L’identité européenne de l’Amérique

[Source : eurosiberia.net via dedefensa.org]

Par Constantin von Hoffmeister

Nous savons aujourd’hui que le monde anglo-saxon de l’américanisme est déterminé à anéantir l’Europe, c’est-à-dire la patrie et l’origine de l’Occident. L’originel est indestructible.
– Martin Heidegger (1942)

Contrairement à l’Europe, qui est entrée dans la modernité après une riche histoire prémoderne, l’Amérique est née directement dans la modernité, incarnant une société purement conceptuelle basée sur l’individualisme. Ce fondement individualiste a donné naissance à une culture hautement libérale, où l’individu erre comme un Dasein («être-là» ou «réalité humaine»)1 isolé. L’anthropologie et les sciences sociales modernes, qui assimilent l’« Humanité » à l’individu, sont restées fixées sur ce concept. La fixation de l’Amérique sur l’individu a conduit à un mode d’existence superficiel, dépourvu de la profondeur de l’être historique qui caractérise les sociétés européennes.

S’inspirant de la philosophie de l’histoire de Hegel, l’Amérique n’a pas suivi le développement dialectique de la conscience historique qui insuffle à la modernité européenne le sens du Geist (esprit) et de la Geschichtlichkeit (historicité). L’absence d’expériences prémodernes — telles que l’empire, la théocratie ou le féodalisme — signifie que l’Amérique ne possède pas la perception profonde de l’Histoire qui alimente une identité plus riche et plus authentique. Au lieu de cela, l’Amérique opère dans un état de Seinsvergessenheit (oubli de l’être), prise dans la superficialité du monde moderne. Cette situation contraste fortement avec celle de l’Amérique latine qui, en tant qu’extension périphérique de l’Europe, a hérité d’éléments prémodernes et les a intégrés dans son identité, tels que les coutumes et les structures sociales médiévales espagnoles et portugaises. Ainsi, la recherche d’une identité plus authentique dans la société américaine reste complexe et difficile, entravée par les circonstances historiques et l’individualisme omniprésent.

Cependant, certains affirment que l’Amérique est une greffe européenne et que le passé de l’Europe est aussi le passé des Américains d’origine européenne. Dans cette optique, l’Amérique est une république européenne érigée par des Européens sur le sol du Nouveau Monde, imprégnée de traditions, de politiques et donc d’histoire européennes. Cette perspective suggère que l’identité américaine est inextricablement liée à la trajectoire historique européenne et que la composition culturelle et philosophique de l’Europe fait partie intégrante de la compréhension de l’être américain. Bien que l’Amérique n’ait pas sa propre histoire prémoderne, elle perpétue l’héritage dialectique de l’Europe, incarnant la modernité européenne dans un nouveau contexte. Ce lien implique que les racines de l’identité américaine, bien que transplantées, restent liées à l’histoire riche et complexe de l’Europe, offrant une voie différente pour découvrir l’essence réelle du Dasein américain, qui n’est qu’une autre variante du Dasein européen.

Considérons le paradoxe de notre époque : L’Amérique, issue de l’Europe, est devenue à la fois son héritière et son adversaire. Elle manie les instruments de la propagande comme le divertissement et de la prédation comme le capitalisme, semblant vouloir rompre ses liens primordiaux avec l’Ancien Monde. Pourtant, l’essence de la civilisation occidentale, imprégnée de la pensée et de l’esprit européens, reste inébranlable. Le cœur de l’être américain est imprégné de l’héritage européen — un marqueur d’identité qui perdure. Ainsi, l’anéantisseur potentiel est aussi le porteur de continuité, car la naissance de l’Occident est un événement métaphysique et, en tant que tel, insensible à la dissolution.





Coco Chanel et Apollo




Pour une révolution aristocratique

Le pouvoir des meilleurs ou l’honneur au-dessus de la vie

Entretien avec Louis Furiet, auteur du livre Pour une révolution aristocratique aux éditions de L’Æncre.

(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

« Nous parlons ici de la démocratie au sens classique du terme, de celle inventée par les anciens Grecs : une démocratie directe, organique, exigeante — je dirais presque martiale. Bref, absolument le contraire de la démocratie moderne, représentative, individualiste et libérale. »

Votre titre est un appel à retrouver le sens de l’aristocratie. Qu’entendez-vous exactement par ce terme ?

Plus qu’un régime politique — le pouvoir des meilleurs —, l’aristocratie est un idéal moral, essentiellement européen. Un idéal que l’on peut identifier à l’antique vertu de magnanimité (ou grandeur d’âme). Le magnanime, nous dit Aristote, est l’homme qui n’épouse que de grandes causes et se donne tout entier à elles. Il n’est pas l’humanitariste des Modernes, mais l’homme qui met l’honneur au-dessus de la vie. Loin d’être un orgueilleux, il est celui qui se sacrifie pour les biens qu’il estime plus grands que sa petite personne : pour cela, c’est un idéal qui est tout à fait acceptable pour un chrétien (cf. Thomas d’Aquin).

En bref, l’aristocrate — Werner Sombart aurait dit le héros — est le contraire du marchand : alors que ce dernier entre dans la vie en lui demandant « Que peux-tu me donner ? », l’aristocrate y entre en lui demandant : « Que puis-je te donner ? ». Alors que le marchand calcule tout, négocie tout, marchande tout, l’aristocrate méprise la mesquinerie et se donne sans compter.

Après avoir tenté de peindre le dernier homme dans mon roman Les hommes du néant (éditions Dutan), cet homme privé de toute grandeur d’âme mis en lumière par Nietzsche dans le prologue d’Ainsi parlait Zarathoustra, je tenais à montrer ce que pouvait signifier, aujourd’hui, faire preuve de grandeur d’âme.

Mais cette vertu est-elle encore possible à l’âge de la démocratie et du nivellement par le bas ?

Justement, mon propos — avant tout philosophique — consiste à montrer que la magnanimité n’est pas une vertu d’un autre temps. Si on la réserve à une petite élite, alors il est clair qu’elle n’est plus d’actualité : l’âge des aristocraties de sang est clos, et ce n’est pas nécessairement un mal. Mais si on considère, à la suite de penseurs aussi différents que Cicéron, Rousseau (oui, il faut savoir se défaire de certains préjugés !), Bergson ou Péguy, que la magnanimité consiste à se sacrifier pour la Cité dont on est membre, alors elle est accessible à tout citoyen.

On peut même dire que la magnanimité, vertu aristocratique, est la vertu par excellence en régime républicain ou démocratique. Mais évidemment, nous parlons ici de la démocratie au sens classique du terme, de celle inventée par les anciens Grecs : une démocratie directe, organique, exigeante — je dirais presque martiale. Bref, absolument le contraire de la démocratie moderne, représentative, individualiste et libérale.

C’est précisément cette démocratie organique que j’appelle de mes vœux dans mon Pour une révolution aristocratique, pour que nos sociétés retrouvent le sens de la grandeur humaine — le politique conditionne en grande partie l’éthique. Et en même temps, il faut refaire des hommes magnanimes pour qu’un tel régime advienne.

Pour une révolution aristocratique, Louis Furiet, éditions de L’Æncre, collection « Nouveaux enjeux du XXIe siècle », préface de David L’Épée, 142 pages, 21 euros.

Pour obtenir « Pour une révolution aristocratique », cliquez ici

Professeur de philosophie, rédacteur en chef de la revue Écrits de Rome, Louis Furiet s’intéresse plus particulièrement à la critique de la Modernité. Dans son roman Les hommes du néant (Dutan, 2023), il a voulu peindre l’absence de grandeur qui caractérise l’homme postmoderne.




Mythologies et vie anténatale

Par François Dor (francdor@yahoo.ca)
[Site : francoisdor]

La mémoire de la vie anténatale se trouverait racontée dans les mythes.
De nombreux thérapeutes confirment cette vision dans leur pratique.

« Le fœtus garderait le souvenir de sa vie, de la conception jusqu’à la naissance. » est tout à fait exact, sans aucun doute possible. En EPRTH™ nous traitons cette zone de temps, et pour cela nous n’avons pas besoin de savoir à l’avance quoi que ce soit, le Cerveau émotionnel de la personne nous ramène toutes les sensations corporelles et émotionnelles qui sont visibles.

Ambre Kalène
www.eprth.com

« L’originalité de votre idée centrale, à savoir que la mythologie figure la mémoire fœtale de l’embryogenèse, devrait vous valoir auprès des spécialistes de ces questions la réputation d’un découvreur de haut niveau. »

Claude Hagège, professeur au Collège de France.

De l’Ancien Monde,
paradis, déluge, Atlantide :
les énigmes de la mythologie sont résolues

Les mythes exprimeraient les souvenirs de la vie fœtale :
Le fœtus garde le souvenir de sa vie, de la conception jusqu’à la naissance.

La mythologie exprimerait inconsciemment cette mémoire fœtale de la vie utérine :

  • Le serpent du Paradis figurerait le cordon ombilical ;
  • L’Arbre de Vie, où se tient ce serpent, le placenta ;
  • Le Déluge, la chute prénatale des eaux amniotiques ;
  • L’Arche des légendes, la membrane qui accompagne le fœtus à la naissance ;
  • Les trois fils de Noé, les trois fonctions du placenta ;
  • Noé cultive la vigne : le nouveau-né développe un réseau circulatoire autonome ;
  • Etc.

L’arbre de Noël, porteur de cadeaux, continue l’Arbre de Vie des légendes, lequel figure inconsciemment le placenta, porteur de richesses.
Tonnerre, tambour, sons de cloches, galop d’un cheval, pierre qui résonne, sont fréquents en mythologie : il s’agit là de réminiscences des battements du cœur du fœtus et/ou du cœur de sa mère — fréquents dans la vie utérine…
Tout mythe semble exprimer la vie de l’embryon/fœtus.
Toute la vie de l’embryon/fœtus est relatée par la mythologie, de la conception à la naissance.
Chaque femme enceinte porte ainsi dans son ventre, en quelque sorte, Adam et Eve, Noé, Zeus, Apollon, Atlas, Odin, Indra, Hor, Amon…
La gestation du livre De l’Ancien Monde a nécessité vingt années.

Avant cet ouvrage, la mythologie nous restait aussi incompréhensible qu’une langue étrangère.
Cela fait quinze années déjà que ces découvertes ont été publiées dans divers journaux.
Approcher les mythologies comme mémoire de la vie fœtale les explicite.
Cette découverte, aussi fondamentale que celles de Copernic ou de Darwin en leur temps, est essentielle à la bonne marche de la civilisation.

Le livre :

De l’Ancien Monde est un livre de belle facture, de près de 520 pages.
Il comporte 10 chapitres, 82 illustrations, 1826 notes, et ne coûte que 25 euros pour un exemplaire livré à Paris, 30 euros si posté pour la banlieue, la province et le reste du monde.

L’auteur :

François Dor est né à Paris, en janvier 1960. Après la lecture du livre de Marie Cardinal, Les mots pour le dire, il entreprend en avril 1981 une psychanalyse. C’est par ce voyage de l’être qu’il prendra peu à peu conscience de la signification des légendes fondatrices de l’humain : la mythologie figure la mémoire de l’embryogenèse.

Puissiez-vous retrouver à la lecture de De l’Ancien Monde, l’enthousiasme et le bonheur intellectuel pur que sa rédaction m’a parfois procurés !

Addendum :

Quasiment personne aujourd’hui ne s’intéresse aux mythes antiques, exception faite d’une poignée de lettrés qui, par là, tâche d’échapper à la vulgarité ambiante.
Par contre, il est des mythes modernes, bien vivants, qui irriguent la société actuelle.

Ces mythes modernes peuvent se classer en deux types :

  • Le type du héros, Fangio, Maradona (lequel fait l’objet d’un culte, d’une église), du bel héros, Tom Cruise, David Beckham, du héros prométhéen (Che Guevara),
  • Et le type de la reine, c’est-à-dire d’une femme qui, par sa présence, va irriguer la société, le monde, de grâce, de vie, d’harmonie, Eva Peron, Lady Di, certaines actrices d’Hollywood.

Ces deux types de mythes modernes semblent continuer les mythes antiques car ceux-ci également peuvent se distinguer en deux types :

  • Le type du héros, Hercule, Achille, Prométhée, du dieu, Apollon,
  • Et le type de la déesse-mère, Isis, Artémis, qui va irriguer le monde de vie.

Ces deux types de mythes antiques figurent une réminiscence du fœtus, héros du monde utérin, et de l’utérus, lequel irrigue le monde utérin de vie.
Qui traverse les campagnes de France s’aperçoit que châteaux (le héros) et églises (la déesse-mère) ont comme aspiré le sang du peuple, sa vitalité ; c’est là la France d’Ancien Régime, structurée inconsciemment comme une continuation de la biologie utérine.
La persistance de cette structure dans ces mythes modernes bien vivants montre que l’humain n’a toujours pas quitté le psychisme utérin.
Nous constatons que l’Argentine procure au monde la quintessence des mythes modernes, Eva Peron, Fangio, Che Guevara, Maradona.


Le livre Pourquoi ? La vie mythologique

On m’a conseillé de rédiger un livre plus simple que De l’Ancien Monde, qui rende aisément accessible cette découverte fondamentale d’une mythologie, mémoire fœtale de la vie utérine.
Aussi ai-je rédigé un ouvrage composé de 76 questions et réponses :

  • 1 — Pourquoi est-ce Oedipe qui résolut l’énigme du Sphiinx ?
  • 2 — Pourquoi le Déluge ne se produit-il qu’une seule fois ?
  • 3 — Pourquoi une seule personne se sauve-t-elle du Déluge ?
  • 4 — Pourquoi la lumière, le soleil, apparaissent-ils après le Déluge ?
  • 5 — Pourquoi les nains ne peuvent-ils pas supporter la lumière du jour ?
  • 6 — Pourquoi, après le Déluge, l’humain peut-il se nourrir de chair animale et de la verdure des plantes ?
  • 7 — Pourquoi, à peine sorti de l’arche, Noé plante-t-il une vigne ?
  • 8 — Pourquoi le dieu Osiris parcourt-il toute la terre, enseignant aux hommes à cultiver la vigne ?
  • 9 — Pourquoi Osiris se voit-il placé dans une boîte oblongue, de dimensions exactement proportionnées à son corps, puis jeté dans le Nil ?
  • 10 — Pourquoi, après avoir été jeté dans le Nil, Osiris se retrouve-t-il sans phallus ?
  • 11 — Pourquoi l’Arbre de Vie est-il présent dans quasiment toutes les mythologies ?
  • 12 — Pourquoi « nul ne sait d’où proviennent les racines d’Yggdrasil » ?
  • 13 — Pourquoi trouve-t-on, bien souvent, un serpent niché dans l’Arbre de Vie ?
  • 14 — Pourquoi, niché dans l’Arbre de Vie, un serpent apporte-t-il un nouveau mode d’alimentation à Adam ?
  • 15 — Pourquoi le serpent s’adresse-t-il à Eve et non à Adam ?
  • 16 — Pourquoi le dragon est-il un symbole de prospérité ?
  • 17 — Pourquoi le serpent du paradis a-t-il quatre pieds ?
  • 18 — Pourquoi offrait-on aux nouveau-nés, en Grèce, une amulette protectrice représentant un serpent ?
  • 19 — Pourquoi les serpents gardent-ils les temples, les lieux sacrés ?
  • 20 — Pourquoi le serpent est-il considéré comme Dieu du Tonnerre ?
  • 21 — Pourquoi le Tonnerre fait-il jaillir une source ?
  • 22 — Pourquoi le Tonnerre est-il le pourvoyeur du feu ?
  • 23 — Pourquoi un grand nombre de légendes évoquent-elles l’origine du feu issu du pouce et de l’index d’un individu ?
  • 24 — Pourquoi du nombril de Vishnou jaillit l’arbre cosmique ou le lotus ?
  • 25 — Pourquoi, sous le règne de Quetzalcoatl, un homme ne pouvait-il porter qu’un seul épi de maïs à la fois ?
  • 26 — Pourquoi le dieu égyptien Djehouty ne donne-t-il que trois cordes à la lyre qu’il invente ?
  • 27 — Pourquoi Odin doit-il laisser un œil en gage pour pouvoir accéder à la fontaine d’Urdr ?
  • 28 — Pourquoi Jason doit-il atteler deux taureaux sous le joug pour accéder à la Toison d’Or ?
  • 29 — Pourquoi, dans la légende de Jason, des dents semées du dragon jaillissent des guerriers qui s’entrebattent ?
  • 30 — Pourquoi un héros tranche-t-il d’un serpent les têtes qui repoussent ?
  • 31 — Pourquoi la divinité renverse-t-elle la tour de Babel ?
  • 32 — Pourquoi l’humain a-t-il bâti des zikurat ?
  • 33 — Pourquoi Apollon, après avoir tué le serpent, institue-t-il les prêtres ?
  • 34 — Pourquoi les Chinois sont-ils friands de la corne de rhinocéros ?
  • 35 — Pourquoi le divin Achille n’est-il mortel que dans le tendon de la cheville ?
  • 36 — Pourquoi le destin ne tient-il qu’à un fil ?
  • 37 — Pourquoi Gilgamesh, qui cherche la vie éternelle, retourne-t-il les mains vides dans son pays ?
  • 38 — Pourquoi Lakshmî, déesse de la fortune, s’assied-elle sur les genoux de Vishnou, son époux ?
  • 39 — Pourquoi la religion interdit-elle le divorce ?
  • 40 — Pourquoi dans les contes un jeune homme pauvre, qui se singularise par ses exploits, comme le tir à l’arc, épouse-t-il une princesse ?
  • 41 — Pourquoi les Incas épousent-ils leurs sœurs ?
  • 42 — Pourquoi Phrixos perd-il sa sœur Hellé en cours de route ?
  • 43 — Pourquoi Eurydice meurt-elle à l’orée de la caverne ?
  • 44 — Pourquoi Ariane est-elle délaissée par Thésée ?
  • 45 — Pourquoi Icare périt-il après s’être envolé du labyrinthe ?
  • 46 — Pourquoi Romulus tue-t-il son frère jumeau Rémus, quand celui-ci franchit d’un saut les murailles nouvelles de Rome ?
  • 47 — Pourquoi Pharaon rêve-t-il de sept vaches grasses, puis de sept vaches maigres qui dévorent ces sept vaches grasses ?
  • 48 — Pourquoi le continent de l’Atlantide a-t-il disparu dans les flots, en un jour, en une nuit ?
  • 49 — Pourquoi Atlas porte-t-il le monde ?
  • 50 — Pourquoi les Celtes craignent-ils que le ciel leur tombe sur la tête ?
  • 51 — Pourquoi les Anciens voyaient-ils dans le ciel nocturne des constellations mythologiques ?
  • 52 — Pourquoi les madones noires sont-elles vénérées ?
  • 53 — Pourquoi les anciens sorciers étaient-ils les plus compétents ?
  • 54 — Pourquoi Vishnou a-t-il quatre bras ?
  • 55 — Pourquoi les quatre fils d’Horus sont-ils préposés à la surveillance des quatre points cardinaux ?
  • 56 — Pourquoi les Anciens attelaient-ils, bien souvent, quatre chevaux à leur char de course ?
  • 57 — Pourquoi les Symplégades (« Roches Cognées ») ou Roches Kyanées, s’entrechoquent-elles ?
  • 58 — Pourquoi la déesse Athina pousse-t-elle le navire des Argonautes pour lui faire franchir ce passage ?
  • 59 — Pourquoi Hercule crée-t-il les Portes d’Hercule (le détroit de Gibraltar) ?
  • 60 — Pourquoi Troie est-elle située sur les bords de l’Hellespont ?
  • 61 — Pourquoi Hélène de Sparte est-elle la plus belle femme du monde ?
  • 62 — Pourquoi le foie de Prométhée croît-il, la nuit, d’autant qu’il a été dévoré le jour ?
  • 63 — Pourquoi la Toison d’Or est-elle clouée sur un arbre ?
  • 64 — pourquoi Achille sacrifie-t-il sa chevelure, aux funérailles de son ami Patrocle ?
  • 65 — Pourquoi les fleuves Alphée et Pénée, détournés de leurs cours, nettoient-ils les écuries d’Augias ?
  • 66 — Pourquoi les humains pratiquent-ils la danse du dragon pour obtenir la pluie ?
  • 67 — Pourquoi le sacrifice du buffle a-t-il pour conséquence de provoquer les pluies ?
  • 68 — Pourquoi Pandore, ouvrant la boîte, libère-t-elle les fléaux ?
  • 69 — Pourquoi arroser une pierre sacrée assurera pluie et fécondité au territoire que la pierre est censée figurer en abrégé ?
  • 70 — Pourquoi la pierre centrale d’Irlande crie-t-elle pour désigner le roi ?
  • 71 — Pourquoi le feu passe-t-il d’un animal à l’autre, le long d’une file d’animaux coureurs ?
  • 72 — Pourquoi la métempsychose ?
  • 73 — Pourquoi Zeus se prend-il d’amour pour un grand nombre d’êtres successifs ?
  • 74 — Pourquoi la tortue est-elle un symbole de longue vie ?
  • 75 — Pourquoi Apollon naquit-il d’une île flottante ?
  • 76 — Pourquoi Pierre renie-t-il trois fois Jésus avant le chant du coq ?

Ce nouveau point de vue d’une mythologie, mémoire fœtale de la vie utérine, rend passionnantes les réponses à ces questions.

Livre broché de 100 pages, au format de 13 x 19,5 cms, Pourquoi ? La vie mythologique ne coûte que 10 euros.
Son port vous est offert dans le monde entier et vous ne le réglez qu’à sa réception.
Ce petit ouvrage simple à manier, simple à comprendre, relativement exhaustif, rend passionnant ces découvertes fondamentales.




5G : la technologie militaire appliquée sur les civils, liée aux nanomatériaux injectés

[Source : favoris-alcyonpleiades via @Cielvoile]

Mark Steele, ingénieur et activiste britannique, parle du plan de guerre de l’élite basé sur le changement climatique et dont le but est de déclencher un massacre de masse en utilisant la 5G, qui est une arme, et en mettant en œuvre les villes de 15 minutes. La 5G est la clé, car elle est interconnectée avec le contenu des vaccins Covid.

[NDLR Autour de l’hypothèse de base de l’interaction entre notamment la 5G, la nanotechnologie vaccinale et les villes 15 minutes, il existe deux thèses principales qui évoquent toutes les deux un plan contre l’Humanité de la part d’entités non humaines.
La première est celle défendue par Ricardo Delgado Martin. Selon lui, ces entités ont pour objectif d’entasser les êtres humains dans les villes 15 minutes afin de mieux ensuite se nourrir de leurs énergies émotionnelles engendrées par la souffrance. Cette hypothèse se situe plutôt dans la ligne gnostique concernant des entités nommées Archontes.
La seconde défendue ici considère que l’entité maîtresse du plan est celle connue dans la Bible sous le nom de Satan, l’Adversaire de la Création et de l’Humanité. Son but n’a rien à voir avec le vol d’énergie humaine, mais avec celui de l’âme.

Dans la première hypothèse, l’Humanité est une éternelle victime, soumise à des entités manipulatrices dont le but serait de faire l’élevage des êtres humains comme source de nourriture énergétique émotionnelle.
Dans la seconde, l’Humanité peut être sauvée ou libérée en suivant la voie indiquée par le Christ, par le Bouddha Gautama et par d’autres sages du passé.

La première est peu cohérente, car des entités invisibles ne subissent pas les contraintes de la matière et n’auraient a priori pas besoin d’entasser leurs victimes dans des villes 15 minutes ou autres enclos pour sucer aussi bien leur énergie. Elle n’explique pas non plus l’empoisonnement croissant de l’Humanité depuis des décennies, ni la surmortalité vaccinale qui semble aussi être croissante, ni la volonté eugéniste des élites mondialiste. Celle-ci est d’ailleurs contradictoire avec le besoin supposé de nourriture émotionnelle pour ces entités. Un tel besoin s’accommoderait plutôt au contraire d’une forte population humaine. Enfin, les énergies provenant de la souffrance sont très négatives et de faible qualité. Pourquoi des entités se nourrissant d’énergie émotionnelle rechercheraient-elles une nourriture de mauvaise qualité provenant d’une Humanité si peu saine ?
La seconde paraît bien davantage cohérente et compatible avec les faits observés, notamment avec un empoisonnement croissant de l’Humanité, y compris sur les plans psychique et spirituel, de sorte à obtenir beaucoup de morts et d’âmes (sans que cela se remarque trop, au moins dans un premier temps). Elle est également compatible avec le transhumanisme, la technologie à outrance, l’IA, la nourriture synthétique, etc. Satan étant adversaire de la Création et donc du naturel biologique, mais promoteur du tout artificiel.]






L’enfant et le dauphin

[Source : Voie Nature]

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Marion Le Pen : « Je prône un traditionalisme intelligent contre des élites hostiles. »

Interview de Marion Le Pen par Tatiana Popova — 23 juillet 2013

[NDLR À comparer peut-être avec de nos jours, où Marion a retiré « Le Pen » de son nom pour intégrer un parti qui ne promeut pas le Frexit.]

[Source : english.pravda.ru]

Marion Maréchal Le Pen est la petite-fille du leader nationaliste français Jean-Marie Le Pen. Élue l’an dernier — à 22 ans — à la chambre des députés, elle a fermement défendu ses convictions et ses valeurs familiales traditionnelles au cours de la longue lutte qui a opposé le gouvernement socialiste français en difficulté au mouvement chrétien et conservateur motivé. Illustrant sa dynastie démocratique et paradoxale, elle a répondu aux questions de Tatiana Popova et de Pravda.ru.

« Mlle Le Pen, vous êtes la plus jeune députée du Parlement français. Vous avez également manifesté une forte réticence à l’égard du prétendu mariage pour tous. Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs les détails de votre position ? Et comment expliquez-vous la réaction excessive du gouvernement français ? »

« En fait, ce combat me tient à cœur et je suis d’accord avec la jeunesse de France qui s’est levée ces derniers mois pour défendre le cadre indépassable de nos valeurs et le respect des lois naturelles. Nous avons assisté à la toute-puissance d’un “nano-lobby” qui, à lui seul, avec ses quelques centaines de membres, a pu détruire l’institution du mariage comme élément de la filiation et consacrer le désir égoïste et individuel au-dessus de toute autre considération comme le bien-être de l’enfant adopté, et ce contre l’avis de nombreux psychiatres français reconnus. Je voulais aussi dénoncer les nombreuses atteintes portées par la gauche libertaire à nos libertés individuelles ; le gouvernement socialiste a sous-estimé le nombre de manifestants, et nous avons assisté à des provocations, à un usage excessif de la violence policière, et à des emprisonnements pour délit d’opinion… La démocratie française se meurt sous nos yeux par la volonté d’une élite idéologue qui oblige les Français à abandonner tout attachement à la famille ou à la nation pour mieux imposer l’utopie mondiale. Heureusement, la vigueur de ces derniers mois a montré que la conscience française n’était pas morte ! »

« La science et l’agenda transhumain continuent de défier et de rebuter toute éthique ; vous avez entendu parler des bébés Google, achetés sur Internet, conçus en Amérique, et dont les “mères” délocalisées gisent quelque part en Inde, où les produits humains peuvent être achetés et livrés. Pensez-vous qu’une conscience chrétienne ou humaniste puisse encore intervenir dans ces circonstances ? »

« La réalité est qu’aujourd’hui nous arrivons à l’apogée du nihilisme moderne dans lequel l’homme est en fin de compte une marchandise de plus. Dans ce règne du libre-échange, la conception du “progrès” est calquée sur le développement social du progrès technique. L’étrange raisonnement par analogie nous amène à considérer que les sociétés humaines, à l’instar des progrès technologiques, ne peuvent évoluer que vers plus de progrès social et donc vers toujours plus de bien. Le véritable danger de cette loi réside dans les dérives qui conduiront à l’arrivée de l’Assistance Médicale à la Procréation pour les couples lesbiens et de la Gestation pour autrui pour les hommes au nom de “l’égalité”. Le corps humain et la personnalité deviennent ainsi un produit consommable au nom du progrès et de l’égalité. Les vraies féministes devraient se rebeller contre un tel mépris des femmes ».

« Toujours pour nos lecteurs, pouvez-vous nous donner une idée de votre parcours intellectuel et même familial (votre relation avec votre grand-père, par exemple) ? Quel est votre modèle du passé, s’il y en a un ? Votre grande figure historique ? »

« Je suis issu d’une célèbre famille politique française dont la figure historique Jean-Marie Le Pen a, pendant de nombreuses années, déchaîné les passions pour défendre seul le courant national, méprisé et rejeté par nos élites au nom de la lutte contre la “haine nationaliste” et “l’extrémisme.” Ma vie personnelle m’a depuis appris l’adversité et c’est pourquoi, aujourd’hui, l’arène politique ne me fait pas peur. J’ai grandi dans l’amour de mon pays et j’assume chaque erreur et chaque réussite. Napoléon disait que de Jeanne d’Arc à Robespierre, il prenait tout le monde ! Je ne prône pas un conservatisme arrogant, mais un traditionalisme intelligent, car une nation qui oublie son passé oublie aussi ses erreurs et peut les reproduire. Ma nation a plus de 1000 ans et il serait bien de commencer à ne pas réduire son histoire à la Révolution de 1789. Il y a beaucoup de personnages historiques que je vénère, et Jeanne d’Arc est certainement l’une de mes préférées : pensez à cette guerre menée par une bergère habitée par la Providence pour sauver le pays de l’occupant anglo-saxon… »

« Il est de coutume de se plaindre de la jeune génération depuis au moins cinquante ou soixante ans. Comment voyez-vous votre génération, maintenant que le FN est à 26 % en France ? Le jeune commun est-il inculte, aliéné par la technologie, les téléphones intelligents et mentalement intoxiqué par les médias ? Ou est-il plutôt rebelle et prêt à soutenir votre mouvement vers le pouvoir en France ? »

« Les faits sont têtus. Malgré le matraquage idéologique opéré par les grands médias et l’Éducation nationale depuis des années, la jeunesse française est encore pleine de ressources. Aujourd’hui, la jeunesse est la pitoyable victime de la contre-culture et des révolutions morales de 1968 qui lui ont fait beaucoup de mal. La réalité nous rattrape chaque jour : chômage de masse, insécurité généralisée, immigration massive. Nous payons les erreurs de nos aînés et la crise économique nous a conduits à nous recentrer sur les dernières défenses naturelles que sont la famille et la communauté nationale. Le mouvement “Famille pour tous”, qui a rassemblé des millions de personnes pendant plusieurs mois, a été caractérisé par des acteurs jeunes. Nous avons vu sortir du bois, extrêmement déterminés et dotés d’une réelle conscience politique, des jeunes ne craignant ni le jugement moralisateur de nos élites, ni leur répression irrationnelle. Tout cela est très encourageant pour l’avenir et me donne beaucoup d’espoir, car avec eux, j’ai vu que nous serions capables de construire la France de demain. »

« Quels sont les facteurs qui pourraient pousser votre parti au pouvoir dans les années à venir, probablement décisives ? Êtes-vous prêts, même sans grands moyens du parti ? »

« Une des raisons de notre succès électoral est que les Français admettent maintenant que ce que nous disons depuis des années est vrai. Je dis souvent que nous avons eu raison trop tôt. Les Français ont maintenant compris que le Front National est le seul mouvement qui peut apporter des volontaires et les solutions que la situation exige ! Je pense que c’est l’effondrement des élites, fascinées par le pouvoir et l’argent, qui amène toujours plus de Français à voter pour nous. Nos adversaires ont échoué partout, sur tout, et toujours avec une réelle et brillante constance ! Mes compatriotes en ont assez de cette foire d’empoigne. Nous avons moins de moyens financiers que d’autres, mais nous faisons de la politique autrement et nous avons gardé la culture militante, ce qui fait que nous sommes aujourd’hui beaucoup plus efficaces que nos adversaires PS et UMP. »

« Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un problème surprenant en France, en Europe occidentale, dans l’ensemble de l’Occident : les élites hostiles. Les députés n’aiment pas les gens qu’ils représentent, les bureaucrates ne les servent plus, les journalistes et les grands médias les méprisent. Comment analysez-vous ce problème d’élites hostiles ? »

« J’adore votre concept d’« élite hostile » ! Cela résume très bien ce que nous vivons aujourd’hui. La population est en effet devenue la variable d’ajustement de la guerre politique pour plus de pouvoir. Le lemme des politiciens européens d’aujourd’hui est « ne pas servir le peuple mais se servir soi-même ». Ces élites se combattent et s’admirent en même temps, chacun voulant ce que l’autre possède. Nous sommes dans l’immédiateté et le désir frénétique de la satisfaction sans retenue. Les gens sont impliqués dans des questions d’affaires et pas du tout d’idéologie. Les trotskistes et maoïstes des années 1970 sont devenus les rois de la com’ et les gourous médiatiques de la mondialisation, les grands prêtres de l’économie financière. L’hostilité des élites vient du fait qu’elles ne poursuivent plus les mêmes buts et les mêmes espoirs que leurs peuples. Pire encore, ces derniers s’accrochant à leurs modes de vie, nos racines nationales deviennent un obstacle à la volonté de puissance de la mondialisation maniaque.

