu une évaluation de la situation », a annoncé la présidence de la République dans un communiqué.

Espère, Mattarella. Espère. Mais ni Draghi ni les marchés ne semblent persuadés que les salauds sauveront leur tête. Sauf retournement (toujours possible) de M5s il est bien possible que tout cela aboutisse, tôt ou tard, à de nouvelles élections…

Et là tout est possible. Si la Lega et Fratelli d’Italie faisaient le plein de voix, la face de l’Italie et peut-être de l’UE pourrait être changée.

À suivre.

[Note de Joseph : si les Italiens et les autres peuples veulent vraiment changer, il leur vaut mieux créer autre chose qu’un système prétendument démocratique via des élections et des partis politiques qui amènent presque toujours les mêmes familles au pouvoir et favorisent largement la corruption, avec généralement aucun contrôle populaire sur le service livré.]




Lettre ouverte à Julien Dray le « baron noir », éditorialiste à Cnews, ex-éléphant socialiste, sur les dangers et l’inefficacité des injections antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Julien Dray(([1] Toujours dans le combat il vient de créer un nouveau mouvement « réinventez » :
Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr)
INFLUENCEUR
L’ancien député socialiste souhaite « réécrire un projet de société » dont les idées pourront être utilisées par les autres partis.)) à Paris en 2016.
— JULIEN DE FONTENAY/JDD

Cher Julien Dray(([2] Selon WIKIPEDIA Julien Dray — Wikipédia (wikipedia.org) Julien Dray, né le 5 mars 1955 à Oran (Algérie française), est un homme politique français. D’abord militant trotskiste, à la Ligue communiste révolutionnaire, il rejoint en 1981 le Parti socialiste. Il est l’un des fondateurs de SOS Racisme. Député de la dixième circonscription de l’Essonne de 1988 à 2012, il a été conseiller régional d’Île-de-France de 1998 à 2021.)), homme politique, éditorialiste omniprésent sur Cnews, es-tu conscient de l’inefficacité et des risques du vaccin et du pass ? Le 14 juillet 2022, tu morigénais les quelques députés socialistes qui ont refusé prolonger la tyrannie sanitaire et les pass, car « tout de même le vaccin a été efficace contre les formes graves ».

Or tu aurais dû te féliciter qu’enfin des députés élus par le peuple aient le courage de les représenter et de faire jaillir dans l’hémicycle la réalité du terrain : l’inutilité du vax et des mesures liberticides qu’il a justifiées et surtout ses innombrables toxicités que les politiques de terrain constatent de plus en plus. Bravo à leur union bigarrée comme les Français ! Et que celle-ci résiste aux pressions sans nom qu’ils subissent sûrement (([3] Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) depuis quelques jours !(([4] Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Aide-les au lieu de les accabler !

L’importance des médias pour façonner l’opinion et singulièrement les personnes âgées privées des informations d’internet et scotchées à BFM ou CNews (qui comme par hasard auraient fait réélire E. Macron)nous conduit à revenir sur tes propos réitérés pour favoriser le pass et les vax, et à tenter d’attirer ton attention sur les faits réels : les dangers des passes couplés à l’inefficacité et à la toxicité du vaccin antiCovid.(([5] La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Si tu veux reconstruire une nouvelle génération, il ne faut pas l’emmener dans le mur via la perte d’esprit critique et des libertés et plus encore de la santé, vu les conséquences dramatiques des injections.

« J’ai assez fait pour les autres en croyant à chaque fois que j’allais les influencer. Je n’y crois plus et personne ne me donne plus envie de l’influencer », explique l’ex-député socialiste qui a inspiré la série Baron noir. « J’ai décidé de ne plus perdre mon temps dans les batailles internes du Parti socialiste, dans les refondations, dans les combinaisons », précise-t-il.

« J’ai passé l’âge de jouer aux Lego »(([6] Gauche : Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr) ))

Alors cher Julien, si tu ne joues plus aux Lego, résiste aux manipulations du pouvoir et des affidés de Big Pharma. Aide la population à sortir ceux qui le peuvent encore des mesures liberticides inutiles et des effets toxiques des injections qui ne protègent de rien et même pas des formes graves ni de la mort.

NON LE VAX NE PROTÈGE PAS DES FORMES GRAVES

Mantra des éditorialistes depuis plusieurs mois sur toutes les chaînes progouvernementales et même les autres qui font semblant d’être indépendantes (…), la fausse idée de la prévention des formes graves par l’injection génique a pourtant été démentie régulièrement par les FAITS AVÉRÉS. Mais il est vrai que les OPINIONS PERSONNELLES ont depuis bien longtemps remplacé la réalité qui déplairait au pouvoir.

Non, les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort et fragilisent les triple injectés

Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections. Un bilan. — Strategika

« Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné.

Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m était devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire. »

Alors que Le tiers monde est protégé — par sa pauvreté et sa résistance du dogme vaccinal immunisé par ses expériences passées. Ils ont déjà beaucoup donné !

Que penses-tu, Julien Dray des appels répétés du conseil mondial de la santé ?(([7] Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé))

Une injection génique qui ne protège de rien et entraîne beaucoup de désastres : un nouveau témoignage, au hasard des milliers qui s’accumulent sur internet de tous pays :

Un guitariste a perdu huit de ses doigts(([8] https://childrenshealthdefense.org/defender/guitarist-jeff-diamond-jj-vaccine-rfk-jr-podcast/)) Il veut le faire savoir pour que cela cesse, enfin !

Un guitariste qui a perdu 8 doigts après le vaccin de J & J dit à RFK, Jr. : Les gens doivent être tenus responsables. Sur un épisode récent de « RFK Jr. The Defender Podcast », a décrit le guitariste Jeff Diamond qui a été amputé de huit doigts et qui a perdu sa voix chantante après avoir développé des caillots sanguins environ une semaine après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson contre la Covid-19.

Julien Dray, tu rappelais que le parti socialiste aurait décidé que « la seule solution au Covid était le vaccin ». Mais sur quelle planète vit-il et à qui se fit-il quand tant de grands professeurs dont D Raoult, C Perronne qui n’étaient pas des antivax ont donné tant d’informations sur les faits réels comme aussi les Prs Laurent Toubiana, Laurent Muchielli et tant d’autres ? Ton cher PS que tu as pourtant quitté regarde-t-il parfois les données de l’OMS ? INFORME-LES au lieu de leur faire confiance !

Nous rappelons ci-après les faits établis et publiés sur ce qui s’est vraiment passé dans le monde réel et sommes à ton entière disposition pour en discuter, camarade de longues décennies au cours desquels nos chemins ont dû se rencontrer, ne serait-ce qu’à l’UNEF(([9] Nos coordonnées sur notre site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer.
https://t.me/DrDelepine sur Telegram.)). Nous parions sur ton honnêteté.

Les chiffres de l’OMS montrent que les pass n’ont nulle part permis de ralentir l’épidémie

Que ce soit en France :

Ou en Roumanie :

Ou en Israël :

Ou dans l’ensemble des pays d’Europe dont la plupart (25/27) constatant cette inefficacité ont supprimé les pass nationaux :

Il n’y a guère que Malte et la France qui font encore semblant d’y croire et demandent encore le certificat numérique européen. Et bien sûr E. Macron pour « emmerder les Français », Braun, Olivier Veran et malheureusement toi-même, Julien Dray.

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de ralentir l’épidémie

Cela a d’abord été constaté en Israël champion des injections Pfizer :

Puis en Grande-Bretagne, championne des injections AstraZeneca :

Mais aussi en France :

Et dans le reste du monde :

Car ce sont les pays les plus vaccinés qui souffrent des recrudescences les plus vives de l’épidémie et des chiffres les plus élevés de contaminations cumulés :

Comment Julien, peux-tu encore publiquement prétendre que les pseudo vaccins seraient la solution au Covid ? Informe-toi aux sources indiscutables et ne répète pas la propagande du gouvernement dont les objectifs, contrairement à toi ne sont pas l’Homme, mais bien les bénéfices de Big Pharma et les ukases de Davos et Cie ?

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de diminuer la mortalité

Ce sont les pays les plus vaccinés qui totalisent les plus fortes mortalités par million :

Les chiffres montrent aussi que l’interdiction des traitements précoces a été catastrophique

En 2020 d’après l’OCDE (https://data.oecd.org/fr/pop/population-agee.htm), les pourcentages de population à risque (plus de 65 ans) du Japon, de l’Italie, du Portugal et de la France s’élevaient respectivement à 29 %, 23 % 22 % et 20 % et celle des Algériens de plus de 60 ans à 26 %

(https://www.algerie-eco.com/2020/03/12/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/). L’âge ne représente donc pas un facteur de pronostic plus favorable du Japon ou de l’Algérie.

L’Italie, le Portugal et la France ont interdit les traitements précoces et imposé les vaccins ; le Japon a autorisé les traitements précoces et l’Algérie a utilisé le protocole Raoult. L’interdiction des traitements précoces a abouti à une mortalité 10 à 15 fois plus élevée soit en France à un excès de mortalité d’environ 120 000.

