Moi, Petit H — Confidences et réflexions d’un atome d’hydrogène. Nouvelle version

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Par Élisabeth Giordano

 « Toutes les choses sont faites d’atomes (de molécules), petites particules en agitation incessante, s’attirant mutuellement à petite distance les unes des autres et se repoussant si on cherche à trop les rapprocher ».

Richard Feynman

« En 1815, sur la base des tables de masses atomiques des éléments disponibles à cette époque, William Prout, chimiste et médecin britannique, fait l’hypothèse que la masse atomique de n’importe quel élément est un multiple entier de celle de l’hydrogène. Il suggère donc que l’atome d’hydrogène est la seule véritable particule fondamentale, et que tous les autres éléments sont constitués d’un amas de plusieurs atomes d’hydrogène. Bien que cette hypothèse soit infirmée par les mesures plus précises des masses atomiques obtenues par la suite, elle constitue pour l’époque une percée importante vers la compréhension de la structure de l’atome. »

(Wikipédia)

(Monsieur Prout avait bien pressenti toute mon importance, même si son hypothèse ne s’est pas révélée entièrement juste, elle a ouvert à une meilleure compréhension ! (Moi, Petit H)

Ah oui ! Drôlement serrés !

« TOUT SERRES, tout serrés, tout serrés, tout serrés, nous étions, dans même pas un point, un pixel, un atome, même pas un électron ! Oui ! Drôlement serrés, enfin quand je dis « serrés », c’est maintenant que je peux le dire, car là, il n’y avait rien, alors même la pensée de « être serrés » n’existait pas encore. D’ailleurs, est-ce qu’une pensée peut être serrée ? Un sentiment ? Une émotion ? Serré, c’est quand il y de la matière ! Et personne ne savait cela, sauf moi ! Mais tous, au complet, nous étions tous là ! Ah oui, je le redis, il y avait Tout, absolument Tout ce qui compose notre petit Univers : les galaxies, le Soleil Hélios, la Terre Gaïa, la Cordillère des Andes, les pommes et les pommiers, les insectes, toutes les symphonies et les quatuors de Beethoven, les opéras de Wagner, la musique de Schubert et son sublime quintet pour deux violoncelles, moi bien sûr et même vous tous les humains ! Les pierres, les océans avec les baleines, le murmure des vagues fleuries du cri des mouettes, la poule et son œuf, le chou-rave, les coquelicots, les forêts, les belles émotions, les belles pensées, Bouddha, Jésus (je ne sais plus si Barabbas était déjà là, ou s’il est arrivé après !), et donc vous l’aurez compris, l’ADN et toutes les données biologiques nécessaires aux formes de vie ! Voilà, tout ce qu’il faut pour une petite planète comme la vôtre. Et moi, oui bien sûr ! Car je suis le tout premier, le premier de Tout ce que vous connaissez, le premier de votre Univers, de notre Univers et chargé de la Connaissance de l’Origine (mais depuis tout ce « temps »…).

« Toute, absolument toute l’Information, rien que de l’Information consciente concentrée en un Point. Information qu’il restera, bien sûr à extraire, donner Vie, faire émerger à l’existence, révéler ces virtualités musicales entre autres, par les futurs êtres ayant les capacités de mettre à jour tous ces trésors. Et pareil pour toutes les planètes du futur Univers, et tout cela en même pas un point… Enfin ! Tout était potentiellement là, c’est pourquoi cela ne prenait pas de place ! Accompli, mais pas encore défini. Toute action sur la matière en vue de sa matérialisation demande une pensée, une pensée donc, primordiale à toute Conception. Il fallait juste une mise au point ajustée au milliardième de milliardième et plus encore, puis appuyer sur la touche « on »…

Tout ce qu’il faut…

« Nous, future matière, étions déjà tous là, en potentiel bien sûr, et nous attendions. Dieu, cet Absolu Indifférencié, (la Grande Pensée, l’Origine Primordiale, si vous préférez), enfin ce Quelque Chose qui était, est et sera, encore non défini dans cet Univers-là, mais avec de toute éternité, l’immense pouvoir de permettre l’accomplissement ultime à toutes ses propres émanations de consciences éternelles, dans des mondes matériels plus ou moins denses, savait exactement ce qu’il fallait pour le créer cet Univers matériel-là. Et avec une liste de tous les ingrédients nécessaires ; une centaine de sortes d’atomes à tout casser. Oui ! juste une série de cent, paraît que ça suffisait, mais des milliards et des milliards de milliards d’atomes, en fait 1 suivi de 80 zéros, (n’essayez pas de compter pour vérifier, on ne va pas chipoter pour quelques dizaines de milliards de plus ou de moins !) Mais alors avec un nombre de combinaisons incalculables ! Alors il fallait aussi une somme considérable de modes d’emploi pour que tous ces atomes puissent s’agencer pour créer. Oui, ici, c’était un Univers plutôt dense qu’il s’agissait de mettre en oeuvre. Et pour que cela ressemble à quelque chose de cohérent, il fallait un nombre incalculable de notices de Création, car il était hors de question de les laisser faire n’importe quoi, puis de voir si cela donnait quelque chose de correct. Non ! C’est un peu bête de croire cela, et la probabilité n’est même pas quasiment nulle, elle est NULLE, c’est tout ! Croire qu’il n’y a pas une téléonomie(([1] Finalité, projet.)) sous-jacente à la perfection de cet Univers et de ce qu’il contient, nie que la vie a un Sens, bien triste cela et ne rend pas joyeux !

« Bien sûr, Dieu, cette Entité Suprême, Créatrice unique et infinie, empreinte d’une Intelligence Infinie, d’où Elle se « trouvait », c’est-à-dire dans Son Super Univers totalement Immatériel et Spirituel, là où la Pensée prend instantanément forme, avait pu mitonner ce Projet-là en toute quiétude ; même laisser traîner ses plans ou renverser ses bouteilles d’encre de chine, sans que personne n’y voit aucun inconvénient. Tout cela bien entendu, au-delà des tracas administratifs, déclarations fiscales, partis politiques et médias corrompus, embêtements avec des voisins indélicats, fuites d’eau intempestives, enfin toutes les contrariétés liées à certains mondes matériels ! Au cours des âges, d’autres atomes et d’autres Consciences viendront s’ajouter à cette Création. Mais moi, j’avais la bougeotte, enfin ! comme on peut avoir la bougeotte dans même pas un point des millions de milliards de fois plus petit qu’un atome que vous pouvez déceler maintenant, bien épanoui avec son petit brouillard d’électrons autour de lui ! Oui ! Enfin, bien sûr, je l’avais potentiellement la bougeotte, j’en avais l’idée, tout le monde aura compris ! Mais cette « idée », simple idée de mouvement, comment la faire émerger, car le mouvement veut de l’espace ?

Avant même le Commencement, zut, ça commence déjà !

« C’était à moi que reviendrait l’honneur d’être le premier et d’avoir la plus grande famille. Nous étions très impatients de savoir ce que nous allions créer. Et évidemment, il y avait toujours des prétentieux qui voulaient faire partie de ci mais pas de ça, voler, mais pas ramper, être lumineux mais pas terne, vert mais pas gris, être Mozart mais pas Pinochet, Italo Calvino mais pas BHL, Victor Hugo mais pas Napoléon, etc. (Ici je vais mettre une parenthèse, même deux d’ailleurs : ces personnages, tout autant que les guerres, n’étaient pas vraiment prévus à l’Origine, mais nous verrons plus loin ce qu’il a bien pu se passer.). On voit que dès le tout début, il y avait déjà quelques controverses, ce qui peut expliquer bien des choses sur ce que vous vivez dans votre époque !

« En tout cas, le problème fut en somme vite réglé : en ces temps indéterminés, il y en aura pour tout le monde, et toutes les expériences seront accessibles à tous, et nous passerons par tous les stades, et paf ! plus de jaloux, et comme nous étions tous mêlés les uns aux autres, nous garderons toujours le souvenir de cette proximité, ce qui fait que tout, dans cet Univers-là, sera connecté ! Plus tard, vous l’appellerez « l’intrication quantique ». Ce qui veut dire que quand l’un d’entre nous aura un état quelque part, ceux avec qui il a interagi le plus intimement, réagiront illico, même à des distances intersidérales, et comme nous étions tous connectés les uns aux autres…

Il se passera encore bien du temps avant que vous ne compreniez que la matière n’est qu’un accessoire, un support. Ce n’est qu’alors que vous pourrez retrouver la mémoire du Sens, la Conscience que la Raison gouverne tout, et que les interactions qui ont lieu au niveau quantique sont tout aussi valables au niveau macro. Bien sûr, il restera toujours quelques exceptions, macroscopiques cela va sans dire, tristes et rabat–joie, pour se croire seules à penser ici-bas ! Comment allions-nous bien pouvoir aller au-delà ?

Oh, my God !

« Indicible Transcendance du Tout, et bien au-delà de tout ce qui est répertorié maintenant, Dieu, puisque c’est son nom le plus courant, assez pratique somme toute – encore qu’un peu galvaudé à toutes les sauces –, mais plus commode que pas de nom du tout, car l’on peut se retrouver sans y pendre garde avec des machins, trucs et autres qualificatifs peu obligeants, avait donc en tête (pour imager toujours !), les Tenants et les Aboutissants, Quand et Où. Parce qu’au supposé point de départ de cette « partie » réservée pour cette création-là, il n’y avait rien, mais vraiment absolument rien à quoi se repérer, comme une ligne de départ avec un panneau « début », une galaxie tournant sur elle–même en un laps de temps bien déterminé, ou même une pendule qui sonne tous les quarts d’heure ! Mais bien sûr, pour Dieu c’était différent et toutes ces contraintes avaient peu de poids. Elle·Il n’était pas pressé·e par on ne sait quel horaire, puisque dans Son Super Univers extra temporel, extra luminique et extra tout d’ailleurs, le temps ainsi que l’espace « n’existaient » pas au sens où vous — êtres humains maintenant limités dans vos trois petites dimensions — l’entendez. La « Lumière », d’une « vitesse » simultanément nulle et infinie, c’est dire l’indicible, et d’une tout autre nature que celle qui nous sera réservée pour notre petit Univers matériel à nous ! Il n’y avait qu’au point de jonction entre Son « Côté » et le nôtre, c’est-à-dire le moment zéro de notre Univers, qu’un certain Fred Hoyle, par dérision, nommait aussi Big Bang, que cela pouvait tirailler, car en somme, il fallait juste le trouver cet alignement, un alignement d’une précision incommensurable !

« Oui ! C’est ce que vous appelez le « mur de Planck », enfin ça, c’est pour votre petite histoire, car en fait personne n’y comprend quelque chose. Dire combien de « temps » a duré cette gestation, reviendrait à demander à un fœtus depuis combien de mois il est dans le ventre de sa mère ! Et encore, il doit bien avoir un embryon de notion de temps (c’est le cas de le dire !), car sa mère mange, bouge, dort, en fait, a des rythmes, mais là, rien ! Puisque de « l’autre côté », pas de « temps » ni d’espace, enfin, rien à quoi un être dans la matière, peut se référer. C’est pourquoi, il vous est absolument impossible d’appréhender, vous, êtres vivants et finis, ce qui pourrait seulement approcher de cette Transcendance, cet Absolu Indifférencié, ce point de Conscience infinie, Énergie intelligente qui, par cette création cherche sans doute simplement à faire, par délégation, une expérience « matérielle », une sorte de jeu de construction ! Enfin bref, pour revenir au moment zéro, qui pourrait se représenter Dieu, un chronomètre à la « main » pour donner le grand départ ?

« Dieu, la Conscience Infinie, nous chérissait comme son grand projet, sans que l’on sache en quoi il allait consister. En focalisant Son Infinie Intelligence, celle-ci va devenir Énergie Consciente. On peut donc comprendre que le Processus exige une certaine mise en œuvre pour qu’il imprègne toutes les particules du futur Univers. Et cette « attente » avait évidemment sa raison d’être, car nous allions y être confrontés à ce fameux temps ! Nous étions littéralement enivrés de ce qui se préparait, car l’aboutissement ne pourrait être que grandiose. C’est sûr, là, pas question de faire des brouillons que l’on brûle ou que l’on jette à la poubelle dans le coin de l’écran, pour être sûr qu’aucune personne indiscrète n’ira diffuser vos bêtises sur Facebook ou Twitter ! Non, là, tout sera étalé au grand jour quand la Lumière sera. Oui ! J’avais été mis dans la confidence, dans le futur ici-bas de cet Univers, une Lumière sera, bien sûr beaucoup plus ordinaire, ondes ou particules selon l’humeur, et contrainte à quelque vitesse maximale par on ne sait quel radar ! Mais quand même, c’était ma seule fascinante certitude, et avec cette certitude, je me laissais même aller à faire des projets car, pour qu’il y ait de la lumière soumise à une vitesse, il faut de l’espace, et je pouvais ainsi avoir un avant-goût du grandiose projet que Dieu nous préparait : un espace, il faut quelque chose dedans, sinon ce n’est pas un espace ! Mais ce « quelque chose », non défini mais accompli, qu’allait-il en être ?

Prêt, partez !

« Et j’étais là à rêver, quand soudain je perçus qu’il allait enfin se passer quelque chose : j’ai remarqué une singularité dans cette Vacuité Ineffable et Transcendantale, un imperceptible déséquilibre, une interférence, une vibration, avec ce que je sais maintenant, oui ! une énergie extraordinaire, démentielle, portée par un Son ! Un Son merveilleux(([2] Que Richard Wagner a très bien concrétisé avec le début de l’Or du Rhin : « Le Prélude de l’OrduRhin s’ouvre sur un monde encore sans temporalité définie (en note : il ne faut guère plus de quelques mesures pour que l’auditeur ne sache déjà plus depuis combien de temps il écoute), et propose la narration d’une genèse imaginaire (?). Sur fond de paix paradigmatique, l’auditeur est invité à faire le silence en lui-même et à rentrer dans un temps sacré. Ainsi, de même que la matière se crée en se diversifiant elle-même, et que la vie procède de la division d’une seule cellule d’origine, le célèbre mi bémol d’abord immobile et seul, durant quatre mesures, engendre, par simples « divisions harmoniques » (en note : les notes progressivement ajoutées n’étant que les harmoniques naturels du mi bémol), sa vie propre. ». Guide des opéras de Wagner, Fayard.)) comme « soufflé » à « l’emplacement » du futur point de jonction. En fait, oui ! C’est l’Énergie-Son qui a trouvé le chemin, comme un projecteur de cinéma dont l’image se serait considérablement élargie quand elle atteint l’écran. Et là ! Juste au passage, cette Synergie s’est en quelque sorte cristallisée pour devenir future matière, et surtout le temps qui, comme sur une ligne de départ, attendait aussi, le coup de feu pour commencer à défiler. Enfin ! quand je dis « défiler », ce n’est pas vraiment en ligne, car comme tout le reste, le temps est un vortex, et selon la position occupée sur ce vortex, il ne va pas être ressenti de la même façon.

« Et moi, il m’arrivait un truc vraiment bizarre, avec le recul, je peux donner un nom : j’avais le trac, mais alors un trac comme il n’en a jamais existé avant (et pour cause !), mais même pas après, j’en suis sûr, un trac épouvantable, colossal ; j’avais le sentiment que Dieu m’avait abandonné, car je commençais certainement à, comment dire… m’en séparer quelque part. Quand même, une telle mission ! La hauteur de la tâche me paraissait colossale ! Mais là, maintenant, plus question de rêvasser ! J’allais devenir… un atome d’hydrogène, avec la missionde relier les Consciences Eternelles à chaque futur particule ! Mais pour l’instant, je n’étais encore qu’un potentiel proton, mais quel proton ! Le premier dans toute l’histoire de cet Univers-là ! Tout reposait sur moi… Impossible de reculer, j’étais comme au bord d’un gigantesque gouffre… qui d’un coup s’ouvrit devant moi !

« Et de toute Éternité, de tout Amour, de toute Émotion,

φ fut, est et sera φ
π fut, est et sera π
1 fut, est et sera 1,
1 fut, est et sera 2,
2 fut, est et sera 3,
3 fut, est et sera 5,
5 fut, est et sera 8,
8 fut, est et sera 13,
13 fut, est et sera 21
21 fut, est et sera 34
34 fut, est et sera 55
55 fut, est et sera 89
89 fut, est et sera 144……

de l’infiniment petit à l’infiniment grand. L’Univers se déployait dans la spirale d’or, devant, derrière, en haut, en bas, à une vitesse jamais atteinte depuis ! Et puis c’était tout nouveau, il y avait même un avant et un après, j’étais entré dans le temps ! Portée pas les multiples Consciences ayant existées de toute éternité, l’Énergie-Son s’est cristallisée en milliards, billions, trillions, etc. de vortex pour créer et ensuite agréger une matière consciente riche de toute l’Information nécessaire à Sa Manifestation. C’est alors que j’ai pu constater que la matière peut-être très bruyante ! Tout cela a fait un foin d’enfer (oups, pardon !). En plus, la matière, quand elle est animée, elle chauffe, c’est la thermodynamique, et plus elle est animée, plus elle chauffe ! Enfin pas grande importance, de toute façon, les consciences n’avaient encore ni oreilles ni capteurs sensoriels et évidemment, aucun thermomètre pour contrôler ne trainait dans les parages, de toutes façons avec cette chaleur, un thermomètre, même à mercure !

« Et puis là, j’ai senti, moi, déjà presque matériel, je sais maintenant, comme une vague immense dont l’écume était la plus douce des caresses : l’Amour, un Amour fou, gigantissime, foudroyant qui a fait que je n’étais plus seul, mais avec une myriade de protons, neutrons, électrons, et même d’antiparticules. Alors j’ai su que j’ai su que cette Fantastique Pensée d’Amour, cette Singularité Créatrice Grandiose, porté par toutes ces petites consciences, allait imprégner chaque future particule de cet Univers là, j’ai su que Dieu en était l’Origine Primordiale et la véritable Force Créatrice : oui ! une Sacrée Force Créatrice Sacrée…

De l’Amour mis en forme

« Maintenant, il s’agissait bien d’un insurmontable défi, car encore plus vite que la lumière basique qui vous sert d’éclairage et de repaire avec sa vitesse d’escargot, nous nous sommes retrouvées, nous, les potentielles particules, projetées dans un plasma, ce n’est rien de dire « brûlant », mais déjà dans un espace qui s’ouvrait à nous et qui continuera à se déployer tant qu’il y aura des Consciences pour le faire. Et puis la maturité aidant, la fougue des premiers instants a fini par se calmer, et la vitesse d’expansion est devenue plus raisonnable et fluctuante : un coup j’accélère, un coup je ralentis, sans doute pour être en phase avec le Super Univers, car c’est précisément le Super Univers qui donne sa cohérence à notre Univers matériel à nous !

« Un proton ! Maintenant j’étais un vrai proton d’hydrogène, et quand cette Colossale Énergie d’Amour m’a submergé, des milliards et des milliards de protons, neutrons, électrons, etc., se sont lancés en tourbillonnant dans l’espace qui se déployait plus vite que la vitesse de cette future Lumière. C’était parti, la « Pensée » de Dieu prenait Forme, se manifestait dans la Gloire, le Grand Déploiement, la Cohérence…

« Nous flottions tous ensemble à une incroyable vitesse, tissant la toile cosmique avec de petits motifs, disons le tout net : des grumeaux(([3] Grumeaux qui préfigurent déjà les futures galaxies !))… 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21……, φ, π, encore et encore, toujours et toujours, dans cet espace qui se créait à chaque milliardième de seconde. C’était une saga incroyable, car nous étions très fougueux, débutants dans la matérialité, et n’avions pas encore bien le schéma pour nous mettre chacun du côté qui nous était assigné, car à chaque fois qu’une particule rencontrait une antiparticule, cela pétait dans tous les sens. Finalement, nous, les particules, avons fini par investir notre cour de création, les antiparticules, elles, ont inverti l’intérieur de la Terre, et l’Immense Vague d’Amour, substance mère venant de l’Endroit du Super Univers, Éther divin imprégnant tout, tissant toujours et encore la magnifique ordonnance qui règne en maitresse absolue : de l’Amour mis en forme ! Alors vous bien sûr, avec cette manie de tout vouloir, malgré votre champ de vision extrêmement réduit, classifiez, ordonnez, comptabilisez dans ce que vous pensez être le « temps », et bien hop ; c’est la gravité, seule capable, selon vous, de mettre de l’ordre dans cette incroyable bamboula que sont ce que vous nommez les quatre forces fondamentales,(([4] Dans le confinement auquel vous contraint la vitesse limitée (par on ne sait quel radar, je ne le dirais jamais assez !) de la lumière, vous ne pouvez donc percevoir que 5 % de l’univers. Ces 5 % sont régis par 4, mais en fait plutôt 3 forces, ou interactions fondamentales qui vous enferment dans cette vision réduite, et permettent aux particules de ne pas se séparer, à la Terre de tourner autour du Soleil, au courant de passer dans un fil… Alors en effet, les scientifiques vont vous dire qu’une seule de ces forces ait manqué à l’appel et le monde que vous connaissez n’aurait jamais pu se manifester, enfin juste les 5% de ce que vous voyez, car vous êtes gouvernés par ce qui correspond à votre niveau vibratoire, et que vous nommez « les 4 forces fondamentales » et que vous décriez comme :
La gravitation est la plus faible de toutes, mais aussi celle qui a la plus grande portée, puisqu’elle agit sur l’ensemble de l’univers. Son intensité dépend de la masse de l’objet, c’est pourquoi elle se fait surtout sentir à l’échelle des planètes : elle les fait tourner autour de leur étoile, mais nous retient aussi au sol, et fait tomber les pommes ! Georges Brassens le disait, le chantait si bien : « la loi de la pesanteur est dure, mais c’est la loi ! » ! Nous y sommes tous soumis.
La force électromagnétique est bien supérieure à la force de gravité, mais n’agit que sur les particules chargées, soit positivement comme les protons, soit négativement comme les électrons. Elle soude les atomes, en les obligeant à partager leurs électrons pour former les molécules, qu’elle pousse ensuite à se combiner en de longues chaînes ; la plus haute expression de ces chaînes est l’ADN qui permet la vie telle que nous la connaissons…
La force, ou interaction nucléaire faible, est l’une, et sans doute la plus importante de ces quatre interactions fondamentales de la nature. Elle est responsable de la désintégration de particules subatomiques, est à l’origine de la fusion nucléaire dans les étoiles. Bien que d’une portée limitée (elle ne dépasse pas les frontières du noyau), elle est inexorable : toutes les particules, à de rares exceptions, sont destinées à se désintégrer. C’est la force la plus proche de l’Origine primordiale gorgée d’Amour et qui anime tout ce qui vit : minéral, végétal, animal et humain ! Mais les humains n’ont pas encore compris qu’elle est primordiale, et que sans elle, aucune manifestation ne saurait possible ! Elle maintenant timidement décrite, avec sa copine juste au-dessus, « force électrofaible ».
La force nucléaire forte donne naissance à l’énergie nucléaire.)) sans mettre en doute un seul instant que l’Univers n’est pour vous que matière minérale ; Conscience et Vie, ça non ! C’est pourtant ce que qu’il est avant toutes choses. Alors en effet, à votre niveau vibratoire, la gravité s’applique au ballet des astres. Mais si ce n’était qu’un leurre, juste une broutille pour amuser les scientifiques !

Un amour d’électron

« Un être normal – je dis bien normal, c’est-à-dire imprégné de l’Énergie d’Amour des Origines –, ne peut pas vivre sans l’Esprit, et de la même manière, ces forces ne peuvent être efficientes sans la Force Spirituelle qui vient du Super Univers comme nous venons de le voir !

Alors cela est devenu encore plus intense, et de délicieux petits picotements suivis d’un divin sentiment de plénitude nous a envahis : oui ! Le pur Amour, car gravitant autour de chacun de nous, un électron était maintenant notre partie indissociable : voilà ! nous étions devenus de vrais atomes, des atomes d’hydrogène !

« Ah ! Mon électron ! Nous nous aimons d’un indéfectible Amour et juré fidélité il y a, il y a ; en fait, de toute éternité. Dans le « temps » que vous aimez tant comptabiliser, ça fait peut-être quelques milliards d’années et des poussières. Nous, en tout cas, nous n’avons pas changé, nous sommes toujours les mêmes, et le même nombre ! C’était enivrant, mais aussi affolant cette écrasante responsabilité ; par nous devait arriver la complexité, et cela a immédiatement commencé…

« Les photons, émis en même temps que nous, facétieuses particules de lumière, une fois particule pour nous bousculer, une fois onde pour prendre de l’élan, étaient encore beaucoup trop serrées pour pouvoir briller à leur aise.

« Nous, en tant qu’atomes d’hydrogène (nous avions aussi la capacité onde-particule, mais pour l’instant, on gardait cela pour nous), c’est le nombre qui faisait notre force ; 75 % de ce petit bout d’Univers tout neuf, et avec un seul électron s’il vous plait ! L’hélium était là aussi, à faire un peu son crâneur avec ses deux protons et ses deux électrons, mais le temps passant, il s’est vite calmé, car à force de faire la java entre nous et avec les photons qui ne cessaient de nous rentrer dedans, il s’est créé tout un tas d’atomes avec plein de protons et d’électrons. Ah, oui ! C’était une sacrée java, je dirais même une Java Sacrée ! Les électrons volaient dans tous les sens, s’offrant aux plus racoleurs, ce qui fait que certains atomes se sont retrouvés avec plein d’électrons tournoyant autour d’eux. J’y tiens tellement au mien, je n’en ai qu’un et personne n’a jamais réussi à me le piquer !

Que la Lumière soit !

« Et tandis que, pris dans l’impulsion de son élan initial, le cosmos continue de se dilater, de s’étendre et de se refroidir, les photons, enfin bien sûr ! les simples photons matériels ordinaires disponibles en nombre illimité ici bas, mais ivres de joie quand même, et qui attendaient depuis des lustres de pouvoir briller à leur aise, peuvent enfin se montrer et révéler le grandiose projet. Voilà ! La lumière EST, traversant l’Univers dans l’anonymat pour illuminer les étoiles, et porter cette Grande Joie dans l’espace à sa vitesse, on ne peut plus limitée ! Enfin, c’est ce qui vous est conté… Mais il existe d’autres autre Lumières bien plus rapides, à commencer par la pensée ! Observez la pensée, elle est fulgurante. Fermez les yeux, pensez au Soleil, regardez le briller dans votre tête, sentez sa chaleur sur votre peau ; cela n’a pas pris 8 minutes ! Et pourtant, c’est le temps que met cette lumière électromagnétique à parvenir sur Gaïa. C’est sans doute à ce moment que l’on pourrait placer ce qui est écrit dans la Bible ; Dieu aurait dit : « Que la lumière soit, et la lumière fut. ».

« Maintenant, il faut bien spécifier que Dieu ou la Grande Conscience ou le Grand Concepteur, EST de toute éternité, et sera toujours dans le Super Univers (bien sûr hors temps et espace), là où la Pensée naît, se conceptualise, car cette Pensée, cette Conception sont indispensables pour qu’il y ait un Univers de matière, mais n’ayant rien de commun avec le Véritable ! En tant qu’êtres humains dans un monde de matière, pour extérioriser votre pensée, la révéler, vous avez besoin de la parole, de l’écriture, de gestes, d’objets extérieurs, etc. et de quelqu’un pour les recevoir. La « Pensée » de Dieu est l’Information Absolue et Totale, et Elle se condense en quelque sorte pour former des Univers, à tous niveaux de densité. Et cette Pensée, cette conception, des milliards de fois plus subtile que celle dans laquelle nous évoluons maintenant, chargée de toute cette Information va engendrer la matière et bien sûr, la Vie : c’est la Source Créatrice, (à ne pas confondre avec Dieu) « dépositaire » de Connaissances infinies grâce auxquelles Elle va donner forme à la Manifestation ! Sur Gaïa, une source n’est source que parce qu’il y a de l’eau, mais la source est en fait un concept ; enlevez l’eau, il n’y a plus de source ! J’ai dit que notre Univers est l’envers, pâle « copie » du Véritable, de l’Endroit d’où vient le Plan, la Pensée, la Conception, le « Matériel » spirituel de la Source. Et quand je dis « copie » ! en fait, pas moyen de comparer ! Quand vous créez quelque chose, êtes-vous cette chose ? Elle va révéler un peu de votre personnalité, mais ne pourra en aucun cas vous représenter, sauf si c’est un autoportrait, et encore !

« C’est donc la Source (déjà éloignée de Dieu, mais bien moins que vous d’Elle), qui va donner signification, structure, forme, à une partie minuscule d’Informations « contenues » dans le Véritable Univers, le Super Univers (qui bien sûr, sans espace ni temps, ne « contient » rien que nous puissions concevoir, car comment nommer l’indicible ?

« Que serait un compositeur sans chef d’orchestre et sans musiciens ?

« Que serait ce même chef sans partition et sans musiciens ?

« L’œuvre resterait dans la tête du compositeur, quelle tristesse ! Sans compter les multiples interprétations que vont nous en donner de géni·ales·aux chefs d’orchestre !

« Alors, que serait Dieu sans création ? Car créer à partir de rien ne peut être que le fait d’un « être » surnaturel (nous verrons plus loin que certains futures êtres ne faisant pas partie de ce Plan divin s’arrangeront pour créer à partir de rien !). Mais n’anticipons pas.

La Source

« C’est seulement à partir de cet Univers de matière que le temps apparaît, enfin quand je dis « temps », celui-là n’a pas grand-chose à voir avec cette chose dans laquelle vous évoluez, que vous pensez bêtement linéaire et comptabilisez avec toutes sortes de moyens plus ou moins cocasses. Oui ! il est en spirale, comme tout ce qui existe, comprenez bien que selon l’endroit où vous vous trouverez sur cette spirale, le ressenti ne sera pas le même ; il n’est donc pas universel. La Source, la grande Source qui englobe cet Univers de matière, naît à son point zéro, et elle va, comme toute bonne source, alimenter un nombre infini de Sources qui seront les Âmes et les Esprits de tous les astres habités par des êtres conscients. Il n’est pas facile de vous expliquer tout cela avec un vocabulaire (et souvent une « comprenette ») si limité !

« Sur Gaïa, une source jaillit, mince filet d’eau native purifiée par son trajet à travers les différentes couches qui composent le manteau terrestre. Elle en a profité pour faire son marché, et s’est ainsi chargée des minéraux qu’elle affectionne particulièrement, et des multiples mémoires qu’elle rencontre. Puis elle commence à couler à la surface et, tout en continuant à faire ses provisions, rencontre de nombreuses autres sources. Ensemble, elles vont devenir ruisseaux, rivières, fleuves, et majestueusement, se fondre dans la mer pour recommencer un cycle, mais en gagnant en connaissances et expériences au fil de milliards d’années. Le cycle est perpétuel, dans une éternelle continuité qui ne doit jamais s’arrêter sous peine de dissolution totale. Et à l’image de la petite source qui finit dans l’océan, les informations multiples récoltées dans le monde manifesté finissent par retourner à l’Origine Primordiale. A cette image, la grande Source, énergie suprême, avec Amour et Émotion, doit constamment jaillir du Super Univers, agençant toutes ces forces, véritable ADN de la Manifestation, à des degrés de précision absolument inimaginables, tant, dans tout ce qui vit, respire, que dans le majestueux ballet des galaxies, des nébuleuses, des soleils et leurs planètes où il est possible de retrouver la forme parfaite de la spirale d’or et du nombre qui en découle. Toujours, la Conscience, ainsi que la Vie, précèdent la matière. Ce que vous « voyez » avec vos sens émoussés, n’est qu’une toute petite partie de la réalité, puisque vous ne percevez même pas 10 %, tant de la matière, du vivant, que de l’univers ! Alors que ce flot impétueux de la vie cosmique vienne à se tarir, l’Univers entier de matière serait englouti dans un improbable néant.

Ben oui, pourquoi ?

« Alors me direz-vous, POURQUOI ? Pourquoi, si Dieu, la Grande Conscience est et sera de toute éternité, prend-elle la peine de créer des Univers ? Je n’ai pas la prétention, surtout moi, simple atome, de vouloir comparer un être humain à Dieu, mais après tout, pourquoi une religion dit que l’homme a été créé à Son Image ? Ce qui est d’une prétention extrême, entre nous soit-dit, comme si Dieu et même la Source avaient une image ! Mais gardons quand même l’exemple. Un être humain digne de ce nom, aspire à des connaissances dans tous les domaines inhérents à ses goûts, ses capacités, ses moyens ; il va explorer, qui, la musique, la danse, la science, la mécanique, la médecine ou la psychologie, qui, ses relations avec les animaux, la Nature, la cosmologie, etc. Peut-être la spiritualité (s’il ne déraille pas avec, si si, il y a des preuves et des preuves, et même avec d’autres disciplines, les ratés ne manquent pas, parfois on peut même se demander où vont se nicher les peaux de bananes, mais là n’est pas le propos, nous y reviendrons !). Tout cela pour enrichir la Grande Mémoire de sa planète où chacun pourra puiser et faire avancer toute l’humanité (enfin c’est ce qui était prévu dans le Plan Originel !) Ainsi, vous avez plus de connaissances, même les gens les plus simples, qu’il y a 100, 500, 1000 ans, encore que… Maintenant quel genre de connaissances ? Un peu dans le matériel, parce que pour ce qui est du spirituel, votre indigence s’apparente plus à celle d’un bonobo qu’à celle d’un humain bien constitué ! Mais admettons que l’homme ait suivi la bonne voie, celle de la néguentropie de la Vraie Pensée, celle qui mène sur les Bons Chemins…

« Donc Dieu, ou la Grande Conscience, toute omnisciente qu’Elle soit, a sans doute aussi soif de connaissance dans ce qui est le plus éloigné de sa Transcendance, et Elle ne peut donc expérimenter directement ce qui est Son opposé total ; la matière dense (c’est une question de champs vibratoires, ce serait comme vouloir mélanger du plomb et un gaz !), et que peut-être, c’est aussi une question de continuité pour ne pas être happé dans un impossible néant… Non, mais c’est bon ! Ne faites pas cette tête-là, je ne suis qu’un simple atome ! Mais je continue quand même, j’y tiens, pour une fois que j’ai un auditoire… Donc, ne pouvant faire ses expériences matérielles, Elle crée des Univers, envoie des émanations d’Elle-même, des Sources filles en quelque sorte. Une principale pour chaque Univers, puis d’Autres pour chaque galaxie et ensuite pour chaque planète, ensuite pour chaque être humain. Toutes sont chargées de créer selon les Plans Suprêmes, puis collecter, répertorier, classer, etc., ses trillions et trillions d’informations, venant du monde minéral, végétal, animal, puis humanoïde. C’est là, bien sûr que la moisson, normalement, devrait se montrer la plus productive avec à terme, des êtres pensants qui vont travailler pour l’enrichissement commun ! N’est-ce pas merveilleux ? Sauf qu’à l’époque présente, sur Gaïa, il y aurait comme quelques grains de sable dans les rouages !

« Vous autres, humains, vous commencez juste à retrouver ce que vos lointains ancêtres savaient de toute évidence ; il faut une connexion à la Source, à commencer celle de votre planète, pour que le monde et l’individu soient cohérents ! Alors à partir de maintenant, puisque l’Univers de matière existe, il ne sera plus question que de « la Source », et même des Sources, Pures Émanations de Dieu.

Au boulot !

« Alors, un beau jour, la Grande Source ivre de Joie et d’Amour, en collaboration avec toutes les Consciences Eternelles, s’est dit que cette fois, il était largement temps de vraiment mettre en œuvre le grand ballet aux yeux du monde. Nous allions, nous les atomes, montrer enfin de quoi nous étions capables ! Finie l’oisiveté, au boulot, vive la matière ! Les grumeaux déjà évoqués se sont mis à tourbillonner, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34…, φ, π, tant et si bien qu’il s’est formé des protogalaxies. Alors évidemment, on aurait presque dû s’en douter, les atomes qui avaient fait plein de provisions d’électrons grouillaient partout à faire les malins : « regardez, je suis le plus complexe, c’est moi qui en ai le plus ! ». Mais eux aussi, le temps passant (puisque maintenant, il défilait !), allaient en rabaisser, car les plus grosses étoiles nous préparaient en secret de gigantesques feux d’artifice, que même celui de New-York, en comparaison, ferait des milliards et des milliards de fois moins de bruit et de lumière qu’un pet de puce comparé au grand commencement ! Oui ! Car, avec leurs gros pétards et leurs gros projecteurs, arrivent sur la scène, les supernovas qui créent en explosant, tous les atomes complexes jusqu’aux atomes lourds, comme l’uranium blindé de protons et d’électrons (92 pour lui tout seul !), et qui vont tournoyer dans l’espace, transcendant les protogalaxies en vraies galaxies de toutes sortes. Et dans cette grande mise en scène, je me débrouillais toujours pour être dans une galaxie spirale, je les trouvais tellement plus belles ! Il y a, il y a… enfin ce qui est dit dans le scénario ; pas mal de temps ! Moi, j’avais choisi une gigantesque étoile qui se pavanait dans une splendide galaxie spirale : la Voie Lactée. « Regardez, disait cette étoile, je suis la plus belle, c’est moi qui brille le plus ! ». On la sentait quand même un peu prétentieuse ; c’est sûr, pour briller, elle brillait, des milliards de fois plus que notre soleil actuel ! Pour continuer à briller plus que les autres, elle a commencé par consumer tout son hydrogène qui s’est combiné avec d’autres éléments, moi, je me suis échappé juste à temps pour ne pas me faire piquer mon électron, et nous garder, moi et mon double, pour notre futur Amour…

« Puis elle a continué en brûlant toutes ses réserves, a fini par s’effondrer et quasiment rebondir sur elle-même, et s’est alors mise à gonfler, gonfler tant et si bien… qu’elle explosa  ! Moi, je m’étais éloigné pour pouvoir profiter du spectacle de l’extérieur ; c’est sûr, à côté de l’explosion du tout début, cela faisait un peu crottes de souris ayant abusé d’épinards, mais quand même ce n’était pas mal ! Elle était devenue une supernova, ensemençant cette partie de la Voie Lactée des éléments nécessaires à la vie et au futur système solaire, et j’étais fier, car c’est celui que m’avait assigné la Source. Rapidement, les gaz interstellaires se sont mis en rotation, toujours et toujours plus, pour attirer et concentrer la matière pour former le Soleil et ses planètes, parfois telluriques, parfois gazeuses, au cœur desquelles tourne toujours l’information primordiale…

Oui ! Un bien grand bal

« Le grand bal cosmique était lancé depuis, depuis… une petite éternité, et gagnait en une complexité qui devait répondre à un ordre extrêmement précis sous peine de dislocation totale, et nous l’avons déjà évoqué ; pas de poubelle ! Encore que nous verrons plus tard que certains vortex pourraient bien être des déchetteries cosmiques où tout y est recyclé, même… mais n’anticipons pas !

« Et plus l’Univers grandit, plus son équilibre doit être maintenu par le Super Univers et les Consciences Eternelles. Il faut bien vous rendre compte que vous ne percevez qu’environ 5 à 10 % de notre Univers, et ce que les physiciens appellent matière et énergie noires (parce qu’ils n’y voient goutte), ne sont autres que l’Énergie du Super Univers qui donne sa cohérence à son bébé. Et c’est d’ailleurs votre lumière basique avec sa vitesse limitée, qui agit en véritable barrage et vous masque le vrai « visage » de l’Univers. Ah, si seulement vous pouviez voir ne serait-ce qu’un aperçu de cette splendeur, vous seriez conquis à tout jamais ; toutes vos petites histoires humaines se dissoudraient dans la Réalité comme neige au soleil !

«  Toute création, de la plus humble à la plus grandiose doit être belle, de cette beauté qui touche au plus profond de l’être, créant une émotion divine qui élève, s’approchant le plus possible du côté si mystérieux et numineux(([5] Ce terme, plus large que celui de sacré, désigne ce qui est surnaturel, inexplicable. Le sentiment du numineux se révèle à l’être humain comme mystérieux, à la fois attirant et effrayant, échappant à son entendement…)) de la « Demeure » de Dieu. Et il faut avouer, que pour cette manifestation cosmique, la réussite semblait assez réussie ; les télescopes ne vous révèlent que les 5% de l’indicible beauté de cette vastitude. Ne serait-ce que de votre petite fenêtre, vous pouvez admirer le ballet de la Lune, du Soleil, des galaxies, vous enivrer des étoiles, et vous laissez aller aux rêves… Et cela juste avec ces fameux 5% de l’Univers matériel que vous pouvez observer ! Mais ceux qui peuvent retrouver quelques traces de ces connexions perdues, savent…

Passer aux choses sérieuses

« Comme nous l’avons évoqué, cet Univers a été créé parce qu’il existe, nulle part et partout, l’Endroit du décor… Maintenant, pour ce qui est de notre côté, l’envers donc, il faut obligatoirement des atomes qui vont s’agencer pour matérialiser des molécules dont l’organisation aboutira à toutes sortes de formes, pour aller vers une certaine complexité. Beaucoup d’aventures, d’associations diverses et variées, de supers explosions, de concrétions, de formations sont nécessaires pour en arriver au petit système solaire, que vous autres, êtres humains de la Terre, habitez ! Mais savez-vous comment vous en êtes arrivés là ? L’avantage d’être un élément aussi simple qu’un atome d’hydrogène, est que j’ai été partie prenante d’un nombre incalculable de mondes, d’êtres vivants, d’éléments. Je, moi, simple atome d’hydrogène, suis issu directement de L’Origine, mandaté par Dieu, et racine de tous les autres éléments !

Ah ! L’Amour !

« Oui, l’Amour indissociable à toute Source de vie, sublime ménage à trois, est celui qui nous unit, moi et mon alter égo, à un atome O… L’Eau, magique, divine, unique, à la prodigieuse mémoire, sans laquelle rien ne serait ! Notre amour s’appelle « liaison hydrogène » (nous sommes quand même les aînés !), ensemble, nous sommes hydrophiles, c’est plus fort que tout, nous nous aimons, nous voulons toujours rester liés, si l’on veut nous séparer, nous formons tout de suite de petites gouttes qui cherchent à se rassembler(([6] Les molécules d’eau ont une polarité, c’est-à-dire, un « côté » positif et un « côté » négatif, et à la manière d’aimants, s’agglutinent entre elles. Le côté positif d’une molécule d’eau attire le côté négatif d’une autre molécule. Les grappes de molécules ainsi constituées portent le nom scientifique de « clusters ». Dans une eau stagnante (bouteilles, tuyaux, mares, les clusters deviennent des macros clusters regroupant 15 à 80 molécules, ce qui n’est pas naturel. L’eau ne peut plus chanter la mélodie de la Vie, alors que dans un torrent de montagne, son mouvement permanent empêche ces macros clusters de se former. Elle se compose alors de molécules libres et de micro clusters de 2 à 6 molécules, et se trouve alors dans son véritable état d’eau micro structurée ; c’est ainsi qu’elle est porteuse de vie et de mémoires. Mais agglutinée en macro cluster, elle perd une partie de ses qualités de solvant, participe moins efficacement à la digestion des aliments, véhicule avec difficulté les micronutriments vers les cellules et pénètre moins facilement à l’intérieur des mêmes cellules. Son rôle essentiel de « nettoyant cellulaire » et son impact en matière de détoxication cellulaire s’en trouve amoindri.))! Mais nous sommes aussi copains avec tout ce qui nous entoure. Ah ! Sans lui, inutile d’imaginer un quelconque Possible de vie biologique ! La Source nous a imprégnés de Son Essence, de Sa Numinescence, de Sa Divinité ; H²O est bien le Principe Divin Créateur incarné, et seule substance terrestre à pouvoir s’approcher autant de la Source. Oui ! C’est un élément subtil, capricieux, fougueux, impétueux, parfois déchaîné, mais aussi souple, doux, suave, caressant, indispensable, fondamental, pure Merveille des Merveilles ! L’Eau, qui se souvient de tout, se faufile partout sur Gaïa, dessus, dessous, en l’air, creusant, décapant, sculptant, en fait, toujours en travaux, travaux dont vous pouvez admirer les œuvres sous leurs multiples aspects ; elle circule dans le minéral, le végétal, l’animal ! Elle se gorge des minéraux et des mémoires qu’elle trouve sur son passage, informe, transmet le Message Originel, tant sur Terre que dans l’espace. Des vallées aux grottes, des plaines aux canyons, des chutes aux lacs ; nous abreuvons tout ce qui vit, nous adorons tout ce que nous côtoyons et nous en assimilons la forme pour la transporter partout sur la Terre et même au-delà ! Oui, c’est en grande partie ce qui fait évoluer toutes choses : partout où nous allons, nous enregistrons toutes les formes, toutes les mémoires et ensuite, laissons empreintes, modèles, plans, schémas et nous constituons les corps de tout ce qui vit. C’est aussi comme cela que les futurs Êtres ont réussi à générer autant de diversité. Tantôt vapeur, nous bougeons dans tous les sens, on s’éclate dans les nuages pour retomber en pluie, neige, grêle, nous allons ensuite dans les cascades, les rivières, les fleuves, la mer, et repartons vers le ciel.. Et puis, glace pour se reposer un peu, c’est le repos syndical en quelque sorte ! Et il y a même eu des périodes où c’était le grand sommeil, quand Gaïa n’était qu’une énorme boule de glace, il y plus de 2 milliards d’années, les océans gelés sur 1 km de profondeur ! Le réveil, dans ces cas-là, long et fastidieux, peut se montrer un peu pâteux, mais la divine Mémoire se réactive, et la vie, grâce à nous, repart très vite…

De bons amis

« Comme vous voyez, depuis le tout début, nous avons fait du chemin, et on s’éclatait avec notre copain O pas prétentieux pour deux sous malgré ses 8 protons et électrons. Il est vrai que nous étions là avant lui, et nous, la grande famille des H, sans vouloir faire de l’anthropomorphisme, nous sommes de grands philanthropes. Nous aimons tous nos copains atomes, et nous nous associons volontiers avec d’autres atomes, ce qui fait la profusion et la diversité du monde. Mais moi, Petit H, je suis toujours fidèle à O qui sur Gaïa, était l’enfant des plantes (bien sûr, le modèle était déjà présent dans le cosmos). Avec lui, c’est à la vie à la mort ! J’avais suivi sa naissance ici pas à pas ; ce sont les cyanobactéries, de leur petit nom, algues bleu-vert qui, avec un programme intégré parfaitement défini, inventèrent la photosynthèse en s’arrangeant à capturer le carbone contenu dans le CO² et rejeter… de l’oxygène ! On peut penser que ce fut le début de l’élévation de sa concentration dans l’atmosphère de Gaïa. Que nenni ! A peine né, ce petit philanthrope a-t-il commencé à batifoler avec tous les éléments qui se trouvaient dans les parages, comme moi, mais aussi le carbone, le soufre, le fer… Les atomes sont trop heureux de trouver des copains pour pouvoir se transformer en d’autres éléments : certains sont fidèles, mais d’autres volages…

« Enfin au fil du temps, ayant satisfait tout le monde, il a fini par rouler pour lui, et atteindre dans l’air une concentration suffisante et idéale pour la majorité des êtres, tant végétaux qu’animaux, vivants sur Gaïa.

La Complexité, on y vient, on y vient…

« Maintenant, si les premiers assemblages de molécules, dont les acides aminés, restent assez simples et peuvent se faire automatiquement depuis l’impulsion de départ, ces dernières, pour arriver à la vie sensible et palpitante, vont passer un stade qui lui, demande une Intervention consciente : le vivant ! Car pour passer des chaînes d’acides aminés aux protéines qui sont des macromolécules, briques essentielles de chaque cellule présente sur Gaïa, il faut l’ADN ! Ces macromolécules ont de multiples fonctions : elles agencent la structure de la cellule, catalysent les molécules présentes pour obtenir de l’énergie ou bâtir des composants cellulaires. Elles sont aussi affectées au nettoyage. Elles vont donc former des cellules, puis des organes, puis des corps qui vont évoluer, et dont l’ADN pourra stoker des informations. Enfin ! sur le plan purement matériel, car nous allons bientôt voir que la matière est loin d’être seule. Arrivées à ce stade, toutes les subtilités de ce bel Univers pourront enfin être appréciées à leur juste valeur !

***

« La Nature de tous ces mondes, porteuse de cartes mères bien déterminées, avait donc façonné sous la direction avisée des élémentaux, les règnes minéral, végétal, et animal. Mais dans ce dernier règne, il fallait encore un petit supplément pour parachever cette grande œuvre, car ces mondes, comme nous l’avons déjà évoqué, avaient le but d’enrichir la Grande Pensée Universelle, (Dieu), d’expériences dans ce qui était le plus éloigné d’Elle : la matière dense et matérielle. Mais pas que : de pures émanations divines, que l’on pourrait nommer « graines d’esprit », attendaient (oui, encore une fois, si l’on peut dire !)… elles attendaient, il est vrai avec une certaine impatience, de… s’incarner avec le magistral potentiel de devenir conscientes d’elles-mêmes ! Vous savez qu’une graine a un programme hautement élaboré en elle, et dès qu’elle se trouve dans un substrat adéquat, elle donnera soit une petite graminée de quelques centimètres de haut, soit un séquoia ! Elle a donc un logiciel intégré personnel, et ne pourra en aucun cas donner autre chose que ce pourquoi elle a été programmée.

« C’était donc une toute nouvelle expérience : ces graines, « embryons » divins en quelque sorte, futurs esprits accomplis arrivés à la pleine conscience, étaient destinés, au terme de leur mission, à sublimer, transcender cette matière si grossière, la façonner. Faire évoluer ces planètes avec tous leurs écosystèmes sera donc leur mission, apportant leur quota d’évolution à ce merveilleux Univers pour qu’Il continue son chemin vers la Perfection Divine (en tous cas, au niveau de la Terre, entre autres, c’est ce qui était prévu !). Ce qui permettrait aussi à ces petites graines, une fois individualisées et arrivées au terme de leur « contrat », de retrouver seules le chemin de leur Origine, car de même nature que la Source, et normalement, immortelles et intemporelles. Mais elles allaient, en incarnant des corps humains, hériter d’un concept en même tant emblématique, crucial et fondamental : le libre arbitre ! Un libre arbitre normalement indéfectible qui allait les éloigner de la Source, avec l’éventuel piège de leur faire croire à leur omnipotence. Oui, un possible grain de sable peut s’immiscer dans cette belle ordonnance : l’EGO, mais n’anticipons pas !

Expériences

« Pour un projet ayant pour but de transcender une matière grossière en une matière beaucoup plus subtile avec au potentiel spirituellement évolutionniste, les planètes telluriques semblaient se montrer parfaites, et tant qu’à faire, autant peupler tout l’Univers avec ce modèle ! La grande Source, ayant déjà invoqué la vie sous toutes ses formes sur un nombre incalculable de planètes, passa ensuite la main à la Source qui allait abreuver Gaïa. Elle l’imprégna de sa pensée avec en prime, une besace(([7] On trouve d’ailleurs de nombreuses représentations de dieux Anunnaki tenant à la main une sorte de petit sac !)) où se trouvait une boîte de Pétri, pleine de petits chromosomes X tous mignons qui frétillaient en se tortillant avec leurs petits bras et leurs petites jambes sans savoir ce que l’on attendait d’eux. Et dans une petite poche spéciale de la besace, quelques superbes torsades d’ADN nouvellement élaborées, base universelle de Vie biologique dans cet Univers. Tout là-haut, bien attentives dans leur vaporeuse et immatérielle « corbeille », d’adorables petites graines d’Esprit observaient avec le plus grand intérêt – se poussant gentiment du coude pour être au meilleur poste –, les moindres « faits et gestes » de la Divine Pensée pendant que cette dernière assemblait les petits chromosomes X sur une magnifique torsade d’ADN de la meilleure qualité.

— Sur une si belle Terre nous allons vivre !

— C’est quoi « vivre » ?

— On ne sait pas trop, mais Dieu nous a promis qu’à chaque expérience terrestre, nous reviendrons avec plein de connaissances.

— Ah ! Quel genre de connaissances ?

— Ben ! Par exemple, nous allons connaître les sentiments, les Émotions, l’Amour, l’Empathie, la Compassion et même la Création, car nous aurons le Pouvoir Créateur, et puis plein de trucs que l’on ne sait même pas ce que c’est. En plus nous sommes chargées de mission…

— C’est sûr ? Et si cela ne marche pas ?

— Tu rigoles, Dieu a tout prévu… enfin j’espère !

— Oui ! Oui ! Cela nous plaît à nous de faire des expériences, s’écrient les petites graines en sautillant !

— C’est quoi des « expériences » ?

Dans un coin de la corbeille, une petite graine se renfrognait :

— Je ne veux pas y aller, j’ai peur !

— Peur ? Tu vois Lili, tu connais déjà un sentiment, bon, ce n’est peut-être pas le meilleur ! Non, tu as juste un peu le trac comme notre ami l’atome d’hydrogène, celui qui a ouvert le grand bal cosmique, tu vois maintenant comme il est content ? Tu ne peux pas rester éternellement une graine. Nous devons germer, pousser, grandir, devenir les plus belles fleurs ayant jamais existé ; aller vers la Perfection. Notre mission consistera à façonner, créer un riche écosystème sur cette Terre, et ainsi enrichir cet Univers-là de nos expériences et connaissances acquises dans la matière, pour revenir, si nous avons bien grandi, fusionner, dans un premier temps avec la Source de la planète, peut-être ensuite, la grande Source pour qu’Elle engramme à son tour, tout ce que nous aurons appris…

« De plus en plus impatientes, elles sautillaient en gazouillant, observant attentivement la Source parachever son œuvre ; c’était à qui sauterait en premier ! De toute façon, Dieu, la Grande Conscience avait bien dit qu’il y en aurait pour tout le monde, tout en sachant aussi que l’enthousiasme du début pourrait, si les choses se gâtaient, ne plus déclencher d’aussi joyeuses vocations.

***

« Mais pour que la graine d’esprit puisse germer et pousser dans les meilleures conditions, il faut un milieu beaucoup plus subtil qu’un corps aussi dense, même si ces premiers corps avaient un niveau vibratoire plus élevé, donc d’une matière beaucoup plus fine que le vôtre dans les temps présents. La Source allait alors exprimer d’elle-même dans une fulgurante Lumière, une « Matière » d’une extrême subtilité, impalpable, éthérée, éternellement connectée à Sa Nature divine, réceptacle sacré appelé Âme dont la fonction sera d’engrammer toutes les mémoires de la vie, et qui allait subtilement s’immiscer dans toutes les cellules du corps physique, et l’envelopper d’une douce Lumière juste avant l’incarnation des graines d’esprit. Cette « Enveloppe » sera, tout au long d’une vie, le réceptacle de toutes les expériences vécues et un lien entre le corps et ces petites entités spirituelles qui allaient grandir, grandir, éternellement connectées les unes avec les autres (enfin, c’était ce qui était prévu !) …

Et Dieu créa la femme…

« Ainsi, nos petites entités espiègles se tenaient prêtes à faire une expérience de vie dans cette humanité qui semblait s’annoncer. Et comme sur une ligne de départ, elles s’apprêtaient à bondir dès qu’un corps aurait été conçu.

« La Source, ayant assemblé avec le plus grand soin les petits chromosomes X sur cette magnifique torsade d’ADN à laquelle elle insuffla, en un « geste » – créateur bien évidemment –, le langage codé le plus dense et le plus élaboré que vous connaissez, le langage de la Vie, le langage de l’ADN ! Sortit alors, de son chapeau… une superbe Créature ! Flottant sur une couche immatérielle, elle semblait dormir et n’avait pas cette opacité qu’ont vos corps dans les temps présents ; la Lumière pouvait la traverser. Encadré de boucles brunes tombant sur ses épaules, son visage, aux traits finement dessinés, paraissait sans expression et sa peau, toute lisse (ce qui était complètement nouveau sur Gaïa, sauf les vers et certains nouveau-nés, les autres espèces ayant soit poils, plumes ou écailles, mais on ne discute pas les idées d’un dieu créateur, si saugrenues soient-elles !). Oui, cette peau, lumineuse et irisée, douce comme celle d’une pêche, avait cette transparence et cette sublime couleur indigo du ciel quand les premières étoiles commencent juste à la tombée de la nuit, à révéler leur présence, une poitrine galbée à faire pâlir un arc-en-ciel, des fesses rebondies comme des boules de brioches, des cuisses finement musclées, des épaules joliment arrondies ; qu’elle était belle !

***

« A ce stade de la Création, il faut bien comprendre qu’il ne s’agit que d’un corps, c’est-à-dire un contenant, mais un contenant avec toute une « mécanique » ultra perfectionnée, mais encore non opérationnelle ! Maintenant que vous avez des ordinateurs, je peux faire une comparaison simple. Vous venez d’en acquérir un, tout neuf, tout rutilant (sans traces de doigts ou autres estampilles ayant peu de rapports avec l’informatique !), avec plein de logiciels tout neufs aussi (qui ont, soit dit en passant, demandé un créateur !), la première chose à faire est de le brancher sur une source d’énergie, à ce stade, à part le petit voyant de charge, il ne se passe pas grand-chose. Et puis vous allez vous mettre devant votre machine, et l’ouvrir ! Et là, c’est comme s’il se mettait à vivre ! Oui, sans vous, que serait ce boitier ? Il va se charger de tout ce que vous avez envie d’y mettre et interagir avec d’autres ; vous allez activer sa mémoire vive avec votre personnalité…

***

« Nous en sommes donc à ce stade de la Création : l’ordinateur est devant vous, prêt à être utilisé, mais vous ne l’avez pas encore touché ! La Source se mit alors à rayonner, et telle une haleine providentielle, un halo vaporeux nimba instantanément la créature de son enveloppe subtile qui allait, en se densifiant jusqu’au contact du corps, se mettre en symbiose avec lui et lui survivre un temps plus ou moins long après la mort de ce corps. C’est L’Âme qui transmettra à l’Esprit toute la mémoire acquise pendant sa vie, c’est Elle qui ressentira des émotions, qui pourra souffrir si Elle est mal nourrie, et sublimer l’être si elle reçoit de bonnes « Nourritures Émotionnelles et surtout Spirituelles ».

« A peine cette indispensable intervention achevée, le visage, toujours sans expression, s’anima d’un indicible sourire, mais la vie n’y pétillait pas encore (c’est le courant, le voyant de charge de votre ordinateur). C’est alors que Lili, la petite graine d’esprit timide sauta dans le corps endormi ; « Lili, s’écrièrent les petites graines d’esprit, tu es la première ! Bravo, nous sommes fières de toi ! ». Instantanément, L’Être ouvrit ses grands yeux ; bordés de longs cils, ils étaient marron illuminés de multiples paillettes vertes et bleues scintillantes ; ce regard sublime, doux et pétillant de vie, reflétait toutefois une volonté farouche et fière. Puis, lentement, comme pour tester cette merveilleuse machine, avec une grâce innée, elle se mit debout. Tous les atomes présents étaient sous le charme de sa prestance, de son irradiante beauté (c’est tout juste si l’on n’entendit pas des sifflements !), et grâce à l’intrication, la nouvelle se répandit instantanément dans cette partie de la galaxie. Chacun voulait se faire respirer, avaler, l’accueillir dans les sources et les rivières où elle n’allait pas manquer de se baigner. Un charme fou, une allure enfantine, mutine et joyeuse couplée avec une incomparable délicatesse ; c’est sûr, nous allions rapidement nous habituer à cette nouvelle forme… Voilà, votre ordinateur est connecté au réseau, et vous allez le faire « vivre » !

« Vous comprenez maintenant que l’Âme et l’Esprit, comme le courant qui fournit l’énergie et l’humain qui va utiliser l’ordinateur, sont indispensables au corps tout en en étant indépendants.

Précautions

« Lili avait donc instantanément germée, radieuse et lumineuse, elle ÉTAIT, et pouvait communiquer avec, non seulement tous les règnes, mais l’Univers, la Source Créatrice, et même Dieu dans son Super Univers, car elle-même était devenue aussi, infiniment plus modestement bien sûr, une créatrice incarnée : elle avait la capacité de manifester toutes ses pensées, et ainsi, interpréter la Divine Partition. Comme son Âme et son Esprit étaient à l’image de la Pureté Originelle, il n’y avait aucun danger.

— Lili, lui dit alors la Grande Créatrice, te voilà prête à faire cette expérience unique de la Vie sur Terre. Ce corps de matière encore très éthéré que j’ai conçu d’après les Plans de Dieu est parfait, et tu devras en prendre un soin tout particulier, car il est ton véhicule dans ce monde, c’est une machine biologique ultra perfectionnée qui, bien entretenue, a un pouvoir de régénération très puissant et ne doit jamais « tomber en panne ». Tu auras aussi, par la force de ta pensée, le pouvoir d’agir sur tes gènes si tu en éprouves le besoin, mais bien entendu, avec le Discernement que je te donne.

— Nous aussi nous voulons venir, nous aussi nous voulons faire une expérience sur cette Terre là !

— Mais bien sûr que vous allez venir, Lili s’ennuierait sans vous !

Mise en garde

« Alors, instantanément, Gaïa fut peuplée de ces Êtres magnifiques !

« Puis ainsi parla la Source :

 — Cette planète est maintenant votre demeure et vous attendait depuis bien longtemps ! Vous allez grandir avec Elle, et en tant que créatrices incarnées, avec l’aide des élémentaux, votre mission sera de créer une Nature riche, parfaite, et aider tous les autres règnes à évoluer encore et toujours dans le sens de la Beauté, de la Perfection, vers une biodiversité raffinée de plus en plus subtile. Ma Source Fille, Âme de cette planète, attend que vous manifestiez, toujours dans la Joie et l’Amour, ce Pouvoir Créateur qui vous a été donné par l’Être Créateur Suprême (attention de ne pas confondre « pouvoir créateur » avec « l’Être Créateur », seul et unique.). Cette planète précise est destinée à devenir un modèle pour cette partie plutôt désertique de la galaxie, et vous, des exemples d’Intelligence, de Discernement, d’Empathie, d’Entente, de Perfection… La nuit, pendant que vos corps dormiront, vous pourrez revenir dans votre véritable maison, ici près de Moi à travers ma Fille, Âme de cette planète, pour me transmettre vos expériences et reprendre des forces pour affronter la journée où vous vivrez la vie des corps de matière. Votre ADN, entièrement décodé, vous maintient à un niveau vibratoire proche de celui de la Source de votre désormais planète. Vous serez ainsi les garantes des cycles évolutifs de la Terre qui, comme toutes les planètes habitées par des êtres biologiques, est protégée des radiations mortelles et dangers qui parcourent l’espace, par une ceinture(([8] La ceinture de Van Allen est une zone toroïdale [en forme de tore] entourant l’équateur et se situant dans la magnétosphère de la terre. Elle contient des particules énergétiques de grande densité, infranchissables et mortelles pour les êtres humains à l’aune de leurs connaissances actuelles. Elle est à l’origine des aurores boréales.)) de particules énergétiques de grande densité et surtout, d’énergie beaucoup plus subtiles.

