Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

[Source : Recherches Covid-19]

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte contre ce même institut.

Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr

Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets

– du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :

[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.

– du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1(Pièce 3) à la première page :

(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

– du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.

Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.

http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5)

À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ?
L’étude indienne ayant initié cette thèse : Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19

Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020 « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ».

Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.

De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques : l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015

Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point

En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur.
On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.

L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.

Troisième point

Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.

Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.


Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.

La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.

Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).

Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.


Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.

Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.

https://youtu.be/J6DE0yREIFc

Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/




Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19

[Source : Anthropo-logiques]

À n’en pas douter, c’est envers et contre tout Noël !

Après le texte remarquable du Dr Frédéric Badel, qu’il m’a donné à publier hier sur ce blog, c’est aujourd’hui la contribution de mon confrère anthropologue Jacques Pollini, chercheur associé à l’Université Mc Gill de Montréal, que je reçois.

Un texte franc, honnête, parlant, la parole d’un homme et d’un scientifique qui ne cède pas sur la nécessité de voir les choses comme elles sont.

Comme cette question risque de se poser pour chacun d’entre nous, les avis autorisés (les vrais, pas ceux qui sont achetés ou le reflet d’un simple conformisme idéologique, fût-il « scientifique ») comptent.

Je partage donc avec vous sans modération cet énoncé de raison, de valeurs et de bon sens.

(source image en-tête : Center for Disease Control, 19 décembre 2020).

Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19

[Auteur : Jacques Pollini]

Sur la planète entière, les gens sont en train de débattre pour savoir s’ils vont se faire vacciner contre la COVID-19. Est-ce un débat ou une guerre de tranchées ? Il semble que l’on soit plutôt dans la deuxième situation. Comment en sortir ? Comment établir enfin un dialogue permettant à chacun de quitter son retranchement et faire un choix informé ? Il me semble que pour sortir de l’impasse, il faut réaliser que deux questions distinctes, mais liées, se posent : celle de l’efficacité et l’innocuité des vaccins, qui est une question scientifique, et celle de la confiance envers les décideurs, qui est une question politique.

Pour la première question, seules quelques poignées d’individus peuvent répondre. Un citoyen ordinaire ne dispose pas des compétences techniques lui permettant de juger si les vaccins COVID-19 seront efficaces et inoffensifs ou pas. Notre choix ne pourra donc se baser que sur la réponse que nous donnons à la deuxième question, c’est-à-dire sur notre confiance envers nos décideurs.

Cette question se pose de manière particulièrement aiguë car la technologie utilisée dans ces vaccins est nouvelle. Il s’agit de vaccins à ARN, c’est-à-dire que des fragments de code génétique seront injectés dans notre organisme, l’objectif étant que les protéines virales codées par cet ARN soient produites par les cellules de notre organisme, déclenchant ainsi une réponse immunitaire (Ulmer et al. 2012).

Cette technologie soulève de nombreuses interrogations, notamment concernant le risque que des fragments d’ARN contenus dans les vaccins soient transcrits en ADN et s’intègrent à notre génome (Velot 2020). L’intégration de code génétique étranger à l’ADN de cellules hôtes est un phénomène qui se produit couramment, comme le montre le fait que l’ADN humain contient des séquences héritées de virus. Des chercheurs ont d’ailleurs déjà découvert des ARN chimériques humains/SARS-CoV-2, laissant penser que des fragments d’ARN de SARS-CoV-2 (le virus qui transmet la COVID-19) auraient été transcrits et intégrés à l’ADN de cellules humaines (Zhang et al. 2020). Ce risque associé aux vaccins à ARN n’est donc pas quelque chose de nouveau.

Une chose est nouvelle, toutefois. Dans la nature, l’intégration de fragments de codes génétiques étrangers au génome humain n’est pas liée à une intention humaine. Elle est le fruit du hasard ou de nécessités naturelles, tandis qu’avec la vaccination, il devient possible de choisir quel code injecter et sur quelle population l’injecter. Le vaccin à ARN, et les thérapies géniques de manière plus générale, rendent donc possible de modifier intentionnellement le code génétique humain. L’ingénierie entre dans une ère nouvelle dans laquelle elle ne porte plus seulement sur la transformation de l’environnement humain, mais peut porter sur la nature humaine, sur notre identité génétique. C’est là que se trouve le virage fondamental et il soulève des questions éthiques qui sont négligées dans les débats en cours sur les vaccins.

Bien sûr, cela ne signifie pas que les vaccins COVID-19 modifieront notre génome ou que ceux qui les ont conçus ont cette intention. Mais presque personne n’a la compétence technique ou le pouvoir juridique permettant de vérifier ces deux points. Nous n’avons donc que la confiance, accordée ou pas aux décideurs, et a ceux qui ont développés ces vaccins, pour guider notre décision.

D’autre part, l’impact sur notre génome n’est qu’un des problèmes possibles. La facilitation de l’infection par les anticorps après la vaccination (Lee et al. 2020), phénomène déjà observé dans le cas d’un vaccin contre la dengue (Normile 2017) et qui peut conduire à des formes plus graves de la maladie, est souvent discutée. A noter que si une telle facilitation d’infection avait lieu, l’opprobre serait sans doute jeté sur les non vaccinés puisqu’ils faciliteraient la circulation du virus et donc les réinfections. Un autre risque serait le développement de pathologies immunitaires en cas de réinfection par le virus après vaccination, phénomène observé sur les souris (Tseng et al. 2012). Le risque de réaction auto-immunes vis-à-vis de protéines placentaires, qui pourrait causer des stérilités, a également été évoqué, du fait de la similitude entre certaines protéines virales et placentaires. La liste des risques possibles est sans doute plus longue et certains médecins considèrent que les garanties apportées par les études réalisées par les fabriquant de vaccins ne sont pas suffisantes.

Enfin, nous n’en sommes pas à la première controverse sur les vaccins. La question des liens entre autisme et vaccins n’a toujours pas été clarifiée et aussi longtemps que le lanceur d’alerte Thompson, qui a dévoilé le masquage de ce problème par des autorités en charge de la santé aux USA, ne sera pas convoqué au Congrès américain pour témoigner sous serment, la confiance envers les vaccins et les firmes qui les fabriquent ne pourra pas être établie. Une autre affaire non élucidée concerne des vaccins contre la polio, administrés en Inde avec l’appui de la fondation Bill Gates, qui pourraient avoir causé des paralysies chez près de 500,000 enfants (Dhiman et al. 2018). Un vaccin contre la dengue développé par SANOFI et l’Institut Pasteur a également provoqué des décès aux Philippines, du fait d’une facilitation de l’infection pas les anticorps, phénomène évoqué ci-dessus.

Tout argument en faveur des vaccins COVID-19, entendu dans les médias, les instances de décisions, ou les réseaux sociaux, qui consisterait à invoquer des arguments techniques ou scientifiques pour nous convaincre que ces vaccins sont sûrs, est donc hors sujet car la question centrale est celle de la confiance, qui est perdue et pour de bonnes raisons. Sans cette confiance, ces arguments techniques ne peuvent conduire qu’à des polémiques stériles d’autant plus que pratiquement personne, voire personne, ne peut réellement trancher. Personnellement, comme beaucoup de citoyens, je n’ai pas cette confiance. Donc je ne me ferai pas vacciner. Pourquoi je n’ai pas cette confiance ? Pour les raisons mentionnées si dessus, mais aussi parce que depuis 10 mois, notre gouvernement a fait preuve d’une incompétence totale dans cette épidémie, son conseil scientifique se montrant anti-scientifique en niant ou ignorant les acquis de la science. Et parce que les algorithmes des réseaux sociaux et les « fact-checkers » sont devenus des instruments de censure et de propagande qui maintiennent nos administrations et nos médias dans le déni des faits rapportés par la science.

Pour illustrer ce déni des faits scientifiques, j’aborderai la question des traitements précoces, que j’ai suivie de près. A ce jour, plusieurs traitements précoces contre la COVID ont montré leur efficacité. Il y a eu d’abord l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine et au zinc ; puis l’azithromycine seule ou d’autre antibiothérapies ; puis l’ivermectine associée à la doxycycline ; puis la prévention par la vitamine D voire le zinc ; et enfin d’autres molécules révélées récemment comme la fluvoxamine (Lenze et al 2020) ou la bromhexine (Ansarin et al 2020). Le point commun de ces approches est qu’elles consistent à repositionner des molécules peu couteuses et déjà connues, non protégées par des brevets, et que les traitements doivent être apportés très tôt, dès la déclaration des premiers symptômes, pour avoir leur maximum d’efficacité. Des centaines de publications, dont la liste est disponible sur ce site, ont montré l’efficacité de ces traitements, les plus prometteurs étant la combinaison azithromycine/hydroxychloroquine (Risch 2020), et l’ivermectine (Kory et al. 2020), éventuellement associée à la doxycycline, traitement dont on n’entend parler ni au niveau des autorités de santé ni au niveau des médias. D’après ces publications, l’efficacité de ces traitements est telle que s’ils étaient utilisés, il n’y aurait besoin ni de confinement généralisé, ni de vaccination généralisée. La gravité de la pandémie COVID-19 deviendrait celle d’une épidémie de grippe. Malheureusement, la censure par les algorithmes des réseaux sociaux et le discrédit par les médias et les « fact-checkers  » ont rendu ces résultats quasiment inaudibles, malgré des tentatives de « fact-checking » des « fact-checkers » !

Comment a-t-on pu en arriver là ? Ne soyons pas naïfs. Le repositionnement de molécules ne génère pas de profits élevés pour l’industrie pharmaceutique, contrairement aux molécules nouvelles telles le remdesivir qu’elle a réussi à nous vendre malgré l’absence de preuves de son efficacité, et contrairement aux vaccins. Cette logique mercantile, qui a été à l’œuvre dans la pandémie et qui nous a privé de traitements, débouchant sur des centaines de millier de morts inutiles, est un crime contre l’humanité et les responsables devront être jugés. Je ne vois pas pourquoi la même logique n’agirait pas dans le cas des vaccins. Je ne vois pas pourquoi l’industrie pharmaceutique ne ferait pas passer ses profits avant l’intérêt des patients. Je ne vois pas comment je pourrais lui faire confiance quant à l’innocuité de ses produits, d’autant plus que les vaccins ont été développés très rapidement, et que leurs effets secondaires dans le long terme n’ont pas été évalués puisque les tests ont démarré il n’y a que quelques mois. L’industrie pharmaceutique est en outre exemptée d’indemnisation des patients en cas d’effets secondaires aux USA, ou cela était déjà la norme, et devra être indemnisée par les états membres en Europe si certains types de problèmes, non spécifiés, apparaissent, dans le cadre d’accords spéciaux et en dérogation aux règles habituelles.

Ainsi, à toute personne qui tenterait de me convaincre de me faire vacciner contre la COVID-19, je répondrai, clairement et simplement :

« Si c’est ma santé qui vous préoccupe, donnez-moi de l’azithromycine et de l’hydroxychloroquine, ou de l’ivermectine et de la doxycycline, ainsi que de la vitamine D et du zinc, car je sais, publications scientifiques et témoignages de médecins de renommée internationale à l’appui, que ces traitements fonctionnerons si j’attrape la COVID-19, et je n’ai donc pas besoin d’être vacciné. Si vous n’êtes pas convaincu par ce que je dis, voici la liste des publications sur le sujet : https://c19study.com/. Si vous n’êtes toujours pas convaincu, lancez des essais randomisés testant ces traitements en médecine ambulatoire. Et si vous voulez que les gens fassent à nouveau confiance aux vaccins, mobilisez des commissions d’enquêtes indépendantes pour mesurer leurs liens possibles avec l’autisme et permettre aux lanceurs d’alerte de témoigner sous serment. Et dans la foulée, demandez la mise en œuvre d’une vaste enquête internationale sur les liens et conflits d’intérêt entre industrie pharmaceutique et pouvoirs publics ».

Il y aurait beaucoup à dire sur les vaccins contre la COVID-19 mais je m’arrêterais la, car ces arguments, aussi simples soient-ils, me paraissent irréfutables et suffisants pour justifier un refus de se faire vacciner. Sans doute nos gouvernants ne voudront pas les entendre, car choisir l’ivermectine et la doxycycline plutôt que les vaccins, c’est supprimer, dans la fraction de seconde où se fait ce choix, les centaines de milliards de dollars de profits que l’industrie pharmaceutique et ses actionnaires se préparent à recevoir. Ces gens feront bien évidement tout ce qu’ils peuvent pour empêcher toute décision en défaveur des vaccins. J’espère donc que nous serons nombreux à partager cette résistance non pas aux vaccins (je ne suis absolument pas un anti-vaccin) mais a ce vaccin dans ce contexte. Nous devons faire entendre raison à nos gouvernants afin de rendre enfin disponible, massivement, les traitements contre la COVID-19, ce qui rendrait la vaccination inutile ou quasiment-inutile, pour une prise en charge précoce des patients COVID-19, notamment dans les maisons de retraite ou ils continuent de mourir non pas de la COVID-19, mais des erreurs de décideurs et Comités qui n’ont pas pris le temps de lire la littérature scientifique.




Preuves que la pandémie a été planifiée ?

[Source en anglais : Stop World Control]


FAITS 100% VÉRIFIÉS

Notre objectif est de présenter des informations exactes. Chaque fait peut être vérifié dans les références en bas de page. Si vous voyez quelque chose qui n’est pas correct à 100%, veuillez nous en informer [let us know].


Des médecins déclarent que la pandémie était planifiée

planned pandemic germany

Un groupe de plus de 500 médecins en Allemagne, appelé « Médecins pour informer », a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale: (1)

« La panique Corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque, une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal médical à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour informer le public de la désinformation massive dans les médias grand public. « Médecins pour informer » est soutenu par plus de 6 000 professionnels. Ils organisent des manifestations de masse en Europe, comme celle du 29 août 2020, où 12 millions de personnes se sont inscrites et environ un million se sont réellement présentées.

Pourquoi ces plus de 500 médecins disent-ils que la pandémie est un crime mondial ?

Que savent-ils que nous ignorons ?

planned pandemic protest berlin

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie est planifiée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

doctors for truth spain pandemic planned

« Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. » (2)

L’Allemagne et l’Espagne ne sont que deux exemples. De grands groupes similaires de centaines d’experts médicaux existent dans des pays du monde entier.

Aux États-Unis, un documentaire appelé PLANDEMIC [Plandémie, pour pandémie planifiée], qui expose le COVID-19 comme une opération criminelle, est soutenu par plus de 27 000 médecins !

Pourquoi ces milliers de professionnels de la santé dans le monde disent-ils que la pandémie est un crime ? À quelles informations ont-ils accès, que nous n’obtenons pas des médias grand public ? 

Je vous invite à regarder les faits suivants avec un esprit ouvert et à tirer ensuite vos propres conclusions…


Des millions de kits de test COVID-19 vendus en 2017 et 2018

Comme nous le savons, la nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. Par conséquent, elle a été nommée COVID-19 qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019 [Maladie à Coronavirus de 2019]. Les données de la World Integrated Trade Solution [Solution intégrée de commerce mondial] montrent cependant quelque chose d’étonnant :

en 2017 et 2018 — deux ans avant COVID-19 — des centaines de millions de kits de test PCR pour COVID-19 ont été distribués dans le monde.

screenshot covid test kits 2017
Kits de tests Covid-19 (300215) importés par pays en 2017

Vite ! Cachez-le !!

Ces données déroutantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les réseaux sociaux. Le lendemain, il est devenu viral dans le monde entier. Le 6 septembre, le WITS a soudainement changé la désignation originale « COVID-19 » en le terme vague « Kits de tests médicaux ».

L’utilisation de termes généraux n’est pas autorisée dans le commerce, vous devez toujours être précis. Il existe de nombreux types de kits de test pour différentes maladies.

Le fait qu’ils aient supprimé la spécification « COVID-19 », après que ces données soient devenues connues dans le monde entier, prouve qu’ils ne veulent pas que quiconque le sache. Ils ont cependant oublié de supprimer un détail: le bas de la page Web montre toujours le code produit de ces « kits de test médicaux » est 300215, ce qui signifie: « Kits de test COVID-19 »

covid19 product code
Code HS 300215 : Kits de test Covid-19

Leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde. Vous pouvez télécharger un PDF contenant les données originales de ce site Web.


Deux ans avant l’épidémie de COVID-19, des pays du monde entier ont commencé à exporter des centaines de millions d’instruments de test de diagnostic pour … COVID-19.

Un argument utilisé pour nier ces données est que l’étiquette COVID-19 n’a été ajoutée qu’en 2020. Mais pourquoi utiliseraient-ils d’abord un terme non spécifique comme « Kit de test médical », puis des années plus tard, le changeraient en « Kit de Test COVID-19 » (qui est exactement ce que c’est), puis le remplacer par l’ancien et vague « Kit de test médical »? Ces types sont-ils confus, ou quoi ? Je ne crains pas ce genre de tentatives pour nier quelque chose de si évident.

À propos, ces kits de test COVID-19 sont en fait les fameux tests PCR qui sont en effet utilisés partout dans le monde pour tester les gens pour la [maladie] COVID-19.

Même s’il était vrai qu’ils ont joué avec cette étiquette [relative à la désignation du Kit de test] (ce qui est hautement improbable car ce serait ridiculement non professionnel), cela ne change pas le fait que deux ans avant la pandémie, toutes les nations du monde ont soudainement commencé à distribuer des CENTAINES DE MILLIONS de tests PCR. Donc, le cœur du problème ne change pas.

planned pandemic plandemic

La question est : pourquoi la distribution de tests PCR a-t-elle explosé dans le monde entier avec la distribution de centaines de millions d’entre eux, qui sont spécifiquement utilisés pour tester la COVID-19 ?

À quoi se préparaient-ils ?


Rothschild a breveté une méthode de test COVID-19 en 2015

Un site Web du gouvernement néerlandais consacré au brevetage des inventions montre également quelque chose d’intéressant. Richard A. Rothschild du Royaume-Uni a breveté un système de test du COVID-19 en 2015.

pandemic planned patent rothschild covid

Ceux qui connaissent la dynastie Rothschild comprennent que ce sont eux qui contrôlent le monde depuis des siècles et qu’ils possèdent la plupart des banques centrales dans presque tous les pays du monde. (2D) Les Rothschild sont connus pour avoir organisé de nombreuses guerres, manipulé les gouvernements et provoqué des épidémies.

Un Rothschild brevetant une méthode de test spécifiquement pour COVID-19 est donc très intéressant… c’est le moins qu’on puisse dire !


Le « projet » COVID-19 est prévu jusqu’en 2025

La Banque mondiale montre que COVID-19 est un projet qui devrait se poursuivre jusqu’à… la fin mars 2025 ! L’intention est donc de continuer pendant CINQ AUTRES ANNÉES. (2C)

covid planned program 2025
Monde | Programme de préparation et de réponse stratégique à la covid-19
Date prévue de cloture du projet : 31 mars 2025

Fauci a garanti une pandémie dans les deux prochaines années

anthony fauci predicting pandemic

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a annoncé qu’au cours du premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit : (3)

Il n’y a AUCUNE QUESTION, il va y avoir un défi pour l’administration à venir dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.
Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de personne à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise au cours du premier mandat de l’administration Trump ? Que savait-il, que nous ne savons pas ?


Bill et Melinda Gates garantissent une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route et pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie. (4)

Melinda Gates a ajouté qu’un virus fabriqué est la plus grande menace pour les sciences humaines et a également assuré que cela toucherait l’humanité dans les prochaines années. (5)

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment …

Ils affirment que la population dense du monde garantit cette pandémie mondiale imminente. Mais soyons honnêtes : la majeure partie de la terre est inhabitée. Survolez l’Amérique dans un avion et regardez par la fenêtre. Vous voyez un espace vide la plupart du temps, avec quelques villes ici et là. La plupart du territoire des États-Unis est encore un espace ouvert et vide. Il en va de même pour le reste du monde : Australie, Russie, Inde, Chine, Amérique, Afrique… c’est en grande partie la nature sauvage. Notre planète n’est pas aussi peuplée que Bill Gates veut nous le faire croire. Cette carte du monde le montre clairement…

La plus grande partie de la terre est totalement dépourvue de toute présence humaine. Ainsi, l’idée que le monde est largement surpeuplé et ne peut que donner lieu à une pandémie mondiale imminente est un mensonge.

Les Gates ont également affirmé que le transport aérien était sûr de créer une pandémie mondiale. Mais d’innombrables personnes ont voyagé en avion au cours du siècle dernier. Cela a-t-il donné lieu à des flambées constantes de pandémies mondiales ? Bien sûr que non !

Leurs arguments pour lesquels ils ont garanti une pandémie mondiale dans les prochaines années sont des mensonges. Alors, quelle est leur véritable base pour faire de telles prédictions garanties ?


S’exercer pour une pandémie

 Event201 planned pandemic exercise

Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates — le premier revendeur de vaccins au monde — a organisé un événement à New York. Devinez de quoi il s’agissait ? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ». Oui, vous l’avez bien lu :

Bill Gates a organisé un exercice de pandémie de coronavirus, juste avant que cela ne se produise en vrai !

Sur le grand écran de l’auditorium, vous voyez le texte imprimé : « Nous devons nous préparer à l’éventualité d’une pandémie ». Cet exercice de pandémie s’appelait Event201 et a eu lieu en octobre 2019, littéralement juste avant l’épidémie.

Leur conclusion était que toute l’humanité devait être vaccinée…


Excitation à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine

Peu de temps après cet « exercice de pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats de la santé mondiale : les vaccins.

tweet bill gates vaccines

Pensez-y : le premier revendeur de vaccins au monde garantit qu’une pandémie mondiale se produira dans les prochaines années, et son épouse a déclaré que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Ensuite, Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.


La pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante car elle montre la quantité d’informations disponibles, pour ceux qui osent faire des recherches. En 2013, un artiste musical avec le nom particulier de Dr Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC [Pandémie]. Rien de spécial à ce sujet, si ce n’était qu’une de ses paroles disait : (6)

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard ?

La chanson a également prédit les émeutes qui font maintenant rage dans toute l’Amérique :

« L’État est en émeute, utilisant la rue à l’extérieur. Il arrive à vos fenêtres. »

panned pandemic riots 2020

Encore une fois : comment un vague artiste pouvait-il savoir en 2013 qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, des pandémies devaient survenir dans la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson « Pandemic » à ce sujet. »

Vous pigez ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément des « théories du complot », des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme « absurdes ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car elles ont prédit avec précision que cette pandémie et les émeutes se produiraient exactement en 2020.

Que peut-on découvrir d’autre une fois que les gens commencent à chercher un peu plus loin que les histoires de base que nous présentent les médias grand public ? Qu’est-ce qui se cache d’autre sous l’étiquette négative de « théorie du complot » ?

Continuons à lire pour en savoir plus…


« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 — également juste avant l’épidémie — le Global Preparedness Monitoring Board [Conseil mondial de suivi de la préparation] a publié un rapport intitulé « Un monde en péril ».

Il a souligné la nécessité de se préparer à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve l’image d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous lisons le paragraphe intéressant suivant :

« L’Organisation des Nations Unies (y compris l’OMS) organise au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un pour couvrir la dissémination délibérée d’un pathogène respiratoire mortel. »

Avez-vous compris cela ? Ils ont effectué un exercice pour une libération délibérée d’un pathogène respiratoire mortel.


Une épidémie annoncée en provenance de Chine



[Voir l’animation sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

En 2018, l’Institute for Disease Modeling [Institut pour la modélisation des maladies] a réalisé une vidéo dans laquelle est montré un virus de la grippe originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est produit, deux ans plus tard. Pourquoi ont-ils dit que cela viendrait de Chine ? Pourquoi pas l’Afrique, où les maladies sont bien plus nombreuses ? Ou pourquoi pas l’Amérique du Sud ? Ou l’Inde ?

Comment pourraient-ils savoir qu’il y aurait un virus de la grippe venant de Chine et même montrer Wuhan comme la région d’origine, qui infecterait le monde entier ?


Ce coronavirus a-t-il été fabriqué?

wuhan virology lab

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en matière d’armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan, le Bio Safety Lab de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… coronavirus!

Ils prennent les virus existants et les «militarisent», ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour les utiliser comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes qui suit, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle et le président Trump expliquer comment ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

Maintenant vient la partie intéressante : en 2015, Anthony Fauci a donné 3,7 millions de dollars à ce même laboratoire.

Figurez-vous ceci : le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]


Selon un virologue chinois, le virus a pu se propager

En avril 2020, la virologue et immunologiste chinoise Li-Meng Yan a fui la Chine et a demandé l’asile politique en Amérique. Pourquoi ? Elle voulait révéler la vérité sur la Covid-19. Yan prétend être l’un des premiers scientifiques à travailler sur ce nouveau coronavirus. Lorsqu’on a appris que ce virus causait de graves maladies à l’intérieur de la Chine, Yan a reçu l’ordre de faire des recherches.

Elle a découvert quelque chose de grave : ce virus a été transmis par contact humain. Lorsqu’elle a fait connaître cette information inquiétante à son surveillant, elle a reçu l’ordre de garder le silence à ce sujet.

Peu de temps après, l’Organisation Mondiale de la Santé a annoncé qu’il y avait un nouveau virus dangereux en Chine… mais qu’il n’était PAS transmis par contact humain et qu’il n’y avait donc aucun danger pour la population mondiale.

Après cette fausse déclaration de l’OMS, elle a remarqué que le ton de tous les scientifiques à qui elle avait parlé du virus était passé d’amical à distant. Son superviseur a déclaré :

Reste calme et prudente. Ne franchis pas la ligne rouge ! Sinon, nous aurons des ennuis et disparaîtrons …

Li-Meng Yan a décidé de fuir en Amérique et a raconté son histoire à Fox News et au FBI. Selon Yan, le gouvernement chinois savait que ce virus se propageait entre les gens et ils ont attendu d’informer le monde parce qu’ils voulaient qu’il se propage à l’échelle mondiale.

L’Organisation Mondiale de la Santé a collaboré avec le Parti communiste chinois, affirmant que ce nouveau virus n’était pas transmissible entre les humains. En conséquence, il pouvait se répandre dans le monde entier.

Bien sûr, ses déclarations sont démenties par l’OMS et le gouvernement chinois. Cependant, le fait est qu’au début de janvier 2020, l’OMS a déclaré que le nouveau coronavirus n’était pas transmissible d’homme à homme, donc aucune mesure n’a été prise… et le monde entier en a été infecté.

La virologue Yan vit désormais cachée et est protégée par le gouvernement américain.


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Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive consiste à informer la population des événements qui vont bientôt se produire. Ces dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits, sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague » [peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde avec la distanciation sociale, les masques faciaux, le verrouillage, le lavage des mains, etc.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.


Une bande dessinée de l’Union européenne visualise une pandémie mondiale

infected comic book european union

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour la distribution parmi leurs employés seulement. (2B) Le titre de la bande dessinée est « INFECTÉ » et montre un nouveau virus provenant d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan mondial de santé. Ça signifie :

Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux employés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit :

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

pandemic strip eu

Pandémie représentée lors des jeux olympiques d’été en 2012

pandemic olympics summergames 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été en 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpitaux, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort rôde, un géant démoniaque s’élevant dans le monde entier, et tout le théâtre était éclairé de telle manière que vu du ciel, cela ressemblait à un coronavirus .

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur émission d’ouverture ?


Verrouillage mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un verrouillage mondial.

Il a dit que le but de ceci serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été republié.


Des journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. Les quarantaines et les couvre-feux sont l’une des choses qui manquaient à leur boîte à outils. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(7)


« Scénario pour l’avenir »

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail : la pandémie mondiale, les verrouillages, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise!