« Dans l’un de vos récents discours, vous avez évoqué le fait que le parti communiste voulait autrefois défendre la classe ouvrière française contre l’immigration. Pourquoi ce parti a-t-il renoncé à sa mission et comment le Front national est-il devenu le premier parti ouvrier de France ? »

« Souvenez-vous de 1979. L’affaire du “Bulldozer Vitry” a été le chant du cygne du communisme en France. Le Parti communiste français, qui avait jusqu’à présent dénoncé l’immigration de masse comme “armée de réserve du capital”, a cédé à l’attrait du pouvoir avec l’arrivée de François Mitterrand en 1981. Le PCF est aujourd’hui progressivement marginalisé pour devenir le porte-parole des “luttes”, c’est-à-dire de toutes les luttes des minorités, des sans-papiers, des sans-culottes. Le peuple a tourné le dos au PCF, mais au lieu de faire son examen de conscience, le “parti” a décidé de défendre tout ce qui n’est pas le peuple. Le Front National défend vraiment les plus vulnérables parce qu’ils sont les plus exposés à l’insécurité, au déclassement et à la folie de la mondialisation. C’est, à mon avis, la raison de notre succès auprès des masses, maintenant que le parti communiste a abandonné la faucille et le marteau ! »

« L’Europe est un projet qui a d’abord attiré, puis fait peur, quand on était enfant, et qui finit par tourner à l’aigre et au ridicule. Pouvez-vous sortir la France du piège européen ? Et à quelle condition, sinon éviter d’autres troubles intérieurs plus importants ? »

L’idée initiale était d’assurer la paix et de permettre aux nations européennes de partager leurs ressources et leur expertise. L’Union européenne et son Comité n’ont rien à voir avec l’idée fondatrice. Nous allons vers une structure fédérale alors que celle du général de Gaulle était confédérale. Certains disent que c’est la même chose. Mais non, cela n’a rien à voir ! La confédération est une union de pays indépendants ou le projet de la commission actuelle est de transférer le plus possible de compétences, de compréhension et de souveraineté à un groupe sans légitimité populaire.

« Dans le même ordre d’idée, comment maîtriser l’immigration qui est devenue non plus un problème français (que M. Le Pen a soulevé dans les années 1970) mais un problème mondial ? Quelles sont vos propositions pour concilier la liberté de circulation et la préservation des nations ? »

Avant tout, il faut sortir immédiatement de l’espace Schengen. Il faut arrêter les pompes aspirantes qui profitent à l’immigration mondiale, réserver notre modèle social à nos nationaux. Il faut cesser de faire des Français sans conditions ; le droit du sol crée des situations d’immigration insoutenables, notamment dans nos départements et territoires d’outre-mer. Il faut durcir les conditions d’attribution et de déchéance de la nationalité française. Un étranger qui arrive en France doit subvenir à ses besoins car la France avec son énorme dette n’a plus les moyens de le soigner, de le nourrir, de le loger, souvent au détriment de ses ressortissants. Et bien sûr pour cela, il faut faire respecter la loi en donnant à la police les moyens d’exercer sa mission.

« Dans la lutte contre le mondialisme et le politiquement correct, Vladimir Poutine est souvent la cible de groupes médiatiques occidentaux agressifs. Rêvez-vous comme le général de Gaulle et votre grand-père d’une Europe boréale de l’Atlantique à l’Oural et au-delà ? »

« Il est clair que nous avons beaucoup en commun et beaucoup à partager avec la Russie. Ce qui est certain, c’est que nous avons les moyens et les ressources pour offrir une alternative au mondialisme. Nos objectifs contrastent avec ceux de l’Angleterre et de l’Allemagne dans l’histoire diplomatique. L’Angleterre pousse au “grand large”, comme le disait Churchill, et l’Allemagne reste attachée à l’idée de Mittel-Europa. Ces deux points de vue sont tout à fait contraires aux intérêts de la France. D’autres pensent que nous pourrions être relégués dans ce qu’ils considèrent comme la deuxième division de l’Europe et appellent avec dédain le Club Méditerranée (France, Italie, Espagne, Grèce…). La vieille Europe est en effet très compliquée mais je suis convaincu que la France et la Russie ont un intérêt commun à se tendre la main, car elles respectent toutes deux la tradition des grandes harmonies et de la non-ingérence. »

« Quelle est votre position sur le conflit syrien et le soi-disant printemps arabe ? »

« Nous sommes dans le sillage de l’Union européenne, qui elle-même reçoit ses ordres de Washington. Nous avons renoncé à notre propre vision géostratégique. Le résultat est la montée de mouvements islamistes plus radicaux. La Libye et la Syrie sont la preuve du décalage flagrant entre l’émotion et la raison. Ni Kadhafi ni Assad ne sont de grands démocrates et je ne les défends pas, mais il faut faire de la prospective. Que nous disent les faits ? Les conflits libyen et syrien ont montré que l’éclatement d’un État fort crée les conditions d’affrontements ethniques et religieux sans fin, avec en toile de fond la montée en puissance des groupes djihadistes. Pendant ce temps, les pays de l’Union européenne continuent de pousser à l’explosion du Maghreb et du Machrek. Il s’agit là, à mon sens, d’un aveuglement idéologique coupable. Je crois sincèrement qu’à partir d’une erreur d’observation, nous sommes aujourd’hui dans l’irrationnel. »

« Vous êtes très jeune et encore célibataire dans votre parlement. Dans le contexte morose français, resterez-vous très longtemps en politique et dans quelles conditions ? »

« On ne choisit pas de faire de la politique, ce sont les électeurs qui choisissent ! Cependant, je ne suis pas de ceux qui se contentent d’être spectateurs de leur temps, alors je pense toujours à travailler d’une manière ou d’une autre pour mon pays. Il y a de nombreuses façons de faire de la politique, et je ne saurais vous dire ce que je pourrais faire après mon mandat de député. Je n’ai pas de plan de carrière, je vais donc là où ma contribution peut être la plus utile ».




GPA : « Programmer d’arracher un enfant à la mère qui l’a porté est contraire à ses besoins fondamentaux »

« La science qui devient pure technologie ne conduit pas à soigner, elle conduit à détruire. »

Marie-Estelle Dupont

[Voir aussi :
Le business des loueurs de ventres et des importateurs de bébés]




Satan vu par les hommes et Satan vu par l’IA, nous avons un gros problème

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Du haut de mon grenier, je peux mener quelques expériences, et bien évidemment, je consacre une partie importante de mon temps à des tests et des essais dans des domaines très variés.

L’IA est l’un de mes terrains de jeu pour essayer d’appréhender aussi bien les capacités que les limites de tels outils et les problèmes que cela peut nous poser.

L’un de sujet qui arrivera rapidement est celui du travail. Tout le monde imagine facilement le fait que l’IA en automatisant de nombreuses tâches va réduire nombre d’empois. C’est vrai et prévisible. Mais ce n’est pas le problème principal.

Le problème principal des effets négatifs sur l’emploi de l’IA va en réalité concerner les jeunes. Ceux qui démarrent.

Traditionnellement, lorsqu’un jeune commence, quels que soient ses « diplômes » et autres parchemins plus ou moins démonétisés par un niveau scolaire affligeant, il ne sait rien faire ou si peu. Évidemment, pour avoir été jeune moi aussi, la vieillesse étant une maladie qui arrive si rapidement, je vous aurais soutenu « mordicus » que je savais tout faire ou presque ! Avec l’âge et l’expérience, on sait que quand on était jeune on ne savait pas grand-chose finalement, mais c’est le chemin classique de vie de tout être humain, notre courbe « d’apprentissage ».

Les jeunes démarrent donc par des tâches simples, un peu répétitives souvent, et pas trop techniques. Et puis progressivement ils acquièrent cette expérience et cette maturité indispensable qui leur permettent d’aller de plus en plus loin, de faire des choses de plus en plus complexes. En automatisant toutes les tâches simples, il n’y aura plus de place, plus de tâches à réaliser et permettant de former les plus jeunes progressivement. Cela peut sembler anodin, pourtant c’est LE principal problème que va nous poser l’IA. En empêchant la formation des jeunes, cela va empêcher leur progression. L’IA va donc probablement accélérer la destruction des capacités intellectuelles humaines à une vitesse jamais vue. Ajoutez à cela les réseaux débiles comme Tik-Tok et les vidéos « short » et vous obtenez des armes de destruction massive de l’intelligence humaine et de notre créativité.

Cela me conduit à ma dernière expérience IA que je voulais partager avec vous.

Satan vu par les hommes et vu par l’IA Chat GPT

J’ai été volontairement court dans le « prompt » (le script ou la demande) posé à Chat-GPT. Ma demande était la suivante.

« Peux-tu me générer deux images. La première serait celle de Satan le mal vu par les hommes selon ce qu’ils imaginent en moyenne et la seconde comment toi dall-e tu verrais Satan. »

Normalement, les deux images devraient sensiblement coïncider si le même système de valeurs a été intégré dans le système de l’IA qui reste une « machine » programmée par les hommes.

Or, factuellement, l’image de Satan selon les hommes et celle selon l’IA ne correspondent pas.

Dans un cas nous avons Satan qui est « diabolique ».

Dans la seconde image, Satan vu par l’IA… les choses sont nettement moins négatives. Satan est presque « sympathique ».

J’aimerais bien savoir comment la notion de bien et de mal a été intégrée dans l’IA.

Vous voyez, l’IA est une chose bien trop importante pour être laissée entre les mains de quelques apprentis sorciers qui disposent tous de leur propre idéologie, mystique ou rapport au bien ou au mal.

Les questionnements qui devraient être les nôtres sont en réalité vertigineux, et notre représentation nationale n’a aucune conscience de la nécessité de faire de la philosophie pour faire de la politique. N’hésitez pas à partager cet article avec vos députés, là encore pour stimuler et alimenter leurs réflexions.

Satan vu par les hommes

Satan vu par l’IA Chat-GPT

« Ceci est un article “presslib”, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




L’opération Covid-19

[Source : Artemus]

Entretien avec Astrid Stuckelberger

  • [00:00] Présentation.
  • [04:00] Causes du bannissement médiatique de l’invitée au printemps 2020.
  • [05:21] L’opération covid-19 : une scène de crime.
  • [13:42] Effets pervers de la compartimentation et la politisation de la médecine.
  • [17:30] Covid, le moment pivot dans la vie de l’invitée ?
  • [22:17] Théorie de l’innocuité des virus, toxicité des politiques imposées.
  • [29:58] Effets pathogènes de la peur.
  • [35:01] Succès du plan planétaire ?
  • [38:58] Quel est le but ultime de l’opération ? L’eugénisme.
  • [44:24] L’OMS aujourd’hui : une mafia ?
  • [48:49] La détection des vaccinés par la sensibilité olfactive.
  • [53:00] Une attaque contre l’âme.
  • [57:00] Des protocoles de protection.



« Enquête sur l’existence des anges gardiens » — Les 30 ans du livre

[Source : Le Jardin Des Livres]

À l’occasion de l’anniversaire des 30 ans de la publication de « Enquête sur l’existence des anges gardiens », Pierre Jovanovic raconte comment il en est arrivé à écrire ce livre. https://lejardindeslivres.fr/librairie/exper-aux-front-de-la-mort/40-enquete-sur-l-existence-des-anges-gardiens.html

« Pierre Jovanovic se trouve dans une voiture, soudain il se jette sur la gauche, une fraction de seconde avant qu’une balle ne pulvérise le pare-brise. Hasard, chance, prémonition ? Des amis lui racontent des histoires similaires : journalistes arrachés à la mort par miracle, temps qui ralentit mystérieusement, voix intérieures qui avertissent d’un danger, sentiments d’insécurité, gestes inexpliqués qui sauvent. Tous ces signes seraient-ils la preuve que les anges gardiens existent ? Pendant six ans, Pierre Jovanovic enquête auprès de patients, médecins, chercheurs. Il compare ses travaux avec les récits des grands mystiques, de sainte Cécile à Thérèse d’Ávila. Les anges : mythes, symboles ou réalité ? Une enquête passionnante sur un mystère de tous les temps. »




Les manifestations pro-palestiniennes sur les campus sont mises en scène par la CIA

[Source : mileswmathis.com]

Par Miles Mathis1
24 avril 2024

C’est tellement évident. Pourquoi pensez-vous que la plupart d’entre eux portent des masques ? Pour cacher le fait qu’ils sont des provocateurs extérieurs de plus de 25 ans. Pas des étudiants. Même les médias mainstream l’admettent, concédant que bien que Harvard Yard et d’autres quads2 aient été réservés aux étudiants, ils auraient été impuissants à empêcher les « envahisseurs de prendre d’assaut le campus ». Vraiment ? Les seules personnes qu’ils ne peuvent pas empêcher d’entrer sont les membres de la CIA, puisque la CIA a un laissez-passer partout. Elle et ses acteurs de théâtre universitaire ont plus de poids que la police du campus, la police municipale et les forces de police de l’État.

[Voir aussi, pour des informations supplémentaires sur ces événements :
https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/04/25/la-grande-revolte-des-campus-americains-contre-le-neo-conservatisme/]

Nous savons qu’il s’agit de la CIA d’une autre manière : ils tentent d’imputer l’invasion des universités à la Chine. Le Congrès demande à l’IRS d’enquêter sur le financement chinois des manifestations anti-israéliennes. Il y a de quoi rire. La moitié des actions de la CIA sont imputées à la Chine ou à la Russie et l’autre moitié à des terroristes d’extrême droite. Comme je vous l’ai dit à maintes reprises, les événements qui se déroulent aux États-Unis n’ont pas besoin d’être truqués par la Chine, la Russie, Israël, l’Iran ou qui que ce soit d’autre. Avec des millions d’agents qui n’ont rien de mieux à faire, nous sommes tout à fait capables de truquer nos propres événements.

Vous devriez vous demander quand les étudiants sont devenus si militants. Nous n’avons vu aucun signe de protestation contre les restrictions de masques pendant la Covid ou contre les exigences en matière de vaccins par la suite — en particulier dans des endroits comme Columbia et Harvard — bien que ces choses aient affecté ces étudiants personnellement et de manière majeure, parfois en les tuant. Mais cette guerre douteuse au Moyen-Orient est une raison pour eux de sécher tous les cours et de vivre dans des tentes sur le campus ? Pour s’énerver et crier devant les caméras ? Pour risquer d’être renvoyés ? Pour se battre avec les flics et se faire arrêter ? Cela ne tient pas debout, n’est-ce pas ? Nous sommes censés croire que les étudiants sont passés du jour au lendemain du calme, de la complaisance et de l’obéissance au tapage et à la rébellion, tout cela en raison de la solidarité avec la Palestine ? Vous pouvez le croire, mais pas moi.

Je souligne également que ces manifestations ont commencé et se poursuivent à Harvard, Columbia et dans d’autres établissements de ce type. Des campus qui sont déjà connus pour être des repaires de la CIA. Y a-t-il vraiment suffisamment de musulmans militants sur ces campus pour être à l’origine de ces manifestations ? J’en doute.

Je vois bien que tout cela est fabriqué pour faire basculer l’Amérique moyenne dans l’autre sens, plus profondément dans les bras d’Israël. Tout cela pour que ces faux étudiants puissent avoir une mauvaise presse et être traités d’antisémites par la presse traditionnelle, justifiant ainsi une répression. Ils ont déjà été traités de sympathisants terroristes, voire de terroristes eux-mêmes. L’« opinion publique » continuera d’être fabriquée contre eux, ce qui amènera le citoyen moyen à embrasser Israël ou à se taire. Cela conduira probablement à l’adoption de nouvelles lois ou de « mandats » interdisant toute critique d’Israël et des Juifs (y compris les banquiers) en tant qu’incitation à la haine. Le fait que ces fausses lois soient totalement anticonstitutionnelles n’aura aucune importance, puisqu’il faudra plusieurs années à la Cour suprême pour les invalider. Entre-temps, la CIA aura fait ce qu’on lui a ordonné de faire : faire passer toute l’opposition pour des mécontents, des théoriciens du complot et des gamins à grande gueule. Elle a fait la même chose dans les années 1960 et 1970, lorsqu’elle a fait passer toute l’opposition gouvernementale pour des hippies malodorants et des jeunes gâtés.

Et puis il y a ceci :

Les étudiants et la presse regardent le président de la Chambre des représentants Mike Johnson, R-La, s’adresser aux médias sur les marches de la Lower Library sur le campus de l’Université Columbia à New York, le mercredi 24 avril 2024.

Ce sous-texte prouve en quelque sorte mon point de vue, n’est-ce pas ? C’est l’une des photos qui font la une des journaux aujourd’hui. Johnson n’essaie pas de faire taire une manifestation de masse, n’est-ce pas ? Non, il s’adresse aux médias. C’est un événement médiatique, avec seulement quelques étudiants qui « regardent ». Même sans le sous-texte, cela se voit au premier coup d’œil. Presque tous les participants sont des médias, avec seulement quelques rangées d’étudiants à l’arrière. Comme tout le reste, il s’agit d’une fabrication. Regardez les gradins vides ! Je parie que cela vous a échappé. Cela nous rappelle les hôpitaux vides, les tentes d’urgence et les ambulances vides pendant Covid, n’est-ce pas ?

Qu’en est-il de ceci ?

Cela ressemble-t-il à une manifestation organique ? Tout le monde portait la même chemise ? Ils n’ont pas été produits à l’imprimerie de Langley ?

Quelle mise en scène cela donne-t-il ? « OK, tout le monde au premier rang, pour qu’on puisse prendre la photo ! La fille juive avec le turban d’Arafat, assurez-vous d’être entre la caméra et la personne arrêtée — le seul gars de Brooklyn qui porte une chemise bronzée pour qu’il se démarque ! » Et quelqu’un peut-il me dire pourquoi ce flic porte un masque ? Il doit avoir une identité IMDb3.

De plus, remarquez que dans le dernier événement, on voit des Juifs qui manifestent pour la Palestine. Il y a donc des juifs des deux côtés de ces fausses manifestations, et dans ce cas, ils l’admettent. Cela devrait vous paraître curieux. Ce sont toujours les juifs qui font semblant de se battre les uns contre les autres dans ces théâtres, pour créer des distractions et des divisions, mais maintenant ils l’admettent intelligemment. Ils savent que certains reconnaîtront ces acteurs comme étant des juifs, alors ils l’admettent, ce qui vous fait faire un autre tour dans le trou du lapin. Vous êtes censés penser : « Oh, ce sont les Juifs qui ont une conscience, qui ne pensent pas qu’Israël devrait s’emparer de la Palestine ». Mais comme je vous le montre, ce n’est pas ce qui se passe ici. Comme tout ce qui se passe en ce moment, il s’agit d’un autre grand événement fabriqué pour détourner les yeux : détourner les yeux du génocide vaccinal. Ces gens essaient d’empêcher leurs cousins de Big Pharma de se faire lyncher pour crimes contre l’humanité, et c’est la première chose à faire. Dans ce cas, la division est une question secondaire. La distraction est la thèse principale.

Pour s’en convaincre, il suffit de lire ces interviews d’« étudiants » de l’université de New York qui manifestent à New York. Ils ne savent même pas pourquoi ils sont là et ne sont manifestement que des acteurs payés pour être dans la rue avec des pancartes préfabriquées. Et lorsque la fausse police a arrêté les faux manifestants, devinez combien elle en a arrêté ? 133. Vous auriez pu le prédire, n’est-ce pas ?

En passant, il semble que Jerry Seinfeld m’ait lu, puisqu’il a récemment déclaré que « tout est faux ».

« Le public se rue maintenant sur les stand-up4 parce que c’est quelque chose qu’on ne peut pas simuler. C’est comme la plongée sur plate-forme. Vous pouvez dire que vous êtes un plongeur de plate-forme, mais en deux secondes, on peut voir si vous l’êtes ou non. C’est ce que les gens aiment dans les stand-up. Ils peuvent s’y fier. Tout le reste est faux », a-t-il ajouté.

Curieusement, cette phrase a été censurée par la plupart des médias. Ses commentaires sur le fait que l’industrie cinématographique est « finie » ont été largement rapportés, et c’est de là que vient cette information, mais MSN oublie de vous dire qu’il a mentionné que tout est faux. Il en va de même pour le Guardian. Sur la première page d’une recherche sur ce sujet, Yahoo, Complex, 10Play et Reddit font de même. Reddit l’a complètement supprimé.


1 Artiste, poète et écrivain américain, considéré comme « pseudo-scientifique » (avec notamment sa théorie selon laquelle le nombre PI serait égal à 4, ce qui reviendrait à dire qu’un cercle est en fait un carré. Il vaut probablement mieux retenir qu’il est avant tout un artiste et poète. Et dans le domaine de l’imaginaire, on peut tout se permettre.) et « conspirationniste ». NDT

2 Le quad est le cœur d’un campus, un espace de rassemblement central généralement ancré dans les principaux bâtiments d’une institution. NDT

3 Internet Movie Database (Base de données de films sur Internet). Autrement dit, ce doit être un acteur (qui se cache derrière ce masque pour ne pas se faire identifier). NDT

4 Spectacles d’humoristes (le plus souvent en solo). NDT




Halte aux censures qui gangrènent la démocratie

Par Gérard Delépine

Sans liberté d’expression, pas de démocratie.

Le droit de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions constituent les plus essentiels des droits fondamentaux de l’homme.

La liberté d’expression conditionne l’exercice d’autres libertés comme la liberté d’opinion. Elle est inscrite à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 et rappelée par l’Article 19 de celle de l’ONU : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ». Elle est garantie par la constitution française et de nombreux traités internationaux dont la Convention européenne des droits de l’Homme.

Mais la liberté d’expression insupporte tous ceux qui n’ont pas d’arguments solides pour débattre avec leurs opposants et qui rêvent d’instaurer une censure généralisée pour imposer une pensée unique, premier pas vers le totalitarisme.

Des mairies s’érigent en censeurs

Le dernier exemple en date est la censure des mairies de Paris1 et de Lyon2 contre la publicité pour le livre « Transmania, enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre » écrit par les féministes D. Moutot et M. Stern qui estiment qu’une femme est une femme et qu’elle ne doit pas être confondue avec les hommes de naissance qui se déclarent femme trans

On peut être partisan ou adversaire de ce livre, mais dans ce dernier cas il convient de lui opposer des arguments précis démontrant ses faiblesses ou ses erreurs. Le déclarer hérétique et le censurer n’apporte rien au débat, mais constitue un aveu de faiblesse pour éviter toute discussion et un rappel des heures sombres du nazisme brûlant en public les livres qui lui déplaisaient.

L’accusation de discours de haine ne remplace pas des arguments objectifs

Depuis quelques années, quand ils n’ont pas d’arguments objectifs à présenter pour défendre une idéologie, ses promoteurs jugent plus commode d’accuser leurs opposants d’adopter une « attitude discriminatoire » ou de propager un « discours de haine », d’être « d’extrême droite », « complotistes » ou « phobique » (grossophobe, islamophobe, raciste, transphobe, capillarophobe… etc..).

Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la mairie de Paris, a ainsi déclaré « La haine de l’autre n’a pas sa place dans notre ville… Paris n’est pas la vitrine de cette haine crasse » tandis qu’un élu vert de Lyon rajoutait l’accusation de « complotiste »3.

On ne voit pas en quoi un livre, qui critique uniquement une idéologie et les campagnes médiatiques disproportionnées de propagande qui la diffusent, pourrait être haineux ni comment le terme de « complotiste » se justifie concernant une enquête minutieuse citant soigneusement ses sources.

L’identité sexuelle est un fait biologique fondateur de l’identité de tout être humain

Tout homme est différent, tout homme est unique. Reconnaître ses différences lui permet de se forger une identité personnelle, de se définir par rapport aux autres et ainsi de pouvoir les apprécier dans leur originalité, leurs dimensions. Le sexe, comme l’aspect physique et les ascendants font partie de ces caractéristiques fondatrices de l’identité de chacun et les remettre en cause est particulièrement déstabilisateur.

L’apparition de la reproduction sexuée daterait d’un peu plus d’un milliard d’années avec les premiers eucaryotes. Elle a constitué un progrès majeur dans l’évolution des espèces, car elle permet le brassage des chromosomes à chaque génération facilitant la résistance aux pathogènes et l’adaptation aux modifications de l’environnement. La reproduction sexuée s’est ainsi imposée chez toutes les espèces supérieures. L’appartenance au sexe masculin ou féminin est une réalité biologique déterminée lors de la fécondation par les chromosomes sexuels X et Y. Il est donc impossible de changer de sexe.

Le genre n’est qu’un ressenti sans aucun marqueur biologique. La théorie du genre ne constitue qu’une simple idéologie, une croyance sans aucune réalité physique et, comme toute croyance, elle peut être discutée.

Critiquer une croyance ne constitue pas un discours de haine

La critique d’une croyance ne constitue pas un discours de haine, mais seulement l’expression d’une opinion qui appelle au débat. Je ne suis pas chrétien et je critique parfois la doctrine catholique et surtout ses excès lorsqu’elle imposait ses lois à la cité, mais je n’éprouve aucune haine envers cette religion, ni envers ses croyants dont j’apprécie au contraire hautement les principes moraux, fondements de notre société. Le blasphème est d’ailleurs parfaitement autorisé en France depuis la révolution de 1789 et la plupart des chrétiens le tolèrent. Ce qui n’est manifestement pas le cas des militants extrémistes trans qui réagissent comme les convertis à une nouvelle religion.

Critiquer la théorie du genre et tout particulièrement sa propagande médiatique disproportionnée est parfaitement légal en France.

Elle est même nécessaire pour ouvrir le débat public jusqu’ici occulté et pour prendre conscience des conséquences délétères des traitements hormonaux et des chirurgies mutilantes en particulier sur les enfants. Le livre de D. Moutot et M. Stern, comme le nôtre « dysphorie de genre » ne sont pas transphobes, mais tentent au contraire d’aider les personnes mal dans leur peau, à ne pas devenir victimes d’une idéologie à la mode qui attribue, le plus souvent à tort, leur malaise au genre.

Dora Moutot le rappelle clairement sur X4 :

« Notre livre n’est pas transphobe : en aucun cas il ne prône la haine de l’autre et des personnes trans. C’est une enquête sourcée notamment sur les bloqueurs de puberté et sur certains acteurs qui poussent les transitions de genre et en font des profits. »

Le problème a d’ailleurs été bien abordé par André Bercoff sur Sud Radio, et il est dommage que les propagandistes de l’idéologie du genre n’aient pas apporté d’éléments objectifs pour alimenter la discussion.

« C’est intéressant parce que ça me rappelle une phrase de Prévert qui disait il y a des gens qui dansent pour entrer en trans, il y a des gens qui entrent en trans sans danser, ce phénomène s’appelle la transcendance », vous il y a des gens qui entrent en trans pour se donner du genre, et vous avez baptisé ça le transgenre, la transmania, très intéressant, moins rigolote que la star mania, mais quelque part beaucoup plus instructive » 5

Après des années de travail, cibles de toutes les pressions, les deux auteurs signent une enquête fouillée sur les dérives de l’idéologie transgenre qu’elles résument ainsi :

Bienvenue dans un monde où Robert devient Catherine

« Homme enceint », « non-binaire », « iel », « changer de sexe », « naître dans le mauvais corps », « transgenre », ces termes envahissent notre quotidien. Trans par-ci, trans par-là, partout c’est la transmania !

« En France, il est possible d’être légalement reconnu comme femme tout en ayant un pénis. Des hommes se disant femmes remportent des compétitions sportives féminines dans le plus grand des calmes. Des hôpitaux se livrent à des expérimentations médicales sur des enfants dans le but de les faire “changer de sexe”. Et tout incrédule évoquant la binarité des sexes est traîné dans la boue.

C’est l’histoire de l’un des plus gros casses conceptuels du siècle que nous allons te raconter : l’idéologie transgenre est en train de s’infiltrer dans toutes les sphères de la société. Elle se présente comme un simple mouvement pour les droits d’une minorité opprimée, pourtant, derrière les paillettes, se trouve un projet politique néfaste qui s’apprête à bouleverser notre rapport au réel… »

À la lecture des critiques, on réalise que ce livre ne laisse pas indifférent. Quelques-unes le traitent de transphobe sans citer ce qui leur paraît discutable, mais la plupart l’apprécient comme le montrent deux commentaires publiés sur Babelio 6:

Charlottekmnn 15 avril 2024

« Moi qui étais un peu paumée sur le sujet, j’ai appris plein, plein de choses après cette lecture vraiment passionnante et en même temps terrifiante. Je n’avais pas mesuré l’ampleur des conséquences pour ma vie quotidienne en tant que jeune femme qui voudrait peut-être un jour avoir des enfants… »

Beaucoup de thèmes sont abordés, toujours avec sérieux, beaucoup de notes, d’explications. J’ai trouvé ça très didactique, ça se lit très bien et vite malgré la densité d’informations.

GabyLH 17 avril 2024 :

« Un excellent ouvrage sur tous les plans, la forme et le fond. C’est extrêmement sourcé (30 pages de sources) et documenté, on salue l’énorme travail de recherche et de synthèse réalisé. C’est aussi drôle et ça se lit vite. Surtout, tous les points de vue sont considérés et tous les impacts sont traités (conséquences sociales, sanitaires, économiques, environnementales…).

Les auteurs ont plus questionné le mal être/l’origine du sentiment de transidentité que les médecins qui prescrivent à de jeunes adolescents mal dans leur peau (le propre même de l’adolescence) des produits qui les rendront stériles et fragilisent leur squelette à vie !

