L’empire mondial de la santé de Bill Gates, dernière partie

[Source : Entelekheia]

Ceci est la quatrième et dernière partie d’une série.
Dans la première partie, nous apprenons comment la Fondation Bill & Melinda Gates travaille à étendre l’influence de l’industrie pharmaceutique auprès de l’OMS, qu’elle contrôle, et des gouvernements du monde.
Dans la deuxième partie, nous voyons comment la Fondation Bill & Melinda Gates écoule dans les pays pauvres des traitements et des vaccins non approuvés dans les pays développés parce que dangereux, parfois avec des résultats désastreux. Nous verrons aussi que l’annonce de Trump selon laquelle les USA se « retirent » de l’OMS n’est rien d’autre que de la communication à destination de ses électeurs : en fait, les USA continuent de régner sur l’OMS à travers la Fondation Gates et l’agence fédérale américaine USAID.
Dans la troisième partie, nous apprenons que la Fondation Gates travaille à vendre non seulement les traitements et vaccins de l’industrie pharmaceutique, mais aussi des semences OGM, sur lesquelles elle travaille en partenariat avec Monsanto.
Dans cette dernière partie, nous verrons comment la Fondation Gates tente de faire tomber les garde-fous étatiques qui interdisent à l’industrie pharmaceutique occidentale de mettre des produits potentiellement dangereux sur le marché. Nous verrons aussi que l’administration Trump marche main dans la main avec Bill Gates.

Par Jeremy Loffredo and Michele Greenstein
Paru sur The Grayzone sous le titre Why the Bill Gates global health empire promises more empire and less public health


L’opération Warp Speed vaccine Big Pharma contre les poursuites judiciaires

À la mi-mai, l’administration Trump a dévoilé son nouveau projet de vaccin contre le coronavirus : l’opération Warp Speed. Le président Trump a annoncé le nouveau projet en se vantant de l’assouplissement, par son administration, de « toutes les formalités administratives pour parvenir au lancement le plus rapide, et de loin, d’un essai de vaccin ».

Comme l’administration Trump, Bill Gates plaide pour l’accélération du calendrier d’approbation du vaccin du Covid-19. Il écrit que « les gouvernements devront accélérer leurs processus habituels d’approbation des médicaments afin de fournir rapidement le vaccin à plus de 7 milliards de personnes ». Selon lui, « il n’y a tout simplement pas d’alternative » à ce programme.

En mars dernier, les États-Unis ont adopté une réglementation fédérale accordant une immunité contre d’éventuelles poursuites judiciaires aux firmes produisant des médicaments contre le coronavirus, y compris les vaccins. Ils ont également accordé une immunité à toute entité distribuant ces médicaments.

Avec plus de 100 vaccins du Covid-19 actuellement en cours de développement, cela signifie que ces produits seront indemnisés contre toutes possibilités de poursuites judiciaires, même dans les cas d’effets secondaires nocifs.

Si les fabricants de vaccins sont effectivement exemptés de sanctions légales par les gouvernements du monde, ces entreprises ne sont pas particulièrement incitées à protéger les gens contre d’éventuels effets secondaires nocifs. Comme par le passé, il semble que les citoyens des pays les plus pauvres soient sur le point de devenir des « cobayes pour les fabricants de médicaments ».

Le plaidoyer de Bill Gates pour l’immunité des fabricants de médicaments remonte au moins à 2015, lorsqu’il a déploré, lors de l’épidémie d’Ebola, l’absence de processus clair pour « fournir une exemption de responsabilité légale ». Il a suggéré qu’au cours d’une « épidémie mondiale », les entreprises pharmaceutiques devraient être protégées contre les actions en justice pour « éviter de longs retards ». Aujourd’hui, sa proposition est en train de se concrétiser.

Gates a justifié sa position par le fait que les entreprises devront produire des médicaments le plus rapidement possible pour sauver des vies, et que ces nouveaux médicaments ne seront pas toujours sûrs. « Comprendre la sécurité… est très, très difficile », a-t-il déclaré à CBS. « Il y aura un certain risque et une exemption de responsabilité sera nécessaire avant que l’on puisse décider [de sortir un vaccin] ».

Normalement, un médicament passe par une phase d’expérimentation animale avant d’être testé sur un petit nombre d’humains (phase I), un nombre plus étendu (phase II) et un grand nombre de personnes (phase III). Mais avec le Covid, Gates veut « gagner du temps » en effectuant des tests sur les humains et les animaux en même temps.

Aujourd’hui, les États-Unis « compriment ce qui représente généralement 10 ans de développement de vaccins », selon le directeur de l’Institut national de la santé (NIH).

Cela peut produire des effets dérangeants. D’une part, aucun vaccin efficace contre les coronavirus n’a encore été produit et un nouveau vaccin pourrait déclencher des réactions mortelles. Le Dr Peter Hotez, spécialiste des maladies tropicales, qui a travaillé sur un vaccin raté pour un autre coronavirus (SRAS), a déclaré que lors des tests expérimentaux du médicament, les animaux étaient victimes de ce qu’il appelle « Facilitation de l’infection par des anticorps ». Les animaux qui ont reçu la piqûre ont développé des formes plus graves (et souvent mortelles) du virus par rapport aux animaux non vaccinés.

Hotez a déclaré à Reuters : « La façon de réduire ce risque [pour les humains] est d’abord de démontrer qu’il ne se produit pas chez les animaux de laboratoire. L’expert médical a déclaré qu’il comprenait « l’importance d’accélérer les délais pour les vaccins en général, mais … ce n’est pas avec ce vaccin qu’on peut se le permettre ».

Sans effectuer la phase initiale de tests sur les animaux normalement requise pour mettre un vaccin sur le marché, une société de biotechnologie nommée Moderna mène actuellement des essais sur l’homme pour son vaccin du Covid-19. Le vaccin de Moderna est de type ARNm, qui n’ont jamais été approuvé par la FDA pour une utilisation sur les humains.

Cette technologie, qui contient des cellules génétiquement modifiées pouvant altérer de façon permanente l’ADN humain, a été développée grâce à des subventions de la Fondation Gates et de l’Agence des projets de recherche avancée de la défense du Pentagone (DARPA). Moderna affirme avoir une « alliance stratégique » avec la DARPA, qui a donné à la firme 25 millions de dollars au total.

La technologie ARNm de Moderna a été désignée par Bill Gates comme « l’une des options les plus prometteuses pour le COVID ». Gates a même un « accord-cadre de projet de santé mondiale » avec Moderna pour lui donner jusqu’à 100 millions de dollars pour le développement de sa technologie ARNm, en échange de l’obtention de « certaines licences non exclusives ».

Le co-fondateur de Moderna, Robert Langer, s’est associé à Gates dans le passé sur des projets tels que l’implant de micro-puces contraceptives activables sans fil.

Lorsque Moderna a annoncé l’achèvement de la phase 1 de son essai de sécurité le 18 mai, des médias grand public ont salué la « bonne nouvelle » de Moderna. Mais les petits caractères du communiqué ont révélé que trois des 15 participants auxquels on a injecté la plus forte dose du vaccin ont développé des symptômes systémiques de grade trois, que la FDA définit comme « graves », « invalidants » et nécessitant une « hospitalisation », bien que « ne mettant pas immédiatement leur vie en danger ».

Le 15 mai, le président Trump a nommé Moncef Slaoui, un membre du conseil d’administration de Moderna qui, jusqu’au 19 mai, détenait plus de 10,3 millions de dollars d’actions de la firme, comme responsable scientifique de l’effort national pour trouver un vaccin du Covid-19.

Slaoui, qui se dit « engagé dans le capital-risque », fait également partie du conseil d’administration de l’Initiative internationale pour un vaccin contre le sida (IAVI), une organisation de « partenariats public-privé » qui a reçu plus de 359 millions de dollars de la Fondation Gates.

Slaoui a également occupé des postes de direction chez GlaxoSmithKline (GSK). Alors qu’il dirigeait la recherche et le développement de l’entreprise, GSK a plaidé coupable et versé 3 milliards de dollars dans ce que le Département américain de la justice a qualifié de « plus forte somme versée en dommages-intérêts après une fraude dans le domaine de la santé de l’histoire des États-Unis ». La fraude comprenait la dissimulation du lien entre un médicament, le Paxil et des effets secondaires de dépression et idées suicidaires (principalement chez les enfants), la dissimulation du lien entre un médicament, l’Avandia et des effets secondaires sur le cœur, qui, selon la FDA, ont entraîné 83 000 crises cardiaques, ainsi que plusieurs accusations de corruption et de pots-de-vin illégaux.

Alors qu’il était président de GSK chargé des vaccins, M. Slaoui a supervisé le développement du vaccin contre la grippe porcine appelé Pandemrix, qui a été mis sur le marché sans avoir été testé correctement lors de l’épidémie de grippe porcine. Le résultat a été un vaccin dangereux qui a causé des lésions cérébrales chez au moins 800 personnes, dont 80 % d’enfants. Comme GSK n’a accepté de fournir le vaccin aux gouvernements qu’à la condition d’être dégagé de toute responsabilité légale, l’argent des contribuables britanniques a été utilisé pour payer des millions de livres sterling en compensation aux victimes.

Slaoui a été engagé pour être le « tsar du vaccin » de l’administration Trump en tant qu’entrepreneur privé, et non en tant qu’employé du gouvernement. Cela signifie, comme l’explique Public Citizen, que Slaoui peut « maintenir un vaste réseau d’intérêts financiers conflictuels sans avoir besoin de se défaire de ces intérêts, de se récuser ou même de les divulguer ».

Les médias grand public aiment à dépeindre la réponse au Covid-19 comme un bras de fer entre des fanfarons anti-science comme Donald Trump et des « champions de la science » comme Bill Gates. Cependant, la nomination de Slaoui à la codirection de l’opération « Warp Speed » indique qu’ici, l’administration Trump et la Fondation Gates font partie de la même équipe.

Après être entré dans son nouveau rôle dans l’administration Trump, Slaoui a déclaré que les données des essais cliniques de Moderna lui donnaient assez confiance pour annoncer, « nous serons en mesure de fournir quelques centaines de millions de doses de vaccin d’ici la fin de 2020 ».

Bien que le gouvernement américain ait choisi Moderna comme l’un des cinq « finalistes » de son vaccin contre le coronavirus, les mesures financières prises par certains dirigeants de l’entreprise laissent penser que les beaux jours de Moderna sont peut-être derrière elle.

Selon des documents déposés auprès de l’U.S. Securities and Exchange Commission (SEC), le directeur financier de la société, Lorence Kim, a vendu 214 000 actions de Moderna le jour du communiqué de presse, réalisant immédiatement un bénéfice de plus de 16 millions de dollars.

Thomas Lys, professeur de comptabilité à l’université Northwestern, a été cité par Stat News déclarant que cela pourrait simplement être une décision financière de Moderna pour obtenir des liquidités, mais qu’ « il y a toujours une autre possibilité – que ces gars savent en fait que tout cela est bidon et qu’ils vendent pendant que l’action est encore à bon prix ».

Le médecin en chef Tal Zaks, qui détenait près de 100 000 actions de Moderna au début de l’année, a commencé à vendre des actions quelques jours avant que Moderna n’annonce que son vaccin était prêt à être testé sur l’homme, avec un profit de plus de 18 millions de dollars en 2020. Il n’en possède plus aucune action.

Une réserve centralisée pour « rendre l’OMS dépendante du bon vouloir des grandes entreprises pharmaceutiques ».

En octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé l’ « Event 201 » [*] en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Gates.

Un ancien membre du Comité directeur du Johns Hopkins Center for Health Security [Robert Kadlec] est maintenant chef de la réserve de médicaments de l’administration Trump, et le PDG de Johns Hopkins Medicine fait également partie du conseil d’administration de la société pharmaceutique Merck.

L’Event 201 était un exercice de simulation d’une pandémie à nouveau coronavirus. Des représentants du Conseil national de sécurité des États-Unis y ont participé, ainsi que des dirigeants de sociétés pharmaceutiques comme Johnson & Johnson.

Si les similitudes entre la simulation de l’épidémie et la véritable épidémie ont suscité des théories infondées sur la « prédiction » du COVID 19 par Bill Gates, il est indéniable que les propositions politiques qui ont émergé de l’exercice sont mises en œuvre aujourd’hui.

À la suite de la simulation, complétée par des conférences de presse simulées d’un réalisme effrayant et des bulletins d’information diffusés par un réseau appelé GNN, les trois organisations ont émis des recommandations pour faire face à une « grave pandémie ». L’une des recommandations était de disposer d’une « solide réserve internationale » de mesures médicales telles que des vaccins.

Au cours de la simulation, le président de la Fondation Gates pour la santé mondiale, Chris Elias, a insisté sur la nécessité de constituer une réserve de ce type. Il a expliqué qu’ « un stock mondial contribuerait certainement à assurer une répartition rationnelle et stratégique », mais qu’une collaboration entre l’OMS et le secteur privé est nécessaire pour en assurer l’efficacité.

D’un point de vue objectif, un stock centralisé de mesures médicales peut être utile en cas de crise sanitaire. Mais la question de savoir qui la contrôle et la distribue soulève des problèmes importants.

Le Dr David Legge a déclaré à Grayzone que la suggestion d’Elias augmenterait encore l’influence des sociétés pharmaceutiques à but lucratif, car « sans aucun doute, un partenariat public-privé axé sur l’approvisionnement et la distribution impliquerait les grandes sociétés pharmaceutiques et rendrait l’OMS dépendante du bon vouloir de ces dernières ».

Gates pourrait faire valoir que le contrôle et la distribution de ces stocks devraient également être influencés par des institutions occidentales comme l’OTAN. En 2015, il a écrit qu’en cas de « grave épidémie », « une institution mondiale pourrait être habilitée et financée pour coordonner le système [de réponse à l’épidémie] », qu’il devrait y avoir une discussion sur le partage des pouvoirs entre l’OMS et « d’autres (y compris la Banque mondiale et les pays du G7) », et que « le débat devrait inclure des alliances militaires comme l’OTAN ».

Gates a également soutenu que « les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à recevoir » le vaccin du Covid-19. Si l’OTAN joue un rôle dans le contrôle et la distribution des vaccins, cette aide pourrait être utilisée pour faire progresser les programmes militaires occidentaux, étant donné que ces « aides » ont été utilisées dans le passé lors d’interventions humanitaires.

Gates a quasiment monopolisé le domaine de la politique de santé publique, tant au niveau national qu’international. « Fauci et moi sommes en contact permanent », a-t-il proclamé, en référence au visage de la réponse américaine au Covid, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci.

Dans le même temps, le méga-milliardaire s’entretient apparemment « tous les jours » avec des PDG de sociétés pharmaceutiques et des chefs de gouvernements.

En entretenant des relations avec des organisations gouvernementales et le secteur privé à but lucratif, la Fondation Gates est peut-être devenue l’acteur le plus influent de la réponse mondiale au Covid-19. Ainsi, si le travail de la fondation a favorisé les multinationales occidentales aux dépens de la santé publique dans le passé, comment s’attendre à un résultat différent cette fois-ci ?

L’histoire se répète

Au début juillet, l’Associated Press a rapporté que des Sud-Africains s’étaient réunis à Johannesburg pour protester contre l’essai clinique de phase III d’AstraZeneca en Afrique. La Fondation Gates a versé 750 millions de dollars à cet effort de vaccination le mois dernier, et les manifestants ont été photographiés tenant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire « Nous ne sommes pas des cobayes » et « Non au poison de Gates ».

L’organisateur de la manifestation, Phapano Phasha, a déclaré à l’AP que des groupes vulnérables étaient manipulés pour qu’ils participent à l’essai sans possibilité de choix éclairé. « Je crois en la science », a déclaré Phasha. « Je ne suis pas contre les vaccins, je suis contre le profit. »

Les rapports indiquent que les vaccins de Moderna et d’AstraZeneca pourraient être disponibles pour une distribution publique d’ici la fin 2020.

The Grayzone a contacté la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation (GAVI) et le Programme pour les technologies appropriées dans le domaine de la santé (PATH) pour leur demander de commenter cet article, et n’a pas encore reçu de réponse.


Jeremy Loffredo est un journaliste basé à Washington D.C. Il a travaillé sur divers documentaires indépendants à New York et a participé à la production de plusieurs programmes d’information internationaux. Il prépare actuellement un documentaire sur le Green New Deal que vous pouvez soutenir à l’adresse https://www.gofundme.com/f/the-green-new-deal-explained-for-real

Michele Greenstein est une journaliste basée à Washington D.C. Ancienne correspondante de RT America, elle a produit une série sur la guerre technologique entre les États-Unis et la Chine et un documentaire de terrain sur le mouvement anti-gouvernemental de 2019 à Hong Kong.

Traduction Corinne Autey-Roussel pour Entelekheia
Illustration Miguel Á. Padriñán / Pixabay[*]
Note de la traduction: voir l’article de Cory Morningstar en français, 
Event 201, la simulation prophétique de pandémie à coronavirus du Forum économique mondial




Mensonges des responsables américains du groupe de travail COVID

[Source : Ciel voilé via Profession gendarme]

Alerte à la sécurité nationale américaine : les enquêtes militaires révèlent l’histoire de la fraude dans le domaine de la science des vaccins par les dirigeants du groupe de travail COVID de la Maison Blanche.

Le président Trump doit prendre des mesures immédiates.

[Auteur :] David DeGraw – Le 2 août 2020

Les enquêteurs militaires américains ont prouvé que l’actuel directeur du CDC, Robert Redfield, qui est en charge du développement du vaccin COVID et dirige le groupe de travail COVID de la Maison Blanche, a un passé documenté de falsification de données scientifiques, a violé son serment et a menti à plusieurs reprises au Congrès et à la communauté scientifique internationale.

Des documents de l’armée américaine (doc. 1, 2, 3) montrent que M. Redfield et son ancienne assistante Deborah Birx, qui dirige également le groupe de travail COVID, ont sciemment falsifié des données scientifiques publiées dans le New England Journal of Medicine, prétendant frauduleusement qu’un vaccin contre le VIH qu’ils ont contribué à développer était efficace.

Deux enquêteurs militaires ont accusé Redfield et Birx de s’être livrés à « un mode systématique de manipulation des données, d’analyses statistiques inappropriées et de présentation trompeuse des données dans une tentative apparente de promouvoir l’utilité du vaccin contre le sida GP160 ».

Un tribunal de l’armée de l’air sur la fraude et la mauvaise conduite scientifique (doc. 1, 2, 3) a ensuite convenu que les informations trompeuses et mensongères de Redfield « menacent sérieusement sa crédibilité en tant que chercheur et peuvent avoir un impact négatif sur le financement de la recherche sur le SIDA pour les institutions militaires dans leur ensemble ». Ils ont ensuite poursuivi en déclarant que son « comportement contraire à l’éthique crée de faux espoirs et pourrait entraîner un déploiement prématuré du vaccin ».

Pour éviter toute influence politique corrompue, le tribunal de l’armée de l’air a ensuite demandé une enquête par un « organisme d’investigation extérieur totalement indépendant ».

Redfield a avoué — aux interrogateurs du Département de la Défense et au Tribunal de l’Armée de l’Air — que ses analyses étaient erronées et trompeuses. Il a également accepté de les corriger publiquement.

Cependant, Redfield a ensuite continué à mentir publiquement et à faire de fausses déclarations lors de trois conférences internationales ultérieures sur le VIH, et a violé son serment lors de son témoignage devant le Congrès, en jurant que son vaccin guérissait le VIH.

A partir de ses mensonges, le Congrès a ensuite alloué 20 millions de dollars à l’armée pour soutenir le projet de recherche de Redfield et Birx. Une fois que cela s’est produit, l’organisme de surveillance gouvernemental Public Citizen s’est plaint à Henry Waxman, alors membre du Comité du Congrès, que l’argent avait amené l’armée à mettre fin à l’enquête et à « blanchir » les crimes de Redfield.

Après avoir dissimulé ces actes de corruption flagrants et cette fraude pure et simple, Redfield et Birx ont commencé leur ascension choquante vers le sommet, devenant des fonctionnaires de premier plan dans le domaine de la « santé » du gouvernement.

Robert Redfield est maintenant le directeur du CDC et, avec sa co-conspiratrice Deborah Birx, il dirige le groupe de travail COVID de la Maison Blanche. Avant de diriger ce groupe de travail, Deborah Birx a siégé au conseil d’administration du Fonds mondial de Bill Gates, qui a un palmarès épouvantable en matière de financement de programmes de « vaccins » qui se livrent à des « violations grotesques des droits de l’homme », comme l’a déclaré une enquête du gouvernement indien.

Le président Trump doit immédiatement enlever Robert Redfield et Deborah Birx du groupe de travail COVID du CDC et de la Maison Blanche et les tenir pour responsables de leurs crimes contre l’humanité.

En tant que priorité absolue et question urgente de sécurité nationale, le président Trump doit également ouvrir immédiatement une enquête sur Bill Gates. Si Trump ne prend pas de mesures immédiates sur ces deux fronts, il se rend ainsi complice de crimes contre le peuple américain.

Documents de référence :

Enquête militaire américaine sur Redfield & Birx (doc un, deux, trois)

Tribunal de l’armée de l’air sur la fraude et la faute scientifique (doc un, deux, trois)

Public Citizen Letter soumis au Congrès.

Rapport de politique étrangère exposant l’histoire scandaleuse de Redfield.

Pour une brève introduction sur les crimes contre l’humanité de la Fondation Gates, qui cite plusieurs enquêtes gouvernementales, regardez cette vidéo.

Ce poste s’appuie sur le travail essentiel effectué à la Défense de la santé des enfants.

Nombreux liens dans l’article en anglais




COVID-19 : qui est complotiste?

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

Afin de nous trouver sur la même longueur d’ondes, il me faut définir ce mot.

Complotiste : défenseur d’une théorie du complot

C’est comme de dire, raciste : défenseur d’une théorie du racisme.

Nous n’allons pas loin, avec ça.

Un synonyme est conspirationniste.

Qu’est-ce qu’une théorie du complot ou de la conspiration ?

Ce qui est sûr, c’est que ces mots sont péjoratifs, mauvais. 

Personne n’aime cette étiquette : « complotiste », « théoricien de la conspiration ».

Depuis le 11 septembre 2001, ce mot déjà ancien [1] est utilisé pour disqualifier toute personne qui tient des propos contraires aux versions officielles

Analysons cette phrase car chaque mot est important.

Par officielles, beaucoup veulent dire : gouvernementales

Ce n’est pas tout à fait ça.

Si vous dites que Donald Trump, pourtant président officiel et chef élu du gouvernement des USA, raconte des conneries, a utilisé les Russes pour être élu [2] ou veut annuler les prochaines élections américaines [3], toutes théories du complot contre lui, contre Trump, tous les journalistes occidentaux vous applaudiront. Ils ne vous traiteront pas de conspirationniste même si, selon la définition, c’est ce que vous êtes en diffamant ainsi.

Dans le cas du COVID-19 de 2020, si vous dites que tous les docteurs (et il n’y en a pas deux, dix ou cent, mais des milliers à travers le monde) qui disent que l’hydroxychloroquine soigne le COVID-19 sont des fous échappés d’un asile d’aliénés [4], une fois encore, les journalistes vous féliciteront. En tout cas, même sans preuve de ce que vous avancez, personne ne vous traitera de théoricien du complot.

Pourtant, c’est une théorie et c’est dirigé contre des docteurs diplômés, officiels. 

En faisant cela, vous accusez des médecins [5] dont certains travaillent à l’Université ou dans des
hôpitaux reconnus, depuis des dizaines d’années, tels que le professeur d’épidémiologie Harvey Risch [6] de la Yale School of Public Health, le professeur Didier Raoult,  directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection à Marseille, le docteur Christian Perronne [7], professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes et ancien président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique, en plus de nombreux médecins moins connus mais tout aussi fiables et sérieux, médecins de famille, de terrain, généralistes ou spécialistes [8 à 13].

Vous êtes un fameux « théoricien conspirationniste » si vous pensez que tous ces docteurs diplômés mentent ou veulent vous manipuler, Dieu saurait pourquoi.

Pourtant, personne ne vous traitera de ça.

La vérité, c’est que vous serez étiqueté « complotiste » si et seulement si vous tenez des propos contraires aux versions officielles des personnes, institutions, gouvernements adoubés, reconnus.

Adoubés, reconnus par qui ?

  1. Par les institutions internationales (Organisation Mondiale du Commerce, Organisation Mondiale de la Santé, Fond Monétaire International, Forum économique mondial, Organisation des Nations-Unies, Commission Européenne, Agence européenne du Médicament…). 
  2. Par des relais nationaux qui rendent compte à ces institutions internationales et ce, dans tous les domaines importants, sanitaires, médicaux, éducatifs, médiatiques, économiques… [14]

Tout cela forme un système cohérent, transnational, supranational, animé de buts communs et utilisant un langage précis et étudié.

Il faut bien saisir que ce système est indépendant des hommes politiques et survit aux changements électoraux. Il se perpétue, quoi qu’il arrive, non pas au travers d’un président, d’une personne en particulier, mais au travers de ces institutions qui traversent tous les scandales [15 à 18] et toutes les attaques sans prendre une égratignure.

Qui dirige ce système ? 

Je ne vous répondrai pas ici d’abord parce que c’est un autre travail qui mériterait un article à part entière et ensuite, parce que de nombreux chercheurs ont déjà brillamment cerné ce sujet [19 à 22].

Donc, être président, chef de gouvernement, médecin diplômé et représenter une autorité valable et sérieuse ne suffisent pas pour vous protéger de toute contestation en arguant que le contestataire serait un complotiste.

Non.

Pour cela, pour bénéficier de cette protection, il faut appartenir à ce système, parler son langage et poursuive ses buts.

Ainsi, Anthony Fauci aux propos pourtant critiquables et contradictoires [23] ne sera jamais traité de complotiste. 

Le professeur Harvey Risch, oui.

Ainsi, les journaux qui affirment que le Remdesivir est efficace dans le COVID-19, contrairement à l’hydroxychloroquine, ne seront jamais qualifiés de complotistes.

Ceux qui disent le contraire, études et médecins à l’appui, oui. 

Le problème, c’est que Trump a dit qu’il était pour l’hydroxychloroquine aussi, et cela, c’est le discrédit à tous les coups.

On dit que le Remdesivir a prouvé son efficacité face au Covid-19, dans un journal belge du 11 août 2020 [24]. 

Les mots sont importants. 

Le mot « prouvé », en l’occurrence, est faux. 

Mais qui s’en apercevra, si vous n’êtes ni docteur, ni au fait des études en question ?

En attendant, un mensonge passe comme une évidence, une vérité.

Un seul traitement par le Remdesivir rapportera 2500 $ par patient à la firme Gilead [25].

L’hydroxychloroquine, rien ou quasi.

Les termes « complotisme » ou « théorie de la conspiration » n’ont rien à voir avec la vérité ou avec la crédibilité, cela a à voir avec le conformisme aux idées dominantes, dictées par le système qui poursuit implacablement ses buts.

Un autre mot important est le mot « théorie ». Théories de la conspiration

Cela sous-entend des divagations sans fondements, sans preuves.

Pourtant, de nombreuses affirmations étiquetées « théories de la conspiration » n’ont rien de théorique.

Il est rare d’avoir une preuve formelle au moment de son affirmation. Celle-ci peut découler de recherches, de réflexions, de présomptions.

En médecine légale ou en sciences criminelles, vous n’aurez pas toujours de preuves irréfutables mais un faisceau de présomptions solides (mobile, faits indirects et cohérents) qui suffit à condamner un accusé, selon la loi.

Prenons la « théorie conspirationniste » selon laquelle l’industrie pharmaceutique ferait pression pour discréditer l’hydroxychloroquine et privilégier ses produits coûteux, les antiviraux comme le Remdesivir ou les vaccins.

Ce serait bien d’avoir une preuve irréfutable de cela mais je vois mal un dirigeant de cette industrie écrire un tel aveu puis le laisser traîner afin qu’il tombe entre les mains d’un journaliste honnête. Ce serait vraiment suicidaire, vous ne trouvez pas ? Et de toute façon, on discréditerait ce dirigeant, ou ce journaliste, jusqu’à ce que leur parole soit sans valeur.

Par contre, comme on le ferait dans n’importe quelle enquête policière, y a-t-il un faisceau de présomptions solides ?

1) Cette industrie a-t-elle un mobile ?

Oui.

Cette industrie a un fameux mobile pour faire cela : l’argent.

Il ne s’agit pas de milliers ou de centaines de milliers d’euros qui pousseraient pas mal de gens à commettre des meurtres, mais de milliards d’euros [26-27].

2) Cette industrie a-t-elle les moyens de faire cela ?

Oui.

On le sait grâce au témoignage de personnes de l’intérieur, comme John Virapen ex-PDG d’Eli Lilly & Company en Suède [28], ou d’anciens rédacteurs en chef de grandes revues médicales comme Marcia Angell [29] (New England Journal of Medicine) ou Richard Horton [30] (Lancet).

3) Celle industrie l’a-t-elle déjà fait ?

Oui.

Il y a des cas avérés, prouvés qui illustrent la corruption de médecins par l’industrie pharmaceutique, comme celui de l’anesthésiste Scott Reuben ayant falsifié des données concernant l’efficacité de l’antidépresseur Effexor (venlafaxine), produit par la firme Wyeth (fusionnée avec Pfizer) dans les douleurs neuropathiques et postopératoires [31].

Et ce n’est qu’un exemple [32]. Plus récemment, vous avez le Lancet-Gate: « Mensonges scientifiques sur le coronavirus » et corruption des grandes sociétés pharmaceutiques.

Même lorsque les preuves sont là, avez-vous déjà vu un journaliste qui avait accusé quelqu’un de « théoricien du complot » faire son mea culpa, s’excuser de sa méprise et rétablir la réputation du « théoricien » en question ? Et surtout, rétablir la vérité ?

Pour seul exemple, je vais prendre l’histoire des bébés koweïtis arrachés à leur couveuse et jetés à terre par les soldats irakiens pour justifier l’intervention américaine en Irak en 1990. Le président Georges Bush senior s’en est servi à plusieurs reprises, dans plusieurs discours enflammés. 

C’était un mensonge [33]. 

Nous le savons. 

Pourtant, quiconque qui l’aurait su ou compris, et l’aurait dit à ce moment aurait été traité de « théoricien du complot » de connivence avec Saddam Hussein.

Pour la petite histoire et vous démontrer que ces techniques n’ont pas cessé en 1991 ou après la preuve de ce mensonge, la firme malhonnête derrière ce mythe est la même firme qui a aidé en 2020 l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à faire croire à la pandémie COVID-19 et à faire respecter ses diktats : la firme Hill & Knowlton [34].

Alors, qu’est-ce que ça veut dire, complotiste, et qui l’est vraiment ?

On le voit, ça ne veut rien dire.

C’est une étiquette péjorative, mauvaise, qui ne vous sera pas donnée si vous mentez, ou si vous critiquez une personne ou un gouvernement qui justement dérange le système.

Elle vous sera donnée si ce que vous dites, même si c’est vrai, plausible, prouvé, va à l’encontre du discours autorisé du système.

Vérifiez par vous-même.

Critiquez les docteurs qui défendent l’usage de l’hydroxychloroquine dans le COVID-19, et vous ne serez pas accusés de complotisme. 

Vous serez écoutés, approuvés.

Critiquez Anthony Fauci ou les conseils de sécurité nationaux contre le COVID-19, alors oui, vous serez accusés de complotisme, et même de tous les maux.

Très souvent, cela n’a rien à voir avec des théories.

Les faits avancés sont parfois prouvés, très souvent étayés de nombreux arguments solides et plausibles.

Les mots sont très importants. Ne sous-estimez pas leur importance. Ce sont eux qui dirigent nos pensées.

Je le sais en tant que docteur, mais également en tant que passionné de communication à visée thérapeutique.

Comme les tous premiers médecins de l’Antiquité, je sais que les mots peuvent guérir.

Ils peuvent aussi rendre dociles ou malades.

« Complotiste », « conspirationniste », « théoricien du complot » ne servent qu’à couper court à tout débat.

Qu’à faire rejeter la personne que le système dominant veut discréditer, pour que cette personne ne soit plus écoutée.

C’est cela qui est dangereux ; pas les « théories du complot ».

Ce qui est vraiment dangereux est de ne même pas vouloir débattre et d’exclure des idées, des personnes et des opinions sous prétexte qu’elles dérangent.

C’est cela qui sème les graines d’une société totalitaire ; pas les théories du complot.

C’est en refusant tout débat, toute discussion et en brandissant ce genre d’expression disqualifiante, que le pire vient.

Dr Pascal Sacré


Image en vedette : pixabay.com

Notes :

[1] Théorie du complot, Wikipédia

[2] Ingérence : comment la Russie a biaisé la campagne de 2016 au profit de Trump

[3] Comment Trump pourrait saboter l’élection pour la remporter

[4] Hydroxychloroquine: Goliath contre David, acte I : les détracteurs

[5] Covid-19 – Hydroxychloroquine, David contre Goliath, acte II : les supporteurs

[6] L’hydroxychloroquine agit chez les patients à haut risque, et dire le contraire est dangereux, Harvey Risch M.D., Ph.D., professeur d’épidémiologie à la Yale School of Public Health.

[7] Christian Perronne : “À Garches, nous avons de bons résultats avec l’hydroxychloroquine”, 15 avril 2020, Fervent défenseur du traitement à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine, pour le Pr Christian Perronne la question de son efficacité ne se pose plus. Chef du service infectiologie de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, il le constate tous les jours depuis le début de l’épidémie : le traitement du Pr Raoult soigne et réduit considérablement les passages en réanimation.

[8] Riposte à la covid-19 : la saine colère du Dr BELLATON, Source : page Facebook de Silviane Le Menn, 20 avril 2020.

[9] Coronavirus : le bilan très positif d’un praticien lorrain qui prescrit l’hydroxychloroquine, le Républicain Lorrain, Philippe Marque, 6 avril 2020. Le bilan est plus que positif : « J’ai utilisé ce protocole sur une dizaine de patients hospitalisés, qui ont donc un Covid-19 déjà relativement inquiétant, et je n’ai eu ni décès ni aucune évolution vers un stade grave nécessitant une réanimation. »

[10] Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine, le Républicain Lorrain, Thierry Fedrigo, 11 avril 2020. Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.

[11] Un médecin néerlandais soigne les patients atteints de coronavirus, mais le gouvernement néerlandais n’est pas content, Amari Roos, 10 avril 2020

[12] Des médecins algériens attestent de l’«efficacité quasi totale» de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 27 avril 2020. Les chefs de services de maladies infectieuses d’un hôpital à Blida et d’un autre à Alger affirment que le protocole à base d’hydroxychloroquine, suivi dans le traitement des patients atteints du coronavirus, donne un résultat positif « quasi-total »

[13] Après l’Algérie, le Maroc encense l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 1 mai 2020. Le protocole thérapeutique à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine utilisé contre le Covid-19 « a donné des résultats positifs » au Maroc, a déclaré le ministre de la Santé, précisant que les « effets secondaires sont minimes ».

[14] Ordres nationaux tels que l’Ordre des Médecins, l’Ordre des Pharmaciens, Hautes Autorités de Santé, Sciensano en Belgique…

[15] Agence européenne du médicament : des experts sous influence ?, 12 décembre 2017.

[16] Covid-19: les conseillers du pouvoir face aux conflits d’intérêts, paru le 31mars 2020, écrit par Rozenn Le Saint et Annton Rouget.

[17] Coronavirus : des liens troubles entre labos et conseils scientifiques, Valeurs actuelles, 3 avril 2020.

[18] L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe va enquêter sur l’OMS et le scandale « pandémique », Mondialisation.ca,  F. William Engdahl, 6 janvier 2010

[19] Anthony C Sutton : économiste, historien et écrivain britannique. Sutton fut chercheur à Stanford au sein de la fondation Hoover de 1968 à 1973. Il enseigna l’économie à l’UCLA. Il étudia à Londres, Göttingen et UCLA et fut titulaire d’un doctorat en sciences de l’Université de Southampton, en Angleterre. En 1972, au sein de la Hoover Institution à Stanford : Wall Street et l’ascension de Hitler , Wall Street et la révolution bolchévique

[20] Carroll Quigley : historien américain et professeur d’histoire à l’Université de Georgetown de 1941 à 1976. Quigley est né à Boston où il étudie par la suite et où il décroche deux diplômes et un doctorat d’histoire de la proche et très réputée université Harvard. À l’Université de Georgetown  : Tragedy and Hope: A History of the World in Our Time

[21] Pierre Hillard :  essayiste français, docteur en science politique : La marche irrésistible du nouvel ordre mondial , Chroniques du mondialisme

[22] Michael Parenti, historien, politologue et critique culturel américain. Il a enseigné dans des universités américaines et étrangères. À lire absolument : L’Horreur impériale

[23] Lancet-Gate: « Mensonges scientifiques sur le coronavirus » et corruption des grandes sociétés pharmaceutiques., Mondialisation.ca, Prof Michel Chossudovsky, 15 juillet 2020. Le Dr Anthony Fauci, conseiller de Donald Trump, présenté comme « le meilleur expert américain en maladies infectieuses », a joué un rôle clé dans le salissage du remède HCQ qui avait été approuvé des années plus tôt par le CDC, ainsi que dans la légitimation du Remdesivir de Gilead.

[24] Le remdesivir, médicament qui a prouvé son efficacité face au Covid-19, 11 août 2020.

[25] Le traitement au remdesivir coûtera 2.340 dollars, selon Gilead, 29 juin 2020

[26] COVID-19 : au plus près de la vérité. Vaccins., Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 2 août 2020

[27] COVID-19: au plus près de la vérité – Hydroxychloroquine (HCQ), Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 29 juillet 2020

[28] Médicaments effets secondaires : la mort, les laboratoires nous trompent. John Virapen, le cherche midi éditions, 2014

[29] La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, comment elles nous trompent, comment les contrecarrer, Marcia Angell, MD, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, traduction en français, les éditions le mieux-être, 2005.

[30] COVID-19 : le côté obscur de la science révélé, Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 26 mai 2020

[31] Top Pain Scientist Fabricated Data in Studies, Hospital Says, 11 Mars 2009

[32] Du Nujol au Tamiflu : la guerre menée par l’industrie pharmaceutique contre nos santés, Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 16 juin 2010

[33] l’affaire des Couveuses de la Mort et le début de la Guerre du Golfe

[34] COVID 19 – Contrat de l’OMS avec la société de relations publiques Hill & Knowlton


La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2020




COVIDGATE : Robert Kennedy dénonce l’arnaque, Trump démantèle son équipe anti-Covid 19 puis recule

[Source : Strategika]

Par Michèle Marie pour Strategika

Robert F. Kennedy Jr. a récemment lâché une série de bombes au sujet de l’arnaque des vaccins de Bill Gates, censés rapporter des milliards de dollars à l’équipe anti-Covid 19 nommée par Trump en février dernier. Le 4 mai, le président américain a annoncé son démantèlement pour la fin du mois en cours, avant de faire brusquement volte-face 24 heures plus tard.
Cherchez à qui profite le crime…suivez la piste de l’argent, si vous voulez comprendre l’insistance à noircir le tableau et à vacciner la planète entière, a déclaré Kennedy dans une interview du 17 avril dernier. Belle imposture que celle de cette collusion entre Big Pharma, la Fondation Gates et l’agence gouvernementale qui emploie le Dr Anthony Fauci, chef de l’équipe du Covid 19, et qui pourrait recevoir jusqu’à 50 % du produit des ventes des vaccins de Gates. Le NIH (Institut national de la santé) est l’acteur clé dans le processus décisionnel en matière de vaccination et il touchera des sommes colossales si la société pharmaceutique soutenue par Gates, Moderna Inc., obtient le feu vert.

Bobby Kennedy Jr, un démocrate, est le neveu du President assassiné en 1963 et le fils de Robert Kennedy Sr, Procureur général et Sénateur, lui aussi assassiné cinq ans plus tard. Avocat de renom et passionné des questions d’environnement et de santé, il est devenu depuis une quinzaine d’années un ardent activiste anti-vaccins.

Le 15 avril dernier, Bobby Kennedy avait déjà fait d’autres révélations troublantes sur la carrière médicale du Dr Anthony Fauci au sein du gouvernement, dénonçant ses agissements douteux allant de la dissimulation à la fraude pure et simple. Kennedy avait également pris pour cible Dr. Deborah Birx, élève de Fauci et coordinatrice de l’équipe anti-Covid 19,  torpillant au passage Bill Gates, les grandes entreprises pharmaceutiques et les médias.

Le 30 avril, c’était au tour du Sénateur Scott Jensen de faire trembler les murs dans une interview au cours de laquelle il évoqua les magouilles du Covid-19, en se prévalant de son expérience de médecin : 

“A l’heure actuelle, l’assurance maladie détermine que si un patient est admis à l’hôpital pour un COVID-19, l’établissement hospitalier reçoit 13.000 dollars (trois fois plus que pour un autre malade).Si ce patient COVID-19 est placé sous respirateur, l’hôpital reçoit 39.000 dollars, soit trois fois plus que sans respirateur. C’est une pratique courante : vous essayez toujours d’augmenter l’indice de gravité de la pathologie pour obtenir plus de fonds. Et les hôpitaux sont mieux payés quand ils désignent le “coronavirus” comme cause du décès. C’est donc ce qu’on marque sur les certificats de décès.”

Dr Judy Mikovits, une éminente scientifique américaine et une pionnière dans le domaine de la recherche, qui avait brisé le 21 avril un silence de 30 ans pour démasquer le Dr. Fauci, donna le 4 mai une interview explosive qui peut être visionnée ici à la journaliste Tina Aguayo, sur la plateforme d’AmericasVoice.News.  Le compte twitter de la journaliste vient d’être suspendu et si la vidéo de l’émission est  pour l’instant encore visible sur YouTube, il vaut mieux en faire immédiatement une sauvegarde car elle sera bientôt censurée. 

Dr Mikovits y raconte en detail le cauchemar enduré durant ses longues années de recherche sous le contrôle administratif du Dr. Fauci au sein du NIH, la corruption et la cupidité qui y sont les mots d’ordre: menaces, vaccins contaminés, fraude, dissimulation…rien ne manque à son récit.Pas même son emprisonnement de 5 ans par les bons soins du Dr Fauci, sur la base d’un faux témoignage, après qu’il lui ait volé ses découvertes scientifiques non pas une, mais deux fois. Les vaccins tuent, affirme Dr. Mikovits, ou sont à tout le moins responsables de quantité de maux modernes jadis quasi-inexistants, l’autisme, les allergies chroniques, les maladies épidémiques. L’extrême toxicité de leur composition est due aux métaux utilisés comme adjuvants, mais également au fait que les vaccins sont mis au point à partir de cultures de cellules animales (quand elles ne sont pas fœtales).

Les deux dernières minutes de l’interview sont un message adressé au Président Trump :

“Mettez fin aux masques faciaux qui activent les virus et tuent littéralement les gens, en particulier ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe. Nous ne devons pas continuer à respirer notre propre air vicié, les personnes les plus vulnérables peuvent en mourir.Mettez fin au confinement. Licenciez les Dr Anthony Fauci et Deborah Birx.Fermez la FDA [Food and Drug Administration] qui empêche les gens d’avoir accès aux médicaments susceptibles de leur sauver la vie [comme l’hydroxychloroquine]. Mettez fin au programme de vaccination, imposez un moratoire de 5 ans, ne permettez plus qu’aucun autre vaccin ne soit prescrit.Le Covid 19 est un fléau, mais c’est un fléau créé par la corruption, pas par une maladie”.

Comme l’indique cette capture d’écran d’un tweet publié sur la page de Tina Aguayo peu avant qu’elle ne soit censurée, le même Dr Fauci qui s’était opposé à Trump pour l’usage de l’hydroxychloroquine dans le traitement du coronavirus, l’avait adoptée avec enthousiasme en 2013 sans avoir besoin d’aucun test clinique.

Le témoignage du Dr Judy Mikovits est également accessible dans un ouvrage * dont elle est l’auteur, préfacé par Robert Kennedy et paru le 14 avril dernier : “Plague of Corruption: Restoring Faith in the Promise of Science”. [Le fléau de la corruption ou comment rétablir la confiance dans les promesses de la science] 

Quelques heures après son interview, Dr. Mikovits se réjouissait dans un tweet du fait que le President l’avait visionnée avec intérêt. La chose lui avait été rapportée. Elle annonçait aussi une grande nouvelle qui devait être annoncée prochainement.

Et en fait, dès le lendemain, semblant prendre acte de ses dénonciations, Trump annonçait le démantèlement de son équipe anti-Covid 19 pour la fin mai, ainsi que la réouverture de l’économie qui, jusqu’en février dernier, avait été son meilleur atout.Du reste, depuis quelque temps déjà, des doutes l’assaillaient sur le petit jeu malsain joué en coulisse par le Dr Fauci. Il lui en avait même manifesté de l’irritation, notamment le 13 avril dernier en retweetant un appel au renvoi de Fauci.

