Le refus du Coronagates

[Source : Jean-Jacques Crèvecoeur]

Lancez le mouvement #Coronagates et #VousNePasserezPas !

Vous aussi, affirmez votre souveraineté de manière consciente, responsable et non-violente. Dites aux dirigeants de ce monde ce que vous ne voulez pas, ce que vous refusez, ce que vous ne voulez plus dans ce scandale du coronagates. Découvrez la deuxième compilation d’une centaine de citoyens qui ont choisi de poser clairement et fermement leurs limites face à ce piétinement de leurs droits et de leurs libertés dans les domaines sanitaire, économique et social.

À votre tour, enregistrez votre vidéo et postez-la sur vos réseaux sociaux, avec les hashtags #Coronagates et #VousNePasserezPas ! Devenons les témoins de ce que l’Humanité a de plus beau, de plus grand et de plus noble. Au mépris et à l’avidité de puissants et des médias mainstream, opposons la puissance de nos élans vitaux !

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QUI SUIS-JE ?

Ce partage de connaissances au travers de ma chaîne Youtube est le fruit de plus de 35 années de cheminement.

Comme vous avez pu le constater au travers de mes vidéos, le respect de l’humain et de sa liberté de choix sont au cœur de ma philosophie et de ma démarche.

Les pistes que je vous propose se situent le plus souvent hors des sentiers battus et ne cadrent pas avec ce que vous entendez habituellement. Pour autant, c’est ce que j’ai trouvé de plus efficace pour ma propre vie et celle de ceux que j’accompagne depuis près de 30 ans.

A travers ce partage, je veux :

  • vous donner les moyens de vous épanouir à travers une vie plus consciente, plus autonome et plus responsable ;
  • mettre à votre disposition des expertises variées qui auront un impact positif dans différents domaines de votre vie ;
  • répondre à vos questions en vous proposant un regard neuf sur votre existence.

Pour en bénéficier au mieux, rejoignez dès maintenant les individus qui, comme vous, souhaitent résolument reprendre leur vie en main.

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Pour vous permettre d’aller encore plus loin, je crée également depuis des années des formations en ligne de très haute qualité.


La plateforme ÉMERGENCES

Jean-Jacques Crèvecœur est le fondateur et le directeur pédagogique de la plateforme d’ÉMERGENCES-Formations.

La création de cette plateforme répond à deux constats :

— d’une part, nous sommes des millions à ne plus nous reconnaître dans les valeurs et les messages véhiculés par les politiques, les entreprises multinationales et les médias qui veulent nous pousser à plus de consommation et plus d’individualisme ;

— d’autre part, pour créer les conditions d’un autre monde, basé sur des valeurs de respect, d’autonomie, de coopération et de solidarité, il est devenu indispensable d’acquérir de solides compétences pour apprendre à prendre soin de soi-même, de son entourage, de la communauté locale et de la nature.

C’est la raison pour laquelle la plateforme d’ÉMERGENCES-Formations a pour ambition de favoriser des connexions de plus en plus riches entre ceux qui aspirent à une meilleure vie et à un meilleur monde.

Par ailleurs, les formations en ligne proposées se distinguent par l’exigence de vulgarisation très poussée, la qualité des méthodes proposées et l’excellence pédagogique de la démarche.

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ALORS, JE VOUS INVITE À REJOINDRE DÈS MAINTENANT L’IMMENSE COMMUNAUTÉ de gens qui, comme vous, aspirent à l’émergence d’un autre monde.

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https://youtu.be/cN5BjVq0-uQ



5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom

[Source : Sott.net]

[Source originale :] Robert F. Kennedy – Children’s Health Defense

Robert F. Kennedy, Jr. a écrit la semaine dernière au sujet des contraventions de 1 000 dollars chacune que la police de Malibu a infligées aux surfeurs de Point Dume pour avoir profité de l’océan pendant le confinement. S’agissait-il simplement d’une décision policière outrancière dont nous rirons plus tard ? Ou quelqu’un d’autre a-t-il aussi le sentiment qu’il s’agit de la première vague d’un programme test visant à imposer conformité et obéissance en vue de mesures plus permanentes ? Les puissants États et les entreprises utilisent-ils la « crise » actuelle pour supprimer les droits fondamentaux et intensifier les pressions en vue de promouvoir les vaccins et la surveillance ? Quelqu’un d’autre ressent-il l’obscurité étouffante de la tyrannie qui s’abat sur nous tous ? Et enfin, quelqu’un partage-t-il ma crainte que Bill Gates et son associé de longue date Tony Fauci dirige d’une manière ou d’une autre notre Meilleur des mondes ?

Surveillance selon Bill Gates

Imaginez un monde où le gouvernement n’a pas besoin de policiers pour appréhender ces surfers ou vous mettre une contravention lorsque vous violez la distanciation sociale avec votre petite amie. Supposez que les ordinateurs détectent votre sortie à la plage en suivant vos mouvements grâce à un flux d’informations provenant de votre téléphone portable, de votre voiture, de votre GPS, de la technologie de reconnaissance faciale intégrée à la surveillance en temps réel grâce aux satellites, aux caméras fixes et embarquées et aux puces implantées. Des procureurs ou des robots collés à leurs bureaux vous informeront de votre infraction par SMS tout en prélevant directement de votre salaire et de façon simultanée votre amende de 1 000 dollars en monnaie cryptographique. Bienvenue danslemondede Bill Gates. Il approche à grands pas.

Les stratégies de la 5G

Bill Gates a récemment annoncé son soutien financier d’un milliard de dollars en faveur d’un plan destiné à englober la Terre de satellites de surveillance vidéo. La société EarthNow lancera 500 satellites pour surveiller en direct presque tous les « recoins » de la Terre, fournissant un retour vidéo instantané avec un délai d’une seconde seulement. Selon Wikipedia, la société s’attend à ce que « des gouvernements et des grandes entreprises » fassent partie de ses clients.

Les antennes 5G sont quant à elles déployées par le biais d’un vaste réseau terrestre d’antennes espions. Par l’intermédiaire de sa fondation Bill & Melinda Gates, Gates a acheté 5,3 millions d’actions de Crown Castle dont la valeur totale atteint un milliard de dollars. Deuxième holding technologique de la Fondation après Microsoft, Crown Castle possède des infrastructures 5G dans tous les secteurs majeurs du marché étatsunien. Il exploite et loue plus de 40 000 tours de téléphonie cellulaire, 65 000 point d’accès à un réseau de télécommunications mobiles qui constituent l’infrastructure centrale de la 5G, et 75 000 kilomètres de fibre optique qui, au lieu de fournir à votre foyer un Internet sûr, rapide et câblé, ont été confisqués pour connecter les tours de téléphonie cellulaire 5G.

L’extraction de données

Big Telecom, Big Data et Bill Gates attirent les Étatsuniens dans un piège de tyrannie numérique avec des publicités télévisées à plusieurs millions de dollars qui prétendent que leur investissement de plusieurs milliards de dollars dans la 5G concerne des vitesses de téléchargement plus rapides pour les jeux vidéo et les films. Mais la 5G n’a presque rien à voir avec le fait d’améliorer votre vie ; il s’agit plutôt de contrôler votre vie, de commercialiser des produits et de récolter vos données à des fins d’intelligence artificielle.

L’« or noir » du XXIe siècle, ce sont les données. La 5G est l’infrastructure de l’« Internet des objets » de Gates un monde où des dizaines de milliards d’appareils « intelligents » comme les téléphones portables, les ordinateurs, les automobiles, les ouvre-portes de garage, les montres Apple, les couches pour bébés et même nos propres corps sont interconnectés sans fil pour permettre à Big Data de recueillir et de vendre nos informations personnelles.

© Inconnu
Note du traducteur : Dans son livre, La Route du futur (publié en 1995 en anglais), Bill Gates se proposait globalement de « nous accompagner » et parlait de l'évolution de l'informatique personnelle :

« Nous surestimons toujours le changement qui se produira dans les deux prochaines années et nous sous-estimons celui qui se produira dans les dix prochaines. Ne vous laissez pas bercer par l’inaction. »

Lui, par contre, semblait déjà savoir où nous allions, puisque dans son livre on peut lire qu'il « détient les clefs de notre avenir », qu'à dix-neuf ans il a eu « une vision du futur » et qu'il s'est avéré « qu'il avait vu juste ».
Allez, encore un peu :

« Le réseau sera le nouveau terrain de jeux, le nouveau lieu de travail, la nouvelle salle de classe, de la société. Il remplacera le papier-monnaie […] Il sera notre album photo, notre journal, notre vidéocassette […] Bientôt, tout cela, et plus encore, tiendra dans un PC-portefeuille […] nous parlerons à notre télévision, à notre PC, aux extensions, à tous nos supports d’information […] les parents d’élèves pourront évaluer directement la qualité des cours et assurer un contrôle sur leur contenu […] ce qui nous apparaît aujourd’hui comme une sorte de Big Brother numérique pourrait devenir la norme si l’alternative est laissée à la merci des terroristes et des criminels. »

La plupart des technologies dont il parle ci-dessus nous étaient à l'époque (1995) inconnues. Aujourd'hui, nous comprenons tous exactement de quoi il parle, n'est-ce-pas ?

Gates, Elon Musk, Amazon, Facebook et Telecom lancent les vaisseaux phares de la nouvelle ruée vers l’or, une flotte grouillante de 50 000 satellites et un réseau de 2 000 000 d’antennes terrestres et de tours de téléphonie cellulaire pour extraire les données de nos appareils intelligents. Cette toile d’araignée émettant des radiations micro-ondes permettra à Big Data/Big Telecom et Big Brother de capturer ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de chaque personne à chaque moment de sa vie.

Gates récoltera, contrôlera, triera, caractérisera, analysera et vendra des millions de téraoctets d’informations personnelles provenant d’appareils intelligents données de santé privées, dossiers médicaux, nos habitudes d’achat, nos réponses biométriques et comportementales à la publicité, la capacité d’apprentissage de nos enfants, nos expressions faciales et les conversations entendues par Siri, Alexa et les micros ouverts de nos téléphones portables. Sa société et d’autres sociétés utiliseront ces analyses pour développer l’intelligence artificielle et faire de nous une machine de consommation prévisible et facile à manipuler.

La prochaine fois que vous achèterez un appareil « intelligent », souvenez-vous que l’appareil n’est pas le produit vous êtes le produit.

Surveillance gouvernementale et transhumanisme

Les entreprises utiliseront le système de surveillance 5G de Gates pour vendre leurs produits et augmenter la capacité de l’intelligence artificielle. Les gouvernements l’utiliseront pour faire passer le monde à une singularité totalitaire plus despotique encore que tout ce qu’a pu imaginer Orwell. Les titans de la Silicon Valley comme Elon Musk, Peter Thiel et l’ingénieur en chef de Google, Ray Kurzweil, parlent de « transhumanisme » avec délectation, un processus par lequel grâce au génie génétique et aux implants chirurgicaux les êtres humains seront transformés pour devenir mi-humains, mi-machines. Pour accélérer cette nouvelle réalité, Bill Gates investit massivement [« J’ai dépensé sans compter ! » – NdT]. Son ambition de marquer la totalité d’entre nous via des injections sous-cutanées de nano-puces électroniques enregistrant les données de vaccination semble n’être qu’un tremplin vers un Système de surveillance globale.

Commentaire : Et le hasard du calendrier faisant bien les choses, cette injection pourrait se produire en même temps que celle d'un vaccin obligatoire contre le Covid-19... Fin 2020 ? Début 2021 ? Ou d'autres événements viendront-ils bousculé leur Agenda ?

Récompenser la conformité

Microsoft a breveté une sinistre technologie qui utilise des capteurs implantés pour surveiller l’activité du corps et du cerveau. Elle récompensera les humains qui se conforment à la loi par des paiements en monnaie cryptée lorsqu’ils effectueront les activités qui leur sont assignées.

Le brevet WO |2020| 060606 a gagné en notoriété et a été surnommé « World Order 2020 666 ». Microsoft décrit ce dispositif comme un « Système de monnaie cryptée » et explique qu’il est « capable » d’utiliser les données d’activité du corps pour extraire des bitcoins en réponse à la conformité des tâches qui sont imparties au sujet.

Commentaire : Ce qui ressemble beaucoup  ce n'est que légèrement plus avancé  à ce qui est mis en place en Chine, et notamment dans la région autonome Ouigour du Xinjiang. Là-bas, et bientôt chez nous, le « crédit social » s'apparente à un jeu vidéo (il en est d'ailleurs issu) : vous perdez ou gagnez des points en fonction de votre comportement en tant que citoyen. Plus votre note est bonne, plus vous accès à des « facilités » ; au contraire, si votre note est mauvaise, vous perdez la possibilité d'accès à ces « facilités » ; vous devenez un paria. Ah ! oui. Ne pas oublier que dans « ce jeu », tout délateur gagne des points !

Les personnes qui acceptent d’installer les capteurs sans fil nuisibles de Microsoft recevront périodiquement depuis leur smartphone des instructions d’« obligation » de regarder une certaine publicité, d’écouter une chanson spécifique, de marcher dans une allée d’épicerie spécifique ou d’accepter l’injection d’un certain vaccin. Cette puce recueillera des données provenant de capteurs intégrés qui surveillent les ondes cérébrales, le flux sanguin et d’autres réactions du corps. Le système transférera la crypto-monnaie sur le compte du sujet après l’accomplissement de l’« obligation » qui lui aura été imposée.

Vue sous son aspect « positif », l’invention dystopique de Microsoft devrait être une source de revenus bienvenue pour les plus de 30 millions d’Américains mis au chômage par les quarantaines périodiques dus au Covid-19, par les voitures électroniques à conduite automatique de Musk, qui dépendent également du déploiement de la 5G, et par l’intelligence artificielle, y compris les robots. Bill Gates vendra-t-il les données que nous lui donnons gratuitement à des entreprises qui nous priveront de nos emplois ?

© Inconnu

Posséder des villes intelligentes

La maintenance et l’analyse des données collectées par une infrastructure 5G nécessitent des ordinateurs massifs logés dans de grands complexes de stockage de données. Pour garder le contrôle de cette infrastructure, Bill Gates est en train de construire sa propre « ville intelligente » en Arizona. Selon KPNX-TV, il a dépensé 80 millions de dollars pour un terrain de 10 000 hectares près de Phoenix dans le but d’en faire une « ville intelligente » où tout est interconnecté via un réseau sans fil, y compris des flottes de véhicules autonomes. Les 80 000 habitants de la ville de Gates travailleront principalement dans des centres de données.