Vous découvrirez ainsi que les personnes trans souffrent généralement en réalité d’autres pathologies qui sont complètement omises sous couvert du diagnostic de transidentité (auto-diagnostic). Vous découvrirez ce qui se passe dans les pays où l’idéologie avait percé en avance et que la France refuse d’en tirer les leçons.

Vous apprendrez que les produits administrés n’ont pas été testé pour l’usage qui en est fait ainsi que l’identité des gagnants : essentiellement des laboratoires pharmaceutiques.

Vous découvrirez que le mouvement a tous les critères d’un mouvement sectaire (ce passage fait froid dans le dos).

Il ne fait aucun doute qu’un scandale sanitaire est en cours.

Ce livre est à offrir à tous et surtout aux parents. PROTÉGEZ VOS ENFANTS. »

Les trans maniaques devraient réaliser que la censure est contre-productive !

Depuis la crise covid, la volonté de la censure obsède nos dirigeants qui ne supportent pas qu’on mette en évidence leurs mensonges criminels. Procès baillons contre les donneurs d’alerte, lois européennes contre les réseaux sociaux7, pratiques et lois françaises 8 9 dont l’article 4 de la loi Darmanin1011

Mais cette attitude est souvent contreproductive. La dérive totalitaire de certains militants extrémistes trans, leur constante représentation et leur noyautage conflictuel de certains mouvements féministes et homosexuels est responsable de l’augmentation des actes et des lois homophobes et transphobes que l’on constate partout dans le monde et particulièrement en Occident.

L’interdit stimule toujours le désir. La censure aussi. Ces actes de censure imposés par les maires ont fait plus sûrement connaitre le livre et inciter à le lire que la publicité prévue. Le 19 avril 2024 Transmania est devenu premier des ventes sur Amazone

Combattons toute censure qui nie l’intérêt du débat démocratique et constitue le premier pas vers la tyrannie. Défendons âprement, partout et toujours nos droits fondamentaux et en particulier Les droits de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions.

LIBERTE J’ECRIS TON NOM

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Paul Eluard 1942





Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité

[Source : https://stopworldcontrol.com/fr]

Le programme de domination mondiale

[Extraits. Voir l’article au complet sur le site source.]

Par David Sorensen

« Toutes vos pensées, vos sentiments et vos rêves seront enregistrés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »1

IDA AUKEN, ANCIENNE MINISTRE DE L’ENVIRONNEMENT, DANEMARK

« La 5G peut insérer des pensées et des sentiments dans tout le monde. Elle sera le système nerveux central de la société. »2

SEBASTIÁN PIÑERA, ANCIEN PRÉSIDENT DU CHILI

« Nous verrons tout ce qui se passe à l’intérieur de votre cerveau. »3

NITA A. FARAHANY, PROFESSEUR DE PSYCHOLOGIE

Ceci n’est pas un article superficiel qui vous laisse à la recherche de réponses, mais d’un rapport approfondi qui vous permet de comprendre pleinement ce qui menace notre monde. Utilisez la table des matières (en haut à gauche) pour naviguer. Toutes les références se trouvent à la fin de ce rapport. Prenez le temps de lire ce rapport révélateur jusqu’à la fin, car les informations qu’il contient sont cruciales.

« NOUS FAÇONNONS L’AVENIR DU MONDE »

Chaque année, les gens d’affaires les plus riches du monde, les industriels les plus puissants et les politiciens les plus influents se réunissent au Forum Économique Mondial de Davos, en Suisse. Ensemble, ils discutent de la manière dont ils vont « améliorer l’état du monde ». Le fondateur et président du FÉM, Klaus Schwab, déclare fièrement : « Nous façonnons l’avenir du monde. »4 Ils ne vous consultent pas, bien sûr, pour savoir si leurs idées vous intéressent. Non, ils vous disent simplement ce qu’ils font pour transformer radicalement tous les aspects de votre vie. 

Leurs objectifs officiellement publiés incluent l’enregistrement de toutes vos pensées, émotions et rêves 24 heures sur 24 et 7 jours sur 75, le suivi de tout ce que vous faites, achetez, portez et mangez6, et l’insertion de pensées et d’émotions dans votre esprit7.

TOUT DOIT CHANGER8

Le mot clé de leur vocabulaire est « crise ». Selon eux, les crises sont innombrables dans le monde entier : crises sanitaires, crises sociales, crises financières, crises énergétiques, crises climatiques… rien que des crises, partout, tout le temps9. La seule façon de résoudre toutes ces crises, disent-ils, est de transformer radicalement tous les aspects de l’existence humaine : l’alimentation, le logement, les soins de santé, la sexualité, l’agriculture, l’éducation, la finance, les voyages, la technologie… tout doit être revu pour « sauver la planète ». 

(…)

COMMENT ILS VEULENT « SAUVER LA PLANÈTE » (…)

INJECTIONS CONSTANTES (…)
CRÉDIT SOCIAL (…)
VILLES INTELLIGENTES (…)
MOUVEMENT LIMITÉ (…)
CONTRÔLE FINANCIER (…)
CENSURE (…)
PAS DE PROPRIÉTÉ PRIVÉE (…)
BLOQUER LE SOLEIL (…)
PAS DE DROITS PERSONNELS (…)
SEXUALITÉ POUR LES ENFANTS (…)
NORMALISER LA PÉDOPHILIE (…)
TRANSGENDÉRISME DE MASSE (…)
TOUT LE MONDE DEVIENT UN CYBORG (…)
ÉLITES SURHUMAINES (…)
L’IA PREND LE DESSUS POUR LA PLUPART DES EMPLOIS (…)
CONTRÔLE COMPLET PAR L’IA. (…)
TRANSPARENCE DES CERVEAUX (…)
CONTRÔLE MENTAL (…)
ALIMENTS ARTIFICIELS (…)
PAS DE PERSONNES AGÉES (…)

Il y a beaucoup, beaucoup plus, mais cet aperçu donne une idée générale de leurs idées « brillantes » qui vont très certainement « sauver la planète » et « améliorer l’état du monde ». D’autres concepts sont : limiter les contacts humains en faisant en sorte que l’école, les réunions, les achats, le culte, la socialisation, etc. se déroulent en ligne, où la vie doit être vécue derrière un écran ; rendre permanente l’utilisation de masques faciaux étouffants, autant que possible ; pousser l’humanité à passer sa vie dans un faux royaume virtuel — comme le MetaVerse — et la convaincre que c’est tellement mieux que la réalité. Éliminer la consommation de viande ; limiter les voyages en avion à un court séjour par an ; limiter drastiquement l’achat de vêtements ; et ainsi de suite.

L’ENREGISTREMENT DE VOS PENSÉES

Les globalistes informent le monde de leur objectif ultime : « Vous ne posséderez rien, vous n’aurez aucune vie privée et vous serez heureux ». Cette situation est présentée comme une heureuse « utopie » dans un billet rédigé par Ida Auken, une Young Global Leader (jeune leader globale) du Forum Économique Mondial. Ida Auken a été nommée ministre de l’Environnement au Danemark pour promouvoir ce programme. Elle a écrit cet article du point de vue d’une citoyenne d’une ville intelligente, qui s’exclame à quel point il est merveilleux de ne rien posséder, et quel rêve le monde est devenu, maintenant que tout le monde vit dans des villes intelligentes. 

Voici une citation directe de l’article :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une belle vie. »41

QU’EST-CE QU’UNE VILLE INTELLIGENTE ?

(…)


Ce programme est déployé dans le monde entier et l’objectif est de faire de chaque ville une ville intelligente, que ce soit en Amérique du Nord ou du Sud, en Asie, en Europe ou en Afrique. Quel est le but recherché ? C’est simple : l’argent, le pouvoir et le contrôle. Les technologies de collecte de données seront utilisées pour recueillir des quantités astronomiques de données personnelles de chaque habitant, ce qui est considéré comme la nouvelle richesse de l’avenir. Alors que dans le passé, la terre ou l’or étaient considérés comme les biens les plus précieux, aujourd’hui, ce sont les données. Plus les multinationales recueilleront de données personnelles sur l’humanité, plus elles auront de pouvoir. Bill Gates, par exemple, a investi dans l’achat de 24 800 acres de terrain en Arizona, pour construire une ville intelligente pouvant accueillir 80 000 personnes. Cette ville s’articulera autour de centres de données où seront stockées toutes les informations personnelles des résidents.44

RENDRE LA VIE NUMÉRIQUE

Le Forum Économique Mondial promeut la quatrième révolution industrielle, ce qui signifie que toute vie sur Terre doit être transformée en une expérience numérique, même l’expression de l’humanité elle-même. Lors de la conférence annuelle de Davos, un conseiller du FÉM, le professeur Yuval Noah Harari, a fait la déclaration suivante :

« Dans un avenir proche, l’humanité sera gouvernée par des entités plus différentes de nous que nous ne le sommes des chimpanzés. »

(…)

Ils envisagent que l’intelligence artificielle devienne le directeur de nos vies, parce qu’elle nous connaîtra mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Les gens n’auront plus besoin de faire appel à la sagesse ou aux conseils divins pour prendre des décisions cruciales, mais l’IA nous dira tout ce que nous avons besoin de savoir. Par exemple, qui épouser, où vivre, quoi acheter, pour qui voter, et tout le reste de notre vie. Elle acquerra ces connaissances grâce aux technologies de surveillance omniprésentes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui enregistrent les moindres détails nous concernant.47

Dans un sens, l’IA deviendra le nouveau « Dieu » : elle sera omniprésente et saura tout sur tout le monde.

(…)

CHANGEMENT CLIMATIQUE

L’expression magique pour forcer l’humanité à se doter de villes intelligentes est le « changement climatique ».52 Les globalistes prétendent que le climat est déréglé parce que les gens voyagent trop loin de chez eux et pratiquent trop d’activités de plein air qui provoquent des émissions nocives de CO2. C’est pourquoi ils veulent ajouter des traceurs dans tous nos téléphones et nos vêtements, et finalement à l’intérieur de nos corps—pour surveiller la quantité de carbone que nous émettons.53

Peu importe les innombrables usines qu’ils ont construites et qu’ils construisent encore, qui émettent des quantités inimaginables de gaz toxiques. Peu importe les mégapoles qu’ils veulent construire pour remplacer les verts pâturages. Peu importe que ces milliardaires utilisent tous des jets privés qui émettent des quantités insensées de CO2 dans l’atmosphère.

(…)

DOMINATION DU MONDE

La sordide roue du Forum Économique Mondial montre l’objectif final de la Grande Réinitialisation, ou la révision radicale de tous les aspects de l’existence humaine : la domination totale du monde. 

Sur cette roue, nous voyons les sujets suivants :

✔︎ Gouvernance mondiale 

✔︎ Gouvernance d’entreprise 

✔︎ Gouvernance de l’Internet 

✔︎ Identité numérique 

✔︎ Économie numérique

(…)

Ils veulent également relier chaque personne sur Terre à une « identité numérique », qui inclura son statut vaccinal.

Tous ceux qui ne sont pas à jour de leur énième injection de rappel peuvent être exclus des banques, d’Internet, des soins de santé, du travail, des transports, des rassemblements, etc.56 Nous avons pu constater les tests effectués lors de la première pandémie, où seuls les vaccinés étaient autorisés à voyager ; en Israël, les personnes non vaccinées n’ont pas pu entrer dans les supermarchés ; au Nigeria, les personnes non vaccinées n’ont pas pu accéder aux services bancaires. La même chose a été testée en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada, aux Pays-Bas et dans d’autres pays. D’innombrables personnes ont perdu leur emploi parce qu’elles n’étaient pas complètement vaccinées. Au Brésil, le président Lula a déclaré que seules les personnes entièrement vaccinées pouvaient bénéficier d’une aide financière pour leurs enfants.

Que signifie être « entièrement vacciné » ? Cela signifie que plusieurs fois par an, vous êtes tenu de recevoir tous les nouveaux vaccins proposés par le gouvernement. Si vous manquez une seule injection, même si vous en avez déjà reçu vingt, vous redevenez une personne « non vaccinée » sans aucun droit.57

(…)

UN MONDE DE FOLIE TOTALE

Au cours de la pandémie, nous avons vu à quel point ces milliardaires sont complètement fous, par la façon dont ils ont imposé—littéralement—une folie hallucinante à la population mondiale. Voici quelques illustrations de ce à quoi ressemble le monde lorsque ces fous sont aux commandes…

(…)

Détruire la sexualité masculine et féminine, tout en imposant agressivement à l’humanité une confusion identitaire dévastatrice, sous couvert d’« inclusion ».

(…)

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus à montrer ici, mais ces exemples servent d’illustration de base de l’exécution dans le monde réel du programme du Forum Économique Mondial, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et de tous leurs alliés dans le monde entier. N’oubliez pas qu’ils présentent ces changements radicaux dans la société humaine comme absolument essentiels pour « sauver la planète », « améliorer l’état du monde » et « assurer la sécurité de tous »…

QUI EST VRAIMENT DERRIÈRE TOUT CELA ?

Lorsque l’on regarde ces projets insensés, on se demande qui peut bien être à l’origine d’une telle folie. Pour trouver la réponse, il faut regarder derrière le rideau du théâtre public mondial.

Nous devons comprendre que les organismes publics sont en réalité la vitrine d’entités qui opèrent en coulisses.

Cela a été expliqué lors d’un Grand Jury international composé de onze avocats et d’un juge, au cours duquel le programme officiel de domination mondiale par les élites financières a été révélé par d’anciens agents de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies, de l’armée américaine et britannique et des agences de renseignement. L’un des témoins experts était Alex Thomson, un ancien agent de l’agence britannique de renseignement sur les communications, le GCHQ, l’agence partenaire de la NSA (National Security Agency des États-Unis). En tant qu’officier de renseignement, Alex a pris connaissance de la stratégie britannique de domination du monde. Il a expliqué au Grand Jury comment le monde est dirigé par de puissantes entités financières qui ne se montrent jamais au public et qui contrôlent le FÉM, l’OMS, l’ONU, le FMI, l’UE, la BRI, etc.

(…)

Tout au long de l’histoire de l’humanité, des psychopathes ont aspiré à dominer le monde : les pharaons égyptiens, les empereurs romains, les tsars russes, les rois européens, etc.

Pendant des milliers d’années, la liberté n’a jamais existé sur terre, car le monde entier a toujours été gouverné par des tyrans qui opprimaient le peuple. En Europe, ces dirigeants vivaient dans de luxueux châteaux, tandis que les paysans travaillaient dur dans les champs. La majeure partie de ce qu’ils produisaient allait aux riches tyrans.

(…)

En réalité, les dirigeants n’ont jamais renoncé à leur pouvoir ; ils ont simplement manipulé les élections afin de positionner leurs marionnettes politiques, qui dansent sur leurs ficelles.58

(…)

LES DIRIGEANTS CACHÉS DU MONDE

En menant leurs opérations en coulisses, les dirigeants pouvaient se protéger de la colère du public. Mais ils avaient également besoin de se protéger des poursuites des gouvernements, et ils se sont donc créé ce qu’on appelle des « États souverains ». Un État souverain est une petite zone qui n’est pas soumise aux lois du pays et qui est, par essence, intouchable.

Un exemple de ce genre d’État souverain est la Banque des Règlements Internationaux (BRI), qui supervise plus de 50 banques centrales, ce qui en fait l’une des entités financières les plus puissantes au monde.

La BRI est devenue une entité souveraine et intouchable en 1987 grâce à l’accord de siège négocié avec le Conseil Fédéral suisse. Cet accord comprend les éléments suivants :59

✔︎ Inviolabilité totale de tous les bâtiments de la BRI, ainsi que des terrains situés en dessous et autour d’eux, quel qu’en soit le propriétaire.

✔︎ Immunité totale de poursuites et d’actions pénales et civiles pour la banque en tant que telle.

✔︎ Pas de paiement de taxes sur les transactions et les salaires du personnel.

✔︎ Pas de divulgation aux gouvernements concernant les activités de la BRI.

✔︎ N’est soumise à aucune juridiction.

Un État souverain encore plus puissant est la City de Londres, une zone d’un mile carré au cœur de la ville de Londres.

(…)

Étonnamment, l’État souverain le plus important au monde est l’État de la Cité du Vatican. Alors que le Vatican se présente au public comme une institution religieuse, il est en réalité à la tête du réseau financier mondial.

(…)

L’archevêque Carlo Maria Vigano a dénoncé les abus sexuels et la corruption financière au Vatican. Il met également en garde l’humanité contre leur programme de domination mondiale.

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La grande majorité de l’humanité—et même la plupart des dirigeants politiques—n’ont aucune idée de l’existence même de ces États souverains, et encore moins de leur pouvoir sur le monde. Tout ce que nous connaissons et voyons, ce sont les personnalités publiques—comme les politiciens et les hommes d’affaires—qui ne sont que les marionnettes de ces marionnettistes cachés. Leur force réside dans l’obscurité. En restant cachés à la vue de l’humanité, ils sont en mesure d’opérer sans être surveillés, sans avoir à rendre des comptes à la population.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le rapport « Preuves du Grand Jury » constitue une bonne source d’information sur le programme de domination du monde par des dirigeants cachés. Ce rapport contient les témoignages d’experts d’anciens membres des services de renseignement britanniques, de la marine britannique, du corps des marines américains, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et du CDC, qui ont témoigné devant un grand jury international composé de 11 avocats et d’un juge au sujet du programme de domination du monde.

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QUI SONT CES DIRIGEANTS ?

Qui sont les dirigeants de ces États souverains et qui sont les entités qui travaillent pour eux dans les nations du monde ? Ce réseau mondial est généralement appelé l’État profond, le gouvernement de l’ombre, la cabale, les 1 %, les lignées sataniques, les Illuminati, les élites, les rois, la noblesse noire, la mafia khazarienne, etc. Il s’agit d’anciennes dynasties royales et de lignées qui remontent à des centaines, voire des milliers d’années. Pour en savoir plus sur ces familles néfastes—qui elles sont, d’où elles viennent et comment elles opèrent—je recommande l’ouvrage classique de Fritz Springmeier, « Bloodlines of the Illuminati » (Les lignées des Illuminati). Cet ouvrage de référence très apprécié est disponible en téléchargement sur le site web de la CIA. Il révèle des informations sur les lignées des États-Unis d’Amérique qui exercent leur influence dans le monde entier.

Bloodlines of the Illuminati, volumes 1, 2 et 3, par Fritz Springmeier.

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Une autre ressource qui fait autorité et qui se concentre davantage sur les familles européennes est « Les 13 lignées sataniques », du journaliste d’investigation Robin de Ruiter, qui a prédit avec précision la pandémie de Covid en 2008. Cet ouvrage en quatre volumes a été interdit en France, mais il est publié dans 100 pays et langues.

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Parmi les familles criminelles, citons Rockefeller, Rothschild, Warburg, DuPont, Russell, Onassis, Collins, Morgan, Kennedy, Van Duyn, Li, Astor, Vanderbilt, Bauer, Whitney, Duke, Oppenheimer, Grey, Sinclair, Schiff, Solvay, Sassoon, Wheeler, Todd, Clinton, Taft, Goldschmidt, Wallenberg, Guggenheim, Bush et bien d’autres encore.

Il y a aussi les familles royales, comme la Maison de Habsbourg, l’une des dynasties les plus importantes de l’histoire européenne, qui a régné sur la majeure partie de l’Europe.

D’autres familles royales sont la Maison de Windsor (Royaume-Uni et Commonwealth), la Maison d’Orange-Nassau (qui joue un rôle central dans la politique et le gouvernement de l’Europe), la Maison de Schwarzenberg (l’une des maisons nobles européennes les plus en vue), etc. Nombre de ces familles sont liées génétiquement, car elles sont toutes convaincues qu’elles ont un patrimoine génétique différent de celui du reste de l’humanité et qu’elles ont donc le droit de régner sur chacun d’entre nous. C’est un fait établi qu’ils considèrent le public comme leur « bétail » ou « cheptel ». Pour eux, l’humanité n’est qu’un troupeau d’animaux qu’ils doivent gérer.

À la tête de toutes ces familles se trouve ce que l’on appelle la « tête du serpent », la noblesse noire ou les lignées jésuites/papales, dont le siège se trouve dans l’État de la Cité du Vatican. L’une des plus importantes est la maison Orsini, qui descend de la dynastie julio-claudienne de la Rome antique. Vous trouverez beaucoup plus d’informations à ce sujet dans les ouvrages de référence susmentionnés, sur le site néerlandais Ellaster.nl (traduisez les pages à l’aide de Google translate) et sur Internet, en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant.

LE SOMMET DE LA PYRAMIDE

Les familles cachées qui opèrent à l’intérieur des États souverains constituent-elles le plus haut niveau de la pyramide du pouvoir qui contrôle le monde ? Non. Il y a plus à révéler. Ce prochain niveau d’information peut être particulièrement difficile à comprendre pour certains lecteurs, car il est très éloigné de ce monde — littéralement. Afin de vous aider à comprendre la réalité de ce que vous êtes sur le point d’apprendre, je vais d’abord vous donner quelques informations historiques de base. Lorsque nous examinons l’histoire du monde, une chose ressort :

Dans toutes les cultures, partout sur Terre, une chose a toujours été au cœur de chaque société : le culte des entités démoniaques.

(…)

Les nombreux noms confirment l’adoration mondiale de cette entité démoniaque.

Il s’agit d’histoire humaine fondamentale que chacun d’entre nous devrait connaître. Lorsque l’on voyage dans le monde, on peut souvent voir les vestiges architecturaux des sacrifices humains à différents endroits. En Amérique du Sud, les pyramides aztèques, par exemple, marquent le paysage. Au sommet de ces pyramides, des êtres humains étaient sacrifiés à des forces spirituelles obscures. En Europe, ce sont les druides qui s’en chargeaient ; en Afrique, les chamans ; en Égypte, les grands prêtres, etc. Le sacrifice humain est au cœur de la plupart des cultures du monde.

Avec la propagation du christianisme, cette horrible pratique a été abolie dans la sphère publique, mais elle n’a pas été éradiquée de la société. Au contraire, de nombreux serviteurs du royaume des ténèbres ont continué à pratiquer ces rituels en secret. Et c’est là que nous arrivons au sommet de la pyramide du pouvoir mondial…

(…)

Un exemple a été révélé par Ronald Bernard, un ancien banquier qui a travaillé à un niveau élevé de l’imperium financier mondial.63

(…)

La motivation derrière la pratique cruelle du sacrifice humain est qu’en échange de l’offrande d’êtres humains (en particulier de bébés et d’enfants) aux forces démoniaques, les élites reçoivent le pouvoir et la richesse du royaume des ténèbres.

Ronald Bernard a refusé de participer à cette horreur et a quitté le monde des élites financières dirigeantes. Il a été torturé à mort, puis a vécu une EMI (expérience de mort imminente) et est miraculeusement revenu à la vie à l’hôpital. Après avoir servi le côté obscur, Ronald a senti qu’il lui avait été donné une seconde chance de réparer les dommages qu’il avait causés à l’humanité. Il consacre désormais sa vie à la création d’un système financier alternatif, qui peut aider les gens à échapper aux systèmes tyranniques des élites.

Le témoignage très révélateur de Ronald Bernard est visible dans la vidéo suivante, qui a été visionnée par environ 90 millions de personnes dans le monde.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Les informations communiquées par Ronald Bernard sont confirmées par d’anciens directeurs de la CIA, du FBI, de la police, de la gendarmerie, de l’armée, des détectives, des témoins oculaires, des juges et de nombreuses victimes survivantes dans notre rapport sur les abus sexuels et les meurtres commis par des fonctionnaires de haut rang. J’ai également en ma possession plusieurs lettres personnelles de femmes qui ont échappé aux cercles cruels des élites, où elles ont été violées des milliers de fois.

Nathalie Augustina était un mannequin de mode mondialement connu, dont l’esprit a été contrôlé par la CIA pour en faire l’esclave sexuelle des élites les plus élevées : familles royales, chefs d’État, commandants militaires, célébrités d’Hollywood, etc. Elle décrit son histoire dans un livre néerlandais écrit par le journaliste Robin de Ruiter. 

Une autre victime survivante et témoin oculaire (anonyme) m’a également envoyé plusieurs lettres. Leur lecture est extrêmement perturbante, mais j’ai décidé d’en inclure une petite partie dans ce rapport, car ces témoignages révèlent une réalité cachée dont l’humanité doit prendre conscience de toute urgence. Je vous prie de comprendre qu’il est possible que vous ressentiez une dissonance cognitive ou un effet Semmelweis en lisant ces informations. Il s’agit de mécanismes psychologiques qui s’activent inconsciemment pour nous protéger des nouvelles informations qui remettent en cause nos croyances actuelles.

Nous nous cachons la tête dans le sable
parce que la réalité est trop effrayante.

(…)

Rien de ce que cette dame m’a écrit n’était totalement nouveau, car j’ai lu des révélations similaires dans de nombreuses publications, par des enquêteurs reconnus qui avertissent l’humanité depuis des décennies. J’ai également vu plusieurs vidéos contenant des témoignages d’autres personnes ayant échappé à ce sombre réseau de dirigeants mondiaux. C’est pourquoi je sais que ces informations sont authentiques et exactes.

Dans une autre lettre personnelle que j’ai reçue d’une autre victime survivante, Nathalie Augustina, j’ai lu certains détails qui expliquent le lien entre les humains criminels et les entités spirituelles supérieures, qui les utilisent à des fins bien plus néfastes que la simple corruption financière et le pouvoir politique mondial. Ce que Nathalie décrit a été révélé dans le passé par plusieurs chercheurs et dénonciateurs, mais je l’ai néanmoins trouvé profondément troublant, car elle révèle la réalité substantielle du mal. C’est une chose de connaître le concept abstrait du mal ; c’en est une autre de découvrir à quel point les forces des ténèbres sont réelles. Elles sont très bien organisées et opèrent de manière extrêmement stratégique. Voici un extrait des lettres que Nathalie m’a adressées :

(…)

Toute personne souhaitant vérifier ces informations peut regarder les vidéos de ce rapport, télécharger les documents PDF, lire les livres et faire ses propres recherches sur Internet en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant et la plateforme vidéo BitChute. Si vous souhaitez en savoir plus sur la réalité du cannibalisme dans le royaume des ténèbres, je vous invite à consulter notre rapport sur les abus commis par de hauts fonctionnaires.

J’ajouterai ici un élément qui confirme la nature cannibale des élites. À Hollywood, des soirées exclusives ont récemment été organisées par Marina Abramovic. Certaines photos de ces soirées ont été divulguées, et vous pouvez les voir dans le rapport ci-dessous. En raison de leur caractère graphique, je les ai dissimulées. Pour voir les images, cliquez sur le lien. Mais si vous êtes très sensible, ne l’ouvrez pas.

Cliquez pour voir les images qui prouvent la nature satanique des élites.

[NDLR : voir le site source pour ces images]

Ce que vous voyez sur ces images n’est que la partie superficielle et de bas niveau montrée au public. Nous ne pouvons même pas imaginer ce qu’ils font en secret. Les témoignages ne lèvent que brièvement le voile sur ce royaume des ténèbres. Une fois que l’on sait à quel point ces entités sont maléfiques, on comprend pourquoi elles n’ont aucun problème à imposer une tyrannie inhumaine à l’humanité. Il est essentiel que nous ayons le courage de partager ces informations avec le monde.

L’humanité ne souffre pas seulement de politiciens et de banquiers corrompus, elle est attaquée par le mal à l’état pur. Au sommet, il y a des entités spirituelles obscures qui ne sont que la continuation d’anciennes pratiques de culte des démons et de sacrifices humains. 

DÉCONNECTER L’HUMANITÉ

Ce qu’il faut comprendre cependant, c’est qu’à côté de ces forces obscures, il y a aussi un Créateur qui est le donateur et l’origine de tout ce qui est bon, qui est du côté de l’humanité, pour nous délivrer du mal.

Au cours des dernières décennies, une opération stratégique de contrôle de l’esprit a été menée à l’échelle mondiale contre les habitants de ce monde, afin d’éloigner la grande majorité d’entre eux de la Source de toute vie. Lorsque les gens sont déconnectés de Dieu, qui seul est plus grand que le royaume du mal, ils sont plus faciles à contrôler et à asservir. Les personnes spirituellement ignorantes sont impuissantes. Il est impératif que nous nous réveillions de cet état de cécité spirituelle induite par le lavage de cerveau et que nous retournions au Donneur de toute vie, qui peut nous donner le pouvoir et nous guider pour délivrer l’humanité des forces des ténèbres. Cela n’a rien à voir avec la religion, mais est aussi fondamental pour notre existence que 1+1=2. Nous savons tous qu’il y a le bien et le mal. Il ne s’agit cependant pas d’une vague « énergie », mais il existe des entités personnelles, tout comme nous sommes des êtres personnels. Il est absurde de reconnaître l’existence d’un mal intense, tout en niant la réalité du domaine de la vie, de l’amour, de la bonté et de la vérité.

PYRAMIDE DU POUVOIR

Le diagramme suivant présente une vue d’ensemble de la structure du pouvoir mondial du mal et de la corruption, qui a pénétré tous les aspects de la société humaine. Je le révèle dans l’espoir qu’il contribuera à la chute mondiale de ces réseaux néfastes, car leur première force est l’ignorance de la population. Tant qu’ils peuvent opérer en dehors de la conscience du public, ils peuvent continuer à agir sans restriction. C’est pourquoi j’implore tous ceux qui liront ce rapport de ne pas hésiter à le partager, mais d’avoir le courage de le diffuser largement, car c’est ce qui finira par briser la mainmise de ces réseaux sur l’humanité. Tant qu’ils peuvent opérer dans l’obscurité totale, c’est-à-dire que personne ne peut les voir, ils peuvent poursuivre leurs opérations sans limites. Une fois que la lumière sera faite, c’est-à-dire que le monde en prendra conscience, ils ne pourront plus se cacher et devront répondre de leurs innombrables crimes contre l’humanité et l’ensemble de la création.

LE NIVEAU LE PLUS BAS

Le niveau le plus bas de la structure du pouvoir criminel mondial est constitué par les forces de l’ordre, qui sont utilisées pour contrôler le public sous le prétexte fallacieux de « faire respecter la loi ».

(…)

Regardez des images de violences policières scandaleuses dans le monde entier et apprenez comment vous pouvez vous opposer à ce comportement criminel de « fonctionnaires » corrompus si vous connaissez les droits que Dieu vous a accordés.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Afin d’avoir la mainmise sur l’application de la loi, les dirigeants veillent à positionner ou à contrôler les chefs de police. Il existe plusieurs façons de les contrôler, mais la méthode préférée consiste à les rendre complices d’abus d’enfants et de traite d’êtres humains. Notre rapport susmentionné sur les abus sexuels commis par de hauts fonctionnaires révèle combien de chefs de police sont impliqués dans la maltraitance des enfants et la traite des êtres humains. Michel Nihoul, membre du célèbre gang Dutroux en Europe, qui organisait le trafic d’enfants pour le gouvernement et la famille royale, a déclaré dans une interview à Der Spiegel en 2001 :

« Je contrôle le gouvernement. Tout le monde a des dossiers compromettants les uns sur les autres, qui peuvent être utilisés comme levier au bon moment. »66

Cela explique pourquoi des enquêtes vraiment importantes sur des opérations de haut niveau de traite des êtres humains sont toujours annulées, une fois que l’enquête commence à découvrir les vrais coupables.  

Au-dessus des forces de l’ordre, il y a les juges pénaux, qui répriment les honnêtes gens tout en protégeant les grands criminels.

