Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l’on appelle encore « vaccins »

[Source : Sott.net]

[Auteure :] Catherine Austin Fitts — Solari Report

Je ne suis pas scientifique. Je ne suis pas médecin. Je ne suis pas ingénieure en biotechnologie. Je ne suis pas avocate. J’essaie cependant de comprendre ceux qui le sont, je lis, j’écoute et j’évalue.

© Inconnu
« Qu’est-ce après tout qu’un nom ? Ce qu’on appelle rose,
Sous un autre vocable, aurait même parfum. »

~ William Shakespeare, Roméo et Juliette

En guerre pendant un certain temps contre des agences gouvernementales des Etats-Unis, ma réaction personnelle à cette situation fut de répondre aux questions des personnes qui étaient suffisamment curieuses et courageuses pour s’enquérir de mon opinion. Au fil des années, cette réponse s’est transformée en deux activités professionnelles distinctes. L’une est le Solari Report, qui continue à se développer en tant que réseau mondial de recherches d’information — au sein duquel nous nous appliquons à nous aider mutuellement afin de comprendre et naviguer à travers les événements qui se produisent autour de nous, et de contribuer aux évolutions positives. L’autre consistait à conseiller les particuliers et les familles en matière d’investissement par l’intermédiaire de Solari Investment Advisory Services [Services de Conseil en Investissement Solari- NdT]. Au bout de dix ans, j’ai transformé cette dernière en conseil en investissement par la mesure de l’ESG des entreprises [ESG pour les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance qui constituent les trois facteurs principaux de mesure de la soutenabilité et de l’impact éthique d’un investissement dans une société ou dans un domaine économique – NdT]. Ce que cherchent ceux qui l’utilisent — et qui ne soit pas déjà disponible sur le marché — c’est un filtre qui reflète la connaissance de la corruption financière et politique. Identifier les métastases de la corruption est un métier à part entière, pas une science.

Lorsque vous aidez une famille à gérer ses finances, il est crucial de comprendre tous les risques auxquels elle peut faire face. Sa prospérité financière dépend de l’atténuation réussie de tous les risques — qu’ils soient financiers ou pas — qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne. Les risques non financiers peuvent avoir un impact majeur sur l’affectation des ressources de la famille, y compris en termes de temps, d’actifs, d’argent et de capacité de concentration.

Nombreux sont mes clients et leurs enfants à avoir été dévastés et épuisés par les échecs du système de santé et la corruption — et le catalyseur le plus fréquent de cette dévastation a été la mort et les blessures causées par les vaccins. Après de longues et effroyables expériences avec les institutions médicales, ils se posent invariablement cette question : « Si la corruption est à ce point présente dans la médecine, l’alimentation et la santé, qu’en est-il dans le monde financier ? ». Effrayés par cette idée, ils partent alors à en quête d’un professionnel de la finance qui soit rompu aux arcanes gouvernementales des États-Unis et à la corruption financière. Et ils finissent par me trouver.

Le résultat de cet afflux de personnes brillantes et instruites, qui ont eu la chance de pouvoir payer pour mon temps de travail, fut que, pendant dix ans, j’ai fini par en savoir beaucoup sur les handicaps et la mort infligés à nos enfants par ce que j’appelle maintenant « le grand empoisonnement ». En dressant une carte des coûts financiers des lésions causées par les vaccins, encore et encore, j’ai eu l’occasion d’évaluer à maintes reprises les dommages humains causés à tous ceux qui sont concernés — et cela n’impliquait pas que les enfants qui étaient touchés, mais aussi leurs parents, leurs frères et sœurs et les générations futures. Ces cas n’étaient pas aussi inhabituels qu’on pourrait le penser. Des études indiquent que 54 pour cent des enfants américains sont atteints d’une ou plusieurs maladies chroniques. Des médecins en qui j’ai confiance me disent que ce chiffre est en fait beaucoup plus élevé, car de nombreux enfants et leurs familles ne peuvent pas se permettre les tests nécessaires pour diagnostiquer correctement ce qui les afflige pas plus que les soins qui en découlent.

L’une des mères de famille qui apparaît dans VAXXED — De la dissimulation à la catastrophe — un documentaire incontournable pour tout citoyen éveillé, tout comme sa suite VAXXED II — La réponse du public — a estimé que le coût pour élever et soigner toute sa vie un enfant lourdement autiste représente une valeur actuelle de cinq millions de dollars. Lorsque mes clients, qui étaient des grands-parents, insistaient pour ne pas interférer dans le choix vaccinal de leurs enfants parce que cela ne les regardait pas, je leur disais : « Vraiment ? Qui possède les cinq millions de dollars ? Vous ou vos enfants ? Lorsque vos enfants auront besoin des cinq millions de dollars pour élever leur enfant vacciné, allez-vous leur refuser ? Vous êtes le banquier, et c’est votre argent qui est en jeu ici, donc c’est votre affaire. Voulez-vous dépenser ces cinq millions de dollars pour construire une famille solide à travers les générations ou pour gérer un enfant handicapé qui n’aurait pas dû être handicapé ? ». Souvent, ces cinq millions de dollars de dépenses se traduisent aussi par des divorces, des dépressions et des occasions perdues pour les frères et sœurs.

Note du traducteur : Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de voir les deux documentaires Vaxxed, vous pouvez suivre les deux hyperliens inclus dans le paragraphe précédent, ce sont les versions originales sous-titrées en français.

VAXXED
https://youtu.be/EHVmcXvbAWA
https://youtu.be/czsIOeDntZY

Mes clients m’ont aidé à trouver les meilleures références sur les vaccins — livres, documentaires et articles. Vous trouverez un grand nombre d’entre eux en hyperliens ou passés en revue sur le site de Solari Report, y compris dans notre bibliothèque.

De toutes les questions que j’ai posées, celle sur laquelle j’ai passé le plus de temps à enquêter et à réfléchir est la suivante : pourquoi ? Pourquoi les institutions médicales empoisonnaient-elles intentionnellement des générations d’enfants ? Nombre d’auteurs ayant fait des recherches et écrit sur les lésions et les décès dus aux vaccins ont supposé qu’il s’agissait d’une aberration résultant de l’orthodoxie d’une institution médicale incapable de gérer ou de faire face à ses erreurs et aux responsabilités financières qui les accompagnent. Pour moi, ceci ne m’a jamais paru logique. Les ouvrages de Forrest Maready, Jon Rappoport, le Dr Suzanne Humphries et Arthur Firstenberg m’ont aidé à comprendre le rôle des vaccins dans l’escroquerie permettant aux compagnies d’assurance et aux personnes légalement responsables d’économiser de l’argent.

Voici un exemple qui illustre le fonctionnement de cette escroquerie. Une toxine crée une maladie. La toxine peut être un pesticide, une pollution industrielle ou une radiation due à une technologie sans fil. La toxine cause des dommages à des millions de personnes et à leurs communautés. Les entreprises ou leurs assureurs peuvent être tenus pour responsables d’infractions civiles ou pénales. C’est alors qu’un virus est mis en cause. Un « remède » est trouvé sous la forme d’un « vaccin ». L’exposition au pesticide ou à toute autre substance toxique est interrompue au moment où le vaccin est introduit et, presto, la maladie disparaît. Le vaccin devient un succès, et son inventeur devient un héros. Une catastrophe financière potentielle a été transformée en profit, y compris pour les investisseurs et les fonds de pension. En tant que gestionnaire de portefeuille, j’admets qu’il s’agit là d’un brillant tour de passe-passe qui a probablement protégé le secteur de l’assurance contre les faillites qu’il subirait s’il devait indemniser équitablement les personnes et les familles détruites.

Grâce au travail de Robert Kennedy Jr et Mary Holland de Children’s Health Defense, je comprends maintenant les énormes profits générés par les soi-disant « vaccins » qui ont suivi le vote du National Childhood Injury Act de 1986 et la création du National Vaccine Injury Compensation Program [programme d’indemnisation des accidents médicaux et des décès liés à la vaccination – NdT]. Ce programme est un mécanisme fédéral de dédommagement financier des accidents et décès dus à la vaccination par l’intermédiaire d’un mécanisme d’introduction d’une demande indemnitaire devant la United States Court of Federal Claims [tribunal fédéral des États-Unis qui entend les plaintes pour dommages financiers exercées contre le gouvernement – NdT] et ses experts spécialisés. Il suffit qu’un médicament ou un cocktail biotechnologique soit étiqueté « vaccin » et les entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques sont dégagées de toute responsabilité — c’est le contribuable qui paie. Malheureusement, ce système est devenu une invitation permanente à gagner des milliards avec des « injections », en particulier lorsque les réglementations et les lois gouvernementales peuvent être utilisées pour créer un marché garanti par le biais d’obligations vaccinales. Puisque les agences gouvernementales et les législateurs ainsi que les médias corporatifs ont mis au point divers systèmes pour profiter de ces milliards de bénéfices,il en a résulté d’importants conflits d’intérêts.

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Le Public Readiness and Emergency Preparedness Act [loi sur la préparation du public et la protection civile – NdT] (PREPA ou loi PREP) est entrée en vigueur en 2005 et a encore accru la liberté des entreprises en matière de responsabilité. Cette loi

est un bouclier controversé en matière de responsabilité délictuelle destiné à protéger les fabricants de vaccins contre les risques financiers en cas d’urgence de santé publique déclarée. La loi accorde spécifiquement aux fabricants de médicaments une immunité contre toute responsabilité financière potentielle pour les essais cliniques de… vaccins à la discrétion du pouvoir exécutif du gouvernement. Le PREPA renforce et consolide la surveillance des litiges contre les sociétés pharmaceutiques sous la responsabilité du secrétaire à la santé et aux services sociaux.

~ Wikipedia

Au fil du temps, ceci s’est traduit par une évolution vers une ingénierie des épidémies — la version médicale des opérations sous faux drapeaux. En théorie, il peut effectivement s’agir de « PsyOps » ou d’événements orchestrés à l’aide d’agressions chimiques et biologiques ou de technologies sans fils. Si cette idée vous semble incongru, plongez dans tous les écrits des « personnes ciblées ».

Note du traducteur : Selon l’Urban Dictionary, une personne est dite « ciblée » lorsqu’elle est devenue la cible d’un parti, d’une organisation ou d’une entité. Une personne peut être ciblée par des entités allant de la corruption dans les affaires, du crime organisé, des sectes et des extrémistes ou par le gouvernement. Une personne qui devient ciblée sera confrontée à des campagnes de surveillance de différents degrés et, d’une manière générale, à des campagnes qui ont un impact négatif sur un individu. Il peut s’agir de campagnes de harcèlement, de discrédit, de sabotage, d’incitation à la peur et à la paranoïa, de manipulation, d’extorsion, voire d’assassinat, entre autres.

J’en ai personnellement fait l’expérience en subissant un harcèlement physique significatif lorsque j’étais en procès avec le ministère de la Justice. J’ai alors tenté d’engager différentes agences de sécurité ; elles vérifiaient mes références et refusaient de me protéger au motif que c’était trop dangereux. La dernière a eu pitié de moi et a attiré mon attention sur le fait que je ne devais pas m’inquiéter des armes électroniques, en soulignant que mon principal problème viendrait d’une agression biologique de faible intensité. Cet expert en guerre biologique avait prédit que l’équipe adverse percerait des trous dans le mur de ma maison pour y injecter l’« ennemi invisible ». Bien sûr, c’est exactement ce qu’il s’est produit. J’ai vendu ma maison et j’ai quitté la ville. Ce voyage a marqué le début d’un long processus d’apprentissage sur l’usage qui est fait des armes empoisonnées et non létales — qu’il s’agisse de déplacer des personnes hors des appartements à loyer modéré, de rendre malades des personnes âgées pour les transférer dans des logements plus chers subventionnés par le gouvernement, de harceler à plusieurs des cibles politiques ou commerciales, ou d’affaiblir voire tuer des adversaires judiciaires — et la liste continue. L’empoisonnement s’avérait constituer aux États-Unis une tactique bien plus courante dans les jeux de guerre politique et économique que je ne l’avais compris auparavant.

Après avoir terminé mon procès, j’ai passé plusieurs années à me désintoxiquer de métaux lourds, notamment du plomb, de l’arsenic et de l’aluminium. En conduisant à travers l’Amérique, j’ai réalisé à quel point je n’étais pas la seule. Les Américains ressemblaient de plus en plus à un peuple aux prises avec de fortes charges de métaux lourds toxiques. En diminuant de façon significative les taux de concentration exceptionnellement élevés en métaux lourds qui étaient les miens, j’ai appris à quel point la charge toxique avait modifié mon attitude, mon énergie et ma capacité à traiter des informations complexes.

C’est ce qui m’a conduit à me pencher sur les vaccins. Je voulais découvrir ce qu’ils sont exactement, je voulais concrètement connaître ce que contiennent les concoctions qui sont aujourd’hui injectées aux populations et découvrir ce que sont les mixtures diaboliques actuellement en cours de développement.

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En 2017, des chercheurs italiens ont passé en revue les ingrédients de 44 types de « vaccins ». Ils ont découvert des débris de métaux lourds et une contamination biologique dans chacun des vaccins humains qu’ils ont testé. Ils ont déclaré : « La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés. » Ils ont ensuite tiré la conclusion évidente que les micro et nanoparticules contaminantes étaient « biopersistantes » puisqu’elles n’étaient « ni biocompatibles ni biodégradables », et qu’elles pouvaient donc provoquer des effets inflammatoires immédiats — ou plus tardifs.

Des tissus fœtaux avortés, des tissus animaux, de l’aluminium, du mercure, des matériaux génétiquement modifiés — et quoi d’autre ?

Note du traducteur : Puisque nous avions traduit l’article de Jon Rappoport sur cette étude effectuée en 2017, en voici un extrait :

« La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leur composition chimique inhabituelle nous ont déconcertés. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, ce qui signifie qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets à même de se manifester soit immédiatement après le moment de l’injection, soit après un certain temps suivant l’administration. Il est important de rappeler que les particules — des cristaux et non des molécules — sont des corps étrangers à l’organisme et qu’elles se comportent comme telles. Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité — qui de toute façon, est toujours présente — une toxicité typique des corps étrangers. C’est la raison pour laquelle elles induisent une réaction inflammatoire.

Après avoir été injectés, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent rester autour du point d’injection en formant des œdèmes et des granulomes… Mais ils peuvent aussi être transportés par la circulation sanguine, échappant ainsi à toute tentative de déterminer quelle sera leur destination finale. Nous pensons que dans de nombreux cas, ils se répartissent dans tout l’organisme sans provoquer de réaction visible, mais il est également probable que, dans certaines circonstances, ils atteignent en assez grande quantité un organe quelconque, aucun n’étant exclu et en y incluant le microbiote. Comme c’est le cas de tous les corps étrangers, en particulier ceux de petite taille, ils induisent une réaction inflammatoire qui est chronique parce que la plupart de ces particules ne peuvent pas être dégradées. De plus, l’effet de couronne de protéines [dû à une nano-bio-interaction] peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable. Il est impossible de ne pas ajouter que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent pénétrer dans les noyaux des cellules et interagir avec l’ADN.

Dans certains cas, comme pour le fer et certains alliages de fer, ils peuvent se corroder et les produits de corrosion exercent une toxicité affectant les tissus.
[…]
Étant donné les contaminations observées dans tous les échantillons de vaccins à usage humain, les effets indésirables après l’injection de ces vaccins sont possibles et crédibles et présentent un caractère aléatoire, puisqu’ils dépendent du lieu où les contaminants sont transportés par la circulation sanguine. Il est donc tout à fait évident que des quantités similaires de ces corps étrangers peuvent avoir un impact plus grave sur de très petits organismes comme ceux des enfants. Leur présence dans les muscles, due à une extravasation du sang, pourrait fortement altérer leurs fonctionnalités.

Lorsque nous étudions des cas de contamination environnementale causée par différentes sources de pollution, nous rencontrons des particules dont la composition chimique est similaire à celle des vaccins que nous avons analysés. Dans la plupart des cas, les combinaisons détectées sont très étranges car elles n’ont aucune utilité technique, ne peuvent être trouvées dans aucun manuel et ressemblent au résultat de la formation aléatoire qui se produit, par exemple, lors de la combustion de déchets. En tout état de cause, quelle que soit leur origine, elles ne devraient être présentes dans aucun médicament injectable, et encore moins dans les vaccins, plus particulièrement ceux destinés aux nourrissons.

Il y a beaucoup plus dans l’article, et si vous ne l’avez pas lu, nous invitons le lecteur à le faire : Étude innovante — Des nanoparticules dangereuses contaminent de nombreux VACCINS… et autres produits de consommation courante

Voir aussi les articles suivants sur les sujets abordés dans les deux derniers paragraphes :

Quels que soient jusqu’à présent les ingrédients des vaccins, rien n’est plus bizarre et troublant que les suggestions qui sont faites quant à ce qu’ils pourraient contenir à l’avenir. Les stratégies — déjà bien financées et en bonne voie — comprennent la nanotechnologie de l’interface cerveau-machine, les dispositifs et la technologie de traçage de l’identité numérique comportant une date d’expiration qui peut être gérée et désactivée à distance. Un rapport indique que le gouvernement danois et la marine américaine ont payé une entreprise technologique située au Danemark pour fabriquer une puce injectable qui serait compatible avec l’une des principales cryptomonnaies.

J’ai lu récemment l’excellente étude de Mary Holland sur les décisions de justice américaines en matière de vaccins — « La vaccination obligatoire, la Constitution et le mandat relatif à l’hépatite B pour les nourrissons et les jeunes enfants », publié dans Yale Journal of Health Policy, Law, and Ethics [et visible en Pdf ICI – NdT] — et je me suis demandé pourquoi on appelle vaccins les produits injectables que Bill Gates et ses collègues promeuvent ? S’agit-il vraiment de vaccins ?

La plupart des gens savent comment Bill Gates a construit et conservé sa fortune. Il a acquis un système d’exploitation qui a été installé dans nos ordinateurs [PC – NdT]. Une rumeur selon laquelle les services de renseignements américains disposent d’une porte dérobée a largement circulé. L’explosion simultanée et soudaine du nombre de virus informatiques a alors rendu nécessaire la mise à jour régulière de votre système d’exploitation, permettant à Gates et à ses associés d’ajouter régulièrement dans votre logiciel tout ce qu’ils voulaient. L’un de mes plus compétents développeurs informatiques m’a dit un jour dans les années 1990 — quand Microsoft a vraiment décollé — « Microsoft fabrique vraiment des logiciels merdiques ». Mais bien sûr, le logiciel n’était pas vraiment leur affaire. Leur métier était d’accéder à et d’agréger toutes vos données. Le capitalisme de surveillance était enclenché.

Note du traducteur : Voir l’ouvrage L’Âge du capitalisme de surveillance du professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, à paraître début octobre en français :

Objets connectés, cookies, publicités ciblées… Nos données personnelles, initialement collectées pour fluidifier la navigation sur Internet, améliorer ou simplifier les services sont désormais revendues — notamment par Google et Facebook, qui en ont fait leur fonds de commerce. La « data » est devenue « l’or noir » de l’économie numérique. Tous tracés, et alors ?

En échange d’informations personnelles — dont nous mesurons mal l’étendue — nous avons accès à des services gratuits ultra-performants. « Je n’ai rien à cacher » est la réponse la plus courante face à ce constat. Pourtant, le fait est que les GAFAM savent tout de nous, alors que nous en savons très peu sur elles et sur l’usage qu’elles font de ces données. Bienvenue dans le capitalisme de surveillance.

Shoshana Zuboff retrace ici la généalogie de cette nouvelle ère, née d’une mutation monstrueuse du capitalisme. Voici un système total dans lequel la matière première est l’expérience humaine : ce qui s’achète et qui se vend, ce n’est plus l’analyse de nos comportements, mais nos comportements prédictibles, voire induits. On aurait pu croire cette économie de la certitude au seul service d’un État totalitaire, mais elle est bel et bien dédiée, dans nos démocraties, au seul capital — par essence incontrôlable.

À travers dix-huit chapitres, des premiers pas de Google au scandale de Cambridge Analytica, l’auteur explique comment ce phénomène est passé, de manière insidieuse, du monde virtuel au monde réel, imprégnant peu à peu notre quotidien sans susciter ni sursaut citoyen, ni véritable régulation politique.

Et notre article Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore :

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d’engranger d’énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.

Le ministère de la Justice a lancé une procédure antitrust contre Microsoft en 1998, juste au moment où les 21 000 milliards de dollars commençaient à disparaître du gouvernement américain — sans doute à l’aide de logiciels et de systèmes informatiques spécialement conçus. Pendant les négociations de règlement qui ont permis à Bill Gates de conserver sa fortune, il a lancé sa fondation et sa nouvelle carrière de philanthrope. J’ai ri l’autre jour lorsque mon tweet portant sur l’un des articles de Robert Kennedy Jr. de Children’s Health Defense décrivant la technologie horrible que Gates espère déployer grâce aux « injections » — a suscité une réaction : « Bref, je suppose qu’il remplit finalement sa part de l’accord antitrust ».

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Si vous examinez ce qui est actuellement proposé et créé en matière d’injections, il me semble que ces développements technologiques s’organisent autour de plusieurs objectifs potentiels.

Le premier et le plus important de ces objectifs est le remplacement du système monétaire actuel basé sur le dollar américain, et utilisé par la population en général, par un système de transactions numériques qui puisse combiner l’identification et le suivi numériques. L’objectif est de mettre fin aux devises telles que nous les connaissons et de les remplacer par un système de cartes de crédit incorporé qui peut s’intégrer à diverses formes de contrôle, y compris éventuellement le contrôle des esprits. La « dé-dollarisation » menace le système de réserves mondiales du dollar. Au cours de l’année dernière, et à la suite d’une nouvelle série d’assouplissements quantitatifs de la Réserve fédérale, la masse monétaire de M1 et M2 a connu une croissance à deux chiffres [M1 correspond aux pièces et billets dans les comptes courants ; M2 correspond à M1 plus les dépôts sur livrets et les crédits à court terme ; M3 regroupe M1 et M2 plus les dépôts à long terme, soit plus de 2 ans – NdT]. La raison pour laquelle nous ne sommes pas entrés dans l’hyperinflation résulte de la chute spectaculaire de la vitesse de circulation de la monnaie dû au fait que le Covid-19 a été intentionnellement transformé en blocage pour une part importante de l’activité économique, et de la faillite de millions de petites et moyennes entreprises qui s’en est suivie. Les gestionnaires du système basé sur le dollar américain sont soumis à des pressions pour utiliser de toute urgence les nouvelles technologies en vue de centraliser les flux économiques et de préserver leur contrôle sur le système financier.

Tout comme Gates a installé un système d’exploitation dans nos ordinateurs, la vision consiste maintenant à installer un système d’exploitation dans notre corps et à utiliser des « virus » pour imposer une installation initiale suivie de mises à jour régulières.

Ceci étant dit, je comprends maintenant pourquoi Bill Gates et ses collègues souhaitent appeler ces technologies « vaccins ». S’ils peuvent persuader le corps politique que les cartes de crédit injectables, les systèmes de surveillance injectables ou les nanotechnologies d’interface cerveau-machine injectables sont des « vaccins », ils peuvent alors bénéficier de la protection d’un siècle ou plus de décisions et de lois juridiques qui soutiennent leurs efforts pour imposer ce qu’ils veulent faire. De même, ils peuvent insister pour que les contribuables américains financent, par le biais du National Vaccine Injury Compensation Program, les dommages dont ils seraient autrement responsables du fait de leurs expériences — et des violations du code de Nuremberg et de nombreuses lois civiles et pénales — sur la population en général. Ce plan est très intelligent. En convainquant la population d’accepter que leurs nouvelles concoctions qui injectent de la haute technologie soient définies comme des « vaccins », ils pourront les introduire directement dans la chaîne de production vaccinale. Il est inutile de s’inquiéter des maladies et des morts qui résulteront d’une chose aussi peu naturelle livrée aussi rapidement. L’absence de responsabilité garantie par la loi PREP grâce à la déclaration d’une situation d’urgence — tout comme la possibilité de maintenir cette situation d’urgence grâce à la recherche des contacts — sont à même de les exonérer de toute responsabilité de milliers, voire de millions, de décès et d’incapacités qui sont susceptibles de suivre une telle expérimentation humaine. Dans l’idéal, ils peuvent simplement imputer les décès à un virus.

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Un collègue m’a raconté un jour comment le Webster’s Dictionary est né. Webster a dit que la façon dont les malfaiteurs allaient changer la Constitution n’était pas de l’amender mais de changer les définitions — ce qui constitue une attaque légale sournoise.

Je pense que Gates et les industries pharmaceutique et biotechnologique parviennent littéralement à créer une grille de contrôle mondiale en installant des composants d’interface numérique qui nous connectent au nouveau cloud JEDI [NdNM : Joint Enterprise Defense Infrastructure] de Microsoft — d’une valeur de 10 milliards de dollars — , au ministère de la Défense, ainsi qu’au contrat cloud de plusieurs milliards qui lie Amazon et la CIA, et qui est partagé par toutes les agences de renseignement américaines. Pourquoi pensez-vous que le président Trump fait en sorte que l’armée s’organise pour stocker des seringues pour les vaccins ? C’est probablement parce que les militaires installent le système d’exploitation itinérant pour l’intégrer dans leur cloud. N’oubliez pas que le gagnant de la course à la superpuissance de l’Intelligence artificielle est le système d’IA ayant accès au plus grand nombre de données. L’accès à votre corps et au mien 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 génère un volume de données considérable. Si les Chinois le font, les Américains voudront le faire aussi. En fait, le déploiement de « systèmes d’exploitation » humains est peut-être l’une des raisons pour lesquelles la concurrence autour de Huawei et des télécommunications 5G est devenue si féroce. Comme Clegg, ancien président de Microsoft Canada, nous l’a bien précisé, la 5G a été développée par les Israéliens pour contrôler les foules.

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Face à la « dé-dollarisation » mondiale, c’est ainsi que le syndicat du dollar peut affirmer le contrôle central dont il a besoin pour maintenir et étendre sa puissance financière de monnaie de réserve mondiale. Cela inclut la protection de ses dirigeants contre la responsabilité civile et pénale liée aux niveaux explosifs de fraude financière et sanitaire des dernières décennies.

Ce qui me ramène à vous et moi. Pourquoi appelons-nous ces concoctions des « vaccins » ? Si je comprends l’histoire de la jurisprudence, les vaccins, en termes juridiques, sont des médicaments. Un empoisonnement intentionnel aux métaux lourds n’est pas un médicament. Les composants de surveillance injectables ne sont pas des médicaments. Les cartes de crédit injectables ne sont pas des médicaments. Une interface cerveau-machine injectable n’est pas un médicament. L’immunité juridique et financière des compagnies d’assurance ne crée pas d’immunité humaine contre les maladies.

Nous devons cesser de permettre que ces concoctions soient désignées par un mot que les tribunaux et la population en général définissent et assimilent à un médicament et que ce mot protège de toute responsabilité juridique et financière.

Les auteurs de cette fraude tentent un coup très habile qui leur permettra d’aller beaucoup plus vite et d’annuler beaucoup de risques — à nos dépens. Je comprends pourquoi ils le font.

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi nous les aidons. Pourquoi acceptons-nous d’appeler « vaccins » ces étranges et profondément dangereuses concoctions ? Quelles qu’elles soient, ce ne sont pas des médicaments.

Alors, comment devrions-nous conventionnellement les renommer ? Quel nom donnerons-nous aux poisons, aux métaux nocifs pour le système nerveux et aux entraves numériques ?

Quel que soit le nom qu’on leur donne, je sais une chose. CE NE SONT PAS DES MÉDICAMENTS, CE QUI SIGNIFIE QU’ILS NE SONT CERTAINEMENT PAS DES VACCINS.

© Sott.net/Johns Hopkins

Source de l’article initialement publié en anglais le 27 mai 2020 : Solari Report
Traduction: Sott.net




PÉTITION : LA 5G VIOLE LES DROITS DE L’HOMME : STOP 5G !

[Source et signature de la pétition : ici]

[Ajustements : Nouveau Monde]


Auteur(s) : Alliance Française et Européenne Stop 5G

Destinataire(s) : ASSEMBLÉE nationale, SÉNAT, CONSEIL d’ÉTAT, PDG des Télécoms, ARCEP, ANSES, Parlement européen, ONU, Assemblée nationale, Sénat

L’appel international 5G arrêt du déploiement de la 5G sur terre et dans l’espace a été validé et signé par plus de 250 scientifiques, appel qui a été enregistré au Parlement européen et présenté à l’ONU.

https://www.5gspaceappeal.org/the-appeal

Plus de 250 scientifiques de plus de 40 pays ont exprimé leur « préoccupation sérieuse » concernant l’accroissement permanent et universel de l’exposition aux champs électromagnétiques par les technologies du sans-fil avant l’ajout du déploiement de la 5G.

Ils font référence aux « nombreuses études scientifiques récentes qui ont démontré que ces champs électromagnétiques affectent les organismes vivants à des niveaux d’exposition bien en dessous des valeurs limites internationales ».

Ces effets accroissent le risque de cancer et le stress cellulaire, augmentent l’apparition de radicaux libres nocifs, de dommages génétiques, de changements structurels et fonctionnels du système reproductif, de déficits d’apprentissage et de mémoire, de désordres neurologiques, sanguins, cardiaques, nerveux et forts impacts négatifs sur le bien-être.

Ces dommages n’affectent pas seulement l’homme, mais aussi la faune et la flore selon un nombre croissant d’études.

Les entreprises de télécommunications à l’échelle mondiale sont bien résolues, avec l’appui des gouvernements, à déployer dans les deux prochaines années, le réseau sans fil de cinquième génération (5G).

Cette décision produira ce qui est considéré comme un changement sociétal sans précédent à l’échelle mondiale.

Nous aurons, ainsi, des maisons « intelligentes », des entreprises « intelligentes », des autoroutes « intelligentes », des villes « intelligentes » et des voitures autonomes.

Pratiquement tout ce que nous achetons et possédons depuis les réfrigérateurs et les machines à laver jusqu’aux cartons de lait, en passant par les brosses à cheveux et les couches pour bébés, contiendra des antennes et des micropuces et sera connecté sans fil à l’internet.

Toute personne sur terre aura accès instantanément à des communications sans fil à très haut débit et à faible latence, et ce dans les coins les plus reculés de la planète, jusque dans les forêts pluviales, au milieu de l’océan et dans l’antarctique.

Ce que la plupart des gens ignorent, c’est que cette nouvelle réalité entraînera aussi un changement environnemental sans précédent à l’échelle planétaire. Il est impossible d’imaginer la densité prévue des émetteurs de radiofréquences. Outre les millions de nouvelles stations de base terrestres 5G qui seront installées et les 20 000 nouveaux satellites qui seront lancés dans l’espace, 200 milliards d’objets émetteurs, selon nos estimations, feront partie de l’internet des objets d’ici 2020, et un milliard d’objets quelques années plus tard.

Chapitre 1 : Le déploiement de la 5G VIOLE LA DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME et le CODE DE NUREMBERG

https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

Article 3 : Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 5 : Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 7 : Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8 : Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

Article 12 : Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 30 : Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un État, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

Le déploiement de la 5G viole le Code de Nuremberg

La déployer sur les populations représente une expérience technologique et médicale sur les populations et l’environnement sans le consentement des personnes, au péril de leur bien-être de leur santé et même de leur vie.

Pourquoi aussi « expérience médicale » ?

Parce que les ondes EMF sont utilisées en médecine depuis les années 1920 au moins pour soigner, traiter des maladies, en RUSSIE aux USA et dans d’autres pays du monde.

Certaines ondes et fréquences peuvent soigner, d’autres peuvent blesser. C’est un fait scientifique et médical établi.

Que sont les fréquences de la 5G ?

3,5 GHz, 26 GHz, 60 GHz et au-delà : FRÉQUENCES PULSÉES TRÈS ÉLEVÉES MICRO ONDES et MILLIMÉTRIQUES en système MIMO BEAM FORMING.

De façon à transmettre les énormes quantités de données nécessaires pour l’internet des objets, la technologie 5G, une fois pleinement déployée, utilisera des ondes millimétriques, qui ne traversent pas aisément la matière solide.

Il faudra donc que les entreprises de télécommunications installent des stations de base tous les 100 mètres dans toutes les zones urbaines du monde entier.

À la différence de la technologie sans fil des générations précédentes où une seule antenne diffuse des ondes sur une superficie importante, les stations de base de la 5G et les équipements connexes seront dotés d’antennes à balayage électronique actif qui, ensemble, émettront des faisceaux d’ondes électromagnétiques focalisés, orientables, analogues aux faisceaux laser qui se chevauchent entre eux.

Chaque téléphone 5G renfermera des dizaines d’antennes minuscules, qui ensemble, essaieront de capter un faisceau étroitement focalisé auprès du pylône le plus proche.

La US Federal Communications Commission (FCC) a adopté des règles autorisant que la puissance effective de ces faisceaux atteigne 20 watts, soit dix fois de plus que les niveaux autorisés pour les téléphones actuels.

Chaque station de base de la 5G renfermera des centaines voire des milliers d’antennes pointant simultanément de multiples faisceaux d’ondes électromagnétiques, analogues aux faisceaux laser, vers tous les téléphones mobiles et les autres appareils de son aire de service.

Cette technologie est dite à « entrées et à sorties multiples » ou MIMO.

Selon les règles de la FCC, la puissance rayonnée effective des faisceaux d’une station de base de la 5G pourrait atteindre 30 000 watts pour 100 MHz du spectre, ce qui équivaut à 300 000 watts par GHz de spectre, c’est-à-dire des niveaux de puissance des dizaines voire des centaines de fois supérieurs aux niveaux autorisés pour les stations de base actuelles

La 5G utilise des ondes électromagnétiques autrefois utilisées dans le domaine militaire dans la gamme des extrêmes hautes fréquences (EHF) provoquant des dommages considérables à tout ce qui est fait majoritairement fait d’eau (dont nous humains sommes constitués). Les effets sur le cerveau sont aussi bien connus aujourd’hui.

ÉTUDES des Armées : https://eveilhomme.com/wp-content/uploads/2020/06/Declassified-Russian-mmWave-Study-1977.pdf

CIA : https://archive.org/details/cia-millimeter-waves-1

Dr. Martin Pall : http://www.stop5g.be/fr/doc/ondes.brussels_5G-et-limites-d-exposition_Martin-Pall_nov-2019.pdf

C’est donc bien une expérience industrielle, médicale, voire militaire, sur les populations.

AVIS du PARLEMENT EUROPÉEN :

2 — Résolution 1815 du Conseil de l’Europe :

http://assembly.coe.int/nw/xml/xref/xref-xml2html-fr.asp?fileid=17994

Compte tenu de ce qui précède, l’Assemblée recommande aux États membres du Conseil de l’Europe :

« de porter une attention particulière aux personnes “électrosensibles” atteintes du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques et de prendre des mesures spéciales pour les protéger, en créant par exemple des “zones blanches” non couvertes par les réseaux sans fil. »

8.1.4

Chapitre 2 : POLLUTION

Pollution ÉLECTROMAGNÉTIQUE

La 5G augmenterait le brouillard électromagnétique existant, déjà beaucoup trop élevé avec, entre autres, la 2G, la 3G et la 4G, le Wi-Fi, le Bluetooth, les compteurs communicants d’électricité (Linky), d’eau et de gaz (Gazpar) et leurs infrastructures annexes. [Elle utilise] des fréquences jamais encore utilisées, dans le spectre des micro-ondes et ondes millimétriques, extrêmement nocives pour le vivant.

Pollution ÉNERGÉTIQUE

Explosion de la consommation électrique, de la facture énergétique, de l’exploitation de matériaux rares avec travail d’enfants en Afrique, mise au rebut de milliards de téléphones portables obsolètes.

Danger CYBER SÉCURITÉ

voir la presse mainstream.

Chapitre 3 : 5G ET SOCIÉTÉ — le BIG RESET

Travail, lien social, qualité de vie, respect de la personne humaine : « THE BIG RESET »

la 5G annonce et entérinerait le projet global et globaliste de société mondiale, aberrant, inhumain, avec chômage massif, mépris du travail humain, de la biologie humaine et, in fine, transhumanisme :

le site du World Econonic Forum décrit en détail ce « monde d’après » sous 5G du « Big Reset »

https://intelligence.weforum.org/topics/a1G0X000006NvAbUAK?tab=publications&searchTerm=

La 5G fait partie et est une nécessité absolue pour ce qu’ils nomment le « Big Reset » ou « monde d’après » :

Les fers de lance du Big Reset (organisé de fond en comble par les globalistes) sont la 5G, puis la génétique, la modification OGM du génome des humains, la biotechnologie, la nano technologie, les neura links, l’Intelligence artificielle, les Robots, le mixage de l’homme et des ordinateurs, la smart dust [poussière intelligente], les nano bots, nano bots en médecine, les vaccins à RNA étranger, les vaccins par technique CRISP d’inserts d’ADN étranger, les vaccins par electro portatio, l’ID numérique pour tous (ou ID 2020, V pass ou V code numérique sur smart phone) = passeport de santé, carnet de vaccination numérique sous la peau, nano particules invasives dans les vaccins, etc.

https://intelligence.weforum.org/topics/a1Gb0000001j9vlEAA?tab=publications&searchTerm=

Le réseau 5G servira de support pour l’internet des objets (IdO), le « tout connecté » avec des milliards de micro chips dans toutes les variétés d’objets de la vie courante, de la voiture à la télévision au frigo en passant par la brosse à dents les vêtements, pour aller vers l’agenda tout numérique « tout connecté » dont parle Monsieur Macron et tous les autres chefs d’État.

Selon ce « Big Reset », les villes doivent devenir des Smart Cities gérées par l’intelligence artificielle, avec des robots ou systèmes de AI de plus en plus présents, sacrifiant des millions d’emplois, sacrifiant insectes abeilles, de très nombreux oiseaux et arbres, impactant la santé des habitants et provoquant des maladies chroniques et des décès des personnes les plus fragiles. Les personnes âgées n’y auront quasiment plus de place.

SURVEILLANCE

La 5G est LA technologie nécessaire à la SURVEILLANCE massive, au traçage de tous en tout lieu, au V code ou « health passport » post covid, à la biométrie, à la reconnaissance faciale :

https://www.youtube.com/watch?v=y6axbBtXgLk

https://www.youtube.com/watch?v=y6axbBtXgLk
TOUS SURVEILLÉS/ARTE

Chapitre 4 : DÉSASTRE ENVIRONNEMENTAL pré-déploiement et post-déploiement de la 5G

5/ Les ondes utilisées, dites micro-ondes ou ondes millimétriques sont facilement bloquées par des obstacles comme les feuilles des arbres. Il faut donc enlever des arbres à défaut d’augmenter la fréquence de pénétration des ondes. Et c’est ce qui se passe dans de nombreuses villes européennes et en France.

La nocivité des ondes électromagnétiques pulsées est déjà démontrée par des milliers de publications scientifiques indépendantes des multinationales des télécoms, comme le rapport Bioinitiative de 2012 qui montre des dégâts irréversibles sur tous les êtres vivants annonçant une catastrophe sanitaire et écologique à venir. Des effets très néfastes ont été constatés sur les oiseaux, les souris et les rats, les insectes (abeilles, fourmis, mouches) ainsi que des vers nématodes et des bactéries et les mammifères.

Dans leur hâte à mettre en œuvre la 5G et encourager l’utilisation sans contraintes de l’espace, l’Union européenne, les États-Unis et les gouvernements nationaux à l’échelle mondiale prennent des mesures pour assurer un environnement réglementaire « libre d’obstacles ». Aussi, interdisent-ils aux autorités locales d’appliquer les lois environnementales et, « dans l’intérêt d’un déploiement rapide et rentable », ils suppriment les « fardeaux inutiles »… comme les procédures de planification locales (décret État français durant le confinement 2020 permettant aux télécoms de passer au-dessus des mairies et procéder à de rapides installations d’antennes sans concertation avec la commune ni autorisation des Mairies).

Les animaux de ferme souffrent déjà terriblement de dommages liés aux champs électromagnétiques et en meurent. Des éleveurs, en France, ont assigné l’État en justice à ce propos.

Les EMF émis par des antennes relais, téléphonie mobile exponentielle, et autres sources font que les oiseaux sont en disparition mondiale à cause de ces champs EMF toxiques les irradiant dans leurs habitats naturels et durant leurs migrations.

Dans les zones 5G, les abeilles meurent, les insectes disparaissent totalement, les arbres exposés aux antennes proches se dessèchent et meurent, ce qui est déjà le cas avec la 4G LTE (Californie, Usa UK, London, Europe).

La 5G : irradiante partout en ville dans le mobilier urbain, « small cells » cachées dans tout le mobilier urbain, mais aussi sur les routes, les autoroutes, tout près des trajets en TGV et dans les campagnes ou villages à terme :

La 5G n’est efficace que sur de courtes distances. Elle nécessitera le déploiement d’un réseau très dense de petites antennes très proches les unes des autres, aussi cachées sous terre, sur les lampadaires LED de rue, arrêts de bus, panneaux, petites bornes 5G et wi-fi plantées sur le trottoir, boîtiers de wi-fi WIGI à 60 GHz arrimés aux bâtiments et aux maisons privées, cela de partout : près des habitations, des crèches, des hôpitaux des bureaux et dans les rues.

Investir dans le développement du réseau de fibre optique permettrait une vitesse de communication 10 000 fois plus grande que celle du sans-fil à l’abri des cyberattaques et sans danger pour la santé et l’environnement.

CHAPITRE 5 : Viol de l’ESPACE et des Traités internationaux de non-prolifération de technologies et armes dans l’Espace

ESPACE : 40 000 à 50 000 satellites 5G dans l’espace en basse orbite sont prévus par les sociétés privées SpaceX de Elon Musk, One Web, Amazon, Facebook, et d’autres compagnies. Elon Musk en a déjà lancé une bonne centaine (sur des milliers).

Stations de base spatiales de la 5G : Au moins cinq entreprises proposent d’offrir la 5G depuis l’espace, à partir de 20 000 satellites regroupés en basse et moyenne orbite qui couvriront la terre de puissants faisceaux d’ondes électromagnétiques focalisés et orientables (balayage électronique actif).

Chaque satellite émettra des ondes millimétriques ayant une puissance effective de rayonnement pouvant atteindre 5 millions de watts depuis des milliers d’antennes disposées en réseaux à commandes de phase (permettant un balayage électronique).

Même si l’énergie qui frappe le sol à partir des satellites est moins puissante que celle transmise par les antennes terrestres, elle touchera des régions reculées qui échappent au balayage d’autres émetteurs et s’ajoutera au rayonnement induit par les milliards d’objets connectés grâce aux antennes relais de la 5G basées au sol.

Mais qui plus est, les satellites stationneront dans la magnétosphère de la Terre, qui exerce une influence importante sur les propriétés électriques de l’atmosphère.

L’altération de l’environnement électromagnétique de la Terre pourrait bien représenter une menace encore plus grande pour la vie que le rayonnement des antennes basées au sol. Des astronomes par centaines demandent l’arrêt des lancements de satellites 5G.

L’espace selon les traités et principes des Nations unies relatifs à l’espace extra-atmosphérique (1967), les activités prenant place dans l’espace extra-atmosphérique doivent être menées

« de manière à éviter les effets préjudiciables de leur contamination ainsi que les modifications nocives du milieu terrestre ».

(art. IX)

Les Lignes directrices aux fins de la viabilité à long terme des activités spatiales (2018) indiquent que

« Les États et les organisations internationales intergouvernementales devraient […] tenir compte, dans la mesure du possible, des risques, pour les personnes, les biens, la santé publique et l’environnement, associés au lancement, à l’exploitation en orbite et au retour des objets spatiaux ».

[ligne directrice 2.2 c)]

Chapitre 6 : VIOLATION des CONVENTIONS INTERNATIONALES

Déployer la 5G revient à mener une expérience scientifique, technologique et médicale sur les populations du globe et sur tout l’environnement naturel.

Ceci représente, incluant à la fois le déploiement 5G terrestre et le déploiement de milliers de satellites 5G en orbite terrestre basse :

  • un viol des Conventions internationales
  • un viol de la Déclaration universelle des droits de l’homme,
  • un crime selon le code de Nuremberg

Des ententes internationales sont violées :

La Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) énonce que

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ».

(art. 3)

Enfants et devoir de diligence

Selon la Convention relative aux droits de l’enfant des Nations Unies :

« Les États parties s’engagent à assurer à l’enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être » (art. 3), « assurent dans toute la mesure possible la survie et le développement de l’enfant »

(art. 6)

et

« à lutter contre la maladie et la malnutrition […] compte tenu des dangers et des risques de pollution du milieu naturel ».

(art. 24 c)

Le Code de Nuremberg (1947) s’applique aux expériences sur les êtres humains, ce qui inclut par conséquent le déploiement de la 5G lequel introduit un niveau d’exposition plus élevé et inédit au rayonnement de radiofréquence, dont l’innocuité n’a pas fait l’objet de test au préalable.

Or,

« le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ».

(art. 1)

L’exposition à la 5G sera involontaire.

« L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet ».

(art. 5)

Les conclusions de plus de 10 000 études scientifiques et la voix de centaines d’organisations internationales représentant des centaines de milliers de membres ayant subi des dommages invalidants et ayant été déplacées de leurs foyers par les installations de communications sans fil déjà en place, sont « des raisons a priori de croire que la mort ou l’invalidité » pourraient survenir.

Un viol des Conventions internationales sur l’Espace et celles de la Protection de l’environnement.

Une atteinte de type terrestre et spatial de la sécurité de millions, voire milliards de personnes et de tout l’écosystème terrestre ainsi qu’une atteinte à la Sécurité militaire et celle des prévisions météo mondiales.

Environnement

La Déclaration de Stockholm de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement (1972) énonce que

« Les rejets de matières toxiques ou d’autres matières […] en des quantités ou sous des concentrations telles que l’environnement ne puisse en neutraliser les effets doivent être interrompus de façon à éviter que les écosystèmes ne subissent des dommages graves ou irréversibles ».

(principe 6)

La Charte mondiale de la nature (1982) préconise que

« les activités qui risquent de causer des dommages irréversibles à la nature seront évitées […] et lorsque les effets nuisibles éventuels de ces activités ne sont qu’imparfaitement connus, ces dernières ne devraient pas être entreprises ».

(art. 11)

D’après la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement (1992),

« Les États ont […] le devoir de faire en sorte que les activités exercées dans les limites de leur juridiction ou sous leur contrôle ne causent pas de dommages à l’environnement dans d’autres États ou dans les zones ne relevant d’aucune juridiction nationale. »

(principe 2)

Le Rapport du Sommet mondial pour le développement durable (2002) des Nations Unies fait état du besoin urgent de

« Lancer des initiatives internationales […] pour trouver des solutions politiques nationales et régionales plus efficaces aux risques que fait peser l’environnement sur la santé ».

[par. 54 k)]

La Convention africaine sur la conservation de la nature et des ressources naturelles (2017) recommande que

« Les Parties […] prennent toutes les mesures appropriées pour prévenir, atténuer et éliminer, le plus possible, les effets nuisibles sur l’environnement, notamment ceux causés par les substances radioactives, toxiques et autres substances et déchets dangereux. »

Chapitre 7 : les NORMES internationales de sécurité établies par l’IRCNIP sont invalides

Les études scientifiques valides et indépendantes doivent être utilisées pour la cessation du déploiement de la 5G en France et en Europe.

Les normes de l’Ircnip, servant de base à l’Arcep, à l’Anses aux télécoms et aux états dans le monde, n’ont aucune valeur scientifique et médicale :

Les organismes de réglementation ont délibérément exclu les preuves scientifiques d’effets nocifs l’industrie et les gouvernements sont les seules parties prenantes au débat sur le développement de la 5G, tandis que les scientifiques spécialistes des champs électromagnétiques internationaux de renom qui ont documenté les effets biologiques sur les êtres humains, les mammifères, les insectes et les végétaux, ainsi que les effets alarmants sur la santé et l’environnement dans des milliers d’études publiées dans des revues dotées de comités de lecture ont été exclus.

La raison qui explique le caractère inadéquat des lignes directrices actuelles applicables à la sécurité est que les conflits d’intérêts des organismes chargés d’établir les normes

« en raison de leurs relations avec les compagnies de télécommunication ou d’électricité empêchent de parvenir à l’impartialité qui devrait régir l’établissement des normes d’exposition publique au rayonnement non ionisant ».

92

Le professeur émérite Martin L. Pall décrit de manière détaillée les conflits d’intérêts, et il dresse la liste des études importantes qui ont été exclues, aux chapitres 1, 5 et 6 de son examen de la littérature.

Dans la résolution de 2008 de l’Évaluation à mi-parcours du plan d’action européen en matière d’environnement et de santé 2004-2010,

« le Parlement européen […] constate que les limites d’exposition aux champs électromagnétiques fixées pour le public sont obsolètes […] que ces limites ne tiennent évidemment pas compte de l’évolution des technologies de l’information et de la communication ni, d’ailleurs des recommandations préconisées par l’Agence européenne pour l’environnement ou encore des normes d’émission plus exigeantes prises, par exemple, par la Belgique, l’Italie ou l’Autriche et qu’elles ne tiennent pas compte de groupes vulnérables comme les femmes enceintes, les nouveau-nés et les enfants ; »

D’après la Résolution 1815 (Conseil de l’Europe 2011), il faut

« Prendre toutes les mesures raisonnables pour réduire l’exposition aux champs électromagnétiques, notamment aux radiofréquences émises par les téléphones portables, et tout particulièrement l’exposition des enfants et des jeunes » […].

La santé de tous les citoyens du monde entier et de ceux de la FRANCE et de tous les écosystèmes est en jeu ainsi que nos libertés et le droit à la vie privée.

Toute information nécessaire aux maires, aux ministres, aux sénateurs, aux députés, aux particuliers,

aux médecins, aux associations pour l’environnement et les études scientifiques en lien se trouve ici dans l’appel international stop 5G Terre et Espace :

STOP 5G Terre et Espace : https://www.5gspaceappeal.org/the-appeal

Merci.

ACTIONS

  • Envoyer cette pétition à votre mairie ou à votre député
  • Envoyer cette pétition au Sénat
  • Envoyer cette pétition à des avocats anti 5G (my smart cab ou autre)
  • Boycotter tout téléphone 5G et tous les objets connectés sans fil
  • Préférer une connexion filaire au wi-fi chez soi
  • Limiter autant que possible l’utilisation du téléphone mobile ; le mettre en 3G pour réduire l’exposition.
  • Diffuser l’information sur le scandale de la 5G.
  • Interpeller les professionnels de santé, votre opérateur de téléphonie mobile, votre maire, vos régions et les ministres de la SANTÉ, de l’urbanisme, de l’ÉCOLOGIE, la presse et les médias locaux.

SIGNER l’AUTRE pétition : lettre aux maires de France stop 5G

https://www.mesopinions.com/petition/social/lettres-aux-maires-france-stop-5g/99633




Message d’alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde

[Source : Cogiito]

Image by PublicDomainPictures from Pixabay

Voici une des prises de position les plus importantes de professionnels de la santé concernant l’imposture du COVID-19. Vous pouvez la télécharger et la diffuser comme bon vous semble.

Plus de personnes seront informées et prendront connaissance de ce document, plus nous pourrons conserver notre liberté de penser, d’être et d’action.

Diffusez, diffusez… Freedom, Freedom, Freedom!

STOP : À LA TERREUR, À LA FOLIE, À LA MANIPULATION, À LA DICTATURE, AUX MENSONGES ET À LA PLUS GRANDE ARNAQUE SANITAIRE DU 21E SIÈCLE

FR-international-alert-message
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26 Août 2020,

Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

1. 

Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2. (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.

Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là. On nous dit :

«MAIS, LE SARS-COV-2 EST TRÈS CONTAGIEUX» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale1.

Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée2,3. Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole.

« MAIS, C’EST UN VIRUS NOUVEAU » 

ET NOUS RÉPONDONS :

H1N1 et les autres virus qu’on a cités était aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte4.

«MAIS, ON N’A PAS DE VACCIN» 

ET NOUS RÉPONDONS :

Au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

« MAIS, CE VIRUS EST BEAUCOUP PLUS MORTEL » 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises – : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie5. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%).

«MAIS, LA COVID-19 EST UNE MALADIE GRAVE» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe6 et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe»7.

« MAIS, IL Y A DES PERSONNES ASYMPTOMATIQUES » 

ET NOUS RÉPONDONS :

Dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus8. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000.

«MAIS, CE VIRUS ENTRAÎNE UNE SATURATION DES HÔPITAUX» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe9 et qu’à cette époque, on parlait même de : « tsunami » de patients dans les hôpitaux, « d’hôpitaux saturés », de tentes érigées à l’extérieur des hôpitaux, de « zones de guerre », « d’hôpitaux effondrés » et d’un « état d’urgence ». Et pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

2. 

NOUS DISONS : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure (peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13,000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord), graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerresUn editorial5 publié dans l’European Journal Of Clinical Investigation a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures extrêmes prises non fondées sur des preuves, des informations exagérées sur la dangerosité réelle du virus et des fake news propagées (y compris par des grandes revues). Certains ont même comparé cette pandémie à la celle de la grippe de 1918, ce qui est un MENSONGE et une manipulation puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui n’a absolument rien à voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.

3. 

Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

4. 

Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité10 (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

5. 

Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques.

Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition11 d’un cas en épidémiologie est : 

«la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence».

Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger.

6. 

Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID- 19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi12. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen13 ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu’un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l’hôpital, sera toujours compté comme un Décès COVID même s’il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard.

Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

7. 

Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi- systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts14.

8. 

Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques.

Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie7, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés15. Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9. 

Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque.

Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. Un article scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a démontré que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui- même.

10. 

Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace.

Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie.

Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé16 et le transforme en nid à microbes.

« Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l’enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager »,

a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste.

Lorsqu’on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu :

« en raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger ».

Même les dentistes ont récemment mis en garde contre les effets graves sur la santé bucco-dentaire car ils constatent que le port de masque de façon prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des maladies parodontales ou une très mauvaise haleine.

«Nous voyons beaucoup de gens avec plus d’inflammation, plus de caries et de maladies des gencives… Nous constatons une inflammation des gencives des gens qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n’en ont jamais eu auparavant… Environ 50% de nos patients sont impactés par cela »,

déclare le Docteur Rob Ramondi, un dentiste.

« Les gens ont tendance à respirer par la bouche plutôt que par le nez lorsqu’ils portent un masque… La respiration buccale provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents… Les patients nous disent : « wow, mon haleine sent, j’ai besoin d’un nettoyage ». [mais] quand vous avez une mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries sur votre langue à cause de la bouche sèche… Les maladies des gencives – ou les maladies parodontales- entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque»,

explique le docteur Marc Sclafani, un autre dentiste.

De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués.

Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité.

D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

11. 

Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste.

Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias17. Faire cela relève de la folie.

Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

12. 

Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique.

Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque 5.

Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit :

«Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale».

Le Professeur Didier Raoult dit :

«La décision du confinement comme la décision des masques… ne reposent pas sur des données scientifiques…».

Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret Sietsema, expertes en protection respiratoire, disent :

«Nous ne recommandons pas d’exiger du grand public qui ne présente pas de symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en tissu ou chirurgicaux car : il n’y a aucune preuve scientifique qu’ils sont efficaces pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…».

Le Professeur Maël

Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : « politique, pas scientifique ».

Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec les 8 millions de tonnes de plastique qui sont déjà déversées chaque année dans les océans, les masques et les gants viennent ajouter une nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement dangereuse pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1% des masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont 10 millions de masques qui finiraient chaque mois dans l’océan18. De plus, les masques chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer ! Nous disons donc aux gouvernements :

13. 

Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui ont soutenu les citoyens en s’agenouillant avec eux. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

STOP à ces mesures illégales et dangereuses du port obligatoire du masque.

14. 

Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques.

Sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent :

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous ».

15. 

Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.

Les succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme.

L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels – surtout pharmaceutiques – et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous- estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes)19 a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.

À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a conduit à la situation où « inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés » et que, pour une souche de grippe, elle était « beaucoup moins nocive » que toutes les épidémies de grippe précédentes20Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une « fausse pandémie », l’a qualifiée de « l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle » et a demandé l’ouverture d’une enquête.

En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde.

Selon un rapport21 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS :

« gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé… De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique ».

L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan 22. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : « c’est une réunion privée »

16. 

Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés, en particulier celui qui a fait la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde.

En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à l’épidémie23. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à l’ancienne», a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine !

Une fois, il a aussi qualifié la Chine24 de «très ouverte» et «très transparente». Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte de l’épidémie doit se faire avec des « méthodes à l’ancienne » ?
Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises sont : « agiles et ambitieuses »), les pays du monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive alors que ce n’est absolument pas le cas.

Heureusement, une interview réalisée avec lui a montré une partie importante de la vérité et les conflits d’intérêts de l’OMS avec la Chine lorsqu’une journaliste lui a posé une question sur le refus de l’adhésion de Taiwan (qui est en conflit avec la Chine) par l’OMS : il a fait semblant de ne pas entendre la question puis quand cette dernière lui a été reposée, il a coupé la communication ! (la vidéo a été visionnée plus de 8 millions de fois)25. C’est lui aussi qui a dit fin Février :

« Il n’existe actuellement qu’un seul médicament duquel nous pensons qu’il pourrait avoir une réelle efficacité : le remdesivir » .

Comment peut-il dire cela avant même la sortie des résultats ? Et pour quelles raisons l’a-t-il dit ?

Des élus Canadiens de la Chambre des communes26 ont même sommé ce responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. En plus, des mois après : le monde a découvert que ces chiffres n’étaient même pas vrais ! Récemment, trois pays Africains ont expulsé des représentants de l’OMS parce que, selon certains de ces états, ils falsifiaient le nombre de cas en les gonflant.

Les gens qui sont derrière le confinement, la psychose et la terreur mondiales, lorsqu’ils voient la ruée des gens vers les magasins, les gens se disputer pour des pâtes ou du papier toilette, les distances d’1 mètre comme si c’était la peste, les gens confinés comme s’ils étaient des animaux, les rues désinfectées, les policiers frappant les citoyens qui sortent, les drones et les hélicoptères mobilisés, les gens sortant avec des attestations, le port de masque malgré la fin de l’épidémie et le fait que les gens ne soient pas malades, il n’est pas exclu qu’ils soient en train de rire de la facilité avec laquelle ils ont manipulé des pays entiers et peut être même qu’ils les traitent de moutons.

La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l’étranger ont été « isolés » !

Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. L’OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine.

QUELQUES PAYS SEULEMENT ONT REFUSÉ D’IMITER BÊTEMENT LES AUTRES, COMME LA SUÈDE OU LA BIÉLORUSSIE QUI PEUVENT ÊTRE FÉLICITÉS.

Le président d’un pays européen a eu raison de dire : «Il ne s’agit que d’une psychose plus dangereuse que le virus lui-même». Des experts de renommée internationale ont qualifié l’alerte mondiale de «disproportionnée. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit : «Il me semble que l’OMS a une très grande responsabilité en n’ayant pas su établir la priorité, en ayant continué inlassablement à répéter qu’il s’agissait d’une menace pour l’humanité» (Journal International de Médecine, 13 Juin 2020).

17. 

Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS, car ce n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu.

Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé27 d’un pays européen a répondu :

« C’est une décision de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins nécessaires ».

Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les conseille et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ; Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen :

« Un membre éminent de la commission maladies transmissibles de ce haut conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros d’ [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce haut conseil qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants… Je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts… Si un membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à la rédaction de l’avis… Or, en bas de cet avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement au règlement ».

Un ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine a déclaré :

« La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d’être les agents rémunérés de l’industrie pharmaceutique. je pense que c’est honteux »28

Ceci ne doit bien sûr pas être généralisé sur tout le monde.

18. 

Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles de confinement.

En effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS avait dit que :

  • 50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés.
  • la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés.
  • la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés29.

Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à dénoncer l’argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université30, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de 116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1.

Et aujourd’hui, c’est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu’ils ont donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en France31 ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces modélisations de :

«forme moderne des divinations».

Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur préconisait32. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement :

« Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures fantaisies ».

Le fameux slogan international : «Restez chez vous, sauvez des vies» était une affirmation tout simplement mensongère.

Au contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.

19. 

Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes :

  • Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers33. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin.
  • C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace.
  • Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation34 et certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux, sans comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à l’avenir.
  • Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants34 :
    en 2004, l’un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d’autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.
  • Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé.
  • La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).
    Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la grippe H1N1 :

«Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow»27.

L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 :

« Quand il y a une épidémie comme le Covid, nous on voit : mortalité, quand on est médecin,… ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars… Vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des milliards »35.

Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : 

« On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale ».

Le site internet du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit :

« L’épidémie est terminée en France… En tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : il faut non seulement refuser ces vaccins [contre la Covid-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production ».

Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques :

Comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport36 rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.

Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent des citoyens !

À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé.

Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont été «choqués» par cet accord.

Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) :

Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la narcolepsie.

La narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable où les patients s’endorment de façon incontrôlable, ils subissent des accès brusques de sommeil de quelques minutes qui surviennent n’importe où et n’importe quand dans la journée (somnolence diurne) et ils sont victimes aussi de crises impressionnantes de cataplexie (brusque relâchement du tonus musculaire engendré par une émotion forte comme un éclat de rire, de colère ou de surprise. Cela peut provoquer une faiblesse au niveau des genoux, une impossibilité à articuler ou parfois même une chute pendant quelques secondes). Elle endommage la fonction mentale et la mémoire et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales.

Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times: 

« Il n’y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments ».

Parmi les enfants victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti- narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l’aider à rester éveillé pendant la journée à l’école. 

« Si vous le faites rire, il s’effondre. Sa mémoire est abattue. Il n’y a pas de remède. Il dit qu’il souhaite qu’il ne soit pas né. Je me sens incroyablement coupable de l’avoir fait vacciner »,

a déclaré sa mère38

Les familles ont subi un calvaire qui a duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les états38,39 qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen !

Le scandale du vaccin mortel contre la dengue dans un pays asiatique40, en 2018 :

Selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades. Certains ont besoin d’opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La plupart des familles n’en ont pas les moyens. Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables.

Le docteur Erwin Erfe, qui travaillait pour le bureau du procureur, pratiquait des autopsies d’enfants deux à trois par semaine avec toujours les mêmes résultats : « Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons…et des organes enflés ». Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire ; en 2015, le laboratoire confirmait en grande pompe la mise sur le marché d’un vaccin révolutionnaire contre la dengue. C’était une première mondiale, le produit de vingt ans de recherche et 1,5 milliard d’euros d’investissements. Pourtant dès le début, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique :

Le docteur Antonio Dans a tenté d’alerter sur les résultats non concluants des premiers essais cliniques. Aux Etats-Unis, le Professeur Scott Halstead, un spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui s’inquiétait, a même envoyé une vidéo diffusée au Sénat du pays en question pour l’exhorter à suspendre le programme de vaccination. L’ancienne ministre de la Santé du pays en question a été inculpée dans ce scandale.

« C’est l’appât du gain, qui a tué ces enfants »,

estime la procureure Persida Acosta.

20. 

Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour :

Une adolescente s’est suicidée en Grande Bretagne parce que le confinement pour elle durait 300 ans41, une femme enceinte a souffert le martyre lors de son accouchement en France42, un adolescent aux États-Unis nécessitera une intervention chirurgicale après avoir été agressé par un couple à qui il a demandé de porter le masque.

Une infirmière a également été agressée en France et un chauffeur de bus est même mort à cause aussi de ces mesures illégales du port obligatoire de masques, 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays43, des entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits – touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis44, etc. Même les oiseaux souffrent de ces mesures dangereuses et se retrouvent piégés et tués à cause des masques :

« Le pauvre animal trébuchait et tombait sans cesse. Les élastiques du masque s’étaient resserrés autour de ses pattes, dont les articulations étaient gonflées et le faisaient souffrir… J’ai bien peur que ce goéland soit la première d’une longue série de victimes »,

ont déclaré des employés de la société royale pour la prévention de la cruauté animale, à la BBC le 20 Juillet et l’oiseau a subi ce supplice pendant une semaine ! Il faut préciser aussi que la cause initiale et première du drame de George Floyd est le confinement : s’il n’y avait pas de confinement, il n’aurait pas perdu son emploi, il aurait été le 25 Mai à son travail, il n’aurait pas été assassiné, les pillages de magasins et les incendies comme les affrontements avec la police ne se seraient jamais produits, le chaos aux Etats-Unis aurait été évité et George Floyd serait aujourd’hui encore vivant parmi nous.

21. 

Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. 

Le professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la normale n’est pas fondée, selon l’Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?»45.

Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect»

Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou».

Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du confinement :

« mesures grotesques, absurdes et très dangereuses… un impact horrible sur l’économie mondiale… auto- destruction et suicide collectif… ».

Une enquête internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables doivent être jugés.

22. 

Nous disons aux citoyens :

pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et documentées.

23. 

Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT.

Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller !

Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales « made in China » seront imposées. Vous devez REFUSER ça.

Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

Le Docteur Anders Tegnell a dit :

« Le monde est devenu fou» en mettant en place les confinements qui «vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus ».

24. 

Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif :

United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :

prénom, nom, profession et pays à :

join.unitedhealthprofessionals@gmail.com

La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ».

ALBERT EINSTEIN

SIGNATAIRES :

Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, AustriaGhislaine Gigot, general practitioner, France
François Pesty, pharmacist, France
Catherine Raulin, general practitioner, France
Laurent Hervieux, general practitioner, France
Geneviève Magnan, nurse, France
Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg
Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium
Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile
Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France
Daniele Joulin, general practitioner, France
Mohamed Zelmat, clinical biologist, France
Nadine Blondel, nurse, France
Hélène Banoun, clinical biologist, France
Estelle Ammar, speech therapist, France
Caroline Durieu, general practitioner, Belgium
Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland
Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America
Fabien Quedeville, general practitioner, France
Michel Angles, general practitioner, France
Dominique Carpentier, general practitioner, France
Christophe Cornil, plastic surgeon, France
Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium
Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America
Tasha Clyde, nurse, United States of America
Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany
Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician, Belgium
Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France
Karim Boudjedir, hematologist, France
Caroline Heisch, osteopath, France
Eric Blin, physiotherapist, France
Vincent Schmutz, dental surgeon, France
Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa
Virginie Merlin, nurse, Belgium
Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium
Marie-José Eck, general practitioner, France
Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France
Christine Villeneuve, psychotherapist, France
Philippe Voche, plastic surgeon, France
Gérard Bossu, osteopath, France
Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America Richard Amerling, nephrologist, United States of America
Phil Thomas, general practitioner, South Africa
Manfred Horst, allergologist and immunologist, France
Sybille Burtin, public health physician, France
Chantal Berge, nurse, France
Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium
Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon
Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium
Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic
Cerise Gaugain, midwife, France
Delphine Balique, midwife, France
Marion Campo, midwife, France
Olivier Chailley, cardiologist, France
Johan Sérot, physiotherapist, France
Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium
Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak
Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America
Pascal Leblond, nurse, France
Sybille Morel, nurse, France
Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France
Graziella Mercy, nurse, France
Pierre Maugeais, general practitioner, France
Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico
Martin Boucher, nurse, Canada
Evelyne Nicolle, pharmacist, France
Agnès Dupond, general practitioner, France Azad Mitha, general practitioner, France Ines Heller, physiotherapist, France
Marie Laravine, nurse, France
Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America Mary Baty, dental hygienist, United States of America
Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru
Professor Christophe de Brouwer, public health physician, Belgium Corinne Dodelin-Bricout, pediatrician, France
Jana Schwiek, pharmacist, Germany
Thierry Gourvénec, pédopsychiatrist, France
Stefan Landshamer, pharmacist, Germany
Christine Schirmann, physiotherapist, France
Jean Pierre Garcia, general practitioner, France
Thomas Haase, pharmacist, Germany
Louis Fouché, anesthesiologist and intensive care physician, France Michael Knoch, physician, Germany
Claire Charton Promeyrat, nurse, France
Paul-Conrad Delaëre, physiotherapist, France
Manon Dannenmuller, physioterapist, France
Catherine Solignac-Fernström, immunoallergist, France Cécile Andri, physician, Belgium
Perrine Terrasse, physiotherapist and nutritionist, France Maria Ojeda, physiotherapist, France
Cornelia Schielein, pharmacist, Germany
Felix Schielein, pharmacist, Germany
Christine Dubois, nurse, France
Angelique Huet, nursing assistive personnel, France
Noémie Marguet, general practitioner, France
Michel Charluet, physiotherapist and osteopath, France Hind Mahmoudi, nurse, Switzerland
Isabelle Riou, nurse, France
Jean-François Bertholon, physiologist, France
Clotilde Branly, midwife, France
Isabelle Ducros, nurse, France
Caroline Viane, allergist, France
Edouard Descat, radiologist, France
Matthias Pietzner, pharmacist, Germany
Catherine Salvi-Defrasne, general practitioner, Switzerland Brigitte Debourg, nurse, France
Amandine Thomasset, psychiatrist, France
Nathalie Garcia-Bonnet, general practitioner, France Christiane Conte Guiraud, endocrinologist, France
Martine Matthey, nurse, France
Daniela Engel, general practitioner, France
Florent Collonge, physiotherapist, France
Hélène Feuvrier-Romand, general practitioner, France Olivier Catry, physiotherapist, Luxembourg
Elena Andrei, general practitioner, Romania
Dorothée Bordier, pharmacist, Switzerland
Sophie Biénabe, emergency medicine physician, France Francesco Martini, digestive surgeon, France
Bruno Valois, general practitioner, France
Florence Jonville, nurse, France
Céline Deladreue, pharmacist, France
Laura Meyer, physiotherapist, Belgium
François-Xavier Clément, anesthesiologist, Switzerland Leandro Patterson Silva, general practitioner, Cuba
Pierre Gautron, nurse, France
Corinne Daurat, nurse, France
Emmanuel Agyemang, nurse, France
Jean-Philippe Wispelaere, nurse, France
Marc Keucker, legal medicine specialist, France
Marta Barreda González, general practitioner and public health specialist, Spain Carmela Scuncio, nursing assistive personnel, Switzerland
Didier Mariéthoz, nutritionnist, Switzerland
Murielle François, pediatrician and endocrinologist, France
Alain Roguet, dental surgeon, France
Christine Albanel, dental surgeon, France
Delphine Rive, general practitioner, France
Jérôme Le Bihan, general practitioner, France

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Manifeste pour un nouveau monde

Par Joseph Stroberg

Table des matières

Introduction

Alors que la Balance, avec notamment ses idées de justice, de justesse, d’harmonie, d’équilibre et d’équité, devrait symboliser et caractériser une bonne partie des systèmes d’organisations et de gouvernements humains, dans les faits, l’Humanité a presque toujours dû subir les pires aspects du symbole opposé, le Bélier(([1] Ces deux symboles astrologiques sont utilisés comme commodité pour tirer parti de leur pouvoir analogique.)). Ainsi, même sous couvert de démocratie, les peuples ont trop souvent dû endurer la tyrannie d’individus ou de groupes avides de pouvoir et de contrôle sur les autres et sur les situations. Les « chefs » de tous ordres, par autoproclamation, par ruse, par la force ou par tout moyen plus ou moins coercitif, violent ou malhonnête, se sont généralement levés pour écraser la masse de ceux qu’ils devraient au contraire servir. Leur profil psychologique a souvent relevé de psychopathie. Celle-ci était parfois extrême. Ils pouvaient alors tuer en série sans éprouver le moindre remords.

Alors que l’Humanité se rapproche davantage de la maturité après ses crises d’adolescence marquées notamment par les deux guerres mondiales et par la prétendue guerre au terrorisme, il serait temps de vivre la société sur des bases plus responsables, plus volontaires, plus créatrices, plus constructives… en bref plus adultes. Il serait donc temps d’envisager l’organisation et la vie sociales sous l’angle d’une réelle liberté telle que l’individu responsable et de bonne volonté peut y prétendre. Si un enfant peut encore devoir s’en remettre à l’autorité parentale ou tutélaire tant qu’il n’est pas capable d’assumer lui-même toutes les fonctions et tous les choix pouvant incomber à un être humain mature, un adulte responsable a-t-il encore besoin d’un gouvernement ou de toute autre forme de parent social pour vivre et s’épanouir individuellement et collectivement? La réponse qui sera développée ici est : non! Non, il n’a plus besoin de père ni de mère pour lui dicter quoi faire et ne pas faire. Il est assez grand pour décider en toute conscience de travailler ou de créer seul ou en collaboration dans le cadre de son projet de vie et de ses subsidiaires. Il est assez responsable et mature pour pouvoir s’associer au besoin dans le cas où ses objectifs rejoindraient temporairement ceux d’autres individus, ceci tout le temps nécessaire jusqu’à leur réalisation finale. Il est assez lucide pour pouvoir décider d’éventuelles personnes pouvant le représenter lorsqu’il ne peut assumer lui-même certaines tâches, ceci tant et aussi longtemps qu’il le souhaite.

La planète dispose encore de suffisamment de ressources pour que tous les individus et peuples puissent mener à terme leurs créations et leurs productions de biens et de services. Cependant, il sera nécessaire d’envisager sérieusement, puis de concrétiser, un partage de toutes les ressources planétaires, ou au moins un libre accès à ces dernières en fonction de l’importance des projets. Il sera également nécessaire de ne plus faire dépendre la concrétisation ni la réussite d’un projet de considérations financières. Et pour cela, le système économique lui-même devra être profondément réformé et ne plus dépendre de l’avidité d’une minorité d’individus thésaurisateurs ou contrôlants. Le pouvoir devra sortir des mains des élites actuelles pour passer dans celles de la grande masse des individus responsables. Seul un homme souverain est en mesure d’utiliser son plein potentiel et d’en faire bénéficier autrui librement.

Liberté, responsabilité, partage et bonne volonté seront parmi les notions les plus importantes présidant à la construction d’une nouvelle société, plus humaine, plus juste et plus sereine. Le respect des autres, de la vie en général et des lois naturelles, condition indispensable à l’établissement de relations saines, sera largement encouragé, stimulé et enseigné pour que toutes les générations, toutes les ethnies et toutes les cultures et traditions puissent vivre en harmonie suffisante et qu’enfin les guerres disparaissent de la surface de la Terre.

Un monde en Balance

Dans un monde dynamique comme celui de la Terre et de son humanité, l’équilibre ne peut être synonyme de fixité ni de rigidité. Le cycliste maîtrise son véhicule et son mouvement par la souplesse, la réactivité, les réflexes, l’adaptabilité… Tout groupe, système ou organisme humain gagne à éviter des lois et règlements trop rigides de même que toute tendance coercitive ou abusivement contraignante s’il veut durer dans une paix et une harmonie suffisantes. Un étau peut assurément maintenir un cycle en position verticale, mais tout aussi sûrement, il l’empêche d’avancer. Un groupe abusivement contrôlé n’aura guère d’autre choix que la révolte ou l’éclatement s’il veut retrouver une liberté de mouvement et pouvoir évoluer selon son souhait.

La Balance ne trouve sa pleine expression, l’entière manifestation de son symbole, que dans une perspective dynamique synonyme de liberté de mouvement et de choix. L’équilibre d’un couple ne vient pas de l’égalité de ses membres, encore moins de l’identité entre l’homme et la femme, mais d’un échange perpétuel d’énergies entre les deux, d’une libre circulation d’amour, de pensées, de sentiments, de sensations et d’actions allant de l’un à l’autre, puis de l’autre à l’un. La fluidité et la souplesse des individualités, leur accueil de la différence représentée par l’autre, leur respect pour la vie sous toutes ses formes… contribuent à l’équilibre et l’harmonisation des échanges de toutes natures au sein du groupe qu’elles constituent, ceci depuis le couple jusqu’à la nation et même à l’Humanité dans son ensemble.

Les êtres sont tous fondamentalement différents, et même deux clones physiques ne seraient pas habités par la même conscience. Dans les faits, il n’y a ni égalité physique (sachant que certains naissent aveugles, d’autres déficients intellectuels, d’autres atteints d’une maladie génétique pour l’instant incurable… alors que d’autres naissent dans un corps presque parfait, en excellente santé et avec une intelligence qui relève du génie), ni d’égalité de conditions (sachant que certains naissent dans des lieux ou des familles disposant de très peu de moyens physiques, affectifs, intellectuels, culturels ou encore spirituels… pendant que d’autres sont très bien lotis dans les mêmes secteurs). En conséquence, si la Balance peut signifier « égalité », ce n’est pas à un niveau aussi formel qu’il faut la chercher ou la revendiquer.

L’égalité à laquelle doit légitimement pouvoir prétendre n’importe quel individu est celle de « traitement », c’est-à-dire de quelle manière on va le traiter, le soigner, l’aider ou encore le considérer par rapport aux autres. À ce niveau, il peut revendiquer l’égalité. Qu’il soit de telle ethnie, de telle culture, de telle tradition ou confession religieuse, de tel milieu social, de telle intelligence… plutôt que tels autres ne doit rien changer aux rapports que l’on entretient avec lui, à ce dont les autres peuvent lui faire bénéficier, à la manière dont justice peut lui être rendue, etc. Sans une telle égalité de traitement, il n’y a ni équité, ni justice, ni harmonie possibles. En conséquence, les individus devront apprendre à faire fi de leurs différences apparentes pour chercher à se rapprocher sur le plan de la conscience et ainsi améliorer les rapports humains pour le bien de tous et de la planète.

Par-dessus tout, les êtres humains gagneront à apprendre à ne plus chercher à imposer leur propre vision des choses en tant que prétendus détenteurs de la Vérité. Si une telle vérité absolue existe et si éventuellement certains êtres peuvent percevoir certaines de ses facettes, tout individu dispose du droit légitime et naturel de ne pas voir ou de ne pas accepter cette vérité ou certaines de ses facettes, autrement dit, il a le droit à l’erreur. En conséquence, personne ne devrait chercher à imposer ses vues à autrui. Au contraire, les êtres gagnent à partager idées et points de vue. L’enrichissement mutuel provient du partage librement effectué et librement reçu.

Si un groupe veut se donner des règles, coutumes, traditions ou autres éléments pouvant traduire une certaine idée qu’il se fait de la vérité, ses membres peuvent être libres de les accepter (et restent alors intégrés à ce groupe) ou bien de les discuter, remettre en question ou refuser (et dans ce dernier cas peuvent librement quitter le groupe si celui-ci n’admet aucune dérogation). Un groupe s’enrichit et évolue d’autant plus qu’il est prêt à remettre en question règles ou fondements, ceci sous la pression d’événements extérieurs comme sous l’impulsion de certains de ses membres.