Or voici qu’en l’espace de 24 heures, un coup de tonnerre est venu trouer cette belle éclaircie : lorsque dans une volte-face inattendue, Trump a déclaré que tous comptes faits, il entendait “conserver indéfiniment” son équipe Covid 19 et, en particulier, les Dr Fauci et Birx. Même CNN en était estomaqué. Pressé de s’expliquer, le président a déclaré qu’en raison de “la popularité de son équipe”, il s’était “rangé à l’avis de ses conseillers”.Dr. Fauci doit comparaitre le 12 mai pour être examiné par une commission du Sénat américain sur la réponse donnée par l’Administration à la crise du Covid 19. Trump a-t-il voulu esquiver une guerre ouverte avec son expert épidémiologiste pour ne pas mettre en danger ses perspectives de réélection  à 6 mois des présidentielles de novembre ? Cela est plus que probable. Saura-t-il mener son embarcation à bon port sans la faire chavirer dans des eaux où pullulent les requins aux dents longues ? C’est à voir.




Le coronavirus de la bonté

[Source : Le Saker Francophone]


Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

Que va-t-il se passer avec le terrible-si-horrible mais pas si nouveau coronavirus de l’enfer ? Je pense que le SARS-Cov-2 (son nom officiel) va suivre le chemin du SARS-Cov-1, et je ne peux reprocher à quiconque de ne pas s’en souvenir. Ces deux virus sont identiques à 80% et on pense qu’ils proviennent tous deux de chauves-souris. Mais ils se comportent différemment. Le virus n°1 provoque l’apparition de symptômes peu après l’infection et, bien qu’il ne se propage pas aussi férocement que le n°2, il tue beaucoup plus les personnes qu’il infecte. Le deuxième est si contagieux qu’à ce stade, le contenir semble une perspective peu probable dans le monde entier, et même les efforts acharnés pour ralentir sa propagation n’ont pas fait une grande différence.

Mais le numéro 2 a ses bons côtés : il tue un pourcentage infime des personnes qu’il infecte et sa létalité est similaire à celle d’autres virus de la grippe bien connus. En fait, maintenant que la pandémie de coronavirus a atteint un plateau ou est en déclin dans une grande partie du monde, il semble que le numéro 2 n’affectera pas de manière significative les statistiques sur la mortalité, sauf peut-être en Belgique, à Saint-Marin et en Andorre. Après ajustement pour tenir compte de la croissance démographique et du vieillissement de la population dans de nombreux pays, la mortalité est actuellement inférieure à ce qu’elle était pendant la majeure partie de ces dernières années. En dépit de ces différences, les numéros 1 et 2 présentent deux grandes similitudes : premièrement, ils ont tous deux fait l’objet d’une campagne de publicité incessante ; et deuxièmement, je pense qu’un proche avenir nous le montrera, ils auront tous deux disparu sans laisser de traces.

Mais il y a une différence majeure entre les numéros 1 et 2. Alors que le n° 1 n’était qu’un virus de bad boy – une nuisance mineure qui n’a causé que 700 morts (un peu moins de 0,000001% de l’humanité) – on peut affirmer sans risque de se tromper que le n° 2, bien qu’il ait déjà tué 0,003% de l’humanité et qu’il soit en voie d’en tuer 0,001% de plus, est un bon virus – si bon que je suis tenté de l’appeler le don de Dieu à l’humanité. Pour citer le Faust de Goethe, le n°2 pourrait dire, pour sa propre défense : « Je fais partie de cette puissance qui veut éternellement le mal et qui fait éternellement le bien ». Comme cela peut paraître choquant, laissez-moi vous expliquer exactement ce que j’entends par là.

Tout d’abord, permettez-moi de planter le décor – très brièvement, puisque j’ai déjà exploré ce territoire en détail auparavant. La pandémie de coronavirus, en tant que réponse irrationnelle et hystérique à un virus grippal relativement bénin, n’a pas entraîné l’effondrement économique ; elle ne l’a même pas déclenché. Ce qu’elle a fait, c’est le masquer. Le phénomène qui a provoqué l’effondrement est appelé « pic pétrolier ».

Le pic pétrolier s’est produit en 2005, après quoi la production de pétrole conventionnel a atteint un « plateau ondulant » (charmante tournure de phrase de Daniel Yergin). Comme les économies du monde entier ont continué à croître, et comme la croissance économique de toute économie industrielle ou en voie d’industrialisation dépend directement de l’augmentation de la consommation de pétrole, les prix du pétrole ont atteint un sommet historique de 147,27 dollars le baril le 11 juillet 2008. Cet événement a déclenché le premier effondrement financier du XXIe siècle, qui a été couvert par des emprunts incessants des gouvernements du monde entier et par la création de monnaie par les banques centrales.

Une reprise temporaire et partielle a été rendue possible par l’arrivée sur la scène du pétrole de schiste aux États-Unis, ce qui a permis à ce pays de redevenir pendant un bref instant le plus grand producteur de pétrole au monde. Mais le pétrole de schiste est une ressource qui s’épuise rapidement et ce bref moment de gloire, pendant lequel des personnes stupides ont inventé le terme « Saudi America », est maintenant terminé. Les implications de cette évolution se sont faites sentir en août 2019, lorsqu’il s’est avéré que les bons du Trésor américain, qui étaient censés être à la base du marché financier le plus sûr et le plus liquide du monde, ne pouvaient plus être utilisés comme garantie, même pour des prêts au jour le jour, sans payer un taux d’intérêt exorbitant.

En janvier 2020, après un délai de six mois, l’économie mondiale était prête à s’effondrer. Cet événement aurait eu des conséquences politiques dévastatrices s’il n’y avait pas eu un événement fortuit qui a permis aux gouvernements du monde entier de crier « Regardez, un écureuil ! », faisant dire à tout le monde « Quel écureuil ? » tout en regardant autour de soi dans la confusion. Au lieu d’être contraints d’accepter la responsabilité d’un effondrement économique sur lequel ils n’avaient aucun contrôle, ils ont choisi de fermer les transports aériens, de fermer les frontières nationales, d’imposer des fermetures, des confinements et des couvre-feux, et de prendre d’autres mesures économiquement destructrices,  devançant en actes le rouleau compresseur de l’effondrement économique au lieu de le laisser simplement passer sur eux.

Le coronavirus mérite une standing ovation et d’être salué pour ce travail bien fait. Au lieu de l’enchevêtrement apparemment inévitable de l’effondrement financier, commercial et politique, il a permis aux gouvernements du monde entier de mettre en place un arrêt contrôlé d’une grande partie de l’économie et d’empêcher le château de cartes financier de s’écrouler d’un seul coup tout en maintenant un minimum de contrôle, ou du moins l’apparence de contrôle. Mais ce faisant, ils ont fait un marché faustien : les politiciens permettent à la bête sauvage qu’est le coronavirus, dirigée par ses intrépides épidémiologistes, de les traîner dans un jardin au bout duquel se trouve quelque chose qu’ils ne peuvent pas encore voir, mais pour certains d’entre eux, cela pourrait bien être la guillotine.

Ils prétendent nous sauver de quelque chose qui pourrait tuer jusqu’à 0,005 % d’entre nous dans un contexte où le taux de mortalité est de 0,95 %. Autrement dit, pour chaque 190 d’entre nous qui mourront cette année, un mourra du coronavirus et les autres d’autres causes. Mais cela surestime le risque, puisque même cette personne serait bientôt morte d’autre chose, car le coronavirus ne tue pas des personnes par ailleurs en bonne santé. Les politiciens peuvent essayer de faire croire que chaque vie est précieuse et que la sauver justifie un sacrifice quelconque, mais beaucoup de décès dus à d’autres causes sont bien plus courants et bien plus faciles à prévenir, et pourtant ils ne sont pas considérés comme nécessitant des actions précipitées et économiquement destructrices.

Les politiciens, et les épidémiologistes qui leur chuchotent à l’oreille, sont maintenant engagés dans une tentative désespérée de sauver la face, continuant à prétendre que les restrictions qu’ils ont imposées ont contenu la pandémie de coronavirus, ou du moins l’ont ralentie, et leur ont ainsi permis de gagner du temps pour se préparer à la combattre bec et ongles. Mais chaque jour qui passe, il devient de plus en plus évident que les dommages causés à la société par les conséquences involontaires des mesures de lutte contre le coronavirus, telles que l’accès aux soins médicaux, les difficultés dues au chômage et bien d’autres, entraînent des pertes de vies humaines plus importantes que celles dues au coronavirus lui-même. Nous pouvons plaindre les pauvres politiciens qui ont eu recours à la ruse du coronavirus pour éviter d’assumer la responsabilité de l’effondrement en cours, ou nous pouvons remercier le coronavirus d’avoir fourni l’écran de fumée nécessaire pour éviter, ou du moins pour différer, l’effondrement politique.

Certains politiciens pourraient utiliser la ruse du coronavirus à leur avantage en choisissant un moment stratégique – lorsque la pandémie est en grande partie terminée – pour mettre le holà aux amateurs de coronavirus, en commençant par l’Organisation mondiale de la santé et en poursuivant aussi tous les épidémiologistes locaux de haut rang qui ont suivi ses conseils. L’OMS est pour l’instant une cible facile, car ils se sont constamment trompés en terme de prévisions et de prescriptions. Ses politiques ont été une parodie, et il devrait être facile pour les démagogues de prétendre qu’elle a été criminellement négligente, puisque, comme on pourrait le supposer de manière mensongère, les mesures qu’elle a dictées ont provoqué l’effondrement de l’économie.

De telles manœuvres politiques ne sont pas sans précédent. Joseph Staline, par exemple, a conclu ses purges mondialement connues par une purge complète des commissaires qui les ont menées. On a dit qu’ils avaient outrepassé leur autorité, et Staline a donc signé leurs arrêts de mort et les a tous fait fusiller. Malgré toute sa puissance, Staline n’aurait probablement pas pu survivre s’il avait essayé de se débarrasser directement d’eux. Vous trouverez peut-être ces manœuvres machiavéliques un peu dures, mais nous parlons alors d’un leader dont le nom de guerre, Staline, signifie « homme d’acier » (son vrai nom de famille était Dzhugashvili).

Il se pourrait donc très bien que certains des dirigeants politiques les plus avisés saisissent cette occasion, surfent sur la crête de la colère populaire une fois que la pandémie sera largement passée et que la dévastation économique deviendra évidente, et déclarent l’OMS, ainsi que tous ceux qui naviguent dans son sillage, comme organisation terroriste. L’OMS est un consortium d’intérêts financiers qui contrôle les grandes entreprises pharmaceutiques et qui est soutenu dans une large mesure par un oligarque particulièrement odieux – Bill Gates de Microsoft. Pour moi, Gates est la preuve vivante qu’un idiot peut être diabolique.

Il a gagné sa fortune grâce à un plan de corruption par lequel sa société a obtenu le monopole sur les systèmes d’exploitation des ordinateurs personnels IBM, ce qui lui a permis de prélever une « taxe Microsoft ». Ses incursions ultérieures dans l’éducation semblent avoir été destinées à rendre le monde sûr pour Microsoft en conditionnant des générations de jeunes à supporter les produits de Microsoft, implacablement défectueux et généralement inférieurs. (J’ai boycotté Microsoft pendant les 20 dernières années avec d’excellents résultats).

Aujourd’hui, Gates semble être le fer de lance d’un mouvement visant à immuniser tout le monde contre tout et n’importe quoi, jusqu’aux virus qui provoquent le rhume (qui se trouvent être des inoculants parfaitement efficaces et librement disponibles contre eux-mêmes). J’espère que les dirigeants nationaux du monde entier s’uniront pour interdire l’OMS, auquel cas nous devrons remercier le SRAS-CoV-2 d’avoir contribué à ce que cela se produise.

Mais il y a bien d’autres choses dont nous devons être reconnaissants. Tout d’abord, malgré toute la mauvaise publicité dont il a fait l’objet, le SRAS-CoV-2 (n°2 en abrégé) est gentil et bien élevé. Il apporte un rapide coup de grâce aux personnes âgées et aux malades – tous ceux qui s’attendraient à une existence particulièrement désagréable après un effondrement économique. On ne peut pas faire grand-chose pour ceux qu’il décide de tuer. En les branchant à des appareils de ventilation pulmonaire artificielle, on prolonge leur agonie, mais 9 sur 10 d’entre eux meurent de toute façon. Certains pourraient dire que n° 2 a été envoyé sur Terre par un Dieu compatissant qui aime l’humanité et s’efforce de nous rendre plus jeunes et en meilleure santé alors que nous nous préparons à des temps difficiles, mais l’OMS s’est alors impliquée et a fait échouer le brillant plan de Dieu en convainquant les gouvernements de tout fermer et d’enfermer tout le monde.

Mais ensuite, d’autres pourraient dire que tout fermer et enfermer tout le monde fait partie du brillant plan de Dieu. Comme je l’ai expliqué plus haut, l’effondrement financier et économique devait se produire indépendamment de l’arrivée de n° 2 sur la scène, et la meilleure réponse à l’effondrement économique est de fermer toutes les activités non essentielles, comme le tourisme, la publicité, les spectacles, le shopping de luxe, le toilettage des chiens, les massages érotiques, etc. Une autre réponse parfaitement légitime à l’effondrement économique consiste à rapatrier des personnes, puis à fermer les frontières nationales, afin de bloquer le flux de migrants économiques en provenance de pays condamnés vers des pays qui ne le sont peut-être pas – du moins pas encore.

Vu sous cet angle, le n° 2 a été des plus utiles pour fournir la couverture politique nécessaire et générer un climat de peur suffisant, permettant d’imposer un niveau d’austérité qui n’aurait pas été toléré autrement et qui aurait conduit à des émeutes et des révolutions dans de nombreux endroits, par opposition aux émeutes dans certains endroits seulement, comme Lansing, dans le Michigan. Un autre effet du n° 2 a été de mettre à l’épreuve différents pays, sociétés et cultures politiques, afin de voir lesquels resteront des concurrents dans un monde post-coronavirus et lesquels doivent commencer à chercher un endroit confortable où se blottir à la lisière de l’histoire. La réaction au n° 2 aux USA (ou plutôt à l’effondrement que le n° 2 a servi à masquer) a produit un taux de chômage d’environ 25 % (et cela s’ajoute à un taux de sous-emploi – les travailleurs dits « découragés » – de 25 % supplémentaires) et des taux de mortalité très élevés dû à n° 2, car son ridicule système de services médicaux à but lucratif s’est effondré. Des résultats tout aussi épouvantables ont été obtenus dans d’autres pays occidentaux qui, jusqu’à présent, ont été vantés comme disposant de merveilleux systèmes médicaux.

Comparez cela à la Russie prétendument arriérée, qui vient de sortir de six semaines d’auto-isolement qui, pour la plupart des gens, se résumait à des vacances payées sans loyer, avec une exonération d’impôts et de dettes et une généreuse allocation pour la garde d’enfants versée par un fonds de stabilisation national. Là-bas, des tests à grande échelle ont révélé un grand nombre de cas n° 2, mais la Russie a cependant un taux de mortalité n° 2 si bas que son système médical fait maintenant l’envie du monde entier. À la réouverture de la frontière, la Russie est elle aussi confrontée à une tâche redoutable, car elle ne peut plus demander au reste du monde de payer des taxes au nom de ses citoyens en taxant ses exportations d’hydrocarbures, du moins à court terme, en raison d’une surabondance temporaire. À plus long terme, elle pourrait se heurter à un problème similaire en raison du manque de partenaires commerciaux solvables. Elle sera plutôt contrainte de se tourner vers le développement interne, le remplacement des exportations et une autarcie limitée. Si elle y parvient, elle devra remercier le n° 2 de lui avoir accordé une période de relative normalité qui lui a permis de se mobiliser et de planifier. Elle devra également remercier le n° 2 d’avoir détruit l’un de ses principaux concurrents, la zone de schiste aux États-Unis.

Cette période de relative normalité entre l’arrivée mystérieuse du n° 2 et son départ tout aussi mystérieux sera très probablement relatée avec un sentiment de nostalgie – un calme avant la tempête, pendant lequel les gens ont pu rester à la maison et jouer avec leurs enfants. C’est un moment de réflexion : des masses de plancton de bureau ont eu l’occasion de revenir sur leur vie d’avant la tempête, sur leur existence de quasi-drone pousseurs-de-boutons ponctuée de séances de shopping compulsifs pour des choses dont ils n’avaient pas besoin, de séjours de deux semaines sous les tropiques et de temps libre rempli d’« infotainement » vaporeux, et de réaliser qu’ils ne sont plus nécessaires et que leur séjour dans l’enfer de la consommation est désormais terminé.

Outre les planctons des bureaux, toute l’industrie du tourisme [y compris les avionneurs, NdT], qui s’est employée à transformer le plus grand nombre possible de destinations en destinations touristiques, toutes identiques (c’est-à-dire touristiques), n’est plus vraiment nécessaire non plus si tout le monde doit maintenant faire des économies en restant chez soi. Il en va de même pour les restaurateurs, qui en sont réduits à offrir des services de livraison de nourriture, qui ne sont plus vraiment nécessaires alors que les gens réapprennent à cuisiner à partir de zéro – une compétence très utile dans un monde où les gens ont plus de temps que d’argent. De même avec les enseignants et les instructeurs de tous types, maintenant que les parents se rendent compte que l’enseignement à distance ne fonctionne pas vraiment (et, pour aller plus loin, que l’éducation en général ne fonctionne pas non plus vraiment) et que l’enseignement à domicile peut fonctionner beaucoup mieux.

Au-delà de la simple pression sur le bouton « supprimer » d’un grand nombre de fonctions non essentielles (ou, pour parler franchement, inutiles et contre-productives), le n° 2 a donné aux gens une chance de se réhumaniser. Les gens sont des animaux sociaux et il est essentiel que les adultes puissent se frotter à d’autres humains dans un bar et que les enfants puissent jouer ensemble sur un terrain de jeu. Il y a eu une mode passagère de personnes assises ensemble mais s’ignorant en regardant leur smartphone, mais une autre bonne et longue période à être assis seul dans une pièce en regardant un smartphone est généralement suffisante pour que la plupart des gens aspirent à de véritables contacts humains. Cette demande refoulée d’une véritable interaction humaine est utile pour faire comprendre ce que sont réellement les communautés numériques et les réseaux sociaux : une fausse sociabilité.

Auparavant, les gens affluaient dans les villes, pour voir et être vus, et étaient prêts à payer des loyers exorbitants pour vivre dans de minuscules placards, mais qu’y a-t-il à voir maintenant que les rues des villes sont pour la plupart vides, que la plupart des lieux sont fermés, et que les quelques personnes que vous pourriez voir lorsque vous vous aventurez dehors sont muselées par des masques faciaux, se tiennent à deux mètres les unes des autres et sont obligées de suivre des règles strictes sur le moment et l’endroit où elles peuvent ou ne peuvent pas être et sur ce qu’elles peuvent ou ne peuvent pas faire ? C’est ainsi que les nombreux charmes de la campagne commencent à attirer les gens loin des villes. En fait, partout où de nombreuses personnes possèdent un logement à la campagne, il y a eu un exode vers la campagne. De même, dans les pays disposant d’une infrastructure numérique développée, de débits de données à des prix raisonnables et d’un accès 3G ou meilleur partout, il s’est avéré que la plupart des citadins peuvent être tout aussi productifs à la campagne qu’en ville, mais à un coût bien moindre pour eux-mêmes et pour l’environnement.

Même si ce n’est pas le cas aujourd’hui, je prédis que dans quelques mois, nous nous souviendrons avec nostalgie de ce moment particulier où les gouvernements du monde entier ont inexplicablement fermé leurs frontières et leurs économies pour sauver leurs populations d’un virus pas particulièrement mortel. Mais ça ne sera possible que si les gens ont le luxe de prendre le temps de regarder en arrière, car beaucoup de choses vont se passer rapidement alors que la planète se reconfigure rapidement. Vous souvenez-vous des problèmes urgents auxquels nous étions confrontés le 1er janvier 2020 ? Ce qui semblait important à l’époque l’est-il toujours ? Aussi étrange que cela puisse paraître, cette période, où rien ne s’est encore vraiment passé, est à votre portée. C’est une pause qui rafraîchit. N’oubliez pas de remercier le n° 2 de vous avoir donné une si merveilleuse excuse pour éviter la réalité de l’effondrement pendant encore un petit moment.

Dmitry Orlov




C’en est assez du consensus !

[Source : Réseau Voltaire]

par Thierry Meyssan

En théorie, les politiques et les médecins qui ont suivi de longues études sont des scientifiques. Mais en pratique, rares sont ceux qui ont une démarche scientifique. Personne aujourd’hui ne souhaite endosser la responsabilité des mesures prétendument sanitaires qui ont été prises (confinement, distanciations sociales, port de masques et de gants). Tous se réfugient derrière des décisions collégiales, l’invocation de la Science et le consensus.

JPEG - 46.9 ko
De gauche à droite : le ministre de l’Intérieur, le Premier ministre et le ministre de la Santé annoncent des mesures anticonstitutionnelles. Ils cèdent la parole au président du Comité scientifique Covid-19 et du Comité consultatif national d’éthique pour recevoir sa bénédiction « scientifique ».

Collégialité de façade

L’épidémie de Covid-19 a pris de surprise les responsables politiques qui avaient perdu de vue leur fonction première : protéger leurs concitoyens.

Paniqués, ils s’en sont remis à quelques gourous. En l’occurrence au mathématicien Neil Ferguson de l’Imperial College [1] et au médecin Richard Hatchett de la CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations), ancien collaborateur du secrétaire US à la Défense Donald Rumsfeld [2]. Pour communiquer les décisions qu’ils avaient prises, ils ont fait appel à la fois à des scientifiques pour les justifier et à des personnalités morales pour les cautionner.

Ainsi, dans la France laïque, le président Emmanuel Macron s’est-t-il doté d’un Comité scientifique Covid-19, principalement composé de mathématiciens et de médecins, sous l’autorité du président du Comité consultatif national d’éthique.

Chacun a pu constater que, face à l’épidémie, les scientifiques en général n’étaient pas du tout d’accord entre eux. Par conséquent le choix des membres de ce Conseil permettait d’écarter à l’avance ceux que l’on ne voulait pas entendre et de ne donner la parole qu’à ceux que l’on voulait entendre. En outre, la nomination d’une personnalité morale pour chapeauter ce dispositif était conçue pour justifier des décisions privatives de liberté que l’on prétendait nécessaires, mais que l’on savait contraires à la Constitution.

En d’autres termes, ce Comité n’était qu’un paravent pour faire oublier la responsabilité du président de la République et de son gouvernement. D’ailleurs, il existe déjà une administration de Santé publique et un Haut-Conseil de Santé publique, tandis que ce nouveau Comité n’a aucune base légale.

Rapidement les débats sur les moyens de prévenir l’épidémie et les traitements à mettre en œuvre ont tourné au pugilat. Le président Macron a alors désigné une seconde instance, le Comité analyse recherche et expertise, pour y mettre bon ordre. Loin d’être un forum scientifique, il a défendu les positions de la CEPI contre l’expérience des médecins cliniciens.

Le rôle des responsables politiques est de servir leurs concitoyens, pas de jouir de voitures officielles puis d’appeler au secours lorsqu’ils ont peur. Celui des médecins est de soigner leurs patients, pas d’aller participer à des séminaires au bord des plages des Seychelles.

Le cas des mathématiciens est différent. Leur rôle est de quantifier des observations. Certains d’entre eux ont provoqué la panique pour s’emparer d’une partie du Pouvoir.

La politique et la médecine comme sciences

N’en déplaise aux politiques et aux médecins, la politique et la médecine sont deux Sciences. Cependant, au cours des dernières décennies, ces deux formes d’expertise ont succombé à l’attrait du gain et sont devenues les professions les plus corrompues en Occident —suivies de près par celle des journalistes—. Rares sont ceux qui remettent leurs certitudes en cause, pourtant la qualité de base des scientifiques. Désormais, ils font carrière.

Nous nous défendons très mal face à cette dégradation de nos sociétés. En premier lieu, nous nous donnons le droit de critiquer les responsables politiques, mais étrangement pas les médecins. Deuxièmement, nous poursuivons en Justice des médecins lorsqu’un de leurs patients meurt au lieu de les féliciter lorsqu’ils parviennent à le sauver, mais nous fermons les yeux sur leur corruption par l’industrie pharmaceutique. Ce n’est pourtant pas un secret, cette industrie a le plus gros budget de lobbying qui soit et dispose même d’un gigantesque réseau de lobbyistes jusqu’auprès de chaque médecin dans les pays développés, les « visiteurs médicaux ». Au bout de décennies de ce manège, les professions médicales ont perdu le sens de leur métier.

Certains hommes politiques protègent leur pays. D’autres pas.
Certains médecins soignent leurs patients. D’autres pas.

Les patients suspectés d’être atteints du Covid-19 et transférés à l’hôpital avaient 5 fois plus de risques de mourir s’ils étaient admis dans certains hôpitaux plutôt que dans d’autres. Pourtant les médecins qui les prenaient en charge avaient tous suivi les mêmes études et disposaient des mêmes matériels.

Nous devons exiger de connaître les résultats de chaque service hospitalier.

Le professeur Didier Raoult soigne avec succès des malades infectieux ce qui lui a valu de pouvoir construire son institut de pointe à Marseille. Le professeur Karine Lacombe travaille pour l’industriel Gilead Science ce qui lui a permis d’être nommée cheffe du service des maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Antoine à Paris. Gilead Science, c’est l’entreprise anciennement dirigée par Donald Rumsfeld —tenez, encore lui—, qui produit les médicaments les plus chers et souvent les moins efficaces au monde.

Comprenez bien, je ne dis pas que les soignants sont corrompus, mais qu’ils sont dirigés par des « mandarins » et une administration qui le sont largement. C’est tout le problème des hôpitaux français qui disposent d’un budget bien supérieur à celui de la plupart des autres pays développés, mais n’ont que des résultats médiocres. Ce n’est pas une question d’argent, mais de déterminer où il va.

La presse médicale n’est plus scientifique

La presse médicale n’est plus scientifique du tout. Je ne parle pas des biais idéologiques foireux dénoncés en 1996 par le physicien Alan Sokal [3], mais du fait que les trois quarts des articles aujourd’hui publiés ne sont pas vérifiables.

Presque unanimement, les grands médias ont participé à une campagne d’intoxication en faveur d’une étude parue dans le Lancet condamnant le protocole Raoult et ouvrant la voie au médicament de Gilead Science, le Remdesivir [4]. Peu importe qu’elle ne soit pas randomisée, qu’elle ne soit pas vérifiable, et que son principal auteur, le docteur Mandeep Mehra travaille à hôpital Brigham de Boston pour promouvoir le Remdesivir, bref qu’il s’agisse d’un travail indigne. Seule fausse note, The Guardian a creusé un peu et relevé que les données de bases de cette étude ont été manifestement falsifiées [5].

Lisez cette « étude », vous n’en croirez pas vos yeux : comment une telle supercherie a-t-elle pu être publiée par une « prestigieuse revue scientifique » (sic) comme The Lancet ? Mais n’avez-vous pas constaté des supercheries identiques dans les médias politiques « de référence » (sic) comme Le New York Times ou Le Monde ? The Lancet est publié par le plus grand éditeur médical au monde, le groupe Elsevier, qui fait du profit à la fois en vendant hors de prix des articles à l’unité et en créant de faux journaux scientifiques entièrement rédigés par l’industrie pharmaceutique pour vendre ses produits [6].

Récemment, je vous alertais sur l’opération de l’Otan visant à promouvoir avec les moteurs de recherche certaines sources d’information « fiables » (sic) au détriment des autres [7]. Or, en aucun cas, le nom d’un éditeur ou d’un média n’est un gage définitif de compétence et de sincérité. Chaque livre, chaque article, doit être jugé pour lui-même et par vous-mêmes au seul regard de votre esprit critique.

Le « consensus scientifique » contre la Science

Depuis plusieurs années, les scientifiques diplômés ne s’intéressent plus à la Science, mais au consensus de leur profession. C’était déjà le cas au XVIIème siécle, lorsque les astronomes de l’époque se liguèrent contre Galilée. Comme ils n’avaient pas de moyen de le faire taire, ils se tournèrent vers l’Église qui le condamna à la réclusion à perpétuité. Mais ce faisant, Rome ne faisait que s’aligner sur le « consensus scientifique ».

De la même manière, il y a seize ans, la Cour d’appel de Paris a rejeté en cascade mes plaintes contre de grands journaux qui m’avaient diffamé au seul motif que ce que j’écrivais ne pouvait être que faux, vu le « consensus journalistique » contre moi. Peu importaient les preuves que je produisais.

Ou encore, c’est au nom du « consensus scientifique » que nous croyons dur comme fer au « réchauffement climatique » promu par l’ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher [8]. Peu importent les nombreux débats scientifiques.

Or, la vérité n’est pas une opinion, mais un processus. Elle ne peut être mise aux voix, mais doit toujours être questionnée.

Thierry Meyssan


[1] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.

[2] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.

[3] Impostures intellectuelles, Alan Sokal et Jean Bricmont, Odile Jacob éd. (1997).

[4] “Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19 : a multinational registry analysis”, Mandeep R. Mehra, Sapan S. Desai, Frank Ruschitzka, Amit N. Patel, The Lancet Online, May 22, 2020.

[5] “Questions raised over hydroxychloroquine study which caused WHO to halt trials for Covid-19”, Melissa Davey, The Guardian, May 28, 2020.

[6] “Elsevier published 6 fake journals”, Bob Grant, The Scientist, May 7, 2009.

[7] « L’UE, l’Otan, NewsGuard et le Réseau Voltaire », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 5 mai 2020.

[8] « 1997-2010 : L’écologie financière », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie) , Réseau Voltaire, 26 avril 2010.




Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

[Source : Guy Boulianne]

Un de mes lecteurs m’a transmis un document intitulé : « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » en date du 13 mai 2020. Je me permet donc de le partager avec vous. Il s’agit d’un document de synthèse pédagogique et d’information à usage interne et à diffusion restreinte.

Association Professionnelle Gendarmerie (logo)

En effet, des cadres de réserve en France ont enquêté pendant 50 jours pour clarifier les problématiques liées à la « pandémie » de 2020. Le Rapport rendu a été interdit de diffusion pour l’instant. Toutefois, devant l’urgence et la gravité des faits, ils ont choisi de le communiquer tout de même à la société civile. Nous avons donc entre les mains la version « grand public » expurgée des références au Groupe et des sigles de l’Unité.

Le groupe d’enquête met en garde contre une désinformation qui semble entourer ce dossier, sur lequel beaucoup d’avis sont divergents — notamment entre les « autorités » et les praticiens de terrain.

Toutefois, les éléments semblant former consensus ont été relevés et synthétisés, afin de constituer une bibliothèque de connaissances de nature à aider le lecteur à renforcer son système immunitaire et son hygiène de vie, face à un virus qui n’a rien d’ordinaire. Une évidence cependant : ce virus, s’il existe, n’a rien de naturel ni d’accidentel.

Le groupe d’enquête a relevé des incohérences qui ont débouché sur la mise en évidence d’une corruption manifeste et d’intentions contraires au bien public, culminant avec des intentions criminelles et génocidaires, et la mise en place d’un état totalitaire, qui sont rapportées dans les conclusions.

Que soit ici remercié le groupe d’enquête, composée de cadres de réserve qui, durant cinquante jours, ont enquêté sans relâche pour y voir plus clair dans la « pandémie de Covid-19 » et ont livré leurs conclusions – toutes recoupées et sourcées -. L’analyse livrée est parfois très éloignées de la thèse officielle. Il a fallu aux enquêteurs faire un choix – à la fois difficile et courageux – entre la servilité d’une posture conventionnelle et sans risques, se bornant au discours officiel, et la loyauté due à des populations civiles touchées au cœur et souvent désinformées par certaines institutions qui se sont avéré inféodées à l’Ordre Marchand. Cette fois encore, les réservistes seront aux côtés de la Nation.

Ligne 01

MISE À JOUR (27 août 2020) : Madame Claire Edwards m’a personnellement écrit : « Cher Guy. Je viens de finir la traduction en anglais du rapport fait par des officiers français. Si vous voulez poster le document sur votre site, je serais reconnaissante. » Vous pouvez donc télécharger ce rapport, traduit en anglais sous le titre « Investigative Report on the Covid-19 pandemic and its relationship tu Sars-Cov-2 and Other Factors ». Claire Edwards, BA Hons, MA, a travaillé pour les Nations Unies en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Depuis mai 2018, elle collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace (www.5gspaceappeal.org). Claire a mis en garde le Secrétaire général des Nations Unies contre les dangers de la 5G lors d’une réunion avec le personnel des Nations Unies en mai 2018, appelant à une cessation de son déploiement dans les lieux d’affectation des Nations Unies.


«Le “virus” sur lequel nous avons enquêté ne serait dans les faits qu’une partie d’une vaste opération combinant armes biologiques et armes à radiations, soutenue par une opération d’enfumage et de diversion, orchestrée par une OMS notoirement corrompue ayant contribué à jeter la confusion dans les rangs des soignants, et dont les indications et les recommandations se situent factuellement à l’exact opposé des observations et des préconisations des urgentistes de terrain.»

— Groupe d’enquête (officiers de réserve en France)

Rapport complet disponible ici :

ou sur le blogue :

RAPPORT_D_ENQUETE_mise_a_jour_13_mai.pdf


[Source : Fulford]

Conclusions tirées du rapport
  • Des incohérences évidentes et des lacunes inexplicables invalident la théorie officielle
  • La gestion de la « crise » sanitaire semble n’avoir servi que de prétexte à une mainmise totalitaire généralisée
  • Des machinations totalitaires : intention d’imposer une cryptomonnaie mondiale, un vaccin avec des nanopuces et une puce électronique sous-cutanée
  • Il règne une énorme corruption au sein de l’OMS et ses intentions sont inavouables
  • La 5G est impliquée dans le Covid-19, avec des radiations électromagnétiques d’un potentiel élevé :
  • Le pouvoir pathogène du virus, ou de la bactérie Prevotella qui a causé le choc cytokinique
  • La similarité entre les dégâts pulmonaires observés par tous les médecins urgentistes et les dommages causés par l’usage d’une arme électromagnétique (plus des migraines permanentes, de l’épuisement, des sensations de brûlure dans les poumons et une perte de sensations olfactives et gustatives, également cités comme symptômes du COVID-19)
  • De nombreuses antennes ont été installées en profitant du confinement, sans tenir compte du « principe de précaution », malgré les dangers mis en évidence par ailleurs, en particulier pour entraver des traitements médicaux
  • Le « Covid-19 » est une guerre biologique et électromagnétique soutenue par une énorme opération de faux-semblants destinée à semer la confusion dans les rangs du personnel médical et hospitalier
  • Le « Covid-19 » pourrait servir de préparation à une opération à plus grande échelle combinée à une diversion pour dissimuler des tests à grande échelle d’armes 5G à des fins criminelles qui restent à élucider
  • Des installations 5G, à la fois terrestres et aériennes (les satellites en orbite basse du projet StarLink d’Elon Musk), font évidemment partie de ce projet de « guerre totale »
  • Le Dr. Jeremy K. Raines, un ingénieur qui fait autorité en matière de champs électromagnétiques, rapporte que les signaux sont utilisés par le corps humain pour réguler ses processus, et prévient que des signaux électromagnétiques externes peuvent sérieusement interférer avec ces processus.
  • Aucune enquête n’a été menée sur la réaction de la Terre à l’utilisation massive de technologie 5G malgré le fait qu’il a été établi que les activités industrielles (activités minières, extraction de pétrole ou de gaz naturel, géothermie) peuvent provoquer des séismes
  • Des séismes inhabituels ont eu lieu en France et des municipalités ont été déclarées en état d’urgence



Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

[Source : Sott.net]

[Auteur :] J.B. Handley – jbhandleyblog

Depuis 1900, les taux de mortalité ont connu une baisse spectaculaire de 74 pour cent dans les pays développés, en grande partie grâce à une nette diminution des décès dus aux maladies infectieuses. Quelle part de cette baisse est due aux vaccins ? L’histoire et les données fournissent des réponses claires qui comptent beaucoup dans le débat actuel sur les vaccins, car la course pour trouver celui contre le Covid-19 nous pousse vers un vaccin qui pourrait être obligatoire pour tous [sans omettre les horreurs qu’il(s) pourrai(en)t contenir – NdT].

Depuis 1900, le taux de mortalité en Amérique et dans les autres pays du vieux monde a diminué d’environ 74 pour cent, ce qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité et de l’espérance de vie des Américains [et des occidentaux en général – NdT].

La question est simple : « Comment cela s’est il produit ? »

Pourquoi le taux de mortalité a-t-il diminué si rapidement ? Si vous écoutez les partisans de vaccins, la réponse est simple : les vaccins nous ont sauvés. Ce qui est fou dans ce récit, c’est la facilité avec laquelle on peut le réfuter par des données cachées à la vue de tous. Mais qu’il persiste en dépit des preuves qui attestent le contraire nous en dit long sur le monde dans lequel nous vivons et j’espère qu’il encouragera les parents à reconsidérer la véracité de bon nombre des récits qu’on leur a livrés sur les vaccins et à faire leurs propres recherches.

1970, Dr. Edward H. Kass

Le 19 octobre 1970, le Dr Edward H. Kass, de Harvard, a prononcé devant ses condisciples un discours lors de la réunion annuelle de la Infectious Diseases Society of America [la Société américaine des maladies infectieuses est une association médicale représentant des médecins, des scientifiques et d’autres professionnels de la santé spécialisés dans les maladies infectieuses, association que le Dr Edward H. Kass a cofondé en 1963 – NdT], association qui l’amènerait probablement à quitter cette même profession aujourd’hui [s’il était encore vivant ; il est décédé en 1990 à l’âge de 72 ans d’un cancer des poumons – NdT].

À l’époque, le Dr Kass était en fait le président de l’organisation, ce qui rendait encore plus choquants ses propos sur les vaccins et leur impact sur la réduction des taux de mortalité américains, du moins selon les normes actuelles. Quarante-huit ans après le discours du Dr Kass, les vaccins ont acquis un statut mythologique aux quatre coins de la planète sous l’impulsion des personnes qui profitent le plus de leur utilisation. Bien sûr, les vaccins ont sauvé le monde. Bien sûr, chaque enfant devrait recevoir tous les vaccins. Si vous ne vous faites pas vacciner, vous permettrez le retour de maladies infantiles mortelles. Si vous ne le vaccinez pas, votre enfant mourra. Si vous remettez les vaccins en question, ne serait-ce qu’un peu, vous êtes donc « anti-vaccin » et vous ne méritez que mépris et ostracisme !

Note du traducteur : Originaire du Bronx, le Dr Kass a obtenu une licence et une maîtrise à l’université du Kentucky, un doctorat à l’université du Wisconsin et un doctorat en médecine à l’université de Californie. Il a rejoint la faculté de Harvard et le personnel de l’hôpital de la ville de Boston en 1947 pour se consacrer à la recherche sur les maladies infectieuses. Il est devenu professeur à Harvard en 1969 et médecin-chef à l’hôpital de Brigham en 1977. Il fut aussi membre du Collège royal de médecine de Londres, de l’Académie américaine des arts et des sciences et de l’Institut américain de médecine, dont le nouveau nom est l’Académie nationale de médecine.

Et si la plus grande partie de l’histoire sur le rôle des vaccins dans le déclin de la mortalité n’était même pas vraie ?

© Inconnu

Dans son célèbre discours, le Dr Kass a interpellé ses condisciples infectiologues, en les mettant en garde contre le risque de se focaliser sur des aspects erronés s’ils tiraient de fausses conclusions quant aux raisons pour lesquelles les taux de mortalité avaient à ce point décliné. Comme il l’a expliqué :

[…] nous avions accepté quelques demi-vérités et avions cessé de chercher les vérités complètes. Les principales demi-vérités étaient que la recherche médicale avait éradiqué les grands fléaux du passé — tuberculose, diphtérie, pneumonie, septicémie puerpérale, etc. — et que la recherche médicale et notre système supérieur de soins médicaux étaient des facteurs majeurs d’allongement de l’espérance de vie, offrant ainsi au peuple américain le plus haut niveau de santé disponible dans le monde. Nous savons que ce sont des demi-vérités, mais sans doute pas suffisamment.

Le Dr Kass a ensuite partagé avec ses condisciples quelques graphiques révélateurs. J’essaie d’imaginer un président de l’Infectious Diseases Society of America partageant l’un de ces graphiques aujourd’hui lors d’une réunion de responsables de la santé publique. J’imagine qu’une personne couperait l’électricité de la salle où il fait sa présentation avant qu’une autre ne le maîtrise et le fasse sortir manu militari… voici le premier des graphiques que le Dr Kass a partagé ce jour-là :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la rougeole chez les enfants de moins de 15 ans, en Angleterre et au Pays de Galles.

Toutefois, ce graphique du Dr Kass n’inclut même pas le vaccin contre la rougeole… Pourquoi ? En fait, en 1970, le vaccin contre la rougeole commençait tout juste à être administré, et comme vous pouvez clairement le voir, la mortalité dû à la rougeole avait depuis longtemps connu une baisse spectaculaire. Pour la coqueluche, il a produit un tableau similaire :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la coqueluche chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[La Bordetella Pertussis est l’agent de la coqueluche qui fut isolée en 1906 – Les tests du premier vaccin contre la coqueluche ont duré plus de trois ans (de mars 1934 à novembre 1937), avec 5 815 enfants inscrits – NdT]Dans le graphique ci-dessus, la date à laquelle le vaccin contre la coqueluche a été lancé est indiquée. Le Dr Kass a également présenté un graphique concernant la scarlatine, ce qui renforce la confusion sur le rôle effectif des vaccins, pour la simple raison qu’un vaccin contre la scarlatine n’a jamais existé. Et pourtant, le graphique suivant qui présente un formidable déclin de la mortalité dû à la scarlatine ressemble beaucoup à celui de la rougeole et de la coqueluche :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la scarlatine chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[Le streptocoque de la scarlatine a été découvert en 1884, la pénicilline a été prescrite à partir de 1945 et ce qui constituera la base de l’antibiothérapie à base de sulfamidés a été isolé pour la première fois en 1935 – NdT]Quel est l’intérêt de ces graphiques ?

Le Dr Kass essayait de sensibiliser ses disciples infectiologues à un aspect simple, mais qui a de profondes implications pour la santé publique. Son argument était si important que je vais le citer en gras pour qu’il n’échappe à personne :

Ce déclin des taux de [mortalité] concernant certaines pathologies, approximativement corrélé aux contextes socio-économiques, constitue tout simplement l’événement le plus important dans l’histoire de la santé des êtres humains, et pourtant nous n’avons que les notions les plus vagues et les plus générales sur la manière dont il s’est produit et sur les mécanismes par lesquels l’amélioration socio-économique et la baisse des taux de [mortalité] de certaines pathologies se chevauchent.

Le Dr Kass a demandé à ses condisciples de faire preuve d’ouverture pour déterminer POURQUOI les maladies infectieuses ont connu un déclin aussi spectaculaire aux États-Unis — ainsi que dans d’autres pays du vieux monde. Était-ce dû à la nutrition ? Aux méthodes sanitaires ? À la réduction du surpeuplement des habitations ? — Nous avons depuis appris que la réponse à ces trois questions est « Oui ». Il a encouragé ses collègues à bien se garder de tirer des conclusions hâtives, à rester objectifs et à « se consacrer à de nouvelles perspectives ».

© Social Progress Imperative
Indice de résilience sociale aux maladies infectieuses pour la période 2014-2019

[Puisque l’exposition à la pollution de l’air à l’extérieur et à l’intérieur des locaux accroît le risque de maladies cardiovasculaires, respiratoires et du développement ainsi que la mortalité prématurée, l’amélioration de la santé environnementale, qui passe par des progrès en matière de qualité de l’air, d’eau et d’assainissement et de gestion des déchets, et les efforts de préservation de la biodiversité rendent les populations moins vulnérables aux pandémies et, par conséquent, améliorent le bien-être global des sociétés et leur résilience. Source OCDE – NdT]Heureusement pour nous, le discours du Dr Kass ce jour-là a été sauvé pour la postérité, car il fut imprimé dans son intégralité au sein d’une revue médicale. En fait, c’est une revue que le Dr Kass a lui-même fondée, The Journal of Infectious Diseases, et son discours s’intitule « Maladies infectieuses et changement social ». Un certain nombre d’éléments dans le discours du Dr Kass m’ont paru époustouflants, surtout quand on sait qu’il était le président de l’Infectious Diseases Society of America. À savoir :

  1. Il n’a jamais parlé des vaccins comme de « la plus grande invention de l’humanité » ou par l’une des nombreuses autres façons hyperboliques dont les vaccins sont dans la presse actuelle en permanence décrits par les partisans des vaccins. Les vaccins n’ont pas permis de sauver « des millions de vies » aux États-Unis, comme le savait bien le Dr Kass.
  2. En fait, il n’a JAMAIS accordé beaucoup de crédit aux vaccins dans le déclin spectaculaire de la mortalité au sein du monde développé. Ce qui est logique, car aucune des données dont il disposait n’aurait permis d’étayer ce point de vue. Ce qui m’a amené à me poser la question suivante : « quelqu’un a-t-il essayé de replacer dans son contexte la contribution des vaccins au déclin de la mortalité humaine au XXe siècle ? » Autrement dit, existe-t-il des données qui permettent de mesurer l’impact exact et précis des vaccins dans la protection de l’humanité ? Oui, en effet, elles existent. Lisez la suite.