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ». (9) Cela dit tout : un scénario pour l’avenir. Il contient un chapitre appelé « LockStep » dans lequel une pandémie mondiale est signalée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement conçue comme une répétition pour [préparer] l’avenir.



La pandémie de 2020 est décrite avec des détails horribles dans le « Scénario pour l’avenir » de la Fondation Rockefeller écrit en 2010.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit en comparant deux réponses différentes à leur pandémie prévue : les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les gens de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un verrouillage suffocant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire :

Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et ont imposé des règles et des restrictions hermétiques, du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs comme les gares et les supermarchés.

Il est clair que le durcissement des autorités est la réponse souhaitée. Mais cela empire, selon ce « scénario du futur » :

« Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés stables et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes : des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »


Selon la Fondation Rockefeller, une pandémie mondiale doit entraîner un contrôle accru, où les gens abandonnent volontiers leur liberté, afin de se sentir à nouveau en sécurité.


Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a proposé la deuxième étape : un manuel sur la mise en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis seront en place que le monde pourra s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Premièrement, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent à quoi cela devrait conduire : un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la confidentialité devraient être largement utilisés pour permettre un suivi des contacts plus complet. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population chaque semaine. »

Selon leur « Scénario du futur », toute la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, concerts, églises, transports publics, etc. sera refusé.

Aujourd’hui, en 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.


Les contacts de tout le monde doivent être vérifiés

Dans une vidéo gouvernementale divulguée (10), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la manière de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la manière de constituer une armée pour mettre en œuvre ce système de contrôle.

« Des centaines et des centaines d’agents de contrôle doivent être nommés. Ils testent tout le monde, puis vérifient tous leurs contacts. Cela n’a jamais été fait auparavant à cette échelle. C’est une armée d’interrogateurs qui vérifieront les contacts de tout le monde. »

ANDREW CUOMO,
GOVERNOR OF NEW YORK


Un tout nouveau niveau de contrôle global

world control

Bill Gates a également précisé que seules les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler. (11) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement (12) et Gates a un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie est appelée WO2020-060606 (13). De plus, Gates souhaite mettre en place un réseau de surveillance mondial, qui suivra toutes les personnes qui sont entrées en contact avec la Covid-19 (14).


Le plan : injecter à l’humanité un vaccin modifiant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde, au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’un entretien en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit:

« Ils vont libérer un coronavirus artificiel. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera une troisième souche d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, son ADN subit presque immédiatement une transformation. Ce changement génétique amènera les gens à perdre la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils s’en rendent compte. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir les esclaves de l’élite. »

Bien sûr, cela semble insensé et c’est vraiment insensé. Pourtant, nous devons être conscients que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a fait des années de recherche et c’est ce qu’il a découvert au fil des ans.

Nous devons veiller à ne pas rejeter des connaissances solides, fondées sur des années de recherche, simplement à cause de notre propre manque de compréhension de ces sujets.


20 ans de recherche disent :
le vaccin changera notre ADN

La docteure Carrie Madej a dirigé deux grandes cliniques en Géorgie, avant de se rendre en République dominicaine pour faire du travail humanitaire. Elle a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années et a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre la Covid-19. Le but de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à un identifiant numérique de vaccin, qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient dans les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.


Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

Le Dr John Coleman était un officier du renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Il y explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre se trouve sur le site Web de la CIA. (15)

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes, qui contrôlent les gouvernements et les médias, est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit à propos de leur stratégie :

« Au moins 4 milliards de mangeurs inutiles doivent être éliminés d’ici à 2050 au moyen de guerres limitées et d’épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide. »

DR. JOHN COLEMAN, CIA INTELLIGENCE OFFICER


Maintenir l’humanité sous 500 millions d’habitants

En 1980, un monument de granit a été érigé en Géorgie, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices [NdNM : Les 10 commandements de la nouvelle religion mondiale basée sur la science-technologie, l’humanisme et le New Age ?] est inscrit sur la structure en huit langues modernes et un message plus court est inscrit en haut de la structure dans quatre scripts de langues anciennes. La première directive est la suivante:

1. Maintenez l’humanité sous 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.


Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, quand il a dit littéralement que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15% ! (16)

« Il y a maintenant 6,7 milliards de personnes sur terre et bientôt il y en aura 9 milliards. Cependant, nous pouvons réduire ce nombre de dix à quinze pour cent si nous faisons du bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et le contrôle des naissances ».

BILL GATES, TRAFICANT de VACCINS


Vaccin Covid19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique alimentaire publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics [Médecine légale des aliments] et fondateur de CWC Labs accréditée ISO. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique fabriquée sera libérée dans les centres de population. Il y aura des appels pour un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin afin de proposer un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

Il y a en effet une libération d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccin, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin et d’un vaccin qui est mis au point en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions, voire des milliards, de personnes en quelques années. Ce sera un vaccin kill-switch [NdNM : coupe-circuit ou commutateur qui une fois en position ouverte pourrait libérer un genre de toxine ou d’agent mortel], conçu pour réduire la population mondiale.


RÉSUMÉ :
LA PANDÉMIE A-T-ELLE ÉTÉ PRÉVUE ?

Des milliers de médecins du monde entier appellent la pandémie un crime mondial, une dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Quelques années avant la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour COVID-19.

En 2015, Richard A. Rothschild a breveté une méthode de test médical pour COVID-19.

La Banque mondiale montre comment le projet Covid-19 devrait durer jusqu’en mars 2025.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait grâce à une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event201.

Également peu avant l’épidémie, le Conseil mondial de surveillance de la préparation a dit au monde qu’il était prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a annoncé une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 a peut-être été créé dans le Bio Safety Lab P4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Une virologue chinois de premier plan, Li-Meng Yan, s’est enfuie aux États-Unis pour exposer comment le Parti communiste chinois a conspiré avec l’Organisation Mondiale de la Santé pour publier une fausse déclaration sur le virus, ce qui a permis à ce dernier de se propager dans le monde entier.

Plusieurs films ont décrit la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails, et mentionnent même l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne décrit un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont joué une pandémie de coronavirus lors de leur émission d’ouverture.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait provoquée, de sorte que la « classe dirigeante » pourrait mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel, qui serait utilisé pour forcer un vaccin modifiant l’ADN de l’humanité.

La Dre Carrie Madej a étudié l’ADN et les vaccins pendant des décennies et dit que le plan est d’utiliser le vaccin COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié les sociétés secrètes et affirme que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité, en huit langues. Le premier de ces « dix commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Le « gardien de la santé » Mike Adams a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire maintenant : la libération d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccin, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin et d’un vaccin qui est développé en un temps record. Il a également prédit que ce vaccin tuera d’innombrables personnes au cours de quelques années.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir… » dans lequel elle décrit une pandémie mondiale à venir, qui devrait aboutir à la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur les populations, qui s’intensifiera ensuite après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller publie un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils disent que la vie ne peut pas revenir à la normale, tant que le monde n’est pas devenu «verrouillé» avec ce contrôle provenant des gouvernements autoritaires.

Nous voyons en effet que Bill Gates et bien d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle d’une manière sans précédent, avec des identifiants de vaccins, des micropuces qui seront implantées dans les personnes, rendant obligatoire le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les verrouillages forcés, la recherche extrême des contacts. , etc.

Une partie de ce contrôle descendant consiste en une censure extrême de chaque voix des médecins, des scientifiques ou d’autres experts qui critiquent ce qui se passe.


Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

predictions
C’est maintenant

Notez que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années, voire des mois avant qu’elle ne se produise. C’est important. Gates et Fauci mentent quand ils disent que « l’histoire nous dit que cela va arriver », car il n’existe aucune base historique pour garantir qu’une pandémie mondiale de coronavirus se produira dans quelques mois ou quelques années.

Jamais dans l’histoire rien de tel ne s’est produit, à une telle échelle mondiale.

Le fait qu’un événement aussi unique sur le plan historique ait été prédit avec beaucoup de détails — par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards grâce à ces pandémies, ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. — montre que c’était prévu.


Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

pandemic planned covid19

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications selon lesquelles la pandémie avait été planifiée à l’avance. S’il est effectivement orchestré, cela devrait également être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est également une pandémie contrôlée. Observons-nous en effet que la pandémie est manipulée ? Absolument. Les autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point chaque voix médicale, scientifique, gouvernementale, éducative et journalistique qui diffère de la propagande médiatique est censurée de manière agressive. Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y avait eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

Big Tech (Google, Facebook, Twitter, Apple, etc.) collabore avec Big Pharma (les industries pharmaceutiques de plusieurs milliards de dollars) pour supprimer tous les sons qui défient leur propagande.

En plus de cela, il y a une démonstration sans précédent de fraude mondiale avec des numéros covid. Littéralement, chaque information sur COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions et même carrément ordonné d’enregistrer chaque patient en tant que patient covid et chaque décès — quelle qu’en soit la cause — comme un décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cet exposé choquant de la plus grande fraude de l’histoire du monde.


Qui est derrière le plan de contrôle du monde?

world control

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle des « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents du monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés : soins de santé, industries alimentaires, médias, gouvernements, religion, tout.

La domination mondiale totale a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants à travers l’histoire du monde. Pensez simplement aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a pas quitté le cœur corrompu de l’humanité, mais les moyens pour atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent désormais l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la «solution». Cette solution signifie cependant nous retirer notre liberté et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale, et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade, pour cacher les vrais pouvoirs, que sont les nombreuses « sociétés secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis lors d’un événement appelé DAVOS, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites: (18)

« C’est le moment historique dans le temps, non seulement de combattre le virus, mais de FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour REVAMPER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et économies, des contacts éducatifs aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum Économique Mondial a créé un « rouet » avec tous leurs objectifs. On y voit les trois « projets » suivants : Covid19 suivi de Gouvernance mondiale et Gouvernance d’Internet.

global reset


COVID-19 est un projet critique qui ouvre la voie à la prochaine étape : LA GOUVERNANCE GLOBALE. Un peu plus loin dans le futur, ils prévoient de créer une censure complète d’Internet : la GOUVERNANCE D’INTERNET.


Personne ne veut de ces organisations

Pas un seul humain sur terre n’a voté pour que ces organisations existent, et encore moins prennent le contrôle total de nos vies, familles, communautés, emplois, santé, industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation Mondiale de la Santé s’est positionnée comme le chef de file de notre santé, sans qu’aucun de nous n’ait choisi pour eux.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier, par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi ? Parce que ces géants des médias sociaux affirment que SEUL ce que dit l’Organisation Mondiale de la Santé est vrai. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » — qui n’ont aucune autorité sur chacun de nous — mais simplement parce qu’ils se disent leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.


L’humanité dans son ensemble doit se soumettre à l’Organisation « Mondiale » de la Santé, sans jamais demander notre avis ni même consulter d’autres experts médicaux. En fait, chaque expert médical qui dénonce ses décisions est censuré.


Cela signifie la perte totale de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus dont personne ne voulait et pourtant ils s’approprient simplement notre monde.

Ils sont le gros et méchant tyran sur le terrain de jeu, qui joue le patron sur tout le monde.


L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un violent parti communiste révolutionnaire en Éthiopie, le Front de libération du peuple du Tigré. (19) Le Département de la Sécurité Intérieure [aux États-Unis] déclare clairement :

«Le TPLF est considéré comme une organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes…»

Laissons cela passer à vous : l’homme qui dirige l’Organisation Mondiale de la Santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme à l’Éthiopie. Ce même homme harcèle maintenant le monde entier, nous disant à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censurant chaque professionnel de la santé qui a une opinion différente, exigeant une obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats pour être vaccinés par leur sponsor financier numéro un : Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre désormais ?


De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas la « grande réinitialisation » maintenant. (18)

Bill Gates appelle déjà cette « pandémie une » et parle de « pandémies deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies en 2020-2030.

Cette décennie est le calendrier choisi pour transformer le monde en une grande république bananière, dirigée par des fous avides de pouvoir, qui dépeuplent la terre et asservissent le reste de l’humanité.

Ils prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire, afin de briser le dos de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à leur contrôle mondial. Les vaccins obligatoires sont la clé de leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 500 médecins allemands, 600 médecins espagnols, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde appellent cette pandémie un « crime mondial » ?


Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

Un archevêque et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert du COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier. (20)

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie par rapport au nombre de décès, qu’il existe des puissances intéressées à semer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôler les personnes et de suivre leurs mouvements. L’imposition de ces mesures tyranniques est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial indépendant de tout contrôle.


Y a-t-il de l’espoir ? Que pouvons-nous faire ?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus radieux qu’on ne peut même l’imaginer!

Ce n’est pas un scénario funeste et sombre, mais un appel au réveil pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les mafia-médias et les politiciens pervers, et se lève pour un avenir de liberté. Je vous invite à rejoindre un mouvement unique et historique de combattants de la liberté mondiale, qui conduira l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de renouveau et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.


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Recherchez sur Internet les adresses e-mail des dirigeants du gouvernement, de l’éducation, de la santé, de l’application de la loi, etc.


Références

1: German group of Doctors For Information

2: Spanish group of Doctors For Truth

2B:EU comic strip depicts global pandemic

2C: World Bank shows planned end date of project COVID-19

2D: Rothschild owning central banks around the world

3: Fauci guarantees an outbreak with the next two years.

4: Bill Gates announced a global pandemic

5: Melinda Gates says humanities greatest threat is an engineered virus

6: Lyrics of 2013 song that predicted coronavirus pandemic in 2020

7: Harry Vox predicted the global pandemic

8: Robin de Ruiter predicted lockdowns

9: Scenario for the future described global pandemic

10: Andrew Cuomo talks with Bill Clinton about authoritarian control

11: Bill Gates talks about a digital ID to control people

12: Linking vaccines to a digital ID

13: Gates has pattent on technology to trace a body anywhere

14: Gates wants a global monitoring system

15: Download the book of CIA officer Coleman

16: Gates talks about reducing world population using vaccines

17: Tens of millions of Covid-19 test kist were exported by the EU, USA, China etc in 2017 and 2018

18: DAVOS and the gathering of the globalists

19: The head of the World Health Organization is member of violent terorrist group

20: Letter from archbishop and cardinals to humanity




Le Conseil de l’Ordre rétablit le délit d’opinion

[Source : FranceSoir]

Auteur :  Gérard Delépine

[Photo : Déclaration des droits de l’homme]

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

(ONU décembre 1948)

La plainte déposée contre le professeur Raoult rappelle une fois de plus que l’Ordre des médecins est pourvu de tribunaux d’exception qui ne devraient plus exister dans un pays démocratique. La justice doit être rendue en public, devant et au nom du peuple français par des juges professionnels, selon les lois communes et non pas en catimini par des médecins dont les liens professionnels, politiques et/ou d’intérêts divers brident la liberté de jugement ! J’ai déjà expliqué mon attaque par le conseil de l’ordre dans une précédente tribune dans des circonstances comparables.[1]

L’Ordre des médecins

Est un organisme privé chargé d’une mission de service public créé pour la première fois par Vichy pour exclure de la profession les médecins juifs. Il a ensuite demandé aux médecins de dénoncer aux autorités les blessés par balles (les résistants). Dissous à la libération pour collaboration active avec l’occupant, il a été recréé en 1945 pour veiller au respect, par les médecins, de la déontologie ainsi qu’à l’honneur et l’indépendance de la profession en lui interdisant d’empiéter sur les missions des syndicats.

L’adhésion à l’ordre est obligatoire ainsi que le paiement de la cotisation (335 € en 2019). Avec plus de 300 000 médecins inscrits, l’ordre dispose d’un budget annuel d’environ 85 M€. Son rôle est de veiller au respect des principes de moralité, probité, compétence et dévouement indispensables à l’exercice de la médecine. Il n’a aucune fonction scientifique et n’est guère représentatif des médecins en exercice. L’ordre compte en effet 3 311 conseillers ordinaux, mais moins d’un tiers sont des femmes (et seulement 9 % au CNOM) alors qu’elles représentent près de la moitié du corps médical et près de 60 % des médecins nouvellement inscrits à l’ordre. L’âge moyen des membres du Conseil national est de 68 ans contre 51 ans pour les médecins actifs. Le taux d’abstention aux scrutins ordinaux (75 %) est important et les cumuls de mandats fréquents.

De grosses casseroles qui devraient le rendre discret

Encore un organisme et des gestionnaires qui se croient intouchables. Les choses peuvent changer.

En décembre 2019, un rapport de la cour des comptes constatait avec amertume : « en dépit des contrôles de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) en 2000, de la Cour des comptes en 2011 et de la mission d’inspection des juridictions administratives (MIJA) en 2013, la gestion de l’ordre reste caractérisée par des dérives, préoccupantes, tandis que des missions importantes qui justifient son existence sont peu ou mal exercées »

Des fonctions bénévoles parfois très généreusement indemnisées[2]

Les fonctions ordinales sont théoriquement bénévoles, mais l’esprit de bénévolat réputé animer les fonctions ordinales n’est pas toujours présent ; si certains conseillers perçoivent des indemnités modestes, d’autres au contraire et en particulier le président du CNOM et ses proches bénéficient d’indemnités confortables (près de 120 000 euros annuels), souvent cumulées avec des remboursements de frais, dont les justifications sont parfois incertaines, voire inexistantes.

Des comptes souvent incomplets et insincères

Les ressources de l’ordre sont tirées, pour l’essentiel, des cotisations dont s’acquittent les médecins. Chaque cotisation est ventilée entre Conseil départemental, Conseil régional et Conseil national.

Les ressources du Conseil national ont crû nettement plus vite que celles de l’ordre : + 40 % sur la période 2014- 2017, contre + 24 % pour l’ordre dans son ensemble. La comptabilité de plusieurs départements n’a pas été tenue pendant plusieurs années et l’une d’entre elles avait été détruite avant le passage de la Cour.

 Les cotisations des médecins font l’objet d’une comptabilisation irrégulière et incomplète, ce qui participe de l’insincérité des comptesLes écritures comptables sont souvent approximatives et peuvent être entachées d’erreurs, voire délibérément faussées comme la Cour a pu le relever parfois.

 Cette absence de contrôle, dans les départements comme au niveau national, a permis que soient tolérés de grands désordres comptables et de gestion, outre des achats coûteux effectués sans mise en concurrence, de fréquentes dépenses étrangères aux missions de l’ordre. 

 « L’Ordre se caractérise par une gestion peu rigoureuse et en partie opaque des fonds qui lui sont confiés par les médecins cotisants, alors même qu’il s’investit insuffisamment dans ses missions les plus essentielles ».

Un contrôle incomplet des contrats entre médecins et avec l’industrie

Le contrôle du respect par les médecins des règles déontologiques de la profession « qui est la raison d’être de l’ordre, n’est pas exercé de manière satisfaisante les conventions que les médecins concluent avec l’industrie pharmaceutique et qui doivent être obligatoirement transmises aux conseils départementaux de l’ordre ne sont pas examinées par ces derniers ».

« Elles ne sont pas non plus utilisées à des fins statistiques ou de contrôle, tandis que le cumul des montants perçus par un praticien au titre des conventions qu’il a conclues n’est pas calculé et donc jamais vérifié ».

 À titre illustratif, entre 2016 et 2018, 82 conventions ont été transmises à l’ordre pour des prestations assurées par le Pr X, chef de service à temps complet dans un CHU, pour un montant de 726 000 €, tandis qu’un pneumologue a participé à onze congrès internationaux, invité par des sociétés spécialisées dans des dispositifs médicaux respiratoires. Ces exemples montrent combien l’absence de vision globale des avantages reçus par un praticien est problématique pour apprécier les risques de perte d’indépendance encourus par les médecins.

Un manque de rigueur dans le traitement des plaintes et une justice disciplinaire marquée par des dysfonctionnements

« Les conditions d’indépendance et d’impartialité des juridictions ordinales ne sont qu’imparfaitement réunies » : une hétérogénéité de traitement des litiges suivant les conseils départementaux, le manque de rigueur dans la gestion des conflits d’intérêts des médecins chargés de juger leurs pairs et les atteintes à l’impartialité témoignent des limites de l’activité juridictionnelle de l’ordre.

Quelques recommandations 2019 de la cour des comptes 

« Limiter à deux le nombre de mandats successifs au sein d’une même instance (réitérée). Vérifier les déclarations d’intérêt des élus ordinaux et les publier sur les sites internet des conseils de l’ordre (CNOM). Revoir le règlement intérieur de l’ordre pour rendre obligatoire le dépaysement de l’examen des contrats d’un élu ordinal y compris avec l’industrie (CNOM) ».

Les dérives du CNOM sont devenues évidentes lors de la crise du Covid19

Dans la crise du Covid19, au lieu de défendre la liberté de prescription et l’éthique résumées dans le serment d’Hippocrate, le Conseil de l’Ordre s’est comporté en mercenaire du pouvoir et des Big Pharma.

Il n’a pas protesté lors de la publication du décret Rivotril organisant l’euthanasie de nos aïeux suspects de Covid s’opposant ainsi ouvertement à la loi Leonetti qui a rejeté l’euthanasie dans une xième discussion à l’assemblée, à la loi Kouchner et son consentement éclairé.

Il n’a rien dit lorsque le ministère a dicté aux médecins « l’ordonnance » en cas de Covid19 (Doliprane), alors que le Conseil de l’Ordre aurait dû défendre la liberté du médecin dans l’exercice de son art, principe d’indépendance, base de la déontologie médicale et du serment d’Hippocrate.

Il s’est tu lorsque le ministre a interdit l’usage de l’hydroxychloroquine sur une toxicité alléguée frauduleusement dans un article du Lancet célèbre par ses inspirateurs, actrice porno etc., puis l’azithromycine, antibiotique à visée pulmonaire utilisée depuis des années chez les vieillards des EHPAD, alors que le choix des traitements fait partie des prérogatives exclusives des médecins.

L’ordre n’a pas poursuivi les médecins qui se sont exprimés et se répandent encore partout dans les médias, sans mentionner leurs liens d’intérêts avec les entreprises du médicament, violant ainsi la loi transparence santé et le code de la santé publique. C’est pourtant une mission prioritaire que lui a assignée la loi ! Les médecins des plateaux télé devraient le remercier.

Pire, il a poursuivi les médecins qui ont eu le courage de traiter leurs malades efficacement et ceux qui ont contredit les mensonges du gouvernement, rétablissant ainsi le délit d’opinion condamné par la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789[3] dans ses articles 10 et 11, 10.

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi. Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, » et réitéré par celle de l’ONU en décembre 1948 dans son article 19 : 

« tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit » n’ont plus osé prescrire au patient qui consulte « le meilleur traitement en fonction des données actuelles de la science »[4].

Certains ont craqué, démissionné comme cette collègue du centre de la France, mais trop ont opté pour la soumission, malgré les évidences de l’absence de toxicité de la chloroquine en vente libre depuis 70 ans.

Et le président de l’Ordre, Patrick Bouet s’est battu contre la réouverture des écoles[5] pourtant nécessaire aux enfants, alors que toute la littérature internationale et les enquêtes de l’Inserm, de l’institut Pasteur et d’Activ, association des pédiatres pro-vaccins montraient que l’enfant ne contamine personne. Et ce n’est pas le rôle de l’Ordre et encore moins de son président dont ce n’est pas la compétence !

L’infâme plainte contre les médecins qui résistent

La récente plainte contre les professeur Raoult et le professeur Perronne, et quelques autres, a été portée, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par un Conseil de l’Ordre National, grand défenseur de la Pensée Unique.

Une société subventionnée par Big pharma dont certains membres reçoivent des honoraires de l’industrie pharmaceutique a également porté plainte à Marseille contre le professeur Raoult. Les français auront découvert ce qui existe depuis au moins 40 ans, l’ordre ne défend pas les malades, mais bien l’ORDRE ETABLI.

Les accusations portées contre le professeur Raoult sont très semblables à celles qui furent portées contre moi il y a 40 ans. Il ne fait pas bon être honnête et pire, novateur en France, surtout si vous risquez de porter préjudice aux intérêts financiers de grandes entreprises mondialisées.

La réputation internationale de longue date du Pr Raoult, la qualité de son équipe qui donne vie à l’IHU qu’il a créé, ne peuvent que rendre jaloux, aigris et pitoyables certains de nos confrères qui, pour envahir les plateaux télé, n’ont jamais rien inventé et n’ont peut-être dû leur titre de professeur qu’à leurs qualités de porte-valise. Le relevé de leurs publications tend à le faire craindre.

Par cette plainte et d’autres comme celle portée contre le Professeur Perronne qui scandalise ses patients et collaborateurs, et qui ont la faveur des journaux soumis, le Conseil de l’Ordre a renoué avec les crimes de sa naissance, lorsque ses premières mesures ont été d’interdire aux médecins juifs d’exercer, puis de demander aux médecins de dénoncer aux autorités les blessés par balle (les Résistants) !

Soutenez le professeur Raoult dans cette épreuve ignoble par tous les moyens en votre possession, soutenez le professeur Perronne et plus globalement tous les médecins poursuivis, par mail et lettres au Conseil de l’Ordre, rendez-vous avec les représentants locaux de cet Ordre indigne qui ne protège pas les malades, mais bien les intérêts financiers de Big Pharma et affidés du Conseil scientifique, et ne remplit pas sa mission de poursuivre les médecins qui ne déclarent pas leurs liens d’intérêt avec les entreprises du médicament lorsqu’ils s’expriment en public.

Que ce procès inique devienne celui du Conseil de l’Ordre

 Qu’il rappelle à tous ses origines fascistes et la nécessité de supprimer cette juridiction d’exception qui n’a pas sa place dans un système démocratique et brime les novateurs et bien d’autres collègues qui tentent tout simplement de respecter le serment d’Hippocrate plus que l’ordre établi.

Le président Mitterrand avait promis dans son programme de le supprimer en 1981… 40 ans d’attente !


