Ayez le courage d‘être un complotiste !

Elsa Mittmannsgruber

[Source : Réseau International]

Elsa Mittmannsgruber, rédactrice en chef du Wochenblick, Autriche (wochenblick.at/unfassbare-zensur-youtube-will-nicht-dass-sie-dieses-video-sehen)



Traduction française et voix off : Minimasource : https://odysee.com




Après les agapes des élites dans les restaurants clandestins, la question qui tue : Comment se fait-il qu’ils n’aient pas peur du virus ?

Par Jean

Les vautours (du gouvernement et de la finance) face aux pigeons (du peuple) : l’annonce d’un déconfinement partiel à partir du 3 mai pour mieux éviter des troubles le 1er mai ?

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LES VAUTOURS ET LES PIGEONS

Mars autrefois mit tout l’air en émûte.(([1] en émeute, en émoi))
Certain sujet fit naître la dispute
Chez les oiseaux ; non ceux que le Printemps
Mène à sa cour, et qui sous la feuillée
Par leur exemple et leurs sons éclatants
Font que Vénus est en nous réveillée ;
Ni ceux encor que la Mère d’Amour
Met à son char
(([2] les colombes, oiseaux du char de Vénus)) : mais le peuple Vautour,
Au bec retors, à la tranchante serre,
Pour un chien mort se fit, dit-on, la guerre.
Il plut du sang ; je n’exagère point.
Si je voulais conter de point en point
Tout le détail, je manquerais d’haleine.
Maint chef périt, maint héros expira ;
Et sur son roc Prométhée espéra
(([3] Prométhée, enchaîné à un rocher du Caucase, avait le foie rongé chaque jour par un vautour))
De voir bientôt une fin à sa peine.
C’était plaisir d’observer leurs efforts ;
C’était pitié de voir tomber les morts.
Valeur, adresse, et ruses, et surprises,
Tout s’employa. Les deux troupes éprises
(([4] enflammées))
D’ardent courroux n’épargnaient nuls moyens
De peupler l’air que respirent les ombres :
Tout élément remplit de citoyens
Le vaste enclos qu’ont les royaumes sombres.
Cette fureur mit la compassion
Dans les esprits d’une autre nation
Au col changeant, au cœur tendre et fidèle.
Elle employa sa médiation
Pour accorder une telle querelle ;
Ambassadeurs par le peuple Pigeon
Furent choisis, et si bien travaillèrent,
Que les Vautours plus ne se chamaillèrent.
Ils firent trêve, et la paix s’ensuivit :
Hélas ! ce fut aux dépens de la race
À qui la leur aurait dû rendre grâce.
La gent
(([5] la race, la nation)) maudite aussitôt poursuivit
Tous les pigeons, en fit ample carnage,
En dépeupla les bourgades, les champs.
Peu de prudence eurent les pauvres gens,
D’accommoder
(([6] réconcilier)) un peuple si sauvage.
Tenez toujours divisés les méchants ;
La sûreté du reste de la terre
Dépend de là : semez entre eux la guerre,
Ou vous n’aurez avec eux nulle paix.
Ceci soit dit en passant ; je me tais.

Jean de La Fontaine


Réseau Sentinelles (INSERM – Médecine Sorbonne Université – Santé Publique France)
https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/

Chaque semaine, le réseau Sentinelles dresse un bilan des diverses maladies observées dans le pays. Voici leur tout dernier bulletin, celui de la semaine 15 de l’année 2021 (du 12 au 18 avril), concernant l’évolution des IRA (Infections Respiratoires Aiguës = Covid, grippe, virus respiratoire syncytial, rhinovirus, métapneunovirus… Cette dénomination a remplacé en mars 2020 les moins anxiogènes « Syndromes grippaux ». Voir le site.)
(Document détaillé : 5272 (sentiweb.fr)).

La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).

En France métropolitaine, la semaine dernière (2021s15), le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale a été estimé à 82 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [69 ; 95]). Ce taux est en diminution depuis la semaine 2021s12 (données consolidées : 114 [103 ; 125]).

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Île-de-France (169 [128 ; 210]), Grand Est (120 [58 ; 182]) et Pays de la Loire (113 [0 ; 228]).

Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s15), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 3%, 42% et 39%, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus. Ces estimations sont stables dans toutes les tranches d’âge. Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 27 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [21 ; 32]), ce qui représente 17 764 [14 109 ; 21 419] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est en légère diminution depuis la semaine 2021s12 (données consolidées : 34 [29 ; 39], soit 22 569 [19 268 ; 25 870] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

Surveillance de la GRIPPE : il n’y a pas de circulation active des virus grippaux en médecine générale et pédiatrie. La semaine dernière (2021s15), aucun virus grippal n’a été détecté.

Surveillance des autres virus respiratoires : circulation des VRS, métapneumovirus et rhinovirus observée en semaine 2021s15.

IC95: Intervalle de confiance à 95%

Remarque pour les pigeons : Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir)


Les vautours singeant Machiavel

Pour éviter un déferlement le 1 mai, ils n’ont rien trouvé de mieux que de faire encore des promesses aux pigeons :
le 3 mai le déconfinement va commencer… patati , patata

(Pat Le Guen était le réalisateur de l’émission pour enfants Le Club Dorothée diffusée sur la chaîne télévisée française TF1 du 2 septembre 1987 au 30 août 1997. De nos jours, il est très désavantageusement remplacé par les productions Macron.)


Nous vous souhaitons un très agréable 1 mai 2021.


Notes : Les vautours et les pigeons




Cauchemar ou manipulation en Inde ? Les Indiens sont-ils victimes de fêtes religieuses, de variants ou de la vaccination ?

Par Alain Tortosa

Les journaux français tournent en boucle et nous alertent sur une situation devenue incontrôlable. Le «journal» Le Monde(([1] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/19/c-est-un-cauchemar-en-inde-new-dehli-reconfinee-face-a-la-flambee-de-l-epidemie-de-covid-19_6077269_3244.html)) titrait le 19 avril :

« C’est un cauchemar : en Inde, New Delhi reconfiné face à la flambée de l’épidémie de Covid-19. »

Analysons les données du gouvernement indien à Delhi…(([2] https://www.covid19india.org/state/DL))

La ville compte un peu moins de 20 millions d’habitants.

Il y a eu officiellement 900 000 positifs en ville depuis le début de la crise, soit 4,6% de la population qui a croisé le virus.

À titre de comparaison, la France comptait au 21 avril un cumul de 8% de positifs(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)) soit presque deux fois plus qu’à Delhi, la fameuse ville au bord du gouffre !

Cela s’est traduit par un total de 12 638 décès à Delhi sur 2 saisons, soit 638 décès par million d’habitants.

Manipulation numéro 1

Le taux de mortalité à Delhi du Covid est de 638. Il est de 132 pour l’ensemble de l’Inde(([4] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=FRA~IND))

Et de 1487 en France !

Il y a donc plus deux fois plus de décès en France par habitant qu’à Delhi et dix fois plus de décès en France qu’en Inde…

À nombre de morts par habitant équivalant, la France devrait compter aujourd’hui plus d’un million de décès du Covid !

Les «vrais» malades

Les autorités sanitaires indiennes font la différence entre les personnes positives et les cas « actifs », les malades actuels, j’imagine.

Si l’on se réfère à cette donnée, il y avait au 20 avril, 85 575 Covid « active » à Delhi soit 0,43% de la population !

Autre donnée intéressante, le taux de patients « actifs» ramené au nombre cumulé de personnes positives qui est de 9,5%… donc sur 100 positifs, 9 sont actuellement infectés !

Mais hier sur 86 000 tests effectués, 28 395 se sont révélés positifs !

Manipulation numéro 2

Cela correspond à un taux de positivité de 32,82% pour un échantillon de 0,44% de la population.

Ce qui a permis à un «journaliste »de Cnews de déclarer le 21 avril à 11h10 :

« À New Delhi, un habitant sur trois est positif ! ».

Cette affirmation est mathématiquement vraie, mais relève d’une totale manipulation.

En premier lieu, 28 395 positifs correspondent à 0,14% de la population !

Enfin, si l’on se réfère à la seule donnée intéressante, soit le nombre total de cas actifs, il n’y a que 0,43% de la population qui serait malade actuellement à Delhi !

Ce taux de positivité de 33% ne reflète absolument pas la situation de Delhi qui, je le répète, ne compte que 0,43% de malades !

Les décès à Delhi

Comme indiqué en début de document, le nombre de décès à Delhi et en Inde est faible, voir ridiculement faible par rapport à la France.

Mais il y a néanmoins une hausse exponentielle du nombre de décès journaliers qu’il est possible de visualiser sur la courbe suivante :

Entre le 6 février et le 21 mars 2021, l’épidémie avait totalement disparu de Delhi pour prendre depuis une forme visiblement exponentielle à partir du 10 avril.

Pourquoi cette augmentation ?

Les médias ne manquent pas de parler de variants et même désormais de «variantsdoublementmutants»et bien sûr du relâchement de la population pour expliquer le phénomène !

Je vous rappelle une règle d’or édictée par la Sainte Église du Coronavirus qui dit que :

« Lorsque l’épidémie de Covid empire c’est toujours la faute à la population et que lorsque celas’améliore, c’est grâce aux mesures gouvernementales. »

Pour illustrer la culpabilité du public, un article extraordinaire a même été publié dans le BMJ(([5] https://www.bmj.com/content/372/bmj.n854))

Cet article s’étonnait de l’augmentation des cas malgré la campagne de vaccination… question pour le moins pertinente.

Et voici quelles étaient les conclusions :

Le coupable désigné est le Kumbh Mela.(([6] https://www.tourmyindia.com/kumbhmela/bathing-dates.html))

Cette fête religieuse réunit des millions de fidèles qui se purifient dans le Gange. Voici les dates en 2021 ;

Covid-19: India sees new spike in cases despite vaccine rollout

Le début des festivités a eu lieu le 14 janvier alors même que les décès à Delhi n’ont repris que le 22 mars pour devenir réellement importants à partir du 10 avril soit plus de 3 mois après.

Je vous rappelle que lors de la vraie épidémie en France en mars 2020 le délai médian entre la contamination et le décès était d’environ 20 jours.

Manipulation numéro 3

Le nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par les fêtes religieuses, car ils se produisent 60 jours après le début des fêtes et deviennent importants 90 jours après.

En 2020, la première vague de Covid a eu lieu à Delhi le 11 mai, rien entre janvier et mai. Bref l’hypothèse des fêtes est totalement ridicule et d’autant plus que j’ai du mal à imaginer les gestes barrières et le changement de masque tous les 4 heures dans une ville surpeuplée de 20 millions d’habitants.

Raison garder

Le «cauchemar»à Delhi rapporté par les «journalistes».

Une étude de 2015 estime que 80 personnes meurent chaque jour, soit 29 000 par an à Delhi, de la pollution.(([7] https://www.downtoearth.org.in/news/delhi-loses-80-lives-to-air-pollution-every-day-says-study-50222))

Si l’on compare cette donnée aux 10 536 décès du Covid en 2020 à Delhi, on constate que le Covid représenterait un tiers des décès dus à la pollution (36%)!

Le taux de mortalité8 en 2019 est de 7,29 décès pour 1 000 habitants à Delhi, soit 144 400 morts. 10% des décès soit 14 400 morts sont par septicémie selon les dernières données officielles (cequirenseigneassezbiensurl’hypothèseridiculedesgestesbarrièresàDelhi). 1,4 fois plus de morts par septicémie que du Covid !

Manipulation numéro 4

L’augmentation du nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par un relâchement des gestes barrières dès lors qu’il y a plus de décès par septicémie en temps normal que par Covid ! La notion de gestes barrières en Inde est totalement ridicule !

La vaccination

Big Pharma fait tout pour empêcher médias et scientifiques corrompus de poser, ne serait-ce que l’hypothèse, que l’augmentation des décès pourrait être causée par la vaccination.

Pour autant, dès lors que les «vaccins» seraient efficaces contre la souche du mois de mars 2020, il serait logique qu’ils bloquent principalement le virus d’origine et qu’ils soient moins performants

(([8] http://des.delhigovt.nic.in/wps/wcm/connect/4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453/vital_annual_19.pdf?MOD=AJPERES&lmod=-108668931&CACHEID=4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453&Annual%20Report%20of%20Registration%20of%20Births%20and%20Deaths%20in%20Delhi%202019))

pour les variants…

La vaccination ne peut donc QUE favoriser l’émergence de variants… Regardons la courbe des vaccinations journalières à Delhi.

La vaccination à Delhi débute à la mi-janvier pour atteindre 5% de vaccinés vers le 20 mars, période qui correspond au début de la recrudescence des décès.

Le 10 avril, alors que la courbe de décès journaliers devient exponentielle, nous assistons au pic du nombre de doses journalières administrées soit 105 918 doses.

À cette date, 10% des habitants sont vaccinés.

Autre point intéressant :

Le nombre de vaccinations journalières n’a cessé de diminuer depuis, aussi bien à Delhi que dans toute l’Inde.

Sommes-nous dans l’hypothèse d’une pénurie de vaccins (alors même que l’Inde produit son proprevaccin et que la situation devient « dramatique ») ou les autorités auraient-elles pris conscience d’une dangerosité potentielle de son vaccin qui au lieu de sauver des vies, provoquerait des variants et des morts ?

Que conclure provisoirement sur la situation en Inde ?

  • L’hypothèse des célébrations religieuses ou du relâchement des gestes barrières est totalement honteuse et ridicule.
  • L’augmentation des cas et des décès est parfaitement corrélée avec la montée en puissance de la vaccination et l’arrivée d’un nouveau variant indien.
  • Les autorités ont étrangement ralenti la campagne de vaccination.

Quid d’autres pays à forte vaccination ?

  • La Hongrie a connu une explosion de son taux de mortalité dès lors que 6% de la population a été vaccinée par le vaccin chinois (vaccin classique). Son taux de mortalité a doublé depuis la vaccination massive.
  • Le Brésil voit apparaître une explosion de son taux de mortalité le 3 mars quand le pourcentage de vaccinés dépasse les 4,36% de la population. Le vaccin est aussi un dérivé du vaccin chinois.
  • L’Inde a ce même problème avec son propre vaccin qui est aussi un vaccin classique.

Il est donc intéressant de constater que dans ces 3 cas nous avons affaire à des vaccins classiques.

Dangerosité ou innocuité des thérapies géniques expérimentales ?

Nous ne constatons pas de liens entre la vaccination et la mortalité en France, pays dans lequel les « vaccins» administrés sont ARN messager ou adénovirus OGM.

« Est-ce à dire que les thérapies géniques à ARN messager seraient à court terme moins létales ? »

Il est extrêmement difficile de répondre à cette question :

  • Nous voyons par exemple qu’Israël truque ses données de mortalité sur le site Euromomo.
  • La France a fait le choix de vacciner plutôt des personnes à risque, et donc à espérance de vie réduite, avec de l’ARN messager et il n’y a pas encore une vaccination de masse pour les personnes jeunes et en bonne santé dont, je le rappelle, le risque de décès du Covid est NUL ! À la différence de l’Inde où la population est jeune, âge médian 26 ans.
  • 90% des morts du Covid en France sont des faux morts, des personnes décédées positives au Covid ou même avec un soupçon de Covid.

Partons de l’hypothèse de 300 morts officiels par jour.

Nous pouvons déduire que 30 personnes (et même moins) sont réellement décédées du Covid par jour.

Doublons la mortalité du fait de thérapies géniques massives dans une population jeune…

Il n’y aurait que 60 décès au total… et cette augmentation, si elle était répercutée, se traduirait par 10% de plus de décès journaliers (300+30=330parjour).

Avec la fluctuation des faux morts, il est très possible qu’elle soit alors totalement statistiquement invisible.

Mais dès lors que la vaccination passera à une vaccination de masse pour une population en bonne santé, rien ne dit que le drame ne se produira pas. Nous constatons que le nombre de morts des 20 à 29 ans a doublé en France depuis début janvier.

Pour résumer la situation indienne:

  • Il y a une augmentation réelle de la mortalité.
  • Pour autant, l’Inde déplore officiellement deux fois moins de décès que la France.
  • Cette augmentation ne peut PAS s’expliquer par les fêtes religieuses ou une diminution des gestes barrières
  • L’accroissement du nombre de morts coïncide parfaitement avec la montée en puissance de la vaccination.
  • Étrangement, l’Inde a fortement diminué sa campagne de vaccination depuis 10 jours.
  • Des pays qui vaccinent avec des vaccins classiques comme le Brésil ou la Hongrie subissent ce même «hasard»de calendrier.
  • Les pays qui ont fait le choix de l’ARN messager ne semblent pas subir le problème. Soit parce que les thérapies géniques seraient moins dangereuses.

Soit parce qu’ils vaccinent essentiellement des personnes âgées à risque. Soit parce que les effets dévastateurs apparaîtront à plus long terme.

Soit parce que les autorités des pays concernés manipulent les données et camouflent les décès.

Alors que nous pouvions imaginer le contraire, se vacciner aujourd’hui avec un produit plus

« classique » semble pour le moins totalement déraisonnable.

Je vous rappelle qu’aucun vaccin contre des coronavirus n’a jamais fonctionné et que les essais de vaccins contre les coronavirus sur les animaux ont été dévastateurs.

Merci.

Alain Tortosa.

21 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210421-inde-cauchemar-ou-manipulation.pdf





Covid 19 : ceci n’est pas une crise !

[Source : Le Journal du Médecin.com (lejournaldumedecin.com)]

Par Dr Daniel Murillo et Caroline Watillon

(Le Dr Daniel Murillo, gynécologue dans un hôpital public et Caroline Watillon, militante de la société civile et professionnelle dans le secteur du social-santé, posent une série de questions qui fâchent…)

"Covid 19 : ceci n'est pas une crise !"
© belga

Partie 1 : notre santé est-elle une priorité ?

Quotidiennement les médias de masse déversent les chiffres macabres du Covid. Au 28 décembre 2020, un an après le début de l’épidémie, 1.829.800 décès ont été attribués au virus à l’échelle mondiale[1], pourtant aucun body count journalier pour les 2,8 millions de personnes qui décèdent d’obésité sur une année – l’OMS parle d’épidémie mondiale[2] ; les 7 millions de décès dus à La pollution atmosphérique[3] ; les 7 autres millions de faim et de malnutrition – David Beasley parle de pandémie à venir[4] ; ou des 8 millions de morts de l’industrie du tabac, dont 1,2 millions sont dus au tabagisme passif[5]. Pour ces risques, la fabrique de l’ignorance[6] a fait son travail et personne n’a jamais fermé les chaînes de malbouffes ou réglementé le contenu des cigarettes[7]. Alors, comment sont définies et évaluées les politiques en matière de santé ? Si 2 millions de morts ponctuels Covid justifient la mise en place de mesures qui limitent les droits et libertés, pourquoi les 8 millions de morts annuels du tabac restent sans réaction ? Cela suggère que c’est davantage le risque de saturation des services de santé, que les taux de mortalité, qui guident les politiques sanitaires. Et il est, certes, plus commode d’avoir un virus comme ennemi, que les grands groupes industriels, les habitudes de consommation ou la qualité de vie des personnes.

Pour les risques liés aux  » maladies de civilisations  » – cancers, diabète, maladies cardio-vasculaire, obésité, etc. – il n’y a pas d’investissement à la hauteur des enjeux. Pire, cela fait 30 ans que les politiques privatisent et sous-financent les soins de santé[8]. Alors que notre pyramide des âges est de plus en plus vieillissante et que l’espérance de vie ne cesse d’augmenter[9], les lits aigus ont été fermés par milliers[10] ; le travail des soignant.es minuté, officiellement pour être rentable, officieusement par la saturation des services ; les fonctions d’infirmières et d’aides-soignantes sont dévalorisées et sous-payées en regard des conditions de travail – la prise en charge des patients se veut la moins chère possible.

Ce désinvestissement dans la santé est d’autant plus dangereux que, sous couvert de croissance et des libertés individuelles – d’entreprendre et de consommer – nos modèles économiques impactent négativement notre santé à bien des égards, piétinent l’environnement naturel et favorisent l’émergence de maladies. En rejoignant le concept du One Health , la Belgique reconnaît pourtant que la bonne santé doit être humaine, animale et environnementale pour un meilleur contrôle des maladies à risque pandémique au sens large. Pourtant les politiques générales, en matière de santé ou de gestion de l’épidémie, ne répondent pas à la globalité de la situation.

Partie 2 : le confinement – une mesure temporaire et archaïque

En 2015, Anna Salvetti et Sylvain Baize lançaient déjà l’alerte :  » On observe depuis les dernières décennies une amplification de ces phénomènes – les zoonoses NDLR. […] Il ne reste qu’à souhaiter que les agences de financement nationales, européennes et internationales donneront les moyens aux chercheurs de relever ce défi, sans attendre qu’une nouvelle émergence défraie la chronique. « Face à cette menace prévisible, sans doute par mimétisme, notre pays nous a d’abord confinés. C’était sans compter qu’il n’allait pas construire des hôpitaux en 10 jours, réquisitionner l’armée, du personnel et du matériel médical, généraliser le testing ou mener une campagne de vaccination un rien rigoureuse [5,4 % de la population était complètement vaccinés au 12/4/2021] Depuis un an, alors que le confinement est une mesure par définition temporaire, c’est devenu l’une des principales politiques pour aplatir les courbes. À ce sujet, Jean-Loup Bonnamy, interviewé par Eddy Caekelberghs, critique une gestion trop émotionnelle et se demande comment des sociétés aussi développées en viennent à faire l’usage de cette méthode moyenâgeuse – cf. la gestion des épidémies de peste ou de choléra. Pendant ce temps-là, nos gouvernements continuent à fermer ou ouvrir les robinets de l’enseignement, de la culture, de l’HoReCa, des métiers de contacts et se justifient par un discours froid, statistique qui joue sur nos peurs et nos émotions. Si dans l’urgence on peut comprendre les restrictions des libertés individuelles et le lockdown économique pour prévenir les défaillances de notre système de soins, cette approche est inaudible quand elle reste la même après plus d’un an de présence du virus. En février 2021, Le Vif nous donne la facture Covid pour la Belgique, elle est sans appel : déjà 33 milliards d’euros[16] ! Ne serait-il pas temps d’investir dans des mesures pertinentes et pérennes ? Il existe des pistes alternatives sérieuses à étudier avant que la confiance avec les citoyen.nes ne soit définitivement rompue. À titre d’exemple, Jean-Loup Bonnamy et Renaud Girard, dans l’ouvrage Quand la psychose fait dérailler le monde, incitent les autorités à lever les mesures de confinement et à identifier et surprotéger les personnes à risques : testing 2x/semaine, distribution gratuite de FFP2, quarantaine des personnes contaminées, traitements précoces…[17] ; chez nous, Caroline Vandermeeren propose encore d’autres pistes[18] ; encore hier, trois experts remettent en cause la stratégie belge de gestion de crise et plaident pour une réouverture contrôlée de tous les secteurs[19]. La créativité ne serait-elle pas un meilleur ressort que la peur ?

Ceci n’est pas une crise mais le symptôme d’une société malade de son développement

Soulignons que les mesures Covid sont à l’avantage des grands acteurs de l’économie mondiale – à l’heure où la crise a jeté un million de français de plus dans la pauvreté[20], les milliardaires sont plus riches que jamais[21]. Par contre elles dictent nos vies dans un sens que nous n’aurions jamais imaginé accepter. Il y a un an dans une première carte blanche, nous nous disions prêts à nous confiner pour protéger les autres mais nous avons aussi questionné le gouvernement sur sa gestion à moyen et à long terme de la crise sanitaire[22]. Force-nous est de constater que nous en sommes aujourd’hui au même point, ne comptant que sur le providentiel vaccin pour sortir de l’impasse.

Partie 3 : vers quelle loi pandémie ?

Il n’est pas trop tard pour changer de cap, mais cela devient urgent à l’heure où nous nous enfonçons dans une crise de société profonde, teintée d’autoritarisme sanitaire. Aujourd’hui nous souhaitons éviter que cette gestion improvisée ne fasse jurisprudence après le vote d’une loi pandémie, aux demandes de cette pétition citoyenne, nous y ajoutons :

  1. Un travail d’évaluation indépendant des responsabilités des autorités dans la gestion liée au Covid et la publication de résultats. Le silence assourdissant de la commission spéciale Covid-19 du Parlement fédéral instaurée en septembre 2020 est indécent alors que la population est polarisée et seule responsabilisée ;
  2. Une gestion de la crise contrôlée par le Parlement[23] et la constitution d’un organe de concertation représentatif de la société civile pour la gestion de la crise ;
  3. Un bilan factuel des coûts humains, sociétaux et financiers des mesures depuis mars 2020 ;
  4. Un refinancement structurel, adapté et pérenne des soins de santé, aujourd’hui même les banques en appellent au refinancement[24] ;
  5. La revalorisation financière et statutaire des fonctions soignantes ;
  6. Comme pour d’autres secteurs[25], que nos élus – a minima nos ministres – soient formés à la gestion en temps de crise en prévention des autres grands défis qui nous attendent sur le plan du développement humain ;
  7. La prise en charge des questions de santé publique dans toute leur transversalité, y compris celle de notre écosystème, sur le long terme et non en fonction du temps de mandat – not in my term ;
  8. Une transparence des contrats européens avec les industries pharmaceutiques et une position en faveur de la levée des brevets vaccinaux[26] ;
  9. Une communication adaptée aux différents publics qui tienne compte des déterminants de la santé. Plutôt que l’infantilisation des populations[27], nous demandons une stratégie positive de santé publique basée sur la sensibilisation des citoyens comme acteurs de leur santé.

Ceci n’est pas une crise mais le symptôme d’une société malade de son développement.

C.W. et Dr D.M.

Références

[1] https://covid19.who.int/, page consultée le 4 avril 2021

[2] https://www.who.int/features/factfiles/obesity/fr/, page consultée le 4 avril 2021

[3] https://www.who.int/mediacentre/news/releases/2014/air-pollution/fr/, page consultée le 4 avril 2021

[4] https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/12/16/la-pandemie-de-covid-19-menace-de-declencher-une-autre-pandemie-celle-de-la-faim_6063532_3232.html, page consultée le 4 avril 2021

[5] https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/tobacco, page consultée le 4 avril 2021

[6] https://www.youtube.com/watch?v=6IGVqsnxCE0, page consultée le 5 avril 2021

[7] https://www.tabac-stop.net/composition.html, page consultée le 4 avril 2021

[8] https://www.cadtm.org/IMG/pdf/les_soins_de_sante_en_belgique___de_la_privatisation_a_la_socialisation___def.pdf, page consultée le 6 avril 2021

[9] https://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php?title=Population_structure_and_ageing/fr, page consultée le 6 avril 2021

[10] https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation, page consultée le 6 avril 2021

[11] En effet, depuis un siècle, au moins 70 % des maladies émergentes ou réémergentes graves sont presque toujours des maladies zoonotiques qui peuvent être favorisées par des déséquilibres écologiques et/ou climatiques – https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(10)70312-1/fulltext , page consultée le 6 avril 2021

[12] https://www.sciensano.be/fr/sujets-sante/one-health#qu-est-ce-que-one-health-, page consultée le 5 avril 2021

[13] https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/pdf/2015/13/medsci20153112p1055.pdf, page consultée le 6 avril 2021

[14] https://datastudio.google.com/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/hOMwB , page consultée le 4 avril 2021

[15] https://www.rtbf.be/auvio/detail_au-bout-du-jour?id=2741993, page consultée le 3 avril 2021

[16] https://www.levif.be/actualite/belgique/la-facture-corona-23-452-milliards-pour-le-federal/article-normal-1388169.html, page consultée le 4 avril 2021

[17] Bonnamy et Girard, Quand la psychose fait dérailler le monde, Collection Tracts (n° 21), Gallimard, 2020

[18] https://www.facebook.com/carovdm/posts/10164725897785058, page consultée le 13 avril 2021

[19] https://plus.lesoir.be/365823/article/2021-04-12/un-label-covid-safe-pour-sortir-du-yo-yo-des-fermetures, page consultée le 13 avril 2021

[20] https://www.rtbf.be/auvio/detail_au-bout-du-jour?id=2741993, page consultée le 13 avril 2021

[21] https://www.nouvelobs.com/economie/20210214.OBS40209/milliardaires-gafam-chine-ce-sont-eux-les-grands-gagnants-du-covid.html, page consultée le 6 avril 2021

[22] https://www.rtbf.be/info/opinions/detail_covid-19-confinement-de-la-population-oui-mais-encore-que-fait-le-gouvernement?id=10470757344 signataires dont 91 médecins, 20 membres du personnel hospitalier, 20 psychologues, page consultée le 3 avril 2021

[23] En novembre dernier, Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, prestigieuse revue médicale britannique, faisait le constat de notre échec :  » Ce système typiquement belge n’a rien donné de bon, il a échoué. Nous aurions pu éviter la plupart de ces 14 000 morts – en novembre 2020 ndlr. Des gens sont décédés à cause de l’organisation politique, il faut y réfléchir  » https://www.lalibre.be/belgique/societe/le-redacteur-en-chef-de-la-revue-the-lancet-pointe-du-doigt-la-belgique-beaucoup-des-14-000-morts-auraient-pu-etre-evitees-des-gens-sont-decedes-a-cause-de-l-organisation-politique-5fb3b3e27b50a6525b634066, page consultée le 3 avril 2021

[24] https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/la-crise-doit-amener-une-reforme-structurelle-du-financement-des-soins-de-sante/article-normal-1358975.html, page consultée le 5 avril 2021

[25] L’aviation, le secteur bancaire, les soins de santé, l’armée, etc. préparent leurs équipes en les soumettant à des simulations de crise et à des stress tests

[26] http://europe-health-network.net/spip.php?article323?=en&fbclid=IwAR07d-bS3yxX-iLO1o1Xu3DGOLpIlfNuQxezIGD33x50-m_tQBIgMtbrnxo, page consultée le 12 avril 2021

[27] https://www.rtbf.be/auvio/detail_la-plume-de-gunzig?id=2729523&utm, page consultée le 3 avril 2021




HEUREUX TEXANS ENFIN LIBRES !