McKinlay & McKinlay — L’étude la plus célèbre dont vous n’avez jamais entendu parler

Elle ne sera pas des plus facile à lire, mais j’espère que vous prendrez le temps d’en lire chaque mot. En 1977, les épidémiologistes — et époux — John et Sonja McKinlay de l’université de Boston ont publié les travaux fondateurs sur le rôle que les vaccins — et autres mesures médicales — ont joué dans le déclin massif de la mortalité observée au XXe siècle, qui se rapportent à ce chiffre même de 74 pour cent évoqué dans mon paragraphe d’introduction. De plus, leur étude met en garde contre le comportement même que nous observons aujourd’hui dans le monde vaccinale. En effet, ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure médicale — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde. Sérieusement, ils ont prédit que cela se produirait — et il convient de noter que l’étude McKinlay était autrefois une lecture obligatoire dans toutes les écoles de médecine.

[…] ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde.

Publiée en 1977 dans le Millbank Memorial Fund Quarterly, l’étude de McKinlay s’intitulait « La contribution discutable des mesures médicales dans le déclin de la mortalité aux États-Unis au XXe siècle ». L’étude a clairement prouvé, à l’aide de données, quelque chose que les McKinlay ont reconnu comme pouvant être considéré par certains comme une « hérésie » médicale. À savoir

que l’introduction de mesures médicales spécifiques et/ou l’expansion des services médicaux ne sont généralement pas responsables de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité.

Par « mesures médicales », les McKinlay entendaient en fait TOUT ce que la médecine moderne avait inventé, qu’il s’agisse d’antibiotiques, de vaccins, de nouveaux médicaments, etc. Les 23 pages de l’étude de McKinlay devraient être lues intégralement, mais en bref, les McKinlay ont cherché à analyser l’impact des mesures — médicales, antibiotiques, chirurgie, vaccins — sur le déclin massif des taux de mortalité entre 1900 et 1970 :

© McKinlay & McKinlay
Courbe de la mortalité en milliers des hommes et des femmes séparément (en utilisant des taux ajustés selon l’âge) pour les États-Unis, de 1900 à 1973.

Voici quelques-uns des principaux points abordés dans leur étude :

  • 92,3 pour cent du déclin du taux de mortalité s’est produit entre 1900 et 1950 [avant que la plupart des vaccins n’existent].
  • Les mesures médicales « semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis 1900 environ — ayant été introduites dans de nombreux cas plusieurs décennies après qu’un déclin marqué se soit déjà amorcé et n’ayant pas d’influence détectable dans la plupart des cas ».

Et, voici les deux pépites…

Le document fait état de deux points que je tiens à souligner, car ils sont très importants. Le premier concerne les vaccins. Ils écrivent :

Même si l’on supposait que ce changement était entièrement dû aux vaccins, alors seulement un pour cent environ du déclin consécutif aux mesures médicales prises pour les maladies considérées ici pourrait être attribué à ces mesures. De manière plus conservatrice, si nous attribuons une partie du déclin ultérieur des taux de mortalité pour la pneumonie, la grippe, la coqueluche et la diphtérie à des mesures médicales, alors seuls 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité global peuvent peut-être être expliquée par des mesures médicales dans les principales maladies infectieuses considérées ici. En effet, étant donné que c’est précisément pour ces maladies que la médecine prétend avoir le plus de succès dans la réduction de la mortalité, 3,5 pour cent représente probablement une estimation raisonnable de la limite supérieure pour la contribution totale des mesures médicales à la baisse de la mortalité aux États-Unis depuis 1900.

En clair : sur le déclin total de la mortalité depuis 1900, à savoir ce chiffre de 74 pour cent que je ne cesse de mentionner, les vaccins — et autres mesures médicales comme les antibiotiques — n’y ont en fait contribué qu’à hauteur de 1 à 3,5 pour cent. Autrement dit, au moins 96,5 pour cent du déclin de la mortalité n’avaient rien à voir avec les vaccins — et probablement plus que cela puisque les chiffres de McKinlay & McKinlay comprenait TOUTES les mesures médicales, et pas UNIQUEMENT les vaccins [ou les antibiotiques – NdT].

© Shutterstock

Vous ne pouvez pas dire que vous avez sauvé l’humanité si vous êtes tout au plus à l’origine de 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité depuis 1900 — et encore moins si vous l’êtes plus probablement de 1 pour cent.

Et puis les McKinlay ont écrit quelque chose qui m’a fait rire aux éclats, parce que cela correspond absolument à ce que nous voyons tous les jours dans le monde d’aujourd’hui où les vaccins sont hyper à la mode :

Il n’est pas rare aujourd’hui que les connaissances biotechnologiques et les mesures médicales spécifiques soient invoquées comme la raison principale de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité au XXe siècle. La paternité de ce déclin est souvent revendiquée par les, ou attribuée aux, principaux bénéficiaires actuels de cette explication dominante.

Cela vous dit quelque chose ?

En 2000, le CDC donne le coup de grâce

En 1970, le Dr Kass a émis l’idée que les responsables de la santé publique doivent veiller à ne pas attribuer à des éléments erronés le mérite du déclin massif du taux de mortalité enregistré dans le monde développé au XXe siècle. En 1977, les docteurs McKinlay & McKinlay ont rassemblé des données autour des idées du Dr Kass et ont montré que les vaccins — et autres mesures médicales — étaient responsables de 1 à 3,5 pour cent de ce déclin global de la mortalité depuis 1900. En 2000, les scientifiques du CDC ont reconfirmé toutes ces données, mais ont également fourni un meilleur aperçu des éléments qui ont réellement conduit à ce déclin.

Publié en septembre 2000 dans la revue Pediatrics et intitulé « Résumé annuel des statistiques de l’état civil : Tendances sur la santé des Américains au cours du XXe siècle », des épidémiologistes issus de l’université Johns Hopkins et des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies [CDC – NdT] ont réaffirmé ce que nous avions déjà appris grâce aux travaux de McKinlay et McKinlay :

La vaccination n’explique donc pas les impressionnantes baisses de la mortalité observées dans la première moitié du siècle… près de 90 pour cent de ce déclin du aux maladies infectieuses chez les enfants américains s’est produit avant 1940, à une époque où peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles.

L’étude présente ensuite les éléments réellement déterminants dans ce déclin massif de la mortalité : « le traitement de l’eau, la sécurité alimentaire, l’élimination organisée des déchets solides et l’éducation du public sur les pratiques d’hygiène ». De plus, « l’amélioration des logements qui a réduit le surpeuplement dans les logements des villes américaines » a joué un rôle majeur. De l’eau propre. Des aliments sûrs. La nutrition. La plomberie. L’hygiène. Ce sont les principales raisons pour lesquelles la mortalité a si rapidement diminué. Du moins selon les données et les publications scientifiques.

L’histoire récente

Lorsque je partage le tableau suivant, compilé à partir des données du CDC, les réactions sont très vives :

Taux de vaccination en 1985 aux États-Unis

De gauche à droite : DTP pour DTC diphtérie, tétanos, coqueluche – Polio pour poliomyélite – MMR pour ROR : rougeole, oreillon, rubéole – Hep B pour hépatite B – HPV pour papillomavirus – Influenza pour grippe – PCV pour pneumocoque – Rotavirus pour gastro-entérite – Hib pour méningite à Haemophilus influenzae de type B – Varicella pour varicelle – Hepatitis A pour hépatite A – Meningococcal pour méningite à méningocoques

Ce tableau est compilé à partir de l’ensemble des données fournies par le CDC. Vous pouvez constater que neuf vaccins aujourd’hui administrés aux enfants n’existaient même pas au milieu des années 1980. De plus, les taux de vaccination pour les trois vaccins qui existaient étaient à l’époque de l’ordre de 60 pour cent ou moins. Aujourd’hui, les taux de vaccination sont tous bien supérieurs à 90 pour cent chez les enfants américains. Je pense qu’il est légitime de se demander « pourquoi tant de panique ? ». En examinant attentivement ce tableau, on se rend compte à quel point la notion souvent évoquée d’« immunité collective » est totalement absurde, puisqu’elle n’a évidemment pas pu au milieu des années 80 être atteinte grâce à la vaccination. En fait, nous n’en sommes pas plus proches aujourd’hui, puisque les taux de vaccination chez les adultes restent très faibles et que les vaccins se dégradent avec le temps.

L’importance de la vérité

Comme l’explique la mise en garde de McKinlay et McKinlay, si une mesure médicale — comme les vaccins — est désignée de façon erronée comme étant la raison du déclin de la mortalité à ce point spectaculaire pour les Américains et les habitants de l’Europe au XXe siècle, cette mauvaise interprétation peut être utilisée à mauvais escient pour commettre des abus tels que :

  • augmenter rapidement le nombre de vaccins administrés aux enfants ;
  • battre en brèche les parents qui ont choisi de suivre un calendrier de vaccination différent et les faire se sentir coupables ;
  • rendre les vaccins obligatoires ;
  • parler des vaccins en des termes si révérencieux que même les remettre en question — comme je le fais dans cet article — est considéré comme sacrilège et irresponsable ; et
  • nier que les lésions dues aux vaccins se produisent à un rythme élevé, afin de permettre à tout le système vaccinal de poursuivre sa route dans la « bonne direction » — d’ailleurs, et selon cette étude commandée et payée par le CDC alors qu’ils ont en fait automatisé le suivi des lésions dues aux vaccins, la « meilleure » estimation du taux de lésions dues aux vaccins est d’environ 2 pour cent. Le chiffre de « un sur un million » avancé par les partisans des vaccins est tout simplement un mensonge insupportable.

L’Afrique, et les autres pays dits du tiers monde

Les partisans des vaccins citent souvent des statistiques a priori alarmantes concernant les décès imputables aujourd’hui à des maladies infectieuses. Ils utilisent le nombre de cas d’une maladie, comme la rougeole par exemple, pour nous présenter le nombre de décès infantiles qui lui est imputable chaque année et la nécessité pour TOUS les parents américains de vacciner leur(s) enfant(s) contre la rougeole. Bien sûr, ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est que ces décès dus à des maladies infectieuses se produisent dans des régions où la qualité de vie est encore comparable à celle des enfants américains au début des années 1900. Une mauvaise nutrition. Pas de plomberie ni de réfrigération. De mauvaises pratiques d’hygiène. Des logements surpeuplés. Toutes composantes qui ont RÉELLEMENT influencé l’impact sur le taux de mortalité et qui dans certaines parties de l’Afrique et dans d’autres pays du tiers monde n’ont pas encore été résolues, et porter les efforts sur les SEULES campagnes vaccinales ne changera pas les faits. C’est ce que le Dr Kass a dès le départ souligné : il faut savoir ce qui a réellement fait décliner le taux de mortalité et s’y consacrer !

En fait, nous disposons aujourd’hui de données qui montrent que vacciner des enfants qui vivent dans des conditions de malnutrition et sans installations sanitaires adéquates se révèle pour eux bien plus préjudiciable que bénéfique.

L’« étude d’Aaby »

Publiée en 2017 dans la revue à comité de lecture EBioMedicine, l’étude s’intitule « L’introduction du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche et du vaccin oral contre la polio chez les jeunes enfants dans une communauté urbaine africaine : Une expérimentation naturelle » [une expérience naturelle est une étude empirique dans laquelle des individus — ou des groupes d’individus — sont exposés aux conditions expérimentales et de contrôle qui sont déterminées par la nature ou par d’autres facteurs échappant au contrôle des chercheurs. Le processus régissant les expositions ressemble sans doute à l’assignation aléatoire. Ainsi, les expériences naturelles sont des études d’observation et ne sont pas contrôlées dans le sens traditionnel d’une expérience randomisée – NdT].

© Inconnu
Le Dr. Peter Aaby

Les chercheurs du Bandim Health Project [une ONG – NdT] affiliés à ceux du Research Center for Vitamins and Vaccines [Centre de recherche sur les vitamines et les vaccins – NdT], liés à leur organisation mère du Statens Serum Institut au Danemark, ont examiné de près les données de la Guinée-Bissau en Afrique de l’Ouest. Les scientifiques de cette étude ont étudié de près le concept d’« effets non spécifiques » des vaccins, une belle formule pour dire que les vaccins peuvent rendre un enfant plus sensible à d’autres infections. Ils ont découvert que les données concernant les enfants africains qui avaient été vaccinés avec le vaccin DTC [diphtérie-tétanos-coqueluche – NdT]

étaient associées à une mortalité cinq fois plus élevée que pour ceux qui n’étaient pas vaccinés. Aucune étude prospective n’a démontré les effets bénéfiques du DTC sur la survie… Le DTC est le vaccin le plus largement utilisé… Toutes les preuves actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie ciblée, il peut simultanément augmenter la susceptibilité à des infections non liées.

Pour les profanes, cela signifie que donner le vaccin DTC à un enfant africain lui fait courir le risque de développer d’autres infections. Que les conditions de vie soient plus importantes que le vaccin est en Afrique une évidence — comme on peut s’y attendre à la lumière des travaux du Dr Kass et des Drs McKinlay. Et le vaccin DTC s’est effectivement révélé bien plus préjudiciable que bénéfique. Il convient de noter que le Dr Aaby était un chercheur très respecté dans le domaine vaccinal jusqu’à ce qu’il publie cette étude en 2017. Je crois savoir qu’il a depuis perdu ses sources de financement. Bienvenue dans le monde actuel de la « science » vaccinale.

Un enfant sur deux

Nous disposons d’un autre exemple concret de ce phénomène qui remonte à la fin des années 1970. Le Dr Archie Kalokerinos a fait, comme il l’explique, une simple découverte [tiré de son ouvrage Every Second Child, « Un enfant sur deux », ouvrage non traduit en français – NdT] :

Every second child, Dr. Archie Kalokerinos

Au début, ce n’était qu’une simple observation clinique. J’ai observé que de nombreux nourrissons, après avoir reçu des vaccins de routine comme le tétanos, la diphtérie, la polio, la coqueluche ou autre, tombaient malades. Certains sont devenus extrêmement malades, et en fait certains sont morts. C’était une observation, pas une théorie. Ma première réaction a donc été d’examiner les raisons pour lesquelles cela se produisait. Bien sûr, j’ai découvert que la probabilité était plus grande chez des nourrissons qui étaient malades au moment où de recevoir un vaccin, ou des nourrissons qui avaient été malades peu de temps avant, ou des nourrissons qui incubaient une infection. Il n’y a bien évidemment aucun moyen de détecter une maladie dans les premiers stades d’incubation. Ce n’est possible que plus tard. En outre, certaines des réactions aux vaccins ne sont pas celles qui figurent dans la littérature standard.

Ces réactions étaient en effet très étranges. Une troisième observation est qu’avec certaines de ces réactions qui entraînent normalement la mort, j’ai découvert que je pouvais les inverser en donnant de grandes quantités de vitamine C par voie intramusculaire ou intraveineuse. On se serait attendu, bien sûr, à ce que les autorités s’intéressent à ces observations qui ont entraîné une baisse spectaculaire du taux de mortalité des nourrissons dans la région que je contrôlais, une baisse en fait très spectaculaire. Mais au lieu de s’intéresser à ces observations, elles ont réagi avec une extrême hostilité. C’est ce qui m’a incité à examiner la question vaccinale, et plus mes investigations prenaient de l’ampleur, plus je devenais choqué. J’ai découvert que toute l’affaire des vaccins était en effet un gigantesque canular. La plupart des médecins sont convaincus de leur utilité, mais si vous examinez les statistiques appropriées et que vous étudiez le cas de ces maladies, vous vous rendrez compte qu’il n’en est rien.

Le Dr Kalokerinos a en 1995 également dit quelque chose que l’étude du Dr Aaby semble avoir pu corroborer en 2017 :

Et si vous voulez voir les effets néfastes des vaccins, ne venez pas en Australie ou en Nouvelle-Zélande ou n’importe où ailleurs, allez en Afrique et vous le verrez là-bas.

Nous connaissions en fait la vérité au début des années 1900, avant même le déclin rapide de la mortalité. Bien en avance sur son temps, l’Anglais John Thomas Biggs était l’ingénieur sanitaire de sa ville de Leicester et devait répondre activement aux épidémies de variole. Il a rapidement appris que les résultats de l’assainissement en matière de santé publique l’emportaient largement sur l’impact de la vaccination — dont il a constaté les dommages dramatiques et l’inefficacité. En 1912, il a écrit un ouvrage déterminantLeicester — Sanitation versus Vaccination [« Leicester — Assainissement versus vaccination », ouvrage non traduit en français – NdT]. M. Biggs a donc découvert il y a plus de cent ans ce que le CDC a réaffirmé en 2000, à savoir que rien ne protège des maladies infectieuses comme un bon assainissement. Il a précisé :

Leicester a fourni, tant par son précepte que par son exemple, la preuve irréfutable des pouvoirs et de l’influence de l’assainissement, non seulement pour combattre et contrôler, mais aussi pour pratiquement éliminer de son territoire les maladies infectieuses
[…]
Une ville nouvellement conçue selon les principes les plus modernes de gestion des espaces et des systèmes d’aération, et adopter la « méthode de Leicester » en matière d’assainissement, pourrait non seulement faire obstacle à la variole, mais aussi à d’autres maladies infectieuses, voire presque toutes les maladies zymotiques.

Le Dr Andrew Weil, le célèbre médecin souvent cité, renforce ce point en expliquant que

la médecine s’est attribué le mérite de certaines avancées médicales qui ne lui revient pas. La plupart des gens pensent que la victoire sur les maladies infectieuses du siècle dernier est due à l’invention des vaccins. En fait, le choléra, la typhoïde, le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, ainsi que les autres maladies, étaient en déclin avant que des vaccins pour ces maladies ne soient disponibles — en raison des meilleures méthodes d’assainissement, d’évacuation des eaux usées et de distribution de nourriture et d’eau.

Aujourd’hui même, Amy Becker et Mark Blaxill ont publié cette extraordinaire analyse intitulée « Les leçons du confinement : Pourquoi le nombre d’enfants décédés est-il si faible ? ». Elle devrait être lue dans son intégralité, toutefois, elle soulève une grande question : cette baisse est-elle due au confinement — et en particulier la baisse des décès dus au Syndrome de mort subite du nourrisson — parce que les bébés n’ont pas été vaccinés [durant cette période – NdT] ? Ils écrivent :

Le Covid-19 est unique parmi les pandémies récentes en ce sens que le bilan de la mortalité est mesurable, réel et convaincant. Il est également presque certain qu’il sera transitoire, mais cela n’empêchera pas la progression de l’écrasante propagande qui l’accompagne. Cependant, comme le dit le proverbe, « les plans les mieux conçus partent souvent à vau-l’eau ». Ce que personne n’aurait pu prévoir avant le Covid-19, c’est que cette mesure extrême de confinement a produit une expérimentation naturelle qui remet en question les actions mêmes préconisées depuis des années par la communauté des maladies infectieuses et de la santé publique, à savoir les vaccinations obligatoires et généralisées pour tout le monde. Nous devons déplorer la mort des personnes âgées résidant dans les maisons de retraite de Manhattan, mais aussi tenir compte des centaines de décès de nourrissons qui ont été évités. Ce n’est qu’avec un tel équilibre que nous pourrons tirer les leçons qui s’imposent quant à la pandémie et aux mesures de confinement qui ont suivi.

Pour conclure

Les vaccins n’ont pas sauvé l’humanité. Leur impact se situe entre 1 et 3,5 pour cent de la baisse totale des taux de mortalité. Ce sont l’amélioration des conditions sanitaires et du niveau de vie qui ont véritablement permis ce déclin — nutrition, conditions de vie, etc. Les vaccins ont-ils contribué à une légère diminution de certaines maladies aiguës ? Oui, mais leur bénéfice relatif est souvent exagéré à l’extrême, et utilisé pour intimider, culpabiliser et effrayer les parents.

© CDC-Adaptée en français par Sott.net

Suis-je donc en train de dire que personne ne devrait se faire vacciner ? Non, je ne le dis pas. Les vaccins offrent une protection temporaire contre certaines maladies aiguës. Certains sont plus importants que d’autres. Je pense personnellement que nous donnons beaucoup trop de vaccins, et je pense que l’équation risque/bénéfice de chaque vaccin est souvent occultée. Pire encore, 

le mensonge selon lequel les vaccins ont sauvé l’humanité au XXe siècle a transformé en fanatiques de nombreux partisans des vaccins, même si leurs récits ne sont tout simplement pas étayés par les faits. Mais vous pouvez bien sûr vous faire vacciner autant que vous le souhaitez, je respecte votre droit à faire vos propres choix en matière de soins médicaux. Personnellement, je ne ferai pas la queue pour me faire vacciner contre le Covid-19.

Notes de l’auteur

Il existe deux excellentes ressources que je vous recommande si vous souhaitez plonger dans le trou du lapin de la véritable histoire des maladies infectieuses. La première est l’incroyable livre de Suzanne Humphries, Dissolving Illusions. Le second est un article complet de Roman Bystriany intitulé, « La rougeole — La nouvelle peur rouge » [en anglais – NdT]. Si vous le lisez, vous serez profondément désillusionné par le battage médiatique — ne dites pas que je ne vous ai pas prévenu !

Le journaliste Lawrence Solomon a également écrit deux excellents articles sur la rougeole [tous deux en anglais – NdT] : « L’histoire inédite de la rougeole », et « Les vaccins ne peuvent pas empêcher les épidémies de rougeole ».

À propos de l’auteur

J.B. Handley est l’auteur du best-seller How to End the Autism Epidemic [« Comment mettre fin à l’épidémie d’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]. Il est diplômé avec mention de l’université de Stanford et est actuellement membre directeur de Bochi Investments, une société d’investissement privée. Il peut être contacté à l’adresse suivante : jbhandleyblog@gmail.com

Source de l’article initialement publié en anglais le 19 juin 2020 : J.B. Handley Blog
Traduction: Sott.net

Commentaire : Les deux articles suivants viendront compléter le sujet présenté dans celui-ci :

Rockefeller, roi du pétrole, a en effet entrevu une manne financière supplémentaire par l’usage de l’or noir dans l’élaboration et la mise en place des médicaments chimiques. Manne financière, mais aussi soif de contrôle, ces remèdes chimiques aux effets indésirables si nombreux — et pour cause — étant aujourd’hui très largement utilisés dans le monde entier… Un soupçon d’eugénisme au passage, peut-être ?

Voir aussi via le champ de recherche de Sott, tous les articles relatifs aux vaccins ou encore les articles suivants parmi les plus récents :


[Voir aussi : Dossier Vaccins]




Sodome, tu dépasses les bornes

[Source : Le Grand Réveil]
[Auteur : Louis d’Alencourt]

[NdNM : en ces temps de pensée unique et de liberté d’expression de plus en plus réduite, est-il encore possible qu’un article tel que le suivant permette un échange respectueux de points de vue et d’arguments plutôt que des réactions émotionnelles épidermiques dégénérant trop souvent en insultes ?]

Sodome, tu dépasses les bornes

Non Bilal Hassani ne représente pas la France. Il représente une certaine
France, la plus pourrie, la plus perverse, enlisée dans le péché et qui
s’en glorifie insolemment. Oh certes cette France des loges
maçonniques, des gauchistes et de la synagogue de Satan, cette France
luciférienne dirige aujourd’hui notre pays et en possède les pouvoirs
législatifs, culturels, économiques et médiatiques, mais elle n’est pas
« la » France et ne le sera jamais.

Non, un juif inverti et dégénéré ne représente pas la France, il
représente les ennemis de la France, ceux qui veulent en faire un
cloaque immonde d’impuretés.
Il y en a marre de la perversion des mœurs et des esprits voulue par une certaine élite, celle qui détient les clés du pouvoir.
Il y en a marre de ces provocations volontaires, de cette arrogance d’un
système qui place volontairement de tels pions avec deux objectifs :
faire progresser la perversion des esprits, et tester le niveau de soumission de la population.
Il n’y a pas que les chrétiens qui soient choqués ; une bonne
partie de la population l’est probablement, et n’approuve pas de tels
comportements. Mais elle n’a pas le droit de le dire ; les médias se
gardent bien de publier les avis contraires, tout fonctionne comme une propagande à sens unique.
Car parallèlement, l’univers médiatique au sens large affiche une belle
unanimité concernant cet « artiste » comme s’il était parfaitement
normal qu’un garçon se promène en robe de mariée et s’affiche en
travesti assumé.

Ceci est le reflet d’un problème de fond beaucoup plus grave.

Ce n’est pas tellement le fait que Bilal Hassani soit un dégénéré de plus, c’est
qu’il est la représentation visible d’une société dégénérée qui veut
nous imposer sa dégénérescence comme la nouvelle norme.
Cette société utilise des méthodes déloyales parce qu’elle
déploie conjointement l’imposture intellectuelle et la police de la
pensée. L’imposture intellectuelle consiste à distiller insidieusement
une nouvelle mentalité et un nouvel état d’esprit en cachant ses
véritables intentions, et la police de la pensée empêche et interdit
toute réaction hostile. Ce sont des méthodes dignes d’un régime
totalitaire, puisque non seulement l’opposition à cette dégénérescence
est interdite mais aussi tout débat contradictoire, puisque relevant,
disent-ils, de l’homophobie. Ainsi d’une part on annihile les opposants
en les contraignant au silence, et d’autre part on procède à une
véritable propagande en faveur de ces nouvelles idées et de cette
nouvelle mentalité par la formation des esprits via l’école et la télévision sous prétexte d’information ou de combat contre les préjugés.
Absence d’opposition, interdiction de penser le contraire, rouleau
compresseur d’une propagande incessante et diversifiée, d’abord et avant
tout à destination des jeunes… il y a là une véritable transformation
des esprits et de la morale à grande échelle que l’on ne peut absolument
pas enrayer ni même empêcher de progresser ou encore de contrebalancer.

« Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres »
(Isaïe 5:20) ; non seulement la prophétie d’Isaïe se constate tous les
jours, mais celle-ci s’accomplit dans des conditions encore pires
puisque le système bloque tout contrepoids possible.
Pourtant les tenants de cette politique immonde de
transformation et de corruption des esprits devraient méditer le sort
que subit la ville de Sodome
, détruite par une pluie de feu
en une nuit à cause du péché, notamment, dont on a tiré le nom… ce
n’est pas un hasard si Sodome est le symbole de l’homosexualité.
Or si dans la bible Dieu punit l’homosexualité si violemment -et par
extension toutes les déviations sexuelles et les dérives de la chair- et
si par la suite saint Paul puis l’Eglise ont condamné sans appel, sans
équivoque et sans discontinuer l’homosexualité, ne croit-on pas qu’en
accumulant ainsi autant de charbons ardents sur nos têtes, nous n’allons pas nous attirer le même type de châtiment ?

Quand je pense que certains attendent encore le Nouvel Ordre Mondial… mais de quoi s’agit-il précisément, si ce n’est du nouvel ordre moral de ce nouvel ordre mondial qui prend corps et progresse sous nos yeux ?

Des méthodes déloyales et redoutables

Détaillons en quelques mots ce mécanisme de retournement et
d’avilissement des esprits. C’est le cerveau qui est visé, nos propres
référents culturels et moraux. Ceci n’a rien d’anodin et les enjeux sont
énormes parce qu’irréversibles à long terme et transmissibles aux
générations suivantes.
Un énorme travail de fond de changement des mentalités est accompli à
l’aide de grands outils, dont les principaux sont l’arsenal législatif,
l’Education Nationale et les médias.
Car ainsi, les populations éduquées à ce nouvel état d’esprit par 15 ans
d’école (!) et parallèlement par une même propagande médiatique répétée
inlassablement par la télévision (car à ce niveau il ne faut pas parler
d’information mais de « formation » des esprits via
les journaux télévisés, les émissions, les reportages, les films, les
séries…), finissent par reproduire elles-mêmes la pensée et les
comportements voulus et les répandre à leur tour via les réseaux
sociaux, internet et youtube ; ainsi la propagande et la formation des
esprits volontairement dispensés par l’école et les médias sont répétés à
l’infini par les populations elles-mêmes avec de surcroît un accent de
sincérité encore plus trompeur : les gens sont de bonne foi puisqu’ils
répètent ce qu’ils ont appris à l’école et à la télé… redoutable.
Jeudi dernier je lisais dans des toilettes publiques à Paris un message écrit en gros sur le mur : « marre de cette société dégueulasse » -je me dis tiens ça commence bien, mais j’ai vite déchanté car pour l’auteur anonyme de cette inscription, le dégueulasse est que la société soit « raciste, homophobe, inégalitaire et sexiste« . Il a bien appris sa leçon, il est bien dans le moule.
Ne nous y trompons pas, l’école forme ainsi nos enfants, les dégâts dans
les esprits sont quasiment irréversibles. Il n’est pas loin le jour où
la population nous lynchera avec sincérité, persuadée de rendre un grand
service à la société en mettant hors d’état de nuire les défenseurs
d’une société traditionnelle et morale s’élevant contre l’homosexualité
ou l’IVG… parce qu’ils ont acquis la mentalité d’un nouvel ordre moral
totalement en contradiction et même inversé par rapport à l’ancien. Un
nouvel ordre moral au fonctionnement particulièrement totalitaire, lui
qui appartient à un régime qui se prétend le défenseur des libertés.
Lesquelles ? Les siennes exclusivement ?

Le grand remplacement

Le grand remplacement est une formule de Renaud Camus ; celui-ci fait
référence à l’immigration massive que connaît l’Europe depuis un
demi-siècle, vaste mouvement s’apparentant à une invasion de nos pays
par des populations de races, de cultures, de langues et de religions
différentes. Ce grand remplacement se concrétise dans nos contrées non
pas par une assimilation mais par une juxtaposition des populations, que l’on appelle mixité ou multiculturalisme. Ces termes sont des aveux en soi.
Dans l’esprit des concepteurs et autres édiles à l’origine de cette
politique, définie d’ailleurs dans les loges maçonniques, ce
regroupement de populations n’est viable que dans la mesure où toutes
communient dans le même intérêt supérieur général, celui des droits de
l’homme, qui repose sur 3 principes fédérateurs (liberté, égalité,
fraternité) et sur un système politico-mystico-religieux, la laïcité.
Ceci cache le but final poursuivi en réalité : un changement d’ordre civilisationnel, le grand remplacement d’une civilisation (chrétienne) par une autre que nous savons luciférienne.
Car le grand remplacement n’est pas uniquement ethnique et culturel, il est global :
Grand remplacement civilisationnel
Grand remplacement religieux
Grand remplacement historique
Grand remplacement moral
Grand remplacement des esprits

Nous ne détaillerons pas ici chacun de ces thèmes -bien que ce soit
instructif- mais nous allons juste aborder quelques points-clés de ce
changement de civilisation.
Ce dernier nous été signifié à l’échelon mondial le 21 décembre 2012 : fin du monde voulait dire « fin du monde chrétien »
; à la civilisation inspirée du christianisme s’est substituée en 150
ans une civilisation d’inspiration luciférienne que le 21/12/2012 a
entériné et confirmé : après l’ère du Christ, celle de Satan. Quand ce
n’est pas le Christ qui règne, c’est l’autre qui prend la place, on l’a
vu tout à l’heure avec l’émergence de la culture LGBT qui paraît
naturelle aujourd’hui ; effectivement, dans une culture luciférienne,
c’est normal.

Dans ce grand remplacement civilisationnel, la méfiance remplace la
confiance, la cupidité remplace la charité et la jouissance remplace la
sagesse.
Le système est basé non plus sur la confiance, mais sur l’encadrement
des populations, un encadrement liberticide où l’Etat décide de tout ce
que doivent faire les hommes avec un enchevêtrements de lois, de
décrets, de normes, de recommandations, de préconisations etc…  C’est
lui qui décide ce qui est bon ou mauvais. L’Etat est la nouvelle
Providence, d’ailleurs les mots trahissent la stratégie luciférienne
puisque l’Etat-Providence a remplacé la Providence divine.
Ce nouvel état d’esprit a pour corollaire un refus de la loi naturelle,
le démon faisant l’inverse de Dieu, qui se concrétise notamment par
l’égalitarisme, qui est le refus de reconnaître les différences
intrinsèques entre hommes et femmes. Or ces différences sont naturelles
et complémentaires ; reconnaitre, accepter et même favoriser les
différences et la complémentarité hommes-femmes participe de
l’équilibre psychique des populations et en définitive de l’équilibre
social.
En fait, déstabiliser les individus tant à l’échelle
individuelle qu’à l’échelle collective par l’égalitarisme pervertit tout
le processus parce qu’en définitive, personne n’est à sa bonne place ; 
ni l’homme ni la femme pris tant individuellement que dans la cellule
familiale ou sociale, et ceci se répercute dans les rapports avec les
enfants, au travail et dans l’administration du pays.
D’où un sentiment généralisé de malaise, ce fameux malaise traduit
maladroitement par le mouvement des gilets jaunes, mais aussi la
difficulté à identifier les causes de ce malaise, car ce serait alors
reconnaître un mauvais choix d’ordre civilisationnel entamé au bas mot
il y a 50 ans ; mai 68 est un bon repère pour le point de départ
effectif de ce nouvel ordre mondial, qui est en réalité un changement de
civilisation par une modification de l’ordre moral et culturel dont les
populations souffrent au plus profond d’elles-mêmes. Elles en souffrent
d’autant plus qu’elles ne savent pas l’expliquer clairement (et pour
cause) et que les remèdes sont inefficaces et inadaptés car ils ne
s’appliquent qu’aux conséquences, dont on essaie de réduire les mauvais
effets, et non aux causes ; pire même, les causes empirent car on
assiste à une fuite en avant sur les thèmes à la base de ce changement
civilisationnel : féminisme, égalitarisme, sexualité débridée et
inversée (LGBT), socialo-capitalisme d’Etat, technocratie, robotisation
et omniprésence du numérique, etc…
A partir du moment où l’idéologie prime sur la loi naturelle, il est
normal que cette dernière soit d’abord niée, puis réécrite et
réinterprétée dans le sens idéologique voulu, ce qui finit par donner
l’exact contraire : par exemple, l’homosexualité est une pratique
contre-nature. Or le maître de l’inversion, depuis toujours, c’est
Satan. Dis-moi ce que tu penses, je te dirai qui est ton dieu.

Il est d’ailleurs significatif de constater que celui qui devrait
être l’opposant numéro un à ce nouvel ordre mondial, le pape, en est
aujourd’hui un des plus ardents défenseurs. Le pape François se préoccupe uniquement des thèmes chers aux partisans du Nouvel Ordre Mondial
: parti-pris en faveur des migrants et donc du grand remplacement,
promotion du socialisme d’Etat, soumission à la laïcité et aux droits de
l’homme, partisan de la lutte contre les inégalités (pur produit de
l’inversion de la loi naturelle), adhésion au mythe du dérèglement
climatique (qui est à la fois le résultat de ce nouvel état d’esprit et
un business planétaire), politique favorable envers les LGBT qu’il
préconise d’accueillir dans l’Eglise (!!) sans jamais évoquer le péché
grave qu’ils commettent, dépassant ici de loin les positions de ses
prédécesseurs. Mais pour qui travaille-t-il ? Pour Jésus-Christ
ou pour la franc-maçonnerie, à l’origine de tous les thèmes que nous
venons de lister ?
Le salut des âmes semble être le cadet de ses soucis, par contre le salut des thèses maçonniques, alors là, ça c’est important!

Conclusion

Il faut donc être bien conscient du travail en profondeur effectué
sur les mentalités depuis des décennies. Il ne s’agit pas seulement
d’éradiquer l’ordre social et moral issu du christianisme, il s’agit de
le remplacer parallèlement par un autre ordre : le fameux Nouvel Ordre
Mondial.
Le Nouvel Ordre Mondial est constitué d’un nouvel ordre moral (inversion des valeurs), d’un nouvel ordre mental (inversion des esprits), d’un nouvel ordre social (multiculturalisme), d’un nouvel ordre économique (obligation de croissance financée par la dette), d’un nouvel ordre politique (mondialisme, c’est à dire fusion du capitalisme et du socialisme), d’un nouvel ordre naturel (l’homme modifie la loi naturelle selon ses vues) et d’un nouvel ordre religieux (primauté de la religion des droits de l’homme sur toutes les autres, qui doivent s’y soumettre).
Le Nouvel Ordre Mondial n’est donc pas en devenir : il est là, il est construit, et sa naissance officielle nous a été signifiée le 21 décembre 2012. Ce jour-là, ils nous ont dit en substance : « votre monde (chrétien) est mort et le nôtre (luciférien) est prêt, il prend désormais le relais. »
Mais attention, Babylone, que l’Apocalypse appelle aussi Sodome -et pour
cause !- c’est quand tu te crois vainqueur que le feu du ciel te tombes
dessus.
L’incendie de Notre-Dame n’est pas qu’un avertissement pour l’Eglise ;
c’est aussi un avertissement pour Sodome-Babylone, l’annonce du feu
purificateur.

Pour télécharger le fichier pdf de l’article, cliquez sur ce lien : Sodome, tu dépasses les bornes

Illustration : la tenue de gala de Bilal Hassani à l’Eurovision 2019
était une robe de mariée (?? Je rappelle que c’est un garçon…). Mariage
avec qui ? Lucifer son maître, ou Sodome-Babylone, autre fille de
Lucifer ?




Le secrétaire général de l’ONU appelle à une «gouvernance mondiale» qui soit «mordante» et prépare le “Great Reset” de l’économie mondiale

[Source : Médias-Presse.Info]

“Nous devons absolument nous unir pour réinventer le monde”, a déclaré Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, qui appelle à un niveau de gouvernance «multilatéral» pour «fonctionner comme un instrument de gouvernance mondiale».

“Le problème est que le multilatéralisme actuel manque d’échelle, d’ambition et de mordant”, a déclaré Guterres lors d’une conférence de presse jeudi sur le lancement de la “réponse globale de l’ONU au COVID-19”.

“Et certains des instruments qui ont des dents, montrent peu ou pas d’appétit à mordre, comme cela a été le cas récemment avec les difficultés rencontrées par le Conseil de sécurité.”, s’est plaint le secrétaire général de l’ONU.

Dans le monde interdépendant d’aujourd’hui, “les intérêts nationaux ne sont pas facilement séparés du bien mondial”, a affirmé le perfide António Guterres, ajoutant que les bouleversements économiques et sociaux causés par la pandémie de coronavirus «ont mis à nu des inégalités graves et systémiques» à travers le monde, et ont souligné sa fragilité face à la «crise climatique», la menace d’une guerre nucléaire et «l’anarchie dans le cyberespace».

Face à de tels problèmes, “les dirigeants mondiaux doivent être humbles et reconnaître l’importance vitale de l’unité et de la solidarité”, en déduit-il avant de se lancer dans un plaidoyer pour la mise en place d’un gouvernement mondial.

“Nous devons repenser la manière dont les nations coopèrent.” “Nous avons besoin d’un multilatéralisme en réseau, réunissant le système des Nations Unies, les organisations régionales, les institutions financières internationales et autres”, a-t-il déclaré. «Et nous avons besoin d’un multilatéralisme efficace qui puisse fonctionner comme un instrument de gouvernance mondiale là où il est nécessaire.»

Il a réitéré le même message lors d’une conférence de presse virtuelle le 26 juin pour marquer le 75e anniversaire de l’adoption de la Charte des Nations Unies à San Francisco. Pour imiter ceux qui ont saisi la Charte comme l’occasion de «planter quelque chose de nouveau» après la dépression et les guerres mondiales, le multilatéralisme doit changer, a-t-il dit.

«La société civile, les villes, le secteur privé et les jeunes sont des voix essentielles pour façonner le monde que nous voulons.» Des petites phrases de Guterres que George Soros applique à la lettre en ce moment en façonnant sa révolution mondialiste.

Guterres a énoncé dans sa conférence virtuelle d’autres problèmes qui nécessiterait cette gouvernance mondiale : la méfiance généralisée et croissante à l’égard des gouvernements nationaux, les “inégalités, discrimination, corruption et manque d’opportunités partout dans le monde – des griefs qui doivent encore être traités, y compris avec un renouvellement de contrat social.”

Il y a aussi la possibilité d’une autre pandémie de «un nouveau virus transmis aussi facilement que COVID-19 mais aussi mortel qu’Ebola», a-t-il ensuite prévenu.

Et il y a «le fléau de la désinformation» à combattre”, a-t-il ajouté pour prévenir que la gouvernance mondiale doit aussi signifier le règne d’une pensée unique considérant toute analyse discordante comme une “fake news” interdite.

António Guterres a hâte de discuter de ces questions lors de l’assemblée générale annuelle des Nations Unies en septembre «dans le format nécessaire», a-t-il déclaré jeudi.

Ce n’est pas la première fois que le socialiste Guterres utilise la pandémie de coronavirus pour pousser à la «gouvernance mondiale».

Il a proposé en mars que 10% du PIB mondial soient placés dans un fonds administré au niveau international et un «plan de relance coordonné» pour répondre aux retombées économiques et sociales de la pandémie.

Si les pays acceptaient le plan, les Nations Unies ou une agence de coordination similaire recevraient l’équivalent d’environ 8,7 trillions de dollars US, un montant sans précédent qui serait 2 900 fois plus élevé que le budget annuel de l’ONU de 3 milliards de dollars US, ont commenté des spécialistes.

Le fonds international proposé par Guterres concorde parfaitement avec l’initiative «Great Reset» lancée par le Forum économique mondial, avec le prince Charles d’Angleterre et le Fonds monétaire international (FMI).

Guterres soutient pleinement «The Great Reset», dont les élites mondialistes discuteront en janvier 2021 à Davos avec des participants en ligne du monde entier.

Notons qu’António Guterres milite également pour un droit mondial à l’avortement dans le contexte de la pandémie de coronavirus.


[Voir aussi :




Appel aux journalistes, médecins, personnels de santé, scientifiques, juristes, politiques, forces de l’ordre…

[Source : Profession gendarme via Réseau International]

Une amie de Facebook, Claire Relience, nous a transmis un appel aux journalistes ainsi qu’aux différents acteurs de la crise actuelle…

C’est avec plaisir que nous reproduisons ici son appel :

colombe-cage-liberation-1200x800

Vous l’avez certainement remarqué, nos libertés sont de plus en plus mises en danger. Liberté de circuler, liberté de nous informer et de nous exprimer, liberté de nous soigner, liberté de choisir…

Nos libertés les plus fondamentales, la Loi elle-même, les Droits de l’Homme, notre intégrité physique et psychologique, la liberté de travailler,  sont jour après jour remises en question, bafouées, grignotées par des Etats de plus en plus corrompus et éloignés des peuples.

En acceptant de communiquer des informations qui ne s’appuient que sur les dires de scientifiques ou de personnalités corrompues, sujettes à des conflits d’intérêts, malhonnêtes, vous soutenez la désinformation, vous participez à tromper les citoyens…

En acceptant de mentir, de déformer ou d’occulter des pans entiers de la réalité, lorsque vous transmettez les informations qu’on vous demande de transmettre, vous soutenez la manipulation des populations…

En acceptant de suivre ou d’obéir à des personnes qui, depuis le début de cette crise n’ont fait que se tromper, changer de discours, prendre les pires décisions qui ont menées et mènent encore à la mort des milliers de personnes. Ces personnes qui nous mentent, interdisent aux médecins de faire leur travail. Par vos acceptations vous vous faites complice de crime contre l’humanité…

En obéissant à ce que racontent des gens qui ne respectent pas vos droits, les conditions de travail décentes, qui ne reconnaissent  pas votre valeur et la qualité de votre travail ou seulement quand ça les arrange, vous perdez jour après jour votre dignité, votre santé, votre autonomie, votre liberté…

En fermant les yeux sur la censure de plus en plus coercitive qui nous est imposée et qui empêche la libre circulation d’une information diversifiée et contradictoire, nécessaire à la liberté de choisir ce qu’il y a de mieux pour notre santé et celle de nos enfants, vous favorisez un discours unique, une pensée unique, digne d’un état totalitaire…

En acceptant de vous taire, d’entrer dans ces jeux de manipulation, de ne rien faire, de réprimer celles et ceux qui essaient de faire valoir leurs/vos droits à la liberté, à l’intégrité, au respect les plus élémentaires des droits de l’homme, vous engagez notre/votre avenir et celui de nos enfants, de vos enfants dans un futur sans lumière…

Vous participez au climat de peur qui envahit chaque esprit et chaque corps pour le pire…

Car la peur emprisonne, la peur rend malade, la peur ruine, la peur tue.

Vous êtes le peuple, et en soutenant, en vous taisant, même malgré vous, cette poignée de dictateurs, vous permettez et vous aidez à la mise en place d’un monde totalitaire et uniquement destiné à satisfaire une infime minorité dont vous et nous ne ferons jamais partie.

Je sais que votre position est délicate, que vous avez des obligations matérielles, des limitations professionnelles, des contraintes qui entravent votre liberté d’action, mais nous avons besoins de vous, vos enfants ont besoin de vous avant que les fous qui nous dirigent nous privent petit à petit de tout espace de liberté, qu’ils nous enferment dans leur folie….

Nous avons besoin de tous si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre et respectueux des droits de l’humain ; Que nous ayons encore la liberté de choisir le meilleur pour nous-même et notre famille.

Avez vous envie que vos enfants, vos petits enfants soient étiquetés, surveillés, robotisés, pucés comme des animaux, conditionnés, soumis aux bons vouloirs de leurs maîtres ? Qu’ils n’aient plus aucun choix quand à leur alimentation, leur santé ? Que leurs déplacements, leurs loisirs, leur accès au logement, au soin, soient tributaires de leur bonne obéissance au système, comme c’est déjà le cas en Chine et de plus en plus ici ?