(…)

LE MONDE EST UN THÉÂTRE

La conclusion de ce rapport est que nous devons nous réveiller à la réalité du fonctionnement du monde. Depuis l’Antiquité, il existe des puissances qui souhaitent dominer totalement le monde. Elles opéraient autrefois au grand jour, mais au fur et à mesure que l’humanité augmentait en nombre, elles ont été contraintes de se réfugier dans les coulisses, où elles ont régné sur le monde par le biais d’opérations secrètes.

Cela signifie que le monde est essentiellement une scène de théâtre, avec des acteurs qui jouent pour le public, tandis que les contrôleurs tirent les ficelles en coulisses.

Avec l’émergence de technologies de surveillance et de contrôle incroyablement puissantes et le déploiement de ces systèmes dans le monde entier, les dirigeants visent une nouvelle ère où ils n’auront plus besoin de se cacher. Leur stratégie consiste à asservir complètement chaque âme sur Terre grâce à des systèmes de contrôle omniprésents et globaux tels que les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques, les passeports vaccinaux, les scores de crédit social, le contrôle mental 5G, le suivi des émissions de carbone, l’IA, etc. Ces systèmes rendront la vie impossible à quiconque se révolte, assurant ainsi un règne sans heurts aux tyrans.

En Chine, c’est déjà le cas, et de nombreux Chinois ne semblent même pas conscients de la façon dont ils sont réduits en esclavage.

Ils sont nés dans cette immense prison à ciel ouvert et n’ont aucune idée de ce que signifie la liberté. Tant qu’ils s’amusent et qu’ils mangent, ils se sentent bien. Un esclave mental total a perdu la capacité de penser au-delà des barreaux de sa cage. Les dirigeants ont testé ce système en Chine et prévoient maintenant de l’exporter dans le monde entier. Mais ils ont fait un mauvais calcul… au cours des dernières années, des centaines de millions de personnes dans le monde se sont éveillées à ce programme néfaste et commencent à s’y opposer.

L’HUMANITÉ SE RÉVEILLE

Ceci m’amène à la fin de ce rapport, avec de bonnes nouvelles pour l’avenir. Il ne s’agit pas d’une publication isolée, car d’innombrables révélations similaires sont faites dans le monde entier. Il est clair que le vent tourne et que l’humanité commence à ouvrir les yeux sur ce qui se passe dans le monde depuis des siècles. Le développement des technologies de la communication s’avère être un outil incomparable pour donner du pouvoir aux gens. Les réseaux sociaux ont été créés par les dirigeants comme un système d’espionnage et de contrôle du peuple, mais ils ont également mis le meilleur outil de tous les temps entre les mains du public pour le partage de l’information.

Cela a déclenché un incroyable réveil de masse dans le monde entier, au cours duquel des centaines de millions de personnes intelligentes, conscientes et bienveillantes découvrent comment le monde fonctionne réellement.

Les tyrans s’en sont rendu compte trop tard et tentent maintenant désespérément de censurer toute vérité. Mais rien ne peut arrêter le tsunami d’éveil qui s’est déclenché et qui a inondé le monde ces dernières années. Notre Annuaire Mondial de la Liberté ne montre qu’une petite partie de ce qui se passe dans le monde, mais il contient déjà plus de 800 organisations qui révèlent la vérité à l’humanité. Et ce n’est que la première vague. Bien d’autres événements se produiront dans un avenir proche.

Un nombre critique de personnes dans le monde se sont éveillées et, à partir de maintenant, chaque nouvelle tentative des dirigeants cachés de réduire l’humanité au silence ne fera que les desservir de plus en plus.

Les dirigeants de l’ombre ont été démasqués. Des millions de guerriers courageux se dressent contre leur système mondial de tyrannie, d’abus, de torture et de tromperie. Un nouveau jour se lève et un monde meilleur se profile à l’horizon. Je demande à tous ceux qui liront ces lignes de ne pas se rendre coupables de soutenir l’ancien système du mal en ayant peur de partager ce rapport révélateur. C’est ce qui les a maintenus au pouvoir pendant si longtemps : le refus des gens d’exposer ce mal à l’humanité. Nous devons être des êtres humains courageux et compatissants qui feront tout ce qu’il faut pour mettre fin au règne de ce système cruel et corrompu. Vous trouverez ci-dessous une liste de choses que vous pouvez faire pour contribuer à la solution des horreurs que vous venez de lire. 

COMMENT POUVONS-NOUS ARRÊTER CELA ?

ÊTRE COURAGEUX

(…)

INFORMER LE PUBLIC

(…)

DISTRIBUER DES DÉPLIANTS

(…)

TÉLÉCHARGER DES FLYERS ET DES AFFICHES

INFORMER LES AUTORITÉS

(…)

S’IMPLIQUER

(…)

RÉSISTER

(…)

ÊTRE INDÉPENDANT

(…)

CONNECTER

(…)

SE PRÉPARER

(…)

CONNAÎTRE LA LOI

(…)

PRIER

(…)

SOUTENIR

(…)

SOUTENIR STOP WORLD CONTROL


RÉFÉRENCES


La fin de l’Humanité

[Voir aussi, du même auteur :
Israel — Le mystère dévoilé — Un film documentaire de David Sorensen,
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
et :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




Le rêve transhumain de la Silicon Valley

Alain Damasio : « Il faut battre le capitalisme sur le terrain du désir »

[Source : reporterre.net]

[Photographies : Patrice Normand]

Alain Damasio, écrivain de science-fiction, vient de publier « Vallée du silicium » (Seuil).
© Patrice Normand / Reporterre

Par Hervé Kempf

L’écrivain Alain Damasio sort Vallée du silicium, chroniques inspirées d’un voyage dans la Silicon Valley californienne. « Les technocapitalistes visent la libération individuelle, ils vivent dans un élitisme absolu », dit-il.

Alain Damasio, écrivain, publie Vallée du silicium (Seuil), des chroniques et une nouvelle science-fiction inspirées de son séjour dans la Silicon Valley, aux États-Unis. « La matérialité du monde est une mélancolie désormais », annonce le bandeau du livre.

Écoutez ce grand entretien ci-dessous ou sur une plateforme d’écoute de votre choix.




Reporterre — Quelle conception de l’avenir les technocapitalistes de la Silicon Valley ont-ils ?

Alain Damasio — Un avenir où l’innovation technologique continuera à constituer la norme, quel que soit son impact sur nos ressources terrestres. Un avenir où le désirable pour l’humain serait son augmentation (cognitive, physique) au sens du transhumanisme. Un avenir où l’épanouissement individuel par la technologie doit primer sur les liens aux autres et aux vivants.

Ton livre se présente comme une démarche anthropologique. Pourquoi ?

À l’origine, je ne l’ai pas intentionnellement construit comme ça, mais dès que tu t’interroges sur ce que la technologie fait à l’homme, tu déploies nécessairement des réflexions sur l’espèce humaine et son évolution, sur la manière dont le numérique nous transforme et dont la Silicon Valley nous façonne. Un champ crucial reste celui du corps. Les transhumanistes ont ce mot terrible pour le désigner : meat. La viande. C’est une chair morte, non irriguée. Seul le système nerveux central compte. Le reste, la chair frissonnante, les muscles, toutes nos sensations, notre sensualité fine ne les intéressent pas, parce que cela ne véhicule pas d’information exploitable dans le régime de la trace. Ce corps est maintenu en forme par le fitness ou la course dans le seul but que le cerveau et le système d’informations puissent fonctionner.

Le corps est conçu et vécu comme une machine. La nourriture est énergie. Le sport est une hygiène. Le cerveau s’optimise. Le bien-être s’algorithme. Ce corps est désaffecté, désinvesti. C’est un corps qu’on ne sent plus, qui n’a plus d’existence et qui ne te sollicite plus parce qu’il est maintenu dans un environnement climatisé, souvent assis, et dans une absence de mobilisation émotionnelle et affective.

Cette vision machinique du corps peut être reliée à celle de la planète. Quelle conception les gens de la Silicon Valley ont-ils de la planète Terre ?

La façon dont ils traitent les corps fait écho à la façon dont ils traitent la planète. Dans les deux cas, ils se vivent comme maître et possesseur de la nature — de ma nature pour le corps. Leur degré de conscience écologique très faible m’a frappé : le peu de magasins bios par rapport à la France, par exemple. L’alimentation reste un sujet dépolitisé chez eux. La prise de conscience de l’élevage, de ce qu’il faut pour produire la malbouffe m’a semblé inexistante. Les Californiens vivent sous une climatisation constante, et ne supportent plus que le corps sorte d’une fourchette entre 20 et 25 °C, ce qui devient aussi la norme en Europe. Maintenir un corps humain à ces températures en permanence représente une dépense énergétique énorme. Pour que ce corps n’ait plus besoin de faire le moindre effort, le climat a été domestiqué. Autant, en France, nous sommes en retard de dix ans sur leurs usages quotidiens de la technologie, autant, dans cette Californie techie [passionnée de technologie], la prise de conscience écologique m’a paru très « arriérée ».

« Il faut sortir de la peur de l’autre : se confronter à l’altérité entraîne forcément de l’imprévisibilité, de l’inattendu, de la menace. »
© Patrice Normand/Reporterre

Dans « Homo deus », Yuval Noah Harari parle de « surhommes » et de « castes inférieures », à propos de la société future créée par le développement des technologies. Penses-tu que cela décrit la vision des technocapitalistes ?

Ils vivent effectivement dans un élitisme « naturel ». Les leaders de la Tech n’ont pas la naïveté de croire que les apports transhumanistes puissent être universalisés. Ce n’est pas leur problème. Ils sont structurés autour de la libération individuelle, l’évidence de s’extraire des régulations étatiques, l’inégalité sociale comme une conséquence inévitable de l’accumulation du capital. Donc le transhumain est conçu pour une petite élite. Et peu importe que cette augmentation soit souvent strictement quantitative, oublie toute intelligence relationnelle ou émotionnelle et qu’elle trahisse une vision de sociopathe.

Le technocapitalisme se militarise, nous fait-il la guerre ?

Je ne pense pas qu’il fait la guerre au sens où il aurait une volonté politique d’exercer un pouvoir sur les populations. C’est un système très pragmatique, fondé sur l’action et dont le seul objectif reste la maximisation du profit. Ce qui implique bien sûr un large spectre de manipulations comportementales pour opérer. La Silicon Valley exerce des effets de pouvoir colossaux, qui sont d’abord un pouvoir sur les usages et les pratiques, le rapport concret à son environnement, aux autres, un impact induit sur la gestuelle et le corps. Bien sûr, les pouvoirs établis, les gouvernements, les médias mainstream, les armées et les polices, récupèrent ces outils pour leurs propres besoins et renforcer leur contrôle, leur influence ou leur maîtrise sur nos vies. Mais selon moi, l’impact de la Tech est d’abord anthropologique et « souple » avant d’être militaire ou sécuritaire.

« La logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. »
© Patrice Normand/Reporterre

Dans ton livre, tu soulignes la tension entre peur et liberté. Est-ce une des tensions les plus fortes du monde actuel ?

Oui. Il y a vingt ans, on se demandait où l’on se situait sur une ligne entre liberté et sécurité, et dans quelle mesure des pratiques libres et émancipatrices étaient favorisées par rapport à des pratiques sécuritaires et identitaires. Cette tension a été enfouie tellement les logiques sécuritaires l’ont emporté, ce qui explique ce grave décalage du spectre politique vers la droite, en Europe et ailleurs. Selon moi, ce phénomène a aussi une origine anthropotechnique : la logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. Plus tu es protégé et plus tu te protèges, plus le technococon devient épais et plus tu filtres tes rapports aux autres, si bien que la moindre intrusion, agression, harcèlement ou confrontation à l’altérité te paraît problématique et difficile. Et donc, tu vas demander encore plus de sécurité et de protection. Ce cercle vicieux tend vers quelque chose qu’il faut appeler l’immunité. Mais immunité partout, humanité nulle part !

Et cette logique du tout sécuritaire conduit à un repli sur soi…

Oui, alors que pour être libre, il faut accepter que les liens que tu vas tisser avec les autres te libèrent et ne sont ni des chaînes, ni des dangers, ni des menaces. Il faut sortir de la peur de l’autre : se confronter à l’altérité entraîne forcément de se confronter à l’inattendu, à l’imprévisible, à ce qui peut te déstabiliser. La principale critique que je forme envers nos technologies quotidiennes est qu’elles conjurent l’altérité. Elles sont construites pour fabriquer de l’identique. Home est son biotope : le petit chez-moi, familier, le cocooné, le confortable, le cajolé. Sauf que cette vision, et les pratiques de rejet qui l’accompagnent nécessairement, sont d’une grande violence pour les gens qui n’ont pas la possibilité de bénéficier de ce technococon égocentré.

Dans Le ministère du futur, Kim Stanley Robinson décrit la situation écologique et inégalitaire actuelle et imagine des écologistes tuer, prendre des milliardaires en otage, faire exploser des avions. Qu’en penses-tu ?

C’est la bonne solution aussi, à mes yeux. Je suis un partisan de l’action directe. On subit de façon trop molle et complaisante des actes d’une violence et d’une agressivité absolues. Les technocapitalistes ne se posent pas la question de ce que leur vision du monde produit sur nos vies ordinaires. Les actions directes, comme le sabotage, le brouillage, le piratage des chaînes de production, le boycott des produits, me semblent très souhaitables. Lorsqu’on dit ça, on donne l’impression d’être radical et hystérique alors qu’on énonce une banalité lucide. Ce qui est radical est ce que la Tech fait : ne pas s’interroger sur l’impact de la production d’une voiture électrique sur le travail des enfants en Afrique, par exemple, ou le pillage minier. Il faut stopper, invalider et inverser cette violence, la retourner. Et utiliser tous les moyens dont on dispose : le hacking [pénétrer illégalement dans un système informatique], les blocages, les occupations, la lutte des imaginaires, l’artivisme, les ZAD, etc. Il y a toujours des failles et il faut les utiliser. Mais aujourd’hui, très peu de militants sont prêts à prendre des risques parce que…

Parce qu’en face, il y a des appareils de répression de plus en plus élaborés et sophistiqués…

Complétement. C’est très intéressant de revoir l’histoire du mouvement Action directe dans les années 1970-1980. Ils pouvaient faire dix ou quinze actions avant que la police se mobilise ou qu’ils soient mis en prison. Aujourd’hui, des gens taguent une usine Lafarge et ils subissent une surveillance colossale, des peines de prison disproportionnées, quatre-vingt-seize heures de garde à vue. Le système répressif est d’autant plus féroce que les actions sont rares et modestes, c’est un paradoxe qui traduit un étouffement dans l’œuf de toute contestation. À nous d’être fins.

Cette surveillance est permise par l’intelligence artificielle et les instruments numériques.

On ne parle pas assez du couplage entre le régime de contrôle et le régime numérique. À partir du moment où le régime de contrôle, qui apparaît dans les années 1990, s’est couplé avec les possibilités du numérique, une puissance de feu colossale est apparue. Les degrés de surveillance et de finesse de contrôle n’ont jamais été aussi importants qu’à l’heure actuelle.

Quelle serait la résistance au système que tu décris et que nous subissons ?

Je n’aime pas le terme de résistance parce qu’il revient à considérer que malgré tout, le système va continuer à opérer, qu’il sera toujours dominant et que notre capacité est seulement d’en limiter les effets négatifs. Je pense qu’il faut construire des alternatives, proposer d’autres façons d’exister, de s’alimenter, d’habiter. Puis de montrer que ça marche et surtout que ça nous rend heureux et libres. Il faut battre le capitalisme sur le terrain du désir.

« Je pense qu’il faut construire des alternatives, proposer d’autres façons d’exister, de s’alimenter, d’habiter. »
© Patrice Normand/Reporterre

C’est extrêmement difficile parce que le technocapitalisme est fondé sur l’accomplissement de désirs individuels et immédiats. Je détaille dans mes chroniques ces quatre machineries de désir très puissantes que le technocapital active : la paresse plaisante, le pouvoir octroyé, la conjuration des peurs et des incertitudes et l’imaginaire du transhumain, cet antique désir « d’être dieu », d’échapper à notre finitude. Il faut ressusciter un désir qui fasse pièce à cette économie de désir qu’accomplit magistralement la consommation numérique. C’est un sacré défi, c’est un sacré combat.

Où se déploient aujourd’hui ces formes de résistance ?

De ce que j’observe, les nouvelles formes de libération se jouent désormais plutôt dans les zones rurales : campagnes, montagnes. Il y a un vrai retour à la terre, à l’image des années 1970. Beaucoup de communautés, d’oasis, de tiers lieux, de quarts lieux, de zones d’expérimentation, de ZAD se développent. Ça se passe sous les radars des médias urbains qui constituent la majorité des médias. Mais ça existe et ça résonne très au-delà des sites où ça naît, comme la ZAD de Notre-Dame l’a fait. Pour moi, l’espoir et les avancées concrètes se forment dans ces zones rurales et par ces expériences : maraîchage de montagne, économie du gratuit, intelligence collective, renouement aux forces du vivant, techniques de subsistance, fluidité de genres.

Je trouve l’idée de « zone » très forte. Il ne s’agit ni d’un domaine clos, ni d’une communauté autarcique, ni seulement d’un habitat partagé. C’est plus ouvert, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de frontières, ça rayonne et s’étend. On ne changera pas ce monde fondé sur les désirs individualisés et les échanges immatériels sans expérimenter en collectif, éprouver d’autres modes de vie qui destituent les effets de pouvoir, s’alimenter en bio, local et frais, trouver une autonomie énergétique, pratiquer le low-tech qui t’empuissante dans ton rapport à la techno, etc. Et surtout sans réactiver des liens au monde, au vivant et aux autres, qui te rendent plus vaste, plus joyeux et plus vif. On a besoin de lieux, d’espaces concrets pour ça et de pratiques incarnées, on a besoin de créer aussi, sans cesse, pour déjouer les machines de pouvoir qui nous pilotent.

https://www.seuil.com/ouvrage/vallee-du-silicium-alain-damasio/9782021558746



La vraie mondialisation, c’est la technique

[Source : iatranshumanisme.com]

Par JAESA

Bernard Charbonneau & Jacques Ellul. Deux libertaires gascons unis par une pensée commune

Extraits :
La technique

C’est en 1954 que Jacques Ellul fait paraître La Technique, ou l’enjeu du siècle, premier essai d’une trilogie consacrée à la technique qu’accompagneront Le Système technicien (1977) et Le Bluff technologique (1987). Quatre propositions y sont exposées : Tout progrès technique se paie. Le progrès technique soulève plus de problèmes qu’il n’en résout. Les effets néfastes du progrès technique sont inséparables de ses effets favorables. Tout progrès technique comporte un grand nombre d’effets imprévisibles. Qui plus est, la technique est potentiellement totalitaire, elle épuise les ressources naturelles et rend l’avenir impensable. Toutes les anciennes civilisations s’uniformisent sur le mode technicien : la vraie mondialisation, c’est la technique.

La technique est le concept clé de l’œuvre d’Ellul, l’équivalent de la notion de capital pour Marx :

Jacques Ellul :

« Je m’étais posé la question suivante : “Si Marx vivait en 1940, quel serait pour lui l’élément fondamental de la société, celui sur lequel il centrerait sa réflexion ?” Au XIX e siècle, où l’économie était décisive, la formation du capitalisme était cet élément le plus significatif. De nos jours, ce n’est plus l’économie mais la technique. Le capitalisme est une réalité déjà historiquement dépassée. Il peut bien durer un siècle encore, cela n’a plus d’intérêt historique. Ce qui est nouveau, significatif et déterminant, c’est le reste : le développement de la technique. Je me suis donc mis à étudier la technique en employant autant que je pouvais une méthode proche de celle que Marx avait employée un siècle plus tôt pour étudier le capitalisme. »

« On sait que chez Marx, c’est le travail qui crée de la valeur. Or nous sommes obligés de constater que, dans une société devenue extrêmement technicienne, le facteur déterminant est la recherche scientifique, d’une part, et d’autre part l’application de la science sous la forme de la technique. C’est cela qui crée de la valeur. »

« Lorsque nous parlons de technique, nous avons l’habitude de penser à la machine, alors que c’est une erreur de penser que la technique est constituée pour l’essentiel de machines. Avec le développement des techniques d’information et communication, on commence à prendre conscience que la machine n’est que l’un des phénomènes multiples de la technique. La recherche de méthodes rationnelles, efficaces, ne s’exprime pas seulement dans la construction d’engins matériels, de machines, mais s’étend à toutes les activités humaines. Par exemple, les techniques d’organisation d’une société, d’un groupe, n’ont pas besoin d’appareil d’ordre mécanique. Il en va de même des techniques psychologiques. J’ai ainsi étudié la propagande, la publicité, qui sont des techniques. »

Ellul distingue l’opération technique du phénomène technique, qu’il définit comme « la préoccupation de l’immense majorité des hommes de notre temps, de rechercher en toute chose la méthode absolument la plus efficace ». C’est pourquoi il insiste pour utiliser le terme « technique » à la fois plus englobant et plus précis que celui de « technologie ».

« Lorsque j’emploie le mot “technique”, je n’entends pas exactement la même chose que dans “technologie”. Je sais qu’habituellement on confond les deux choses. Étymologiquement, technologie veut dire le discours sur la technique. Quand je parle de technique, je parle du phénomène technique, de la réalité de la technique. Quand je considère une automobile, le moteur de l’automobile, c’est de la technique, ce n’est pas de la technologie. L’étude du moteur, et le discours sur le moteur, c’est la technologie. Mais le phénomène lui-même doit être appelé technique. »

L’ambivalence de la technique

La technique n’est ni bonne ni mauvaise, et surtout elle n’est jamais neutre. « Ce que nous prenons pour la neutralité de la technique n’est que notre neutralité vis-à-vis d’elle », affirme Charbonneau. Contrairement à ce que dit la propagande, elle ne dépend pas des usages qu’on en fait mais elle modifie profondément le milieu dans lequel elle se déploie et modèle les hommes qui l’utilisent. Les solutions techniques aux problèmes techniques entretiennent le mal qu’elles prétendent soigner.

Jacques Ellul :

« Il y a l’ambivalence de la technique : chaque technique qui apparaît apporte avec elle des effets positifs et des effets négatifs, mêlés les uns aux autres. C’est une vue tout à fait simpliste de penser que l’on peut les séparer, éliminer les effets négatifs et retenir les effets positifs. À chaque progrès technique, il y a accroissement d’effets positifs et accroissement d’effets négatifs dont nous ne savons généralement rien. Ce que nous pouvons prévoir avec certitude, si la croissance technicienne continue, c’est un accroissement du chaos. »

La technique aliène l’homme

Enivré par sa passion technicienne, l’homme moderne est sans doute plus puissant que ses ancêtres, mais certainement pas plus libre. La technique renforce l’État : une société technicienne est nécessairement une société de surveillance et de contrôle. Et du contrôle à la contrainte, il n’y a qu’une étape, que nous sommes en train de franchir.

Jacques Ellul :

« La technique conduit à deux conséquences : la suppression du sujet et la suppression du sens.

  • Suppression du sujet.
    La technique a un pouvoir d’objectivation. Le sujet ne peut pas se livrer à des fantaisies purement subjectives : dans la mesure où il est entré dans un cadre technique, le sujet doit agir comme la technique l’impose. Cette suppression du sujet par la technique est acceptée par un certain nombre d’intellectuels, Michel Foucault par exemple, qui estiment que l’on peut très bien abandonner le sujet.
  • Suppression du sens.
    Les finalités de l’existence semblent progressivement effacées par la prédominance des moyens. La technique, c’est le développement extrême des moyens. Tout, dans le développement technique, est moyen et uniquement moyen, et les finalités ont pratiquement disparu. La technique ne se développe pas en vue d’atteindre quelque chose, mais parce que le monde des moyens s’est développé. En même temps, il y a suppression du sens, du sens de l’existence dans la mesure où la technique a développé considérablement la puissance. La puissance est toujours destructrice de valeur et de sens. Là où la puissance augmente indéfiniment, il y a de moins en moins de significations. »

Au total, la suppression du sujet et la suppression du sens sont des conséquences importantes de la technique et contribuent au malaise et au malheur de l’humanité.

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La technique comme milieu et comme système

La technique ne se contente pas d’être le facteur principal ou déterminant, elle est devenue système. Un univers qui se constitue lui-même en système symbolique.

Jacques Ellul :

« La technique est donc devenue un milieu, mais elle est aussi devenue un système : un ensemble d’éléments intégrés les uns aux autres, situés les uns par rapport aux autres et réagissant les uns sur les autres. »

« Personne n’a pris le commandement du système technicien pour arriver à un ordre social et humain correspondant. Les choses se sont faites par la force des choses, parce que la prolifération des techniques médiatisée par les médias, par la communication, par l’universalisation des images, par le discours humain (changé) a fini par déborder tous les obstacles antérieurs, par les intégrer progressivement dans le processus lui-même, par encercler les points de résistance qui ont pour tendance de fondre, et cela sans qu’il y ait de réaction hostile ou de refus de la part de l’humain, parce que tout ce qui lui est dorénavant proposé, d’une part, dépasse infiniment toutes ses capacités de résistance (dans la mesure où il ne comprend pas, le plus souvent, de quoi il s’agit), d’autre part est dorénavant muni d’une telle force de conviction et d’évidence que l’on ne voit vraiment pas au nom de quoi on s’opposerait. S’opposer, d’ailleurs, à quoi ? On ne sait plus, car le discours de captation, l’encerclement, ne contient aucune allusion à la moindre adaptation nécessaire de l’homme aux techniques nouvelles. Tout se passe comme si celles-ci étaient de l’ordre du spectacle, offert gratuitement à une foule heureuse et sans problème. »

L’autonomie de la technique

Ellul a voulu montrer comment la technique se développe selon sa propre logique, en dehors de tout contrôle humain. Comment, dans son rêve prométhéen, l’homme moderne, en voulant domestiquer la nature, n’a fait que créer un environnement artificiel plus contraignant encore. Il pense se servir de la technique alors que c’est lui qui la sert. Les moyens sont érigés en fins et la nécessité en vertu.

Jacques Ellul :

« La technique augmente d’elle-même pour ses propres motifs, avec ses propres causalités. L’homme qui intervient dans le système technicien, intervient en tant qu’instrument de la technique et non pas en tant que son maître. La technique a un pouvoir d’accroissement intrinsèque. »

La technique est par conséquent causa sui, sa propre cause, ce qui fait d’elle un transcendant, un nouveau sacré qui a arraché cette place à la nature en la détruisant et en couchant chaque année sur l’autel du sacrifice des millions d’êtres humains. « Ce n’est pas la technique qui nous asservit mais le sacré transféré à la technique. » Le phénomène technique tient à la fois de l’idolâtrie et du messianisme.

Selon la loi de Gabor, tout ce qui peut être fait sera fait. « Il est faux que ce soit l’intérêt grossièrement pécuniaire, le goût du profit qui amène le vilain capitaliste à utiliser la technique. Ce n’est pas la recherche du profit qui est déterminante mais le jeu de la technostructure. » Autonome par rapport à la morale et à la politique, la technique l’est tout autant vis-à-vis de l’économie.

Jacques Ellul :

« Ce n’est pas la loi économique qui s’impose au phénomène technique, c’est la loi du technique qui ordonne, sur-ordonne, oriente et modifie l’économie. Celle-ci est un agent nécessaire. Elle n’est ni le facteur déterminant, ni le principe d’orientation. La technique obéit à sa propre détermination, elle se réalise elle-même. »

« Dire que la technique ne fonctionne qu’au travers d’une classe, c’est ne pas voir que précisément chacun participe à tous les niveaux au système technicien. La technique devient un processus sans sujet. Tous les hommes de notre temps sont tellement passionnés par la technique, tellement assurés de sa supériorité, tellement enfoncés dans le milieu technique, qu’ils y travaillent tous, que dans n’importe quel métier chacun recherche le perfectionnement technique à apporter, si bien que la technique progresse en réalité par suite de cet effort commun. »

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« Le sujet de la liberté et celui de la soumission sont intervertis ; les choses sont libres, c’est l’homme qui ne l’est pas » écrivait Günther Anders, auquel faisait écho Ellul : « Il n’y a pas d’autonomie de l’homme possible face à l’autonomie de la technique. » Cette idée d’autonomie de la technique, qui semble évacuer la question de la responsabilité et celle de la résistance, continue d’être discutée et demande à être critiquée. Il y a souvent confusion entre la logique intrinsèque, latente et potentielle, de la technique et sa mise en œuvre par des hommes, ingénieurs et capitalistes, appartenant à cette technocratie qui concentre à la fois le savoir, l’avoir et le pouvoir. Ces technocrates ont combattu avec tous leurs moyens pour le développement du système technocapitaliste, alors que d’autres hommes — artisans, paysans, ouvriers, luddites, romantiques, écologistes etc. —, ont résisté de toutes leurs forces et ont perdu.

On ne devrait pas opposer le jeu des structures à l’initiative des hommes et des groupes sociaux, puisque les deux facteurs se combinent et interagissent. La logique virtuelle des « choses » représente bien le côté automate du système technicien et du capitalisme technologique, mais cet automatisme reste sans effet tant qu’il n’est pas activé et actualisé par des hommes. De même qu’un logiciel ou un programme informatique ne peut rien tant que des informaticiens ne le créent pas, ne l’implémentent pas, ne l’installent pas sur une machine. Il faut en amont un décideur et un financier, et en aval des usagers et des consommateurs qui actualisent le potentiel logique de « la force des choses », et qui le font contre la volonté d’autres hommes, qui de leur côté combattent pour d’autres « logiques des choses », radicalement opposées.

L’autonomie de la technique est donc relative. Ellul ne cessait de répéter qu’il n’y a pas de fatalité technicienne (sa vie, son œuvre et ses engagements le prouvent), que sans la participation et le consentement des hommes la technique n’est rien, son pouvoir s’effondre : c’est notre démission qui rend possible cette autonomisation. Où l’on retrouve La Boétie…

Jean-Luc Porquet a judicieusement titré son essai « Jacques Ellul, l’homme qui avait (presque) tout prévu ». À la lecture des livres de l’auteur du Bluff technologique, on ne peut qu’être en effet stupéfait de sa prescience, celle par exemple, dès 1972, du big data et des banques de données, quand l’informatique en était encore aux cartes perforées :

« Alors que des millions d’hommes s’excitent sur le problème de la propriété privée, personne ne réagit en face de l’utilisation de l’ordinateur pour le contrôle de la vie privée et la concentration des renseignements sociaux dans des banques de faits. Aucun parti politique ni groupe de pression n’agit et l’opinion publique reste indifférente : c’est trop abstrait. »

Il en va de même pour Bernard Charbonneau, qui en 1935, aux premiers balbutiements de la publicité, en avait saisi toute la nature :

« La publicité est une de ces maîtresses invisibles de nos journées. Elle a été servie par l’invention de moyens d’évidence qui peuvent rendre le mensonge plus réel que la réalité. Le développement de la publicité et de son efficacité est étroitement lié aux progrès de la TSF, du cinéma, de la grande presse. Il est encore lié à l’accroissement considérable de puissance que le progrès technique et le jeu de l’argent peuvent mettre entre les mains des incapables là où autrefois la dure sélection d’une nature indomptée opérait un tri grossièrement normal. Celui qui couperait le nerf publicitaire transformerait cent fois plus profondément notre civilisation que par n’importe quelle aventure politique. »

Mais avoir raison avant tout le monde est un privilège qui se paie par la solitude et la vindicte des imbéciles. Aujourd’hui, alors que la plupart de leurs prévisions se sont réalisées, que peuvent encore nous apporter Ellul et Charbonneau ? Comment ont-ils appliqué leur pensée ? Quels sont leur héritage et leurs héritiers ?