Par Nicole Delépine

La dictature sanitaire imposée depuis un an est un dramatique échec

Depuis plus d’un an, nous subissons une politique totalitaire absurde appuyée par une propagande terrorisante diffusée par tous les médias. Plus de contacts sociaux, arrêt des activités scolaires, universitaires et sportives. Interdictions de travailler pour la plupart des professionnels du spectacle, de la restauration. Astreinte à domicile de la population saine, emprisonnement des pensionnaires d’EHPAD même vaccinés, masques obligatoires même pour les enfants, même à l’extérieur, même seul en forêt ou en montagne. Et ce pour suivre une prophétie apocalyptique, sans aucune justification scientifique basée sur des faits.

Vue d’Allemagne, la France est devenue l’Absurdistan

Un an de cette expérience sociale jusqu’ici inédite montre que la prophétie de Ferguson de l’Imperial College, conseiller de B. Johnson et de l’OMS, basée sur des hypothèses inexactes, était totalement fausse, surestimant les risques réels de la maladie par presque dix. Aucun des pays qui ont refusé d’appliquer le confinement aveugle qu’il proclamait indispensable n’a subi les décès annoncés ni vu ses hôpitaux débordés.(([1] L’Hôtel Dieu sur l’ile saint Louis à PARIS vient de fermer cent lits pour tourner un fil de JJ Annaud… Que dira Castex ce soir sur le manque de lits parisiens ?))

L’analyse rétrospective des données de l’OMS prouve que ces mesures liberticides ont été totalement inefficaces sur l’épidémie. La France se situe actuellement dans le top 6 des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants attribuées au Covid19 avec tous les autres grands pays européens qui ont appliqué cette politique de confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants). L’inefficacité de ces mesures liberticides est affirmée par toutes les études scientifiques publiées par des analystes indépendants des gouvernements qui les ont imposées et des élèves du prophète Ferguson. La comparaison avec l’évolution des pays qui ne les ont jamais appliquées comme la Suède, la Finlande, la Biélorussie qui pleurent beaucoup moins de victimes directes et collatérales que nous, est cruelle.

Conséquences dramatiques des confinements

De plus, la nocivité considérable de ces mesures est maintenant avérée avec de graves pertes de bien-être actuel et futur, dues au chômage, à la pauvreté, à l’insécurité alimentaire, à l’interruption des soins de santé préventifs, diagnostiques et thérapeutiques, à l’arrêt de l’éducation de la jeunesse, à la solitude et à la détérioration de la santé mentale et à la violence conjugale.

Ces dégâts dus au confinement sont aujourd’hui reconnus même par ceux qui en ont été les avocats comme l’expert canadien Anthony Furey(([2] Les méfaits du verrouillage sont 10 fois plus importants que les avantages
https://torontosun.com/opinion/columnists/canadian-experts-research-finds-lockdown-harms-are-10-times-greater-than-benefits/wcm/cc911cf4-fb29-4cb7-9f7e-3d39b368fb6f/amp/?)) et des membres du comité scientifique français (Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy) dans un court article au Lancet.(([3] Laetitia Atlani-Duau, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021))

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».

Leurs conclusions sont claires.

« Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».

Mais la majorité des politiques ne savent pas comment abandonner cette politique catastrophique de la peur sans perdre la face ?

Il faut en effet l’honnêteté des Scandinaves pour reconnaître comme Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique : « les résultats obtenus avec confinement ou sans confinement auraient été similaires ».

Soulignons encore l’honnêteté et le courage dont a fait preuve la Première ministre norvégienne Erna Solberg lors d’une allocution à la télévision norvégienne.

« Certaines, voire la plupart, des mesures sévères imposées, comme la fermeture des écoles, n’étaient peut-être pas nécessaires. J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur »

Il lui aurait été tellement plus facile de se glorifier d’une des plus basses mortalités européennes, attribuée au Covid19. Au 20/4/21 la Norvège compte 162 morts par millions d’habitants contre 1540 en France.

Mais reconnaître ses erreurs n’est pas une attitude habituelle de nos dirigeants

L’espoir de la sortie de crise par les vaccins s’évanouit avec les mutants

La prophétie de Ferguson prévoyait la fin du confinement avec l’arrivée d’un médicament nouveau (tel que le Remdesevir(([4] Dont l’usage pour le covid19 a été condamné depuis par l’OMS)) ) ou des vaccins. On peut même se demander si le seul but de ses colossales « erreurs » de prévision n’était pas de faire la promotion de médicaments nouveaux créant ainsi un marché mondial colossal.

Mais les vaccins, toujours expérimentaux (les premiers résultats définitifs sont espérés pour 2123), mis trop rapidement sur le marché, sont suivis de trop nombreuses complications observées même chez des personnes qui ne risquaient rien du Covid19 (les moins de 60 ans) et pour lesquelles la balance avantage risque est considérablement négative.

De plus, l’espoir de contrôler l’épidémie par les vaccins semble s’évanouir avec l’évasion immunitaire liée à l’apparition de mutants de plus en plus nombreux.(([5] Callaway E La variante COVID à propagation rapide peut échapper aux réponses immunitaires.
La nature. 2021 ; 589 : 500-501)) (([6] Hie B, Zhong ED, Berger B, Bryson B Apprendre le langage de l’évolution virale et de l’évasion.
La science. 2021 ; 371 : 284-288))

Au point que le comité scientifique le reconnaît à demi-mot :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin.  Cette évolution, associée à l’émergence de mutants d’échappement immunitaires, a été observée non seulement avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Une telle évolution pourrait être assistée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. L’arrivée rapide des variantes du SRAS-CoV-2 telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. »

« Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouvelles variantes émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

L’exemple de la recrudescence brutale de l’épidémie et du reconfinement récent de la population chilienne, pourtant la plus vaccinée d’Amérique latine, l’illustre clairement.

Pour retrouver sans risque nos libertés, laissons les médecins prescrire

Jamais dans l’histoire de notre pays des gouvernants n’avaient interdit aux médecins de traiter leurs malades. Ce gouvernement l’a fait ! Et cette décision sans précédent est vraisemblablement responsable de 30000 à 50000 morts de Covid19. L’Inde dont le système hospitalier est en plus mauvais état que le nôtre et qui compte le plus grand nombre de contaminés du monde a recommandé les traitements précoces par chloroquine dès avril 2020 et compte actuellement 12 fois moins de morts par millions d’habitants que nous.

Il est vrai que l’un des objectifs de santé publique de notre ministre de la Santé semble de mettre à l’écart des décisions médicales le corps médical, comme le confirme sa politique de vaccinodromes malgré l’échec de sa campagne H1N1.

Il faut oser revivre ! Suivons l’exemple du Texas

Rappelons les conclusions du rapport d’António Guterres, neuvième Secrétaire général des Nations Unies présenté le 23 avril 2020 soulignant comment les droits de l’homme peuvent et doivent guider la réponse et le rétablissement du COVID-19. Malheureusement ce rapport a été trop ignoré dans la pratique.

« Les gens — et leurs droits — doivent être au premier plan. Plus que jamais, les gouvernements doivent être transparents, réactifs et responsables. L’espace civique et la liberté de la presse sont essentiels. Les organisations de la société civile et le secteur privé ont un rôle essentiel à jouer. »

Les mesures liberticides qu’on nous impose inutilement et la propagande de la peur détruisent tout ce qui fait notre civilisation. L’homme est un animal social ; sans ces contacts nous perdons notre humanité. Osons revivre comme des hommes civilisés ; n’ayons plus peur de vivre. Redonnons espoir aux Français et tout particulièrement à notre jeunesse. Libérons-la. Libérons-nous.

Ces mesures prétendument sanitaires n’étaient pas nécessaires. La Suède, la Finlande, les Pays-Bas, la Biélorussie qui ne les ont pas imposées à leurs peuples ont une mortalité attribuée au Covid19 plus faible que la nôtre. Et les états qui s’en affranchissent ne voient pas l’épidémie revenir.

Contrairement aux « covidterroristes » qui prétendent sans preuve scientifique que l’obligation de port généralisé du masque est utile(([7] L’unique étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 « Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial » n’a pas pu mettre en évidence d’effet significatif protecteur du port du masque consultable à https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/m20-6817)) et qui comme Karine Lacombe affirme que sa suppression sera difficile : « ça, ce sera très compliqué, probablement pas avant 2022 », la suppression de cette obligation est sans risque et ne semble perdurer que pour alimenter la peur et la soumission.

Au Texas, le gouverneur Greg Abbott a supprimé l’obligation de port de masque, par décret le 2 mars 2021 et levé toutes les autres restrictions.

Le président Biden avait critiqué cette décision en la qualifiant de « pensée néandertalienne » et le directeur du CDC Fauci prévoyait que la mortalité allait exploser.

Pourtant la réouverture des écoles et universités, des commerces et des compétitions sportives au public ne s’est pas accompagnée de recrudescence de l’épidémie ! Au contraire, depuis la reprise d’une vie normale, la mortalité quotidienne attribuée au Covid19 diminue au Texas, alors que ce n’est pas toujours le cas dans les états qui vaccinent largement et maintiennent les restrictions de liberté !

Et ce n’est pas la vaccination qui a permis ce recul de la mortalité, car moins de 10% de la population du Texas est actuellement vaccinée.

Pendant ce temps, dans le Mississippi, qui a levé son obligation de port du masque le 3 mars, il y a eu une baisse de plus de 50% des cas suspects de Covid19.

En matière de santé aussi la démocratie est plus efficace que la dictature !

Suivons l’exemple de ces états américains. Libérons-nous !





Le GOUVERNEMENT SOMMÉ de s’EXPLIQUER sur ses ERREURS

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

SYNDICATS ET PROFESSIONNELS ATTAQUENT LE GOUVERNEMENT

Récemment, les professionnels se sont manifestés à travers le Collectif de Syndicats et Associations de Professionnels Européens (CSAPE).
Le CSAPE a construit un dossier juridiquement et scientifiquement très argumenté. Il démontre que la population est mise en danger par des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle. Est également souligné le fait que les populations du monde ont servi de cobayes aux expérimentations des laboratoires. Les gouvernements ont voulu les presser à n’importe quel prix dans l’espoir d’arrêter la pandémie très vite, ce qui, dans le cas de plusieurs pays – la France en tête – est un fiasco monumental puisqu’au bout de plus d’un an, on en est toujours au même point. De plus, le choix s’est porté de préférence sur des modificateurs de génome nouveaux et sans recul expérimental, technique dont les effets secondaires mal anticipés et méconnus commencent seulement à apparaître.

LA GRAVE ACCUSATION  DES PROFESSIONNELS

« La population est à l’évidence confrontée à une expérimentation généralisée, sur son intégrité physique et mentale, sans son consentement avisé en violation du droit international avec participation complaisante et active du gouvernement qui de surcroît abuse de mesures liberticides sur fond de situations anxiogènes répétitives, de manipulations par la peur en travestissant les faits, et de maltraitance par l’empêchement de la médecine d’Hippocrate.

Les dernières déclarations gouvernementales relatives à de prétendus « variants », (principe mutagène de tout type de corona), relèvent de la même stratégie de tromperie envers la population pour maintenir à des fins inavouables une urgence sanitaire dont la nécessité n’est délibérément pas démontrée.

Cette expérimentation généralisée sur une population maintenue dans l’ignorance par tromperie constitue un crime contre la dignité humaine et un crime contre l’humanité.

Elle vous (les membres du gouvernement) expose personnellement à des poursuites gravissimes, dont il ne saurait être fait état d’une quelconque immunité aussi bien pour le chef de l’Etat que pour son administration« .

C’est en résumé l’accusation portée par le CSAPE.

Le 3 mars, il a donné quinze jours au gouvernement pour se justifier par des documents, et non par des déclarations lénifiantes et larmoyantes, faute de quoi des plaintes seront déposées auprès d’organismes internationaux (ONU et Cour Pénale Internationale), européens (Cour Européenne des Droits de l’Homme et Cour Européenne de Justice), ainsi qu’en France, auprès de la Cour de Justice de la République (qui pourra mettre le président en accusation s’il n’est pas réélu en 2022).

La mise en demeure faite au gouvernement lui permettra de se justifier s’il peut prouver sa bonne foi et sa compétence dans le traitement de la pandémie, mais cela peut aussi se retourner contre lui car CSAPE a des arguments  bien documentés par des preuves écrites et des faits incontestables comme le bilan de la France en morts par million d’habitants, l’un des plus élevés au monde.

LE GOUVERNEMENT DOIT RÉPONDRE À DES QUESTIONS PRÉCISES :

  • A-t-il recherché les responsables français et leur niveau de responsabilité dans l’invention du virus ?
    L’étude des brevets pris par l’Institut Pasteur dès les années 2000 montre que l’on y travaillait sur le coronavirus qui a donné SARS puis Covid. Avaient-il à cette période en stage des chercheurs chinois qui auraient pu voler des souches, comme ils l’ont fait à l’Institut de Recherche de Winnipeg au Canada, pour créer le coronavirus MERS, cause de 800 morts en Arabie saoudite puis, véhiculé par des chameaux en Syrie ?
  • Seront-ils poursuivis en justice pour négligence ou corruption ?
  • Va-t-il poursuivre le Conseil scientifique où siègent une majorité de gens ayant des liens financiers avec les laboratoires industriels et qui ont donné de fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les libertés fondamentales ?
  • Va-t-il poursuivre l’OMS et l’Institut Pasteur pour fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les droits inaliénables et fondamentaux de la population ?
  • Va-t-il poursuivre tous les responsables à l’origine de ce crime en tant qu’expérimentation générale sur la population ?
    Le gouvernement est soupçonné d’avoir voulu expérimenter le degré de résistance de la population à des ordres stupides comme le port du masque en plein air, le confinement –inefficace comme l’a dit Macron au JDD-, ou la vaccination des bébés, et son acceptation pour mettre en circulation de pseudos vaccins contenant des nanoparticules métalliques  comme en ont Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Pour le moment, le résultat montre que les Français anesthésiés sont prêts à accepter n’importe quelle mesure totalitaire.
  • Va-t-il procéder à l’abrogation immédiate des contraintes liées au test RT-PCR ?
    Contraintes sociales et médicales alors que tous les pays asiatiques ont informé qu’ils étaient mal dosés en France (40% au lieu de 15%) et donc très imprécis. Exception faite de la Chine, qui fournit à la France les produits nécessaires à leur fabrication.
  • Va-t-il cesser d’imposer l’obligation du port du masque ?
    De nombreuses études ont démontré qu’il est totalement inutile en bord de mer, en montagne, en zones rurales excepté conversation rapprochée ; inutile en famille où les rapprochements sont inévitables et de toute façon, s’il y a des virus, tout le monde les porte déjà ; peu utile en général car aucun masque à l’exception des masques professionnels FFP3 n’est vraiment étanche (étude du M.I.T), les masques chirurgicaux n’étant faits que pour protéger le patient opéré des postillons du personnel médical.
  • La dernière question n’en est pas une. Nous demandons l’abrogation immédiate du couvre-feu et tout autre type de mesure de confinement qui ne sont en réalité qu’une mise en résidence surveillée spécifiquement restrictive des libertés.

Pour importer le document complet du CSAPE => CLIQUEZ ICI

Le CSAPE a envoyé cette mise en demeure le 2 mars par L.R.A.R. à Jean Castex, premier ministre. Il lui donnait quinze jours pour répondre et, à ma connaissance, il n’y a pas eu de réponse. Le gouvernement a donc choisi de faire la sourde oreille. Il fallait s’y attendre, il ne veut surtout pas que sa politique sanitaire absurde soit remise en cause et s’il tient bon un an, la présidentielle de 2022 réglera le problème.

LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ET EUROPÉENNES NE BOUGERONT PAS

Mais le CSAPE pourrait bien mettre sa menace à exécution : alerter l’ONU, la CPI, l’Europe etc.

Hélas, l’ONU est solidement verrouillée par Bill Gates. Il la finance, et la Chine la contrôle grâce aux pays qu’elle tient à la gorge par les prêts remboursables qu’elle leur a consenti et font qu’elle détient la majorité à l’ONU.

L’Europe ne réagira pas non plus, l’Europe et sa Commission de fonctionnaires est dominée par l’Allemagne d’Angela Merkel.  Sa consigne est « Suivons la Chine« .

Tous les pays qui ont suivi la Chine sont dans une situation aussi mauvaise que la France : la Belgique, l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, les USA…
Tous ces pays ont eu un taux de mortalité par million d’habitants supérieur à ceux qui ont en quelque sorte « laissé faire », comme les pays d’Afrique, l’Inde… Mais aussi la Suède et la Biélorussie où le confinement a été refusé et qui n’ont pas plus de morts que la moyenne de l’U.E. Il y a eu chez les Occidentaux un très net manque de réflexion intelligente et d’organisation à tous les niveaux, France, U.E, ONU.

D’autres pays s’y sont pris d’une façon beaucoup réfléchie que les Occidentaux : les pays d’Asie du Sud-Est comme le Vietnam, Singapour, Taïwan et plusieurs autres, qui ont un nombre de morts inférieur à mille quand nous dépassons les cent mille, et ce sans arrêter leur économie.

Finalement  la plainte du CSAPE, si elle n’aboutit pas, aura servi à alerter avec des arguments solides les Français sur la corruption de plus en plus voyante de leur administration et du gouvernement.

LA PRESSE EST DIVISÉE

Sur le reste, la presse est divisée. Yuval Noah Harari, historien israélien constate dans Le Courrier de l’UNESCO, que Covid est une épidémie des plus bénignes avec un taux de mortalité inférieur à 1 % (0,2 % en France) quand la grippe de 1918 a tué 10% de la population et la peste noire de 1347-1351 au minimum 25%.

CSAPE a raison de reprocher au gouvernement d’avoir surdramatisé Covid pour apeurer la population et en tirer profit en édictant des mesures liberticides qui renforcent son pouvoir d’oppression et de contrôle.

Mais aussi d’avoir donné à l’administration l’autorité sur des domaines où elle est totalement incompétente, voire nuisible quand elle n’est pas de surcroit vendue au secteur privé international (en Europe elle est classée au 15ème rang pour la corruption, pas rouge mais orangée). Elle a interdit des médicaments antiviraux efficaces pour privilégier les tests géniques expérimentaux baptisé à tort « vaccins », beaucoup plus chers et non validés par les essais de niveau 3 sur l’homme en principe obligatoires, les « vaccins » de Pfizer, Moderna et d’AstraZeneca. Leurs méfaits secondaires commencent seulement à se manifester et leur degré de nocivité réel ne pourra être connu que dans quelques années.

Un article de Valeurs Actuelles (le seul hebdomadaire libre parce que non subventionné) souligne qu’en interdisant aux médecins de prescrire des médicaments connus pour être efficaces contre les virus, et en obligeant à une vaccination aléatoire, l’administration et le gouvernement ont pris la responsabilité de dizaines de milliers de morts qui n’auraient pas dû être.

Et personne ne se soucie de ce que ces pseudos vaccins  contiennent des nanoparticules métalliques dont Bill Gates a dit qu’il suffira de les programmer pour prendre le contrôle des individus « vaccinés ». Comme voulait le faire la Chine pour compléter son arsenal de surveillance permanente de ses citoyens. Elle a, dans ce sens heureusement pour les Chinois, raté sa campagne de vaccination avec Sinovac. Non que Sinovac soit un mauvais vaccin, au contraire. Mais à vouloir donner ou vendre en priorité des vaccins à deux milliards Africains et à l’Inde (qui a les siens), plus 1,3 milliard de Chinois, le Parti communiste a vu trop grand et les usines n’arrivent pas à fournir.

(…)

L’Imprécateur
19 avril 2021




Le paradigme du confinement s’effondre

[Source : anguillesousroche.com]

Cela a pris beaucoup plus de temps que prévu, mais cela semble enfin se produire : le paradigme du confinement s’effondre. Les signes sont partout autour de nous.

L’ancien héros du confinement, le gouverneur de New York Andrew Cuomo, est maintenant profondément impopulaire et la plupart des électeurs veulent qu’il démissionne.

Pendant ce temps, les sondages ont commencé à favoriser Ron DeSantis, gouverneur de Floride et opposant au confinement, pour exercer une influence sur le GOP à l’avenir. Ce remarquable retournement de situation est dû à la prise de conscience que les confinements étaient une politique désastreuse. Ron DeSantis et la gouverneure Kristi Noem, également opposée au confinement, sont les premiers à dire la vérité sans détour. Leur honnêteté leur a permis de gagner en crédibilité.

Pendant ce temps, lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application.

Les adeptes du confinement sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Ce pays est totalement ouvert, sans aucune restriction, depuis 6 semaines. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a aucun rapport.

Ou vous pouvez regarder du côté de Taïwan, qui n’avait aucune contrainte pour ses 23,5 millions d’habitants. Décès dus au Covid-19 jusqu’à présent : 11. La Suède, qui est restée ouverte, a obtenu de meilleurs résultats que la plupart des pays européens.

Le problème est que la présence ou l’absence de fermetures face au virus ne semble absolument pas corrélée à la trajectoire de la maladie. L’AIER a rassemblé 33 études de cas dans le monde entier qui montrent que c’est vrai.

Pourquoi cela devrait-il avoir de l’importance ? Parce que les « scientifiques » qui ont recommandé les confinements ont affirmé de manière très précise et pointue qu’ils avaient trouvé le moyen de contrôler le virus et de minimiser les résultats négatifs. Nous savons avec certitude que les confinements imposés ont provoqué des dommages collatéraux étonnants. Ce que nous ne voyons pas, c’est une relation entre les mesures de confinement et les résultats de la maladie.

Ceci est dévastateur car les scientifiques qui ont poussé les confinements avaient fait des prédictions spécifiques et falsifiables. C’est probablement leur plus grande erreur. En faisant cela, ils ont mis en place un test de leur théorie. Leur théorie a échoué. C’est le genre de moment qui provoque l’effondrement d’un paradigme scientifique, comme l’explique Thomas Kuhn dans La structure des révolutions scientifiques (1962).

Un bon exemple d’une situation similaire pourrait être l’économie soviétique sous Nikita Khrouchtchev. Il est arrivé au pouvoir en promettant que l’économie de la Russie communiste serait plus performante que celle des États-Unis. C’était l’essence de sa célèbre promesse « Nous vous enterrerons ». Il voulait dire que la Russie surpasserait l’Amérique.

Cela ne s’est pas produit. Il a échoué et la théorie qu’il défendait a également échoué. Et c’est ainsi qu’a commencé la lente désagrégation de la théorie et de la pratique communistes. Khrouchtchev avait déjà répudié l’État de terreur stalinien, mais il n’a jamais eu l’intention de présider à la lente disparition de toute l’expérience soviétique de planification centrale. En mettant en place un test qui pourrait falsifier sa promesse, il a condamné un système entier à la répudiation intellectuelle et à l’effondrement final.

La théorie et la pratique du confinisme pourraient suivre le même chemin.

Dans sa reconstruction de l’histoire des sciences, Kuhn a soutenu que le progrès scientifique ne se produit pas de manière linéaire, mais plutôt de manière épisodique, au fur et à mesure que de nouvelles orthodoxies émergent, sont codifiées, puis s’effondrent sous le poids de trop nombreuses anomalies.

Le schéma est le suivant. La science normale est guidée par la résolution d’énigmes et l’expérimentation. Lorsqu’une théorie semble capturer la plupart des informations connues, une nouvelle orthodoxie émerge – un paradigme. Au fil du temps, trop de nouvelles informations semblent contredire ce que la théorie prédisait ou expliquait. C’est ainsi qu’apparaissent la crise et l’effondrement du paradigme. Nous entrons dans une ère pré-paradigmatique et le cycle recommence.

D’après ce que l’on sait, l’idée de se confiner face à un nouveau virus est apparue aux États-Unis et au Royaume-Uni vers 2005-2006. Elle a été lancée par un petit groupe de fanatiques en désaccord avec la santé publique traditionnelle. Ils pensaient pouvoir gérer un virus en dictant le comportement des gens : leur proximité, leurs déplacements, les événements auxquels ils assistaient, l’endroit où ils s’asseyaient et la durée de leur séjour. Ils ont mis en avant l’idée de fermetures et de restrictions, qu’ils ont qualifiées d’« interventions non pharmaceutiques » par le biais d’un « confinement stratifié ciblé ». Ce qu’ils proposaient était médiéval dans la pratique, mais avec un vernis d’informatique et d’épidémiologie.

Lorsque l’idée a été lancée, elle a été accueillie par une opposition féroce. Au fil du temps, le paradigme du confinement a progressé, grâce au financement de la Fondation Gates et à l’arrivée de nouvelles recrues dans les milieux universitaires et les bureaucraties de la santé publique. Des revues et des conférences ont vu le jour. Les directives au niveau national ont commencé à se réchauffer à l’idée de la fermeture des écoles et des entreprises et d’une invocation plus large du pouvoir de quarantaine. Cela a pris 10 ans, mais l’hérésie a fini par devenir une quasi-orthodoxie. Ils occupaient suffisamment de positions de pouvoir pour pouvoir tester leur théorie sur un nouvel agent pathogène apparu 15 ans après que l’idée de la quarantaine ait été lancée, tandis que l’épidémiologie traditionnelle était marginalisée, progressivement d’abord, puis d’un seul coup.

Kuhn explique comment une nouvelle orthodoxie remplace progressivement l’ancienne :

Lorsque, dans le développement d’une science naturelle, un individu ou un groupe produit pour la première fois une synthèse capable d’attirer la plupart des praticiens de la génération suivante, les anciennes écoles disparaissent progressivement. Leur disparition est en partie causée par la conversion de leurs membres au nouveau paradigme. Mais il y a toujours des hommes qui s’accrochent à l’un ou l’autre des anciens points de vue, et ils sont tout simplement exclus de la profession, qui ignore ensuite leurs travaux. Le nouveau paradigme implique une définition nouvelle et plus rigide du domaine. Ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas y adapter leur travail doivent procéder de manière isolée ou se rattacher à un autre groupe.