L’interdiction des traitements précoces pour imposer les pseudo vaccins et les prescriptions de Rivotril nous ont coûté 120 000 morts de trop !

Julien Dray, tu es un homme intelligent et cultivé, expérimenté. Alors pourquoi nies-tu les faits avérés que chacun peut vérifier par internet sur le site de l’OMS à https://Covid19.who.int/ ou celui de l’université John Hopkins https://OurWorldinData. Org/coronavirus ?

Quelles qu’en soient les raisons, tes « certitudes » et déclarations actuelles sont dignes d’un inquisiteur du moyen âge défendant la religion des pseudo vaccins et ressemblent trop à celles des services de communication de Pfizer. Comme tu n’es pas médecin, je n’ose pas croire que tu puisses avoir des liens avec l’industrie pharmaceutique contrairement à notre nouveau ministre de la Santé, F. Braun.(([10] François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé, par Éric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))(([11] Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

S’il te plaît, Julien Dray, réveille-toi, ouvre les yeux et considère les faits, rien que les faits. Rester négationniste, c’est faire injure à ton intelligence et à tes combats passés et tenaces, même si parfois erronés, mais toujours pour ce que tu pensais être le mieux pour l’avenir de l’Humanité.





Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

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Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Près de 23 000 personnes en France étaient surveillées par l’État via des moyens techniques en 2021

[Source : lalettrepatriote.com]

Par Hugo Rouet

Le nombre de personnes faisant l’objet d’une surveillance par des moyens techniques en France a augmenté de 3 % par rapport à la période d’avant le covid-19, selon la Commission nationale de contrôle des techniques du renseignement (CNCTR). Un total de 22 958 personnes ont été visées en 2021 par ces techniques (écoutes, géolocalisation, etc.), dont la CNCTR, autorité administrative indépendante, s’assure du bon usage, selon son rapport annuel publié lundi.

Cette hausse limitée est notamment liée à la « reprise de l’activité des services en matière de prévention de la criminalité et de la délinquance organisées », estime le texte. Et ce même si la prévention du terrorisme représente quasiment la moitié des demandes de surveillance émises par les services à la commission.

Au-delà « on note besoin de renseignement, en tout cas un sentiment de besoin de renseignement » face à l’effet conjugué des tensions internationales, de la « sophistication de la criminalité organisée » et d’une « violence sociale latente », a estimé le président de la commission, Serge Lasvignes.

« On sait très bien que les activités de renseignement se font y compris entre alliés. Il n’y a plus d’amis qui renonceraient à vous surveiller », a-t-il souligné dans un point-presse lundi. « Il y a une guerre en Europe donc cela a forcément des conséquences sur l’intensité de l’activité du renseignement », a-t-il encore estimé, évoquant sans les nommer certains pays « qui mènent de véritables guerres d’influence ».

Sur le plan intérieur, le président de la commission a aussi évoqué la « prévention des violences collectives », notion regroupant les potentielles activités violentes de l’ultra droite, l’ultra gauche, mais aussi l’extrémisme écologiste.

La CNCTR revendique sa vigilance dans ce domaine, considérant que la prévention de ces violences « ne peut permettre la pénétration d’un milieu syndical ou politique » ou la limitation du droit « de manifester ses opinions, fussent -elles extrêmes ». À cet égard, la commission souligne à la fois ses bons rapports avec les services qu’elle est chargée de contrôler, et la marge de progression de ce contrôle.

« La CNCTR constate que les services de renseignement ont le souci de respecter la loi », estime le rapport. Mais elle estime « nécessaire un approfondissement de sa mission de contrôle a posteriori », notamment au regard de « la complexité croissante des moyens utilisés ». Elle réclame ainsi « la mise en place d’un accès direct à distance » aux contenus des contrôles effectués en particulier par les deux plus grands services, la DGSE (renseignement extérieur) et la DGSI (intérieur).

Une mesure que les services ont toujours refusée jusqu’à présent, mais qui, selon la CNCTR, apparaît nécessaire pour éviter « que l’effectivité du contrôle (…) ne dépende que de la bonne volonté de ceux-ci ».




Entretien avec le Professeur Christian Perronne

[Source : https://lecourrierdesstrateges.fr]

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

[Voir aussi :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne
et : https://planetes360.fr/exclu-360-le-professeur-perronne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/]

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pr Christian Perronne

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2ème, la 3ème, la 4ème et la 5ème vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.




Quand le Feu Houari Boumediene parlait du nouvel ordre mondial

[Source : algerie54.dz]

Quand le Feu Houari Boumediene parlait du nouvel ordre mondial

Par Nadia.R

Le discours prononcé par le Feu président Houari Boumediene devant la session extraordinaire de l’ONU en avril 1974, révélait en 2022, la justesse de la vision de l’Algérie sur la nécessité d’instaurer un nouvel ordre économique mondial et sur l’importance de la détention des matières premières des pays en voie de développement, pour amorcer un développement durable, en mettant fin à la domination des multinationales et à l’OPA des puissances impérialistes et coloniales sur le développement socioéconomique des pays émergents.



Il a fallu le conflit ukrainien et son impact sur les équilibres régionaux et sur la détermination de grands pays émergents, hors du G7 comme la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie ou l’Afrique du Sud, pour comprendre la profondeur de l’appel de l’Algérie exprimée par le Feu Houari Boumediene en avril 1974 à l’occasion de la tenue de l’assemblée extraordinaire de l’ONU.

Houari Boumediene, sans user de la langue de bois, avait au nom de ses pairs des pays en développement, plaidait devant les instances onusiennes et en présence des pays riches pour une refondation des relations internationales et un partage équitable des richesses de la planète et de la prospérité.

Le président Boumediene s’était présenté à la tribune des Nations unies fort des convictions de l’Algérie pour un monde plus juste, présentant à cette occasion, une feuille de route toute tracée, axée sur une coopération internationale mutuellement avantageuse entre le Nord riche et le Sud pauvre, et mettant comme priorité le principe du compter sur soi en tant que doctrine de développement des pays du tiers-monde et la promotion de la coopération Sud-Sud en vue de contourner l’hégémonisme des grandes puissances.

Le Feu Houari Boumediene avait raison en tablant sur une revalorisation des seuls prix des hydrocarbures, et une maîtrise de tous les leviers économiques et financiers qui font les attributs de la souveraineté d’un pays.

« Toutes les matières premières de base des pays en voie de développement. La conquête ou reconquête de la souveraineté nationale passe, avait fait remarquer Boumediene, par les nationalisations des richesses naturelles comme l’Algérie, qui avait donné l’exemple en reprenant possession de ses richesses énergétiques, agricoles, minières… » avait-il lancé à partir de la tribune de l’ONU.

Le président de la République Abdelmadjid Tebboune abonde, près d’un demi-siècle après dans le même sens à l’occasion de son intervention par visioconférence, il y a quelques jours devant le Sommet des Chefs d’État du Brics tenu en Chine. Le président Algérie demeure convaincu que l’indépendance politique n’aura aucun sens si elle n’est pas consolidée par une forte économie et une parfaite stratégie de sécurité. L’Algérie a toutes les chances de consolider son rôle d’État pivot et d’acteur incontournable en Méditerranée, Afrique et monde arabe, malgré les menaces liées à ses positions constantes en faveur de la décolonisation des peuples comme ceux de la Palestine et Sahara Occidental, et opposées à l’ingérence étrangère à l’origine des conflits en Libye, Syrie, Irak et Mali. Chaque fois que l’occasion s’en présente, l’Algérie plaide pour une refonte totale de ces rapports internationaux afin qu’ils répondent aux impératifs légitimes de développement des pays pauvres. L’Algérie est intimement persuadée que sa politique extérieure n’a de chance d’aider efficacement les peuples dépendants et sous-développés que si sa politique intérieure est résolument constructive et féconde. C’est là une nécessité attestée par l’histoire.

Vladimir Poutine et la stratégie de la réorientation des produits énergétiques

Pour faire faire aux sanctions occidentales entamées en 2014 après la récupération de la Crimée par Moscou, le président russe Vladimir Poutine a réorienté ses exportations pétrolières et gazières de l’Europe vers l’Asie, plus précisément à destination de deux pays membres du Brics, et gros consommateurs des produits énergétiques à savoir la Chine et l’inde.

« On va partir du principe qu’à l’avenir les livraisons vers l’ouest vont baisser », a expliqué le 14 avril le président russe au cours d’une réunion gouvernementale consacrée au secteur de l’énergie dans le contexte des sanctions internationales.

Il faut donc «réorienter nos exportations vers les marchés au sud et à l’est qui croissent rapidement», a-t-il ajouté. «Les pays européens parlent constamment de se passer des approvisionnements russes et en faisant cela ils déstabilisent le marché et font monter les prix», a accusé le président russe.