Pour consolider son contrôle sur ce que les gens entendent, apprennent et pensent, Gates a acheté des actions de Liberty Global, l’une des plus grandes sociétés internationales de télévision et d’Internet, présente dans 30 pays et en pleine expansion. [Il en est l’un des principaux actionnaires – NdT]

Contrôle de la croissance de la population

Gates contrôlera même notre corps, notre chambre à coucher, notre armoire à pharmacie et même les cycles menstruels et d’ovulation des femmes. Il a investi environ 18 millions de dollars dans MicroCHIPS, une société qui, entre autres dispositifs à base de puces électroniques, développent des implants contraceptifs munies d’interrupteurs marche/arrêt sans fil et d’autres pour l’administration de médicaments qui permettent à un seul implant de stocker et d’administrer avec précision des centaines de doses thérapeutiques sur des mois ou des années. Pour délivrer les médicaments, les implants seront actionnés sans fil par le patient. Connaissant le zèle missionnaire de Gates pour le contrôle de la croissance de la population, certains usagers pourraient toutefois craindre que le système soit également activé à distance.

Contrôler le climat par la géo-ingénierie

La conviction apparente de Gates selon laquelle Dieu lui a ordonné d’utiliser la technologie pour le salut de l’humanité est illustrée dans l’un de ses projets les plus ambitieux. Gates finance des scientifiques de Harvard pour qu’ils utilisent la géo-ingénierie afin de bloquer le Soleil pour inverser le « réchauffement de la planète » et agir sur le changement climatique.

Commentaire : Vu que nous nous dirigeons plutôt vers un refroidissement global, soit Gates le sait et utilise le prétexte-poule-aux-œufs-d'or du « réchauffement climatique » pour autre chose, soit il ne le sait pas, mais c'est douteux... Quant à l'hubris qui le caractérise, il se pourrait bien que le Cosmos toujours en recherche d'équilibre se rappelle à son  et notre  bon souvenir.
Voir L'effervescence volcanique et sismique associée au cycle cométaire de 3 600 ans

Ce projet est un modèle à la fois d’orgueil, d’hypocrisie et de risque. L’expansion massive de l’utilisation du sans fil et le réseau sans fil de la 5G dont Gates est un acteur majeur est le facteur le plus important dans l’augmentation de la consommation d’énergie. L’expansion du réseau sans fil entre 2012-2015 équivaut à l’ajout de 4,9 millions de voitures sur les routes. La 5G devrait augmenter de manière exponentielle la consommation d’énergie de plus de 170 % d’ici 2026. Proposer d’utiliser le réseau « intelligent » sans fil pour lutter contre l’empreinte carbone grâce à la géo-technologie est une idée saugrenue, et non une solution au changement climatique.

Société sans cash

Pour consolider le contrôle mondial, Gates a déclaré la guerre à l’argent liquide, et les confinement dus au Covid-19 ont fourni aux gouvernements un prétexte pratique pour saborder l’argent liquide en tant que risque sanitaire. Gates et sa fondation sont le fer de lance de la transition mondiale d’une économie monétaire vers les transactions numériques. Gates et Microsoft sont parfaitement placés pour tirer profit d’un système de paiement numérique. En contrôlant les transactions numériques — et en supprimant l’argent liquide — Gates peut contrôler et surveiller tout le volet commercial des pays et des citoyens.

© Inconnu

Les institutions financières occidentales Mastercard, PayPal, Visa, eBay et Citi ont depuis longtemps fait pression pour un monde sans cash. La banque électronique permet aux banques et aux consortiums financiers de prélever des frais sur chaque transaction.

L’économie numérique permettra au gouvernement de surveiller et d’examinerchaque transaction, de geler les comptes numériques et de bloquer les « flux financiers » pour punir la désobéissance. Dans le cadre d’un partenariat public-privé avec le gouvernement, les milliardaires de la technologie contrôleront non seulement le pays, mais pourront également assurer la micro-gestion de la population mondiale. La monnaie numérisée est l’instrument ultime de contrôle social. Après tout, dans une société sans cash, la survie est impossible sans accès au système économique numérisé. Les pauvres — qui n’ont pas de compte bancaire — en souffriront de manière disproportionnée.

Le Borg trilliardaire

Si le confinement est un cataclysme pour l’économie mondiale, il constitue pour Bill Gates une opportunité. En achetant nos actifs dévalués à un centime de dollar, les 100 milliards de dollars de Gates pourraient faire de lui le premier trilliardaire du monde. Mais la quarantaine est aussi une opportunité d’élargir son pouvoir et sa domination. Sous la direction de Gates, Microsoft a été surnommé « The Borg » en raison de son appétit pour le contrôle total du marché. Aujourd’hui, Gates cherche à mettre toute l’humanité sous sa botte. Son culte de la technologie et sa mégalomanie menacent nos libertés, notre démocratie, notre biologie, notre planète, notre humanité et nos âmes.

© Inconnu

Le rayonnement micro-ondes utilisé pour la surveillance sans fil du monde entier n’est pas biologiquement tolérable, en particulier pour les enfants en plein développement. Des milliers d’études publiées, évaluées par des pairs, documentent abondamment les effets physiques profonds et néfastes de la technologie sans fil sur les humains, les animaux et les plantes. Les maladies et la dégradation de l’environnement dues à la technologie sans fil sont déjà très répandues. Le contrôle exercé par Big Telecom sur les agences de régulation et les médias mondiaux, et le contrôle financier de Gates sur l’Organisation mondiale de la santé ont permis à quelques milliardaires de propager le mensonge manifeste selon lequel le sans fil est sûr.

Les rêves technologiques de Gates ne sont pas viables d’un point de vue biologique. Sa tour de Babel est vouée à s’effondrer, avec un impact catastrophique pour les humains de moindre importance. Il est temps de démanteler la Tour avant qu’il ne soit trop tard.

Commentaire : Avec tout ça, on en viendrait à croire que Bill Gates est un sur-homme. Et pourtant, il ne l'est certainement pas. N'oublions pas que Gates est la face visible d'un consortium qui, lui, reste dans l'ombre, pendant que leur pantin prend la lumière...

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 mai 2020 :
Children’s Health Defense
Traduction : Sott.net




Odeurs de soufre dans plusieurs villes du monde

[NdNM : Merci à Carlos pour avoir relevé le commentaire source sur le site Effondrement de civilisations]

« Demandez au soleil de ne pas briller parce que vous le voulez… » chantait Madonna.

Justement, la revue scientifique Nature du 14 décembre 2018 annonçait qu’une série d’épandages de produits chimiques aurait lieu en 2019 dans la très haute atmosphère (entre 10 et 50 km d’altitude).
https://www.climat-artificiel.com/Bill-Gates-finance-des-experiences-de-geo-ingenierie

Le but : essayer de bloquer en partie les rayons solaires afin d’atténuer le réchauffement climatique. Les produits utilisés : le carbonate de calcium (CaCO3), des oxydes d’aluminium et le dioxyde de soufre (SO2). Et cela malgré [le fait] que le souffre a des effets désastreux sur la couche d’ozone et [qu’il] acidifie les océans. C’est un laboratoire de l’université d’Harvard qui s’est mis à travailler sur ce projet de géo-ingénierie dans l’espoir de baisser la température terrestre (Stratospheric Controlled Perturbation Experiment : SCoPEx).
https://projects.iq.harvard.edu/keutschgroup/scopex

Ce genre de pratiques est pourtant interdit depuis le sommet de la terre de 1992 à Rio de Janeiro. Mais cela ne semble aucunement gêner les contributeurs financiers (notamment Bill Gates). Pourtant le dioxyde de soufre a aussi des effets sur les êtres vivants. Il est toxique, irritant, c’est un perturbateur gastrique (diarrhée), dégage une odeur d’œuf pourri. Étant un poison à large spectre, il peut occasionner la dégénérescence du nerf olfactif et même être mortel. Il irrite les yeux, la gorge en donnant une toux douloureuse, un souffle court et un épanchement de fluide dans les poumons. Heureusement, ces symptômes peuvent disparaître après quelques semaines.

Ce qui est étrange, cette odeur et ces symptômes sont apparus dans différents endroits de l’hémisphère nord : à Wuhan, Los Angeles, Belgique, Île de France, région de Rennes, en Vendée …




Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates

[Source : MirastNews]

Depuis le compte IG de Robert F Kennedy Jr.

Robert Francis Kennedy Jr. est un avocat états-unien de l’environnement, auteur et opposant de la vaccination. Kennedy est le fils de Robert F. Kennedy et le neveu de l’ancien président John F. Kennedy. Il est président du conseil d’administration de Waterkeeper Alliance, un groupe environnemental à but non lucratif qu’il a aidé à fonder en 1999.

Extrait de la publication Instagram de #RobertFKennedyJr aujourd’hui 9 avril 2020:

#Vaccines, pour #BillGates, est un philanthropie stratégique qui nourrit ses nombreuses entreprises liées aux vaccins (y compris l’ambition de #Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’identification de vac) et lui donne un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale – la pointe du néo-impérialisme d’entreprise.

L’obsession de Gates pour les vaccins semble alimentée par une conviction messianique qu’il est ordonné de sauver le monde avec la technologie et une volonté divine d’expérimenter la vie de petits humains.

Promettant d’éradiquer la polio avec 1,2 milliard de dollars, Gates a pris le contrôle du National Advisory Board (NAB) de l’Inde et a mandaté 50 vaccins contre la poliomyélite (contre 5 auparavant) pour chaque enfant avant l’âge de 5 ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’une souche vaccinale dévastatrice épidémie de polio qui a paralysé 496 000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de Gates et expulsé Gates et ses copains du NAB. Les taux de paralysie de la polio ont chuté brutalement. En 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la poliomyélite est principalement une souche vaccinale, ce qui signifie qu’elle provient du programme de vaccination de Gates. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, aux Philippines et en Afghanistan sont toutes liées aux vaccins de Gates. En 2018, un quart des cas mondiaux de polio provenaient des vaccins de Gates.

En 2014, la #GatesFoundation a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par GSK et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 ont souffert d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et de la fertilité. Sept sont morts. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées: faire pression sur les filles vulnérables du village dans le procès, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.

En 2010, la Fondation Gates a financé un essai d’un vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant de graves effets indésirables, notamment la paralysie, des convulsions et des convulsions fébriles à 1 048 des 5 049 enfants.

Au cours de la campagne Gates 2002 MenAfriVac en Afrique subsaharienne, des agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Entre 50 et 500 enfants ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments».

L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme «impitoyables» et «immorales».



Bill Gates: La prochaine épidémie? Nous ne sommes pas prêts. Est-il un devin ou connaissait-il le plan diabolique en marche?

En 2010, Gates a engagé 10 milliards de dollars à l’OMS en promettant de réduire la population, en partie, grâce à de nouveaux vaccins. Un mois plus tard, Gates a déclaré à Ted Talk que de nouveaux vaccins «pourraient réduire la population». En 2014, l’Association catholique des médecins du Kenya a accusé l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes contre leur gré avec une fausse campagne de vaccination contre le «tétanos».

Des laboratoires indépendants ont trouvé la formule de stérilité dans chaque vaccin testé.

Après avoir nié les accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle développait les vaccins contre la stérilité depuis plus d’une décennie.

Des accusations similaires sont venues de Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.

Une étude de 2017 (Morgensen et.Al.2017) a montré que le DTP populaire de l’OMS tue plus en Afrique que la maladie qu’elle prétend prévenir. Les filles vaccinées ont subi 10 fois le taux de mortalité des enfants non vaccinés.

Gates et l’OMS ont refusé de rappeler le vaccin mortel que l’OMS impose à des millions d’enfants africains chaque année.

Les défenseurs mondiaux de la santé publique du monde entier accusent Gates de – détourner l’agenda de l’OMS des projets dont il est prouvé qu’ils freinent les maladies infectieuses; eau potable, hygiène, nutrition et développement économique.

Ils disent qu’il a détourné des ressources de l’agence pour servir son fétiche personnel – que la bonne santé ne vient que dans une seringue.

En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance des sociétés pharmaceutiques privées qui fabriquent des vaccins et un vaste réseau de groupes de façade de l’industrie pharmaceutique qui diffusent de la propagande trompeuse, développer des études frauduleuses, mener des opérations de surveillance et des opérations psychologiques contre l’hésitation au vaccin et utiliser le pouvoir et l’argent de Gates pour réduire au silence la dissidence et contraindre à la conformité.

Dans ces récentes apparitions non-stop de Pharmedia, Gates semble joyeux que la crise de Covid-19 lui donnera l’occasion de forcer ses programmes de vaccins du tiers-monde sur les enfants états-uniens.

Traduction : MIRASTNEWS

Source [originale] : FRN




Vers un nouvel ordre mondial? La crise de la dette mondiale et la privatisation de l’État

[Source : mondialisation.ca via Réseau International]

La pandémie a-t-elle été utilisée pour précipiter le monde dans une spirale de chômage massif, de faillite et de désespoir? 

Par Prof Michel Chossudovsky

Il existe une grave crise sanitaire qui doit être dûment résolue. Et c’est une priorité absolue.

Mais il y a une autre dimension importante qui doit être prise en compte. 

Des millions de personnes ont perdu leur emploi et les économies qu’elles avaient faites tout au long de leur vie. Dans les pays en développement, la pauvreté et le désespoir règnent. 

Alors que le verrouillage est présenté auprès de la population comme étant le seul moyen de résoudre une crise mondiale de santé publique, ses conséquences économiques et sociales dévastatrices snt ignorées au passage.  

La vérité tacite est que le nouveau coronavirus fournit un prétexte aux puissants intérêts financiers et aux politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite et d’extrême pauvreté. 

C’est là le portrait réel de ce qui se passe.  La pauvreté est mondiale. Alors que des famines éclatent dans les pays du Tiers-Monde, plus près de chez nous, dans le pays le plus riche du monde,

« Des millions d’Américains désespérés attendent dans de longues files d’attente pour recevoir l’aumône »

« Des files d’attente de plusieurs kilomètres se sont formées dans les banques alimentaires et les bureaux de chômage à travers les États-Unis au cours de la semaine dernière ». 

De longues files d’attente ont continué à se former devant les banques alimentaires et les bureaux de chômage dans des dizaines de villes au cours du week-end, alors que la pandémie de coronavirus touche durement les familles, laissant beaucoup d’entre elles dans l’incertitude quant à la date de leur prochain chèque de paie.