[Notes]

[1] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre… – Riposte Laïque (ripostelaique.com)

[2] Les faits rapportés dans ce chapitre sont détaillés dans « L’ORDRE DES MÉDECINS » Rapport public thématique de la cour des comptes Décembre 2019

[3] https://www.legifrance.gouv.fr/contenu/menu/droit-national-en-vigueur/constitution/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789

[4] Selon l’arrêt Mercier de 1936

[5] Le Conseil de l’Ordre a tort : il faut rouvrir les écoles au plus vite ! – Riposte Laïque (ripostelaique.com) [6] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre… – Riposte Laïque (ripostelaique.com)

Auteur(s): Gérard Delépine pour FranceSoir




Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme « sanitaire »

[Source : Konfedera.org]

[Auteur : François Jortay]

Gestion des épidémies

Màj : 30 juil. 2020   –   # pages : 64 

1. Résumé
2. Introduction
 2.1. Auteur
 2.2. Objectif
 2.3. Méthode
 2.4. Conseils de lecture
3. Modèles mathématiques
 3.1. Principes
 3.2. Limites des modèles mathématiques
 3.2.1. Stochasticité
 3.2.2. Sensibilité
 3.2.3. Irréductibilité
 3.2.4. Réalité
 3.3. Modèles et idéologies
 3.3.1. Interprétations abusives
 3.3.2. Neil Ferguson
4. Modèle SIR
 4.1. Système d'équations
 4.2. Hypothèses
 4.3. Taux de reproduction
 4.4. Immunité collective
 4.5. Stratégies
 4.6. Mortalité
 4.7. Charge hospitalière
 4.8. Valeur scientifique du "R zéro"
 4.8.1. Le fumigène R0
 4.8.2. Calcul du R0
 4.8.3. Utilisations du R0
5. SIR et la grippe
6. SIR et covid-19
 6.9. Paramétrage en début de confinement
 6.10. Paramétrage en fin de confinement
 6.11. Rebond de l'enfermement cognitif
 6.12. Bilan
 6.13. Typologie des facteurs d'inefficacité
7. Suivi en temps réel
 7.1. Ressources
 7.2. Définitions
 7.3. Mesure
 7.3.1. Taux d'infection
 7.3.2. Taux de mortalité et létalité
8. Stratégies anti-épidémiques
 8.1. Principes de gestion anti-épidémique
 8.2. Immunité collective
 8.3. Stratégie non pharmaceutique (SNP)
 8.3.1. Principes
 8.3.2. Efficacité de la SNP
 8.3.3. Effets pervers de la SNP
 8.3.4. Conclusion
 8.4. Stratégie pharmaceutique (SP)
 8.4.1. Traitements
 8.4.2. Dépistage
 8.5. Principe de précaution ?
 8.6. Quelle stratégie appliquer ?
9. covid-19 : analyse d'un délire collectif
 9.1. QUOI : Info vs réalité
 9.1.1. Charge hospitalière
 9.1.2. Mortalité toutes causes
 9.1.3. Différences entre pays
 9.2. Agents du délire collectifs
 9.2.1. Entreprises "d'information"
 9.2.2. Atlantisme anti-chinois
 9.2.3. Scientifiques de plateau TV
 9.2.4. Personnel médical
 9.2.5. Gouvernements
10. Contexte économique
 10.1. Concurrence chinoise
 10.2. Big Data & Pharma Inc.
 10.3. Extrémisme vert
11. Problématique politique
12. Conclusion

Résumé

https://konfedera.org/gestion-epidemies#resume

  1. La thèse que les entreprises « d’information » et certains scientifiques propagent concernant covid-19 est la suivante : covid-19 est un virus nouveau. Il en résulte que :
    (i) il n’existe ni médicament spécifique ni vaccin ;
    (ii) personne n’est immunisé (absence d’anticorps) ⇒ il n’existe pas de barrière physiologique à sa propagation, qui est alors rapide.
    Par conséquent, pour éviter le risque de surcharge du système hospitalier, il faut imposer le confinement général des populations, ce qui aura pour effet de retarder et d’abaisser le sommet de la courbe épidémique. On gagnerait ainsi du temps pour augmenter la capacité hospitalière et développer des médicaments/vaccins spécifiques avant le pic épidémique. Ce raisonnement peut sembler imparable, et pourtant il est totalement erroné car :

    • une partie de la population est immunisée de naissance et/ou par immunité croisée (anticorps non-spécifiques);
    • certains médicaments non spécifiques sont efficaces;
    • il est n’est pas possible de développer les capacités hospitalières de façon substantielle et des médicaments/vaccins spécifiques réellement efficaces en moins de cinq ans. Ces mesures conduiraient en outre à maintenir une (très large) surcapacité hospitalière et à augmenter sans fin le nombre des médicaments et vaccins (on peut toujours considérer qu’un virus est « nouveau » dès que l’on découvre – grâce au progrès scientifique qui est sans fin – des « différences » par rapport aux autres membres de sa famille virale).
    • pour freiner substantiellement la propagation d’un virus le coût des mesures à appliquer (confinement, distanciation, masques, lavages) est tellement élevé que même en milieu hospitalier – pourtant équipé de tout le matériel nécessaire et où les règles sanitaires sont strictement appliquées par des professionnels avec un haut niveau de formation – on n’arrive pas à neutraliser les infections nosocomiales ; certaines des mesures sanitaires sont en réalité appliquées pour des raisons juridiques et d’image de marque (la concurrence joue aussi dans le secteur hospitalier).

  2. Extinction. Les épidémies ont une évolution dont la courbe a la forme d’une cloche, ce qui signifie qu’au début elles montrent en général une croissance exponentielle. Or toutes les épidémies s’éteignent naturellement avant d’avoir contaminé 100% de la population. Et la plupart avant même d’avoir atteint le taux théorique d’immunité collective, pour des raisons encore inconnues mais très probablement liées au virus lui-même et/ou aux écosystèmes dans lesquels il évolue.
  3. Modèles. Le recours à des modèles mathématiques à des fins de suivi épidémique et de prévision est irrationnel car :

    • dans le cas des virus « nouveaux », leur paramètres sont inconnus et ne peuvent être correctement évalués en temps réel (c-à-d en cours d’épidémie) en raison de biais de mesure ne pouvant être corrigés qu’au moins douze mois après le début de l’épidémie;
    • quant aux virus en général, c-à-d connus ou non, leurs caractéristiques (les valeurs attribuées aux paramètres des modèles) ne sont pas stables dans le temps (voire même non plus dans l’espace), en raison de la nature écosystémique c-à-d complexe des phénomènes infectiologiques.On constate d’ailleurs une très forte propension de ces modèles (ou de leur paramétreurs ?) à produire des « prévisions » qui s’avèrent in fine de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies.

  4. Rebonds. Il suffit que le nombre de tests augmente (par exemple suite à la surmédiatisation de « prévisions » catastrophistes) pour qu’augmente le nombre d’infectés recensés. Il résulte de cet effet de recensement que la gestion épidémique ne doit surtout pas être pilotée en fonction de l’évolution du taux d’infection, mais en fonction du taux de mortalité (toutes causes !) par rapport à la population (PS : dans le cas où la hausse du nombre de tests est provoquée par l’annonce de « prévisions » catastrophistes l’effet de recensement induit donc un effet de prophétie auto-réalisatrice).
  5. Mortalité. En Europe, région du monde la plus touchée par covid-19, la mortalité toutes causes sur l’ensemble de l’année 2020 aurait probablement été la plus basse des quatre dernières années s’il n’y avait eu les décès attribués à covid-19, mais principalement causés par une mauvaise stratégie anti-épidémique.
  6. Causes. Les pouvoirs médiatique, académique et politique ne s’en sont jamais cachés : pour qu’un maximum de gens appliquent les mesures de la stratégie « non pharmaceutique » (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages) il faut faire peur à la population. La SNP implique donc la terreur, or celle-ci induit de graves effets délétères :
    • la panique, qui inhibe les capacités cognitives :
      • des décideurs politiques : ainsi pour libérer des lits d’hôpitaux en prévision d’une prétendue « possible explosion » (sic) du nombre de malades sévères de la covid-19 il a été décidé d’isoler un maximum de vieillards dans les maisons de repos … qui ne disposent ni du matériel ni de personnel pour soigner les cas graves;
      • des médecins hospitaliers : ainsi plus de 50% de la mortalité hospitalière attribuée à covid-19 serait causée par les intubations abusives.
    • le stress psychique, qui inhibe le système immunitaire (NB : ces effets sont démultipliés par l’isolement qu’implique le confinement général);
    • la peur de la contamination, qui inhibe la demande et l’offre de services médicaux.D’autre part des effet d’entraves ont encore accru la mortalité attribuée à covid-19 :

    • une réglementation médicale pénalisant l’utilisation de médicaments « non spécifiques » même dans une situation « de crise » face à un virus « nouveau »;
    • le confinement général entrave la production & distribution de biens et services indispensables à la lutte contre l’épidémie (médicaments, respirateurs, …).

  7. Précaution. L’invocation du principe de précaution par les conseillers scientifiques de nombreux gouvernements pour « justifier » l’imposition de la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages) est fallacieuse. En effet le principe de précaution ne consiste pas à appliquer une mesure incertaine sous prétexte qu’elle pourrait peut-être fonctionner, mais au contraire à ne pas appliquer une mesure sans être certain que ses effets pervers ne l’emportent pas sur ses supposés effets positifs.
  8. Dépistage. Le dépistage est utile mais très coûteux :

    • en termes financiers ⇒ il doit être limité aux groupes à risque;
    • en termes démocratiques ⇒ son éventuelle obligation doit faire l’objet d’un référendum (organisé en période non épidémique).

  9. Médias. Au cours des dernières décennies, comme de tout temps, des virus considérés comme « nouveaux » se sont répandus sur la quasi totalité de la planète (pandémie). Dans la plupart des cas on a également assisté à une hystérie collective, mais jamais avec une intensité telle que pour covid-19 (et en particulier on n’avait pas eu recours au confinement et masques généralisés c-à-d obligatoires). La perte d’audience des médias « d’information », suite à la concurrence d’Internet, pousse ces entreprises à toujours plus de catastrophisme afin de booster l’audimat. Pour ce faire elles n’ont aucune peine à trouver des scientifiques prêts à cautionner le catastrophisme afin de briller sous les spotlights des plateaux TV, ou encore des médecins hospitaliers pour qui le catastrophisme est l’occasion de revendiquer plus de financement public.
  10. Big pharma. Des articles scientifiques sérieux qui réfutent la vision catastrophiste de la situation sont censurés tandis que des articles d’une médiocrité manifeste sont publiés par les revues scientifiques les plus reconnues (prévisions catastrophistes, prétendue absence de traitement, prétendue efficacité de la SNP, …). Cela n’est certainement pas étranger au fait que de nombreux médecins chercheurs sont intoxiqués par des sources d’informations « scientifiques » produites par l’industrie pharmaceutique, et souvent ont carrément des conflits d’intérêt avec celle-ci.
  11. Surfeurs. Des forces économiques ont pu « surfer » sur la vague médiatique, et ainsi l’amplifier, en considérant que le coût économique de quelques mois de confinement général est très inférieur aux gains récurrents d’un changement de paradigme économique permis par le choc émotionnel :

    • le potentiel financier et politique du « Big data » est tel (il concerne la quasi totalité des secteurs économiques) que de très fortes pressions ont pu être exercées sur les décideurs politiques afin que ceux-ci exploitent la vague médiatique catastrophiste pour amener les populations à accepter le traçage de leur vie privée;
    • alors que jusqu’au début des années 2000 le libre-échange international était la pierre angulaire de l’idéologie atlantiste, on assiste à un rétro-pédalage intégral de la part des pays atlantistes depuis que cette logique se retourne contre eux (concurrence de la Chine) ⇒ la théorie du « nouveau risque épidémique » est l’occasion de « justifier » ce revirement idéologique.

  12. Démocratie. Étant donné que l’on découvre régulièrement de « nouveaux » virus en raison du développement des techniques de détection, il en résulte logiquement que si les populations ne se révoltent pas contre le confinement général et le traçage de nos relations, ces pratiques irrationnelles deviendront la norme. Prenons garde que ne s’installe un peu partout sur la planète des régimes qui, au nom de « la protection d’autrui », justifieraient notamment le traçage des individus, les vaccins obligatoires et la répression de la contestation.
  13. Responsabilités. Dans le délire collectif autour de covid-19 il y a une immense responsabilité des entreprises « d’information » ainsi que des scientifiques qu’elles médiatisent. D’autre part de nombreux scientifiques conscients de la supercherie ont fait preuve de suivisme en se taisant (ce qui n’est pas sans rappeler la coupable passivité de l’élite allemande lors de la montée en puissance du nazisme durant les années 1930).
  14. Réaction. Des délires tels que celui de 2020 se reproduiront s’il n’y a pas de prise de conscience :

    • au niveau individuel : de la nuisibilité de l’info-dépendance;
    • au niveau collectif : de la nécessité d’une prise de contrôle démocratique des moyens de production de l’information et du savoir.

Partagez cette étude en copiant/collant son adresse sur les réseaux sociaux ou dans un email :
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et en ajoutant le texte de présentation :
Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme « sanitaire ».

masque-X1.gif

Agissez également dans le monde réel : marquez une barre verticale sur votre masque pour dénoncer l’avènement du totalitarisme « sanitaire ». P.S. Pourquoi une barre verticale : (1) facile à tracer sur les masques en accordéon ; (2) symbolise un citoyen debout, qui ne se couche pas devant l’exploitation de la peur. Ne portez le masque que là où c’est obligatoire.

Introduction

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Auteur

https://konfedera.org/gestion-epidemies#auteur

Je suis économiste de formation. En tant que chercheur libre, mon approche est fondée sur la transdisciplinarité c-à-d la spécialisation du chercheur dans la pluridisciplinarité – à ne pas confondre avec l’interdisciplinarité, qui est la collaboration de spécialistes dans des thématiques multidisciplinaires. Cette approche est certes ambitieuse voire prétentieuse, mais le lecteur pourra constater son énorme potentiel analytique, confirmé par la montée du présent article – sans équivalent dans son approche transdisciplinaire – dans la plupart des moteurs de recherche (Google, Bing, Yahoo, Qwant, DuckDuckGo, …), sur la thématique de gestion des épidémies.

J’attire enfin l’attention du lecteur sur un fait important : ayant banni la TV de mon domicile depuis l’année 2000, je ne suis pas info-dépendant.

Pour plus d’information sur mes domaines d’activité voir la page d’accueil de mon site portail jortay.net.

Objectif

https://konfedera.org/gestion-epidemies#objectif

En Chine, où l’épidémie est terminée, le taux de mortalité morts / population est de seulement 0,03 % pour l’agglomération de Wuhan (le foyer de l’épidémie, 11 millions d’habitants) et 0,0002 % pour l’ensemble de la Chine (1,386 milliard d’habitants) [source]. On comparera utilement ce dernier taux avec le taux correspondant de la grippe en France, soit 0,02 % [source].Taux de mortalité morts / population (%)

covid-19 (Chine) Grippe (France) covid-19 / Grippe
0,03 (Wuhan) 0,02 1,5
0,0002 (Chine) 0,01

Nomenclature : covid-19 est le nom de la maladie (« COronaVirus Disease 2019« ) tandis que SARS-CoV-2 est celui du virus (« Severe Acute Respiratory Syndrome COronaVirus 2« ) [source].

Nous verrons dans la section consacrée à l’analyse du catastrophisme médiatique que le gouvernement chinois a imposé le confinement général – NB : dans la seule région de Wuhan (le foyer épidémique) – pour des raisons de politique intérieure et extérieure. Il ne pouvait s’agir de raisons médicales car il n’existe, à notre connaissance, aucune étude scientifique sérieuse ni aucun manuel d’épidémiologie recommandant l’application du confinement général pour neutraliser une épidémie. Le tableau ci-dessus montre ainsi que le confinement général (i) n’a pu empêcher la propagation du virus dans le reste de la Chine, et (ii) que le taux de mortalité y est (très) inférieur alors que le confinement général n’y a pas été appliqué. Il y a donc une forte probabilité qu’une partie considérable du surplus de mortalité dans la région de Wuhan fut causée par les effets pervers du confinement général. Nous verrons qu’il existe de nombreux et solides arguments confirmant cette thèse.

Régulièrement des continents sont confrontés à des pandémies d’agents infectieux nouveaux (grippes aviaires, H1N1, SARS, MERS, Ebola, chikungunya, Zika, …), causant des morts, et dont la croissance est exponentielle. À chaque fois il existe un risque plus ou moins élevé que le système hospitalier soit surchargé. À chaque fois les médias d’information ont suscité une atmosphère de panique. Mais jamais on avait atteint un état d’hystérie et de délire collectif tel qu’avec covid-19. En particulier jamais on avait appliqué le confinement général.

Pourquoi alors la stratégie préventive dite « non pharmaceutique (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages) a-t-elle été appliquée lors de l’épidémie de covid-19 en 2020 alors qu’il n’existe pas de critère objectif permettant de déterminer un niveau de risque de mortalité au-delà duquel il faudrait appliquer la stratégie SNP, et en-dessous duquel cela ne serait pas nécessaire.

epidemie.jpeg

Il importe de trouver la réponse à cette question car la similitude du phénomène covid-19 avec la guerre (la vraie), cette autre folie collective, est flagrante. Or en situation de guerre, il n’y a plus de place pour le débat : si vous critiquez le gouvernement, celui-ci et ceux qu’il a rallié à lui grâce à la panique, vous accusent de jouer le jeu de l’ennemi meurtrier. Cette vision réductrice a pour effet d’inhiber (voir criminaliser) le débat public et partant l’intelligence collective. Cela conduit à l’incapacité collective de s’adapter intelligemment à l’évolution de la situation et des informations disponibles. Il en résulte généralement des catastrophes. Ainsi en cédant à la panique on peut perdre une guerre face à un ennemi même insignifiant (prophétie autoréalisatrice).

Pour ce faire la suite du présent article est composée de dix parties :

• Modèles mathématique
• Modèle SIR
• SIR et la grippe
• SIR et covid-19
• Suivi en temps réel
• Stratégie anti-épidémiques
• covid-19 : analyse d’un délire collectif
• Contexte économique
• Problématique politique
• Conclusion

Méthode

https://konfedera.org/gestion-epidemies#methode

Cette étude est une publication en édition continue (commencée début mars 2020) : elle fait quotidiennement l’objet de plusieurs mises à jour (corrections, ajouts, structuration, …) ⇒ le lecteur qui souhaite améliorer sa compréhension de la problématique et la mettre à jour (NB : auprès d’un chercheur non info-dépendant) est invité à relire cette étude tous les trois mois.

Les sources sont toutes scientifiques. Quelques articles de presse sont cités, soit parce qu’il s’agit d’interviews ou cartes blanches de scientifiques, soit pour montrer que si les entreprises « d’information » ont besoin de se fabriquer un capital confiance c’est aussi pour le consommer – c-à-d conditionner l’opinion publique – lorsqu’elles en reçoivent instruction.

Les sources sont systématiquement mentionnées par lien hypertexte, ce qui fait de cette étude, via son sommaire, une base de données très pratique sur les thématiques de la gestion épidémique en général et de covid-19 en particulier.

Conseils de lecture

https://konfedera.org/gestion-epidemies#conseils-de-lecture

Vous sentez que quelque chose de puissant, grave et potentiellement durable est en train de se produire, qui dépasse largement le cadre de cette « pandémie meurtrière ». Mais vous vous sentez également impuissant(e), ce qui augmente votre anxiété. La solution est de réagir par une action inscrite dans le long terme : « un petit peu, mais chaque jour« . Un petit peu de quoi ? Et bien, pour commencer, d’étude ! Le reste viendra naturellement, via les liens que vous allez ainsi construire … et qui seront autant d’opportunités pour le futur de votre parcours de vie (NB : les plus grandes crises sont des occasions de « saut évolutionniste » … pour qui ne reste pas dans la passivité).

La compréhension du présent document est accessible par quiconque a terminé ses études secondaires. Cependant il est relativement long (plus de 60 pages) et son abord est parfois ardu. Cela est inévitable en raison de la sophistication des forces en action. Ce travail ne se lit donc pas en une fois mais un petit peu chaque jour (par exemple donnez-vous une semaine ou un mois pour le lire). Si certains passages vous paraissent difficiles lisez-les malgré tout, puis passez à la suite. Cela vous permettra d’avoir une vue d’ensemble lors de l’indispensable seconde lecture.

Lors de la première lecture évitez, autant que faire se peut, de cliquer sur les (nombreux) liens, sinon vous allez vous noyer. Ne consultez éventuellement les liens que lors de la seconde lecture.

Enfin, avant de vous lancer, je vous invite à lire d’ors et déjà cet extrait d’un autre article, concernant l’info-dépendance, phénomène dont vous êtes probablement victime …

Modèles mathématiques

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modeles-mathematiques

Dans cette section nous allons exposer les principes de base de la modélisation mathématique. Ensuite nous en énoncerons les limites. Enfin nous illustrerons l’influence (très sous-estimée) de l’idéologie sur l’utilisation des modèles mathématiques.

Principes

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modeles-mathematiques-principes

La modélisation mathématique d’un phénomène naturel permet au moins trois types d’utilisation :

  1. explication : faciliter l’étude de ce phénomène (enseignement & recherche) en reproduisant sont fonctionnement par une simulation simplifiée (en laboratoire ou sur ordinateur);
  2. prévision : prédire son évolution future … mais cela n’est possible que pour les phénomènes dont la valeur des paramètres est stable dans le temps ainsi que dans l’espace considéré (notion de référentiel);Cette stabilité des paramètres est vérifiée dans le cas de phénomènes tels que la chute d’un corps, mais nous verrons que ce n’est pas le cas des phénomènes épidémiques autres que in vitro.
  3. exploitation : élaborer des techniques pour exploiter ou au contraire neutraliser ce phénomène.

Corrélation. Ainsi le modèle M ≡ y = a * x + b décrit une relation (linéaire) entre des variables x et y, les grandeurs a et b étant considérées (à tort ou à raison) comme constantes et par conséquent qualifiées de « paramètres ».

Mesure vs calcul. En présentant le modèle comme ci-dessus plutôt que, par exemple, comme M ≡ a * x + b * y = c on suggère que x est la variable d’entrée (input) et que y est la variable de sortie (output), c-à-d que x est mesurée, tandis que y est calculée. NB : cela n’implique pas nécessairement une causalité entre les deux, mais peut se justifier par exemple parce qu’il est moins coûteux de calculer y que de le mesurer.

Causalité. Tel que formulé ci-dessus, c-à-d sans indices de temps, le modèle ne dit rien quant à une éventuelle causalité soit de x sur y, ou inversement, ou les deux (boucle de rétroaction), ou/et d’une ou plusieurs variables non représentées dans le modèle. Du point de vue physique l’effet d’une relation causale ne peut être instantanée, sauf à supposer qu’un corps peut se déplacer, du lieu de la cause à celui de l’effet, à une vitesse infinie c-à-d supérieure à celle de la lumière, ce qui dans l’état actuel de la science physique est généralement considéré comme impossible. La cause doit donc nécessairement précéder temporellement son effet. Par conséquent une causalité de x sur y devrait être formulée par : yt+k = a * xt + b où k est le temps écoulé entre une variation de x et son effet sur y.

Calcul descriptif ou prédictif. On pourra alors tirer les conclusions suivantes sur les possibilités d’utilisations du modèle M ≡ y = a * x + b :

  • si relation asynchrone yt+k = a * xt + b ⇒ au temps t=0 je peux prédire yk si j’ai la possibilité de mesurer x0;
  • si relation synchrone yt = a * xt + b ⇒ au temps t=0 :

    • je peux calculer y0 après avoir mesuré x0 (/ ou inversement), ce qui est généralement moins coûteux que de mesurer y0 (/ ou x0) ; mais il s’agit d’un calcul descriptif et non pas prédictif ;
    • il m’est impossible de prédire ni xt ni yt car pour cela je devrais connaître la valeur de leur(s) éventuelle(s) variable(s) déterminante(s) (on dit aussi « explicatives« ) en t=0, or le modèle M ≡ yt = a * xt + b ne contient pas les équations exprimant leurs relations avec xt et yt (soit parce que le phénomène est stochastique soit parce que le modèle est incomplet).

La valeur calculée y0 (descriptive) ou yk (prédictive) sera d’autant moins proche de sa valeur réelle que les erreurs de mesure de x0a et b seront élevées, et que la valeur de chacun de ces deux paramètres a et b ne sera pas constante (ou suffisamment peu variable, puisque dans le monde réel les véritables constantes sont relativement rares).

Dimensions temporelle et spatiale

Les notions de variables et constantes concernent les dimensions temporelle et spatiale : une grandeur change (variable) ou pas (constante) :

  • avec le temps qui passe ⇒ dimension temporelle ;
  • selon le lieu (et donc l’individu) ⇒ dimension spatiale.

À noter que le temps est de dimension 1 (une droite) et ne peut évoluer que dans le sens positif (on ne peut reculer dans le temps), tandis que l’espace est de dimension 3 (voire plus) et un corps peut s’y déplacer dans les deux sens positif (avancer) et négatif (reculer) d’une droite, ainsi que dans toutes ses directions. D’autre part le temps passe inexorablement tandis qu’un corps peut être soit à l’arrêt soit en mouvement.modele-mathematique.png

Modèle épidémiologique SIR

Un modèle est donc nécessairement une représentation simplifiée de la réalité. Il y a là une rationalité économique : on veut pouvoir reproduire (simuler) un phénomène au moyen d’un système le plus simple possible (petit nombre de variables et paramètres, relations linéaires, …). Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas possible de simuler un phénomène complexe (grand nombre de variables et paramètres, relations non linéaires, effets de rétroactions, …), c’est même dans ce cas qu’un modèle programmé dans un ordinateur permet de dépasser les limites de l’intuition humaine. Il serait donc injuste d’assimiler ces modèles à l’allégorie de la caverne.

Il importe cependant de faire preuve de prudence dans les modes d’application et l’interprétation des modèles. La relative facilité à les concevoir et « faire tourner » peut rapidement conduire au fétichisme du jouet mathématique voire à un enfermement cognitif (tels qu’observés chez de nombreux adeptes des modèles astrologiques), consistant notamment à croire que la modélisation mathématique constitue la démonstration d’une thèse alors qu’elle n’en est que la formulation.

Ainsi en économie et épidémiologie les modèles mathématiques doivent être constamment reparamétrés (la valeur des paramètres doit être réévaluée) pour qu’ils puissent simplement reproduire les phénomènes observés. L’instabilité temporelle (voire même spatiale) des paramètres – due à la nature écosystémique des phénomènes économiques et épidémiologiques – induit l’impossibilité pour ces modèles de prédire le développement futur de ces phénomènes. Dans ce dernier domaine la mutabilité des virus ou bactéries (qui en font de nouveaux objets biologiques dont les propriétés sont alors supposées inconnues) ne fait qu’accroître cette incertitude.

Limites des modèles mathématiques

https://konfedera.org/gestion-epidemies#limites-modeles-mathematiques

Neil Ferguson, le physicien converti à l’épidémiologie qui en 2020 a réussi à convaincre de nombreux gouvernements que l’épidémie de covid-19 allait provoquer au moins 55 millions de morts si l’on appliquait pas le confinement général, est pourtant connu pour ses prévisions aussi catastrophistes … qu’erronées [source] :

  • en 2005 il prédit que la grippe aviaire tuerait 200 millions de personnes : il y eu quelques centaines de victime;
  • en 2009, il prédit que la grippe porcine tuerait 65.000 Britanniques : il y eu moins de cinq cents victimes;

Dans aucun de ces deux cas, le confinement général n’a été appliqué. Heureusement car sinon les adeptes des modèles épidémiologiques auraient affirmé que la catastrophe a été évitée grâce au confinement général. En 2020, ce fut malheureusement différent …

L’incapacité d’un modèle à simplement reproduire un phénomène (par simulation dans un laboratoire ou sur un ordinateur) autrement qu’en adaptant la valeur des paramètres, implique l’impossibilité de prédiction par ce modèle.

D’autre part l’incapacité de reproduction systématique (c-à-d sans devoir adapter la valeur des paramètres) peut avoir trois types de causes :

  • phénomène est stochastique (c-à-d soumis au hasard) ⇔ les paramètres du modèles sont variables dans le temps et l’espace.
  • le phénomène est déterministe (c-à-d non soumis au hasard) mais :

    • sensible aux conditions initiales;
    • ou bien la mesure des valeurs d’entrées (et des paramètres en cas d’instance nouvelle) ne peut être réalisée correctement qu’après la fin du phénomène (cette cause sera développée dans la section consacrée aux limites des modèles épidémiologiques);
    • ou bien le modèle est incomplet (réductionnisme voire irréductibilité).

Stochasticité

Un phénomène stochastique (c-à-d soumis au hasard) ne peut-être reproduit qu’en adaptant à chaque fois la valeur des paramètres du modèle puisque ceux-ci sont par nature variables dans le temps et l’espace. Par conséquent il est impossible de prédire l’évolution d’un phénomène stochastique.