Avez vous envie de continuer à supporter la maltraitance, le non respect, le sous-paiement, les conditions de travail épuisantes, le stress, les ordres incohérents, la corruption, les promotions injustes ?

Je vous en prie, aidez-nous, soutenez-nous, ils veulent nous asservir, nous enfermer dans un système uniquement destiné à leurs seuls profits.

Agissez, parlez, dénoncez, témoignez et, pour vos enfants, rejoignez et soutenez celles et ceux qui essayent de favoriser un avenir meilleur, une humanité libre, créative, magnifique.

Nous avons besoin de nous unir pour sortir de ce marasme et pour empêcher la mise en place d’un futur terrifiant et inhumain. Unissons nous, agissons main dans la main, pour nous et surtout pour nos enfants ! Nous avons besoin de toutes et tous !

Source :     Claire Relience

Le Pouvoir



Le colonialisme au XXIème siècle : l’exemple du Venezuela

[Source : TLAXCALA via Investig’Action]

[Auteur : Carsten Hanke]

Traduit par  Rosa Llorens

Pour la plus grande partie des citoyens dans le monde, la raison pour laquelle le pays le plus riche en pétrole du monde, le Venezuela, n’a pas d’essence est incompréhensible. Dans les médias bourgeois du monde entier, on ne dévoile pas les causes profondes, car il est plus simple, dans l’esprit du système économique capitaliste, de mettre en cause l’incapacité de l’alternative sociale – la construction du socialisme – qui est poursuivie au Venezuela depuis plus de 20 ans.

Pour pouvoir prendre pleinement la mesure du colonialisme moderne du XXIème  siècle, ne serait-ce que très partiellement, par l’exemple du Venezuela, il faut jeter un coup d’œil sur l’Histoire.

Ainsi donc, depuis les années 1920, lorsqu’on découvrit du pétrole au Venezuela, l’industrie pétrolière a été édifiée conformément à la technologie US et à ses besoins. Cela veut dire que, depuis plus de 80 ans, les entreprises économiques US ont en définitive construit les raffineries selon leurs besoins, afin que le pétrole et les carburants soient exportés pour toujours vers les USA. En pratique, cela veut dire aussi que toutes les pièces, calibres de tuyaux, outillage, citernes et réservoirs, valves, et bien d’autres choses encore, tout est fait avec de la technologie yankee. À cela s’ajoute le fait que les raffineries et gisements de pétrole travaillent tous les jours et toutes les nuits  non-stop, alors que, après un certain nombre d’heures de fonctionnement, toujours conformément à la technologie, des travaux d’entretien seraient nécessaires, ce qui est souvent d’usage et indispensable pour des raisons de sécurité.

C’est ainsi que les dernières pièces de rechange ont été installées conformément aux standards technologiques il y a plus de 50 ans. Mais les pièces hors d’usage servant à la prospection et au stockage du pétrole vénézuélien n’ont pas pu être remplacées par de nouvelles pièces à cause de la politique d’embargo des USA. Pour aggraver encore les choses, on ne peut pas simplement faire venir des pièces de rechange appropriées d’autres pays prospecteurs de pétrole parce que celles-ci ne sont pas compatibles avec la technologie US. C’est ainsi que des pièces d’une voiture japonaise ne peuvent s’adapter sur une voiture chinoise ou russe. Qu’il en aille de même dans une branche industrielle aussi complexe que la production pétrolière, avec une multitude de pièces différentes, valves, instruments de mesure, additifs chimiques et de toutes sortes, rend cette complexité évidente.

Un autre point à ne pas sousestimer, c’est que les spécialistes de cette branche industrielle ont été formés dans les Universités US et chez Shell, qui n’ont autorisé aucune autre technologie, pour s ‘assurer ainsi une dépendance éternelle. Ces experts formés aux USA siègent encore en partie à des postes de direction de l’industrie pétrolière au Venezuela, et se font bien payer en tant qu’hommes de main des entreprises US comme Shell, et sont donc plutôt corruptibles. Cela va même si loin qu’il y a du sabotage et, par exemple, on allume des incendies pour faire disparaître des pièces de rechange importantes.

Depuis le gouvernement Chavez, on s’est toujours efforcé de mettre fin à cette dépendance à l’égard des USA, du fait également que cette dépendance économique comme politique aurait condamné à l’échec la construction du socialisme au Venezuela. Un traité d’amitié a donc été conclu avec l’Iran. Mais comme l’Iran a été forcé par la politique d ’embargo à développer et construire pour son propre pays ses propres technologies de prospection et de transformation du pétrole, c’est seulement après de nombreuses années que le traité d’amitié a porté ses fruits : la construction de l’industrie pétrolière actuelle au Venezuela a commencé et, de même, une formation du personnel spécialisé est aussi assurée, afin de garantir pour l’avenir l’indépendance à l’égard des USA. Mais c’est là un énorme et lourd processus : en effet, il faut en même temps combattre tous les jours la corruption, le révisionnisme et le réformisme bourgeois sous toutes leurs formes. La résolution de la classe ouvrière à accomplir cette transformation et à se libérer des chaînes du colonialisme US du XXIème  siècle se manifeste à travers de nombreux exemples, c’est pourquoi la Révolution vers le socialisme engagée au Venezuela triomphera.




COVID-19 – Idolâtrie pour le dangereux, mépris pour le naturel

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

Où est la logique ?

Efficacité versus dangers des vaccins

Les vaccins sont omniprésents sur les scènes pandémiques.

Des gens l’attendent comme le messie, un Saint-Graal chimique :

Un vaccin Covid-19 sera un bien public mondial, dit le patron des Instituts américains de santé

Pourtant, un point récurrent est la minimisation systématique de ses dangers.

Des maladies neurologiques graves ont été reliées à la vaccination H1N1 de 2009 alors qu’elle était inutile : narcolepsie-cataplexie (La narcolepsie se caractérise par une somnolence diurne excessive chronique, fréquemment associée à une perte soudaine du tonus musculaire – cataplexie)

Malgré sa promesse de prendre en charge ces effets secondaires, l’État français rechigne toujours aujourd’hui à indemniser les victimes [1].

Les effets secondaires vaccinaux sont systématiquement minimisés voire rejetés en bloc par un pan du monde scientifique, qu’ils soient causés par le vaccin lui-même et/ou par ses adjuvants (squalène, thiomersal [2], aluminium [3-4] entre autres).

Des pathologies aussi graves que la sclérose en plaques – SEP [5-6-7-8] et l’autisme [9-10] sont aujourd’hui reliés aux différents vaccins.

Les vaccins sont des produits chimiques, pharmaceutiques qui devraient exiger la même vigilance et les mêmes précautions que n’importe quel médicament avant et après sa mise sur le marché.

Qui cherche trouve, et en matière de vaccins, nous sommes loin de l’innocuité angélique répandue religieusement par nombre de journalistes fussent-ils « scientifiques » ou, ce qui est plus compréhensible, par les firmes pharmaceutiques elles-mêmes, pour lesquelles d’année en année il n’y a aucun problème, seulement des profits.

Des vaccins très rentables

Dans cet article, Les vaccins c’est la santé… pour les laboratoires aussi !, nous apprenons :

« en 2016, la branche GSK Vaccines a réalisé 5,09 milliards d’euros de CA (chiffre d’affaires), soit 16,5 % du chiffre d’affaires global du groupe qui a atteint 30,9 milliards d’euros. 

Du côté de Sanofi, les vaccins comptent pour près de 13,5 % du chiffre d’affaires : 4,58 milliards d’euros sur 33,8 milliards de CA global. Tandis que chez Pfizer, ce chiffre est de 11,5 % soit 6,07 milliards de dollars (5,12 milliards d’euros) pour un CA global de 52,8 milliards de dollars (44,6 millions d’euros). 

Des perspectives de croissance qui font rêver ! »

Dire que certains osent affirmer que les firmes pharmaceutiques ne gagnent pas tant d’argent que ça avec les vaccins !

« L’intérêt de l’industrie pharmaceutique pour les vaccins est renforcé par la forte croissance du secteur: « 14 % par an depuis 2002 », selon un rapport de la Cour des comptes de 2012 qui ne précise pas s’il s’agit du marché mondial, européen ou français. Ce qui est sûr, en revanche, c’est que, de 2011 à 2016, les ventes mondiales de vaccins sont passées de 26 milliards de dollars à 42,3 milliards. Et elles vont « doubler d’ici à 2025 », estime encore Frédéric Bizard, pour atteindre près de 80 milliards de dollars. »

Certainement, avec cette aubaine du coronavirus !

« Dans tous les cas, les bilans annuels des fabricants de vaccins montrent une rentabilité très forte. Chez Sanofi, la marge brute de la filière vaccins atteint 62 % du CA en 2016, son meilleur niveau depuis six ans.

Même constat chez GSK dont la marge opérationnelle moyenne est de 28,9 % tandis que celle de GSK Vaccines atteint 31,7 %. De quoi intéresser des actionnaires et l’existence d’une législation favorable à la vaccination ne peut que les rassurer. »

Oui, pour les firmes pharmaceutiques, il n’y a vraiment aucun problème, d’autant que les gouvernements leur assurent l’impunité en cas de décès ou d’effets secondaires graves :

L’opération « Warp Speed ». La poussée à grande vitesse pour les vaccins contre le coronavirus :

« Pour s’assurer que les grandes sociétés pharmaceutiques donnent le meilleur d’elles-mêmes au projet médical Manhattan, elles ont été entièrement indemnisées par le gouvernement étasunien en cas de décès ou de maladie grave des personnes ayant reçu le vaccin. La FDA et le NIH ont renoncé aux pré-tests standard sur les animaux dans cette situation. »

Vous le voyez, il n’y aura jamais aucun problème pour les dirigeants des firmes pharmaceutiques ni pour ceux qu’ils payent grassement pour se taire.

Or si ! Pour les citoyens, nous, il y a des problèmes.

Il y a un plus qu’un doute raisonnable qui doit nous pousser à la prudence avec ces produits, si on a bien à cœur la bonne santé humaine (et animale).

Sur le site d’Association Liberté Information Santé [11], des informations rétablissent l’équilibre des connaissances sur la vaccination.

Ainsi, j’ai pu apprendre de quoi les vaccins sont composés, matière étrangement absente de nos cours de médecine [12-13], je vous encourage à consulter ces documents, c’est édifiant :

  • Béta-propiolactone (cancérigène)
  • Levures génétiquement modifiées
  • Latex
  • Glutamate de sodium (neurotoxique-tératogène-mutagène)
  • Aluminium
  • Formaldéhyde (formol)
  • Micro-organismes
  • Polysorbate 80 (cancérigène chez les animaux)
  • Glutaraldéhyde (poison tératogène chez l’animal)
  • Mercure (théoriquement interdit dans les vaccins depuis 1999)
  • Phénol/phénoxyéthanol (antigel)
  • Borate de sodium ou borax (insecticide, raticide contenu dans le Gardasil) …

J’ai aussi pu prendre connaissance des effets secondaires bien réels de la vaccination [14], même s’il y aura toujours des « scientifiques » ou des journalistes pour le contester.

Dans le contexte hystérique de la crise « CORONA » actuelle, ne nous laissons surtout pas emporter par un élan périlleux aiguillonné par la peur et l’enthousiasme de personnes dont la totale indépendance vis-à-vis des fabricants de vaccins est entourée d’opacité.

Malgré ce que disent déjà ces-derniers, il ne faut négliger aucune étape de sécurité.

D’un côté, les autorités nous serinent « chaque vie compte », argument ayant justifié le confinement total de la société, de l’autre côté, on se dit prêt à sacrifier des vies sur l’autel de la vaccination !

« Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer, au mieux, contre-productive, au pire, causer des morts. »

« En temps normal, le développement d’un vaccin peut prendre de 15 à 20 ans…

À quel moment le fait de court-circuiter les étapes dans le développement d’un vaccin contre le nouveau coronavirus devient-il dangereux ? Déjà, certains chercheurs sont en train de passer outre à l’étape des tests sur des animaux. » [15-16].

Une promptitude excessive dans le développement d’un vaccin contre le coronavirus pourrait avoir de graves effets secondaires, selon le docteur Mikhaïl Kostinov, chef du laboratoire de vaccination et d’immunothérapie à l’institut de recherche en vaccins et sérums Metchnikov [17].

Et les thérapies naturelles ?

« Circulez, il n’y a rien à voir », disent en substance l’OMS, la FDA, le NIH, le NIAID…

Et bien, pas du tout, disent de nombreux médecins.

Les points communs de ces thérapies ne sont pas le manque d’efficacité ou de connaissances, mais leur innocuité relative et surtout, leur caractère non brevetable.

Il est difficile d’imaginer les laboratoires pharmaceutiques réaliser les profits mirobolants avec ces thérapies naturelles comme ils le font avec les vaccins ou les médicaments tous les ans [18].

Ainsi l’Artemisia Annua, proposée en tisane, est un remède validé contre le coronavirus par l’Institut Malgache de Recherches Appliquées (IMRA), puis proposé par le président de Madagascar, Andry Rajoelina, à sa population sous le nom de Covid-Organics [19] (le Covid-Organics est une décoction à base de trois plantes dont l’Artemisia, qui est très efficace dans le traitement de plusieurs maladies notamment le paludisme). 

Jusqu’à présent, Madagascar (population de 27 595 696 habitants avec 283 cas de COVID-19 au 17 mai 2020) ne déplore que deux décès (Worldometers – coronavirus – mortalité par pays – Madagascar).

Cette plante s’appelle aussi l’armoise naturelle ou absinthe chinoise [20], utilisée contre le paludisme en Afrique. 

La substance active de la plante ou artémisinine est active contre le paludisme et supposée active contre la SRAS-CoV-2. 

Malgré l’absence d’effets secondaires répertoriés et son large usage en Afrique et en Chine, notamment contre le COVID-19, cette plante est interdite en France et en Belgique. Pourquoi ?

L’Artemisia Annua est utilisée depuis longtemps en Chine dans les maladies respiratoires [21].

L’intérêt de cette thérapie naturelle est tel que des chercheurs danois et allemands de l’institut Max Planck font une étude dessus [22].

Mais que fait l’OMS à propos de l’Artemisia Annua? Moquerie et intimidation.

Au lieu d’encourager la recherche, voire mettre le paquet dans ces voies peu dangereuses, peu coûteuses et potentiellement efficaces, l’OMS s’oppose à Madagascar et fait pression sur le président malgache, comme sur tous les pays d’Afrique tentés de résister au diktat vaccinal mondial [23]. 

Mépris malgré les bons résultats sur cette île.

Toujours le prétexte d’une exigence de qualité scientifique pour ces plantes et ces produits naturels.

Par contre, les vaccins, eux, depuis toujours, sont exemptés de telles exigences car tout le monde doit accepter comme postulat que la vaccination ne se discute pas (allusion au ministre de la Santé en France, Marisol Touraine, qui avait énoncé cette sentence le 29 mai 2015, en réponse à la pétition mise en ligne par le professeur Henri Joyeux- [24]).

En Belgique :

Ce n’est pas mieux que dans le reste du monde.

Il existe depuis longtemps une connexion puissante entre les pouvoirs politiques et l’industrie pharmaceutique [25].

Sur le site fédéral du premier ministre de Belgique par intérim actuel, Sophie Wilmès, sont affichés ces liens forts entre le gouvernement belge et les fabricants de vaccins [26] et de médicaments coûteux, dangereux et peu efficaces. 

Des médicaments comme le Roactemra (Tocilizumab) de la firme Roche, à plus de 800 euros l’injection [27] qui peut vous causer des infections des voies respiratoires, des céphalées, de l’hypertension ou réactiver des infections latentes (pneumonie, zona, arthrite bactérienne…).

Rien de tout ça avec l’Artemisia Annua, qui elle, est pourtant interdite.

Cela laisse présager, en droite ligne des recommandations de l’OMS elle aussi noyautée par les lobbys pharmaceutiques [28], une vision unique de la santé basée sur le tout chimique et sur les vaccins dont cet article a démontré les dangers, d’autant que délaisser d’autres voies thérapeutiques plus sûres, peu coûteuses et potentiellement efficaces au prétexte qu’elles ne peuvent être brevetées et rapporter beaucoup d’argent est insupportable pour un nombre de plus en plus grand de citoyens.

Les gouvernements qui prônent ces politiques (vaccins, traitements médicamenteux, tests) favorables aux laboratoires pharmaceutiques [29] se caractérisent par le mépris de ceux qui les interpellent.  

Ainsi, nos ministres n’ont pas daigné réagir à une lettre de questions du 13 avril 2020* adressée par le collectif « Initiative Citoyenne » fondé en 2009 par Sophie Meulemans, Marie-Rose Cavalier et Muriel Desclée à l’occasion de la fausse pandémie H1N1 [30], démarche soutenue par trois médecins belges :

* Questions au gouvernement belge sur le coronavirus, le confinement et les futurs vaccins

Lettre également envoyée aux principaux journaux francophones du pays, sans réponse également ou à peine.

Une deuxième série de questions* ciblées sur la fausse solution vaccinale a été adressée le 20 avril 2020 à la presse belge qui n’a pas daigné réagir. Bien sûr, nous sommes hors-sujet : soutenir la vaccination pour tous, un point c’est tout.

* Vaccins anti-coronavirus : une fausse solution miracle 

Malgré un afflux de témoignages et de soutiens, dont ceux de nombreux médecins, aucune de ces démarches démocratiques et naturelles dans une crise comme celle-ci n’a suscité les réactions attendues de nos autorités ni de nos médias, au minimum une réponse, un écho à nos questions.

Ainsi va ce monde, pour le moment.

Idolâtrie pour l’argent et le dangereux, mépris pour le naturel et pour la vie.

Dr Pascal Sacré


Illustration : pixabay.com

Notes :

[1] H1N1 : l’État rechigne à indemniser les victimes du vaccin

[2] Thiomersal, science officielle et science officieuse

[3] Comprendre pourquoi le « science-washing » est criminel

[4] Aluminium vaccinal l’article sans concession

[5] Les vaccins qui n’induisent jamais de SEP, l’étude allemande qui nous a fait mourir de rire, critique d’une étude mettant en doute le lien vaccin-SEP

[6] Certaines études françaises ont clairement démontré un lien indiscutable entre vaccination anti-hépatite B et SEP entre autres

[7] SEP et vaccination anti-HBV

[8] Une étude récente réaffirme les risques de sclérose en plaques liés au vaccin hépatite B

[9] Vaccins et autisme : les faits s’imposent…

[10] Autisme régressif et vaccination ROR, la vilaine propagande danoise, critiques méthodologiques

[11] ALIS Nous sommes une association Loi 1901 qui ne professe aucun dogme aucune doctrine.

[12] Composants des vaccins

[13] QUE TROUVE-T-ON DANS LES VACCINS

[14] Quelques vérités sur les effets secondaires des vaccins

[15] Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte

[16] Coronavirus : court-circuiter les étapes vers un vaccin ?

[17] Voici pourquoi un chercheur appelle à prendre son temps pour concevoir le vaccin anticoronavirus

[18] 1000 milliards d’euros de profits en vingt ans

[19] Artémisia et vieilles recettes: Madagascar a ouvert la chasse contre le Covid-19

[20] L’Artemisia annua 

[21] NOTE SUR ARTEMISIA ANNUA OU « ARMOISE CHINOISE », Christian Busser, 3 avril 2020

[22] L’Artemisia annua testée contre le Covid-19, publiée le 20 avril 2020. L’Institut Max Planck de recherche sur les colloïdes de Potsdam, en Allemagne, a annoncé le 8 avril 2020 le lancement d’une étude cellulaireafin de testerles effets de l’Artemisia annua sur le Coronavirus. Certains de ses dérivés comme l’artémisinine vont également être étudiés. Cela est rendu possible par un accord avec la société américaine ArtemiLife qui fournira les plantes. En effet, ArtemiLife cultive l’Artemisia dans le Kentucky et développe la commercialisation de tisanes et cafés à base d’armoise annuelle.

[23] L’OMS rappelle à l’ordre les dirigeants africains

[24] La vaccination, ça se discute

[25] Maggie De Block augmente encore et toujours le pouvoir des lobbies pharmaceutiques. Et notre santé ?, de Muriel Gerkens, députée fédérale Ecolo et présidente de la commission santé à la chambre, article paru dans le Vif le 21embre 2017.

[26] Le gouvernement fédéral et l’industrie biopharmaceutique belge

[27] Roactemra 162 mg, solution injectable, Tocilizumab, autorisation de mise sur le marché le 23/04/2014 par ROCHE au prix de 822,13€.

[28] Politique et corruption à l’OMS, sur le site Mondialisation, par Pascal Sacré, 12 janvier 2010.

[29] Coronavirus: les laboratoires de biologie clinique agréés, « écartés » au profit de firmes industrielles, n’ont plus confiance dans le gouvernement

[30] Association » Initiative Citoyenne » fondée en 2009

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2020


[Voir aussi : dossier Vaccins]




Dr Hélène Potrich – Je refuse d’être dépistée, je refuse d’être vaccinée

[Source : Fractale huit via sott.net]

« Bonjour à tous et à toutes. Je m’appelle Hélène Potrich je suis médecins généralistes à Séverac-le-Château, c’est en Aveyron. Et j’ai décidé aujourd’hui de faire cette vidéo pour vous faire part de toute ma colère. Aussi bien en tant que médecin, qu’en tant que citoyenne.

Tout d’abord ma colère de médecin à qui le gouvernement demande de trahir le secret professionnel en signalant non seulement mes patients qui seraient dépistés positifs au Covid-19, comme cela se fait déjà pour les maladies à déclaration obligatoire. Mais également toutes les personnes qui ont été en contact avec eux durant les deux semaines qui précèdent le dépistage positif, en donnant leurs coordonnées : nom, adresse, et même numéro d’immatriculation à Sécurité sociale. Tout cela pour leur envoyer une brigade sanitaire appelée pompeusement « Anges Gardiens ». Quelle hypocrisie… Moi j’appelle cela de la délation.

Et comme le gouvernement sait très bien qu’il ne peut pas nous obliger à le faire, eh bien il nous paye pour chaque signalement. J’appelle cela de la « tentative de corruption ». Moi je refuse, je refuse de faire tout signalement. Votre médecin traitant comme moi, on est tout à fait capable de vous soigner, de vous donner les conseils nécessaires. De s’occuper également de votre entourage et des personnes contactes qui le désireraient. Nous n’avons besoin ni de la sécurité sociale, ni du gouvernement pour vous soigner en garantissant le secret professionnel. Votre état de santé ne regarde personne.

D’autre part on nous a interdit de prescrire l’hydroxychloroquine sous peine de radiation par le conseil de l’ordre … »

https://youtu.be/-jwqblMqpXc



Le projet d’extinction «SCoPEx» pour bloquer le soleil en polluant la planète entière est détaillé dans la vidéo de la conférence «Oblivion Agenda»

[Source : cogiito.com]

TerraForming.News, le 19 octobre 2019, par Mike Adams

Traduction pour cogiito.com : PAJ

https://terraforming.news/2019-09-19-scopex-scheme-polluting-the-entire-planet-video.html

Après les vaccins, dont la nécessité est sévèrement discutée aujourd’hui et à raison, la Fondation Bill & Melinda Gates, les premiers organisateurs et pourvoyeurs de vaccins dans le monde à travers les prises de contrôle dans des sociétés parentes et autres satellites officiels et moins officiels, s’arrangeant pour rendre la vaccination obligatoire, Bill Gates investi désormais dans un nouveau projet tout aussi criminel que le précédent.

Cet homme qui perd complètement la tête a les moyens financiers de se lancer dans des projets aussi dangereux que néfastes pour l’humanité. L’homme qui vit hyper protégé dans sa tour d’ivoire ne voit justement plus rien, et il devient l’homme le plus dangereux de la planète pour la planète.

CELUI QUI SE FAIT PASSER POUR UN BIENFAITEUR DE L’HUMANITÉ PROUVE À NOUVEAU QU’IL EST LE PLUS GRAND MALFAITEUR DU XXIE SIÈCLE.

Si vous souhaitez connaitre la vérité, lisez cet article qui vous mettra, je le suppose, très en colère, comme il m’a profondément contrarié.

Nous vivons une époque formi…diable !

cogiito.com

LE PROJET SCoPeX

Avez-vous entendu parler du projet SCoPEx, une folle expérience scientifique financée par Bill Gates et gérée par des scientifiques de Harvard pour polluer la planète entière et bloquer les rayons du soleil ?

La justification d’un tel programme est de réduire le soi-disant « réchauffement de la planète », un canular scientifique conçu par des personnes comme Al Gore, qui détient des actions dans des entreprises de viande artificielle comme Beyond Meat. (Al Gore est actuellement le plus gros investisseur dans « Beyond Meat », « au-delà de la viande » une entreprise de fausse viande dont nous avons déjà signalé qu’elle vend des créations alimentaires « végétaliennes » à base de soja génétiquement modifié, de glutamate monosodique (MSG) et de divers autres ingrédients et produits chimiques néfastes pour la santé. Par coïncidence, Al Gore dit que manger de la viande aggravera le réchauffement climatique.)

MAIS L’IMPACT RÉEL DE SCOPEX SERA LE BLOCAGE DE LA PHOTOSYNTHÈSE DES PLANTES ET DU PHYTOPLANCTON, PROVOQUANT UN EFFONDREMENT DES CULTURES VIVRIÈRES, ENTRAÎNANT LA FAMINE MONDIALE, LA FAMINE ET LA MORT MASSIVE DES POPULATIONS.

C’est le véritable objectif du programme, bien sûr. Il s’agit d’un système d’arme « d’extinction de masse » financé par les mondialistes pour anéantir l’humanité en éliminant les réseaux alimentaires qui soutiennent la vie humaine. Ce n’est rien de moins que la militarisation de l’atmosphère pour commettre un génocide à l’échelle planétaire.

La résistance aux vaccins a obligé les mondialistes à passer au crible les « vecteurs de destruction massive »

CE PROJET EST EN COURS PARCE QUE LES MONDIALISTES ONT RENCONTRÉ UNE RÉSISTANCE EXCESSIVE AUX PROGRAMMES DE STÉRILISATION À TRAVERS LES VACCINS

Les vaccins conçus pour fonctionner comme un système de destruction à mort afin d’éliminer les populations humaines par l’infertilité. (Les vaccins approuvés par l’ONU ont été maintes fois découverts comme des produits chimiques d’infertilité tels que le HCG.) Cependant, les vaccins nécessitent le consentement de la personne concernée et trop de personnes (du point de vue mondialiste) s’émeuvent et refusent de se faire injecter des vaccins fabriqués comme des armes.

  • « Appelez cela l’Âge de la transparence, si vous voulez, mais les sombres secrets qui se cachaient derrière presque toutes les institutions autrefois dignes de confiance sont désormais dévoilés et connus de tous. La confiance du public dans la trahison du FBI, la corruption du CDC, les “fausses nouvelles” des médias grand public et la farce de la médecine conventionnelle ont déjà été sérieusement ébranlées. Dans la foulée, nous apprenons qu’un article scientifique publié a identifié et nommé le produit chimique de l’infertilité génocidaire qui a été secrètement ajouté aux vaccins approuvés par l’Organisation mondiale de la santé et administrés uniquement aux femmes noires en Afrique. » Le document, publié dans la revue en libre accès « Scientific Research », est intitulé « HCG Found in WHO Tetanus Vaccine in Kenya Raises Concern in the Developing World ». (Lien source) Auteur : John W. Oller, Christopher A. Shaw, Lucija Tomljenovic, Stephen K. Karanja, Wahome Ngare, Felicia M. Clement et Jamie Ryan Pillette, l’étude confirme non seulement qu’un produit dépeuplant a été délibérément ajouté aux vaccins administrés aux femmes africaines au Kenya, elle mentionne aussi le produit chimique utilisé. (Ci-dessous, j’explique comment le produit chimique « arme » contre l’utérus des femmes noires, transformant les corps des mères en armes biologiques contre leurs propres enfants à naître…)
  • « En 1993, l’OMS a annoncé un “vaccin contraceptif” pour la “planification familiale”. Des recherches publiées montrent qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient conjugué l’anatoxine tétanique (TT) avec la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) pour produire un vaccin “contraceptif”. La conjugaison du TT avec la hCG provoque l’attaque des hormones de grossesse par le système immunitaire. Les résultats attendus sont des avortements chez les femmes déjà enceintes et/ou l’infertilité chez les receveuses non encore fécondées. Les inoculations répétées prolongent l’infertilité. Actuellement, les chercheurs de l’OMS travaillent sur des vaccins anti-fertilité plus puissants utilisant l’ADN recombinant. Les publications de l’OMS montrent que l’objectif à long terme est de réduire la croissance démographique dans les “pays moins développés” instables. En novembre 1993, des publications catholiques disaient qu’un vaccin abortif était utilisé à titre prophylactique contre le tétanos. En novembre 2014, l’Église catholique a affirmé qu’un tel programme était en cours au Kenya. Trois laboratoires de biochimie indépendants accrédités à Nairobi ont testé des échantillons de flacons du vaccin antitétanique de l’OMS utilisé en mars 2014 et ont trouvé de la hCG là où il ne devait pas y en avoir. En octobre 2014, 6 flacons supplémentaires ont été obtenus par des médecins catholiques et testés dans 6 laboratoires accrédités. Là encore, on a trouvé de l’hCG dans la moitié des échantillons. Par la suite, le laboratoire AgriQ Quest de Nairobi, dans deux séries d’analyses, a de nouveau trouvé de l’hCG dans les mêmes flacons de vaccin qui avaient donné des résultats positifs plus tôt, mais n’a trouvé aucune hCG dans 52 échantillons que l’OMS a allégué être des flacons du vaccin utilisé dans la campagne au Kenya 40 avec les mêmes numéros de lot que ceux qui avaient donné des résultats positifs à la hCG. Étant donné que l’hCG a été trouvé dans au moins la moitié des échantillons de vaccins de l’OMS dont les médecins impliqués dans l’administration des vaccins savaient qu’ils avaient été utilisés au Kenya, notre opinion est que la campagne “anti-tétanos” du Kenya a été raisonnablement remise en question par la Kenya Catholic Doctors Association comme façade pour réduire la croissance démographique ».[1]

Pour en revenir à Bill Gates et à l’Université de Harvard, ils se sont donc tournés vers leur vecteur « hard kill », qui n’exige aucun consentement.

ILS POLLUERONT LE CIEL, BAISSERONT LE RAYONNEMENT DU SOLEIL ET RÉDUIRONT DE CE FAIT, L’APPROVISIONNEMENT ALIMENTAIRE MONDIAL… ET VOUS NE POUVEZ RIEN FAIRE POUR LES ARRÊTER.

Le programme n’a pas besoin d’être approuvé par le Congrès ou le président des États-Unis, car les avions de géoingénierie/chemtrails peuvent être lancés à partir de tout pays doté d’un aéroport. La pollution se répandra dans le monde entier, bloquant la lumière du soleil pour toutes les cultures vivrières sur tous les continents. 

Les panneaux solaires cesseront de fonctionner à plein rendement également

soulignant la folie du plan SCoPEx, car ils sont financés par les mêmes personnes qui exigent que nous investissions tous dans des panneaux solaires pour alimenter nos maisons et nos entreprises.

Cette pollution planifiée du ciel pourrait dévaster la vie sur Terre. Cela pourrait déclencher « … des évènements comme une famine massive, des inondations massives, une sécheresse qui toucheraient de très grandes populations », prévient Stephen Gardiner, auteur de A Perfect Moral Storm, dans une vidéo de CNBC qui vante désormais les avantages des chemtrails. (Regardez la vidéo sur ce lien YouTube, si vous le souhaitez.)

Nous menons cet effort pour avertir l’humanité que l’hystérie du « changement climatique » est mise à profit pour mener un « géogénocide » de l’humanité

Sur OblivionAgenda.com, je publie une série de conférences de 10 heures en plusieurs parties. Jusqu’à présent, trois parties ont été publiées. La troisième partie, qui vient d’être publiée aujourd’hui, révèle une discussion approfondie sur le projet SCoPEx et « l’injection d’aérosols stratosphériques » (SAI), qui sont tous deux des formes de chemtrails/géoingénierie. Tout cela fait partie de ce que j’appelle le « géogénocide », un effort planétaire visant à commettre un génocide contre la race humaine par le biais de la géoingénierie.

Regardez la conférence complète sur SCoPEX et SAI à ce lien sur OblivionAgenda.com.

https://www.brighteon.com/78b54ce5-bb15-4da4-b6c5-e59fba001331

Voici la vidéo complète, gracieusement offerte par Brighteon.com, l’alternative de la liberté de parole pour YouTube.

Voir les autres conférences vidéo à couper le souffle à OblivionAgenda.com. Publiez vos propres vidéos sur Brighteon.com, qui se trouvent à quelques semaines de la vague de puissantes nouvelles fonctionnalités telles que les abonnements aux chaînes et les likes de vidéos.




Le monde qui marchait sur la tête est en train de remettre ses idées à l’endroit

[Source : CW environnement, Pyrène, 1001 Infos, etc.]

Texte poignant de Coline Serreau qui ne mâche pas ses mots…

Dimanche 22 mars.

Coline Serreau, réalisatrice de Trois hommes et un couffin, mais aussi de films visionnaires, écolos, humanistes et généreux comme La belle verte ou La crise.


par Coline Serreau

Le gouvernement gère l’épidémie comme il peut… mais les postures
guerrières sont souvent inefficaces en face des forces de la nature. Les
virus sont des êtres puissants, capables de modifier notre génome,
traitons-les sinon avec respect, du moins avec modestie.

Apprenons à survivre parmi eux, à s’en protéger en faisant vivre
l’espèce humaine dans des conditions sanitaires optimales qui renforcent
son immunité et lui donnent le pouvoir d’affronter sans dommage les
microbes et virus dont nous sommes de toute façon entourés massivement,
car nous vivons dans la grande soupe cosmique où tout le monde doit
avoir sa place. La guerre contre les virus sera toujours perdue, mais
l’équilibre entre nos vies et la leur peut être gagné si nous renforçons
notre système immunitaire par un mode de vie non mortifère.

Dans cette crise, ce qui est stupéfiant c’est la rapidité avec laquelle l’intelligence collective et populaire se manifeste.

En quelques jours, les Français ont établi des rites de remerciement
massivement suivis, un des plus beaux gestes politiques que la France
ait connus et qui prolonge les grèves contre la réforme des retraites et
l’action des gilets jaunes en criant haut et fort qui et quoi sont
importants dans nos vies.

Dans notre pays, ceux qui assurent les fonctions essentielles, celles
qui font tenir debout une société sont sous-payés, méprisés. Les
aides-soignantes, les infirmières et infirmiers, les médecins qui
travaillent dans les hôpitaux publics, le personnel des écoles, les
instituteurs, les professeurs, les chercheurs, touchent des salaires de
misère tandis que des jeunes crétins arrogants sont payés des millions
d’euros par mois pour mettre un ballon dans un filet.

Dans notre monde le mot paysan est une insulte, mais des gens qui se nomment “exploitants agricoles” reçoivent des centaines de milliers d’euros1 pour faire mourir notre terre, nos corps et notre environnement tandis que l’industrie chimique prospère.

Et voilà que le petit virus remet les pendules à l’heure, voilà
qu’aux fenêtres, un peuple confiné hurle son respect, son amour, sa
reconnaissance pour les vrais soldats de notre époque, ceux qui sont
prêts à donner leur vie pour sauver la nôtre alors que depuis des
décennies les gouvernements successifs se sont acharnés à démanteler nos
systèmes de santé et d’éducation, alors que les lobbies règnent en
maîtres et arrosent les politiques avec le fric de la corruption.

Nous manquons d’argent pour équiper nos hôpitaux, mais bon sang, prenons l’argent où il se trouve, que les GAFA2 payent leurs impôts, qu’ils reversent à la société au minimum la moitié de leurs revenus. Car après tout, comment l’ont-ils gagné cet argent ? Ils l’ont gagné parce qu’il y a des peuples qui forment des nations, équipées de rues, d’autoroutes, de trains, d’égouts, d’électricité, d’eau courante, d’écoles, d’hôpitaux, de stades, et j’en passe, parce que la collectivité a payé tout cela de ses deniers, et c’est grâce à toutes ces infrastructures que ces entreprises peuvent faire des profits. Donc ils doivent payer leurs impôts et rendre aux peuples ce qui leur est dû.

Il faudra probablement aussi revoir la question de la dette qui nous
ruine en enrichissant les marchés financiers. Au cours des siècles
passés les rois de France ont très régulièrement décidé d’annuler la
dette publique, de remettre les compteurs à zéro.

Je ne vois pas comment à la sortie de cette crise, quand les comptes
en banque des petites gens seront vides, quand les entreprises ne
pourront plus payer leurs employés qui ne pourront plus payer les
loyers, l’électricité, le gaz, la nourriture, comment le gouvernement
pourra continuer à gaspiller 90% de son budget à rembourser une dette
qui ne profite qu’aux banquiers.

J’espère que le peuple se lèvera et réclamera son dû, à savoir
exigera que la richesse de la France, produite par le peuple soit
redistribuée au peuple et non pas à la finance internationale. Et si les
autres pays font aussi défaut de leur dette envers nous, il faudra
relocaliser, produire de nouveau chez nous, se contenter de nos
ressources, qui sont immenses, et détricoter une partie de la
mondialisation qui n’a fait que nous appauvrir.

Et le peuple l’a si bien compris qu’il crie tous les soirs son
respect pour ceux qui soignent, pour la fonction soignante, celle des
mères, des femmes et des hommes qui font passer l’humain avant le fric.

Ne nous y trompons pas, il n’y aura pas de retour en arrière après cette crise.

Parce que malgré cette souffrance, malgré ces deuils terribles qui
frappent tant de familles, malgré ce confinement dont les plus pauvres
d’entre nous payent le plus lourd tribut, à savoir les jeunes, les
personnes âgées isolées ou confinées dans les EHPAD, les familles
nombreuses, coincés qu’ils sont en ville, souvent dans de toutes petites
surfaces, malgré tout cela, le monde qui marchait sur la tête est en
train de remettre ses idées à l’endroit.

Où sont les vraies valeurs ? Qu’est-ce qui est important dans nos vies ?

Vivre virtuellement ? Manger des produits issus d’une terre martyrisée et qui empoisonnent nos corps ?

Enrichir par notre travail ceux qui se prennent des bonus faramineux en gérant les licenciements ?

Encaisser la violence sociale de ceux qui n’ont eu de cesse
d’appauvrir le système de soin et nous donnent maintenant des leçons de
solidarité ?

Subir une médecine uniquement occupée à soigner les symptômes sans se
soucier de prévention, qui bourre les gens de médicaments qui les tuent
autant ou plus qu’ils ne les soignent ? Une médecine aux ordres des
laboratoires pharmaceutiques ?

Alors que la seule médecine valable, c’est celle qui s’occupe de
l’environnement sain des humains, qui proscrit tous les poisons, même
s’ils rapportent gros. Pourquoi croyez-vous que ce virus qui atteint les
poumons prospère si bien ? Parce que nos poumons sont malades de la
pollution et que leur faiblesse offre un magnifique garde-manger aux
virus.

En agriculture, plus on cultive intensivement sur des dizaines
d’hectares des plantes transformées génétiquement ou hybrides dans des
terres malades, plus les prédateurs, ou pestes, les attaquent et s’en
régalent, et plus il faut les arroser de pesticides pour qu’elles
survivent, c’est un cercle vicieux qui ne peut mener qu’à des
catastrophes.

Mais ne vous faites pas d’illusions, on traite les humains les plus
humbles de la même façon que les plantes et les animaux martyrisés.

Dans les grandes métropoles du monde entier, plus les gens sont
entassés, mal nourris, respirent un air vicié qui affaiblit leurs
poumons, plus les virus et autres “pestes” seront à l’aise et
attaqueront leur point faible : leur système respiratoire.

Cette épidémie, si l’on a l’intelligence d’en analyser l’origine et
la manière de la contrer par la prévention plutôt que par le seul
vaccin, pourrait faire comprendre aux politiques et surtout aux
populations que seuls une alimentation et un environnement sains
permettront de se défendre efficacement et à long terme contre les
virus.

Le confinement a aussi des conséquences mentales et sociétales
importantes pour nous tous, soudain un certain nombre de choses que nous
pensions vitales se révèlent futiles. Acheter toutes sortes d’objets,
de vêtements, est impossible et cette impossibilité devient un bonus :
d’abord en achetant moins on devient riches.

Et comme on ne perd plus de temps en transports harassants et
polluants, soudain on comprend combien ces transports nous détruisaient,
combien l’entassement nous rendait agressifs, combien la haine et la
méfiance dont on se blindait pour se préserver un vague espace vital,
nous faisait du mal.

On prend le temps de cuisiner au lieu de se gaver de junk-food, on se
parle, on s’envoie des messages qui rivalisent de créativité et
d’humour.

Le télétravail se développe à toute vitesse, il permettra plus tard à
un nombre croissant de gens de vivre et de travailler à la campagne,
les mégapoles pourront se désengorger.

Pour ce qui est de la culture, les peuples nous enseignent des leçons
magnifiques : la culture n’est ni un vecteur de vente, ni une usine à
profits, ni la propriété d’une élite qui affirme sa supériorité, la
culture est ce qui nous rassemble, nous console, nous permet de vivre et
de partager nos émotions avec les autres humains.

Quoi de pire qu’un confinement pour communiquer ? Et pourtant les
italiens chantent aux balcons, on a vu des policiers offrir des
sérénades à des villageois pour les réconforter, à Paris des rues
entières organisent des concerts du soir, des lectures de poèmes, des
manifestations de gratitude, c’est cela la vraie culture, la belle, la
grande culture dont le monde a besoin, juste des voix qui chantent pour
juguler la solitude.

C’est le contraire de la culture des officines gouvernementales qui
ne se sont jamais préoccupées d’assouvir les besoins des populations, de
leur offrir ce dont elles ont réellement besoin pour vivre, mais n’ont
eu de cesse de conforter les élites, de mépriser toute manifestation
culturelle qui plairait au bas peuple.

En ce sens, l’annulation du festival de Cannes est une super bonne nouvelle.

Après l’explosion en plein vol des Césars manipulés depuis des années
par une maffia au fonctionnement opaque et antidémocratique, après les
scandales des abus sexuels dans le cinéma, dont seulement une infime
partie a été dévoilée, le festival de Cannes va lui aussi devoir faire
des révisions déchirantes et se réinventer. Ce festival de Cannes qui
déconne, ou festival des connes complices d’un système rongé par la
phallocratie, par la corruption de l’industrie du luxe, où l’on expose
complaisamment de la chair fraîche piquée sur des échasses, pauvres
femmes porte-manteaux manipulées par les marques, humiliées, angoissées à
l’idée de ne pas assez plaire aux vieillards aux bras desquels elles
sont accrochées comme des trophées, ce festival, mais venez-y en jeans
troués et en baskets les filles, car c’est votre talent, vos qualités
d’artiste qu’il faut y célébrer et non pas faire la course à qui sera la
plus à poil, la plus pute !

Si les manifestations si généreuses, si émouvantes des peuples
confinés pouvaient avoir une influence sur le futur de la culture ce
serait un beau rêve !

Pour terminer, je voudrais adresser une parole de compassion aux
nombreux malades et à leurs proches, et leur dire que du fin fond de nos
maisons ou appartements, enfermés que nous sommes, nous ne cessons de
penser à eux et de leur souhaiter de se rétablir. Je ne suis pas
croyante, les prières m’ont toujours fait rire, mais voilà que je me
prends à prier pour que tous ces gens guérissent. Cette prière ne
remplacera jamais les soins de l’hôpital, le dévouement héroïque des
soignants et une politique sanitaire digne de ce nom, mais c’est tout ce
que je peux faire, alors je le fais, en espérant que les ondes
transporteront mon message, nos messages, d’amour et d’espoir à ceux qui
en ont besoin.

Coline Serreau


Note :
  1. Les subventions de la PAC (Politique Agricole Commune) profitent surtout aux grandes exploitations agricoles. Ainsi, à partir des années 90’ la PAC s’est progressivement alignée sur les règles de l’OMC et du commerce agricole mondial. L’accent a été mis sur la libéralisation du marché agricole et le renforcement de la compétitivité des exploitations agricoles européennes. Les systèmes des prix garantis et de régulation de marché ont été remplacés par un système de paiement direct aux agriculteurs. Les principales conséquences ont été : une orientation du secteur agricole vers les marchés d’exportation (ceux dont l’UE dispose d’un avantage comparatif), et une disparition des petites fermes au profit d’exploitations de plus en plus grandes. L’exemple de la Belgique est assez illustratif : entre 1980 et 2016, nous avons perdu 67% de nos fermes !
  2. GAFA : Cet acronyme désigne les quatre géants du Web : Google, Apple, Facebook, Amazon qui sont les grandes firmes américaines pionnières dans le marché du numérique et qui dominent ce marché.