Sur la photo : des centaines de personnes attendent de recevoir des repas à la Bowery Mission de New York, lundi

En Inde :

« La nourriture disparaît, …. dans les bidonvilles, trop effrayés pour sortir, pour rentrer chez eux à pied ou piégés dans les rues de répression,

En Inde, il y a eu 106 décès dus à des coronavirus à ce jour, pour mettre les choses en perspective 3 000 enfants indiens meurent de faim chaque jour ». 

De Mumbai à New York. C’est la « Mondialisation de la pauvreté ».

La production est au point mort. 

La famine en Asie et en Afrique. La famine aux États-Unis. 

Tous les pays sont désormais des pays du Tiers-Monde. C’est la « Tiers-Monde » des pays dits « développés » à hauts revenus.

La faim se développe à Mumbai : les travailleurs pauvres font maintenant la queue pour obtenir de la nourriture gratuite
Trois semaines après le verrouillage national, les organisations et les personnes qui fournissent des repas gratuits à Mumbai sont unanimes : la faim dans la capitale financière a fortement augmenté et continue de croître.

Et que se passe-t-il en Italie ?

Les gens sont à court de nourriture. Des rapports confirment que la mafia, plutôt que le gouvernement, « gagne l’appui des populations en distribuant gratuitement de la nourriture aux familles pauvres en quarantaine qui n’ont plus d’argent ». (The Guardian)

Cette crise combine la peur et la panique concernant la COVID-19 avec un processus sophistiqué de manipulation économique.

Examinons d’abord les impacts concernant les pays en développement.

Les pays en développement. La « médecine économique » du FMI et la mondialisation de la pauvreté

La crise du coronavirus fait-elle partie d’un programme macro-économique plus large ?

Tout d’abord, un peu d’histoire.

J’ai passé plus de dix ans à effectuer des recherches sur le terrain concernant les impacts des réformes économiques du FMI et de la Banque mondiale en Afrique, en Asie, en Amérique latine, en Europe de l’Est et dans les Balkans.

Depuis le début des années 1980, une « médecine économique » a été imposée aux pays en développement endettés dans le cadre de ce que l’on appelait le « programme d’ajustement structurel » (PAS).

De 1992 à 1995, j’ai entrepris des études sur le terrain en Inde, au Bangladesh et au Vietnam et je suis retourné en Amérique latine pour terminer mon étude sur le Brésil. Dans tous les pays que j’ai visités, y compris le Kenya, le Nigeria, l’Égypte, le Maroc et les Philippines, j’ai observé le même schéma de manipulation économique et d’ingérence politique de la part des institutions basées à Washington. En Inde, conséquence directe des réformes du FMI, des millions de personnes ont été poussées à la famine. Au Vietnam – qui compte parmi les économies productrices de riz les plus prospères du monde – des famines ont éclaté dans le pays, conséquence directe de la levée du contrôle des prix et de la déréglementation du marché des céréales. (Préface de la deuxième édition de la Mondialisation de la pauvreté, 2003)

 L’hégémonie du dollar a été imposée. Avec l’augmentation de la dette libellée en dollars, l’ensemble du système monétaire national a finalement été « dollarisé » dans la plupart des pays en développement.

Des mesures d’austérité massives ont conduit à l’effondrement des salaires réels. Des programmes de privatisation de grande envergure ont été imposés. Ces réformes économiques meurtrières – appliquées au nom des créanciers – ont invariablement provoqué l’effondrement économique, la pauvreté et le chômage de masse.

Au Nigeria, à partir des années 1980, l’ensemble du système de santé publique a été démantelé. Les hôpitaux publics ont été poussés à la faillite. Les médecins avec lesquels je me suis entretenu ont décrit le célèbre et cruel programme d’ajustement structurel (PAS) avec une touche d’humour :

“We’ve been sapped by the SAP” (« nous avons été sapés par le PAS »), disaient-ils, nos hôpitaux ont littéralement été détruits grâce au FMI-Banque mondiale.

De l’ajustement structurel à l’ajustement mondial

Aujourd’hui, le mécanisme de déclenchement de la pauvreté et de l’effondrement économique est fondamentalement différent et de plus en plus sophistiqué.

La crise économique actuelle de 2020 (qui s’inscrit dans la logique de la pandémie COVID-19) est sans précédent dans l’histoire du monde.

Le FMI et la Banque mondiale n’ont pas besoin de négocier un prêt d’ajustement structurel avec les gouvernements nationaux.

Ce qui s’est produit dans le cadre de la crise COVID-19 est un « ajustement mondial » dans la structure de l’économie mondiale. D’un seul coup, cet ajustement mondial (AM) déclenche un processus mondial de faillite, de chômage, de pauvreté et de désespoir total.

Pour en savoir plus : Un sauvetage de la population mondiale pour le krach financier à venir (en anglais)

Comment est-il mise en œuvre ? Le verrouillage est présenté aux gouvernements nationaux comme la seule solution pour résoudre la pandémie COVID-19. Il devient un consensus politique, indépendamment des conséquences économiques et sociales dévastatrices.

Les gouvernements nationaux sont contraints de s’y conformer.

La fermeture partielle ou complète d’une économie nationale est déclenchée par l’application des « directives de l’OMS » relatives au verrouillage, ainsi qu’aux restrictions en matière de commerce, d’immigration et de transport, etc.

De puissantes institutions financières et des groupes de pression comme Wall Street, Big Pharma, le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill et Melinda Gates ont participé à l’élaboration des actions de l’OMS concernant la pandémie COVID-19.

Le verrouillage de la circulation et la réduction des échanges commerciaux et des voyages aériens ont préparé le terrain. Cette fermeture des économies nationales a été entreprise dans le monde entier à partir du mois de mars, touchant simultanément un grand nombre de pays dans toutes les grandes régions du monde.  C’est un événement sans précédent dans l’histoire du monde.

Cette opération de fermeture affecte les lignes de production et d’approvisionnement en biens et services, les activités d’investissement, les exportations et les importations, le commerce de gros et de détail, les dépenses de consommation, la fermeture d’écoles, de collèges et d’universités, d’instituts de recherche, etc.

À son tour, elle entraîne presque immédiatement un chômage de masse, des faillites de petites et moyennes entreprises, un effondrement du pouvoir d’achat, une pauvreté et une famine généralisées.

Quel est l’objectif sous-jacent de cette restructuration de l’économie mondiale ?  Quelles en sont les conséquences? Cui Bono? (« A qui profite-t-il ? »)

  • Une importante concentration de richesses,
  • la déstabilisation des petites et moyennes entreprises dans tous les grands secteurs de l’activité économique, y compris l’économie des services, l’agriculture et l’industrie manufacturière.
  • la dérogation aux droits des travailleurs. Elle déstabilise le marchés du travail.
  • Elle comprime les salaires (et les coûts du travail) dans les pays dits « développés » à revenu élevé ainsi que dans les pays en développement appauvris.

Il va sans dire que cette opération d’ajustement mondial (AM) est bien plus préjudiciable que le programme d’ajustement structurel (PAS) du FMI et de la Banque mondiale imposés aux pays.

C’est du néolibéralisme au énième degré.

D’un seul coup (au cours des derniers mois), la crise COVID-19 a contribué à appauvrir une grande partie de la population mondiale.

Et devinez qui vient à la rescousse ? Le FMI et la Banque mondiale :

La directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, a reconnu avec désinvolture que l’économie mondiale est au point mort, sans s’attaquer aux causes de l’effondrement économique.

« L’OMS est là pour protéger la santé des populations, le FMI est là pour protéger la santé de l’économie mondiale », déclare Mme Georgieva.

Comment compte-t-elle « protéger l’économie mondiale » ?

Au détriment de l’économie nationale ?

Quelle est sa « solution magique » ?

« Nous comptons sur une capacité de prêt globale de 1 000 milliards de dollars. »

(FMI M-D Georgieva, conférence de presse début mars)

À première vue, cela semble « généreux », beaucoup d’argent. Mais en fin de compte, c’est ce qu’on pourrait appeler de l’ »argent fictif », ce qui signifie :

 « Nous vous prêterons l’argent et avec l’argent que nous vous prêterons, vous nous rembourserez »

(paraphrase)

Conférence de presse conjointe sur la Covid-19 par le directeur général du FMI et le président du groupe de la Banque mondiale
Washington, D.C.
4 mars 2020

L’objectif ultime est de faire monter en flèche la dette extérieure (libellée en dollars).

Le FMI est explicite. Dans l’un de ses guichets de prêt, le Fonds fiduciaire d’assistance et de riposte aux catastrophes (Catastrophe Containment and Relief Trust), qui s’applique aux pandémies, est généreux,

« accorde des subventions pour l’allègement de la dette à nos membres les plus pauvres et les plus vulnérables ».

Déclaration absurde : il est là pour renflouer les caisses des créanciers, l’argent est affecté au service de la dette.

« Pour les pays à faible revenu et pour les pays émergents à revenu intermédiaire, nous avons … jusqu’à 50 milliards de dollars qui ne nécessitent pas un programme complet du FMI. »

Aucune condition sur la façon dont vous dépensez l’argent. Mais cet argent augmente le stock de la dette et nécessite un remboursement.

Les pays sont déjà dans une camisole de force. Et l’objectif est qu’ils se conforment aux exigences des créanciers.

C’est la solution néolibérale appliquée au niveau mondial : Pas de véritable reprise économique, plus de pauvreté et de chômage dans le monde. La « solution » devient la « cause ». Elle initie un nouveau processus d’endettement. Elle contribue à une escalade de la dette.

Plus vous prêtez, plus vous poussez les pays en développement à se conformer aux règles politiques. Et c’est finalement l’objectif de l’empire américain en faillite.

La vérité non dite est que ce trillion de dollars ++ des institutions de Bretton Woods est destiné à faire augmenter la dette extérieure.

Lors de récents développements, les ministres des finances du G20 ont décidé de « mettre en attente » le remboursement des obligations de service de la dette des pays les plus pauvres du monde.

L’annulation de la dette n’a pas été envisagée. Bien au contraire. La stratégie consiste à accumuler la dette.

Il est important que les gouvernements des pays en développement prennent fermement position contre l’ »opération de sauvetage » du FMI et de la Banque mondiale. 

La crise mondiale de la dette dans les pays développés

Une crise fiscale sans précédent se déroule à tous les niveaux de gouvernement. Avec des niveaux de chômage élevés, les recettes fiscales entrantes dans les pays développés sont presque au point mort.  Au cours des deux derniers mois, les gouvernements nationaux se sont de plus en plus endettés.

À leur tour, les gouvernements occidentaux ainsi que les partis politiques sont de plus en plus sous le contrôle des créanciers, qui en fin de compte mènent la barque.

Tous les niveaux de gouvernement ont été précipités dans un étranglement de la dette. La dette ne peut être remboursée. Aux États-Unis, le déficit fédéral « a augmenté de 26 % pour atteindre 984 milliards de dollars pour l’exercice 2019, soit le plus haut niveau en 7 ans ».  Et ce n’est que le début.

Dans les pays occidentaux, une expansion colossale de la dette publique a eu lieu. Elle est utilisée pour financer les « sauvetages », les « aides » aux entreprises ainsi que les « filets de sécurité sociale » aux chômeurs.

La logique des plans de sauvetage est à certains égards similaire à celle de la crise économique de 2008, mais à une échelle beaucoup plus grande. Ironiquement, en 2008, les banques américaines étaient à la fois les créanciers du gouvernement fédéral américain et les heureux bénéficiaires : l’opération de sauvetage a été financée par les banques dans le but de « renflouer les banques ». Cela semble contradictoire ?

La privatisation de l’État

Cette crise finira par précipiter la privatisation de l’État. De plus en plus, les gouvernements nationaux seront sous la coupe du Big Money.

Criblé par l’accumulation des dettes, ce qui est en jeu est l’éventuelle privatisation de facto de toute la structure de l’État, dans différents pays, à tous les niveaux de gouvernement, sous la surveillance de puissants intérêts financiers. La fiction de « gouvernements souverains » servant les intérêts des électeurs sera néanmoins maintenue.

Le premier niveau de gouvernement à privatiser sera les municipalités (dont beaucoup sont déjà partiellement ou totalement privatisées, comme Détroit en 2013). Les milliardaires américains seront incités à racheter une ville entière.

Plusieurs grandes villes sont déjà au bord de la faillite. (Ce n’est pas nouveau).

La ville de Vancouver est-elle prête à être privatisée ? « Le maire de Vancouver a déjà indiqué qu’il craignait la faillite de sa ville. » (Le Devoir, 15 avril 2020)

Dans les grandes villes américaines, les gens sont tout simplement incapables de payer leurs impôts : La dette de la ville de New York pour l’année fiscale 2019 s’élève à 91,56 milliards de dollars (FY 2019), soit une augmentation de 132% depuis l’année fiscale 2000. En retour, les dettes personnelles ont explosé dans toute l’Amérique.

« Les ménages américains ont collectivement environ 1 000 milliards de dollars de dettes de cartes de crédit. » Aucune mesure n’est prise aux États-Unis pour réduire les taux d’intérêt sur les dettes de cartes de crédit.

Le nouvel ordre mondial ?

Le verrouillage appauvrit à la fois les pays développés et les pays en développement et détruit littéralement les économies nationales.

Il déstabilise l’ensemble du paysage économique. Il sape les institutions sociales, notamment les écoles et les universités. Il conduit les petites et moyennes entreprises à la faillite.

Quel genre de monde nous attend ?

Un « nouvel ordre mondial » diabolique en devenir, comme le suggère Henry Kissinger? (Avis de la WSJ, 3 avril 2020) :

 « La pandémie de coronavirus va changer à jamais l’ordre mondial ».

Rappelez-vous la déclaration historique de Kissinger en 1974 : « Le dépeuplement devrait être la priorité absolue de la politique étrangère américaine à l’égard du Tiers-Monde ». (Mémorandum du Conseil national de sécurité de 1974)

Les implications politiques sont considérables.

Quel type de gouvernement aurons-nous au lendemain de la crise ?

Remarques de conclusion

Il y a beaucoup de malentendus concernant la nature de cette crise.

Plusieurs intellectuels progressistes disent aujourd’hui que cette crise constitue une défaite du néolibéralisme. « Elle ouvre un nouveau départ ».

Certains y voient un « tournant potentiel », qui ouvre une opportunité de « construire le socialisme » ou de « restaurer la social-démocratie » dans le sillage du verrouillage.

Les preuves confirment amplement que le néolibéralisme n’a pas été vaincu. Bien au contraire.

Le capitalisme mondial a consolidé son emprise. La peur et la panique l’emportent. L’État est en train d’être privatisé. La tendance est aux formes de gouvernement autoritaires.