Un monde en Balance repose sur le respect, l’acceptation, l’accueil intégral de toutes ses composantes, représentants du règne humain aussi bien que des animaux, végétaux et minéraux. Ainsi notamment, une utilisation juste et judicieuse des ressources minérales présente autant d’importance et de nécessité que la justice et l’équité au sein des relations humaines.

Parmi les plus grandes significations de la Balance se trouvent les idées conjointes de justice et de justesse. Et cette dernière notion recouvre d’ailleurs aussi celles de vérité et d’authenticité. Ce qui est juste pour l’un est ce qui convient non seulement à l’individu concerné, mais aussi à l’ensemble du groupe dont il fait partie, et même à l’ensemble de l’Humanité. La justice qui lèse un être pour rendre justice à un autre n’est pas réellement juste. La sagesse permet de trouver un moyen de rendre justice sans léser personne. Au besoin, une telle sagesse est le fruit du partage des expériences et réflexions de divers individus. Un degré de sagesse qui ne peut être atteint seul peut l’être par la mise en commun des ressources intellectuelles et spirituelles de plusieurs.

Un monde en Balance est aussi un monde harmonieux, sur tous les plans. Il est beau, non seulement parce que la nature est respectée, mais également parce qu’il est mis en valeur par les « jardiniers » de la Terre. Il est pacifié par la recherche prioritaire de l’entente entre les êtres et du bénéfice commun provenant notamment de l’échange et du partage.

Une humanité ne peut devenir harmonieuse et équilibrée que par la reconnaissance des psychopathes afin de les empêcher dorénavant de nuire aux autres, à la société, à la planète et en fait aussi à eux-mêmes en tant que consciences. Une telle action relève de la responsabilité de tous ainsi que de tout éventuel dispositif éducatif mis en place. La psychopathie et la sociopathie peuvent être considérées comme des maladies psychologiques et, comme toute maladie, il faut en rechercher les causes, même lointaines, pour ensuite s’efforcer d’y remédier au mieux. Une guérison définitive ne peut provenir de l’élimination des symptômes, mais des causes, ainsi que d’un rééquilibrage de l’être après les dysharmonies et déséquilibres divers induits par sa maladie.

La psychopathie trouve une de ses causes fondamentales dans la coupure d’un lien avec la Conscience et dans une optique de vie fondamentalement matérialiste et égocentrique, optique découlant le plus souvent elle-même de peurs plus ou moins fondamentales, comme la peur de la mort et celle de perte de contrôle. Sa guérison devra faire appel à un processus d’accompagnement du malade l’amenant à retrouver son essence immortelle et la confiance en la vie, à accepter puis accueillir par conséquent sa vulnérabilité physique, à découvrir ou redécouvrir que son vrai et plein potentiel humain ne passe pas par l’exploitation des autres… Progressivement, le malade en phase de guérison et de réappropriation de sa véritable nature passera du service envers lui-même au service envers les autres et le monde.

L’inclination naturelle

Les êtres humains ont de manière naturelle et spontanée l’une des sept tendances suivantes dans leur interaction avec le monde formel (voir l’annexe I) :

  • Ils tendent à diriger les autres ou les processus amenant la création ou la disparition de formes d’organisations, d’échanges et de tout autre aspect ou système intervenant dans la vie collective;
  • Ils tendent à l’organisation cohérente ou au maintien de la cohésion de tout ce qui intervient dans la vie collective;
  • Ils stimulent les autres dans divers aspects de la vie collective, animent ou inspirent;
  • Ils tendent à l’harmonisation des individus, des diverses formes sociales ou de multiples aspects de la vie collective;
  • Ils recherchent, dans divers aspects de la vie, de nouvelles formes et les lois qui les régissent;
  • Ils cherchent à préserver les formes existantes et les acquis de la manière la plus idéale possible;
  • Ils cherchent à incarner les nouvelles formes découvertes ou envisagées, dans le respect des cycles naturels et de l’ordre des choses.

Dans la vie sociale et collective, ils peuvent tout naturellement jouer les rôles respectifs suivants :

  1. Direction (Tête, systèmes nerveux et cérébral);
  2. Organisation (Cœur, système circulatoire);
  3. Échanges, éducation (Poumons, Système respiratoire);
  4. Conciliation, assimilation, harmonisation (Systèmes digestif et urinaire);
  5. Recherche, enquête, invention (Systèmes hormonal, glandulaire et électrique);
  6. Service (Systèmes musculaire et d’entretien(([2] La notion de Système immunitaire suppose l’existence de méchants virus et autres microorganisme, alors que la théorie des germes et sa fille la théorie virale ont été scientifiquement réfutées au profit d’une approche basée sur le terrain. Dans un nouveau paradigme de la Santé, elle sera remplacée par celle de système d’entretien, de réharmonisation, et de nettoyage.)) );
  7. Création, construction (Systèmes reproductif, osseux, articulaire et tégumentaire);

Tendance à la direction

Les individus du premier groupe gagneront à considérer leur rôle non plus en termes de contrôle ou de coercition, mais de navigation. Ce seront les pilotes des projets communs. Ils seront chargés, d’un commun accord, d’amener le vaisseau à destination, celle librement choisie par tous ceux qui s’y embarquent. Chaque pilote disposera d’un plan, d’une feuille de route ou de navigation et, connaissant l’objectif du « voyage », s’efforcera au mieux de trouver la direction la plus appropriée, évitant les obstacles, prenant d’éventuels raccourcis, toujours dans un souci du bien-être des passagers. Les passagers accordent leur confiance au navigateur et celui-ci doit s’en montrer digne. Un pilote qui n’accomplit pas sa tâche de manière suffisamment humaine, efficace et sûre peut se voir retirer temporairement ou définitivement son rôle au profit d’un autre pilote espéré plus compétent ou moins fatigué.

Les notions actuelles de chef, directeur, président ou roi… seront remplacées par celle de navigateur, dans un esprit qui ne prédisposera pas aux abus de pouvoir. Tout navigateur ou pilote de projet collectif (comme celui de vivre ensemble en harmonie suffisante dans un même village ou dans une même nation) sera choisi librement d’une manière ou d’une autre par les individus qu’il mènera vers l’objectif commun. Il pourra être reconnu tacitement par ceux-ci, du fait de qualités et capacités déjà amplement démontrées, ou élu unanimement ou majoritairement par suffrage universel direct ou représentatif, etc. selon les modalités définies par toutes les personnes concernées, d’un commun accord. En d’autres termes, aucun peuple ni groupe ne se verra plus imposer un « chef » plus ou moins irresponsable et autocratique qui n’aurait pas de comptes à lui rendre. Les divers groupements humains seront libres de se choisir des pilotes divers pour tels ou tels projets et de les révoquer à tout moment. Le pouvoir émanera désormais de la base de la pyramide. Et tout navigateur sera en définitive avant tout un serviteur des peuples et des individus.

Tendance à l’organisation, à la planification ou à la cohésion

Les individus de ce second groupe montrent des prédispositions à l’organisation cohérente et inclusive des systèmes et des groupes. Ils s’efforcent d’en favoriser et d’en maintenir la cohésion. Ils établissent et entretiennent les voies concrètes et subtiles de communication entre les différentes parties d’un système ou d’un groupe. Si les navigateurs suivent les plans, eux les produisent ou peuvent servir de copilotes (les premiers décident du voyage ou de sa destination et les seconds établissent la feuille de route). Lorsqu’ils démontrent leurs qualités de cœur, ils représentent un contrepoids à l’autorité des navigateurs, un paratonnerre permettant d’éviter les abus de pouvoir grâce à la mise en avant de l’éthique. Ils sont parfaitement capables d’établir les règles de fonctionnement de tout système organisé ou social pour que celui-ci fonctionne de la manière souhaitée, du moins en théorie, car ils peuvent avoir besoin de l’appui de personnes appartenant davantage à d’autres groupes, notamment pour en peaufiner les détails relativement aux réalités concrètes et aux lois humaines, naturelles et/ou physiques. Ils savent organiser des réunions diverses entre individus ou entre groupes et peuvent également servir de ciment ou de facteur attracteur par leur charisme naturel lorsqu’il est n’est pas inhibé pour une raison ou une autre.

Les notions actuelles de ministre, gestionnaire, administrateur ou commissaire seront remplacées par celle plus générale et synthétique d’organisateur, dans un esprit d’alléger et de simplifier les divers systèmes humains et la vie sociale (comme individuelle) au lieu de chercher à mieux les contrôler, enrégimenter, catégoriser, morceler. Dans ce but, les individus de ce groupe gagneront à dépasser leurs peurs telles que celle de perte de contrôle. C’est malheureusement trop souvent la peur, particulièrement celle de la mort, qui est la cause la plus fondamentale des comportements extrêmes, aberrants ou destructeurs. Et c’est son dépassement qui permet la libération des plus belles qualités humaines. La peur transforme les capacités en défauts, alors que son dépassement réveille les qualités et le potentiel jusqu’alors endormis.

Tendance aux échanges ou à l’éducation

Les individus de ce troisième groupe montrent une inclination naturelle vers la stimulation des autres, par exemple sur le plan mental avec des idées philosophiques ou d’avant-garde, les échanges sur différents plans (commerciaux, affectifs, intellectuels)… l’éducation, l’enseignement, la transmission d’idées, l’animation de réunions ou de groupes… Ils savent trouver ce qu’il convient pour motiver les autres selon leurs centres d’intérêt que ce soit par l’argent, l’information, la connaissance, le jeu ou tout autre moyen potentiellement attracteur. Ils peuvent être ainsi les champions du marketing comme de la manipulation financière, aussi bien que des théories les plus fumeuses pourvu qu’elles aient un vif côté attrayant. Animateurs ou inspirateurs, ils ont souvent besoin de contacts et se complaisent dans les liens relationnels les plus divers, sauf dans les cas de certaines inhibitions qui peuvent les pousser au contraire à des comportements les plus misanthropes ou à de fortes tendances solitaires. Si les navigateurs sont la tête et les nerfs, et les organisateurs le cœur et le sang, eux sont les poumons et l’air dont les hommes ont besoin aussi bien pour vivre que pour se libérer de la pesanteur matérielle.

Les notions actuelles de commercial, de professeur, d’instructeur et d’animateur… seront synthétisées dans celle de motivateur pour stimuler, inspirer, favoriser non plus les préoccupations les plus matérialistes et égoïstes, mais les idées, idéaux, projets et réalisations les plus nobles, les plus libérateurs, les plus constructifs dont les individus et les peuples soient capables. En matière d’éducation et d’enseignement, l’accent sera désormais placé sur la découverte et la stimulation du potentiel individuel et collectif pour le bien-être commun.

Le motivateur, c’est à la fois le carburant dont a besoin de vaisseau pour atteindre le but de son voyage, mais aussi l’air ou le comburant sans lequel le carburant ne peut se consumer pour libérer son énergie. Dans un groupe, c’est celui qui dynamise, qui donne un élan, qui donne envie d’aller plus loin ou de se dépasser. C’est lui qui peut sans doute le mieux soutenir à la fois le pilote et le copilote ainsi même que tout l’équipage et les passagers. C’est finalement la source d’énergie du vaisseau, des projets, des groupes… et le ferment des jeunes générations qui prendront la relève.

Tendance à l’harmonisation des relations ou de l’environnement

Les personnes de ce quatrième groupe sont celles qui démontrent le plus d’intérêt, de propension et de facilité pour rendre beau et harmonieux tout ce qui les entoure, aussi bien sur le plan relationnel qu’environnemental. Si elles veulent éviter tout retard dans la matérialisation de ce qui peut effectivement contribuer à la beauté et à l’harmonie, elles gagneront à éviter tout conflit qui pourrait notamment découler d’une trop forte tendance à vouloir imposer leurs normes ou idées dans ces domaines. Elles peuvent être à l’aise en général aussi bien avec des tâches décoratives que dans l’arbitrage de conflits ou dans la recherche de solutions justes en cas de litiges. Elles sont habituellement précises, minutieuses et méthodiques et leurs éventuelles créations artistiques sont marquées par l’harmonisation des couleurs et des formes, avec une pureté des lignes toute mathématique. Elles seront recherchées pour agrémenter tout environnement aussi bien artificiel que naturel, pour améliorer aussi bien l’intérieur de maisons que l’aspect d’un paysage ou d’un jardin.

Leur rôle essentiel est celui de conciliateur entre différents individus ou groupe aussi bien qu’entre différents éléments de construction, de mobilier ou de toute autre création humaine. Elles amènent les différentes parties à collaborer, à s’entendre, à s’unir, à fonctionner en synergie… en bref, à s’harmoniser et à comprendre davantage le point de vue de l’autre dans le cas de conciliation relationnelle. Leur fonction ne doit surtout pas dériver vers l’imposition de leurs propres points de vue aux autres, mais de développer puis de mettre en œuvre leur art d’amener les autres à trouver compromis judicieux et solutions qui puissent satisfaire suffisamment toutes les parties, ou encore à leur permettre de trouver le meilleur moyen de réparer des préjudices qu’elles auraient provoqués. Les juges, notaires, avocats et autres magistrats et légistes disparaîtront au profit des conciliateurs. Les lois elles-mêmes, s’il continue à en exister certaines, ne seront plus que très générales et en nombre extrêmement réduit en comparaison des milliers de lois et règlement touchant actuellement toutes les nations et tous les secteurs de la vie.

Analogiquement, les conciliateurs sont ceux qui assurent la tenue de route du véhicule ou du vaisseau. Ils font en sorte que ce dernier arrive à destination en gardant son intégrité. Pour cela, ils contribuent à éliminer ce qui pourrait provoquer des vibrations catastrophiques, des chocs trop violents entre les diverses énergies et structures impliquées, entre les différents individus et groupes… D’un autre point de vue, ils représentent le système digestif et d’élimination des déchets. Ils assimilent ce qui peut l’être, accordant les vibrations, formes et énergies de ce qui est accueilli à l’ensemble existant et rejetant ce qui ne peut ou ne veut s’intégrer. Ils seront notamment particulièrement consultés en cas d’immigration ou de venue d’individus ou de groupes dans une région ou dans un projet existant, comme dans l’éventualité où certains d’entre eux se révéleraient réfractaires à toute intégration et pourraient nécessiter un bannissement ou une exclusion. Leur rôle sera sans doute un des plus difficiles et ils devront démontrer un grand recul face aux situations qu’ils seront amenés à gérer.

Tendance à la recherche, à l’étude, à l’enquête ou à l’exploration

Les personnes de ce cinquième groupe démontrent une tendance naturelle à la recherche, l’interrogation, l’étude, l’investigation ou l’exploration d’un ordre ou d’un autre. Elles fonctionnent de manière dominante sur le plan mental, même si leurs idées ou réflexions peuvent se concrétiser en inventions ou en découvertes (historiques, géographiques, scientifiques)… Elles sont généralement attirées par divers domaines scientifiques (y compris la criminologie), par le journalisme d’enquête ou encore par les grands voyages exploratoires (y compris l’exploration intérieure). Pour éviter cristallisation mentale et enfermement dans des raisonnements improductifs, elles gagnent à écouter leur intuition supérieure en synergie avec le mental, à laisser libre cours à leur créativité et leur imagination, à s’ouvrir l’esprit à tous les possibles…

Les différentes disciplines scientifiques actuelles pourront se fondre avantageusement dans la notion de découvreur. Si les personnes fonctionnant davantage dans ce groupe passent beaucoup de temps à chercher, étudier, enquêter ou explorer, ce qui les motive est ce qu’elles pourront découvrir au bout du compte, même si cela doit leur prendre toute la vie. Elles ont une plus grande facilité que d’autres à trouver des solutions à divers types de problèmes et de questions. Elles sont inventives et astucieuses. Elles peuvent mettre toutes leurs ressources et leur grande concentration au service de la recherche d’une solution à un problème donné ou d’une théorie explicative d’un phénomène.

Les découvreurs et tout ce que cela implique ici sont comparables au système hormonal. Les hormones sont produites pour apporter une solution à une situation donnée, par exemple pour favoriser la croissance du corps lorsque c’est nécessaire ou encore pour réguler la glycémie ou la température du corps. La réponse hormonale est fonction de la question corporelle ou du déséquilibre à régler. Les découvreurs peuvent également être en analogie avec le système électrique (connu plus traditionnellement comme le système des méridiens d’acupuncture) marquant une différence de résistance électrique de la peau en des points particuliers en rapport avec l’état d’un organe donné. En effet, par différents moyens, les découvreurs peuvent établir des diagnostics sur un système ou sur un organisme donné, notamment par des stimuli-réponses. Les découvreurs sont aussi comparables aux ingénieurs chargés de fabriquer par exemple le meilleur moteur pour le vaisseau ou de concevoir la meilleure coque (forme et matière comprises).

Tendance à la préservation, à la conservation ou au service

Les individus de ce sixième groupe sont les plus tournés vers la préservation de tout ce qui peut constituer leur environnement concret comme plus subtil. Ils protègent donc aussi bien leur famille que leur nation, leur territoire, leur maison, leur jardin, leur véhicule, leur corps, leur réputation, leurs valeurs, leurs croyances… et ceci du mieux qu’ils peuvent, de la manière la plus idéale possible à leurs yeux. Ils sont marqués par l’idéalisme en général et un certain esprit perfectionniste, cherchant les meilleurs moyens pour conserver, faire durer, entretenir, maintenir, soigner… Parmi les sept groupes, ce sont ceux qui sont naturellement les plus enclins à se dévouer corps et âme aux autres, aux organisations et aux systèmes dans le but notamment de maintenir les liens, les équilibres, les structures et les mécanismes.

Les notions de soldat, de policier, de pompier, de secouriste, de fonctionnaire… disparaîtront ou seront absorbées dans celle plus générale de veilleur. Les individus de ce groupe veilleront particulièrement à ce que toutes les formes existantes de relations humaines et de systèmes divers (philosophiques, éducatifs, religieux, sociaux, économiques)… reconnus soient maintenues en bon état, voire perfectionnées. Ils gagneront pour cela à éviter toute tendance extrémiste ou fanatique qui serait grandement préjudiciable à la poursuite de leur rôle et à l’atteinte des objectifs auxquels ils apportent leur dévotion. Leur plus grand défi sera probablement celui de savoir garder le sens de la mesure et une modération suffisante à leur dévouement pour leur tâche ou pour une cause.

Les veilleurs représentent les mécaniciens du vaisseau dans lequel l’humanité est embarquée. Ils contribuent à la réparation des pannes et dysfonctionnements, à la lubrification des rouages, à la réparation ou au soin des éléments défectueux, à l’adjonction de protections (peinture, antirouille, vernis, blindage…). Ils représentent aussi les muscles du corps, en tant que force et ardeur au travail, et le système immunitaire, dans leur capacité à protéger et à défendre. Ce sont les agents ouvriers dévoués et indispensables à la bonne marche de toute entreprise, quelle qu’en soit l’ampleur. Même le pilote ne peut rien faire sans un vaisseau en état de marche.

Tendance à la construction, à la création ou à l’ordre

Les personnes de ce septième et dernier groupe sont les plus sujettes à se préoccuper de la matérialisation des projets, de toute forme de création et même de procréation, de toute naissance… ceci en respectant au mieux l’ordre des choses et les lois naturelles tels qu’ils peuvent en avoir une connaissance instinctive ou innée. Ils cherchent à faire correspondre les mondes symboliques et archétypaux avec la forme la plus matérielle, à établir un lien entre le haut et le bas, entre le divin ou le « magique » et l’humain. Ils ont une plus grande tendance que les autres à suivre des rythmes de tâches ou de travail, à s’adonner à des rituels quotidiens ou mensuels, à calquer leurs créations sur le déroulement des saisons… Dans un groupe, ils savent spontanément qui devrait occuper telle place et effectuer telle fonction. Ils ont généralement un attrait plus marqué pour les ballets, les cérémonies et les rites de quelque domaine que ce soit. Ils représentent la structure et l’ordre, le vaisseau lui-même. Ce sont les agents de la matérialisation des projets, les maîtres d’œuvre, les maçons, les charpentiers, les artisans en général… et même les dessinateurs et autres techniciens. Si les membres humains du quatrième groupe se trouvent en affinité naturelle avec la beauté et l’harmonie, eux le sont avec l’ordre, l’agencement et l’articulation des choses. Ils connaissent ou établissent les liens entre les divers éléments d’un système, les rapports qui existent entre les choses, les correspondances, les analogies…

Les individus de ce groupe gagneront à éviter l’extrême tendance de la maniaquerie et des manies obsédantes qui finissent toujours par les emprisonner ou les hypnotiser ainsi que par provoquer des tendances au rejet de la part des autres plus ou moins assommés par la répétition implacable de ces manies ou de ces rites quasi permanents. À la base et en essence, un individu de ce groupe est un constructeur et ne devrait nullement adopter un comportement favorisant au contraire la destruction. Parfois, celle-ci peut s’avérer nécessaire ou la meilleure solution, par exemple lorsqu’une vieille bâtisse menace de s’écrouler. Cependant, elle doit être mûrement réfléchie et se faire dans un but au final constructeur (pour construire une maison neuve).

Par analogie, les constructeurs sont à la fois le système reproductif (créateur de nouvelles entités humaines ou plus exactement des véhicules amenant leur incarnation) et les systèmes assurant la structure du corps (os, peau, cheveux, articulations)… Ils représentent le vaisseau qui permet la manifestation, la concrétisation de l’objectif du voyage. Ils sont ou créent les véhicules d’incarnation des projets, ceci dans le respect des rythmes et des lois de l’Homme comme de la nature.

[Précision : les dénominations des sept groupes en termes de navigateurs, organisateurs, motivateurs, conciliateurs, découvreurs, veilleurs et constructeur représentent essentiellement un résumé de leurs caractéristiques, un peu de la même manière que l’on parlait de la noblesse, du clergé, des marchands et des serfs pour discerner dans le passé quatre grandes tendances fonctionnelles ou organisationnelles disposées alors de manière pyramidale, sachant que les sept groupes gagnent à collaborer horizontalement. Voir aussi Changer le Système ?]

Collaboration entre les tendances

Les sept différents groupes représentés par les tendances naturelles correspondantes gagnent à collaborer en sachant que leur synergie est bénéfique à tous, alors que les dissensions, la compétition, les conflits, les abus de la part des uns ou des autres… sont largement préjudiciables non seulement à ceux qui les subissent directement, mais aussi au final et par retour du bâton à ceux qui les engendrent ou les stimulent. Si certains groupes présentent des affinités plus évidentes dans la réalisation de certaines tâches ou de certains objectifs communs, tous peuvent intervenir pour parvenir plus rapidement et plus efficacement au résultat projeté.

Il existe deux lignes principales d’affinités et d’énergies entre les sept groupes. La ligne que l’on pourrait qualifier d’active ou créatrice est la suivante :

  • 1)- le navigateur décide par exemple d’un projet ou d’une direction au sein du projet;
  • 3)- le motivateur stimule pour la réalisation projetée;
  • 5)- le découvreur envisage et trouve comment réaliser le projet;
  • 7)- et finalement, le constructeur concrétise le projet.

La ligne passive ou conservatrice est constituée des groupes restants

  • 2)- l’organisateur assure la cohésion du projet et de ses participants;
  • 4)- le conciliateur harmonise les éléments relatifs au projet et ses participants;
  • 6)- et le veilleur veille à la bonne marche du projet, à sa sécurité, aux soins des participants…

Les tendances dominantes peuvent être respectivement schématisées ainsi :

  • Décision — Inspiration — Invention — Manifestation
  • et Cohésion — Harmonisation — Préservation

Les moyens ou outils utilisés sont alors :

  • Force (ou Impulsion) — Adaptation — Mental — Incarnation (ou Liaison)
  • et Conscience — Vibration — Idéalisme

Et les principes ou énergies de base correspondants sont :

  • Volonté — Intelligence — Connaissance — Ordre
  • et Amour — Harmonie — Dévotion

Pour la réalisation équilibrée, les deux lignes gagnent à coopérer. Si l’impulsion fournie par un navigateur, l’expression de sa volonté, ou encore sa décision est abusivement autoritaire ou égocentrée et ne laisse notamment pas une place suffisante à la conscience, l’amour et l’éthique, les conflits ou les souffrances engendrées amèneront au moins des effets collatéraux destructeurs ou nocifs, au point éventuellement d’interrompre prématurément le projet ou de le concrétiser dans une direction qui n’avait pas du tout été souhaitée au départ.

En dehors des deux lignes majeures précédemment évoquées, il existe d’autres affinités particulières entre les différents groupes. Voici quelques exemples :

  • La Connaissance déployée et nécessaire au niveau du cinquième groupe est transmutée en Sagesse au niveau du second par l’intervention de l’éthique, de la conscience, du respect et de l’intuition. Au contraire, la science sans conscience ni éthique n’amène le plus souvent que des inventions destructrices ou asservissantes et favorise la guerre plutôt que la paix.
  • La beauté recherchée par le quatrième groupe est plus sûrement manifestée grâce à une collaboration directe avec le septième. Dans le cas contraire, on a des situations telles que la construction d’une très belle maison en elle-même, mais dans un village de style très différent qui la rend finalement disgracieuse par rapport aux autres. Ou encore, un peintre a beaucoup de belles couleurs dans sa tête, mais ne parvient pas à les étendre adéquatement sur une toile, par manque de sens pratique ou de technique.
  • L’inventivité du cinquième groupe a besoin des aptitudes et du réalisme du septième pour produire des inventions concrètes qui soient réellement utiles à l’époque et au lieu considéré.
  • La cohésion recherchée par le second groupe est plus sûrement atteinte grâce au dévouement d’individus du sixième, largement prédisposés à la préservation des formes et systèmes existants ou au maintien des conditions permettant de faire aboutir un projet.
  • Sans le sens de l’ordre du septième groupe, l’organisation du second peut rester lettre morte.

En raison de sa complexité, un être humain peut avoir des tendances et affinités relatives à plusieurs des sept groupes, voire à tous dans certains cas, à des degrés divers. Cependant, il a généralement une tendance principale nettement dominante par rapport aux autres. Il ne sera pas aussi habile avec les tendances, aptitudes et qualités des autres groupes. Ce qu’il ne peut faire facilement seul peut par contre être grandement facilité par l’aide et l’intervention de personnes des autres groupes (au moins une personne de chacun d’eux) pour les situations les plus complexes qui font intervenir un grand nombre de paramètres.

De même que les organes fondamentaux du corps sont indispensables à sa vie et sa bonne marche, les sept groupes sont indispensables à la vie et à la bonne marche de l’Humanité. Tous les types d’individus ont donc leur importance et gagnent non seulement à se respecter, mais aussi à collaborer le plus étroitement. La santé de la planète dépend dans une large mesure de la nature des relations humaines.

Une humanité adulte

Par analogie avec l’âge adulte d’un être humain et la maturité censée le caractériser alors, une société adulte repose sur des principes bien différents de celle encore adolescente ayant marqué notamment le vingtième siècle et le début du vingt et unième. On peut légitimement attendre d’une civilisation enfin adulte qu’elle connaisse et applique les différents principes de fonctionnement suivants :

Principes fondateurs

  • Les peuples, groupes et individus sont souverains.
  • La liberté des uns s’arrête là où celle des autres commence.
  • La paix, l’ordre naturel et l’harmonie du monde découlent notamment de :

    • la bonne volonté;
    • l’utilisation intelligente des connaissances;
    • le partage équitable ou la libre disposition des ressources et techniques;
    • l’orientation vers le service et l’entraide;
    • le sens des responsabilités;
    • l’expression de la compassion.

  • L’épanouissement individuel est autant utile au groupe que la cohésion du groupe est utile à l’individu.
  • Toute action constructive et optimale découle d’une juste utilisation de l’énergie, conforme à la Loi d’économie : la nature suit toujours la ligne de moindre résistance.
  • Les échanges de services et de biens entre individus et/ou groupes peuvent se faire sans recours à une quelconque forme d’argent ou de monnaie s’ils s’accordent dans ce sens.
  • Une loi humaine ne peut être juste que si elle a une application universelle, sans aucune exception. Les êtres humains qui participent à la création, l’application et le respect d’une loi y sont également assujettis. Dans une société humaine juste, il ne peut y avoir ni privilèges ni dérogations. Pour qu’une loi puisse être applicable aussi bien à tous les types de personnes et à tous les âges, elle doit être suffisamment simple et générale, comme les énoncés suivants :

    • ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas subir toi-même;
    • on reçoit d’autrui en fonction de ce que l’on donne;

  • La maturité humaine n’attend pas nécessairement le nombre des années, mais se caractérise par la capacité à assumer soi-même ses propres choix, actes, propos et idées… Elle ne peut être basée sur des critères raciaux, intellectuels, affectifs, organiques, ni physiques. Une personne limitée physiquement ou sensoriellement, par exemple, peut très bien démontrer un caractère « adulte » avant d’avoir atteint son plein développement physique, voire dans certains cas avant même son adolescence.
  • Si un individu se définit et conçoit lui-même comme étant « adulte » ou mature, tout groupe qui l’inclut doit au moins lui laisser la chance de le démontrer ou, mieux, doit le considérer comme tel tant que son comportement ne vient pas le contredire de manière flagrante ou chronique.
  • Tout individu « adulte » a le droit de ne pas reconnaître un groupe ou un individu se prévalant de le gouverner (ou d’administrer certains aspects de sa vie ou certains de ses biens) et de ne pas en suivre les directives et les lois. La reconnaissance et l’acceptation de gouvernements, d’administrations, d’organisations et de lois doivent se faire sur une base volontaire. C’est l’individu adulte qui choisit librement les éventuelles personnes qu’il charge de gérer certains aspects de sa vie sociale et collective.
  • Si une collectivité est suffisamment mûre pour se passer de gouvernements, rien ne l’oblige à se choisir un chef pour la diriger, sachant que l’organisation collective peut se faire sur la base de réseaux et de mise en commun de ressources lorsque la majorité des individus manifeste de la bonne volonté.

Liberté et sens des responsabilités

L’une des caractéristiques et qualités majeures d’un être humain adulte est le sens des responsabilités, la capacité à assumer ses propres responsabilités sans rejeter cela sur autrui. Cela sous-entend entre autres l’engagement, l’implication réelle dans les projets dont on fait partie, l’acceptation entière de son propre rôle dans un projet, un groupe ou la société en général.

La responsabilité que l’on assume ne peut par ailleurs pas être finalisée ni même réellement effective si elle ne s’accompagne pas d’un sens suffisant de l’éthique. Quelqu’un ayant peu d’éthique n’assume généralement que les fonctions et tâches pour lesquelles il a quelque chose à gagner et il ne le fait que partiellement, que dans la mesure où cela concerne sa réputation ou l’affecte d’une manière ou d’une autre. Un individu dénué d’éthique se fiche complètement des conséquences de ses actes et paroles quand ceux-ci n’ont a priori aucun impact probable sur lui-même, sa réputation et sa vie, ou encore lorsqu’il croit contrôler suffisamment ceux qui par exemple pourraient nuire à sa réputation s’ils venaient à révéler ce qu’il a réellement fait et dit. Il est souvent prêt à tout pour améliorer les conditions matérielles de sa vie et pense qu’il peut maîtriser son destin s’il a suffisamment de moyens matériels pour éviter les impondérables. Par contre, il ne se préoccupe nullement de la manière dont il peut affecter la vie des autres. Il se croit libre parce qu’il a simultanément la capacité de bousculer la destinée d’autrui et celle de préserver la sienne, ceci en usant de son argent ou de son pouvoir. Cependant, il est prisonnier de la matière, de sa vision matérialiste des êtres humains et de la vie, de sa peur de manquer ou de perdre le contrôle sur sa propre vie… Sa prison n’est peut-être pas matérielle, même si certaines de ses « victimes » pourraient le réclamer, mais elle est psychique.

Un être humain qui ne manifeste pas d’éthique lorsqu’il assume ses responsabilités ou prétend le faire, n’est en fait pas adulte, mais se comporte bien davantage comme un adolescent, voire comme un enfant capricieux. Il « achète » sa liberté matérielle au détriment de sa liberté spirituelle et psychique. Au contraire, l’individu qui démontre un sens des responsabilités doublé d’éthique sait que même s’il ne maîtrise sans doute pas les grandes lignes de son destin, même si les circonstances de la vie l’amenaient à se retrouver matériellement démuni ou enfermé, les conséquences de ses actes peuvent malgré tout se révéler déterminantes non seulement pour lui, mais aussi pour un grand nombre d’autres personnes qui lui sont liées de près ou de loin. Il libère sa conscience et son psychisme en assumant son rôle, ses tâches et ses fonctions de la manière la plus éthique possible.

« … [la] liberté reste illusoire, factice ou seulement très temporaire
si elle n’est pas fondée à la fois sur la responsabilité et sur la vérité,
car l’irresponsabilité et le mensonge la détruisent plus ou moins rapidement. »

Changer le Système ?

Liberté ⇔ Responsabilité + Vérité

La liberté intérieure, celle qui pour l’âme et conscience est de loin la plus déterminante et a le plus d’impact, n’existe pas sans la mise en œuvre d’un sens suffisant des responsabilités et d’éthique. De plus, l’absence prolongée de liberté intérieure finit par produire des effets dans la forme, dans la matière concrète, dans la vie manifestée… et l’individu en vient tôt ou tard à expérimenter une variété ou une autre de prison matérielle, même s’il détenait auparavant les plus grands moyens concrets qui auraient dû en principe lui épargner de telles conséquences.

Ce qui vaut pour l’individu vaut aussi pour les groupes. Aussi, une société qui ne se libère pas intérieurement, qui se laisse enfermer psychiquement par de la propagande, des menaces, des rêves inaccessibles ou encore une approche matérialiste qui lui fait oublier son essence, alors, tôt ou tard, elle subit une dictature plus ou moins implacable, évidente et durable. Une telle société n’est pas adulte et n’assume pas ses responsabilités ou le fait sans démontrer réellement d’éthique. Elle vit dans la peur ou dans le rêve et l’illusion. Plus elle se pose en victime, et plus elle subit de contraintes, de violence, de viols… et plus elle a peur… jusqu’à ce que l’instinct de survie ou un vif appel de la Conscience se manifeste et lui fasse relever l’échine et la tête, jusqu’à ce qu’elle décide de faire face en adulte, jusqu’à ce qu’elle se rende compte qu’en fait elle n’a plus rien à perdre, car elle a déjà perdu l’essentiel.

Une société adulte démontre sens des responsabilités et de l’éthique. De tels sens peuvent et gagnent à être enseignés dès les plus jeunes années, dans le cadre de l’apprentissage familial comme de toute éventuelle structure sociale ou commune éducative. Et toute société s’avère finalement le reflet de ses systèmes éducatifs et de la manière d’enseigner aux jeunes générations comment devenir adultes et comment découvrir leur potentiel.

Une pédagogie favorisant la responsabilisation, l’éthique et l’épanouissement individuel et collectif peut combiner les approches suivantes :

  • stimuler le goût de la découverte et celui d’apprendre par soi-même;
  • éviter le plus souvent possible de fournir des réponses toutes faites, mais développer chez le jeune sa capacité à trouver par lui-même, à déduire, à analyser, à réfléchir, à discerner, à remettre en question…;
  • employer aussi bien la répétition que les éléments de surprise, le rythme que l’aléatoire, le structuré que l’imprévisible… pour permettre le meilleur enregistrement de ce qui est appris (la soudaineté et l’imprévu facilitant la pénétration de l’information, et le rythme et la répétition favorisant son intégration, son ancrage);
  • recourir à des formes ludiques;
  • stimuler la participation et l’implication;
  • stimuler la créativité et l’imagination;
  • remplacer l’esprit de compétition par celui d’entraide, favoriser les projets communs;
  • laisser la liberté de suivre ou non tel enseignement;
  • laisser la liberté de l’orientation des objectifs de vie;
  • stimuler la réflexion sur les conséquences des actes et des paroles, chaque fois que l’occasion se présente;
  • stimuler l’empathie et la capacité à se mettre à la place des autres;
  • éveiller la curiosité, élargir les horizons;
  • varier les supports (audiovisuel, informatique, écrit, mise en situation, jeux de rôles)…;
  • amener à réaliser l’importance du respect des autres et des enseignants.

Partage des ressources

Aucun individu, aucun groupe ne disposent de la moindre légitimité à s’approprier une partie des ressources planétaires (minérales, végétales, animales, énergétiques, géographiques)… au détriment des autres. Celles-ci n’appartiennent à personne si ce n’est à la planète elle-même.

Un monde en Balance nécessite non seulement une utilisation juste des ressources naturelles et une collaboration entre les différents règnes de la nature, mais aussi une utilisation juste et libre de toutes les formes d’énergies, dont les énergies psychiques et mentales humaines. Une conséquence en est la mise à disposition générale libre et gratuite de toutes les ressources naturelles. Une autre en est que les ressources humaines (psychiques, mentales, intellectuelles, sensorielles, émotionnelles, physiques, spirituelles, éducatives)… représentent un bien commun qu’il serait vain de vouloir s’approprier individuellement et dont la transmission libre assure la multiplication des bénéfices pour tous.

La libre circulation des énergies, notamment de pensées et de sentiments, entre divers individus ou divers groupes nécessite l’élimination de tout ce qui est susceptible de l’entraver. Les entraves à une telle circulation sont, entre autres, l’irrespect, le dédain, le goût ou l’obsession du secret, l’absence d’authenticité (ou la fabrication d’images de soi et d’une personnalité factice), la peur, la violence, la haine… La peur elle-même est souvent la cause originelle de nombreux excès émotionnels et comportementaux, dont la volonté de contrôle de soi, des situations, des ressources et/ou des individus. Et la recherche de contrôle sur des groupes et des personnes est favorisée par le non-partage de l’information et de la connaissance pour garder ainsi un pouvoir sur autrui. Dans un monde réellement harmonieux et libre, tout ce qui concourt au secret, au contrôle et aux abus de pouvoir n’a plus sa place. Et des aberrations telles que les Services secrets, les Renseignements militaires ou apparentés et les sociétés secrètes n’existent plus. Dans un tel monde, les êtres humains cherchent avant tout à faire bénéficier autrui de leurs propres ressources, connaissances et potentiels, sachant qu’au final tout le monde en tire bénéfice.

La concentration des ressources entre les mains d’une minorité qui par ailleurs tend à se considérer comme l’élite mondiale n’est possible que par l’abandon de la souveraineté individuelle et collective au profit de cette minorité manipulante. Au cours et au travers des âges, cette minorité est parvenue à faire croire au reste de l’Humanité qu’elle seule avait la capacité à gérer concrètement les affaires humaines et les ressources permettant de le faire. Elle y est parvenue en dépit du fait que cette gestion laissait dramatiquement de côté l’essence et la conscience de l’individu et qu’elle dégradait considérablement l’environnement naturel. En recourant à des artifices, des ruses, de la désinformation, de la manipulation et un abrutissement général des masses, l’élite en est venue finalement à produire deux résultats radicalement opposés :

  • d’un côté, une grande partie de l’Humanité est maintenant comparable à une armée de zombis, d’aveugles ou de dormeurs, voire de moutons qui se laissent tranquillement amener à l’abattoir;
  • de l’autre, une fraction croissante a su tirer profit de conditions contraignantes, avilissantes et/ou abrutissantes en y réagissant, transcendant ses limitations concrètes par une ouverture de plus en plus importante sur les plans plus subtils que sont les mondes émotionnels, mentaux, psychiques, spirituels, supramentaux…

Les conditions instaurées par une prétendue élite mondiale pour contrôler les peuples et les ressources naturelles sont celles qui invariablement et inéluctablement amènent la libération psychique d’une masse critique d’individus, désormais souverains et capables de ne plus fonctionner dans les systèmes imposés ainsi que de changer conséquemment le visage du monde. Cette masse critique ne reconnaît alors plus comme légitimes ni valables les conventions, règles et lois imposées par l’élite, mais leur attribue un haut degré de caractère pernicieux, déshumanisant, pervers et/ou débilitant qui éloignait l’Homme de son essence en le retournant davantage à l’état de bête. Elle recourt spontanément au partage, à la responsabilisation et à la bonne volonté tant au niveau individuel que dans ce qu’elle cherche à mettre en œuvre au profit de tous.

Le partage profite à tous, autant à ceux qui donnent qu’à ceux qui ont davantage besoin de recevoir. Ce qu’un individu donne lui est retourné d’une manière ou d’une autre, sur un plan ou un autre, au moins par la vie et ses circonstances, ainsi que par la gratification subtile que cela procure. Au contraire, ce qu’il thésaurise ou s’approprie abusivement contribue à l’enfermer dans des peurs (comme celle de manquer ou de perdre), dans des mécanismes autodestructeurs (par culpabilité, même étouffée), dans une tour d’ivoire ou encore dans des attitudes et énergies noires (méchanceté, égoïsme, avarice, misanthropie, cruauté)… qui peuvent toujours finir par nuire un jour à sa santé mentale ou physique.

Le partage des ressources est une des conditions indispensables à la création d’un monde de paix, de beauté et d’harmonie.

Argent et échanges

L’argent étant une forme d’énergie (voir l’annexe II), s’il est utilisé dans des échanges de services ou de biens, son équivalence est celle de l’énergie dépensée pour réaliser le service ou créer le bien. En conséquence, s’il continue à circuler et à être utilisé dans certaines régions ou nations, il ne sera plus basé sur l’or ni sur un quelconque arbitraire tel qu’une monnaie locale, mais sera compté en unités énergétiques telles que la Calorie ou le Joule (ou éventuellement en unités horaires si l’on considère qu’en première ou grossière approximation les êtres humains travaillent en moyenne à peu près à la même vitesse).

L’énergie dépensée en un temps donné pour effectuer un certain travail, une action ou un mouvement sur un plan formel (comprenant physique, émotionnel et intellectuel) sera directement monnayable. Son estimation sera effectuée au besoin par les personnes compétentes dans le domaine des ressources énergétiques (physiciens en thermodynamique, notamment) et auxquelles on reconnaîtra ce type de compétences.

En absence d’estimation précise de la valeur d’un travail, d’une action ou d’un mouvement, une approximation plus ou moins grossière (basée, par exemple, sur une connaissance empirique de l’énergie moyenne habituellement dépensée en un temps donné pour accomplir un travail, une action ou un mouvement équivalents), pourvu que les différentes parties s’accordent sur cette approximation.

La valeur d’une ressource naturelle (minérale, par exemple) sera déterminée et modifiable en fonction de la technique particulière et de l’énergie conséquente utilisées pour son exploitation.

La valeur d’un objet ou d’un bien sera déterminée ou estimée en fonction de l’énergie dépensée pour le créer, selon les moyens utilisés et la dépense d’énergie physique (électrique, mécanique, musculaire…), émotionnelle et/ou intellectuelle pour y parvenir.

Un service est considéré comme un travail ou une action. Il peut être gratuit ou monnayable, selon le souhait de la personne qui le rend. En cas de demande de rémunération, sa valeur sera basée sur les mêmes critères que pour tout autre travail ou toute autre action, comme exposé plus haut.

Un travail, une action, un mouvement, un service, un bien… ne seront monnayés à un prix donné que si les deux parties (le donneur et le receveur) s’accordent sur sa valeur.

L’argent n’est pas indispensable et les échanges peuvent reposer sur la notion de don, sachant que ce que l’on donne un jour peut être retourné sous une forme ou une autre un jour suivant. On donne un jour et l’on reçoit un autre jour.

Centre monétaire

Pour faciliter les échanges accomplis par le moyen monétaire (par ceux qui choisiront ce moyen), il sera établi, si possible au niveau international, un centre monétaire unique remplaçant toutes les banques, y compris « centrales » ayant existé jusqu’alors. Un tel centre pourra cependant être d’abord mis en place uniquement dans une nation ou une région particulière, comme prototype.

Ce centre monétaire sera le cœur du nouveau système économique et la nouvelle forme d’argent, d’inspiration énergétique pure, en sera le sang, le fluide vital.

Le potentiel monétaire (et donc de prêt) du centre monétaire sera évalué sur la base de la totalité des ressources naturelles (de la planète, de la nation, ou de la région, selon l’échelle du centre institué), augmentée du produit intérieur brut sur un an et du capital immobilier privé et public.

Chaque année, le total des prêts alloués ne pourra dépasser le potentiel monétaire ainsi défini.

Tout prêt sera consenti au taux fixe de zéro pour cent, soit sans aucun intérêt.

Le centre monétaire sera la seule institution habilitée à prêter de l’argent aux êtres humains de la planète, de la nation ou de la région au sein de laquelle il sera institué, et toutes les transactions telles que le paiement de salaires pourront passer par lui.

Contrairement aux systèmes actuels pour lesquels les individus travaillent pour gagner de l’argent, ils recevront de l’argent pour travailler! Plus précisément, les salaires seront payés en début de périodes (semaines, quinzaines ou mois)… et remboursés par le travail. De même, les artistes et autres créateurs emprunteront l’argent qui sera estimé nécessaire à un travail créateur donné et rembourseront par la réalisation de la création.

Tous les échanges monétaires pourront passer par le centre, sans que ce soit une obligation. Les créateurs et les travailleurs du centre monétaire lui-même seront payés selon le même principe.

En fait, un tel centre monétaire pourrait très bien se ramener à l’équivalent d’un livre comptable d’enregistrement des entrées et des sorties (ou des dettes et des crédits).

Lorsque deux individus s’accordent sur la valeur d’un travail, d’un bien ou d’un service, celui qui achète peut choisir de recourir au centre financier s’il ne dispose pas d’un montant d’argent équivalent ni ne peut fournir en échange un autre travail, bien ou service de valeur équivalente et accepté comme terme de l’échange. Auquel cas, le receveur emprunte l’argent au centre et le donneur diminue d’autant sa propre dette éventuelle au centre, voire y dispose maintenant d’un crédit.

Pour les transactions avec les planètes, nations ou régions étrangères (selon l’échelle du centre) qui ne voudront ou ne pourront pas suivre le modèle d’échange ainsi institué, il sera adopté des taux d’intérêt et de change d’un commun accord en tenant compte des potentiels et réalités économiques des autres planètes, nations et régions considérées, ou les échanges pourront se faire par troc, au moins tant que l’économie de ces autres planètes, nations ou régions reposera sur un système d’intérêts ou d’usures.

Les régions et les villes elles-mêmes, en tant que regroupements humains, emprunteront à la banque centrale pour la réalisation de leurs grands travaux et pour leur fonctionnement annuel. Il n’y aura donc plus besoin d’un système d’impôts et de taxes.

Pouvoir et potentiel

Le pouvoir individuel est la capacité à utiliser la volonté transpersonnelle ou divine, ou le désir personnel ou égoïste pour produire des actions d’un ordre ou d’un autre. Dérivé de la notion scientifique de puissance, le pouvoir est, en d’autres termes, la capacité à effectuer un certain nombre de tâches, travaux ou actions en un temps donné. Plus l’individu est capable d’accomplir d’actions diverses (paroles, écrits, créations, manipulations, ordres, travaux)… ou d’atteindre d’objectifs différents en un temps donné et plus son pouvoir est grand.

Le pouvoir se conjugue selon les plans et les moyens considérés. Un individu peut ainsi disposer d’un grand pouvoir concret, notamment sur les événements sociaux ou sur les conflits, mais n’avoir qu’un pouvoir insignifiant sur des sphères plus subtiles, comme celles relatives à l’éducation ou aux mondes spirituels.

À puissance ou pouvoir donné, il peut y avoir des différences de résultats dans les faits. Cela dépend pratiquement de la manière dont l’individu utilise et applique son pouvoir dans et sur la Forme (les mondes formels ou concrets). Certaines orientations peuvent être destructrices ou au contraire constructrices. Certaines peuvent contribuer à façonner quand d’autres déforment ou dénaturent. Certaines produisent des souffrances alors que d’autres les soulagent…

Dans un monde en Balance, on ne recherche pas une application coercitive, mégalomane, psychopathe, ni égoïste du pouvoir, mais on utilise le pouvoir personnel avec intelligence et amour dans le but du développement puis de l’utilisation du potentiel personnel et collectif au service du bien commun.

L’enrichissement maximal d’un groupe, sur tous les plans, provient au départ du libre développement du potentiel de chacun de ses membres, puis de l’expression de ce potentiel dans le respect des autres et en toute conscience et responsabilité. Le développement du potentiel devrait être une des préoccupations principales de tout éducateur.

Le véritable pouvoir, c’est avant tout celui d’être soi-même et d’assumer ses propres choix, le pouvoir d’être et de donner de soi avant celui d’avoir ou de prendre des autres. Une société matérialiste, mettant en avant la possession matérielle et l’assouvissement égoïste des désirs sans se préoccuper des répercussions sur les autres, favorise le pouvoir formel destructeur ou contrôlant. Au contraire, une société basée sur des valeurs plus idéalistes ou spirituelles telles que l’altruisme, le respect des autres et de soi, la bonne volonté et le partage favorise l’expression du pouvoir intérieur, de création, de manifestation et de transcendance du potentiel humain quasi illimité.

La vie est mouvement et lorsque l’inertie d’une forme, d’un objet, d’un être ou d’un groupe s’oppose au mouvement de la vie, de la volonté ou du pouvoir d’action d’un être ou d’un groupe, alors, il y a friction et cette friction engendre généralement de la souffrance. Pour éliminer la friction entre vie ou mouvement d’une part et forme ou matière d’autre part, un troisième élément, un lubrifiant, est nécessaire. Entre la vie et la forme, le lubrifiant est la conscience. Entre le pouvoir et l’individu ou le groupe qui l’exerce, le lubrifiant est l’éthique. Le troisième élément est celui qui permet le lien, la synthèse, la cohésion, la synergie entre les deux autres qui autrement engendrent de la friction (ou de la souffrance) en raison de leurs natures ou de leurs mouvements antagonistes.

Vie Conscience Forme individuelle ou collective

Pouvoir Éthique Action individuelle ou collective

Volonté de mouvement — LubrifiantInertie s’opposant au mouvement

Potentiel créateur Inspiration Création

Le potentiel créateur et le pouvoir personnel ne portent des fruits mûrs et sains dans la matière, ne se concrétisent sous forme de manifestations tangibles et de créations concrètes constructives que par l’intervention de la conscience, de l’éthique et de l’inspiration. En absence de conscience, d’éthique, d’inspiration…, les fruits produits sont empoisonnés, engendrent la souffrance et la destruction. En présence de ces dernières, au contraire, l’être humain se réalise pleinement, développe et exprime son potentiel quasi infini… et la société commune, résultat et synthèse des potentiels et actions individuels, se dirige vers un nouvel âge d’or.

Conclusion

Face à toute nouvelle perspective socioculturelle et politique, on peut se poser la question de son caractère éventuellement utopique. Quand et comment alors passe-t-on de l’utopie au réalisable? De manière générale, un projet ou une vision devient concrétisable par un groupe lorsque les conditions suivantes sont réunies :

  • les moyens concrets, notamment technologiques et scientifiques, de le réaliser existent;
  • certains aspects au moins du projet ou de la vision ont déjà pu être manifestés à petite échelle, spatialement et temporellement;
  • une partie suffisante du groupe impliqué a développé une conscience adaptée à ce projet ou cette vision et devient apte à en percevoir et comprendre les implications, les fondements et même la nécessité (ceci devant le caractère critique d’une situation présente, par exemple);
  • la volonté collective de voir le projet réalisé ou la vision manifestée devient plus importante que la résistance inertielle des volontés opposées, pour une raison ou une autre, au projet ou à la vision.

Face à la vision présentée dans le manifeste, au début du vingt et unième siècle, les deux premières conditions sont remplies, au moins en grande partie, et la troisième semble en voie de réalisation. La condition cruciale, non encore effective, est la dernière.

L’Humanité ou un groupe particulier peut satisfaire les quatre conditions par les moyens respectifs suivants :

  • le progrès scientifique et technologique et/ou le progrès parapsychique de l’Homme;
  • l’imagination, la créativité, l’inspiration et le désir ou la volonté de nouveauté;
  • l’éducation des consciences, processus plus ou moins subtil ne passant pas nécessairement par les structures éducatives existantes;
  • le phénomène d’entrainement des consciences et du mental humain par des pionniers qui dans certains cas extrêmes vont jusqu’à sacrifier leur vie et permettre que leur sang nourrisse le germe de la vision jusqu’à la complète floraison, parfois des centaines ou même des milliers d’années plus tard.

Des pionniers sacrifiés ont parsemé l’Histoire humaine et même si leur vision et le message subséquent ont parfois rarement été compris, les traces qu’ils ont laissées dans les consciences sont indélébiles, les germes vitaux qu’ils y ont déposés croissent lentement, mais implacablement et la puissance de leur exemple sert encore des millions d’êtres. Aujourd’hui, l’Humanité en crise est mûre pour une des plus importantes remises en question des formes sociales, culturelles, éducatives, économiques et autres, pour un changement radical d’orientation, pour la naissance effective d’un nouveau paradigme, pour un pas de géant dans l’avenir…

Annexes

Annexe I
Correspondances

1 2 3 4 5 6 7
Navigateurs Organisateurs Motivateurs Conciliateurs Découvreurs Veilleurs Constructeurs
Choix des formes à incarner, à préserver et à détruire Organisation cohérente et inclusive des formes Inspiration et stimulation pour amener les nouvelles formes adaptables aux formes existantes ou pour fonctionner efficacement avec les formes établies Harmonisation des anciennes et des nouvelles formes ainsi que des individus fonctionnant par ou dans des formes sociales ou collectives. Adaptation des formes (et des lois qui les régissent) Découverte de nouvelles formes et des lois qui les régissent Préservation des formes de la manière la plus idéale possible Incarnation des nouvelles formes dans le respect des cycles de vie naturels des diverses formes existantes et de l’ordre des choses
(Légende  : C = conscience ; V = vie ; F = forme)

Affinités des groupes

Le tableau suivant (en deux parties) représente essentiellement une base de réflexion par analogies.

Rôle Navigateur Organisateur Motivateur
Organes Tête Cœur Poumons
Chakra Coronal Cardiaque Laryngé
Systèmes Nerveux Circulatoire Respiratoire
Plan Essence/
Esprit
Conscience/
Âme
Intuition/
Inspiration
Qualité Volonté Amour/Sagesse Intelligence
Action Décider Organiser Communiquer
Concepts liés Liberté Responsabilité Échange
Sentier octuple Moyens justes et Éveil Attention juste et Éveil Parole juste et Éveil
Gestion de la Forme Choix des formes à incarner, à préserver ou à détruire Organisation cohérente et inclusive des formes Adaptation inspirée des nouvelles formes à l’existant et stimulation pour fonctionner avec
Rôle Conciliateur Découvreur Veilleur Constructeur
Organes Estomac Glandes endocrines Organes sensoriels Squelette et gonades
Chakra Solaire Frontal Sacré Coccygien
Systèmes Digestif et urinaire Hormonal et électrique Sensoriel et d’entretien Reproducteur et musculaire
Plan Forme/
Personnalité
Mental/
Intellect
Émotionnel/
Affectif
Physique/
Matériel
Qualité Justice Connaissance Dévotion Ordre
Action Harmoniser Imaginer Idéaliser Manifester
Concepts liés Assimilation/
Élimination
Réflexion Sécurité (Pro)création
Sentier octuple Vision juste et Éveil Pensée juste et Éveil Effort juste et Éveil Action juste et Éveil
Gestion de la Forme Harmonisation des anciennes et des nouvelles formes ainsi que des individus qui les utilisent ou y participent Découverte de nouvelles formes et des lois qui les régissent Préservation idéale des formes Incarnation des nouvelles formes dans le respect des lois naturelles et de l’ordre des choses

Annexe II
La nature de l’argent




Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché

[Source : Profession Gendarme]

Un ami de Profession-Gendarme, ancien trader, nous adresse copie de la lettre qu’il vient de poster à l’intention des personnalités citées en titre.

Chers Maître Di Vizio, Professeur Raoult, Professeur Perronne, Docteur Fouché,

Avant toute chose je tiens à vous faire part de mon admiration pour votre travail et tous ces efforts que vous déployez avec tant de constance et de courage pour défendre la santé, la vie, le bien commun, la vérité et en définitive, la démocratie.

Ceci étant dit, je souhaitais à travers ce message apporter quelques éléments complémentaires sous-jacents qui me semblent très importants dans le cadre de cette crise du Covid et de cette lutte acharnée pour décrédibiliser le travail du Pr Raoult, de ses collègues et de l’efficacité de l’hydroxychloroquine en général.

Le professeur Raoult et son protocole sont d’une certaine manière le caillou dans la botte de cartels et de groupes d’influence extrêmement puissants qui en plus de vouloir obtenir des gains et des plus valus astronomiques sont animés par un désir ardent de mettre en place un nouveau système basé sur un nouveau paradigme qui leur sera encore bien plus favorable que celui qui prévalait jusqu’à ce jour.

Et cela dépasse largement le domaine purement médical… Ceci se fera au détriment du vivant, de la santé, des libertés et de la démocratie.

Biotechs, Newtech et plus valus à 5 chiffres

Je reçois de temps à autre un bulletin d’information boursière conçu par des analystes financiers connectés au cœur nucléaire qu’est Wall Street.

Celui du mois de juillet proposait de prendre le train de la douzième prophétie de Bill Gates, sachant que les onze premières se sont réalisées comme prévue et que la douzième devrait elle aussi se réaliser, car d’une certaine manière, l’on peut dire qu’elles sont toutes auto réalisatrices, compte tenu de la puissance de feu et du pouvoir d’influence du prédicateur en question, de tous ses apôtres et de leurs armées, pour parler de manière métaphorique. (Je vous laisse deviner qui…)[*]

En fait cette prophétie prêche pour la mise en place d’une nouvelle société où sera célébré l’avènement des newtechs, des biotechs, le tout supervisé par le lobby de la finance internationale.

Les objectifs de cours, ou plutôt de plus valus sont de l’ordre de 15 000 % et plus.

La date butoir pour prendre le train était le 22 septembre; cela m’angoissait quelque peu car ayant enquêté minutieusement sur cette affaire depuis le début, je savais qu’ils allaient accélérer la cadence durant l’automne et cette date du 22 septembre me confortais dans mon ressenti.

Pour parvenir à de tels objectifs de cours, il faut bien entendu en finir avec l’ancien modèle: c’est un peu comme dans le cas d’un breuvage; pour le savourer, il faut vider le verre de son contenu, le laver et ensuite y verser le nouveau breuvage.

C’est aussi un peu comme pour reconstruire un pays, s’enrichir et donner du travail à ses entreprises et à ses copains; on bombarde à volonté, on rase tout et ensuite, on reconstruit avec des financements internationaux en endettant les nations détruites… Beaucoup de pays en ont déjà fait les frais; c’est à notre tour maintenant !

En réalité, ces newtechs et biotechs misent sur ce virus, sur les confinements, les vaccins, le tout contrôle, la digitalisation à outrance de la société et de l’être humain, sur l’effondrement de notre système et de notre économie pour implémenter leur modèle et en tirer tous les avantages inhérents tant en terme de richesse que de pouvoir.

Quand on a une idée des individus et des fonds d’investissement qui sont impliqués dans cette dynamique, l’on peut imaginer que parier n’est pas seulement parier…

Ces individus sans scrupules ont généralement de quoi donner un coup de pouce voire même les moyens de tout orchestrer pour que le business model arrive à son terme.

J’ai été trader et analyste de marché, et je sais que tout ou presque est manipulation et que rien de ce qui se produit n’est fortuit, sinon qu’il y a dans la plus grande partie des cas des commanditaires très puissants qui créent des tendances, des contre tendances et des événements déterminés pour potentialiser ou engendrer des dynamiques  et obtenir les objectifs recherchées in fine.

Ceci, ni la presse ni la radio ni la TV vous l’expliquera … Au contraire, ces médias sont les outils des maîtres de l’ingénierie sociale qui contrôle les esprits des braves gens pour les mener à « bon port » en les manipulant à souhait .

Nota: Si les liens ci dessous sont inactif, merci de copier-coller dans votre navigateur ou moteur de recherche

Je vous recommande de regarder par exemple l’évolution du cours de Moderna où Bill Gates et ses amis ont pas mal d’implications.

Voir l’évolution sur un an (1A) sur le graphique. Mettre le curseur sur le top du 17 juillet; c’est édifiant ! L’on comprends dès lors que l’hydroxychloroquine devient très gênante pour ce genre de biotech et tant d’autres encore…

https://www.boursorama.com/cours/MRNA/

[Historique pour MODERNA en date du 17 juillet 2020 :
Dernière valeur 94.85
Variation +15.94%
Volume 102 538 515
Ouverture 83.36
+ Haut 95.21
+ Bas 82.61

Dans un autre domaine, regardons l’évolution d’entreprises comme Amazon et Netflix ces derniers mois et notamment pendant la période du premier confinement… Ca donne le vertige, mais ça n’est rien comparé à d’autres entreprises qui sont impliquées dans la mise en place du nouveau modèle sociétal et économique… Lorsque les gens sont confinés ou qu’ils doivent porter un masque en tout lieu, ils finissent par prendre un abonnement chez Netflix et faire leurs courses chez Amazon, surtout si nos gouvernants bienveillants obligent les commerces non essentiels à fermer et à mourir, de même pour la culture, le spectacle, la restauration etc. Graphique Amazon : voir sur un an, (1A) et se positionner sur le top du 02 septembre…

https://www.boursorama.com/cours/AMZN/

[Historique pour Amazon en date du 2 septembre 2020 :
Dernière valeur 3 531.45
Variation +0.92%
Volume 3 866 667
Ouverture 3 550.00
+ Haut 3 550.00
+ Bas 3 486.69

Voir Netflix ; Évolution sur un an (1A) Voir l’évolution entre le 18 mars et le dernier top (pic haussier) 

https://www.boursorama.com/cours/NFLX/

[Historique pour Netflix en date du 1er septembre 2020 :
Dernière valeur 556.55
Variation +5.10%
Volume 9 506 934
Ouverture 532.58
+ Haut 557.39
+ Bas 532.45

Voilà pourquoi il est important de tout détruire même si cela doit créer des drames, de la ruine, des suicides, de la maladie, de la dépression, etc. Comme l’a dit Macron, c’est une guerre, oui une guerre, contre les peuples, une guerre silencieuse, sans bombes, avec pour seules armes des médias corrompus à la solde de politiques ayant prêté allégeance à des cartels aux finalités plus que douteuses, tout ceci en échange de compte off shore bien garnis et bien cachés derrière des montages d’ingénierie financière…

Ces acteurs économiques ont en actifs financiers des sommes qui dépassent le PIB de plusieurs pays européens tels que la France, L’Allemagne, La G.B, L’Italie etc. Ils ont de grands pouvoirs d’influence et infiltrent les institutions, les réseaux politiques… Et en échange de quelques faveurs financières, ils obtiennent ce qu’ils souhaitent si vous voyez ce que je veux dire…

Nous avons plus ou moins fait le tour de cette affaire Gilead et de son Remdésivir et il est évident qu’il y a des conflits d’intérêts à bien des niveaux et dans bien des pays… Il y a aussi probablement des délits d’initiés pour ce qui à trait aux cours de bourse de l’action, autant pour parier à la hausse que pour parier à la baisse (V.A.D) ( Connaissance à l’avance de l’évolution du cours de bourse pour se positionner à la hausse ou la baisse et profiter du delta de plus value).

Mais il est plus que probable que l’on observe le même phénomène avec beaucoup d’autres entreprises impliquées dans cette affaire du covid… Il est très facile pour ces gens très puissants et très influents de « suggérer » aux responsables politiques de tel ou tel pays de prendre telle ou telle décision afin d’obtenir tel ou tel résultat dans le but de parvenir à tel ou tel objectif…

J’ai aussi travaillé dans le domaine des réductions de consommations énergétiques avec des grandes industries et des administrations, et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir des liens de corruption et des conflits d’intérêt atteignant des niveaux très préoccupants, en dépit du beau discours officiel… Je ne rentrerai pas dans les détails mais tout cela est franchement très inquiétant… Le système est gangrené, et ce à beaucoup de niveaux et dans des domaines très vastes et très variés… Nous avons affaire à de véritables mafias en cols blancs qui opèrent en bandes organisées avec le soutien logistique des médias mainstream et de l’ingénierie sociale.

Nous donnons un vote de confiance à certains individus pour gérer les affaires de la cité dans la recherche du bien commun, mais ces derniers  nous trahissent et nous livrent en pâture à des prédateurs sans vergogne, quand ils ne sont pas en plus psychopathes… De la santé aux radars en passant par les énergies, l’agro chimie, etc. Tout est perclus de conflits d’intérêts et de corruption !

La gangrène ne concerne pas seulement la France, mais elle remonte aussi jusqu’à Bruxelles qui est un véritable cheval de Troie pour les lobbies de tout crin. (Bruxelles n’est qu’un étage de la fusée)

Bruxelles nous a trahis avec le Remdésivir, et maintenant, ils veulent mettre en place un plan de vaccination de masse dès l’été prochain. Un vaccin douteux préparé en toute hâte en faisant fi de toutes les étapes à respecter dans l’élaboration et la sécurisation. Le problème ne se limite donc pas à Hydroxychloroquine vs Remdesivir… C’est l’arbre qui cache la forêt…

https://fr.sputniknews.com/europe/202010301044656911-la-presidente-de-la-commission-europeenne-explique-comment-les-pays-de-lue-recevront-le-vaccin/

Alors bien sûr que le Professeur Raoult, ses collègues et ce super protocole efficace et économique sont un gros caillou dans la botte de ces traîtres qui nous ont vendus aux lobbies de l’industrie pharmaceutique, de la finance mondiale, des biotechs et autres newtechs qui rêvent de nous digitaliser pour mieux nous contrôler et avoir encore plus de big data à commercialiser !

Avec la Chloroquine, tout l’échafaudage s’effondre et le business plan de cette belle affaire part à la corbeille ! Autant dire Maître que vous êtes en train de tirer sur un fil qui va vous emmener à une grosse, voire très grosse pelote de laine, et c’est peu dire ! Vous n’imaginez même pas ! 

Un autre aspect intéressant à souligner dans cette affaire est relatif à la bulle des marchés financiers.

De fait, cette « crise » a permis aux gros opérateurs de la crever en provoquant un  « crash éclair » suivi d’un rebond fulgurant n’obéissant pas aux règles habituelles de la mécanique des marchés. Conséquence : les 600 plus grosses fortunes américaines et les 1500 plus grosses fortunes mondiales ont ainsi augmenté leurs actifs financiers pour une valeur d’environ +25% ! Dans le jargon des traders, certains appellent cela « saigner les pigeons »… Grâce à ce type de mouvement, on provoque d’importants transferts de richesses vers les portefeuilles des commanditaires.

Plus de richesse encore, pour plus de pouvoir d’influence et de corruption ou de coercition !

Pot des vins et aides financières en échange de lock down des pays

Je tiens aussi à attirer votre attention sur un aspect des choses qui a été mis en lumière par un article publié entre autres sur le site web de l’association professionnelle de la gendarmerie, lequel phénomène a été repris dans une vidéo d’information présentée par Mr François Asselineau, président de L’UPR. Quelle que soit notre obédience politique, nous devons bien admettre que ce Monsieur n’est pas du genre complotiste ! L’on a ainsi appris que certaines instances financières internationales proposaient des pots de vins aux gouvernants et des financements aux pays en échange du lock down des pays et de tout les reste (Masques, vaccins, digitalisation à outrance, contrôle total des individus, etc.)

Bien évidemment, ceux qui acceptent de telles offres ne vont pas s’en vanter, mais le président de Biélorussie après avoir refusé un marché aussi néfaste et douteux à décidé de porter à la connaissance du public ces agissements dignes d’une mafia… Soit dit en passant, il a refusé de confiner et pour autant, la mortalité liée au covid est plutôt faible dans ce pays.

Par contre, l’on constatera que son refus l’a placé dans la ligne de mire de ces instances mafieuses et que depuis lors, il semble faire face à une petite révolution colorée comme certains savent si bien les organiser lorsque l’on ne leur prête pas allégeance ! ( Ces instances sont très très puissantes ! )

En résumé…,  on vous confine, on détruit votre économie, et pour vous soigner, on vous prête de l’argent, on vous surendette, et ensuite on hypothèque votre pays pour se faire rembourser, à moins que l’on procède à un Big Reset en échange de…

Professeur Raoult, vous êtes l’empêcheur de tourner en rond, et avec toute votre bonne volonté, votre sagesse et votre savoir, vous avez mis sans le savoir le pied sur un boîte de Pandore dont vous êtes sur le point, avec Maître Di Vizio et d’autres confrères courageux, de libérer le Chaos !

Lorsque le pouvoir devient tyrannique et toxique, le seul pouvoir qui puisse rétablir l’état de droit est le pouvoir judiciaire avec l’aide, dans ce cas précis, d’experts comme vous, comme Perronne, Tibiana, Toussaint, etc. Si votre enquête et celle des magistrats en charge du dossier s’attaque aux véritables sous-jacents, aux commanditaires et complices de cette crise destructrice, il est à penser que vous aurez besoin de beaucoup de soutien, mais aussi de protection, car vous vous attaquez à un véritable dragon dont vous ne voyez que le bout de la queue…

Sachant que dans cette affaire beaucoup de pays occidentaux sont impliqués, excepté la Suède qui visiblement n’a pas cédé ni aux chants des sirènes ni à l’hystérie, je terminerai par le cas de l’Espagne que je connais bien, car je suis frontalier et j’ai quelques implications à différents niveaux dans ce pays. J’ai passé mon confinement près de San Sebastian, au Pays Basque espagnol.

Professeur Raoult, je suis vos travaux depuis le début de cette crise. Compte tenu de la situation en Espagne, j’ai pris contact avec l’IHU de Marseille ou l’on m’a même transmis un numéro de ligne directe que je pouvais communiquer aux instances espagnoles afin d’avoir accès à tous les détails de votre protocole. J’ai envoyé des mails à plusieurs grands hôpitaux, collèges de Biologistes, presse, en cherchant à les informer et les sensibiliser en vue de venir en aide. J’ai même fais en sorte que le message arrive au commandement de la Guardia Civil d’une grande région du nord de l’Espagne.

À vrai dire, j’ai eu peu ou pas de retour, et j’ai été indigné de voir comment vous étiez parfois méprisé et déprécié dans la presse mainstream qui H24 faisait le décompte des morts en expliquant qu’il n’y avait pas de remède pour faire face à cette terrible maladie qui obligeait  les gens à rester enfermés chez eux. En Espagne, il n’était même pas possible de sortir une heure pour faire du sport. Enfin, vint le déconfinement et très rapidement le port du masque obligatoire en tous lieux, même pour aller à la plage ou pour se promener dans la montagne !

À en croire le discours officiel, il n’y a pas de remède à cette maladie et il faut attendre le vaccin qui arrivera dès l’été prochain (Même version que Macron et que l’U.E.). Certains médecins courageux ont dénoncé des incitations financières et des directives de l’administration pour déclarer comme cas Covid tous les cas suspicieux… Même les morts d’accident de la route, de cancers, etc., etc. ont été déclarés Covid ! Plutôt étrange non ? Surtout frauduleux !

Les personnes âgées ont été abandonnées dans les maisons de retraite ou chez elle, ce qui a engendré de nombreux décès, bien sûr classés Covid ! Enfin, certains scientifiques dénoncent la manipulation frauduleuse des tests PCR et des cycles d’amplification qui atteignent des valeurs inacceptables… J’ai échangé avec des gens qui ont été confinés suite à des test positifs, et qui ne comprenaient pas, car ils n’ont jamais eu aucun symptôme ni mal être…

Les médias et les politiques passent leur temps à instiller la peur ici aussi et ils maltraitent les citoyens à coups de confinements localisés en attendant le reconfinement généralisé et le vaccin salvateur qui arrivera des mains généreuses de L’U.E.

Il est étrange de constater qu’à peine une semaine après le début du confinement, les soi-disant experts de la TV espagnole nous expliquaient à chaque instant que le monde ne serait plus jamais comme avant, qu’il faudrait s’habituer à la nouvelle normalité, à la distanciation sociale et attendre le vaccin salvateur pour pouvoir retrouver un peu de liberté ! Ou ces gens sont des oracles, ou ils lisaient la feuille de route de leurs maîtres de l’ombre… Je pense plutôt à la deuxième version !

En Espagne, les médecins et policiers de la dissidence sont stigmatisés, mais l’État profond ne parvient pas pour autant à faire taire leur voix porteuse de vérité. L’association Espagnole des militaires a mis en lumière que plusieurs agences de « fact checking news » [nouvelles de vérification des faits] reliées à des chaînes de grande audience étaient financées par la fondation Bill et Melinda Gates… Et c’est la même chose dans d’autres États où les médias et leurs agences de vérification ont passé leur temps à promouvoir la terreur, la nouvelle normalité, le Remdesivir, à décrédibiliser la chloroquine, à faire croire qu’il n’y a pas d’autre alternative que le vaccin, etc.

Il apparaît clairement que cette sale affaire va bien au-delà des frontières de l’Hexagone et qu’elle dépasse le simple cadre d’un conflit d’intérêt entre le labo Gilead et des acteurs du monde politique et d’autre du monde de la santé !

Il est vraiment URGENT que la justice et les forces de l’ordre mènent des enquêtes exhaustives en mettant en perspective toutes les facettes de cette affaire, en espérant que le dragon les laissent mener à bien leur mission pour que nous soyons libérés de cette tyrannie sanitaire qui finit par nous détruire à petit feu. Le troisième pouvoir doit soutenir les professionnels de santé intègres qui en plus de privilégier la santé de leurs patients, ont le mérite volontairement ou involontairement d’ouvrir la boite de Pandore, ce qui  permettra aux citoyens et à la justice de voir tous les aspects de cette opération et de mettre hors d’états de nuire les commanditaires et leurs complices.

Je tiens à saluer au passage le travail de l’association professionnelle de la gendarmerie qui, à défaut de pouvoir s’exprimer en direct, essaye, par ses publications, de réinformer les citoyens manipulés par ces médias qui pour beaucoup d’entre eux suivent les consignes de ces élites criminelles corrompues. Je vous informe donc que je leur enverrai une copie de cette missive, car il font partie des citoyens courageux qui œuvrent pour le bien commun et pour la défense de nos libertés tout comme vous le faites jour après jour.

Enfin, en marge de cette plainte et de l’action juridique que vous entreprenez, il serait peut-être opportun d’unir les talents et de rejoindre d’autres collectifs d’avocats et de magistrats qui agissent, tant au plan national qu’au plan international, tous unis au sein d’un même mouvement pour la défense de la santé, de la vie, des libertés et de la démocratie.

En espérant que ces quelques informations vous seront d’utilité pour élargir le champ de vos investigations, je tiens à vous témoigner toute mon admiration et ma gratitude en mon nom et au nom de beaucoup d’autres personnes, parmi lesquelles des personnes portant l’uniforme. 

Un ancien trader qui vous admire


[*] Voir aussi : La religion de l’Antéchrist et Qui est l’Antéchrist ?




Un examen du culte gauchiste et de leur religion

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 18 juin 2019 − Source Alt-Market.com

Les nouveaux militants du mouvement pour la liberté croient à tort que l’idée du « faux paradigme gauche/droite » signifie qu’il n’y a pas de spectre politique ; que toute cette notion de gauche contre droite est une invention. Ce n’est pas exactement le cas. Quand on parle de faux paradigmes en matière de politique (ou de géopolitique), il s’agit en fait de la classe élitiste, aussi connue sous le nom de globalistes, et du fait qu’elle n’a aucune orientation politique de droite ou de gauche. Ils ne se soucient ni des démocrates ni des républicains, ils n’ont aucune loyauté envers l’un ou l’autre parti. Leur loyauté va à leur propre agenda, et ils exploiteront les DEUX côtés pour obtenir ce qu’ils veulent chaque fois que possible.

Au-delà des globalistes, les gens moyens tombent en effet sur un
spectre politique qui pourrait être décomposé et simplifié en un
ensemble d’idéaux ou d’idéologies de base. Du côté gauche du spectre,
nous trouvons les collectivistes et les socialistes, qui croient que la
société (le groupe) est beaucoup plus importante que l’individu et que
les actions des individus doivent être strictement contrôlées et
gouvernées pour éviter des effets négatifs sur le groupe.

L’argument central des gauchistes est : « Nous faisons tous
partie de la société et devons agir en harmonie avec la société pour que
le système continue de fonctionner. Les besoins du plus grand nombre
l’emportent sur les besoins du plus petit nombre … »

Du côté droit du spectre, on trouve les individualistes, les
militants de la souveraineté et les vrais conservateurs. Des personnes
qui, à des degrés divers, croient que la société devrait être restreinte
dans sa capacité de dicter la vie de l’individu et que la participation
au groupe devrait être volontaire. Là où les gauchistes cherchent à
centraliser, les gens de droite cherchent à décentraliser.

L’argument du conservateur est : « Sans l’individu, le groupe
n’existe pas. Le groupe est une abstraction créée par l’esprit. Lorsque
des groupes se forment, ils ne devraient exister que pour servir et
protéger les droits inhérents des individus, et non être utilisés comme
un mécanisme de contrôle par des personnes faibles qui ont peur de
fonctionner par elles-mêmes … »

Cette séparation des philosophies est simple et facile à suivre. Mais
c’est là que les choses commencent à devenir confuses et alambiquées,
lorsque des « gardiens » politiques ou des experts et des
médias contrôlés par les globalistes s’en mêlent et brouillent les
cartes. Par exemple, il y a des interprétations erronées flagrantes des
principes conservateurs dans les médias dominants, surtout dans des
endroits comme l’Europe où le mot « conservateur » est
considéré comme sale et est à peine audible. Les gardiens de la pensée
qui n’ont aucune loyauté envers les valeurs conservatrices réelles ont
tenté de ternir l’image des conservateurs dans leur ensemble en les
trompant, les menant dans la mauvaise direction ou en agissant comme de
faux représentants.

Inévitablement, ces joueurs de flûte tentent d’attirer les
conservateurs pour soutenir les idéologies de gauche, comme l’ingérence
du gouvernement dans la vie des gens, ou dans la politique d’autres
nations, ou même dans les marchés libres. En d’autres termes, ils
veulent saboter les vrais conservateurs en les faisant passer pour des
hypocrites. Mais, les idéaux du conservatisme et de la centralisation
s’excluent mutuellement – Si un conservateur soutient un grand contrôle
gouvernemental, il n’est plus un conservateur. Point final.