La guerre psychologique derrière l’effondrement économique

[Source : Le Saker Francophone]

La guerre psychologique derrière l’effondrement économique

Par Brandon Smith – Le 20 décembre 2018 – Source Alt-Market.com

L’idée d’utiliser l’économie comme une arme n’est pas étrangère à la plupart des gens. En général, nous comprenons la nature du féodalisme et comment divers groupes peuvent être parqués en troupeaux dans des plantations centralisées où ils sont exploités pour leur travail. Certains y voient une conséquence du « capitalisme », d’autres une extension du « socialisme/communisme ».

Malheureusement,
beaucoup de gens pensent à tort que l’un est une solution pour
l’autre – ce qui signifie qu’ils pensent que le
capitalisme des copains est une solution à la centralisation
communiste ou que le communisme est une solution à la corruption du
capitalisme des copains. La réalité, c’est que ce n’est qu’un
autre faux paradigme.

Le
plus troublant, c’est que la majorité de l’opinion publique n’a
aucune idée de la véritable solution au problème des économies
corrompues ou totalitaires : les marchés libres.

Les
marchés libres n’ont pas existé au sein de l’économie mondiale
à grande échelle depuis au moins cent ans. L’essor de la banque
centrale a érodé tous les vestiges de la liberté de production et
de commerce. Le capitalisme des copains, qui se concentre sur le
pouvoir des entreprises et le monopole, n’a rien à voir avec le
libre marché, malgré les arguments des socialistes plutôt naïfs
qui blâment le « libre
marché »
 pour
les problèmes du monde. Si jamais vous entendez quelqu’un faire
cette affirmation, je vous suggère de lui rappeler que les
corporations et leurs avantages sont une création des gouvernements.

La
protection du statut de personne morale, la responsabilité limitée,
la taxation inéquitable de la concurrence des petites entreprises et
la législation protégeant les sociétés contre les poursuites
civiles sont toutes des mesures prises par le gouvernement. Par
conséquent, les corporations et le capitalisme des copains sont
beaucoup plus le produit de systèmes de type socialiste que des
marchés libres. Dans un véritable marché libre, dépourvu
d’ingérence et de favoritisme constants de la part du
gouvernement, les entreprises ne pourraient exister et seraient
anéanties au fil du temps par l’environnement concurrentiel. Et
sans responsabilité limitée, les magnats du monde des affaires qui
violent la primauté du droit et causent du tort à autrui seraient
passibles de poursuites personnelles et d’emprisonnement au lieu de
simplement payer une amende. Le rapport coût/bénéfice des
entreprises corrompues disparaîtrait et les entreprises corrompues
s’enliseraient.

Au cœur même de la combinaison du pouvoir des corporations et de la protection du gouvernement (ce que certains pourraient appeler la définition classique du fascisme), se trouvent les banques centrales, les institutions globalistes et les élites bancaires qui les soutiennent. Les banques centrales sont les gardiennes des différentes plantations (nations) et supervisent l’exploitation de ces sociétés et leur travail. Les grandes constructions globalistes comme le FMI ou la Banque des règlements internationaux sont les décideurs politiques des banques centrales nationales. Ils transmettent la stratégie et les banques centrales la mettent en œuvre de concert. Au sommet de la pyramide se trouvent les groupes des « tables rondes » et les banquiers internationaux eux-mêmes, qui récoltent les fruits du cycle de pillage.

Comme l’a écrit Carroll Quigley dans son livre Tragedy And Hope, spécialiste, initié globaliste et mentor de Bill Clinton :

« Les
puissances du capitalisme financier avaient un autre objectif de
grande portée, rien de moins que de créer un système mondial de
contrôle financier aux mains d’entités privées capable de
dominer le système politique de chaque pays et l’économie du
monde dans son ensemble. Ce système devait être contrôlé de
manière féodale par les banques centrales du monde entier agissant
de concert, par des accords secrets conclus lors de fréquentes
réunions et conférences privées. Le point culminant du système
devait être la Banque des règlements internationaux à Bâle, en
Suisse, une banque privée détenue et contrôlée par les banques
centrales du monde entier qui étaient elles-mêmes des sociétés
privées. Chaque banque centrale cherchait à dominer son
gouvernement par sa capacité à contrôler les prêts du Trésor, à
manipuler les devises étrangères, à influencer le niveau de
l’activité économique dans le pays et à influencer les
politiciens coopératifs par des récompenses économiques
ultérieures dans le monde des affaires. »

C’est
une notion facile à comprendre, je pense. C’est-à-dire que l’idée
d’oligarques, le 1% si vous voulez, qui contrôlent les 99%
restants par le biais d’un levier économique est quelque chose
dont la plupart des gens peuvent convenir, qu’ils s’identifient à
la droite politique ou à la gauche politique. Ils n’ont peut-être
qu’une vague idée des faits derrière cette conspiration, mais ils
l’ont vue en action dans leur vie quotidienne et ils savent qu’elle
est réelle. C’est ici que la plupart d’entre eux commencent à
perdre de vue l’ensemble de la situation….

Pour beaucoup, la conspiration est un sous produit de la recherche du profit. C’est-à-dire qu’ils ne voient pas cela comme un effort conscient et organisé, mais plutôt comme une avidité inconsciemment motivée. Cela me rappelle la réplique la plus célèbre du film « The Usual Suspects » :

« Le
plus grand tour que le diable ait jamais joué était de convaincre
le monde qu’il n’existait pas. »

Toutes les preuves nous assurent de façon écrasante que la conspiration est pleinement consciente, organisée et délibérée. Ce n’est pas un sous-produit affreux ou aléatoire de la recherche du « profit ». C’est absurde si l’on considère l’ampleur de la coordination nécessaire ou le nombre de groupes de réflexion et de conférences secrètes qui ont lieu chaque année, du Council on Foreign Relations au Tavistock institute, à la Commission trilatérale, au Brookings Institute, à Davos, au Bilderberg et à des milieux encore plus étranges comme le Bohemian Grove. Ce sont de véritables centres de pouvoir qui peuvent avoir une grande influence dans notre vie quotidienne.

Ignorer
tout cela et le réduire à une extension « naturelle » de
la cupidité, c’est poser stupidement sa tête molle et spongieuse
dans les mâchoires du mal organisé tout en prétendant ne pas
sentir l’odeur de sa gingivite.

Les
mécanismes de contrôle des globalistes sont cependant beaucoup plus
complexes que la simple exploitation des flux monétaires ou de
l’accumulation de la dette. De nombreux militants de la liberté
qui ont accepté la réalité du contrôle institutionnalisé de
l’économie refusent encore de reconnaître un autre mécanisme de
contrôle très réel – l’utilisation de l’effondrement
économique. Je ne sais pas pourquoi cette idée est prise de façon
aussi farfelue par des gens qui sont déjà versés dans les faits
derrière le globalisme. Leurs préjugés ne leur permettent tout
simplement pas de considérer l’environnement de façon objective
et de voir l’utilité de l’effondrement comme une tactique pour
obtenir plus de levier et d’influence.

Je
crois que la clé pour comprendre l’économie et le monde en
général est d’accepter la vérité que presque tout ce qui est
fait dans le monde de la politique et des finances l’est pour
manipuler la psychologie publique à certaines fins. C’est-à-dire
que le véritable champ de bataille est l’esprit humain ; tout le
reste est secondaire.

Mais
à quelles fins fais-je allusion ? Pour être plus précis, les
masses sont constamment poussées à plus de dépendance, plus de
peur, moins d’autosuffisance et moins de conscience du grand
projet. Nous sommes encouragés à boxer avec nos propres ombres, à
produire pour le système mais pas pour nous-mêmes, à lutter pour
des gains minimes dépensés au hasard pour des objectifs
insignifiants, à nous battre les uns avec les autres pour des
miettes tout en restant aveugles aux énormes parasites collés sur
notre dos, à nous associer à des causes sans intérêt menées
par des politiciens fantoches et une opposition contrôlée, à
ne rien construire nous-mêmes, à attendre toujours un héros sur un
cheval blanc qui viendra nous sauver.

Essentiellement,
nous sommes constamment distraits ou mis en garde contre notre
tendance naturelle à vouloir établir des marchés libres –
des marchés libres en terme de pensée, dans le commerce, dans
l’information, au gouvernement, etc. Les globalistes sont même
prêts à faire effondrer des systèmes économiques entiers pour
empêcher ce résultat et pour nous garder piégés dans la
centralisation. Cette prison est une prison mentale, en grande
partie. À tout moment, nous pourrions nous éloigner du modèle
totalitaire et construire nos propres systèmes de marché libre.
Mais arriver à ce point, psychologiquement, amener les gens à faire
les premiers pas, c’est la partie la plus difficile.

L’économie,
telle qu’elle est mise en œuvre par les globalistes, n’est pas
une question de profit. Il s’agit parfois de pressurer la
population pour en extraire du travail ou des biens matériels,
mais c’est un avantage secondaire. En réalité, l’économie
consiste à façonner les esprits ; elle vise à changer la
psychologie de millions de personnes. Il s’agit d’effacer la
conscience innée et la boussole morale. Il s’agit de détruire des
principes sociétaux et un patrimoine enraciné. Et parfois, il
s’agit d’effacer complètement l’histoire, de tuer la plus
grande partie d’une génération, puis d’écrire une nouvelle
histoire mieux adaptée à l’idéal globaliste, ce qui est beaucoup
plus facile quand il y a si peu de gens qui se souviennent de la
vérité pour en débattre.

Les
globalistes présentent la plupart, sinon tous les traits des
sociopathes narcissiques, qui s’organisent parfois en groupes
coopératifs tant qu’il y a une promesse de gain mutuel et une
structure de domination par le haut. Les sociopathes narcissiques
sont connus pour utiliser la crise comme un moyen de garder les gens
autour d’eux en déséquilibre et de servir leurs intérêts. Leur
but ultime est rarement le profit. Au lieu de cela, ils cherchent le
pouvoir, le pouvoir sur tous les aspects de la vie de chaque personne
qui les entoure. Un minimum de pouvoir ne suffit pas. Ils veulent un
contrôle total, et ils utiliseront tous les moyens pour l’obtenir,
y compris les menaces d’ingénierie sociale et les catastrophes
pour obtenir la conformité ou pour se présenter comme un héros ou
un « protecteur » nécessaire.

Un
sociopathe ne se contente pas de contrôler les gens par la peur ou
la violence. Il veut que ses victimes l’aiment, qu’elles le
considèrent comme un sauveur et non comme un tyran.

Pour
être bien clair, le but de la subversion économique est de briser
l’esprit humain et de le changer en quelque chose d’autre ;
quelque chose de moins humain ou, à tout le moins, de moins rebelle.
On ne peut contrôler les gens par l’endettement et les fausses
récompenses pendant si longtemps avant qu’ils ne commencent à
reculer et à se révolter. L’effondrement économique, par contre,
peut changer fondamentalement les gens par une terreur persistante et
par une tragédie. Par le traumatisme, les globalistes espèrent
faire des hommes des monstres ou des robots.

Le
système actuel n’a jamais été conçu pour durer. Notre économie
est vouée à échouer, mais peu de gens semblent se demander
pourquoi ? Ils se disent que c’est parce que la cupidité a conduit
l’élite financière à l’auto-sabotage, mais c’est un
fantasme. Ce n’est pas seulement que le système est conçu pour
échouer, mais qu’il est conçu pour échouer selon un calendrier
organisé.

Le magazine globaliste The Economist a annoncé en 1988 l’avènement d’un système monétaire mondial unique, qui serait lancé en 2018 et qui nécessiterait le déclin de l’économie américaine et du dollar pour ouvrir la porte à une remise à zéro. Ce n’est pas un hasard si nous assistons aujourd’hui au début d’un crash financier majeur au dernier trimestre de 2018. Ce crash a été provoqué à partir de 2008 par les banques centrales, d’abord par l’inflation d’une bulle historique englobant presque toutes les catégories d’actifs au moyen de mesures de relance et de taux d’intérêt proches de zéro, cette bulle est aujourd’hui crevée par ces mêmes banques centrales, qui utilisent des mesures de resserrement pour affaiblir leur économie.

Ce n’est pas non plus un hasard si les globalistes ont annoncé en 2018 leur intention de s’adapter à un système monétaire numérique utilisant la technologie de la chaîne de blocs et la crypto-monnaie. C’est-à-dire que le système monétaire mondial prévu dans The Economist est déjà en place. Ils n’attendent qu’une crise assez importante pour faire pression sur la société afin qu’elle accepte la centralisation totale à l’échelle mondiale comme solution.

Forcer
le public à adopter la centralisation à l’échelle mondiale
exigerait plusieurs mesures. Premièrement, le système actuel, qui,
comme on l’a dit, est voué à l’échec, devrait être autorisé
à s’effondrer. Deuxièmement, il faudrait blâmer quelqu’un
d’autre que les globalistes et leur idéologie du globalisme.
Troisièmement, les opposants philosophiques au globalisme
(conservateurs, nationalistes et activistes de la décentralisation)
devraient être diabolisés ou éliminés pour que les globalistes
puissent construire leur nouvel ordre mondial sans opposition.
Quatrièmement, il faudrait que la population soit suffisamment
traumatisée au point d’être psychologiquement soumise et
désespérée pour que, lorsque le nouveau système sera mis en
place, elle en soit reconnaissante, ce qui empêcherait toute
rébellion future en faisant du public un coopérateur volontaire à
son propre esclavage.

Le succès d’un tel plan n’est pas garanti. En fait, je crois que les globalistes échoueront en fin de compte dans leur entreprise, comme je l’ai souligné dans des articles précédents. Cela ne veut pas dire qu’ils ne vont pas essayer. Les militants de la liberté doivent accepter le fait que le plan des globalistes implique la destruction délibérée de notre économie actuelle. Ceux qui refusent se sentiront déconcertés par l’issue des développements financiers futurs, au lieu d’être préparés. Ils se trouveront facilement subjugués, au lieu d’être prêts à se rebeller. Et ils se demanderont pourquoi ils ne l’ont pas vu venir alors que la fin du match était si évidente.

Brandon
Smith

Traduit
par Hervé, relu par Cat pour le Saker Francophone

Voir aussi :

Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !

Deux humanités ?

Survie ?

Pourquoi le NOM nous fragilise ?




Quelques bons gros mensonges scientifiques

[Source : Le Saker Francophone]

Par Denis G. Rancourt − Le 8 juin 2010 − Source Activist Teacher

Denis Rancourt.JPG

« La majorité des politiciens, selon les preuves dont nous disposons, ne sont pas motivés par la vérité, mais par le pouvoir, et par la préservation de ce pouvoir. Pour qu’ils puissent conserver ce pouvoir, il est essentiel que les gens restent dans l’ignorance, qu’ils vivent sans connaître la vérité, y compris la vérité de leur propre vie. Nous ne sommes donc environnés que d’un étalage de mensonges, dont nous nous nourrissons. »

Harold Pinter, discours du Prix Nobel (de Littérature), 2005.

La préservation des structures hiérarchiques qui contrôlent nos vies dépend du « vaste étalage de mensonges duquel nous nous nourrissons »
de Pinter. Les institutions en place, qui nous positionnent dans la
hiérarchie, comme les écoles, les universités, les médias de masse ou
les sociétés de productions audiovisuelles, ont comme fonction
principale de créer et de préserver cet étalage. Les scientifiques de
l’establishment répondent à ces mécanismes, ainsi que tous les
intellectuels ayant pour fonction d’« interpréter » la réalité.

En fait, scientifiques et « experts » définissent
la réalité afin qu’elle se conforme avec l’étalage mental dominant, qui
mute pour s’adapter en permanence au moment. Ils inventent et
construisent également de nouvelles branches de l’étalage, afin de
souscrire aux intérêts de groupes de pouvoir spécifiques, en leur
offrant de nouvelles voies ouvertes à l’exploitation. Ces grands prêtres
sont récompensés de leurs bons et loyaux services par un statut de
classe élevé.

Le mensonge de l’argent

Les économistes en constituent un exemple des plus probants. Ce n’est
sans doute pas par accident que ce soit aux États-Unis, à la fin du XIXe siècle, que les économistes soient devenus les premiers analystes professionnels à « pénétrer par effraction »
dans une bataille visant à définir les limites de la liberté académique
des universités. À partir de ce point, le système académique allait
imposer une stricte séparation opérationnelle entre le travail d’enquête
et la théorisation, considérés comme des disciplines acceptables, et la
réforme sociale considérée comme inacceptable 1.

Tout universitaire désireux de préserver sa position comprit ce que
cela signifiait. L’effet de bord en fut que les universitaires devinrent
maîtres en l’art de cultiver une image importante de soi, malgré la
limitation mortelle de leur pertinence sociale, avec des verbiages du
genre : « La vérité est notre arme la plus puissante », « la plume est plus forte que l’épée », « une bonne idée peut changer le monde », « la raison nous sortira des ténèbres », etc.

Ainsi l’entreprise de l’économie fut-elle dévolue à masquer le
mensonge de l’argent. La pratique d’emprunts toxiques, la fixation des
prix, et les contrôles monopolistiques étaient les principales menaces à
la justice naturelle d’un marché libre, et ne constituaient que des
erreurs dans le cadre d’un système autorégulé, qui restait modérable par
l’ajustement des taux d’intérêts et par d’autres « protections ».

Pendant tout ce temps, aucune théorie économique dominante ne fit
jamais mention du fait que tout l’argent qui circule, sans exception,
est créé de toutes pièces par un système bancaire à réserve
fractionnaire, détenu par des intérêts privés obscurs et secrets, et
disposant du permis de fabriquer et de distribuer de la dette qui doit
être remboursée (avec intérêts) par l’économie réelle ; de quoi
poursuivre la concentration de la propriété et du pouvoir face à toute
économie, locale ou régionale.

Aux restants, la tâche de gagner de l’argent plutôt que simplement le
fabriquer, sans jamais en accumuler. La classe moyenne court en
permanence derrière le paiement d’un loyer ou le remboursement d’un
emprunt immobilier. L’esclavage salarial est perpétré et de plus en plus
déclassé dans les zones stables, et se voit installé, dans ses
variantes les plus vicieuses, dans tous les territoires nouvellement
conquis.

Il est tout à fait singulier que la plus grande escroquerie à l’exploitation (la création monétaire privatisée, ou dette) jamais promulguée et appliquée à la planète tout entière ne figure même pas dans les théories économiques.

Les économistes sont tellement occupés à modéliser les évolutions des
profits, des retours sur investissements, des chiffres de l’emploi, de
la valeur des marchés boursiers, et les bénéfices des
fusions-acquisitions pour les exploiteurs du milieu de l’échelle, qu’ils
ne remarquent pas leur propre évitement de ces éléments fondamentaux.
Ils modélisent le schéma de construction tout en refusant de reconnaître
que le terrain où l’édifice est bâti se situe en zone sismique, et que
les vautours planent déjà en cercle au-dessus de leurs têtes.

Et pendant ce temps, les financiers rédigent et amendent les règles à
leur gré, selon un processus qui, lui non plus, ne figure pas dans les
théories macroéconomiques. Le seul élément humain considéré par les
économistes dans leurs modèles mathématiques « prédictifs » est
le comportement du consommateur de bas niveau, en aucun cas les
manipulations en haut du système. La corruption est la norme, mais non
écrite. Les économies, les cultures, les infrastructures des nations
sont volontairement détruites pour s’attirer de nouveaux bataillons
d’esclaves, via des dettes nationales grandissantes, pour les
générations à venir ; et les économistes couvrent ces dettes en
expliquant les conséquences catastrophiques supposées qui surviendraient
si ces dettes n’étaient pas remboursées…

Des outils de gestion pour les maîtres, un rideau de fumée pour nous autres — merci les experts économistes.

La médecine : le mensonge de la santé

Qui n’a pas entendu quelque DM (Docteur en Médecine) interviewé à la
radio, émettant l’affirmation assurée que l’espérance de vie a augmenté
grâce à la médecine moderne ? Rien n’est plus éloigné de la vérité.

L’espérance de vie a augmenté dans le monde développé du fait de
l’absence historique de guerres civiles et territoriales, d’une
nourriture meilleure et plus accessible, d’une baisse des accidents (du
travail, et autres), et de meilleures conditions de vie et de travail en
général. Le seul indicateur de santé individuelle au sein d’un pays, et
d’un pays à l’autre, est le statut économique, indépendamment de
l’accès aux technologies médicales et pharmaceutiques.

C’est en fait pire que cela : la médecine porte en fait des impacts
négatifs sur la santé. Les erreurs médicales (sans compter les décès non
attribués à l’administration d’un « traitement » dans les
règles) constituent le troisième vecteur de décès aux USA, après les
troubles cardiaques et les cancers, et l’écart est très important entre
cette sous-estimation très conservatrice des décès par erreurs médicales
et la quatrième cause de décès2.
La médecine n’ayant que peu de moyens de régler les problèmes
cardiaques et les cancers, et la médecine n’ayant qu’un impact positif
statistiquement marginal dans le domaine des interventions traumatiques,
nous en concluons que la santé publique se trouverait améliorée si tous
les docteurs en médecine s’évaporaient purement et simplement. Et
pensez une minute au temps perdu et au stress que les gens malades
s’épargneraient…

L’hôpital constitue l’un des endroits les plus dangereux de notre
société. On compte parmi les erreurs médicales les mauvais diagnostics,
les erreurs de prescriptions, les prescriptions de médicaments qui ne
devraient pas être combinés entre eux, les interventions non
nécessaires, et les traitements mal administrés, dont chimiothérapies,
traitements par radiations, et opérations réparatrices.

Le mensonge s’étend jusqu’au mythe selon lequel les docteurs en
médecine sont proches de comprendre le corps humain. Et ce mensonge bien
gardé nous encourage à faire confiance aux docteurs, ce qui ouvre la
porte à un filon fort juteux pour la big pharma.

La première chose que les volontaires de Médecins sans frontière (MSF) doivent faire pour apporter une aide significative aux zones sinistrées est d’« oublier leur formation médicale » et d’aller travailler sur les tâches prioritaires : l’eau, la nourriture, les abris, et la prévention de propagation des épidémies ; pas la vaccination, ni les opérations, ou les prescriptions médicales… La santé publique résulte de la sûreté, de la stabilité, de la justice sociale, et du pouvoir d’achat économique, pas d’unités d’IRM (Imagerie par résonance magnétique) ou de prescriptions de traitements.

Ces têtes de nœud appliquent de manière routinière des « traitements recommandés »
et prescrivent des médicaments dangereux pour tout : pour les niveaux
de tensions élevés dus à un mode de vie sédentaire et à une mauvaise
nutrition, pour l’apathie à l’école, pour l’anxiété à se trouver dans un
lieu public, pour les fonctions érectiles postadolescence, pour les
troubles du sommeil non conventionnels, et pour tous les effets
secondaires des propres drogues qu’ils prescrivent.

Dans un renversement de la logique professionnelle mais non moins
remarquable, les docteurs prescrivent des drogues pour supprimer des
symptômes qui sont des indicateurs de risques, au lieu de s’occuper des
causes de ces risques : ils ne font qu’agresser le corps encore plus.

Les effets que la médecine a eu et continue d’avoir sur nous sont
incroyables : il s’agit simplement d’une manière de plus de nous garder à
l’état de stupidité (l’ignorance de notre propre corps) et
artificiellement dépendants de la hiérarchie de contrôle. Les gens
économiquement défavorisés ne meurent pas d’un manque de « soins »
médicaux — ils meurent des contraintes qui pèsent sur leurs vies et des
dettes résultant directement de leur pauvreté. Combien de docteurs en
médecine ont formulé cette vérité évidente à la radio?

LES MENSONGES DES SCIENCES DE L’ENVIRONNEMENT

L’exploitation par extraction de ressources, par expropriation
territoriale, et par la création et la préservation d’esclaves salariés
dévastent les populations indigènes et l’environnement sur des échelles
continentales. Il est donc vital de couvrir ces crimes sous un voile
d’analyses d’experts et sous une diversion de politiques de
développement. Une classe importante d’intellectuels rend ici service,
en la matière des scientifiques et consultants en environnement.

Les scientifiques en environnement travaillent naïvement ou en
connaissance de cause main dans la main avec les charlatans de la
finance et du monde de l’entreprise, les médias dominants, les
politiciens, les bureaucrates d’état et internationaux, pour masquer les
vrais problème et pour générer des opportunités de profits aux élites
au pouvoir. Voici des exemples notables de cas spécifiques.

Le fréon et la couche d’Ozone

Connaissez-vous quelqu’un qui a été tué par le trou dans la couche d’ozone ?

Le protocole de Montréal de 1987, interdisant les chlorofluorocarbones (CFC), est considéré
comme un cas d’école, voyant la science, conjuguée à une gouvernance
responsable, amènent à un traité emblématique protégeant la Terre et
tous ses habitants. N’est-ce pas merveilleux ?

Au moment où le brevet de DuPont [Une entreprise géante de chimie, NdT]
sur le Fréon (TM), le réfrigérant CFC le plus usité au monde, allait
expirer, les médias dominants s’emparèrent d’observations et
d’hypothèses scientifiques impénétrables quant à la concentration de
l’ozone dans les hautes couches de l’atmosphère, aux abords des pôles.

Il s’ensuivit une mobilisation internationale pour criminaliser les
CFC ; et DuPont développa et breveta un réfrigérant de remplacement, qui
fut promptement homologué.

Un prix Nobel de chimie fut attribué en 1995 à une preuve en
laboratoire que les CFC peuvent appauvrir l’ozone dans des conditions
atmosphériques simulées. En 2007, il fut démontré que ces travaux
avaient pu être fortement biaisés par une surestimation du taux
d’épuisement d’un ordre de grandeur, ce qui invalidait le mécanisme
proposé d’épuisement de la couche d’ozone par les CFC 3.
Sans parler du fait que les expériences en laboratoires sont très
différentes des hautes couches de l’atmosphère… L’attribution du prix
Nobel serait-elle biaisée par les médias et les pressions d’intérêts
particuliers ?

Mais c’est encore mieux que cela. Il s’avère que le réfrigérant de
remplacement de DuPont est, sans grande surprise, moins inerte que ne
l’était le Fréon. Il s’ensuit qu’il corrode les composants du cycle de
réfrigération beaucoup plus rapidement. Les anciens frigidaires et
congélateurs avaient une durée de vie pratiquement illimitée, et voilà
qu’à présent ils sont bons à jeter en huit ans environ. La conséquence
en a été un empilement dans des proportions inédites d’appareils
électroménagers en fin de vie dans les sites de décharges en Amérique du
Nord ; encouragés par la propagande verte vantant des consommations
électriques ultraefficaces des nouveaux appareils, testés à porte fermée
(vous avez bien lu, ces modélisations supposent que l’on n’ouvre jamais
la porte du frigo, pour consommer moins et obtenir la note « A+++ »).

En outre, on nous a frénétiquement exhortés à éviter le soleil,
l’index des UV maintient entières notre peur du cancer et notre
dépendance à l’establishment médical, et une nouvelle industrie de
blocage du soleil, comparable à une ligue de protection des vampires »,
a été créée. Et, bien sûr, les chimistes universitaires sont à la
recherche de la molécule de blocage du soleil parfaite, qui pourra être
brevetée par la big pharma. Et dès que le brevet sera posé, ma
prédiction est que nous verrons des interviews dans les médias, avec des
experts en cancer de la peau…

Les pluies acides et la forêt boréale

Dans les années 1970, c’étaient les pluies acides. Des milliers de
scientifiques du monde entier (comprendre : de l’hémisphère nord)
étudiaient ce « problème des plus urgents pour la planète ».
La forêt boréale constitue le plus grand écosystème terrestre, et on
signalait que ses millions de lacs mouraient du fait des pluies acides
qui tombaient du ciel.

Les centrales à charbon laissaient s’échapper des sulfures dans
l’atmosphère, rendant la pluie acide. Il fut postulé que les pluies
acides rendaient les sols et les lacs acides dans la forêt boréale, mais
cette acidification fut en pratique impossible à détecter. Des lacs
sauvages, au cœur des parcs nationaux, devaient faire l’objet d’études
pour essayer de détecter une acidification statistiquement
significative.

Pendant ce temps, les lacs et leurs bassins versants étaient en cours
de destruction du fait de l’industrie des maisons de campagne, de
l’agriculture, de l’exploitation forestière, de l’extraction minière, de
la surpêche et du tourisme. Aucune de ces destructions, locales ou
régionales, ne fit jamais l’objet de la moindre étude ni de la moindre
médiatisation. Au lieu de cela, les scientifiques pointèrent leur regard
vers de lointaines centrales à charbon, vers la distribution
atmosphérique, et postulèrent que des réactions chimiques se
produisaient au sein des gouttes de pluie. Une étude découvrit que la
reproduction en aquarium d’une espèce de poissons se montrait très
sensible à l’acidité (pH). On écrivit de longs traités sur l’équilibre
des charges des cations et sur leur transport, et l’attention fut
détournée du terrain, vers un problème aseptisé de chimie atmosphérique,
résultant de l’industrialisation et du progrès, mais pas d’exploitants
identifiables.

Pour ce qui me concerne, physicien et praticien des sciences de la
terre, devenu scientifique de l’environnement, j’ai moi-même lu
pratiquement chaque article scientifique écrit au sujet des pluies
acides ; je n’y ai pas trouvé un seul exemple de démonstration d’un
impact négatif sur les lacs ou sur les forêts du aux pluies acides. À
mon avis, en opposition des affirmations répétées des auteurs
scientifiques, la recherche sur les pluies acides démontre que les
pluies acides ne peuvent pas constituer la source du problème.

Ce modèle de blanchiment des exploiteurs, coordonné par les élites,
allait se répéter à une échelle encore plus importante quelques
décennies plus tard, avec le réchauffement climatique mondial.

Le réchauffement climatique : une menace pour l’humanité

En 2005 et 2006, plusieurs années avant que le scandale du Climategate de novembre 2009 n’explose la bulle médiatique qui maintenait l’opinion publique dans l’acceptation des crédits de carbone, du système de plafonnement, et du filon financier associé, chiffré en milliers de milliards de dollars, qui peut encore fonctionner, j’exposai le scandale de la cooptation au réchauffement planétaire dans un article qu’Alexander Cockburn, décrivit dans The Nation comme « l’une des meilleures études sur la fabrication du mythe de l’effet de serre, du point de vue de la gauche » 4 5 6.

Mon étude amena David F. Noble à explorer la question, et à écrire The Corporate Climate Coup [« Le coup d’État climatique des multinationales », NdT],
pour exposer la manière dont les médias s’emparèrent du sujet par suite
de la compréhension par le secteur de la finance du potentiel
gigantesque de bénéfices que le passage au vert pouvait constituer7.

Les paragraphes d’introduction de Global Warming: Truth or Dare? sont reproduits ici 4.:

J’avance également qu’il existe de fortes motivations
sociétales, institutionnelles, et psychologiques, derrière la
construction puis le maintien du mythe d’une grande menace de
réchauffement planétaire (le mythe du réchauffement climatique, pour
faire court). Je décris ces motivations s’agissant des travaux de la
profession scientifique, ainsi que du réseau des multinationales, de la
finance mondiale, et de ses ombres gouvernementales.

J’affirme que la force la plus destructrice de la planète, et de
loin, réside dans les financiers menés par le pouvoir, et les sociétés
mues par la recherche du profit, ainsi que leurs cartels soutenus par la
puissance militaire ; et que le mythe du réchauffement planétaire
constitue une fausse piste qui contribue à cacher cette vérité. À mon
avis, les activistes qui, quelles que soient leurs justifications,
entretiennent le mythe du réchauffement planétaire, ont été mis sous
contrôle, ou à tout le moins, se sont fait neutraliser.

D’autres extraits suivent 4.:

Les scientifiques en environnement et les agences
gouvernementales sont financés pour étudier et examiner des problèmes
qui ne menacent pas les intérêts corporatifs ni financiers. Il n’est
donc pas surprenant qu’ils s’en prennent à la dévastation à l’échelle
d’un continent, due à l’extraction des ressources, par la lorgnette du
CO2. Le principal inconvénient de cette stratégie et qu’on ne prend pas
le contrôle d’un monstre affamé en lui demandant de chier moins que ce
qu’il avale.

Le réchauffement climatique constitue un problème strictement dans
l’imaginaire de la classe moyenne du monde développé. Personne d’autre
ne s’en préoccupe. Les travailleurs des usines, exploités dans le Tiers
Monde se fichent du réchauffement climatique. Les enfants irakiens ayant
subi des mutations génétiques du fait de l’uranium appauvri qui y a été
répandu par les guerres étasuniennes se fichent du réchauffement
climatique. Les populations indigènes dévastées ne sont pas non plus
concernées par le réchauffement climatique, sauf peut-être comme
représentation de la seule solidarité à laquelle nous pourrions
souscrire.

Ce n’est pas un sujet de limitation des ressources. [« Les montants
dépensés pour l’alimentation des animaux de compagnie aux USA et en
Europe chaque année équivalent aux montants nécessaires pour apporter
une nourriture et des soins médicaux de base à l’ensemble des
populations du Tiers Monde, et encore resterait-il une assez coquette
somme à dépenser. » (rapport de développement de l’ONU, 1999)]. C’est un
sujet d’exploitation, d’oppression, de racisme, de pouvoir, et
d’avidité. La justice économique, humaine, et animale amène d’elle-même
une pérennité économique qui est elle-même toujours fondée sur des
pratiques renouvelables. La reconnaissance des droits élémentaires des
populations indigènes modère automatiquement l’extraction de ressources
et préserve les habitats naturels. Empêcher les guerres et les
interventions impérialistes tarit automatiquement l’exploitation à
l’échelle des nations. Un vrai contrôle démocratique de la politique
monétaire permet très largement de supprimer l’extorsion basée sur la
dette. Etc.

Et il y a une critique approfondie de la science qui sert à nourrir une tendance à grand bruit, et un aveuglement intéressé 4.. Le Climategate ne fait que confirmer ce qui devrait sauter aux yeux de tout scientifique en exercice : cette science constitue une mafia quand elle ne se résume pas à une pilule soporifique.

[Développement récent (mars 2011) : déconstruction tranchante du récit de la science climatique dominante – ICI.]

Conclusion

Cela continue sans s’arrêter. Que reste-t-il, qui n’est pas mensonge ?

Considérez l’escroquerie récente au H1N1 — un autre cas d’école. Le
cirque se poursuit et fait dans le grotesque : des gels antiseptiques à
chaque porte en un clin d’œil, des lycéens se shootant en buvant
l’alcool des gels, obsolescence de la souche virale avant que le vaccin —
pré-payé — ne puisse même être produit, efficacité non prouvée, aucune
exigence que l’efficacité en soit garantie, des garanties du
gouvernement aux fabricants contre les poursuites lancées par les
clients, dans les universités, des agents de sécurité enseignant aux
étudiant la bonne manière de tousser, etc.

De la folie pure. Quelque chose a-t-il déclenché notre réflexe de stupidité génétiquement enraciné de pays développé ? Cela s’inscrit-il dans notre marche vers le fascisme8 ?

En voici encore un échantillon. Les éducateurs promeuvent le mensonge selon lequel nous apprenons parce que nous recevons un enseignement. Le mensonge de l’éducation est franchement dénoncé par les éducateurs radicaux9 10.

Les professeurs d’université conçoivent des programmes comme si les étudiants apprenaient effectivement chaque élément qui y est professé, alors qu’en réalité les étudiants n’apprennent pas les éléments qui y sont professés : chacun n’apprend que ce qu’il apprend. On pourrait chambouler complètement l’ordre dans lequel les cours sont donnés, et l’on ne verrait pas de différence notable quant à ce que les étudiants en retiennent. Les étudiants produisent des absurdités et les professeurs n’en sont pas gênés. L’obéissance et l’endoctrinement sont les vrais composantes de tout le processus, et la seule compétence réellement exigée est de faire semblant. Les étudiants le savent, et ceux qui l’ignorent ne savent pas ce qu’ils savent, et ne se connaissent pas eux-mêmes. 8.9.10..

Choisissez n’importe quelle opinion d’expert ou n’importe quel paradigme dominant : ils sont les constituants d’un racket.

Nous n’acceptons pas la vérité, parce que la vérité est brutale.

Denis G. Rancourt était professeur titulaire à 
temps plein de l’Université d’Ottawa au Canada. Il suivit une formation 
de physicien et pratiqua la physique, les sciences de la terre, et la 
science de l’environnement, domaines en lesquels il fut financé par une 
agence nationale et dirigea un laboratoire reconnu à l’international. Il
 a publié plus de cent articles dans des journaux scientifiques de 
premier plan. Il a développé des cours d’activisme populaire et a 
constitué un critique franc de l’administration universitaire. Il est un
 défenseur des droits des Palestiniens. Il a été mis à la porte en 2009 
par un président qui est un défenseur inconditionnel de la politique 
israélienne. [Voir www.academicfreedom.ca]
Note du Saker Francophone

Il a aussi publié une longue étude sur les tenants et les aboutissants de la globalisation.

Traduit par Vincent, relu par Olivier pour le Saker Francophone

Notes

  1. « No Ivory Tower – book » écrit par Ellen W. Schrecker
  2. Interview radiophonique du Dr. Barbara Starfield: CHUO 89.1 FM, Ottawa; 21 janvier 2010
  3. Nature 449, 382-383 (2007)
  4. « Global Warming: Truth or Dare? – essay » par Denis G. Rancourt
  5. « Questioning Climate Politics – Denis Rancourt says the ‘global warming myth’ is part of the problem »; April 11, 2007, interview par The Dominion
  6. Climate Guy blog
  7. « The Corporate Climate Coup – essay » par David F. Noble
  8. “Canadian Education as an Impetus towards Fascism – essay” par Denis G. Rancourt
  9. « Pedagogy of the Oppressed – book » par Paulo Freire
  10. “The Ignorant Schoolmaster – book” par Jacques Rancière



Voici le Biden Gate

Après l’échec du rapport Mueller,

  • l’affaire Zelenski 00:22
  • Biden sous pression 02:30
  • Témoignage de Rudy Giuliani 03:19
  • De Maidan au recrutement d’Hunter
  • Biden 06:10
  • La valse des procureurs 09:50
  • Biden et les FDP 10:50
  • Soros en Ukraine 13:00
  • Lutsenko et la fin des problèmes pour Soros et Burisma 14:50
  • Soros et Pravy Sektor 16:58
  • La faute de Joe Biden 17:50
  • ONG et corruption 18:20
https://youtu.be/IoQOhWEu8bM



Fake News de la BBC sur la 5G décodés : Impacts sur la santé niés malgré des preuves scientifiques accablantes

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Claire Edwards

[Écouté sur] BBC radio : Under the Radar Episode 4 – 5G Friend or Foe? (La 5G : Ami ou ennemi ?, juillet 2019)


Lettre ouverte au producteur du programme « Under the Radar » de la BBC

J’espérais pouvoir laisser à d’autres le soin de réfuter les dernières fausses nouvelles sur la 5G publiées par la BBC, mais je me sens obligée d’intervenir avec les preuves puisque la BBC ne les fournit pas, étant peut-être corrompue comme d’autres par sa collaboration avec diverses sociétés de télécommunications selon une rumeur récente qui circule (Transparency International : Investigating Corruption in the Media and Telecoms Industries (Enquête sur la Corruption dans les Industries des médias et des télécommunications)).

Bien que je salue vos efforts pour attirer l’attention du public sur les questions concernant le déploiement de la 5G sans un seul test préalable pour vérifier ses implications pour la santé ou la sécurité, et votre succès à convaincre la BBC d’aborder finalement au moins certaines de ces questions, même si c’est à travers d’une émission de radio peu connue et brève plutôt que de rendre justice à cette urgence planétaire sans précédente en la traitant à travers d’un programme de télévision complet, vous semblez inconscient du biais évident dans la production du programme.

Examinons comment ce programme donne l’impression que ceux qui s’opposent à la 5G sont en quelque sorte des porteurs de chapeau en papier aluminium ignorants et stupides au lieu de ce qu’ils sont réellement : des personnes pleinement informées et intelligentes, qualifiées et expérimentées dans le domaine des champs électromagnétiques (CEM), vivement alarmées par les faits concernant la 5G et ses conséquences très réelles extrapolées de la science sur les conséquences désastreuses des générations sans-fil 14.

Tout d’abord, le présentateur nous informe que 230 scientifiques sont préoccupés par la mise en œuvre du programme 5G, alors qu’en fait, des milliers de scientifiques et de médecins ont exprimé leurs préoccupations jusqu’ici dans au moins 60 appels : Doctors & Scientists Appeals For Stronger Electromagnetic Radiation Regulations ; Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace – 134 458 signataires dans 198 pays (2 août 2019). Le présentateur dénigre délibérément les 230 scientifiques mentionnés en employant la phrase vernaculaire « Qu’est-ce qu’ils ont à rouspéter ? » de préférence à la phrase plus formelle et respectueuse « Pourquoi s’inquiètent-ils ? »

La Dr Erica Mallery-Blythe nous dit que les ondes millimétriques de la 5G interfèrent avec la biologie, que la recherche est incomplète et qu’il n’y a pas eu de consultation publique ni de tests de santé et de sécurité adéquats pour la 5G.

La science sur les rayonnements électromagnétiques

Il est à noter – bien que cela ne soit évidemment pas mentionné dans le programme – que les constatations de la Dr Mallery-Blythe sont étayées par l’étendue de la science qui a irréfutablement établi les effets biologiques des rayonnements électromagnétiques
(Irradié: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ;
le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études.
Il fut un temps où même la BBC était prête à remettre en question la sécurité du WiFi – oups ! – vous croyiez que nous avions oublié ? (BBC Panorama, 2007 : WiFi Warning Signal (Signal d’alarme sur le sans-fil), mais c’était probablement avant que la BBC elle-même s’est mise à s’acoquiner avec l’industrie des télécommunications, tout comme le New York Times (Who has NY Times in their pocket? (Qui a le NY Times dans sa poche ?) ; et NY Times 5G ties uncovered (Les liens 5G du NY Times découverts)).

Les informations de la Dr Mallery-Blythe sont immédiatement minées par le segment suivant, qui se déroule sur un circuit de course, où nous entendons, dans des tons enthousiastes qui rappellent les mecs du programme Top Gear (A vitesse supérieure), comment ils testent la capacité de la 5G de se connecter aux voitures à très haute vitesse. Cette recherche porte sur le développement de véhicules autonomes, mais nous n’en sommes pas informés.

Peter Claydon, directeur du projet AutoAir, nous dit que « l’organisation internationale » ICNIRP (Comité international des rayonnements non ionisants) remonte aux années 1960 et se compose d’un groupe d’experts médicaux et que le Royaume-Uni fonde les lignes directrices sur l’installation de la technologie sans-fil sur les recommandations de l’ICNIRP.

ICNIRP : statut réel et littérature abondante sur la corruption de l’ICNIRP

Le présentateur ne conteste pas Claydon sur l’inexactitude de ses affirmations. L’ICNIRP est en fait une ONG de droit allemand sans statut juridique international. Elle nomme ses propres membres, dont aucun n’est médecin, opère sans aucune transparence et n’a de comptes à rendre à personne. Elle décline toute responsabilité sur son site Web pour toute information qu’il contient, y compris ses propres lignes directrices, qui sont basées sur une science sélectionnée et qui est antérieure à l’avènement des téléphones portables. L’ICNIRP a été accusée de corruption par d’innombrables personnes pendant de nombreuses années, et plus récemment par
(1) Investigate Europe : The 5G Mass Experiment (L’expérience de masse 5G) and The ICNIRP Cartel: Who’s Who in the EMF Research World (Le cartel ICNIRP : Qui est qui dans le monde de la recherche sur les CEM) ;
(2) Dariusz Leszczynski, PhD : Is ICNIRP Reliable Enough to Dictate Meaning of Science to the Governmental Risk Regulators? (L’ ICNIRP est-elle suffisamment fiable pour dicter le sens de la science aux organismes gouvernementaux de réglementation des risques ? ;
(3) Joel M. Moskowitz, PhD : The ICNIRP Cartel and the 5G Mass Experiment  (Le cartel ICNIRP et l’expérience de masse 5G) ;
et (4) Professor Emérite Martin Pall, Response to 2018 ICNIRP Draft Guidelines and Appendices on Limiting Exposure to Time-Varying Electric, Magnetic and Electromagnetic Fields (100 kHz to 300 GHz) (Réponse au projet de lignes directrices et appendices visant à limiter l’exposition aux champs électrique, magnétique et électromagnétique variant dans le temps (de 100 kHz à 300 GHz) et Eight Repeatedly Documented Findings Each Show that EMF Safety Guidelines Do Not Predict Biological Effects and Are Therefore Fraudulent (Huit constatations étayées à maintes reprises montrent chacune que les lignes directrices en matière de sécurité ne prédisent pas des effets biologiques et sont donc frauduleuses).