« Mais attention ! Pour cela, vous devrez toujours maintenir la pureté de vos pensées, de vos actes, vivre dans l’Amour inconditionnel. La matière s’est formée par accrétion autour des premiers vortex en diminuant le haut taux vibratoire qui règne au cœur de toutes choses. Il en est ainsi, tant au centre des galaxies que des astres, des planètes, des cellules, des atomes. Mais la matière a une particularité comparée au pur éther qui règne dans les sphères de haut niveau vibratoire : elle peut densifier les déchets, physiques mais aussi mentaux, jusqu’à leur donner forme avec une apparence de vie qui pourra ensuite se manifester comme « forces obscures ». Ces forces obscures n’ont bien sûr, pas été créées par la Grande Conscience, Dieu. Elles font partie des inconvénients et tracas de la matière qui normalement se régénère et se purifie seule, mais malheureusement, elles peuvent se densifier jusqu’à créer un être au grand pouvoir d’imitation et qui pourra alors générer des copies d’humains physiquement indétectables, mais au même pouvoir maléfique que leur inventeur ! A la mort de leur corps physique, ces êtres n’ayant que l’esprit de ruche (car ils n’ont pas été dotés de cette fameuse petite graine d’Esprit !) n’auront, dans le meilleur des cas, que la possibilité de se fondre dans leur âme groupe, perdant ainsi la plus grande partie de leur individualité… Et je vous laisse le loisir d’imaginer ce que peut bien être cette âme groupe !

« Ce qui bien sûr, leur fait très peur. Ils n’ont donc pas de sentiments, d’émotions, pas de conscience du bien et du mal, avec quand même une nette préférence pour le mal. Je vous mets donc en garde, car pour croître, ils ont besoin, de malheur, de déréliction, etc., et de tout ce que peut amener la souffrance. N’ayant pas été créées par Dieu, la petite graine d’Esprit qui vous anime leurs est totalement étrangère, et face à ce manque, ces êtres sont très jaloux des êtres humains et ne désirent rien de mieux que s’en faire des esclaves.

« Bien sûr, ils finiront obligatoirement par être intégralement dissouts, mais peuvent réellement créer de grands tourments et attirer à eux nombre d’âmes qu’ils auront réussi à entraîner dans leur propre perdition. Et il en existe hélas dans l’Univers, générées par d’autres humanités qui elles, n’ont pas respecté les Lois de la Vie et de la Nature… Je me dois de vous mettre en garde, car ici comme ailleurs, si ces lois venaient à ne plus être respectées, il se pourrait que des séquences de votre ADN restent muettes, désactivant du même coup, vos corps les plus subtils ; il en découlerait des désordres, dégénérescences et maladies de toute nature.

« Oui ! Un bas taux vibratoire peut densifier de plus en plus les corps et les pensées, produisant sans cesse plus de désordres émotionnels, de la dualité tant intérieur qu’extérieur, c’est-à-dire du Loosh(([9] Ce terme vient de Robert Monroe ; l’être humain, à travers les expériences de la vie, génère une énergie qualifiée de LOOSH (se prononce  « louche »), de toutes qualités et de toutes sortes. Comme l’araignée produit les fils qui vont lui permettre de vivre et de se nourrir, les arbres émettent de l’oxygène et donnent des fruits, les mères ont du lait, les oiseaux chantent la beauté, la terre se couvre de végétation, etc., l’être humain, lui, produit du Loosh. Et ce Loosh, au fil des millénaires a perdu ses qualités premières : Amour, Compassion, vertu, sagesse…, car sont venus s’y ajouter tous les sentiments, attitudes et comportements de peur, angoisse, haine, vengeance, jalousie, envie, arrogance, présomption, agressivité, violence, etc.)) dont se nourrissent ces forces obscures bien présentes dans ces lieux éloignés du centre galactique, ce qui bien sûr les renforcerait. Les accompagne alors un cortège de conséquences déplorables : maladies, agonie, peur de la mort, cynisme, aveuglement, confusion, guerres, etc., qui rendent les êtres esclaves à ces forces qui ne rêvent que d’une chose : s’emparer de votre pouvoir créateur pour grandir, car sans Esprit et n’ayant pas été créées par Dieu, elles ne possèdent pas ce pouvoir créateur, et n’ont de cesse de s’emparer du vôtre.

« C’est pourquoi, il est primordial que vous gardiez vos pensées pures, saines et belles. Prenez bien conscience de cela, et mettez tout en œuvre pour que cette connaissance se transmette jusqu’à vos lointains descendants. Les effets des pensées et des actes impurs, malsains et laids se répercuteraient immédiatement sur le corps physique, comme nous venons de le voir. La liaison avec l’Âme deviendrait de plus en plus difficile, et quand une Âme est en souffrance, l’Esprit ne peut plus évoluer dans le bon sens.

« Ce corps, tant que vous gardez votre Âme pure, restera jeune et vous le quitterez quand bon vous semblera, en gardant toute votre conscience et la mémoire de l’histoire de la civilisation où vous aurez vécu, et bien sûr, votre mémoire personnelle. J’ai placé dans votre cerveau un petit cristal(([10] La glande pinéale)) qui vous permettra de toujours garder le contact entre vous, la Nature, Moi, la Source de votre planète et même Dieu ! Chaque incarnation, délibérément choisie et planifiée, sera donc très fructueuse, et l’occasion de faire des expériences très différentes sans avoir à recommencer un apprentissage long et laborieux. Une fois que vous aurez quitté vos corps morts, les cellules, imprégnées de la mémoire de toutes les connaissances et des enseignements que vous en aurez tirés, seront partagées avec les animaux spécialement conçus à cet effet, les charognards qui mangeront ce corps pour le recycler noblement, enrichissant ainsi, la faune, la flore, la Terre.

« Votre Esprit, quant à lui, reviendra vers Moi en transit, pour partager ces expériences qui, une fois analysées et transcendées, repartiront vers Dieu. Et quand l’Esprit aura fait toutes les expériences désirées, il pourra alors faire son Ascension, et continuer son chemin vers la Fusion Ultime.

Surtout, ne pas perdre la Mémoire !

« Alors, encore une fois, je le redis, si au cours des millénaires, vos descendants oublient ce message, oublient leur origine, leurs corps perdront ce haut taux vibratoire qui les caractérise actuellement et les protège des forces obscures. Ils pourraient alors perdre leurs connexions universelles avec Moi, la Nature — animaux, insectes, arbres, plantes…—, et bien sûr entre eux. Ils pourraient, suite logique soufflée par les forces obscures, être amenés à se croire seuls, perdus dans un immense univers minéral sans vie, arrivés par le plus grand des hasards sur une petite planète quelconque bien sûr sans créateur !

« Si ce haut taux vibratoire baisse, ces protections se montreront de moins en moins efficaces contre ces forces obscures qui chercheraient toutes les occasions possibles de s’emparer des êtres ayant un Esprit et surtout un ADN manipulable, afin de s’approprier leurs pouvoirs créateurs, insufflant au passage des émotions négatives, du Loosh, pour s’en nourrir. Apparaitraient alors densité et condensation avec tous les sentiments rendant les êtres malheureux qui deviendraient alors presque totalement hermétiques à toute spiritualité. Et soufflés par ces forces obscures, arriveraient cynisme, guerre, haine, vengeance (alors présentée comme quelque chose de naturel, de normal, de légitime), désir de puissance et peur comme moteur universel, le tout couronné par une sorte d’ironie acerbe. Les infortunés sous cette emprise auraient beaucoup de mal à refaire surface un jour, car ils se trouveraient pris dans la roue infernale du karma que ces forces obscures, encore elles décidément, prendraient bien soin de promulguer comme inéluctable.

« Nous l’avons vu, rien ne se perd, rien ne peut s’effacer, car il faut que chaque planète garde son équilibre. Gaïa, comme chaque être vivant, a un système immunitaire et un système de recyclage des déchets de tous les êtres vivants avec Elle hautement perfectionnés. Ces systèmes, s’ils ne sont pas entravés, sont infaillibles. Il en est de même pour la conscience !

« Mais tant que votre taux vibratoire est très élevé, ces odieuses forces ne peuvent en aucune façon vous atteindre, comme elles le font avec de nombreuses planètes. Après la mort de votre corps, votre Ascension sera immédiate, et vous pourrez évoluer vers des mondes plus subtils. Je le redis encore une fois, si par malheur vos descendants se laissent pervertir, une grande partie de leur ADN ne sera, non seulement plus décodé, mais aussi corrompu, alors les dramatiques conséquences que je viens d’évoquer risqueraient d’arriver. Mais en tout cas, pour votre compte, je vois que vous êtes pleines des meilleures intentions du monde. »

Partition Divine

« Et pendant des centaines de milliers d’années, tout fut comme la Source l’espérait ; le meilleur des mondes possible !

« La si belle Nature, savamment équilibrée que vous pouvez encore admirer, est leur œuvre. La Divine Partition toujours en tête, elles en ont interprété toutes les subtilités dans la Joie et la Jubilation de la Création ; elles ont « simplement » mis l’Amour en forme avec Gratitude, et un talent que les artistes de tous les temps ont toujours tenté de retrouver pour amener l’être humain à sa vraie nature. L’Art authentique est là pour éveiller, faire résonner, vibrer en chaque être humain son ancestrale Origine. Beethoven le pressentait quand il disait : « s’approcher toujours plus de la divinité pour répandre (par l’art) son rayonnement sur le genre humain, il n’est rien de plus haut. ».

« L’Art doit être sans cesse une spéculation entre la sensibilité, l’Émotion, l’Intelligible, le Beau, l’Harmonie, et résonner de façon positive en chacun. Hélas, ce que certains appellent « art » dans votre époque, ne fait que révéler des sentiments de peur, d’angoisse, de déréliction. Chacun voit la beauté au niveau de sa propre image…

« Ces Êtres étaient partout à l’ouvrage dans la Joie, l’Amour, la Gratitude et la bonne humeur, se reportant toujours à la Divine Partition pour la mélodie de la Vie. Je m’en souviens d’autant que leur « table à dessins » était l’Eau, l’Air, l’Énergie ! Et comme un peintre commence par dessiner le projet de ce qu’il veut réaliser sur sa toile, elles esquissaient leurs pensées, puis engrammaient tant les molécules du précieux liquide, que celles de l’Air en volutes de multiples énergies qui voyageaient ensuite sur toute la Terre. Ces premières « impressions » dispersées imprégnaient toutes choses, puis elles passaient à la réalisation, sculptant les formes, dessinant le délicat contour d’une fleur tout en nuance pour séduire les insectes, cherchant sans cesse l’harmonie, tant des formes que des couleurs, des fragrances que des mélodies, affinant sans cesse leur travail.

La Création était donc instantanée sur toute la Terre. Il fallait aussi veiller constamment au si fragile équilibre entre toutes les espèces, entourer d’Amour tout ce qui vibre, bouge, furète, respire, vit, animal, végétal, minéral, car même les pierres, le sable, la terre avaient leur respect, elles agissaient toujours dans la Compassion, l’Amour, l’Empathie, la Beauté ! Le parfait équilibre des espèces n’avait pas besoin de prédateurs, juste des carnivores charognards pour le ménage ! Il n’y avait pas non plus de parasites ! Nos Créatures étaient capables de faire résonner dans l’air lui-même de sublimes musiques, dont vos compositeurs les plus doués ne font que retrouver des bribes… et il en est de même de toutes les formes d’art ! Les êtres qui vous paraissent les plus doués ne font que remettre en service quelques gènes capables d’activer les connexions perdues, gènes qui sont muets chez la plupart des êtres humains, mais qui étaient totalement actifs à ces époques… Le but était, bien sûr, d’amener les êtres à la transcendance le plus facilement possible. Leurs vies étaient donc pleines à craquer, de SENS !

Et la Source créa l’homme…

« Pour moi, Petit H, comme pour tous, tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et pourtant un beau jour, l’on crut voir dans le comportement de nos si charmantes artistes, une petite anomalie ; devant les mamans et leurs bébés, elles avaient de gros soupirs, les prenaient dans leurs bras, les câlinaient, mais on sentait qu’elles aussi, auraient aimé avoir les leurs ! Si un bébé ou des bébés perdaient leur mère, elles en trouvaient toujours une à convaincre pour les adopter, surtout si celle-ci avait perdu les siens, et n’hésitaient pas à les prendre elles-mêmes en charge si aucune maman n’était disponible !

« Tout le monde avait un regard porté sur la Source. Avec un chouïa d’appréhension, mais soumise à une certaine pression, la Grande Créatrice ressortit sa boite de pétri avec un léger soupir. Maintenant que les choses étaient lancées, la complexité aidant, il y avait forcément des expériences enrichissantes à faire pour tout le monde, et peut-être qu’avec un compagnon, elles auraient plus de facilité à encore améliorer ce monde d’Amour et de Beauté, leur principe Créateur s’unissant ainsi à un principe Artisan, même si l’intention première n’était pas de faire des êtres sexués. Et sachez que la Source n’a jamais dit : « croissez et multipliez », ce n’est pas du tout une bonne idée, et qui a forcément été le fait des forces maléfiques !

« Je fais une petite parenthèse ; dans cette présente époque, l’humain de cette terre est le seul prédateur à ne pas contrôler ses naissances en fonction des ressources. Il se conduit ainsi comme une proie dont les prédateurs contrôlent la prolifération ; l’humain aurait-il des prédateurs ? Posez-vous la question !

***

« La Source prit alors un chromosome X qu’Elle plaça sur une nouvelle torsade d’ADN, puis elle en prit un deuxième, qui lui se débattait (sans doute avait-il une idée de ce qui allait lui arriver !), et d’un coup de scalpel, lui coupa une jambe pour en faire un Y ! Puis Elle s’empressa de le poser à côté du premier, et ne sachant pas trop quoi faire de cette jambe amputée, elle la glissa, oui ! Là ! Oui ! Exactement là où vous pensez, juste à l’emplacement du futur entre-jambe, ce qui marquera la différenciation sexuelle, peut-être un peu disgracieux et voyant pour la position débout, mais tant pis, de toutes façons, cela vient d’un chromosome humain et ne peut pas s’accorder avec un autre organisme ! Et cela ne vous rappelle pas quelque chose ? La bible ! Où un dieu est sensé avoir pris une côte d’Adam pour faire Ève. Oui, bien sûr, c’est le contraire, une côte ressemble bien à une jambe de X ! 

« Une nouvelle fois, la corbeille des graines d’esprit a attiré les consciences éternelles désirant faire cette nouvelle expérience, une âme exhalée et hop ! Du même vaste geste créateur, apparut un homme !

« Alors maintenant, dit la Source, en espérant que vos lointains descendants ne perdront pas la mémoire de leur origine, et ne feront pas de leur sexe un objet de domination… »

Principe artisan

« Il était aussi très beau sans avoir la délicatesse de Lili et de ses compagnes, après tout, c’était un mâle ! En tout cas, sa carrure se présentait sous les meilleurs auspices pour un principe Artisan ; il était plus fort et charpenté pour des travaux plus durs. « Lili, lui dit alors la Source, tu as maintenant un compagnon, vous voilà unis pour la vie. Ensemble vous allez réaliser de belles choses, et continuer à faire de ce monde un sanctuaire où toutes les espèces pourront vivre en communion. Chacune de vous aura aussi le sien, vous formerez des couples fusionnels où l’Amour, l’Harmonie, la Tendresse seront vos grandes forces. Vous aurez un ou deux enfants, pas plus, que vous élèverez dans la Joie et l’Amour, leur inculquant l’Empathie, le Discernement, le Sens des Responsabilités, de la Beauté, du Bon, du Juste, de la Sagesse, vous les guiderez sur les meilleurs chemins, pour en faire des êtres humains accomplis. Que la Nature soit leur meilleure école ! Vous allez donc connaître l’amour charnel, puis celui que vous porterez à vos enfants dont la conception et la naissance feront l’objet de cérémonies sacrées pour inviter les plus beaux Esprits à venir s’incarner ! Mais cependant, comprenez que cet amour peut être perverti car il est beaucoup plus ordinaire que Celui que vous portez à la Création. Alors soyez toujours dans la Joie, l’Amour, l’Admiration, l’Enthousiasme, l’Émerveillement, la Félicité, l’Exaltation, le Rire, même les Larmes surtout elles sont d’Emotion !

Grands travaux

« Et pendant encore des centaines de milliers d’années, il en fut ainsi. Les hommes entreprirent, en concertation avec leurs compagnes et l’aide en parfaite harmonie, des élémentaux, les grands travaux de façonnage de la Terre : les montagnes, les vallées, les canyons, les grandes plaines, les fleuves, les deltas, les lacs, les océans enfin tous les merveilleux paysages qui jalonnent Gaïa. Ils ont ainsi façonné ce monde à leur convenance, ainsi qu’à celle des végétaux et animaux, en continuant l’Œuvre Divine, interprétant Sa Partition selon leur sensibilité et leur propre lecture, pour faire l’enchantement des tous les êtres humains capables d’apprécier les beautés de la Nature.

« Aux toutes premières époques, celles de Lili, de ses compagnes et compagnons, il n’était pas du tout utile de s’exprimer oralement ; l’Âme ensoleillée et l’Intuition reine permettaient de communiquer instantanément, communication d’ailleurs universelle, entre Esprits, mais aussi avec les autres règnes tant Animal que Végétal et Minéral. Communication rendue possible entre tous les êtres de la Nature, la Terre, l’Univers, la Source, grâce à la transcription intégrale de l’ADN…

Les corps n’étaient pas encore de cette matière grossière des temps présents qui les rend imperméables à tout ce qui est d’ordre subtil. Nous autres, simples atomes, n’étions pas aussi contraints quand nous formions un corps au taux vibratoire élevé. La Lumière s’immisçait ainsi jusqu’aux cellules et les irradiait, Joie et légèreté dominaient. Le mental n’édictait pas son implacable loi et n’était pas le maître absolu. Le mensonge, la haine, la trahison, la vengeance, la guerre, n’existaient pas ; la Vie sous toutes ses formes était sacrée ! Le mythe, largement diffusé par les contes de fées, qui veut que chaque être humain ait quelque part sur Gaïa sa princesse ou son prince charmant, vient de cette époque !

Toute la Beauté du monde

« Les choses ont alors suivi leur cours, et la Source de cette planète dont la mission est de proposer sens, structure, signifier l’espace et le mouvement, s’enrichissait toujours et encore, formait autour de la planète une superbe Lumière irradiante chargée de Joie et de Bonheur. Toute la Beauté de cette Création vient de cette époque où les humains, dont les corps étaient beaucoup moins denses que dans l’époque actuelle, avaient un pouvoir créateur sur les autres règnes, minéral, mais aussi sur le Vivant tant végétal, qu’animal. La gravité terrestre n’était pas de même nature que celle des temps présents, et le magnétisme élevé donnaient à toutes les espèces une longévité de vie considérable qui n’a rien de commun avec votre courte et souvent maladive vie ! Vos séquoias, qui vous paraissent si grands, ne seraient rien moins que des bâtons de sucettes à côté des arbres de ces époques, hélas lointaines ! Ces géants flirtaient avec le ciel et pouvaient dépasser certaines montagnes. Chacun était comme une forêt, et un véritable écosystème à lui seul. Souvent, leurs sommets se trouvaient dans les nuages, et ils attiraient la pluie comme bon leur semblait. Leurs feuilles avaient la capacité de transporter la lumière dans cette immense canopée ! Ils protégeaient la terre et un nombre incalculable d’espèces vivaient en leur sein. Le conte de Jack et le haricot magique ne fait qu’évoquer ce temps béni où Gaïa était en communication directe avec les cieux où aucun ogre ne vivait ! Ces êtres immenses et majestueux, dotés d’une Conscience, conseillaient même Lili, ses compagnes et compagnons dans leur travail de création. Des cultes leur étaient rendus, ils étaient considérés comme sacrés et piliers autour desquels s’ordonnait l’Univers, tant naturel et physique que surnaturel et métaphysique. Ces arbres devenaient ainsi les agents privilégiés entre les trois mondes : les souterrains et les abysses, la surface de la Terre et le Ciel, manifestation par excellence de la Présence Divine. Je ne me souviens plus si ces mastodontes sont morts naturellement avec la diminution du champ magnétique, ou ont été coupés ! Ce que vous prenez pour des montagnes plates ne sont que les souches minéralisées de ces arbres ! C’est un peu comme si une dimension avait disparu…

« En tout cas, il reste encore de ces temps sacrés, la perfection des fleurs, des arbres, si petits soient-ils, des insectes, des poissons, des reptiles et autres mammifères, et leurs relations avec la Nature. Le fragile et pourtant parfait équilibre que l’on trouve en chaque lieu, en chaque chose est le témoin de ces époques bénies. Les charmantes créatrices étaient imprégnées des plus belles pensées, pensées qui prenaient ainsi forme. Les liens avec les mondes d’en haut n’avaient pas été rompus et elles étaient comme des abeilles travaillant à la construction d’une merveilleuse ruche ; une activité de création permanente qu’il fallait sans cesse équilibrer ; Beauté, Harmonie encore préservées de la Nature des temps présents en sont les vestiges incontestables.

Et le temps passe, avec quelques formatages…

« Et les humanités se succédaient, à l’intérieur desquelles des civilisations de toutes sortes se développaient très rapidement avec des technologies hautement sophistiquées, et toujours inspirées par la Nature. L’énergie libre (et gratuite, bien entendu !) leur permettait d’atteindre de hauts niveaux technologiques et de voyager tant sur Terre que dans l’espace…

« Gaïa était florissante, foisonnante, son magnétisme élevé permettait à tout ce qui y vivait, la santé, la beauté et la prospérité, il n’y eut donc pas que des végétaux géants, mais aussi des humains, et bien sûr des animaux dont on retrouve encore quelques vestiges des plus petits. Ces civilisations atteignaient en peu de temps, de hauts degrés de spiritualité et de développement, car les mémoires, tant des peuples que des humains étaient préservées. L’Évolution avait donc atteint un très haut degré de spiritualité. Et la mort ? Personne ne la craignait ! Car tout le monde savait qu’il ne s’agissait que d’un simple changement d’état et, ou, le passeport vers l’Ascension.

« Et quand la Source de la planète (son Âme), qui suit toujours les choses de loin tout en enregistrant toute l’histoire des humanités successives, estime qu’une civilisation a achevé sa mission en œuvrant pour le bien commun, une partie d’Elle-même ascensionne avec cette civilisation qui disparait de la surface de la Terre avec une bonne partie de l’écosystème.

« Un reformatage complet sur de grandes périodes laisse très peu de traces matérielles, et les compteurs sont remis à zéro, mais l’Âme de la planète a soigneusement gardé des indices de la mémoire acquise qui va ainsi permettre à l’humanité suivante de repartir avec un capital mémorisé de connaissances. Comme nous l’avons vu, ces civilisations qui se développaient dans ces humanités ne possédaient pas une technologie lourde et dévastatrice comme la vôtre basée sur la chaleur et l’explosion ; leur pouvoir sur la matière n’avait pas besoin de cet arsenal infantile et destructeur dont vous êtes si fiers, car elles n’utilisaient que les merveilleuses subtilités de la Nature et du Ciel pour se procurer cette fameuse énergie en quantité largement suffisante à leur développement.

La dérive des continents, mais aussi, hélas ! Autres dérives…

« La Terre est naturellement protégée de toutes les catastrophes, par la ceinture de Van Allen. Parce que, c’est sûr, sans protections, les moyens ne manquent pas dans un tel Univers pour des opérations de remise à zéro ; météorites, sursauts gamma, volcanisme effréné, inversion des pôles et autres réjouissances… D’ailleurs, il en fut une que les protections de Gaïa ne purent éviter ; celle qui engendra la dérive des continents. Était-ce réellement une catastrophe ou une évolution ? Une planète proche de la terre, et qui suivait à peu près le même développement, a été détruite par l’inconséquence de ses habitants, chamboulant tout le système solaire. Certains débris forment maintenant ce que vous appelez la « Ceinture d’astéroïdes », et transitent entre Mars et Jupiter, encerclant d’ailleurs les quatre planètes telluriques !

« Mais au moment de l’explosion, ils étaient encore tous dispersés, et les plus gros sont venus heurter violemment Pangée, le seul grand continent où se la coulaient douce humains, dinosaures et autres bestioles, le fragmentant en cinq morceaux qui sont ensuite partis à la dérive tranquillement pour former les continents que vous connaissez maintenant, débouchant au final sur une formidable diversité biologique et humaine.

« Nos créatrices de génie ont eu après cela un super boulot ! En effet, chaque parcelle va alors suivre une évolution différente, créant par ce fait, une biodiversité exceptionnelle dans la galaxie. C’est pourquoi cette planète intéresse tant les peuples exogènes. Mais pour l’humain, ce fut un peu différent, car la belle union des temps primordiaux allait doucement se déliter. La planète, rudement bousculée, s’est alors penchée sur son axe par rapport au soleil, créant les saisons ; fini le farniente au soleil, il va falloir lutter contre le froid. Les pôles ont gelé, mais enfermant du même coup, une bonne partie de la mémoire contenue dans l’eau ! Nous y reviendrons. Est-ce la Terre, ballottant sur cet axe de travers et en proie à un grand trouble, qui a attiré la lune pour se stabiliser, ou est-ce une autre civilisation évoluée qui l’a amenée, je ne sais plus ? D’ailleurs, vous êtes-vous déjà posé la question d’être les seuls à habiter une terre, d’avoir une lune et un soleil sans nom ? Les autres astres du système solaire ont un nom, mais pas votre Terre. Gaïa est très peu employé, il en est de même pour la lune, Séléné et pour le soleil, Hélios ! Oui ! Les autres terres de notre système solaire et leurs lunes : Mercure, Vénus, Mars (Phobos et Deimos), Jupiter (Io, Europe, Ganymède etc.), Saturne (Mimas, Tétys etc), etc. Les soleils répertoriés ont tous un nom : Proxima du Centaure, Alpha Centauri A et B, Sirius etc. et encore etc. Mais vous, vous êtes sur une terre, avec une lune, les deux tournants autour d’un soleil ! Et vous êtes des « t’es rien » !

« Conséquences ou pas, au fil des temps, insidieusement, il semblerait qu’il y ait eu des informations perdues. Bien sûr, il fallait aussi que chaque humanité sur ces continents séparés, fasse ses propres expériences. Mais les protections normalement invincibles que procurent un haut niveau vibratoire n’ont plus été aussi performantes, comme si la création s’opacifiait, se recouvrait d’un voile occultant la vraie Réalité, celle de la Création Primordiale.

« Les opérations de remise à zéro ont été de plus en plus dévastatrices, laissant des humains hagards, perdant leur mémoire et de plus en plus soumis à des énergies plus élémentaires. Que se passait-il ?

« Et au lieu de devenir de plus en plus spirituels et continuer d’évoluer, ils ont commencé lentement à glisser vers le bas et perdre la Connaissance de leur Origine. Tout le contraire du bon sens, et du bon Sens d’ailleurs, car ils perdaient une notion essentielle : ils ne formaient plus une entité unie, mais une multitude de races, ce qui n’aurait pas du tout été un problème s’ils n’avaient pas perdu en même temps, la communication transpersonnelle. Le cristal (la glande pinéale) a perdu de son éclat, et ce voile occlusif semblait s’être installé sur toute la planète avec l’invitation à s’inventer des dieux de remplacement, pas forcément très reluisants.

Pente descendante et glissante…

« Comme la Source l’avait évoqué, lentement mais sûrement, la Nature ne leur a plus semblé avoir autant de valeur, la Ferveur et le Respect dont ils faisaient preuve se sont transformés en domination, et ils se sont crus beaucoup plus malins. Il était clair, qu’à partir de là, les nouvelles humanités perdaient du même coup leur haut taux vibratoire, s’éloignant inexorablement de la Connexion Divine pour aller se mettre de plus en plus sous le joug des basses fréquences qui règnent sur les zones très excentrées du centre spirituel des galaxies. De faux dieux se sont alors présentés à chaque tribu, pays, continents, se faisant passer, auprès de ces humains, comme de « vrais dieux »  et divinités à leurs images selon les traditions de ces désormais différents peuples. Et pour cela, ces personnages peu recommandables, avaient légèrement « bricolé » l’ADN des humains pour leur faire perdre le discernement, et du même coup leur mémoire ainsi que toutes leurs connexions. Facile ensuite de les enfermer dans des croyances, dogmes, rituels cruels, barbares pour leur faire générer du Loosh, et s’en nourrir ; diviser pour mieux régner, c’est bien connu !

« Ces entités sans esprit, sanguinaires et cruelles, commencent donc toujours par s’emparer de la souveraineté de chaque être dans le but de lui voler son pouvoir créateur, puis de l’exercer exclusivement à leur profit comme l’un d’entre eux, un certain Yahvé, se prétendant « dieu d’amour », plutôt amour vache entre nous, autoritaire, vindicatif, jaloux, réclamant des sacrifices sanglants, en échange de prétendues protections ! Alors, ces élohims, avec l’aide de ceux qu’ils favorisaient, prêtres, rois ou empereur ou simple valet à leur service, et en accord avec leurs propres semblables, ces « dieux », ont commencé la mise en esclavage de l’être humain devenu à leurs yeux un vulgaire bétail qu’il convient de diriger en tout, lui faisant croire encore à son libre arbitre. Et rien de tel que la religion pour asservir un peuple qui croit avoir un ou des dieux rien que pour lui ! Qu’il suffit de leur offrir de sanglants sacrifices ou des prières pour être exhaussés ! Qu’un certain dieu vous avait créés à son image ! Elle était bonne celle-là ! Oui ! Nous avons bien ri avec cela (encore qu’un peu jaune quand-même !). Bref, vous étiez descendus bien bas, et devenus d’une matière beaucoup plus grossière, de plus en plus denses, et engouffrés en masse dans le cycle infernal des réincarnations imposées par ces faux dieux se faisant passer pour des guides, attisant la vengeance pour se nourrir de souffrance au fil d’incarnations aléatoires.

Chute libre

« Ces entités sans esprit ne veulent absolument pas que vous connaissiez votre véritable nature et votre supériorité sur elles, et font tout pour vous pervertir. Elles ont poussé à des guerres, encore et encore, guerres qui sont toujours monnaies courantes et même galopantes, pour tout et n’importe quoi, pour enrichir encore et encore les banquiers, les marchands d’armes qui se frottent les mains, et quand la paix à grande échelle est longue, il y a… il y a, l’industrie pharmaceutique ! Mais voyons un peu comment cela est arrivé, j’ai capté une petite conversation rigolote comme tout (enfin moi j’ai trouvé, peut-être pas vous ?) :

— Tu m’as tué avec un couteau ? Attends un peu que je revienne m’incarner, je vais prendre un sabre pour te faire ta fête !

— Ah c’est comme cela ? Moi aussi, on m’a « conseillé » de revenir m’incarner, alors je vais pouvoir me venger, justement on vient juste d’inventer le fusil, pan, et voilà !

— Moi j’ai attendu pour m’incarner que l’on invente le canon, c’est tout nouveau, ça vient de sortir et je vais tuer toute ta famille !

— Rigolo ! Moi j’ai attendu les bombes, et avec des avions, je vais bombarder tout ton pays !

« Et voilà ! Conseillé et conditionné par ces entités sans esprit, les humains sont maintenant bien installés dans le cycle infernal des réincarnations, perdant leur mémoire pour recommencer toujours, dans cette roue infernale, les mêmes rôles bourreaux-victimes dans un triste jeu éternellement le même ; des guerres, massacres, affrontements, conflits de toutes natures, internationaux, politiques, de voisinage, familiaux etc., sans discernement, sans rien apprendre de la conséquence de leurs actes. Et cela continue, écoutez la suite :

— Coucou, c’est moi, tralala ! Tout marche pour nous comme sur des roulettes, maintenant nous avons enfin réussi à nous incarner dans des corps humains ! Nous nous amusons maintenant comme des fous de toi et de tes copains. La route fut longue et fastidieuse, mais là, nous avons quasiment gagné. A force de luttes menées contre tous ceux qui préconisaient la Paix, la Connaissance, le Bon, le Juste et toutes ces débilités d’humains sensibles et généreux, nous avons réussi à faire descendre votre niveau vibratoire, et ainsi, de nous emparer de votre Création. Oui, maintenant, la terre nous appartient, et depuis un bon moment, car déjà, quand Dieu a envoyé, venant directement du super Univers, une émanation de lui-même en la personne de Jésus, nous avons tenté de le corrompre avec ce qui pourtant marchait normalement très bien avec les humains. Comme le monde nous appartient désormais, nous pouvons faire des marchés ; je te donne ce qui m’appartient : un royaume, des terres, des peuples, la richesse, l’or, les diamants, le pouvoir, la notoriété, et en contre partie tu me donnes… tonpouvoircréateurtonEspritettonÂme ! Un marché avec Dieu parait, pour ceux qui ne voient pas beaucoup plus loin que le bout de leur nez (même s’ils l’ont long), est beaucoup plus aléatoire. Car Dieu ne peut donner à ceux qui suivent son chemin, que ce qui lui appartient : la Vie Éternelle dans l’Amour, la Félicité et la Joie, la Connaissance Ultime…, mais beaucoup trop subtil pour des êtres humains avides comme je vous ai rendus et qui veulent tout, tout de suite. Avec Jésus, que j’ai tenté dans le désert, je suis tombé sur un os ! D’une très haute montagne, je lui ai fait voir tous les royaumes du monde avec leur gloire : « Tout cela, je te le donnerai, si tu te prosternes pour m’adorer. ». Il m’a envoyé paître ! Mais cela ne lui a pas porté chance… Nous l’avons rapidement neutralisé, non mais sans blagues ; les choses auraient pu nous échapper ! Tu as sans doute pu apprécier au fil des siècles le sort que nous réservons à tous ceux qui se mettent en travers de nos plans !

Gloire à la peur, les sages à la trappe

« La peur, cela fait réfléchir n’est pas ? Des trucs du genre « aimez-vous les uns les autres »…, « traiter autrui comme soi-même » (c’est là que nous avons inventé le masochisme, pas mal trouvé comme parade à ces sornettes !)…, « chasser les marchands du temple »… C’est à partir de là qu’a germé en nous l’idée d’une matrice artificielle ressemblant un peu à l’Originelle, mais où nous aurions le pouvoir absolu, instaurant la peur, surtout celle du manque, et puis l’avidité de posséder… Un puissant réseau des futures banques avec tout ce qui s’en suit ferait très bien l’affaire… Oui, c’est moi, enfin une émanation de moi-même (j’en ai plein !) qui ai dit : Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie, et je me moque de qui fait les lois(([11] Mayer Amshel Rothschild))!  Et nous l’avons fait ! Et vous voyez bien tous les jours, que les lois, je m’en tamponne le coquillard ! Donc, Jésus, au final, il nous a bien rendu service, car nous avons complètement récupéré son enseignement stupide, pour en faire une religion basée sur la souffrance et la peur (bou, le vilain dieu qui va vous punir si vous n’êtes pas soumis), nous vous avons raconté qu’il était venu exprès pour se faire trucider, et qu’il vous avait ainsi levé de tous vos péchés (Oui, le fameux péché originel inventé de toutes pièces, mais ensuite vous vous êtes bien débrouillés tous seuls), et vous le croyez toujours, c’est dire ! Elle est bien bonne n’est-ce pas ! Vous assassinez de la plus odieuse façon un homme venu vous apporter l’Amour, et hop, votre conscience est devenue limpide (comme de l’eau dégout ! beurk !) ». Les femmes, qui connaissaient la nature et les plantes, nous les avons brûlées ; c’est vrai, elles ne rapportaient rien ! Nous préférons vous empoisonner avec des médicaments qui nous enrichissent ! Tu sais, j’ai été l’Inquisition, je vous ai enfermés dans une prison mentale en vous éloignant des lois universelles, de la Nature, de votre véritable nature, de votre être intérieur. Je vous ai faits complètement dépendants de mon système, et je poursuis ceux qui auraient des velléités d’indépendance. Sang, exil, tortures, assassinats, buchers, prisons, bagnes… furent et sont toujours ma réponse foudroyante (avec les progrès de la science, nous avons fait évoluer nos manières de faire), surtout s’il s’agit d’une personne ayant de la notoriété et ne m’obéissant pas, comme un président, par exemple, mais valable pour tous ceux qui se mettent en travers de ma route ! Maintenant, j’ai une apparence humaine, c’est moi qui ai le pouvoir ! Finis les rois de droit divin ou les présidents au code moral ! Plus à la mode ça ! C’est moi qui les choisis en vous faisant croire que c’est vous ! Je suis milliardaire ! Je peux tout, absolument tout acheter, je suis le fameux « complexe militaro industriel », je suis les labos pharmaceutiques (en ce moment ça marche du tonnerre de feu de dieu !), je tiens tous les rouages de vos sociétés, je déclare des guerres comme bon me semble pour servir mes intérêts. C’est moi qui ai organisé cela depuis le début.

Le gout du sang !

« Je fabrique de l’argent, des tas d’argent que j’ai institué comme étant le moteur de ce monde, j’ai inventé l’usure pour en avoir encore plus. Je vous donne de belles vitrines pour créer des besoins, vous forcer à consommer, pour cela, je vous prête de l’argent que je fabrique et je vous fais payer des INTERETS ! Je vous ruine et je ruine vos pays. J’ai eu un peu de mal pour arriver à mes fins, car les religions, qui ont quand même quelques bons côtés pour vous, réfutaient le prêt d’argent avec intérêt comme immoral, mais cela n’a pas été trop dur de les corrompre, et maintenant ils jouent presque tous le même jeu que nous ! Et puis nous avons mis en place, en France, pays un peu contestataire, une Révolution… Maintenant, plus de morale, de religions, le sexe et les jeux à outrance, et entre temps, je te fais travailler pour « gagner ta vie » en te faisant croire que c’est ce qu’il y a de mieux ici et je te pique ton pognon et ton énergie. J’entretiens en toi la peur et l’espoir ; comme cela, tu ne te révoltes pas, car tu es dans l’envie de devenir aussi riche que moi. Et tu n’y arrives pas, sauf quelques-uns bien corrompus, juste pour la vitrine. Forcément, cela vous rend tous agressifs, vengeurs. Et tu sais quoi ? Enfin non, tu ne sais pas encore vraiment, mais j’aime voir le sang couler, je m’en régale aussi, surtout celui des enfants ! Je t’ai donné l’exemple, et tu me suis avec zèle, je m’amuse encore en petit comité, mais tu te débrouilles très bien avec tes copains. Félicitations ! Oui, le sang, la douleur, les énergies de souffrance sont mes nourritures préférées, j’aime leur fumet. Déjà, quand j’étais Yahvé, je préférais les sanglantes offrandes d’Abel, égorgeur d’agneaux, et négligeais les fruits et légumes du jardin de Caïn que j’ai réussi à excéder jusqu’à ce qu’il tue son frère ! On en parle encore, et tout le monde trouve que Caïn est méchant ; tu vois comme on te manipule… C’est pour satisfaire ce goût du sang et de la souffrance qu’avec ton aide, j’organise des festivals de toutes sortes : guerres, attentats, maladies, etc. Tiens par exemple, la révolution française, vous pensez que c’est le peuple qui s’est révolté ? Pas du tout, nous avons envoyé des mercenaires qui ont fait le travail ! Bien sûr, avec la libération du prix du grain pour affamer les gens et autres babioles, pour pouvoir offrir des coupables, le terrain était bien préparé… Nous n’hésitons pas à massacrer les nôtres pour une grande œuvre, et nous sommes arrivés à nos fins : la démocratie ! Maintenant tout le monde se dispute, la droite, la gauche, le centre, les entre-deux… Oui, car le roi ne pouvait pas faire n’importe quoi, c’était un état de droit, et tout le monde regardait dans la même direction. Maintenant vous croyez avoir le pouvoir ? Que nenni ! Nous ne cachons rien, notre ami Tocqueville l’avait bien dit : Je ne crains pas le suffrage universel : les gens voteront comme on leur dira. Ce qui ne s’est jamais démenti depuis et avec la tricherie à grande échelle, nous arrivons à mettre en place nos propres valets. Non, quand vraiment le peuple se révolte, comme pendant la Commune de Paris ou autres, nous les massacrons tous… Et cette illusion du choix vous enlève toute velléité, ce qui nous donne un consentement tacite de votre part, nous en avons besoin pour être en règle avec les lois cosmiques : qui ne dit rien consent ! Nous avons volé les connaissances des initiés qui étaient restés cachés pour ne pas que leur usage soit détourné à des besoins personnels et passions impures, mais nous avons été plus malins… Voyez, vous n’êtes plus pour nous que des unités à production de Loosh.

Couches bâillon-muselière pour tout le monde (sauf nous !)

« Finalement, il ne nous a fallu, avec mes collègues, que quelques centaines de siècles pour arriver à nos fins et le tour est enfin joué. Nous avons maintenant un grand projet pour vous isoler encore plus dans vos boîtes respectives, vous adorez cela les boîtes ; vous ne faites que pianoter sur vos petits claviers toutes sortes de banalités, et les écrans de toutes natures pour bien vous cadrez, captent ce qui vous reste de discernement, et vous éloignent de votre vraie nature héritée des premières humanités. Comme cela nous pouvons bien mieux vous contrôler. Je vous prends toute votre énergie. Je fais plein de faux billets et d’argent factice, je vous le prête avec intérêts, et plus vous êtes pauvres, plus les intérêts sont GROS. Actuellement nous dominons le monde en maintenant le réseau social par l’abrutissement avec toutes sortes de manifestations diverses et variées ; sports et variétés à grands spectacles, élections, manifestations, sexe, clips et films sataniques, etc., et nous pouvons jouir du pouvoir sans souci et nous bâfrer de Loosh à la louche ! Vous êtes mes esclaves et je n’ai même pas à vous enchaîner, c’est vous qui demandez notre protection.

« Il suffit que je vous fasse peur avec la mort, dont nous avons soigneusement caché à ceux qui voulaient l’entendre, et surtout grâce aux « philosophes des Lumières », qu’elle n’était qu’un changement d’état de conscience, pour vous faire croire n’importe quelle super sornette, comme une épidémie et tous vous confiner chez vous (confinement, finement cons ? Plutôt grossièrement cons !), sans barrières, et avec l’obligation, pour des sorties très limitées, de vous faire vous-même un certificat de sortie ! Et hop, tout le monde dans la combine ; trois milliards de personnes s’enferment et ont peur les uns des autres, font carnaval avec des masques bâillons qui les empoisonnent en respirant un air vicié et en ne prenant pas assez d’oxygène qui alimente de cerveau (vous avez ainsi la réflexion en berne !), et en vous « protégeant » avec toutes sortes de produits toxiques qui bousillent le petit microbiote qui protège vos mains ! Tuer un virus alors que vous en portez des milliards ! C’est à hurler de rire ! On vous éloigne les uns des autres, ne vous touchez pas ! Ne vous embrassez pas ! Ne vous approchez pas de vos amis, de vos voisins, ne vous réunissez plus dans la convivialité (ben oui, il vous restait encore cela), vous ne pouvez plus échanger un sourire ! Le sourire est pourtant une chose merveilleuse que vous possédiez encore, et là, nous réussissons aussi à vous l’enlever. La peur ! La peur ! Quelle merveilleuse manipulatrice ! Et le bâillon, c’est vous qui le réclamez et même, vous vous en fabriquez, quel succès !

« Maintenant que je vous ai bien endormis avec ce magnifique jeu de cache bâillon auquel vous avez tous participés avec un zèle inespéré, je n’en reviens pas ; trois milliards, je vous coupe de la Nature en vous interdisant d’y aller, et vous écoutez ! Nous avions fait une première tentative avec le SRAS. Mais nous n’avions joué qu’avec la peur, et trop, c’est trop. Cette fois nous avons su tirer enseignement de nos erreurs ; on vous l’a joué double langage : non, non rien de grave (ce qui est la réalité), mais on vous égrenait le nombre de morts toutes les heures (ll faut savoir que quitter ce monde est très courant, et d’ailleurs, vous allez tous y passer ! La mortalité dans le monde correspond à 1,81 décès chaque seconde, soit 109 par minute, 157 000 par jour et 57,3 millions par an). Et maintenant, avec la bouillasse que l’on vous injecte, on va réduire la population dont le système immunitaire est déjà en triste état, et comme vous serez bien malades, on va vous vendre tout un tas de super thérapies !

La peur de la mort est notre meilleure amie

« Alors oui ! Cette peur de la mort est bien notre meilleure amie. Il a fallu pour cela promouvoir l’athéisme, le néant ça te vous fout les chocottes ! Vous allez donc vous accrocher à vos corps même dans un piteux état comme à ce que vous avez de plus précieux sur la terre avec vos biens matériels. On vous a bien persuadés que vous ne pouvez pas comptez sur votre système immunitaire, et que vous avez besoin de médicaments et de vaccins pour survivre, sans réaliser que l’espèce humaine a vécu avec les remèdes naturels qui se trouvent à profusion dans la nature. Et avec l’aide des bons médecins, vous mourrez dans la déchéance prolongée au maximum, la conscience complètement en berne, cela nous va très bien ; une fois de l’autre côté, nous pouvons directement, après nous être gavés de vos souffrances, vous recycler directement pour de nouvelles aventures dans notre matrice en éborgnant au passage encore un peu plus votre Âme et votre Esprit. Vous croyez que vous vivez plus longtemps (quel progrès !), oui peut-être, mais dans quel état ! Et en plus nous accélérons le temps. Vous n’avez pas remarqué qu’il passe de plus en plus vite, que vous n’arrivez plus à faire dans une journée autant de choses qu’avant ? Vous n’avez pas remarqué que les êtres humains d’antan pouvaient écrire, réaliser ce qui vous prendrait des vies actuellement ? Le leitmotiv préféré que nous vous avons mis dans la tête, n’est-il pas : « sauver des vies » ? « On n’a qu’une vie ! ». De votre courte vue, c’est louable, mais si vous voulez vraiment sauver quiconque, occupez-vous de l’Âme et de l’Esprit ! Certains pensent qu’ils vont pouvoir se libérer de notre emprise ! Grands naïfs va !

On y est presque !

« Quand les gens savent au plus profond d’eux-mêmes qu’ils ont une Âme et un Esprit, il en va tout autrement. La mort n’est plus cette promesse de néant tant redouté. Bon, ce n’est pas quelques irréductibles qui vont perturber nos plans ! Car la vitesse supérieure à laquelle nous étions passés avec la DETTE, ah la DETTE nous en avons rêvée pendant des siècles, et maintenant, elle est là, bien installée. Fabuleux ! Oui ! Prêter de l’argent à quelques personnes ne rapportait pas assez, alors nous avons eu l’idée de nous agrandir. Nous avons commencé avec quelques pays pour voir, et le succès va même au-delà de nos espérances, nous allons passer à la vitesse supérieure avec un gouvernement mondial. Il suffit de vous faire les marionnettes avec le suffrage universel et autres babioles, genre droits de l’homme, et hop, le tour est joué.

« Maintenant nous passons, à l’estocade finale, avec l’injection de la bouillasse déguisée en « vaccins » dont le succès même nous épatent. Il faut dire que nous avons mis le paquet ! On te les a embobinés avec toutes sortes de menaces pour leur injecter un paquet de saloperies qui vont entretenir la légende d’une pandémie qui n’a jamais existée : nous sommes quand même très forts ! Et après cela, on pourra encore mieux les diriger comme de bons petits robots grâce à l’opthogénétique(([12] L’optogénétique est un domaine de recherche et d’application associant les techniques de l’optique à celles de la génétique. Elle permet, par une stimulation lumineuse, d’altérer spécifiquement et localement un nombre limité de cellules modifiées génétiquement pour y être sensibles, sans perturber directement l’état des cellules voisines. Conceptualisée à la fin des années 1970, elle est consacrée par un mot dédié en 2006, puis élue méthode de l’année par Nature Methods en 2010. Les applications, en nombre croissant, incluent la cartographie fine des réseaux neuronaux, l’étude de leur physiologie et de leurs communications normales et pathologiques, et de potentielles interventions médicales restaurant par exemple l’audition ou la vision. (Wikipédia) )) et tout ce que l’on a mis dans la bouillasse ! Rappelez-vous, au début de votre premier confinement comme vous êtes tous précipités vers le papier hygiénique (qui, soit-dit en passant, n’est pas très hygiénique précisément, et vous entretient cet orifice malpropre, contribuant, entre autres, à des hémorroïdes. Oui ! vous avez perdu tout sens pratique ; il faut se laver, avec de l’eau et même du savon !). C’était un essai de manipulation très réussi pour préparer la suite !

Puis la méga crise économique qui va suivre carnaval en bâillon-couches et injection de la bouillasse, en vue de vous soutirer tout ce qu’il peut encore vous rester de biens et d’argent et surtout d’Âme ! Vous aurez donc des nouvelles alarmantes et des divertissements en veux-tu en voilà ! L’esprit critique ? Envolé ! Restez bien rivés sur vos écrans en permanence, mangeant, tant qu’il y en a encore ! une nourriture morte qui vous rend malades et pour nous, par ici la bonne soupe, tant monnayable qu’émotionnelle ; le retour sur investissement est très, très rentable ! Je vous fais rêver avec les publicités, les reines, les princesses, les princes, les vedettes, les stars que je contrôle et manipule comme je veux par toutes sortes de moyens savamment mis au point (avec l’aide de vos scientifiques, ah oui, ceux-là, ils sont bons quand ils sont corrompus et avides !). Je tiens quand même à vous dire que leurs images sont tout à fait factices et savamment travaillées pour provoquer en vous des sentiments : la preuve, j’arrive à vous les faire aimer ! Moi je sais que tous ces personnages sont, dans la plupart des cas, d’une affligeante banalité. Ce qui crée chez eux la schizophrénie d’ailleurs, mais c’est de la souffrance, et cela me convient à moi et mes potes, et puis on vous tient car

Vos enfants sont nos prisonniers

« Ca y est, vos enfants sous notre coupe. Même ceux qui auraient eu les capacités de s’opposer à nous et qui ont plus ou moins échappés à la vaccination, aux médicaments, aux nourritures frelatées sont maintenant captifs des écrans, des jeux, ils sont captifs, conditionnés pour ne plus vouloir vivre que dans ces mondes virtuels que nous leur imposons. Le monde leur fait peur, et ils ne veulent surtout plus voir autres choses : ils sont nos esclaves, et travailleront pour nous. Nous les conditionnons tout petits au sexe, à la pédophilie, au transgenre, à l’homosexualité, au cynisme, à la violence… Nous les éloignons de leur famille, de leur être intérieur, de l’air pur, du soleil, de la Nature… pour mieux les contrôler ; de mieux en mieux, nous les muselons…

« Ainsi, les possibilités de retrouver les chemins de votre dimension intérieure, de votre souveraineté et du pouvoir hérité des premières humanités sont très maigres, occultés sous ces voiles factices. Parce qu’avec tous les produits que l’on vous fait ingurgiter (pour votre bien !) et ceux que l’on déverse au-dessus de vos têtes, votre glande pinéale, vous savez le petit cristal dans votre tête (qui vous relie au Christ), il se calcifie, devient opaque, et fait de vous les zombies que nous espérions depuis tant de temps. Nous nous emparerons très bientôt intégralement de votre pouvoir créateur dont nous avons besoin pour exister, vous nous créez, avec toutes les suggestions, conditionnement, impositions de toute nature, notre monde idéal. Nous allons bientôt transférez votre intelligence dans l’Intelligence Artificielle, l’IA pour les intimes (Commentaire de Petit H : mais qu’ils sont donc bêtes !). Nous garderons toujours une masse moutonnante pour travailler pour nous, et puis voyez, vous commencez à être comme nous : haïr la beauté, la bonté, les belles émotions, être sadiques, cyniques, pédophiles (ça vient, ça vient même bien !), violents, etc. Alors conditionnés maintenant dès l’enfance, nous n’avons même plus besoin de nous cacher ! Avec internet, Hollywood, tout est là, étalé au grand jour. D’ailleurs, notre plan n’a rien de secret, allez donc voir ce qui est écrit sur les Georgia Guidestones, et vous verrezque nous ne cachons rien, tout est là, écrit dans la pierre ! Et avec la bouillasse que vous courrez vous faire injecter, vous allons arriver à nos fins. Nous n’avons plus besoin d’autant d’humains, vous avez fait tout ce que nous voulions, et maintenant, nous allons juste garder quelques spécimens pour nous servir. Bien sûr, les médias qui nous appartiennent et que nous contrôlons à 100% ne vous parlerons jamais de cela, et nous pouvons contrecarrer les vraies informations qui circulent sur internet en les dénonçant comme fakes news ! Qu’est-ce qu’on rigolent ! Nous avons donc, je le redis, votre consentement tacite : qui ne dit rien consent. Amusez-vous les enfants, amusez-vous bien ; on s’occupe de tout !».

« Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncherait. » GeorgeH.W. Bush,1992.

Mais, c’est vrai, ça ! Qu’ils sont donc bêtes !

« Ah, oui ! qu’ils sont donc bêtes ! Ils imaginent qu’ils peuvent faire un être pensant avec l’IA. En plus c’est vous, les humains au pouvoir créateur, avec un véhicule-corps très performant, avec une Âme et un Esprit qui leur donnez le bâtons pour vous battre, car l’IA est bien une création humaine ! Et il y a plein d’humains soi-disant intelligents qui croient pour de vrai de vrai que c’est possible, car ils ont perdu toute foi, tant en eux-mêmes que dans l’Intelligence de la Création. Ils ne savent plus regarder, voir, entendre, écouter, admirer, laisser de divines émotions monter en eux. La technologie les fascine beaucoup plus que les mécanismes de la Vie, de la Nature, de l’Univers, du grand Pourquoi et Comment. ! Ils pensent qu’ils ont besoin de vaccins, de médicaments, de cette foutue technologie pour survivre, sans se demander ce qui fait que, vous les êtres humains, avez toujours survécu sans tout cela depuis si longtemps… Comment les premières créatures reconnaitraient-elles leurs très lointains descendants dans ces pauvres hères apeurés réclamant une fallacieuse protection qui les rend esclaves de leurs maîtres !

Karma

« Voilà, je lui ai laissé la parole pour que vous compreniez à qui vous avez affaire. Ils ne veulent pas que vous retrouviez votre souveraineté, et ont inventé un temps factice, jusqu’à en faire un dieu (de bas étage, cela va sans dire !), pour mieux vous phagocyter ! Et cela marche, puisque maintenant, c’est vous qui le fabriquez, qui lui donnez toute cette importance, cette valeur marchande. Dur, incompressible, aliénant, de plus en plus rapide. Il y a le grand temps universel de la manifestation dans son ensemble, qui évolue dans le ballet cosmique et constitue de notre Univers, et à l’intérieur, le temps humain, constitué de petites bulles en vortex : vous tombez dedans en naissant, et selon l’état de conscience de votre Âme, si vous le passez sans vous posez de questions quant au Sens de la Vie, du Pourquoi et du Comment, vous avez ensuite une peur bleue de le quitter. Il y en a même qui tente de lui échapper ! mdr, mort de rire comme vous dites, et alors quand vous parlez « d’éternité », alors là ! La mort précisément, enfermés que vous êtes dans cette espèce d’ersatz de temps, avec votre désormais karma, elle vous fait sacrément peur ! Vous n’aurez pas la révélation de tout ce que vos sens vous empêchent de voir. Mais que vous y restiez 100, 1000, 10 000 ans dans votre bulle ne changera pas grand-chose, et si vous n’avez rien compris, vous ressortirez au même point qu’à votre entrée, voire plus bas, et en ratant une marche vers l’Ascension. Bien sûr, si vous donnez libre cours à la haine, la vengeance et tous ces sentiments que l’on vous encourage à avoir dans ce laps de temps, et ce que vous vous inventez comme état d’âme, vous vous préparez de belles futures vies pas sympas du tout en retombant dans le karma…

Qu’est-ce qu’il est profond ce gouffre !

« Ainsi, en se densifiant, s’extériorisant, se diversifiant, ces humains ont fini par perdre, entre autres, la communication transpersonnelle. La symbolique de la tour de Babel ne raconte pas autre chose : leur relation avec les mondes plus élevés s’est définitivement perdue dans les méandres tortueux de leur mental trop content de prendre la place de l’Intuition, et c’est à cet instant que la parole fait son apparition comme moyen de communication principale, pour ne pas dire unique. Contrairement à que vous croyez, ce n’est pas un progrès, mais une régression ; dans la communication d’esprit à esprit, le mensonge n’existe pas, par contre, avec la parole, tout peut être compris de travers, à l’envers, tordu, distordu, récupéré, transformé. Avec des races différentes, des peuples très disparates ayant chacun un langage propre, et surtout sans connexions, non seulement entre eux, mais aussi avec leur être intérieur et la Source, les guerres sont inévitables. Dans ces conditions, les choses deviennent faciles pour des êtres imbus de dominer les autres, de les enfermer dans des dogmes de toutes natures pour les abrutir par la peur de soi-disant dieux tout puissants, et plus tard, de systèmes politiques corrompus. Et l’écriture a facilité ce passage !

« Il faut bien comprendre qu’elle n’a pas du tout été considérée comme une avancée majeure, car beaucoup prétendaient qu’elle risquait de ne plus faire travailler la mémoire. Les druides, entre autres, faisaient 20 années d’études, car ils devaient tout apprendre sans aucun support, et aucun maître n’aurait toléré que ses disciples « bachotent » en ânonnant leurs cours devant des feuillets. Le chef d’orchestre Karajan disait qu’il fallait avoir la partition dans la tête, et non la tête dans la partition !  Mon support d’écriture est quand-même très heureux d’avoir des livres…

Et le monologue devint causerie

— Ah c’est toi, Petit H qui me réveilles la nuit pour me faire écrire dans le noir avec une lampe électrique ?

— Oui ! Comme cela je suis sûr que tu m’entends !

— En effet, pour t’entendre, je t’entends, même quand je ne veux pas t’écouter ! Tu m’empêches de me rendormir tant que je n’ai pas écrit ce que tu me souffles, et si j’ai oublié mon cahier, tu m’obliges à aller le chercher ; tu prétends, avec raison d’ailleurs, que je ne vais pas me souvenir de tout ! Mais pourquoi m’as-tu choisie ?

— Je ne t’ai pas choisie, c’est toi qui m’as appelé ! J’ai compris que tu n’étais pas ravie d’être sur Terre. Tu t’es fait avoir, et puis, tu n’étais pas tout à fait comme les autres !

— Ah oui, « la Grande Conscience avait bien dit qu’il y en aurait pour tout le monde, mais elle savait aussi que l’enthousiasme du début pourrait par la suite ne plus déclencher de vocations aussi joyeuses. ». Je me souviens, je ne voulais pas revenir vivre sur ce monde terrestre, mais « on » m’y a obligée, enfin on a soutiré mon consentement. J’étais une petite fille triste même si ma famille m’adorait ; le monde que je voyais poindre à travers cet amour, me paraissait tellement dur ! Un monde pareil ! Qui aurait envie d’y revenir de son plein gré ! Mais ce n’est pas bien grave, j’ai appris plein de choses dans cette vie. Du plus loin que remonte ma mémoire (même pas une étincelle à côté de la tienne !), je ressentais la nécessité de respecter, les animaux, la Nature, la Terre, avec lesquels j’aimais me sentir unie. Avec l’âge, j’ai ajouté l’Univers dans lequel je pressentais une multitude de vies, les atomes, la Vie, la Mort, le Pourquoi, le Comment, etc. ! Tu es dans mon corps ?

— Oui, avec mon double, Petit H bis, nous sommes avec notre copain O. Nous formons une molécule d’eau avec une mignonne tête et dans ton corps il n’y a presque que de l’eau…

— Tu ne t’ennuies pas un peu, c’est petit par rapport à l’Univers ?

— M’ennuyer ? Tu rigoles ! Je ne suis qu’un atome, et il me faudrait plusieurs millions d’années de votre temps pour aller partout dans ton corps. Déjà avec 150 000 kilomètres de vaisseaux sanguins, j’ai de quoi naviguer, et tu es composée de 1013 cellules, c’est-à-dire 100 000 milliards ! Avant que je les aie toutes visitées, ton corps n’existera plus ! Et dans le cœur de ces cellules se passe la chose la plus extraordinaire du monde : le décodage de l’ADN, je ne m’en lasse pas ! Chaque seconde, des milliards de machines moléculaires copient ton ADN pour le transmuter en ARN qui va créer des protéines. Plus de 3 milliards de caractères qui sont  lus, décodés, interprétés, copiés chaque seconde pour fabriquer tes organes, ta peau, tes muscles, enfin tout ce qui fait ton corps, et il se passe encore tellement d’évènements incroyables, il y un boulot fou ici, et toi, tranquille, tu ne te doutes de rien ! Quand je vois cela, je me dis que les Plans de Dieu étaient quand même drôlement bien. Tu te rends bien compte que tu habites une machine biologique non reproductible par vos petits moyens technologiques, avec une multitude de programmes et en principe, avec un pouvoir de régénération par la puissance de l’Esprit (si toutefois on lui laisse le loisir de le faire et qu’elle (la machine) n’est pas trop délabrée pour réagir !).

— Oui, merci de me le rappeler, on a tendance à oublier ces merveilles tant elles nous paraissent banales et surtout cachées. Si je me coupe, je vais tranquillement attendre que cela cicatrise, par contre si je fais un accroc à un vêtement, je peux toujours patienter longtemps, le trou restera ! C’est seulement si nous sommes malades que nous prenons conscience, enfin pas tout le monde, qu’il y quelque chose qui dysfonctionne. Et si on laisse faire le corps, il se répare tout seul…

Branle bas de combat !

— Elle est bien bonne celle-là ! Mais quand tu es malade, c’est le grand chamboulement, tout le monde court partout, c’est le moment des grands nettoyages ! Tes milliards de bactéries ont décidé de te bousculer un peu, et se sont transformées en ce que votre ignorante médecine prend pour une attaque extérieure. Mais tout ce petit monde, en concertation, a évalué les désordre, et convenu qu’il fallait un bon coup de ménage. Alors bien sûr, selon l’état de la personne, sa façon de vivre, de se nourrir, de penser, le coup de semonce peut-être plus ou moins intense, et peut parfois aller jusqu’à la porte de sortie ! Mais la médecine « moderne » en a décidé autrement, et va rajouter une bonne couche de poison, histoire de croire qu’elle guérit, alors qu’elle ne fait que soigner, bien souvent temporairement. Dans la plupart du temps, le corps se débrouille très bien, et va guérir plus durablement. Bien sûr, dans ces moments, il y a les microbes opportunistes, qui vont profiter de la situation, et ceux qui vont carrément fabriquer des virus et autres balayeurs professionnels que votre science (« grâce » à Pasteur) va prendre pour des attaques extérieures. Mais tout vient du corps, et la peur est un très bon fabriquant de ce genre de maladies.

  • À ce propos, depuis le début de cette lamentable mascarade de corona-circus, je raconte à qui veut l’entendre mon histoire favorite pour illustrer cet épisode d’hypnose collective :

« Un pèlerin rencontre la peste et lui demande où elle va : « Je vais à Bagdad tuer 5000 personnes ! ». Six mois plus tard, ce même pèlerin rencontre de nouveau la peste :

  • Tu m’as menti ! Tu n’as pas tué 5 000 personnes, mais 50 000…
  • Pas du tout, j’en ai tué 5000… Les autres sont mortes de peur ! »

« Je sais que bien que la maladie vient de ce que le corps n’a pas été respecté, tant sur le plan physique que mental, car leur qualité est primordiale, que par la nourriture. Baignant constamment dans des sentiments négatifs dont les médias gavent une population avide des instincts les plus bas : vengeance, haine, agressivité, sexualité morbide — j’en passe et des meilleures —, le pauvre système immunitaire a bien du mal à faire son travail. Ajoutons à cela une nourriture industrielle sans aucune vitalité et la sacrosainte pharmacopée qui vient à « l’aide » des malheureux humains pour le plus grand bonheur des laboratoires pharmaceutiques ! Les microbes opportunistes, ne font que profiter de la bonne aubaine. Reconnais quand même que j’essaie de prendre soin de mon corps et de mes pensées ; il m’a été confié à ma naissance, et je dois finir mon chemin ici avec lui. Alors autant tenter le garder en état de marche pour le temps qui me reste ! Je n’aime pas rouler dans une vieille guimbarde toussotante et crachotante, avec de vilaines pensées qui font des crocs en jambe risquant de me laisser sur le bord du chemin sans crier gare. Le garagiste-médecin, cela coûte cher et on y perd son temps, et pour de bon, sa santé !

