Médias français : que devient l’objectivité ?

[Source : Observatoire du mensonge]

[NdNM : On peut facilement constater les mêmes travers pour les médias canadiens et états-uniens, au moins.]

La majorité des journalistes français ne sont plus là pour vous informer mais pour vous forcer à penser comme eux.

Médias français : que devient l’objectivité ?

Par Hervé Azoulay

« La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

Aldous Huxley

Les élections américaines ont donné un nouveau visage aux médias français et il n’est pas réjouissant. Après avoir oublié leur rôle d’observateurs impartiaux, après avoir passé leur temps à démolir Trump par tous les moyens, après avoir soigneusement dissimulé les scandales liés à Biden et à son fils, ignoré les fraudes électorales, voici les princes de la désinformation devant leurs responsabilités. Quelle sera la prochaine étape ? Alors les médias avez-vous oublié les bases du journalisme ? Est-ce l’idée que nous nous faisons des médias subventionnés par nos impôts ? Je ne suis pas un fan inconditionnel du Président Trump, mais il mérite d’être  défendu car il est accusé injustement et interdit d’information par tous les médias. Mais aussi dérangeantes que soient sa personnalité et son caractère, ce n’est pas une excuse légitime pour les journalistes de penser qu’ils ont un devoir civique de s’assurer qu’il n’obtienne pas un second mandat. Vous ne pouvez pas avoir un pays libre sans une presse libre, mais vous ne pouvez pas non plus avoir un pays libre sans une presse équitable surtout si elle prend parti et pense qu’elle a l’obligation de se débarrasser d’un président qu’elle n’aime pas. La majorité des journalistes français ne sont plus là pour vous informer mais pour vous forcer à penser comme eux. Heureusement qu’il existe encore quelques journalistes de talent pour relever la médiocrité de certains qui ont oublié les principes de l’objectivité.

Danger pour la démocratie

La nouvelle classe dominante mondiale, les GAFA (Google, Amazon, Facebook et Apple) et les groupes financiers associés, concentrent entre quelques mains des fortunes telles que la planète n’en avait jamais connues. Cela devient une barbarie technologique autoritaire plutôt qu’un âge d’or d’épanouissement de l’humanité grâce aux progrès des sciences et des techniques. Les GAFA disposent de plateformes numériques à très lourds investissements financiers et bien calibrées pour gérer des milliards d’individus. Ces entreprises deviennent des nœuds incontournables sur le contrôle et la maîtrise de l’information et font peser une menace sur les citoyens, leurs objectifs étant de servir leurs propres intérêts financiers ainsi que ceux de leurs amis sans penser un seul instant à l’intérêt collectif ! Il faudra très rapidement diluer leur pouvoir médiatique par des cessions d’activités. Quant aux médias, ils ne sont pas populaires ces derniers temps. Critiqués, bousculés, violentés, ils sont la cible des gilets jaunes, notamment. On leur reproche leur partialité, leur soumission aux pouvoirs politiques et économiques. Le doute s’est immiscé depuis longtemps et il est le fruit des nombreux mensonges et manipulations dont les citoyens ont été l’objet depuis la fin des années 80. Qu’on se rappelle le nuage de Tchernobyl opportunément stoppé à la frontière (1986) et déjà tous ceux qui critiquaient cette absurdité étaient des conspirationnistes pendant que les médias mentaient impunément.

À ces précédents malencontreux s’est ajoutée la suspicion causée par la concentration progressive des médias entre les mains de quelques-uns et par une proximité suspecte entre politiques et journalistes. Si les politiques cooptent les journalistes, c’est bien que ces derniers leur ont rendu service. Un soupçon de renvoi d’ascenseur qui ne sert pas l’image de la profession journalistique, avec pour résultat des hiérarchies bancales, destinées surtout à favoriser le fameux audimat. Ce qui a aussi multiplié les erreurs, liées au désir d’aller toujours plus vite, comme le faux décès de Martin Bouygues ou l’arrestation de Dupont de Ligonnès relayé par l’AFP, avant d’avoir vérifié l’information. Une suspicion grandissante s’installe à l’égard des médias et des journalistes et surtout un repli d’une partie de la population vers des sources alternatives d’information. Quand les citoyens ne croient plus l’information de leurs médias ni celle émanant d’organismes publics (Insee, Pôle emploi, pôle santé…), c’est le début du doute généralisé et potentiellement du chaos. Comment en sommes-nous arrivés à cette situation ? Il suffit de regarder la formation des journalistes pour se poser quelques questions. L’Étudiant de mai 2018 écrivait que le profil des étudiants de l’ESJ Lille, l’école de journalisme la plus cotée de France, est bien celle des premiers de la classe. La proximité apparente du monde politique et de l’élite journalistique est renforcée par le fait qu’ils sont issus des mêmes écoles. Deux tiers des reçus détiennent un M1 ou un M2 et 73 % ont obtenu la mention bien ou très bien au bac et viennent en majorité de Science-Po. Ils ont souvent lu les mêmes livres ou bâti leurs opinions sur les mêmes références. Quelle similitude avec l’ENA et on peut s’en inquiéter quand on sait les dégâts causés à la France par cette école qui excelle dans la langue de bois et la pensée unique !

Aides aux médias : Il est temps de remettre tout à plat

La Cour des comptes a estimé dans son rapport de février 2018, que le montant total des aides aux médias est de 1,8 milliards d’euros. Si l’on inclut dans les dépenses de soutien aux médias la contribution de l’État au budget de l’audiovisuel public, ainsi que la contribution à celui de l’Agence France Presse, c’est plus de 4 milliards supplémentaires qu’il convient de prendre en compte.

Au total, près de 6 milliards d’euros d’argent public sont donc investis chaque année dans les médias en France.

L’efficacité des aides n’est pas démontrée dans la mesure où elles ne sont pas accompagnées d’exigences particulières des pouvoirs publics à l’égard des bénéficiaires, ni d’un contrôle très poussé sur leur utilisation. Ce sont des aides opaques, injustes et inefficaces qui produisent par contre une forme de dépendance à l’égard des pouvoirs publics qui n’est pas souhaitable dans une démocratie. En plus elles alimentent les comptes de grands groupes industriels et de milliardaires qui sont devenus propriétaires de médias qui peuvent être soupçonnés de les utiliser dans un objectif d’optimisation fiscale.

Une véritable liberté de la presse s’impose par la suppression des subventions publiques (c’est le cas en Suisse et en Grande Bretagne) et par une indépendance totale en matière éditoriale et financière. Le secteur de la presse n’est en rien différent des autres secteurs économiques et il doit être soumis à l’exigence de rentabilité, seul indicateur qui permet de mesurer l’adéquation du service aux besoins et aux désirs des consommateurs de médias. Supprimer également l’abattement fiscal forfaitaire dont bénéficient les journalistes sur les salaires car il contribue à alimenter les doutes de l’opinion sur l’indépendance des journalistes à l’égard du pouvoir politique, ainsi que les missions de l’AFP sur l’actualité internationale dont l’objectivité est loin d’être démontrée. Et quand l’AFP se trompe (cela arrive souvent), une majorité de la presse nationale diffuse l’erreur.

C’est un mauvais signal pour la démocratie et il est grand temps que le professionnalisme journalistique devienne l’emblème de ce qui réconciliera les médias avec l’ensemble des Français.

Hervé AZOULAY

Hervé AZOULAY : Ingénieur du Conservatoire National des Arts et Métiers, a été dirigeant dans de grands groupes internationaux (dont INTEL et SCHNEIDER ELECTRIC),  co-fondateur de plusieurs entreprises innovantes, Business Angels, fondateur d’un des premiers réseau de Business Angels en France, Président d’un fonds d’investissement, Administrateur d’entreprises, Membre du Conseil de Surveillance, Président de sociétés et fondateur de plusieurs associations, intervenant dans de grandes écoles (dont Sciences Po et HEC),  à l’université en France et à l’étranger (dont à Genève et à l’université de Renmin en Chine), auteur de nombreux ouvrages (dont un en Chinois « Les réseaux pour conquérir le monde » Ed. du Peuple Pékin) et de nombreuses Tribunes dans la Presse. Il est actuellement Président de la société ATHES Finance et Participations

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Hervé AZOULAY pour Observatoire du MENSONGE




L’effondrement de l’empire américain

[Source : Le Saker Francophone]


Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

The Collapse of the American Empire - Is America a nation in ...
L’effondrement de l’empire américain

Paul Craig Roberts, qui était secrétaire adjoint au Trésor dans l’administration de Ronald Reagan, a annoncé que l’effondrement des États-Unis est inévitable. Pour étayer cette conclusion, il cite quelques Russes dont il respecte les opinions : Andrei Raevsky – alias The Saker – et Dmitry Orlov –  votre serviteur. Je suis flatté, bien sûr, mais je n’ai jamais prétendu que l’effondrement des États-Unis était évitable. « Tous les empires finissent par s’effondrer ; aucune exception ! » Je n’ai pas cessé de le répéter. Depuis que j’ai commencé à écrire sur ce sujet en 2006, je n’ai jamais hésité sur ce point.

À l’époque, j’avais écrit [en français, NdT] :

« L’effondrement des États-Unis semble aussi peu probable aujourd’hui que l’effondrement de l’Union soviétique ne l’était en 1985. L’expérience du premier effondrement peut être instructive pour ceux qui souhaitent survivre au second ».

L’effondrement des États-Unis vous semble-t-il beaucoup plus probable aujourd’hui qu’en 2006 ? Si oui, c’est un bon signe ; sinon, vous devriez manger plus de poisson. Il est riche en oméga-3, ce qui permettra à votre cerveau de mieux fonctionner.

Je ne ressens pas d’envie particulière de me joindre à Paul Craig Roberts et d’annoncer que les États-Unis viennent d’atteindre le point de non-retour car, à mon avis, ils ont dépassé ce point depuis longtemps. Je trouve également assez fâcheux que cette détermination dépende de l’opinion de quelques Russes ; les Américains devraient décider eux-mêmes quand leur empire se sera suffisamment effondré pour appeler son effondrement par son nom : un effondrement. De plus, je ne veux pas participer à l’effondrement de l’Amérique parce que cela contredit la politique russe informelle concernant la chose, qui est bien résumée dans la phrase lapidaire ВСЁ САМИ – « tout par eux-mêmes » : les Américains peuvent s’écrouler sans l’aide de personne, c’est pourquoi les Russes refusent de lever le petit doigt pour ça. Conformément à cette politique, mon objectif est d’informer sur l’effondrement, et non d’y participer.

Et conformément à mon objectif d’informer sur l’effondrement, je souhaite vous fournir les outils pour décider si, et dans quelle mesure, l’Empire américain s’est effondré. Mon approche traite l’Amérique comme un Empire, et suppose qu’elle repose sur les trois mêmes piliers que tous les autres empires depuis leur apparition il y a plusieurs milliers d’années. Ces trois piliers n’incluent pas des éléments secondaires tels que la richesse financière, la puissance économique, la puissance militaire, la supériorité technologique, une population importante ou de vastes possessions territoriales. Les trois piliers sont composés de constructions mentales essentielles. Sans ces constructions, un empire se froisse comme un costume bon marché. L’Empire américain a déjà possédé ces constructions mentales en abondance. Je veux vous donner les moyens de décider par vous-même s’il les a encore.

Beaucoup de gens fondent actuellement leur appréciation de l’ampleur de l’effondrement de l’Amérique sur trois choses :

1. Black Lives Matter et le chaos qui l’accompagne, avec de nombreuses villes américaines pillées et incendiées, une police rendue inefficace et un taux de criminalité qui explose, des gens qui ont peur d’exprimer des opinions contraires à celles que la gauche totalitaire considère comme appropriées par crainte de perdre leur carrière et leur emploi. [C’est le phénomène Cancel culture, NdT]

2. L’effondrement de l’économie américaine et avec elle du marché de l’emploi, avec environ la mise à l’écart de la moitié de la population valide en âge de travailler, des vagues d’expulsion de locataires, de saisie des biens des propriétaires/débiteurs et de faillites d’entreprises, en particulier dans le secteur des services, jusqu’alors largement surdimensionné et parasité. Environ la moitié des propriétaires – détenteurs de prêts hypothécaires – sont prêts à vendre parce qu’ils ne voient pas comment continuer à payer leurs traites.

3. L’effort totalement insensé de contenir le coronavirus en utilisant des demi-mesures inefficaces qui gênent ceux qui ont très peu de chances d’en mourir – la grande majorité – tout en faisant tout ce qui est possible pour infecter les personnes vulnérables, âgées et les malades, afin de collecter ensuite quelques milliers de dollars supplémentaires auprès des compagnies d’assurance médicale ou du Trésor américain tout en les tuant lentement à l’aide de machines de respiration pulmonaire artificielle.

Non pas que ce soit de bonnes nouvelles, mais ce sont les symptômes d’une maladie sous-jacente, et non ses causes, qui sont de nature beaucoup plus générale et systémique. Ces symptômes sont peut-être d’une gravité sans précédent, mais ils ne sont certainement pas sans précédent dans leur ensemble.

Examinons chacun d’entre eux :

1. Aux États-Unis, la vie des Noirs compte – tous les 20 à 30 ans environ, mais presque jamais le reste du temps, pendant lequel on considère qu’il est bien de laisser les Noirs s’entre-tuer, de les emprisonner en masse et de contribuer à leur déchéance en leur fournissant un logement et en distribuant de l’argent et de la nourriture à des familles noires sans père. La routine est maintenant si bien rôdée qu’elle peut être recyclée à l’infini ; ainsi, le Rodney King de 2001 a été réincarné en George Floyd de 2020. Et n’oublions pas l’émeute raciale de Chicago en 1919.

En tout cas, ce n’est pas nouveau et ceux qui pensent que cela conduira à une sorte de mouvement révolutionnaire seront certainement déçus. Les révolutions nécessitent des dirigeants et une vision, et les dirigeants de ce mouvement n’ont rien à offrir en dehors de tactiques de protestation, qui ont également été recyclées. De manière emblématique, le poing levé, symbole de ce mouvement, a fait surface dans presque toutes les révolutions de couleur lancées par les États-Unis dans le monde entier, et il ne s’agit donc que de retours de bâtons.

Dans la politique américaine, les Afro-Américains sont des pions politiques manipulés en permanence à des fins partisanes, notamment par le parti Démocrate. Ils sont des pions politiques depuis la guerre civile, qui était un conflit économique – une lutte pour arracher économiquement le Sud à l’Empire britannique – l’abolition de l’esclavage était une fable moralisante pour cacher la soif de sang des industriels du Nord. En tant que pion politique permanent, la société afro-américaine est maintenue au plus près du point d’ébullition, prête à se révolter au moindre faux pas. Cette condition fait que la société afro-américaine dégénère de plus en plus à chaque génération qui se succède.

Actuellement, les Démocrates sont les instigateurs et les complices des émeutes raciales et du chaos qui en découle, dans une tentative désespérée d’empêcher la victoire de Trump lors de sa réélection. Ce faisant, ils contribuent à détruire le pays de l’intérieur, alors que Trump fait un travail de destruction à l’échelle internationale. Il s’agit d’une manifestation de la séparation des préoccupations au sein du duopole Républicain-Démocrate, ce qui n’est pas nouveau non plus : il est de tradition que les républicains s’occupent de la politique étrangère tandis que les démocrates se concentrent sur la politique intérieure.

Le fort penchant pour l’autodestruction est peut-être un peu nouveau, mais ce n’est pas la seule sphère dans laquelle l’Amérique s’autodétruit actuellement. C’est probablement un symptôme de la sénescence générale de son élite dirigeante. Beaucoup de ses membres dirigeants, y compris les deux candidats à la présidence – Trump et Biden – ainsi que beaucoup d’autres, ont largement dépassé l’âge de la retraite et, très probablement, sont trop séniles pour donner un sens à un monde en mutation rapide. Ils ne sont encore capables que de deux choses : s’accrocher au pouvoir et s’enrichir aux frais de l’État.

Quoi qu’il en soit, des émeutes raciales et d’autres manifestations politiques ont déjà eu lieu auparavant et l’empire américain a continué malgré tout.

2. L’économie américaine s’effondre en effet, et ce depuis plusieurs générations. À un moment donné, probablement vers 1970, lorsque la production américaine de pétrole conventionnel a atteint son maximum, il a été décidé qu’il devrait être possible de permettre aux Américains de vivre perpétuellement au-dessus de leurs moyens en s’endettant de plus en plus tout en accusant des déficits commerciaux toujours plus importants avec le reste du monde.

Bien entendu, cette technique, appelée conventionnellement « pousser le bouchon toujours un peu plus loin », est vouée à l’échec. Chaque fois que l’on pousse le proverbial bouchon un peu plus loin, le gouffre s’approfondit – il s’élève aujourd’hui à plus de 28 000 milliards de dollars pour la seule dette souveraine des États-Unis. Et puis on atteint une petite colline et le bouchon vous revient dessus et vous réduit en miettes. Il semble que cette colline a été rencontrée en 2019 – bien avant que le coronavirus ne commence à faire la une des journaux.

À l’heure actuelle, des millions d’Américains ont perdu leurs moyens de subsistance et succomberont en temps voulu à la malnutrition, à des problèmes médicaux non traités, à l’abus d’alcool et de drogues et, principale cause de mortalité, au désespoir. Cela se produit déjà de plus en plus.

Mais même un tel événement ne suffirait pas à mettre définitivement fin à l’empire américain. Après tout, suffisamment de personnes sont mortes pendant la Grande Dépression pour que celle-ci soit qualifiée d’acte de génocide – puisqu’elle était tout à fait évitable. Le fait fondamental à garder à l’esprit est que les États-Unis ne sont pas un État social et qu’ils ne se consacrent pas au bien-être de leur population. Pour parler franchement, aux États-Unis, la plupart des gens ne comptent pas – ils sont une ressource à utiliser pour faire des profits et amasser des richesses pour le petit nombre qui compte – ceux qui possèdent la ressource. C’est moins un pays qu’un country club ; et si vous n’en êtes pas membre, votre bien-être n’a aucune importance. Vous pouvez mourir en masse et être remplacé plus tard par l’immigration. Où sont les descendants des « coolies » chinois qui ont construit le chemin de fer transcontinental ? Rien ne prouve qu’un grand nombre d’entre eux soient jamais rentrés en Chine. Il est fort probable qu’on leur a simplement donné assez d’opium pour qu’ils se suicident tranquillement.

Ainsi, même un profond échec économique ne signifiera pas nécessairement la fin de l’Empire américain – car ce n’a pas été le cas jusqu’à présent. Les États-Unis peuvent simplement se défaire d’une grande partie de leur population, en la remplaçant au besoin par des migrants en meilleure santé, moins gâtés, mieux éduqués et plus disciplinés et recommencer à zéro, car il y aura encore des profits privés à réaliser jusqu’à ce que le tout dernier arbre, rocher ou tas de gravats soit vendu au plus offrant.

3. La panique face aux coronavirus a été des plus commodes. Elle a été utilisée comme excuse pour les nombreux échecs de ceux qui échouent et comme couverture pour divers types d’activités défensives utiles pour ceux qui n’échouent pas. La Chine et la Russie l’ont utilisée comme prétexte pour mettre au point leurs systèmes de soins de santé et de défense civile afin de contrecarrer toute future attaque bioterroriste américaine. Les Européens, avec leurs résultats lamentables et embarrassants, l’ont utilisée pour démontrer l’état de délabrement de leurs systèmes de soins de santé – à une exception notable : l’Allemagne – ainsi que leur désunion interne en ne se prêtant pas mutuellement assistance. D’un autre côté, ils ont pu utiliser le coronavirus pour arrêter la migration incontrôlée. Et les Américains ont utilisé le coronavirus comme excuse pour couvrir leur échec économique, qui a précédé la peur du virus et l’arrêt économique qui s’en est suivi.

Aujourd’hui, certains membres de l’élite américaine tentent d’utiliser la peur du coronavirus à des fins partisanes afin de détrôner Trump. Selon les statistiques publiées, le coronavirus a tendance à être beaucoup plus infectieux et beaucoup plus mortel dans les États contrôlés par les Démocrates que dans ceux contrôlés par les Républicains – un signe clair que les statistiques sont fausses, puisque les virus ne sont que des brins d’ARN enfermés dans une membrane protéique et, en tant que tels, n’ont pas d’affiliation politique. S’ils semblent être politiquement affiliés, cela indique qu’ils sont utilisés à des fins de propagande.

Outre l’affiliation politique, un autre excellent prédicateur du taux de mortalité des coronavirus est la prévalence des maisons de retraite. Les personnes âgées meurent toujours de quelque chose, et le coronavirus se trouve être l’agent mortel du jour, tandis que les maisons de retraite offrent un environnement propice à la propagation du virus, étant remplies de personnes dont le système immunitaire est affaibli et qui sont proches de la mort pour d’autres raisons.

Malgré la surchauffe de la presse et toutes les tactiques d’intimidation déployées par les épidémiologistes pour gagner leur vie, le coronavirus ne rend pas les gens malades, ni ne les élimine en masse, sans parler de tuer suffisamment d’enfants ou de personnes saines en âge de travailler pour qu’il ait une importance économique. Il est donc farfelu de penser qu’un problème médical aussi mineur suffirait à renverser un empire puissant.

Donc, cessons de considérer des problèmes aussi insignifiants que les émeutes raciales, les dépressions économiques et les virus respiratoires inhabituellement dangereux comme les causes profondes de l’effondrement de l’Empire Américain. Considérons plutôt que cet empire, comme n’importe quel autre, repose sur trois piliers : la culture, l’idéologie et l’histoire. Si l’un d’entre eux est absent, l’effondrement de l’empire devient probable. Éliminez les trois, et son effondrement est assuré. Vers les années 1970, ces trois piliers étaient au sommet de leur forme ; aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Voici à quoi ressemble chacun de ces trois piliers dans le contexte de l’Amérique d’aujourd’hui.

Culture

La culture aux États-Unis n’a jamais atteint le même niveau que, disons, Tolstoï ou Dostoïevski, mais c’était en fait un atout majeur. Comprendre Tolstoï ou Dostoïevski demande une éducation et un sens inné des valeurs morales, ce qui les rend difficiles à vendre à un public ignorant, distrait et immature. Le grand art, dans la mesure où il existe aux États-Unis, est une importation de luxe. Le public des concerts de musique classique est généralement composé de médecins, d’avocats, de dentistes et d’étudiants dans cette discipline, qui étudient pour se produire devant des médecins, des avocats et des dentistes.

Les Américains ont renoncé à tout cet apprentissage fantaisiste et ont créé une culture de super-héros vêtus de lycra qui, inévitablement, sauvent le monde d’un désastre certain. Ils ont montré au monde des machos comme Arnold Schwarzenegger, Bruce Willis et Sylvester Stallone et des salopes sexy délurées comme Julia Roberts et bien d’autres.

Pendant un certain temps, les Américains ont réussi à dominer le monde dans le domaine de la musique populaire. Ils y sont parvenus en créant le genre de musique qui permettait aux libidineux pathologiques et aux immatures de donner libre cours à leurs pulsions de base. Et ils ont créé une mode qui se dispensait de toutes les subtilités de la distinction sociale et réduisait toutes les apparences à des t-shirts, des blue-jeans et des casquettes de base-ball, le tout éclaboussé de logos à la mode, transformant malgré eux les gens en hommes-sandwichs qui paient pour faire la pub de ceux qui s’enrichissent sur leur dos – au sens propre !

Pendant un temps, la planète entière a tout gobé, surtout les jeunes. Les subtilités de la tradition culturelle locale ont été remplacées par un sabir mondial générique axé sur le plus petit dénominateur commun – une jeunesse ignorante et facilement titillée. Un argent fantastique a été gagné simplement en faisant des copies d’enregistrements, ou en cousant des étiquettes de créateurs sur des vêtements basiques assemblés dans un enfer du tiers monde.

Ariel de Disney

Et puis les Américains sont passés à la vitesse supérieure et ont tout détruit. Le Terminator est une pseudo-femme multi-genre avec une personnalité schizophrénique, et Ariel de Disney est une transgenre trop bronzée. Le capitaine Jack Sparrow a été viré de la série Pirates des Caraïbes à la suite d’une longue et pénible bataille juridique avec son ancienne femme – le comble pour un capitaine de pirates. Les Américains ont décrété que le rap – produit d’une culture de ghetto complètement dégénérée – est vraiment une musique réelle plutôt que ce qu’elle est fondamentalement, c’est-à-dire un bruit obscène, grossier, violent, raciste et misogyne.

Les peuples d’Eurasie, d’Afrique et d’Amérique, du Nord et du Sud, ont maintenant pris conscience du fait que tous ces excréments culturels américains ne sont tout simplement pas normaux, quelle que soit la norme humaine prise comme étalon. Il s’agit d’un produit défectueux que les entreprises culturelles américaines vomissent dans le cadre d’un effort motivé par le profit pour gagner de l’argent tout en corrompant l’esprit des jeunes, à commencer par la population des États-Unis elle-même, qui est son public captif. En regardant ces résultats, le monde voit les Américains tels qu’ils sont en réalité – éternellement infantiles, décadents, sexuellement paumés, vulgaires et aux mœurs dissolues – et il frissonne de dégoût.

Pire encore, les Américains restent dans l’ensemble totalement aveugles à ce regard extérieur, et imperméables au ridicule perçu par presque tout le reste de la planète. L’ambassadeur des États-Unis à Moscou a récemment accroché le drapeau arc-en-ciel LGBT à côté du drapeau américain, ce qui a provoqué une surprise amusée chez les Moscovites : « Pourquoi l’ambassade LGBT hisse-t-elle un drapeau américain ? »

Un empire dont la culture – qui était l’une de ses principales exportations mais qui est devenue un ridicule objet de dérision presque universelle – peut-il durer beaucoup plus longtemps ?

L’idéologie

Pour comprendre la nature de l’idéologie américaine, il est nécessaire de retracer l’histoire du christianisme occidental. À Rome, le christianisme s’est d’abord répandu comme la religion des plébéiens et des esclaves, dont certains ont été martyrisés pour leur foi, mais ont trouvé des adhérents parmi les épouses des patriciens. Sa popularité a fini par croître au point qu’il a supplanté les anciens cultes païens et est devenu la religion d’État de l’Empire romain. L’Empire a ensuite organisé un exode de l’ancienne Rome – dans la langue de l’Apocalypse, la Prostituée de Babylone qui s’asseyait sur sept collines – vers la Nouvelle Rome – alias Constantinople et maintenant Istanbul – où il a continué pendant un autre millier d’années sous le nom d’Empire romain d’Orient, alias Byzance. Pendant ce temps, l’ancienne Rome a été largement abandonnée et a perdu la plupart de sa population. Ses égouts ne fonctionnaient plus, mais les aqueducs continuaient de fonctionner, ce qui en faisait un marécage impaludé.

Et puis ce marécage fut hanté par un minuscule État-nation sectaire dirigé par des moines – dont beaucoup étaient homosexuels et pédophiles – qui ont eu le culot de revendiquer la suprématie spirituelle sur le monde entier. Contrairement au christianisme originel, qui était basé sur un modèle communautaire, le culte papal était une corporation qui prélevait et collectait des impôts – à un taux fixe de 10%, appelé dîme – et contrôlait une grande partie de l’économie. Son chef était doté d’une infaillibilité semblable à celle de Dieu, en fait, il était déifié comme les empereurs romains de l’ère des dieux païens. Le Vatican a été érigé en siège de Dieu sur la planète Terre. Toutes les commandes passées au Ciel par les individus, afin de leur éviter les feux de l’enfer, devaient être acheminées par le siège social pour approbation. Le billet d’entrée au paradis s’appelait une indulgence. Ce faisant, l’appel au communalisme qui est partout dans l’enseignement du Christ a été fortement atténué.

Finalement, certaines personnes en ont eu assez de ces bêtises et se sont rebellées. Le mouvement rebelle s’est appelé protestantisme, et il a engendré de nombreuses sectes. À quelques exceptions près – certaines sectes anabaptistes – au lieu de s’orienter vers le christianisme communaliste originel, les protestants s’en sont éloignés encore plus en s’orientant vers l’individualisme : plutôt que d’être une affaire à régler par la médiation de l’Église, le salut est devenu une affaire strictement personnelle entre un individu et son sauveur – qui, pour autant que l’on sache, pourrait être un démon déguisé. Cela allait directement à l’encontre des premiers enseignements chrétiens : « Ce n’est pas toi qui m’as choisi, mais moi qui t’ai choisi… », a dit Jésus. (Jean 15:16) La position qui place Dieu à l’intérieur de sa précieuse personne est absurdement solipsiste et choisir son « sauveur personnel » est comme choisir son éruption volcanique, son ouragan ou son astéroïde.

Mais les protestants sont allés encore plus loin. Si le salut était une affaire strictement personnelle, alors la grâce de Dieu l’était aussi, et la façon la plus objective d’évaluer si l’on était doté de la grâce de Dieu était de regarder sa valeur nette : les bienheureux étaient évidemment les riches, et plus on était riche, plus on était béni. Très vite, il s’est agi de réaliser l’œuvre de Dieu pour amasser des richesses en les retirant à tous ceux qui, en fonction de leur valeur nette, n’étaient pas aussi favorisés par le Tout-Puissant. Ajoutez un peu de racisme, les races les plus sombres n’étaient clairement pas aussi bénies que les blancs, et vous arrivez à un élément essentiel de l’idéologie impérialiste occidentale. Soit dit en passant, selon cette idéologie, il n’y avait rien de mal à un peu de génocide. Les Américains ont donc perpétré un génocide contre les Indiens d’Amérique, les Britanniques contre à peu près tout le monde, et les Allemands – derniers arrivés dans l’impérialisme occidental – contre les Juifs et les Tziganes, non pas comme une sorte d’aberration criminelle, mais comme une grande et honorable quête.

La dernière étape consistait à retirer Dieu de l’équation. Or, la bonté d’un homme n’était déterminée que par un seul critère : les sommes d’argent en sa possession. La richesse pouvait être amassée par le crime, mais à condition que le criminel n’ait jamais été condamné pour ce crime, sa richesse, en soi, était une preuve non équivoque de sa bonté.

Entrez dans le rêve américain : voici un continent entier à exploiter, et n’importe qui – mais blanc – de n’importe quelle partie du monde pourrait venir en Amérique et « faire le job » – c’est-à-dire amasser des richesses fabuleuses. Cela ferait de lui une bonne personne. Les autres, dont la tentative de réaliser ce rêve devait échouer, mourraient dans la rue, mais cela n’aurait pas d’importance car, dans une logique un peu circulaire, étant fauchés, ils n’étaient pas bons du tout. L’idée que les membres des races sombres – et de certains autres groupes, comme les Irlandais – étaient plus pauvres et donc moins bien lotis, a été conservée, ce qui fait qu’il est bon et approprié de les exploiter pour son enrichissement personnel.

La simplicité de ce système et les possibilités qu’il offrait ont attiré des scélérats de toute l’Europe et d’ailleurs vers le pays des opportunités. De nombreuses vies ont été perdues et de nombreuses grandes fortunes ont été faites. Mais lorsque les années 1970 sont arrivées, les opportunités pour les nouveaux arrivants ont commencé à s’amenuiser et l’idée que le travail acharné et un peu de chance étaient ce qu’il fallait pour « réussir » en Amérique a été remplacée par quelque chose d’entièrement différent : le fait de naître dans la bonne famille avec la bonne quantité de richesses et les bonnes relations politiques est devenu un facteur exagérément déterminant de succès.

Comme il était devenu plus difficile de s’enrichir en travaillant dur, il est devenu plus facile de s’enrichir en poursuivant son employeur pour harcèlement sexuel ou discrimination. Au lieu de travailler dur, il est devenu plus facile de tomber dans une fosse sur un chantier de construction et de vivre ensuite des prestations d’invalidité. Vivre des allocations du gouvernement est devenu une bien meilleure option que d’essayer d’obtenir une somme d’argent équivalente en travaillant pour lui. Et pour les personnes encore employées, de moins en moins nombreuses, la recherche d’un emploi s’est transformée en une course à l’échalote toujours plus stressante, humiliante et précaire, pour un job qui pouvait prendre fin à tout moment. Le rêve américain est ainsi devenu un cauchemar.

Histoire

Dans toute culture, la création et les mythes fondateurs sont universels – chaque petit groupe et tribu en possède. Peu importe que vous pensiez que votre peuple a été arraché à un coquillage par un corbeau – comme le croient les tribus indiennes du Nord-Ouest américain – ou que vous croyiez que vous descendez de l’âme désincarnée d’un extraterrestre qui existait il y a 75 millions d’années – comme le pensent les croyants de la Dianétique de Ron Hubbard. Nos cerveaux fonctionnent de manières mystérieuses, et l’une d’entre elles est telle que si vous n’avez pas de mythe fondateur, vous ne savez pas qui vous êtes ni comment vous devez penser, ressentir et agir.

Il est également assez typique pour les humains de développer et de raconter des histoires épiques sur leurs grands ancêtres : des histoires de héros courageux qui ont lutté contre des monstres et des démons – et qui ont gagné. Ces histoires, lorsqu’elles sont racontées aux jeunes, les rendent fiers d’être qui ils sont et désireux de prouver leur valeur. Toutes ces histoires prodigieuses n’ont pas forcément une fin heureuse : certaines peuvent évoquer des échecs et des défaites épiques et être consignées dans des ballades et des lamentations tristes, mais elles n’en sont pas moins édifiantes parce qu’il y a de la dignité dans la souffrance, surtout si cette souffrance a une cause valable et qu’elle comporte un élément de martyre.

On pourrait s’attendre à ce qu’il soit un peu difficile d’extraire une série d’histoires heureuses et édifiantes de quelque chose qui est apparu au cours du processus consistant à interpréter malencontreusement les Saintes Écritures en remplaçant le communalisme par l’individualisme, puis en remplaçant Dieu par Mammon, et enfin en remplaçant tout cela par un simple lucre dégoûtant, tout en massacrant, asservissant, violant et pillant, d’abord en Amérique du Nord et ensuite dans le reste de la planète. Et pourtant, c’est ce qui a été fait !

La solution a été de concocter une histoire presque entièrement fausse. Dans tous les cas, un faux récit de bien-être a été substitué à ce qui s’est réellement passé dans le but de cacher ou de déguiser les véritables impératifs et motifs et de les remplacer par des fables moralisatrices synthétiques.

Ainsi, un important mythe fondateur est celui des Pèlerins – alias les Puritains – qui ont débarqué sur le Mayflower à Plymouth, Massachusetts, qui ont célébré Thanksgiving avec les Indiens locaux, et qui ont ensuite fondé la colonie de la baie du Massachusetts en 1630. Sauf qu’ils n’étaient pas des pèlerins, mais des colons – membres d’un étrange culte sectaire – et que les Indiens locaux, qui parlaient assez bien anglais et commerçaient beaucoup avec eux, auxquels ils vendaient une herbe sauvage locale que l’on pensait efficace contre la syphilis, qui ravageait l’Angleterre à l’époque – ne voulaient rien avoir à faire avec les puritains. Ces derniers, incapables de chasser, de cultiver ou de pêcher, et désespérés par la faim, ont pillé les potagers des Indiens. Cela ne les a pas aidé à se faire aimer des habitants de la région. Ils disaient des bêtises bizarres sur Dieu et, de plus, sentaient mauvais – pas le genre de personne qu’on invite à une fête de la récolte. De plus, étant membres d’une secte extrémiste, ils ne fêtaient même pas Noël, et donc ils ne seraient pas venus s’ils avaient été invités. Mais ils n’auraient pas pu être invités à une fête de Thanksgiving en tout cas, car la fête de Thanksgiving a été créée par Abraham Lincoln bien plus de deux siècles plus tard. Elle a ensuite été reconvertie pour vendre des dindes congelées, avec de faux pèlerins ajoutés comme gadget publicitaire.

Un autre jour férié important aux États-Unis, le 4 juillet, annoncé comme la fête de l’indépendance, est le résultat d’une révolte fiscale, où de riches colons ont refusé de payer des impôts au trésor impérial britannique alors que le commerce entre la Grande-Bretagne et les colonies se poursuivait. Cette séparation superficielle a eu d’autres avantages au fil du temps : elle a permis aux États-Unis de perpétuer la traite des esclaves au-delà de la loi sur la traite de 1807 et de la loi sur l’abolition de l’esclavage en 1833 ; elle a également permis aux États-Unis de tirer profit du commissionnement de corsaires servant essentiellement comme une colonie de pirates. Mais à bien des égards, les États-Unis et l’Empire britannique sont restés unifiés, et c’est ce qui a permis à l’Empire américain de prendre le relais de l’Empire britannique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Tout cela fait que l’expression « Independence Day » – jour de l’indépendance – n’est pas appropriée.

Par ailleurs, la guerre américano-mexicaine de 1846-1848 (connue sous le nom d’Intervención Estadounidense au Mexique) a été un cas flagrant d’agression territoriale, à la suite de laquelle les États-Unis ont saisi et annexé une grande partie du territoire mexicain. La plupart des souvenirs de cet événement honteux ont été effacés par la suite, et tout ce qui a été conservé est le symbole héroïque de Fort Alamo qui reste un piège à touristes très populaire jusqu’à ce jour.

La plat de résistance pour falsifier et blanchir l’histoire américaine reste la guerre de Sécession. Chaque année, les États-Unis produisent une nouvelle récolte de diplômés qui croient sincèrement qu’il s’agissait de libérer les esclaves alors qu’en fait, ce sont les industriels du Nord qui ont fourni les armes et qui ont voulu réorienter le flux de marchandises exportées depuis le Sud, en particulier le coton, de la Grande-Bretagne vers l’Amérique du Nord en détruisant la petite classe de propriétaires de plantations du Sud qui étaient de solides alliés de la Grande-Bretagne. La libération des esclaves était un spectacle secondaire destiné à donner à cette pure guerre d’agression un vernis moralisateur. Les esclaves n’ont pas vraiment été libérés de toute façon : il y avait la ségrégation, le redlining, les politiques sociales destinées à miner les familles noires, et à ce jour l’esclavage noir est très en vogue dans les prisons privées américaines. Les lois américaines contre le métissage ont été copiées avec empressement par les nazis allemands et utilisées contre les Juifs. Si l’on considère tout cela, la suggestion selon laquelle les blancs du Nord ont sacrifié leur vie pour libérer les esclaves alors que les blancs du Sud – dont la grande majorité n’avait aucun lien avec l’esclavage – ont sacrifié leur vie pour maintenir les noirs en esclavage est tout simplement risible. Et pourtant, c’est ce que les écoliers américains sont obligés de croire.

Certains événements historiques n’ont pas pu être blanchis et sont donc soigneusement oubliés. Par exemple, la guerre de 1812, au cours de laquelle des troupes noires défilant sous le drapeau britannique ont occupé Washington et incendié la Maison Blanche, n’offre pas le bon type de symbolisme et est donc passée sous silence. De même, un examen minutieux des relations des États-Unis avec les indiens autochtones d’Amérique du Nord présente une histoire de génocide qui est, strictement si on s’en tient aux chiffres, le pire génocide jamais perpétré dans l’histoire de l’humanité. Il est donc considéré comme impoli de le mentionner ne serait-ce qu’une fois.

En dehors de la guerre civile américaine, le plus grand crime contre la vérité historique a été commis par les Américains en ce qui concerne la Seconde Guerre mondiale. Pendant la plus grande partie du conflit, 80 % des troupes allemandes ont été déployées sur le front de l’Est, tandis que sur le front de l’Ouest, les nations se sont rendues sans grand combat, puis ont travaillé dur pour contribuer à l’effort de guerre nazi contre l’URSS. Alors que les Américains et les Britanniques étaient formellement alliés à l’URSS contre l’Allemagne, ils souhaitaient ardemment que le Troisième Reich défasse, occupe et démembre l’URSS. Et bien que l’on fasse grand cas du Lend Lease, en vertu duquel les États-Unis fournissaient du matériel de guerre à l’URSS, ces fournitures étaient payées d’avance en or, dans l’attente d’une défaite soviétique rapide, mais ont été pour la plupart livrées après que la défaite de l’Allemagne a été assurée, et n’a pas représenté plus de 12 % du matériel de guerre total fourni à l’Armée rouge ; par conséquent, cela ne pouvait pas être décisif.

En dépit de l’abondante documentation d’archive de ces faits historiques, les Américains continuent de raconter que ce sont eux qui ont gagné la guerre. Le récent discours de Donald Trump lors de la cérémonie de remise des diplômes de West Point, au cours duquel il s’est payé de mots face aux diplômés qui « ont conduit l’Amérique à la victoire sur les sinistres nazis et fascistes impériaux il y a 75 ans » en est un exemple. Il n’a pas mentionné le fait que la guerre avait été gagnée par l’Armée rouge et que les États-Unis avaient joué un rôle secondaire, ne se joignant au conflit que pour s’approprier une partie du butin et seulement après que la défaite de l’Allemagne nazie ait été assurée. Et dès que le projet de destruction de l’URSS par l’Allemagne nazie se fut soldé par un échec, l’alliance a été oubliée et on est passé à la guerre froide et à un effort total pour tenter de détruire l’URSS par une première frappe nucléaire – qui s’est également soldée par un échec.

L’affirmation erronée selon laquelle ce sont les États-Unis qui ont vaincu Hitler est un grave affront à la mémoire historique des Russes pour l’immense sacrifice qu’eux et les autres peuples soviétiques ont fait pour assurer cette victoire. C’est bien plus qu’un exemple de mauvais goût ; c’est un cas de vol de mémoire, et c’est maintenant illégal selon la loi russe. L’un des amendements à la constitution russe, adopté avec un soutien public écrasant le 1er juillet 2020, est le suivant « 67.3 La Fédération de Russie honore la mémoire des défenseurs de la Patrie et protège la vérité historique. Il n’est pas permis de diminuer l’importance de l’exploit du peuple dans la défense de la Patrie ». Ce que Trump a dit à West Point fera automatiquement de lui un criminel en Russie ; tant pis pour son plan secret de demander l’asile politique là-bas une fois que la situation à Washington sera devenue incontrôlable.

Une véritable histoire qui reflète avec précision à la fois les victoires et les défaites, à la fois les actes d’héroïsme et les atrocités, et qui se souvient des grands dirigeants autant que des despotes, des traîtres et des méchants, est indestructible, et un peuple qui est capable d’accepter tout ce qu’il a été, en acceptant le bien et le mal, est inébranlable dans son identité. Le problème d’une histoire construite sur des mensonges est que les mensonges constituent une base très fragile.

Les statues publiques sont en train d’être renversées aux États-Unis en ce moment même. Washington, Jefferson, Lincoln et bien d’autres encore moins connus sont descendus de leur piédestal. Tandis qu’ils se tenaient encore debout, ils ont servi de prétexte à des narratifs prétendûment historiques que l’on disait héroïques et vertueux. Mais que pensez-vous qu’il en ressortira une fois le voile déchiré ?

L’histoire apprend aux gens qui ils sont. Mais qu’est-ce qu’une histoire pleine de mensonges raconte aux gens, si ce n’est qu’on leur a menti sur ce qu’ils sont ?

Il peut être douloureux d’admettre que l’Empire américain est en train de s’effondrer pour les raisons énumérées ci-dessus. La bonne nouvelle est que, pour vous épargner cette peine, vous pouvez toujours suivre la tradition politique américaine contemporaine et rejeter la faute sur la Russie. Je vais vous faciliter la tâche : ce qui suit est un extrait du roman L’art de la touche délicate (Искусство лёгких касаний) de Victor Pelevin, qui est un grand théoricien de la guerre psychologique. Il ne semble pas y avoir de traduction anglaise de ce roman, et la traduction ci-dessous est donc la mienne [avec certaines de mes propres clarifications ajoutées entre crochets].

« Une attaque cynique [psychologique] a été planifiée contre les dirigeants politiques du monde libre. Après l’activation du Russiagate, la « Chimère-Tsar », les Américains allaient se rendre compte qu’un sénateur de Washington et une actrice d’Hollywood exercent la même profession, à la différence que l’actrice souffle à l’oreille d’Harvey Weinstein tandis que le sénateur souffle à celle de Bibi… Je m’excuse, mais ensuite vient une théorie conspirationniste tellement ridicule qu’il est gênant de la répéter. Idéalement, dit Izyumin, tout politicien occidental qui n’est pas une canaille complète et évidente doit être dénoncé comme un agent russe.

À quel résultat cela devait-il mener ?

Les Américains auraient l’impression de ne pas vivre dans une république libre, mais dans un empire oligarchique pourri et que leur pays est le même genre de démocratie contrôlée à distance que [l’URSS], avec le même genre d’application sélective de la loi et d’élections frauduleuses, tout cela basé sur des mensonges. La seule différence serait la manière dont cette gestion totalitaire serait organisée et où la fraude serait cachée… Et, bien sûr, il y aurait une attaque contre la culture. Ce serait la même image sans joie : la tambouille hollywoodienne de synthèse, la publicité obligatoire [pour l’armée et la police], des membres bien entraînés de la classe créative [exposés] dans leurs vitrines sur Internet et des sociétés qui s’efforcent de s’adapter au programme gauchiste en étendant leurs toiles d’araignée high-tech dans l’obscurité spirituelle et en se préparant à poser des pièces de monnaie sur les yeux des futurs cadavres…[C’était une coutume hongroise de fermer les yeux des morts avec des pièces d’argent parce que, s’ils restent ouverts, nous verrions notre propre mort capturée dans leurs yeux, NdT]. Le plus important serait une attaque contre l’identité. La « Chimère-Tsar » créerait une sorte de miroir aux alouettes dans lequel un Américain verrait en lui un animal dépendant et effrayé, préoccupé en permanence par sa survie personnelle, censé à chaque étape démontrer des opinions politiques correctes et un patriotisme superficiel, semblable à celui de l’homme soviétique des années 70. La forme finale, entièrement déployée, de la Chimère a été décrite comme suit : l’Amérique contemporaine est comme l’Union soviétique totalitaire de 1979 avec les LGBT [plus les Black Lives Matter et les Antifa] à la place de la Ligue de la jeunesse communiste, la gestion des entreprises à la place du Parti communiste, la libération sexuelle à la place de la répression sexuelle et l’aube du socialisme à la place du crépuscule du socialisme… la différence étant que dans l’URSS des années 1970, il était possible d’importer des blue-jeans d’Amérique alors que l’Amérique contemporaine est le genre d’URSS où personne n’apportera jamais de blue-jeans. Il était possible de quitter cette URSS, alors que les Américains seraient coincés là où ils sont. Et il n’y aura pas non plus de « Voice of America », juste trois sortes différentes de « Pravda » et un seul immortel changeant de forme [le secrétaire général du Comité central du Parti communiste, Leonid] Brejnev qui se bat violemment contre lui-même. »

Selon Pelevin, la « Chimère-Tsar » rencontrerait une force de dissuasion fabriquée aux États-Unis. Si la Russie osait activer la « Chimère-Tsar » , les États-Unis activeraient leur force de dissuasion, ce qui entraînerait une destruction mutuelle assurée. Cela constitue une bonne intrigue pour un roman, mais elle est historiquement inexacte, car il est clair que les États-Unis avaient préparé leur contre-mesure avant que la « Chimère-Tsar » russe ne soit mise au point, et ils n’ont pas hésité à l’utiliser. Elle avait un nom de code simple et brutal : La fosse à purin géante.

Les États-Unis l’ont déployée contre la Russie dès le milieu des années 1980. Son but était simple : faire croire aux dirigeants russes que leur pays, l’URSS, était une fosse à purin géante, indigente, corrompue, décrépite et vouée à l’extinction. Elle a été si efficace qu’elle a incité les derniers dirigeants soviétiques, dont Gorbatchev et Eltsine, à se tourner vers la trahison pure et simple. L’URSS s’est rapidement effondrée – un résultat qui dépassa les attentes les plus folles. Cet événement a déclenché la mort prématurée de plusieurs millions de Russes qui sont morts de désespoir. Il s’agissait bel et bien d’un acte de génocide.

Miraculeusement, la Russie a réussi à se remettre de cette expérience, et près de trois millions de visiteurs internationaux lors de la Coupe du monde de football en 2018 ont été les témoins d’un pays transformé : modernisé, bien géré, efficace, amical et sûr. C’est à ce moment-là que la chimère de la fosse à purin géante a cessé de fonctionner. Les médias américains et occidentaux continuent à produire un tir de barrage de fausses mauvaises nouvelles sur la Russie, mais les seuls qui prétendent encore les croire sont les Occidentaux eux-mêmes, ainsi que certains membres de l’opposition politique russe financés par l’étranger et payés pour le croire : « Il faut arrêter de parler… d’enseigner des choses qu’ils ne faudrait pas, uniquement par lucre ». (Tite 1:11) Parmi les victimes les plus pathétiques de la fosse à purin géante figurent les immigrants russes en Occident qui s’y accrochent pour justifier l’exil qu’ils se sont imposé.

Quant aux Russes, ils ont vus leur reflet dans les yeux du monde et ont aimé ce qu’ils ont vu. Cette théorie de la conspiration est « tellement ridicule qu’il est embarrassant de la répéter », mais au moment où la Russie était prête à déployer la « Chimère-Tsar«  contre les États-Unis, ces derniers avaient déjà tiré la chasse d’eau et se trouvaient sans défense face à cet assaut minutieusement calculé. Cela fait une bonne histoire, n’est-ce pas ? Mais c’est tout ce que c’est … une histoire.

Mais l’Empire américain n’est pas une histoire, c’est une pompe à richesse. Trois cent millions de personnes ont besoin qu’elle fonctionne – pour obtenir un tribut du reste du monde – pour continuer à se vautrer dans le luxe du style de vie du premier monde au lieu de plonger rapidement dans celui du tiers-monde et de se retrouver dans la ruine.

Quel est le rapport avec les trois piliers que sont la culture, l’idéologie et l’histoire ? Permettez-moi de développer cette question pour vous : qu’attendez-vous d’un peuple dont les icônes culturelles sont des super-héros qui ont perdu leurs super-pouvoirs, dont l’idéologie repose sur la croyance en la bonté d’un lucre sale qui tombe en poussière à cause de l’abus de la planche à billet, dont le bien-être repose sur sa capacité à recevoir l’aumône de cette même planche à billet et dont l’histoire a été réduite à une litanie d’atrocités qu’aucune humiliation publique ne peut racheter ?

C’est une question à laquelle vous devez réfléchir.

Dmitry Orlov


Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par JJ pour le Saker Francophone




La stratégie judiciaire de Donald Trump face à Joe Biden

[Source : Breizh-Info]

Après 4 jours de suspense, de nombreux médias américains ont déclaré vainqueur Joe Biden le 7 novembre, avec 290 grands électeurs.

Les chancelleries occidentales ont fait de même, reconnaissant le candidat Démocrate, en tant que président élu. Sauf que Donald Trump, avec 214 électeurs au compteur, n’a pas reconnu sa défaite, revendiquant lui-même la victoire, criant à la fraude, à l’illégalité des votes par correspondance et appelant alors au recompte des voix.

La stratégie de Trump, est-elle solide ou est-ce du bluff? Sputnik a interrogé François-Henri Briard, avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation, membre de la Société historique de la Cour suprême des Etats-Unis et président de l’Institut Vergennes.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




La fille du maire de New York se dit heureuse que « Biden ait pu voler, non, euh, gagner » l’élection

[Source : Anguille sous roche]

Chiara de Blasio, militante de BLM et fille du maire socialiste de New York Bill de Blasio, fait une nouvelle fois sensation sur Internet, cette fois-ci à la suite d’une interview troublante dans la rue où elle a déclaré aux journalistes combien elle était excitée que Joe Biden ait pu « voler » l’élection de 2020.

Les choses n’ont fait qu’empirer à partir de là.

« Pour moi, c’est vraiment spécial parce que maintenant nous avons la première femme présidente noire, asiatique, en fonction, élue », a déclaré la première fille de New York aux journalistes, omettant le mot « Vice » de « Vice-Président » tout en faisant écho aux pensées de millions d’Américains qui pensent que Kamala Harris dirigera le show dans une hypothétique administration Biden-Harris.

« Et Joe Biden a été capable de voler…non…euh…gagner…il a été capable de gagner l’élection », a ensuite déclaré de Blasio au journaliste.

https://twitter.com/theangiestanton/status/1326284622381129729?s=20

NationalFile rapporte : Les remarques sont arrivées alors que les gauchistes envahissaient les rues de New York pour célébrer les médias grand public en déclarant Joe Biden vainqueur de l’élection présidentielle de 2020 – une déclaration qui n’a aucun poids alors que plusieurs États du champ de bataille se dirigent vers des recomptages et que le président Trump prépare une armée d’avocats et de politiciens pour porter devant les tribunaux les rapports sur la fraude électorale massive parrainée par les démocrates.

L’étrange interview télévisée de la jeune de Blasio ne marque pas la première fois qu’elle devient virale en ligne grâce à son apparition lors d’une prise de contrôle des rues de New York par l’extrême gauche.

Au cours de l’été, elle a été arrêtée pour son rôle dans une série d’émeutes meurtrières de Black Lives Matter et sa photo a été publiée sur le compte Twitter du syndicat NYPD.

Comment les policiers de New York peuvent-ils protéger les citoyens des « anarchistes en émeute » alors que « la fille du maire, qui lance des objets, est l’une d’entre eux », s’interroge le syndicat dans un post qui a ensuite été censuré par Twitter.




Truquées ou pas truquées ? Voici enfin le résultat de l’expertise de 16 machines à voter de Dominion

[Source : Dreuz.info]

Accrochez-vous bien : voici le rapport de l’expertise légale des 16 machines de Dominion Voting Systems du comté d’Antrim, dans le Michigan.

« Le logiciel Dominion a été conçu intentionnellement pour influencer les résultats des élections » conclut l’expert informatique que le tribunal a autorisé à examiner les 16 machines à voter du comté d’Antrim, dans le Michigan.

Sur la base de notre étude, nous concluons que le Dominion Voting System ne devrait pas être utilisé au Michigan. Nous concluons en outre que les résultats du comté d’Antrim n’auraient pas dû être certifiés.

Voici les extraits du rapport préliminaire publié par Russell Ramsland Jr, co-fondateur du groupe Allied Security Operations Group (nous allons mettre cet article à jour au fur et à mesure que nous prenons connaissance du contenu de l’expertise. Merci de recharger la page régulièrement pour voir les dernières mises à jour) :

  1. «Nous concluons que le système de vote de Dominion est intentionnellement et délibérément conçu avec des erreurs inhérentes destinées à créer une fraude systémique et influencer les résultats des élections.

    Le système génère intentionnellement un nombre extrêmement élevé d’erreurs de vote.

    Les bulletins de vote électroniques sont ensuite transférés pour adjudication. Mais ces erreurs intentionnelles conduisent à un traitement en masse des bulletins de vote, sans surveillance, sans transparence et sans piste d’audit. Cela conduit à des fraudes électorales.

  2. «Le taux d’erreur électorale admissible établi par les directives de la Commission électorale fédérale est de 1 sur 250 000 bulletins de vote (.0008 %). Nous avons observé un taux d’erreur de 68,05 %. Cela démontre une erreur significative et fatale en matière de sécurité et d’intégrité des élections».
  3. Le journal de tabulation pour l’examen légal du serveur du comté d’Antrim à partir du 6 décembre 2020 comprend 15 676 événements individuels, dont 10 667, soit 68,05 % des événements, étaient des erreurs enregistrées. Ces erreurs ont entraîné des erreurs globales de tabulation ou l’envoi de bulletins de vote à l’arbitrage. Ce taux d’erreur élevé prouve que le Dominion Voting System est défectueux et ne respecte pas les lois électorales des États ou du gouvernement fédéral.
  4. «Un nombre stupéfiant de bulletins de a nécessité un jugement [par un adjudicateur]. Il s’agit d’un problème qui n’a pas été observé lors des précédents cycles électoraux, lesquels étaient toujours stockés sur le serveur… Les erreurs intentionnelles ont conduit à un jugement en masse des bulletins de vote sans aucune surveillance, sans transparence ni signe d’audit.
  5. «Il est significatif que le système informatique montre les journaux d’adjudication des votes des années précédentes ; mais toutes les entrées du journal d’adjudication pour le cycle électoral de 2020 sont manquantes. Le processus d’adjudication est le moyen le plus simple de manipuler manuellement les votes».
  6. «L’absence de registres [pour l’élection de 2020] empêche toute forme d’audit, et leur absence manifeste est extrêmement suspecte puisque les fichiers existent pour les années précédentes en utilisant le même logiciel».
  7. «La suppression de ces dossiers viole la loi de l’État et empêche un audit significatif, même si le secrétaire d’Etat voulait effectuer un audit. Nous devons conclure que les dossiers du cycle électoral de 2020 ont été supprimés manuellement».
  8. «De même, tous les journaux de sécurité des serveurs antérieurs à 23 h 3 le 4 novembre 2020 sont manquants. Cela signifie que tous les journaux de sécurité pour le lendemain de l’élection, le jour de l’élection et avant le jour de l’élection ont disparu».
  9. «D’autres journaux de serveur avant le 4 novembre 2020 sont présents ; il n’y a donc pas d’explication raisonnable pour que les journaux de sécurité soient manquants».
  10. Nos conclusions montrent que les totaux de la bande de tabulation du canton de Central Lake ont été modifiés de manière significative en utilisant deux versions différentes du programme – une modification avant les élections (23/10/2020) et une autre après les élections (le 05/11/ 2020), qui étaient tous deux des modifications logicielles apportées lors d’une élection, en violation de la loi électorale, et pas seulement une erreur humaine associée au système de gestion des élections du Dominion.
  11. «Ces changements de système affectent la façon dont les bulletins de vote sont lus et tabulés, et notre examen a démontré un changement significatif dans les résultats des électeurs en utilisant les deux programmes différents.»
  12. Ces changements de logiciels sont en infraction avec la période de 90 jours de la « sphère de sécurité » qui interdit de modifier les systèmes électoraux, les registres, les mises à jour de matériel/logiciels sans avoir à se soumettre à une nouvelle certification.
  13. La seule raison de changer de logiciel après l’élection est de dissimuler des preuves de fraude et/ou de corriger des erreurs de programme qui auraient pour effet de décertifier l’élection.
  14. Voici une ventilation des votes tabulés pour l’élection de 2020 dans le comté d’Antrim, montrant les différents résultats à différentes dates de tabulation des mêmes votes, et montrant que Trump a gagné – sans la fraude.
Date Electeurs inscrits Votes exprimés Biden Trump 3e parti A la main Total
3 nov 22,082 16,047 7,769 4,509 145 14 12,423
5 nov 22,082 18,059 7,289 9,783 255 20 17,327
21 nov 22,082 16,044 5,960 9,748 241 23 15,959

Le retournement du vote de Trump à Biden s’est produit à cause d’une erreur intégrée dans le logiciel de vote conçu pour créer une erreur

« Cela démontre de façon concluante que les votes peuvent être et ont été modifiés lors du deuxième comptage machine après la mise à jour du logiciel. »

  1. Le greffier du comté d’Antrim et le secrétaire d’État Jocelyn Benson ont déclaré que l’erreur commise le soir de l’élection (détaillée ci-dessus par le « retournement » du vote de Trump à Biden) était le résultat d’une erreur humaine due au fait que la tabulatrice du canton de Mancelona n’a pas été mise à jour avant la nuit de l’élection.

    Nous ne sommes pas d’accord et concluons que le retournement du vote s’est produit à cause d’une erreur de machine intégrée dans le logiciel de vote conçu pour créer une erreur.

  2. Dans le canton de Central Lake, 1 222 bulletins de vote ont été annulés sur un total de 1 491, soit un taux de rejet de 81,96 %. Tous les bulletins annulés sont envoyés à l’arbitrage pour décision par le personnel électoral.
  3. La vidéo publiée dans notre article précédent, qui montre comment tricher lors de l’arbitrage, est mentionnée dans le rapport d’expertise.
  4. Le comté d’Antrim n’a pas mis à jour son système informatique, soit par incompétence, négligence grave, mauvaise foi ou non-respect délibéré de la sécurité fondamentale du système requise par la législation fédérale et celle des États. Il est impossible que ce système de gestion des élections ait réussi les tests ou ait été légalement certifié pour mener les élections de 2020.
  5. Les machines du Dominion ImageCast Precinct (ICP) ont la possibilité d’être connectées à internet – en violation des lois électorales. Comme certains fichiers ont été supprimés, nous n’avons pas encore trouvé si des données ont été transmises ou reçues ; mais nos recherches se poursuivent.
  6. Les identifiants et mots de passe des comptes d’utilisateurs du logiciel Dominion Democracy Suite sont stockés dans des tables non sécurisées de la base de données, et les multiples comptes d’administrateurs du système électoral partagent le même mot de passe, ce qui signifie qu’on ne peut pas savoir qui a pu changer des vote, les supprimer, ou modifier ou décider des votes par grosse quantité en une seule opération.
  7. Le « taux d’erreur » élevé dans le logiciel électoral (dans ce cas, 68,05 %) permet d’utiliser un algorithme qui pondérera un candidat plus qu’un autre (par exemple, attribuer arbitrairement à un candidat spécifique ⅔ des résultats, et ⅓ à l’autre). Dans les logs, nous avons constaté que cet algorithme était activé. Cela a permit à quelqu’un d’appliquer une valeur numérique arbitraire aux candidats et de modifier le résultat global.
  8. Nous concluons que les erreurs sont si importantes qu’elles remettent en cause l’intégrité et la légitimité des résultats de l’élection du comté d’Antrim, au point que les résultats ne sont pas certifiables. Comme les mêmes machines et logiciels sont utilisés dans 48 autres comtés du Michigan, cela jette un doute sur l’intégrité de l’ensemble de l’élection dans l’État du Michigan.