Ce sont les problèmes auxquels nous devons faire face.

L’occasion historique de confronter les structures de pouvoir du capitalisme mondial, y compris l’appareil militaire des États-Unis et de l’OTAN, reste à être établie fermement à la suite du verrouillage.

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

Towards A New World Order? The Global Debt Crisis and the Privatization of the State

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca




Société sans cash : avec la “Better than cash alliance”, on est passé de la fiction à la réalité

[Source : Nexus]

Un modèle de société sans cash est déjà en place. Vous en doutiez ? La dématérialisation monétaire a envahi de nombreuses institutions et projets politiques ces dernières années, et semble trouver dans l’épidémie sanitaire actuelle un terreau favorable pour s’enraciner définitivement. Dans ce contexte, la BTCA semble jouer un rôle particulièrement important. Tour d’horizon de cette dématérialisation monétaire mondiale qui bénéficie déjà de puissants soutiens pour la défendre.

Connaissez-vous la BTCA (Better than cash alliance) ? Elle est composée pêle-mêle de la Fondation Bill et Melinda Gates, USAID, Mastercard, Visa, la Clinton Development Initiative, et le Fonds d’équipement des Nations Unies. L’objectif de ce groupe est de favoriser les paiements numériques en demandant aux gouvernements adhérents de s’engager à renoncer aux règlements en espèces au profit des paiements numériques pour les allocations sociales, l’aide humanitaire, les salaires, etc. La BTCA agit au plan technique, économique et politique. Dans son giron, elle compte déjà le Kenya, la Colombie, la République dominicaine, le Bénin, les Philippines, l’Afghanistan, le Malawi, le Rwanda, le Ghana, le Sénégal, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Népal, la Sierra Leone, le Pakistan, le Bangladesh, et bien d’autres (voir la liste complète ici). On y retrouve aussi des entreprises comme Coca-Cola, H&M ou Unilever.

◆ Une philanthropie déguisée ?

Derrière l’objectif affiché de donner accès à près de 1,7 milliards d’humains au paiement électronique pour palier leur manque d’accès au réseau traditionnel des banques et du cash, ce conglomérat d’entreprises privés, d’organismes étatiques et internationaux, forme un pôle de lobbying puissant qui pourrait complètement transformer la société sans aucun consentement des citoyens. Le droit au cash se verrait ainsi tout simplement supprimé au profit d’une centralisation de tous nos moyens de paiement. Ce nouveau marché représenterait une aubaine pour de nombreux acteurs privés qui pourraient ainsi dégager des bénéfices records et une traçabilité et un contrôle total de nos ressources monétaires.

◆ En France, le rapport de CAP22 prévoit la fin du cash pour 2022

En France, le lobbying s’active. D’après un rapport consultatif par le CAP22 ou « Comité action publique 2022 » remis au gouvernement en juin 2018, la proposition n°16 est claire : « Aller vers une société “zéro cash” pour simplifier les paiements tout en luttant mieux contre la fraude fiscale ». Composé en grande majorité de personnalités politiques, d’économistes et de hauts fonctionnaires, ce comité CAP22 était composé de membres aussi prestigieux qu’intéressés du secteur privé (Rothschild, BlackRock). Ce rapport préconise de « réduire progressivement la circulation d’espèces vers une extinction complète ». Il précise également que « la mise en œuvre de ces réformes conduira à la dématérialisation intégrale des paiements aux administrations à horizon 2020 ». Érick Lacourrège, directeur général chargé des services à l’économie et du réseau, lançait sans hésitation en octobre 2017 à La Tribune : « Le cash finira par disparaître ».

◆ Le Covid-19, l’allié de poids pour éliminer définitivement le cash

Alors que l’épidémie de coronavirus s’est installée dans la conscience collective mondiale et que la peur de toucher les billets et les pièces de monnaie a commencé à se développer, le BTCA estime qu’il est grand temps de passer la vitesse supérieure. Voici ce qu’en dit la directrice générale de BTCA, Ruth Goodwin-Groen, dans une publication du 31 mars dernier :

« Alors que les coûts humains tragiques de COVID-19 augmentent, le besoin de solutions pratiques, évolutives, rapides et efficaces est urgent. Aujourd’hui plus que jamais, il est temps de mettre le paiement numérique à l’œuvre. Nous mettons ici en évidence certains des enseignements les plus importants de notre travail, que nous mettons déjà en œuvre. Il n’est pas exagéré de dire que la mise en pratique de ces enseignements peut contribuer à sauver des vies et des moyens de subsistance en grand nombre. Nombre de nos membres se tournent vers la numérisation dans leur lutte contre COVID-19, en s’appuyant sur leurs efforts et leurs connaissances actuels sur les avantages des paiements numériques. Il s’agit maintenant d’intensifier considérablement ces efforts dans les domaines où la numérisation peut avoir le plus d’impact dans cette crise. Nous travaillons actuellement avec des membres du gouvernement, de la Colombie au Ghana et au Bangladesh, pour y parvenir. Nous travaillons également en étroite collaboration avec nos entreprises membres qui veulent faire la différence dans cette pandémie ».

POUR APPROFONDIR le sujet, vous pouvez lire notre dossier complet en accès libre ici :
« Société sans cash : plus qu’une fiction, une stratégie bien huilée » (NEXUS n° 100 – sept/oct 2015)

[Voir aussi :




Coronavirus, virus de la soumission

[Source : Russie Politics via Réseau International]

[Auteur : Karine Bechet-Golovko]

New York, octobre 2019, jeu de rôle sur le coronavirus

Un étrange virus semble s’emparer du monde. En comparant avec les dégâts causés par la simple grippe ou la pneumonie (non virale), ce virus corona (coronavirus ou pneumonie virale) venu de Chine, très modeste, provoque une vague politico-médiatique globale totalement disproportionnée. Ses effets économiques et politiques sont effectivement largement au-delà de l’aspect sanitaire. Alors que l’on nous parle d’épidémie mondiale, chaque apparition d’un cas isolé dans les pays euorpéens (et pas dans tous) ou outre-atlantique, provoque une vague médiatique digne de la peste noire. Le discours est à ce point caricatural, que l’on se croirait plongé dans une nouvelle production hollywoodienne, à laquelle se sont pliés la plupart des pays, notamment ceux revendiquant une certaine souveraineté, comme la Russie.

Depuis peu, les médias se sont focalisés sur le nouveau virus chinois, virus corona, forme de pneumonie virale. Dans le monde, environ 20 000 personnes sont touchées et, au 4 février 2020,  l’on déplore 427 morts. La France vient de détecter son dixième cas, bénin. La Belgique a hérité, enfin, de son premier cas, lors du rapatriement de ses ressortissants vivant en Chine. A New-York, 3 patients hospitalisés soupçonnés d’avoir ce virus, mais il faut encore préciser le diagnostic. La Russie a deux Chinois si faiblement infectés, qu’il est impossible de déterminer les marqueurs du virus, que la Chine n’a par ailleurs toujours pas transmis. En février, pour la première fois hors des frontières de la Chine continentale, une personne est morte à Hong Kong et une autre aux Philippines. Nous sommes assez loin de la pandémie …

Qu’il y ait des cas d’infection, cela est incontestable. C’est l’ampleur médiatique donnée à ce virus, qui laisse pantois. Comparons avec ce qui est comparable, à savoir la pneumonie non virale et la grippe.

En 2015, dans le monde 920 000 enfants de moins de 5 ans sont morts de la pneumonie. 920 000. Et si la communauté internationale se décide à ouvrir les yeux et à aider les pays, il suffirait de donner accès à des vaccins qui existent, ce qui est parfaitement réaliste, l’on pourrait baisser la mortalité de cette maladie. Au rythme où l’on avance, les chercheurs estiment à 800 000 le nombre d’enfants de moins de 5 ans morts de pneumonie en 2030. Mais il est vrai que cela ne touche pas l’Europe ou l’Amérique du Nord … Donc, pour la pneumonie, je répète, plus de 900 000 enfants morts par an.

En ce qui concerne la grippe, prenons le cas de la France. Dans l’hiver 2017/2018 par exemple, 13 000 personnes sont mortes de la grippe, dont 93% de personnes de plus de 65 ans. Cette année, depuis novembre, l’on compte déjà 22 morts. Selon les données fournies par l’Agence nationale de santé publique française, dans la semaine du 29 janvier, plus de 5 500 personnes se sont adressées aux urgences pour des problèmes de santé liés à la grippe et 460 ont été hospitalisées. Et 10 cas sans que le diagnostic vital ne soit engagé pour le coronavirus.

Sans qu’il soit nécessaire d’aller plus dans le détail, il est évident que le risque sanitaire découlant du virus corona comparé aux dégâts causés par la pneumonie ou la grippe est absolument minime. Pour autant, la Russie met en place en état-major de lutte contre le virus corona, rien moins de ça, commandé par Golikova, la vice-Premier ministre en charge de la santé; de nombreuses écoles sont fermées à Moscou, malgré le démenti publié dans la presse d’une injonction adoptée en ce sens (je le confirme personnellement); nous avons droit tous les jours au bulletin d’alerte mondial, de plus en plus difficile à remplir, car il ne se passe rien en Russie de notable sauf la prise de mesures dignes d’une guerre bactériologique. Si, une première victime directe est à noter: le Forum économique Sotchi n’aura pas lieu comme prévu, car il y a des étrangers et ces étrangers viennent de pays où il y a quelques cas de virus corona, donc évitons la pandémie. C’est une victime collatérale difficile à déplorer, la démultiplication des messes glonalistes la fera passer inaperçue. La plupart des pays d’Europe et d’Amérique du Nord prennent des mesures draconiennes, des fonds incroyables sont dirigés pour lutter contre ce virus, que l’OMS a déclaré comme danger pour l’humanité. Des images incroyables de l’aéroport de Pékin, vide.

L’économie globalisée est directement touchée, par un virus qui fait moins de victimes que la grippe. Et les ressources étatiques sont mobilisées pour lutter contre cet étrange virus, qui semble surtout permettre de faire le tri dans les pays, de voir dans les faits ce qu’il en est de la souveraineté réelle prétendue et jusqu’où ces pays sont prêts à aller. Pour l’instant, ils semblent prêts à aller très loin. En ce sens, le virus corona ressemble beaucoup au virus de la soumission, ou d’allégeance.

Puisqu’il est impossible aujourd’hui de remettre en cause les dogmes sans être accusé de conspirologie, et que le virus corona est décrété comme rien moins qu’un danger pour l’humanité, mais qu’il devient difficile de prendre au sérieux ce qui ressemble de plus en plus à une hystérie globale, des voix dubitatives commencent à s’élever, certaines allant même immédiatement se couvrir sous le voile (devenu protecteur) de la conspirologie. En effet, alors que la Russie s’est lancée corps et âme dans la machine globaliste de la superproduction hollywoodienne de lutte contre le coronavirus,  la première chaîne fédérale Pervy Kanal, aux infos du soir, a décidé de lancer une série de reportage sremettant en cause la religion proférée à ce sujet (par ailleurs très respectueusement dans le reste du journal), l’indiquant elle-même comme « conspirologique ». Pour les russophones, voir ici (à partir de 22.45) :



Et en effet, des choses surprenantes sont dites. Dans les réseaux
sociaux, l’on a déjà entendu parler de ces laboratoires qui ont
enregistré le virus corona ou des financements de Bill Gates dans
l’industrie pharmaceutique. Immédiatement, la presse s’est lancée dans
une opération de défense du dogme coronarien estampillant ces dissidents sous le sceau de l’infamie, celui de la conspirologie. L’on apprend ainsi
que le virus a bien été utilisé, mais non créé, par les laboratoires
incriminés, notamment dans l’émission en Russie, en revanche la défense
est assez surprenante, elle ressemble surtout à un aveu.

Ainsi, ce brevet et les autres disponibles sur le net existent bien. Les
laboratoires canadiens et autres ont bien des souches de coronavirus
(ou virus corona) qui viennent des anciennes vagues virales, ils
travaillent bien avec ces souches. Mais, ils n’ont pas volontairement
(ou involontairement) contribué à sa propagation. Ca, en effet, ce n’est
pas prouvé.

En revanche, l’émission russe donne une information qui surprend. Un jeu
de rôles. Mais pas un simple jeu de rôles. Un jeu de rôles avec des
représentants de l’establishment global sur le thème de la lutte contre
une épidémie mondiale du virus corona a été organisé en octobre 2019 à
New York, deux mois avant le véritable départ du coronavirus. Parmi les
participants, l’on compte des représentants de l’ONU, des
transnationales, de l’industrie pharmaceutique, de la Banque mondiale,
de l’Administration américaine et d’autres personnalités importantes du
monde global.

Dans tous les cas, les effets de ce virus corona sont très intéressants.
Les frontières se ferment sur commande, indépendamment des guerres ou
des épidémies réelles; sur commande, les ressources étatiques sont
réorientées pour combattre un mal moins dangereux que les maladies
existantes, dans le monde réel; toutes les ressources médiatiques sont
dirigées dans le même sens, quel que soit le pays; des régions de pays
se trouvent coupées (en Chine, mais aussi la Russie pense isoler une
région). Et les Etats se plient, obéissent, jouent le jeu, s’alignent.
Ils ont fait allégeance à un commandement global, diffus et quasiment
impossible à géographiquement localiser. Ils furent contaminés par le
virus. C’est effectivement une pandémie géopolitique. 




Quand la conservation de la nature sert de couverture aux technosciences mortifères

[Source : Agoravox]

par Françoise DEGERT

C’est confirmé : les conservationnistes (2), dont l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), déroulent le tapis rouge devant les pires techno-sciences, au profit des multinationales et de riches investisseurs.

On connaît George Monbiot pour son amour de la nature sauvage et sa détestation de l’élevage, en particulier des moutons , ce « fléau laineux qui nous fait l’amabilité de détruire nos campagnes  ». Cet ex-journaliste de la BBC écrit régulièrement dans le quotidien britannique « The Guardian » et reste considéré comme un intellectuel dans le milieu de la conservation de la nature. George Monbiot est un leader d’opinion et son article intitulé « Les aliments cultivés en laboratoire vont bientôt détruire l’agriculture et sauver la planète  » mérite de s’y arrêter.