Avec le développement des capacités de traitement des donnés (quantité et vitesse) sont apparus des modèles dits « stochastiques« . Ils concernent des quantités « macroscopiques » vues comme des moyennes statistiques de quantités microscopiques (par exemple la pression et la température d’un volume gazeux). Le principe est ici que l’instabilité exponentielle du système « microscopique », c-à-d l’imprévisibilité des variables du niveau micro, n’impliquerait pas l’imprévisibilité de moyennes statistiques au niveau macro. Il existe cependant des situations particulières dites « critiques » où l’on observe un phénomène de « transition de phase » c-à-d tel que le système « hésite » de façon imprévisible et changeante entre deux chemins possibles [source].

Sensibilité

Les scientifiques avaient l’habitude de penser que si l’on pouvait isoler un système des influences de son environnement et le décrire à l’aide d’un nombre réduit de variables, il serait à la fois déterministe et prévisible. Mais on sait aujourd’hui que pour être prévisible, un système doit être déterministe et stable : de petites incertitudes sur l’état initial du système ne doivent pas s’amplifier trop vite, sinon toute prédiction sur le comportement futur du système devient illusoire [source]. Des systèmes déterministes, c-à-d dont l’état futur est complètement déterminé par leur état présent, peuvent donc être imprévisibles. Et cela n’a rien à voir avec la complexité : ce phénomène de sensibilité aux conditions initiales concerne également les systèmes simples (petit nombre de variables, relations linéaires, …).

Sensibilité aux conditions initiales

Dans cette animation en boucles (30 sec.), après quelques secondes les deux pendules se désynchronisent brusquement [source].

Un système est dit chaotique si une infime perturbation de son état initial peut bouleverser entièrement son évolution. Un système chaotique n’est pas nécessairement complexe.

Irréductibilité

Les modèles mathématiques reposent sur un certain nombre d’hypothèses – notamment la formulation des relations entre variables (les équations), la valeur des paramètres (les supposées « constantes » de ces équations) et conditions initiales – supposées représenter la réalité.

Voici quelques hypothèses sur les modes de transmission du virus covid-19, tirées de l’article de Neil Ferguson [source], sur base duquel de nombreux gouvernements ont décidé d’appliquer la distanciation sociale (confinement et masque généralisés) lors de l’épidémie de 2020 :

  • « 30% des hospitalisés le seront en soins intensifs, et 50% de ceux-ci meurent » ;
  • « le nombre de contacts par individu dans les écoles est le double de celui observé ailleurs » ;
  • « la période d’incubation est de 5,2 jours » ;
  • « l’infectiosité survient 12 heures avant le début des symptômes pour les symptomatiques, et 4,6 jours après l’infection pour les asymptomatiques » ;
  • « le taux de propagation R0=2,4 » ;
  • « les symptomatiques sont 50% plus contaminants que les asymptomatiques » ;
  • « deux tiers des symptomatiques le sont suffisamment pour s’auto-confiner dans les 24 heures suivant l’apparition des symptômes, et sont hospitalisés dans les cinq jours » ;
  • « la durée d’hospitalisation est de 8 jours pour les cas non critiques et 16 jours pour les cas critiques » ;
  • « 70% des ménages respectent les mesures sanitaires » ;
  • « le taux de contact sur le lieu de travail est diminué de 25% (distanciation) » ; …

Dans la section #modeles-mathematiques-principes nous avons vu que l’intérêt des modèles réside précisément dans leur simplicité. Mais lorsqu’un phénomène est difficilement modélisable et que par conséquent les modèles n’arrivent pas à simplement reproduire correctement ses instances (ce qui implique évidemment l’incapacité de prédire celles-ci) des scientifiques qui ont investi leur carrière dans cette voie peuvent être tenté, plutôt que de changer de domaine de recherche, de s’obstiner en augmentant sans fin le nombre des variables, paramètres et équations (ce qui est le cas des modèles dérivés de SIR). Il en résulte des modèles complexes qui non seulement ne sont pas plus performants mais qui en outre sont beaucoup plus difficiles à comprendre, de sorte qu’ils n’ont plus aucun intérêt (notamment pour l’enseignement). C’est le cas notamment en économie et épidémiologie/infectiologie, qui semblent bien être des phénomènes irréductibles.

L’incapacité prédictive des modèle épidémiologiques (sauf effet du hasard) n’est pas étonnante car la dynamique des maladies transmissibles est extrêmement complexe. On observe ainsi une grande diversité dans la nature et la puissance des vecteurs : tous ne transmettent pas la maladie de la même manière, certains individus étant plus contaminants mais moins malades (par exemple les enfants) tandis que d’autres sont plus sensibles mais moins contaminants (par exemples les personnes âgées).

D’autre part les comportements culturels, comme cracher par terre et consommer peu ou beaucoup de certains aliments, peuvent induire des différences dans la propagation et la létalité d’un virus. Les maladies infectieuses sont donc des maladies d’écosystème. Par conséquent même si un modèle fonctionnait bien pour tel pays il pourrait ne pas fonctionner du tout pour d’autres pays. À cette variabilité spatiale s’ajoute une variabilité temporelle : les écosystèmes sont par nature changeant d’une année à l’autre (cf. la grippe qui chaque année peut changer de nature au niveau de sa virulence ou/et ténacité).

Didier Raoult – premier expert mondial dans le domaine des maladies transmissibles selon le classement expertscape – dénonce « une façon de transformer en mathématiques des phénomènes extrêmement complexes qui n’est jamais lucide » [source]. Il y a une incapacité des modèles mathématiques à représenter la complexité des maladies transmissibles, qui plus est dans le cas de virus nouveaux et/ou à mutations fréquentes. Aucun modèle ne peut prendre en compte toute l’hétérogénéité spatiotemporelle d’un contexte écoépidémiologique, ni même le degré de transmissibilité ou la vulnérabilité à une infection. On notera ainsi le gigantesque réductionnisme consistant à ramener à la seule problématique de propagation d’un virus celle, beaucoup plus complexe, de neutralisation de ses effets sur la santé publique.

Réalité

L’incapacité éventuelle d’un modèle mathématique à représenter un phénomène naturel n’est pas nécessairement liée à la conception (erronée ou incomplète) du modèle, mais peut aussi s’expliquer par l’inexistence du phénomène modélisé. Par exemple est-il certain que les notions « d’incidence épidémique d’un virus », de « maladie virale » ou encore de « taux de mortalité d’une maladie », correspondent à une quelconque réalité ? Ainsi lorsque nous pensons mesurer la durée moyenne d’une maladie virale nous ne mesurons en fait que des indicateurs dont nous supposons qu’il permettent de mesurer le début et la fin d’un concept que nous appelons « maladie virale ».

Ainsi la notion de « réalité » est liée à celles de « définition » et de « complexité » : pour comprendre la complexité du monde, c-à-d pouvoir agir sur lui ou par rapport à lui, nous en définissons des objets, dont nous mesurons les valeurs. Ce faisant nous pouvons éventuellement ouvrir des portes sur des applications (R&D), mais peut-être aussi nous éloignons-nous d’autres voies plus intéressantes (enfermement cognitif).

Modèles et idéologies

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modeles-et-idéologies

Les modèles mathématiques ne sont pas seulement soumis à des contraintes logiques et physiques. Ils sont aussi l’objet d’utilisations abusives, fruits de leur incompréhension ou de motivations non scientifiques (idéologiques, financières, égotiques, …).

Interprétations abusives

https://konfedera.org/gestion-epidemies#interpretations-abusives

Illustrer vs
démontrer

Comprenons bien que les résultats d’un modèle mathématique ne constituent aucunement une démonstration (c-à-d une preuve) de la thèse modélisée ! Un modèle mathématique ne fait rien d’autre que de produire des valeurs (les « résultats du modèle ») correspondant à différentes valeurs de ses paramètres. Un modèle permet seulement d’illustrer différents scénarios d’une thèse (par exemple : « le confinement général permet de retarder et abaisser le sommet de la courbe épidémique« ), mais cela ne démontre pas cette thèse (ainsi il est certes incontestable que les modèles astrologiques produisent des prévisions, mais cela ne prouve en rien que ces modèles sont effectivement capables de prédire l’avenir).

La plupart des journalistes, décideurs politiques et même des scientifiques tombent dans le piège de cette confusion. C’est alors que peut entrer en jeu la manipulation des paramètres.

Valeurs des
paramètres

Nous avons vu que les résultats d’un modèle sont des scénarios correspondant à différentes valeurs des paramètres. Ces paramètres sont déterminés par les utilisateurs du modèle, mais sont généralement entachés de deux types de biais :

  • estimations erronées : les valeurs initiales, les variables d’entrées et les paramètres peuvent être :

    • mesurées sur l’épidémie en cours ; ⇒ ces valeurs sont d’autant moins pertinentes que les biais de mesures seront importants (cf. infra la section « #suivi-temps-reel« );
    • mesurées sur de précédentes épidémies considérées comme « potentiellement similaires » ⇒ ces valeurs sont d’autant moins pertinentes que l’épidémie en cours est différente des celles utilisées comme référentiels ;
    • calculées à partir d’autres modèles ⇒ ces modèles ne sont plus alors que des objets divinatoires.

  • intérêts financiers/politiques/égotiques : ce dernier biais ne doit pas être sous-estimé : on peut faire dire beaucoup de chose (ce que l’on veut ?) à un modèle ; or des résultats catastrophistes augmentent les chances de médiatisation d’un modèle, et donc de ses auteurs …

On passe alors au stade suivant de la confusion voire manipulation : faire passer une valeur calculée pour une valeur observée.

Mesure
vs calcul

Les modèles peuvent être utilisés comme instrument d’analyse descriptive, par exemple pour calculer une valeur (estimation) lorsque sa mesure n’est pas disponible ou trop coûteuse. Il n’y a là rien d’abusif, sauf si on ne le mentionne pas. Or la plupart des articles de presse mélangent sans distinction des données mesurées et des données calculées (donc provenant de modèles), ce qui a pour effet que des valeurs calculées (qui peuvent être très éloignées de la réalité) sont présentées comme valeurs mesurées.

Enfin en toile de fond de ces confusions voire manipulation, il y a la question fondamentale de la causalité.

Corrélation
vs causalité

Une autre pratique abusive est d’interpréter une simple corrélation entre deux variables comme étant une relation de causalité selon laquelle l’une déterminerait l’autre. Exemple : « la vitesse de croissance de l’épidémie a diminué peu après l’implémentation du confinement général », alors que vitesse diminue toujours après une première phase exponentielle.

Conclusion. Quelques lignes extraites d’une étude scientifique [source], et qui nous rappellent que les modèles doivent être interprétés avec prudence et sens critique :

  • « Certaines études antérieures ont signalé différente valeurs de R0 (de 1,40 à 6,49 avec une moyenne de 3,28) en raison de différentes sources de données, périodes et méthodes statistiques » (p. 16).
  • « (…) nous avons fixé les valeurs de plusieurs paramètres sur la base d’études épidémiologiques antérieures sans tenir compte de l’incertitude, ce qui pourrait réduire la précision de nos résultats » (p. 17).
  • « L’impact des interventions doit être considéré dans son ensemble et nous n’avons pas pu évaluer les stratégies individuelles par la courbe épidémique » (p. 17).
Neil Ferguson

https://konfedera.org/gestion-epidemies#Neil-Ferguson

Le graphique hyper-catastrophiste ci-dessous est le résultat d’une modélisation mathématique réalisée par le physicien anglais Neil Ferguson de l’Imperial College London. Selon ce graphique – publié le 16 mars 2020 c-à-d au début de l’épidémie de covid-19 en Europe – les malades sévères de covid-19 (c-à-d qui nécessiteront une hospitalisation) représenteront près de 300 fois les capacités hospitalières (30.000 % !) en l’absence de confinement général …

Une modélisation catastrophiste de covid-19covid19-modele.png

Ligne rouge : capacité hospitalière en lits de soins intensifs. Courbes : différents scénarios d’utilisation de la capacité selon la stratégie appliquée. Conclusion : dans tous les cas la capacité hospitalière serait submergée … [source]. Voir aussi cette interface de simulation.

Lysensko du
néolibéralisme

Étant donné qu’augmenter les capacités hospitalières dans de telles proportions est quasiment impossible à court et même moyen terme (et cela sans parler de la faisabilité politique et économique d’une surcapacité permanente en dehors des périodes d’épidémies) ces « prévisions » permettent de « justifier » les politiques néolibérales de santé : le recours récurrent au confinement général permettrait d’abaisser le niveau requis de capacité hospitalière ! Le caractère délirant de ces prévisions et de la politique de santé qu’elles impliquent a valu à Ferguson le sobriquet de « Lysenko du néolibéralisme« .

Rappelez-vous : au début de l’épidémie le message officiel était que le confinement permettrait de reculer le sommet épidémique et de nous donner ainsi du temps pour augmenter la capacité hospitalière. Or absolument aucun programme de développement de la capacité hospitalière n’a été mis sur pied, ni aucune entreprise publique de fabrication de masques et de respirateurs n’a été créée. Pourtant l’on nous assure que l’épidémie pourrait durer des années et que le pire pourrait être à venir. Il n’y a plus aucune connexion entre les discours médiatiques et la réalité.

Expert en
catastrophisme

Ferguson, qui s’est fait connaître grâce à ses prévisions catastrophistes, a bien compris que ce qui compte le plus ce n’est pas la valeur scientifique mais médiatique des prévisions épidémiques [source] : plus il exagère plus il gagne en notoriété publique, et plus ils obtient des contrats en tant qu’expert, notamment auprès de l’OMS, la Banque mondiale, l’Union européenne et de nombreux gouvernements [source]. Ferguson est devenu un véritable business man du catastrophisme épidémique. En 2008 il fonda le MRC Centre for Global Infectious Disease qui reçut plusieurs dizaines de millions de dollars de la Bill & Melinda Gates Foundation [source].

Ferguson fait évidemment des émules. Et en 2020 il prédit avec l’états-unien Anthony Fauci que Covid-19 devrait tuer au moins 55 millions d’humains dans le monde ! Le nombre final est de 540.000 soit cent fois moins. Et il s’agit là d’une estimation (début juillet 2020) qui sera certainement fortement revue à la baisse lorsque l’on obtiendra les statistiques mondiales de mortalité toutes causes permettant de prendre en compte les morts avec covid-19 enregistrés comme mort par covid-19. Il conviendra également de déterminer la part les décès causés par les effets pervers du confinement général et du climat de terreur qu’il a suscité.

Car cette fois Ferguson a réussi à convaincre de nombreux gouvernements, qui ont imposé le confinement général malgré le scepticisme de nombreux scientifiques, comme en témoigne ces extraits révélateurs d’un article du journal Le Monde du 15 mars 2020, concernant l’influence de Ferguson sur la stratégie du gouvernement Français pour gérer la crise covid-19 [source] :

  • « Cette projection évalue le scénario le plus sombre, avec les hypothèses de mortalité les plus élevées et en l’absence de mesures radicales de prévention. »;
  • « Selon ces modélisations confidentielles, dont Le Monde a eu connaissance, l’épidémie de Covid-19 pourrait provoquer en France, en l’absence de toute mesure de prévention ou d’endiguement, de 300 000 à 500 000 morts. »;
  • « Précision extrêmement importante : ce scénario a été calculé en retenant les hypothèses de transmissibilité et de mortalité probables les plus élevées, et ce en l’absence des mesures radicales de prévention et d’éloignement social qui viennent d’être prises »;
  • « Les résultats pour la France ont été présentés jeudi 12 mars à l’Elysée. Quelques heures avant que le président ne prenne solennellement la parole devant les Français pour expliquer « l’urgence » de la situation. »;
  • « Il existe des incertitudes quant aux hypothèses retenues et au comportement du virus – pourcentage d’asymptomatiques, transmissibilité, impact des mesures de quarantaine »;
  • « différentes modélisations ont été présentées jeudi matin puis jeudi après-midi à Emmanuel Macron par le conseil scientifique, mais qu’il n’existe pas de consensus parmi les scientifiques qui le composent. »;
  • « Il y a eu plusieurs documents de travail qui ont été présentés, pas de document de synthèse, explique un conseiller du chef de l’Etat. On ne peut donc pas considérer qu’une étude fournie par l’un de ses membres reflète l’avis du conseil scientifique dans son ensemble. »;
  • « les chiffres évoqués [de 300 000 à 500 000 morts en cas d’absence de mesures d’endiguement] sont infiniment supérieurs à ceux communiqués par le ministère de la santé, ils apparaissent disproportionnés »;
  • « C’est toute la difficulté de cette stratégie, qui n’avait jusqu’à présent jamais été envisagée pour un virus circulant de façon globalisée, en raison de son coût économique et social.»
Théoricien
du NRE

Neil Ferguson a pris pour habitude de qualifier ses détracteurs de « théoriciens du complot ». Il n’est pourtant nul besoin d’invoquer un « complot » pour expliquer qu’un scientifique arrive à exploiter habilement les processus médiatico-politiques pour promouvoir sa carrière professionnelle. On pourrait par contre qualifier Ferguson d’habile théoricien du « nouveau risque épidémique » (NRE), et de charlatan.

Modèle SIR

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modele-SIR

Le modèle mathématique SIR est le modèle épidémiologique de base. Les modèles mathématiques se distinguent par leur degré de complexité (nombre de variables & paramètres, types de relations), mais leurs principes fondamentaux sont généralement identiques, et sont les plus visibles/compréhensibles dans les modèles les plus simples.

Système d’équations

Le modèle de base de la plupart des modèles épidémiologiques est appelé SIR [source1source2]. Il sépare la population en trois groupes, des individus du premier passant progressivement au second puis au troisième : « Susceptible » (c-à-d contaminables) ⇒ « Infected » (c-à-d infectés) ⇒ « Removed » (c-à-d retirés, le terme « résistants » est aussi utilisé en français). Pour éviter certaines confusions de notation nous allons ici remplacer le nom « Removed » par « Excluded » (exclus).

Ce dernier groupe – qui en raison de la sous-estimation de certaines de ses composantes, joue un rôle majeur dans la nature catastrophiste des modèles épidémiologiques – comprend :

  • les immunisés :

  • les guéris :

    • naturellement;
    • par traitement en médecine de ville;
    • par traitement en milieux hospitalier (cas sévères).

  • le décédés par le virus (et qu’il s’agira de distinguer des personnes décédées « avec le virus » mais pour d’autres raisons).

N.B. Cette version basique du modèle suppose donc que les personnes guéries sont immunisées. Il n’est pas ici nécessaire de lever cette hypothèse, car nous verrons que l’augmentation du nombre de variables ne change rien à l’incapacité des modèles épidémiologiques à reproduire la réalité autrement qu’en adaptant à chaque fois la valeur de leurs paramètres.

Mathématiquement la relation entre ces trois groupe est :

St + It + Et = 1(1)

En dérivant (1) par rapport au temps on obtient :

dS/dt + dI/dt + dE/dt = 0(2)

On peut alors décrire la dynamique des flux S –> I –> E au moyen d’un système d’équations différentielles tel que :

dS/dt = – β * It * St(3)
dI/dt = β * It * St – It / λ(4)
dE/dt = It / λ(5)

Lecture : durant la période dt, le flux net de I (c-à-d dI) est égal (au signe près) au flux sortant de S (dS) moins le flux rentrant dans E (dE).

Description des paramètres :

  • β (bêta) : alors que le produit It * St est une mesure de la probabilité de contact entre un susceptible et un infecté, β est une mesure de la probabilité de contamination du premier par le second, et est (abusivement) dénommé « incidence »;N.B. β est supposé constant dans le temps. Nous verrons cependant que ce paramètre, en raison de sa variabilité et difficulté de mesure, constitue (avec la valeur initiale E0), l’une des principales causes de l’incapacité des modèles épidémiologiques à prédire le développement d’une épidémie.
  • λ (lambda) est la durée moyenne de contagiosité = maladie = guérison (NB : cette égalité est une simplification de la réalité) ; plus λ est bas plus il y a de guérisons par unité de temps : à la limite λ = dt ⇒ dE = I ; 1 / λ est donc considéré comme le coefficient le plus simple pour exprimer dE/dt en fonction de de It ; dans la mesure où les individus guéris sont immunisés 1/λ est donc le « taux d’immunisation » ;

Hypothèses

Il faut bien comprendre que β et λ ne sont que des objets mathématiques, dont la pertinence en tant que représentation des phénomènes physiques qu’ils modélisent (incidence épidémique d’un virus ou d’une bactérie, et durée de maladie/contagiosité) n’est fondée que si les valeurs de ces paramètres, ou leur moyenne, sont constantes dans le temps et l’espace. C’est cette constance spatio-temporelle de la valeur des paramètres qui lie leur objet mathématique au phénomène physique modélisé. Si la stabilité spatio-temporelle des paramètres n’est pas observée alors on ne peut affirmer que le modèle représente la réalité. Il ne pourra ainsi éventuellement « reproduire » par le calcul les différences instances épidémiques d’un virus ou d’une bactérie (c-à-d dessiner la courbe avec les valeurs correctes du sommet épidémique, de sa date, et de la largeur moyenne de la courbe en cloche) que par l’adaptation de la valeur des paramètres. Dans ces conditions il est évidemment impossible que le modèle puisse prédire l’évolution d’une épidémie.

N.B. Cette problématique de stabilité spatio-temporelle ne doit pas être confondue avec celle des biais de mesure des paramètres (que nous traiterons dans la section #mesure-des-variables).

On notera ainsi le gigantesque raccourci que représente le modèle SIR, en résumant en trois lignes d’équations différentielles des phénomènes d’écosystèmes complexes, englobant les problématiques :

  1. épidémiologiques : propagation d’un virus;
  2. infectiologiques : contamination d’individus;
  3. médicales :

    1. développement éventuel de symptômes sévères (c-à-d nécessitant un traitement médical);
    2. traitements médicaux :

      • symptomatiques;
      • curatifs (ou préventif dans le cas de la vaccination);

Taux de reproduction

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-taux-reproduction

À partir de l’équation dI/dt = β * It * St – It / λ (4) on montre que :

  • il y a croissance du nombre d’infectés dès que (tant que) :
    dI/dt > 0    ⇔
    β * It * St – It / λ > 0    ⇔β * St * λ > 1(6)

Le membre de gauche de (6) est supposé représenter le nombre moyen de personnes contaminées par individu infecté (*), et est par conséquent appelé « taux de reproduction » (noté Rt) :Rt = β * St * λ(7)

(*) Ce qui est inexact : il ressort de dI/dt = β * It * St – It / λ (4) que le nombre moyen de personnes contaminées par individu infecté c-à-d dI / I * λ = ( β * St * λ – 1 ) * dt.

Un épidémie est donc neutralisée dès que Rt < 1.

Le tableau ci-dessous est une réalisation graphique du modèle. On y voit notamment que la valeur de Rt (courbe hachurée orange, échelle de droite) baisse au fur et à mesure de l’épidémie, et que le sommet de la courbe rouge (infectés) correspond au passage de Rt en-dessous de 1. La baisse théorique continue de Rt s’explique évidemment par sa relation positive avec St, qui diminue tout au long de l’épidémie : Rt = β * St * λ(7).

Nous parlons de baisse théorique de Rt car le modèle SIR repose du l’hypothèse que la valeur moyenne de β et λ serait stable dans le temps et l’espace. Dans la section #R-zero-valeur-scientifique nous verrons (i) que cette hypothèse n’est généralement pas vérifiée, ce qui explique qu’en matière de prévisions les modèles épidémiologiques ne peuvent faire mieux qu’un tirage au sort parmi des résultats possibles, et (ii) que les paramétreurs des modèles épidémiologiques ont en outre une forte propension à exagérer la valeur de ces paramètres.sir-60-15.gif

Tableur SIR.ods

Le modèle SIR montre donc bien que le taux de reproduction (Rt) diminue de toute façon c-à-d même sans politique de distanciation sociale (à supposer que celle-ci soit efficace …). Les entreprises « d’information » et leur conseillers scientifiques vous ont-il informé de ce fait ? Non, il vous ont plutôt asséné, jour après jour, que la baisse de Rt était due aux mesures de distanciations sociales, alors que toutes les pandémies de virus « nouveaux » depuis au moins la seconde guerre mondiale ont été gérées avec succès sans ces mesures autoritaires.

Immunité collective

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-immunite-collective

Le concept théorique d’immunité collective permet d’expliquer pourquoi les épidémies s’éteignent naturellement avant d’avoir contaminé 100% de la population.

Face à n’importe quel virus il y a toujours une partie de la population qui est immunisée : de naissance, par vaccin, par immunité croisée ou par guérison immunisante. Tous ces individus sont repris dans le groupe Et, avec E0 composé des personnes qui en t=0 sont immunisées de naissance, par vaccin ou par immunité croisée.

À partir de St + It + Et = 1 (1)   ⇔
St = 1 – It – Et     ⇒
substitué dans β * St * λ > 1 (6)   ⇒
β * ( 1 – It – Et ) * λ > 1    ⇔
Et > 1 – It – 1 / ( β * λ )

L’épidémie est donc neutralisée dès que Et – c-à-d la part de la population qui est immunisée (ou décédée par le virus) – est supérieure à E*t (« E étoile ») qui est tel que :

E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ )(8)

C’est pourquoi E*t est appelé « taux d’immunité collective« .

Et en particulier l’épidémie ne pourra pas même démarrer – c-à-d I0 = 0 – si Et est supérieur à :

E*0 = 1 – 1 / ( β * λ )(9)

Autrement dit, si une épidémie s’est déclenchée c’est nécessairement « parce que » Et était inférieur à E*0.

Taux d’immunité collectiveimmunite-collective.png

La courbe bleue (E*t) n’est rien d’autre qu’une symétrie de la courbe rouge (It)
β=0,60 ; λ=15 [tableur]

On peut également exprimer E*t en fonction des variables plutôt que des paramètres : en substituant Rt = β * St * λ (7) ⇔ 1 / ( β * λ ) = St / Rt dans E*t = 1 – It – 1 / ( λ * β ) (8) ⇒

E*t = 1 – It – St / Rt(10)

de sorte que :

E*0 = 1 – S0 / R0(11)

Mécanisme

Il découle de It = 1 – St – Et (1) une modélisation probabiliste de l’extinction naturelle de toute épidémie (courbe en cloche) avant contamination (et potentielle extermination) de 100% de la population : la valeur de E*t détermine un seuil au-delà duquel la probabilité de propagation du virus est trop faible relativement au nombre de susceptibles St c-à-d de potentiels vecteurs de transfert.

Plus précisément, selon les modèles épidémiologiques, les facteurs explicatifs de l’extinction naturelle des épidémies sont de deux types :

  • la baisse des flux entrant dans It : dS/dt de dI/dt = β * It * St – It / λ (4) ;
  • la hausse des flux sortant de It : dE/dt de dI/dt = β * It * St – It / λ (4).

La forte propension des modèles épidémiologiques (ou faut-il parler plutôt de leurs paramétreurs ?) à produire des prévisions qui s’avèrent ex post de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies (cf. Neil Ferguson) peut s’expliquer notamment par la sur-estimation du taux d’immunité collective E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ ) (8) via :

  • au niveau des variables (dont valeurs initiales) : la sous-estimation de It et de E0 ;
  • au niveau des paramètres : la surestimation de β (virulence) ou de λ (durée d’infection/contagiosité), donc la sous-estimation (en cours d’épidémie) du nombre de personnes immunisées par guérison.;

Parmi les causes de surestimation du risque épidémique, outre les manipulations des épidémiologistes charlatans (cf. infra la section #scientifiques-de-plateaux-TV), il y a aussi la sous-estimation de l’immunité collective (via E0 dans le paramétrage des modèles épidémiologiques). L’animation suivante montre qu’une sous-estimation de E0 (ici courbe verte démarrant à 0% vs 40%) se traduit par une surestimation du sommet de la courbe des infections (en rouge, 70% vs 30%). À noter qu’en raison notamment de l’immunité de naissance et de l’immunité croisée ce phénomène de sous-estimation de E0 joue même en cas de virus « nouveaux ».