«Les tentatives des pays occidentaux d’évincer les fournisseurs russes, de remplacer nos ressources énergétiques par des approvisionnements alternatifs, affecteront inévitablement l’ensemble de l’économie mondiale», a encore mis en garde Vladimir Poutine, assurant que «les conséquences d’une telle démarche peuvent devenir très douloureuses et d’abord pour les initiateurs d’une telle politique».

Il a déclaré qu’une nouvelle stratégie énergétique à horizon 2050 devait être approuvée d’ici au 15 septembre. « Il est nécessaire d’accélérer la mise en œuvre des projets d’infrastructures, ferroviaires, de pipelines, portuaires, qui permettront dans les années à venir de rediriger les approvisionnements en pétrole et en gaz de l’ouest » vers ces nouvelles destinations, a ajouté Vladimir Poutine, citant, en plus du « sud et de l’est », les pays d’Afrique, d’Amérique latine et de la région Asie-Pacifique.

Vladimir Poutine est déterminé à développer de nouveaux débouchés pour les énergies fossiles russes. Un «virage vers l’Asie» et surtout la Chine entamé il y a plusieurs années survient à un moment où les Européens envisagent d’élargir leurs sanctions aux hydrocarbures en provenance de Russie en réaction à son intervention militaire en Ukraine.

La guerre des monnaies

L’opération militaire russe en Ukraine a eu un impact direct sur le marché financier mondial, contraint au passage d’une économie mondiale basée sur le dollar et garantie par des actifs financiers à des monnaies adossées à des matières premières.

La fin du système financier est accélérée par les développements géopolitiques. L’Occident tente désespérément de sanctionner la Russie pour qu’elle se soumette économiquement, mais il ne réussit qu’à faire monter les prix de l’énergie, des matières premières et des denrées alimentaires contre lui-même. Les banques centrales n’auront d’autre choix que de gonfler leurs devises pour payer tout cela. La Russie lie le rouble aux prix des matières premières par le biais d’une parité or mobile, et la Chine a déjà démontré qu’elle comprenait le jeu inflationniste de l’Occident en stockant des matières premières et des céréales essentielles au cours des deux dernières années et en permettant à sa monnaie de s’apprécier par rapport au dollar.

La Chine et la Russie ne suivent pas la voie des monnaies inflationnistes de l’Occident. Au contraire, elles s’orientent vers une stratégie monétaire plus saine, avec la perspective de taux d’intérêt et de prix stables, alors que l’Occident accélère dans la direction opposée.

L’analyste du Crédit Suisse, Zoltan Pozsar, appelle cela un Bretton Woods III. Il conclut que c’est le dollar et les monnaies occidentales, et non le rouble, qui auront le plus de mal à faire face à la fin de cinquante ans de financiarisation de l’économie.

La dédollarisation en marche

Les sanctions occidentales imposées à Moscou incitent d’ailleurs le président russe à aller de l’avant en matière de la dépendance de son économie vis-à-vis du dollar. Ainsi, Vladimir Poutine et après avoir imposé à ses clients énergétiques le paiement des livraisons énergétiques russes en monnaie russe le Rouble, il vient d’opter pour le même procédé pour ce qui est des produits céréaliers.

En mars dernier, l’administration Biden a prononcé l’arrêt de mort de sa propre hégémonie dans un dernier pari désespéré sur le dollar. Non seulement elle a mal interprété la situation de la Russie en ce qui concerne son économie, mais l’Amérique a cru à tort en sa propre puissance en sanctionnant la Russie et les oligarques de Poutine.

Elle a peut-être réussi à bloquer partiellement les volumes d’exportation de la Russie, mais la compensation est venue de la hausse des prix des matières premières, au profit de la Russie et au détriment de l’alliance occidentale.

La conséquence est une bataille finale dans la guerre financière qui se prépare depuis des décennies. On ne sanctionne pas la plus importante source d’exportation d’énergie au monde et un important fournisseur d’un large éventail de produits de base et de matières premières, dont les céréales et les engrais, sans nuire à tout le monde sauf à la cible visée. Pire encore, la cible visée a en la Chine un ami extrêmement puissant, avec lequel la Russie est partenaire dans le plus grand bloc économique du monde, l’Organisation de coopération de Shanghai, qui gère un marché en développement de plus de 40 % de la population mondiale. C’est l’avenir, pas le passé : le passé, c’est l’esprit occidental, la fiscalité punitive, les économies dominées par l’État et sa bureaucratie, le socialisme anticapitaliste, et les magiques arbres à fric pour aider à payer tout cela.

Malgré cet énorme trou dans le filet des sanctions, l’Occident ne s’est donné d’autre choix politique que de tenter de renforcer encore plus les sanctions. Mais la réponse de la Russie est dévastatrice pour le système financier occidental. En deux annonces simples, en liant le rouble à l’or pour les établissements de crédit nationaux et en insistant sur le fait que les paiements pour l’énergie ne seront acceptés qu’en roubles, elle met fin à l’ère du dollar fiduciaire qui a régi le monde depuis la suspension de Bretton Woods en 1971 jusqu’à aujourd’hui.

Il y a un peu plus de cinq décennies, le dollar s’est substitué à l’or en tant qu’actif de réserve mondial. Après les années 70, qui ont été marquées par la volatilité des devises, des taux d’intérêt et des actifs financiers, nous nous sommes tous installés dans un monde de financiarisation croissante. Le Big Bang de Londres du début des années 80 a ouvert la voie aux produits dérivés réglementés et les années 90 ont vu l’essor des fonds spéculatifs et des dotcoms. Cette évolution a été suivie d’une explosion des produits dérivés non réglementés négociés de gré à gré, qui ont atteint des centaines de milliers de milliards, et des titrisations, qui ont connu le choc de la faillite de Lehman. Depuis lors, l’expansion du crédit mondial pour les activités purement financières a été remarquable, créant une bulle d’actifs financiers qui dépasse tout ce qui a été vu dans l’histoire des excès financiers. Et, avec la suppression statistique de l’effet sur les prix à la consommation, le transfert des ressources économiques de Main Street à Wall Street a caché au public les signes inflationnistes de l’expansion du crédit.

Tout cela touche à sa fin avec une nouvelle structure, ce que Zoltan Pozsar, analyste des flux respecté au Crédit Suisse, appelle Bretton Woods III. Dans son énumération, le premier a été suspendu par le président Nixon en 1971, et le second s’est déroulé depuis lors jusqu’à aujourd’hui, où le dollar a régné sans partage. Cela nous amène à Bretton Woods III.

L’insistance de la Russie pour que les importateurs de son énergie paient en roubles et non en dollars ou en euros est un développement significatif, un défi direct au rôle du dollar. Il n’y a pas d’options pour les « non-amis » de la Russie, c’est ainsi que la Russie décrit l’alliance contre elle. L’UE, qui est le plus grand importateur de gaz naturel russe, doit soit prendre le taureau par les cornes, soit chercher des alternatives insuffisantes. L’option est d’acheter du gaz naturel et du pétrole à des prix raisonnables en roubles ou de faire grimper les prix en euros et de ne toujours pas obtenir assez pour faire tourner leurs économies et permettre à leurs citoyens d’être au chaud et mobiles. Dans les deux cas, il semble que la Russie gagne et que l’UE perde, d’une façon ou d’une autre.

Quant à la conviction de Pozsar selon laquelle nous sommes à la veille d’un Bretton Woods III, on peut comprendre la logique de son argument. La bulle financière fortement gonflée marque la fin d’une époque, qui a duré cinquante ans. Les taux d’intérêt négatifs dans l’UE et au Japon ne sont pas seulement une anomalie, mais le dernier coup de dés pour le yen et l’euro. La BCE et la Banque du Japon ont des portefeuilles d’obligations qui ont effacé leurs fonds propres, et même plus. Toutes les banques centrales occidentales qui se sont livrées à l’assouplissement quantitatif ont le même problème. En revanche, la banque centrale russe et la Banque populaire de Chine n’ont pas procédé à des assouplissements quantitatifs et ont des bilans sains. La hausse des taux d’intérêt dans les monnaies occidentales est rendue plus certaine et leur hauteur encore plus grande par la réponse agressive de la Russie aux sanctions occidentales. Elle accélère la faillite de l’ensemble du système bancaire occidental et, en faisant éclater la bulle financière fortement gonflée, ne laissera guère plus que des économies vidées de leur substance.

Poutine s’est inspiré de l’accord conclu en 1973 entre Nixon et Kissinger et les Saoudiens, qui prévoyaient de n’accepter que des dollars américains pour le paiement du pétrole, et d’utiliser son rôle dominant au sein de l’OPEP pour obliger les autres membres à faire de même. En tant que premier exportateur mondial d’énergie, la Russie déclare maintenant qu’elle n’acceptera que des roubles, répétant pour le rouble la stratégie du pétrodollar. Et même l’Arabie saoudite se plie maintenant au vent et accepte le renminbi chinois pour son pétrole, remettant symboliquement en cause l’accord Nixon/Kissinger sur les pétrodollars.