Processus

Nous nous sommes rendus dans le comté d’Antrim à deux reprises : le 27 novembre 2020 et le 6 décembre 2020.

Le 27 novembre 2020, nous avons visité le canton de Central Lake, le canton de Star et le canton de Mancelona. Nous avons examiné les tabulateurs de Dominion Voting Systems et les rôles des tabulateurs.

Le 6 décembre 2020, nous avons visité le bureau du greffier du comté d’Antrim. Nous avons inspecté et effectué les copies informatiques suivantes :

  1. Le serveur de gestion des élections du comté d’Antrim, qui gère le Dominion Democracy Suite 5.5.3-002 ;
  2. Les cartes Compact Flash utilisées par les circonscriptions locales dans leur Dominion ImageCast Precinct ;
  3. Les clés USB utilisées par le Dominion VAT (terminaux d’assistance aux électeurs) ; et
  4. Les Clé USB utilisée pour le registre des sondages.

Conclusion

  • Il semble que l’expert explique qu’un audit précis soit impossible, puisque le journal a été effacé. Il ne fait aucun doute que cette absence de preuve va peser très lourdement devant les tribunaux, qui vont très probablement s’arc-bouter sur ce petit bout de non-preuve pour rejeter ou refuser d’examiner l’audit. Peut-être diront-ils que c’est trop tard ?
  • Que va faire le président Trump ?
  • Que va-t-il pouvoir faire, alors que les tribunaux ont tous refusé d’examiner les témoignages de fraude jusqu’à maintenant.
  • A supposer qu’un juge du Michigan décertifie les résultats du comté d’Antrim, étendra-t-il une demande d’expertise aux autres machines de l’Etat ?
  • Les autres machines de l’Etat ont-elles été effacées ? Si elles sont intactes, présenteraient-elles toutes les mêmes preuves de fraude ?
  • Les avocats de Donald Trump vont évidemment s’appuyer sur ce rapport préliminaire pour demander l’expertise de la totalité des machines Dominion. Quel juge acceptera de donner son accord ?

Voilà les question légitimes qu’il convient de se poser au moment d’écrire ces lignes.

Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.




Sous nos yeux, la haute trahison du Parti ‘démocrate’ et de la presse

Si vous êtes écervelé, très bête, singulièrement sot, vous ne pouvez pas voir ce qui se trame sous vos yeux, au cas où vous auriez les yeux ouverts.

Nous avons là une tentative de destruction de la stabilité du processus politique des États-Unis, qui repose entièrement sur le ressassage constant des racontars de la pressetituée. On devrait vous aligner contre le mur et vous fusiller pour votre inimaginable stupidité. C’est le message que je reçois de nombreux lecteurs.

La raison de ceci est qu’il s’avère à présent que le « sonneur d’alerte, » de la mise en scène de l’affaire, a d’abord parlé au monceau de déjection canine ‘Sournois Schiff’, qui l’a aidé à rédiger sa fausse plainte avant divulgation.

L’histoire archi-fausse battue en neige par les putes de presse, est totalement réfutée par la transcription officielle non expurgée de l’appel téléphonique de Trump, qui justifiait paraît-il sa mise en accusation.

Le saviez-vous ? Sinon, pourquoi ?

Voici, ci-dessous, ce qu’en dit RT :

Paul Craig Roberts

Original : www.paulcraigroberts.org/2019/10/02/high-treason-being-committed-by-democratic-party-and-us-media-before-our-eyes/


Trump triomphe après que l’article du New York Times révèle que le « lanceur d’alerte » avait parlé à ‘Sournois Schiff’ avant de déposer la plainte

D’après les sources, avant de déposer la plainte, l’agent de la CIA qui accuse le président Donald Trump de s’être compromis dans une affaire d’échanges réciproques avec l’Ukraine, s’était entretenu avec Adam Schiff, le chef du Comité du renseignement de la Chambre.

Citant le porte-parole de Schiff et ‘d’anciens et actuels fonctionnaires’, voici ce que le New York Times a publié mercredi dans un article : Après avoir appris de seconde main, que lors d’une conversation téléphonique entre Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le président avait abusé de son pouvoir, le ‘lanceur d’alerte’ a fait part de son inquiétude à Schiff, le chef du Comité du renseignement de la Chambre, et a partagé l’information avec lui, avant que l’officier de la CIA, toujours anonyme, ne dépose la plainte.

L’article du New York Times « montre que Schiff est un imposteur, » a dit le président aux journalistes lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche avec le président finlandais Sauli Niinisto mercredi après-midi, après qu’il ait été interrogé sur l’affaire. Il a qualifié de ‘scandale’ le fait que le membre du Congrès qu’il surnomme ‘Sournois Schiff’, était au courant de la plainte avant même qu’elle ne soit déposée.

« J’irais un peu plus loin. Je pense qu’il a probablement aidé à écrire » la plainte, a dit Trump. « Il la connaissait longtemps à l’avance et il a aussi aidé à l’écrire, » a-t-il poursuivi avec plus d’assurance. Le président – qui par ailleurs, dans ses remarques, affuble les grands médias du nouveau surnom de « nouvelles corrompues, » a néanmoins félicité le New York Times pour son scoop. « Peut-être se portent-ils mieux, » a-t-il blagué.

La connaissance anticipée de la plainte explique comment Schiff a su qu’elle existait, bien que l’administration Trump ait dès le début classé le document sur un ordinateur top secret du Conseil de sécurité nationale. Schiff n’a pas non plus été le seul à avoir un aperçu des allégations : Le sonneur d’alerte a d’abord demandé à un collègue de partager les informations avec le meilleur avocat de la CIA.

Trump a insisté sur le fait que Schiff ‘avait aidé’ l’agent de la CIA à rédiger ses soupçons, et le New York Times a écrit que ‘l’accusation initiale’ du dénonciateur était ‘vague’. Mais le porte-parole de Schiff a assuré que le bureau du membre du Congrès avait suivi les procédures normales, n’avait pas rencontré directement le sonneur d’alerte, et ne connaissait même pas son identité. De toute façon, la plainte qui a été soumise par la suite à l’inspecteur général n’était certainement pas vague. Trump a été accusé d’avoir menacé de suspendre l’aide militaire à l’Ukraine, si Zelensky ne rouvrait pas l’enquête sur l’affaire de corruption liée à la compagnie gazière qui employait le fils du chef de file démocrate, Joe Biden (à un poste peinard et népotique, payé pas moins de 60 000 dollars par mois), et d’avoir fait miroiter pas moins de sept fois, des échanges de services réciproques.

Les transcriptions de l’appel téléphonique publiées la semaine dernière, n’ont rien révélé de compromettant. Schiff avait lu à la place une ‘interprétation’ inventée de l’appel quand il a interrogé le directeur du Renseignement de Trump. Par la suite, Schiff s’est défendu en qualifiant de ‘parodie’ les égarements de son imagination, mais Trump l’a accusé de trahison et a exigé qu’il démissionne.

RT

Original : https://on.rt.com/a2pq

Traduction Petrus Lombard




Quel accord entre la Chambre et le Sénat au sujet de la destitution de Trump ?

Quel accord entre la Chambre et le Sénat au sujet de la destitution de Trump ?


2015-05-21_11h17_05

Par Moon of Alabama – Le 12 décembre 2019

Il y a deux semaines, nous analysions les conséquences d’un processus de destitution du président Donald Trump. Nous avions constaté que les démocrates y perdraient en le destituant et, qu’à la place, ils le censureraient probablement. Nous avions tort. Une semaine plus tard, Pelosi annonçait qu’elle allait entamer une procédure de destitution.

Ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai compris en quoi j’ai eu tort et ce qui s’était passé depuis. Laissez-moi vous expliquer.

La conclusion précédente était basée sur ce tableau des résultats possibles d’une résolution de destitution :

Si un grand nombre de représentants venant des États où Démocrates et Républicains sont en balance abandonnaient le camp de ceux qui sont pour une destitution, ce qui semble probable, la Présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, aura un gros problème. Comment pourrait-elle procéder ?

Si la Chambre vote contre la destitution, Donald Trump gagne.

Si la Chambre ne se prononce pas sur la question, Donald Trump gagne.

Si la Chambre vote pour la censure, Donald Trump aura gagné aux points et la question sera réglée.

Si la Chambre vote en faveur de la destitution, l'affaire est renvoyée au Sénat pour y être jugée.

Le Sénat dirigé par les républicains aura alors le choix :

Il peut décider de ne pas ouvrir un procès de destitution en votant simplement contre la destitution. Trump gagne.

Il peut entamer un procès de destitution, l'utiliser pour nuire gravement aux Démocrates et, en fin de compte, voter contre la destitution. Trump est alors le grand gagnant.

Si la Chambre vote en faveur de la destitution, il est probable que le Sénat s'engagera dans la deuxième voie.

Si l’on regarde les choix qui s’offrent, il est assez étrange de voir que Pelosi a pris cette décision et il n’y a pas eu, jusqu’à présent, d’explication approfondie à ce sujet.

La Résolution de la Chambre plutôt courte (voir ici) que Pelosi a laissé voter n’a que deux articles de mise en accusation de Trump. Les sujets sur lesquelles il est censé être destitué sont très limités :

Les dirigeants démocrates affirment que Trump a fait passer ses intérêts politiques avant ceux de la nation lorsqu'il a demandé à l'Ukraine d'enquêter sur ses rivaux, dont le démocrate Joe Biden, puis a retenu 400 millions de dollars en aide militaire alors que l'allié américain faisait face à une Russie agressive.

Ils disent qu'il a ensuite fait obstruction au Congrès en faisant obstruction à l'enquête de la Chambre.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky lui-même a déclaré qu’il ne savait pas que Trump avait retenu les 400 millions de dollars pour l’Ukraine lorsqu’il a reçu un appel téléphonique du président dans lequel Trump lui a demandé d’enquêter sur l’affaire Burisma/Biden. La demande elle-même est légitime, car les activités de Biden n’ont jamais été très claires en Ukraine. Mais il n’y a eu ni quid-quo-pro ni corruption, du moins pas lors de l’appel téléphonique dévoilé par le « lanceur d’alerte » de la CIA et dont certains témoins ce sont plaints. Où donc est la preuve que Trump aurait abusé de son pouvoir ?

L’accusation d’obstruction au Congrès est tout aussi faible. Trump avait rejeté les assignations à comparaître de son personnel face à la Chambre parce qu’il voulait un contrôle judiciaire de leur légalité. Celles-ci pouvaient en effet porter atteinte à certains privilèges présidentiels. Le processus judiciaire aurait pris plusieurs mois, mais les Démocrates ne voulaient tout simplement pas attendre aussi longtemps. Alors, qui entrave vraiment le processus judiciaire dans ce dossier ?

Le professeur de droit Jonathan Turley, qui n’est pas un fan de Trump et qui a témoigné devant la Commission judiciaire de la Chambre, trouve que les deux accusations que font valoir les Démocrates sont extrêmement faibles  :

Pendant trois ans, les mêmes dirigeants démocrates ont déclaré au public qu'une série d'actes criminels et de destitutions avaient été prouvés dans l'enquête Mueller. Aucun de ces crimes ne fait pourtant partie de cette mise en accusation.

Pourquoi ? Parce que la mise en accusation aurait été trop facile ? Sûrement pas.

Du coup, la Chambre ira de l'avant pour les deux seuls motifs plausibles que j'avais exposés dans mon témoignage - abus de pouvoir et obstruction au Congrès. Contrairement aux autres allégations, le problème ne réside pas dans le fondement juridique de ces infractions passibles d'une mise en accusation, mais dans les preuves.

Mais ce dossier demeure à la fois incomplet et conflictuel. Les Démocrates ont insisté pour que la destitution soit prononcée d'ici Noël plutôt que d'établir un dossier solide pour soutenir de telles accusations. ...
Cela devient l'enquête la plus rapide, avec le dossier le plus mince à l'appui de la mise en accusation la plus fragile de l'histoire moderne. ...
Les Démocrates viennent d'offrir à Trump le meilleur cadeau de Noël qu'il pouvait espérer avec ces deux accusations...

Le professeur Turley souligne à juste titre qu’il y a plusieurs autres questions graves sur lesquelles Trump pourrait (et devrait) probablement être destitué.

Alors pourquoi la Présidente de la Chambre, Pelosi, n’a-t-elle permis qu’une résolution de destitution aussi faible et fragile ?

Le texte de la résolution de destitution est actuellement en cours d’examen au sein de la Commission judiciaire, où il sera examiné aujourd’hui. Le langage peut encore s’affiner un peu, mais il n’y aura pour l’essentiel pas d’ajouts.

L’Assemblée se prononcera ensuite sur ce rapport au cours de la semaine prochaine. Le Sénat lancera le procès de destitution en janvier.

Ce qui me ramène au tableau des résultats possibles :

Le Sénat, dirigé par les républicains, aura donc le choix :
Il peut décider de ne pas ouvrir un procès de destitution en votant simplement contre la destitution. Trump gagne.

Il peut ouvrir un procès de destitution, l'utiliser pour nuire gravement aux Démocrates et, en fin de compte, voter contre la destitution. Trump gagne encore plus.

Le Sénat pourrait interrompre la campagne de plusieurs sénateurs en exercice participant aux primaires Démocrate pour la présidence. Il pourrait convoquer Joe et Hunter Biden, ainsi que le « lanceur d’alerte » comme témoins. Il pourrait creuser plus profondément le RussiaGate. Le risque pour les Démocrates au cours de ce processus serait énorme.

Mais Pelosi a tout de même pris cette voie en laissant voter une très fragile résolution de destitution.

Cela m’a amené à supposer qu’une entente avait été conclue qui permettait à Pelosi d’aller dans cette direction. Pourtant rien n’indiquait qu’un tel accord n’ait eu lieu.

Ce n’est qu’aujourd’hui que nous avons obtenons la confirmation, aussi claire que possible, qu’un accord a effectivement été conclu. Le Sénat dirigé par les républicains ne s’intéressera pas aux Démocrates, mais votera contre la destitution sans utiliser ce processus pour frapper son ennemi politique :

Les Républicains du sénat s'unissent autour d'une stratégie visant à tenir un court procès de destitution au début de l'année prochaine qui n'inclurait aucun témoin, un plan qui pourrait entrer en conflit avec le désir du président Trump d'organiser une défense publique de ses actions contre l'Ukraine, défense incluant un témoignage que la Maison-Blanche estime susceptible de nuire à ses concurrents politiques.

Plusieurs sénateurs du GOP ont déclaré mercredi qu'il serait préférable de limiter le procès et de voter rapidement pour acquitter Trump, plutôt que de s'engager dans ce qui pourrait devenir un cirque politique.

"Je ne pense pas que l'appétit soit très fort pour transformer cela en un spectacle prolongé", a déclaré mercredi au Washington Post un républicain du Sénat, Whip John Thune (S.D.), lorsqu'on lui a demandé si Trump obtiendrait les témoins qu'il voulait dans le procès pour sa destitution. ...

Plus particulièrement, un procès rapide et propre est généralement perçu comme la préférence du leader de la majorité au Sénat, Mitch McConnell (R-Ky.), qui veut minimiser les distractions politiques au cours d'une année électorale où les Républicains s'efforceront de protéger leur mince majorité à la Chambre.

L’article poursuit en expliquant que les Républicains craignent de ne pas avoir les votes suffisant pour laisser comparaître des témoins. C’est évidemment absurde. Les républicains ont 53 sièges au Sénat et les démocrates en ont 47. En creusant dans la merde de Joe Biden, on obtiendrait certainement un appui supplémentaire de la part des électeurs sans risquer de perdre un seul siège au Sénat.

La seule raison pour laquelle le Sénat fera preuve de souplesse et votera simplement contre la destitution, c’est parce qu’un accord a été conclu entre le chef McConnell de l’opposition républicaine et la Présidente Pelosi.

L’accord a empêché la tenue d’une vaste enquête et d’un procès de destitution qui auraient pu nuire aux deux parties et dont l’issue aurait été incertaine.
L’étroitesse et la faiblesse de la résolution de destitution qui ne peut pas faire de mal au président était en échange d’un processus sans débordements au Sénat, qui ne creusera donc pas les affaires Biden et ne fera pas de mal aux Démocrates lors des élections de l’année prochaine.

Le fait qu’un accord ait été conclu explique pourquoi Pelosi a choisi la destitution et non la censure, même si les sondages s’opposaient à la destitution. Cela explique pourquoi elle n’a permis qu’une résolution étroite fondée sur des preuves faibles. Cela explique pourquoi la Chambre a accepté l’énorme budget de défense de Trump la même semaine où elle présentait une résolution de destitution contre lui. Cela garantit également que les Démocrates ne s’en prendront plus à Trump et qu’il ne sera en aucun cas reconnu coupable et destitué.

Les deux parties peuvent vivre avec les résultats de ce douteux processus. Les Démocrates en démontrant à leurs électeurs qu’ils sont prêts à s’attaquer à Trump. Les Républicains montrent qu’ils se tiennent aux côtés de leur président et le défendent contre les accusations boiteuses.

Trump prétendra haut et fort qu’il n’apprécie pas que le Sénat mette fin à cette affaire si rapidement. Il va twitter que le Sénat doit attaquer Biden et les autres Démocrates. Il jouera le gars profondément déçu même s’il ne l’est pas tant que cela.

Car j’ai l’intuition qu’il est dans le coup. L’étroitesse de la résolution de destitution empêche que d’autres affaires louches le concernant ne soient révélées. Cela rend plus improbable un autre véritable processus de destitution et garantit sa survie politique.

Il reste à savoir s’il y avait d’autres éléments dans cet accord. Si oui, lesquels ?

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Jj pour le Saker Francophone 1 649

https://lesakerfrancophone.fr/quel-accord-entre-la-chambre-et-le-senat-au-sujet-de-la-destitution-de-trump




Obama Gate : Histoire d’un coup d’Etat Foireux.

[Source : Institut des Libertés via Sott.net]

[Auteur :] Charles Gave

Novembre 2016, Donald Trump est élu Président des Etats-Unis à la surprise de tous les gens bien informés. De nombreuses tentatives de déstabilisation de sa campagne avaient eu lieu avant l’élection (Carter-Page, Papadopoulos, Malafort etc..), dont je ne vais pas parler, faute de place. En fait, je vais m’intéresser presque exclusivement au cas du général Flynn tant il me parait évident qu’il est l’homme qui devait être détruit car sans doute aucun il en savait trop.

Avant de présenter les faits et uniquement les faits, il me faut d’abord, comme dans une pièce de théâtre, répertorier les principaux acteurs ainsi que les fonctions qu’ils occupaient.

Tout le monde connait Obama et Trump, mais dans ce cas-là, les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et je vais commencer par la constellation de ceux qui entouraient Obama.

En voici la liste, avec leurs fonctions. Jo Biden, Vice-Président des USA et candidat en 2020 contre Trump. Loretta Lynch, ministre de la Justice, secondée dans ses fonctions par Sally Yates, numéro deux du même ministère (le DOJ) qui a la tutelle sur le FBI, la police fédérale US, dont le patron était James Comey. La conseillère pour les affaires de sécurité (Nationale Security Advisor) était Susan Rice tandis que le chef de la CIA était John Brennan et le patron des organisations de sécurité James Clapper.

Venons-en au général Michael T Flynn. Démocrate, issu d’une famille démocrate, grand soldat s’il en fût, spécialiste du renseignement et de l’action psychologique, Lieutenant Général, c’est-à-dire général trois étoiles, il est nommé à la tête des services de renseignement de l’armée en Juillet 2012 par le Président Obama et donnera sa démission en Avril 2014, le pouvoir en place n’aimant guère ses discours sur les dangers que représentaient l’Islam militant ainsi que son apparente indifférence au danger Russe.

Il rejoint la campagne de Trump pour être nommé, après l’élection au poste prestigieux de « National Security Advisor », celui qui murmure à l’oreille du Président pour toutes les questions relatives à la défense et à la sécurité des USA. Inutile de dire qu’en tant que chef du service de renseignement de l’armée, il devait être au courant de l’endroit où tous les cadavres étaient enterrés en Lybie (Benghazi), en Ukraine, au Moyen-Orient, en Syrie avec le financement d’Isis par Hilary Clinton pour faire tomber Assad et que sais-je encore. Il était donc l’homme à abattre, car ses révélations auraient pu mettre en cause tout l’appareil du parti démocrate et en conduire un certain nombre en prison, pour corruption (voir le fils de Jo Biden en Ukraine et en Chine).

Et abattu, il le fut très vite, et voici la façon dont cela s’est passé.

Commençons par la version officielle.

  • En Décembre 2016, le parti Démocrate aux USA se rend compte que son ordinateur central a été « hacké « et fait savoir que les coupables sont les services secrets Russes, qui ont transmis les informations ensuite à Wikileaks, qui les publient, ce qui est bien sûr une preuve que les Russes cherchaient à faire élire Donald Trump. Notons que le FBI n’a jamais eu accès à cette machine pour vérifier ces affirmations, ce qui est …étonnant et sans précédent.
  • Le 12 Janvier 2017, après l’élection de Trump, Ignatius, grand reporter au New-York Times, sort un dossier extrêmement compromettant sur le futur Président Trump, qui, lors d’une visite antérieure en Russie, se serait livré à quelques fantaisies sexuelles à Moscou. Le message est clair. Poutine a suffisamment d’informations de ce type sur Trump pour forcer le nouveau Président des USA à faire ce qu’il lui dira de faire.
  • Le 24 Janvier, le général Flynn, qui a pris ses fonctions à la maison blanche le 20 janvier précèdent prend un coup de téléphone du numéro trois du FBI, Peter Stzrock lui demandant si lui et l’un de ses collègues peuvent passer le voir pour faire connaissance, ce qu’il accepte. Les deux compères arrivent et lui posent quelques questions sur un coup de téléphone qu’il a donné à l’ambassadeur Russe (sous écoute bien entendu, et dont le personnel du FBI avait les minutes), et dans lequel il demandait à l’ambassadeur de faire passer le message que Trump voulait revenir à de meilleures relations avec la Russie. Le général dit qu’il ne se souvient pas très bien, refusant ainsi de répondre aux questions du FBI, et tout le monde se sépare bons amis. Coup de tonnerre : Dans les jours qui suivent, le FBI met en accusation le général pour avoir refusé de répondre au FBI lors de son interview et notre homme est obligé de démissionner, pour être ensuite trainé devant les tribunaux, forcé de vendre sa maison pour payer sa défense et finir par se reconnaitre coupable d’un crime qu’il n’a pas commis lorsque le FBI lui dit que s’il continue à se défendre, ils vont s’en prendre à son fils.

Le cas Trump semble clos : Pénétration de l’ordinateur du parti Démocrate par des Russes, dossier salace prouvant que Trump était susceptible d’être la victime d’un chantage de la part de Moscou et principal conseiller faisant des offres d’apaisement à l’ambassadeur de Russie avant même d’être au pouvoir à Washington. La messe était dite, Trump était un agent au service de la Russie.

Une commission d’enquête est demandée contre Trump par les démocrates. Le ministre de la Justice de l’époque, choisi par Trump, monsieur Session, ancien Sénateur du Sud qui avait pris un verre avec l’ambassadeur Russe un an avant et dont nul ne saura jamais s’il était idiot, complice ou les deux à la fois, se désiste et confie le dossier au numéro deux du DOJ de l’époque, un monsieur Rosenstein, homme de l’état profond s’il en fut qui enclenche les mécanismes légaux qui mèneront à la création de la commission d’enquête dite de « Muller », ancien patron du FBI et grand copain de Comey où ne figureront que des juristes démocrates. Cette commission va empoisonner la vie de Trump pendant deux ans avant de rendre ses conclusions en 2020 en concluant qu’ils n’ont rien trouvé et qu’il n’y a rien dans le dossier, ce que tout le monde savait au bout de trois mois.

Premier coup dur pour les démocrates. Mais ce n’est que le début. Le général Flynn change d’avocat, car le FBI, loin de le laisser tranquille après ses « aveux », veut lui faire faire six mois de prison. Il demande à un avocat absolument remarquable, une femme, Sydney Powell, de le défendre, virant la grande firme d’avocats qui l’avaient for mal défendu jusque-là. Et cette femme fait découverte stupéfiante après découverte stupéfiante et je vais les citer non pas dans l’ordre où elle les a faites, mais dans leur chronologie

1. Elle découvre que le FBI avait mis sous surveillance et sous écoute le général Flynn dès qu’il avait rejoint la campagne de Trump, en Mars 2016, ce qui était strictement illégal. Elle découvre de plus que le FBI, après neuf mois d’écoutes, concluait le 4 Janvier 2017 que rien ne pouvait être reproché au général et qu’il fallait fermer le dossier. Ce à quoi, Peter Stzrock s’oppose sur ordre de Comey et le général reste sous surveillance.

2. Elle découvre que le 5 Janvier, Obama demande à Comey de ne pas dire à Trump que le général est sous surveillance parce qu’Obama ne serait pas sûr que Trump ne soit pas un agent Russe, ce à quoi Comey acquiesce, alors que ni lui ni Obama n’ont la moindre preuve de quoi que ce soit contre Trump ou Flynn. En fait, Comey continuera à obéir à Obama et à trahir Trump ce qui est une forfaiture, jusqu’à ce qu’il soit viré par Trump.

3. Elle découvre que le même 5 Janvier 2017, une réunion a eu lieu à la Maison Blanche où sont présents Obama, Biden, Clapper, Susan Rice, Sally Yates, Brennan, Comey… et que la décision est prise à la fin de la réunion de tout faire pour faire tomber notre général. Et l’ordre est donné (par qui ?) de monter un piège pour faire tomber Flynn. Ce qui fut fait lors de la visite à Flynn du 24 Janvier. On a retrouvé les notes manuscrites de l’agent qui accompagnait Stzrock lors de la visite et il voulait savoir si le but était 1) de le faire virer,2) de le mettre en prison ou 3) de discréditer l’administration Trump. Et l’ordre, parfaitement illégal de faire cette visite, fut donné par Comey qui s’en est vanté dans une réunion publique dans laquelle ses propos ont été enregistrés. Et c’est pendant cette visite que les deux mafieux ont piégé le général en créant un crime (refus de répondre aux questions du FBI), là où il n’y en avait pas alors que le général pensait que c’était une visite amicale. Par exemple, ils n’ont pas précisé au général quels étaient ses droits (Miranda), qu’il pouvait se faire aider d’un avocat. Qui plus est, il est parfaitement légal de mentir au FBI si cela porte sur question pour laquelle ils ne sont pas mandatés. Or ils n’étaient mandatés pour rien du tout, ayant été envoyés par James Comey « au culot ». On pense à la phrase de Beria à Staline : « Désignez- moi le criminel, je me charge de trouver le crime ».

4. Elle découvre que James Comey avait montré le dossier crapuleux le 6 Janvier 2017, le lendemain de la réunion avec Obama à la maison blanche à Trump et Flynn en sachant qu’il était faux de bout en bout (ce que les notes internes du FBI prouvent) et que ce dossier monté par un agent secret anglais en poste en Russie pendant des années a été payé par le Democratic National Congress (DNC) pour 50 % et par la campagne d’Hillary Clinton pour les 50 % restant, ce que savait parfaitement Comey. Or le code électoral américain interdit de faire travailler un non-citoyen lors d’une campagne, ce qu’ont fait le DNC et Hillary Clinton.

5. Par d’autres sources, on apprend que Comey, Clapper, Brennan & Co ont demandé la mise sous écoutes d’une grande partie des équipes de Donald Trump avant et après le 20 Janvier, en utilisant ce faux dossier comme justification, ce qui fût fait, en sachant qu’il était faux et sans en prévenir les juges qui délivraient les autorisations, ce qui est crime passible de la prison à vie.

6. La chambre des représentants, conduite par monsieur Schiff, un fanatique anti Trump, a fait passer de nombreuses auditions à tous ces gens, Comey, Brennan, Claper, Sally Yates, Susan Rice qui passaient ensuite sur NBC, CBS, CNN ou donnaient des articles au Washington Post ou au New York Times etc. en assurant qu’ils avaient vu, de leurs yeux vu les preuves de la culpabilité de Trump. Les minutes officielles de ces auditions viennent d’être publiées par Richard Grenelle, le haut fonctionnaire en charge de la conservation de ce genre de dossiers à la grande fureur de monsieur Schiff, des démocrates et des media. Aucune de ces personnes n’indique avoir jamais vu la moindre preuve d’une quelconque culpabilité de Trump, car cette fois- là, chacun était sous serment et risquait la prison à vie en cas de parjure. Ce qui ne les empêchait pas continuer de mentir dès qu’ils étaient sortis. Le plus étonnant est cependant la réalité suivante : pourquoi donc les Républicains présents lors de ces auditions n’ont-ils pas fait « fuiter » ces informations à leurs amis dans la presse ? D’où j’en déduis que Trump n’a pas que des amis au parti Républicain et que l’état profond a soigneusement noyauté le parti républicain aussi… (Le Sénateur Graham vient à l’esprit, je ne sais pas pourquoi.).

7. Dans ces auditions – et sous serment-le patron de CrowdStrike, la firme qui gérait l’ordinateur soi-disant hacké du parti démocrate, a dit qu’il n’avait aucune preuve que l’ordinateur ait été attaqué et encore moins par les Russes. Il est donc probable que cela aussi était un mensonge, mais alors pourquoi Julien Assange est-il encore en prison en Grande-Bretagne pour avoir été complice du viol de l’ordinateur du DNC, qui n’a probablement jamais eu lieu, et cela à la demande du ministère de la Justice des USA, ce repaire de brigands ? Assange doit être libéré tout de suite.

8. On vient d’apprendre- vendredi dernier- que Jo Biden avait demandé et obtenu la mise sur écoutes non pas des ennemis des USA mais de ses adversaires politiques américains, ce qui est un autre crime. Et de même pour Sally Yates, Susan Rice, Clapper Brennan qui tous, et en particulier à la fin du deuxième mandat d’Obama, voulaient absolument savoir ce que préparait Trump. Et toutes ces écoutes étaient illégales. Déjà, le Sénateur Républicain Rand Paul va les convoquer tous pour qu’ils répondent à ses questions sous serment, y compris monsieur Biden, qui ne semble pas avoir un respect très élevé pour la Loi et va devoir venir s’expliquer avant les élections, au Sénat et devant des Républicains. A mon avis la carrière de Biden va connaitre un arrêt brutal et il va peut-être devoir passer par la case « prison » où il risque d’être entouré de camarades du parti. Qui sera le candidat Démocrate et comment ce candidat sera t’il désigné ? … est donc la question suivante.

9. Et pour finir, cerise sur le gâteau, le DOJ, à la demande de Sidney Powell, a retiré toutes les charges contre notre général, ce qui n’empêche pas le Juge Sullivan, grand copain d’Éric Holder, lui-même ex-ministre de la Justice d’Obama pendant quelques années, de vouloir continuer à le juger pour un parjure qui n’a jamais eu lieu. Ce doit être le premier cas dans l’histoire des USA où le parquet dit que le prévenu est complètement innocent et qu’il a été victime d’une tentative d’assassinat judiciaire abominable et que le juge entend continuer à le juger. A mon avis la Cour Supreme va devoir intervenir.

Je m’arrête ici non faute de matériel, je pourrais écrire le double de ce que j’ai déjà écrit mais je suis arrivé au point « CQFD », où il n’y a plus rien à prouver tant les faits sont accablants. Rajoutons que maintenant que Flynn a été innocenté, il va pouvoir parler…

Résumons.

Cette affaire est infiniment plus grave que le Watergate, où Nixon avait simplement essayé de couvrir maladroitement quelques bras cassés qui avaient tenté de cambrioler les locaux du DNC sans en avoir reçu l’ordre. Là, il s’agit d’une tentative de coup d’état, préparé avec soin par un groupe criminel, qui avait pris le contrôle des services secrets, du FBI et du Ministère de la Justice, tous noyautés à mort avant le changement d’administration, pour se débarrasser d’un homme qui avait gagné les élections à la loyale.

Et cette action a été totalement couverte par ce qu’il est convenu d’appeler les media officiels (CNN, NBC, CBS. NYT, Washington Post) qui, pour l’instant, refusent de mentionner ce qui est sans doute le plus grand scandale politique de l’histoire des Etats-Unis, en parlant d’une manœuvre de diversion. Seuls Fox et Breitbart se sont battus pour soutenir le Président élu sous les lazzis des bien-pensants.

Et voici ma conclusion : je crois que depuis Watergate, les journalistes du monde entier se sont dits que leur rôle était de faire tomber les régimes « de droite » et que pour cela, puisque la droite était dans son essence mauvaise, tous les moyens étaient bons, y compris criminels. Pour beaucoup de journalistes, aujourd’hui, la fin -détruire la droite-justifie les moyens. Et c’est comme cela que l’état de droit disparait.

Et comme toujours, cette maladie est arrivée chez nous quelques années après et nous souffrons donc du même mal. Le but de nombre de journalistes français est aujourd’hui purement et simplement de détruire les gens de droite, en les empêchant de s’exprimer par tous les moyens. Conclusion : A quoi donc aujourd’hui reconnait -on un journaliste de gauche (pléonasme) ? Au fait qu’il est favorable à la censure…

Il faut donc que ces criminels et leurs complices dans les media passent en jugement et aillent en prison et pour tres longtemps. Je fais confiance à messieurs Barr (le nouveau ministre de la Justice, qui ressemble beaucoup à Droopy le basset et qui a l’air d’en avoir la ténacité) et Durham (le procureur spécial choisi par monsieur Barr, qui lui ressemble à un furet) pour terminer leurs enquêtes avant la prochaine élection présidentielle, car si Trump était battu, tout cela resterait impuni. L’été va être chaud, voire caniculaire à Washington et va durer jusqu’au début Novembre, date des élections présidentielles.

Et ma dernière remarque sera pour dire que le Président Trump a fait preuve d’une incroyable force et d’une résistance stupéfiante pendant toute cette période. N’importe qui d’autre y aurait laissé sa peau et sa santé mentale, ce qui lui vaut toute mon admiration. S’il est réélu, je ne doute pas que les Clinton et en particulier madame Clinton, rejoindront en prison tous les autres criminels qui se sont essayés à fomenter un coup d’état aux USA. Reste la question de ce qui arrivera à Obama, le comploteur en chef. Peut-être Trump le graciera-t-il par respect pour la fonction Présidentielle ? Voilà qui serait un coup mortel pour la vanité immense de ce tartuffe sanctimonieux.

Si tout cela est suivi de condamnations, alors l’atmosphère dans le monde deviendra à nouveau respirable et le danger de guerre reculera partout, l’état profond américain ayant été détruit, ce qui, après tout, était la première promesse électorale du Président Trump. Souhaitons que la même chose arrive en France !


Écoutez l’intervention de Charles Gave sur Sud Radio, le 20/05/20 :



Auteur : Charles Gave

Economiste et financier, Charles Gave s’est fait connaitre du grand public en publiant un essai pamphlétaire en 2001 “ Des Lions menés par des ânes “(Éditions Robert Laffont) où il dénonçait l’Euro et ses fonctionnements monétaires. Son dernier ouvrage “Sire, surtout ne faites rien” aux Editions Jean-Cyrille Godefroy (2016) rassemble les meilleurs chroniques de l’IDL écrites ces dernières années. Il est fondateur et président de Gavekal Research (www.gavekal.com).




MILLIÈRE : Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19, vraiment ?

[Source : Québec Nouvelles]

Entrevue avec Guy Millière, distinguished Senior Fellow, Gatestone Institute, New York

Q : Les experts estiment que la campagne de Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19. Que pensez-vous de cela ?

Cela fait partie des éléments de désinformation constants énoncés contre Donald Trump. Jamais un président des États-Unis n’a été à ce point traîné dans la boue, diffamé, insulté. Quasiment tout ce qui se dit ou s’écrit sur Donald Trump est un exercice de haine aveugle et d’incitation à la haine. J’ai écrit récemment que Donald Trump était traité dans les grands médias de gauche, autrement dit dans quatre-vingts pour cent des médias américains, et dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des médias français ou canadiens comme l’est le personnage d’Emmanuel Goldstein dans le 1984 de George Orwell, avec la différence que dans 1984, le personnage d’Emmanuel Goldstein subit deux minutes de haine, alors que pour Trump, les deux minutes durent vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Donald Trump a laissé la gestion de la pandémie aux gouverneurs de chacun des cinquante États du pays, et nul ne rappelle que c’est ce qu’exige la Constitution : les États-Unis sont une fédération d’États. Certains États ont bien géré la situation, d’autres l’ont très mal géré, et les chiffres montrent que la gestion a été désastreuse dans l’État de New York et le New Jersey. Donald Trump a tenu d’un bout à l’autre de la pandémie un discours destiné à donner du courage au peuple américain : les diffamateurs disent qu’il a sous-estimé la pandémie, ce qui est faux et odieux, et auraient préféré sans doute qu’il se terre dans un sous-sol et dise aux Américains qu’ils allaient tous mourir, ce qui aurait été indigne d’un chef d’État. Donald Trump a suivi les recommandations des plus grands experts américains en matière d’infection, et les recommandations n’ont pas toujours été optimales, mais ce sont les experts qui sont fautifs, pas Donald Trump. J’ajouterai que Donald Trump a fait produire tests, respirateurs, équipements, en un temps record, grâce à son expérience de grand chef d’entreprise. La gauche américaine, sans aucun scrupule, a utilisé la pandémie comme un moyen de diffamer davantage encore Donald Trump. Elle l’a utilisée aussi pour s’efforcer d’infliger autant de dommages que possible à l’économie américaine, en pensant qu’une économie en ruine desservirait Donald Trump. Quand l’économie américaine a commencé à se redresser, la gauche américaine a eu recours aux émeutes et au pillage. Toutes les grandes villes démocrates ont été ravagées. Des services de police entiers ont été démantelés. À force de répétitions incessantes par les grands médias de gauche, la désinformation a laissé des traces dans les têtes, et une partie de la population américaine pense que Donald Trump a mal géré les choses : cela montre que ce que dit la vieille phrase: « calomniez, il en restera toujours quelque chose » est toujours pertinente.

Q : Malgré les sondages qui donne une bonne avance à Biden, estimez-vous que Donald Trump sera réélu le 3 novembre et pourquoi ?

Je pense que les sondages ne reflètent pas la réalité. Il est possible que le résultat soit serré et se joue à quelques dizaines de milliers de voix près. La population américaine a changé et continue à changer. Des millions de jeunes gens ont le cerveau lavé par leurs professeurs au lycée et à l’université et rêvent de socialisme, sans savoir de quoi il s’agit. Les minorités ethniques se font plus nombreuses et votent pour le parti qui leur promet de faire payer les riches et de redistribuer davantage. Mais les États-Unis n’en sont pas au point où une immense majorité pourrait voter pour un vieillard sénile et corrompu et pour une gauchiste sentimentale, sans rien savoir du programme qu’ils portent, et qu’ils cachent sous des mensonges constants. La population américaine étant ce qu’elle est aujourd’hui, le risque d’une victoire de Biden existe, mais les sondages donnant 12 ou 14 points d’avance à Biden me semblent biaisés et destinés à tenter de démoraliser les électeurs de Trump. Si Biden avait cette avance, il devrait logiquement remporter 50 états sur 50, et c’est une perspective ridicule. Je parle de risque en évoquant l’élection de Biden, car le programme du parti démocrate est un programme d’extrême gauche qui, s’il était mis en œuvre, briserait la reprise économique qui s’opère actuellement aux États-Unis, détruirait la Cour Suprême, donc les institutions américaines dont la Cour Suprême est la clé de voûte, et sur un plan international laisserait le champ libre à la Chine qui cherche l’hégémonie mondiale et à l’Iran des mollahs qui cherche l’hégémonie régionale au Proche-Orient. Pour l’heure, partout dans le pays, des centaines de milliers de gens soutenant Trump et comprenant ce qui est en jeu se mobilisent. Biden n’attire personne. Des gens voteront contre Trump, pas pour Biden. Tout est possible. La réélection de Trump, l’élection de Biden, des résultats contestés. Il est possible qu’on ne sache pas le résultat le 3 novembre au soir. Des fraudes sont en cours. Des bulletins de vote par correspondance disparaissent ou sont détruits. La gauche américaine est dans une logique de prise de pouvoir par tous les moyens.

Q : Selon vous, qui a remporté le débat des candidats à la vice-présidence ?

Je n’accorde pas une importance excessive aux débats. Cela dit, sur le plan du comportement, une grande majorité d’Américains ont trouvé les mimiques et grimaces de Kamala Harris désagréables et déplacées. Kamala Harris a aussi beaucoup menti, refuse de répondre à des questions essentielles, telles celles concernant la Cour suprême, et reprise à son compte des propos diffamatoires dont il a été démontré qu’ils étaient sans fondements. Mike Pence a été calme, courtois et a réfuté les mensonges de Kamala Harris en s’appuyant sur des faits, ce tout en énonçant les positions de principe de l’administration Trump de manière claire et nette, et il a donc remporté le débat. Les commentateurs de gauche ne s’y sont pas trompés et ont tenté de faire diversion en accusant Pence d’avoir été machiste en réfutant les mensonges de Kamala Harris, et en insistant beaucoup sur une mouche qui s’est posée sur la tête de Mike Pence. La modératrice était démocrate, et ses questions étaient très orientées, mais elle a été moins outrancière que Chris Wallace (lui aussi démocrate) lors du débat Trump-Biden, et Pence n’a pas eu à prendre la parole par effraction.

Q : Quel bilan faites-vous du premier mandat de Donald Trump ?

Donald Trump a accompli immensément en moins de quatre ans. L’économie américaine en mars 2020 ne s’était jamais aussi bien portée depuis plus de cinquante ans. Il y avait de la croissance, des investissements et le plein emploi. La sécurité mise à mal sous Obama revenait dans tout le pays, sauf dans les villes démocrates. L’immigration clandestine était largement jugulée. À l’étranger, Donald Trump a détruit l’État islamique et, privant le terrorisme islamique de bases d’entraînement, a réduit à quasiment rien les risques d’attentats terroristes sur la planète. Il a asphyxié le régime iranien, ce qui a stabilisé le Proche-Orient. Il a commencé à endiguer la Chine, en faisant face au danger représenté par celle-ci. Il a posé les jalons d’une paix entre Israël et le monde arabe sunnite. S’il est réélu, il rentrera dans l’histoire comme l’un des très grands présidents des États-Unis. Il a fait ce qu’il a fait en étant l’objet d’une campagne de déstabilisation incessante de la part d’une gauche déchaînée qui a mené contre lui un coup d’État rampant. L’utilisation politique de la pandémie par la gauche américaine devrait invalider moralement celle-ci : on ne joue pas avec la vie des gens pour des motifs politiques. Le recours aux émeutes ensuite devrait invalider moralement la gauche américaine davantage encore : les émeutes ont fait cent morts et occasionné des milliards de dollars de dégâts. Les démocrates se sont faits complices des émeutiers et ne les ont jusqu’à présent jamais dénoncés. Les médias du monde entier n’ont cessé de mentir sur tous les sujets abordés dans cet entretien. C’est pour rétablir la vérité, pour remettre les faits à leur place que j’ai écrit un livre qui vient de paraître en France. J’y explique ce qu’est devenu le parti démocrate, comment la gauche s’est emparée des médias et de la culture aux États-Unis, comment s’est déroulé le coup d’État rampant contre Trump, ce qu’a accompli Trump en politique intérieure et en politique étrangère, qui sont Joe Biden et Kamala Harris et ce que sont les enjeux de l’élection du 3 novembre. Quiconque veut comprendre doit lire le livre. Qui veut rester dans la haine et l’ignorance peut s’abstenir. J’ai appelé le livre « Après Trump ? » Et je dis : après Trump, il y aura Trump encore et ce qu’il lui reste à accomplir, ou il y aura la gauche américaine, et ce sera très différent.




Dépassés par la peur, les américains fuient les grandes villes avant le jour du scrutin : les autorités se préparent à une Violence Extrême !

[Source : Le Grand Changement]

 

Par Michael Snyder

Serez-vous en sécurité là où vous êtes actuellement si les résultats des élections provoquent un incroyable chaos dans les rues de nos grandes villes ? Beaucoup d’américains commencent à être extrêmement préoccupés par leur propre sécurité à l’approche du 3 novembre, car ils voient très clairement ce qui se profile. Tout le monde se rend bien compte qu’il va falloir beaucoup plus de temps pour compter sérieusement tous les votes parce que des dizaines de millions d’américains votent par courrier cette fois-ci, et les deux parties ont recruté des centaines d’avocats et sont prêts à contester les résultats, sachant qu’ils se battront jusqu’au bout même si le combat sera long et sans pitié. 

Peu importe qui finira par être déclaré vainqueur une fois que tout sera terminé, il y aura des millions et des millions d’électeurs très en colère qui auront probablement l’impression qu’on leur a volé les élections, et c’est ça qui sera à l’origine de troubles civils monstrueux dans toutes les grandes villes américaines. J’aurais vraiment souhaité que l’on puisse revenir en arrière et faire les choses différemment afin d’éviter d’avoir à faire face à ce genre de scénario, mais il est trop tard pour cela maintenant. Plus de 27 millions d’américains ont déjà voté et de très nombreux autres sont en train de voter tous les jours. Toute tentative de corriger le processus de ce type d’organisation de votes devra attendre les prochaines élections et il semble évident qu’il va falloir y remédier.

Je dois vous dire que c’est très dur pour moi d’avoir à écrire cet article en stipulant qu’il y a une réelle possibilité d’énorme violence lors de ces élections présidentielles américaines, mais c’est pourtant la réalité, nous en sommes là aujourd’hui.

En fait, la violence dont je parle est déjà plus que présente dans les rues en ce moment.

Mais il va falloir réagir face à cette gangrène qui se développe, car je pense que la violence n’a jamais rien résolu.

Malheureusement, un nombre croissant de personnes n’écoute pas la voix de la raison et nous observons la colère et la frustration monter à des niveaux que nous n’avions encore jamais vu auparavant.

À ce stade, la plupart des américains s’attendent au pire. Pour être plus précis, une enquête récente a révélé que 55% de tous les électeurs inscrits s’attendent à une augmentation de la violence après l’élection…

Dans l’enquête YouGov, environ 55% des électeurs inscrits ont déclaré qu’ils pensaient que la violence augmenterait aux États-Unis après l’élection présidentielle du 3 novembre.
Un peu moins de 11% des personnes interrogées ont déclaré ne pas s’attendre à une augmentation de la violence après les élections, tandis que 33% des électeurs n’étaient pas sûrs.

Plus alarmant encore, une enquête différente a révélé que plus de 40% des démocrates estiment que la violence serait au moins un peu justifiée si leur parti finissait par perdre…

En septembre, 44% des républicains et 41% des démocrates ont déclaré qu’il y serait presque normal qu’il y ait un peu de violence si le candidat de l’autre parti remportait les élections.

Si seulement ces chiffres étaient faux, mais cela me désole complètement car tout est vrai.

Alors que le jour du scrutin approche, de nombreux américains ont décidé que la meilleure chose à faire était de sortir. Par exemple, une résidente de New York âgée de 31 ans restera chez ses parents le jour du scrutin car elle pense que la ville sera en feu si Trump gagnait les élections…

Andrea, 31 ans, résidente de Flatiron, a également décidé de faire ses valises avant le 3 novembre. « Je suis allée chez mes parents dans le New Jersey pendant environ deux semaines lorsque les manifestations du BLM ont commencé à mal tourner et que les pillages ont démarré. Donc, je vais à nouveau quitter New York la semaine des élections », a déclaré la spécialiste en ressources humaines, une républicaine qui a demandé que son nom de famille ne soit pas mentionné. « Je pense que si Trump gagne, ce sera le chaos total – la ville sera à feu et à sang. Les gens vont devenir complètement fous. »

Ooana Trien, 42 ans, envisage de passer le jour du scrutin à l’extérieur de la ville car elle craint que les manifestants essaieront d’incendier la Trump Tower…

La partisane de Trump, qui a envoyé son vote par courrier, envisage d’ouvrir ses portes à d’autres personnes qui cherchent à s’échapper. « J’ai dit à mes amis que quiconque voulait sortir de la ville était le bienvenu ici. Une amie qui vit à Washington Heights va voter le matin du 3 novembre et viendra directement à la plage. Ma mère pense que si Trump gagne ou perd, les manifestants essaieront de brûler la Trump Tower ».

Les autorités chargées de l’application de la loi dans tout le pays sont également profondément préoccupées par le risque éventuel de très fortes violences.
Par exemple, dans le New Jersey, les responsables ont prévenu que nous pourrions devoir faire face à des trouble civils entraînant des émeutes, des actes d’extrême violence et donc aussi des décès…

« Les retards et les recomptages des résultats électoraux pourraient entraîner des protestations et des tentatives d’occupation des bureaux électoraux », ont averti des responsables du Département de la sécurité intérieure et du New jersey après avoir fait une estimation des menaces possibles qui ont été publiées vers la fin du mois de septembre.
Les incidents de troubles civiles qui ont menés à de véritables émeutes, des actes de violence et des décès convergeront avec l’incertitude électorale, produisant des affrontements entre manifestants et leurs opposés qui remettront en cause les résultats des élections », a-t-il noté.

Oui effectivement, vous avez bien lu.

Ils ont carrément utilisé le mot « décès ».

A New York, les résidents ont été secoué par une fuite d’un mémo du NYPD qui mettait en garde contre de violentes manifestations du 25 octobre jusqu’au début 2021…

Les New-Yorkais sont à bout après qu’une note de service du NYPD, obtenue par The post, a révélé cette semaine que la police se prépare à ce que les manifestations commencent dès le 25 octobre et s’intensifient jusqu’à l’année prochaine. Le département a décrété que les officiers de police devraient être prêts à être déployés », ajoutant ceci : « Ce 3 novembre sera l’une des élections présidentielles les plus disputées de l’ère moderne. Il y a également de fortes chances que le vainqueur de l’élection présidentielle ne soit pas décidé avant plusieurs semaines. »

Dans l’Arizona, le responsable de la sécurité de l’information du comté de Maricopa encourage les gens à demander aux autorités chargées de l’application de la loi de disposer d’un numéro abrégé au cas où quelque chose de critique se produisait…

« Assurez-vous de contacter les forces de l’ordre et de dire, le jour du scrutin et aux alentours, quel sont les solutions ? » Il a dit ceci : « Avez-vous une liste de contacts d’urgence ? Avez-vous votre service de police, votre shérif, qui que ce soit, prêt à répondre à toute sorte de menace ? »

Le jour du scrutin, des démocrates s’attendent à ce que Joe Biden gagne, et beaucoup d’entre eux prévoient toujours une majorité écrasante.
Bien sûr la plupart des républicains pensent que les sondages nationaux sont à nouveau complètement faux et que le président Trump en sortira vainqueur.

En fin de compte, un camp aura tort et la déception qu’il ressentira sera très, très douloureuse.
Nous nous souvenons tous des émeutes auxquelles nous avions assisté plus tôt cette année, et beaucoup pensent que ce qui nous attend pourrait être bien plus grave.

En 2020, les ventes d’armes à feu ont atteint des niveaux jamais vus auparavant, et de nombreux américains se retrouvent à acheter des armes pour la toute première fois. L’une des ces primo- accédante est une mère célibataire de 44 ans nommée Andreyah Garland…

Andreyah Garland, une mère célibataire de 44 ans avec trois filles, a acheté un fusil de chasse en mai pour se protéger dans la pittoresque ville de la classe moyenne de Fishkill, New York. Elle a rejoint un nouveau club de tir local qui se développe dont les membres se multiplient à un rythme étonnant pour mieux apprendre à tirer.

Selon Reuters, « une élection potentiellement contestée dont beaucoup craignent qu’elle pourrait déclencher de la violence », a joué un rôle dans sa décision d’acheter une arme à feu…

Comme de très nombreux autres acheteurs pour la premières fois qui contribuent à des ventes record pour l’industrie américaine des armes à feu cette année, la décision de Garland de prendre les armes est en partie motivée par des nouvelles inquiétantes concernant la pandémie de coronavirus, les troubles sociaux liées aux meurtres de noirs par la police et une élection potentiellement contestée que beaucoup craignent pouvant déclencher de graves violences.
« Avec tout ce qui se passe en ce moment autour de nous », dit-elle, « vous comprenez mieux ce besoin soudain ».

Si vous pouviez revenir 50 ans en arrière, et dire aux américains ce que seraient les conditions de vie en 2020, la plupart d’entre eux ne vous auraient jamais cru.

La société américaine est en train de s’effondrer littéralement sous nos yeux, et je ne pense pas que quiconque puisse empêcher un tel déclin sociétal.

Bien sûr, ces élections vont avoir lieu et il y en aura d’autres j’espère, mais l’instabilité sociale dont nous sommes témoins s’aggravera, et à ce stade, tout le monde devrait pouvoir constater que l’Amérique se dirige droit vers un avenir plus qu’apocalyptique.

Source [en anglais] : theeconomiccollapseblog




Trump sera réélu. Voici pourquoi

[Source : Réseau International]

par Serge Charbonneau.

Oui, Donald Trump sera réélu haut la main.

Il n’y a aucun doute possible.

Voici pourquoi.

Donald Trump n’est pas un politicien et c’est pourquoi l’une des principales raisons de sa réélection n’est pas du tout politique.

Il sera réélu parce que « le peuple l’aime[1] » ! 

Eh ! Oui ! La principale raison pourquoi Trump sera réélu c’est qu’il est aimé ![2] Une raison absolument non politique.

Il est aimé comme une « rock star » peut être aimée. Il remplit les tarmacs[3] partout où il atterrit avec son Air Force 1Voyez ces nombreuses foulespartoutpartout[4].

Les cinq années de vomi sur Donald Trump de la part de tout l’establishment oligarchique mondialiste aidé de leurs gros canons médiatiques a eu un effet passionnel tant vers la haine que vers l’amour.

On a eu beau vomir copieusement chaque jour, chaque heure, et même chaque minute sur Donald Trump, et ce, de façon terriblement soutenue et constante partout, sur toutes les grandes chaines et sur toutes les plateformes, télé, radio, internet et sur toutes les émissions, de l’information à la culture en passant par les émissions de cuisine et de rénovation qu’on n’a pas réussi à le faire haïr par tous.

Ceux qui le haïssent viscéralement, comme atteint d’une maladie mentale sérieuse et inexplicable, ne le connaissent pas, ne le suivent pas et ne veulent surtout pas le connaître.

Par contre ceux et celles qui le suivent et qui sont touchés par ses nombreuses politiques mises en place pour le peuple, l’adorent et le bénissent[5].

Eh ! Oui ! C’est la passion des deux côtés.

Mais outre la passion, il y a aussi le résultat politique et économique de son administration.

Jamais un président n’aura tenu ses promesses aussi solidement. Voilà une autre des raisons majeures de sa réélection.

Tous ceux et celles qui ont voté pour lui en 2016 vont revoter pour lui avec un enthousiasme décuplé parce qu’absolument personne n’a été déçu. 

Plusieurs ont voté pour lui en 2016 par dépit. Ces gens écœurés des guerres et des mensonges classiques répétés ont opté pour cet individu sans expérience politique et qui avait des allures de clown de carnaval. Les gens jouaient le tout pour le tout et prenaient la chance d’élire ce bouffon télévisuel animateur-promoteur de match de lutte[6].

Quatre années plus tard, le bouffon a fait ses preuves. Sa sincérité s’est avérée. Il n’a pas déçu et a rempli une à une absolument toutes ses promesses.

La réussite économique est notable. Les cotes boursières fracassent constamment de nouveaux sommets. Le niveau d’emploi, jusqu’à la fermeture de l’économie due à cette politique mondiale imposée par la stratégie mondialiste du covid, atteignait des maximums inégalés, et ce, en particulier dans les milieux indigents, entre autres les banlieues des communautés ethniques défavorisées.

L’une des principales promesses de Donald Trump fut tenue. Il a mis fin aux traités de libre-échange qui dévastaient l’économie locale américaine. Par des mesures douanières nationalistes, il a récupéré les emplois que plusieurs entreprises américaines avaient délocalisés afin de maximiser leurs profits au détriment des travailleurs américains. Finie la production de produits américains « Made in China ». C’est le retour du « beautifull » « Made in the USA ».

Si les compagnies américaines veulent produire à l’étranger, ils ne pourront plus vendre leurs produits faits ailleurs sans une taxe d’importation élevée. Une politique efficace pour donner aux compagnies américaines « le goût du patriotisme ». Trump, comme un bon lutteur, a su leur tordre le bras pour leur faire comprendre où ils trouveraient dorénavant leur profit.   Leur profit n’est plus en Chine ou au Mexique ou même au Canada, mais bien aux USA.

Jobs ! Jobs ! Jobs ! 

Un résultat spectaculaire !

Surtout pour les communautés délaissées.

Les « Opportunity Zones »[7] 

Par des mesures fiscales assouplies et de l’investissement ciblé[8], ce programme met en place des structures favorisant l’entreprise dans des zones longtemps défavorisées.

57 pour cent des zones ciblées sont des zones où il y a des communautés noires ou hispaniques. Des zones où la pauvreté sévit depuis des lustres[9]. Des zones où le chômage est chronique, la scolarité peu élevée et la violence qu’entraine ce désœuvrement est bien présente.

Les « Opportunity Zones »[10] ont été un souffle d’espoir et dans bien des cas une marche vers la réussite.  Donald Trump a su ainsi montrer à ces minorités sa sincère volonté à améliorer leurs conditions de vie. Cette réussite[11] lui a fait gagner beaucoup de votes du côté des minorités afro-américaines et hispaniques.

Cette politique a été aussi soutenue par plusieurs gouverneurs démocrates, entre autres, Phil Murphy du New Jersey et par le sénateur démocrate Cory Booker[12].

Autre politique lui faisant gagner les cœurs de la communauté noire est le « Criminal Justice Reform »[13].

Un programme qui touche surtout les communautés noires et hispaniques défavorisées. Une bonne partie de la population carcérale est composée par les citoyens de ces communautés. Des gens devant purger des sentences interminables pour des délits souvent mineurs comme pour exemple la simple possession de drogue.

Le programme révise les sentences et gracie les prisonniers exemplaires ayant suffisamment purgé leur peine. Donald Trump accorde ainsi à plusieurs individus une seconde chance.

Le 1er avril 2019, Donald Trump recevait à la Maison-Blanche quelques-uns de ces prisonniers pouvant bénéficier d’une deuxième chance.  Il leur donnait même la parole[14].

Cette réforme fut un projet bipartisan auquel les démocrates ont participé à la grande satisfaction de Donald Trump[15].

Toujours pour montrer sa volonté sincère à améliorer la condition de vie des Afro-Américains, Donald Trump décrète un budget permanent pour les collèges et universités noires[16].

Donald Trump que l’on dit raciste et même suprématiste blanc donne plusieurs chaleureuses conférences dans les universités et collèges noirs[17].

Il est évident que le vote des communautés délaissées sera plus considérable qu’en 2016. Ces gens ont réellement bénéficié d’une écoute notable du Président[18] ainsi que des politiques de l’administration Trump. Le mouvement « Black for Trump » met toute son énergie pour accorder à Donald Trump « Four more years ».

L’administration Trump comprend plusieurs grands représentants noirs, l’un d’eux est le Docteur Ben Carson. Celui-ci avec son charisme sympathique et craquant et son sens de l’humour fin et pointu est un allié solide et un atout notable pour Donald Trump-dit-le-raciste. Il faut vraiment écouter la présentation que Ben Carson offre à Donald Trump lors de sa rencontre avec la communauté noire d’Atlanta. M. Carson attaque en disant qu’il faut du courage aux Noirs pour oser montrer qu’ils appuient ce « raciste » (sic) qu’est Donald Trump.  Prenez le temps de l’écouter ici[19].