Effet de la sous-estimation de E0immunite-collective.gif

NB : ces paramétrages sont arbitraires.
Tableur SIR.ods

Autres causes. Nous verrons plus loin que l’incapacité des modèles épidémiologiques à prédire le développement d’une épidémie (sauf effet du hasard), et en particulier leur propension à surestimer le risque épidémique (où s’agit-il d’une propension des paramétreurs ?), peut avoir des causes exogènes. Parmi ces causes il y a très probablement la non prise en compte de facteurs opérant en amont du phénomène épidémique, et spécifiques aux virus ou aux écosystèmes (le modèle est alors dit « incomplet »). Autrement dit le concept de taux d’immunité collective ne permet pas d’expliquer pourquoi, sans politique de distanciation sociale, les épidémies s’éteignent généralement avant d’avoir atteint le taux d’immunité collective.

Stratégies

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-strategies

Nous avons vu supra que la décroissance du nombre de contaminés (seconde partie de la courbe en cloche) correspond à une situation telle que Rt = β * St * λ < 1 (7), et que par conséquent l’on peut théoriquement neutraliser une épidémie en abaissant tout ou partie des paramètres β et λ. Pour ce faire on peut distinguer deux types possibles de stratégie :

  • non pharmaceutique (notée SNP) : qui est préventive, ancienne et fortement contraignante;
  • pharmaceutique (notée SP) : qui est curative (donc réactive, sauf pour ce qui concerne les vaccins), moderne et faiblement contraignante.
SNP

Il s’agit d’abaisser la valeur du paramètre β (probabilité ≈ vitesse de contamination) par des mesures de distanciation sociale (isolement et hygiène). L’animation suivante compare les courbes épidémiques « sans SNP » (β=0,6 ; λ=15) et « avec SNP » (β=0,2 ; λ=15).sir-beta.gif

β = 0,6 –> 0,2 [tableur].

La stratégie SNP peut être appliquée à au moins deux niveaux d’intensité, selon que son application est générale (c-à-d sur l’ensemble de la population : confinement général) ou ciblée (c-à-d sur les seuls groupes à risque).

SP

Il s’agit (i) d’abaisser le paramètre λ (durée de la maladie=contagion) et d’augmenter la variable Et (comprenant les guéris) au moyen de médicaments (traitement), et (ii) d’augmenter la valeur initiale E0 au moyen de vaccins (prévention). L’animation suivante compare les courbes épidémiques « sans SP » (β=0,6 ; λ=15) et « avec SP » (β=0,6 ; λ=5).sir-lambda.gif

λ = 15 –> 5 [tableur].

Comparaison

Les deux stratégies abaissent le sommet de la courbe épidémique (de 68% à 32%), ainsi que le niveau d’immunité collective neutralisante (de 89% à 67%). La stratégie SNP a en outre pour effet de retarder le pic épidémique (du 30° au 100° jour).

N.B. Ces chiffres sont fonction des valeurs attribuées aux paramètres. Ils n’ont donc pas ici de signification absolue.

Mais corrélativement le confinement général freine l’immunisation collective : dans la simulation du graphique suivant, alors que vers le quarantième jour 50% de la population a été immunisée naturellement, mois de 1% de la population est immunisée si l’on a appliqué plutôt la SNP, et il faut alors attendre jusqu’au début du cinquième mois pour atteindre les 50%.

Immunisationimmunisation-comparaison.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=15
SNP : β=0,20 ; λ=15
SP : β=0,60 ; λ=5
[tableur SIR.ods]

Étant donné que le confinement général freine l’immunisation collective, il résulte de E*t = 1 – It – St / Rt (10) que, corrélativement, le taux de reproduction baisse nettement moins vite que dans le cas d’une stratégie SP.

Taux de reproductiontaux-reproduction.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=15
SNP : β=0,20 ; λ=15
SP : β=0,60 ; λ=5
[tableur SIR.ods]

Mortalité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-mortalite

On constante à la vue des équations (3) à (5) que le modèle SIR ne traite pas le taux de mortalité. Nous proposons donc ici une définition et un mode d’évaluation de cette statistique essentielle pour toute politique de gestion des épidémies.

Le taux de mortalité  Mt = Σ ΔMt / Popul. = Σ ΔMt(12)

  • Popul. = 1 en vertu de St + It + Et = 1 (1) ; les variables sont ainsi dites « normalisées« ;

Mortalitémortalite.png

β=0,60 ; λ=9 ; μ=0,2% [tableur SIR.ods]

Une valeur théorique de ΔMt et donc de Mt peut être calculée en évaluant le paramètre μ représentant le ratio du nombre de décès journaliers par rapport au nombre de nouvelles infections :

ΔMt = μ Δ+It    (13)

Pour ce faire on calcule à la date n la moyenne μ = 1/n * ∑t=0n μt = 1/n * ∑t=0n ΔMt / Δ+It

De sorte que :

Mt ≈ ∑t=0n ΔMt = μ * ∑t=0n Δ+It(14)

On pourra également calculer un taux de létalité (Lt), défini comme le nombre de morts par rapport au nombre total de personnes étant ou ayant été infectées :

Lt = ∑t=0n ΔMt / ∑t=0n Δ+It = Mt / ∑t=0n Δ+It(15)

Dont la valeur théorique est μ étant donné (14).

Le taux de létalité n’est donc rien d’autre que le taux de mortalité divisé par le taux d’infection totale (c-à-d y compris les personnes ayant été infectées et qui ne le sont plus). Il est donc plus élevé que le taux de mortalité puisque le taux d’infection qui le divise est inférieur à un. Ou, pour dire les choses plus simplement : comparer le nombre de morts à la seule population des infecté donne évidemment un taux plus élevé que si l’on compare le nombre de morts à l’ensemble de la population.

N.B. La moyenne μ, et partant les définitions (14) et (15), n’ont d’utilité que si μ est stable dans le temps (entre épidémies d’un « même » virus), et dans l’espace (entre différentes régions durant une épidémie). Or nous verrons que cette condition n’est généralement pas vérifiée en raison de la nature écosystémique, et donc complexe, des phénomènes infectiologiques !

Résultat

Étant donné la formulation du taux de mortalité en fonction de It la courbe de mortalité suit l’évolution de la courbe épidémique (sauf qu’ici il y a accumulation ⇒ pas de courbe en cloche).

Taux de mortalités théoriques selon la stratégieSIR-mortalite.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,20 ; λ=9
SP : β=0,60 ; λ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
Tableur : SIR.ods

Le lecteur pourra vérifier dans le tableur que :

  • si on abaisse la valeur de β les courbes s’abaissent et sont retardées;
  • si on abaisse la valeur de λ dans une même proportion on observe le même phénomène sauf que l’effet retard est plus faible.

Cependant il est peu probable que les deux stratégies soient également efficaces (SIR.ods > feuille « Synthèse » > lignes 2 et 3 : xβ = xλ). Nous verrons dans la section #efficacite-strategie-non-pharma de nombreux faits suggérant que le taux d’efficacité de la stratégie SNP pourrait être inférieur à celui de la stratégie SNP (x β < xλ). Ainsi si xβ=2 pour xλ=3 alors l’effet retard de la stratégie SNP (distanciation sociale) passe de trois à un mois et, surtout, le taux de mortalité final est plus élevé que celui de la stratégie SP (traiter).

Hypothèse de faible efficacité relative de la stratégie SNPSNP-x-faible-mortalite.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,30 ; λ=9 ; xβ=2
SP : β=0,60 ; λ=3 ; xλ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
Tableur : SIR.ods

Voilà probablement une des raisons expliquant la forte mortalité de covid-19 dans les pays ayant appliqué la stratégie SNP (cf. infra : #mortalite-differences-entre-pays). Nous verrons que l’effet de faible efficacité du confinement général (cf. infra : #efficacite-strategie-non-pharma) illustré ici est renforcé par ses effets pervers (cf. infra : #effets-pervers-strategie-non-pharma).

Charge hospitalière

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-charge-hospitaliere

On constante à la vue des équations (3) à (5) que le modèle SIR ne traite pas le taux d’hospitalisation. Nous proposons donc ici une définition et un mode d’évaluation de cette statistique essentielle pour toute politique de gestion des épidémies.

Selon notre définition le taux d’hospitalisation (noté Ht) est la valeur normalisée (en pourcentage de la population) du nombre journalier de lits occupés par les infectés sévères du virus (les autres pouvant rester à leur domicile). Une façon de le calculer consiste à ajouter à la charge hospitalière du jour précédent les entrants du jour, moins les sortants du jour (vivants ou décédés) :

Ht = Ht-1 + Δ+Ht – ΔHt(16)

où H1 = H0 = Δ+H0 de sorte que l’on peut calculer une valeur théorique de Ht par :

  • Δ+Ht = σ * Δ+It(17)
    où σ (« sigma ») est le pourcentage de personnes infectées nécessitant une hospitalisation ;
    pour évaluer σ on calcule à la date n la moyenne σ = 1/n * ∑t=0n Δ+Ht / Δ+It
  • ΔHt = Δ+Ht-λ = σ * Δ+It-λ(18)
    où λ (« lambda ») est la durée de contagiosité = maladie = guérison (NB : cette égalité est une simplification de la réalité) ⇔ le nombre de sortants est égal à celui des entrants d’il y a λ jours.
    NB : dans les statistiques épidémiques publiées par les agences de santé les sorties d’hospitalisation concernent généralement les seules sortes en vie ⇒ il faut leur ajouter la part des décès en milieu hospitalier du jour pour obtenir le ΔHt de (18).

de sorte que :
Ht = Ht-1 + σ * Δ+It – σ * Δ+It-λ    ⇔

Ht ≈ Ht-1 + σ * ( Δ+It – Δ+It-λ )(19)

Enfin la charge hospitalière (notée CHt) est :

CHt = Ht / k(20)

  • k, la capacité hospitalière, est mesurée par le taux de lits de soins intensifs c-à-d pour les cas sévères (patients sous respirateur, …) ou critiques (dysfonctionnement de multiples organes, choc septique, …) toutes causes confondues.

  • N.B. La moyenne σ, et partant les équations (19) et (20), n’ont d’utilité que si σ est stable dans le temps (entre épidémies d’un « même » virus), et dans l’espace (entre différentes régions durant une épidémie). Or nous verrons que cette condition n’est généralement pas vérifiée en raison de la nature écosystémique, et donc complexe, des phénomènes infectiologiques !
  • Alors que le taux de mortalité est de type Stock à flux entrant / Stock fixe (⇒ il augmente constamment puis se stabilise à sa valeur finale de l’épidémie), le taux de charge hospitalière est de type Stock à flux entrant et sortant / Stock fixe.
Résultat

Le graphique suivant montre un résultat notable du modèle SIR : la stratégie SNP (confinement général) a théoriquement pour effet de retarder le sommet de l’épidémie, et par conséquent celui de la charge hospitalière, nettement plus que la stratégie SP.

Charge hospitalière théorique selon la stratégieSIR-charge-hospitaliere.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,20 ; λ=9
SP : β=0,60 ; λ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
∀ : σ=0,001 (taux d’hospitalisation)
∀ : k=0,003 (capacité hospitalière)
Tableur : SIR.ods

Même réflexion que pour le taux de mortalité : il est peu probable que les deux stratégies soient également efficaces (SIR.ods > feuille « Synthèse » > lignes 2 et 3 : xβ = xλ). Nous verrons dans la section #efficacite-strategie-non-pharma de nombreux faits suggérant que le taux d’efficacité de la stratégie SNP pourrait être inférieur à celui de la stratégie SNP (xβ < xλ).

Si l’efficacité de la stratégie SNP sur son paramètre β est relativement moins efficace que la stratégie SP sur son paramètre λ – par exemple xβ=2 pour xλ=3 – alors le graphique devient comme suit : SNP retarde toujours le sommet mais celui-ci est plus haut que si l’on applique plutôt la stratégie SP ! Si cela fait passer la charge hospitalière au-delà de la capacité on aura alors une nouvelle aggravation de la mortalité !

Hypothèse de faible efficacité relative de la stratégie SNPSNP-x-faible-hospitalisation.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,30 ; λ=9 ; xβ=2
SP : β=0,60 ; λ=3 ; xλ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
∀ : σ=0,001 (taux d’hospitalisation)
∀ : k=0,003 (capacité hospitalière)
Tableur : SIR.ods

Voilà qui renforce la thèse selon laquelle la forte mortalité de covid-19 dans les pays ayant appliqué la stratégie SNP (cf. infra : #mortalite-differences-entre-pays) fut causée non pas par le virus mais par le confinement général. Nous verrons que l’effet de faible efficacité du confinement général (cf. infra : #efficacite-strategie-non-pharma) illustré ici est renforcé par ses effets pervers (cf. infra : confinement-effets-pervers).

On pourra à priori objecter que les deux stratégies SNP et SP pourraient être appliquées complémentairement, mais nous exposerons dans la section #effets-pervers-strategie-non-pharma leur très difficile compatibilité.

Valeur scientifique du « R zéro »

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-valeur-scientifique

Nous allons ici montrer la nature trompeuse voire fallacieuse de cet objet mathématique cher aux épidémiologistes adeptes des modèles mathématiques.

Le fumigène R0

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-enfumage

Dans la section #SIR-taux-reproduction nous avons vu que la valeur théorique du taux de reproduction (Rt) baisse toujours, quelle que soit la stratégie anti-épidémique appliquée, et même sans stratégie du tout ! La raison, mathématique, est sa relation positive avec St dans Rt = β * St * λ (7), or St diminue tout au long de l’épidémie ⇒ Rt aussi.

Taux de reproduction (valeurs fictives)taux-reproduction.png

Évolution du taux de reproduction selon la stratégie : non pharmaceutique (SNP c-à-d confinements, masque & lavages) ou pharmaceutique (SP c-à-d traitement avec médicaments spécifiques ou non).

Or durant l’épidémie de covid-19 des conseillers scientifiques de nombreux gouvernements ont scandaleusement abusé l’opinion publique en affirmant que la baisse de Rt serait le résultat du confinement !

Ces scientifiques ne sont-il pas plutôt cautions que conseillers scientifiques ?

En Belgique, pays où le taux de mortalité lié à covid-19 est le plus élevé au monde, ce fut notamment le cas du très médiatisé Yves Coppieters, professeur à l’École de santé publique de l’université libre de Bruxelles. Dans cette cette « analyse prédictive » (sic) publiée le 10 avril 2020, Coppieters, constatant une baisse du paramètre β, affirme avec ses coauteurs que « le confinement résulte en une chute spectaculaire de la force d’infection du paramètre β, de 0,594 avant le confinement à 0,156 après confinement (…) » !

Incompétence ? Or le graphique suivant montre que déjà avant le confinement βt était dans une tendance baissière, et de plus grande ampleur ! Par conséquent la moyenne avant n’importe quelle date est évidemment supérieure à la moyenne calculée sur la période après cette date arbitraire ! Alors, selon vous, le Pr. Yves Coppieters et tous les épidémiologistes qui font ce genre de chose sont-il des incompétents ou des charlatans … ?

Beta avant et après le confinement (covid-19 Belgique)beta-preconf.png

Tableur covid19-be, feuille « J90 » > colonnes J et K

Les charlatans ne sont pas nécessairement des incompétents : c’est parfois même en raison de leurs compétences que certains peuvent « offrir » (sic) leurs services pour servir de « caution scientifique » (cf. #scientifiques-de-plateaux-TV).

De nombreux scientifiques sont abusés par cet écran de fumée cognitif qu’est le très médiatisé « taux de reproduction de base » ou « R zéro« . Le lecteur attentif se demandera quelle est la différence entre le taux de reproduction en t=0 R0 = β * S0 * λ (7) et le taux de reproduction « de base ». La réponse – hautement ambiguë lorsque l’on utilise la notation R0 plutôt que de dire « taux de base« , et R0 plutôt que de dire « taux initial » – est que le taux de base est un type de valeur moyenne (*) des Rt (donc valeurs de βt et λt), calculée sur la période précédant une date arbitraire et de durée arbitraire …

(*) Il existe divers types de moyenne : arithmétique, géométrique, harmonique, quadratique [source] …

Calcul du R0

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-calcul

Voici comment le concept de « R zéro » est mathématiquement construit. Partant de dI/dt = β * It * St – It / λ (4) ⇔ It+1 = It + ( β * It ) * St – It / λ on va exprimer βt en fonction du taux de croissance des It :

soit it+1 = ( It+1 – It ) / It    ⇒
it+1 = βt * St – 1 / λ    ⇔

βt = ( it+1 + 1 / λ ) / St(21)

que l’on substitue dans Rt = βt * St * λ (7) ⇒ :

Rt = it+1 * λ + 1(22)

Or on peut montrer [approfondir] que le taux croissance moyen d’une variable It entre t=0 et t=n peut être calculé par la formule :

i = ln( It / I0 ) / t   ⇔(23)

It = I0 * e i * t(24)

où (24) est l’équation d’une courbe (exponentielle) moyenne qui représentera d’autant mieux le nuage des points constitués par la série réelle des It que celui-ci sera proche d’une exponentielle.

Courbe de régressionestimation.png

Δ+It : période pré-confinement en Belgique.
[Tableur covid19-be.ods > feuille « Data »].

Dès lors – pour en revenir au modèle SIR – en remplaçant it par i dans (22) on obtient le taux de reproduction de base :

R0 ≈ i * λ + 1(25)

De même dans βt = ( it+1 + 1 / λ ) / St (21) on pourra également remplacer it par i ⇒ si St est proche de 1 (ce qui est le cas durant les premières semaines d’une épidémie, voire même durant toute l’épidémie lorsque celle-ci ne touche qu’une petite partie de la population) on obtient la valeur correspondante de beta (correspondant à cette période) :

β0 ≈ R0 / λ(26)

Alors que le taux de reproduction initial R0 fait sens (du moins en tant qu’objet mathématique), le taux de reproduction de base R0, en tant que moyenne est une absurdité : c’est une moyenne « gloubi-boulga », que de nombreux épidémiologistes évoquent par suivisme, sans comprendre vraiment de quoi ils parlent.

Ceci dit, malgré l’égalité β0 ≈ R0 / λ (26), β conserve sa pertinence … du moins théorique car en pratique la stabilité spatio-temporelle de sa valeur, même en temps que moyenne, est illusoire.

Utilisations du R0

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-utilisations

Nous venons de montrer que la notion de R0 ne fait pas sens. Mais supposons maintenant que ce n’est qu’une autre façon d’écrire R0 ⇔ le taux de reproduction de base c’est le taux de reproduction initial. Nous allons voir que même dans ce cas le concept de R zéro n’a quasiment aucune utilité.

Comparaisons
spatiales ?

Théoriquement ce R0 pourrait être utilisé pour comparer la situation de différents pays dans le cas d’une même épidémie. Cependant en pratique, la pertinence de R0 comme référentiel de comparaison est illusoire pour deux raisons :

  • d’une part il faut pouvoir garantir que la date initiale (le zéro) correspond au même stade de développement de l’épidémie dans chaque pays, ce qui requiert de définir de façon non ambiguë ce qu’est est un « même stade de développement d’une épidémie », et de pouvoir le mesurer avec une marge d’erreur pas trop grande … ;Par exemple ce que l’on considère comme le début des premiers décès liés à tel virus est en réalité le moment à partir duquel on a commencé à attribuer (à tort ou à raison) des décès à ce virus, ce qui très différent.
  • d’autre part il faut tenir compte de la structure sociale et démographique des pays, car les maladies transmissibles sont des phénomènes d’écosystème.
Comparaisons
temporelles ?

On pourrait également utiliser R0 pour comparer les épidémies saisonnières d’un virus connu … ce qui revient à reconnaître l’instabilité temporelle des paramètres β et λ, et par conséquent l’incapacité des modèles épidémiques à prédire l’évolution d’une épidémie d’un virus « connu ». Les épidémiologistes adeptes des modèles mathématiques sont décidément des contorsionnistes du concept …

« Prévisions »

Ici on peut (enfin) oublier le concept de R zéro, et se concentrer sur le paramètre β. Des épidémiologistes poussent le charlatanisme ou l’incompétence jusqu’à affirmer qu’avec le modèle SIR (ou ses dérivés) on peut prédire l’évolution future de la propagation d’un virus nouveau (c-à-d dont on ne connaît pas les paramètres …) ! Affirmer cela témoigne d’une incroyable incompréhension des principes élémentaires de l’analyse statistique. On pourrait le comprendre dans le chef d’étudiants de première année, mais pas de chercheurs universitaires ! Voici de quoi il s’agit.

Le graphique suivant reproduit les statistiques de contamination (Δ+It en rouge) publiées par l’agence de santé publique belge. La courbe verte est la moyenne mobile sur 7 jours des valeurs It, et qui a pour effet de « lisser » la courbe des données brutes. La courbe noire est la courbe de régression du graphique supra qui permet également de lisser les données brutes, mais cette fois au moyen de l’équation d’une courbe typique calculée à partir du taux de croissance des Δ+It de la période considérée, en l’occurrence la période pré-confinement. La courbe est visiblement exponentielle, ce qui est la forme prise par la plupart des épidémies durant le premier quart de leur durée totale. Durant leur deuxième quart – dont il est impossible de prédire la date – la courbe devient de type logarithmique, c-à-d que son creux est alors tourné vers le bas (dérivée seconde négative), alors qu’il était tourné vers le haut durant le premier quart (dérivée seconde positive).

Courbe de régression vs moyenne mobileregression-covid19

Tableur covid19-be.ods (feuille « Data »).

Une erreur souvent commise par des personnes ne comprenant pas bien les principes élémentaires de l’analyse statistique est de considérer en J18 que la partie de la courbe noire au-delà du jour 18 prédit ce qui se produira après cette date (et dans le cas de l’épidémie de covid-19 il vont donc en déduire, erronément, que c’est le confinement qui a ralenti l’épidémie). Or en l’occurrence il est faut de croire que le passé permet de prédire l’avenir.

Il serait d’ailleurs tout aussi abusif d’utiliser le graphique suivant pour affirmer que le confinement a aggravé la situation. La courbe bleue est la courbe de régression calculée sur les 23 premiers jours de la même série. Ce n’est qu’à J23 que l’effet théorique (c-à-d supposé) du confinement peut impacter les statistiques d’infection puisque le confinement a été appliqué à partir du 19 mars, et que l’incubation est de 4 jour (source). Or le graphique montre qu’à J23 la courbe épidémique prenait la forme d’une cloche, qui est la forme habituelle des courbes épidémiques. Pouvons-nous pour autant autant en déduire que le sommet était atteint, mais que le confinement a alors aggravé la situation ? Non ! Quelle crédibilité accorderiez-vous à un météorologiste qui vous prédirait du beau temps la semaine prochaine parce c’était le cas la semaine passée ?

Fin mars s’était déjà plié ?covid19-J23

Dans des écosystèmes le passé ne permet pas de prédire l’avenir. Tableur covid19-be.ods (feuille « Data »).

Le confinement a certes aggravé la situation mais on ne peut pas le démontrer de cette façon là, puisque par cette méthode on ne peut pas non plus démontrer que le confinement a pu neutraliser l’épidémie. Pour démontrer que le confinement a aggravé l’épidémie nous utiliserons le raisonnement logique en montrant que la stratégie SNP (i) ne peut être efficace (#efficacite-strategie-non-pharma) , et (ii) est en outre contre-productive (#effets-pervers-strategie-non-pharma).

Mais ne brûlons pas les étapes, et comparons maintenant SIR à la réalité des statistiques de la grippe, puis de covid-19.

SIR et la grippe

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-vs-grippe

La grippe est une des maladies les plus répandues et connues : on connaît tous ses paramètres. Par conséquent on peut tester la cohérence du modèle SIR en y injectant les paramètres de la grippe (aiguë en l’occurrence) et observer si ses résultats sont cohérents avec la réalité. Nous allons faire cet exercice pour le cas de la Belgique car ce pays ayant connu le plus haut taux de mortalité durant l’épidémie covid-19, il sera la référence de la section suivante consacrée à covid-19.

Paramètres de/pour la grippe aiguë :

  • Vaccination : MIN(E0) = 50% [source].NB : (i) une partie de la population est immunisée de naissance et (ii) l’ensemble de la population bénéficie de l’immunité croisée.
  • Virulence : β = 0,6 ; durée maladie (infection) : λ = 6 jours ; sommet épidémique : t (Max It) = 90° jour [source];
  • infectés : ∑Δ+It = 10% de la population; # taux hospitalisation : σ = 0,1% des infectés [source];
  • Mortalité : MAX(Mt) = 0,02 % de la population [source : il s’agit de la moyenne en France car l’agence de sante belge ne semble pas publier cette donnée pourtant fondamentale : vérifier].

Une donnée complémentaire, également fondamentale, est la capacité hospitalière (toutes pathologies), mesurée en nombre de lits aigus : k = 0,003 de la population [source].

On peut catégoriser ces paramètres en deux types :

  • paramètres ouverts (ou libres) : E0 et β : leur valeur est difficile voire impossible à mesurer (forte incertitude) ⇒ ce sont les paramètres d’ajustement;
  • paramètres fermés (ou imposés) : λ , ∑Δ+It , t (Max It) , σ , k , Mt : leur valeur est relativement facile à mesurer (faible incertitude) ⇒ ce sont les paramètres de référence;

Dans le modèle SIR les relations de causalité entre ces deux groupes est : E0 et β ⇒ t (Max It) et ∑Δ+It. Afin de pouvoir calculer des taux d’hospitalisation (Ht) et de mortalité (Mtthéoriques j’ai complété le modèle par ΔMt = μ * Ht ((13) et Ht = Ht-1 + σ * ( Δ+It – Δ+It-λ ) (19) de sorte qu’au total :

E0 et β ⇒ t (Max It et ∑Δ+It ⇒ σ ⇒ Ht ⇒ μ ⇒ Mt

Nous sommes maintenant parés pour procéder au paramétrage de SIR afin de vérifier sa capacité à reproduire l’épidémiologie grippale telle qu’elle est observée chaque année.

Paramétrage
épidémiologique

Le tableau ci-dessous montre les résultats du modèle SIR. On constate que ∑Δ+It (cellule D12) est près de quatre fois supérieur à la valeur réelle (B12). Le lecteur pourra vérifier dans le tableur SIR.ods que pour abaisser ce montant à environ 10% on peut modifier le paramétrage de diverses combinaisons de paramètres ouverts, notamment :

  • paramétrage « β » (colonne E) : β : 0,60 (D6) ⇒ 0,385 (E6);
  • paramétrage « E0 » (colonne F) : E0 : 50% (D5) ⇒ 67% (F5);

Si l’on adapte plutôt I0 : 0% (D4) ⇒ 38% (G4) il y a extinction dès le début : R0<1 (G8). Cette situation ne correspond pas au profil de la grippe ⇒ ce paramétrage est rejeté.sir-grippe.png

Vert : paramètres ouverts ; rouge : paramètres fermés.
Tableur : SIR.ods

Mais le paramétrage n’est pas achevé car les sommets épidémiques t (Max It (E10 et F10) représentent trois à quatre fois la valeur observée (B10). Nous allons alors procéder à un second tour de paramétrage (tableau ci-dessous) en combinant maintenant deux variables ouvertes :

  • paramétrage « β + I0 » : par itérations successives on abaisse β puis on augmente I0 jusqu’à ce que les valeurs théoriques de t (Max It et ∑Δ+It correspondent à leur valeur réelle;
  • paramétrage « E0 + I0 » : par itérations successives on augemente E0 puis on augmente I0 jusqu’à ce que les valeurs théoriques de t (Max It et ∑Δ+It correspondent à leur valeur réelle;

sir-grippe-2.png

Tableur SIR.ods

Résultats
politiques

Observons alors les différents résultats au niveau des variables qui déterminent la stratégie anti-épidémique (c’est pourquoi je parle de résultats « politiques ») : les taux d’hospitalisation et de mortalité :

  • mortalité : il faut fixer μ (taux de létalité, ligne 13) à environ 0,002 (en moyenne, pour mille nouvelles infections il y a deux nouveaux décès) pour obtenir un taux de mortalité théorique (H14 et I14) égal au taux réel (B14);
  • hospitalisations: qu’il s’agisse du paramétrage β+I0 ou E0+I0, le niveau de charge hospitalière maximale liée à la grippe est inférieur à 1% (H18 et I18).