C’est une bonne description de la façon dont l’idéologie du confinement a triomphé. Il existe de nombreuses théories du complot sur les raisons des confinements. Beaucoup d’entre elles contiennent une part de vérité. Mais nous n’avons pas besoin d’y avoir recours pour comprendre pourquoi cela s’est produit. Cela s’est produit parce que les personnes qui y croyaient sont devenues dominantes dans le monde des idées, ou du moins suffisamment importantes pour passer outre et bannir les principes traditionnels de la santé publique. Les confinements étaient principalement motivés par l’idéologie du confinement. Les adeptes de cette étrange nouvelle idéologie ont grandi au point de pouvoir faire passer leur programme avant les principes éprouvés.

C’est une bénédiction de cette idéologie qu’elle soit venue avec une promesse intégrée. Selon eux, ils obtiendraient de meilleurs résultats que les pratiques traditionnelles de santé publique. Cette promesse finira par causer leur perte, pour une raison simple : elles n’ont pas fonctionné. Kuhn écrit que dans l’histoire de la science, c’est le prélude à une crise due à « l’échec persistant des énigmes de la science normale à se réaliser comme elles le devraient. L’échec des règles existantes est le prélude à la recherche de nouvelles règles. » Plus loin : « La signification des crises est l’indication qu’elles fournissent qu’une occasion de réoutillage est arrivée. »

La théorie de Kuhn sur le progrès scientifique correspond assez bien à la montée et à la chute du confinisme. Ils avaient une théorie qui convertissait de nombreuses personnes loin des principes traditionnels. Cette théorie était assortie d’un test. La théorie a échoué au test, ce qui devient de plus en plus évident chaque jour.

Le silence de Fauci lors des audiences du Congrès est révélateur. Sa volonté de n’être interviewé que par des présentateurs TV des médias grand public est également révélatrice. De nombreux autres adeptes du confinement qui se montraient publics et prétentieux il y a un an se sont tus, envoyant de moins en moins de tweets et des contenus de plus en plus subreptices plutôt que certains. La crise de la fausse science du confinisme n’est peut-être pas encore arrivée, mais elle est imminente.

Kuhn parle de la période post-crise de la science comme d’un moment où un nouveau paradigme émerge, d’abord naissant, puis devenant canonique au fil du temps. Qu’est-ce qui remplacera l’idéologie du confinement ? Nous pouvons espérer que ce sera la prise de conscience que les anciens principes de santé publique nous ont bien servi, tout comme les principes juridiques et moraux des droits de l’homme et des restrictions des pouvoirs du gouvernement.

Source : The American Institute for Economic Research – Traduit par Anguille sous roche




Hold-up sur les semences

[Source : GRAIN]

Par Alianza Biodiversidad & GRAIN

Sans les semences, il ne pourrait pas y avoir d’agriculture et nous ne jouirions pas de tout ce que cette dernière nous offre. Les peuples du monde l’ont compris depuis des milliers d’années. La protection et l’accès aux semences sont un entendement fondamental, qui dépasse les cultures, les idéologies, les religions et les façons de voir le monde.
L’idée que les semences doivent circuler librement est si profonde que la totalité des systèmes semenciers nationaux en vigueur jusqu’en 1960 ont été construits sur le principe que les semences stockées étaient disponibles pour quiconque en faisait la demande.

Le libre accès, l’utilisation, la protection et l’échange libres de semences sont ainsi devenus des piliers des identités culturelles, de l’expansion de l’agriculture dans le monde et de la capacité des peuples à garantir leur alimentation, leurs médicaments, leurs vêtements et le logement. Jusqu’à il y a encore cinquante ou soixante ans, toute tentative pour restreindre l’une de ces libertés aurait été considérée comme une aberration, une agression inacceptable, une violation des normes de base d’une coexistence civilisée.

Mais en 1961 est apparue une organisation intergouvernementale constituée de seulement 6 pays membres et siégeant à Genève, en Suisse : l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV). Cette organisation a émis un document sur la soi-disant « protection des obtentions » qui était en réalité une première tentative de privatisation des semences des variétés de plantes cultivées. Ce document était la version initiale de ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de Convention UPOV ; un petit groupe de gros producteurs présents au niveau international – de grosses firmes pour la plupart – s’y auto-attribuait la prérogative de faciliter l’appropriation des semences, empêchant le reste des gens et des communautés de les utiliser librement, et ce malgré le fait que leurs vies soient intimement liées à l’agriculture, qu’elles aient domestiqué les semences et les aient léguées à l’Humanité.
Depuis, l’UPOV œuvre exclusivement et explicitement à la privatisation des semences dans le monde entier en imposant ces droits de propriété intellectuelle sur les variétés végétales et en en attribuant le monopole aux entreprises. L’UPOV désigne ce mécanisme de privatisation par l’expression « droits d’obtenteur ».

L’UPOV est la plus claire expression de la guerre menée contre les paysans, et la résistance implique que les gens conservent leurs semences, les échangent et les multiplient au sein de leurs réseaux de confiance et en toute responsabilité.

Les textes rédigés par les bureaucrates de l’UPOV et par les représentants de l’industrie ressassent, dans toutes les réglementations et normes connexes relatives aux semences et aux « variétés végétales », un argumentaire où prévaut un seul et unique scénario : éradiquer l’agriculture indépendante, l’éroder ou la déshabiliter pour la soumettre à la volonté des gros agriculteurs et des firmes semencières et d’intrants. Les entreprises considèrent l’agriculture indépendante comme un adversaire indésirable. C’est pour cela qu’elles criminalisent les techniques et les pratiques des communautés paysannes.

Les paysannes et les paysans du monde entier comprennent ce qui est en jeu. Malgré tout leur pouvoir, les grandes firmes et les gouvernements puissants qui soutiennent les aberrations telles que l’UPOV n’ont pas la tâche facile. La résistance populaire surgit de toutes parts. Nous devons renforcer ces luttes.
La brochure suivante explique plus en détail de quoi nous parlons.

Lisez « UPOV, Hold-up sur les semences. Nous devons donc les défendre »

Cliquez ici pour regarder une courte animation expliquant comment l’UPOV tente de s’approprier et de privatiser les semences et pourquoi nous devons y résister.




Passé-Présent : La France ne se résume pas à la République

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Agrégé et docteur en histoire, Jean-François Chemain a professé auprès de jeunes issus de l’immigration auxquels il s’est donné pour mission de leur faire aimer la langue, l’histoire et le patrimoine de notre pays. Philippe Conrad lui propose de développer certaines réflexions contenues dans son dernier ouvrage à propos des notions de distanciation, ou au contraire d’amalgame, menées et entretenues par un grand nombre d’intellectuels à statut, entre les termes de République et de France.

« Non, la France ce n’est pas seulement la République » – par Jean-François Chemain – Ed. Artège – 2021 – 143 p.




Tucker Carlson, de Fox News, réagit aux OVNIS officialisés par le Pentagone

[Source : Quadrillage traduction]

https://youtu.be/b3558uMZRDQ



Changement climatique – Les hommes pris entre connaissance et croyance

[Source : www.kla.tv via cielvoile]

Le climat est-il aussi facile à influencer qu’on nous le présente sans cesse à travers la politique et les médias ?
Pour beaucoup de personnes, l’avis prémâché des lobbyistes est tout à fait suffisant, tandis que pour d’autres, ce sujet semble trop complexe pour qu’ils puissent le traiter eux-mêmes de manière approfondie.

Le Prof. Werner Kirstein, écrivain, climatologue et physicien expérimenté, étudie scientifiquement depuis plus de 40 ans comment évoluent les fluctuations climatiques régionales et mondiales.
Dans son nouveau livre « LE CHANGEMENT CLIMATIQUE – Réalité, Erreur ou Mensonge ? Les hommes pris entre connaissance et croyance », il explique d’une manière compréhensible pour tous, les faits concernant les « points principaux » du changement climatique. Il est démontré en particulier que le changement climatique est une réalité, que le changement climatique est une erreur et que le changement climatique est un mensonge.
Malgré ces contradictions évidentes, chacune de ces trois affirmations est vraie. Comment est-ce possible ? Dans son livre d’environ 200 pages, de lecture facile, Werner Kirstein répond à ces questions et à bien d’autres. Certains de ces « points principaux » sont mis en évidence dans ce documentaire.
À cette fin, certains extraits sont tirés directement du livre de Werner Kirstein ou sont reproduits avec ses propres mots, sous forme abrégée.

Le changement climatique est une réalité
Le climat de la Terre a toujours changé, ce qui signifie concrètement : Le changement climatique est une réalité, nous parlons de changement climatique naturel !
Les traces de changements ou de fluctuations climatiques sont recherchées depuis longtemps par les climatologues et les géologues et elles ont été prouvées, entre autres, par l’évaluation des cernes des arbres, l’analyse des sédiments et les modifications du relief de la surface terrestre.
Pendant l’alternance des périodes chaudes et froides, la concentration de CO2 dans l’atmosphère a également évolué avec un décalage dans le temps. La température a toujours augmenté en premier, suivie beaucoup plus tard par une augmentation de la concentration de CO2.
Les différences de température pouvaient atteindre 10°C. Par exemple, la température actuelle est inférieure d’environ 10 degrés à celle des périodes chaudes de l’histoire de la Terre ! De plus, la concentration de CO2 était souvent beaucoup plus élevée qu’aujourd’hui. Les changements de température ont toujours été basés sur des causes naturelles, telles que l’activité solaire et les paramètres orbitaux de la Terre, et l’homme n’a jamais été en aucune façon responsable des changements climatiques.

Le changement climatique est une erreur
En 1986, la Société allemande de physique a lancé un avertissement concernant une « catastrophe climatique mondiale imminente » sur la base d’une statistique erronée, la courbe de Mauna Loa. La courbe de Mauna Loa montre une corrélation trompeuse entre l’augmentation de la température et l’augmentation du CO2.
On a alors affirmé que la température de la Terre dépendait de la teneur en traces de gaz, comme le CO2, dans l’air. Les simulations informatiques et les calculs de modèles climatiques basés sur cette erreur fatale ont donc toujours prédit un réchauffement. De même, l’évolution du climat dans le passé ainsi que la dynamique du développement des nuages et des courants océaniques ne peuvent être correctement saisies dans les modèles climatiques. Cela a conduit à des prédictions complètement erronées.
Même le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a admis en 2001 : « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé. Par conséquent, les prévisions des tendances climatiques à plus long terme ne sont pas possibles. »

Le changement climatique est un mensonge
C’est ainsi que la menace politique du « réchauffement climatique » a pu se transformer en un monstre mensonger incroyablement grand, et que le Parlement européen a déclaré fin 2019 une « urgence climatique ».
Mais de plus en plus de scientifiques et même certains hommes politiques se détournent des déclarations apocalyptiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Il a été démontré que plusieurs études et courbes de température étaient mensongères et falsifiées.
Par exemple, le changement réel de température correspondant à la longue période chaude du 12e siècle a été aplani dans le graphique en crosse de hockey ce qui donne l’apparence d’un climat quasi stable de 800 ans, pour pouvoir attribuer ensuite l’augmentation de la température à partir de 1900 aux émissions de CO2 dues à l’industrialisation.
En dépit de ces mensonges reconnus, des fonds gouvernementaux sont alloués spécifiquement à cette recherche « politiquement prioritaire ». Le prétendu changement climatique dû à l’homme est devenu un credo qui vise à supprimer la vérité par tous les moyens.

Météo n’est pas synonyme de climat
Il y a plus de cent ans, la climatologie a convenu d’évaluer les événements et les paramètres météorologiques enregistrés sur une période d’au moins trente ans dans le but de faire des déclarations sur le climat. Le climat n’est en fait rien de plus qu’une gigantesque collection de données météorologiques du passé ; par conséquent, le climat ne peut être protégé. Le climat peut seulement être observé sur le long terme et à grande échelle.
Les météorologues payés par l’État dans les médias de masse interprètent même certains jours chauds et secs comme des conditions météorologiques extrêmes et comme la preuve qu’une catastrophe climatique est déjà présente. Cependant, ce ne sont que les phénomènes météorologiques temporaires et locaux qui sont présentés aux citoyens comme une catastrophe climatique.
Les termes météo et climat sont-ils délibérément brouillés par les politiciens et les médias pour confondre et tromper le public ?
Un peuple qui a peur de l’avenir peut être beaucoup plus facilement convaincu des « objectifs climatiques » et accepter plus aisément les contributions climatiques et les nouvelles augmentations de prix.
Les climatologues de l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact du climat (PIK) aiment également utiliser la confusion entre la météo et le climat pour semer la panique. Est-ce l’argent que rapporte l’alarmisme climatique qui est au premier plan pour ces chercheurs en climatologie ?

Le rôle du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été fondé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). L’ancien chancelier allemand Helmut Schmidt a exprimé sa méfiance à l’égard du GIEC en 2011, lors de son discours sur le réchauffement climatique à Berlin : « Les documents livrés jusqu’à présent par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) suscitent le scepticisme, d’autant que certains des chercheurs impliqués se sont révélés être des fraudeurs. »

Sur les 2 500 experts initiaux du GIEC, il n’en restait que 5 qui soutenaient l’hypothèse d’un changement climatique d’origine humaine.

Néanmoins, les politiciens qui façonnent aujourd’hui le GIEC font aveuglément confiance aux modèles climatiques purement hypothétiques et à la pensée idéologique. Ce n’est qu’au début des années 1990 que le GIEC comptait réellement des experts en climatologie. La question est de savoir pourquoi ce travail est si peu scientifique et si propagandiste. Les intérêts financiers sont de plus en plus évidents dans ce mythe de la catastrophe climatique provoquée par l’homme, comme le confirment ceux qui connaissent bien le sujet.

Parmi les profiteurs de ces sommes astronomiques figurent des particuliers tels que Al Gore, l’ancien vice-président des États-Unis, Warren Buffet, Elon Musk, qui a reçu 1,5 milliard de dollars de l’argent des contribuables, Vinod Khosla et James Cameron. Mais les groupes de recherche et les instituts qui reçoivent des fonds, ainsi que des industries et des banques, comme la Banque mondiale, profitent également de ce mythe.

L’aveu d’un alarmiste

On peut voir de manière impressionnante comment un climato-croyant est passé de Saul à Paul à la suite d’une « expérience de Damas » avec l’exemple de James Lovelock, qui explique dans une interview qu’il s’est trompé dans ses prévisions alarmistes. Il a réfléchi plus attentivement aux modèles climatiques sur la base desquels la catastrophe climatique était prédite.

Ces modèles climatiques, dit Lovelock, ne le convainquent plus.
« Le problème c’est que nous en savons encore beaucoup trop peu sur le climat. Il y a seulement 20 ans, nous pensions avoir tout sous contrôle. Cela a ensuite donné lieu à des livres alarmistes, dont le mien, car cela semblait très clair. Mais ça ne s’est pas produit. Le climat suit son cours habituel. En fait, rien d’extraordinaire n’est arrivé. Nous avions supposé qu’aujourd’hui nous devrions être à mi-chemin d’un monde surchauffé. Toutefois, le monde s’est à peine réchauffé depuis le début du millénaire. […] La température est restée presque constante alors qu’elle aurait dû augmenter. Pourtant, les niveaux de dioxyde de carbone ont continué à augmenter au cours de la même période, cela ne fait aucun doute. »

Changement climatique : croyance contre connaissance
Le travail de Werner Kirstein illustre comment l’homme est pris entre « croyance » et « connaissance ». En voici trois exemples :

  1. Croyance : Les anciennes photos montrent de vastes glaciers alpins, alors que les photos plus récentes montrent en comparaison des glaciers en recul. Un signal d’alarme de l’approche d’une catastrophe climatique ?
    Connaissance : On a pu prouver au moyen de restes d’arbres et de plantes dans des zones aujourd’hui libres de glaciers que les glaciers n’existaient pas à cet endroit dans des temps plus anciens. Ces preuves permettent de conclure que pendant 65 % des 10 000 dernières années, les glaciers alpins étaient plus petits et les températures plus élevées, sans intervention humaine !
  2. Croyance : La population d’ours polaires est gravement menacée par le réchauffement climatique causé par l’homme.
    Connaissance : Les ours polaires sont présents dans l’océan Arctique depuis 600 000 ans. Cela signifie qu’ils ont survécu à toutes les périodes chaudes (entre les périodes glaciaires). Pendant les périodes plus chaudes, ils mangent également de l’herbe, des buissons et des baies et sont donc considérés comme des chasseurs intelligents. Depuis que le gouvernement canadien a interdit de les chasser, leur nombre est passé d’environ 5 000 à 25 000.
  3. Croyance : La glace aux pôles fond de façon ininterrompue. La célèbre plate-forme glaciaire Larsen B a perdu les trois quarts de sa masse de glace. Ce n’est qu’une question de temps avant que l’Arctique et l’Antarctique ne soient complètement libres de glace.
    Connaissance : On sait depuis quelques décennies que les températures de l’Arctique et de l’Antarctique présentent des fluctuations opposées. Cela signifie que pendant que les températures au pôle Sud baissent, elles augmentent simultanément au pôle Nord. Ce phénomène est également appelé « oscillation bipolaire » du couplage Arctique-Antarctique.

Il s’avère qu’un examen plus approfondi peut donner une image différente d’une situation.

Dans le débat actuel sur le climat, en revanche, la persuasion émotionnelle semble être plus importante, même si elle contredit les connaissances factuelles.
Qu’est-ce que le nihilisme écologique ?
Le nihilisme, selon Albert Camus, écrivain, philosophe français et lauréat du prix Nobel de littérature, ne signifie pas « ne croire en rien », mais signifie « ne pas croire en ce qui existe ». Souvent, les nihilistes se donnent à fond pour réaliser quelque chose de prétendument bon, mais ne prêtent aucune attention aux conséquences.
Celles-ci peuvent être graves et contreviennent totalement aux principes de la pensée scientifique et logique. Le nihilisme accepte, dans un but prétendument bon, la violation de la dignité humaine.
Une volonté obstinée et très exagérée de sauver l’environnement est au premier plan de la philosophie de vie du nihilisme écologique. Il s’agit d’une idéologie parfois caractérisée par un nihilisme écologique impitoyable.
Edgar Gärtner, auteur du livre « Le nihilisme écologique : une critique de l’écologie politique », n’est pas le seul à considérer la protection du climat comme la forme de nihilisme la plus dangereuse actuellement.

Gärtner : « Qu’est-ce que le nihilisme écologique ? Le suicide économique par petits bouts, car on mise tout sur une seule carte sans penser aux frais. »

La « politique climatique » accepte, sans y réfléchir, la famine avec l’augmentation (intentionnelle) du prix des sources d’énergie et de la nourriture, afin de protéger son édifice statistique.
La « protection du climat », en limitant les émissions de CO2, à l’aide d’énergies « renouvelables », est une notion stupide qui n’a pas été mûrement réfléchie. L’énergie solaire et l’énergie éolienne ne sont pas gratuites, les coûts de mise en œuvre technique sont extrêmement élevés et elles sont tout sauf neutres en termes de CO2.

Démanteler la démocratie par l’urgence climatique
L’UE a déjà déclaré l’urgence climatique depuis un certain temps et de nombreuses villes allemandes sont déjà dans état antidémocratique. Avec le droit d’urgence, les opposants politiques doivent être éliminés. Ce ne sont plus les meilleurs arguments qui doivent prévaloir, mais l’orientation idéologique.
Mais ces exigences extrêmes recèlent un énorme potentiel de conflits sociaux et économiques. Les inquiétudes concernant le concept d’état d’urgence sont plus que justifiées, car cela peut ouvrir la porte à la remise en question de l’état de droit.

Le Manifeste pour le climat
Au début de l’année 2020, l’association « Die Bayrische WerteUnion » a publié un Manifeste pour le climat.
Voici les principales déclarations en bref :

  1. Le soleil contrôle notre climat, pas le CO2.
  2. Les mesures de protection du climat, comme la transition énergétique qui a échoué, sont une aberration politique.
  3. L’Allemagne a besoin d’un approvisionnement énergétique stable et abordable.

Ces points sont développés plus en détail dans le Manifeste pour le climat 2020. Entre autres, l’association rejette fermement le « Pacte vert » et le prix carbone inclus dans le « Paquet climat-énergie du gouvernement fédéral ».
Le Manifeste pour le climat exige la fin du mythe climatique et une offensive éducative sur le thème « climat, cycles solaires et dioxyde de carbone ». Pour en savoir plus, consultez le Manifeste 2020 sur le climat de l’association « Die Bayrische WerteUnion ».
Ce n’est qu’avec les peurs et l’alarmisme que la politique peut rendre les gens obéissants et dociles.
La menace d’une catastrophe climatique en est actuellement l’instrument.
Mais, alors que la nouvelle petite ère glaciaire ne pourra plus être niée dans quelques années, on ne peut donner qu’une seule réponse aux « climatologues », aux politiciens du réchauffement climatique et aux journalistes de la propagande climatique : « Celui qui appelle dans la forêt doit aussi supporter l’écho, même si celui-ci est alors tout à fait différent. »
Prof. Werner

de w.i.e.



Sources / Liens :

Livre de Prof. Dr. Werner Kirstein: „KLIMAWANDEL – Realität, Irrtum oder Lüge? Menschen zwischen Wissen und Glauben“

https://konservativer-aufbruch.bayern/




Quel jeu joue la Russie dans le Great Reset ? *

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où la confrontation entre l’État profond américain et la Russie de Poutine s’avère de plus en plus probable très prochainement dans le marais ukrainien, il s’avère judicieux de se pencher sur l’alliance contre nature à la tête de l’événement Cyber Polygone consacré à la cybersécurité qui a réuni en juillet 2020 le Premier ministre russe, Mikhael Mishustin, spécialisé en ingénierie des systèmes, et le patron du Forum Économique Mondial (FEM), l’économiste Klaus Schwab, événement dans lequel les intervenants ont mis en garde contre une « pandémie » de cyberattaques mortelles qui cibleraient principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance.(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/))

Comment interpréter une telle alliance entre le représentant le plus caricatural de la domination mondialiste et l’ennemi juré des intérêts impériaux de l’Occident, à deux doigts d’une guerre USA-Russie qui pourrait entraîner toute l’Europe dans un déluge de feu ?

Pour tenter de comprendre ce qui peut apparaître au premier abord comme un pari insensé, on reprendra l’article de « Newswars »(([2] newswars.com/cyber-polygon-2021-globalists-run-simulation-of-a-coming-cyber-pandemic-to-prepare-for-economic-reset/)) dont voici la traduction ci-dessous, que l’on commentera.

« Les mondialistes préparent le terrain pour la Grande Réinitialisation avec une prochaine simulation très médiatisée ciblant les cyberattaques contre les principales institutions financières.

Le Forum Économique Mondial (FEM) fera équipe avec le gouvernement russe et les banques mondiales en juillet prochain pour simuler une « cyberpandémie » majeure de la chaîne d’approvisionnement qui pourrait potentiellement « faire tomber tout le système ».

La simulation, appelée Cyber Polygone 2021, a été annoncée par la plus grande banque publique russe, Sberbank, en février.(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS))

« Le message clé exprimé par les experts lors du FEM et d’autres plateformes internationales est que la sécurité de la chaîne d’approvisionnement va devenir un problème majeur de cybersécurité en 2021 », a déclaré Sberbank. « La numérisation en constante expansion resserre l’interconnectivité entre les personnes, les appareils, les entreprises et les pays. Ainsi, la résilience d’un système entier dépend de la capacité de chaque maillon de la chaîne à résister à des menaces de différents grades. »

Le site web(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/)) prévient sinistrement « qu’un seul maillon vulnérable suffit à faire s’effondrer l’ensemble du système, tout comme l’effet domino », ajoutant que « le Cyber Polygone 2021 permettra aux spectateurs et aux participants d’améliorer leur cyberculture, de renforcer la résilience de leurs organisations et d’apprendre à repousser les cybermenaces à tous les niveaux. »

Le Cyber Polygone 2021 est la suite annuelle de l’événement Cyber Polygone 2020 de l’année dernière, auquel participait le Premier ministre russe Mikhail Mishustin, et des participants comme le fondateur du FEM Klaus Schwab, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et une vingtaine d’autres membres de l’élite politique.

120 organisations réparties dans vingt-neuf pays ont pris part à deux scénarios, Défense et Réponse, qui ont été simulés au Cyber Polygone 2020. Selon le groupe russe de cybersécurité BI.ZONE, pas moins de cinq millions de personnes auraient regardé le livestream dans plus de 57 pays.

L’un des intervenants était notamment Stéphane Duguin, PDG de l’Institut CyberPeace, qui est financé par Microsoft, Facebook et Mastercard, entre autres. L’institut prétend aider les clients à

« accroître la résilience numérique et la capacité à répondre aux cyberattaques et à s’en remettre. »

Schwab, en particulier, est un grand partisan de la Grande Réinitialisation,(([4] https://weforum.org/great-reset/)) une transition coordonnée par les mondialistes vers une économie mondiale de la Quatrième Révolution Industrielle dans laquelle les travailleurs humains deviennent de moins en moins pertinents à mesure que l’économie mondiale s’automatise.

Mais la Grande Réinitialisation ne pourra se réaliser qu’après l’effondrement total du système corrompu actuel.

L’exercice du Cyber Polygone présente des similitudes remarquables avec l’Event 201,(([5] centerforhealthsecurity.org/event201/about)) (([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) un exercice soutenu par le FEM et Bill Gates qui simulait une pandémie dévastatrice de coronavirus perturbant l’ensemble de l’économie mondiale, lancé quelques mois avant l’épidémie de COVID-19 qui s’est déroulée exactement comme prévu par l’exercice.

Et, à l’instar d’Event 201, certains se demandent si Cyber Polygone n’est pas censé avoir une qualité prédictive similaire concernant l’effondrement de l’économie mondiale.

Certains diront qu’une « cyberpandémie » est une conséquence inévitable de l’évolution rapide du monde hi-tech dans lequel nous vivons, mais il est tout de même juste de souligner que « 2021 est l’année que beaucoup ont prédite pour la destruction financière des grandes institutions qui conduira à de nouveaux systèmes économiques qui s’alignent sur la Grande Réinitialisation », a rapporté Unlimited Hangout.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

« L’effondrement inévitable du système bancaire mondial, résultant de la corruption et de la fraude hors normes qui sévissent depuis des décennies, sera probablement mené par le biais d’un effondrement contrôlé, qui permettrait aux riches banquiers et élites, comme ceux qui ont participé au Cyber Polygone, d’éviter toute responsabilité pour leur pillage économique et leurs activités criminelles. »

De plus, l’establishment de Washington, qui n’a cessé d’accuser la Russie d’avoir « piraté » l’année 2016, (l’élection de Donald Trump ndlr) ne semblait pas voir de problème à laisser le gouvernement russe sonder les infrastructures de cybersécurité du monde entier à la recherche de faiblesses.

« L’absence totale du récit du ‘pirate russe’ au Cyber Polygone ainsi que le rôle de leader de la Russie lors de l’événement suggèrent, soit qu’un changement géopolitique a eu lieu, soit que le récit du pirate russe communément déployé par les agences de renseignement aux États-Unis et en Europe est principalement destiné au grand public et non aux figures d’élite et aux décideurs politiques présents au Cyber Polygone », rapporte Unlimited Hangout.

Ce n’est pas une coïncidence si les mondialistes lancent ces simulations qui s’alignent sur leurs objectifs radicaux de transformation de la vie publique.

« Lorsque les personnes les plus puissantes du monde, comme les membres du FEM, souhaitent procéder à des changements radicaux, des crises émergent opportunément — qu’il s’agisse d’une guerre, d’un fléau ou d’un effondrement économique — qui permettent une « réinitialisation » du système, qui s’accompagne fréquemment d’un transfert massif de richesses vers le haut. »

Le moins qu’on puisse dire est que ce texte appelle plusieurs commentaires.

Tout d’abord, comme le rappelle judicieusement l’article de Newswars, l’événement Cyber Polygone dont les Russes sont doublement partie prenante dans son organisation avec la première banque publique russe Sberbank(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS)) et le Premier ministre russe Mikhael Mishustin, n’aurait-il pas un caractère prédictif, à l’instar de l’Event 201, répétition générale de la pandémie du Covid-19, prélude à son déclenchement et à l’effondrement de l’économie mondiale un an après ?