Bouillon de culture transhumaniste

Dans cet article, il s’émerveille de la nourriture synthétique fabriquée à base de terre, d’eau et d’hydrogène. Il a apprécié la mousse jaune, « ce bouillon de culture » que les techniciens d’un laboratoire d’Helsinki ont transformé en crêpe et qu’il a goûtée avec plaisir. « Elle avait un goût de crêpe » selon lui. Grâce aux dernières trouvailles de la biologie, cette soupe primaire sert aussi à faire des oeufs, de la viande, du poisson et on peut même en extraire des glucides. C’est à ses yeux le Saint-Graal de l’alimentation humaine. Plus besoin d’agriculture et d’élevage, la « nourriture sans ferme » va sauver la planète, terre et océans inclus. La nature sauvage va enfin pouvoir de nouveau prospérer dans la biosphère libérée des activités de l’ancien monde. En attendant d’être sauvés par la technologie, il exhorte prudemment les humains à devenir végétariens (ou vegans, cela reste imprécis). 

Son article est intéressant car il fait clairement le lien entre la
conservation de la nature et l’idéologie transhumaniste (la technologie
transcendera les humains vers leur immortalité). Il aurait d’ailleurs pu
rédiger le communiqué de Technoprog,
une association française de transhumanistes, tant les deux écrits se
ressemblent. Comme George Monbiot, Technoprog conclut aux bienfaits de
l’alimentation synthétique qui « permettrait de limiter l’élevage et
l’abattage bovin, de réduire les souffrances animales qui y sont
associées, de faire des économies en eau et en surfaces agricoles ou de
réduire l’effet de serre ». Coïncidence troublante ? Non, sachant que
cette idéologie, le transhumanisme, fleurit dans les start-up de la
Silicon Valley et les GAFAM, qui ont l’ambition de changer le monde. Le
principal mérite de George Monbiot est de dire tout haut ce qui se trame
tout bas. Et ce qui se trame entre les Geeks de la Silicon Valley, les
technosciences, les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft)
et leurs fondations n’est rien moins que la disparition des agriculteurs
et des éleveurs.

Main basse sur les ressources

La raison en est simple. Les pourvoyeurs de ressources naturelles
sont la terre et les océans. Il est temps, pour les géants de
l’agro-alimentaire, de la pêche, et autres industries, de les exploiter
directement. A l’échelle planétaire, les marchés de détail de la nourriture représentaient 3 billions de $,
et un gagne-pain de 2,6 milliards de $ pour les agriculteurs en 2004.
Voilà de quoi ouvrir les appétits. Pour mettre la main sur ces marchés,
ces géants et ces riches investisseurs disposent d’un atout de poids :
la recherche technologique des acteurs de la Silicon Valley et autres
start-up qui fleurissent un peu partout dans le monde.

Acte 1 : les géants de l’agro-alimentaires fabriqueront de la
nourriture synthétique pour les humains comme ils le font déjà pour les
animaux avec les croquettes pour chiens par exemple.

Acte 2 : les mêmes s’apprêtent à remplacer les agriculteurs et les
éleveurs par une main-d’oeuvre bon marché guidée par l’ « intelligence
artificielle » et les technologies de pointe en communication.

Acte 3 : grâce à la biologie de synthèse, on fera pousser dans nos
champs des plantes qui se transformeront en caoutchouc, en chocolat ou
autres et remplaceront les matières premières industrielles autrefois
importées. Il est aussi question de rendre les terres incultes
productibles.

Les trois actes se déroulent déjà actuellement, dans le désordre, parfois simultanément. 

La fabrique du consentement avait déjà commencé dans les années 2000. On se souvient du pavé de 500 pages de la FAO intitulé « L’ombre portée de l’élevage »,
publié en français en 2012 (2006 en anglais). Concluant à la nécessité
de mettre fin à l’élevage extensif accusé d’occuper 30% des terres de la
planète, il avait bénéficié du concours éclairé de l’UICN et de
chercheurs du CIRAD, lequel CIRAD fait partie de l’UICN. Son point de
vue a été repris et est toujours partagé par les adeptes du
ré-ensauvagement, également appelé « rewild ». La multiplication des
associations de conservation de la faune sauvage en particulier des
grands prédateurs, les mouvements vegans largement financés par des
fondations américaines, manipulent l’opinion depuis des décennies contre
l’élevage, et surtout l’élevage extensif. On en comprend mieux
aujourd’hui les motivations : bouleverser l’alimentation humaine,
libérer les terres des animaux de rente et de l’agriculture nourricière,
développer de nouvelles matières premières grâce aux nouvelles
technologies. 

Fausse viande pour les classes populaires

Bill Gates, Richard Branson, de grandes multinationales telles que Tyson Giants et Cargill, ont apporté quelques dizaines de millions de $ en quelques années pour favoriser la création du premier steak à base de protéines in vitro. Ce type de protéines intéressait particulièrement la NASA. En 2013, Mark Post et son équipe (Pays-Bas) ont présenté ce « Frankenburger » à Londres. Sa production en série nécessite encore quelques mises au point mais le « Frankenburger » devrait rejoindre la restauration rapide dans les deux ans qui viennent.

Les steaks à base de végétaux tiennent actuellement le haut du
pavé. On ne compte plus les start-up qui se sont lancées dans cette
production et les steaks vegans Beyond Meat (start-up américaine) sont
dans les rayons des grandes surfaces françaises depuis le 3 février. On
les trouve également dans les fast-food Burger King, Mac Do car la cible
pour ce genre de produit est une clientèle jeune, de classe moyenne ou
inférieure. Les nouvelles habitudes alimentaires se façonnent pas à pas,
en privilégiant les classes populaires. Et ce n’est pas terminé : des
start-up californiennes nous concoctent depuis quelques années une
alimentation à base d’insectes… Car les protéines « , ces briques de
l’organisme, constituent notre enveloppe : les os, les muscles, les
cheveux, les ongles, la peau, mais aussi nos messagers internes tels que
les hormones, les enzymes ou les anticorps du système immunitaire, qui
nous défendent contre les infections. Elles sont essentielles à l’homme,
car il ne sait pas les fabriquer à partir d’autres nutriments,
contrairement aux glucides par exemple. Elles doivent donc être
apportées obligatoirement par l’alimentation ». D’où le nouveau marché des protéines de substitution estimé
par JP Morgan à 100 milliards de $ dans 15 ans pour les steaks à base
de végétaux, et à 140 milliards de $ dans 10 ans par Barclays pour les
viandes issues de cellules animales. 

On sait que les aliments ultra-transformés multiplient les risques de
cancer. Pour l’heure, aucune étude indépendante n’a été menée sur la
sécurité alimentaire des faux steaks. On se contentera des assurances de
George Monbiot sur leur bienfait pour la santé, et de l’enthousiasme de
Technoprog qui y voit un prochaine étape d’adaptation des humains à
la biologie de synthèse comme ils l’ont fait tout au long de leur
histoire…

Derrière l’idéologie transhumaniste se profilent les appétits
financiers des géants de l’agro-alimentaire et de riches investisseurs.
George Monbiot et les transhumanistes ignorent-ils que la haute
technologie est le terrain de jeu des multinationales ?

Une agriculture asservie à l’industrie

La nourriture synthétique libérera des terres pour les matières
premières industrielles. « Des pneus en pissenlits, des portes de
voitures en fibre de chanvre, ou encore des bottes en blé et non en
caoutchouc » : tel est le programme de la ministre allemande de l’Agriculture,
Julia Klöckner approuvé le 15 janvier dernier par le Conseil des
ministres. D’ailleurs, on ne parle plus d’agriculture mais de « bioéconomie« , le
nouveau mot d’ordre lancé par l’OCDE au début des années 2000 et repris
par la Commission européenne.  » La bioéconomie entend substituer au
pétrole l’utilisation de ressources naturelles ou bioressources, afin de
produire de la bioénergie (biocarburants ou biocombustibles), des
biomatériaux (bois d’œuvre, matériaux composites) ou des produits
biosourcés (bioplastiques, solvants, cosmétiques, etc.) ». Elle s’est
généralisée dans 60 pays, dont la France. Toujours à l’avant-garde, le
groupe AVRIL, anciennement connu sous le nom de SOFIPROTEOL, s’est
associé à Royal DSM en juillet dernier pour créer des protéines à partir
du colza. Le préfixe bio laisse déjà présager l’orientation des crédits
de la prochaine PAC (politique agricole commune) 2021-2027 vers
l’agriculture industrielle bourrée de technologies. Evidemment, les
surfaces utilisées pour la culture nourricière et l’élevage seront
limitées…

Conçue par et pour l’industrie, cette bioéconomie, entend bien être
concurrentielle en anticipant les cours des matières premières. C’est là
qu’entre en jeu le Big Data développé par les GAFAM pour planifier les
cultures en fonction du marché. Monsanto ne
se contente plus de vendre des pesticides et des engrais. La
multinationale a racheté en 2013 « The Climate Corporation », une
start-up fondée par d’anciens salariés de Google, qui réalise des
simulations climatiques à très haute résolution. Estimé à 20 milliards
de $, le marché des données météo agricoles s’avère juteux, en
étant vendues aux exploitants agricoles et aux grands négociants tels
que CARGILL et ADM. Cette perspective a également retenu l’attention de
la FNSEA qui expérimente « l’agriculture connectée » depuis 2014 dans une vingtaine d’exploitations. Balayant quelques inquiétudes, la présidente de la FNSEA, Christiane Lambert,
déclarait le 26 octobre 2016, à Angers, qu’ « il faut accepter que le
numérique permette d’agir plus vite, avec des réponses plus appropriées
ayant moins d’impact ». 

Robotisation à outrance

Pour ce qui est de l’impact, les multinationales ont la solution grâce aux nanotechnologies et à la biosynthèse. Ainsi, les Pays-Bas ont
décidé de réduire l’apport des pesticides en les utilisant « de manière
ciblée ». « Quand ils sont nécessaires, on préfèrera les substances à
faible risque » expliquait le gouvernement néerlandais dans un communiqué
en avril 2019. L’une des solutions adoptée par le gouvernement est de
sélectionner des semences particulièrement résistantes via les nouvelles
techniques de sélection des plantes (NTSP) en modifiant leur ADN.
Qualifiées d’organismes génétiquement modifiés (OGM) par la Cour de
justice de l’Union européenne (CJUE), ces semences tombent sous le coup
de la directive OGM. Sur ce point, le débat fait rage en ce moment au
sein de l’UE. L’autre solution est d’ « utiliser les pesticides de
manière intelligente, afin de limiter les émissions environnementales et
d’assurer une production agricole pauvre en résidus » selon le
communiqué. Les multinationales, telles que Monsanto-Bayer,
Syngenta-ChemChina, proposent déjà la diffusion de pesticides dans des
nanos capsules.

Dans la ferme du futur très proche, l’exploitant agricole verra
depuis son ordinateur portable où se trouvent les mauvaises herbes à
enlever, les besoins en eau, d’engrais ou de pesticides, les cours
mondiaux, la météo. Il guidera de loin son tracteur robotisé ou enverra
sur le terrain sa main-d’oeuvre sous-payée. Finis le savoir-faire et
l’intelligence humaine : l’ordinateur, les systèmes d’information
géographique (SIG), les capteurs capables d’analyser les besoins,
disséminés dans les champs reliés à un GPS (parfois des nano-capteurs
jusqu’à former une poussière intelligente), les remplaceront. La
convergence des Nanotechnologies, Biotechnologies, Sciences de
l’Information et sciences Cognitives (NBIC) n’épargne ni l’élevage,
ni la pisciculture. Les nano-puces implantées sur les animaux détectent
des maladies, analysent les spécimens au niveau génétique pour les
sélectionner, permettent de surveiller le bétail à distance, le privant
pendant de longues périodes des soins apportés par les humains. 

En ajustant les nanoparticules des plantes cultivées, on pourra
également produire des substituts à différentes matières premières
industrielles jusqu’alors importées telles que le caoutchouc ou le
chocolat. Ce qui entraînera inévitablement une chute des cours mondiaux
des matières premières et des produits agricoles

Le forçage génétique, une arme de destruction massive

Le bouleversement technologique va bien au-delà. L’UICN voit dans la
biologie de synthèse et les technologies de l’information le moyen de
recréer des espèces disparues, de sauver des espèces en danger
d’extinction, de les étudier à distance… Le canular du retour du
mammouth laineux sur terre permet de masquer des programmes
incontrôlables de manipulation génétique conçus par le « Gene Drive »
(GD), autrement dit le « guidage génétique » ou comme l’appellent les
francophones, le « forçage génétique », tandis que l’UICN parle
d’ « impulsion génétique ». Il s’obtient en découpant l’ADN, une
technique inventée en 2012 par deux chercheuses, une Française,
Emmanuelle Charpentier et une Américaine, Jennifer Doudna. Etant plus
rapide, plus précise et moins chère, la technique des « ciseaux à
découper l’ADN « , également appelée CRISPR Cas9, s’est répandue comme
une traînée de poudre. Grâce au forçage génétique, la modification d’un
gène rend l’individu modifié reproductible. Il entre en interaction avec
les organismes vivants non modifiés. Or, « cette mutation auto-amplifiante,
s’auto-réplique et se diffuse plus rapidement que par la génétique
habituelle ». « Si avec les OGM classiques la dispersion des gènes
modifiés devait être évitée (…), avec ces nouveaux organismes
génétiquement modifiés la dispersion devient la stratégie recherchée ».
Le Tarjet Malaria Project, qui réunit un consortium d’université et de
centres de recherche financés en grande partie par la Fondation Bill et
Melinda Gates, ambitionne de modifier génétiquement les anophèles
(moustiques) pour qu’ils ne soient plus porteurs de la malaria. Ce
projet a été expérimenté sans succès au Brésil et aux îles Caïman où le
gouvernement y a mis un terme. La Fondation s’est évidemment tournée
vers l’Afrique, notamment au Burkina Faso, où le Tarjet Malaria
Project a été très mal reçu par les populations concernées dont on avait
oublié de demander le consentement. 



Une question de consentement : les moustiques exterminateurs du Burkina Faso © Terre à vie, ETC Group, Fenop, C Pagen

Car les conséquences d’une telle manipulation sont imprévisibles. Si
on élimine un moustique vecteur de la malaria, une autre espèce peut
prendre sa place. En outre, ces organismes modifiés peuvent servir en se
dispersant à des fins militaires. Le premier à avoir tiré le signal
d’alarme est le grand patron de la CIA, James Clapper.
Dans un rapport de février 2016 déclassifié, il met CRISPR Cas9 dans la
catégorie des « armes de destruction massive « , au rang du « programme
nucléaire nord-coréen, des armes chimiques syriennes et des missiles de
croisière russes ! » 

Mais les projets de forçage génétique sont financés par l’Agence de
recherche militaire du gouvernement des Etats-Unis (DARPA, Defence
Advanced Research Projects Agency), la Fondation Bill et Melinda Gates,
The Tata Trusts et l’Open Philanthropy Project soutenu par Facebook. 