À ces votes s’ajoute le vote religieux. Ces communautés noires sont passablement religieuses et plusieurs pasteurs convaincus et surtout convaincants travaillent ardemment à la réélection de Donald Trump[20].

Non seulement les Noirs, mais toute l’Amérique croyante est derrière Donald Trump. Ce filon électoral n’est pas négligeable.

Autre lobby important, le lobby juif. Le coup du transfert de l’ambassade US à Jérusalem et la déclaration concernant le Golan est important et assure la fidélité de ces puissantes gens.

La reconnaissance de Jérusalem comme étant la Capitale d’Israël[21] par le transfert de l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem est une promesse faite par tous les présidents précédents[22].

Le rapatriement des GIs qui faisaient des guerres sans fin au loin est un autre excellent coup de Donald Trump pour s’assurer du vote des Vétérans et des familles de militaires.  En plus de ce retour réjouissant des valeureux guerriers, les dépenses pour leur offrir le dernier cri des armes modernes toutes faites «Made in USA» plaisent aux militaires. Des armes que Trump dit vouloir ne jamais être obligé de les employer.

Autre point majeur en faveur de Donald Trump est la faiblesse incroyable de son opposant.

Creepy Joe[23] est clairement sénile et a une feuille de route loin de la virginité. Les démocrates ne pouvaient choisir pire. Biden, en plus d’être le politicien classique le plus nul qui soit, n’a pas fait campagne. La stratégie démocrate est absolument renversante.  Une stratégie tellement incroyable qu’elle engendre les théories les plus folles, comme celle de voir au dernier moment Biden déclaré incapable suite à un accident ou une faiblesse soudaine et remplacé au pied levé par la pétillante Michelle Obama.

Autre volet très important dans cette campagne électorale, la folie dictatoriale du covid.

On ne peut dissocier les deux dossiers. Cette folie du covid est venue mêler les cartes lors de cette campagne. Tout allait trop bien pour Donald Trump, le covid est arrivé comme une bénédiction pour ses opposants.

Par ce virus, on a pu mettre fin aux rallyes de Trump qui faisaient littéralement boule de neige.

Par ce virus, on a pu remettre à zéro le succès économique de l’administration Trump. Le niveau des emplois qui atteignait des sommets a été réduit à néant. La fermeture carabinée des entreprises et des commerces a détruit en un claquement de doigts la réussite économique des trois années de Trump.

Et on maintient toujours cette menace virale bien active pour tenter de persister à démolir le succès de Trump et briser son élan de campagne.

Mais cette stratégie se tourne contre les démocrates et j’oserais dire contre ce « Deep State » mondialiste contre lequel Donald Trump se bat depuis cinq ans. Les gens en ont marre de cette folie et veulent retrouver la vie normale. Et Donald Trump, du haut de ses 74 ans et ayant fièrement vaincu le terrible virus dit « mortel », se retrouve maintenant en position de force. Il a démontré de sa personne qu’on pouvait vaincre facilement ce terrible virus dit « mortel ». Des MÉDICAMENTS EFFICACES EXISTENT ! Même une cure régénératrice est disponible et Trump la met GRATUITEMENT à la disposition de tous ceux qui pourraient en avoir besoin.

Donald Trump se retrouve donc avec un autre vote sérieux. Celui des gens qui en ont assez et qui veulent LE RETOUR À LA VIE NORMALE.

Donald Trump en plus d’être un président ayant un bilan exemplaire est devenu le candidat de l’espoir du retour à la normalité.    

En conclusion, si on additionne, tous ces points indéniables et véritables en faveur d’une réélection de Donald Trump il en résulte que Donald Trump sera réélu haut la main. La seule façon que les démocrates pourraient remporter cette élection est par la fraude.

Bien entendu, on peut prévoir des coups fourrés.

Le dernier débat aura-t-il lieu ?

Si oui, aura-t-il lieu en personne et non à la caméra (et télésouffleur pour Biden) ?

Biden va-t-il rester en santé pour être présent pour l’élection ? Devra-t-on le remplacer au dernier moment ?

Les bulletins postaux vont-ils favoriser une fraude massive pouvant renverser la vapeur ?

Si tout se déroule démocratiquement et dans les règles du savoir-vivre démocratique, il faut prévoir, non pas une deuxième vague du covid, mais bien une deuxième vague électorale rouge.

Oui, le 3 novembre, il y aura une énorme vague rouge, a big red wave !

En complément à ce survol, je vous invite à lire mon analyse de la situation il y a quatre ans afin de vous rappeler pourquoi on votait pour Trump en 2016[24].

Vous verrez à quel point les électeurs ne peuvent pas avoir été déçus. Jamais un président n’a autant tenu de promesses.

En 2016, les électeurs avaient fait un énorme doigt d’honneur à ces manipulateurs de conscience qui mettaient tout en œuvre pour faire détester Donald Trump. Je vous invite aussi à lire avec attention le texte publié au lendemain de l’élection de 2016 intitulé « Le plus grand Fuck You ! »[25]. Vous y retrouverez une description détaillée du travail des ordures médiatiques à qui la population américaine a fait un doigt d’honneur. Je crois qu’il est important de se rappeler ce travail et de bien voir qu’il se poursuit toujours sur différent plan.

Salutations,

Serge Charbonneau 

Québec

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[1] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[2] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[3] Trump Rally Crowd in Ocala, FL 10/16/20

[4] The Cameras Pan At Donald Trump Rally In Florida President Trump Signs the HBCU Executive Order

Trump Rally Crowd is UNBELIEVABLE in Swanton, Ohio

21 septembre 2020

Trump Asks Media to Show Full Crowd in Reno, Nevada.

12 septembre 2020

[5] Crowd Erupts in « We Love You » Chant to Trump

[6] The Battle of the Billionaires takes place at WrestleMania 23

[7] President Trump Participates in a Signing Event for an Executive Order

[8] Senator Tim Scott: We’re bringing job creators to the worse economic areas of the country

[9] Opportunity Zones: Will Tax Break for Investors Benefit Communities Too?

[10] Opportunity Zones

A new national community investment program that connects private capital with low-income communities across America

[11] Making Opportunity Zones Work for Black Communities

[12] Senator Booker and Governor Murphy on Opportunity Zones

[13] President Donald Trump Signs Historic Criminal Justice Reform Law | NBC Nightly News

[14] President Trump Remarks at White House Prison Reform Summit

[15] President Trump Makes Remarks On Criminal Justice Reform From The White House

[16] President Trump Signs the HBCU Executive Order

[17] President Trump speaks at historically black colleges and universities conference – 09/10/2019

[18] President Trump’s Platinum Plan for Black communities!

[19] Ben Carson introduces President Trump at ‘Black Voices for Trump’ rally in Atlantahttps://www.youtube.com/embed/U2XO-gpv6xE?enablejsapi=1&autoplay=0&cc_load_policy=0&iv_load_policy=1&loop=0&modestbranding=0&rel=1&fs=1&playsinline=0&autohide=2&theme=dark&color=red&controls=1&

[20] « NOT A RACIST » Black Pastors PRAY and DEFEND President Trump In Atlanta

[21] Reminder: U.S. Presidents Have Promised to Move the U.S. Embassy to Jerusalem For Decades

Obama: Jerusalem Will Be Israel’s Capital

[22] Montage: Past Presidents Promise to Move U.S. Embassy to Jerusalem

[23] Watch Joe Biden give an endless hug to Hillary Clinton

[24] Texte publié quelques semaines avant l’élection de 2016 :

Pourquoi on vote pour Trump ?

[25] Le plus grand « FUCK YOU »  (publié en le 10 novembre 2016)




L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »

[Sources : Guy Boulianne et Le blog de Jeanne Smits]


[Le blog de Jeanne Smits]
Vous trouverez ci-dessous la lettre que vient d’envoyer Mgr Carlo Maria Viganò au président des Etats-Unis, Donald Trump, pour l’encourager à tenir bon face aux forces du mal qui se déploient pour mettre en place le Great Reset, la Grande réinitialisation, au moyen d’une dictature sanitaire inédite. Je remercie le lecteur de mon blog qui a bien voulu me transmettre sa traduction française du texte d’abord publié en anglais par LifeSiteNews. Il s’agit pour l’heure d’une traduction non officielle de cet appel à l’espérance. – J.S.


[Guy Boulianne]
[Traduction Benoît & Moi]  À la veille de l’élection présidentielle américaine, et au moment où la pandémie du covid a permis l’imposition de mesures liberticides qui auraient été impensables il y a encore quelques mois, il devient moins facile de liquider comme complotistes ceux qui dénoncent le plan global de « Great reset » (Grande Réinitialisation) contre Dieu et l’homme dont les différentes formes de confinement en cours sont les prémisses sous les yeux de tous. L’ex-nonce à Washington s’adresse solennellement à l’homme en qui il voit – peut-être contre toute attente – celui que la Providence a choisi pour être le Katechon, empêchant l’accomplissement du « mystère d’iniquité ».

L’archevêque Carlo Maria Viganò s’est fait connaître sur la scène internationale en 2018 en tant que dénonciateur du Vatican, appelant le pape François à démissionner et l’accusant de couvrir des accusations d’abus sexuels contre des religieux de premier plan, dont le cardinal Theodore McCarrick, et de promouvoir un « courant homosexuel » dans la curie du Vatican.

En 2009, Carlo Maria Viganò fut nommé secrétaire général pour le gouvernorat du Vatican. À ce titre, il mit en place des procédures comptables, ce qui permit de dégager un déficit de 10,5 millions de dollars pour le Vatican et un excédent de 44 millions de dollars en un an. En 2010, Viganò proposa que la Cité du Vatican sorte de l’euro afin d’éviter de nouvelles réglementations bancaires. Le Vatican rejeta sa proposition et accepta les contrôles exigés ainsi que des réglementations bancaires plus strictes.

Au Vatican, il lutta contre la corruption et le népotisme, jusqu’à remettre en cause le cardinal Tarcisio Bertone, alors secrétaire d’État. Des documents confidentiels et des correspondances sont révélés aux yeux de tous, c’est le scandale du vatileaks. Dans certains de ces courriers, Viganò se plaint d’avoir été muté en 2011 comme nonce apostolique à Washington pour, selon ses dires, avoir révélé l’existence d’affaires de corruption, népotisme et favoritisme entre le Vatican et des partenaires italiens. D’autres pièces évoquent des conflits internes concernant la supervision de l’Institut pour les œuvres de religion, dont le président Ettore Gotti Tedeschi, accusé de « mauvaise gouvernance », a été limogé.

En janvier 2016, à 75 ans, il présenta sa démission en raison de son âge au pape François qui le 12 avril 2016 l’accepta. Mgr Christophe Pierre lui succéda à la tête de la nonciature.


« Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de “conspirationnistes” ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. » — Mgr Carlo Maria Viganò




Lettre ouverte au président des États-Unis Donald Trump

Dimanche, 25 octobre 2020
Solennité du Christ-Roi

Monsieur le Président,

Mgr Carlo Maria Viganò (blason)
« Je sais en Qui j’ai cru »

Permettez-moi de m’adresser à vous, en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris dans le silence des autorités civiles et religieuses: puissiez-vous accueillir mes paroles comme la « voix de celui qui crie dans le désert » (Jean 1:23).

Comme j’ai eu l’occasion de vous l’écrire dans ma Lettre en juin dernier, ce moment historique voit les forces du Mal déployées dans une bataille sans merci contre les forces du Bien; des forces du Mal qui semblent puissantes et organisées face aux enfants de la Lumière, désorientés et désorganisés, abandonnés par leurs chefs temporels et spirituels.

Nous entendons se multiplier les attaques de ceux qui veulent démolir les fondements mêmes de la société : la famille naturelle, le respect de la vie humaine, l’amour de la patrie, la liberté d’éducation et d’entreprise. Nous voyons les dirigeants des nations et les chefs religieux soutenir ce suicide de la culture occidentale et de son âme chrétienne, tandis que les citoyens et les croyants sont privés de leurs droits fondamentaux, au nom d’une urgence sanitaire qui se révèle de plus en plus une instrumentalisation pour l’instauration d’une tyrannie inhumaine sans visage.

Un plan global, appelé Great Reset, est en voie de réalisation. Les artisans en sont une élite qui veut soumettre l’ensemble de l’humanité, en imposant des mesures coercitives qui limitent drastiquement les libertés des personnes et des peuples. Dans certains pays, ce projet a déjà été approuvé et financé ; dans d’autres, il en est encore à ses débuts. Derrière les dirigeants mondiaux, les complices et les exécutants de ce projet infernal, il y a des gens sans scrupules qui financent le World Economic Forum et l’Event 201 [ndt: exercice de simulation de pandémie, mené en partenariat avec la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, qui a eu lieu en octobre 2019], en faisant la promotion de son programme.

Le but du Great Reset est l’imposition d’une dictature sanitaire visant à imposer des mesures liberticides, cachées derrière des promesses attrayantes d’assurer un revenu universel et d’annuler la dette des individus. Le prix de ces concessions du Fonds monétaire international devrait être la renonciation à la propriété privée et l’adhésion à un programme de vaccination contre les infections Covid-19 et Covid-21 promu par Bill Gates avec la collaboration de grands groupes pharmaceutiques. Au-delà des énormes intérêts économiques qui animent les promoteurs du Great Reset, l’imposition de la vaccination sera accompagnée de l’obligation d’un passeport sanitaire et d’une carte d’identité numérique, avec pour conséquence le suivi des contacts de toute la population mondiale. Toute personne qui n’accepte pas de se soumettre à ces mesures sera confinée dans des camps de détention ou assignée à résidence, et tous ses biens seront confisqués.

Monsieur le Président, j’imagine que cette nouvelle vous est déjà connue : dans certains pays, le Great Reset devrait être activé entre la fin de cette année et le premier trimestre de 2021. À cette fin, d’autres mesures de confinement sont prévues, officiellement justifiées par une deuxième et une troisième vague présumées de la pandémie. Vous savez quels moyens ont été déployés pour semer la panique et légitimer des restrictions draconiennes des libertés individuelles, provoquant habilement une crise économique mondiale. Dans les intentions de ses créateurs, cette crise sert à rendre irréversible le recours des États au Great Reset, donnant le coup de grâce à un monde dont on veut effacer complètement l’existence et la mémoire. Mais ce monde, Monsieur le Président, porte avec lui personnes, affections, institutions, foi, culture, traditions, idéaux : des personnes et des valeurs qui n’agissent pas comme des automates, qui n’obéissent pas comme des machines, parce qu’elles ont une âme et un cœur, parce qu’elles sont liées entre elles par un lien spirituel qui tire sa force d’en haut, de ce Dieu que nos adversaires veulent défier, comme Lucifer l’a fait au début des temps avec son « non serviam » (Je ne servirai pas).

Beaucoup – nous le savons bien – considèrent avec agacement cet appel au choc entre le Bien et le Mal, l’utilisation de tons « apocalyptiques », qui selon eux exaspèrent les âmes et aiguisent les divisions. Il n’est pas surprenant que l’ennemi se sente découvert au moment même où il croit avoir atteint sans être dérangé la citadelle à conquérir. Il est toutefois surprenant qu’il n’y ait personne pour tirer la sonnette d’alarme. La réaction du Deep State à ceux qui dénoncent son plan est incohérente, mais compréhensible. Juste au moment où la complicité des médias mainstream a réussi à rendre la transition vers le nouvel ordre mondial presque indolore et inaperçue, des tromperies, des scandales et des crimes sont mis au jour.

Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de « conspirationnistes » ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. Personne, jusqu’en février dernier, n’aurait jamais pensé qu’on en viendrait, dans toutes nos villes, à arrêter des citoyens pour le seul fait de vouloir marcher dans la rue, de respirer, de vouloir garder son négoce ouvert, d’aller à la messe le dimanche. Pourtant, cela se passe partout dans le monde, même dans cette Italie de carte postale que beaucoup d’Américains considèrent comme un petit pays enchanté, avec ses monuments anciens, ses églises, ses villes enchanteresses, ses villages caractéristiques. Et tandis que les politiciens sont barricadés dans leurs palais pour promulguer des décrets comme les satrapes persans, les activités font faillite, les magasins ferment, les gens sont empêchés de vivre, de se déplacer, de travailler, de prier. Les conséquences psychologiques désastreuses de cette opération sont déjà visibles, à commencer par les suicides d’entrepreneurs désespérés, et par nos enfants, séparés de leurs amis et de leurs camarades pour suivre leurs cours devant un ordinateur.

Dans l’Écriture Sainte, saint Paul nous parle de « celui qui s’oppose » à la manifestation du mystère d’iniquité, le kathèkon (2 Th 2:6-7). Dans le domaine religieux, cet obstacle est l’Église et en particulier la papauté; dans le domaine politique, c’est lui qui empêche l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Comme c’est désormais évident, celui qui occupe le siège de Pierre a, dès le début, trahi son propre rôle, pour défendre et promouvoir l’idéologie mondialiste, en suivant l’agenda de la Deep Church, qui l’a choisi dans son sein.

Monsieur le Président, vous avez clairement déclaré que vous vouliez défendre la nation – One Nation under God -, les libertés fondamentales, les valeurs non négociables qui sont niées et combattues aujourd’hui. C’est vous, cher Président, « celui qui s’oppose » au Deep State, à l’assaut final des enfants des ténèbres.

C’est pourquoi toutes les personnes de bonne volonté doivent être persuadées de l’importance capitale des prochaines élections : non pas tant à cause de tel ou tel point du programme politique, mais plutôt parce que c’est l’inspiration générale de votre action qui incarne le mieux – dans ce contexte historique particulier – ce monde, notre monde, que l’on voudrait effacer par le lockdown. Votre adversaire est aussi le nôtre : il est l’Ennemi de l’humanité, celui qui est « meurtrier dès le commencement » (Jean 8:44).

Autour de vous se rassemblent avec confiance et courage ceux qui vous considèrent comme l’ultime garnison contre la dictature mondiale. L’alternative est de voter pour un personnage manipulé par le Deep Stategravement compromis dans les scandales et la corruption, qui fera aux États-Unis ce que Jorge Mario Bergoglio fait à l’Église, le Premier ministre Conte à l’Italie, le président Macron à la France, le Premier ministre Sanchez à l’Espagne, etc. La possibilité de faire chanter Joe Biden – comme les prélats du « cercle magique » vatican – permettra de l’utiliser sans scrupules, consentant à des pouvoirs illégitimes de s’immiscer dans la politique intérieure et les équilibres internationaux. Il est clair que ceux qui le manœuvrent ont déjà quelqu’un de pire que lui prêt à le remplacer dès que l’occasion se présente.

Pourtant, dans ce tableau désolant, dans cette avancée apparemment inexorable de « l’Ennemi invisible », un élément d’espoir émerge. L’adversaire ne sait pas aimer, et ne comprend pas qu’il ne suffit pas d’assurer un revenu universel ou d’annuler les hypothèques pour assujettir les masses et les convaincre de se faire marquer comme du bétail. Ce peuple, qui a trop longtemps subi les abus d’un pouvoir haineux et tyrannique, redécouvre qu’il a une âme; il comprend qu’il n’est pas disposé à troquer sa liberté contre l’uniformisation et l’effacement de son identité; il commence à comprendre la valeur des liens familiaux et sociaux, des liens de foi et de culture qui unissent les honnêtes gens. Ce Great Reset est voué à l’échec parce que ceux qui l’ont planifié ne comprennent pas qu’il y a encore des gens qui sont prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, protéger leurs proches, donner un avenir à leurs enfants. L’inhumanité nivelante du projet mondialiste sera misérablement brisée face à l’opposition ferme et courageuse des enfants de la Lumière. L’ennemi a Satan à ses côtés, qui ne sait que haïr. Nous avons à nos côtés le Seigneur tout-puissant, le Dieu des armées déployées dans la bataille, et la Très Sainte Vierge, qui écrasera la tête de l’ancien Serpent. « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Romains 8:31).

Monsieur le Président, vous savez parfaitement combien les États-Unis d’Amérique, en cette heure cruciale, sont considérés comme le rempart contre lequel s’est déchaînée la guerre déclarée par les partisans du mondialisme. Mettez votre confiance dans le Seigneur, renforcé par les paroles de l’Apôtre : « Je peux tout en celui qui me donne la force » (Philippiens 4:13). Être un instrument de la divine Providence est une grande responsabilité, à laquelle correspondront certainement les grâces d’état nécessaires, ardemment implorées par les nombreux qui vous soutiennent par leurs prières.

Avec ce souhait céleste et l’assurance de ma prière pour vous, pour la Première Dame et pour vos collaborateurs, de tout cœur je vous adresse ma bénédiction

Que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique!

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire d’Ulpiana
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique


[Voir aussi : LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires]




Fraude électorale massive aux États-Unis

[Source : Strategika]

Contrairement à ce qu’affirme CNN, la chaîne d’information en continu basée à Atlanta, selon laquelle il est « impossible de truquer une élection américaine » et « qu’il n’y a jamais eu de preuve d’allégations similaires » en dépit de quatre années consécutives de matraquage sur l’influence russe, les présidentielles US de 2020 connaissent une fraude massive dépassant celles de 2000 (un cas d’école de référence jusqu’ici).

Le monde entier assiste à ce spectacle fort désolant et beaucoup d’observateurs estiment que le système politique US rouillé et périmé n’a jamais eu de fonctionnement démocratique même formel. L’usage de nouvelles techniques pour améliorer la fraude et la rendre indétectable n’a par contre jamais cessé de se perfectionner, notamment dans son volet relatif à l’ingénierie sociale.

La fraude du vote par voie postale est établie. Certains États permettent le vote par correspondance jusqu’au 12 novembre 2020 dans ce qui s’apparente comme une moquerie de la démocratie rappelant les faux tessons de vote de la Grèce antique (on y pratiquait la fraude électorale déjà à cette époque). D’autres suspendent le décompte des voix tandis que d’autres modifient les procès-verbaux à la dernière minute comme dans un pays caricatural du Tiers-monde. Cerise sur la gâteau, les médias coupent le président Donald Trump lorsqu’il tente de dénoncer ce simulacre d’élection, prouvant une fois de plus que le président des États-Unis d’Amérique n’est qu’un figurant d’un pouvoir réel caché qui ne s’embarrasse jamais à le rappeler à l’ordre, à lui montrer les limites de ses prérogatives fictives ou même à le liquider physiquement en cas de force majeure.

Les États-Unis ne sont pas une démocratie mais une ploutocratie oligarchique. Le système politique US bipartisan est aussi fermé que ne le furent les systèmes autocratiques les plus extrêmes. Quel que soient les défauts de Trump, on ne peut lui en vouloir d’avoir eu le mérite de dévoiler le système tel qu’il est en réalité et cette réalité est loin d’être confortable.

Les États-Unis sont le centre de l’Empire et cet empire s’effondre. Les néo-conservateurs et leurs alliés d’Europe se trompent lourdement s’ils croient que la désignation de Biden/Harris et du clan Obama/Clinton va redresser la barre ou remédier à une situation issue d’une dynamique historique irréversible. Le retour à la langue de bois et à la dictature du politiquement correct ne peuvent plus se substituer en tant qu’illusions à une réalité qui risque d’être fort fâcheuse : l’Empire s’effondre et cet effondrement risque de se traduire par une guerre civile d’une violence inouïe dont l’impact sur le reste du monde sera dévastateur.

La manipulation du COVID-19 était donc un des outils de cette lutte acharnée au sommet de l’Empire et ce n’est point un hasard si depuis quelques jours, un nouveau ayant pathogène tueur ayant des similitudes troublante avec la grippe espagnole et celle de Hong Kong est en train de faire des ravages en termes de vies humaines (tous les décès sont systématiquement attribués au COVID-19).

L’une des grandes leçons de cette élection est que sans ce que l’on appelle la « pandémie » du COVID-19, Donald Trump aurait facilement assuré sa réélection pour un second mandat.

Les médias, les géants US de l’internet comme Twitter et même la très ridicule Greta Thunberg (la manipulation du réchauffement climatique et la fraude au CO2) tentent rebâtir l’Empire du mensonge et l’image parfaite d’une chimère au milieu des ruines fumantes et de débris. Le mal est fait. Les populations ne sont plus aussi endormies qu’en 2000. Quel que soit l’aboutissement de cette mascarade électorale US, le Trumpisme continuera.

Pour les autres puissances dite « révisionnistes », le système politique US demeure l’un des plus pourris et corrompus de la planète terre. Les médias chinois soulignent que le spectacle des élections présidentielles US a toujours été d’un niveau comparable à ceux des scrutins de pays sous-developpés minés par la violence et la corruption. Du côté de Moscou, peu importe qui sera le vainqueur, le pouvoir réel ou l’État profond US ne changera pas et sera toujours hostile à la Russie.

Cependant cet électrochoc aura des conséquences inattendues sur les populations des États-Unis. Une partie de l’opinion US est déjà convaincue de la nécessité de se battre contre un système prédateur et usurpateur qui n’a rien d’américain. Le choix de la gérontocratie (Joe Biden est biologiquement usé et pourrait être remplacé par Kamala Harris, ce qui est planifié) en dit long sur les plans à court terme de L’État profond. Ironie du sort, la CIA et les autres agences du renseignement US ont appliqué aux États-Unis ce qu’ils avaient coutume de faire aux autres pays classés comme hostiles. Un retour de boomerang rappelant une lointaine malédiction mésopotamienne.

R.I.P USA

(1776-2020)




Piratage et virus intellectuel : l’anti-trumpisme conditionné

[Source : plumenclume.org]

[Auteur :] Sébastien Renault

« Avouer qu’on s’était trompé, c’est rendre le plus éclatant hommage à la perspicacité de son esprit. » 

(Gaston Bachelard)

Les enjeux de la nouvelle guerre civile étasunienne

À la suite de remarques de personnes peu informées quant à la réalité américaine et à l’étendue des fraudes électorales survenues outre-Atlantique pour éconduire à tous prix Donald Trump lors des dernières présidentielles, nous voudrions ici apporter quelques brefs éléments de contradiction face aux mantras de la haine anti-trumpienne conditionnée et à la chape de plomb de censure médiatique qui continue de peser sur nombre d’esprits. De fait, le véritable virus qui affecte aujourd’hui l’humanité est bien de type intellectuel en ce qu’il s’attaque à la pensée rationnelle, pour en contrecarrer d’abord les défenses naturelles, pour l’assommer ensuite à coups de mensonges stupéfiants et systématiques, et finalement la faire disparaître

Le vol de l’élection américaine, perpétré au milieu de la nuit dans plusieurs États décisifs au Collège électoral, ne s’est pas seulement produit avec le concours direct de milliers de tricheurs sur le terrain et de machines à voter piratées via internet, depuis l’étranger. En amont de ces activités criminelles aujourd’hui attestées[1], cela n’a pu effectivement se produire qu’avec l’assistance acharnée du covidisme médiatique, sous le contrôle de l’influence presque infrangible des technocrates de la désinformation numérique et de leurs toujours fidèles laquais médiatiques.

Les classes dirigeantes et leurs alliés médiatiques américains (la « Pravda » du parti démocrate) savent pertinemment qu’il ne faut pas tant « diviser » que divertir pour mieux régner. Divertir et par-là néantiser toute réflexion, faciliter la manipulation psycho-subliminale de l’opinion et s’assurer un contrôle mental en fin de compte très efficace des masses subjuguées à leur insu—par distillation programmée de divertissements conçus pour capter l’attention des gens, encore plus aujourd’hui sous régime covidique à peu près universel de confinements prolongés. 

La peur covidique a donc été parfaitement exploitée aux États-Unis comme arme de campagne électorale tirée du carquois des grands médias dominants, en vue d’en finir avec Trump. Des millions de voix américaines ont en conséquence été supprimées… Le leurre du suffrage universel en démocratie électoraliste, avec l’assistance opportune de la grippe chinoise mondialiste, ne pouvait certes que l’emporter sur la raison, le droit, et le pauvre peuple américain. Impossible d’empêcher Trump d’être réélu sans réunir tous les ingrédients de l’appareil de parti et de pensée unique washingtonien. Il ne restait plus aux associations criminelles de lobbystes, d’acteurs privés et internationaux à la solde de l’anti-trumpisme institutionnel, qu’à former une coalition idéologique et financière pour arranger et garantir la défaite de leur ennemi public numéro un (« l’abominable homme orange »). À en rester à la surface strictement médiatique des choses, ils ont d’abord gagné la bataille (du moins l’une des batailles). Mais ils n’ont certainement pas gagné la guerre. D’où l’accumulation d’audiences et de témoignages assermentés, pour ouvrir la voie à des procédures légales constitutionnelles, à commencer par la dé-certification des résultats officiels au niveau des Assemblées législatives, compte tenu de l’abondance des preuves d’activités criminelles et de bulletins de vote falsifiés dans tous les États litigieux.

Ce qu’ils n’ont certainement pas vu venir, dans leur obsession haineuse envers Trump, c’est l’ampleur du soulèvement d’un mouvement de contestation populaire aussi informé que déterminé à démanteler leur usurpation par la triche électorale en faveur de Joe Biden et de « Kabbalah » Harris. L’élan croissant de ce mouvement repose sur la cohérence interne de sa résistance patriotique, laquelle s’organise en ligne, sous forme de rassemblements publics, et devant les organes judiciaires et législatifs institués par la Constitution américaine.

On peut simplifier l’antagonisme fondamental de la nouvelle guerre civile psycho-civilisationnelle qui sévit aujourd’hui aux États-Unis sur la base du schéma conventionnel  « droite/gauche » :

–        D’un côté, la gauche libérale et « sociale-globaliste » de Biden caractérisée par une idéologie écologique exorbitante (selon le projet d’investissement et de refonte globale connu sous le nom de « nouvelle donne verte »), par la lutte identitaire ethno-genrée, par l’immigration sauvage et l’abolissement progressif des forces policières, par la dénaturation LGBTQ-iste de l’ordre sociétal-familial, et par le Veau d’Or du matérialisme financier adoré à Wall Street…

–        De l’autre, la droite conservatrice et « populiste » de Trump caractérisée par la réinstauration d’un ordre sociétal fondé sur la loi naturelle, par l’indépendance énergétique, par une philosophie de contre-ingérence militaro-industrielle, par son engagement à sécuriser les frontières étasuniennes (contre l’immigration clandestine, le trafic de drogue et d’êtres humains), par la résistance à la libre-circulation illimitée des capitaux, des marchandises (y compris humaines, vivantes et/ou en pièces détachées[2]) et des travailleurs en fonction des dictats des marchés transatlantique et transpacifique…

Fort de ces quelques attributs en guise d’arrière-plan de confrontation idéologique bien définie, les dernières élections américaines ont offert au monde une véritable démonstration de collusion de ploutocrates sans scrupules (Big Tech), de propagandistes médiatiques spécialisés dans le mensonge éhonté (Big Media), de groupes et lobbies sorosiens (BLM-istes, ANTIFA-istes), de l’empire médico-technocratique (Big Pharma), et de traîtres en tous genres—notamment ces acteurs politiques qu’on appelle « républicains de nom uniquement », ou « RINO » selon l’acronyme anglais. C’est un fait objectif, vérifiable, que les colporteurs habituels de fausses nouvelles ne peuvent bien sûr que feindre d’ignorer (ce qui va être de moins en moins possible). L’ordre établi par les élites washingtoniennes tente d’écraser le mouvement populiste initié en 2016 par l’accession d’un non-politicien à la présidence des États-Unis. Le canular de la « collusion » entre Trump et la Russie sert toujours de fondation à l’effort médiatique dirigé jour et nuit contre lui depuis plus de 4 ans. Le dinosaure Biden, politicien professionnel depuis 47 ans et soi-disant « catholique », est soutenu par le parti communiste génocidaire chinois. Corrompu jusqu’à la moelle, il n’est qu’une marionnette du système et un caméléon sans substance. Il menace, entre autres fléaux socio-économiques, de reconduire le confinement criminel s’il est élu.

Tout le monde, ou presque, comprend bien que Biden est l’incarnation politique inodore et incolore de la bourgeoisie marchande globaliste, le candidat de l’empire bancaire par excellence. Par conséquent Wall Street, Bill Gates et Jeff Bezos, entre autres milliardaires sans foi ni loi, soutiennent naturellement Biden et haïssent Trump.

La fausse « victoire » électorale de Biden sert donc désormais de vecteur à la violence oligarchique de la globalisation libérale, que le populisme trumpiste était parvenu à endiguer, ne serait-ce que partiellement.

À l’encontre des prédictions superficielles de certains observateurs enclins à analyser les enjeux des évolutions géopolitiques d’un point de vue a priori anti-américain, Trump est parvenu à freiner, neutraliser, et finalement enrayer au moins trois guerres potentielles en quatre ans de mandat—contre la Corée du nord, la Russie et le Venezuela. La persistance d’une idéologie messianique et guerrière sur fond de culture judéo-protestante en Amérique n’a pu avoir raison du magnat newyorkais, un « street fighter » de l’immobilier et des débats houleux, mais certainement pas le « va-t-en-guerre » inculte, irréfléchi et impulsif de l’imaginaire européen s’inspirant de clichés grossiers du libéralisme progressiste à l’américaine. Trump est en réalité un personnage très intelligent et stratégiquement rusé, tout-à-fait conscient des dangers de l’influence néoconservatrice, particulièrement en termes d’ingérence et d’invasion militaire.

Sans chercher l’exhaustivité, rappelons simplement, en toute objectivité factuelle, quelques hauts faits du premier mandat du 45e président américain, pour bannir les inepties populaires de l’anti-trumpisme conditionné.  

Des réussites économiques

D’un point de vue économique, l’honnêteté intellectuelle nous force à reconnaître les progrès significatifs accomplis par l’administration Trump.

Comme il l’avait annoncé durant sa campagne électorale en 2016, Trump a décidé judicieusement, dès 2017,  de  retirer les États-Unis de l’Accord de Paris, cette fédération internationaliste dispendieuse vouée à la promotion d’ « actions climatiques menées au niveau mondial ». Cet Accord aurait porté un coup particulièrement ruineux à l’économie étasunienne en entraînant la perte de millions d’emplois… Tout cela pour du vent idéologique s’appuyant sur une conception défectueuse de l’atmosphère et de son CO2 (voir ici notre article préconisant quelques repères non-exhaustifs pour s’extraire de la confusion et du fondamentalisme climato-alarmiste) et donnant lieu à une espèce de complexe néo-messianique vis-à-vis de la Natura naturans idolâtrée (une erreur théologique des plus funestes, sur laquelle nous ne pouvons revenir ici). Comme si les gouvernements de ce triste monde pouvaient contrôler le climat…  

Les États-Unis ont recouvré leur indépendance énergétique courant 2018, pour devenir le premier producteur mondial de pétrole brut—devant la Russie et l’Arabie saoudite. L’administration Trump a depuis conclu un accord avec l’Union européenne pour augmenter les exportations d’énergie étasunienne vers l’Europe. Elle a en outre signé plusieurs permis pour assurer l’exportation des produits pétroliers étasuniens vers le Mexique.

Des réussites sociales

Le fait d’enregistrer un taux de chômage national inférieur à 4 % à plusieurs reprises au cours de l’année 2019 a donné le signe d’une résurrection économique particulièrement spectaculaire à l’approche de la dernière année du premier mandat de Trump.

Début 2020, avant la mise en œuvre complète du covidisme, le taux de chômage national aux États-Unis était de 3,5 %, le plus bas depuis 1969. Celui des femmes adultes était tombé à 3,2 %, le taux le plus bas en 65 ans (pour un « phallocrate » présumé, ce n’est pas un si mauvais bilan) ! Le nombre de chômeurs par groupe ethnique (noirs, hispaniques et américains d’origine asiatique) a lui aussi été un des plus bas de ces derniers 50 ans. Au total, les États-Unis ont vu, début 2020, près de 261 000 000 de ses citoyens occuper un emploi, le plus grand nombre jamais atteint.

En 2019, plus de 6 millions de travailleurs étasuniens ont bénéficié de réductions fiscales, de primes et de compensations financières…

Trump est régulièrement qualifié de « raciste ». Mais les faits contredisent cette invective stéréotypée de l’ultra-gauche anti-Trump (et de ses chambres d’écho pavloviennes aux quatre coins du monde).

Avant l’instauration de la grande réinitialisation covidique début 2020, le chômage des citoyens noirs américains était à son niveau le plus bas de l’histoire étasunienne.

Les réformes trumpiennes de la loi First Step Act (FSA), entérinées en décembre 2018, ont permis de remédier aux inégalités persistantes dans l’administration de peines disproportionnées appliquées aux citoyens américains noirs de peau. Les principaux bénéficiaires de réductions de peine en vertu de la FSA sont des noirs américains. L’administration Obama n’avait rien fait qui puisse favoriser la réforme du système judiciaire américain et améliorer la vie des noirs incarcérés, à commencer par l’application de peines équitables dépourvues de discrimination ethnique. Les médias ont choisi de ne pas souligner l’engagement de Trump à réparer ces injustices contre les noirs en prenant des mesures concrètes. Par conséquent, la plupart des gens en Europe et ailleurs considèrent injustement Trump comme un chef de file de la « suprématie blanche », déterminé à ramener l’Amérique au temps des plantations… Aucun exemple ne pourrait mieux illustrer à quel point nous sommes devenus inintelligents, en raison de la tyrannie intellectuelle à laquelle nous nous soumettons nous-mêmes en donnant notre assentiment quotidien plus ou moins complet aux grands médias.

Les affaires étrangères

L’approche de Trump en matière de politique étrangère est fortement influencée par son expérience aguerrie d’homme d’affaires, particulièrement en qualité de magnat de l’immobilier. Cela s’avère être significatif, et l’on a les preuves de son efficacité géopolitique iconoclaste. Trump refuse résolument de s’aligner sur les manières de faire des politiciens professionnels qui l’ont devancé à la Maison Blanche. Et dès lors de gaspiller sa présidence dans des objectifs militaristes s’inspirant des philosophies géopolitiques à tendances impérialistes des administrations précédentes. Ses nombreux détracteurs semblent l’oublier, pour justifier leur paresse malveillante à son égard et se contenter d’en faire un guignol « expansionniste » et « guerrier » à l’étranger—« raciste », « homophobe » et « xénophobe » de retour en territoire étasunien…   

Trump a participé à plusieurs sommets historiques avec le « dirigeant suprême » nord-coréen Kim Jong-un, en vue de promouvoir la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Nous soulignons à dessein l’importance de ces rencontres entre les deux chefs d’États, pour faire de nouveau ressortir le contraste entre la réalité de l’approche trumpienne des relations internationales et l’imaginaire anti-trumpiste réactionnaire (conditionné par une haine et une sottise aveuglante).

Plus que toute autre administration américaine, l’administration Trump a favorisé le développement de relations ouvertes d’investissements et de partenariats nouveaux avec le monde indopacifique. Nous pourrions continuer…

La liberté religieuse

Trump s’est engagé à plusieurs reprises en faveur de la protection de la liberté religieuse. L’un des points forts à cet égard aura été sa décision de mettre fin aux poursuites juridiques particulièrement abjectes de l’administration Obama à l’encontre de la Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres[3], forcées par le gouvernement précédent à souscrire aux plans d’assurance maladie de la Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables (la fameuse « Obamacare ») couvrant l’utilisation de contraceptifs, dont certains abortifs.

Il a en outre signé de nombreuses mesures en faveur de la protection du caractère sacré de la vie humaine in utero. Son administration a promulgué de nouvelles régulations visant à restreindre les fonds fédéraux alloués au programme de planning familial Title X et à s’assurer qu’ils ne soient plus impartis à quelques programmes corrélatifs ou à des initiatives qui faciliteraient en pratique ou encourageraient de quelque manière l’avortement. Elle a encore promulgué de nouvelles réglementations destinées à étendre les exemptions des travailleurs dans le domaine de la santé et par-là les protéger du mandat contraceptif imposé par l’Obamacare, sous couvert (auto-contradictoire) de soins de santé publique et « reproductive ».

Depuis son accession au pouvoir en novembre 2016, Trump est notamment parvenu à améliorer l’économie et à faire reculer les stratégies géopolitiques traditionnelles du complexe militaro-industriel étasunien. Mais non sans devoir faire face à de nombreuses attaques fomentées contre lui en coulisse par ses ennemis les plus acharnés au sein de l’administration Obama, assistés du département de la Justice des États-Unis et du FBI : une enquête bidon menée par l’équipe du procureur spécial Robert Mueller sous prétexte d’abord d’intrusion russe dans les élections américaines de 2016, puis d’ « obstruction à la justice » par Trump ; l’hostilité constante d’une cabale journalistique unanime dans sa haine déclarée contre lui ; une tentative de destitution sous prétexte de faux quid pro quo[4] ; et, pour finir en cette année 2020 des plus chargées, une fausse pandémie orchestrée par le Parti communiste chinois et les élites mondiales…

Avec la nouvelle guerre civile étasunienne organisée sur fond de double tricherie, covidique et électorale, on discerne sans grande difficulté les intentions du système de domination globaliste vaccinale : l’heure est venue d’implanter un nouveau programme, un virus comportemental fonctionnel pour une humanité déjà masquée et mentalement algorithmisée par ses maîtres à penser. Le message des tricheurs démocrates est clair : bouchez cette trompette « trumpienne » qui nous casse les oreilles ! Car elle pourrait certes encore en réveiller quelques-uns.       

Cinquante États de fraude : un « thriller » américain en temps réel…  

Nous jouons ici sur les mots, à partir du titre original du navet érotique hollywoodien Fifty Shades of Grey | »Cinquante nuances de Grey« , titre comportant déjà un jeu de mots],film obscène s’il en est, mais malheureusement populaire et clairement destiné à la corruption des mœurs, particulièrement des adolescents. Le film américain nauséabond auquel nous assistons en temps réel est d’une autre nature, il porte involontairement témoignage de la corruption par trop réelle des mécanismes électoraux sur lesquels repose l’archétype de la démocratie occidentale moderne— vaste supercherie s’il en est.

Le film du plus grand piratage de l’histoire des élections étasuniennes, mettant en vedette les oligarques de la Silicon Valley et la classe dirigeante illégitime (entre autres « stars » de connivence que nous énumérerons en conclusion), peut s’expliquer selon deux objectifs diamétralement opposés : 1) destituer criminellement Donald Trump de son poste légitime de président américain (une entreprise d’envergure globaliste) ; 2) mettre en lumière, sur le terrain de la constitutionalité américaine, l’étendue de la conjuration anti-trumpienne. À ce jour, ses auteurs persistent  à rabâcher leur mantra préféré, à savoir qu’ « il n’existe aucune preuve de fraude électorale », jouant ici sur le terrain subliminal de la répétition stratégique d’un mensonge en soi criant.

Le dévoilement en direct de l’intrigue du film auquel nous assistons, Cinquante États de fraude, permet de faire apparaître au quotidien l’étendue de plus en plus vaste des preuves incontestables de la réélection de Trump. Si les dernières élections outre-Atlantique avaient été menées dans le respect des lois étasuniennes en vigueur, donc en soustrayant la prise en compte frauduleuse de millions de votes illégaux fabriqués électroniquement et physiquement par les démocrates, le résultat serait sans équivoque.

Avec la multiplication des preuves manifestes d’un coup monté impliquant les réseaux sociaux, des ingénieurs informatiques à l’étranger, les élus démocrates de haut rang, et bien sûr une foule de bénévoles chargés sur le terrain de collecter les bulletins de vote et de faire le dépouillement, les forces de la censure s’organisent pour passer à la vitesse supérieure. Prétexte : les « opinions dissidentes » portent atteinte à la « légitimité » du colportage journalistique officiel, que tous sont tenus de croire.

Le mercredi 9 décembre, la chaîne YouTube a annoncé qu’elle était en train de retirer des milliers de vidéos qui mettent en doute, sans fondement, la « victoire » électorale de Biden[5]L’opération réprimande de tout contenu susceptible de promouvoir la notion de « fraude généralisée » lors des dernières élections étasuniennes a donc commencé. La prétention d’une société où règne la « liberté d’expression » est donc désormais ouvertement congédiée. Sous le régime de la gouvernance mondiale covidisée et covidisante, faire taire la dissidence est désormais la nouvelle norme de ce que nous appelons encore, pour faire joli, « nos sociétés libres ».

Pour autant, malgré les efforts médiatiques habituels de détournement cognitif, signalons que les contre-efforts de la lutte sur le plan de la légalité constitutionnelle s’organisent et se consolident de plus en plus. L’État du Texas est désormais en train d’entreprendre une action en justice, au nom des États-Unis eux-mêmes, contre quatre des cinq États impliqués dans des activités attestées de fraude électorale à grande échelle.

Rappelons en outre que la Constitution américaine donne à la Cour suprême une compétence exclusive sur les actions intentées par les États contre d’autres États en cas de violation du droit et de fraude électorale corroborée. Les comportements illégaux mis en évidence ces dernières semaines en Pennsylvanie, en Géorgie, dans le Michigan et dans le Wisconsin justifient amplement les poursuites judiciaires désormais intentées par le Texas contre ces États[6].

Le rapt de l’élection présidentielle

Revenons maintenant sommairement sur quelques-unes des principales caractéristiques du rapt électoral du mois dernier, telles qu’elles ressortent clairement des litiges en cours dans les États concernés—l’Arizona, la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan, et le Wisconsin.

La « victoire » électorale de Joe Biden repose sur un processus de comptage frauduleux survenu au beau milieu de la nuit, ce que confirment des centaines d’affidavits ainsi que la résultante statistique des analyses numériques dans tous les États susmentionnés.

Les systèmes électoraux du Dominion Voting System ont été mis en place pour permettre la tricherie électorale à très grande échelle. Certaines clés USB volées et utilisées pour pirater les machines à voter ont dernièrement été récupérées. Elles vont permettre de faire la lumière sur un certain nombre d’anomalies inexplicables, telles que la détection de votes préchargés pour Biden avant le début des élections, d’après les dates indiquées sur les serveurs reliés en ligne au machines du Dominion— même si l’accès direct à ces machines s’avère toujours difficile en raison de leur statut prétendument « privé » (ce qui constitue bien sûr une atteinte des plus flagrantes à la transparence et au fair-play théorique de tout système électoral démocratique, dont le fonctionnement, par définition public, repose sur l’argent des contribuables). Les responsables du groupe Dominion opèrent donc à la fois en tant que juge et partie. La gestion digitale des votes leur appartient entièrement. Et ils sont encore les seuls à pouvoir examiner, après les élections, leur logiciel de « tabulation ».

La manipulation électronique est d’autant plus évidente que les algorithmes du Smartmatic utilisés par les machines du Dominion dans tous les États disputés ont calculé les votes au moyen de nombres fractionnaires décimalisés. La tabulation des votes n’a donc jamais eu lieu en tant que telle, car cela impliquerait à juste titre le comptage de nombres entiers. Le calcul algorithmique a remplacé la comptabilisation, pour augmenter ou diminuer les votes de tel ou tel candidat…

Outre l’altération de la chaîne de contrôle dans le traitement des votes par correspondance depuis déjà plusieurs mois et la tricherie algorithmique « dominionique » le soir des élections, des centaines de milliers de bulletins ont été illégalement déposés dans toutes les circonscriptions importantes de toutes les villes d’obédience démocrate. Des millions de votes frauduleux, électroniques ou autres, ont dès lors été comptés en faveur de Biden. Sans la mise en œuvre d’une telle opération de dépouillement et de décompte truqué sur le terrain, Trump aurait pu facilement récolter près de 100 millions de votes !

Le segment vidéo suivant, tiré de l’audience électorale qui s’est tenue la semaine dernière en Géorgie, n’est qu’un exemple parmi d’autres du type de fraude physique qui a eu lieu dans la nuit du 3 au 4 novembre dans d’innombrables circonscriptions américaines. Pendant deux heures, les tricheurs ont fait transiter des bulletins de vote illégaux, assurant un gain frauduleux de quelques 24 000 voix pour Biden, suffisamment pour faire pencher la Géorgie en sa faveur :

https://www.youtube.com/watch?v=keANzinHWUA [Audience sur l’intégrité des élections en Géorgie, jeudi 3 décembre 2020 | NTD]

Contre toute attente statistique justifiable, Biden a soudainement dépassé Trump dans tous les États clés de la course 2020 à la Maison Blanche. Au final, sa marge d’avance, par exemple dans l’État du Wisconsin aujourd’hui au centre d’un procès crucial devant la Cour suprême, ne peut statistiquement survenir qu’avec l’entremise de la mise à jour frauduleusement verticalisée de sa courbe de votes totaux aux premières heures du matin du 4 novembre.

Restons dans le Wisconsin pour illustrer visuellement, au moyen du graphique ci-dessous, ce que représente exactement un tel pic statistique injustifiable : la mise à jour du décompte des voixs au matin du 4 novembre a fait passer Biden, encore en retard à minuit de plus de 100 000 voix, en tête de la course. L’axe des abscisses (x) représente le temps (en heures) ; l’axe des ordonnées (y) celui de la valeur brute de votes (en millions) à telle heure donnée :

[On observe (en jaune sur le graphique) un décrochement brutal,
en marche d’escalier, le 4 novembre 2020 à 4h.
]

À 3 h 42 du matin le 4 novembre 2020, Trump était encore en tête, jusqu’à ce qu’une énorme décharge de votes « Biden » apparaisse sans explication, entraînant la mise à jour arithmétique survenue vers 4 h du matin, comme l’indique le graphique ci-dessus.   

On observe un phénomène identique dans tous les États disputés. Par exemple dans le Michigan où, à 6 h 31 du matin le 4 novembre 2020, 149 778 bulletins sont soudainement apparus, tous pour Biden…

Dans tous les États litigieux, le décompte a été interrompu pour couvrir la fraude électorale à l’échelle de centaines de milliers de bulletins de papier livrés au milieu de la nuit. Les « pics » de courbes statistiques donnant leur forme aux valeurs maximales officialisées en faveur de Biden se sont tous produits au cours de la même période d’environ quatre heures. En Pennsylvanie et en Géorgie, le décompte a duré plusieurs jours. Le décompte des nouveaux bulletins apportés par le « miracle » de l’opération de « mise à jour » nocturne dans le Wisconsin et le Michigan n’a quant à lui duré que quelques heures.

En l’état actuel des choses, le thriller américain Cinquante États de fraude n’implique qu’une poignée d’États litigieux. Ce qui est suffisant pour obtenir l’annulation des résultats frauduleux revendiqués par les bidenistes.

Il suffirait, par exemple, de légiférer sur le fait avéré qu’il y a plus de 500 000 morts sur les listes électorales des États en question et près de deux millions d’« électeurs fantômes ». Les listes électorales démocrates sont en effet truffées d’électeurs décédés, ayant déménagé, de mineurs, et même d’étrangers… 

Dans certains États, comme en Pennsylvanie, les tribunaux et diverses véroles politicardes d’obédience démocrate et républicaine ont procédé à divers changements des systèmes électoraux en contournant les Assemblées législatives. Il s’agit d’une infraction. Les Assemblées législatives sont seules habilitées par la Constitution des États-Unis à intervenir dans de tels amendements des réglements en vigueur.

En Pennsylvanie toujours, le secrétaire d’État (un démocrate) et la Cour suprême ont « aboli », là aussi de manière inconstitutionnelle, les exigences de vérification des signatures.

Les démocrates se sont battus mordicus en 2020 pour amoindrir autant que possible, sous couvert de « pandémie », les procédures de vérification légale d’identité des électeurs.

On a par ailleurs expliqué à de nombreux électeurs trumpiens qu’ils avaient « déjà voté » par courrier, à leur insu… Quelques 250 000 électeurs du Wisconsin ont été classés comme « gravement handicapés » pour éviter de procéder à quelque forme de vérification postale des signatures. Des milliers de bulletins portant le nom de « Biden » ont été comptés plusieurs fois… Des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance sont arrivés par vagues et sans enveloppes… Dans le Wisconsin encore, quelques 70 000 bulletins de vote notés « absents » ont été générés comme par magie (sans correspondre à la moindre requête d’abstention des titulaires inscrits sur les listes électorales de cet État). Dans le Nevada, les machines à voter ont été réglées de manière à ce qu’il ne soit pas nécessaire de faire correspondre signatures et électeurs.

L’équipe juridique de Trump a tenu une audience des plus explosives devant la législature républicaine du ministère de la Justice de l’Arizona au cours de laquelle une douzaine de témoins et de spécialistes en cybersécurité ont rendu compte des différentes formes d’activités digitales frauduleuses identifiées dans différentes circonscriptions de l’Arizona.

Les machines à voter étaient connectées via internet et gérées depuis l’étranger par des employés du Dominion, sans aucune chaîne de contrôle, pour modifier en temps réel le « comptage » des scrutins électroniques. Cette supercherie digitale a notamment été financée par le milliardaire juif américain Mark Zuckerberg, cofondateur de Fakebook.

Plus de 400 000 bulletins illégaux ont été convoyés dans les comtés arizoniens de Maricopa (le plus vaste de l’Arizona) et de Pima. En outre, quelques 1,9 millions de votes en Arizona ont été comptabilisés, sans surveillance ni vérification de signature des électeurs. Des témoins ont certifié avoir assisté aux allées et venues de nombreux camions chargés de cartons de bulletins pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’aux premières lueurs du jour. À l’heure d’aujourd’hui, le différentiel entre Trump et Biden en Arizona, à l’avantage de ce dernier, est de quelques 10 000 voix…

Nous pourrions continuer, mais cela n’est pas nécessaire ici. Le film Cinquante États de fraude continue en direct, et la tricherie va devenir encore plus criante aux yeux du monde. Faisons quant à nous, pour finir, le point sur les tricheurs impliqués. Bas les masques !

Remarques conclusives : les tricheurs sont démasqués

Voici, pour le moment, la somme des forces collusoires impliquées dans l’élaboration du résultat officiel, , des élections présidentielles américaines de 2020 :

Les concepteurs et auteurs humains de la SRAS-CoV-2 (dans différents laboratoires de biologie moléculaire mondialistes, pour finir à Wuhan, l’ « épicentre » officiel)

+ COVID-19 lui-même, résultante épidémique de SRAS-CoV-2 (-> donnant lieu à la gigantesque logistique de la tricherie électorale « à l’ancienne » moyennant la fabrication, la falsification et le convoyage de millions de bulletins de vote par correspondance)

+ le Parti communiste chinois (PCC) et la famille Biden[7]

+ Google, Facebook, Twitter

+ l’argent privé des principaux milliardaires contrôlant les médias sociaux, Mark Zuckerberg et George Soros (NB : Zuckerberg et Soros ont également injecté leurs ressources privées dans le système judiciaire, ce qui constitue bien entendu un crime)

+ les démocrates du totalitarisme libéraliste, de l’identitarisme ethnique, de l’émasculation des hommes, et de la grande finance internationaliste

+ les « républicains de nom uniquement » (ou « RINOS »)

+ le vote « dominionisé » (phase électronique de l’opération « grande triche 2020 »), en gardant à l’esprit le lien qui existe entre le développement de programmes de modification de scrutins alternatifs, tels que Hammer & Scorecard, et la CIA (la CIA les a en effet exploités pour interférer avec certaines élections à l’étranger[8])

+ …

En l’état actuel des choses, les politiciens et bureaucrates professionnels du Parti républicain se contentent des résultats officiels issus du rapt des élections et s’inclinent honteusement devant les groupes de pression organisés et parrainés par l’ultra-gauche globaliste. Ses principales voix « conservatrices », complices du statu quo washingtonien, veulent en effet revenir au Parti des Bush, John McCain, Mit Romney et Goldman Sachs. Ils forment un Parti en mal de « business as usual… » 

De leur côté, les démocrates sont déterminés à dénaturer autant qu’il leur sera possible les règles en place, voire à réécrire la Constitution des États-Unis—le but avoué étant de s’assurer que les républicains n’aient plus jamais la possibilité électorale de reprendre le contrôle de l’une ou l’autre des branches du gouvernement étasunien.

Tels sont les enjeux à la fois domestiques et méta-américains de cette nouvelle guerre civile outre-Atlantique. La grande opération « étatico-covidique » universelle de restrictions des libertés ne pouvait espérer se prolonger aussi drastiquement que prévu par ses architectes mondialistes, avec la reconduction de Donald Trump pour un second mandat présidentiel. Démocrates et « républicains de nom uniquement » devaient donc l’arrêter à tout prix, ce qui ne pouvait s’accomplir sans la mise en place (préparée de longue date) de l’opération « grande triche 2020 ».

Mais cette bataille ne se limite pas à la sauvegarde de la République américaine[9], aussi imparfaits que soient ses principes fondateurs (déistes-maçonniques). Si la raison et la désobéissance civile ne s’unissent pas sans plus tarder pour résister aux fraudes covidiennes[10] et électorales, les confinements, les masques et la censure à tire-larigot deviendront la norme universelle en vigueur des « démocraties » contemporaines.

Trump est le vainqueur légitime indéniable de la derrière élection présidentielle étasunienne en date. Il incombe désormais aux législateurs républicains des États litigieux du Michigan, du Wisconsin et de la Géorgie d’utiliser pleinement leur pouvoir constitutionnel (cela vaut également en Pennsylvanie et dans l’Arizona), où la résistance des « républicains de nom uniquement » continue malheureusement à contrecarrer les efforts de justice déployés aussi bien par les avocats de l’équipe juridique de Trump que par des millions d’électeurs américains, résidents de ces États). Une session extraordinaire des Assemblés législatives des dits États s’impose donc désormais, et il va falloir les convoquer sans plus tarder, en vue de  porter l’affaire devant la Cour suprême des États-Unis, dernière étape.  

Pour finir, revenons brièvement sur le spectre du virus des élites globalistes malthusiennes élaboré en laboratoire, avant d’être imputé aux Chinois. Comme continuent de le démontrer les modèles des CDC, SRAS-CoV-2 n’est pas plus mortel que d’autres maladies respiratoires saisonnières. Une analyse de John Hopkins a été récemment publiée en ligne (avant d’être immédiatement censurée) montrant que la COVID-19 n’a aucun effet significatif sur le nombre total de décès aux États-Unis[11]. En ce moment, en pleine période pré-hivernale de retour saisonnier de la grippe, les cas et les décès naturellement imputables à celle-ci sont recensés comme des cas et des décès covidiques, afin bien sûr de faire de nouveau grimper les statistiques et de maintenir ainsi les populations dans la peur et sous contrôle inexorable.

En revanche le covidisme s’avère extrêmement dangereux, capable, en l’espace de tout juste quelques semaines, de soumettre une civilisation tout entière au despotisme d’un nouvel ordre mondial sanitaire. L’intelligence en prend un coup terrible, au point de céder à toutes sortes de folies, de mesures arbitraires (port obligatoire de masque et distanciation sociale sans justification scientifique), de répression et de représailles policières, d’irrationnalités et de peurs diverses et variées… Rappelons par ailleurs que la transmission de la « COVID-19 » se fait principalement par la diffusion répétée de fausses nouvelles, phénomène aujourd’hui omniprésent sous l’empire numérique du nouvel ordre mondial dés-informationnel.

Les gens qui réfléchissent un tant soit peu savent très bien qu’il n’y a donc aucune légitimité (scientifique ou autre) à toutes ces mesures qui constituent le phénomène que nous appelons le covidisme ». La distanciation sociale, les masques, les tests, les restrictions imposées aux églises, les confinements massifs, le développement de vaccins… Toute cette mascarade n’est pas un seul instant destinée à la protection des peuples, que les élites malthusiennes « écolos » ne cherchent en effet qu’à subjuguer, à soumettre et à réduire autant que possible. Il s’agit de nous conditionner à accepter, « pour notre bien », davantage de contrôle gouvernemental, c’est-à-dire davantage de régulations arbitraires—avec, comme étape ultime du mensonge « pandémique » universel, la vaccination (obligatoire) pour tous…

Projet cher aux élites financières et technocratiques, la vaccination obligatoire de masse est en cours de réalisation depuis des lustres (bien avant la conception de Bill Gates et consorts dans le sein maternel). Dans le cadre de la fausse pandémie covidique, il va de toute façon s’agir de faux « vaccins » à ARN et munis de nanomatériaux manufacturés, tels qu’ils sont aujourd’hui développés par différentes sociétés pharmaceutiques et de biotechnologies[12]. Derrière des façades humanitaires d’apparence toujours salutaires, les véritables intentions de la « bonne nouvelle » vaccinale se résument à deux grands objectifs corrélatifs de fond : la réduction de la population mondiale et son contrôle globalisé.