La Russie a effectivement adossé sa monnaie, notamment sur l’énergie, l’or et les denrées alimentaires. Elle suit la Chine sur une voie similaire. Ce faisant, elle a sapé l’hégémonie du dollar, peut-être de manière fatale. En tant que moteur de la valeur des devises, les matières premières seront les garanties qui remplaceront les actifs financiers. Il est intéressant d’observer la force du peso mexicain par rapport au dollar (en hausse de 9,7 % depuis novembre 2021) et du real brésilien (en hausse de 21 % sur un an). Et même le rand sud-africain a augmenté de 11 % au cours des cinq derniers mois. Le fait que ces monnaies d’habitude fluctuantes soient en hausse nous indique que l’adossement des monnaies à des ressources a ses attraits au-delà du rouble et du renminbi.

Reprenant l’argument de Pozsar selon lequel les monnaies sont de plus en plus liées aux matières premières dans Bretton Woods III, il semble que la Russie ait l’intention d’utiliser l’or comme substitut des matières premières pour stabiliser le rouble. Au lieu d’un taux de change fixe de l’or, la RCB s’est sagement laissé la possibilité de réviser périodiquement le prix qu’elle paiera pour l’or après le 1er juillet. Le taux dollar/rouble peut maintenant être facilement contrôlé par la RCB, car la façon dont la demande de roubles en pénurie est traitée devient une question de politique. La branche de paiement de Gazprom (Gazprombank) est actuellement dispensée des sanctions occidentales et les paiements de gaz et de pétrole de l’UE passeront par elle.

Les erreurs de l’Occident

La plupart des commentaires occidentaux sont très favorables à de nouvelles sanctions contre la Russie. Relativement peu de commentateurs indépendants ont fait remarquer qu’en sanctionnant la Russie et en gelant ses réserves de change, l’Amérique détruit sa propre hégémonie. Les avantages des réserves d’or ont également été soulignés pour ceux qui en possèdent. En outre, le fait que les banques centrales laissent leurs réserves d’or dans les coffres des banques centrales occidentales les expose à des sanctions, dans le cas où une nation se mettrait à dos les États-Unis. Il ne fait aucun doute que la question fait l’objet de discussions dans le monde entier et que certaines demandes de rapatriement de lingots ne manqueront pas de suivre.

Depuis la suspension de Bretton Woods en 1971, le gouvernement américain a essayé de supprimer la relation entre l’or et le dollar, en encourageant la croissance des produits dérivés de l’or pour absorber la demande. Le fait que l’or soit passé de 35 à 1920 dollars aujourd’hui démontre la futilité de ces politiques. Mais, au moins sur le plan émotionnel, l’establishment américain reste virulemment anti-or.

Le Brics, à l’assaut du G7

Les pays du Brics à savoir la Russie, la Chine, l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud se positionnent aujourd’hui, comme un ensemble économique capable de tenir la dragée haute à l’hégémonie du G7. L’intégration prochaine de puissances régionales comme l’Iran, l’Argentine, et fort probablement l’Algérie, l’Égypte et l’Arabie Saoudite donnera de plus en plus de poids à cet ensemble, pour promouvoir le développement en Amérique Latine, Asie et surtout en Afrique, un continent riche en matières premières, arme du devenir planétaire.




Vaccins Covid : la désillusion au grand jour

[Source : ]

D’après les derniers chiffres officiels, au 5 juin 2022[1] :

  • Les vaccinés (deux doses) avaient 50 % de plus de risques d’être positifs au Covid, par rapport aux non-vaccinés ;
  • Les vaccinés (trois doses) avaient 120 % de plus de risques d’être infectés par le Covid, par rapport aux non-vaccinés.

C’est écrit noir sur blanc sur le site covidtracker, qui s’appuie sur les chiffres officiels de la DREES (direction des statistiques) :

On nous avait pourtant promis une baguette magique !

Souvenez-vous ce qu’on nous a « vendu », au départ. En janvier 2021, au début de la vaccination de masse, le vaccin était considéré comme la seule solution pour nous sortir de l’épidémie !

Faites vos deux petites doses, et ce sera le retour à la vie normale[2] ! Il n’y avait même pas besoin que tout le monde se vaccine, vous disait-on. Avec 60 % de la population vaccinée, on devrait atteindre l’immunité collective[3].

En février-mars 2021, la grande illusion continue : on nous dit alors que le recul épidémique en Israël est la preuve que la «magie vaccinale» a commencé à opérer. «Coronavirus : en Israël, un ‘retour à la vie’ grâce à la vaccination» (Europe 1) – alors qu’il s’agissait simplement de la fin de la 3ème vague, et que le vaccin n’empêchera ni la 4ème, ni la 5ème vague[4].

«Une seule solution, la vaccination!»

Puis, en avril 2021, une première inflexion a lieu. « Il faudrait vacciner 90 % de la population pour espérer retrouver une vie normale en septembre en France », et non plus seulement 60 % à 70 %[5] ! La faute, officiellement au « variant britannique », plus contagieux.

Cela n’empêche pas le discours de la « baguette magique » de continuer à prospérer.

Fin avril 2021, l’Élysée publie un communiqué, au titre sans ambiguïté : « La vaccination : seule solution face à la Covid-19[6]. »

Et fin juin, le site officiel du gouvernement publie une interview de la Pr Brigitte Autran, qui explique que « le virus va moins circuler » grâce à la vaccination de masse. Elle ajoute que la vaccination va aussi « diminuer le risque de voir émerger des variants ». Quelle erreur !

Douche froide à l’été 2021

Dès l’été 2021, le variant Delta ruine ces pieux espoirs. Le 10 août, Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Group, est le premier spécialiste « officiel » à reconnaître le problème : 

« Avec ce variant [Delta], nous sommes dans une situation où l’immunité collective n’est pas possible à atteindre, car il infecte les individus vaccinés »[7].

C’est la douche froide : après nous avoir promis l’immunité collective avec 60 % de la population vaccinée, puis avec 90 %, on reconnaît à l’été que le vaccin ne pourra jamais empêcher le virus de circuler, car il infecte aussi les vaccinés !

Mais en France, le ministre Olivier Véran est encore dans le déni :

« comment une vague est-elle possible alors que 90 % d’entre nous âgés de 12 ans et plus sommes vaccinés ? Est-ce que cela signifierait que le vaccin serait finalement moins efficace que prévu ? Non »[8].

Omicron: la désillusion monte d’un cran

Puis, l’hiver arrive, avec la vague Omicron. On franchit un nouveau cran dans la désillusion. Tout le monde peut constater que le virus infecte au moins autant les vaccinés (2 ou 3 doses) que les non-vaccinés. Et surtout, il n’y a jamais eu autant d’infections au total dans la population ! Alors qu’on confine les non-vaccinés, et que la population adulte est presque intégralement vaccinée, c’est le moment où l’on enregistre des records de contaminations !

Fin janvier 2022, le Pr Delfraissy, président du Conseil scientifique, commence à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : ce « vaccin » serait plutôt un « médicament »[9] ! Il réduirait les formes graves de la maladie, mais son action sur la transmission serait « limitée dans le temps ».

Printemps 2022 : la catastrophe

Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces vaccins : les vaccinés ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés[10] !

Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES.

En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection »[11]. Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté[12] !

Israël: les formes graves et les décès explosent

Sur les formes graves, la désillusion commence aussi à apparaître dans les chiffres. Début 2022, Israël connaît sa vague épidémique la plus meurtrière depuis l’apparition du Covid… alors que la grande majorité de sa population est désormais vaccinée par 2 ou 3 doses !

Des épidémiologistes comme Michel de Lorgeril en tirent les conclusions qui s’imposent :

« Les données israéliennes montrent que les campagnes de vaccination successives n’ont pas diminué la fréquence des décès, c’est-à-dire les plus sévères des formes sévères »[13].

Et on observe le même échec aux États-Unis : la 5ème vague, de février à avril 2022, est l’une des plus meurtrières ! « Conclusion évidente, pour Michel de Lorgeril, la vaccination massive n’a eu aucun effet bénéfique sur la mortalité Covid-19 aux USA ; et de façon plus générale sur la pandémie »[14].

Tout cela apparaît clairement quand on regarde les courbes de mortalité liées au Covid. Force est de constater qu’on n’observe pas une différence spectaculaire avant et après la vaccination de masse, dans aucun pays.

Autrement dit, la protection tant vantée du vaccin contre les formes graves ne se voit pas dans les chiffres globaux de l’épidémie[15]. Bref, au début de l’été 2022, il est clair que la baguette magique vaccinale a fait pschitt.