Quand on sait que le Cyber Polygone a prévu de simuler en juillet 2021 une cyberattaque mondiale entraînant un black-out total des populations avec plus d’électricité, plus d’approvisionnement, plus d’hôpitaux, plus de transports, on est en droit de se poser légitimement la question de savoir quel rôle jouent les Russes dans cette affaire ?

D’autant plus que comme chacun sait, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais été aussi vives depuis la guerre froide, avec le sort de l’Ukraine en ligne de mire.

Quel est alors l’intérêt de la Russie de s’associer au FEM de Klaus Schwab, mais aussi à des entreprises américaines comme IBM ou encore l’ONG californienne ICANN ? Même chose pour Interpol, la BBC ou Tony Blair qui sont tous partie prenante de cet événement et par là même des défenseurs acharnés de la suprématie occidentale ?

À moins d’être un cheval de Troie, on voit mal comment la participation de la Russie au Cyber Polygone peut se justifier uniquement par la lutte contre la cybercriminalité.

Le véritable motif de la participation russe à l’organisation de l’événement Cyber Polygone ne serait-il pas tout autre ? Ne serait-ce pas plutôt une motivation financière ?

Selon Unimited Hangout,(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) « Les nouveaux systèmes économiques basés sur la numérisation, en partenariat avec les banques centrales ou gérés par elles, sont un élément clé de la Grande Réinitialisation du FEM, et de tels systèmes seraient une partie de la réponse au contrôle des masses de chômeurs récents. Ces monopoles numériques, et pas seulement les services financiers, permettraient à ceux qui les contrôlent de « couper » les rentrées d’argent d’une personne et son accès aux services si cette personne ne respecte pas certaines lois, mandats et règlements. »

On comprend déjà mieux l’intérêt de la Sberbank de participer à une telle opération. Cela suppose donc que la Banque Nationale russe, et donc l’État russe soient partie prenante dans la numérisation programmée des monnaies. Auquel cas, ils semblent, eux aussi, en assumer les conséquences, même les moins avouables.

Car la Sberbank a en ligne de mire le lancement de sa propre cryptomonnaie, le Sbercoin, un

« stablecoin » lié au rouble russe et son « écosystème » de finance numérique qu’elle a annoncé quelques semaines seulement après l’exercice Cyber Polygone 2020. Elle deviendrait ainsi la première banque au monde à lancer sa propre cryptomonnaie.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

Pour bien comprendre la portée autoréalisatrice des scénarios catastrophes du Forum économique mondial (FEM), il faut revenir sur le discours de « bienvenue » de son président fondateur Klaus Schwab lors de l’exercice Cyber Polygone de 2020 :

« Nous connaissons tous, mais n’y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui mettrait complètement à l’arrêt l’approvisionnement en électricité, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Nous devons nous demander dans une telle situation, comment nous avons pu laisser cela se produire alors que nous avions toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque à risque. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’agenda mondial. »

On voit ainsi clairement où Klaus Schwab veut en venir. En d’autres termes : sans traçage de la population mondiale via les vaccins, pas de cybersécurité possible. Et donc, encore une fois, le caractère autoréalisateur de cette menace s’avère d’autant plus probable qu’il fait suite à l’Event 201 qui a simulé une pandémie mondiale quelques mois avant la « pandémie » du Covid-19. Ainsi, Klaus Schwab lors de l’Event 201 ne déclarait-il pas dans sa documentation officielle(([4] https://weforum.org/great-reset/)) :

« La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vie humaines, mais pourrait avoir des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à un effondrement et à la souffrance des populations au niveau mondial. »

Il faut avoir donc à l’esprit que c’est en parfaite conscience que l’oligarchie mondialiste du Forum de Davos a planifié, déclenché et organisé la « pandémie » du Covid-19 avec la parfaite connaissance des dégâts majeurs qu’elle provoquerait au niveau économique et sociétal ainsi qu’en termes de pertes de vies humaines.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la participation de la Russie aux événements du Cyber Polygone 2020 et 2021 pour lutter contre les « pandémies » dans le cadre du partenariat public-privé cher au Forum de Davos, promoteur de la fusion de ces deux secteurs.

Revenons maintenant à cette alliance contre nature de la Russie via sa banque publique Sberbank et le Forum Économique Mondial au sein du Cyber Polygone.

En 2020, y participait aussi IBM. Rappelons ici que les relations entre IBM et la CIA sont un secret de polichinelle, celles-ci remontant au début de la Guerre froide.(([7] wraltechwire.com/2020/11/23/ibm-lands-a-cloud-deal-with-cia-as-part-of-reported-multi-billion-dollar-contract/)) Ainsi, l’entreprise s’est tellement enracinée dans la CIA que celle-ci a récemment recruté son directeur de l’information chez IBM Federal.(([8] govconwire.com/2019/03/ibms-juliane-gallina-to-serve-as-chief-information-officer-at-cia-in-april/))

Quand on pointe les accusations répétées de l’establishment américain contre les hackers russes dans les élections américaines depuis plusieurs années, et aujourd’hui l’atmosphère de nouvelle guerre froide en Ukraine qui se réchauffe de plus en plus, cette collaboration américano-russe au sein du Cyber Polygone ne laisse pas d’étonner.

À gauche : la salle de commandement stratégique de Docteur Folamour.
À droite : la salle de commandement stratégique du Cyber Polygone.

Au final, que peut-on en conclure ?

Si l’on en croit Unlimitedhangout(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)), « l’inclusion de la Russie en tant que leader dans une initiative mondiale de cybersécurité aussi importante est un peu surprenante, surtout après que la Russie ait été le bouc émissaire de choix pour toute cyberattaque commise contre une puissance occidentale depuis plusieurs années. Pourtant, il n’y a pas eu de tollé en Occident à propos de Cyber Polygone 2020, dans lequel une société détenue majoritairement par le gouvernement russe a pu prendre directement connaissance des faiblesses en matière de cyberdéfense des grandes institutions, banques et entreprises mondiales accueillant l’exercice. »

Selon Unlimitedhangout, « la participation de Tony Blair à cet exercice a peut-être pour but de faciliter le soutien des gouvernements occidentaux alignés sur le FEM en faveur d’une inclusion encore plus grande de la Russie dans le Great Reset. Cela est dû en partie à l’effort du FEM pour amener les nations des BRICS comme la Chine ou la Russie dans le giron du Great Reset, car c’est essentiel pour le succès de leur programme à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, la Russie est le pionnier de ce nouveau modèle de systèmes financiers nationaux que le FEM soutient par la création par la Sberbank d’un monopole numérique non seulement des services financiers, mais de tous les services au sein de la Fédération de Russie. »

« Peu après le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, Schwab a fait remarquer que la crise pandémique était exactement ce qu’il fallait pour lancer le Great Reset car elle a servi de catalyseur pratique pour commencer à remanier les économies, la gouvernance et la société sociale à l’échelle mondiale. Si les événements déstabilisateurs simulés à Cyber Polygone se produisent, il est probable que le FEM s’en félicitera également, étant donné qu’une défaillance critique du système financier mondial actuel permettrait l’introduction de nouveaux monopoles public-privé de type « écosystème numérique », comme ceux que la Sberbank est en train de mettre en place en Russie. »

« Fin 2019, quelques mois avant le début de la crise du Covid-19, le PDG de la Deutsche Bank a averti que les banques centrales ne disposaient plus d’outils pouvant répondre de manière adéquate à la prochaine crise économique. Il est certainement révélateur que des systèmes bancaires entièrement nouveaux, tels que le monopole monétaire numérique de la Sberbank, qui sera bientôt lancé, aient commencé à être développés au moment même où l’on commençait à reconnaître publiquement que les moyens traditionnels des banques centrales pour répondre aux calamités économiques n’étaient plus viables. »

« Une cyberattaque majeure, telle que celle simulée à Cyber Polygone 2020, permettrait de blâmer les pirates informatiques sans visage pour l’effondrement de l’économie, exonérant ainsi les véritables criminels financiers de toute responsabilité. De plus, en raison de la nature difficile des enquêtes sur les piratages et de la capacité des agences de renseignement à faire porter le chapeau aux autres États-nations pour les piratages qu’ils ont eux-mêmes commis, tout croque-mitaine de choix peut être blâmé, qu’il s’agisse d’un groupe de « terroristes intérieurs » ou d’un pays non aligné sur le FEM comme l’Iran ou la Corée du Nord », conclut Unlimitedhangout.

Tout cela suppose que la Russie soit entièrement d’accord avec le récit officiel sur le coronavirus et la cyberpandémie prétendument imminente. Mais qu’en sera-t-il avec le Cyber polygone planifié pour juillet 2021 ? À l’heure où la confrontation Russie-USA ne tient plus qu’à une étincelle en Ukraine, la participation russe via la Sberbank et le Premier ministre Mikhael Mishustin est-elle encore sérieusement envisagée ?

Dans un monde où les armes hypersoniques et les missiles intercontinentaux des grandes puissances pourraient provoquer le seul véritable Great Reset, la finalité du Cyber Polygone ne devrait-elle pas avant tout s’appliquer à ceux qui l’ont organisé ?

« Aujourd’hui, chaque habitant de cette planète doit envisager le jour où elle ne sera plus vivable. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant vit sous le coup d’une épée de Damoclès atomique, suspendue par le plus fin des fils, susceptible d’être coupé à n’importe quel moment. Par accident, erreur ou folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu’elles nous abolissent. »

John Fitzgerald Kennedy, discours à l’Assemblée Générale des Nations Unies, 25 septembre 1961

Y a-t-il encore un chef d’État pour relever le défi ?


* Grande réinitialisation




La martingale de Bill Gates dévoilée

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Chacun sait comment Bill Gates est devenu richissime avec les logiciels. Le milliardaire met à présent en œuvre la même méthode avec les vaccins. On ne change pas une méthode qui gagne. Une deuxième fortune assurée pour celui qui s’est autoproclamé « philanthrope ».

Premier truc : avoir un bon avocat

Bill Gates est fils d’un grand avocat d’affaires et petit-fils d’un richissime banquier (lire Non ! Bill Gates n’est pas mon modèle ! du 3 avril 2021).
Il ne fait pas de l’informatique, il fait du business et se borde juridiquement.
De la même manière, il ne se préoccupe pas de santé, il fait toujours du business et se borde juridiquement.

Deuxième truc : anticiper un besoin universel

Bill Gates a bâti sa fortune non pas en inventant des merveilles en informatique mais en imposant le système d’exploitation de son associé Paul Allen à tous les ordinateurs personnels.
Il fait pareil avec les vaccins. Comme un système d’exploitation sur un ordinateur, le vaccin doit devenir obligatoire. L’idéal aurait été une vraie pandémie. Cette pandémie ayant du mal à se déclencher, il est facile d’apeurer l’humanité en lui faisant croire qu’elle est en danger de mort. Tous les appuis médiatiques, politiques, institutionnels sont sollicités en retour des subventions qu’ils perçoivent.
Macron prend toute sa part dans ce scénario, lui qui nous incite à nous « vacciner, vacciner, vacciner » alors que le virus ne tue pratiquement plus personne :

À partir de là, nous mettons tous les moyens pour vacciner, vacciner, vacciner. Sans répit, sans jour férié. Le samedi et le dimanche comme la semaine.

(lire Macron nous a fait la démonstration de son talent du 2 avril 2021).

Troisième truc : monétiser la propriété intellectuelle

Usine-fabrication-vaccins

Les logiciels informatiques étaient très facilement duplicables lorsque Bill Gates s’est associé à Paul Allen. Avec l’appui de son père avocat, il n’a eu de cesse d’aligner les logiciels sur le droit à la propriété intellectuelle. Il a pénalisé la copie de logiciels, ce qui n’est pas un mal en soi puisqu’un programme informatique représente des investissements réels qu’il faut bien financer.
Mais dans cette industrie les frais de fabrication sont quasiment inexistants, ce qui n’est pas le cas des produits manufacturés ou agricoles. À présent vous payez pour télécharger des fichiers.
Bill Gates a compris que le même « business model » pouvait fonctionner avec les vaccins. Il suit la voie tracée par John Davison Rockefeller, camelot qui a fait sa fortune dans le pétrole et qui s’est préoccupé de breveter les médicaments. À présent on attribue des brevets aux virus ! Breveter les maladies, il fallait y penser. Une fois cette privatisation du bien public accomplie, il est facile de dupliquer une potion qui ne coûte plus rien à fabriquer en masse.

Quatrième truc : imposer des mises à jour

Windows update

Le système d’exploitation Windows n’a cessé d’évoluer, rendant très vite obsolètes des versions d’à peine quelques années. Même si l’ordinateur fonctionnait toujours très bien, toute une série de contraintes étaient mises en œuvre pour forcer les mises à jour, certes parfois « gratuites », mais pas toutes.
Ainsi naquit Windows Update qui assure une rente perptuelle à plusieurs milliards à son concepteur.

Vaccin update

Notre homme d’affaires a donc inventé la vaccination perpétuelle. À peine avez-vous reçu la première injection, qu’on vous annonce qu’il en faut en fait deux. À l’issue de cette deuxième injection, on vous annonce qu’on vous a vaccinés pour rien puisqu’un nouveau variant est survenu qui requiert un nouveau vaccin.

Bill Gates, qui n’est pas un imbécile, a appris de Microsoft et de ses parents ou amis banquiers : les meilleurs débiteurs ce sont les États. Vendre des logiciels requiert un réseau de distribution coûteux et complexe avec tous les aléas que cela représente.
Avec les vaccins, quelques grands laboratoires et l’OMS traitent directement avec les institutions supra-nationales, Bruxelles par exemple, puis ce sont les États qui paient. Ces États-Nations ringardisés que l’on dépèce, mais que l’on garde juste parce qu’ils ont une capacité à collecter l’impôt qui paiera les vaccins(1).

Trop fort !

Georges Gourdin


(1) Les États sont en situation de vaccination perpétuelle. Ils empruntent pour rembourser leurs dettes assurant des revenus perpétuels aux banquiers : George Soros se fait l’avocat de l’emprunt perpétuel auprès des « frugaux » européens.

Caisse enregistreuse



France : Michel Onfray prône la souveraineté

[Source : Front Populaire]

Après son texte critique à l’endroit de Marine Le Pen, Michel Onfray revient sur certaines de vos interrogations, dont celle-ci : en critiquant Marine Le Pen, vous avez les mains propres, mais avez-vous encore des mains ? Une nouvelle occasion de clarifier sa position.

[Ndlr : Intervention magistrale de Michel Onfray, le « déconstructeur » favori du système et des médias dominants, qui nous offre dans cette courte vidéo la seule solution qui nous permettra le retour de la véritable démocratie et le court-circuitage définitif du complot contre les peuples.
Cependant, contrairement à ce qu’il avance ici, il existait en fait quelque chose de similaire au moyen-âge (vers les XIIe et XIVe siècles) du temps des cités médiévales chrétiennes avec leurs guildes et leurs corporations, et donc bien avant Proudhon.]




Pour une lecture souverainiste de l’histoire de France

Par Henri TEMPLE (Co-fondateur et précédent Directeur du Centre du droit de la consommation et de la concurrence)

Napoléon, Jeanne d’Arc, Charles de Gaulle… Les analphabètes, les traîtres et les nationalistes nostalgiques, s’écharpent sur le jugement à avoir sur les grandes figures de l’histoire de France. Voir cette dernière à travers le prisme souverainiste semble pourtant la seule qui soit dans l’intérêt de la nation.

Il doit y avoir une lecture souverainiste de l’histoire. C’est-à-dire que, par delà les lectures affective, romanesque ou marxiste, il existe aussi une appréciation des faits et des hommes historiques selon qu’ils ont apporté le plus de liberté, de paix, de prospérité, de grandeur à une nation. Ne parlons même pas de la lecture dite « décoloniale » de l’histoire, épiphénomène d’une mode passagère, racialiste, « genrée », spécieuse et volontiers totalitaire, tentée par le lynchage. On oubliera sous peu ces divagations délirantes d’une « basse intelligentsia », pour reprendre les mots de Régis Debray..

L’approche de la commémoration le 5 mai prochain du deux centième anniversaire de la mort de Napoléon à Sainte-Hélène suscite les agitations attendues dans les médias, le monde politique français, les écrivains, historiens et l’opinion publique. Ma dernière rubrique sur ce sujet (Napoléon et les chances gâchées de la France : une uchronie souverainiste) m’a valu certes des approbations, mais aussi une volée de bois vert, notamment de lecteurs qui n’avaient pas bien lu ce texte, et notamment ma précaution préliminaire (le terme d’« uchronie »).. Il est vrai que si le courrier des lecteurs permet parfois (heureusement) l’échange fructueux, il est aussi souvent un défouloir anonyme pour personnalités tendues.

Je reviens donc ici, d’une façon plus large, à la question de savoir s’il est permis d’avoir une opinion dissidente sur les grandes figures de l’histoire de France, selon le seul critère de leur contribution à l’intérêt général de la nation. Ou bien si l’on est sommé d’avoir nécessairement à choisir un camp : celui des zélateurs absolus ou celui des détracteurs impénitents ? Pour Napoléon, comme pour Jeanne d’Arc, Richelieu, Pétain ou de Gaulle. Or le jugement que l’on porte sur telle ou telle figure nationale a une grande importance : d’une part, car cela peut renforcer ou, au contraire, affaiblir, la cohésion des Français derrière leur histoire. Et surtout, d’autre part, si ce jugement est faux en tout ou partie, c’est que son auteur pratique des mécaniques de raisonnement fausses ou mal maîtrisées. S’il remplace la raison par la passion irrationnelle, peut-il être un citoyen utile et efficace pour servir son pays ? Ne faut-il pas tirer les leçons de l’histoire pour éviter de retomber dans les mêmes erreurs ? Durant la guerre de Cent Ans, les Français ont reproduit, durant plus de 80 ans, les mêmes fautes fatales. Ressemblant à s’y méprendre à celles que commettront ensuite nos généraux, politiciens ou chefs d’État : en 1759 (Québec), 1870, 1914, 1939/40, 1954 (Diên Biên Phu), 1962 (Accords d’Évian)…

Voulons-nous continuer ainsi, encore et encore ? Préférons-nous imputer tous nos malheurs aux Anglais ? Puis aux Allemands ? Aux USA ? Un bien commode défaussement. Ou ne faut-il pas mieux se demander pourquoi et comment on perd, du fait de nos propres carences d’intelligence, ainsi que des méthodes supérieures de l’adversaire ? Puis corriger ces erreurs butées et s’inspirer des méthodes qui gagnent ? Et enfin, y rajouter la touche de génie français (ça existe aussi) qui fait la différence à notre avantage. Vercingétorix et César, Clovis, Charlemagne, Guillaume le Conquérant, Raymond IV, Saint Louis, Philippe le Bel, Jeanne d’Arc, Henri IV, Richelieu, Colbert et Louis XIV, Louis XVI-Marie Antoinette et Robespierre, Napoléon, Thiers, Pétain et de Gaulle. 15 situations historiques majeures et tragiques sont incarnées par ces hommes (et deux femmes). Et elles ont provoqué, a posteriori, des divisions souvent passionnelles entre historiens et entre Français, des jugements majoritairement politiques : royalistes contre républicains, jacobins contre girondins, droite contre gauche, et, désormais, extrême gauche « cannabis-woke » contre la nation. Des jugements qui d’ailleurs varient du tout au tout dans le temps. Les grandes figures nationales les plus tiraillées d’un bord à l’autre seront Vercingétorix ou Jeanne d’Arc. Les plus contestées sont les plus récentes : Napoléon, Thiers, Pétain et de Gaulle. Les plus clivantes : Louis XVI et Robespierre ; Pétain et de Gaulle. Les plus oubliées : Raymond IV, Montcalm. Mais seulement trois émergent comme de sacro-saintes icônes : Jeanne, Napoléon et de Gaulle.

L’histoire de France est particulièrement tendue. C’est que la Gaule, puis la France, est à la fois un pays vaste et riche, et un lieu de passage entre le Nord et le Sud, l’Est et l’Ouest. Un isthme européen sans cesse menacé, envahi. Quelques rares peuples ont pu conserver, à travers les millénaires — nonobstant des vicissitudes — la continuité de leur héritage culturel originel : notamment les Scandinaves, les Germaniques ; Israël, l’Irlande, la Grèce, l’Arménie, l’Éthiopie, la Russie… Mais la France, un territoire trop vaste peut-être, a, en moins de 18 siècles, subi au moins trois acculturations. Des Gaulois aux Gallo-Romains, puis de ces derniers aux Francs, et enfin de la féodalité et la monarchie franques à la République, qui a affirmé le concept de nation comme ciment d’un ensemble disparate.

Les clivages régionaux, politiques, sociaux, identitaires (religieux, raciaux, « souchistes ») peuvent exciter les jugements portés sur les grandes figures de l’histoire. On en a une récente illustration avec les fanatismes dirigés, en général, contre les « mâles blancs », et en particulier contre leurs statues : Colbert en France, Churchill au Royaume-Uni… Une iconoclastie de crétins névrotiques. Or une nation se reconnaît elle-même au travers de son histoire, portée par ses héros, les « grands hommes » de son panthéon.

Est-il permis d’avoir une opinion dissidente sur Bonaparte et Napoléon ? Ou bien est-on sommé d’avoir nécessairement à choisir un camp : celui des zélateurs absolus ou celui des détracteurs impénitents ? Comme d’ailleurs pour Jeanne d’Arc, Richelieu, Pétain ou de Gaulle ? Il faut guérir de ce terrible mal intellectuel des Français de vouloir tout diviser en un simpliste « noir ou blanc ». Et rejeter cette assignation d’avoir à se soumettre à l’opinion de X, Y ou Z parce qu’il est un « spécialiste » de tel ou tel sujet et donc de devoir se taire… Comme Audrey Pulvar, journaliste antillaise, tête de liste socialiste aux régionales d’Île-de-France en 2021, qui appelle aussi les mâles blancs à se taire, reprenant à vil prix les psychoses des « décoloniaux », « woke », et autres sécrétions de cerveaux taraudés par des complexes. De vieilles rancœurs enfouies, et polluées par des constructions mentales rudimentaires et revanchardes.

Un livre très récent de Thierry Lentz (Pour Napoléon, éd. Perrin, 2021), saisissant l’opportunité du bicentenaire, s’affirme clairement en avocat de Napoléon. Mais est-il permis de porter des jugements a posteriori, favorables comme hostiles, sur un homme célèbre et son bilan ? Y aurait-il des critères permanents pour le faire sans risque d’anachronisme ? Non s’il s’agit de juger les mots et les moyens qui sont à comprendre dans leur époque ; et oui pour les résultats qui échappent à la patine du temps, car les effets demeurent souvent durant des siècles. Or les résultats de Napoléon, s’ils sont remarquables jusqu’à Austerlitz, en termes militaires et administratifs, sont désastreux à la fin : une France occupée (deux fois) et territorialement diminuée.

Bien sûr il faut commémorer Napoléon (Villepin avait refusé de célébrer Austerlitz et préféré commémorer Trafalgar…), car c’est notre histoire, glorieuse certes, mais douloureuse aussi et nous devons l’assumer. Mais pas comme des groupies ni, inversement, comme des décoloniaux : plutôt à la façon intelligente et nuancée de Thucydide pour Périclès, ou de Bainville sur le traité de Versailles, à l’aune de la raison et surtout en fonction de l’intérêt supérieur de la Cité. Thucydide fut un historien cherchant impartialement la vérité des faits, et à comprendre les causes profondes des événements, en écartant mythes et sentiments. De cette compréhension, il tente — il est le premier dans l’histoire du monde — de bâtir une philosophie de l’histoire en discernant les lois générales qui gouvernent le monde : pour réussir, l’action de l’homme politique ou militaire doit être intelligente et morale, au regard de la patrie. Thucydide a ainsi, à cette aune, jugé le bilan de Périclès et érigé une méthode historique d’une étonnante modernité, toujours actuelle. Pour lui, « comprendre le passé permet de voir clair dans les faits qui, à l’avenir, en vertu du caractère humain qui est le leur, présenteront des similitudes et des analogies » (Thucydide. Péloponnèse). Marx a bien compris Thucydide lorsqu’il écrit que « qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre ».

Pour les analphabètes, les pénitents, et les traîtres à la nation, Napoléon est, au choix, un mâle blanc (et donc à l’origine de tous les maux), un macho, un esclavagiste ou un tyran totalitaire. Pour les nationalistes nostalgiques, il est le génie absolu, capable par ses victoires militaires éclatantes de sauver la patrie, d’inspirer l’admiration au monde entier encore à ce jour ; le chef d’une épopée magnifique, le libérateur des peuples, l’organisateur de la France moderne, mais la victime des Anglais perfides. Il me semble que pour les souverainistes, Bonaparte ne doit pas être confondu avec Napoléon. Ce dernier rate les chances de paix que lui donne la victoire d’Austerlitz. La France perdra de nombreux territoires, près d’un million de jeunes sont tués (dont les descendants manqueront en 1870), et Paris est occupée deux fois.

Se demander si la liberté, la dignité, et la grandeur de la France ont été accrues par Jeanne d’Arc, Richelieu, Napoléon ou de Gaulle, relève d’un légitime bilan souverainiste. La France a-t-elle évité sa disparition ou sa sujétion ? A-t-elle été plus grande, plus prospère, plus libre, plus juste ? Les historiens dressent les constats, et les philosophes, les citoyens intelligents, peuvent et doivent alors se former leur libre jugement, non seulement pour le bilan du passé, mais aussi pour s’aider aux choix du temps présent qui féconderont l’avenir. « Il n’est pas de bonheur sans liberté — j’ajouterais sans souveraineté — ni de liberté sans courage » disait Périclès. Et particulièrement la liberté et le courage de considérer son histoire avec lucidité.

[Ndlr : en observant l’histoire de France sous l’angle souverainiste ainsi proposé par l’auteur Henri Temple, de prime abord, et sans recourir à une analyse fine de leurs actions et des conséquences de ces dernières, il apparaît que Napoléon a contribué effectivement à la grandeur, la liberté et la dignité de la France jusqu’à Austerlitz, mais que lorsqu’il s’est mué en empereur, il a plutôt nettement inversé la tendance et contribué à l’amoindrir, à lui redonner des chaînes et à favoriser son déshonneur. Charlemagne a probablement réussi jusqu’au navrant choix du processus d’héritage qui a ensuite séparé la France en trois États. Le sacrifice de Jeanne d’Arc n’en aura pas moins permis de chasser plus tard les Anglais hors du pays, voire du continent. De Gaulle a contribué à la grandeur de la France jusqu’aux solutions choisies lors des guerres d’indépendance dans les colonies. Louis XIV a fait rayonné, notamment par Versailles, la France sur l’Europe. Etc.. L’auteur aurait-il dû se prêter à ce type d’exercice et ceci de manière un peu moins succincte et schématique pour parachever sa démonstration ?]




Le Signe de la Bête

[Source : Radio Québec]




[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]




COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ?

Par Nicole Delépine

Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

Acceptons-en l’augure !

https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d’après les participants.

Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

2020News publie le texte de son discours ici.

EXTRAITS LIBRES

« Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd’hui 

  • non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
  • En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
  • Des millions d’opérations, d’examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d’autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
  • Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
  • Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
  • Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
  • Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
  • Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression ? »

Et oui c’est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l’Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d’après le président biélorusse).

Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l’énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l’OMS et au conseil sanitaire international de l’OMS[1] signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

Les pays signataires s’étaient mis d’accord pour appliquer les mesures décidées par l’OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu’il y avait pandémie, ce qu’a fait l’OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d’un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l’OMS qu’il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l’UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

Combien de temps, ce sera aux peuples d’en décider.

A ce jour, il n’y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l’injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ». 

Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

Qu’en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d’obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d’autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d’expression et donc au cœur de la démocratie.

Dans l’intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c’est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ?  « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l’année dernière l’ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !

  • À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?

Conformément à l’OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l’Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)

  • Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?