Il est certain que des gardiens similaires du côté gauche du spectre
trompent les gens de gauche à des fins destructrices, mais pas de la
même manière qu’ils essaient d’induire les conservateurs en erreur.
Alors que les globalistes tenteront d’amener les conservateurs à se
comporter davantage comme des socialistes, ils ne tenteront pas d’amener
les gauchistes à se comporter davantage comme des conservateurs. Au
contraire, ils poussent les gauchistes à devenir encore plus extrémistes
dans leurs tendances collectivistes.

L’objectif final de la cabale globaliste est d’arriver à un point où
TOUT LE MONDE est un partisan de la centralisation totalitaire – un
monde où chacun est un gauchiste, qu’il le réalise ou non.

La façon dont ils prévoient d’atteindre cet objectif est plutôt
indirecte, mais potentiellement très efficace. En poussant un camp (la
gauche politique) à l’extrême, ils espèrent pousser l’autre camp (les
conservateurs) à réagir par des mesures extrêmes qu’ils considéreraient
autrement contraires à leurs principes. Pour éviter ce résultat, les
conservateurs doivent comprendre les motivations profondes et les
contradictions de ce qui est devenu le culte gauchiste. Pour éviter de
tomber dans la folie, nous devons examiner les comportements des fous.

Il est difficile de dire exactement quand la gauche a commencé à s’éloigner d’une politique plus centriste et à devenir communiste plein pot. D’aucuns diront que cela a commencé lorsque l’école de Francfort s’est transplantée aux États-Unis pendant et après la Seconde Guerre globale, apportant avec elle l’idéologie du marxisme culturel. Certains diront qu’il en est ainsi depuis les années 1960 et 1970, à l’époque de la montée du mouvement anti-guerre et de la deuxième vague du féminisme. Mais si les gauchistes étaient des socialistes virulants à l’époque, pendant des décennies après cette génération chaotique, il y a eu au moins une certaine autodiscipline parmi eux pour ce qui est de révéler directement leurs véritables intentions.

Je placerais leur transformation, ou mutation violente, plus près, il
y a 20 ans, lorsque les campus universitaires ont complètement basculé
d’un accent mis sur les compétences pratiques et les sciences classiques
(sciences, technologie, génie et mathématiques) pour se tourner vers
les sciences sociales bornées. C’est à ce moment que le complot pour
radicaliser complètement la gauche a été réellement mis en œuvre.

Les universités devinrent des lieux de culte, d’une nouvelle religion appelée « justice sociale ».
Cette religion s’appuie sur le fait que les anciens conflits sociaux
sont revivifiés comme s’ils n’avaient pas déjà été abordés par des
personnes beaucoup plus intelligentes des décennies auparavant. Les Social Justice Warriors
agissent comme si l’Amérique n’avait jamais fait face à l’esclavage, au
racisme, aux droits des femmes, à l’orientation sexuelle, etc., comme
si tous ces problèmes bouillonnaient dans l’ombre en attendant que les
guerriers de la justice sociale nous fassent enfin grâce de leur
présence et les résolvent. La réalité est que s’il y aura TOUJOURS des
conflits liés à ces questions, il n’y a pas besoin de l’existence d’une « justice sociale » aujourd’hui. Ce sont des rebelles sans cause légitime, et donc ils se créent des causes à partir de rien.

De nombreux experts de la gauche politique font attention à ne pas s’associer publiquement aux Social Justice Warriors
et tentent de présenter les démocrates et les progressistes comme des
personnes distinctes. Et pour certaines de ces personnes, c’est
peut-être vrai. Mais les mantras de justice sociale et la désinformation
ont absolument imprégné le langage et la conversation des Démocrates.
Des organes de presse comme le New York Times, Vox et The Atlantic
ont veillé à ce que cela se produise alors qu’ils inondent les espaces
web orientés vers la démocratie d’articles et d’éditoriaux chargés de
diatribes, présentés comme s’ils produisaient du journalisme factuel.

Beaucoup de ces articles sont plutôt écrits comme des récits
biographiques personnels et des anecdotes ; chaque écrivain de gauche
réclame de devenir le prochain Steinbeck plutôt qu’un enquêteur objectif
des faits. Le vrai journalisme est maintenant mort dans les médias
dominants. Des journaux, devenus des poubelles, comme The New York Times et Vox l’ont tué et l’ont remplacé par un sauna romain de narcissisme et d’iniquité.

Le seul travail de ces points de vente est maintenant de continuer à
alimenter la foi gauchiste. Les universités ont fait de leurs étudiants
des fanatiques, des dévots fous de leur culte, et les médias les
maintiennent sur ce chemin et veillent à ce qu’ils ne s’égarent pas.
Mais quelles croyances définissent cette religion au-delà des notions
vagues de « justice sociale » ?  Examinons quelques exemples….

Tout brûler ?

Alors que le cocktail Molotov a été inventé (ou du moins popularisé) par les Finlandais pendant la guerre d’hiver pour aider à stopper une invasion communiste massive venant d’Union soviétique, il est aujourd’hui devenu une sorte de symbole de rébellion communiste en Occident. L’école de Francfort et le marxisme en général enseignent que les systèmes existants ne sont pas modifiés diplomatiquement, mais démolis violemment par l’exploitation des conflits sociaux. Dans le marxisme traditionnel, l’idée était d’utiliser le conflit de classe économique, de rallier les classes inférieures pour renverser les classes supérieures. Le marxisme culturel ne repose pas seulement sur les disparités économiques, mais aussi sur les tensions raciales et politiques pour faire tomber une civilisation.

Après que la poussière se soit dissipée, les socialistes/communistes cherchent à introduire leur propre système « utopique »
et à prendre le contrôle alors que la nation est faible et impuissante
au milieu d’un effondrement total. Quand le système existant et le
gouvernement travaillent en leur faveur et nourrissent leur sens de
l’influence publique, les gauchistes chantent ses louanges. Quand il
cesse de travailler à 100% pour eux (même si ce n’est qu’en surface),
ils cherchent à le déchirer et à le refaire. Ce sont les gens avec qui
vous ne pouvez pas jouer aux échecs. Dès qu’ils commencent à perdre, ils
crient à l’injustice, balayent l’échiquier et le jettent au sol avec
rage.

Tout le monde est né pareil ?

Cette notion est biologiquement absurde, mais elle gagne du terrain
dans les mouvements gauchiste. Essentiellement, les collectivistes
croient que tous les êtres humains naissent comme des ardoises vierges
et que leur personnalité entière est un produit de leur environnement.
Bien que les psychologues, les anthropologues et les scientifiques de
tous les horizons, de Carl Jung à Joseph Campbell en passant par Stephen
Pinker, aient tous montré de nombreuses preuves de traits
psychologiques innés et de constructions inhérentes au psychisme humain,
ces preuves sont totalement ignorées par les gauchistes car elles vont à
l’encontre de la plupart de leurs hypothèses fondamentales.

Si chacun naît différent, alors l’équité dans la société devient
subjective et inapplicable, et seuls l’accomplissement, le travail
acharné et le mérite peuvent déterminer ce qui est « juste ».
Si les personnages ne sont pas nécessairement régis par leur
environnement, cela signifie qu’il ne sert à rien de créer une utopie
sociale pour micro-gérer chaque aspect de notre vie. Si les psychopathes
ne sont pas fabriqués mais naissent ainsi, alors la question du mal
inhérent devient une possibilité, et selon les gauchistes, il n’y a pas
de personnes mauvaises, seulement des systèmes mauvais qui gâchent
l’esprit des gens bons. Si le genre est inné et que la grande majorité
des gens tombent d’un côté ou de l’autre psychologiquement, pas
seulement biologiquement, alors les gauchistes ne peuvent plus prétendre
que le genre est une construction sociale qui doit être démantelée.

L’ardoise blanche, ou Tabula Rasa, est un facteur clé de la religion
gauchiste qui doit être défendu à tout prix. Sinon, la moitié de leur
idéologie s’effondre.

Tout peut et doit être juste ?

Quiconque a vécu dans le monde pendant un certain temps seul sait
très bien que la vie n’est pas faite pour être juste. Certaines
personnes naissent avec des avantages et d’autres avec des handicaps.
Certains avantages et inconvénients ont trait à la famille et à la
richesse, tandis que d’autres sont simplement génétiques. Il n’y a rien
que l’on puisse faire à ce sujet qui ne détruirait pas notre espèce. Ce
que les gauchistes ne semblent pas comprendre, c’est que le désavantage
perçu n’est pas toujours une mauvaise chose.

Les gens qui luttent et surmontent les obstacles de la vie ont
tendance à être beaucoup plus sages et plus compétents que ceux qui
n’ont jamais eu à faire d’efforts. Les gauchistes veulent éliminer toute
adversité, non pas au nom de l’égalité des chances, mais au nom de
l’égalité des résultats. Ce faisant, ils rendent l’ensemble de la
société plus faible, plus lâche, moins innovante et moins productive.
Dans un monde de gauchiste, l’humanité devrait créer des « camps d’adversité »
artificiels juste pour conserver ses instincts de survie. Mais alors,
bien sûr, ces camps seraient également soumis au filtre de l’équité…

L’intellect est plus important que l’expérience ?

Les gauchistes vénèrent l’intellect comme une puissance divine. À tel
point que la notion d’expérience du monde réel leur vient rarement à
l’esprit comme un élément important dans la prise de décisions ou la
formation d’opinions. Quand les guerriers de la justice sociale parlent
de choses comme le « racisme », la plupart d’entre eux n’ont
jamais été et ne seront probablement jamais témoins d’un racisme
légitime. Ils l’ont lu dans des livres et en entendent parler dans des
conférences, mais ils n’ont aucun lien personnel avec lui. Ils croient
qu’il est omniprésent partout, à chaque coin de rue et sous chaque lit
parce qu’ils le doivent. Leur réalité dépend d’une foi aveugle que c’est
vrai.

L’idée de l’inégalité sociale entre les hommes et les femmes repose
aussi sur une foi aveugle dans des statistiques déformées et des récits
frauduleux de crimes qui n’ont jamais été commis. Aujourd’hui encore,
ces personnes continuent de soutenir que l’« écart salarial entre les sexes »
est une réalité, malgré le fait qu’il a été démonté à l’infini. Ce
comportement exige une dévotion sectaire à la fantaisie. Ce n’est pas
normal ou logique, c’est une maladie mentale extrême. Si ces gens
allaient dans le monde du travail et étudiaient de vrais modèles
d’affaires et discutaient avec des hommes et des femmes qui ne sont pas
membres de leur propre chambre d’écho, ils verraient par expérience que
leurs hypothèses sont fausses, mais lorsque les notions intellectuelles
l’emportent sur les observations directes, il n’y a aucun espoir.

Les conservateurs sont-ils le mal incarné ?

J’ai commencé à écrire cet essai en partie parce que j’ai remarqué un
flot constant d’articles dans les médias grand public se faisant passer
pour des études sur les « extrémistes conservateurs ». Je me
dis que s’ils nous analysent de façon inexacte, nous pouvons faire mieux
et les analyser le plus précisément possible. En lisant certains de ces
articles, je constate que les gauchistes ont créé leur propre langue
complètement séparée du reste du monde et de la réalité. Ce qu’ils
interprètent comme du « racisme », de la « misogynie » ou du « fascisme »
ne correspond pas à la définition classique de ces termes. Ils ont
développé leur propre vocabulaire ahurissant rempli de mots inventés et
de concepts illogiques pour décrire le monde d’une manière qui
correspond à leurs désirs et soutient leurs accusations.

Les conservateurs ne vivent pas dans ce monde et franchement, nous ne
le voulons jamais. Pour eux, nous sommes des hérétiques, des barbares. A
leurs yeux, nous sommes des intouchables sales, des « déplorables ».
Nous ne pouvons pas être sauvés, et nous devons être détruits. Les
zélotes cherchent toujours à traiter les étrangers idéologiques comme
des ennemis mortels, même lorsque ces individus ne leur ont rien fait.
Le fait est que la plupart des crimes et génocides politiques modernes
ont été perpétrés au nom des idéaux socialistes, au nom des concepts
chers à la gauche. Nous continuons à souffrir sous ces idéaux au nom de
la globalisation.

Combien de personnes ont souffert à cause de la décentralisation et
des droits individuels ? Pas beaucoup, voire aucun. Combien de personnes
ont été exterminées au nom du principe de non-agression ? Répondez :
Zéro. Les conservateurs ne sont certainement pas méchants ou
extrémistes. Mais dans la zone crépusculaire de la pensée de gauche,
nous sommes les monstres.

C’est pourquoi le comportement de la gauche devient si
incompréhensible. Des géants du monde des affaires comme Sony, Disney,
Netflix, Facebook, Google, etc. ont choisi d’alimenter de force
l’idéologie de la justice sociale publique, et ont mis leur entreprise
en danger parce que de moins en moins de gens achètent la religion
qu’ils vendent. Il en va de même pour des entreprises comme Gillette ou
Starbucks, qui sont prêtes à insulter leur propre clientèle et à se
saboter pour prêcher l’évangile de la justice sociale. Pourquoi
feraient-ils ça ? Parce qu’ils voient les conservateurs comme une force
démoniaque qui doit être effacée de la société civilisée. Nous n’avons
même pas le droit d’être entendus, sinon la mauvaise magie de nos
arguments hypnotisera les masses et les détournera de la lumière du
marxisme culturel.

Une autre raison plus secrète est que, grâce à l’utilisation des
médias populaires et à l’influence des entreprises, les globalistes sont
capables d’exploiter les idiots utiles gauchistes et de les manipuler
pour qu’ils agissent de manière encore plus absurdes qu’ils ne le font
déjà. Et, par extension, ils espèrent terrifier les conservateurs en les
poussant à rejeter la Constitution et à devenir des fascistes à part
entière comme réponse défensive. Ils sont tout à fait disposés à
démanteler des structures d’entreprise entières pour rendre cela soit
possible. Ils sont en train de jouer le tout pour le tout.

Les dieux gauchistes

La justice sociale embrassant l’athéisme semble les avoir laissés
insatisfaits car leurs explications de l’existence ne satisfont pas la
relation humaine innée à la métaphysique. En conséquence, le culte
gauchiste est toujours à la recherche de dieux de nos jours, avec tout
le gouvernement qui l’entoure comme substitut pour le moment. La
divinité suivante du gauchiste est clairement la nature, ou la « terre-mère », car ce dieu satisfait leur besoin d’une force vengeresse et toute puissante.

Beaucoup de gauchistes désirent désespérément une sorte d’apocalypse,
mais une apocalypse à leurs conditions. Les globalistes leur en donnent
une, ou du moins une version grotesque appelée « changement climatique »,
dans laquelle l’homme irrite la nature avec sa production et son
progrès, mais est frappé par la catastrophe tandis que les pieux
gauchistes regardent dans leur pureté en disant « Nous avons essayé de vous avertir, mais vous ne vous repentez pas… ».
Il s’agit bien sûr d’une fiction, fondée sur une science de pacotille
financée par des organisations dont le but est de miner la vraie science
et le bon sens.

La solution à cette apocalypse, par coïncidence, finit toujours par
être plus de gouvernement, plus de contrôle sur le commerce et le
progrès humain, la réduction de la population et peut-être même la
gouvernance globale de tous les aspects de la vie. Sinon, nous risquons
de subir la colère du grand dieu de la destruction de la grande guerre
gauchiste – le réchauffement climatique alimenté par le carbone. Dans
l’esprit des gauchistes, ce sera le moment où nous comprendrons tous
qu’ils étaient sains d’esprit, que leur culte avait raison depuis le
début, et nous viendrons à eux de plein gré, nous prosternant devant
leur puissante supériorité intellectuelle.

C’est ce type de pensée ignorante qui fait du gauchisme un outil
facilement exploitable pour les pouvoirs en place. C’est aussi la source
de calamités à travers les âges. Tenter de faire appel à la meilleure
nature de ces gens ne nous aidera pas, car ils sont trop perdus dans
leur propre dimension, pas plus que d’utiliser le grand gouvernement
comme une arme contre eux. C’est un véritable casse-tête.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La globalisation du capitalisme, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus.

[Source : Mondialisation.ca]

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Par Prof Michel Chossudovsky

Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous prémunir contre l’acquisition d’une influence injustifiée, recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel.
Le risque d’une montée désastreuse d’un pouvoir mal placé existe et persistera.

(Président Dwight D. Eisenhower, 17 janvier 1961)


Le monde est trompé sur les causes et les conséquences de la crise du coronavirus.

La crise COVID-19 est marquée par une « urgence » de santé publique sous les auspices de l’OMS qui sert de prétexte et de justification au déclenchement d’un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique.

L’ingénierie sociale est appliquée. Les gouvernements sont poussés à prolonger le verrouillage, malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.

Ce qui se passe est sans précédent dans l’histoire du monde.

D’éminents scientifiques soutiennent le verrouillage sans sourciller, comme une « solution » à une urgence sanitaire mondiale.

Amplement documentées, les estimations de la maladie COVID-19, y compris la mortalité, sont grossièrement manipulées.

En retour, les gens obéissent à leurs gouvernements. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur ?

Causes contre solutions ?

La fermeture des économies nationales appliquée dans le monde entier entraînera inévitablement la pauvreté, le chômage de masse et une augmentation de la mortalité. C’est un acte de guerre économique.

Première étape : la guerre commerciale contre la Chine

Le 30 janvier 2020, le directeur général de l’OMS a déterminé que l’épidémie de coronavirus constituait une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). La décision a été prise sur la base de 150 cas confirmés en dehors de la Chine. Premiers cas de transmission de personne à personne : 6 cas aux États-Unis, 3 cas au Canada, 2 au Royaume-Uni.

Le directeur général de l’OMS a reçu le soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de Big Pharma et du Forum économique mondial (FEM). La décision de l’OMS de déclarer une urgence mondiale a été prise en marge du Forum économique mondial (WEF) de Davos, en Suisse (21-24 janvier).

Un jour plus tard (le 31 janvier), après le lancement de l’urgence mondiale de l’OMS, l’administration Trump a annoncé qu’elle refuserait l’entrée aux ressortissants étrangers « qui ont voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cela a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien, le commerce entre la Chine et les États-Unis ainsi que l’industrie du tourisme. L’Italie a suivi le mouvement, annulant tous les vols vers la Chine le 31 janvier.

La première étape s’est accompagnée de la rupture des relations commerciales avec la Chine ainsi que d’une fermeture partielle du secteur manufacturier d’exportation.

Une campagne a immédiatement été lancée contre la Chine et les Chinois. The Economist a rapporté que :

« Le coronavirus répand le racisme envers les Chinois et parmi les personnes d’origine chinoise »

« La communauté chinoise de Grande-Bretagne est confrontée au racisme en raison de l’épidémie de coronavirus »

Selon le PCSM :

« Les communautés chinoises d’outre-mer sont de plus en plus confrontées à des abus et à des discriminations racistes dans le contexte de l’épidémie de coronavirus. Certains Chinois de souche vivant au Royaume-Uni disent avoir été victimes d’une hostilité croissante à cause du virus mortel originaire de Chine ».

Et ce phénomène se produit partout aux États-Unis.

Deuxième étape : le krach financier provoqué par la peur et la manipulation des marchés boursiers

Une crise financière mondiale s’est déroulée au cours du mois de février et a culminé avec un effondrement spectaculaire des valeurs boursières ainsi qu’une baisse importante de la valeur du pétrole brut.

Cet effondrement a été manipulé. Il a fait l’objet d’un délit d’initié (« insider trading ») et d’une connaissance préalable. La campagne de peur a joué un rôle clé dans la mise en œuvre du krach boursier. En février, environ 6 000 milliards de dollars ont été effacés de la valeur des marchés boursiers dans le monde. Des pertes massives d’épargne personnelle (par exemple des Étasuniens de la classe moyenne) ont eu lieu, sans parler des faillites et des banqueroutes d’entreprises. Ce fut une véritable aubaine pour les spéculateurs institutionnels, y compris les fonds spéculatifs des entreprises. L’effondrement financier a entraîné des transferts importants de richesses monétaires dans les poches d’une poignée d’institutions financières.

Troisième étape : Verrouillage, confinement, fermeture de l’économie mondiale

Le krach financier de février a été immédiatement suivi d’un blocage au début du mois de mars. Le verrouillage et l’enfermement soutenus par l’ingénierie sociale ont contribué à la restructuration de l’économie mondiale. Appliqué presque simultanément dans un grand nombre de pays, le verrouillage a déclenché la fermeture de l’économie nationale et la déstabilisation des activités de commerce, de transport et d’investissement.

La pandémie constitue un acte de guerre économique contre l’humanité qui a entraîné une pauvreté et un chômage de masse à l’échelle mondiale.

Les politiciens mentent. Ni le verrouillage ni la fermeture des économies nationales ne constituent une solution à la crise de santé publique.

Qui contrôle les politiciens?

Pourquoi les politiciens mentent-ils ?

Ils sont les instruments politiques de l’establishment financier, y compris les « philanthropes ultra-riches ». Leur tâche est de mener à bien le projet de restructuration économique mondiale qui consiste à geler l’activité économique dans le monde entier.

Dans le cas des démocrates aux États-Unis, ils s’opposent en grande partie à la réouverture de l’économie étasunienne dans le cadre de la campagne électorale de 2020. Cette opposition à la réouverture des économies nationale et mondiale est soutenue par les grands intérêts financiers (« Big Money »).

S’agit-il d’opportunisme ou de stupidité. Dans toutes les grandes régions du monde, les politiciens ont reçu l’ordre de puissants intérêts financiers de maintenir le verrouillage et d’empêcher la réouverture de l’économie nationale.

La campagne de la peur prévaut. La distanciation sociale est appliquée. L’économie est fermée.  Des mesures totalitaires sont imposées. Selon le Dr Pascal Sacré :

… dans certains pays, des malades peuvent sortir de l’hôpital en acceptant de porter un bracelet électronique [10]. Ceci n’est qu’un échantillon de toutes les mesures totalitaires envisagées voire déjà décidées par nos gouvernements à la faveur de la crise du coronavirus. Cela va beaucoup plus loin, c’est sans limites [11] et cela touche une bonne partie du monde, sinon le monde entier.

Les « instincts de gérer les troupeaux » des hommes politiques

Les gouvernements corrompus agissent comme des « chiens bergers » avec l’ »instinct de gérer les troupeaux » de moutons.

Le « troupeau » a-t-il trop peur pour s’en prendre à son « gouvernement » ?

L’analogie peut être simpliste, mais néanmoins considérée comme pertinente par les psychologues.

« Certaines races de chiens [les politiciens corrompus] ont des instincts grégaires qui peuvent être mis en évidence par un entraînement approprié et des encouragements [des pots-de-vin]. …. apprenez à votre chien [mandataire politique] les bases de l’obéissance et voyez s’il [il, elle] montre des tendances de gardien de troupeau. … Cherchez toujours un dresseur qui utilise des méthodes de dressage basées sur la récompense [pots-de-vin, gains personnels, soutien politique, accession à de hautes fonctions] »

(Comment apprendre à votre chien à garder le troupeau)

Mais il y a une autre dimension. Les politiciens de haut niveau chargés de « convaincre leur troupeau » croient en fait aux mensonges qui leur sont imposés par une autorité supérieure.

Le mensonge devient la vérité. Les politiciens approuvent le consensus, ils appliquent l’ »ingénierie sociale », ils croient en leurs propres mensonges.

Ce n’est pas une épidémie, c’est une opération

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo (lapsus) admet tacitement, dans une déclaration quelque peu contradictoire, que le COVID-19 est un « Live exercice », une « opération » :

« Il ne s’agit pas de représailles,… Cette affaire va de l’avant – nous sommes ici dans un exercice en direct pour obtenir ce droit. »

Ce à quoi le président Trump a rétorqué « vous auriez dû nous le dire ».

Ces mots resteront dans l’histoire.



Géopolitique

Ne nous faisons pas d’illusions, il s’agit d’une opération soigneusement planifiée. Il n’y a rien de spontané ou d’accidentel. La récession économique est provoquée aux niveaux national et mondial. À son tour, cette crise est également intégrée dans la planification militaire et de renseignement des États-Unis et de l’OTAN. Elle vise non seulement à affaiblir la Chine, la Russie et l’Iran, mais elle consiste également à déstabiliser le tissu économique de l’Union européenne (UE).

« Gouvernance mondiale »

Une nouvelle étape dans l’évolution du capitalisme mondial est en train de se dérouler. Un système de « gouvernance mondiale » contrôlé par de puissants intérêts financiers, dont des fondations d’entreprises et des think tanks de Washington, supervise la prise de décision au niveau national et mondial. Les gouvernements nationaux deviennent subordonnés à la « gouvernance mondiale ». Le concept de gouvernement mondial a été soulevé par David Rockefeller (décédé en 2017) lors de la réunion de Bilderberger, Baden Allemagne, en juin 1991 :
.

«Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d’autres grandes publications dont les directeurs ont participé à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible d’élaborer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux yeux de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés. »

(cité par Aspen Times, 15 août 2011, je souligne)

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète qui va à l’encontre des intérêts des États-Unis, que ma famille et moi sommes des « internationalistes » et que nous conspirons avec d’autres dans le monde entier pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée, un seul monde si vous voulez. Si telle est l’accusation, je suis coupable, et j’en suis fier ».

(Ibid)

Les gens ne remettent pas en cause le consensus, un consensus qui frôle l’absurde.

La globalisation du capitalisme et le « paysage économique »

La crise redéfinit la structure du paysage économique mondial. Elle déstabilise les petites et moyennes entreprises dans le monde entier, elle précipite des secteurs entiers de l’économie mondiale, notamment le transport aérien, le tourisme, le commerce de détail, l’industrie manufacturière, etc. dans la faillite.  Le confinement crée la famine dans les pays en développement. Il a des implications géopolitiques.

Le Pentagone et les services de renseignement étasuniens sont impliqués. La crise du coronavirus affecte la conduite des guerres menées par les États-Unis et l’OTAN au Moyen-Orient, notamment en Syrie, en Irak, en Afghanistan et au Yémen. Elle est également utilisée pour cibler des pays spécifiques, dont l’Iran et le Venezuela.

Cette crise provoquée est sans précédent dans l’histoire du monde. Il s’agit d’un acte de guerre.

Le verrouillage déclenche un processus de désengagement des ressources humaines et matérielles du processus de production. L’économie réelle est paralysée. La réduction de l’activité économique compromet la « reproduction de la vie réelle ». Cela ne concerne pas seulement la production réelle des « nécessités de la vie » (alimentation, santé, éducation, logement), mais aussi la « reproduction » des relations sociales, des institutions politiques, de la culture, de l’identité nationale. Au moment où nous écrivons ces lignes, le verrouillage ne déclenche pas seulement une crise économique, il mine et détruit également le tissu même de la société civile, sans parler de la nature du gouvernement et des institutions de l’État (paralysés par l’accumulation des dettes), qui seront finalement privatisés sous la supervision des créanciers du « pouvoir de l‘argent » (Big Money).

Il y a des conflits au sein du système capitaliste qui sont rarement abordés par les grands médias. Les milliardaires, les puissantes institutions bancaires et financières (qui sont créanciers à la fois des gouvernements et des entreprises) mènent une guerre non déclarée contre l’économie réelle. Alors que les établissements financiers et bancaires du « pouvoir de l‘argent » (Big Money) sont des « créanciers », les entreprises de l’économie réelle qui sont déstabilisées et conduites à la faillite sont des « débiteurs ».

Faillites

Ce processus diabolique ne se limite pas à l’anéantissement des petites et moyennes entreprises. Le « pouvoir de l’argent» est également le créancier des grandes entreprises (notamment les compagnies aériennes, les chaînes d’hôtels, les laboratoires de haute technologie, les détaillants, les entreprises d’import-export, etc.

L’establishment financier mondial n’est pas monolithique. Il est marqué par des divisions et des rivalités. La faction dominante du « pouvoir de l’argent» (Big Money) cherche à déstabiliser ses concurrents de l’intérieur. Il en résulterait une série de faillites d’institutions bancaires régionales et nationales ainsi qu’un processus de consolidation financière mondiale.

Aux États-Unis, de nombreux détaillants, compagnies aériennes, chaînes de restaurants et d’hôtels ont demandé en février d’être placé sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Mais ce n’est que le début. La grande vague de faillites se produira dans le sillage du verrouillage (« The New Normal »). Et à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’établissement financier fait sans cesse pression sur les gouvernements nationaux (corrompus) pour qu’ils reportent la levée du confinement. Et les gouvernements nous disent que c’est pour « protéger les gens contre le virus ».

La province canadienne de l’Alberta, qui dépend largement des revenus du pétrole, est en faillite.

« Des pays qui représentent plus de 50 % du PIB mondial sont fermés aux entreprises. Les économistes à la recherche de comparaisons historiques mentionnent le krach boursier de 1929, la crise économique de 1974 ou la récession de 2008. Mais ils admettent que tous ces événements ne sont pas à la hauteur du bilan que cette pandémie pourrait avoir ».

(Wired News UK, 29 avril 2020

En Grande-Bretagne, des rapports récents affirment (c’est très britannique) « nous ne savons pas combien ont fait faillite ».

Une partie du paysage économique britannique a peut-être déjà été définitivement effacée, puisque quelque 21 000 entreprises britanniques de plus se sont effondrées rien qu’en mars par rapport au même mois de l’année précédente, selon les données recueillies par l’Enterprise Research Centre, un groupe de chercheurs universitaires.

Ce que ces rapports omettent de mentionner, ce sont les causes non-avouées : une campagne de peur au nom des créanciers, les instructions de gouvernements corrompus de fermer l’économie, prétendument pour « sauver des vies », ce qui est un gros mensonge. Des vies ne sont pas sauvées, et ils le savent.

La crise du coronavirus « a paralysé les affaires américaines ». Les économies nationales sont déstabilisées. L’objectif du « pouvoir de l’argent’ (Big Money) est d’affaiblir leurs concurrents, de « ramasser les morceaux » et, à la longue, de racheter ou d’éliminer les entreprises en banqueroute. Et le choix est vaste.

Capitalisme financier mondial

Les intérêts du « pouvoir financier » (Big Money) (intérêts financiers mondiaux) se recoupent avec ceux des Big Pharma, Big Oil (les supermajors du pétrole), les entrepreneurs de la Défense, etc. Les grandes institutions bancaires étasuniennes, dont JP Morgan Chase, Bank of America, Citigroup, Wells Fargo, State Street Co. et Goldman Sachs, investissent dans l’économie de guerre, notamment dans le développement d’armes nucléaires dans le cadre du programme d’armement nucléaire de Trump, d’un montant de 1,2 trillion de dollars (mis en place sous Obama).

L’objectif ultime du « pouvoir de l’argent » (« Big Money ») est de transformer les États nationaux (avec leurs propres institutions et une économie nationale) en « territoires économiques ouverts ». C’est le sort de l’Irak et de l’Afghanistan. Mais maintenant, vous pouvez le faire sans envoyer de troupes, en ordonnant simplement à des gouvernements par procuration (proxy government) asservis par des politiciens corrompus de fermer leur économie pour des raisons humanitaires, ce qu’on appelle la « responsabilité de protéger » (R2P) sans qu’il soit nécessaire d’intervenir militairement.

Impossible à estimer ou à évaluer. Plus de la moitié de l’économie mondiale est perturbée ou au point mort.

Soyons clairs. Il s’agit d’un programme impérial (imperial agenda). Que veulent les élites financières mondiales ? Privatiser l’État ? Posséder et privatiser la planète entière ?

La tendance est à la centralisation et à la concentration du pouvoir économique. Les gouvernements nationaux lourdement endettés sont les instruments du « pouvoir de l’argent » (Big Money). Ils sont des mandataires. Les principales nominations politiques sont contrôlées par des groupes de pression représentant Wall Street, le complexe militaro-industriel, les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes sociétés pétrolières, les médias d’entreprise et les géants de la communication numérique, etc.

En Europe et en Amérique, le « pouvoir de l’argent » (« Big Money« ) (par l’intermédiaire des groupes de pression de Washington) cherche à contrôler les gouvernements nationaux.

Dans quelle direction allons-nous ? Quel est l’avenir de l’humanité ? La crise actuelle du coronavirus est un projet impérial sophistiqué, qui consiste en une domination mondiale par une poignée de conglomérats de plusieurs milliards de dollars. Est-ce la troisième guerre mondiale ? Le capitalisme mondial détruit le capitalisme national.

L’intention tacite du capitalisme mondial est la destruction de l’État-nation et de ses institutions, ce qui conduit à une pauvreté mondiale d’une ampleur sans précédent.

La citation suivante de Lénine, datée de décembre 1915 au plus fort de la Première Guerre mondiale, a mis en évidence avec clairvoyance certaines des contradictions auxquelles nous sommes actuellement confrontés. D’autre part, nous devons comprendre qu’il n’y a pas de solutions faciles et que cette crise vise à renforcer l’impérialisme et l’emprise du capitalisme mondial :

« Il ne fait aucun doute que le développement va dans le sens d’un monopole corporatif mondial (single World trust ) qui engloutira toutes les entreprises et tous les États sans exception. Mais le développement dans cette direction se fait sous une telle pression, avec un tel rythme, avec de telles contradictions, conflits et convulsions non seulement économiques, mais aussi politiques, nationales, etc. etc. – qu’avant qu’un monopole corporatif mondial ne soit atteint, avant que les capitales financières nationales respectives n’aient formé une « Union mondiale » d’ultra-impérialisme, l’impérialisme explosera et le capitalisme deviendra son contraire.»

(V. I. Lénine, Introduction to Imperialism and World Economy by N, Bukharin, Martin Lawrence, Londres, imprimé aux États-Unis, édition russe, novembre 1917)

Comment inverser la tendance. La première priorité est d’abroger le mensonge.

À cet égard, il est regrettable que de nombreuses personnes « progressistes » (y compris des intellectuels de gauche éminents) soient – malgré les mensonges – favorables au verrouillage et à la fermeture de l’économie comme solution à l’urgence de santé publique. C’est la position du parti démocrate aux États-Unis, qui va à l’encontre du bon sens.

La vérité est une arme puissante pour abroger les mensonges des médias corporatifs et des gouvernements.

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Sans la campagne de peur et la propagande médiatique, les actions entreprises par nos gouvernements n’auraient pas de fondement.

La « distanciation sociale » n’empêche pas les élites financières de donner des instructions à des politiciens corrompus.

D’autre part, la « distanciation sociale » combinée au confinement est utilisée comme un moyen de subordination sociale. Elle empêche les gens de se réunir et de protester contre ce soi-disant nouvel ordre mondial.

L’organisation, la vérité et la solidarité sont essentielles pour renverser la tendance. La première étape d’un mouvement mondial est la « contre-propagande ».

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

Global Capitalism, “World Government” and the Corona Crisis

Traduit par Maya pour Mondialisation
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2020




POUR UN COUP D’ÉTAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

[Source : https://polemique.roman-livre.com/]

[Comme complément à l’article Annonce du renversement du gouvernement français.]

POUR UN COUP D’ETAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

SELON LE JUSTE DROIT

84 MESURES

dont

15 à prise d’effet immédiat

suivies de la

Déclaration du Peuple de France


ATTENDU qu’il est prescrit en cas d’invasion ou de tyrannie que le peuple a non seulement le droit, mais le devoir de se révolter et de repousser ses envahisseurs et tyrans

ATTENDU que s’il n’agit pas, il sera coupable de trahison et perdra de ce fait tout droit à revendiquer ce qui lui appartient

ATTENDU que la Résolution 37/43 de l’Assemblée générale des Nations Unies, adoptée le 3 décembre 1982 : « Réaffirme la légitimité de la lutte des peuples pour l’indépendance, l’intégrité territoriale, l’unité nationale et la libération de la domination étrangère et coloniale et de l’occupation étrangère par tous les moyens disponibles, incluant la lutte armée » (voir aussi les Résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies 1514, 3070, 3103, 3246, 3328, 3382, 3421, 3481, 31/91, 32/42 et 32/154), le droit à la résistance est établi, et non seulement, mais encore conforté, légitimé par l’article 1er §4 du premier protocole additionnel de Genève du 08 juin 1977 qui précise que, parmi les conflits armés internationaux, figurent ceux « dans lesquels les peuples luttent contre la domination coloniale et l’occupation étrangère et contre les régimes racistes dans l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes… « 

ATTENDU que les peuples occidentaux sont occupés illégalement, d’une part du fait d’envahisseurs importés qui font régner une terreur dans les rues, d’autre part du fait d’une élite apatride inversée parfaitement identifiée, qui ne fait pas mystère de ses vœux et fait venir ces envahisseurs aux fins de détruire les dits peuples, qui a subverti à son profit tous les rouages de l’État ainsi que les médias de propagande, agissant sous couvert laïc mais en réalité confessionnelle, sectaire, suprémaciste et racialiste, la libération est rendue absolument impérative et juste, par quelque moyen que ce soit

ATTENDU que les peuples déplacés par ces migrations subventionnées occasionnent à leur pays d’origine déchéance, pauvreté, perte de souveraineté et défaut de développement

ATTENDU que les gouvernants successifs de la « République française » se sont montrés incapables de maintenir la paix, la Justice, l’instruction, la santé, la vie privée, la liberté, l’économie, la sécurité et a fortiori la prospérité, et tout ce qui découle des précédentes

ATTENDU que non seulement ils n’ont pas été compétents en ce sens mais se sont montrés particulièrement zélés à détruire tout cela, qu’ils ont par ailleurs profité de moult avantages par produisant l’enrichissement personnel, l’amnistie systématique, l’immunité judiciaire, la reconduite aux postes via diverses manipulations de la loi électrorale et des scrutins eux-mêmes, tandis qu’ils étaient souvent majoritairement condamnables en maintes affaires où leurs concitoyens ont été lésés, qu’ils ont multiplié pillages, crimes, viols, déprédations de toutes sortes y compris de sortes qui ne sont pas prévues par la loi, famines, meurtres de masse y compris de petits enfants, maladies et épidémies, concussion, corruption, prévarication, népotisme, manipulations successives des lois et des institutions, dilapidation des ressources publiques et privées, privatisations indues, qu’ils ont engagé le peuple par des signatures contre lesquelles il s’opposait formellement, quand, encore, il était consulté

et pour bien d’autres motifs encore, déclarons solennellement :


Françaises, Français,

Notre pays a connu l’équivalent d’une guerre. Non seulement notre pays, mais une bonne partie de l’Europe, et bien d’autres pays dans le monde. Tout a été saccagé. Etat, santé, justice, éducation, économie, autorité publique, armées, patrimoine, tout est à terre.

Pis encore: une véritable entreprise de destruction vise non plus seulement vos biens, mais vous-mêmes et votre descendance.

Tout est violé aussi, jusqu’aux textes fondateurs [1].

Nous devons donc agir.

Le coup d’Etat se fera dans l’ordre, dans le respect des personnes et, au cas où quiconque serait atteint dans son intégrité par les nécessités de l’action physique, dans le respect de la loi morale supérieure.

Le gouvernement provisoire prendra les premières décisions suivantes, immédiatement applicables[2].

  1. Suspension immédiate de tout épandage par voie aérienne ou autre; l’épandage de produit non naturel est considéré comme empoisonnement de masse, dorénavant formellement interdit, et passible de la peine maximale encourue
  2. Arrêt de toute installation du réseau 5G. Toute tentative est considérée comme dans art. précédent
  3. Suspension de l’activité, jusqu’à nouvel ordre et hormis les forces de maintien de la sécurité, de toutes les institutions, Ministères, Chambres, Ordres, Conseils, Agences, Bureaux, Observatoires, en bref toute organisation étatique ou para-étatique qui se comptent dans ce pays par millions, certaines pour une durée très courte afin de ne point permettre le chaos, d’autres définitivement, pour le faire cesser
  4. Suspension de toute activité des organisations étatiques ou para-étatiques notamment d’autorité ou de surveillance publique, policières et militaires ou non, clandestines ou déclarées, sauf en ce qui concerne le maintien de l’ordre public strictement compris [39]; suspension de tout vol militaire jusqu’à nouvel ordre
  5. Interdiction de toute vaccination de masse, et rétablissement de la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques
  6. Annulation de toute amende (y compris contractée lors des dernières manifestations populaires non-syndicales, hors actes de déprédation et agressions, ou pour défaut de port du masque, interdiction renouvelée du masque)
  7. Suspension de l’impôt ou tout autre prélèvement direct, jusqu’à nouvel ordre
  8. Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Schengen et rétablissement des frontières
  9. Défiscalisation totale et déréglementation massive à prise d’effet immédiat pour les métiers de productions naturelles (agriculture, pêche, maraîchage) [10] sous condition de production à bilan kilocalorique positif [10bis]. Suppression des contraintes sur les métiers (administratives, réglementaires, sécuritaires etc.) au niveau de 1950 (sauf exceptions spécifiques)
  10. Défiscalisation totale et déréglementation des métiers à revenu précaire
  11. Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion [11] et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques, amnistie totale et indemnisation maximale, réhabilitation des chercheurs et/ou lanceurs d’alerte persécutés pour le motif de leur travaux, de leur expression écrite ou orale; poursuite et condamnation de leurs persécuteurs, juges y compris
  12. Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement partiel du parc, abrogation de l’écotaxe; suspension et suppression de tous les compteurs télécommandés, rétablissement de l’obligation du contact direct entre fournisseur et client [42]
  13. Mise en examen immédiate de tous les ministres, secrétaires d’État ou conseillers divers ayant participé aux derniers gouvernements depuis 1981, saisie de leurs biens en attendant leur comparution
  14. Suspension et mise en examen de tout juge appartenant à une maçonnerie ou organisation secrète antinationale, en attendant jugement et saisie universelle des biens
  15. Mise à pied de tout policier ayant commis des violences ou procédé à des arrestations abusives sur manifestants dans les 5 dernières années, en attente de leur jugement

Viennent ensuite les décisions suivantes :

  1. Suppression de 580 taxes, impôts, droits, prélèvements, contributions, versements et autres ou redevances (sur les environ 600), avec effet immédiat et rétroactif sur les 5 exercices précédents (dont suppression immédiate de la TVA, de la CSG, de toutes taxes sur la production d’énergie, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, de la Taxe Foncière, des Droits de succession. Baisse de la TIPP [4] — prix à la pompe). Création d’une TVA sociale (appliquée aux seuls produits d’importation)
  2. Pénalisation maximale de toute traite humaine
  3. Rétablissement immédiat de la sécurité [44] sur l’ensemble du territoire, selon les directives édictées par le gouvernement provisoire, notamment dans les quartiers et villes perdus. La force publique, qui agira à bon escient, selon directives et instructions nettes et avec des moyens nouveaux, aura carte blanche et ne saurait être inquiétée judiciairement durant la période considérée
  4. Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse drastique de l’impôt sur les sociétés dont plus de la moitié du capital est détenu par de vrais Français [5]
  5. Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 875€, abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer) [7]
  6. Dissolution de 29 ministères ou missions de l’État (parmi liste) [8]. Le Ministère de l’Éducation nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique [9]. La dissolution des ministères entraîne la disparition des normes et obligations qu’ils édictent
  7. Refonte de tous Codes (du travail, etc.) voire abolition (Code dit de l’Éducation etc.) [43]
  8. Sortie de l’Europe dans les meilleurs délais (non-négociables par l’Europe), Frexit. Retour du franc
  9. Restauration immédiate du statut du peuple souverain [38]. Le peuple gouverne directement, extinction du système politique. Généralisation du système référendaire, participation directe à l’exercice législatif et judiciaire. Consultation nationale étendue et de droit
  10. Dissolution des deux Chambres parlementaires et refonte de la représentation nationale selon de nouveaux postulats intégrant l’expertise; remplacement du Sénat par une assemblée de Sages maîtres en leurs domaines, en nombre réduit, engagés sur leur vie, dont le rôle est le conseil de la Nation, qui exerce directement le pouvoir. Abolition de la fonction du politicien (qui ne sait que faire de la politique en tant que telle)
  11. Abolition de la maçonnerie, des sectes satanistes et diverses organisations délinquantes ou criminelles (Dissolution formelle de la franc-maçonnerie du CRIF, de la LICRA, de SOS-Racisme, du Betar, des ligues Antifa etc., coupables de menées antinationales, violences, subversion, violation des droits du peuple et Haute trahison), interdiction d’y appartenir; pénalisation de toute participation, pour un fonctionnaire à une organisation privée (hors clubs associatifs, sportifs etc.). Mise à pied et mise en examen immédiates, avec privation de liberté, saisie des biens et déchéance de nationalité, de tout fonctionnaire maçon du 33ème degré et supérieurs
  12. Annulation de la dette nationale pour toute la part de l’intérêt, moratoire sur le principal [3]. L’État ne peut plus emprunter sur un terme dépassant 7 ans
  13. Remplacement systématique de tous les documents d’identité biométrique par des documents papier [40]. On abandonnera à terme le passeport, qui n’existait pas avant 1914
  14. Séparation de l’État et des banques commerciales, restauration du statut de la Banque de France dont les membres, absolus (i.e. ab soluta: libres de tout lien) seront garants sur leurs biens. Les premières banques privées par l’importance sont nationalisées et confiées à des organismes indépendants [41] [45]
  15. Rétablissement des Droits et Devoirs régaliens de l’État et budgets attachés : Défense, Justice, Finances (et émission de la monnaie), Droit de Grâce, Aménagement du Territoire, Diplomatie
  16. Refonte des attributions et pouvoir des mairies selon les meilleures propositions des Cahiers de doléances
  17. Annulation des déficits personnels pour raison d’endettement passif des particuliers
  18. Rétablissement du droit de poursuites des laboratoires en cas d’effets secondaires indésirables ou délétères pour l’un quelconque de leurs produits. Plus de 70 cas jugés conduisent à l’interdiction dudit produit
  19. Dissolution des « ordres » (de médecins etc.), rétablissement de la liberté médicale
  20. Rétablissement de l’herboristerie, interdiction des brevets sur le vivant. Le système de santé s’orientera vers les plantes et le monde naturel, il s’éloignera de la médecine lucrative
  21. Prohibition du remboursement de l’avortement et de toute organisation ou communication qui y serait favorable. Interdiction formelle sous peine des sanctions les plus sévères, de toute vente ou achat de tout organe ou élément extrait, sous quelque forme que ce soit, d’un embryon ou d’un corps, né ou à naître. Dissolution du Planning familial et organisations associées, comparution des dirigeants pour crime contre l’Humanité, saisie universelle des biens des dites organisations et des personnels, à quelque degré qu’ils appartiennent
  22. Interdiction de la PMA et de la GPA, de l’adoption par les couples homosexuels [46]
  23. Abolition de l’appariage homosexuel et du PACS. Être homosexuel est une affaire privée, la population n’a pas à financer les mœurs. L’État quant à lui se doit constitutionnellement de ne financer que ce qui assure la perpétuation de la vie
  24. Déchéance de la nationalité pour tout Français « de papier » (c’est-à-dire ayant obtenu la nationalité étant né à l’étranger ou enfant, ou petit-enfant d’étranger) commettant tout acte délictueux sanctionné par une condamnation à une peine de prison excédant un mois de prison avec sursis, et expulsion dans le pays d’origine, ou à défaut de reconnaissance d’une quelconque origine nationale, en territoire d’outre-mer aménagé à cet effet
  25. Renforcement des peines prévues pour outrage à la pudeur, aux bonnes mœurs et à la dignité. Interdiction des manifestations de rue sexualistes, de la débauche publique, fermeture de tout établissement atteignant à la morale publique, de tout débit de drogue, de tout club décadent, de toute publication ou affichage similaire ou promouvant la subversion morale ou politique, de tout site internet similaire, avec peines de prison fermes en cas de récidive
  26. Reconduite immédiate à la frontière des délinquants étrangers au premier délit sans possibilité de retour avant 5 ans [30], après paiement au-delà des seules réparations. Peine d’intérêt général en cas de faillite personnelle 
  27. Tout signe public offensant à caractère sexuel ou injure invoquant la sexualité ou mettant en cause une quelconque parenté de la victime [41] est sanctionné par une mise en examen
  28. Toute injure prononcée par un étranger envers un national conduit à l’expulsion immédiate, à ses frais, ainsi que tout désordre public ou atteinte à la tranquillité publique
  29. Détricotage législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative [12]. Abrogation des circulaires, et ordonnances, suppression de tout décret n’étant pas circonscrit dans l’application stricte de la loi qu’il est censé illustrer. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen [13]. Toutes les lois, obligations (vaccinale par exemple) ou interdits votés et édictés depuis 1789 repassent devant le consentement populaire et la chambre législative, l’une après l’autre
  30. Établissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, interdiction des productions dites intensives, retour aux méthodes naturelles
  31. Diminution drastique du nombre d’élus [14], maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants [15]
  32. Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’État et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants [16], engagements déontologiques stricts. Quasi-suppression des personnels des institutions centrales (chambres parlementaires, cours etc.)S
  33. Instauration d’une juridiction populaire jugeant les fonctionnaires sur saisine des citoyens, avec perte du statut après deux condamnations prononcées. Fin, de ce fait, de « l’emploi à vie »
  34. Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
  35. Proclamation de l’inutilité des politiques, création d’un régime populaire à exercice direct, référendaire, législatif, judiciaire, sous contrôle de l’assemblée nouvelle
  36. Pénalisation de toute chirurgie-charcuterie visant à changer de sexe, avec peines de 10 années de réclusion incompressibles
  37. Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
  38. Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons [17] (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
  39. Établissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe) [18]
  40. Suppression du département
  41. Suppression des mots faux et maçonniques « Égalité, fraternité » dans la devise nationale. Création d’une nouvelle devise
  42. Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales [19]. La production d’un document administratif par l’administration sera rendu difficile et il sera rappelé qu’aucun n’est opposable au citoyen s’il n’en passe par la loi
  43. La loi et la loi seule: abolition des divers codes de l’Éducation, de Santé etc.
  44. Contingentement de l’impôt territorial et national [6]
  45. Abolition des zones et banques défiscalisées de Polynésie ou d’ailleurs (où les politiciens français possèdent des comptes qui leur permettent de voir leurs chèques jamais encaissés par le Trésor public)
  46. Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes [20]. Rétablissement de la Justice selon l’esprit de la loi. Réhabilitation des juges d’instruction. Refonte du Code pénal et des divers autres textes. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans et leurs revenus personnels corrélés à leurs résultats, selon votation des personnes qu’ils ont eues à juger
  47. Sortie de l’Europe légale [21]
  48. Modification de la Constitution, restauration des principes sacrés
  49. Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire [22]. Taxation sur le sol national de la dite spéculation boursière et bancaire. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête à ses institutions, sous contrôle populaire
  50. Défiscalisation des échanges locaux libres
  51. Dissolution des centaines de milliers d’officines, agences, bureaux, dont Pôle-Emploi, le RSI, les CMPP, la DPJ, la MDPH, l’ASE, la PMI et autres organisations para-étatique plus ou moins légales, légitimes ou même mafieuses [23]. Fin effective du monopole de la Sécurité sociale [24]. Condamnation de l’organisme pour chaque empêchement constaté, et mise à pied des juges qui auraient voté en ce sens dans les 3 dernières décennies
  52. Interdiction pour les organisations para-étatiques de prétendre agir pour l’Etat, abandon de toutes les délégations usurpées
  53. Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles, voire culturelles [25]
  54. Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique [26] par consultation populaire (ne seront maintenues que les organisations recueillant plus de 80% d’avis favorables) ou par type d’activité, arrêt des subventions à la presse [27]
  55. Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes
  56. Politique migratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement [28]. Abolition de la décapitation migratoire, rejet des envahisseurs à la mer
  57. Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers en situation irrégulière [29] ou vivant à l’étranger
  58. Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
  59. Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures à échéance fixe, sous peine de nullité [31]. Création de l’infraction d’outre-délai, sanction des personnels judiciaires en ce cas, perte de la fonction à la troisième récidive. Budgets adéquats du domaine judiciaire
  60. Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique [32]
  61. Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux [33], interdiction de production, stockage et transit de ces produits
  62. Relance de la production d’énergies libres(défiscalisation), abandon de l’éolien et du photovoltaïque et autres opérations de pure spéculation [34]
  63. Démantèlement intégral du réseau 5G et prohibition de toute technologie de communication anti-biologique
  64. Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement [35], renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc. [36]
  65. Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
  66. Retrait général de l’État dans ses fonctions régaliennes
  67. Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement
  68. Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
  69. Libération de l’initiative entrepreneuriale nationale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu bénéficiaire déterminé [37]
  70. Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités et grandes écoles, liberté de fondation d’établissement, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
  71. Grands travaux pour le transport à très grande vitesse individuel porte-à-porte en vue du développement de l’intégralité des territoires et connexion aux pays voisins
  72. Grands travaux de restauration et reconstruction des monuments, châteaux, monastères et autres ayant été détruits par la révolution, les périodes de trouble, la fiscalité ou les politiques et révolutions urbaines
  73. Suppression du changement d’heure (été-hiver)
  74. Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audiovisuelle par le CSA etc.)
  75. Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
  76. Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes
  77. Établissement d’un monarque, représentant la souveraineté populaire et assurant la perpétuation des éléments fondateurs sacrés  la Nation, ayant pouvoir de s’opposer à une loi au nom des principes sacrés de la Nation, disposant d’un pouvoir judiciaire étendu et régalien, capable de dissoudre des organisations non-institutionnelles ou de dessaisir des personnes, quelles qu’elles soient, sans procédure, au nom des mêmes principes. Il est ab-soluta, absolu, c’est-à-dire sans lien à aucun lobby ou contre-pouvoir, il est libre. Nulle chambre n’a préséance sur lui
  78. Le peuple a le pouvoir de déposer le monarque s’il le demande à concurrence de 80% des voix
  79. Le monarque est issu d’une assemblée de gens formés dès le jeune âge à tous les métiers du peuple, par les métiers et choisi en son sein par l’ensemble des institutions et du peuple, à concurrence de 75% de voix du peuple et le reste aux institutions. Le monarque ne peut en aucun cas appartenir à quelque organisation politique ou assimilée que ce soit, il n’a le droit d’assister à aucune assemblée secrète à l’étranger, toutes ses dépenses se font sur ses fonds propres, il ne dispose pas de budget, sauf exception
  80. Rétablissement d’une vraie Assemblée nationale, à nombre de parlementaires réduits (50 représentants maximum), en charge des lois décidées par le peuple
  81. Établissement de l’Assemblée des Sages (400p) désignés par les corporations (organisations des métiers) veillant à amender, conseiller, recomposer les lois décidées par le peuple et les mises en œuvre de l’Assemblée nationale
  82. Rétablissement des Corporations qui protègent les citoyens, dirigées directement par eux et présidées par leurs représentants, qui ne peuvent être membre du Conseil des Sages
  83. Abolition des subventions aux « mémoires » racialistes ou idéologiques. Démantèlement des monuments idolâtres « mémoriels » de la pensée officielle abolie, destruction de tout signe, ouvrage, œuvre, support quelconque ou bâtiment créé avec l’argent public à ces fins scélérates
  84. Retour à l’heure naturelle

Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles

Déclaration du Peuple de France

À vous, le Peuple :

à l’origine, la démocratie devait assurer votre existence sous la protection des institutions. Vous en avez été chassés.

Les politiques ont détruit le pays, en transformant progressivement des principes démocratiques en un système inique et privé. Armés de principes inadaptés et pauvres, ils ne pouvaient assumer un devoir qui dépassait leurs capacités. Ils ont ainsi failli à leur tâche et à leurs obligations. En revanche, ils ont apporté zèle et efforts à la destruction universelle du pays.

Vous restez devoir obéir aux lois, ils s’en sont dispensés.

La pauvreté ronge lentement vos revenus, la loi diminue inéluctablement vos droits, votre santé est sabotée, votre éducation dépouillée, la justice partisane, vos administrations laminées, votre sécurité n’est plus assurée et, pour finir, les subsides publics ont acheté vos libertés.

¨Par des épandages aériens, votre intégrité, votre santé sont directement menacés.

Par le port du masque en dépit des résultats incontestables de pays qui n’en ont pas fait usage, on a diminué votre immunité, augmenté votre stress oxydatif, intoxiqué par votre propre gaz carbonique. Par la « distanciation sociale », on vous a soumis à des comportements contrôlés.

Tout cela, et pas même le dixième, nos ancêtres ne l’auraient jamais accepté. Jamais nos enfants ne pourront vivre avec ce que nous leur laissons — si vivre est un mot qui a encore un sens demain.

Jusqu’ici, en votant pour les partis et en croyant en d’éventuels changements perpétuellement retardés, vous y avez consenti.

Or, depuis le niveau de prospérité jusqu’à la place de la France dans le monde, l’essentiel n’a été que recul. La France, en trois décennies, a vieilli de cinquante.

Et s’il fallait se contenter de peu, le Français avait les moyens matériels, privilégiés à la surface de la Terre, de vivre heureux. La logique de son système moderne, révolutionnaire, portait en germe sa mort lente. L’argent qui lui est volé par le fisc et les tribunaux finance sa perte.

Voici l’odieuse réalité : vous payez pour mourir.

On prétend souvent que c’est le paysan « accablé sous le poids de l’impôt » qui a fait la Révolution. Or, il ne payait l’équivalent que de 18 jours de travail en impôts (gabelle, taille, vingtième, etc.) alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes libéré qu’après 208 jours, soit onze fois plus. Libéré, le mot n’est pas trop fort : le peu qu’il vous reste de droit à vivre est prisonnier.

Il n’y a pas de salut dans le système, il est entre ces mains-là qui détiennent richesses et pouvoirs, et jamais ces mains n’ont été à la fois aussi peu nombreuses et aussi puissantes. La menace totalitaire est universelle.

Si bien que l’inconséquence des gouvernements n’a été que le relais de la spéculation mondialiste. Mais il y a eu aussi, ayons le courage de le reconnaître, à notre niveau quotidien, des relais locaux, presse, syndicats ou associations, qui se chargeaient de votre assentiment. Vous avez vécu une paresse et une léthargie qui n’ont abouti qu’à plus de dépendance, plus de droits coûteux et sans avantages, à plus de désespérance, de conservatisme. En prenant d’une main, et sans penser aux générations à venir, le confort, les avantages et la protection, vous rétrocédiez de l’autre la liberté, la prospérité et la solidarité.

Nous avons laissé tuer l’exception, l’originalité, la créativité qui étaient justement parmi nos plus précieux trésors, qui en réalité étaient le génie français.

On vous a servi du mensonge et vous avez voulu y croire.

Il est l’heure de renoncer à vos chaînes, et de reprendre le pouvoir qui vous a été enlevé.

Pendant que vous auriez besoin de quelques centaines d’euros par an pour mieux vivre, des milliards sont consacrés à des causes scandaleuses. On renfloue des banques qui spéculent sur le désastre et engrangent, en pleine crise, d’énormes dividendes. On fiance des gay-pride, des entreprises criminelles même.

Vous travaillez d’arrache-pied alors que l’oisiveté rapporte souvent davantage.

Les services publics, abandonnés, sont dépourvus de moyens.

Vous êtes submergés de paperasses, de normes, de directives, qui font qu’au lieu de vous consacrer à votre métier, vous donnez votre vie au néant.

Pendant que vous craignez pour votre emploi, on favorise les délocalisations.

Alors que tous les progrès sont possibles, on vous maintient dans la contrainte de systèmes caduques.

Vous ne trouvez pas à vous loger, pendant que les collectivités possèdent les plus monstrueux parcs immobiliers de l’Histoire et que les trusts engrangent les plus fabuleuses fortunes de tous les temps.

Votre bonne volonté et votre bénévolat suppléent aux carences de l’Etat, tandis qu’il ne craint pas de vous appliquer des sanctions et des amendes, de faire valoir des lois que vous seuls respectez.

On fait mine de consacrer quelques dépenses à une écologie purement de façade, et on maintient des structures polluantes depuis la production jusqu’à la consommation.

Vous risquez votre vie dans une société investie par la violence.

On a livré au marché vos terres, votre travail, votre maison et maintenant on vous livre, vous.

Mais il y a plus grave : une nouvelle guerre est déclarée, s’attaquant non plus seulement aux biens de l’homme ou à sa liberté, mais cette fois à sa nature même.

Tout cela, maintenant, vous le savez. Vous avez fait ces constats et un million d’autres.

Ce qui se passe n’est pas seulement vrai en France, c’est vrai dans bien d’autres pays.

Les fausses élites se connaissent toutes et s’arrangent entre elles, elles signent en votre nom, par-dessus vos têtes, des traités qui vous engagent sans que vous ayez été consultés, d’autres même que, parfois, vous avez rejetés.

Qui tient la dette tient les nations. Les politiques, qui ne sont rien sans l’argent de la finance, ont creusé les déficits et accru le chômage, pendant qu’ils se votaient des avantages et des amnisties. Mais voyez, ils ne sont rien : ni légitimes, ni compétents. Ils n’ont jamais recueilli de véritables majorités, ils ne comptent ni l’absentéisme électoral ni les votes blancs, qui sont majorité.

Ils n’aiment pas le territoire, d’un côté ils en abandonnent des parts entières à des mafias et des trafiquants, de l’autre ils cèdent tout à l’Europe, cette Europe dont les chefs exécutifs sont désignés et non élus. Ils n’ont pas spécialement besoin de votre santé. Ils n’aiment pas votre liberté, ils votent chaque semaine de nouveaux interdits et de nouvelles obligations. Ils n’aiment pas votre travail, ils bradent vos emplois.

Ils n’aiment rien en fait de ce qui constitue le corps et l’âme du pays.

En un mot : tout marche à l’envers. Nous sommes dans un système inversé. Ce qui était bon est rejeté, ce qui est mauvais est institutionnalisé. La politique ne sert plus l’homme, c’est l’homme qui sert la politique. L’homme a disparu de la politique, en réalité, et les discours mentent.

N’en parlons plus. Agissons.

Nous ferons notre devoir, parce que nous refusons que ne s’imposent, soit la guerre civile, soit des partis dangereux. Car tout n’est pas fini. La France peut renaître, parce qu’il y a encore les Français.

Nous n’attendrons pas le départ des politiques, nous prenons le pouvoir.

Nous sommes le peuple.

Nous n’allons pas réformer le système, nous allons en changer.

Nous allons refonder une légitimité. Nous développerons un pays de notre siècle et des siècles prochains, en lien avec le monde, pour une prospérité universelle.

Craignez-vous la loi ? Mais, Français, votre volonté prime sur la loi ou les institutions, car la seule légitimité réelle, celle dont parlent les textes fondateurs est, en fait, la vôtre ! Vous pouvez tout puisque le droit, c’est d’abord la nation. Qu’elle s’exprime enfin !

A présent, vous vous révoltez. Il était temps.

Alors, prenons le pouvoir, dans une démarche conforme à l’esprit de la vraie civilisation !

Voici donc notre appel solennel. En ce jour, nous délions les Français de leurs engagements vis-à-vis d’un système politique qui ne les représente plus, nous répudions les traités que nous n’avons pas signés, nous rejetons les contrats faits sans nous.

Nous choisirons ce qui doit être conservé, et ce qui doit être enlevé. Nous séparerons le bon grain de l’ivraie.

Il n’y a pas de problème que le génie humain ne puisse résoudre, si on lui en laisse la liberté. C’est cette liberté que nous reprenons.

La société française sera désormais consacrée à l’Homme et non plus aux institutions, aux groupes d’intérêts ou à la spéculation.

Le mouvement de civilisation qui partait de l’homme individualiste, sans lien à autrui, et qui le distrayait vers les ensembles continentaux et universels, anonymes et déracinés, reviendra puiser à un universel qui nourrit l’individu. Le sens de l’homme est dans sa proximité, dans son incarnation, l’homme se justifie par son prochain. L’homme n’est pas gouvernable à distance, il n’est pas fait pour les quêtes éthérées, sans lien, ni pour les spéculations sans fondements réels. L’idée qui ne surgit pas du réel tue l’homme. En ce sens, nous tournons le dos aux deux derniers siècles qui ont été les siècles des idéologies.

Nous réconcilierons l’homme et le réel. Le vivant contient les réponses. Le réel est vie.

Nous voulons une civilisation de la vie. Nous la déclarons sacrée, alpha et oméga de la civilisation renouvelée.

Tous les Français de bonne volonté sont conviés à défendre le renouvellement national, puisqu’ils sont les seuls légitimes à gouverner, en tant que souverains de leur pays.

Les effectifs de police, de gendarmerie et les divers services de sécurité seront solennellement appelées à se mettre en situation de maintenir la paix et l’ordre en tous lieux du territoire, sans attendre ni accepter aucun ordre des responsables qui les ont trahis.

Nous assumerons l’entière responsabilité du destin national jusqu’à ce qu’un nouveau régime stable, garant des libertés, de la prospérité, de l’intégrité nationale, du respect dû aux personnes, soit offert à vos vœux. Nous mettrons en effet en place toutes les circonstances favorables à des élections, les premières véritables élections libres et universelles de France.

Les zones non contrôlées seront rendues à la nation. Nous libérerons les captifs, les endettés, les sans-abris, d’une situation qu’ils n’ont jamais méritée.

A bas la République, vive la vraie France !




L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »

[Sources : Guy Boulianne et Le blog de Jeanne Smits]


[Le blog de Jeanne Smits]
Vous trouverez ci-dessous la lettre que vient d’envoyer Mgr Carlo Maria Viganò au président des Etats-Unis, Donald Trump, pour l’encourager à tenir bon face aux forces du mal qui se déploient pour mettre en place le Great Reset, la Grande réinitialisation, au moyen d’une dictature sanitaire inédite. Je remercie le lecteur de mon blog qui a bien voulu me transmettre sa traduction française du texte d’abord publié en anglais par LifeSiteNews. Il s’agit pour l’heure d’une traduction non officielle de cet appel à l’espérance. – J.S.


[Guy Boulianne]
[Traduction Benoît & Moi]  À la veille de l’élection présidentielle américaine, et au moment où la pandémie du covid a permis l’imposition de mesures liberticides qui auraient été impensables il y a encore quelques mois, il devient moins facile de liquider comme complotistes ceux qui dénoncent le plan global de « Great reset » (Grande Réinitialisation) contre Dieu et l’homme dont les différentes formes de confinement en cours sont les prémisses sous les yeux de tous. L’ex-nonce à Washington s’adresse solennellement à l’homme en qui il voit – peut-être contre toute attente – celui que la Providence a choisi pour être le Katechon, empêchant l’accomplissement du « mystère d’iniquité ».

L’archevêque Carlo Maria Viganò s’est fait connaître sur la scène internationale en 2018 en tant que dénonciateur du Vatican, appelant le pape François à démissionner et l’accusant de couvrir des accusations d’abus sexuels contre des religieux de premier plan, dont le cardinal Theodore McCarrick, et de promouvoir un « courant homosexuel » dans la curie du Vatican.

En 2009, Carlo Maria Viganò fut nommé secrétaire général pour le gouvernorat du Vatican. À ce titre, il mit en place des procédures comptables, ce qui permit de dégager un déficit de 10,5 millions de dollars pour le Vatican et un excédent de 44 millions de dollars en un an. En 2010, Viganò proposa que la Cité du Vatican sorte de l’euro afin d’éviter de nouvelles réglementations bancaires. Le Vatican rejeta sa proposition et accepta les contrôles exigés ainsi que des réglementations bancaires plus strictes.

Au Vatican, il lutta contre la corruption et le népotisme, jusqu’à remettre en cause le cardinal Tarcisio Bertone, alors secrétaire d’État. Des documents confidentiels et des correspondances sont révélés aux yeux de tous, c’est le scandale du vatileaks. Dans certains de ces courriers, Viganò se plaint d’avoir été muté en 2011 comme nonce apostolique à Washington pour, selon ses dires, avoir révélé l’existence d’affaires de corruption, népotisme et favoritisme entre le Vatican et des partenaires italiens. D’autres pièces évoquent des conflits internes concernant la supervision de l’Institut pour les œuvres de religion, dont le président Ettore Gotti Tedeschi, accusé de « mauvaise gouvernance », a été limogé.

En janvier 2016, à 75 ans, il présenta sa démission en raison de son âge au pape François qui le 12 avril 2016 l’accepta. Mgr Christophe Pierre lui succéda à la tête de la nonciature.


« Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de “conspirationnistes” ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. » — Mgr Carlo Maria Viganò




Lettre ouverte au président des États-Unis Donald Trump

Dimanche, 25 octobre 2020
Solennité du Christ-Roi

Monsieur le Président,

Mgr Carlo Maria Viganò (blason)
« Je sais en Qui j’ai cru »

Permettez-moi de m’adresser à vous, en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris dans le silence des autorités civiles et religieuses: puissiez-vous accueillir mes paroles comme la « voix de celui qui crie dans le désert » (Jean 1:23).

Comme j’ai eu l’occasion de vous l’écrire dans ma Lettre en juin dernier, ce moment historique voit les forces du Mal déployées dans une bataille sans merci contre les forces du Bien; des forces du Mal qui semblent puissantes et organisées face aux enfants de la Lumière, désorientés et désorganisés, abandonnés par leurs chefs temporels et spirituels.

Nous entendons se multiplier les attaques de ceux qui veulent démolir les fondements mêmes de la société : la famille naturelle, le respect de la vie humaine, l’amour de la patrie, la liberté d’éducation et d’entreprise. Nous voyons les dirigeants des nations et les chefs religieux soutenir ce suicide de la culture occidentale et de son âme chrétienne, tandis que les citoyens et les croyants sont privés de leurs droits fondamentaux, au nom d’une urgence sanitaire qui se révèle de plus en plus une instrumentalisation pour l’instauration d’une tyrannie inhumaine sans visage.

Un plan global, appelé Great Reset, est en voie de réalisation. Les artisans en sont une élite qui veut soumettre l’ensemble de l’humanité, en imposant des mesures coercitives qui limitent drastiquement les libertés des personnes et des peuples. Dans certains pays, ce projet a déjà été approuvé et financé ; dans d’autres, il en est encore à ses débuts. Derrière les dirigeants mondiaux, les complices et les exécutants de ce projet infernal, il y a des gens sans scrupules qui financent le World Economic Forum et l’Event 201 [ndt: exercice de simulation de pandémie, mené en partenariat avec la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, qui a eu lieu en octobre 2019], en faisant la promotion de son programme.

Le but du Great Reset est l’imposition d’une dictature sanitaire visant à imposer des mesures liberticides, cachées derrière des promesses attrayantes d’assurer un revenu universel et d’annuler la dette des individus. Le prix de ces concessions du Fonds monétaire international devrait être la renonciation à la propriété privée et l’adhésion à un programme de vaccination contre les infections Covid-19 et Covid-21 promu par Bill Gates avec la collaboration de grands groupes pharmaceutiques. Au-delà des énormes intérêts économiques qui animent les promoteurs du Great Reset, l’imposition de la vaccination sera accompagnée de l’obligation d’un passeport sanitaire et d’une carte d’identité numérique, avec pour conséquence le suivi des contacts de toute la population mondiale. Toute personne qui n’accepte pas de se soumettre à ces mesures sera confinée dans des camps de détention ou assignée à résidence, et tous ses biens seront confisqués.

Monsieur le Président, j’imagine que cette nouvelle vous est déjà connue : dans certains pays, le Great Reset devrait être activé entre la fin de cette année et le premier trimestre de 2021. À cette fin, d’autres mesures de confinement sont prévues, officiellement justifiées par une deuxième et une troisième vague présumées de la pandémie. Vous savez quels moyens ont été déployés pour semer la panique et légitimer des restrictions draconiennes des libertés individuelles, provoquant habilement une crise économique mondiale. Dans les intentions de ses créateurs, cette crise sert à rendre irréversible le recours des États au Great Reset, donnant le coup de grâce à un monde dont on veut effacer complètement l’existence et la mémoire. Mais ce monde, Monsieur le Président, porte avec lui personnes, affections, institutions, foi, culture, traditions, idéaux : des personnes et des valeurs qui n’agissent pas comme des automates, qui n’obéissent pas comme des machines, parce qu’elles ont une âme et un cœur, parce qu’elles sont liées entre elles par un lien spirituel qui tire sa force d’en haut, de ce Dieu que nos adversaires veulent défier, comme Lucifer l’a fait au début des temps avec son « non serviam » (Je ne servirai pas).

Beaucoup – nous le savons bien – considèrent avec agacement cet appel au choc entre le Bien et le Mal, l’utilisation de tons « apocalyptiques », qui selon eux exaspèrent les âmes et aiguisent les divisions. Il n’est pas surprenant que l’ennemi se sente découvert au moment même où il croit avoir atteint sans être dérangé la citadelle à conquérir. Il est toutefois surprenant qu’il n’y ait personne pour tirer la sonnette d’alarme. La réaction du Deep State à ceux qui dénoncent son plan est incohérente, mais compréhensible. Juste au moment où la complicité des médias mainstream a réussi à rendre la transition vers le nouvel ordre mondial presque indolore et inaperçue, des tromperies, des scandales et des crimes sont mis au jour.

Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de « conspirationnistes » ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. Personne, jusqu’en février dernier, n’aurait jamais pensé qu’on en viendrait, dans toutes nos villes, à arrêter des citoyens pour le seul fait de vouloir marcher dans la rue, de respirer, de vouloir garder son négoce ouvert, d’aller à la messe le dimanche. Pourtant, cela se passe partout dans le monde, même dans cette Italie de carte postale que beaucoup d’Américains considèrent comme un petit pays enchanté, avec ses monuments anciens, ses églises, ses villes enchanteresses, ses villages caractéristiques. Et tandis que les politiciens sont barricadés dans leurs palais pour promulguer des décrets comme les satrapes persans, les activités font faillite, les magasins ferment, les gens sont empêchés de vivre, de se déplacer, de travailler, de prier. Les conséquences psychologiques désastreuses de cette opération sont déjà visibles, à commencer par les suicides d’entrepreneurs désespérés, et par nos enfants, séparés de leurs amis et de leurs camarades pour suivre leurs cours devant un ordinateur.

Dans l’Écriture Sainte, saint Paul nous parle de « celui qui s’oppose » à la manifestation du mystère d’iniquité, le kathèkon (2 Th 2:6-7). Dans le domaine religieux, cet obstacle est l’Église et en particulier la papauté; dans le domaine politique, c’est lui qui empêche l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Comme c’est désormais évident, celui qui occupe le siège de Pierre a, dès le début, trahi son propre rôle, pour défendre et promouvoir l’idéologie mondialiste, en suivant l’agenda de la Deep Church, qui l’a choisi dans son sein.

Monsieur le Président, vous avez clairement déclaré que vous vouliez défendre la nation – One Nation under God -, les libertés fondamentales, les valeurs non négociables qui sont niées et combattues aujourd’hui. C’est vous, cher Président, « celui qui s’oppose » au Deep State, à l’assaut final des enfants des ténèbres.

C’est pourquoi toutes les personnes de bonne volonté doivent être persuadées de l’importance capitale des prochaines élections : non pas tant à cause de tel ou tel point du programme politique, mais plutôt parce que c’est l’inspiration générale de votre action qui incarne le mieux – dans ce contexte historique particulier – ce monde, notre monde, que l’on voudrait effacer par le lockdown. Votre adversaire est aussi le nôtre : il est l’Ennemi de l’humanité, celui qui est « meurtrier dès le commencement » (Jean 8:44).

Autour de vous se rassemblent avec confiance et courage ceux qui vous considèrent comme l’ultime garnison contre la dictature mondiale. L’alternative est de voter pour un personnage manipulé par le Deep Stategravement compromis dans les scandales et la corruption, qui fera aux États-Unis ce que Jorge Mario Bergoglio fait à l’Église, le Premier ministre Conte à l’Italie, le président Macron à la France, le Premier ministre Sanchez à l’Espagne, etc. La possibilité de faire chanter Joe Biden – comme les prélats du « cercle magique » vatican – permettra de l’utiliser sans scrupules, consentant à des pouvoirs illégitimes de s’immiscer dans la politique intérieure et les équilibres internationaux. Il est clair que ceux qui le manœuvrent ont déjà quelqu’un de pire que lui prêt à le remplacer dès que l’occasion se présente.

Pourtant, dans ce tableau désolant, dans cette avancée apparemment inexorable de « l’Ennemi invisible », un élément d’espoir émerge. L’adversaire ne sait pas aimer, et ne comprend pas qu’il ne suffit pas d’assurer un revenu universel ou d’annuler les hypothèques pour assujettir les masses et les convaincre de se faire marquer comme du bétail. Ce peuple, qui a trop longtemps subi les abus d’un pouvoir haineux et tyrannique, redécouvre qu’il a une âme; il comprend qu’il n’est pas disposé à troquer sa liberté contre l’uniformisation et l’effacement de son identité; il commence à comprendre la valeur des liens familiaux et sociaux, des liens de foi et de culture qui unissent les honnêtes gens. Ce Great Reset est voué à l’échec parce que ceux qui l’ont planifié ne comprennent pas qu’il y a encore des gens qui sont prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, protéger leurs proches, donner un avenir à leurs enfants. L’inhumanité nivelante du projet mondialiste sera misérablement brisée face à l’opposition ferme et courageuse des enfants de la Lumière. L’ennemi a Satan à ses côtés, qui ne sait que haïr. Nous avons à nos côtés le Seigneur tout-puissant, le Dieu des armées déployées dans la bataille, et la Très Sainte Vierge, qui écrasera la tête de l’ancien Serpent. « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Romains 8:31).

Monsieur le Président, vous savez parfaitement combien les États-Unis d’Amérique, en cette heure cruciale, sont considérés comme le rempart contre lequel s’est déchaînée la guerre déclarée par les partisans du mondialisme. Mettez votre confiance dans le Seigneur, renforcé par les paroles de l’Apôtre : « Je peux tout en celui qui me donne la force » (Philippiens 4:13). Être un instrument de la divine Providence est une grande responsabilité, à laquelle correspondront certainement les grâces d’état nécessaires, ardemment implorées par les nombreux qui vous soutiennent par leurs prières.

Avec ce souhait céleste et l’assurance de ma prière pour vous, pour la Première Dame et pour vos collaborateurs, de tout cœur je vous adresse ma bénédiction

Que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique!

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire d’Ulpiana
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique


[Voir aussi : LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires]




Élections aux USA – Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis

[Source : Réseau International]

par Dominique Delawarde.

Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle américaine. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’état visant à inverser le résultat  de l’élection est -elle crédible ?

2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.


Conflits d’intérêt de l’auteur ?

Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.

Ma réponse est non. J’ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998,  époque dont je garde un excellent souvenir. J’ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous  citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J’ai visité 46 des 50 états de l’Union. La « Meritorius Service Medal » US m’a été remise à l’été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d’aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).