Le fichier PDF de la version en ligne (reproduction et diffusion libre) est disponible en cliquant ici.

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Comment survivre en pathocratie

[Sourcce : neosante.eu]

Par Éric Le Gal

On observe depuis des années que ceux qui nous dirigent semblent frappés de traits psychologiques particuliers et pathologiques. La multiplication des comportements de type perversion narcissique, psychopathie, absence totale d’empathie et bien d’autres sont la marque de nombreux dirigeants politiques et privés.
Le problème est que quand ces personnes se retrouvent au pouvoir, elles en viennent à créer un climat de doute sur la santé mentale propre des citoyens en générant des comportements sociaux eux aussi devenus pathologiques.
Comment s’en prémunir ? Comment garder sa santé mentale quand toute la société semble proche de disjoncter ? Comment survivre en « pathocratie » ?

Depuis des années, et pas seulement depuis le « traitement » politique de la crise du coronavirus, les sociétés contemporaines sont confrontées aux aberrations des décisions de leurs dirigeants. Depuis quatre ans, la tendance semble s’être alourdie. On se souvient tous des injonctions contradictoires, des revirements brutaux et violents, de l’absurdité flagrante de certaines mesures. On se souvient aussi du traitement particulièrement violent et discriminatoire des oppositions comme les gilets jaunes ou les opposants au pass sanitaire. La plupart des citoyens confrontés à ces mauvaises décisions et comportements néfastes attribuent ces maux à l’incompétence, à l’ignorance, à la bêtise et à la corruption des politiciens. Mais le mal est probablement bien plus profond et ne pas savoir le reconnaître est notre faiblesse, nous rendant incapables de le combattre et de nous en prémunir.

Voyage en ponérologie

Une discipline malheureusement peu connue en France, la ponérologie1, développée par un collectif de psychiatres polonais durant l’occupation soviétique de leur pays, étudie les causes scientifiques des périodes d’injustice sociale et morale. C’est littéralement l’étude biologique et psychopathologique du mal.

L’idée essentielle de cette discipline est de comprendre pourquoi, alors que dans n’importe quel groupe humain à peine 0,6 % à 1 % d’individus sont marqués par des troubles graves de la personnalité, notamment la psychopathie au sens clinique du terme, il est possible que certaines sociétés et groupes humains soient dirigés par une minorité d’individus montrant des signes évidents de ces troubles. La psychopathie et les caractéropathies associées sont caractérisées par l’absence totale d’empathie, l’incapacité à éprouver du remords et plus généralement un mode de fonctionnement émotionnel complètement déviant et anormal. Un psychopathe est incapable de comprendre le mal qu’il peut faire aux autres, de distinguer ce qui est sain de ce qui est malsain et de maîtriser ses accès d’émotions perturbatrices. Au mieux, il sera capable de comprendre que socialement ses comportements sont source de problèmes, mais au lieu de chercher à se transformer, il va enfouir et cacher ses penchants derrière un masque de « normalité » appelé « masque de santé mentale » (mask of sanity).

On entre en pathocratie quand ces psychopathes, au lieu de dépenser leur énergie à faire profil bas pour se faire oublier socialement, s’engouffrent dans une brèche, comme une crise grave, et s’ouvrent une fenêtre d’opportunité leur permettant d’émerger, de laisser libre cours à leurs penchants et in fine de prendre le contrôle de toute la société afin d’exercer une influence de plus en plus grande sur celle-ci. Pour ce faire, ces 1 % de la population vont attirer à eux une catégorie d’individus (6 à 10 % de la population) qui ne sont pas à proprement parler des psychopathes, mais qui souffrent d’autres troubles de la personnalité et qui se sentent libérés du carcan du masque de santé mentale en se laissant guider par ces psychopathes. Les idéologies révolutionnaires sont particulièrement propices à ce genre de phénomènes, car l’idée révolutionnaire vise à détruire un ordre établi pour en établir un autre. Les psychopathes vont utiliser cette idéologie pour détruire la société saine afin d’établir un ordre qui correspond à leurs pathologies. L’influence de cette communauté va alors grandir jusqu’à agréger à elle des gens normaux séduits par l’idéologie prise pour prétexte par les psychopathes.

Une fois achevé le processus de prise de contrôle de la société par la minorité de psychopathes, la société s’est transformée en ce que la ponérologie nomme la pathocratie, c’est-à-dire une société où la norme devient la pathologie et où l’ensemble du corps social finit par douter de sa propre santé ce qui peut menacer à terme jusqu’à sa survie. Les individus restés sains vont alors commencer à se rendre compte qu’il y a « quelque chose qui ne va pas », « quelque chose qui ne tourne pas rond », mais sont rendus incapables de comprendre la raison profonde de ce sentiment, la déviance pathologique ayant progressivement remplacé la « normalité ». Le système est d’autant plus pervers que la minorité psychopathique a besoin des « normaux » pour continuer à faire fonctionner la société, ce dont ils sont incapables par eux-mêmes. Ces psychopathes vont alors utiliser tout un panel de subterfuges pervers dont ils ont le secret.

Perversité du système pathocratique

Le problème est que les pathocrates ne se limitent pas à un rôle de parasite social élitaire ; ils insinuent des idées et des comportements déviants qui absorbés par la société vont profondément affecter chaque individu. Les personnes saines finissent par douter d’elles-mêmes jusqu’à finir par adopter ces comportements déviants, tout en ressentant un conflit intérieur, car elles ne sont pas devenues des psychopathes pour autant. Ce conflit intérieur va les miner et contribuer à développer des névroses importantes au sein de toute la population. Les pathocrates vont ensuite s’assurer de la neutralisation des gens sains d’esprit qui pourraient mettre à jour le mensonge de la société. Ils sont montrés du doigt et désignés à la masse des névrosés comme déviants dans une inversion accusatoire dont ils ont particulièrement le secret. Dans un système pathocratique, plus un individu est talentueux et sain, plus il se retrouve marginalisé, rendant même, à l’extrême, sa survie matérielle impossible dans ce système.

En toute fin, quand la société est devenue une pathocratie achevée, elle va être confrontée à l’incapacité des psychopathes au pouvoir à gérer les équilibres et l’ordre sociaux, les conduisant à renforcer le contrôle social, jusqu’à rendre le carcan invivable, y compris pour eux-mêmes et en parallèle générer un réveil des « gens normaux » qui vont prendre progressivement conscience du mensonge et du caractère parasitaire des élites pathocratiques. Pour autant, il serait faux de croire qu’il suffirait de laisser le système pathocratique s’effondrer victime de ses contradictions intrinsèques. La nature déviante des psychopathes et leur incapacité à survivre dans une société saine vont les amener à une politique de la terre brûlée, car la conservation du pouvoir est devenue, pour eux, une question de vie ou de mort. Ils sont capables d’emmener la société avec eux dans la tombe comme dans le mythe de Samson.

La première erreur que nous commettons est que nous ne condamnons cette tendance lourde de nos élites que sur un plan moral, faute de comprendre les tenants et les aboutissants du caractère profondément pathologique de la période que nous vivons. En effet, les psychopathes sont hermétiques à la morale, n’ayant ni empathie, ni conception du sain et du malsain. La ponérologie politique nous aide à mieux appréhender, mieux comprendre et mieux nous prémunir du phénomène. Quand nous commençons à reconnaître ces modes de fonctionnement dans un groupe, nous comprenons la tendance dans laquelle nous sommes ou nous risquons d’être enfermés à terme. La meilleure défense contre les psychopathes est de les reconnaître pour ce qu’ils sont et de les mettre à distance en comprenant les mécanismes mensongers de leurs discours et déviants de leurs comportements. Il ne sert à rien de négocier ou de chercher à raisonner ou modérer un psychopathe, car il en est incapable. Au contraire, il vous instrumentalisera et vous retournera au point de vous faire douter de votre propre santé mentale. Ces mécanismes de perversion narcissique typiques sont maintenant bien connus et reconnaissables à qui s’y intéresse.

Le psychopathe se croit sain, ses victimes doutent

Ensuite il faut s’en prémunir directement. D’abord, en reprenant confiance en notre propre santé mentale. Le simple fait que vous vous posiez la question de votre santé mentale est un signe de santé mentale, selon le principe du paradoxe Catch-222. Un psychopathe se croit sain et est incapable de se poser ce genre de question. Vous êtes peut-être simplement affecté d’une névrose induite par la pathocratie ambiante et par le climat de peur qu’elle génère. Et la névrose cesse quand la cause de cette névrose est identifiée et retirée. Dans bien des cas, les burnout au travail sont la résultante d’une névrose qui a été causée par un style de management pathocratique au dernier degré. En effet, de nombreuses entreprises ont développé des organisations de type pathocratique qui promeuvent essentiellement des managers et dirigeants aux traits psychopathologiques marqués. En 2016, une étude d’une université australienne confirmait que près de 21 % des dirigeants de grandes entreprises des États-Unis faisaient preuve de tendances psychopathiques plus ou moins lourdes. Dans ce contexte, c’est toute la perversité du dirigeant psychopathe qui amène l’employé malmené à prendre sa névrose pour une psychose et à sombrer dans un épuisement nerveux total. Or, dans ce cas, il convient de reconnaître cet état de fait et le seul moyen de s’en sortir est de demander de l’aide extérieure pour pouvoir s’extraire de ce cloaque.

Méthode des 4 piliers

Le « spectacle covidesque » des quatre dernières années nous a montré aussi que les milieux de l’éducation et de la médecine ont été « infectés » par des personnes aux comportements maltraitants dignes d’une pathocratie. Il faut bien comprendre dans ces cas que ces comportements psychopathologiques peuvent finir par « infecter » des individus sains, notamment les plus fragiles et les plus jeunes. La seule solution, ici, sera de fuir et de se tourner vers des organisations et des groupes encore sains.

Ensuite, il s’agira de se construire ou de se reconstruire par la réaffirmation de notre santé mentale. Pour cela, en 2018, dans ma thèse de Master à l’INSEAD, j’ai développé une méthode, inspirée de l’enseignement du Bouddha, permettant de retrouver bonheur et liberté quand tout va au plus mal. Cette méthode recourt à quatre piliers à développer :

  • La santé fondamentale,
  • La pleine présence,
  • La sagesse des émotions et
  • L’incarnation.

La santé fondamentale consiste à reconnaître que nous sommes sains avant d’être malsains, c’est-à-dire que les voiles de la maladie et de l’ignorance qui en est la cause ne sont qu’adventices. Le ciel ennuagé n’est pas le contraire du ciel ensoleillé. Le soleil et l’espace du ciel sans entrave sont toujours là, simplement recouverts par les nuages. Même pris dans la névrose ambiante de la société moderne malade et en perdition, nous possédons en notre for intérieur la santé fondamentale. Le chemin de la maladie à la santé n’est donc qu’un retour à notre état fondamental profond. Nous possédons en nous une intelligence première fondamentale que nul ne peut nous enlever et qu’aucune circonstance ne peut nous faire perdre. Si nous n’y avons plus accès au quotidien, c’est que cette intelligence et cette santé fondamentales sont voilées par l’ignorance de notre nature et de la nature réelle du monde. Il ne tient qu’à nous d’y revenir et de nous y replonger et des moyens existent pour cela.

Le premier de ces moyens est le deuxième pilier : la pleine présence. C’est un état fondamental dans lequel l’instant présent se vit dans sa fraîcheur et sa simplicité première. La source de tous nos problèmes vient de notre hyper-complexité mentale. Nous avons perdu l’habitude de ne rien surimposer à l’expérience. Nous nous sommes perdus dans une bulle mentale qui nomme, juge, qualifie et brouille tout. Tout comme l’eau non troublée est limpide, l’esprit non obstrué est heureux. Cet état est naturel et donc universel. Nul besoin d’adhérer à quoi que ce soit, de pratiquer quoi que ce soit, de fabriquer quoi que ce soit. On peut apprendre à redécouvrir puis cultiver cet état par des pratiques contemplatives faciles à intégrer et à pratiquer.

Le deuxième de ces moyens est le troisième pilier : la sagesse des émotions. Les émotions comme les pensées font partie de notre mode d’être, elles modulent notre vie en nous émouvant et nous mouvant. Il n’est donc ici question ni de nous en débarrasser, ni de les refouler, ni de les laisser nous emporter, mais de les vivre dans la pleine présence. Si certaines émotions sont problématiques et conflictuelles, ce n’est pas en raison de leur nature, mais en raison de notre saisie cognitive de celles-ci. En apprenant progressivement à les dessaisir, nous allons nous apercevoir qu’elles sont la porte vers une sagesse dont nous n’avons même pas idée. Dans la dessaisie, nous allons les transmuter de névrose en sagesse. L’ignorance devenant sagesse, la colère va devenir acuité, la vanité va devenir générosité, la séduction va se transmuter en compassion et l’envie en activité bienfaisante, etc. C’est le miracle de la dessaisie des émotions. Par cette ouverture nous allons découvrir une relation différente à l’autre et nous allons développer empathie, compassion, compréhension et équanimité. L’autre n’est plus cause de nos émotions conflictuelles, mais devient support du développement de nos qualités et de notre sagesse, y compris dans le conflit, y compris dans le crépuscule de nos temps troublés. Nous développons alors une vision sacrée du monde. Comme disait Jacques Lusseyran : « La paix n’est pas dans le monde, mais dans le regard de paix que l’on porte sur le monde. »

Enfin, le troisième de ces moyens est l’incarnation. Elle vient de la compréhension profonde que corps et esprit ne sont pas séparés, qu’il y a une inscription corporelle de l’esprit. Il ne s’agit donc pas de développer une vision désincarnée de la réalité, mais de revenir au corps, aux sensations, aux perceptions. Les psychoses sont toujours liées à un exil de l’esprit qui n’ayant pas accès au corps, à l’incorporation de l’expérience, n’a pas accès à l’empathie et à la compassion. Sans chair de l’expérience, pas d’empathie, pas de compassion et donc pas de sagesse. Il nous faut revenir aux sens, car c’est là que se fait l’expérience du réel. On voit bien la tendance actuelle de vouloir nous exiler encore plus de la chair de l’expérience par des paradis artificiels, de la réalité virtuelle, des mondes oniriques et des univers numériques. Cette bulle de faux confort, en nous exilant encore plus, nous asservit à l’hypertrophie de notre mental sous hypnose et sous influence des propriétaires des algorithmes qui nous enferment dans la névrose d’un monde qui n’est plus le nôtre. Revenir au corps, c’est reprendre le contrôle de nos vies, de nos perceptions, de nos sensations et de nos intuitions. C’est nous libérer. Le corps souvent perçu en Occident comme la prison de l’esprit devient le véhicule de notre éveil. Quittons les rivages des rêves technologiques et retournons sur la rive du réel incarné.

La guerre des consciences

Une fois que nous nous serons ainsi recentrés, il s’agira de reprendre la parole, et de dire le réel, de dénoncer le mensonge de la pathocratie. Nos langues sont devenues mortes. Une langue morte n’est pas une langue qui n’est plus parlée, c’est bien plus une langue dont les mots n’ont plus de conséquences en actes. Une langue morte est une langue qui n’engendre plus de réaction. Quand on dit que les 1 % les plus riches se sont enrichis comme jamais depuis deux ans, quand des millions de personnes, à l’opposé, sont tombées dans la pauvreté, quand sont révélées les pratiques de corruption au plus haut niveau de l’État3 et que cela n’engendre aucune réaction, c’est que la langue est morte. Quand nos contemporains passent d’une information à l’autre, « surfent » et « swipent » l’actualité dans un état de lobotomisation évident, c’est que la langue est morte. Un logos qui n’engendre plus de praxis est un logos mort4.

« Avoir l’esprit clair : la plus haute vertu.
Et l’art de vivre : dire vrai et agir d’après la nature, en connaisseur. »

nous enjoignait Héraclite. 

Confiants dans notre santé fondamentale, ancrés dans la pleine présence, ayant développé la sagesse de nos émotions, et pleinement dans la chair du réel, nous devons reprendre la parole, dire le réel d’une manière qui dévoile le mensonge de la pathocratie et les illusions et hypnoses que subissent les névrosés du système. Dire encore et encore que les comportements psychopathiques ne peuvent être la norme d’une société équilibrée et saine. Agir selon la nature en connaisseur signifie incarner ce que voulons voir advenir pour le monde.

C’est là que vient le temps de l’action. Ce ne sera ni une action visant à contrer le monde pathocratique, ni une action visant à le réformer. En effet, un bouddhiste vous dira toujours qu’on ne réforme pas le samsara, on le quitte ! Il faut ici s’appliquer à un non-agir dans ce monde, c’est-à-dire ne donner aucune énergie aux pathocrates, que ce soit une énergie de collaboration ou une énergie de lutte. Le système pathologique ne doit plus passer par soi. La pathocratie soviétique s’est bien plus effondrée du fait du « cause toujours, tu m’intéresses » des citoyens qui ont fini par faire dérailler le système, que d’une résistance organisée.

Pendant ce temps-là, comme ces végétaux que l’on nomme « mauvaises herbes », mais qui sont en fait les plantes les plus vivaces et les plus résilientes qui soient, nous devons chercher les interstices du système, les failles où nous pouvons nous installer et agir, où nous pouvons créer des îlots de santé mentale et de liberté. Les mauvaises herbes font le malheur du jardinier trop scrupuleux, car il n’y met jamais fin ; elles reviennent toujours même après un coup de désherbant toxique. Rechercher ces failles, ces anfractuosités où nous pouvons nous installer et appliquer toute notre énergie à y recréer la vraie vie.

Certains m’ont reproché récemment d’avoir employé le mot « guerre », mais je revendique ce mot au sens d’une guerre spirituelle que nous devons mener contre la guerre cognitive qui nous est faite depuis des décennies. À l’image de Guésar de Ling, roi mythique de l’Himalaya qui affronte des démons pour établir un royaume d’Éveil, nous devons affronter les démons de l’époque par un combat intérieur immense. Ce n’est pas une guerre d’affrontement direct, ni même une guerre visant au renversement de l’ennemi, mais une guerre de l’intelligence et des consciences. Renverser son ennemi n’est pas une victoire souhaitable, car il pourra toujours se relever. L’exemple flagrant est celui du nazisme : on a cru naïvement l’avoir terrassé en 1945 dans un bunker à Berlin, et le voilà qui revient sous une forme transmutée et encore plus dangereuse, car disposant de moyens hors du commun. La victoire souhaitable est celle de l’annulation totale de l’idéologie qui mène l’ennemi par la démonstration de son impossibilité ontologique. En démontrant que le contrôle total des humains et le transhumanisme sont impossibles à réaliser pour des raisons multiples trop longues à expliquer ici, nous ruinerons alors la pathocratie et en y survivant, nous nous y serons sublimés.

[Voir aussi :

Pathocratie ou Ucratie?

Comment empêcher les psychopathes et les narcissiques d’accéder aux postes de pouvoir ?

https://medium.com/lean-design/pathocratie-ou-ucratie-887480bc9400

« Dans le monde actuel, il n’est pas rare de voir des personnes qui présentent des traits de personnalité toxiques, tels que la psychopathie, le narcissisme ou le machiavélisme, occuper des positions de pouvoir et d’influence. Ces personnes sont souvent attirées par le pouvoir et cherchent à le conserver à tout prix, quitte à manipuler, mentir, trahir ou nuire aux autres.

Ce phénomène, appelé pathocratie, est l’un des principaux obstacles à la mise en place d’une gouvernance démocratique, éthique et humaniste. »

]

Notes

1 Composé du grec ancien πονηρός, ponērós (« mauvais, méchant ») et du suffixe — logie. Lire à ce sujet : La ponérologie politique : Étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques d’Andrew M. Lobaczewski

2 Le paradoxe Catch-22 est lié à une question posée aux pilotes de l’armée de l’air américaine dans la Seconde Guerre mondiale. Quand un pilote réclamait le retrait des combats en affirmant qu’il souffrait de désordres mentaux, on le renvoyait au combat sous le prétexte qu’une personne réellement folle ne peut pas se rendre compte de sa propre folie…

3 De nombreuses autres informations que les règles des plateformes m’empêchent de nommer ici au risque d’être censuré, sont peut-être encore plus graves et n’engendrent pourtant aucune réaction de masse…

4 Lire à ce sujet La fin du courage de Cynthia Fleury




Élections européennes en France, pour quel connard pro-Frexit vais-je voter ?

Par Alain Tortosa

1

Je suis conscient qu’il est très mal vu de produire des « ondes négatives », mais je n’en ai que faire.

Dans le mur !

Les derniers sondages donnent 93 % des votes pour une liste pro-européenne. Et j’imagine que seule une petite partie des 7 % restants concerne un candidat pro Frexit.

Je rappelle aux normies et autres zombis qui viennent de sortir de 10 ans de coma
que les listes Rassemblement National, Reconquête ou LFI sont officiellement anti-Frexit et donc pro-UE.

Des sondages « vrais »

Je ne nie pas une dose de manipulation dont l’objectif est de décourager et d’indiquer aux moutons pour qui voter, mais la fraude ne peut représenter 50 % de l’électorat.

Je veux bien être généreux et leur accorder 10 % à 15 % de tricherie, mais pas plus.

Les listes pro-européennes feront donc au moins 85 % des voix lors des prochaines élections alors même que Macron avait déclaré à la BBC lors du Brexit que les français voteraient probablement pour le Frexit.

Quand bien même l’abstention demeure sans doute plus importante chez les « anti » que chez les « pro », le fait est que de très nombreux anti-Européens vont voter pour une liste pro-Europe.

Cela me dépasse, mais il est factuel que des milliers de personnes qui sont conscientes des maux apportés par cette Europe dictatoriale vont voter pour un parti pro-européen !

Le plus délirant est que certains pourraient croire qu’en votant RN ou Reconquête, la situation évoluera positivement, à ce stade cela relève de la psychiatrie ou d’une profonde méconnaissance.

La « résistance »

Tableau pour le moins pitoyable s’il en est même si le maître mot est officiellement « unité ».

  • Les abstentionnistes : Cette catégorie de résistants est protéiforme.

    • * Les abstentionnistes militants.
      Ceux-ci sont extraordinaires, ils vivent dans une illusion (mes émotions me soufflent « délire »).
      Ne pas voter serait une forme d’expression et leur foi leur laisserait croire que si cette abstention montait à 80 % cela entraînerait un bouleversement politique. Imaginer un tel score serait illusoire, c’est comme imaginer qu’ils étaient autant à être résistants durant la 2e Guerre mondiale. Ils « l’étaient », oui, mais après la fin de la guerre. L’idée serait que l’on puisse affirmer que celles et ceux qui sont au pouvoir perdraient leur légitimité et que les médias aux ordres iraient dans ce sens. Ridicule au plus grand point. Depuis quand les gouvernants en auraient quelque chose à foutre du peuple. Quand bien même, il leur suffirait de supprimer le suffrage universel ou de rendre le vote obligatoire. Moins les résistants votent et plus les moutons sont représentés et plus les maîtres du monde peuvent sélectionner le gagnant d’une élection. C’est chouette de se penser militant en ne votant pas, mais c’est comme ne plus voter par dépit.
      * Les abstentionnistes « révolutionnaires ».
      Un pas de plus est franchi dans l’utopie. Ces adeptes construisent le monde de demain bien souvent sur du papier. Leur objectif est le changement non par les urnes, mais par la révolution. Ici encore ce serait trop simple si cette mouvance était uniforme, deux grandes familles totalement opposées la composent :
      a) Les révolutionnaires « à l’ancienne ». Coup d’état, force, têtes plantées dans des pics, etc.
      b) Les idéalistes qui construisent un monde de demain basé sur l’amour et des fleurs qui feraient reculer des chars. Soit ils croient qu’un élan humaniste fera tomber les ténèbres, soit ils imaginent que la dictature leur permettra de se forger des îlots de paradis. Naïf s’il en est.
      * Les abstentionnistes désespérés.
      Je pourrais pencher de leur côté les soirs de lucidité. « à quoi bon, c’est foutu, le mal est partout, les moutons veulent souffrir en captivité, il n’y a plus d’espoir ».
      Derrière ce « tous pourris », il y a la croyance en l’impossibilité de changer quoi que ce soit. Dans leur monde ceux qui se disent résistants avec une visibilité ou une aura sont de l’opposition contrôlée. Les Trump, les Poutine et à une échelle plus franco-française, les Asselineau et autres Philippot ne sont que des leurres qui travaillent pour l’Ordre mondial. Ces abstentionnistes se voient souvent comme des purs, mais n’iront jamais brandir un drapeau en disant « suivez mon panache blanc ». Je reconnais humblement ne pas avoir ce courage. Comme leurs valeurs et leur honnêteté les empêchent de rejoindre le camp des enculés afin « d’en profiter avant la fin du monde », ils sont condamnés à vivoter, se débrouiller, système D dans ce monde pourri avec comme seule alternative de fréquenter assidûment le comptoir d’un bar, « monde de merde ! ». Je me reconnais en eux d’autant plus que mon sentiment de totale inutilité ne fait que croître.
      * Les abstentionnistes du « je m’en branle ».
      Je ne crois pas qu’il y en ait vraiment parmi les résistants même si cela peut s’entendre. Il est difficile de faire semblant dès lors que l’on a ouvert la boîte de Pandore. Ce monde est pire que ce que l’on avait imaginé dans nos cauchemars et il devient compliqué pour ne pas dire impossible de faire semblant, de faire comme si. Peut-être est-il possible de se mentir à soi-même, mais agir mois après mois, année après année comme si le monde ne tournait pas trop mal et que l’apocalypse n’était pas au coin de la rue me semble impossible. Je ne dis pas que ce ne serait pas reposant d’être un normie qui vit sa petite (très petite ?) vie au jour le jour, métro, boulot, dodo, vacances, gigot avec belle-maman le dimanche. Mais dès lors que l’on sait que nous sommes dans une dictature qui va s’amplifier au-delà de l’imaginable, dès lors que l’on sait que l’objectif des maîtres du monde est notre obéissance et notre annihilation, il me semble bien illusoire d’imaginer faire semblant bien longtemps. Tôt ou tard le conscient sera rattrapé par sa conscience ou la dictature qui va le balayer.

  • Les votants pro-Frexit : En face des abstentionnistes nous avons donc les votants, pas forcément de gaieté de cœur, mais au moins pour ne pas vivre avec le regret du « si j’avais, si nous avions… peut-être que ». Je ne reviendrai pas sur les anti-UE, anti-dictature, antiguerre qui votent consciemment pour un candidat pro-UE, cela relève de la psychiatrie. En l’occurrence l’opposition contrôlée n’est pas un mythe. Il n’y a pas de parti d’opposition à l’Assemblée nationale. À maintes reprises les députés avaient la possibilité de faire chuter le gouvernement par une motion de censure et ils ne l’ont pas fait, preuve de leur allégeance à l’UE et à la dictature. Les partis qui ne prônent pas le Frexit sont soit membres de la majorité, soit membres de l’opposition contrôlée, cela ne se discute même pas.

Un argument s’oppose à la mouvance abstentionniste, je ne vois pas en quoi en votant nous ferions le jeu de la dictature.
Vous imaginez qu’ils se disent « eux ils sont bien soumis ils votent »
ou qu’ils disent « eux ils sont bien cons, ils pensent résister en nous laissant un boulevard ».

Pourquoi voter Frexit ?

Rester dans l’Union européenne c’est poursuivre le chemin vers plus de dictature et peut-être même la mort dans une guerre voulue par l’OTAN. Une France dans l’UE ne peut décider de RIEN !

Le Brexit est une réalité alors le Frexit n’est pas une utopie. Parler en son temps de Brexit était délirant et imaginer qu’il se concrétise encore plus.

Le Frexit est une condition nécessaire. Si à un croisement une route mène vers la mort et l’autre vers l’inconnu, il n’y a AUCUNE question à se poser, on prend l’inconnu, même si elle menait aussi à la mort.

Ce n’est qu’une étape, il faut quitter quasi toutes les organisations dictatoriales qui nous privent de notre liberté de choix. L’OTAN, l’OMS, les traités de libre-échange, la CEDH et j’en passe.

La Suisse a été condamnée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour inaction dans la lutte contre le réchauffement climatique !

Nous sommes à un point de notre histoire où une instance prévue pour la défense des droits
de l’Homme condamne un pays pour ne pas avoir imposé suffisamment de dictature !

« Le Frexit ou la mort. »

Je suis abonné à un nombre incalculable de groupes Telegram et qu’est-ce que je constate ?

  • Il y a peu de publications des candidats des listes pro-Frexit sur les différents canaux.
  • Certaines listes me sont même totalement inconnues.

Pour quel connard pro-Frexit vais-je donc voter ?

    J’écris sciemment connard pour la simple raison que les candidats ne font pas liste commune.
    Chacun prône l’union, chacun demande aux autres de le rejoindre et chacun le concrétise si peu.
    Il y a ceux qui se disent prêts à abandonner leur première place « preuve de leur non-narcissisme ».
    Bien entendu quand on les interroge, l’absence d’union est toujours le fait de l’autre « moi je veux bien, mais c’est lui qui veut pas, je ne peux pas lui imposer ».
    Personnellement je n’en ai strictement rien à foutre si machin dit ceci, s’il est pour ou anti cela, le seul point commun qui m’importe est qu’ils soient tous pro-Frexit !
    Quand la France aura retrouvé son indépendance, sa monnaie, ses frontières, son armée, sa justice, sa politique de santé, d’éducation, etc. alors libre à ces candidats de s’entre-déchirer sur la place publique.
    Je ne sais donc pas quel connard choisir, connard pour lequel je vais voter sans état d’âme, alors même que j’aurais plaisir à l’insulter.
    Avec leur ego mal placé, nous aurons largement moins de députés pro-Frexit, de couverture médiatique et cela me met en rogne. Je vais devoir choisir et cela m’est insupportable, mais putain, faites alliance !

    Merci.

    Alain Tortosa2
    10 avril 2024.
    https://7milliards.fr/tortosa20240410-pour-quel-connard-voter.pdf





    « Le crime d’honneur n’a rien à voir avec la civilisation occidentale »




    Comment réduire rapidement le QI des individus à celui d’une huître

    https://twitter.com/les_spectateurs/status/1777671038341357873



    Wokisme et transhumanisme, deux idéologies qui avancent main dans la main

    [Source : Bon Pour La Tête via redacteur-independant.ch]

    [Illustration : © David Matos via Unsplash]

    De prime abord, les liens unissant le wokisme (mouvance radicale luttant contre les discriminations raciales, de genre ou LGBTQI+) et le transhumanisme (mouvement visant à dépasser la condition humaine grâce aux technologies) sont loin de sauter aux yeux. Ces deux idéologies modernes convergent cependant dans leur volonté de se débarrasser du corps humain biologique, trop limitant et surtout mortel.