La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l’Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l’on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document  rédigé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur bien formé à l’évaluation des risques pour la protection de la population.

Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.

  • Quelle est la fiabilité du test PCR

pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du virus corona) et l’a fait recommandé par l’OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

Or

« un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n’est même pas approuvé à cet effet. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis et non d’une véritable autorisation complète. »

Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

« Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d’un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l’Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l’Université de Bielefeld. »  Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

Les dégâts sont monstrueux dignes d’une guerre mondiale

Même l’OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s’épuise.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

Des dizaines de scientifiques ont aujourd’hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

Même l’OMS et l’homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

C’est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d’une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

« La détection de l’ARN viral n’indique pas la présence d’un virus infectieux ou que Covid 19 est l’agent causal des symptômes cliniques ».  Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Habituellement, au moins jusqu’à l’apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

Soulignons que l’affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n’y a pas du tout d’infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l’a montré à la fin de l’année dernière[5].

Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :

  1. a) l’affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
  2. b) l’affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections

viennent de Drosten le conseiller d’A. Merkel et de l’OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d’une femme chinoise visitant l’Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu’un test PCR positif n’a aucune valeur informative sur les infections.[6]

Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d’intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s’il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d’autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n’avait pas lieu.

Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s’est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu’à aujourd’hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

Ajoutons qu’il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l’OMS. Difficile de croire à de l’incompétence.

L’avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d’empathie ou de pitié  a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

« Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d’extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l’un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

Ce dernier a déclaré 

« – que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,
– qu’il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,
– et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l’économie ? »

En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu’il ordonne de telles mesures destructrices ?  Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

Reiner Fuellmich

« Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral – en plus de Drosten – le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l’industrie technologique appellent tous à l’introduction d’un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu’ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

« Un groupe d’avocats en réseau international en constante augmentation – en particulier avec le droit anglo-américain – travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l’a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

 Selon une autre interview [7] :

Il y a quelques jours, Fuellmich s’est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare :  « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d’autres ».
Au cours de l’interview, il a déclaré à propos de l’approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l’humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu’il n’a jamais été question d’un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
Nuremberg 2

Les vaccins corona n’ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d’expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s’attendaient pas à ce que tant d’effets secondaires se produisent à ce jour.

Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu’ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c’est la raison pour laquelle ils font tant d’erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.

L’avocat a poursuivi en disant qu’un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l’affaire est désormais si importante qu’elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »

L’Europe : principal champ de bataille

Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s’agit d’un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

 Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »

Fuellmich s’est également entretenu avec un autre lanceur d’alerte, qui a expliqué pourquoi l’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L’Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent contrôler l’Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

Les médias grand public prétendent qu’une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l’avocat, ce n’est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d’aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »

Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

https://youtu.be/jFOb2xqqcU0
CRIME CONTRE L’HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite – Bing video

[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[2] Robert Koch Institute

[3] Centers for Disease Control and Prevention – CDC  américain

[4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur la validité des tests PCR et

[5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] C. Drosten l’heure des comptes France soir N Delépine

[7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl)  Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel
in Mens en Dier 12 april 2021




3ème vague, comique de répétition ?

Par Alain Tortosa

« Le confinement commence à porter ses fruits! »

LCI

Je m’étais juré de ne plus m’intéresser aux chiffres, tant ceux-ci sont mensongers ou biaisés.

J’avais apporté les preuves dans un précédent texte que la fameuse « 2e vague » était totalement planifiée et mensongère sans remettre en question le fait qu’il y a des malades en automne.

Mais quand j’ai entendu ce jour, 19 avril, sur LCI une « journaliste » annoncer que le confinement commençait à faire ses effets, je n’ai pu m’empêcher de vérifier si c’était une escroquerie de plus (ou pas).

Toutes les données suivantes sont issues du site geodes.santepubliquefrance.fr

Intéressons-nous d’abord au nombre de tests effectués par jour.

Nous voyons sur les courbes fournies sur le site Geodes un cycle de forme identique qui se reproduit de semaines en semaines depuis le 25 mai 2020.

Il y a :

  • Un énorme creux le dimanche.
    Le dimanche c’est sacré, épidémie ou pas épidémie !
    Les soignants sont héroïques mais il faut quand même les ménager le WE.
  • Un pic le lundi (qui rattrape des chiffres du dimanche).
    Il faut dire qu’on a la forme pour démarrer la semaine après un bon WE de repos.
  • Une petite chute en milieu de semaine.
    Il faut bien souffler un peu après le travail éreintant du lundi.
  • Puis une ré-augmentation jusqu’au vendredi et ainsi de suite.

Si nous traversions une vraie pandémie, nous pourrions nous demander pourquoi les tests ne sont pas quasi constants d’un jour à l’autre, y compris le dimanche, jour de repos dominical du virus, comme tous les « vrais » spécialistes pourront vous le confirmer.

Regardons maintenant la période de la fameuse 3e vague…

Plusieurs observations pour le moins « étranges ».

La première est que le gouvernement, même s’il met en place des campagnes de dépistage dans telle ou telle ville, ne peut maîtriser pleinement le nombre de tests qui vont être effectués dans une journée sauf exceptions.

Par exemple on observe un pic délirant à Noël avec une publicité mise en place pour vérifier que l’on n’allait pas contaminer mamie qui mangeait dans la cuisine.

Cela s’est naturellement traduit par un pic de positifs, preuve en est du ridicule du taux d’incidence.

Si il y avait corrélation entre le nombre de tests et les hospitalisations, il y aurait dû avoir une vague terrible au lendemain de Noël, preuve en est que le nombre de tests et le taux d’incidences ne sont que des outils au service de la manipulation des masses et de la dictature sanitaire.

Je le répète depuis le début de la crise, si nous avions voulu connaître réellement l’évolution de la

maladie, il eu suffit de tester un échantillon représentatif des français chaque semaine…

Mais je m’égare…

Revenons à la fameuse 3e vague, à ce point « hors de contrôle » que notre « gentil » président a du recourir au 3e dernier confinement pour « empêcher les cadavres de joncher à nouveau les rues » comme lors de la première vague…

Le nombre de tests effectués pour la 3e vague.

Nous constatons sue le graphique ci dessous que le pic du nombre de tests de la 3e vague a eu lieu le 29 mars, soit 2 jours avant la prise de parole du Président de la République nous annonçant le 3e confinement…

Pouvez-vous m’expliquer, alors que la politique de « lutte » est toujours la même, et qu’elle est censée fonctionner, le fameux « tracer, détecter, isoler,… plume dans le cul »

… m’expliquer que le nombre de tests n’a alors cessé de diminuer depuis, passant de 697 951 le lundi 29 mars à 489 736 le lundi 12 avril, soit une baisse de 30%, revenant au nombre identique à ceux pratiqués un mois auparavant !

Il m’aurait semblé plutôt logique, étant donné que tous les corrompus ou en quête de notoriété nous disaient que les hôpitaux étaient saturés, que nous allions à la catastrophe, qu’il faudrait bientôt ventiler des patients dans des boucheries charcuteries, faute de place,… que les français terrorisés se fassent tester de plus en plus, non ?!

Et bien pas du tout !

On va tous crever à cause des variants, les réas sont saturées de jeunes sans comorbidités et on décide de diminuer les campagnes de tests ?!

Donc pour résumer à propos du nombre de tests durant la fameuse « 3e vague » que nous subissons et que le réseau sentinelle n’a toujours pas constaté…

  • Le nombre de tests entre le 30 décembre et le 5 mars est demeuré constant autour de 400 000 chaque lundi.
  • Ce nombre, énorme, correspond au pic du nombre de tests de la fameuse 2e vague.
  • « Bizarrement » l’épidémie n’a pas totalement reculée depuis la 2e vague…
  • Puis entre le 5 mars et le 29 mars, le nombre de tests journaliers explose passant de 400 000 à 700 000 par jour soit quasi le double !

Heureusement qu’ils sont « gratuits »!

  • Et alors que la situation devenait incontrôlable, le nombre de tests journaliers n’a fait que baisser depuis le 29 mars pour passer de 700 000 à 490 000 lundi dernier.

Je ne prends pas trop de risques en pariant que cela va encore baisser pour se stabiliser à nouveau aux alentours de 400 000 afin de ne pas nous dé-confiner trop vite et nous continuer à nous « vendre » la vaccigénie…

A propos de la vaccigénie, l’opération commerciale faisant de la thérapie AstraZeneca un produit dangereux est un succès total !

La population en serait à réclamer la thérapie génique ARN messager expérimentale pour des raisons de « sécurité »

Voici donc le graphe du nombre de tests effectués depuis le début de la « 3e vague »

Nombre de tests,
tous âges

La fameuse augmentation inquiétante du nombre de cas notamment chez les 10-19 ans ?

Nombre de tests
10-19 ans

Si vous regardez le nombre de tests effectués dans cette tranche d’âge, celui-ci est passé de 42865 tests le 1er mars à 127 131 le 30 mars soit une augmentation de 196% !!!

Et « bizarrement » le taux d’incidence a aussi « explosé » chez les jeunes ?!

Nous voyons aussi que le nombre de tests a énormément diminué depuis (les écoles étant fermées, difficile de tester les enfants en masse).

Prenons maintenant la tranche d’âge des 80 à 89 ans qui est la population à risque est qui, en toute logique, devrait bénéficier de la plus grande attention côté tests.

Nous voyons que le nombre de tests est relativement identique depuis le début de l’année avec plutôt une diminution progressive jusqu’au 8 mars et une remontée jusqu’au 6 avril où le gouvernement décide de les diminuer à nouveau histoire de « prouver »que le confinement commence à porter ses fruits…

D’un coté on fait exploser le nombre de tests chez les 10-19 ans et on les laisse constant ou on les diminue chez les 80-89 ans et on vous parle ensuite d’une 3e vague qui touche beaucoup plus les jeunes !

Tests 80 à 89 ans

Si vous comparez avec les autres tranches d’âges vous verrez que le pic du nombre de tests pour toutes les tranches d’âge est entre le 30 mars et le 6 avril…

Non seulement le nombre de tests se met à baisser étrangement au moment de la décision du 3e confinement mais les pics se produisent à-peu-près au même moment pour toutes les tranches d’âge.

Intéressons-nous au taux d’incidence… qui est le nombre de personnes positives pour 100 000 habitants.

Et oh miracle ! Que voyons-nous apparaître ?

Tests 60-69 ans

Le taux d’incidence est la courbe ci dessous.

Si vous aviez encore des doutes pour la corrélation directe entre le nombre de tests effectués et le taux d’incidence, j’espère que ces deux graphiques lèvent l’ambiguïté.

Taux d’incidence tous âges

Nous voyons donc que le gouvernement, en manipulant artificiellement le nombre de tests, manipule bien le taux d’incidence…

Mais quid des personnes hospitalisées ?

Si vous étiez très naïfs, vous pourriez me dire que l’on peut influencer le nombre de tests et le taux d’incidence mais pas les hospitalisations.

J’en déduirais que vous n’avez pas lu mon dossier sur la 2e vague.

Voici donc la courbe de personnes nouvellement hospitalisées pour cette 3e vague.

Hospitalisations journalières

Le pic de personnes hospitalisées se produit le lendemain du pic de tests chez les personnes entre 40 et 90 ans… Il y a donc une corrélation directe entre le nombre de tests effectués et les hospitalisations…

Notre gouvernement a donc du flair, il a su à partir de quel jour il n’était plus nécessaire d’augmenter le nombre de tests car les hospitalisations allaient commencer à baisser.

Et les soins critiques ?

Le lendemain du pic de tests correspond au pic du nombre d’hospitalisations et le pic du nombre d’admissions en soins critiques aussi au lendemain du pic de tests !

Admissions en soin critique

Si ça c’est pas de l’optimisation !

Le lundi tu es testé (peut-être même asymptomatique) et le mardi tu es en réa !

Mais les morts me direz-vous ?

Et bien pour les décès le gouvernement dispose d’un self-service dans lequel il peut se servir à volonté !

Je vous rappelle que malgré les annonces indiquant que des personnes de plus en plus jeunes sont menacées, l’âge médian des décès demeure de 85 ans.

Sachant qu’il y a environ 1500 morts par jour en France, il est facile d’en affecter deux ou trois cents au pôle Covid !

Je dis cela mais c’était sans compter sur la « vaccination ».

Le risque est avéré que plus on vaccinera de personnes jeunes et en bonne santé, dont le risque de décès du Covid est NUL, plus le nombre de jeunes décédés de la vaccination et affectés bien évidemment aux variants du Covid, pourrait augmenter…

Mais je ne résiste pas au plaisir de vous montrer les dernières données de mortalité.

Nombre de décès quotidiens

Comme je vous l’ai dit, la donnée est plus fluctuante et dépend du niveau d’angoisse que l’on cherche à transmettre au public.

Néanmoins vous constaterez que le dernier pic de décès remonte étrangement au 7 avril soit le lendemain du pic des tests !

Le gouvernement a ainsi optimisé le processus au point que le lundi vous êtes testé positif et le mardi vous êtes décédé… Et après on dira que les français sont mal organisés !

Voilà…

Je remercie donc tous les membres du gouvernement, les ministres, les médecins médiatiques mais aussi les journalistes pour cette nouvelle blague qui fait bien rigoler… et qui est là pour nous vendre du passeport vaccinal !

Passeport vaccinal qui sera bien entendu « l’outil de la liberté » … Quand je vous dis « Une phrase du gouvernement, une vanne »!

Tout est bidon, nous le savions et en voici un nouvel épisode. Merci.

Alain Tortosa.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210419-3eme-vague-bidon.pdf

Ps : je vous invite à reprendre les données sur le site du gouvernement.




Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?

Dr Sherri Tenpenny

[Source : zonefr.com]

[Ndlr : le corps et surtout l’esprit humain disposent de ressources multiples et parfois insoupçonnées. De nombreuses guérisons quasi miraculeuses (même sans l’intervention de la médecine allopathique) ont déjà eu lieu, notamment chez des personnes atteintes d’un cancer généralisé en phase terminale. Par conséquent, même si ces vaccins présentaient réellement un potentiel si néfaste par leur mode d’action que celui décrit dans la vidéo, il est assez peu probable qu’ils puissent affecter pareillement et de manière mortelle toutes les personnes qui le reçoivent.]

Toute personne vaccinée décédera dans un délai de 1 à 2 ans

J’aimerais tellement vous dire que tout va bien, partager de bonnes nouvelles et me réjouir avec vous de la beauté de la vie. Malheureusement, depuis un an, je suis devenu malgré moi, le messager de mauvaises nouvelles…

Le Docteur Sherri Tenpenny qui est l’un des médecins ayant établi le lien entre vaccination et autisme, explique ce qui va se passer dans les prochains mois pour les personnes qui ont accepté de se faire vacciner.

Dans cette vidéo, le Dr Tenpenny résume la situation et explique également comment les vaccins ARN entameront le processus de dépeuplement au cours des 3 à 6 prochains mois (juillet 2021).

Le Dr Tenpenny et d’autres scientifiques ont prédit que des millions de personnes pourraient mourir et cela sera attribué à une nouvelle souche de COVID, (variant) poussant à des vaccins encore plus meurtriers.

Nous sommes confrontés à un génocide vaccinal sans précédent, dans lequel les gens commenceront bientôt à se sentir vraiment malades ou à mourir, poussant la société vers un contrôle mondial et sanitaire continu.

Éric Montana




[Sites de la Dre Sherri Tenpenny, pour suppléments d’informations ou de points de vue (en anglais) :
TIMC (tenpennyimc.com)
Learning4You – Courseware for Mastery
Vaxxter – Scientific articles exposing vaccine myths and pharma foibles]




Selon un ancien médecin expert à l’OMS, la réponse à la Covid de Magufuli a sauvé des milliers de vies

[Source : Le-Blog-Sam-La-Touch via reseauinternational.net]

Par David Bell

Il a peut-être été ridiculisé en Occident pour avoir rejeté les mesures de confinement et encouragé les prières. Mais comme l’explique le Dr David Bell, ancien scientifique de l’Organisation mondiale de la santé, le défunt président tanzanien John Magufuli n’est pas considéré comme un paria par de nombreux membres de la communauté scientifique – il est considéré comme un sauveur de vies.

Si vous lisez le site web de la BBC, vous pensez probablement que le défunt président tanzanien était soit un rebelle, soit un « négationniste de la Covid », soit tout simplement stupide.

En réalité, il n’était rien de tout cela.

Le président Magufuli était en fait un scientifique très instruit, titulaire d’un doctorat en chimie, qui a probablement sauvé des milliers de vies en refusant d’adhérer aux mesures de confinement et autres réactions réflexes imposées aux populations dans une grande partie de l’Afrique et de l’Occident.

La décision de Magufuli de ne pas procéder à un confinement était conforme aux lignes directrices sur les pandémies fondées sur des données probantes publiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2019.

Il a prédit à juste titre que la mortalité due à la Covid-19 en Afrique serait très faible par rapport à d’autres grands tueurs comme le paludisme, la tuberculose (TB) et le VIH-sida, et a suivi les bons principes de santé publique en donnant la priorité à ces maladies à forte charge qui touchent particulièrement les jeunes, tout en disant aux Tanzaniens de ne pas paniquer.

Il a également donné la priorité au maintien de la croissance économique, qui est à long terme le moyen le plus efficace d’améliorer l’espérance de vie et la santé. En bref, il a agi comme on pourrait attendre d’un scientifique bien formé et d’un expert en santé publique rationnel qu’il agisse dans le contexte tanzanien.

Tout au long de la pandémie de la Covid-19, les médias ont exigé des fermetures plus longues et plus dures, comme si elles étaient normales – ou utiles.

Mais ils soulignent rarement qu’aucun plan de lutte contre la pandémie n’a recommandé des fermetures massives d’entreprises et des restrictions à la liberté de religion, aux voyages ou au fonctionnement normal de la société avant 2020, car leur suppression devrait causer davantage de dommages et empiéter grandement sur les droits humains fondamentaux.

Nous n’avons jamais appliqué aucune de ces mesures lors des épidémies de SRAS, de MERS ou de grippe porcine de ces dernières années. Les gens fréquentaient les lieux de culte, les bus et les trains étaient bondés, les jeunes sortaient en boîte, dansaient, chantaient et s’embrassaient.

Il en a été de même pour les Tanzaniens pendant cette pandémie.

Et à juste titre.

La plupart des Tanzaniens sont jeunes et non obèses, et sont donc très peu exposés au risque de la Covid-19.

Le président Magufuli a eu mauvaise presse pour avoir dit à ses compatriotes d’aller à l’église au début de la pandémie pour « prier » pour que la Covid disparaisse ».

Mais les rassemblements de masse ne devraient pas exposer la grande majorité de la population tanzanienne à un risque important.

Des dizaines de milliers de fans de sport se sont rendus récemment dans des stades en Floride et au Texas, et aucune augmentation des cas n’a été constatée par la suite.

Bien sûr, il est important de protéger les personnes vulnérables dans toute épidémie, et il est difficile de dire si les prières de masse étaient une bonne idée du point de vue de la transmission pure, car elles ont peut-être augmenté le risque pour les personnes âgées au début de l’épidémie en Tanzanie.

Le développement rapide d’une « immunité collective » chez les jeunes par le biais de tels rassemblements devrait cependant exercer un effet protecteur, si les personnes vulnérables sont bien protégées jusqu’à ce que cette immunité supprimant la transmission soit atteinte.

Dans l’ensemble, cette politique a probablement été bien meilleure pour la santé publique que les mesures de confinement strict, qui ont entraîné les premières récessions depuis un quart de siècle dans de nombreux pays africains, ainsi qu’une réduction du traitement des principaux tueurs comme le paludisme, la tuberculose (TB) et le VIH-sida.  

Le virus à l’origine de la Covid-19, le SRAS-CoV-2, va probablement devenir endémique et, à mesure que l’immunité collective sera atteinte par l’infection naturelle ou par la vaccination, les maladies graves et les décès seront de plus en plus rares.

De multiples études ont montré un impact très limité des mesures de confinement plus strictes sur la mortalité due à la Covid-19.

Par conséquent, on peut s’attendre à ce que la Tanzanie, comme la Suède, la Croatie, la Biélorussie et d’autres pays qui ne pratiquent pas de confinement, ait finalement une mortalité globale due à l a Covid-19 et une trajectoire épidémique similaires à celles des pays comparables qui pratiquent le confinement.

La critique véhémente du président Magufuli dans les médias est donc décevante et très ignorante. Il semble en effet que les journalistes occidentaux trouvent plus facile de dénigrer les dirigeants des pays africains que les dirigeants européens. Les dirigeants suédois, par exemple, n’ont jamais été qualifiés de « négationnistes de la Covid ».

Ce n’est pas nouveau, mais cela montre peut-être à quel point l’hypocrisie et les préjugés persistent dans la société occidentale.

D’un point de vue sanitaire, la Tanzanie semble avoir fait mieux que la plupart des autres pays à faible revenu au cours de cette dernière année. Alors que des millions d’Africains ont été jetés dans la faim et la pauvreté, la Tanzanie a vu son PIB augmenter tout au long de 2020.

La chute du PIB et l’appauvrissement général sont associés à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues.

C’est particulièrement le cas en Afrique subsaharienne, où la sécurité alimentaire est souvent un véritable problème et où le contrôle des maladies endémiques telles que le paludisme, la tuberculose et le VIH-sida est fragile.

Il est donc fort probable qu’en maintenant une économie performante, lui et son gouvernement ont contribué à réduire considérablement la mortalité. L’UNICEF estime à près d’un quart de million le nombre de décès d’enfants supplémentaires en Asie du Sud en 2020 en raison des réponses apportées au Covid-19 dans cette région.

Il est probable que des bilans similaires seront observés en Afrique subsaharienne, mais on peut s’attendre à ce que la Tanzanie soit désormais relativement protégée de ce phénomène.

Espérons, pour le bien des Tanzaniens, que cela continuera avec sa successeure.

Les médias occidentaux se sont peut-être moqués du président Magufuli – et des Tanzaniens en général – qui pensaient pouvoir « prier » pour faire disparaître un virus.

Mais, toute rhétorique mise à part, en refusant de verrouiller les lieux et de détourner les ressources sanitaires consacrées au paludisme et à la tuberculose pour tester des personnes ne présentant aucun symptôme pour un virus dont le taux de mortalité est très faible, Magufuli a suivi une réponse orthodoxe à une pandémie.

Il était également orthodoxe dans son approche des droits de l’homme. La liberté de religion était considérée comme un droit de l’homme important par la plupart des journalistes occidentaux il y a seulement 18 mois, et la peur ne doit pas modifier les droits de l’homme fondamentaux.

Les journalistes honnêtes devraient reconnaître les avantages de l’approche de Magufuli, même si elle est en contradiction avec leur vision du monde actuelle.

Ridiculiser des pratiques religieuses qui ne relèvent pas de leur expérience et dénigrer la science de la santé publique qu’ils ne comprennent manifestement pas n’est pas du bon journalisme.

Cela ne fait que souligner leur ignorance.

Traduction SLT


[Voir aussi : La mort étrange du Président qui avait défié l’OMS]




Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.
Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

  • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
  • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.
En commençant par l’expérience suédoise :

Mensonge 1 : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.
Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

  • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
  • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

Résultat ? 

  • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
  • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
  • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.
Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.
Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.
Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.
Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.
Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 
La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]
Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 
Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.
Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]
C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.
J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».
C’est de la désinformation pure et simple.
Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

Mensonge 2 : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

« Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.
On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.
Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.
Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.
Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.
Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).
En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).
Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 
Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.
C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.
Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.
C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.
C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

[Ndlr : ceci dans le cadre de la théorie virale. Mais l’on peut opposer à celle-ci la théorie du « terrain » pour laquelle il est naturel qu’une « épidémie » disparaisse d’elle-même lorsque le corps des êtres humains affectés par des éléments toxiques (y compris éventuellement des ondes électromagnétiques, surtout pulsées, ou des déficiences nutritionnelles qui en sont les causes réelles) n’y est plus confronté ou parce qu’il parvient à s’y adapter au moins partiellement. Dans le cadre de cette autre théorie que la virale, il n’y a donc pas du tout d’immunité de groupe, mais seulement une disparition des causes de la maladie ou une relative adaptation au moins temporaire à ces causes. Et la « grippe » refaisait régulièrement son apparition chaque hiver, jusqu’à ce qu’on la rebaptise « covid-19 », parce que le froid fait partie des causes agressives contre le corps et ses cellules. Le seul fait indubitable dans les « épidémies » est l’existence d’une relative simultanéité dans le temps (mais pas nécessairement proximité dans l’espace géographique) de symptômes similaires (ou parfois même pas similaires ou très nombreux et variables d’un individu à l’autre, comme dans le cas de la « Covid-19) que l’on regroupe sous le terme d’une maladie particulière. Le reste relève essentiellement de l’interprétation de ce fait. La théorie virale l’explique par une prétendue contagion de virus, mais celle-ci n’a jamais été réellement démontrée, puisque notamment l’on n’a jamais eu le moyen d’isoler le moindre virus, sachant que lorsque les virologues disent « isoler » un virus, ils ne font que réaliser une opération de séquençage informatique à partir d’une soupe génétique de tissus prétendument infectés. Voir :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale
La théorie des exosomes contre celle des virus
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Dr Thomas S Coman (anglais)
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19.]

Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.
De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.
Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.
Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

À propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

Mensonge 3 : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.
Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.
C’est faux.
Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.
Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.
Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.
Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.
Alors que cela ne sert à rien.
Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.
Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.
Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.
Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).
L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 
Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.
C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.
Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.
Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

Mensonge 4 : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.
D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.
Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale
Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 
Mais c’est totalement faux.

Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.
Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

  • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
  • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
  • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
  •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
  • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 
La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 
Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.
Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

« Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 
Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?
Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.
Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 
Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 
Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !
Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !
Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

« Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.
Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 
Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.
Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.
Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

Sources

[1] https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-europe-mortality-idUSKBN2BG1R9

[2] necpluribusimpar.net/why-did-more-people-die-of-covid-19-in-sweden-than-in-other-nordic-countries-it-probably-had-little-to-do-with-policy/

[3] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/31/en-suede-les-habitants-ont-la-coronaskam-la-honte-de-la-strategie-du-pays-face-au-covid-19_6064872_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609489405

[4] https://www.20minutes.fr/monde/2948915-20210109-coronavirus-fin-definitif-modele-suedois

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908300/

[6] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

[7] https://www.lalibre.be/international/europe/echange-tendu-entre-didier-raoult-plus-que-jamais-sur-de-lui-et-david-pujadas-mais-vous-etes-devenus-tous-cingles-5f996efd7b50a6525b9bc594

[8] https://www.24heures.ch/hospitalisee-roselyne-bachelot-est-sous-oxygenotherapie-renforcee-964349822758

[9] https://respe.net/foyers-dherpesviroses-type-1-hve1-communique-de-presse-03-03-2021/

[10] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2639-4

[11] www.sante-corps-esprit.com/loccident-est-il-en-train-de-se-tirer-une-balle-dans-le-pied-avec-les-vaccins-anti-covid/




Une étude d’Oxford montre que les vaccins de Pfizer et Moderna sont encore plus nocifs que le vaccin d’AstraZeneca

[Source : Aube Digitale]

Par Jade

Je ne cesse de le dire : les études ne comptent pas. Ils peuvent produire n’importe quelle étude pour dire n’importe quoi, et celles qui produisent des résultats qu’ils n’aiment pas, ils n’en parlent tout simplement pas dans les médias.

Jade

Vraisemblablement, personne d’autre que les Russes ne va attirer l’attention sur cette étude particulière – malgré le fait qu’elle provienne d’Oxford, qui est l’une des principales bases de la “SCIENCE”.

Via RT :

Des chercheurs ont découvert qu’une maladie potentiellement mortelle de la coagulation sanguine est 30 fois plus fréquente chez les personnes qui ont reçu les vaccins Covid-19 produits par Moderna et Pfizer que chez celles qui ont reçu le vaccin trouble d’AstraZeneca.

Une équipe de scientifiques de l’Université d’Oxford a constaté qu’après la vaccination, les personnes ayant reçu Vaxzevria (anciennement le vaccin contre le Covid-19 d’AstraZeneca) étaient moins susceptibles de souffrir de thrombose de la veine porte (TVP), c’est-à-dire de caillots sanguins dans l’artère reliant les intestins au foie.