Si ma sévérité s’exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s’adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d’autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.

Je suis devenu très réservé, voire hostile à l’OTAN, ayant constaté ses dérives depuis 1990, dans le cadre de mes fonctions :

Mon expérience du renseignement m’a conduit à n’accorder qu’une crédibilité de plus en plus faible à l’énorme majorité des agences de presse et des médias mainstream, occidentaux en particulier.

Je n’apprécie pas l’action et/ou « l’influence puissante et nocive des lobbies » transnationaux sur la marche du monde, que ces lobbies soient financiers, médiatiques, communautaires, ou de toute autre nature.

L’auteur ayant mis les choses au clair, passons au vif du sujet.


Contexte pré-electoral de la présidentielle américaine

Depuis l’échec de Hillary Clinton à l’élection de 2016, les USA se sont profondément divisés en 2 camps irréconciliables, qui se détestent et sont désormais engagés dans un combat « à mort ». Contrairement à ce que les gens pensent en France ou en Europe, ces deux camps ne sont pas les camps républicain et démocrate qui ne constituent que les parties émergées de l’iceberg. Ces deux camps sont les tenants de deux conceptions du monde opposées : les « souverainistes » et les « mondialistes ». On retrouve les représentants des « mondialistes » majoritairement chez les démocrates, mais on en trouve aussi, en  moindre proportion, chez les républicains.

A la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, le 24 septembre 2019, Donald Trump a clairement choisi son camp, exprimé sa vision du monde et déclaré la guerre aux mondialistes en déclarant : « Comme mon pays bien-aimé, toutes les nations présentes dans cette enceinte  ont une histoire, une culture et un héritage qu’elles chérissent et qui méritent d’être défendus et célébrés, et qui nous donnent une force et un potentiel particulier. Le monde libre doit embrasser ses fondations « nationales ». Il ne doit pas chercher à en faire table rase et à les remplacer… »

Il a ajouté quelques secondes après : « Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays, si vous voulez la démocratie, accrochez vous à votre souveraineté, si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les chefs d’état avisés font toujours passer l’intérêt de leur propre pays en premier. L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, l’avenir appartient aux patriotes. L’avenir appartient aux nations indépendantes et souveraines qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins et acceptent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique ».

Chacun peut comprendre qu’un tel discours puisse susciter l’adhésion d’une large part de la population américaine : plus de 73 millions de votes « Trump » comptabilisés en novembre 2020 soit 10 millions de plus qu’en 2016 où il avait obtenu moins de 63 millions de suffrages)….. Pour tous ceux qui croyaient que Trump était en perte de vitesse, ce +15% est une immense surprise, comme en 2016.

Le camp des mondialistes ne peut évidemment pas accepter un tel « discours-programme ». Il va donc faire tout ce qui est en son pouvoir pour barrer la route de la ré-élection au président sortant. Majoritaire dans « l’état profond US » (deep state), contrôlant la finance et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazone, Microsoft et Tweeter), contrôlant aussi la quasi-totalité des médias mainstream et des agences de presse anglo-saxonnes et européennes, le camp des mondialistes va coordonner l’action de ses « bras armés » pour tenter de sortir Donald Trump de la présidence des USA.

Le président Trump, de son côté, n’est ni stupide, ni seul. Il dispose d’un très fort soutien populaire, d’une majorité au Sénat, à la Cour Suprême et 27 des 50 gouverneurs des États de l’Union sont républicains. A la chambre des représentants, il vient de réduire l’écart qui séparait son camp républicain du camp démocrate de 12 sièges (pour l’instant…) Il a mis en place une administration fédérale qui lui est majoritairement fidèle (pas totalement …). Il a changé une majorité des juges fédéraux. Il a résisté victorieusement à deux tentatives de l’état profond et des démocrates de le destituer (L’affaire du Russiagate montée de toute pièce dès 2016 et qui a fait flop ….. parce qu’elle était « bidon » et que les enquêteurs, les juges et l’opinion publique US ont fini par s’en apercevoir, et la tentative de destitution par la Chambre des représentants qui a tourné court au Sénat en 2019…..

Par ailleurs Trump est lucide lorsqu’il dit dans son dernier discours électoral du 2 novembre 2020, en Caroline du Nord : « S’il y a une chose que j’ai faite au cours de mon mandat, c’est de mettre en évidence la malhonnêteté des médias ». Les médias mainstream US ont toujours suscité et soutenu les actions anti-Trump.

C’est donc dans ce contexte de tensions extrêmes et au terme d’une campagne électorale au cours de laquelle tous les coups les plus tordus ont été observés, de part et d’autre, que survient le scrutin du 3 novembre 2020.

Les médias et les instituts de sondage américains ont-ils été honnêtes, lors de la campagne électorale ou ont-ils cherché à manipuler l’opinion ?

Les médias mainstream US, tout comme les médias européens d’ailleurs, ne brillent pas par leur honnêteté, leur pluralité et leur impartialité. Contrôlés par une poignée de milliardaires, ces médias défendent les causes et les intérêts qui sont ceux de leurs « patrons », membres actifs ou simples collaborateurs de l’état profond. Tous les moyens sont bons, y compris, les mensonges les plus éhontés. On met en évidence tout ce qui porte préjudice à l’adversaire (Trump), on occulte tout ce qui pourrait porter préjudice au camp que l’on défend (Biden). Les journalistes ne peuvent faire carrière que s’ils se soumettent et/ou s’autocensurent. On se trouve aujourd’hui dans une situation de « guerre de l’information » électorale :

Le commun des mortels a beaucoup de difficultés à s’informer correctement.

Depuis 4 ans déjà, ces médias US, parfaitement relayés par les médias « frères » européens n’ont eu de cesse, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de noircir l’image du président Trump dans l’opinion publique US, occidentale et mondiale. Dans les mois précédant l’élection, ils se sont appuyés sur des sondages largement biaisés pour faire croire au peuple américain et au monde, comme en 2016, que l’élection était « pliée » et qu’une grande vague démocrate allait submerger le pays. Pour ne donner que l’exemple de la Floride, une forte majorité des sondages dans les 4 jours précédant le scrutin donnait Biden gagnant de 1 à 5 points. C’est Trump qui l’a emporté de 3,4 points. Les écarts constatés entre ces derniers sondages et le résultat du scrutin sont tels qu’ils ne relevaient pas de la marge d’erreur, mais du mensonge manipulateur, intéressé, et … éhonté. Ces sondages et articles mensongers ont été appliqués à la quasi totalité des états de l’Union. Les scores de Trump et du parti républicain, au jour de l’élection, ont révélé l’ampleur de ces « mensonges-manipulateurs » médiatiques et sondagiers pré-électoraux.

L’Hypothèse d’une fraude importante appliquée à quelques états clefs le jour du scrutin est-elle crédible ?

Mon intime conviction me dit que oui car il y a, à mes yeux, trop d’indices concordants pour permettre à la meute « médiatique » occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire. Les présidents chinois et russes ne s’y sont pas trompés en attendant la proclamation du résultats officiels, qui n’interviendra que le 8 décembre, avant de féliciter le vainqueur, lorsqu’il sera vraiment connu.

Voici les éléments qui me font douter de l’honnêteté du scrutin.

1 – Il y a eu cette précipitation curieuse, voire suspecte de la meute médiatique US, suivie par la meute « sœur » de l’UE dont nous savons qui la contrôle, à vouloir imposer un vainqueur alors que les résultats officiels de 5 ou 6 états ne sont pas encore connus. Nous savons tous que ces médias US sont « partisans » et qu’ils sont les plus farouches adversaires de Trump. Nous connaissons leur habitude récurrente à vouloir critiquer, contester, modifier, ne pas reconnaître, remettre en cause tous les résultats électoraux qui ne leur conviennent pas sur la planète (Syrie 2014, Venezuela 2018, Bolivie 2019, Biélorussie 2020 pour n’en citer que quatre). Nous connaissons aussi leur propension à vouloir promouvoir, voire imposer le candidat qui leur convient même lorsque celui ci est très minoritaire dans le pays (France 2017, Bolivie 2019, Biélorussie 2020, Navalny qui ne représente strictement rien en Russie, mais qui nous est « vendu », par nos médias, comme le challenger numéro un de Poutine.)

2 – Il y a ces actions très inhabituelles de Google, Facebook, You tube, Twitter censurant purement et simplement le Président en exercice des États-Unis, en agissant de concert et simultanément. Cette collusion évidente de ces grandes sociétés de service, dont nous savons qui les contrôle, n’est tout simplement pas « naturelle », ni démocratique ….

3 – Pour la première fois dans l’histoire des USA, le vote par correspondance a été massivement utilisé puisque plus de 42% des électeurs qui se sont exprimés l’ont fait par correspondance (plus de 64 millions). Il est mondialement reconnu que ce type de vote favorise la fraude électorale.

Le vote par correspondance a d’ailleurs été supprimé en France en 1975 parce qu’il était jugé propice à la fraude électorale.

Il est, soit dit en passant, étrange que des députés de la majorité LREM cherchent aujourd’hui à rétablir, en France, le vote par correspondance, en profitant de l’opportunité « Covid ».

Auraient-ils l’intention, eux aussi, de rouvrir plus largement les possibilités de fraude en France et de faire bourrer les urnes de leur circonscription pour se faire réélire au prochain scrutin ?…

Prétendre aujourd’hui qu’il n’y a pas eu la moindre fraude électorale aux USA avec 64 millions de votes par correspondance n’est tout simplement pas crédible.

Sans reprendre à mon compte l’ensemble des fraudes dénoncées par les républicains,  et énumérées dans cet article :

je retiendrai, tout de même, un seul exemple, reconnu par les deux partis, démocrate et républicain, et qui est donc ni contestable, ni contesté.

Selon son propre aveu au New York Times, Abigail Bowen, la greffière des élections du comté de Shiawassee dans le Michigan a ajouté, par erreur selon elle, un zéro en trop au décompte des voix de Joe Biden. Au lieu d’entrer 15 371 voix en faveur du démocrate, son équipe a ajouté 150 371. La touche 0 n’étant pas, sur un clavier d’ordinateur, voisine de la touche 5 ou de la touche 3, plaider l’erreur involontaire paraît bien étrange …. Elle ajoute avoir été notifiée de l’erreur 20 minutes plus tard et l’avoir corrigée ensuite. (Heureusement que quelqu’un s’est aperçu de cette erreur dont tout semble indiquer qu’elle était volontaire…..)

C’est très bien que cette erreur ait été rectifiée, mais cela pose tout de même questions :

Combien « d’erreurs » de 0 de ce genre ont-elles été commises, volontairement ou non ? …..

Combien « d’erreurs » de ce genre ont elles été repérées, notifiées et corrigées ? …..

Combien de ces « erreurs » ont-elles été validées dans le décompte final ?

Un candidat, démocrate ou républicain, est-il fondé ou non à demander un recomptage lorsque l’écart dans le résultat est dans la marge des 1% dans un des États de l’Union ? Cela ne se fait-il pas dans toutes les démocraties dignes de ce nom ? Est ce aux médias de proclamer un vainqueur sans disposer de résultats validés ?

J’observe que, dans cette marge de 1%, se trouvent les résultats de 5 états qualifiés de swing states : L’Arizona, la Georgie, le Wisconsin, la Pensylvanie et le Nevada.

Dans ces 5 états, Trump était en tête mais Biden aurait repris l’avantage de quelques milliers de voix dans tous ces états grâce à l’arrivée opportune, miraculeuse, massive et soudaine, en fin de dépouillement du scrutin, de votes par correspondance qui lui auraient été très, très, très favorables.

Vous l’aurez compris le vote par correspondance est, pour moi, la porte ouverte à la fraude. Lorsque ce vote par correspondance est massif, la fraude peut être importante et largement suffisante pour inverser un résultat dans la marge des 1%. Il est infiniment peu probable qu’il n’y ait pas eu de fraudes. Je me garderai bien de dire à qui cette fraude a profité et je ne suis pas sûr qu’on puisse en avoir un jour toutes les preuves. Je dis simplement que les médias mainstream « bisounours » US et européens qui aimeraient refuser à Trump le droit aux recomptages, aux enquêtes et aux vérifications mais qui, lorsqu’il s’agit d’autres pays, sont très regardants sur les comptages, et crient facilement « à la fraude électorale » ne se grandissent pas. Nous savions que la France et ses journalistes qui se moquent du perdant présumé, parce qu’il s’appelle Trump, donnaient l’image d’une « médiocre’atie », mais doit-elle devenir aussi une média’cratie qui tente de nous imposer nos Présidents et tout ce qu’il faut penser, sur tous les sujets ?


Abordons maintenant le deuxième objet de ma lettre.

Si le « mondialiste » Biden devait être élu le 8 décembre et intronisé le 20 janvier 2021 quelle évolution peut-on en attendre pour la planète, l’Europe et la France ?

Biden est un homme âgé, dont chacun sait qu’il n’a plus toute sa tête (Il sera dans sa 79 ème année le 20 janvier prochain). Pour cette seule raison, s’il devait être élu, il serait sous influence et ne prendrait ses décisions que sur les conseils et  le « contrôle étroit » de son entourage proche, émanation du « Deep State » et composé de « mondialistes » purs et durs. C’est d’ailleurs cet entourage qui l’aura aidé à l’emporter,  c’est cet entourage qui gouvernerait, en fait, les USA.

Parce qu’il est d’obédience « néoconservatrice », cet entourage est résolument pro-Israël et pour le maintien d’une hégémonie absolue des USA sur la planète. L’étude approfondie de cet entourage (Biographies, ascendances, réseaux et communauté d’appartenance) serait très révélateur mais, hélas, peu surprenant. Nous avons les mêmes chez nous. Il faudrait donc s’attendre à une multiplication des ingérences agressives US aux Proche et Moyen-Orients (Liban, Syrie, Irak, Iran), au profit d’Israël bien sûr, mais aussi aux frontières de la Russie, en Mer de Chine et en Amérique du Sud. Cette nouvelle équipe de gouvernement, bras armé du « Deep State », créera les prétextes s’ils n’existent pas et instrumentalisera la nébuleuse terroriste, comme elle l’a toujours fait dans le passé, pour l’aider à justifier ses ingérences.

Trump a réussi à réduire graduellement et considérablement les bombardements US sur la planète (47 000 bombes en 2017, 16 000 en 2018, 12 000 en 2019 et 928 en janvier + février 2020 (dernières données connues).

Il a rapatrié dans son pays nombre de ses soldats déployés, notamment aux Proche et Moyen-Orients. Sous son premier mandat, la coalition occidentale a tué beaucoup moins de monde que sous les mandats de son prédécesseur. Si une équipe mondialiste s’empare de la maison blanche,  des tendances  inverses pourraient se remettre en place dès le printemps 2021….et le sang se remettre à couler ….. L’OTAN n’a toujours pas compris qu’elle devrait et aurait intérêt à mettre un terme à ses dérives.

La mauvaise nouvelle est qu’une administration Biden chercherait aussi à impliquer l’OTAN, le Royaume Uni, la France et l’Union Européenne dans tous les coups tordus que ses stratèges néoconservateurs pourront imaginer.

La mauvaise nouvelle pour la France est que sa dépendance économique (dette et CAC40) et la servilité grandissante à l’égard des USA de ses élites, formées pour ça, ne lui permettront pas de refuser toutes les invitations US à se joindre à ses coalitions de circonstance pour des causes douteuses.

La bonne nouvelle tient dans le fait que, de part et d’autre de l’Atlantique, les peuples commencent à ouvrir les yeux. Que ça plaise ou non à nos médias, à nos politiques et à notre opinion publique manipulée, le « souverainiste » Trump a obtenu 15% de voix de plus qu’en 2016 (73 millions). Ses partisans tiennent la Cour Suprême, le Sénat, une majorité d’États et s’approchent de la parité à la Chambre des représentants. Ses partisans tiennent aussi les campagnes états-uniennes. Les démocrates ne tiennent vraiment que les grandes villes…

carte du vote 2020 (vote Trump en rouge), (vote Biden en bleu).

Il ne sera donc pas simple de gouverner les USA et de faire n’importe quoi dans ces conditions d’autant que l’économie US est en berne et la dette  abyssal

Il ne sera pas simple non plus de gouverner une UE de l’Ouest en faillite, avec des populations au bord de la révolte, des PIB en recul et des budgets de défense qui seront, qu’on le veuille ou non, sinistrés.

Dans ces conditions, la sagesse devrait consister à s’occuper correctement de ses affaires avant de vouloir jouer les shérifs sur la planète. Elle devrait aussi consister à ne pas vouloir s’ingérer partout dans les affaires d’états souverains sous le prétexte fallacieux de la lutte contre un terrorisme que nous avons largement contribué à créer et à entretenir par une politique étrangère calamiteuse (Libye, Syrie, Irak, Yemen, Iran, Russie, Biélorussie, Venezuela, Brésil, Bolivie entre autres) et par des prises de position officielles irresponsables « perçues » comme insultantes par des dizaines de pays sur la planète (caricature).

Tôt ou tard, une coalition occidentale gouvernée par des mondialistes agressifs, se prendra un grand coup sur le museau, s’étonnera, redescendra de son piédestal, et fera moins la fière. Ses populations multiplieront les marches blanches, les cérémonies de funérailles, les manifestations bruyantes et ostentatoires contre un ennemi qu’on aura provoqué. Elles compteront et pleureront leurs morts. Il suffit d’observer la brillante campagne conduite par les gouvernances des pays membres de cette coalition dans « la guerre contre le coronavirus », pour pressentir que nous ne gagnerons pas non plus la prochaine…

Dominique Delawarde 




Le temps est venu de faire le grand ménage

[Source : Sott.net]

[Auteur :] M.K. Scarlett

L’année 2020 pourrait être décrite comme une année où l’absurde côtoie la psychose — une année de division et de polarisation extrême tant sur le plan climatique que sur le plan sociopolitique. Les populations font encore plus qu’avant des choix, pour le meilleur ou pour le pire. Certaines personnes s’alignent sur les mensonges de plus en plus flagrants colportés par les médias mainstream et les gouvernements profondément pathologiques tout autour du globe, mais surtout en Occident, et d’autres prennent position contre ces mêmes mensonges et parviennent à ce point de compréhension qui leur laisse à penser que la version de la réalité qui leur est présentée est en essence malfaisante.

Le temps du grand ménage est arrivé. Parce que s’il vous arrive en ce moment d’éprouver la sensation d’être au sein d’une bataille spirituelle, vous n’êtes pas seul. Nombre des plus grands érudits, philosophes et ascètes du monde ont compris l’aspect multidimensionnel du monde dans lequel vivent des êtres non physiques, bons et mauvais, en lutte perpétuelle contre nous et les uns contre les autres. Il convient de cultiver une sensibilité telle que l’existence des êtres spirituels puisse être directement vécue parce que

« […] les Esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de voir où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir à quel endroit ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d’être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n’est pas modifiée du fait que l’homme les connaît ou ne les connaît pas. »

Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres

Vous n’êtes pas seul, mais vous pourriez avoir dans votre entourage des personnes qui entravent votre voie vers la spiritualité et déséquilibrent votre recherche d’harmonie intérieure. L’article qui suit explore ce sujet. Il sera suivi par quelques citations qui aideront peut-être les lectrices et les lecteurs à y voir plus clair.
[NdNM : voir l’article sur Sott.net pour ces citations qui, comme l’introduction ci-dessus, ne sont pas de l’auteure M.K. Scarlett.
Le propos de cette dernière est ici dans la ligne des croyances véhiculées par le New Age ou « Nouvel Âge »].


Nous vivons une époque de folie. Il semble que nous soyons entrés dans la zone crépusculaire. Un « tourbillon » tordu de polarisation extrême et de systèmes de valeurs contradictoires. Un monde où la haine est palpable des deux côtés du point de contrôle de la polarité. La volonté orchestrée de provoquer des divisions sur tous les fronts : race, sexe, politique et religion ne devrait pas surprendre ceux qui sont sur le chemin de la spiritualité. L’énergie de l’ancienne ère des Poissons se meurt et les débranchés se battent contre la marée montante de la nouvelle ère du Verseau.

L’enfer se déchaîne. Les émeutes et la violence abondent, les pénuries alimentaires, les confinements, les conditions météorologiques extrêmes et les maladies sont au rendez-vous, et à mesure que la vie s’écoule, nos préjugés profonds et notre instinct de conservation se manifestent. Des instincts de survie délibérément exacerbés par nos sombres dirigeants, des êtres au charisme néfaste qui cherchent désespérément à garder le contrôle d’un paradigme moribond.

Programmés pour les conflits

Les humains sont programmés pour les conflits. Nous possédons tous un schéma interne de type Jekyll et Hyde — un M. Gentil et un M. Méchant qui partagent le même espace. Chacun d’entre nous est soumis à des forces positives et négatives qui envahissent notre esprit et bouleversent notre vie. La lutte pour la polarité devient évidente lorsque nous vérifions nos propres dialogues internes. Nous avons tous un Gollum qui partage notre conscience, et il est parfois inconfortable de surveiller notre pensée… et ce qu’elle révèle sur l’état de notre conscience.

Le mécanisme de contrôle absolu

Depuis que notre réalité tribale et intégratrice nous a été arrachée, nous sommes devenus des esclaves de la dette, enfermés dans du béton et du verre, divorcés de la réalité vivante de la Nature et immergés dans la plus grossière des cultures matérialistes. L’humanité est asservie à un modèle qui se nourrit de lui-même, du micro au macro. Du proxénète au coin de la rue aux plus hauts échelons du gouvernement, nous sommes contrôlés par un mécanisme qui enrichit les élites et étrangle les pauvres. Peu importe qui est aux commandes. Nos dirigeants sont corrompus. Tous les hauts responsables mettent en œuvre un programme occulte basé sur la gematria pour dominer le monde et créer un nouvel âge des ténèbres numérique.

Note du traducteur : La gematria est une forme d’exégèse propre à la Bible hébraïque dans laquelle on additionne la valeur numérique des lettres et des phrases afin de les interpréter. Gematria, Temura et Notarikon sont les trois procédés de la combinatoire des lettres, pour déchiffrer la Torah.

 Source

Tel était le plan de l’église romaine et luciférienne depuis le début de l’ère des Poissons — deux mille ans de boucherie et de génocide au nom de la religion et de la cupidité. Une ère de mensonges, de tromperie, d’illusions, d’excès et de destruction de la vraie spiritualité. Les clones matriciels qui se font passer pour des êtres humains sont des empilements d’ordures faits de mensonges, de tromperie, d’égoïsme, de cruauté, de malhonnêteté, de déviance sexuelle et sont « purement et simplement malfaisants ».

Mais cette dimension n’est qu’une question de division. Le principe fondamental du jeu de la bulle matricielle repose sur le principe « moi contre toi » et « nous contre eux ».

La bulle matricielle

Chacun de nous existe dans une bulle polarisée — un petit univers à soi. Chaque fraction de seconde, des bulles de moi absorbées par le « Je » se heurtent les unes aux autres, et débordant d’une indignation moralisatrice, elles se battent pour le concept « la force prime le droit », concept qui accompagne leur version héritée et déformée de la vérité.

Poussés et contrôlés par la peur, les dogmes religieux et politiques, les « Je » vont faire la fine bouche, défendre et livrer leur esprit à tout démagogue politique ou religieux corrompu qui se présente sur la scène. Ils veulent que les choses continuent comme elles sont sans comprendre que tout ce qui existe est en mouvement, et que tout est susceptible de changer en un clin d’œil.

Le point d’assemblage

« Tout déplacement du point d’assemblage signifie un éloignement d’une préoccupation excessive à l’égard du moi individuel. Les chamans pensent que c’est la position du point d’assemblage qui fait de l’homme moderne un égoïste meurtrier, un être totalement impliqué dans l’image qu’il a de lui-même. Ayant perdu l’espoir de revenir un jour à la source de tout, l’homme moyen cherche du réconfort dans son égoïsme. »
~ Don Juan Matus, par Carlos Castaneda.

Par essence, l’être humain est un champ de conscience vibrant dans un océan infini de conscience. Nos champs d’énergie possèdent un noyau cosmique de puissance de pulsation, et c’est ce qu’on appelle le point d’assemblage. C’est le programme de base à partir duquel nous regardons notre réalité personnelle. Il façonne notre manière de vivre le monde, notre réaction à l’environnement, notre interaction et nos relations avec les autres. Il façonne nos croyances et nos décisions.

Le point d’assemblage des êtres humains équilibrés est situé au centre de la poitrine, un point qui se trouve dans l’axe des aisselles. Lorsque notre point d’assemblage est centré, nous avons tout ce dont nous avons besoin, nous sommes satisfaits de notre vie et nous pouvons faire face à tout ce que la vie nous réserve.

Il est triste que la masse de l’humanité soit coincée dans la division et le drame. Incapables d’éloigner leur point d’assemblage de la dualité, ils vivent et meurent au sein de la bulle matricielle sans réaliser qu’il existe une autre possibilité — l’espace tranquille entre la charge « + » positive et « – » négative — le siège du pouvoir des chamans.

Le temps du grand ménage

Les personnes dont la vie est dépourvue de fondement spirituel sont des individus toxiques et conflictuels. Ils choisissent toujours leur camp sans se rendre compte que dans une dualité, « les deux extrémités de la queue remuent le même chien ». Ces individus sont critiques [au sens négatif du terme – NdT], sèment la discorde et prennent plaisir à rabaisser les autres. Cette forme d’abus peut nous bouleverser émotionnellement et lorsque ces abus sont commis de façon constante sur notre psyché, ils peuvent déstabiliser notre équilibre intérieur. Ce processus peut entraîner un déplacement de notre point d’assemblage et transformer une réalité harmonique en une forme de résonance discordante et haineuse.

Alors, chers amis, il est temps de faire un grand ménage et de supprimer de notre petite bulle de réalité les personnes qui sèment la discorde. Ce n’est qu’alors que notre résonance sera débarrassée de l’énergie négative et que nous pourrons progresser sur la voie de l’état d’Unité par le biais de notre vérité inébranlable et particulière.

La réalité non-locale

Le domaine de l’Unité — ou la réalité non-locale — est expérimental et difficile à énoncer. Nous sommes tout et pouvons instantanément être tout parce que dans la réalité non locale, il n’y a pas de séparation — pas de dualité. Il existe un champ universel de potentialité où tout est connecté. Dans cet état de conscience, nous pouvons libérer nos propres schémas de contrôle sur les autres et nous libérer des contraintes du dualisme. Nous pouvons atteindre un état de conscience où nous rallumons nos centres psychiques atrophiés et permettons à notre intuition intérieure de nous guider vers une vie de coïncidences et de rencontres synchronisées significatives qui favorisent notre ascension spirituelle. Lorsque nous cultivons une reconnexion personnelle avec la Source, nous subissons une transformation mystique — une renaissance qui nous élève dans un état de conscience du Soi supérieur.

Source de l’article initialement publié en anglais le 20 novembre 2020 : Waking Times
Traduction : Sott.net


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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




Plainte pénale pour génocide des Français contre Macron, ses ministres et son administration

[Source : FranceSoir]

Après les saisies chez divers ministres ou ancien ministres (Edouard Philippe, Olivier Véran, Agnès Buzyn), ce 1er décembre, une plainte au pénal pour « génocide du peuple français » a été déposée par Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, contre le président de la République, ses ministres et son administration.

Pierre-Alain Depauw, de medias-presse.info, rapporte que Mme Bonny encourage chacun à adresser copie de cette plainte aux parlementaires, à son député et son sénateur

La plainte a été transmise en français avec traduction dans six autres langues : allemand, anglais, espagnol, italien, danois, néerlandais.

La plainte complète est reproduite ci-dessous.


À Mesdames et Messieurs les parlementaires, 

à Monsieur François Molins, Procureur général près la Cour de cassation,
à Monsieur Rémy Heitz, Procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris,

Je soussignée, Madame Marion BONNY, née le 9 décembre 1980 à Nice (06), de nationalité française, thérapeute domiciliée xxxxxxx.

Ancien médecin militaire formée aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires. Suite à une blessure de guerre j’ai été réformée le 14 juillet 2020, à cause de mes séquelles d’un syndrome de stress post traumatique suite à une mission de cinq mois en Afghanistan.

Après huit ans de psychothérapie, je me suis spécialisée dans la prise en charge des traumatismes psychiques. Désormais je n’exerce plus la médecine. Je préfère, dans ma thérapeutique, faire le lien que je crois essentiel entre l’histoire émotionnelle du patient et la survenue d’une maladie, car l’environnement socio-économique et le contexte émotionnel sont des facteurs importants de notre état de santé global.

Forte de mon expérience, je veux contribuer à mettre un terme aux abus du gouvernement dans le cadre de la crise sanitaire, épidémie ou pandémie dite du « coronavirus », puis du « covid-19 ».

La population de notre pays subit depuis le mois de janvier 2020 une insupportable persécution faite de terreur alimentée par des informations floues ou contradictoires et par des mesures en tous sens : « gestes barrières », masque déconseillés puis obligatoire, confinements à échelle variable, couvre-feu, obligation de rester chez soi sans soins en cas de symptômes, drame des EPHAD, fermeture administrative des magasins, des bars, des restaurants et des dancings, des cinémas et des théâtres, interdiction de se réunir, mises au chômage, travail et enseignement à distance etc.

Cela se paie d’une épouvantable casse économique, sociale, culturelle, spirituelle, éducative et scientifique. Toutes ces mesures sont sources de traumatismes psychiques qui auront toujours plus de conséquences (isolement, violence, burn-out, dépression, intoxications médicamenteuses, usages de stupéfiants, suicide). En particulier, les jeunes générations sont privées d’un accès au savoir qu’elles ne rattraperont jamais, et spécialement les tout petits sont en danger, parce qu’ils sont privés de phases essentielles à l’humanisation (depuis leur premier souffle jusqu’aux années d’apprentissage de la parole et de la socialisation).

L’argument du protocole sanitaire doit être sérieusement interrogé. Nombre de scientifiques se sont élevés, en vain, contre l’absurdité des mesures prises. Derrière l’irresponsabilité d’un appareil administratif aveugle, il ne faut écarter ni l’œuvre de corruption d’une industrie pharmaceutique orientée exclusivement par la soif de profit, ni la possibilité de la volonté délibérée d’un ennemi invisible qui se sert de la crise sanitaire comme d’un prétexte.

Il est nécessaire d’établir ce fait par une enquête indépendante, sérieuse et objective, notamment en clarifiant les conflits d’intérêts entre gouvernants, administratifs et lobby pharmaceutique.

Parmi les nombreuses infractions en cause, la principale et la plus claire à établir est celle qui figure à l’article 211-1 du code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;
– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;
– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;
– mesures visant à entraver les naissances ;
– transfert forcé d’enfants.

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

C’est pourquoi

Vu que d’après l’article 68 de la Constitution et la Loi organique du 24 novembre 2014, dans le cas de manquement aux devoirs d’un Président de la République manifestement incompatible avec l’exercice d’un mandat, une Haute Cour peut prononcer la destitution du chef de l’Etat. L’initiative de cette procédure appartient à un dixième des parlementaires de l’une ou l’autre chambre qui déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour.

Vu l’article 68-2 de la Constitution du 4 octobre 1958 et les articles 13 et suivants de la loi n°93-1252 du 23 novembre 1993 sur la Cour de justice de la République, étant donné que pour la saisine de la Cour de Justice de la République, s’agissant de la responsabilité de ministres, le procureur général près la Cour de cassation peut agir d’office.

Vu l’article 40 du code de procédure pénal et la compétence des magistrats judiciaires, s’agissant de voie de fait et de crime commis par des fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions.

J’ai l’honneur de porter plainte, en tant que victime individuelle directe, contre le chef de l’Etat, contre ses ministres et contre son administration, et par conséquent, la chaîne de commandement et la spécialisation des procédures commandant une action trine,

De demander

Au parlementaire, de prendre l’initiative de déposer une proposition de résolution portant mise en accusation du président de la République, Emmanuel MACRON,

À Monsieur le Procureur Général près la cour de cassation, de saisir d’office la Cour de justice de la République concernant les premiers ministres, les ministres de la santé et de l’intérieur en exercice depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Nommément Madame Agnès BUZYN et Messieurs Edouard PHILIPPE, Jean CASTEX, Gérald DARMANIN, Olivier VERAN ainsi que tous ceux dont l’enquête déterminera la responsabilité,

À Monsieur le Procureur de la République, d’ouvrir une enquête afin de déterminer les négligences et les intentions, et, en fonction des résultats de cette enquête, de requérir les mises en examen nécessaires.

Sous toutes réserves

Le 30 novembre 2020

Marion BONNY
 

Madame ou Monsieur le sénateur
Palais du Luxembourg
15, rue de Vaugirard
75291 PARIS Cedex 06 

Madame ou Monsieur le député
Assemblée nationale
126 rue de l’Université
75355 Paris 07 SP

Monsieur le Procureur près la Cour de cassation
Cour de cassation
5 quai de l’Horloge – TSA 19201
75055 Paris Cedex 01

Monsieur le Procureur de la République
Parvis du Tribunal de Paris
75017 PARIS

Auteur(s): FranceSoir




Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteur :] Dr Joseph Mercola

Bill Gates a bâti un empire mondial autour de ses technologies et de ses entreprises « philanthropiques », dont l’ampleur est aujourd’hui de plus en plus évidente. Sa richesse absolue lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé et le tsar mondial non élu de la santé face au Covid-19, mais il exerce également une grande influence sur le système alimentaire mondial [et plus encore, comme nous le verrons tout au long de l’article – NdT].

Bill Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement qu’il accorde à un grand nombre d’organisations impliquées dans le développement agricole et l’élaboration des politiques, comme le révèle le rapport d’AGRA Watch[1], « L’homme derrière le rideau — L’influence de la Fondation Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires », publié en août 2020 [Pdf en anglais – NdT].

Note du traducteur : Bill Gates ne peut toutefois pas véritablement être qualifié d’« homme derrière le rideau » — encore que l’on puisse le penser au vu de tout ce qui suit. Il est au contraire la figure de proue bien visible qui permet de cacher à la vue de tous les quelques individus parfaitement inconnus qui eux, sont derrière le rideau.

Par ailleurs, l’AGRA Watch a été créée pour contester la participation — ou la main-mise, peut-être ? — de la Fondation Gates au sein de l’AGRA.

Quant à l’AGRA elle-même, elle fut lancée il y a quatorze ans par les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller. L’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a pour objectif d’apporter à l’Afrique sa propre révolution verte en matière de productivité agricole, armée de semences commerciales à haut rendement, d’engrais et de pesticides. Il s’agissait pour l’AGRA de doubler la productivité et les revenus d’ici à 2020 (et nous y sommes) pour trente millions de familles de petits exploitants agricoles tout en réduisant de moitié l’insécurité alimentaire dans vingt pays.

Hélas, et selon le rapport mentionné plus bas par le Dr Mercola, il n’y a pas eu, sur les quatorze années en question, d’augmentation de la productivité, et le nombre de personnes sous-alimentées dans les treize pays cibles par l’AGRA a augmenté de 30 pour cent, et celui du Rwanda, « l’enfant affamé de l’Afrique », s’est accru lui de 15 pour cent. Il est à noter qu’aucune évaluation globale des effets de ces programmes n’a pour le moment été publiée, ni par l’AGRA elle-même, ni par la Fondation Gates — Voir la troisième note de traduction pour des données issues des recherches de Timothy Wise.

Les organisations financées par Bill Gates défendent l’envoyée de l’ONU financée par Bill Gates

Bien qu’il ne soit qu’un homme, Bill Gates finance un si grand nombre d’entreprises et d’organisations que son influence considérablement renforcée et amplifiée lui permet par leurs biais d’imposer ses choix en catimini [pour les non-initiés, à savoir presque tout le monde – NdT].

À la vue des longues listes de ces groupes, on est automatiquement amenés à penser qu’il existe de nombreux acteurs différents impliqués alors qu’en fait, Gates constitue le fil conducteur de la plupart ou de la totalité d’entre eux. Le rapport d’AGRA Watch[2] en est un parfait exemple si l’on considère l’histoire d’Agnes Kalibata.

Note du traducteur : Il est possible que les lecteurs ne connaissent pas Agnes Kalibata, en voici donc un peu plus, depuis la page Wikipedia en anglais qui lui est consacrée ; notons au passage qu’il n’est pas fait mention ne serait-ce que d’une année de naissance, et les recherches en ce sens n’ont rien donné :

Agnes Matilda Kalibata est une agronome et responsable politique rwandaise, elle a été ministre rwandaise de l’agriculture et des ressources animales de 2008 à 2014 e elle est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique depuis 2014.

Elle est née au Rwanda et a été élevée en Ouganda en tant que réfugiée par des parents petits exploitants. Elle a obtenu une licence en entomologie et biochimie, suivie d’une maîtrise en agriculture. Elle a ensuite obtenu un doctorat en entomologie.

Elle a été louée par beaucoup pour ses réalisations lorsqu’elle était ministre, mais certains groupes de défense des droits de l’homme les ont critiqué parce que le soutien financier n’était accordé qu’aux agriculteurs qui suivaient les politiques gouvernementales de regroupement des terres.

Kalibata est membre du conseil d’administration du Centre international de développement des engrais (IDFC) depuis 2008, où elle préside le Comité Afrique et est membre de son comité exécutif et de son comité d’audit. Elle est également membre de nombreux conseils d’administration nationaux et internationaux, notamment pour l’Université du Rwanda, Africa Risk Capacity, le Conseil de l’agenda mondial du Forum économique mondial, la Commission mondiale sur l’adaptation et le Groupe d’experts de Malabo Montpellier sur l’agriculture et la sécurité alimentaire.

Agnes Kalibata est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, elle a été nommée envoyée spécial au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

En réponse, 176 organisations de la société civile et des groupes d’agriculteurs de 83 pays ont demandé à António Guterres de retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d’intérêts évidents avec des entreprises. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s’est également opposée à sa nomination et au fait qu’elle organise le sommet.

© Inconnu

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole.

~ AGRA Watch

C’est un recul important, qui illustre l’inquiétude générale que suscite la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des institutions universitaires et le secteur privé sont intervenues pour la défendre.

Elles ont exhorté António Guterres à maintenir Kalibata dans sa fonction, en citant notamment ses qualités de leader et son éthique professionnelle. Cependant, parmi ces douze défenseurs, « onze entretenaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates », indique AGRA Watch, qui ajoute[3] :

Dans certains cas, les organisations ont directement été financées par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dans d’autres, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation était subventionnée par l’AGRA, elle-même financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.

L’excessive influence de Bill Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires

En d’autres termes, bien qu’il puisse sembler que Kalibata ait eu le soutien d’une douzaine d’individus ou de groupes distincts et indépendants, en réalité, seules deux voix s’expriment pour sa défense. C’est juste que la voix de Gates est multipliée par onze. De plus, puisque son nom n’est jamais mentionné, les non-initiés considèrent généralement qu’il n’est en rien partie prenante.

Ces résultats illustrent l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté son rôle dans l’influence du développement agricole, qui a connu une croissance considérable ces dernières années.

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l’expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé…

Dans ce rapport, nous avons démontré quelques-uns des liens entre la Fondation Bill & Melinda Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.

Alors que des centaines d’organisations de la société civile ont demandé sa destitution, seuls douze signataires ont accepté de soutenir sa nomination, presque tous bénéficiant directement des subsides de la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l’élaboration de l’ordre du jour du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.

~ AGRA Watch

Le graphique suivant, inclus dans le rapport d’AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’envoyé spécial du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, Agnes Kalibata.

© AGRA Watch
En vert : Financements directs – En rouge : Financements indirects de la Fondation Gates à des programmes spécifiques affiliés aux signataires

La Fondation Bill & Melinda Gatesouvre la porte à Monsanto

AGRA Watch s’inquiète depuis de nombreuses années de l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur l’agro-business :

Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche[4] figure le rapport 2010 intitulé « La porte tournante : Les liens Monsanto-Gates »[5], qui détaille les liens directs entre la Fondation Bill & Melinda Gates et les représentants de Monsanto que sont Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering[6], feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, intitulé « Les liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures transgéniques au Kenya », souligne[7] les liens entre la Fondation Gates et Monsanto :

« AGRA Watch a été créé en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.

Nous avons assisté à l’accélération de la pression en faveur du génie génétique comme solution à la faim en Afrique, à la criminalisation de ses opposants en tant qu’éco-impérialistes peu enclins à accepter les avancées scientifiques, et à un respect mal placé pour le soutien philanthropique aux solutions d’entreprises vis-à-vis des problèmes alimentaires mondiaux. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans le programme de l’AGRA, comme on le voit ci-dessous ».

© AGRA Watch

La Fondation Bill & Melinda Gates n’est pas là pour résoudre les réels problèmes du monde

Dans son rapport de 2014[8], « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n’ont résolu aucun des problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. Avant tout, nombre des solutions qu’il soutient sont des « solutions de façade » qui aggravent en fait les problèmes à la racine.

Citons par exemple le financement du développement d’aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés génétiquement modifiées qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant à la création de variétés de cultures « enrichies », la biodiversité diminue et la malnutrition s’aggrave.

Par ailleurs, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec les recherches qui montrent qu’un faible rendement ou une production insuffisante n’est pas la cause de la faim dans le monde. AGRA Watch fait le constat suivant :

Il existe aujourd’hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d’accès, qui sont eux-mêmes aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments. Les subventions de la Fondation Gates et de l’AGRA continuent à se concentrer sur le rendement, en préparant l’Afrique à un système adapté aux besoins de l’agriculteur commercial à la recherche de profits et axé sur le rendement plutôt qu’adapté au paysan ou au petit agriculteur qui produisent des cultures diverses pour une communauté locale.

Un troisième problème souligné dans le rapport AGRA Watch concerne le financement par Bill Gates des organisations de recherche et des scientifiques européens et américains plutôt qu’africains, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique :

Cette situation peut ne pas être le résultat d’intentions conscientes, mais d’un préjugé structurel profondément ancré qui fait que les scientifiques et les institutions scientifiques africains ne sont pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir le financement des subventions.

© Fotokostic – Shutterstock.com
L’agriculture se développe en Afrique, les pesticides aussi

Note du traducteur : Puisqu’il n’existe à échéance 2020 aucune publication relative à l’efficacité ou pas du programme de l’AGRA dans sa globalité et que cette dernière a refusé de lui fournir les informations nécessaires à ses recherchesTimothy Wise a utilisé les données nationales de treize pays « bénéficiaires » de l’AGRA jusqu’en 2018, données portant sur la production, le rendement et la superficie récoltée pour la plupart des cultures vivrières importantes de la région, afin d’évaluer dans quelle mesure les programmes de cette révolution verte augmentent sensiblement la productivité.

L’AGRA a par ailleurs reçu près d’un milliard de dollars de contributions, dont la grande majorité provient de la Fondation Gates, mais également des contributions importantes des gouvernements donateurs, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres pays. L’AGRA a versé plus de 500 millions de dollars en subventions pour promouvoir sa vision d’une agriculture africaine « modernisée », libérée de sa technologie peu développée et de ses faibles rendements.

Timothy Wise a également examiné les données sur la pauvreté et la faim afin de déterminer s’il existe des signes d’amélioration des revenus et de la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles dans la région, qui se situeraient à des niveaux correspondant aux objectifs de l’AGRA en matière d’amélioration du bien-être des agriculteurs.

Il n’a trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. Il déplore au contraire « n’avoir trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. » Et plus précisément, il a constaté ce qui suit :

  • Peu de preuves que l’AGRA atteignait un nombre important d’agriculteurs. Son dernier rapport d’étape indique seulement que l’AGRA a formé 5,3 millions d’agriculteurs aux pratiques modernes, dont « 1,86 million d’agriculteurs » utilisent directement ces méthodes. Ce chiffre est vague et bien loin de l’objectif déclaré de doubler directement la productivité et les revenus de 7 millions d’agriculteurs, et indirectement pour 21 millions d’autres.
  • Aucune preuve d’une augmentation significative des revenus des petits exploitants ou d’une sécurité alimentaire. Pour l’ensemble des pays cibles de l’AGRA, il y a eu une augmentation de 30 pour cent du nombre de personnes souffrant de la faim extrême depuis le début, une situation qui touche 130 millions de personnes dans les pays cibles de l’AGRA. Le Kenya, où se trouve son siège, a connu une augmentation de la proportion de ses habitants souffrant de sous-alimentation pendant les mêmes années.
  • Il n’existe aucune preuve d’une augmentation importante de la productivité. Pour l’ensemble des cultures de base, les rendements n’ont augmenté que de 18 pour cent sur douze ans dans les treize pays cibles de l’AGRA. Même le maïs, fortement encouragé par les programmes de la Révolution verte, n’a connu qu’une croissance de 29 pour cent de son rendement, bien loin de l’objectif de l’AGRA d’en doubler la productivité, ce qui représenterait une augmentation de 100 pour cent.
  • Là où l’adoption des technologies a eu lieu, les subventions aux intrants fournies par les gouvernements africains semblent avoir beaucoup plus d’influence que les programmes de l’AGRA. Il est difficile de trouver des preuves que les programmes de l’AGRA auraient un impact significatif en l’absence de subventions aussi importantes de la part des gouvernements africains.
  • Même là où la production a augmenté, comme en Zambie, la production de maïs qui a quasiment triplée n’a pas entraîné de réduction de la pauvreté ou de la faim en milieu rural. Les petits agriculteurs n’en ont pas profité ; la pauvreté et la faim sont restées incroyablement élevées, 78 pour cent des Zambiens vivant en milieu rural étant dans une pauvreté extrême.
  • Les incitations de la Révolution verte pour les cultures prioritaires comme le maïs ont conduit à l’abandon des cultures traditionnelles plus nutritives et plus résistantes au climat comme le millet et le sorgho, ce qui a érodé la sécurité alimentaire et la nutrition des agriculteurs pauvres. La production de millet a diminué de 24 pour cent, les rendements ayant chuté de 21 pour cent pendant les années de l’AGRA.
  • Aucun signe d’« intensification durable », l’objectif étant d’augmenter durablement la production sur les terres agricoles existantes. Les impacts environnementaux sont négatifs, notamment l’acidification des sols dans le cadre de la culture en monoculture avec des engrais à base de combustibles fossiles. L’augmentation de la production provient davantage des agriculteurs qui mettent de nouvelles terres en culture — par « extension » — que de l’augmentation de la productivité. Ces deux tendances ont des implications pour l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci.

Il s’agit donc d’un bilan d’échec pour l’AGRA — sauf à penser que l’objectif n’était pas celui-là même qui a été mis en avant — et il serait temps que les gouvernements africains qui en sont « bénéficiaires » changent de cap…

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La spécialité de Gates — Le philanthro-capitalisme

Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l’article de l’AGRA Watch[9] « Philanthro-capitalisme : Les programmes africains de la Fondation Bill & Melinda Gates ne sont pas de la charité », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthro-capitalisme est décrit comme « une tentative d’utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui se révèle intrinsèquement problématique « parce que les marchés sont mal adaptés pour produire des résultats socialement constructifs ».

En d’autres termes, la marque de fabrique de la philanthropie de Gates engendre plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout. Comme l’indique l’article, les partisans de la philanthro-capitalisation…

… attendent souvent de leurs investissements dans les programmes sociaux des retours financiers ou des bénéfices secondaires à long terme. La philanthropie devient une autre partie du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de développement de la Fondation Bill & Melinda Gates encourage en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises.

Il est […] probable que Bill Gates, qui a un accès régulier aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d’universités, d’organisations internationales, d’ONGs et de médias, soit devenu la voix la plus influente en matière de développement international.

Un examen plus approfondi de la Fondation Bill & Melinda Gates est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire plus grande que celle de la plupart des gouvernements donateurs. La Fondation Bill & Melinda Gates fournit plus d’aide à la santé mondiale que tout autre pays donateur et est le cinquième plus grand donateur pour l’agriculture dans les pays en développement.

En 2013, seuls onze pays ont dépensé plus que la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qui en fait le douzième donateur mondial. La Fondation Bill & Melinda Gates est devenue un donateur plus important que des pays tels que la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Irlande et l’Italie[10].

Le plan médical de Gates — Immunisation et surveillance mondiales

L’une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent conscience de la puissance de Gates est sa présence fréquente en tant qu’expert du jour du Covid-19. C’est un choix étrange, compte tenu de son absence totale de formation médicale formelle. C’est d’autant plus troublant que les opinions des médecins, des scientifiques etdes chercheurs qui sont en conflit avec ses vuessont effacées de l’Internet.

Note du traducteur : Le Dr Jospeh Mercola fait lui-même l’objet d’attaques sur Internet. Voici ce qu’il écrivait le 17 août dernier :


Deux décennies de journalisme sur la santé sont en jeu

Ces vingt-trois dernières années, je me suis battu contre l’introduction de fluorure neurotoxique dans l’eau. J’ai été l’un des premiers médecins à alerter le monde sur les dangers du Vioxx, qui a tué plus de 60 000 patients avant d’être finalement retiré du marché. J’ai fait campagne contre les OGMs et les produits agrochimiques toxiques, en finançant en 2012 la première collecte de signatures pour obtenir l’étiquetage des OGMs en Californie.

Pendant plus de dix ans, j’ai financé la lutte pour mettre fin à l’utilisation des plombages dentaires au mercure dans le monde entier. J’ai mis en garde contre la sur-utilisation des antibiotiques en médecine humaine et les dangers de leur consommation dans les viandes CAFO [c’est-à-dire issues de l’élevage intensif – NdT]

J’ai financé des recherches et j’ai été l’un des premiers médecins journalistes à sensibiliser aux dangers de la carence en vitamine D. Je sensibilise maintenant le public à l’importance d’optimiser la vitamine D pour minimiser les risques du Covid-19.

Ce plaidoyer en faveur de la santé publique a créé une armée d’adversaires bien financés. Ils m’ont attaqué en utilisant des groupes de relations publiques coûteux et des médias de masse, ont saisi des agences de régulation fédérales et des groupes pharmaceutiques de façade pour tenter de me faire taire et de me discréditer.

Jamais auparavant les Américains n’ont été exposés à un tel assortiment coordonné de mensonges et de censure. Le lavage de cerveau, la surveillance des médias sociaux, la coercition et la destruction des dissidents s’accélèrent. Pour un aperçu complet de ce nouvel ordre mondial, un empire construit et dirigé par des milliardaires, voir ma série d’articles « Le fantôme dans la machine ».

Bill Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne pourrait pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas vacciné contre le Covid-19 l’ensemble de la population mondiale. Et ce, en dépit du fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux ont découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le Covid-19.

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Lorsque vous ou vos enfants vous faites vacciner, vous devez être certain de savoir qui injecte quoi dans votre sang et pour quelle raison.

Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement non fondées de Bill Gates façonnent dans le monde entier les réponses à la pandémie alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux constitue la preuve que nous ne fonctionnons plus sur une base scientifique et de vérité médicale.

Au lieu de cela, le monde entier devrait s’aligner sur le programme créé par Bill Gates qui sert ses propres intérêts et ceux de ses nombreux alliés dans le domaine de la technologie et de la médecine. Dans un article publié dans GatesNotes[11-12] le 30 avril 2020, Gates déclare même qu’il « soupçonne que le vaccin Covid-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveaux-nés » — un joli petit morceau de programmation prédictive, si vous voulez mon avis.

Note du traducteur : Pour appuyer les propos du Dr Mercola, voici ce que Bill-Gates-le-psychopathe-de-service-aux-ordres-du-consortium-en-haut-de-la-pyramide explique aussi dans cet article :

La plupart des gens s’accordent à dire que les professionnels de la santé devraient d’abord se faire vacciner. Mais qui le reçoit ensuite ? Les personnes âgées ? Les enseignants ? Les travailleurs occupant des emplois essentiels ?

Je pense que les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à le recevoir, car les gens risquent beaucoup plus de mourir dans ces pays. Le Covid-19 se répandra beaucoup plus rapidement dans les pays pauvres, car des mesures comme l’éloignement physique sont plus difficiles à mettre en œuvre. Un plus grand nombre de personnes ont un mauvais état de santé sous-jacent qui les rend plus vulnérables aux complications, et la faiblesse des systèmes de santé fera qu’il leur sera plus difficile de recevoir les soins dont ils ont besoin. La mise en circulation du vaccin dans les pays à faible revenu pourrait sauver des millions de vies. La bonne nouvelle, c’est que nous disposons déjà d’une organisation spécialisée dans ce domaine, la Vaccine Alliance (Gavi).

Il s’agit donc d’attaquer les plus faibles d’abord, sous couvert d’humanisme et de bonnes intentions, on s’occupera des autres ensuite ; d’ici là, des lois d’obligation vaccinale auront peut-être eu le temps de voir le jour un peu partout. Peut-être…

Les vaccins à ARNm développés contre le Covid-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment judicieux d’envisager l’utilisation d’un tel nouveau vaccin sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons aujourd’hui dans un monde dirigé par les hommes de main de Gates [lui-même sacrifiable s’il est besoin par le même consortium qui a permis qu’il soit là où il est à dessein – NdT], et la raison et la logique ont donc largement disparues de l’équation.

Dans une dialectique hégélienne prévisible de type problème-réaction-solution, le problème du Covid-19 a conduit à des stratégies anti-pandémiques illogiques et mal conçues telles que l’obligation de porter un masque et l’assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » offerte par un vaccin élaboré à la hâte qui repose sur l’usage d’une nouvelle technologie d’ARNm.

Aussi radical que tout cela puisse paraître, les projets de Gates pour le monde ne s’arrêtent pas là. Il fait également pression pour la mise en place d’un vaste système de surveillance mondial permettant de suivre et de retracer le statut de chacun en matière infectieuse et vaccinale. Il finance même, avec George Soros, le groupe de recherche des contacts Partners in Health. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé[13]).

Il n’est pas surprenant que les recommandations de Bill Gates finissent par lui profiter avant tout. Comme nous l’avons vu dans « Bill Gates — Le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne », la Fondation Bill & Melinda Gates fait des dons de plusieurs milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries que celles dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.

Utiliser l’argent des associations à but non lucratif pour faire avancer la recherche au sein des entreprises dans lesquelles vous investissez est illégal, mais Bill Gates continue depuis de nombreuses années à ne rendre aucun compte à la justice. Sa fondation bénéficie parallèlement d’avantages fiscaux au titre des donations qu’elle reçoit.

N’oubliez pas qu’au fil des ans il a « donné » des dizaines de milliards de dollars et pourtant la valeur nette de sa fondation n’a pas diminué — elle a même doublé, et cela est dû en grande partie au fait que ses dons sont traités comme des investissements fiscalement déductibles. C’est du philanthro-capitalisme dans sa plus grande expression.

Note du traducteur : Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l’ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l’un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la Fondation Gates nourrirait un système destructeur.

Entretien.

Bill Gates est celui qui bénéficie le plus d’une peur propagée de pandémie

À ce jour, la pandémie de Covid-19 est indéniablement le plus grand projet philanthro-capitaliste de Bill Gates, et il s’apprête à engranger d’énormes sommes d’argent, puisqu’il finance et investit à la fois dans les traitements et dans les vaccins contre le Covid-19.

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En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé[14] un nouveau partenariat, baptisé « The Covid-19 Therapeutics Accelerator », avec Wellcome et Mastercard pour « coordonner les efforts de recherche et développement, et éliminer les obstacles au développement des médicaments [et intensifier les traitements pour faire face à la pandémie » — Voir le site en anglais ici – NdT] ». Selon le communiqué de presse[15] :

L’accélérateur thérapeutique Covid-19 jouera un rôle de catalyseur en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter à court terme les patients atteints du Covid-19, puis d’autres agents pathogènes viraux à plus long terme.

La Fondation Gates s’est également associée au Serum Institute of India pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, sont destinés à être livrés aux pays à faible revenu[16-17].

Le financement est acheminé sous la forme d’un prêt sans intérêt et remboursable à Gavi, la Vaccine Alliance, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire au Serum Institute of India. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s’est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires[18].

Note du traducteur : Le Wellcome Trust est une fondation caritative fondée en 1936 dédiée à la médecine dont le siège est en Grande-Bretagne, dont la mission générale consiste à « encourager et promouvoir la recherche dans le but d’améliorer la santé de l’homme et des animaux », et qui finance la recherche biomédicale à hauteur d’une moyenne de 725 millions d’euros par an. Au 30 septembre 2007, ses actifs nets se montaient à 16,8 milliards d’euros. Au 30 septembre 2018sa dotation s’élevaient à près de 29 milliards d’euros. En termes d’avoirs, il s’agit de la seconde fondation la plus riche après la Fondation Bill & Melinda Gates.

Cette influence générale sur la technologie, l’alimentation et la médecine — et sur les vaccins en particulier — ne décrit pourtant pas de manière adéquate l’emprise de Bill Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l’éducation. Le très critiqué programme Common Core [Tronc commun, fondé en 2009 – NdT] fut une tentative de la Fondation Gates de redéfinir l’éducation américaine[19] et la plupart des parents vous diront à quel point cette tentative était stupide[20].

Note du traducteur : Selon un article de Forbes de mai 2020,

Bill Gates n’a pas inventé ce Tronc commun, mais comme l’a expliqué Lyndsey Layton en 2014, il a fourni le soutien financier, l’organisation et l’influence nécessaire pour les faire entrer rapidement dans tous les États de la nation. Il est difficile de savoir exactement combien d’argent Bill Gates a dépensé pour soutenir son projet de Tronc commun, le nombre de groupes et le nombre des chèques émis étant stupéfiants. Mais les dépenses de Bill Gates en matière d’éducation aux États-Unis se chiffrent en milliards de dollars et ont directement influencé la façon dont ont été dépensés des milliards de milliards de dollars du contribuable. Et si certains continuent à affirmer que ce projet de Tronc commun fut un succès, il est pour le moins difficile de conclure à un consensus général. Ce que le Tronc commun de Bill Gates a cependant réussi, c’est d’aider à faire accepter dans le système scolaire américain les deux aspects majeurs qui définissent Bill Gates — mettre l’accent sur la collecte des données, et définir qu’une moins bonne réussite scolaire s’assimile à « de bons résultats à un test de mathématiques et de lecture ».

Malgré cet échec lamentable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, annonçait que l’État s’associait à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système d’éducation plus intelligent » pour le monde post-Covid, système qui se concentrera sur l’apprentissage en ligne et intégrera de façon permanente la technologie dans tous les aspects de la vie civique[21].

L’État de New York s’est également associé à Google, et Cuomo a demandé à son ancien PDG, Eric Schmidt, de diriger un nouveau panel chargé de planifier l’infrastructure technologique de l’État[22]. Comme l’a noté Naomi Klein dans son article publié dans The Intercept[23], l’appareil de surveillance contre lequel les consommateurs se sont insurgés est maintenant rebaptisé en réponse aux préoccupations de chacun en matière de santé.

Note du traducteur : dans son article, Naomi Klein écrit aussi ceci :

C’est un avenir dans lequel nos maisons ne seront plus jamais exclusivement des espaces personnels mais aussi, grâce à la connectivité numérique à haut débit, nos écoles, nos cabinets médicaux, nos gymnases et, si l’État le détermine, nos prisons.

Bill Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne

Qu’elle soit planifiée ou pas, la pandémie de Covid-19 est de toute évidence utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement totalitaires, y compris la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé dans le cadre de partenariats public-privé.

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d’engranger d’énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.

Pour mieux comprendre ce à quoi vous renoncez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin de Big-Technologie pour être sauvés, voir mon article à propos de la psychologue sociale et professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, et son livre extraordinaire, L’Âge du capitalisme de surveillance.

Vous ne voudrez pas non plus manquer mon récent entretien avec Patrick Wood, présenté dans « Les plus impérieux dangers de la technocratie ». J’ai intégré cette interview ci-dessous pour vous faciliter la tâche.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui souhaitent visionner cette vidéo en anglais, suivez ce lien. Pour accéder à la transcription de l’interview en anglais, suivez ce lien. Sinon voici quelques paragraphes concernant les grandes lignes de son contenu :

  • La technocratie est un système économique qui a vu le jour dans les années 1930, au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation [les États-Unis – NdT]. Depuis lors, les technocrates ont silencieusement et sans relâche progressé, et leur programme devient de plus en plus visible.
  • Les technocrates ont inventé un nouveau système économique à partir de zéro — un système économique basé sur les ressources dans lequel l’énergie et l’ingénierie sociale dirigent l’économie plutôt que des mécanismes de prix tels que l’offre et la demande.
  • La technocratie appelle au démantèlement total du système politique, qui inclut la Constitution américaine. Les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident des ressources que les entreprises peuvent utiliser et des produits que les consommateurs sont finalement autorisés à acheter.
  • La Commission trilatérale est un groupe technocratique clé qui a dominé le système politique américain depuis Jimmy Carter.
  • La seule raison pour laquelle la technocratie n’a pas encore réussi à supplanter les États-Unis — bien qu’elle s’en rapproche de façon incroyable — c’est à cause de notre Constitution [ou grâce à elle, selon le point de vue – NdT]. C’est pourquoi nous devons nous battre pour protéger notre Constitution à tout prix. L’un des moyens les plus efficaces pour y parvenir est de créer des mouvements de base et de s’impliquer dans la politique locale.

Patrick Wood est un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart des folies que nous observons actuellement, et qui a été exacerbé par la pandémie de Covid-19.

Il a écrit deux livres sur ce sujet : Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation et Technocracy: The Hard Road to World Order [« La montée de la technocratie — Le cheval de Troie de la transformation globale » et « Technocratie — La dure route vers l’ordre mondial », ouvrages non traduits en français – Ndt].

Patrick Wood brosse un tableau qui peut être difficile à avaler, surtout si vous venez d’entendre tout cela pour la première fois, mais il est vraiment crucial que tout le monde commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés. Le temps nous est compté. Pour avoir une chance de l’arrêter, nous devons comprendre notre trajectoire et nous unir pour changer le cap que Bill Gates et d’autres comme lui nous ont tracé.

Sources et références

Source de l’article initialement publié en anglais le 21 août 2020 : Mercola
Traduction: Sott.net

Commentaire : Voici une liste d’articles sur Bill Gates en particulier et sur le Covid-19 en général

Bill Gates


Covid-19

[Voir aussi : Bill Gates sur Nouveau Monde]




COVID19: Débunkage du narratif officiel

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Auteur : ANNES BOURIA – Pharmacien]

Chers amis et compagnons de ré-information,

Je vous propose 10 points de débunkage à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du Covid :

1) Le covid19 est un virus dangereux

Le Sars-cov2, alias Covid19, est potentiellement dangereux pour certaines catégories de la population (tout comme les autres infections respiratoires), sinon,… pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début.

Le taux de mortalité est évalué entre 0,2 et 0,65% [1]. C’est 5 à 15 fois moins que les 3% donnés en début de pandémie. De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente [2] : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie.

Sans parler du fait que beaucoup de « morts covid » (probablement en majorité) sont en fait des décès de patients déjà très faibles chez qui le virus a joué un rôle marginal [3].

Les cas graves chez les personnes en dessous 50 ans et en bonne santé sont totalement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques [4] ou peu symptomatiques (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5% de patients covid+ doivent être hospitalisés, et 1 à 2% de cas graves [5,6] pour l’ensemble des contaminés qui sont en majorité des personnes âgées et fragiles.

Avec près de 80% d’asymptomatiques [7] et une médiane des décès à plus de 80 ans [8]… On peut trouver pire comme affection.

2) Le virus est inconnu

Ce virus est nouveau, mais on ne peut plus dire qu’il soit inconnu à l’heure actuelle. C’est un cousin du 1erSRAS, identifié en Chine en 2002, et bien documenté. Après quasiment 1 an d’observations, c’est le sujet pour lequel il y a eu le plus de publications médicales scientifiques en 2020.

Ce virus, bien qu’il reste quelques zones d’ombres autour de lui, on commence à bien le connaitre…

3) Il n’y a pas de traitements

Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique s’attache aux essais statistiques randomisés en double aveugle. Mais ce n’est ni de la médecine, ni de la science. La médecine c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, l’observation faite par les praticiens de terrain à travers le monde  a mis en évidence plusieurs associations qui donnent de bons résultats [9] : l’association Hydroxychloroquine/Azithromycine/Zinc [10] ou l’association Macrolide/Céphalosporine/Zinc [11] semblent éviter les formes graves à condition d’être prises tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre le covid [12].

Aux stades plus avancés, l’on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone [13], les anticoagulants[14] pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie [15].

L’on n’aura peut-être plus besoin d’intuber les patients en soins intensifs, qui en réalité étaient arrivés à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie car on avait choisi de ne pas soigner les gens durant l’épidémie !

4) Toutes les personnes touchées ont des séquelles

Tout d’abord, un grand nombre de viroses peuvent engendrer des séquelles organiques à des niveaux divers, y compris cardiaques ou neurologiques [16,17] .

Ici, il est impossible de se prononcer sans avoir plus de recul. Mais ce tableau semble loin de représenter la réalité.

Selon l’académie française de médecine [18], 30% des patients hospitalisés présentent diverses séquelles 6 semaines après la rémission.

Ces séquelles vont de la fatigue aux difficultés respiratoires en passant par des troubles neurologiques, rénaux ou cardiaques. Il semblerait que ces séquelles soient potentiellement réversibles, mais encore une fois il est trop tôt pour être catégorique.

Donc il s’agirait d’un tiers des patients hospitalisés (qui sont déjà une minorité des cas- 5%) qui présenteraient des séquelles à des degrés divers.

Quant aux graves atteintes pulmonaires peu réversibles, on les observe surtout dans les stades très avancés [19], et les intubations, dont l’utilité médicale est remise en question [20], y ont fortement contribué.

5) Il va y avoir/ on assiste à une deuxième vague

Le concept de deuxième vague ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il se base sur l’épisode de la pandémie de grippe espagnole il y a un siècle [21], mais non transposable aux conditions actuelles.

L’on nous a prédit, voire annoncé, cette deuxième vague à de nombreuses reprises depuis la fin du pic épidémique européen d’avril, mais ce fut à chaque fois des pétards mouillés.

Nul ne peut prédire l’avenir, mais les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes [22] : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît (comme ce fut le cas du 1er SRAS) soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques [23]).

A ce jour, en Europe, aucune reprise observable en terme clinique ou de hausse significative de la mortalité n’a été observée [24].

Nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

6) Il y a une augmentation des « cas »

Il ne s’agit pas de « cas » au sens médical ou clinique du terme. Ce qu’il se passe dans de nombreux pays d’Europe, c’est que les capacités et les politiques de test ont été élargies [25].

Ce que les autorités, ainsi que la presse, recensent sont uniquement des tests sérologiques (prise de sang) ou PCR (écouvillon dans le nez) protocolaires où l’on détermine si un individu a été en contact avec le virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne est malade ni contagieuse [26]. D’autant que 75% des positifs sont asymptomatiques [27], cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.

Voilà comment faire passer de bonnes nouvelles pour des mauvaises !

Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir jusqu’à 90% de « cas » sans infection en cours ni contagiosité ! [28] Et à raison de 3% sur l’ensemble des tests… cela correspond à la moyenne en termes de taux de positivité en France et en Belgique notamment depuis l’élargissement des campagnes de testing… [29]

7) Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.

Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invités à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elles présentent peu de risques et sont donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme [30].

Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires car l’on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prisent empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, c’est à n’y rien comprendre…

8) Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance »

Tout d’abord, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir, ni qu’il soit totalement efficace.

Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?

Il faut également signaler que les vaccins contre les rétrovirus, comme le covid, sont extrêmement compliqués à élaborer dans la mesure où ces virus mutent très vite [31].

Ajoutez à cela que ce vaccin semble être élaboré à la hâte, sans recul, avec des technologies inédites [32]… Faudra y réfléchir à deux fois avant d’accepter une vaccination massive, sachant que selon certaines études, on constate une immunité (croisée) déjà présente chez certains individus allant jusqu’à 50% de la population [33]. Ce qui expliquerait cette large proportion d’asymptomatiques.

Si un vaccin est élaboré, il devra être réservé aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, c’est une ineptie !

9) Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité. ABSOLUMENT RIEN !

D’ailleurs, les pays n’ayant imposés aucune de ces mesures (la Suède, un cas intéressant [34], la Biélorussie) ou de manière allégée (Allemagne, Pays-Bas) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques [35] sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie,Espagne)!

Que l’on soit clair :

Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté [36], sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.

Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique lorsque le risque est grand (on nous avait d’ailleurs dit que c’était inutile à l’époque), et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalable, y compris en extérieur et en dehors d’un pic épidémique par-dessus le marché. C’est de la grosse foutaise, pardon !

Non définitivement, le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés [37,38].

10) Les autorités savent ce qu’elles font

Il est dans certains esprits l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. C’est une croyance qu’il paraît urgent de réviser !

Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général fonctionnent par conformisme et cooptation, certains disent même médiocratie. [39] C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus plutôt médiocres mais obéissants et reconnaissants.

Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à accéder à des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Albert Jaccard avait prévenu en 1994 déjà : « Nous sommes en train de sélectionner les gens les plus dangereux » disait-il.

Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et ont leur ambition carriériste comme principal objectif.

Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts évidents, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme.

Un sacré cocktail !

C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, anti-démocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

ANNES BOURIA – Pharmacien

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Références

  1. https://theconversation.com/how-deadly-is-the-coronavirus-the-true-fatality-rate-is-tricky-to-find-but-researchers-are-getting-closer-141426?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  2. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-scenarios-2020-05-20.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  3. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#Comorbidities
  4. https://arxiv.org/abs/2006.08471?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=59d57f54e5-briefing-dy-20200706&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-59d57f54e5-45555106&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  5. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/covid-data/covidview/index.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#hospitalizations
  6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.pdf
  7. https://www.journaldequebec.com/2020/05/28/jusqua-80-de-cas-de-covid-silencieux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  8. https://www.liberation.fr/direct/element/la-repartition-par-age-des-deces-lies-au-coronavirus-ressemble-a-une-mortalite-classique_112144/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  9. https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.02.20080036v1?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  11. https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/azithromycine-etc-la-controverse-gronde-autour-du-cocktail-anti-covid-19-de-medecins-generalistes/article-normal-47443.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE7
  12. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=10570600&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  13. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-dexamethasone-efficace-contre-les-formes-graves-ne-doit-pas-etre-donne-au-debut-de-la-maladie?id=10544918&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=La%20dexam%C3%A9thasone%2C%20premier%20m%C3%A9dicament%20%C3%A0,un%20essai%20clinique%20publi%C3%A9s%20vendredi.
  14. https://www.revmed.ch/covid-19/Risque-thrombotique-veineux-induit-par-le-SARS-CoV-2-prevalence-recommandations-et-perspectives
  15. https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/coronavirus/covid-19-loxygenotherapie-pourrait-eviter-lintubation_29764.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  16. https://www.coeuretavc.ca/articles/comment-les-virus-endommagent-ils-le-coeur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  17. https://www.gbpf.be/images/uploads/congres/Frere-Julie_Infections_virales_du_SNC.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  18. http://www.academie-medecine.fr/avis-de-lacademie-les-sequelles-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  19. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/covid-wwksf/2020/07/what-we-know-covid-19-long-term-sequelae.pdf?la=en&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  20. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-les-medecins-sinterrogent-sur-le-bon-usage-des-respirateurs-1195147?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  21. https://uclouvain.be/fr/decouvrir/la-grippe-espagnole-de-1918-suscitait-elle-la-meme-peur-que-le-coronavirus.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  22. https://www.lindependant.fr/2020/04/29/professeur-didier-raoult-99-des-cas-de-coronavirus-en-france-auront-eu-lieu-avant-le-19-mai,8867698.php?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  23. https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/pourquoi-le-froid-plait-aux-virus-respiratoires?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  24. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  25. https://swprs.org/covid-just-a-casedemic/
  26. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  27. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptomatiques-au-moment-du-test?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.
  28. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v2.full.pdf
  30. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-la-communaut%C3%A9?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  31. https://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/10/24095-vaccin-contre-sida-pourquoi-cest-difficile?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  32. https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  33. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-moitie-de-la-population-possederait-une-immunite-au-covid-19-pre-existante_2132005.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  34. https://www.thesun.co.uk/news/12591827/sweden-coronavirus-case-rate-lower-denmark-norway-lock-down/
  35. https://www.worldometers.info/coronavirus/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  36. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-population-du-Canada.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  37. https://www.express.co.uk/life-style/health/1320428/Coronavirus-news-lockdown-mistake-second-wave-Boris-Johnson?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  38. http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients-leur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  39. https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2016-2-page-17.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  40. https://www.youtube.com/watch?v=9v9updAv018



Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington

[Source : Jean-Dominique Michel]

Trois des plus grands épidémiologistes de trois des plus grandes universités lancent un appel urgent à changer de réponse sanitaire face au Covid en sortant des mesures de confinement.

Tout le contraire de la « Task Force » suisse, qu’il faut dissoudre de toute urgence pour la remplacer par un comité compétent !

Cette déclaration, qui corrobore les analyses et recommandations exprimées sur ce blog depuis le mois de mars, a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux États-Unis, par :

  • Dr. Martin KULLDORFF, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.
  • Dr. Sunetra GUPTA, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.
  • Dr. Jay BHATTACHARYA, professeur à l’École Médicale de l’université de Standford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.

Tous les professionnels de santé du monde entier, ainsi que tous les citoyens, peuvent la signer à cette adresse. A l’heure de cette publication, elle est déjà soutenue par 4’135 scientifiques, 7’432 médecins et 104’697 citoyennes et citoyens de nombreux pays !
Le désastre en cours est bien dû au grave dysfonctionnement de nos systèmes de gouvernance se surajoutant à une épidémie respiratoire virale d’ampleur moyenne à forte. Face à laquelle existent des réponses efficaces autres que la panique et la destruction économique, culturelle et sociale de nos sociétés.
 Écoutons ces immenses professionnels qui savent de quoi ils parlent et non des clones de la pensée étroite bardés de conflits d’intérêts. L’intelligence collective c’est maintenant, ou il sera simplement trop tard ! Sauf à changer de modèle de société pour vivre selon Jeff Bezos, Bill Gates et Big Pharma. Si c’est cela le « programme politique » de nos gouvernants et comités « scientifiques », eh bien qu’ils nous le disent ouvertement… 

Déclaration de Barrington

En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection).

Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique au COVID-19. A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests PCR pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur. Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.

Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective.

(texte traduit de l’Anglais par Mathias Delori, avec l’accord expresse des auteurs)

Lien vers l’interpellation (en vidéo) des trois scientifiques :




Les faits sur le coronavirus

[Source : Swiss Propaganda Research]

Des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour aider nos lecteurs à faire une évaluation réaliste des risques.

« La seule façon de lutter contre la peste, c’est  l’honnêteté. »

Albert Camus, 1947

Aperçu

  1. Selon les données des pays et régions les mieux étudiés, la létalité du Covid19 est en moyenne de 0,2% environ et est donc de l’ordre d’une forte grippe (Influenza) et environ vingt fois inférieure à celle initialement supposée par l’OMS .
  2. Le risque de décès pour l’ensemble de la population en âge d’aller à l’école et de travailler, même dans les « hotspots » (foyers d’infections) mondiaux, est du même ordre que le risque de décès lors des déplacements quotidiens pour aller au travail en voiture. Au départ le risque a été surestimé car les personnes ne présentant aucun symptôme ou des symptômes légers n’ont pas été incluses.
  3. Jusqu’à 80% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme . Même chez les 70 à 79 ans, environ 60% restent asymptomatiques. Plus de 95% des personnes ne présentent au plus que des symptômes bénins .
  4. Jusqu’à un tiers de la population a déjà une immunité de fond au Covid19 par contact avec des coronavirus précédents (c’est-à-dire des virus du rhume).
  5. L’âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l‘ Italie ) est supérieur à 80 ans et seulement 1% environ des personnes décédées n’avaient pas de maladie grave antérieure. Le profil de la mortalité correspond donc essentiellement à une mortalité normale .
  6. Dans la plupart des pays, jusqu’à 50 à 70% des décès sont survenus dans des EHPAD , qui ne tirent aucun bénéfice d’un confinement général. De plus, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont vraiment décédées du Covid19 ou de stress à des niveaux élevés, de peur et de solitude .
  7. Jusqu’à 50% des décès en excès ne sont pas provoqués par le Covid19, mais par les effets du confinement, la panique et la peur. Ainsi le traitement des crises cardiaques et accidents vasculaires a reculé jusqu’à 60 % parce que les patients n’osent plus se rendre dans les centres de soins.
  8. Même dans les soi-disant « décès Covid19 » , il n’est souvent pas clair si les personnes sont décédés par ou avec le virus (c’est à dire un décès à cause d’une pathologie préexistante), ou encore que se soit des « cas suspectés », qui n’ont simplement pas été testés. Il est à constater que les chiffres officiels ne reflètent souvent pas ces distinctions .
  9. De nombreux reportages dans les médias, rapportant que des jeunes et des personnes en bonne santé sont décédés du Covid19, se sont avérés être faux : Beaucoup de ces personnes ne sont en fait soit pas mortes du Covid19, ou alors elles étaient déjà gravement malades auparavant (par exemple une leucémie non détectée), ou ils avaient 109 ans au lieu de 9 ans.
  10. La mortalité globale normale quotidienne aux États-Unis est d’environ 8 000, en Allemagne d’environ 2 600, en Italie d’environ 1 800 et en Suisse d’environ 200 personnes par jour. La mortalité de la grippe aux États-Unis peut atteindre 80 000, en Allemagne et en Italie jusqu’à 25 000 et en Suisse jusqu’à 2 500 personnes par hiver. Dans plusieurs pays, le Covid19 n’a pas atteint ces niveaux-là .
  11. Des taux de mortalité très élevés, comme dans le nord de l’Italie, peuvent être influencés par des facteurs de risque supplémentaires tels qu’une pollution atmosphérique et une contamination microbienne très élevées ainsi qu’un effondrement des soins aux personnes âgées et des soins infirmiers dû aux infections, à la panique de masse et au confinement.. Des réglementations spéciales concernant les personnes décédées ont parfois entraîné des goulots d’étranglement supplémentaires dans les enterrements.
  12. Dans des pays comme l’Italie et l’Espagne ainsi qu’en partie au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vagues de grippe ont déjà entraîné une surcharge des hôpitaux. Actuellement, jusqu’à 15% des médecins et infirmières, même sans symptômes, doivent être mis en quarantaine.
  13. Les courbes exponentielles souvent présentées avec des « cas corona » sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de façon exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport des tests positifs au test global (taux dit positif) reste constant de 5 à 25% ou n’augmente que légèrement. Le pic des infections a atteint son apogée dans la plupart des pays avant les confinements.
  14. Les pays sans confinements et interdictions de contacts, tels que le Japon, la Corée du Sud et la Suède n’ont jusqu’à présent pas connu de tendance plus négative que les autres pays. La Suède a même récemment été saluée par l’OMS comme un modèle exemplaire et bénéficie désormais d’une immunité élevée.
  15. La crainte d’une pénurie de respirateurs artificiels était injustifiée . Selon des pneumologues , la ventilation invasive (intubation) des patients atteints de Covid19, qui était en partie dûe à la peur du virus, est souvent contre – productive et endommage en outre les poumons.
  16. Contrairement aux hypothèses initiales, diverses études ont montré qu’il n’y a aucune preuve de propagation du virus par les aérosols (particules en suspension dans l’air) ou par des frottis (comme les poignées de porte, les smartphones ou chez le coiffeur) .
  17. Il n’y a pas non plus de fondement scientifique pour l’efficacité des masques respiratoires chez les personnes en bonne santé ou asymptomatiques . Au contraire , les experts avertissent que ces masques entravent la respiration et deviennent des «lanceurs de germes» .
  18. De nombreuses cliniques en Europe et aux États – Unis sont restées sous – utilisées et ont même parfois dû recourir au chômage partiel . De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées , notamment des transplantations d’organes «non essentielles» et des dépistages du cancer.
  19. Plusieurs médias ont été surpris en train de dramatiser la situation dans les hôpitaux, parfois même avec des images manipulatrices. En général, les reportages douteux de nombreux médias ont maximisé la peur au sein de la population.
  20. Les kits de test de virus utilisés à l’échelle internationale sont sujets à des erreurs et peuvent donner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs. Le test de virus officiel n’a pas non plus été validé cliniquement à cause de la contrainte liée au temps et peut parfois également réagir à d’autres virus corona .
  21. De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent les mesures prises comme contreproductives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. Il n’y a jamais eu de raison médicale pour la fermeture des écoles .
  22. Plusieurs experts ont décrit les vaccins obligatoires contre les coronavirus comme inutiles, voire dangereux . En fait, le vaccin contre la soi-disant grippe porcine de 2009 a entraîné de graves dommages neurologiques et a donné lieu à des indemnisations à hauteur de millions (de livres sterling).
  23. Le nombre de personnes à travers le monde qui, à cause des mesures anti-corona , souffrent de chômage, de problèmes de santé mentale, de violence domestique, est monté en flèche . Plusieurs experts estiment que les mesures anti-corona provoqueront plus de morts que le virus lui – même. Selon l’ONU des millions de personnes à travers le monde sont en train de tomber dans la pauvreté et la famine absolue.
  24. Le lanceur d’alerte et dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a averti que la crise corona était utilisée pour l’expansion massive et permanente des outils mondiaux de surveillance. Le célèbre virologue Pablo Goldschmidt a parlé de « terreur médiatique mondiale » et de « mesures totalitaires ». L’infectiologue britannique John Oxford a parlé d’une « épidémie médiatique ».
  25. Plus de 500 scientifiques ont mis en garde contre une « surveillance sans précédent de la société » grâce à des applications de suivi de contact problématiques. Dans certains pays, ce suivi de contact est déjà effectué directement par les service secrets. À travers le monde ça a abouti à une surveillance de la population civile par des drones et dans certains cas à des violences policières massives.
Pour plus d’informations en français, voir aussi Covid Infos.