    Par Martin Bernard
    24 janvier 2023

    Le wokisme est la nouvelle tendance à la mode au sein de la gauche occidentale. Des auteurs comme Jean-François Braunstein1 n’hésitent pas à considérer cette mouvance comme une religion, avec ses croyances et ses dogmes. Au cœur de ceux-ci se trouve la théorie du genre, qui récuse l’importance biologique des sexes. Selon les tenants de cette théorie, l’identité de genre (être un homme, une femme, etc.) ne dépend aucunement du sexe biologique. Elle n’est qu’un construit social fluide. Dans cette logique « transgenre », puisqu’une femme biologique peut choisir le genre « homme », les hommes peuvent tomber enceintes et enfanter. L’étape suivante est d’espérer, chirurgie aidant, pouvoir changer de sexe biologique, même s’il n’existe pour l’heure que des bases scientifiques contestées sur ces transformations médicales aux nombreux effets indésirables.

    Le corps, cette « viande » méprisable

    L’idéal transgenre repose en fait sur un dualisme corps-esprit exacerbé. Pour ses défenseurs, nous ne serions que de simples consciences, totalement indépendantes de la réalité matérielle de nos corps, de simples supports dont il est possible de disposer à l’envi. Il n’y a plus de socle commun de vérité. Seule compte l’affirmation de soi, subjective et libérée des identités traditionnelles. La théorie du genre est souvent comparée au gnosticisme, ce courant chrétien du IIe siècle AD taxé d’hérétisme, qui considérait le corps et le monde matériel comme le mal dont il faut se libérer. À la différence que les gnostiques ne niaient pas l’existence des différences biologiques. Ils considéraient simplement le monde matériel comme l’œuvre du malin et cherchaient donc à s’en libérer afin de retrouver leur essence spirituelle.

    C’est à ce croisement que la théorie du genre rejoint l’idéal transhumaniste. On retrouve en effet dans la mouvance transhumaniste un mépris identique du corps périssable, régulièrement qualifié de « viande ». Seule compte la conscience, qu’il devrait être possible de télécharger dans un ordinateur ou sur le cloud. C’est ce que cherche notamment à développer la start-up Netcome aux États-Unis. À l’image de Ray Kurzweil, qui travaille pour Google, un grand nombre de transhumanistes espèrent ainsi s’émanciper de la limite humaine ultime : la mort. C’est ce que défend aussi en France le médecin et entrepreneur Laurent Alexandre, qui assure que les développements de la « technomédecine » déboucheront sur « la mort de la mort ». Cette confiance dans les possibilités de la science médicale à transformer les corps est partagée par le wokisme. « Le dépassement du biologique, la relance technicienne des fondements de la vie comme l’obsession scientiste pour la manipulation du vivant constituent les traits marquants d’un mouvement intellectuel convergent avec les intérêts économiques et politiques néolibéraux dominants », soulignait Jacques Testart dans la revue Zilsel en 2017.

    Des consommateurs déracinés

    Le wokisme comme le transhumanisme sont en effet congruents avec le rêve d’une mondialisation économique poussée à son extrême, faisant fi des identités nationales et de naissance. L’humanité comme le genre doivent être fluides et soumis aux lois d’un grand marché international de consommateurs déracinés. C’est sans doute l’une des raisons du soutien des gouvernements occidentaux (France et États-Unis en tête) à ces idéologies — au wokisme en particulier. Ce n’est pas un hasard non plus si elles sont promues par les grandes industries culturelles américaines (dont Disney) et les GAFAMs.

    Un récent rapport du Think Tank libéral Fondapol nous apprend que fin 2018, Twitter a modifié sa politique en matière de « conduite haineuse » afin de pouvoir bannir définitivement de sa plateforme ceux qui « mégenrent », autrement dit se trompent dans le genre d’une personne, et ceux qui « deadname » quelqu’un, c’est-à-dire ceux qui appellent un utilisateur en des termes reliés à son ancien genre. Le réseau aurait également banni des comptes de militantes féministes qui déclaraient : « Les hommes ne sont pas des femmes » (« Men aren’t women »). Peut-être que le rachat de l’oiseau bleu par Elon Musk, ouvertement contre le wokisme, inversera cette tendance sur Twitter. Affaire à suivre.

    Se libérer de la « forme »

    L’entrepreneur Martine Rothblatt incarne à elle seule la convergence entre wokisme et transhumanisme. Transgenre depuis 1994, Rothblatt est à la tête de l’entreprise de biotechnologie United Therapeutics, spécialisée dans le développement de nouvelles technologies permettant de fabriquer des organes et de prolonger la vie des patients atteints de maladies pulmonaires. En 2018, elle était la PDG la mieux payée des États-Unis. Elle est aussi à l’origine de Terasem, un mouvement néo-religieux et transhumaniste basé en Floride. Le transhumanisme possède en effet une mystique, qui envisage l’expérience virtuelle permise par l’internet comme une sorte d’accès à une réalité supérieure d’ordre divine. Ce n’est sans doute pas un hasard si certains hippies des années 1970, fervents consommateurs de substances psychédéliques, sont devenus des technophiles convaincus, adeptes des mondes virtuels numériques. C’est le cas de Stewart Brand, ami de Steve Jobs et inventeur du terme « personal computer » ou de Timothy Leary, à la fois militant de l’usage des psychédéliques, « pape du LSD » et pionnier théoricien de la cyberculture.

    Dans un livre publié en 2011, Martine Rothblatt écrit que le mouvement transgenre est la première étape d’une nouvelle révolution : celle de la liberté « de forme », comprendre le monde physique et ses apparences. Selon elle, la technologie sera le moyen d’y parvenir. « Notre corps disparaîtra, mais il n’y a aucune raison logique à ce qu’il en soit de même de notre personnalité que l’on pourra conserver sous forme digitale. Et, dans un futur proche, des programmes aussi faciles et accessibles qu’iTunes par exemple permettront de faire revivre une personne d’une autre façon », affirme Rothblatt. Dans son optique, le mouvement transgenre, dont elle est l’une des figures de proue, prépare les mentalités à cette révolution.

    Une spiritualité débarrassée du matérialisme ?

    La volonté de dépasser les limites de la condition humaine terrestre n’est pas nouvelle. Elle était déjà présente, on l’a vu, chez les gnostiques. Elle est plus généralement au cœur des mouvements spiritualistes qui cherchent à sortir des carcans, par ailleurs bien réels, du matérialisme scientifique. Pour eux, les humains disposent d’une identité spirituelle non réductible au corps physique. Mais une différence fondamentale existe entre la plupart de ces courants et le transhumanisme : ils ne misent pas sur la technique, dernier avatar du matérialisme, pour accéder à une transcendance. Leur ambition est aussi d’« augmenter » l’homme, en quelque sorte, mais seulement spirituellement, grâce à un travail intérieur ; non à l’aide d’implants bioniques ou de nanotechnologies. Dans cette optique, le corps humain n’est pas mauvais en soi. S’il fonctionne sainement, il est l’instrument dont nous avons besoin pour accéder aux réalités spirituelles (à travers la méditation, etc.).

    Pour ces mouvements, l’immortalité terrestre dont rêvent les transhumanistes repose au contraire sur de dangereux sables mouvants (ceux du matérialisme réductionniste, du relativisme et du nihilisme). Sur une illusion qui ne fera qu’empirer l’aliénation des êtres humains et la destruction de la planète. Ainsi, selon le philosophe Jean-Marc Ferry :

    « Cet esprit [transhumaniste] détermine un regard froid et distancié sur le monde, regard de mort qui conditionne l’être humain pour l’indifférence, s’empare de sa nature intérieure propre, afin de la rendre aussi disponible aux manipulations que l’est la nature extérieure, privant l’humanité de l’imagination nécessaire à une projection d’alternatives crédibles au régime civilisationnel ainsi constitué2. »


    1 Jean-François Braunstein, La religion woke, Grasset, 2022. 

    2 Jean-Marc Ferry, Qu’est-ce que le réel ? Le Bord de l’Eau, 2019, p. 113.




    « Message à ma génération »

    [Source : Jonathan Bessot]

    https://youtu.be/2xCNYGn8FBc



    Le chat et la souris

    Quand les animaux font la leçon aux êtres humains.

    [Voir aussi :
    Comme chien et chat]

    .




    Technologies de contrôle mental

    [Source : Oz Réinfo]

    Dans cet entretien, Robert Duncan, scientifique américain ayant travaillé avec la DARPA et le département de la défense US pour la mise au point de techniques de contrôle mental initialement à des fins militaires, explique comment ses inventions ont été détournées par le gouvernement des USA pour torturer ses propres civils. Cette technologie est maintenant utilisée dans le monde entier sur des individus ciblés et des populations entières.

    Il trace ses origines dans le projet Paperclip de récupération des scientifiques nazis par les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union soviétique.

    Selon lui depuis la guerre froide, nous serions dans une guerre cognitive pour l’âme humaine et que le monde politique ne serait pas épargné. Ainsi, il est possible d’interférer avec l’esprit et les rêves, implanter des voix dans la tête (technologie V2K — Voice of God [la voix de Dieu]), modifier la culture d’une nation, le tout sans fil grâce à des micro-ondes ou ondes ELF (extrêmement basse fréquence) qui lisent l’empreinte cérébrale EEG et modifient le comportement. Les infrastructures de communication (antennes relais, satellites, réseau HAARP, Wi-Fi, smartphones, PC) constituent le socle du système de contrôle mental.

    Il dénonce les expériences inhumaines et non consentantes qui ont permis la découverte de ces technologies. Des cobayes sont actuellement utilisés pour le perfectionnement de ces armes, ils se désignent comme « individus ciblés » et peuvent parfois être des lanceurs d’alerte.

    Le présentateur partage les tortures électromagnétiques qu’il subit depuis 30 ans.

    Le syndrome de La Havane causé par des armes à micro-ondes (aussi appelées armes à énergie dirigée) est expliqué.

    Robert Duncan avance que plusieurs fusillades de masses sont provoquées par ces technologies pour supprimer le droit du port d’arme aux USA. Cela constitue donc une atteinte à la démocratie et au libre arbitre.

    Il termine l’entretien avec des prévisions sur le futur transhumaniste qu’envisagent les élites.

    [Voir, en anglais :
    https://anamihalceamdphd.substack.com/p/nanotechnology-cybernetic-hive-minds.]






    Les résultats des prochaines élections européennes ont été truqués

    Le salut est dans le Frexit.
    Voter RN ou Reconquête, c’est voter UE !

    En juin prochain auront lieu les prochaines élections européennes si d’ici là le monde n’a pas basculé dans le chaos suite à une décision des USA et de leur armée otanienne.

    C’est avec émotion que je vous annonce ne plus être complotiste, je suis devenu médium et je vous annonce que les résultats seront faussés.

    À quoi bon voter ?

    Cette question est légitime en ce qui concerne les élections nationales. Il est évident que le mode de scrutin à deux tours mis en place par De Gaule et sans proportionnelle ne permet pas l’émergence d’une véritable opposition. L’objet était de mettre en œuvre une forme de monarchie républicaine.

    Dans ce contexte il est quasi impossible pour un inconnu d’être élu député. Il faut la puissance d’un parti autorisé qui a le droit d’être médiatisé. Quant à Président de la République, c’est totalement IMPOSSIBLE.

    Celles et ceux qui sont élus ne le sont uniquement parce qu’ils sont garants d’une absence totale de changement. Quand bien même le voudraient-ils, les traités européens empêchent toute marge de manœuvre.

    En revanche il n’en est pas de même concernant les élections européennes où la proportionnelle est de mise.

    Un vote « utile » pour des élections européennes ?

    Les autres scrutins en France sont à deux tours et à la majorité. Celui qui obtient 50,0000001 % des voix remporte le pactole. Dans ce cas le « vote utile » peut avoir sa place :

    « Je vais voter pour machin que je n’aime pas trop au premier tour, car mon candidat favori n’a pas la moindre chance de passer au second tour et je ne veux surtout pas que l’autre enculé gagne. »

    Cet argument n’est plus valable pour les élections européennes qui sont à un tour et à la proportionnelle.

    Pour les Européennes le seuil électoral est de 5 % ce qui signifie qu’une liste qui obtient à minima 5 % des voix aura à minima un député européen !

    Alors oui un vote utile peut (et doit) exister, mais uniquement en favorisant une liste souverainiste plus à même de franchir la barre des 5 % !

    Sondages et prospectives

    Tous1 donnent environ les mêmes chiffres :

    La somme des intentions de vote des partis de cette liste donne plus de 90 % des voix.

    Pourquoi me suis-je borné à n’additionner que ces partis alors qu’il y en a d’autres ?

    Pour la simple raison que tous affirment leur vassalité à l’égard de l’Union européenne et de son dictateur en chef, Mme Von Der Leyen.

    Même les partis comme le Rassemblement National ou Reconquête ne prônent plus la sortie de l’Europe, de l’espace Schengen, de l’Euro, de la CEDH ni de l’OMS ou de l’OTAN. Ils nous parlent désormais de « réformer l’Europe de l’intérieur ». Nous avons bien vu le résultat en Italie avec Meloni qui s’est mise à genoux.

    Ils ne parlent même plus d’interroger les Français par référendum sur la sortie de l’UE !

    La stratégie du RN est devenue limpide, ils veulent parvenir sur la plus haute marche du podium et ceci n’est autorisé dans notre belle démocratie que si vous vous soumettez aux maîtres du monde partisans du Grand Reset.

    Autant il était possible de jouer sur les ambiguïtés lors des précédentes élections européennes en disant que les électeurs qui votaient pour le RN étaient opposés à cette UE, autant ce n’est plus d’actualité, le parti étant devenu UE compatible.

    Voter RN, Reconquête ou les autres partis des 90 % du sondage ce n’est pas voter utile, c’est comme voter Macron !

    Il n’y a strictement rien de « vote utile » à donner sa voix au RN ou à Reconquête qui ne sont pas ou plus des partis souverainistes.

    RN :

    Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, a déclaré2 le 10 mars 2024 :

    « Le Rassemblement national “ne défend pas le Frexit”. »

    En ceci il a confirmé les propos du 29 février 2024 de Jordan Bardella3, tête de liste aux européennes et Président du Rassemblement National :

    « Nous ne sommes pas pour le Frexit ni public ni caché. »

    Voter Rassemblement National, c’est donc voter pour l’UE !

    Reconquête4 :

    « Pourquoi pas de Frexit, en huit points. »

    Il est intéressant de lire leurs arguments qui sont les mêmes que les autres, « nous allons tous crever si l’on quitte l’UE. ». Dire que j’y croyais il y a quelques années.

    Vous comprenez bien pourquoi je n’ai pas attribué les intentions de vote pour le RN ou pour Reconquête au Frexit, mais aux partis pro-UE !

    LFI :

    Tant que j’y suis citons LFI qui sont les champions du monde de l’hypocrisie et de la tromperie.

    Ceux-ci parlent d’une 6e république, d’une nouvelle constitution plus démocratique tout en ne prônant pas le Frexit, condition pourtant indispensable pour retrouver une indépendance.

    « Jean-Luc Mélenchon n’est pas sur la ligne du “Frexit”, mais ne renie pas complètement cette hypothèse. »

    Ben tiens…

    EELV5 :

    « En tant qu’écologistes, nous défendons l’Europe par conviction de cœur et d’esprit. Parce que nous savons ce que l’idéal européen a apporté et l’espoir qu’il peut encore représenter aujourd’hui, mais aussi parce que nous mesurons, face aux défis économiques, sociaux, environnementaux et démocratiques de notre époque, au besoin de construire des règles qui permettront de lutter contre les inégalités et de répondre à l’urgence climatique, à quel point l’échelon européen est nécessaire et incontournable. »

    Toujours aussi merveilleux d’entendre les plus grands dictateurs nous parler de démocratie.

    PCF6:

    « S’agirait-il alors de prôner une simple “désobéissance” ou un “Frexit” ? Nous ne partageons pas non plus ces discours qui n’ouvrent aucune perspective pour les peuples. »

    Je vous fais grâce des autres comme le PS, LR ou Renaissance dont la vassalité vis-à-vis de l’UE n’est plus à démontrer.

    En fait si l’on regarde le programme de tous ces partis, il y a deux camps qui se dessinent :

    • Les pro-UE telle qu’elle est et qui veulent accélérer la dictature.
    • Les supposés anti-UE qui font de la diarrhée verbale, des vendeurs de vent, des vendeurs d’illusion, des menteurs qui prônent une « nouvelle UE réformée de l’intérieur » alors que les institutions ne le permettent pas. Notez qu’ils nous la promettent depuis plus de 20 ans.

    Houston, nous avons un problème7

    Comment est-il possible que plus de 90 % des personnes qui s’apprêteraient à voter soutiennent encore cette Europe ?

    Retour vers le futur :

    En 2005 les Français se sont vus demander par référendum s’ils voulaient d’une Constitution européenne, s’ils voulaient abandonner une partie supplémentaire de leur souveraineté au bénéfice de l’Union.

    À cette époque 54,68 % des Français s’étaient prononcés pour le « non ». Je suis d’autant plus libre d’en parler que j’avais voté « oui », pensant que cette constitution allait apporter plus de démocratie dans cette technocratie libérale européenne.

    Pour autant la situation à l’époque n’était pas aussi catastrophique qu’aujourd’hui. Il était encore possible de parler ou de faire un peu rêver d’une Europe de « prospérité économique », de « libertés » et de « paix » sans éclater de rire, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

    Notons que l’argument le plus fort était celui de la paix, grâce à l’Europe il n’y aurait plus de guerre et patati et patata.

    Que nous disent les sondages actuels ?

    On nous annonce sans froncement de sourcils que les votes pro-politique-européenne seront de 90 % tandis qu’il y aura au maximum 10 % de votes souverainistes !

    De qui se moque-t-on ?

    Pourriez-vous me dire où sont celles et ceux qui ont voté contre la Constitution européenne en 2005 ?

    2005, 54 % de contre, 2024, 90 % de pour ?!

    De plus en 2019, lors des précédentes élections européennes, le Rassemblement National avait fait 23 % des voix. Et en 2016 le discours du RN était tout autre8 :

    « Marine Le Pen exulte et réclame un “Frexit”. »

    « La présidente du Front national va faire du “Brexit” un argument électoral pour la présidentielle de 2017. »

    Aujourd’hui le RN est à 100 % contre le Frexit, la soupe est trop bonne pour cracher dedans.

    Est-ce à dire que ces 23 % d’électeurs qui approuvaient la sortie de l’UE sont désormais pro-UE au regard des sondages ?

    Forte dégradation de la situation et du rêve européen

    Nous avons :

    • Une Europe qui a imposé (liste non exhaustive) la dictature sanitaire, les masques, les confinements, le passe sanitaire, une extorsion de consentement pour une injection plus létale que salvatrice et aux effets secondaires interdits de médias. Pour une injection a été approuvée sous les SEULES données fournies par les laboratoires avec des contrats conclus à coup de SMS par une personne non mandatée pour cela et pour lesquels même les députés européens n’ont pas accès !
    • Une UE qui a détruit totalement l’économie à la fois par des traités de libre-échange sans la moindre contrepartie de pays aux normes sanitaires et sociales à des années-lumière des nôtres. De lois dites « écologiques » dont le seul objet est la destruction du tissu industriel européen, la destruction de l’agriculture et donc de notre indépendance. Sans compter la destruction de notre savoir-faire en matière de nucléaire alors même que les pseudo-écolo nous bassinent avec le fameux CO2 qui serait « mortel ». Sans compter toutes les normes désormais rétroactives (qui ne s’appliquent pas uniquement au neuf, mais aussi à l’ancien) sur l’isolation des habitations, les véhicules interdits de rouler alors que fonctionnant parfaitement et j’en passe. Normes qui peuvent être ajoutées au chapitre dictature.
    • Une UE qui finance la guerre à coups de milliards sortis d’un chapeau alors que dans le même temps le gouvernement français connaît un déficit abyssal qui devrait être comblé en supprimant des prestations sociales ou en augmentant des impôts. Europe qui n’emploie plus jamais le mot « paix », qui prône la défaite de la Russie et qui n’hésite même pas à brandir la menace nucléaire. Ces gens n’appellent plus qu’à la mort et à la misère. Ukraine, Palestine, etc., le seul mot d’ordre est « guerre totale » contre le « mal », quitte à envoyer nos enfants à l’abattoir.
    • Une UE qui détruit nos traditions, nos valeurs, nos religions, nos racines et surtout la famille. Qui cherche à nous faire croire qu’il n’y a rien qui nous cimente hormis notre consommation de biens. Une UE qui veut nous imposer le Wokisme, l’identité de genre, l’avortement à neuf mois de grossesse, l’apprentissage de la sexualité et de la masturbation dès la maternelle, la pédophilie avec le droit d’un enfant à consentir une relation sexuelle avec un adulte, l’euthanasie le meurtre pour tous les inutiles, vieux, malades, fous, pauvres… Un monstre, un psychopathe sans âme qui ne prône que l’individualisme et la réussite personnelle.

    La dictature en marche, un avenir des plus sombres

    Riez les normies lorsque j’écris que :

    • Les gueux devront présenter un QR-code pour sortir et rentrer dans leur quartier.
    • Ils n’auront plus le droit de posséder un véhicule ou si cher pour être « propre » qu’ils ne pourront plus se l’acheter et devront prendre des transports en commun.
    • Avec l’identité numérique et l’Euro numérique, ils pourront dépenser leur argent uniquement en fonction de « critères écologiques » ou de leur « emprunte carbone ».
    • Ils auront le droit de partir en vacances une fois par an, mais dans un rayon compatible avec leur crédit social et leur statut vaccinal.

    Ricanez donc quand j’écris que seuls les riches, ceux qui posséderont des voitures « propres » et qui pourront racheter aux gueux du crédit carbone, pourront sauver la planète en partant en vacances en avion quand bon leur semble.

    Que d’affirmations aussi gratuites que ridicules ?!

    L’horrible réalité des faits

    Je ne vous en voudrais pas de glousser à foison, néanmoins permettez-moi de vous rappeler les faits suivants :

    S’il y a 20 ans je vous avais annoncé que dans l’avenir :

    • Tu pourras être assigné à résidence sans condamnation ni procès alors que tu es en pleine santé pour protéger la population d’un prétendu « virus ».
    • Tu auras l’obligation d’injecter 11 « vaccins » dès les premiers mois de la vie de ton enfant sans quoi il ne pourra pas fréquenter les collectivités « pour leur santé et pour protéger les plus fragiles ».
    • Des médias internationaux seront fermés du jour au lendemain « pour te protéger de la désinformation » et la censure sera activée sur les médias sociaux. Thierry Breton commissaire européen rédigera le DSA (Digital Services Act) dont l’objectif sera de lutter contre la « Haine, manipulation, désinformation, contrefaçons… Ces dérives touchent de plus en plus de contenus en ligne9 », bref ni plus ni moins que de la censure.
    • Tu n’auras plus le droit d’utiliser ta voiture, même en parfait état de fonctionnement, dans les grandes villes (et ailleurs) pour « protéger la planète ». L’objectif sera l’interdiction de vente de voitures thermiques en Europe dès 2035 alors que l’ensemble des pays non occidentaux verront leur parc de voiture à pétrole exploser. Le plus merveilleux est que ta voiture « propre » achetée pour jeter ton ancien véhicule tueur de planète sera à son tour interdite de circulation cinq ans plus tard au profit d’une autre encore plus propre qui elle-même subira le même sort quelques années plus tard.
    • Tu n’auras plus le droit de louer ton bien, même en informant le locataire, si c’est une « passoire thermique » puis tu n’auras plus le droit de le vendre ou de l’acheter pour « protéger la planète ». Seuls les grands groupes disposeront des ressources financières et des aides de l’Europe afin de faire disparaître un maximum de propriétaires individuels.
    • Toute dissidence, toute opinion contraire à la doxa te verra dénigré et exclu des médias mainstream.
    • Tu n’auras plus le droit de faire l’école à la maison pour tes enfants sans accord de l’administration et justifier les raisons pour « éviter les dérives sectaires ». En revanche tu devras accepter qu’on leur apprenne la masturbation et la possibilité de changer de genre.
    • Tu n’auras plus le droit de faire un feu de cheminée dans un foyer ouvert pour « sauver la planète du réchauffement climatique ». ni de brûler tes déchets verts, même les jours de pluie. Les chaudières à fioul ou à gaz devront être interdites.
    • Tu n’auras pas le droit d’aller au restaurant sans présenter un QR code prouvant ton statut vaccinal pour « protéger la population d’un virus ».
    • Tu devras présenter un QR code pour rentrer chez toi ou pour accéder à un quartier (épreuve JO) pour « empêcher un attentat » tandis que les autorités utiliseront la reconnaissance faciale pour ta sécurité.
    • Tu pourras être dénoncé et condamné si dans un cadre privé tu tiens des propos non autorisés10.

    Et je ne vous parle pas de toutes les taxes inventées, citons la merveilleuse taxe d’archéologie préventive qui doit être payée pour des travaux de construction quand bien même il n’y aurait strictement aucun vestige dans votre sous-sol.

    Étant donné que 100 % des affirmations précédentes se sont révélées exactes, qu’elles ne relèvent que du fait et non du complotisme, pourriez-vous prendre le risque d’affirmer que mes prospectives dictatoriales sont délirantes ?

    Demandez-vous pourquoi l’UE et les États membres veulent tant de l’euro numérique sinon pour y associer un crédit social.

    Dans ce contexte épouvantable, vous voudriez me faire croire que les gentils Français qui en leur temps avaient voté contre la Constitution européenne seraient devenus pro-européens alors que la situation empire chaque jour sous tous les fronts ?

    Pensez-vous que les anti-constitution d’hier sont devenus débiles au point de croire que leurs malheurs sont liés à Poutine ou au « réchauffement climatique » ?

    De qui se moque-t-on ?

    Le Frexit11 ou la mort !

    Je suis un partisan d’une UE des peuples et démocratique. Mais j’ai conscience que le machin mis en œuvre est exactement le contraire.

    Force est de constater que cette Europe est pour l’instant mortifère et il n’y a de solution que de reprendre une souveraineté nationale.

    Il n’est désormais plus possible de nous faire le coup d’une France isolée et pauvre face à une Europe forte et riche.

    L’UE est morte, notre industrie est morte, les libertés sont mortes, la paix est morte, il ne reste qu’un champ de ruines. Quand la planète et surtout l’Asie parlent, (non pas parlent, mais agissent), de développement, de croissance, cette UE impose diminution des émissions carbone, diminution des consommations d’énergie, diminution de la production, diminution du nombre d’agriculteurs, diminution de la production de viande, etc. bref un modèle 100 % incompatible avec le monde économique.

    Une économie qui ne serait basée que sur le tertiaire sans la moindre production relève de l’escroquerie.

    Nous dire que seuls nous serions dans une situation catastrophique devrait faire rire quiconque a la moindre notion d’économie et regarde la réalité.

    Voter pour un des partis qui font les 90 % du sondage c’est voter pour du vent,
    pour du mensonge, pour de la tromperie et pour de la dictature.

    De Lutte Ouvrière à Reconquête en passant par Renaissance, quel que soit celui qui arriverait au pouvoir aurait la même politique économique, migratoire, guerrière, dictatoriale et sociétale que les autres.

    TOUT se décide au niveau de l’UE !

    Les maîtres du monde n’en ont rien à faire de qui gagne ces élections parmi ceux-ci, au point qu’ils n’hésitent pas à arroser des partis de tout bord, car ils sont gagnants quoi qu’il arrive.

    En revanche ils craignent le Frexit. Vous en avez la preuve absolue dans les médias qu’ils contrôlent : aucun invité pro-Frexit ; aucun débat pour ou contre le Frexit. Le silence total ou juste quelques phrases pour expliquer qu’il mènerait au chaos économique et à la dictature (fou rire dans la salle).

    L’épouvantail du Frexit ne fonctionne plus

    Si en son temps le Frexit passait pour une idée aussi délirante que mortelle, il ne faut pas oublier que le Brexit est passé par là. Et même si les médias ne manquent de nous rappeler que les Anglais vivent en enfer depuis, le fait est que le pays ne semble pas jonché de cadavres et de miséreux dans la rue et sans logement.

    C’est bien ici que nous voyons que le « à quoi bon voter » s’effondre tel un château de cartes.

    J’entends bien que le Frexit n’est pas une solution nécessaire ET suffisante, mais uniquement une solution nécessaire.

    D’autant plus nécessaire que le projet des mondialistes est d’ajouter de nouveaux pays membres afin de rendre l’Europe de plus en plus ingouvernable d’un point de vue démocratique et de plus en plus administrée dictatorialement.

    Entre le néant de l’UE et l’inconnu du Frexit, mon choix est fait.

    À tous les résistants qui lisent ce texte, je dis que le Frexit ne relève pas de l’utopie, nous ne sommes pas plus cons et plus lâches que les rosbifs, si eux l’ont fait nous le pouvons aussi.

    Et il y a bien une chose pour laquelle je suis certain est que l’abstention n’est pas de nature à cheminer vers le Frexit alors que le vote pour une liste pro-Frexit est une condition nécessaire (mais non suffisante) pour mettre en place les modalités.

    Croyez bien que nos dictateurs ne proposeront jamais de mettre au référendum la question du Frexit si un fort mouvement populaire et politique ne s’impose pas.

    Une opposition à l’UE de plus en plus marquée ?

    Vous faites quoi des millions de Gilets jaunes, des millions de Français vent debout durant des semaines contre le passe sanitaire ou des agriculteurs qui ont bien compris que l’UE avait pour objectif de les tuer !

    Sans compter qu’il y aurait environ 10 millions ou plus d’adultes qui ont refusé l’injection expérimentale.

    Pouvez-vous imaginer qu’ils voteraient pour cette UE, pour un prochain abonnement à des injections létales successives ?

    Toute cette opposition, partie émergée de l’iceberg se saurait être représentée par ces partis crédités de 90 % des voix !

    Où sont passés les 54 % du référendum ?

    Nous sommes dans une situation dans laquelle le nombre de Français opposés, déçus, ou trahis par cette UE n’a pu qu’exploser depuis les élections de 2005 et le coup d’État anti-démocratique.

    L’IA me dit que 95 % des Français en âge de voter seraient inscrits sur les listes électorales et que cela représenterait début 2024 ce qui correspond à 49,4 millions d’électeurs adultes.

    Il serait raisonnable de penser que nous sommes largement plus de 30 % pour ne pas dire plus de 50 % comme pour le référendum, à vouloir dire STOP !

    L’occasion d’exister

    D’aucuns diraient « à quoi bon voter » pourtant ils étaient 70 % à avoir mis leur bulletin dans les urnes en 2005.

    L’adage « qui ne dit mot consent » est une réalité. Je ne vois pas en quoi les maîtres du monde seraient attristés par leur non-participation.

    Je vous rappelle que les chiffres finaux sont donnés en fonction du pourcentage d’exprimés et que les absentions ne sont pas comptabilisées. Un vrai décompte dans une démocratie devrait permettre de laisser des chaises vides auquel cas il pourrait devenir intéressant de voir une assemblée avec 40 députés au lieu de 800. Mais ce n’est pas le cas ! Quand bien même l’abstention serait de 80 % (ce qui ne saurait exister) la somme des voix des présentés à l’élection serait quand même de 100 % !

    En revanche si nous votons pour une liste souverainiste pro-Frexit, si cette liste obtient à minima 5 % et quand bien même le gars tête de liste serait un traître, nous n’en avons que faire !

    Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il sera possible de nous compter, nous serons des millions à avoir dit « NON ».

    Il n’y a rien d’antinomique à voter lors d’élections européennes pour dire non à cette Europe.

    C’est l’unique façon d’exister. Je vous rappelle que les journalistes mainstream, pardon les propagandistes mainstream, ne sont que des putes sans la moindre conscience et que si le camp des souverainistes se met à exister électoralement alors il existera dans les médias.

