Parlons contamination

[Source : RI]

par Edy Fernandez.

Votre croyance – par les influences de toutes sortes que vous subissez – en un « virus » défini comme étant un agent pathogène contagieux et dangereux crée chez vous des peurs, plus ou moins conscientes. Ces peurs créent des stress oxydatifs et des lésions invisibles de votre terrain, ce qui s’additionne aux effets des toxines déjà présentes en quantités plus ou moins importantes dans votre organisme.

Nous subissons en effet diverses pollutions et agressions de par notre environnement et tout ce que nous ingérons et inhalons, tant sur le plan physique que psychique, ce qui est générateur de quantité de toxines au niveau cellulaire.

« Le stress cellulaire dû à la charge toxique que nous subissons quotidiennement, qu’elle soit d’origine environnementale ou psychosomatique, exposition aux ondes électromagnétiques, pollutions chimiques, vaccins, alimentation malsaine, souffrance psychique et traumatismes divers, génère des vésicules extra cellulaires, des exosomes, qui contiennent des informations qui peuvent être alarmantes si on y est exposé, car elles avertissent les autres qu’ils doivent activer immédiatement leurs voies de détoxination, ces informations étant transférées au groupe afin qu’il puisse se créer une résistance au sein de la communauté.

Nous fonctionnons à ce niveau comme les plantes et les arbres, qui se transmettent des messages afin de résister à une agression.

Il s’avère malheureusement que l’exposition répétée à ces sources de pollution diminue graduellement la résistance du groupe, ce qui nous rend davantage sujets aux maladies ». (Informations extraites du film « Terrain », partie 2, qu’on peut visionner ici)

Ces différents stress et toxines sont alors générateurs de symptômes divers, qu’on appelle péjorativement maladie, mais qui ne sont en réalité qu’un processus naturel de nettoyage et de remise en état d’un terrain encrassé ou altéré. Un processus de guérison, certes non exempt de désagréments, dans lequel les bactéries interviennent systématiquement, leur rôle étant de nettoyer et réparer l’organisme et de rétablir la qualité du terrain.

Car le corps a besoin de se nettoyer périodiquement, et il est toujours préjudiciable d’entraver ce processus par la prise inappropriée de médicaments, ce qui est générateur de maladies chroniques.

Si une personne en bonne santé ne court guère de risques, il est cependant clair que ce processus de nettoyage peut s’avérer critique, voire fatal, en fonction d’une piètre qualité du terrain.

Comme le dit Jung :

« Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ».

Ou bien :

« La maladie est l’effort que fait la nature pour guérir l’homme ».

Vous le constatez, il n’est pas nécessaire qu’un virus existe réellement physiquement, sa seule représentation suffit à générer des symptômes en relation directe avec le potentiel morbide qu’on attribue au virus (foyers de Hamer).

Un virus est donc, avant tout, mental.

Pour le dire schématiquement, comme nous l’enseigne l’épigénétique (c’est à dire, globalement, l’influence de l’environnement sur la génétique), nos pensées, nos représentations mentales, nos croyances limitantes, créent nos maladies. Car les pensées, ainsi que les émotions, sont de puissantes énergies.

Je laisse volontairement ici de côté la question du sens des maladies et des messages qu’elles véhiculent à notre seule intention, sachant que tout est un et que le visible n’est que l’expression de l’invisible, toutes choses qui nous entraîneraient beaucoup trop loin.

« Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. Si vous ne faites pas face à votre ombre, elle vous viendra sous la forme de votre destin ».

(Carl Gustav Jung)

Une fois vos symptômes déclarés, vous allez ensuite pouvoir « contaminer » votre entourage par un effet de mimétisme, c’est à dire par résonance vibratoire, par un échange de photons qui transportent une information (que nous le voulions ou non, nous sommes des êtres interconnectés et nous discutons en permanence avec tous les corps vivants que nous croisons ou rencontrons, par voie électromagnétique, par un échange de photons).
Quand l’organisme de votre proche voisin entre en résonance avec cette information, se met au diapason, il est alors susceptible de développer les mêmes symptômes, ou des symptômes similaires, s’il en a besoin ou si son terrain s’y prête.

La contagion peut être perçue comme :

« l’expression d’une toxicité qui se répand à travers le mycélium de l’interconnexion humaine afin d’inspirer, inciter ou soutenir un processus de détoxination chez d’autres personnes ».

(Dr Kelly Brogan)

On constate cela très facilement avec les maladies initiatiques de l’enfant, quand, par exemple, toute une fratrie ou toute une classe d’école déclare tout à coup les mêmes symptômes, par effet de mimétisme (rougeole, scarlatine, oreillons, varicelle…).

Ce qu’il est essentiel de comprendre est que ce n’est jamais une maladie (un « virus » contagieux) qui est transmise directement de personne à personne, mais UNE INFORMATION susceptible de provoquer des symptômes particuliers en fonction du terrain qui reçoit cette information.

Nous ne contaminons pas les autres en leur projetant des germes à la figure, nous ne sommes pas en lutte les uns avec les autres ou avec le vivant dans son ensemble, et l’autre n’est pas un potentiel danger, tout au moins dans le domaine de la santé. Tout ce que nous faisons est de transmettre des informations au groupe, de par nos permanentes et profondes interrelations. Nous dialoguons au niveau vibratoire et sur divers plans énergétiques. Et cela change tout, d’une part dans la conception de la maladie et, d’autre part, dans le rapport que nous avons à l’autre et à la nature.

Il est aisé de comprendre que tout ceci va totalement à l’encontre des intérêts mortifères du système et de Big Pharma, qui n’ont de cesse de nous diviser et de nous présenter la vie sous la forme d’une guerre incessante contre tout ce qui bouge et respire, et l’espace commun comme le lieu de tous les dangers.

La médecine du futur, qui est déjà là, sera une médecine informationnelle et holistique, qui utilisera pour soigner les formidables pouvoirs de l’eau (nous sommes constitués à 96 % de molécules d’eau), la lumière et les ondes sonores. Exit la chimie, et son cortège d’horreurs et de tromperies !


[Voir aussi :]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough. Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

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La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

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