6 mai 2020

Interviews d’experts
  • Le professeur de Stanford John Ioannidis explique dans une interview à CNN que Covid19 est une « maladie répandue et bénigne » comparable à la grippe (influenza) pour la population générale, alors que les patients des maisons de retraite et des hôpitaux devraient bénéficier d’une protection supplémentaire
  • Le professeur Scott Atlas, de Stanford, explique dans une interview à CNN que « l’idée de devoir stopper le Covid19 a créé une situation catastrophique en matière de soins de santé ». Le professeur Atlas affirme que la maladie est « généralement bénigne » et que des craintes irrationnelles ont été créées. Il ajoute qu’il n’y a « absolument aucune raison » de procéder à des tests approfondis dans la population générale, ce qui n’est nécessaire que dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Le professeur Atlas a écrit un article fin avril intitulé « The data are in – Stop the panic and end total isolation » (« Les données sont là – Arrêtez la panique et mettez fin au confinement total ») qui a suscité plus de 15 000 commentaires.
  • Le Dr Knut Wittkowski, épidémiologiste, explique dans une nouvelle interview que le danger du Covid19 est comparable à celui d’une grippe et que le pic a déjà été dépassé dans la plupart des pays avant le confinement. Le confinement de sociétés entières a été une « décision catastrophique » sans avantages mais causant d’énormes dégâts. La mesure la plus importante est la protection des maisons de retraite. Les déclarations de Bill Gates sur le Covid19 sont « absurdes » et « n’ont rien à voir avec la réalité », une vaccination contre le Covid19 n’est pas nécessaire. Le modèle Covid19 influent de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson a été un « échec complet ».
  • Le virologiste allemand Hendrik Streeck explique les résultats finaux de son étude pionnière sur les anticorps. Streeck a trouvé une létalité du Covid19 de 0,36%, mais explique dans l’interview qu’il s’agit d’une limite supérieure et que la létalité est probablement de l’ordre de 0,24 à 0,26%, voire moins. L’âge moyen des personnes décédées après un test positif était d’environ 81 ans.
  • Le professeur de biologie et prix Nobel Michael Levitt, qui analyse la propagation du Covid19 depuis février, décrit le confinement général comme une « énorme erreur » et appelle à des mesures plus ciblées, notamment pour protéger les groupes à risque.
  • Le professeur émérite de microbiologie Sucharit Bhakdi explique dans une nouvelle interview en Allemagne que la politique et les médias mènent une « campagne de peur intolérable » et une « campagne de désinformation irresponsable » envers la population. Les masques pour la population en général sont des « attrapeurs de germes » inutiles et dangereux. La crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus. Un vaccin contre le coronavirus est « inutile et dangereux », comme ce fut le cas pour la grippe porcine, et la vaccination obligatoire est une erreur. L’OMS « n’a pas assumé la responsabilité de ses nombreuses mauvaises décisions » au fil des ans, affirme le professeur Bhakdi. (Note : la vidéo a été temporairement supprimée par YouTube).
  • Le docteur Pietro Vernazza, médecin en chef suisse en infectiologie, explique dans une nouvelle interview que la maladie du Covid19 est « bénigne pour la grande majorité des gens ». Le « comptage des personnes infectées et la demande de tests supplémentaires » n’aiderait pas beaucoup. En outre, la plupart des personnes figurant dans les statistiques pour le coronavirus ne mourraient pas uniquement de la maladie Covid-19. Le taux de létalité du Covid-19 est « de l’ordre de grandeur d’une grippe saisonnière ». Il n’existe aucune preuve du bénéfice des masques faciaux chez les personnes qui ne présentent pas elles-mêmes de symptômes (version archivée).
Études médicales
  •  Un nouvel aperçu des études existantes à partir de la PCR et des anticorps montre que la valeur médiane de la létalité du Covid19 (IFR) est de 0,20 % et se situe donc dans la fourchette d’une grippe forte.
  •  Une nouvelle étude sur les anticorps chez les donneurs de sang danois a montré une très faible létalité de Covid19 (IFR) de 0,08 % pour les personnes de moins de 70 ans.
  •  Une nouvelle étude d’anticorps réalisée en Iran, l’un des pays les plus anciens et les plus touchés par le Covid19, a également montré une très faible létalité de 0,08 % à 0,12 %.
  • Une nouvelle étude sur les anticorps réalisée au Japon conclut que 400 à 800 fois plus de personnes ont été en contact avec le nouveau coronavirus que ce que l’on pensait auparavant, mais n’ont présenté aucun ou presque aucun symptôme. Le Japon n’a effectué que peu de tests jusqu’à présent.
  • Une nouvelle étude menée en Allemagne, avec la participation du virologue Christian Drosten, montre qu’environ un tiers de la population possède déjà une certaine immunité cellulaire au  Covid19, probablement par contact avec des coronavirus antérieurs (virus du rhume). Cette immunité cellulaire par les cellules dites T est nettement plus élevée que ce que suggèrent les tests PCR et les tests d’anticorps et peut expliquer en partie pourquoi de nombreuses personnes ne développent aucun symptôme avec le nouveau coronavirus.
  • Dans une prison de l’État U.S du Tennessee, seules deux personnes testées positives sur 1349 présentaient des symptômes.
  • Sur le porte-avions français Charles de Gaulle, aucun des 1046 marins testés positifs n’est mort à ce jour. Sur le porte-avions étatsunien Theodore Roosevelt, un des 969 marins testés positifs est décédé jusqu’à présent (les conditions préalables et la cause exacte de la mort ne sont pas connues).
  • De nombreux médias ont fait état de prétendues « réinfections » de personnes qui avaient déjà récupérées en Corée du Sud. Cependant, les chercheurs sont maintenant arrivés à la conclusion que les 290 cas suspects étaient tous des résultats de tests faussement positifs causés par des « fragments de virus non infectieux ». Ce résultat souligne une fois de plus le manque de fiabilité bien connu des tests PCR de détection du virus.
Autres mises à jour médicales
  • De nombreux médias ont rapporté qu’en rapport avec le Covid19, de plus en plus d’enfants tomberaient malades de la maladie dite de Kawasaki (une inflammation vasculaire). Toutefois, la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki a publié un communiqué de presse indiquant que le nombre de cas de Kawasaki signalés actuellement est inférieur à la normale, et non supérieur, et que sur les quelques cas signalés, seule la moitié environ avait été testée positive au coronavirus.
  •  Dans une lettre ouverte au ministère français de la santé, un médecin français parle de Covid19 comme de « la plus grande escroquerie sanitaire du 21e siècle ». Le danger du virus pour la population générale se situe dans la gamme de la grippe et les conséquences du confinement sont plus dangereuses que le virus lui-même, affirme le médecin français.
  • En France, une enquête ultérieure a révélé que le premier patient positif au Covid19 avait déjà été traité fin décembre 2019, soit un mois plus tôt que prévu. L’homme était traité pour ce qui semblait être une pneumonie liée à la grippe. Ce cas montre que le nouveau coronavirus est soit arrivé en Europe plus tôt que prévu, soit qu’il n’est pas aussi nouveau qu’on le supposait, soit que le résultat du test était un faux positif. En outre, il n’est pas certain que l’homme, qui s’est remis depuis longtemps, souffrait réellement de la grippe ou du coronavirus, ou des deux.
  • Le directeur exécutif de l’OMS a récemment salué la Suède comme un modèle de réussite pour sa gestion du Covid19. La Suède a mis en œuvre sa politique de santé avec succès et « en partenariat avec la population », a-t-il déclaré. Auparavant, la Suède avait été fortement critiquée pendant des semaines par les médias et les politiciens étrangers pour son approche détendue du Covid19.
  • Le Belarus, qui a pris le moins de mesures contre le Covid19 de tous les pays européens et qui n’a même pas annulé des événements majeurs comme des matchs de football, ne compte que 103 décès positifs ou suspectés de Covid19 après plus de deux mois. Le président biélorusse de longue date, Loukachenko, a qualifié le Coronavirus  de « psychose« . Les critiques affirment qu’il ne révèle pas le nombre réel de décès.
  • Un chercheur canadien a effectué une analyse documentaire approfondie qui a révélé que les masques faciaux n’offrent pas de protection mesurable contre le rhume et la grippe.
  • Un psychiatre en chef suisse s’attend à une forte augmentation des problèmes psychologiques et à plus de 10 000 suicides supplémentaires dans le monde en raison du confinement mondial et du chômage.
  • Le nombre dit de reproduction, qui indique la prolifération du Covid, devient de plus en plus une question politique. Cependant, cela ne change pas les faits : le pic de la propagation était déjà atteint dans la plupart des pays avant le confinement et le taux de reproduction est tombé à la valeur stable de un ou en dessous de celle-ci grâce à des mesures simples de la vie quotidienne et d’hygiène. Le confinement était donc inutile du point de vue épidémiologique.
  • Le tableau clinique et les groupes à risque des coronavirus Covid19 sont probablement liés à l‘utilisation du récepteur cellulaire ACE2, que l’on trouve dans les bronches et les poumons, mais aussi dans les vaisseaux sanguins, les intestins et les reins. Cependant, d’autres coronavirus, en particulier le virus du rhume NL63, utilisent également le récepteur cellulaire ACE2. Certains chercheurs s’attendent donc à ce que le coronavirus Covid19 devienne lui aussi un virus du rhume typique à moyen terme.
  • L’origine exacte du nouveau coronavirus n’est pas encore claire. L’explication la plus simple reste la transmission ou la mutation naturelle, qui se produit assez souvent. Il est vrai, cependant, que le laboratoire virologique de Wuhan, dans le cadre d’un programme de recherche cofinancé par les États-Unis, a étudié les coronavirus des chauves-souris et a également examiné leur transmissibilité à d’autres mammifères, ce que certains chercheurs critiquent depuis des années comme étant trop risqué. Le célèbre directeur du laboratoire a toutefois expliqué que le nouveau virus ne correspondait pas aux coronavirus étudiés en laboratoire. Les rumeurs antérieures sur les « armes biologiques » ou les « séquences VIH » doivent être considérées comme une désinformation compte tenu de la relative innocuité du coronavirus.
Maisons de retraite et de soins pour personnes âgées

Les maisons de retraite jouent un rôle absolument essentiel dans la situation actuelle du corinavirus. Dans la plupart des pays occidentaux, 30 à 70 % de tous les décès « liés au Covid » se sont produits dans des maisons de retraites ou hospices, ou Ehpad (dans certaines régions, même jusqu’à 90 %). On sait également que la crise dans le nord de l’Italie a commencé par un effondrement des soins infirmiers pour les personnes âgées, provoqué par la panique.

Les maisons de soins pour personnes âgées et de retraites nécessitent une protection ciblée et ne bénéficient pas d’un confinement général de la société. Si l’on ne considère que les décès dans la population générale, dans la plupart des pays, ils se situent dans la fourchette d’une vague de grippe normale ou même légère.

En outre, dans de nombreux cas, on ne sait pas très bien de quoi sont réellement morts les pensionnaires des maisons de retraite, c’est-à-dire s’il s’agissait de Covid19 ou de stress, de peur et de solitude. En Belgique, par exemple, on sait qu’environ 94 % de tous les décès dans les maisons de retraites sont des « cas présumés » non testés.

Une nouvelle analyse des statistiques françaises montre en outre ce qui suit : dès qu’il y a un « cas suspect » dans une maison de retraite (par exemple à cause de la toux), tous les décès sont considérés comme des « décès suspects du Covid19 », et dès qu’il y a un « cas confirmé » dans une maison de retraite (même s’il ne présente aucun symptôme), tous les décès sont considérés comme des « décès confirmés au Covid19 ».

Un rapport allemand décrit de manière très vivante les conditions extrêmes dans lesquelles des centaines de milliers de patients en maisons de soins et de retraite ont dû vivre ces dernières semaines, souvent contre leur gré. Nombre de ces patients ont à peine pu quitter leur chambre, n’ont plus été autorisés à sortir à l’air libre ou à recevoir la visite de leurs proches.

Dans plusieurs maisons de retraite, le test PCR, sujet à des erreurs, a en outre provoqué de graves fausses alertes et la panique. Dans une maison de retraite canadienne, les employés ont fui par crainte du coronavirus, ce qui a entraîné la mort tragique de 31 patients par manque de soins.

L’ancien journaliste du New York Times et critique du coronavirus, Alex Berenson, écrit sur Twitter :

« Soyons clairs : le fait que les décès dans les maisons de retraite ne soient pas au centre de la couverture médiatique quotidienne du COVID vous dit tout ce que vous devez savoir sur la priorité des médias – qui est d’instiller la panique (et de punir Trump), et non de mener une bonne politique de santé ».

Analyse complète :  Mortality associated with COVID-19 outbreaks in care homes: early international evidence (« Mortalité associée aux épidémies de COVID-19 dans les maisons de soins : premières preuves internationales ») (LTC Covid, mai 2020)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Grande-Bretagne
  •  La mortalité cumulée toutes causes confondues au Royaume-Uni reste de l’ordre des cinq plus fortes vagues de grippe des 25 dernières années. Le pic des décès quotidiens à l’hôpital a déjà été atteint le 8 avril (voir le graphique ci-dessous).
  • De nouvelles données statistiques montrent qu’à la mi-avril, sur environ 12 000 décès supplémentaires, environ 9 000 étaient « liés à la Covidose » (y compris les « cas suspects »), mais environ 3 000 étaient « non liés à la Covidose ». En outre, sur le total d’environ 7 300 décès dans les maisons de retraite, seuls 2 000 environ étaient « liés à la maladie du Covid ». Tant pour les « décès liés au Covid19 » que pour les décès non liés au Covid19, il est souvent difficile de savoir de quoi ces personnes sont réellement mortes. L’Association des pathologistes britanniques a donc demandé une « étude systématique des véritables causes de décès« .
  • Les hôpitaux temporaires „Nightingale“ au Royaume-Uni sont restés jusqu’à présent largement vides. Une situation similaire a déjà été observée en Chine, aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.
  • Fin avril, on a appris que le confinement n’était apparemment pas, comme cela a été officiellement déclaré, recommandé par une seule commission scientifique, mais qu’un haut conseiller du gouvernement avait « poussé » les scientifiques à soutenir le confinement.
Bulletin de surveillance du SWPRS au 6.05.20 sur l'épidémie de coronavirus et la coronapanique (Vidéos)

L’Angleterre : Décès avec tests positifs dans les hôpitaux (NHS)

États-Unis
  •  Le dernier rapport du CDC étatsunien montre que le taux d’hospitalisation lié au Covid19 chez les plus de 65 ans se situe dans la fourchette des fortes vagues de grippe. Il est légèrement plus élevé chez les 18 à 64 ans et nettement plus faible chez les moins de 18 ans.
  • Vidéo : Une infirmière de New York City a déclaré dans une vidéo dramatique que New York « tue » les patients atteints de Covid19 en les mettant sous respirateur invasif et en détruisant leurs poumons. L’utilisation de ventilateurs invasifs (au lieu de masques à oxygène) se fait « par peur de propager le virus ». C’est « un film d’horreur », « non pas à cause de la maladie, mais à cause de la façon dont elle est traitée », a expliqué l’infirmière. Depuis mars, les experts mettent en garde contre l’intubation des patients atteints de Covid19.
  • Le Dr Daniel Murphy, chef du service des urgences d’un hôpital très touché de New York, recommande de mettre rapidement fin à ce confinement. Selon le Dr Murphy, la vague de Covid19 avait déjà atteint son point culminant le 7 avril. Le Covid19 est un problème grave, mais la crainte qu’elle suscite est exagérée, car la grande majorité de la population est tout au plus légèrement malade. Sa plus grande inquiétude est maintenant la forte diminution des soins aux patients et aux enfants en cas d’urgence, due au blocage et à la peur généralisée de la population.
  • Vidéo : La plateforme conservatrice de dénonciation Project Veritas s’est entretenue avec les directeurs de pompes funèbres de New York qui ont déclaré qu’actuellement Covid est écrit « sur tous les certificats de décès » (des cas suspects), qu’il y ait eu un test ou non. De nombreuses personnes meurent actuellement chez elles, et souvent la cause exacte du décès n’est plus vérifiée. Les statistiques Covid19 sont gonflées pour des raisons politiques ou financières, ont déclaré les directeurs.
  • Le directeur du département de la santé de l’Illinois a confirmé que même les personnes en phase terminale qui meurent clairement d’une autre cause mais qui sont testées positives pour le virus Covid19 avant ou après leur décès sont enregistrées comme des décès Covid19
  • En raison du confinement, 30 millions de personnes aux États-Unis ont déjà demandé des allocations de chômage à la fin du mois d’avril – c’est beaucoup plus que ce que le Bureau international du travail (BIT) avait initialement prévu pour le monde entier.
  • Le patron de Tesla, Elon Musk, a qualifié les couvre-feux californiens de « fascistes« . L' »emprisonnement forcé » des gens dans leur maison viole tous leurs droits constitutionnels, a expliqué Musk lors d’une conférence téléphonique.
  • Vidéo : Une mère a eu affaire avec la police à son domicile parce que ses enfants jouaient illégalement avec les enfants des voisins.
  • Vidéo : Fin avril, certains photographes ont été pris dans une mise en scène partielle d’une manifestation des travailleurs sociaux contre les manifestants anti-confinement. (En savoir plus).
Suisse
  • Une infirmière suisse a écrit un article très partagé sur la situation actuelle. Elle explique que les hôpitaux suisses sont restés largement vides et ont dû, dans certains cas, licencier du personnel. Elle ajoute qu’il est très inhabituel de transférer des personnes de plus de 80 ans aux unités de soins intensifs à cause d’une grippe ou d’une pneumonie, où elles doivent alors mourir seules au lieu d’être avec leur famille. Si cela était fait, les unités de soins intensifs seraient surchargées presque chaque hiver. L’infirmière critique le fait que la plupart des médias n’ont pas suffisamment abordé les récentes découvertes scientifiques sur le risque global plutôt faible de Covid19.
Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Allemagne et Autriche
  •  Selon un protocole de la Task Force Corona autrichienne qui a fait l’objet d’une fuite, le Chancelier Kurz aurait exigé en mars que la population ait « plus peur » de l’infection ou de la mort de ses parents ou grands-parents. Un document stratégique du ministère fédéral allemand de l’intérieur avait déjà été connu auparavant, qui appelait également à une campagne de peur pychologique qui a effectivement été mise en œuvre par les politiciens et les médias. Rétrospectivement, la question se pose de savoir combien de personnes sont mortes à cause de cette peur largement infondée.
  • Une lettre ouverte comportant déjà environ 5000 signatures de personnes de plus de 64 ans réclame : « Coronavirus : Ne nous protégez pas, nous les personnes âgées, à ce prix ! Décidons nous-mêmes ! » Pour la protection des groupes à risque, il ne faut pas outrepasser les droits fondamentaux de la société entière, affirment les auteurs.
  • En Autriche (et peut-être aussi dans d’autres pays), il est toujours interdit de s’embrasser entre personnes amoureuses, mais pas de vivre ensemble. Cela s’applique aussi bien en public que dans son propre appartement, a expliqué le ministre autrichien de la santé.
  • Un avocat allemand poursuit actuellement devant plusieurs tribunaux les mesures anticoronavirus du gouvernement, car elles sont « manifestement anticonstitutionnelles« .
  • Vidéos : En Allemagne, il y a eu récemment plusieurs cas de dépassement sérieux de la part de la police. Une jeune femme a été brutalement arrêtée par plusieurs policiers alors qu’elle faisait des courses, car elle s’était apparemment „approchée de 20 cm de trop“ d’une policière. Une autre femme a reçu l’ordre de la police, lors d’un rassemblement, de ne pas tenir la constitution allemande devant sa poitrine, car il s’agissait d’un „message politique illégal“. L’organisateur d’un rassemblement pacifique à Berlin a également été arrêté de manière assez brutale. Même des femmes âgées ont été arrêtées de manière disproportionnée. (Attention : images choquantes de violence policière).
Autres mises à jour
  •  Le PDG de Youtube a annoncé dans une interview fin avril que les contributions vidéo sur les coronavirus qui contredisent les directives de l’OMS ou des autorités sanitaires nationales seront supprimées. Par exemple, la vidéo des deux médecins urgentistes californiens coronasceptique, qui a été visionnée plus de cinq millions de fois, a été supprimée. De même, l’interview du professeur Sucharit Bhakdi, dont le lien figure ci-dessus, a été au moins temporairement supprimée par Youtube.
  •  Dans le magazine  étatsunien The Atlantic, deux professeurs de droit ont écrit un article intitulé : « Internet Speech Will Never Go Back to Normal« . In the debate over freedom versus control of the global network, China was largely correct, and the U.S. was wrong. »
    (« Le discours sur Internet ne reviendra jamais à la normale. Dans le débat entre la liberté et le contrôle du réseau mondial, la Chine avait largement raison, et les États-Unis avaient tort ».)
  •  Peter Hitchens : « We’re destroying the nation’s wealth – and the health of millions » (« Nous détruisons la richesse de la nation – et la santé de millions de personnes« ). « Si vous ne défendez pas votre liberté la plus fondamentale, celle d’aller légalement où vous voulez quand vous voulez, alors vous la perdrez pour toujours. Et ce n’est pas tout ce que vous perdrez. Regardez la censure de l’internet, qui se répand comme une grande tache sombre, la mort du Parlement, la conversion de la police en milice d’État ».
  • Mathias Döpfner, PDG d’Axel Springer et l’un des directeurs de médias les plus influents d’Allemagne, appelle à un « découplage de la Chine » et à un renforcement de l’alliance transatlantique avec les États-Unis au lendemain de la crise du Coronavirus.
  • Washington Post : « The last time the government sought a ‚warp speed‘ vaccine, it was a fiasco » (« La dernière fois que le gouvernement a cherché un vaccin « à toute vitesse », ce fut un fiasco »). La vaccination express contre la grippe porcine de 1976 a entraîné paralysies et décès.
  • Rétrospective : Woodstock s’est produit en pleine pandémie. Sur la gestion plutôt détendue de la pandémie mondiale de grippe de 1968 (en savoir plus).
Covid-19 et les médias

Beaucoup de gens sont choqués par les reportages douteux et souvent alarmistes de Covid19 sur de nombreux médias. De toute évidence, il ne s’agit pas de « reportage ordinaire », mais d’une propagande classique et massive, telle qu’elle est généralement employée en relation avec les guerres d’agression ou le prétendu  terrorisme.

Le SPR a dépeint les réseaux de médias responsables de la diffusion de cette propagande dans des infographies antérieures pour les États-Unis, l‘Allemagne et la Suisse. Même le lexique Internet prétendument « ouvert » Wikipedia fait partie intégrante de cette structure médiatique géopolitique.

La position politique et le rapport au pouvoir des différents médias ont été analysés et comparés dans le cadre du SPR Media Navigator. Le Media Navigator peut également être utile pour évaluer les reportages actuels de Covid19 par les différents médias.

Covid-19 et surveillance de masse

L’évolution de loin la plus importante et, du point de vue de la société civile, la plus dangereuse en réponse au coronavirus est la tentative politique apparente d’étendre massivement la surveillance et le contrôle de la société. Dans ce contexte, le lanceur d’alerte de la NSA, Edward Snowden, a mis en garde contre l’émergence d’une « architecture de l’oppression« .

Le coronavirus de type grippal peut servir de justification ou de prétexte à l’introduction de mesures stratégiques visant à étendre la surveillance et le contrôle d’une société de plus en plus malmenée. Parmi les instruments les plus importants actuellement en discussion par plusieurs gouvernements, on peut citer

  1. L’introduction d’applications permettant de „tracer“ les contacts dans la société
  2. La mise en place d’unités chargées de la recherche et de l’isolement des citoyens
  3. L’introduction de cartes d’identité biométriques numériques pour contrôler et réglementer la participation à des activités sociales et professionnelles.
  4. L’extension du contrôle des voyages et des transactions de paiement (y compris la suppression des espèces).
  5. La création d’une base juridique pour l’accès et l’intervention des gouvernements ou des entreprises dans les systèmes biologiques des citoyens (par le biais de ce que l’on appelle les « vaccinations obligatoires »).

Aux États-Unis, l’ancien président Bill Clinton a discuté en avril avec les gouverneurs de différents États de la mise en place d’un réseau national de « traceurs de contact ». Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a alors annoncé qu’avec le milliardaire et ancien maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, il créerait une « armée de recherche des contacts » comprenant jusqu’à 17 000 traceurs de contacts pour New York.

Pendant ce temps, au Royaume-Uni et dans de nombreux autres pays, les gouvernements demandent l’introduction de « passeports d’immunité » biométriques et les présentent comme la prétendue „seule issue“ au confinement essentiellement motivé par des raisons politiques. L’Institut britannique Tony Blair a appelé à „l’expansion de la surveillance technologique“ pour „combattre le coronavirus“.

Aux États-Unis, la société d’analyse de données de la Silicon Valley, Palantir, doit jouer un rôle clé dans la mise en place de la plate-forme de données pour la surveillance de la propagation (déjà en déclin) du coronavirus. Palantir est connue pour ses projets informatiques avec les agences de renseignement et l’armée et a été fondée par le milliardaire étatsunien et partisan du Trump, Peter Thiel.

En Israël, la surveillance des contacts avec la population civile est assurée par le service de renseignement intérieur Shin Bet, qui utilise des programmes du célèbre groupe NSO, connu pour ses logiciels d’espionnage utilisés pour surveiller les militants des droits civils et humains dans le monde entier.

Des pays comme la Russie et la Chine veulent également étendre massivement la surveillance de la population à la suite de la prétendue « crise du coronavirus », mais le feront très probablement indépendamment des États-Unis.

L’idée qu’une pandémie puisse être utilisée pour étendre le contrôle de la population n’est pas nouvelle : dès 2010, la Fondation étatsunienne Rockefeller a décrit un « scénario de confinement » dans un document sur les futurs développements technologiques et sociaux, dans lequel les événements actuels étaient anticipés avec une précision impressionnante (pages 18 et suivantes). À l’époque, le scénario était conçu comme une sorte de „pire des cas“ autoritaire.

Entre-temps, plus de 500 scientifiques ont mis en garde, dans une lettre ouverte, contre une « surveillance sans précédent de la société » par le biais d’applications de suivi des contacts.

Le « Center for Health Security » de l’université Johns Hopkins, qui est au cœur de la gestion de la pandémie Covid19 et qui a largement contribué à l’escalade mondiale par ses graphiques trompeurs, est également très étroitement lié à l’appareil de sécurité étatsunien et a participé à certaines de ses simulations et opérations antérieures.

En général, la coopération avec des acteurs privés pour atteindre des objectifs géostratégiques n’est pas un phénomène nouveau ou inhabituel dans la politique étrangère et de sécurité des États-Unis.

Par exemple, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, le plus important sponsor privé de l’OMS, de l’industrie des vaccins et des projets d’identification biométrique, a financé dès 2003 un programme de santé mondiale du Conseil étatsunien des relations étrangères, qui s’intéresse à la question de savoir comment la politique de santé influence la géopolitique et, inversement, comment la politique de santé peut être utilisée pour atteindre des objectifs géostratégiques.




Covid 19 : Les masques, les Tests, les médias Main Stream… vus par un gendarme

[Source : Profession gendarme]

Covid 19 : Les masques, les Tests PCR, l’hydroxychloroquine, le Rivotril (le décret autorisant l’assassinat), les médias Main Stream…

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Un camarade gendarme, lecteur assidu de Profession-Gendarme, répond à l’un de nos lecteurs à la suite d’un commentaire sur le site.

Des médecins commencent à se libérer du carcan de l’O.M.S. et suivant le serment d’Hippocrate s’expriment en fonction des connaissances médicales acquises.

Nous avons voulu partager avec vous ce commentaire qui donne matière à réflexion.

«La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

Aldous Huxley, Retour au meilleur des mondes


Il faut d’abord rappeler qu’initialement au début mars et depuis toujours d’ailleurs les masques n’étaient pas recommandés pour une utilisation grand public et ces recommandations figuraient noir sur blanc dans les documents O.M.S.

D’ailleurs, encore dans les dernières recommandations il est bien précisé qu’il n’y avait aucune preuve de l’efficacité de ces masques grand public.
D’autre part les boites de masques dit chirurgicaux précisent bien que ce ne sont pas des dispositifs médicaux et les boites mises en vente après l’apparition du covid précisent même que ça ne protège en aucune manière des virus et de celui-ci en particulier.
Ce qui était exigé pour l’hydroxychloroquine à savoir les ECR (Essais Contrôlés Randomisés) ont fait l’objet de nombreuses études internationales sans attendre l’arrivée du Covid 19 pour les masques et la sanction est sans appel ils sont inefficaces et même dangereux pour toutes les affections respiratoires. D’abord ils ne servent à rien  en raison du mode de transmission, le fluide aérien, et de la disproportion entre les mailles du filtre et la taille des virus à retenir.
Ils sont dangereux car ils empêchent une respiration normale, accumulent de l’humidité, des bactéries, virus et autres champignons et obligent à ré-inspirer ses propres exhalaisons et miasmes divers dont des virus.

Il n’aura échappé à personne que les masques étaient prévus pour les soignants et les malades dans des actes de soins où il ne s’agit ni de faire un cent mètres ni simplement de se déplacer, chaleur ou pas d’ailleurs.

Cette décision aberrante de port généralisé du masque n’est pas une mesure d’ordre sanitaire mais strictement politique pour imposer des mesures coercitives inutiles à la population et tester sa soumission à une dictature qui ne dit pas son nom.
Le prétexte de la reprise des cas est une fausse nouvelle puisque non lié à la maladie mais à la multiplication des tests qui ne sont pas fiables quelque soit le principe.

Les tests PCR aux dires même de son inventeur, prix Nobel pour cela, ils ne doivent servir qu’à la recherche et non au diagnostic médical, les tests sérologiques en laboratoire ne peuvent pas conclure de façon certaine au statut du testé quant aux tests automatiques ils sont une escroquerie couverte par le ministère de la santé puisque le physicien de la société chargée de leur contrôle a dénoncé leur nullité mais qu’ils ont malgré cet avis été homologués par le ministère (Cf interview David Mandel par le Media).

Il y a donc dans cette gesticulation des tests encore beaucoup de conflits d’intérêts qui pèsent tant sur la santé des testés que sur le budget de la sécurité sociale en pure perte.

Quant à l’évocation des ordres professionnels ce sont justement des institutions mises en place pour le contrôle des médecins, en l’occurrence  dans une triste période de l’histoire de France.

Faut-il encore rappeler que le traitement d’une maladie est une affaire de colloque singulier entre le médecin et son patient et que ce n’est pas à l’état de signer un décret assassin et s’il y a encore une justice en France les signataires de ce décret devront rendre des comptes.

S’il faut proposer une solution aussi simpliste que votre raisonnement contentez-vous donc de porter un masque si ça vous chante puisque selon vos principes il vous protégera et laissez ceux qui ne veulent pas en porter se suicider sans masque.
C’est le même raisonnement que pour les vaccins modernes, ceux qui pensent que c’est pour leur bien se feront vacciner et les autres préfèreront faire confiance à leur système immunitaire que nos bons conseillers scientifiques et nos gouvernants n’évoquent jamais depuis le début de la crise.
C’est donc bien que la santé des français n’est pas leur préoccupation majeure et qu’ils préfèrent favoriser celle des opérateurs de la mal bouffe de l’agro-alimentaire et ensuite les médicaments toxiques de Bigpharma plutôt que d’inciter la population à se maintenir naturellement en bonne santé.
Grâce à l’ignorance entretenue nos dirigeants favorisent la maladie au lieu de promouvoir la santé. Ils préfèrent voir l’homme comme une somme de maladies possibles plutôt que de le voir comme un tout, de façon plus holistique.

Alors après avoir lu ces quelques explications soit vous êtes de bonne foi et vous allez procéder à vos propres recherches sans céder au réflexe psittaciste des media Main Stream soit vous êtes un troll au service d’une dictature en marche et vous allez sévir sur un autre site car les gendarmes même retraités n’avalent pas n’importe quelle baliverne.

Encore merci à tous ces médecins, infirmières et autres soignants qui disent la vérité au risque de se voir sanctionnés par des instances indignes de leurs responsabilités et qui aussi auront un jour des comptes à rendre aux français.




Téléphonie 5G : lettre d’un grand-père indigné

[Source : La Maison du 21e siècle]

Mon cher petit-fils,

Lorsque ton père a pris cette photo, j’étais un grand-père heureux. J’avais mes petits soucis, comme tout le monde. Mais vraiment, avec une amoureuse qui illumine ma vie, avec tes parents que j’adore, et avec toi, prunelle de mes yeux, j’étais un grand-père comblé.

Mais voilà, depuis un an, ma vie a basculé. Le virus de l’indignation s’est infiltré sous ma peau et s’est logé là où il aboutit le plus souvent, au creux du ventre. Mon cher petit, je suis devenu un grand-père indigné ! Je t’écris pour que plus tard, lorsque tu liras cette lettre, tu puisses comprendre mon tourment.

Il s’est d’abord manifesté par de l’étonnement. Je ne comprenais pas qu’on puisse permettre le déploiement du réseau de téléphonie 5G, avec ses fréquences millimétriques, sa forêt d’antennes et son parapluie de satellites, sans qu’aucune étude n’évalue les risques pour ma santé, la tienne et celle de tous les enfants qui auront à refaire ce monde déjà trop abimé.

En  1976, j’avais 30 ans. Ton père n’était pas encore né. Cette année-là, l’armée américaine a produit un rapport secret [NdNM : disponible aussi ici], aujourd’hui déclassifié, documentant les recherches de scientifiques russes qui révélaient en détail les dommages des ondes radio sur la santé humaine et animale. Bien sûr, comme à peu près tout le monde, je n’en ai rien su.

Une vingtaine d’années plus tard, au tournant de l’an 2000, j’ai reçu mon premier téléphone cellulaire, une gracieuseté de mon employeur. Depuis, la téléphonie sans fil a connu une expansion phénoménale : il y a actuellement sur la planète plus de 5 milliards de téléphone cellulaires en circulation. Et pour évaluer leur impact sanitaire, nos gouvernements se fient à des normes d’exposition aux ondes désuètes qui permettent aux compagnies de téléphonie sans fil de jouer à la roulette russe avec notre santé.

Éventuellement, le voyant rouge s’est allumé. Comme des milliers d’études, que l’industrie cherche à discréditer, nous avertissaient du danger, il a bien fallu trancher. Pendant 10 ans, avec un budget de 30 millions de dollars, les Américains ont entrepris les recherches les plus complètes jamais réalisées pour évaluer les effets sur la santé d’une exposition aux ondes de la téléphonie mobile. Une tâche cruciale confiée au très réputé National Toxicology Program (NTP). Publiées en 2018, ces recherches ont démontré hors de tout doute que le rayonnement des téléphones portables avait causé des tumeurs cancéreuses aux nerfs entourant le cœur de rongeurs et augmenté significativement leur risque de cancer du cerveau. Ce rayonnement avait aussi causé des lésions cardiaques et endommagé leur ADN. Mon cher petit-fils, crois-tu que cela a incité l’industrie du sans fil à plus de prudence ?

Au contraire, avec la complicité du gouvernement, cette industrie s’apprête à installer un réseau qui utilisera pour la première fois des fréquences millimétriques, lesquelles pourraient tripler le rayonnement auquel toi et moi serons exposés, que nous utilisions ou non des appareils sans fil. Même si tes parents te donnent tout leur amour et te nourrissent sainement, tu devras peut-être bientôt vivre, manger, jouer et dormir à une quinzaine de mètres d’une antenne placée sur un poteau en face de ta maison. Pourquoi? Parce qu’éventuellement, presque tous les objets que nous achèterons, mobilier, brosses à dents, grille-pain, matelas, appareils électroménagers, même les jouets que je t’offrirai à Noël, contiendront une puce qui échangera des données avec un réseau très dense d’antennes placées un peu partout, le long des rues, sur les abribus, les feux de circulation, les clochers, les toitures des écoles et des gares, et même sur plusieurs immeubles où habitent des gens comme toi et moi. Rien qu’à Montréal, jusqu’à 60 000 antennes pourront communiquer avec un million d’objets au kilomètre carré. Pour que le litre de lait, au frigo, puisse nous signaler qu’il est vide. Pour que la couche de bébé, au berceau, puisse nous avertir qu’elle est pleine. Pour que notre vie quotidienne, transformée en données numériques, puisse se vendre au plus offrant. C’est la nouvelle puce aux œufs d’or. On lui a donné un nom savant : l’Internet des objets.

Tant pis pour les abeilles et les oiseaux qui ne pourront plus s’orienter et en mourront. Tant pis pour les arbres qu’on abattra parce que leurs feuilles bloquent les fréquences millimétriques. Tant pis pour la prévoyance, car pour permettre à ces milliards d’objets de communiquer, il faudra faire main basse sur les derniers gisements de métaux rares sur la planète. Tant pis pour notre sécurité, car la multiplication exponentielle des points d’accès de cette nouvelle technologie facilitera les vols d’identité, les vols de données personnelles et les cyberattaques. Tant pis aussi pour le climat, car il faudra émettre trois fois plus de gaz à effet de serre pour nourrir cet ogre numérique. À preuve, certaines villes de Chine coupent le courant de la 5G la nuit, tellement ce système est énergivore.

Sauf s’il n’y a pas d’antennes à moins de 500 mètres de ton école et sauf si sa direction a remplacé le Wi-Fi par des connections câblées, tu y trouveras le même brouillard électromagnétique qui crépite dans toute la ville. Il pourrait affecter ta mémoire et ta concentration. Ton corps qui grandit, comme celui de tes camarades de classe, absorbera deux fois plus de rayonnement que celui de tes enseignants. À court terme, mon pauvre amour, tu risques d’avoir des maux de tête, des nausées, des vertiges et des acouphènes. Au fil des années, jour après jour, cette soupe de radiofréquences risque de te causer un cancer, un problème cardiaque ou le diabète. Pire encore, tu risques de ne plus pouvoir concevoir d’enfants, de ne jamais devenir parent.

Ton grand-père n’est pas en reste. Ce foisonnement de signaux risque d’endommager mes yeuxJe crains qu’un voile me cache éventuellement l’éclat de ton visage. Ma mémoire aussi pourrait s’éroder plus vite. Moi qui ai contribué à bâtir ce pays, j’ai peur de perdre la trace de ton nom, d’être exilé au pays de l’oubli.

Voilà mon histoire, mon cher petit-fils. Une triste histoire de pirates qui veulent tuer la beauté du monde.

Mais laisse-moi maintenant te raconter mon rêve, mon espoir le plus vif. Quand tu seras grand, je crois que ce gâchis sera devenu de l’histoire ancienne. Que les gouvernements auront mis fin à l’aveuglement, comme pour le tabac, le DDT, le plomb ou l’amiante. Qu’ils auront aboli le droit de polluer et que notre santé sera devenue leur PIB. Quand tu auras 30 ans, les millions de micro-antennes qui défigurent le paysage auront été décrochées depuis longtemps. La téléphonie cellulaire sera beaucoup mieux conçue. La fibre optique apportera un signal Internet 10 fois plus puissant au cœur des maisons, des écoles et des lieux de travail, un baume pour la nature et les humains.

En attendant, chaque journée perdue, chaque excuse invoquée, chaque tactique inventée ne font qu’augmenter les dégâts pour la vie humaine, pour l’environnement et pour les générations qui devront réparer les pots cassés. Lorsque tu comprendras la cause de mon indignation, mon cher amour, souhaitons qu’il ne soit pas trop tard pour les abeilles, les arbres et les oiseaux. Et pour qu’ils puissent réinventer la suite du monde, souhaitons que les enfants puissent naître et grandir là où il n’y aura que du soleil, de la pluie, des nuages et du vent.


Vous aimeriez contribuer à changer les choses ? Voici quelques pistes qui peuvent faire une grande différence.

1. Protection : Dix moyens pour se protéger des ondes du cellulaire : bit.ly/3eYhysj

2. Information : maisonsaine.ca/electrosmog – stopponsla5g.ca – cqlpe.ca

3. Action : appel5gappeal.ca/fr/


AU SUJET DE L’AUTEUR

De 1984 à 2009, Pascal est réalisateur aux émissions Science-Réalité et Découverte, de la Société Radio-Canada. Auparavant il avait réalisé Montréal-Blues, La turlute des années dures et Taire des hommes. En 2006 il réalise Le porteur d’eau, Grand prix et prix du public au FPPE en 2007. En 2009, il réalise un film sur son père, Gratien Gélinas, un géant aux pieds d’argile. En 2013, il signe Huguette Oligny, le goût de vivre. Puis en 2016, Un pont entre deux mondes, suite du film Le porteur d’eau.

FILMOGRAPHIE DU RÉALISATEUR

  • Un pont entre deux mondes (2016) Huguette Oligny,
  • le goût de vivre (2013) Gilles Pelletier,
  • un cœur de marin (2013) Gratien Gélinas,
  • un géant aux pieds d’argile (2009)
  • Terres à la dérive (2008)
  • Le porteur d’eau (2006)
  • La Turlute des années dures (1983)
  • Montréal Blues (1973)
  • Taire des Hommes (1968)
  • Émissions Découverte et Science-Réalité de Radio-Canada (1984 à 2009): 350 reportages et dossiers.



Comment se faire coller l’étiquette de « Climatosceptique » en un seul article, alors que dans les faits…

Note d’Élisabeth

Je ne nie pas que le climat change ; il l’a toujours fait ! Mais, en tout cas, le CO² n’est pas en cause. Au moyen âge, pendant « l’Optimum médiéval », la température était de 2° supérieure à ce qu’elle est maintenant avec un développement extraordinaire, puis est arrivé « le Petit âge glacière » avec famines, pestes, guerres, une catastrophe ! Et depuis 200 ans, la température remonte tranquillement…  C’est bien, non ? Des hivers à  -40°, ça vous tente ? Faites des recherches…

Et maintenant, si vous croyez encore et toujours ce que racontent les merdias, sans doute, vous avez la mémoire courte (et donc la vue aussi !), c’est foutu pour vous, et l’inéluctable réveil va vous être très dur ! Lisez le fichier joint…

D’ici quelques années, on pourra rajouter à tous ces beaux exemples, la mascarade et l’absurdité du corona circus. Niels Fergusson, du Collège Impérial, et qui avait annoncé des millions de morts si l’on ne confinait pas tout le monde et dont la spécialité est de faire des prédictions fausses (vaches folles, sras, etc). Je vous laisse faire vos propres recherches sur cet individu qui sévit toujours, bien entendu, grassement payé à nos frais…

Il y a aussi la fonte des glaces qui va libérer des virus mortels et autres balivernes tout à fait scientifiques. A quels hameçons serez-vous encore prêts à mordre pour vous droguer à la PEUR ?

Bien sûr, l’on ne vous dit rien sur les vrais problèmes  de notre époque :

  • la gestion des déchets,
  • la gestion de l’eau,
  • les maladies dû aux vaccins qui vont aller en s’accentuant avec tous les vaccins obligatoires pour les enfants, de la grippe, plus ceux qui risquent d’arriver avec nanoparticules et ARN, à l’alimentation industrielle pleine de saloperies, des maladies iatrogènes, nosocomiales, des infections respiratoires augmentées par le port du masque, des dépressions, des suicides…

J’en passe bien évidemment, et des meilleurs !

Oui, car ce sont ces mêmes scientifiques sans scrupules, hautement rémunérés par les multinationales (et nous tout en bas !), qui vous mijotent, vaccins, médicaments, régimes, virus à la demande et à la mode, etc. Nous sommes dirigés par des psychopathes…

OUVREZ VOS YEUX ET VOS COEURS (et riez, ça fait du bien !)


Comment se faire coller l’étiquette de « Climatosceptique » en un seul article, alors que dans les faits…

[Source : Les déQodeurs]

Merci à Tony Heller, qui a été le premier à rassembler un grand nombre de ces clips d’information et à les publier sur RealClimateScience

RÉSUMÉ

Les prophètes de malheur modernes prédisent les catastrophes climatiques et environnementales depuis les années 1960. Ils continuent à le faire aujourd’hui.

Aucune des prédictions apocalyptiques avec des dates d’échéance à ce jour ne s’est réalisée.

Ce qui suit est un recueil de prédictions particulièrement folles faites par des personnalités du gouvernement et du monde scientifique.

Au-delà de la simple mise en lumière des prédictions qui ont échoué, cette collection montre que les auteurs des prédictions apocalyptiques qui ont échoué sont souvent des personnes occupant des postes respectés dans le gouvernement et la science.

Bien que ces prédictions aient été et continuent d’être rapportées avec enthousiasme par des médias avides de titres sensationnels, les échecs ne sont généralement pas réexaminés.


1967 : « Une famine extrême en 1975 ».

LOS ANGELES Il est déjà trop tard pour que le monde puisse éviter une longue période de famine, a déclaré jeudi un biologiste de l’université de Stanford. Paul Ehrlich a déclaré que la « période de famine » est arrivée et qu’elle sera à son pire et à son plus désastreux en 1975. Il a déclaré que la population des États-Unis est déjà trop importante, que le contrôle des naissances pourrait devoir être réalisé en le rendant involontaire et en introduisant des agents dans les aliments de base et l’eau potable, et que l’Église catholique romaine devrait être contrainte d’adopter des mesures de routine de contrôle de la population.

Source: Salt Lake Tribune, November 17, 1967

1969 : « Tout le monde disparaîtra dans un nuage de vapeur bleue en 1989 ».

LE NEW YORK TIMES

DIMANCHE 10 AOÛT 1969

PALO ALTO, Californie, 5 août –

« Le problème avec presque tous les problèmes environnementaux », dit Paul R. Ehrlich, le biologiste des populations, « c’est qu’au moment où nous avons assez de preuves pour convaincre les gens, vous êtes mort ».

Nous devons réaliser qu’à moins d’être extrêmement chanceux, tout le monde disparaîtra dans un nuage de vapeur bleue dans 20 ans

Source: New York Times, August 10 1969

1970 : L’ère glaciaire d’ici 2000

The Boston Globe Jeudi 16 avril 1970

Un scientifique prédit une nouvelle ère glaciaire d’ici le 21ème siècle

« les demandes d’eau de refroidissement vont bouillir à sec

l’ensemble du débit des rivières et des cours d’eau des États-Unis continentaux

La pollution de l’air peut effacer le soleil et provoquer une nouvelle ère glaciaire dans le premier tiers du siècle prochain

Source: Boston Globe, April 16, 1970

1970 : « L’Amérique est soumise au rationnement de l’eau en 1974 et au rationnement de la nourriture en 1980 ».

Ehrlich prédit:

Les océans vont être aussi morts que le Lac Erie dans moins d’une décennie.

L’Amérique sera sujette a des rationnements d’eau d’ici 1974 et de nourriture d’ici 1980

Source: Redlands Daily Facts, October 6, 1970

1971: ‘New Ice Age Coming’

C’est ce qu’affirme le Dr S. I. Rasool de la National Aeronautics and Space Administration et de l’Université de Columbia :

– « Au cours des 50 prochaines années », la fine poussière que l’homme met constamment dans l’atmosphère en brûlant des combustibles fossiles pourrait masquer tellement de lumière solaire que la température moyenne pourrait chuter de six degrés.

– Si elle est maintenue sur « plusieurs années » – « cinq à dix », estime-t-il – « une telle baisse de température pourrait suffire à déclencher une ère glaciaire !

Source: Washington Post, July 9, 1971

1972: Nouvelle ère glaciaire d’ici 2070

La principale conclusion de la réunion a été qu’une détérioration globale du climat, d’un ordre de grandeur plus grand que tout

La création d’un centre de formation pour les jeunes est une possibilité très réelle et pourrait même se concrétiser très bientôt.

le refroidissement a une cause naturelle et relève des processus qui ont produit la dernière période glaciaire

Source: NOAA, October 2015

1974: ‘New Ice Age Coming Fast’

Les satellites spatiaux montrent qu’une nouvelle ère glaciaire approche rapidement

Il se trouve que les anticyclones bloquants jouent un rôle important dans les caractéristiques du temps dans l’hémisphère nord et expliquent certains changements défavorables de notre propre climat

Source: The Guardian, January 29, 1974

1974: ‘Une nouvelle période glaciaire?’

Les signes révélateurs sont partout – de la persistance et de l’épaisseur inattendues de la banquise dans les eaux autour de l’Islande à la migration vers le sud d’une créature aimant la chaleur comme le tatou du Midwest.

Source: TIME, June 24, 1974

1974 : L’appauvrissement de la couche d’ozone : un « grand péril pour la vie »

Mais aucun « grand péril pour la vie » n’a été observé, car le « trou d’ozone » subsiste :

Sources: Headline

NASA Data | Graph

1976 : « Le refroidissement »

C’est ce qu’écrit Stephen Schneider, un jeune climatologue du National Center for Atmospheric Research de Boulder, dans le Colorado… reflétant le consensus de la communauté climatologique de l’Inde et du Pakistan, Schneider et Bryson ont tenté en 1974 d’expliquer à un groupe de décideurs de la Maison Blanche pourquoi les conditions sont susceptibles d’empirer. L’une des anecdotes les plus déprimantes du livre est la description que fait Schneider de la surdité de leurs avertissements.

Source: New York Times Book Review, July 18, 1976

1980 : « Les pluies acides tuent la vie dans les lacs ».

Noblesville Ledger (Noblesville, IN) April 9, 1980

Mais dix ans plus tard, le programme du gouvernement américain formé pour étudier les pluies acides a abouti à cette conclusion : 

Les pluies acides n’entraînent pas de crise environnementale, conclut une étude

Associated Press, September 6, 1990

1978 : « Pas de fin en vue » à 30 ans de tendance au refroidissement

Source: New York Times, January 5, 1978

Mais selon les données des satellites de la NASA, il y a une légère tendance au réchauffement depuis 1979.

Source: DrRoySpencer.com

1988 : James Hansen prévoit une augmentation de la sécheresse régionale dans les années 1990

Mais la dernière année vraiment sèche dans le Midwest a été 1988, et ces dernières années ont été marquées par des pluies record.

Source: RealClimateScience.com

1988: Préparez-vous pour des étés longs et chauds

Si vous avez aimé les températures record de l’été dernier, vous allez adorer les années 1990, dit James Hansen, le scientifique de la NASA qui, lors des audiences du Congrès sur la sécheresse dans le Midwest, a établi un lien entre le réchauffement des gaz à effet de serre à la vague de chaleur.

Washington D.C., par exemple, passerait de 35 jours par an à 85 jours par an, soit plus de 90 degrés.

Le niveau de l’océan s’élèvera d’un à six pieds

Mais le nombre de journées chaudes dans la région de Washington a atteint son maximum en 1911, et n’a cessé de diminuer depuis.

Source: RealClimateScience.com

1988 : les Maldives complètement sous l’eau en 30 ans

Source: Agence France Press, September 26, 1988

Une élévation progressive du niveau moyen de la mer menace de couvrir complètement cette nation indienne de 1196 petites îles dans les 30 prochaines années, selon les autorités.

Mais la fin des Maldives et de ses 200 000 habitants pourrait survenir plus tôt si les réserves d’eau potable s’assèchent d’ici 1992, comme prévu.

1989 : L’élévation des mers vers l’ »oblitération » des nations d’ici à 2000

Source: Associated Press, June 30, 1989

1989 : L’autoroute du West Side de New York sous l’eau d’ici 2019

En faisant de la recherche il y a 12 ou 13 ans, j’ai rencontré Jimn Hansen, le scientifique qui en 1988 a prédit l’effet de serre devant le Congrès. Je me suis rendu à la avec lui et a regardé Broadway à New York en disant : « Si ce que vous dites sur l’effet de serre est vrai, est-ce que quelque chose va regarder différent là-bas en 20 ans ? Il a cherché pendant un certain temps et s’est tenu tranquille et n’a rien dit pendant quelques secondes. Puis il a dit : « Eh bien, il y aura plus de trafic ». Bien sûr, je ne pense pas qu’il ait bien entendu la question.

Ensuite, il a expliqué : « La West Side Highway (qui longe le fleuve Hudson) sera sous l’eau Et il y aura du ruban adhésif sur les fenêtres d’en face à cause des vents violents. Et les mêmes oiseaux ne seront pas là. Les arbres dans la la bande médiane va changer ». Puis il a dit : « il n’y aura plus de voitures de police. » Pourquoi ? « Eh bien, vous savez ce qui arrive à la criminalité quand la chaleur monte. » Et jusqu’à présent, ces 10 dernières années, nous avons eu 10 des années les plus chaudes jamais enregistrées.

N’a-t-il pas aussi dit que les restaurants auraient des panneaux dans leur des fenêtres sur lesquelles on peut lire : « Eau sur demande uniquement » ?

Sous l’effet de serre, les conditions météorologiques extrêmes augmentent. En fonction de l’endroit où vous êtes en termes de cycle hydrologique, vous obtenez plus de ce que vous êtes susceptibles d’obtenir. New York peut connaître des sécheresses, les sécheresses peuvent devenir plus graves et vous aurez des panneaux dans les restaurants disant « Eau sur demande uniquement ».

Quand a-t-il dit que cela se produirait ?

Dans 20 ou 30 ans. Et je me souviens que nous avons eu cette conversation en 1988 ou 1989.

Est-ce qu’il croit encore à ces choses-là ?

Oui, il croit toujours tout. Je lui ai parlé il y a quelques mois et il m’a dit qu’il ne changerait rien à ce qu’il avait dit à l’époque.

Source: Salon.com, October 23, 2001

De 1995 à aujourd’hui : Échec du modèle climatique

Source: CEI.org

2000 : « Les enfants ne sauront pas ce qu’est la neige ».

Source: The Independent, March 20, 2000

Les chutes de neige font désormais partie du passé. la neige commence à disparaître de nos vies « Les enfants ne sauront pas ce qu’est la neige ».

2002: Famine dans 10 ans

La famine ne peut être évitée que si les riches renoncent à la viande, au poisson et aux produits laitiers

Nos excès saisonniers seraient parfaitement durables, si nous ne faisions pas la même chose une semaine sur deux de l’année. Mais, en raison du pouvoir d’achat disproportionné du monde riche, beaucoup d’entre nous peuvent festoyer tous les jours. Et ce serait bien aussi, si nous ne vivions pas dans un monde fini.

Par rapport à la plupart des animaux que nous mangeons, les dindes sont des convertisseurs relativement efficaces : elles produisent environ trois fois plus de viande par livre de céréales que le bétail des parcs d’engraissement. Mais il y a encore de nombreuses raisons de se sentir mal à l’aise à l’idée de les manger. La plupart sont élevées dans l’obscurité, tellement serrées qu’elles peuvent à peine bouger. On leur retire le bec avec un couteau chaud pour les empêcher de se blesser les uns les autres. À l’approche de Noël, ils deviennent si lourds que leurs hanches se déforment. Quand on voit l’intérieur d’un poulailler de dinde, on commence à avoir de sérieux doutes sur la civilisation européenne.

C’est l’une des raisons pour lesquelles de nombreuses personnes ont recommencé à manger de la viande rouge à Noël. Les bovins de boucherie semblent être des animaux plus heureux. Mais l’amélioration du bien-être des animaux est compensée par la perte du bien-être des hommes. Le monde produit suffisamment de nourriture pour ses habitants et son bétail, bien que (en grande partie parce qu’ils sont si pauvres) quelque 800 millions de personnes soient sous-alimentées. Mais à mesure que la population augmente, la famine mondiale structurelle ne sera évitée que si les riches commencent à manger moins de viande. Le nombre d’animaux de ferme sur terre a été multiplié par cinq depuis 1950 : les humains sont aujourd’hui trois fois plus nombreux. Les animaux d’élevage consomment déjà la moitié des céréales du monde et leur nombre continue d’augmenter de façon presque exponentielle.

C’est pourquoi la biotechnologie – dont les promoteurs prétendent qu’elle va nourrir le monde – a été déployée pour produire non pas des denrées alimentaires mais des aliments pour animaux : elle permet aux agriculteurs de passer des céréales qui maintiennent les gens en vie à la production de cultures plus lucratives pour le bétail. D’ici dix ans seulement, le monde sera confronté à un choix : soit les cultures arables continuent à nourrir les animaux du monde, soit elles continuent à nourrir les populations du monde. Elle ne peut pas faire les deux.

La crise imminente sera accélérée par l’épuisement à la fois des engrais phosphatés et de l’eau utilisée pour les cultures. Chaque kilogramme de bœuf que nous consommons, selon les recherches des agronomes David Pimental et Robert Goodland, nécessite environ 100 000 litres d’eau. Les aquifères commencent à s’assécher partout dans le monde, en grande partie à cause des prélèvements effectués par les agriculteurs.

Beaucoup de ceux qui ont commencé à comprendre la finesse de la production mondiale de céréales ont réagi en devenant végétariens. Mais les végétariens qui continuent à consommer du lait et des œufs réduisent à peine leur impact sur l’écosystème. Le rendement de conversion de la production de lait et d’œufs est généralement meilleur que celui de l’élevage de viande, mais même si tous ceux qui mangent aujourd’hui de la viande de bœuf mangeaient plutôt du fromage, cela ne ferait que retarder la famine mondiale. Comme le bétail laitier et la volaille sont souvent nourris avec de la farine de poisson (ce qui signifie que personne ne peut prétendre manger du fromage mais pas du poisson), cela pourrait même, à un certain égard, accélérer la situation. Cette évolution s’accompagnerait également d’une détérioration massive du bien-être des animaux : à l’exception peut-être des poulets de chair et des porcs élevés de manière intensive, les poulets de batterie et les vaches laitières sont les animaux d’élevage qui semblent souffrir le plus.

Nous pourrions manger des faisans, dont beaucoup sont mis en décharge après avoir été abattus, et dont le prix, à cette époque de l’année, tombe à environ 2 livres sterling l’oiseau, mais la plupart des gens seraient mal à l’aise à l’idée de subventionner la soif de sang des hourras imbibés de cognac. La consommation de faisans, qui sont également nourris de céréales, n’est viable que jusqu’à ce que la demande satisfasse l’offre. Nous pouvons manger du poisson, mais seulement si nous sommes prêts à contribuer à l’effondrement des écosystèmes marins et – comme la flotte européenne pille les mers au large de l’Afrique de l’Ouest – à la famine de certaines des personnes les plus affamées de la planète. Il est impossible d’éviter la conclusion que la seule option durable et socialement juste est que les habitants du monde riche deviennent, comme la plupart des habitants de la planète, largement végétaliens, et ne mangent de la viande que lors d’occasions spéciales comme Noël.

En tant que mangeur de viande, j’ai longtemps trouvé pratique de classer le véganisme comme une réponse à la souffrance des animaux ou une lubie sanitaire. Mais, face à ces chiffres, il semble maintenant évident qu’il s’agit de la seule réponse éthique à ce qui est sans doute le problème de justice sociale le plus urgent au monde. Nous nous empiffrons, et les pauvres se font empiffrer.

Source: The Guardian, December 23, 2002

2004 : La Grande-Bretagne aura un climat sibérien d’ici 2020

Source: The Guardian, February 21, 2004

Le Pentagone dit à Bush : le changement climatique va nous détruire

– Un rapport secret met en garde contre les émeutes et la guerre nucléaire

– La Grande-Bretagne sera « sibérienne » dans moins de 20 ans

– La menace pour le monde est plus grande que le terrorisme

Au cours des 20 prochaines années, le changement climatique pourrait entraîner une catastrophe mondiale qui coûterait des millions de vies dans les guerres et les catastrophes naturelles..

Un rapport secret, supprimé par les chefs de la défense américaine et obtenu par The Observer, avertit que les grandes villes européennes seront englouties sous les mers montantes et plongées dans un climat « sibérien » d’ici 2020. Des conflits nucléaires, des méga-secousses, des famines et des émeutes généralisées éclateront dans le monde entier.

2008 : L’Arctique sera sans glace d’ici 2018

Source: Associated Press, June 24, 2008

Scientifique de la NASA : « Nous sommes grillés

« Nous voyons un point de basculement se produire sous nos yeux », a déclaré M. Hansen à l’AP avant le déjeuner. « L’Arctique est le premier point de basculement

et cela se passe exactement comme nous l’avons dit ».

Hansen, faisant écho aux travaux d’autres scientifiques, a déclaré que dans cinq à dix ans, l’Arctique sera libre de glace de mer en été

Le sénateur James Inhofe, R-Oklda, sceptique de longue date sur le réchauffement climatique, citant un récent sondage, a déclaré dans un communiqué : « Hansen, (ancien vice-président de la Commission européenne), a déclaré qu’il était très préoccupé par le réchauffement climatique.

Président) Gore et les médias clament depuis les années 1980 que le climat est en train de s’effondrer à cause de l’homme, mais les Américains n’y croient pas ».

Mais le député Ed Markee, D-Mass, président de la commission, a déclaré : « Le Dr Hansen avait raison. Vingt ans plus tard, nous le reconnaissons comme unprophète du climat ».

2008 : Al Gore prévient que l’Arctique sera sans glace d’ici 2013

Il y a dix ans, AI Gore avait prédit que la calotte glaciaire du pôle Nord disparaîtrait. Mais elle est toujours là.

Le 14 décembre 2008, l’ancien candidat présidentiel Al Gore a prédit que la calotte glaciaire du pôle Nord serait complètement libre de glace dans cinq ans. Comme rapporté sur WUWT, Gore a fait cette prédiction devant un public de la télévision allemande lors de la conférence sur le climat COP15 :

Al les a avertis que « la totalité de la calotte ‘polarisée’ du Nord disparaîtra dans 5 ans ».

Mais… elle est toujours là :

Source: WattsUpWithThat.com, December 16, 2018

2009 : Le prince Charles dit qu’il ne reste que 8 ans pour sauver la planète

Source: The Independent, July 9, 2009

2009 : Le Premier ministre britannique déclare 50 jours pour « sauver la planète de la catastrophe ».

Source: The Independent: October 20, 2009

2009 : L’Arctique sera sans glace d’ici 2014

Source: USA Today, December 14, 2009

Gore : La calotte glaciaire polaire pourrait disparaître d’ici l’été 2014

Selon une nouvelle modélisation informatique, l’océan Arctique pourrait être presque libre de glace en été dès 2014, a déclaré Al Gore aujourd’hui à la

conférence sur le climat à Copenhague.

2013 : L’Arctique sans glace d’ici 2015

Source: The Guardian, July 24, 2013

L’Arctique sans glace dans deux ans annonce une catastrophe due au méthane – scientifique

Le professeur Peter Wadhams, co-auteur d’un nouveau document de Nature sur les coûts du réchauffement de l’Arctique, explique le danger de l’inaction

Le professeur Wadhams, éminent spécialiste de l’Arctique, avertit qu’un été sans glace dans deux ans pourrait déclencher un dangereux dégagement de méthane.

Un nouvel article paru dans la revue Nature soutient que la libération d’une impulsion de 50 gigatonnes (Gt) de méthane provenant de la fonte du permafrost arctique pourrait déstabiliser le système climatique et entraîner des coûts aussi élevés que la valeur du PIB mondial. Le réservoir d’hydrates de gaz méthane du plateau arctique de Sibérie orientale (ESAS) pourrait être libéré lentement sur 50 ans ou « à une vitesse catastrophique » en quelques décennies – voire une décennie – selon les chercheurs.

L’étude, en accès libre : 
https://www.nature.com/articles/s41467-017-02550-9 

Dissociation des hydrates de gaz au large du Svalbard induite par le rebond isostatique plutôt que par le réchauffement climatique

Résumé

Les infiltrations de méthane sur les pentes continentales supérieures du Svalbard occidental ont été précédemment attribuées à la dissociation des hydrates de gaz induite par le réchauffement anthropique des eaux de fond ambiantes. Nous montrons ici que les carottes de sédiments forées au large de l’avant-pays de Prins Karls contiennent de l’eau douce provenant de la dissociation des hydrates. Cependant, notre modélisation indique que le rafraîchissement de l’eau interstitielle observé a commencé autour de 8 ka BP lorsque le taux de soulèvement isostatique a dépassé l’élévation eustatique du niveau de la mer. La baisse locale de la pression hydrostatique qui en a résulté a forcé la dissociation des hydrates de gaz et l’épuisement des chlorures dissous, ce qui correspond à notre analyse géochimique. Par conséquent, nous proposons que la dissociation des hydrates a été déclenchée par un rebond isostatique postglaciaire plutôt que par un réchauffement anthropique. En outre, nous montrons que les flux de méthane provenant de la dissociation des hydrates étaient considérablement plus faibles que les taux d’infiltration actuels du méthane, ce qui implique que les hydrates de gaz n’étaient pas une source majeure de méthane pour les océans, mais qu’ils agissaient plutôt comme un joint dynamique, régulant la libération de méthane des réservoirs géologiques profonds.

2013 : L’Arctique sera sans glace d’ici 2016

L’US Navy prévoit un Arctique libre de glace en été d’ici 2016

La modélisation conventionnelle est-elle en décalage avec la vitesse et la brutalité du réchauffement climatique ?

Un brise-glace de Greenpeace. Arctic Sunrise. parmi les floes brisés de la glace de mer arctique, photographiés depuis les airs.

Cette image a été prise dans le détroit de Fram, le mois où la couverture de glace de mer a reculé à l’avant-dernier l’étendue depuis le début des enregistrements. Photographie : Nick Cobbing

Un projet de recherche soutenu par le ministère américain de l’énergie et dirigé par un scientifique de la marine américaine prévoit que l’Arctique pourrait perdre sa couverture de glace de mer estivale dès 2016, soit 84 ans en avance sur les projections des modèles classiques.

Le projet, basé sur le département d’océanographie de la US Naval Postgraduate School, utilise des techniques de modélisation complexes qui rendent ses projections plus précises que les autres.

Source: The Guardian, December 9, 2013

2014 : 500 jours seulement avant le « chaos climatique ».

Ministre français des affaires étrangères : « 500 jours pour éviter le chaos climatique ».

Le secrétaire d’État John Kerry a accueilli mardi le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius au département d’État à Washington pour discuter de toute une série de questions, de l’Iran à la Syrie en passant par le changement climatique. Ou, selon les termes du ministre des affaires étrangères, « le chaos climatique ». Kerry et Fabius ont fait une apparition commune avant leur rencontre, et le ministre des affaires étrangères a averti qu’il ne restait que 500 jours pour éviter le « chaos climatique ».

Mais :

La planète est toujours debout 500 jours après que le ministre français des affaires étrangères ait mis en garde contre le « chaos climatique ».

En mai 2014, le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré lors d’une apparition conjointe avec le secrétaire d’État John Kerry que « nous avons 500 jours pour éviter le chaos climatique ». A la fin de la semaine dernière, le temps s’est écoulé.


Sources: Washington Examiner :
Wrong Again: 50 Years of Failed Eco-pocalyptic Predictions – Competitive Enterprise InstituteModern doomsayers have been predicting climate and environmental disaster since the 1960s. They continue to do so today. None of the apocalyptic predictions with due dates as of today have come true. What follows is a collection of notably wild predictions from notable people in government and scien…




La fin des temps

[Source : Urantia Gaïa]

Publié le 28 octobre 2015 par Le Passeur

Par Bernard de Montreal. (En 1988)

La
prochaine époque remplacera l’involution, et la fin de cette dernière
annoncera une nouvelle garantie de vie sur Terre, issue d’une
transformation profonde du mode d’existence que nous connaissons
aujourd’hui. La fin de la civilisation moderne se fera
sentir graduellement, à mesure que grandira l’escalade des conflits,
insolubles dans les conditions actuelles de l’entendement humain.
Viendra le temps où les gouvernements n’auront plus de solutions devant
les problèmes grandissants de l’humanité ; ce temps commence déjà à se
faire sentir, mais beaucoup de souffrances alourdiront encore la vie
avant la fin de cette période.

De
même que dans la vie personnelle l’homme vit des situations qui
semblent insolubles, de même sur le plan international l’humanité vivra
des conflits dont l’opposition d’intérêts rendra la résolution difficile
; cela est dû à l’ignorance des peuples et à l’absence d’intelligence
créative de la part des gouvernements. Cette période sombre sera suivie
d’une nouvelle forme de civilisation au coeur de laquelle l’homme
découvrira des forces créatives différentes. Dans la vie personnelle, un
changement de cap nécessite une crise profonde pour que se manifestent
de nouvelles énergies. Il en sera ainsi à la fin du cycle présent.
L’humanité connaîtra une crise tellement grave que l’homme saura, sans
le moindre doute, qu’il est sur le point de vivre quelque chose de neuf
dont il ignore la puissance créative et transformationnelle.

La
crise mondiale et planétaire prendra son origine dans ces forces
psychiques de l’humanité, qui doivent être profondément transformées
pour que naisse une civilisation totalement modifiée dans ses principes
de vie et d’évolution. L’humanité verra sa conscience renversée. La
crise mondiale permettra à l’homme de s’élever sur une plus haute
échelle d’évolution, selon des principes nouveaux engendrés par la
crise, qui mettra en jugement toutes les formes d’idéologies qui
divisent les peuples. De cette crise profonde naîtra une nouvelle vision
de la vie planétaire, et les peuples s’uniront contre la mort de
l’esprit. L’homme est totalement inconscient des forces de vie sur
Terre, car il n’a aucune compréhension du fonctionnement évolutif d’une
planète expérimentale en voie de développement psychique. La crise
mondiale, déjà amorcée dans son mouvement, servira de fondation à la
reconnaissance des forces dans l’univers qui alimentent l’évolution de
l’homme, et son esprit s’élèvera au-delà de ses conceptions limitatives
actuelles.

La fin du cycle servira de
point de départ pour une nouvelle réconciliation avec la vie,
à laquelle les peuples adhéreront à tout prix, car la crise aura terni
dangereusement la conscience de l’humanité en lui faisant vivre les
horreurs de sa propre initiation planétaire. Le mental humain doit
s’éveiller et s’élever au-delà des idéologies sectaires, et les grandes
connaissances de l’humanité doivent être données aux masses afin
qu’elles bénéficient de ce qui est grand et noble dans l’esprit et
qu’elles aient l’explication finale de la nature de la vie et de
l’évolution. La connaissance ne pourra plus être refusée aux pauvres de
la Terre, puisqu’elle est à l’esprit ce que la nourriture est au corps
matériel. Le corps émotif de l’humanité souffrira intensément. Cette
souffrance existe déjà chez l’homme, mais elle n’a pas encore atteint
son paroxysme. Une grande loi de l’évolution des systèmes veut que tout
changement dans la nature des choses soit accompagné ou précédé d’une
grande souffrance, c’est-à-dire une grande énergie qui transforme. Les
conditions de cette transformation ont été établies depuis la fondation
des sphères et font partie de la force interne de la conscience
collective en évolution.

La crise
mondiale impliquera toutes les nations et affectera tous les hommes.
C’est l’universalité de la crise et son insolubilité apparente qui
éveilleront la conscience, en faisant réfléchir l’homme de la rue et
l’homme de l’état avec plus de rigueur et de concret. La crise mondiale
mettra un terme aux illusions politiques des nations, selon lesquelles
l’homme peut faire face à toutes les éventualités. Les conséquences de
ces illusions ont déjà été révélées dans certaines oeuvres hermétiques,
mais l’homme ne les a pas encore vécues et ne peut encore en comprendre
la portée réelle.

La fin du cycle
engendrera des forces qui détermineront l’orientation future
de l’humanité. Ceux qui font partie de la nouvelle conscience humaine
perçoivent déjà les bienfaits de la crise mondiale à long terme, mais
peu en connaissent les conséquences sur le plan vital. L’homme est trop
inconscient pour voir ce qui ne se voit pas à partir des yeux de l’ego ;
doté d’une conscience éveillée, il pourra facilement sentir que
l’avenir de l’humanité ouvrira toutes grandes les portes de
l’impossible. À partir de la vision de l’impossible, la conscience
future pénétrera dans les secrets de la vie, qui lui permettront de
comprendre ce qui est réservé aux initiés de la nouvelle alliance, entre
l’homme et le double. Celle-ci lui donnera accès à la destinée des
nations, alors que lui-même pourra voir concrètement son rôle créatif
dans la vie future des nations en évolution rapide.

Il
faudra encore un peu de temps pour que l’humanité saisisse la réalité
nouvelle de la prochaine époque. Des événements clés, dont l’ordre
dépasse la logique purement matérielle de l’homme, renverseront les
conceptions du mental inférieur, afin que l’homme puisse entrer dans une
nouvelle phase d’évolution devant transformer profondément la
conscience de l’humanité, à tous les niveaux de la conscience
planétaire. Les masses humaines connaîtront des choses qu’aujourd’hui
l’homme de la rue se refuse à contempler, car il a été trop conditionné
par l’involution. Les conceptions présentes de la vie doivent être
fracassées pour qu’une vie nouvelle prenne racine. L’homme devra
réaliser que le cosmos est une vaste entreprise évolutive, à des niveaux
d’expérience dépassant l’imagination involutive. Les nations de la
Terre ne pourront être asservies au passé lorsque viendront frapper à la
porte de leur conscience les forces nouvelles.

Les
prochaines générations connaîtront des événements que l’homme pressent,
mais qu’il ne pourra affronter qu’avec une intelligence fondée sur une
volonté réellement créative. Les nations se complaisent à vivre les jeux
astralisés de la conscience planétaire, mais le prix de ces jeux sera
élevé ; les forces de vie astrales atteindront en effet un niveau de
puissance qui fera pâlir les actions démoniaques des pires démagogues
que l’humanité aura connus. Le choc sera tel que l’homme devra
reconnaître enfin que la vie future de l’humanité ne pourra pas
être fondée sur les principes de l’ancienne civilisation.

La fin du cycle coïncidera avec la présence de forces occultes dont le pouvoir sera mondial. La terminaison du rôle purement politique des gouvernements fera ressortir de la conscience planétaire une énergie créative nouvelle, suffisamment puissante pour détourner, pendant une très longue période à venir, les courants d’énergies inférieures qui paralysèrent la conscience de l’homme depuis le début de l’involution. Le caractère mondial de la crise renversera les valeurs humaines à un tel point que les hommes reconnaîtront que la vie a plusieurs dimensions, et qu’un aspect de ces dimensions est actif sur Terre pour permettre à l’être de poursuivre son évolution dans un cadre de vie de plus en plus équilibré. L’humanité devait auparavant se suffire à elle-même, tandis qu’à l’avenir elle sera aidée des sphères éveillées, et cette aide sera reconnue mondialement. L’époque de l’involution sera remplacée par une grande vision fondée sur le rassemblement des forces psychiques de la planète.

La crise ne
sera pas refusée par les hommes de lumière, car ils savent déjà qu’elle
doit être vécue afin que le choc élève l’humain ; mais son sens
hermétique sera rendu public pour que ceux qui ont suffisamment de
lumière puissent bénéficier de ce qui fait partie du savoir universel,
et que l’homme éveillé puisse subir ces grands événements sans en
souffrir sur le plan psychologique. Comme la fin du cycle sera
démystifiée, l’homme conscient pourra y reconnaître les éléments de base
dont furent construites les grandes prophéties de l’humanité.