Ce qui est d’autant plus clairement luciférien derrière le grand mensonge du « vaccin salvateur », c’est de promouvoir un « antidote » anti-covidique dont la composition contient en outre des dérivés de lignées cellulaires de fœtus mâles avortés—merci à la Chine abortive-génocidaire (un leader mondial en la matière) ; mais plus encore, comme toujours, dû aux globalistes malthusiens les plus répugnants (basés en France, aux États-Unis et ailleurs).

En tant qu’entités organisatrices de révolutions colorées, les États-Unis washingtoniens et la Chine du PCC ne peuvent se concevoir sans le concours des banques centrales juives (Rothschild & Co.), qui en sont donc les véritables propriétaires…

L’empire de la fausseté systématique joue aujourd’hui sur tous les terrains. Le seul remède à la folie totalitaire qu’il incite chez les gouvernants comme chez les gouvernés, est de continuer à se battre résolument avec les armes du courage (intellectuel et moral) et de la saine rationalité, pour présenter des preuves raisonnées et intelligentes, à temps et à contretemps[13].   

« Avouer qu’on s’était trompé, » comme le disait si bien Gaston Bachelard, serait certes ici une marque d’intelligence… Mais, sans la raison illuminée par la syndérèse[14], l’intelligence fait ici défaut, comme le dictent ces temps de suffisance aveugle, de désorientation morale, et de bêtise journalistique profondément inoculée en l’homme contemporain (par ailleurs « covidisé » à souhait). Les Pères du désert disaient quant à eux que « le cœur est cette tombe où nos pensées et notre intellect sont enterrés »[15]. Le Christ ressuscité y descend, comme il est descendu aux Enfers, pour libérer les facultés de l’âme, en particulier notre intellect, « de sa prison sans lumière ». C’est Lui qui, soulevant la lourde pierre du faux totalitaire qui opprime l’âme spirituellement nécrosée, ouvre le tombeau de l’ignorance et de la mystification théâtrale mondaine.  

En dépit de l’avertissement d’Alan Turing selon lequel « si une machine est censée être infaillible, elle ne peut pas en même temps être intelligente », nous voici socialement conditionnés pour nous comporter comme des machines (mais sans être infaillibles à quelque égard que ce soit), par ceux qui programment notre comportement. Si, au contraire, nous écoutions la voix du Christ pour que l’intelligence syndérétique soit restaurée en nous, sous serions du même coup libérés du pouvoir qu’exerce sur nous le piratage intellectuel induit en nous par la pensée dominante. Non, nous ne sommes pas des machines programmables entre les mains de nos faux maîtres à penser !

Notes

[1] https://www.battleswarmblog.com/?p=46562
https://hereistheevidence.com/.
Jour après jour, on découvre un nombre croissant d’illégalités de vote, d’exemples d’activités frauduleuses d’une ampleur telle qu’elles ne peuvent être simplement niées, sauf par ceux qui le font et choisiront délibérément de continuer à nier la réalité des faits.

[2] Voir Marchandiser la vie humaine (nouvelle édition revue et augmentée), un ouvrage collectif séminal et approfondi « parcourant les connexions entre business de la stérilité, trafic de fœtus et d’organes, réseaux mafieux pour recruter des “femmes gisements” dans le monde entier… »

[3] Les Petites Sœurs des Pauvres ont remporté une victoire importante à la Cour suprême des États-Unis au début de l’année sur la prestation du programme contraceptif forcé de l’Obamacare : https://pregnancyhelpnews.com/little-sisters-of-the-poor-get-big-supreme-court-victory-in-obamacare-contraception-mandate-case.

[4] Pour mieux saisir le sens et les implications de ce « quid pro quo » à l’américaine, il sera utile au lecteur de suivre au lien suivant l’analyse comme de coutume avisée d’Israël Shamir, Trump Woos Jews, Jews Impeach Trump, article traduit par Maria Poumier sous le titre de Le quiproquo : https://plumenclume.org/blog/515-le-quiproquo.

[5] https://blog.youtube/news-and-events/supporting-the-2020-us-election/.

[6] Voir ici l’acte de plainte officiel soumis le 9 décembre 2020 à la Cour suprême : State of Texas v. Commonwealth of Pennsylvania, State of Georgia, State of Michigan, and State of Wisconsin.

[7] https://nypost.com/2020/10/15/emails-reveal-how-hunter-biden-tried-to-cash-in-big-with-chinese-firm/.

[8] Le lieutenant général, retraité de l’armée de l’air américaine, Thomas McInerny, explique encore que ce programme a été mis en place par l’administration Obama (dont Biden lui-même alors vice-président) pour modifier les votes lors des élections américaines de 2012. Il a de même été utilisé à l’encontre de Bernie Sanders en 2016, pour l’empêcher de vaincre Hillary dans le cadre des primaires démocrates. Il indique par ailleurs que l’administration Obama a encore tenté de l’utiliser lors des élections présidentielles de 2016, mais sans succès cette fois, ce qui a bien sûr donné la victoire surprise de Trump (voir l’interview complète ici).

[9] Pour le lecteur qui souhaiterait approfondir sa compréhension des tenants et des aboutissants de la situation étasunienne, surtout en ce qui concerne l’architecture multidimensionnelle et les résultats officiels des élections de 2020, nous recommandons ici la lecture de la Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis, le 14 novembre dernier, publiée sur Réseau International.

[10] Nous faisons varier à dessein notre terminologie, ici l’adjectif « covidiennes » au lieu de notre « covidiques » plus usité, pour être à la fois créatif et alternatif dans l’usage de nos concepts néologisés.

[11] https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19.

[12] Principalement Pfizer et Moderna.

[13] Selon l’exhortation de saint Paul à Timothée (2 Tim 4, 2) de « dénoncer le mal, faire des reproches, encourager, mais avec une grande patience et le souci d’instruire, à temps et à contretemps. »

[14] Du grec συνείδησις -> συν-είδησις, qui au sens littéral connote bien l’idée d’union, « con- [συν- = avec] -science [-είδησις, c’est-à-dire ce qui est « raconté » pour être connu] ». En ce sens, la syndérèse est cette conscience morale, ou science du bien reconnu (par l’intelligence) et choisi (par la volonté) comme tel. Les grands auteurs scolastiques, tels que saint Thomas d’Aquin, décriront plus tard la syndérèse comme scintilla conscientiae (« l’étincelle de la conscience »), car c’est aussi une lumière brillant dans les ténèbres de la conscience de l’homme déchu (c’est-à-dire marqué par les conséquences du péché originel).

[15] Dans Les homélies spirituelles de saint Macaire. Saint Macaire le Grand, IVe siècle, disciple de saint Antoine et abbé du monastère de Scété en Égypte.

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Élections aux USA – Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis

[Source : Réseau International]

par Dominique Delawarde.

Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle américaine. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’état visant à inverser le résultat  de l’élection est -elle crédible ?

2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.


Conflits d’intérêt de l’auteur ?

Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.

Ma réponse est non. J’ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998,  époque dont je garde un excellent souvenir. J’ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous  citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J’ai visité 46 des 50 états de l’Union. La « Meritorius Service Medal » US m’a été remise à l’été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d’aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).

Si ma sévérité s’exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s’adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d’autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.

Je suis devenu très réservé, voire hostile à l’OTAN, ayant constaté ses dérives depuis 1990, dans le cadre de mes fonctions :

Mon expérience du renseignement m’a conduit à n’accorder qu’une crédibilité de plus en plus faible à l’énorme majorité des agences de presse et des médias mainstream, occidentaux en particulier.

Je n’apprécie pas l’action et/ou « l’influence puissante et nocive des lobbies » transnationaux sur la marche du monde, que ces lobbies soient financiers, médiatiques, communautaires, ou de toute autre nature.

L’auteur ayant mis les choses au clair, passons au vif du sujet.


Contexte pré-electoral de la présidentielle américaine

Depuis l’échec de Hillary Clinton à l’élection de 2016, les USA se sont profondément divisés en 2 camps irréconciliables, qui se détestent et sont désormais engagés dans un combat « à mort ». Contrairement à ce que les gens pensent en France ou en Europe, ces deux camps ne sont pas les camps républicain et démocrate qui ne constituent que les parties émergées de l’iceberg. Ces deux camps sont les tenants de deux conceptions du monde opposées : les « souverainistes » et les « mondialistes ». On retrouve les représentants des « mondialistes » majoritairement chez les démocrates, mais on en trouve aussi, en  moindre proportion, chez les républicains.

A la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, le 24 septembre 2019, Donald Trump a clairement choisi son camp, exprimé sa vision du monde et déclaré la guerre aux mondialistes en déclarant : « Comme mon pays bien-aimé, toutes les nations présentes dans cette enceinte  ont une histoire, une culture et un héritage qu’elles chérissent et qui méritent d’être défendus et célébrés, et qui nous donnent une force et un potentiel particulier. Le monde libre doit embrasser ses fondations « nationales ». Il ne doit pas chercher à en faire table rase et à les remplacer… »

Il a ajouté quelques secondes après : « Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays, si vous voulez la démocratie, accrochez vous à votre souveraineté, si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les chefs d’état avisés font toujours passer l’intérêt de leur propre pays en premier. L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, l’avenir appartient aux patriotes. L’avenir appartient aux nations indépendantes et souveraines qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins et acceptent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique ».

Chacun peut comprendre qu’un tel discours puisse susciter l’adhésion d’une large part de la population américaine : plus de 73 millions de votes « Trump » comptabilisés en novembre 2020 soit 10 millions de plus qu’en 2016 où il avait obtenu moins de 63 millions de suffrages)….. Pour tous ceux qui croyaient que Trump était en perte de vitesse, ce +15% est une immense surprise, comme en 2016.

Le camp des mondialistes ne peut évidemment pas accepter un tel « discours-programme ». Il va donc faire tout ce qui est en son pouvoir pour barrer la route de la ré-élection au président sortant. Majoritaire dans « l’état profond US » (deep state), contrôlant la finance et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazone, Microsoft et Tweeter), contrôlant aussi la quasi-totalité des médias mainstream et des agences de presse anglo-saxonnes et européennes, le camp des mondialistes va coordonner l’action de ses « bras armés » pour tenter de sortir Donald Trump de la présidence des USA.

Le président Trump, de son côté, n’est ni stupide, ni seul. Il dispose d’un très fort soutien populaire, d’une majorité au Sénat, à la Cour Suprême et 27 des 50 gouverneurs des États de l’Union sont républicains. A la chambre des représentants, il vient de réduire l’écart qui séparait son camp républicain du camp démocrate de 12 sièges (pour l’instant…) Il a mis en place une administration fédérale qui lui est majoritairement fidèle (pas totalement …). Il a changé une majorité des juges fédéraux. Il a résisté victorieusement à deux tentatives de l’état profond et des démocrates de le destituer (L’affaire du Russiagate montée de toute pièce dès 2016 et qui a fait flop ….. parce qu’elle était « bidon » et que les enquêteurs, les juges et l’opinion publique US ont fini par s’en apercevoir, et la tentative de destitution par la Chambre des représentants qui a tourné court au Sénat en 2019…..

Par ailleurs Trump est lucide lorsqu’il dit dans son dernier discours électoral du 2 novembre 2020, en Caroline du Nord : « S’il y a une chose que j’ai faite au cours de mon mandat, c’est de mettre en évidence la malhonnêteté des médias ». Les médias mainstream US ont toujours suscité et soutenu les actions anti-Trump.

C’est donc dans ce contexte de tensions extrêmes et au terme d’une campagne électorale au cours de laquelle tous les coups les plus tordus ont été observés, de part et d’autre, que survient le scrutin du 3 novembre 2020.

Les médias et les instituts de sondage américains ont-ils été honnêtes, lors de la campagne électorale ou ont-ils cherché à manipuler l’opinion ?

Les médias mainstream US, tout comme les médias européens d’ailleurs, ne brillent pas par leur honnêteté, leur pluralité et leur impartialité. Contrôlés par une poignée de milliardaires, ces médias défendent les causes et les intérêts qui sont ceux de leurs « patrons », membres actifs ou simples collaborateurs de l’état profond. Tous les moyens sont bons, y compris, les mensonges les plus éhontés. On met en évidence tout ce qui porte préjudice à l’adversaire (Trump), on occulte tout ce qui pourrait porter préjudice au camp que l’on défend (Biden). Les journalistes ne peuvent faire carrière que s’ils se soumettent et/ou s’autocensurent. On se trouve aujourd’hui dans une situation de « guerre de l’information » électorale :

Le commun des mortels a beaucoup de difficultés à s’informer correctement.

Depuis 4 ans déjà, ces médias US, parfaitement relayés par les médias « frères » européens n’ont eu de cesse, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de noircir l’image du président Trump dans l’opinion publique US, occidentale et mondiale. Dans les mois précédant l’élection, ils se sont appuyés sur des sondages largement biaisés pour faire croire au peuple américain et au monde, comme en 2016, que l’élection était « pliée » et qu’une grande vague démocrate allait submerger le pays. Pour ne donner que l’exemple de la Floride, une forte majorité des sondages dans les 4 jours précédant le scrutin donnait Biden gagnant de 1 à 5 points. C’est Trump qui l’a emporté de 3,4 points. Les écarts constatés entre ces derniers sondages et le résultat du scrutin sont tels qu’ils ne relevaient pas de la marge d’erreur, mais du mensonge manipulateur, intéressé, et … éhonté. Ces sondages et articles mensongers ont été appliqués à la quasi totalité des états de l’Union. Les scores de Trump et du parti républicain, au jour de l’élection, ont révélé l’ampleur de ces « mensonges-manipulateurs » médiatiques et sondagiers pré-électoraux.

L’Hypothèse d’une fraude importante appliquée à quelques états clefs le jour du scrutin est-elle crédible ?

Mon intime conviction me dit que oui car il y a, à mes yeux, trop d’indices concordants pour permettre à la meute « médiatique » occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire. Les présidents chinois et russes ne s’y sont pas trompés en attendant la proclamation du résultats officiels, qui n’interviendra que le 8 décembre, avant de féliciter le vainqueur, lorsqu’il sera vraiment connu.

Voici les éléments qui me font douter de l’honnêteté du scrutin.

1 – Il y a eu cette précipitation curieuse, voire suspecte de la meute médiatique US, suivie par la meute « sœur » de l’UE dont nous savons qui la contrôle, à vouloir imposer un vainqueur alors que les résultats officiels de 5 ou 6 états ne sont pas encore connus. Nous savons tous que ces médias US sont « partisans » et qu’ils sont les plus farouches adversaires de Trump. Nous connaissons leur habitude récurrente à vouloir critiquer, contester, modifier, ne pas reconnaître, remettre en cause tous les résultats électoraux qui ne leur conviennent pas sur la planète (Syrie 2014, Venezuela 2018, Bolivie 2019, Biélorussie 2020 pour n’en citer que quatre). Nous connaissons aussi leur propension à vouloir promouvoir, voire imposer le candidat qui leur convient même lorsque celui ci est très minoritaire dans le pays (France 2017, Bolivie 2019, Biélorussie 2020, Navalny qui ne représente strictement rien en Russie, mais qui nous est « vendu », par nos médias, comme le challenger numéro un de Poutine.)

2 – Il y a ces actions très inhabituelles de Google, Facebook, You tube, Twitter censurant purement et simplement le Président en exercice des États-Unis, en agissant de concert et simultanément. Cette collusion évidente de ces grandes sociétés de service, dont nous savons qui les contrôle, n’est tout simplement pas « naturelle », ni démocratique ….

3 – Pour la première fois dans l’histoire des USA, le vote par correspondance a été massivement utilisé puisque plus de 42% des électeurs qui se sont exprimés l’ont fait par correspondance (plus de 64 millions). Il est mondialement reconnu que ce type de vote favorise la fraude électorale.

Le vote par correspondance a d’ailleurs été supprimé en France en 1975 parce qu’il était jugé propice à la fraude électorale.

Il est, soit dit en passant, étrange que des députés de la majorité LREM cherchent aujourd’hui à rétablir, en France, le vote par correspondance, en profitant de l’opportunité « Covid ».

Auraient-ils l’intention, eux aussi, de rouvrir plus largement les possibilités de fraude en France et de faire bourrer les urnes de leur circonscription pour se faire réélire au prochain scrutin ?…

Prétendre aujourd’hui qu’il n’y a pas eu la moindre fraude électorale aux USA avec 64 millions de votes par correspondance n’est tout simplement pas crédible.

Sans reprendre à mon compte l’ensemble des fraudes dénoncées par les républicains,  et énumérées dans cet article :

je retiendrai, tout de même, un seul exemple, reconnu par les deux partis, démocrate et républicain, et qui est donc ni contestable, ni contesté.

Selon son propre aveu au New York Times, Abigail Bowen, la greffière des élections du comté de Shiawassee dans le Michigan a ajouté, par erreur selon elle, un zéro en trop au décompte des voix de Joe Biden. Au lieu d’entrer 15 371 voix en faveur du démocrate, son équipe a ajouté 150 371. La touche 0 n’étant pas, sur un clavier d’ordinateur, voisine de la touche 5 ou de la touche 3, plaider l’erreur involontaire paraît bien étrange …. Elle ajoute avoir été notifiée de l’erreur 20 minutes plus tard et l’avoir corrigée ensuite. (Heureusement que quelqu’un s’est aperçu de cette erreur dont tout semble indiquer qu’elle était volontaire…..)

C’est très bien que cette erreur ait été rectifiée, mais cela pose tout de même questions :

Combien « d’erreurs » de 0 de ce genre ont-elles été commises, volontairement ou non ? …..

Combien « d’erreurs » de ce genre ont elles été repérées, notifiées et corrigées ? …..

Combien de ces « erreurs » ont-elles été validées dans le décompte final ?

Un candidat, démocrate ou républicain, est-il fondé ou non à demander un recomptage lorsque l’écart dans le résultat est dans la marge des 1% dans un des États de l’Union ? Cela ne se fait-il pas dans toutes les démocraties dignes de ce nom ? Est ce aux médias de proclamer un vainqueur sans disposer de résultats validés ?

J’observe que, dans cette marge de 1%, se trouvent les résultats de 5 états qualifiés de swing states : L’Arizona, la Georgie, le Wisconsin, la Pensylvanie et le Nevada.

Dans ces 5 états, Trump était en tête mais Biden aurait repris l’avantage de quelques milliers de voix dans tous ces états grâce à l’arrivée opportune, miraculeuse, massive et soudaine, en fin de dépouillement du scrutin, de votes par correspondance qui lui auraient été très, très, très favorables.

Vous l’aurez compris le vote par correspondance est, pour moi, la porte ouverte à la fraude. Lorsque ce vote par correspondance est massif, la fraude peut être importante et largement suffisante pour inverser un résultat dans la marge des 1%. Il est infiniment peu probable qu’il n’y ait pas eu de fraudes. Je me garderai bien de dire à qui cette fraude a profité et je ne suis pas sûr qu’on puisse en avoir un jour toutes les preuves. Je dis simplement que les médias mainstream « bisounours » US et européens qui aimeraient refuser à Trump le droit aux recomptages, aux enquêtes et aux vérifications mais qui, lorsqu’il s’agit d’autres pays, sont très regardants sur les comptages, et crient facilement « à la fraude électorale » ne se grandissent pas. Nous savions que la France et ses journalistes qui se moquent du perdant présumé, parce qu’il s’appelle Trump, donnaient l’image d’une « médiocre’atie », mais doit-elle devenir aussi une média’cratie qui tente de nous imposer nos Présidents et tout ce qu’il faut penser, sur tous les sujets ?


Abordons maintenant le deuxième objet de ma lettre.

Si le « mondialiste » Biden devait être élu le 8 décembre et intronisé le 20 janvier 2021 quelle évolution peut-on en attendre pour la planète, l’Europe et la France ?

Biden est un homme âgé, dont chacun sait qu’il n’a plus toute sa tête (Il sera dans sa 79 ème année le 20 janvier prochain). Pour cette seule raison, s’il devait être élu, il serait sous influence et ne prendrait ses décisions que sur les conseils et  le « contrôle étroit » de son entourage proche, émanation du « Deep State » et composé de « mondialistes » purs et durs. C’est d’ailleurs cet entourage qui l’aura aidé à l’emporter,  c’est cet entourage qui gouvernerait, en fait, les USA.

Parce qu’il est d’obédience « néoconservatrice », cet entourage est résolument pro-Israël et pour le maintien d’une hégémonie absolue des USA sur la planète. L’étude approfondie de cet entourage (Biographies, ascendances, réseaux et communauté d’appartenance) serait très révélateur mais, hélas, peu surprenant. Nous avons les mêmes chez nous. Il faudrait donc s’attendre à une multiplication des ingérences agressives US aux Proche et Moyen-Orients (Liban, Syrie, Irak, Iran), au profit d’Israël bien sûr, mais aussi aux frontières de la Russie, en Mer de Chine et en Amérique du Sud. Cette nouvelle équipe de gouvernement, bras armé du « Deep State », créera les prétextes s’ils n’existent pas et instrumentalisera la nébuleuse terroriste, comme elle l’a toujours fait dans le passé, pour l’aider à justifier ses ingérences.

Trump a réussi à réduire graduellement et considérablement les bombardements US sur la planète (47 000 bombes en 2017, 16 000 en 2018, 12 000 en 2019 et 928 en janvier + février 2020 (dernières données connues).

Il a rapatrié dans son pays nombre de ses soldats déployés, notamment aux Proche et Moyen-Orients. Sous son premier mandat, la coalition occidentale a tué beaucoup moins de monde que sous les mandats de son prédécesseur. Si une équipe mondialiste s’empare de la maison blanche,  des tendances  inverses pourraient se remettre en place dès le printemps 2021….et le sang se remettre à couler ….. L’OTAN n’a toujours pas compris qu’elle devrait et aurait intérêt à mettre un terme à ses dérives.

La mauvaise nouvelle est qu’une administration Biden chercherait aussi à impliquer l’OTAN, le Royaume Uni, la France et l’Union Européenne dans tous les coups tordus que ses stratèges néoconservateurs pourront imaginer.

La mauvaise nouvelle pour la France est que sa dépendance économique (dette et CAC40) et la servilité grandissante à l’égard des USA de ses élites, formées pour ça, ne lui permettront pas de refuser toutes les invitations US à se joindre à ses coalitions de circonstance pour des causes douteuses.

La bonne nouvelle tient dans le fait que, de part et d’autre de l’Atlantique, les peuples commencent à ouvrir les yeux. Que ça plaise ou non à nos médias, à nos politiques et à notre opinion publique manipulée, le « souverainiste » Trump a obtenu 15% de voix de plus qu’en 2016 (73 millions). Ses partisans tiennent la Cour Suprême, le Sénat, une majorité d’États et s’approchent de la parité à la Chambre des représentants. Ses partisans tiennent aussi les campagnes états-uniennes. Les démocrates ne tiennent vraiment que les grandes villes…

carte du vote 2020 (vote Trump en rouge), (vote Biden en bleu).

Il ne sera donc pas simple de gouverner les USA et de faire n’importe quoi dans ces conditions d’autant que l’économie US est en berne et la dette  abyssal

Il ne sera pas simple non plus de gouverner une UE de l’Ouest en faillite, avec des populations au bord de la révolte, des PIB en recul et des budgets de défense qui seront, qu’on le veuille ou non, sinistrés.

Dans ces conditions, la sagesse devrait consister à s’occuper correctement de ses affaires avant de vouloir jouer les shérifs sur la planète. Elle devrait aussi consister à ne pas vouloir s’ingérer partout dans les affaires d’états souverains sous le prétexte fallacieux de la lutte contre un terrorisme que nous avons largement contribué à créer et à entretenir par une politique étrangère calamiteuse (Libye, Syrie, Irak, Yemen, Iran, Russie, Biélorussie, Venezuela, Brésil, Bolivie entre autres) et par des prises de position officielles irresponsables « perçues » comme insultantes par des dizaines de pays sur la planète (caricature).

Tôt ou tard, une coalition occidentale gouvernée par des mondialistes agressifs, se prendra un grand coup sur le museau, s’étonnera, redescendra de son piédestal, et fera moins la fière. Ses populations multiplieront les marches blanches, les cérémonies de funérailles, les manifestations bruyantes et ostentatoires contre un ennemi qu’on aura provoqué. Elles compteront et pleureront leurs morts. Il suffit d’observer la brillante campagne conduite par les gouvernances des pays membres de cette coalition dans « la guerre contre le coronavirus », pour pressentir que nous ne gagnerons pas non plus la prochaine…

Dominique Delawarde 




Élections américaines : l’identité du « kraken » révélée et le raid de la CIA en Allemagne pour saisir les serveurs de l’élection – interview du général Flynn et du général Mc Inerney

[Source : Politikus]

Natural News ) Brannon Howse de World View Report a diffusé une interview mettant en vedette le général Michael Flynn avec ses premiers commentaires publics depuis qu’il a été gracié par le président Trump. Vous pouvez consulter l’interview complète sur le site Web WorldViewWeekend.com .

Cette même interview présente également le général Thomas McInerney, expert en cyberguerre, ainsi que Mary Fanning de TheAmericanReport.org et auteur du livre: THE HAMMER is the Key to the Coup «The Political Crime of the Century»: How Obama , Brennan, Clapper et la CIA ont espionné le président Trump, le général Flynn… et tout le monde .

Dans cette interview, vous découvrirez la véritable identité du Kraken, ainsi que la confirmation que du personnel militaire américain a été tué lors de la fusillade pour s’emparer de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort, qui est la clé pour prouver le trucage délibéré des élections via une modification à distance des tableaux de vote.

Ci-dessous, vous trouverez la transcription complète de l’entretien.

Tout d’abord, voici quelques-uns des faits saillants du Général McInerney que nous avons pensé particulièrement importants.

  • HAMMER et diverses cyberarmes étaient auparavant utilisées par les États-Unis contre d’autres pays, maintenant les armes sont déployées contre nous. Obama est derrière tout.
  • Le créateur de HAMMER et de Scorecard est Denis Montgomery, ancien analyste de la CIA.
  • Fox s’est retourné contre l’Amérique, les coordinateurs du coup d’État profond ont recruté l’ensemble des médias américains et Big Tech pour vaincre la République et renverser la Constitution américaine.
  • La date limite du 14 décembre n’a pas d’importance. Le président Trump ne devrait pas quitter ses fonctions tant que tous les faits entourant le vol des élections n’ont pas été analysés, y compris les distributions de dépouillement «causées par la manipulation électronique frauduleuse de machines à voter ciblées».
  • Le fait que les 5 États du champ de bataille aient cessé de compter en même temps, «démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans cinq États du champ de bataille.» Ensuite, ils ont utilisé HAMMER et Scorecard, plus Dominion, pour amener Joe Biden en tête. C’est une «impossibilité mathématique» la façon dont les votes sont arrivés. Un algorithme a été utilisé.
  • En PA, 1,8 million de bulletins de vote ont été envoyés aux gens. 2,5 millions sont revenus. Quelqu’un avait une presse à imprimer et les imprimait.
  • Le renseignement militaire du 305e bataillon est «Kraken».
  • La Chine, l’Iran, la Russie étaient tous impliqués dans la manipulation des votes.
  • Confirmé que le US Special Forces Command a saisi des serveurs de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Confirmé qu’il y avait des soldats américains tués lors du raid sur la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Chris Miller est secrétaire à la Défense en raison du 305e bataillon. Considérez pourquoi…
  • Chris Krebs de CISA a commis une trahison et fait partie du coup d’État.
  • Ce qui s’est passé pendant les élections, c’est la trahison au plus haut niveau, pas seulement la politique.
  • Trump peut garder le contrôle de la Maison Blanche, sous serment, jusqu’à ce qu’une enquête complète soit terminée, et il n’y a pas de délais artificiels qui peuvent l’arrêter.
  • Le président a prêté serment qui l’oblige à défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux. C’est pourquoi il ne peut pas livrer la Maison Blanche à des marionnettes politiques (Biden) contrôlées par les ennemis de l’Amérique (Chine, Iran).
  • La grande preuve des serveurs saisis va sortir à SCOTUS, pas avant.
  • Une fois capturés, des acteurs traîtres de niveau intermédiaire pointeront du doigt Biden et Obama, affirmant qu’ils avaient reçu l’ordre de commettre les actes de trahison.
  • Le second tour du scrutin en Géorgie est déjà volé par les démocrates à moins que nous arrêtions le vol de votes. C’est juste un vol numérique pour eux. Cela signifie que le Sénat sera perdu pour les démocrates à moins que cette infrastructure de fraude électorale ne soit exposée et vaincue.
  • Une grande instabilité survient si nous permettons que le gouvernement soit saisi par les communistes.
  • Tout cela va jusqu’au sommet, impliquant Joe Biden, Adam Schiff, Barack Obama et d’autres.
  • Trump savait que tout cela allait arriver et l’avait prévu.

Maintenant, voici la transcription complète

Brannon Howse: le lieutenant-général Michael Flynn et son ami de longue date, le lieutenant-général Thomas McInerney, et la chercheuse et auteure du renseignement national Mary Fanning.

Oui, le général Flynn se joint à nous ce soir. Son premier entretien depuis sa grâce du président Trump. Il parle pendant 30 minutes directement au peuple américain de ce qu’il voit venir, de ce que nous devons faire et de ce qui s’est passé, puis le général McInerney interviendra  avec les dernières nouvelles sur le kraken, ce que c’est vraiment, vous allez être choqué, puis nous entendrons la dame qui a tout cassé, Mary Fanning avec son co-auteur Alan Jones. Ils ont cassé l’histoire en décembre 2015. Les gens se rassemblent tous, et nous obtenons cette exclusivité ce soir ici à WVW Broadcast Network. L’heure du week-end Worldview commence maintenant.

Bonsoir et bienvenue à l’émission. Merci de nous avoir rejoint. Un vendredi soir très spécial, le 27 novembre, diffusé avec le général McInerney, Mary Fanning, et nous serons rejoints plus tard par Alan Jones. Nous allons couvrir de nombreux sujets très importants ce soir.

Attendez juste une seconde. Voyons si cet appel est… Bonjour, Brannon Howse. Merci général de vous joindre à nous. Nous venons de passer à l’antenne. Permettez-moi d’annoncer, en fait, laissez-moi entendre le général McInerney.

Général McInerney, nous venons d’être rejoints par un de vos amis. Souhaitez-vous présenter notre ami au public de l’émission ce soir?

Général McInerney: Oui, je voudrais Brannon, pour faire savoir à tout le monde que le général Mike Flynn va se joindre à nous ce soir,  quelques jours après avoir  été gracié par le président des États-Unis. C’est un grand honneur pour nous de l’avoir. Lui et moi parlerons avec Mary et Alan de la trahison qui a été commise contre cette administration, ce pays et ce président, et le général Flynn a été un élément clé de cette menace à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. C’est un grand honneur de vous avoir avec ce Mike et nous devons faire savoir à l’Amérique ce qui se passe.

Brannon Howse: Absolument, avec cela général, je vais simplement vous donner la parole. Je sais que vous êtes sur un téléphone portable, mais je vais juste vous donner la parole et vous laisser parler au peuple américain. Merci de vous joindre à nous ce soir.

Michael Flynn: Tout d’abord, je veux juste dire merci Tom pour m’avoir contacté et me demander de venir ce soir, et Brannon apprécie que vous vous joigniez à moi.

Je ne sais pas quel est votre public ou à qui nous parlons ce soir, mais je vous dirais que ce qui se passe dans ce pays ne devrait jamais arriver, et nous traversons, il n’y a aucun doute dans mon esprit, nous traversons un crise historique. Si nous ne corrigeons pas ce qui se passe actuellement au cours des prochaines semaines, je déteste vraiment penser à ce qui se passera dans notre pays à la fin de décembre et certainement le mois prochain.
Je ne crois pas une seconde que le pays acceptera le vice-président Biden comme prochain président, sur la base de ce que nous savons être probablement la plus grande fraude que notre pays ait jamais connue dans son histoire.

Ce que nous voyons,  je suis en plein dedans en ce moment, et je vais vous dire que, tout d’abord, le président a des chemins clairs vers la victoire. Des chemins clairs vers la victoire qui ne nécessitent en fait pas beaucoup d’action en salle d’audience. Ce qui est nécessaire, c’est que cela exige beaucoup d’honnêteté de la part des élus et, franchement, de beaucoup d’Américains qui se manifestent et nous racontent leur témoignage.

Les centaines et les centaines d’Américains à travers le pays dans différents États, pas seulement les États en ballotage mais de nombreux autres États qui se présentent avec leurs témoignages et les déposent sur des affidavits en tant que témoins. Nous avons probablement reçu 10 ou 12 affidavits d’un État particulier aujourd’hui, et comme il y a eu un certain nombre de menaces contre des gens, des patriotes en particulier, ils ont envoyé leurs photos avec leur affidavit et ont dit: «Mettez la mienne en haut de la page liste parce que je veux que les gens sachent que je ne vais pas avoir peur de ces personnes qui menacent notre pays et notre mode de vie. »

Je dis tout cela  d’une part et d’autre part, comme je viens de le décrire, nous avons des chemins clairs vers la victoire pour ce président. Franchement, il va gagner la Pennsylvanie. Il va gagner l’Arizona. Il va gagner la Géorgie. Il va gagner le Nevada. Il va gagner le Michigan. L’autre qu’il va probablement retirer est le Wisconsin aussi, car il y a un écart dans le Wisconsin de 130 000 bulletins de vote vigilants qu’ils viennent de trouver, qu’ils viennent de découvrir. Il se passe beaucoup de choses et  pour moi, tout est positif. On m’a demandé aujourd’hui sur une échelle de 1 à 10, qui sera le prochain président, et j’ai dit, 10 ce sera Donald Trump. Ce sera le président Trump. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu’il a remporté cette élection haut la main dans un glissement de terrain, probablement entre 350 et 400 votes dans les collèges électoraux.

Ce que nous avons vu est terminé, et je le sais, au cours des deux dernières décennies probablement et probablement plus longtemps, je peux vous donner une petite leçon d’histoire à ce sujet, mais je ne le ferai pas. Mais au cours des deux dernières décennies, ce que nous avons vu est un changement complet dans la rapidité avec laquelle la Chine communiste dans son plan à long terme a décidé de faire progresser ses plans pour devenir la superpuissance mondiale, la seule superpuissance mondiale sur la planète. Leur  plan date du milieu de ce siècle dans lequel nous sommes en ce moment, quand lors des dernières élections de 2016, ils n’ont pas obtenu le candidat dont ils avaient besoin pour leur idéologie de l’Amérique. Voyant cela, ils n’allaient pas permettre qu’en 2020 cela se produise et donc maintenant, ce que nous avons, c’est ce vol avec le vote par correspondance. Le vol avec ce logiciel, le logiciel Smartmatic et Dominion, ces systèmes de domination.

Ce sont des systèmes qui n’appartiennent pas à notre pays. Ils appartiennent à d’autres – ils ont été introduits dans ce pays. Comment pouvons-nous dire en tant qu’États-Unis d’Amérique, comment pouvons-nous dire que nous acceptons un système qui n’est pas fait dans ce pays et, dans bien des cas, les bulletins de vote ne sont même pas comptés dans ce pays? Comment pouvons-nous dire qu’ici, dans ce pays, nous acceptons cela?

La seule chose et pour vous tous et pour tous vos auditeurs, la chose la plus précieuse qui fait de moi la même chose que le gars ou la fille le plus riche de la planète ou la personne la plus pauvre d’Amérique, qu’est-ce qui nous rend égaux? Ce qui nous rend égaux, c’est lorsque nous nous rendons dans un isoloir et que nous fermons le rideau, ou nous y entrons et nous nous penchons pour voter. Mon vote compte autant que le gars, qui est le gars le plus riche d’Amérique. C’est exactement la même chose. C’est là où nous sommes égaux, et c’est pourquoi cela doit être juste et gratuit, et ce ne l’était pas. Nous savons probablement, en fait, que nous avons des preuves d’élections précédentes où cela s’est produit également, mais nous nous concentrons maintenant sur celle-ci. Je vais vous dire que nous ne sommes pas là pour perdre. Nous ne sommes pas là pour perdre ces batailles, nous sommes là pour gagner ces batailles et je crois que nous allons le faire. Je crois que nous allons gagner,et je suis convaincu que nous le sommes parce que nous avons les bonnes personnes, nous avons le bon plan et la bonne stratégie, un peu direct et un peu indirect, et les gens parlent tout le temps à chacun.

Je suis anxieux et vous entendez probablement dans ma voix que je suis un peu anxieux parce que je ne peux tout simplement pas croire les médias et la censure qui existe. Regardez simplement ce qu’ils font au président des États-Unis d’Amérique. Regardez ce que Twitter fait au président des États-Unis d’Amérique. C’est exaspérant pour moi. C’est un attentat. C’est une abomination du premier amendement, notre liberté d’expression. Franchement, pour le président des États-Unis d’Amérique, le seul moyen qu’il a pour pouvoir communiquer, c’est quand il marche dehors, ou il va devant un groupe de personnes, ou il marche dehors et parle à la presse, ou il utilise les médias sociaux pour communiquer parce que les médias ne lui permettront pas de faire passer son message.

La grande presse, pas la conférence de presse, mais l’audience qu’il y a eu en Pennsylvanie l’autre jour, et si quelqu’un avait la chance de la regarder. Ce fut une audition extraordinaire avec des politiciens de Pennsylvanie centrés sur un panel, et le seul sénateur qui dirigeait le panel pour l’état de Pennsylvanie, qui a écouté l’audience, écouté un groupe de témoins, écouté Rudy, écouté Jenna Ellis, et d’autres membres de leur équipe. L’individu qui l’a dirigé était un colonel militaire à la retraite, et il est maintenant sénateur de l’État de Pennsylvanie, et il a prononcé, à la toute fin, un très bon bref discours de synthèse, et c’était réconfortant parce que c’était une sorte de maman et tarte aux pommes: «Hé, nous ne pouvons pas permettre que cela se produise dans notre pays. Nous ne pouvons pas nous présenter au monde comme une nation du tiers monde ». C’était un très, très bon discours de clôture,et qu’a fait Twitter? Twitter l’a immédiatement mis hors ligne. Ils ont complètement supprimé son compte Twitter pour que les gens ne puissent pas suivre ce type. C’est juste scandaleux, c’est scandaleux. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi.

Brannon Howse: Absolument. Général, vous avez mentionné dans votre déclaration que vous avez faite l’autre jour pour remercier le président des États-Unis et vous avez utilisé le mot coup d’État, vous avez mentionné que nous ne devrions plus jamais permettre que cela arrive au peuple américain. Vous utilisez le mot déraciné, sous-coupé, usurpé ou retenu en otage par un coup d’État contre notre nation. Voudriez-vous développer le mot coup d’État parce que je sais que le général McInerney l’a utilisé à maintes reprises. Je sais que vous n’êtes pas un homme enclin à l’hyperbole, alors je sais que ce mot n’a pas été utilisé dans votre déclaration que vous avez publiée sans raison. Voudriez-vous développer l’utilisation de ce mot?

Michael Flynn: Bien sûr. Je veux dire, je pense que ce que nous avons vécu au cours des quatre dernières années, et certainement à la fin de 2016, très à la fin de 2016 et au début de 2017, a été un effort très important pour renverser un président dûment élu, et vraiment essayer de destituer Donald Trump par juste pression politique, par pression technologique, par pression financière au début de son mandat. Peut-être pour lui faire dire simplement: «Vous savez quoi? Je ne vais pas – je n’ai pas besoin de ça. Je ne vais pas le supporter »et m’en aller. Je pense qu’il y avait un sentiment, je sais qu’il y avait un sentiment que peut-être il va juste – c’est le gars de New York, pas un politicien. Il va juste dire, tu sais quoi, je n’ai pas besoin de ce truc. J’ai mieux à faire et à partir. Remerciez Dieu qu’il ne l’a pas fait, et cela a duré quand il l’a fait, cela a continué, cet effort a continué à le poursuivre de toutes les manières possibles pour l’éliminer par certains moyens, que ce soit le faux Russiagate, le Spygate, ou que ce soit la fausse mise en accusation ou une autre du genre de choses que nous voyons avec cela, cette situation COVID à laquelle nous devons faire face maintenant. C’est la première phase si vous voulez. C’est quelque chose qui dure depuis des années.

Maintenant, nous entrons dans quelque chose de différent. Pas différent en termes de cela, c’est toujours un coup d’État en cours, mais maintenant c’est un peu différent et c’est en fait – c’est en quelque sorte qu’ils ont amélioré leur jeu lorsqu’ils ont perdu en 2016. Je pense qu’il y avait une décision et je crois que c’est , mais il y avait une sorte de décision de dire: «Nous n’allons pas permettre que cela se reproduise».

Tout ce que vous avez à faire est de revenir en arrière et d’écouter certains des commentaires de l’été dernier de certains des hauts dirigeants qui font partie de ce parti démocratique, n’est-ce pas? Je veux dire, Hillary Clinton, je pense que c’était en juillet ou certainement au milieu de l’été où elle a dit, peu importe ce que Joe Biden ne devrait pas concevoir. De quoi parle-t-on là? Je veux dire, pourquoi dirait-elle cela au milieu de l’été, trois, peut-être quatre mois avant une élection? Une des choses que je sais de mon expérience dans l’armée et dans différents endroits du monde, c’est que lorsque votre ennemi vous dit qu’il va faire quelque chose, vous feriez mieux de prêter attention à ce qu’il a dit, et vous feriez mieux d’avoir certains plans, et vous feriez mieux d’avoir des idées sur la façon de faire face à cela si cela se concrétise. Eh bien, dans ce cas,nous avons des camps opposés et dans nos camps opposés de nos partis politiques, et nous savons que le parti politique de gauche est vraiment bien, bien plus à gauche.

J’ai du mal à l’appeler ou à appeler quelqu’un un démocrate ou un parti démocratique. C’est un nom que les gens, parce que c’est vraiment le parti socialiste démocratique d’Amérique qui a usurpé pour prendre le contrôle de cet élément, et ils sont une voix très forte. Donc, ils ont en quelque sorte barré la porte à l’assaut contre nous, contre notre pays et notre mode de vie, et ils font tout ce qu’ils peuvent en ce moment pour essayer de faire semblant comme, OK, rien à voir ici, et Joe va être notre prochain président ici. Je vous dis simplement, le niveau d’activité frauduleuse, ce que je décrirais certainement comme ce que nous avons vu et ce qui nous a été signalé, comme certainement un comportement criminel, mais cela reste à voir parce que c’est quelque chose qui devrait faire l’objet d’une enquête plus approfondie, mais du côté civil de ce dans quoi je sais que les gens sont impliqués, il y en a certainement des milliers et des milliers,des dizaines de milliers de bulletins de vote. Ce qui s’est passé de manière très stratégique, c’est que le vote électronique n’a pas obtenu le résultat dont ils avaient besoin le 3 novembre. Le mardi 3 novembre, le vote électronique n’a pas abouti au résultat dont ils avaient besoin pour être en mesure d’obtenir, de les dépasser et d’obtenir les votes dont ils avaient besoin, car essentiellement les systèmes n’étaient pas mis en place de manière à amener le décompte des voix là où il devait être, tout en cachant en quelque sorte comment ils le faisaient. Mélanger les nombres et autres et le faire de différentes manières dans différents états. Quand cela s’est produit, ils ont réalisé: «D’accord, nous devons arrêter, nous devons arrêter». Inouï, sans précédent, puis le vice-président Biden se couche et ils ferment.

Cinq états cette nuit là ont fermé, arrêté. Comment pouvons-nous permettre que cela se produise? Ensuite, bien sûr, au cours des deux jours suivants, du 4 au 7 novembre, nous commençons à voir le bulletin de vote par correspondance. Tout le cas de fraude par correspondance, et il y a tout un tas de preuves et tout un tas de gens qui se sont manifestés. Il y en a probablement deux cents, je ne sais pas trop, des affidavits. Des gens qui se sont levés et ont dit: «J’en ai marre». Ce sont des démocrates et des républicains.

Nous venons de recevoir un autre article ce soir dans une autre partie du pays d’un démocrate, une femme qui est tout simplement absolument malade et fatiguée de ce qu’elle a vu, et elle ne savait tout simplement pas quoi faire, et elle a finalement dit: «Je dois y aller en avant, et je dois le signaler. Je ne peux pas vivre avec moi-même ». C’est ce qui se passe avec les gens qui ressentent dans leur cœur ce sentiment de patriotisme de dire encore: «Écoutez, je ne veux pas que mon pays se transforme en autre chose parce que c’est ce que ces gens veulent». Ils ne veulent pas que notre pays soit la République qu’il est. Ils veulent que ce soit autre chose et le changer. Comme nous l’avons entendu, un président dit, nous voulons changer fondamentalement l’Amérique, et ce n’est pas ce que les gens veulent. Les gens veulent vivre la vie qu’ils ont avec les libertés et les libertés que nous avons sous cette grande république constitutionnelle que nous avons.C’est un peu là où nous en sommes et c’est ce que je veux dire par là.

C’est un effort continu. Ce n’est pas d’aller prendre la capitale, d’aller prendre la radio comme nous l’avons fait dans le passé, dans notre propre histoire, il y a des années en Amérique centrale ou dans les Caraïbes, ou dans certains de ces autres pays. Nous avons participé, ou nous avons soutenu certaines de ces choses là où nous l’avons certainement regardée dans un autre pays du tiers monde. Maintenant, ce qui se passe dans notre pays, nous ne pouvons pas le supporter.

Brannon Howse: C’est une nouvelle façon de faire la guerre, n’est-ce pas général? C’est ce que vous dites? C’est en quelque sorte la nouvelle façon de faire la guerre et c’est la cyberguerre. C’est ce que vous dites?

Michael Flynn: C’est cyber, c’est une combinaison de choses. C’est certainement de l’information. C’est la façon dont vous tirez parti de l’information, comment vous tirez parti de tout ce qui concerne les opérations psychologiques, c’est que vous devez vous assurer de choisir la cible, puis la répétition du message encore et encore et encore et encore et encore. La seule façon de le faire dans un pays de notre taille, avec toutes les façons dont nous communiquons, c’est de mettre les médias de votre côté. Cela a pris un certain nombre d’années, mais je ne peux pas rester ici et vous dire que ce n’est pas le cas parce que c’est le cas, tout le monde le sait.

Tout le monde connaît les «médias grand public», qui sont un groupe d’organisations assez solides et qui comprend les entreprises technologiques, n’est-ce pas? Je dis les entreprises de technologie, les entreprises de technologie des médias sociaux, tout de Facebook à Instagram, bien sûr, Twitter que j’ai mentionné. Toutes ces choses, ils essaient de contrôler un récit et de dire au peuple américain ce qu’il devrait savoir au lieu de permettre au peuple américain des informations et de laisser chacun de nous décider de ce qui est important ou non.

Brannon Howse: Donc, c’est le lavage de cerveau, c’est la guerre de l’information, c’est le lavage de cerveau, une opération psychologique. Ce sont ces choses que vous avez étudiées et d’autres études quand  on passe par l’école SERE. Correct?

Michael Flynn: C’est plus que ça mais oui, c’est un peu le type de guerre. En fait, si vous étudiez la doctrine chinoise, la doctrine chinoise comporte six phases. Les cinq premières phases ont toutes à voir avec l’information. La dernière partie serait si celles ci échouaient ou si vous aviez besoin d’un « umph » supplémentaire. C’est alors que vous pouvez voir quelque chose de cinétique. Nous sommes dans ce genre de guerre de l’information sans précédent. Je vais me tenir sur ma boîte ici et dire que le président des États-Unis d’Amérique est censuré par les entreprises américaines. Pensez-y, je suis parfois perdu quand j’en parle et j’en parle plusieurs fois par jour à différentes personnes dans différents groupes, et j’essaie de dire: «D’accord, à un moment donné, cela doit cesser d’être autorisé ». Lorsqu’une entreprise dit: «Ce que vous venez de dire, M.Le président n’est pas totalement la vérité, où y a t-il de la fraude, ou, la fraude n’a pas été prouvée ». Comment osent-ils faire ça au président des États-Unis, de ne pas pouvoir se faire une place dans la foule des médias grand public. Regardez l’entretien qu’il a fait hier, où nous avons eu, quelqu’un qui parle au président des États-Unis dans son bureau là-bas, et il a dû conseiller la personne. «Ne leur parlez pas. Ne me parle pas comme ça. Ne parlez pas comme ça au président des États-Unis ». C’est comme une bande de punks  dans une cour d’école. Nous ne pouvons pas avoir cela dans ce pays.

Débat et questions pointues, mais pas totalement, totalement irrespectueux, pas seulement le président. Vous ne l’aimez peut-être pas, très bien, mais il représente la présidence des États-Unis d’Amérique. Il représente notre drapeau, notre constitution, notre pays. Tout ce que nous vivons actuellement est en fait plus qu’une simple agression contre le président Trump. Il s’agit d’un assaut contre la République américaine, contre ce grand pays que nous avons et contre les habitants du pays. Je sais qu’ils en ont assez et qu’ils ne vont pas le supporter. Ce qu’ils attendent de voir, c’est qu’ils attendent de voir le résultat de leurs propres élus dans les États faire leur travail.

Juste parce que CNN ou Fox News ou un gouverneur ou un secrétaire d’État certifie une élection, si la législature de l’État n’a pas certifié l’élection, elle n’est pas certifiée dans un État particulier. S’il y a une contestation et une contestation juridique légitime, ils ne peuvent pas s’asseoir là et le certifier pendant qu’une contestation judiciaire est en cours, ce n’est tout simplement pas la façon dont cela fonctionne. Les médias ne couvriront rien de tout cela pour vous. Les grands médias, ils ne vont tout simplement pas le couvrir, et c’est triste parce qu’ils essaient de nous enfoncer cela dans la gorge, et le public américain, ils voient à travers.

Brannon Howse: Et nous sommes reconnaissants que vous soyez venu chez nous, l’un des sites de médias alternatifs, et ceux-ci se développent tous rapidement, et lorsqu’ils sont tous ajoutés ensemble, vous atteignez des millions et des millions de personnes grâce aux nouveaux médias. Je ne veux pas vous garder général plus longtemps que vous ne voulez rester. Vous avez été très généreux. Je voudrais vous poser encore quelques questions. Nous avons des gens dont je sais qu’ils sont frustrés. Ils arpentent le sol. Ils sont vraiment contrariés pour eux de voir ce que les médias disent et comment ils découragent les gens, mais vous leur dites de rester là-dedans pour que tout se passe bien. Je ne sais pas si vous pouvez en parler ou non, si vous ne pouvez pas simplement le dire, mais je sais que Sidney Powell a parlé de beaucoup d’informations qui seront publiées. Elle veut aller au tribunal,pas dans les médias pour l’essayer, mais devant le tribunal. Mais pouvez-vous, ou ne pouvez-vous parler d’aucune des preuves tangibles liées au serveur en Allemagne?

Michael Flynn: Oui, je ne veux pas en parler pour le moment. Elle l’a mentionné et elle a en fait de très bons documents. Ils viennent de déposer un autre amendement, je crois, en Géorgie. Ils ont déposé en Géorgie. Ils ont déposé au Michigan aujourd’hui, juste aujourd’hui, et probablement au cours de la dernière heure ou deux, ils ont simplement déposé un autre amendement à ceux de la Géorgie, et de nouveau au Michigan. Je pense que les prochaines priorités, vous savez, concernent certains de ces autres États où il y a de grands défis. Il faut vraiment aller fouiller dans les documents au lieu de lire un extrait sonore ici ou là, parce que c’est notre vie, c’est notre pays. C’est le moment de notre histoire où si nous ne réussissons pas, ce pays est fini, ce sera fini comme nous le connaissons. Alors que je me tiens ici à vous parler, je ne me tiens pas ici de moi, je me tiens ici de mes enfants,mes petits-enfants, et franchement, la lueur d’espoir que nous sommes en tant que pays. Je dirais, je vais juste conclure parce que je vais devoir interrompre ici. Il y a des chemins vers la victoire, c’est clair. Les principaux États sont la Géorgie, le Michigan, l’Arizona, le Wisconsin et le Nevada. Il y a des moyens que le président peut atteindre, et son équipe peut l’amener à la marge dont il a besoin pour gagner sans la Pennsylvanie, mais il va aussi gagner la Pennsylvanie.

Je vous laisse et je laisse le public avec ça parce que je ne veux pas que mon ton soit si fort là où vous ressentez une frustration. Je ne suis vraiment pas frustré, je suis déterminé, et je vais rester résilient face à cette agression que nous avons en cours par des éléments de notre pays qui essaient de nous dire: « Ne regardez pas ici, tout ira bien » . Ce ne sera pas, nous ne pouvons pas avoir cela. Nous ne pouvons pas permettre cela. Nous allons clarifier les choses. Nous allons le redresser. Cela va être fait correctement. Cela se fera légalement. Cela va être fait correctement. Cela va être fait avec les patriotes américains qui aiment ce pays et qui se battent comme des guerriers dans une sorte de champ de bataille juridique, c’est sûr. Avec des gens comme Sidney Powell, comme Rudy Giuliani et son équipe, comme des gens comme Linwood, qui se bat bec et ongles.La plupart des gens ne le savent même pas, son cas selon lequel il se déroule en Géorgie vient d’être repris par le 11e circuit, en Géorgie, et c’est un bon signe, car cela signifie que le seul juge là-bas qui pensait qu’il allait classer son dossier, le 11e circuit l’a retiré de lui et l’a porté à son niveau, à un niveau d’appel, car ils ont vu qu’il y avait suffisamment de preuves. Donc, je crois que nous allons voir un certain élan changer ici. Il y a déjà un courant sous-jacent de changement d’élan pour le président, et je crois qu’en fin de compte, nous allons découvrir qu’il a gagné par un glissement de terrain massif, et il sera inauguré en janvier.

Brannon Howse: Général, merci beaucoup pour votre temps. Merci pour votre service à notre pays. Vous nous avez honorés de vos paroles ce soir et de votre temps, et nous apprécions que vous preniez le temps de vous joindre à nous et de parler au peuple américain. Non seulement nous sommes en direct, mais bien sûr, nous publierons ensuite cela comme une émission qui ira très loin. Donc, vous encouragerez énormément de gens en prenant le temps ce soir, alors général, merci d’avoir fait cela.

Michael Flynn: Super ami, et Tom, merci de m’avoir invité. Dieu bénisse l’amérique. Merci. Merci.

Brannon Howse: Merci général. Maintenant, nous allons être rejoints par le lieutenant général McInerney, Mary Fanning. Hou la la! Je ne sais pas ce que vous pouvez entendre les gars parce que je dois éteindre le téléphone portable, mais pouvez-vous l’entendre?

Général Mclnerney et Mary Fanning: Oui.

Brannon Howse: Eh bien, général McInerney, aimeriez-vous commenter ce que votre ami avait à dire? Et merci d’avoir aidé à mettre cela en place.

Général Mclnerney:Eh bien, c’est absolument vital parce que c’était la première fois que je crois que le général Flynn a pu parler publiquement et dans un tel environnement, et je tiens donc à vous remercier d’avoir mis en place cela, et je sais que Mary vous a parlé et c’est très important ce que vous avez fait ce soir parce que c’est un train en mouvement rapide, et c’est pourquoi je voulais que vous le fassiez parce que nous assistons à la situation la plus sans précédent de l’histoire de l’Amérique. C’est la situation la plus dangereuse depuis la guerre civile pour garder cette nation unie, et pourquoi est-ce que je dis cela? La guerre civile, ce n’était que la guerre, le jour où vous et le général Flynn avez parlé de cyberguerre. La cyber-guerre est cachée, elle est mystique. Vous ne le voyez pas venir, cela arrive. Tout à coup, 138 000 votes ou 150 000 votes, tout d’un coup ils se présentent, et parce que nous regardons les ordinateurs,nous supposons qu’ils sont tous légitimes, mais dans ce cas particulier, ils ne sont pas légitimes, et à cause de ce que Sidney Powell a fait avec l’avocat du général Flynn et de ce qu’elle a soumis dans l’état de Géorgie et du Michigan un mercredi soir, la nuit. avant Thanksgiving, nous avons un document dans ce journal, dans ces poursuites d’un médecin.

Navid Keshavarez-Nia, qui est un résident de 59 ans en Californie, qui a passé 40 ans presque dans la métropole de DC en tant qu’expert de la communauté du renseignement de carrière. Je n’entrerai pas beaucoup dans son histoire, mais à cause de cette déclaration qu’il a faite dans laquelle je suis cité et confirmant indépendamment qu’il utilise mon nom. Kurt Weeby, qui était un ancien responsable de la NSA, un bon ami à nous, et qui travaillait avec Mary et moi, et Dennis Montgomery, un ancien analyste de la CIA qui était vraiment le créateur, l’inventeur des capacités d’HAMMER et du tableau de bord, et que nous avons cassé, et nous l’avons cassé dimanche et lundi avant les élections en disant que cela allait être une action qui se produirait, et ce qui s’est passé s’est en fait produit. Mary a grandement contribué à m’informer de cette information, et tout d’un coup, deux jours avant,deux jours et demi avant le début du vote le 3 novembre, c’était le 1er novembre, je me suis impliqué dans la porte de vote.

Je suis analyste militaire et pendant 16 ans et demi, j’ai été sur Fox News en tant qu’analyste militaire. J’ai été le numéro trois du personnel aérien de l’armée de l’air, et j’avais donc une excellente expérience, mais ce qui a rendu cela si facile pour moi Brannon, c’est que je dirige une société de cloud computing, une société de périphériques de cloud. Je connais intimement ce genre de technologie et ce qu’elle fait et j’en vis à l’époque militaire. Tout le monde se souvient quand nous avons attaqué Tripoli en 1986. J’étais le commandant et ils ont lancé depuis mes bases en Angleterre.

Maintenant, j’ai obtenu ces informations des sources britanniques et d’autres sources, mais toute ma vie a été basée sur cela, et ce que je vois maintenant, c’est que ces technologies sont maintenant utilisées contre le peuple américain. Ils essaient de prendre le contrôle de cette nation grâce à la technologie et à la cyberguerre. Ils se sont enrôlés pour inclure Fox News qui nous a retournés. Ils ont été répertoriés dans les médias grand public et le premier amendement pour essayer de se mettre de leur côté et le général Flynn a parlé de la censure. Par exemple, c’est Twitter qui fait et détermine ce que le président Trump peut dire. C’est ridicule. Cela doit cesser, mais à cause de tous ces atouts  qu’ils utilisent, ils abusent de la constitution des États-Unis, ils nous ont mis dans une position où nos ancêtres n’étaient pas au courant de la cyberguerre, et donc quand ils ont énoncé dans la constitution, le processus de notre élection qui passe par le collège électoral, la réunion des électeurs le 14 décembre, annonçant qui sera le président, puis en passant le 20 novembre, l’inauguration, qui n’était pas basée sur la cyberguerre, et ainsi nous avons un calendrier et j’en parle à nos auditeurs.

Nous avons un timing et nous devons passer par le système juridique. Cela n’a pas été conçu pour fonctionner dans le cyber-monde, et nous avons donc eu de nombreux juges qui ont refusé et ne reconnaissaient pas ce qui s’était passé. C’est le défi auquel nous sommes confrontés et ce que je voulais faire comprendre ce soir. Peu importe que nous ayons verrouillé et scellé ce processus de décision avant le 14 décembre, le président ne devrait pas quitter ses fonctions tant qu’il n’a pas été correctement entendu.

Nous, les Américains, exigerons que ces faits soient analysés et examinés, et je vais couvrir certains de ces faits qui les ont rendus si convaincants que cela ne fait aucun doute. Commençons par la distribution du décompte des voix en Pennsylvanie, au Wisconsin, au Michigan, en Arizona, au Nevada et en Géorgie ne sont pas basées sur le fonctionnement normal du système à cause d’une manipulation électronique frauduleuse ciblée sur des machines à voter . Par exemple, à 2h30 du matin le 4 novembre, une émission de télévision a rapporté que la Pennsylvanie, le Wisconsin, l’Arizona, le Nevada et la Géorgie ont décidé d’arrêter les opérations de dépouillement et continueront le lendemain. Cette décision unanime d’arrêter initialement et intentionnellement le comptage par les cinq États du champ de bataille est très inhabituelle. En fait, c’est sans précédent,cet cela démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans les États du champ de bataille. Ce sont les cinq états que le général Flynn a mentionnés à cause de cette grande lumière clignotante pour quiconque comprend le processus de vote.

Nous commençions à regarder chacun de ces états parce qu’ils n’arrêtaient pas de compter. Tout d’un coup dans le Michigan à quatre heures du matin, 138 000 votes se manifestent, tous pour Biden. Il était en retard dans tous les États où ils ont décidé de cesser de voter, et c’est là qu’ils ont utilisé la cyberguerre, Hammer et Scorecard, les machines à voter du dominion et les logiciels qu’ils contiennent. C’est là qu’ils ont installé ces applications, comme votre iPhone, et ils ont obtenu un vote fluide.