Cette évolution fascinante, en moins de 18 mois, fait penser à cette affiche humoristique qui a circulé sur Internet :

«Le vaccin : – immunise à 95 %, – immunise à 75 %, – immunise à 50 %, – il n’immunise pas, mais réduit la transmission, – il ne réduit pas la transmission, mais empêche les formes graves, – vous finissez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas, – vous mourrez, mais vous allez au paradis

Tout ceci pose une question capitale : que s’est-il passé ?

Et pourtant, certains vous l’avaient bien dit !

Cet échec était-il imprévisible ? Est-il lié à des évènements que les autorités sanitaires ne pouvaient pas anticiper ? Les fameux variants, qui contaminent les vaccinés, étaient-ils inattendus ? La réponse est trois fois NON.

Au contraire, cette grande désillusion était non seulement prévisible… mais parfaitement prévue par ceux qui avaient les yeux ouverts ! «Honnêtement, la chance qu’un vaccin pour une maladie émergente devienne un outil de santé publique est proche de zéro», avait prévenu le Pr Raoult, dès le début de la pandémie[16].

En janvier 2021, au moment où tout le monde chantait la gloire des nouveaux vaccins, je vous avais écrit ceci : « Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ». La suite m’a donné raison : la vie est devenue totalement « anormale » (passes sanitaires, vaccinaux, etc.), et le nombre de contaminations et de décès Covid n’a pas été stoppé.

Un échec 100% prévisible

C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

L’échec du vaccin était donc 100 % prévisible !

[Note de Joseph : cette explication de l’échec est donnée dans le cadre de la théorie virale dont certains pionniers se sont écartés en raison de ses lacunes scientifiques en termes de rigueur et de démonstration. La théorie alternative propose un tout nouveau paradigme et une approche scientifique cette fois valide qui tend à démontrer que les virus ne sont en réalité que des « exosomes » produits naturellement par nos cellules, avec un matériel spécifique à notre génétique, selon les diverses agressions subies (dont les divers poisons présents dans les vaccins). En conséquence et en cherchant bien, nous pourrons donc trouver finalement des milliards de prétendus « variants » et « sous-variants » étant donné les différences subtiles entre les codes génétiques individuels qui se traduiront en différences du code génétique des exosomes produits par nos cellules lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre (par le froid, par des toxines chimiques, par la malnutrition, par des champs électriques artificiels, par des ondes électromagnétiques pulsées, par des chocs physiques violents, etc.). Pour en savoir plus, voir le dossier Vaccins et virus ou pour résumer, l’article L’enterrement de la théorie virale.]

Je suis conscient que c’est difficile à croire, car cela voudrait dire qu’il y a eu une sorte d’hypnose de masse chez les experts, les médias et les politiques. Qu’il était malhonnête, scientifiquement, de nous présenter la vaccination comme la « seule solution » pour sortir de l’épidémie.

Mais les faits sont là – et ils valent la peine d’être exposés en détail, car ils montrent à quel point le prestige du «Saint vaccin» peut anéantir la science, le bon sens et la prudence élémentaire.

Sources

[1] https://covidtracker.fr/vaximpact/ Selon ces données de la DREES, il y avait : 1001 cas positifs non vaccinés pour 10 millions de non vaccinés, 1489 cas positifs vaccinés pour 10 millions de vaccinés, et 2211 cas positifs vaccinés(rappel) pour 10 millions de vaccinés (rappel)

[2] https://www.letelegramme.fr/dossiers/coronavirus-campagne-de-vaccination/pr-karine-lacombe-avec-la-vaccination-un-retour-a-la-vie-normale-est-possible-a-la-rentree-23-01-2021-12692338.php

[3] https://www.bfmtv.com/sante/50-a-60-des-francais-vaccines-un-chiffre-suffisant-pour-atteindre-l-immunite-collective_AN-202012230260.html

[4] https://www.europe1.fr/international/coronavirus-en-israel-un-retour-a-la-vie-grace-a-la-vaccination-4026830

[5] https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/coronavirus-il-faudrait-vacciner-90-des-adultes-pour-esperer-retrouver-une-vie-normale-en-france-1617790272

[6] https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

[7] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/21/sur-le-chemin-de-l-immunite-collective-l-obstacle-du-variant-delta_6091970_3244.html

[8] https://www.youtube.com/watch?v=Pg4fH1HRRrk

[9] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html

[10] C’est ce qu’on peut voir par exemple sur le site officiel « Vax Impact », pour les 60 à 79 ans : la proportion d’infection parmi les vaccinés (2 ou 3 doses) est systématiquement supérieure à celle observée chez les non-vaccinés, à partir du mois de mars 2022
 https://covidtracker.fr/vaximpact/

[11] https://www.youtube.com/watch?v=jEmy9PeuRLU

[12] https://www.clarkcountytoday.com/news/bill-gates-whats-the-point-of-mandates-if-the-vaccines-dont-work/

[13] https://michel.delorgeril.info/politique-de-sante/epidemiologie-de-la-covid-19-en-mars-2022-lexemple-disrael/

[14] https://michel.delorgeril.info/vaccins/covid-donnees-epidemiologiques-le-10-mai-2022/

[15] Cette déconnection entre les études statistiques sophistiquées et ce qu’on pouvait observer à l’œil nu existe depuis le début de la vaccination de masse :
 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-en-israel-des-chiffres-troublants

[16] https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Professeur-Didier-Raoult-Je-suis-un-renegat-1683722




Elisabeth Borne nominée pour la médaille d’or du Great Reset

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Eric Verhaeghe

Élisabeth Borne n’y est pas allée de main morte dans sa déclaration de politique générale. Elle a précisé les intentions de son gouvernement pour les cinq ans à venir. Le moins que l’on puisse dire, c’est que son programme n’a rien de très surprenant… puisqu’il est entièrement pompé dans le fameux Great Reset de Schwab. Depuis l’application scrupuleuse de la théorie monétaire moderne jusqu’à la subordination à l’Europe (qui, paraît-il, nous renforce), Élisabeth Borne a bien mérité du Great Reset.

Si l’on détache la déclaration de politique générale prononcée par Élisabeth Borne à l’Assemblée Nationale, hier, des polémiques superfétatoires qui l’entourent (la prétendue attaque antisémite de LFI, les maladresses de la Première Ministre devant les micros de LCI) pour se concentrer sur son contenu, on se rassure. On avait imaginé un temps que Macron changerait réellement de politique. Nous sommes désormais rassurés, les cinq ans qui viennent (si Macron parvient à finir son mandat) s’inscriront dans la continuité du précédent mandat. 

Pouvoir d’achat et Great Reset

L’ensemble des mesures proposées par Élisabeth Borne s’inspirent (sans le dire bien entendu) de la politique mondialisée prônée par le Great Reset, fondée sur la théorie monétaire moderne et une intervention exponentielle d’un État connivent avec les intérêts des plus puissants. 

Pour ceux qui sont effrayés par ces mots savants, voici une présentation plus pédagogique de ce que cela signifie :

  • en matière de logement, la ministre a bien pris garde à ne pas parler d’accession à la propriété. Elle s’est contentée de dire, vaguement : « Nous voulons qu’il soit abordable pour chacun. Nous avons décidé d’un plafonnement de la hausse des loyers. Et nous proposerons de nouvelles solutions pour que le logement soit accessible partout. » Traduction : nous allons encourager les gens à devenir locataires, et non propriétaires, et nous allons notamment favoriser leur installation en HLM… histoire de lutter contre l’artificialisation des sols et de tenir tout le monde en laisse dans des centres-ville pleins comme des œufs et faciles à confiner…
  • en matière d’alimentation (le seul fait que l’État s’occupe de cela est un indice sur le grand projet de domestication des populations), la Première Ministre n’a pas eu un mot pour l’encouragement à la production, mais a parlé de « chèque alimentation » qui serait fléché vers « une alimentation saine et de qualité ». L’État va donc commencer à dire aux citoyens ce qu’ils doivent manger ou non…
  • en matière d’emploi, Élisabeth Borne ne propose pas de réduire les contraintes grandissantes sur le recrutement, sur l’exécution du contrat de travail ou sur la création d’entreprise. Elle propose de nationaliser tous les dispositifs d’accompagnement des chômeurs dans un bidule appelé France Travail. Big is beautiful, comme dit Klaus Schwab. Étapes suivantes pour lutter contre le chômage : création d’une Europe travail, puis d’un Monde travail.
  • en matière de retraite, la Première Ministre a repris sans modification la recommandation de la Commission Européenne que nous avons déjà détaillée. Europe « Uber alles » pour une France plus forte !
  • en matière d’écologie, la Première Ministre a critiqué la décroissance et fait l’éloge de l’innovation (pile-poil ce que Schwab dit dans son livre…), en annonçant : « Nous engagerons des transformations radicales dans notre manière de produire, de nous loger, de nous déplacer, de consommer. » La mission de l’État serait donc d’assurer l’avénement d’un homme nouveau pour sauver la planète. Là encore, on a lu cela chez Schwab… Avec, comme toujours, le zéro carbone en 2050, à coups de plans d’action qui permettent de mobiliser l’impôt pour subventionner les entreprises dirigées par des copains amis de la planète, d’implantation d’éoliennes et autres primes en tous genres. 
  • en matière de politique industrielle, Borne confirme les dizaines de milliards d’investissements publics en faveur de l’écologie… exactement comme l’a proposé le Great Reset de Schwab ! On abandonne ici la thématique de la réindustrialisation pour défendre notre souveraineté.
  • en matière d’éducation, Borne confirme également la politique consistant à confier le plus possible les enfants à l’État en multipliant les places d’accueil dans les crèches et autres. 
  • en matière de santé, Borne annonce des investissements dans les équipements sanitaires, comme l’avait proposé Schwab. Là encore, face à la désorganisation du système du fait de sa bureaucratisation, la réponse consiste à continuer de forer droit pour que rien ne change, en mettant toujours plus d’argent public dans un système toujours plus centralisé et défaillant. 