Un
de ces éléments de base prophétisé par les grands voyants de l’histoire
sera le contact imminent entre les hommes de la Terre et d’autres êtres
vivants venant des profondeurs de la galaxie. Ce contact avec l’homme
ne pourra plus être camouflé psychologiquement, car l’évolution
nécessitera un tel contact, qui provoquera un affrontement entre
différents niveaux de la réalité. Tant que ce contact ne sera pas établi
officiellement, les hommes demeureront des êtres englobés par la
petitesse de leur vision, et continueront à vivre selon les lois
involutives d’une civilisation qui a perdu le sens du réel. Que l’homme
ignore la réalité, c’est une chose explicable par son ignorance
millénaire, mais qu’il demeure dans cette ignorance est impossible, car
la vie exerce tous les pouvoirs sur la conscience de l’humanité, tant
que l’homme n’aura pas atteint un niveau de conscience lui permettant de
la contrôler dans son évolution.

Les
hommes ont débattu longtemps la réalité du phénomène ovni, alors que
ceux qui expérimentèrent ce phénomène virent leur propre vie et leurs
attitudes changer face à l’expérience qui en dit long sur l’univers en
général. La fin du cycle éclairera ce contact entre l’homme et d’autres
espèces, et le choc de vie qui en résultera forcera l’homme à s’éveiller
à une autre dimension du réel, pour contempler un avenir avantageux à
tous les points de vue de sa conscience planétaire et universelle.

La
fin d’une époque représente pour l’humanité une grande transformation
dans son mode de penser, et celle-ci à lieu lorsque les forces en
évolution ont atteint la limite possible de leur perfectionnement. Une
nouvelle dynamique est alors créée et établie par les forces vivantes et
invisibles de la vie, à travers un nouveau réseau de consciences. Une
telle transformation requiert que les formes présentes au sein de la
civilisation soient profondément touchées au cours du nouvel âge,
période qui suit la fin d’un cycle. L’évolution future de la
Terre répondra à une baisse profonde du niveau d’énergie spirituelle sur
le globe, entraînant ainsi un besoin des plans d’injecter dans la
conscience de l’humanité une nouvelle force mentale pour obliger
l’humanité à réévaluer ses conceptions à partir d’une prise de
conscience reliée à des événements d’ordre cosmique qui s’abattront sur
le globe et feront réagir l’homme devant le constat de son inconscience.
L’humanité passera d’un niveau d’évolution à un autre et entreprendra
son passage de l’involution à l’évolution, qui l’amènera à la
réalisation de sa seconde fondation, celle qui représentera le nouvel
âge de l’homme.

L’éclatement de la
conscience humaine et son ascension vers d’autres plans de perception
s’accentueront à mesure que l’homme découvrira que l’intellect, ou le
mental inférieur, le limite dans le développement de sa vie intégrale.
Son inconscience va de pair avec l’activité du mental subjectif. La fin
du cycle involutif changera cette condition dans la vie de l’homme, mais
seulement auprès d’un nombre restreint d’êtres au début de l’évolution
ou de la période de croissance réelle du moi. La fin des temps, dans son
aspect le plus voilé et cosmique, permettra à l’homme nouveau de
dépasser les limites actuelles du mental et lui ouvrira de nouveaux
horizons, vers lesquels l’humanité se dirigera pour goûter de la vie sur
Terre en tant qu’expérience reliée à la vie de l’éther, quand la
conscience sera parfaitement éveillée à ses possibilités
multidimensionnelles. La victoire sur la mort sera le premier exploit de
l’homme nouveau, reconnu objectivement dans le monde. Autant le passé
aura envoûté l’homme et mystifié son mental naïf, autant l’avenir de la
race-racine fera éclater chez lui des parcelles de la réalité qui feront
de lui un être de lumière.

La fin du cycle mettra un terme définitif à l’inhabileté de l’homme de voir au-delà de ses sens matériels. Il deviendra voyant extraordinaire, avancé sur ses frères spirituels de l’involution qui voyaient pour les autres mais ne voyaient pas pour eux-mêmes, car ils ne possédaient pas la clé au mental supérieur, qui délie les mémoires et fait du mental nouveau une assise de la lumière. L’homme nouveau entrera dans une période de croissance psychique qui évoluera en fonction des besoins de l’évolution de la race-racine et des forces nouvelles descendues sur Terre pour l’acheminement de nouvelles vagues de vie ; celles-ci viendront vers le globe pour bénéficier d’une ouverture à l’éther du mental, c’est-à-dire au mental-lumière de l’homme cosmique. Avec son appartenance psychologique et psychique à la mémoire de l’humanité, l’âme coupe l’homme de sa réalité fondamentale et de son droit de connaître l’au-delà immatériel. Que l’homme involutif soit né des ténèbres et plongé dans la matière pour l’évolution de l’âme, c’est une chose, mais qu’il soit une parcelle cosmique non réalisée, c’en est une autre. Les tables de la vie se retourneront un jour en sa faveur, et il reconnaîtra son appartenance à un monde dont la définition ne peut être spiritualisée, de crainte de retarder l’évolution du mental supérieur.

La
galaxie est plus qu’un monde d’étoiles brillantes au firmament. Elle
représente la demeure d’êtres dont la nature s’entrecroise avec celle de
l’homme, dans des domaines de la vie que ce dernier ne peut contempler
aujourd’hui à cause de son lien avec le passé de l’âme, cette mémoire
qui fut pour lui, depuis toujours, la cause de son ignorance face à la
définition du réel. L’homme ne peut réaliser qu’il est différent en
nature de ce qu’il est en perception. Il a tellement traité avec ses
sens qu’il ne perçoit plus le sens de sa réalité au-delà de sa
sensibilité physique. La fin du cycle est inévitable, car l’homme doit
croître au-delà de ses limites et finalement reconnaître son
appartenance à l’infinité. Cette conscience intégrale fera de lui
un être dont la sommation des facultés psychiques élèvera la conscience
de la Terre pour rendre compte qu’il est plus grand que l’homme ancien.
Imprégnés de cette conscience, les siècles cesseront de battre au rythme
des années et un autre temps apparaîtra sur Terre, alors que d’autres
êtres venant d’ailleurs participeront créativement à l’actualisation
d’une nouvelle civilisation.

Les
paramètres psychologiques ou historiques de l’humanité involutive ne
conviennent pas à la mesure d’un nouveau cycle, car celui-ci invite la
conscience à déborder de ses limites pour découvrir dans l’infini de ses
possibilités. Ces dernières s’épanouiront à mesure que l’humanité
terminera son cycle involutif, faussé par le mental inférieur de l’homme
divisé contre lui-même et en quête d’une solution dont il ne pourra
découvrir la réponse qu’à travers la fusion de son énergie avec les
plans supérieurs de vie, qui sont à l’origine de sa conscience mentale.
Alors que l’involution fut truffée d’illusions appartenant à
l’expérience de l’âme, l’évolution sera la clarté même, une grande
ouverture sur l’infinité du savoir universel. La fin du cycle instruira
l’homme de la décadence de son mental et de la nécessité de vivre
un revirement absolu face aux formes et aux valeurs qu’il a créées au
cours de l’involution pour affirmer sa conquête sur la matière. Mais la
vie aussi doit être conquise, et la conquête fera partie de la nouvelle
étendue de la conscience humaine au-delà des sphères
purement matérielles de la connaissance rationnelle.

L’intransigeance
de l’intellect sera remplacée par l’élévation de plus en plus forte de
la pensée humaine. Les générations à venir ne chercheront plus à limiter
l’accès de l’homme à sa propre définition universelle à travers les
structures angoissantes d’un mental qui veut se fixer dans une
permanence qui ne cesse de lui échapper à cause de l’absence de lumière
en lui.

L’homme nouveau évitera
l’assaut psychique qui déferlera sur l’humanité à la fin du cycle, car
il aura compris sa relation intime avec le double dont il utilisera la
lumière pour se dissocier de la puissance des reflections subjectives
qui assailliront son ego lorsque la vie de la Terre sera remise en
question. Il comprendra que la nouvelle vague de vie qui s’installe sur
le globe fait partie de la descente des forces cosmiques sur une planète
qui n’a connu que l’isolation temporelle et spatiale depuis l’origine
de la conscience égoïque. Les intrusions furtives de forces venues
d’ailleurs pour l’étude de l’homme et l’aide nécessaire à l’évolution
de sa société ne furent que de maigres ressources sur lesquelles
l’humanité put compter. Totalement ignorant des lois cosmiques, l’homme
fit de ces rencontres des expériences d’ordre spirituel qui retardèrent
une fois de plus l’évolution de sa conscience mentale. L’ordre
universel demande que toute conscience en voie d’évolution en arrive à
rejeter, absolument et à long terme, le besoin d’être dominé par des
forces étrangères à sa conscience. Processus applicable seulement
lorsque la conscience supramentale sera implantée sur le globe et
qu’elle aura commencé à libérer l’homme de sa conscience involutive.
L’évolution de la sixième race-racine préparera cette condition future
de l’humanité. Elle informera objectivement l’homme des
lois universelles et construira son autosuffisance psychologique et
psychique, nécessaire pour qu’il puisse passer d’un temps à un autre,
d’une dimension étroite de la conscience à une ouverture totale vers la
conscience cosmique.

La fin du cycle
deviendra évidente lorsque la nouvelle conscience se sera manifestée
sur le globe. Les événements mondiaux prendront une tangente de plus en
plus inquiétante pour l’homme lorsque la Terre passera à un autre âge où
la conscience et les forces psychiques entreront en contact.

Les forces psychiques font partie de ces mondes parallèles qui s’ouvriront à l’homme objectivement, afin qu’il puisse comprendre l’ordre universel et les sous-plans de ce même ordre, qui confinent sa conscience actuelle à un processus de reflection subjective plutôt qu’à un acte de création mentale. L’homme nouveau établira un lien avec des plans de vie qui ne risqueront plus de faire de lui un être secondaire. Ayant dépassé les valeurs sociales de sa civilisation, il entraînera avec lui les êtres supérieurement évolués afin de créer une nouvelle configuration psychique qui deviendra le siège du pouvoir occulte sur la conscience de la Terre. Pour que la fin du cycle coïncide avec l’expression des besoins réels de l’humanité, l’homme devra constater la réalité occulte de son moi et comprendre que le lien universel, tel qu’il la connaîtra au tout début de sa fusion, ne représente qu’une infime partie de sa réalité future et universelle. Les hommes de demain connaîtront des niveaux d’expérience tellement étrangers à la conscience des masses qu’il seront obligés de vivre en un lieu en marge de l’humanité involutive. L’élévation du taux vibratoire de la conscience se fera par voie interposée, c’est-à dire que les hommes déjà prêts à entrer en contact avec les mondes parallèles seront amenés par télépathie à rencontrer ceux qui auront en main les clés d’accès à ces mondes.

La Terre n’appartient pas à
l’homme tel qu’il le croit. Elle fait partie d’un patrimoine maintenu en
évolution de conscience par des forces dont l’intelligence dépasse le
petit homme, cet être qui croit que la logique seule peut lui faire
comprendre les mystères de la vie. Les temps viennent où ce petit homme
prendra conscience que l’invisible de la vie est maître de ses sens et
qu’il s’étend à des niveaux d’organisation qui demandent plus que la
logique d’un mental inférieur pour se révéler à lui dans toute leur
splendeur et toutes leurs formes. Le développement d’une conscience
supérieure ne pourra venir qu’à travers l’expérience de
chocs suffisamment grands pour élever sa conscience malgré elle, car
l’homme moderne est orgueilleux de son intelligence. Il fut trop
longtemps coupé de la source universelle pour bénéficier encore d’une
intelligence fondée sur la réalité de ses principes, intégrés à un axe
de vie qui traverse son psychisme et se fond avec lui à tous les niveaux
de son être réel.

La fin du cycle
coïncidera avec l’impression ultime d’un autre temps de la
conscience, qui fera partie de la descente sur Terre d’une nouvelle
énergie créative étrangère à son expérience antérieure. L’homme
deviendra de plus en plus perceptif du réel, la logique de ses sens
servira à la compréhension des phénomènes inférieurs de la vie, et une
autre forme de perception et d’entendement le rapprochera de l’infinité,
ces zones d’énergie appartenant à des sphères d’expériences situées
au-delà des sens matériels. Lorsqu’il aura compris parfaitement que la
mort ne fait pas partie de la conscience humaine intégrale,
l’homme entrera dans un temps où la vie n’a plus de fin ; sa conscience
s’éthérisera et son rapport avec l’invisible deviendra objectif.

La
conscience de l’humanité doit grandir en science. Elle doit s’intégrer à
la vie cosmique pour que l’homme prenne sa juste place dans l’univers.
Le cosmos est une vaste conscience et l’homme en fait partie. Mais ses
sens doivent être libérés de leur lourdeur, car la matière n’est qu’un
aspect de la conscience humaine. Au-delà s’étend un monde dont les
fondations reposent sur le rapport étroit entre l’esprit et la
conscience en évolution. Tant que cette dernière n’aura pas conquis sa
propre intelligence, elle devra vivre de la matière et souffrir
de l’esprit, car l’esprit ne pourra être intégré que lorsque l’homme
aura compris la réalité qui s’étend au-delà de sa reflection égoïque.
Cette réalité s’unira à lui, elle l’instruira des autres dimensions et
lui rendra l’invisible réel. L’homme découvrira que l’évolution
représente son retour à la source ; au cours de son cheminement à
travers l’invisible de la vie, il rencontrera des intelligences
n’appartenant pas à l’évolution de la Terre mais à celle de l’homme et
de sa conscience. L’évolution de la Terre sera assurée et l’homme fera
de sa planète un nouveau paradis.

L’évolution
de la conscience est reliée à l’ouverture des centres psychiques.
L’homme nouveau passera d’un état mental à un autre avant de bénéficier
de sa relation avec l’invisible. La fin du cycle favorisera cette
ouverture des centres et l’homme verra que la vie et sa
réalité s’étendent au-delà de ce que la raison peut entrevoir. La fin du
cycle et l’avènement d’une science nouvelle sont deux aspects
profondément troublants de la nouvelle évolution. L’homme fera face à
des possibilités qu’il aurait crues, il y a seulement quelques
générations, le produit d’une imagination fertile. Ces choses se
produiront en un clin d’oeil, et le choc qu’elles feront alors sera
grand.

La conscience puisera dans
cette nouvelle expérience une énergie qui le libérera du connu pour le
projeter dans un avenir irréconciliable avec le passé. L’évolution de la
race humaine est indissociable des forces de l’invisible, qui serviront
l’homme nouveau dans la mesure où il aura le pouvoir de les recevoir et
de les soumettre à sa volonté créative. La fin du cycle ne peut être
perçue par l’humanité en général, car les centres psychiques de l’homme
ne sont pas suffisamment ouverts à l’énergie en évolution. Les êtres
évolués et sensibles à leur intelligence intérieure verront se définir
la courbe des événements qui mèneront la civilisation actuelle à son
rendez-vous final. Ils auront accès à des perceptions de plus en plus
objectives de l’avenir de la race, et sauront se protéger en
conséquence.

La fin du cycle de vie
planétaire conduit toujours la race à supporter un lourd fardeau sur ses
épaules affaiblies par la souffrance et l’angoisse d’un avenir
incertain. Par contre l’homme nouveau, de plus en plus conscient de
l’interpénétration du réel et du planétaire, élèvera sa vision des
événements et verra que l’avenir est grand et prometteur. La
grande capacité de vivre sa conscience de façon permanente sera le
meilleur secours de l’homme et la source de sa plus solide force. Le
développement de cette permanence se raffermira à mesure qu’il percevra
la nature des événements de la fin du cycle, en fonction de sa
sensibilité intérieure. Il sentira descendre en lui une plus grande
lumière et une compréhension plus vaste des événements majeurs qui
changeront le cours de la civilisation. Ces êtres, qui se retireront de
plus en plus de la vie humaine involutive, se réuniront à la fin du
cycle dans un espace créé par les forces cosmiques pour leur protection
et leur indemnité ; car alors de grands vents secoueront la Terre,
dernier signe témoignant de l’apparition de l’âge d’or.

Bernard de Montréal – Extrait de « La Génèse du Réel » – Editions de la Science Intégrale. (épuisé)

Ouvrage introuvable car non reédité depuis 1988. Il existe toutefois un livre audio/pdf non officiel.

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)




Venezuela, les gangsters repartent à l’assaut de la démocratie

[Source : Investig’Action]

Auteur :ALEX ANFRUNS

Le Venezuela est aujourd’hui en grand danger de guerre, de chaos et de destruction avec le rôle actif des USA et de la Colombie. Ces pays ont des intérêts économiques et utilisent un secteur de l’opposition pour faire croire qu’un « gouvernement parallèle » existe. En effet, le plus gros pari d’un certain secteur de l’opposition vénézuélienne a toujours été le putschisme.

Souvenons-nous en. Après un résultat majoritaire aux élections législatives de décembre 2015, la droite vénézuélienne avait défendu une « Loi d’amnistie et de réconciliation nationale ». Il ne s’agissait pas de libérer des « prisonniers politiques », mais les principaux responsables de l’opération putschiste intitulée « La Salida » en 2014.

Cette opposition s’était ensuite présentée à la table du dialogue sans que cela n’ait jamais été son intention. Cela provoqua l’incompréhension des médiateurs internationaux tels que l’ex-président espagnol Rodriguez Zapatero. Déjà en 2017, après sa tentative ratée de provoquer un coup d’État au moyen d’actions violentes dans la rue, l’opposition avait annoncé ce plan de « gouvernement parallèle ». Illusion fatale.

Trump veut détruire l’ALBA, un système dans lequel la coopération basée sur les besoins humains prend le pas sur la loi du marché sauvage. Le Venezuela, Cuba et le Nicaragua sont des obstacles dans le « destin manifeste ». A-t-il oublié la leçon historique que Fidel et Sandino ont donné aux troupes US, lors des tentatives ratées d’invasion ? Après avoir rencontré l’administration Trump, le président colombien a insisté sur le fait qu’il travaille activement à « libérer le peuple vénézuélien » et que « l’encerclement diplomatique » entraînera un « effet domino ». A-t-il oublié que des millions de Vénézuéliens ont retrouvé la dignité depuis l’instauration de la Ve République après un référendum en faveur de l’Assemblée Constituante ? Comme lors de la tentative de coup d’État contre Chávez en 2002, la droite espagnole est en première ligne pour mettre fin à la démocratie en préparant le terrain pour la guerre infâme des États-Unis. C’était le sens de la visite ratée et de la rencontre prévue entre sa délégation et Guaidó.

Le président d’une grande chaîne de télévision française a un jour admis que son travail consistait à «vendre du temps de cerveau disponible » entre deux blocs de publicité d’une marque connue de boissons. Ces mêmes médias ne vous diront pas qu’il y a eu depuis un mois plusieurs grandes marches en faveur de la Révolution Bolivarienne.

Ce n’est pas seulement une guerre médiatique, mais aussi culturelle. Là encore, l’histoire nous aide à comprendre le présent. Pendant la Guerre froide, des fonds du Plan Marshall étaient destinés à la propagande « culturelle » en Europe occidentale, dans le but d’effacer la mémoire des Résistants dans leurs pays respectifs. Les États-Unis sont passés maîtres dans ce domaine, et ils n’ont jamais négligé l’impact de l’art et de la culture dans la justification de leurs interventions militaires.

Ainsi, le 22 février, l’administration Trump a parié sur l’organisation d’un grand concert, mobilisant des musiciens célèbres ainsi que des personnalités politiques pour la cause d’une soi-disant « aide humanitaire” qu’elle voudrait destiner au Venezuela contre son gré. Certains pourraient se dire qu’un concert, c’est une bonne chose en fin de compte… Le député chilien Alejandro Navarro a résumé l’affaire en deux lignes : « Il est ironique et humiliant que l’aide humanitaire présumée soit acheminée par Cúcuta, l’une des villes les plus pauvres (+ de 40 % de pauvreté) de Colombie et où la précarité du travail dépasse 70 %. C’est un show médiatique sans limites du président Sebastian Piñera ». Et de rappeler que le gouvernement vénézuélien a répondu à ce « show » en envoyant 20 .000 cartons contenant un panier d’aliments de base aux familles colombiennes de ce côté de la frontière ! Cela ne risque pas de faire la une des médias…

Le Venezuela a les plus grands réserves mondiales de pétrole. Ceci explique cela. L’ancien directeur du FBI Andrew McCabe, a reproduit dans son livre, “In the threat”, le contenu d’une réunion du Bureau ovale en 2017 : « Puis le président a parlé du Venezuela. C’est avec ce pays que nous devrions entrer en guerre, a-t-il dit. Ils ont tout ce pétrole et ils ne sont pas plus loin que dans notre arrière-cour. »




Les agences de renseignement américaines et britanniques déclarent la cyberguerre contre les médias indépendants

[Source : Réseau International]

par Whitney Webb.

Les services de renseignement britanniques et américains sont en train de « militariser la vérité » pour mettre fin aux hésitations concernant les vaccins, alors que les deux pays se préparent à des inoculations massives. Une « cyberguerre » récemment annoncée, qui sera commandée par des arbitres de la vérité utilisant l’IA, contre des sources d’information qui contestent les récits officiels.

La semaine dernière, les États de sécurité nationale des États-Unis et du Royaume-Uni ont discrètement laissé entendre que les cyber-outils et les tactiques en ligne précédemment conçus pour être utilisés dans la « guerre contre le terrorisme » de l’après-11 septembre sont maintenant reconvertis pour être utilisés contre les sources d’information qui encouragent « l’hésitation à se vacciner » et les informations relatives à la Covid-19 qui vont à l’encontre des déclarations de l’État.

Une nouvelle cyber-offensive a été lancée lundi par l’agence britannique de renseignement sur les signaux, le Quartier Général des Communications du Gouvernement (GCHQ), qui cherche à cibler les sites web qui publient des contenus considérés comme de la « propagande » qui suscite des inquiétudes concernant le développement du vaccin contre la Covid-19 commandité par l’État et les multinationales pharmaceutiques impliquées.

Des efforts similaires sont en cours aux États-Unis, l’armée américaine ayant récemment financé une entreprise parrainée par la CIA – composée d’anciens responsables de la lutte antiterroriste qui étaient derrière l’occupation de l’Irak et la montée de l’État Islamique – pour développer un algorithme basé sur l’IA visant spécifiquement les nouveaux sites web promouvant la désinformation « suspecte » liée à la crise de la Covid-19 et l’effort de vaccination contre la Covid-19 mené par l’armée américaine, connu sous le nom d’Opération Warp Speed.

Les deux pays s’apprêtent à réduire au silence les journalistes indépendants qui expriment des inquiétudes légitimes quant à la corruption de l’industrie pharmaceutique ou à l’extrême secret qui entoure les efforts de vaccination contre la Covid-19 menés par l’État, maintenant que le vaccin candidat de Pfizer doit être approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) américaine d’ici la fin du mois.

L’histoire de Pfizer, qui s’est vu infliger des milliards d’amendes pour commercialisation illégale et corruption de fonctionnaires pour les aider à couvrir un essai de médicament illégal qui a tué onze enfants (entre autres crimes), n’a pas été mentionnée par la plupart des médias, qui ont au contraire célébré l’approbation apparemment imminente du vaccin contre la Covid-19 de la société sans s’interroger sur l’histoire de la société ou sur le fait que la technologie ARNm utilisée dans le vaccin a suivi les protocoles normaux des essais de sécurité et n’a jamais été approuvée pour un usage humain. Il n’est pas non plus mentionné que la Directrice du Centre d’Évaluation et de Recherche sur les Médicaments de la FDA, Patrizia Cavazzoni, est l’ancienne Vice-Présidente de Pfizer pour la sécurité des produits, qui a dissimulé le lien entre l’un de ses produits et des anomalies congénitales.

Des piétons passent devant le siège mondial de Pfizer à New York, le lundi 9 novembre 2020. Pfizer affirme qu’un premier coup d’œil à ses données sur les vaccins suggère que les injections pourraient être efficaces à 90% pour prévenir la COVID-19, mais cela ne signifie pas qu’un vaccin est imminent. (AP Photo/Bebeto Matthews)

Le pouvoir de l’État est exercé comme jamais auparavant pour contrôler les discours en ligne et retirer des plateformes les sites d’information afin de protéger les intérêts de puissantes entreprises comme Pfizer et d’autres géants pharmaceutiques à scandales, ainsi que les intérêts des États de sécurité nationale des États-Unis et du Royaume-Uni, qui sont eux-mêmes intimement impliqués dans le projet de vaccination contre la Covid-19.

La nouvelle cyberguerre des services secrets britanniques contre la « propagande anti-vaccinale »

Lundi, le journal britannique The Times a rapporté que le GCHQ du Royaume-Uni « a lancé une cyber-opération offensive pour stopper la propagande anti-vaccins diffusée par des États hostiles » et « utilise pour ce faire une boîte à outils mise au point pour s’attaquer au matériel de désinformation et de recrutement colporté par l’État Islamique ». En outre, le gouvernement britannique a ordonné à la 77ème brigade de l’armée britannique, spécialisée dans la « guerre de l’information », de lancer une campagne en ligne pour contrer les « récits trompeurs » sur les vaccins candidats contre la Covid-19.

La « cyberguerre » récemment annoncée par le GCHQ ne se contentera pas de faire disparaître la « propagande anti-vaccins », mais cherchera également à « mettre fin aux opérations des cyberacteurs qui en sont responsables, notamment en cryptant leurs données pour qu’ils ne puissent pas y accéder et en bloquant les communications entre eux ». L’effort consistera également pour le GCHQ à contacter d’autres pays de l’alliance « Five Eyes » (États-Unis, Australie, Nouvelle-Zélande et Canada) pour alerter leurs agences partenaires dans ces pays afin qu’elles ciblent ces sites de « propagande » hébergés à l’intérieur de leurs frontières.

Le Times a déclaré que « le gouvernement considère la lutte contre les fausses informations sur l’inoculation comme une priorité croissante à mesure que la perspective d’un vaccin fiable contre le coronavirus se rapproche », ce qui laisse entendre que les efforts continueront à s’intensifier à mesure qu’un vaccin candidat se rapproche de l’approbation.

Il semble que, du point de vue de l’État de sécurité nationale britannique, ceux qui remettent en question la corruption dans l’industrie pharmaceutique et son impact possible sur les principaux vaccins candidats expérimentaux contre la Covid-19 (qui utilisent tous des technologies vaccinales expérimentales qui n’ont jamais été approuvées auparavant pour un usage humain) devraient être ciblés avec des outils conçus à l’origine pour lutter contre la propagande terroriste.

Alors que le Times a affirmé que l’effort viserait le contenu « qui provient uniquement des adversaires de l’État » et ne ciblerait pas les sites de « citoyens ordinaires », le journal a suggéré que l’effort s’appuierait sur le gouvernement américain pour déterminer si un site fait partie ou non d’une opération de « désinformation étrangère ».

Ceci est très troublant étant donné que les États-Unis ont récemment saisi les domaines de nombreux sites, dont l’American Herald Tribune, qu’ils ont erronément qualifié de « propagande iranienne », bien que son rédacteur en chef, Anthony Hall, soit basé au Canada. Le gouvernement américain a fait cette déclaration au sujet de l’American Herald Tribune après que la société de cybersécurité FireEye, un sous-traitant du gouvernement américain, ait déclaré qu’il avait une « confiance modérée » dans le fait que le site ait été « fondé en Iran ».

En outre, le fait que le GCHQ ait affirmé que la plupart des sites qu’il prévoit de cibler sont « liés à Moscou » est d’autant plus préoccupant que le gouvernement britannique a été impliqué dans le financement de l’Initiative pour l’Intégrité du groupe de réflexion Institute for Statecraft, qui a faussement qualifié les critiques des actions du gouvernement britannique ainsi que ses récits concernant le conflit en Syrie de campagnes de « désinformation russe ».

Compte tenu de ce précédent, il est certainement plausible que le GCHQ puisse croire la parole d’un gouvernement allié, d’un sous-traitant du gouvernement, ou peut-être même d’une organisation médiatique alliée comme Bellingcat ou le DFRLab du Conseil Atlantique, affirmant qu’un site donné est de la « propagande étrangère », afin de lancer une cyber-offensive contre lui. Ces préoccupations ne sont qu’amplifiées lorsque l’une des principales sources gouvernementales pour l’article du Times déclare sans ambages que « le GCHQ a reçu l’ordre de retirer les « antivaccins » [sic] d’Internet et des médias sociaux. Des moyens ont été utilisés pour surveiller et perturber la propagande terroriste », ce qui suggère que les cibles de la nouvelle cyberguerre du GCHQ seront, en fait, déterminées par le contenu lui-même plutôt que par leur origine « étrangère » présumée. L’aspect « étranger » semble plutôt être un moyen d’échapper à l’interdiction du mandat opérationnel du GCHQ de cibler les discours ou les sites web de citoyens ordinaires.

Ce pivot plus large visant à traiter les prétendus « antivaccins » comme des « menaces pour la sécurité nationale » s’est poursuivi pendant une grande partie de cette année, sous l’impulsion notamment d’Imran Ahmed, le PDG du Centre pour la Lutte contre la Haine Numérique basé au Royaume-Uni, membre du Comité Directeur pour la Lutte contre l’Extrémisme du gouvernement britannique.

Ahmed a déclaré au journal britannique The Independent en juillet : « J’irais au-delà du fait d’appeler les antivaccins des théoriciens du complot pour dire qu’ils sont un groupe extrémiste qui pose un risque pour la sécurité nationale ». Il a ensuite déclaré : « Une fois que quelqu’un a été exposé à un type de conspiration, il est facile de le conduire sur une voie où il adopte des visions du monde plus radicales qui peuvent conduire à un extrémisme violent », ce qui implique que les « antivaccins » pourraient se livrer à des actes d’extrémisme violent. Parmi les sites web cités par l’organisation d’Ahmed comme promouvant ce genre « d’extrémisme » qui pose un « risque pour la sécurité nationale » figurent Children’s Health Defense, le National Vaccine Information Center, Informed Consent Action Network et Mercola.com, entre autres.

De même, un groupe de réflexion lié aux services de renseignement américains – dont l’équivalent du GCHQ, la National Security Agency, participera à la « cyberguerre » récemment annoncée – a affirmé dans un document de recherche publié quelques mois à peine avant le début de la crise de la Covid-19 que « le mouvement des ‘antivaccins’ américain constituerait une menace pour la sécurité nationale en cas de ‘pandémie avec un nouvel organisme’ ».

InfraGard, « un partenariat entre le Bureau Fédéral d’Investigation (FBI) et des membres du secteur privé », a averti dans le document publié en juin dernier que « le mouvement des antivaccins américain serait également lié aux « campagnes de désinformation et de propagande sur les médias sociaux » orchestrées par le gouvernement russe », comme le cite The Guardian. Le document d’InfraGard affirme en outre que les principaux « antivaccins » sont alignés « sur d’autres mouvements de conspiration, notamment l’extrême droite … et sur les campagnes de désinformation et de propagande des médias sociaux menées par de nombreux acteurs étrangers et nationaux ». Parmi ces acteurs figure l’Internet Research Agency, l’organisation alignée au gouvernement russe ».

Un article publié le mois dernier par le Washington Post affirmait que « l’hésitation sur les vaccins se mélange avec la négation du coronavirus et se confond avec les théories de conspiration américaines d’extrême droite, notamment Qanon », que le FBI a qualifié l’année dernière de menace potentielle de terrorisme intérieur. L’article cite Peter Hotez, doyen de l’école de médecine tropicale du Baylor College of Medicine à Houston, qui a déclaré : « Le mouvement anti-vaccination américain se mondialise et va vers des tendances plus extrémistes ».

Simone Warstat, de Louisville (Colorado), brandit une pancarte lors d’un rassemblement contre un projet de loi visant à rendre plus difficile aux parents de se soustraire à la vaccination de leurs enfants pour des raisons non médicales, dimanche 7 juin 2020, à Denver.

Il convient de souligner que de nombreux « antivaccins » sont en fait des critiques de l’industrie pharmaceutique et ne sont pas nécessairement opposés aux vaccins en soi, ce qui rend les étiquettes « antivaccins » et « antivaccination » trompeuses. Étant donné que de nombreux géants pharmaceutiques impliqués dans la fabrication des vaccins contre la Covid-19 font des dons importants aux politiciens des deux pays et ont été impliqués dans de nombreux scandales liés à la sécurité, utiliser les agences de renseignement de l’État pour mener une cyberguerre contre des sites qui enquêtent sur de telles préoccupations est non seulement troublant pour l’avenir du journalisme, mais cela suggère que le Royaume-Uni fait un pas dangereux pour devenir un pays qui utilise ses pouvoirs d’État pour traiter les ennemis des entreprises comme des ennemis de l’État.

L’entreprise parrainée par la CIA qui « militarise la vérité » avec l’IA

Début octobre, l’Armée de l’Air des États-Unis et le Commandement des Opérations Spéciales des États-Unis ont annoncé qu’ils avaient attribué un contrat de plusieurs millions de dollars à la société américaine de « renseignement machine » Primer. Selon le communiqué de presse, « Primer va développer la toute première plateforme d’apprentissage automatique pour identifier et évaluer automatiquement la désinformation suspecte. Primer améliorera également sa plateforme de traitement du langage naturel pour analyser automatiquement les événements tactiques afin de fournir aux commandants une vision sans précédent des événements en temps quasi réel ».

Selon Primer, la société « construit des logiciels qui lisent et écrivent en anglais, en russe et en chinois pour découvrir automatiquement des tendances et des modèles dans de grands volumes de données », et leur travail « soutient la mission de la communauté du renseignement et du Département de la Défense en général en automatisant les tâches de lecture et de recherche pour améliorer la rapidité et la qualité de la prise de décision ». En d’autres termes, Primer développe un algorithme qui permettrait à l’État de sécurité nationale d’externaliser de nombreux postes d’analystes militaires et de renseignement vers l’IA. En fait, la société l’admet ouvertement, en déclarant que ses efforts actuels « vont automatiser le travail généralement effectué par des dizaines d’analystes dans un centre d’opérations de sécurité pour ingérer toutes les données pertinentes à un événement au fur et à mesure qu’il se produit et les canaliser dans une interface utilisateur unifiée ».

L’objectif ultime de Primer est d’utiliser son IA pour automatiser entièrement le façonnage des perceptions du public et devenir l’arbitre de la « vérité », telle que définie par l’État. Le fondateur de Primer, Sean Gourley, qui a précédemment créé des programmes basés sur l’IA pour l’armée afin de traquer « l’insurrection » dans l’Irak post-invasion, a affirmé dans un article en avril que « la guerre informatique et les campagnes de désinformation deviendront, en 2020, une menace plus sérieuse que la guerre physique, et nous devrons repenser les armes que nous déployons pour les combattre ».

Dans ce même article, Gourley a plaidé pour la création d’un « Projet Manhattan pour la vérité » qui créerait une base de données de type Wikipédia accessible au public, construite à partir de « bases de connaissances qui existent déjà dans les agences de renseignement de nombreux pays à des fins de sécurité nationale ». Gourley a ensuite écrit que « cet effort consisterait en fin de compte à construire et à améliorer notre intelligence collective et à établir une base de référence pour ce qui est vrai ou non » comme l’ont établi les agences de renseignement. Il conclut son article en déclarant « qu’en 2020, nous commencerons à militariser la vérité ».

Notamment, le 9 novembre, le jour même où le GCHQ a annoncé ses plans pour cibler la « propagande anti-vaccins », le site web américain NextGov a rapporté que l’effort de Primer financé par le Pentagone avait tourné son attention spécifiquement vers la « désinformation liée à la Covid-19 ». Selon le directeur scientifique de Primer, John Bohannon, « Primer va intégrer des capacités de détection de bot, de détection de texte synthétique et d’analyse de revendications textuelles non structurées dans notre plateforme d’intelligence artificielle existante actuellement utilisée par le Département de la Défense … Cela permettra de créer la première plateforme unifiée prête pour la mission afin de contrer efficacement la désinformation liée à la Covid-19 quasiment en temps réel ».

Bohannon, qui travaillait auparavant comme journaliste de premier plan intégré aux forces de l’OTAN en Afghanistan, a également déclaré à NextGov que le nouvel effort de Primer axé sur la Covid-19 « classe automatiquement les documents dans l’une des 10 catégories pour permettre la détection de l’impact de la COVID » sur des domaines tels que « les affaires, la science et la technologie, l’emploi, l’économie mondiale et les élections ». Le produit final devrait être livré au Pentagone au cours du deuxième trimestre de l’année prochaine.

Bien qu’il s’agisse d’une société dite privée, Primer est profondément liée à l’État de sécurité nationale qu’elle est censée protéger en « militarisant la vérité ». Primer est fière de se présenter comme une entreprise dont plus de 15% du personnel est issu de la communauté des services de renseignement ou de l’armée américaine. Le Directeur du Groupe de Sécurité Nationale de la société est Brian Raymond, un ancien officier de renseignement de la CIA qui a occupé le poste de Directeur pour l’Irak au Conseil de Sécurité Nationale des États-Unis après avoir quitté l’agence.

L’entreprise a également récemment ajouté à son conseil d’administration plusieurs hauts responsables de la sécurité nationale, dont :

• Le Général Raymond Thomas (à la retraite), qui a dirigé le commandement de toutes les Forces d’Opérations Spéciales des États-Unis et de l’OTAN en Afghanistan et est l’ancien Commandant du Commandement des Opérations Spéciales des États-Unis et du Commandement des Opérations Spéciales Conjointes (JSOC).

• Le Lieutenant Général VeraLinn Jamieson (retraitée), ancienne Chef d’État-Major Adjoint pour le Renseignement, la Surveillance et la Reconnaissance de l’Armée de l’Air, qui a dirigé les forces de renseignement et les cyberforces de l’Armée de l’Air. Elle a également personnellement développé des « partenariats stratégiques » entre l’Armée de l’Air et Microsoft, Amazon, Google et IBM afin « d’accélérer la transformation numérique de l’Armée de l’Air ».

• Brett McGurk, l’un des « architectes en chef » de la « poussée » de la guerre en Irak, aux côtés de la célèbre famille Kagan, en tant que Directeur du NSC pour l’Irak, puis comme assistant spécial du Président et Directeur Principal pour l’Irak et l’Afghanistan sous l’administration Bush. Sous Obama et pendant une partie de l’administration Trump, McGurk a été l’envoyé spécial du Président pour la Coalition Mondiale pour vaincre l’État Islamique au Département d’État, aidant à gérer la « sale guerre » menée par les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres alliés contre la Syrie.

En plus de ces récentes embauches au sein du conseil d’administration, Primer a fait appel à Sue Gordon, l’ancienne Directrice Adjointe Principale du Renseignement National, en tant que conseillère stratégique. Gordon avait auparavant « dirigé des partenariats au sein de la communauté du renseignement américain et fourni des conseils au Conseil National de Sécurité dans son rôle de Directrice Adjointe du Renseignement National » et avait eu une carrière de vingt-sept ans à la CIA. Ces liens profonds ne sont pas surprenants, étant donné que Primer est financièrement soutenu par la branche de capital-risque de la CIA, In-Q-Tel, et par la branche de capital-risque du milliardaire Mike Bloomberg, Bloomberg Beta.

La blitzkrieg contre la désinformation de l’Opération Warp Speed   

L’intérêt croissant des États-Unis et du Royaume-Uni pour la « désinformation » sur la Covid-19, en particulier en ce qui concerne les prochaines campagnes de vaccination, est étroitement lié à la stratégie d’engagement médiatique de l’Opération Warp Speed du gouvernement américain.

Officiellement un « partenariat public-privé », l’Opération Warp Speed, qui a pour objectif de vacciner 300 millions d’Américains d’ici janvier prochain, est dominée par l’armée américaine et implique également plusieurs agences de renseignement américaines, dont l’Agence de Sécurité Nationale (NSA) et le Département de la Sécurité Intérieure (DHS), ainsi que les géants technologiques liés au renseignement que sont Google, Oracle et Palantir. Plusieurs de mes rapports publiés dans The Last American Vagabond et du journaliste Derrick Broze ont révélé l’extrême secret de l’opération, ses nombreux conflits d’intérêts et ses liens profonds avec la Silicon Valley et les initiatives technocratiques orwelliennes.

Les directives officielles de Warp Speed discutent longuement de son plan par étapes pour engager le public et traiter les questions de « l’hésitation sur les vaccins ». Selon le document de Warp Speed intitulé « De l’usine aux premières lignes », « les communications stratégiques et les messages publics sont essentiels pour assurer une acceptation maximale des vaccins, ce qui nécessite une saturation des messages dans les médias nationaux ». Il indique également que « la collaboration avec des partenaires établis – en particulier ceux qui sont des sources fiables pour les publics cibles – est essentielle pour faire progresser la compréhension, l’accès et l’acceptation des vaccins éventuels par le public » et que « pour obtenir une couverture élevée, il faudra identifier les bons messages pour promouvoir la confiance dans les vaccins, contrer la désinformation et cibler la sensibilisation des populations vulnérables et à risque ».

Le document note également que Warp Speed utilisera le cadre stratégique à trois volets du CDC pour son effort de communication. Le troisième pilier de cette stratégie est intitulé « Stop aux mythes » et a pour objectif principal « d’établir des partenariats pour contenir la propagation de la désinformation » ainsi que de « travailler avec des partenaires locaux et des messagers de confiance pour améliorer la confiance dans les vaccins ».

Bien que ce document particulier de Warp Speed soit court sur les détails, le guide provisoire du Programme de Vaccination contre la Covid-19 du CDC contient des informations supplémentaires. Il indique que l’Opération Warp Speed « fera appel à un large éventail de partenaires, de collaborations et de canaux de communication et d’information pour atteindre les objectifs de communication, sachant que les préférences en matière de canaux et les sources crédibles varient selon les publics et les personnes à haut risque de maladie grave et les populations critiques, et que les canaux n’ont pas tous la même capacité à atteindre les différents objectifs de communication ». Elle déclare qu’elle concentrera ses efforts à cet égard sur les « canaux médiatiques traditionnels » (presse écrite, radio et télévision) ainsi que sur les « médias numériques » (Internet, médias sociaux et SMS).

Le document du CDC révèle en outre que la campagne de « messages publics » visant à « promouvoir l’adoption du vaccin » et à répondre aux « hésitations concernant le vaccin » est divisée en quatre phases et ajoute que la stratégie de communication globale de Warp Speed « devrait être opportune et applicable pour la phase actuelle du programme de vaccination contre la Covid-19 ».

Ces phases sont :

  • Avant qu’un vaccin ne soit disponible.
  • Le vaccin est disponible en quantité limitée pour certaines populations prioritaires.
  • Le vaccin est de plus en plus disponible pour d’autres populations critiques et pour le grand public.
  • Le vaccin est largement disponible.

Étant donné que le vaccin candidat contre la Covid-19 produit par Pfizer devrait être approuvé d’ici à la fin novembre, il semble que l’État de sécurité nationale américain, qui mène actuellement l’Opération Warp Speed, avec des « messagers de confiance » dans les médias, se prépare à entrer dans la deuxième phase de sa stratégie de communication, dans laquelle les organisations de presse et les journalistes qui expriment des préoccupations légitimes au sujet de Warp Speed seront retirés des plateformes pour faire place à la saturation « nécessaire » des messages pro-vaccins dans le paysage médiatique anglophone.

source : https://unlimitedhangout.com

traduit par Réseau International




Le confinement ou le mythe de l’apprenti sorcier

[Source : Le Grand Soir]

[Photo : © Christian Hartmann. Source: Reuters]

[Auteur :] Ariel BERESNIAK

Ariel Beresniak, docteur en médecine, spécialiste en santé publique et médecine sociale, docteur en mathématiques appliquées, habilité à diriger des recherches, professeur invité à l’Université russe d’économie Plekhanov. Auteur d’ouvrages notamment d'Economie de la Santé (Elsevier-Masson), Comprendre la pharmacoeconomie (John Libbey), Dictionnaire raisonné des entreprises du médicament (Flammarion) et Dictionnaire d’Economie de la Santé (Masson).

Pour le docteur en médecine Ariel Beresniak, le confinement décidé par l’exécutif français n’a pas de fondement scientifique, mais pourrait s’expliquer par la volonté des dirigeants de minimiser leurs responsabilités, ou par leur désir de dominer.

L’étude des mythes éclaire souvent les comportements humains. Le mythe de l’apprenti sorcier, décrit originellement par le Grec Lucien de Samosate au IIe siècle avant d’être popularisé par Goethe, met en scène un apprenti scribe qui trouve le moyen d’animer un balai. Tenté d’en obtenir plus, le scribe transforme le balai en serviteur, celui-ci devient si zélé qu’il en est incontrôlable, ce qui provoque une catastrophe. Il aurait été utile que les dirigeants des pays occidentaux se souviennent de ce mythe, à plus forte raison s’ils n’ont pas une grande expérience du pouvoir. Des références du XXe siècle leur sont certainement plus familières ; il semble que les déterminants des totalitarismes relatés dans les romans 1984 et La Ferme des animaux de Georges Orwell aient été parfaitement compris et intégrés.

Une véritable novlangue a ainsi été créée à l’orée de la pandémie de coronavirus.

Le terme anglo-saxon « cluster » remplace notre terme français « foyer », permettant de lui adjoindre une aura plus mystérieuse. Les mots « confinement /déconfinement » ont débarqué de nulle part dans notre néo-vocabulaire sanitaire, apportant une nuance de châtiment collectif. Les résultats virologiques positifs, qu’ils soient confirmés vrais ou faux, qui concernent des personnes saines, asymptomatiques ou malades, deviennent de façon indifférenciée des « cas » dont le nombre « explose ». Les contestataires de la théorie officielle « alarmiste » sont estampillés avec dédain par le sobriquet « assuristes ». Le pistage des clients des bars et restaurants, ainsi que les applications mobiles de traçage des contacts, sont les instruments de Big Brother.

Le principe n’a pas changé : plus on réduit les finesses du langage et plus on accentue la surveillance, moins les citoyens sont capables de réfléchir et de contester, ne raisonnant plus qu’avec les réflexes archaïques de leur cerveau reptilien (peur, survie, manger, dormir).

Le « Comité scientifique » s’apparente volontiers aux commissions créées par le personnage du cochon qui est au pouvoir dans l’œuvre La Ferme des animaux. Ces scientifiques choisis par le chef de l’Etat pour le conseiller sur l’épidémie, sans avoir à passer par les commissions officielles, comme le Haut conseil de la Santé publique, ont certainement de réelles compétences dans leur domaine spécifique. En revanche, ils n’ont aucune crédibilité scientifique dans l’étude de la dynamique des épidémies et de l’évaluation des mesures de santé publique contre les pandémies à virus respiratoires. Les « avis » de ce comité sont mal justifiés, mal référencés, et apparaissent influencés par les différents niveaux d’aversion au risque des membres. C’est ainsi que sans disposer d’aucune preuve d’efficacité, le « confinement » généralisé de la population a été recommandé par ce comité de façon péremptoire comme la mesure prétendument la plus efficace pour lutter contre le coronavirus. Ces déclarations relèvent plus du catéchisme que de la science, c’est-à-dire de réponses toutes faites à des questions toutes faites.

Si le grand public a découvert au printemps 2020 l’existence de la notion de confinement de la population comme un moyen de lutte contre les épidémies, il faut admettre que la communauté scientifique l’a découverte en même temps !

Il existe de nombreux travaux scientifiques évaluant les réponses aux épidémies, rapports nationaux, européens, et internationaux, de préparation au risque épidémique des virus respiratoires, mais en aucun cas le concept de confinement généralisé d’une population n’a été publié, étudié, ni même évoqué, encore moins évalué par une quelconque recherche. Le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade Dans l’esprit du public, le concept de « confinement » se confond avec celui « d’isolement ».

Ces deux notions n’ont pourtant rien à voir. Le principe de l’isolement repose sur la mise à l’écart, pendant la période de contagiosité, de patients dont le diagnostic de pathologie transmissible a été formellement confirmé. Or le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade. De ce fait, un membre de la famille contaminé contaminera inexorablement les autres membres du foyer avec qui il est confiné. Preuve en est : les épidémies survenues à bord du paquebot de croisière Diamond Princess et du porte-avion Charles-De-Gaulle. L’événement ayant frappé ce dernier constitue la meilleure démonstration expérimentale de l’absurdité du principe du confinement d’une population pour lutter contre une épidémie. Sur 1 766 marins confinés de fait à bord du navire, 1081 ont été contaminés à partir d’une poignée de militaires asymptomatiques rentrés de permission, dont 1 046 malades, soit 61% de la population totale du navire.

La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population. Elle a préservé son économie et s’est contentée de contenir de façon hermétique l’épicentre de l’épidémie dans la ville de Wuhan.

Une réponse pertinente des pays occidentaux aurait été d’interdire les arrivées de Chine dès janvier 2020, et non d’accepter la venue en Europe d’avions entiers de voyageurs chinois, ou de rapatrier des ressortissants européens de Wuhan, qui ont disséminé l’épidémie en Europe. L’Italie a bien tenté d’interdire l’arrivée des vols directs en provenance de la Chine, mais curieusement pas l’arrivée des passagers ayant utilisé des vols indirects. De nombreux Chinois installés dans le Nord de l’Italie pour travailler dans le secteur de la confection, ont ainsi pu rentrer de leurs congés du Nouvel an chinois en étant porteurs du virus… La fermeture des frontières aux voyageurs provenant de Chine aurait été une des réponses adéquates pour éviter d’importer l’épidémie sur le sol européen. Il en existe d’autres. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France

Les mesures de distanciation sociale sont des interventions classiques de santé publique contre les épidémies respiratoires, comme la fermeture des écoles et l’arrêt des transports publics. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France. Probablement, ces décisions sont prises pour ne pas remettre en question des années de propagande idéologique contre les véhicules individuels.

Quoi qu’il en soit, et contrairement à la communication officielle reprise clé en main par la grande majorité des médias, les mesures de distanciation sociale ne permettent pas de diminuer le nombre de malades et de décès. Elles ne font que décaler la date du pic épidémique pour mieux étaler dans le temps les ressources du système de santé. L’aire sous la courbe étant la même, le nombre de malades et de décès sont équivalents. Prétendre que le confinement aurait permis d’éviter 3,1 millions de morts dans 11 pays européens, comme le suggère une étude de l’Imperial College de Londres, relève d’un discours digne d’un télévangéliste. L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien Avant de colporter ces prévisions cataclysmiques pour justifier son rôle, le « Conseil scientifique » devrait se souvenir qu’un virus ne se répand pas de manière multiplicative mais selon une courbe ascendante de propagation qui lui est propre, pour spontanément diminuer après un « pic », quelles que soient les mesures prises. L’étude des courbes de morbidité et de mortalité en Suède (pays qui n’a jamais imposé de confinement à sa population), en est la meilleure démonstration. L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien.

Pourquoi la courbe baisse-t-elle spontanément avec ou sans confinement ? Pourquoi n’augmente-t-elle pas indéfiniment comme le postulent les modélisations de l’Imperial College de Londres et de l’Institut Pasteur ? La réponse est qu’un virus dépend intimement de son environnement écologique, climatique, biologique… Ces facteurs pluriels constituent un écosystème formé d’innombrables cofacteurs inconnus impactant le comportement des virus. Le rôle des cofacteurs et de l’environnement a été particulièrement étudié pour le virus Epstein-Barr, car ce virus est responsable de deux pathologies très distinctes selon son environnement : une simple angine en Europe (la mononucléose infectieuse) et un cancer en Afrique (le lymphome de Burkitt). En ce qui concerne l’action sur la mortalité, les mesures efficaces sont la création de nouvelles unités de soins intensifs ainsi que l’amélioration du niveau d’équipement de ces unités par des respirateurs dits « invasifs » et des machines d’oxygénation du sang extracorporelles (ECMO). L’importance du développement des ECMO est régulièrement soulevée pour réduire la mortalité des épidémies de grippe et donc du Covid-19, mais reste encore de nos jours l’apanage de quelques centres spécialisés. Ce qui ne manque pas de créer des conflits entre les familles des malades pour avoir accès à ces machines qui permettent de survivre aux détresses respiratoires les plus sévères. Faut-il encore que les patients puissent supporter la réanimation, ce qui n’est pas le cas des personnes très âgées, souffrant d’autres pathologies sévères et constituant les principales victimes du Covid. Un patient de 85 ans malade d’un cancer métastasé pourra ainsi être admis en réanimation s’il a été détecté positif au coronavirus et considéré « mort du Covid » s’il décède, quelle que soit la cause du décès.

Les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes C’est la raison pour laquelle il importe de toujours bien définir les critères de suivi épidémiologique et de mettre les chiffres en perspective. Se contenter de lister les nombres de morts et de « cas » sans définir de quoi il s’agit − comme semble s’en être fait une spécialité le directeur général de la Santé − ne sert qu’à apeurer la population (ce qui peut être un objectif en soi). Il convient au contraire de mettre en perspective les courbes en les comparant dans le temps et dans l’espace et d’étudier s’il y a des variations d’espérance de vie avant et pendant l’épidémie, et des différences de mortalité annuelle. Or il apparaît que les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes.

Le marasme économique profond que subit actuellement la nation du fait de l’assignation à résidence de la population est la catastrophe de l’apprenti sorcier. Sans aucune justification scientifique, ni de preuve préalable d’efficacité, cette décision arbitraire a pourtant été prise par un pouvoir exécutif inexpérimenté pour la deuxième fois en une année, en créant une catastrophe économique et sociale à court, moyen et long terme. Présentée comme la « seule » solution en attendant le « vaccin », il y a fort à parier que la population risque de vivre sous cloche encore quelques années. Rappelons qu’en 2009, la France a commandé 94 millions de vaccins contre la grippe H1N1, mais que 5 millions de personnes seulement ont été vaccinées.

Les épidémies de rougeole et de méningite existent à ce jour dans le monde, alors que leurs vaccins existent depuis longtemps, sont efficaces et bien tolérés à long terme (ce qui ne pourra être confirmé pour les futurs vaccins contre le coronavirus que par le recul acquis sur plusieurs années). Au-delà de la disponibilité du vaccin, l’organisation de la vaccination de la population est un exercice extrêmement difficile et long, voire récurrent si les vaccins doivent s’adapter aux mutations et recombinaisons des coronavirus. Sans justifications scientifiques et médicales, deux raisons persistent pouvant expliquer le choix coercitif du pouvoir exécutif de confiner l’ensemble de la population : La minimisation de la responsabilité du décideur : une victime identifiée du Covid, mise en scène par des images terrifiantes de soins intensifs, a plus de valeur pour les autorités qu’une victime collatérale des conséquences du confinement non encore identifiées. La puissance publique favorise ainsi systématiquement les actions et investissements qui réduisent sa responsabilité, quitte à détruire le tissu économique et social. La jouissance du pouvoir : l’amour du pouvoir, le plaisir de régner, le désir de dominer, procurent une légitimité illusoire à des comportements aberrants qui se nourrissent de mensonges hygiénistes. Le chef de l’Etat tend à imaginer le monde comme un théâtre scolaire sur la scène duquel le premier rôle lui est attribué. La représentation d’une réalité binaire associée à une caution technique de son « Comité scientifique » conforte son désir en lui procurant une légitimité. De nos jours, notre société est imaginée à l’image du corps. Elle est le « corps » social. Le chef de l’Etat se considère comme le thérapeute de ce corps : il le protège contre les « agressions », il le soigne de ses maux « quoi qu’il en coûte », il surveille sa tension (les contestations sociales).

Le discours du chef de l’Etat emprunte délibérément ses mots à la médecine. Il en fait régulièrement des métaphores qui transportent le sens du verbe « soigner » aux verbes « gouverner » et « gérer ». Le chef est, comme l’indique son nom, la tête de ce corps social. Ce n’est donc pas un hasard si en cas de crise, le chef de l’Etat est tenté d’imposer une anesthésie générale, voire des purges et des saignées pour ne pas lui-même risquer d’être remis en question. Le déluge est un autre mythe racontant comment les dieux se fâchent et corrigent leurs créatures ! Les « jeunes » se sont-ils mal comportés dans les parcs ou dans les bars ? La punition collective de la fermeture généralisée des parcs, plages, forêts, montagnes, bars et restaurants s’apparente à la purge et à la saignée. Il suffit ensuite de valoriser la souffrance et le sacrifice du peuple en les justifiant par la « science » représentée par « Le » comité scientifique et les regardant comme régénérateurs en vue des lendemains qui chantent, en attendant les surlendemains qui déchantent.

Ariel Beresniak.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/80258-confinement-ou-mythe-apprenti-s…

https://francais.rt.com/opinions/80258-confinement-ou-mythe-apprenti-s…
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https://www.legrandsoir.info/le-confinement-ou-le-mythe-de-l-apprenti-sorcier.html




Guerre civile contre les musulmans : qui veut la déclencher ?

[Source : Média ZOne]

[Photo : © AFP 2020 Thomas SAMSON]

Nous savons tous à quelle fin est utilisé le « terrorisme islamiste », le « séparatisme islamiste » et nous savons même qui en sont les concepteurs, les planificateurs et les bénéficiaires. On n’est pas tous cons au point d’avaler les thèses officielles invérifiables car les « terroristes » sont systématiquement tués pour éviter qu’ils ne parlent… Drôle de manière de lutter contre le terrorisme. On évite surtout de remonter aux sources, cela pourrait devenir gênant pour certains…

Eric Montana

[Auteur :]
Eric Montana

La guerre civile qui vient…

[Voir Guerre de religion possible en France ?]

La guerre civile sera à coup sûr l’abîme, la fin de la France, sa tombe.

Cela fait des années que le plan est prévu. Cela fait des années que la mouvance sioniste attend ce moment fatidique où les Français athées, cathos intégristes, fachos, racistes et musulmans vont s’entretuer pendant que le « petit coq élu et blotti dans un coin » jouira du spectacle. Cela fait des années que l’on alimente la division, la haine, l’intolérance raciale et religieuse contre nos compatriotes musulmans.

Cela fait des années qu’on manipule l’opinion, qu’on la conditionne, qu’on la pousse à la violence contre tous ceux qui ont encore la foi en un Dieu, pratiquent leur religion sans faire chier personne, contribuent à faire fonctionner ce pays par leur travail et leurs impôts, l’enrichissent de leur culture et de leurs traditions, et le nourrissent de leur humanité.

Cela fait des années que nous détruisons leurs pays d’origine, que nous déversons sur le monde musulman plus de bombes que les chiffres n’en peuvent compter, que nous assassinons leurs dirigeants, que nous y mettons des corrompus à leur place, que nous pillons leurs ressources, que nous massacrons des millions d’êtres humains au nom de la guerre contre le terrorisme, alors que nous avons fabriqué et avons créés ces terroristes, que nous les avons financés et armés pour servir nos objectifs politiques, stratégiques et économiques.

En France, les actes terroristes sous faux drapeau sont devenus tellement nombreux, qu’il n’y a plus que les journalistes du Système pour croire à ces mises en scène macabres.

Nous savons tous à quelle fin est utilisé le « terrorisme islamiste », le « séparatisme islamiste » et nous savons même qui en sont les concepteurs, les planificateurs et les bénéficiaires. On n’est pas tous cons au point d’avaler les thèses officielles invérifiables car les « terroristes » sont systématiquement tués pour éviter qu’ils ne parlent… Drôle de manière de lutter contre le terrorisme. On évite surtout de remonter aux sources, cela pourrait devenir gênant pour certains…

Donc tous les ingrédients sont maintenant réunis pour provoquer une guerre civile entre catholiques intégristes, sionistes d’extrême droite, nationalistes racistes et autres fanatiques contre nos compatriotes musulmans.

Même Zemmour est dans la confidence de ce que certains militaires préparent. C’est lui qui était heureux de révéler le plan « Ronces » pour « nettoyer » les banlieues. Et « nettoyer » veut dire tuer, éliminer. A la manière des Israéliens…

Et derrière ce plan macabre se cache la main de « Gladio », cette organisation occulte liée à l’OTAN, responsable de tueries de masses et d’attentats meurtriers en Italie pendant les années 70. L’attentat de la gare de Bologne qui a fait près d’une centaine de victimes reste dans la mémoire de beaucoup d’entre nous. Ces actes criminels ont été attribués aux Brigades Rouges, mouvance d’extrême gauche à qui on a fait porter le chapeau comme on le fait aujourd’hui avec les « islamistes ».

Pourquoi changer une formule qui gagne ? Mais comment ne pas établir le lien avec ce qui se passe en France en ce moment alors que nous assistons à des actes barbares comme la décapitation de Samuel Paty à Conflans Sainte Honorine et ces catholiques en prière dans la cathédrale de Nice.

Le signal a été lancé par Charlie Hebdo dont les caricatures du prophète Mahomet n’avaient pas d’autre objectif que d’enflammer le monde arabo-musulman, provoquer en réponse quelques actes « terroristes » et ainsi attiser un climat de haine dans notre pays contre les Musulmans. Tout ça ne doit rien au hasard…

Dans ces vidéos vous allez découvrir comment cette guerre civile va être déclenchée et par qui. Regardez-les et écoutez-les avec attention car tout y est expliqué en détail et vous identifierez les imposteurs. Un homme averti en vaut deux.

Bien évidemment, si cela se produit, notre pays sera détruit, des vies innocentes seront sacrifiées de part et d’autre. Il n’y a rien de pire que la guerre civile car elle autorise tous les crimes, toutes les atrocités, toutes les horreurs.

Pourtant, tous nous savons qui vont être les bénéficiaires de cette catastrophe. Youssef Hindi l’a longuement expliqué et documenté. Aussi incroyable que cela puisse être, la main de Gladio qui déclenchera ce drame, le fait pour accélérer la venue du Messie des judéo-sionistes, celui que nous, nous nommons l’Antéchrist. Et notre pays, la France est l’un des pays clés pour faire basculer le reste de l’Occident dans le Choc des civilisations théorisé par Samuel Huntington.

Nous simples citoyens ordinaires, sommes maintenus dans l’obscurité par ceux qui dirigent notre pays dans l’ombre. Nous ignorons tout de leurs complots, de leurs manigances au sein de nos institutions. Les guerres qui sont menées en notre nom dans de nombreuses parties du monde nous sont toujours présentées de manière à nous faire croire que nous agissons pour le bien, pour la liberté, pour les valeurs qui sont la fierté du « monde libre ».

Mais soyons en sûrs, rien n’est plus faux ! Nous sommes gouvernés par des criminels, des corrompus, des menteurs, des manipulateurs qui nous mènent tout droit vers l’abîme car ces guerres n’ont aucun rapport avec la liberté, le bien et les valeurs désuètes du prétendu monde libre. Les objectifs sont morbides, abjects, innommables…

Et n’en doutons pas, la guerre civile sera à coup sûr l’abîme, la fin de la France, sa tombe.

Le projet ALFI

https://www.youtube.com/embed/-eQNJfTH95U

Le Général Tauzin, serviteur de tous les imposteurs qui ont gouverné le pays…

https://www.youtube.com/embed/TOgl50GOoEs

Le double discours de Macron…

La liberté d’expression n’est pas la liberté d’insulter…



Riss, la mèche de la guerre civile reçu au CRIF…

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Un vaccin inutile? 20 à 50 % de la population serait déjà immunisée contre la COVID-19 grâce au simple rhume

[Source: Le Tribunal de l’infaux]

Qu’adviendrait-il des milliards investis dans la recherche et le développement d’un vaccin contre le nouveau coronavirus si 20 à 50 % de la population était déjà naturellement immunisée contre ce virus à l’origine de la COVID-19 ? On peut facilement imaginer l’impact catastrophique d’une telle nouvelle pour l’industrie pharmaceutique et les gouvernements qui ont précommandé des millions de doses du remède miracle qui n’existe toujours pas.

Voilà probablement pourquoi cette découverte, évoquée par la BBC en juillet et confirmée en septembre par la revue médicale BMJ, a fait peu de bruit.

L’idée d’acquérir une immunité collective naturelle a d’ailleurs mauvaise presse.

Dans la foulée de la récente Déclaration de Great Barrington, où 35 experts appuyés par des milliers d’autres préconisent l’immunité collective naturelle et un retour à la vie normale pour lutter contre la COVID-19, les grands médias semblent être passés en mode contrôle de dégâts.

D’abord, rappelons que depuis le début de la pandémie de SRAS-CoV-2, le discours dominant repose sur un providentiel vaccin, la seule solution pour atteindre l’immunité de groupe et sauver l’humanité de la COVID-19. En attendant ce sauveur, nous sommes contraints d’accepter une « nouvelle normalité » : masques, distanciation, confinement, etc., avec toutes les conséquences désastreuses que cela implique sur les plans économique et social pour la très grande majorité d’entre nous.

Le Forum économique mondial (FEM) va même jusqu’à dire qu’« un vaccin est désormais nécessaire pour protéger la santé publique et permettre aux gens de retourner confortablement au travail et à l’école ».

Vous avez bien lu : un vaccin permettant de retourner au travail et à l’école. On nous dit que le vaccin ne sera pas obligatoire, mais il sera vraisemblablement nécessaire pour travailler et aller à l’école. Refuser la vaccination reviendra donc en quelque sorte à refuser de faire partie de la société, puisque, outre les très jeunes enfants et les retraités, nous passons tous la plupart de notre temps ou à l’école, ou au travail.

Peu après la publication de la déclaration de Great Barrington, les médias nous ont mis en garde contre l’idée d’immunité collective naturelle dans la lutte au nouveau coronavirus avec des titres alarmistes et sans équivoque comme « L’immunité collective, un mirage dangereux, avertissent de nombreux scientifiques », ou encore « L’immunité collective n’est pas une solution », lu respectivement sur les sites de Radio-Canada et du Journal de Montréal.

La légende accompagnant la photo de cet article fait écho au discours du FEM : « L’immunité collective passe par des vaccins sûrs et efficaces, expliquent les chercheurs. »

Pourtant, selon l’article publié dans le BMJ le 17 septembre dernier, « Covid-19: Do many people have pre-existing immunity? »plusieurs études démontrent qu’une partie importante de la population qui n’a jamais été en contact avec le nouveau coronavirus est déjà immunisée.

Notons d’abord qu’il existe deux types de réponse immunitaire acquise : « l’immunité humorale, assurée par la production d’anticorps par les lymphocytes B », et « l’immunité cellulaire, surtout assurée par les lymphocytes T ».

Les autorités sanitaires se basent entre autres sur l’hypothèse voulant qu’une faible proportion de la population ait développé des anticorps contre le nouveau coronavirus pour justifier des mesures de santé publique draconiennes. Or, « une série d’études ayant mis en évidence la présence de cellules T réactives au SRAS-CoV-2 chez des personnes n’ayant pas été exposées au virus soulève des questions sur le degré de nouveauté du virus pandémique et amène son lot de conséquences. »

« Un coronavirus pas si nouveau? », demande l’auteur :

L’article cite six études faisant « état d’une réactivité des lymphocytes T contre le SRAS-CoV-2 chez 20 à 50 % des personnes n’ayant pas été exposées au virus ».

Si ces études ne fournissent pas d’estimations précises sur l’immunité préexistante contre ce « nouveau » virus, « elles sont difficiles à écarter », note l’auteur et rédacteur adjoint du BMJ Peter Doshi.

L’auteur de plusieurs de ces études, l’immunologiste de l’Institut d’immunologie de La Jolla en Californie Alessandro Sette, explique :

« À l’heure actuelle, un certain nombre d’études constatent cette réactivité sur différents continents, dans différents laboratoires. Pour un scientifique, c’est la caractéristique d’un phénomène reposant sur une base très solide. »

Peter Doshi fait un parallèle avec la pandémie H1N1 de 2009, que trop de journalistes semblent avoir oubliée. Alessandro Sette faisait alors « partie d’une équipe cherchant à expliquer pourquoi le soi-disant ‘‘nouveau’’ virus ne semblait pas causer d’infections plus graves que la grippe saisonnière ».

Leur conclusion? L’existence de « réponses immunologiques préexistantes dans la population adulte : les cellules B et, en particulier, les cellules T, ‘‘connues pour atténuer la gravité de la maladie’’ ». Puisque d’autres études en sont elles aussi venues à la conclusion que « la gravité du H1N1 était moindre chez les personnes ayant des cellules T réactives préexistantes », les autorités sanitaires ont été forcées d’abandonner leur hypothèse voulant que « la plupart des gens n’avaient aucune immunité contre le virus pandémique » et de reconnaître que « la vulnérabilité d’une population à un virus pandémique est en partie liée au niveau d’immunité préexistant au virus ».

Rappelons que le taux de mortalité de la grippe saisonnière se situerait entre 0,2 et 0,5 % selon Santé publique France, alors que celui du SRAS-CoV-2, avec 1,08 millions de morts et 10 % de la population infectée selon l’OMS, serait à environ 0,14 %.

Les médias se sont empressés de remettre en question cette dernière statistique devenue virale chez les opposants aux mesures sanitaires. Par exemple, Libération a admis que ce calcul de 0,14 % est bon, tout en affirmant que l’on ne peut pas conclure que le taux de mortalité de la COVID est inférieur à celui de la grippe, car il s’agit d’une « extrapolation biaisée ». L’OMS estime pour sa part que le taux de létalité est à environ 0,6 %, ce qui ne concorde pas avec ses propres données et semble tout autant « extrapolé ».

Selon le groupe étasunien Physicians for Informed Consent (Médecins pour un consentement éclairé), le taux de létalité du virus était de 0,26 % en juin, soit similaire à celui de la grippe. Il s’agissait également de la meilleure estimation du Centers for Disease Control au même moment. Ce chiffre semble être le plus fiable puisqu’il est partagé par une source indépendante et une source gouvernementale.

Peu importe l’estimation que l’on favorise, elles sont toutes très loin des estimations de 3-4 % évoquées au mois de mars.

Je me souviens… de la fausse pandémie de grippe A H1N1

Dans la revue Protégez-vous, on pouvait lire en juin 2010 dans l’article H1N1: vertement critiquée, l’OMS se défendque l’OMS avait été sévèrement réprimandée par le Conseil de l’Europe et le BMJ pour avoir entraîné « une distorsion des priorités de santé publique, le gaspillage de sommes colossales d’argent public, l’installation d’un sentiment de crainte injustifié, l’exposition à des risques sanitaires engendrés par des vaccins et des médicaments qui n’ont peut-être pas été suffisamment testés avant d’être autorisés par le biais de procédures accélérées ». (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Le rapport avait également soulevé « la possible influence de l’industrie pharmaceutique dans cette pandémie dont la gravité a été ‘‘largement surestimée’’ » :

« Le Dr Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie et expert en pharmacovigilance à l’Université de Montréal, qualifiait la situation ‘‘d’hystérie pandémique’’ en février dernier [2010]. Il reste critique: ‘‘S’il est vrai, comme le révèle Nature, que les commandes nationales furent passées, et secrètement en plus, avant la déclaration d’une pandémie à définition tronquée, ce pourrait être parce que l’emprise de l’industrie du vaccin sur les santés publiques serait devenue plus grande qu’on n’osait l’imaginer.’’

Selon lui, ainsi que plusieurs autres observateurs, ‘‘l’OMS a fait une erreur patente, non conforme aux faits qui s’accumulaient, et elle a entraîné avec elle la majorité des autorités sanitaires nationales. Elle n’a pas répondu aux questions scientifiques posées par ses critiques. On ne possède même pas de preuve que la vaccination massive fut utile, alors qu’on est certain qu’elle ne le fut pas pour prévenir les hospitalisations et les décès’’. »

Sommes-nous encore une fois induits en erreur, exactement de la même manière et par les suspects habituels?

La plupart des grandes pharmaceutiques sont partenaires du Forum économique mondial et le discours dominant sur le vaccin salvateur est calqué sur celui de la simulation de pandémie tenue en octobre 2019 par le FEM, la Fondation Bill et Melinda Gates et l’Université John Hopkins. Selon le scénario de la simulation, la « pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée ».

Bill Gates, le plus important donateur privé de l’OMS, devenu gourou de la santé publique sans détenir aucune expertise dans le domaine, est un important promoteur de ce discours. Pour lui, « il n’y a tout simplement pas d’autre alternative » au vaccin. Il croit qu’un vaccin efficace à 70 % sera « suffisant pour stopper l’épidémie » et qu’il « est peu probable qu’un taux inférieur à 60 % crée une immunité collective suffisante pour arrêter le virus ».

Sur quoi se basent le FEM et Bill Gates pour en venir à de telles conclusions?

Certainement pas sur la science, puisque, selon le BMJ, la majorité des experts croient que 50 % de la population doit être immunisée avant que l’immunité de groupe soit atteinte, alors que d’autres estiment qu’un seuil de 10 à 20 % suffit.

Parmi eux, la Dr. Sunetra Gupta, co-auteure de la Déclaration de Great Barrington. Selon son groupe de chercheurs, « [l]orsqu’une population compte des personnes ayant une immunité préexistante, comme l’indiquent les études sur les cellules T, le seuil d’immunité collective basé sur un R0 de 2,5 peut être réduit de 60 % d’une population infectée à 10 % » dit-elle dans l’article du BMJ.

Selon cette logique, nous aurions déjà atteint l’immunité collective.

Cette immunité préexistante au SRAS-CoV-2 proviendrait des coronavirus à l’origine des rhumes, puisqu’ils sont « étroitement liés », affirme la chercheuse Daniela Weiskopf, toujours dans l’article du BMJ :

« Nous avons vraiment montré qu’il s’agit d’une véritable mémoire immunitaire et qu’elle est dérivée en partie des virus du rhume. »

La solution ultime à la COVID-19 passe-t-elle donc nécessairement par un vaccin ou est-ce plutôt la solution idéale pour l’industrie pharmaceutique et ses investisseurs?

Le Wall Street Journal rapportait en 2002 que la Fondation Gates avait investi 205 millions de dollars dans neuf sociétés pharmaceutiques, incluant Merck, Pfizer et Johnson & Johnson, lesquelles participent toutes à la course au vaccin contre la COVID-19.

Les auteurs de l’article ajoutaient ceci :

« La gestion des liens de plus en plus nombreux entre la Fondation et l’industrie pharmaceutique pourrait s’avérer délicate. Par exemple, en finançant l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation [GAVI], la Fondation achète des vaccins de certaines pharmaceutiques dont elle détient maintenant des parts. »

« Notre meilleur investissement. »

GAVI, fondée par Bill Gates, est le deuxième plus important donateur privé de l’OMS après la Fondation Gates. Le poids de GAVI et de la Fondation Gates confèrent donc au milliardaire une influence énorme sur les programmes de l’OMS, influence d’ailleurs critiquée par plusieurs personnes au sein de l’organisation selon un article de Politico publié en 2017. (Voir Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!)

The Nation révélait aussi le 17 mars 2020 que la Fondation Gates avait fait des dons d’environ 250 millions de dollars à des compagnies dont elle détenait des parts, incluant les pharmaceutiques Merck, Novartis, GlaxoSmithKline, Sanofi, et Teva. Novartis, GlaxoSmithKline et Sanofi, travaillent elles aussi à la fabrication d’un vaccin contre la COVID-19.

Sachant cela, il est tout à fait légitime de douter des réelles motivations de Bill Gates lorsqu’il fait la promotion de la vaccination comme étant l’unique solution à la COVID-19.

Bill Gates est loin d’être le seul à avoir des conflits d’intérêts dans ce dossier, comme le démontre l’article de Radio-Canada « L’achat de vaccins contre la COVID-19 embrouillé par des conflits d’intérêts ». Plusieurs experts doutent que les « vaccins choisis pour protéger les Canadiens [soient] sélectionnés de façon transparente » puisqu’il existe plusieurs liens d’affaires entre les experts qui conseillent le gouvernement fédéral et les sociétés pharmaceutiques.

« L’immunité préexistante pourrait-elle être plus protectrice que les futurs vaccins? », demande Peter Doshi, qui note également l’absence d’intérêt des médias pour le sujet.

« Sans étudier la question, nous ne le saurons pas », ajoute-t-il, en déplorant le fait que les groupes placebo des essais cliniques des vaccins ne servent pas à une telle analyse.

Si la recherche sur l’immunité naturelle profiterait à la société dans son ensemble, elle n’est d’aucun intérêt pour ceux qui profitent d’une société malade.

Cette découverte risque donc de demeurer méconnue.




Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Marguerite Rothe – Enquête]

The Georgia Guidestones [ Les pierres directrices de Géorgie], par The Vigilant Citizen

Par Marguerite Rothe

sociétés secrètes, nouvel ordre mondial, new world order, franc-maçonnerie, rose-croix

Plus que jamais d’actualité, je vous relaye cet excellent article du Citoyen Vigilant. Voilà près de dix ans que je l’ai téléchargé, et, depuis, je n’en ai pas rencontré un autre qui soit aussi clair et complet que celui-ci. Si vous ne connaissez pas le site du The Vigilant Citizen, je vous invite à y faire un tour. C’est une mine d’informations sur l’élite occulte qui tient le monde entre ses mains (sales). M.R.


Les Georgia Guidestones sont un monument mystérieux sur lequel sont gravés dix « commandements » pour un « nouvel âge de la Raison ». Le premier commandement ? Le maintien de la population mondiale à moins de 500 millions de personnes. Un autre fait sinistre : les auteurs de ce que nous appelons maintenant le Stonehenge américain sont toujours un « mystère »… sauf pour ceux qui savent. Nous allons examiner les nombreuses caractéristiques de ce monument, son message appelant à un Nouvel Ordre Mondial, et expliquer comment il est l’œuvre d’une société secrète occulte.

NOM ; NWO, nouvel ordre mondial, État profond, occultisme, sociétés secrètes, franc-maçonnerie

Note : Un des premiers articles que j’ai écrit sur ce site, à la fin de 2008, portait sur les Georgia Guidestones. J’ai retiré l’article il y a un an, cependant, lorsque je suis tombé sur des informations essentielles : l’explication des règles écrites par les auteurs cachés eux-mêmes ainsi que d’autres documents. Par conséquent, si vous êtes un lecteur de longue date, je vous prie de continuer à lire car j’ai ré-écrit l’article dans son intégralité.

Les Georgia Guidestones sont un monument de granit énigmatique situé à Elbert County, en Géorgie. Aussi connu comme le Stonehedge américain, la gigantesque structure a près de 20 pieds de haut et est composée de six dalles de granit, d’un poids total de 240.000 livres. Le détail le plus étonnant du monument n’est cependant pas sa taille, mais le message qui est gravé dessus: Dix commandements pour un « Age de la Raison ». Ces commandements portent sur des sujets qui sont en rapport avec le « Nouvel Ordre Mondial », comme le dépeuplement massif, un gouvernement mondial unique, l’introduction d’un nouveau type de spiritualité, etc. Les auteurs de ces commandements ont demandé à rester anonymes et, jusqu’à maintenant, leur anonymat a été dûment préservé. Cependant, ce mystérieux groupe a laissé un texte expliquant le raisonnement derrière les commandements, un texte qui n’a pas été discuté en ligne jusqu’ici. Avec cette nouvelle information, l’objectif derrière les Guidestones est devenu très clair, laissant peu de place aux hypothèses. Les Guidestones décrivent un monde idéal, tel qu’envisagé par les sociétés secrètes occultes. Le monument est donc la preuve d’un lien existant entre les sociétés secrètes, l’élite mondiale, et la pression pour un Nouvel Ordre Mondial.