Maintenant, lorsque les chiffres sont arrivés, ont commencé à revenir dans ces cinq États, ils étaient des chiffres différents. 138 000 au Michigan, 90 000 en Arizona, c’est théorique. Le différent au Nevada et en Géorgie et en Pennsylvanie. Le point important était qu’ils étaient exactement au même pourcentage. C’est une impossibilité mathématique que cela ait pu se produire, et cela signifie que l’algorithme a été utilisé, et cet algorithme a été conçu pour rester dans les limites, et lorsque les nombres assemblés ont été rassemblés, il n’était pas évident que ces nombres de votes soient insérés. Il s’agit d’une énorme lumière rouge clignotante, et il est important que les gens comprennent  ce genre de données que nous voyons.

Sidney a souligné en Géorgie, qu’il y a 96 000 votes absents qui n’ont pas été pris en compte dans le comté de Fulton, ils avaient une fuite d’eau. La Pennsylvanie, l’État de Pennsylvanie, a envoyé 1,8 million de voix à ses citoyens. L’État l’a fait, ce ne sont pas des votes par correspondance. Celles-ci étaient équilibrées sans chaîne de contrôle, et voici Brannon, 2,5 millions de personnes sont revenues. Si quelqu’un devait avoir une presse à imprimer et que nous la lançons, ce n’est que le test de reniflement pur. Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre que si vous envoyez 1.8 et obtenez 2,5 millions de bulletins de vote, quelque chose ne va pas.

Maintenant, Sidney et l’équipe du président, je crois que le général Flynn, ont eu la chance de s’organiser. Le 305ème bataillon du renseignement militaire travaille avec eux parce que dans tout cela, nous n’avons vu aucun signe du DOJ du FBI, ni de la CIA du côté des amis.

Brannon Howse: Permettez-moi de vous arrêter ici, général parce que vous venez de dire quelque chose de très intéressant. Vous venez de dire  qui vient d’ouvrir le kraken, puis vous venez de décrire ce qu’était le kraken. Nous connaissons tous le terme à cause d’un Sydney Powell qui l’utilise, mais vous venez de dire ce que c’est. Pouvez-vous revenir là-dessus?
Général Mclnerney: Oui. Sidney a obtenu le terme kraken. C’était en fait le surnom du 305e bataillon du renseignement militaire, et cela a été sa source avec d’autres sources que Mary et moi connaissons, mais dont nous ne voulons pas parler. Nous obtenons les différentes sources qui relaient cela, mais l’important est qu’ils ont identifié, maintenant compris, ils ont identifié la Chine, l’Iran et la Russie comme étant impliqués dans cela et manipulant le vote.

En outre, le commandement des forces spéciales américaines a saisi une ferme de serveurs à Francfort, en Allemagne, car ils envoyaient ces données de ces six États via Internet vers l’Espagne, puis vers Francfort, en Allemagne. Les forces d’opérations spéciales se sont emparés de ces installations pour qu’elles aient ces serveurs et connaissent toutes ces données qu’elles fournissent.

Brannon Howse: Cela s’est-il passé sans incident? cette saisie s’est-elle déroulée sans incident?

Général Mclnerney: Eh bien, j’ai entendu dire que cela ne s’était pas passé sans incident, et je n’ai pas été en mesure de le vérifier. Je veux faire attention à cela. Il vient juste de sortir, mais je crois comprendre que mon rapport initial est qu’il y a eu des soldats américains tués dans cette opération. Maintenant, c’était une opération de la CIA, et c’est donc la chose très inquiétante. Cela s’est-il produit à cause de ce que Mary, moi et Allen avons notifié le dimanche et le lundi sur différents réseaux que cela allait se produire, qu’ils utilisaient Hammer et Scorecard, et qu’ils ont donc décidé de le faire rebondir à l’étranger, alors les serveurs se sont fermés et Hammer et Scorecard que nous utilisons dans la zone continentale des États-Unis ne pouvaient pas être utilisés? Je ne sais pas ça. Dans tous les cas, cela les rend plus vulnérables car lorsque vous commencez à déplacer ce type de données à l’étranger, d’autres personnes les regardent,

Brannon Howse: Mais vous dites que c’était une installation de la CIA, et que c’est là que le serveur a été pris par ces forces spéciales,  une installation de la CIA en Allemagne.

Général Mclnerney: C’est exact. Francfort, Allemagne. Nous avons toutes ces informations, le général Flynn bien sûr, les gens le savaient le plus, était l’officier supérieur du renseignement militaire des commandements américains en tant qu’agence de renseignement de défense. C’est un officier du renseignement de carrière, qui connaît ce genre de choses, en amont et en aval. D’après mon expérience dans le secteur du cloud, il s’agissait d’une opération insignifiante, relativement parlant, mais importante, car tant de personnes étaient impliquées. Beaucoup de personnes comme le général Flynn l’ont mentionné, la personne démocratique a vu que cela se présentait, mais ce que nous faisons, nous sommes en concurrence avec la constitution et la date du 14 décembre pour le collège électoral. Pourquoi? Parce que nous avons ces informations et que nous savons que non seulement nous avons l’État profond et l’exécutif que le président Trump a dû combattre,nous l’avons également eue à l’Assemblée législative où vous avez Adam Schiff, Nancy Pelosi, Schumer, toutes ces personnes ont participé à cela. Ils étaient impliqués dans le canular russe. Ils ont été impliqués dans ce coup d’État, mais nous avons aussi eu le pouvoir judiciaire, le juge Sullivan, qui était le juge du général Flynn, qui s’est surpassé sur ce point. Vous aviez le compromis là-bas, et c’est pourquoi le 305e, les krakens ont été choisis et sélectionnés, je crois, parce que le président pouvait leur faire confiance.  C’est pourquoi Chris Miller, ancien héros des opérations spéciales,  est maintenant le secrétaire par intérim de la Défense.

Brannon Howse: Qu’en est-il de son discours qui est devenu viral en lui demandant à toutes les forces d’opérations spéciales de lui répondre directement?
Général Mclnerney: Eh bien, cela vous dit quelque chose. Cela vous dit que nous avons resserré les choses parce qu’il y a des gens qui font partie de cette conspiration. C’est de la trahison dont nous parlons. Certaines personnes peuvent simplement penser: «Oh, c’est juste de la politique». Non, d’accord.

Ainsi, le président Obama l’a utilisé en 2012 pour gagner, Biden l’a utilisé pour gagner la Floride. Les démocrates l’ont utilisé pendant la primaire pour que Bernie Sanders perde et que Biden gagne. Vous savez que c’est de la politique, nous avons triché. Non, ce n’est pas de la politique, c’est une trahison. Darnold a-t-il cédé West Point ou tenté de le faire dans la guerre révolutionnaire. Nous n’avons jamais vu de trahison d’une telle ampleur dans notre histoire, et ces politiciens, ces gens comme Chris Krebs, qui était à la tête de l’agence de sécurité des infrastructures de cyberguerre. Il l’était jusqu’à ce qu’il soit renvoyé il y a quelques semaines par le président parce que c’était une élection parfaite. Il est coupable de trahison. Il devait être complice, et les gens doivent comprendre cela.

Vous qui avez fait cela, vous êtes coupables de trahison contre les États-Unis, et nous allons exiger ce président. Insistez pour que ce président ne quitte pas ses fonctions tant que le peuple américain n’a pas eu une divulgation complète de ce qui se passe.

Brannon Howse: Ce que vous dites, c’est que le président Trump doit remplir son serment, qu’il a prêté pour défendre l’Amérique contre des ennemis, à la fois étrangers et nationaux, et il ne doit pas laisser les délais l’empêcher de remplir ce serment. Est-ce ce que je vous entends dire?

Général Mclnerney: C’est exactement ce que vous m’avez entendu dire Brannon. Le président a dans son serment à la constitution de défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux, et nous ne devrions pas laisser un calendrier dont nous savons qu’il est si manifestement imparfait que n’importe qui peut comprendre qu’avec juste les articles que j’ai donnés à notre auditeurs ce soir. Lorsque vous avez des centaines de milliers de votes qui ont été falsifiés, et que nous savons qu’ils sont falsifiés. Je crois que ces serveurs vont le montrer, et je crois qu’il va le montrer. Il faudra probablement que cela se fasse à la Cour suprême parce qu’il y a des juges comme certains d’entre eux qui vont essayer de se protéger parce que les doigts vont commencer à pointer vers tout le monde. «Eh bien, je ne savais pas cela, je ne savais pas cela», ils vont utiliser le procès de Nuremberg.

«Eh bien, la peur m’a dit de faire ça». Ils vont dire: «Eh bien, le président Obama savait ce que je faisais parce qu’il m’a dit de le faire», ou le vice-président Biden. «Biden était le coureur ici. Il m’a dit de le faire ». Ils vont pointer du doigt. Lorsque vous avez des gens qui conduisent des voitures avec des voitures pleines de bulletins de vote, certains même pas pliés, et qui les conduisent dans ces cinq ou six états du champ de bataille, ils vont parler. Ils ne veulent pas être impliqués dans la trahison, et les gens vont donc parler de l’ampleur de cela, parce que je pense que le président a remporté un vote si écrasant. Eh bien, je sais qu’il l’a fait, qu’ils ont dû faire ces choses, et qu’il n’y a aucun expert dans l’artisanat et ce qu’ils essayaient de faire.

Ils essayaient de faire correspondre les bulletins de vote avec les chiffres qu’ils avaient trouvés et jugés nécessaires, et ce, en temps réel. Vous aviez un chiffre et un analogue pour essayer d’obtenir des bulletins de vote, alors le numérique était facile. Vous pouvez simplement changer les chiffres, et je ne donnerai pas le nom, mais quelqu’un, un républicain à la télévision hier soir, disait, pourquoi serait-il si important pour les républicains de sortir en Géorgie? Peu importe le nombre de personnes que nous sortons en Géorgie Brannon; ils arrêteront simplement le numéro. C’est un numéro numérique pour eux. Nous ne pouvons pas les laisser utiliser Hammer et Scorecard, et à mon avis, nous ne pouvons pas avoir ces bulletins de vote par correspondance en Géorgie. Ils devraient laisser les bureaux de vote ouverts, mais ils doivent obtenir une chaîne de contrôle. Nous ne pouvons pas avoir ce mépris absolu des lois du pays et  les juges,  par les législatures,  doivent s’en saisir.Il y a un chemin, mais je crois que les démocrates vont penser que c’est de la politique, et ils vont essayer de mettre un terme à cela. Eh bien, s’ils le font, alors le peuple américain doit exiger que le président reste en fonction jusqu’à ce que cela soit éclairci parce que c’est une trahison. C’est un coup d’État contre le gouvernement des États-Unis, et nous ne pouvons l’accepter.

Brannon Howse: C’est le général McInerney trois étoiles. Allez chercher sa biographie, je n’ai pas le temps de m’y intéresser ce soir parce que nous l’avons répétée encore et encore. Le général trois étoiles Thomas McInerney, recherchez sa biographie. Ce n’est pas un homme enclin à l’hyperbole.

Encore une fois, Mary Fanning et Alan Jones ont cassé cette histoire en décembre 2015. Le général McInerney en a parlé en mars 2017 dans le programme de Dave. Dave, quel est son nom encore Mary?

Général Mclnerney: Dave Janda

Brannon Howse: Dave Janda, son émission, puis le lendemain le canular de la Russie arrive par Comey, je suppose un écran de fumée, non? Donc, ils sont là-dessus depuis longtemps. En général, j’ai reçu trois appels téléphoniques de trois personnes différentes, liées à l’arène du renseignement il y a quelques semaines, essayant de me dire que j’allais me mettre dans l’embarras. Si je n’arrêtais pas de parler de ça, que c’était du complot et du faux, et il est maintenant révélé que ceux-là, je suppose, étaient des appels pour essayer de me faire cesser d’utiliser notre réseau, notre plateforme, pour informer le peuple américain, parce que maintenant nous commençons juste à comprendre ce que signifient beaucoup de ces mots comme kraken et d’autres choses. Tout est en train de sortir. Il y a ceux à l’intérieur de l’arène du renseignement qui essayaient d’arrêter cela. Maintenant,Je pense qu’il y en a dans l’arène du renseignement qui essaient de prendre l’histoire et de la contrôler. N’est-ce pas?

Général Mclnerney: Oui, et ils sont coupables de trahison.

Brannon Howse: Mary, voudriez-vous commenter. Marie? Vous avez été calme. Je dois vous faire entrer ici parce que vous et Alan Jones avez rompu cela en décembre 2015, et wow, vous, les gars méritez une sorte d’énorme prix littéraire et de recherche, mais s’il vous plaît, dites ce que vous avez entendu ce soir.

Mary Fanning: Nous avons des leaders incroyables dans ce pays qu’il n’y en a pas de meilleur que le général McInerney et le général Mike Flynn. Je vais vous dire que les mauvais acteurs, tant étrangers que nationaux, utilisent cet homme au milieu des mandataires pour couvrir leurs traces. Il y a eu une tentative non seulement de voler les élections, mais de voler l’Amérique. Les pères fondateurs ne connaissaient peut-être pas la cyberguerre, mais ils reconnaissent certainement la tyrannie quand ils y réfléchissent. Le président Trump ne peut pas quitter ses fonctions. Lorsque la Chine et l’Iran auront accès à nos élections, nous ne pouvons pas les laisser voler l’Amérique par leurs actes illégaux de trahison et de guerre contre ce pays.

Brannon Howse: Acte de guerre, et je pense que c’est exactement ce que c’est. Nous avons l’Iran, la Chine et la Russie impliqués. Général, nous avons maintenant la Russie qui menace les missiles. Nous les avons en train de parler des navires bélier. Nous avons l’Iran qui parle de représailles. Nous voyons que leur père de leur programme nucléaire a maintenant été éliminé au cours des dernières 24 heures. Nous voyons que l’Iran se vante d’avoir installé des lance-missiles sur ses cargos. Qu’est-ce que tout cela?

Général Mclnerney: Eh bien, cela signifie une grande instabilité si nous laissons le gouvernement américain être saisi par des gens qui commettent des trahisons et des tricheurs. Ils savaient exactement ce qu’ils étaient entrain de faire. Regardez, tout le monde pense que le modèle de victoire des démocrates à l’avenir n’est pas une conférence de presse majeure avec des questions difficiles. Le plus grand rallye qu’il a eu était de 14 personnes dans 14 voitures klaxonnant et restant au sous-sol. Est-ce là le modèle d’une réussite (inaudible) pour le président des États-Unis? Non, mais il savait quelque chose.

Tous ces gens savaient que le numéro allait sortir. Les gens qui parient à Las Vegas, il y a un excellent article à ce sujet, et les gens des casinos devraient regarder ces gagnants parce qu’ils avaient des informations privilégiées et qu’ils sont coupables de trahison parce qu’ils n’en ont pas informé les autorités compétentes. Quiconque était complice, Fox News à mon avis, certaines de ces personnes sont coupables de trahison. Que ce soit le président, qui que ce soit parce qu’ils ont basculé et qu’ils savaient ce qu’ils faisaient et ils ont fait ces premières annonces, et donc quiconque est impliqué dans cela en est complice. S’ils ne l’ont pas dit et alerté le président des États-Unis et leurs agents immobiliers.

Brannon Howse: Pensez-vous que cela remonte à Nancy Pelosi, à Adam Schiff, à Barack Obama, à Joe Biden?

Général Mclnerney: Oui, il le fallait. La façon dont ils agissent, la façon dont ils ont fait les choses, tout ce qu’ils ont fait, le canular russe. Maintenant nous devons savoir si John Durham, quel est le statut de John Durham et du procureur général? Quel est le statut de leur travail? Qu’ont-ils fait?

Brannon Howse: Général Mclnerney avant que nous ne manquions de temps, nous allons passer environ 10 minutes parce que c’est à ce moment-là que nos cartes sont également épuisées, et nous voulons préserver tout cela pour sortir dans une duplication au peuple américain. nous ne voulons pas aller là où nos cartes sont épuisées. Nous passerons encore huit ou neuf minutes, mais le décret du 12 septembre 2018 sur l’imposition de certaines sanctions en cas d’ingérence étrangère dans une élection aux États-Unis, dans quelle mesure ce décret du président Trump jouera-t-il là-dedans et comment?

Général Mclnerney: Eh bien, je pense que je vais demander à Mary d’en parler également, mais je pense que cela jouera un rôle majeur. Cela me dit Brannon, que le président savait que quelque chose se passait et que cela allait arriver, et donc je pense que Mary, vous pouvez entrer dans les détails.

Mary Fanning: Eh bien, il existe de nombreuses preuves que l’élection présidentielle de 2020 a été volée au président Trump au nom de Joe Biden, avec l’aide de Joe Biden, car Joe Biden a déclaré qu’il avait le plus grand groupe de fraude électorale de l’histoire mis en place. Nous ne pouvons pas laisser cela tenir. Ce sera le vol de l’Amérique. Le peuple américain doit se lever.

Brannon Howse: Mary, j’ai devant moi un article daté du 7 juin 2017. Vous écrivez ici à propos d’un programme, je crois que ça s’appelait Turquie ou quelque chose comme ça? Dinde sauvage ou quelque chose?
Mary Fanning: Wild Turkey ou certains des exploits qui fonctionnent avec Hammer et Scorecard, et ainsi que Medusa. Ce sont des exploits qui ont été créés alors que Turkey n’a pas été créée par Dennis Montgomery, mais que Medusa et le scorecard du hammer ont fonctionné

Brannon Howse: Vous voilà en 2017, en train d’écrire à ce sujet. Encore une fois, vous et Alan Jones, votre co-auteur. Leur livre, en passant, peut être trouvé sur Amazon, The Hammer is the Key to the Coup, qui sont quelques-uns des derniers mots de l’amiral quatre étoiles Lyons à son ami, le général McInerney, parce qu’ils faisaient des recherches et en parlaient .

Rappelez-vous qu’eux, l’amiral Lyons, quatre étoiles, le général McInerney, trois étoiles ont fait une émission de radio ensemble en 2017 pour en avertir, et c’est alors que les choses ont vraiment commencé à s’ouvrir. Mais encore une fois, nous sommes en 2015, puis Mary Fanning et Alan Jones font toutes les recherches et commencent à publier les informations sur TheAmericanReport.org.

Mary, maintenant nous avons trois personnes liées à la communauté du renseignement qui voulaient m’arrêter de faire de la radio et de la télévision à ce sujet. Je ne le ferais pas parce que je crois en vous, Alan et le général. Je n’allais tout simplement pas reculer. J’avais vu suffisamment d’informations et suffisamment de preuves. Je connaissais la longue crédibilité du général et je n’allais pas reculer.

J’ai reçu trois appels téléphoniques quand les gens ont lié l’arène du renseignement et ont arrêté de parler de ce genre de choses, vous allez avoir l’air stupide et stupide. Maintenant, tout est en cours de confirmation, mais ce qui est intéressant Mary, c’est vous et j’ai parlé, je suppose, d’un type qui écrit maintenant qui, je suppose, fait caca une partie de cela, et maintenant il veut essayer de contrôler le récit et donnez des interviews à ce sujet. J’ai remarqué que dans l’une de ses interviews, il semble essayer de défendre le chef de la CIA et le chef du FBI, alors dois-je croire que ces gens qui faisaient caca comme je n’en parle pas, Eh bien, maintenant votre recherche a été confirmée à maintes reprises, et maintenant ils vont essayer de contrôler le récit, et vont-ils essayer maintenant certaines de ces mêmes personnes pour défendre le chef de la CIA et du FBI. C’est assez intéressant de regarder ce comportement,N’est-ce pas? Ai-je raison ou tort dans mon hypothèse ici?

Mary Fanning: Je pense que vous avez tout à fait raison en tant qu’ancien agent de la CIA Larry, c’est en première page, les gens peuvent lire à ce sujet, mais le fait qu’il vienne dire que Gina n’avait rien à voir avec cela, ni Wray soupçonné de dire qu’il aimerait laisser ces personnes en place.

Quiconque est impliqué dans cela et est du côté et se tient avec la trahison contre ce pays. Quelle que soit l’agence avec laquelle ils travaillent, ils devraient réfléchir à deux fois avant de commencer à essayer de s’insinuer dans cette activité de trahison qui durait depuis trop longtemps.

Cela est venu directement de l’administration Obama lorsque John Brennan et James clapper ont illégalement réquisitionné l’outil de surveillance étrangère connu sous le nom de marteau.

Brannon Howse: Il a été conçu par Genesis Montgomery en 2003, pour protéger l’Amérique pendant que vous écrivez. Commande par eux environ deux semaines après qu’Obama a été assermenté et mis sur des serveurs. Vous écrivez sur l’honneur du FBI, le directeur de Mueller, n’est-ce pas?
Mary Fanning: C’est exact. Selon Dennis Montgomery, Robert Mueller a fourni les ordinateurs pour le marteau.

Brannon Howse: et bien sûr, ils ont essayé de discréditer Dennis Montgomery parce que vous pouvez voir pourquoi maintenant, mais comme nous en avons discuté dans les programmes précédents, vous avez obtenu deux accords d’immunité après avoir été interviewé et enregistré. Donc, apparemment, il n’a pas menti, sinon il serait en prison. Il l’a gardé; il a obtenu ses accords d’immunité et certaines de ses autorisations de sécurité ne sont pas en prison, ce qui devrait nous en dire long sur les gens qui essaient de salir le gars.

Mary, vous croyez, je crois toute cette idée que Donald Trump doit aller de l’avant et concéder. Je pense que celui qui devrait concéder est Joe Biden. Je pense que le peuple américain devrait se lever en masse. Je pense que les conservateurs devraient se lever en masse, tweeter, Facebook, e-mail, et ont commencé à exiger que Joe Biden concède. Ce que vous dites?

Mary Fanning: Vous ne pouvez pas attribuer le pays à Joe Biden quand il a triché pour voler une élection. C’est vraiment aussi simple que cela.

Brannon Howse: Pensez-vous que le peuple américain va exiger que certaines de ces personnes soient effectivement accusées de trahison? Et à quelle hauteur pensez-vous que cela pourrait aller? Ou est-ce que ce sera le vieux jeu de brossage pour finir de blâmer quelqu’un au niveau inférieur?

Mary Fanning: C’est au-delà des élections. C’est au-delà des votes volés. Vous devez regarder Joe Biden et sa famille. Des milliards de dollars à son fils, Hunter, son fils toxicomane. Des milliards de dollars de la Chine et des milliards de l’Ukraine à Hunter Biden. Pouvez-vous même imaginer ceci et un autre jour? Le fait que les médias soient restés silencieux et que la Chine, l’Iran et la Russie achètent nos fonctionnaires pour vous dire tout ce que vous devez savoir sur les médias Mockingbird.

Brannon Howse: Sans parler de Mary, comme vous le rapportez dans votre excellent rapport, la tempête parfaite, la famille Jafar, la famille Gulftainer, le docteur Jafar, comme vous le rapportez, était autrefois le chef du programme nucléaire de Saddam Hussein, créant la plage nucléaire. boule comme dispositif nucléaire miniaturisé. Je pense qu’il était sur la liste des victimes pendant la guerre, puis sa famille et son entreprise obtiennent un contrat pour gérer Port Canaveral en Floride et à Wilmington, Delaware, des conteneurs de fret, et pourtant il y a une sorte d’accords commerciaux avec le 100%. Exportation détenue par la Russie du Club K Cargo qui a quatre silos de missiles de croisière qui apparaissent et peuvent livrer des missiles de croisière, des armes biologiques, des armes nucléaires, et il pourrait facilement être planté ici aux États-Unis comme vous avez traduit les manuels russes pour Pearl Harbor 2.0 en anglais,ils appellent à une stratégie russe pour faire exactement cela. Comme vous le savez, en direct de notre émission il y a quelques années, Phil Haney, ancien dénonciateur du Département de la sécurité intérieure, a révélé directement dans cette émission: «Hé, Brannon, vous voulez une autre information intéressante pour aller avec ça?» Regardez Citco appartenant au Venezuela, ils sont en crise financière avec une inflation massive. Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.

Maintenant, la Russie peut faire entrer par les terminaux pétroliers, les terminaux de fret peuvent intégrer le système de lancement de missiles Club K Cargo dans cette relation avec le Dr Jafar et Gulftainer, les ont maintenant amenés à les déplacer aux États-Unis et à les faire tomber dans tous les raffineurs. le long de la côte Est se trouve un cheval de Troie, et c’est votre parfait Pearl Harbor 2.0 dont vous avez mis en garde, et Phil Haney l’a déposé directement sur le bureau de presse de notre émission en direct, et vous regardez ce soir-là. Donc, il y a bien plus que les élections. Nous parlons d’eux étant à l’intérieur du fil et beaucoup de ces gens, les Bidens, les Obama, Hillary liés à certains de ces acteurs, n’est-ce pas?

Mary Fanning: Eh bien, c’est exact. Au-delà de quoi les Jafar ont été mis sur la liste noire du Pentagone signifiait qu’ils étaient recherchés pour capturer ou tuer dr. Jafar, et c’est le cerveau du nucléaire ou Saddam Hussein. Afin de reprendre notre pays, nous devons reprendre cette élection que Donald Trump a remportée juste et carrément avant de commencer à tricher avec les acteurs étrangers, la Russie, la Chine, l’Iran, que leur main est ici pour le vol de cette élection. C’est pourquoi le peuple américain doit se lever, et c’est comme si le président Donald Trump doit respecter son serment de protéger ce pays. Il ne peut pas démissionner tant que ces élections ne sont pas équitablement réglées légalement.

Brannon Howse: La raison pour laquelle j’évoque tout cela Mary est, comme vous le savez, en tant que chercheur auteur du renseignement et du renseignement de sécurité nationale, tout cela implique d’énormes implications en matière de renseignement national.

Mary Fanning: Absolument

Brannon Howse: Permettez-moi de répéter très rapidement. La nouvelle de ce soir, le général Flynn appelant, nous venons également d’apprendre par le général McInerney que le kraken est en fait une division militaire. Avez-vous dit le 305e connu sous le nom de kraken? C’est une division militaire, c’est le kraken?

Général Mclnerney: Non, c’est un bataillon, un bataillon très intelligent. Brannon, puis-je dire une autre chose en terminant?

Brannon Howse: Oui.

Général Mclnerney: Maintenant, cela va directement à ceux qui veulent s’emparer de ce pays parce qu’ils ont piraté mon téléphone portable, et donc tout ce que je dis sur ce canal ouvert en particulier, ils arrivent. Ils sont sérieux. Ils sont profondément impliqués dans cela, et ils savent maintenant qu’à cause de ce que vous avez fait et de ce que nous avons fait ce soir, ils ont encore plus de problèmes. Nous venons contre après que vous et le peuple américain allez venir après vous et ce président a remporté cette élection, et il allait être le président pendant les quatre prochaines années, mais nous sommes après vous. Vous ne vous emparerez pas de ce pays parce que ce serait la dernière réélection que nous ayons jamais eue, et je suis d’accord avec vous et Mary, que Joe Biden devrait démissionner tout de suite.

Brannon Howse: Joe Biden doit concéder. Les gens, ce sont les héros américains, le général Flynn, le général McInerney, Mary Fanning. Je suis désolé, nous n’avons pas pu avoir un autre héros ici. Alan Jones, qui a écrit le livre avec elle. Ce sont de grands Américains qui se sont opposés à une pression inimaginable pour ne pas en parler, mais ici, tout est ouvert maintenant. N’est-il pas intéressant que les médias alternatifs aient dû le faire ce soir?

Je tiens à les remercier tous de se joindre à nous. Je tiens à vous remercier de vous joindre à nous. Nous ferons immédiatement éditer cet article en HD pour que le peuple américain le diffuse. Et encore une fois, nous le faisons grâce à votre soutien sur WVWFoundation.com. Merci pour votre soutien. Merci, général McInerney, merci général Flynn, merci Mary Fanning et merci à tous d’avoir regardé. Jusqu’à la prochaine fois, je suis Brennan Howse. Prends soin de toi.

source [en anglais] : https://www.naturalnews.com/2020-11-29-full-transcript-interview-gen-michael-flynn-gen-thomas-mcinerney.html

LE RAID DE LA CIA SUR FRANCFORT

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Avec sous-titres en Français :




la traduction intégrale du discours historique de Trump sur les fraudes !

[Source : Riposte Laïque]

Le mercredi 2 décembre, le Président Trump s’est adressé au peuple américain depuis la Maison-Blanche, dans une allocution enregistrée.

Il a longuement dénoncé les fraudes massives commises par les Démocrates lors de l’élection présidentielle, graphiques à l’appui, passant en revue les 6 États toujours contestés (Pennsylvanie, Géorgie, Michigan, Wisconsin, Nevada, Arizona), dans lesquels de nombreux recours, procès et auditions devant les législatures ont lieu.

Malgré la censure par CNN et par la majorité des grands médias américains, ce discours a déjà été vu plus de 10 millions de fois sur YouTube, Facebook et Twitter, et il a été largement rediffusé par les réseaux conservateurs (Newsmax, One American Network, NTD…).

Nous vous proposons ci-dessous la traduction intégrale de ce discours historique du Président Trump. Nous avons seulement supprimé quelques redites.


Ceci est peut-être le discours le plus important que j’ai jamais prononcé.

Je veux faire le point sur nos efforts actuels pour révéler l’énorme fraude électorale et les énormes irrégularités qui ont eu lieu pendant les élections ridiculement longues du 3 novembre. Nous avions auparavant ce qu’on appelait le jour des élections. Nous avons maintenant des jours, des semaines et des mois d’élections, et beaucoup de mauvaises choses se sont produites pendant cette période ridiculement longue, parce que vous n’avez presque rien à prouver [concernant votre identité] pour exercer notre plus grand privilège, le droit de vote.

En tant que Président, je n’ai pas de devoir plus élevé que de défendre les lois et la Constitution des États-Unis. C’est pourquoi je suis déterminé à protéger notre système électoral, qui est aujourd’hui l’objet d’une attaque coordonnée.

Pendant des mois, avant l’élection présidentielle, nous avons été avertis qu’il ne faudrait pas déclarer une victoire prématurée. On nous a répété à maintes reprises qu’il faudrait des semaines, voire des mois, pour déterminer le vainqueur, pour compter les bulletins de vote par correspondance et vérifier les résultats. On a dit à mon adversaire de ne pas participer aux élections, de ne pas faire campagne. « Nous n’avons pas besoin de vous. Nous avons tout planifié. Cette élection est terminée. » En fait, ils agissaient comme s’ils savaient déjà quel allait être le résultat. Tout cela était très, très étrange. Quelques jours après l’élection, nous avons assisté à un effort orchestré pour désigner le vainqueur alors même que les votes étaient encore comptés dans de nombreux États clefs.

Le processus constitutionnel doit pouvoir se poursuivre. Nous allons défendre l’honnêteté du vote en veillant à ce que chaque bulletin légal soit compté et qu’aucun bulletin illégal ne soit compté. Il ne s’agit pas seulement d’honorer les votes de 74 millions d’Américains qui ont voté pour moi, il s’agit de faire en sorte que les Américains puissent avoir confiance en cette élection et en toutes les élections futures.

Aujourd’hui, je vais détailler certaines des irrégularités choquantes, des abus et des fraudes qui ont été révélés ces dernières semaines, mais avant de présenter juste une petite partie des preuves que nous avons découvertes – et nous avons tellement de preuves – je veux expliquer le complot corrompu que les Démocrates ont systématiquement mis en place pour le vote par correspondance, qui a permis que les résultats soient modifiés, en particulier dans les Swing States, qu’ils devaient gagner. Mais ils ne se doutaient pas que cela allait être si difficile, car nous étions nettement en tête dans tous les Swing States, bien plus qu’ils ne l’auraient jamais cru possible.

Alors qu’il est connu depuis longtemps que la machine politique Démocrate pratique la fraude électorale, de Detroit à Philadelphie, en passant par Milwaukee et Atlanta, et dans tant d’autres endroits, ce qui a changé cette année, c’est la lutte incessante du parti Démocrate pour imprimer et envoyer par la poste des dizaines de millions de bulletins de vote à des destinataires inconnus, sans aucune garantie d’aucune sorte. Cela a permis à la fraude et aux abus de se produire sur une échelle jamais vue auparavant. Utilisant la pandémie comme prétexte, les politiciens et les juges Démocrates ont radicalement changé les procédures électorales quelques mois et, dans certains cas, quelques semaines seulement avant l’élection du 3 novembre.

Les législatures ont très rarement été impliquées alors qu’elles auraient dû l’être selon la Constitution, et vous verrez que, alors que nous continuons à déposer nos plaintes, ce qui s’est passé est totalement incorrect d’un point de vue constitutionnel et juridique.

De nombreux États, comme le Nevada et la Californie, ont envoyé des millions de bulletins de vote à toutes les personnes inscrites sur leurs listes électorales. Que ces personnes aient demandé des bulletins de vote ou non, qu’elles soient mortes ou vivantes, elles en ont reçus.

D’autres États, comme le Minnesota, le Michigan et le Wisconsin, ont institué le scrutin universel par correspondance en plein milieu d’une année électorale, envoyant des formulaires de demande de vote par correspondance à tous les électeurs inscrits sur les listes électorales, sans se préoccuper de savoir qui ils étaient. Cet accroissement colossal du vote par correspondance a ouvert les portes à la fraude massive. C’est un fait bien connu que les listes électorales sont remplies de personnes qui ne sont pas légalement habilitées à voter, y compris celles qui sont décédées, celles ont déménagé hors de l’État, et même les non-citoyens de notre pays.

En plus de cela, les listes électorales sont truffées d’erreurs, d’adresses erronées, de doublons et de nombreux autres problèmes. Ce fait n’est pas contesté et n’a jamais été contesté. Des dizaines de comtés, dans les principaux Swing States, ont plus d’électeurs inscrits sur les listes électorales que de citoyens en âge de voter, comme c’est le cas dans 67 comtés du Michigan. Tout cela est prouvé.

Dans le Wisconsin, le Bureau des élections de l’État n’a pas pu confirmer la résidence [dans l’État] de plus de 100.000 personnes, mais a refusé à plusieurs reprises de retirer ces noms de ses listes électorales avant les élections. Nous savons pourquoi ils ont agi ainsi : parce que c’étaient des électeurs illégaux. Il est grotesque qu’en 2020, nous n’ayons aucun moyen de vérifier l’éligibilité de ceux qui votent lors d’une élection – et cette élection était la plus importante qui soit – ou de déterminer qui ils sont, s’ils vivent dans l’État ou même s’ils sont ou non des citoyens américains.

Nous avons trouvé dans tous les Swing States des infractions majeures ou une fraude caractérisée, portant sur un nombre de votes bien plus important que ce qui nous est nécessaire pour faire annuler les résultats de l’État.

Par exemple, dans le Wisconsin, où nous étions largement en tête le soir des élections, ils nous ont finalement fait perdre miraculeusement de 20.000 voix. Nous étions nettement en tête, puis à 3h42 du matin [dans la nuit du 3 au 4 novembre], il y a eu un énorme déversement de votes, quasiment tous pour Biden. Depuis, tout le monde essaie de comprendre d’où viennent ces votes. Ainsi, à 3h42 du matin, alors que j’étais gagnant de loin, je suis devenu perdant de peu. Telle est la chose terrible qui a eu lieu dans le Wisconsin. Mais nous aurons bien plus que les 20.000 voix nécessaires pour inverser le résultat de l’élection dans cet État.

Si nous avons raison sur la fraude, Joe Biden ne peut pas être président. Nous parlons de centaines de milliers de votes illégaux. Nous parlons de nombres que personne n’a jamais vus auparavant. Cela inclut les bulletins de vote qui ont été enregistrés sans que les observateurs Républicains puissent les vérifier, parce qu’ils avaient été expulsés hors des salles de dépouillement.

Cela inclut aussi les gens qui sont venus voter innocemment le 3 novembre, tout excités à l’idée de voter, fiers d’être citoyens des États-Unis d’Amérique, mais quand ils ont dit « je voudrais voter », on leur a répondu qu’ils ne pouvaient pas voter. « Je suis désolé », leur a-t-on dit, « vous avez déjà voté par correspondance. Nous avons reçu un bulletin de vote à votre nom, vous ne pouvez donc plus voter. »

Ils ne savaient pas quoi faire, et comme ils n’avaient personne à qui se plaindre, la plupart sont simplement repartis en trouvant cela étrange. Mais beaucoup d’autres se sont plaints avec véhémence, et dans la majorité des cas, ils avaient l’intention de voter pour Trump. En d’autres termes, ils sont allés voter et on leur a dit qu’ils avaient déjà voté. Ils sont repartis et maintenant ils sont horrifiés et ils ont perdu tout respect pour notre système électoral. Cela s’est produit des dizaines de milliers de fois à travers tout le pays. C’est dire à quel point les Démocrates étaient désespérés. Ils ont rempli des milliers de faux bulletins de vote pour des électeurs, en ne sachant même pas si ces électeurs allaient se présenter pour voter en personne. Lorsqu’ils se sont présentés, ils leur ont dit : « Désolé, vous avez déjà voté. »

En plus de tout cela, il y a une entreprise qui est très suspecte. Son nom est Dominion, et si vous avez accédé au processeur des machines à voter de cette entreprise, quand vous appuyez sur le bouton pour Trump, le vote va à Biden. Qu’est-ce que ce système ? Nous devons revenir aux bulletins de vote en papier. Peut-être que cela prend plus de temps, mais le seul système sécurisé est le papier.

Par exemple, dans un comté du Michigan [Antrim], qui utilisait les machines Dominion, ils ont trouvé que près de 6000 votes avaient été transférés à tort de Trump à Biden – et ce n’est que le sommet de l’iceberg. Nous les avons pris sur le fait dans ce cas, mais combien d’autres cas ont eu lieu ? Y en a-t-il des centaines d’autres dans tout le pays ? Y en a-t-il des milliers ? Ils ont prétendu que ce n’était qu’un “pépin”, mais nous avons trouvé de nombreux “pépins” ce soir-là.

96% des dons faits à un parti politique par cette entreprise Dominion sont allés aux Démocrates, ce n’est pas une surprise. Et où les votes sont-ils comptés ? Il semble qu’ils sont comptés dans des pays étrangers, pas aux États-Unis. Dominion est un désastre. Les autorités électorales du Texas ont interdit à plusieurs reprises le déploiement des machines Dominion dans leur État, en raison de leurs failles de sécurité et de leur absence de protection contre les erreurs et les fraudes. Chaque district qui utilise les machines Dominion doit être soigneusement surveillé et des investigations poussées doivent y être menées, et pas seulement pour l’avenir.

Pour le moment, nous nous inquiétons du présent et de ce qui s’est passé lors de cette élection que nous avons gagnée sans conteste. Sous ma direction, les Républicains ont remporté 16 sièges de plus à la Chambre des Représentants des États-Unis, ce qu’ils n’étaient pas censés faire [selon les sondages]. Nous étions censés perdre de nombreux sièges, et au lieu de cela, nous avons remporté 16 sièges à la Chambre des Représentants, et une élection très importante à venir [en Géorgie] déterminera si nous gardons le contrôle du Sénat. Personne, dans tout le pays et même à Washington, ne s’attendait à l’énorme succès que nous avons eu à la Chambre des Représentants ni à l’énorme succès que nous avons eu jusqu’ici au Sénat.

Il est statistiquement impossible que la personne – moi – qui a mené la campagne à l’échelle des États-Unis, ait perdu [alors qu’à l’échelle locale les Républicains ont gagné]. Les plus grands sondeurs – pas ceux qui annonçaient mensongèrement que nous allions perdre le Wisconsin par 17 points – les seuls vrais sondeurs qui sont justes et honnêtes, nous ont dit : « Nous ne pouvons pas comprendre ce qui s’est passé. Cela n’est jamais arrivé auparavant. Vous avez mené votre parti à la victoire et vous êtes le seul à avoir perdu. Cela n’est pas possible. »

Le président de la Chambre des Représentants d’un certain État m’a dit : « Monsieur, je m’attendais à perdre mon siège, et à la place, grâce à vous, grâce à votre incroyable campagne et à tous vos meetings électoraux avec des dizaines de milliers de participants, nous avons remporté une énorme victoire. Mais bien que vous soyez beaucoup plus populaire que moi, j’ai obtenu beaucoup plus de votes que vous [dans ma circonscription] et il est impossible que cela se produise. Il y a quelque chose qui cloche. »

Je vais vous dire ce qui cloche : c’est la fraude électorale. Regardez par exemple le Michigan : à 6h31 du matin [dans la nuit du 3 au 4 novembre], il y a eu subitement un déversement de 149.772 votes. Je gagnais de beaucoup, puis tout d’un coup, boum, je passe de nettement gagnant à perdant de peu. Detroit [la plus grande ville du Michigan] est corrompue. J’ai beaucoup d’amis à Detroit, ils savent que Detroit est totalement corrompue.

En Géorgie, le récent recomptage ne sert à rien, parce qu’ils ne veulent pas nous laisser vérifier les signatures [sur les enveloppes de vote par correspondance], et si vous ne pouvez pas vérifier les signatures, vous ne trouverez pas la fraude. Mais nous avons en Géorgie un Secrétaire d’État et un Gouverneur qui se sont opposés à la vérification des signatures. Demandez-leur pourquoi ils agissent ainsi. Si vous ne vérifiez par les signatures, vous vous contentez simplement de recompter les mêmes bulletins de vote [dont tous les bulletins frauduleux], et cela ne sert à rien. Quand nous pourrons examiner les signatures sur les enveloppes, nous constaterons que plusieurs milliers de personnes ont voté illégalement.

Les Démocrates ont truqué cette élection dès le début. Ils ont utilisé la pandémie du virus chinois [coronavirus], comme prétexte pour envoyer des dizaines de millions de bulletins de vote dans tout le pays, ce qui est à l’origine de la majorité de la fraude, une fraude que le monde entier peut voir – et personne n’est plus heureux en ce moment que la Chine.

De nombreuses personnes ont reçu deux, trois voire quatre bulletins de vote. Des bulletins de vote ont été envoyés par milliers à des morts. En fait, de nombreuses personnes décédées ont rempli des demandes de bulletins de vote, puis ont voté, ce qui est encore pire. Et certaines de ces personnes sont mortes depuis 25 ans.

Des millions de votes ont été enregistrés illégalement rien que dans les Swing States, donc les résultats de chaque Swing State doivent être annulés immédiatement. Certains disent que c’est une sanction trop sévère. Eh bien, cela signifie-t-il que nous devrions créer un précédent, et que nous devrions être satisfaits d’élire un président dont les voix étaient frauduleuses ?

Non, cela signifie qu’il faut inverser l’élection, et tout le monde le sait. Les [médias] ont vu les preuves, mais ils ne veulent pas parler de la catastrophe qu’a été cette élection, une catastrophe totale. Mais nous allons prouver tout cela, et j’espère que les tribunaux, et en particulier la Cour Suprême des États-Unis, reconnaîtront que nous avons raison et, espérons-le, feront ce qui est juste pour notre pays, car notre pays ne peut pas accepter ce type d’élection. Nous pourrions dire, passons à l’élection suivante, mais ce n’est pas acceptable, nous devons aussi regarder notre passé.

J’ai gagné facilement chacun des 6 États contestés, très facilement, le soir de l’élection. Nous avons trouvé des centaines de milliers de votes frauduleux, bien plus que ce dont nous avons besoin pour gagner [chacun de ces États], bien plus que ce que la loi exige. Les médias le savent, mais ils ne veulent pas en parler. En fait, ils refusent carrément de couvrir [ces fraudes], car ils connaissent le résultat s’ils le font. Même ce que je dis maintenant sera dénigré et calomnié, mais ce n’est pas grave. Je continue d’avancer, car je représente 74 millions de personnes et, en fait, je représente également toutes les personnes qui n’ont pas voté pour moi.

L’escroquerie du vote par correspondance est la dernière manigance des Démocrates, qui depuis quatre ans tentent d’inverser les résultats de l’élection de 2016. Nos adversaires ont prouvé à maintes reprises qu’ils sont prêts à dire et faire n’importe quoi pour revenir au pouvoir.

Les forces corrompues qui enregistrent les votes d’électeurs morts et bourrent les urnes sont les mêmes qui, depuis quatre ans, ont perpétré contre moi des machinations frauduleuses l’une après l’autre. Ces gens s’opposent à notre mouvement, car nous accordons la priorité à l’Amérique. Ils ne donnent pas la priorité à l’Amérique, alors que nous redonnons le pouvoir au peuple américain. Ces gens ne veulent pas d’America First [L’Amérique d’abord], ils ne veulent du pouvoir que pour eux-mêmes. Ils veulent s’enrichir, c’est pourquoi ils ne veulent pas de moi comme président. Ils veulent non pas m’abattre moi, mais nous abattre nous tous. Nous ne pouvons pas les laisser faire ça.

Depuis que j’ai annoncé [en 2015] que j’étais candidat à la présidence, j’ai fait l’objet d’enquêtes et elles ne se sont jamais arrêtées. Elles ont continué pendant quatre ans, et je les ai toutes gagnées, je les ai tous battus. Il y a eu le mensonge sur la collusion avec la Russie, le canular de la destitution [impeachment], et bien plus encore.

Robert Mueller a dépensé 48 millions de dollars de l’argent des contribuables pour enquêter sur moi pendant deux ans et demi, a émis plus de 2800 citations à comparaître, exécuté près de 500 mandats de perquisition, émis 230 ordonnances pour obtenir la communication de documents et mené 500 entretiens avec des témoins, tout cela pour tenter de me faire tomber, et à la fin il n’a trouvé aucune collusion, absolument aucune.

Tout a été examiné. Un de mes amis, qui est très intelligent, a déclaré : « Vous avez été l’objet de plus d’investigations que quiconque au monde. Et le fait que vous en soyez sorti totalement blanchi signifie que vous êtes probablement la personne la plus propre de ce pays. »

Certains membres de cette administration, mais heureusement pas tous, ont été attaqués et calomniés. Et maintenant ils ont simplement disparu. Personne ne sait ce qui leur est arrivé. Pourquoi ne sont-ils pas actifs ? Pourquoi ne sont-ils pas impliqués ? La corruption est si endémique. Mais ils n’en pouvaient plus. Ils ont été menacés par les Démocrates et des choses horribles ont été dites à leur sujet alors que ce sont de bonnes personnes.

Si vous regardez tous les mensonges et tous les actes illégaux commis par tant de gens dans leur désir de détruire le Président des États-Unis, vous vous dites qu’il devrait y avoir une sanction. La chose la plus difficile que j’ai à faire est d’expliquer pourquoi toutes ces personnes qui ont été attrapées en train d’espionner ma campagne [en 2016 et 2017] n’ont pas été sanctionnées. Cela n’est jamais arrivé auparavant et cela ne devrait plus jamais arriver à un Président des États-Unis.

La fraude électorale que nous avons découverte ces dernières semaines est écrasante. Quand ils voient les preuves, tous les gens disent : « bigre, les preuves sont accablantes, mais il est trop tard pour changer le cours d’une élection, il est trop tard pour changer le résultat. »

En réalité, il reste encore beaucoup de temps pour certifier le vrai vainqueur de cette élection et c’est pour cela que nous nous battons. Quand vous voyez toutes ces fraudes, quand vous voyez tous ces faux votes, vous ne pouvez pas laisser une autre personne vous voler cette élection. Partout dans le pays, les gens sont descendus dans la rue en brandissant des pancartes “Arrêtez le vol” [Stop the Steal].

Pour comprendre comment nous allons contester cette fraude, il est important de connaître les problèmes liés au vote par correspondance. La Pennsylvanie, le Michigan, le Nevada, la Géorgie, l’Arizona et la plupart des autres États ont permis à tout le monde d’obtenir un bulletin de vote par correspondance et de voter sans présenter de pièce d’identité.

La plupart des Américains seraient également choqués d’apprendre qu’aucun État du pays ne vérifie que les électeurs ont la citoyenneté américaine pour voter aux élections fédérales. C’est une honte nationale. Aucun autre pays avancé ne procède à des élections de cette manière. De nombreux pays européens ont institué des restrictions majeures au vote par correspondance, parce qu’ils ont reconnu son potentiel presque illimité de fraude. Sur 42 pays européens, tous sauf deux interdisent entièrement le vote par correspondance pour les personnes résidant à l’intérieur du pays, ou exigent que ceux qui ont besoin de bulletins de vote par correspondance présentent une pièce d’identité authentique.

Tout au long des tentatives des Démocrates pour accroître dramatiquement le vote par correspondance, les dirigeants du parti Démocrate ont également travaillé avec fébrilité pour supprimer toutes les mesures de protection contre la fraude, telles que la vérification de la signature, la vérification de l’adresse et la vérification de l’identité de l’électeur.

Ce ne sont pas des actions de personnes qui veulent des élections justes, ce sont les actions de personnes qui veulent voler une élection, et qui font tout pour créer de la fraude. La seule raison concevable pour laquelle vous vous opposez aux mesures de bon sens pour vérifier la légalité du vote, c’est que vous essayez d’encourager, de faciliter, de solliciter ou de commettre des fraudes.

Il est important que les Américains comprennent que ces changements destructeurs apportés à nos lois électorales n’étaient pas une réponse nécessaire à la pandémie. La pandémie a simplement donné aux Démocrates une excuse pour faire ce qu’ils essayaient de faire depuis de très nombreuses années. En fait, le tout premier projet de loi que les Démocrates ont présenté lorsque Nancy Pelosi est devenue présidente de la Chambre des Représentants [un an avant le coronavirus], était une tentative de rendre obligatoire le vote par correspondance universel et d’éliminer les mesures de contrôle telles que la vérification de l’identité des électeurs, qui est si nécessaire.

Détruire l’intégrité de nos élections était la priorité numéro un des Démocrates pour une raison simple : ils voulaient voler l’élection présidentielle de 2020. Tous les efforts des Démocrates pour étendre le vote par correspondance ont permis la fraude systématique et omniprésente qui s’est produite lors de cette élection.

En Pennsylvanie, de grandes quantités de bulletins de vote par correspondance ont été enregistrées illégalement, sans la présence de nos observateurs. Ils ont été expulsés hors du bâtiment et ils ont tenté de regarder ce qui se passait à l’intérieur, mais ils n’avaient aucun moyen de voir, car les fenêtres avaient été obturées. Il n’y a qu’une seule raison possible pour laquelle les Démocrates corrompus se sont opposés à la transparence lors du dépouillement : c’est parce qu’ils voulaient cacher des activités illégales.

C’est un phénomène flagrant et inexcusable. Et c’est un préjudice irréversible qui entache toute l’élection. Cette manière sans précédent d’exclure nos observateurs s’est produite dans les villes dirigées par les Démocrates et dans tous les Swing States du pays.

Voici quelques-uns des faits supplémentaires que nous avons découverts. De nombreux électeurs de toute la Pennsylvanie ont reçu deux bulletins de vote par la poste, et de nombreux autres ont reçu des bulletins de vote par la poste qu’ils n’avaient jamais demandé. Et ils se sont avérés être, pour la plupart, des Démocrates.

Dans le comté de Fayette, en Pennsylvanie, plusieurs électeurs ont reçu des bulletins de vote déjà remplis. Ils ne savaient pas ce qui s’était passé. Dans le comté de Montgomery, en Pennsylvanie, un observateur du scrutin a entendu des employés électoraux dire à des électeurs non-inscrits de revenir plus tard pour essayer de voter sous un autre nom.

Dans le Michigan, des employés électoraux de la ville de Detroit incitaient les électeurs à voter Démocrate, tout en les accompagnant dans l’isoloir pour voir pour qui ils votaient, violant ainsi la loi et le caractère sacré du scrutin secret. Une employée électorale [lanceuse d’alerte] a révélé qu’elle a reçu pour instruction de ne demander aucune pièce d’identité et de ne pas vérifier les signatures. On lui a également dit d’antidater illégalement de très nombreux bulletins de vote reçus après la date limite. Elle estime que des milliers et des milliers de bulletins de vote ont été indûment antidatés par elle et beaucoup d’autres employés.

D’autres témoins à Detroit ont également vu les employés électoraux compter plusieurs fois les mêmes bulletins de vote, et dupliquer illégalement des bulletins de vote. Un observateur a témoigné avoir vu des boîtes entières de bulletins de vote portant tous la même signature.

Un autre observateur à Detroit a témoigné sous serment qu’il a vu d’innombrables bulletins de vote qui portaient des noms qui ne figuraient pas sur les listes électorales, puis qu’il a vu des employés électoraux entrer de fausses dates de naissance dans le système, afin de les compter illégalement.

Un autre témoin a certifié sous serment que, après que les responsables électoraux ont annoncé que les derniers votes par correspondance avaient été enregistrés, un nouveau lot de dizaines de milliers de bulletins de vote est arrivé, beaucoup sans enveloppe, tous pour les Démocrates.

Toujours à Detroit, dans de nombreux districts, il y a eu plus de votes enregistrés que d’électeurs inscrits.

Dans le Wisconsin, un nombre record d’électeurs ont été classés comme “confinés indéfiniment”, un statut réservé aux personnes gravement handicapées et aux personnes âgées, qui leur permet de voter sans présenter aucune pièce d’identité. L’année dernière, cette catégorie comprenait 70.000 personnes dans tout l’État. Cette année, le nombre est miraculeusement monté à 250.000 personnes, après que les responsables électoraux de Milwaukee et du comté de Dane – qui sont parmi les endroits les plus corrompus de notre pays – aient exhorté les citoyens à s’inscrire de manière incorrecte sous ce statut.

En Géorgie, neuf observateurs ont témoigné avoir vu d’innombrables bulletins de vote par correspondance sans aucun pli, ce qui prouve que ces bulletins de vote ne sont pas arrivés dans des enveloppes comme requis. Une observatrice du scrutin, dans le comté de Fulton, a estimé qu’environ 98% du grand nombre de bulletins de vote sans pli qu’elle a vus étaient pour Biden. En outre, des milliers de bulletins de vote non comptés ont été découverts [dans des clés USB “égarées”] dans les comtés de Floyd, Fayette et Walton des semaines après l’élection, et ces bulletins provenaient majoritairement d’électeurs de Trump.

En Arizona, le procureur général a annoncé que des bulletins de vote avaient été volés dans les boîtes aux lettres et jetés dans la nature.

Dans le Nevada, dans le comté de Clark [Las Vegas], où résident la plupart des électeurs de l’État, la machine à vérifier les signatures avait été trafiquée, afin de permettre le décompte d’un grand nombre de bulletins de vote qui, autrement, n’auraient jamais été acceptés. Cette machine avait été réglée au niveau de détection le plus bas. Selon un rapport, afin de tester [le mauvais fonctionnement de] cette machine, neuf électeurs du comté de Clark ont voté avec des signatures intentionnellement incorrectes, et huit des neuf bulletins de vote ont été acceptés et comptés.

L’un des signes les plus significatifs d’une fraude généralisée est le taux de rejet extrêmement bas des bulletins de vote par correspondance dans de nombreux États. Dans tous les Swing States, le nombre de bulletins de vote rejetés a été considérablement inférieur à ce qu’il avait été lors des élections précédentes. En Géorgie, à peine 0,2% des bulletins de vote par correspondance ont été rejetés. En d’autres termes, presque aucun bulletin de vote n’a été rejeté, alors que 6,4% des bulletins de vote avaient été rejetés en 2016.

Nous avons constaté des baisses similaires en Pennsylvanie, au Nevada et dans le Michigan. Les bulletins de vote n’ont pas été rejetés, surtout dans les régions contrôlées par les Démocrates. Ces irrégularités sont inexplicables à moins qu’il n’y ait un effort délibéré pour accepter des bulletins de vote illégaux ou frauduleux.

En Pennsylvanie, le secrétaire d’État et la Cour suprême de l’État ont essentiellement aboli les exigences de vérification des signatures quelques semaines seulement avant les élections, en violation de la loi de l’État. La raison en est claire : les Démocrates ne voulaient pas vérifier les signatures parce qu’ils savaient que les bulletins de vote n’avaient pas été remplis par les électeurs au nom desquels ils avaient été déposés. En d’autres termes, les gens qui les ont remplis n’avaient rien à voir avec les noms inscrits sur le bulletin de vote.

Dans ces circonstances, un simple recomptage des bulletins de vote ne permet pas de détecter la fraude. La seule façon de déterminer s’il y a eu un vote honnête est de procéder à un examen complet des enveloppes dans les États concernés. Vous constaterez que bon nombre d’entre elles, des dizaines de milliers, ont des signatures frauduleuses. Un audit légal complet est nécessaire pour s’assurer que seuls les bulletins légaux d’électeurs légalement inscrits qui ont été correctement déposés sont inclus dans le décompte final.

Cette élection a donné lieu à une énorme fraude électorale, comme on n’en a jamais vu auparavant. Cette élection a été truquée. Tout le monde le sait. Cela ne me dérange pas de perdre une élection, à condition que cela ait été une élection juste et équitable. Ce que je refuse, c’est qu’une élection soit volée au peuple américain. C’est pour cela que nous nous battons. Nous n’avons pas le choix, nous sommes obligés de nous battre.

Nous avons déjà les preuves, et c’est très clair. Beaucoup de personnes dans les médias, et même des juges, ont jusqu’à présent refusé de le reconnaître, alors qu’ils savent que c’est vrai. Ils savent qui a remporté les élections, mais ils refusent de dire : « Vous avez raison ». Notre pays a besoin que quelqu’un dise : « Vous avez raison ».

Pour conclure, je suis prêt à accepter tout résultat électoral exact, et j’espère que Joe Biden l’est également. Nous avons déjà trouvé des dizaines de milliers de bulletins de vote frauduleux de plus qu’il n’en faut pour inverser les résultats dans tous les États dont nous parlons.

Il s’agit de l’élection pour la plus haute fonction dans le plus remarquable pays de toute l’Histoire du monde. Tout Américain raisonnable devrait pouvoir convenir, sur la base de ce que nous avons déjà révélé, que nous avons besoin d’une analyse systématique des bulletins de vote par correspondance. C’est le minimum absolu que nous devons exiger.

Il ne s’agit pas uniquement de ma campagne, même si cela a beaucoup à voir avec qui sera votre prochain président. Il s’agit de restaurer la foi et la confiance dans les élections américaines. Il s’agit de notre démocratie et des droits sacrés pour lesquels des générations d’Américains se sont battus, ont été blessés et sont morts. Rien n’est plus urgent ni plus important.

Les seuls bulletins de vote qui devraient compter dans cette élection sont ceux des électeurs éligibles qui sont citoyens de notre pays, qui résident dans les États dans lesquels ils ont voté, et qui ont voté de manière légale avant la date limite légale. De plus, nous ne devons plus jamais avoir d’élection dans laquelle il n’y a pas de système fiable et transparent pour vérifier l’éligibilité, l’identité et l’adresse de chaque personne qui dépose un bulletin de vote.

De nombreuses personnes très intelligentes m’ont félicité pour tout ce que nous avons fait : les plus importantes réductions d’impôts de l’Histoire ; les plus importantes suppressions de réglementations de l’Histoire ; nous avons reconstruit notre armée ; nous avons pris soin de nos vétérans militaires comme personne ne l’avait fait auparavant ; nous avons créé la Space Force ; et bien plus encore. Mais ces personnes ont ajouté : « aussi grandes et aussi importantes que soient ces réalisations, la plus grande réalisation de votre présidence sera précisément ce que vous faites en ce moment : rétablir l’intégrité des élections dans notre nation. »

C’est ce qui est le plus important. Si nous n’éliminons pas la fraude, la terrible et horrible fraude qui a eu lieu lors de l’élection de 2020, nous n’aurons plus de pays.

Avec la détermination et le soutien du peuple américain, nous rétablirons l’honnêteté et l’intégrité de nos élections. Nous rétablirons la confiance dans notre système de gouvernement.

Merci. God bless you. God bless America.

Maxime Lépante


N’oubliez pas de lire nos 13 articles sur les fraudes électorales massives dont les Démocrates se sont rendus coupables aux États-Unis, articles remplis d’informations que vous ne trouverez nulle part dans les médias français :

1) États-Unis : les fraudes électorales, spécialité des Démocrates !

2) États-Unis : la plus énorme fraude électorale de l’Histoire !

3) États-Unis : 32 infos capitales sur la fraude électorale !

4) États-Unis : Trump ne doute pas de la victoire !

5) États-Unis : 18 nouvelles infos capitales sur les fraudes électorales !

6) États-Unis : la contre-attaque judiciaire de Trump contre les fraudes électorales !

7) Fraudes US : incroyables révélations sur les machines à voter Dominion !