— Oui, c’est pour cela que je reste chez toi, car parfois, certains sont tellement malsains que c’est la croix et la bannière pour y aller ! Ensuite, quand le corps est recyclé, parfois avec bien du mal à cause de toute la chimie qui lui a été enfournée, il faut faire une cure de désintoxication pour s’en remettre ! Mais dans les anciens temps, il n’y avait jamais ce genre de soucis.

— Mais vas-y, raconte, que s’est-il passé avec les humanités ?

Histoires très, très anciennes

— Et bien chacune amenait ainsi son quota de connaissances, patiemment, comme l’on bâtit une maison grandiose, équilibrant, ajustant sans cesse. Nous étions arrivés à un résultat très satisfaisant pour ce coin isolé de la galaxie. Car cette Mission consistait à élever le niveau vibratoire de toute cette partie excentrée de la galaxie, et surtout ce bord externe où se trouve notre Soleil, et créer, créer sans relâche la Beauté sous toutes ses formes avec un raffinement extrême. Qui ne s’est pas extasié devant la grâce et les sublimes couleurs des oiseaux, agrémentées de leur musique, des papillons, du délicat et subtil parfum des fleurs ainsi que de leur beauté, du chatoiement des insectes et leurs murmures, du fabuleux équilibre entre les espèces, des saisons où chacun arrive au bon moment, comme les fleurs avec les insectes et la naissance des oisillons, et puis aussi la mise en œuvre du recyclage. A tous les niveaux, des bactéries aux charognards de toutes tailles, en passant par les fourmis et cette faune dont le travail consiste uniquement à transformer les déchets de toutes sortes, aux champignons dont le mycélium, aider de milliards de bactéries, vont muter les déchets végétaux en humus au parfum délicat de sous-bois, etc., enfin toutes les merveilles qui existent pour faire de cette planète une perle précieuse apte à illuminer cette partie de la galaxie. Tout cela dans la Joie inhérente à la Création, la vraie Joie du cœur que procure la plénitude du devoir accompli, semant artistement, tel un consciencieux et inoubliable concepteur, les plus belles œuvres pour le bien commun. Fières, étaient-elles ces humanités à la fin de leur Mission, quand les Esprits retournaient vers la Source pour en recevoir les Louanges, enrichies du bonheur d’avoir donné le meilleur dans leurs réalisations, car offrir le meilleur de soi-même procure toujours la vraie Joie.

« Elles connaissaient tellement bien la loi de réciprocité, ainsi, offrant le meilleur d’elles-mêmes, elles en recevaient aussi le meilleur ; les honneurs divins sont incommensurables ! Ainsi, au fil du temps, le joyau promettait d’illuminer ce petit coin d’espace de tous ses feux, et la si belle planète, où les petites graines d’Esprit avaient hâte de faire une expérience dans la matière, était devenue un havre de paix où le Bonheur, la Beauté, l’Harmonie régnaient, et rien ne semblait vouloir ternir ce bel essor…

— Il y a donc une âme commune aux humanités, voire aux civilisations, comme les animaux ont une âme groupe ?

— Oui, bien sûr, l’âme groupe de toutes les espèces est liée à la Source ! Sauf pour certaines catégories d’êtres non créés par Dieu, donc sans la petite graine d’esprit. Ils ne sont donc pas liés à la Source, mais ont leurs propres divinités (enfin ! justement pas très propres celles-là) ! Ces êtres, dépourvus du moindre esprit n’ont qu’une âme groupe, et à leur mort, pour eux, c’est au mieux la dissolution dans ce tronc commun.

Mais les êtres humains, en s’individualisant, en privilégiant le mental et l’égo, ont presque tous perdu cette capacité de communiquer avec leur âme groupe et par extension, la Source, contrairement aux animaux qui ne sont pas autant individualisés.

— Mais quand même, je remarque que certains animaux entretiennent avec leurs humains des relations qui sont très fortes, et apprennent l’Amour. Ne crois-tu pas que cela permet aussi à ces humains de retrouver un peu de cette capacité perdue ? Et l’animal, dans ce cas, respecté dans son identité, peut, peut-être, commencer un processus d’individualisation, mais sans pour autant perdre, lui, ses aptitudes à communiquer avec son âme groupe.

— En effet, les animaux ont des facultés que vous ne soupçonnez pas, vous qui avez tout perdu. Les premières humanités, nous l’avons vu, étaient en relation universelle avec tout ce qui vit, et même bien au-delà de la Terre, avec d’autres mondes, d’autres peuples extraterrestres qui venaient les visiter. Bien sûr, elles n’acceptaient que ceux qui étaient très positifs et dans une énergie commune, ce qui leur permettait de faire des échanges très fructueux. Et les humanités se succédaient en gardant la mémoire ancestrale de leurs histoires successives, évoluant avec toujours en perspective, la Beauté et l’Équilibre de la Nature qui restent les merveilleux témoignages qu’elles vous ont légués. Faudrait-il encore être capable de le reconnaître, oui ! Toi, je sais, tu apprécies !

— C’était chouette, dis donc !

— Ça c’est certain ! Mais, comme nous l’avons évoqué, il s’est passé quelque chose qui a inversé cette belle ordonnance, car déjà, la civilisation avant la vôtre avait complètement perdu son pouvoir créateur sur le vivant, et n’avait plus accès à son élaboration et à sa conduite avec une éthique spirituelle. Nous allons voir plus tard comment s’est opéré ce forfait.

Un peu d’archéologie

« Néanmoins, encore hautement évolués, ces grands bâtisseurs mettaient un soin tout particulier pour édifier leurs constructions destinées à recueillir les énergies terrestres et cosmiques. Être en Harmonie avec Gaïa, qu’ils savaient reliée au système sensitif énergétique conscient de l’Espace, de l’Univers, était leur priorité. N’ayant pas complètement perdu la mémoire, ils voulaient laisser les témoignages de leurs grandes connaissances en mathématiques, astronomie, architecture, etc., et de leur haute technologie dans des réalisations mégalithiques, preuve de leur grand pouvoir sur le minéral. Sans doute aussi, voulaient-ils laisser des fils conducteurs aux civilisations qui allaient les suivre pour les aider à affronter cette descente dans la matière (avaient-ils connaissance de l’inexorable involution actuelle ?). Mais curieusement, une partie de l’humanité des temps présents, aveuglée par ce qu’elle croit être sa propre lumière (et qui se trouverait plutôt être des ténèbres), préfère ignorer et croire que ce sont des humains plus primitifs qu’eux qui ont bâti tout cela avec des moyens rudimentaires !

Et maintenant

« Puis les humains des temps présents, poussés par leurs maîtres à qui ils ont abandonné les commandes de leur vie, ont laissé leur mental et leur égo prendre une place démesurée, reniant l’intuition qui pouvait encore les relier à leurs origines. La pensée pernicieuse qu’ils sont là par hasard les rend cyniques, personnels, vindicatifs… et, ou, très malheureux ! Ils ont renié leur foi en la Vie, pensant naïvement que tout se termine à la mort de leur corps, poussant même certains à se faire congeler en espérant que dans un temps futur, l’on pourra les ramener à la vie ! Mais leur âme est maintenant dans une grande souffrance et ne peut rompre les liens qui la maintiennent à ces corps congelés. Condamnés, cons damnés (vraiment, sans vouloir faire de mauvais jeu de mots, mais c’est trop tentant !), ils restent dans un état indéterminé qui leur interdit toute vision sur une réalité qu’ils n’ont jamais imaginée (et c’est peut-être là que le mauvais jeu de mots prend toute sa signification !).

« Ils s’empêtrent dans un réseau de fils qui les enchaînent les uns aux autres, et que tu as d’ailleurs bien décrit, sans avoir encore la vue que tu as maintenant, dans ton livre Sophia galactica, le jeune dieu(([13] Edition Atramenta : atramenta.net)):

Dans cet espace où sa conscience des choses prenait des allures dabsolu, certainesimagesseprécisaient,sérigeaient,saffinaient,incarnantceque le village des Portes et des Espaces lui avait révélé. Sortant d’une brume triste et morne, s’avançait maintenant un long cortège pathétique dêtressourdsàlamusiquedelavie,aveuglesàsesmultiplesaspects,mutilés deleurssentimentsetdeleursensibilité.Linfirmité des âmes, prenantformedanslescorps,semanifestaitpartoutelagammedesmaux qui frappent lespèce humaine : maladiestant physiques que mentales, dégénérescences.Évoluantdanslecirquedelaviehermétiquementclospar leurssoins,ilschangeaientdepersonnagesetderôles,revivanttoujoursles mêmessituations,perpétuellementinachevées,devieenvie.

Ellevoyaitdesfils fins etnus,reliantlesêtreslesunsauxautres,aux objets, aux événements, aux sentiments, au Ciel et à la Terre, semmêlant, au fur et à mesure de leur évolution, sur les chemins de vies. Une vision fulgurante lui montrait chaque mouvement, les ligotant de plus en plus serrés, les liens pénétrant profonment dans leur chair, et leur fermant les yeux,lesoreilles,lecœur,àlavéritableharmoniedelaVie,àlAmour, à la Compassion. À chaque point d’ancrage, des douleurs, des maladies apparaissaient, etpersonnenevoyaitde rapportentreces maux etlesfils.

Lacomplexidesenchevêtrementssintensifiaitaveclescourantssillonnant cesfils quellereconnutimmédiatement :jalousie,fiel, concupiscence, haine, envie, ressentiment, grief, vengeance, arrogance, soif de pouvoir, servitude,apitoiementsursoi,peur.

Lesêtresayantdépassécessentimentsnéprouvaientpaslemêmetype desouffrance. Unevisionpénétrante,plongeantdanslesprofondeursdu pas,sélevantverslefutur,uneconsciencepluslimpide,lecœuroffert à la Compassion et à lAmour, les ouvrait aux multiples messages de la vie. Les humains détiennent les rênes de leur destin, mais ils ne le savent pas. Ontils vraiment envie de grir, de devenir des êtres responsables ?La facilidu remède lui apparaissait maintenant :la prise de conscience de cette autre dimension où la voloninrieure peut dissoudre ces liens avec une simplicité déconcertante !Mettre en œuvre la détermination de selibérerdecesfardeauxsciemmentacceptés ! Vasteprogramme !

Maispouryarriver,ilfallaitvoir,entendre,sentir,affinerunsysme sensorielneprenantprésentementencomptequuneinfimeparcellede la réaliet occultant la partie la plus importante, située dans une autre dimension, celle de la Conscience, englobant les trois autres. Mais il faut souventàlêtrehumainungrandtraumatisme,affectant lecadredeses troisdimensions,pourqueson champdeconsciencesélargisse.

La plus belle fleur

— Ah oui ! On ne vit pas dans la matière sans laisser de traces, et mieux vaut laisser de belles fleurs embaumées que de vilains détritus malodorants.

— D’autant que comme tout s’équilibre et les vieux détritus ayant bien maturés, vont revenir à l’envoyeur ! Toutes ces merveilleuses connexions sont malheureusement, vu l’état de conscience de cette humanité présente, parcourues par de sales courants ! Et le Grand système nerveux central, dont la puissante Énergie est Amour, enregistre tout, et ça, beurk, c’est quelque peu indigeste ! Tout, absolument tout est Amour. Simplement, cet Amour, dans la matière, doit toujours être déployé et ordonné, mais ce sont des forces dont vous n’avez même pas idée qui régissent ce que vous voyez, et qu’avec votre courte vue, nommez « gravité ». La gravité, c’est vous qui l’inventez, et celle-là il lui faut de la place. Mais elle est juste là pour qu’un jour vous puissiez enfin ouvrir les yeux et surtout votre cœur !

« Vois, si tu prends la plus belle fleur du monde, c’est une pure merveille, elle ravit tous tes sens : elle te transmet sa beauté, sa Joie, son odeur t’enivre, sa caresse est douce et parfumée, tu peux voir en elle la perfection absolue. Mais si tu l’écrases, que tu en fais une petite bouillie, ce sont toujours les mêmes composants de la fleur qui sont devant toi, mais quelle tristesse ! A pleurer ! Vois, la haine, la vengeance, l’envie, la jalousie, la peur, la colère, etc., ne sont que l’Amour tout recroquevillé, ratatiné, emmêlé, piétiné, nié, oublié… Et c’est pour exprimer l’Amour que notre Univers est né, et moi, simple mais premier atome, j’ai vécu ce grand déploiement.

« Observe quand un humain « est amoureux », il est en expansion, en déploiement, il peut avoir l’impression de voler, il voit le monde avec d’autres yeux. Le véritable Amour est un état, pas un sentiment que vous confondez avec l’amour banal qui est juste une histoire d’hormones qui montent à la tête, enfin plutôt qui descend ! Oui, il est bien regrettable que ce soit souvent la seule expérimentation en cette matière ! Et quand le désir n’est plus là, tout se recroqueville, et souvent c’est la haine qui prend la place de ce qui était pris pour de l’Amour ; ce n’était que du désir sexuel assez mal déguisé, et que vous nommez amour, et encore… de moins en moins, car il est souvent question « d’activité sexuelle » ravalée au rang de simple fonction physiologique. L’Amour, comme je le disais, est un état, alors élargissez vos possibilités de le vivre au-delà du sexe (ce qui ne l’exclut pas, d’ailleurs) ; le monde en serait tout changé. Alors tu as bien compris, l’Amour est Expansion, Déploiement, Bonheur, Lumière, Joie, que sais-je encore ! C’est ta vraie nature, celle de ces petites graines d’esprit impatientes de faire des expériences dans la matière. Le cancer, c’est quand les cellules sont compressées, rabougries, emmêlées, stressées, et ça, les cellules, elles n’aiment pas du tout. L’ADN ne peut plus se répliquer correctement. Les causes peuvent être multiples, mais en règle générale, sauf cas extrême, genre irradiation, il s’agit toujours d’un mental et d’un égo rigides ou alors trop facilement influençables, sans aucune ouverture vers autres choses que le matériel pur et dur, et enclins à toutes sortes de peur et de ressentiments ! Il faut quand même ajouter un grand traumatisme affectif, une nourriture morte, les médicaments, les vaccins et tous les faux cancers que la médecine « détecte » avec toutes sortes procédés ; forcément, un cancéreux, ça rapporte un max…

« Et pour compléter le tout, la plupart habitent enfermés dans des casiers, voyagent par des moyens de transports serrés comme des cellules cancéreuses dans leur tumeur ou alors seuls dans leur véhicule, mais avec une radio qui braille. Et pour se distraire, ils vont dans des « boîtes », où, au bruit de musiques sataniques, ils se tortillent imbibés de sueur, d’alcool, enfin drogues de toutes sortes ! La majorité d’entre eux habitent dans des villes, voire de grandes métropoles, mégapoles, où de sinistres géants de fer, de verre et de béton, étendent leurs ombres patibulaires sur le grouillement humain. C’est pour cela aussi que les corps deviennent vieux, et ce processus, au fil des millénaires, est devenu l’anormalité !!!

Pénétrer au cœur de toutes choses…

« Laisser son regard pour commencer, prendre de la hauteur, de la profondeur, puis pénétrer au cœur de toutes choses. Mais les humains ne peuvent plus voir ; ils restent dans leurs idées bien compartimentées, sans regarder au-delà des apparences, c’est comme le cancer… Tout est cadré dans leur vie qu’ils ne voient plus qu’à travers des écrans. Leur vue ne peut plus s’élever, ne peut même se porter au loin sans leur donner le vertige ; la nature leur parait hostile, et quand en plus on leur interdit de s’y rendre sous peine d’amendes, voire de prison…

Et un coup de vent qui défroisse

« La Création de L’Univers, c’est tout le contraire ! C’est la grande force d’Amour qui vient de l’Endroit de l’Univers qui s’est déployée, et se déploie toujours et encore, mais avec parfois de minuscules zones toutes serrées, toutes comprimées, toutes emmêlées. Il n’y a que les êtres humains, enfermés dans leur mental, hermétiques à une réalité n’entrant pas dans leurs schémas de pensées, qui font cela ; les animaux et les végétaux en sont parfaitement incapables. Le remède est donc tout simple : dès que le cœur commence à s’ouvrir, c’est comme un coup de vent qui défroisse, dénoue, repasse, lisse, caresse, éclaire, illumine… Les connexions avec la Source, doucement se réactivent, la Joie, la Jubilation reviennent ; c’est comme un baume magique !

— Le système sensitif conscient de l’Univers ne doit pas beaucoup aimer ce genre de « zones de non-droit » hermétiques à Son Énergie. La Source a-t-elle un moyen de gérer cela, et comment réagit le « Cerveau » de Dieu ; il a donc des neurones ?

— Oui ! Votre Univers a des neurones, ce sont les amas, les superamas, et ce que vous appelez « matière noire » n’est autre que la Pensée de Dieu circulant dans ce grand courant d’énergie. C’est cette « Pensée » qui maintient la cohérence de cet Univers, comme votre conscience maintient le bon fonctionnement de votre corps (si vous lui en laissez les moyens !). Car comme pour vous, votre Conscience n’est pas dans votre tête, mais en dehors : c’est l’Esprit (issu des petites graines) qui survit éternellement au corps. Alors on pourrait dire que Dieu s’est littéralement incarné dans cet Univers au travers de la Source qui émane Sa Transcendance de l’Endroit du Super Univers vers l’envers, c’est-à-dire notre Univers. Et, à l’image de votre code génétique et de votre cerveau qui expriment à peine 10 % de leurs capacités, il en est de même pour votre perception de l’Univers. Comment dans ces conditions, pouvez-vous avoir une réelle connaissance de ce qui vous entoure, si vous ne prenez en compte que la matière ? L’Énergie divine vous est inaccessible, d’autant que la majorité des scientifiques la nient avec force.

« Pourtant, avec la physique quantique, ces mêmes scientifiques commencent à prendre en compte l’importance d’une présence, autrement dit de la Conscience. En effet, les particules ne se comportent pas de la même façon en présence d’un observateur, et cela, de façon systématique. Ce qui en déroute plus d’un ! Ils ne peuvent donc nier que la conscience a une place de premier choix dans l’ordre du monde, et que la fameuse théorie unifiée qui fait tant rêver les physiciens ne se fera qu’avec cette prise en compte… Bouddha a dit : « Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes est né de nos pensées. Par nos pensées, nous créons le monde. ».

Stop, transmission rompue

« Les anciennes civilisations dont vous avez des traces, avaient encore ces connaissances, mais les entités dont nous avons parlé plus haut, donc une petite minorité très puissante, a voulu se les réserver. En fait, l’Âme et l’Esprit n’aiment pas du tout les soi-disant « secrets », surtout si c’est pour avoir le pouvoir et la domination. Les êtres humains ont ainsi été guidés vers la guerre encore et encore, sans jamais remettre en cause cet état de fait, et vers des religions qui les ont enfermés dans des dogmes inébranlables, les conduisant vers l’oubli de leur véritable Nature. Ceux qui ont voulu préserver certaines de ces connaissances l’ont fait dans la pierre, et les fonctions de ces constructions érigées sur des lieux énergétiques stratégiques, étaient précisément de communiquer avec cette entité supérieure qu’est la Source, ce que n’avaient cependant pas oublié les bâtisseurs de cathédrales de votre civilisation…

« Et maintenant vous voilà, ici sur cette Terre, avec tous les boulets que les forces obscures vous ont collés sur le dos et ceux que vous avez rajoutés par vous-même ! Il se passe ce qu’avait envisagé la Source quand Elle faisait ses recommandations à Lili : le message ne s’est pas transmis, dommage pour vous ! Cependant, à votre petite décharge, il vous a été volontairement occulté, et ceux qui tentaient et tentent toujours d’ailleurs de le chercher, sont ostracisés, bannis, expulsés, excommuniés, proscris, tués, torturés, etc, j’en passe et des meilleurs ! Il faut dire aussi que dans les temps présents, la majorité des humains adorent de plus en plus se faire berner ! Vous l’aimez votre enfermement (ce qui a très bien été entendu !), mais attention : «  l’enfer me ment ! ». Et l’âme, prise dans cette cotte de mailles énergétique qu’est devenu le mental, évoluant dans toutes sortes de dogmes, croyances, convictions inébranlables, et maintenant cadrée (écrans), oublie sa véritable nature et dépérit. Votre extrême densité et votre faible taux vibratoire si éloigné de celui de la Source, vous coupent complètement de votre être intérieur, et par là-même, de toutes communications subtiles. Vous êtes tout ratatinés dans vos certitudes qui vous entravent et vous obligent à tourner encore et toujours dans votre bocal. Vous pensez n’être que votre corps, et vous lui donnez une importance artificielle ; vous êtes tombés dans la grande misère du sexe qui a perdu toute sacralité et dont toutes les perversions sont devenues légions et normalité, la maternité, une affaire de laboratoire, et ce que vous appelez vos « états d’âme » confiés à d’autres personnes tout aussi perturbées que vous, sinon plus !

« Vous ne voyez que les contours de l’image dont les émotions font partie – vos fameux « états d’âme » –, et vous croyez n’être que cette image ! Alors que moi, je vois la Totalité, et rata zut ! Ce n’est pas toujours très beau, je vois bien sûr, l’Âme, la pauvrette qui n’a plus aucun moyen d’expression ! Vous avez peur du silence et de la solitude qui pourtant pourraient vous aider à prendre conscience de votre être intérieur ! De surcroît, pour la majorité d’entre vous, une grande partie de l’ADN n’est plus codante pour toutes les subtilités de la vie spirituelle. Vous avez même l’outrecuidance de l’appeler « ADN poubelle ». Pour pallier cette défaillance, vous vous inventez des prisons de toutes les sortes ; l’athéisme qui est une religion à part entière avec ses dogmes (sans doute la plus dogmatique de toutes), ses prêtres sectaires et son Inquisition, englobant politique, science, sectes, adoration de toutes sortes de vedettes, princesses, etc., tout ceci se recoupant allègrement, et bien sûr les religions qui règnent toujours dans certains pays en maîtresses absolues. Ainsi, vous vous retrouvez ligotés par toutes sortes d’implacables liens. Enfermés dans les multiples murs de vos certitudes, vous vous croyez les premiers sur Gaïa, les seuls dans l’Univers, et les meilleurs ! Vous restez donc embourbés dans vos petites connaissances avec lesquelles vous pensez tout expliquer. Les quelques lamentables bricolages génétiques que vous pratiquez avec une impudence folle ne servent que les intérêts financiers de quelques-uns ! Le Bon, le Bien, le Discernement, le Sens des Responsabilités et de la Conséquence de ses actes ne sont pas vos priorités. Vous êtes devenus des « pousseurs de caddy » conditionnés à obéir et consommer ! Votre vie a perdu son sens sacré et vous ne savez plus du tout pourquoi vous êtes ici ! Il est évident que les populations exogènes de haut niveau vibratoire ne risquent plus de vous rendre visite, vous ne pouvez plus attirer que les malfrats de la galaxie !

Hou, hou ! Le Bon, le Bien, le Discernement où êtes-vous ?

« Vos capacités d’observation sont faibles, car prisonnières de dogmes, de croyances ; vous avez fermé la porte aux ouvertures cosmiques. Vous êtes capables de reconnaître du premier coup d’œil « la main de l’homme » dans un objet, même très rudimentaire comme une pierre taillée fabriquée par un de vos congénères présents ou passés, et de faire la différence avec un vulgaire caillou ! Reconnaitre dans ces objets, à juste titre, un projet, une pensée, une conception intelligente, aussi ! Par contre, la délicate sculpture d’un simple coquillage avec sa spirale, tout comme les galaxies, les fleurs de tournesols, les tornades, le temps, etc., délicate sculpture basée sur le Nombre d’Or et la Spirale de Fibonaci, ce simple coquillage  (et là, je ne parle que de la coquille, parce que la bestiole !) ? Mais vous ne pourriez d’aucunes façons reproduire dans sa perfection microscopique en mettant en œuvre toute votre intelligence et votre technologie ! Enfin, bien sûr, vous savez tous que c’est une bestiole qui a fabriqué cet habitat, mais même avec votre technologie, vous n’êtes pas capable de faire aussi bien ! Attendez, avec votre super cerveau, vous ne pouvez même pas égaler un limaçon ? Tout ce qui se situe hors de votre compréhension est arrivé comme cela, non ! Pas de plan, pas de pensée, par hasard, c’est la sacrosainte « évolution » ; c’est puéril et enfantin de croire cela ! Évolution bien sûr, qui n’est pas dans son intégralité à mettre à la poubelle, mais qui n’explique en aucune façon le passage des acides aminés en protéines. Oui ! Le langage de l’ADN est porteur d’informations complexes, plus denses et plus élaborées que n’importe quel programme informatique, et nécessaire à la réplication de la vie, et bien, encore sans rire, bof, le hasard et la nécessité ou autres théories, en tout cas, hors de question d’y voir une quelconque conception intelligente !

« Vous reconnaissez une conception intelligente dans ce que vous fabriquez ou concevez avec moult réflexions, plans, technologie, mais quand il s’agit du vivant, de ce qui sort de vos réalisations exclusivement matérielles, personne n’a pu y penser, vous êtes les seuls, ici-bas à créer avec votre intelligence. Une simple bactérie et son flagelle, véritable moteur biologique(([14] Il y a de nombreuses représentations de ce moteur sur internet et des « pièces » qui le composent ! Pure merveille technique, Howard Berg de Harvard l’a surnommée « la machine la plus efficace de l’univers » ! Certains de ces moteurs ont une vitesse de rotation de 100 000 tours/minute, et sont reliés à des mécanismes de transduction de signaux sensoriels qui leur fournissent des informations sur l’environnement. Même à cette vitesse, ils peuvent s’arrêter en un quart de tour, changer de cap et repartir à 100 000 tours/minute dans une autre direction. Ils sont composés d’un grand nombre d’éléments indispensables au fonctionnement de l’ensemble et dotés de deux vitesses en marche ; avant et arrière, d’un refroidissement liquide et d’une force protomotrice, de nombreuses « pièces » dont un arbre de transmission, une hélice. Tous ces composants fonctionnent comme un moteur fabriqué par l’humain, mais avec des performances infiniment supérieures, et doivent être « montés » dans un ordre bien défini, comme n’importe quel moteur ! De plus ils consomment très peu d’énergie.)) aux incroyables performances, sont beaucoup plus élaborés que n’importe quelle réalisation humaine, et bien sûr, impossible à « reproduire ». Les moteurs humains ont de bien faibles performances à côté de cette machine biologique ! Mais voilà ! La science exclut systématiquement une cause avant même de considérer les preuves. Et avec le moteur bactérien, nous avons une très faible probabilité et des caractéristiques d’une extrême précision pour arriver à une finalité, c’est-à-dire ce moteur, qui prouvent qu’il y a au départ une Information. Pourquoi nier avec un tel acharnement qu’il ait pu avoir un Concepteur ? Alors que s’est-il passé, tu as une idée ?

Une jambe amputée qui fait des siennes ?

— Il ne se serait pas passé un truc avec le principe artisan et les forces obscures qui auraient corrompu le principe artisan pour qu’il devienne principe guerrier ? Oui, je me souviens :

Sentant une certaine pression, et malgré un mauvais pressentiment, la Grande Créatrice ressortitsa boite de pétri avec un soupir.

« C’est cela ? Cette fichue jambe du X amputée est en train de faire des siennes :

En espérant que les lointains descendants ne perdront pas la mémoire de leur origine, et ne feront pas de leur sexe un objet de domination… » ?

— Eh bien ! Voilà ! Nous y sommes ! Il faut bien comprendre que le principe créateur, symbolisé par les femmes qui donnent la vie, n’a jamais au cours de ces millions d’années, dominé le principe artisan ; leur équilibre et leur entente étaient parfaits comme Dieu les avait voulus. Il en reste des traces dans les quelques vestiges de sociétés matriarcales restant sur Gaïa.

« Les esprits de la génération de Lili, devenues de magnifiques énergies, s’en étaient allés vers des mondes encore plus subtils à faire évoluer, pour continuer leur ascension, ascension en rapport avec le travail accompli sur Terre, et la Beauté des relations entre tous les Êtres. Quand une humanité a fini sa mission sur Terre, la Source revient vers le collectif d’Âmes qui a réussi cette ascension, et un « bilan » est alors dressé : « Quelle Terre laissez-vous ? Qu’avez-vous réalisé pour le bien des espèces ? Les avez-vous accompagnées dans leur évolution ? Avez-vous répandu, arrimée à Nature, la force d’Amour qui doit tout gouverner ? Comment vous êtes-vous comportés envers vos semblables, envers les autres règnes, envers Gaïa, vous qui avez la Conscience ? ».

— Ben dis donc, pour les premières, cela devait être facile, mais pour la nôtre, moi je dis « ayaïyaïe ! ». Il y a de la réincarnation à mort là-dedans, c’est le moment de le dire, et pas pour le meilleur ; dans ces conditions, cela peut durer encore longtemps ! Mais les forces obscures n’auraient-elles pas provoqué cette baisse vibratoire pour investir mentalement les humains les plus vulnérables ? On peut constater dans notre histoire, que certains êtres, particulièrement maléfiques, occupent presque toujours les plus hautes fonctions. Attirés exclusivement par l’amoncellement outrancier de biens matériels, le service à soi en excluant complètement le service à autrui, ils veulent ensuite le pouvoir, un pouvoir absolu qui mène tous les pays vers une dictature mondiale. Il leur est facile, avec le miroir aux alouettes d’une technologie d’écrans, de contrôle mental, de vaccins, de peur, de pousser de plus en plus de monde dans le sens contraire de l’Évolution, les entraînant ainsi avec eux dans les couches les plus éloignées de la spiritualité.  Mais comment ces forces obscures ont pu investir aussi facilement la conscience humaine ?

Justice humaine, Justice Divine

— Pour commencer, juste après la mort, chacun se retrouve devant un « miroir », mais pas pour se regarder le nombril et se trouver le ou la plus belle, c’est le « miroir » de l’Âme ! Un corps peut tant bien que mal masquer sa laideur et même une personne renommée « belle » ne pourra pas se cacher devant ce miroir. La beauté physique est éphémère et relative, la beauté de l’âme est éternelle ! Elle apparaît alors dans toute sa Lumière… ou sa noirceur absolue, sans échappatoire possible, nul endroit, nul espace pour s’y cacher, il n’y a plus que la Conscience, rien que l’Esprit, rien qu’une Énergie où tout est enregistré et les honneurs humains n’ont rien à voir avec les honneurs divins… La justice humaine est tellement faillible, mais pas votre conscience ! Un être humain qui a bien reçu la petite graine d’esprit, commet un forfait, un meurtre pour aller au pire, et comme il s’aperçoit qu’il y a eu des témoins, il les supprime tous ! Pas vu, pas pris, pense-t-il, mais il est vraisemblable que toutes ces ignobles actions vont le hanter pour le reste de sa vie, car, tapie au plus profond de lui, sa petite graine est là, toute recroquevillée, comme la petite fleur, mais elle est là quand même, comme ces graines que l’on retrouve parfois des milliers d’années plus tard, et qui ont encore un pouvoir germinatif ! A sa mort, il ressentira toutes les souffrances qu’il a infligées, et peut-être, s’il n’a pas pris conscience de ses forfaitures, revenir les vivre dans une incarnation future.

« Et là encore, il faut prendre en compte un phénomène peu connu. Si par ignorance, les âmes des victimes, qui peut-être ont aussi elles-mêmes pêché, veulent se venger, elles restent alors attachées à leur bourreau et continuent volontairement leur calvaire, puisqu’elles sont entraînées dans l’astral vers les plus basses énergies. C’est là que les forces obscures agissent, car elles se nourrissent de souffrance, de misère, et ont donc intérêt à la profusion en cette triste matière. Elles enferment donc les morts dans un carcan, leur montrent une belle lumière, puis se faisant passer pour de bons guides, leur conseillent de venir se racheter au prix de souffrances ou se venger c’est encore mieux, pour alimenter leur commerce et la roue. Et même les personnes qui n’ont jamais commis de graves fautes, mais meurent avec des regrets de n’avoir pas accompli ce qu’elles auraient voulu faire de leur vie, des jalousies, etc., voient ces pseudos « guides », pour les éloigner de la Vraie Voie, leur proposer de revenir refaire un essai, qu’elles seront aidées, qu’elles pourront réaliser leurs rêves ! Oui ! La rechute est tellement facile dans un monde où tout est fait pour pervertir l’être humain et l’éloigner à jamais de sa vraie Nature. Si plus personne ne vient alimenter la grande roue du karma sans fin, pure invention de ces forces maléfiques, leur sort est scellé… Alors, les forces obscures ont commencé, pour les humains vivants sur terre, à projeter sur l’écran gigantesque de la paroi interne de la ceinture de Van Allen, une projection holographique de plus en plus dense, complètement remaniée de l’univers, des planètes, des galaxies, et toutes sortes d’objets célestes. Nous sommes dans la grotte de Platon…

« Nous avons vu que les premières humanités, qui avaient un accès direct au ciel et dont les agissements et les pensées étaient pures, n’émettaient donc aucun déchet. La réincarnation serait censée rééquilibrer les forces qui se sont trouvées perverties par des comportements, des sentiments hautement néfastes, et en profonde opposition avec les forces d’Amour qui régissent cet Univers. Et le karma, que ces forces obscures prennent un malin plaisir à charger, vient non seulement freiner l’évolution, mais vont vous mener vers l’involution. L’Esprit s’étiole de plus en plus, pour finalement se dissoudre dans les vapeurs fumantes et nauséabondes du monde de ces entités sans esprit qui vont s’en délecter.

Laissez venir à nous les petites âmes perdues…

« Avec de pernicieux « conseils » prodigués par ces faux guides qui se prétendent là pour vous aider, ces derniers entraînent les êtres vers l’oubli de leur véritable nature, leur montrant qu’il faut souffrir pour évoluer ! Tu crois vraiment, sauf cas exceptionnel, que la souffrance peut guider vers la Lumière ? Qu’il faut tout oublier pour toujours recommencer à zéro. Imagine un enfant qui chaque nuit oublie tout ce qu’il a appris dans la journée. Va-t-il avoir une chance de passer en classe supérieure ? Tout cela ne rime à rien, et n’arrange que ces forces maléfiques qui se nourrissent de souffrance.

« En effet, la Conscience, profondément liée à l’Âme qui, par trop négligée, niée, piétinée, oubliée, en dépérissant, ne peut plus être le support de l’Esprit. Une terrible dissolution, le pire des scénarios, est alors parfaitement envisageable, et des trappes peuvent se créer dans l’espace-temps pour recycler ces âmes perdues… Cette dissolution fait évidemment très peur et pour cause, peur très nourrissante pour certains. Ceci est récent sur cette Terre, car nous l’avons vu, les premières humanités étaient des Âmes très pures, mais la densité provoquée et l’enfermement dans cette matrice qui occulte une Réalité au taux vibratoire affaibli, peuvent provoquer ces regrettables effets. Et plus ce taux vibratoire diminue, plus vous vous éloignez de la Source qui n’a rien à faire de vos aventures personnelles, et n’intervient donc évidemment pas dans vos petites histoires. Prier pour gagner un match de foot ou au loto, non ! C’est juste comique ! Et même si une prière était entendue, ce serait pour une vraie cause, une grande cause, pouvant profiter à Gaïa et à tous ses habitants. Vous pouvez le faire pour que les Âmes perdues, après leur flash de vie passée à la recherche de pouvoir à n’importe quel prix, de biens matériels, de plaisirs immédiats et destructeurs, sachent que seul un miroir les attend. Vous êtes insérés dans la gigantesque Entité Consciente et vivante qu’est l’Univers, mais hélas ! de plus en plus difficile à appréhender pour vous. Mais il se peut aussi que certaines prières communes soient entendues, mais vous devez toujours vous méfier, car les prières groupées dégagent beaucoup d’énergie qui peut être captée par le côté obscur qui va s’en trouver renforcé…

Y a plus personne au bout du fil

« Comme nous l’avons vu, dans le passé, environ tous les 200 000 ans, la ceinture de Van Allen se désactive et comme ses « parois » servent d’écran à l’hologramme de votre réalité, ce sera peut-être une occasion unique pour les êtres humains actuels d’enfin percevoir la Vrai Réalité. Selon leur façon de penser, cela peut se passer dans la Joie et la félicité, ou.. tout l’inverse ; une inversion des pôles ou autres réjouissances viennent alors mettre la pagaille dans la nature. Dans les temps très anciens, où la matrice n’existait pas encore, cela permettait aux humanités d’ascensionner quasiment au complet pour s’en aller vers d’autres mondes à faire évoluer, laissant la Terre suivre son propre cheminement avec ceux qui avaient raté la marche ! C’était donc un recyclage en règle.

« Bien sûr, la Source de cette planète distillait certaines connaissances acquises par ces civilisations, que les Âmes, de retour en incarnation, pouvaient capter et transmettre.

« Mais maintenant, enfermés dans cette matrice qui occulte la majeure partie d’une réalité que vous ne pouvez plus percevoir, les choses sont assez compliquées. Il faudrait que chaque humain vainque ses peurs, et en tout premier lieu, celle de mourir, car elle jette les plus peureux dans les mains des médecins à la botte des grands laboratoires qui ont tout intérêt à soigner et non pas à guérir. « L’espérance » de vie augmente, quel progrès, mais dans quel état ? De plus, les gens meurent, sans conscience et plus ou moins (plus que moins d’ailleurs !) hébétés par les drogues ingurgitées chaque jour et engoncés dans la certitude qu’il « n’y a rien après la mort ». Ils arrivent donc de l’autre côté en état d’inconscience, et l’ignorance arrange bien les gardiens de la matrice, qui peuvent alors diriger les âmes comme bon leur semble. Mais si chacun élève son niveau vibratoire avec de belles pensées, de belles actions sans pour autant ignorer la puissance des forces obscures, il en sera tout autrement… Pas facile avec la peur et toutes les casseroles que vous trimballez…

« Alors évidemment, pour vous, dans ce vaste Univers, ça manque de connexions ! C’est pour cela aussi que vous êtes tellement isolés dans votre coin. Nous les atomes, avons l’intrication, mais vous, êtres biologiques, qui avez perdu la communication transpersonnelle, engoncés dans un corps si opaque ; il ne vous reste que la parole, une parole extrêmement limitée, et dont la valeur peut souvent se montrer très contestable ! Sur Gaïa, vous avez créé des structures sociales indigentes au niveau spirituel qui vous privent de véritables communications. Et c’est paradoxalement à l’époque où vous avez développé des moyens technologiques très performants que, ironie du sort, vous êtes complètement isolés les uns des autres, et surtout sans aucune connexion à votre être véritable. Vos rapports deviennent des plus incohérents ; la violence et ses accessoires arrivent à un paroxysme rarement atteint.

Zut, vla les parasites et le « virus du siècle »

« A l’intérieur de ces grandes périodes, il y a quelques resets sous forme de déluges et, ou, volcanisme, qui sans tout détruire, laissent suffisamment de traces pour amuser les archéologues et les curieux, mais qui bizarrement semblent effacer la mémoire des grands faits. Pour votre toute petite histoire, ressasser, tant au niveau individuel que collectif, revenir sur le passé ne sert à rien, et surtout pas de recommencer les mêmes erreurs, voire d’amplifier les horreurs commises ultérieurement, comme tu peux, hélas, le constater dans les temps présents !

— Alors ? Que s’est-il donc passé ?

— Je ne suis qu’un simple atome, je ne reçois pas les Confidences de la Source directement, mais je suis présent dans bien des domaines. D’ailleurs c’est aussi là, avec la réincarnation forcée, que sont apparus les parasites !

— Ah oui, toutes ces horribles bestioles qui piquent, rongent, érodent, grattent, empoisonnent, sucent le sang en se nourrissant d’êtres vivants, …

— Oui, comme vos banquiers en quelque sorte, et leurs patrons encore au-dessus d’eux qui tirent les ficelles des marionnettes qui « gouvernent ». Les humains se font voler leur pouvoir créateur par ces entités sans esprit qui maintenant les parasitent complètement, et testent régulièrement leur degré de soumission et d’obéissance.

— Et là, avec la mascarade de « pandémie » au corona virus, ils ont pu voir qu’il suffit de leur dire :  « boou… le vilain virus, vite, vite restéz confinés chez vous, méfiez-vous des autres, mettez une couche sur votre visage, des saloperies sur les mains, n’allez plus qu’au supermarché et surtout pas sur les marchés en plein air ! La mort rode partout, dans les bois, sur les plages, dans les parcs (les supermarchés, ça c’est bon, c’est nous qui encaissons !), écoutez bien la télémensonge et le nombre de morts… ». Et ça a marché ! Oui ! Au-delà de toutes leurs espérances ! Et les psychopathes milliardaires, guidés par les forces obscures, prennent encore un peu plus l’ascendant sur leurs semblables, puis profitant de cet ascendant leur conférant un délire de puissance, entraînent les plus faibles avec eux dans les dépôts nauséeux des plus basses densités de la matière, ce qui semble être pour eux un moyen de survie.

« Cela me fait penser à une boule de neige sale, agglomérant autour d’elle tout ce qui se trouve sur son passage, et qui finit, telle une troupe d’araignées filant leur toile, par opacifier la lumière présente en chaque être humain. Et pour renforcer leur pouvoir, rien de tel que d’entretenir des guerres mesquines entre partis politiques corrompus, histoire de créer des camps qu’il faut forcément choisir. Amener le plus possible d’êtres cupides et vaniteux à dominer en rendant les peuples esclaves par toutes sortes de moyens, parasiter les esprits avec des histoires de races, de sociétés, de clans, de piqués à la bouillasse et pas piqués, ensuite imposer ce qu’il faut penser, mentir de manière éhontée par l’intermédiaire de médias corrompus jusqu’à la moelle, voilà leur tactique ! Ils savent trop bien que l’union fait la force ; diviser pour mieux régner, c’est bien connu ! Les religions, les noirs/les blancs, la droite/la gauche, les vieux/les jeunes, le nord/le sud, les hommes/les femmes, etc. Il faut donc créer et maintenir un climat de peur et d’incertitude avec, entre autres, des attentats bidons, le cancer, des phobies d’épidémies ; les microbes, c’est-à-dire le vivant, seraient bien plus dangereux que les multiples produits chimiques absorbés chaque jour par toutes sortes de voies multiples et variées.

— Moi, en tant qu’atome, je vois bien ce qu’il se passe à l’intérieur, et parfois ce n’est pas joli joli ! Tiens, par exemple, les vaccins ! Vous avez un système immunitaire très performant qui fait son apprentissage et son ménage ! Oui littéralement, avec de petites maladies infantiles qu’il faut absolument laisser faire leur office. La fièvre est une bénédiction qui permet au corps de faire le nettoyage à fond et élimine les indésirables. En plus, si vous la faites descendre artificiellement en supprimant le symptôme, ces bestioles ont le champ libre, le corps ne peut plus faire son ménage, et une grave maladie peut alors s’installer, comme la poliomyélite. Un accès de fièvre doit donc être respecté pour laisser le corps faire son travail ! Il pourra alors, tel un coach sportif entraîner ses poulains à être les meilleurs, et gagner toutes les batailles ! Oui, car c’est bien de cela qu’il s’agit, chaque « bataille » fait un bon ménage, le système immunitaire se fait les muscles pour préparer la vie future et affronter les aléas de la vie, tant sur le plan purement physiologique que psychologique, si toutefois on ne précipite pas l’enfant dans le système médical, scolaire et sociétal. Et c’est à cet entraînement quotidien que l’être humain doit se confronter, la maladie n’étant que le moyen trouvé par le corps pour se débarrasser de ses toxines.

Mais qu’il est donc mignon ce p’tit microbiote !

« Par exemple, on vous met du chlore dans l’eau du robinet, Cl, pour les intimes (qui lui, fait carrément son crâneur avec ses 17 protons et ses 17 électrons). Je dois dire que je ne l’aime pas trop, car quand il arrive quelque part, c’est un peu le genre « pousse-toi de là que je m’y mette ». Rajouté à l’eau, il zigouille tout ce qui vit, et nous, on aime bien avoir quelques copains dans l’eau. Une fois qu’il a tué tous les microbes, bien sûr les pas sympas comme les sympas, c’est plein de cadavres, et leurs déchets font souvent apparaître des virus, qui, je viens de l’évoquer, vont décider de faire le ménage à fond, et parfois tellement à fond que… Et puis vous savez l’Eau aime la Liberté, la Joie, la Lumière, parfois l’intimité dans les grottes et les cours d’eau souterrain, mais toujours libre ! Alors les canalisations toutes droites ça nous tuent ! On arrive chez vous moribonde, triste, dévitalisée avec plein de saloperies qui nous déstructurent, et c’est cela que vous buvez !

« En plus, quand vous prenez des antibiotiques, c’est un peu comme le chlore qui zigouille tout, et en premier lieu votre « microbiote », les 100 000 milliards de petites bêtes (environ 500 espèces), qui vivent dans votre corps, la grande majorité dans l’intestin, ce n’est pas l’idéal. Maltraitées, elles ne peuvent plus faire leur travail correctement, et pourront alors se révolter, devenir des opportunistes, voire des pathogènes, et créer toutes sortes de maladies que le bon docteur va soigner avec ses chers petits médicaments mijotés par les laboratoires pharmaceutiques qui sont si généreux avec les bons docteurs ! Mais sache qu’elles sont tes meilleures amies, et influencent même ton humeur, ton imagination, ta créativité, ton intuition… Imagine, tu es un véritable écosystème à toi toute seule ! Ça vit, ça se reproduit, ça défèque, ça exprime son code génétique ! Oui, je suis désolé de te le dire, mais le tien ne s’exprime que de 1 % pour l’ensemble de ton corps, alors je te pose la question : corporellement parlant, qui es-tu vraiment ?

— Un monde à moi toute seule !

  • Les cellules de ton corps ne sont que 10 000 milliards !
  • C’est pour cela, la solitude ! Et ce p’tit microbiote, je cois qu’il adore voyager ?
  • Quand vous touchez une personne, que vous l’embrassez, vous vous échangez une partie de ce p’tit microbiote ! Et à chaque embrassade, vous vous enrichissez !
  • et cela crée des liens…
  • Évidemment, ce n’est pas ce que l’on vous raconte ! Et tout ce petit monde s’entend à merveille et fait comprendre l’intérêt d’entretenir la paix en nous à tous les niveaux, car une révolte, à 100 000 milliards … En tous cas, quel modèle d’entente ! Et elles ne connaissent ni la rancune ni la vengeance, pas comme les humains qui adorent tant se gargariser avec leurs commémorations, travail de mémoire, films de violence, théories élevées au rang de dogmes et autres glorifications des plus nocifs d’entre eux en élevant vers le ciel de pathétiques « plus jamais ça ! » ! Et sempiternellement, cela recommence ; les victimes sont devenues bourreaux ! Le statut de « victime » est souvent très prisé par certains, ce qui donne de bonnes raisons de manifester la haine, et permet d’alimenter les égrégores négatifs qui entourent maintenant Gaïa… Car c’est sûr, s’il y a des victimes, il y a des bourreaux !

— Et les rôles deviennent interchangeables, s’alternant au fil du temps, de réincarnations en réincarnations savamment orchestrées, un coup bourreau, un coup victime ; qu’est-ce qu’ils peuvent s’amuser !

Sans se presser, le Mal est arrivé

— Voudrais-tu parler du Mal ? C’est par là qu’il est arrivé ?

— Bien sûr, le Mal ! Suggéré par les forces obscures, il est créé de toutes pièces par la violence, la haine, enfin tous ces sentiments d’une extrême négativité, et plus ils prennent de l’ampleur, plus le Mal prend de l’assurance. Car dans les temps présents, certaines victimes aiment leur statut qui leur donne du pouvoir, et va du coup légitimer le désir de se venger, et faire… d’autres victimes. Incroyable à dire, mais cela a été amplifié avec un humanisme très mal compris. Cette histoire de violence est arrivée tout doucement bien antérieurement à votre humanité, quand le principe artisan a commencé à vouloir prendre l’ascendant sur le principe créateur et le dominer, devenant alors le principe guerrier. Il s’est approprié la procréation, fécondant les femmes à tire-larigot pour avoir de la main d’œuvre pour le travail et la guerre, la guerre, la guerre, les conquêtes…

— Le Mal adore je suppose ?

— Devine, il a la faculté de renforcer les êtres qui le suivent ; plus il est alimenté par la souffrance, plus il est fort, et d’ailleurs cela se retourne contre eux, la preuve : mal à dit !

— En ce moment, ce sont de vrais festins, avec la peur, les guerres, les attentats, les soi-disant pandémies…

— Oui ! Et il devient de plus en plus fort !

« Comme nous l’avons évoqué, l’Âme mal nourrie, privée d’Amour, de Beauté, d’Émotions pures, d’Empathie… et dont le principal apport de nourriture, abondamment distribué par les médias, le cinéma, les jeux vidéos, sont la barbarie, le cynisme et leurs accessoires multiples, divers et variés, l’Âme se nécrose, ne laissant que des amas de cellules organisées en formes humaines vivantes, et ne peut plus être le support de l’esprit qui n’a plus le tremplin nécessaire à son ascension et peut disparaître complètement de la grande gerbe de la vie.

« Il est donc de première importance pour un Esprit de garder la pureté qui va lui permettre d’ascensionner, laissant la Terre et la biodiversité repartir sur un autre chemin avec de nouvelles graines d’Esprit. En effet, sans cette joyeuse graine Esprit avec des joues bien roses, l’être perd son individualité, c’est-à-dire sa capacité à l’évolution personnelle. Et comme la plupart des animaux et dans le meilleur des cas, la dissolution dans une âme groupe sera leur sort… Il faut bien comprendre que c’est l’Esprit qui a la capacité de juger du bien et du mal. Oui, certaines personnes prétendent qu’il n’y a pas de « bien et de mal » ; ils se placent ainsi d’office dans la catégorie des animaux. Un animal n’a pas cette notion, certains l’apprennent avec vous. Un prédateur qui dévore sa proie encore vivante n’a aucune notion de la souffrance qu’il lui inflige. Il la regarde comme vous pouvez regarder un bon gâteau dont vous allez vous régaler ! Par contre un être humain qui inflige une torture tant physique que mentale, a parfaitement conscience de ce qu’il fait. Du temps des premières humanités, comme nous l’avons déjà évoqué, il n’y avait pas de prédateurs, juste des charognards qui recyclaient les corps.

« Mais actuellement, comme la mémoire est presque systématiquement effacée à chaque incarnation forcée, il devient difficile de tirer des enseignements de la conséquence des actes d’une ancienne vie qui n’aurait pas été dans le bon sens. Il est vrai que certains, peut-être un peu moins programmables que les autres, et ayant la forte sensation d’avoir quelque chose à accomplir dans la matière, peuvent garder des traces de leurs anciennes vies sous forme de réminiscences. Mais là encore, la rigueur doit être de mise, car il est possible que des souvenirs injectés de force fassent du coup payer pour le karma de quelqu’un d’autre !

« Pour les autres, il ne s’agira que de revivre sempiternellement les mêmes événements, les mêmes épreuves, les mêmes souffrances sans jamais remettre en question leur condition d’esclaves de l’égo, et se laisser de plus en plus siphonner leur énergie. L’opportunité de s’éveiller ne les effleure pas une seule seconde et ainsi, le Mal avance dans son œuvre, jusqu’à ce qu’il ne reste plus d’eux à leur tour, comme nous venons de l’évoquer, qu’un amas de cellules organisées, un récipient organique en forme d’humain, sans cohérence spirituelle, avec la même apparence que les autres, mais sans aucun sentiment et empathie : un portail organique, selon l’expression consacrée.

Toujours plus bas

« Arrivé à ce stade, ils peuvent soit complètement sombrer dans les boues astrales, soit devenir eux-mêmes des tortionnaires de toutes espèces pour y échapper très provisoirement, sans aucun espoir de retour. Il n’y a plus alors de freins au délire du mental, ce qui explique les comportements guerriers, les conflits, les guerres de toute nature devenant ainsi le moteur de ces civilisations guidées par ces entités sans esprit où le peuple est réduit à une masse bêlante et amorphe, esclaves consentants. Ceux d’antan n’avaient qu’une idée, s’extraire de cette situation par tous les moyens au péril de leur vie, mais les esclaves de vos temps modernes réclament eux-mêmes leurs chaînes pour une fallacieuse protection, ceux qui peuvent renoncer à la liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité. C’est Benjamin franklin qui le dit ! Il est pourtant important de savoir que refuser de voir la réalité n’a rien d’épanouissant, et celui qui préfère volontairement rester dans l’ignorance et croire tous les mensonges qui l’arrange, devient lui-même acteur et consentant. Libre, le Mal se pare alors de toutes sortes d’appâts, aptes à attirer à lui toute âme en mal de vivre.

— Tu veux dire que ceux qui ne cherchent pas à savoir et préfèrent, à l’instar des autruches supposées mettre leur tête dans le sable en cas de danger, seraient aussi coupables ?

Qui ne dit rien consent

— Comme tu le sais, les réponses vous viennent quand vous en avez besoin. Tu as cru dur comme fer au karma et que tout était juste. Puis tu as analysé tes propres expériences et compris que cette histoire est un grand piège.

— Alors les « élites », comme nous l’avons déjà évoqué, entités sans esprit, ont besoin de notre consentement pour pouvoir continuer leurs abjectes manipulations ? Et quoi de mieux que de faire croire que tout est juste : la guerre, la pédophilie, les sacrifices, le sang, le malheur, les dépressions, les disputes, le cynisme, etc. et encore etc. ; tout cela est leur nourriture préférée. Si je ne veux surtout pas savoir, où même si je pense que c’est juste, je donne implicitement mon consentement, j’accepte tout, je donne un accord tacite, je ne dis rien donc je suis d’accord, et qui ne dit rien consent…Même si je ne peux rien faire ici bas, le simple fait de réprouver montre que je ne suis pas d’accord, c’est cela ?

— Tout à fait, un être humain « normal » ne rêve pas de pouvoir absolu, de commander, d’avoir des quantités d’argent monstrueuses en appauvrissant volontairement ceux qui sont censés être ses semblables ! Ces êtres là, totalement dépourvus de la moindre once d’empathie, n’ont que quelques doubles avec lesquels ils s’allient (dans tous les sens du terme), pour perpétrer leurs méfaits. Le problème, c’est qu’ils rallient à leurs causes malsaines, tout un lot d’humains qui rêvent aussi de puissance. C’est nouveau sur Gaïa, un être humain sain d’esprit, ne peut agir de la sorte, sa Conscience lui dicte un autre comportement qui, s’il ne lui apporte pas la richesse matérielle, donne un rayonnement intérieur hautement profitable à tous. Dans les très anciennes civilisations, il n’y avait pas de dirigeant attitré et permanent. Chacun prenait la direction des opérations, avec l’aval de la majorité, dans le domaine qu’il connaissait le mieux. Une fois la tâche terminée, la personne retrouvait son statut ordinaire, et c’est peut-être une autre qui prenait « le pouvoir » dans un domaine différent. Il y avait aussi un conseil de sages dûment choisis pour leurs qualités d’Esprit exceptionnelles.

— On constate que ce pouvoir, au fil des temps, a montré que certains de ces êtres (soi-disant humains !) présentent une hypertrophie de la personnalité carrément pathologique. Et « l’histoire » ne retient que ceux-là, racontant avec gourmandise leur délire de pouvoir et de conquêtes ! Mais ne soyons pas trop pessimistes, je rencontre parfois des personnes dont le cœur est vraiment pur et à qui je n’hésiterais pas à confier mon bien le plus précieux en toute sécurité ! L’enseignement, mené avec discernement, peut aussi arriver à cet équilibre.

— C’est vrai, la transmission bien comprise, protège, mais que transmettez-vous vraiment ? Dans les écoles, vous fabriquez de petits robots bien obéissants avec des matières complètement artificielles et souvent fausses, petits robots bien conditionnés qui seront dans le consentement, allant jusqu’à occulter leur ressenti d’une autre réalité au profit de la doctrine officielle. Faire comme les autres devient une sorte de leitmotiv général ! C’est donc une véritable caution donnée aux « maîtres » qui va leur permettre de s’emparer de toutes les ressources, et en dernier lieu des Âmes moribondes.

Je ne suis qu’un atome…

« Et la Source, au nom du libre arbitre, n’intervient jamais. Plus le voile qui recouvre l’humanité devient opaque, plus les esprits faibles deviennent corruptibles. Maintenant, c’est un peu comme si vous n’étiez dans ce monde que pour tester vos capacités à transcender une matière qui n’a pas de réelle existence, juste pour vous exercer à retrouver dans cette opacité, le chemin sacré du retour à la Source, voir si vous allez vous reprendre et faire quelque chose de bien pour cette Terre et tout son écosystème !

— Franchement je me le demande aussi, mais n’y a-t-il pas quand même beaucoup de personnes actuellement dont la conscience s’éveille ?

— Oui, bien sûr, mais quand je vois tout ce que vos scientifiques mettent sur le dos de l’« évolution » qui n’est que le travail de ces premières humanités, il y a encore du boulot ! Je ne suis qu’un atome…

  • Mais quel atome !

— Ne me flatte pas ! Donc en tant qu’atome, je regrette les très anciens temps ; c’était tellement fabuleux de voir ces Créatures merveilleuses à l’œuvre. Toujours en suivant les Instructions venant de Dieu, elles s’amusaient comme des folles à manipuler le vivant. Et comme n’importe quel ingénieur ou bricoleur se gratte la tête pour réaliser tout ce qui fait votre civilisation, pour cela, il lui faut vraiment penser, faire des plans, réaliser au besoin des maquettes, cogiter encore et encore, et bien, elles faisaient exactement la même chose, mais avec beaucoup moins de bêtises, car leur but était toujours d’aller vers la Perfection dans une complexe simplicité. Chaque espèce, tant végétale qu’animale, retenait leur attention, et elles te leur bricolaient l’ADN tranquillement toujours vers le Mieux, le Beau, le Bon et tout en suivant le « Manuel d’Instructions ». Toutes ces phases que reconnaissent les biologistes qui bien sûr, mettent cela sur le dos de la sacro sainte « évolution », n’est que leur travail. Elles prenaient un soin tout particulier à équilibrer toutes les espèces entre elles et avec le milieu. Reprenant un ADN antérieur, et avec des mutations, elles créaient de nouvelles espèces adaptées à chaque biotope de manière à ce que Gaïa soit entièrement couverte de végétation et de vie. C’est exactement ce qu’avait fait la source, en prenant l’ADN des singes pour faire le corps de Lili, c’est pourquoi ces ADN, tant du monde animal que végétal se ressemblent autant ; tous les organismes vivants sont bâtis sur les mêmes bases, leur complexité étant déjà extrême, il faut simplifier au maximum ce qui peut l’être. Vos ingénieurs reprennent des plans antérieurs pour faire du nouveau, mais leurs motivations sont très, très loin de celles de Lili, de ses compagnes et compagnons !

« Les êtres vivants sont des machines biologiques d’une extrême complexité que vous commencez tout juste à découvrir. Mais vous êtes tellement imprégnés, pétris, façonnés, pour croire que tout cela ne dépend pas d’une Conception Intelligente, que la couleuvre est avalée sans effort, alors qu’il n’y a aucune logique dans cette religion scientifique ; une personne qui réfléchit en dehors de tout dogme et conditionnement ne peut cautionner cette façon de voir ; « c’est la nature ! ». Vous prenez cela comme un progrès par rapport à ce que vous considérez comme d’obscures croyances de temps lointains et révolus ! Même toi qui as compris cela depuis longtemps, parfois le doute t’effleure…

— Oui, c’est vrai, j’ai été comme beaucoup, conditionnée. Dans ma famille, c’était athée et athée plus plus ; la vie n’a pas de sens, nous sommes seuls dans l’Univers et le fruit du plus incroyable des hasards, allons, allons, nous sommes des gens raisonnables, respectables, cultivés. Nous sommes loin de ces temps obscurs où tout avait un sens, même s’il échappait à la raison. Et moi j’étais là-dedans ! J’ai sans doute échappé de peu au suicide, et je me suis mise à penser par moi-même, j’ai réfléchi, et mes expériences de vie m’ont fait comprendre que ce passage si fugace ne se limite pas à cette apparition dans la matière, qui malgré sa brièveté, conditionne la vraie Vie. J’ai vu comment les incarnations terrestres sont empilées les unes sur les autres, un peu comme une pile de crêpes (chaque crêpe représentant une vie) flottant l’une au-dessus de l’autre, venant du fin fond des temps et allant vers… Une fine trame de lumière les traverse comme un axe au milieu d’une roue et les relie entre elles. Et j’ai vu ces innombrables empilements reliés par d’autres fils parfois lumineux, parfois sombres où circulaient tous les sentiments humains, le tout ondulant dans un infini immatériel, instantané, où le temps, dans une folle illusion, ne défile que sur la surface de ces paliers… J’ai vu que seuls la Joie, l’Amour, la Beauté, la Compassion, la Vérité, le Pardon, la Tolérance, etc., sont les fondations indispensables à la Vie. Ce qui est présenté comme savoir secret, tout ce qui veut rester mystère et interdit peut cacher l’inavouable, et donne à ceux qui possèdent ces secrets un pouvoir dont il est si facile d’abuser. Maintenant, il est vrai que certains savoirs ont certainement dû rester cachés pour ne pas tomber aux mains d’êtres malfaisants.

Une Information à l’élaboration de la vie

— Quand chaque humain pourra voir, ressentir, comprendre et imager comme tu le fais avec tes petites possibilités, Gaïa pourra enfin changer. Mais la majorité n’est encore que dans une fonction de survie. La fin biologique qui terrorise la plupart des humains, n’est que la mise à la casse du véhicule, si perfectionné soit-il ! L’Âme prend le relais pour conduire l’Esprit vers sa destinée, conditionné par les actions du défunt conducteur de ce véhicule maintenant réduit à un amas de cellules sans vie. Quand vos scientifiques commenceront à prendre en compte et étudier les phénomènes qu’ils ne comprennent pas, plutôt que de tout rejeter, cette civilisation, s’il n’est pas trop tard, pourra enfin évoluer !