Le présentateur invite Claydon, qui est clairement une personne purement techniquement qualifiée et ni scientifique des CEM ni médecin, à « rassurer fondamentalement ceux qui craignent que [la 5G] puisse affecter la santé humaine que vous ne pensez pas qu’elle le fera », bien que Claydon ne soit pas qualifié pour fournir un avis scientifique ou médical. Claydon répond avec obligeance : « Non… les recherches qui ont été faites depuis des décennies s’appliquent aussi bien à la 5G qu’à toute autre technologie sans fil dans le passé. »

Les conséquences dévastatrices sur la santé d’utilisation du téléphone portable pendant 20 ans

Fait significatif, Claydon ne fournit aucune assurance que la 5G est sûre. En fait, toute la technologie sans fil est dangereuse, et les résultats sur la santé qui se dégagent des 20 dernières années d’utilisation intensive des téléphones portables révèlent des effets dévastateurs sur la santé, notamment l’autisme, le TDAH, la baisse catastrophique de la fertilité, la démence précoce et une augmentation phénoménale des suicides (voir, par exemple, le rapport de l’Association américaine des compagnies d’assurance de personnes Blue Cross Blue Shield d’avril 2019, intitulé » The Health of Millennials » (Santé de la génération du Millénaire) et Are rises in Electro-Magnetic Field in the human environment, interacting with multiple environmental pollutions, the tripping point for increases in neurological deaths in the Western World? (Les augmentations des champs électromagnétiques dans l’environnement humain interagissant avec de multiples pollutions environnementales, sont-elles le point de basculement où des augmentations de décès neurologiques dans le monde occidental se produisent ?) dans Medical Hypotheses. Extrait :

Nous émettons l’hypothèse que la brusque montée relative de la morbidité neurologique dans le monde occidental (1989-2015) est due à l’augmentation des CEM de fond qui est devenue le point de basculement… Les taux de mortalité neurologique sans précédente, qui se sont produits tous en seulement 25 ans, exigent un réexamen de la sécurité à long terme des CEM par rapport [à l’impact] des augmentations dans les CEM de fond sur la santé humaine. Nous ne voulons pas « arrêter le monde moderne », seulement le rendre plus sûr.

Paul Brodeur, dans son livre intitulé The Zapping of America (Les Etats Unis Zappés), constate :

Le rayonnement micro-ondes peut vous aveugler, modifier votre comportement, causer des dommages génétiques et même vous tuer. Les risques vous ont été cachés par le Pentagone, le Département d’Etat et l’industrie électronique. Avec ce livre, la dissimulation des micro-ondes est terminée.

Ensuite, nous entendons très brièvement quelqu’un qui est décrit de
façon désobligeante comme « un soi-disant réfugié WiFi », qui n’est
alloué que quelques secondes pour nous parler de sa douleur cardiaque et
de ses maux de tête causés par la technologie sans fil.

Vient ensuite un segment plus long dans lequel nous entendons le
sénateur Richard Blumenthal établir, lors d’une audience du Sénat
américain en février 2019, que l’industrie des télécommunications a investi zéro dollar dans les tests de santé et de sécurité de la 5G, de sorte que Blumenthal conclut : « Nous avançons donc à l’aveuglette en matière de santé et de sécurité ».

Une fois de plus, les faits sont rapidement minés par le présentateur
qui nous assure avec insistance que Marc Allera, PDG de la grande
société de télécommunications EE (et donc très peu susceptible de donner
une opinion impartiale), « est convaincu que le nouveau service est
sûr ». Marc Allera est un homme d’affaires et non médecin, et son
assurance est évidemment intéressé et n’a aucun poids scientifique.
Allera parle des « rumeurs extrêmes… dont aucune n’est vraie. Nous
travaillons depuis plus de 30 ans avec des organismes comme l’OMS qui
créent des normes… ».

La corruption à l’Organisation mondiale de la santé (OMS)

L’Organisation mondiale de la santé a commodément oublié qu’elle a co-organisé en 1973 un symposium intitulé « The Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation » (Les effets biologiques et les risques pour la santé du rayonnement micro-ondes). Elle n’a pas la prérogative d’approuver unilatéralement les lignes directrices produites par une ONG louche dans des circonstances non transparentes. L’OMS et son projet CEM – au sujet duquel Mike Repacholi, fondateur de l’ICNIRP et ancien directeur du projet CEM de l’OMS, a révélé que jusqu’à la moitié du financement du projet provenait de groupes industriels des services sans fil et électriques – a également été accusé à plusieurs reprises de corruption et de cooptation par l’industrie (Conseil des droits de l’homme de l’ONU, 22 février 2019 : 5G est traitement cruel, inhumain et dégradant selon la Résolution 39/46 ; La dissimulation de l’OMS qui nous coûtera la vie sur Terre ; WHO Watch : Mike Repacholi and the EMF Charade (Mike Repacholi et la Charade des CEM), Microwave News, 2005.

Donnant l’impression que les faits relatifs à la sécurité de la 5G ont maintenant été définitivement établis – par des déclarations péremptoires, erronées et non étayées – le présentateur s’émerveille d’un ton désobligeant : « Malgré les assurances de l’industrie que la 5G est aussi sûre que la 3G, la 4G et la technologie qui la précède, Dr Erica Mallery-Blythe n’est pas convaincue ». Le ton condescendant implique qu’elle ne peut pas être tout à fait saine d’esprit d’insister sur le fait que la 5G n’est pas sûre, bien qu’elle ait entendu les assurances de personnes [ne] possédant [en fait] aucune qualification médicales dans les CEM et préoccupées de leurs propres intérêts.

Le présentateur se met alors à parler très rapidement lorsqu’il admet « qu’aucun test spécifique sur les effets de la 5G sur la santé humaine ne semble avoir été effectué… ». Les qualificatifs « spécifique » et « semble » employés sont trompeurs et inexacts, car en fait aucun test sur les effets de la 5G sur la santé humaine n’a été effectué avant son déploiement sur Terre, dans l’espace et dans la stratosphère.

Avec un « Mais » rapide pour insinuer que cette absence totale des tests de santé et de sécurité de la 5G exigés par la loi est une question négligeable qui ne devrait pas nous préoccuper, il se précipite ensuite à introduire d’un ton confiant un sceptique américain qui ressemble au biologiste britannique Richard Dawkins (qui est systématiquement invité dans les médias britanniques pour débusquer les scientifiques de n’importe quel domaine scientifique dont les preuves contredisent l’orthodoxie des entreprises et leur réduisent les bénéfices). Le présentateur entend bien nous faire comprendre que cet « expert » réglera définitivement la question. Le Dr Steve Novella, professeur adjoint de neurologie à l’Université de Yale, nous informe de la manière suivante, qui fait autorité, comme point culminant du programme :

Le danger potentiel de la 5G est en fait très, très faible. C’est
un champ électromagnétique, mais c’est un rayonnement non ionisant
il n’est pas assez fort pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple [1].
Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques de la
radiofréquence, les ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus
[2].

Voilà tout. Il n’y a donc pas vraiment de raison de penser que l’exposition à la 5G par notre technologie est dangereuse. Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’il cause un préjudice réel [3].

Quand on y pense, on est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes tous les jours que
ce à quoi vous allez être exposé à travers le 5G !
[4]

Novella a tort à 100% : Voici d’innombrables raisons de penser que l’exposition à la 5G par la technologie sans fil est extrêmement dangereuse

1. « C’est un rayonnement non ionisant. Il n’est pas assez fort
pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen, exemple de recherche documentaire sur les « dommages à l’ADN » : 623 articles ont été trouvés
; l’opérateur Swisscom a déposé en 2004 un brevet sur une méthode et un
système de réduction de l’électrosmog dans les réseaux locaux sans fil
qui constate clairement que le WiFi endommage l’ADN.

2. « Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques des
radiofréquences, des ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus. »

Irradié
: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les
champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs
électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de
radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ; le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études. Même l’ICNIRP corrompue admet dans ses lignes directrices de 1998
que « par rapport au rayonnement à ondes continues (CW), les champs de
micro-ondes pulsées avec le même taux moyen de dépôt d’énergie dans les
tissus sont généralement plus efficaces pour produire une réponse
biologique, surtout lorsqu’il existe un seuil bien défini qui doit être
dépassé pour obtenir l’effet (ICNIRP, 1996).

3. « Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’elle cause un préjudice réel. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen : Le cœur du portail CEM est une vaste base de données bibliographiques avec un inventaire de 28.841 publications et 6.390 résumés d’études scientifiques individuelles sur les effets des champs électromagnétiques.

4. « On est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes chaque jour que ce à
quoi vous allez être exposé à travers la 5G ! »

Selon le professeur Olle Johansson, récemment retraité de l’Institut Karolinska en Suède, l’exposition
actuelle du public au rayonnement sans fil (avant l’ajout de la 5G) est
environ un quintillion de fois (1 000 000 000 000 000 000 ou 18 zéros)
supérieure au rayonnement naturel
.

Le rayonnement de fond naturel n’est ni pulsé ni modulé, comme l’explique Arthur Firstenberg, scientifique et co-auteur de l’Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace

Le dommage n’a rien à voir avec les niveaux de puissance. C’est ce que personne ne comprend. Le niveau de puissance n’est pertinent que pour un seul type d’effet : le chauffage. Pour tous les autres effets, il est complètement hors de propos. Il y a des effets à puissance proche de zéro, et pour certains effets, il y a une relation de puissance inverse, c’est-à-dire que plus la puissance est faible, plus le dommage est grave. Le DAS [débit d’absorption spécifique, utilisé pour exprimer la puissance absorbée par masse de tissu] n’est absolument pas pertinent pour les effets non thermiques.

Ce n’est pas la puissance qui fait le mal. C’est le degré de cohérence, le type et la profondeur de la modulation, la longueur d’onde, le nombre de fréquences, le nombre de signaux, la largeur de bande, la forme des ondes, la hauteur et la largeur des impulsions, le temps de montée et de descente, et les autres propriétés du rayonnement. Le peu d’importance des niveaux de puissance pour les effets autres que la chaleur a été démontré à maintes reprises. Dans les études de Salford, ce sont les niveaux de puissance les plus faibles qui ont causé le plus de fuites dans la barrière hémato-encéphalique. Blackman, Bawin, Dutta, Schwartz et Kunjilwar, tous dans des laboratoires différents, ont constaté que le flux de calcium provenant des cellules neurales et cardiaques se produisait à des fréquences et à des niveaux d’exposition spécifiques et n’augmentait pas avec la puissance. Dans l’étude de Dutta, une diminution de 3 000 fois de la puissance a causé une augmentation de 4 fois du flux de calcium. Sadchikova et ses collègues soviétiques ont constaté que les employés exposés aux niveaux de puissance les plus bas souffraient plus souvent du mal des ondes radio. Belyaev a constaté que les effets génétiques se produisaient à des fréquences spécifiques et que l’ampleur de l’effet ne changeait pas avec un niveau de puissance supérieur à 16 ordres de grandeur. L’hypothèse selon laquelle la technologie sans fil peut être rendue sûre en réduisant la puissance a été démentie.

Le présentateur résume les conclusions du programme :

J’ai vu pourquoi les gens sont si enthousiastes à l’idée du
déploiement mondial de la 5G… Mais si beaucoup de gens pensent que la 5G
est la meilleure chose depuis le pain tranché, il y a encore ceux qui
croient que si la technologie continue à être déployée sans les tests
qu’ils exigent, nous pourrions bientôt tous être grillés !

Une distorsion sonore est appliquée derrière ces mots, à laquelle
s’ajoute la banalisation de « nous pourrions bientôt être grillés » et
l’intonation qui implique le ridicule de l’idée que les gens peuvent
vraiment être si mesquins qu’ils exigent le respect des lois nationales
et internationales exigeant des tests préalables, des études d’impact
sur l’environnement et l’application du principe de précaution.

Et voilà! Ce programme de la BBC admet en fait qu’aucun test de santé
ou de sécurité n’a été effectué sur la 5G, tout en omettant d’informer
le public que cela est en fait illégal en vertu du droit communautaire
et international et du code de Nuremberg et ignore complètement le
principe de précaution, qui est approuvé par l’UE dans sa résolution 1815 de 2011. Un avis juridique donné par un
cabinet d’avocats danois indique que le déploiement de la technologie
5G est illégal en vertu du droit communautaire et international
(75 pages) :

La conclusion de cet avis juridique est que l’établissement et l’activation d’un réseau 5G, tel qu’il est actuellement décrit, serait en contradiction avec les lois actuelles sur l’homme et l’environnement garantis par la Convention européenne des droits de l’homme, la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant, les réglementations européennes et les Conventions de Berne et de Bonn. … Cela s’applique également lorsque le rayonnement reste dans les limites recommandées par l’ICNIRP et actuellement utilisées au Danemark ainsi que dans l’ensemble de l’UE.

Les contributeurs au programme qui sont effectivement qualifiés et
justifiés d’exiger des tests de santé et de sécurité de la technologie
5G avant son déploiement en vertu (a) d’une qualification médicale et de
connaissances dans ce domaine de la médecine, (b) d’une expérience
personnelle des effets délétères de la technologie sans fil, et (c) de
connaissances juridiques, sont dépeints comme déraisonnables, insensés,
mesquins et extrêmes. Ils seront sans doute bientôt qualifiés de
terroristes – affaire [BBC] à suivre… !

En revanche, les intervenants pro-5G, qui possèdent des
qualifications techniques mais ni médicales dans le domaine des CEM ni
scientifiques, sont vivement encouragés à exposer leurs opinions vides
et sans valeur sur la sécurité de la 5G. Chacun parle après chaque
intervenant anti-5G afin de saper ce qu’il ou elle a dit, et ensemble on
leur accorde le double du temps accordé aux intervenants anti-5G. Des
indices subtils tels que le choix du registre de la langue, les phrases
vernaculaires, la banalisation et l’intonation désobligeante sont
également utilisés pour miner les intervenants anti-5G.

Comme l’a dit Gandhi : « D’abord ils vous ignorent, ensuite ils vous
raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. »  Les fake news
sur la 5G émanant des médias corrompus financées ou cooptés par
l’industrie des télécommunications sont exposées pour ce qu’elles sont :
une tentative maladroite, pitoyable et tardive d’une industrie des
télécommunications avide – qui pensait pouvoir lancer la 5G sur un
public peu méfiant sans se faire épinglée – d’accroître leur mépris pour
le public en le trompant une fois de plus à coup de mensonges et de
manipulation. Je vous préviens : ce génie ne rentrera pas dans la
bouteille.

Peu importe le nombre de fois que vous invitez vos contributeurs
sceptiques à réfuter les nombreuses preuves indiquant les conséquences
catastrophiques probables du déploiement de la 5G sur Terre, dans la
stratosphère et dans l’espace afin d’irradier chaque centimètre carré de
la planète sans que personne ne puisse s’échapper, quel que soit son
âge ou son état de santé, y compris les fœtus pas encore nés – un plan
qualifié par le Professeur Emérite Martin Pall en tant que « l’idée la
plus stupide de l’histoire de l’humanité » – et pour affirmer que cet
ensemble écrasant de preuves n’est pas « réel », « prouvé », « valide »,
« solide », « convaincant », « décisif » ou « établi », le public ne
vous croira pas.

Vous pouvez continuer à imputer le rejet absolu de la 5G par un
public consterné et indigné à la désinformation russe pour détourner
l’attention publique des criminels qui ont planifié son déploiement et
qui sont donc vraiment responsables de ce fiasco technologique
irréfléchi, mais vous foncez tout droit vers l’échec.

Les dirigeants, le personnel et les invités de la BBC devraient
bientôt commencer à respecter la loi et à dire la vérité, sinon ils
pourraient bientôt être tenus responsables d’un complot délibéré,
calculé et malveillant visant à aider et à encourager le génocide et
l’écocide. Des nazis de haut rang ont été pendus pour crimes contre
l’humanité après la tentative de génocide de la deuxième guerre
mondiale. À ma connaissance, personne n’a encore été jugé pour
conspiration en vue de commettre un omnicide. Espérons que vous cesserez
immédiatement de faire preuve d’arrogance et de l’orgueil insondable
dans votre détermination à être parmi les premiers.

Claire Edwards

Article original en anglais :

BBC Fake News on 5G Decoded: Health Impacts Denied Despite Overwhelming Scientific Evidence, publié le 25 août 2019

Traductrices : Dossano Elizabeth et Edwards Claire




« …des banquiers et des industriels qui, réduisent le monde entier à l’esclavage. » – Louis McFadden

[Source : Aphadolie]

Citation : « …des banquiers et des industriels qui, réduisent le monde entier à l’esclavage. » – Louis McFadden

Publié par Aphadolie

Louis Thomas McFadden - 2
Louis Thomas McFadden (25.07.1876 – 01.10.1936), Représentant des États-Unis

Le parlementaire républicain, Louis McFadden, président de la House Banking Committee, a déclaré au Congrès en 1929:

« La crise n’est pas accidentelle. C’est un évènement préparé soigneusement. Les banquiers internationaux essaient de pousser les gens au désespoir afin de pouvoir dominer tout le monde. ».

En 1934, il a dit au Congrès :

« Les Banques de Reserve Federales ne sont pas des agences gouvernementales. Ce sont des monopoles de crédit qui, pour leur propre avantage des bulles dépouillent. Ils sont formés par les Banques Centrales européennes. Dans ce groupe louche de pirates financiers, il y a des gens qui, pour un seul dollar, égorgerait un homme. »

Et puis il ajouta :

« Ils essaient de cacher leur pouvoir, mais la vérité est que la F.E.D a usurpé le gouvernement. On a mis sur pied un système planétaire. Un super-Etat contrôlé par des banquiers et des industriels qui, pour leur plaisir, réduisent le monde entier à l’esclavage. »

Et pour conclure, McFadden déclara :

« Les banquiers privés internationaux peuvent, grâce à ce système, déterminer soi-disant « légalement » le taux du dollar et par conséquent faire accroitre ou au contraire écrouler l’économie. C’est exactement ce qu’il s’est passé en 1907 et en 1929 aux Etats-Unis et en 1920 en Allemagne. Les Banques Fédérales fixent le nombre de billet à imprimer, une décision qui, en fait, devrait être un ressort de l’Etat. La F.E.D fabrique de l’argent à partir de rien, absolument à partir de rien du tout. »

Après deux attentats échoués contre McFadden, il a finalement été empoisonné, le 1octobre 1936. Deux ans avant sa mort, il déclara encore :

« La dépression n’était pas un accident. C’était un évènement soigneusement planifié… Les banquiers internationaux pour qu’ils puissent s’ériger comme Maîtres de tous. »

McFadden avait bien compris les manipulations d’une poignée de banquiers. Le 6 février 1929, huit mois avant le crash, Montagu Norman, gouverneur de la Bank of England, a rencontré le ministre américain des Finances, Andrew Mellon. Norman était l’homme de confiance de J.P. Morgan.
Immédiatement après cette imminente visite à Washington, la Banque
Fédérale a resserré sa politique monétaire libérale en août 1929 et elle
a augmenté le taux d’intérêt jusqu’à 6%. La bulle financière
d’expansion et d’infiltration monétaire qui avait durée sept ans, était
en train d’éclater. On a entendu alors, de la bouche de Montagu Norman
lui-même, qu’il « avait l’hégémonie du monde en main. » et que « l’hégémonie
de monde des Finances doit avoir la suprématie sur tout le monde,
partout, comme seul mécanisme de contrôle supranational.
 ». Après le crash, le 24 octobre 1929, le Wall Street Journal, en parlant du banquier anglais, le désignait comme « le dictateur de l’argent en Europe. »

Extrait : « Les Traverses du pouvoir, Les révolutions et les réseaux secrets depuis 1776 » de Jean-Jules van Rooyen


Louis Thomas McFadden - 1
Louis Thomas McFadden (25.07.1876 – 01.10.1936), Représentant des États-Unis

Biographie succincte de Louis Thomas McFadden 

McFadden est né à Granville Center, en Pennsylvanie. Il étudia au
Warner’s Commercial College d’ Elmira de New York. En 1882, il fut
engagé par la First National Bank of Canton en Pennsylvanie. En 1899, il
fut choisi comme caissier et devint président de la banque le 11
janvier 1916 jusqu’en 1925.

De 1906 à 1907, il fut le trésorier de la Pennsylvania Bankers’
Association, et son président en 1914 et 1915. En 1914, il fut nommé
comme administrateur de l’université d’État de Pennsylvanie par les
sociétés agricoles de l’État de Pennsylvanie.

En 1914, McFadden fut élu Représentant républicain du 64e Congrès. Il
le resta pendant les neuf Congrès suivant. Il servit comme Président du
United States House Committee on Banking and Currency du 66e Congrès au
71e, soit de 1920 à 1931.

Pacifiste, McFadden était critique de l’engagement militaire des États-Unis dans la Première Guerre mondiale. Il considérait que l’Angleterre avait su manipuler la diplomatie américaine, notamment par le biais du Colonel House.

Le 25 février 1927, le président Coolidge approuve le McFadden Act. L’initiateur principal de la loi était le Comptroller of the Currency Henry M. Dawes et avait été présenté au Congrès par Louis Thomas McFadden le 11 février 1924. Le McFadden Act avait pour objectif de favoriser
la compétition entre les banques nationales en interdisant
spécifiquement la création de filiales bancaires inter-étatiques.
Cette loi a été depuis amendée, notamment par le Riegle-Neal Act.

McFadden est célèbre pour ses critiques de la Réserve fédérale, qu’il considérait comme contraire aux intérêts du peuple américain. Le 10 juin 1932, McFadden fit un
discours de 25 minutes devant la Chambre des représentants, durant
lequel il accusa la Réserve fédérale d’avoir délibérément provoqué la
Grande Dépression.

En 1932, McFadden initia une procédure d’impeachment(([1] L’impeachment est une procédure américaine, qui signifie « mise en accusation », permettant au pouvoir législatif de destituer un haut fonctionnaire.)) contre le président Herbert Hoover, et introduisit devant la Chambre une résolution accusant de conspiration le Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale.

En 1933, McFadden introduisit la résolution no 158 de la Chambre, initiant une procédure d’impeachment contre le Secrétaire du Trésor,
deux assistants du secrétaire du Trésor, le Conseil des gouverneurs de
la Réserve fédérale et des directeurs et fonctionnaires de ses douze banques régionales.

McFadden a été la cible de plusieurs tentatives de meurtres.
On lui tira deux fois dessus à Washington, D.C. alors qu’il descendait
d’un taxi devant l’un des hôtels de la capitale, les deux balles
s’encastrèrent dans le taxi. Il survécut à un violent malaise lors d’un
banquet politique à Washington, D.C. grâce à la présence d’un médecin
qui lui fournit un traitement d’urgence. Ce médecin annonça ultérieurement qu’il s’agissait d’un empoisonnement.

En 1936, la mort soudaine de McFadden est attribuée à une crise cardiaque, lors d’une visite à New York; l’hypothèse d’un empoisonnement a rapidement été émise. Il est enterré dans le East Canton Cemetery de Canton en Pennsylvanie.

Louis Thomas McFadden - 3
Louis Thomas McFadden (25.07.1876 – 01.10.1936), Représentant des États-Unis

Citations – Extrait de son célèbre discours du 10 juin 1932 devant la Chambre des représentants

« Monsieur le Président, nous avons dans ce pays une des
institutions les plus corrompues qui ait jamais existé dans le monde. Je
fais référence au Conseil de la Réserve Fédérale et aux banques de la
Réserve Fédérale. Le Conseil de la Réserve Fédérale, un conseil
gouvernemental, a fraudé le gouvernement des États-Unis d’assez de
monnaie pour payer la dette nationale. Les déprédations et les iniquités
du Conseil de la Réserve Fédérale et des banques de la Réserve Fédérale
agissant ensemble ont coûté à ce pays assez de monnaie pour payer
plusieurs fois la dette nationale. Cette institution diabolique a
appauvri et ruiné le peuple des États-Unis; s’est elle-même mise en
banqueroute, et a pratiquement mis en banqueroute notre Gouvernement.
Elle a fait ceci grâce aux défauts de la loi sous laquelle elle opère,
grâce à la mauvaise administration de cette loi par le Conseil de la
Réserve Fédérale et grâce aux pratiques de corruption des vautours qui
la contrôlent.

Ce qu’il faut ici est un retour à la Constitution des États-Unis.
Il nous faut un divorce complet de la Banque et l’État. La vieille
lutte qui fut menée ici à l’époque de Jackson doit être à nouveau menée…
L’Acte de la Réserve Fédérale doit être abrogé et les Banques de la
Réserve Fédérale, ayant violé leurs chartes, doivent être immédiatement
liquidées. D’infidèles fonctionnaires du Gouvernement qui ont violé
leurs serments doivent être mis en accusation et amenés au tribunal. À
moins que nous le fassions, je prédis que le peuple américain, outragé,
volé, pillé, insulté et trahi comme il l’est dans son propre pays, se
mettra en colère et enverra ici un Président qui expulsera du temple les
manipulateurs de la monnaie.
 »

« Mr. Chairman, we have in this country one of the most corrupt
institutions the world has ever known. I refer to the Federal Reserve
Board and the Federal reserve banks. The Federal Reserve Board, a
Government board, has cheated the Government of the United States out of
enough money to pay the national debt. The depredations and the
iniquities of the Federal Reserve Board and the Federal reserve banks
acting together have cost this country enough money to pay the national
debt several times over. This evil institution has impoverished and
ruined the people of the United States; has bankrupted itself, and has
practically bankrupted our Government. It has done this through defects
of the law under which it operates, through the maladministration of
that law by the Federal Reserve Board and through the corrupt practices
of the moneyed vultures who control it.

What is needed here is a return to the Constitution of the United
States. We need to have a complete divorce of Bank and State. The old
struggle that was fought out here in Jackson’s day must be fought over
again…The Federal Reserve Act should be repealed and the Federal Reserve
Banks, having violated their charters, should be liquidated
immediately. Faithless Government officers who have violated their oaths
of office should be impeached and brought to trial. Unless this is done
by us, I predict that the American people, outraged, robbed, pillaged,
insulted, and betrayed as they are in their own land, will rise in their
wrath and send a President here who will sweep the money changers out
of the temple.
 »


Réserve fédérale
Réserve fédérale

Les Traverses du pouvoir

Biographie succincte de l’auteur du livre « Les Traverses du pouvoir, Les révolutions et les réseaux secrets depuis 1776 » 

Jean-Jules van Rooyen, a terminé sa carrière militaire en 1990. Les 8 dernières années, il a travaillé aux Plans de l’Etat-Major de la Marine Royale et au cabinet militaire du ministre de la Défense (5 ans). Pendant cette période, il a écrit le Plan Stratégique de la marine et un Plan général de défense du Flanc Nord pour l’Otan.

En 1997, il a découvert qu’il a été le seul responsable non-franc-maçon à l’État-Major de la marine.

De 1995 à 2007, il a été secrétaire/vice-président de EuroDéfense Pays-Bas, un lobby pan-européen pour la Défense européenne.

Ces expériences étaient le début d’une avalanche de renseignements et d’un parcours de 12 ans de recherches approfondies sur le monde occulte et ses nombreux réseaux. Sans ces richesses historiques, uniques au monde, la publication de « Les Traverses du pouvoir, Les révolutions et les réseaux secrets depuis 1776 », n’aurait jamais vu le jour.


Source :

Fr : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Thomas_McFadden

En : https://en.wikipedia.org/wiki/Louis_Thomas_McFadden

Note :




Date limite 2019 – les révélations de Chico Xavier

[Source : Médium-Guérisseur]

Rédigé par Christophe H. et publié depuis Overblog



La Folha Espírita (Le journal spirite) de mai 2011 rapporte une révélation faite en 1986, par le médium Francisco Cândido Xavier sur le futur réservé à la planète Terre et à tous ses habitants dans les proches années à venir.

La révélation a été faite à son ami et médium Geraldo Lemos Neto, fondateur de la Maison de Chico Xavier, à Pedro Leopoldo (MG) et l’édition Vinha de Luz (Vignes de Lumière), mais pour le moment, seul lui s’est décidé à parler.

Ceci est maintenant un résumé des points intéressants du texte qui peut être lu dans son intégralité sur la copie n ° 439, année XXXV du Journal Spirite de mi 2011

Cela fait longtemps que je traîne ce fardeau, et j’ai toujours été inquiet dans ce sens que Chico Xavier ne me dirait pas tout de ce qu’il avait raconté aux éditions du Journal Spirite et pourquoi ?

Parce qu’il n’y avait pas de finalité précise dans ce que je savais. Avec l’occasion des échanges que j’ai eu et que  je décris dans les pages suivantes, j’ai remarqué que mon esprit recevait un traitement mnémonique différent pour que je parvienne à ne pas oublier ces paroles prophétiques pour en témoigner en temps voulu dans l’avenir lorsque je serais appelé à le faire.

J’ai eu le bonheur de vivre dans l’intimité de Chico Xavier, parler avec lui d’innombrables fois jusqu’au petit matin et, au début, sur de nombreux thèmes de notre intérêt commun, notamment sur des éclaircissements palpitants à propos de la doctrine des Esprits et de l’Évangile de Jésus. Un de ces thèmes abordé a été celui relatif  à l’Apocalypse du Nouveau Testament. Depuis lors, dans nos conversations, Chico Xavier a toujours eu un mot ou un autre éclairant  la question, soulignant tel ou tel verset et me faisant comprendre, lentement, le moment de la transition par laquelle passe notre orbe planétaire sur le chemin de la régénération  » Dans une de ces conversations, se souvenant du livre Brésil, Cœur du Monde, Pays d’Evangile, écrit par l’esprit Humberto de Campos, Lemos Neto avait exteriorisé ses doutes à Chico  sur le titre de l’ouvrage, car à ce moment, au milieu des années 80, le Brésil vivait encore  avec l’hyperinflation, la pauvreté, la faim, les grandes disparités sociales, la déréglementation économique et politique, pour ne pas mentionner les scandales de corruption et L’arriération culturelle.«Je m’en souviens comme si ce était hier, l’expression de surprise de Chico qui  me répondait : Allons Geraldinho, ce que tu voudrais ce serait des privilèges  pour la patrie de l’Évangile, quand  le fondateur de l’Evangile qui est notre Seigneur Jésus-Christ, a vécu dans la pauvreté, entourés par des malades et des nécessiteux de toutes sortes, a connu toutes sortes de difficultés et de persécutions a été  soumis à la torture, presque abandonné par ses amis les plus proches et qu’il est mort crucifié entre deux voleurs ? N’oubliez pas que le fondateur de l’Evangile est passé par toutes sortes de probations, a souffert le martyre de la croix, mais qu’il a ensuite quitté la croix et ressuscité pour la vie immortelle.

Cela devrait servir de guide pour la patrie de l’Evangile. Un jour, nous allons renaître de ses cendres de notre propre sacrifice pour montrer au monde l’immortalité glorieuse !

Dans la séquence de notre conversation, j’ ai demandé à Chico ce qu’il voulait dire exactement  au regard du sacrifice  du Brésil. Aurait-il prédit l’avenir de notre nation et du monde ?

Chico était resté pensif, un peu peu comme s’il s’était retrouvé éclairé par des visions de scènes éloignées et, après un certain temps, il est revenu pour nous dire: «Vous souvenez-vous, Geraldinho, dans le livre d’Emmanuel, Le chemin vers la lumière ? Dans les dernières pages du récit, en chapitre XXIV, dont le titre est le spiritisme et les grandes transitions majeures, que dans celui-ci Emmanuel déclarait que les esprits éclairés et dévoués parlaient d’une nouvelle réunion de la communauté des puissances angéliques du système solaire, dont l’un des membres divin est Jésus, et que la société céleste se réunira pour la troisième fois dans l’atmosphère de la Terre puisque le Christ a reçu la mission sacrée de racheter notre humanité, afin de décider à nouveau du sort de notre monde « Eh bien, Emmanuel a écrit cela en 1938 et j’ai été  informé que cette réunion avait déjà eut lieu.

Elle a eut lieu quand l’homme est finalement entré dans la communauté planétaire, laissant le sol du monde terrestre pour fouler la première fois le sol lunaire. L’homme, par ses propres efforts, a remporté le droit et la possibilité de se rendre à la lune, un fait qui s’est matérialisée le 20 Juillet 1969. A cette occasion, le gouverneur spirituel de la Terre, qui est notre Seigneur Jésus-Christ, à l’écoute de la demande d’autres êtres angéliques de notre système solaire, avait convoqué une réunion pour discuter de l’avenir de notre planète. Ce que je peux vous dire, Geraldinho est qu »après de nombreuses discussions et de débats entre eux, plusieurs suggestions ont été données à la fin de ce céleste conclave.

La bonté de Jésus a décidé de donner une dernière chance à la communauté de la terre,  un dernier moratoire pour permettre aux habitants de la Terre de développer la civilisation sur la planète Terre. Toutes les obligations karmiques qui étaient prévues se sont succédées pour une échéance à la fin du  XXe siècle mais elles ont ensuite été suspendues par la miséricorde du ciel pour laisser à notre monde  une dernière chance de progrès moral.

Le plus drôle, c’est que vous pouvez reconnaître exactement la période actuelle dans les évangiles et dans l’Apocalypse, que nous vivons dans la onzième heure, la dernière heure, l’heure du dernier appel.

Je lui ai demandé ce qui s’ était dit à la suite des délibérations de Jésus, et il m’a répondu :

« Notre Seigneur accordait un moratoire de 50 ans sur la société terrestre, pour commencer au 20 juillet 1969 et, par conséquent, se terminer en juillet 2019.« 

Jésus a ordonné, alors que leurs émissaires célestes s’engageraient alors plus directement dans le maintien de la paix entre les peuples et les terres des nations, afin de travailler pour nous faire intégrer plus rapidement la communauté mondiale comme un système solaire mondial davantage régénéré à la fin de cette période.

Certaines puissances angéliques d’autres orbes de notre système solaire avaient soupçonné avec atermoiements ce temps supplémentaire, et ce fut alors que dans sa sagesse il a décidé d’imposer une condition aux hommes et aux nations de la terre.

Selon l’imposition de la volonté du Christ, les nations les plus développées et responsables de la Terre devraient apprendre à se supporter les unes et les autres en respectant les différences entre elles, et en s’abstenant de s’engager dans une guerre d’anéantissement nucléaire.

La face de la Terre devrait éviter à tout prix l’appel d’une troisième guerre mondiale. Selon la délibération du Christ, si et seulement dans ce cas, si les nations de la terre, au cours de cette période de 50 ans, apprennent l’art de la convivialité et de la fraternité en évitant la destruction par la guerre nucléaire, le monde terrestre serait enfin admis dans la communauté planétaire du système solaire comme monde de régénération.

Aucun de nous ne peut anticiper, Geraldinho, les progrés qui peuvent se produire  à partir de cette date de juillet 2019 nous suffisant de savoir défendre la paix entre nos pays les plus développés et les plus civilisés !

J’ai ensuite demandé à Chico à quels progrès il se référait, et il m’a dit:

«Nous obtiendrons la solution pour tous les problèmes d’ordre social, tout comme la solution à la pauvreté et la faim qui s’éteindront. Nous aurons découvert le remède pour toutes les maladies du corps physique par la manipulation génétique et les progrès de la médecine. L’homme aura un large et total accès à l’information et à la culture, qui se répandront.

Nos frères venus d’autres planètes plus avancés auront la permission de Jésus pour se présenter librement et collaborer ouvertement avec nous  en nous offrant de nouvelles technologies jusqu’ici inimaginables à notre stade actuel de développement scientifique.

Nous allons fabriquer des dispositifs qui vont nous faciliter le contact avec les zones désincarnées, rendant ainsi  possible nos conversations tant désirées avec les êtres chers qui sont allés à la tombe. En bref, ce sera un monde nouveau, une terre nouvelle, une étape glorieuse de spiritualisation et de beauté pour le destin de notre planète ».

C’est alors que me faisant  l’avocat du diable, je lui ai demandé : « Chico, jusqu’ici tu ne m’as parlé qu’uniquement de la meilleure hypothèse, qui est celle dans laquelle l’humanité terrestre reste en paix jusqu’à la fin de la période de 50 ans. Mais que se passerait-il si les nations terrestres entraient dans une guerre nucléaire? »

« Ah ! Geraldinho, dans le cas ou l’humanité incarnée décide de suivre le chemin de la malheureuse troisième guerre mondiale, une guerre nucléaire avec des conséquences imprévisibles et catastrophiques, alors la Terre Mère (ndlr- la nature), sous les auspices de la « Vida Mayor » (ndlr-littéralement la Grande Vie, que je traduirai par quelque chose comme la Loi de causalité…mais qui est en même temps une organisation d’Esprits)  réagirait avec une violence imprévue pour nos hommes de science.

L’homme commencerait la IIIè guerre mondiale, mais ce qui la finirait ce serait les forces telluriques de la nature, de la propre Terre,  fatiguée des abus humains, et nous confronteraient alors à des tremblements de terre gigantesques, des raz de marée et des vagues (tsunamis) consécutifs.

Nous verrions l’explosion de volcans éteints depuis longtemps ; nous serions confrontés à des vagues de dégels qui feraient ployer les pôles  avec des résultats tragiques pour les zones côtières en raison de la montée des eaux ; et dans ce cas, les cendres volcaniques associées aux radiations nucléaires nocives finiraient par rendre complètement inhabitable tout l’hémisphère nord de notre planète.

Mais que se passerait-il spécifiquement au  Brésil  ?

Selon le médium, dans les deux situations le Brésil remplirait son rôle dans le grand processus de spiritualisation planétaire.

Dans la meilleure des situations, notre nation grandira en importance socioculturelle, politique et économique prenant le devant de la communauté des nations. Non seulement nous serons la grenier alimentaire et celui des matières premières pour le monde, mais aussi la grande source d’énergie avec la découverte d’énormes réserves de pétrole qui feront de Petrobras une des plus grandes entreprises mondiale. Le Brésil croîtra à pas de géants et occupera un rôle important sur la scène mondiale. Cela se traduira par l’élévation de la culture brésilienne sur la scène internationale et,  suivi de près, par le développement des livres du spiritisme christique, qui ici, avec un terrain fertile, arriveront à être d’un intérêt certain pour les autres nations.

Toutefois, si le pire des scénario se produit, celui dans lequel l’hémisphère Nord devient inhabitable, de grands flux migratoires se formeraient pour se rendre dans l’hémisphère sud où se trouve le Brésil, qui serait alors appelé plus directement encore à tenir son rôle de Patrie d’évangélisation en montrant  l’exemple de l’amour et de la résignation, du pardon et de la compréhension spirituelle pour les migrants vers les villes.

Le nouvel âge de la Terre, dans ce cas, prendra plus de temps pour atteindre ses meilleures conquêtes scientifiques et morales, à travers une autre longue période de reconstruction de nos nations et de nos sociétés, contraintes de réorganiser la plupart des fondations de base qui seraient nécessaires.  

Selon ce que Chico me révélait, ce qui resterait de l’ONU déciderait finalement de terminer l’invasion  des nations de l’hémisphère Sud, dont le Brésil, et ici évidemment, le reste de l’Amérique du Sud, l’Australie et l’Afrique du Sud, afin que nos nations soient occupées militairement et réparties entre les survivants de l’Holocauste de l’hémisphère Nord.

C’est lorsque nous les Brésiliens, serons appelés à donner un exemple de la vraie fraternité chrétienne, en comprenant que nos frères de Nord, bien qu’envahisseurs manu militari mais ne  manquant tout de même pas d’être dépassés et bouleversés par les conséquences négatives de la guerre et des hécatombes telluriques, et qui devrait donc pour cela être considérés de la même manière, tout  comme  nos frères qui ont besoin de soutien et de protection, de la compréhension et de l’amour.

A ce moment de la conversation, Chico a fait une pause narrative et a rajouté ensuite : « Notre Brésil que nous connaissons sera ensuite défiguré et divisé en quatre nations différentes. Seul un quart de notre territoire restera la nôtre, et ils restera seulement aux brésiliens les territoires du Surreste, de Goiás et du District fédéral. Les Américains, les Canadiens et les Mexicains occuperont les États de la région nord du pays, en ligne avec la Colombie et le Venezuela. Les Européens viendront occuper les États de la région du Sud du Brésil, unissant l’Uruguay, l’Argentine et le Chili. Les asiatiques, en particulier chinois, japonais et coréens, viendront occuper notre Midwest,  avec le Paraguay, la Bolivie et le Pérou. Et enfin, les Etats du Nordeste seront occupés par les Russes et les Slaves. Nous autre ne pouvons pas oublier que tout cet inextricable processus a sa propre ascendance spirituelle et nous devrons alors reconnaître que nous aurons beaucoup à apprendre des envahisseurs.

Prenez, par exemple, les Américains, ils  peuvent enseigner le respect de la loi, l’amour du droit, de la science et du travail. Les Européens, en général, apporteront l’amour de la philosophie, de la musique classique, de l’éducation, de l’histoire et de la culture. Les Asiatiques peuvent incorporer notre peuple  dans leurs plus hautes notions de respect pour le devoir, de discipline, d’honneur, d’engagements aux personnes âgées et aux traditions anciennes. Et puis enfin, nous Brésiliens nous leur offriront à eux, nos frères dans la chair, les valeurs les plus élevées de la spiritualité, par la miséricorde de Dieu, trésor de cœur fraternel et amis de nos gens simples et humbles, ces personnes bonnes qui ont été réincarnées dans la grande nation brésilienne pour accomplir le plan de Dieu et démontrer à tous les peuples du monde la foi dans la vie supérieure, témoins de la continuité de la vie dans l’au-delà, l’exercice serein et noble de la médiumnité avec Jésus.

Selon Chico Xavier, le Brésil n’ aura pas de privilèges et souffrira lui-même également des effets des tremblements de terre et des tsunamis, en particulier dans les zones côtières. Il arrive que, selon le medium, l’impact ici sera beaucoup plus faible si on le compare à ce qui adviendra dans l’hémisphère nord de la planète.

Une autre décision des bienfaiteurs spirituels de la Grande Vie fut celle qui détermina qu’après l’aube de l’an 2000 de l’ère chrétienne, les esprits endurcis dans le mal et l’ignorance ne pourront  plus jamais recevoir la permission de se réincarner sur la face de la  Terre.  

Se réincarner ici à partir de cette date équivaudrait à une juste et précieuse récompense, destinée non seulement aux esprits les plus forts et les mieux préparés  qui ont su thésauriser dans le cadre de multiples réincarnations, des conquêtes spirituelles pertinentes telles celles de la douceur, de l’amour et la paix et l’harmonie fraternelle entre les peuples et les nations.

Selon les informations que Chico a données à plusieurs amis proches, on insère dans ce programme supérieur de programmation la propre réincarnation du mentor spirituel de Chico Xavier,
Tous les autres esprits récalcitrants dans le mal seraient donc à partir de 2000, conduits de force à la réincarnation dans des mondes plus arriérés, d’expiation et d’épreuves y compris dans des mondes primitifs vivant encore à la phase de l’homme des cavernes, pour pouvoir purger leurs excès et leur insubordination aux desseins supérieurs.

Chico Xavier avait connaissance de ces mondes où ces esprits récalcitrants  seraient expulsés. Selon lui, la plus grande de ces planètes était appelée Kiron ou Quíron.

Emmanuel lui-même, par le biais Chico Xavier, répondant à une interview publiée dans le livre nous dit que les prophéties sont révélés aux hommes pour qu’elles ne soient pas accomplies.

Elles sont en fait un grand avertissement spirituel pour nous pour nous améliorer, et éloigner de nous l’hypothèse du pire chemin.

Aussi longtemps que vous aurez de l’Amour dans votre coeur
vous gagnerez toutes les batailles !




Premier procès en Grande-Bretagne contre le 5G – Et le peuple a gagné

[Source : Stop Mensonges]

Mark Steele, un militant 5G, a souligné
les dangers d’un déploiement 5G secret par le conseil municipal de
Gateshead où les résidents se plaignent de l’augmentation des maladies
et du cancer dans la zone touchée.

Il y a suffisamment de preuves pour
conclure que les nouveaux réseaux 5G intelligents sur le dessus des
nouveaux lampadaires à LED émettent des fréquences de rayonnement de
classe 1 et devraient être traités comme un danger pour le public.

Le Conseil Gateshead a réfuté par
ignorance des preuves claires et a créé de fausses allégations sur des
messages de médias sociaux et des dépliants imprimés affirmant que Mark
Steele répand Pseudo Science et que les réseaux ne sont pas dangereux ou
5G :

« Soyez assuré qu’il n’y a aucun fondement scientifique ou preuve crédible pour ces histoires alarmantes sur les lampadaires qui causent le cancer et d’autres maladies. »

Ils ont abusé des pouvoirs de la police pour bâillonner Mark Steele et hier, il a laissé un homme libre et le conseil municipal de Gateshead pour débourser 11 000 £ de l’argent des contribuables pour couvrir les frais de justice, ce qui équivaut à une triste ignorance.

Au tribunal, aucun des fonctionnaires du Conseil n’a pu expliquer ce qu’est le 5G et leur expert gouvernemental de premier plan a refusé d’assister à l’audience de la Cour. En conclusion, le juge a refusé de bâillonner Mark en déclarant :

« Le public a le droit de savoir. »



VEUILLEZ UTILISER LE MODÈLE DE DEMANDE D’ACCÈS À L’INFORMATION POUR CONTESTER LÉGALEMENT VOTRE CONSEIL MUNICIPAL AU SUJET DE 5G ET DES VILLES INTELLIGENTES : Smombiegate.org

La question secrète du déploiement de la
5G à Gateshead est maintenant officiellement d’intérêt public et sera
traitée comme une affaire marquante pour que d’autres personnes
commencent à utiliser la décision de la Cour pour contester leurs
conseils.

Nous savons que Surrey, Westminster et Luton ont tous ces réseaux de champs électromagnétiques micro-ondes toxiques installés sur leurs nouveaux lampadaires à LED. Nous savons maintenant que même si ces réseaux sont actuellement 2G, 3G ou 4G, ils peuvent être activés 5G en ajustant une « lentille » qui « focalise » la fréquence.