8) États-Unis : 27 infos supplémentaires sur les fraudes électorales massives !

9) Les médias français mentent : Trump n’a pas reconnu la “victoire” de Biden !

10) Révélations sur la stratégie de Trump pour être réélu !

11) Exclusif : toute la conférence de presse de Trump que les médias ont censurée !

12) Fraudes US : les auditions explosives du Sénat de Pennsylvanie !

13) Avancées capitales de Trump en Pennsylvanie, Arizona et Michigan !




Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu’à ce que l’an 2020 arrive

[Source : Sott.net]

L’article publié par Daisy Luther le 23 novembre dernier sur Organic Prepper décrit ces sept théories depuis le point de vue des États-Unis. Toutefois, et de par le contexte de Coup d’État mondial/ mondialiste actuel, ce point de vue vaut pour toutes les populations — notamment occidentales, mais pas seulement — quelles que soient leurs nationalités.

Le Covid-19, c’est une épidémie de peur. Un canular perpétré sur les populations mondiales. Là où il n’y a pas de peur, il n’y a pas de Covid-19. La peur et l’incertitude dominent la couverture médiatique. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d’un jour à l’autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d’inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l’establishment médical. La réponse au coronavirus relève d’une campagne de terreur étatique basée sur la propagande. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l’esprit de nombre de gens, tandis qu’on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste. Les confinements illégitimes d’un point de vue scientifique s’enchaînent et nous enchaîne chaque fois un peu plus, et on aurait parfois l’impression d’être embarqués à notre insu dans des montagnes russes. Ne parlons même pas des vaccins qui ont parait-il « sauvé l’humanité » des pires maladies infectieuses.

Laissons la parole à Daisy Luther, et nous [=Sott.net] reviendrons ensuite notamment sur son point 1, en tentant de démontrer pourquoi et comment le « revenu de base universel » constitue — sous couvert de panacée — un piège.


Vous vous souvenez de l’époque, disons en 2019, où toute personne qui parlait d’implants de puces RFID, de l’obligation pour circuler de présenter des attestations de déplacement, ou encore de la mise en place de camps de rééducation, était considérée comme un théoricien du complot en plein délire ? Et puis, 2020 est arrivé, et voilà ! Il s’est avéré que ces théories du complot n’étaient pas si « délirantes » après tout.

Et je ne parle pas seulement du gouvernement [des États-Unis – NdT] qui publie des informations sur les OVNIs.

Nous vivons dans une époque où si vous avez voté pour le « mauvais » candidat à la présidence, un individu pourrait tenter de vous tabasser, de brûler votre maison ou même de vous tuer. Nous sommes soumis à des couvre-feux, nos déplacements sont limités et nos entreprises ont été fermées de force. Un jour, les gens considéreront 2020 comme l’année où tout a changé — ou selon la façon dont les populations réagissent aux obligations qui leur sont faites — comme l’année où nous avons enfin dit, ça suffit.

Voici sept théories qui étaient avant 2020 considérées comme des conspirations délirantes… jusqu’à aujourd’hui, où elles deviennent bien trop réelles.

1 — Revenu de base universel

Auriez-vous jamais pensé pouvoir vivre dans un pays où le gouvernement dirait aux propriétaires d’entreprises privées quand et comment ils seraient autoriser à exercer leurs activités ? Où les travailleurs se verraient dire : « Pour votre propre bien, vous ne pouvez plus aller travailler ? »

Eh bien, bienvenue en 2020.

22 millions d’emplois ont été perdus et seulement 42 % d’entre eux ont en août dernier été retrouvés [aux États-Unis – NdT], lorsque le pays a commencé à déconfiner. Des millions d’emplois perdus le sont de façon irréversible, parce que les entreprises croulent dans tout le pays sous le poids des restrictions qui ne leur permettent pas de poursuivre leurs activités et/ou sont aux prises avec les difficultés financières de leurs anciens clients.

Mark Zandi, économiste en chef de Moody’s Analytics, déclare que :

« Il est clair que la pandémie cause des dommages fondamentaux au marché du travail. Beaucoup d’emplois perdus ne reviendront pas de sitôt. L’idée que l’économie va revenir à ce qu’elle était avant la pandémie n’est clairement pas envisageable. Les personnes qui comptent sur la réouverture des entreprises peuvent être surprises de constater qu’une perte temporaire est devenue permanente. »

Quant à Heidi Shierholz, économiste senior à l’Economic Policy Institute, un groupe de réflexion libéral, elle déclare que :

« […] Plus de 10 millions d’Américains sont actuellement classés comme temporairement sans emploi. Mais historiquement, près de 30 % des personnes qui déclarent au ministère du travail qu’elles sont temporairement au chômage ne retrouvent jamais leur emploi. Même si nous ne savons pas si le record historique tiendra dans ces conditions, le fait que toutes ces personnes ne soient pas rappelées constitue une préoccupation extrêmement justifiée. »

Parmi les entreprises qui ont fermé, beaucoup ne rouvriront jamais. Les plus durement touchées sont les petites entreprises.

« Environ 60 % des entreprises qui ont fermé pendant la pandémie de coronavirus ne rouvriront jamais, et ce sont les restaurants qui ont le plus souffert, selon de nouvelles données de Yelp. »

Nous avons donc non seulement des gens qui sont devenus chômeurs, mais aussi des propriétaires d’entreprises qui ont tout perdu. Alors qu’aux États-Unis nous entrons dans le deuxième épisode de confinement, il n’est pas exagéré de penser que certaines des petites entreprises qui ont jusqu’à présent réussi à se maintenir à flot succomberont aux effets économiques de ces mesures… qui entraîneront avec elles encore plus de pertes d’emplois et plongeront encore plus de citoyens dans la pauvreté.

Note du traducteur : En France, et selon l’INSEE, c’est près de 500 000 emplois qui ont été perdus en additionnant les premier et second trimestre, ce dernier n’étant pas terminé. Selon l’institut, la baisse du premier semestre annule, à elle seule, les hausses enregistrées au cours des deux années précédentes.

La pauvreté est un cercle vicieux et une seule chose, petite en apparence, peut aspirer ceux qui se débattent dans une spirale de frais et de pénalités financières dont il semble impossible de sortir. J’ai déjà fait part ici de ma propre expérience de la pauvreté. L’inquiétude porte sur le nombre encore plus élevé de personnes qui après ce cycle de mesures gouvernementales ne se remettront pas financièrement, ce qui ne fera qu’augmenter encore plus le nombre de citoyens fauchés, affamés et sans abri.

© Reuters

Mais ne vous inquiétez pas — le gouvernement est là pour vous aider. Il a fourni un chèque de « relance » à tout le monde et a tellement donné d’argent aux chômeurs que ces derniers gagnaient plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Le gouvernement s’est tellement endetté que le montant de la dette est tout simplement abyssal.

En effet, des citoyens ont été payés pour ne pas travailler. Et, dans la plupart des cas, ces personnes ne sont pas coupables — le gouvernement a imposé la fermeture de leur lieu de travail, à moins qu’il ne soit considéré comme « essentiel ».

Et cette situation ressemble beaucoup à celle du revenu de base universel. Ou, comme j’aime à l’appeler, le féodalisme moderne :

« Beaucoup sont prêts à renoncer à leur liberté pour que quelqu’un d’autre puisse s’occuper d’eux. »

Ces personnes ne pensent pas que de cette manière elles renoncent à leur liberté. Elles sont convaincues qu’elles adoptent un système intelligent et équitable qui élimine la pauvreté. La cupidité, le droit et le manque d’ambition qui semblent aujourd’hui inhérents à de nombreuses personnes les feront glisser volontairement sous le joug de la servitude.

Elles estiment que leur vie mérite une bouffée d’air [ou que leur survie vaut mieux que leur vie – NdT]. L’un des titres de Gawker, « Un revenu de base universel est l’utopie que nous méritons », exprime assez bien ceci :

« L’idée d’un revenu de base universel pour tous les citoyens a fait son chemin partout dans le monde. Est-ce trop fou pour y croire ? Nous avons parlé à l’auteur d’un nouveau livre sur les tenants et aboutissants et les rêves utopiques de faire du revenu de base une réalité.

Le mouvement en faveur du revenu de base a reçu un coup de fouet cette semaine, lorsque l’organisation caritative GiveDirectly a annoncé qu’elle allait lancer un projet pilote de 30 millions de dollars sur dix ans pour donner un revenu de base à un groupe choisi de villageois kenyans et en étudier les effets. En tant que solution à la pauvreté, le revenu de base universel s’adresse aux personnes les plus démunies d’Afrique, aux Scandinaves relativement aisés et aux Américains qui ont perdu leur emploi en raison de l’automatisation de leurs activités. »

Bien sûr, de l’argent pour rien, ça a l’air génial en surface. Mais quel serait le résultat réel d’un revenu de base universel ? Le féodalisme. Le servage. L’esclavage.

Le revenu de base universel nous ramènerait rapidement au féodalisme du Moyen Âge. Bien sûr, en lieu et place de simples cabanes, nous pourrions vivre dans des logements modernes et pratiques. Nous pourrions exercer un métier adapté aux temps modernes plutôt que d’élever des moutons pour le seigneur du chateau.

Mais, en fin de compte, nous ne posséderions rien, car la propriété privée serait abolie pour tous sauf pour la classe dirigeante. La vie ne nous octroierait plus aucune possibilité de progression. Nos trajectoires personnelles nous seraient imposées et nous serions fortement dissuadés d’en dévier.

Les gens seraient complètement dépendants du gouvernement et de la classe dirigeante pour tout ce qui est nécessaire : nourriture, logement, eau, vêtements. Quel meilleur moyen d’affirmer le contrôle que de rendre la conformité nécessaire à la survie ? »

À l’aune de ce deuxième épisode de confinement, combien d’emplois supplémentaires vont définitivement disparaître ? Comment vont faire toutes ces personnes pour se nourrir ? Pour payer leur loyer ? Le gouvernement est en train de leur donner de l’argent. Et il est en fait impossible d’en débattre, parce que tout le monde connaît quelqu’un ayant perdu un emploi occupé pendant des décennies et qui est incapable aujourd’hui d’en trouver un autre.

Note du traducteur : Les prévisions pour l’année 2020 font état de la disparition d’environ 840 000 emplois, dont près de 730 000 emplois salariés. En France et à l’heure actuelle, c’est l’économie francilienne qui a été le plus impactée, et sans surprise, ce sont les secteurs de l’hôtellerie-restauration, les services de transport, les activités récréatives et de loisirs qui sont le plus touchés au niveau national.

On pourrait en entendre parler sous une autre expression, mais le revenu de base universel arrive. Et c’est pour bientôt.

[NdNM : voir aussi La mort de la propriété privée et Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)]

2 — Attestations de déplacement

Ne soyez pas ridicule. Nous n’aurons jamais à montrer des « attestations » pour se déplacer librement..

Et c’est là que, lorsque survient une pandémie de Covid accompagnée de toutes ses restrictions subsidiaires, la réalité de la chose vous envahit comme une révélation. En mars dernier, quelques jours après avoir mis en garde contre le premier confinement, j’ai écrit :

« Pour tous ceux qui pensaient que l’article sur le « confinement américain » était une « exagération hystérique » et que, parce qu’il n’était pas vraiment appliqué, ils pouvaient toujours faire ce qu’ils voulaient, que pensez-vous aujourd’hui du fait que des « attestations de déplacement » sont distribués ? Pour moi, on dirait que les mesures de confinement que j’ai écrites alors n’étaient que le premier pas vers une société que personne n’espère voir.

Hier, les lecteurs m’ont envoyé des photos de ces « attestations de déplacement » qui leur ont été remises par leurs employeurs pour leur permettre de se rendre à leur travail et d’en revenir. Il s’agit d’employés qui travaillent dans des secteurs tels que les soins de santé, les pharmacies et la restauration, ainsi que ceux qui travaillent dans la production, le transport et la vente de fournitures essentielles.

Un lecteur a écrit : « On nous a dit de les montrer si nous étions arrêtés sur le chemin du travail et que si les autorités nous posaient des problèmes, de ne pas discuter et de rentrer chez nous. »

Ces attestations qui m’ont été envoyées venaient de Pennsylvanie, de New York, d’Arizona, du Michigan, de Caroline du Nord, du Kansas, du New Jersey, de Virginie occidentale, de Virginie, de l’Oregon, de Floride, de Louisiane et d’Ohio. Les sociétés mentionnées dans ces documents étaient des entreprises de camionnage, des épiceries, des cliniques médicales, des hôpitaux, des maisons de repos, des sociétés de transports en commun, des compagnies ferroviaires, des usines de production alimentaire, des pharmacies, des stations essence, des magasins comme Target et Walmart, et des ateliers de réparation automobile.

La plupart des gens recevaient leurs attestations le vendredi ou le samedi et étaient prévenus qu’ils en auraient besoin dès la semaine suivante pour se rendre à leur travail et en revenir. »

Vous pouvez voir certaines de ces attestations qui m’ont été envoyées ici.

[NdNM : voir aussi France : Comment rédiger par écrit l’attestation de déplacement dérogatoire ? (Tutoriel Coronavirus)]

3 — Suivi obligatoire des individus par GPS

« Ne sois pas idiote. Personne ne te suit à la trace grâce à ton téléphone. Tu n’es pas Jason Bourne.»

Oups ! Raté ! 2020 a prouvé que c’était un mensonge à partir du moment où ils ont déployé des applications de recherche de contacts pour s’assurer que vous ne respiriez pas le même air qu’une personne ayant eu un test Covid positif.

« Non seulement les personnes malades ou potentiellement malades doivent s’inquiéter d’être appelées ou interrogées par des traceurs de contact, mais il existe également un tout nouveau monde de technologie dystopique qui se développe rapidement.
Apple et Google ont formé un partenariat afin de développer une application pour téléphone permettant de surveiller un tiers de la population mondiale. Le gouvernement australien a développé une application appelée COVIDSafe pour vous protéger, vous, votre famille et vos amis et sauver la vie d’autres Australiens. Plus les Australiens se connecteront à l’application COVIDSafe, plus vite nous pourrons trouver le virus.

En fait, toutes sortes de nouveaux outils technologiques potentiellement invasifs apparaissent pour combattre le Covid. Certains utilisent l’IA pour détecter les signes de Covid et le ministère de la défense déploie l’imagerie thermique pour détecter les signes de Covid.

Ces dispositifs ne disparaîtront pas une fois la pandémie terminée. Si elles sont utilisées pendant un an ou deux — quelle que soit la durée de présence du virus — il y a de fortes chances qu’elles restent. »

Donc… si vous avez un smartphone, soyez rassuré, une application comme celle-ci sera à un moment donné probablement installée de force lors d’une de ces incessantes mises à jour. Bien sûr, ils diront que l’application n’est qu’un cadre conceptuel et que vous devez l’activer pour qu’elle fonctionne. Oh, attendez, ils ont déjà dit ça. Après avoir installé « le cadre conceptuel ».

4 — Sociétés sans cash

D’une manière ou d’une autre, les États-Unis n’ont plus de monnaie.

On ne pouvait plus avoir de pièces de monnaie… nulle part… et ça a duré un certain temps. Bloomberg en a parlé en août :

« Comme si une profonde récession et une pandémie sans fin ne suffisaient pas, les États-Unis sont maintenant confrontés à une autre crise : une pénurie de pièces de monnaie. En raison des confinements, moins de pièces sont en circulation, ce qui empêche les commerçants de rendre la monnaie lorsque les clients les payent en billets. »

Beaucoup s’en sont montrés inquiets, d’autant plus que le Vénézuela a utilisé le Covid pour pousser les citoyens vers une société sans argent liquide. Ici, aux États-Unis, la « pénurie de monnaie » était tellement considérable que de nombreux magasins vous rendaient la monnaie sur une carte de fidélité ou vous invitaient à faire don de cette monnaie à une cause quelconque. Une véritable société sans numéraire permettrait un contrôle important sur notre vie quotidienne. Voir cet article pour connaître les effets totalitaires que cela aurait sur nous.

5 — Puces RFID

Le Darpa s’est impliqué très tôt, vantant les mérites de cette initiative pour nous « sauver » du Covid. Robert Wheeler a écrit :

« Mais les gouvernements n’ont pas besoin de commercialiser la micro-puce comme une méthode pour suivre, tracer et contrôler leurs populations. Au contraire, ils commercialisent la puce comme un moyen de suivre et de détecter les positifs au Covid et autres coronavirus. Il est clair que c’est bien plus facile à vendre à un public littéralement terrorisé par leurs gouvernements et les grands médias depuis six mois.

Dans son article « Une micro-puce implantable financée par la DARPA pour détecter le Covid-19 pourrait être commercialisée d’ici 2021 », Raul Diego détaille la création et le lancement prochain de la nouvelle biopuce :

« La découverte scientifique la plus importante depuis la gravité se cache au grand jour depuis près d’une décennie et son potentiel destructeur pour l’humanité est si énorme que la plus grande machine de guerre de la planète a immédiatement déployé ses vastes ressources pour la posséder et la contrôler, en finançant sa recherche et son développement par le biais d’agences comme les National Institutes of Health (NIH), la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et la BARDA du HHS.

La percée révolutionnaire a été réalisée par un scientifique canadien nommé Derek Rossi en 2010, par pur hasard. Ce professeur de Harvard, aujourd’hui à la retraite, a affirmé dans une interview au National Post qu’il avait trouvé un moyen de « reprogrammer » les molécules qui portent les instructions génétiques nécessaires au développement des cellules dans le corps humain, sans parler de toutes les autres formes de vie biologiques.

Ces molécules sont appelées « acide ribonucléique messager » ou ARNm et la nouvelle capacité à réécrire ces instructions pour produire n’importe quel type de cellule dans un organisme biologique a radicalement changé le cours de la médecine et de la science occidentales, même si personne ne l’a encore vraiment remarqué. Comme Rossi le dit lui-même : La découverte la plus importante fut que vous pouviez maintenant utiliser l’ARNm, et si vous l’introduisiez dans les cellules, alors vous pouviez faire en sorte que l’ARNm exprime n’importe quelle protéine dans les cellules, et c’était ça le plus important. »

Note du traducteur : Raul Diego poursuit en expliquant que cette découverte était si importante,

« qu’en 2014, Rossi a pu prendre sa retraite après que la société qu’il a cofondée avec la société de capital-investissement Flagship Pioneering pour exploiter son innovation — à savoir Moderna Inc — a attiré près d’un demi-milliard de dollars de fonds fédéraux pour commencer à développer des vaccins en utilisant cette technologie. N’étant plus affilié à Moderna au-delà de ses actions, Rossi guette la suite des événements et s’il ressemble un tant soit peu à la description de père attentionné que l’on fait de lui, il doit être horrifié. »

[NdNM : voir aussi Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID? , 5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom et Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale]

6 — Vaccinations obligatoires

Vous vous souvenez de l’époque où personne — sauf les « théoriciens du complot en plein délire » — ne pensait que les adultes seraient un jour obligés de se faire vacciner ? Eh bien, ce jour approche à plus grands pas qu’imaginé par beaucoup.

Un vaccin Covid très attendu pourrait être mis en place en quelques jours. Pfizer et BioNTech ont tous deux conclu la phase 3 de la mise sur le marché rapide de leurs vaccins. Il reste encore beaucoup, beaucoup de questions [sans réponses – NDT]. Dans son article du 21 novembre, le Washington Post nous fait part des informations suivantes :

« Arthur Reingold, professeur d’épidémiologie à l’école de santé publique de l’université de Californie, à Berkeley :

« Le retour à beaucoup de nos anciennes habitudes prendra du temps, et on ne sait pas encore combien de temps. Les réponses nécessitent d’autres recherches sur les vaccins, la manière dont ils peuvent être distribués et le nombre de personnes disposées à en bénéficier.

Un vaccin ne sera pas disponible immédiatement pour tout le monde.

Ceci prendra probablement quatre à six mois. Ce que j’en conclus, c’est que les gens devront continuer à porter des masques au moins jusqu’au printemps. Nous ne serons pas dans une situation magiquement différente en février ou mars. Je ne vois pas comment cela pourrait arriver. »

Tout aussi importantes sont les inconnues concernant les vaccins eux-mêmes. Les scientifiques ne savent toujours pas combien de temps durera la protection induite par le vaccin, par exemple, ni si les inoculations peuvent bloquer l’infection proprement dite ou seulement empêcher l’apparition de la maladie [ou ne réduire que les symptômes – NdT]. Si c’est le cas, c’est-à-dire si les vaccins nous empêchent de tomber malade, mais pas d’être infectés, nous pourrions quand même être contagieux pour les autres. Tant que nous ne le savons pas, ne jetez pas ces masques à la poubelle…
[…]
Andrew Badley, un immunovirologue qui préside le groupe de travail sur le Covid-19 de la clinique Mayo, affirme que le retour à des activités normales dépend de nombreux facteurs, notamment du nombre de personnes qui se font vacciner :

« La seule possibilité que la vie revienne à la normale d’ici l’été est que la majorité de la population reçoive les vaccins d’ici là et que les premières données d’efficacité soient confirmées par les études en cours. Je pense qu’il est peu probable que nous puissions vacciner la majorité de la population d’ici là. »

Et comment vont-ils s’assurer que « la majorité » de la population soit vaccinée ? Au début, ce sera facile : des tas de gens retrousseront volontiers leurs manches pour se faire vacciner avec un vaccin mis sur le marché à la hâte, sans que les effets à long terme aient été testés. Et puis, le reste d’entre nous sera contraint de ne pas pouvoir aller au travail, à un concert, à l’école ou dans un bâtiment public sans avoir la preuve qu’il a été vacciné.

Selon l’article de National Geographic publié cet été,

« Vous marchez vers le stade, prêt pour voir un grand match, billets en main. Mais ce que vous voyez, c’est une longue file d’attente qui se poursuit au coin du bâtiment avec un goulot d’étranglement à l’entrée, alors que les gens fouillent leurs poches et leurs sacs à main pour trouver un petit bout de papier. Pour être autorisé à entrer, vous devrez également présenter un document prouvant que vous avez reçu un vaccin Covid-19.

C’est l’avenir tel que le voient certains experts : un monde dans lequel vous devrez, pour assister à un match sportif, vous faire faire une manucure, aller au travail ou prendre le train, faire la preuve que vous avez été vacciné contre le nouveau coronavirus.

Arthur Caplan, bioéthicien à la faculté de médecine de l’université de New York déclare que « Nous n’en arriverons pas au point où la police vaccinale défoncera votre porte pour vous vacciner. »

Mais lui et plusieurs autres experts de la politique de santé envisagent que des obligations vaccinales pourraient être instituées et appliquées par les gouvernements locaux ou les employeurs, comme c’est le cas actuellement pour les enfants d’âge scolaire, le personnel militaire et les travailleurs hospitaliers…

[…] Les obligations peuvent également être orientés vers les consommateurs. Tout comme les propriétaires de commerces peuvent interdire l’accès à leurs restaurants, salons, scènes et magasins aux clients « sans chemise et sans pantalon », ils peuvent légalement empêcher les gens d’entrer pour un certain nombre de raisons, « tant qu’ils ne sont pas en infraction avec les lois anti-discriminatoires », explique Dorit Rubinstein Reiss, professeur de droit de la santé et des vaccins à l’université de Californie, Hastings College of the Law.

Lorsqu’un vaccin Covid-19 sera disponible, certains experts pensent que les États exigeront des entreprises ciblées qu’elles fassent respecter les obligations vaccinales pour leurs employés, en particulier ceux que nous connaissons sous le terme de « travailleurs essentiels. »

Carmel Shachar, directeur exécutif du Petrie-Flom Center for Health Law Policy, Biotechnology, and Bioethics à la faculté de droit de Harvard explique que :

« Les employés des épiceries sont exposés à beaucoup de monde, mais peuvent aussi eux-mêmes en infecter beaucoup d’autres en raison de la nature de leur travail et du fait que pratiquement tout le monde doit acheter de la nourriture. »

Les employés du secteur hôtelier — ceux qui travaillent dans les restaurants, les bars et les cafés, par exemple — pourraient également se voir confier des obligations similaires.

Carmel Shachar poursuit :

« Il est dans l’intérêt d’un employeur de s’assurer que son lieu de travail est protégé et qu’un employé ne peut pas infecter ses collègues. Le fait de disposer d’un vaccin largement accessible permet à de nombreux commerçants de ne pas avoir à contrôler le comportement de leurs clients. Si votre main-d’oeuvre est vacciné, vous n’avez pas à vous inquiéter si les personnes que vous servez au restaurant ont le Covid-19. »

Même le grand public pourrait être incité à se faire vacciner. Arthur Caplan explique :

« Bizarrement, la meilleure façon d’imposer une obligation est de récompenser les gens en leur accordant plus de liberté s’ils la respectent. Par exemple, avec une preuve d’inoculation, vous pourriez assister à un événement sportif « comme récompense pour avoir fait ce qui était bien. Et j’imagine bien les gens dire : si vous voulez entrer dans mon restaurant, mon bowling ou mon salon de tatouage, alors je veux aussi voir un certificat de vaccination. »

Des rappels d’injections pourraient également être nécessaires, en fonction de l’efficacité des futurs vaccins.

La façon dont tous ces experts prévoient de forcer une population réticente à accepter un vaccin non testé ne vous fait-elle pas éprouver des sentiments émus et chaleureux ? C’est pour notre propre bien, vous savez…

[NdNM : voir aussi Vaccinations obligatoires : j’ai choisi mon camp !, OBÉISSEZ OU AUTREMENT: Le New England Journal of Medicine dit que les personnes qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES contre le coronavirus devraient être sévèrement punies, enfermées chez elles et licenciées de leur travail et 2022: un passeport de vaccination. L’UE garde le silence sur les documents suspects]

7 — Camps de rééducation

Vous vous rappelez comment nous avions l’habitude de plaisanter sur le fait d’être mis dans des camps de la FEMA ? Eh bien…

Enfin, pour ceux d’entre nous qui ont toujours cru que ces théories conspirationnistes n’étaient que des fables complotistes — oh — et pour les électeurs de Trump — il y a la discussion sur la façon de nous rééduquer afin que nous puissions réintégrer la société.

Dans un fil de discussion sur Twitter, nous avons vu le côté sombre de certains démocrates « bien éduqués » qui essayaient sincèrement de trouver comment récupérer ceux d’entre nous qui n’ont pas voté pour Joe Biden.

[NdNM : voir aussi LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires et Un journaliste québécois favorable à l’envoi des anti-vaccins en camp de concentration]

Note du traducteur : S’ensuit une succession de plusieurs tweets que vous pouvez retrouver dans l’article de Daisy Luther en lien ci-dessous. J’ai fait le choix de ne pas les inclure.

Source de l’article initialement publié en anglais le 23 novembre 2020 par Daisy Luther : The Organic Prepper
Traduction : Sott.net


Bienvenue dans le Nouvel ordre mondial

INGSOC – George Orwell, 1984

En lieu et place de la succession de tweets en anglais, je préfère renvoyer le lecteur vers les articles relatifs aux camps et à l’idéologie sous-jacente qui opère aujourd’hui au grand jour.

Le piège du revenu de base universel

Je voulais revenir sur le revenu de base universel évoqué par Daisy Luther dans son Point 1, et dont il est particulièrement question ces derniers jours dans les médias mainstream français. Avec cet article, entre autres, nous avons compris comment et pourquoi les médias abordent à un certain moment donné des thématiques bien précises, en vue de « tester » les réactions du public. Le dernier en date ne fait pas exception. Il s’agissait d’un des fers de lance du programme de Benoît Hamon lors des dernières élections présidentielles. Il avait alors nommé ce Revenu, « Revenu universel d’existence » — en acronyme, ça fait RUE… Croyez-vous que d’un point de vue sémantique ce soit un hasard ? Le même Benoît Hamon vient juste de publier un livre Ce qu’il faut de courage. Plaidoyer pour le revenu universel, et l’on peut donc considérer que puisque les médias se sont dernièrement emparés du sujet, les marionnettistes de l’ombre doivent estimer que le temps est venu de « déposer »,vraiment, le sujet dans l’esprit des Français.

Ce revenu de base universel ne peut pas vraiment voir le jour sans son corollaire : une société sans cash.

La suppression du cash, avec l’encadrement légal des moyens de productions alimentaires, constitue sans doute la base la plus solide sur laquelle pourrait reposer tout système de contrôle vraiment efficace, comme celui du revenu de base universel. Puisque l’argent détermine presque entièrement la qualité de notre vie sociale, il devient possible, en conditionnant de façon restrictive cet accès à l’argent, de contrôler la vie d’une personne dans sa quasi-totalité. C’est qu’il ne s’agit plus de savoir ce que fait, souhaite et pense le citoyen ordinaire : les autorités compétentes le savent depuis longtemps déjà, aidées en cela par les traces inévitables qu’il laisse en utilisant son ordinateur, son téléphone, sa voiture et en effectuant ses paiements par carte bancaire. Il s’agit plutôt, pour les pouvoirs en place, de disposer d’un instrument de punition sans équivalent, qui sanctionne, sans échappatoire possibleN’est-ce pas là une manière de remplacer la peine de mort physique par une peine de mort virtuelle tout aussi létale, mais politiquement correcte ?

À l’heure où les lois les plus liberticides sont votées, où le langage est surveillé, où les délits d’intention sont fantasmés, combien de temps faudra-t-il à l’État pour finaliser, à l’aide de cette crise sanitaire ET financière « tombée du ciel », le processus irréversible de la création d’une monnaie entièrement électronique ? Et à ce moment-là, que pourront bien encore faire les ennemis désignés de l’État ?

Comme toujours, présenté comme il l’est — l’idée selon laquelle l’État devrait distribuer un revenu de base de manière inconditionnelle à l’ensemble des citoyens, chômeur volontaire ou involontaire, travailleur à temps plein ou à temps partiel, et cumulable avec d’autres revenus — ce revenu universel de base fera dire à beaucoup que « c’est plutôt pas mal, c’est une bonne chose pour les pauvres ou les sous-payés, etc. ». Il suffit de lire la 4e de couv du livre de Benoît Hamon pour s’en — peut-être — laissé convaincre (ce n’est évidemment pas mon cas) :

« Le revenu universel sera la grande conquête sociale du siècle. Un instrument de justice qui permet d’éradiquer la pauvreté. Un revenu qui libère les hommes de la « cage de fer » consumériste, productiviste et capitaliste. Une bombe démocratique qui affranchit de la tyrannie du court terme, ralentit le temps et rétablit la juste hiérarchie entre l’homme et la machine. C’est par le revenu universel d’existence que nous préparerons une société où la nature n’est plus seulement considérée comme une ressource, mais comme un bien commun. Ce salaire du bonheur, par opposition au salaire de la peur, propose un choix existentiel, une éthique de l’individu réconcilié avec le collectif et la nature. »

On ressort de cette lecture avec le sentiment qu’enfin, la solution à tous nos problèmes a été trouvée. Elle libérerait l’être humain de ses chaînes ; c’est tellement beau qu’on en pleurerait, n’est-ce pas ? On en viendrait aussi presque à se demander pourquoi et comment il se fait que cette idée n’ait pas pris racine dans l’humanité avant. Un « salaire du bonheur », il fallait quand même oser ! Un rêve, véritable élaboration de la pensée imaginative qui transforme la réalité.

Mais le rêve de qui ?

Selon un article de Cairn.Info publié en 2018 :

« Cette proposition [de revenu de base universel] s’inspirait notamment de nos voisins européens, puisque des expérimentations voyaient le jour aux Pays-Bas et en Finlande, tandis qu’une votation populaire soumettait ce projet au peuple suisse en juin 2016 et était massivement rejetée. Ici, comme ailleurs, on trouve à la base de cette proposition, la thèse de la « fin du travail » ou de la raréfaction de l’emploi — notamment chez les non-qualifiés — ou encore l’idée de la perte de sens de sociétés entièrement organisées sur le paradigme de l’activité. Le diagnostic comme les solutions proposées semblent donc plus anciennes que l’actualité ne le laisserait croire et témoignent de questionnements récurrents depuis les années 1980. »

Tout d’abord, la première théorisation du « revenu universel » est attribué à Thomas Paine en 1797 :

« Dès le XVIe siècle Thomas More, dans son Utopie, envisagea un revenu permettant à tous les habitants d’une communauté d’échapper à la pauvreté. Au XVIIIe siècle, l’idée fut reprise par Voltaire dans un conte qu’il publia en 1768, L’homme aux quarante écus. La somme de quarante écus résulte de la division du nombre d’arpents du royaume — un arpent formant une superficie comprise alors entre deux mille et cinq mille mètres carrés — entre le nombre des sujets et la rente associée à la surface en question. Permettant tout juste de vivre dans des conditions modestes, elle a au moins le mérite d’être une allocation attribuée à chaque individu quel qu’il soit. Le narrateur du conte évoque également ses démêlés avec une administration fiscale pesante.

Toujours au siècle des Lumières, c’est le libéral Thomas Paine, partisan du libre-échange, du droit de propriété et chantre du gouvernement limité et des droits individuels qui défendit, dans son Sens commun paru en 1776, l’idée d’une redistribution des richesses et de l’attribution de droits sociaux. Puis, dans sa Justice agraire, publiée en 1797, partant du principe que la propriété engendre les inégalités, il défendit le revenu universel sous la forme de l’attribution inconditionnelle d’une somme pour toute personne adulte ainsi que d’une retraite inconditionnelle pour tous ceux âgés de plus de cinquante ans.

De leur côté, les mondialistes ne sont pas en peine. Selon leur livre blanc intitulé Réinitialiser le futur du monde du travail – dans un Monde Post-Covid et publié en octobre dernier, un des buts avoués du Forum économique mondial à travers le « Grand Reset », ou la « Grande réinitialisation », est de

« Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches — cela devrait toucher 30 % de la main-d’œuvre. Cela signifie également des échelles de rémunération complètement différentes — très probablement des salaires non viables, ce qui ferait du « salaire de base universel » ou du « revenu de base » également prévu — un salaire qui permet à peine de survivre, de faire face aux besoins évidents. Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système — un système numérique, sur lequel vous n’avez aucun contrôle. »

Voir aussi notre article « Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle ».

Selon un article de Contrepoints, publié en 2016, il s’agit d’un concept effroyable :

« Sur le plan moral tout d’abord, elle instille l’idée perverse qu’on peut, sans dommage sur l’individu, rendre instantanément tout le monde directement dépendant de l’État, de la naissance à la mort. Distribuez ce revenu pendant quelques années et au bout d’un peu plus d’une génération, plus personne ne se souviendra qu’avant son arrivée, des millions de gens se passaient de son existence et savaient vivre sans lui, sans l’État, exactement de la même façon que tout le monde est maintenant persuadé de l’absolue nécessité de la guerre permanente contre les drogues ou de l’interdiction du port d’arme, même si drogues et armes furent bien plus librement disponibles dans l’Histoire sans qu’il fut question de sociétés barbares ou médiévales (on parle d’il y a moins d’un siècle).

Sur le plan économique ensuite, ce revenu deviendra en pratique un plancher pour à peu près tout, créant de l’inflation de façon immédiate ou quasiment ; de la même façon que les APL (aides publiques au logement) ont tiré les loyers vers le haut pour quasiment l’intégralité de leurs montants, le revenu universel en fera de même pour à peu près tout ; tout étant renchéri, le gain pour ceux qui n’auront que ce revenu sera à peu près nul. »

Une société sans cash, des vaccins avec implant RFID, un revenu universel, etc. constituent la camisole électronique, impossible sans la mise en place de la 5G, qui nous est tricotée par ceux qui n’ont pas notre bonheur à cœur — contrairement à ce que prétend Benoît Hamon — dans un avenir qui verra l’ensemble des transactions monétaires contrôlées par l’Etat, les banques où les grandes sociétés privées. Autrement dit, toute notre vie.

Dans un autre article où j’abordais les tests anti-Covid comme outil de contrôle et dans lequel je considérais que le monde est transformé en Virusocratie, j’écrivais ce qui suit :

[…] Nous sommes égarés dans une simulation, à la recherche de la « vérité » et de la réalité. On peut le faire entre autres en s’emparant des mots et en les analysant. Les mondialistes adorent utiliser les mots comme des armes et les épeler, voire les marteler. Ce sont des hypnotiseurs. Ils inventent à dessein de nouveaux mots, et nous forcent à les utiliser et à les ressentir. Des mots comme « Coronavirus » et « distanciation sociale », ou encore « Covid-19 », « testé positif », « vaccins » ou « sauver le monde ».

Les mondialistes écrivent des codes. Ils codent les « virus » et leur donnent une identité militarisée de type jeu vidéo. Dans ce jeu vidéo, toutes vos libertés ont été supprimées et il faut faire preuve de gratitude et de servitude. Le code viral l’emporte sur toutes les autres formes de politique. Rien ne peut le contrer. Surtout pas la « science ». Ce virus constitue aussi une métaphore générale à propos de la « désinformation » propagée, à savoir tout ce qui est extérieur à leurs doctrines religieuses, et non reconnaissable par la virologie classique.

Le code, les scénarios possibles, le mysticisme et la superstition sur la façon dont le virus se propage, ne doivent pas être remis en question. C’est une forme de socialisme environnemental post-mondialiste devenu maléfique qui exige que tout un chacun se soumette à une chance égale d’être tué par un virus. Si les mondialistes sont obsédés par la « propagation » et les « virus », c’est parce qu’ils veulent mettre un terme à toutes les formes de communication et d’échange d’informations qui menacent leur Nouvel Ordre Mondial.

Cette « Virusocratie » n’existe que grâce à la plus grande opération psychologique jamais utilisée sur des milliards d’individus au sein de laquelle la bonne science est évitée ou censurée, où les médias intimident les dissidents, dans laquelle les intérêts particuliers prévalent et où les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »…

Nous n’avons pas besoin de technologies qui nous déresponsabilisent, en disant et décidant à notre place où nous pouvons aller. Ce dont nous avons besoin, c’est d’exercer notre responsabilité personnelle, pour pallier les défaillances et le cynisme des dirigeants.

La pandémie de coronavirus a provoqué la pauvreté et la famine pour des millions de personnes dans le monde. Et on en voit pas le bout.

On a vraiment l’impression que presque tous les gouvernements sont cooptés ou contraints de manière tacite à adhérer aux « lignes directrices ». C’est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Parce que certaines des « élites mondiales » — celles qui, nombreuses, sont flouées par les échelons supérieurs d’élites psychopathes — pensent a priori vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir. Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique et mentent, encore et encore à leur population de façon abjecte. Ces populations même qu’ils sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir. Ajoutons aussi la corruption « organisée » intrinsèque au monde dans lequel nous vivons, avec la Fondation Bill Gates et l’Open Society de George Soros qui financent — entre autres — le Conseil de l’Europe et ses institutions comme par exemple la Cour européenne des Droits de l’Homme. Au-delà de l’Union européenne, la Fondation Gates et l’Open Society — entre autres, là encore, car on peut y ajouter Ford ou Oak — financent aussi l’ONU et la Cour pénale internationale. Le fait que toutes ces fondations et ONGs privées financent des institutions dites publiques en dit long sur la privatisation de ces mêmes institutions qui, de fait, ne peuvent plus être indépendantes — nonobstant le fait qu’elles ne l’ont peut-être jamais vraiment été. L’influence politique globale qu’elles s’octroient par leurs dons privés leur donne une marge de manœuvre qui anéantit même toute illusion ou promesse de démocratie.

Les technocrates du monde entier prétendent nous préserver du coronavirus aujourd’hui, en accélérant un système de production qui compromet déjà notre survie de demain. En plus d’être voué à l’échec, c’est absurde… Quoique du point de vue des Pouvoirs en place, ça ne l’est certainement pas : entre l’«Event 201», le «Lock-Step», Bill Gates et sa GAVI, Rockfeller ou l’OMS, sans omettre le Forum économique mondial, il y a tout lieu de penser que ce que nous vivons aujourd’hui correspond à des scénarii pré-établis, propres à nous faire passer à toute vitesse dans un monde orwellien dématérialisé, inhumain et mortifère, qui aurait fait rêver Hitler ou Staline.

Ce qui est en jeu nous menace d’un grand péril : la mise à mort progressive de la conscience. Thomas Merton met en lumière la métaphore de la grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite, parce qu’un changement, s’il est suffisamment dilué dans le temps, échappe à la conscience et ne suscite ni réaction ni révolte avant un point de non retour :

« Le grand danger est que, sous la pression de l’anxiété et de la peur, de l’alternance des crises et puis de détente et puis de nouvelles crises, les peuples du monde en viennent à accepter progressivement […] l’idée de soumission au pouvoir total, et l’abdication de la raison, de l’esprit et de la conscience individuelle. »

~ Thomas Merton

[À propos de l’auteur]

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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




À quoi se ramène le travail du « journaliste » mainstream ?

[Source : Nice-Provence Info]

[Auteur : Georges Gourdin]

Un bon journaliste doit savoir « copier-coller »

Lorsque ce tweet de François Asselineau a été publié, nous avons pensé à une infox, ou encore un gag, tellement cela paraît excessif :

Toute la presse publie le même titre quasiment mot pour mot : Macron a reçu Pompeo mais regarde déjà vers Biden.

Cela est invraisemblable. Nous n’en sommes tout de même pas là. Non, pas en France, le pays des Droits de l’Homme et de la liberté de pensée !

Faisons donc un contrôle sur Google avec les mots clés : macron reçoit pompeo regarde biden. Et là, c’est la catastrophe ! C’est pire encore que le tableau de François Asselineau :

Macron reçoit Pompeo regarde Biden

Et ça continue ainsi sur plusieurs pages. Toute la presse, à l’unisson presque parfait, ânonne la même litanie.

Le message est clair : la presse française s’est soumise à la presse américaine qui a désigné le futur président des États-Unis. Donc si Macron reçoit, hors micros et caméras, le chef de la diplomatie des États-Unis, c’est pour lui dire adieu. Du reste 
L’Express avance : L’étrange tournée de Mike Pompeo, entre adieux, symboles et déni.
Copier-coller avec Le Point : L’étrange tournée de Mike Pompeo, entre adieux, symboles et déni.
Même discours sur Le Monde : La tournée d’adieu de Mike Pompeo suscite des interrogations sur l’Iran.

Si la presse française faisait son travail, elle saurait que :
• Mike Pompeo est secrétaire d’État au moins jusqu’à ce que le nouveau président des États-Unis soit désigné par les autorités américaines, puis si celles-ci désignent Joe Biden, jusqu’à la passation de Pouvoir en janvier 2021.
• Joe Biden est bien loin d’avoir emporté ces élections qui sont entachées d’énormes fraudes électorales que la justice américaine est en train d’analyser. De nombreuses sources américaines avancent que Trump a emporté largement cette élection.

La diplomatie la plus élémentaire consiste à attendre la décision de la Cour suprême.

Pravda Lénine

Tout esprit un tant soit peu éclairé en déduit aisément que :
• La presse française subventionnée n’offre plus aucune diversité : elle reçoit des subsides pour s’aligner sur LE discours d’État. Les journalistes ne font plus leur travail, si ce n’est [Ctrl]+[C] – [Ctrl]+[V] [NdNM : la combinaison de touches Ctrl et C sous Windows (ou Cmd et C sous Apple) permet de copier le texte sélectionné. Et la combinaison de touches Ctrl et V sous Windows (ou Cmd et V sous Apple) permet de le coller à l’emplacement de la souris, par exemple dans un éditeur de texte ou un courriel.], ce qui s’apprend aisément.
• Par suite on peut s’interroger sur l’intérêt d’entretenir à grands frais toute cette presse puisque l’AFP suffit très bien. Ou bien alors récréer une Pravda à la française, cela coûtera moins cher.

Mais les Français comprennent aussi que :
• Leur presse est inféodée à la presse américaine.

Heureusement il existe une presse dissidente, voire résistante, dans laquelle Nice Provence Info prend toute sa place depuis plus de 6 ans.

Georges Gourdin




Vague de mort par le vaccin : le gouvernement britannique publie une demande pour un système d’IA analysant les effets secondaires du vaccin COVID-19 décrits comme une « menace directe pour la vie des patients »

[Source en anglais : Natural News]

Alors que les médias grand public mensongers et traîtres nous disent à tous que les vaccins covid-19 sont parfaitement sûrs et « efficaces à 95% » — et ce mensonge est répété par PJ Media, Breitbart et d’autres éditeurs de presse dits « conservateurs » — au Royaume-Uni, le gouvernement a publié une soumission et un avis d’attribution de contrat pour la recherche d’un système d’intelligence artificielle (IA) capable de traiter [l’information sur] le déluge attendu de préjudices et d’effets secondaires du vaccin covid-19.

Intitulé simplement « Fournitures – 506291-2020 » et trouvé à ce lien sur Tenders Electronic Daily, cet avis d’attribution de contrat que nous avons initialement publié le 19 octobre 2020 et qui se résume comme suit :

La MHRA recherche d’urgence un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d’effets indésirables (EI) du vaccin Covid-19 et s’assurer qu’aucun détail du texte des EI ne soit oublié.

La demande du système d’IA pour traiter les réactions vaccinales covid-19 provient de la Medicines & Healthcare Products Regulatory Agency du Royaume-Uni, la MHRA.

Plus loin dans le document, la MHRA décrit une « urgence extrême en vertu du règlement 32 (2) (c) liée à la libération d’un vaccin Covid-19 » et dit que le déluge attendu de réactions indésirables au vaccin covid-19 submergera son actuel « vieux système ».

« Si la MHRA ne met pas en œuvre l’outil d’IA », explique la MHRA, « elle ne pourra pas traiter efficacement ces EI. Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel relatif au vaccin Covid-19 et représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique. »

Le statut d’extrême urgence de cette offre est expliqué plus en détail :

Raisons d’extrême urgence la MHRA reconnaît que son processus d’acquisition prévu pour le programme SafetyConnect, y compris l’outil d’IA, ne se serait pas terminé par le lancement du vaccin. Ceci conduit à une incapacité à surveiller efficacement les effets indésirables d’un vaccin Covid-19.

Événements imprévisibles la crise de Covid-19 est nouvelle et les développements dans la recherche d’un vaccin Covid-19 n’ont pas suivi jusqu’à présent de modèle prévisible.

Cela ressemble-t-il à une agence qui s’attend à ce que le vaccin contre le covid-19 soit sûr et efficace?

Il ressort clairement de la description figurant dans le document d’attribution que :

  1. La MHRA s’attend à ce que les vaccins covid-19 provoquent une vague d’événements indésirables / d’effets secondaires.
  2. La MHRA est pleinement consciente que ces événements indésirables vont nuire et tuer de nombreux patients. Elle met spécifiquement en garde contre « une menace directe pour la vie du patient ».
  3. Les vieux systèmes de la MHRA sont incapables de gérer le volume attendu de rapports entrants concernant les préjudices causés par le vaccin contre le covid-19, ce qui signifie que le volume attendu de ces rapports sera très important et sans précédent.
  4. La MHRA reconnaît « l’extrême urgence » de mettre en place un nouveau système pour identifier les effets indésirables des vaccins covid-19.
  5. La MHRA déclare que si un nouveau système d’IA n’est pas installé de toute urgence, elle sera incapable d’identifier un grand nombre des effets indésirables résultant du vaccin covid-19, et que cet échec aura un impact négatif sur la santé publique. (C’est-à-dire que les gens mourront.)

Ce que cela montre, c’est l’honnêteté brutale de la MHRA dans les coulisses, dans leur processus d’appel d’offres pour les systèmes d’IA. Pourtant, publiquement, presque toutes les agences gouvernementales de réglementation du monde entier y compris celles du Royaume-Uni et des États-Unis ne partagent pas ces détails avec le public et décrivent à tort que les vaccins covid-19 sont presque 100% sûrs et efficaces.

Nous savons maintenant que même la MHRA du Royaume-Uni se rend compte que les vaccins covid-19 vont être extrêmement dangereux pour le public, générant une vague catastrophique de réactions indésirables et d’effets secondaires mortels.

Cela pose la question suivante : pourquoi la MHRA ne dit-elle rien de tout cela publiquement ?

(source initiale : la vidéo suivante sur Brighteon.com, qui a d’abord attiré mon attention sur cette bombe.)



https://www.brighteon.com/embed/036c92ca-027b-413a-8ae9-1c17eeb091c6

Liquider la population humaine avec des armes biologiques mortelles et des vaccins toxiques : la « grande réinitialisation » est la tyrannie médicale et le communisme économique

Il ne fait aucun doute que le CDC sait tout cela aussi, et il ne diffuse rien qui alerterait le public sur cette réalité.

De toute évidence, le public est délibérément tenu dans l’ignorance des dangers des vaccins contre le covid-19, et malheureusement, même les médias conservateurs pro-Trump aux États-Unis répètent la propagande de l’industrie des vaccins pour essayer de faire croire aux gens que les vaccins contre le covid-19 vont sauver le monde.

Gardez à l’esprit que les géants traîtres de la technologie ont tous conspiré au cours des dernières années pour censurer quiconque remettrait en question la sécurité de l’efficacité des vaccins. Cela signifie que pendant que les gens mourront du vaccin contre le covid-19, personne ne sera autorisé à en parler ou à sonner l’alarme. Tous les décès dus au vaccin covid-19 seront cachés et tenus à l’écart du public. Les médias, bien sûr, feront tout pour protéger Big Pharma, tout comme ils ont fait des heures supplémentaires pour empêcher des divulgations choquantes sur Joe Biden et la famille criminelle Biden à propos du contrôle de la Chine communiste sur Hunter Biden.

En substance, Big Pharma et les contrôleurs mondialistes s’attendent à ce que l’humanité s’aligne, reçoive le coup et meure en silence alors que tout nous est volé par les méchants collaborateurs mondialistes de la « grande réinitialisation ». Les vaccins qui atteignent leur objectif de génocide de masse et de dépeuplement ne sont qu’une couche de leur grand plan qui implique également le vol coordonné et mondial de tous les actifs privés via un effondrement de la monnaie fiduciaire qui rend toutes les économies et tous les actifs libellés en devises instantanément sans valeur.

[NdNM : il est pratiquement impossible de démontrer que les élites mondiales envisagent (éventuellement) le génocide de 90 ou 95% de l’Humanité par divers moyens, dont l’utilisation de vaccins. Et donc, on peut parfaitement en douter. Cependant, si par hasard c’était effectivement le cas…
Ce qui est par contre démontré et notamment visible sur le site officiel du Forum Économique Mondial, c’est la volonté d’une partie de ces élites de produire leur fameuse Grande Réinitialisation.]

Non seulement les personnes qui prennent les coups de feu finiront par être blessées ou tuées; [mais en plus] tout ce qu’ils possédaient autrefois leur sera confisqué et volé par les mêmes mondialistes qui poussent pour les vaccins et la censure.

Ce sont les mêmes mondialistes qui viennent de voler les élections de 2020 aux États-Unis, bien sûr, en truquant les machines à voter de Dominion et en enflammant le pays entier avec leurs faux médias d’information.

La solution finale contre l’humanité est une combinaison d’une réinitialisation économique mondiale, d’un génocide de masse via des vaccins, d’une famine artificielle via un effondrement contrôlé de l’approvisionnement alimentaire, et du contrôle total de la parole et des pensées via la censure des Big Tech et les programmes d’ingénierie sociale. Pour les mondialistes, vous n’êtes qu’un animal d’élevage et ils croient qu’il est temps de rassembler tous les animaux à abattre.

D’où la nécessité du coronavirus SRAS-cov-2 dès le début : il a permis aux mondialistes de libérer tous leurs programmes pour asservir l’humanité et détruire la liberté humaine, tout en prétendant vous « protéger » de la même arme biologique qu’ils ont créée et relâchée dans le lieu initial [Wuhan].

Si vous voulez survivre à ce qui va arriver, téléchargez gratuitement mes deux nouveaux livres audio : The Global Reset Survival Guide [Le guide de survie à la Grande Réinitialisation] est sur GlobalReset.news et vous pouvez acheter Survival Nutrition [Alimentation de survie] (également gratuit) sur SurvivalNutrition.com.




Biden président ? La réaction de François Asselineau

[Source : Union Populaire Républicaine]




La planète entière a assisté au vol de l’élection de Donald Trump et aucun média ne s’est révolté !

[Source : Pierre Jovanovic]

du 9 au 13 novembre 2020 

Depuis un mois, j’ai suivi les réunions électorales des deux candidats Trump et Biden, souvent en direct. Et j’étais sidéré de voir que si Trump réunissait 30.000 personnes en délire et dans un froid polaire sur un tarmac d’aéroport, Biden, lui, désolé pour la suite, n’a aligné que des BIDES !

Il n’y avait personne à ses réunions, PERSONNE, même quand Barack Obama était venu le seconder.

Donc, qu’on nous explique, comment Biden a t-il pu gagner les élections APRÈS la clôture des votes in vivo. Personne d’ailleurs ne peut croire que 80 voire 90% des votes par correspondance l’aient été pour le seul Biden, cela ne TIENT PAS debout.

Autre point: les Américains votaient aussi pour leurs sénateurs, et là la supercherie est visible: quand 60% des gens votaient pour un sénateur GOP, les même ont voté pour Biden pour les présidentielles ! Hyper logique en effet. Sans parler du fait que les observateurs GOP au dépouillement ont été interdits d’approcher, sous le bon prétexte du Covid.

Mes chers lecteurs vous avez enfin pu voir, vous aussi, cet invisible Deep State [État profond] en action.

Le plus fou est que Biden, qui n’a plus toute sa tête, s’en était même vanté par avance: « Je dispose du meilleur système électoral de fraude mis au point« , et France Inter, vite, vient le sauver en disant que c’est un lapsus !!!! «  Dimanche 25 octobre, le camp Trump a massivement brandi une vidéo, montrant le candidat démocrate Joe Biden « se vanter d’avoir mis en place l’organisation de fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’Histoire ». Sur les images, on voit bien Joe Biden tenir les propos qui lui sont reprochés.

À ce stade de la course à la présidentielle, on pourrait penser à une vidéo truquée, les fameuses deepfake, ou à un montage » (LoL, les journap*** de FI n’ont peur d’aucune bassesse) « Il n’en est rien. L’ancien vice-président a bien tenu ces propos dans le podcast Pod Save America du 24 octobre. Du pain bénit pour les républicains qui attaquent depuis des mois le système de vote par correspondance, craignant que des fraudes puissent faire perdre Donald Trump. Mais en écoutant l’émission en entier, on comprend qu’il s’agit simplement d’un lapsus« … lire ici pour le croire.

Des dizaines de milliers de morts ont voté (y compris le champion de boxe Joe Frazier, paix à son âme) sans parler des centaines de milliers de votes par correspondance retrouvés dans des poubelles, ruisseaux, buissons, etc., etc.

Donald Trump a été clairement volé de son élection, en plein jour, dans une campagne de haine organisée par les médias et les Gafas qui ont tout fait pour que les supporters GOP ne puissent pas se manifester sur le web, alors que les coupeurs de têtes islamistes d »ISIS, eux, avaient leur compte Twitter ou Youtube.

Sachez qu’avec ce qui vient de se passer aux Etats-Unis, ce sera désormais open-bar en France et partout en Europe. La recette fonctionne, le Deep State et les Gafa vont placer leurs marionnettes partout dans le monde, puisqu’il suffit désormais de contrôler les médias pour manipuler / diriger l’opinion vers l’heureux élu, Youtube, Facebook et Twitter feront le reste !

Mr Marteau a résumé à sa façon cette situation ahurissante: « Biden perd les 3 États clefs où le vote est le + sécurisé = Texas, Floride, Ohio. Il gagne les 3 États clefs où le vote est le + fraudable= Pennsylvanie, Michigan, Wisconsin. Il réunit à peine 20 personnes dans ses meetings. Il ne gagne même pas le Sénat.« 

Vous imaginez les prochaines présidentielles en France ? Sur le papier, Emmanuel Macron a déjà quasiment gagné sa réélection de 2022. Les ploutocrates n’auront même plus peur d’être pris sur le fait.

La démocratie est morte, et dites vous bien qu’un député En Marche n’a pas attendu la victoire pour proposer le même système pour la France, le vote par touche électronique et par correspondance, interdit depuis 1995 justement pour fraudes massives.

Et il se trouve que la société qui gère les votes électroniques américains a eu l’idée saugrenue de faire une mise à jour pendant l’élection, et cela a changé des dizaines de milliers de votes Trump pour Biden:

« One Michigan county clerk caught a glitch in tabulation software so they hand counted votes and found the glitch caused 6,000 votes to go to Biden + Democrats that were meant for Trump and Republicans. 47 MI counties used this software. All must check now!« .

@robbystarbuck 6 nov. 

[Traduction : Un greffier du comté du Michigan a détecté un pépin dans le logiciel de tabulation. Ils ont donc compté les votes à la main et ont constaté que le problème avait attribué 6 000 votes pour Biden et les démocrates, alors qu’ils étaient destinés à Trump et aux républicains.]

Ah oui quand même !!!

« Georgia election official: Machine glitch caused by last-minute vendor upload. Voting was delayed in two counties for two hours while the problem was fixed. A technology glitch that halted voting in two Georgia counties on Tuesday morning was caused by a vendor uploading an update to their election machines the night before, a county election supervisor said. Voters were unable to cast machine ballots for a couple of hours in Morgan and Spalding counties after the electronic devices crashed, state officials said. In response to the delays, Superior Court Judge W. Fletcher Sams extended voting until 11 p.m.« 

lire ici Politico.

[Traduction : « Fonctionnaire électoral de Géorgie : problème de machine causé par le téléchargement de dernière minute en provenance du fournisseur (du logiciel). Le vote a été retardé dans deux comtés pendant deux heures, le temps que le problème soit résolu. Un problème technologique qui a interrompu le vote dans deux comtés de Géorgie mardi matin a été causé par un fournisseur qui a mis en ligne une mise à jour de leurs machines électorales la nuit précédente, a déclaré un superviseur des élections du comté. Les électeurs n’ont pas pu voter par machine pendant quelques heures dans les comtés de Morgan et de Spalding après le crash des appareils électroniques, ont déclaré des responsables de l’État. En réponse aux retards, Le juge W. Fletcher Sams de la Cour supérieure a prolongé le vote jusqu’à 23 heures »]

La démocratie est morte en novembre 2020, remerciez les ultra-riches qui composent le Deep State. Désormais, sauf un miracle à la Jeanne d’Arc, rien ne pourra sauver la France de cette nouvelle Ploutocratie américaine.

PS: n’oubliez pas, même un ASTEROÏDE devait tomber sur les Etats-Unis le jour du vote !!!! Cela venait de la NASA !

Revue de Presse par Pierre Jovanovic ©




Trump déclare que « l’élection est loin d’être terminée » après la déclaration coordonnée des grands médias

[Source : Aube Digitale]

Trump vient de publier une déclaration et a refusé de céder, affirmant que l’élection est loin d’être terminée, affirmant qu’à partir de lundi, la campagne Trump portera la bataille devant les tribunaux.

Déclaration du Président Donald J. Trump :

“Nous savons tous pourquoi Joe Biden se précipite pour se faire passer à tort pour le vainqueur et pourquoi ses alliés médiatiques font tant d’efforts pour l’aider : ils ne veulent pas que la vérité soit dévoilée. Le simple fait est que cette élection est loin d’être terminée. Joe Biden n’a été certifié vainqueur d’aucun État, et encore moins d’un des États très contestés qui se dirigent vers un recomptage obligatoire, ou d’États où notre campagne fait l’objet de contestations judiciaires valables et légitimes qui pourraient déterminer le vainqueur final. En Pennsylvanie, par exemple, nos observateurs juridiques n’ont pas été autorisés à avoir un accès significatif pour observer le processus de comptage. Ce sont les votes légaux qui décident qui est président, et non les médias d’information.

À partir de lundi, notre campagne va commencer à poursuivre notre affaire devant les tribunaux pour s’assurer que les lois électorales sont pleinement respectées et que le vainqueur légitime est établi. Le peuple américain a droit à une élection honnête : cela signifie qu’il faut compter tous les bulletins de vote légaux et ne pas compter les bulletins illégaux. C’est la seule façon de garantir que le public ait pleinement confiance en notre élection. Il reste choquant que la campagne Biden refuse d’accepter ce principe de base et souhaite que les bulletins de vote soient comptés même s’ils sont frauduleux, fabriqués ou déposés par des électeurs inéligibles ou décédés. Seul un parti ayant commis des actes répréhensibles empêcherait illégalement les observateurs d’entrer dans la salle de dépouillement – et se battrait ensuite devant les tribunaux pour leur en interdire l’accès.”

“Alors, que cache Biden ? Je n’aurai de cesse que le peuple américain ait le décompte honnête des votes qu’il mérite et que la démocratie exige”.