On le voit, sur l’ensemble des politiques publiques, l’orientation est celle d’un étatisme et d’une dépense publique « en pluie » pour apaiser les tensions dans la société, rendre les gens dépendants financièrement et les encourager à consommer des biens qualifiés d’écologiques parce qu’ils constituent des marchés protégés pour engraisser la caste. Cette orientation est celle du Great Reset

La question de l’Europe et de l’OTAN : des marqueurs forts

Mais c’est surtout dans les orientations stratégiques internationales que le discours d’Élisabeth Borne trahit toute son orthodoxie Great-Resetienne. On notera deux phrases essentielles dans son discours. 

D’une part, Elisabeth Borne résume assez bien la doctrine officielle en matière d’Europe :

Une France plus forte dans une Europe plus indépendante, enfin, c’est notre souveraineté stratégique.

Nous restons ici dans la doctrine européiste habituelle, selon laquelle l’adhésion à l’Union nous renforce, surtout si l’Europe devient “plus indépendante”. Les mauvais esprits liront ici un aveu embarrassant sur la subordination de l’Europe aux États-Unis, qui pose problème pour notre “souveraineté stratégique”. 

Mais dans le même temps, Elisabeth Borne ajoute : 

Nous agirons en cohérence avec nos ambitions européennes et nos alliés de l’OTAN.

Comme d’habitude, on retrouve ici l’affichage d’une loyauté aux États-Unis et à tous les éléments de la mondialisation qui ont pourtant considérablement entamé la souveraineté française. D’une part, soumission à la logique multilatérale de l’Union et de la Commission européenne, d’autre part, intégration de l’armée française dans l’OTAN. 

Le programme qu’Elisabeth Borne a déroulé est donc bien celui du Great Reset, autant sur le plan des politiques publiques que sur celui de l’intégration de la France à la mondialisation. On reste toujours dans la doctrine fantasmée selon laquelle la France se renforce en disparaissant dans une grande entité multilatérale dominée par les Etats-Unis. 

Bref, rien de neuf sous le soleil. Le Great Reset continue. 




Lettre ouverte à Mr Le Député Fabien Roussel et à ses collègues : le pseudovaccin antiCovid est dangereux et inutile, il faut l’interdire

Par Dr Gérard Delépine

Non, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.

Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :

D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.

De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.

Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.

Votre tweet(([1] « @AvecRoussel
Le vaccin fonctionne. Le vaccin réduit le risque de porter le virus. Le vaccin permet de réduire la contagiosité. Il faut écouter les scientifiques ». sous réserve que ce tweet soit authentique.)) témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.

La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :

« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »

@ALeaument · 5 juil.

Quelques rappels parmi les démonstrations quotidiennes de l’inefficacité des pseudo vaccins :

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais à la lumière des chiffres de l’OMS, l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité Covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le plus vacciné d’Amérique du Sud le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts Covid. Leurs mortalités cumulées ne dépassent pas les 200 par million !

Mais le vax inutile est aussi dangereux

Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :

Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :

Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.(([2] Entretien avec le Pr Chossudovsky : les stars qui ont promu le vax et qui en sont victimes devraient aider à la campagne pour stopper cette injection dangereuse — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-Covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes, loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination antiCovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. » (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans ? Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?

Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)(([3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html)), aux USA(([4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines
https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html
Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021 :
https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/)) en Allemagne(([5] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/))(([6] L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés antiCovid — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et plus globalement en Europe(([7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/19/explosion-de-la-surmortalite-hors-Covid-19-en-europe/)).

Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.

La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…

Lisez l’appel du conseil mondial de la santé :

Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Énarques ou prolos, qui sont les plus cons ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Eric Verhaeghe

Cette semaine, ma productivité pour le Courrier a baissé, car j’ai occupé deux soirées à des missions « de terrain ». Jeudi, j’ai participé aux vingt ans de ma promotion d’ENA. Vendredi, j’ai écumé les bars d’Abbeville, dont je suis un habitant intermittent. Deux lieux, deux événements, deux populations, deux ambiances. Et, en rentrant chez moi, je n’ai pas eu de peine à comprendre dans quel camp se trouvaient les plus cons.

Parfois, le passage d’un extrême à l’autre permet d’éclairer brutalement des aspects invisibles de la réalité. C’est en glissant d’un milieu à son contre-milieu que les ombres apparaissent sur des visages trop lisses, trop connues, et qu’une profondeur de champ inattendue se dégage sur ce que l’on croyait connaître. 

C’est un peu l’expérience qui m’est arrivée cette semaine, et qui explique que j’ai moins écrit pour le Courrier ces derniers jours. Jeudi soir, je participais à Paris à l’événement marquant le vingtième anniversaire de promotion d’ENA. Ce pince-fesses avait lieu dans un hôtel particulier du seizième arrondissement. Le lendemain soir, j’écumais les bars d’Abbeville, petite sous-préfecture de la Somme dont le député est François Ruffin. 

Cette confrontation des extrêmes donne au fond une belle photographie des divergences, des distances, des incompréhensions, qui fracturent notre pays. 

L’énarque, ce funambule en suspens qui n’a pas vérifié son harnais

Fêter les 20 ans de ma promotion ENA était, c’est vrai, une corvée, dont je me suis dispensé il y a dix ans, et à laquelle je me suis collé cette année par curiosité.

Je suis sorti de l’ENA en 2002, à une époque où l’on pouvait encore croire au destin de l’Europe et de l’euro, au progrès de la démocratie, et à quelques petites naïvetés de ce genre. Vingt ans plus tard, l’Europe est en guerre, les finances publiques sont en ruine, la zone euro est en quasi-récession, et l’abstention record illustre les tensions propres à notre démocratie : c’était le moment de prendre la température de la caste. 

Sans enthousiasme, donc, je me suis cherché un costume à peu près correct pour rejoindre mes anciens petits camarades et voir à quoi ils ressemblent désormais. Et le résultat m’a, je dois le dire, un peu consterné. 

Pour donner un tableau général de ce que j’ai vu, je dirais avec une petite paresse facile que l’événement se situait entre la scène de ripaille de E la nave va de Fellini et une soirée de voeu à la Chancellerie de Hitler en janvier 1943, c’est-à-dire quelques semaines avant la défaite de Stalingrad. Tout le monde affiche une mine réjouie, évoque les bons souvenirs, dresse un tableau épique et picaresque des grandes victoires engrangées, de la prospérité du pays retrouvée grâce au NSDAP, et surtout, les mouches à merde qui posent les questions qui fâchent sur les signaux de plus en plus nombreux d’une défaite imminente sont considérées au mieux comme de grossiers personnages, au pire comme des ennemis à fusiller dans la cour séance tenante. 

Bref, une soirée énarchique n’existe que comme célébration des grandes victoires remportées par la caste mondialisée sur l’obscurantisme, et toute forme d’esprit critique expose au bannissement. 

Combien de temps la béatitude peut-elle durer ? Je n’ai rencontré, ce soir-là, que peu de camarades prêts à reconnaître que la fête aurait peut-être une fin… plus rapide qu’ils ne l’imaginent. 

Triomphe de la platitude et de la cécité

Je ne me souviens plus de tout quant aux détails de ma scolarité à l’ENA (il me faudrait plus de temps pour rassembler mes souvenirs, sans doute), mais j’ai conservé intact la diatribe de l’une de mes camarades sortant de Sciences-Po et finalement sortie au Conseil d’Etat, dont la carrière a connu un bond spectaculaire grâce à François Hollande dont elle fut conseillère à l’Elysée. L’impétrante ne connaissait pas bien la différence entre Flaubert et Balzac et même, disons-le, confondait allègrement les deux. 