— Alors je me demande quelquefois si ces dogmes scientifiques, sous couvert de modernisme et d’esprits soi-disant « ouverts », ne sont pas plus terribles que l’Inquisition. Jacques Monod, prix Nobel s’il te plaît, écrit dans Le hasard et la nécessité : L’ancienne alliance est rompue (qui donnait un sens à la vie avec un dieu créateur !) ; l’homme sait enfin (enfin ce n’est pas trop tôt ?) qu’il est seul dans l’immensité indifférente de l’Univers, d’où il a émergé par hasard (je rajouterais bien, le plus improbable, gigantesquement improbable des hasards). Non plus que son destin, son devoir n’est inscrit nulle part (même en cherchant bien ? comme cela il peut bien faire n’importe quoi, et n’avoir de comptes à rendre à personne). A lui de choisir entre le Royaume et les ténèbres. Un petit coup de Jean-Paul Sartre par là-dessus, pour bien choisir les ténèbres dans le summum de la désespérance avec l’être et le néant, et le tour est joué ! L’un des plus grands gâchis du XXe siècle est en place. « Il y a quand-même le Royaume, mais quel royaume ? Celui de la technologie ? C’est consternant, accablant et notre situation actuelle est bien la suite logique de cette façon de voir les choses initiées par les « lumières ». Francis Crick, Nobel aussi pour ses recherches sur l’ADN, rajoute sa petite couche personnelle : Les biologistes doivent constamment se rappeler que ce qu’ils voient n’est pas le fruit d’une conception, mais d’une évolution. ». Encore une fois, on exclut une cause avant même de prendre en compte les preuves ! Ben oui ! Ils sont bien les dignes petits-fils de Darwin ! A la suite des philosophes de ces vraiment drôles de « lumières », il fallait coûte que coûte trouver une alternative à la religion et expliquer la vie sans avoir à faire intervenir une Conscience. C’est bien sûr à double tranchant cette histoire, car une religion par trop dogmatique ne va pas dans le sens d’une ouverture spirituelle.

— Oui, sais-tu qu’à cette époque, les scientifiques croyaient que l’unité fondamentale de la vie était la cellule qu’ils croyaient n’être qu’un simple globule de protoplasme, un morceau de gélatine en quelque sorte ! Mais la connaissance actuelle, grâce à la technologie du microscopique, vous fait entrevoir la formidable complexité qui règne dans ce petit truc de rien. Ce qui n’a pas entamé d’un iota la foi en Darwin qui avait pourtant bien dit : Si l’on pouvait démontrer qu’un organisme complexe existe, sans être l’aboutissement d’une succession de nombreuses et infimes mutations, ma théorie s’effondrerait totalement. Il est sûr que l’évolution existe, mais elle n’explique absolument pas comment est né la première cellule, ni les protéines, ni l’ADN, ni le moteur flagellaire bactérien, merveille de hautes technologies biologiques. Ces caractéristiques très particulières et indispensables n’ont aucune probabilité de se produire spontanément, car il en faudrait un nombre tellement considérable que l’on peut considérer qu’elles sont nulles. Il y a donc une INFORMATION à l’élaboration de la vie qui pour moi, simple atome, n’a rien de mystérieux ! Nous avons tous un plan intégré de tous nos possibles…

Ah ! Ces humains quand même !

« Car avec vous, les humains de Gaïa, c’est toujours pareil : vous avez eu des tas de gens, assez brillants, mais qui laissaient leurs découvertes « ouvertes ». Eux-mêmes avaient su faire fructifier les découvertes antérieures, et ils ne pensaient pas les leurs fermées une fois pour toutes. Et pourtant, après un siècle, deux, trois, même parfois plus, c’est comme si la gravure dans le marbre était inaltérable. Elle est donc suivie avec un fanatisme vengeur par des milliers, même des millions de personnes qui adhérent sans aucun esprit critique comme s’il s’agissait de vérités indétrônables. C’est bien à Joseph Goebbels que l’on attribue la phrase« un mensonge répété mille foisse transforme en vérité » ? C’est un peu la doctrine de vos temps « moderne » !

— Tiens oui, Pasteur (qui avait raté toutes ces expériences sur les vaccins !) avouait à la toute fin de sa vie que le plus important était le terrain, et que le microbe ne faisait que profiter de la situation. Mais les vaccins promettaient de tels profits à long terme, que l’impasse sur les expériences fut promptement faite. Et depuis 150 ans, tout est resté figé, via les grands labos, dans un dogme inattaquable. L’hygiène, c’est très bien, et elle a permis d’éradiquer des maladies très contagieuses comme la peste, mais, ensuite trop, c’est trop ! Le fait de se laver constamment les mains avec toutes sortes de produits souvent toxiques à long terme, ne permet plus à la paume de la main, qui sécrète une substance très subtile qui élimine beaucoup de microbes, de faire son travail correctement. Parfois un simple lavage à l’eau suffit, et il respecte la peau. Et voilà le trio infernal, Darwin, Freud (le « Pasteur du quiqui ») et Pasteur lui-même ont transformé l’être humain en singe obsédé sexuel et vacciné… Et l’on entend la sempiternelle « vérité » : les vaccins sauvent des vies. Ils ne sauvent rien du tout, et ils en abiment tellement !

« Il est maintenant interdit, sous peine d’excommunication et de marginalisation, de contredire ces monstres sacrés. Pour rester scientifique, il faut écarter les causes avant même de considérer les preuves. Il ne faut surtout pas l’évoquer, cette conception intelligente, car le naturalisme méthodologique exclut absolument d’évoquer l’intelligence et doit rester dans ce qui est « naturel ». Pour faire un escalier pas exemple, avec toutes les variantes possibles, tout le monde sait qu’il faut une formule, des plans, sacrément cogiter, puis seulement ensuite, passer à la réalisation.

— Oui ! Vous êtes vraiment drôles les humains, mais pour la molécule d’ADN qui contient un alphabet de 3 milliards de caractères en trois dimensions qui crée la vie, là c’est différent ! Avec votre alphabet, 26 lettres, et seulement deux dimensions, vous pouvez écrire des tas de choses très élaborées, mais presque simplettes par rapport à ce qu’écrit l’ADN. Comment pourriez-vous vous représenter un alphabet en trois dimensions, avec les lettres, flottant dans l’espace façon mobile pour bébé, et devoir les lire ? Et là c’est 3 milliards, transcrits, copiés, décodés pour fabriquer des protéines spécifiques chaque seconde, des milliards de fois et sans quasiment d’erreurs, et si erreurs il y a, un correcteur remet de l’ordre. Ici, c’est la VIE qui s’écrit, votre vie !

Une vie « propre » pas spécialement claire et limpide

« Sauf que tout le monde continue à regarder la télé, ses écrans, et faire ce que l’on dit : bosser, surtout consommer toutes les belles choses qui se fabriquent pour nous ! Amusements, distractions, divertissements, sexe, films, spectacles, loisirs, ne surtout pas penser par soi-même, nos chefs s’occupent du reste, ils pensent pour nous, « circulez, emballé, c’est pesé… ». Les esprits sont saturés avec des plats malsains pris devant des écrans auxquels une grande majorité est accro : la violence, la pornographie, la cupidité, la haine, l’égoïsme, les « mauvaises nouvelles » incessantes, la peur et la « terreur », avec tout plein de messages subliminaux ce qui explique bien des choses. Quand était la dernière fois où une belle pensée a été émise ? Où quelque chose de beau et pur s’est élevé de vous vers le ciel ? Car vous avez tous en vous des bribes de souvenirs de ces temps immémoriaux, généreux et joyeux. Mais pour l’instant, la planète est dans l’état où elle est en raison de toutes ces pensées collectives négatives.

 « Revenons un peu à l’ADN. Un ordinateur fonctionne sur un code binaire : 1 0 1 0 etc., et avec juste deux caractères, les informaticiens créent des programmes très complexes, n’est-ce pas ? L’ADN, c’est un code avec 4 caractères, A C G T(([15] Adénine (A), cytosine (C), guanine (G) ou thymine (T) qui vont, après des processus extrêmement complexes, aboutir à la fabrication des protéines.)) hyper plus sophistiqué qu’un vulgaire code binaire, vous ne pouvez même pas imaginer ce que vous pourriez faire avec des ordinateurs à ADN, comme celui que tu as imaginé dans ton livre Sophia Galactica, le jeune dieu, et que tu as baptisé : PADNER, acronyme de Principe ADN Émotive Reconnaissance.

— Je pense que les belles émotions sont volontairement exclues de toutes les actions humaines, et l’oligarchie veut faire de nous des robots souffrants pour produire du Loosh, toujours plus de Loosh sans aucun espoir de revenir à la condition humaine primordiale. J’avais donc imaginé que l’utilisateur pourrait placer un capteur au niveau de son plexus solaire, ainsi, seules les informations assimilables au moment émotionnel de la personne se trouveraient disponibles. Mais avec le niveau des informations qui circulent actuellement, ce n’est pas envisageable ; il faudrait que la nature humaine change du tout au tout, et que les vraies valeurs, celles qui animaient les anciennes humanités, reviennent. Mais dis-moi, comment est-on descendu si bas, nous sommes descendus dans les plus basses couches de la création, et nous avons fini par nous décrocher complètement du monde spirituel ?

— C’est un peu cela, oui ! Les entités sans esprit ont modifié votre ADN pour qu’il ne code plus que pour les choses matérielles : nourriture, sexualité, possession en tout genre, exaltation des instincts et des émotions de pacotilles ! Ensuite, avec des polluants divers et variés dont ils vous gratifient : les sacro saints médicaments et bien sûr, les vaccins ! Ah les vaccins, merveilleuse invention qui effondre le système immunitaire et vous rend dépendants de la médecine ; c’est la touche finale qui va faire de vous, au bout de quelques générations, de parfaits zombies…

  • Rudolf Steiner écrivant en 1917 : L’homme découvrira un vaccin qui pourra dès la prime jeunesse, par la voie du corps extirper la tendance à la spiritualité. A l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer et qui empêchera les enfants de développer en eux toute vie spirituelle. Et c’est bien ce qu’ils veulent avec en France, par exemple, 11 vaccins dès la naissance, les enfants sont maintenant, avec l’aide des écrans et des débilités distribuées sur les réseaux sociaux et les frasques du corona circus, dans un état mental qui ne présage rien de bon pour l’avenir.
  • Oui, c’est une descente vibratoire vertigineuse, et cette « condensation », comme nous l’avons vue, a commencé à créer dans l’astral des sortes de dépôts avec toutes les pensées négatives de jalousie, haine, peur, agressivité, j’en passe et des meilleures ! qui se sont de plus en plus concentrés pour finir par avoir une vie propre (enfin façon de parler, car pas spécialement claire et limpide !). Ainsi, cette descente va entraîner bien des humains, les éloignant de leur être intérieur, de leur Conscience, de la Source, de la pureté, avec des mirages, des bimbeloteries, des reflets, du cliquant… incitant les plus belliqueux à dominer par tous les moyens, donc à se battre et faire le Mal de plus en plus violemment. Ainsi, ces énergies, créées par certains humains et alimentées par les peurs, souffrances, douleurs, désespoir, lamentations et la suite, grandissent, se répandent, prennent force…

— Oui ! En 1775, un ingénieur présente au jeune roi Louis XVI « un orgue militaire » ancêtre des mitraillettes pouvant lancer 24 balles. Devant cette meurtrière machine, le roi et ses ministres la refusèrent, considérant son inventeur comme un ennemi de l’humanité… La Chine du Moyen Age connaissait la poudre, mais l’utilisait surtout pour des feux d’artifice et en médecine ! Dans l’antiquité, la guerre était l’affaire des militaires qui s’affrontaient sur un champ de bataille. De nos jours, ce ne sont pas des centaines, mais des millions, dizaines de millions de civils, femmes, enfants, vieillards qui sont massacrés par le complexe militaro-industriel, avec la bénédiction des « gouvernements »… Il y a donc une barbarie à distance, bien enveloppée dans du papier cadeau, plus grande que dans les temps plus anciens. Nous avons dramatiquement régressé !

Des « Lumières », pas très lumineuses

— Tu remarqueras que cette accélération s’est produite avec la négation de Dieu. Et cela est arrivé, dans un premier temps avec ce que vous appelez « les Lumières » dont Voltaire, pour ne citer que lui, s’était fait le porte drapeau. Arrivent là-dessus Darwin, Pasteur, Freud… n’en jetez plus, la cour est pleine ; vous êtes faits comme des rats de laboratoire !

« L’individualisme a commencé ses ravages avec le commerce, la propriété privée et surtout l’argent, qui a amené les banquiers à devenir de plus en plus avides, n’hésitant pas à jeter à la rue des centaines, des milliers, voire des millions (avec « le progrès ») de gens à la rue sans aucun état d’âme.

« Ceux qui agissent de cette manière perdent ainsi toute connexion avec leur conscience et ne sont plus reliés, ni au Ciel, c’est-à-dire à la Source, ni à l’entité humaine dans son ensemble, ni à la Nature. Avec cette descente effrénée dans la densité, Gaïa a perdu la place que lui donnaient ses habitants qui la situaient au centre de l’Univers sous le regard d’un dieu (pas très sympathique, et bien humain au demeurant), qui était censé régir plus ou moins les affaires humaines. Néanmoins, l’humanité restait encore en lien avec le Ciel et la Terre, mais ce dernier espoir lui fut bientôt enlevé, et une toute nouvelle religion s’est rapidement imposée : l’athéisme, encore plus sectaire et intolérante que tout ce qui avait précédé. Depuis son avènement, un être humain au mental disproportionné règne désormais sur le monde, et les guerres, massacres, famine, misère, savamment organisés par une élite sans conscience, clamant haut et fort à qui veut l’entendre, les bienfaits de ce nouvel ordre mondial. Bombardé par des médias asservis, qui présentent la démocratie comme une avancée majeure, avec la volonté de l’imposer au monde entier par tous les moyens, l’être humain se perd par faute de discernement. Cette démocratie est censée donner le pouvoir aux peuples, mais à part élire des maîtres qui, au lieu de rendre des comptes, ne font que voter des lois pour leur seul et unique intérêt, ce n’est que la triste façade d’un pouvoir absolu.

— Pour moi, c’est décidé ; je n’irai plus voter pour cette mascarade et élire des guignols, déjà que je n’y allais pas beaucoup  ! Ce fameux discernement qui lui fait tant défaut, l’être humain l’a volontiers abandonné pour devenir une sorte de zombie, un ensemble de cellules agencées par hasard dans un univers quelconque, et vivant une vie dénuée de sens. C’est depuis que ces liens sont coupés que nous avons perdu notre pouvoir créateur ?

— En effet, oui, les rares peuples qui vivent encore de chasse, de pêche et de cueillette, reconnaissent un ordre, une conception dans l’ordre, la beauté de la Nature et de l’Univers qui ne se manifeste pas dans une religion dogmatique. Ceux d’antan étaient beaucoup plus près de la vérité spirituelle qu’un missionnaire conditionné, empêtré dans son carcan religieux, prosélyte sans respect, et tentant de les convertir à une religion totalement incompréhensible pour eux. Il en reste si peu dans les temps présents de ces hommes authentiques ! Fermons ces parenthèses sordides, et revenons encore un instant à nos Êtres premiers dont les humanités se succédaient une fois leur quota effectué. Nous l’avons déjà évoqué, elles n’étaient pas aussi matérielles que vous car leur taux vibratoire était beaucoup plus élevé, et leur nourriture, essentiellement spirituelle, ne comportait que quelques fruits ; c’est leur pureté qui leur permettait de créer. Mais hélas ! Elles ont perdu ce pouvoir avec des pensées impures, leur taux vibratoire s’est alors ralenti avec la descente dans la matière et elles sont tombées dans le cycle des incarnations forcées. Seuls quelques sages pouvaient encore avoir une connexion spirituelle.

— C’est ce que l’on nomme le « péché originel » ?

— En partie, oui, mais c’est surtout l’hypertrophie du mental qui a accéléré les choses. Les hommes ont pensé être les maîtres de la Nature, ont créé des religions avec des dieux bien humains essentiellement masculins. Comme si La Source, et à fortiori Dieu, allaient se mêler de leurs histoires de bonobos ! Pour alimenter leurs corps de matière grossière, il leur a fallu cultiver, chasser, protéger leurs terres, faire la guerre pour de nouveaux territoires, surtout travailler. L’origine du mot travail vient du latin tripalium, qui était un instrument de torture à trois pieux et le verbe « travailler », lui, vient du latin populaire tripaliãre, qui signifie torturer avec le tripalium ! L’être humain n’est pas fait pour être esclave, il est pris dans un engrenage infernal qui va donc bientôt arriver à une conclusion.

— Bilan ?

— Je te laisse deviner…

— À première vue et dans l’immédiat, les choses n’ont pas l’air de se présenter sous les meilleurs auspices. J’ai vraiment une impression de fin de règne qui ne se fera certainement pas dans la douceur et la sérénité, comme toute catharsis. Les maîtres du monde, êtres dénués de tous sentiments humains, ne vont pas lâcher le morceau facilement. Ils ont néanmoins besoin de leurs esclaves. Peu leur importe de semer désolation et misère ! Ils ne perçoivent que leur pauvre petit présent de génération en génération sans percevoir qu’ils ont ainsi perdu leur âme, enfin leur Esprit. Brrr, je ne voudrais pas être à leur place, tant pis pour eux ! Ils sont coincés dans un cycle d’incarnations qui les obligent à revenir dans les mêmes familles pour profiter de tous les avantages qu’ils ont patiemment édifiés aux cours des siècles. Quand ils vont perdre, car ils vont perdre, c’est dans l’ordre des choses, la grande moulinette les attend…

Et pourtant !

« Mais en même temps, je ressens une sensation de mouvement ascendant, d’ouverture pour une encore trop petite portion de la population. Il est urgent, pour chaque humain de cette Terre, de sortir de ces schémas de pensées imposées. Comment retrouver la candeur et la juvénilité des musiciens d’antan qui écrivaient la musique que leur inspirait leur foi ? Musiques bien sûr, très élaborées, bases de toutes musiques actuelles. Mais on peut avoir l’impression que Beethoven a été parmi les premiers musiciens à percevoir et à exprimer, par sa musique, ce qui allait se passer sur Gaïa. Avec lui arrive le pathétique, l’expression de la douleur parce qu’il la ressentait au plus profond de lui-même. Mais il se sentait aussi relié à quelque chose de plus haut qui le poussait à transmettre la pure beauté de sa musique. Combien de fois ai-je pu citer ce qu’il écrivait : S’approcher toujours de la divinité pour répandre son rayonnement sur le genre humain, il n’est rien de plus haut. Pour lui bien sûr, la musique, art suprême par excellence ! Je perçois beaucoup moins cette désespérance avec les musiciens antérieurs, où j’ai une sensation plus instinctive et jubilatoire ! En tout cas, j’ai l’impression que ces êtres-là se sentaient investis de la mission de délivrer le message de la beauté et de l’émotion…

« J’aime aussi particulièrement ce que qu’écrivait Toscanini qui, avant de devenir un prestigieux chef d’orchestre, était violoncelliste et cité dans sa biographie par Harvey Sachs :

Mes premières impressions de Wagner remontent à 1878-1879 : à un concert de la Société de quatuors de Parme, j’entendis l’Ouverture de Tannhäuser qui me dérouta. Je me souviens d’un détail : mon professeur m’apporta à l’École l’une des parties de violoncelle de cette ouverture et m’en fit étudier divers passages, que je trouvais très difficiles. En 1884, Parme fut la troisième ville d’Italie à accueillir Lohengrin, après son succès à Bologne et son échec à Milan. J’étais dans l’orchestre. Et c’est là qu’émerveillé, je découvris pleinement le génie de Wagner. Dès la première répétition, ou plutôt dès les premières mesures du Prélude, je fus envahi de sensations magiques, surnaturelles ; ces harmonies célestes me révélèrent un monde nouveau, un monde dont personne ne soupçonnait l’existence jusqu’à ce que l’esprit transcendant de Wagner le découvrît.

« Comme le suggère Toscanini, chacun de nous ne fait qu’extraire, découvrir à son niveau, comme une statue sous son voile non encore levé, l’information multiple dans laquelle nous baignons. Nous avons vu que les Créatrices premières « étaient capables de faire résonner dans l’air lui-même de sublimes musiques, dont vos compositeurs les plus doués ne font que retrouver des bribes », ces informations dans lesquelles tous les êtres pensants peuvent venir puiser ou simplement recevoir plus ou moins passivement, selon les capacités créatrices de chacun. Nous sommes incapables d’imaginer quelque chose qui n’existe déjà, comme tu le disais Petit H, potentiellement. Et les compositeurs de génie ne font que faire surgir une vérité universelle, la Beauté, l’Émotion à travers les notes et leur merveilleux agencement du grand Potentiel de l’Univers :

Et là ! C’est sûr, surtout au tout début, on était drôlement serrés, mais il y avait déjà absolument Tout, l’Univers avec ses galaxies, le Soleil, la Terre, la Cordillère des Andes, les pommes et les pommiers, les insectes, toutes les symphonies et les quatuors de Beethoven, les opéras de Wagner, la musique de Schubert et son sublime quintet pour deux violoncelles, moi bien sûr et même vous tous les humains ! les pierres, les océans avec les baleines, le murmure des vagues fleuries du cri des mouettes, la poule et son œuf, le chou-rave, le balai- brosse, etc.

Mal, où es-tu ?

« Mais alors dis-moi, le Mal était déjà là aussi ?

— C’est le grand piège du libre arbitre ! Bien sûr que les premières humanités, ne connaissaient ni la haine, ni la vengeance, enfin tous ces jolis trucs que vous semblez aimer maintenant et multiplier à travers littérature, films, chansons et comportements. Elles avaient un libre arbitre total, mais avec une connexion divine et des corps beaucoup plus subtils, il était donc parfaitement impossible qu’elles matérialisent le Mal, et rien de toutes ces horreurs n’auraient pu exister dans ces temps bénis. Mais tu l’as vu : elles étaient créatrices, et bien plus modestement, vous l’êtes aussi encore. Malheureusement, quand les pensées ont commencé à devenir impures, elles se sont empressées de prendre forme dans la matière, comme nous l’avons évoqué, jusqu’à créer un être à forme parfaitement humaine, mais sans aucun sentiment et tellement jaloux de votre supériorité qu’ils prennent un soin tout particulier à ce que vous l’ignoriez. Vous êtes accusés de tous les maux de la Terre, et ils s’acharnent à faire de vous des êtres à leur image. Pourquoi crois-tu qu’il y a autant de guerres, de films de violence extrême, de jeux où toutes les perversions sont légions. Ils agissent maintenant sur les enfants avec un enseignement vide de sens et en les dirigeant vers une sexualité dépravée sous prétexte de libération et d’épanouissement ! Non ! Le péché originel qui n’a rien à voir avec une pomme et une femme gourmande, simplement une soif de connaissances mal dirigée et portée par un mental déjà fermé.

— C’est vrai, certaines personnes sont maintenant plus facilement attirées par le cynisme, l’agressivité, la violence sexuelle, etc. ! Le fait de regarder des films d’horreur, fait entre autres, partie de ces curiosités malsaines qui alimentent une négativité qui fait tout pour avoir une vie propre (oui, on l’a déjà dit, effet de langage !). Alors c’est sûr, si Richard Wagner et tous les compositeurs de génie, ne faisaient « qu’extraire » une musique déjà existante, il peut en effet devenir possible pour certains êtres, d’extraire les pensées malfaisantes qui traînent maintenant un peu partout.

— Il va donc falloir à présent que tes contemporains, s’ils ne veulent pas être engloutis dans la grande moulinette, redécouvrent la connexion perdue avec les animaux, la Nature, Gaïa, l’Univers, l’Amour Universel… Quand une humanité paraît prendre un chemin en impasse, s’incarne sur la planète un être spirituellement achevé qui vient leur apporter un enseignement, avec le risque conscient de se faire massacrer : oui, on ne dit pas impunément la Vérité ! Et en plus, quand une religion s’empare de l’enseignement en le déformant, catastrophe annoncée ! Oui, dis donc, Jésus s’est fait massacrer d’une ignoble façon et…

— Et hop, tous les péchés, évanouis. On a fait croire aux gens depuis 2000 ans qu’il fallait souffrir, et qu’assassiner un sage venu apporter la bonne parole pardonnait tout. Perso, je ne comprends pas ! Je pense que l’humanité s’en est remis une sacrée couche. D’ailleurs depuis, cela n’a pas été le paradis sur Gaïa, massacres et guerres sévissent de plus belle (enfin, encore façon de parler !). Il suffirait que tous les êtres humains, les vrais, ceux qui n’ont pas besoin de lois ou de religions pour être intègres, avec un vrai discernement et un sens des responsabilités étendues allant au-delà de leurs petits problèmes personnels, unissent leurs plus belles pensées, pour que les entités sans conscience qui dominent le monde soient purement et simplement éliminées.

Mais qu’ils sont donc vilains !

« Ils se croient maîtres d’un monde mourant, et reviennent s’incarner dans les mêmes lignées pour pouvoir profiter de leurs forfaits :

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’un pays et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font les lois ». M. A Rothschild (le fondateur de lignée). Ainsi donc, au fil des siècles, ils ont eu tout le temps de bien pérenniser leur pouvoir en se croyant les maîtres du monde, mais de quel monde ?

— « Leurs techniques sont d’une lamentable pauvreté, mais fonctionnent pourtant très bien :

1- on provoque un traumatisme créé artificiellement : une guerre, une crise économique, un attentat, une p andémie…

2- cela provoque une réaction : la peur ; le peuple demande qu’on le protège.

3- on propose alors des solutions pour atténuer la peur : une loi, une guerre « préventive », une taxe supplémentaire, la privation de liberté, un « vaccin » que j’appelle « la bouillasse », et l’espoir que tout va aller mieux… et cela marche, les gens y croient !

— Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’ils sont perdants d’avance, car ils sont en déphasage complet avec la Source. Nous avons vu que la force la plus puissante de cet Univers est l’Amour. Et vous n’en percevez que 5 à 10 % de cet Univers ! Imagine le jour où vous percevrez ne serait-ce que 50 % ! Je ne parle même pas de 100 %, cela n’est réservé qu’à ceux qui effectuent leur Ascension… Mais quand la Grande Vague arrivera, tous ceux qui n’ont vécu que dans les plus basses énergies seront d’office éliminés.

« Quand tes collègues vont finir par se réveiller de leur esclavage, ils s’apercevront que leur ignorance volontaire les a fait complices de tous les forfaits accomplis par ces forces obscures qui se manifestent partout, sans se cacher, surtout dans les divertissements. Est-il encore raisonnable de parler d’ « art » dans ce que l’on voit actuellement ? L’art en général se dégrade, le côté insaisissable, assorti des sensations de plénitude, de globalité, de bien-être, que les artistes ont toujours pris à cœur de transmettre, surtout en musique, sont remplacées par des procédés technologiques contondants (suite logique des « Lumières » et de l’influence mécaniste newtonienne), à l’opposé total de l’harmonie dans la Joie, n’apportant à ceux qui s’y adonnent, que sadisme, égoïsme, cynisme, violence, désarroi, suicide, malheur comme tristes effets. Ils ne reconnaissent plus le pouvoir qu’exerce la musique sur l’évolution, bien loin de ce que Beethoven exprimait, et ne cherchent plus du tout à s’approcher toujours plus de la divinité, mais plutôt à descendre le plus bas possible ! Ces divertissements ne font que flatter les aspects les plus sordides de l’être humain actuel avec tous ces jeunes qui vont à l’abattoir des âmes écouter des musiques démoniaques. Le sens du sacré et du divin, considéré comme désuet, archaïque, arriéré, est refoulé bien loin dans les méandres encombrés du fallacieux clinquant et de votre mental. Il n’y a plus d’évolution vers le meilleur, la bonté, la vérité, la justice, la beauté, etc.

« A la question « quelles sont vos réalisations pour faire évoluer les différents règnes et perfections de cette planète » ? Qui pourra répondre ? Vous avez été entraîné vers des comportements iniques, et le principe guerrier s’en est donné à cœur joie. Une de ses bonnes idées a été d’instaurer le droit divin, transmissible uniquement par les hommes (ben voyons !), c’est la « loi salique »…

— En remplaçant le « l » par un « d » on peut facilement confondre !

— En effet ! Loi salique qui a été transformée des siècles après Clovis pour évincer les femmes du pouvoir. Puis est arrivée la diabolisation des femmes, savamment renforcée par les religions.

« Mais maintenant, ce principe guerrier arrive à sa fin, et la matrice qui enserre Gaïa commence à perdre son opacité pour ceux qui veulent voir. Cela ne va sans doute pas se faire dans la douceur et la tranquillité, principe guerrier oblige.

Super Photon

« Et puis je dois te dire : je vais te quitter pour un certain temps !

— Tu ne viendras plus me parler à l’oreille la nuit ? Tu ne répondras plus à mes questions ? Nous n’aurons plus de discussions à bâtons rompus ? Comme je vais m’ennuyer de toi, mon Petit H !

— Mais ne t’inquiète pas, avec l’intrication, nous sommes liés pour l’éternité, tous les atomes de ton corps sont liés avec moi, et quand tu le quitteras, ton Âme se souviendra encore de moi ! Je suis appelé pour une grande mission, je ne sais pas encore de quoi il s’agit, mais tu vivras tout avec moi. Tu es consolée ?

— Alors, va…

***

Alors Petit H s’en est allé là-haut, tout là-haut.

« Durant un certain temps, j’ai vraiment cru qu’il m’avait abandonnée, mais voilà qu’un beau matin :

— Coucou, c’est moi, tu es là ?

 C’était vrai, je pouvais encore communiquer avec lui, comme s’il était toujours là, dans mon corps voyageant dans cette multitude.

— Petit H, comme je suis heureuse ! Alors, où es-tu ?

— Dans l’espace c’est drôlement vide ! La biologie, c’est bien plus conviviale et il s’y passe toujours des milliards de chose!

— Et la grande mission ?

— Oui, pour être grande, elle est grande, enfin en y réfléchissant bien, peut-être plus grande que le tout début, encore que…

— Alors ?

— J’étais tout là-haut, quand il s’est passé un drôle de truc, je n’ai pas vraiment saisi sur le coup. Nous avons vu que le Big bang nétait qu’une émanation de l’Endroit, enfin du Super Univers, demeure de Dieu indicible et inimaginable, et que le « passage » ne marche que dans un sens ; de l’Endroit vers l’envers (notre Univers). Rien ne peut atteindre Dieu dans Son Sanctuaire, seule Son Énergie alimente la Source. Il faut dire que cette Conscience Suprême a Toute la Connaissance en instantané, et donc celle des expériences de tous les êtres habitant les multitudes « envers », donc les Univers manifestés.

« Et bien, alors que j’étais là-haut avec juste quelques copains H, j’ai aperçu, non ! Je n’y croyais pas, imagine de la part d’un atome, un truc minuscule, pour le coup, c’était mini minus minuscule ! Il me semblait bien reconnaître le lieu, mais c’était tellement improbable de le retrouver ce lieu, que je n’y songeais même pas. Oui ! Je me suis retrouvé là où tout avait commencé ! Oui, oui, c’est sûr, c’était là ! Et ce que je n’aurais jamais dû voir, je l’ai vu ! Là, juste à l’emplacement où j’attendais il y 13 milliards d’années, moi le potentiel proton de ce futur Univers, j’ai vu, j’ai vu… SUPER PHOTON !

— Avec sa cape rouge, son petit caleçon, ses bottes, et son pyjama bleu ?

— Arrête de dire n’importe quoi, c’est sérieux. Ah toi, il faut toujours que tu trouves le moyen de rire.

— Tu peux toujours parler, c’est toi qui as donné le ton avec le balai-brosse et le chou-rave ! Donc, tu disais, un Super Photon !

— Non ! Pas un super photon, mais Lui, SUPER PHOTON, un peu comme moi, le Premier émané directement du Super Univers, et pas en potentiel s’il te plaît, puisqu’Il existe de toute éternité !

  • Super Photon ? Pas en potentiel ? Alors cela veut dire un autre Big Bang ?

— Oui, mais pas de la même nature que le premier. Le premier a donné naissance à la matière. Mais la grande Source de notre Univers a décidé que de nouveaux temps étaient arrivés. Super Photon n’est pas matériel, il n’est pas de même nature que les vulgaires photons soumis, par on ne sait quel radar, à une ridicule vitesse soi-disant indépassable, et qui fait que la lumière met un temps fou pour parcourir la distance, ne serait-ce que d’une galaxie à une autre. Distance que vous appelez annéelumière, et qui est exprimée en secondes et en mètres : 299 792 458 m / s. Alors en kilomètres seconde, vous divisez par 1000, et en kilomètres heure, vous multipliez le nombre trouvé par 3600, ce qui nous fait 1 079 252 848 800 kilomètres heure ! Imaginez donc la distance parcourue par la lumière en un an, si cela vous amuse, il faut multiplier ce chiffre par 24, pour avoir la distance parcourue en un jour, puis le résultat par 365 pour un an. Même la calculette ne va pouvoir l’afficher ! Et pourtant, c’est une vitesse d’escargot dans la vastitude de l’Univers. Notre plus proche voisine, la galaxie d’Andromède est à 2,55 millions d’années – lumière. C’est donc le temps que sa lumière met à nous parvenir, elle nous envoie en fait son image d’il y a 2,55 millions d’années. Elle a dû changer depuis ! Mais moi, Petit H, je peux communiquer avec les atomes d’hydrogène qui la composent, je les ai bien connus quand nous étions tous en un point ! Et puis, annéelumière, c’est beau, cela me fait toujours fantasmer, oui ! Il m’arrive parfois de rêver que je suis un photon, mais là ! J’ai rencontré Super Photon !  Et tu sais quoi ?

  • Non, bien sûr, vite, dis-moi !

Super Petit H !

 — Super Photon m’a reconnu ! Il m’a dit : « Ah, te voilà, Petit H, je t’attendais ! »  Tu te rends compte, il m’a reconnu ! J’en étais tout esbaudi !

— Tu as dû être content quand même ! Et que t’a-t-il dit encore ?

— Il m’a annoncé que j’allais moi aussi… devenir un Super Atome ! Super Petit H, cela vous pose un atome, non ?

  • Et quoi d’autre ? Il ne t’attendait pas juste pour te dire que tu allais devenir « Super Petit H ». Je comprends que tu sois ému, mon Petit H adoré, mais que t’a-t-il dit d’autre ?
  • Que les temps étaient venus ! Et là, je n’ai pas été déçu du voyage ; car, oui ! Cet Univers va ascensionner, enfin ! juste la partie qui sera prête le Grand Jour. Ce que vous appelez matière et énergie noire (parce que vous n’y voyez goutte), et qui donc représente 90 % de cet Univers, lui donnant sa cohérence actuelle, vont s’inverser comme une gigantesque vague pour ceux qui voudront voir, quand Super Photon avec tous ses copains vont déferler, et tous nous transcender !

— Ouah, nous serons alors dans unBatunivers !

— Oui, tu peux le voir comme cela. Enfin, pour dire simple, cette partie de l’Univers va ascensionner ! Sauf que les 10 % imprégnés de mauvaises énergies vont se recroqueviller, puisque l’Amour ne peut y circuler, tu sais comme la fleur dont je te parlais plus haut : Si tu prends la plus belle fleur du monde, c’est une pure merveille, elle ravit tous tes sens : elle te transmet sa beauté, son odeur t’enivre, sa caresse est douce et parfumée, tu peux voir en elle la perfection absolue. Mais si tu l’écrases, que tu en fais une petite bouillie, ce sont toujours les mêmes composants de la fleur qui sont devant toi, mais quelle tristesse ! À pleurer ! Vois, la haine, la vengeance, l’envie, la jalousie, la peur, la colère, etc., ne sont que l’Amour tout recroquevillé, ratatiné, emmêlé, piétiné, nié, oublié… Comme nous l’avons vu, c’est comme et pour cela que notre Univers est né, et moi, simple, mais premier atome, j’ai vécu ce grand déploiement.

« Et sans l’Énergie Divine, que vous ne savez pas reconnaître comme telle et appelez matière et énergie noires, ces 10% d’univers de matière ne pourront plus maintenir une si vaste cohérence. Tout le monde ressentira que le temps devient de plus en plus rapide, les scientifiques commenceront par percevoir que l’expansion n’est plus la même, et libre arbitre oblige, chacun (par exemple, les moutruches avec des muselières sous leurs yeux de poissons depuis trop longtemps hors de l’eau, piqués et repiqués avec la bouillasse) aura le choix de rester (grâce à la peur), dans un monde dont les problèmes actuels seront démultipliés, ou d’ascensionner sur une Terre libérée de ces horreurs. Les zones, où plus rien de subtil et de spirituel ne pourra circuler, resteront plus que jamais le domaine du karma, de la loi de réciprocité, enfin de toutes ces basses énergies qui régissent actuellement cette pauvre Gaïa. Et elle n’est pas la seule dans l’Univers, car beaucoup d’autres planètes sont dans la même situation et attendent ce grand moment.

« Quand la Lumière Divine des Super Photons va se manifester, ce sera instantané, car Elle, ne sera pas soumise au radar des photons matériels. Toute la matière et l’énergie dites noires, vont simplement devenir visibles, et encore une fois, le libre arbitre revenu de chaque habitant de l’Univers va se manifester : rester dans le résidu d’univers bien accroché à la matière dense avec tout ce que cela comporte, ou ascensionner. Un peu comme un crabe qui abandonne sa vieille carapace avec ses parasites pour une nouvelle… A cette image, pour ceux qui préféreront rester dans leur monde avec toutes leurs émotions négatives, véritable usine à Loosh, rien ne changera. Si ! En pire, puisqu’il n’y aura plus rien pour tempérer la violence…

— Merci mon Petit H pour toutes ces explications. Je suis soudain… très fatiguée… Dormir… Oui, dormir… Je sens… déjà… le rêve… arriver !

— Oui, je sais… Dors petite humaine, tu n’auras plus jamais besoin d’un gilet jaune ou d’aller dans la rue manifester ton mécontentement, je veille sur toi, et plus aucun humain ne sera une unité de production de Loosh… Adieu…

WWG1WGA(([16] Where We Go 1 We Go All, célèbre slogan des QAnon américains : où nous allons 1 nous allons tous. L’équivalent en français est « un pour tous, tous pour un ».))

Et son sommeil fut songe… Un songe surnaturel, universel, transcendantal, dont toutes les particules de son corps s’imprégnaient… Un songe commun avec tous les humains aux cœurs ouverts, purs, où l’Amour est prince et serviteur. Un songe où plus rien n’est séparé, Un est Tout, et Tout est Un… Un songe où les Âmes se retrouvent comme après une longue séparation. Un songe où la Terre Mère berce ses enfants chéris : « Dans quel cauchemar étiez-vous, dans quel cauchemar étions-nous ? Pourquoi a-t-il fallu descendre si bas ? ». Un songe où partout règnent la Joie, le Pardon, l’Empathie, mais aussi une effervescence très concrète. Que se passe-t-il donc ? Comme doucement caressé par un impalpable vent, un murmure embrase soudain tous ces esprits maintenant connectés et enflammés : « La Grande Vague Divine va se manifester, Elle va nous traverser, nous transformer, nous transcender ! ». Celles· ceux, encore sous l’emprise de sentiments un tant soit peu négatifs vont devoir les laisser se consumer dans le feu de l’Amour Universel s’ils veulent participer au grand renouveau, et le cœur réveillé, tenir une place active dans la grande fête de la transmutation.

C’est Gaïa qui va ascensionner en même temps que tout l’Univers. Elle va emmener le meilleur, pour faire revivre une Nature à la biodiversité foisonnante, débarrassée des parasites de toutes sortes. Oui ! à l’image de ces insectes et crustacés qui abandonnent leurs vieilles carapaces devenues trop petites avec les parasites qui vivent à sa surface, elle va passer à un niveau vibratoire beaucoup plus subtil, et laisser sans regrets une carcasse de planète à ceux qui ne veulent ou ne peuvent se défaire de leurs attaches matérielles, corporelles, leurs « biens » et vieilles rancunes, rancœurs, haine, vengeance… Il ne restera plus qu’un ersatz d’Elle-même, entouré d’un égrégore qui va l’enserrer toujours plus intensément de sa poigne de feu, de fer, de sang, habité par des êtres hagards, et qu’aucun cœur pur ne viendra plus tempérer et adoucir… Alors, tassé, comprimé, compacté à l’extrême, un vortex involutif, devenu trou noir, recyclera cette matière grossière.

« Qui m’aime me suive » dira la Terre, libre arbitre, libre arbitre oblige…

Présent éternel

Le songe, le songe paraît maintenant tellement réel, palpable à tous les rêveurs ! Serait-il devenu réalité ? Le don des premières créatures humaines au pouvoir créateur serait-il revenu ?

Maintenant, pour ces êtres nouveaux, le rêve est prémonitoire de cette nouvelle réalité qui s’annonce…

Devant leurs yeux décillés, le ciel déverse soudain des torrents de lumières miroitantes chargées de fleurs éclatantes aux mille féeriques couleurs bercées d’une merveilleuse musique et de divines fragrances, de merveilleuses émotions, d’étoiles scintillantes… De Gaïa elle-même jaillissent sources, rivières, fleuves dont l’onde transparente irradie des multiples reflets des pierres les plus précieuses. La Nature entière accueille ces divins courants, ondes bienfaisantes transmutant toutes choses. Encore incrédules, les rêveurs ? Voilà qu’ils font maintenant l’expérience de la communication instantanée et intégrale avec tout ce qui vit.

C’est un monde où il n’y a plus d’esclaves, plus de peurs : peur du jugement, peur de ne pas avoir de toit, de nourriture, car l’abondance est pour tout le monde. Un monde où nul n’a besoin d’espoir, car il est toujours dans le futur, et le futur n’existe pas encore, l’espoir peut être est un piège…

C’est un monde stable, un monde pur, un monde où chaque être peut s’exprimer, où chaque être a la même valeur. Il n’y a pas de discrimination au niveau de l’intelligence, au niveau de la culture ; tous les êtres sont égaux.

Plus qu’un ici et maintenant, simple et merveilleux, les origines retrouvées après cette interminable descente ; revenus l’Émerveillement, La Pure Joie, la Conscience supra sensorielle…

« Rêve, rêve encore un peu, mon support d’écriture, je suis en train de devenir Super Petit H ! »

Voilà, c’est le retour !

Présent éternel… Amour…

Joie, je suis Tout, buisson de Vie, foison de Vie, Nous et le Tout(([17] J’ai à ma grande surprise, écrit un jour cette phrase en CPA, Communication Profonde Accompagnée, ou psychophanie qui est une merveilleuse occasion de rencontre avec soi, cette personne si familière et pourtant si méconnue. C’est une rencontre avec son être intime pleine de potentiels et d’espérance.))

©Élisabeth Giordano





La virologie est-elle une religion ?

Par Jean Bitterlin

La Virologie (que l’on écrit avec une majuscule depuis qu’elle a pris le pouvoir sur le Monde) se veut science et pourtant elle présente de très importantes caractéristiques qui font penser qu’elle est avant tout une religion.

Voyons donc tout d’abord les définitions de la religion puisées dans le dictionnaire Larousse :

  1. Ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l’homme avec le sacré.
  2. Ensemble de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances.
  3. Adhésion à une doctrine religieuse.

Ajoutons pour le plaisir la citation de José Cabanis :

« Tout y est vrai, pourvu qu’on y croie ».

Le dogme

Dans les grandes religions (et leurs variantes, voir ci-dessous) le sacré a été défini par l’homme : il s’agit de dieu, entité toute puissante que personne n’a vue (en dehors de quelques illuminés) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que clergé surtout, mais aussi fidèles, sont capables d’interpréter. Le dogme est donc l’existence de Dieu.

En Virologie, c’est le virus qui est l’entité toute puissante que personne n’a vue (même avec les microscopes les plus puissants du monde) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que seuls les virologues peuvent interpréter : la présence d’anticorps décrétés par eux comme étant spécifiques aux virus. Le dogme est donc l’existence des virus.

La dévotion des fidèles

Religions et Virologie ont toutes deux essentiellement recours à la terreur pour s’assurer de la dévotion des fidèles. Promesse de l’enfer éternel pour les premières, promesses d’épidémies ou de pandémies pour la seconde. Il vaut mieux suivre les préceptes du clergé, préceptes garants de vie éternelle dans l’au-delà ; si l’on suit ceux des virologues, la promesse est celle d’une vie sur Terre quasi éternelle. Carotte et bâton sont bien dans les deux cas le moyen utilisé pour obtenir la dévotion des fidèles.

Les religions expliquent de nombreux phénomènes par l’intervention divine. Si les récoltes sont bonnes, c’est que Dieu a apprécié les actions de grâce à son égard ; par contre sécheresse, inondation ou autres calamités témoignent de sa grande colère. Le clergé explique alors aux fidèles que Dieu avait de multiples raisons de ne pas être satisfait de leurs comportements ; ce que les fidèles reconnaissent volontiers quand ils sont dans le pétrin.

Le clergé virologue quant à lui invoque l’action des virus pour expliquer l’origine de nombreuses maladies. Le comportement des fidèles, là non plus, ne correspond que très rarement aux attentes du clergé ; d’où les épidémies. Malgré les moyens colossaux mis en œuvre dans les médias pour nous rappeler régulièrement notre grande vulnérabilité face aux virus, les couvertures vaccinales sont insuffisantes et les gestes barrières ont tendance à être absents.

Le clergé et les prophètes

Religions et Virologie ont toutes deux un clergé dont la hiérarchie est pratiquement identique. Au sommet de l’Église catholique (par exemple) il y a un pape qui donne le la aux évêques puis viennent les prêtres et les missionnaires. Dans la virologie il y a également un pape, le Dr Anthony Fauci (appelé également tsar de la Virologie), qui donne le la à des évêques (les responsables de santé publique), il y a des prêtres officiants (les médecins) et les missionnaires qui interviennent sur les plateaux à la télévision. La Virologie, comme l’église mormonne, a couvert les pays du Monde entier de missionnaires ; en France les plus célèbres sont Martin Blachier, Michel Cymes ou encore feu Jean-Daniel Flaysakier.

De temps en temps les hauts dignitaires (des religions ou de la virologie) se réunissent pour faire le point afin de s’assurer de la pureté de la foi et de la dévotion des fidèles.

Les religions ont de nombreux prophètes qu’elles vénèrent et dont elles aiment à citer les paroles (dites saintes paroles). La Virologie n’a que Jenner et Pasteur à présenter comme prophètes, mais ils sont d’autant plus vénérés. Neil Fergusson de l’Imperial College de Londres est également présenté comme prophète, mais il faut bien reconnaître qu’il n’a pas rencontré de réel succès dans ses prophéties jusqu’à présent.

Répartition dans le Monde

Si les religions se partagent en plusieurs chapelles qui ont chacune une certaine préférence géographique, la Virologie a un très net avantage, car elle est unifiée et présente dans le Monde entier. Il faut dire qu’étant très récente au regard des premières elle n’a pas encore eu le temps de connaître de schisme.

L’apparition des variants

La religion monothéiste est apparue vers –1200 puis sont apparues diverses variantes, la religion chrétienne en l’an 0 de notre ère, puis la religion musulmane vers 600. Il y a également eu des religions variantes de la variante chrétienne avec les religions orthodoxe, protestante, et bien d’autres variantes encore (Témoins de Jéhovah, mormons et autres sectes).

La Virologie est un bloc soudé, mais ce sont les virus eux-mêmes qui présentent des variants. On appelle cela des mutations ou de nouvelles souches. En mutant, certains virus deviennent plus pathogènes (ça veut dire plus méchants) et plus contagieux. D’après les virologues le virus de la grippe prend chaque année un malin plaisir à muter rien que pour les embêter alors qu’ils avaient, disent-ils, préparé un vaccin avec ce qu’ils pensaient être la bonne souche.

Il faut aussi ajouter que le SARS-CoV-2 a battu tous les records de variants ; il y a même eu des variants de variants, avec le variant Delta tenant le haut du pavé. Rien qu’au 4 février 2021, le ministre britannique de la Vaccination annonçait qu’il y en avait plus de 4 000 ! Il doit y en avoir plusieurs dizaines de milliers aujourd’hui.

On ne sait pas trop non plus ce que le virus de la grippe a fait en 2020 ; il est pourtant malin comme un singe (ça se trouve qu’il provient d’un singe et s’est dit « hop, je fais un saut d’espèce » pour aller voir à quoi ressemblent les cellules humaines). Mais les virologues lui prédisent malgré tout un bel avenir pour 2022, 2023, et les suivantes puisqu’une grande partie de la population humaine étant désormais vaccinée contre le SARS-CoV-2 la voie est à nouveau dégagée pour le virus de la grippe.

Les guerres

Dans l’Histoire les conflits entre les adeptes des différentes religions ont été nombreux et particulièrement féroces.

Il en va de même pour les virus, et là encore c’est le plus fort qui l’emporte. C’est ainsi que le virus SARS-CoV-2, qui est apparu fin 2019 on ne sait trop comment en Chine, était tellement plus fort que celui de la grippe que ce dernier, lors de l’hiver 2019/2020 a tout juste eu droit à quelques petits vieux (et encore on n’en est pas sûr). Sa force provient sans doute de son enveloppe dont les virologues affirment qu’elle est hérissée d’épines (les fameuses protéines spike) si joliment dessinées par les artistes, alors que les virus de la grippe n’en possèdent apparemment pas. Malgré ses handicaps le virus de la grippe arrive à provoquer quasiment les mêmes symptômes que le terrible SARS-CoV-2 (fatigue, fièvre, toux, perte de goût et d’odorat) et comme lui s’attaque prioritairement aux personnes très âgées avec des comorbidités.

Les fêtes

Si la vie des religions est rythmée par des fêtes qui ont lieu chaque année à date plus ou moins fixe, les fêtes des virologues dépendent de phénomènes tels que les famines, les guerres et leurs conséquences (peste noire au 14e siècle, grippe espagnole entre 1918 et 1921), mais aussi de décisions prises par les grands prêtres de la Virologie (SIDA, H1N1, SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, etc.).

La célébration de la grippe dite saisonnière se distingue des autres fêtes virales, car elle est annuelle, et ce probablement depuis des siècles (hormis 2020 comme nous venons de le voir ci-dessus). Elle fluctue légèrement dans le temps en fonction de l’ensoleillement et des températures, ne semble pas dépendre des phases lunaires et bat généralement son plein du cœur à la fin de l’hiver. Les virologues occidentaux n’aimant pas trop les Chinois ont d’ailleurs longtemps parlé de « grippe asiatique » à son sujet puisque cette « saloperie » ne pouvait provenir que de Chine, les Chinois ayant l’habitude de manger toutes sortes de bestioles ; on peut d’ailleurs raisonnablement penser que pas plus que la « grippe espagnole » n’avait pour origine l’Espagne, « la grippe asiatique » n’avait pour origine la Chine.

Le doute

Le doute n’est pas permis en religion : qui doute de l’existence de Dieu s’exclut de la communauté des croyants. Si un membre du clergé exprime publiquement ses doutes sur certaines orientations décidées par la Congrégation pour la doctrine de la foi (pour l’Église catholique par exemple) il est démis de sa fonction et de ses avantages et n’a plus qu’à créer une nouvelle église, ce qui est très difficile, ou suivre une formation quelconque (dans la restauration de nombreux postes sont à pourvoir) ou, au pire, s’inscrire au RSA (Revenu de Solidarité Active).

La Virologie demande également de son clergé qu’il fasse preuve de foi et de fidélité absolues. La Congrégation (appelée également Big Pharma) finançant directement ou indirectement toutes les recherches, les expériences sont donc automatiquement menées dans le cadre de la foi afin de donner les résultats escomptés. Ceux (les résultats) qui s’opposent au dogme ne peuvent qu’être entachés de grossières erreurs et finissent à la poubelle ; ce qui n’arrive pas souvent.

Le clergé de la virologie peut également compter sur la foi et la fidélité de ses nombreux domestiques qui sont très bien rétribués par la Congrégation ou par l’argent des contribuables. Dans ces conditions il est hors de question d’exprimer publiquement ses doutes sur certaines expériences ou de critiquer certains résultats, à moins de vouloir renoncer à un salaire plus que confortable et de se retrouver à la rue ; ou d’être à la retraite. L’exemple qui dissuade le clergé ou les domestiques de faire des bêtises est celui du célèbre professeur Peter Duesberg de l’Université de Berkeley qui avait, au début des années 1990, osé affirmer que le « virus » appelé VIH n’était en rien responsable du SIDA ; en réaction la Congrégation lui a tout supprimé : financement pour son laboratoire de recherche, étudiants du 3e cycle, conférences et publications dans des revues prestigieuses. De toute façon la Congrégation, qui possède également les médias mainstream fait savoir aux éventuels dissidents qu’ils ne pourront que « crier dans le désert ».

Conclusion

La science s’oppose aux religions dans le sens que « le premier devoir de tout scientifique est de vérifier rigoureusement ses propres assertions et d’essayer de les réfuter » comme le dit le biologiste Stefan Lanka. Ce dernier avait offert 100 000 euros à qui prouverait l’existence du virus de la rougeole ; le malheureux représentant de l’Institut Robert Koch (l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur) qui l’a poursuivi en justice n’a pu que présenter 6 soi-disant études scientifiques dont l’une présentait des erreurs grossières et les 5 autres ne faisaient que répéter ce que disait la première ; et le professeur Stefan Lanka attend donc toujours un postulant aux 100 000 euros.

Les religions ne peuvent suivre, par essence même, ce principe fondamental de vérification et de réfutation.

Mais la Virologie, tout comme les religions, ne suit pas non plus ce premier devoir ; poliomyélite et le SIDA illustrent cela parfaitement. Dans les deux cas, pour les virologues, seul un virus était responsable de la maladie et il était hors de question de vérifier s’il n’y avait pas d’autres causes. Pourtant :

L’isolation d’un virus, c’est-à-dire la séparation d’un virus de tout autre matériel génétique, serait la preuve scientifique de l’existence des virus. La Virologie n’a jamais réussi cela ; virus de la rougeole, VIH ou le tout récent SARS-CoV-2 n’ont jamais été isolés et il est donc malhonnête de prétendre à leur existence.

De plus la Virologie écarte tout simplement tous les faits avérés qui s’opposent au dogme de l’existence des virus. Qui sait, par exemple, que toutes les expériences faites lors de « l’épidémie de grippe espagnole » pour tenter d’inoculer le virus de la grippe à des bien-portants ont lamentablement échoué ?

La Virologie se situe donc clairement dans le domaine religieux : ELLE EST UNE RELIGION !

Jean Bitterlin 27 octobre 2021




Philippe Argillier répond

[Source : RDH-Rassemblement Des Droits De L’Homme-Officiel sur Twitter]





Panique de Macron face à la dégradation de la situation

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ne le dites surtout pas, mais le pouvoir macroniste est en pleine panique face à la discrète mais profonde dégradation de la situation politique, largement due aux décisions hâtives prises sur la vaccination obligatoire, probablement imposées par les « influences » multilatérales. La Guadeloupe s’approche de l’insurrection, et en métropole, le ministère de la Santé panique face aux défections dans les hôpitaux publics.


[slideshare id=250686324&doc=dgs17-211119141227&type=d]

La panique s’installe dans les couloirs du pouvoir. Derrière la propagande officielle selon laquelle le pays suivrait comme un seul homme son Grand Timonier qui impose l’obligation vaccinale un peu partout, le mur se lézarde, et les fissures qui apparaissent menacent de se transformer en cataclysme politique, en grand effondrement ou grande implosion de la machine à Great Reset. Plusieurs signaux faibles sont désormais émis sur les sueurs froides qui montent au front de nos prétendus héritiers des Lumières. 

Le ministère de la Santé flippe à donf’

Premier signal faible : la circulaire que nous reproduisons ci-dessus, envoyée par les services du désormais incasable Jérôme Salomon, donné un temps au Conseil d’Etat, mais finalement vissé à son siège compte tenu du bad buzz lugubre qui le précède désormais. L’objectif est d’anticiper les “tensions” à l’hôpital, comprenez les fermetures de service rendues inévitables par le manque de personnel.

Aujourd’hui, le ministère de la Santé ne contrôle plus rien et, pour savoir ce qui se passe sur le terrain, est contraint de demander à des bureaucrates de remplir des tableaux Excel sur les fermetures prévues. Il faut dire que, en pleine période de pénurie de main-d’oeuvre, le brillant Olivier Véran a imposé une obligation vaccinale parfaitement inutile d’un point de vue sanitaire (puisque le vaccin n’empêche pas la circulation du virus) qui a fait fuir 10% du personnel. 

Voilà qui s’appelle tout simplement de l’incompétence pour fait d’idéologie dogmatique. 

Résultat : on n’est pas sûr que l’hôpital tiendra, alors qu’il a tenu pendant les pics de 2020. Mais on imagine que les énarques et autres tacherons des services de communication ne manqueront pas pour expliquer que le vaccin est une solution et non un problème. 

La Guadeloupe en route vers l’insurrection

De leur côté, les Guadeloupéens, qui n’ont pas eu le loisir de voir l’interview du Courrier qui leur est consacrée, puisque nos services l’ont censurée (ce qui outrepasse l’accord tacite qu’ils ont toujours respecté jusqu’ici avec le Courrier et constitue une rupture de confiance), les Guadeloupéens, disons-nous, se sont gentiment mis sur le chemin de l’insurrection. 

Ellen Bessis nous donne quelques éléments de situation :



Nous découvrons ici que la Guadeloupe pourrait bien montrer la voie à la métropole sur la meilleure façon de résister à la tyrannie. 

La directrice de l’ARS de Guadeloupe outrepasse ses pouvoirs

Incidemment, il semblerait que la directrice de l’ARS de Guadeloupe contribue pour une grande part au mécontentement populaire local en se substituant au Conseil de l’Ordre des médecins par des radiations intempestives de professionnels libéraux qui ne relèvent pourtant de son pouvoir. Encore, semblerait-il, une talibane de la vaccination !

Continuons comme ça ! Le pire deviendra de plus en plus sûr…

D’ici là, le gouvernement a envoyé des blindés de la gendarmerie en Guadeloupe pour mater la rébellion… et a censuré le Courrier des Stratèges dans l’île. Même pas drôle. 




Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire»

[Source : lefigaro.fr]

Par Mathieu Slama

En Autriche, les autorités ont annoncé la mise en place d’un confinement pour les personnes non-vaccinées. Selon l’analyste politique, une telle mesure permet de désigner des coupables tout trouvés.

Consultant et analyste politique, Mathieu Slama collabore à plusieurs médias, notamment Le Figaro et Le Huffington Post. Il a publié La guerre des mondes, réflexions sur la croisade de Poutine contre l’Occident, (éd. de Fallois, 2016).


Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg a annoncé, dimanche 14 novembre, l’entrée en vigueur dès ce lundi d’un confinement pour les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas guéri du Covid-19. L’Autriche devient le premier pays au monde à mettre en place une telle mesure, qui s’installe donc au cœur même de l’Europe démocratique et libérale. Avec ce confinement discriminatoire, nous franchissons une étape supplémentaire dans la politique autoritaire mise en place pour lutter contre le Covid, puisqu’il s’agit désormais d’aller au bout de la logique du passe sanitaire, c’est-à-dire exclure définitivement les non-vaccinés de toute vie sociale.

La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise.Mathieu Slama

S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le passe sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le passe sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière.

Pourquoi en irait-il différemment de ce confinement discriminatoire mis en place par l’Autriche ? On a entendu hier soir plusieurs candidats de droite à la présidentielle indiquer qu’ils n’étaient pas défavorables à l’idée de confiner les non-vaccinés seulement. Le Professeur Gilles Pialoux a déclaré ce matin que le confinement des non-vaccinés «avait du sens d’un point de vue médical». Tous les tabous sautent un à un, et ce n’est qu’une question de temps avant que celui-ci ne soit brisé.

À LIRE AUSSI : «Quelles erreurs de raisonnement ont permis l’acceptation du passe sanitaire ?»

Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique. L’enjeu que nous voudrions soulever ici est ailleurs.

La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place.

Le philosophe René Girard élabore, dans son ouvrage célèbre La Violence et le sacré, l’idée selon laquelle les sociétés sont, depuis les origines, troublées par un mal, le désir mimétique, source de rivalités et de conflits, et qu’elles ont résolu ce mal en désignant une victime sacrificielle, le bouc émissaire. «À l’agitation et à la peur qui ont précédé le choix du bouc émissaire, puis à la violence exercée contre lui, succède, après sa mort, un climat nouveau d’harmonie et de paix», écrit Girard.

Les persécuteurs finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative.René Girard

Le bouc émissaire est à la fois celui qui concentre toute la responsabilité de la crise et celui qui garantit, par son sacrifice, le maintien de l’ordre social. Pour Girard, «qu’elle soit physique ou psychologique, la violence infligée à la victime nous paraît justifiée par la responsabilité du bouc émissaire dans la survenue d’un mal dont il convient de se venger, d’un élément mauvais ou nuisible auquel il faut résister ou qu’il importe d’éliminer». Chaque crise a donc son coupable désigné. «Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative».

Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et «rebondit» (selon le mot consacré).

À LIRE AUSSI : Loi de vigilance sanitaire: «Le gouvernement impose, le Parlement exécute»




Les gauchistes sont-ils des idiots utiles du Système ?

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Cédric Herrou : « Et ces ombres sont peu à peu devenues ma lumière » (yetiblog.org)

Publié le 17 octobre 2021 par Pierrick Tillet

On a tous besoin de héros par ces temps glauques, n’est-ce pas ? Cédric Herrou est un de ceux-là. Il vient de publier un livre, Change ton monde (préface J.M. Le Clézio). Extrait :

« J’étais perché sur ma montagne, avec mes poules et mes oliviers, quand le monde est subitement venu à moi. Des ombres remontaient à pied ma vallée de la Roya, entre l’Italie et la France, risquant leur vie. Au début, je détournais le regard. Puis, un jour, j’ai recueilli une famille, et ces ombres sont peu à peu devenues ma lumière. Elles fuyaient la guerre, la misère, la dictature, avaient croisé la mort dans le désert en Libye, échappé à la noyade en Méditerranée. De leur pas si déterminé, elles me questionnaient : faut-il rejeter l’autre parce qu’il est différent ?

À partir de 2016, j’ai accueilli des milliers d’exilés. J’ai aidé ces voyageurs de l’ombre à poursuivre leur chemin et à obtenir des droits, mais je n’avais pas anticipé la violence d’État qui me frapperait en représailles. Notre action ne faisait pourtant que pallier ses renoncements.

J’ai subi des gardes à vue, des procès, des perquisitions, des saisies. Le plus souvent, l’État était en tort et fut condamné. Des centaines de fois. Jusqu’à ce que le Conseil constitutionnel consacre le principe de fraternité, un progrès capital. Ces années ont changé ma vie. Citoyen lambda éloigné du militantisme, je ne suis pas un héros, juste un Herrou têtu et décidé, sans leçons à donner, à part celle-ci : avant de changer le monde, chaque citoyen a le pouvoir de changer le sien. »

La preuve que les gauchistes en prônant l’immigration ont contribué depuis des années au plan des mondialistes (à leurs insu ?)

[Parmi les nombreuses décisions très importantes prises unilatéralement par les états participants au dernier sommet du G20, et dont certaines auront de lourdes répercussions sur la vie des citoyens,  voici celle concernant les migrations :]

Migration et déplacement forcé

Le G20 s’engage à l’inclusion complète des migrants, y compris des travailleurs immigrés et des réfugiés.

À ce stade il est nécessaire de faire un rappel historique très éclairant : l’incendie du Reichstag.

Le 23 février 1933, l’incendie du Reichstag a servi de prétexte aux nazis (qui accusaient faussement les communistes de l’avoir allumé) pour qu’Hitler fasse promulguer, dès le lendemain, le 24, la Loi d’exception qui réduisait de nombreuses libertés, puis le 24 mars 1933, la Loi des pleins pouvoirs permettant au gouvernement de gouverner par décrets.

« La loi allemande des pleins pouvoirs de 1933, également connue sous le nom de loi d’habilitation ou sous sa dénomination officielle de Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich vom 24. März 1933.