– Président Donald J. Trump




La liste des fraudes démocrates

[Source : trumpfrance.com]




Le FBI a-t-il réellement classé « Qanon » comme une menace terroriste?

[Source : QanonFR]

Les médias de masse ne cessent de rapporter que le FBI a déclaré que « Qanon est une « menace terroriste ».

Mais, comme pour le risque de mourir du covid quand tu as moins de 50%, dans 99.997% des cas, quand les médias parlent de Qanon, ils ont tort.

Il a fallu que ce soit un magazine pratiquement inconnu qui fasse le travail de journalisme. CELEB a contacté le FBI pour en avoir le coeur net. Et la réponse est NON.

Voici ce qu’ils ont à dire sur le sujet.

EXCLUSIF: Malgré les rapports, le FBI ne qualifie pas le groupe QAnon de « menace terroriste ».

Après que le porte-parole de Joe Biden, Andrew Bates, ait affirmé que le FBI avait identifié le mouvement QAnon comme une « menace terroriste intérieure », presque tous les médias se sont empressés de publier des titres tels que « Trump fait l’éloge de QAnon, que le FBI qualifie de menace terroriste », mais contrairement au reste des médias, CELEB a contacté le FBI pour savoir ce qu’il avait à dire sur la déclaration de la campagne de Joe Biden.

Lorsqu’on lui a demandé spécifiquement si QAnon était effectivement une menace terroriste, le bureau de presse national du FBI a fait part de cette déclaration à CELEB :

Le FBI ne désigne pas et ne peut pas désigner les groupes terroristes nationaux. Le FBI ne peut jamais lancer une enquête basée uniquement sur la race, l’ethnicité, l’origine nationale, la religion ou l’exercice des droits du Premier Amendement d’un individu. En ce qui concerne le terrorisme national, nos enquêtes se concentrent uniquement sur les activités criminelles d’individus – indépendamment de leur appartenance à un groupe – qui semblent avoir pour but d’intimider ou de contraindre la population civile ou d’influencer la politique du gouvernement par l’intimidation ou la contrainte. Il est important de noter que l’appartenance à des groupes qui épousent une idéologie extrémiste nationale n’est pas illégale en soi, même si leurs opinions peuvent être offensantes pour la majorité de la société. L’appartenance à un groupe ne constitue pas une base suffisante pour une enquête.

Bates avait déclaré que le président Trump « cherchait simplement à légitimer une théorie de conspiration que le FBI a identifiée comme une menace de terrorisme domestique » après que Trump ait reconnu et louangé le groupe lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche la semaine dernière.

« J’ai entendu dire que ce sont des gens qui aiment notre pays », a déclaré M. Trump. « Donc je n’en sais pas vraiment plus qu’ils sont censés m’aimer. » Quand un journaliste a évoqué la façon dont les partisans de Q croient qu’il essaie de mettre fin à un culte satanique de pédophiles, Trump a répondu: « C’est censé être une mauvaise chose? »

Depuis lors, QAnon a dominé les grands titres des médias.

Dans une interview exclusive accordée hier à l’un des principaux partisans du mouvement, Liz Crokin a expliqué que « Q est une opération de renseignement militaire. L’objectif de Q est de réveiller le public sur l’activité criminelle dans laquelle la cabale est impliquée ».

La « conspiration » est souvent tournée en dérision dans les médias, même si Q publie des informations telles que l’allusion à l’arrestation de Jeffrey Epstein avant qu’elle n’ait lieu.

« En fin de compte, pour les besoins de l’argumentation, en quoi Q est-il une mauvaise chose. Q encourage les gens à faire leurs propres recherches et à penser par eux-mêmes », a déclaré Liz Crokin. « Q expose certains des plus grands trafiquants de la planète, alors même si Q est faux ou ne s’avère pas être Trump ou un renseignement militaire, en quoi est-il mauvais? C’est unir les gens pour qu’ils se lèvent et dénoncent les prédateurs d’enfants. Ce n’est pas une mauvaise chose! »

Le secrétaire par intérim du Département de la sécurité intérieure, Chad Wolf, a déclaré dimanche à CNN que les Anonymes ne constituaient pas une menace importante. « Je regarde toutes les menaces auxquelles la patrie est confrontée, celle-ci n’atteint pas un niveau significatif », a-t-il déclaré, bien qu’il ait ensuite condamné la communauté Q.

Lorsque le présentateur de CNN Jake Tapper a évoqué le fait que le FBI avait soi-disant étiqueté le groupe comme une menace terroriste intérieure (avant qu’il ne reçoive notre mémo), Wolf a répondu: « Je n’ai aucune raison de croire autre chose que ce que le FBI dit », a-t-il dit.

Faux.

En fait, très peu d’articles ont cité une preuve quelconque, mais le Chicago Tribune a établi un lien avec un article de Yahoo News ! sur le téléchargement d’un bulletin du FBI de mai 2019 du bureau local de Phoenix, qui mentionne principalement des individus spécifiques qui ont été une menace. De toute évidence, le bulletin était grandement exagéré et c’est essentiellement ainsi que les fausses nouvelles ont commencé.

Après un courriel de suivi adressé au FBI demandant la légitimité du bulletin de l’année dernière au bureau local de Phoenix, le FBI a fait part à CELEB d’une autre déclaration disant essentiellement que les bureaux locaux du FBI partagent parfois des informations, mais sans mentionner la confirmation d’une menace:

« Bien que notre pratique habituelle soit de ne pas commenter des produits de renseignement spécifiques, les bureaux locaux du FBI partagent régulièrement des informations avec leurs partenaires locaux des services de police afin d’aider à protéger les communautés qu’ils servent. Ces produits sont destinés à être de nature informative, et en tant que tels, ils contiennent des mises en garde appropriées pour décrire la confiance dans la source d’information et la probabilité de l’évaluation. En outre, lorsqu’ils sont rédigés au niveau local, ces produits noteront que la perspective offerte peut être limitée au domaine de responsabilité du bureau local. »

Nous ne savons pas pourquoi le reste des médias n’ont pas confirmé les déclarations de l’équipe Biden auprès du FBI, mais bon, nous faisons simplement notre travail.

Vous enverrez cet article aux « journalistes » quand il diront que « Q » est une menace terroriste.




Un vétéran de la télévision grand public admet « Nous sommes un cancer et il n’y a pas de remède »

[Source : Aube digitale]

Ariana Pekary, productrice de MSNBC, a expliqué que la raison pour laquelle elle a décidé de quitter son emploi était que les grands médias bloquent la « diversité de pensée » au profit de la promotion de voix hystériques pour l’audience et qu’un vétéran de la télévision lui a avoué « nous sommes un cancer et il n’y a pas de remède ».

Pekary, qui était « membre intégral » de la série de Lawrence O’Donnell aux heures de grande écoute, affirme que l’obsession des médias pour Trump coûte en fait des vies parce qu’elle empêche les discussions raisonnées sur la manière de lutter contre la pandémie de coronavirus.

« Ce cancer met en danger des vies humaines, même au coeur d’une pandémie. »

L’accent a rapidement été mis sur ce que Donald Trump faisait (mal) pour faire face à la crise, plutôt que sur la science elle-même. Alors que de nouveaux détails sont apparus concernant les anticorps, un vaccin ou la manière dont le COVID se propage réellement, les producteurs veulent toujours se concentrer sur la politique.

« Des faits importants ou des études sont enterrés »a expliqué Mme Pekary.

Ce cancer, note à juste titre le Virginien, met en danger notre démocratie,

« …même en plein milieu d’une élection présidentielle. Toute discussion sur l’élection se concentre généralement sur Donald Trump, et non sur Joe Biden, récidiviste à partir de 2016 (Trump étouffe toute autre couverture)… »

« Le contexte et les données factuelles sont souvent considérés comme trop lourds pour le public ».

L’ancienne productrice a également révélé qu’un « vétéran de la télévision » avait reconnu cela,

« Nous sommes un cancer et il n’y a pas de remède », ajoutant : « Mais si vous pouviez trouver un remède, cela changerait le monde. »

Mme Pekary a également souligné que le modèle même par lequel la presse d’entreprise est structurée garantit que les voix de la dissidence sont réduites au silence en faveur d’extrémistes politiques hystériques, ce qui est apparu au cours des deux derniers mois avec la promotion implacable par les médias des récits de Black Lives Matter.

« Le modèle bloque la diversité de la pensée et du contenu parce que les réseaux sont incités à amplifier les voix et les événements marginaux, aux dépens des autres… tout cela parce que cela fait grimper l’audience », a-t-elle écrit.

La démission de Mme Pekary fait suite à celle de l’ancienne chroniqueuse du New York Times, Bari Weiss, qui a déclaré que ses propres collègues la qualifiaient de raciste et de nazie parce qu’elle avait osé se livrer à une « mauvaise réflexion » en ne se faisant pas l’écho de la rhétorique marginale sur la justice sociale.




Lettre du Président Trump à la Présidente de la Chambre des Représentants

Honorable Nancy Pelosi
Présidente de la Chambre des Représentants
Washington, DC 20515

Chère Madame la Présidente,

Je vous écris pour vous exprimer mes
protestations les plus vives et les plus énergiques contre la croisade
partisane visant ma destitution, menée par les Démocrates à la Chambre des Représentants. Cette
mise en accusation est un abus de pouvoir, sans précédent et inconstitutionnel,
de la part des législateurs démocrates, sans égal durant près de deux siècles
et demi d’histoire législative américaine.

Les articles de mise en accusation introduits par le comité judiciaire de la Chambre ne sont valides sous aucune norme de théorie constitutionnelle, d’interprétation ou de jurisprudence. Ils n’incluent aucun crime, aucun délit, ni aucune infraction d’aucune sorte. Du mot destitution, détestable en lui-même, vous avez déprécié l’importance !

En actant cette invalide destitution,
vous violez le serment que vous avez prêté en entrant en fonction, vous rompez
votre allégeance à la Constitution, vous déclarez une guerre ouverte à la
démocratie américaine. Vous osez invoquer les Pères fondateurs des
États-Unis d’Amérique dans la poursuite d’un plan qui vise à annuler des
élections, vos actions malveillantes affichent un absolu mépris des fondements
des États-Unis d’Amérique, et votre conduite inqualifiable menace de détruire
ce que nos Pères fondateurs se sont engagés à construire. Non seulement vous
les offensez, mais pire encore, vous offensez la foi des Américains en répétant
«Je prie pour le président», alors que vous savez que ce n’est pas vrai, sauf à
prendre vos mots au sens négatif. Ce que vous commettez est terrible, mais
c’est vous qui devrez vivre avec, pas moi !

Votre premier chef d’accusation : «Abus
de pouvoir», n’est qu’une invention de votre imagination, totalement
fallacieuse, sans valeur et sans fondement. Vous savez que j’ai eu une
conversation parfaitement innocente avec le président de l’Ukraine. J’ai
eu
ensuite une deuxième conversation et vous la citez déformée,
frauduleusement
dénaturée. Il y en avait heureusement une transcription, et vous savez
par
cette transcription (qui a été rapidement rendue publique) que le
paragraphe contesté
était inattaquable. J’ai dit au Président Zelensky : « Je voudrais
cependant que vous nous rendiez service, parce que notre pays a
eu des difficultés et que l’Ukraine en sait long  ». J’ai
dit : « faites-nous » une
faveur et non « faites-moi », à « notre
pays » et non à « une campagne
électorale ». J’ai mentionné ensuite le Procureur
général des États-Unis. Chaque fois que je parle avec un dirigeant
étranger, je mets les intérêts de l’Amérique en premier, tout comme je
l’ai
fait avec le Président Zelensky.

Vous transformez un désaccord politique
entre deux branches de l’État en un crime passible de destitution : cela
n’est pas plus légitime que le pouvoir exécutif accusant les membres du Congrès
de crimes pour l’exercice légitime de leur pouvoir législatif.

Vous savez parfaitement que le vice-président Biden a utilisé son
statut, et un milliard de dollars d’aide américaine, pour contraindre
l’Ukraine à licencier un procureur qui enquêtait sur l’entreprise
versant des millions de dollars à son fils. Vous le savez parce que
Biden s’en est vanté et que cela était retransmis en vidéo. Biden a
déclaré ouvertement : « Je leur ai dit: “Je vous préviens que vous
n’aurez pas le milliard de dollars”… Je les ai regardés et j’ai dit :
“Je pars dans six heures ; si le procureur n’est pas limogé, vous
n’aurez pas l’argent”. Eh bien, ce fils de pute, il a été licencié ! »
Joe Biden lui-même a admis il y a quelques jours, dans une interview sur
la Radio publique nationale, que cela « avait l’air mauvais ».
Cependant  vous essayez de me destituer en m’accusant faussement de ce
que Joe Biden admet avoir réellement fait.

Le Président Zelensky a déclaré à
plusieurs reprises que je n’avais rien fait de mal et qu’il n’y avait aucune
pression. Il a dit que c’était un «bon appel téléphonique», il a dit «je
ne ressens aucune pression», il a explicitement précisé «personne ne m’a poussé».
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères a aussi déclaré très clairement : «Je
n’ai jamais vu aucun lien direct entre enquête et assistance en matière de
sécurité », et dit qu’il n’y avait« aucune pression ». Le sénateur Ron Johnson
du Wisconsin, un sympathisant de l’Ukraine, qui a rencontré le président
Zelensky, a déclaré : « À aucun moment au cours de cette
réunion … il n’y a eu mention, de la part de Zelensky ou de tout autre Ukrainien,
d’aucune pression pour faire quoi que ce soit en échange de l’aide militaire ».
De nombreuses réunions ont eu lieu entre des représentants de l’Ukraine et ceux
de notre pays. L’Ukraine ne s’est jamais plainte une seule fois de
pression exercée – pas une seule fois ! L’ambassadeur
Sondland a déclaré que je lui avais dit : «Pas
de contrepartie. Je ne veux rien. Je ne cherche rien. Je veux seulement
que le président Zelensky fasse ce qui est juste et ce pourquoi il a été élu. »

Votre deuxième chef d’accusation :
«Obstruction au Congrès», est absurde et dangereux. Les Démocrates de la
Chambre tentent de destituer un Président des États-Unis dûment élu, au motif qu’il
revendique des droits prévus par la Constitution, lesquels ont été revendiqués
par tous les gouvernements des deux partis politiques tout au long de
l’histoire de notre nation. A ce compte, tous les Présidents américains
auraient pu être mis en accusation. Le professeur de droit Jonathan Turley,
pourtant de gauche, vous a mis en garde lorsqu’il s’est adressé aux Démocrates
du Congrès: « Je ne saurais trop insister sur ce point… si vous destituez
un Président, si vous l’accusez de crime parce qu’il va devant les tribunaux,
c’est un abus de pouvoir. C’est votre abus de pouvoir. Vous faites exactement
ce que vous reprochez au Président ».

Tout le monde, vous y compris, sait ce
qui se passe réellement. Le candidat que vous aviez désigné, a perdu l’élection
présidentielle en 2016 par un raz-de-marée électoral (306-227 au Collège
électoral), mais vous et votre parti ne vous êtes jamais remis de cette
défaite. Vous avez développé un cas caractérisé de ce que beaucoup de
médias appellent le Trump Derangement Syndrome, et malheureusement vous
n’en guérirez jamais ! Vous ne voulez pas et vous ne
pouvez pas accepter le verdict des urnes lors de la grande élection de 2016.
Vous avez donc passé trois années de suite à tenter d’inverser la volonté du Peuple
américain et d’annuler son vote. Vous voyez la démocratie comme votre
ennemi !

Présidente Pelosi, vous avez admis la
semaine dernière, lors d’un forum public, que la tentative de votre parti pour
me destituer dure depuis « deux ans et demi », bien
avant que vous ayez entendu parler d’un appel téléphonique avec
l’Ukraine. Dix-neuf minutes après ma prestation de serment, le Washington
Post publiait un article intitulé : « La
campagne pour destituer le Président Trump a commencé ». Moins de trois mois après mon
investiture, la représentante Maxine Waters déclarait : « Je vais me
battre tous les jours jusqu’à ce qu’il soit destitué. » Les Démocrates de
la Chambre des Représentants ont présenté la première résolution de destitution
contre moi quelques mois après mon investiture, au prétexte de ce qui sera regardé
comme l’une des meilleures décisions de notre pays (comme le prouve le récent
rapport de l’Inspecteur général) : le licenciement de James Comey – dont
le monde sait maintenant qu’il est l’un des flics les plus corrompus que notre
nation ait jamais eu. Une Représentante déchaînée et délirante, Rashida
Tlaib, déclarait quelques heures seulement après sa prestation de serment : « On va y
aller, nous destituerons ce sal***ard ». Le
représentant Al Green déclarait en mai : « Je
crains que si nous ne destituons pas ce Président, il sera réélu. » C’est un
fait, vous et vos alliés avez dit et avez fait tout cela bien avant d’avoir
entendu parler du Président Zelensky et de ce qui concerne l’Ukraine. Vous
le savez très bien, cette campagne de destitution n’a rien à voir avec
l’Ukraine, ni avec la conversation tout à fait correcte que j’ai eue avec son
nouveau Président. Cela n’a à voir qu’avec votre tentative d’annuler l’élection
de 2016, et de voler celle de 2020 !

Le Représentant Adam Schiff a triché et
a menti tout du long jusqu’à maintenant, allant même jusqu’à fabriquer
frauduleusement, à partir de rien, une conversation imaginaire avec le
président Zelensky d’Ukraine et à lire au Congrès sa fabrication, comme si elle
était de moi. Ses mensonges éhontés et ses tromperies, qui débutent dès la
fausse affaire de l’ingérence russe, sont l’une des principales causes de la
situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui.

Vous et votre parti tentez frénétiquement de détourner l’attention de
l’extraordinaire santé économique des États-Unis, du boom incroyable de
l’emploi, du marché boursier record, de la montée en flèche du taux de
confiance, et de l’amélioration du niveau de vie. Votre parti ne peut
tout simplement pas rivaliser avec nos résultats : 7 millions de
nouveaux emplois ; le taux de chômage le plus bas jamais enregistré pour
les Afro-Américains, les Hispano-Américains et les Américains d’origine
asiatique ; une armée reconstruite et pour nos grands vétérans, une
assurance santé complètement réformée, avec choix et
responsabilités ; plus de 170 nouveaux juges fédéraux et deux juges à la
Cour Suprême ; des réductions historiques de taxes et de
réglementations ; la suppression du mandat individuel ; la première
baisse de prix des médicaments sur ordonnance depuis un demi-siècle ; la
première création depuis 1947 d’un nouveau corps d’armée américain, la
Force spatiale ; une forte protection du Deuxième amendement ; une
réforme de la justice pénale ; un califat de Daech vaincu, et
l’élimination du numéro un du terrorisme mondial, al-Baghdadi ; le
remplacement de l’accord commercial désastreux de l’ALENA par
l’excellent USMCA (Mexique et Canada) ; un premier accord commercial de
première phase avec la Chine ; de nouveaux accords commerciaux massifs
avec le Japon et la Corée du Sud ; le retrait du désastreux accord
nucléaire avec l’Iran ; l’annulation de l’injuste et coûteux Accord de
Paris sur le climat ; être devenu le premier producteur mondial
d’énergie ; la reconnaissance de la capitale d’Israël, l’ouverture de
l’ambassade américaine à Jérusalem et la reconnaissance de la
souveraineté israélienne sur le plateau du Golan ; une formidable
diminution de l’immigration clandestine, la fin du catch-and-release
et la construction d’une barrière frontalière au sud – ce n’est que le
début de la liste, il y en a beaucoup plus. Alors que vous, vous ne
pouvez pas défendre vos politiques extrémistes – frontières ouvertes,
migration de masse, forte criminalité, impôts débilitants, assurance
maladie socialisée, destruction de l’industrie énergétique américaine,
avortements aux frais des contribuables, élimination du Second
amendement, droit et justice imbus de théories d’extrême gauche
radicale, enfin partisane et permanente obstruction du bon sens et du
bien commun.

Je préfèrerais sincèrement cesser de
dire que vous êtes un parti de Do-Nothing Democrats. Malheureusement je doute
que vous me donniez jamais l’occasion de le faire.

Après trois ans d’enquêtes injustes et
injustifiées, 45 millions de dollars dépensés, 18 procureurs démocrates enragés,
toute la force du FBI dirigée par des chefs désormais avérés totalement
incompétents et corrompus, vous n’avez RIEN trouvé ! Peu
de personnages auraient pu endurer et passer un tel barrage. Vous ne savez
pas, ni ne vous souciez, du dommage et des blessures que vous avez infligés aux
membres de ma famille merveilleuse et aimante. Vous avez dirigé une mise
en examen frauduleuse contre un Président des États-Unis démocratiquement élu,
et vous recommencez.

Il n’y a pas beaucoup de gens qui
auraient pu supporter la charge que vous m’avez fait subir au cours de cette
période, et qui aurait pu cependant avoir tant fait pour le succès des
États-Unis d’Amérique et de ses citoyens. Au lieu de donner la priorité à
notre pays, vous avez décidé de le déshonorer davantage. Vous avez
complètement échoué avec le rapport Mueller, puisqu’il n’y avait rien à
trouver, alors vous avez décidé d’instrumentaliser le premier faux venu, ce
coup de téléphone avec l’Ukraine – même si c’était un appel correct – et
quoiqu’il y ait beaucoup de gens des deux côtés autorisés à écouter la
conversation, quand je parle à l’étranger.

Vous êtes ceux qui interfèrent dans les
élections américaines. Vous êtes ceux qui renversent la démocratie
américaine. Vous êtes ceux qui entravent la justice. Vous êtes ceux
qui apportent douleur et souffrance à notre République pour votre propre
intérêt égoïste, personnel, politique, et partisan.

Avant la Farce de la Destitution, c’était
la Chasse aux Sorcières Russes. Contre toute évidence et au mépris de la
vérité, vous et vos députés avez prétendu que ma campagne électorale était de
connivence avec les Russes – un grave, malveillant, diffamatoire mensonge, une
fausseté comme jamais. Vous avez troublé et tourmenté notre nation par une
histoire entièrement fabriquée, achetée illégalement à un espion étranger par
Hillary Clinton et le Comité National Démocrate, afin d’attaquer notre
démocratie. Et quand ce mensonge monstrueux a été discrédité et que cette
conspiration démocrate s’est effondrée, vous ne vous êtes pas excusé. Vous
ne vous êtes pas rétracté. Vous n’avez pas présenté vos excuses. Vous
n’avez été capable d’aucun remord, d’aucune conscience. Au lieu de cela,
vous avez continué avec une autre croisade diffamatoire et vicieuse – vous avez
monté une tentative de cibler et diffamer une personne innocente. Tout
cela motivé par calcul politique personnel. Votre Présidence et votre
parti sont pris en otage par vos représentants les plus dérangés, de la plus radicale
extrême gauche. Chacun de vos membres vit dans la peur d’être éliminé par
un adversaire socialiste lors d’une primaire – c’est cela qui motive la Destitution. Regardez
le challenger du Représentant Nadler. Voyez votre cas et celui des
autres. N’entraînez pas notre pays dans la chute de votre parti.

Si vraiment vous vous souciez de libertés et de la liberté de notre
nation, vous consacreriez vos vastes ressources d’enquête à exposer
toute la vérité concernant les horribles abus de pouvoir du FBI, avant,
pendant et après les élections de 2016, y compris l’utilisation
d’espions contre ma campagne électorale, la présentation de fausses
preuves à un tribunal de la FISA, et la dissimulation de preuves à
décharge afin de mettre en accusation l’innocent. Le FBI a des gens
formidables et honorables, mais sa direction était inepte et
corrompue. Il m’a semblé que ces révélations étaient de nature à vous
toucher personnellement, car lors de votre conférence de presse, le jour
où vous avez annoncé la Destitution, vous l’avez lié directement à
l’affaire russe complètement discréditée, déclarant à deux reprises que
« tous les chemins mènent à Poutine », alors que vous savez que c’est un
mensonge abject. J’ai été beaucoup plus dur avec la Russie que le
Président Obama aurait pu même songer.

Tout membre du Congrès qui vote en
faveur de la Destitution – contre tout élément de vérité, de fait, de preuve et
de principe légal – montre à quel point il insulte les électeurs et combien il
déteste vraiment l’ordre constitutionnel américain. Nos Pères Fondateurs
craignaient la tribalisation des politiques partisanes, et vous donnez vie à
leurs pires craintes.

Pire encore, j’ai été privé des plus
élémentaires droits constitutionnels accordés à la défense, dès le début de
cette mascarade de Destitution et jusqu’à présent. On m’a refusé les
droits les plus fondamentaux, y compris celui de présenter mes preuves, la
présence de mon propre avocat, de confronter mes accusateurs, d’appeler et de
contre-interroger des témoins, comme ce soi-disant lanceur d’alerte qui a
commencé toute cette farce avec sa fausse dénonciation d’une conversation
téléphonique, sans aucun rapport avec celle qui a réellement eu lieu. Dès
que j’ai publié la transcription de l’appel, les faussaires ont été surpris et déstabilisés.
Ils n’imaginaient pas que ce pouvait être publié. Alors le soi-disant lanceur d’alerte
et le deuxième dénonciateur ont disparu. Ils étaient démasqués, leur rapport
était frauduleux, on ne pouvait plus nous permettre de les confronter.
Autrement dit, dès que le contenu de la conversation fut public, tout votre
complot a implosé, mais cela ne vous a pas empêché de continuer.

Même aux sorcières de Salem une
procédure plus équitable a été accordée.

Vous et d’autres membres de vos comités avez
souvent dit que la procédure de Destitution doit être bipartite – elle ne l’a
pas été. Vous avez dit qu’elle était de nature à diviser l’opinion – cela
est vrai au-delà de ce que vous auriez cru possible – et cela ne fera
qu’empirer !

Tout cela n’est qu’une tentative de coup d’État illégal et partisan
qui, selon les récents sondages, échouera gravement au bureau de
vote. Vous n’êtes pas seulement derrière moi, pour la présidentielle,
vous êtes derrière tout le Parti républicain. À cause de cette injustice
colossale, notre parti est plus uni que jamais. L’histoire vous jugera
sévèrement pour avoir poursuivi cette mascarade de Destitution. Votre
héritage sera d’avoir converti la Chambre des Représentants, un organe
législatif vénéré, en une Chambre étoilée de persécution partisane.

Le plus insultant est peut-être votre fausse démonstration de
solennité. Vous avez apparemment si peu de considération pour le Peuple
américain que vous escomptez qu’il croie que vous envisagez cette
Destitution  avec tristesse, réserve et à contrecœur. Aucune personne
intelligente ne croit ce que vous dites. Depuis le moment où j’ai
remporté l’élection, le Parti démocrate est possédé par la Fièvre de
Destitution. Sans réticence. Sans retenue. Vous vous moquez de la
Destitution et vous cachez mal votre haine de ma personne, du Parti
républicain et des dizaines de millions d’Américains patriotes. Les
électeurs sont sages et voient au travers de ce jeu vide, creux et
dangereux auquel vous jouez.

Je suis convaincu que le peuple
américain vous tiendra, vous et les Démocrates, pleinement responsables lors
des prochaines élections de 2020. Il ne pardonnera pas de sitôt votre
perversion de la justice et votre abus de pouvoir.

Beaucoup trop reste à faire pour
améliorer la vie de nos concitoyens. Il est temps, pour vous et les
hautement partisans Démocrates du Congrès, de cesser immédiatement ce fantasme
de Destitution et de reprendre le travail pour le Peuple américain. Bien
que je ne m’attende pas à ce que vous le fassiez, je vous écris cette lettre pour
l’Histoire, afin que mes pensées soient gravées de façon permanente et
indélébile.

Dans cent ans, lorsque les gens
repenseront à cette affaire, je veux qu’ils la comprennent et qu’ils en tirent
des leçons, afin que rien de tel ne puisse plus jamais arriver à un autre Président.

Cordialement,

Le président des États-Unis d’Amérique, 
DONALD J. TRUMP

cc: Sénat des États-Unis
Chambre des représentants des États-Unis

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Patrick Vallois pour Dreuz.info.




La meilleure des normalités ?

[Source : Le Saker Francophone]

Brave New Normal* – La « normalité » totalitaire

[* : Titre de l’article original en anglais, dérivé de celui du Roman d’Aldous Huxley « Brave New World » = « Le meilleur des mondes » dans sa version française]


La guerre au populisme est donc enfin terminée. Essayez de deviner qui l’a gagnée.


Par C.J. Hopkins – Source Consent Factory

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Je vais vous donner un indice. Ce ne sont pas les Russes, ni les suprématistes blancs, ni les Gilets jaunes, ni le Culte Nazi de la Mort de Jeremy Corbyn, ni le misogyne Bernie Bros, ni les terroristes à la casquette MAGA, ni aucune des autres forces «populistes» réelles ou fictives auxquelles le capitalisme mondial fait la guerre depuis quatre ans.

Comment ? Vous ne saviez pas que le capitalisme mondial menait une guerre contre le populisme ? C’est normal, la plupart des gens ne le savaient pas non plus. Ce n’était pas officiellement annoncé, ou quoi que ce soit. Elle a commencé à l’été 2016, juste au moment où la guerre contre le terrorisme se terminait, comme une suite à la guerre contre le terrorisme, ou une variation de la guerre contre le terrorisme, ou la poursuite de la guerre contre le terrorisme, ou … quoi que ce soit d’autre, cela n’a plus vraiment d’importance, parce que maintenant nous menons la Guerre contre la Mort, ou plutôt la guerre contre les symptômes mineurs du rhume, selon votre âge et votre état de santé général.

C’est vrai, encore une fois, le capitalisme mondial – alias «le monde» – est attaqué par un ennemi maléfique et Captain Global ne peut tout simplement pas faire une pause. Depuis le moment où il a vaincu le communisme, devenant ainsi un hégémon idéologique mondial, il a été confronté à des ennemis pervers, l’un après l’autre.

À peine a-t-il célébré la victoire dans la Guerre froide, et commencé à tout restructurer et privatiser impitoyablement, qu’il a été sauvagement attaqué par des «terroristes islamiques», et a donc été contraint d’envahir l’Irak et l’Afghanistan, de tuer et de torturer beaucoup de gens, de déstabiliser l’ensemble du Moyen-Orient, et de surveiller illégalement tout le monde, et… bon, enfin, vous vous souvenez quand même de la Guerre contre le terrorisme.

Puis, juste au moment où celle-ci touchait à sa fin, les seuls terroristes restants étaient les terroristes «auto-radicalisés» – dont beaucoup n’étaient même pas de vrais terroristes – il semblait que Captain Global allait enfin être capable de terminer la privatisation et la mise en esclavage par la dette de tout le monde enfin en paix. Mais, le croiriez-vous, nous avons été attaqués à nouveau, cette fois par le complot mondial des «populistes» néo-fascistes soutenus par la Russie qui ont provoqué le Brexit et élu Trump, ont tenté de faire élire Corbyn et Bernie Sanders, ont lâché les Gilets jaunes sur la France, et menacé le « tissu de la démocratie occidentale », semant la dissension sur Facebook avec des mèmes .

Malheureusement, contrairement à la guerre contre le terrorisme, la guerre contre le populisme ne s’est pas aussi bien déroulée. Après quatre ans de combats, Captain Global – alias la Résistance néolibérale – avait, je l’admets, réussi à étouffer Corbyn et Sanders, mais il avait foiré le psyop du Russiagate, et du coup s’est retrouvé avec encore quatre ans de Trump, et Dieu sait combien de Johnson au Royaume-Uni – qui avait, lui,  vraiment quitté l’Union européenne. En plus, les Gilets jaunes ne partaient pas, et, fondamentalement, le «populisme» était toujours en hausse, sinon en fait, du moins dans les cœurs et les esprits.

Et donc, tout comme la guerre contre le populisme avait remplacé  la guerre contre le terrorisme – en redéfinissant  l’ennemi – la guerre contre la mort a été officiellement lancée pour remplacer – ou redéfinir – la guerre contre le populisme … ce qui signifie, vous l’avez deviné encore une fois, qu’il est temps de déployer une autre «nouvelle normalité totalitaire».

Le caractère de cette «nouvelle normalité totalitaire» est, à ce stade, indubitablement clair … si clair que la plupart des gens ne peuvent pas le voir, parce que leur esprit n’est pas prêt à l’accepter, donc ils ne le reconnaissent pas, bien qu’il soit sous leur nez. Comme Dolores dans la série Westworld, « cela ne ressemble à rien » pour eux. Pour le reste d’entre nous, cela semble plutôt totalitaire.

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La liste de Schindler – film 1993 – Steven Spielberg … top250.fr

En l’espace d’environ cent jours, l’ensemble de l’empire capitaliste mondial a été transformé en un État policier de facto. Les droits constitutionnels ont été suspendus. La plupart d’entre nous sont assignés à résidence. La police arrête toute personne ne coopérant pas avec les nouvelles mesures d’urgence. Elle interdit aux passagers les transports en commun, arrête les personnes dont les papiers ne sont pas en règle, harcèle, bat, intimide et détient arbitrairement quiconque, selon lui, est «un danger pour la santé publique».

Les autorités menacent ouvertement de retirer les gens de leur domicile de force et de les mettre en quarantaine. Les flics traquent les grands-mères fugitives. Ils sabotent les services religieux dans les églises et les synagogues. Les citoyens sont obligés de porter des bracelets électroniques aux chevilles. Les familles en promenade sont menacées par des robots et des drones orwelliens.

Des troupes antiterroristes ont été déployées pour faire face aux «briseurs de règles» non conformes. Toute personne que les autorités américaines jugent coupables d’avoir «propagé intentionnellement le coronavirus» peut être arrêtée et accusée de terroriste du coronavirus. Les entreprises d’intelligence artificielle travaillent avec les gouvernements pour mettre en œuvre des systèmes d’enregistrement et de suivi de nos contacts et mouvements. Comme le disait un récent article de  Foreign Policy  :

«L’analogie antiterroriste est pertinente car elle montre la direction prise par la politique contre la pandémie. Imaginez qu’un nouveau patient coronavirus soit détecté. Une fois qu’il est positif, le gouvernement pourrait utiliser les données de son téléphone portable pour retracer toutes les personnes avec lesquelles il a été en contact, en se concentrant peut-être sur les personnes qui ont été en contact pendant plus de quelques minutes. Le signal de votre téléphone mobile pourrait alors être utilisé pour faire appliquer les décisions de quarantaine. Quittez votre appartement et les autorités le sauront. Laissez votre téléphone derrière vous et ils vous rechercheront. Videz la batterie et une voiture de police sera à votre porte en quelques minutes…»

Je pourrais continuer, mais je pense que vous voyez le panorama, sinon … Euh, eh bien tant pis : vous le voyez ou pas.

Et c’est la partie vraiment terrifiante de la guerre contre la mort et de notre «nouvelle normalité totalitaire… le totalitarisme n’est pas perçu. Quiconque y a prêté attention n’est pas terriblement choqué par la décision de Captain Global de mettre en place un État policier mondial. La simulation de la démocratie est très bien agencée, jusqu’à ce que les masses non décervelées commencent à devenir indisciplinées, et nécessitent un rappel à l’ordre pour leur montrer qui est en charge, c’est ainsi que nous sommes traités actuellement.

Photo: Schindler’s List – Amblin Entertainment
Photo: Schindler’s List – Amblin Entertainment

La partie terrifiante est la façon dont des millions de personnes ont immédiatement suspendu leurs facultés critiques, se sont mises en ligne et ont commencé à marcher au pas de l’oie et à faire de la propagande hystérique comme des perroquets, et à dénoncer leurs voisins à la police pour être allés marcher ou faire du jogging à l’extérieur, en hurlant des injures sadiques à leur encontre, comme la fille des adieux juifs du film la liste de Schindler, lorsqu’il étaient plaqués au sol et arrêtés.

Ils sont là, en ce moment, sur Internet, des millions de ces fascistes bien intentionnés, patrouillant pour trouver des signes de la moindre déviation du récit officiel du coronavirus, bombardant tout le monde de graphiques dénués de sens, de statistiques de décès décontextualisées, de rayons X de poumons fibreux, de photos de camions réfrigérés à usage de morgue, de fosses communes et d’autres horreurs sensationnalistes destinées à court-circuiter la pensée critique et à arrêter toute forme de dissidence.

Bien qu’indéniablement lâche et écœurant, ce type de comportement n’est pas non plus choquant. Malheureusement, lorsque vous terrorisez suffisamment les gens, la majorité régresse vers ses instincts animaux. Ce n’est pas une question d’éthique ou de politique. C’est purement une question d’auto-préservation. Lorsque vous inhibez la structure normale de la société et placez tout le monde en «état d’urgence»… eh bien, c’est comme ce qui se passe dans une troupe de chimpanzés, lorsque le chimpanzé dominant meurt ou est tué par un concurrent. Les autres chimpanzés courent autour du mort, hurlent et grimacent, jusqu’à ce que le nouveau primate dominant soit clairement déclaré, puis ils se penchent en avant pour manifester leur soumission.

Les totalitaires comprennent cela. Les sadiques et les gourous des sectes le comprennent aussi. Lorsque les personnes que vous dominez deviennent indisciplinées et commencent à remettre en question votre droit de les dominer, vous devez créer un «état d’urgence» et faire en sorte que tous se sentent très effrayés, afin qu’ils se tournent – ou reviennent – vers vous pour se protéger de tout ennemi proche menaçant le culte, la patrie, ou autre chose. Ensuite, une fois qu’ils sont revenus dans le giron et ont cessé de remettre en question votre droit de les dominer, vous pouvez introduire un nouvel ensemble de règles que tout le monde doit suivre pour éviter que ce genre de chose ne se reproduise.

C’est évidemment ce qui se passe en ce moment. Mais ce que vous voulez probablement savoir, c’est… pourquoi cela se produit ? Et pourquoi cela se produit à ce moment précis ?

Heureusement pour vous, j’ai une théorie.

Non, cela n’implique pas Bill Gates, Jared Kushner, l’OMS et une conspiration mondiale de Juifs chinois souillant nos précieux fluides corporels avec leur technologie 5G, étrangère et satanique. C’est un peu moins excitant et plus abstrait que ça – bien que certains de ces personnages en fassent probablement partie… d’accord, probablement pas les Juifs chinois, ni les Illuminati sataniques étrangers.

Vous voyez, j’essaie de me concentrer davantage sur les systèmes – comme le capitalisme mondial – que sur les individus. Et sur des modèles de pouvoir plutôt que sur les personnes spécifiques au pouvoir à un moment donné. En regardant les choses de cette façon, ce confinement mondial et notre « nouvelle normalité totalitaire » sont parfaitement logiques. Restez avec moi maintenant … ça devient un peu grisant.

Ce que nous vivons est une nouvelle évolution du modèle de pouvoir post-idéologique qui a vu le jour lorsque le capitalisme mondial est devenu un système hégémonique mondial après l’effondrement de l’Union soviétique. Dans un tel système d’hégémonie global, l’idéologie est devenue obsolète. Le système n’a pas d’ennemis extérieurs, et donc pas d’adversaires idéologiques. Les ennemis d’un tel système hégémonique ne peuvent, par définition, être qu’internes. Chaque guerre n’est donc qu’une insurrection, une rébellion qui éclate au sein du système, car il n’y a plus d’extérieur.

Comme il n’y a plus d’extérieur – et donc plus d’adversaire extérieur, idéologique ou civilisationnel – le système global se passe totalement de l’idéologie, et de la civilisation. Son idéologie devient la «normalité». Toute contestation de la «normalité» est désormais considérée comme une «anomalie», un «écart par rapport à la norme» et automatiquement délégitimée. Le système n’a pas besoin d’argumenter face à des écarts ou à des anomalies, alors qu’il était contraint d’argumenter avec des idéologies opposées pour se légitimer. Il doit simplement les éliminer. Les comportements opposés deviennent des pathologies… des menaces existentielles pour la santé du système. En d’autres termes, le système hégémonique – c’est-à-dire le capitalisme mondial – devient un corps, le corps unique, sans opposition de l’extérieur, mais attaqué de l’intérieur par une variété d’adversaires… terroristes, extrémistes, populistes, qui que ce soit. Ces opposants internes attaquent le corps hégémonique global un peu comme une maladie, comme un cancer, une infection ou un virus. Et le corps hégémonique global réagit comme n’importe quel autre corps.

Est-ce que ce modèle commence à vous sembler familier ?

J’espère que oui, car c’est ce qui se passe en ce moment. Le système – c’est-à-dire le capitalisme mondial, et pas un groupe de gens dans un bunker qui élabore un plan pour vendre des vaccins – réagit aux quatre dernières années de révolte populiste de manière prévisible. Captain Global attaque le virus qui attaque son corps hégémonique. Non, pas le coronavirus, mais un virus beaucoup plus destructeur et tentaculaire… la résistance à l’hégémonie du capitalisme mondial et de son idéologie post-idéologique.

S’il n’est pas encore clair pour vous que ce coronavirus ne justifie en rien les mesures d’urgence totalitaires qui ont été imposées à la majeure partie de l’humanité, ce sera clair dans les mois à venir. Malgré les meilleurs efforts des «autorités sanitaires» pour compter pratiquement n’importe quel mort comme «un mort de la Covid-19», les chiffres vont dévoiler l’histoire. Les «experts» sont déjà en train de se creuser la cervelle, de recalibrer, ou de contextualiser, leurs projections apocalyptiques initiales. Les médias atténuent l’hystérie. Le spectacle n’est pas encore totalement terminé, mais vous pouvez le sentir se terminer progressivement.

Quoi qu’il en soit, chaque fois que cela se produira, dans des jours, des semaines ou des mois, Captain Global diminuera la pression de son totalitarisme et nous laissera sortir, afin que nous puissions retourner travailler dans ce qui reste de l’économie mondiale… et ne serons-nous pas tous tellement reconnaissants ? Il y aura des célébrations massives dans les rues, des ténors italiens chantant sur les balcons, des chœurs d’infirmières dansant la farandole ! Les Gilets jaunes quitteront les ronds-points, les nazis de Poutine cesseront de nous harceler avec leurs trolls, et les Américains éliront Joe Biden président !

Okay, peut-être pas Biden, mais le fait est que ce sera une merveilleuse nouvelle normalité ! Les gens oublieront tout ce non-sens du populisme et seront simplement reconnaissants pour tous les boulots qu’ils obtiendront chez Mac Do afin de pouvoir payer les intérêts de leurs dettes, parce que, hé… le capitalisme mondial c’est quand même mieux que de vivre en résidence surveillée !

Et, sinon, pas de problème pour Captain Global. Il devra simplement nous enfermer à nouveau, et continuer à nous enfermer, encore et encore, indéfiniment, jusqu’à ce que nous ayons compris ce qui est correct.

external-content.duckduckgo
Auschwitz | Star of Bethelle starofbethelle.wordpress.com

Je veux dire que ce n’est pas comme si nous allions faire quoi que ce soit… non ? N’avons-nous pas déjà simplement démontré cela ? Bien sûr, nous râlerons et gémirons à nouveau, mais ensuite ils sortiront des photos de charniers, de camions de la mort, des graphiques, et toutes ces projections effrayantes, les hotlines des Kapo de quartier recommenceront à sonner, pour les dénonciations et …

C. J. Hopkins

Traduit par jj, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Le Monde qui nous attend

[Source de l’article traduit : Les Crises]

[Note de NM : La vision de Chris Hedges peut sembler très pessimiste, mais de nombreux éléments sont déjà présents et d’autres proches de se manifester. Cependant, rien dans la matière ne semble éternel, pas même un tel monde totalitaire. L’accouchement d’un Nouveau Monde souhaitable pour l’Humanité se fera-t-il sans douleur ?]

Le Monde qui nous attend. Par Chris Hedges

Auteur : Chris Hedges

Source : Truthdig, Chris Hedges, 28-01-2019

Mr Fish / Truthdig

Par Chris Hedges

28 janvier 2019

Les élites dirigeantes ne sont que trop conscientes du fait que les piliers du pouvoir américain sont en voie de pourrissement. Ils savent que la délocalisation de l’industrie des États-Unis et la paupérisation de plus de la moitié de la population sont irréversibles. Le « shutdown » [arrêt des activités gouvernementales] autodestructeur du gouvernement n’a été qu’une des nombreuses menaces contre l’efficacité de l’administration de l’État. La dégradation des routes, des ponts et du transport public compliquent le commerce et les communications. Grâce aux réductions massives de l’impôt sur les sociétés consenties par l’administration Trump, le déficit de l’État explose, atteignant maintenant près d’un milliard de dollars et ne pourra pas être résorbé. La captation du système financier par les spéculateurs mondiaux entraîne, tôt ou tard, un nouvel effondrement financier. Le dysfonctionnement des institutions démocratiques, qui vomissent des escrocs comme Donald Trump et considèrent comme solutions de rechange des politiciens ineptes inféodés à des multinationales comme Joe Biden et Nancy Pelosi, scelle dans la pierre une nouvelle forme d’autoritarisme. L’érosion des piliers de l’État, y compris du corps diplomatique et des agences de régulation, fait de la force armée brutale la seule réponse aux conflits extérieurs et attise des guerres interminables et stériles.

La décadence interne est tout aussi inquiétante que le pourrissement
visible. Il y a au sein de toutes les classes sociales une perte de
confiance dans le gouvernement, une frustration généralisée, un
sentiment de marasme et de traquenard, une certaine amertume face aux
promesses non tenues et aux espoirs déçus, et une telle fusion entre
réalité et fiction que les discours tant publics que politiques ne sont
plus ancrés dans la réalité. La mystique indispensable au pouvoir a été
pulvérisée d’une part par l’isolement de la nation par ses alliés
traditionnels et d’autre part par son incapacité à formuler des
politiques rationnelles et à long terme, en particulier face à la
catastrophe environnementale. « Une société devient totalitaire lorsque
sa structure devient manifestement artificielle », a écrit George
Orwell. « Ce qui veut dire quand sa classe dirigeante ne tient plus son
rôle, mais ne réussit à s’accrocher au pouvoir que par la force ou la
fraude ». Nos élites ont épuisé la fraude. Il ne leur reste que la
force.

Les États-Unis sont comme un animal blessé qui rugit et se débat dans son agonie. La bête peut encore causer de terribles dommages, mais elle ne guérira pas. Ce sont les derniers jours d’agonie de l’Empire Américain. Le coup fatal sera porté quand le dollar ne sera plus la monnaie de réserve mondiale, processus déjà en cours. Le dollar va dégringoler, déclenchant une dépression sévère et conduisant à une exigence de retrait immédiat des forces armées à l’étranger.

Seth A. Klarman, qui dirige les fonds spéculatifs du Groupe Baupost, lequel gère environ 27 milliards de dollars, vient d’adresser à ses investisseurs une lettre de 22 pages qui donne à réfléchir. Il y fait remarquer que le ratio dette nationale/production intérieure brute de 2008 à 2017 a dépassé les 100 % et se rapproche de celui de la France, du Canada, de la Grande-Bretagne et de l’Espagne. Cette crise de la dette pourrait bien faire « germer » la prochaine crise financière, tel est son avertissement. Il dénonce la détérioration de la « cohésion sociale » dans le monde entier, et ajoute : « on ne peut pas continuer comme si de rien n’était au milieu de manifestations constantes, d’émeutes, de fermetures d’entreprises et de tensions sociales croissantes ».

« Il n’y a pas moyen de savoir quel est le seuil de la dette à ne pas
franchir, mais l’Amérique atteindra inévitablement un point d’inflexion
au-delà duquel le marché de la dette, devenu soudain sceptique,
refusera de continuer de prêter à des taux supportables », écrit-il. «
Quand une telle crise frappera, il sera probablement trop tard pour
remettre de l’ordre dans la maison ».

Les élites dirigeantes, inquiètes de l’effondrement financier
imminent, se bousculent pour renforcer des formes de contrôle juridiques
et économiques afin de contrecarrer ce qu’elles redoutent, c’est à dire
la généralisation de l’agitation sociale dont on peut voir les formes
naissantes dans les grèves des enseignants américains et dans les
manifestations des « gilets jaunes » en France.

Les élites au pouvoir reconnaissent que l’idéologie en vigueur du néolibéralisme a perdu de son crédit auprès de la sphère politique. Voilà qui oblige les élites à des alliances peu recommandables avec les néofascistes, qui aux États-Unis sont représentés par la droite Chrétienne. Ce fascisme christianisé comble rapidement le vide idéologique de Trump. Il est incarné par des personnalités telles que Mike Pence, Mike Pompeo, Brett Kavanaugh et Betsy DeVoss.

Dans sa forme la plus virulente, celle qui s’exprimera à partir du
moment où la crise économique sera déclarée, le fascisme Chrétien va
chercher à purger la société de celles et ceux qui sont qualifié.es de
déviants sociaux, notamment les immigrants, les musulmans, les artistes
et les intellectuels « humanistes laïques », les féministes, les
homosexuels, les amérindiens et les criminels – en grande partie pauvres
et de couleur – sur la foi d’une interprétation pervertie et hérétique
de la Bible. L’avortement sera illégal. La peine de mort sera requise
pour un large éventail de crimes. L’éducation sera dominée par une
vision suprémaciste blanche de l’histoire, l’endoctrinement,
l’enseignement du créationnisme ou « dessein divin ». Robert E. Lee,
Joseph McCarthy et Richard Nixon feront partie du panthéon des nouveaux
héros américains. L’État présentera la majorité blanche comme étant la
victime.

Comme toute forme de totalitarisme, ce fascisme chrétien se pare
d’une sorte de piété hypocrite, et promet un renouveau tant moral que
physique. La dégradation de la culture de masse, celle qui célèbre le
sadisme sexuel, la violence brutale et le dysfonctionnement individuel,
ses fléaux de dépendance aux opiacés, de suicide, de jeu et
d’alcoolisme, ainsi que le chaos social et le dysfonctionnement du
pouvoir, donneront de la crédibilité à la promesse des fascistes
chrétiens d’un retour à une pureté « chrétienne » .Toutes les libertés
civiles seront étouffées par le manteau de cette piété.

Inhérente à toute idéologie totalitaire se trouve une inquisition
permanente contre des groupes qui seraient clandestins et sinistres, et
qui sont tenus pour responsables du déclin du pays. Les théories du
complot, qui caractérisent déjà la vision du monde selon Trump, vont
proliférer. La rhétorique du pouvoir en place va ébranler la population,
passant de la défense de l’individualisme et des libertés personnelles à
l’appel à une soumission abjecte auprès de ceux qui se réclament de la
parole de la nation et de Dieu, du caractère sacré de la vie à la
défense de la peine de mort, de la violence policière et militaire sans
frein, de l’amour et la compassion à la peur de passer pour hérétique ou
traître. On glorifiera une hyper-masculinité grotesque. La violence
sera reconnue comme le mécanisme pour purifier du mal la société et le
Mal. On niera ou on déformera les faits. Les mensonges deviendront des
vérités. Le langage politique relèvera de la dissonance cognitive. Plus
le pays déclinera, plus la paranoïa et la folie collective se
répandront. Tous ces éléments sont déjà présents, sous diverses formes,
au sein de notre culture et de notre démocratie défaillante. Ils vont
s’affirmer à mesure que le pays périclite et que la peste totalitaire se
répand.

Comme dans tous les États en déliquescence, les oligarques en place
se retrancheront dans des enceintes fortifiées, dont un grand nombre est
déjà en préparation, où ils auront accès à des services de base, tels
que soins, éducation, eau, électricité, sécurité, services auxquels le
reste de la population n’aura pas accès. Le gouvernement central sera
réduit à sa plus simple expression – à savoir sécurité intérieure et
extérieure, et recouvrement des impôts. La vie de la plupart des
citoyens sera paralysée par une extrême pauvreté. Tous les services
essentiels autrefois assurés par l’État, qu’il s’agisse des services
publics ou des services de base de la police seront privatisés, et
auront un coût inaccessible aux personnes sans moyens. Les ordures
s’empileront dans les rues. La criminalité explosera. Le réseau
électrique et les systèmes d’alimentation en eau – décrépits, mal
entretenus et gérés par des entreprises – connaîtront de nombreux
épisodes de coupure.

Les media deviendront franchement orwelliens, débattant à l’infini
d’un avenir radieux et faisant comme si l’Amérique restait une
superpuissance. Aux vraies informations se substitueront des commérages
politiques – une déformation déjà bien avancée – tout en insistant sur
le fait que le pays est en phase de reprise économique ou sur le point
d’y entrer. Ils refuseront de s’attaquer à l’aggravation toujours
croissante des inégalités sociales, de la détérioration du milieu
politique et de l’environnement, et des débâcles militaires. Ils auront
pour rôle premier de maintenir l’illusion auprès d’un public atomisé,
rivé sur ses écrans, dont l’attention sera détournée de la déroute en
cours et ne verra dans la détresse générale qu’un malheur personnel. La
dissidence aura d’autant plus de mal à se faire entendre que les
critiques sont censurés et désignés comme responsable du déclin. Il y
aura une prolifération de groupes et de crimes haineux tacitement
autorisés et cautionnés par l’État. Les fusillades collectives seront
monnaie courante. Les plus faibles – particulièrement les enfants, les
femmes, les handicapés, les malades et les personnes âgées – seront
exploités, abandonnés ou maltraités. Les forts auront tous les pouvoirs.

Il y aura toujours moyen de se faire de l’argent. Les entreprises
vendront tout et n’importe quoi du moment qu’il y a profit – sécurité,
stocks alimentaires rares, combustibles fossiles, eau, électricité,
éducation, soins médicaux, transports – forçant les citoyens à
s’endetter de plus en plus jusqu’à ce que leurs maigres biens soient
saisis quand ils ne pourront pas rembourser. La population carcérale,
déjà la plus importante au monde, va encore augmenter, tout comme un
nombre croissant de citoyens devra porter un bracelet électronique 24
heures sur 24. Les grandes entreprises ne paieront pas d’impôt sur le
revenu, ou au mieux une taxe symbolique. Elles seront au-dessus des
lois, et pourront maltraiter et sous-payer les travailleurs tout comme
elles pourront polluer l’environnement sans contrôle ni contrainte.

A mesure que l’inégalité des revenus se creusera, les géants
financiers comme Jeff Bezos, qui pèse 140 milliards de dollars,
deviendront de de plus en plus des esclavagistes modernes. Ils
présideront des empires financiers, dont les employés appauvris vivront
dans des camping-cars et des caravanes délabrés tout en trimant 12
heures par jour dans de vastes entrepôts mal ventilés. Ces employés, qui
ne percevront que des gages de subsistance, seront constamment
enregistrés, surveillés et contrôlés par des appareils numériques. Ils
seront virés quand les conditions de travail pénalisantes auront affecté
leur santé. Pour de nombreux employés d’Amazon, le futur, c’est
maintenant.

Le travail sera une forme de servage pour tous excepté pour les
élites supérieures et les dirigeants. Jeffrey Pfeffer, dans son livre «
Dying for a Paycheck : How Modern Management Harms Employee Health and
Company Performance – and What We Can Do About It » (Mourir pour une
fiche de paie : comment la gouvernance actuelle altère la santé des
employés et les résultats de l’entreprise – et ce qu’on peut y faire),
cite un sondage dans lequel 61 % des employés déclarent que le stress au
travail les a rendus malades, et 7 % ont déclaré avoir dû être
hospitalisés en conséquence. Le stress du surmenage au travail,
écrit-il, peut causer 120 000 morts chaque année aux États-Unis. En
Chine, on estime qu’un million de personnes meurent chaque année de
surmenage.

Voilà le monde que nous préparent les élites : il s’agit de nous
dépouiller de nos libertés par la mise en place de mécanismes juridiques
et de forces de sécurité intérieure.

Nous aussi, nous devons commencer à nous préparer à cette dystopie
[Une dystopie est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire
organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le
bonheur. Une dystopie peut également être considérée, entre autres,
comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une
contre-utopie], non seulement pour assurer notre survie, mais aussi pour
construire des mécanismes qui permettront de l’atténuer et essayer de
renverser le pouvoir totalitaire que nos élites espèrent exercer.
Alexander Hertzen, qui, il y a un siècle, expliquait à un groupe
anarchiste comment renverser le Tsar de Russie, et leur rappelait qu’il
était de leur devoir de ne pas sauver un système à l’agonie, mais de le
remplacer : « Nous pensons être les médecins, alors que nous sommes la
maladie ». Tout effort pour réformer le système américain est en fait
une capitulation. Aucun progressiste du Parti Démocrate ne va se lever,
prendre le contrôle du Parti et nous sauver. Il n’y a qu’un seul parti
au pouvoir, le parti des grandes entreprises. Il est possible qu’il
s’engage dans des guéguerres intestines et fratricides, comme il l’a
fait lors du récent shutdown du gouvernement. Il peut se chamailler
autour du pouvoir et des rapines qui l’accompagnent. Il peut s’habiller
d’un emballage de tolérance au sujet des femmes, des droits des LGBT et
de la dignité des personnes de couleur, mais il n’y a aucune divergence
sur les fondamentaux : la guerre, la sécurité intérieure, et la
domination des grandes entreprises.

Il nous faut entrer dans la désobéissance civile organisée et nous
engager dans des formes de non-coopération afin d’affaiblir le pouvoir
de ces grandes entreprises. Nous devons avoir recours, comme en France, à
une instabilité sociale généralisée et dans la durée pour contrer le
dessein de nos grands patrons. Nous devons nous libérer de notre
dépendance aux grandes entreprises afin de bâtir des communautés
solidaires indépendantes et des formes de pouvoir alternatives. Nous
serons d’autant plus libres que notre besoin des grandes entreprises
diminue. Cela sera vrai dans tous les aspects de notre vie, y compris la
production alimentaire, l’éducation, le journalisme, l’expression
artistique et le travail. La vie devra être communautaire, car personne,
à moins de faire partie de l’élite au pouvoir, n’aura les ressources
nécessaires pour survivre seul.

Plus longtemps nous prétendrons que ce monde dystopique n’est pas
près d’arriver, plus nous serons pris au dépourvu et désemparés quand il
sera là. L’objectif de l’élite au pouvoir est de divertir, de nous
effrayer et de nous rendre passifs pendant qu’ils construisent leurs
structures draconiennes d’oppression ancrées dans cette sombre réalité.
C’est à nous qu’il revient de mesurer nos pouvoirs. Le nôtre, contre le
leur. Et même si nous ne pouvons pas changer le fond des choses, nous
pouvons au moins créer des enclaves autonomes dans lesquelles nous
pourrons approcher la liberté. C’est à nous d’entretenir les braises
ardentes d’un monde basé sur l’entraide, plutôt que sur l’exploitation
réciproque. Et étant donné ce qui nous attend, c’est cela qui sera une
victoire.

Source : Truthdig, Chris Hedges, 28-01-2019

Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.




Les assassins de la mémoire

[Source : Union Juive Française pour la Paix]

[Image d’en-tête :
Colonie à Har Homa, près de Jérusalem.
© YUVAL NADEL/AFP/Getty Images]

Par Pierre Stambul

Pierre Vidal-Naquet a utilisé cette expression contre les faussaires
et les négationnistes qui niaient ou minimisaient l’ampleur et la
préméditation de l’extermination perpétrée par les Nazis contre les
Juifs, les Roms, les communistes, les homosexuels …

Je l’utilise contre ceux qui se sont approprié l’histoire, la mémoire
et les identités juives pour bâtir, au nom des Juifs, un État
d’apartheid qui rappelle sur bien des plans, selon l’historien Zeev
Sternhell, l’Allemagne des années 1930.

Israël, une société à la dérive.

Le résultat des élections israéliennes de 2019 donne une photographie
plus qu’inquiétante de cette société. 100 députés élus (sur 120) sont
ouvertement pour l’apartheid. La « loi sur Israël État-Nation du peuple
juif » fait largement consensus. Elle rappelle par beaucoup d’aspects
l’arsenal juridique que l’apartheid sud-africain avait fabriqué. Des
propos qui devraient normalement conduire leurs auteurs devant un
tribunal servent d’argument électoral.

Citons-en quelques-uns : Lieberman proposant de décapiter ses
opposants à la hache après avoir proposé autrefois de bombarder le canal
de Suez. Bennet expliquant qu’il a « tué beaucoup d’Arabes et ne voit
pas où est le problème ». Shaked proposant d’exterminer les mères
palestiniennes puisqu’elles « mettent au monde des terroristes ».
Yitzhak Yossef, grand rabbin, qualifiant les Afro-Américains de singes.

Pardon pour tous ceux que cette énumération oublie.

L’élection israélienne d’avril 2019 a opposé deux criminels de guerre.