Le juge a déclaré que Mark Steele était
un expert et un ingénieur crédible sur les technologies EMF et GSM, ce
qui prouve que le Conseil de Gateshead est responsable de corruption,
induit le public en erreur, rend les gens malades et tente de
discréditer Mark Steele et tous les autres tels que Smombie Gate qui se
bat pour le déploiement des 5G.

Les conseils se débattent en ce moment,
plus de 50% sont presque en faillite parce que plus de la moitié de
leurs ressources sont consacrées à l’augmentation de l’aide sociale aux
adultes, donc toute proposition de fournisseur avec la promesse d’une augmentation des revenus est irrésistible.

SM : la création du manque d’abondance est à tous les niveaux, PROBLEME, RÉACTION, SOLUTION… le bon vieux modèle satanique…
[Note NM : de la « dialectique hégélienne »]
On appauvrit d’abord les municipalités pour qu’elles soient enclin a accepter l’inacceptable.
Si le problème n’avait pas été créé avant, jamais ces maires n’accepteraient l’appât du gain au détriment de la santé publique. Pareil pour les éoliennes qui sont une calamité écologique et financières à long terme… en plus d’être moches…

Les entreprises de Smart City
s’adressent aux conseils municipaux avec des présentations futuristes
étonnantes détaillant la première étape, qui est d’installer
l’infrastructure 5G, c’est-à-dire les lampadaires sur les rues et les
autoroutes.

Les avantages seront une surveillance policière 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui permet de voir à travers les murs,
des panneaux de signalisation intelligents, la diffusion en direct de 4
ko en déplacement, des véhicules et des transports publics sans
conducteur, la réalité virtuelle mobile, la réalité augmentée mobile et
une connexion rapide au nouvel implant cérébral d’Elon Musk, le
Neuralink, qui donne aux gens accès Internet à leur esprit.

Note SM : encore plus d’enfer-me-nent dans le monde cybernétique, une « sous-réalité » dans la « sous-réalité/matrice » du monde des objets séparés expérimentés en 3eme densité.

Toutes ces caractéristiques sont un rêve
mouillé pour les conseils municipaux qui seront les premiers à devenir
des comtés intelligents parce qu’ils seront en mesure d’augmenter les
taxes et que l’économie locale prospérera en théorie.

Note SM : Pure folie… « Père, Pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ».

En réalité, les preuves scientifiques
s’accumulent à travers la planète que les CEM, RF, 3G, 4G, 5G, WiFI et
WiGIG causent le cancer, tuent les abeilles, chassent la faune sauvage
et diminuent la qualité de vie des populations.

Georgia Guidestones – le plan d’extermination des humains gravé dans la pierre.

Tout cela parce que les grandes
entreprises disent que c’est bon pour les gens et qu’elles continuent de
nous induire en erreur sur les dangers d’une utilisation continue à
proximité et sur la peau, sans parler de ce qu’est réellement la 5G, qui
est une arme efficace sur le champ de bataille.

Nous savons que Gateshead n’est pas le
seul conseil qui induit le public en erreur au sujet du déploiement de
la 5G et cela semble durer depuis quelques années.

Luton, Surrey et Westminster sont les
prochains ainsi que tous les conseils qui ont installé ces tableaux qui
sont installés par des entreprises particulières (nous vous laisserons
faire votre propre travail sur la façon dont vous pensez que ces
entreprises sont !)

Qui paie pour ces déploiements 5G ? Qui a
donné son consentement au nom du peuple ? Qui a fait des recherches
pour prouver la sécurité de la nouvelle infrastructure ?

Comme d’habitude, ces questions
importantes sont dénigrées par les médias et les bénéficiaires des
grandes entreprises. Mais ils verront bientôt notre colère, comme nous
le voyons maintenant dans cette décision.

Tout
l’enfer va se déchaîner en Grande-Bretagne et nous allons leur livrer
bataille. Nous ne serons pas réduits au silence et vous n’empoisonnerez
pas volontairement notre corps et celui de nos familles avec des
radiations de classe 1 – NOUS NE CONSENTONS PAS.

Note SM : Le premier consentement tacite pour manipuler le Libre Arbitre de l’humanité est « l’Acte de Naissance » un contrat de droit maritime qui fait de vous des marchandises soumis à la loi du commerce (Maritime).

Toute la fraude part de là concernant la 3D. Pour le reste cela part du mensonge de l’égo. Et les 2 se rejoignent dans l’Acte de naissance, créant l’illusion d’un objet mortel bien défini (individualisé).

Êtes vous relatif ? Ou Absolu ?

Mark Steele de https://www.saveusnow.org.uk en a fait une grande partie de sa vie. Ce sont des gens comme Mark et vous tous qui s’impliquent qui font une différence dans nos vies.

N’hésitez pas à passer le mot et à
prendre contact avec nous si vous souhaitez obtenir des conseils sur la
façon d’aborder votre Conseil. Nous allons produire un kit de modèles
simple que vous pourrez envoyer à vos conseils très bientôt.

Les 6 liens ci-dessous sont une preuve
suffisante pour convaincre quiconque de ce qui se passe autour de nous
sans notre consentement.

1. Voir la preuve vidéo des signaux 5G toxiques de Gateshead :



2. 18 nouvelles études scientifiques à CE LIEN.

3. Cartographie 3D utilisant le WIFI et le 5G sur CE LIEN.

4. Plans de déploiement de Midlands 5G à CE LIEN.

5. Fuite d’une présentation d’entreprise sur les dangers des pylônes 5G, « Dans les pays où les limites des CEM sont nettement inférieures aux limites scientifiques internationales de l’ICNIRP, le déploiement des réseaux 5G sera un problème majeur » : ICI.

6. Elon Musk’s « 5G Umbrella » qui est prévu pour l’atmosphère terrestre sans notre consentement : ICI.

Sources et références :
Smombiegate.org;
YouTube.com
et vu sur http://humansarefree.com/2018/10/britains-first-court-case-against-5g.html


[Voir aussi :




Les députés européens n’ont pas le pouvoir de « changer d’Europe ».

[Source : Agora Vox]

Les députés européens n’ont pas le pouvoir de « changer d’Europe ». Pourquoi les candidats mentent-ils ?

par Legestr glaz

Quel est le rôle des députés européens au sein du Parlement ? Ont-ils les prérogatives pour « modifier les traités  » comme ils le laissent tous entendre ? Ont-ils le pouvoir de faire « modifier les directives européennes  »
comme ils s’engagent à le faire ? Eh bien non, ils n’ont pas ce pouvoir
et ils mentent effrontément à leurs électeurs pour se faire élire.
Comme le soulignait Valéry Giscard d’Estaing à la fin de l’année 2018 (1) : « le
parlement européen n’est pas important. Son rôle consiste à vérifier
que les textes proposés par la Commission européenne sont conformes aux
dispositions des traités.
 Il (le parlement) n’a pas le pouvoir politique, il n’a pas le pouvoir de diriger l’Europe ».
Cet ancien président de la République, regardé comme l’un des
fondateurs du traité de Lisbonne, sait de quoi il parle ! Examinons
cette affaire avec pragmatisme et rationalité.

Les députés européens n’ont pas le pouvoir de « modifier les
traités » ni de « changer l’Europe » ! De qui se moquent ces candidats à
la députation européenne qui ont cette prétention ? 

Quel est le rôle des députés européens au sein du Parlement ? Ont-ils les prérogatives pour « modifier les traités  » comme ils le laissent tous entendre ? Ont-ils le pouvoir de faire « modifier les directives européennes  »
comme ils s’engagent à le faire ? Eh bien non, ils n’ont pas ce pouvoir
et ils mentent effrontément à leurs électeurs pour se faire élire.
Comme le soulignait Valéry Giscard d’Estaing à la fin de l’année 2018 (1) : « le
parlement européen n’est pas important. Son rôle consiste à vérifier
que les textes proposés par la Commission européenne sont conformes aux
dispositions des traités.
 Il (le parlement) n’a pas le pouvoir politique, il n’a pas le pouvoir de diriger l’Europe ».
Cet ancien président de la République, regardé comme l’un des
fondateurs du traité de Lisbonne, sait de quoi il parle ! Examinons
cette affaire avec pragmatisme et rationalité. 

Les débats concernant les élections des parlementaires européens se
succèdent sur les plateaux de télévision, sur les radios et dans les
journaux. Il y a une constante dans les échanges entre les candidats :
ils veulent tous « changer d’Europe » ! Il n’y en a pas un seul
qui est satisfait du fonctionnement actuel des institutions européennes.
Alors, ces candidats à la députation européenne, caressent l’électeur
dans le sens du poil en lui faire croire qu’un député européen a le
pouvoir de modifier la donne, d’insuffler des idées pour changer les
traités ou revenir sur des directives, comme celle sur les travailleurs
détachés (2) ou encore celle qui autorise l’emploi du glyphosate (3).
En ce qui concerne les mesures « cosmétiques » au sujet de la directive
des travailleurs détachés, il faut absolument observer que ce ne sont
pas les « députés européens » qui sont intervenus, mais les ministres
(nommés et non élus) du Conseil de l’Union européenne. Ainsi, c’est bien
le Conseil de l’Union européenne qui a » initié » quelques retouches dans
la directive des travailleurs détachés de 1996, que c’est la Commission
européenne qui a présenté cette nouvelle mouture (4) au
vote du Parlement européen à travers la procédure de co-décision ou
« procédure législative ordinaire », que nous allons détailler. 

Il est de bon ton de dire que le Parlement européen « co-décide » de
la législation européenne. En réalité, il n’y a rien de plus faux. En
effet, le pouvoir de « l’initiative législative »
appartient à la seule Commission européenne. Seule cette instance
européenne peut proposer des règlements, des directives, des décisions.
Le Parlement ne peut jamais être à l’origine d’un règlement ou d’une
directive européenne. Jamais ! Ceci doit être un « exemple unique au
monde », au sein de ce que l’on veut bien appeler « démocraties
modernes ». 

La seule instance élue de l’Union européenne, celle que les Peuples
peuvent élire tous les 5 ans, ne possède pas le pouvoir de l’initiative
législative ! Alors les « européistes » masquent la vérité, cette
terrible vérité, à travers des formules édulcorées qui laissent croire
au « pouvoir » du Parlement européen. Comme l’a souligné Valéry Giscard
d’Estaing, le rôle du Parlement européen est de valider les projets
présentés par la Commission européenne. Le Parlement le fait à travers
la procédure de « co-décision » qui nécessite la « majorité simple », en
première lecture. La majorité simple c’est celle qui recueille la
majorité des voix. Il existe, par ailleurs, la « majorité absolue » (la
moitié plus une des voix) ainsi que la « majorité qualifiée » (système
de pondération des voix par pays).

Mais cette procédure de co-décision n’est pas aussi simple qu’elle le
laisse entendre. Si le projet n’obtient pas de la part du Parlement
européen la majorité simple, il y a alors une deuxième lecture, puis
conciliation, puis une 3ème lecture.

Il est dit dans le Traité sur le fonctionnement de l’Union
européenne, TFUE, que le Parlement européen peut proposer des
amendements et donner des avis. Il faut savoir que ces amendements et
ces avis ne sont jamais contraignants et la Commission européenne peut
les écarter si bon lui semble.

Les députés Français, au sein du Parlement européen, représentent,
grosso-modo, 10% des voix. Ce qui veut dire qu’une « position
française » sur un sujet, ne sera jamais retenue. Par ailleurs, les
députés européens ne siègent pas par « nationalité » mais par groupes
politiques c’est à dire par affinité politique. On comprend, dès lors,
que les candidats actuels à l’élection européenne, qui proposent de
« changer d’Europe » ne sont, en France, déjà pas d’accord entre eux. En
effet, les positions du Rassemblement national sur certains sujets, ne
sont pas les mêmes que celles de la « France insoumise », ni de celles
des « verts » ni de celles de « LREM ». Au niveau national, nos
candidats à la députation européenne ne sont donc pas d’accord entre eux
et ils ont la prétention de modifier la donne, c’est à dire d’obtenir
une « majorité simple » au sein du Parlement européen. Et ceci
simplement pour « s’opposer », par exemple, à une directive initiée par
la Commission européenne. 

Nous avons devant les yeux la preuve formelle que les députés
européens n’ont pas le pouvoir de modifier les traités ni de proposer
des règlements ou des directives. Ce Parlement européen n’est, ni plus
ni moins, que la « justification démocratique » de l’Union européenne.
Les différents Peuples qui composent l’Union européenne ont été, par la
subtile élaboration des traités, éloignés des centres de décisions.

Et si la procédure de co-décision a donné un rôle un peu plus
important au Parlement européen à la faveur du traité de Lisbonne, c’est
bien parce que ce traité, aboutissement et agglomération de tous les
autres, arrêtait des orientations de politique économique figées « Ad
vitam aeternam ». En effet, comme je l’ai souligné dans un autre texte :

– Les orientations programmatiques de l’Union européenne en matière
économique, politique et sociale, sont intégrées aux traités et donc
gelées.

– Ces orientations sont juridiquement obligatoires et indiscutables
au sein des institutions de l’Union européenne et des Etats membres
devant les mettre en œuvre.

– Les électrices et les électeurs peuvent changer de dirigeants tous
les 5 ans, ces derniers resteront toujours juridiquement tenus par le
programme économique consacré dans les traités.

Le Parlement européen ne peut donc s’opposer aux dispositions des
traités et chaque règlement, ou directive, ou décision, doit respecter
l’orientation des traités européens. Et pour « modifier les traités
européens » il faut obtenir « l’unanimité » des 28 Etats membres
actuels à la suite d’une « initiation » de modification demandée, non
pas par le Parlement européen, qui n’en a pas le pouvoir, mais par le
Conseil de l’Union européenne. J’ai écrit un article à ce sujet (5).

En conclusion, il est facile d’observer que les candidats français à
la députation européenne, celles et ceux qui proposent de « changer d’Europe »,
mentent à leur électorat, mentent comme des arracheurs de dents.
Comment des candidats, qui prétendent représenter les Français dans une
institution européenne, peuvent-ils être d’aussi mauvaise foi, comment
peuvent-ils déformer ainsi la réalité, si ce n’est que par intérêt
personnel ? Je ne dirai pas qu’ils se moquent du monde mais qu’ils
crachent au visage des Français ! Ils les méprisent !

La seule alternative possible pour défier Emmanuel Macron, pour
montrer sa désapprobation à la politique actuelle, n’est donc pas de
voter pour les éternels opposants à Macron, qui sont représentés par une
kyrielle de mouvements qui veulent tous « rester dans l’Union européenne pour la modifier de l’intérieur et aboutir à cette mythique autre Europe ».
Montrer son opposition à Macron c’est lui signifier que les électeurs
français ne sont pas dupes et que la véritable opposition à la politique
française actuelle, gouvernée par l’Union européenne, est celle qui met
en avant le FREXIT. Envoyer des députés « pro-frexit » au Parlement
européen c’est envoyer un signal fort à destination de Macron et de
l’oligarchie technocratique Bruxelloise. Ces députés « pro-Frexit »,
dont le leader depuis maintenant 12 années est François Asselineau, ne
changeront pas les traités, parce qu’ils n’auront pas le pouvoir de le
faire, ne modifieront pas les directives, parce que ceci n’est pas dans
le pouvoir des députés européens, mais donneront aux Français, qui leur
auront fait confiance, toutes les clés de compréhension sur le
fonctionnement immoral de l’Union européenne, sur les nombreux lobbies à
l’oeuvre et la corruption sournoise qui y est associée.

  1. https://www.youtube.com/watch?v=lMVSUgHa1sY&feature=youtu.be&fbclid=IwAR1bgVd_Jt_0QQOYVf15GI_38bepEsD_00d3uTqSFMgu3PGGLSL-FwjZ2JE

  2. https://www.letemps.ch/monde/un-accord-symbolique-detachement-travailleurs

  3. https://www.letemps.ch/monde/glyphosate-autorise-cinq-ans-plus-lunion-europeenne

  4. https://www.usinenouvelle.com/editorial/les-cinq-points-cles-de-la-nouvelle-directive-europeenne-sur-les-travailleurs-detaches.N700109

  5. https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-renegociation-des-traites-182990


[Source : Wikipédia]

Procédures législatives de l’Union européenne

Les procédures législatives de l’Union européenne sont l’ensemble des processus conduisant à l’élaboration des lois au niveau européen. Ces procédures impliquent le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne, et, en tant que détentrice de l’initiative législative, la Commission européenne. Les parlements nationaux de l’Union européenne ont aussi le pouvoir mineur de freiner légèrement le processus.

Sauf quelques exceptions, les propositions de loi doivent être approuvées par le Parlement et le Conseil pour devenir des lois. Le pouvoir relatif d’une institution lors du processus législatif dépend de la procédure utilisée, ce qui dépend du domaine intéressé par la loi. Dans certains domaines, ils participent de manière égale à l’élaboration du droit européen, dans d’autres, le système est dominé par le Conseil. La répartition des domaines en fonction des procédures est faite dans le traité sur l’Union européenne.

(…)

Acteurs principaux

Parlement

Article détaillé : Parlement européen.

Les membres du Parlement sont élus tous les cinq ans au suffrage universel direct. Il s’organise comme un parlement multipartite normal en conduisant la plupart de ses travaux dans ses commissions et en siégeant par affiliation politique plutôt que par délégation nationale. Cependant, ces groupes sont relativement faibles en raison de leur statut.

Les pouvoirs du Parlement ont considérablement augmenté depuis
les années 1950 puisque la nouvelle procédure législative assure
l’égalité entre le Parlement et le Conseil. Il a aussi gagné plus de
pouvoir en ce qui concerne la désignation de la Commission, qui a
cependant toujours été responsable devant lui (le Parlement a le pouvoir
de censure).

Conseil de l’Union européenne

Article détaillé : Conseil de l’Union européenne.

Le Conseil de l’Union européenne (ou Conseil des Ministres) représente les gouvernements nationaux des États membres, et par conséquent il est composé d’un ministre par État membre bien que les votes soient répartis en fonction du poids démographique de chaque État (cf. les procédures ci-dessous pour des clarifications). En tant que tel, il ne siège pas en fonction des appartenances politiques et au lieu de conduire la plupart de ses travaux en commissions, ceux-ci sont préparés par des représentants diplomatiques (COREPER).

Le Conseil est traditionnellement l’institution la plus puissante et connait aujourd’hui un renouveau d’influence post-période Delors aux dépens de la Commission. Il a cependant perdu de l’influence vis-à-vis du Parlement, qui a exercé ses pouvoirs sur la désignation de la Commission et a modifié la législation.

Commission

Article détaillé : Commission européenne.

La Commission possède un quasi-monopole de l’initiative législative, ce qui lui donne une influence sur l’ordre du jour de l’Union européenne dans son ensemble. Elle dépose souvent des propositions législatives à la demande du Conseil ou après une suggestion du Parlement européen.

Sous la procédure législative ordinaire, un avis négatif de la Commission force le Conseil à voter à l’unanimité plutôt qu’à la majorité. Il y a aussi quelques exceptions permettant à la Commission d’adopter des actes législatifs de sa propre initiative.

Acteurs secondaires

Parlements nationaux

Article détaillé : Parlements nationaux (Union européenne).

Les parlements nationaux des États membres ont la capacité, si un tiers d’entre eux le désire, de faire réviser une proposition si celle-ci viole le principe de subsidiarité. Si la majorité des Parlements nationaux constate cette violation, alors le Conseil et le Parlement peuvent voter son rejet immédiat. Si les problèmes logistiques inhérent à la mise en pratique de ces procédures sont surmontés, les Parlements nationaux formeraient « une troisième chambre virtuelle ».

(…)


[Source : http://www.europarl.europa.eu/ordinary-legislative-procedure/fr/home/home.html]

Parlement européen Procédure Législative Ordinaire

Tout ce que vous devez savoir sur la procédure législative ordinaire rassemblé dans un seul document pratique

Hémicycle
© Union européenne (2017)

Le guide actualisé du Parlement sur la procédure législative ordinaire vient d’être publié dans 23 langues de l’UE, sous le patronage des Vice-Présidents du Parlement européen en charge de la conciliation, Mme Mairead McGUINNESS, Mme Evelyne GEBHARDT et M. Pavel TELIČKA, et de la Président de la Conférence des présidents des commissions, Mme Cecilia WIKSTRÖM. Vous trouverez plus d’informations ainsi que toutes les versions linguistiques en cliquant sur le lien ci-dessous.

Heure des votes en plénière
Séance de votes en plénière © Union européenne (2014) – Parlement européen

Procédure législative ordinaire
La procédure législative ordinaire s’applique par défaut pour l’adoption de la législation au niveau de l’Union européenne. Elle place le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne sur un pied d’égalité et s’applique dans 85 domaines d’activité couvrant la majorité des compétences de l’Union.

La procédure débute avec une
proposition législative de la Commission et se compose de trois lectures
au maximum. Les deux colégislateurs adoptent ensemble la législation et
ont les mêmes droits et obligations – aucune institution ne peut
adopter un texte sans l’accord de l’autre et ils doivent s’entendre sur
un texte identique.

Des délais différents s’appliquent aux trois lectures.

Négociations interinstitutionnelles

Les
colégislateurs ont la possibilité de convenir d’un texte de compromis –
mettant ainsi un terme à la procédure – à chaque lecture. Ces accords
sont le fruit de négociations interinstitutionnelles prenant
généralement la forme de réunions tripartites («trilogues») entre le
Parlement, le Conseil et la Commission.

Conciliation

La
conciliation est la troisième et dernière étape de la procédure
législative ordinaire. La procédure de conciliation s’enclenche si le
Conseil n’approuve pas tous les amendements adoptés par le Parlement en
deuxième lecture. La conciliation consiste en des négociations entre les
deux colégislateurs dans le cadre du comité de conciliation, l’objectif
étant de parvenir à un accord.

Disponibilité des documents

Les
dossiers législatifs peuvent être suivis aux différentes étapes de la
procédure et il est possible de consulter les documents y afférents.




Forbes: La guerre du réchauffement de la planète contre le capitalisme: une leçon d’histoire importante

[Source : Conscience du peuple]

*
Cet article du Forbes, publié en janvier 2013, est incroyablement
révélateur, voire même la preuve de la fabrication du 
« réchauffement climatique d’origine anthropique ». Vous
comprendrez les origines de cette prétendue « urgence
climatique » menaçant l’humanité d’une catastrophe certaine,
nécessitant un effort unifié des grandes puissances pour susciter
une intervention politique mondiale concertée. Obliger tous les pays
du monde à se soumettre aux diktas du lobby de la « taxe
carbone », création de « ceux qui font pousser l’argent dans
les arbres » et qui font croire que le CO2 contribue au
réchauffement planétaire alors qu’il enrichie la croissance de la
forêt dans laquelle ils récoltent leur papier-monnaie! Sans compter
que ces faussaires et imposteurs ont réussi à taxer l’air! Faut le
faire…

Lors de
la dernière réunion alarmiste des Nations Unies sur le climat à
Doha (2012), le Qatar a connu une sorte de crise provoquée par un
homme sous la forme d’un typhon nommé Christopher
Monckton, troisième vicomte de Benchley, conseiller de l’ancienne
Première ministre Margaret Thatcher et climatologue. Occupant
temporairement un microphone vacant attribué à un délégué de
Birmanie, il a donné à tout l’auditoire une nouvelle très
terrifiante… « depuis
16 ans que nous assistons à ces conférences, il n’y a eu aucun
réchauffement climatique ».

Si ce
n’était pas assez effrayant, entre blasphème et chahuts, Moncton
foudroie l’assemblée en poussant le blasphème le plus total: « Si
nous prenons action comme ils le proposent toujours, le prix de cela
serait bien plus élevé que de prendre des mesures d’adaptation plus
tard. Donc, notre recommandation est que nous devons nous engager
très rapidement à une révision de la science [du climat, des
rapports du GIEC] afin de nous assurer que nous sommes tous sur la
bonne voie. »

Oui,
vous avez bien lu. Il a eu l’audace d’interroger la « science »
derrière les demandes de fonds basées sur la crise climatique de
l’ONU. Et en réalité, ce n’est vraiment pas une si mauvaise idée.

Pour
commencer, rappelons-nous quelques décennies avant cette nouvelle
science, une petite histoire remontant aux années 1970 et au début
des années 1980, lorsque les pays du tiers monde, par la force du
nombre, et les partis verts socialistes européens ont pris le
contrôle des Nations Unies. Ils ont rapidement commencé à réclamer
un nouvel ordre économique international.

À la
fin des années 1980, une peur basée sur des modèles climatiques
théoriques et primitifs qui prédisaient que les émissions de
carbone d’origine humaine provoquaient un réchauffement planétaire
sans précédent et dangereux a parfaitement servi ces objectifs. En
réponse, les Nations Unies ont rapidement établi une
Convention-cadre sur le changement climatique (FCCC) pour organiser
des conférences, ainsi que le Groupe d’experts intergouvernemental
sur l’évolution du climat (GIEC) chargé de mener des études
scientifiques.

[Le
marché du « crédit carbone »: un marché payant pour le
lobby du réchauffement climatique et pour certaines méga
industries!]

La
stratégie centrale de la FCCC pour lutter contre ce qui était promu
comme un changement climatique «anthropique» (créé par l’homme)
était brillante… donner des « crédits carbone » aux
industries de combustibles fossiles qui réduisent leurs émissions
de dioxyde de carbone, puis laisser les autres industries qui
produisent des quantités d’émissions de CO2 en excès acheter des
« crédits carbone » d’elles. En d’autres termes, ils
créeraient un marché commercial pour acheter et vendre de l’air!

Ce
programme commercial du « crédit carbone » serait mis en
œuvre à l’échelle internationale, pays par pays, par le biais du
protocole de Kyoto, pénalisant les pays développés qui émettent
beaucoup de CO2 en les forçant à acheter des crédits à des pays
moins développés (gratuits pour eux). La Chine et l’Inde, qui
émettent d’énormes quantités de CO2, ont obtenu un
laissez-passer en raison de leur statut de pays en développement.

Coup
d’envoi de la clameur de la crise climatique à l’ONU

Le
Directeur exécutif du Programme Environnement de la FCCC, Maurice
Strong [qui a organisé le premier Sommet de l’ONU sur le
climat (Earth) à Rio de Janeiro (1992)] a exposé d’une manière
très franche une priorité sous-jacente: « Nous
pouvons arriver au point où la seule façon de sauver le monde sera
d’amener la civilisation industrialisée à s’effondrer. N’est-ce
pas notre responsabilité d’y arriver? »

En
1966, Maurice
Strong démissionne du poste de PDG de la Power
Corporation du Canada pour prendre la tête de la future
Agence canadienne de développement international. De la fin 1970 à
la fin 1972, il est secrétaire général de la Conférence des
Nations unies sur l’environnement. Cette même année 1972, il
participe également à la fondation
Rockefeller en tant qu’administrateur et membre du comité
exécutif. De 1976 à 1978, il est CEO de Petro-Canada.

Il est l’un des membres fondateurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) créé en novembre 1988 à la demande du G7 par deux organismes de l’ONU : l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

Strong [qui a fréquenté les multimilliardaires de ce monde toute sa vie] n’a laissé aucun doute vers où et vers qui diriger les blâmes concernant les problèmes mondiaux, il a déclaré dans le rapport de la conférence : « Il est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée… impliquant une consommation élevée de viande, la consommation de grandes quantités d’aliments surgelés et de commodité, la propriété de véhicules à moteur, de terrains de golf, de petits appareils électriques, de la climatisation domestique et commerciale et de logements de banlieue n’est pas durable… Un changement est nécessaire pour adopter des modes de vie moins axés sur des modes de consommation dommageables pour l’environnement « .

L’ancien
sénateur américain Timothy Wirth (D-CO), qui représentait alors
l’administration Clinton-Gore en tant que sous-secrétaire
d’État américain pour les questions mondiales, a rejoint Maurice
Strong pour s’adresser au public lors du Sommet sur le climat. Il a
déclaré : « Nous
devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si
la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous agirons
comme il convient en termes de politique économique et de politique
environnementale. »

S’adressant
également à la conférence de Rio, Richard
Benedick, assistant d’État adjoint, qui a ensuite dirigé les
pisions de la politique du département d’État américain, a convenu
que le protocole de Kyoto devrait être approuvé, qu’il ait ou non
un rapport avec le changement climatique:  « Un
traité sur le réchauffement climatique doit être appliqué même
s’il n’existe aucune preuve scientifique concernant l’effet de
serre [renforcé par l’humain] ».

Timothy
Wirth avait déjà été un proche collègue du sénateur Al Gore,
sénateur de l’époque, et l’avait aidé à organiser ses audiences
du Comité sénatorial des sciences, de la technologie et de l’espace
en 1988, qui avaient déclenché une frénésie du réchauffement
planétaire au cours d’un été chaud sur la Côte Est cette
année-là. Dans une interview
avec PBS Frontline Wirth a raconté: « Nous
avons appelé le bureau météorologique pour savoir quel jour serait
le plus chaud de l’été et nous avons programmé l’audience ce
jour-là et bingo, ce jour a été le plus chaud jamais enregistré à
Washington… nous sommes allés la nuit précédente de l’audience
ouvrir toutes les fenêtres pour que la climatisation ne fonctionne
pas, pour qu’il fasse chaud dans la salle. »

Considérez
que si le climat est généralement défini sur une période d’au
moins trois décennies, le spectacle du sénateur Al Gore, alors
soigneusement mis en scène, ne s’est produit que légèrement plus
d’une décennie après que de nombreux scientifiques eurent prédit
une crise inverse. L’un de ceux-ci était le regretté professeur
Stephen Schneider de l’Université de Stanford, auteur de The Genesis
Strategy, un livre de 1976 qui mettait en garde contre les risques
liés à un refroidissement mondial, constituant une menace pour
l’humanité. Schneider a ensuite modifié cette vue à 180 degrés,
devenant l’auteur principal des éléments importants de trois
rapports séquentiels du GIEC.

Entre
1994 et 1996, lorsque le sénateur Wirth est devenu sous-secrétaire
d’État aux affaires mondiales au sein de l’administration
Clinton-Gore, il a commencé à collaborer étroitement avec Enron
pour faire pression sur le Congrès afin d’accorder à l’EPA le
pouvoir de contrôler le CO2 . Dans les années 1990, Enron était
devenue propriétaire du plus grand gazoduc existant hors de Russie,
un réseau inter-États colossal. Mais comme ce combustible, qui
faisait face à une concurrence féroce sur le marché avec le
charbon, l’entreprise recherchait l’aide nécessaire à
Washington pour faire pencher la balance. Le battage médiatique
croissant à propos de la crise du réchauffement de la planète
annoncée par les auditions très médiatisées du Congrès de 1988,
par le sénateur Al Gore, a été une opportunité de rêve.

Les
Sénateurs Wirth et John Heinz (R-PA) avaient récemment coparrainé
le «Projet 88», qui devait permettre de transformer les problèmes
environnementaux en opportunités commerciales. L’alarme
suscitée par les médias concernant les pluies acides avait fourni
une base à une législation permettant de créer des marchés pour
l’achat et la vente de crédits d’excès de dioxyde de soufre
(SO2) et dioxyde d’azote, et le Projet 88 est devenu le Clean Air
Act de 1990.

Depuis
qu’Enron est devenu un acteur majeur du marché du SO2, cela a amené
cette société et d’autres à se demander… pourquoi ne pas faire
la même chose avec le CO2? Étant donné que le gaz naturel est
moins émetteur de CO2 que le charbon, ce développement changerait
certainement la rentabilité. Mais il y avait un problème.
Contrairement au SO2, le CO2 n’était pas un polluant, du moins pas à
l’époque, et l’EPA n’avait aucun pouvoir pour le réglementer.

Une
lettre datée du 1er septembre 1998, adressée au président Clinton
par Kenneth Lay, président d’Enron, lui demandait de «modérer
les aspects politiques» de la discussion sur le climat en nommant
une «commission du ruban bleu». Son intention était claire:
éliminer les mécréants de la crise climatique et couper le débat
à ce sujet. Auparavant, M. Lay avait eu des contacts directs avec la
Maison-Blanche lorsqu’il aurait rencontré le président Clinton et
le vice-président Gore le 4 août 1997 pour préparer une stratégie
américaine en vue du prochain sommet sur le climat de Kyoto en
décembre. Le protocole de Kyoto a présenté la première étape
vers la création d’un marché du carbone qu’Enron souhaitait
vivement que le Congrès soutienne.

Fin
1997, John Palmaisano, lobbyiste d’Enron, écrivait avec
enthousiasme à Kyoto: « S’il est appliqué, le [Protocole de
Kyoto] fera plus pour promouvoir les activités d’Enron que toute
autre initiative réglementaire autre que la restructuration des
industries de l’électricité et du gaz naturel en Europe et aux
États-Unis. L’approbation des échanges de droits d’émission a
été une nouvelle victoire pour nous… Cet accord sera bénéfique
pour le stock d’Enron !! »

Malheureusement
(pour Enron), cela ne devait pas être. Dans un rare esprit de
solidarité, le Sénat a adopté à l’unanimité (95-0) une
résolution bipartisane du Sénat américain Byrd-Hagel (S Res 98)
précisant que les États-Unis ne seraient signataires d’aucun
accord qui «entraînerait de nuire à l’économie des États-Unis ».
Le président Clinton, qui n’était pas étranger au pragmatisme
politique, a compris le message et n’a jamais soumis la demande
d’approbation nécessaire des États-Unis à la ratification du
Congrès.

Bien que
les États-Unis ne se soient jamais inscrits, le protocole de Kyoto a
été adopté en 1997 et est en vigueur depuis 2005. Les signataires
ont convenu de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre par
rapport aux niveaux de 1990.

Et
comment cela a-t-il fonctionné? Eh bien, le Japon, qui avait promis
une réduction de 6%, a plutôt enregistré une augmentation de 7,4%
malgré 20 ans de stagnation économique; L’Australie, qui s’est
engagée à laisser le carbone n’augmenter que de 8%, a connu une
augmentation de 47,7%; les Pays-Bas, qui ont promis une réduction de
6%, ont enregistré des émissions supérieures de 20% à la fin de
2010; et le Canada, qui s’est engagé à réduire de 6%, a enregistré
une augmentation de 24%. Dans l’ensemble, l’UE a atteint son
objectif grâce principalement au marasme économique, à la
fermeture d’industries inefficaces de l’ère soviétique et à
l’exportation de la production industrielle à l’étranger pour
échapper aux pénalités de plafonnement et d’échange. À
l’instar du Canada, la Nouvelle-Zélande, la Russie et le Japon ont
maintenant renoncé à l’accord.

(….)

Leçons
de science politique du GIEC

En 2006,
l’Institut de recherche en politiques publiques (IPPR), un groupe de
réflexion qui soutient les réductions de CO2, a fourni une analyse
des circonstances entourant les débats sur le réchauffement
climatique qui se déroulaient au Royaume-Uni: « Le
changement climatique est caractérisé par un lexique incorporant un
ton urgent et des codes cinématiques. Il utilise un registre quasi
religieux de mort et de malheur et utilise un langage d’accélération
et d’irréversibilité.”
 Le IPPR a même qualifié
l’alarmisme concernant le climat comme du « climate porn »!

Mike
Hume, directeur du Centre britannique de recherche sur le changement
climatique, a reconnu que même si le changement climatique est réel
et que les êtres humains peuvent y contribuer, « nous devons
prendre une profonde respiration et faire une pause. Le langage de la
catastrophe n’est pas le langage de la science. »

La
situation épeurante sur le climat que les médias mondiaux martèle
allègrement vient du GIEC, un organe de l’ONU, organisation
hautement politisée qui n’effectue aucune recherche climatologique
originale. Au lieu de cela, il publie simplement des évaluations sur
la base d’enquêtes prétendument indépendantes et de recherches
publiées. Toutefois, certaines de ses conclusions les plus
influentes, résumées dans ses rapports, n’ont été ni fondées
sur des recherches véritablement indépendantes, ni correctement
validées par le biais de processus acceptés par les pairs.

Un
exemple est un rapport de 1996 du GIEC qui utilisait des données
sélectives, des graphiques falsifiés et des modifications de texte
apportées après l’approbation par les scientifiques de
l’évaluation et avant leur impression. Frederick Seitz, physicien
de renommée mondiale et ancien président de l’Académie nationale
des sciences des États-Unis, de l’American Physical Society et de
l’Université Rockefeller, a écrit dans le Wall Street Journal : « Je
n’ai jamais assisté à une corruption plus inquiétante que ce
processus d’évaluation par les pairs que les événements ayant
conduit à ce rapport du GIEC. ”

Plusieurs
dizaines de milliers de scientifiques ont officiellement protesté
contre les pratiques non scientifiques du GIEC. Certains critiques
incluent d’anciens alarmistes du changement climatique. James
Lovelock, un scientifique de renom, a prédit que la poursuite des
émissions de CO2 par l’homme entraînerait une calamité climatique.
En 2006, il a déclaré: « Avant la fin du siècle, des milliards
d’entre nous vont mourir et les quelques couples de reproducteurs qui
survivront seront dans l’Arctique, où le climat restera tolérable. »

Récemment,
cependant, il a manifestement réagi au réchauffement climatique en
tant que crise, reconnaissant à MSNBC qu’il avait exagéré le cas
et maintenant reconnu que: « nous ne savons pas ce que le climat
fait. Nous pensions savoir il y a 20 ans. Cela a conduit à des
livres alarmistes… le mien inclus… parce que ça avait l’air
évident… mais ce n’est pas arrivé. » Lovelock a souligné:
« Une vérité qui dérange » d’Al Gore et « The Weather
Makers » de Tim Flannery comme autres publications alarmistes.

Le
Dr. Fritz Vaherenholt, un des fondateurs du mouvement écologiste
allemand qui dirigeait la pision des énergies renouvelables de la
deuxième plus grande entreprise de services publics du pays, est un
autre ancien alarmiste du réchauffement climatique qui est
maintenant un critique acharné du GIEC. Son récent ouvrage
intitulé « Le soleil froid: Pourquoi le désastre climatique ne
se produira-t-il pas », dénonce le GIEC d’incompétence
flagrante et de malhonnêteté, notamment en ce qui concerne
l’exagération alarmante de l’influence climatique des émissions de
CO2 provenant de l’homme.

Vahrenholt
n’est pas le seul scientifique allemand important à avoir découvert
que les prévisions du GIEC sur le réchauffement planétaire sont
exagérées. Hans Joachim Schellnhuber, directeur de l’Institut de
recherche sur l’impact du climat de Potsdam, est également le
conseiller du gouvernement allemand en matière de protection du
climat. Schellnhuber a co-écrit un article réfutant la fiabilité
des modèles climatiques mondiaux sur lesquels étaient fondées
leurs prévisions alarmistes pour 2001, concluant que les tendances
en matière de gaz à effet de serre de CO2 étaient clairement
surestimées.

Schellnhuber
a récemment admis dans un discours à des experts agricoles que « des
températures plus chaudes et des concentrations plus élevées de
CO2 dans l’air pourraient très bien conduire à des rendements
agricoles plus élevés ».

Peter
Moore, cofondateur de Greenpeace, a déclaré lors de sa
comparution sur Fox Business News aux côtés de Stewart Varney en
janvier 2011, que les avantages d’un réchauffement planétaire, dans
la mesure où cela se produit pour une raison quelconque, sont
grandement sous-estimées: « Nous
n’avons aucune preuve que nous sommes la cause du réchauffement
climatique survenu au cours des 200 dernières années …
L’alarmisme nous pousse par des tactiques alarmistes à adopter des
politiques énergétiques qui vont créer une énorme quantité de
pauvreté énergétique chez les pauvres, ce n’est ni bon pour les
hommes, ni pour l’environnement … Dans un monde plus chaud, nous
pouvons produire plus de nourriture. »

Quand
on a demandé à Moore qui était responsable de la promotion de la
peur injustifiée et quelles étaient leurs motivations, il a
déclaré: « Une puissante convergence d’intérêts.
Des scientifiques à la recherche de subventions, des médias à la
recherche de titres, des universités à la recherche d’énormes
subventions, des institutions, des fondations, des groupes
environnementaux et des politiciens voulant faire croire qu’ils
sauvent les générations futures. Et tous ces gens ont convergé sur
cette question. »

S’il
ne fait aucun doute que la crise climatique artificielle génère des
industries scientifiques de plusieurs milliards de dollars et de
réglementation énergétique EPA, l’ONU a des objectifs beaucoup
plus ambitieux. Comme l’a dit Christine Stewart, alors ministre
canadienne de l’Environnement, devant les rédacteurs et les
journalistes du Calgary Herald en 1998, « Peu importe si
la science du réchauffement planétaire est fausse… le changement
climatique [fournit] la plus grande opportunité de rendre justice et
l’égalité dans le monde. « 

Et,
comme le reconnaît un responsable du GIEC, Ottmar Edenhofer, en
novembre 2010, « … il
faut se libérer de l’illusion que la politique climatique
internationale est une politique environnementale. Au lieu de cela,
la politique de lutte contre le changement climatique concerne la
manière dont nous redistribuerons de facto la richesse mondiale …
« 

(…)

Pensez
également aux paroles d’un discours prononcé par le président
français Jacques Chirac, qui
soutenait un objectif clé du protocole de Kyoto en Europe
occidentale: « Pour
la première fois, l’humanité instaure un véritable instrument de
gouvernance mondiale, qui devrait trouver sa place dans le monde.
L’Organisation pour l’environnement que la France et l’Union
européenne souhaiteraient voir instaurer. »

Les
rapports du résumé à l’intention des décideurs du GIEC proposent
des recommandations pour la répartition de la richesse et la
redistribution des ressources, y compris les économies régionalisées
(petites) afin de réduire la demande de transport, réorientant les
modes de vie de la consommation, le partage des ressources via la
copropriété et encourageant les citoyens à profiter de leur temps
libre.

[Traduction
partielle de l’article trouvé sur:

https://www.forbes.com/sites/larrybell/2013/01/22/the-u-n-s-global-warming-war-on-capitalism-an-important-history-lesson-2/#5f7c450229be

Global Warming Petition Project est une pétition lancée en 1998 qui a été signée par 31 487 scientifiques, dont plus de 9 000 titulaires d’un doctorat en science de l’atmosphère, sciences de la Terre, climatologie et environnement. Aucun de ces scientifiques hautement respectés n’acceptent la théorie du réchauffement climatique.




1 million d’enfants se réunissent et méditent pour la paix mondiale en Thaïlande

[Source : Eveil Homme]

Par Eveilhomme

Un million
d’enfants ont rejoint le V-Star Change the World, un événement annuel de
méditation bouddhiste qui s’est déroulé au temple Phra Dhammakaya, près
de Bangkok.

Cette méditation dure un jour et on pense pouvoir changer le monde.

Le projet V
star pour enfants a été lancé dans le cadre du projet de renaissance de
la moralité dans le monde, lancé par l’abbé du temple bouddhiste Wat
Phra Dhammakaya, Luang Phor Dhammachayo.

Dans le
passé, le temple a suscité la controverse, les critiques affirmant que
l’exercice de méditation est simplement un spectacle, d’autres
assimilant ses activités à un culte. Cependant,
le but du projet était de permettre aux écoliers de se réunir et de se
soutenir mutuellement tout en faisant de bonnes actions au quotidien.

Ces enfants
viennent de 7 000 écoles de Thaïlande et de diverses régions du
monde. L’événement a lieu une fois par an et a commencé en 2008. Les
enfants se réunissent dans la prière et la méditation pour exprimer
leurs souhaits de bien-être et de bien-être, dans l’espoir de panser les
plaies de la Terre nourricière causées par l’humanité. Plus les enfants
envoient des vibrations positives dans l’univers, plus l’effet de ce
programme sera important.

La méditation
est un moyen de dissoudre l’ego afin de libérer tout son potentiel. On
croit réveiller la force de vie qui traverse nos corps.

D’un point de
vue scientifique, la méditation augmente l’énergie électromagnétique
générée par le corps humain et améliore ainsi sa fonction.  Comme
tout est constitué d’énergie électromagnétique, un événement de
méditation de masse tel que celui-ci libère facilement des ondes
positives.

En général,
tout effort visant à penser positivement et à souhaiter du bien à chacun
constitue un pas en avant vers un monde meilleur. L’installation
d’enfants dotés de bonnes mœurs et de bonnes valeurs constitue le
meilleur moyen d’élever des adultes positifs et responsables, ce qui
profitera sans aucun doute au monde entier.

Il existe une
règle universelle et si nous nous réunissons tous et travaillons pour
créer ensemble notre réalité, nous pourrons sans aucun doute améliorer
le monde dans lequel nous vivons. D’un monde axé sur l’argent, plein de
corruption, de mal, d’avidité et de divisions, nous pouvons en faire un
endroit paisible où nous pouvons tous vivre dans l’amour et la paix.

Même le changement le plus important et le plus spectaculaire commence en vous.

Nous sommes
simplement illimités et si nous utilisons notre pouvoir pour nous lever
et combattre la négativité, nous trouverons tous la lumière.


Partagé par www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.