Le monument

Posées tranquillement dans le comté d’Elberton, les Guidestones vont probablement gagner en signification dans les années qui viennent

Constituées de granit de pyramide bleu, les Georgia Guidestones sont censées résister à l’épreuve du temps et communiquer des connaissances à plusieurs niveaux: philosophique, politique, astronomique, etc. Elles se composent de quatre grands blocs de pierre, qui contiennent dix principes de vie en huit langues : anglais, espagnol, swahili, hindi, hébreu, arabe, chinois et russe. Un court message est inscrit au sommet de la structure dans le script de quatres langues : babylonien, grec classique, sanskrit, et hiéroglyphes égyptiens. Il est important de noter que ces quatre dernières langues anciennes sont d’une grande importance dans les enseignements des écoles de mystère occultes, comme les francs-maçons et les Rose-Croix, organisations que j’aborderai plus loin.

Les quatre grandes pierres sont disposées en une configuration géante de « roue à aubes », sont orientées vers les limites de la migration du soleil au cours de l’année, et montrent également les positions extrêmes du lever et du coucher du soleil dans son cycle de 18,6 années. La pierre centrale a deux particularités: d’abord, l’étoile du Nord est toujours visible à travers un trou spécial foré à partir du Sud vers le côté nord de la pierre centrale, d’autre part, un autre trou s’aligne avec les positions du soleil levant au moment des solstices d’été et d’hiver et à l’équinoxe.

Source: Wired

À la base des Guidestones se trouve une tablette explicative énumérant certains des détails de la structure. Elle mentionne également une capsule temporelle enfouie sous elles. Le contenu de cette capsule temporelle (si elle existe) est un complet mystère.

La tablette explicative détaille certaines des caractéristiques du monument et de ses auteurs (je vous en dirais plus sur eux plus loin). La date d’ouverture de la capsule temporelle n’a pas été précisée.

Les caractéristiques astronomiques sont d’une grande importance dans la conception des Guidestones. Dans une nation relativement « neuve » comme les États-Unis, les monuments qui sont alignés avec les corps célestes sont souvent l’œuvre des sociétés secrètes, telles que les francs-maçons. Dérivant leurs enseignements des écoles de mystère de l’Égypte antique, de la Grèce, ou des Celtes druidiques, ils sont connus pour incorporer dans des monuments certaines de leurs « connaissances sacrées ».

Les « Dix commandements »

Les dix commandements pour un nouvel âge de raison sont :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
3. Unir l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
4. Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.
5. Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
6. Laisser toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
7. Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.
8. Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.
9. Faire primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
10. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature.

Comme vous pouvez le voir, les lignes directrices appellent à une réduction drastique de la population mondiale, l’adoption d’une nouvelle langue mondiale, la création d’un tribunal international et de vagues allusions à l’eugénisme. En d’autres termes, un plan pour un Nouvel Ordre Mondial.

Dépopulation, Planification Familiale, et Eugénisme

Le premier « commandement » est particulièrement choquant, car il stipule essentiellement que 12 personnes sur 13 sur cette Terre ne devraient pas exister; au fond, cela voudrait dire que l’intégralité de la population mondiale devrait disparaître, sauf la moitié de l’Inde. Si on considère que la population mondiale actuelle est de 6,7 milliards, alors ceci représente un surplus de 92,54%. Ces chiffres sont tout simplement ahurissants. Mais alors, combien de personnes ont survécu dans le film 2012 ? Pas beaucoup. Qui étaient-elles ? Les personnes les plus riches du monde. S’agit-il d’un programme pour l’avenir ? (Il faut aussi lire ce passage plutôt troublant extrait d’un article de Catherine Austin Fitts qui a travaillé pour l’administration Bush, en voici la traduction :

« Accablée par ce qui se passait, j’ai estimé le résultat final. Mes simples calculs m’amenaient à supposer que nous allions atteindre la durabilité économique sur Terre en arrivant à une population d’environ 500 millions de personnes sur les 6 milliards actuels. J’ai été un stratège de portefeuille habituée à analyser les chiffres à un haut niveau. Ceux qui étaient autour de moi ne pouvaient pas comprendre comment tous les différents paramètres que j’intégrais pourraient conduire à une telle conclusion. Pour moi, nous devions obtenir un changement radical dans notre façon de gérer les ressources ou dépeupler. C’était un résultat mathématique.

Un an plus tard, en 1999, un investisseur et stratège de portefeuille très capable m’a demandé s’il pouvait venir à un déjeuner privé avec moi à Washington. Nous nous sommes assis dans un restaurant chic en face du Capitole. Il a dit tranquillement qu’il avait calculé où les dérivés et la bulle de la dette combinés avec la mondialisation nous mèneraient. La seule conclusion logique à laquelle il pouvait arriver c’était qu’un dépeuplement important allait se produire. Il a dit que ses estimations conduisaient à une population d’environ 500 millions. J’ai dit très calmement, « C’est aussi mon estimation. » Je n’oublierai jamais la tristesse qui se lisait sur son visage. J’étais étonné de rencontrer quelqu’un d’autre qui comprenait. »

Le dernier commandement des Guidestones, « Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature » est particulièrement inquiétant, car il compare la vie humaine à un cancer sur la terre. Avec cet état d’esprit, il est facile d’envisager l’extinction de la quasi-totalité de la population mondiale.

Le dépeuplement massif est un des buts avoués de l’élite mondiale, et de nombreuses personnalités importantes l’ont ouvertement appelé de leur vœux :

En 1988, le prince Philip de Grande-Bretagne a exprimé le souhait que, s’il devait se réincarner, il puisse être « un virus mortel » qui permettrait de réduire la population mondiale. Plus récemment, Bill Gates a déclaré: « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants… et on se dirige vers les 9 milliards. Mais si nous faisons un bon boulot avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé génésique, nous pourrions peut-être obtenir une réduction de 10 ou 15 pour cent. » À l’aide de dons déductibles d’impôt d’énormes sommes d’argent afin d’aider la cause du dépeuplement, des « réunions secrètes » des élites mondialistes ont eu lieu pour discuter de ces questions :

« Certains des milliardaires américains les plus importants se sont rencontrés secrètement afin d’examiner comment leurs richesses pourraient être utilisées dans le but de ralentir la croissance de la population mondiale, et accélérer l’amélioration de la santé et de l’éducation.

Les philanthropes qui ont participé à un sommet convoqué à l’initiative de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, ont parlé d’unir leurs forces afin de surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.

Décrit comme le « Bon Club » par un initié, il comprenait David Rockefeller Jr, le patriarche de la dynastie la plus riche d’Amérique, Warren Buffett et George Soros, les financiers, Michael Bloomberg, le maire de New York, et les personnalités influentes des médias Ted Turner et Oprah Winfrey. » – Le Sunday Times du 24 mai 2009

Le deuxième commandement (« Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité. ») appelle à l’intervention des législateurs dans la gestion des cellules familiales. Si on lit entre les lignes, ceci requiert la création de lois réglementant le nombre d’enfants par famille. En outre, « l’amélioration de la diversité et de la santé » peut être obtenue grâce à la « reproduction sélective », ou à la stérilisation des membres indésirables de la société. Ce qu’on avait coutume d’appeler à une certaine époque l’ «eugénisme» , jusqu’à ce que ceci devienne politiquement incorrect à cause des nazis.

Un gouvernement mondial

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, nous caractérisant ma famille et moi comme des « internationalistes » conspirant avec d’autres autour du monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée – un seul monde, si vous préférez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable, et j’en suis fier. » David Rockefeller, « Mémoires de David Rockefeller » p.405

La plupart des autres commandements des Guidestones appellent essentiellement à la création d’un gouvernement mondial, dirigé par une « élite éclairée », qui régirait tous les aspects de la vie humaine, y compris la foi, les droits sociaux, l’économie, etc. Cette idée est loin d’être neuve, puisqu’elle a été entretenue par les écoles de mystère pendant des siècles. Manly P. Hall a écrit en 1917 :

« Lorsque la foule règne, l’homme est gouverné par l’ignorance; quand l’église règne, il est gouverné par la superstition, et quand l’État règne, il est gouverné par la peur. Avant que les hommes puissent vivre ensemble dans l’harmonie et la compréhension, l’ignorance doit être transmuée en sagesse, la superstition en foi éclairée, et la crainte en amour. Malgré les affirmations contraires, la maçonnerie est une religion qui cherche à unir Dieu et l’homme en élevant ses initiés à ce niveau de conscience d’où ils peuvent contempler avec une vision précise le travail du Grand Architecte de l’Univers. D’âge en âge la vision d’une civilisation parfaite est préservée comme l’idéal à atteindre pour l’humanité. Au sein de cette civilisation est maintenue une université puissante dans laquelle les sciences sacrées et profanes des mystères de la vie seront librement enseignés à tous ceux qui assumeront la vie philosophique. Ici la croyance et le dogme n’auront aucune place; tout ce qui est superficiel sera éliminé et seul l’essentiel sera préservé. Le monde sera gouverné par ses esprits les plus éclairés, et chacun occupera le poste pour lequel il est le plus admirablement adapté. » P. Hall Manly, The Secret Teachings of All Ages

Dans « The Secret Destiny of America », Hall explique le vieux rêve d’un gouvernement mondial, tel qu’envisagé par les sociétés secrètes :

« La démocratie mondiale a été le rêve secret des grands philosophes classiques. Afin de réaliser cette grande aspiration humaine ils ont présenté des programmes d’éducation, de religion, et de conduite sociale afin d’atteindre le but ultime d’une fraternité pratique et universelle. Et pour réaliser leurs objectifs plus efficacement, ces anciens savants se sont liés entre eux de façon mystique au sein d’une grande confrérie. En Égypte, en Grèce, en Inde et en Chine, les mystères d’État ont vu le jour. Les ordres de prêtres-philosophes initiés ont été formés comme un corps souverain afin d’instruire, de conseiller, et orienter les dirigeants des États. » Manly P. Hall-, The Secret Destiny of America

Les propres explications des auteurs anonymes

Depuis l’érection du monument le 22 Mars 1980, de nombreux auteurs et chercheurs ont tenté d’interpréter le sens de ces dix commandements. S’agit-il vraiment d’un schéma directeur pour un Nouvel Ordre Mondial? Sont-ils simplement des règles à appliquer en cas de catastrophe majeure? Le meilleur moyen d’obtenir une réponse précise c’est encore de demander aux auteurs eux-mêmes. Toutefois, étant donné que ces derniers ont choisi de rester anonymes, il n’est pas possible de le faire. Ils ont, cependant, laissé une importante déclaration, qui semble avoir été négligée par presque tous les chercheurs des Guidestones. Ce texte étonnant, qui décrit leurs motivations dans les moindres détails, ne peut être trouvé que dans The Georgia Guidestone Guidebook, une brochure produite par la Granit Company, qui a construit le monument. Dès le début, il semble évident que les auteurs du monument ont comme but la création d’un Nouvel Ordre Mondial. Il ne s’agit nullement d’une « théorie du complot » ou d’une hypothèse. C’est écrit en termes clairs et non équivoques. Donc, voici, directement de la plume des auteurs secrets, l’explication des 10 commandements des Guidestones (j’ai souligné certaines parties en caractères gras, afin de mettre en relief les points importants).

« Il est très probable que l’humanité possède aujourd’hui les connaissances nécessaires pour établir un gouvernement mondial efficace. D’une certaine manière cette connaissance doit être largement diffusée dans la conscience de l’humanité tout entière. Très vite, les cœurs de notre famille humaine doivent être touchés et réchauffés si nous voulons faire place à un gouvernement global de la raison.

« La conscience de groupe de notre race est aveugle, perverse, et se laisse facilement distraire par des futilités quand elle devrait se concentrer sur les éléments fondamentaux. Nous entrons dans une ère critique. La pression démographique va bientôt créer une crise politique et économique à travers le monde. Cette dernière rendra plus difficile et en même temps plus nécessaire l’édification d’une société mondiale fondée sur la raison.

« Une première étape consistera à convaincre un monde sceptique qu’une telle société est désormais possible. Gardons à l’esprit les appels éternels à la raison collective de l’humanité. Attirons l’attention sur les problèmes fondamentaux. Établissons les bonnes priorités. Nous devons mettre de l’ordre dans notre maison ici sur terre avant de chercher à atteindre les étoiles.

« La raison humaine prend maintenant conscience de ses forces. Il s’agit du plus puissant agent jamais libéré dans le déroulement de la vie sur notre planète. Nous devons faire prendre conscience à l’humanité que l’acceptation de la compassion, de la raison éclairée, nous permettra de maîtriser notre destin dans les limites inhérentes à notre nature.

« Il est difficile de répandre la sagesse dans des esprits humains fermés. Les inerties culturelles ne sont pas faciles à surmonter. Les événements mondiaux en cours et le triste passif de notre race rendent encore plus criantes les lacunes des agences traditionnelles qui régissent les affaires humaines. La crise qui vient pourrait amener l’humanité à accepter un système de droit international qui mettra l’accent sur la responsabilité de chaque pays dans la régulation des affaires intérieures, et qui les assistera dans la gestion pacifique des conflits internationaux.

« Avec un tel système nous pourrions éliminer la guerre, nous pourrions fournir à chaque personne la possibilité de rechercher une vie pleine de sens et d’épanouissement.

« Il existe des alternatives à Armageddon. Elles sont réalisables. Mais cela ne se fera pas sans les efforts coordonnés de millions de personnes dévouées de toutes les nations de la terre.

« Nous, les sponsors des Georgia Guidestones®, sommes un petit groupe d’Américains qui souhaitent attirer l’attention sur les problèmes centraux du dilemme actuel de l’humanité. Nous avons un message simple à transmettre aux autres êtres humains, aujourd’hui et dans l’avenir. Nous croyons qu’il contient des vérités évidentes, et nous ne prenons parti pour aucune religion ou philosophie particulière. Cependant, notre message peut sembler dans certains domaines controversé. Nous avons choisi de rester anonymes afin d’éviter le débat et la controverse qui ne pourraient apporter que la confusion, et retarder un examen circonstancié de nos pensées. Nous estimons que nos préceptes sont sains. Ils ne nécessitent aucune discussion.

« Stonehenge et d’autres vestiges de l’ancienne pensée humaine éveillent notre curiosité, mais ne transmettent aucun message qui pourrait nous guider. Pour transmettre nos idées à travers le temps à d’autres êtres humains, nous avons érigé un monument – un ensemble de pierres taillées. Ces pierres silencieuses exprimeront nos idées maintenant et quand nous seront partis. Nous espérons qu’elles seront de mieux en mieux acceptées et que, par leur présence silencieuse elles hâteront à un modeste niveau la venue du futur âge de raison.

(…)

« Nous croyons que chaque être humain a un but. Chacun d’entre nous est un petit mais significatif morceau de l’infini. Les alignements célestes des pierres symbolisent la nécessité pour l’humanité d’être en accord avec les principes externes qui se manifestent dans notre propre nature, et dans l’univers qui nous entoure. Nous devons vivre en harmonie avec l’infini.

« Quatre grosses pierres dans l’ensemble central sont gravées avec dix préceptes, chaque pierre portant le même texte dans deux langues différentes. Dans la version anglaise le message comprend moins de cent mots. Les langues ont été choisies pour leur importance historique et leur impact sur les gens qui vivent actuellement. Puisqu’il existe trois mille langues vivantes, toutes ne pouvaient être retenues.

« Nous envisageons une phase ultérieure dans le développement des Georgia Guidestones®. Il faut espérer que d’autres pierres pourront être érigées en cercles extérieurs afin de marquer les migrations du soleil, et peut-être certains autres phénomènes célestes. Ces pierres pourraient transmettre nos mots dans les langues d’autres personnes qui partagent nos convictions et érigeront des pierres semblables aux frontières internationales dans les langues de voisins amicaux. Elles serviraient à rappeler les difficultés auxquelles l’humanité tout entière doit faire face, et encourageraient les efforts mutuels pour y faire face de manière rationnelle et juste.

« Nous ne prétendons à aucune inspiration divine au-delà de ce qui se trouve dans tous les esprits humains. Nos pensées reflètent notre analyse des problèmes auxquels est confrontée l’humanité à cette aube de l’ère atomique. Elles décrivent en termes généraux certaines étapes de base qui doivent permettre d’établir pour l’humanité un équilibre bienveillant et durable avec l’univers.

« Les êtres humains sont des créatures spéciales. Nous sommes les gardiens de toute vie terrestre. Dans ce monde, nous jouons un rôle central dans une lutte éternelle entre le bien et le mal-entre les forces qui construisent et celles qui détruisent. L’Infini enveloppe tout ce qui existe, même les luttes, les conflits et le changement, ce qui peut refléter les bouleversements dans l’âme même de Dieu.

« Nous, les humains avons reçu une faible capacité de connaître et d’agir, pour le meilleur ou pour le pire. Nous devons nous efforcer d’optimiser notre existence, non seulement pour nous mais aussi pour ceux qui viendront après nous. Et nous ne devons pas faire abstraction du bien-être de tous les autres êtres vivants dont les destins ont été placés sous notre responsabilité.

« Nous sommes l’agent principal par lequel les bonnes et les mauvaises qualités de l’esprit deviennent les acteurs de notre monde. Sans nous, il y a très peu d’amour, de miséricorde, ou de compassion. Cependant, nous pouvons aussi être des agents de la haine, de la cruauté, et de la froide indifférence. Nous sommes les seuls à pouvoir travailler consciemment à l’amélioration de ce monde imparfait. Il ne suffit pas pour nous de simplement suivre le courant. Le monde rationnel de demain se situe toujours en amont.

« En 1980, alors que ces pierres étaient en train d’être érigées, le problème mondial le plus urgent était la nécessité de contrôler la population humaine. Durant les derniers siècles la technologie et les carburants abondants ont rendu possible la multiplication de l’humanité au-delà de ce qui est raisonnable ou souhaitable à long terme. Maintenant, nous pouvons prévoir l’épuisement imminent de ces sources d’énergie et l’épuisement des réserves mondiales de nombreuses matières premières essentielles.

« Maîtriser notre reproduction est urgent. Ceci exigera des changements importants dans nos attitudes et nos coutumes. Malheureusement, l’inertie des coutumes de l’homme peut être extrême. Cela est particulièrement vrai lorsque ceux pour qui la coutume est une force dominante ne sont pas informés de la nécessité du changement.

« Presque tous les pays sont maintenant surpeuplés en termes d’un perpétuel équilibre avec la nature. Nous sommes comme une flotte de canots de sauvetage surpeuplés confrontée à une tempête qui approche. Aux États-Unis d’Amérique nous mettons gravement en danger nos ressources afin de maintenir le niveau de vie de notre population actuelle. Nous détruisons nos terres agricoles et nous sommes devenus dangereusement dépendant des approvisionnements extérieurs en pétrole, minerais et autres ressources non renouvelables. Des nations comme le Japon, la Hollande, et Haïti sont encore plus gravement surpeuplées et, par conséquent, en plus grand danger.

« Dans ces circonstances, la reproduction n’est plus exclusivement une affaire personnelle. La société doit avoir son mot à dire et un certain pouvoir de direction dans la régulation de cette fonction vitale. Les souhaits des couples humains sont importants, mais non primordiaux. Les intérêts de la société actuelle et le bien-être des générations futures doivent être pris en considération de façon accrue à mesure que nous développons des mécanismes visant à contrôler de façon rationnelle notre reproduction.

(…)

« La procréation irresponsable doit être découragée par des pressions sociales et légales. Les couples qui ne peuvent pas assurer un revenu décent et un soutien pour leur enfant ne doivent pas faire d’enfants qui seront un fardeau pour leurs voisins. Amener des enfants inutiles dans un canot de sauvetage surpeuplé est une mauvaise chose. C’est injuste pour ces enfants. C’est nocif pour les autres occupants et tous les êtres vivants. La société ne doit pas encourager ou subventionner un tel comportement.

« Les connaissances et les techniques de régulation de la reproduction humaine existent actuellement. Les autorités morales et politiques à travers le monde ont une grave responsabilité de rendre ces connaissances et ces techniques généralement disponibles. Cela pourrait se faire avec une fraction des fonds que le monde consacre désormais à des fins militaires. À long terme, diriger ces fonds dans ce canal pourrait faire plus que toute autre chose pour réduire les tensions qui conduisent à la guerre.

« Une population mondiale diversifiée et prospère en perpétuel équilibre avec les ressources mondiales sera la pierre angulaire d’un ordre mondial rationnel. Les gens de bonne volonté dans toutes les nations doivent travailler à établir cet équilibre.

(…)

« Après l’achèvement de l’ensemble central des Georgia Guidestones notre petit groupe de parrainage a été dissous. Nous laissons le monument à la garde de la population de Elbert County, Géorgie.

« Si nos mots inscrits sont effacés par l’usure du vent, du soleil, et du temps, nous demandons à ce que vous les graviez plus profondément. Si les pierres doivent tomber, ou si elles sont dispersées par des gens de peu de compréhension. Nous demandons à ce que vous les érigiez de nouveau.

« Nous invitons nos frères humains dans tous les pays à réfléchir sur notre message simple. Lorsque ces objectifs seront un jour poursuivis par la généralité de l’humanité, un ordre mondial rationnel pourra être obtenu pour tous.

Qui sont les auteurs ?

Qui était donc ce « petit groupe d’Américains qui cherchent l’âge de raison »? Bien que leur identité soit secrète, ils ont laissé quelques indices pour les initiés, pointant incontestablement vers la nature occulte de leur groupe. Pour commencer, le texte ci-dessus porte la marque indubitable de l’occultisme occidental. Nous pouvons trouver des références à « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » (Les alignements célestes des pierres symbolisent la nécessité pour l’humanité d’être en accord avec les principes externes qui se manifestent dans notre propre nature, et dans l’univers qui nous entoure) et à la dualité (Nous sommes le principal agent par lequel les bonnes et mauvaises qualités de l’esprit deviennent les acteurs de notre monde. Sans nous, il y a très peu d’amour, de miséricorde, ou de compassion. Mais nous pouvons aussi être des agents de la haine et de la cruauté ainsi que de la froide indifférence). Je crois que ce texte fournit à lui seul assez de preuves pour conclure que les auteurs sont soit des francs-maçons, des rosicruciens, ou une autre société secrète hermétique. Il y a même des indices encore plus évidents pointant vers les penchants ésotériques des auteurs, à commencer par Christian R.C., l’homme mystérieux qui a commandé le monument.

R.C. Christian

Inauguration des Georgia Guidestones. Se pourrait-il que l’un de ces personnages soit le mystérieux Christian R.C. ?

Voici l’histoire de la commande des Guidestones telle que racontée par le guide officiel.

« Ce qui a commencé comme un vendredi après-midi habituel de la mi-été s’est terminé par la production et l’érection de l’un des monuments les plus étranges du monde, produit dans les conditions les plus insolites. Joe Fendley, président de Elbert Granite Finishing Company, Inc Elberton, en Géorgie, passait ce vendredi après-midi de Juin 1979 comme il passe la plupart des ses vendredi après-midi… à étudier ses rapports hebdomadaires et à fermer boutique pour un week-end… et puis tout a commencé.

Un homme bien habillé est entré dans le bureau de la rue Tate de Fendley et a dit qu’il voulait acheter un monument. Puisque tout le monde au bureau était occupé, Fendley décidé de parler à l’étranger lui-même et a expliqué que son entreprise ne vendait pas directement au public, mais seulement en gros.

Sans se décourager, l’homme d’âge moyen qui s’est identifié seulement comme M. Robert C. Christian, a dit qu’il voulait connaître le coût de construction d’un monument à la conservation de l’humanité et se mit à décrire à Fendley le type de monument qu’il voulait. Avec cela, il a donné la taille en mesures métriques.

Fendley admis que sa première réaction devant M. Christian n’était pas très bonne, mais après l’avoir écouté pendant environ 20 minutes et avoir entendu la taille imposante du monument qu’il voulait acheter et voir érigé, Fendley a décidé qu’il devrait prendre cet homme au sérieux. »

Si le nom de Christian R.C. était un simple pseudonyme vide de sens, pourquoi le graver sur le monument pour la postérité? Ce nom pourrait-il avoir une signification particulière? Eh bien, c’est le cas. Christian R.C. est une référence claire à Christian Rosenkreutz dont le nom anglais est Christian Rose-Cross (Christian Rose-Croix), le fondateur légendaire de l’Ordre rosicrucien. Certains pourraient dire que la ressemblance entre Christian R.C. et Christian Rose- Cross est le résultat d’une curieuse coïncidence. Comme nous le verrons, il s’agit cependant d’une des NOMBREUSES références à la Rose-Croix associés au monument. Il ne s’agit que d’une seule pièce du puzzle, mais un élément important malgré tout.

Les Rose-Croix

Postulant à l’entrée dans les mystères rosicruciens. Notez que le candidat montre le signe de la main du secret. Notez également les lettres « RC », comme dans Christian R.C.

Les Rose-Croix sont connus pour avoir publié trois manifestes au début du 17ème siècle : Fama Fraternitatis Rosae Crucis, Confessio Fraternitatis et Noces Chimiques de Christian Rosenkreutz.

Ces œuvres anonymes, entourées de mystère, ont introduit de façon cryptique le grand public à la philosophie rosicrucienne, tout en annonçant une grande transformation du paysage politique et intellectuel de l’Europe. Le Siècle des Lumières a bientôt suivi, accompagné de la chute des monarchies féodales. Les Georgia Guidestones semblent accomplir les mêmes fonctions que les manifestes Rose-Croix, en appelant à des transformations importantes du monde tout en maintenant un climat de mystère. » (traduction Google & Deepl)

Suite et fin de l’article (anglais) du Citoyen Vigilant en suivant le lien ci-dessous :

Sinister Sites: The Georgia Guidestones

The Georgia Guidestones is a mysterious monument on which are carved ten « commandments » for a « New Age of Reason ». The first commandment? Maintaining the world population under 500 …

https://youtu.be/_2CsKtGxHeg

Publié dans Enquête




L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies

[Source : Marguerite Rothe – Enquête]

L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies, par Makia Freeman

Par Marguerite Rothe

Ceux qui nous veulent du bien sont en train de travailler dur pour fabriquer des super-vaccins. Des produits biotechnologiques, qui nous « soigneront » mieux que notre traditionnel médecin. Dans leurs esprits dérangés, ils prévoient que, grâce à cette recherche fondamentale, le monde se portera mieux (comme lorsque la bouche en cœur, ils nous expliquaient que les OGM éradiqueraient la faim dans le monde).

Ce qui logiquement, induit une espérance de vie prolongée pour tous. TOUT ÇA, tout ce formidable altruisme pour une planète surpeuplée ! Je n’invente rien, ceux qui financent ce type de recherches sont convaincus que nous sommes trop nombreux sur cette planète. Alors ? Allez, soyons fous, extrapolons !

Je vais vous exposer le fond de ma pensée. Tous ces démons ont encore besoin de nous, de tous les surnuméraires que nous sommes, pour expérimenter les fruits de leurs recherches. C’est que, comprenez-vous, avant d’entrer dans la peau de Dieu, ils veulent être sûrs de leur coup. Après l’Afrique, où ils ont testé leurs poisons sous l’œil indifférent des grandes organisations mondiales (vous savez, celles qui sont supposées aider l’humanité), ils envisagent aujourd’hui une expérimentation à l’échelle planétaire, et vacciner les milliards d’humains qui habitent sur cette planète. Tournez-le dans le sens que vous voulez, c’est ce qui est en train de se mettre en place.

©Marguerite Rothe


D’UN COUP D’ŒIL…

L’HISTOIRE :

C’est un fait ouvertement admis que les vaccins COVID actuellement en cours de développement seront des vaccins nanotechnologiques, utilisant une variété de plateformes et de systèmes d’administration nanotechnologiques.

LES IMPLICATIONS :

Le COVID est un prétexte pour faire avancer le sinistre programme des nanotechnologies – l’infiltration du corps humain par des nanocapteurs capables de transmettre et de recevoir des données.

L’agenda des nanotechnologies 
Impliquant le placement de minuscules capteurs, dispositifs et machines mesurés en nanomètres à l’intérieur du corps humain – reçoit un coup de pouce de la fausse pandémie actuelle que j’ai baptisée opération Coronavirus. Mon article précédent, Hydrogel Biosensor : Les nanotechnologies implantables à utiliser dans les vaccins COVID ? ont évoqué la possibilité que les prochains vaccins COVID puissent incorporer une nanotechnologie financée par la DARPA appelée hydrogel, un biocapteur qui surveillerait votre corps et enverrait et recevrait des informations au réseau intelligent 5G. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Les conspirateurs du NWO ont non seulement planifié cette escroquerie pendant des décennies, mais ont également planifié l’agenda des nanotechnologies pendant longtemps ; maintenant, avec l’avènement de COVID, les deux agendas fusionnent, avec des implications sinistres pour l’humanité. Cet article examine de plus près le programme des nanotechnologies et l’état actuel des nanotechnologies dans les produits existants tels que les vaccins. Le programme est déjà bien plus avancé que beaucoup ne le pensent.

Un document de 2008 expose les grandes lignes d’un plan de construction d’une architecture matérielle pour les nanorobots

Un document de recherche de 2008 intitulé « Nanorobot Hardware Architecture for Medical Defense » analyse en détail la manière dont les dispositifs nanotechnologiques tels que les nanorobots pourraient être utilisés à des fins diverses telles que la « défense médicale » et le « contrôle des épidémies ». Il indique qu’il fournit des détails sur une « plate-forme intégrée et une architecture matérielle pour l’application des nanorobots dans le contrôle des épidémies, qui devrait permettre un pronostic in vivo en temps réel des infections à risque biologique ». L’idée est de placer dans notre corps des nanotechnologies qui communiquent en temps réel avec le Smart Grid (alimenté par la 5G) pour fournir aux autorités des informations intimes à notre sujet. Wayne, d’Alchemical Tech Revolution, fait ici un excellent commentaire. Voici quelques citations tirées de ce document :

« Normalement, dans les zones de calamités publiques ou de conflits, l’absence d’eau potable, de carburant de toute sorte, d’électricité, et le manque de tours pour la communication en réseau, y compris la téléphonie par câble et sans fil, est une constante. Dans une telle situation, l’infrastructure disponible est loin d’être idéale pour permettre un laboratoire médical à grande échelle avec des analyses précises et rapides. Pour cet aspect, les nanorobots intégrés aux nanocapteurs peuvent aider à transmettre des informations en temps réel, en utilisant les téléphones mobiles internationaux pour la transmission de données sans fil par le biais de la communication par satellite. En fait, les nanorobots devraient constituer un dispositif clinique efficace et puissant permettant d’assurer un précieux suivi biomédical, tant pour les soldats que pour la population civile ».

Remarquez comment ils admettent qu’il existe un double usage (pour les militaires et les civils), ce qui implique généralement qu’un système d’armes a un autre usage. Dans ce cas, ils déguisent l’objectif profond (surveillance intégrée) avec l’objectif superficiel (une application médicale) :

« Dès le moment de l’infection, certaines maladies contagieuses peuvent présenter les premiers symptômes après des heures, une semaine, ou plus longtemps, comme des années ou même des décennies. Cela signifie, par exemple, que lorsque les autorités publiques ont constaté l’infection chez une personne contaminée, présentant des symptômes externes, un virus a eu le temps de se propager par le biais d’un cercle d’amis et de collègues de la victime infectée. Pendant ce temps, ces compagnons faisaient avancer le virus et avaient amorcé un cercle vicieux catastrophique. L’utilisation de nanorobots avec des nanodispositifs intégrés pour le contrôle des épidémies en temps réel, comme un laboratoire sur une puce, peut être utile pour éviter une grave contamination dans de grandes proportions ».

La citation ci-dessus met en avant le danger de contagion, et plus particulièrement d’un virus, comme raison pour laquelle vous vous soumettez volontairement à l’agenda des nanotechnologies et vous vous y intégrez. Elle fait appel aux concepts de contagion et de théorie des germes, mais, surtout depuis le début de l’escroquerie COVID, un certain nombre de courageux chercheurs et médecins indépendants remettent en question ces idées, qui renforcent le modèle commercial actuel de l’industrie médicale, à savoir les pilules et les vaccins pétrochimiques.

« Nous avons mis en place une simulation de système et une architecture de nanorobots pour détecter le flux sanguin, en ciblant les changements biochimiques contre les signaux pathologiques. Les avancées actuelles dans les technologies sans fil, les dispositifs nanoélectroniques et leur utilisation dans la mise en œuvre de nanorobots appliqués au contrôle des épidémies, illustrent ce que les technologies à venir peuvent permettre en termes de surveillance de la santé en temps réel. L’approche de la surveillance in vivo des concentrations chimiques devrait également s’appliquer aux autres ».

Comme le dit Wayne, ce truc est le niveau suivant de la recherche des contacts. Oubliez une application sur votre téléphone ; le plan est de surveiller in vivo (dans un organisme vivant). Il y a beaucoup de citations significatives dans le document, mais en voici une dernière :

« Des fréquences allant de 1 à 20MHz peuvent être utilisées avec succès pour des applications biomédicales sans aucun dommage. »

Cela implique-t-il qu’il pourrait y avoir des dommages si les fréquences sont supérieures à 20MHz, comme dans la gamme 30-100 GHz de 5G ?

Une étude de 2017 montre que les contaminants des nanotechnologies sont déjà largement présents dans les vaccins

L’invasion des nanotechnologies est déjà là. Il ne s’agit pas de savoir s’ils placeront les nanotechnologies dans les vaccins, puisqu’ils l’ont déjà fait. Cette étude italienne de 2017 intitulée New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro- et Nanocontamination détaille un éventail étonnant de nanocontaminants dans les vaccins, y compris des particules de plomb, cadmium, cérium, fer, titane, nickel, zirconium, hafnium, strontium, tungstène, or, argent, platine, antimoine, bismuth et aluminium. L’étude (qui analyse 44 types de 15 vaccins traditionnels) indique que ces contaminants sont « non biodégradables et non biocompatibles », que leur inclusion n’est « pas déclarée » et que leur présence est « inexplicable ». Elle donne le bénéfice du doute aux Big Pharma et à leurs contrôleurs lorsqu’elle conclut que « notre hypothèse est que cette contamination est involontaire, puisqu’elle est probablement due à des composants ou des procédures pollués de processus industriels (par exemple des filtrations) utilisés pour produire des vaccins, non étudiés et non détectés par les producteurs. Si notre hypothèse est effectivement fondée, une inspection minutieuse des lieux de travail et la connaissance complète de l’ensemble du processus de préparation des vaccins permettraient probablement d’éliminer le problème ». Connaissant le contexte du programme humain de micropuces et de nanotechnologies, je pense qu’il y a une autre façon de voir les choses.

L’étude révèle comment ces nanoparticules peuvent interagir avec le corps de manière négative et provoquer des effets nocifs :

« … les enquêtes ont révélé que certaines particules sont incorporées dans un substrat biologique, probablement des protéines, des endo-toxines et des résidus de bactéries. Dès qu’une particule entre en contact avec des fluides protéiques, une nano-bio-interaction se produit et une « couronne de protéines » se forme. La nano-bio-interaction génère un composé de plus grande taille qui n’est pas biodégradable et peut induire des effets néfastes, puisqu’il n’est pas reconnu comme tel par l’organisme. La figure 5a-5f montre des exemples de ces nano-bio-interactions. On peut voir des agrégats (entités composites stables) contenant des particules de plomb dans le Meningitec, d’acier inoxydable (fer, chrome et nickel) et de cuivre, de zinc et de plomb dans le Cervarix ».

« Après avoir été injectés, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent rester autour du point d’injection en formant des gonflements et des granulomes … Mais ils peuvent aussi être transportés par la circulation sanguine, échappant à toute tentative de deviner quelle sera leur destination finale … Comme tous les corps étrangers, en particulier ceux de petite taille, ils induisent une réaction inflammatoire qui est chronique car la plupart de ces particules ne peuvent pas être dégradées. De plus, l’effet corona-protéine … dû à une nano-bio-interaction … peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable … Il est impossible de ne pas ajouter que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent entrer dans les noyaux des cellules et interagir avec l’ADN … « 

« Dans certains cas, comme c’est le cas pour le fer et certains alliages de fer, ils peuvent se corroder et les produits de corrosion exercent une toxicité sur les tissus… ».

Voici donc la question à laquelle il faut réfléchir : ces nanocontaminants dits accidentels et dangereux ne sont-ils que des particules qui affectent la santé humaine de nombreuses façons, ou s’agit-il également de nanocapteurs qui peuvent recevoir et transmettre des données au Smart Grid ?

Les nanotechnologies sont à la pointe de la recherche de pointe sur les vaccins

Le programme des nanotechnologies est étroitement lié aux vaccins. Par exemple, cette étude de 2019 intitulée « Nanoparticle-Based Vaccines Against Respiratory Viruses » vante les avantages des vaccins nanotechnologiques :

« Les vaccins conventionnels basés sur des agents pathogènes vivants atténués présentent un risque de retour à la virulence pathogène, tandis que les vaccins à agents pathogènes inactivés entraînent souvent une faible réponse immunitaire. Les vaccins sous-unitaires ont été mis au point pour surmonter ces problèmes. Cependant, ces vaccins peuvent souffrir d’une immunogénicité limitée et, dans la plupart des cas, la protection induite n’est que partielle. Une nouvelle génération de vaccins basés sur les nanoparticules a montré un grand potentiel pour remédier à la plupart des limites des vaccins conventionnels et des vaccins sous-unitaires. Cela est dû aux récents progrès du génie chimique et biologique, qui permettent de concevoir des nanoparticules avec un contrôle précis de la taille, de la forme, de la fonctionnalité et des propriétés de surface, ce qui conduit à une meilleure présentation de l’antigène et à une forte immunogénicité ».

Cette étude de juillet 2020 sur le développement du vaccin COVID-19 et sur une éventuelle voie de développement des nanomatériaux explique comment de nombreuses plateformes nanotechnologiques seront incluses dans les futurs vaccins :

« Le vaccin à ARNm de Moderna est basé sur une plate-forme de nanoparticules lipidiques, mais il existe de nombreuses autres nanotechnologies émergentes pour l’administration de vaccins à base d’acide nucléique … Des plates-formes nanotechnologiques comprenant des nanoémulsions cationiques, des liposomes, des dendrimères ou des particules de polysaccharides ont été utilisées pour améliorer la stabilité et l’administration des vaccins à ARNm ».

Le prochain vaccin Moderna COVID, financé par l’eugéniste et homme de terrain du NWO Bill Gates, est un nouveau type de technologie : un vaccin à ARNm qui utilise la nanotechnologie. Il en va de même pour les autres vaccins COVID en cours de développement. La pandémie de COVID est utilisée comme prétexte pour aller encore plus vite avec les vaccins nanotechnologiques, ce qui accélère en fin de compte le projet central du NWO (Nouvel ordre mondial) : le programme de micropuces humaines. L’agenda des nanotechnologies via COVID est affiché au grand jour :

« Les nanomatériaux jouent un rôle important dans tous les aspects de la conception, de l’administration et de la distribution des vaccins. Les nanoparticules permettent une présentation multivalente des antigènes et leur stabilisation lors de l’administration, elles peuvent servir d’adjuvants pour stimuler la réponse immunitaire et elles peuvent agir comme vecteurs pour la délivrance ciblée des antigènes. En effet, un vaccin à ARNm délivré par une nanoparticule liposomale figure parmi les candidats actuellement en cours d’essais cliniques contre le SRAS-CoV-2. S’il est vrai qu’aucun vaccin à ARNm ou à ADN n’est actuellement approuvé pour quelque maladie que ce soit, l’administration d’acides nucléiques nécessite une forme de modification ou un nanodispositif pour empêcher la dégradation dans l’organisme, et les dispositifs liposomiques ont en effet déjà été approuvés pour l’administration d’ARN, mais pas encore pour les vaccins ».

Dernières réflexions sur l’accélération du programme des nanotechnologies

C’est ça ! C’est parti ! Tout ce que de nombreux chercheurs alternatifs ont écrit, parlé et mis en garde depuis des années arrive. L’opération Coronavirus est la porte d’entrée du nouvel ordre mondial. COVID a été l’excuse offerte par les tyrans pour presque toutes les restrictions draconiennes qui existent. Maintenant, avec le prochain vaccin COVID, nous savons qu’il comprendra une sorte de nanotechnologie, puisque, comme je l’ai souligné ci-dessus, il y a une pléthore de plates-formes nanotechnologiques en cours de développement, en plus de choses comme l’hydrogel. Diverses études et les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes déclarent ouvertement qu’il y aura des vaccins COVID nanotechnologiques. Avec des plans visant à rendre ce vaccin largement répandu, administré par l’armée (comme cela est admis aux États-Unis et au Royaume-Uni) et « aussi obligatoire que possible » (selon le Premier ministre australien Scott Morrison), le temps presse pour que les gens se réveillent au programme des nanotechnologies – avant qu’il ne soit trop tard. » Makia Freeman (Traduction DeepL)

Pour lire l’article de Makia Freeman dans le texte et avoir aux sources de son enquête, suivre le lien ci-dessous :

Nanotech Agenda being Forwarded by Operation Coronavirus

involving the placement of tiny sensors, devices and machines measured in nanometers inside the human body – is receiving a boost from the current fake pandemic which I have labeled Operation …
https://thefreedomarticles.com/operation-coronavirus-hand-in-hand-with-nanotech-agenda/




COVID-19 : opération psychologique

[Source : Agoravox]

par Collectif TPH

Partie 1- Des psys sonnent l’alarme

Nous sommes un collectif de psychologues, psychanalystes et psychothérapeutes et nous lançons un message d’alerte. La politique gouvernementale s’apparente à nos yeux à une campagne de destruction massive du psychisme de la population. Ceux qui sont censés œuvrer pour le bien-être de nos concitoyens sont en train de créer des traumatismes potentiellement irréversibles.

Depuis presque un an, le monde est confronté à une crise inédite liée à la propagation d’un virus nouveau de la famille des corona virus, le SARS-COV-2, au sein de la population humaine. La maladie causée par ce virus est quant à elle appelée COVID-19 pour « corona virus disease 2019 » (maladie à corona virus 2019).

Pour faire face à cette épidémie mondiale, les instances politiques nationales ont pris la décision d’imposer des mesures radicales qui impactent très fortement le quotidien des Français. La méthode employée, particulièrement coercitive, a fait la preuve de son inefficacité. Elle a des conséquences dramatiques sur le plan économique et sur lasanté de la population, en particuliersur sa santé mentalequi est directement attaquée. Pourtant le gouvernement s’entête dans une stratégie politique délétèreau point qu’un nouveau confinement est désormais envisagé.

Les Français doivent prendre conscience que leur gouvernement n’agit pas dans le sens de leur intérêt : il est devenu clairement « pathogène » (c’est-à-dire générateur de pathologies). L’analyse de cette gestion de crise nous amène à conclure que cette situation n’est pas seulement le résultat des errements du pouvoir. La crise actuelle a le mérite de lever le voile sur ce qui apparaît désormais comme une évidence : ceux qui prétendent représenter le peuple agissent sous l’influence de lobbies qui défendent des intérêts diamétralement opposés à ceux de la population.Les médias, quant à eux, relaient les messages délibérément anxiogènes du pouvoir et pratiquent une censure quasi systématique à l’encontre de toutes les études susceptibles de mettre en cause la narration officielle. Force est donc de constater qu’une coalition malsaine et machiavélique, alliant gouvernement, médias et puissances d’argent, s’est constituée. Elle s’attaque de façon systématique et caricaturale à la santé psychique de la population. 

En tant que « psy », nous ne pouvions rester plus longtemps sans réaction. Les Français doivent se mobiliser collectivement pour mettre un terme à cette folie et protéger leur cerveau et celui de leurs enfantscontre les coups de boutoir du pouvoir, faute de quoi nous allons au devant d’une catastrophe sanitaire et humaine sans précédent

Partie 2 : Danger pour la santé psychique des Français !

Des mesures portant atteinte à la santé de la population

La gestion de la crise sanitaire par le gouvernement a des conséquences sérieuses sur la santé de la population. Le confinement a provoqué un affaiblissement de l’immunitépour des raisons variées : sédentarité, manque d’air et de soleil, absence de pratiques sportives et d’échanges sociaux. Cette mesure radicale, inédite dans l’histoire de l’humanité(imposer à la population dans son ensemble, y compris les gens en bonne santé, de rester chez elle), a eu un effet très anxiogènece qui est en soi nuisible à la santé par effet nocébo(impact mesurable à l’imagerie cérébrale d’une substance absorbée ou d’une information véhiculée et perçue comme négative).

Le port du masque obligatoire et généralisé, autre mesure inédite dans l’histoire de l’humanité, n’a nullement fait la preuve de son efficacité. Le port du masque ne peut être efficace que dans des conditions d’utilisation très précises qui ne peuvent pas être respectées à grande échelle. A contrario, de nombreuses études démontrent la nocivité du port du masque pendant plusieurs heures d’affilées. Comme le résume Thierry Lagrange, médecin généraliste à La Rochelle, « on demande aux gens de rester confinés sous leur masque ce qui est totalement inepte du point de vue physiologique ». Cette mesure délétère est imposée manu militari par un gouvernement qui, quelques mois plus tôt, se démenait pour expliquer son inutilité. 

Exemples de patients dans nos cabinets 

La façon dont cette crise a été gérée a également provoqué des dégâts sur le plan psychologiqueNous avons pu le constater dans le cadre de nos consultations

1- Une patiente est arrivée en consultation à la suite du confinementen état de choc post traumatique. Elle était désorientée, ne comprenait rien à ce qui se passait. Elle raconte qu’elle s’est faite agresser dans la rue un jour où elle faisait des courses par une personne qui l’a insulté car elle ne gardait pas suffisamment ses distances. Extrêmement angoissée et déprimée, elle avait également développé des troubles du sommeil

2- Un patient est venu en consultation en état de décompensation. Totalement désorienté et dans la confusion, il était incapable de revenir à lui. Son cerveau sursaturé d’informations contradictoires tournait en boucle sans parvenir à dénouer le vrai du faux. Il était envahi d’angoisses de mort et terrorisé.

3- Afin d’échapper à la réalité (très difficile à vivre) du confinement,un adolescent de 17 ans avait pris une fois du LSD à la suite de quoi il avaitbasculé dans la décompensation psychotique (schizophrénie)

4- Une mère amène sa fille de 7 ans qui présente des TOCS (troubles obsessionnels compulsifs) depuis le confinement. La petite n’ose plus rien toucher. A chaque fois, elle demande à sa mère si elle peut toucher ceci ou cela : jusqu’à l’herbe dans son jardin ; jusqu’à ses crayons de couleur ou même la table dans sa classe. La petite vit désormais dans une angoisse permanente de contamination, multipliant les lavages de main et les conduites d’évitement… Par ailleurs, elle a la terreur d’oublier de se laver les mains avant de toucher ses ami(e)s, persuadée que, si elle oublie, elle risque de les contaminer. Elle a peur de faire du mal à quelqu’un qu’elle pleure tous les matins avant d’aller à l’école.

La mère est en panique de voir sa fille aussi angoissée. Après quelques questions, il apparaît que les parents sont tout aussi terrorisés que leur fille. Ainsi, depuis le confinement et le matraquage médiatique qui a suivi, ils lavent les courses à l’eau de javel avant de les ranger dans la maison. Si la petite a le malheur de toucher aux courses avant qu’elles n’aient été lavées, c’est l’angoisse et elle se fait aussitôt réprimander. 

La mère comprend alors qu’elle a elle-même adopté un rituel obsessionnel qu’elle a transmis à sa fillede même que l’angoisse de toucher des objets non lavés et de contaminer les autres.

Ce ne sont quequelques exemples parmi tant d’autres. Ainsi le confinement, ainsi que le dé-confinement qui s’en est suivi,ont provoqué l’apparition de très nombreux symptômes : 

  • angoisses, notamment chez des jeunes enfants, énurésie,
  • état de choc posttraumatique, 
  • violences conjugales et violences sur les enfants, 
  • hypocondrie,
  • troubles obsessionnels compulsifs, notamment chez les enfants, 
  • multiplication des cas de décompensations psychotiques, 
  • dépressions,
  • suicides, etc.

Partie 3 : Quand le pouvoir pervers joue avec nos cerveaux

Des comportements pathologiques normalisés

De nouveaux rituels de nature obsessionnelle 

Les « gestes barrières »ainsi que la généralisation du masque, mesures d’apparence moins brutales que le confinement, ont également des conséquences psychiques importantes. La systématisation des « gestes barrières » revient à généraliser au sein de la population des comportements qui s’apparentent aux rituels de nature obsessionnelle.Le plus grave est que cette folie a atteint jusqu’aux classes maternelles : en effet, les enfants ne peuvent plus aller librement à la découverte de leur environnement ; ils doivent eux aussi suivre des protocoles sortis d’on ne sait quel cerveau malade.

La généralisation du masque jusque dans les espaces publics s’apparente à une mesure de confinement psychique généralisé. Le port du masque nous coupe radicalement du lien à l’autre. Il porte sérieusement atteinte à notre capacité à nous rencontrer, partager, échanger,construire ensemble et in fine à résister. L’homme étant un être fondamentalement social, le masque attaque notre humanité, nous isole et nous pousse vers la folie. Il nous transforme en une masse indifférenciée de zombies.

Obligation à maltraiter nos enfants 

Le fait d’imposer le port du masque toute la journée aux collégiens et lycéensest, pour le coup, une véritable honte. Cette obligation s’apparente clairement à un exercice de soumission collective. Forcer des jeunes de 11 ans à mettre des masques toute la journée et les sanctionner s’ils ne le font pas est un stade supérieur de la violence psychologique.On emprisonne psychiquement nos enfants. L’Education Nationale est en quelque sorte devenu le ministère de la Soumission Nationale

Injonctions paradoxales dignes du pervers narcissique

Tout semble avoir été fait pour mettre les citoyens dans un état maximal de confusion, d’angoisse, de sidération, d’hébétude.

Le procédé de la « double contrainte »

Au début de la crise, le gouvernement et les médias n’ont cessé de diffuser des messages contradictoires. Ainsi par exemple, le Président Macron était au théâtre le 6 mars 2020 et incitait les Français à sortir et à ne rien changer de leur mode de vie. Le 12 mars, il maintenait le premier tour des élections municipales tenues le 15 mars… et il annonçait le 16 un confinement généralisé. 

Lorsque deux messages opposés sont proférés simultanément ou presque (et notamment quand un message explicite s’oppose à un message implicite concomitant), le cerveau est incapable de gérer l’information. Il « bug » en quelque sorte. Ce procédé, connu sous le nom de « double contrainte  » (double bind en anglais), est typique du fonctionnement pervers. Il conduit à la destruction de la capacité à penser et jette la personne dans la confusion, l’impuissance et finalement la dépression.

Des terroristes qui s’ignorent

Lorsque le Président Macron annonce le confinement lors de son allocution du 16 mars 2020, il fait le choix d’une rhétorique guerrière, répétant à de nombreuses reprises que « nous sommes en guerre… ». Nous nous sommes retrouvés dans une sorte de version 2.0 de la guerre contre le terrorisme,cet ennemi invisible qui peut surgir à tout moment. Loin de se mobiliser pour faire face à la menace que représentait le virus, le gouvernement a choisi de nous confiner. Au lieu d’agir, il s’est contenté de nous dire : « restez chez vous, sauvez des vies ». Ainsi, comble de la terreur, nous pouvions nous-mêmes héberger, à notre insu, ce tueur assoiffé de sang. Nous étions en quelque sorte des terroristes qui s’ignorent.

Clivage intérieur

Ce message a eu des conséquences psychologiques désastreuses, notamment chez les jeunes. Très peu de nos patients craignaient pour eux-mêmes mais un très grand nombre était terrorisé d’être responsable de la mort d’un proche. Le niveau de perversité de ce sloganest inimaginable : ilporte directement atteinte à l’intégrité psychique des individus en y instillant un clivage intérieur

Quand respirer devient un acte criminel

Toute remise en question du discours officiel a été violemment réprimée. Ainsi, avoir l’audace de respirer librement au grand airdans une forêt ou sur une plage est devenu un acte criminel, passible d’une amende de 135€ d’amende (beaucoup plus en cas de récidive). Pour faire respecter ces règles dictatoriales, le gouvernement a fait usage de méthodes tout droit sorties des pires films apocalyptiques  : on a vu des drones survolant des villes désertes et ordonnant aux rares passant de rentrer chez eux. La culpabilisation des réfractaires et l’incapacité de se révolter ont renforcé l’état d’impuissance dans laquelle la population a été jetée.

Absence de visibilité sur l’avenir et effets psychologiques irréversibles

Mais le pire, dans la gestion de cette crise par le gouvernement, est sans doute l’absence totale de visibilité sur l’avenir. En effet, notre psychisme est capable de faire face à des événements traumatiques à la condition qu’ils soient limités dans le temps. En revanche, quand la population n’a aucune perspective de retour à la normale et que la situation traumatisante s’installe dans la durée, les effets psychologiques deviennent irréversibles

Des messages anxiogènes réguliers et un état de stress permanent

Or c’est précisément ce qui se passe dans la gestion de cette crise prétendument sanitaire : Au cœur de l’été, alors même que l’épidémie était terminée, le gouvernement a décidé de maintenir une pression maximale sur la population et de ne lui laisser aucun répit. Il a maintenu l’impératif des gestes barrières et du port du masque au point que ces mesures sont en train de devenir la norme. Chaque fois que la tension psychique des gens redescend, les médias nous gratifient d’une piqûre de rappel  : ils distillent un nouveau message anxiogène qui a pour finalité de nous maintenir dans un état de stress chroniquequi a des conséquences délétèressur les organismes.

Le caractère systématique de cette démarche nous conduit à nous interroger sur les raisons qui poussent le gouvernement à agir ainsi. Cette manière de procéder s’apparente à la technique de l’entonnoir, méthode manipulatoire (utilisée notamment en technique de vente) dont la finalité est d’amener pas à pas l’interlocuteur à adopter une conduite désirée. En l’occurrence, quel est l’objectif poursuivi par le pouvoir en agissant de la sorte ?

Partie 4 : Population sous propagande

Incompétence et manipulation

Cette crise sanitaire a d’abord révélé la très grande fragilité d’un pouvoirdonnant la désagréable impression d’être en permanence dépassé par les évènements. 

Incapable de prendre de la hauteur et d’agir dans la sérénité, ce dernier a semblé basculer dans une instabilité émotionnelle de type hystérique. Par la suite, le pouvoir a tenté de reprendre la main en manipulant de façon systématiquement les chiffres afin de donner une vision totalement déformée de la réalité et faire taire toute velléité de contestation.

Manipulation des chiffres 

  • De nombreux témoignages indiquent que beaucoup de morts ont été classés « COVID19 » sans vérification ou de façon délibérément fallacieuse. A titre d’exemple, un patient nous a raconté que sa mère, atteinte d’un cancer en phase terminale, a été testée positive au SARSCOV-2. A sa mort, elle a été comptée au rang des personnes décédées de la COVID-19 (et non du cancer).
  • L’un des indicateurs clés pour évaluer la gravité d’une épidémie est la baisse de l’espérance de vie  : on ne peut en effet pas mettre sur le même plan le décès d’une personne dans la force de l’âge (un jeune père de famille par exemple) et celui d’un vieillard au crépuscule de sa vie, qui n’aurait vécu, dans le meilleur des cas, que quelques mois de plus. Or la baisse d’espérance de vie a été quasi nulle entre 2019 et 2020 à ce jour (moins deux mois, ce qui correspond au niveau standard de variabilité annuelle). Cette seule donnée permet de conclure qu’il ne s’est absolument rien passé qui puisse, de près ou de loin, justifier un arrêt de l’économie et une mise au pas de la population dans son ensemble.

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise au cours de l’épidémie illustre bien les intentions manipulatoires du pouvoir : 

  • Au pic de l’épidémie, le Directeur Général de la Santé annonçait tous les soirs, avec la plus grande solennité, le nombre de morts dû à la COVID19des dernières 24 heures, se gardant bien d’en donner des éléments d’appréciation (âge, comorbidité, etc.). Nous avions ainsi droit à une sorte de « grandmesse » macabre du journal de 20 heures.
  • Puis lorsque le nombre de morts est devenu très faible, la narration a brutalement changé et les médias n’en ont, d’un seul coup, plus fait état. Une nouvelle référence s’est imposée : le nombre de cas testés « positifs ». Rares sont ceux qui se sont émus de ce revirement grossier qui s’apparente à un tour de passepasse visant à faire perdurer le climat anxiogène aussi longtemps que possible.
  • La notion même de « cas positifs » est en ellemême sujette à interprétation manipulatoire, le gouvernement entretenant délibérément la confusion sur la signification du test  : un cas positif n’est pas, dans la majorité des cas, malade ni même contagieux.

Polémique autour du Professeur Didier Raoult

La polémique autour du Professeur Didier Raoult et de son traitement à base d’Hydroxychloroquine (HCQ) et d’Azithromycine soulève, quant à elle, de très nombreuses questions :

  • Pourquoi avoir véhiculé l’idée que l’HCQ était une molécule dangereusealors qu’elle est utilisée depuis des décennies et qu’elle a été prise par des centaines de millions de personnes ?
  • Même si la décision aurait été prise dès le mois d’octobre 2019, pourquoi avoir acté le 13 janvier 2020 le classement de l’HCQ comme substance vénéneuse,en interdisant sa vente sans ordonnance pour la première fois depuis 1955, alors même que de nombreux pays (notamment la Chine)utilisaient déjà un traitement à base de chloroquine contre le COVID19 ?
  • Pourquoi le journal Le Monde ainsi que le ministère de la Santé ontils qualifié de « fake news » les annonces du Professeur Raoultsur l’efficacité de son traitement en février 2020 accusant ainsi cet éminent professeur de n’être ni plus ni moins qu’un menteur ? Le ministère de la Santé s’est ensuite rétracté.
  • Comment expliquer l’affaire du Lancet Gate qui restera comme l’un des plus grands scandales scientifiques de notre temps ?Le 22 mai 2020, la prestigieuse revue scientifique britannique The Lancet publie en effet une étude censée clore le débat sur l’efficacité de l’HCQ : les conclusions défavorables conduisent l’OMS puis le ministère de la Santé français à suspendre les essais concernant l’HCQ. Le gouvernement français interdit également son utilisation pour le traitement de la COVID19. Quelques jours plus tard,The Lancet est contraint de retirer son étude, entièrement bidon. Pourquoi aucune procédure judiciaire n’at-elle été lancée pour faire toute la lumière sur cette affaire ?
  • Pourquoi la société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF), qui est une association regroupant des professionnels de santé intéressés par les maladies infectieuses et tropicales, at-elle porté plainte contre le Professeur Raoult auprès de l’Ordre des Médecins des Bouches du Rhône en mai 2020 ? Pourquoi avoir pris le parti de la censure et de la répression plutôt que d’engager un débat honnête et ouvert entre spécialistes ? L’association ainsi que les membres de son bureau touchent des sommes importantes des grands laboratoires pharmaceutiques, et notamment de Gilead, qui produit le Remdésivir, concurrent de l’HCQ. Pourquoi ces versements, dont les sommes ont considérablement augmenté ces dernières années, n’ont pas été relatés par les médias ? Plus généralement,pourquoi les médias ontils régulièrement donné la parole à des médecins et chercheurs sujets à conflits d’intérêts avec l’industrie sans même en faire état ?
  • Pourquoi tous les praticiens de terrain ayant eu des résultats avec ce traitement ontils été réduits au silence ?Pourquoi les médecins français se sont vus interdire la prescription d’HCQ ce qui revient à porter atteinte au code déontologique de la profession qui confère aux médecins la liberté de prescrire ? 
  • Pourquoi le géant Facebook (2,5 milliards d’utilisateurs)at-il décidé, de manière très officielle, de censurer toute information qui défendrait l’efficacité de ce traitementde l’aveu même de son PDG Mark Zukerberg (« Si quelqu’un dit que l’HCQ est un remède contre la COVID, nous le retirerons »).
  • Pourquoi avoir pris le traitement du Professeur Raoult pour cible alors qu’il est utilisé pour le traitement de la COVID19 dans de très nombreux pays, notamment aux EtatsUnis, au Brésil, en Chine, en Russie, en Iran, au Portugal, aux Pays-Bas, en Belgique, en Italie, dans de nombreux pays africains, etc. ?

Didier Raoult estime à 15.000 le nombre de morts qui aurait pu être évités en France si son traitement avait été généralisé. Le Professeur Perronne parle même de 25.000 vies épargnées. 

Opération psychologique contre la population (PsyOp)

Angoisses de mort réactivées et propagande de masse 

Ainsi, le pouvoir a délibérément véhiculé une vision déformée de la réalité de cette crise sanitaire. Il a berné la population afin de la maintenir en état de stress chronique et de délire collectif généralisé. La survenue d’une pandémie réveille le spectre des grandes épidémies du passé (peste noire, cholera, typhus, grippe espagnole). Des angoisses de mort puissantes sont donc logiquement réactivées. Dans ce contexte, il est de la responsabilité du pouvoir et des institutions médicales d’apporter des informations précises, d’agir et de rassurer.Mais le gouvernement a fait tout l’inverse  : il a capitalisé sur l’apparition de l’épidémie de SARS-COV-2 pour imposer depuis presque huit mois une propagande de masse. Toutes les voix discordantes ont été réduites au silence, le pouvoir ne craignant pas de faire usage de la force pour imposer sa vision au prétexte fallacieux et pervers de protéger la population.

Les tapis de bombes ont cédés la place à une invasion de masques

En agissant de la sorte, le gouvernement, secondé par la plupart des médias de masse, a servi des intérêts opposés à ceux de la population. Il s’est rendu coupable d’une agression psychologique à l’encontre des citoyensqui ressemble en tout point aux « opérations psychologiques » (ou « Psy Op ») menées par la CIA pour terroriser les populations. Les agissements actuels du pouvoir s’apparentent à une attaque invisible, à bas bruit, sournoise, perverse, qui vise à affaiblir nos défenses psychiques. A l’heure du« soft power », les tapis de bombes ont cédé la place à une invasion de masques d’apparence inoffensive, mais c’est la même terreur qu’il s’agit d’alimenter afin de soumettre la population. Ce sont nos cerveaux qui sont pris d’assautet il est de notre responsabilité d’en assurer la défense. 

Dans sa fameuse allocution du 16 mars 2020, le Président de la République annonçait le confinement et la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, justifiant ces mesures en matraquant que « nous sommes en guerre » contre ce méchant virus. Mais ne nous y trompons pas : Macron aurait été plus honnête s’il avait précisé : « Nous sommes en guerre contre vous qui me regardez ». Reste à identifier et comprendre qui est ce « nous »…

Le Professeur Raoult : pilier face au délire collectif généralisé

Dans le délire collectif généralisé délibérément entretenu, le Professeur Raoult a incarné un des rares pôles stables par delà les frontières de l’Hexagone. Alors que le pouvoir mettait tout en œuvre pour terroriser la population, il a aidé beaucoup de monde à résister au délire et à ne pas basculer dans la folie. Il avait la compétence, l’expérience et la personnalité pour le faire. Dans cet océan, d’incompétence, d’arrogance, de mensonges et de manipulation, il a montré qu’il avait la stabilité, la solidité psychique, l’expérience et le recul nécessaires pour résister à la pression. Il su assumer ses responsabilités. Les attaques que Raoult a subies (diffamation, insultes, etc.) attestent du fait qu’il dérange. Il constitue en effet une menace sérieuse pour tous ceux qui cherchent à instrumentaliser la crise pour servir leurs intérêts.

Partie 5 : Développons des armes psychologiques

Des enjeux financiers colossaux

Fuite en avant dans le mensonge

L’obstination du gouvernement à mentir sur la réalité de ce virus et à imposer des réponses inadaptées et délétères peut s’expliquer par la volonté de se prémunir de toute attaque. C’est une sorte de fuite en avant dans le mensonge pour masquer son incompétence et ses errements initiaux. Terrorisé de devoir rendre des comptes, le gouvernement a ainsi persévéré dans ses mauvais choix. 

Une opportunité pour des bénéfices record

Mais cette raison ne saurait à nos yeux expliquer à elle seule le niveau de manipulation dont nous avons parlé : cette épidémie est l’objet d’enjeux financiers colossaux. L’acharnement contre l’HCQ qui est une molécule peu chère (elle n’est plus sous brevet) et facile à fabriquer, s’explique, du moins en partie, par ces questions d’ordre financier. Le marché de la santé dans son ensemble est aujourd’hui de plus en plus soumis aux logiques capitalistiques.

Pour l’industrie pharmaceutique, la « pandémie » de SARS-COV-2 se résume à une opportunité extraordinaire d’engranger des bénéfices record. Le coût de fabrication d’une dose vaccinale est minime et la marge qu’il permet de réaliser est très importante. Ainsi la manne financière qui peut découler de la mise sur le marché d’un vaccin destiné à 7 milliards d’individus est inimaginable. Bill Gates, informaticien aujourd’hui autoproclamé médecin chef de la gouvernance mondiale, estime à 40 milliards de dollars le coût pour vacciner la planète. Cette épidémie aiguise donc des appétits féroces que rien ne saurait contrarier.

C’est une véritable course contre la montre qui est lancée et les enjeux financiers sont tels qu’il y aura un vaccin, n’en déplaise au plus grand infectiologue de la planète, le Professeur Raoult, qui explique en quoi l’idée même d’un vaccin contre le virus SARS-COV-2 est une ineptie du point de vue scientifique…

Coalition d’intérêt contre la population 

Nous assistons ainsi à une collusion d’intérêts de ceux qui nous gouvernent avec la puissance médiatique et certains lobbies. Ensemble ils agissent pour défendre les intérêts d’une toute petite minorité contre ceux de la population dans son immense majorité. Macron s’exprime en tant que porte-voix de cette coalition usant de procédés pervers et, pour reprendre ses mots, c’est cette coalition davantage que le virus qui est « en guerre » contre la population.

Les conséquences prévisibles de cette crise.

Aujourd’hui, nous constatons que la pression ne redescend pas. L’objectif est clairement de préparer la vente d’un vaccinpourtant globalement inutile(du fait de la faible létalité du SARS-COV-2) et dangereux (développé à la va-vite en court-circuitant les protocoles habituels de mises sur le marché en raison de l’urgence).

Les propagandistes officielscherchent même désormais à conditionner la population à l’idée qu’il ne s’agira pas d’une vaccination définitive, mais qu’il faudra prévoir une revaccination régulière (avec nouveau passage à la caisse…). Le 2 octobre 2020 sur le plateau d’Europe 1, Christine Rouzioux, professeure de virologie et membre de l’Académie de médecine, développait des trésors d’ingéniosité pour essayer de nous démontrer que nous serions, malheureusement, sans doute obligés de nous refaire vacciner tous les 3, 4, 6 mois car « l’immunité ne persiste pas beaucoup ». Il ne saurait y avoir de limite aux intérêts financiers…

A court terme, la situation risque de s’aggraver  :

  • Les conséquences économiques de la gestion de la crise vont s’amplifier provoquant chômage et faillites en cascade.
  • La pression va augmenter sur la population, incluant de possibles mesures de reconfinement. 
  • La répression va également monter en puissanceafin de tuer dans l’œuf la colère populaire qui va immanquablement grandir.
  • La propagande de la peur va continuer à s’intensifier afin de maintenir la population en état de choc et de la soumettre.
  • Cette tendance devrait s’intensifier jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera rendu obligatoire si la propagande n’a pas suffisamment convaincu la population pour qu’elle y aille de son plein gré (l’obligation vaccinale contre le SARCOV-2 est déjà annoncé au Royaume Uni). 

La mise en vente d’un vaccin pourrait transitoirement conduire à un relâchement de la pression, mais nous ne croyons pas en un retour à la normalité. Nous pensons au contraire que la population va être soumise à une propagande croissante au service de puissants intérêts particuliers et contre son intérêt propre.

En tant que « psy », nous savons qu’il est essentiel, vital, de ne pas pérenniser indéfiniment un état d’exception et de revenir à une situation normale le plus rapidement possible. C’est pourtant ce que s’obstine à faire le gouvernement. 

  • Quelles seront les conséquences psychologiques sur la population à long terme ?
  • Nous ne pouvons pas douter un seul instant du fait que le pouvoir est parfaitement conscient de l’impact psychologique des mesures qu’il prend. Alors pourquoi agitil ainsi ? 

Ce texte propose un début de réflexion mais laisse de nombreuses questions sans réponse. Enfin, nous devons nous interroger sur la meilleure façon d’agir dans un tel contexte.

Protéger nos cerveaux et adopter une posture responsable.

Face à la situation dans laquelle nous nous trouvons, les citoyens doivent se mobiliser

Paranoïa ou « folie raisonnante » collective 

Le propre de la paranoïaest qu’elle développe une pensée pseudo-rationnelle qui a les apparences de la logique bien qu’elle soit déconnectée de la réalité. On parle de la « folie raisonnante » du paranoïaqueLa paranoïa collectivequi sévit actuellement, délibérément entretenue par le pouvoir, a une force de contagion bien supérieure à celle du virus lui-même. Dans ce contexte, nous devons donc avant tout reprendre le contrôle sur nos cerveaux. Nous devons nous réapproprier notre capacité de penser qui est notre bien le plus précieux. Nous devons sortir de la paresse intellectuelle et développer notre réflexion propre. Nous devons refuser d’offrir du « temps de cerveaux disponible » à des puissances qui, loin de servir notre intérêt, nous transforme inexorablement en poulets en batterie. Nous devons nettoyer notre cerveaud’années de propagande sournoise dont il est encombré. 

Reprendre le contrôle sur nos cerveaux

Attendre encore du pouvoir un comportement favorable au bien-être de la population relève de l’infantilisme. Cela revient à se comporter comme un adolescent mécontent de ses parents mais incapable de devenir un adulte autonome construisant sa vie en toute indépendance. Un enfant dont les parents sont toxiques, pervers, malades, n’a rien à attendre d’eux. Il en est de même de la population à l’égard du pouvoir. Nous devons nous réveiller et devenir adultes intellectuellement.

La crise actuelle soulève de nombreuses questions pratiques  : Comment se prémunir d’un pouvoir qui réduit chaque jour davantage nos libertés ? Comment survivre dans une société qui bascule dans la folie et ressemble de plus en plus à un hôpital psychiatrique à ciel ouvert ? Doit-on laisser nos enfants à l’école dans ces conditions, ou doit-on envisager une solution alternative ? Comment protéger notre santé et celle de nos enfants ?

Depuis très longtemps, la Thérapie Provocatrice et Humaniste (TPH) s’intéresse à l’impact de la société sur les individus. C’est même un peu sa marque de fabrique. La situation actuelle ne fait que confirmer, de façon criante, la pertinence de cette orientation. La « guerre » menée contre la population étant de nature psychologique, nous devons développer des armes psychologiques pour nous défendre.Dans ce contexte, les professionnels de la santé mentale doivent se trouver en première ligne. 


[Voir aussi : Covid-19 — Dr Louis Fouché : “On fouette votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu…”]




Alexandre Keyland : Je vous parle depuis le futur — soutenir une vision

[Source : http://alexandrekeyland.weebly.com]

[Auteur : Alexandre Keyland]

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Soutenir une vision
Soutenir Alexandre Keyland

Très chers amis, au vu de la crise sans précédent que nous traversons j’ai décidé de vous offrir mon expérience et mon service de vision et de prospective futuriste gratuitement, en tant que rédacteur et auteur pour apporter une voie de sortie optimiste à la crise, et nous inspirer avec enthousiasme en nous projetant vers un avenir plein d’opportunités pour résoudre les grands fléaux. Car en l’absence de vision politique, je propose une vision pragmatique, basée sur le talent citoyen de toutes celles et ceux qui imaginent déjà ce futur radieux pour tous.

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Je vous parle depuis le Futur

​Nous sommes le 27 Août de l’an de grâce 2055,
J’ai plus de 85 printemps, et pourtant il semble qu’à peine 60 se sont écoulés…

Le soir offre un savant mélange de parfums puissants d’une nature entièrement restaurée, un embrun marin et forestier qui à lui seul régénère entièrement mes cellules…

Au loin, la cité resplendit encore de lumière, tous les fanions des nations de la fédération flottent au vent. Aujourd’hui la Cérémonie d’entrée dans la nouvelle ère galactique a été historique et vibrante, les délégations des 533 nations stellaires, des 324 nations terrestres des 5 continents ont remonté glorieusement les Champs Elyseum au son des trompettes, sous une pluie de pétales de fleurs lancés par les enfants. Un jeune enfant a couru avec le drapeau de la Nouvelle Terre à travers villes et villages jusqu’à la capitale, sous les cris et pleurs de joie de la population, pour venir le planter sur le socle en haut des 333 marches du palais galactique. Une vasque éternelle s’est enflammée, inaugurant une nouvelle ère de l’âge d’or pour l’éternité. Une à une les délégations, composées des dignitaires d’Orion, de Sirius, des Pléiades, de Sagitarius, d’Acturus, de Vega, sont descendues dans leurs flamboyants vaisseaux spatiaux sur l’esplanade d’atterrissage…
Nous étions bouleversés d’apprendre que certains de ces très anciens dignitaires extra-terrestres furent nos anciens dieux, qui durent quitter la Terre à l’aube de l’histoire… Et d’apercevoir en vrai ces figures mythiques, nos dieux et déesses parents, fut une émotion qui nous a tous submergés et transformés d’une manière impossible à décrire… Ils étaient accompagnés par les grands messagers, qui ont servi eux aussi en leur temps, sous d’autres noms, pour rappeler leurs liens célestes à l’humanité…

Après la célébration qui dura 3 jours et 3 nuits, il me fallait m’éloigner dans la nature, pour reprendre mes esprits. Je quittais la tribune des dignitaires… Une part de moi, qui avait connu les grands bouleversements, semblait étrangement nostalgique… Je me suis engouffré dans mon Aérodine MHD flambante neuve équipée d’un ordinateur de navigation à contact à télépathe. « Démarrez » ai-je commandé au générateur. Et j’ai gagné une altitude de 3000 pieds a une vitesse raisonnable, pour admirer les rayons du soleil qui descendaient sur la noble capitale, et ses montagnes au loin…
Puis j’ai atterri dans ce champ sauvage, auprès de l’arbre sacré. J’ai coupé le contact et refermé la porte qui s’est rabattue automatiquement avec un léger bruit électronique. J’ai marché lentement en caressant les hautes herbes, sous le chant des grillons et me suis assis contre l’arbre de 2000 ans. Ressentant toute sa sagesse et son énergie de lumière m’envahir. Dans le silence, quelques chants au loin… Des cris d’enfants. Ils m’avaient certainement vu arriver…

Une petite s’approcha toute timide, « vous venez de la ville? »
— Oui très chère, je viens de la capitale.
L’un des enfants, plus perspicace que les autres, m’interrogea directement,
— Vous êtes le général Keyland c’est ça? Vous avez vécu le grand événement? Le grand renversement?
— Ah bon? Et qu’est-ce qui te fait dire ça?
— C’est votre écusson sur votre Aérodine…
— Racontez-nous le Grand événement Général!
— Oh oui s’il vous plaît, scanda la petite! S’il vous plaît! Racontez-nous!
— C’était comment, l’époque d’avant?
— Et bien, que puis-je faire devant tant d’enthousiasme! C’était une époque de grandes turbulences, de troubles inimaginables et de grandes souffrances sociales… Croyez-moi!
— Il y a eu, comment dirais-je, un « basculement » à un certain moment. C’était en 2020. Je m’en souviendrais toujours. Les peuples du monde ont commencé à s’éveiller les uns après les autres suite à une Pandémie, dont on a appri plus tard qu’elle fut organisée de toute pièce par des gouvernants de l’ombre qui tentèrent, en dernier recours, de créer une guerre civile aux USA et en France mais ce fut pour eux un fiasco…

— Les forces de l’ombre dirigeaient la Terre à cette époque?
— Les gouvernements de l’ombre ont dirigé la Terre pendant de nombreuses générations, mon garçon, exploitant les ressources, les biens et les personnes sans vergogne, jusqu’à l’épuisement. Fomentant des guerres et polluant la nature et les animaux par l’industrie du pétrole et du nucléaire. Les élites de ces gouvernements ont inversé absolument toutes les valeurs et les lois fondamentales, ont pris en otage l’humanité en lavant le cerveau des gens grâce à l’abrutisseur mondio-visuel, autrement dit « la télévision » et ont fait en sorte de violer toutes les lois, ainsi que les lois naturelles pour briser les familles, socles et forces vives de la civilisation, la virilité et la féminité. Leur but était à terme de détruire toutes les valeurs de bien commun pour réorganiser l’humanité selon de nouvelles normes restrictives de contrôle.

— Comment l’empire du mal est tombé?
— Grâce « aux braves », de nombreux lanceurs d’alertes et soldats de lumières courageux, des gens formidables, des agents sur le terrain et des personnes de bien, éclairées et avisées de la situation sur les plans de l’ombre…

À un moment clef, alors que la Pandémie et les mesures restrictives sont devenues insupportables et violèrent totalement les droits divins de l’humanité, une vague de révélations spectaculaires a été déclenchée sur la réalité de la nature maléfique de cet État Profond qui était toujours parvenu à se faire passer pour le camp du bien, jusqu’à ce jour crucial d’octobre 2020. Même la presse et les médias n’ont pu nier les crimes internationaux que ce gouvernement de l’ombre avait commis en corruption avec l’industrie pharmaceutique criminelle. Des centaines et des centaines de têtes dans l’exécutif mondialiste tombèrent. L’obligation vaccinale et l’obligation du port du masque furent levées, les contraventions furent remboursées au peuple. Des milliers d’Agents de l’exécutif et d’élites qui travaillaient pour l’État Profond furent neutralisées aussitôt. Ils eurent droit à un procès équitable devant le peuple. Ils furent tous considérés « présumés innocents » pendant l’étude de leur dossier avant d’être mis en accusation pour faits graves.