L’UICN, cheval de Troie de l’ultra-libéralisme et des GAFAM

La Convention sur la diversité biologique (CDB) qui s’est réunie du
13 au 29 novembre 2018 à Charm el Cheikh (COP 14) avait mis le forçage
génétique à l’ordre du jour. Cent cinquante ONG ont réclamé un
moratoire. Il leur a été refusé. La CDB s’est contentée d’appeler les
gouvernements à évaluer eux-mêmes les risques et à obtenir le
consentement des populations locales avant le lâcher des organismes
exterminateurs. Il faut dire que la Fondation Gates avait investi
1,6 million de $ dans une agence de relation publique, Emerging Ag Inc,
pour exercer une influence sur la CDB. Cette agence a recouru à des
scientifiques acquis à la cause et à leur financement, des scientifiques
dont la renommée et les travaux avaient été coachés par des agences de
communication. 

Bill Gates tient toujours à faire entériner le forçage génétique par
la CDB qui doit se réunir à Kunming (Chine) en octobre prochain. Ce sera
la COP 15. L’UICN s’est mise de la partie, sans que l’agence de
relation publique ait été obligée de recourir à des scientifiques
amis. Elle a réuni un groupe de travail pour peaufiner un rapport
préparatoire sur la biologie synthétique. Or, le groupe de travail qui a
rédigé le rapport était composé en majorité de personnes acquises au
forçage génétique, le plus souvent carrément en conflits d’intérêts.
Merci aux Canadiens d’ETC group d’avoir alerté le monde sur la
composition de ce groupe de travail. Leur document, « Le forçage génétique sous influence  »
fait l’historique des décisions de l’UICN et présente par ordre
alphabétique les auteurs en faveur de cette nouvelle technologie.

Doit-on s’en étonner ? Ce n’est pas la première fois que l’UICN, qui
prépare les conventions internationales sur l’environnement et leurs
protocoles, déroule le tapis rouge devant les multinationales et les
riches investisseurs. Rappelons que la CDB créée en 1992, à Rio, a
inauguré la privatisation du vivant par le biais de la propriété
intellectuelle instaurée sur la faune, la flore et les savoir-faire.
Soit deux ans avant l’accord sur la propriété intellectuelle (ADPIC)
signé en 1994 à Marrakech avec la création de l’OMC (organisation
mondiale du commerce). Plus récemment, l’UICN a signé en 2014 un
partenariat avec le groupe suisse Syngenta au moment où elle publiait
son évaluation sur une espèce de papillons menacée par les pesticides.
Et comme par hasard, les solutions proposées par
l’UICN étaient identiques à celles … du groupe suisse. Lequel groupe est
devenu Syngenta-ChemChina depuis son rachat en 2017 par une société
chinoise.

Dans son dossier thématique sur
la biologie de synthèse daté de mai 2019, l’UICN se contente de
proposer dans les prochaines négociations de la CDB « une évaluation au
cas par cas », par des scientifiques, des gouvernements, la société
civile et des organisations des peuples autochtones. Le moratoire n’est
pas retenu, Bill Gates est sûrement soulagé. Cette proposition devrait
avoir le soutien de la Chine où se tiendra la prochaine conférence des
Etats. D’autant qu’elle sera présentée par le président de l’UICN, ZHANG
Xinsheng, également Chinois.

Cet article n’aurait pas pu se faire sans l’alerte donnée par « ETC
Group » sur le forçage génétique, et le travail d’investigation de cette
association canadienne. Créée par Pat Mooney, le lanceur d’alerte sur
la géo-ingénierie, ETC group est aujourd’hui dirigée par Jim Thomas. La
lecture de ses rapports est vivement conseillée, notamment « La ferme atomisée« 
 

Site de ETC Group : https://www.etcgroup.org/fr

GLOSSAIRE :

Biologie synthétique  : Alors que l’ingénierie génétique
n’implique qu’un ou quelques gènes à la fois, la biologie synthétique
crée des organismes entièrement nouveaux. En 2003, J. Craig Venter et
son équipe de chercheurs ont réussi à fabriquer un chromosome
entièrement synthétique en deux semaines. En 2008, le même institut a
annoncé la création du premier génome bactérien franchissant ainsi un
pas important vers la vie artificielle. La biologie synthétique peut
aussi présenter de sérieux risques imprévisibles, tels que la création
d’organismes nuisibles. Une arme nouvelle en quelque sorte. (d’après
« Conservation pour une ère nouvelle ». Jeffrey A. McNeely, Susan A.
Mainka, UICN, 2009).

Conservationnistes : ceux qui veulent conserver la nature sauvage. Leurs principales associations sont l’UICN, le WWF, l’ASPAS, la LPO etc…

Forçage génétique : la création d’organismes génétiquement
modifiés capables de se reproduire comme tels et d’interagir avec le
monde réel ou sauvage (GDO : Gene Drive Organism). Cette faculté les
différencie des OGM. « Une fois que le forçage génétique a été sorti de
la bouteille, personne n’a réellement trouvé le moyen de le
réintroduire ». 

Nanotechnologies  : manipulation de la matière à l’échelle des
atomes et des molécules (1 nanomètre, nm = 1 milliardième de mètre). On
ne les voit pas dans la nourriture car elles ne sont pas étiquetées en
tant que telles ( jus d’orange, bonbons etc…). Selon Vyvian Howard,
fondatrice et rédactrice en chef du « Journal of nanotoxicology », la
taille réduite des nanoparticules augmente leur toxicité, car les nanos
se déplacent plus facilement dans l’organisme en traversant des
membranes protectrices (peau, barrière hémato-encéphalique, placenta).

Transhumanisme : mouvement culturel et intellectuel international prônant l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer la condition humaine notamment par l’augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains (d’après Wikipedia).

Pour aller plus loin :




Coronavirus, fausse couronne pour vraie dictature

[Source : Média-Presse Info]

par MICHELE MARIE

Dans le battage médiatique qui avait suivi l’éruption du virus de Wuhan en janvier dernier, et le cafouillage créé par ses multiples désignations, l’on nous avait dûment expliqué que le coronavirus était une grande famille de pathogènes dont pas moins de sept générations avaient été identifiées depuis 1960. D’où l’appellation de “nouveau coronavirus” (novel coronavirus en anglais) pour désigner le dernier héritier de la “Couronne”.

Deux autres variantes de cette appellation furent mises en circulation: 2019-nCoV suivie, un mois plus tard, de COVID-19, sans que l’on sache trop pourquoi. Que signifiait toute cette confusion ?

Un article publié sur le site MedecineNet accréditait l’équivalence des trois termes en les utilisant de manière interchangeable dans son intitulé:

Facts you should know about COVID-19 (2019 novel coronavirus, 2019-nCoV, Wuhan coronavirus)

[Choses à savoir au sujet de COVID-19 (nouveau coronavirus 2019, 2019 n- CoV, coronavirus de Wuhan].

En cliquant sur le lien COVID-19, on trouvait cette explication :

“Le 7 janvier 2020, les autorités sanitaires chinoises ont annoncé qu’elles avaient isolé le virus se propageant à Wuhan. Ce nouveau coronavirus a été nomméinitialement 2019-nCoV et a également été appelé coronavirus de Wuhan parceque les premières personnes infectées venaient de la ville de Wuhan, dans laprovince de Hubei en Chine. Le 11 février 2020, la maladie a été officiellement baptisée COVID-19”.

Rien sur le pourquoi de ce dernier changement d’appellation, ni sur la justification du nombre 19. Etait-ce un clin d’oeil au millésime de ce dernier cru du coronavirus? C’était pourtant en 2020 et non pas en 2019 que le virus avait officiellement été isolé.

Un article paru le 11 février 2020 sur le site du journal Forbes titrait: “Coronavirus Gets A New Name: COVID-19. Here’s Why That Is …” [Le coronavirus reçoit un nouveau nom : COVID-19. Voici pourquoi c’est important]

Selon Forbes, ce nouveau nom avait été choisi par l’OMS pour éviter le stigma et le “racisme” inhérents à la désignation de “virus de Wuhan”. Cette explication de nature idéologique, était confirmée par un tweet du Directeur de l’OMS qui présentait le sigle de COVID comme étant la contraction de Co-rona, Vi-rus et D-isease [maladie]. Il laissait cependant subsister une interrogation sur la datation de ce virus.

Mais l’interrogation n’est bien sûr que de pure forme pour qui connait la longue gestation de cette pandémie surgie en janvier 2020 mais “prédite” de longue date par les pourvoyeurs en chef des vaccins de la planète. Le 29 janvier 2010, Bill et Melinda Gates avaient déclaré à Davos que la prochaine décennie devait être celle des vaccins, annonçant leur contribution de 10 milliards de dollars à cet effet.

Quelques années plus tard, en 2015, Bill Gates déclarait lors d’une conférence TED, que le monde devait se préparer à la prochaine pandémie contre laquelle il n’était absolument pas prémuni. “La plus grave menace à l’humanité ne sera pas nucléaire, mais biologique”, avait-il averti, “les pandémies causeront des millions de morts, nous aurons besoin de deployer l’OTAN et de vacciner les populations”.

En 2018, il confiait à Business Insider qu’une pandémie s’annonçait, qui pourrait bien tuer 30 millions de personnes en 6 mois, et qu’il fallait s’y préparer comme pour une guerre. Cela semble familier ?

Le 18 octobre 2019, la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum économique mondial et le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire avaient organisé à New York la simulation d’une pandémie, au cours de Event 201, qui présentait des ressemblances troublantes avec la pandémie du coronavirus qui devait se déclencher 3 mois plus tard. De petites peluches en forme de coronavirus avaient même été distribuées aux participants !

Enfin, le 8 avril dernier, dans une interview accordée au Financial Times au sujet de la vaccination contre le Covid-19, Gates avait martelé :” Mais vous n’avez pas le choix ! Certains pays, surtout les plus riches, seront peut-être en mesure de rouvrir leur économie si tout se passe bien dans le courant des prochains mois mais, globalement, la vie ne reprendra son cours normal que lorsque la population mondiale aura été entièrement vaccinée.”

Bill Gates a du reste laissé échapper l’objectif final de cette vaccination à l’échelle planétaire : l’asservissement de l’humanité. Selon les propres mots de ce malade de contrôle :

“A terme, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui s’est rétabli ou qui a été testé récemment et, quand nous avons un vaccin, qui l’a reçu”.

Nous savons par ailleurs que la Fondation Bill et Melinda Gates finance entre autres choses un projet de puçage numérique sur lequel travaille en ce moment le MIT (Massachusetts Institute of Technology. Il s’agira des certificats numériques de la deuxième génération. Au prétexte de nous protéger contre divers agents pathogènes, on essaie donc de nous parquer comme du bétail et de nous marquer du signe de la Bête.

En France, un projet de loi sur la traçabilité numérique sera discuté à l’Assemblée le 28 avril, puis suivi d’un vote.

Hier, le maire démocrate de New York, Andrew Cuomo, réclamait sur le ton de l’urgence la constitution à l’échelle nationale « d’une armée de “traceurs de contacts” composée d’au moins 100.000 professionnels provenant de divers champs d’activité, détectives, personnel soignant, etc , pour pister les gens ayant été en contact avec des personnes contaminées et les isoler aux fins de l’eradication du virus”.

COVID-19

C = Certificat
O = Of
V = Vaccination
ID = Identification
1 = A (1ère lettre alphabet) = Artifical
9 = I (9ème lettre alphabet) = Intelligence

= Certificat Of Vaccination Identification by
Artificial Intelligence

Encore besoin d’explications…?!

#ProjetDeVaccinationMondiale #Puçage
#Traçage #IntelligenceArtificielle #Eugénisme

etc…

Il y a deux jours, le tweet ci-dessus circulait sur les réseaux sociaux. Que COV soit la contraction de Co-rona Vi-rus D-isease ou de C-ertificate O-f V-accination, peu importe puisqu’en fin de compte les deux se rejoignent. Par ailleurs, les élites mondialistes occultistes se montrent souvent friandes de numérologie.




Le projet d’extinction «SCoPEx» pour bloquer le soleil en polluant la planète entière est détaillé dans la vidéo de la conférence «Oblivion Agenda»

[Source : cogiito.com]

TerraForming.News, le 19 octobre 2019, par Mike Adams

Traduction pour cogiito.com : PAJ

https://terraforming.news/2019-09-19-scopex-scheme-polluting-the-entire-planet-video.html

Après les vaccins, dont la nécessité est sévèrement discutée aujourd’hui et à raison, la Fondation Bill & Melinda Gates, les premiers organisateurs et pourvoyeurs de vaccins dans le monde à travers les prises de contrôle dans des sociétés parentes et autres satellites officiels et moins officiels, s’arrangeant pour rendre la vaccination obligatoire, Bill Gates investi désormais dans un nouveau projet tout aussi criminel que le précédent.

Cet homme qui perd complètement la tête a les moyens financiers de se lancer dans des projets aussi dangereux que néfastes pour l’humanité. L’homme qui vit hyper protégé dans sa tour d’ivoire ne voit justement plus rien, et il devient l’homme le plus dangereux de la planète pour la planète.

CELUI QUI SE FAIT PASSER POUR UN BIENFAITEUR DE L’HUMANITÉ PROUVE À NOUVEAU QU’IL EST LE PLUS GRAND MALFAITEUR DU XXIE SIÈCLE.

Si vous souhaitez connaitre la vérité, lisez cet article qui vous mettra, je le suppose, très en colère, comme il m’a profondément contrarié.

Nous vivons une époque formi…diable !

cogiito.com

LE PROJET SCoPeX

Avez-vous entendu parler du projet SCoPEx, une folle expérience scientifique financée par Bill Gates et gérée par des scientifiques de Harvard pour polluer la planète entière et bloquer les rayons du soleil ?

La justification d’un tel programme est de réduire le soi-disant « réchauffement de la planète », un canular scientifique conçu par des personnes comme Al Gore, qui détient des actions dans des entreprises de viande artificielle comme Beyond Meat. (Al Gore est actuellement le plus gros investisseur dans « Beyond Meat », « au-delà de la viande » une entreprise de fausse viande dont nous avons déjà signalé qu’elle vend des créations alimentaires « végétaliennes » à base de soja génétiquement modifié, de glutamate monosodique (MSG) et de divers autres ingrédients et produits chimiques néfastes pour la santé. Par coïncidence, Al Gore dit que manger de la viande aggravera le réchauffement climatique.)