Nétanyahou s’est allié aux « Kahanistes » (mouvement raciste fondé en
1971 par Meir Kahane longtemps interdit pour ses appels au meurtre) et,
tout en promettant l’annexion de la Cisjordanie, il a martelé qu’Israël
était un État seulement pour les Juifs. Son adversaire, Benny Ganz,
était à la tête de l’armée pendant le massacre de « Bordure
Protectrice » (2014) et il s’était vanté de faire revenir Gaza à l’âge
de pierre.

Les barrières morales se sont écroulées. Pendant les marches du
retour, on a pu voir des vidéos où des soldats poussent des cris de joie
quand ils tuent ou estropient, comme à la fête foraine, un journaliste,
une infirmière ou un simple jeune gazaoui. L’ambiance ressemble à celle
du sud des États-Unis à l’époque où les lynchages étaient un spectacle
public de divertissement.

L’école, l’armée et la propagande officielle abrutissent et formatent
toute une société à l’image de ce qu’il se passe dans diverses sociétés
totalitaires.

Cet État qui était censé donner un refuge aux Juifs persécutés a des
valeurs qui le rapprochent infiniment plus de ceux qui ont commis le
génocide nazi que de ceux qui l’ont subi.

En Israël, ne pas adhérer à ce déchaînement de violence, de haine ou de stigmatisation de l’autre, fait de vous un.e traître.

Les Palestiniens d’Israël (20 % de la population, ils descendent de
ceux qui ont miraculeusement échappé au nettoyage ethnique prémédité de
1948) sont devenus des étrangers dans leur propre pays. La moitié
d’entre eux se sont abstenus, ils refusent de cautionner leur propre
ségrégation.

Certains ne voulaient pas cela.

Une partie de la société israélienne voudrait vivre dans un pays
normal, sans le pseudo messianisme meurtrier, sans l’intégrisme colonial
et sans la guerre éternelle comme unique perspective. Elle a la
nostalgie des kibboutz ou de la déclaration d’indépendance.

Singulière amnésie : Israël s’est construit sur la base d’un
nettoyage ethnique programmé. L’historien sioniste Benny Morris a
reconnu les nombreux crimes de la guerre de 1948 en expliquant qu’ils
étaient indispensables pour construire un État juif.

Les fondateurs de cet État ont pensé dès le départ le suprématisme et
une stricte séparation. Les Palestiniens qui ont échappé à l’expulsion
de 1948 ont toujours été des sous-citoyens soumis aux lois militaires et
au couvre-feu jusqu’en 1966. Israël n’a jamais été l’État de tous ses
citoyens.

La conquête de 1967 et la colonisation ne sont pas des accidents de l’Histoire.

Elles ont été préméditées et réalisées par les fondateurs d’Israël.
L’apartheid, le racisme, les propos fascisants et le militarisme sont la
suite logique de cette histoire. Ceux qui regrettent que le sionisme
ait engendré un monstre ou qui trouvent qu’Israël est à l’antithèse de
leur judaïsme, doivent s’interroger.

Comme le dit l’écrivaine Ofra Yeshua-Lyth, la création d’un État juif
n’était pas une bonne idée. Comme le dit l’ambassadeur palestinien
Élias Sanbar, à l’origine de cette guerre, il y a eu un « grand
remplacement » qu’il faut réparer.
Imaginer un Israël humaniste, paisible et démocratique, sans revenir sur le crime fondateur de 1948, est illusoire.

Dominants/dominés, comment le colonisateur a pris goût à la colonisation et à l’apartheid.

Les Juifs ont été les parias de l’Europe. Le sionisme a fait des
Juifs israéliens des colons européens en Asie. Les lois qui ont suivi la
guerre de 1948 (notamment la loi sur les « présents/absents » qui a
permis de s’emparer des terres des Palestiniens expulsés) leur ont donné
la propriété quasiment exclusive de la terre. Les nouveaux parias, les
Palestiniens, sont devenus un peuple de réfugiés, rejetés et discriminés
partout. La « loi du retour » a organisé, pour les nouveaux immigrants
juifs, le vol des terres, des maisons et des biens palestiniens. Après
1967, le vol s’est amplifié dans les territoires nouvellement occupés.
Ce qui diffère, c’est que les occupants légitimes de la terre sont
toujours là, confrontés quotidiennement à la violence des colons et de
l’armée.

On a dit aux rescapés du génocide et aux immigrants arrachés de leur
terre d’origine qu’ils avaient un pays bien à eux et que c’était « une
terre sans peuple pour un peuple sans terre ». On a offert à des
Polonais, des Soviétiques, des Marocains, un pays et ses richesses qui
ne leur appartenaient pas. Pour les Juifs orientaux, il y avait une
condition, qu’ils se débarrassent de leur « arabité ».

On a inventé un roman national pour justifier le grand remplacement
et le vol : « nous avons été en exil et nous rentrons chez nous ».
« Dieu a donné cette terre au peuple juif ». Ce discours continue de
fonctionner pour justifier la conquête coloniale.

Tous les Premiers ministres israéliens depuis 50 ans ont amplifié la
colonisation. Tous ont multiplié les lois suprématistes. Tous ont
accompagné le glissement régulier vers l’apartheid décomplexé.

On n’a jamais vu un privilégié accepter volontairement de renoncer à
ses privilèges. L’occupation offre des avantages sans limites pour
Israël : des terres, de l’eau, des richesses, le fait de ne pas avoir à
payer quoi que ce soit pour l’occupé et la possibilité d’expérimenter
les armes et les technologies les plus sophistiquées sur les
Palestiniens pour mieux les vendre …

Comme pays colonisateur, Israël s’est brièvement posé la
question : « va-t-on chercher un compromis comme l’ont fait les Blancs
sud-africains ou écraser jusqu’au bout le peuple autochtone comme l’OAS a
tenté de le faire en Algérie ? »
Cette dernière stratégie ne fait plus de doute pour personne.
Continuer à propager le mythe des « deux États vivant côte à côte »,
tolérer qu’on associe Israël à la mémoire du génocide nazi, accepter les
mensonges propagandistes du style « Israël a le droit de se défendre »,
c’est être complice.

Israël, poisson-pilote du fascisme qui vient.

Ce qu’il se passe aujourd’hui aurait été impossible il y a quelques
années. Un fasciste assumé, Bolsonaro, va au mémorial Yad Vashem au bras
de son ami Nétanyahou. Il explique que les Nazis étaient de gauche et
qu’il faut pardonner l’holocauste.

Nétanyahou lui-même explique qu’Hitler ne voulait pas tuer les Juifs,
et que c’est le grand mufti de Jérusalem qui est à l’origine de cette
idée. En visite en Hongrie chez son ami Victor Orban, il apporte son
appui à la campagne antisémite menée par Orban contre Georges Soros.
Orban réhabilite le régime nazi de l’Amiral Horthy qui a participé à
l’extermination des Juifs hongrois et Nétanyahou se contente de dire que
Soros est un ennemi d’Israël.

Le basculement vers le fascisme de ceux qui parlent au nom des Juifs a
lieu aussi en France où le président du CRIF est un ancien du Bétar,
cette milice violente, régulièrement alliée à l’extrême droite.

Cette présence d’une idéologie fascisante chez certains dirigeants
sionistes n’est pas vraiment nouvelle, mais autrefois ça se faisait
discrètement. Aujourd’hui il n’y a plus aucune retenue.

Rappelons qu’il y a un siècle, le courant « révisionniste » du
sionisme fondé par Jabotinsky (eux-mêmes avaient choisi cet intitulé)
était très proche du fascisme italien. Ce courant a vite versé dans le
terrorisme aveugle contre les Palestiniens puis contre les Britanniques.
Une des branches de ce courant (le groupe Stern dirigé par le futur
Premier ministre Yitzhak Shamir) a collaboré avec les Nazis en
assassinant des soldats et des dignitaires anglais en pleine guerre
mondiale.

On a fait semblant de croire que ces pratiques avaient disparu avec la création de l’État d’Israël.

C’est totalement faux. Les dirigeants israéliens ont utilisé dès le
début des méthodes expéditives : refus d’appliquer la résolution 194 sur
le retour des réfugiés palestiniens en 1948, destruction systématique
des villages palestiniens, effacement des traces de la Palestine. Ils
ont montré avec application qu’ils se moquaient totalement du droit
international et ne croyaient qu’en le fait accompli. L’attaque de 1967,
le refus d’évacuer les territoires nouvellement occupés et le lancement
de la colonisation des nouvelles terres conquises sont des actes
cyniques de gangstérisme.

Le père de Nétanyahou a été le secrétaire de Jabotinsky. Sa façon
d’agir puise dans une longue tradition. Avec Trump, avec la complicité
de dirigeants arabes (MBS en Arabie Saoudite, Sissi en Égypte …), avec
Orban, Bolsonaro ou les Chrétiens évangéliques, Nétanyahou pense être
dans une situation hégémonique où tout est permis.

Quand ce membre de la nouvelle internationale fascisante aux méthodes
expéditives se réclame de la mémoire de l’antisémitisme et des victimes
du génocide nazi, il se comporte aussi en assassin de la mémoire.

Complicité et impunité, la responsabilité colossale de la communauté internationale.

En mai 2017, Richard Falk et Virginia Tilley établissent pour le
compte de la CESAO (Commission Économique pour l’Asie Occidentale) un
rapport prouvant avec un nombre considérable d’éléments qu’Israël est
coupable du crime d’apartheid, tel qu’il a été internationalement défini
et unanimement reconnu.

Aussitôt, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres interdit
la publication du rapport. Sans autre prétexte qu’une évidence : ce
rapport déplait aux dirigeants états-uniens et israéliens.

Cette pantalonnade n’est que la suite d’une série ininterrompue d’actes de lâcheté et de complicité.

En 1948, l’envoyé de l’ONU le Comte Bernadotte, est assassiné avec le
Colonel Sérot. Les assassins, membres du groupe Stern, sont connus.
L’ONU n’exige pas leur arrestation. Ils se retrouvent peu après dans le
premier gouvernement d’Union Nationale de Ben Gourion. Quelques mois
plus tard, Israël est admis à l’ONU avec un texte précisant que ce pays
accepte et respecte le droit international : or il vient de fouler au
pied la résolution 194 sur le retour des réfugiés et est en train de
raser les villages palestiniens. Depuis plus de 70 ans, les provocations
israéliennes n’ont jamais cessé. En 1967, en réponse à la résolution
242 exigeant le retrait des territoires occupés, Israël lance le rouleau
compresseur colonial qui, depuis, s’est sans cesse amplifié. Quand en
2010, Obama et Biden demandent un « gel » de la colonisation, le
gouvernement israélien annonce aussitôt de nouvelles constructions.
Quand l’aviation et les tanks israéliens rasent Gaza en 2014,
l’ambassade de France à Tel-Aviv organise un bal de solidarité … avec
Israël.

Pourquoi cette complicité qui dépasse l’indécence ? Les dirigeants
occidentaux sont aussi des assassins de la mémoire. Ils se prétendent
les défenseurs des Juifs victimes du suprématisme nazi en soutenant
inconditionnellement des suprématistes juifs qui s’acharnent à singer
les bourreaux d’hier. Ils se débarrassent de leur culpabilité certaine
en ce qui concerne l’antisémitisme et le génocide nazi sur le dos des
Palestiniens qui n’ont rien à voir avec cette barbarie européenne. En
voulant réhabiliter le Maréchal Pétain pour son rôle dans la boucherie
de Verdun et en invitant Nétanyahou pour l’anniversaire de la Rafle du
Vel d’Hiv (un crime bien français, qu’est-ce qu’Israël a à voir avec
cela ?), Macron est aussi un assassin de la mémoire : il brouille toute
compréhension.

Permettre aux dirigeants sionistes de se réclamer de la mémoire des
Juifs persécutés, c’est leur rendre un service fantastique, ils n’ont
aucun droit à se réclamer de ce passé qu’ils piétinent.

Le crime se poursuit contre les Palestiniens parce qu’Israël est
devenu le bras avancé de l’Occident : ses dirigeants donnent l’exemple
d’une reconquête coloniale aboutie, d’une économie fondée sur les
technologies de pointe et les armes les plus efficaces, des méthodes les
plus abouties pour commettre des meurtres impunis. Ils sont les maîtres
en ce qui concerne la surveillance et l’enfermement des populations
supposées dangereuses. Ils montrent que le racisme le plus décomplexé,
le militarisme et la corruption sont ce qu’il y a de plus efficace pour
gouverner.

Cette complicité obscène, il est plus qu’urgent de la briser.

Les Juifs israéliens sur la trace des Pieds Noirs d’Algérie ?

En Algérie aussi, des Européens, français pour la plupart,
appartenant souvent aux couches les plus défavorisés, sont devenus des
colonisateurs.

On ne leur avait pas dit que l’Algérie était « une terre sans peuple
pour un peuple sans terre », mais juste que, les autochtones étant tous
des « arriérés », il était licite de prendre leurs terres, de les priver
de tout droit civique et de les utiliser comme main d’œuvre exploitable
et corvéable à merci.

Et quand les Algériens se sont révoltés, il est devenu « légitime »
de brûler leurs villages, de violer les femmes, de torturer, de faire
disparaître les corps, de multiplier les « corvées de bois ». Au bout du
compte, la grande majorité des Pieds Noirs (même ceux qui étaient là
depuis plusieurs générations) et des Juifs algériens (qui étaient des
autochtones, ils ont été assimilés au colonisateur par le décret
Crémieux) a dû partir. Sans doute, s’il avait existé un courant
politique conséquent, chez les Pieds Noirs, pour négocier leur maintien
dans une Algérie indépendante, ce maintien aurait été possible. Mais
c’est un mouvement fasciste, l’OAS, qui s’est exprimé en leur nom.

L’équivalent de l’OAS est au pouvoir en Israël, sans réelle
alternative. Comme les Pieds Noirs, les Israéliens sont sûrs d’avoir la
force avec eux. Ils sont sûrs que les pertes énormes infligées à
l’adversaire, les humiliations, les enfants arrêtés, les tortures … leur
assureront une domination éternelle. Cette domination est une évidence
renforcée par la vague populiste fascisante dans de nombreux pays.
Beaucoup d’Israéliens pensent que ce rapport de force sera éternel.
Aucun rapport de force n’est éternel.

Les Juifs israéliens, à la différence des Pieds Noirs, n’ont pas de
métropole. En ce sens la politique de type OAS menée actuellement n’est
pas seulement criminelle contre les Palestiniens. Elle est suicidaire
pour les Juifs israéliens et menace aussi les Juifs du monde entier. On
ne réparera pas le nettoyage ethnique de 1948 par un autre nettoyage
ethnique. Cela impose d’en finir avec le rouleau compresseur colonial.

Notre mémoire : le vivre ensemble, l’égalité, la solidarité.

Pendant des décennies, la majorité des Juifs ont considéré que leur
émancipation, comme population discriminée, passait par l’émancipation
de l’humanité. On peut discuter à l’infini pour savoir si l’engagement
massif des Juifs/ves dans des combats pour la démocratie, pour la
révolution, contre le fascisme et le colonialisme, étaient ou non une
« transposition laïque » du messianisme.

Révolutionnaires, scientifiques, écrivain-e-s, cinéastes,
militant-e-s ouvriers, ces Juifs/ves, même quand ils/elles ne
revendiquaient pas cette identité, ont été à l’antithèse des fascistes
au pouvoir en Israël. Les valeurs de ces hommes et femmes étaient
l’égalité, la solidarité, l’esprit critique, l’universalisme,
l’engagement. La figure du Juif, ça a longtemps été Hannah Arendt ou
Abraham Serfaty. Aujourd’hui, ce sont les soudards Lieberman ou
Nétanyahou
Après le génocide nazi, le cri des rescapés a été : « que cela n’arrive plus jamais » !

Les sionistes disent : « que cela ne NOUS arrive plus jamais » ! Et
cela veut dire exactement l’inverse. Ils ont repris à leur compte toutes
les « valeurs » des bourreaux d’hier : racisme décomplexé, négation des
droits et de la dignité de l’autre, destruction systématique de la
société de l’autre, meurtres gratuits, suprématisme. Ils imitent ce que
les États-Uniens ont fait contre les Amérindiens avec la même bonne
conscience. Ils pensent qu’ils ont tous les droits.

Ils ne sont pas seulement des assassins du peuple palestinien. Ils
assassinent aussi la mémoire du judaïsme, qu’il soit laïque ou
religieux.

Pierre Stambul




Mme Tulsi Gabbard déballe du lourd à la télévision états-unienne

[Source : Réseau International]

par Finian Cunningham

© Photo: Flickr / Marc Nozell

On ne s’étonnera pas que les boss du Parti démocrate et la presse
système cherchent à enterrer Mme Tulsi Gabbard, la candidate à la
présidentielle. C’est le seul candidat, peut-être la seule personnalité
politique des États-Unis, à dire au public ce qu’il doit précisément
savoir sur ce que trafiquent en réalité  son gouvernement et ses forces
armées : Guerres illégales de changement de régime, et par-dessus le
marché, parrainage de terroristes.

Rien n’a été plus clair ni plus explicite que le moment où Mme
Gabbard a lancé le débat des démocrates à la télévision cette semaine.
Présenté comme le plus grand débat présidentiel télévisé jamais organisé
à heure de grande écoute, la députée d’Hawaï a exposé certaines vérités
nationales :

« Donald Trump a du sang kurde sur les mains, mais c’est aussi le cas de beaucoup des politiciens de notre pays des deux partis qui, pour changer le régime, ont soutenu la guerre en Syrie qui a débuté en 2011… avec beaucoup de ceux de la grande presse qui ont défendu et encouragé cette guerre de changement de régime. »

Cette ancienne militaire de 38 ans a ensuite dénoncé la manière dont,
pour renverser le gouvernement de Damas, les États-Unis ont sponsorisé
les terroristes d’Al-Qaïda.

Son jugement de la politique étasunienne en Syrie et ailleurs au
Moyen-Orient, a été remarquablement accablant. Et ce n’était certes pas
la première fois qu’elle s’adressait à la population au sujet de la
barbarie et de la criminalité des fameuses ‘interventions’ de
Washington.

Les onze autres candidats démocrates présents sur la scène de ce
débat télévisé, ont paru ébranlés par l’exposé dévastateur et calme de
Mme Gabbard. Tous les autres ont raconté la baliverne de la présence des
forces étasuniennes en Syrie pour « lutter contre le terrorisme. » Ils
déplorent l’annonce faite par Trump la semaine dernière, à propos du
retrait des troupes du nord-est de la Syrie. Ils estiment que ça va
saper la lutte contre l’État islamique et les autres groupes affiliés à
Al-Qaïda. Ils condamnent aussi la « trahison envers les alliés kurdes »
de Trump, avec son retrait partiel des troupes.

Le président Donald Trump parle de « mettre fin aux guerres sans
fin » et de « ramener les troupes au pays. » Mais il soutient toujours
son point de vue crédule, selon lequel, sous son autorité, les
États-Unis « ont défait ISIS à 100%. » En ce sens, il partage pour
l’essentiel le même point de vue à l’eau de rose que les démocrates et
la presse système, à savoir que les États-Unis sont une force
bienfaisante : « de bons gars en chapeau blanc qui chevauchent au soleil
couchant. »

Par contre, Mme Gabbard est la seule à dire franchement au peuple
étasunien l’horrible vérité. La politique des États-Unis est le problème
fondamental. Mettre fin aux guerres de changement de régime en Syrie et
ailleurs, et mettre fin à la collusion diabolique avec les groupes
terroristes, est le moyen de rétablir la paix au Moyen-Orient et de
préserver les citoyens du désastre économique de la montée en flèche des
dettes de guerre. Les citoyens ordinaires doivent savoir la vérité, non
seulement sur les horreurs infligées par leur gouvernement, leurs
forces militaires, leur presse système et leurs politiciens, aux pays du
Moyen-Orient, mais aussi sur les terribles conséquences de cette
politique criminelle qui se retourne contre la vie et le gagne-pain des
simples quidams, et des millions d’anciens combattants détruits par les
blessures, les traumatismes, les suicides et la toxicomanie.

Après le débat télévisé de cette semaine, il semble que Mme Gabbard a remporté le vote populaire grâce à son exposé de la vérité. Un important sondage en ligne, réalisé par Drudge Report, a révélé qu’elle avait pris la tête de tous les candidats, avec un taux d’approbation des électeurs de près de 40%. Les meilleurs autres candidats, Elizabeth Warren, Bernie Sanders et Joe Biden, étaient à la traîne avec 7% ou moins.

Grâce à son honnête description des guerres étasuniennes, Mme Gabbard a manifestement touché une corde sensible du public.

Après le débat télévisé, en dépit de son exposé fracassant et du fait que le public l’a apprécié, la majorité de la presse a fait son possible pour l’enterrer. Les organes de presse comme Vox et CNN ont raconté que Mme Warren avait gagné le débat, dont les points de discussion portaient surtout sur des questions de politique intérieure. À la manière des autres candidats, Mme Warren agite la propagande de la « lutte contre le terrorisme. » Vox a même prétendu que Mme Gabbard était l’un des ‘perdants’ du débat et raconté qu’elle avait fait un exposé ‘manifestement faux’ sur le rôle des États-Unis en Syrie.

D’autres organes de presse système ont choisi d’ignorer la démolition de la propagande officielle sur les guerres, de Mme Gabbard. Plus tôt cette semaine, CNN et le New York Times l’ont diffamée. Ils l’ont accusée d’être un ‘agent russe’ et une ‘apologiste d’Assad’. Ils faisaient référence à ses entretiens avec le président Assad, lors de sa visite en Syrie, en 2017.

Le Comité national démocrate prétend que les sondages n’accordent pas assez de soutien à Mme Gabbard, pour qu’il la juge digne de participer au prochain débat télévisé de novembre.

Les événements internationaux donnent pourtant raison à la députée d’Hawaï. Les troupes étasuniennes, comme les autres forces de l’OTAN, occupent illégalement le territoire syrien, sans mandat du Conseil de sécurité des Nations Unies. Le retrait des troupes ordonné par Trump a créé un vide dans le nord-est de la Syrie. L’armée arabe syrienne s’est rapidement mobilisée pour reprendre le territoire que les combattants kurdes soutenus par les États-Unis avaient de facto annexé au cours des cinq dernières années. Plusieurs rapports montrent que les populations locales accueillent avec joie l’arrivée de l’armée syrienne. Les scènes évoquent le moment où les forces syriennes et russes ont libéré Alep et les autres villes assiégées par les groupes terroristes.

Pour rétablir la paix dans ce pays déchiré, la machine de guerre
étasunienne doit quitter la Syrie. Pas parce qu’« ils ont vaincu ISIS à
100%, » comme le prétend Trump, ni parce que « nous trahissons les
Kurdes dans la lutte contre le terrorisme, » comme le prétendent
absurdement la majorité des démocrates et la presse système.

La paix reviendra en Syrie et au Moyen-Orient quand Washington mettra
enfin fin à ses guerres de changement de régime et à son soutien à ses
chargés de mission terroristes. On dirait que Mme Tulsi Gabbard soit la
seule personnalité politique ayant l’intelligence et l’intégrité de dire
la vérité à la population des États-Unis.

Strategic Culture Foundation, Finian Cunningham

Original : www.strategic-culture.org/news/2019/10/18/tulsi-nails-national-tv-us-regime-change-wars/

Traduction Petrus Lombard




2020 et le grand dressage maçonnique planétaire

[Source : Strategika]

Par Nicolas Bonnal

Né en 1961 à Tunis, Nicolas Bonnal étudie beaucoup, voyage plus encore et commence à publier en 1995 : Mitterrand le grand initié. Il publie ensuite aux belles lettres le Coq hérétique sur l’exception française, la première étude en français sur Tolkien et Internet nouvelle voie initiatique. Il publie aussi des romans (les territoires protocolaires) et un recueil de contes (les mirages de Huaraz) après une vacance de cinq ans en Amérique du sud. Il revient vivre en Andalousie, puis publie des livres sur le cinéma (le paganisme, Kubrick, Ridley Scott, sans oublier les westerns). Anarchiste réactionnaire, proche des libertariens américains et des traditionalistes européens, Nicolas Bonnal se réclame aussi du genre pamphlétaire (un livre sur Céline) et décidément antimoderne. Il a publié des textes sur une dizaine de sites dont Francecourtoise.infobvoltaire.frdedefensa.orgfr.sputniknews.com 
et pravdareport.com. 
Plusieurs de ses livres ont été traduits (russe, brésilien, ukrainien, espagnol). 
Son blog : nicolasbonnal.worpress.com

Je revoyais le film de Peter Bogdanovitch sur John Ford et je tombais sur cette juste observation de Spielberg : le cinéma de John Ford est un cinéma de rituel. Ayant écrit un livre sur le folklore au cinéma et un autre sur les westerns, je ne peux que souscrire à cette assertion (les bals, les chants irlandais, les marches militaires, la hiérarchie, la courtoisie, le monde indien, la cavalerie, etc.). Revoyant aussi Eyes Wide Shut, je suis resté étonné par la force des images de masques dans le château des Rothschild (Mentmore Towers – Polanski a tourné la neuvième porte à Ferrières, autre demeure Rothschild)  et celle, dans la salle de billard, où Tom Cruise se couvre la partie inférieure du visage de sa main, éminent signe de rituel maçonnique. Il montre sa soumission au moment où Ziegler confesse ses crimes d’un air ennuyé et entendu – en lui offrant une caisse de whisky, la Wise key de nos initiés de Seagram (les Bronfman-ADL) qui dirigent le monde avec une poignée de milliardaires et de vaccinateurs branchés mineures et rituels.

C’est pour cela que j’écris des livres sur le cinéma, pour montrer que comme les hexagrammes de mon Yi King, les films trouvent souvent dans la réalité une manifestation grossière, matérielle, massifiée et bien sûr politique. Revoyons donc ce que nous avons vécu depuis peu, et qui va à une vitesse extraordinaire – même si les protocoles ont été écrits il y a cent-vingt ans – et que l’on peut se demander ce que les Elders ont fait depuis. Tout n’était-il pas nécrosé, hiérarchisé et bloqué depuis la fin du dix-neuvième siècle ? Relisez Drumont, Hobson, Eco, Dostoïevski pour le comprendre. Nos tout-puissants n’avancent pas si vite qu’ils le croient. Ils patinent.

Mais voyons la symbolique de ce qui nous arrive, qui a été recensée par Henry Makow sur son site.

On a donc commencé par un grand confinement et on s’est tous retrouvés coincés devant un écran. Cette opération maçonnique se nomme cabinet de réflexion et elle précède la grande sortie vers la lumière pour le futur initié (pensez à Jack Lang et à Mitterrand au Panthéon, voyez mon livre sur ce maître en manipulation de symboles). On est entouré d’objets comme le sablier, le crâne (vanité, symbole de la mort, via le terrorisant virus), le miroir (l’écran, comme dans la Belle et la Bête de Cocteau), et on se prépare.

Ensuite on sort et on doit être équipé et surtout briefé. L’espace est compartimenté et réglementé et nos maîtres de cérémonie nous expliquent comme nous nous disposons dans cet espace que l’on nommait la terre et qui devient un temple maçonnique, une simple loge où l’on s’exécute avant de livrer ses enfants. Dans cet espace on porte un masque, qui couvre la partie inférieure du visage, nouvelle marque de soumission (cf. Tom Cruise). Le bal masqué au dix-neuvième siècle (voyez le bal Rothschild – toujours eux, mais qu’y faire ? –  avec Audrey Hepburn) a des connotations symboliques et contre-initiatiques très fortes, que j’ai recensées dans mon livre sur le maître des maîtres Kubrick. On trouve aussi dans la légendaire série le Prisonnier (d’actualité puisqu’on ne peut plus sortir du village et que les masqués nous font la chasse) un épisode sur un bal masqué (Dance of dead) et un autre sur le harcèlement (Change of mind).  Dans le film de Kubrick le masque est aussi un signe d’appartenance à la communauté des censeurs et des maîtres. Dans mon bled en Espagne les masqués sont de plus en plus autoritaires, arrogants, haineux, et je présume que ce fanatisme démasqué procède ainsi partout. J’oubliais que les maçons comme les masqués portent des gants (revoyez encore la Belle et la Bête, c’est une mine ce film/conte).

Le tout sert évidemment à accéder à une nouvelle réalité : une réalité avec plus de lumière, moins de pollution, et aussi moins de gens –les non-initiés – car on veut les exterminer ces gens et ils ont été tellement hypnotisés depuis si longtemps qu’ils ne s’en rendront même pas compte (voyez la bande au colonel Kurz dans Apocalypse now qui finit noyée sous les bombes tout de même). J’ai évoqué ailleurs le film de Don Siegel l’invasion des profanateurs de sépulture qui montre le grand remplacement de nos âmes et de nos corps par des entités extraterrestres qui passent par des pods (cosses en anglais). Aujourd’hui la smart (douleur, mort) faune a permis de vider ce qui pouvait rester d’esprit aux gens, et fissa (vite, en arabe) en plus, comme on dit chez moi.

Et puis sont arrivées les émeutes. Je m’y attendais car on aime en haut lieu appliquer la formule : ordo ab chaos. Elles ne sont pas antigouvernementales – ils sont tous bien soumis nos « mutins de Panurge ») mais racistes anti-blanches. Détruire ce qui reste d’ordre blanc, de classe moyenne de fond chrétien (avec ce pape maçon, déiste et je-m’en-foutiste, comme c’est facile) et amener un chaos mondialiste qui permettra de promouvoir l’ordre nouveau voulu par Gates, Soros et tous nos susnommés. C’est ce que j’appelle la théorie de la constatation.

Henry Makow a admirablement montré le contenu maçonnique des grotesques manifestations planétaires d’agenouillement. Le kneeling est expliqué et commenté dans tous les dictionnaires maçonniques et il a été imposé comme par enchantement à tous les crétins de la planète (chez lesquels on trouve comme chez nos médecins plastifiés du virus pas mal d’acteurs tout de même). Le kneeling a été ritualisé comme les cérémonies de pardon, comme aussi les tas de briques au beau symbolisme maçonnique (revoyez les dix commandements pour vous amuser avec ces histoires de briques) soigneusement préparés pour détruire ce qui reste de petits et moyens commerces, ces symboles des blancs, invités à disparaître dans la propagande maoïste du frère Biden. Ce n’est pas que le Trump vaille mieux, il est leur idiot utile, leur faire-valoir, et si la sorcière Hilary n’avait pas été volée de son élection et avait été élue on n’en serait certainement pas là, mais à des années-lumière – sic. Trump a servi à bloquer, anesthésier notre résistance.

Tout de même ce qui m’émerveille –et je m’arrête là, sachant que le smart faune empêche de se concentrer plus de neuf secondes, faisant de nos cervelles celles de poissons rouges), c’est la facilité avec laquelle 90% des gens, comme dans le test de Milgram, vont se soumettre et coopérer. Des kapos et des zombis, comme a dit un lecteur. C’est Guénon qui a parlé du caractère hallucinatoire du monde moderne.




Racisme et antiracisme comme mensonges

[Source : Réseau Voltaire]

[Image d’en-tête :]
Des émeutiers blancs incendient un poste de police à Minneapolis à l’occasion du lynchage du noir George Flyod par un policier blanc.

Les communautés humaines ont tendance à surestimer leur mode de vie et à se méfier de celui des autres. Pour maintenir la cohésion de leur groupe, certains de ses membres ont un réflexe de rejet des nouveaux arrivants. Cependant, dès qu’ils font leur connaissance, qu’ils comprennent que ce sont des hommes comme eux, les tensions s’apaisent.

À ce fonctionnement ethnologique, des idéologies sont venues s’ajouter au XIXème et XXème siècle : le racisme et l’antiracisme. Dans le contexte de l’impérialisme britannique et du développement de la biologie et de la génétique, ces théories permettaient de justifier la hiérarchie ou l’égalité en droits des populations.

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Pour le Prix Nobel de médecine (1912) Alexis Carrel (chercheur à la Fondation Rockefeller et soutien de Philippe Pétain et d’Adolf Hitler), il conviendrait d’éliminer les minorités, les aliénés, les criminels lorsqu’ils se montrent dangereux.

Le racisme scientifique

Suite aux théories de Charles Darwin (1809-1882) sur l’évolution des espèces animales, Herbert Spencer (1820–1903), posa qu’il existait des races humaines distinctes et que la sélection naturelle avait abouti à la supériorité des Blancs. C’était le début du « social-darwinisme ». Un cousin de Darwin, Sir Francis Galton (1822-1911), étalonna les races et relia le taux de fécondité des femmes à la dégénérescence des individus. Il put ainsi non seulement prouver la supériorité des Blancs sur les gens de couleur, mais aussi des riches sur les pauvres.

Un « consensus scientifique » établit que les accouplements interraciaux étaient à l’origine de nombreux handicaps. Dès lors, il devenait indispensable de les interdire au même titre que l’inceste pour préserver chaque race. C’était l’« eugénisme ». La mise en application de ce principe fut d’autant complexe que, quelle que soit la définition de chaque race, aucun individu n’est de race pure, par conséquent chaque situation est sujette à discussion. Aux États-Unis cette logique ne conduisit pas seulement à décourager la formation de couples entre Européens d’un côté et Indiens, Noirs ou Chinois de l’autre, mais aussi à privilégier les Blancs Anglo-Saxons sur les Blancs non-Anglo-Saxons (Italiens, Polonais, Serbes, Grecs etc.) (Immigration Act en vigueur de 1924 à 1965).

L’Institut du Kaiser Wilhelm (équivalent allemand du CNRS français) démontra que non seulement la préservation de la race exigeait de ne pas se reproduire avec des individus de race différente, mais aussi de ne pas s’accoupler du tout. En effet, dans le cas de pénétration anale, les gènes de l’un et de l’autre se mêlaient bien que n’ayant pas de descendance. D’où la prohibition de l’homosexualité par les nazis.

Il fallut attendre la chute du nazisme et la décolonisation pour que le « consensus scientifique » se retourne et que l’on prenne conscience de l’incroyable diversité au sein de chaque race supposée. Ce qui nous ressemble chez certains individus d’autres races supposées est beaucoup plus important que ce qui nous distingue d’individus de notre race supposée.

En juillet 1950, l’Unesco proclame l’inanité du « darwinisme social » et de l’« eugénisme ». Tout simplement, l’humanité est certes issue de plusieurs races d’homo sapiens préhistoriques distinctes, mais ne constitue qu’une seule race dont les individus peuvent s’accoupler sans risques. Évidemment, il n’était pas nécessaire d’être scientifique pour le remarquer, mais les idéologies impérialiste et coloniale avaient provisoirement obscurci l’esprit des « savants ».

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Contrairement à une idée reçue, l’esclavage n’a pas été aboli aux USA du fait des mouvements abolitionnistes, mais parce que les deux camps de la Guerre de sécession avaient besoin d’enrôler de nouveaux soldats. De même, la ségrégation raciale n’a pas été abolie du fait de Martin Luther King, mais parce que le Pentagone avait besoin de soldats contre le Vietnam. Il fut d’ailleurs assassiné par le FBI non pour son engagement en faveur des droits civiques, mais parce qu’il était opposé à cette guerre.

Le racisme juridique

Alors que les scientifiques retrouvaient leur unité, les juristes se divisaient en deux manières différentes d’aborder la question. Cette fois ce ne sont pas les idéologies impérialiste et coloniale qui les séparent, mais leurs conceptions de la Nation. Pour les Anglo-Saxons, celle-ci est un rassemblement ethnique (au sens culturel), tandis que pour les Français, elle est un choix politique. Le principal dictionnaire juridique US dispose : « Nation : Un grand groupe de personnes ayant une origine, une langue, une tradition et des coutumes communes constituant une entité politique » (“Nation : A large group of people having a common origin, language, and tradition and usu. constituting a political entity,” Black’s Law Dictionary, 2014). Au contraire la France depuis la Révolution dispose : Nation : « Personne juridique constituée par l’ensemble des individus composant l’État » (Arrêté du roi Louis XVI du 23 juillet 1789).

La vision française est aujourd’hui à peu près universelle, celle des Britanniques n’est défendue que par eux et par leurs créations coloniales : les Frères musulmans et le RSS indien [1].

Ainsi malgré les progrès de la science, les Britanniques vivent aujourd’hui sous le Race Relations Act 1976 (Lois sur les relations raciales de 1976) et sont arbitrés par la Commission for Racial Equality (Commission pour l’égalité raciale), tandis que les textes officiels français parlent de « prétendue race ». Dans la pratique, les deux sociétés n’établissent pas de différences « raciales », mais de classe sociale pour les Britanniques et de niveau social pour les Français.

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Aux USA, les médias établissent un lien entre les émeutes antiracistes et les séquelles de l’esclavage. Pourtant, les premiers esclaves ne furent pas des Africains, mais des Européens (indentured servants) et les États-Unis sont un pays d’immigration : l’écrasante majorité de la population actuelle n’y avait pas d’ancêtre à l’époque de l’esclavage.

L’antiracisme

En Occident, l’antiracisme est désormais confondu avec l’antifascisme. Alors même qu’il n’y a plus de racisme faute de races, ni de fascisme, faute des situations économiques auxquelles cette pensée répondait. Les groupes qui se réclament de ces idées ont aujourd’hui la particularité de se réclamer de l’extrême-gauche anticapitaliste, mais d’être subventionnés par le spéculateur George Soros et de travailler pour le compte de l’Otan, champion du capitalisme. Ils disposent donc d’un entraînement militaire.

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Le président Erdoğan relate sa discussion avec le président Trump à la télévision turque. Reprenant nos révélations qui ont été validées par le MIT, il met en cause le Pentagone et l’Otan dans l’organisation des manifestations antiracistes aux États-Unis et en Europe.

C’est non sans délectation que le président turc Recep Tayyip Erdoğan n’a pas manqué de souligner, lors d’un entretien téléphonique avec son homologue US le 8 juin 2020, que l’Otan avait utilisé les Brigades internationales antifascistes à la fois contre la Syrie et contre la Turquie [2] ; les mêmes « Antifas » qui coordonnent les émeutes antiracistes actuelles aux États-Unis.

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Le probable candidat du parti démocrate, Joe Biden —dont la proximité avec le Pentagone lui a déjà valu d’être élu vice-président de Barack Obama— s’exprime par vidéo lors des obsèques de George Floyd. Les médias rendent compte d’une cérémonie antiraciste. Or, le service d’ordre de la célébration chrétienne a été confié à Nation of Islam, solidaire de la communauté noire. Cette organisation vit en circuit fermé et interdit les mariages interraciaux à ses membres.

En réalité, le racisme et l’antiracisme sont les deux faces d’une même pièce. Tous deux se fondent sur le fantasme des races dont nous savons pourtant qu’elles n’existent pas. Dans les deux cas, il s’agit d’un conformisme à l’air du temps. Les racistes correspondaient aux idéologies impérialiste et coloniale, les antiracistes à la globalisation financière. Leur unique utilité politique commune est d’occuper le terrain pour masquer les authentiques luttes sociales.

Thierry Meyssan


[1] « Histoire mondiale des Frères musulmans » (6 parties), Thierry Meyssan, 21 juin 2019. « Déjà 10 mois de confinement du Jammu-et-Cachemire », par Moin ul Haque, Dawn (Pakistan) , Réseau Voltaire, 10 juin 2020.

[2] « Les Brigades anarchistes de l’Otan », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 septembre 2017.


[Voir aussi :




Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier

[Source : Cogiito via Réseau International]

Bill Gates, à gauche, le directeur des NIH, le Dr Francis Collins et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, lors d’un atelier sur la santé mondiale 2017 de la Fondation Gates sur des sujets qui comprenaient la recherche sur les vaccins.

[Auteur :] Leo Hohmann

[ * : Le Meilleur des Monde]

Traduction de Globalists using COVID-19 to usher in UN Agenda 2030 ‘Brave New World’ ten years ahead of Schedule pour cogiito.com : PAJ

« Il est temps que tous les vrais patriotes prennent position ou risquent d’être menés aveuglément dans un nouvel âge sombre. » 

Lorsque la députée Alexandria Ocasio Cortez a réécrit les objectifs de développement durable des Nations Unies et les a rebaptisés Green New Deal [= Nouvelle Donne Verte], de nombreux conservateurs ont été entendus en riant à haute voix.

L’AOC ne pouvait pas être sérieux, n’est-ce pas ? Mais qui rit maintenant ? L’AOC a obtenu presque tout ce qu’elle voulait dans le cadre du Green New Deal.

  • Le trafic aérien est beaucoup moins robuste, avec de longues attentes dans les aéroports un souvenir lointain.
  • Le trafic automobile sur les autoroutes autrefois animées a été réduit à un filet dans certaines des plus grandes villes américaines, comme New York, Chicago et LA, qui restent fermées.
  • On a dit à la plupart des Américains de travailler à domicile ou de ne pas travailler du tout. Ils reçoivent des chèques de paie du gouvernement pour rester chez eux et ne rien faire. L’AOC l’a appelé le «revenu de base universel». C’est ici.

Il est temps que le président Trump mette fin à cette expérience cauchemardesque.

Nous avons besoin de clarté et d’un leadership fort.

Arrêtez les points de presse quotidiens, où 90% du contenu consiste à se féliciter lui-même et les gouverneurs pour leur merveilleuse gestion de cette crise.

Soyons honnêtes, la plupart ont ignoré la Constitution et outrepassé leur autorité.

Nous avons besoin d’une date ferme pour la fin de ces blocages et nos dirigeants doivent s’en tenir à cette date, et pas seulement lancer une date, mais pour la prolonger plus tard.

Nous voulons que tout notre pays revienne. Pas par étapes, pas par phases.

Les conseillers du président, les Drs. Fauci et Birx ont été dénoncés comme des fraudes et ne doivent plus être autorisés à dicter leur politique.

Ils ont convaincu le président des États-Unis de prendre de mauvaises décisions basées sur une science défectueuse et des modèles informatiques spéculatifs remplis de fausses hypothèses. 

Ils sont dans les conflits d’intérêts jusqu’au cou, principalement liés à la Fondation Bill et Melinda Gates et à ses nombreux partenaires mondiaux qui poussent les vaccins obligatoires et un système d’identification mondial qui peut être utilisé pour suivre les Américains.

Pour tout politicien, dire à des petites entreprises qu’elles ne sont «pas essentielles» sur la base des conseils de ces deux comparses financés par Gates équivaut à ce que le comité central de l’URSS dise aux koulaks de quitter leurs terres et d’aller travailler dans une usine.

Sous Staline, l’État soviétique ne pouvait pas contrôler les koulaks travaillant sur leur terre, alors ils les ont expropriée. 

Est-ce la stratégie Gates-Fauci pour les propriétaires de petites entreprises américaines ? Les forcer à sortir et les faire travailler pour Amazon, Walmart ou une autre méga-société où ils peuvent être surveillés de plus près ?

Désolé, mais ce n’est pas l’Union soviétique ou la Chine communiste.

L’État n’a pas le pouvoir en vertu de la Constitution américaine de priver un Américain de son droit de gagner sa vie honnêtement. Virus ou pas de virus.

Livré à lui-même, l’État gravitera toujours vers l’accumulation du pouvoir. Une fois que l’État a revendiqué le droit d’exercer un pouvoir sur un certain domaine de votre vie, il le rend rarement.

Les gouverneurs ont revendiqué le pouvoir de nous dire quand nous pouvons aller à l’église, où nous pouvons et ne pouvons pas travailler. 

Jusqu’à présent, la plupart des Américains semblent s’accorder avec ça. Mais il y a aussi une nuance de malaise qui commence à bouillir, comme en témoigne le nombre croissant de protestations, d’abord au Michigan et bientôt dans d’autres États.

Dans la situation actuelle, l’exercice arbitraire du pouvoir de l’État est à couper le souffle, pourtant si peu [de personnes] sont capables de le discerner.

Pourquoi, par exemple, était-il considéré comme non essentiel d’acheter des graines, des fleurs, des plantes et de la peinture dans le Michigan alors que de l’autre côté de l’Ohio, ces achats étaient légaux ?

Pourquoi avez-vous le droit d’aller dans un magasin de vins et alcools, un dispensaire ou un Walmart bondé, mais pas dans une église ou un magasin d’armes à feu ?

Ce sont des décisions que le gouvernement n’a aucun fondement constitutionnel à prendre pour les citoyens américains.

Si les politiciens veulent enfreindre ces droits fondamentaux, ils devraient cesser d’être des lâches et déclarer la loi martiale, suspendant ainsi officiellement la Constitution américaine.

Vous n’avez pas la chance d’avoir votre gâteau ni de le manger, en vous arrachant aux libertés civiles tout en affirmant que la Constitution est toujours en place.

Qui est Anthony Fauci ?

Une certaine clarté est également de mise sur les antécédents des «experts» sur lesquels nos politiciens se sont appuyés pour ordonner le confinement.

Le COVID-19 est un virus contagieux qui doit être pris au sérieux.

Mais n’oublions pas que plus de 99% de ceux qui attrapent le COVID-19 se rétablissent complètement. Il est temps que nous abordions tous la question pertinente :

Sommes-nous prêts à sacrifier nos libertés, notre mode de vie, sur l’autel d’une crise sanitaire qui comporte moins de 1% de risque de décès ?

Il est sûr de dire que les Drs. Anthony Fauci et Deborah Birx, les deux experts en maladies infectieuses à la tête du groupe de travail sur le coronavirus du président Trump, ne changeront pas leurs conseils, même si les données originales sur lesquelles ils se sont appuyés pour recommander ces interdictions se sont révélées fausses.

Il n’y a pas eu des centaines de milliers de cadavres et les prédictions apocalyptiques d ‘«hôpitaux débordés» ne se sont jamais concrétisées.

Fauci et Birx ont une longue expérience de travail avec Bill Gates et sa vision eugéniste du monde.

Fauci siège au Conseil de direction du Plan d’action mondial pour les vaccins, un projet de la Fondation Gates qui travaille de concert avec les Nations Unies. [Voir  le communiqué de presse de Gates sur ce projet qui documente le rôle de Fauci ].

L’Agenda 2030 des Nations Unies, adopté en 2015 et farouchement promu et financé par la Fondation Gates , comprend 17 objectifs de développement durable [alias Green New Deal] à atteindre d’ici 2030.

L’objectif numéro 3, «bonne santé et bien-être », commence par l’exigence de l’ONU de «vacciner sa famille». L’objectif 3.8 stipule: «Assurer la couverture sanitaire universelle, y compris la protection contre les risques financiers, l’accès à des services de santé essentiels de qualité et l’accès à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et abordables pour tous ». [Italiques ajoutés]

L’objectif 16.9 indique  «D’ici 2030, fournir une identité juridique à tous, y compris l’enregistrement des naissances.»

La devise de l’Agenda 2030 de l’ONU, répétée à l’infini dans ses documents, est que cet agenda « ne laissera personne de côté ».

Comment l’ONU propose-t-elle de ne laisser personne de côté si le but ultime n’est pas de rendre ces «vaccins vitaux» obligatoires pour tous?

Nous devons également nous demander pourquoi l’agenda mondialiste de Gates de vaccins forcés et de stérilisation n’est jamais exposé dans les médias grand public ? 

Se pourrait-il que l’establishment des médias soit d’accord avec l’agenda de Gates et veuille le cacher au peuple américain?

Gates a investi des milliards dans l’amélioration de l’accès à l’avortement. (foetus dans les vaccins) Ses projets de vaccination ont laissé des milliers de femmes stériles au Kenya et ses vaccins contre la polio ont provoqué la paralysie en Afghanistan, en Inde, au Congo et aux Philippines.
[Pour en savoir plus sur le bilan horrible de Gates en matière de vaccins, laissant une trace de décès et de blessures graves, lisez le rapport cinglant de Robert F. Kennedy Jr., publié par Children’s Health Defense le 9 avril 2020 sous le titre Gates ‘Globalist Vaccine Agenda : Un gagnant-gagnant pour la pharmacie et la vaccination obligatoire .]

Kennedy Jr. écrit:

« En promettant  sa part de 450 millions  de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à  50 doses  (tableau 1) de vaccins contre la polio par le biais de  programmes de vaccination chevauchants,  pour les enfants avant cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’une épidémie dévastatrice de  paralysie flasque aiguë non polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000  enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017.

En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de  Gates  et a demandé à Gates et à ses politiques en matière de vaccins, de quitter l’Inde. Les taux du paralysie flasque aiguë non polio NPAFP ont chuté brusquement. »

Gates est le plus grand donateur privé de l’Organisation mondiale de la santé, une agence des Nations Unies qui, comme le dit le président Trump, est extrêmement «centrée sur la Chine» et couvre à chaque instant les dictateurs communistes chinois.

La Chine est toujours le modèle de réussite aux yeux de l’OMS, jamais le méchant à traiter, comme lorsqu’elle a délibérément donné de fausses informations sur le COVID-19.

Le père de Bill Gates, William Gates Sr., est coprésident de la Fondation Bill et Melinda Gates et ancien membre du conseil d’administration de Planned Parenthood. Fauci et le clan Gates évoluent dans les mêmes cercles que le milliardaire américain d’ingénierie sociale détestant George Soros [voir la photo ci-dessous de 2001] .

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Il est impossible d’échapper au fait que Bill Gates est un mondialiste. 

Il est également un eugéniste pathologique profondément investi dans le contrôle de la population mondiale, l’un des objectifs de longue date des Nations Unies.

S’il est raisonnable de croire qu’aucun de ces deux médecins, Fauci et Birx, ne romprait ses liens avec Gates et ne changerait de couleur simplement parce qu’il fait partie d’un groupe de travail de la Maison Blanche, alors nous devons demander au président Trump : pourquoi écoutez-vous ces deux-là ?

Un nouvel ordre économique et social

Pourquoi ces conseillers profondément en conflit [d’intérêt] conduisent-ils les décisions politiques – de la Maison Blanche aux hôtels particuliers et aux mairies du gouverneur?

De telles décisions, si elles se poursuivent, placent notre nation sur la voie rapide vers un nouvel âge sombre. Et pas seulement un âge sombre politico-économique. Lorsque nous regardons l’ordre social qui évolue rapidement, la lumière s’assombrit également.

De nouvelles règles sont en train d’être élaborées pour nous au moment où nous parlons. 

Des changements sont à venir pour tout – comment nous achetons des produits d’épicerie [masques requis], comment nous payons les produits [sans espèces?], même la façon dont nous saluons notre prochain [pas de poignée de main!].

Si vous n’obéissez pas à ces règles, vous serez publiquement honteux et blâmé comme présentant des comportements antisociaux préjudiciables au bien commun.

La façon dont nous «nous vivons notre vie» pourrait ne jamais revenir à la normale si le président Trump n’intervenait pas et ne reprenait pas les rênes de ces deux médecins alignés sur la vision des Nations Unies, Bill Gates et une foule d’ONG effrayantes comme la Fondation Rockefeller et le Forum économique mondial.

Nous avons déjà rendu compte de la conférence Event 201 du WEF en octobre de l’année dernière, où le CDC, l’OMS, la CIA, l’Université Johns Hopkins, NBC et d’autres sponsors se sont réunis pour dresser la carte de leur réponse mondiale à une pandémie de coronavirus – deux mois avant que quiconque ait entendu parler d’une épidémie de coronavirus.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié un livre blanc de 54 pages intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ».

Dans cet opuscule, la fondation a évoqué une future pandémie basée sur un virus pseudo-grippal qui attaque le système respiratoire humain. À la page 18 de ce document, il décrit un scénario hypothétique surnommé «lockstep»:

« En 2012, la pandémie que le monde attendait depuis des années a finalement frappé. Contrairement au H1N1 de 2009, cette nouvelle souche de grippe – provenant d’oies sauvages – était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les plus préparées à une pandémie ont été rapidement submergées lorsque le virus s’est propagé dans le monde entier, infectant près de 20% de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois, la majorité d’entre eux étant de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies : la mobilité internationale des personnes et des biens a été interrompue, affaiblissant des secteurs comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. »

Aux États-Unis, «le confinement était un défi», poursuit le journal Rockefeller, car les États-Unis n’ont pas suivi l’exemple de la Chine  dans la mise en œuvre des verrouillages obligatoires.

La politique initiale des États-Unis de « décourager fortement » les citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans sa tolérance, accélérant la propagation du virus non seulement aux États-Unis, mais au-delà des frontières. Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis – la Chine en particulier. L’imposition et l’application rapides par le gouvernement chinois de la quarantaine obligatoire pour tous les citoyens, ainsi que sa fermeture instantanée et quasi hermétique de toutes les frontières, ont sauvé des millions de vies, arrêtant la propagation du virus beaucoup plus tôt que dans d’autres pays et permettant une reprise post-pandémique accélérée.

Partout où vous trouvez les traces de la Fondation Rockefeller, la famille Gates n’est pas loin, travaillant en tant que «partenaire» ou co-fondateur. Ils partagent le même programme eugéniste.

Le Dr Fauci et le Dr Birx sont directement liés à ce groupe corrompu et Trump doit les lâcher avant qu’ils n’entraînent leur programme pourri dans nos vies à tous.

Michael Matt, rédacteur en chef de Remnant TV, a exposé cette cabale et a connecté les points mieux que n’importe qui, et je recommande fortement son podcast,  « Trumping the Gates of Hell« .



Matt discerne à juste titre que ce qui se passe est plus important que la politique partisane, démocrates contre républicains.

« Cela implique une intrigue internationale, l’OMS, George Soros, Bill Gates, le phénomène Trump et le pape François, mondialiste du Vatican », dit-il. 

« Mais comment? Pourquoi? Quelle est la fin du jeu? »

Dans des détails effrayants, il déballe la phase finale, qui n’a pratiquement rien à voir avec le fait de vous garder en vie et en bonne santé, mais tout avec le remplacement de la puissance américaine dans le monde par quelque chose de plus centralisé, et avec plus de contrôle des masses.

Nous assistons à l’aube d’une nouvelle ère «technocratique» qui se tient sur le plateau de l’ONU depuis plusieurs décennies, attendant juste un événement déclencheur pour qu’il puisse être mis en œuvre.

Une partie du plan de Gates pour un nouveau système utopique technocratique est le marquage et le suivi de chaque être humain à l’aide d’un système d’identification numérique.

Ce système d’identification mondial est actuellement conçu par l’ Alliance ID2020, basée à New York. Microsoft Corp. de Gates est devenu l’un des partenaires fondateurs en janvier 2018 avec Gavi Vaccine Alliance, un autre projet financé par Gates. 

Le financement provient également d’un collaborateur de longue date de Gates, la Fondation Rockefeller.

Afin d’introduire pleinement ce système, Gates et ses camarades mondialistes savent depuis longtemps qu’ils doivent abattre l’Amérique, la faire tomber de sa position de superpuissance la plus importante du monde et «égaliser les chances» entre les nations.

J’ai soutenu le même raisonnement dans mon article d’il y a deux semaines, « Dictature assainie : comment COVID19 est utilisé pour transformer le monde et détruire la révolution Trump ».

Maintenant, j’ai la sauvegarde intellectuelle de Michael Matt, qui prend 43 minutes pour documenter et expliquer le réseau de tromperie qui se tisse. 

Matt n’utilise pas le mot «technocratique» mais c’est exactement ce qu’il décrit – un nouvel ordre mondial dans lequel le capitalisme et la libre entreprise sont remplacés par une forme hybride de socialisme et de capitalisme semblable à celui qui asservit la population en Chine.

Dans une technocratie, des scientifiques corrompus et des bureaucrates fouilleurs de données appellent les vaccins, et les politiciens élus font leurs enchères. Que le peuple soit damné !

Ce n’est pas une coïncidence si Gates était également le principal pourvoyeur de fonds derrière les normes éducatives du tronc commun, qui se concentrent sur la collecte de données sur les élèves à travers des tests et des sondages incessants pour créer ce qui équivaut à un dossier sur les attitudes, les valeurs et les croyances de chaque élève. Il s’agit d’informations privées qui ne regardent en rien les bureaucrates de l’éducation, pas plus que ceux de la santé ne devraient acheter vos données de santé.

Comme l’épouse de Bill Gates, Melinda, l’a déclaré en 2017, capturé dans la vidéo ci-dessus, «Bill et moi aimons les données. Les chiffres nous importent… »

Ah oui, les données. Ils adorent les données car elles peuvent facilement être utilisées contre certains secteurs de la société.

En Chine, modèle technocrate du monde, le gouvernement utilise des données pour gérer un système de notation sociale. Ceux qui ont de faibles scores sociaux, tels que les chrétiens, sont ignorés pour les emplois principaux et forcés de se rencontrer dans des églises souterraines.

Oui, nous avons vu comment fonctionnent les minorités pauvres en données.

En faisant exploser la crise du COVID, en utilisant des modèles informatiques non scientifiques qui prévoyaient un nombre incroyablement inexact de près d’un million d’Américains morts, ils ont pu attirer l’attention du public américain, pour nous faire coopérer à l’avancement de notre propre asservissement.

Gates a déclaré, dans une interview avec Chris Wallace de Fox News:

«Il est juste de dire que les choses ne reviendront pas à la normale tant que nous n’aurons pas un vaccin que nous aurons distribué dans le monde entier.»

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est sorti cette semaine avec une déclaration qui semblait étrangement similaire.

«Nous ne reviendrons pas à notre ancienne situation normale; nous ne pouvons pas le faire avant d’avoir développé un vaccin, et cela pourrait prendre de 12 à 18 mois »,

a déclaré Trudeau aux journalistes jeudi dernier.

Zeke Emanuel, l’ancien collaborateur d’Obama qui conseille désormais Joe Biden, a déclaré à MSNBC :

«De manière réaliste, le COVID-19 sera là pour les 18 prochains mois ou plus. Nous ne pourrons pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas trouvé un vaccin ou des médicaments efficaces. »

Qui sera notre sauveur?

Vous pouvez donc voir que la gauche, et certains mannequins à droite, sont tous sur la même longueur d’ondes avec Bill Gates.

Les médias coopèrent en continuant à attiser la peur. Ils omettent de signaler que 99% des Américains qui contractent un coronavirus se rétablissent complètement. Et les médicaments nécessaires pour le traiter sont déjà là; ils sont bon marché et largement disponibles.

Dr. Shiva
Dr. Shiva Ayyadurai

Nous devrions nous concentrer sur le renforcement de notre système immunitaire, comme le préconise le Dr Shiva dans un article publié ici . Nous n’avons pas besoin des vaccins forcés de Gates.

Il est temps de faire savoir à ces mondialistes que c’est fini. Leur couverture a été grillée.

Les patriotes du Michigan reprennent en main leur gouvernement

Suivons l’exemple du Michigan . Les patriotes sont descendus dans les rues en signe de protestation pacifique. Ils se sont rendus en masse au State Capitol à Lansing aujourd’hui [mercredi 15 avril] pour exiger que le gouvernement socialiste Getchen Whitmer rouvre l’économie.

Nous ne voulons pas d’un nouveau chèque de «relance» du gouvernement. Nous voulons retourner au travail.

L’alternative est de continuer à écouter Fauci. Ce qui revient à écouter le psychopathe Gates.

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Des manifestants se rassemblent lors de «l’Opération Gridlock» au Capitole de l’État à Lansing, Michigan, le mercredi 15 avril 2020. 
Photo gracieuseté de Fox 2 Detroit .

Fauci a répété le mensonge de Bill Gates selon lequel la seule issue est d’attendre un vaccin.

De cette façon, il arrive à faire de Gates et des mondialistes nos sauveurs. Ils feront ressembler notre président à un bouffon maladroit, qui a créé un gâchis que seuls les globalistes, chevauchant sur leurs chevaux blancs, peuvent réparer.

Au final, seul Jésus-Christ peut nous sauver. Nous le savons.

Les mondialistes finiront par arriver à leurs fins, pour un temps, et ce sera une période d’enfer sur terre. Priez pour plus de temps. Je pense que nous en avons besoin. Sinon, nous nous soumettons aux mondialistes, qui nous mèneront dans un nouvel âge sombre.

Alors que le 11 septembre nous obligeait à nous soumettre aux coups de fouet de notre personne physique dans les aéroports, les palais de justice et autres lieux publics, la pandémie de COVID19 se terminera avec chaque Américain se soumettant à une analyse de son histoire de santé numérique. A moins que les gens ne rejettent ce système, nous nous dirigeons vers…

  • Une ère de «distanciation sociale» et de fracture d’unité.
  • Une ère de honte et de blâme dictés par l’agenda
  • Un âge de suspicion et de «montrer ses papiers»
  • Une ère de verrous, de suivi, d’étiquetage et de surveillance.

Trop c’est trop.


[À propos de l’auteur]

Leo Hohmann est un journaliste indépendant, auteur du livre de 2017 «Stealth Invasion: Muslim Conquest through Immigration and Resettlement Jihad». Pour soutenir ses projets de recherche et d’écriture, veuillez considérer un don de toute taille.