La Loi du 24 mars 1933 de réparation de la détresse du peuple et du Reich, est une loi qui donna à Hitler le droit de gouverner par décret, c’est-à-dire de prendre des textes à portée législative sans aucune procédure parlementaire. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_allemande_des_pleins_pouvoirs_de_1933

Il est révélateur de faire le parallèle avec la gestion de la crise dite sanitaire par le gouvernement Macron. Après avoir proclamé l’état d’urgence sanitaire sans débat parlementaire et sans que les parlementaires songent à en débattre à l’Assemblée nationale une fois le confinement terminé (un manquement injustifiable et impardonnable), le gouvernement procède depuis lors par décrets.

Un exemple parmi une multitude : 

Afin de limiter la propagation du Coronavirus, le port du masque est désormais obligatoire dans les lieux publics clos, depuis le 20 juillet 2020. Publié au journal officiel le 18 juillet, le décret du 17 juillet 2020 précise les lieux où il doit être porté par les adultes comme par les enfants de plus de 11 ans.

Maintenant, il est bon de connaître une des raisons de la situation actuelle :

Macron et ses collègues du G20, des démocrates ? Vous voulez rire.

« Celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre. »

Karl Marx, Manifeste du parti communiste

Pour ne pas faire le jeu du système :

L’immigration

Depuis les origines de l’Humanité, le mouvement éventuel des différents groupes humains a été surtout conditionné par la présence ou non des ressources indispensables à sa survie, spécialement les ressources alimentaires. Le nomadisme avait plutôt lieu dans les régions désertiques, semi-arides ou périodiquement couvertes de neige. Les autres connaissaient une vie plus sédentaire. Les grandes migrations ou invasions ont pu aussi être provoquées par certains chefs avides de s’emparer de ressources étrangères. Depuis un ou deux siècles, la découverte de nouvelles ressources énergétiques et la création de nouveaux moyens de transport à base de moteurs énergivores ont favorisé une nouvelle tendance : les déplacements touristiques, modèles de gaspillage dans une société oisive et irresponsable.

Parallèlement à la surconsommation énergétique et alimentaire occidentale, particulièrement par le biais d’un commerce maritime et aérien excessif (produit des délocalisations industrielles massives en Orient), des pays voient leurs populations affamées ou en proie à la guerre. Si elles ne veulent pas mourir, ces dernières n’ont guère d’autre choix que de chercher le salut dans des pays réputés pour avoir une vie plus confortable, souvent d’ailleurs ceux qui sont à l’origine de leur misère. Que ferions-nous à leur place ? Nous laisserions mourir de faim ? Ou tenterions-nous le tout pour le tout, au besoin sur des rafiots de fortune ?

Qui est donc l’immigrant qui vient — quel culot ! — envahir les peuples confortablement installés depuis des siècles en Europe et ayant décimé les Amérindiens pour vivre encore plus confortablement en Amérique du Nord ? Qui est-il donc cet enfant de…? Cet immigrant, c’est nous ! C’est nous si nous avions eu la malchance de naître à sa place. Sa mère, c’est la nôtre si elle avait eu elle aussi la malchance de vivre dans ces contrées riches en pétrole, en gaz ou en d’autres ressources, mais pauvres en moyens de se défendre face à la violence et à l’absence de conscience, d’empathie et de compassion de ceux qui viennent les voler, les violer, les affamer et les tuer.

Que peut donc faire l’immigrant qui cherche à sauver sa vie et celle de ses enfants survivants ? Que peut-il faire d’autre que de chercher refuge dans les pays qui ne connaissent pour l’instant ni la guerre ni la faim ? Que ferions-nous à la place de ce frère qui n’a pas eu notre chance ?

Maintenant, nous, dans nos pays que nous sentons envahis par des mécréants ou par de dangereux terroristes, que pouvons-nous faire pour réparer les torts que notre passivité a largement contribué à créer ? Que pouvons-nous entreprendre face au phénomène d’immigration visiblement entretenu par nos gouvernements ou par ceux qui les financent via le système de la dette ?

Jusqu’à maintenant, la réaction des peuples occidentaux a été alimentée par la peur, savamment stimulée par nos médias qui se veulent pourtant des modèles de journalisme et non de propagande. Et on peut les comprendre au moins partiellement (les peuples, pas les médias) lorsque l’on voit qu’à peine arrivés chez nous, les immigrants, ces étrangers généralement pas du tout bienvenus, sont parqués dans des camps de concentration ou qui en ont tout l’air. Comment nous sentirions-nous à leur place ? Serions-nous ravis de l’accueil chaleureux reçu ? Ou bien plutôt quelque peu… en colère ? Ou encore prêts à tout pour recevoir les dons de la terre promise ?

La solution à rechercher ne devrait idéalement léser ni les uns ni les autres. L’une des plus simples serait de s’arranger pour offrir aux immigrés la possibilité de retourner chez eux et de retrouver leurs racines, plutôt que de s’imaginer qu’ils vivront mieux chez nous quand de plus en plus des nôtres s’enfoncent sous le seuil de pauvreté pendant que nos élites deviennent riches à milliards. Cependant, pour cela, il faudrait peut-être commencer par cesser de détruire leur pays pour s’en approprier les ressources. Le seul petit pouvoir qu’il nous reste pour une telle direction, la seule once de souveraineté dont nous disposons généralement dans nos pays « démocratiques » est le vote de nos représentants, ou du moins de ceux qui sont censés nous représenter. Le plus difficile alors est de trouver un candidat qui a vraiment a cœur le bien des peuples et pas seulement sur le plan matériel. C’est ici que le discernement devient indispensable.

Une autre solution consiste à s’efforcer d’intégrer au mieux les arrivants, pour qu’ils se sentent le plus rapidement possible comme chez eux, ou au moins comme une partie intégrante de ce qui pour eux sera comme une nouvelle famille d’accueil. Souhaiterions-nous autre chose que l’une de ces deux voies si la situation était inversée ?

L’immigration est un phénomène de friction entre un mouvement — celui de ceux qui fuient la mort — et la résistance face à ce mouvement, ne serait-ce que par l’inertie ou la non-action. Et toute friction engendre de la chaleur, physique, émotionnelle ou sociale, selon le type de friction. Un bon moyen de réduire la friction est d’utiliser un lubrifiant, comme l’huile ou le beurre sur le plan physique, ou comme l’amour sur le plan affectif ou sociétal. Un tel amour peut se manifester de différentes manières, comme la recherche de conciliation et d’harmonie. Dans ce cas, les individus de type conciliateur ont un rôle à jouer. Cependant, la situation engendrée par l’immigration est devenue assez complexe pour que sa résolution complète demande la bonne volonté et la coopération de tous les types d’individus.

Maintenant, que préférons-nous ? Laisser la friction se poursuivre au risque de mettre le feu à nos différents pays et d’y amener révolutions sanglantes ou guerres civiles ? Ou bien, à notre petit niveau, orienter nos actes et nos choix vers l’utilisation du lubrifiant, l’amour et la compassion, pour favoriser soit l’assimilation des immigrants, soit leur retour chez eux dans les meilleures conditions ?




Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »

[Source : La chaîne humaine (lachainehumaine.com)]

Par Jeanne Traduction



Les nouvelles formes de guerre

Les gouvernements occidentaux de l’alliance militaire de l’OTAN développent des tactiques de « guerre cognitive » , utilisant les menaces supposées de la Chine et de la Russie pour justifier la conduite d’une « bataille pour votre cerveau » dans le « domaine humain » , pour « faire de chacun une arme. »

L’OTAN développe de nouvelles formes de guerre pour mener une « bataille pour le cerveau » , comme le dit l’alliance militaire.

Le cartel militaire de l’OTAN dirigé par les États-Unis a testé de nouveaux modes de guerre hybride contre ses adversaires autoproclamés, notamment la guerre économiquela cyberguerrela guerre de l’information et la guerre psychologique.

Aujourd’hui, l’OTAN met au point un tout nouveau type de combat qu’elle a baptisé « guerre cognitive ». Décrite comme une « militarisation des sciences du cerveau« , cette nouvelle méthode consiste à « pirater l’individu » en exploitant « les vulnérabilités du cerveau humain » afin de mettre en œuvre une « ingénierie sociale » plus sophistiquée.

Jusqu’à récemment, l’OTAN avait divisé la guerre en cinq domaines opérationnels différents : air, terre, mer, espace et cyber. Mais avec son développement de stratégies de guerre cognitive, l’alliance militaire discute d’un nouveau niveau, le sixième : le  » domaine humain. « 

Une étude de 2020 parrainée par l’OTAN1 sur cette nouvelle forme de guerre explique clairement : « Alors que les actions menées dans les cinq domaines sont exécutées afin d’avoir un effet sur le domaine humain, l’objectif de la guerre cognitive est de faire de chacun une arme. »

« Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle », souligne le rapport. « Les humains sont le domaine contesté » et « les conflits futurs se produiront probablement parmi les gens numériquement d’abord et physiquement ensuite, à proximité des centres de pouvoir politique et économique. »

Si l’étude soutenue par l’OTAN insiste sur le fait qu’une grande partie de ses recherches sur la guerre cognitive est conçue à des fins défensives, elle concède également que l’alliance militaire développe des tactiques offensives, en déclarant : « L’humain est très souvent la principale vulnérabilité et il convient de le reconnaître afin de protéger le capital humain de l’OTAN, mais aussi de pouvoir tirer parti des vulnérabilités de nos adversaires. »

Dans une révélation qui fait froid dans le dos, le rapport dit explicitement que « l’objectif de la guerre cognitive est de nuire aux sociétés et pas seulement aux militaires. »

Avec des populations civiles entières dans le collimateur de l’OTAN, le rapport souligne que les armées occidentales doivent travailler plus étroitement avec le monde universitaire pour armer les sciences sociales et humaines et aider l’alliance à développer ses capacités de guerre cognitive.

L’étude décrit ce phénomène comme « la militarisation des sciences du cerveau ». Mais il semble évident que le développement de la guerre cognitive par l’OTAN conduira à une militarisation de tous les aspects de la société et de la psychologie humaines, des relations sociales les plus intimes à l’esprit lui même.

Cette militarisation globale de la société se reflète dans le ton paranoïaque du rapport parrainé par l’OTAN, qui met en garde contre « une cinquième colonne intégrée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents ». L’étude indique clairement que ces « concurrents » censés exploiter la conscience des dissidents occidentaux sont la Chine et la Russie.

En d’autres termes, ce document montre que les figures du cartel militaire de l’OTAN considèrent de plus en plus leur propre population nationale comme une menace, craignant que les civils ne soient de potentielles cellules dormantes chinoises ou russes, de redoutables « cinquièmes colonnes » qui remettent en cause la stabilité des « démocraties libérales occidentales. »

Le développement par l’OTAN de nouvelles formes de guerre hybride intervient à un moment où les campagnes militaires des États membres ciblent les populations nationales à un niveau sans précédent.

Le Ottawa Times a rapporté en septembre dernier que le Commandement des opérations conjointes de l’armée canadienne a profité de la pandémie de Covid-19 pour mener une guerre de l’information contre sa propre population, en testant des tactiques de propagande sur des civils canadiens.

Des rapports internes parrainés par l’OTAN suggèrent que cette divulgation ne fait qu’effleurer la surface d’une vague de nouvelles techniques de guerre non conventionnelles employées par les armées occidentales dans le monde entier.

Le Canada accueille le « Défi innovation de l’OTAN » sur la guerre cognitive

Deux fois par an, l’OTAN organise un « événement de terrain » qu’elle qualifie de « défi de l’innovation ». Ces campagnes, organisées alternativement au printemps et à l’automne par les États membres, font appel à des entreprises privées, à des organisations et à des chercheurs pour aider à mettre au point de nouvelles tactiques et technologies pour l’alliance militaire.

Ces défis reflètent l’influence prédominante de l’idéologie néolibérale au sein de l’OTAN, les participants mobilisant le marché libre, les partenariats public-privé et la promesse de prix en espèces pour faire avancer le programme du complexe militaro-industriel.

Le défi Innovation de l’automne 2021 de l’OTAN2 est organisé par le Canada et s’intitule « La menace invisible : Outils pour contrer la guerre cognitive ».

« La guerre cognitive cherche à changer non seulement ce que les gens pensent, mais aussi la façon dont ils agissent », a écrit le gouvernement canadien dans sa déclaration officielle sur le défi. « Les attaques contre le domaine cognitif impliquent l’intégration de capacités de cybernétique, de désinformation/misinformation, de psychologie et d’ingénierie sociale. »

Le communiqué d’Ottawa poursuit : « La guerre cognitive positionne l’esprit comme un espace de combat et un domaine contesté. Son objectif est de semer la dissonance, de susciter des récits contradictoires, de polariser l’opinion et de radicaliser les groupes. La guerre cognitive peut inciter les gens à agir d’une manière qui peut perturber ou fragmenter une société autrement cohésive. »

Des responsables militaires canadiens soutenus par l’OTAN discutent de la guerre cognitive lors d’une table ronde

Un groupe de défense appelé l’Association OTAN du Canada s’est mobilisé pour soutenir ce défi de l’innovation, travaillant en étroite collaboration avec des entrepreneurs militaires pour inciter le secteur privé à investir dans de nouvelles recherches au nom de l’OTAN – et de ses propres résultats.

Bien que l’Association canadienne de l’OTAN (NAOC) soit techniquement une ONG indépendante, sa mission est de promouvoir l’OTAN, et l’organisation se vante sur son site Web : « La NAOC entretient des liens étroits avec le gouvernement du Canada3 , notamment avec Affaires mondiales Canada et le ministère de la Défense nationale. »

Dans le cadre de ses efforts pour promouvoir le Défi d’innovation de l’OTAN du Canada, le NAOC a organisé une table ronde sur la guerre cognitive4 le 5 octobre.

Le chercheur qui a rédigé l’étude définitive sur la guerre cognitive parrainée par l’OTAN en 2020, François du Cluzel, a participé à l’événement, aux côtés d’officiers militaires canadiens soutenus par l’OTAN.

Le panel était supervisé par Robert Baines, président de l’Association OTAN du Canada. Il était animé par Garrick Ngai, un responsable du marketing dans l’industrie de l’armement qui est conseiller auprès du ministère canadien de la Défense nationale et vice-président et directeur du NAOC. 

M. Baines a ouvert l’événement en indiquant que les participants discuteraient de « la guerre cognitive et du nouveau domaine de concurrence, où les acteurs étatiques et non étatiques cherchent à influencer ce que les gens pensent et comment ils agissent ». Le président du NAOC s’est également réjoui des « opportunités lucratives pour les entreprises canadiennes » que promettait ce défi d’innovation de l’OTAN.

Un chercheur de l’OTAN décrit la guerre cognitive comme « un moyen de nuire au cerveau »

Le panel du 5 octobre a débuté avec François du Cluzel, un ancien officier militaire français qui, en 2013, a contribué à la création du NATO Innovation Hub (iHub), qu’il dirige depuis lors depuis sa base de Norfolk, en Virginie.

Bien que l’iHub insiste sur son site Web, pour des raisons juridiques, sur le fait que les « opinions exprimées sur cette plateforme ne constituent pas des points de vue de l’OTAN ou de toute autre organisation », l’organisation est parrainée par le Commandement allié Transformation (ACT), décrit comme « l’un des deux commandements stratégiques à la tête de la structure de commandement militaire de l’OTAN. »

L’iHub agit donc comme une sorte de centre de recherche ou de groupe de réflexion interne à l’OTAN. Ses recherches ne constituent pas nécessairement une politique officielle de l’OTAN, mais elles sont directement soutenues et supervisées par l’OTAN.

En 2020, le commandant suprême allié Transformation (SACT) de l’OTAN a chargé du Cluzel, en tant que responsable de l’iHub, de mener une étude de six mois sur la guerre cognitive.

M. du Cluzel a résumé ses recherches lors du panel d’octobre dernier. Il a commencé ses remarques en notant que la guerre cognitive « est actuellement l’un des sujets les plus chauds pour l’OTAN » et « est devenue un terme récurrent dans la terminologie militaire ces dernières années ».

Bien que français, M. Du Cluzel a souligné que la stratégie de guerre cognitive « est actuellement développée par mon commandement ici à Norfolk, aux États-Unis. »

Le responsable iHub de l’OTAN s’est exprimé à l’aide d’une présentation PowerPoint, et a commencé par une diapositive provocatrice décrivant la guerre cognitive comme « une bataille pour le cerveau. »

« La guerre cognitive est un nouveau concept qui commence dans la sphère de l’information, c’est une sorte de guerre hybride », a déclaré M. du Cluzel.

« Cela commence avec l’hyper-connectivité. Tout le monde a un téléphone portable », a-t-il poursuivi.
« Cela commence par l’information car l’information est, si je puis dire, le carburant de la guerre cognitive. Mais cela va bien au-delà de la seule information, qui est une opération autonome – la guerre de l’information est une opération autonome. »

La guerre cognitive recoupe les entreprises Big Tech et la surveillance de masse, car « il s’agit de tirer parti du big data », explique du Cluzel. « Nous produisons des données partout où nous allons. Chaque minute, chaque seconde, nous allons en ligne. Et c’est extrêmement facile de tirer parti de ces données pour mieux vous connaître et utiliser ces connaissances pour changer votre façon de penser. »

Naturellement, le chercheur de l’OTAN a affirmé que les « adversaires » étrangers sont les agresseurs supposés qui utilisent la guerre cognitive. Mais dans le même temps, il a précisé que l’alliance militaire occidentale mettait au point ses propres tactiques.

Du Cluzel a défini la guerre cognitive comme « l’art d’utiliser des technologies pour modifier la cognition de cibles humaines ».

« Ces technologies, a-t-il noté, intègrent les domaines des NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, technologies de l’information et sciences cognitives. L’ensemble forme une sorte de cocktail très dangereux qui permet de manipuler davantage le cerveau », a-t-il ajouté.

Du Cluzel a poursuivi en expliquant que cette nouvelle méthode d’attaque exotique « va bien au-delà » de la guerre de l’information ou des opérations psychologiques (psyops).

« La guerre cognitive n’est pas seulement une lutte contre ce que nous pensons, mais c’est plutôt une lutte contre la façon dont nous pensons, si nous pouvons changer la façon dont les gens pensent », a-t-il déclaré. « C’est beaucoup plus puissant et cela va bien au-delà de la [guerre] de l’information et des opérations psychologiques ».

De Cluzel poursuit : « Il est crucial de comprendre qu’il s’agit d’un jeu sur notre cognition, sur la façon dont notre cerveau traite l’information et la transforme en connaissance, plutôt qu’un jeu uniquement sur l’information ou sur les aspects psychologiques de notre cerveau. Ce n’est pas seulement une action contre ce que nous pensons, mais aussi une action contre la façon dont nous pensons, la façon dont nous traitons l’information et la transformons en connaissance. »

« En d’autres termes, la guerre cognitive n’est pas seulement un autre mot, un autre nom pour la guerre de l’information. C’est une guerre contre notre processeur individuel, notre cerveau. »

Le chercheur de l’OTAN a souligné que « cela est extrêmement important pour nous, les militaires », car « cela a le potentiel, en développant de nouvelles armes et de nouveaux moyens de nuire au cerveau, d’engager les neurosciences et la technologie dans de très nombreuses approches différentes pour influencer l’écologie humaine… car vous savez tous qu’il est très facile de transformer une technologie civile en une technologie militaire. »

Quant à savoir qui pourraient être les cibles de la guerre cognitive, du Cluzel a révélé que tout le monde est sur la table. « La guerre cognitive a une portée universelle, en commençant par l’individu jusqu’aux États et aux organisations multinationales« , a-t-il déclaré. « Son champ d’action est global et vise à prendre le contrôle de l’être humain, civil comme militaire. » 

Et le secteur privé a un intérêt financier à faire progresser la recherche sur la guerre cognitive, a-t-il noté : « Les investissements massifs réalisés dans le monde entier dans le domaine des neurosciences laissent penser que le domaine cognitif sera probablement l’un des champs de bataille du futur. »

Le développement de la guerre cognitive transforme totalement le conflit militaire tel que nous le connaissons, a déclaré M. du Cluzel, en ajoutant « une troisième dimension de combat majeure au champ de bataille moderne : à la dimension physique et informationnelle s’ajoute désormais une dimension cognitive. »

Cela « crée un nouvel espace de compétition au-delà de ce que l’on appelle les cinq domaines d’opérations – ou domaines terrestre, maritime, aérien, cybernétique et spatial. La guerre dans l’arène cognitive mobilise un éventail plus large d’espaces de combat que ne peuvent le faire les seules dimensions physique et informationnelle. »

En bref, les humains eux-mêmes sont le nouveau domaine contesté dans ce nouveau mode de guerre hybride, aux côtés de la terre, de la mer, de l’air, du cyberespace et de l’espace.

L’étude de l’OTAN sur la guerre cognitive met en garde contre la « cinquième colonne embarquée »

L’étude menée par François du Cluzel, responsable du Hub d’innovation de l’OTAN, de juin à novembre 2020, a été parrainée par le Commandement allié Transformation du cartel militaire, et publiée sous la forme d’un rapport de 45 pages en janvier 2021 (PDF)5.

Ce document glaçant montre comment la guerre contemporaine a atteint une sorte de stade dystopique, autrefois imaginable uniquement dans la science-fiction.

« La nature de la guerre a changé », souligne le rapport. « La majorité des conflits actuels restent en dessous du seuil de la définition traditionnellement admise de la guerre, mais de nouvelles formes de guerre sont apparues, comme la guerre cognitive (CW), tandis que l’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de la guerre. »

Pour l’OTAN, la recherche sur la guerre cognitive n’est pas seulement défensive, elle est aussi très offensive.

« Développer des capacités pour nuire aux capacités cognitives des adversaires sera une nécessité », indique clairement le rapport de du Cluzel. « En d’autres termes, l’OTAN devra obtenir la capacité de sauvegarder son processus décisionnel et de perturber celui de l’adversaire. »

Et n’importe qui peut être la cible de ces opérations de guerre cognitive : « Tout utilisateur des technologies modernes de l’information est une cible potentielle. Il vise l’ensemble du capital humain d’une nation » , ajoute sinistrement le rapport.

« Outre l’exécution potentielle d’une guerre cognitive en complément d’un conflit militaire, elle peut également être menée seule, sans aucun lien avec un engagement des forces armées », poursuit l’étude. « De plus, la guerre cognitive est potentiellement sans fin puisqu’il ne peut y avoir de traité de paix ou de reddition pour ce type de conflit. »

Tout comme ce nouveau mode de combat n’a pas de frontières géographiques, il n’a pas non plus de limite de temps : « Ce champ de bataille est mondial via internet. Sans début ni fin, cette conquête ne connaît aucun répit, rythmée par les notifications de nos smartphones, en tout lieu, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »

L’étude parrainée par l’OTAN note que « certains pays de l’OTAN ont déjà reconnu que les techniques et technologies neuroscientifiques ont un fort potentiel d’utilisation opérationnelle dans diverses entreprises de sécurité, de défense et de renseignement ».

Elle parle de percées dans les « méthodes et technologies neuroscientifiques » (neuroS/T), et précise « l’utilisation des résultats et des produits de la recherche pour faciliter directement les performances des combattants, l’intégration d’interfaces homme-machine pour optimiser les capacités de combat des véhicules semi-autonomes (par exemple, les drones), et le développement d’armes biologiques et chimiques (c’est-à-dire les neuroarmes) ».

Le Pentagone fait partie des principales institutions qui font avancer ces recherches inédites, comme le souligne le rapport : « Bien qu’un certain nombre de nations aient poursuivi et poursuivent actuellement des travaux de recherche et de développement neuroscientifiques à des fins militaires, les efforts les plus proactifs à cet égard ont peut-être été menés par le ministère de la défense des États-Unis, les travaux de recherche et de développement les plus notables et les plus rapides étant menés par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et l’Intelligence Advanced Research Projects Activity (IARPA) ».

Selon l’étude, les utilisations militaires de la recherche en neurosciences et technologies de l’information comprennent la collecte de renseignements, la formation, « l’optimisation des performances et de la résilience du personnel de combat et de soutien militaire » et, bien sûr, « l’utilisation directe des neurosciences et des neurotechnologies à des fins militaires. »

Cette militarisation des neurosciences et des neurotechnologies peut être et sera fatale, a clairement indiqué l’étude parrainée par l’OTAN. La recherche peut « être utilisée pour atténuer l’agression et favoriser les cognitions et les émotions d’affiliation ou de passivité ; induire la morbidité, le handicap ou la souffrance ; et « neutraliser » les adversaires potentiels ou provoquer la mortalité » – en d’autres termes, pour mutiler et tuer des gens.

Le rapport cite le général de division américain Robert H. Scales, qui résume la nouvelle philosophie de combat de l’OTAN : « La victoire se définira davantage en termes de capture de l’avantage psychoculturel plutôt que géographique. »

Et tandis que l’OTAN développe des tactiques de guerre cognitive pour « capturer le psycho-culturel », elle arme aussi de plus en plus divers domaines scientifiques.

L’étude parle du « creuset des sciences des données et des sciences humaines », et souligne que « la combinaison des sciences sociales et de l’ingénierie des systèmes sera essentielle pour aider les analystes militaires à améliorer la production de renseignements. »

« Si la puissance cinétique ne permet pas de vaincre l’ennemi, la psychologie et les sciences comportementales et sociales connexes sont appelées à combler le vide. »
« L’exploitation des sciences sociales sera centrale dans l’élaboration du plan d’opérations du domaine humain« , poursuit le rapport. « Il soutiendra les opérations de combat en fournissant des plans d’action potentiels pour l’ensemble de l’environnement humain environnant, y compris les forces ennemies, mais aussi en déterminant les éléments humains clés tels que le centre de gravité cognitif, le comportement souhaité comme état final. »

Toutes les disciplines universitaires seront impliquées dans la guerre cognitive, et pas seulement les sciences dures. « Au sein de l’armée, les compétences en anthropologie, ethnographie, histoire, psychologie, entre autres, seront plus que jamais nécessaires pour coopérer avec les militaires », indique l’étude parrainée par l’OTAN.

Le rapport s’achève sur une citation inquiétante : « Les progrès réalisés aujourd’hui dans les domaines des nanotechnologies, des biotechnologies, des technologies de l’information et des sciences cognitives (NBIC), dopés par la marche apparemment imparable d’une troïka triomphante composée de l’intelligence artificielle, du Big Data et de la « dépendance numérique » civilisationnelle, ont créé une perspective bien plus inquiétante : une cinquième colonne embarquée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents. »

« Le concept moderne de la guerre n’est pas une question d’armes mais d’influence », posait-il. « La victoire à long terme restera uniquement dépendante de la capacité à influencer, affecter, changer ou avoir un impact sur le domaine cognitif. »

L’étude parrainée par l’OTAN se termine ensuite par un paragraphe final qui indique sans ambiguïté que l’objectif ultime de l’alliance militaire occidentale n’est pas seulement le contrôle physique de la planète, mais aussi le contrôle de l’esprit des gens :
« La guerre cognitive pourrait bien être l’élément manquant qui permet de passer de la victoire militaire sur le champ de bataille à un succès politique durable. Le domaine humain pourrait bien être le domaine décisif, dans lequel les opérations multi-domaines permettent d’obtenir l’effet souhaité par le commandant. Les cinq premiers domaines peuvent donner des victoires tactiques et opérationnelles ; seul le domaine humain peut donner la victoire finale et complète. »

Un officier canadien des opérations spéciales souligne l’importance de la guerre cognitive

Lorsque François du Cluzel, le chercheur de l’OTAN qui a mené l’étude sur la guerre cognitive, a conclu ses remarques dans le cadre du panel de l’Association canadienne de l’OTAN du 5 octobre, il a été suivi par Andy Bonvie, un commandant du Centre canadien d’entraînement aux opérations spéciales.

Fort de plus de 30 ans d’expérience au sein des Forces armées canadiennes, M. Bonvie a parlé de la façon dont les armées occidentales utilisent les recherches menées par M. du Cluzel et d’autres, et incorporent de nouvelles techniques de guerre cognitive dans leurs activités de combat.

« La guerre cognitive est un nouveau type de guerre hybride pour nous », a déclaré Bonvie. « Et cela signifie que nous devons examiner les seuils traditionnels de conflit et comment les choses qui sont faites sont vraiment en dessous de ces seuils de conflit, les attaques cognitives, et les formes non cinétiques et les menaces non combatives pour nous. Nous devons mieux comprendre ces attaques et adapter leurs actions et notre formation en conséquence pour pouvoir opérer dans ces différents environnements. »

Bien qu’il ait présenté les actions de l’OTAN comme étant « défensives », affirmant que les « adversaires » utilisaient la guerre cognitive contre eux, Andy Bonvie a été sans ambiguïté sur le fait que les armées occidentales développent elles-mêmes ces techniques, afin de conserver un « avantage tactique. »
« Nous ne pouvons pas perdre l’avantage tactique pour nos troupes que nous plaçons à l’avant, car il s’étend non seulement sur le plan tactique, mais aussi sur le plan stratégique », a-t-il déclaré. « Certaines de ces différentes capacités dont nous disposons et dont nous bénéficions tout à coup pourraient être pivotées pour être utilisées contre nous. Nous devons donc mieux comprendre la rapidité avec laquelle nos adversaires s’adaptent aux choses, puis être en mesure de prédire où ils vont dans le futur, afin de nous aider à être et à maintenir l’avantage tactique pour nos troupes à l’avenir. »

La guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée à ce jour

Marie-Pierre Raymond, un lieutenant-colonel canadien à la retraite qui occupe actuellement le poste de « scientifique de la défense et gestionnaire de portefeuille d’innovation » pour le programme d’innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense des Forces armées canadiennes, a également rejoint le panel du 5 octobre.

« Il est loin le temps où la guerre était menée pour acquérir plus de terres » , a déclaré Raymond. « Maintenant, le nouvel objectif est de changer les idéologies des adversaires, ce qui fait du cerveau le centre de gravité de l’humainEt cela fait de l’humain le domaine contesté, et l’esprit devient le champ de bataille. »

« Lorsque nous parlons de menaces hybrides, la guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée vue à ce jour », a-t-elle ajouté, notant qu’elle vise à influencer la prise de décision des individus et « à influencer un groupe d’individus sur leur comportement, dans le but d’obtenir un avantage tactique ou stratégique. »

Raymond a noté que la guerre cognitive recoupe aussi fortement l’intelligence artificielle, le big data et les médias sociaux, et reflète « l’évolution rapide des neurosciences comme outil de guerre. »

Raymond aide à superviser le Défi innovation automne 2021 de l’OTAN au nom du ministère de la Défense nationale du Canada, qui a délégué les responsabilités de gestion au programme Innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense (IDEaS) de l’armée, où elle travaille.

Dans un jargon très technique, Mme Raymond a indiqué que le programme de guerre cognitive n’est pas uniquement défensif, mais aussi offensif : « Ce défi appelle une solution qui soutiendra le domaine humain naissant de l’OTAN et fera démarrer le développement d’un écosystème de la cognition au sein de l’alliance, et qui soutiendra le développement de nouvelles applications, de nouveaux systèmes, de nouveaux outils et concepts menant à des actions concrètes dans le domaine cognitif. »

Elle a souligné que cela « nécessitera une coopération soutenue entre les alliés, les innovateurs et les chercheurs pour permettre à nos troupes de combattre et de gagner dans le domaine cognitif. C’est ce que nous espérons voir émerger de cet appel aux innovateurs et aux chercheurs. »

Pour susciter l’intérêt des entreprises pour le défi d’innovation de l’OTAN, Mme Raymond a déclaré : « Les candidats bénéficieront d’une visibilité nationale et internationale et recevront des prix en espèces pour la meilleure solution. » Elle a ensuite ajouté de façon alléchante : « Les candidats pourraient également en bénéficier en leur donnant potentiellement accès à un marché de 30 pays. »

Un officier militaire canadien appelle les entreprises à investir dans la recherche de l’OTAN sur la guerre cognitive

L’autre institution qui gère le défi d’innovation de l’OTAN de l’automne 2021 au nom du ministère de la Défense nationale du Canada est le Commandement des forces d’opérations spéciales (CANSOFCOM). 

Un officier militaire canadien qui travaille avec le COMFOSCAN, Shekhar Gothi, était le dernier panéliste de l’événement organisé par l’Association OTAN du Canada le 5 octobre. M. Gothi est l’ « officier d’innovation » du COMFOSCAN pour le sud de l’Ontario.

Il a conclu l’événement en lançant un appel aux entreprises pour qu’elles investissent dans la recherche sur la guerre cognitive de l’OTAN.

Le Défi Innovation semestriel fait « partie du rythme de combat de l’OTAN », a déclaré M. Gothi avec enthousiasme.

Il a fait remarquer qu’au printemps 2021, le Portugal a organisé un défi d’innovation de l’OTAN6 axé sur la guerre dans l’espace.

Au printemps 2020, les Pays-Bas ont accueilli un défi d’innovation de l’OTAN7 axé sur le Covid-19.

M. Gothi a rassuré les investisseurs en leur disant que l’OTAN se pliera en quatre pour défendre leurs résultats : « Je peux assurer à tous que le défi d’innovation de l’OTAN indique que tous les innovateurs conserveront le contrôle total de leur propriété intellectuelle. L’OTAN ne prendra donc pas le contrôle de cette propriété. Le Canada non plus. Les innovateurs conserveront le contrôle de leur propriété intellectuelle. »

Ce commentaire était une conclusion appropriée au panel, affirmant que l’OTAN et ses alliés du complexe militaro-industriel cherchent non seulement à dominer le monde et les humains qui s’y trouvent avec des techniques de guerre cognitive troublantes, mais aussi à s’assurer que les entreprises et leurs actionnaires continuent de profiter de ces efforts impériaux.

Jeanne Traduction

Sources :

Source de l’article : https://thegrayzone.com/2021/10/08/nato-cognitive-warfare-brain/




Radio Courtoisie — Ligne droite du 4 novembre

[Source : Radio Courtoisie]

  • Bulletin d’actualités

Avec Eléonore de Vulpillières

  • La libre information : #Pfizergate !

Avec Surya Arby, informaticien, mathématicien, membre de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Internationale et Bienveillante (AIMSIB)

  • Chronique des réseaux sociaux

Avec Alister Rivière, directeur de GETTR en France (le réseau social alternatif qui défend la liberté d’opinion)

  • L’éclairage du jour : La guerre UE-Pologne – une guerre idéologique

Avec Patrick Edery, dirigeant d’entreprise, éditorialiste à l’hebdomadaire du syndicat Solidarnosc et rédacteur en chef de sa version française en ligne

  • Table ronde : COP26 – climat et enjeux

Avec Philippe Charlez, expert en questions énergétiques à l’Institut Sapiens, auteur du livre L’Utopie de la croissance verte aux éditions Jacques-Marie Laffont

Avec Rémy Prud’homme, professeur émérite d’économie à l’Université de Paris XII, auteur notamment des livres L’idéologie du réchauffement. Science molle et doctrine dure et Le mythe des énergies renouvelables. Quand on aime on ne compte pas aux éditions de l’Artilleur

  • Bulletin des réseaux sociaux 

Avec Eléonore de Vulpillières

  • Grand angle

Avec Nicolas Vidal, fondateur et rédacteur en chef de Putsch

  • Vu de haut : Un député soutient la candidature d’Eric Zemmour aux élections présidentielles

Avec Joachim Son Forget, député (non inscrit) des Français établis hors de France

  • Focus matin : Zapping sur les autres matinales

Avec Vincent Lenoble





ILS AURONT TOUT OSÉ : POURSUIVRE D. RAOULT, HONNEUR DE LA MÉDECINE FRANÇAISE

Par Gérard Delépine

Docteur Gérard Delépine chirurgien et statisticien

(je déclare l’absence de tout lien d’intérêt avec des firmes du médicament) 

Alors que se poursuit sur les ondes médiatiques(([1] propriétés de huit milliardaires)) le défilé scandaleux de médecins incompétents et corrompus, ne déclarant jamais leurs conflits d’intérêts, donc en violant la loi « transparence en santé », la honteuse convocation devant le conseil de l’ordre des médecins de notre virologue mondialement reconnu et respecté fait la une des médias, qui osent lui coller le terme de charlatan…

Depuis deux ans, ils n’auront pas cessé d’user quotidiennement de l’inversion des valeurs. « La paix, c’est la guerre », remettant Orwell au goût du jour.

« Ainsi durant près de trois heures, la chambre disciplinaire, présidée par un magistrat administratif assisté de huit médecins, a examiné deux plaintes déposées fin 2020 par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône et le Conseil national de l’Ordre des médecins ? Sur la base de plusieurs signalements initialement effectués par la société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), par des praticiens hospitaliers et des particuliers contre Didier Raoult ».

Qui sont-ils pour le « juger » ? Il n’a fait que guérir les patients qui venaient jusqu’à Marseille pour échapper au tragique « maison, Doliprane, détresse respiratoire et Rivotril (d’où euthanasie d’environ 10 000 personnes âgées »)…

Pendant que le ministre se permettait d’interdire aux médecins de soigner, en mars 2020, probablement pour la première fois au monde depuis Hippocrate et 2500 ans, et que la plupart des docteurs malgré leurs quinze ans de médecine se courbaient devant les menaces du conseil de l’ordre, reniant leur serment d’Hippocrate et leur métier, les rapides interventions du Pr Raoult nous ont vite revigorés, confirmant l’impression que la pandémie du coronavirus n’était qu’une grippe comme les autres, à condition toutefois de ne pas euthanasier les vieux susceptibles d’en être atteints, et de soigner les pneumopathies virales par les antibiotiques habituels associées au traitement déjà connu depuis 2003 pour le SRAS et republié par les Chinois quelques semaines plus tôt.

« Il est reproché au praticien marseillais d’avoir fait la promotion de l’hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19, sans données scientifiques établies, ce qui s’apparente à du « charlatanisme » d’avoir pris des « risques inconsidérés » en soignant des patients avec ce traitement « non éprouvé par la science » et d’avoir « manqué à son devoir de confraternité » envers d’autres médecins, a détaillé la rapporteure de la chambre disciplinaire. »(([2] Didier Raoult : « On fait le procès de la réussite » se défend l’infectiologue marseillais, taxé de « charlatanisme » par ses pairs — ladepeche.fr))

Comment peut-on écrire une telle accusation alors que la nivaquine a été utilisée depuis 70 ans en usage libre sans ordonnance et après les nombreuses publications confirmant les premières de Raoult ?

« Pour Me P. Carlini, avocat de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône, ces poursuites ont été entreprises pour soutenir les ‘médecins libéraux héroïques’ bousculés par « des patients angoissés » réclamant, « sans rien y connaitre », un traitement à l’hydroxychloroquine, en se basant uniquement « sur la parole d’un éminent scientifique marseillais émise sans aucune prudence » sur les plateaux télé et les réseaux sociaux. »

Comment peuvent-ils ignorer les nombreux(([3] Plus de 195 études ont été publiées dont 131 dans des revues à comité de lecture référencées sur PubMed et 70 % affirment l’efficacité de l’HCQ)) articles publiés dans des revues à comité de lecture et référencés sur les banques de données internationales telles que PubMed avant de faire de telles déclarations infondées ? Comment peuvent-ils ignorer que les autorités sanitaires de nombreux pays regroupant plus de la moitié de la population mondiale (Chine, Corée, Inde, Taiwan, Malaisie, Bahreïn, Turquie, Qatar, Maroc, Algérie, Nigéria, Sénégal, Cuba) ont recommandé ce traitement et qu’ils s’en sortent tous avec des mortalités Covid bien inférieures aux nôtres ?

Comment peuvent-ils ignorer que le Conseil d’État italien a fait droit au recours des médecins contre la note de l’Aifa(([4] Agence italienne du médicament)) qui suspendait l’utilisation de ce produit en soulignant que la « base de données cliniques non ambiguës affirme son efficacité au seul stade précoce de la maladie ».

Quant aux plateaux télé, ce ne sont pas particulièrement Didier Raoult ou ses collaborateurs qui les ont envahis, mais bien ceux qui ont tenté de le disqualifier en les calomniant. Et en faisant parfois la promotion de médicaments inefficaces, toxiques et très chers comme le Remdesivir déconseillé depuis par l’OMS.(([5] L’OMS ne recommande pas l’administration de Remdesivir aux patients COVID-19 20 novembre 2020 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients))

Quant à « l’héroïsme » des médecins libéraux qui n’ont su qu’obéir à la bureaucratie et se plier aux menaces du conseil de l’ordre et du ministre, il relève de la Novlangue, tant leur lâcheté vis-à-vis des patients a déshonoré notre profession et a été responsable de nombreuses morts évitables et de tragédies familiales (interdiction des visites, refus de voir et d’embrasser une dernière fois le défunt, pratiques dépourvues d’humanité, etc.).

À l’heure où ces mêmes médecins prétendument héroïques qui n’ont pas hésité à injecter un produit expérimental en phase trois, agissant sur l’ARN, et qu’explose le Pfizergate, comment peut-on entendre ces récriminations sur le Pr Raoult et ses collaborateurs, jusqu’à les accuser d’avoir traité des patients tuberculeux, les accusant d’essais cliniques illégaux. On a l’impression que trop de « médecins » ont oublié ce qu’est la médecine clinique, le traitement des malades… Quant aux bureaucrates, ils ne l’ont jamais su.

« Comme un criminel »

« Ce sont les médecins qui se plaignent de nous, pas les patients », a rétorqué Didier Raoult, assurant avoir reçu « plus de 600.000 patients » au sein de l’IHU durant la crise sanitaire, « sans aucune plainte ».

On peut être étonné et scandalisé que le Conseil de l’ordre fonde son accusation sur des études biaisées, incomplètes et mal conçues comme
« la britannique Recovery(([6] Étude qui utilisait des doses toxiques folles (4 fois la dose maximale prévue par le VIDAL) dans le seul but de disqualifier HCQ)), la française Hycovid(([7] Étude qui a été incapable de conclure faute de patients après un arrêt secondaire à la publication totalement fallacieuse du LancetGate)), ou Solidarity menée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) — qui ont toutes conclu que l’hydroxychloroquine n’était pas efficace contre le Covid-19, a pourtant rappelé la chambre disciplinaire ».

Pourtant la très mauvaise qualité de ces études parcellaires a largement été démontrée, tandis que les résultats mondiaux des antipaludéens ont démontré la véracité des thèses du Professeur Raoult, ne serait-ce que par le taux exceptionnellement bas de la mortalité par SARS-CoV-2 dans les pays d’Afrique dont la population est régulièrement sous hydroxychloroquine.(([8] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/))

Pour Me Fabrice Di Vizio, avocat de D. Raoult, le sujet de l’hydroxychloroquine est un « faux débat ». Son client, dit-il, est jugé « comme un criminel », essentiellement pour ses prises de position critiques sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités ».

Que le procès fait à Raoult devienne le procès d’un ordre à supprimer

Rappelons que l’ordre des médecins a été créé par Vichy et que sa première décision a été de radier les médecins juifs avant de les dénoncer aux Allemands ; qu’une de ses autres recommandations aux médecins a été de « dénoncer les blessures par balle aux autorités » (de Vichy) pour qu’elles puissent arrêter les résistants qu’ils auraient soignés.

Rappelons que la loi transparence santé l’a chargé de veiller au respect de la déclaration des liens d’intérêt avant toute annonce d’un médecin au public. Qu’il a pourtant systématiquement oublié de poursuivre les médecins de plateau télé pour ces absences répétées de déclaration d’intérêts même lorsqu’ils faisaient de la publicité pour des traitements inefficaces.

On peut tout autant s’étonner qu’il n’ait pas appelé le gouvernement au respect de la déontologie médicale et en particulier à l’indépendance des médecins dans le choix de leurs ordonnances et à respecter leur refus de délivrer des médicaments mortels (Rivotril).

Historiquement, les connotations négatives des Ordres professionnels et Corporations sont nombreuses… Renvoyant à un passé archaïque et condamnable fait de groupes professionnels fermés, protectionnistes, mercantiles, s’octroyant des privilèges et des monopoles, défendant leurs intérêts en dehors du bien collectif commun, ils peuvent aller jusqu’à freiner l’innovation. Reconnus « dangereux », ils ont été abolis par le Décret Allarde et la Loi Le Chapelier en 1791 lors de la Révolution Française.

Leur rétablissement a été soutenu par les pays dictatoriaux et le fascisme (Mussolini, Franco, Salazar, Pétain…). De Gaulle avait supprimé cet ordre des médecins en 1945. Mitterrand s’était engagé à supprimer cet ordre enfant de la philosophie fasciste. Battons-nous pour le supprimer au plus tôt !

Heureusement de courageux politiques appellent à sa dissolution comme Florian Philippot

et des citoyens le soutiennent à son arrivée à Bordeaux :

https://twitter.com/LE_GENERAL_OFFL/status/1456544547677347844




Principes de la vente agressive (santé, climat, politique) et comment s’en protéger

Par Lucien SA Oulahbib

1/ Santé

  • Rendre la « dose » suivante indispensable alors que le Pfizergate éclate et qu’elle s’avère inefficace, par exemple en Israël, à Singapour… comparée aux traitements précoces qui empêcheraient de fait les cas graves. Maints exemples de médecins, d’hôpitaux qui ont soigné avec et qui ont eu d’excellents résultats (aucun mort), mais qui ont été poursuivis, cassés, aujourd’hui brisés(([1] comme l’indique le dernier CSI, à 1 h 50))…
  • Au lieu de cela les hygiénistes affairistes vont agiter le drapeau rouge des chiffres de « rebond » (infimes) et des lettres en justifiant la fermeture de lits puisque l’injection protège de « la » maladie comme si celle-ci était le fléau majeur, ce qui est le comble de l’absurde, alors que certaines sources montrent que cette injection accroît les risques chez les jeunes et au sein de certaines pathologies comme les cancers.
  • Mais pour faire oublier ces dangers et incohérences, la Milice propagandiste de la Secte culpabilise les non-injectés en les montrant du doigt comme étant la cause de la persistance de la présence virale et de la nécessité de faire porter la muselière aux enfants afin de protéger les premiers alors que les injectés sont tout autant contaminants (sinon plus, selon certaines sources) et que les enfants même « positifs » ne transmettent pas ce virus du moins de manière dangereuse — à des personnes bien portantes et n’ayant pas de comorbidités (comme cela s’est passé sur le Charles de Gaulle où il n’y a eu aucun mort, ce qui plaide pour l’idée d’une immunité croisée comme l’indique également le CSI du 4/11/21 qui par ailleurs montre entre autres les dangers croissants des effets secondaires…).
  • Il suffit d’observer les pays massivement injectés et les autres pour observer que les premiers sont bien plus touchés que les seconds, d’autant que ces derniers (du moins ceux qui ont refusé d’être corrompus, achetés par Big Pharma et ses prothèses politiques) choisissent plutôt les traitements précoces et c’est cela qui est de plus en plus déterminant bien plus que la prépondérance de la jeunesse dans leur démographie.
  • Sans parler de l’impact des maladies dites « chroniques » qui touchent bien plus les populations occidentales qui ne font pas assez attention à leur alimentation et à leur culture physique… Un phénomène qui a été bien analysé par la « naturopathie » aujourd’hui violemment combattue par la médecine allopathique (du moins celle formatée par Big Pharma, les autres médecins encore « hippocratiens » étant eux balayés comme catégorie dépassée), jusqu’à exclure l’homéopathie et les huiles essentielles, mettant même à l’index la vitamine D. Bref, tout ce qui permettrait de renforcer naturellement notre système immunitaire est considéré désormais par la Secte comme un frein à son expansion, et aussi, plus métaphysiquement, comme étant une anomalie, le dernier terrain vague, cette nature « sauvage » qu’il s’agirait de dompter, d’effacer ou alors de nier puisque pour certains courants issus des Lumières, la « nature » n’existe pas, tout serait « conditionné ». Aujourd’hui les nouveaux adeptes parlent de « construit » à l’instar de l’industrie du bâtiment (la « postmodernité » est d’abord un concept architectural visant à effacer déjà la notion de « centre » genre Brasilia). Les avatars d’aujourd’hui, en transe sur ces questions, en sont au fond seulement les nouveaux poissons-pilotes (voir ici Ethique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du Sens… et autres articles dans les revues dogma.lu et esprit critique).

2/ Climat

  • La confusion entre météo et climat bat son plein et permet peu à peu, comme l’indique Philippe Herlin, de transformer ledit « passe sanitaire » en « passe écologiste » forçant encore plus les populations à accepter sous contrainte cette fausse « transition ».
  • Ainsi alors qu’une tendance climatique doit s’appuyer sur trente ans d’observation (et non uniquement sur la modélisation, (voir le site des climato-réalistes), le moindre évènement météo (lié d’ailleurs souvent à des effets circonstanciés produits par exemple d’un bétonnage mal conçu, d’une disparition des talus, d’un manque d’égouttage, d’une « mégalopolisation » à outrance…) pousse à un catastrophisme visant à culpabiliser là aussi contre le moteur thermique qui a pourtant fait d’énormes transformations, contre le chauffage au bois, au fioul, et peu à peu contre tout chauffage non issu des dites « énergies renouvelables » ce qui fait qu’à terme un « quota » carbone sera intégré dans le « pass » à côté de la « dose », mais aussi un quota de « bonne citoyenneté » (ou « crédit social ») entamé si l’on dit des choses pas « politiquement correctes ». Mais une tolérance sera sans doute admise pour les étrangers qui ne « connaissent pas nos normes et codes » comme il a été déjà vu pour diverses affaires sociétales.

3/ Politique

  • La « nation » est devenue un frein à cette uniformisation et standardisation QR-codée, symbolisée aussi par ces implantations d’immenses centres commerciaux (ou « malls ») qui sont devenus ces TV géantes, séduisantes et séductrices dans lesquelles les « particules élémentaires » humaines que nous sommes devenus — en particulier pour la Secte (S.S.A) — s’activent elles-mêmes pour animer ce vaste faisceau cathodique mondialisé, pixels par milliards formant ainsi l’image — écran global visionné en temps réel par les robots statisticiens qui vont ainsi évaluer le taux marginal de tel ou tel produit au sein de chaque matrice individuelle.
  • Dans ce cadre il faut éliminer toute « particule » hostile qui empêcherait cette homogénéisation, car elle modifierait, entraverait la modélisation prédicatrice des coûts et profits calculés globalement, ce qui fait par exemple que telle fermeture d’usine liée à un surcoût apparaît « logique » tout en étant faux rationnellement, car cela implique des transferts de compétence, des extinctions de toutes les retombées connexes puisqu’une usine faisait « tourner » villes et villages à proximité…
  • Ce qui a eu pour conséquences la destruction des classes salariées populaires et moyennes, la constitution de nouvelles classes supérieures bénéficiaires en matière de gestion à distance, logistique, transports privés de marchandises, communication, médias, fictions, médicaments…
  • Où l’on voit se dessiner la césure entre les gagnants et les perdants de la globalisation et donc la césure politique entre patriotes/souverainistes d’un côté et globalistes/relativistes de l’autre puisque les premiers cherchent à contrer cette destruction et sortir de ses gravas pour restaurer (en effet), mais en mieux (Versailles versus le Louvre) tandis que les seconds veulent l’accélérer avec ce « pass global »…
  • Mais il faut savoir aussi balayer devant sa porte : ainsi lorsque la Chine est rentrée à l’OMC le ministre chinois du Commerce avait indiqué en 2005 qu’il avait été négocié dix à quinze ans de délais concernant le textile afin que les pays de l’UE puissent non seulement s’adapter, mais prévenir bien en amont l’arrivée des produits chinois. Rien n’a été fait par les politiques ou si peu. Hormis le luxe, mais qui sous-traite en Asie et en Afrique du Nord.
  • Ce qui impliquerait déjà la baisse des impôts de production, mais aussi la refondation du système de sécurité sociale en s’appuyant sur des cotisations proportionnelles et non progressives, du moins si celles-ci sont prises en charge à la fois par les organismes de sécurité sociale qui comprennent également les assurances et les mutuelles.
  • Au lieu par exemple de voir les budgets de l’hôpital et des retraites être assis uniquement sur les cotisations sociales, ils pourraient être aussi assis sur les cotisations assurantielles et mutualisées, ce qui permettrait de bénéficier de leur puissance financière mondialisée de telle sorte que ce ne serait pas seulement les assurés anglo-saxons et leurs retraités qui en bénéficieraient du fait des économies d’échelle ; et en plus cela coûterait moins cher dans le cadre dudit « salaire complet ».
  • Concernant maintenant la question de « l’être ensemble » (plutôt que le « vivre ensemble » trop vague), il s’avère que les récents débats autour de la laïcité confondent celle-ci avec la « neutralité » alors qu’il s’agissait surtout pour Jules Ferry de placer en premier lieu la nécessité d’une instruction morale et civique afin de mieux armer la liberté de conscience pour être un bon citoyen.
  • Aussi il est clair que si l’on accepte de vivre dans un pays ayant cette philosophie, tout signe ostensible indiquant que l’on n’est pas d’accord ne doit pas être au moins admis dans les services publics animés justement par cette philosophie… Quant à la « rue », il faut laisser libre la critique contre ces signes, politiques en réalité, et surtout protéger les personnes qui ne veulent pas porter de tels signes, mais qui sont obligées par leur « communauté ». C’est d’ailleurs là l’esprit de la loi contre les signes ostensibles à l’école, loi portée par un Bernard Stasi qui était loin du « fascisme » dont aujourd’hui il serait certainement affublé…
  • Enfin, deux enjeux semblent se mouvoir à l’horizon : s’il est possible de remettre sur les rails d’une néo-modernité affinée les trains de la laïcité, de l’économie politique, du développement territorial, des conflits sur le partage de la valeur ajoutée (avec plus de participation de cogestion de nouveaux syndicats), alors les tensions politiques devraient être circonscrites ; si ce n’est pas le cas, les solutions plus radicales seraient envisagées comme le fait de ne pas attendre par exemple que les étrangers irréguliers soient pris en charge par la solidarité internationale et non plus seulement nationale en tranchant exclusivement pour la seule solidarité nationale.
  • De même, alors que le droit du sol est ce ferment démographique permettant à une nation qui se veut forte et unie malgré les conflits permanents, il s’en trouve fragilisé dans son inconditionnalité s’il n’existe pas aussi une « politeia » qui le sous-tend, c’est–à-dire non pas seulement une « polis » qui gère au mieux la Cité, mais une politeia qui permet au sentiment d’appartenance de prévaloir.
  • Or nous sommes précisément à une « croisée des chemins » : soit la France et aussi les démocraties en général se ressaisissent en conservant les acquis et en affinant ces derniers grâce à une politique néo-moderne puissante, soit ce n’est pas le cas et alors les solutions (ou « médecines ») plus radicales seront agitées (comme s’amputer de populations hostiles).
  • Faisons en sorte que ces dernières solutions n’arrivent pas, mais dans ce cas, donnons-nous les moyens de faire en sorte que la conservation et l’affinement des acquis civilisationnels deviennent effectifs, sinon il ne servira à rien de crier sans cesse « au loup, au loup » surtout si celui-ci s’avère être précisément celui qui hurle le plus fort… Alors qu’il est au service (commandé ?) de la S.S.A.



Vers la grande offensive

Par Lucien SA Oulahbib 

Proust n’a par exemple jamais fait état de son homosexualité, non pas parce qu’il avait peur de le dire, mais parce que ce n’était pas cet aspect ou cet angle qui était central ou qui lui permettait d’être précisément cet écrivain incomparable de l’identité intime. Pourtant dans les séries propagandistes, du service public à l’Université, seul cet angle est survalorisé, comme s’il s’agissait de la seule identité acceptable pour ce tout ce courant néo-léniniste s’étant recyclé dans la philosophie cannibale du démembrement. 

Banal. D’autant que tous les écrivains d’autrefois jusqu’à Shakespeare sont désormais cloués au pilori comme dans les années 60 quand Aristote était banni (hors cours d’histoire de la philosophie), car ne correspondant pas aux critères de ce démembrement mental (méta) et désormais également, littéralementphysique. Ce qui est logique tactiquement.

En effet, s’il s’agit de formater les jeunes esprits et tout le monde en général dans ce cadre « méta/physique » du démembrement cannibale, il faut donc écarter, « effacer » tout ce qui ne glorifie pas les textes sacrés de la Secte Scientiste Affairiste (S.S.A) et ses diverses tendances hygiénistes, djihadistes, réchauffistes, globalistes qui se nourrissent de plus en plus littéralement de ce démembrement.

Lorsque l’identité, tout autant que la définition de tous les termes affiliés (vérité/mensonge, beau/laid, moral/amoral) s’édifie dans l’instant vécu ici (bulles S.F. parisiennes, londoniennes, new-yorkaises…) cet opportunisme par ailleurs cynique (effacer une relation amoureuse par un texto, licencier/effacer des milliers de personnes par un « plan »…) n’a que faire de subtilités dialectiques ; surtout lorsqu’acquérir le Pouvoir et toute sa Puissance narcissique est en vue. Guère étonnant dans ce cas qu’une Hidalgo traite Zemmour de « négationniste » et appelle avec des mots à peine couverts à son « extinction rébellion » par la Milice Antifa tant elle et sa clique au sein de la SSA sentent bien le vent du boulet.

Mais il faut être bien clair à ce sujet : l’offensive doit être générale et se battre sur tous les fronts, y compris par exemple sanitaire (confusion entre prise en charge précoce et prévention artificialisée), environnemental (confusion météo et climat, CO2 et CO), humanitaire (confusion entre réfugiés politiques et économiques), tant ces trois terrains sont devenus fondamentaux et peuvent entraîner tous ceux qui hésitent encore à non seulement défendre la mémoire de Roland de Roncevaux (dont le cor retentit encore visiblement…), mais à considérer qu’il ne s’agit plus d’opposer des « projets de société », mais des modèles de civilisation dont l’un, le nôtre n’est pas nécessairement seulement défensif puisque la meilleure défense c’est bien l’attaque. Or il est possible d’affirmer que face aux maux de la Modernité, une façon plus à même d’affiner celle-ci est possible (impossible n’étant pas français) en prenant à bras le corps ses effets pervers perceptibles aujourd’hui dans sa confusion entre solidarité et humanisme, problèmes nationaux et internationaux d’une part, dislocation, démembrement psychosocial d’autre part.

La confusion entre « vivre » et « être » ensemble par exemple, qu’il s’agisse de la famille lorsque le repas pris en commun n’existe plus, chacun en face de sa prothèse narcissique mobile et immobile, de l’immeuble du quartier de la ville et village dans lesquels l’indifférence hostile prévaut, de tous ces gens esseulés ne croyant plus qu’au prochain shoot, verre, joint. Démembrement de « soi », par écran/écrin interposé, cette confusion multiforme ne peut en effet qu’entraîner le désir du « retour à l’ordre », mais pas nécessairement dans ce sens totalitaire que proposent les sbires néo-léninistes de la Secte SSA. Un autre ordre social, à la fois plus ferme et plus ouvert (à la façon d’une membrane), plus à même en un mot d’embrasser, de solutionner précisément tous ces maux est de plus en plus possible.

Du moins si la confiance bascule du côté de « l’audace » et non pas du seul renforcement de digues délabrées.




Revue de presse de Fadi Kassem

[Source : initiative-communiste.fr]

[Ndlr : il ne semble pas avoir compris le coup du « vaccin » et sa perspective reste au niveau de la lutte des classes alors que la nature du conflit va bien au-delà.]




Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)

[Source : @DocteurGonzo4]

Par Dr Gonzo

La Santé des français mérite mieux que cette association de malfaiteurs.

Initialement, l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) appartenaient à chaque État membre. Un règlement de 1993, remplacé par un règlement de 2004 régulièrement modifié a institué une agence d’évaluation, l’Agence européenne des médicaments (@EMA_News). L’EMA se compose d’un conseil d’administration de 36 membres dont la plupart représentent les États membres (le plus souvent le directeur ou président de leur agence nationale). Le conseil d’administration nomme un directeur exécutif entouré de 7 comités d’experts. L’Agence fait partie de la vaste catégorie des organismes plus ou moins décentralisés, aux dénominations elles-mêmes variables (agence, office, observatoire, etc.) créées pour conseiller la Commission européenne sur des sujets techniques. La Commission, en sa qualité d’institution politique, reste libre de suivre ou non ces conseils, et octroie l’AMM. Mais l’Agence, disposant de la compétence d’expert, surtout dans le domaine médical, joue un rôle préparatoire crucial. Ça semble invraisemblable mais le budget de fonctionnement de l’EMA (346 millions €) provient à 85,70% de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et a seulement 14,29% de financements publics de l’UE.

PR_Dec_Agencies (europa.eu)

En tant qu’agence de la Commission Européenne, les obligations de l’EMA en matière de transparence et d’accès aux documents découlent de directives stipulant que tout document détenu par l’EMA dans le cadre de ses activités est de fait un document public. Dans les faits, la revue Prescrire a montré que l’EMA refuse de communiquer de nombreux documents et que ceux sur qui sont transmis, le caviardage intensif y est la règle.

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ? – Formindep

Son manque de transparence a été dénoncé lors de son refus d’indiquer aux députés sur quelles bases les laboratoires à l’origine des vaccins #Covid diffusés dans l’UE ont été choisis, et le montant des prix payés pour ces vaccins.

Achats européens des vaccins : un secret très bien gardé (franceinter.fr)

La “prévisibilité” de l’EMA est si grande que l’industrie étatsunienne nous l’envie, notamment le think tank néoconservateur Pacific Research Institute, financé par l’industrie des biotech, et qui milite pour toujours moins d’intervention des pouvoirs publics. Et pour cause. 

Dès le lendemain de son départ de l’EMA en 2011, le Directeur exécutif, Thomas Lönngren, rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’”influenceur de premier plan“.

Scandale à l’Agence Européenne du Médicament – Formindep

Le pantouflage ou « revolving doors » est un fléau. Dans un secteur de la santé à la fois très lucratif et très réglementé, les firmes ont un grand intérêt à placer leurs hommes dans les agences publiques et à mettre en place cette stratégie d’entrisme.

L’EMA ou le Royaume des Bisounours – Formindep

L’italien Guido Rasi a ensuite été nommé directeur de l’EMA en 2011, puis forcé a démissionné par la Justice européenne pour conflit d’intérêt non déclaré, avant d’être renommé à nouveau directeur de l’EMA en 2015.

Head of European Medicines Agency suspended – POLITICO

L’actuel directrice, Emer Cooke, a passé 7 ans au sein de l’EFPIA, le principal lobby de l’industrie pharma en UE qui organise des rencontres au Parlement européen avec des représentants de GSK, Roche, Novartis, Pfizer…

Lobbying : comment l’industrie pharmaceutique prend d’« assaut » les institutions européennes – Basta!

Un audit européen de la Cour des comptes de 2012 confirme de graves problèmes de conflits d’intérêt au sein de l’EMA (et de 3 autres agences : l’EASA (sécurité aérienne) l’EFSA (sécurité alimentaire) et l’ECHA (sécurité vis à vis des produits chimiques)).

Management of conflict of interest in selected EU Agencies. Special Report No 15, 2012 – Publications Office of the EU (europa.eu)

Le rapport pointe de graves irrégularités, la direction de l’EMA favorisant la présence, dans les comités scientifiques, d’experts en conflit d’intérêts avec les compagnies pharmaceutiques dont ils évaluent les produits.