Ce flou culturel m’a toujours paru illustrer assez bien le niveau moyen des énarques, qui sont (parfois) de bons chefs d’atelier bureaucratiques, mais qui ont une culture limitée aux petites fiches ingurgitées au kilomètre à Sciences-Po. J’ai d’ailleurs toujours eu l’intime conviction qu’il fallait payer la petite fiche ingurgitée par le science-pipoteur de base au même tarif qu’une gâterie déroulée par une Brésilienne au bois de Boulogne : ils deviendraient tous très riches dès le plus jeune âge, se détourneraient en masse de la carrière bureaucratique, et libéreraient ainsi le pays d’une infestation toxique. 

De cette réduction massive de l’individu à un simple utilitarisme bureaucratique, on en trouve les preuves partout. Nous devions être moins de dix à ne pas porter, parmi les hommes, un complet bleu ou gris totalement passe-partout. Et, si je fais le compte de ma soirée, un seul de mes camarades a osé me parler de son opposition à la politique étrangère suivie par Emmanuel Macron.

Massivement, l’énarchie aujourd’hui applique de façon zélée la politique gouvernementale, dans ses pires excès, sans se poser de questions métaphysiques. Certes, il y a bien des jeux de carrière, certains sont plus républicains ou plus socialistes que le Président, comme Vichy comptait des adeptes de Darlan, de Laval, ou de Bousquet. Mais, de même qu’aucun ne remettait en cause le Maréchal, aucun énarque aujourd’hui, parmi ceux qui sont en fonction dans l’active, n’exprime publiquement, sereinement, honnêtement, le moindre malaise vis-à-vis du naufrage en cours, considérant même que l’affaire est entre de bonnes mains, et que nous tenons le bon bout. 

Les trois sphères de l’ENA aujourd’hui

De façon étonnante, quand même, il me semble que la morphologie générale de l’ENA a changé significativement en vingt ans. C’est peut-être une impression trompeuse, mais, sous l’effet des changements globaux, la biologie mute. 

L’immense majorité des énarques (90% d’entre eux, pourrions-nous dire, à grosses mailles) exerce, vingt ans après sa sortie d’école, des fonctions subalternes de plus en plus marginalisées par la mondialisation. Il faut ici comprendre à quoi correspond la montée en puissance des Mc Kinsey et consorts : la définition stratégique de l’action publique est confisquée par la caste, et ceux qui en étaient chargés autrefois sont de plus en plus réduits au rôle de simples exécutants de feuilles de route définies ailleurs. 

La règle de ces 90% est d’obéir aux ordres sans se poser de question. J’ai désespérément tenté d’obtenir d’un camarade juge administratif la moindre réflexion critique sur la soumission générale et silencieuse du corps auquel il appartient aux pires excès du macronisme, je n’ai obtenu que du déni mordicus, un sourire sardonique et une demande timide d’indulgence pour le jour où tout cela se terminera mal. Mais sa réponse ostinée est : “j’obéis, et je ne peux qu’obéir”. 

Plus teigneux sont les anciens cadors du système qui n’ont pas bien négocié le virage de la mondialisation : les conseillers d’Etat devenus des dinosaures d’un vieux droit français balayé par l’Europe et les Etats-Unis, les inspecteurs des finances mal à l’aise en anglais, qui doivent se contenter de postes bidons de “chef de la mission d’audit interne de truc ou de machin”, qui sont autant de chômeurs déguisés à 15.000€ nets par mois, confortables donc, mais d’autant plus arrogants et haineux qu’ils sont aigris par leur progressive mise sur la touche. On en compte trois ou quatre par promotion, et ceux-là sont dangereux car leur ressentiment les bouffit de haine contre les “riens” de la France ordinaire, taxés de tous les maux. 

Enfin, j’ai dénombré une poignée de vainqueurs, de membres réels de la caste mondialisée, qui fréquentent les forums de Davos, les réunions de Bilderberg, les instances onusiennes où l’argent coule à flot pour acheter les dernières résistances au système. 

Mais, sur une cohorte de cent personnes, s’ils sont cinq, c’est déjà énorme, et peut-être même ne compte-t-on parmi eux qu’un ou deux oligarques réel(s). 

Les progrès fulgurants de l’atlantisme

Je manquais peut-être de lucidité il y a vingt ans, mais il me semble quand même que, en 2002, j’eusse anticipé beaucoup plus de résistance assumée et ouverte à l’ordre américain que je n’en ai vu ou entendu jeudi soir. Face à la manipulation américaine en Ukraine ou mondialiste sur le coronavirus, je crois bien que, au moins dans mes souvenirs, une part plus importante d’élèves aurait protesté ou aurait même contesté. 

Désormais, l’attitude la plus audacieuse est de se taire, d’éviter le sujet, de ne pas voir qu’à force de prétendre que la France n’est plus rien, ils ont eu gain de cause : l’énarchie est devenue la force la plus active pour dissoudre la nation dans un bain de multilatéralisme et de mondialisme où nous nous pesons plus rien. 

Avec beaucoup de naïveté, l’un ou l’autre est venu m’expliquer qu’aucun pays n’était libre, et que l’ordre américain était le bon, à condition d’être débarrassé de Trump, bien entendu. Ceux-là osent dire ce que les autres font mine de ne pas savoir, par confort, par facilité, par paresse : qu’ils ne sont plus rien, qu’ils ont cassé le jouet qui a fait leur carrière, leur prospérité, leur rang social. Au fond, la France disparaît, et ils se sentent honorés de pouvoir éteindre la lumière en partant. 

Bouffée d’oxygène à Abbeville

Le lendemain, heureusement, je suis parti à Abbeville, et fait exceptionnel, j’y étais sans ma fille. J’ai donc proposé à ma femme d’écumer les soirées d’Abbeville en couple débutant, en quelque sorte. 

Je profite de cette occasion pour mentionner les très sympathiques soirées du vendredi à la Brasserie Alsacienne à Abbeville, devant le marché couvert. Chaque vendredi, on y danse le disco dans une ambiance bon enfant où les habitués vous accueillent à bras ouverts et se souviennent de vous d’une semaine à l’autre. 

Ma femme en a profité pour faire la connaissance de Gégé, célébrité locale qui fête ses cinquante ans aujourd’hui, et qui anime avec beaucoup de bonne humeur et de bienveillance la vie locale. C’est l’un des plaisirs de la vie abbevilloise, que de humer les premières effluves de notre bon Nord, où les gens se mélangent par-delà leurs différences, et se respectent sans se préoccuper des classes sociales auxquelles ils appartiennent. 

Comme nous étions dans la soirée “j’écume les bars”, j’ai ensuite emmené ma femme au Saint-Pierre, où les tribus de la jeunesse abbevilloise se rassemblent avant d’aller en boîte de nuit. En commandant un rhum arrangé pour moi, une bière pour ma femme attablée dans la petite salle d’à-côté, un jeune homme regarde mon alliance et me dit : “avec ça au doigt, tu ne vas pas pouvoir rester longtemps. Madame va te faire ton affaire si tu rentres trop tard”. 

La fascinante intelligence de Sullivan, rencontré au bar

Ce gaillard est un petit blondinet avec une barbichette de salafiste. Ce doit être la mode. Il a vingt-six ans, le regard rieur et taquin des petits gars de chez nous. Je plaisante avec lui et je vais retrouver ma femme avec mes verres à la main. Quelques minutes plus tard, le gaillard arrive dans la même salle, me voit assis à côté de ma femme et s’esclaffe. 

Il s’assied à côté de ma femme, en m’expliquant qu’il la trouve vraiment très belle et vraiment plus jeune que moi. Il se présente : il s’appelle Sullivan. Il est du coin. Son père ne l’a pas gâté avec un prénom pareil. Il n’en est pas à sa première bière, et son groupe de copains et de copines, dont aucun n’a trente ans, le regard entre admiration, stupeur et amusement de le voir se coller aux “vieux” de l’assistance. 

Sullivan commence à raconter sa vie. Il a passé cinq ans dans l’armée. Il a fait des missions, notamment au Mali. Il se souvient d’y avoir accroché deux frères combattant dans les rangs d’AQMI, dont un gamin de douze ans, blessés, qu’ils ont emmené à l’hôpital de campagne. Le petit de douze ans s’est pris un éclat de grenade, et la gangrène a vite gagné. Le chirurgien a demandé au grand frère dans le lit à côté s’il pouvait amputer le petit pour éviter qu’il ne meure. Le grand frère a refusé : un handicapé ne sert à rien dans une famille islamiste du désert. Alors le chirurgien français a laissé mourir le petit, sous les yeux de Sullivan qui aidait à faire des pansements. 

Quand Sullivan est revenu, sa fiancée l’a quitté. Sullivan fait la fête malgré tout, mais il se réveille souvent la nuit. Il a peur du noir. Il a besoin d’allumer la lumière. Il ne sait pas pourquoi le sommeil l’a quitté. L’armée lui a parlé des troubles post-traumatiques. Il ne sait pas trop, mais il a va aller voir un psychothérapeute parce qu’on lui a dit que ça pourrait lui faire du bien. 