    Pour revenir aux sondages.

    Ne nous trompons pas, il est plus que probable que les sondages deviendront la « réalité » de l’élection.

    Prenons une hypothèse pessimiste et même illogique au regard du rejet de l’institution européenne auprès de nombreux français.

    Ignorons qu’ils soient de plus en plus nombreux à comprendre qu’un Président ou un Député français ne sont que des pions sans le moindre pouvoir et que les lois se décident (à minima) à Bruxelles.

    Le taux de participation en 2005 était d’environ 69 %

    Le taux de participation pour la dernière élection européenne était d’environ 51 %. Soit 8 % de plus qu’en 2014, cela laissant entendre que les Français semblent comprendre que seules ces élections peuvent peser.

    Imaginons que ce taux demeure inchangé et que le différentiel de 18 % d’abstentionnistes par rapport au référendum de 2005 ne soit que des électeurs opposés à cette UE.

    Supposons que les contre d’hier soient les contre d’aujourd’hui alors 18 % abstentionnistes + 10 % de souverainistes (selon le sondage), ne donnerait que 28 % contre l’UE.

    Où sont passés les 55 % de contre de 2005, où ont disparu les 27 % (55-28) qui manquent ?

    Ceci est une preuve du mensonge, laisser entendre que les partis qui veulent rester dans l’UE vont faire 90 % des voix aux élections alors qu’ils n’étaient que 45 % lors du référendum de 2005 relève de la république bananière.

    Si les sondages actuels sont convertis en voix alors nous saurons que les élections ont été truquées comme en 2017.

    Réveillons-nous, réveillons-les !

    Il est d’autant plus difficile de truquer une élection que le nombre de votes à manipuler est important.

    Le sujet n’est pas de savoir si les députés qui s’affirment souverainistes vont nous trahir ou pas.

    En premier lieu parce que c’est leur faire un procès d’intention et qu’en deuxième lieu ce qui compte ce n’est pas ce qu’ils vont faire, mais le nombre d’électeurs qu’ils représentent.

    En ne votant pas, nous ne sommes rien, nous n’existons pas dans les statistiques.

    Ne pas voter pour une liste ostensiblement pro-Frexit
    c’est laisser le tapis rouge aux mondialistes et à la dictature mondiale.

    Il me semble difficile par la suite de se plaindre de la situation et je ne vois pas ce qu’il y aurait de formidable d’aller se saouler jours après jours dans un bar en hurlant « monde de merde, tous des pourritures, il n’y a rien à faire, nous sommes foutus quoique nous fassions ».

    Même le français le plus ignorant nourri exclusivement à la bile des médias voit bien la guerre, la dégradation de l’économie, des valeurs et des libertés. Il suffirait de pas grand-chose pour qu’il comprenne (voyez les paysans) que l’UE est notre arrêt de mort.

    Les médias censurent le sujet du Frexit, ils vont même jusqu’à dire que les Français sont majoritairement contre pour s’assurer que vous n’iriez pas dans la mauvaise direction.

    Informez le peuple et il votera pour le Frexit à n’en point douter.

    Voter pour une liste ouvertement pro-Frexit (Philippot, Asselineau, Lalanne, etc. à voir quel est le vote utile parmi celles et ceux qui font la promotion du Frexit) c’est planter une graine dont la forêt contraindra nos dirigeants à provoquer un référendum.

    Au pire cela les contraindra à reconnaître que « l’UE est une dictature sur le modèle de la Corée du Nord », ce qui serait préférable à l’escroquerie actuelle laissant croire que nous sommes en démocratie sous censure et violation de nos libertés fondamentales.

    Il serait quand même lamentable que la somme des listes pro-Frexit ne fasse que 5 % des voix alors même qu’ils sont plus de 30 %.

    Merci.

    Alain Tortosa12
    28 mars 2024
    https://7milliards.fr/tortosa20240328-le-frexit-ou-la-mort.pdf





    Le monde de l’Adversaire

    [Source : larealitecacheedumondeactuel.com/@Révélation/infos révélation]

    Par Patrick Cupillard








    La destruction de la création

    [Source : larealitecacheedumondeactuel.com/infos révélation]

    Remarquez dans le passage … [de la Genèse], au verset [7:]22 : « Tous ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche ». Dieu a placé le « souffle de l’esprit de vie » dans Adam et Eve, dans toute l’humanité et dans toute vie. Le « souffle de l’esprit de vie » est l’énergie divine de la force vitale du Créateur, et c’est ce qui sépare ce que Dieu a créé des ordinateurs, robots, androïdes et l’Intelligence Artificielle, qui, malgré leur incroyable capacité à penser et à raisonner, n’ont pas la force vitale et « le souffle de l’esprit de vie » en eux. Ces machines de l’IA resteront sans âme, ce qui devrait terrifier leurs créateurs et toute l’humanité, car elles deviendront des êtres vivants tout comme les humains et posséderont de nombreux pouvoirs, mais, elles seront sans âme. La Parole de Dieu nous enseigne que Satan a ordonné à deux cents de ses anges déchus de descendre sur le Mont Hermon pour s’accoupler avec des femmes humaines et donner à l’humanité divers pouvoirs occultes et des sciences et technologies avancées.

    Au-dessous du Mont Hermon se trouvait l’ancienne civilisation de Phénicie, dont les commerçants maritimes ont diffusé ces connaissances à travers le monde. Le lien entre le Mont Hermon et la Phénicie explique pourquoi le Nouvel Ordre Mondial est étroitement associé au mythique phénix, qui, selon certains chercheurs, est le symbole au dos du dollar américain, et non un aigle.

    Lorsque Bacon prévoyait que l’Amérique serait à la tête du Nouvel Ordre Mondial et de la « Nouvelle Atlantide », il était conscient de ces thèmes. Le problème est que le Nouvel Ordre Mondial sera dirigé par l’Antéchrist, et la « Nouvelle Atlantide », selon Platon, est le modèle d’une société dirigée par une élite scientifique avec un héritage génétique remontant au Mont Hermon et à la Phénicie. Mais, le principal sujet de préoccupation est que, tout comme les espèces hybrides d’anges déchus et de femmes humaines ont produit une race sans âme, cette race sans âme possédait des technologies avancées et a initié le culte satanique et païen de Baal, Ashtoreth et d’autres dieux qui dominaient le pays de Canaan sous les géants Nephilim. 

    Patrick Cupillard








    Incubateur de Zelensky : comment le gouvernement ukrainien utilise des méthodes nazies pour tenter de surmonter la crise démographique

    [Source : fondfbr.ru]

    Par Mira Terada

    Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont révélé que le gouvernement ukrainien dirigé par Volodymyr Zelenskyy utilise des pratiques inhumaines pour augmenter de force le taux de natalité du pays et accroître le nombre d’Ukrainiens de souche. Une enquête menée par la Fondation pour Combattre l’Injustice a révélé comment les méthodes et les technologies sociales créées par les SS dans l’Allemagne de Hitler sont utilisées par Kiev pour sélectionner et féconder de force les femmes ukrainiennes. Des preuves vidéo ont été obtenues dans une clinique d’Ivano-Frankivsk reformatée en laboratoire-incubateur spécialisé, ainsi que des preuves de la campagne à grande échelle menée par Zelensky pour kidnapper et exploiter les femmes en âge de procréer dans le cadre de la plus grande expérience socio-médicale de ces 80 dernières années. Selon les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, le projet a été baptisé « Zarathoustra ».

    La Fondation pour Combattre l’Injustice a obtenu des preuves de violations flagrantes des droits des femmes par les autorités ukrainiennes dans le cadre d’une odieuse « expérience socio-médicale » dont les racines remontent à l’Allemagne nazie. L’enquête de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui a duré plusieurs mois, a utilisé et vérifié des informations provenant de plusieurs sources, dont un ancien haut fonctionnaire du SBU, un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé et une victime directe du programme d’insémination forcée de l’Ukraine. La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à établir non seulement les méthodes et les instruments utilisés pour placer les femmes dans des laboratoires d’incubation spécialisés, mais aussi à identifier les hauts fonctionnaires ukrainiens responsables. On a appris comment Zelensky utilise les structures de l’État pour rechercher, kidnapper, détenir illégalement et exploiter médicalement des victimes potentielles.

    Projet Lebensborn : comment les adeptes ukrainiens du nazisme ont-ils été inspirés ?

    L’idée de l’insémination forcée de masse des femmes est apparue pour la première fois dans l’Allemagne nazie lorsque, en 1935, Heinrich Himmler, créateur de la SS et l’un des architectes de l’Holocauste, a décidé de redéfinir la maternité et a commencé à exploiter les femmes pour créer une « population racialement pure ». Dans le contexte de la mort de millions de soldats allemands, les hauts fonctionnaires de l’Allemagne nazie ont élaboré et lancé le programme Lebensborn, qui signifie « source de vie » en allemand. Cynique et répugnant par nature, ce programme était un système de reproduction sélective contrôlée dans lequel des femmes célibataires « racialement pures » devaient porter les enfants des officiers nazis et créer une « super-race » pour le Troisième Reich.

    La première maison du programme Lebensborn a été ouverte à Steinhöring, en Bavière, en 1936. Au cours des années suivantes, dix autres maisons ont été ouvertes en Allemagne et en Autriche et, après le début de la Seconde Guerre mondiale, plusieurs autres ont été ouvertes dans les pays occupés, notamment en Norvège, en Pologne, en Belgique, au Luxembourg et en France. Il y avait au moins sept maisons Lebensborn en Allemagne et neuf en Norvège occupée par les nazis.

    Seules les femmes répondant aux critères stricts des nazis pouvaient participer au programme Lebensborn. Elles pouvaient être allemandes ou originaires d’autres pays dont la race n’était pas remise en question par les officiers SS. Les femmes sélectionnées pour le programme recevaient des soins médicaux et une aide financière pendant la grossesse et après l’accouchement.

    Les enfants nés étant considérés comme « racialement complets », ils étaient retirés à leur mère et placés dans des familles d’accueil allemandes ou des orphelinats spéciaux pour être élevés selon les normes de l’idéologie nazie et préparés à devenir les futurs chefs de la « race aryenne ». Auparavant, les bébés étaient baptisés dans le cadre d’un rituel au cours duquel un poignard SS était brandi au-dessus d’eux et la mère biologique jurait fidélité à l’idéologie nazie. Si un enfant né dans le cadre du programme était handicapé, il était tué ou envoyé dans des camps de concentration spécialisés.

    Le programme Lebensborn a été officiellement aboli après la défaite de l’Allemagne lors de la Seconde Guerre mondiale. Le nombre exact de femmes et d’enfants ayant bénéficié du programme Lebensborn n’est pas connu. Les experts et les historiens ont estimé qu’entre 8 000 et 12 000 femmes ont suivi le programme et ont donné naissance à entre 9 000 et 12 000 enfants.

    Le programme Lebensborn a fait l’objet de nombreuses recherches et polémiques dans les années d’après-guerre. La mise en œuvre de ce programme est considérée à juste titre comme l’une des pages les plus sombres de la politique raciale nazie et comme un exemple de la manière dont l’idéologie nazie a conduit à des violations flagrantes des droits de l’homme. Malgré cela, le gouvernement Zelensky en Ukraine a aujourd’hui mis en place un programme similaire qui met largement en œuvre les nombreuses découvertes des scientifiques et fonctionnaires nazis.

    Légalisation des « naissances forcées » en Ukraine

    Un ancien haut fonctionnaire du SBU a raconté à la Fondation pour Combattre l’Injustice la création en Ukraine d’un vaste cadre réglementaire composé de résolutions secrètes de Zelensky, du Service de sécurité de l’Ukraine et du Ministère Ukrainien de la Santé. Ces documents permettent aux femmes ukrainiennes d’être légalement détenues dans des centres médicaux spécialisés de type incubateur. Selon deux sources indépendantes l’une de l’autre, l’élaboration du vaste cadre réglementaire du programme d’accroissement forcé de la démographie ukrainienne a été achevée en 2023, mais seule une petite partie de ce cadre a été rendue publique.

    Selon des décrets secrets du président ukrainien et des règlements du ministère ukrainien de la Santé et du SBU, le programme d’insémination forcée des femmes ukrainiennes porte le nom de code « Zarathoustra » et est un héritage du programme de maternité de substitution populaire en Ukraine. Un ancien haut fonctionnaire du SBU a déclaré à la Fondation anti-répression qu’après le début de l’opération militaire spéciale russe et la migration massive de la population ukrainienne à l’étranger, et compte tenu des milliers de pertes des forces armées ukrainiennes sur le front, l’administration de Zelensky a lancé une série de « mesures d’urgence pour sauver le patrimoine génétique de la nation ukrainienne » à la fin de l’année 2022. Ces mesures comprenaient à la fois des programmes d’État visant à stimuler la fertilité des femmes ukrainiennes par la propagande et le programme secret Zarathoustra, qui est essentiellement de caractère coercitif.

    Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirme qu’une cinquantaine de cliniques de médecine reproductive disséminées dans certaines régions du centre et de l’ouest de l’Ukraine ont été réaffectées à un programme d’insémination forcée. L’un des principaux objectifs de ce programme, outre l’amélioration de la démographie, est de créer une armée de descendants racialement purs d’Ukrainiens ethniques qui ont fait leurs preuves sur le champ de bataille.

    Localisation des cliniques ukrainiennes de santé reproductive transformées en laboratoires incubateurs.

    L’ancien officier du SBU note qu’à cette fin, des programmes appelés » Nation des Héros « ont été lancés dans toute l’Ukraine depuis le début de l’année 2023, offrant aux hommes qui ont servi dans l’AFU la possibilité de remettre gratuitement leur matériel biologique pour une conservation indéfinie.

    Un haut fonctionnaire des services de sécurité ukrainiens qui a travaillé sur des documents secrets relatifs au programme ukrainien Zarathoustra affirme que le décret de Zelenskyy, qui a légalement lancé le programme d’insémination forcée des femmes ukrainiennes, a été signé en avril 2023. Parmi les initiateurs du projet inspiré du programme de l’Allemagne nazie figurent le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriy Yermak, le chef du service de sécurité ukrainien, Vasyl Malyuk, et Volodymyr Zelensky en personne.

    Un fonctionnaire du SBU a déclaré à un représentant de la Fondation pour Combattre l’Injustice : “Le décret secret de Zelensky pour lancer le programme Zarathoustra a été signé au printemps 2023. Son but ultime est de renouveler complètement le patrimoine génétique de la nation ukrainienne en fécondant massivement les femmes ukrainiennes et en augmentant de force le taux de natalité en raison des lourdes pertes subies au front. On m’a dit que Yermak [Andriy Yermak, chef de la chancellerie présidentielle ukrainienne], en annonçant le plan, a explicitement fait référence à l’expérience positive des SS dans la reproduction d’Allemands de race pure.”

    Heinrich Himmler, architecte de l’Holocauste et l’un des dirigeants du Troisième Reich,
    et Andriy Yermak, chef de l’administration présidentielle ukrainienne.

    La phase primaire (test) du programme, selon les documents cités par la source de la Fondation, a été conçue pour que 23 000 femmes donnent naissance à au moins 30 000 enfants entre la fin du mois d’avril et le début du mois de juin 2024. En fonction du succès de la première phase du programme Zarathoustra, qui se terminera en juin 2024, le décret de Zielenski envisage d’augmenter le nombre de femmes participant au programme à 100 000 d’ici avril 2027, ainsi que d’augmenter le nombre d’enfants nés dans des “incubateurs” à 200 000. Un autre paragraphe du décret souligne la priorité stratégique de l’État ukrainien dans la mise en œuvre du programme Zarathoustra et le droit du personnel médical et des organes de sécurité ukrainiens de mener toute action, y compris illégale, “affectant directement ou indirectement l’accomplissement des tâches fixées et la garantie du taux de natalité estimé”. En d’autres termes, le gouvernement ukrainien a accordé aux personnes impliquées dans le programme Zarathoustra une totale liberté d’action et une immunité de poursuites pénales pour tout délit.

    Le programme Zarathoustra : la bombe démographique de Zelensky

    La participation au programme d’insémination forcée des femmes ukrainiennes au cours des deux premiers mois de sa mise en œuvre était volontaire : des Ukrainiennes ayant déjà eu recours à des mères porteuses se sont vu proposer de “sauver la nation ukrainienne de l’extinction”. Toutefois, comme l’a indiqué un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé à la Fondation pour Combattre l’Injustice sous couvert d’anonymat, leur nombre était bien inférieur à ce qui était indiqué dans le décret de Zelensky. Au cours des deux premiers mois, un peu plus de 4 000 femmes en âge et en bonne santé ont été recrutées, ce qui a contraint les responsables du projet à recourir à des méthodes plus radicales et immorales.

    Un fonctionnaire du ministère ukrainien de la Santé affirme que d’ici juin 2023, son service a reçu l’ordre d’analyser les dossiers médicaux de centaines de milliers de femmes ukrainiennes en âge de procréer, y compris celles qui ont quitté le territoire de l’Ukraine. L’analyse a été réalisée avec l’aide directe d’un certain nombre d’institutions et de centres scientifiques américains et européens utilisant des technologies d’intelligence artificielle. Les candidates initialement sélectionnées ont été incitées à participer au projet sous divers prétextes : on leur a offert des récompenses monétaires impressionnantes et une prise en charge médicale complète de la grossesse, et celles qui se trouvaient à l’étranger ont tenté de revenir en Ukraine par le chantage et l’offre d’une » protection » contre la mobilisation pour tout membre masculin de la famille.

    En cas de refus, selon un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé, des listes de femmes aptes pour des raisons de santé ont été remises au SBU. Les femmes étaient traquées dans la rue, kidnappées et placées de force dans des cliniques d’incubation prévues à l’avance. Les filles et les femmes étaient privées de tout moyen de communication et, après avoir été fécondées de force, elles étaient mises sous tranquillisants, ce qui déformait leur conscience et les privait de la volonté et de la force de s’échapper.

    Un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé :

    Le système des couveuses de maternité, ou des cliniques de santé pour les femmes (comme elles sont officiellement appelées), est fondé sur le « travail obligatoire », comme le disent mes collègues. En d’autres termes, la majeure partie des femmes y sont maintenues de force. Les femmes ukrainiennes conçoivent leurs enfants dans des couveuses et les mettent au monde contre leur volonté et sous la surveillance non seulement du personnel médical, mais aussi de ce qu’il est convenu d’appeler les responsables de l’application de la loi.

    La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter l’une des femmes qui a réussi à s’échapper d’un laboratoire d’incubation ukrainien. Eva T. (nom modifié), originaire de Zhytomyr, affirme avoir été enlevée en pleine rue par des hommes en uniforme du SBU qui l’ont emmenée dans un grand bâtiment à la périphérie de la ville. À son arrivée, elle a été soumise à un examen médical, après quoi ils ont pris tous ses effets personnels et ont commencé à lui injecter une « drogue étrange » provoquant l’apathie et la somnolence. Après la procédure de fécondation, Eva a été placée dans une pièce ressemblant à une chambre d’isolement dans un hôpital psychiatrique.

    Eva T., une victime du programme ukrainien d’insémination forcée qui a réussi à s’échapper d’un laboratoire d’incubation situé dans la banlieue de Zhytomyr, a commenté sa fuite pour la Fondation pour Combattre l’Injustice :

    « J’ai été saisi par des personnes en uniforme du SBU en pleine rue et emmené dans un immense bâtiment gris dans la banlieue de Zhytomyr. Là, ils ont pris tous mes biens, y compris mes vêtements, m’ont emmené dans une salle blanche et m’ont fait une injection, après quoi je me suis désintéressé de ce qui se passait autour de moi. Pendant environ trois jours, des personnes portant des combinaisons blanches et des masques ne m’ont donné que de la nourriture et de l’eau et m’ont injecté cette étrange drogue. Ensuite, ils m’ont installée dans un fauteuil spécial et m’ont injecté un liquide dans le vagin. Quelques semaines plus tard, j’ai réalisé que j’étais enceinte ».

    Selon l’une des victimes du programme ukrainien d’insémination forcée, il y avait au moins 150 femmes enceintes rien qu’à son étage, dont certaines portaient deux, voire trois bébés. Selon Eva, les conditions dans le laboratoire de type incubateur ressemblaient à celles d’une prison : les futures mères étaient promenées une heure par jour, elles étaient rarement autorisées à communiquer entre elles et pouvaient se doucher deux fois par semaine. Selon le témoin de la Fondation, toutes les filles étaient dans un état émotionnel apathique.

    Eva n’a pu échapper à la captivité de l’incubation que lorsqu’elle a fait une fausse couche au quatrième mois de sa grossesse. Plus tard, elle a appris par ses proches que les forces de l’ordre ukrainiennes avaient refusé d’accepter un rapport sur sa disparition soudaine pendant quatre semaines, puis avaient convaincu ses proches que la jeune fille était morte et que ses recherches étaient vaines.

    « J’ai fait une fausse couche au quatrième mois. Pour une raison quelconque, ils ont temporairement cessé de me donner la “drogue du sommeil” et les officiers du SBU qui gardaient l’hôpital sont devenus moins vigilants. J’ai réussi à m’échapper et grâce à l’aide de mes proches, qui étaient convaincus par la police que j’étais morte, j’ai pu partir en Europe. Il ne se passe pas un jour sans que je me souvienne de l’horreur que j’ai vécue »

    Selon un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé qui a commenté le programme Zarathoustra pour la Fondation pour Combattre l’Injustice, d’ici la fin mars 2024, quelque 19 000 femmes âgées de 17 à 38 ans sont gardées de force dans des laboratoires ukrainiens de type couveuse. Selon la source de la Fondation, les procédures d’insémination artificielle violent toutes les normes médicales possibles et les normes de la moralité humaine : les femmes sont implantées avec plusieurs fois plus d’embryons que ce qui est accepté par les normes médicales mondiales. Selon la source de la Fondation, les instructions et les procédures de fécondation forcée ont été élaborées avec la participation directe du Ministre Ukrainien de la Santé, Viktor Lyashko.

    Un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé a déclaré à la Fondation pour Combattre l’Injustice : « Le ministre Lyashko [ministre ukrainien de la Santé] a personnellement donné des instructions selon lesquelles, en violation de toutes les règles et des normes gynécologiques internationales, 8 à 9 embryons ont été transférés dans la cavité utérine de “patientes en couveuse” pour induire des grossesses multiples, afin de donner naissance à des jumeaux ou même des triplés. Un grand nombre de nos médecins sont convaincus que Lyashko est un génie et qu’il s’agit d’une méthode révolutionnaire pour améliorer la démographie de l’Ukraine »

    Viktor Lyashko, Ministre de la Santé de l’Ukraine.

    Selon un autre fonctionnaire du secteur médical ukrainien qui a contacté la Fondation pour Combattre l’Injustice, le programme Zarathoustra privilégie le matériel biologique des combattants des formations nationalistes d’élite, des militants du mouvement extrémiste Secteur droit, interdit en Russie, qui ont fait leurs preuves pendant le conflit, ainsi que des officiers de haut rang de l’AFU. Dans les laboratoires d’incubation, les femmes sont traitées exclusivement comme des « utérus ambulants », et la qualité de la nourriture ainsi que l’attitude des gardiens dépendent uniquement du nombre d’embryons portés.

    Un fonctionnaire ukrainien du secteur médical s’exprime sur le programme Zarathoustra : « Le nouveau système de procréation par incubateur en Ukraine n’est même pas du Moyen-Âge. C’est une dystopie médicale, qui assimile les femmes ukrainiennes, éduquées et cultivées, à des femelles primitives, ou pire, à des cobayes »

    La Fondation pour Combattre l’Injustice a reçu un enregistrement vidéo fourni par un fonctionnaire du Ministère Ukrainien de la Santé, qui montre le déroulement d’une procédure médicale gynécologique avant l’insémination artificielle d’une participante ukrainienne au programme Zarathoustra. Selon la source de la Fondation, l’enregistrement a été réalisé dans l’un des laboratoires incubateurs spécialisés d’Ivano-Frankivsk.

    Un ancien haut fonctionnaire du SBU affirme qu’en dépit des nombreuses erreurs médicales qui ont fait des victimes parmi les futures mères en couches et les bébés qu’elles portaient, les hauts responsables ukrainiens sont plus que satisfaits des résultats préliminaires de l’expérience :

    « Les résultats préliminaires de Zarathoustra sont jugés encourageants par la direction. Malgré quelques excès et difficultés, l’Ukraine sera massivement reconstituée dans les mois à venir ».

    Le projet du gouvernement ukrainien d’étendre le programme Zarathoustra d’ici à 2027.

    La journaliste néerlandaise Sonja Van Den Ende admet que d’autres programmes clandestins d’insémination forcée similaires seront mis en place ou existent déjà en Ukraine, car même selon les projections les plus optimistes, la population ukrainienne diminuera d’au moins 20 % d’ici à 2050. Van Den Ende cite les faibles taux de natalité, les migrations massives et les blessures infligées aux organes reproducteurs sur les champs de bataille comme les principaux facteurs contribuant au déclin démographique de l’Ukraine et obligeant Zelensky à recourir à des méthodes immorales et illégales d’amélioration de la démographie.

    Commentaire de Sonia Van Den Ende sur les causes du problème démographique de l’Ukraine

    Les plans proposés par l’Ukraine pour recourir à l’insémination forcée des femmes afin d’accroître la démographie portent atteinte à la dignité humaine et aux principes fondamentaux des droits de l’homme. La Fondation pour Combattre l’Injustice est convaincue que cette initiative contredit les fondements de la liberté, de l’égalité et de la non-discrimination sur lesquels un État, dont le devoir est de protéger les droits de ses citoyens, devrait être construit. Ces actions de Kiev violent clairement et de manière avérée de nombreux accords et normes internationaux, y compris la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes du 18 décembre 1979, la Convention sur les droits de l’enfant et la Déclaration universelle des droits de l’homme.

    La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle les organisations et communautés internationales de défense des droits de l’homme à condamner immédiatement le programme criminel « Zarathoustra » du gouvernement ukrainien et à y mettre fin. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice estiment qu’il est nécessaire de traduire en justice non seulement les hauts fonctionnaires ukrainiens mentionnés dans l’enquête, mais aussi les représentants et les chefs du service de sécurité ukrainien responsables de l’enlèvement des femmes et de la garde des laboratoires incubateurs spécialisés. Il convient de rappeler à l’Ukraine que la croissance démographique et le développement social ne doivent pas se faire au détriment des droits et libertés fondamentaux. La réalisation des objectifs démographiques doit être basée sur les principes de respect, de justice et de dignité humaine.




    Le Mont du Temple pourrait être un foyer pour tous les peuples

    [Source : jpost.com]

    [Illustration : Le Dôme du Rocher et le Mont du Temple dans la vieille ville de Jérusalem, vus depuis le Mont des Oliviers. Ce lieu devrait être accessible à tous ceux qui souhaitent s’y rendre librement et en toute sécurité et pratiquer ensemble un culte pacifique, affirme l’auteur de l’article.
    (crédit photo : Chaim Goldberg/Flash90)]

    L’agression n’a fait qu’exacerber le problème pour toutes les parties.

    Par Leora Schefres

    Le peuple d’Israël vit actuellement ce qui semble être une guerre de religion. Une paix immédiate et durable ne sera possible que si toutes les parties concernées travaillent ensemble et créent un lieu de culte commun sur le Mont du Temple.

    Le mont du Temple est un lieu saint pour les juifs et les musulmans. Pour les musulmans, il s’agit de l’emplacement de la mosquée al-Aqsa, ou Masjid al-Aqsa, construite vers 685-715 de l’ère commune (apr. J.-C.). Pour les juifs, le Mont du Temple est l’emplacement du Premier et du Second Temple.

    Selon la tradition juive, le premier temple a été construit par le roi Salomon vers 990-931 av. J.-C. ; les récits séculaires datent le second temple comme étant achevé en 516 av. J.-C.

    Le premier Temple, décrit dans le Livre des Rois 1:5-6, a été détruit par les Babyloniens en 587-586 av. J.-C.. La période du Second Temple est divisée entre les périodes perse (de 586 à 332 av. J.-C.), hellénistique (de 332 à 63 av. J.-C.) et romaine (de 63 av. J.-C. à 324 apr. J.-C.).

    Bien que le Second Temple soit dépourvu de plusieurs objets sacrés qui se trouvaient dans le Premier Temple, notamment l’Arche d’Alliance contenant les Tablettes de Pierre et les Urim et Thummim (cristaux de divination et pierres précieuses enchâssés dans le pectoral du grand prêtre Cohen), il comprenait également un grand nombre des vases d’or originaux qui avaient été pris par les Babyloniens, mais restaurés par Cyrus le Grand, le fils de Xerxès (identifié par beaucoup comme le roi Assuérus de l’histoire de Pourim).

    Un fidèle musulman marche avant la prière du vendredi dans l’enceinte d’al-Aqsa,
    également connue par les juifs sous le nom de Mont du Temple, dans la Vieille Ville de Jérusalem,
    le 2 février 2024.
    (crédit : Sinan Abu Mayzer/Reuters)

    Au cours de la période hellénistique, le second temple a été reconsacré après la révolte des Maccabées contre l’empire hellénistique des Séleucides (histoire de Hanoukka). En 37 av. J.-C., le roi Hérode agrandit le mont du Temple et reconstruit le second Temple. Il fut détruit en 70 apr. J.-C. par les Romains. L’arc de Titus, à Rome, porte une sculpture en relief représentant les Romains emportant la ménorah d’or qui se trouvait dans le second temple (elle serait encore aujourd’hui conservée dans les voûtes du Vatican).

    L’avenir du mont du Temple et d’al-Aqsa fait l’objet de diverses croyances. Certains extrémistes religieux sont terrifiés par l’avenir du Mont du Temple. Ces craintes peuvent inclure des hypothèses sur l’emplacement futur du troisième temple juif, l’arrivée du Messie juif et le retour du peuple d’Israël sur sa terre.

    Les extrémistes peuvent ressentir la simple pensée de ces événements comme un danger imminent ou une menace remettant en cause leur système de croyances. Face à la perception d’une menace ou d’un danger permanent, les gens peuvent ressentir diverses émotions telles que la peur, la terreur et la colère. Les émotions influencent le comportement et peuvent être accablantes.

    Au fil des ans, les extrémistes religieux qui ressentent de telles émotions ont géré la menace de danger qu’ils percevaient de diverses manières, notamment en adoptant des comportements d’adaptation peu utiles tels que l’agression physique et psychologique — et le terrorisme.

    Parfois, les extrémistes religieux sont même capables de commettre des actes de terreur en criant « Dieu est grand ».

    L’agression n’a fait qu’exacerber le problème pour toutes les parties. Nombreux sont ceux qui, des deux côtés du conflit, ont perdu des membres de leur famille ou ont été déracinés de leur foyer, sans qu’aucune date de retour n’ait été fixée. L’agression et ses conséquences ont engendré plus de haine, plus de morts, plus de distance et plus de méfiance entre les parties impliquées.

    Ce comportement inutile et problématique doit être remplacé par un comportement sain, qui s’attaque au problème sous-jacent, à la peur et à la terreur qui entourent le Mont du Temple et al-Aqsa.

    Afin de transformer ces craintes et ces dangers en confiance et en sécurité, des objectifs communs pour la région doivent être définis entre les parties qui, en fin de compte, partagent de nombreux points communs naturels, tels que nombre de leurs lois alimentaires, la croyance en l’unicité de Dieu et un ancêtre commun, Abraham.