Il suffit que 3,5% d’une population soit mobilisée pour qu’une lutte non violente renverse un gouvernement

[Source : La relève et la peste]

Il suffit que 3,5% d’une population soit mobilisée pour qu’une lutte non violente renverse un gouvernement

« Ne doutez jamais qu’un petit groupe d’individus conscients et engagés puisse changer le monde. C’est d’ailleurs toujours comme cela que ça s’est passé. » Margaret Mead

4 septembre 2018 – Laurie Debove

L’une est chercheuse en violence politique et résistance citoyenne, l’autre est une experte des mouvements de désobéissance civile. Erica Chenoweth et Maria J. Stephan ont étudié les mouvements civils de lutte non-violente et en sont arrivées à cette conclusion surprenante : il suffit de mobiliser 3,5% d’une population pour qu’une résistance non violente ait gain de cause.

« Pourquoi la désobéissance civile fonctionne »

Alors qu’elle se destinait d’abord à une carrière militaire, la chercheuse Erica Chenoweth (Université de Denver et Harvard Kennedy School) n’aurait pas imaginé co-écrire le livre « Why Civil Resistance Works » (Pourquoi la désobéissance civile fonctionne) durant son parcours professionnel. Suite au défi lancé par Maria J. Stephan, experte en désobéissance civile et directrice du programme d’action non-violente à l’Institut de Paix des Etats-Unis, les deux femmes ont compilé et étudié les campagnes de résistance civile non violente entre 1900 et 2006.

Résultat : ces mouvements ont été deux fois plus efficaces que les protestations violentes durant la même période. Leur livre, publié en 2011, présente les conclusions de leurs recherches : pourquoi la stratégie de lutte non-violente fonctionne mieux, mais aussi pourquoi elle échoue parfois.

L’information la plus marquante de leur travail reste la « règle des 3,5% » :

« Les chercheurs avaient l’habitude de dire qu’aucun gouvernement ne pourrait survivre si 5 % de sa population se mobilisait contre elle. Mais nos données révèlent que le seuil est probablement inférieur. En fait, aucune campagne n’a échoué une fois la participation active et soutenue de seulement 3,5 % de la population – et beaucoup d’entre eux ont réussi avec beaucoup moins que cela. Bien sûr, 3,5% de la population demande une mobilisation qui reste importante. Aux États-Unis, cela signifie presque 11 millions de personnes. » Erica Chenoweth

Chaque mouvement citoyen rassemblant plus de 3,5% de la population était construit autour d’une stratégie de lutte non violente. La chercheuse a déterminé que les individus participant à des campagnes non violentes étaient en moyenne quatre fois plus nombreux que ceux participant à une lutte violente. Ces participants étaient souvent beaucoup plus représentatifs en termes de sexe, d’âge, de race, de parti politique, de classe et de distinctions urbain-rural.

Autrement dit, la stratégie de lutte non-violente permet de dépasser les clivages et de rassembler plus de monde grâce à la pluralité de ses actions : manifestations, boycotts, désobéissance civile, etc. Surtout, les luttes non-violentes ouvriraient la voie à des démocraties durables et pacifiques, comprenant moins de risques de sombrer dans une guerre civile que leurs homologues violentes.

Un propos d’actualité

Bien que leur ouvrage ait été publié en 2011, le propos reste d’actualité alors que le débat prend de l’ampleur au sein des militants environnementaux sur la meilleure stratégie (violente ou non-violente) à adopter pour faire comprendre aux gouvernements l’urgence du réchauffement climatique.

« La non-violence est un jeu entre la force de la contrainte et la force de la persuasion. Il faut perturber les choses pour faire passer un message que les gens ne sont pas disposés à écouter. Mais perturber les choses tout en respectant les personnes pour qu’elles puissent quand même rester à l’écoute ou revenir à l’écoute, qu’il y ait des conditions de dialogue qui puissent être établies ou maintenues. » Jon Palais, Cofondateur d’Alternatiba et d’ANV-COP 21, pour Thinkerview

Car non-violence ne veut pas dire inaction : boycotter, faucher les chaises d’une banque, bloquer un sommet pétrolier, actions locales en fonction des besoins d’un territoire, actions décentralisées… c’est bien d’un passage à l’action dont il s’agit. Récemment, en Arménie, un soulèvement citoyen pacifiste contre la corruption a réussi à détrôner un leader politique qui se maintenait au pouvoir depuis 10 ans, là où une manifestation plus violente avait été sévèrement réprimée par la police en 2008, faisant une dizaine de morts. Le journaliste Vincent Cheynet précise :

« La décroissance commence par le refus de la montée aux extrêmes, elle est une désescalade. Loin d’être un pacifisme angélique, narcissique voire lâche qui refuserait la confrontation, elle commence par le choix courageux de la non-violence. »

En France, suite à la démission de Nicolas Hulot, de nombreux événements s’organisent pour agir en faveur du climat. Serons-nous 3,5% à faire entendre notre voix ?

Image à la une : Benjamin Filarski / Hans Lucas – AFP




Le secret de l’Atlantide

« Le secret de l’Atlantide » est un livre dont la version électronique est disponible sur le site Pagans Hyperboréens

Lien de téléchargement

Préface
de
l’ouvrage

« Ignorer
les travaux de Jürgen Spanuth c’est cacher la vérité »
« 
Polemique »,
« controverse », parfois les médias s’insurgent : « les
propos de M. Dupont ont provoqué la polémique ». Les chiens
de garde jettent l’opprobre sur ceux qui ne respectent pas les
limites définies par le « politiquement correct ». C’est un
sujet qui devient très vite tabou que d’aborder l’Atlantide de
façon sérieuse, car l’on finit toujours par déboucher sur ces
fameux mégalithes, véritables trésors archéologiques sur lesquels
repose néanmoins une véritable chape de plomb. Car s’il existe un
politiquement correct pour les propos tenus publiquement il en existe
également un en science historique et archéologique ! En réalité,
la plupart du temps, lorsqu’un sujet historique est controversé,
ou tout simplement ignoré c’est qu’il y a anguille sous roche,
c’est que les autorités souhaitent masquer une évidence qui gêne.
Nul besoin de rédiger un paragraphe pour expliquer que le
politiquement correct est un moyen moderne de censure, de restriction
de la liberté d’expression et qu’il ne repose pas sur la vertu.
Se faisant généralement protecteur des minorités, gardien de la
morale, il se cache des desseins tout à fait amoraux sous cette
belle façade. Le politiquement correct est en réalité une arme néo
inquisitrice, fruit d’années de recherches en ingénierie sociale.

Quelle
connaissance, quelle science est-elle la plus performante pour faire
de l’argent ou acquérir du pouvoir ? La maîtrise des marchés
financiers ? L’ingénierie de l’armement ? Non ! c’est
l’ingénierie sociale, c’est-à-dire l’étude des comportements
humains. Car bien avant l’argent, bien avant la guerre, il y avait
des humains ! Et pour que l’argent ait autant de valeur, il faut
des gens pour le désirer, pour que les guerres puissent avoir lieu,
il faut bien des hommes pour la faire. Le pouvoir c’est le contrôle
du mental de l’humain, le mot « gouvernement » veut dire
contrôle du mental.

Application de l’ingénierie sociale

Vous
envisagez de partir en voyage, vous utilisez votre GPS, celui-ci a
besoin de deux informations : votre lieu d’origine et votre
destination, c’est ainsi que vous allez apprécier votre voyage,
savoir
jusqu’où vous pouvez aller, etc. Votre lieu d’origine est
mémorisé puis c’est votre position instantanée qui évolue
pendant le voyage. Si votre GPS tombe en panne, vous êtes perdu !
Si l’on observe maintenant à l’échelle de votre vie d’homme
ou de femme, en tant qu’individu, vos moyens de repère et
d’orientation seront vos parents, votre environnement et votre
culture. Cela se complique un peu lorsqu’il ne s’agit plus de
prendre une direction pour vous seul, mais d’orienter un groupe
d’individus. Prenons le cas d’un peuple ou d’une tribu, c’est
une entité dont la durée de vie est beaucoup plus longue que celle
d’un individu, se reposant sur les générations futures, un peuple
est potentiellement immortel ! Le groupe d’individus se
reproduisant grâce à l’amour (dans l’idéal), il est affranchi
de la vieillesse et a donc un temps potentiellement infini devant lui
pour réaliser son projet de développement. Non limité dans le
temps, il est beaucoup plus puissant qu’un individu isolé. Si ce
peuple décide, par exemple, de vivre heureux et que pour se faire il
établit la vérité et la vertu comme valeurs premières de sa
culture, il s’unit grâce à cet objectif commun, il se donne un
nom et une raison d’être : c’est la naissance d’une tribu
ou d’une nation. Il va donc métaphoriquement inscrire ces
objectifs dans son GPS
qui
les gardera en mémoire. Il suffira à ce peuple de pérenniser le
GPS
pour
faire perdurer l’état d’esprit et l’identité de la tribu à
travers les générations. Sa force toute entière réside dans sa
capacité à durer, et donc sa propension à ne pas oublier son
passé, la transmission est son sang et la Tradition son cœur. Ce
GPS
qui
permet de transmettre sans failles la mémoire à travers les
générations existait autrefois, on l’appelait la Tradition.

On
comprend donc aisément qu’en altérant la mémoire d’une nation,
en lui portant atteinte, on agit directement sur la destinée de son
peuple, mais aussi de l’individu, car la nation remplit l’un des
besoins fondamentaux de l’être humain : le besoin
d’appartenance.

L’objectif
premier de l’ingénierie sociale étant de contrôler les masses,
son outil principal est le contrôle de la mémoire des peuples, la
reécriture de l’histoire en dépit, bien évidemment, de certaines
valeurs comme la vérité. C’est pourquoi avant d’être en mesure
d’effectuer de pareilles actions, il y eut au préalable un long
travail de sape effectue par les proto-ingénieurs sociaux qui se
sont attachés à casser la transmission entre générations,
c’est-à-dire la Tradition. Ce n’est que par l’inquisition
violente et le bourrage de
crâne
religieux qu’ils ont pu y mettre un terme. Une fois la chaîne de
transmission brisée, tout est devenu plus facile. Ils ont ensuite pu
s’attaquer aux valeurs, aux objectifs naturels de la vie qui
tendent à l’harmonie et à la beauté morale, pour les remplacer
par la réussite sociale. Cette réussite sociale étant totalement
conditionnée par la culture, elle aussi dans les mains des
ingénieurs sociaux, elle donne une souplesse confortable au
pouvoir : c’est ainsi que si dans les années vingt il fallait
absolument un travail pour être accepté socialement, aujourd’hui
il est beaucoup plus important d’être politiquement correct. Le
contrôle étant désormais prioritaire sur la productivité humaine,
nos ingénieurs sociaux réfléchissent à l’élaboration du
meilleur système de contrôle pour leur nouvel ordre
hypercentralisé.

Pourvoir
temporel et autorité spirituelle

Les
sciences, la mémoire, l’histoire et la culture sont les choses les
plus importantes, car elles orientent un peuple, un individu. Or,
orienter un peuple, c’est l’objectif du politique qui soutiendra
forcement les historiens enclins a aller dans son sens ! Les
scientifiques et historiens ont intérêt à aller dans le sens
politique pour être promus, c’est une forme de corruption passive
inhérente à ce système (et à l’abri de la loi : l’erreur
étant permise en science, elle fournit un alibi à la malhonnêteté).
Ce dysfonctionnement systémique a engendré la création d’une
néo-science : l’ingénierie sociale, l’art de manipuler les
masses. Pour éviter ce genre d’abus, il faudrait séparer le
pouvoir politique de l’autorité scientifique, malheureusement cela
n’est plus possible dans une société basée sur l’argent roi,
le pouvoir et la science étant dans une seule et même main :
celle des plus riches. Ce cloisonnement était autrefois appelé
pouvoir temporel et autorité spirituelle, c’était l’un des
fondements de la Tradition primordiale. Une règle qui paraît
évidente, mais qui n’est jamais évoquée dans les débats
politiques. « Avec
les pyramides, ce qui est génial c’est qu’on peut croire ce
qu’on veut » c
ette
phrase lâchée par un célèbre youtubeur grand public « Squeezie »
est
révélatrice de l’occultation dont font l’objet les pyramides de
Gizeh et l’Atlantide. Car garder le mystère c’est laisser libre
cours à la croyance, mais la croyance n’est pas la vérité. La
croyance donne toute liberté à l’ingénierie sociale pour établir
ses desseins de contrôle total. Le mystère laisse la place à la
religion dans son sens dogmatique, illogique, mystique et
fantasmagorique.

La
connaissance dissipe les croyances, elle est l’ennemie de la
religiosité. Croyez mes frères ! Le mysticisme religieux a mené
à des dérives autoritaires, a l’esclavage des paysans, mais aussi
à la perte de nombreuses connaissances, à un abaissement
intellectuel et scientifique à peine croyable. Les mathématiques et
la géométrie étaient en effet très mal vues, Pythagore considéré
comme un vulgaire païen. Lorsqu’on étudie l’histoire des moyens
agraires, on se rend compte qu’aucune avancée ne fut réalisée
entre l’époque gauloise et le XIXe siècle. Bien au contraire,
certaines techniques employées par les Gaulois, comme celle du
chaulage, furent oubliées pendant près de deux mille ans ! Pour
amender les terres trop acides, les Celtes répandaient de la chaux.
Mais l’oubli de cette méthode conduisit des territoires comme le
Segala (englobant une partie non négligeable du département de
l’Aveyron), à une grande pauvreté. Ce n’est en effet qu’au
XIXe siècle que les agriculteurs de ces régions redécouvrirent
l’emploi de la chaux et purent, ainsi, mettre fin à des famines
répétées ! Que l’on ne se trompe pas d’objectif, je ne ferai
pas de procès à la religion, je souligne simplement tous les
dangers de la croyance et surtout je souhaite mettre en lumière le
fait qu’il y a bien une très forte volonté institutionnelle de
maintenir le mystère sur le sujet des pyramides, de l’Atlantide et
des Hyperboréens.

Masquer
notre histoire, c’est propager l’ignorance, mentir par omission
pour laisser place à de véritables mensonges. Cette liberté qui
est offerte est du pain béni pour les manipulateurs, les gourous New
Age ou religieux. Là, il ne s’agit plus d’institutions
étatiques, mais d’indépendants qui profitent du vide pour prendre
la place. L’obscurantisme aboutit à la création de multiples
sectes, tout le monde y va de sa petite histoire, il y en a pour tous
les goûts. La vérité sur l’Atlantide dérange donc à la fois :

  • Les indépendants qui occupent le terrain pour faire de l’argent.
  • Les ingénieurs sociaux d’État, dont le but suprême semble la mise en place d’une dictature totale d’un genre nouveau, à partir d’un corpus de nouvelles croyances.



L’imposture des gilets jaunes ?

Pour appréhender le plus complètement ou le plus précisément possible la réalité d’une situation ou d’un événement, il est utile et même nécessaire d’utiliser différents points de vue (voir aussi Pensée multiple).

Le cas des gilets jaunes est pour l’instant principalement traité selon deux points de vue relativement opposés : celui du gouvernement et des médias dominants qui y voient surtout un désordre social ; et celui de médias alternatifs qui y voient plutôt une possibilité de faire tomber le gouvernement (sans que cela change le moins du monde le Système – voir aussi Masse critique).

L’article suivant présente un point de vue différent, tiré du site Le Grand Réveil. Même les farouchement antireligieux ou anti-catholiques pourraient gagner à examiner sans a priori négatif ou hostile certains des arguments présentés.


26 NOVEMBRE 2018
Auteur : Louis d’Alencourt

L’imposture des gilets jaunes

« Leur dieu c’est leur ventre« … il est temps de démystifier le mouvement dit des gilets jaunes et de démontrer que celui-ci n’est ni spontané, ni apolitique, ni sans leaders, ni sans arrière-pensées, mais qu’au contraire celui-ci porte la marque, les méthodes, la dialectique et la signature de l’ultra-gauche. Que la population dans sa majorité soit incapable de s’en rendre compte est une chose ; que des mouvements de droite, y compris catholiques « bien pensants » le soutiennent en est une autre, très regrettable. Ils porteront une lourde responsabilité en cautionnant ce qui n’est qu’une énième tentative de révolution (le vieux rêve communiste) à base de revendications démagogiques pour citoyens naïfs et décérébrés, afin de maintenir leur paradis terrestre jusqu’au bout : « leur dieu c’est leur ventre » (Philippiens 4:19) sera le fil conducteur de cet article.

Décortiquons tout cela en commençant par le début. Il est important de bien identifier les étapes afin de comprendre ce à quoi nous aboutissons aujourd’hui.

 

La société gangrénée par la pensée marxiste

Il y a un demi-siècle, un auteur voyait dans le marxisme matérialiste et athée « une création maçonnique et judaïque vouée à la destruction de la civilisation chrétienne« . En effet, « l’athéisme n’est pas une idéologie ayant pour seul principe la négation de Dieu, mais une conception procédant d’abord d’un antinomisme eschatologique caractérisé par un combat contre Dieu au profit d’un autre dieu« . Cet autre Dieu, on l’a vu, c’est notre ventre, c’est à dire la recherche d’un paradis sur terre et non au ciel.
Le marxisme est un système de pensée où, « par la lutte dialectique, l’homme se fait soi-même sans soumission à Dieu. » En fait, ce système de pensée consiste à considérer les éléments naturels et la science, non pas à partir de l’observation des lois naturelles, mais en les redéfinissant selon ses propres critères utilitaristes et idéologiques. Marx a appelé cela le « matérialisme historique ».
C’est donc un système de pensée redoutable car « il se construit sans aucune référence à la création qui nous entoure, sans lien avec la Vérité révélée c’est à dire en fin de compte, sans Dieu. »

C’est ainsi qu’ils supplantent l’esprit chrétien, par une nouvelle mentalité basé sur le progrès qui est le nouveau nom du matérialisme athée marxiste, celui-ci se décomposant en progrès technique (la civilisation des machines), progrès scientifique (refaçonnage de l’homme par la génétique), progrès social (collectivisme, renommé socialisme), progrès moral (de l’avortement au mariage homosexuel), progrès politique (démocratie et « valeurs » républicaines), progrès matériel (société de consommation basée sur l’argent-roi) et bien entendu progrès religieux (suprématie de la religion des droits de l’homme sur toutes les autres).
D’ailleurs, la gauche ne s’en cache pas, elle s’est toujours présentée comme les forces du progrès.

Tout ceci participe d’une même conception de la vie et d’une même ligne de pensée qui prend sa source dans la synagogue de Satan.
Bernard Lazare écrivit : « Marx, descendant d’une lignée de rabbins, hérita de toute la force logique de ses ancêtres, il fut un talmudiste lucide et clair… il appliqua ses qualités natives d’exégète à la critique de l’économie politique. Il fut animé de ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d’un paradis réalisé sur la terre. »
Cela explique beaucoup de choses, et la raison pour laquelle le matérialisme athée érigé en religion supplante avec efficacité l’esprit chrétien : il promet un bonheur sur terre et non au Ciel.

Je ne sais pas si les lecteurs de ces lignes comprennent bien l’importance de ces propos, car il s’agit là de l’émergence d’un système de pensée qui est devenu majoritaire en grande partie grâce à l’activisme gauchiste et à la complicité des médias.
Un système de pensée… cela veut dire qu’on a empoisonné les têtes, que les principes de raisonnement sont faussés, que les bases à partir desquelles nous réfléchissons prennent leur source dans une mentalité et un mode de vie d’inspiration marxiste et matérialiste. Pour quasiment toute la population. Et ce à grande échelle depuis au moins la fin de la seconde guerre mondiale.
Dans un tel contexte, il n’est donc pas étonnant que la population soutienne le mouvement des gilets jaunes. Les têtes sont gangrénées jusqu’à la moelle.

Dans un article paru dans le Monde du 12 juillet 1988, Henri Weber « a expliqué que Mai 68 avait été une grande poussée à trois dimensions : « démocratique et libertaire », « hédoniste » contre l’ordre moral et la rationalité capitaliste, enfin « romantique et messianique. »
Le 29 avril 2008, toujours le Monde, publiait un article dans lequel Jean-Claude Milner expliquait que « d’une révolution l’autre, derrière la terreur absolue que Lénine et ses sicaires institue le 11 août 1918, aux enragés de Mai 68, se trouvait le même rêve messianique de domination, de tabula-rasa«  (…) « Finalement, ce que le communisme avait entrepris, le libéralisme ultra est en passe de l’accomplir : destruction des nations, de l’Etat, de tous les corps intermédiaires, villages, entreprises, familles, dissolution des mœurs, de toutes les valeurs fondatrices et ordonnatrices du monde, bref ces gens espèrent et imaginent régner sur le chaos. »

Révolution française – Commune de Paris – Révolution russe de 1917 suivie par la terreur rouge de Lénine (un peu vite oubliée celle-là) – révolution de Mai 68 – et aujourd’hui les gilets jaunes… nous sommes dans la même mouvance, la même idéologie, et les mêmes type d’acteurs, qui s’adaptent aux situations.

Pourquoi le mur de Berlin était-il mûr pour s’effondrer en 1989 ? Parce que le communisme avait mué ; il n’avait plus besoin de prendre le pouvoir par la force (la fameuse révolution) puisqu’il avait réussi sa permutation dans les esprits. A partir du moment où l’idéologie du matérialisme athée est devenue dominante dans les populations et dans le système politique et économique, il n’est plus nécessaire d’avoir à l’imposer par la force.

Ceci explique aussi le malaise politique actuel ; les gens ont tendance à dire, avec raison, que la droite et la gauche c’est pareil. Effectivement, les deux font du socialisme, et en fin de compte très peu de choses les sépare, à savoir une dose plus ou moins forte de libéralisme économique. C’est bien peu. Tout simplement parce que la société est marxisée dans son ensemble. Plus elle avance, et plus elle l’est naturellement, spontanément. Merci l’Education Nationale, aux mains des communistes depuis 1945.

 

La mutation de l’extrême-gauche

Cette acquisition de la pensée marxiste par une majorité de la population, et l’obligation institutionnelle imposée par Bruxelles aux gouvernements, quels qu’ils soient, de pratiquer une politique socialiste, ont forcé les mouvements de gauche à modifier leur tactique pour ne pas se fondre dans la population et perdre leur identité.
On les a vu évoluer, envahir certains secteurs comme l’écologie, où les programmes et les revendications sont dignes du communisme collectiviste le plus totalitaire et le plus progressiste, changer de nom (l’extrême-gauche s’appelle aujourd’hui la France insoumise), et même aborder de nouveaux secteurs, comme le véganisme.
Le mouvement végan est typique de cette évolution de la mentalité marxiste où l’on retrouve la même idéologie (haine des pratiques de « l’ancien monde ») et les mêmes méthodes : imposer leurs idées par la force et la violence.
Je notais dans une revue professionnelle ces propos récents de Jean-Paul Bigard, président de Culture viande : « Tous les acteurs des filières viandes, soit des dizaines de milliers de salariés des entreprises agro-alimentaires et de tous les réseaux de distribution… tous disent non au terrorisme intellectuel et de terrain qui se développe aujourd’hui. »
Intéressant cette notion de terrorisme intellectuel : on est typiquement dans la mentalité et les méthodes de l’ultra-gauche.

Même changement de tactique dans les syndicats.
Les évolutions de la société ont rendues obsolète la traditionnelle lutte des classes sur laquelle se basait leur argumentaire pour réclamer de la « justice sociale », formule typique de la dialectique d’ultra-gauche.
Comme pour les végans, et puisque la mentalité de la population s’est marxisée, la nouvelle technique consiste à faire croire que désormais les décisions viennent du personnel et non des syndiqués. On appelle cela « la base ».
Les syndiqués officiels font semblant d’être débordés par une base qui vote ou décide d’actions plus radicales que celles proposées. En réalité, cette « base » est composée des mêmes hommes qu’avant, c’est à dire du vivier d’extrême-gauche, syndiqués ou non mais tous potes et surtout tous nourris de la même idéologie.
Donc, dans de nombreux conflits sociaux ces dernières années, on a pu assister à un débordement des syndicats par « la base », en réalité c’est exactement la même chose, mais les rôles sont répartis différemment. Il n’y a même plus besoin de syndiquer les personnes, ça fait même encore plus vrai ; de toute façon ils ont tous été ÉDUQUÉS et FORMÉS dans le même moule, et c’est toujours le même petit noyau d’activistes qui entraîne les autres.

Voilà le secret des gilets jaunes.

 

Comment lancer un mouvement dit « spontané » ?

Il s’agit d’une technique bien connue sous le nom de réseaux dormants.
Je pense que les révolutions arabes de 2011 ont été actionnées selon le même principe. N’oublions pas que l’islamo-gauchisme existe : dans tous ces pays existait un certain nombre d’activistes de gauche qui ont servi de vecteurs et d’entraîneurs afin de former une révolte encadrée par l’extrême-gauche mais présentée comme populaire.

La technique est exactement la même pour les gilets jaunes, et les canaux aussi : les réseaux sociaux.
Quelques activistes bien placés et déterminés ont lancé un mot d’ordre décidé dans des officines occultes aux membres d’une puissance insoupçonnée.
Ils ont pour ordre d’agir et de se présenter ,c’est très important, comme des citoyens ordinaires et non en tant que membres de réseaux trotskystes ou d’ultra-gauche. Ils entretiennent tous un carnet d’adresses constitué de membres actifs, équipés, formés, entraînés comme eux à la subversion, la manipulation des masses et la guérilla urbaine, mais aussi d’ancien membres, de sympathisants, de retraités, de connaissances croisées à la fête de l’Huma ou ailleurs, et même de voisins et amis identifiés pour leurs sympathies gauchistes.
Le message semble donc en apparence spontané et apolitique ; et surtout il se présente comme tel. Seulement, les lanceurs de cette alerte sont coordonnés et dispatchés sur tout le territoire. Leur appel fait boule de neige, il s’auto-alimente ensuite tout seul, chacun relayant le message à son propre réseau.
Le premier cercle qui a initié le mouvement et l’a répandu a tout de suite levé l’oreille car ils ont reconnu un discours qu’ils connaissent bien, propice à la révolte, la révolution, la promesse du « grand soir » tant rêvé, toujours repoussé.
Surtout que cette fois-ci il y a une nouveauté : la raison de la révolte est tellement démagogique que, quelles que soient les actions entreprises, ils sont sûrs d’avoir l’opinion publique pour eux.
Et de rallier un certain nombre de naïfs qui grossiront les rangs tout en donnant une légitimité au mouvement et une couleur apolitique, ce qui les arrange puisqu’ils avancent masqués.

Rappelons que la rhétorique de Lénine en son temps était exactement la même. C’est celle de tous les révolutionnaires.
Elle est toujours basée sur deux points :
– Une promesse de bien-être au peuple (le fameux rêve du paradis sur terre via la religion du matérialisme vue tout à l’heure) ;
– la dénonciation des autorités, quelles qu’elles soient : hier le Tsar, le Roi ou la noblesse, aujourd’hui la corruption des élites ou du moins leur incompétence, ou les deux. Que ce soit Sarkozy, Hollande ou les socialistes embourgeoisés actuels ne change rien : le communisme dénonce toujours l’autorité en place par définition, tant que ce n’est pas lui qui occupe les postes.
Comme d’habitude aussi, la solution envisagée est bien entendu le départ des gouvernants, mais sans jamais dire ce qu’ils prévoient à la place. Ca, c’est la surprise prévue après l’euphorie.

On a parlé tout à l’heure de Mai 68 ; il y a ici une résurgence des mêmes thèmes, surtout la promesse de changement sur fond de dénonciation des élites au pouvoir.
On a oublié un peu vite qu’ils avaient déjà tenté un coup de force en mai dernier, pour le cinquantenaire de cette révolution, avec les mêmes méthodes de paravent : un mouvement censé être spontané, asyndical, apolitique et sans leaders. Bref du déjà vu. Mais tout le monde avait constaté, déjà, qu’il s’agissait d’un rassemblement de gauchistes entrainant à leur suite, il est vrai, leur lot d’idiots utiles.
En réalité, le gilet jaune nuit gravement à la société.

 

Charlie, ou le test de la manipulation à grande échelle
Rappelons à toutes fins utiles qu’ils avaient déjà fait début 2015 un test à grande échelle de manipulation de masse. Ce fut l’affaire Charlie Hebdo, où l’on a fait descendre dans la rue 4 millions de personnes en France pour rendre hommage à l’ultra-gauche, à un des pires titres de presse qui ait jamais existé au monde et à la disparition duquel tout homme sain ne pouvait qu’applaudir… sans pour autant approuver les méthodes employées.
Même des catholiques y sont allés de leur petite larme… il n’y a aucune larme à verser lorsque des suppôts de Satan reçoivent le juste salaire de leurs blasphèmes à répétition.
Ce jour là, ces jours-là, 47 chefs d’états, un peuple entier et même le monde entier ont communié à un des plus gros mensonges que la terre ait jamais portée : que la liberté de la presse et d’expression avaient été menacées par cet « attentat ». En réalité, il n’y avait aucune menace pour personne. Les règlements de compte ne sont des menaces que pour ceux qui se comportent mal ou n’ont pas la conscience tranquille. Ce jour-là l’imposture intellectuelle et morale fut mondiale et totale.
A partir du moment où la grande majorité de la population avale ces bobards, elle est mûre pour les suivants, les gilets jaunes n’en étant qu’un de plus.

 

Les manipulateurs et les manipulés

Revenons à nos gilets jaunes. Dès le début du mouvement, on pouvait identifier les véritables commanditaires de cette coordination (les manipulateurs), tout simplement parce que d’emblée, leurs méthodes furent celles de l’ultra-gauche.
Sauf que, comme on l’a dit, la population ayant acquis des réflexes marxistes d’une part, et s’étant habituée à leurs exactions d’autre part via les mouvements sociaux et autres grèves à répétition, plus grand monde n’est capable de se rendre compte que ce type de méthodes porte la signature d’une toute petite catégorie de personnes : l’ultra-gauche.

La force de cette catégorie est d’être déterminés, entraînés, motivés, formés, financés, organisés, solidaires, et mus par le même lien idéologique, celui de rechercher le chaos car, selon eux, ce dernier est un moyen légitime de réaliser la révolution et donc d’apporter aux populations ce fameux paradis qu’elles s’entêtent à ne pas vouloir.
Ainsi, sur tout le territoire, on va retrouver une constance de méthodes parce que, je le répète, ce sont les mêmes types de personnes, sorties du même vivier d’activistes d’ultra-gauche, qui sont aux commandes et qui mènent les troupes (les manipulés).

Ces méthodes sont :

1) Mener des actions de chaos social : blocage des routes, de dépôts de carburants, de centres commerciaux, de bâtiments administratifs etc, afin de pénaliser non pas les gouvernants, mais le petit peuple, celui dont ils sont censés défendre les intérêts. Seule la dialectique marxiste peut justifier que nuire à son prochain va lui rendre service. C’est d’une perversité absolue que l’on ne trouve qu’à gauche.

2) Prolonger le mouvement. Grande surprise au matin du 18 novembre : l’appel à continuer le mouvement d’une façon presque mécanique. C’est typique des syndicats et mouvements d’ultra-gauche. Il peut arriver qu’un mouvement de protestation soit neutre politiquement ; par contre, le faire perdurer est une preuve directe que celui-ci était d’emblée noyauté par l’ultra-gauche, donc en réalité organisé par lui. De plus, la quasi-unanimité constatée sur le plan national prouve qu’il y a bel et bien coordination.

3) La dialectique employée est typique de la rhétorique marxiste si souvent entendue dans la bouche de syndicalistes, notamment quand il s’agit de justifier la reconduction du mouvement. J’ai entendu exactement les mêmes constructions argumentaires propres à l’extrême-gauche.

4) La présence de leaders : de plus, ceci a permis de découvrir qu’il existait des « représentants » et même des leaders du mouvement ; on a aussi finalement découvert certains initiateurs. Il y a donc manifestement une coordination qui ne dit pas son nom mais qui existe bel et bien. Il est très probable que pour maintenir le flou, les véritables leaders ne se montrent pas encore, mais une chose est sûre : leurs hommes tiennent le terrain.
Pour le moment, ils envoient sur les plateaux télé quelques idiots utiles, choisis parmi le vivier de manipulés naïfs qui les suivent : entretenir l’illusion est primordial.

5) La violence : celle-ci est une caractéristique de la gauche. Avant même les prétendus casseurs des Champs-Elysées du 24 novembre, ou les événements à la Réunion, il y avait eu de nombreux incidents durant toute la semaine. Les blocages et autres barrages ont montré leur détermination et leur absence totale d’humanité : il n’y a que chez les enragés d’ultra-gauche que l’on retrouve de tels comportements. Morts, blessés, saccages, violences régulières, pression et intimidation des populations, et bien entendu omniprésence du feu : ces gens-là aiment brûler. C’est un signe de violence. Pour le moment ils brûlent des palettes, en attendant mieux. Beaucoup sont des forcenés nostalgiques de la Commune de Paris ou de la Révolution française. D’ailleurs ils avaient installé à Paris le 24 une guillotine devant le Louvre. C’est signé, on voit bien qu’ils sont les héritiers des révolutionnaires d’hier, et qu’instituer la Terreur fait partie de leur univers.
Seule la gauche et les idées de gauche génèrent autant de violence. Et cela veut dire que sur le terrain , ceux qui dominent appartiennent à l’ultra-gauche, et entraînent les autres.

Car il est vrai qu’à côté de cela, les manipulés sont légion. C’est facile de surfer sur un « ras-le-bol » abstrait et la baisse du pouvoir d’achat. C’est de la démagogie du niveau de première année de cours de marketing.
Beaucoup de naïfs vont mordre à l’hameçon et donner au mouvement une sorte de légitimité populaire derrière laquelle il va pouvoir s’abriter et surtout se masquer.
C’est pourquoi je déplore la participation aux gilets jaunes d’organisations de droite, patriotiques ou catholiques (comme Civitas) qui n’ont pas compris la manipulation dont la population faisait l’objet.

Les manipulés ne sont pas à la tête du mouvement ; ils le suivent. Et les porte-paroles choisis le sont pour leurs idées marxistes.

On a d’ailleurs deux preuves de la tendance gauchiste du mouvement :

1) Le tournant violent des manifestations. Les médias et le gouvernement mentent, il n’y a pas besoin d’ajouter des casseurs aux manifestants. Les gauchistes sont naturellement violents, contestataires, anarchistes, et cherchent le chaos qui représente pour eux une solution. N’oublions jamais que la mentalité révolutionnaire est une graine de violence.
Barricades, motos brûlées, chantiers investis et détruits, agressions de journalistes à Toulouse et à Béziers : non les forcenés ne sont pas des casseurs, c’est le visage habituel de l’ultra-gauche.

2) La complaisance des leaders de gauche à leur égard.
Comment se fait-il que dès le 18 novembre, Jean-Luc Mélenchon déclarait dans un meeting à Epinay-sur-Seine que le mouvement des gilets jaunes était « un événement social et politique considérable », et une source d’inspiration pour le mode opératoire de la révolution, louant avec emphase les vertus de l’auto-organisation ?
Croyez-vous que le leader de l’extrême-gauche louerait ainsi un mouvement de droite, ou un mouvement populaire qui soit apolitique ? Non, en réalité, il a reconnu dans les gilets jaunes toutes les caractéristiques de l’ultra-gauche, et il nous explique en substance leur nouvelle façon de procéder. « C’est à ce prix-là, avec ces méthodes-là, que nous changerons de fond en comble le pays » a-t-il affirmé.
Dimanche 25, je lis dans la presse : « On va vers la révolution » Voici les mots d’un coordinateur du mouvement à Bordeaux alors que 100.000 personnes ont manifesté partout en France hier« .

Je crois que c’est clair : ils ont lancé une action qui porte leur signature, qu’ils reconnaissent immédiatement et encouragent. Les mots trahissent leurs pensées et montrent le vrai visage d’un mouvement qui n’aurait pas de leader… en apparence.

Comment, dans ces conditions, un catholique ou un homme de droite sincère peut-il s’associer à ce mouvement ?
Pour ses revendications ? Etudions-les d’un peu plus près.

 

Les revendications : de la démagogie à l’utopie

Ce n’est un secret pour personne : la principale revendication concerne le pouvoir d’achat, l’autre étant, on l’a vu, la dénonciation de l’incompétence ou de l’inefficacité des autorités.
L’élément déclencheur fut l’augmentation du prix du gazole.
Voilà la triste réalité : des revendications hautement démagogiques qui ne peuvent recevoir qu’un bon accueil dans la population. Même les habitants de l’Etat le moins taxé au monde seraient d’accord avec de telles propositions.

Approfondissons quelques instants. Dénoncent-ils la société de consommation, la politique socialiste des Etats, les choix imposés par l’Union Européenne, la monnaie unique, la marchandisation de la société, le mondialisme, l’argent-roi ?
Non, ils en dénoncent les conséquences : hausse de la fiscalité, inflation, insécurité sociale
Mais à quoi sert de s’en prendre aux conséquences si on ne remonte pas aux causes ?

D’autre part, qui a réfléchi une minute aux problématiques de gestion d’un état socialiste comme la France ?
Savent-ils que notre pays est en déficit budgétaire depuis 40 ans, que celui-ci est limité à 3% du PIB, et que nous sommes au taquet depuis des années ?
Ce qui veut dire que toute baisse de revenus doit être compensée soit par une baisse des dépenses, soit par une hausse de la fiscalité. Comme il n’est pas question de réduire les dépenses, socialisme oblige, et qu’on ne peut recourir indéfiniment à la dette à cause des 3%, toute baisse de rentrée doit être compensée par la hausse d’une autre rentrée.
Or quels sont les deux postes à la fois les plus pratiques et les plus rentables ? La TVA et l’automobile.
La TVA parce que l’Etat touche sur tout ce qui s’achète et se vend ; l’automobile parce que plus personne ne peut s’en passer, et que c’est une véritable vache à lait quasiment inépuisable.
Effleurons en quelques mots le cynisme de l’Etat.
Durant des années, il a poussé les citoyens à investir dans le diesel, paré alors de toutes les vertus. Les constructeurs français sont d’ailleurs devenus de vrais champions dans la mise au point de moteurs diesels. Maintenant que tout le monde est équipé, le piège se referme : le diesel est dénoncé par le mythe du réchauffement climatique et permet de justifier des augmentations fiscales. Franchement c’est génial.
Il faut savoir que cette affaire de réchauffement climatique est la plus belle idée de business de ces vingt dernières années, un business international de très grande envergure.
Il tourne dans le sens du vent, par exemple pour servir les politiques fiscales.

Je puis déjà vous dire ce qui se passera dans dix ans. Hier le diesel, aujourd’hui l’électricité. Les Etats poussent fortement les populations vers les véhicules électriques. Encore dix ou quinze ans, et on aura atteint le renouvellement du parc requis. Sortiront alors des cartons des projets qui existent déjà. En effet, l’inconvénient de l’électrique réside dans les batteries, c’est une énorme bombe à retardement, car leur recyclage posera un très gros problème. Par conséquent, les mêmes qui hier vantaient les avantages du véhicule électrique vous diront demain que vous avez entre les mains un véhicule ultra polluant et ultra dangereux pour la planète.
Pour faire passer encore mieux la pilule, je leur suggère de demander au GIEC, par exemple, d’accuser un des composants entrant dans la fabrication des batteries, d’être extrêmement nocif pour l’environnement. Ainsi, la politique fiscale en faveur des véhicules électriques s’inversera, toujours justifiée bien entendu, et sera à terme une excellente source de revenus. Une vache à lait inépuisable, on vous dit.

Résumons. Dénoncer les conséquences sans s’attaquer aux causes ne mène à rien. On se fait plaisir à court terme, mais les véritables problèmes demeurent et le déficit continue à se creuser ; pire, on fragilise encore plus l’édifice.
Ce sont des arguments purement démagogiques dignes d’une période électorale. De plus, on vient de le voir, Bercy aurait plutôt des coups d’avance pour « sécuriser » ses prochaines rentrées.

De plus, les gens sont naïfs ; si jamais ce mouvement parvenait à faire tomber le pouvoir en place, qui le remplacerait ? Les activistes d’ultra-gauche, qui tomberaient alors le masque.
Ce n’est pas le peuple qui fait les révolutions, ce sont les groupes organisés, structurés et déterminés pour cela. C’est toujours une oligarchie qui prend le pouvoir, parce qu’elle est organisée et composée de troupes aux tâches distinctes et complémentaires.
Ils n’ont pas besoin d’être nombreux, ils ont besoin d’être déterminés et violents. Et démagos, du moins dans un premier temps. Le peuple suivra.
Les rouges lui montreront ensuite comment ils dirigent les affaires : comme ils l’ont toujours fait, par la Terreur. Mais officiellement, ils viennent nous libérer : toujours le même discours.
Incroyable que la droite et les mouvements cathos ne voient pas ces évidences.

 

Des revendications dignes des enfants de la bête

Mais finalement, le fond de la question n’est pas là.
Ces revendications nous montrent à quel point la bassesse humaine peut aller.
Défendre le pouvoir d’achat est d’un incroyable égoïsme, une attitude purement égocentrique.
Il n’y a aucune notion de bien commun là-dedans. Seulement la volonté de préserver ses petits intérêts, de profiter le mieux possible de son petit confort, de prolonger le plus possible les avantages de Babylone et de son argent-roi, cet argent devenu si indispensable à cette génération qu’elle en devient folle.
Bref ces revendications n’ont pas d’autre but que de préserver et même pérenniser la société marxiste du matérialisme athée triomphant.

Ceux qui manifestent avec les gilets jaunes, qui acceptent de nuire aux autres, bafouant les règles les plus élémentaires de la charité, tout ça pour gagner quelques minables petits euros, qui partagent leurs opinions et approuvent leur mouvement, tous ceux-là rejoignent les ennemis du Christ.
Reprenons la citation de saint Paul dans sa totalité :
« Il y en a beaucoup qui se conduisent en ennemis de la Croix du Christ. Ceux-là, leur destin c’est la mort, car leur dieu c’est leur ventre. Ils se font gloire de ce qui les couvre de honte ; ils n’ont de goût que pour les choses de la terre. »(Philippiens 4:19)

 

Conclusion

Non, les communistes n’ont jamais défendu les pauvres et les faibles. Ils s’en servent comme prétexte pour prendre le pouvoir, et les transforment ensuite en esclaves ou en chair à canon.

Les babyloniens ont peur, ils en ont « ras le bol » dit-on. Ils ont surtout peur de perdre leurs avantages matériels et leur fric.
Ils ont bien compris que la société de consommation mène la planète à la destruction mais ils ne veulent pas remettre en cause un système aussi confortable ; ils aimeraient profiter du système sans en avoir les inconvénients qu’en sont les conséquences, et qu’on mette au pouvoir des personnes qui y parviennent.

Alors les néo-communistes leurs apportent la solution sur un plateau. La révolte est pour eux une marche assurée vers le pouvoir, c’est pourquoi ils poussent la population à la révolution. Ce n’est pas le paradis qu’elle y gagnera, mais la terreur rouge.
Il y a cent ans, le 11 août 1918, dans le silence assourdissant des alliés, Lénine instituait la terreur absolue. Les gilets jaunes sont ses descendants, ils se réclament de la même idéologie, celle qui inspira aussi les révolutionnaires de 1793 et ceux de la Commune de Paris.
On les a vu samedi à l’œuvre, et ce n’est que le début.

Tout simplement parce que ce qui se passe ressemble étrangement aux « prédictions » du grand pontife luciférien Albert Pike :

« Le 15 août 1871, Pike disait à Mazzini qu’après la Troisième Guerre Mondiale, ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes empruntés à la lettre cataloguée au British Museum Library à Londres :
« Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps. »

La troisième guerre mondiale fut celle de la conquête de la planète par le communisme et le marxisme, d’abord par la force, ensuite par la ruse, parce que, nous ne le rappellerons jamais assez, cette idéologique est celle du bonheur matériel, du règne du matérialisme triomphant grâce au progrès matériel et technique, qui se traduit autant par un système de pensée que par un mode de vie. Or cette conquête est faite, cette troisième guerre mondiale est achevée. Dieu est parti.

Et ces gilets jaunes, comme nous l’avons démontré, ressemblent bien à ces nihilistes et ces athées chargés de provoquer le cataclysme social dont ils seront les première victimes. Car le cynisme du démon étant sans bornes, il est clairement établi que l’issue de ce cataclysme sera la destruction simultanée (l’auto-destruction ?) des athées et des chrétiens, et la révélation (à ceux qui restent ?) de la véritable nature de Lucifer.

Seulement Albert Pike a omis un petit détail, que nous rappelle saint Paul : « Et cessez de murmurer, comme ces révoltés qui furent victimes de l’ange exterminateur. » (1Corinthiens 10:10)

Il croit qu’il parviendra à bout de la chrétienté, c’est pourquoi ses héritiers lancent aujourd’hui ce fameux projet de cataclysme social. Mais la chrétienté ne peut pas mourir.
C’est pourquoi, en ces instants où l’on croira tout perdu, l’ange exterminateur descendra pour châtier Babylone et préparer la séparation des boucs et des brebis, du bon grain et de l’ivraie.
Nous ne devons en aucun cas nous associer à ces fils de perdition que sont les gilets jaunes et consorts, rester à l’écart, sortir de Babylone, et prier pour ces pauvres âmes égarées.
Il va falloir très vite choisir son camp. Car la dernière heure est toute proche maintenant.

 

Pour télécharger le fichier pdf de l’article, cliquez sur ce lien : L’imposture des gilets jaunes

Illustration : on attend le cataclysme social de Pike, ce sera l’ange exterminateur qui viendra.