Dans un rapport, la Cour des Comptes de l’UE estime que les agences de l’UE qu’elle a auditées « ne géraient pas les situations de conflit d’intérêts de manière appropriée » – Europaforum Luxembourg – Octobre 2012 (public.lu)

Le @canardenchaine a révélé que certains experts de l’EMA sont salariés ou possèdent des actions dans les entreprises pharmaceutiques dont ils sont censés évaluer les produits lucratifs.Des lanceurs d’alerte ont dénoncé ce problème :

« Depuis des mois, notre entreprise rémunère discrètement un expert pour qu’il fasse le lobbying de notre produit. La rémunération est exorbitante, mais le plus grave est qu’il officie comme expert à l’EMA. »

Un médecin, ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, dénonce les pratiques de ses employeurs | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

Dans l’affaire du Mediator, l’Inspection générale des affaires sociales a mis en cause plusieurs experts français, qui siégeaient à l’Agence européenne du médicament, dans l’interdiction tardive du Mediator et le drame sanitaire consécutif.

Mediator : une enquête sur d’éventuels conflits d’intérêt à l’Agence européenne du médicament (lemonde.fr)

L’EMA propose elle même en toute opacité aux firmes pharmaceutiques des «conseils scientifiques» facturés pour les aider à faire passer leur dossier de demande d’AMM, notamment conditionnelles (AMMc).

Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes

Or, les médicaments mis sur le marché de manière accélérée le sont souvent au détriment de la qualité de l’évaluation clinique. Pire, cette évaluation n’est pas suffisamment complétée non plus après commercialisation.

Des médicaments mis sur le marché avec très peu d’évaluation

Un rapport de 2017 note «une acceptation générale de la corruption» au sein de l’EMA et :

-une acceptation générale de la corruption
-des structures de gestion inefficaces
-des mécanismes de financement inappropriés
-une répartition inégale des ressources

EU Study on Corruption in the Healthcare Sector 2017 (globalcompliancenews.com)

« L’industrie pharmaceutique tient fermement les rênes d’une vaste machine de lobbying, richement dotée, qui dispose d’un accès presque systématique aux décideurs de la Commission […] et des institutions bruxelloises, y compris l’EMA »

Un rapport pointe l’influence excessive du secteur pharmaceutique à Bruxelles (lemonde.fr)

En juin 2020, l’EMA prend la décision d’autoriser le remdesivir de Gilead.

La revue Prescrire commente : “Une fois de plus, l’EMA a manqué de rigueur dans sa relation avec les firmes, aux dépens des patients et soignants, laissés dans l’incertitude.”Au mois d’octobre, suite à cette décision a priori insensée, la Commission signe un contrat mirobolant avec Gilead, alors que l’industriel vient de prendre connaissance de la dernière étude de l’OMS qui invalide l’efficacité de son traitement.

Le scandale Remdesivir, ou comment l’Europe s’est fait délester de plusieurs dizaines de millions d’euros | L’Humanité (humanite.fr)

La Santé des français mérite mieux qu’une dictature sanitaire, elle mérite un pôle public des médicaments, une expertise publique transparente et indépendante, un processus décisionnel démocratique, et des politiques de santé intelligentes, bienveillantes et non-coercitives. 




L’idéologie woke saborde l’identité culturelle du Canada

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : Une statue sans tête de la Vierge Marie est vue à l’extérieur de l’église Our Lady of Lebanon à Parkdale, à Toronto, le 30 août 2020. (Facebook)]

Par SHANE MILLER

En 2002, John Fonte, membre de l’Institut Hudson, présentait l’analyse d’une nouvelle idéologie émergeant au sein des institutions nationales et internationales. Il qualifiait cette idéologie de « progressisme transnational ». Selon lui, cette idéologie donnait la priorité au groupe sur l’individu et tenait pour acquis que la société repose sur un conflit inhérent entre oppresseurs et victimes. De ce fait, les institutions avaient pour obligation morale d’agir en faveur des dites « victimes ». Aujourd’hui, nous savons qu’il s’agissait du wokisme à ses premiers stades, avant d’être définitivement adopté par les institutions et de devenir irréfutable.

Le bilan de M. Fonte établissait qu’en démantelant les narratifs et les symboles nationaux, cette idéologie constituait une réelle menace. Pousser les populations à acclamer une diversité aussi abstraite qu’irréalisable, c’était les mener à perdre progressivement confiance envers leur patrie. Le Canada, en bon élève, a parfaitement assimilé tous ces principes et les a exacerbés dans des proportions redoutables.

De fait, aujourd’hui, dans bien des secteurs, le pays s’adonne à l’autocritique continue, au désaveu de ses valeurs fondamentales. Le vandalisme et la destruction des statues, dont celle de Sir John A. Macdonald, sont légitimés ou approuvés. Il s’agit, avance-t-on, d’une étape nécessaire pour tirer les leçons du passé.

De même, la série d’incendies criminels visant les églises autochtones cet été a été qualifiée par un responsable politique d’outrage compréhensible au vu de la discrimination dont souffre la population autochtone. Sur ce point, selon le gouvernement actuel, l’heure est venue de reconnaitre que le Canada perpétue un génocide, et constitue donc, par définition, un État illégitime. De ce fait, selon le leader du groupe des sénateurs indépendants (ISG), le pays n’est en aucun cas en position de critiquer la Chine communiste pour sa répression des Ouïghours.

En termes de politique intérieure, la « diversité » entraine le clivage culturel. Sur la scène mondiale, le Canada se retrouve sans identité ni réalisations à défendre. Le pays est donc particulièrement fragilisé en cette période de conflits idéologiques entre grandes puissances, car Pékin n’hésitera pas à exploiter cette perplexité à son avantage.

L’émergence de l’idéologie woke n’est pas sans rappeler celle de la contre-culture des années 1960, en pleine guerre froide. La Nouvelle Gauche constituée en force politique contestait alors la légitimité de l’Occident de l’intérieur, tout en défendant ou en atténuant les crimes perpétués par les gouvernements communistes.

L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger a décrit la contre-culture comme un mouvement qui résultait d’un renouveau radical établi pour nuire à ceux même qui le défendaient. Essentiellement axée sur la condamnation du monde libre du fait de ses insuffisances, elle entravait, sous couvert de dénoncer l’arrogance occidentale, les actions concrètes de résistance au communisme.

Ainsi, dans son ouvrage intitulé Diplomacy, Henry Kissinger a mis en évidence que le mouvement engendrait un certain état d’esprit, celui-ci « mettait l’accent sur les insuffisances américaines et celles des amis qu’il soutenait ; sur une équivalence morale entre l’Amérique et ses adversaires communistes ; sur la proposition selon laquelle l’Amérique n’avait aucune obligation de défendre une quelconque région du monde contre des menaces largement imaginaires ; sur l’idée que l’opinion mondiale était un meilleur guide en termes de politique étrangère que des concepts géopolitiques ».

L’idéologie constituait une menace concrète durant la guerre froide pour l’Occident, comme l’ont montré les années qui ont immédiatement suivi la fin de la guerre du Vietnam. Cependant le courant dominant s’est maintenu, l’Amérique et ses alliés sont restés, malgré tous leurs défauts, les protagonistes et forces du bien dans l’opinion publique.

Mais aujourd’hui, au Canada, force est de constater que le courant dominant ne s’est pas maintenu et que les institutions évoluent dans un climat d’autodépréciation. Ceux qui estiment qu’il faut défendre la grandeur du Canada sont mis au rebut et la vertu du citoyen semble être proportionnelle au mépris qu’il affiche pour son pays.

De ce fait le Canada est très amoindri face au Parti communiste chinois de plus en plus hostile. Face à ce constat, le député conservateur Michael Chong a exhorté les Canadiens à retrouver leurs esprits : « La politique étrangère commence par ce que nous sommes », a-t-il rappelé. Peut-être que l’escalade rapide vers une autre guerre froide permettra à ce pays de redécouvrir ce qui le rend exceptionnel, par contraste avec le totalitarisme infernal du PCC.




Le Pr Didier Raoult répond aux mensonges de Mediapart

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline pour Le Média en 4-4-2

Les chiens sont lâchés contre le Pr Raoult. Avant-garde de Big Pharma, Médiapart montre les crocs. Mais pourquoi la loi Avia ne s’applique-t-elle pas à tant de haine ? Et d’ailleurs pourquoi tant de haine ? Ah ! elle est belle l’attaque sans argument, le scud sans munition ! On vous a déjà montré l’embrouille dans cet article .

Sans l’OMS pas de salut, et pourtant…

Quels sont les « arguments » de Médiapart ? La première banderille : sulfadiazine et minocycline, deux composants du cocktail utilisé à l’IHU de Marseille pour soigner la tuberculose, ne sont pas approuvés par l’OMS.
Sur le site de l’OMS, p 108, les médicaments préconisés pour la tuberculose sont l’isoniazide, la rifampicine, la pyrazinamide, l’éthambutol et la streptomycine. Ce sont les premiers à avoir été découverts en 1946-1948. Ils se sont révélés soit inefficaces contre la tuberculose pulmonaire (streptomycine), soit trop longs à administrer pour être efficaces (18 mois dans les années 60), car les patients des pays pauvres ne suivent pas le protocole jusqu’au bout (voir la conférence du Pr Jacques Grosset). Et quand on dit pas efficaces, cela veut dire 1,2 à 1,6 million de morts par an.

Sulfadiazine et minocycline, utilisés à l’IHU de Marseille, ont pourtant été approuvés par l’ANSM : la sulfadiazine dans le traitement de la toxoplasmose et la minocycline contre l’acnée.
Outre la liberté de prescription du médecin (fort mise à mal actuellement), l’ordre des Médecins prévoit qu’il est licite d’utiliser des médicaments hors AMM. Rien n’interdit de les utiliser pour une autre maladie que celle qu’ils ont traitée à l’origine.
Le Pr Chabrière signale une étude de 2013 du Pr Drancourt (IHU de Marseille) sur la sulfadiazine concluant à l’efficacité de cette sulfamide comme alternative aux antibiotiques antituberculeux.

Des médicaments connus de tous, sauf de Médiapart

Deuxième banderille : les deux autres médicaments faisant partie de cette « expérimentation », affirme Médiapart, sans se soucier ni de prouver qu’il y a eu expérimentation ni de préciser les noms des médicaments, ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose. Le Pr Raoult est certainement moins compétent que la journaliste de Médiapart, mais lui, il connaît le nom de ces médicaments. Il s’agit de deux traitements de la lèpre, la moxifloxacine et la clofazimine. Quant à une pseudo expérimentation, il s’en explique. La journaliste de Médiapart n’est pas outillée intellectuellement pour faire la différence entre expérimentation et traitement. Les explications psychologiques de Didier Raoult des méfaits de lobbies qui brassent des milliards et interdisent la recherche en France sont moins convaincantes que ses arguments scientifiques. Disons qu’il se refuse à hausser le ton.

Le Pr Jacques Grosset était le numéro 1 mondial du traitement de la tuberculose. Ses recherches à La Pitié-Salpêtrière, puis à l’université John Hopkins, avaient deux objectifs :

  • réduire la durée du traitement de la tuberculose
  • traiter les bactéries résistant aux antibiotiques actuels à cause de traitements interrompus. Les deux problèmes sont liés : des traitements sont interrompus parce que leur durée est très longue et créent des bactéries qui leur résistent.

Premier objectif des médecins et chercheurs : réduire la durée du traitement

Dans une étude en 2015, il a réanalysé la clofazimine, un antibiotique très bon antituberculeux, découvert dans les années 50 et utilisé des centaines de millions de fois. Titre de l’étude : « La clofazimine raccourcit la durée du régime de traitement de première intention pour la chimiothérapie expérimentale de la tuberculose ». La clofazimine (ou Lamprène®) est le traitement le plus efficace de la tuberculose et réduit la durée de l’infection. Ce médicament anodin, connu dans le monde entier, associé à un antituberculeux traditionnel, la pyrazinamide, est le meilleur de tous les traitements de la tuberculose.

La clofazimine reste efficace quand les autres antibiotiques sont devenus inefficaces. Il y a très peu de résistance à la clofazimine (0,22 %). Nouvelle référence du corps médical, Médiapart, la classait sans rire dans les médicaments qui « ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose ».

À l’IHU, en revanche, on sait de quoi on parle quand on parle de tuberculose. Le premier des « publiants », en dehors de Harries, est Michel Drancourt, un collègue de Raoult. Pour nous, ajoute ce dernier, la bactérie la plus proche de celle de la tuberculose, c’est celle de la lèpre. Les médicaments utilisés depuis des décennies contre la lèpre (moxifloxacine et clofazimine) marchent pour la tuberculose. Inutile donc de mettre au point des nouvelles molécules qui vont coûter cher.

Deuxième objectif : traiter les bactéries résistant aux antibiotiques

Le Pr Raoult ajoute : 

« Est-ce qu’on peut traiter une tuberculose multi résistante avec la moxifloxacine et la clofazimine ? La réponse est oui. C’est pas de la recherche, c’est de la médecine. et c’est sur le site de l’OMS. La tuberculose fait partie des maladies en deuxième intention qu’on peut soigner avec les médicaments contre la lèpre. »

Attention ! soigner, c’est de l’expérimentation illégale

A l’accusation de Médiapart d’avoir pratiqué de l’expérimentation illégale, le Pr Raoult explique : 

« Est-ce que en associant la clofazimine à la pyriméthamine, on peut raccourcir le traitement chez les populations dont on sait qu’elles vont avoir de grandes difficultés à prendre le traitement ? Pour cela, on a demandé à faire un essai thérapeutique. Deux fois un comité des personnes nous a donné un avis favorable, puis on a eu une interdiction de l’ANSM fondée sur on ne sait quoi, qui nous a dit il n’y a pas assez de bibliographie là-dessus. Pourtant il est sorti 411 publications dans les 25 dernières années. Est-il normal que pour des recherches menées par des chercheurs reconnus sur des médicaments qui sont utilisés depuis des années avec succès, soient interdites par des gens n’ayant aucune compétence ? Il y a dix pays qui font des essais pour savoir si on peut raccourcir le traitement en ajoutant de la clofazimine. Résultats : on peut réduire le traitement des tuberculoses résistantes à neuf mois en ajoutant clofazimine et pyriméthamine ! »

Recherche ? interdit ! danger !

« Donc on n’a pas fait de recherches, car on a bien assez d’ennuis comme ça. Sur près de 300 tuberculose qui ont été diagnostiquées, 85 ont été traitées ici, dont 17 ont reçu de la clofazimine et pyriméthamine, 13 avaient des bacilles résistants qui correspondaient à une des recommandations de l’OMS, 3 SDF (on sait qu’ils n’arriveront pas à appliquer pendant 6 mois le traitement). Ce sont des décisions qui sont prises, comme le dit la loi sur la prescription et délivrance des médicaments hors AMM. »

Un médecin de plateau complotiste se lâche contre Raoult

Si le Pr Gilbert Deray n’a pas déclaré ses conflits d’intérêts (160 649 € versés par les labos), en revanche il a déclaré sur France 5 : « Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Didier Raoult finalement, dans l’HCL, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Bolsonaro, Trump et Narendra Modi (NDLR : Premier ministre de l’Inde) qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal à leurs populations. Vous avez vu ce qui se passe au Brésil avec l’affaire de cette chaîne de pitou (sic) qui ont donné des kits de chloroquine à des vieilles personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que l’épidémie était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

Un vrai cas d’école de « projection mentale » ! Définition : opération par laquelle une personne place sur quelqu’un d’autre ses propres sentiments, afin de se sortir d’une situation émotionnelle vécue comme intolérable. Ou plus simplement : « c’est celui qui l’dit qui l’est ». Muni de cet éclairage hautement psychanalytique, on comprend mieux le vrai message délivré par Gilbert Deray :

« Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Olivier Véran finalement, dans la vaccination covid, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Vanguard, Pfizer et Bill Gates qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal aux populations. Vous avez vu ce qui se passe en Israël avec l’affaire de cette troisième dose à des personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que la vaccination était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

La Timone : un état des lieux désolant

Didier Raoult, de son côté, ne peut que constater les dégâts de la gestion politico-bureaucratique : 

« Des dossiers personnels de patients diffusés dans la presse, des taupes partout, de l’hostilité, du mensonge, des réactions immédiates sur des rumeurs fausses. Notre directeur général devrait nous protéger au lieu de nous harceler. Quelqu’un veut détruire l’IHU. Me foutre dehors et Chabrière aussi. La Timone est moins bien gérée que l’hôpital général à Dakar. C’est un hôpital du tiers-monde. Il y a un peu de jalousie parce que, ici, on a refait les peintures et qu’on marche bien. A La Timone les prof s’en vont. Que le directeur général s’en occupe ! Que les administratifs retournent à leur métier. Quant aux journalistes, ils perdent toute crédibilité. » 

S’ils l’ont jamais eue, peut-on ajouter. Il faut dire que Pascale Pascariello, c’est pas Albert Londres et qu’il faut bien qu’elle gagne sa croûte. Pourquoi ne pas essayer de trouver un métier honnête, hein Pascale ?




Le nouveau monde orwellien, basé sur le contrôle et la surveillance

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Sonja van den Ende − Source OneWorld Press

J’ai déjà beaucoup écrit à ce sujet, nous le voyons progresser, mais uniquement dans le monde dit développé. Une société dystopique, vouée en fin de compte à l’échec. Un monde de surveillance, de dictature sanitaire, de QR-codes, de paiements électroniques, invivable pour la plupart des gens, qui ressemble aux anciens systèmes comme le fascisme ou le communisme totalitaire, simplement paré de nouveaux atours. On peut désigner ce monde comme technocratique, et fondé sur un système totalitaire à base d’Intelligence Artificielle. Reste que l’histoire nous a enseigné que tous les systèmes et idéologies qui sont devenus totalitaires ont échoué.

Les preuves affluent pour illustrer la nouvelle société dystopique, sur la vague de la soi-disant pandémie. J’aurais tendance à la considérer comme un nouveau système dictatorial et technocrate, et sanitaire également, mis en place dans de nombreuses régions du monde. Les tests de ce nouveau système mondial, intégrant un composant de crédit social, ont été menés en Afrique pour mettre en place ce système de crédit social, sur la base d’une pandémie, avec la coopération du GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, et en coopération avec le Forum Économique Mondial. Non sans ironie, ils l’ont baptisé « passe pour le bien-être », attention Afrique, on va voir le niveau d’utopie que vous allez atteindre! Comme chacun le sait désormais (j’espère sincèrement que nombre d’entre nous se sont enfin éveillés), il ne s’est jamais agi d’un virus. Il s’agit d’une problématique de contrôle, de villes connectées, de véhicules électriques, où l’Afrique va de nouveau se trouver exploitée pour le Lithium, ainsi que l’Afghanistan ; c’est la raison pour laquelle l’occident a dû quitter ce pays, un conflit géopolitique est en cours, avec pour enjeu non pas l’Afghanistan comme territoire, et encore moins son peuple, mais son lithium. Build Back Better, ainsi que la dépopulation du monde, choses en lesquelles Bill Gates et son père sont des experts, sont autant de composantes de ce nouveau monde dystopique.

Même l’Église Catholique trempe dans cette grande expérience, bien entendu en Afrique depuis de nombreuses années, mais également en Occident, après des années d’abus commis sur des enfants et de scandales pédophiles, ils ne font que poursuivre leurs politiques non-chrétiennes. Il ne faut pas oublier que l’Église Catholique est une excroissance de l’Empire romain, ou de ce que nombre de personnes appellent de nos jours l’Empire britannique ; c’est fondamentalement la même chose : l’idéologie unipolaire occidentale, et le colonialisme dans tous leurs excès. Donc, l’Église Catholique est impliquée dans ce nouveau monde dystopique, car elle possède beaucoup de richesses, et dispose de son propre État, le Vatican. L’Église protestante ne jouit pas de cette position et est désormais vue comme « ennemie » de l’État, surtout aux Pays-Bas. Le gouvernement hollandais vient d’entamer l’« approche douce » pour persécuter les Protestants, un sentiment de déjà-vu se fait sentir, qui rappelle l’époque des Huguenots. Ce sont bien les descendants des Huguenots qui vont subir le même sort, mais cette fois-ci dans les pays qu’ils avaient élus domicile il y a des siècles, pour y mener une vie de liberté, en jouissant de la tolérance des peuples. Aux Pays-Bas, ces Protestants vont être contraints à rester confinés, car nombre d’entre eux, pour des raisons religieuses, refusent de se laisser vacciner. Le gouvernement hollandais a également lancé un projet de recherche (en partenariat avec des organisations) pour établir si l’Église protestante fut impliquée dans l’esclavage aux Indes néerlandaises orientales. Bien évidemment que oui, c’est l’ensemble de la société qui l’était à l’époque, mais les plus grands criminels, et cela n’a pas changé, étaient l’élite, la famille royale hollandaise, qui feignent d’être chrétiens, mais leur religiosité n’est qu’un spectacle, joué pour duper le citoyen ignorant.

Le parlement hollandais a rejeté une motion qui avait été introduite par plusieurs partis, y compris le Forum for Democracy (FVD), qui énonçait le refus d’un système de crédit social aux Pays-Bas. Le gouvernement peut désormais introduire le système de crédit social, qui a déjà été lancé, bien entendu, avec le soi-disant passe Corona à QR-code. La prochaine étape sera le niveau d’émission en CO2, et la mesure de la quantité de viande consommée, pour en arriver à une censure de l’Internet, avec l’introduction d’un passe digital pour accéder à internet. Le système de crédit social de l’union européenne sera bien pire que l’expérience menée en Chine, qui n’a été menée que dans quelques villes. Le système de crédit social de l’UE vise à un contrôle absolu de votre corps, de votre comportement, de votre vie privée et en fin de compte de votre vie physique. Si vous ne vous soumettez pas, il n’y aura ni pitié ni recours, votre vie sera celle d’un marginal, sans aucun des avantages que vous vous êtes habitué à connaître. Préparez-vous.

Dans d’autres régions du monde occidental, comme en Australie, la société dystopique est d’ores-et-déjà une réalité. L’Australie a par le passé, et continue en ce moment, en tant que membre de l’Empire britannique, et sous influence des États-Unis, à préparer un conflit contre la Chine. L’Australie est le pays occidental le plus proche de la Chine, et nous connaissons tous son nouvel « AUKUS », présenté comme un nouveau pacte de sécurité entre le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Australie ; c’est une tentative de contrer la Chine. Pour se préparer et doubler la Chine, ils ont déjà lancé leur système de crédit social draconien, et pire encore, leur État de surveillance constitue déjà une réalité. Des rapports alarmants pointent du doigt ce pays, qui fut jadis appelé terre des hommes libres, et qui constitue désormais le pays le plus répressif du monde occidental. Vous vous demandez ce que font Amnesty International ou les Droits de l’Homme? Bien évidemment qu’ils ne vont pas en parler, ils ne sont qu’un outil dans la main du même monde occidental, et ils ne parlent que des pays non-soumis, comme la Russie, la Syrie, ou bien les pays sous-développés. Mais l’Australie a toujours été un pays « raciste », basé sur le principe du meurtre des Aborigènes, et l’envoi des criminels sur la terre conquise. Le Canada en est un autre exemple, d’une manière différente de l’Australie, mais avec la même idéologie sous-jacente. Bien sûr, le pays le pire du monde est la soi-disant démocratie d’Israël, où la vie est un « enfer » pour la plupart des citoyens. C’était déjà le cas pour les Palestiniens, c’est en train de le devenir également pour les Juifs orthodoxes.

CONCLUSION

J’aimerais produire une conclusion, mais pouvons-nous en établir une? Je ne crois pas, le monde que nous connaissons désormais est instable, bourré de conflits et ultra-polarisé, avec de nombreux différends géopolitiques. Je crains que nous soyons revenus, comme les rugissantes années vingt du siècle passé, qui avaient débouché sur les terribles années trente, au chômage, à l’introduction (par la force) d’un nouveau système, conçu par les élites du monde occidental. Ce monde semble à présent mûr pour un conflit, et très probablement la guerre, par une guerre comme la seconde guerre mondiale, mais une guerre différente, une guerre biologique (nous en subissons peut-être déjà les effets), un agenda de dépopulation, mis en œuvre par les vaccinations et l’introduction de l’intelligence artificielle. L’eugénisme (qui n’est pas une nouveauté) est nécessaire aux yeux de l’élite, comme au cours des deux guerres mondiales, où l’eugénisme fut produit par la mort des soldats sur les champs de bataille, et bien sûr l’holocauste. À présent, à en croire la même élite, il y a trop de bouches à nourrir, et pas de travail (intelligence artificielle), et bien évidemment l’élite n’a aucune intention de partager ses richesses avec les pauvres. Les heures sombres de l’histoire de l’humanité sont de retour.

Sonja van den Ende

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




La Belle et les truands (partie III)

Par Lucien Oulahbib

[Voir La belle et les truands
et La belle et les truands (Partie 2)]

Le déplacement à Drancy lui sembla bien instructif, alors que la voiture filait tant bien que mal entre les 30 et 50 à l’heure le long de murs gris laissés à l’abandon, avec de temps à temps une « griffe », mais plutôt des tags épars, suintant la crasse, mais aussi comme gardant en creux les souffrances humaines transportées dans cette patine sombre tant il lui semblait entendre encore (comme Proust le décrit si bien dans « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ») leurs « murmures » enfouis en atomes de son implantés ainsi par les passants, en particulier lorsqu’il s’agissait de ces murs d’anciennes usines que tous ces travailleurs avaient croisés en 3/8 ; illusions perdues…

Aujourd’hui, leurs représentants ayant échoué à construire ne serait-ce qu’une contre-société tant les individus étaient de plus en plus « seuls » dans leur « existé » (disait Lévinas), tentaient encore de se rattraper aux branches du clientélisme le plus rance en fomentant l’idée par exemple qu’il était plus juste d’aider financièrement et de fournir un logement à une famille étrangère fraîchement débarquée qu’à un jeune couple de Français attendant depuis plusieurs années une même aide pour pouvoir s’installer et procréer. Certes, cette famille étrangère avait pu arracher une sorte de permis de séjour provisoire le temps d’étudier son dossier, mais tout le monde savait bien qu’il suffisait de placer ses enfants à l’école et d’en fabriquer un dans la foulée pour que cette famille ne soit plus expulsable. Or l’on mélangeait deux choses : le droit humanitaire qui doit relever d’instances communautaires mondiales (comme en bénéficient lesdits réfugiés palestiniens) et le droit national qui ne peut être réservé qu’aux citoyens et aux personnes ayant de réels permis de séjour.

L’appartement était douillet et silencieux, et alors qu’il mangeait sur le pouce, Z en profita pour se lover au coin du feu dans le fauteuil qu’il affectionnait pour feuilleter un ouvrage « collectif » (avec Éric Fassin en maître d’œuvre) que venait de lui conseiller un ami, et qui exprimait parfaitement cet esprit-là rencontré à Drancy imprégnant de plus en plus fortement les élites dites françaises, à savoir cette confusion des genres (entre problèmes internationaux — qui relèvent strictement de la solidarité internationale — et problèmes nationaux) présupposant dans ce cas à terme la suppression effective de la distinction juridique puis politique et donc électorale entre nationaux et non-nationaux.

Tandis qu’il prenait donc ce livre (intitulé « Cette France-là », 01 07 2008/30 06 2009 volume 2, diffusion la Librairie la Découverte, 2010), il apprit au même moment que le Groupe Sud Ouest avait décidé de ne plus faire état de sondages dans ses journaux, et que la gauche et l’extrême gauche avaient donné le feu vert au nom de la « lutte contre les violences d’extrême droite » à diverses milices Black bloc et autres Antifa afin de semer la terreur néo-léniniste façon année 30 lorsque les milices communistes staliniennes allemandes faisaient quasiment cause commune avec les milices nationales-socialistes pour aller casser sinon ensemble du moins parallèlement les meetings sociaux-démocrates considérés depuis 14 comme des sociaux-traîtres, voire comme pire que les nazis ; comme si aujourd’hui les patriotes nationalistes français étaient considérés bien plus dangereux que les djihadistes, ceux-ci étant au fond méprisés ou alors évalués de manière condescendante comme étant manipulés par le « sionisme » international provenant soit du « Mossad », soit du « néo-libéralisme ». C’était d’ailleurs la parfaite jonction entre les vieux courants drumontistes et maurrassistes — plutôt que maurrassiens — n’ayant d’un côté jamais rien compris à la chute de la Monarchie française, et de l’autre des histrions genre Vieille Taupe ramassis d’anarchistes se réclament à la fois de Proudhon et de Bakounine façon CNT espagnole bien implantée à nouveau parmi Sud et autres « Solidaires ». Tout ce beau monde formait ce remugle hérétique d’antijuifs congénitaux entremêlant des éléments illuministes christiques luttant contre les francs-maçons et le peuple « déicide » et tout un fatras « alter » post tiers-mondistes recyclé dans la « deep ecology » et supportant la matrice des ZAD et « intersectionnalistes » néo-léninistes (adeptes de l’écriture inclusive forçant à signifier masculin et féminin alors que la théorie queer du genre insistait à les effacer), chair à canon des affairistes, djihadistes et mélenchonistes en chambre (eux-mêmes idiots utiles des deux premiers).

À la page 4 de l’ouvrage, il est fait état d’une question écrite (dans un langage diplomatique et soumise au Premier Ministre de l’époque — fin 2009 — François Fillon) qui exprimait le souci suivant (suite à la crise de 2008 dite des « subprimes ») : » 

C’est ainsi que nous écrivions :

« (…) si la crise fait ressurgir le spectre d’un protectionnisme digne des années 1930, ceux qui s’en inquiètent aujourd’hui auraient tort d’oublier comment la xénophobie le suivait alors comme son ombre ; il serait donc illusoire de prétendre conjurer le premier en s’accommodant de la seconde. »

Dans un courrier reçu le 20 mars (2009) le Premier ministre nous répondait avec courtoisie : « vous affichez dans cet ouvrage l’intention de soumettre la politique de l’immigration conduite par le gouvernement à un examen argumenté. J’en prends acte et m’en remets à l’objectivité de votre travail. Je salue le caractère méthodique et l’ambition du premier volume paru. » Son courrier dépassait toutefois les exigences de la politesse, puisque François Fillon entreprenait de conjurer nos inquiétudes en s’y associant. « Quant aux craintes que votre lettre exprime, je peux vous assurer que j’en partage les principes et qu’aucun effort ne sera ménagé pour en écarter la menace : la République ne tolérera pas que la crise serve de prétexte au rejet, à la discrimination ou à la haine raciale. Le gouvernement que je dirige condamne avec une entière fermeté toute démarche visant à faire des immigrés, légaux ou illégaux, des boucs émissaires de difficultés économiques dont ils sont souvent les premières victimes. » (…) Un an plus tard, qu’en est-il ? Si les propos du Premier ministre se voulaient rassurants, l’action menée par son nouveau ministre de l’Immigration est au moins de nature à jeter le trouble. (…) Éric Besson n’hésite pas à aller plus loin que son prédécesseur (Brice Hortefeux) par exemple avec le « démantèlement de la jungle » de Calais ou l’expulsion d’étrangers vers des pays en guerre comme l’Afghanistan. (…) Ainsi parler de « mariages gris » ou de « supermarché de l’asile », c’est s’en prendre, en pratique, aux couples binationaux ainsi qu’aux réfugiés. (…) Avec la crise, le nationalisme et la xénophobie ne reviennent-ils pas en force, dans la société comme dans le monde politique, ainsi qu’on a pu le constater dans les dérapages qu’a encouragés le débat sur l’identité nationale et comme me montrerait l’acharnement de l’État français à l’encontre des étrangers ? (…) » 

(pages 4 et 5).

Tout y est dit pensa Z en fermant l’ouvrage. Et alors que son chat sautait sur ses genoux, il prit un grog, regardant les flammes éternelles dévorer la nouvelle bûche, et songea aux dégâts incommensurables exprimés par ce qu’il venait de lire. D’un côté, l’aveuglement tenace du pouvoir en place à l’époque qui n’a pas réussi à hisser le débat au niveau adéquat, à savoir cette confusion des genres entre un problème mondial, celui des flux migratoires liés pour une grande part à la faillite idéologique de la gauche, et la droite dite progressiste. À croire que la division internationale du travail et les fameux « avantages comparatifs » étaient la solution à tout, y compris aux corruptions locales (Wilson en 14 avait fait la même erreur avec l’Allemagne en forçant la France à ne pas faire en sorte que la première paye rubis sur l’ongle les dégâts de la guerre). Et de l’autre côté, la pression idéologique immense d’une gauche et d’une extrême gauche qui ne s’avouaient pas vaincue à faire de telles injonctions confusionnistes, alors que par ailleurs tous leurs modèles de « société socialiste » avaient échoué soit dans la misère, soit dans les massacres, soit dans la combinaison des deux, sans que pour autant il n’y ait eu de procès international pour juger ces millions d’assassinés aux divers Goulag staliniens et maoïstes, ces luttes internes qui ont vu des liquidations par dizaines de milliers comme en Algérie, à Cuba, au Venezuela, au Mozambique, actuellement en Afrique du Sud, voire des millions comme au Cambodge…

Sans que pour autant également ces gens ne se remettent en cause en tentant de se demander ce qui a pu échoué dans leur analyse, un peu comme Marx qui après avoir publié le premier tome du Capital, hésita à publier les deux autres tomes (sur la paupérisation généralisée et l’accélération de la baisse tendancielle du taux de profit liées à la mécanisation, ce qui était déjà faux comme Marx le pressentait), les confiant à son ami Engels qui les remit ensuite à Bebel et puis Kautsky (ennemi déclaré de Lénine, celui-ci n’ayant par ailleurs rien compris à l’attachement affectif à la notion de Nation). Or ces gens qui avaient écrit ce livre « Cette France-là » persistaient dans cette même engeance pédante des post-jacobins, celle de croire que si les Russes, les Chinois, les Vietnamiens, les Cubains, les Algériens avaient échoué c’est qu’ils avaient mal lu les textes, mais qu’eux, révolutionnaires « républicains » tendance remugle sauraient mieux réaliser. Sans oublier le fait que les centrales à charbon tournent au maximum en Chine et en Allemagne, mais que guère d’opposants viennent assombrir la quiétude de leurs ambassades feutrées nichées dans les quartiers cossus des grandes capitales occidentales.

Z toussa. Le chat maugréa et sauta vers le canapé à côté. À vrai dire, il réfléchit encore à cette lancinante tension à Drancy, celle de personnes se satisfaisant de cette espèce de no man’s land ambiant (tels ces vociférations quasi guerrières permanentes de femmes et ces « sale juif » relatés par Christine Kelly de C News) dans lequel le délitement se fait pratiquement par effet d’usure et superposition d’actions volontaires et involontaires. Ainsi cette vieille association d’habitants de Drancy aussi dépassée que les « patronages » pour occuper une génération biberonnée aux jeux vidéo et aux clips affriolants des raps à l’ambiance gangestérisée, sans oublier ces élus venus le toiser avec moult chiffres sur les retraites des étrangers et leur taux de chômage, ou même cette dame et son fichu fichu qui expliquait qu’elle paye ses impôts alors qu’il ne s’agit pas du tout de cela, mais d’abord de savoir si l’on partage un « être ensemble » et non seulement « un vivre ensemble ». Il ne s’agit pas seulement d’une cohabitation, mais aussi d’un « être » fait d’attributs divers. Ceci signifie que l’on a du bonheur à être là, définition même de la Cité selon Aristote et de la République pour Platon qui se traduit par Politeia et non pas Res publica (qui n’en est qu’un aspect) ou la distinction entre Le Politique (l’être singulier d’un Peuple ou Nation : ainsi la Nation cheyenne) et La Politique (les institutions permettant de gérer un régime nécessairement mixte dirait Aristote, car absorbant les conflits permanents et nécessaires entre l’Élite et le Peuple comme l’avait théorisé Machiavel).

Z soupira. Toutes ces choses n’étaient plus apprises à SciencePo. Bien au contraire. Au loin une sirène retentit. Il reconnut celle d’un camion de pompier et se rappela ce mot d’enfant qui dit tout de l’ambiance d’une époque : « tu vois Papa, quand c’est un camion de pompiers, la sirène veut dire “tiens bon, tiens bon”, mais quand c’est celle d’une ambulance elle veut dire “t’es foutu t’es foutu”. Il eut les larmes aux yeux : les camions de pompiers se faisaient plus fréquemment caillasser qu’admirer, sans oublier maintenant leur mise à l’index s’ils ne se faisaient pas injecter… Z se gratta la tête à cette idée. Il fallait bien pourtant dire quelque chose bientôt dessus tant cette hystérie sanitaire se doublait d’une frénésie à la fois affairiste et sécuritaire, une drôle d’atmosphère de plus en plus dilatée entre d’un côté le monde feutré des médias et des institutions qui vivaient dans une bulle semblable à celle des stations orbitales ou des nouveaux bordels échangistes dans lesquels amis et ennemis se croisaient et toisaient un moment, et de l’autre, le monde de la troisième étape des moments insurrectionnels lorsque la guérilla d’usure se superpose à la formation d’îlots fonctionnant sinon en enclaves du moins en isolats

Le temps était compté. Mais de plus en plus très mal conté. L’horloge sonna avec ce carillon de la cathédrale de Reims qu’il affectionnait. Quoique celui de Big Ben n’était pas mal non plus…

À suivre.

[Voir aussi L’immigration]




Les Vaccins vont-ils détruire les États-Unis ?

[Source : mirastnews via profession-gendarme.com]

Un article qui rejoint celui donné par un ancien officier des renseignements qui expliquait le risque d’affaiblissement d’une armée américaine vaccinée.
Je ne suis pas en mesure de vérifier les dires de l’article ci-dessous mais j’aurais tendance à y accorder quelques crédits en raison de la personnalité de l’auteur de la divulgation de cette fuite d’une conférence chinoise, candidat représentant, surtout en sa qualité d’ancien militaire de carrière.

[Profession Gendarme]

Les Chefs du Parti Communiste Chinois discutent de l’impact du Vaccin sur l’affaiblissement des Forces Militaires Américaines !

Une horrible vidéoconférence (vidéo ci-dessous) de l’intérieur de la Chine a été interceptée par des sources de renseignement et dans celle-ci, les patrons du Parti communiste chinois (PCC) discutent de l’avenir des États-Unis après la distribution du vaccin : “Tous ceux qui ont pris le vaccin vont mourir !” , disent-ils.
La partie divulgué de la vidéoconférence interceptée commence avec le patron du PCC qui a organisé la vidéoconférence en disant aux autres participants du PCC “Ce que le PCC veut le plus, c’est que les troupes américaines se fassent vacciner !”

L’orateur poursuit en disant : “Une fois vaccinés, l’armée américaine s’effondrera et le PCC triomphera !” 
La conversation se poursuit avec l’orateur principal disant : “Après que les troupes américaines auront été vaccinées, je vous le dis, la vaccination contre le virus du PCC sera pratiquement terminée.” 

Il continue : “Quand la société d’élite américaine, à cause de la peur, de la peur de la mort, du manque de foi, et parce que ces politiciens voyous et de bas niveau, les opportunistes, voulaient se soustraire à leurs responsabilités ; surtout quand Wall Street, les célébrités hollywoodiennes, la Maison Blanche et les troupes seront vaccinées, je peux vous assurer qu’il n’y aura plus de problème de vaccination.” 

Il poursuit : “Les personnes qui mettent en œuvre la vaccination vont bientôt avoir fini. Ceux qui poussent la vaccination dans les coulisses auront probablement atteint leurs objectifs.” 

Puis de manière choquante dans la même vidéo, ci-dessous, ils parlent de . . . UN ANTIDOTE ?!?!?!?
“La vaccination ne sera plus poussée et l’ANTIDOTE sera certainement proposé.” 
À ce stade, l’un des participants à la vidéoconférence, choqué, interrompt et demande “L’antidote va-t-il apparaître ?” et un autre vient en demandant “A quoi sert l’antidote ?”  

Le principal intervenant en visioconférence répond “Ce n’est pas pour guérir les dommages causés par les vaccins, c’est pour vous empêcher de transmettre le virus, au lieu d’un remède pour les vaccins.” 
Il livre alors les faits bruts : « Ceux qui ont été vaccinés sont condamnés à la mort. L’antidote pour les vaccins est toujours entre les mains du PCC. Puisque le PCC veut que (vous) mourez, comment vous offrirait-il l’antidote, le Lao Baixing de Chine ? 

La partie divulguée s’y termine brusquement.
La vidéo divulguée interceptée a été rendue publique par Jarome Bell. Le Républicain Jarome Bell, se présente dans le deuxième district du Congrès de Virginie. Il a tweeté vendredi : “Auditez les 50 États. Arrêtez toutes les personnes impliquées. Interrogez tous les participants. Condamnez toutes les personnes impliquées. Exécutez toutes les parties impliquées. #MaricopaCountyFraud.” 

Bell, qui a servi dans la Marine en tant que premier maître pendant 27 ans, se présente comme un candidat conservateur “America First” (Républicain) dans le district de banlieue englobant la région de Virginia Beach, selon le site Web de sa campagne. La démocrate Elaine Luria représentait actuellement le district.

Bell a téléchargé la vidéo sur Twitter. Littéralement quelques minutes après la révélation de la vidéoconférence interceptée depuis l’intérieur de la Chine, le compte Twitter de Bell a été définitivement suspendu. 
Un contact du renseignement au sein de Twitter a pu accéder au compte depuis Twitter et capturer l’écran du tweet et de la vidéo, nous l’envoyant secrètement.



Traduction : MirastNews
Source : Tap News
Posted le 23 octobre 2021 par mirastnews : 




Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »

[Source : limpertinentmedia.com]

[Photo : © DR]

Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et auteure de plus de vingt-cinq ouvrages. Ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel. Depuis le début de la crise Covid, elle fait partie de ceux qui ont tôt fait de déceler les incohérences et les abus des politiques mises en place. Depuis la Colombie, où elle réside, cette observatrice du psychisme humain a accepté de nous livrer son regard sur la situation actuelle.

Amèle Debey, pour L’Impertinent : En tant que docteure en psychopathologie, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la situation que nous vivons depuis 18 mois?

Ariane Bilheran : La violence des décideurs sur les populations, le harcèlement exercé sur les populations, à tous les niveaux. Idéologie, manipulation de masse, violence économique, violence sur les corps, censure, atteintes à la liberté d’expression.

Un de vos domaines d’expertise est les déviances du pouvoir. Ce qui se passe en ce moment à de quoi nourrir votre réflexion?

Oui. Dès avril 2020, j’ai écrit un article appelé Totalitarisme sanitaire: «c’est pour ton bien»… Le mal radical. C’était encore un gros mot, on n’avait pas le droit d’en parler. Mais depuis, cela a fait son chemin. Après, j’ai éprouvé le besoin d’écrire un autre article en août que j’ai appelé Le moment paranoïaque, où j’ai trouvé l’expression de «déferlement totalitaire» qui, depuis, a bien circulé. Et puis, en décembre, je me suis exprimée sur Radio Canada à propos du totalitarisme actuel dont on voit la manifestation.

Grâce à mon expertise, j’en ai repéré les symptômes très tôt: dans le caractère idéologique, c’est-à-dire le fait de présenter comme une vérité une fiction mensongère tout en demandant l’adhésion de la population à cette fiction. Le passage à l’acte: les obligations de confinement, la suppression des droits les plus élémentaires; les paradoxes permanents.

«La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt»

En Amérique du Sud par exemple, empêcher les gens d’aller travailler ne peut pas être dans l’intérêt de leur santé, parce que lorsqu’on n’a pas de source de revenus fruits de notre travail pendant plusieurs mois, et qu’on n’a pas d’aide, ce n’est à priori pas ce qui va nous mettre en bonne santé!

La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt. De la même façon, il y a une notion qu’on appelle le clivage, en psychologie, qui consiste à diviser un collectif en deux populations irréductibles qui ne peuvent plus s’entendre entre elles. Car l’une étant sous perfusion idéologique. Elles ne peuvent plus communiquer.

J’ai travaillé pendant longtemps dans des organisations du travail. Quand elles devenaient pathogènes, créatrices de troubles psychosociaux au travail, j’en repérerais les mécanismes à différentes échelles. Que ce soient les manipulations émotionnelles, les contradictions, les mensonges, les paradoxes sur les discours, le fait de réduire la complexité du réel à un seul paradigme, à un seul paramètre, tout cela m’a paru quand même assez fou.

On voit que ce sont les pays les plus riches qui ont réagi de la façon la plus disproportionnée. N’étions-nous pas installés dans une sorte de confort?

Je ne sais pas si la première phrase est juste. Parce que la Colombie n’est pas un pays riche et nous avons eu six mois de confinement extrêmement sévère. Il y a eu beaucoup de pays pauvres où cela s’est également joué comme ça.

Par contre, dans les pays occidentaux, il y a eu beaucoup d’aides distribuées aux gens. Ils ont donc davantage eu l’impression que c’était pour leur bien cette affaire, puisqu’on les prenait en charge. Il y a donc eu moins de dissonances au départ sur ce point. La différence est sans doute là.

Certains pensent tout de même que ces mesures étaient tout à fait justifiées.

J’ai une seule question pour eux: on sait qu’en 2020, ne serait-ce que pour l’Amérique du Sud, les décisions politiques ont plongé dans la misère plus de 20 millions de gens. Près de 30 millions en 2021. Est-ce qu’on peut prendre soin de sa santé lorsqu’on est dans la pauvreté extrême? Est-ce vraiment justifié? Est-ce vraiment une politique tout à fait mesurée, équilibrée, qui prend en compte différents paramètres?

Est-ce que la docilité des gens vous a surprise?

Oui et non. D’abord, je pense que tous les peuples ne réagissent pas de la même façon par rapport à leur passé. Au niveau européen, il y a souvent une croyance naïve que les gouvernants sont là pour notre bien. Ce qui fait qu’il est très compliqué de remettre en question deux choses: les gouvernements ne nous veulent pas du bien, mais en plus ils nous veulent sciemment du mal.

Vous pensez vraiment que les gouvernements nous veulent sciemment du mal?

Peut-être pas tous. Mais je pense en effet que les décideurs à haut niveau et en particulier les soi-disant philanthropes qui, avec leurs milliards, auraient de quoi faire de la planète un paradis, nous veulent sciemment du mal.

Dans quel but?

A partir du moment où vous avez confisqué la majorité des richesses au détriment d’une plus grande population, cette population représente une menace pour vous.

C’est pourtant celle qui fait fonctionner le système, non? Ils ont forcément besoin de nous.

Dans quelle mesure ont-ils besoin de nous, je n’en sais rien. Ça ne me paraît pas évident. Nous sommes vus comme des pollueurs, des parasites. Je crois qu’à un moment donné, la question d’accumulation de richesses à un stade qu’on ne peut pas se représenter, ni vous, ni moi, fait tourner la tête si elle n’était déjà pas solide avant. Ça crée un gouffre incommensurable entre les pauvres et une toute petite minorité d’une classe extrêmement riche qui prétend dicter à la planète toutes sortes de choses. Et qui fait des gouvernants de simples exécutants.

On voit bien que si les gouvernements étaient autonomes, ce ne se serait pas passé comme ça. Or, la marche de manœuvre pendant la crise était assez réduite, puisque tout le monde a appliqué à peu près la même politique. Et pas dans l’intérêt des peuples.

Vous disiez récemment qu’il s’agissait d’une guerre des riches contre les pauvres?

Oui. Encore une fois je pense que l’on observe l’arbre à ses fruits. On a un appauvrissement toujours croissant de la pauvreté et un enrichissement toujours plus grand de l’autre côté. Il y a des gens qui s’enrichissent considérablement sur la crise. On a basculé l’immense majorité de la population mondiale dans une extrême pauvreté, sans se préoccuper des impacts sur la santé.

Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes.

Il semblerait qu’on ait amené les gens à confondre les conséquences des mesures prises avec les conséquences du Covid. On a donc créé le contexte pour qu’ils aient envie de cette servitude volontaire dont parlais La Boétie. Comment peut-on expliquer cette situation?

Sur le plan de la philosophie politique, on peut l’expliquer par le fait qu’a été mis en place de façon assez clair et un peu partout un régime totalitaire. Il rencontre de la résistance ça et là, mais c’est le projet.

Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique.

Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter.

Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

«On crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie»

En 2020, on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé. J’ai pris l’exemple économique tout à l’heure: quand vous n’avez plus à manger, que vous ne pouvez plus payer vos factures, comment faites-vous pour vous alimenter correctement, ne pas être dans l’angoisse et la précarité, vous protéger au niveau de votre santé et de votre immunité ainsi que vos enfants? Ce n’est donc pas du tout une politique en faveur de la santé, mais une politique de précarisation qui a eu lieu dans de nombreux pays du monde et qui a entraîné davantage de troubles de santé.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela? N’y a-t-il pas un fonctionnement, au niveau du cerveau, qui fait que nous ne sommes pas capables d’envisager certaines réalités trop éloignées de notre ligne de pensées, au risque de devenir complètement fous?

Tout à fait. C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens. Il faut savoir que cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Le meilleur exemple: quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. C’est un mécanisme de défense. Ou, encore une fois, on peut être dans le déni: le réel est tellement insupportable que je ne peux pas me le représenter.

Donc je pense que moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable, comme c’est le cas des pays occidentaux qui ont l’habitude de fonctionnement plus équilibrés. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien»: c’est très tentant d’y entrer. Je pense que la majorité des gens, et c’est bien normal, ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non.

Oui, alors là c’est le syndrome du fonctionnaire qui fonctionne. C’est-à-dire qui préfère restreindre son champ de pensée et le réduire à la tâche qu’il a à exécuter. Car s’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou.

Je pense que le psychisme protège, jusqu’à un certain point, les gens de ce basculement. De cette désintégration psychique.

On constate aussi que ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation. L’autrefois philosophe Raphaël Enthoven en est le parfait exemple.

D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens.

Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses: d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point: ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique.

Il faut bien se dire que le système devient fou, mais que quand on fait partie du système parce qu’on y a des avantages, des privilèges et que remettre en question la doxa dominante impliquerait de perdre ces privilèges et sa place dans ces groupes d’appartenance (groupes de pairs notamment), tout le monde n’est pas prêt à le faire. Je connais des gens qui ont des doubles discours. Des discours publics et des discours privés. Donc ils ne sont pas si naïfs que ça.

Pourtant, j’avais tendance à penser que Raphaël Enthoven pouvait réunir ces caractéristiques.

Il fait sans doute partie de groupes d’appartenance (par exemple, l’intelligentsia parisienne) qu’il n’est pas prêt à quitter. Et ces groupes d’appartenance ont fait cette allégeance-là. Cela met tout le monde face à des conflits de loyauté.

C’est à dire?

On voit le prix qu’ont payé certains scientifiques, certains universitaires et certains chercheurs à dire leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non.

Quand Laurent Mucchielli se fait dédire par le CNRS, la question est de qui dépend le CNRS? Qui a peur de perdre sa place? Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait que des endoctrinés là-dedans, si vous voulez. Je suis même sûre du contraire. Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France.

De manière plus générale, la collaboration des intellectuels avec les régimes totalitaires n’est pas nouvelle. Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’li se passait.

Vous disiez aussi que la crise sanitaire était un peu l’aboutissement d’une déliquescence qui a débuté il y a longtemps. Que vouliez-vous dire?

Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger». Le totalitarisme est la proposition inverse.

Dans l’idée que nous sommes tous des cellules d’un même corps, il y a l’idée qu’il faut sacrifier les cellules cancéreuses, celles qui s’autonomisent du corps. Donc l’individu n’est pas sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Et je pense que cela est en cours depuis très longtemps. C’est une perte à la fois de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. Et en même temps, c’est la profanation de tous les individus. «Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire: l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie.

C’est en cours depuis longtemps, on le voit dans l’évolution du management au travail, dans la prolifération des écrans pour les enfants: ce sont des façons d’abraser complètement le sujet et de le nier dans ses besoins propres pour en faire un bon consommateur. On va mettre les gens dans des cases, où ils vont devenir a minima des instruments de production, et quand ils ne servent plus, qu’ils sont inutiles du point de vue de la production capitalistique, on les jette.

Tout cela est le total inverse des valeurs qui ont été le socle de notre civilisation, mais ça fait longtemps que c’est à l’œuvre.

Mais qu’est-ce qui a déclenché tout ça? C’est à l’œuvre depuis combien de temps, selon vous?

C’est difficile à dire. Je pense qu’il y a une conjonction de plusieurs facteurs et ce n’est pas exhaustif: premièrement, le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort. L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. Mais ce n’est pas suffisant.

Le deuxième point, c’est le développement technologique. On arrive à une époque – on y est sans doute depuis Hiroshima – où on n’arrive pas à se représenter, ni imaginer ce que les outils que nous créons sont capables d’engendrer. L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre.

«Nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs»

Si on regarde du point de vue de l’instruction publique, il y a eu une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants. Ces sonnettes d’alarme ont été tirées par les enseignants. Il y a quand même un pouvoir qui orchestre le fait de rendre les citoyens dociles. Mais ça n’est pas nouveau. C’est la nature du pouvoir de comploter pour se maintenir. La question nouvelle, c’est que nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs.

Peut-être, mais ça n’est qu’une hypothèse, que l’ère de la jouissance et de la consommation à tout va a fait s’effondrer les individus moralement. Mais c’est compliqué de répondre à cette question et je pense que la nature est polyfactorielle. En même temps, c’est presque inéluctable.

La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dû les préoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère? Parce que ce n’est pas très marrant de se poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur.

Vous avez des réponses à cette question ? Pourquoi en est-on arrivés là?

Il y a eu, en tout cas du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing etc. un encouragement, une dérégulation qui ont fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans. Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. C’est un peu le monde de Huxley.

Ne pensez-vous pas que cette crise peut être une opportunité? Tout ce qui se passe est tellement gros que ça ne peut que déclencher une révolte et aboutir sur quelque chose de positif, non?

Je ne sais pas, peut-être. Il me semble que c’est un peu David contre Goliath pour l’instant. On peut toujours espérer un miracle.

Comment expliquer l’apathie totale de la gauche? Et qu’il faille finalement compter sur la droite, voire l’extrême-droite, pour s’opposer aux mesures?

Ma réponse est peut-être un peu trash, mais je pense que la politique n’est plus du tout représentative des aspirations des peuples. C’est une caste qui se reproduit entre elle, selon des codes d’initiation conférés, et qui a trahi les peuples depuis longtemps. Quelle qu’elle soit. Ils roulent pour leur pomme. Les États sont managés comme de grandes entreprises, avec des actionnaires de l’ombre et des gens qu’on va placer aux commandes. On les remplace lorsqu’ils ne conviennent plus. On va orienter des sondages, des votes, jusqu’à les trafiquer dans certains pays.

L’Impertinent a publié plusieurs articles sur la maltraitance des enfants, car l’état dans lequel se retrouve la génération de demain m’inquiète beaucoup. Quel est votre avis là-dessus ? A quoi vont ressembler les adultes dans 10 ans?

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que, du point de vue psychologique, la psychose paranoïaque produit des traumatismes en chaîne, des dissociations traumatiques et donc de la schizophrénie. On risque donc d’avoir, sur des esprits fragiles, une augmentation exponentielle des taux de suicides et une augmentation des pathologies de type schizophrène chez les enfants. C’est gravissime. Tous les totalitarismes s’en prennent systématiquement aux enfants, les endoctrinent, poussent à la délation, divisent les familles, tournent les enfants en opposition contre leurs parents, etc. On est dans cette politique-là.

J’observe que certains de mes collègues passent beaucoup plus de temps à dénoncer les complotistes qu’à enquêter sur les véritables sujets et je me demande s’ils n’ont pas une part de responsabilité dans la radicalisation de certaines minorités?

Pour la radicalisation des minorités, il faut comprendre que le régime totalitaire fonctionne sur un mode paranoïaque. Mais la paranoïa est partout. C’est une structure collective, non un psychisme seul. C’est la notion de la méfiance tous contre tous. Il va donc y avoir, dans l’opposition, des phénomènes en miroir de ceux qui sont dénoncés dans cette fameuse opposition. Finalement, pour certains, il peut y avoir aussi une vraie folie en miroir. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux assimilations qui sont faites.

Dans l’idéologie sur la santé qui nous occupe, il y a la création d’une nouvelle langue. Celle-ci inclut a minima plus de 60 nouveau mots et d’expressions détournées de leur sens. A partir du moment où cette nouvelle langue est acceptée (comme le terme «complotiste» d’ailleurs, avec lequel on croit faire allusion à une certaine réalité mais sans savoir exactement bien laquelle, chacun y met de sa subjectivité interprétative), cela crée une adhésion au système. Si les opposants à cette politique générale acceptent cette nouvelle langue, ils en deviennent les promoteurs. C’est donc très compliqué. On le voit déjà à un tout petit niveau avec les anglicismes. Le terme «narratif» n’existe en français que comme un adjectif. Le terme exact est «narration». Pourtant, moi comprise, nous avons souvent utilisé «narratif» au lieu de «narration». C’est de la colonisation linguistique.

Tout cela fait qu’on n’a plus la capacité de se représenter la réalité au travers de notre patrimoine, qui est une langue commune que nous partageons. Et, en prime, on n’a plus la capacité de communiquer avec les autres. Pour ce faire, il faudrait rentrer dans la nouvelle langue, mais elle n’a plus la capacité de désigner la réalité de l’expérience. Donc les dés sont pipés.

On entend régulièrement, depuis près de deux ans, les gens nous dire que cette crise est bientôt finie. Comment est-ce que vous voyez les choses se terminer?

Mal. Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu.

Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas.

Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus?

Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas.

Le site d’Ariane Bilheran, c’est par ICI!

[Voir aussi :
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




Le chef de l’OMS a-t-il été un des acteurs-clés qui se seraient livrés à « des meurtres » et auraient autorisé « la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens »? La plainte qui le discrédite

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam



L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

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Les gouvernements du monde soutiennent l’OMS de Tedros Adhanom Ghebryssus (TAG). Plus que cela, il y a consensus pour transférer à l’organisation supranationale la gouvernance mondiale en matière de santé publique.(([1] L’OMS veut l’Autorité absolue en matière de Santé Publique Mondiale. Alain Berset en fer de lance.))

Nous avons vu récemment qu’une Académie avait vu le jour sous l’impulsion du gouvernement français. Un Accord-cadre avait déjà été signé avant la crise du Covid, soit en décembre 2019. Le document français porte la signature de Mme Agnès Buzyn qui en est depuis septembre 2021 la patronne fondatrice.(([2] Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…))

Ce message fait suite à celui publié mardi soir par le dirigeant français sur son compte Twitter officiel appelant à « construire, autour de l’OMS, une initiative forte sur les diagnostics, les traitements et les vaccins accessibles à tous ».(([3] https://www.20minutes.fr/monde/2762671-20200417-coronavirus-patron-oms-remercie-macron-leadership-reponse-internationale-pandemie))

Cependant, l’OMS est aussi le lieu du lobbying actif de tout ce que la terre compte comme « philanthropes » et lobbyistes. Pour faire simple, en d’autres temps, ces accointances publiques-privées auraient été qualifiées de corruptions et de conflits d’intérêt. D’autres temps, d’autres moeurs…(([4] Bill Gates: la philanthropie dans le circuit fermé du grand business. Le Média.
L’argent des Gates infiltre notre environnement.
La haute finance prend le contrôle de votre santé.))

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Dans les faits, plus les gouvernants des Etats sponsorisent et cautionnent l’OMS financiarisée, et plus les tenants du marché financier global sont renforcés et légitimés pour pénétrer la sphère publique et l’influencer. Dès le début de l’épidémie, la Fondation Bill & Melinda Gates a appelé mercredi 15 avril « à un effort mondial pour fabriquer un vaccin ».

« Il y a sept milliards de gens sur la planète et nous devrons vacciner pratiquement tout le monde, mais nous n’avons pas les capacités de production », a ajouté Mark Suzman, le directeur général de la fondation. Les gouvernements devraient selon lui « unifier leurs efforts et leur argent » pour que les vaccins soient accessibles au plus grand nombre, une campagne mondiale qui devrait coûter « plusieurs milliards de dollars »(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coronavirus-l-oms-la-fondation-223461))

Et voici une dame qui siège simultanément chez Pfizer ET à la Fondation Gates. Ca vous pose problème?

Eh bien oui. Problème il y a. Nous ne parlons plus à ce stade de se faire piquer les avoirs bancaires ou de se faire refiler leurs casseroles. Là nous parlons de la conception que les financiers ont du corps humain de la masse de l’humanité qu’ils considèrent comme des inutiles. Les rapports multiples provenant de scientifiques honnêtes convergent vers des questionnements lourds et urgents quant à la nature et à l’ampleur des conséquences résultant des injections expérimentales imposées à l’humanité.

En ce moment, il est question entre autres de surmortalité « toutes causes confondues » qu’aucun politique ne cherche à étudier. Pire la censure continue de frapper ce genre d’informations.



Nous parlons de surmortalité. Cela signifie qu’une quantité importante de gens meurent sans qu’aucune enquête ne soit diligentée par les autorités des différents pays.

Et de me souvenir de cet échange entre Harari et un journaliste. Celui-ci demande:

Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humain sans valeur économique ?

Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du XXIème siècle.

https://lilianeheldkhawam.com/2016/03/30/la-reorganisation-du-monde-confirmee-par-deux-entretiens-liliane-held-khawam/

Et si l’impensable était en train de se produire à l’instant même où j’écris ces quelques lignes? A-t-on autorisé/obligé les responsables de la Santé publique de fermer les yeux sur les chiffres de surmortalité? Se pourrait-il que cela soit la solution à la grande question économique qui ne trouvait pas de réponse.

Et pour les autres? Souvenez-vous que nous sommes très concernés sur ce site par la question du transhumanisme. Or, manifestement, les scientifiques honnêtes sont en train de mettre au jour de drôles de « choses » présentes dans les produits injectés et qu’ils ne savent nommer. Ces découvertes tournent autour de nos publications sur le sujet.(([6] Qu’y a-t-il d’autre que de l’ARN messager dans le vaccin? Les nanoparticules peuvent s’auto-assembler. L’argent anglo-saxon développe la technologie nécessaire au transhumanisme… en Chine.))

En voici une de plus dont les filaments ressemblent furieusement à ce que les scientifiques découvrent dans les produits dont on bombarde l’humanité.



Plongée dans mes interrogations, je me suis retrouvée très concernée par l’information qui titre: » Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie « . Fâcheux tout de même!

Je vous ai mis l’article en question avec la traduction automatique de google.Voir aussi la vidéo.

Dernière information et non des moindres: Tedros Ghebreyseus avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté! Grotesque!

Il dut le démettre quelques jours plus tard… Il faut dire que 2 ans avant qu’il ne le nomme, Mugabe faisait parler de lui au sujet d’un génocide. Le Guardian nous explique en 2015 que: A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi restent la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.(([9] https://www.theguardian.com/world/2015/may/19/mugabe-zimbabwe-gukurahundi-massacre-matabeleland))

Je vous laisse prendre connaissance de ce qui suit. Je me permets de rappeler qu’une rencontre aura lieu le 29 novembre (au lendemain de la votation suisse sur le pass) au cours de laquelle le monsieur mis en accusation pourrait devenir l’homme fort de la santé publique mondiale.

Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie

L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

Par Krishnendu Banerjee 15 décembre 2020(([11] https://www.ibtimes.sg/nobel-peace-prize-nominee-accuses-who-chief-tedros-ghebreyseus-aiding-genocide-ethiopia-54207))

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a connu une année difficile. Pendant ce temps, l’Éthiopien devait non seulement coordonner une riposte mondiale à la pandémie, mais était constamment sous les projecteurs des médias. Il a été accusé d’être une « marionnette » de la Chine tandis que son incapacité à accepter l’échec du pays asiatique à gérer les premiers jours de la pandémie de COVID-19 a également nui à son image. Aujourd’hui, un candidat au prix Nobel de la paix l’a accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie et a exigé des poursuites.