Ce taux de charge hospitalière ne semble pas correspondre aux statistiques hospitalières affichant des taux de charge hospitalière toutes causes pouvant atteindre 95% durant les épidémies annuelles de grippe [FRABEL].

Que faut-il en conclure ? :

  • que dans la simulation ci-dessus les valeurs de StIt et Et sur les premiers jours (disons la première semaine) ne sont pas des valeurs réelles ?

    • mais nous verrons dans la section suivante qu’injecter des valeurs réelles dans le modèle ne démontre toujours pas sa capacité à représenter la réalité infectiologique.

  • que le mode de calcul de la charge hospitalière proposé par nous (#SIR-charge-hospitaliere) n’est pas pertinent ?

    • celui utilisé pour calculer une charge de 95% l’est-il ? [exemple].

  • que les affirmations selon lesquelles le taux maximum de lits occupés approcherait les 100% quasiment chaque année sont mensongères ?

    • ces mensonges, qui pourraient être motivés par la volonté d’éviter une réduction des subsides publics, ne sont possibles que si l’État ne contrôle jamais la validité de cette statistique hospitalière …;

  • que le modèle SIR n’a aucune valeur scientifique ou que la notion de « paramètres de la grippe » ne représente aucune réalité autre que des valeurs moyennes, variables dans le temps … ?

SIR et covid-19

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-vs-covid19

Passons maintenant à covid-19. La situation diffère en ce que, contrairement à la grippe, covid-19 est supposément nouveau de sorte que ses paramètres sont inconnus. Mais d’autre part nous disposons ici de statistiques mesurées pour les variables d’entrée, alors que dans la section précédente consacrée à la grippe il ne s’agissait que de valeurs calculées.

Nous allons ici montrer une façon d’évaluer les paramètres d’un virus en temps réel c-à-d dans l’urgence.

N.B. Nous allons donc faire temporairement abstraction du fait que ce paramétrage en temps réel est irrationnel en raison de biais de mesure en temps réel des variables, qui ne pourront être corrigés qu’après l’épidémie (et dans le cas des virus saisonniers, après douze mois). Notons que ce seul fait de biais de mesure en temps réel des variables (cf. infra #mesure-des-variables) suffit à lui seul pour qualifier d’irrationnelle toute politique de gestion épidémique d’urgence de type préventive c-à-d la distanciation sociale (confinement et masque généralisés).

La présente section est néanmoins très importante car elle permet de comprendre comment les modèles sont utilisés et comment leur interprétation peut être fabriquée. On fera ainsi l’exercice, sur base des valeurs déterminées par le paramétrage, d’évaluer la charge hospitalière théorique ajoutée par covid-19, telle qu’elle était prévue au début du confinement (en J18). On la comparera alors au maximum réellement atteint sur la période finissant à J90, pour constater que la charge hospitalière a atteint un maximum … 16% en J35.

Principes de paramétrage

https://konfedera.org/gestion-epidemies#principes-parametrage-modele

La démarche empirique que nous allons développer ici va nous permettre de mieux comprendre (i) la logique du modèle et (ii) la nature des données directement mesurables.

Nous utilisons les données épidémiques de covid-19 et cela pour la Belgique. Ce pays est particulièrement intéressant car le taux de mortalité de covid-19 y fut le plus élevé au monde. Il en résulte que certaines conclusions que nous tirerons de son analyse éclairerons l’impact de covid-19 dans les autres pays.

Première constatation : les données – collectées par l’agence belge de la santé (epistat.wiv-isp.be/Covid/) – qui concernent le modèle SIR sont « les nouveaux cas journaliers de contamination ». Ce ne sont donc pas les It du modèle SIR, mais les flux entrants (que nous notons Δ+It) dans It. En effet It est un stock, dont la variation est déterminée par ces flux entrants en provenance de St, ainsi que par les flux sortants vers Et (que nous notons ΔIt).

Le système d’équations différentielles présenté plus haut – qui constitue le noyau du modèle SIR – montre que la valeur théorique des Δ+It est β * It * St, et que la valeur théorique des ΔIt est It / λ

dS/dt = – β * It * St (3)
dI/dt = β * It * St – It / λ (4)
dE/dt = It / λ (5)

De sorte que dans notre tableur (covid19-be.ods) les valeurs théoriques de StIt et Et sont calculées comme suit :

St+1 = St – β * It * St(27)
It+1 = It + β * It * St – It / λ(28)
Et-1 = Et + It / λ(29)

Par conséquent on obtient les valeurs pseudo-réelles de StIt et Et en substituant les valeurs observées Δ+It à leur formulation théorique ( β * It ) * St :

St+1 = St – Δ+It(30)
It+1 = It + Δ+It – It / λ(31)
Et+1 = Et + It / λ(32)

Je parle de valeurs « pseudo-réelles » car elles dépendent de la valeur attribuée :

  • aux conditions initiales S0I0 et E0;
  • aux paramètres β et λ.

Nous allons faire pendant quelques instants abstraction du fait que (i) il n’est pas possible d’estimer correctement les conditions initiales sauf peut-être à imposer un système totalitaire de surveillance permanente de la population, et fondé sur l’abolition de toute forme de vie privée ; (ii) les paramètres β et λ – qui sont des moyennes mesurées sur des périodes spécifiques – ne sont pas stables dans le temps voire non plus dans l’espace.

Puisque nous disposons maintenant des séries pseudo-réelles de StIt et Et nous pouvons alors calculer les valeurs théoriques des Δ+It (valeur observées ou qui seront observées), données par β * It * St. Nous pourrons alors évaluer une valeur théorique du paramètre β par une méthode itérative « essai-erreur » consistant à adapter les valeurs des paramètres β et λ et conditions initiales S0I0 et E0 jusqu’à ce que les deux courbes correspondent : lorsque ce sera le cas la valeur correspondante de β sera sa valeur de paramètre.

La situation initiale (t=0) est la suivante :

  • au début du confinement on pensait que la valeur de λ (durée de contagiosité) était de 10 jours mais on sait aujourd’hui qu’elle est de 20 jours sans traitement et 6 avec traitement ⇒ on choisit la valeur moyenne : λ=(20+6)/2=13 ;
  • nous supposerons I0 = 0,000001 et on testera deux valeurs pour E0 : 0% et 50% ⇒ S0 = 1 – I0 – S0;
  • β sera alors la variable d’ajustement, en commençant à 0.

On pourra alors réaliser les deux paramétrages différents.covid19-parametrages.png

Tableur covid19-be.ods

Il suffit alors de commencer à β=0 et d’augmenter sa valeur ⇒ la courbe théorique (hachurée dans le graphique ci-dessous) s’approche de la courbe réelle (en bleu) ⇒ on arrête lorsque l’on obtient le meilleur ajustement entre les deux courbes ⇒ on obtient alors la valeur moyenne de β … telle qu’elle était au début du confinement (18 mars 2020).

Paramétrage itératif de la courbe épidémique de covid-19 : début du confinementparametrage-covid19-pre.png

Tableur covid19-be.ods

On va maintenant pouvoir comparer les prévisions correspondant à chacun de ces deux paramétrages. Ce qui nous intéresse du point de vue pratique, c-à-d de la gestion d’une épidémie, ce sont les prévisions du taux de charge hospitalière (NB : le présent article montre l’impossibilité de prévisions correctes dans le domaine épidémiologique et surtout infectiologique, mais faisons « comme si » afin de bien comprendre la nature de cette impossibilité). Ces prévisions calculées au moment où le confinement fut décidé sont mentionnées dans les cellules D18=3479% et E18=1740% !

Prévisions par paramétrage : début du confinementcovid19-previsions-par-parametrage.png

Vert : paramètres, rouge : prévisions. Tableur covid19-be.ods

k (capacité hospitalière, ligne 14). Si l’on mesure la capacité hospitalière par les seuls lits équipés de respirateurs la valeur de k passe de 0,003 à 0,0001, ce qui a pour effet de faire grimper les taux de charge hospitalière anticipé à respectivement 104374% et 52189% : soit 500 à 1000 fois la capacité hospitalière ! [source : cette source est sujette à caution car le médecin citant k=0,0001, non seulement commet de grossières erreurs de raisonnement par rapport au modèle SIR, mais en outre a dans le même article cité d’autres statistiques erronées].

Paramétrage en début de confinement

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-parametrage-debut-confinement

On va lire maintenant le tableau précédent sur base du paramétrage de la colonne D qui, étant le plus catastrophiste, correspond à l’anticipation qui a pu être faite par le gouvernement et ses conseillers scientifiques au début du confinement (18 mars 2020) :

  • capacité hospitalière : les cas de covid-19 représenteront une charge d’environ 3500% de la capacité hospitalière soit 35 fois celle-ci ! (cellules D18) en J88 (cellule D17);
  • mortalité : à la fin de l’épidémie (qui, comme indiqué en D10 durerait environ 2*91 jours soit six mois !) le taux de mortalité aura atteint 3,56% de la population belge (D18), soit environ 400.000 personnes ! Ces chiffres représentent 178 fois la mortalité de la grippe durant ses années les plus létales ! Et en fait la mortalité serait certainement beaucoup plus élevée si, comme le prédit le modèle, les capacités hospitalières sont dépassées.

Comment des chiffres aussi fantasques, n’ayant jamais été observés par le passé, n’ont-il pas attiré l’attention d’une large partie de la communauté scientifique ?

Comme dans tout modèle, l’output est fonction de l’input (paramètres et valeur initiales). Au moment où le confinement général fut décidé (18 mars 2020) les valeurs observées des paramètres justifiaient-ils une telle mesure (jamais appliquée depuis au moins la seconde mondiale, et a notre connaissance recommandée dans un aucun manuel d’épidémiologie). Le tableau suivant compare les paramètres d’incidence (β), de létalité μ = 1/n * ∑t=0n ΔMt / ΔI+t (13) et d’hospitalisation σ = 1/n * ∑t=0n ΔHt / ΔI+t (17), de covid-19 avec ceux de la grippe (aiguë) :

  1. le taux d’incidence de covid-19 représenterait seulement un tiers de celui de la grippe;
  2. le taux de mortalité de covid-19 (mesuré par μ) serait 20 fois supérieur à celui de la grippe;
  3. le taux d’hospitalisation de covid-19 (mesuré par σ) serait 340 fois supérieur à celui de la grippe.

Paramètres covid-19 vs grippeparametres-covid19-grippe.png

Sources : covid19-be.ods ; #SIR-vs-grippe.

Il est étonnant de constater que le message propagé par les entreprises « d’information » et les scientifiques de plateau TV disait l’exacte contraire de ce tableau, à savoir que la létalité du virus était faible mais que sa virulence était élevée. Quoi qu’il en soit de la nature quantitative (β) ou qualitative (μ) du risque de la catastrophe prédite par le modèle SIR, dans les deux cas les statistiques de mortalité et d’hospitalisation qui nourrissent celui-ci en temps réels (et sur base desquelles de supposées prévisions sont calculées) ne sont de toute façon pas crédibles. En effet nous verrons dans la section #mesure-des-variables que les statistiques de mortalité et d’hospitalisation collectées en cours d’épidémie c-à-d quasiment en temps réel sont sujettes à de très importantes révisions (généralement à la baisse) lorsqu’on est en mesure de mesurer ces statistiques correctement, ce qui n’est possible qu’au moins douze mois après le début de l’épidémie (ce que rappellent les lignes 2 et 3, concernant la représentativité temporelle et spatiale de l’échantillon de mesure).

D’autre part il est frappant de constater que le ratio COV/GRI(σ) ne se situe pas entre ceux de COV/GRI(β) COV/GRI(μ) mais (largement) au-dessus, alors que σ est pourtant très probablement déterminé par β et μ. Un autre facteur a donc joué. Ne s’agit-il pas du catastrophisme ultra-anxiogène entretenu par l’appareil d’État (gouvernement, entreprises « d’information », scientifiques, …) qui aurait dopé les hospitalisations, aussi bien dans le chef des patients (demande) que des médecins (offre) ?

Comparons maintenant les prévisions faites en J18 avec la réalité observée en J90.

Paramétrage en fin de confinement

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-parametrage-fin-confinement

Mesures

Comme le montre le tableau suivant, il apparaît en J90 que la charge hospitalière de covid-19 a finalement atteint un maximum de 16% (E18) en J35 (E17). L’épidémie n’aura duré qu’environ trois mois (E10 : 42*2=84) au lieu de six. Quant au taux de mortalité il est finalement de 0,08% (E14) de la population.

Ce taux de mortalité de 0,08% est encore trois fois plus élevé que la grippe, mais sera certainement revu à la baisse en raison des biais de mesure statistique en cours d’épidémie évoqués infra (#suivi-temps-reel). En outre c’est la mortalité toute cause qui compte, or nous verrons infra (i) que celle-ci est très loin de représenter trois fois le niveau de 2017 ou 2018 (#mortalite-toutes-causes) et (ii) que le surplus de mortalité attribué à covid-19 pourrait ne pas être causé directement par le virus mais par les effets pervers de la panique induits par le catastrophisme médiatique.

SIR vs réalité (tableau)SIR-vs-realite-tableau.png

Tableur covid19-be.ods

Mais n’oublions pas les remarques faites dans la section précédente concernant la valeur informative des statistiques collectées en temps réel : ces montants de 16% et 0.08% seront presque certainement revus à la baisse, et de façon substantielle !

Analyse

La validité des mesures n’est que la première partie de la problématique. L’analyse des causalités est la seconde. Ainsi le graphique suivant compare la prévision du modèle en J18 (hachuré rouge) et la réalité constatée en J90 (ligne bleue), concernant les flux entrants journaliers dans le groupe It.

SIR vs réalité (graphique)SIR-vs-realite-graphique.png

Rouge : prévision en J18. ; bleu : réalité observée en J90. Tableur covid19-be.ods

On pourrait alors être tenté d’en conclure que si la courbe réelle (en bleu) est inférieure à la courbe théorique (hachurée en rouge), c’est grâce au confinement général, ce que ne manquent évidemment pas de faire les gouvernements et leurs conseillers (… dans les pays qui ont appliqué le confinement général).

Cependant ce raisonnement revient à affirmer que les modèles épidémiologiques seraient en mesure de prédire l’avenir. Or l’expérience montre que ce n’est pas le cas. Il ne pourrait d’ailleurs en être autrement car les moyennes sur base desquelles les « prévisions » sont calculées ne sont pas constantes dans le temps et l’espace. Cette instabilité des paramètres épidémiologiques, les médecins praticiens (à ne pas confondre avec les statisticiens et chercheurs de laboratoire) la constatent régulièrement : les infections virales saisonnières (en particulier la grippe) peuvent changer fortement de nature certaines années, au niveau de leur virulence (β), ténacité (λ) ou/et létalité (μ). Et même à supposer que les moyennes épidémiologiques seraient constantes, on ne les connaît pas pour covid-19 puisque c’est supposément un virus « nouveau ».

Enfin force est de constater que le graphique ne montre pas d’effet de retardement (et c’est même le contraire qu’on y voit !). Or nous avons vu supra que le confinement général a théoriquement pour effet non seulement d’abaisser le sommet épidémique mais aussi de le retarder (cf. #SIR-strategies), ce qui est précisément la raison invoquée pour « justifier » le confinement (entre guillemets car nous verrons dans la section #strategie-non-pharmaceutique que cette « justification » est non démontrée, et très probablement fausse). Le confinement n’aurait-il pas l’effet que la théorie des modèles épidémiologiques lui attribue … ?

Il est à cet égard intéressant de constater les paramétrages réalisés (par ajustement des courbes théoriques à la courbe réelle) en J90, donc à la fin de l’épidémie. Le tableau suivant en montre deux parmi les quatre présentés dans la feuille « Paramétrages ». Le premier s’inscrit dans la logique du scénario catastrophiste choisi par le gouvernement. Le second par contre suggère que la durée moyenne de la maladie serait nettement inférieure à ce que les catastrophistes prétendaient.

Paramétrage en fin d’épidémiecovid19-ajustements-finaux-tableau.png

Tableur covid19-be.ods

Or l’animation suivant montre que le second scénario correspond à un bien meilleur ajustement des courbes …

Paramétrage en fin d’épidémiecovid19-ajustements-finaux-graphique.gif

Tableur covid19-be.ods

Rebond de l’enfermement cognitif

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-rebonds

Si en J90 on choisit le paramétrage s’inscrivant dans la logique de celui choisi par le gouvernement en J18, on est alors dans la configuration décrite dans le graphique suivant :

  1. bleu hachuré : prévision faite en J18 (début du confinement);
  2. rouge continu : réalité observée en J90;
  3. rouge hachuré : prévision faite en J90 : selon le modèle un rebond est inévitable.

Prévisions en J18 et J90rebond-graphique.png

Tableur covid19-be.ods

Pourquoi en J90 le modèle prévoit-il un rebond ? Pour répondre à cette question il faut aller voir dans la feuille « J90+prévision » du tableur le passage de la ligne 92 à 93, c-à-d lorsque l’on passe des valeurs observées aux valeurs théoriques. Or cette transition remplace la valeur semi-réelle de β (0,024 dans K91) par sa valeur de paramètre (0,1 dans D6 et dans la colonne K à partir de K92), ce qui correspond à une remontée de Rt de 0,3 < 1 à 1,3 > 1, instantanément ! Ainsi le passage de la ligne 92 à 93 dans la colonne J montre que it, le taux de croissance de It, en passant de sa valeur observée, qui est négative, à sa valeur théorique devient brusquement … positive.

Si vous en concluez que la courbe épidémique réelle va repartir à la hausse, c’est exactement comme si vous affirmiez que ce n’est pas le modèle ou son interprétation qui sont déficients, mais la réalité qui n’est pas adaptée à ceux-ci. C’est une forme de folie, que je qualifie « d’enfermement cognitif« .

Rappels : (i) il n’est pas possible de prédire la courbe épidémique d’un virus, qui plus est lorsque celui-ci est nouveau ; (ii) le risque zéro n’existe pas ; (iii) lors des précédentes pandémies de virus « nouveaux » on a jamais imposé la stratégie non pharmaceutiques aux populations ; (iv) les études scientifiques réfutant l’efficacité de la SNP sont censurées [source].

Micro-rebonds. D’autre part n’oublions pas que l’on observe des micro-résurgences dans toute phase descendante d’un épidémie. Il est d’autant plus important de ne pas perdre cela de vue que le développement des systèmes de suivi épidémique augmente nécessairement le nombre de ces « alertes », ce qui donne l’illusion que les épidémies seraient plus sujettes à des résurgences que par le passé. En effet les virus n’apparaissent pas ex nihilo ni ne « disparaissent » comme par miracle. Lorsque l’on dit qu’un virus « a disparu » cela signifie en fait que sa quantité par unité d’espace géographique est redescendue en-dessous d’un certain niveau, c-à-d est « sortie des radars statistiques ». Et régulièrement des micro-résurgences se produisent : le virus réapparaît brièvement dans le radar puis disparaît. D’autre part le degré de focalisation du « radar » peut être déterminé arbitrairement par le gouvernement, qui a ainsi la possibilité de faire apparaître des « résurgences », des « nouveaux foyers » pratiquement où et quand il le décide, car le nombre de personnes infectées est toujours (très) supérieur au nombre de personnes testées. Autrement dit : pour trouver il suffit de tester.

Et ce n’est pas les virus qui manquent : il y a une vingtaine de virus associés aux seules infections respiratoires qui circulent dans le monde en même temps [source]. On pourrait quasiment chaque année, du début à la fin, focaliser l’opinion publique sur des micro-résurgences de tel ou tel virus.

Macro-rebonds. Enfin rappelons que l’évolution de la mortalité toutes causes est d’une régularité remarquable, sous la forme d’une sinusoïdale. Cette dynamique est due principalement aux variations des propriétés physico-chimiques de température et d’humidité de l’air, qui influencent le métabolisme des organismes vivants ainsi que la propagation des virus et bactéries. Il est quasiment certain que les adeptes des modèles épidémiologiques vont continuer d’abuser l’opinion publique en associant ces vagues annuelles à des « rebonds ».

Mortalité toutes causes en France (janvier 2015 à juin 2020)mortalite-toutes-causes-france.png

Source : insee.fr

Il fait peu de doute que les entreprises « d’information » et leur scientifiques de plateau TV vont de plus en plus exploiter tous ces filons pour en en tordre la réalité …

Bilan

https://konfedera.org/gestion-epidemies#bilan

Nous allons ici résumer les points soulevés par les sections précédentes consacrées aux paramétrage ex ante et ex post des modèles épidémiologiques.

  1. Les modèles épidémiologiques sont dans l’incapacité de reproduire la réalité autrement qu’en adaptant à chaque fois la valeur des conditions initiales et paramètres. Dans ces conditions il est impossible que ces modèles puissent prédire le développement d’une épidémie (il ne peuvent le faire avec plus de succès que par un tirage au sort de résultats possibles).
  2. Pourquoi des gouvernements ont-ils accordé une quelconque valeur à des statistiques complètement déconnectées de la réalité, et alors que l’on sait que les statistiques épidémiques collectées en temps réel sont généralement très éloignées de la réalité, et ne peuvent être corrigées que ex post ? (cf. infra #suivi-temps-reel).
  3. Affirmer qu’une catastrophe sanitaire a pu être évitée grâce au confinement revient à affirmer que les modèles épidémiologiques seraient en mesure de prédire l’avenir, or cela n’est pas possible si les moyennes sur base desquelles les « prévisions » sont calculées ne sont pas constantes dans le temps (cf. supra : #R-zero-valeur-scientifique); et même à supposer que les moyennes épidémiologiques seraient constantes, on ne les connaît pas pour des virus supposés nouveaux.Nous verrons en outre dans #efficacite-strategie-non-pharma que la faisabilité et l’efficacité de la SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) n’ont pas été clairement démontrées.
  4. Aucun effet de retardement n’a été observé, ce qui confirme la non pertinence des modèles épidémiologiques et de la distanciation sociale (confinement et masque).
  5. Le paramétrage le plus réaliste que nous avons identifié suggère que la durée moyenne de la maladie serait nettement inférieure à ce que l’on pensait.
  6. On observe des micro-résurgences (rebonds) dans toute phase descendante d’une épidémie. Quant aux macro-résurgences, les fameuses « secondes vagues » (cf. « le pire est à venir » des manipulateurs catastrophistes et des incompétents) il ne s’agit que des annuelles pandémies saisonnières.

Typologie des facteurs d’inefficacité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-typologie-facteurs-inefficacite

La plupart des modèles épidémiologiques sont fondés sur le modèle de base SIR. Or force est de constater une forte propension de ces modèles (ou de leurs paramétreurs ?) à produire des prévisions qui s’avèrent ex post de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies (cf. Neil Ferguson).

Par « prédire l’évolution d’une épidémie » nous entendons « prédire les valeurs déterminant la position et forme caractéristique de sa courbe en cloche : niveau et date du sommet, ainsi que largeur moyenne de la cloche ». D’autre part comme il n’existe pas de relation stable dans le temps et l’espace permettant de prédire le taux futur de mortalité à partir du taux d’infection il en résulte que le taux qui importe du point de vue de la gestion anti-épidémique c’est le taux de mortalité (toutes causes) par rapport à la population, et non pas le taux d’infections !

Ces erreurs de prévisions récurrentes peuvent avoir deux types de causes :

  • endogènes :

    • erreurs d’estimation de valeurs initiales :

      • sous-estimation de I0 ;
      • surestimation de S0 ;
      • sous-estimation de E0 (immunité collective), notamment par la sous-estimation du nombre de personnes immunisées de naissance et/ou par immunité croisée.

    • erreurs d’estimation de valeurs de paramètre :

      • surestimation de β (virulence);
      • surestimation de λ (durée d’infection/contagiosité), donc sous-estimation (en cours d’épidémie) du nombre de personnes immunisées par guérison.

  • exogènes : la non prise en compte de causes spécifiques liées aux virus eux-mêmes ou aux écosystèmes (le modèle est alors dit « incomplet ») : ainsi il est hautement probable que les épidémies s’éteignent naturellement pour d’autres raisons qu’un trop faible nombre d’individus susceptibles.

En outre toutes les erreurs d’estimations (c-à-d les causes endogènes) peuvent avoir deux sources, qui peuvent se cumuler :

  • erreurs de mesure (ce point sera approfondi dans la section suivante);
  • instabilité, dans le temps et l’espace, des paramètres épidémiologiques et hospitaliers.Ainsi les médecins praticiens (à ne pas confondre avec ceux des organisations internationales ou des facultés de médecine) constatent régulièrement de substantielles modifications des paramètres, ce qu’ils expriment en langage courant en disant que la grippe fut « plus virulante » (β) telle année ou « moins tenace » (λ) ou encore moins létale (μ) telle autre année ou dans telle autre région du pays.

De peu scrupuleux scientifiques utilisateurs de modèles épidémiologiques (généralement fondés sur le modèle de base SIR) – plutôt que de reconnaître l’inefficacité de ces modèles – adaptent continuellement la valeur des valeurs initiales et paramètres afin que les valeurs calculées (ex post !) correspondent aux valeurs qui ont été mesurées. Il disent alors « Regardez comme notre modèle décrit parfaitement la réalité ! ». Et ceux qui ont la mémoire courte ou qui ne sont pas bien informés en concluent que ces modèles peuvent prédire l’avenir d’une épidémie … alors que ceux-ci se trompent systématiquement (sauf effet du hasard), puisqu’il ne sont pas en mesure de reproduire la réalité observée sans que soit adaptée la valeur des paramètres.

Et c’est sans parler des virus nouveaux, donc inconnus, pour lesquels il n’est même pas besoin d’invoquer tous ces faits pour conclure à l’inutilité des modèles épidémiologiques !

Suivi en temps réel

https://konfedera.org/gestion-epidemies#suivi-temps-reel

Nous allons voir qu’en raison d’importants biais de mesure la plupart des statistiques épidémiques décisives – susceptibles (St), infectés (It), exclus (Et) et surtout le taux de mortalité toutes causes par rapport à la population (la plus importante du point de vue de la gestion anti-épidémique) – ne peuvent être évaluées correctement qu’après l’épidémie et, dans le cas des maladies saisonnières, au moins douze mois après le début de l’épidémie.

Ce fait rend donc non pertinente l’utilisation des modèles comme instrument de gestion anti-épidémique puisque leurs valeurs d’entrée sont généralement très éloignées de la réalité (PS : les scientifiques qui prétendent « suivre l’épidémie au jour le jour pour conseiller le gouvernement » sont donc nécessairement guidés par des motivations autres que scientifiques). Il est donc irrationnel de fonder la gestion d’urgence des épidémies sur la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (confinement, distanciation, masques, lavages). Il faut par contre faciliter les mesures réactives, dont celles liées au traitement des malades.