Pour les personnes ayant reçu le vaccin à vecteur viral Vaxzevria, le taux d’incidence de la thrombose splanchnique – formation de caillots dans la veine porte et les autres veines abdominales – est de 1,6 par million de personnes, selon les données de l’Agence européenne des médicaments (EMA), l’organisme de réglementation des médicaments de l’UE. En revanche, quelque 44,9 cas de TVP par million de personnes ont été observés chez les personnes à qui l’on avait injecté les vaccins à ARNm fabriqués par Moderna et Pfizer, selon la recherche d’Oxford, publiée jeudi.

Nous avons entendu pendant des semaines qu’AstraZeneca était le plus mortel du groupe de vaccins mortels. Mais cette étude indique qu’il est moins mortel.

Encore une fois les médias attaquent le vaccin de la Grande-Bretagne en raison du Brexit, ce qui est une forme basse de profiter de la pandémie à des fins politiques.




La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ».

[Source : Le Saker Francophone]

Par Alastair Crooke – Source [anglaise] Strategic Culture

L’Art de la guerre de Sun Tzu (vers 500 avant J.-C.) conseille : « Se prémunir contre la défaite est entre nos mains ; mais l’occasion de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même… C’est pourquoi le combattant intelligent impose sa volonté et ne permet pas que la volonté de l’ennemi lui soit imposée ».

Telle est l’essence de la résistance chinoise – une stratégie qui a été pleinement dévoilée à la suite des pourparlers d’Anchorage ; des pourparlers qui ont fait taire toute personne qui, à Pékin, pensait encore que les États Unis trouverait un modus vivendi avec Pékin dans sa quête effrénée de primauté sur la Chine.

Même si c’était déjà visible auparavant, ce n’est qu’aujourd’hui, après Anchorage, que l’on voit la Chine se permettre de répondre durement et que les États-Unis ont la ferme intention de bloquer l’ascension de la Chine.

Si l’on suppose que cette initiative de « résistance » se résume à une sorte de « coup de poing » contre Washington – en sapant les ambitions iraniennes de Biden, pour se venger de l’Amérique qui crie haut et fort aux « crimes de guerre » (« génocide » au Xinjiang) -, on passe totalement à côté de son importance. La portée du pacte avec l’Iran dépasse de loin le commerce et l’investissement, comme l’a souligné un commentateur des médias d’État chinois : « En l’état actuel des choses, cet accord (le pacte avec l’Iran) va totalement bouleverser le paysage géopolitique dominant dans la région ouest-asiatique, soumise depuis si longtemps à l’hégémonie des États-Unis ».

Voici donc l’essence de la formule « un combattant intelligent cherche à imposer sa volonté » : la Chine, la Russie ou l’Iran n’ont pas besoin d’entrer en guerre pour y parvenir ; ils se contentent « d’appliquer cela ». Ils vont le faire – tout simplement. Ils n’ont pas besoin d’une révolution pour le faire, et ils n’ont aucun intérêt à combattre l’Amérique.

Qu’est-ce donc que ce « cela » ? Il ne s’agit pas seulement d’un pacte de commerce et d’investissement avec Téhéran, ni d’une simple entraide entre alliés. La « résistance » réside précisément dans la manière dont ils essaient de s’entraider. Il s’agit d’un mode de développement économique. Il représente la notion selon laquelle toute ressource génératrice de rente – monopoles bancaires, fonciers, ressources naturelles et infrastructures naturelles – devrait appartenir au domaine public afin de répondre aux besoins fondamentaux de tous – gratuitement.

L’alternative consiste simplement à privatiser ces « biens publics » (comme en Occident), où ils sont fournis à un coût maximal financiarisé – y compris des taux d’intérêt, des dividendes, des frais de gestion et des manipulations pour optimiser le gain financier.

« Cela » veut alors dire une approche économique véritablement différente. Pour donner un exemple : L’extension du métro de la Deuxième Avenue à New York a coûté 6 milliards de dollars, soit 2 milliards de dollars par mile – le transport urbain de masse le plus cher jamais construit. Le coût moyen des lignes de métro souterraines en dehors des États-Unis est de 350 millions de dollars par mile, soit un sixième du coût de celui de New York.

En quoi ce « cela » change-t-il tout ? L’élément le plus important du budget d’une personne est aujourd’hui le logement, à hauteur de 40 % du budget, ce qui reflète simplement le prix élevé des maisons, basé sur un marché alimenté par la dette. Imaginez que cette proportion soit plutôt de 10 % (comme en Chine). Supposons également que l’enseignement public soit peu coûteux. Dans ce cas, vous êtes débarrassé de la dette liée à l’éducation et de ses intérêts. Supposons que vous ayez des soins de santé publics et des infrastructures de transport à bas prix. Vous aurez alors la capacité de dépenser. Vous deviendrez une économie à faible coût et, par conséquent, vous connaîtrez la croissance.

Un autre exemple : Le coût de l’embauche de personnel de R&D en Chine représente un tiers ou la moitié du coût comparable aux États-Unis, de sorte que les dépenses technologiques de la Chine sont plus proches de 1 000 milliards de dollars par an (en termes de parité de pouvoir d’achat), alors que les États-Unis ne consacrent que 0,6 % de leur PIB, soit environ 130 milliards de dollars, à la R&D fédérale.

À un certain niveau, « cela » est donc un défi stratégique pour l’écosystème occidental. Dans un coin du ring, les économies stagnantes de l’Europe et de l’UE, hyper-financiarisées et axées sur la dette, dans lesquelles l’orientation stratégique et les « gagnants et perdants » économiques sont déterminés par les grands oligarques, et dans lesquelles les 60% luttent et les 0,1% prospèrent. Dans l’autre coin du ring, une économie très mixte dans laquelle le Parti fixe un cap stratégique pour les entreprises d’État, tandis que d’autres sont encouragés à innover et à faire preuve d’esprit d’entreprise dans le moule d’une économie dirigée par l’État (quoique avec des caractéristiques taoïstes et confucéennes).

Socialisme contre capitalisme ? Non, il y a longtemps que les États-Unis ne sont plus une économie capitaliste ; c’est à peine encore une économie de marché aujourd’hui. C’est devenu, de plus en plus, une économie rentière, depuis qu’elle a quitté l’étalon-or (en 1971). Cette sortie forcée des États-Unis de la « fenêtre de l’or » leur a permis, grâce à la demande mondiale de titres de créance américains (obligations du Trésor), de se financer gratuitement (à partir de l’excédent économique mondial). Le Consensus de Washington garantissait en outre que les afflux de dollars à Wall Street, en provenance du monde entier, ne seraient jamais soumis à des contrôles de capitaux, et que les États ne pourraient pas utiliser leur propre monnaie, mais devraient emprunter en dollars à la Banque mondiale et au FMI.

Et cela signifiait essentiellement emprunter au Pentagone et au Département d’État en dollars américains, qui étaient en fin de compte les « exécutants » du système, comme le note le professeur Hudson. L’évolution du système financier américain vers une entité qui privilégie les actifs « réels », tels que les hypothèques et les biens immobiliers qui offrent un certain « loyer », plutôt que d’investir directement dans des entreprises spéculatives, signifie également que les jubilés de la dette sont interdits. (Les Grecs peuvent raconter l’expérience de ce que cela implique, dans les moindres détails).

Le fait est que, sur le plan économique, la sphère hyper-financiarisée des États-Unis se rétrécit rapidement, car la Chine, la Russie et une grande partie de l’« île mondiale » se tournent vers les échanges dans leur propre monnaie (et n’achètent plus de bons du Trésor américain). Dans une « guerre » entre systèmes économiques, l’Amérique commence donc du mauvais pied.

Il y a un siècle, Halford Mackinder affirmait que le contrôle du « Heartland », zone qui s’étend de la Volga au Yangtze, permettrait de contrôler « l’île du monde », terme qu’il utilisait pour désigner l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Plus d’un siècle plus tard, la théorie de Mackinder résonne alors que les deux principales nations à l’origine de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) la transforment en un système d’interrelations reliant un bout de l’Eurasie à l’autre. Ce n’est pas si nouveau, bien sûr. Il s’agit simplement de la renaissance de l’ancienne économie basée sur le commerce du cœur de l’Eurasie, qui s’était finalement effondrée au 17e siècle.

Alastair Macleod note que les commentateurs ne parviennent généralement pas à comprendre « pourquoi » cet essor en Asie occidentale : « Ce n’est pas dû à la supériorité militaire, mais à la simple économie. Alors que l’économie américaine souffre d’un résultat inflationniste post-blocage et d’une crise existentielle pour le dollar – l’économie chinoise va connaître un boom grâce à l’augmentation de la consommation intérieure … et à l’augmentation des exportations, conséquence de la stimulation de la demande des consommateurs par l’Amérique [grâce au plan de relance économique de Biden, d’une valeur de 1900 milliards, NdT] et de l’explosion du déficit budgétaire ».

Voilà, explicitement dit, l’argument de Sun Tzu ! « L’opportunité de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même ». Il y a à Washington (et dans une certaine mesure en Europe aussi), une faction qui entretient un désir émotionnel pathologique de guerre contre la Russie, provenant en grande partie de la conviction que les Tsars (et plus tard Staline), étaient antisémites. Leur émotion est celle de la haine et de la colère, et pourtant ce sont eux qui sont en grande partie responsables du rapprochement entre la Russie et la Chine. Cette situation, ainsi que la propension de l’Amérique à sanctionner le monde, a donné leur chance à la Chine et à la Russie.

L’idée sous-jacente est toutefois que, même pour l’UE, la périphérie du Rimland est moins importante que l’île-monde de Mackinder. Il fut un temps où la primauté britannique, puis américaine, l’emportait sur son importance, mais ce n’est peut-être plus le cas. Ce qui se passe ici est le plus grand défi jamais lancé à la puissance économique et à la suprématie technologique américaines.
Pourtant, cette Realpolitik économique n’est que la moitié de l’histoire du lancement par la Chine et la Russie d’une « économie mondiale de résistance ». Elle a également un cadre géopolitique parallèle.

C’est à ce dernier aspect, très probablement, que le responsable chinois faisait référence lorsqu’il a déclaré que l’accord avec l’Iran « bouleverserait totalement le paysage géopolitique dominant dans la région de l’Asie occidentale qui a si longtemps été soumise à l’hégémonie des États-Unis ». Notez qu’il n’a pas dit que l’accord bouleverserait les relations de l’Iran avec les États-Unis ou l’Europe, mais l’ensemble de la région. Il a également laissé entendre que les initiatives de la Chine libéreraient l’Asie occidentale de l’hégémonie américaine. Comment cela ?

Dans une interview accordée la semaine dernière, le ministre des affaires étrangères Wang Yi a exposé l’approche de Pékin vis-à-vis de la région de l’Asie occidentale :

Le Moyen-Orient a été un haut lieu de brillantes civilisations dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, en raison de conflits et de troubles prolongés dans l’histoire plus récente, la région a sombré dans une dépression sécuritaire… Pour que la région sorte du chaos et jouisse de la stabilité, elle doit s’affranchir de l’ombre de la rivalité géopolitique des grandes puissances et explorer indépendamment des voies de développement adaptées à ses réalités régionales. Elle doit rester imperméable aux pressions et aux ingérences extérieures et suivre une approche inclusive et réconciliatrice pour construire une architecture de sécurité qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties … Dans ce contexte, la Chine souhaite proposer une initiative en cinq points pour assurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient :

Premièrement, prôner le respect mutuel … Les deux parties doivent respecter la norme internationale de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres … il est particulièrement important que la Chine et les États arabes fassent front commun contre la calomnie, la diffamation, l’ingérence et la pression au nom des droits de l’homme … [l’UE devrait prendre note].

Deuxièmement, défendre l’équité et la justice, s’opposer à l’unilatéralisme et défendre la justice internationale… La Chine encouragera le Conseil de sécurité à délibérer pleinement sur la question de la Palestine afin de réaffirmer la solution à deux États… Nous devons défendre le système international centré sur les Nations unies, ainsi que l’ordre international fondé sur le droit international, et promouvoir conjointement un nouveau type de relations internationales. Nous devrions partager notre expérience en matière de gouvernance … et nous opposer à l’arrogance et aux préjugés.

Troisièmement, la non-prolifération … Les parties doivent … discuter et formuler une feuille de route et un calendrier pour que les États-Unis et l’Iran recommencent à respecter le JCPOA. Il est urgent que les États-Unis prennent des mesures substantielles pour lever leurs sanctions unilatérales à l’encontre de l’Iran, ainsi que leur juridiction de longue durée sur des tiers, et que l’Iran reprenne le respect réciproque de ses engagements nucléaires. Dans le même temps, la communauté internationale devrait soutenir les efforts des pays de la région en vue d’établir au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive. [Y compris et surtout Israël, NdT]

Quatrièmement, favoriser conjointement la sécurité collective… Nous proposons d’organiser en Chine une conférence de dialogue multilatéral pour la sécurité régionale dans le Golfe (Persique)….

Et cinquièmement, accélérer la coopération pour le développement… ».

Eh bien, la Chine fait une entrée spectaculaire au Moyen-Orient, et défie les États-Unis avec un programme de résistance. Le ministre des affaires étrangères, Wang, lorsqu’il a rencontré Ali Larijani, conseiller spécial du guide suprême Khamenei, a tout formulé en une seule phrase : « L’Iran décide en toute indépendance de ses relations avec les autres pays, et n’est pas comme certains pays qui changent de position en un coup de fil ». Ce commentaire résume à lui seul la nouvelle éthique du « guerrier loup » : les États doivent conserver leur autonomie et leur souveraineté. La Chine prône un multilatéralisme souverainiste pour secouer « le joug occidental ».

Wang n’a pas limité ce message politique à l’Iran. Il venait de tenir les mêmes propos en Arabie saoudite, avant d’arriver à Téhéran. Il a été bien accueilli à Riyadh. En termes de développement économique, la Chine avait auparavant associé la Turquie et le Pakistan au plan du « corridor » – et maintenant l’Iran.

Comment les États-Unis vont-ils réagir ? Ils vont ignorer le message d’Anchorage. Ils vont probablement poursuivre leurs efforts. Ils testent déjà la Chine à propos de Taïwan et préparent une escalade en Ukraine, pour provoquer la Russie.

Pour l’UE, l’entrée de la Chine dans la politique mondiale est plus problématique. Elle tentait de tirer parti de sa propre « autonomie stratégique » en érigeant les valeurs européennes en porte d’entrée de son marché et de son partenariat commercial. En réalité, la Chine dit au monde de rejeter toute imposition hégémonique de valeurs et de droits étrangers.

L’UE est coincée au milieu. Contrairement aux États-Unis, elle n’est pas en mesure d’imprimer l’argent qui lui permettrait de relancer son économie contaminée par le virus. Elle a désespérément besoin de commerce et d’investissement. Or, son principal partenaire commercial, et sa source de technologie, vient de lui dire (comme elle l’a dit aux États-Unis) d’abandonner son discours moralisateur. Dans le même temps, le « partenaire sécuritaire » de l’Europe vient d’exiger le contraire : que l’UE le renforce. Que peut-elle faire ? sinon s’asseoir et observer… (en croisant les doigts pour que personne ne fasse quelque chose d’extrêmement stupide).

Alastair Crooke

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Jordan Peterson prédit la mort des médias grand public

[Source : Quantum Leap]

Jordan B. Peterson explique pourquoi les médias traditionnels sont en train de perdre leur crédibilité. Pourquoi CNN, le New York Times, ABC, la BBC et d’autres sont tellement morts, que même leur mort n’a même pas été remarquée. Les plateformes de podcasts vont-elles continuer à se développer et prendre le relais ? Quelle est la prédiction de Jordan Peterson concernant l’avenir des politiciens qui se lancent dans les podcasts ?






Gluten, l’ennemi public ? | ARTE

[Source : ARTE]

[Transmis par Philippe Loubière]

Les cas d’intolérance au gluten explosent et les maladies cœliaques sont quatre fois plus élevées que dans les années 1950. Cette ambitieuse enquête révèle les dommages causés par la dérégulation de notre économie sur le blé, notre aliment de base.

Magique, le gluten apporte gonflant et liant aux préparations culinaires. En revanche, il est indigeste. Mais s’il ne fait qu’alourdir l’estomac d’une personne en bonne santé, il provoque chez les individus cœliaques ou sensibles une réaction immunitaire dévastatrice. En 2018, le marché mondial des produits sans gluten pesait 15 milliards d’euros. Il devrait plus que doubler d’ici à 2027. La diabolisation de cette protéine qui se forme en mélangeant l’eau à la farine ne constitue-t-elle qu’un argument marketing ? Ou le blé s’est-il mué en poison ? Comment cette céréale faite pour mûrir au soleil peut-elle prospérer dans des pays froids comme l’Ukraine ou le Canada ? Les cas de maladies cœliaques, quatre fois plus élevés que dans les années 1950, et de sensibilité au gluten ont explosé, avec une vitesse excluant une mutation génétique et accusant notre environnement.

Géopolitique du blé
Jadis élancés, les blés ont rapetissé. Pourquoi ? Parce que les variétés naines s’accordaient mieux avec les engrais à base de nitrates et de phosphates, matières à explosifs dont il fallait écouler les stocks accumulés durant la Seconde Guerre mondiale… Ces « petits blés » contiennent moins de gluten mais dotent celui-ci d’une élasticité renforcée que nous tolérons moins bien. Ce gluten tenace, niché dans de nombreux produits transformés, n’explique pourtant pas à lui seul l’épidémie actuelle. Les résidus grandissants de glyphosate, un herbicide, dans les aliments à base de céréales ont une part écrasante de responsabilité.
Le constat dressé par cette enquête, multipliant les éclairages de chercheurs, économistes, juristes, fermiers ou militants, laisse pantois : mainmise des multinationales sur les réglementations, modèle industriel favorisant les grands céréaliers, interdépendance des pays entravant la régulation… Contrainte d’importer une partie de son blé, l’Italie, qui interdit la dessication (prisé dans les pays froids, le procédé consiste à vaporiser l’herbicide juste avant la moisson pour faire mûrir les plantes artificiellement), a tenté d’indiquer sur les paquets de pâtes la provenance des grains. Le Canada a aussitôt déposé un recours au tribunal de l’OMC. Pointant les dérives mais aussi les avancées, comme le retour des variétés de blé anciennes en Sicile, un démêlage vigoureux de nos épis et des maux qui les rongent.

Documentaire de Patrizia Marani (France/Italie, 2020, 1h19mn)

Gluten​ #Enquête​ #ARTE​

Disponible jusqu’au 13/05/2021

https://youtu.be/wmIjuZFkzK0

Voir aussi : Les défis d‘une autre agriculture | ARTE




Le gouverneur de Floride DeSantis dit que les verrouillages ont été « une énorme, énorme erreur »

[Source anglaise : Lifesitenews]

[Photo : Le gouverneur républicain de Floride Ron DeSantis
OUI Market Media / Shutterstock]

Par Emily Mangiaracina

Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, dit qu’il regrette d’avoir fermé son État, qualifiant les verrouillages d’une « énorme erreur ».

« Nous voulions atténuer les dégâts. Maintenant, avec le recul, les 15 jours pour ralentir la propagation et les 30 suivants — cela n’a pas fonctionné », a déclaré DeSantis à Epoch Times. « Nous n’aurions pas dû emprunter cette voie. »

Le gouverneur avait émis une ordonnance de séjour à la maison de 30 jours plus clémente que la plupart des autres États, avec des exceptions pour les services religieux et les activités récréatives, ainsi que pour les entreprises essentielles « au sens large ».

« Notre économie a continué », a déclaré DeSantis. « C’était très différent de ce que vous avez vu dans certains des États en confinement. »

Après la décision de confinement à la maison, DeSantis a procédé à la réouverture de l’État, alors même qu’il avait été réprimandé par les partisans du verrouillage pour ses politiques. La Floride a été entièrement rouverte le 25 septembre 2020 et DeSantis est resté ferme même si les cas de COVID-19 ont augmenté pendant l’hiver.

DeSantis a fait valoir non seulement que les verrouillages sont inefficaces, mais qu’ils infligent des dommages dévastateurs à l’économie et au bien-être, à la fois mental et physique, des personnes.

Le gouverneur a déclaré lors d’une conférence de presse de février que le « résultat » des verrouillages a été « la destruction de millions de vies à travers l’Amérique, ainsi qu’une augmentation des décès dus au suicide, à la toxicomanie ou au désespoir, sans aucun avantage correspondant dans la mortalité par COVID. »

« Cela a été une énorme, énorme erreur en termes de politique », a déclaré DeSantis à Epoch Times. « Tout ce que j’avais à faire était de suivre les données et d’être simplement prêt à aller de l’avant dans le récit et à lutter contre les médias. »

« Alors que les gens me combattaient, j’ai dit que je préférais qu’ils s’en prennent à moi plutôt que de voir quelqu’un perdre son emploi. Je préfère qu’ils m’attaquent plutôt que de voir des enfants empêchés d’aller à l’école. Je suis tout à fait prêt à accepter n’importe quelle pression parce que nous faisons ce qui est juste. »

Les politiques de DeSantis ont depuis été confirmées par les statistiques de santé pour la Floride, par l’état de son économie et par la profonde gratitude des Floridiens dont les entreprises et les moyens de subsistance ont été sauvés grâce à DeSantis.

Malgré le fait que la population de la Floride est la sixième plus âgée des États-Unis par moyenne d’âge et que les personnes de plus de 55 ans représentent 93 % des décès dus au COVID-19 dans tout le pays, la Floride se classe [seulement] au 27e rang du pays [États-Unis] pour les décès par habitant attribués à la COVID-19.

Le taux de chômage de l’État, début avril 2021, était de 4,7 %, contre 6,2 % au niveau national.

L’importance complète de ces chiffres est révélée par les paroles sincères des Floridiens, y compris des propriétaires d’entreprise, qui, selon DeSantis, sont parfois émus lorsqu’ils le rencontrent.

Selon Epoch Times, « plusieurs des interactions avec le gouverneur de la foire du comté de Clay ressemblaient à cette description. [Un] vétéran âgé visiblement ému a exhorté le gouverneur à ne pas “les laisser nous rouler dessus” ».

« J’ai du mal à payer pour un repas en Floride simplement parce que j’ai sauvé beaucoup de ces restaurants de l’oubli », a déclaré DeSantis. The Epoch Times a rapporté que « quelques heures après cette affirmation, un stand de frites ondulées à la foire a refusé de charger le gouverneur. »

« Si nous ne nous étions pas levés, ces gens n’auraient peut-être plus d’emploi, les entreprises auraient fait faillite, les enfants ne seraient pas à l’école, il y aurait toutes ces choses », a déclaré DeSantis. « Cela a vraiment un impact très personnel sur les gens. »

La politique de liberté de DeSantis et son État prospère offrent un contraste frappant avec l’Ontario, au Canada, qui a été particulièrement sévère dans son utilisation des verrouillages depuis le début de l’épidémie de COVID-19.

La plus récente ordonnance de confinement à la maison de l’Ontario a fermé des magasins de détail non essentiels et continue de restreindre la fréquentation des églises et de priver les Canadiens des droits et libertés garantis par la Charte.

L’ordre intervient alors que les décès excessifs dus aux conséquences indirectes de la pandémie, tels que les surdoses de médicaments et les traitements médicaux manqués, continuent de monter en flèche. Celles-ci ont incité un groupe de médecins d’urgence et de soins intensifs à écrire au Premier ministre Doug Ford « appelant à une action immédiate et décisive pour alléger le fardeau des hôpitaux ».

Les conséquences physiques et mentales que les verrouillages ont imposées aux Canadiens ont conduit à la formation du caucus national non partisan « Mettre fin aux verrouillages ».

« Après un examen attentif et minutieux des mesures d’atténuation prises par tous les niveaux de gouvernement, il est maintenant évident que les verrouillages causent plus de tort que le virus et doivent prendre fin », indique un énoncé de position du groupe.

Le Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) a rapporté en janvier qu’il voyait une « tendance inquiétante » de bébés amenés à l’hôpital avec « des fractures et des traumatismes crâniens » à la suite des verrouillages liés au COVID en Ontario et au Québec. « Au cours de mes 16 années au CHEO, je n’ai jamais vu autant de nourrissons souffrant de graves blessures causées par des mauvais traitements », a déclaré la Dre Michelle Ward, pédiatre et directrice médicale de la protection de l’enfance et de la jeunesse au CHEO, dans un communiqué de presse du 29 janvier.

« C’est une guerre contre les libertés », a déclaré Randy Hillier, un député indépendant au Parlement provincial (MPP), à LifeSiteNews lors d’un entretien téléphonique.

« Ils veulent que les gens abandonnent leurs libertés, qu’ils se débarrassent des choses qui sont importantes pour eux, qu’ils laissent tomber leur famille, qu’ils abandonnent leur foi, qu’ils se débarrassent de toutes les composantes essentielles de la dignité humaine, et ils veulent isoler et confiner les gens »

Randy Hillier




Coronavirus : Les utilisateurs de Facebook vaccinés contre le Covid-19 seront mis en avant sur le fil d’actualité

[Source : 20minutes.fr]

[Illustration : Le logo du réseau social Facebook. — SOPA Images/SIPA]

De nombreux pays ont entamé leur campagne de vaccination contre le coronavirus et Facebook souhaite accompagner leurs efforts. Le réseau social propose depuis ce jeudi deux filtres sur ce thème à ajouter à sa photo de profil.

Ces filtres permettent aux utilisateurs d’indiquer qu’ils ont été vaccinés et d’encourager leurs amis à se faire vacciner à leur tour. Les filtres ont été conçus en partenariat avec le département américain de la Santé et des Services sociaux, indique Facebook dans un communiqué relayé par Ouest France.

L’influence des proches

Les mots sont sans ambiguïté : « Faisons-nous vacciner » et « J’ai reçu mon vaccin contre le Covid-19 ». Facebook ira ensuite plus loin en mettant les personnes vaccinées en avant sur le fil d’actualité de leurs amis. « Nous savons que les gens sont plus susceptibles de se faire vacciner lorsqu’ils voient beaucoup de proches en qui ils ont confiance qui le font », indique Facebook.

Le réseau social américain s’appuie sur des études scientifiques qui montrent « l’impact important des normes sociales sur l’attitude des gens » en matière de santé. Après un test concluant au Royaume-Uni, les filtres sont maintenant disponibles partout dans le monde.




Jugement imminent contre la surveillance de masse

[Source : La Quadrature du Net]

D’ici deux ou trois semaines, le Conseil d’État rendra sa décision finale dans l’affaire la plus importante que La Quadrature ait jamais porté en justice : celle contre les services de renseignement français. Ce sera le terme de six années de procédure, de dizaines de mémoires et d’innombrables rebondissements qui auront contribué à faire de notre association une grande partie de ce qu’elle est aujourd’hui.

Cette aventure se clôt dans un fracas prodigieux. Coincé au pied du mur, le gouvernement français joue ses dernières cartes dans une stratégie aussi désespérée que destructrice : nier la légitimité des institutions européennes et, ainsi, placer la France dans une quasi-indépendance de fait vis-à-vis de l’Union européenne

Peu importe le droit, [pour l’État] tout doit être sacrifié pour sauver la surveillance de masse.

Les juges contre la surveillance

L’aventure commence il y a sept ans. Le 8 avril 2014, nous nous réjouissions d’une « décision historique » : « la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) venait de s’opposer au fichage systématique de nos communications en ligne ». De façon inédite, la Cour estime que le droit européen interdit qu’un État puisse obliger les opérateurs de télécommunications à conserver des données de connexion sur toute la population : liste des appels et messages émis et reçus par chaque personne, listes des antennes téléphoniques croisées par tous les téléphones portables, adresses IP permettant de lever l’anonymat sur Internet, etc. C’est notamment ce qu’impose la France, où chaque personne est considérée par l’administration comme un potentiel suspect à surveiller.