— Plus tard, un procès international historique eu lieu pour juger tous les criminels de guerre, pour crime contre l’humanité.
— En même temps il y eu de nombreuses interventions extra-terrestres pendant le renversement. Des vaisseaux se livraient à de nombreuses allées et venues dans le ciel, prouvant leur existence à l’humanité toute entière et aidant à neutraliser les forces de l’ombre. En effet, celles-ci, sentant leur fin proche, avaient délibérément violées le « libre arbitre terrestre » en imposant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire par le biais du vaccin et de ces obligations sur la vie et la santé, et d’arrestations de gens innocents et de lanceurs d’alertes. Et les forces de la flotte galactique n’ont ordre d’intervenir qu’en cas de viol du « libre arbitre terrestre », des droits et libertés… Ce qui fut fait.

— C’était proprement inouï de voir ça pour la première fois! Personne ne s’y attendait vraiment! Mais ils étaient bien là. Dans notre espace aérien. Quelques membres de l’État Profond qui étaient passés entre les mailles du filet en créant un groupe clandestin de « résistants » ont voulu faire passer cette intervention de sauvetage comme étant une ingérence et une invasion extra-terrestre délibérée, mais sans succès.

— Nous avons ensuite appris qu’il existait une force spatiale secrète qui travaillait en coopération avec l’alliance au sol et en lien avec la fédération galactique. Pendant les arrestations et le grand renversement, nous avons pu bénéficier d’une couverture aérienne stellaire de milliers de vaisseaux de la flotte galactique… Ce fut tout simplement spectaculaire…

— Toutes les guerres et toutes les tentatives de déclenchement de conflit nucléaire, en dernier recours par l’État Profond, se sont soldées par un échec. Les Missiles ISBN furent neutralisés et tout le système est tombé en panne simultanément à l’échelle internationale après le démantèlement de toutes les bombes toplet, des armes scalaires, Haarp, 5G, MkUltra, Bluebeam etc… Tous les conflits se sont arrêtés net. Les expériences de clonage, de PMA humaine et transgénique ont été stoppées net, les activités criminelles des laboratoires pharmaceutiques neutralisées, et leurs dirigeants entendus par la justice. Le système financier a été réinitialisé sur la valeur or, et une somme gigantesque de plusieurs trions de dollars d’argent volé par les élites corrompues fût rendu au peuple. Les salaires furent réévalués à leur juste valeur, et comme nombre de métiers disparurent dû à la révolution technologique qui facilita la vie et rendit du temps aux familles, un salaire universel global fut déployé.

— La criminalité s’est effondrée soudainement, car plus personne ne convoitait les biens d’autrui, vu que chacun avait enfin de quoi prospérer normalement et vivre avec abondance…
— Au niveau politique, les nations sont redevenues souveraines. Il n’y a pas eu de « gouvernance mondiale », chaque pays et chaque citoyen sont redevenus souverains de leurs destinées. Chacun a pu bénéficier de la liberté de déplacement et de la liberté de vivre où il voulait. Il y a eu aussi une re-migration importante, car les générations qui n’avaient pas connu leur pays d’origine ont pu revenir chez elles et redécouvrir leurs magnifiques terres d’origine, pour rebâtir… Car chaque pays avait enfin la technologie et les ressources pour prospérer normalement.

— Puis toutes les autres divulgations ont suivi comme un jeu de dominos; les programmes scolaires ont été bouleversés, on apprenait la véritable histoire de l’humanité à l’école, celle qui avait été cachée, un peu de philosophie et de spiritualité, des technologies propres escamotées par les anciens gouvernements ont été libérées. Il a fallu 10 mois à peine pour mettre en route la toute nouvelle gestion des ressources bio-écologiques. Toutes les connaissances médicales cachées et efficaces furent aussi libérées et délivrées à la population. Les gens ont été aussi choqués d’apprendre qu’on leur avait menti à peu près sur tout, y compris sur la surpopulation. En effet, 95% des terres sur notre planète sont inhabitées.

— Des centres de soins ont été créés pour guérir, à la fois psychologiquement et physiquement, ceux qui souffraient de post trauma dû au grand renversement et de pathologies physiques. Il a fallu entièrement rééduquer ceux qui ignoraient encore ce qui s’était passé et pourquoi le monde d’avant marchait à l’envers de toutes les lois naturelles. La Peur irrationnelle et les sentiments de divisions et de conflits ont été remplacés par plus de confiance et d’unité.

— Ensuite, pour l’alimentation, les circuits courts ont remplacé l’industrie agricole et les supermarchés, qui ont été démantelés en l’espace de 6 mois seulement.
— Les grands constructeurs de voiture et de transport aérien se sont convertis en énergie propre et universelle à 100% – Les premières aérodyne ont vu le jour. La construction et le bâtiment ont bénéficié eux aussi d’une avancée majeure dans les techniques recyclables et bio énergétiques.
— Et c’est ainsi que le monde a été littéralement métamorphosé en l’espace de 24 mois, en organisation démocratique par et pour le peuple, présidée par un conseil de sages, et un système bio naturel bénéficiant des plus hautes technologies propres et opérationnelles, dont certaines provenaient directement de technologies extra-terrestres.
— Ensuite, nous avons vécu les premiers atterrissages de vaisseaux des délégations de dignitaires issues de nations extra-terrestres appartenant à la Fédération Galactique, qui ont organisé une grande célébration en hommage à tous ceux et celles qui avait contribué à « réveiller » l’humanité en tant que volontaire sur Terre. Ce fut proprement émouvant et inoubliable…

— Wooow, dit l’un des enfants!
J’aurais vraiment voulu connaître cette époque!
— Tu vois cette fleur, quand une fleur ne pousse pas bien, ce n’est pas la fleur qu’il faut corriger, mais son terrain…
Je soupirais…
— Oui, ce fut l’âge des héros et des braves. Ce fût un tournant mythique comme jamais il y en a eu, et comme jamais il y en aura sur Terre…
Le vent sur les sommets et le chant des grillons marquèrent un espace de silence dans le temps…
— Allez, il est tard les enfants! Oust! Le soleil est déjà couché et les étoiles brillent!
La petite tourna la tête vers la voie lactée… « Mon Papa va m’emmener là-haut quand je serais plus grande! Pour rencontrer nos ancêtres… »
— Nous avons tous rendez-vous là-haut, ma grande…
L’Aventure ne fait que commencer…

Alexandre Keyland

https://www.youtube.com/watch?v=fC6fIQGoRVc

Bientôt les Universités pour la Prochaine Étape

Vous voulez devenir Pionnier pour la prochaine étape?
écrivez moi alexkeylan@yahoo.fr

APPEL aux PIONNIERS

Très chers amis,
rêveurs optimistes, maitres spirituels, sages, chamanes, guides, naturopathes, médecins, ingénieurs, chercheurs, ufologues, scientifiques, ingénieurs agronomes, paysans(nes), avocats(tes), enseignants(tes), économistes et banquiers équitables, juristes, légistes, architectes, bâtisseurs, députés, magistrats(tes), entrepreneurs, étudiants(tes), informaticiens(nnes), artistes, metteurs en scène, réalisateurs(trices), et à tous ceux qui se sentent l’âme d’un pionnier pour inventer un futur optimiste et viable!
Aujourd’hui c’est à vous que je m’adresse plus particulièrement.

Chacun sait que le système est en train de sombrer et que nos gouvernants n’ont aucune vision d’avenir, tout au plus du green washing soumis aux lobbies et mettre nos enfant à l’école obligatoire dès 3 ans!

Nous vivons une époque à la fois trouble et révélatrice des dysfonctionnements de notre système et de nos sociétés et de la haute corruption qui y règne, n’autorisant pas les professionnels de bonne volonté à apporter de véritables solutions d’avenir pour régler les grands fléaux que sont la guerre et les conflits, la pollution, la maladie et la misère.
Nous avons pourtant tous les outils à notre disposition qui devraient être utilisé pour sortir de la crise majeure. Il ne manque plus en fait qu’à déverrouiller certaines mécaniques économiques, juridiques et législatives afin d’être pleinement opérationnel pour enfin offrir un avenir sain à nos enfants.

Nous savons aussi par ailleurs qu’un nettoyage du système est en cours, mais en attendant d’en avoir la confirmation, je nous propose de monter dès aujourd’hui à bord du navire de sauvetage pour inventer le nouveau monde.
Tous ceux qui ont une expérience concrète sur le terrain, dans tous les domaines professionnels et qui sont convaincu au fond d’eux-même d’être des rêveurs optimistes, désireux de travailler pour un avenir meilleur, se sont fréquemment heurté aux verrous du système, qu’ils soient économiques où politiques. Nous nous sommes alors senti comme des héritiers en fuite, ou cachés. Certain d’entre nous ont baissé les bras, ou ont fuit le système.

Aujourd’hui nombre de signes et d’informations qui filtrent du monde entier nous montrent qu’une grande opération de renversement de l’Etat Profond, qui a verrouillé nombre de solutions d’avenir, est en cours.

En attendant d’avoir confirmation, entrons en action! Je nous invite à construire dès aujourd’hui le nouveau monde, la navire de sauvetage, la grande nouvelle étape qui est devenue absolument indispensable aujourd’hui. Et de réunir nos talents en créant une amicale, une réunion, autour d’une « Université de la Prochaine Etape », pour mettre en place une action commune, méthodique et concrète afin d’avancer les pièces de notre jeu, nos cartes, nos solutions déjà existantes, en lien avec les solutions des grands visionnaires de notre époque comme l’ingénieur Jacques Fresco ou Foster Gamble auprès de qui nous pourrons puiser des idées.

Les seules conditions que je pose pour réunir cette « Université de la Prochaine Etape » c’est d’avoir en tant que professionnel:
1) Une position de rêveur optimiste, et de visionnaire bienveillant.
2)Une vision étique et pragmatique, pour régler les grands fléaux, sans OGM, IA, fréquences nocives, ou autre transgressions des lois naturelles.
3) Ne pas être en conflit d’intérêt avec une société ou un groupe multinational destructeur de la souveraineté humaine ou de l’environnement.
4) Eviter les idéologies mondialistes dissolutives du tissu social, familial, rural, national, et de la souveraineté de l’humain.
En dehors de ces conditions, chaque professionnel et être humain sera libre de donner libre cours à son imagination pour inventer le futur dont il rêve…

J’appelle donc tous les Necs plus Ultra, les rêveurs optimistes, futurologues, Sages, guides, thérapeutes, chercheurs, ufologues, scientifiques, ingénieurs agronomes, paysans(nes), avocats(tes), économistes et banquiers équitables, juristes, légistes, architectes, bâtisseurs, enseignants(tes), députés, magistrats(tes), entrepreneurs, étudiants(tes), informaticiens(nnes), artistes, metteurs en scène, réalisateurs(trices), etc, à nous réunir en force citoyenne, et à nous organiser en collectif et en rassemblement d’associations déjà existantes, pour être une plus grande force de propositions concrètes. Afin de solutionner très vite les verrous du système par des moyens efficaces et concrets.

L’UNION FAIT LA FORCE
Je nous appelle à devenir des PIONNIERS du NOUVEAU MONDE!
Je nous appelle à franchir l’obstacle du millénaire!
Je nous appelle à nous servir de notre imagination collective!
Je nous appelle à foncer en avant et à construire dès aujourd’hui le premier grand mouvement vers la prochaine étape qui nous tend les bras!

Nous sommes l’avenir et toutes les âmes de bonnes volontés qui respectent les valeurs et les droits, de leur racines, de leur nations, de leur idéaux spirituels pour la plus haute évolution de l’humanité seront les bienvenues dans cette université spontanée.

Nous n’allons pas nous étendre dans de longs discours et débats interminables, des conférences sans fins, aux questions sans fins…

Nous allons prendre les solutions, une par une, et examiner quel verrou s’y oppose, puis déverrouiller la solution.
Notre action devra avoir un caractère volontaire et public, décomplexé, exigeant, ambitieux, éclairé et bienveillant. C’est pourquoi nous avons besoin des personnes les plus avisées, les plus compétentes, et d’expérience. Mais nous aurons aussi besoin des jeunes qui ne sont pour l’instant armé que de leur seul enthousiasme et diplômes.

Le président Kennedy avait annoncé en 1961;
« Nous choisissons de nous rendre sur la Lune, et de tout accomplir dans ce sens, non parce que c’est facile, mais bien parce que c’est difficile! »

Nous allons déverrouiller les portes qui ont obstrué jusqu’alors le tunnel du futur et qui nous empêchaient de voir la lumière au bout!

Nous devons réussir, nous n’avons pas le choix!
La réussite du plan est la seule option pour sauver la planète et l’humanité!

J’en appelle donc maintenant, chers amis, à TOUS CELLES et CEUX qui se sentent concerné et qui remplissent les conditions préalables à me le faire savoir, en messages privés, que je commence ainsi à dresser la liste des Pionniers qui viendront s’ajouter à nos « journalistes lanceurs d’alertes » et « visionnaires » déjà connus.
pour ensuite convenir d’un 1er meeting.

​Il y a suffisamment d’amour, suffisamment de talents, suffisamment d’idées, suffisamment d’envie, suffisamment de moyens à nous tous pour créer ce nouveau monde.
Nous en savons maintenant suffisamment pour lancer cette grande université de la prochaine étape!

l’Ame tendue et
Haut les cœurs!

Je mettrais moi même mon expérience de directeur de la communication en œuvre pour cette grande occasion.
Je vais mettre en place prochainement une plateforme conférence et forum en ligne avec tous les pionniers, un espace pour nous retrouver en permanence, afin d’échanger sur des moyens de mettre en œuvre le nouveau monde, et de mettre en contact les différents professionnels afin d’être réactif. Ce ne sera pas un foure-tout idéologique et philosophique, il y en a déjà bien assez. Là il s’agira d’être sur des questions et réponses sur des moyens concrets uniquement.

Allons de l’avant!
Alexandre Keyland

Vous voulez devenir Pionnier pour la prochaine étape?
écrivez moi alexkeyland@yahoo.fr




Pourquoi les censeurs détestent Assange, par Richard Black

[Source : Les Crises]

Pourquoi les censeurs détestent Assange, par Richard Black

Article initialement publié le 4 août 2018

Par le sénateur Richard Black
Paru sur Antiwar.com sous le titre Why the Censors Hate Assange


En tant qu’officier militaire,
j’ai été formé pour observer strictement les protocoles de sécurité.
Ainsi, lorsque j’ai entendu parler de WikiLeaks et Julian Assange pour
la première fois, j’étais instinctivement critique. Mais en lisant les
documents qu’il a publiés, j’ai vu comment Julian a donné aux gens un
aperçu précis des rouages internes de leur propre gouvernement.

Le gouvernement « du peuple » ne peut pas s’épanouir sous le voile étouffant du secret. Et le secret vise souvent non pas à nous protéger de nos ennemis à l’étranger, mais à nous tromper sur les sombres machinations de notre propre gouvernement. Les secrets les plus importants sont ceux qui servent à dissimuler les mesures prises pour établir des motifs pour des guerres futures — des conflits injustifiés qui semblent sortir d’une chaîne de montage sans fin. Les « no fly-zones » , les bombardements, les sanctions, les faux drapeaux, les blocus, les mercenaires, les terroristes assoiffés de sang sont tous devenus banals. Les sanctions déstabilisent les pays-cibles à travers la faim et la souffrance. Nous terrorisons et semons des parties de corps humains dans les rues en tant que cartes de visite. Les changements de régime son un jeu ; les coups d’État et les assassinats sont des pratiques quotidiennes.

Avant Assange, ceux qui ne jouaient pas le jeu et détectaient les
schémas d’inconduite de l’Etat profond étaient catalogués « théoriciens
du complot » ou pire. Mais avec l’avènement de WikiLeaks, des documents
originaux et incontestés ont prouvé la véracité de nos arguments et
révélé la vérité aux citoyens du monde entier.

L’élection de Trump a envoyé de violentes ondes de choc dans l’État
profond. Les gens avaient été avertis qu’ils ne devaient pas élire cette
personne – mais ils ont ignoré les instructions. Cela ne devait pas se
produire — et ne doit pas se reproduire. Le peuple a démontré que les
médias grand public ont perdu le contrôle du débat national. Des
renseignements secrets étaient révélés et partagés. Des générations de
censure se sont effondrées sous l’assaut de communications non censurées
entre familles, amis et groupes d’intérêts. Les médias sociaux — un
nouveau paradigme effrayant – ont remis en question l’emprise de l’élite
sur les leviers du pouvoir. Après l’élection imprévue de Trump, le rétablissement des obstacles à la liberté d’expression et de communication est devenu un impératif mondial.

Aujourd’hui, nous assistons à des efforts intenses et
coordonnés pour réimposer un contrôle efficace de l’information en
Amérique et dans le monde entier.
Facebook, Twitter, Google,
YouTube, PayPal et d’autres titans de la high-tech s’empressent
d’embaucher des censeurs et d’adopter des politiques restrictives qui
empêchent les voix controversées de toucher un public mondial. Big
Brother est de retour.

Julian Assange et WikiLeaks font partie des cibles privilégiées des
censeurs. Ils ont perturbé la censure des grands médias. L’assassinat
d’Assange n’est pas exclu. Eh oui, il est aussi important que ça.

Je sais que Julian Assange est controversé, mais je serais heureux
qu’une nation courageuse lui accorde un asile permanent. Qu’il continue
de donner aux citoyens un aperçu honnête du fonctionnement interne de
leur gouvernement. Cela semble être notre meilleur espoir de paix.

Le sénateur Richard H. Black (Parti républicain) représente le
13e district de Virginie. Il est colonel de l’armée américaine (à la
retraite) ; ancien chef de la Division du droit pénal, Bureau du
Juge-avocat général du Pentagone ; associé des VIPS, Veteran
Intelligence Professionals for Sanity. Son site Web.

Traduction Entelekheia




En France, les libertés associatives de plus en plus entravées

[Source : Basta !]

[Auteur : Vanina Delmas]

« Nous constatons un tour de vis sécuritaire très agressif » : les libertés associatives de plus en plus entravées

Le milieu associatif engagé dans la défense des droits humains, l’écologie ou la solidarité fait face à de multiples attaques des pouvoirs publics français qui mettent clairement en péril sa liberté d’expression et d’action, voire l’existence même de nombreuses structures. L’Observatoire des libertés associatives vient de publier un rapport alarmant : état des lieux d’une répression en cours.

« Quelle reconnaissance et quel respect par les autorités publiques de la liberté d’action et de critique des associations ? » Une telle question ne devrait même pas se poser. Et pourtant, elle est au cœur du premier rapport de l’Observatoire des libertés associatives créé en mars 2019. Les neuf associations [1] et les juristes, sociologues, économistes ou politologues composant l’observatoire pointent 100 cas d’associations dont les activités ont été réprimées, restreintes voire entravées par les pouvoirs publics.

Les cas les plus médiatisés sont assez éloquents : les militants opposés au centre d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure étroitement surveillés, harcelés et poursuivis en justice, la répression féroce envers la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, ou les soutiens aux migrants poursuivis pour délit de solidarité, dont l’emblématique Cédric Herrou. Des dizaines d’autres exemples plus discrets permettent de « mettre à jour un phénomène systémique qui manque encore de reconnaissance institutionnelle ». « Lutter contre les répressions associatives passe aussi par une analyse précise des mécanismes des atteintes institutionnelles à l’autonomie et à la liberté associative car c’est une réalité assez largement invisibilisée », affirme Julien Talpin, chercheur en sciences politiques au CNRS qui travaille sur l’engagement dans les quartiers populaires.

Depuis 2015, l’escalade répressive est indiscutable

Le rapport se focalise sur la période 2010-2020. Depuis 2015 se dessine une escalade de la violence et de la répression envers les associations et militants, notamment ceux revendiquant une mission de plaidoyer. Des mesures liées à l’état d’urgence sont entrées dans le droit commun, Nuit debout et les manifestations contre la loi Travail en 2016 ont été violemment réprimées, tout comme le mouvement des Gilets jaunes. Sans oublier le contexte global de défiance des citoyens envers les pouvoirs publics.

Yann Manzi, fondateur de l’association Utopia 56 qui vient en aide aux migrants à Calais, Paris et Grande-Synthe, a vu et vécu cette escalade sécuritaire depuis la création de l’association humanitaire en 2016 : « À l’époque le gouvernement Hollande essayait déjà de faire passer toutes les associations d’aide aux migrants pour des « No border » [un réseau de militants pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, ndlr], de nous enfermer dans une catégorie de militants extrémistes. Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, nous assistons à un durcissement de la politique migratoire et les associatifs sont encore plus empêchés de travailler. Avec Gérald Darmanin au ministère de l’intérieur, nous constatons un tour de vis sécuritaire très agressif. »

Expulsions forcées des lieux de vie, destructions des tentes et duvets, une pluie d’amendes, des arrêtés municipaux empêchant la fixation de lieux de distributions alimentaires, intimidations… Le harcèlement ou les menaces envers certaines associations ont continué pendant le confinement, alors que tout le gouvernement appelait à la solidarité, notamment envers les personnes les plus vulnérables. Ainsi, le 1er mai dernier, plusieurs dizaines de policiers ont interrompu la distribution de nourriture organisée par Les Brigades de solidarité populaire à Montreuil. Plusieurs bénévoles ont été contrôlés et verbalisés.

Trois niveaux d’entraves visent les associations

La première catégorie d’entraves, selon le rapport, est surtout symbolique. Il s’agit de discréditer les prises de paroles ou les actions. Les méthodes de l’association L214 ont été comparées à du terrorisme par le maire (LR) d’Alès, suite à une campagne dénonçant les souffrances animales dans l’abattoir de la ville. Ce genre d’attaques est par exemple récurrent dans les conflits entre municipalité et collectifs d’habitants engagés contre des projets de rénovation urbaine que ce soit à Roubaix, Amiens, Gennevilliers, Grenoble…

Cette disqualification du travail associatif permet aux autorités qui en usent de ne pas aborder le fond des problèmes, et peut conduire à un second niveau d’entraves : des poursuites judiciaires pour étouffer, épuiser les acteurs associatifs, y compris les médias. À Lille, le « journal local de critique sociale » La Brique a été verbalisé lors d’une vente à la criée. Refusant de payer l’amende, il a été poursuivi au tribunal par la municipalité socialiste. À Marseille, un militant du « Collectif du 5 novembre – Noailles en colère », fondé après l’effondrement des immeubles de la rue d’Aubagne, a subi 28 h de garde à vue suite à une action au siège du bailleur social, Marseille habitat, qui avait expulsé vingt personnes. Ailleurs, ce sont des pertes d’agrément ou de convention qui visent à bâillonner les associations, à l’image du Génépi qui intervient depuis plus de quarante ans dans les prisons. En 2018, le ministère de la Justice lui a retiré sa convention et sa subvention annuelle en raison de ses prises de positions sur la politique carcérale.

La troisième forme d’attaques récurrentes renvoie à une brutalité physique, sur le terrain, par les forces de l’ordre, mais aussi les perquisitions, les gardes à vue… Sans surprise, les militants contre les violences policières sont des cibles privilégiées de cette répression comme les Observatoires des pratiques policières à Lille et Toulouse. Les luttes environnementales semblent de plus en plus ciblées, depuis la mise en place de la cellule de renseignement Demeter dédiée aux « atteintes au monde agricole » par le ministère de l’Intérieur en partenariat avec la FNSEA, syndicat agricole majoritaire. Un militant anti-pesticides de Gironde a ainsi reçu la visite surprise de gendarmes au moment même où il préparait les États généraux des riverains autour de la question des pesticides.

Les défenseurs de l’environnement particulièrement visés

« Les politiques publiques empruntent de plus en plus des voies intenables sur le plan écologique. Quand on dénonce cela, en pointant des pratiques agricoles non durables, ou des projets dévastateurs, ils ont tous la même réaction : faire taire le débat démocratique ! », décrypte Antoine Gatet, juriste à France nature environnement. Lui-même s’est retrouvé convoqué récemment à la gendarmerie après avoir été interviewé par France 3 en tant que porte-parole de l’association agréée Sources et rivières du Limousin à propos d’un projet de serres de culture de tomates hors-sol, installées sur une zone humide en Corrèze.

« L’environnement est un terreau de la démocratie depuis toujours, car il est reconnu que les conséquences de projets, de décisions, auront des impacts sur tout le monde. Aujourd’hui, cette démocratie est totalement bafouée. La disproportion des formes de répression n’est pas rassurante », s’indigne le juriste. Une inquiétude, une colère, une incompréhension grandissantes face à un système deux poids, deux mesures qui s’accentue, et avec lui le clivage de la société. En février dernier, des agriculteurs de la FDSEA de Haute-Garonne ont dégradé la façade de la maison de l’Environnement à Toulouse, devant les caméras du journal La Dépêche du midi, afin de montrer leur désaccord avec la mise en place des zones de non-traitement aux pesticides. Sans être aucunement inquiétés par les pouvoirs publics.

L’arme fatale : couper les subventions

L’accumulation de ces pressions, augmentées de coupes de subventions, peuvent mettre en danger l’existence même des associations ciblées. « En France, les associations ont toujours souffert d’une forte dépendance aux financements des pouvoirs publics, précise Julien Talpin. Mais les restrictions de subventions, les transformations structurelles du financement du monde associatif avec de plus en plus de passages par des appels à projets renforcent la concurrence et compliquent leur situation. » Ainsi, le centre de santé toulousain la Case de Santé a dû faire face à de multiples baisses de subventions (mairie, préfecture, agence régionale de santé), alors qu’il est le seul lieu de la ville rose soignant les sans-papiers et les Chibanis, et qui mise sur la complémentarité entre soin et accompagnement social. Les critiques des médecins sur les politiques de santé et la prise en charge des migrants seraient la cause de cette mise au ban.

Le contexte politique local joue un rôle primordial. Comment ne pas citer la ribambelle de reculs des libertés associatives dans les villes Front national. En 2014, David Rachline maire fraîchement élu de Fréjus a suspendu les subventions du centre social et culturel Les tournesols de Villeneuve après des critiques émises sur la gestion municipale du FN par sa directrice dans la presse. Quatre ans plus tard, c’est au tour du centre social de La Gabelle accusé de communautarisme car celui-ci distribuait des repas pendant le ramadan. Ou encore la tentative du maire d’Hayange d’expulser le Secours populaire de son local, demande rejetée par la cour d’appel de Metz en janvier dernier.

Alerter les politiques… ou faire sans eux ?

Ce rapport est aussi une occasion d’interpeller les partis politiques, et notamment la gauche, surtout après la conquête de grandes villes lors des dernières élections municipales. « S’ils n’ont pas une réflexion poussée sur la place de ces contre-pouvoirs, au-delà de la simple cooptation à l’intérieur des équipes municipales ou du clientélisme via le financement associatif, ce ne sera pas suffisant pour produire du changement social », certifie Julien Talpin.

Certaines associations n’attendent pas grand choses des politiques et préfèrent miser sur l’autodéfense. Du côté d’Utopia 56, les intimidations quasi quotidienne mettent les nerfs des militants à rude épreuve mais ne les découragent pas. Yann Manzi l’assume, il faudra aller plus loin dans la désobéissance civile face aux injonctions des préfectures, et continuer de filmer, documenter ce qui se passe sur le terrain : « Nous sommes dans un monde d’image, de communication et cela fait peur aux pouvoirs publics quand on montre la réalité. Nous voulons être encore plus les yeux des citoyens sur le terrain, s’interposer en filmant pour préserver le peu de droit qui restent aux exilés, et leur procurer un peu de tranquillité. » Dans une vidéo réalisée par un des bénévoles durant le confinement, un policier dit explicitement son intention « d’user » les associations sur le terrain.

Une reconnaissance et une protection de la fonction démocratique des associations deviennent vitales pour sauvegarder l’essence de la citoyenneté. Des engagements politiques sont donc nécessaires, parallèlement à des ripostes individuelles. Car pour Julien Talpin, le principal risque réside dans l’autocensure : « Épuisés par ce sentiment permanent d’épée de Damoclès au-dessus de leur tête, des bénévoles vont finir par éviter de critiquer les pouvoirs publics, de poser des questions sur des décisions politiques par peur de voir leurs subventions coupées, de perdre leurs locaux… Cela contribue à une forme de dépolitisation du monde associatif et appauvrit durablement la démocratie. »

Vanina Delmas (Politis)

Photo : Des policiers municipaux effectuent des contrôles d’attestations à Saint-Denis, pendant le confinement. Cette fois, la police a laissé les « brigades de solidarité populaire » continuer leur distribution de nourriture sans problème. Ce n’est pas toujours le cas.
Mai 2020. / © Anne Paq

Notes

[1] L’Alliance citoyenne, Alternatives pour des projets urbains ici et à l’international (Appuii), le Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), le Collectif des associations citoyennes, France nature environnement, la Ligue des droits de l’Homme, le Mouvement associatif, la coordination nationale Pas sans nous, VoxPublic.




Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine, Jeff Yates, le désinformateur, et la censure

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

Voici la 5et dernière partie de la série Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la « controversée hydroxychloroquine »

1ère partie : Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine» ou ici

2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins ou ici

3e partie : Dons de la Fondation Bill & Melinda Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens ou ici

4partie Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant! ou ici


Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine

Même si de nombreux médecins à travers le monde disent avoir employé l’hydroxychloroquine avec succès pour traiter leurs patients, l’OMS recommande de ne pas l’utiliser pour traiter la COVID-19 en raison d’« importants effets secondaires ».

OMS-recommend-not-use-hcq

Pourtant, selon une lettre au rédacteur en chef de la revue Nature, écrite par un groupe de chercheurs chinois en mars 2020, « la chloroquine semble être le médicament de choix pour une utilisation à grande échelle en raison de sa disponibilité, de son innocuité éprouvée et de son coût relativement bas » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations) :

« En conclusion, nos résultats montrent que l’HCQ [hydroxychloroquine] peut inhiber efficacement l’infection au SRAS-CoV-2 in vitro. En combinaison avec sa fonction anti-inflammatoire, nous prédisons que le médicament a un bon potentiel pour combattre la maladie. Il faut attendre que cette possibilité soit confirmée par des essais cliniques. Nous devons souligner que, bien que l’HCQ soit moins toxique que la CQ, une utilisation prolongée et par surdose peut toujours provoquer un empoisonnement. »

Une étude du CDC de 2005 publiée dans le Virology Journal avait par ailleurs démontré que la chloroquine est très efficace contre le SRAS-CoV-1.

« [L]a chloroquine a de puissants effets antiviraux sur l’infection par le SRAS-CoV des cellules de primates. Ces effets inhibiteurs sont observés lorsque les cellules sont traitées avec le médicament avant ou après l’exposition au virus, ce qui suggère un avantage à la fois prophylactique et thérapeutique […]

Une autre étude publiée en 2004 par des chercheurs belges dit ceci :

« La chloroquine, un ancien médicament antipaludique, peut être envisagée pour une utilisation immédiate dans la prévention et le traitement des infections par le SRAS-CoV. »

raoult
Didier Raoult

Depuis février, l’expert des maladies infectieuses Didier Raoult préconise l’emploi de l’hydroxychloroquine et de l’azythromicine pour traiter les patients atteints de la COVID-19. Il n’est pas le seul.

Le Dr. Harvey Risch, professeur d’épidémiologie à l’Université Yale a déclaré en entrevue à Fox News que l’emploi de l’hydroxychloroquine pour traiter les patients atteints de la COVID-19 pourrait sauver de 75 000 à 100 000 vies.

Dans une étude parue le 27 mai, il affirme :

risch
Harvey Risch

La combinaison hydroxychloroquine+azithromycine a été faussement représentée dans les études cliniques et dans les médias de masse, et ce de manière considérable […]

Cinq études, dont deux essais cliniques contrôlés, ont démontré son efficacité significative dans les traitements ambulatoires. L’hydroxychloroquine+azithromycine est un traitement standard qui a été employé chez plus de 300 000 personnes âgées souffrant de multiples comorbidités. La proportion estimée de diagnostics d’arythmie cardiaque attribuable aux médicaments est de 47/100 000 utilisateurs et la mortalité est estimée à <20 %, 9/100 000 utilisateurs, comparativement aux 10 000 Américains qui meurent actuellement chaque semaine. Ces médicaments doivent être largement disponibles et faire l’objet d’une promotion immédiate pour que les médecins puissent les prescrire. »

Selon un sondage mené auprès de 6000 médecins à travers le monde et portant sur 15 options de traitement, l’hydroxychloroquine constitue le traitement le plus efficace contre la COVID-19 :

sondage

Un autre sondage mené aux États-Unis auprès de 1271 médecins dans 50 États a révélé que 65 % d’entre eux prescriraient la chloroquine ou l‘hydroxychloroquine pour traiter ou prévenir la COVID-19 chez un membre de leur famille. Seulement 11 % d’entre eux disent qu’ils n’utiliseraient pas du tout ce médicament.

Controversée l’hydroxychloroquine ou diabolisée par de puissants intérêts financiers?

En gardant tout cela en tête, retournons enfin à Jeff Yates.

Jeff Yates, le désinformateur

combattre la désinformation

Nous pourrions nous attaquer à chaque point que Jeff Yates qualifie de mensonge dans son texte, America’s Frontline Doctors : attention à cette vidéo trompeuse portant sur la COVID-19, mais nous nous en tiendrons à un seul d’entre eux : l’hydroxychloroquine.

Vous pouvez voir la conférence de ces médecins en entier sur leur site America’s Frontline Doctors.

Ces médecins affirment ce qui suit :

« Les États-Unis sont victimes d’une campagne massive de désinformation. Nous pouvons spéculer sur la manière dont cette campagne s’est produite et les raisons pour lesquelles elle s’est poursuivie, mais le but du premier sommet des ‘’blouses blanches’’ est de donner aux Américains les moyens de cesser de vivre dans la peur. »

Selon Jeff Yates, la vidéo de la conférence de ces médecins étasuniens affirmant que l’hydroxychloroquine est efficace contre la COVID-19 contient plusieurs mensonges au sujet de la pandémie.

america's frontline doctors

Il nous explique « pourquoi c’est faux » :

« L’hydroxychloroquine n’est pas considérée comme un traitement efficace contre la COVID-19.

Depuis le début de la pandémie, ce traitement est mis de l’avant, notamment par le professeur Didier Raoult, de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille. Ce dernier affirme depuis la fin février que ce médicament, prescrit avec l’azithromycine, constitue un traitement efficace contre la COVID-19. Toutefois, ses études ont été sévèrement critiquées. »

Le dernier lien nous amène vers un texte du Parisien à propos d’une revue critique d’un seul épidémiologiste hollandais au sujet d’une seule étude de Didier Raoult. Où sont les autres études sévèrement critiquées? Serait-ce un message implicite du décrypteur nous invitant à faire nos propres recherches?

Il poursuit en disant :

« Depuis, de plus en plus d’études démontrent que l’hydroxychloroquine n’est pas un traitement efficace contre la COVID-19. »

Vraiment?

Voici 76 études (45 révisées par des pairs) menées à travers le monde et dont la très grande majorité démontre la « grande efficacité » de l’hydroxychloroquine comme traitement et prophylaxie. On peut voir un tableau mis à jour le 16 août et indiquant que les pays qui emploient l’HCQ au début de la maladie (en vert) ont un taux de mortalité inférieur de 78,2 %.

tableau comparatif pays

D’autres facteurs sont-ils en cause? Possiblement.

Ces données sur la mortalité sont cependant corroborées par le Pr. Raoult, selon lequel la censure dans les revues scientifique est « inédite ».

Il affirmait dans une vidéo publiée le 7 juillet :

« Ni le remdésivir, ni le lopinavir n’ont jamais eu une étude publiée montrant qu’il y avait une prévention de la mortalité. Zéro. Donc le seul produit pour lequel il y a une prévention de la mortalité, c’est l’hydroxychloroquine […]

Et quand on combine toutes les études qui ont été publiées à ce jour sur l’hydroxychloroquine, on trouve qu’il y a un effet positif à la mortalité. »

Jeff Yates cite seulement une étude très récente du New England Journal of Medicine (NEMJ) démontrant l’inefficacité de l’HCQ, sans mentionner le scandale de l’étude rétractée du Lancet selon laquelle l’hydroxychloroquine serait inefficace contre la COVID-19, causerait des problèmes cardiaques et augmenterait les risques de mortalité. Une étude similaire des mêmes auteurs publiée par le NEMJ a été rétractée le 25 juin.

Le décrypteur ajoute que l’« Organisation mondiale de la santé (OMS) a cessé ses essais cliniques [sur l’hydroxychloroquine] début juillet ».

Voilà. Preuve que l’hydroxychloroquine est inefficace. Même l’OMS a arrêté ses essais cliniques.

Le problème c’est que l’OMS a cessé ses essais cliniques à la suite de la parution de l’étude du Lancet qui a finalement été rétractée. Les auteurs ont refusé de divulguer leurs données et l’étude a été critiquée dans une lettre ouverte signée par 146 experts, incluant cinq Canadiens.

À la suite d’une correction et d’une republication de l’étude, James Watson, du Centre for Tropical Medicine and Global Health de l’Université d’Oxford et signataire de la lettre, a jugé que les auteurs de l’étude n’avaient pas répondu adéquatement aux inquiétudes soulevées, contrairement à ce que prétendait le Lancet.

Il a ajouté :

« Nous nous inquiétons également de l’effet que cette situation aura sur les essais d’hydroxychloroquine en cours et donc la possibilité d’obtenir des réponses sur le traitement potentiel de la COVID-19. »

Nous savons maintenant quel effet cette étude frauduleuse a eu : l’arrêt des essais de l’OMS sur l’hydroxychloroquine.

L’étude a ensuite été rétractée pour de bon.

Trop peu, trop tard.

L’article de Reuters publié par Radio-Canada le 5 juillet, vers lequel Jeff Yates nous envoie concernant l’arrêt des essais, reprend essentiellement le communiqué de presse de l’OMS :

« Les résultats préliminaires montrent que l’hydroxychloroquine ou l’association de lopinavir et de ritonavir ne réduisent pas ou très peu la mortalité des patients hospitalisés atteints par la Covid-19, par comparaison aux soins standards », peut-on lire dans un communiqué.

Les chercheurs impliqués dans l’essai Solidarity suspendront leurs travaux pour ces deux options thérapeutiques avec effet immédiat, est-il précisé, en référence à l’essai clinique international lancé dans le but de trouver un traitement efficace contre la maladie. »

On ajoute que des études continuent, incluant celle du remdésivir de Gilead, médicament administré par intraveineuse suscitant l’optimisme et ayant fait bondir les actions de la société de 17 %, lesquelles figurent désormais parmi les « coups de cœur » des analystes de Wall Street et sont qualifiées d’actions « de rêve » par CNN :

gilead-cnn-dream-stock

Ce que l’on ne nous dit pas – et c’est ce qui arrive lorsqu’on ne fait que copier-coller des communiqués de presse – c’est que les doses d’hydroxychloroquine employées dans l’essai Solidarity étaient 4 fois supérieures à la normale, ce qui « pourrait expliquer les problèmes d’efficacité dans le traitement des patients atteints de la COVID-19 », rapporte le New Indian Express.

L’OMS a d’ailleurs été alertée par des chercheurs indiens le 29 mai, poursuit le quotidien :

Actuellement, conformément aux protocoles établis par le gouvernement indien pour traiter les patients gravement atteints de coronavirus nécessitant une prise en charge en unité de soins intensifs, les doses d’HCQ sont administrées de la manière suivante : le premier jour, une forte dose de 400 mg d’HCQ une fois le matin et une fois le soir, suivie de 200 mg d’HCQ une fois le matin et une fois le soir à suivre pendant les quatre jours suivants. La dose totale administrée à un patient en 5 jours s’élève donc à 2400 mg.

S’adressant à l’ANI sous le couvert de l’anonymat, un fonctionnaire du ministère de la Santé a expliqué le contexte dans lequel le Conseil indien de la recherche médicale et le ministère de la Santé sont en désaccord avec l’évaluation de l’OMS, le principal point étant l’écart important entre les niveaux de dosage administrés en Inde et au niveau international : “Dans le cadre de l’essai Solidarity, les patients de la COVID-19 reçoivent 800 mg x 2 doses de charge à 6 heures d’intervalle, suivies de 400 mg x 2 doses par jour pendant 10 jours. La dose totale administrée à un patient pendant 11 jours est d’environ 9600 mg, ce qui est quatre fois plus élevé que la dose que nous administrons à nos patients”, a expliqué le fonctionnaire. »

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Rappelons ce que disaient les Chinois en mars dernier « une utilisation prolongée et par surdose [de l’HCQ] peut toujours provoquer un empoisonnement ».

Croyez-vous que l’essai Solidarity de l’OMS, financée principalement par Bill Gates, le kingpin des vaccins, aurait employé des surdoses d’HCQ dans le but de « trouver un traitement efficace contre la maladie »? On dirait plutôt que ces essais étaient voués à l’échec et avaient pour but de discréditer l’hydroxychloroquine, ce qu’ils ont réussi à faire à l’aide des médias traditionnels.

Dans l’essai Recovery, financé aussi en partie par la Fondation Bill and Melinda Gates, la dose était elle aussi excessive : 8060mg.

recovery

Peut-on se fier à des études sur un médicament peu coûteux faisant concurrence au développement d’un vaccin lucratif lorsqu’elles sont financées par la Fondation Gates, laquelle investit massivement dans tout ce qui touche à la vaccination et lorsque le grand Bill Gates nous somme de vacciner la planète contre la COVID-19?

Les conflits d’intérêts exposés depuis le début de cette série d’articles, principalement dans, L’OMS, Bill Gates et les vaccins et Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!, ne sont-ils pas aveuglants?

Outre la liste des pharmaceutiques évoquées dans ces deux articles, la Fondation Gates en finance d’autres qui développent actuellement des vaccins contre la COVID, comme SK Bioscience, laquelle pourrait produire 200 millions de « trousses de vaccins COVID-19 » dès juin 2021.

The Clover Chronicle rapportait en mai dernier que la fondation finance également des usines de plastique (BSF) qui produiront des fioles et une compagnie qui fabrique des seringues (Apiject), lesquelles sont également financées par le département de la Défense étasunien.

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Rappelons au passage que PATH, une organisation financée par la Fondation Gates fait l’objet d’une poursuite en Inde relativement aux essais cliniques de deux vaccins contre le virus du papillome humain (VPH) au cours desquels des jeunes filles sont mortes.

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Troublant tout ça.

Que dire par ailleurs du financement par la Fondation Gates de grands médias publics et privés et de divers groupes œuvrant dans le domaine journalistique comme ABC, PBS (Public Broadcasting Service, équivalent de la chaîne télé de Radio-Canada), The Financial TimesCenter for Investigative Reporting, American Society of News Editors Foundation, International Center for Journalists, Public Radio InternationalNational Public Radio (NPR, l’équivalent de la radio de Radio-Canada), National Journal Group, Al Jazeera, Education Writers Association, The Guardian et plusieurs autres?

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Le Seattle Times écrivait en 2011 que la Fondation Gates était devenue « une puissance journalistique » :

« Les contributions de la fondation aux médias à but lucratif et non lucratif ont contribué à stimuler la couverture des questions de santé, de développement et d’éducation au niveau mondial. Mais certains craignent que son appui croissant aux organes médiatiques ne brouille la frontière entre le journalisme et la promotion. »

Enfin, lorsque l’on regarde le portrait global, comment peut-on nier le fait que d’importants intérêts financiers sont à l’œuvre dans ce plan de vaccination planétaire promu par Bill Gates, dont l’influence tentaculaire est indéniable?

Il ne s’agit pas d’une théorie de conspiration.

Les faits sont là.

Bill Gates est en flagrant conflit d’intérêts et les médias n’en parlent pas.

Qu’il soit derrière le financement des plus importantes études sur les traitements contre la COVID, lesquelles comparent un médicament peu coûteux et accessible et un vaccin qui serait hautement lucratif pour lui et ses partenaires n’est pas seulement une apparence de conflit d’intérêts.

Mais ne vous fiez pas sur Jeff Yates pour vous en informer, ni vous guider dans ces méandres. Au lieu de s’en prendre aux riches et puissants, Jeff frappe vers le bas et s’en prend à des médecins qui demandent à avoir accès à un médicament qu’ils considèrent efficace pour traiter la COVID-19.

Jeff répète le mantra : l’hydroxychloroquine n’est pas un traitement efficace contre la COVID.

Pour Jeff, ce n’est pas important de mentionner que l’OMS a cessé ses essais sur l’hydroxychloroquine en se basant sur une étude rétractée, critiquée par des centaines d’experts.

Ce n’est pas non plus important de noter que les essais Solidarity de l’OMS sur l’hydroxychloroquine, financés en partie par Bill, tout comme les essais Recovery, financés en partie par Bill, ont vraisemblablement été conçus pour échouer plutôt que pour « trouver un traitement efficace contre la maladie ».

L’ensemble des informations factuelles vérifiables et vérifiées évoquées dans cette série brosse un portrait totalement différent du vaccin contre la COVID-19 et de « la controversée hydroxychloroquine », pour reprendre les termes de Radio-Canada.

Un vaccin contre la COVID-19 sera extrêmement lucratif, à moins que l’on démontre l’efficacité d’un médicament peu coûteux, sécuritaire et accessible. Il semble évident que tout est mis en œuvre pour que ce médicament ne voit pas le jour et/ou ne soit pas reconnu s’il existe déjà.

Mais pour Jeff Yates, toutes ces informations ne sont pas pertinentes. À moins qu’il ignore tout ce qui précède car il éprouve des difficultés à faire ses propres recherches?

Les grands médias se taisent ou dénigrent, les géants de la haute technologie censurent

Les médias traditionnels ne semblent pas avoir assisté à cette conférence de presse des médecins dits controversés dont parle Jeff Yates. La vidéo rapidement devenue virale a été supprimée par plusieurs plateformes, incluant YouTube, Facebook et Twitter, lesquelles suivent les directives de suppression de « faux messages » émisent lors de l’Événement 201 (voir la première partie).

L’auteure de ces lignes a regardé la conférence des médecins de 45 minutes que vous pouvez voir ici :

https://www.bitchute.com/video/PqqvcxdCGJo9/

Elle l’a partagée sur Facebook qui l’a censurée et lui a suggéré un lien vers une page de l’OMS qui « déboulonne les mythes » sur la COVID-19. Facebook a par ailleurs censuré des articles du Tribunal de l’infaux, a effacé un an et demi de publications sur sa page et a bloqué les partages de tous les textes du Tribunal, lesquels demeurent toujours à zéro.

Les médecins qui se sont prononcés dans la vidéo censurée préconisent surtout l’emploi de l’hydroxychloroquine comme traitement contre la COVID-19. Une médecin l’a suggéré à titre préventif, comme l’étude de 2005 suggérait de le faire pour le SRAS-CoV-1.

D’ailleurs, c’est ce que font 19 % des 6000 médecins ayant répondu au sondage cité plus haut :

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Le décrypteur affirme :

« Contrairement à ce qu’avance la médecin dans la vidéo, le médicament ne semble pas non plus fonctionner comme traitement préventif. »

Au moins 6 études récentes disent le contraire ici. L’une d’entre elles, Markedly Lower Rates of Coronavirus Infection and Fatality in Malaria-Endemic Regions – A Clue As to Treatment?, suggère que les pays où sévit la malaria affichent des taux significativement bas d’infection et de mortalité. Les chercheurs émettent l’hypothèse que la prise d’antiviraux à titre préventif contre la malaria, comme l’hydroxychloroquine, serait en cause.

Jeff Yates poursuit ensuite son article en attaquant une médecin du groupe qui a fait des déclarations fantaisistes sur ses croyances religieuses par le passé. Ces déclarations n’ont rien à voir avec ce qui a été dit durant la conférence de presse, non seulement par elle, mais par les autres médecins qui eux n’ont pas fait de déclarations farfelues.

Il s’agit d’une tentative malhonnête de culpabiliser par association : discréditer tous les médecins présents en les associant aux déclarations qu’une seule personne dans le groupe a fait dans un tout autre contexte au sujet de ses croyances religieuses.

Ce n’est pas du journalisme, c’est du salissage.

Depuis le début de la pandémie les médecins son bâillonnés et ont de la difficulté à prescrire l’hydroxychloroquine. Au Québec, le Collège des médecins a interdit la prescription de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine :

« Le Collège, l’Ordre des pharmaciens du Québec et le ministère de la Santé et des Services Sociaux (MSSS) ont été avisés de l’émission d’ordonnances de chloroquine ou d’hydroxychloroquine visant à traiter ou à prévenir la COVID-19 chez des patients ambulatoires.

À la lumière de l’état de la situation au Québec et des données scientifiques actuellement disponibles, ces ordonnances sont jugées inappropriées et non indiquées […]

Par conséquent, les médecins sont priés de cesser dès maintenant l’émission de telles ordonnances. Quant aux pharmaciens, ils doivent les refuser à moins d’obtenir la confirmation que ces substances ont été prescrites pour un problème de santé chronique.

Cette ligne de conduite doit être rigoureusement suivie d’ici à ce que de nouvelles directives soient transmises par le MSSS. »

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Lorsque l’on empêche les médecins de s’exprimer et de débattre, mais surtout lorsqu’on les empêche de soigner des malades, il faut se poser de sérieuses questions sur l’état de notre soi-disant démocratie.

À la lumière des faits évoqués plus haut, le Collège des médecins devrait faire l’objet de poursuites pour avoir interdit aux médecins de prescrire un médicament « grandement efficace » lorsqu’il est pris au début de la maladie, selon une foule d’études.

Sinon, les chercheurs chinois, Didier Raoult, Harvey Risch, ce groupe de médecins étasuniens censurés et bien d’autres propageraient tous de « faux messages » méritant la suppression des géants de la haute technologie?

Notons au passage que Google, propriétaire de YouTube, est l’un des donateurs de Gavi, l’Alliance pour les vaccins (voir parties 2 et 4), donc la multinationale a des intérêts financiers à supprimer tout ce qui pourrait freiner la nécessité d’un vaccin contre la COVID.

Les grands médias, qui autrefois étaient Charlie, devraient être les premiers à condamner la censure. Au contraire, ils la justifient.

Les grands médias justifient la censure des médecins.

C’est inacceptable.

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Ils étaient Charlie.

L’absence de débats et la suppression de l’opposition par la censure est digne des régimes totalitaires.

« Le peuple doit commencer à penser d’une manière uniforme, à réagir d’une manière uniforme et à se mettre à la disposition du gouvernement de tout son cœur », a déclaré en 1933 Joseph Goebbels, ministre nazi de la Propagande et de l’Information.

Il n’y a qu’une opinion respectable, qu’une action respectable de nos jours : croire tout ce que les médias nous disent sur le coronavirus et suivre les consignes sanitaires sans réfléchir ni questionner.

Nous devons obéir pour protéger les autres et parce que le gouvernement veut notre bien.

Si c’était réellement le cas, le Collège des médecins n’aurait pas interdit la prescription d’hydroxychloroquine et nous ne serions pas victimes d’une campagne massive de peur et de désinformation.

Au lieu de s’insurger contre la censure d’un groupe de médecins, Jeff Yates participe au fascisme intellectuel ambiant et contribue au règne de la pensée unique. Il se fait le porte-parole de l’ordre établi et des multimilliardaires comme Bill Gates et Mark Zuckerberg, lequel a défendu la censure par Facebook de tout contenu affirmant qu’il existe un traitement éprouvé contre la COVID-19.

Le rôle d’un journaliste est d’agir à titre de contre-pouvoir face à l’État et aux autres structures de pouvoir, de faire connaître de multiples points de vue, de faire des liens entre les événements et de dénoncer d’évidents conflits d’intérêts, surtout ceux ayant des conséquences sur la santé publique mondiale.

Un journaliste se doit de défendre la liberté d’expression, d’encourager les débats d’idées et de questionner les discours des riches et puissants au lieu de s’acharner sur les groupes dissidents.

Le rôle d’un journaliste est de contrer la désinformation qui vient d’en haut et de faire connaître l’information qui vient d’en bas, sur le terrain.

De toute évidence, on ne peut pas se fier à Jeff Yates pour jouer ce rôle-là.




Exemple de désinformation par un média dominant et de rectification par un média alternatif

[NdNM : L’article suivant est tiré du site Le Tribunal de l’infaux qui démontre davantage de rigueur que les médias dominants dont il fait le procès]

Plainte contre Québec Science et Valérie Borde pour l’article «Le vaccin contre la grippe augmente-t-il les risques?»

Le 21 avril, le Tribunal de l’infaux publiait le texte suivant : Le vaccin contre la grippe augmente les risques de coronavirus de 36 % selon une récente étude du Pentagone.

Le texte a été partagé plus de 3000 fois.

Le 7 mai, Québec Science publiait un texte de Valérie Borde Le vaccin contre la grippe augmente-t-il les risques?

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Source: Radio-Canada/Alice Cliche

Mme Borde affirme dès le début de son article que la nouvelle concernant l’étude du Pentagone est « abondamment propagée sur les réseaux sociaux par les mouvements anti-vaccins ».

Biaisé, regorgeant de faussetés et d’affirmations gratuites, son article ne respecte pas les valeurs fondamentales du journalisme et est un cas typique de propagande visant toute personne ou groupe s’attaquant à la vache sacrée de l’industrie pharmaceutique, la vaccination.

Vous trouverez ci-dessous la plainte formelle envoyée à la rédactrice en chef de Québec Science concernant cet article de Valérie Borde.


Shanghai, Chine, 16 juin 2020

Objet : Plainte relative à l’article de Valérie Borde « Le vaccin contre la grippe augmente-t-il les risques? », publié le 7 mai 2020

Marie Lambert-Chan, Rédactrice en chef, Québec Science, 1251, rue Rachel Est, Montréal, Québec H2J 2J9

Madame,

Dans l’article Le vaccin contre la grippe augmente-t-il les risques?, paru le 7 mai 2020, la journaliste Valérie Borde enfreint les Articles 2 et 3 du Guide de déontologie de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) :

  1. Valeurs fondamentales du journalisme (impartialité et équité)
  2. Vérité et rigueur
    • a) Véracité des faits
    • b) Mise en contexte
    • c) Titres
    • d) Opinions personnelles

L’article porte sur une récente étude du Pentagone selon laquelle le vaccin contre la grippe augmenterait les risques de coronavirus de 36 %.

L’étude existe bel et bien, elle a été menée par un chercheur du département de la Défense des États-Unis, sur du personnel de ce département et il est clairement écrit que « les risques de coronavirus et de métapneumovirus humain étaient significativement plus élevés chez les individus vaccinés comparativement aux individus non vaccinés [1]. » (Voir la citation originale en anglais à la fin de ce texte). Le tableau indique bien 1.36, donc le risque est bien accru de 36 %.

En pleine épidémie de coronavirus, lequel affecte particulièrement les personnes âgées et immunodéprimées, une telle information est clairement d’intérêt public puisque le gouvernement du Québec encourage la vaccination de ces groupes contre la grippe saisonnière.

Or, Madame Borde tente de discréditer cette information et d’en minimiser l’importance en faisant plusieurs affirmations et accusations sans fondements concernant l’organisme à l’origine de cette nouvelle, en ayant recours à l’insulte, en présentant son opinion personnelle comme des faits et en induisant les lecteurs en erreur.

Voici en cinq points comment cet article biaisé constitue de la désinformation et de la diffamation, et comment il contrevient aux règles fondamentales du journalisme.

1. Mise en contexte, véracité des faits, opinions personnelles, impartialité et équité :

Une information partagée par les « mouvements antivaccins »

Valérie Borde affirme d’emblée que cette nouvelle est « abondamment propagée sur les réseaux sociaux par les mouvements anti-vaccins ». Autrement dit, avant même d’aborder l’étude en question et l’information qu’elle contient, la journaliste veut faire croire aux lecteurs que cette nouvelle n’a aucune crédibilité en l’associant aux soi-disant mouvements antivaccins, ce terme étant pratiquement synonyme d’« antiscientifique » dans les médias traditionnels.

De quels « mouvements antivaccins » parle-t-elle? Ces mouvements sont-ils réellement antivaccins ou seulement critiques des vaccins? S’agit-il d’un fait, de son opinion personnelle ou de l’opinion d’autres personnes sur certains groupes ayant des discours critiques sur la vaccination? Ces « mouvements » se définissent-ils eux-mêmes comme antivaccins?

Difficile de répondre à ces questions car Valérie Borde ne nomme qu’un groupe, soit celui à l’origine de la nouvelle, Children’s Health Defense, un organisme présidé par l’avocat Robert F. Kennedy Jr. (RFK) et luttant pour diverses causes, principalement la santé infantile, d’où le nom.

Mme Borde qualifie cet organisme d’antivaccin. C’est faux puisque que l’organisme milite en faveur de vaccins sécuritaires. RFK est d’ailleurs très clair à ce sujet dans cet article disponible sur le site : Why I’m Not “Anti-Vaccine”–And Why We Should All Want to Study Vaccine Safety (Pourquoi je ne suis pas « antivaccin » et pourquoi nous devrions tous vouloir étudier l’innocuité des vaccins).

Il affirme :

« Des centaines de médias m’ont accusé d’être antivaccin […] Contrairement aux termes péjoratifs que mes détracteurs emploient contre moi, je suis pro-vaccin. J’ai fait vacciner tous mes enfants et je soutiens les politiques qui favorisent la couverture vaccinale. Je veux des vaccins aussi sûrs que possible, avec des données scientifiques solides et transparentes et une surveillance rigoureuse par des régulateurs indépendants qui ne sont pas en conflits d’intérêts. »

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Comment un groupe antivaccin peut-il être présidé par une personne qui se dit pro-vaccin et demande des vaccins sécuritaires et des régulateurs sans conflits d’intérêts?

Mme Borde devrait appuyer ses affirmations sur des preuves. C’est la base du journalisme. Et de la science. Quand RFK a-t-il déclaré être contre la vaccination? Quand a-t-il recommandé aux parents de ne pas faire vacciner leurs enfants? Y a-t-il des textes sur le site de Children’s Health Defense qui disent aux gens de ne pas se faire vacciner ou incitent les parents à ne pas faire vacciner leurs enfants?

Valérie Borde sait-elle faire la différence entre des critiques légitimes sur les vaccins et des propos antivaccins? La question se pose puisque les médias traditionnels font rarement la différence et optent la plupart du temps pour l’étiquette antivaccin sans s’appuyer sur des faits.

On s’attendrait à mieux d’une revue qui se dit scientifique.

Quiconque se donne la peine de lire ce qui se trouve sur le site de Children’s Health Defense voit bien que l’organisme critique certains aspects de la vaccination comme le nombre accru de vaccins dans le calendrier vaccinal et la présence de substances toxiques dans les vaccins.

Lorsque Valérie Borde qualifie cet organisme d’antivaccin, non seulement elle désinforme le public, mais elle contrevient aux valeurs fondamentales du journalisme que sont le respect des faits, l’impartialité et l’équité. Voici ce que stipule à cet égard le Guide de déontologie de la FPJQ :

« 2. Valeurs fondamentales du journalisme

Les journalistes basent leur travail sur des valeurs fondamentales telles que l’esprit critique qui leur impose de douter méthodiquement de tout, l’impartialité qui leur fait rechercher et exposer les divers aspects d’une situationl’équité qui les amène à considérer tous les citoyens comme égaux devant la presse comme ils le sont devant la loi, l’indépendance qui les maintient à distance des pouvoirs et des groupes de pression, le respect du public et la compassion qui leur font observer des normes de sobriété, l’honnêteté qui leur impose de respecter scrupuleusement les faits, et l’ouverture d’esprit qui suppose chez eux la capacité d’être réceptifs aux réalités qui leur sont étrangères et d’en rendre compte sans préjugés. »

Le genre de mise en contexte employé par Mme Borde contrevient également à l’article  3 b sur la mise en contexte, stipulant que :

« [l]es journalistes doivent situer dans leur contexte les faits et opinions dont ils font état de manière à ce qu’ils soient compréhensibles, sans en exagérer ou en diminuer la portée. (C’est l’auteure qui souligne.) »

En affirmant dès le départ que cette nouvelle émane d’un groupe antivaccin et qu’elle est diffusée par des mouvements antivaccins, Valérie Borde enfreint cette règle.

Puisqu’elle emploie le terme péjoratif « antivaccin » en se basant sur ses convictions et non sur des faits, elle contrevient également aux articles 3 a et 3 d concernant la vérité et la rigueur :

« 3 a) Véracité des faits

Les journalistes ont l’obligation de s’assurer de la véracité des faits qu’ils rapportent au terme d’un rigoureux travail de collecte et de vérification des informations. Ils doivent corriger leurs erreurs avec diligence et de façon appropriée au tort causé.

3 d) Opinions personnelles

Les journalistes doivent départager soigneusement ce qui relève de leur opinion personnelle, de l’analyse et de l’information factuelle afin de ne pas engendrer de confusion dans le public. Les journalistes s’en tiennent avant tout au compte rendu précis des faits. Dans les genres journalistiques comme les éditoriaux, les chroniques et les billets ou dans le journalisme engagé, où l’expression des opinions prend une large place, les journalistes doivent tout autant respecter les faits. « (C’est l’auteure qui souligne)

2. Véracité des faits :

Une étude du Pentagone « ce n’est pas le point de vue du Pentagone »

Valérie Borde écrit que l’étude a été menée par « un chercheur du Département américain de la défense […] dans le cadre du Programme de surveillance globale des pathogènes respiratoires du Département de la défense » et que « près de 10 000 échantillons ont été prélevés chez des membres des forces armées et de leurs familles ».

Elle ajoute ceci :

« Une étude d’un chercheur, ce n’est pas le point de vue “du Pentagone”. »

Elle affirme également plus loin que Children’s Health Defence « attribue ce chiffre [de 36 %] à un grand organisme reconnu comme si c’était sa position officielle ».

C’est faux.

Ce n’est pas ce que dit l’article original. RFK parle d’une « étude du Pentagone » (« Pentagon study »), ce qui est tout à fait factuel, comme le démontre la description de Mme Borde, puisque, selon l’Encyclopédie Larousse, le Pentagone est le « [n]om donné au secrétariat à la Défense et à l’état-major général des forces armées des États-Unis ».

Rappelons que l’étude a été menée par un chercheur du département de la Défense, dans le cadre d’un programme de la Défense, sur du personnel de la Défense. L’étude contient même un avis de non-responsabilité du département de la Défense. Pourquoi se déresponsabiliserait-il s’il n’avait rien à voir avec cette étude?

On ne peut faire autrement que conclure qu’il s’agit d’une étude de la Défense et c’est exactement ce que dit RFK, lequel ne prétend à aucun moment qu’il s’agit du « point de vue du Pentagone ».

D’ailleurs, mêmes les publications du département de la Défense contiennent des avis de non-responsabilité affirmant que les opinions qui y sont exprimées ne constituent pas le point de vue du département de la Défense.

Voici un avis dans le MEDICAL SURVEILLANCE MONTHLY REPORT (MSMR) produit par les Forces armées étasuniennes :

MSMR

Il en va de même des publications des Forces armées canadiennes. La Revue militaire canadienne, revue officielle de la Défense nationale, contient un avis similaire :

« La Revue militaire canadienne/Canadian Military Journal est la revue professionnelle officielle des Forces armées canadiennes et du ministère de la Défense nationale. Elle est publiée quatre fois par année avec l’autorisation du ministre de la Défense nationale. Les opinions exprimées dans cette publication sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement celles du ministère de la Défense nationale, des Forces armées canadiennes, de la Revue militaire canadienne ou de tout organisme du gouvernement du Canada. La Couronne détient le droit d’auteur. » (C’est l’auteure qui souligne)

revue militaire canadienne

Il est donc juste de dire, comme le fait RFK, que l’étude sur le vaccin contre la grippe est une étude du département de la Défense des États-Unis ou du Pentagone, tout comme il est juste de dire que MSMR est une publication du département de la Défense et que la Revue militaire canadienne est une revue du ministère de la Défense nationale.

Encore une fois, il y a là un manque de rigueur et de véracité dans l’article de Mme Borde.

3. Véracité des faits et opinion personnelle :

Des conclusions « déformées » et une donnée insignifiante selon Valérie Borde

Mme Borde affirme par ailleurs que « les conclusions [de l’étude] ont été déformées pour n’en retenir qu’une donnée insignifiante », celle voulant que le vaccin contre la grippe augmente de 36 % les risques de coronavirus.

Cette donnée est insignifiante selon qui? Mme Borde nous donne-t-elle des faits ou encore une fois son opinion personnelle?

L’auteur de l’étude a lui-même écrit « les risques de coronavirus et de métapneumovirus humain étaient significativement plus élevés chez les individus vaccinés comparativement aux individus non vaccinés [1] ». (C’est l’auteure qui souligne.)

Si la donnée est insignifiante, pourquoi le chercheur a-t-il écrit que les risques sont « significativement plus élevés »?

Sa conclusion est par ailleurs contradictoire puisqu’il affirme que l’étude « a démontré peu ou pas de preuves associant l’interférence virale et la vaccination contre l’influenza », mais il ajoute du même souffle que « les résultats individuels des virus respiratoires étaient mitigés » et que « certains virus ont réfuté l’interférence virale [2] ».

Si « certains virus ont réfuté l’interférence virale », d’autres virus l’ont démontrée, comme les coronavirus.

Cette donnée est loin d’être insignifiante, surtout dans un contexte de pandémie de coronavirus, alors que le gouvernement recommande la vaccination contre la grippe des personnes les plus touchées par ce virus.

S’il est vrai qu’à l’époque de l’étude l’épidémie de SRAS-CoV-2 n’avait pas encore commencé, et que RFK aurait dû le spécifier, cela ne rend pas cette donnée de l’étude moins pertinente. Au contraire.

Le SRAS-CoV-2 étant un coronavirus, ne faudrait-il pas immédiatement chercher à savoir si les personnes vaccinées contre l’influenza courent réellement davantage de risques d’être infectées?

Au lieu de minimiser l’importance de cette donnée, Mme Borde aurait dû tenter de savoir si les autorités sanitaires comptent mener de nouvelles études précisément sur le SRAS-CoV-2 et le vaccin contre la grippe afin de s’assurer que ce vaccin n’augmente pas les risques d’infection et de protéger les populations vulnérables.

La journaliste aurait dû questionner différents experts afin de mieux évaluer la signification d’une telle découverte et chercher à savoir si l’étude a été ou sera répliquée.

4. Véracité des faits et opinion personnelle :

Un organisme qui trompe délibérément les gens à des fins commerciales

Selon Valérie Borde, Children’s Health Defense ne produit que de la désinformation dangereuse sur le vaccin contre la grippe, et ce à des fins commerciales :

« Ce n’est pas la première fois que le Children’s Health Defense interprète faussement des études sur le vaccin contre la grippe, c’est son fonds de commerce. À chaque fois, il applique les mêmes stratégies : sortir un chiffre d’une étude et ne pas donner l’interprétation que les auteurs en font, attribuer ce chiffre à un grand organisme reconnu comme si c’était sa position officielle plutôt qu’un morceau d’une étude publiée par un de ses chercheurs, et engendrer la peur avec des mots-clés inquiétants – parler juste de coronavirus sans spécifier lesquels, ça n’a pas de sens! Ce n’est pas une erreur d’interprétation (il faut bien lire les études pour y trouver les chiffres), c’est une stratégie délibérée, trompeuse, malhonnête et dangereuse. Ne vous laissez pas avoir.” (C’est l’auteure qui souligne)

« À chaque fois » il emploie cette stratégie? Encore une fois, il semble que Valérie Borde se base sur son opinion personnelle et que celle-ci la pousse à la généralisation hâtive, car il est peu probable que le Centre Déclic ait eu le temps de vérifier tous les articles du Children’s Health Defense sur le vaccin contre la grippe pour en venir à cette conclusion.

Le Centre Déclic, dont Mme Borde est fondatrice, se compose de deux personnes :

  • Valérie Borde, journaliste et communicatrice scientifique, diplômée de l’École nationale supérieure de chimie de Paris, récipiendaire du « Prix d’excellence en journalisme économique et financier 2015 pour un grand reportage sur l’environnement en Chine et [du] prix Jules-Fournier du Conseil supérieur de la langue française en 2007, pour ses talents de vulgarisatrice »;
  • Julie Lavigne, « historienne de formation » et dirigeante d’une « entreprise de recherche […] qui réalise des mandats de documentation historique et anthropologique ».

Par comparaison, Children’s Health Defense a un comité consultatif scientifique composé de :

  • Richard Deth, professeur en pharmacologie, lequel a publié plus de 100 articles dans des revues à comité de lecture. Ses recherches portent sur les troubles neurodéveloppementaux, neuropsychiatriques et neurodégénératifs et plus récemment sur « l’épidémie d’autisme »;
  • George W. Lucier, Ph.D, toxicologue, ancien directeur du Environmental Toxicology Program au National Institutes of Environmental Health Sciences, président du Comité consultatif scientifique sur les polluants atmosphériques au sein du gouvernement de la Caroline du Nord. Il a été rédacteur de la revue scientifique Environmental Health Perspectives pendant 28 ans;
  • Luc Montaignier, M.D., Ph.D, professeur émérite à l’Institut Pasteur, prix Nobel de médecine pour sa découverte du virus du sida, directeur de l’unité d’Oncologie virale de l’Institut Pasteur de 1972 à 2000, président de la Fondation Mondiale Recherche et Prévention Sida et co-auteur de plus de 350 publications scientifiques;
  • Elizabeth Mumper M.D., FAAP, pédiatre et présidente de The RIMLAND Center, spécialisé dans les troubles neurodéveloppementaux. Ses recherches récentes portent sur le statut vaccinal et la prévalence des maladies chroniques chez les enfants;
  • Jacob Puliyel M.D., MRCP, MPhil, ancien membre du Groupe consultatif technique national du gouvernement indien sur l’immunisation (National Technical Advisory Group on Immunization, NTAGI), conseillant les élus sur la politique nationale sur les vaccins et l’immunisation, et ancien directeur du département de pédiatrie de l’hôpital St Stephens à Dehli.

Valérie Borde prétend donc que cet organisme conseillé par des experts de haut niveau dans le domaine de la santé, dont un prix Nobel de médecine et un conseiller gouvernemental sur l’immunisation, est un organisme antivaccin qui trompe la population en « interpr[étant] faussement des études sur le vaccin contre la grippe » et qu’« à chaque fois » il utilise cette « stratégie délibérée, trompeuse, malhonnête et dangereuse » à des fins commerciales.

Où sont les preuves de tout ce qu’elle avance?

Contrairement à ce qu’affirme Valérie Borde, Robert F. Kennedy Jr. a déclaré que remettre en question l’innocuité des vaccins a été sa pire décision professionnelle puisqu’il a non seulement perdu de l’argent, mais aussi sa crédibilité :

« Soyons francs. Mon plaidoyer en faveur de l’innocuité des vaccins durant les dix dernières années a été un choix de carrière misérable. Il a porté atteinte à ma crédibilité, a mis les journalistes en colère et a déconcerté mes amis. Ce choix m’a fait perdre des revenus et a terni ma réputation aux yeux de bon nombre de mes collègues de la communauté environnementale. »

Les accusations à l’emporte-pièce de Valérie Borde mentionnées ci-dessus sont très graves puisqu’elles ne reposent visiblement sur aucun fait vérifié et vérifiable, et semblent être basées sur son opinion personnelle et celle des détracteurs de M. Kennedy.

5. Titre :

Un titre qui induit en erreur

En terminant, le titre est incomplet et porte à croire que les risques sont reliés à l’influenza alors qu’il est uniquement question de risques liés au coronavirus dans l’article.

Conclusion

Cet article est diffamatoire, truffé d’accusations sans fondements et de mensonges, et manque totalement de rigueur.

Valérie Borde contrevient aux Articles 2 et 3 du Guide de déontologie de la FPJQ :

« 2. Valeurs fondamentales du journalisme

Les journalistes basent leur travail sur des valeurs fondamentales telles que l’esprit critique qui leur impose de douter méthodiquement de tout, l’impartialité qui leur fait rechercher et exposer les divers aspects d’une situationl’équité qui les amène à considérer tous les citoyens comme égaux devant la presse comme ils le sont devant la loi, l’indépendance qui les maintient à distance des pouvoirs et des groupes de pression, le respect du public et la compassion qui leur font observer des normes de sobriété, l’honnêteté qui leur impose de respecter scrupuleusement les faits, et l’ouverture d’esprit qui suppose chez eux la capacité d’être réceptifs aux réalités qui leur sont étrangères et d’en rendre compte sans préjugés.

3. Vérité et rigueur
3 a) Véracité des faits

Les journalistes ont l’obligation de s’assurer de la véracité des faits qu’ils rapportent au terme d’un rigoureux travail de collecte et de vérification des informations. Ils doivent corriger leurs erreurs avec diligence et de façon appropriée au tort causé.

3 b) Mise en contexte

Les journalistes doivent situer dans leur contexte les faits et opinions dont ils font état de manière à ce qu’ils soient compréhensibles, sans en exagérer ou en diminuer la portée.

3 c) Titres

Les titres et présentations des articles et reportages ne doivent pas exagérer ni induire en erreur

3 d) Opinions personnelles

Les journalistes doivent départager soigneusement ce qui relève de leur opinion personnelle, de l’analyse et de l’information factuelle afin de ne pas engendrer de confusion dans le public. Les journalistes s’en tiennent avant tout au compte rendu précis des faits. Dans les genres journalistiques comme les éditoriaux, les chroniques et les billets ou dans le journalisme engagé, où l’expression des opinions prend une large place, les journalistes doivent tout autant respecter les faits. » (C’est l’auteure qui souligne)

Je demande donc que l’article soit retiré de votre plateforme ou que toutes les déclarations mensongères, affirmations gratuites, non appuyées par des faits ou induisant en erreur soient corrigées.

Je vous prie d’agréer, Madame, mes salutations distinguées.

Julie Lévesque


Notes
  1. “Examining non-influenza viruses specifically, the odds of both coronavirus and human metapneumovirus in vaccinated individuals were significantly higher when compared to unvaccinated individuals (OR = 1.36 and 1.51, respectively) (Table 5).
  2. The overall results of the study showed little to no evidence supporting the association of virus interference and influenza vaccination. Individual respiratory virus results were mixed, and some rebutted virus interference.



Un chercheur suggère qu’une campagne de propagande chinoise délibérée a forcé le monde à se confiner

[Source : Aube digitale]

[NdNM : Cette hypothèse plausible est digne de L’art de la guerre de Sun TZU]

Le régime communiste a inondé les médias sociaux de fausses vidéos et de bots pour attiser l’hystérie du COVID.

Le chercheur et avocat Michael P. Senger suggère que le gouvernement chinois a lancé une campagne de propagande agressive pour exagérer la gravité des coronavirus afin de contraindre le reste du monde à un confinement draconien qui profiterait à Pékin.

Dans un article pour Tablet Magazine, Senger explique comment, fin janvier, « l’hystérie internationale du COVID-19 a commencé » avec une série de vidéos suspectes postées sur des sites de médias sociaux montrant des personnes en Chine s’effondrant soudainement dans les rues, dont un cas où un homme a tendu le bras pour amortir sa chute, ce qui suggère que la chute était mise en scène.

Après que des dizaines de millions de personnes ont été confinées chez elles au cours de l’un des confinement les plus brutalement appliqués de l’histoire, Senger note qu’en février, le PCC « a signalé une baisse exponentielle des cas de coronavirus, jusqu’au 19 mars, date à laquelle ils ont annoncé que leur confinement avait entièrement éliminé les cas nationaux ».

La Chine n’a officiellement enregistré que 4 634 décès dus aux coronavirus, malgré une population presque cinq fois plus importante que celle des États-Unis, où le nombre de décès s’élève actuellement à plus de 205 000.

L’Organisation mondiale de la santé et d’autres experts scientifiques ont ensuite parlé de la réaction de la Chine au COVID-19, ce qui a amené pratiquement tous les autres pays de la planète à adopter la même approche.

Cependant, Senger soutient que l’hystérie initiale à propos de COVID et du confinement qui a suivi pourrait avoir été une campagne de propagande chinoise soigneusement orchestrée pour tromper ses concurrents hégémoniques et les amener à détruire leurs propres économies en réponse à un virus dont le taux de mortalité est relativement faible.

Le chercheur montre comment les armées de comptes de robots chinois sur Twitter ont contribué à promouvoir un confinement précoce dans des pays comme l’Italie tout en bombardant de critiques et d’abus les personnalités politiques qui refusaient d’ordonner un confinement strict, comme la gouverneure du Dakota du Sud Kristi Noem.

Il souligne également comment les organes de presse de l’État chinois ont attaqué l’approche de l’ »immunité collective », qui a été initialement considérée, puis rejetée par plusieurs dirigeants occidentaux, comme une violation des « droits de l’homme ».

La Suède, qui a opté pour l’approche de l’immunité collective en refusant d’imposer un embargo et qui s’en est sortie économiquement mieux que tout autre pays européen, a également été la cible des bots, tout comme le Premier ministre britannique Boris Johnson, accusé de « génocide » en envisageant initialement l’approche de l’immunité collective.

La conclusion de Senger explore les raisons pour lesquelles la Chine a insisté de manière agressive sur la nécessité d’un confinement mondial.

« L’explication la plus bénigne possible de la campagne du PCC en faveur d’un confinement mondial est que le parti a promu de manière agressive le même mensonge à l’échelle internationale qu’à l’échelle nationale, à savoir que le confinement a fonctionné.

Pour les membres du parti, lorsque Wuhan a décrété le confinement, il allait sans doute de soi que le confinement « éliminerait » le coronavirus ; si Xi voulait que ce soit vrai, alors il devait en être ainsi. C’est la pathologie totalitaire que George Orwell a appelé « la double-pensée ». Mais le fait que les régimes autoritaires mentent toujours ne leur donne pas le droit de répandre des mensonges mortels au reste du monde, surtout par des moyens clandestins ».

« Et puis il y a la possibilité qu’en fermant le monde, Xi Jinping, qui a gravi les échelons du parti, cite d’anciens érudits chinois, a maîtrisé les dettes et leurs dérivés, étudie la science de la complexité, et envisage un avenir socialiste avec la Chine en son centre, savait exactement ce qu’il faisait. »

La théorie de Senger a du poids si l’on considère que la Chine est revenue à la « normale » depuis des mois, alors que les pays occidentaux, toujours paniqués par l’hystérie du COVID, continuent à enfermer leurs citoyens et à paralyser leurs propres économies malgré les hospitalisations et les décès dus au coronavirus qui ont stagné dans des pays comme le Royaume-Uni.