MAIS L’IMPACT RÉEL DE SCOPEX SERA LE BLOCAGE DE LA PHOTOSYNTHÈSE DES PLANTES ET DU PHYTOPLANCTON, PROVOQUANT UN EFFONDREMENT DES CULTURES VIVRIÈRES, ENTRAÎNANT LA FAMINE MONDIALE, LA FAMINE ET LA MORT MASSIVE DES POPULATIONS.

C’est le véritable objectif du programme, bien sûr. Il s’agit d’un système d’arme « d’extinction de masse » financé par les mondialistes pour anéantir l’humanité en éliminant les réseaux alimentaires qui soutiennent la vie humaine. Ce n’est rien de moins que la militarisation de l’atmosphère pour commettre un génocide à l’échelle planétaire.

La résistance aux vaccins a obligé les mondialistes à passer au crible les « vecteurs de destruction massive »

CE PROJET EST EN COURS PARCE QUE LES MONDIALISTES ONT RENCONTRÉ UNE RÉSISTANCE EXCESSIVE AUX PROGRAMMES DE STÉRILISATION À TRAVERS LES VACCINS

Les vaccins conçus pour fonctionner comme un système de destruction à mort afin d’éliminer les populations humaines par l’infertilité. (Les vaccins approuvés par l’ONU ont été maintes fois découverts comme des produits chimiques d’infertilité tels que le HCG.) Cependant, les vaccins nécessitent le consentement de la personne concernée et trop de personnes (du point de vue mondialiste) s’émeuvent et refusent de se faire injecter des vaccins fabriqués comme des armes.

  • « Appelez cela l’Âge de la transparence, si vous voulez, mais les sombres secrets qui se cachaient derrière presque toutes les institutions autrefois dignes de confiance sont désormais dévoilés et connus de tous. La confiance du public dans la trahison du FBI, la corruption du CDC, les “fausses nouvelles” des médias grand public et la farce de la médecine conventionnelle ont déjà été sérieusement ébranlées. Dans la foulée, nous apprenons qu’un article scientifique publié a identifié et nommé le produit chimique de l’infertilité génocidaire qui a été secrètement ajouté aux vaccins approuvés par l’Organisation mondiale de la santé et administrés uniquement aux femmes noires en Afrique. » Le document, publié dans la revue en libre accès « Scientific Research », est intitulé « HCG Found in WHO Tetanus Vaccine in Kenya Raises Concern in the Developing World ». (Lien source) Auteur : John W. Oller, Christopher A. Shaw, Lucija Tomljenovic, Stephen K. Karanja, Wahome Ngare, Felicia M. Clement et Jamie Ryan Pillette, l’étude confirme non seulement qu’un produit dépeuplant a été délibérément ajouté aux vaccins administrés aux femmes africaines au Kenya, elle mentionne aussi le produit chimique utilisé. (Ci-dessous, j’explique comment le produit chimique « arme » contre l’utérus des femmes noires, transformant les corps des mères en armes biologiques contre leurs propres enfants à naître…)
  • « En 1993, l’OMS a annoncé un “vaccin contraceptif” pour la “planification familiale”. Des recherches publiées montrent qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient conjugué l’anatoxine tétanique (TT) avec la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) pour produire un vaccin “contraceptif”. La conjugaison du TT avec la hCG provoque l’attaque des hormones de grossesse par le système immunitaire. Les résultats attendus sont des avortements chez les femmes déjà enceintes et/ou l’infertilité chez les receveuses non encore fécondées. Les inoculations répétées prolongent l’infertilité. Actuellement, les chercheurs de l’OMS travaillent sur des vaccins anti-fertilité plus puissants utilisant l’ADN recombinant. Les publications de l’OMS montrent que l’objectif à long terme est de réduire la croissance démographique dans les “pays moins développés” instables. En novembre 1993, des publications catholiques disaient qu’un vaccin abortif était utilisé à titre prophylactique contre le tétanos. En novembre 2014, l’Église catholique a affirmé qu’un tel programme était en cours au Kenya. Trois laboratoires de biochimie indépendants accrédités à Nairobi ont testé des échantillons de flacons du vaccin antitétanique de l’OMS utilisé en mars 2014 et ont trouvé de la hCG là où il ne devait pas y en avoir. En octobre 2014, 6 flacons supplémentaires ont été obtenus par des médecins catholiques et testés dans 6 laboratoires accrédités. Là encore, on a trouvé de l’hCG dans la moitié des échantillons. Par la suite, le laboratoire AgriQ Quest de Nairobi, dans deux séries d’analyses, a de nouveau trouvé de l’hCG dans les mêmes flacons de vaccin qui avaient donné des résultats positifs plus tôt, mais n’a trouvé aucune hCG dans 52 échantillons que l’OMS a allégué être des flacons du vaccin utilisé dans la campagne au Kenya 40 avec les mêmes numéros de lot que ceux qui avaient donné des résultats positifs à la hCG. Étant donné que l’hCG a été trouvé dans au moins la moitié des échantillons de vaccins de l’OMS dont les médecins impliqués dans l’administration des vaccins savaient qu’ils avaient été utilisés au Kenya, notre opinion est que la campagne “anti-tétanos” du Kenya a été raisonnablement remise en question par la Kenya Catholic Doctors Association comme façade pour réduire la croissance démographique ».[1]

Pour en revenir à Bill Gates et à l’Université de Harvard, ils se sont donc tournés vers leur vecteur « hard kill », qui n’exige aucun consentement.

ILS POLLUERONT LE CIEL, BAISSERONT LE RAYONNEMENT DU SOLEIL ET RÉDUIRONT DE CE FAIT, L’APPROVISIONNEMENT ALIMENTAIRE MONDIAL… ET VOUS NE POUVEZ RIEN FAIRE POUR LES ARRÊTER.

Le programme n’a pas besoin d’être approuvé par le Congrès ou le président des États-Unis, car les avions de géoingénierie/chemtrails peuvent être lancés à partir de tout pays doté d’un aéroport. La pollution se répandra dans le monde entier, bloquant la lumière du soleil pour toutes les cultures vivrières sur tous les continents. 

Les panneaux solaires cesseront de fonctionner à plein rendement également

soulignant la folie du plan SCoPEx, car ils sont financés par les mêmes personnes qui exigent que nous investissions tous dans des panneaux solaires pour alimenter nos maisons et nos entreprises.

Cette pollution planifiée du ciel pourrait dévaster la vie sur Terre. Cela pourrait déclencher « … des évènements comme une famine massive, des inondations massives, une sécheresse qui toucheraient de très grandes populations », prévient Stephen Gardiner, auteur de A Perfect Moral Storm, dans une vidéo de CNBC qui vante désormais les avantages des chemtrails. (Regardez la vidéo sur ce lien YouTube, si vous le souhaitez.)

Nous menons cet effort pour avertir l’humanité que l’hystérie du « changement climatique » est mise à profit pour mener un « géogénocide » de l’humanité

Sur OblivionAgenda.com, je publie une série de conférences de 10 heures en plusieurs parties. Jusqu’à présent, trois parties ont été publiées. La troisième partie, qui vient d’être publiée aujourd’hui, révèle une discussion approfondie sur le projet SCoPEx et « l’injection d’aérosols stratosphériques » (SAI), qui sont tous deux des formes de chemtrails/géoingénierie. Tout cela fait partie de ce que j’appelle le « géogénocide », un effort planétaire visant à commettre un génocide contre la race humaine par le biais de la géoingénierie.

Regardez la conférence complète sur SCoPEX et SAI à ce lien sur OblivionAgenda.com.

https://www.brighteon.com/78b54ce5-bb15-4da4-b6c5-e59fba001331

Voici la vidéo complète, gracieusement offerte par Brighteon.com, l’alternative de la liberté de parole pour YouTube.

Voir les autres conférences vidéo à couper le souffle à OblivionAgenda.com. Publiez vos propres vidéos sur Brighteon.com, qui se trouvent à quelques semaines de la vague de puissantes nouvelles fonctionnalités telles que les abonnements aux chaînes et les likes de vidéos.




Robert F. Kennedy Jr dénonce les catastrophes sanitaires engendrées par les vaccins de Bill Gates

[Source : Médias-Presse.Info]

par Pierre-Alain Depauw

Voici la traduction d’une tribune rédigée par Robert F. Kennedy Jr., président de l’ONG Défense de la santé des enfants.

Agenda mondial des vaccins de Gates : un gagnant-gagnant pour l’industrie pharmaceutique et la vaccination obligatoire

Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses activités liées aux vaccins (y compris l’ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’identification vaccinale) et lui donne un contrôle dictatorial de la politique de santé mondiale.

L’obsession de Gates pour les vaccins semble être alimentée par la conviction de sauver le monde avec la technologie.

Promettant sa part de 450 millions de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à 50 doses de vaccins contre la polio par le biais de programmes de vaccination se chevauchant pour les enfants avant l’âge de cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’être à l’origine d’une épidémie dévastatrice de paralysie flasque aiguë non-polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000 enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de Gates et a demandé à Gates et à ses politiques de vaccination de quitter l’Inde. Les taux de NPAFP ont chuté brusquement.

Les épidémies [de polio] les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins.
En 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la polio est principalement une souche vaccinale. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins. En fait, en 2018, 70% des cas mondiaux de poliomyélite étaient des souches vaccinales.

En 2014, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par Glaxo Smith Kline (GSK) et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 ont souffert d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et de la fertilité. Sept sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées: faire pression sur les filles vulnérables durant le procès, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.

Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments»
En 2010, la Fondation Gates a financé un essai de phase 3 du vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant des effets indésirables graves, notamment des paralysies, des convulsions et des convulsions fébriles, à 1 048 des 5 949 enfants.

Pendant la campagne MenAfriVac de Gates en 2002 en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Des dizaines d’enfants vaccinés ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments». L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme «impitoyables et immorales».

En 2010, lorsque Gates a engagé 10 milliards de dollars pour l’OMS, il a déclaré: «Nous devons en faire la décennie des vaccins.» Un mois plus tard, Gates a déclaré dans un TED Talk que les nouveaux vaccins «pourraient réduire la population». Et, quatre ans plus tard, en 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes avec une campagne de vaccination contre le «tétanos». Des laboratoires indépendants ont trouvé une formule de stérilité dans chaque vaccin testé. Des accusations similaires sont venues de Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.

Une étude de 2017 (Morgenson et al. 2017) a montré que le vaccin DTP populaire de l’OMS tue plus d’enfants africains que les maladies qu’il prévient. Les filles vaccinées au DTC ont subi 10 fois le taux de mortalité des enfants qui n’avaient pas encore reçu le vaccin. L’OMS a refusé de rappeler le vaccin mortel, qu’elle impose à des dizaines de millions d’enfants africains chaque année.

Des défenseurs mondiaux de la santé publique dans le monde entier accusent Gates de détourner l’agenda de l’OMS des projets dont il est prouvé qu’ils freinent les maladies infectieuses: eau potable, hygiène, nutrition et développement économique. La Fondation Gates dépense seulement environ 650 millions de dollars sur son budget de 5 milliards de dollars dans ces domaines. Ils disent qu’il a détourné les ressources de l’agence pour servir sa philosophie personnelle selon laquelle une bonne santé ne vient que dans une seringue.

En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance une société pharmaceutique privée qui fabrique des vaccins et fait un don de 50 millions de dollars à 12 sociétés pharmaceutiques pour accélérer le développement d’un vaccin contre le coronavirus. Dans ses récentes apparitions dans les médias, Gates semble confiant que la crise de Covid-19 lui donnera maintenant l’occasion de forcer ses programmes de vaccins dictatoriaux sur tous les enfants américains – et les adultes.




Ce que nous dit Bill Gates en ce 30 avril 2020 concernant la vaccination mondiale

[Source : Conscience du peuple]

*Voici une publication envoyée à l’instant par Bill Gates, via ses « Gates Notes », à l’intérieur de laquelle il se targue lui-même d’être le plus grand bailleur de fonds au monde pour les vaccins. De suivre attentivement les recommandations et ambitions de Bill Gates nous donne, je crois, une réelle perspective des visées de cette crise de la COVID-19. Assurément, la vaccination à l’échelle planétaire est à l’agenda !

Je traduis certains passages qui m’apparaissent parmi les plus révélateurs à propos de « cette crise mondiale qui exige un effort de coopération mondial »…


« L’une des questions que l’on me pose le plus ces jours-ci est de savoir quand le monde pourra revenir à la situation en décembre avant la pandémie de coronavirus. Ma réponse est toujours la même : quand nous aurons un médicament presque parfait pour traiter la COVID-19, ou quand presque chaque personne sur la planète aura été vaccinée contre le coronavirus.

Il est peu probable que le premier [le médicament] se produise de si tôt. Nous aurions besoin d’un traitement miracle efficace à 95 % au moins pour arrêter l’épidémie. La plupart des candidats-médicaments en ce moment sont loin d’être aussi puissants. Ils pourraient sauver beaucoup de vies, mais ils ne sont pas suffisants pour nous ramener à la normale.

👉 Ce qui nous laisse avec un vaccin.

L’humanité n’a jamais eu une tâche plus urgente que de créer une large immunité contre les coronavirus. En réalité, si nous voulons revenir à la normale, nous devons développer un vaccin sûr et efficace. Nous devons fabriquer des milliards de doses, nous devons les distribuer dans toutes les parties du monde et nous devons faire en sorte que tout cela se produise le plus rapidement possible.

Notre fondation est le plus grand bailleur de fonds de vaccins au monde, et cet effort éclipse tout ce sur quoi nous avons travaillé auparavant. 👉 Cela va exiger un effort de coopération mondial comme le monde n’en a jamais vu. Mais je sais que ça va se faire. Il n’y a tout simplement pas d’alternative.

[Voici ce que vous devez savoir sur la course pour créer un vaccin contre la COVID-19.

Le monde crée ce vaccin sur une chronologie historiquement rapide.]

Ainsi, pour accélérer le processus, les développeurs de vaccins compressent la chronologie. Ce graphique [en anglais] montre comment :

[Cette déclaration résonne avec les efforts d’accélération de développement d’un vaccin aux USA, programme qui a été révélé avant-hier].

Heureusement, la compression de la chronologie d’essai n’est pas le seul moyen de prendre un processus qui prend généralement cinq ans et de le faire en 18 mois. Nous allons également le faire en testant de nombreuses approches différentes en même temps.