Sullivan ne doute pas de quelque chose : de son goût pour une société où l’on honore l’héritage des anciens et où l’on honore ce qu’ils ont fait de bien. Et lui, dont la France a été le combat, il sent bien que le combat qu’on mène en Ukraine, ce n’est pas le nôtre. 

“Je suis un intuitif”, dit-il. “Et là, je sens bien que l’Ukraine, ce n’est pas notre combat. On ne fait pas la guerre pour nous là-bas, mais pour autre chose. Je ne sais pas quoi, mais pour autre chose. “

Il n’y a pas de haine chez Sullivan, ni d’idéologie, ni de dogme. Il y a des intuitions guidées par la liberté de conscience et le sens sincère du bien. Ce qu’on appelait à une époque la foi du charbonnier. 

Obéissance de la caste et liberté du peuple

Je ne pouvais évidemment m’empêcher de confronter ici les deux images extrêmes, et extraordinairement contradictoires, d’une caste imbue d’elle-même, hypnotisée, dépersonnalisée, qui ne “sent” rien et s’imagine connaître la réalité, sans jamais chercher à la comprendre, face à un peuple ordinaire resté extraordinairement libre et sincère, à la recherche de sa vérité dans une dense forêt de propagande officielle. 

Il est beau ce peuple qui s’appuie sur ses intuitions, il est grand, il est prometteur. C’est sur lui que nous devons nous appuyer pour combattre la fausse monnaie de la caste, qui prétend que les vessies sont en réalité des lanternes. 

“Les masses françaises sont analphabètes”, disait Zemmour récemment. Je voudrais terminer ce reportage par un éloge de l’analphabétisme et de l’illettrisme. Pour être intelligent, je crois bien qu’il ne faut savoir ni lire ni écrire. L’éducation, parce qu’elle est le lieu de l’hégémonie propagandiste, est un obstacle, au fond, pour réussir notre rapport au monde, aux choses, et à la vérité. 

Bon voilà, en fait, les cons ne sont pas ceux qu’on croit. 




La dérive sectaire s’accentue (Raoult, Pays-Bas, C19, déficits…)

Par Lucien SA Oulahbib

Plus cette Secte immonde s’enfonce dans l’échec de plus en plus patent, plus elle s’arcboute sur l’ignoble, tel Hitler qui au fond de son bunker en refusant de capituler condamnait le peuple allemand à sa destruction totale sous les bombardements alliés faute soi-disant de ne pas lui avoir obéi aveuglément. Aujourd’hui un nouveau rapport à charge contre Raoult vient de sortir. Il va jusqu’à le menacer de poursuites pénales, car ce dernier aurait prescrit des remèdes dits non recommandés, alors qu’il n’existe aucune plainte de patients en la matière. Bien au contraire, il y a pléthore de poursuites contre des membres de cette Secte suite aux effets secondaires de ses injections farfelues et bien peu recommandables (en tout cas inopérantes). Pourtant, la Secte persiste opiniâtrement, jusqu’à l’obsession entêtée, fiévreuse (tels ces criminels qui donnent, non pas un, mais dix, vingt, trente coups de couteau) à promouvoir cette saleté injectable au vu de ses effets secondaires et malgré la preuve patente désormais de sa totale inefficacité y compris pour les formes dites graves.

Nous nageons donc de manière croissante en plein délire scientiste, hygiéniste, affairiste organisé de plus en plus visiblement par des charlatans, des menteurs et des vicieux. Ceux-ci attendent en effet le dernier moment concernant le départ à la retraite de Raoult pour lui ternir son image en le traitant de vulgaire délinquant et trafiquant qui distribuerait à la sauvette des médicaments que nombre de pays ont cependant adoptés (ce qui leur a permis d’éviter les rebonds et d’autres aggravations qui aujourd’hui explosent, mais qui sont effacées par des catégorisations hasardeuses comme « mort mystérieuse » et autres corrélations imbéciles — telles que faire trop de jardinage ou de sport — qui pourraient induire des troubles cardiaques chez les moins de quarante ans…).

Une autre idée fixe qui fait rage également consiste à faire croire que les dix pour cent de contribution de l’Europe (0,9 pour la France) aux émissions de gaz dits à effet de serre (la première étant la… vapeur d’eau) nécessite dans l’urgence la destruction de la moitié du cheptel (à commencer par les Pays-Bas), au même titre que les moteurs thermiques réduits au silence d’ici une douzaine d’années quand ils sont neufs. C’est bien la preuve même que le pouvoir a été confié à des illuminés qui ricanent sans doute de leurs méfaits dans les alcôves de la Secte lorsqu’il s’agit de psalmodier entre-soi les versets quotidiens de cette anti-Bible rassemblant des rapports aussi farfelus que honteux (sachant que sans gaz à effet de serre, il n’y aurait plus de vie sur Terre : -18° au lieu des 15 de moyenne), montrant du doigt l’espèce humaine à l’instar de ces prophètes de malheur qui condamnent l’Humanité parce que leur ego démesuré n’aura pas été reconnu à sa juste valeur.

Et l’effet narcisse du média sur ces créatures malignes lorsqu’elles se voient à la une les amène à vouloir sans cesse en rajouter, jusqu’à par exemple enchaîner des cinq colonnes à la une sur une « 7e vague » fabriquée de toutes pièces par des injections facilitantes qui excitent un moment quelques anticorps avant de disparaître telles ces boissons gazeuses qui donnent l’impression de rafraîchir alors qu’elles ne font qu’en injecter l’illusion (et beaucoup de sucres).

Et d’ailleurs tout est de plus en plus enveloppé de propos doucereux, sucrés, ouatés qui appâtent, à l’instar de ces kidnappeurs d’enfants et leur sac de friandises. Et tous les égotistes illuminés, frustrés, abandonnés, furieux aussi de voir leur vie s’effilocher au fil des secondes gâchées par tant d’aigreur vont s’empresser de remettre leur muselière en bons esclaves sado-maso qui attendent leur Bergé afin d’être redistribués dans les réseaux interlopes du marché intertextuel des animaux savants.

On pourrait en rire alors que c’est à pleurer. Comment se fait-il que des ignorants aussi veules continuent à caracoler ainsi tout en (se) dépensant sans compter, façon Colin-Maillard coquin, dans les jardins de Versailles (alors que tout s’effondre à l’extérieur de leur cocon), sinon parce qu’ils correspondent bien, en effet miroir, à toute une faune de ratés vendus, collabos, aigris, obsédés, esseulés dont personne ne veut sauf les salles d’attente pour hypocondriaques revanchards des émissions confitures en veux tu en voilà.

C’est Tartuffe au royaume des merveilles se transformant au fur et à mesure en palais des horreurs (façon Disney Destroy). Leurs malades imaginaires pullulant tels les escargots (berk berk berk) aussitôt que la pluie médiatique les a arrosés jusqu’à plus soif de fausses nouvelles estampillées pourtant « vraies », et même sous de vrai-faux noms comme AFP, Reuters, Bloomberg, repris par des feuilles de chou avariées façon Libé, le Monde, la BBC, CNN, le NYT, le Figaro pour lequel Beaumarchais doit sans doute se retourner dans sa tombe par honte d’observer dans quel état erre désormais ce journal qui ose encore se réclamer de lui.

Comment arrêter ces forcenés ?… Ce n’est pas en leur faisant relire Foucault comme le croient Finkielkraut et Onfray que cela changera quelque chose, bien au contraire puisqu’il a été leur mentor en disant tout et son contraire, le terme « biopouvoir » par exemple ne signifiant en aucun cas que la médecine a pris le pouvoir, mais que ce dernier est détenu par des êtres vivants imposant leurs jeux de vérité dans des rapports de forces permanents. Foucault reprend ainsi l’antienne marxiste bégayée par Bourdieu réduisant le « pouvoir » au seul « rapport de forces » alors qu’il est aussi question de force des rapports : ce qui inclut également charisme et autorité à persuader et diriger selon des compétences acquises et révélées comme l’a bien analysé Max Weber. Or nous sommes bien loin du compte. Les gens actuellement au pouvoir ne s’y trouvent que par l’emploi de manipulations mentales qui surfent sur la destruction de tout esprit critique depuis bien une cinquantaine d’années, lorsqu’un Sartre s’extasia devant des meurtriers qui se prétendaient libérateurs (suivant ici Genet plutôt que Camus) tout en traitant tout « anticommuniste » de « chien » (alors qu’il était devenu lui-même le chien de garde du soviétisme maoïsé) le vrai néo-libéralisme, c’est-à-dire précisément ce que nous vivons aujourd’hui (tout pour la Secte, rien pour les porteurs de sandales, le populo), mais façon Warhol : en décalcomanie.




Selon Philippe Herlin, la révolte des agriculteurs hollandais « va s’étendre à toute l’Europe »

[Source : Sud Radio]

Avec Philippe Herlin économiste au CNAM et auteur d’une note pour l’institut Thomas More : « Pourquoi la transition écologique est une catastrophe pour l’économie »