Alors que le gouvernement français aurait du abroger ce régime, un an après la décision de la Cour de justice, il n’en avait toujours rien fait : le 27 avril 2015, nous nous associons à FFDN et FDN pour lui demander officiellement d’abroger les décrets organisant la conservation généralisée des données de connexion. Par son silence, le gouvernement a refusé notre demande. Le 1er septembre 2015, nous avons saisi le Conseil d’État pour contester ce refus et, ainsi, faire tomber le système français de conservation généralisée des données (nous avons développé nos arguments pendant un an encore dans diverses écritures iciici ou encore ).

Le 21 décembre 2016, tandis que notre affaire avançait doucement, intervenait ailleurs une deuxième décision historique de la Cour de justice : dans son célèbre arrêt Tele2, elle dénonçait la conservation généralisée des données de connexion imposée par les droits suédois et anglais. Il ne restait plus au Conseil d’État qu’à appliquer directement cette décision dans notre affaire française pour nous donner victoire. Mais la procédure n’allait pas suivre un déroulement classique.

Dialogue des juges

Par une décision du 26 juillet 2018, plutôt que de se soumettre directement à la Cour de justice de l’UE, dont l’autorité lui est supérieure, le Conseil d’État a préféré lui demander de confirmer une troisième fois sa position. Même si ce nouvel échange allongeait notre procédure de plusieurs années (trois ans, au final), nous l’appelions aussi de nos vœux : si la Cour européenne condamnait spécifiquement le droit français (de même qu’elle avait déjà condamné le droit suédois et anglais dans Tele2), nous espérions que le gouvernement n’aurait absolument plus aucune excuse pour ne pas renoncer à son système illicite de surveillance.

Les 9 et 10 septembre 2019, nous plaidions devant la Cour européenne contre la moitié des gouvernements européens venus en soutien de la France, de la Belgique et du Royaume-Uni, qui mettaient en œuvre le même régime illicite de conservation de données et se voyaient ainsi visés par des requêtes semblables à la nôtre (lire le texte de notre plaidoirie).

Fin d’une trilogie

Le 6 octobre 2020, la Cour de justice de l’UE rendait sa décision La Quadrature du Net, dernier chapitre de cette trilogie européenne. Hélas, comme l’espéraient le Conseil d’État et le gouvernement, la Cour est largement revenue sur son intransigeance des premiers épisodes et cherche désormais un « juste milieu » entre protection des libertés et surveillance de masse (juste milieu amer dans lequel nous avions vu une « défaite victorieuse »).

Si la Cour continue d’interdire par principe la conservation généralisée, elle ajoute une nouvelle exception en période d’état d’urgence sécuritaire, où cette surveillance de masse redevient licite. De plus, elle autorise aussi, même hors état d’urgence, que les fournisseurs d’accès à Internet soient contraints de conserver les adresses IP de l’ensemble de la population (mais uniquement des IP et non d’autres types de données). 

Concrètement, cela signifie que la police pourra demander à votre fournisseur d’accès à Internet quelle adresse IP vous était attribuée, par exemple, le 25 octobre 2020.

Si cette possibilité est un frein important à notre espoir de rétablir un équilibre plus favorable au droit à l’anonymat sur Internet, ce frein est en revanche compensé par une nouvelle protection posée par la Cour de justice : l’État ne peut pas imposer aux hébergeurs (forum, réseaux sociaux, plateforme de vidéo) de conserver l’adresse IP des personnes qui y publient des informations. Dans notre exemple, cela signifie que, même si la police connaît votre adresse IP, elle ne pourra pas savoir si c’est à partir de cette adresse que @jeancastou a publié telle caricature de Macron ou tel appel à l’insurrection le 25 octobre sur un service d’hébergement qui ne sera pas tenu de conserver les informations relatives aux contenus publiés. Par exemple, sur le service Mamot.fr que nous hébergeons, nous ne conservons ces données que 14 jours, et ce pour des raisons purement techniques.

On imagine donc que la levée de l’anonymat ne concernera principalement que des événements déterminés, « en cours », et sur des personnes précises. En effet, les enquêtes rétrospectives pouvant porter sur l’ensemble des activités en ligne de la population ont été rendues plus difficiles par les interdictions posées par la Cour de justice de l’UE.

Ce « juste milieu » est loin de nous protéger de la surveillance de masse tant le gouvernement sait déjà abuser des exceptions en matière d’état d’urgence. Et pourtant, même si les exigences posées par la Cour on été revues à la baisse, le droit français est encore très loin de les respecter : actuellement, en France, la conservation généralisée des données de connexion n’est limitée ni aux périodes d’état d’urgence ni aux seules adresses IP (pour rappel, sont aussi conservées en permanence et pendant un an les listes d’appels, messages et positions des antennes téléphoniques rencontrées par toute la population). La Cour de justice a été explicite dans sa décision : le droit français viole les libertés fondamentales protégées par le droit de l’Union.

Affront désespéré

Cette situation ressemble à celle à laquelle nous espérions parvenir en 2018 : le gouvernement français est au pied du mur, sans aucune porte pour se dérober. La Cour de justice de l’UE a été claire : il doit réformer le droit en profondeur afin de limiter la conservation généralisée aux périodes d’état d’urgence et aux adresses IP. 

Et pourtant, le gouvernement tente encore de fuir par un affront désespéré : dans son récent mémoire en défense, il prétend que la Cour de justice aurait usurpé ses pouvoirs car, contrairement à ce qu’elle prétend, les traités européens lui interdiraient de limiter les capacités des États membres en matière de lutte contre le terrorisme et de surveillance sécuritaire.

Si cet affront est désespéré, c’est d’abord car il est absurde en droit : l’article 19 du Traité sur l’UE (TUE) prévoit bien que c’est à la Cour de justice que revient « l’interprétation et l’application des traités », et l’article 344 du Traité sur le fonctionnement de l’UE (TFUE) souligne que ces questions ne peuvent être tranchées autrement. Dans sa jurisprudence bien établie, le Conseil d’État admet d’ailleurs déjà clairement qu’il doit se soumettre aux interprétations que la Cour de justice donne des traités.

Le gouvernement ne donne au Conseil d’État aucun argument juridique pour justifier qu’il renonce à une jurisprudence aussi fondamentale. En vérité, le gouvernement ne se donne même pas la peine d’aller sur le terrain juridique afin de débattre de la légalité d’un tel régime de conservation. Il se contente d’utiliser de mauvais arguments de philosophie politique, tout en mobilisant quelques jugements isolés rendus dans d’autres pays et qui n’ont pas vraiment de lien avec notre affaire (lire notre mémoire pour le détail de notre réponse).

Frexit sécuritaire

Au delà de la discussion juridique, le plus surprenant dans la position du gouvernement est qu’elle contredit la posture européenne de LREM.

En souhaitant retirer à la Cour de justice sa légitimité pour interpréter les traités européens en dernier ressort, le gouvernement français remet en cause l’existence même d’un ordre juridique européen : si chaque État pouvait décider seul du sens des traités européens, l’Union européenne ne serait plus qu’une juxtaposition d’ordres nationaux indépendants les uns des autres, libérés de toute institution capable de les soumettre à un ensemble commun de normes. Ainsi, afin de maintenir son système de surveillance de masse contraire aux droits humains, la France souhaite devenir indépendante de l’Union européenne sans avoir à la quitter formellement.

Plus étrange encore : la stratégie anti-européenne du gouvernement conduit à saper sa position en matière de lutte anti-terroriste. À suivre sa nouvelle position, le règlement de censure anti-terroriste, initialement demandé par la France et bientôt adopté par le Parlement européen, pourrait ne pas être applicable en France puisque l’Union européenne ne serait pas compétente en matière de lutte contre le terrorisme… 

Cette contradiction invraisemblable montre que la défense du gouvernement tient davantage à un sursaut désespéré que d’une stratégie d’ensemble bien mûrie. Mais cette contradiction nous montre autre chose : la lutte anti-terroriste n’est pas sa véritable préoccupation dans notre affaire.

Surveillance politique

Le 22 mars 2021, nous participions à une séance orale d’instruction devant le Conseil d’État. Le directeur général de la sécurité intérieur (DGSI) expliquait alors que la décision de la Cour de justice ne remettait pas vraiment en cause l’efficacité de la lutte contre le terrorisme. En effet, cette lutte pourra continuer à être mise en œuvre puisqu’elle est directement concernée par les nouvelles exceptions prévues par la Cour de justice et bénéficie déjà aujourd’hui d’un arsenal législatif très large (beaucoup trop large). La principale crainte de la DGSI était ailleurs : que les services de renseignement ne puissent plus efficacement surveiller les personnes susceptibles de participer à des « groupements violents », mentionnant explicitement le cas des gilets jaunes, ou les personnes représentant un danger pour les « intérêts économiques et industriels majeurs de la France ».

Si la franchise est surprenante, elle recentre le débat : la lutte contre le terrorisme n’est pas vraiment la raison qui pousse le gouvernement à vouloir s’affranchir de la protection des libertés ; l’enjeu est le maintien de la répression politique, dans le contexte actuel où la moindre manifestation est considérée comme un groupement potentiellement violent et où les militants soucieux de justice sociale et écologique sont considérés comme nuisant à la sécurité et aux intérêts des grandes industries du pays.

C’est ce qu’annonçait déjà l’Élysée en 2019, dans sa feuille de route à cinq ans sur le renseignement : « l’analyse et le suivi des mouvements sociaux et crises de société par les services de Renseignement constituent une priorité ». L’Élysée dénonce notamment des « affirmations de vie en société qui peuvent exacerber les tensions au sein du corps social », telles que des « revendications d’ordre […] éthique ».

À la suite de la DGSI, divers procureurs et hauts gradés de la police ont tenté de corriger cette position embarrassante par une posture sécuritaire beaucoup plus convenue. Sans preuve ni chiffre, ces hommes ont juré que la police ne pourrait plus jamais travailler sans pouvoir consulter la liste complète des antennes téléphoniques croisées par chaque personne depuis un an. Nous n’avons pas manqué de rappeler que la police s’en était très bien passée au cours des siècles précédents et que, même aujourd’hui, elle ne manque pas d’outils nouveaux, nombreux et perfectionnés pour mener à bien ses enquêtes (lire notre dernier mémoire à ce sujet).

Bref, pas grand chose n’a pu effacer cette impression amère : le gouvernement est prêt à payer le prix fort (remettre en cause la construction européenne) pour continuer à nous surveiller massivement pour des finalités politiques et de contrôle social.

Finalités illicites

C’est à ce sujet qu’intervient le second apport majeur de la trilogie européenne contre la surveillance de masse : la Cour de justice interdit aux États membres d’exploiter des données de connexion pour des finalités politiques. Elle n’autorise que la lutte contre la « criminalité grave » ou pour défendre la sécurité nationale

Comme on l’a vu, la France souhaite aller et va déjà bien au-delà. La loi française prévoit un très large éventail de finalités qui vont de la lutte contre les manifestations illicites à la défense des traités européens, en passant par la lutte contre le petit trafic de drogue ou la défense des « intérêts économiques, industriels et scientifiques majeurs de la France ».

Cette longue liste vient de la loi de renseignement de 2015. Ici aussi, nous avons saisi le Conseil d’État pour demander l’annulation des cinq décrets d’application de cette loi. Ici aussi, ces cinq affaires ont conduit le Conseil d’État à interroger la Cour de justice, qui nous a largement donné raison en rappelant sans nuance que la surveillance doit se limiter à la lutte contre la criminalité grave et à la protection de la sécurité nationale.

Au passage, la Cour a rappelé que, contrairement à ce que prévoit la loi renseignement en France, les mesures de surveillance doivent être soumises au contrôle préalable d’une autorité indépendante disposant d’un véritable pouvoir de contrainte. Elle a aussi souligné que les « boites noires », ces algorithmes supposés détecter automatiquement des comportements suspects en analysant l’ensemble du réseau, relevaient de la surveillance de masse illicite.

Comme pour le reste, nous vous invitons à lire notre récent mémoire pour le détail de notre argumentation. 

Cette question de « finalités politiques » des mesures de surveillance a été la toute première affaire que La Quadrature a porté devant des juges en 2015, juste avant d’attaquer les décrets instaurant la conservation généralisée des données de connexion puis de s’en prendre à la loi renseignement. C’est par cette lutte initiale que nous avons appris à agir en justice. Cette lutte est à la fois la plus ancienne et probablement la plus importante que nous avons portée en justice. Les effets de la future décision du Conseil d’État risque d’être considérables : si nous nous gagnons, ce sera la fin de la conservation généralisée des données de connexion, la limitation des finalités, l’apparition d’un contrôle indépendant effectif. Si nous perdons, la France se placera en indépendance de fait vis à vis de l’Union européenne afin de poursuivre sa surveillance de masse.


Jugement contre le renseignement : indices d’une demi-victoire ?

14 avril 2021

Deux jours avant l’audience du 16 avril au Conseil d’État, le rapporteur public vient de nous informer du sens des conclusions qu’il soutiendra dans notre grande affaire contre la surveillance de masse des télécommunications.

Si le Conseil d’État ne sera pas obligé de suivre les conclusions du rapporteur public, elles offrent de premiers indices sur ce que nous pouvons espérer gagner et perdre au terme de ces 6 ans de procédure.

Demi-victoire

Du côté de la victoire, le rapporteur public s’oppose au souhait du gouvernement de placer la France en dehors du champ d’application du droit de l’Union européenne. Ainsi, pour l’essentiel, le rapporteur public demande à ce que soient abrogés les décrets qui imposent aux opérateurs de télécommunications de conserver pendant un an les données de connexion de l’ensemble de la population (liste des correspondants téléphoniques, des antennes relais croisées, etc.). Telle qu’exigée par la Cour de justice de l’Union européenne, cette conservation généralisée doit être limitée aux seules périodes d’état d’urgence sécuritaire — ce qui n’est pas le cas en France.

Autre bonne nouvelle : le rapporteur public exige que les services de renseignement ne puissent plus exploiter nos données de connexion ou de localisation qu’en situation d’urgence sécuritaire et après s’être soumis au contrôle d’une autorité indépendante disposant de pouvoirs de contrainte. Actuellement, c’est la CNCTR (commission nationale de contrôle des techniques de renseignement) qui est chargée de surveiller les services de renseignement, mais son rôle se limite à donner des avis dépourvus de tout effet contraignant. Ici encore, la Cour de justice de l’UE a demandé à la France de corriger ce manquement, le rapporteur public demande au Conseil d’État de s’exécuter.

Demi-défaite

Hélas, à côté de ces deux espoirs importants, les conclusions du rapporteur public sont négatives sur trois points.

Premièrement, et contrairement à ce que demande la Cour de justice de l’UE, le rapporteur public n’appelle pas à la suppression des décrets qui obligent aux hébergeurs Internet de conserver pendant un an l’adresse IP de l’ensemble des personnes qui publient des informations sur leur service. Si le Conseil d’État suivait cette position, il placerait la France en manquement vis-à-vis des exigences européennes en matière de protection de l’anonymat sur Internet.

Deuxièmement, le rapporteur public ne demande pas à ce que les services de renseignement mettent fin aux algorithmes qu’ils déploient sur les réseaux de télécommunications afin de détecter automatiquement de nouvelles cibles. Pourtant, ici encore, la Cour de justice a exigé que cette technique de surveillance de masse soit limitée aux périodes d’état d’urgence sécuritaire — limite que la loi française refuse de prévoir.

Troisièmement, le rapporteur public suggère de laisser au gouvernement un délai de six mois afin de mettre le droit français en conformité avec le droit de l’UE. Pourtant, la Cour de justice de l’UE s’était expressément opposée à l’hypothèse d’un tel délai : le gouvernement français sait depuis plusieurs années que la France viole le droit européen et il n’y a donc aucune raison pragmatique de retarder le respect de nos libertés fondamentales.

Futur incertain

Si les conclusions du rapporteur public semblent dessiner une demi-victoire (rappelant pour beaucoup la défaite victorieuse que nous avions obtenue devant la Cour de justice de l’UE en octobre 2020), le futur reste en vérité largement incertain. Notre affaire est d’un poids politique rare, qu’il s’agisse de l’avenir des services de renseignement ou du sort de la France au sein de l’Union européenne. Ce poids est tel que le Conseil d’État a choisi de rendre sa décision dans sa formation exceptionnelle la plus solennelle, l’Assemblée du contentieux.

Ainsi, nous restons préparées à n’importe quel coup de théâtre et, notamment, à celui que le respect de nos libertés fondamentales impose : que le Conseil d’État ne s’arrête pas au demi-compromis proposé par le rapporteur public mais applique entièrement la décision de la Cour de justice en garantissant l’anonymat sur Internet et en s’opposant sans délai à toute mesure de surveillance de masse.




Un célèbre psychiatre formé à Harvard appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID

Dr. Peter Breggin

[Source anglaise : LifeSiteNews ]

[Photo : Dr Peter Breggin]

Par Pete Baklinski

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie. »

Dr Peter Breggin

Un psychiatre de renommée mondiale formé à Harvard et auteur de dizaines d’articles scientifiques appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID-19 en raison de l’explosion des réactions indésirables et des milliers de décès chez ceux qui ont reçu la piqûre.

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie COVID-19 », a déclaré le Dr Peter Breggin, ancien consultant à l’Institut national de la santé mentale, à John-Henry Westen de LifeSiteNews cette semaine.

« Il est très clair maintenant que nous avons absolument besoin d’un moratoire à ce sujet. Ne le prenez pas [le vaccin]. Nous avons besoin d’un moratoire », a-t-il déclaré.

Les commentaires de Breggin interviennent alors que les autorités américaines et européennes révèlent que, depuis décembre, plus de 10 000 personnes sont décédées après avoir reçu un vaccin COVID-19 et des dizaines de milliers ont subi des «événements indésirables». Ses commentaires interviennent également dans le sillage des agences fédérales américaines arrêtant l’utilisation du vaccin COVID à injection unique Johnson & Johnson alors qu’elles enquêtent sur le lien possible du vaccin avec des caillots sanguins potentiellement dangereux. Le vaccin AstraZeneca a également été interrompu dans divers pays tels que le Danemark, la Norvège et l’Islande, tandis que l’Allemagne a limité son utilisation aux personnes de plus de 60 ans. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont confirmé à Epoch Times aujourd’hui que 5800 Américains ont contracté le COVID-19 alors qu’ils étaient complètement vaccinés contre le virus, dont près de 400 qui ont nécessité une hospitalisation et 74 qui en sont décédés.

Breggin est un médecin spécialisé en santé mentale. Il s’est fait un nom dans ses efforts fructueux pour réformer le domaine de la santé mentale avec ses critiques des diagnostics psychiatriques et des drogues. Il est l’auteur de livres tels que Toxic Psychiatry, Talking Back to Prozac et Talking Back to Ritalin. Il a été salué comme la « conscience de la psychiatrie ». Son dernier livre s’intitule « Covid-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie ».

Dans son entretien avec LifeSiteNews, Breggin affirme que le COVID-19 a été utilisé par les élites mondiales comme « couverture » pour instaurer un nouvel ordre mondial – appelé par Klaus Shawb The Great Reset [La Grande Réinitialisation] – où les vaccins jouent un rôle essentiel dans le contrôle la population.

« Le problème scientifique est que quiconque prend le vaccin est le cobaye d’une expérience. Vous êtes un sujet expérimental et vous étiez prévu depuis des décennies pour être un sujet expérimental avec les vaccins », a-t-il déclaré.

Breggin a qualifié les vaccins de « hautement expérimentaux » et de « très dangereux », soulignant qu’ils n’ont même pas été testés sur les animaux. Les vaccins interfèrent « avec l’ARN de vos cellules », a-t-il déclaré. « Ils transforment l’ARN, qui est très étroitement lié à l’ADN, pour fabriquer des protéines que vos propres cellules peuvent ensuite attaquer – votre propre corps peut alors attaquer vos cellules T, vos anticorps. Je pourrais peut-être vous en parler plus en détail, mais je veux juste faire comprendre que c’est une chose très étrange.

Il a déclaré que le nombre croissant de décès qui ont suivi la réception du vaccin tel que rapporté par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) [Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins] du CDC ne représente probablement qu’une petite fraction du nombre réel de décès étant donné que la notification est volontaire et que de nombreux médecins choisissez de ne pas signaler car ils ne veulent pas être impliqués dans une poursuite pour faute professionnelle médicale.

« C’est une fraction des décès », a déclaré Breggin.

« Il est possible qu’au lieu de 2 000 décès actuellement aux États-Unis étroitement associés au vaccin, ce soit 20 000. Nous n’avons aucune idée. Cela pourrait être encore plus élevé. »

Le médecin a exposé ce qu’il a appelé « l’objectif politique » que servent les vaccins : obliger les gens à prendre les vaccins expérimentaux pour un virus dont la majorité des personnes infectées se rétablissent, c’est finalement «écraser l’esprit humain » et rendre les gens plus docile au « totalitarisme » et à un « autoritarisme lourd ».

« Tout l’objectif est d’accroître la docilité de la population. Et le totalitarisme, un autoritarisme lourd, écrase l’esprit humain », a-t-il dit.

Breggin a déclaré que derrière les mesures coercitives infligées aux populations au nom de leur protection contre le virus se cache le désir des mondialistes d’élite de « dominer les autres êtres humains ».

« Vous êtes l’objectif d’un réseau totalitaire de prédateurs mondiaux qui sont tous impies. Aucun d’eux ne croit en Dieu. Aucun d’eux ne croit au patriotisme. Aucun d’eux ne croit en l’Amérique. Aucun d’entre eux ne croit en la liberté », a-t-il déclaré.

Le médecin a déclaré que les élites mondiales veilleront à ce que les citoyens restent suffisamment écrasés pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs.

« C’est pourquoi lorsque vous prenez le vaccin, on vous dit que vous devez quand même continuer à vous isoler ou que vous devez porter un masque. Non, non! C’est parce que c’est sans fin. Et quand vous lirez mon livre, vous verrez que tout a été calculé pour produire la « grande réinitialisation », et ce qui au cœur de celle-ci est la destruction de la démocratie patriotique américaine. »




Québec — VÉRIFICATION : Toujours pas de troisième vague d’hospitalisations ou de décès

[Source : quebecnouvelles.info]

Le gouvernement Legault a choisi de serrer la vis aux Québécois et d’imposer des nouvelles mesures, invoquant le spectre d’une troisième vague. Les données ne corroborent pas cette affirmation. 

Les données de décès démontrent qu’il n’y a aucune nouvelle vague de décès COVID au Québec présentement. 

Les hospitalisations ont augmentée légèrement en Avril mais demeurent très basse et semblent être à nouveau à la baisse. 

La moyenne des hospitalisations COVID à travers tout le Québec sur les 7 derniers jours est de 67 hospitalisations. Ces 67 hospitalisations COVID sur une population de plus de 8 million de Québécois sont utilisées pour justifier les mesures autoritaires du gouvernement Legault et le besoin de confiner. 

En date du 16 avril, 90 % des ainés québécois de 80 ans et plus ont été vaccinés. 86.3 % des 70-79 ans ont étés vaccinés, ainsi que plus de la moitié de 60-69 ans. 

Alors que la majorité du globe est revenu à la normalité ou en voie d’y retourner, le Québec utilise le spectre d’une “troisième vague” pour maintenir la population sous des mesures excessives et sans fondement scientifiques. Pourtant, les données démontrent clairement qu’il n’y a pas de troisième vague d’hospitalisations et de décès. 




Lutte contre la Covid et lutte des classes

[Source : Vu du Droit]

Par Régis de Castelnau

Pendant ce premier week-end de reconfinement général, la polémique a fait rage. Le sujet diffusé par M6 à propos des présumés « restaurants clandestins » devenus secret de polichinelle, a provoqué de très vives réactions sur les réseaux derrière un mot dièse devenu viral : #OnVeutLesNoms. En réponse, la France d’en haut a fait bloc dans les médias en criant au « populisme », à la « délation », voire en justifiant les transgressions et le refus d’appliquer les règles communes. Dans le même temps circulaient sur les réseaux témoignages et photos de la répression bornée infligée aux couches populaires.

Depuis deux jours, polémique sur l’existence de restaurants de luxe clandestins aux menus à 500 balles fréquentés par des gens de « la haute » y compris par des ministres. Sur la participation ministérielle, nous ne savons pas encore si c’est vrai, mais l’existence de ces agapes réservées aux « élites », est notoire, avérée et jusqu’à présent ceux qui transgressent allègrement les règles communes d’enfermement imposées à tous les citoyens sont tranquillement passés entre les gouttes.

En revanche, pour les couches populaires c’est le grand jeu.

Il faut bien regarder cette photo qui circule abondamment sur les réseaux. On n’y voit sur une plage près de la ville de Montpellier un déploiement obscène, de10 gendarmes (ils n’ont pas honte décidément) armés jusqu’aux dents (jusqu’au fusil d’assaut !) avec en face d’eux un couple avec leur petit garçon qui ont eu envie d’un peu de détente, d’un peu de plage et d’un peu du soleil du printemps après bientôt un an d’enfermement. Il faut voir comme ils sont mal habillés, ces « prolos », avec leurs survêtements au rabais, leurs bermudas moches, leurs vilains T-shirts, rien que du pas cher. Les provisions pour le pique-nique ont été achetées chez LIDL en low cost. Même leurs claquettes sont siglées LIDL !

Alors les gendarmes se mettent à 10 pour leur rappeler quelle est leur place dans la société, les humilier et les renvoyer à leur condition. Il va leur en coûter 450 € pour leur horrible crime, le prix d’un menu pour une personne dans le restaurant clandestin !

Cette image ne peut que nouer la gorge.

Tout le week-end sur les chaînes d’info, il fallait entendre les commentateurs à ronds de serviettes défendre « ces transgressions » des riches en condamnant les critiques contre les passe-droits qualifiées de « délations populistes ».

Alors, il est nécessaire de préciser encore un peu le propos : ce déploiement policier obscène et cette répression humiliante sont INSÉPARABLES des restaurants clandestins pour « la haute ». Deux faces d’un même système de domination.

Être « indulgent » avec celui-ci, c’est choisir son camp.




Les ARNm vaccinaux atteignent les organes reproducteurs

[Source : l’équipe de RéinfoCovid via Les moutons enragés]

Par l’équipe scientifique de Reinfocovid

L’INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d’intégration de l’ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l’ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs (testicules & ovaires). Pourtant, les AMM conditionnelles du vaccin Pfizer/BioNtech et Moderna montrent le contraire.

Dans un article intitulé : « Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? » (https:/presse.inserm.fr/les-vaccins-a-arnm-susceptibles-de-modifier-notre-genome-vraiment/41781/), l’INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d’intégration de l’ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l’ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs ou gonades comme il l’affirme dans l’extrait retranscrit ci-dessous :

Malheureusement, les AMM [Autorisations de Mise sur le Marché] conditionnelles du vaccin Pfizer/BioNtech et Moderna sont en totale opposition avec cette position de l’INSERM.

Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades

Dans l’autorisation de mise sur le marché des vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna, il existe un paragraphe dédié à l’étude de biodistribution du vaccin. Ces documents sont publics et accessibles sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à ces adresses :

A la page 54 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech, il est clairement noté que :

  • Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, coeur, les reins, poumons, cerveau
  • Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de biodistribution de ce vaccin (extrait ci-dessous)

Le paragraphe sur la biodistribution de l’AMM conditionnelle (p47 et 52) du Vaccin Moderna, nous apprend que :

  • les ARNm vaccinaux sont détectables dans une grande variété d’organes : cerveau, coeur, poumon, yeux, testicules.
  • Il est impossibilité de connaitre la biodisponibilité dans les ovaires, car aucun rat femelle n’a été inclus dans l’étude de biodistribution du vaccin Moderna
  • les concentrations d’ARNm sont plus importantes dans la rate et les yeux par rapport au plasma
  • les ARNm vaccinaux passent la barrière hémato-encéphalique et atteignent le cerveau
    Extrait p52 de l’AMM conditionnelle du vaccin Moderna :

Extrait p47 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Moderna :

Conclusion :

Les ARNm vaccinaux se distribuent donc dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.

L’INSERM a-t-il lu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna pour être passée à côté de cette information essentielle ?