Enfin, étant donné qu’il suffit qu’augmente le nombre de tests réalisés (par exemple suite à l’annonce de « prévisions » catastrophistes) pour qu’apparaisse une « seconde vague » (prophétie auto-réalisatrice), il résulte de cet effet de recensement que la gestion anti-épidémique doit évidemment être pilotée en fonction du taux de mortalité (toutes causes) par rapport à la population, et surtout pas en fonction du taux d’infections, comme le confirme la comparaison des graphes suivants.

Ressources

https://konfedera.org/gestion-epidemies#suivi-ressources

Sites de référence en matière de centralisation de statistiques nationales durant l’épidémie de covid-19 en 2020 :

  • worldometers.info/coronavirus. Ce site aux données clairement présentées fut très suivi durant l’épidémie de covid-19. Cependant il n’y a quasiment aucune transparence concernant l’organisation derrière ce site ainsi que ses méthodes. Elle affirme traiter les données au moyen d’un « algorithme propriétaires », ce qui pose la question de la distinction entre données observées/récoltées et données estimées/calculées (cf. supra #mesure-vs-calcul). Ce site génère des revenus publicitaires, ce qui doit susciter une grande prudence quant la valeur que nous attribuons à ces statistiques. Il en va de même de toute personne dont le contrat de travail est lié à la persistance de l’épidémie (par exemple des chercheurs universitaires). Voir aussi wikipedia.org/wiki/Worldometer.
  • ourworldindata.org/coronavirus. Un site de l’université d’Oxford. Voir aussi : wikipedia.org/wiki/Our_World_in_Data.
  • who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/situation-reports/ Le site de l’OMS, dont on peut se demander dans quelle mesure elle n’est pas une façade du lobby pharmaceutique (comme le FMI l’est pour le lobby bancaire). Ainsi en 2010 le British Medical Journal (BMJ) et le Bureau of Investigative Journalism de Londres ont révélé que plusieurs experts ayant participé à la rédaction des directives de l’OMS face à une pandémie grippale ont reçu des rémunérations de Roche et GlaxoSmithKline, deux firmes impliquées dans la fabrication de médicaments ou de vaccins contre la grippe [source 2010].

Dans un futur peut-être pas très éloigné ces fonctions de centralisation pourraient être assurées aussi par une Confédération des États souverains incitant à la transparence au niveau des sources originelles ainsi que des méthodes utilisées par celles-ci

Définitions

https://konfedera.org/gestion-epidemies#definitions

On ne mesure correctement que ce que l’on a défini précisément. Il importe également de comprendre la nature des relations entre les variables mesurées. Ces deux points sont l’objet de la présente section.

On peut distinguer au moins deux types de maladies transmissibles, selon que le vecteur est endogène (exemple : postillons) ou exogène (exemple : moustiques).

# infectés > # symptomatiques. En général la plupart des personnes infectées ne développent que des symptômes bénins, parfois tellement insignifiants qu’elles ne s’en rendent pas compte (ce qui est problématique dès lors qu’elles sont contaminantes, mais d’autant moins que le taux de mortalité est faible). Parmi les symptomatiques une partie ne se présentent pas à un service médical et guérissent naturellement (c-à-d sans traitement). Donc seuls les autres symptomatiques seront traités et enregistrés (par cette voie) dans les statistiques !

# infectés > # testés. Il résulte du point précédent que seule une partie des infectés seront examinés, de sorte que le nombre de personnes diagnostiquées positives (« confirmed cases ») sous-estime le nombre réel de personnes infectées (NB : nous utilisons indifféremment les termes « infecté » et « contaminé »). Ce n’est que si 100% de la population a été examinée que le nombre de diagnostiquées positifs est égal au nombre de contaminés (PS : en pratique on testera plutôt un échantillon représentatif de la population).

# testés > # positifs. Seules les personnes testées comme porteuses du virus ou de ses anticorps devraient être considérées comme infectées (virus) ou comme ayant été contaminées par celui-ci (anticorps). Cependant en l’absence éventuelle de moyens de tests virologiques ou sérologiques les médecins s’en remettent à d’autres formes de diagnostic, notamment basés sur l’identification de symptômes (mesure de température, scanner, …). Un diagnostic est positif si le patient est porteur (virus ou anticorps) ou symptomatique, et négatif dans le cas contraire. Un partie des diagnostics se révéleront plus tard comme erronés, quantitativement ou/et qualitativement (identification incorrecte de l’agent pathogène).

# positifs > # décès. Sauf si mauvaise gestion épidémique (cf. Belgique avec covid-19).

# infectés > # contagieux. Seule une partie des personnes contaminées sont contagieuses, notamment parce que la période de contagiosité est généralement inférieure à la durée de l’infection.

La période d’incubation est la durée entre la contamination et l’apparition de symptômes. Une question est de savoir si l’individu contaminé est contagieux pendant la période d’incubation, parce que dans l’affirmative il n’applique pas de mesures pour ne pas contaminer autrui (à supposer que cela soit faisable et souhaitable).

Guéri ⇒ immunisé. En général les personnes guéries (notion de charge virale négative), que ce soit par traitement ou naturellement, ne peuvent plus ni contaminer ni être contaminées (notion de « maladie immunisante »). « Traiter » un individu malade c’est notamment abaisser sa charge virale en-dessous d’un niveau correspondant à la disparition (i) des symptômes de la maladie et (ii) de la contagiosité de l’individu (NB : ceci concerne le premier stade de la maladie, or celle-ci peut évoluer vers des pathologies différente, souvent plus sévères, et alors que la charge virale a disparu).

Ces définitions étant précisées, nous pouvons maintenant analyser les limites de la mesure en temps réel des taux de mortalité et d’infection.

Mesure

https://konfedera.org/gestion-epidemies#mesure

Nous allons ici exposer la problématique du choix et de la mesure des variables de pilotage de la gestion épidémique qui, dans l’ordre croissant de pertinence, sont les taux d’infection, d’hospitalisation et de mortalité.

Taux d’infection

https://konfedera.org/gestion-epidemies#taux-infection

Effet de
recensement

Il suffit que le nombre de tests augmente (par exemple suite à la surmédiatisation de « prévisions » catastrophistes) pour qu’augmente le nombre d’infectés recensés, et qu’apparaisse ainsi une « seconde vague » … qui n’en est pas une puisqu’on ne fait ici qu’éclairer une réalité déjà existante mais qui était non mesurée (« dans l’ombre »).

Cet effet est illustré par la comparaison des deux graphiques suivants montrant l’absence de corrélation entre nouvelles infections et nouveaux décès.

Infections et décès « covid-19 » en Suèdesuede-covid19.png

Source

Dans le cas où la hausse du nombre de tests est provoquée par l’annonce de « prévisions » catastrophistes l’effet de recensement induit donc un effet de prophétie auto-réalisatrice. Cet effet fut exploité par les conseillers scientifiques catastrophistes de nombreux gouvernements (PS : je dis « exploité » car il s’agit probablement moins d’incompétence que de charlatanisme dans le chef de ces scientifiques, comme nous verrons dans les sections #scientifiques-de-plateaux-TV et #big-pharma-data).

prophétie-autoréalisatrice.jpg

Comprenons bien que le taux d’infection ne reflète que les seules infections recensées (nouvelles ou cumulées), or celles-ci peuvent augmenter alors que demeure constant le nombre total des infectés ou ayants été infectés. En effet comme montré dans la section précédente :
# infectés > # symptomatiques
# infectés > # testés
# testés > # positifs
# positifs > # décès (sauf si mauvaise gestion épidémique).

Indicateur
biaisé

Enfin si l’on ajoute à cet effet de recensement le fait qu’il est souvent difficile de distinguer entre décès par le virus et décès avec le virus (problème d’identification), il en résulte que la gestion épidémique ne doit surtout pas être pilotée en fonction de l’évolution du taux d’infection, mais en fonction du taux de mortalité toutes causes par rapport à la population.

La comparaison des deux graphiques ci-dessus explique pourquoi les épidémiologistes de plateaux TV font exactement le contraire : leur objectif est d’être réinvité le plus souvent possible afin d’accroître leur célébrité, or pour maximiser ses chances d’être réinvité sur les plateaux TV il faut tenir un discours catastrophiste (qui dope l’audimat).

Taux de mortalité et létalité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#taux-mortalite

D’autre part le graphique suivant montre que le taux de mortalité par rapport à la population (Mt) ne peut être évalué qu’une fois l’épidémie terminée.

Taux de mortalité de covid-19 en Belgiquemortalite-covid19.png

Tableur covid19-beLe même principe vaut donc pour le taux de létalité – Mt / ∑t=0n ΔI+t(15) – c-à-d le nombre de morts par rapport au nombre total de personnes étant ou ayant été infectées .

Mortalité et létalité (Belgique 2020)mortalite-letalite-1.png

NB : notez la différence d’échelles. Tableur covid19-be.

La presse, toujours avide de sensationnalisme, préfère évidemment le taux de létalité car il est nettement plus élevé. Malheureusement de nombreux journalistes parlent indifféremment de taux de mortalité, même lorsqu’il s’agit de taux de létalité. Ainsi au début de l’épidémie de covid-19 le taux de létalité a parfois été frauduleusement comparé au taux de mortalité de précédentes épidémies de coronavirus, attisant ainsi la panique.

Mortalité et létalité de covid-19 (Belgique 2020)mortalite-letalite-2.png

Tableur covid19-be

Il convient enfin de ne pas confondre le taux de létalité Mt / ∑t=0n ΔI +t avec Mt / It. Ce dernier ratio n’a pas de signification car il compare un stock constamment croissant (Mt) avec un stock d’abord croissant puis décroissant (It) sous l’effet des guérisons ΔI –t devenues plus nombreuses que les nouvelles infections ΔI +t.

Mortalité et létalité de covid-19 (Belgique 2020)infection-mortalite.png

Tableur covid19-be

La nécessité d’attendre la fin de l’année n’est pas du qu’au fait de la croissance du taux de mortalité et létalité. On peut classer les autres facteurs selon qu’ils jouent au niveau du numérateur ou dénominateur :

  • Numérateur :

    • Concentration temporelle. Durant l’épidémie de covid-19 les effets pervers du catastrophisme médiatique et du confinement général (cf. infra #effets-pervers-strategie-non-pharma) ont accéléré et concentré la dynamique létale sur une très courte période, ce qui explique le pic plus fin et plus élevé que les années précédentes, où la distanciation sociale obligatoire n’a jamais été appliquée. Par conséquent il est hautement probable que la mortalité sur le reste de l’année sera historiquement très basse.
    • Mortalité toutes causes. Il y a aussi la difficulté de faire la distinction entre les décès « par le virus » et ceux « avec le virus » ⇒ c’est la mortalité toute cause qu’il faut regarder. Cela peut conduire à des corrections ultérieures.

Il y a-t-il eu avec covid-19 un phénomène d’amplification, initié par le business des « infos » pour booster l’audimat, puis amplifié par du personnel médical hospitalier pour appuyer des revendications financières (moyens matériels et salaires) ? Pour ce faire les décès avec covid-19 ont-ils été systématiquement enregistrés comme décès par covid-19 ? Dans l’affirmative cela a-t-il enclenché un effet de prophétie auto-réalisatrice via les effets pervers de la panique : décisions politiques absurdes (*), vieillards « se laissant partir », etc ? Dans ce cas on serait dans un phénomène auto-entretenu par lequel la mesure d’une variable accélère son évolution future !

(*) En Belgique les maisons de retraite ont reçu instruction de ne plus hospitaliser leurs résidents quel que soit le problème qu’ils avaient ! [source].

  • Dénominateur : la problématique concerne ici le taux de létalité, et découle du fait que infectés > testés > positifs, ⇒ si l’on prend le nombre de testés positifs comme une estimation du nombre d’infectés on sous-estime le dénominateur du taux de létalité, de sorte que l’on surestime celui-ci ; et comme il n’est pas réaliste de tester toute la population on a alors trois options :

    • calculer le taux de létalité plutôt en fonction du nombre des personnes hospitalisées (dont on peut supposer qu’elles sont quasiment toutes infectées), mais cette population n’est pas du tout représentative de l’ensemble de la population (on peut cependant utiliser ce taux pour des comparaisons entre hôpitaux ou secteurs hospitaliers nationaux);
    • calculer les valeurs futures (c-à-d théoriques) des It au moyen du modèle SIR, mais il n’a pas été démontré que les prédictions calculées par le modèle correspondent à la réalité ⇒ on préférera la solution suivante;
    • identifier la présence d’anticorps contre l’agent pathogène dans le sang (signe d’un infection passée) chez tous les membres d’un groupe d’individus supposés constituer un « échantillon représentatif de la population ».

J’ignore si ce test sur groupe représentatif a été réalisé : je n’ai rien lu ni entendu à ce sujet. Quoi qu’il en soit force est de constater que les très catastrophistes (et donc influents) épidémiologistes ont ici un second (*) intérêt à focaliser l’attention de l’opinion publique et des décideurs politiques sur le taux de létalité plutôt que sur le taux de mortalité, qui ne requiert pas de mesurer ou calculer It …

(*) le premier étant que sa valeur est beaucoup plus élevée que celle du taux de mortalité (cf. supra), ce qui nourrit d’autant plus le catastrophisme que la confusion entre les deux est entretenue.

Stratégies anti-épidémiques

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategies

Nous commencerons cette section par la présentation des principes fondamentaux de la gestion épidémique. Puis nous préciserons le rôle joué en toile de fond par le phénomène d’immunité collective. Ensuite nous développerons une analyse pratique des deux types de stratégie (SNP et SP) dont nous avions présenté les fondements théoriques dans la section #SIR-strategies. Enfin, sur base des ces éléments, nous répondrons à la question : quelles stratégie appliquer ?

Principes de gestion anti-épidémique

https://konfedera.org/gestion-epidemies#principes

Dans la section consacrée au modèle SIR nous avions défini deux types théoriques de stratégie anti-épidémique :

  • non pharmaceutique (notée SNP) :

    • consistant à abaisser la valeur du paramètre β (incidence épidémique du virus) par des mesures de distanciation sociale (isolement, masques et lavages);
    • elle est préventive, ancienne et fortement contraignante.

  • pharmaceutique (notée SP) :

    • consistant à :

      • abaisser le paramètre λ (durée de la maladie=contagion) et augmenter la variable Et (comprenant les guéris) au moyen de médicaments (traitement);
      • augmenter la valeur initiale E0 au moyen de vaccins (prévention);

    • elle est essentiellement curative, moderne et faiblement contraignante.

La présente section étant consacrée à l’épidémiologie non plus théorique mais pratique, nous allons ici compléter cette typologie en prenant en compte les possibilités et contraintes d’application.

Le tableau suivant synthétise les modalités de stratégies épidémiques :

  • on peut les classer en trois groupes (colonne A) : prévention, dépistage, traitement;
  • chacune peut être implémentée en mode volontaire (colonne D) ou coercitif (colonne E);
  • toutes renforcent l’immunité collective (colonne F), sauf le confinement général qui la ralentit (le dépistage étant neutre sauf s’il conduit au confinement général);
  • l’immunité collective n’est pas une stratégie à proprement parler mais plutôt un phénomène naturel opérant en toile de fond de chacune des stratégies.

strategies.png

(*) Par « confinement » on entend l’isolement des individus ainsi que les mesures d’hygiène : lavage des mains + port de gants et masques.

En essayant de remplir les colonne D et E du tableau le lecteur comprendra pourquoi le confinement général à l’échelle internationale n’avait jamais été appliqué (ni recommandé) avant covid-19 :

  • il ne peut être pleinement impliqué que par la coercition (dont la coercition psychique, consistant à terroriser la population par de quotidiens messages ultra-anxiogènes : exemple1exemple2);
  • à supposer qu’il soit réaliste et effectif, le confinement retarde l’immunisation collective : or cet effet négatif ne peut être considéré comme tolérable sous le prétexte qu’il permettrait de gagner du temps pour développer les capacités hospitalières et des médicaments/vaccins spécifiques, car il est n’est pas possible de réaliser ces développements de façon substantielle et réellement efficace en moins de trois ans; et même si cela était possible ce ne serait pas rationnel d’un point de vue économique et écologique comme réponse systématique aux virus « nouveaux » (il y a mieux à faire).

Immunité collective

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-immunite-collective

Dans la section consacrée au modèle SIR nous avons vu l’équation E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ ) (8) qui exprime la valeur de Et au-delà de laquelle, la croissance du nombre d’infectés (It) serait impossible. C’est pourquoi E*t est appelé « taux d’immunité collective« .

L’équation (8) n’exprime pas de causalité mais seulement une corrélation entre E*t et It, c-à-d que lorsque It arrête de croître sa valeur correspond à une valeur de Et égale à E*t. Et inversement lorsque Et atteint la valeur de E*t c’est que nécessairement It arrête de croître. Mathématiquement cela s’exprime par :

E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ )  ⇔   It = 1 – E*t – 1 / ( β * λ )(33)

On peut interpréter cette expression mathématique de façon intuitive en disant que si la répartition spatiale de la population It est uniforme (ce qui est une des hypothèses du modèle SIR) il existe une valeur minimale de It en-dessous de laquelle – c-à-d une valeur maximale de Et au-delà de laquelle – le virus n’arrive plus à se propager faute de suffisamment de vecteurs. Cette interprétation surlignée en jaune permet d’expliquer pourquoi une épidémie s’éteint naturellement avant que le virus ait contaminé l’intégralité de la population au sein de laquelle il se propage.

Mais qu’est ce qui fait qu’un individu est immunisé ? Il y a trois voies possibles d’immunisation (synonyme « d’exclusion » c-à-d le fait d’appartenir au groupes des exclus du risque de contamination ) :

  • de naissance ;
  • par guérison d’une maladie immunisante;

    • Toutes les maladies ne seraient pas immunisantes.
    • Une guérison peut être naturelle (sans traitement médical) ou non (avec traitement médical).

  • par vaccination;
  • par immunité croisée.

Mais s’il n’existe ni vaccin ni traitement spécifique les individus ne peuvent donc être immunisés que :

  • de naissance ;
  • par guérison d’une maladie immunisante :

    • soit naturellement;
    • soit au moyen d’un traitement médical non spécifique.

  • par immunité croisée.

La dite « stratégie » d’immunité collective consiste en fait à ne compter que sur les stratégies de type SP (traitement) c-à-d sans prévention ni dépistage. Elle repose sur le pari que le pic de l’épidémie, c-à-d le nombre le plus élevé de personnes contaminées par unité de temps ne dépassera pas les capacités matérielles et humaines du système médical.

Compter sur les seules stratégies SP (traitement + immunité collective en toile de fond) pour gérer une épidémie est donc d’autant plus justifié que le produit incidence x mortalité est faible. Avant covid-19 cette stratégie du laisser faire était systématiquement appliquée dans les épidémies et pandémies de virus « nouveaux » (entre guillemets car un virus n’est jamais totalement nouveau puisqu’une mutation est toujours partielle). Ainsi chaque année des épidémies létales et dont la propagation connaît un stade exponentiel, sont finalement maîtrisées sans confinement général. Par conséquent, chaque année nous sommes confrontés au risque que le système hospitalier soit surchargé. Et certaines années cela est (légèrement) le cas, ce qui implique que des malades sont moins biens soignés voire pas du tout, et que certains en meurent.

Le nombre de ces décès est implicitement considéré comme « acceptable » au regard des coûts sociaux, économiques et politiques :

  • soit d’une surcapacité hospitalière garantissant qu’aucune épidémie ne provoque de surcharge (mais cela n’est pas prévisible …);
  • soit du recours systématique au confinement général (donc même pour les épidémies saisonnières), ce qui aurait pour effet d’instaurer quasiment chaque année le confinement général et le traçage des personnes (mais cela est-il politiquement, économiquement et socialement souhaitable ?) …

Dans les sections consacrées aux problématiques économiques et politiques de la gestion anti-épidémique nous analyserons cet arbitrage. Mais avant il nous faut détailler les différentes composantes de la gestion anti-épidémique.

Stratégie non pharmaceutique (SNP)

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-non-pharmaceutique

Nous allons ici traiter successivement des principes, de l’efficacité douteuse et des effets pervers de la stratégie non pharmaceutique (SNP), dont nous avions exposé les principes théoriques dans la section #SIR-strategies. Les éléments de cette stratégie sont : confinement, distanciation, masques, lavages.

Principes

Cette stratégie (qui à notre connaissance n’était mentionnée dans aucun article d’épidémiologie avant covid-19) s’applique aux épidémies se propageant par contacts interindividuels directs, et non par le biais d’un vecteur tel un moustique. Elle consiste à inciter voire forcer l’ensemble de la population à appliquer des mesures dites de « distanciation sociale » :

  • limiter le nombre de contacts : confinement général : fermeture des crèches et écoles, isolement des malades, suppression des rassemblements publics, réduction des mouvements de population, … ;
  • limiter la probabilité de contamination lors de contacts, par des mesures d’hygiène : lavage des mains, port de gants et masques de protection, maintient d’une distance de deux mètre entre individus.

Détail des mesures de confinement général : France ; Belgique.

Les partisans de cette stratégie affirment, sur base de modèles épidémiologiques tels que le modèle mathématique SIR, que celui-ci aurait pour effets [source] :

  • d’abaisser le sommet de la courbe épidémique ⇒ on réduit le risque que la capacité hospitalière soit dépassée par le nombre de cas sévères;
  • de retarder le sommet de la courbe épidémique ⇒ on gagne du temps pour augmenter la capacité hospitalière et en particulier le nombre de lits de soins intensifs (mais nous verrons que cet argument est erroné).

En théorie l’ensemble de ces mesures seraient très efficaces : appliquées pleinement elles permettraient de stopper l’épidémie en quelques semaines.

NB : dans le monde moderne (entendez « depuis la seconde guerre mondiale ») toutes les épidémies saisonnières s’éteignent naturellement en quelques semaines … sans confinement ni port du masque généraliés !

Le graphique suivant illustre le principe de fonctionnement du confinement général.reductionnisme-epidemie.gif

Confinement général : l’un télétravaille, l’autre ne se rend pas à ce barbecue, une troisième ne voyage pas en avion, et le dernier reste à la maison …

On notera que l’animation ci-dessus – qui illustre la stratégie de confinement général, consistant à abaisser la valeur de β – vaut aussi bien pour illustrer l’immunisation collective, ainsi que la stratégie « dépister & traiter » (si l’on suppose que la guérison est immunisante) consistant à abaisser la valeur de λ. Pour s’en rendre compte il suffit de remplacer le commentaire en-dessous de l’animation par « l’un est immunisé, l’autre est immunisé, une troisième est immunisée, et le dernier est immunisé » (de naissance, par immunité croisée, par guérison, par vaccin).

Dans le cas de virus « nouveaux », dont la virulence et la létalité sont donc inconnues (NB : … à supposer que ces notions aient un sens dans la réalité, ou autrement dit, que les paramètres des objets mathématiques les modélisant soient constants dans le temps et l’espace), la stratégie préventive qu’est le confinement général est fondée sur le principe de précaution c-à-d une spéculation : au moment où l’on décide d’appliquer ou non des mesures préventives (zone verte), moment qui se trouve proche de T=0, on ne sait pas avec précision (notions d’estimations hautes et basses de la propagation effective) quel sera ex post le positionnement relatif de la courbe épidémique par rapport à la capacité hospitalière.

capacites-hospitalieres.png

Selon le positionnement ex post des courbes par rapport à la capacité hospitalière (cf. graphique ci-dessus), ont pourra tirer l’une de trois types possibles de conclusion :

  • Capac. hospit. 1 : le coût social et économique de la stratégie de distanciation a permis de minimiser le nombre de malades ne pouvant être traités : la surface verte au-dessus de la ligne de capacité 1 est inférieure à la surface bleue au-dessus de cette ligne ;
  • Capac. hospit. 2 : le coût social et économique de la stratégie de distanciation a permis de réduire à zéro le nombre de malades ne pouvant être soignés : la surface verte est inférieure à la ligne de capacité 2, de sorte que l’on a pu éviter un nombre de décès équivalent à la surface bleus située au-dessus de la ligne de capacité 2 (on suppose que les malade non traités meurent) ;
  • Capac. hospit. 3 : le coût social et économique de la stratégie de distanciation fut inutile.
Vagues
suivantes

Le confinement général ayant pour effet de freiner le phénomène naturel d’immunisation collective, il en résulte (selon le modèle SIR) que lorsque ce confinement sera levé – parce qu’il aura ramené la valeur de Rt (taux de reproduction) en-dessous de 1, c-à-d que l’on aura dépassé le sommet de la courbe épidémique – celle-ci repartirait à la hausse dès que Rt sera repassé au-dessus de 1. On pourrait alors « s’inscrire », selon le modèle SIR, dans un cycle de confinements et dé-confinements, qui durera tant que l’on aura pas développé de médicament spécifique ou de vaccin (ce qui est impossible en moins de trois ans), ou tant que la réglementation médicale pénalisera l’usage de médicaments non spécifiques pour réduire la charge virale des infectés.

Les adeptes de l’épidémiologie mathématique, prisonniers de leur « logique », sont ainsi conduits dans un enfermement cognitif : c’est le confinement qui fait baisser l’épidémie, donc si on lève le confinement alors l’épidémie repart à la hausse. Ces croyants ne voient plus la réalité des faits historiques (le confinement général n’a jamais été appliqué dans le monde moderne) mais seulement les « prévisions » de leur modèle.

Ce cycle de confinements et dé-confinements est un moindre mal, affirment les promoteurs de cette stratégie, car on aura ainsi pu retarder le sommet de la courbe épidémique, ce qui permet selon eux de gagner du temps pour augmenter la capacité hospitalière, ainsi que pour développer un médicament spécifique et/ou un vaccin.

Le problème est ici qu’il n’est pas possible, en moins de trois ans, ni d’augmenter substantiellement la capacité hospitalière (cf. le graphique de Ferguson), ni de développer un nouveau traitement ou vaccin réellement efficace (ce qui prend cinq fois plus de temps).

Capacités
hospitalières

Il n’est pas possible d’augmenter substantiellement en quelques mois la capacité hospitalière d’un pays. Construire les bâtiments est une chose, mais les équiper d’unités de soins intensifs requiert du matériel complexe et surtout du personnel compétent. Or ces ressources ne peuvent être créées en quelques mois, qui plus est si le système productif est entravé par un confinement général. Dans une situation de crise c-à-d d’urgence, ces ressources ne peuvent qu’être redistribuées entre hôpitaux. Or comme il n’est pas possible de prévoir les régions qui seront en surcharges et celles qui ne le seront pas, cette réallocation ne peut être réalisée que dans l’urgence, ce qui rend sa faisabilité peu réaliste, qui plus est si le système productif est entravé par un confinement général. Les affirmations des gouvernements qui ont prétendu l’avoir fait (et alors qu’ils n’étaient pas même en mesure de gérer efficacement les seuls stocks de masques de protection) sont donc probablement mensongères et concernent au mieux des lits de soins non-intensifs.

Médicament
ou vaccin

Il n’est pas possible de développer un médicament spécifique ou un vaccin efficaces (et non nuisibles) en moins de deux ans (y compris l’autorisation de mise sur le marché), car cela prend d’habitude cinq à dix fois plus de temps ! En outre le confinement général allonge la durée de R&D, en entravant la production et distribution de biens et services qui lui sont indispensables. Pendant ce temps ce même confinement général aura fait des ravages, notamment sur la mortalité (cf. infra).