En date du 9 avril, il y avait 115 candidats vaccins différents contre la COVID-19 dans le pipeline de développement.

C’est pourquoi je suis particulièrement excité par deux nouvelles approches que certains candidats adoptent : les vaccins ARN et ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se concrétise, nous serons probablement en mesure de distribuer les vaccins au monde entier beaucoup plus rapidement. (Par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, juste avec un type de matériel génétique et une méthode d’administration différents).

👉 Notre fondation — à la fois par notre propre financement et par le CEPI — soutient le développement d’une plate-forme de vaccin à ARN depuis près d’une décennie. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre les maladies qui affectent les pauvres comme le paludisme, mais maintenant cela ressemble à l’une des options les plus prometteuses contre la COVID. Le premier candidat à commencer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

[Lien vers le candidat-vaccin de Moderna]
https://www.marketwatch.com/story/modernas-coronavirus-vaccine-candidate-advances-to-next-stage-of-testing-2020-04-27

Le vaccin contre la variole est le seul vaccin qui a effacé une maladie entière de la surface de la Terre, mais il a également été assez brutal à recevoir. 👉 Il a laissé une cicatrice sur le bras de quiconque l’a obtenu. Une personne sur trois a eu des effets secondaires suffisamment graves pour les empêcher de retourner à l’école ou au travail. Un petit nombre (mais non négligeable) a développé des réactions plus graves.

👉 Le vaccin contre la variole était loin d’être parfait, mais il a fait l’affaire. Le vaccin COVID-19 pourrait être similaire.

Si nous concevions le vaccin parfait, nous voudrions qu’il soit complètement sûr et efficace à 100 %. Ce doit être une dose unique qui vous offre une protection à vie, et il doit être facile à stocker et à transporter. 🚨 J’espère que le vaccin COVID-19 possède toutes ces qualités, mais étant donné le calendrier que nous suivons, il se peut que ce ne soit pas le cas.

👉 J’espère que le vaccin dont nous disposerons dans 18 mois est aussi proche de « parfait » que possible. Même si ce n’est pas le cas, nous continuerons à travailler pour l’améliorer. Après cela, je soupçonne que le vaccin COVID-19 fera partie du programme de vaccination systématique des nouveau-nés.

Cela coûtera des milliards de dollars. Les gouvernements doivent trouver rapidement un mécanisme pour rendre le financement disponible. Notre fondation travaille actuellement avec le CEPI, l’OMS et les gouvernements pour déterminer le financement.

Une partie de ces discussions porte sur qui recevra le vaccin et quand. La réalité est que tout le monde ne pourra pas recevoir le vaccin en même temps. Il faudra des mois, voire des années, pour créer 7 milliards de doses (ou peut-être 14 milliards, s’il s’agit d’un vaccin multidose), et nous devrions commencer à les distribuer dès que le premier lot sera prêt.
La plupart des gens conviennent que les agents de santé devraient recevoir le vaccin en premier. Mais qui l’obtient ensuite ? Les personnes plus âgées ? Enseignants ? Des travailleurs dans des emplois essentiels ?

C’est peut-être un peu difficile à voir en ce moment, mais il y a une lumière au bout du tunnel. Nous faisons les bonnes choses pour obtenir un vaccin le plus rapidement possible. En attendant, je vous exhorte à continuer de suivre les directives fixées par vos autorités locales. Notre capacité à surmonter cette épidémie dépendra de la contribution de chacun à la sécurité mutuelle. »




1968-2018 : la descente aux enfers !

[Source : Les moutons enragés]

1968-2018 : la descente aux enfers !

Auteur : Claude Janvier

La crise sociale des Gilets Jaunes permet d’analyser ce qui s’est réellement passé depuis un peu plus de 50 ans. Les quelques miettes de droits acquis sont de plus en plus enfouies sous une dictature policière mondialiste. 

Les manifestations des Gilets Jaunes réprimées violemment depuis le début, illustrent mes propos ci-dessus. Pour preuve : au moins 10 morts sur des sites occupés par les Gilets Jaunes, 12 yeux crevés, 3 mains arrachés. En tout, 2891 blessés.

Au-delà des exagérations journalistiques qui rabâchent sans cesse que les Gilets Jaunes sont violents, il n’en est rien. Les quelques casseurs infiltrés n’entrent pas dans ce débat, ainsi que les quelques débordements. Si les 200 000 manifestants dans les rues lors de l’acte IV avaient été vraiment violents, le coup d’état aurait déjà eu lieu et l’armée serait depuis sur le pied de guerre. C’est peut-être pour ça que Macron vient d’accorder une prime exceptionnelle aux généraux. Armée bien payée, sécurité renforcée et soulèvement annihilé .  *1

Castaner et quelques procureurs ont beau aboyer que la France est dans un climat insurrectionnel, il n’en est rien. Mais il faut bien justifier l’emploi des armes de guerre, des chars remplis de poudre incapacitante et des milices plus ou moins privées. Excellente excuse aussi pour dédouaner les violences policières de plus en plus nombreuses. Le permis de mutiler et de tuer est open.

Revenons à la descente aux enfers depuis 68. En fait, la dégringolade commence bien avant, au moment où les plans mondialistes ont été mis en place. Impossible dans un court billet de tout exposer, mais dans les grandes lignes, on peut élaborer une synthèse.

À l’ouest la main mise américaine en Europe commence en 1917. Coïncidence ou pas, la révolution bolchevique démarre la même année.

24 octobre 1945, création de l’ONU. Grande base de la mondialisation. L’ONU est là pour garantir la paix dans le monde. Vu le nombre de conflits depuis sa création, elle a échoué. Mais elle permet d’étendre et de dicter la loi des pays industrialisés vers le reste du monde.

Création de l’OMS 7 avril 1948. Sous couvert d’actions humanitaires, pas mal de scandales. Les vaccins en sont un exemple *2 et *3 (Roselyne Bachelot et le H1N1)

Parallèlement, l’AAP (Association Américaine de Psychiatrie, fondée en 1844), explose en budget et en expérimentation diabolique depuis 1945.

Extrait de Wikipédia :  » La lobotomie connaît son essor après la Seconde Guerre mondiale, notamment avec l’invention américaine de Walter Freeman : le pic à glace. On estime que quelque 100 000 patients furent lobotomisés dans le monde entre 1945 et 1954 dont la moitié aux États-Unis. Freeman parcourt les États-Unis dans les années 1950 dans un autocar équipé pour pratiquer des lobotomies « en série », enfonçant ce pic à glace dans le lobe orbitaire des patients après avoir soulevé la paupière (lobotomie trans-orbitale), moyennant parfois une anesthésie locale. Cette pratique, le plus souvent combinée à des électrochocs, a alors un grand succès (grand mouvement de « l’hygiène mentale ») et on estime que Freeman à lui seul lobotomisa quelque 2 500 patients (ou 4 000 patients selon l’article « Lobotomie »).

On cauchemarde. Comment peut-on faire confiance encore aujourd’hui à une pseudo-science qui continue à pratiquer des électrochocs ? Pardon, le terme est plus chic aujourd’hui : l’électrochoc est devenu sismothérapie. Une petite sismo ma chère ? Un électro chic ?

Et pourtant, la psychiatrie et la psychologie ont envahi notre quotidien. Pire que la gangrène. Si vous cherchez qui est responsable du déclin culturel de notre civilisation, vous avez une partie majeure de la réponse. D’œuvres d’art hideuses achetées à prix d’or par nos institutions en passant par le groupe « musical » invité par Macron le 21 juin dernier à l’Elysée conforteront cette déduction. *4 (Jamais entendu quelque chose d’aussi nul et de mauvais goût. Un spectacle dégradé, autorisé, et voulu par le maître des lieux)

Le ministère de l’Éducation nationale n’est pas en reste. Il est totalement anéanti par les Psychs. Pour preuve, le niveau catastrophique des élèves aujourd’hui. Le niveau d’éducation est complètement à la ramasse. Pas étonnant que bon nombre de jeunes soient paumés et incapables de travailler correctement.

En résumé, nous avons la main mise américaine et européenne sur le monde entier. La grande finance internationale (Rothschild, Rockefeller, Morgan Sachs, Georges Soros, Bill Gates), les géants de la chimie (Monsanto, Syngenta), les géants agro-alimentaires (Nestlé, Associated British Foods PLC, Coca-Cola, Danone, Général Mills), les laboratoires pharmaceutiques (Bayer, Hoechst), les ventes d’armes (Palmarès dans l’ordre : USA, Russie, France, Allemagne et Chine), les pétroliers (ExxonMobil, BP, Total), les services secrets et une immigration massive incontrôlée et déstabilisante. (Une immigration bien faite est nécessaire. Pas le pacte de Marrakech que Macron vient de signer *5)

Revenons aux évènements de 1968 :
Les prémices du mouvement de contestation ont effectivement eu lieu le 22 mars 1968, à l’issue d’une assemblée générale emmenée par Daniel Cohn-Bendit à la faculté de Nanterre. (Bien rangé et riche le lascar. Mais pas blanc-bleu).
Ces événements, enclenchés par une révolte de la jeunesse étudiante à Paris, puis gagnant le monde ouvrier  par le biais des syndicats sur une grande partie du territoire, constituent le deuxième plus important mouvement social de l’histoire de France du XXe siècle. (le plus important mouvement social étant celui de 1936)

À l’aube du 21eme siècle le mouvement social des Gilets Jaunes dépasse le mouvement de mai 68. Aura-t-il gain de cause ? Je l’espère.

Paradoxalement, la crise de mai-juin 1968 survient au terme d’une décennie de prospérité inégalée. Sur le plan économique, c’est l’apogée des « Trente Glorieuses », avec un taux de croissance stable de l’ordre de 5  %.

Chiffres de 1968 :
– nombreuses fermetures d’usines dans le textile, la mécanique, la métallurgie
– entre 470 000 et 500 000 demandeurs d’emploi
– cinq millions de personnes sous le seuil de pauvreté
– deux millions de personnes perçoivent des salaires de l’ordre de 400 ou 500 francs par mois.
– Bidonvilles à Nanterre

Chiffres de 2018 :
– Les bidonvilles n’existent plus, mais les SDFs s’entassent sous les ponts. 14,628 millions de personnes touchées par la crise du logement selon la fondation Abbé Pierre *6
– la plupart des usines importantes ont fermé et ou sont délocalisés.
– 3,718 millions de demandeurs d’emploi
– 8,8 millions de pauvres

Pourtant, 68 a débouché sur une augmentation de 35 % du SMIG à 600 francs par mois et de 10 % d’augmentation des salaires. (entre autres)

Cherchez l’erreur. Incompétence des gouvernements depuis 68 ? Incontestablement car la situation s’est considérablement dégradée.

Un vernis social bobo inventé depuis Mitterrand a donné l’impression que le SMICARD était plus heureux. Il n’en est rien.

Les bobos ont brouillé les pistes en changeant les appellations et en nous assommant de taxes indirectes. Ils ont donné l’impression de prendre en considération la France d’en bas. Ça fait plus chic d’appeler sa femme de ménage une technicienne de surface. L’éboueur a eu droit à son terme ronflant : un agent de propreté urbaine et caissière des supermarchés est devenu hôtesse de caisse … Tout ce cirque est à vomir, car la paye et les conditions de travail ont peu évolué. Nombreux CDDs et cadences infernales dans les grandes surfaces….

La loi de 1973, dite « loi Rothschild », du nom de la banque dont était issu l’ancien président de la République, Georges Pompidou, a bien enfoncé le clou. Depuis l’État, passe par le système des banques privées  pour financer son endettement et surtout il n’est plus maître de sa monnaie. Mais au fait Emmanuel Macron, est lui aussi, issu de la banque Rothschild… Voyez-vous le lien ?

Dégringolade masquée mais réelle depuis 68. La mondialisation voulue par une poignée de milliardaires sordides et criminels est de plus en plus omniprésente.

En 1995, l’OMC a vu le jour. Inconnue du grand public, l’Organisation Mondiale du Commerce a été créée dans le but d’étendre l’hégémonie économique des USA en Europe. [Note du Nouveau Monde : l’ancêtre de l’OMC était le GATT, créé en 1947 et entré en vigueur en 1948]. Le TAFTA (Traité Transatlantique) est toujours dans les tuyaux. Le CETA est déjà en vigueur et c’est un désastre, sauf pour les USA of course. *7

Les mondialistes ont avancé leurs pions soigneusement. La seule inconnue reste le facteur humain. Ils ne pouvaient pas prévoir que les gueux se réveilleraient. Le pion Macron va sauter ou alors la situation va se durcir encore plus. Nous avons déjà un état policier, avec tout juste le droit de s’exprimer. (pour combien de temps encore ?)

Bruxelles à la botte des USA est un rouleau compresseur. Aidé du Gladio de l’OTAN *8, de l’Eurogendfor *9, et des milices privées (Benalla and cie) , les heures les plus sombres de l’histoire risquent de nous envahir de nouveau. D’ailleurs, Edouard Philippe annonce un durcissement de la répression. *10

Face à cette dictature mondiale, un seul adage à appliquer pour nous et nos générations futures :
« Pire que les bruits de bottes, le silence des pantoufles ».

Claude Janvier

*1 http://www.fawkes-news.com/2019/01/le-gouvernement-octroie-une-prime.html

*2 https://www.alterinfo.net/L-OMS-avance-en-secret-pour-mener-a-bien-son-projet-de-vaccination-obligatoire-et-son-programme-demographique_a34965.html

*3 https://www.jp-petit.org/Presse/curseur/enquete_sur_OMS.htm

*4 https://www.youtube.com/watch?v=r8TxKhqY2vM

*5 https://fr.sputniknews.com/international/201812191039364411-pacte-marrakech-information-cachee/

*6 https://www.francebleu.fr/infos/societe/le-nombre-de-sdf-augmente-de-50-en-10-ans-denonce-la-fondation-abbe-pierre-1485854307

*7 https://www.huffingtonpost.fr/jose-bove/nationalisme-ceta-canada_a_21714673/

*8 http://www.alterinfo.net/Reseau-terroriste-de-l-OTAN-La-liaison-djihadistes-et-une-operation-Gladio-2-0-se-confirme_a109934.html

*9 https://lesobservateurs.ch/2014/11/21/arriva-eurogendfor-gestapo-al-soldo-dei-burocrati-di-bruxelles-prove-di-dittatura-ue/

*10 http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/gilets-jaunes-philippe-au-20h-de-tf1-pour-des-annonces-dordre-public-face-aux-violences/ar-BBRV9Xz?li=BBoJIji&ocid=hpdhp