Soit l’INSERM n’a pas connaissance de ces éléments scientifiques et c’est grave !

Soit l’INSERM en a connaissance mais en fait une omission volontaire dans ses publications et c’est encore plus grave!

Cet organisme veut-il faussement rassurer médecins et patients ?

Quelle qu’en soit la raison,

peut-on encore avoir confiance en l’INSERM ?

qui s’est donnée comme mission d’ « améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies,  l’innovation dans les traitements et la recherche en santé publique» ? Ce qui lui impose rigueur et objectivité dans ses publications ou prises de position.


Pour aller plus loin :


Fiche de synthèse  sur les vaccins Pfizer/Biontech et Moderna

VACCIN ARNm PFIZER/BIONTECH

Fiche détaillée sur le vaccin Pfizer

Fiche vaccin : Réponse au CHU de Liège

Le point sur les rétrovirus endogène :

Le point sur les rétrovirus endogènes




Chronique d’une mort annoncée des vaccins antiCovid 19 : résultats au 11 avril 2021

Par Gérard Delépine

Un espoir devenu mirage s’évanouit un peu plus chaque jour

Depuis le début de la crise, le gouvernement et les médias entretiennent l’espoir qu’un médicament nouveau ou des vaccins miracles viennent résoudre la crise sanitaire et nous libérer.

Mais l’échec des vaccins précédents contre les Coronavirus humains, depuis 2003, et animaliers, la mise en évidence d’anticorps facilitants susceptibles d’aggraver la maladie, les résultats précoces très inquiétants des campagnes de vaccination et l’apparition de variants résistants font disparaître chaque jour un peu plus cet espoir, comme s’évanouissent les mirages dans le désert au fur et à mesure qu’on s’approche d’eux.

La prophétie de Ferguson faisait d’emblée la propagande des futurs vaccins

Le rapport 9 de l’Imperial College, publié le 16 mars 2020 (mais resté secret défense pendant plusieurs semaines), a entraîné la panique et la décision immédiate du confinement général et aveugle.(([1] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Il prophétisait, en l’absence de mesures sanitaires fortes, un pic de mortalité vers le 3e mois de l’épidémie, avec des hôpitaux saturés et des lits de soins intensifs refusant les malades.

« Pour une épidémie non maîtrisée, nous prévoyons que la capacité en lits de soins intensifs sera dépassée dès la deuxième semaine d’avril, avec un pic de la demande en soins intensifs plus de 30 fois supérieur à l’offre maximale possible dans les deux pays et un nombre total de décès de 510000 en Grande-Bretagne et de 2,2 millions aux USA, et cela sans tenir compte des morts supplémentaires liées à l’absence de traitement d’autres maladies du fait de la saturation des hôpitaux. »

Ce scénario de film d’horreur a été qualifié ainsi par le PR Raoult :

« ce n’est pas de la science, plutôt de la science-fiction qui évoque les prédictions de Nostradamus. »

Comme tous les prophètes imbus de leur révélation, Ferguson indiquait l’unique chemin du salut : l’astreinte à domicile de toute la population(([2] Stratégie du « tous ensemble avec le virus » médicalement délirante, car contraire à la quarantaine séparant les malades de la population saine)) imposée par la police pompeusement appelée « stratégie de suppression » et prétendait que la stratégie d’atténuation(([3] La stratégie d’atténuation regroupe les techniques traditionnelles : quarantaine des malades identifiés, isolement des sujets à risques, hygiène, utilisation des gestes et de matériel barrière. Associé à l’hygiène et à la destruction des animaux vecteurs éventuels elle a permis de stopper les grandes épidémies mortifères qu’a connues l’humanité.)) serait insuffisante pour éviter une mortalité élevée.

La stratégie de suppression prétendait pouvoir maîtriser rapidement l’épidémie en imposant l’astreinte à résidence de toute la population, par la force, sous contrôle policier sans séparer les malades des biens portants !

Elle prévoyait l’enfermement indiscriminé des populations entrecoupé de relâchements partiels des mesures, afin que les gens puissent progressivement récupérer un semblant de vie sociale et économique. Cette astreinte à résidence de la population devait durer « 12 à 21 mois en attendant la mise sur le marché d’un médicament nouveau ou d’un vaccin » pourtant très hypothétique dans des délais aussi courts. Dans la simulation de Ferguson, cette stratégie réduisait le nombre de morts à quelques milliers (non plus en centaines de milles ou en millions). Mais il y a loin de la prédiction à la réalité que l’on observe aujourd’hui.

Bilan d’un an de confinement et autres mesures liberticides(([4] Autopsie d’un confinement aveugle N et G Delépine éditions Fauves 2020))

Conçue par des mathématiciens non-médecins, qui paraissent ignorer la balance avantages/risques, la stratégie de confinement négligeait ses conséquences sanitaires, scolaires, universitaires, familiales, économiques, sociétales et politiques pourtant parfaitement prévisibles d’emblée et que nous avons d’ailleurs signalées dès le 21 mars 2020(([5] Delépine — Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox, 21 mars 2020)) et détaillées quelques jours plus tard(([6] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)).

Un an plus tard, le bilan des confinements stricts est catastrophique ; aucune étude sérieuse n’a pu montrer qu’il ait pu diminuer ou contenir l’épidémie(([7] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis — Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest. 2021 Jan 5 ; e13484. doi : 10.1111/eci.13484.)) et tous les scientifiques reconnaissent qu’il est responsable d’un nombre colossal de victimes collatérales, même ceux qui l’ont proposé initialement comme le conseil scientifique gouvernemental.

En effet, dans une lettre récente au Lancet(([8] Delfraissy et al. — Immune evasion means we need a new COVID 19 social contract Lancet February 18, 2021
https://doi org/10.1016/)), Le Pr Delfraissy et 4 autres membres du comité scientifique ont sonné le glas du confinement.

« Il est temps d’abandonner une politique de la peur centrée sur des confinements itératifs. Leur impact a été dévastateur sur l’économie, le chômage, les dettes et la santé mentale en particulier sur les jeunes et le pire reste à venir. Continuer à confiner globalement n’est plus tenable même si cela reste attractif pour de nombreux politiques ».

La politique de la peur versus le traitement précoce refusé par les autorités

Mais, en France, la politique de la peur persiste comme la propagande renforcée pour des vaccins supposés nous sauver, associé au le chantage de plus en plus insistant « vacciné ou confiné » et au harcèlement individuel sur nos téléphones. Alors que ces vaccins sont expérimentaux, que les résultats des premières campagnes de vaccination sont très inquiétants, que les accidents post vaccinaux se multiplient, les mutations virales annulent tout espoir de leur efficacité.

Les tentatives de vaccin anti-coronavirus précédentes ont toutes échoué

Dans l’essai vaccinal contre la péritonite féline, les chatons vaccinés sont morts plus rapidement que les non-vaccinés.

Chez le furet,  le candidat vaccin a provoqué des hépatites.

Chez la souris et chez le macaque rhésus chinois, les vaccins ont provoqué des lésions pulmonaires.

Dans le cadre des essais vaccinaux contre le MERS (MERS-CoV), chez des souris un phénomène d’anticorps facilitants a été observé.

Aucun vaccin humain contre le MERS ou le SRAS n’a pu être mis au point malgré plusieurs années de recherche. Ces observations dans les essais vaccinaux contre le SRAS et le MERS sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des vaccins contre la COVID 19 dont le virus est proche.

Les vaccins commercialisés à cette date (avril 2021) contre le coronavirus du Covid-19 sont tous expérimentaux

Contrairement à ce qu’ont prétendu l’AFP et de nombreux médias, aucun des vaccins actuels n’a terminé ses essais phase 3. Les premiers résultats définitifs sont prévus pour janvier 2023 ! Il s’agit donc par définition de traitements expérimentaux qui ne bénéficient d’ailleurs que d’autorisation conditionnelle délivrée pour « raison d’urgence » en attendant les résultats définitifs.

Les errements des autorisations, des suspensions intermittentes, des modifications des recommandations témoignent d’ailleurs tous les jours qu’il s’agit de médicaments très partiellement évalués.

Les seuls résultats dont on dispose actuellement sont ceux des premières campagnes de vaccinations et ceux-ci sont actuellement très inquiétants.

Résultats angoissants des premières campagnes de vaccination

Les médias célèbrent le succès des campagnes de vaccination à l’aune du pourcentage des vaccinés, mais ne parlent presque jamais des seules choses qui importent pour les vaccinés, les bénéfices qu’ils peuvent en attendre et les risques qu’ils prennent en se vaccinant.

La Grande-Bretagne est le premier champion de la vaccination qui a commencé le 7 décembre 2020.

Au 11 avril 2021, 39 846 781 doses de vaccin avaient été administrées, plus de la moitié des Britanniques auraient reçu au moins une dose de vaccin, et la grande majorité des personnes âgées de plus 70 ans auraient reçu leurs deux doses. D’après les courbes OMS du 13 4 2021, la vaccination commencée le 4 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1674138 contaminations.

En quatre mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 369779.

Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 4 décembre, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En quatre mois post-vaccination, ce chiffre a plus que doublé passant à 127087 (+100 %). Surtout, lors de cette recrudescence de la mortalité, d’après un rapport gouvernemental, 70 % des décès ont touché des personnes qui avaient reçu leurs deux doses de vaccin(([9] SPI-M-O : Summary of further modelling of easing restrictions — Roadmap Step 2 Date : 31 Mars 2021
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/975909/S1182_SPI-M-O_Summary_of_modelling_of_easing_roadmap_step_2_restrictions.pdf)).

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec 9037923 doses de vaccin administrées et plus de 45 % de sa population vaccinée au 2 avril 2021.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, les ÉAU comptaient 195 818 contaminations. En trois mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 489485 (+150 %). Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 23 décembre avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, les Émirats Arabes Unis comptaient 642 morts attribuées au Covid-19. Le 14 avril, ce chiffre a plus que doublé passant à 1541 (+150 %). Le mois de février 2021 a établi le record mensuel de la mortalité (375), devançant celui de mars (271).

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer.

Au 4 avril 2021, 10 096 213 doses de vaccin avaient été administrées et près de la moitié de la population vaccinée. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières pendant 2 mois, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

La mortalité a suivi la courbe des contaminations. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité (1427) depuis le début de l’épidémie dans ce pays et celui de février le second (774).

À Gibraltar (34000 habitants) la vaccination a commencé le 9 janvier 2021.

À cette date l’état comptait 2789 cas et 11 morts attribués au Covid19.

Depuis ce jour, les contaminations ont été multipliées par 2 (4277) et les morts par 8,5 (94).

À Monaco

(38000 habitants) la vaccination a commencé le 31 décembre et au 2 avril 2021, un total de 20510 doses de vaccin avait été administré. Le 31 décembre, Monaco comptait 858 cas et 3 morts. Quatre mois après le début de la vaccination au 14 avril, ces chiffres étaient respectivement passés à 2378 (+200 %) et 31 (+900 %).

Résultats globaux

Dans tous les pays largement vaccinés, l’évolution a été marquée pendant 4 à 6 semaines post vaccinales par une augmentation sans précédent du nombre quotidien des contaminations et des décès, avant une stabilisation proche des chiffres d’avant vaccination. Ces évolutions très angoissantes ne correspondent absolument pas aux chiffres de protection annoncés par les communiqués de victoire des firmes.

Les accidents post vaccinaux se multiplient

Certains effets secondaires sérieux des vaccins sont particulièrement fréquents. Ainsi la vaccination des soignants a été suivie de 20 à 40 % de malaises obligeant les soignants vaccinés à arrêter de travailler un à plusieurs jours et la Haute Autorité de santé à conseiller de ne plus vacciner tout le personnel d’une équipe le même jour.

Des accidents rares, mais très graves ont été rapportés chez des jeunes en pleine santé qui ne craignaient rien du Covid19 : un interne de médecine est mort à Nantes et un pompier du Var s’est retrouvé en réanimation. La possibilité de ces accidents graves explique la réticence croissante des soignants à se faire vacciner.

Chez les personnes très âgées, les effets secondaires des vaccins sont fréquents et la fragilité des pensionnaires d’EHPAD explique les conséquences dramatiques qu’ils peuvent entraîner.

Après 27 morts survenus dans ces établissements l’agence norvégienne a d’ailleurs déconseillé de les vacciner(([10] Covid-19 : la Norvège enquête sur 23 décès chez des patients âgés fragiles après la vaccination
BMJ 2021 ; 372 : n149)) « Des effets indésirables courants peuvent avoir contribué à une évolution sévère chez les personnes âgées fragiles ». En Grande-Bretagne le décès du Prince Philip et en France — les décès post vaccinaux des plusieurs centenaires doyens de leur région et les suites post vaccinales de la ministre Roselyne Bachelot nous rappellent la sagesse de cette recommandation.

Les chiffres officiels des effets secondaires graves et des décès reconnus liés à la vaccination par l’EMA agence européenne du médicament, sont consultables sur la base de données EUDRAVIGILANCE et mis à jour régulièrement. Au 3 avril 2021, le tableau suivant résume la situation.

Remarque (@niusMarco) : Bilan Eudravigilance du 9 avril 2020

20 fois plus d’effets secondaires déclarés et de décès que pour H1N1 en 15 ans. Quasiment le même nombre d’injections (61 et 65 millions), mais pour le covid 60 % une seule dose.

Quelques hypothèses à l’origine des échecs en efficacité et effets secondaires

Le risque d’anticorps facilitants a été rappelé par l’Académie de Médecine

L’antécédent de la Dengue de Sanofi

L’aggravation d’une maladie par une vaccination destinée à la combattre a été récemment illustrée par le scandale sanitaire de la vaccination contre la dengue avec la mort de plusieurs centaines d’enfants aux Philippines. Cette catastrophe sanitaire est liée phénomène des « anticorps facilitants », ou ADE (antibody-dependent enhancement : aggravation dépendante des anticorps) ou VAED (vaccine-associated enhanced disease).

Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou que ces anticorps ont une faible spécificité.

Renoncement progressif des autorités françaises

L’académie de Médecine

Dans son communiqué du 11 janvier 2021 concernant les vaccins Covid19 l’Académie de Médecine précise :

« Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants…

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale… fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Le ministre et le conseil scientifique

Le ministre O. Veran et J.F. Delfraissy président du conseil scientifique ne croient plus que les vaccins seront la solution

Dans leur lettre au Lancet déjà citée(([11] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)), Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy confient qu’ils ne croient plus guère que les vaccins feront disparaître l’épidémie :

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variantes du SRAS-CoV-2 sont corrélées avec l’absence d’une protection immunitaire robuste après la première exposition à des virus antérieurs (de type sauvage), ou même à un vaccin.

Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de l’évasion immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais aussi avec d’autres virus…

L’arrivée rapide de variantes du SRAS-CoV-2, telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil, suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes sont apparues pourrait avoir mis une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’une variante avec une transmissibilité accrue.

En cas d’évasion immunitaire importante, les vaccins actuels sont susceptibles d’offrir encore certains avantages aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire la sélection virale et l’évasion, rendant la perspective d’atteindre l’immunité de base de plus en plus éloignée. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes apparaissent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Olivier Véran, dans un mémoire récent au Conseil d’État(([12] https://www.bfmtv.com/police-justice/covid-19-un-homme-vaccine-depose-un-recours-devant-le-conseil-d-etat-pour-pouvoir-deroger-au-confinement_AN-202103300186.html)) reconnaît ainsi que les vaccins protègent peu les vaccinés :

« l’efficacité des vaccins est partielle » et n’empêche pas les transmissions de la maladie : « le vaccin réduit le risque de contracter une forme grave de la maladie, mais il n’empêche pas d’être porteur du virus et de le transmettre aux tiers ».

La mort annoncée des vaccins anti covid

L’Astra Zeneca est mort ou presque. Le Jansen-Jansen est mis en pause. Le Pfizer a favorisé l’apparition de variants résistants en Israël et en Grande— Bretagne.

Ni le conseil scientifique, ni O. Veran, le ministre de la Santé ne croient plus que les vaccins résoudront la crise sanitaire. Alors pourquoi continue-t-on à faire la promotion de ces vaccins ?





Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie

[Source : MIRASTNEWS]

La plupart d’entre nous n’ont entendu parler des «passeports de vaccins» qu’après la pandémie, lorsque différents gouvernements ont commencé à insister sur l’exigence de «passeports pour les vaccins» pour voyager dans d’autres pays ou même pour se rendre dans des lieux publics.

Cependant, la planification de l’exécution du concept de «passeport de vaccins» a commencé 20 mois avant le déclenchement de la pandémie. Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.

Contenus

     1 Feuille de route des passeports de vaccins

     2 Sommet mondial sur la vaccination 2019

         2.1 Les 3 tables rondes

         2.2 Membres notables du panel

         2.3 Planification en cas de pandémie

     3 À qui profitent réellement les passeports de vaccins?

     4 projets en développement

         4.1 Microchip COVID du Pentagone

         4.2 Sceau de santé pour les entreprises

         4.3 Propagande vaccinale

         4.4 Seringues volantes

         4.5 Pas de vaccin Pas de salaire

         4.6 Passeports de liberté basés sur le code QR

         4.7 Projet Commons

         4.8 Tatouage de vaccin quantique invisible

         4.9 Carte santé numérique

         4.10 Balises électroniques pour le suivi de l’activité comportementale

         4.11 Tomates GM comme vaccin comestible contre le coronavirus

         4.12 Timbre de confiance

         4.13 COVI PASS basé sur la RFID

Vaccine Passports Were Planned Even Before The Pandemic Began

Feuille de route des passeports de vaccins

La proposition initiale de «passeports de vaccins» a été publiée pour la première fois le 26 avril 2018 par la Commission européenne. La proposition, ignorée par les médias mainstream, a été profondément enfouie dans un document (lire ci-dessous) traitant du «renforcement de la coopération contre les maladies évitables par la vaccination».

Conformément à la feuille de route initiale (publiée au début de 2019) pour mettre en œuvre la proposition de la Commission européenne, l’action principale consistait à «examiner la faisabilité de développer une carte / passeport de vaccination commun» pour les citoyens européens qui soit «compatible avec les systèmes électroniques d’information sur la vaccination et reconnu pour une utilisation au-delà des frontières.»

Il était prévu de faire émettre une proposition législative d’ici 2022, en Europe.

Des termes – tels que «contrer l’hésitation à la vaccination», «flambées inattendues» – qui n’étaient pas si courants avant l’épidémie étaient également mentionnés dans la proposition.

Parmi les autres points du document de feuille de route figuraient le soutien à l’autorisation de «vaccins innovants, y compris pour les menaces sanitaires émergentes».

Déclarant que «l’industrie de la fabrication des vaccins» a un «rôle clé» dans la réalisation des objectifs décrits dans le document de la feuille de route, il énumère «l’amélioration de la capacité de fabrication de l’UE» et le stockage des vaccins comme d’autres points d’action à mettre en œuvre.

La feuille de route met également l’accent sur le renforcement des «partenariats existants» et de la «collaboration avec les acteurs et initiatives internationaux» et fait référence au Sommet mondial sur la vaccination qui s’est tenu en 2019. Les participants et l’agenda de ce sommet sont également révélateurs.

Sommet mondial de la vaccination 2019

Les 3 tables rondes

Le sommet s’est tenu le 12 septembre 2019, à Bruxelles, en Belgique, à peine 3 mois avant l’épidémie de COVID-19. Le sommet n’a pas été rapporté par la plupart des grands médias. Il a été organisé par la Commission européenne en coopération avec l’OMS.

Le sommet s’est structuré autour de trois tables rondes intitulées:

  • Dans les vaccins auxquels nous faisons confiance
  • La magie de la science
  • Les vaccins protègent tout le monde, partout

Membres notables du panel

Les participants à ce sommet étaient des dirigeants politiques, des représentants de haut niveau des ministères de la santé, des Nations Unies, des universitaires de premier plan, des professionnels de la santé et des scientifiques, des secteurs non gouvernementaux et privés.

Parmi les membres notables de ces tables rondes figuraient le Dr Seth Berkley, PDG de GAVI, Nanette Cocero, présidente mondiale de Pfizer Vaccines, la Global Vaccine Alliance – une organisation qui a reçu d’énormes montants de financement de la Fondation Bill & Melinda Gates; et Joe Cerrell, directeur général de la Fondation Bill & Melinda Gates pour la politique mondiale et le plaidoyer.

Lanceur d’alerte de l’OMS, le Dr Astrid Stuckelberger, dans une confession stupéfiante, a dénoncé les activités suspectes de Bill Gates et de GAVI.

Lors de la 41e session du Comité d’enquête Corona, elle a déclaré que les règles en vertu desquelles les pays collaborent avec l’OMS placent pratiquement l’OMS en charge de toutes les règles et édits et annonces formels – Gates étant juste là en tant que membre du conseil exécutif comme un État membre non officiel, prendre des décisions qui affectent le monde entier.

Planification en cas de pandémie

La planification de la pandémie était clairement mise en évidence lors de cette réunion au sommet. Les principaux documents distribués aux participants comprenaient des rapports sur:

  • Planification de la préparation à la grippe pandémique
  • Un exercice de grippe pandémique pour l’Union européenne
  • Planification de la préparation à la grippe aviaire et à la pandémie de grippe
  • Préparation et planification de la riposte à la grippe pandémique
  • Vers une suffisance des vaccins contre la grippe pandémique dans l’UE
  • Un «partenariat public-privé» sur les vaccins européens contre la grippe pandémique

Dans tous ces documents, l’objectif de renforcement de la collaboration avec l’industrie pharmaceutique est souligné à maintes reprises, tout comme le message selon lequel une pandémie mondiale était désormais inévitable.

Selon de nombreux échanges de courriers électroniques obtenus par un groupe d’avocats dans le cadre d’un litige juridique, le ministère allemand de l’Intérieur a engagé des scientifiques pour développer un faux modèle de coronavirus afin de justifier un verrouillage strict.

À qui profitent réellement les passeports de vaccins?

Le principal bénéficiaire de ces projets de passeport de vaccins sera l’industrie pharmaceutique multinationale et non l’homme ordinaire.

En plus de cela, les gens ordinaires devront partager leurs dossiers médicaux afin de prouver qu’ils sont aptes à voyager à l’étranger ou même à regarder un film.

L’activité estimée que visent ces géants pharmaceutiques vaut 1500 milliards de dollars rien qu’en 2021.

Dès que le nouveau président américain a été installé, un décret a été signé imposant de nouvelles restrictions de voyage et de commencer à tester la faisabilité des passeports vaccinaux COVID-19.

Projets en développement

[Ndlr : la plupart de ces projets dignes de docteurs Folamour et autres psychopathes ne verront pas nécessairement le jour, ceci dépendant de leur degré de faisabilité, notamment à grande échelle.]

Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.

Ci-dessous, nous mentionnons quelques projets qui vous donneraient une idée de ce à quoi ressemblerait cet avenir.

Microchip COVID du Pentagone

Les scientifiques du Pentagone ont créé une micropuce qu’ils veulent injecter dans votre corps pour détecter le coronavirus dans votre corps avant même que vous ne présentiez des symptômes. Ils ont également créé un filtre pour extraire le virus de votre sang.

Sceau de santé pour les entreprises

Après les passeports de vaccins pour les personnes, Hollywood propose maintenant le sceau de santé COVID-19 pour les entreprises. Des célébrités comme Lady Gaga et Robert De Niro utilisent Covid-19 pour promouvoir un système coûteux de «sceau de santé» qui certifiera l’emplacement de votre entreprise comme étant exempt de COVID-19.

Ces célébrités prêchent aux gens d’acheter ce sceau de santé qui pourrait vous coûter plus de 12 000 $ et qui «ne garantit pas qu’un espace est sûr ou exempt d’agents pathogènes». La norme de construction WELL est alignée sur les Nations Unies.

Propagande vaccinale

Avec l’augmentation des cas de réactions indésirables multiples au vaccin COVID-19, des vidéos de propagande de vaccination désormais épuisées et sans base scientifique apparaissent pour vous inciter à aimer les vaccins et à ne poser aucune question et à continuer à injecter les vaccins année après année après année .

Seringues volantes

Flying Syringes est une expression utilisée pour désigner un projet proposé financé par Bill Gates pour créer des moustiques génétiquement modifiés qui injectent des vaccins aux personnes lorsqu’elles les piquent.

Pas de vaccin Pas de salaire

Une ordonnance controversée de Pas de vaccination Pas de salaire a été émise par les autorités sanitaires de l’État indien de Jharkhand, qui a été forcée d’être retirée après la réaction des employés.

Ce n’est pas un événement aléatoire. C’est un aperçu de ce qui est à venir.

Passeports de liberté basés sur le code QR

La Grande-Bretagne pourrait bientôt déployer le Coronavirus Freedom Passport basé sur QR pour déterminer si vous êtes innocent COVID-19. Si la COVID-19 est positive, vous pouvez être interdit d’entrer dans les pubs, les écoles et les lieux de travail.

Projet Commons

La Fondation Rockefeller et la Fondation Clinton ont développé une série d’applications COVID qui contrôleront étroitement votre vie post-Covid.

L’initiative est lancée par la fondation à but non lucratif Commons Project Foundation, qui fait partie du Forum économique mondial.

Le projet Commons comprend trois applications COVID – CommonHealthCOVIDcheck et CommonPass.

Ensemble, ils collecteront, stockeront et surveilleront vos données de santé en fonction desquelles les applications décideront si vous êtes éligible pour voyager, étudier, aller au bureau, etc.

Tatouage de vaccin quantique invisible

Un projet financé par Bill Gates vise à fournir un tatouage quantique invisible caché dans le vaccin contre le coronavirus pour stocker votre historique de vaccination.

Les chercheurs ont montré que leur nouveau colorant, constitué de nanocristaux appelés points quantiques, peut rester au moins cinq ans sous la peau, où il émet une lumière proche infrarouge qui peut être détectée par un smartphone spécialement équipé.

Carte santé numérique

Le gouvernement indien envisage de lancer une carte santé numérique obligatoire inspirée du concept de Bill Gates.

Dans le cadre du programme «One Nation One Health Card», les antécédents médicaux d’une personne, y compris tous les traitements et tests qu’elle a subis, seront enregistrés numériquement sur cette carte.

Les hôpitaux, les cliniques et les médecins seront tous reliés à un serveur central. Le mouvement vise à cartographier les dossiers de santé de chaque citoyen du pays dans un format numérique.

Balises électroniques pour le suivi de l’activité comportementale

Après que les robots IA appliquent les règles obligatoires des masques faciaux, Singapour a déployé des balises électroniques COVID-19 pour suivre l’activité comportementale afin de mettre en quarantaine.

Si vous tentez de quitter votre domicile, il alertera les autorités, à la suite de quoi il y aura peut-être une amende de 10 000 dollars singapouriens ou six mois de prison ou les deux.

Les tomates GM comme vaccin comestible contre le coronavirus

Des scientifiques mexicains cultivent des tomates génétiquement modifiées comme vaccin comestible contre le coronavirus.

Un groupe de recherche d’une université mexicaine utilise la bioinformatique et le génie génétique informatique pour identifier des antigènes candidats pour un vaccin qui peut être exprimé dans les plants de tomates.

Manger les fruits de ces plantes conférerait alors une immunité contre la COVID-19, affirment les scientifiques.

Timbre de confiance

Trust Stamp est un programme d’identité numérique basé sur la vaccination financé par Bill Gates et mis en œuvre par Mastercard et GAVI, qui reliera bientôt votre identité numérique biométrique à vos dossiers de vaccination.

Le programme dit «évoluer à mesure que vous évoluez» fait partie de la guerre mondiale contre l’argent liquide et a le potentiel d’un double usage à des fins de surveillance et de «police prédictive» en fonction de vos antécédents de vaccination.

Ceux qui ne souhaitent pas être vaccinés peuvent être exclus du système en fonction de leur score de confiance.

COVI PASS basé sur RFID

Le gouvernement britannique se prépare à déployer COVI PASS – Les passeports de santé numériques à coronavirus compatibles avec la RFID biométrique pour surveiller presque tous les aspects de la vie des citoyens au nom du renforcement de la gestion de la santé publique.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : GreatGameIndia