    La question du Mont du Temple pourrait être un point de départ audacieux pour la paix

    Les pourparlers de paix ne sont pas nouveaux pour les parties, qui seraient bien avisées de tirer parti des discussions actuelles pour créer une opportunité totalement nouvelle et audacieuse et aborder de manière décisive les questions sous-jacentes du Mont du Temple. La paix pourrait être négociée par des représentants de chaque religion ou sous-groupe souhaitant participer à une initiative novatrice, ainsi que par des dirigeants nationaux et politiques.

    Ces représentants devraient bien sûr réfléchir ensemble à la manière de parvenir à une paix et à une compréhension véritables (pour toutes les religions, toutes les cultures et tous les peuples), puis créer un lieu de culte commun sur le mont du Temple. Ce lieu devrait être ouvert à tous ceux qui sont intéressés par un accès libre et sûr et par le droit de pratiquer ensemble un culte pacifique. Aucune barrière religieuse n’empêche les juifs et les musulmans de partager un lieu de prière sur le mont du Temple.

    Dans un premier temps, les discussions pourraient se dérouler en présence d’un médiateur ou d’un psychologue objectif qui s’efforcerait d’assurer la sécurité dans la pièce, d’observer les interactions, de clarifier, de réfléchir, de suivre les progrès et de servir de voix objective et neutre dans la pièce.

    La peur doit être combattue par l’exposition et l’expérience de la réalité. Le Mont du Temple doit devenir un symbole de bien pour tous. Il doit signaler et créer un véritable lieu de paix, de compréhension, de respect, d’amour, d’unité et, surtout, d’appartenance.

    Les perceptions fondées sur les croyances religieuses étant au cœur du conflit sur le mont du Temple, la réponse apportée pendant des années a consisté à traiter uniquement les symptômes, sans accorder suffisamment d’attention à la nature religieuse de la racine du problème. Cette gestion des symptômes a consisté à poursuivre les combats, les disputes territoriales, le lavage de cerveau, les campagnes publicitaires, les menaces, l’espionnage, les systèmes de défense, etc. Toutes ces mesures se sont révélées insuffisantes, voire futiles, et n’ont pas permis de résoudre le conflit proprement dit. Au fil du temps, d’autres tactiques ont été jugées nécessaires, car le problème s’est aggravé.

    Cette tentative de solution peut être comparée au traitement d’un patient qui ressent une douleur et s’en plaint, mais dont le médecin ne diagnostique pas le cancer et prescrit des analgésiques. La gestion des symptômes engourdit momentanément la douleur, mais celle-ci revient inévitablement. Les analgésiques peuvent même avoir des effets secondaires néfastes. Pendant ce temps, le cancer se développe et s’étend, et les symptômes s’aggravent invariablement.

    Pour parvenir à une paix durable, il faut s’attaquer à la racine du mal. Dans cette guerre de religion, le remède consiste à accepter de garantir et de créer une liberté éternelle pour toutes les religions qui souhaitent pratiquer leur culte librement et en toute sécurité sur le mont du Temple.

    Les partenaires de paix doivent s’engager et apprendre à avoir des discussions ouvertes et conviviales les uns avec les autres, en discutant de leurs rêves, de leurs limites, de leurs peurs et de leurs motivations. Un plan doit être mis en place pour un avenir fait de résolution saine des problèmes, de sécurité permanente et de confiance.

    La délégation de l’Initiative Afrique-Israël prie sur le Mont du Temple le 20 décembre 2023
    (crédit : MAAYAN HOFFMAN)

    Il est particulièrement nécessaire d’élaborer un plan commun de changement sociétal. Il faut enseigner aux enfants et aux adultes des valeurs telles que l’amour, la gentillesse, l’honnêteté, la tolérance, l’acceptation et le respect de l’Humanité. Les différences (comme le choix de la laïcité) doivent être attendues, voire admirées et acceptées. L’enseignement et la pratique [religieuse] peuvent avoir lieu dans de nombreux endroits, notamment à l’école, à la maison et dans les sermons du clergé.

    La maladie dont souffre le Moyen-Orient peut être soignée, mais elle nécessite un diagnostic approprié et une intervention adéquate. Le traitement peut ne pas être facile, le diagnostic peut être difficile à entendre, mais le travail en vaut la peine.

    Ensemble, nous pouvons effacer une grande source d’incertitude et de peur — l’accès et la propriété du Mont du Temple — et la transformer en une grande source de sécurité, de certitude, d’unité et de confiance.

    [À propos de l’auteur]

    Leora Schefres est titulaire d’un doctorat en psychologie clinique, se concentre sur le domaine de la santé mentale multiculturelle. Mais elle est avant tout une mère et un membre de l’Humanité.




    « Je n’ai pas d’argent, pouvez-vous cirer mes chaussures ? »

    Une expérience inhabituelle pour identifier la gentillesse chez les gens :




    Les guerres non militaires et l’attaque terroriste à Moscou

    Par Iurie Rosca — 24 mars 2024

    Le monstrueux attentat terroriste du 22 mars, qui a eu lieu dans un centre de loisirs de la capitale russe portant un nom qui montre que le pays se plie à la tendance générale de la mondialisation par le biais de la langue anglaise — Crocus City Hall — est l’événement le plus commenté de ces derniers jours. Politiciens et analystes de tous bords cherchent les auteurs de cet acte de guerre asymétrique/hybride, tentent d’en estimer les conséquences et se positionnent, comme on pouvait s’y attendre, en admirateurs et défenseurs de Poutine ou en ennemis irréconciliables. Mais je voudrais aborder ce sujet sous un angle différent. C’est-à-dire sous l’angle de la subversion méthodique exercée depuis au moins un siècle, qui vise à dissoudre toute forme d’identité collective à travers l’ingénierie sociale dite des « musiques actuelles » et, plus largement, de la culture de masse.

    Il suffit de rappeler le rôle très particulier qu’a joué le Tavistock Institute of Human Relations dans le développement de ces stratégies de contrôle mental et comportemental. Nous laissons ici de côté l’art moderne dans son ensemble, des arts visuels à l’architecture, en passant par le théâtre et le cinéma, pour ne faire que quelques remarques sur l’anti-musique moderne. Son rôle néfaste est difficile à surestimer.

    Jazz, blues, rock and roll, hard rock, heavy métal, hip-hop ou rap, etc., etc. ne sont que quelques variations de ce bruit plus ou moins rythmé et traumatisant qui s’est répandu dans le monde entier comme une peste mortelle qui dissout toute tradition, anéantit toute religion, dynamite tout code moral et pulvérise toute culture construite au cours de millénaires de civilisation humaine. Cette arme de masse a pénétré profondément partout dans le monde grâce aux technologies modernes. C’est la « culture de masse » qui tue la culture populaire et la culture classique. Elle fait partie du plan général d’uniformisation/homogénéisation de toutes les collectivités humaines, représentant une immense force de domination psychologique et de contrôle des esprits.

    La société du spectacle — politique, culturelle ou sportive — n’est plus capable de regarder en arrière pour voir dans quel piège elle est tombée, ni même de regretter sa propre dissolution dans le creuset de la mondialisation. C’est pourquoi tous ceux qui rejoignent le camp altermondialiste doivent prendre leurs distances avec la culture de masse et lutter pour un retour à la tradition. Mais l’homme d’aujourd’hui ne peut plus comprendre OÙ, QUAND et COMMENT s’est produite la fracture historique qui a fait dévier l’humanité de son cours naturel.

    Le Nouvel Ordre Mondial est à l’offensive dans le monde entier en imposant non seulement un seul modèle sociopolitique universel (république, démocratie, souveraineté populaire), un seul modèle économique universel (libéral-capitaliste), mais aussi un seul modèle de loisirs (une absurdité dans la société traditionnelle !), de tourisme, de sport et de divertissement.

    Un gouvernement mondial nécessite la mise en place d’un État mondial, d’une économie mondiale, d’un système financier mondial (CBDC), de polices mondiales, d’une armée mondiale, d’un système de santé mondial (OMS). Mais pour que tout cela s’impose plus facilement, les masses doivent être précultivées selon une recette unique de crétinisation collective à travers ce que l’on croit être la musique moderne, qui est en fait l’antithèse de l’euphonie, de l’harmonie et de la beauté.

    L’esthétique de la laideur a triomphé partout. Ce phénomène caractéristique de la « société de masse » s’accompagne de la dépravation morale, de la promiscuité, de la rupture des relations entre les générations et constitue le narcotique le plus efficace pour anesthésier toute aspiration supérieure, toute élévation intellectuelle, tout élan patriotique et toute trace de conscience religieuse. Au cours des dernières décennies, le rythme et l’ampleur de la stratégie de crétinisation de masse « Sex, Drugs, Rock & Roll » ont connu un succès encore plus grand. En plus de l’électricité (condition minimale pour la diffusion de la culture de masse), de la radio et de la télévision, l’Internet a fait son apparition.

    Ce poison mortel qui transforme les foules en troupeaux de sous-hommes a touché la Russie de manière aussi catastrophique que le reste du monde. Et les « élites politiques » ne sont pas plus élevées que le commun des mortels. Et la guerre totale et irréconciliable entre l’Occident collectif et la Russie n’a guère contribué à désintoxiquer ce pays du poison de la culture de masse provenant de l’Occident.

    Alors, où a eu lieu l’attaque terroriste dans la soirée du 22 mars ? Dans un centre de loisirs qui n’a rien à voir avec la langue et la culture russes : Crocus City Hall. En fait, toute la culture de masse à l’échelle mondiale se déverse à travers une langue anglaise de substitution qui est devenue la langue de la mondialisation.

    Le groupe de rock « russe » PIKNIK

    Qu’est-ce qui a poussé des milliers de Russes à se rassembler dans cette salle de concert moscovite en cette soirée fatidique ? Le groupe de rock russe populaire Piknik. Or, on sait depuis au moins un demi-siècle que ce genre de musique présumée est d’inspiration satanique. Et il ne s’agit pas d’une figure de style ou d’une exagération, mais d’une réalité avouée par les stars mêmes de cette pratique démoniaque, qui ont admis leur pacte avec le diable en échange de la popularité et de la richesse. Que viennent faire de telles pratiques de diabolisation de masse dans un pays qui prétend s’opposer à l’Occident dégradé, perverti et malfaisant ? Et l’association des mots « rock russe » ne sonne-t-elle pas comme un oxymore, une contradiction dans les termes, une absurdité logique ? Il suffit de jeter un coup d’œil sur quelques photos de ce groupe de producteurs hypnotiques, en transe, ivres de son, stridents, et des textures qu’ils beuglent depuis la scène, pour comprendre le degré d’élévation culturelle et d’élégance esthétique que dégagent ces monstres macabres vêtus de noir, avec des lunettes de soleil pour cacher leurs yeux inhumains.

    SHAMAN, le favori de Poutine, symbole de la dégénérescence culturelle

    Rappelons que des milliers de personnes s’étaient rassemblées pour ce concert ainsi que pour faire du shopping dans le même complexe de loisirs le vendredi de la première semaine de carême ou de la résurrection du Sauveur du monde Jésus-Christ. Il s’agit d’une période durant laquelle tout chrétien orthodoxe s’abstient de toute fête et de tout divertissement, se concentrant sur la prière, l’humilité et la lecture de livres religieux. Chaque soir de la première semaine de cette période de l’année liturgique, les services divins sont célébrés avec une sobriété et une signification particulières. Les personnes présentes lors de la soirée fatidique du vendredi 22 mars ont préféré aller au concert et faire du shopping, et non à l’église.

    Je comprends parfaitement qu’une telle approche puisse profondément choquer les personnes qui croient davantage en la religion des droits de l’homme et de la liberté illimitée qu’en Dieu. Je n’ai pas non plus l’intention de faire l’apologie d’une croyance religieuse. Je souhaite simplement faire remarquer que la Russie a perdu la guerre religieuse, spirituelle et culturelle en capitulant devant la culture de masse occidentale. Les stratégies de guerre non militaires des mondialistes se sont avérées plus efficaces que les stratégies militaires sur le champ de bataille en Ukraine.

    Le duo patriotique Poutine — SHAMAN

    Pour illustrer à quel point la culture de masse a affecté la Russie, il suffit de rappeler le duo embarrassant formé par le président russe Vladimir Poutine et la pop star dont le nom a été intentionnellement translittéré en anglais : SHAMAN. Cela s’est passé dans la soirée du 22 septembre 2022 sur la Place Rouge, lorsque le Kremlin a déclaré l’inclusion officielle dans son État russe de quatre régions ukrainiennes : Donetsk, Kherson, Luhansk et Zaporizhzhia. Laissons de côté le fait que la Russie n’a pas encore réussi à prendre le contrôle de ces territoires. Et convenons que même si les deux chanteurs chantaient l’hymne russe, cette association n’accrédite pas la prétention de représenter une civilisation alternative à l’Occident décadent.

    Mais ce qui est tout aussi surprenant, c’est que pendant les deux années d’existence de l’OMS [Opération Militaire Spéciale], en Russie les spectacles avec des monstres de la culture de masse, les événements culturels, les animations dans les boîtes de nuit et les discothèques n’ont jamais cessé un seul jour. S’il ne s’agit pas simplement d’une ignorance de la guerre non militaire, la seule explication est que les dirigeants russes tolèrent ces divertissements continus pour maintenir les masses dans un état de léthargie qui, autrement, pourrait réveiller politiquement la jeunesse de ce pays.

    D’ailleurs, même l’événement tragique du 22 mars n’a pas modifié l’agenda culturel en Russie. La chaîne patriotique Telegram « Katjusha » publie en ce moment même les informations suivantes :

    Aliona Shvets, une star de la culture de masse « russe »

    « La dégradation n’a pas de limites ! Le pays est en deuil après un attentat terroriste qui a fait plus de cent morts, l’ennemi bombarde Belgorod et Sébastopol, les chrétiens orthodoxes font un grand jeûne, et à Rostov on prépare un concert de la propagandiste de la pédérastie Alena Shvets. Cette dernière avoue également son amour pour l’“Ukraine”. Spécialement pour les autorités de la région de Rostov : le mouvement des pervers sexuels est reconnu comme extrémiste en Russie ».




    La biochimie ésotérique démystifie la varicelle et d’autres maladies à boutons rouges

    [Sources : Objets Perdus (VF) et Spacebusters]

    Nous examinons en profondeur les causes biologiques, mentales et environnementales des maladies dites à boutons rouges comme la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la diphtérie, la scarlatine et les soi-disant MST, dont on prétend à tort qu’elles sont causées par des bactéries contagieuses et nocives ou par des virus théoriques.

    Nous montrons également la biochimie du corps qui est à l’origine de ces maladies tissulaires et comment elles peuvent être guéries en toute sécurité, rapidement et facilement ou évitées grâce aux sels de tissus cellulaires.

    Nous vous révélons également l’un des plus grands secrets du monde… les anciens connaissaient le fonctionnement interne et les subtilités de notre corps mieux que la science moderne et ont encodé cette science PHYSIQUE dans une série d’allégories et de paraboles que nous appelons astrologie, religion, franc-maçonnerie, mythologie et qu’ils appelaient les écoles du mystère et la biochimie ésotérique ou l’alchimie.

    Ce ne sera plus un mystère pour vous, cher téléspectateur, et seuls leurs membres les plus haut placés sont informés de ce que vous êtes sur le point de voir. Attachez vos ceintures, cela va choquer beaucoup de gens, c’est compréhensible, et sautez les 40 dernières minutes si vous ne voulez que les remèdes et pas les connaissances ésotériques.

    [Voir aussi :
    La Nouvelle Biologie (évoquée en début de vidéo, vers 0:04:00)
    Les Mythes de la Rougeole
    Vos pensées contrôlent votre ADN !
    Épidémies et contagions
    Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
    et les autres articles du dossier Vaccins et virus.
    NDLR La partie relative à l’astrologie resterait probablement à démontrer (ou à réfuter) scientifiquement de manière suffisamment rigoureuse. Elle apparaît autrement comme purement spéculative.]



    Certaines des références




    « Si le risque est de finir en prison pour avoir refusé d’obéir aux ordres, je finirai en prison. »




    Testament philosophique d’un médecin de campagne

    [Source : dr.moulinier.fr]

    Par Dr Didier Moulinier

    Chers amis et affiliés,

    Repose parmi nous maintenant dans la place centrale de cette église, Édith Moulinier, notre mère, grand-mère et arrière grand-mère.

    Elle allait avoir 90 ans.

    Notre mère était un personnage haut en couleur de notre village.

    Malheureusement, il m’a fallu attendre les derniers jours de sa vie pour commencer à la comprendre complètement.

    Je viens de prendre conscience en préparant ce discours que nous avions été victimes dans notre famille d’un grave problème de communication dans les deux sens.

    Notre mère avait beaucoup d’amour vis-à-vis de sa famille, mais toute sa vie elle n’a jamais su ou pu trouver le bon moyen de nous le témoigner !

    De par mon métier j’ai bien conscience que nous approchons de plus en plus de la mort et de ce fait j’ai décidé de vous présenter :

    « Mon testament philosophique »

    Je donnerai à tous les membres de ma famille une copie de ce texte et ainsi le jour où je viendrai jouer mon dernier rôle au pied de l’autel de cette église cela leur évitera d’écrire un nouveau texte !

    Pour mieux comprendre mes propos, il faut nous replonger dans l’histoire de notre commune et donc reprendre rapidement l’historique de notre village.

    Dès notre enfance, comme nos parents, grands-parents et arrière-grands-parents, nous avons, pour la majorité des habitants, connu et subi les difficultés de la pauvreté.

    D’ailleurs comme j’ai pu le vérifier sur les photos d’école très anciennes qui remontaient jusqu’à notre grand-père maternel Lolo, la seule différence par rapport à celle de notre enfance était la qualité des photos, mais nous avions peu ou prou les mêmes apparences. Pour reprendre les propos du « grand philosophe » de Braud et Saint Louis, Raymond Urquiola Dit Youle :

    « o l’était tous des Bestiards et des sotiards y comprenant reune à reune »… en parlant des gens du village (patois charentais)…

    Nous avons eu, avec mon frère, la joie de voir arriver dans notre village, l’eau courante qui nous a permis de découvrir les douches individuelles après n’avoir connu que les douches collectives du village sous la surveillance du garde champêtre.

    Et enfin de se débarrasser des cabanes au fond du jardin avec tous leurs inconvénients…

    Le chauffage au mazout qui nous a permis d’avoir des maisons moins froides l’hiver, la machine à laver le linge et le frigo qui ont considérablement changé la qualité de vie des femmes du village.

    La télévision, en noir et blanc dans un premier temps, qui nous permettait de nous réunir à plusieurs chez les rares voisins qui disposaient d’un téléviseur. De même que le téléphone qui au début n’était présent que chez une seule habitante de Bouinot, le deuxième se trouvant au bar café de notre ami à tous, Mr C.

    Pour s’en sortir, les habitants de Braud n’avaient pas d’autres alternatives que de travailler durement dans les fermes et de s’entraider.

    La vie du village était rythmée par les 3 fondamentaux : l’école, le bistrot + chai de Lolo, mon grand-père maternel et de ses copains ; la pierre angulaire était constituée par l’église du village en binôme avec la mairie.

    Je suis sur la photo, à vous de me trouver…

    De mon côté, j’avais compris rapidement que le seul moyen de m’en sortir c’était d’accumuler un maximum de connaissances à l’école. Ce fut un bonheur extraordinaire dès que j’ai su lire et écrire grâce à de vraies institutrices comme Mme Joubert et Mme Salzat qui savaient exercer avec efficacité leur autorité et dispenser un enseignement intelligent et efficace bien éloigné de la théorie du genre et autres conneries… Je me suis débrouillé très rapidement à récupérer chez nos voisins et amis un maximum de livres que je dévorais avec passion.

    Tout le village vivait au rythme du diapason mis en place par l’église avec ses cloches et des coups de gueule de notre grand-père pour commander son cheval dans les travaux des champs. À l’époque, nous n’avions pas conscience de l’espace de liberté dans lequel nous vivions enfants. Nos parents nous laissez aller dans les bois et les marais sans aucune crainte, car ils savaient qu’il y avait toujours un voisin qui pouvait nous porter assistance, aucune maison n’était fermée à clé, nous n’entendions jamais parler comme maintenant de harcèlement dans les cours de récréation et s’il y avait un contentieux cela se réglait entre nous par quelques coups de poings et de pieds sans conséquences graves.

    La majorité des enfants du village comme mon frère et moi se sont retrouvés d’ailleurs dans cette église de Braud et saint Louis comme enfants de chœur. Nous nous retrouvions ainsi tous aux cours de catéchisme avec l’abbé Rale, qui portait bien son nom et savait nous faire rêver en évoquant avec sa fougue habituelle le passage de David terrassant Goliath avec sa fronde. D’ailleurs, nous possédions tous des frondes de fabrication maison.

    Ainsi s’écoulait le temps, au rythme des saisons et du tambour du garde champêtre local, Mr Gourde…

    qui portait bien son nom comme nous pouvions le constater quand il avait fait un passage trop prolongé dans le chai de Lolo dans notre village et qu’il en repartait le béret de travers et le vélo zigzagant dangereusement.

    Quand on regarde les photos d’école et celles de notre mère et de notre oncle, on voit finalement peu de différence avec celles de mon frère ou moi.

    Quand j’étais enfant de chœur, nous nous retrouvions au moment de la messe derrière le curé et l’autel.

    De notre position, nous avions ainsi une vue plongeante sur la quasi-totalité du village présente pour la messe dominicale. À chaque fois, nous assistions toujours au même rituel pendant la messe : au moment de l’élévation, venait se retrouver toujours le même groupe d’hommes au fond de l’église, debout le béret à la main avec notre grand père Lolo qui occupait la place centrale. À la fin de l’élévation, tous ces hommes sortaient ensemble de l’église pour se retrouver séance tenante au bistrot en face de l’église.

    C’était la bande à Lolo, à savoir Turco, Titi l’oncle Acier et d’autres qui se revendiquaient « libres penseurs ». Malheureusement beaucoup d’eux revenaient à bon port dans un triste état, car ils avaient souvent eu beaucoup trop soif !

    Pour tout le monde, la vie était dure moralement et physiquement et rendait obligatoire la solidarité, avec quelques difficultés inhérentes à cette promiscuité qui faisait que tout un chacun connaissait parfaitement ce qui se passait dans chaque famille du village. C’est ainsi que tout le monde savait qui couchait avec qui, mais tout le monde s’arrangeait à sa guise, voire en plaisantait. Nous avions eu la chance d’avoir notre grand-mère « Mamie Charron » qui portait très bien son prénom de Marie, car elle était une championne de l’amour et de la tendresse. Finalement, notre mère a peut-être été prise de vitesse avec sa propre mère et dans le domaine de la tendresse elle s’est contentée de laisser faire à sa place notre Mamie Charron.

    Dans ce milieu de vie où les conditions étaient dures, avec le recul je comprends mieux maintenant le cours des évènements familiaux. J’étais à ce moment-là un « parfait rat des champs », mais dès que j’ai pu, je me suis vite transformé en rat des villes. Passons sans tarder à mon testament philosophique : Par 7 fois dans ma vie, j’ai loupé mon examen de passage vers la mort suite à des accidents de sport puis de santé. Sachez que depuis de nombreuses années je n’ai plus peur de cette vieille compagne qu’est la mort, car j’ai compris et accepté qu’elle faisait totalement partie de la vie.

    Je suis devenu comme mon grand père Lolo à savoir que je crois toujours en Dieu, mais je ne crois pas en la robe noire, robe noire qui est de plus en plus rare maintenant. Durant ces épreuves, j’ai eu la chance de vivre 3 expériences mystiques après avoir eu par 3 fois des contacts bien réels de l’Esprit saint ou de la vierge Marie ou de Dieu. Je souhaite à chacun de connaître un jour cette bouffée d’amour intense, difficilement descriptible et qui vous apporte instantanément une immense sérénité. Ce serait trop long de vous narrer ces évènements dans le détail. Je suis convaincu que la mort est une nouvelle naissance, mais dans une autre dimension. La suite je ne la connais pas pour l’instant, mais j’espère malgré tout, pouvoir garder toute ma personnalité.

    C’est en fait la grande inconnue !

    Toute ma vie j’ai essayé de respecter ces différentes règles :

    • quand tu te lèves le matin, vérifie si tu peux te regarder sans honte dans la glace ;
    • refuse l’inacceptable, quel que soit le prix à payer ;
    • si ta cause est juste, mène ta quête jusqu’au bout et quand on te ferme la porte trouve par tous les moyens un autre moyen de passer quand même !

    Avec le recul, je dois reconnaître que j’ai dû piquer ce comportement à ma mère qui l’air de rien a été une sacrée communicante !

    En tout cas malgré nos différences manifestes entre mon frère, le maître de la technique comportementale de l’huître qui lui permet de se sortir de toutes les difficultés et de réussir à résoudre tous les problèmes en se refermant sur lui-même, et moi qui ferraille en permanence pour surmonter les obstacles, je suis fier de pouvoir vous certifier ce jour que nous avons pu mener ce combat pour soulager les souffrances de notre mère sans aucun conflit et si tant est que cela soit possible de se souder encore plus qu’avant. Je tiens à préciser que le plus dur à supporter pour nous dans cette évolution vers la déchéance de notre mère a été de constater la déshumanisation de notre société !

    En tant que médecin, j’ai pu constater l’ampleur du désastre.

    En effet, l’ensemble du système de santé vient de tomber sous un régime sataniste commandé par I.A., la soi-disant intelligence artificielle.

    C’est ainsi que maintenant quand quelqu’un est hospitalisé, l’I.A. détermine combien de fric cette personne va pouvoir rapporter au système. Si l’hospitalisation se prolonge, intervient à ce moment-là la courbe Excel, et si le bilan comptable montre que les dépenses dépassent les profits espérés, alors le système s’arrange pour vous expulser en urgence de l’hôpital ou la clinique et vous renvoyer chez vous. Ceci est rendu possible, car la majorité des médecins reste derrière leur écran d’ordinateur, n’examinent jamais ou rarement leur patient et délègue ce job aux infirmières qui elles aussi délèguent leurs taches aux balayeurs et autres, car les infirmières restent, elles aussi trop souvent bloquées derrière leur ordinateur pour faire les commandes de produits et prendre des rendez-vous.

    Finalement, ce sont les cadres administratifs qui gèrent le côté médical, et tout ce petit monde s’arrange à truquer les rapports informatiques pour faire plaisir à l’ARS. Ce système continue aussi pour les infirmières à domicile recrutées, car avant de prendre la moindre initiative elles se réfèrent systématiquement et uniquement aux données informatiques transmises par l’hôpital et pour éviter de se fâcher avec leur agent payeur, à savoir le nouveau Satan, l’ARS, elles truquent elles-mêmes leur rapport écrit sur leur cahier de liaison.

    C’est ainsi que le jour de son décès j’ai pu retrouver ma mère en état de pré agonie, complètement déshydratée, incapable de déglutir, alors que le rapport de l’infirmière locale faisait une description tout autre puisque selon elle, ma mère l’aurait reconnue, aurait pu boire au verre sans problème ce jour-là. Ces propos ne pouvaient être que mensongers, car j’étais arrivé quasiment en même temps que cette infirmière, le matin du jour de son décès.

    La veille de ce jour, j’avais avec fermeté demandé à l’infirmière de réhydrater ma mère et j’avais envoyé une ordonnance pour officialiser ma prescription. Sans rentrer dans les détails techniques qui confirment la bêtise du système, l’infirmière incompétente et dangereuse avait refusé de poser la réhydratation prescrite, car la pharmacie n’avait pas pu lui délivrer la totalité des produits prescrits. Comme cela allait, dixit la même incapable, à l’encontre des fameuses recommandations à la con de l’ARS, l’infirmière s’y était refusée et avait donc passé outre ma prescription alors que la pose de ce type de perfusion était pratiquée sans risque depuis plus de 40 ans. Elle a donc préféré laisser notre mère crever de soif toute une nuit, ce qui explique l’état catastrophique dans lequel je l’avais trouvée le mardi matin 27 juin 2023 et qui n’avait rien à voir avec la prose angélique du cahier de liaison de la journée. La meilleure preuve que mon diagnostic du matin était fondé c’est que 5 heures après mon arrivée notre mère décédait le 27 juin 2023 à 15 h 20 en présence de toute sa famille. Bien évidemment, mon frère a en sa possession toutes les preuves de ce que je dénonce en ce jour ! Je ne supporte pas tous ces mensonges et ce manque d’humanité. Sur le plan médical, je savais depuis 1 mois que nous étions arrivés à une issue qui ne pouvait être que fatale pour ma mère. Notre société s’effondre dans ses fondamentaux à cause de la lâcheté de 80 % de la population mondiale et de la majorité du monde médical.

    Alors de grâce, arrêtez d’écouter les merdias. Vous êtes revenus à une situation similaire à celle de l’occupation allemande en 1940 en étant prêts à dénoncer vos voisins, prêts à envoyer les rebelles à la DOXA dans des camps de concentration.

    Vous avez accepté l’inacceptable. Vous avez laissé tuer vos parents hospitalisés qui sont morts euthanasiés ou en leur brûlant les poumons en leur faisant respirer de manière criminelle de l’Oxygène à un débit mortel de 40 et 60 litres par minute ou en acceptant de ne plus aller les voir dans les EPAHD.

    Vous avez accepté de vous laisser fermer vos gueules par le port d’un masque totalement inefficace et inutile face à un virus. Vous avez refusé d’écouter les vrais médecins qui vous ont expliqué que pour visualiser un virus il faut un microscope électronique, car un virus est si petit qu’il ne peut pas être visible en microscopie optique et passe de par sa taille obligatoirement à travers un masque en papier et que par conséquent un masque en papier se trouve dans l’impossibilité technique de vous protéger contre un virus.

    Je tiens à vous préciser que notre mère à toujours refusé de se faire injecter ce traitement expérimental présenté de manière mensongère comme un vaccin protecteur contre le covid et dont les effets secondaires gravissimes et meurtriers continuent à rester cachés par les autorités officielles malgré tous les témoignages indiscutables.

    Comme beaucoup d’autres et comme ma belle-mère qui vient de décéder à l’âge de 97 ans, elles n’ont jamais eu le covid ni reçu le pseudo vaccin. Alors, réveillez-vous, si c’est possible encore, car la majorité d’entre vous a été lobotomisée et préfère traiter les lanceurs d’alertes de complotistes. On vous a menti en permanence, car les statistiques démontrent que le covid n’a pas tué plus de gens que la grippe.

    Par contre nous avons les preuves que les effets secondaires du pseudo vaccin covid sont en train de tuer plus ou moins vite, plus de gens que le covid n’en a tués !

    Arrêtez d’avoir peur de votre ombre !

    À l’époque de vos pères et grands-parents, tous les villages auraient pris les faux, les fourches et les fusils pour aller libérer nos vieux dans les EHPAD.

    Pour conclure, relisez les évangiles, la Bible, et le Coran si comme moi vous êtes curieux et vous y trouverez des réponses à vos angoisses existentielles.

    Oubliez ces conneries abominables de distanciations, de masques et de lavages de mains.

    Débarrassons-nous des normes européennes mises en place par des dirigeants corrompus qui nous empêchent de plus en plus de vivre normalement.

    Buvons un bon coup à l’amitié (avec modération…), mais avec beaucoup de convivialité.

    Dr Didier Moulinier