Selon l’économiste américain David Steinman, nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, Ghebreyesus était l’un des trois responsables en charge des services de sécurité éthiopiens entre 2013 et 2015. Durant cette période, son parti Tigray People’s Liberation Front était le principal membre. de la coalition au pouvoir. Steinman a déclaré que Ghebreyesus était un « décideur crucial en ce qui concerne les actions des services de sécurité qui comprenaient le meurtre, la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens ».

Les revendications de Steinman

Avant de devenir le premier Africain à occuper le poste le plus élevé de l’OMS, Ghebreyesus a été ministre éthiopien de la Santé entre 2005 et 2012, puis ministre des Affaires étrangères entre 2012 et 2016. Pendant ce temps, des manifestations à grande échelle ont balayé les régions d’Oromia et d’Amhara.

Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a été accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie Wikimedia Commons

Le gouvernement éthiopien a été accusé de ne pas maintenir le contrôle de ses forces de sécurité et de la police locale. Selon un rapport du gouvernement américain de 2016 sur les pratiques en matière de droits humains en Éthiopie, « les autorités civiles n’ont parfois pas maintenu le contrôle sur les forces de sécurité, et la police locale dans les zones rurales et les milices locales ont parfois agi de manière indépendante ».

Même un rapport de Human Rights Watch a accusé le gouvernement, dont Ghebreyesus faisait partie, d’avoir réprimé les manifestants pacifiques, entraînant plus de 500 morts. En dehors de cela, les deux rapports ont cité des crimes systémiques contre l’humanité et la corruption par le gouvernement. Steinman, se référant aux deux rapports, a déclaré que Ghebreyesus avait supervisé « tuer et causer des dommages corporels et mentaux graves aux membres des tribus Amhara, Konso, Oromo et Somali avec l’intention de détruire ces tribus en tout ou en partie », a rapporté le Times . .

Steinman a passé 27 ans en Éthiopie et a co-planifié la résistance civile du pays et la campagne électorale en 2005. Il a été le principal conseiller étranger du mouvement démocratique éthiopien jusqu’en 2018. Pendant son séjour, il a été témoin de la montée de Ghebreyesus en tant que personnalité politique. L’économiste a maintenant déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, appelant à la poursuite du chef de l’OMS pour génocide. Dans sa plainte, Steinman a ajouté que Ghebreyesus était impliqué dans « l’intimidation des candidats et des partisans de l’opposition », qui comprenait « une arrestation arbitraire et une longue détention provisoire ».

Éthiopie proteste
Le gouvernement central éthiopien dont faisait partie le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus accusé d’une violente répression des manifestations pacifiques de 2015-16 ayant fait plus de 500 morts
(image représentative) Pixabay

La voix anti-Ghebreyesus grandit

Cependant, ce n’est pas la première fois que Ghebreyesus est critiqué. L’administration Trump l’avait précédemment accusé de se ranger du côté de Pékin et de réprimer l’échec de la Chine dans la gestion du coronavirus qui a fait plus de 1,5 million de morts et une récession mondiale en raison des blocages à l’échelle nationale.

Récemment, le chef de l’armée éthiopienne, le général Berhanu Jula, a également accusé Ghebreyesus de fournir des armes aux forces locales dans la région du Tigré, lui demandant de démissionner de son poste à l’OMS. Les accusations de Jula sont venues au milieu du conflit du Tigré. Depuis novembre 2020, les forces centrales éthiopiennes combattent les forces locales du Tigré fidèles au parti de Ghebreyesus, le Front populaire de libération du Tigré (TPLF). Le TPLF, qui faisait partie de la coalition du Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien (EPRDF), s’est retiré de l’alliance en raison de divergences en 2018.

Quant à la plainte devant la CPI, l’affaire ne peut se poursuivre que si les procureurs de la CPI décident de la saisir. S’ils le font, ce sera la première fois qu’un haut responsable des Nations Unies sera poursuivi. Cependant, Ghebreyesus a nié les allégations dans un communiqué le mois dernier.

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Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent

Par Alain Tortosa

Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent.

La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile.

Jusqu’au jour où le château de cartes s’effondrera.

Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN.

Mais depuis début 2020, nous battons tous les records.

Même lors du premier confinement, les sondages indiquaient déjà (et ceux-ci n’ont pas été infirmés par une révolte de la rue) que plus de 90 % des Français approuvaient la mesure.

Je vous rappelle qu’il y a avait officiellement à ce moment-là 7 000 morts présumés (car non testés) sur la planète et 149 en France. Les Français avaient forgé leur intime conviction non pas sur une réalité épidémique et des cadavres dans la rue, mais sur un modèle mathématique (frauduleux ?) relayé par tous les médias et les médecins de plateau.

Si le 17 mars vous disiez à votre voisin : « Ce virus n’est rien d’autre qu’une grippe et les confinements sont inefficaces et dangereux », votre discours était déjà, à ce moment-là, totalement inaudible.

Alors imaginez-vous entrer en discussion aujourd’hui avec un convaincu triplement injecté (hypothèse délirante, car il refuse tout échange).

Mais imaginons que vous alliez vers lui pour lui dire :

« L’étude gouvernementale qui confirme l’efficacité à 90 % des injections géniques est un faux grossier qui va à l’encontre des protocoles et de toutes les données internationales connues sur la vaccination Covid. »

Interrogé par votre affirmation il pourrait alors vous répondre par une série d’autres questions :

« Et le fait que le vaccin soit efficace contre les formes graves c’est un mensonge ? »

Question à laquelle vous répondriez par l’affirmative et lui de poursuivre :

  • « Et le fait que la vaccination a permis de contrôler le virus et éviter une 4e vague terrible, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les hospitalisés sont majoritairement non vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination limite la propagation du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la 3e dose va protéger les plus faibles et permettre de ralentir encore plus le virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination entraîne très peu d’effets secondaires, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin n’a entraîné aucun décès et que les vaccinés décédés ne le sont que de leurs comorbidités, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour les enfants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les enfants ont un bénéfice propre à se faire vacciner au-delà de l’acte solidaire, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour la femme enceinte et le fœtus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ne peuvent pas favoriser les variants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les pays qui ont une mauvaise couverture vaccinale ont plus de morts, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ont subi toutes les étapes de sécurité, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que nous avons la garantie que les vaccins sont sans danger, car inoculés à plus d’un milliard de personnes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’ARNm est déjà utilisé sans problème depuis des années, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne puisse absolument pas interagir avec notre ADN et/ou créer des maladies auto-immunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que seul le vaccin nous permettra de venir à bout du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que si 100 % des personnes sont vaccinées le virus disparaîtra, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il faille absolument vacciner les enfants pour parvenir à l’immunité vaccinale de masse, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin est vraiment efficace, mais que les non-vaccinés sont dangereux pour les vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on connaît parfaitement la composition des vaccins, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les couvre-feux d’une population en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le passe-sanitaire sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la fermeture des commerces non essentiels sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le confinement de la population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’État a fait ce qu’il pouvait et ouvert de nouveaux lits, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les gestes barrières en population générale en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port du masque en population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port prolongé du masque est inoffensif y compris pour les enfants les plus jeunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’existe aucun traitement efficace contre le Covid, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la Chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces, mais surtout dangereux, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que toutes les études sérieuses prouvent que ces molécules sont inefficaces c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait d’avoir interdit les médecins de prescrire a sauvé des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on a jamais empêché de soigner et que l’on n’a jamais terminé des vieux au Rivotril, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on ne disposait que du paracétamol sous la main, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le Sars-cov2 est extrêmement dangereux, largement plus que la grippe, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que tout le monde peut en mourir ou avoir de graves séquelles y compris les enfants et les personnes en parfaite santé, c’est un mensonge ? »
  • « Et sur le nombre de cas, d’hospitalisés, de personnes en réanimation, de morts… c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’y a pas de censure en France, que seuls les propos dangereux sont supprimés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les prétendus bons résultats d’autres pays que la France ne sont pas comparables, c’est un mensonge ? »
  • Etc. (j’en ai certainement oublié).

Oui, oui, oui… et encore oui… pour TOUT !

(Il y a bien eu quelques bribes de vérité durant la crise.
Par exemple lorsque M. Véran, emporté dans son élan, affirmait que telle ou telle mesure ne servait à rien, mais se ressaisissait par la suite en balayant ses propos de la veille.)

Et mon interlocuteur convaincu qu’il n’y a pas eu de mensonges systématiques, de me demander :

« Alors pour toi tout est faux, on nous ment sur tout, toute l’OMS est corrompue, tous les médecins sont corrompus, tous les politiques sont corrompus et tous les journalistes sont complices ? »

M’obligeant à répondre : « Oui, les autres n’ont pas la parole, sont poursuivis ou sont terrorisés ».

Alors bien sûr, il a pu arriver que pour telle ou telle mesure, le convaincu hypnotisé ait ressenti quelques doutes sur une mesure. Quand on lui disait qu’il ne pouvait pas y avoir de clusters dans une rame de métro bondée, mais qu’il ne fallait pas dépasser 4 personnes dans une boutique, ça a pu quand même interroger le plus aveugle des non-voyants… comme le fait d’interdire de se promener sur une plage déserte en plein hiver, mais avoir le droit d’aller dans un supermarché.

Sa bouée de sauvetage prenait alors une des formes suivantes :

  • « Les humains sont idiots et nous assistons à une accumulation de bêtise humaine. »
  • « On apprend tous les jours du virus, on ne savait pas. »

Mais rien qui puisse laisser supposer qu’il pourrait y avoir quelque intention de nuire de la part de nos dirigeants ou de Big Pharma.

Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne « intelligente » va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d’un revers de manche.

« Pourquoi feraient-ils cela ? »

N’ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s’autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l’eau du bain.

C’est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d’un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté…
Bref qu’il ait sous les yeux des preuves qu’il y a bien eu un assassinat.
Puis soudain une personne « censée » (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante :

« Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ? »

[Note de Joseph Stroberg : bien des « complotistes » peuvent proposer des réponses.
À la question « Qui ? », ils pourraient répondre : les élites psychopathes qui détiennent les leviers de la finance mondiale.
À « Pourquoi ? », ils pourraient répondre : pour liquider 90 % de l’Humanité sans se faire accuser du crime et pour asservir les survivants.
À la question « Dans quel but ? », ils pourraient répondre : pour nettoyer la planète, sachant qu’aux yeux de ces élites, nous ne sommes que des « sans-dents », des « vaux », des quantités et des qualités négligeables. Maintenant qu’ils développent grâce à nous des robots et qu’ils rêvent eux-mêmes à l’immortalité qu’ils croient promise par les machines sous forme de surhumains transgéniques ou de cyborgs, ils pensent pouvoir se passer de 90 % des êtres humains pour continuer à exploiter la planète à leur profit.
De telles réponses paraîtraient bien sûr particulièrement délirantes aux yeux d’un convaincu vacciné.
Sont-elles pour autant fausses ?]

Et l’inspecteur de répondre bien évidemment qu’il n’a pas, en tous les cas pas encore, la réponse.
Et donc d’en déduire qu’il n’y a eu ni décès ni meurtre !

C’est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid.

« Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en œuvre au niveau mondial, c’est donc qu’ils n’existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges. »

Le fait de disposer d’indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n’est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile.

Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public.

Prenons l’exemple de l’HCQ et du Remdesivir.

  • Tout part de scientifiques chinois qui affirment, étude à l’appui, que l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique montre une efficacité.
  • Le professeur Raoult annonce en janvier sur l’IHU l’existence des essais pratiqués par des Chinois.
  • Immédiatement les médias et les médecins corrompus donnent la paternité de l’annonce non pas aux Chinois, mais au professeur Raoult. Premier mensonge.
  • Ces mêmes corrompus corrupteurs répandent l’idée que Raoult est un irresponsable incompétent, que la molécule est non seulement inefficace, mais dangereuse. Mensonge au moins sur la 1re et 3e assertion.
  • Le Remdesivir (hors de prix) est commandé en masse par l’Union Européenne et la promotion en est faite (alors même que son efficacité n’est pas prouvée et que sa dangerosité est prouvée). Mensonges.
  • La fameuse étude du Lancet annonce la mise à mort de l’HCQ (alors que cette étude est un FAUX). Mensonges.
  • Le Ministre de la Santé fait interdire le produit sur la base de l’étude qui est un faux. Mensonges.
  • L’escroquerie sur le faux éclate au grand jour dans l’indifférence des médias et des politiques…

Dans un monde « normal », la molécule est, au minimum, réautorisée et les chercheurs du monde entier se mettent à l’étudier avec neutralité.
Et bien là non ! C’est l’inverse !
Tout ceci pour dire que même lorsque l’on amène la preuve d’un mensonge (une fausse étude dans l’illustre Lancet), cette preuve n’est pas de nature à réviser les croyances.

Toutes les études qui par la suite diront que la molécule est inoffensive et efficace à divers degrés seront étiquetées non fiables et toutes les autres avec des conflits d’intérêts concluant à son inefficacité seront validées par les scientifiques médiatiques et le gouvernement.

La science ne sert plus à RIEN, elle est corrompue, un simple outil au service de la manipulation des peuples.

Et je le redis encore, ils arrivent à transmettre leurs mensonges parce que le commun des mortels est foncièrement gentil et qu’il ne peut imaginer à quel point il existe des méchants.

Réfléchissons un peu sur la « vaccination » des enfants.

  • Les autorités SAVENT (et reconnaissent) que le Covid ne concerne pas les enfants en bonne santé.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le Covid long chez des enfants en bonne santé n’est que légende.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les « vaccins » n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant.
  • Les autorités SAVENT (l’ANSM le dit) qu’il y a des effets secondaires rares (à court terme), mais graves sur des enfants injectés en pleine santé.
  • Les autorités SAVENT qu’il y a des décès « étranges » chez des enfants injectés sans problèmes de santé connus.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les effets à long terme sont totalement inconnus, notamment pour la procréation (ils ont connaissance des problèmes sur les règles).
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le rapport bénéfice vs risque d’une injection pour un enfant ne peut qu’être défavorable.
  • Les autorités SAVENT qu’elles manipulent et mentent quand elles comparent ces injections expérimentales en phase III aux vaccins obligatoires, vaccins qui ont plus de 20 ans et qui sont là pour prévenir des maladies qui tuent des enfants (à la différence du Covid).
  • Les autorités de l’Alberta SAVENT qu’un enfant de 14 ans avec une tumeur au cerveau de stade 4 n’est pas décédé du Covid. Alors, pourquoi le tester (et positif) deux jours avant son décès et le déclarer mort du Covid ?

Ils fabriquent sciemment de la peur et mettent en place un pass sanitaire pour les enfants afin de les contraindre à se faire injecter. Cet acte n’est pas de la bêtise ni de l’incompétence. Au regard de l’ensemble de ces faits connus, non-complotistes, publiés notamment par l’ANSM, nous pouvons affirmer qu’il y a une volonté objective de nuire aux enfants !

Les autorités décident sciemment de menacer la santé de millions d’enfants (de plus en plus jeunes).
Ils prennent sciemment le risque que des enfants aient des effets secondaires graves ou à vie.
Ils prennent sciemment le risque d’effets secondaires dans les prochaines années.
Ils prennent sciemment le risque que des enfants meurent de ces injections expérimentales.
Ils mentent sciemment aux enfants et aux parents en cachant volontairement ces faits.
Ils font taire ou dénigrent sciemment tous les scientifiques, médecins et lanceurs d’alertes qui rapportent ces faits.

Et ce alors qu’ils SAVENT que ces injections chez les enfants (et les autres) ne seront PAS de nature à réduire ou éradiquer le virus et que l’immunité vaccinale de masse est une chimère.

Ne me posez pas la question du « pourquoi » pour tenter d’occulter à nouveau ces vérités.

Pourquoi ces instigateurs qui sont des êtres humains, des parents, des grands-parents agiraient volontairement de façon aussi immonde ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais regardez l’histoire du monde et des bourreaux, ceux-ci avaient bien souvent une famille, des enfants et cela ne les empêchait pas de commettre les pires horreurs.

Nous voyons bien une fois encore, que plus il y a de mensonges et plus il est impossible pour le commun des mortels de les voir, les débusquer et les remettre en question.

[Note de Joseph Stroberg : certaines hypothèses et certains faits exposés notamment dans l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial laissent présager qu’il existe un plus gros mensonge chapeautant le tout, celui de la théorie virale qui veut que les virus soient de méchantes et minuscules bestioles qui pourtant ne répondent pas à tous les critères pour être qualifiées de « vivantes », puisqu’ils ne peuvent pas se répliquer seuls. Et au-dessus, il existerait même le mensonge de la théorie des germes qui veut qu’aussi les bactéries soient de méchantes micro bestioles, alors que dans le même temps le corps humain contient naturellement environ un million de milliards de virus dans son « virome » et des dizaines de milliers de milliards de bactéries dans son « microbiote ».

Si en réalité, les bactéries ne sont que des symbiotes des corps vivants végétaux, animaux et humains et si les virus ne sont que des composants naturels du corps participant au fonctionnement cellulaire (dans certains cas comme éboueurs, dans d’autres cas comme déchets, dans d’autres cas comme messagers, etc. selon leur forme et leurs spécificités, sachant notamment que les virus sont similaires aux « exosomes » ou aux « endosomes »), alors ils ne sont en fait pas contagieux, ni la cause véritable des maladies dont on les accuse, mais la simple conséquence d’empoisonnements du corps par diverses causes.

Sous l’effet des poisons et toxines que sont les pesticides, les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les produits ménagers, les cosmétiques artificiels, les polluants atmosphériques, les matières plastiques, les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique, les thérapies géniques, mais aussi la peur et d’autres émotions négatives, le stress, les pensées négatives, et les ondes électromagnétiques pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), ainsi que par les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables, les cellules corporelles sont agressées en permanence. Il suffit alors de dépasser le seuil de tolérance par la dose de trop ou aussi par l’affaiblissement du corps (par le froid ou le manque de soleil en hiver, ou encore par la malnutrition et le manque de nutriments essentiels à son fonctionnement) pour que la maladie apparaisse.

Pour peu que les causes d’empoisonnement et/ou de déficience soient endémiques ou communes à un endroit donné (village, région, pays…), elles procurent l’illusion d’une contagion et même d’une contagion fulgurante dans certains cas.

Dans une telle perspective qui est peut-être la vérité et qui renverra alors un jour aux oubliettes les mensonges que sont la théorie virale et celle des germes, les prétendus « variants » ne sont que l’observation des variations génétiques virales entres ethnies et individus d’une part et selon les conditions de l’agression du corps d’autre part, ainsi que selon le modèle viral pris comme base de contrôle dans les processus d’analyse. De même, le prétendu affaiblissement des virus lors de nouvelles vagues épidémiques traduit seulement le fait que le corps est déjà habitué à réagir à certains poisons lorsqu’il s’y trouve de nouveau exposé et qu’il se nettoie plus vite dans le processus qui se traduit sous forme apparente de maladie.]

Le mensonge est en danger d’être dévoilé lorsqu’il est tout seul alors qu’il se renforce via l’apport des autres mensonges.
Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n’est peut-être pas exhaustive, mais tellement « délirante », pour quiconque nourri aux médias classiques, qu’il ne peut l’entendre.

Médias qui passent en plus leur temps à faire du « fact checking » en prenant bien soin de n’être qu’à charge et en ne donnant la parole qu’aux auteurs et complices des mensonges.

Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s’ancre dans l’imaginaire que tout n’est que vérité.
Faire tomber ne serait-ce qu’un seul mensonge n’est pas possible pour le manipulé.
Cela l’obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d’ouvrir une boîte de pandore.

Le risque pour la dictature est bien là et c’est bien pour cela qu’elle verrouille le système au maximum.
Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de cartes s’effondrera.

[Note de Joseph Stroberg : si la théorie des germes et son corollaire la théorie virale sont un jour reconnues fausses par suffisamment de scientifiques, puis de politiciens et d’hommes ordinaires, alors les mensonges subséquents comme tous ceux liés à la crise Covid s’effondreront à leur tour, vaccination comprise (y compris pasteurienne).]

Merci.

Alain Tortosa.

22 octobre 2021, https://7milliards.fr/tortosa20211022-les-mensonges-se-nourrissent-de-mensonges.pdf




Conflits d’intérêts et corruption à l’Agence européenne du médicament

[Source : Dr. Gonzo]

Rappel : Le scandale des pots-de-vin de Big Pharma éclate en Australie, entraînant la chute de six fonctionnaires corrompus et du Premier ministre australien Berejiklian

À qui le tour ?

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ?

https://formindep.fr/de-qui-se-moque-lagence-europeenne-du-medicament/

Formindep (« Association pour une formation et une information médicale indépendante »), le 19 septembre 2009.

L’European Medicines Agency (EMEA), ou Agence Européenne du Médicament est un organe de l’Union Européeenne, chargé de l’évaluation et de la supervision des produits de santé humaine et animale. Elle a été épinglée à différentes reprises pour sa politique de transparence pour le moins insuffisante et qui laisse la place à toutes les suspicions.

L’Agence du médicament et l’Autorité de sécurité alimentaire sont soupçonnées de conflits d’intérêts.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/14/les-autorites-sanitaires-europeennes-en-accusation_1603384_3244.html

Le Monde, le 14 novembre 2011.

L’onde de choc du scandale du Mediator, qui aurait provoqué jusqu’à 2 000 morts, a atteint l’Agence européenne du médicament (AEM), déjà mise en cause pour son manque de transparence, ses carences en matière de pharmacovigilance et ses insuffisances dans la lutte contre les conflits d’intérêts. Aiguillonnée par sa tutelle, la Commission européenne, l’AEM tente désormais de redresser la barre.

Agence européenne du médicament : trop de conflits d’intérêts.

https://www.prescrire.org/Fr/3/31/47913/0/NewsDetails.aspx

Revue Prescrire, le 1er juillet 2012.

Un audit réalisé par la Commission européenne a porté sur la gestion par l’Agence européenne du médicament (EMA) des conflits d’intérêts des personnes impliquées dans ses activités. Il a fallu deux ans de procédures et l’intervention du Médiateur européen pour que l’association Formindep obtienne la copie de cet audit, que l’EMA refusait de transmettre. Les résultats sont accablants…

Question avec demande de réponse écrite à la Commission européenne.

Objet: Indépendance de l’Agence européenne des médicaments.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001644_FR.html

Parlement européen, le 24 mars 2021.

Dans son dernier rapport en date, l’EMA indique elle-même que sur les 4 010 experts auxquels elle a fait appel en 2019, 926 avaient des liens directs ou indirects avec l’industrie pharmaceutique. Des spécialistes pointent également le mode de financement de l’EMA, ainsi que les « allers-retours » de membres de l’agence, y compris hauts placés, entre public et privé. Des « pantouflages et rétro-pantouflages » problématiques, selon Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire, cité par Le Figaro (31/12/2020).

Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence européenne du médicament.

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/conflits-dinteret-et-corruption-lagence-europeenne-du-medicament

France Soir, le 13 octobre 2021.

Cela semble invraisemblable, mais le budget de fonctionnement de cette agence (346 millions d’euros) provient à 85,70 % de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et à seulement 14,30 % de financements publics de l’Union européenne.

Budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf

Parlement européen, le 30 mars 2021. Page 7/21 :




Les anti-Zemmour se déchaînent

Les hyènes anti-Zemmour se déchaînent

Par Lucien Samir Oulahbib


L’une d’entre-elles, gorgée, gavée, (n)anti(e), l’insulte en le traitant de « bougnoule des blancs », n’étant elle-même pourtant pas franchement une « oie blanche » une de ces natives fières de pérorer l’air du temps, mais plutôt le vulgaire rejeton d’une espèce (de fin de « race » au sens métaphysique) venue du néant tant ce propos reflète seulement leur côté bas du front que l’on retrouve également du côté de TPMP avec les Yassinemais aussi des adeptes anti « Bounty » desquels on a bien du mal cependant à savoir ce que serait du noir sur noir sinon la nuit nuisible des nihilistes façon tyranneaux à la Mélenchon.

Du moins à première vue. Car lorsque l’on creuse, c’est bien plutôt la réaction agacée de gens qui se savent dominateurs et qui pensent avoir gagné partout : ils s’irritent donc, et ce à juste titre, de voir ici et là quelques « villages gaulois » résister encore non, mais !!!.

En effet, qu’il s’agisse des médias de l’enseignement du Pouvoir légal et officieux en général, tout concourt à paver leur domination de bonnes intentions (« lutte contre le racisme/colonialisme dans les têtes : “hétérosexualité étroite” : avec le fameux fantasme taulard de “l’étroit”…).

Cette soumission ambiante de la Gentry médiatico-enseignante sert en effet la soupe à ces orcs agissant de plus en plus en milice genre black blocs de la diversité coupe-jarrets de la Secte au Pouvoir.

Tout cela illustre, banalement dit, ce refus opiniâtre de voir le réel tel qu’il est, du moins si la mesure pour le toiser reste encore disponible (ce qui n’est plus le cas sauf exception…) ; c’est d’ailleurs ce qui aggrave la situation plutôt que le contraire, tant cette guerre civile spirituelle permanente (et larvée ici et là) encourage cette montée aux extrêmes en effet déjà .

Lorsque par exemple dans le métro une bande de CPLF prend toute la place en hurlant sur la moindre remarque, suscitant une réaction véhémente sinon plus (insultes, crachats, puis coups), c’est surtout parce que l’atmosphère ambiante fait que cette bande se sent en terrain conquis et que personne ne bougera ou presque. Je me rappelle il y a quelques années à la Défense voir une bande déambuler sous la Canopée entre les tables des innombrables terrasses comme si elle surveillait « son » territoire, concurremment à une patrouille de police…

Il est aisé bien sûr d’observer qu’il y a cinq cents ans à l’époque de la Cour des Miracles et des Chauffeurs, c’était « pis » ou alors que les « blousons noirs » et autres « Hells Angels » faisaient régner leur loi. Et alors ? Où est le « progrès » tant promis dans ce cas ? D’autant que tous ces gens ne cherchaient pas spécialement une partition, une sédition que d’ailleurs les néoléninistes prônent de plus en plus ouvertement, rêvant également à des fractionnements ayant existé naguère avant la formation du Royaume de France : pourquoi ne pas y revenir dans une hypothétique « Europe » et « planète » de la « diversité », vaste jardin fleuri en « fluidités de genre », puisque tout devient folklore et mode d’un instant ?…

Il n’est dans ce cas pas étonnant d’observer que certains orcs agissant pour le compte de la Secte prétendent se servir uniquement de leur origine « raciale » pour imposer leur légitimité et, partant, leur conception naze de l’ordre social et symbolique, le tout sous les applaudissements des courtisans et concubines agissant dans les nouveaux Salons médiatiques en poissons-pilotes de la Secte hygiéniste affairiste, celle-là même qui vient en France de prolonger l’onction du passe totalitaire jusqu’à… la Saint-Glinglin.




Effondrement : la phase douloureuse de la démence collective

[Source : yetiblog.org]

Par Pierrick Tillet

Selfie à l’Élysée après la partie de foot “triomphale” du président.
NB : seul le personnel de service est masqué (au fond entouré en vert),
mais pas le ministre de la Santé (en rouge),
ni aucun autre convive (au premier plan, deux “vieilles gloires” :
Marcel Desailly et Arsène Wenger).

L’épilogue d’un effondrement systémique passe inévitablement par une phase douloureuse de démence collective que plus rien ne saurait freiner. Nous y sommes désormais en plein.

Trois exemples récents viennent encore de nous le démontrer.

Scène d’incontinence hystérique à l’Élysée

Il y eut d’abord ces scènes de libations inconsidérées filmées à l’Élysée après un match de foot grotesque organisé à la gloire de l’occupant immature des lieux.

Cet étalage obscène d’une hystérie incontinente, bien sûr sans masque ni précaution de distanciation, exposé sans la moindre pudeur au public, en dit long sur le dérèglement mental de la classe dominante, encore plus sur son irresponsabilité (rappelons que la vidéo ne fut pas tournée par un opposant malintentionné, mais par un des invités, et diffusée sur les chaînes mainstrean en toute inconscience).

103 % de vaccinés

Il y eut ensuite cette information officielle du gouvernement français révélant que le taux de vaccination de la population majeure parisienne atteignait désormais le pourcentage inédit de… 103,09 % !

Répétée à l’envi (on se rappelle les pataquès sur le port ou non du masque, les approximations aussitôt démontées du premier ministre Castex au fil de ces interventions en forme de sketch, les mensonges éhontés et vite éventés d’un Véran…), ce genre de bourde absurde est surtout révélatrice d’une totale perte de contrôle dans la communication, donc dans la maîtrise de la situation.

Un Great reset qui en rappelle fâcheusement un précédent

Sur un autre registre, on rappellera les élucubrations hallucinantes d’un Klaus Schwab sur le mythe du Great reset et de ses manipulations génétiques même plus dissimulées.

https://twitter.com/LeGrandReveilfr/status/1449855419309076487?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449855419309076487%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fyetiblog.org%2Farchives%2F33535

L’ennui, c’est que ce Great reset du suprématisme blanc occidental en rappelle fâcheusement un précédent : celui de la race aryenne ! Et on sait de quelle fâcheuse façon l’aventure se termina pour ses promoteurs.

Les dictateurs déments tiennent rarement sur la durée

Que les clowns hallucinés de l’empire occidental décadent aient des vélléités d’autoritarisme totalitaire est incontestable. Mais n’est pas dictateur qui veut, en tout cas pas sur la durée. Les régimes autoritaires durables doivent leur pérennité à la puissance et à l’intelligence (même maléfique) de leurs dirigeants, qui savent imposer leur main de fer tout en assurant un minimum matériel suffisant à leurs sujets.

Mais que dire de ces dirigeants grotesques qui commencent par mettre leurs médecins, leurs soignants, leurs pompiers sur la paille, qui sont bien sûr incapables d’assurer le fonctionnement d’une économie en voie de délabrement, qui se ridiculisent en rafales aux yeux de leurs populations ?

Les phases de démence collective d’un pays ou d’un empire sont certes fort douloureuses, mais finalement assez brèves au regard de l’Histoire. Voyez comment s’acheva brutalement le règne des fous furieux que furent les Napoléon, Hitler, Mussolini, Ceaucescu…




Petite annonce : « Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »…

Par Alain Tortosa

Petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »
« CDD(([1] Contrat à durée déterminée)) dont le mandat prendra fin à la libération. »
« Possibilité de conversion en CDI(([2] Contrat à durée indéterminée (ex-président de la République) ))
si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Je ne suis pas et ne serais pas ce leader…
Je prétends ne pas être totalement nul pour écrire, mais je ne possède pas ces qualités nécessaires à un leader.
Les grandes foules, les envolées lyriques, les groupies qui lancent leurs culottes, ce n’est pas mon truc.

Et pourtant je pense sincèrement que nous ne pourrons pas nous en sortir sans une tête de liste.
Nous n’avons aucunement besoin de réveiller les Français manipulés par la dictature sanitaire.
Nous sommes des millions d’adultes non vaccinés qui, par cet acte, affirment leur attachement à la liberté et à la démocratie.

Nous sommes très nombreux à répéter depuis des mois que nous avons besoin de nous unir et de nous coordonner.
Je ne crois pas à l’action individuelle que certains pourraient qualifier de « terroriste ».
Chacun peut avoir ses petites victoires locales, mes enfants sont sans masque au collège, mais cela ne fait pas une révolution.
Cela participe au bâton dans les roues, mais n’est pas de nature à faire plier la dictature.

Un soignant en grève seul devant son hôpital a l’air d’un crétin. Avec 10 collègues il devient un mouvement revendicatif et à 100 il bloque l’hôpital qui n’a de choix que de céder.

Voici donc ma petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour aider le peuple à faire tomber la dictature. »
« CDD dont le mandat prendra fin à la libération du pays. »
« Possibilité de conversion en CDI si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Descriptif du poste.

Le leader devra :

  • Être intègre et incorruptible.
  • Être viscéralement opposé à la dictature.
  • Être viscéralement attaché aux libertés individuelles qui doivent primer.
  • Être farouchement opposé à remplacer le mot « liberté » par le mot « sécurité » sur les frontons des mairies.
  • Être le moins clivant possible.
  • Être sans conflits d’intérêts financiers ou relationnels et ne pas être financé par la dictature.
  • Être un homme ou une femme ayant une expérience de la vie.
  • Avoir pris des baffes dans la vie dont il (ne comptez pas sur moi pour écrire en inclusif) se serait relevé serait un bon point.
  • Ne pas souffrir de troubles psychiatriques forts de type narcissique ou antisocial.
  • Aimer sincèrement les humains.
  • Avoir un passé de non-collaboration (ou alors être un repenti sincère et le prouver).
  • Laisser la place une fois le pays libéré (sauf si les Français demandent qu’il reste à une vraie majorité).
  • Aimer les grandes assemblées, les grandes foules, les grands discours.
  • Être déterminé et fort pour résister aux attaques les plus viles.
  • Être en capacité de déléguer et s’entourer de conseils.

Un casier judiciaire vierge n’est pas indispensable, on peut commettre des erreurs et les réparer.
Son mandat sera soumis à contrôle tout au long de son action et le peuple pourra le démettre s’il trahit ses engagements.
Il ne pourra pas être marqué « extrême-gauche », « extrême-droite » ou « extrême-centre », mais uniquement « extrême-liberté ».
Ses opinions religieuses, s’il en a, devront demeurer dans la sphère privée.

Quelques candidats potentiels(([3] Par ordre alphabétique))?

Carlo Alberto Brusa

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible.
  • Indestructible. (…et tellement beau gosse)
  • Ne peut prétendre à une carrière politique.

Contre :

  • Ne s’est pas positionné comme leader de la résistance.
  • Ne peut prétendre à une carrière politique (encore qu’une loi, ça se change).
  • Clivant par son côté grande-gueule, mais honnête qui est aussi sa force.

Louis Fouché.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Un puits de science.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Contre :

  • Subissait des pressions de sa hiérarchie.
  • Ne veut pas être le leader qu’il est devenu en partie malgré lui.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Clivant par certains discours jugés trop « prudents », trop « policés ».
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Alexandra Henrion-Caude.

Pour :

  • Résistante de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Sincère, honnête et lumineuse.

Contre :

  • C’est une scientifique pas une politique, son domaine c’est la science.
  • Trop humaine (peut-être trop fragile pour encaisser les coups).
  • Clivante par sa foi qu’elle ne cache pas et peut choquer certains.

Francis Lalanne.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire.
  • Sincère, honnête et passionné.
  • Humain (trop ?).

Contre :

  • Clivant par son passé de gilet jaune.
  • Ne laisse pas indifférent souvent adulé ou détesté.
  • Peut-être trop sensible.

Florian Philippot.

Pour :

  • Est sur le terrain de la résistance depuis des mois qu’il vente ou qu’il neige.
  • Veut être leader.
  • Populaire.
  • Sait parler au peuple et galvaniser des troupes.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • N’a pas peur de prendre des coups.
  • Expérience politique.

Contre :

  • Clivant par son passé d’extrême droite.
  • Passé de non-résistant pro masque et pro confinement.
  • Expérience politique.

Silvano Trotta.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible et indestructible.
  • Une mine de savoir.
  • Ne rechigne pas à la besogne.
  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.

Contre :

  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.
  • Discrédité par certains à cause de ses positionnements autres (Ovni,…), mais toujours debout fidèle au poste.

Martine Wonner.

Pour

  • Résistante de la première heure.
  • Sincère et intègre.
  • Populaire.
  • Veut bien du rôle de leader.
  • Expérience politique.
  • Pas extrémiste.
  • Toujours debout malgré les attaques violentes.
  • Ils n’ont ni réussi à l’acheter ni à la détruire.

Contre

  • Pas encore totalement positionnée (ou sous-médiatisée) sur son rôle de leader.
  • Relativement peut présente médiatiquement.
  • Pas de groupe Telegram (que je connaisse), pas de chaîne TV d’envergure ni de live réguliers.
  • Pas encore un phare incontournable dans la nuit.
  • Clivante par son passé de femme politique même si sa carrière est récente.
  • Discours un peu trop policé (politique) qui peut être anxiogène pour certains.

Il y en a probablement d’autres, mais si je ne les cite pas c’est soit que je ne les vois pas comme leader soit qu’ils ne le sont pas encore.

En tous les cas, j’imagine mal nous en sortir sans un leader ou une forme de gouvernance collégiale de plusieurs leaders qui se coordonnent pour nous fédérer et lancer des actions concrètes et massives de lutte contre la dictature.
Nous sommes trop nombreux à dire que nous devons nous unir et au final ne pas le faire.

Nous avons besoin d’une coordination des forces.
Nous avons besoin d’un leader de la résistance, d’un porte-parole pour nous mener à la victoire, quitte à le guillotiner s’il faut après la libération !

Merci

Alain Tortosa.

15 octobre 2021. https://7milliards.fr/tortosa20211015-petite-annonce-cherche-leader.pdf




Un navire de guerre américain a tenté de violer la frontière russe en mer du Japon, selon Moscou

[Source : RT en français]

Un destroyer américain a tenté ce 15 octobre de pénétrer sans autorisation dans les eaux territoriales russes près de Vladivostok, d’après le ministère russe de la Défense. Cette tentative aurait été avortée par un navire militaire russe.

Un navire militaire russe de la flotte du Pacifique aurait déjoué, ce 15 octobre, une tentative du destroyer USS Chafee de violer les eaux territoriales de Russie dans la mer du Japon.

Selon le ministère russe de la Défense, le navire de lutte anti-sous-marin Amiral Tribouts a mis en garde le vaisseau américain, qui s’approchait de la frontière russe, par le biais d’un canal de communication international. Le ministère russe poursuit dans un communiqué : «Après l’avertissement, le destroyer Chafee, au lieu de changer de cap pour quitter la zone, a hissé les drapeaux indiquant la préparation au décollage d’un hélicoptère depuis son bord, signifiant ainsi qu’il ne pouvait changer de cap ou de vitesse, et a essayé de violer les frontières de l’Etat de la Fédération de Russie dans le golfe de Pierre le Grand. Agissant dans le cadre des règles internationales de navigation, l’Amiral Tribouts a mis le cap sur l’intrus pour le chasser des eaux territoriales russes.»

D’après la même source, le vaisseau américain, «comprenant la détermination de l’équipage du navire russe à ne pas permettre la violation des frontières de l’Etat», a fini par changer de direction, alors que l’Amiral Tribouts se trouvait à moins de 60 mètres de lui.

Plus tard dans la journée, le ministère russe de la Défense a annoncé dans un communiqué avoir convoqué l’attaché militaire des Etats-Unis. «Le représentant des forces armées américaines a été informé de la position de l’armée russe dans le cadre d’une tentative du destroyer de la marine américaine Chafee de violer les frontières de l’Etat de la Fédération de Russie dans le golfe de Pierre le Grand le 15 octobre», précise le texte.

Selon l’agence Reuters, les Etats-Unis n’ont pas commenté l’événement à ce stade.




L’étude foireuse de Véran pour s’autojustifier

[Source : pgibertie.com]

Epi-Phare — des questions à poser sur la fameuse étude de Véran qui justifie Véran

… Covid-19 : une étude française confirme l’efficacité des vaccins sur plus de 22 millions de personnes

Fait sans précédent, ces deux analyses ont été réalisées sur un total de 22,6 millions de personnes. Ce sont « les études épidémiologiques analysant l’efficacité “en vie réelle” des vaccins qui portent sur le plus grand nombre de personnes dans le monde », souligne Antoine Flahault, professeur d’épidémiologie et directeur de l’Institut de santé globale à Genève. « Les études israéliennes sur le sujet, elles, ont inclus près de 6,5 millions de participants, les études britanniques 2,6 millions et les études nord-américaines 3,4 millions », précise l’épidémiologiste suisse.

Une étude  chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.

Une presse d’investigation se serait posée la question des conflits d’intérêt : Véran justifiant Véran  et surtout elle aurait lu l’étude

Il me semble utile de poser quelques questions sur la fiabilité de l’étude.

1) Il n’est pas vrai que la totalité des Français de plus de 50 ans soient incorporés dans cette étude et nous ne pouvons que le regretter…

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000

Ils auraient inventé un million d’habitants…

https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/structure-population/population-ages/

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474

Pour les 50 à 75 ans , ils en étudient 15,4millions, l’INSEE en compte 21M soit …

Ce serait donc plus de 85% des plus de 50 ans  en France qui auraient été suivis depuis le 11 février et jusqu’au 20 juillet , pour moitié  non vaccinés pour une autre moitié  à partir de la première dose

2) Toutes les hospitalisations covid n’ont pas été prises en compte

Un total de 26000 hospitalisés depuis  le 11 février  jusqu’au 20 juillet pour cause de covid selon l’étude

Au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus  pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations covid ont disparu…

La Drees nous a habitué à des choix sélectifs et l’ont ne peut que s’en inquiéter.

Nous constatons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte pour les vaccinés , nous pouvons être certains qu’au moins 90%  des hospitalisés Covid ont été testé covid via un test pcr, mais ils ne doivent être que 60% des hospitalisés non vaccinés à être certifiés covid.

3) En réalité il n’y a pas eu de suivi de tous les Français de plus de 50 ans

mais des « appariements de vaccinés et non vaccinés pouvant être utilisés plusieurs fois, un non-vacciné servant  ensuite après la vaccination comme vacciné dans la poursuite de l’étude.

L’étude reconnait les appariements.

Les groupes « vaccinés » et « non vaccinés » ont été constitués, en appariant chronologiquement (du 27
décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou
date index) de mêmes âge, sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans
PUI (pharmacie à usage intérieur)). Les personnes vaccinées et non vaccinées ont été suivies de la date
de vaccination jusqu’au 20 juillet 2021.

Nous retrouvons les même défauts dans une étude israélienne, la même opacité des données  avec plusieurs biais évidents :

Le biais chronologique reconnu de l’étude israélienne : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non vacciné  mais pour des périodes chronologiques différentes , les non vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie ( février mars  avril) et sils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés  en mai ou juin , les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés mais parce que la pandémie est terminée…

Ils nous garantissent bien un appariement chronologique entre le 27 décembre et le 30 avril …Je veux bien mais il y a un os.

Très concrètement parlons des vaccinés Pfizer suivis après le 14e jour  post deuxième dose. Il y en a beaucoup parmi les plus de 75 ans après le mois de mai , qu’ils en aient trouvé  1M700 000 n’est pas difficile. Mais pour trouver un nombre équivalent de non vaccinés, il y a un os dans le yaourt…

Mais à qui feront ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent  de plus de 75 ans  non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? ….Au début mai il n’y avait en France que 1,5 millions de plus de 75 ans  , et leur nombre n’ a cessé depuis de diminuer…

À moins d’inventer un million de plus de 75 ans non vaccinés, l’étude était impossible à réaliser pour cette période faute d’effectifs

À moins de ne pas respecter l’appariement chronologique et de comparer ce qui ne l’est pas , des vaccinés

Merci de me rassurer.

Reprenons donc l’étude en attendant des précisions sur les comparaison s à long terme qui me posent problème.

Plus de 75 ans : le risque  d’hospitalisation réduit des deux tiers.

Non=vaccinés 5 471 / 3 645 744 (0.15 %)
Vaccinés à partir de la première dose 1 540 / 3 645 744 (0.04 %)

Pour les 50 74 ans Le risque d’hospitalisation  réduit de moins des deux tiers   et seulement de moitié avec moderna :

Non-vaccinés 13 223 / 7 754 912 (0.17 %)
Vaccinés après la première dose 4 317 / 7 754 912 (0.06 %)

On nous dit qu’il ne s’agit que des hospitalisations covid  Rien donc sur l’ensemble des hospitalisations qui auraient pu nous interpeler sur les effets secondaires. Cependant entreau cours de la deuxième semaine qui suit la première inoculation il se passe quelque chose d’étrange

Suivi du 7e jour jusqu’au 13e jour après la 1re dose :

Moderna

Non-vaccinés 139 / 288 795 (0.05 %)
Vaccinés 179 / 288 795 (0.06 %)

Pfizer

Non-vaccinés 1 926/ 2 823 965 (0.07 %)
Vaccinés 1 234 / 2 823 965 (0.04 %)

Il n’y a aucune différence [franche] entre vaccinés et non-vaccinés.

Une protection liée à la vaccination de un à trois pour les hospitalisations semble cohérente avec des statistiques d’autres pays.

Pour arriver à un à neuf il faut s’appuyer sur des comparaisons post deuxième doses qui butent sur des impossibilités démographiques étudiées plus haut.

CE QUE L’ON POUVAIT ATTENDRE.

Si l’on applique  la règle Véran ( le vaccin réduit la mortalité de 90% on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés  pour avoir le nombre de décès évités

Sans le vaccin , cet été la France aurait eu plus de mort que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas … Impossible

Israël et le Royaume Uni auraient dû avoir  depuis mars   trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays , bien plus que cet hiver

DEUX POSSIBILITES

  1. L’étude est truandée
  2. La France est protégée par Jupiter

Voir la démonstration par l’absurde sur Twitter  par un biologiste dissimulé par le pseudo Mounotella.

L’équipe de France Soir met en évidence d’autre biais :

Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé (francesoir.fr)


[Source : francesoir.fr]

Epi-Phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé

Une si petite chose, et tant d’effets
Pixabay

Auteur(s) : Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir

ANALYSE — Ce lundi 11 octobre, le groupement Epi-Phare a publié deux études affirmant que « la vaccination est efficace à plus de 90 % pour réduire les formes graves de Covid-19 chez les personnes de plus de 50 ans en France ». Cette étude sort à quatre jours des discussions au Sénat sur la vaccination obligatoire en France. Depuis près de 18 mois, les experts nous vantent les mérites des études randomisées en double aveugle publiées après revue par les pairs dans des journaux indépendants sans que les auteurs n’aient de lien d’intérêt. Le canon de la science nous dit-on, malgré le fait que nous avons dû faire face à une nouvelle maladie qui aurait dû entraîner au sein de la loi d’urgence des « décisions adéquates ». Les études définies comme « best practice » font l’objet de protocoles enregistrés (clinicaltrials.gov ou bien Prospero) afin de s’assurer que celles-ci respectent les normes et règles établies. Le lecteur de cette dernière étude ne pourra donc qu’être surpris de l’absence de déclaration préalable de cette étude ou de l’absence de revue par les pairs. Le « deux poids, deux mesures » dénoncés par bien des scientifiques lors des derniers mois prend toute sa mesure avec cette nouvelle étude qui s’apparente plus à une autoévaluation ou auto-validation du ministre de la Santé Olivier Véran. Avant de rentrer dans les biais méthodologiques, les travers de cette étude au niveau macro sont nombreux : absence de revue par les pairs, non-déclaration préalable, lien entre Epi-phare, l’ANSM et le ministère de la Santé, sans parler de l’absence de validation ou calibration au réel en comparant à d’autres pays.

Transparence

L’étude Epi-Phare mesure-t-elle vraiment l’impact de la vaccination ?

La méthodologie d’Epi-phare est sensiblement la même que celle utilisée pour Israël dans l’étude de Dagan et al, dont la critique a été faite dans l’article « A-t-on encore le droit de questionner la politique vaccinale ? » Elle utilise le même type de données, les mêmes outils d’analyses, porte donc les mêmes biais et arrive aux mêmes conclusions. Les résultats dépendent entièrement de la manière dont ont été remonté les hospitalisations et décès liés à la Covid-19.

Cette étude montre seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou décédés de la Covid-19. Rien ne nous montre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés ou décédés que les non-vaccinés. Il serait pourtant très simple de vérifier si la vaccination a un impact positif sur la santé.

La méthode volontairement borgne, biaisée d’emblée

La méthode de cette étude est décrite en page 7 ou 8 selon l’une ou l’autre des deux études : La cohorte de sujets vaccinés a été identifiée à partir de la base des données nationales pseudonymisées VAC-SI mise en œuvre par l’Assurance maladie. Ces données ont été couplées au Système national des données de santé (SNDS) afin de décrire leurs caractéristiques sociodémographiques et leurs comorbidités ainsi que d’identifier la cohorte de sujets non vaccinée.

Cela signifie que l’étude peut suivre tous les événements intéressants des vaccinés et non vaccinés intervenant à l’hôpital et les comparer.

Les événements d’intérêt (hospitalisation pour COVID, décès survenant au cours de l’hospitalisation pour COVID-19) ont été définis à partir des données d’hospitalisation du Programme de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) Fast Track collecté et restitué par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH).

Cela signifie que seuls les évènements déclarés comme liés à la Covid-19 seront analysés. C’est un énorme biais.

En premier lieu, comme il a été montré dans la dernière revue des statistiques de la DREES, les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (pass sanitaire oblige). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif qu’un vacciné.

Rappelons ici que la Haute autorité de santé considère que la spécificité des tests Covid-19 est de 98%. Ainsi, jusqu’à 2 % de faux positifs peuvent être comptabilisés. Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui seront rangés dans la case « asymptomatique ». Si on testait tous les millions de petits garçons français avec un test de grossesse, on en trouverait forcément quelques-uns de positifs. Avec la nouvelle logique Covid, il faudrait donc les déclarer en « grossesse asymptomatique ».

Ainsi, tous ces non-vaccinés, surtestés et donc positifs par le hasard des choses, vont voir leurs évènements indésirables classés en « Covid ». Biaisant ainsi tous les résultats statistiques.

De plus, dans cette dernière critique sur les statistiques de la DREES, il a été montré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même sans test positif de confirmation.

Chacun peut vérifier que dans le tableau 1 de sa dernière étude, la DREES informe des entrées à l’hôpital, soins critiques et décès pour cause Covid-19, selon le statut vaccinal et la présence d’un test RT-PCR positif. Ainsi, sur la période du 30 août au 5 septembre, 619 personnes ont été déclarées décédées de la covid-19 à l’hôpital. Parmi elles, 466 étaient non vaccinées et 130 avaient une vaccination complète. Étonnamment, seuls 61% des non-vaccinés déclarés décédés de la Covid avaient bien un test positif (286/466) contre 92% des vaccinés (119/130).

Cette étude d’Epi-Phare n’est pas une étude randomisée. Il ne s’agit pas d’un groupe d’étude et d’un groupe de contrôle choisis au hasard et portant des caractéristiques similaires. Cette étude est construite à partir de données administratives médicales. Il n’y a donc absolument aucun contrôle scientifique préalable sur leur qualité. Personne ne sait si la déclaration « hospitalisation Covid-19 » ou « décès Covid-19 » est sans biais relatif au statut vaccinal. Les statistiques semblent plutôt révéler un biais en accord avec des pressions politiques ou financières, comme nous avons pu le voir sur l’aspect « surdéclaration » expliqué dans cette vidéo ou l’étrange répartition géographique expliquée dans cet article.

Ainsi, ces études d’Epi-Phare contiennent les mêmes biais de sélections que les statistiques de la DREES, il est donc normal d’y retrouver les mêmes ordres de grandeur des résultats.

Une méthodologie complexe permet de masquer les incohérences

S’il y a bien une maladie qui s’est répandue depuis 2020 dans le monde scientifique, c’est la modélite aiguë. Désormais, toute étude semble devoir s’appuyer sur des modèles. Cela a le double avantage de donner un caractère sérieux à n’importe quel résultat trivial ou même invraisemblable, tout en éliminant toute relecture par des personnes non initiées à ces cascades. Lorsqu’on a été formé à comprendre les mécanismes de ces modèles, on est souvent surpris de la distance séparant le titre de l’étude des statistiques utilisées.

Un appariement étrange vaccinés/non-vaccinés

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs annoncent page 5 suivre une cohorte de vaccinés et une cohorte de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Il est étonnant d’avoir les données d’autant de personnes puisque l’Insee estime la population de France (donc incluant les DOM-TOM) de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes. Une erreur de 800 000 personnes de la part de l’institut semblerait assez improbable, surtout s’il s’agit de personnes ayant leurs données SNDS disponibles.

À la page 11, les auteurs précisent : 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « vaccinés », 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « non vaccinés » et 1 160 913 (19,0%) sujets initialement inclus dans le groupe « non-vaccinés » puis devenus vaccinés par la suite, et donc inclus successivement dans le groupe « non-vaccinés » puis le groupe « vaccinés ».

Ainsi, la cohorte suivie serait en réalité de 6,1 millions de personnes (et pas 7,2), dont 1,1 million comptés 2 fois.

Ce double comptage est à la fois incompréhensible et problématique. Les auteurs écrivent en page 8 : 

Afin de rendre comparable les groupes « vaccinés » et « non vaccinés », nous avons constitué des couples (1 personne vaccinée et 1 personne non-vaccinée), en appariant chronologiquement (de 27 décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou date index) de mêmes âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)). Ces informations constituent les variables d’appariement. Les sujets non vaccinés (témoins) ne pouvaient être appariés qu’à une seule personne vaccinée. Si un sujet témoin était vacciné au cours du suivi, le suivi était aussitôt arrêté pour l’ensemble du couple auquel il appartenait, puis le sujet nouvellement vacciné était de nouveau éligible pour être inclus dans la cohorte en tant que vacciné.

Ainsi, avec cette méthode, les premiers vaccinés sont très rapidement sortis de l’étude puisqu’ils ont beaucoup de chance d’être appariés à un non-vacciné qui va se faire vacciner rapidement. Dès lors, il paraît tout à fait normal que l’étude ne soit pas capable de détecter de baisse d’efficacité vaccinale, puisqu’elle se débarrasse des primo-vaccinés au fur et à mesure. Les 1,1 million de comptés 2 fois signifient que l’étude de 1,1 million des 2,4 millions de vaccinés qui n’ont pas changé de groupe s’est arrêté précocement soit 45%.

Pourtant, il est trivial de savoir qui dans toute la cohorte sera un jour vacciné. Il ne faut donc pas apparier un vacciné avec un futur vacciné pour ne pas perdre son suivi.

Des non-vaccinés en bien mauvaise santé

Les auteurs ont apparié vaccinés et non-vaccinés selon quatre critères : même âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)).

Pourtant, les nombreuses études à disposition montrent que l’état de santé d’une personne est déterminant sur son risque d’être hospitalisée ou même de décéder. À la page 16 de l’étude, on apprend que les non-vaccinés sont plus souvent :

  • En situation de grande défavorisation (indice 4 et 5)
  • Fragiles
  • Alcooliques
  • Obèses
  • Diabétiques
  • Fumeurs

Précisons à ce stade que les personnes défavorisées sont le plus souvent sous-diagnostiquées, ainsi les problèmes médicaux identifiés ont une probabilité plus grande d’être sous-estimés.

Il est donc « étonnant » que l’appariement n’ait pas eu lieu également sur ce type de critère qui risque fort de biaiser les résultats.

« Nous demandons que soit réalisé un appariement cohérent avec les variables affectant le résultat. »

Au lieu d’améliorer la qualité de l’appariement, les auteurs ont décidé d’établir une méthode pour corriger les biais des covariables citées. Le modèle de Cox est censé proposer des résultats sans biais. Pour appliquer cette méthode il faut supposer que l’évènement que l’on suit (décès ou hospitalisation) résulte d’une somme de facteurs et que certaines hypothèses soient vérifiées.

Ainsi, il faut que le risque porté par chaque covariable soit constant. Le modèle ne tient pas la route si le risque d’être hospitalisé pour Covid-19 lorsque l’on est fumeur dépend de la période de l’année. Étant donné que ce risque est fortement lié à la saison (beaucoup d’hospitalisations et de décès l’hiver et très peu l’été).

« Il faut donc que soient publiées les vérifications d’hypothèses permettant de justifier le modèle. »

Ajoutons que cette régression de Cox qui additionne des facteurs de risque n’a aucun sens si on considère que les risques ne s’additionnent pas. Ainsi, pour simplifier, si on considère que le risque porté par le fait de fumer et d’être obèse à la fois, est bien plus grand que le risque d’être fumeur additionné au risque d’être obèse, ce modèle ne tient pas non plus. Pourtant, cette augmentation du risque plus forte qu’un simple cumul semble bien probable dans la vraie vie. À l’inverse, si les risque ne s’additionnent pas et que le plus grand l’emporte, par exemple, le modèle s’écroule aussi.

Une méthode sans biais pourtant facile à mettre en œuvre

Il serait extrêmement facile pour Epi-Phare de retirer le biais de sélection sur l’enregistrement « Covid ». Il suffirait de garder la même étude, mais de choisir comme évènement d’intérêt « hospitalisation » et « décès », à la place d’« hospitalisation Covid » et « décès Covid ».

Cette étude permettrait en plus d’évaluer le bénéfice total de la vaccination, rapporté à ses risques. En effet, même si nous supposions que la déclaration Covid-19 n’a aucun biais de sélection entre non-vacciné et vacciné, il reste le biais lié à l’injection en elle-même. Si jamais l’injection est associée à une augmentation de la mortalité, même faible, des plus fragiles, alors les plus fragiles sont décédés avant d’être malades de la Covid-19. On trouvera alors un taux de mortalité lié à la Covid-19 plus faible chez les vaccinés, car certains seront morts avant.

Ainsi, comme pour l’étude de Dagan et al., nous demandons que soient considérés comme évènements d’intérêt les « décès » et « hospitalisations ». Cela nous permettra de savoir si ces injections ont un réel intérêt pour la santé publique.

D’autres personnes se sont interrogées sur cette étude

Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes se sont employées à critiquer cette pseudo-étude, comme Patrice Gibertie sur son blog Epiphare/des questions a poser sur la fameuse étude de veran qui justifie veran.

L’analyse la plus intéressante porte sur la validation exogène de l’étude en appliquant les données à d’autres pays comme Israël ou le Royaume uni pour analyser qu’en appliquant les ratios (1/10 décès de vaccinés) de l’étude Epi-Phare au Royaume uni il y aurait donc au 15650 décès de plus de 50 ans s’il n’y avait pas eu les vaccins. La calibration au réel est une phase essentielle de toute étude rétrospective et visiblement elle a été totalement omise de l’étude Epi=Phare comme si les autres pays n’existaient pas.

Et d’un point de vue de la dépense publique et du rapport coût-bénéfice ?

Il ne fait aucun doute que, si la Covid-19 est bien une maladie hautement contagieuse et mortelle dont les vaccins protègent à plus de 90%, il devrait apparaître nettement un intérêt de ces produits pour les décès et hospitalisations toutes causes.

Rappelons que cette demande a été clairement formulée par la Cour des comptes. Dans son rapport du 22 septembre 2021, la Cour des comptes analyse les statistiques mises à disposition par le gouvernement pour « informer » sur la situation actuelle et surtout justifier sa politique

La Cour des comptes est donc bien consciente que les statistiques estampillées « Covid » n’apportent absolument aucune information sur la situation sanitaire, et ce depuis le début de cette crise. Le terme « opaque » est bien évidemment le doux euphémisme de « propagande ».

Vu les sommes actuellement engagées dans cette politique vaccinale (5,7 milliards d’euros) alors qu’est maintenu le choix de supprimer les lits d’hôpitaux (-5 700 en 2020), il est plus que temps de prouver l’intérêt de cette stratégie, sans biais.

Un gain ridicule au regard de son coût

À partir de la page 23 sont listées les différences entre vaccinés et non-vaccinés selon la méthode utilisée. Même si nous n’avions pas relevé de problème de méthode dans cette étude, il faut réaliser le piètre bénéfice révélé ici.

Pour une somme engagée de 5,7 milliards d’euros, la politique du tout-vaccinal « permettrait » de passer d’un taux de 0,31% d’hospitalisation des personnes de 75 ans et plus à 0,03%, soit de 19 000 à 2 000 (-17 000 séjours) pour 6,2 millions de personnes. Pour les 20 millions de 50-74 ans, le risque passerait de 0,05% à 0,01%, soit de 9 000 à 1000 (-8 000).

Cela fait donc 5,7 milliards dépensés pour « éviter » 25 000 hospitalisations. En comparaison l’hôpital a enregistré en 2019 11,7 millions de séjours en hospitalisation complète et 17,6 millions de journées en hospitalisation partielle. Ce 25 000 est donc complètement insignifiant sur l’activité hospitalière française (0,21%) comme le révèle la quasi-impossibilité de l’observer graphiquement.

En revanche, en 2019, les dépenses de consommation de soins hospitaliers (secteurs public et privé, hors soins de longue durée) s’élèvent à 97,1 milliards d’euros. Les 5,7 milliards dépensés représentent près de 6 % de ce budget.

Constater un tel montant d’argent public ainsi dépensé au bénéfice des grands industriels pharmaceutiques, alors que le gain que l’État s’échine à vouloir justifier n’a pas le moindre rapport avec le coût de la vaccination, n’est qu’une preuve supplémentaire qu’à aucun moment depuis 18 mois il n’a été question de santé publique.

La transparence est le socle de toute étude scientifique, permettant à tous les chercheurs de réaliser des analyses sur la même base de données publiques. Si le gouvernement est aussi sûr de lui sur l’efficacité des vaccins, qu’il permette enfin aux chercheurs indépendants d’accéder aux données. C’est normalement le fondement de toute étude scientifique de nous permettre de réaliser aussi des analyses sur la même base. Pourquoi continuer à cacher des données pseudonymisées qui d’après eux prouvent le miracle de la vaccination en sauvant de nombreuses vies ? Ouvrez enfin les accès pour que nous puissions, nous aussi, être enfin convaincus par votre politique, au lieu d’avoir à subir vos conclusions sans pouvoir les vérifier.

Jacques Attali a bien déclaré que « faire confiance doit devenir un droit de l’Homme » et Lénine que « La confiance n’exclut pas le contrôle. » 

Auteur(s): Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir


[Source : pgibertie.com]

Même si Pascal Praud ne le veut pas, l’étude de Véran est foireuse

Non, Mr Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’étude EPI-PHARE est indigne, comparable à celle menée par la call-girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arrêt des expériences sur la molécule.

Non M Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’etude EPI PHARE est indigne, comparable a celle menée par la call girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arret des expériences sur la molécule.

Tout comme pour le Lancet Gate les observateurs découvrent le pot aux roses en mettant en évidence des impossibilités statistiques. J’avais exposé les mêmes remarques pour une étude qui prétendait suivre via des appariements presque toute la population israélienne. Depuis le biais chronologique a été reconnu : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non-vacciné, mais pour des périodes chronologiques différentes, les non-vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie (février mars avril) et ils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés en mai ou juin, les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés, mais parce que la pandémie est terminée…

L’étude de Mr Véran s’en défend, mais alors nous nous heurtons à des impossibilités statistiques : comment trouver des non-vaccinés en nombre suffisant en mai juin juillet ?

L’étude explose sous les incohérences ! Les données de l’Assurance Maladies et celles de Santé publique France sont en contradiction sur de multiples points avec celles de ladite étude. Vérifiez !

Si l’on applique la règle Véran (le vaccin réduit la mortalité de 90 % on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés pour avoir le nombre de décès évités

sans le vaccin, cet été la France aurait eu plus de morts que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas… Impossible

Israël et le Royaume-Uni auraient dû avoir depuis mars trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays, bien plus que cet hiver

Aux 722 décédés britanniques non vaccinés il faudrait rajouter 1700 vaccinés décédés et donc 17 000 décédés évités par le vaccin selon Véran. 20 000 MORTS au lieu de 2400… Impossible !

Vous avez lancé un appel à témoignage, nous serons des centaines d’universitaires à vous répondre sur tous les points précis, mais en attendant :

Comment expliquez-vous que cette étude qui prétend suivre 22 millions de Français sur plusieurs mois puisse y parvenir ?

Le diable se cache dans les détails :

20 % DES PLUS DE 55/74 ANS FUMENT, l’étude n’en trouve que 5 %.

10 % DES PLUS DE 74 ANS FUMENT L’ÉTUDE EN TROUVE 1 %.

Les statistiques officielles comptent 170 000 personnes prises en charge pour Parkinson dans toute la France, l’étude en trouve le double pour les plus de 50 ans.

Des différences inexplicables en plus ou en moins sont vérifiables pour le diabète ou Alzheimer.

Les groupes de non-vaccinés sont deux fois plus nombreux à ne pas être vaccinés contre la grippe. Les lecteurs de ce blog n’ignorent pas que la moitié des Covid graves sont associés à une grippe préparant le terrain à la Covid.

la différence est conséquente pour les plus de 75 ans parmi lesquels on compte 700 000 non vaccinés contre la grippe de plus dans le groupe des non-vaccinés Covid.

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200 000

1,1 M DE VACCINES AURAIENT ÉTÉ COMPTES ET APPARIES DEUX FOIS

Au début de la période considérée 1,1 M de vaccinés contre I, 1 million de non vaccinés, mais au fur et à mesure où les non-vaccinés se font vacciner, ils deviennent dans l’étude des vaccinés et sont appariés à de nouveaux non vaccinés. Les 1,1 M de vaccinés avec lesquels ils étaient appariés sont retirés définitivement de l’étude et par conséquent cessent d’être suivis. S’ils tombent malades par la suite, au pire moment de la pandémie, cela ne sera pas pris en compte.

Étudions ce qui se passe au cours du dernier mois de ladite étude

CONTRADICTION ENTRE SANTÉ PUBLIQUE France ET L’ÉTUDE EPI-FOIRE : 600 vaccinés hospitalisés manquent à l’appel en juillet

Entre le 20 juin et le 21 juillet selon Geodes nous avons eu en tout 730 hospitalisations de plus de 75 ans

Par ailleurs selon Epi Phare l’étude se serait poursuivie avec en appariement un million de non vaccinés de cette tranche d’âge, soit a minima, tous ceux qui vivent dans le pays à ce moment-là…

Et un million de vaccinés (faciles à trouver). Mais à qui feront-ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent de plus de 75 ans non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? … Au début mai il n’y avait en France que 1,5 million de plus de 75 ans, et leur nombre n’a cessé depuis de diminuer…

Toujours selon EPI-PHARE il y aurait eu pour tous les non-vaccinés disponibles dans le pays 154 hospitalisations… On devrait en déduire que les hospitalisés vaccinés de plus de 75 ans sont 730-154 soit 576… Pas du tout ils n’en trouvent que 25

Problèmes majeurs c’est de cette période que l’on tire les enseignements sur l’efficacité à long terme des vaccins contre le Delta

En recoupant les statistiques de l’étude avec celles de la DREES, nous observons deux biais majeurs :

  • les vaccinés se font tester dix fois moins que les non-vaccinés ce qui rend impossibles les comparaisons de risques de contamination entre les deux catégories. Les études sérieuses portent sur la charge virale dans les muqueuses, elle est identique ce qui démontre que la vaccination ne protège pas de la contamination
  • nous pouvons être certains qu’au moins 90 % des hospitalisés vaccinés Covid ont été testés Covid via un test PCR, mais ils ne doivent être que 60 % des hospitalisés non vaccinés à être certifiés Covid

La sous-évaluation des vaccinés hospitalisés est donc là encore évidente !




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




l’ANSM, gendarme français du médicament, se désintéresse totalement du fait que la dispensation des quatre vaccins anti-Covid soit réalisée de manière illégale

[Source : AIMSIB]

[Photo : Le siège de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le 17 octobre 2017 à Paris. Photo d’illustration. (ALAIN JOCARD / AFP)]

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Par Dr Vincent Reliquet

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Nous nous sommes fait l’écho récemment (1) de ce que l’ANSM,  gendarme Français du médicament, se désintéressait totalement du fait qu’à ce jour la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol: En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore… Vient alors le temps d’interroger l’Agence Européenne du Médicament à ce sujet, cette puissante institution gère donc ce dossier pour l’ensemble des États membres qui apparemment lui vouent une confiance sans limite, au point de ne plus souhaiter jamais lui opposer le moindre contrôle national. Au final on s’alarme, ou plutôt on se désespère car il n’y a plus de pilote dans l’avion. Bonne lecture.

AMM conditionnelle, définition

Par rigueur nous ne nous risquerons pas à citer une autre source que la plus officielle pour ce qui est de la France, c’est ici: (2)

Vaccination infoservice.fr

On en comprend l’évidence et la nécessité:

En cas de péril sanitaire avéré l’attribution d’une AMMc à un produit de santé innovant doit demeurer possible en urgence si on le pense probablement efficient et si on lui suppose un bénéfice probablement supérieur aux risques que la population va encourir par son utilisation.

S’agissant des vaccins Covid cette AMMc sera dite centralisée, à l’EMA, à nouveau pour des raisons d’efficience accrue, après que cette décision ait été avalisée par la Commission Européenne. L’AMMc est alors accordée à tous les états membres ensemble.  Seule l’EMA reste donc pilote et maîtresse du dossier dans les suites, ce qui n’obère aucunement aux pays de procéder à leur propres actions de vigilance sanitaire et juridique, ce que manifestement l’ANSM Française ne souhaite pas réaliser dans ce dossier.

AMM conditionnelle, la particularité temporelle qui change tout

Dans la mesure où le rapport bénéfice sur risque demeure hypothétique, encore plus pour ces produits innovants que pour les autres, le législateur a raccourci le délai de validité de 5 ans pour une AMM standard à 1 an seulement, charge aux industriels de présenter pendant ce délai les réponses aux questions laissés en suspens vu l’urgence de la délivrance, toute AMMc qui ne se trouve pas confortée par les rapports manquants au départ se devrait donc d’être interrompue à ce terme. Ainsi,

  • « Conformément au règlement (CE) no 726/2004, les autorisations de mise sur le marché conditionnelles auront une durée de validité d’un an renouvelable. Le délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement doit être de six mois avant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (ci-après dénommée « l’Agence ») sur la demande devra être adopté dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de celle-ci. Afin d’assurer que les médicaments ne sont pas retirés du marché sauf pour des raisons de santé publique, pour autant que la demande de renouvellement soit introduite dans les délais, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle doit être valable jusqu’à ce que la Commission prenne une décision fondée sur la procédure d’évaluation de la demande de renouvellement ». (3)

Compte tenu de ce qui précède et nous remercions chaudement le CTIAP de Cholet  sous la vigilance des Drs.  Amine Umlil (4) et Catherine Frade (5) qui en avaient inspiré  son article,

Les dates limites de dépôt des compléments de preuves de qualité pour la substance active et le produit fini pour les quatre industriels en lice se clôturaient en :
– Juillet 2021 pour BioNTech/Pfizer ;
– Juin 2021 pour Moderna ;
– Juin 2021 pour AstraZeneca ;
– Août 2021 pour Janssen.

A noter qu’en plus, s’agissant des deux premiers, des modifications d’excipients ont eu lieu au décours de la mise sur le marché de ces produits et que l’un des quatre a carrément changé de nom.  Et qu’avons-nous pu lire à ce sujet dans la presse spécialisée médicale et scientifique internationale? Rien. Que devaient impérativement documenter les industriels?

AMMc, les contenus scientifiques qui devaient être divulgués

Deux tableaux vont éviter de grands discours, merci encore à Catherine Frade de les avoir compilés en annexe dans son article. Nous ne nous bornerons qu’à l’étude des deux dossiers encore commercialisés en France (Pfizer et Moderna) puisque les vaccins AstraZeneca et Janssen ne sont plus importés en France depuis déjà des semaines: (6)

Annexe IIE AMM Pfizer
Annexe IIE de l’AMM Moderna, page 15

Ainsi, Pfizer s’était engagé à démontrer la qualité de ses excipients ALC-0315 et ALC-1559la caractérisation de son produit fini, le process en matière de contrôle de qualité ainsi que sa stratégie de contrôle de qualité finale pour Juillet 2021, et Moderna devait démontrer « une qualité constante du produit«  autour essentiellement de la stabilité des substances utilisées ainsi que « revoir les spécifications…/… du produit fini«  pour Juin 2021.

Pourquoi un tel silence médiatique autour de ces données essentielles à la sécurité des consommateurs si ces documents avaient été effectivement transmis en temps et en heure à l’EMA? Il faut donc admettre que ces données n’ont pas été publiées parce que les résultats réels seraient possiblement dévastateurs pour les dossiers des deux industriels encore en lice.

On en vient alors à se demander pour quelle raison l’EMA n’a pas sévi immédiatement en suspendant immédiatement les AMMc de ces deux vaccins aux termes évoqués plus haut.

EMA et AMMc, l’histoire d’une permissivité sans fin

Dans un bref article en date de 2017 (7) la revue Prescrire nous apprenait ainsi qu’entre 2006 et 2016  pas moins de 30 médicaments avaient fait  l’objet d’AMM conditionnelles, et que sur ces 30, 17 vivaient encore sous ce régime en  2016 alors qu’ils auraient dû l’abandonner dans l’année et seulement 11 ont été converties en AMM classique pendant que 2 ont été retirées à la demande de la firme propriétaire (8). La fin de cet article se passe de commentaire:
– » …/… l’arrivée d’un médicament sur le marché environ 4 ans plus tôt par rapport à une AMM classique, les patients ayant ainsi accès plus tôt à des médicaments nouveaux. Mais accès à quel bénéfice thérapeutique ? À quels effets indésirables ? Des questions qui restent sans réponse si l’EMA n’est pas plus exigeante, avec le risque de laisser longtemps les patients exposés à des médicaments dont la balance bénéfices-risques n’est pas favorable« .

Ainsi « oublier » la surveillance renforcée d’un médicament récent donc très peu évalué se révèle monnaie courante à l’EMA. Pour comprendre un tel dysfonctionnement il faut se pencher sur la structuration de cette agence hors norme.

L’EMA, bastion financier privé…

Juridiquement, l’EMA ne dépend même pas de la CEE. On peine à y croire, mais en 2019,

L’Agence européenne du médicament tirait son budget de fonctionnement  des redevances payées par l’industrie pharmaceutique à hauteur de 85,70 % pour seulement 14,29 %  à partir des deniers de la CEE (9) au point que cette institution a été qualifié un temps par le Sénat Français « d’objet juridique non identifié ». (10)

Les demandes de transmissions de documents adressés à l’EMA demeurent généralement lettre morte ou sont livrées avec une lenteur exaspérante propre à réduire à néant tout travail de recherche, comme Gøtzsche et Jørgensen  l’avaient démontré en 2011. (11)

La revue Prescrire avait soulevé un immense scandale très vite étouffé en 2017,  documentant que certains membres de l’EMA délivraient régulièrement des « conseils secrets et payants » aux firmes afin d’ »améliorer » leurs chances d’enregistrement, laissant naturellement la porte ouverte à toutes les supputations de corruption passive. On retiendra de cet article un élément qui nous intéresse au plus au point ici:
– » 71 % des demandes d’AMM conditionnelle qui ont suivi les conseils scientifiques de l’EMA ont abouti à une AMM, contre 40 % de celles qui ne les ont pas suivis. Ces chiffres peuvent s’interpréter de différentes façons. Mais l’opacité des procédures soulève la question d’éventuels compromis et influences, dus à une trop grande proximité entre les personnels des firmes et ceux de l’EMA« . (12)

On ne s’étonnera donc pas de cette triple et fatale constatation réalisée par europaforum.lu en 2012: (13)

  • A l’Agence européenne du médicament (EMA) ou à l’Agence de sécurité des aliments (EFSA), les déclarations d’intérêts des experts divergeaient parfois d’une année à l’autre sans que l’administration ne s’en inquiète ou ne leur demande des clarifications. Ou bien, comme à l’ECHA, un employé n’a pas déclaré tous ses emplois des derniers cinq ans, comme c’est requis, et personne n’a comparé CV et déclaration d’intérêts.
  • A l’EMA, l’agence a relevé un conflit d’intérêts chez un membre du comité scientifique et avait conclu que l’expert ne pouvait plus en faire partie. Pourtant, ce dernier a continué à participer aux réunions du comité et son mandat a même été renouvelé par la Commission européenne pour trois ans. Par la suite, sa déclaration d’intérêts mise à jour ne mentionnait plus les données qui avaient mené à la conclusion qu’il se trouvait en situation de conflit d’intérêts.
  • A la même EMA, deux membres du comité scientifique se sont vus classés comme des personnes présentant un risque très bas en termes de conflit d’intérêts, alors qu’elles avaient travaillé pour des compagnies pharmaceutiques, ce qui aurait dû conduire à ce qu’on les classe à un niveau de risque plus élevé selon les règles qui ont cours au sein de l’EMA et à certaines restrictions de leur travail d’experts.

Ce dossier serait incomplet sans évoquer le cursus exemplaire de porosité de sa directrice générale, l’Irlandaise Emer Cooke. Après avoir débuté dans l’industrie pharmaceutique elle a intégré les autorités de règlementation de son pays puis en 1991 elle rejoint le temple industriel du médicament, l’Association Européenne de l’Industrie Pharmaceutique (EFPIA) dont on supputait en 2019 un budget de lobbying officiellement compris entre 4 651 809 (14) et 5 414 776 euros. (15)

AFP – F. Walschaerts

L’lEFPIA dispose d’une « branche vaccin » dans laquelle sont évidemment représentés de nombreux industriels du secteur. A partir de 1998 et pour quatre ans elle prit la direction du département pharmaceutique de la Commission européenne. On la retrouve ensuite à l’EMA puis plusieurs années à l’OMS, le déménagement de l’EMA de Londres à Amsterdam en 2020 la plaça à la tête de l’institution depuis. (16) On comprend aisément qu’un choix pareil ne peut être interprété autrement que comme une main-mise officielle des industriels du secteur sur le fonctionnement déjà gravement perturbée de l’EMA.

A noter d’ailleurs que c’est l’IEFPIA qui a poussé l’Union européenne a apporter une « immunité juridique totale » à ses membres, les rendant ainsi totalement non responsables des effets indésirables graves générés par les vaccins anti-Covid. (17)

… Au centre d’une CEE gangrenée par le lobbying

Et c’est celle-ci, considérablement influencée voire infiltrée par le secteur pharmaceutique, qui choisit les molécules à mettre sur le marché après avis de l’EMA.

Prétextant du secret des affaires tous les contrats liant les firmes à la Commission européenne demeurent non divulgués, même auprès des membres de la Commission du contrôle budgétaire de l’Union dont c’est le rôle le plus primordial. (18)

Le poids financier du lobbying pharmaceutique auprès des institutions européennes a été évalué à 16,3 M€ en 2015 par l’ONG bruxelloise CEO et ne pourrait refléter que la partie immergée de l’iceberg des financements opaques. Fort logiquement ces masses d’argent déversées auprès des institutions européennes ouvrent aux industriels la porte des commissions parlementaires, c’est ainsi que « pendant la dernière mandature les dix laboratoires pharmaceutiques les plus gros ont ainsi eu 112 réunions importantes avec la Commission Juncker, et 60 accès au Parlement« . (19)

Les actes corruptifs font rage à la Commission, se souvenir par exemple que celle-ci a acheté en octobre 2020 pour 1,2 milliards d’€ de remdesivir, quelques jours avant que l’OMS ne déclare le produit parfaitement inefficace, à ce jour il semble qu’aucun remboursement n’ait jamais eu lieu. (20)

Le CV de la présidente de la Commission européenne paraît à première vue sans tache. Madame Ursula Von der Leyen est allemande, ancienne Ministre de la la Famille, puis du Travail, puis de la Défense dans son pays. Economiste elle est aussi médecin. Son diplôme est entaché de soupçons de plagiats massifs mais celui-ci ne lui a été au final jamais retiré. (21) Elle se serait également inventée un poste à l’Université de Stanford qu’elle n’a jamais obtenu.

REUTERS / Francois Lenoir

Les soupçons de conflits d’intérêts de la Présidente sont écrasants. Elle aurait par exemple présidé pendant 5 ans une commission sur « l’analyse des changements systémiques dans les chaînes de valeur entraînés par l’intelligence artificielle » pour laquelle le cabinet MacKinsey, qui avait embauché son propre fils, aurait touché 5,5M€ de la Commission Européenne. Son mari est médecin, Directeur de Orgenesis Inc. entreprise de biotech orientée vers les thérapies cellulaires et génétiques. (22) L’entreprise aurait lancé le programme appelé BioShield, conçu pour accélérer la découverte et la validation potentielles d’anticorps humains neutralisants en vue d’atténuer la propagation de virus tels que la COVID-19. 

Citons le dernier scandale en date qui éclabousse à nouveau la présidente, elle a reconnu avoir détruit l’ensemble des SMS échangés par elle avec Robert Bourla, le PDG américain de Pfizer, ainsi que la listes des appels téléphoniques échangés entre eux alors que l’ensemble des correspondances professionnelles des membres de l’Union est sensé appartenir à l’Union, l’article du Courrier des stratèges nous en donne une description effarante. (23)

Qu’attendre de l’EMA

Probablement, rien et pour  quatre raisons. Notre requête référencée ASK-94876 du 24/09/2021 a déjà produit les réponses suivantes:

1- Correspondance non conforme: Après que les Associations AIMSIB, Bonsens et LNPLV avaient mandaté Maître Jean-Charles Teissèdre pour réclamer en leurs noms des preuves de validité persistante de ces AMMc, la première réponse a été que les demandes doivent être adressées dans la seule langue autorisée à l’EMA, l’anglais.

2- Arguties juridiques sans rapport avec la demande formulée: Il a été ainsi annoncé que chaque demandeur ne pouvait réclamer plus de deux documents à la fois. Notre réclamation impose qu’on nous apporte un corpus de preuves quant à la licité des AMMc de deux vaccins, deux « documents » ne réussiront jamais à nous convaincre.

3- Demande de transmission de la demande de l’ANSM à l’EMA à propos de la validité des AMMc:   « you will receive a reply via a secure Eudralink within 15 working days. The Agency may extend this period by a further 15 working days in exceptional circumstances in accordance with the Regulation. Should such an extension be applied by the Agency, you will be informed at the time. » 15 à 30 jours pour recevoir une simple copie de mail.

4- Temps de réponse estimé à l’envoi de notre requête: « Regarding the answer(s) required as a reply to your questions, please note that we are currently processing them and you will receive them in due course. » (Trad: Concernant la ou les réponses requises pour répondre à vos questions, veuillez noter que nous les traitons actuellement et que vous les recevrez en temps voulu.)

Nous ne partons pas pour faire mentir les conclusions de Gøtzsche et Jørgensen mentionné plus haut. Sur le fond un arrêt récent de la Cour Européenne en date du 22/01/2020 doit nous faire comprendre que les industriels réclameront encore une fois le maintien du secret des affaires pour ne pas transmettre leurs données, et ceci sera probalement, voire certainement entériné par l’EMA, lisez plutôt:

.../…  » Aux points 91 à 93 de cet arrêt, le Tribunal a souligné que la requérante n’avait apporté aucun élément permettant de comprendre les raisons pour lesquelles les occultations effectuées par l’EMA n’étaient pas suffisantes. Il a rappelé que, selon la politique de l’EMA elle-même, cette dernière ne divulguait pas d’informations commerciales confidentielles, telles que les informations détaillées concernant la qualité et la fabrication des médicaments, de…/… (24)

Conclusion

Dans « la vraie vie », un conducteur privé de son permis de conduire ne sera absolument jamais autorisé à continuer à conduire. Un avionneur qui perd son certificat de navigabilité pour un modèle d’appareil voit immédiatement l’entièreté de ses avions cloués au sol pendant des mois (25)  mais en matière de produit de santé en général et de vaccin en particulier, la permissivité absolue demeure de mise.

Il est absolument inadmissible qu’aucune voix ne se fasse entendre en Europe (politiciens, journalistes, médecins, chercheurs, juristes) pour réclamer que les Lois européennes de protection des consommateurs soit appliquées. Il est inouï, totalement totalitaire de prétendre  imposer en France un vaccin en phase III  dont l’Autorisation de Mise sur le Marché est peut-être complètement inexistante depuis des mois.

Qui pourra encore faire à nouveau respecter le droit et la plus légitime protection des européens face à cette folie vaccinale actuelle?

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/2021/09/17/moratoire-sur-la-loi-francaise-dobligation-vaccinale-des-soignants-vite/
(2) https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
(3) Règlement Européen 2006, Point 9, préambule
(4)  « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament » (EMA) 02/04/2021 Dr A. Umlil. http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html
(5) http://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/
(6) https://www.aimsib.org/2021/09/12/soignants-contaminants-ca-va-etre-pire-en-bonus-la-francafrique-revient/
(7) « AMMc, avec très peu de données » Page 856 • La revue Prescrire • Novembre 2017 • Tome 37 N° 409
(8) – EMA “Conditional marketing authorisation – Report on ten years of experience at the European Medicines Agency” 2017 : 42 pages
(9) « Rapport concernant la décharge sur l’exécution du budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019 » (2020/2157(DEC)), Commission du contrôle budgétaire Rapporteur: Ryszard Czarnecki https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf
(10) https://www.senat.fr/rap/r05-404-2/r05-404-257.html
(11) Gøtzsche PC, Jørgensen AW. Opening up data at the European Medicines Agency. BMJ. 2011 May 10;342:d2686. doi: 10.1136/bmj.d2686. PMID: 21558364. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21558364/
(12) Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes https://www.prescrire.org/Fr/3/31/53660/0/NewsDetails.aspx
(13) https://europaforum.public.lu/fr/actualites/2012/10/eca-agences-conflit-interets/index.html
(14) https://lobbyfacts.eu/representative/0e0020135cfc4775bb5a4bd0313b120d/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations
(15) https://www.republique-souveraine.fr/2019/05/04/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations-efpia/
(16) https://www.profession-gendarme.com/la-directrice-generale-de-lagence-europeenne-des-medicaments-emer-cooke-a-la-solde-des-labos/
(17) https://www.mediapart.fr/journal/france/170920/vaccin-contre-le-covid-19-le-lobby-pharmaceutique-se-dedouane-par-avance?onglet=full
(18) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(19) https://multinationales.org/Comment-l-industrie-pharmaceutique-a-pris-d-assaut-les-institutions-europeennes
(20) https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/remdesivir-inefficace-comment-la-commission-europeenne-sest-laissee-seduire-par-gilead
(21) https://www.welt.de/politik/deutschland/article146956797/Kritiker-bewerten-Arbeit-als-eindeutiges-Plagiat.html
(22) https://www.zonebourse.com/barons-bourse/Heiko-von-der-Leyen-0NQRH5-E/biographie/
(23) https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/25/ursula-von-der-leyen-a-t-elle-instaure-une-diplomatie-personnelle-parallele-avec-le-pdg-de-pfizer/
(24) https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=CC2A121378B1B992BACB6833B99700D7?text=&docid=222502&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=4750303 point 30
(25) https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tous-les-boeing-737-max-cloues-au-sol-depuis-un-an-6-questions-pour-comprendre?id=10451449




APPEL AUX SÉNATEURS POUR REFUSER L’OBLIGATION V antiCovid CHEZ LES ENFANTS

Par Nicole et Gérard Delépine

Merci aux sénateurs qui ont rejeté la proposition de loi Jomier en commission.

Cette Proposition de loi du groupe socialiste veut rendre obligatoire pour les enfants la vaccination contre le SARS-Cov-2. Elle sera soumise à nouveau au Sénat, le 13 octobre.

Comme médecins, nous sommes affligés qu’un confrère puisse proposer une telle mesure contraire à l’état réel de la science, au principe de précaution et au serment d’Hippocrate : « d’abord ne pas nuire ».

  • Peut-il ignorer que les enfants sains ne peuvent en espérer aucun bénéfice personnel ?
  • Ignore-t-il que les enfants ne constituent pas un facteur réel de contamination ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre ?
  • Ignore-t-il que l’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux ? Et qu’obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée ?
  • Ignore-t-il que ces traitements représentent un danger réel pour les enfants avec déjà des morts ?

RAPPEL DES FAITS ETABLIS

Les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections

D’après Santé publique France, 7 à 10 enfants meurent chaque année de la grippe saisonnière contre laquelle le vaccin antigrippal n’est pas indiqué, sauf chez ceux qui souffrent de lourdes comorbidités.

Durant l’année 2020, on a recensé en France 4 décès d’enfants attribués au Covid et tous souffraient auparavant de pathologies lourdes. Cette bénignité du Covid chez l’enfant sain est confirmée par toute la littérature mondiale et toutes les sociétés de pédiatrie.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette pseudo vaccination même si elle était parfaitement efficace.

Les enfants ne constituent pas un facteur réel de transmission du Covid

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.(([1] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the Covid-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ; 109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.
Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review – PubMed (nih.gov) ))(([2] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (Covid-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic – PubMed (nih.gov)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))(([3] Benjamin Lee and William V. Raszka Covid-19 Transmission and Children : The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI :
COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame – PubMed (nih.gov) ))

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020 | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic (oup.com))) est très démonstrative. L’enfant des Contamines, en contact alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

L’étude de l’institut Pasteur(([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission | medRxiv)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Aucun des enfants malades pendant qu’il fréquentait l’école n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans a conclu : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19 (alors qu’ils représentent 20,7 % de la population). Seulement 0,6 % des hospitalisations et aucun décès signalé concernaient des enfants de moins de 18 ans. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et aucun enfant de moins de 12 ans n’a été le premier infecté de la famille.

En Irlande,(([6] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of Covid-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ; 25 :2000903.
No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 – PubMed (nih.gov))) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie(([7] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. Covid-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées dont 1 élève du primaire potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([8] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. Covid-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ; 146(2) :
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, seulement 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

De même, la persistance ou la reprise des activités scolaires n’ont été suivies nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 20 mois d’épidémie et plus de 235 175 106 cas (au 6/10/2021) confirmés de Covid-19, après analyse des publications internationales référencées par PubMed (plus de onze mille sur Covid et enfant), aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Alors pourquoi certains, niant les faits établis, prétendent que la vaccination des enfants serait utile pour contrôler le Covid ? La vaccination des enfants ne peut pas protéger les aînés. 

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre 

L’exemple des pays champions de la vaccination montre que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper, ni de transmettre la maladie. Depuis l’apparition du variant Delta, les reprises de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés, souvent plus fortes que les poussées précédentes, montrent que même une couverture vaccinale très élevée ne protège ni les vaccinés ni les autres.

L’inefficacité de l’injection Pfizer à empêcher la diffusion de la maladie est démontrée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné. L’exemple d’Israël est à cet égard démonstratif.

Le 5 août dernier, sur Channel 13 TV News, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog de Jérusalem déclarait : « 95 % des patients sévères sont vaccinés » et « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

L’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires

Mais Monsieur Bernard Jomier feint de l’ignorer lorsqu’il récite sa croyance en la pseudo vaccination en essayant de tromper ses collègues sénateurs en prétendant que la pseudo vaccination serait le « seul moyen d’atteindre une protection collective suffisante », et de « transformer l’épidémie en un phénomène à bas bruit avec d’éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l’impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens » dans la conclusion de son rapport à ses collègues.

Il reconnaît que « le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d’immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90 % et 95 % ». Mais il fait semblant d’ignorer qu’un tel taux de couverture vaccinale ne pourra pas être atteint en France et que les représentants de nombreuses agences sanitaires majeures de pays qui ont atteint ce niveau d’injection en ont reconnu l’échec de l’espoir d’immunité collective par les pseudo vaccins.

Ainsi en Islande où devant la recrudescence de l’épidémie malgré un taux d’injection dépassant 93 %

L’épidémiologiste en chef, Orólfur Gudnason déclarait : « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » pendant que le directeur de l’hôpital universitaire national Páll Matthiasson affirmait « Cette pandémie et d’autres sont là pour rester » « Nous devons renforcer le système de santé pour qu’il ne soit pas toujours au bord de l’effondrement ».

Ainsi en Grande-Bretagne championne de l’injection Astra Zeneca qui n’a pas évité une récidive majeure de l’épidémie depuis juillet 21 :

Le chef de l’Oxford Vaccine Group et l’un des pères du vaccin AstraZeneca, Andrew Pollard a déclaré devant les députés « L’immunité collective n’est qu’un mythe »

À Singapour comme à Hong Kong, l’échec cuisant de la vaccination a fait revoir la stratégie sanitaire officielle passant de l’objectif « zéro Covid par la vaccination » au « vivre avec ».

En France, le professeur Fischer chargé de la vaccination qui affirmait il y a quelques mois qu’on atteindrait bientôt l’immunité collective par la vaccination se montre maintenant beaucoup plus prudent.

« Si l’immunité de groupe peut être atteinte ou non, je ne sais pas, c’est devenu un challenge très ambitieux que je ne trancherai pas »

Il n’y a plus guère que Bernard Jomier et un quarteron d’académiciens probablement trop liés à l’industrie pharmaceutique et/ou mal informés pour croire encore au contrôle de l’épidémie par les pseudo vaccins Covid.

Les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux

Pour le vérifier, il suffit de consulter le site officiel américain clinicaltrials.gov qui montre que la fin des essais phase 3 n’est pas attendue avant 2023.

Or obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée. Cette convention d’Oviedo ne fait que transcrire dans la loi internationale, la déclaration d’Helsinki élaborée par l’Association Médicale Mondiale après le procès des médecins de Nuremberg condamnant certains d’entre eux à la pendaison pour avoir administré des traitements expérimentaux (pour la moitié des candidats vaccins) sans le consentement libre et éclairé des intéressés.

Ces traitements expérimentaux représentent un danger réel, particulièrement pour les enfants et adolescents

Les péricardites post vaccinales ont été signalées pour la première fois en Israël depuis plusieurs mois. Comme cette maladie est naturellement exceptionnelle chez l’enfant le lien de causalité est hautement probable.

Depuis lors, une étude américaine réalisée à partir du VAERS a montré dès juin 2021 que les garçons en bonne santé âgés de 12 à 17 ans présentaient un taux d’hospitalisation dû à une inflammation cardiaque plus élevé après leur deuxième vaccination ARNm Covid-19 que le taux d’hospitalisation attendu pour le Covid-19 dans ce groupe d’âge.

Une analyse par le CDC (l’autorité américaine de Santé) des rapports d’inflammation cardiaque signalés après l’administration du vaccin Covid-19 l’a confirmé et cette complication des pseudo vaccins est maintenant inscrite dans la notice d’utilisation de ces médicaments aux USA. Rappelons la gravité de cette complication qui peut aboutir à la mort et lorsqu’elle guérit, peut laisser de lourdes séquelles interdisant les efforts prolongés comme la pratique des sports et annulant tout espoir de carrière sportive professionnelle.(([9] La myocardite inflammation du muscle cardiaque, péricardite : inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.)) La guérison rapide et définitive est un mensonge. Des accidents neurologiques divers ont également été rapportés depuis plusieurs mois (paralysie faciale, cécité, certes rares, mais inacceptables pour une maladie sans risque chez l’enfant sain.

Les données récentes de septembre 2021 chez les enfants soumis au pseudovaccin confirment ces premières indications et sont très inquiétantes aux USA(([10] The Covid-19 Vaccines have harmed and killed more children in the USA than all other vaccines combined according to official data (wordpress.com) ))

Et à nouveau cette information tragique : les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([11] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Il y a également eu 1 614 décès fœtaux enregistrés à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin contre le Covid-19, bien qu’aucune femme enceinte n’ait participé à un seul essai clinique pour aucun des vaccins anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe

Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Les dernières données VAERS publiées le 10 septembre 2021 montrent également comment les enfants qui ont un risque pratiquement nul de souffrir d’une maladie grave due au Covid-19, souffrent des vaccins Covid-19.

Il y a eu 21 décès, 77 incapacités permanentes, 2 019 visites aux urgences, 942 hospitalisations et 165 événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans en raison des vaccins contre le Covid-19.

De plus, les vaccins contre le Covid-19 ont causé 21 fois plus de décès, près de 8 fois plus d’incapacités, 40 fois plus de visites aux urgences, 36 fois plus d’hospitalisations et 18 fois plus d’événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans que tous les autres vaccins disponibles combinés (depuis le début des injections antiCovid).

Une autre recherche dans la base de données VAERS pour la thrombose (caillots sanguins), un effet secondaire connu des vaccins Covid-19, montre qu’il y a eu 91 rapports contre les vaccins Covid-19 chez les ados de 12 à 20 ans jusqu’au 10 septembre 2021.

La même recherche pour tous les autres vaccins disponibles montre que seulement 4 cas de thrombose ont été enregistrés. Cela signifie que les cas de thrombose sont 23 fois plus élevés chez les adolescents qui ont reçu une injection anti-Covid 19.

Et pourtant malgré ces énormes alertes sur l’impact dévastateur sur les adolescents aux États-Unis, la FDA et le CDC sont sur le point d’approuver le vaccin de Pfizer pour une utilisation chez les enfants de plus de 5 ans, le Dr Fauci déclarant même qu’il pourrait être approuvé pour une utilisation chez des enfants aussi jeunes que 6 mois d’ici Noël !

Big Pharma a toujours le pouvoir.

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([12] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées,(([13] Statistics » Covid-19 Vaccinations Archive (england.nhs.uk) )) et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins…

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.(([14] https://theexpose.uk/2021/10/04/teen-boy-deaths-increased-by-63-percent-since-they-had-Covid-vaccine/))

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.(([15] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre(([16] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose)) selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

Alors pourquoi en France cette proposition de loi susceptible de mettre en danger nos enfants, après toutes ces informations provenant des sources officielles ?

Mr le Sénateur Jomier et les autres signataires de cette proposition de loi sont-ils à ce point désinformés ? Qui les informe ? Qui sera responsable et coupable ?

Ne représenteraient-ils que des lobbyistes des entreprises du médicament ?

Les antécédents du docteur Jomier dans l’expérience « Paris sans Sida » plaideraient pour cette dernière possibilité.

En 2015-2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » faisant la promotion d’un médicament préventif de GILEAD ; la PrEP.  Dans un article de juin 2017, Hervé Latapie dénonçait certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts.

« La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscriptions onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches…), encarts publicitaires offerts à la presse gay ».

En 2018, l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  Après cinq ans de cette promotion de la PrEP qui a rapporté beaucoup à Gilead, le bilan sanitaire global est très mitigé(([17] D’après santé publique France l’incidence du sida à Paris s’est stabilisée (en grande partie grâce à l’accroissement sensible du dépistage) mais l’abandon trop fréquent du préservatif par ceux qui se croient ainsi protégés par le PrEP a été suivi par une augmentation de 20 à 30 % des autres maladies sexuellement transmissibles (syphilis, gonorrhée, chlamydia) ))(([18] ? ))

Gilead ? Toujours Gilead, que personne n’a pu oublier et dont les liens d’intérêt avec les anti Raoult, médecins de plateau permanents et les promoteurs du tragique Remdesivir ont constitué un des feuilletons de l’année 2020. 

EFFETS INDÉSIRABLES RELATÉS PAR LES AGENCES OFFICIELLES DES THÉRAPIES GÉNIQUES

Quelques éléments complémentaires à leur fournir ainsi qu’à tous les candidats à la présidentielle tragiquement silencieux alors que ces drames se jouent sous leurs yeux

En UE selon le site officiel de l’agence européenne du médicament(([19] https://adrreports.eu/fr/)):

Tableau comparatif des Myocardites déclarées sur Eudravigilance pour les 12-17 ans et les 12-17 ans complètement vaccinées en France complètement superposables.

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE

Plus de 26 000 décès reconnus par l’agence et plus d’un million d’accidents notés comme graves par EudraVigilance. Un tel risque, une fois connu, avec ces sources officielles est — il acceptable surtout chez les jeunes qui ne risquent rien du Covid ?

Et comme aux USA, le nombre de décès post Vax antiCovid a flambé depuis les injections antiCovid.

TOUS les décès, pour TOUS les vaccins répertoriés, depuis 2010 dans la base de données de pharmacovigilance européenne EudraVigilance, année par année.

En conclusion, il faut refuser cette obligation chez des enfants en particulier, et exiger un moratoire devant l’accumulation des effets secondaires, dont certains graves, et des décès chez des personnes en bonne santé.

Ceci d’autant plus que l’épidémie est terminée comme le réseau sentinelle le démontre.(([20] Réseau Sentinelles — Semaine 39))

Merci aux sénateurs qui ont refusé de voter cette proposition de loi contraire aux données actuelles de la science et espérons qu’ils pourront convaincre leurs collègues.

Encourageons— les tous à refuser définitivement cette proposition dangereuse. Chacun a le droit à l’erreur, mais persévérer est diabolique surtout quand il s’agit d’enfants et donc de l’avenir de la nation.

Et tous les politiques de tous les bords devraient s’emparer de ce risque énorme pour les jeunes et s’opposer à ce danger imminent et impossible à nier. Sinon, comment croire à leur intérêt pour les Français et singulièrement sa jeunesse ?

Et nous citoyens, contactons-les par tous les moyens pour les informer et qu’aucun ne puisse dire plus tard « je ne savais pas » !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

De tous les députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes





Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites

Par Alain Tortosa

Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites.
Nous devons nous préparer activement à contrer le fameux « on ne savait pas ».
Quand la dictature va tomber, les responsables
et les complices vont plaider l’obéissance aux ordres et l’ignorance.

Comme après la Deuxième Guerre mondiale : « On savait pas qu’il y avait des camps, si on avait su… ».

J’en appelle à moi-même et à tous les résistants qui œuvrent depuis des mois pour le rétablissement de la vérité scientifique et des droits de l’homme. Lors de la prochaine débâcle nous allons assister à une destruction massive des preuves, à la suppression d’archives et à une tentative inédite de réécriture de l’histoire. À ce titre je voudrais saluer l’initiative de Crowdbunker, parmi d’autres, qui archive de nombreuses vidéos déjà censurées ou qui le seront bientôt. Quand la dictature va se fissurer, un maximum de « collabos » vont retourner leur veste, mentir, détruire des preuves, pour tenter de passer pour des « résistants ». Il est encore temps, car ils se croient invincibles et pensent être à l’abri de toute démocratie.

Nous devons donc archiver toutes les interviews écrites et audiovisuelles qui les incriminent, mais aussi toutes les preuves qui attestent que les données étaient connues depuis le mois de mars 2020 et même avant pour certaines.

Le travail est titanesque, ne serait-ce qu’en France, quand on pense au nombre de médecins, ministres, politiques, personnes d’influences (artistes…), enseignants, journalistes, préfets, juges, policiers, gendarmes, juristes, fonctionnaires, enseignes commerciales… qui ont manipulé, menti, traqué, condamné, pour contraindre les honnêtes gens à accepter l’inacceptable. Nous allons devoir réécouter et relire toutes les interventions télévisuelles ou écrites et archiver toutes les prises de paroles de chacun.

Il y a probablement des dizaines de milliers de complices en lumière ou de l’ombre qui devront répondre devant la justice quand elle sera enfin de retour.

La méthode de défense des personnes incriminées sera double, comme d’habitude…

  • L’obéissance à la hiérarchie. Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette défense des lâches. Les textes de loi existent déjà et nul ne peut se réfugier derrière sa hiérarchie avec son « je n’ai fait qu’obéir aux ordres ». Nous pourrons d’ailleurs amener la preuve que de nombreux « collabos » sont allés bien au-delà des ordres et des lois scélérates. Ils ont fait du zèle dans tous les échelons de l’administration.
  • Le manque de données. C’est là le gros du travail d’archives. Toutes les pourritures de la plus insignifiante à la plus corrompue, de la plus débile à la plus décorée, ne manqueront pas de dire « on ne savait pas » pour l’ensemble des horreurs qu’ils ont imposé ou encouragé. Il va donc falloir apporter tous les éléments de preuves attestant des mensonges. Ils auront beau chercher, ils n’arriveront pas à prouver l’agissement par ignorance. Soit nous amènerons la preuve que l’on savait, soit nous amènerons la preuve qu’il y avait doute sans consensus. Pour les sujets où il pouvait demeurer ce doute, pourquoi le principe de précaution a-t-il été systématiquement balayé au profit de la mesure la plus dictatoriale possible et dont les conséquences néfastes étaient connues par avance pour un bénéfice hypothétique ? Si nous — résistants, lanceurs d’alerte, soignants, scientifiques, hommes de loi, simples citoyens — savions… alors eux aussi pouvaient disposer des mêmes connaissances et ceci d’autant plus qu’ils étaient proches du pouvoir et des sphères d’influence.

Et les mensonges ne manquent pas !

  • Mensonges et manipulation de l’opinion publique en usant systématiquement de la peur.
  • Mensonges sur l’honnêteté des laboratoires pharmaceutiques, du lobbying et de la corruption.
  • Mensonges en niant la corruption des médecins, soignants, artistes, restaurateurs, entreprises, politiques, fonctionnaires, etc. dont on a acheté le silence à coup de milliards d’euros.
  • Mensonges sur la « certitude » de l’origine du virus.
  • Mensonges sur la prétendue indépendance de l’OMS.
  • Mensonges sur l’ampleur de la crise et son aspect prétendument « exceptionnel ».
  • Mensonges sur les publics touchés, les personnes à risque.
  • Mensonges sur la dangerosité intrinsèque du virus.
  • Mensonges sur le taux d’incidence.
  • Mensonges sur le nombre de vrais malades du Covid..
  • Mensonges sur le nombre d’hospitalisations pour Covid.
  • Mensonges sur le nombre et le pourcentage de personnes en réanimation (soin intensif).
  • Mensonges sur le nombre de morts imputés au Covid.
  • Mensonges sur l’absence de traumatismes chez les enfants.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des gestes barrières.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue innocuité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des confinements.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du couvre-feu.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité de la fermeture des commerces dits non-essentiels.
  • Mensonges sur l’absence affirmée de traitements.
  • Mensonges sur la dangerosité de molécules inoffensives.
  • Mensonges et omerta sur les personnes âgées interdites de traitements et tuées au Rivotril.
  • Mensonges pour promouvoir l’interdiction d’accès aux soins.
  • Mensonges pour interdire aux médecins de prescrire.
  • Mensonges sur la prétendue ouverture de lits d’hospitalisation quand on les fermait.
  • Mensonges pour tuer la réputation de médicaments efficaces et « gratuits ».
  • Mensonges sur l’absence de conflits d’intérêts des « spécialistes ».
  • Mensonges pour promouvoir des molécules dangereuses (et inefficaces).
  • Mensonges sur le mythe de l’immunité vaccinale de masse.
  • Mensonges sur la prétendue impossibilité d’une immunité naturelle de masse.
  • Mensonges pour dénigrer l’AstraZeneca au profit de l’ARN Messager.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des thérapies dites vaccinales.
  • Mensonge sur la prétendue innocuité de ces substances expérimentales et ARNm.
  • Mensonges pour faire croire au public que les tests de sécurité avaient été conduits.
  • Mensonges pour camoufler ou interdire la remontée des effets secondaires graves des injections.
  • Mensonges sur la prétendue absence de mortalité post-vaccinale.
  • Mensonges pour vendre de la 3e dose de vaccins non mis à jour.
  • Mensonges sur les annonces disant qu’il n’y aurait jamais de passe sanitaire.
  • Mensonges identiques concernant l’obligation vaccinale.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du passe-sanitaire qui ne vise que l’obligation vaccinale et l’extorsion du consentement.
  • Mensonges sur le fait que le passe-sanitaire serait devenu naturel et entré dans les mœurs.
  • Mensonges pour dénigrer toute parole autre.
  • Mensonges sur un prétendu consensus scientifique qui n’a JAMAIS existé.
  • Mensonges pour transformer l’annonce et la parole médiatique en « loi ».
  • Mensonges pour faire du résistant un être asocial, débile, complotiste ou antisémite.
  • Mensonges sur le nombre de personnes opposées aux lois liberticides ou sur le nombre de manifestants.
  • Etc.

Pour amener la vérité factuelle historique et scientifique, nous devons mener de front plusieurs travaux majeurs, mais nous devons surtout créer et centraliser :

  • Un fichier des données scientifiques et statistiques par thème (masque, confinement, traitements, vaccins…) Répertorier et dater les données. Ce travail a d’ores et déjà était largement mené notamment par Reinfocovid.
  • Un fichier de lanceurs d’alertes, de scientifiques, de médecins honnêtes et de juristes. Répertorier et dater les déclarations de chacun qui ont été censurées ou dénigrées.
  • Un fichier d’acteurs et de complices de la dictature. Répertorier et dater les affirmations mensongères, tromperies, manipulations, demandes de privations de liberté, conflits d’intérêts de tel ou tel, etc. C’est probablement le plus gros du travail. Ne serait-ce que pour répertorier tous les acteurs.

C’est par recoupement et corrélation des données scientifiques ou statistiques connues à la date de l’affirmation que nous pourrons prouver le mensonge ou la manipulation et contrer le « on ne savait pas ».

Prenons quelques exemples :

  • Le témoignage d’un « médecin » qui à la date du X affirme que sa hiérarchie lui interdit de signaler les effets secondaires des vaccins.
  • Le témoignage d’un médecin qui affirme traiter ses patients avec succès avec les molécules dénigrées ou interdites.
  • Le témoignage d’un soignant menacé par l’ordre des médecins ou l’ARS.
  • Un maire qui lors du 1er confinement va au-delà de la loi et interdit à ses citoyens de sortir à plus de 100m de chez eux.
  • Un préfet qui rend le masque obligatoire dans des écoles alors même que le protocole sanitaire ne l’impose pas.
  • Un directeur d’école qui ne fait pas enlever les masques lorsqu’ils ne sont plus obligatoires ou qui parque des élèves, les punit s’ils portent mal la muselière.
  • Un rectorat qui n’accepte pas les certificats médicaux d’exemption de port du masque.
  • Un journaliste qui dit que la situation est catastrophique en Suède et que l’absence de confinement est un échec.
  • Un enseignant de sport qui oblige ses élèves à porter un masque durant l’activité sportive.
  • Un commerce qui propose des offres aux clients vaccinés.
  • Un médecin qui incite son patient qui n’est pas à risque à se vacciner alors même que les risques de l’injection sont déjà connus et qu’il ne l’informe pas.
  • Un commerce qui impose le masque à l’intérieur alors même que la loi ne l’oblige pas.
  • Une entreprise qui fait pression pour la vaccination de ses employés en dehors de tout cadre légal.
  • Une entreprise qui licencie un employé pour non-port du masque.
  • Un ministre qui affirme que 80 % des hospitalisés sont non vaccinés.
  • Tel journaliste qui le répète comme étant une vérité.
  • Un médecin qui dénigre une molécule inoffensive et qui fait la promotion d’une autre molécule dangereuse et hors de prix.
  • Un enseignant qui harcèle un enfant pour qu’il porte parfaitement la muselière et ignore ses maux.
  • Un médecin qui est invité des centaines de fois dans les médias alors qu’il a des conflits d’intérêts.
  • Un politique qui vote le confinement, la vaccination obligatoire ou l’urgence sanitaire.
  • Un médecin qui affirme que le port du masque en population générale a prouvé son efficacité.
  • Un journaliste qui reprend à son compte les dépêches AFP sans la moindre vérification.
  • Un membre du conseil scientifique qui ment sur des chiffres.
  • Un épidémiologiste qui promet 400 000 morts dont les prévisions sont systématiquement erronées et qui est réinvité à l’infini.
  • Un politique qui affirme que le confinement a sauvé des vies.
  • Un média qui supprime de ses archives une publication ou une interview en fonction des propos « complotistes » qui ont été tenus.
  • Un « vérificateur » de l’information qui se contente d’interroger uniquement les personnes qui affirment La Vérité Officielle pour « prouver » que l’affirmation contraire est donc une « fake news ».
  • Un journaliste qui affirme que le vaccin est la seule voie vers une immunité vaccinale de masse.
  • (Liste non exhaustive).

Ces quelques exemples montrent à quel point l’entreprise est titanesque à l’échelle d’un pays alors imaginez toute la planète.

Mais c’est en listant les faits scientifiques, en listant les déclarations des résistants et en listant les déclarations des incriminés que nous pourrons acquérir les éléments de preuve. Ainsi à la libération nous serons prêts, nos dossiers seront prêts pour les dizaines de milliers de plaintes individuelles et collectives qui seront déposées. Ce n’est pas à nous de les déclarer coupables ni de les juger ou les condamner, mais c’est à nous d’amener et de faire en sorte qu’aucun complice ne soit oublié et que les preuves ne soient pas « égarées ».

J’invite donc toutes les forces de la résistance à se réunir et commencer à travailler d’arrache-pied sur le sujet. Il faudra sans doute créer une plate-forme commune participative pour mener à bien ce juste projet.

Merci.

Alain Tortosa.

8 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211008-collecter-et-sauvegarder-les-preuves.pdf




Molnupiravir : futur scandale ou avancée ?

[Source : covid-factuel.fr]

Par ZOLA

Tous les journaux, nationaux et régionaux, saluent une grande avancée dans la lutte contre la covid, après les déclarations de Merck concernant son futur traitement précoce en comprimés. Il réduirait de 50% hospitalisations et décès, sans effets secondaires, mais qui est allé voir ce qui pouvait se cacher derrière cette étude que certains commencent à critiquer ?

Vous verrez qu’il sera rapidement validé par les autorités sanitaires, avec une seule étude financée par le labo qui n’a aucun conflit d’intérêts [on tousse], alors que les mêmes autorités refusent d’autres produits, plus efficaces (75% au lieu de 50%, et surtout plus “safe”), malgré plus de 60 études, provenant de scientifiques non liés financièrement à une autorisation. Il est vrai qu’à plus de 712 dollars le traitement (coût de fabrication 17 dollars), multiplié par des milliards, la dot est plus intéressante qu’un produit qui ne coûte rien et ne rapporte rien. Rappelons que l’»indépendante» EMA est financée à 85% par les redevances des laboratoires sur les AMM accordées. Vous comprendrez aussi mieux pourquoi Merck a lancé en même temps une campagne de dénigrement de l’ivermectine. Ce qui est moins compréhensible est le soutien des autorités sanitaires et de scientifiques dans cette campagne, reprise par toute la presse.

Les virus sont particulièrement difficiles à attaquer avec des médicaments. Ils produisent des copies d’eux-mêmes, en pénétrant et détournant des fonctions cellulaires de l’hôte pour se reproduire. Le problème est de détruire le virus sans endommager les cellules, et quand on y arrive, le résultat n’est pas durable car les virus mutent pour survivre, tout comme les bactéries acquièrent des résistances aux antibiotiques. S’il y a eu quelques avancées thérapeutiques anti virales, on ne les trouve que contre les affections chroniques comme le VIH, l’herpès et l’hépatite C, mais pas pour les affections aigues comme la dengue, le chikungunya ou le virus du Nil occidental, et plus récemment le SARS ou le MERS, voire la grippe tout court, sans traitement depuis des décennies. Le Sars-Cov-2 aura peut-être permis des découvertes comme celle de l’ivermectine, dont le mode d’action empêche les virus de pénétrer dans les cellules, et déjà saluée pour son action contre ces affections aigues sans traitement. Nous en entendrons parler à l’avenir, en mono, bi ou trithérapie, car barrée aujourd’hui pour des raisons financières, elle n’a pas dit son dernier mot. Elle n’a toutefois pas l’exclusivité d’une découverte thérapeutique contre les virus.

Le Molnupiravir serait un antiviral à large spectre. La molécule n’est pas ancienne, elle a 40 ans, et si elle n’a pas percé, ce qu’a fait très rapidement l’ivermectine, c’est en raison de certaines craintes. En effet, du fait de son mode d’action, il fait partie d’une catégorie de produits, les « nucléosides mutagènes », qui n’empêchent pas le virus de se répliquer, mais qui introduisent des erreurs dans l’ARN du virus qui sont ensuite répliquées jusqu’à sa disparition. Le grain de sable qui fait dérailler la machine.

Le Molnupiravir est métabolisé en ribonucléotide triphosphate, qui va se substituer à la cytidine triphopsphate ou à l’uridine triphosphate, comme support de l’enzyme ARN polymérase, ce qui engendre des erreurs dans la copie du brin d’ARN du virus, empêchant sa reproduction.

La crainte est que ce mode d’action présente un risque mutagène. En biologie un mutagène est un agent qui change le génome (l’ADN) d’un organisme, ce qui entraîne des mutations génétiques. Sont classés par exemple comme mutagènes l’Acyclovir, mais aussi la Dépakine et surtout la Thalidomide de sinistre mémoire. 

Notons que la première commercialisation de la Thalidomide (sous le nom de Grippex) était pour la grippe ! Notons également que le laboratoire Ridgeback Biotherapeutics qui a acheté la molécule le 19 mars 2020, et qui le développe actuellement avec Merck qui a racheté les droits, souhaitait le développer au départ également pour la grippe avec moultes subsides du National Institute of Health.

Le Molnupiravir présenterait peu d’effets secondaires (comme le Remdesivir et les vaccins sur les premières études), » mais un doute persiste sur le risque d’éventuels effets mutagènes pour l’homme à moyen ou long terme, voire sur plusieurs générations (risque démontré chez d’autres mammifères) », peut-on lire dans la page Wikipédia. Si le Molnupiravir n’a pas montré de problème dans des études chez le furet, plusieurs autres nucléosides ont été abandonnés par le passé alors qu’ils n’ont pas montré non plus de problème chez l’animal. 

C’est le cas de la Zidovudine (Retrovir), administrée à des femmes enceintes en Espagne de 2000 à 2009, entrainant 6,9% de malformations congénitales (uniquement majeures, en excluant les malformations mineures type angiomes, naevus, kystes ovariens,..). C’est le cas également en 2012 d’un traitement contre l’hépatite C, pour lequel Bristol-Myers Squibb avait déboursé 2,5 milliards, qui en quelques mois s’est montré source de problèmes graves lors de la phase d’essais sur l’homme, ayant conduit à l’abandon.

En 2012, la société Pharmasset Inc. (Gilead) avait abandonné ses études sur le Molnupiravir en raison de la crainte qu’il soit mutagène et n’entraîne des malformations congénitales, en vertu du principe de précaution.

En raison de ce risque, en novembre 2019, plus d’un mois avant que la Chine ne rende publique le début de l’épidémie de COVID-19 à Wuhan l’immunologiste Rick Bright, directeur de la Biomedical Advanced Research and Development Authority avait alerté les autorités contre son utilisation dans les affections virales, des chercheurs avaient déjà étudié de manière intensive le principe actif du molnupiravir, et découvert in vitro et in vivo (chez l’animal) que si cette molécule inhibait effectivement la réplication d’une gamme de virus à ARN (dont la grippe), elle avait des effets mutagènes potentiels très préoccupants sur les organismes colonisés par ces virus. Il dénonçait également des conflits d’intérêts et pressions de l’administration Trump, avec petits arrangements financiers entre amis. Comme il insistait, dénonçant l’injection de fonds publics (300 millions de dollars), il sera démis de ses fonction le 20 avril 2020 suite à son refus de débloquer des fonds pour la société Ridgeback Biotherapeutics, qui en avait déjà obtenu du NIH pour des études contre la grippe. Il sera réhabilité par l’administration Biden, après enquête confirmant ses dires.

Le premier résultat du Molnupiravir sur le Sars-Cov-2, est une étude sur 202 patients, étude menée par le Dr Wendy Painter, épouse de Georges Painter (président de l’Emory Institute for Drug Development), qui a lancé l’aventure avec Wendy Holman , directrice co-fondatrice de Ridgeback Biotherapeutics en 2015, après une carrière dans la finance.

En mars 2021, des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill ont présenté une étude sur l’ingrédient principal du médicament lors de la même conférence sur les maladies infectieuses où Ridgeback a présenté ses données. Les chercheurs de l’université ont déclaré, sur la base de leurs tests, que l’utilisation du molnupiravir devrait être limitée à ceux susceptibles d’obtenir les plus grands avantages, “en raison des risques à long terme inconnus associés à l’exposition systémique à un mutagène de l’ADN”. Merck a refusé de commenter les recherches de l’UNC.

D’un autre côté, certains scientifiques disent que, parce que le médicament n’est destiné à être utilisé que pendant cinq jours, le risque est limité. Bright a également mis un peu d’eau dans son vin “Toute préoccupation que j’avais à propos d’un groupe universitaire ou d’une petite startup essayant d’aller trop vite, celles-ci ont été atténuées lorsque Merck s’est impliqué”, dit-il, ajoutant qu’il faisait confiance au fabricant de médicaments pour effectuer les bonnes études de sécurité.  Je ne vois pas ce que le changement de propriétaire pourrait changer aux propriétés de la molécule, et si Merck dit avoir étudié à des doses plus élevées et pendant des périodes plus longues que celles qui seraient administrées aux humains, ayant racheté les droits en mai, quel est le recul de ces études ?

S’il ne s’agit que de craintes, liées à des inconvénients avérés concernant des molécules voisines ayant le même mode d’action, la prudence impose un peu de recul, mais le rapport bénéfice/risque et le principe de précaution, ont-ils encore une certaine valeur quand on voit ce qui est fait depuis le début de la crise, où les seuls médicaments proposés sont expérimentaux, sans recul, et achetés avant publications des seuls laboratoires. Dans le même temps, on refuse d’expérimenter des médicaments éprouvés, distribués depuis des décennies à des milliards d’individus, avec des résultats publiés par nombre de scientifiques qui n’ont pas d’intérêts directs à leur distribution.

Enfin, pour sourire une peu : Merck, financé par les autorités américaines, aurait mis en veille des études en cours du Molnupiravir contre l’encéphalite équine vénézuélienne, alors que dans le même temps, les mêmes, Merck et autorités, accusent l’ivermectine d’être un médicament pour les chevaux à ne pas utiliser chez l’homme ! Et devinez qu’est-ce que l’on prescrit ausssi contre l’encéphalite équine vénézuélienne ? Je vous le donne en mille : de l’ivermectine ! Le monde se porterait-il mieux si les vétérinaires remplaçaient les médecins ?

MONEYPIRAVIR

Pour ceux qui veulent aller plus loin, un article très pointu de Nature sur le mode d’action, et qui conclut sur la prudence à adopter face au risque mutagène observé chez les mammifères.




Les hyènes de La Secte se déchaînent contre Zemmour

Par Lucien Samir Oulahbib

Plus besoin de débattre, il suffit d’avoir des hallucinations de « virus », d’ânonner la locution « peste brune » pour les plus sophistiqués. Il suffit d’avoir la « nausée » et de l’envoyer se faire… pour que certaines duellistes de caniveau satisfassent leurs besoins d’en découdre. Et le tour semble en effet joué, saupoudré peut-être à un autre niveau de divers échanges faussement fleuris, en attendant la balle dans le buffet, ce qui ne saurait tarder.

Car La Secte au Pouvoir brûle de faire comme ses aînés, y compris au sens littéral, ou la pratique de la terre brûlée, de l’incendie préalable à coup de kalachnikov verbal (pour l’instant).

Et même lorsqu’un Mélenchon prétend élever le débat en sommant l’actuel hôte de l’Élysée de s’y plier, il participe lui aussi à cette dénaturation des conditions démocratiques de la confrontation politique, ne serait-ce qu’en ne demandant pas à ce que ce dernier se distancie des propos outranciers de ce bateleur de bas étage ayant ainsi traité Zemmour de « virus ». On croyait ce vocabulaire cantonné aux idiomes feutrés du pseudo « national » socialisme, alors que visiblement la Secte renoue aussi avec l’original chez Lénine lorsque ce dernier traitait ses opposants « d’insectes nuisibles, poux ». Les maoïstes ajoutent ‘vipère lubrique’, d’où sans doute le silence de tous ces néo-léninistes et post-trotskistes au pouvoir qui brandissent la nécessité d’un « passe idéologique », pendant au passe hygiéniste qu’ils critiquent mollement, tandis que d’aucuns veulent le rendre pérenne avec comme solution ultime l’injection obligatoire.

Ainsi, plutôt que d’opposer des arguments sérieux, de faire des critiques même acerbes, La Secte ivre de puissance (et plus si affinités…) envoie ses seconds couteaux faire le sale boulot de coupe-jarrets idéologiques.

Cela suffira-t-il, alors que certains yeux se dessillent ? Rien n’est moins sûr… Même si les courroies de transmission de La Secte loin de calmer le jeu amplifient cette mécanique, machine terrible lancée contre la Démocratie dans l’indifférence de moins en moins générale.




Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ

[Source : Ma France]

[Photo : Wikimedia Commons]

Par jipp

Jomier : Celui là, il ne faudra pas l’oublier non plus le jour ou l’on soldera les comptes

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Docteur P.E.B
@DocteurPEB1·

La DICTATURE n’a plus de limite ! Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé aujourd’hui un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la #VaccinationObligatoire à compter du 01/01/2022 

https://twitter.com/AntiJupiter_TER/status/1445051972529311745?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1445051972529311745%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fby-jipp.blogspot.com%2F2021%2F10%2Fjomier-il-ne-faudra-pas-loublier-non.html

Mise à jour : Extrait FranceSoir :

Bernard Jomier, sénateur depuis 2017 et médecin très impliqué dans Vers Paris Sans Sida qui a été « aidé » par Gilead

En 2015 2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » en 2014.  Il était déjà membre de la commission des affaires sociales (1) sur l’enquête de la Cour des comptes sur la politique de prévention et de prise en charge du VIH. (Rapport du 3 juillet 2019 Numéro 624).

Dans un article de juin 2017 d’Hervé Latapie sur le site de Médiapart, était évoquée la PrEP (consistant à faire prendre des médicaments à des non malades !).  Il y dénonçait déjà certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

Hervé Latapie écrivait « Il va être difficile d’en sortir pour en limiter les dégâts, tant il est compliqué de déconstruire une idéologie et de remettre en cause des intérêts socio-économiques établis par cette politique. »

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts. Il est regrettable que l’on n’ait pas davantage écouté et pris en compte les critiques formulées par de nombreuses personnes, moins intégrées dans les institutions dominantes, mais présentes sur le terrain, et donc tout aussi légitimes pour évaluer l’attractivité et l’efficacité de la prévention auprès du public gay. Leurs propositions alternatives risquent bel et bien de s’imposer très vite, lorsque les promesses excessivement optimistes des partisans de la PrEP s’effriteront. »

Latapie continue en expliquant « La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscription onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches, …), encarts publicitaires offerts à la presse gay. Le tout se déroule d’une manière assez habile, Gilead n’apparait pas forcément au premier plan, tout se passe comme si le laboratoire avait réussi à déléguer à des acteurs non commerciaux (associations, médecins, …) la campagne de promotion de son produit PrEP. »

En 2018 l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  

On retrouve dans le rapport de la commission de l’époque, les professeurs Delfraissy, Molina, Yazdanpanah, ainsi que le laboratoire Gilead, des liens d’intérêts et des sommes substantielles d’argent en jeu.  

Latapie concluait en 2017

« On retrouve dans cette histoire tout le savoir-faire habituel de l’industrie pharmaceutique pour gérer son commerce, planifier des essais thérapeutiques, contrôler les prix, s’appuyer sur les particularités locales de chaque sphère géographique du marché et surtout, bien manier son pouvoir d’influence grâce à des moyens financiers énormes. »