Les raisonnements développés dans cette section sur les principes du confinement général reposent sur l’hypothèse implicite que son efficacité ne serait pas qu’une spéculation théorique. Mais est-bien le cas ?

Efficacité de la SNP

https://konfedera.org/gestion-epidemies#efficacite-strategie-non-pharma

Les deux graphiques précédents présentant les principes de la stratégie non pharmaceutique (confinement, distanciation, masques, lavages) peuvent paraître pertinents, et l’on est alors tenté de croire que « oui, ça fonctionne bien comme cela, et le résultat obtenu est bien celui-là ». Cependant nous avons montré supra que les modèles mathématiques – dont les deux graphiques précédent illustrent la logique – ne sont eux-mêmes que l’illustration d’une thèse, ce qui n’en constituent nullement une démonstration. Pour démontrer une thèse il faut la confronter à la réalité des faits … qui en matière de maladie transmissible est extrêmement plus complexe qu’un système de trois équations, car liée aux écosystèmes.

Interrogé fin mars 2020 par le journal français Le Parisien sur l’efficacité du confinement général, le professeur Didier Raoult, premier expert mondial en maladies transmissibles selon l’indice expertscape, répond en ces termes : « Jamais on n’a pratiqué ainsi à l’époque moderne. On faisait ça au XIXe siècle pour le choléra à Marseille. L’idée du cantonnement des gens pour bloquer les maladies infectieuses n’a jamais fait ses preuves. On ne sait même pas si ça fonctionne. C’est de l’improvisation sociale et on n’en mesure pas du tout les effets collatéraux » [source].

L’analyse de l’efficacité de la SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) doit distinguer deux cas selon que l’on considère :

  • le seul secteur hospitalier, qui est équipé de tout le matériel nécessaire et où les règles sanitaires sont strictement appliquées par des professionnels avec un haut niveau de formation;
  • l’ensemble des lieux publics et privés, où le matériel est moins disponible, où les règles sont appliquées moins strictement, et par des individus à formation de tous niveaux et domaines.

Or l’on constate que même en milieu hospitalier on n’arrive pas à neutraliser totalement les infections nosocomiales.

En effet, l’analyse de l’efficacité des mesures de neutralisation du risque d’infection soulève au moins trois questions :

  1. dans quelle proportion ces mesures permettent-elles d’abaisser le taux d’agents pathogènes par unité volumique dans l’espace ?
  2. dans quelle proportion la baisse du taux d’agents pathogènes par unité volumique se traduit-elle par une baisse du taux d’infections ?
  3. au regard de cette baisse du taux d’infections, les ressources consacrées à ce résultat ne seraient-elles pas plus productives si elles étaient allouées à d’autres aspects du service médical, par exemple les traitements (notion de coût d’opportunité) ?

En fait la seule certitude concernant les mesures sanitaires en milieu hospitalier c’est leur utilité juridique [source] et d’image de marque (NB : la concurrence joue aussi dans le secteur hospitalier).

On comprend alors pourquoi ces mesures sont très probablement illusoires lorsqu’il s’agit de les faire appliquer en tous lieux, en toutes circonstances, à tout instant et par tout le monde. Et cela alors que les plus fines particules expectorées peuvent rester en suspension dans l’air pendant plusieurs heures, donc y voyager au gré des courants d’air et se fixer n’importe où (et y rester infectieuses pendant plusieurs jours).

Ainsi le masque est à usage unique, et pour une durée de trois heures. Il doit être posé et retiré sans le toucher (!), ou bien avec lavage des mains avant et après le port (chaque fois !). Il ne doit jamais être porté sur le front, sur le cou ou dans la poche (ce que quasiment tout le monde fait …), au risque de contaminer son porteur en cas de repositionnement. [source].

Même dans un état totalitaire il ne serait pas réaliste de croire en l’efficacité de ces mesures. Il est donc particulièrement inquiétant de constater qu’une revue d’articles scientifiques réfutant l’efficacité des masques, réalisée par le physicien Denis Rancourt et publiée en avril 2020 sur researchgate.net fut censurée le mois suivant : archive.org – PDF

Interview de Denis Rancourt avant la censure (42m28s – mai 2020)

L’argumentation de researchgate.net pour « justifier » la censure de cette revue d’articles scientifiques est hallucinante et extrêmement inquiétante [email-rancourt-researchgate.pdf]. Voici la réaction de Denis Rancourt.

Réaction de Denis Rancourt après la censure (4m35s – mai 2020)

Enfin on tombe dans le délire le plus total avec l’obligation du port du masque même par les asthmatiques ! Ou encore avec la possibilité pour ceux-ci de porter plutôt une visière : ainsi donc il n’y aurait pas de propagation par les particules fines en suspension dans l’air ? On voit bien dans ces arguments contorsionnistes que les motivations réelles du port obligatoire du masque n’ont rien à voir avec la science.

Confinement

Quant au confinement proprement dit, on ne peut l’appliquer à une large population sur des périodes de plusieurs semaines car les gens doivent sortir au moins pour aller (i) chercher de la nourriture (sauf à constituer massivement des stocks, ce qui n’est pas gérable globalement) ; (ii) sur leur lieu de travail (les services qui peuvent être réalisés par télétravail ne représentent qu’une partie du PIB). Que ce soit sur leur lieu de travail comme dans leur domicile, il ne leur est pas possible d’appliquer en permanence la distanciation (un mètre cinquante), le port du masque et de gants, le lavage des mains (après chaque contact sans gants). À supposer que ces mesures soient appliquées parfaitement sur le lieux de travail (par exemple par le licenciement des réfractaires pour faute grave) il en résulterait un très forte baisse de productivité, de sorte que la production de biens et services vitaux pourraient ne plus être garantie.

Enfin, face à un virus, les mesures de confinement et d’hygiène peuvent-elle être d’une quelconque efficacité lorsqu’elles ne sont pas appliquées intégralement, par tous, en tous lieux, en toutes circonstances, 24h/24 ? Est-il raisonnable de croire qu’elles sont « quand même un petit peu efficaces même si on ne les applique que partiellement » ? Et dans l’affirmative, n’existe-t-il pas un niveau d’application partielle en-dessous duquel elles deviennent totalement inefficaces ? Dans ce cas, quel est ce niveau ? Enfin lorsque l’on compare ce faible résultat à son coût médical, économique et démocratique, demeure-t-il rationnel ? Jusqu’à l’année 2020 la réponse officielle et scientifique à cette question était non. Pourquoi ce brusque changement … ?

Bilan

La distanciation sociale n’est donc pas une stratégie pertinente, quelle que soit la thèse que l’on adopte concernant son efficacité :

  • à supposer que l’ensemble des mesures de la SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) aient un effet substantiel sur la courbe épidémique lorsqu’elles sont appliquées intégralement, il faut pour cela maintenir un niveau minimum de discipline de la population en entretenant en permanence un climat de terreur via les médias « d’information », et en instaurant un régime policier fondé notamment sur la dénonciation des contrevenants. Mais voulons-nous d’une telle société ?
  • on notera d’autre part la paradoxale tolérance des gouvernements français [source] et belges [source1] par rapport aux manifestations anti-trump de début juin 2020 (donc avant l’extinction de l’épidémie) contre le racisme de la police US (et contre Trump) : ainsi donc l’interdiction des rassemblements est une question de vie ou de mort … sauf pour certaines manifestations ! Voilà qui met sérieusement en question la véritable motivation de la distanciation sociale (confinement et masque). Ces manifestations, dont de nombreux participants ne portaient pas de masque, n’ont d’ailleurs pas été suivies d’une remontée de la courbe épidémique, ce qui confirme que confinement et masque n’ont pas d’effet substantiel. Et pourtant un mois plus tard (11 juillet 2020) le gouvernement belge a rendu le port du masque obligatoire, sans doute pour « rentabiliser » les stocks achetés (après le sommet épidémique !) par ce même gouvernement qui avait fait déclarer l’inutilité des masques lorsque ceux-ci étaient indisponibles !

Didier Raoult sur le confinement et le masque (0m5s – juin 2020)

Selon le premier expert mondial en maladies transmissibles le confinement et le port du masque en public ne sont pas des décisions scientifiques mais politiques.

Et nous n’avons pas encore évoqué le gros point faible du confinement général : ses effets pervers …

Effets pervers de la SNP

https://konfedera.org/gestion-epidemies#effets-pervers-strategie-non-pharma

Les pouvoirs médiatique, académique et politique ne s’en sont jamais cachés : pour qu’un maximum de gens appliquent les mesures de la stratégie SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) il faut faire peur à la population [exemple1exemple2]. La SNP implique donc la terreur, or celle-ci induit de graves effets délétères :

  • la panique, qui inhibe les capacités cognitives :

    • des médecins hospitaliers : ainsi plus de 50% de la mortalité attribuée à covid-19 serait causée par les intubations abusives ! [source];
    • des décideurs politiques : ainsi pour libérer des lits d’hôpitaux en prévision d’une prétendue « possible explosion » (sic) du nombre de malades sévères de la covid-19 il a été décidé d’isoler un maximum de vieillards dans les maisons de repos, or plus de la moitié des décès attribués à covid-19 ont eu lieu en dehors du milieu hospitalier, en l’occurrence essentiellement dans les maisons de repos [source p.10]; on peut classer ces décès en deux groupes selon leur niveau d’infection :

      • gravement infectés : décès par manque de soins, ces homes ne disposant ni du matériel ni du personnel formé pour soigner les cas graves [source];
      • peu ou pas infectés : nombreux décès provoqués par « l’effet de glissement » : privés d’affection familiale, terrorisés par les messages gouvernementaux ultra-anxiogènes et par les décès autour d’eux, beaucoup de vieillards se sont « laissés partir ».

  • le stress psychique, qui inhibe le système immunitaire (NB : ces effets sont démultipliés par l’isolement qu’implique le confinement);
  • la peur de la contamination, qui inhibe la demande et l’offre de services médicaux.L’agence de santé publique française notait dans son bulletin du 16 avril 2020 que « depuis le début de la période de confinement, l’activité toutes causes aux urgences a fortement diminué pour toutes les classes d’âges » [source].

D’autre part des effet d’entraves ont encore accru la mortalité attribuée à covid-19 :

  • une réglementation médicale pénalisant l’utilisation de médicaments non spécifiques même dans une situation « de crise » face à un virus « nouveau »;
  • le confinement général entrave la production & distribution de biens et services indispensables à la lutte contre l’épidémie (médicaments, respirateurs, …).
Conclusion

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-non-pharma-conclusion

L’analyse factuelle et logique à laquelle nous venons de procéder confirme les conclusions de l’analyse statistique (cf. supra #SIR-vs-covid19) : l’efficacité théorique du confinement général est non démontrée, fortement surestimée et peu probable, notamment en raison de ses effets pervers qui eux sont par contre très sous-estimés.

Appliquer malgré tout la distanciation sociale en vertu du principe de précaution relève du comportement magique car ce principe ne justifie aucunement d’appliquer des mesures irrationnelles. Il ne s’agit donc ni plus ni moins que d’une croyance irrationnelle, conduisant à un principe de précaution tout comme des gens vont à l’église ou à la mosquée dans l’espoir – sait-on jamais – d’être admis au paradis l’échéance venue (PS : au Moyen Âge le commerce des indulgences a d’ailleurs exploité ce type de croyance).

Les adeptes de l’épidémiologie mathématique rétorqueront que les victimes causées par ses effets nuisibles du confinement général sont moins nombreuses que les personnes qu’il protège supposément de la contamination.

Cependant les faits statistiques infirment cette thèse :

  • comparaison spatiale : le taux de mortalité fut plus élevé dans la région de Wuhan (où le confinement général fut appliqué) que dans le reste de la Chine (où le confinement général ne fut pas appliqué);
  • comparaison temporelle : les taux de mortalité des précédentes pandémies de virus « nouveaux » sont inférieurs à celui de COVID-19 « malgré que » (ou parce que) le confinement général ne fut pas appliqué.

La question demeure donc : pourquoi le confinement général fut-il appliqué pour covid-19 alors que selon Didier Raoult – un des premiers experts mondiaux en maladies transmissibles – cette pandémie n’avait rien d’exceptionnel, et que jamais dans le moderne le confinement n’a été appliqué pour neutraliser une épidémie (son efficacité n’ayant jamais été démontrée).

La réponse à cette question n’est pas de nature scientifique mais politique et économique. Il en a résulté que des gouvernements ont fortement aggravé la situation : la mesure historiquement exceptionnelle du confinement général a suscité la panique dans la population ⇒ effets pervers ⇒ aggravation de la létalité du virus. C’est typiquement un phénomène bien connu des économistes sous le nom de prophétie autoréalisatrice (« self-fulfilling prophecy »).

Stratégie pharmaceutique (SP)

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-pharmaceutique

Nous allons ici traiter de la stratégie pharmaceutique (SP), dont nous avions exposé les principes théoriques dans la section #SIR-strategies. Les éléments de cette stratégie sont : traitement, dépistage & confinement ciblés

Traitements
https://konfedera.org/gestion-epidemies#traitements

Nous parlons ici des traitements médicaux pharmaceutiques (c-à-d chimiques) et mécaniques (respirateurs, etc.), donc liés à stratégie SP, par opposition à la stratégie SNP qui est de nature préventive.

Symptomatique
vs curatif

On a souvent pour habitude de distinguer traitements symptomatiques vs curatifs d’une maladie, tout en distinguant ceux de nature préventive. Cependant cette approche dichotomique du traitement médical est simpliste :

  • symptomatiques : on peut favoriser la guérison naturelle en atténuant les symptômes (dans le cas de covid-19 : fièvre, toux et dyspnée) au moyen de médicaments habituels pour ces symptômes, donc éventuellement au moyen de médicaments non spécifiques à la cause des symptômes : selon des estimations le seul traitement symptomatique peut réduire de moitié le taux de mortalité [source].
  • curatifs : le traitement curatif peut être appliqué avant l’apparition de symptômes ; le traitement curatif d’une infection virale ou bactérienne consiste notamment à abaisser sa charge virale ou/et bactérienne en-dessous d’un niveau correspondant à (i) la contagiosité de l’infection et (ii) l’apparition des symptômes de la maladie.

Ressource : drugvirus.info.

Repositionnement

En situation d’urgence et en l’absence de vaccin ni traitement curatif spécifique, il faut concentrer les ressources scientifiques disponibles sur le « repositionnement » c-à-d la recherche de médicaments existants permettant de traiter le nouveau virus. L’avantage du repositionnement c’est que ces médicaments sont déjà agréés, donc immédiatement disponibles. En outre leurs effets secondaires, posologie et interactions sont connues. Dans le cas de covid-19 le repositionnement fut réalisé avec succès et une rapidité stupéfiante (qui a suscité beaucoup de jalousies …) par l’équipe du Pr. Raoult (sur base de recherches chinoises sur des médicament antipaludiques). Il a ainsi été confirmé que les pays qui utilisent principalement des médicaments antipaludiques comme traitement de covid-19 voient une dynamique plus lente des décès quotidiens, le nombre de décès parmi les cas critiques étant divisé par deux [source].

Une façon d’identifier des médicaments candidats pour un repositionnement est donnée par le cas de la Chloroquine : en Italie covid-19 se serait répandu essentiellement dans les régions qui avaient été touchées par le paludisme … dont la Chloroquine est un traitement [à confirmer par une source crédible].

L’efficacité de certains médicaments non spécifiques peut donc s’expliquer par au moins deux causes :

  • les mutations sont toujours partielles, de sorte qu’un virus (ou une bactérie) n’est jamais totalement « nouveau » (ou, autrement dit, les mutations mineures ne sont-elles pas la règle plutôt que l’exception ?) ⇒ la notion de familles de virus, pour lesquelles des médicaments non spécifiques à tous les membres sont efficaces;
  • des traitements symptomatiques – donc éventuellement au moyen de médicaments non spécifiques à la cause des symptômes – peuvent réduire de moitié le taux de mortalité.

Le repositionnement repose donc sur un savoir qui doit s’accumuler par la pratique. Ce fait plaide en faveur d’une certaine liberté de médication non spécifique, et cela pas seulement en période d’épidémie.

Médecine de guerre. Dans une situation de crise telle que la pandémie covid-19 – virus nouveau pour lequel il n’existe pas de médicament spécifique – l’utilisation immédiate de ces traitements non spécifiques devrait être appliquée dans des conditions moins strictes que celles habituellement requises (réplication des résultats par d’autres équipes, étude randomisée en double-aveugle, …). La situation s’apparente en effet à une situation de guerre, ce qui requiert logiquement l’application d’une médecine de guerre. Dans ce cas la primauté doit être redonnée temporairement aux médecins traitants (l’art de la médecine) sur la méthodologie scientifique applicable en situation hors crise (« temps de paix »).

On s’étonnera donc à juste titre de de l’accusation portée par le journal Le Monde à l’encontre du Pr. Raoult, premier expert mondial en matière de maladies transmissibles selon l’indice expertscape, que le journal a accusé de propager une « fake news » (sic) en annonçant les résultats d’une étude scientifique suggérant l’efficacité d’un traitement non spécifique pour covid-19 : source).

Diagnostiquer et traiter (18m25s – 16 mars 2020)

Selon Raoult il n’existe dès aujourd’hui aucune barrière autre que politique au dépistage et au traitement de covid-19 [fiches de la présentation].

Covid-19

France. L’équipe du Pr. Raoult recommande (et applique) l’association d’hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) et d’azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d’usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé [source1 ; source2]. Ce traitement permettrait de réduire le temps de portage moyen du virus (durée entre le début et la fin de l’infection, et donc de la contagiosité possible) de 20 jours [source] à 6 jours. L’efficacité du protocole hydroxychloroquine+azithromycin a été confirmée par une étude publiée le 27 mai 2020 par le International Journal of Infectious diseases [source].

Chine. Les autorités chinoises ont autorisé l’utilisation :

  • du favipiravir (un médicament antigrippal dont l’utilisation clinique a été approuvée au Japon en 2014) après un essai clinique montrant une bonne efficacité contre covid-19 et n’ayant provoqué aucune réaction adverse [source];
  • des médicaments de la médecine traditionnelle chinoise [source].

Angleterre. En Angleterre le gouvernement a autorisé l’utilisation du dexaméthasone chez les patients les plus atteints [source].

Covid-19
cas « sévères »

Plus de 50% de la mortalité covid-19 serait causée par les intubations abusives ! « L’intubation serait trop facilement pratiquée chez patients Covid-19 selon une reco publiée dans The American journal of Tropical Medicine and Hygiene et citée par Stat, un journal américain en ligne. La sémiologie des pneumonies sévères en cas Sras-Co-2 serait différente de celle observée classiquement. L’hypoxie serait en fait mieux tolérée, notamment chez les patients de moins de 60 ans. Elle ne doit pas conduire à la mise en place systématique d’un respirateur artificiel. Certains médecins ont même recours à des dispositifs utilisés dans l’apnée du sommeil. Au total, les auteurs estiment à une réduction de la mortalité de plus de 50 % chez les patients Covid-19 grâce à la prescription moins fréquente de l’intubation » [source]. « Mortality rates for those who received mechanical ventilation in the 18-to-65 and older-than-65 age groups were 76.4% and 97.2%, respectively. Mortality rates for those in the 18-to-65 and older-than-65 age groups who did not receive mechanical ventilation were 1.98% and 26.6%, respectively » [source].

Voilà qui illustre les effets de la panique sur les capacités cognitives des médecins ! Il en résulte un effet de prophétie autoréalisatrice. La société ne pourra faire l’économie d’un procès du business de « l’info » et de ses scientifiques de plateau TV.

Dépistage

https://konfedera.org/gestion-epidemies#depistage

Définition. Par dépistage on entend le test d’une population, pour identifier les personnes infectées mais non symptomatiques (qui peuvent transmettre la maladie), et ainsi :

  • informer les personnes de leur état, voire les contraindre à une action (isolement, vaccination, …);
  • évaluer le taux d’immunité collective, ce qui requiert soit de tester 100% de la population (ce qui n’est pas souhaitable) soit de tester un échantillon supposé « représentatif de la population ».

Coût. À supposer que le dépistage soit pertinent (c-à-d faisable, efficace et souhaitable) il est cependant très coûteux :

  • en termes financiers ⇒ il doit être ciblé;
  • en termes démocratiques ⇒ son éventuelle obligation doit faire l’objet d’un référendum (organisé en période non épidémique).

Ciblage. Le dépistage devrait être ciblé sur deux types de « groupes à risque » :

  • type « blanc » : les personnes avec une haute probabilité de développer des symptômes sévères, par exemple des personnes âgées avec polypathologie chronique (hypertension, diabète, maladies cardiovasculaire, cancers, …) ;
  • type « noir » : les super-contaminateurs :

    • individus avec forte charge virale ;
    • individus avec nombre élevé de contacts (dans le temps et l’espace).

Il s’agit alors de :

  • isoler les groupes blancs ⇒ dépister au sein de ce groupe et diminuer la charge virale des positifs, même en l’absence de symptômes ;
  • dépister au sein des groupes noirs (par exemple les enfants) ⇒ isoler les positifs et réduire leur charge virale.

Les groupes à risque représentent souvent un faible pourcentage de la population.

Les groupes blancs sont immédiatement observables puisque c’est précisément leur apparition (les décès causés par l’infection virale) qui attire l’attention. Les groupes noirs peuvent alors être identifiés puis caractérisés par l’analyse du processus de contamination des membres du groupe blanc.

Quelques formes de tests :

  • le test PCR mesure la présence de l’ARN viral, attestant ainsi la contamination et son intensité; il est réalisé sur un prélèvement nasal;
  • le test sérologique (par exemple ELISA) mesure la présence d’anticorps dans le sang, (et partant l’immunisation);
  • imagerie (par exemple scanning des poumons dans le cas de covid-19) : permet de repérer des symptômes (mais avec plus d’incertitude que les tests quant à l’agent pathogène);
  • scanners rapides de la température corporelle; …

Recommandations du gouvernement français pour les prélèvement de dépistage par RT-PCR :

Si nécessaire les tests peuvent être proposés (ou imposés) dans les aéroports, ports et postes frontières. Et des cliniques ambulantes peuvent réaliser des tests partout sur le territoire, avec résultats envoyés par SMS le lendemain. Si possible le test peut être réalisé par les personnes elles-mêmes au moyen d’un kit disponible en pharmacie et dans les grandes surfaces.

Pas de
traçage

En Corée du Sud et en Chine, les personnes ayant eu des contacts avec des individus contaminés furent recherchées de manière systématique afin d’être testées à leur tour et confinées de force. Nous pensons cependant que c’est aller trop loin, et fut probablement motivé par des considérations plus politiques que scientifiques. Selon nous le traçage doit être volontaire et ne peut donc être imposé : c-à-d que si Alice accepte d’être tracée et qu’elle rencontre Bob qui n’a pas accepté d’être tracé, un contact entre Bob et Alice ne peut être enregistré.

Principe de précaution ?

https://konfedera.org/gestion-epidemies#principe-precaution

L’invocation du principe de précaution par les conseillers scientifiques de nombreux gouvernements pour « justifier » l’imposition de la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (confinement, distanciation, masques, lavages) est fallacieuse. En effet le principe de précaution ne consiste pas à appliquer une mesure incertaine sous prétexte qu’elle pourrait peut-être fonctionner, mais au contraire à ne pas appliquer une mesure sans être certain que ses effets pervers ne l’emportent pas sur ses supposés effets positifs.

Ainsi associer le principe de précaution à une obligation est absurde. Soit on applique le principe de précaution en recommandant aux gens d’appliquer telle ou telle mesure, soit on contraint la population d’appliquer une mesure mais dans ce cas il faut qu’il y ait certitude que des effets pervers ne l’emportent pas sur les effets positifs supposés.

La vidéo suivante compare l’analyse rationnelle du physicien Denis Rancourt aux propos hallucinants de l’épidémiologiste Yves Coppieters.

Covid-19 et principe de précaution : Rancourt vs Coppieters (2020- 2m5s)

Quelle stratégie appliquer ?

https://konfedera.org/gestion-epidemies#meta-strategie

Nous nous situons dans le cas d’une pandémie d’un virus « nouveau » (« worst case« ) :

  1. Cette situation n’est pas nouvelle, et fut chaque fois gérée avec succès dans le monde moderne sans recourir au confinement, distanciation et port du masque généralisés.
  2. Toutes les épidémies s’éteignent naturellement avant d’avoir contaminé 100% de la population. Et la plupart avant même d’avoir atteint le taux d’immunité collective, pour des raisons encore inconnues mais très probablement liées au virus lui-même et/ou aux écosystèmes dans lesquels il évolue. Sans ce phénomène comment la population mondiale aurait-elle pu croître ?
  3. Le recours à des modèles épidémiologiques à des fins de suivi épidémique et de pilotage de gestion anti-épidémique doit être absolument rejeté car :
    • dans le cas des virus « nouveaux », leur paramètres sont inconnus et ne peuvent être évalués en temps réel (c-à-d en cours d’épidémie) en raison de biais de mesure ne pouvant être corrigés qu’une année après le début supposé de l’épidémie;
    • pour la plupart des virus, connus ou non, les paramètres ne sont stables ni dans le temps ni dans l’espace, en raison de la nature écosystémique c-à-d complexe des phénomènes infectiologiques.

    On constate d’ailleurs une très forte propension de ces modèles (ou de leur paramétreurs ?) à produire des « prévisions » qui s’avèrent in fine de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies.

  4. Il résulte du point précédent qu’il est irrationnel d’appliquer une politique de gestion épidémique d’urgence de type préventive c-à-d la stratégie SNP (confinement, distanciation, masques, lavages généralisés). Est rationnelle la stratégie pharmaceutique (SP), qui est réactive.N.B. Aucun manuel d’épidémiologie sérieux ne recommande l’application généralisée de la stratégie SNP. Il n’existe d’ailleurs pas de critère objectif permettant de déterminer un niveau de risque de mortalité au-delà duquel il faudrait appliquer la stratégie SNP, et en-dessous duquel cela ne serait pas nécessaire.
  5. Dans le cas d’épidémie de virus « nouveau », donc en l’absence de traitement spécifique, il faut utiliser des médicaments non spécifiques (« repositionnement« , médecine de guerre). Dans la mesure où il s’agit là d’un savoir qui doit s’accumuler par la pratique, la réglementation devrait veiller à rendre celle-ci possible.
  6. Le dépistage est utile mais très coûteux :
    • en termes financiers ⇒ il doit être limité aux groupes blancs et noirs (cf. section précédente);
    • en termes démocratiques ⇒ son éventuelle obligation doit faire l’objet d’un référendum (organisé en période non épidémique).

    On peut résumer comme suit ses principes d’application :

    • s’il existe des groupes à risque ⇒ dépistage ciblé au sein des seuls groupes à risque noir et blanc ;
    • si toute la population est également à risque ⇒ dépistage massivement ⇒ confiner et traiter les seuls positifs.

  7. Étant donné qu’il suffit qu’augmente le nombre de tests réalisés (par exemple suite à l’annonce de « prévisions » catastrophistes) pour qu’apparaisse une « seconde vague », il résulte de cet effet de recensement que la gestion anti-épidémique doit évidemment être pilotée en fonction du taux de mortalité (toutes causes) par rapport à la population, et surtout pas en fonction du taux d’infections.Prendre en compte l’intelligence collective (juin 2020- 0m52s)
  8. Enfin concernant la problématique internationale de la gestion épidémique je n’ai à ce jour lu aucun argument scientifique justifiant de façon convaincante la fermeture des frontières. Cela n’est pas très étonnant puisque cette mesure revient in fine à appliquer le confinement aux nations. Il s’agit là encore d’une stratégie de nature politicienne et non pas scientifique.

Analysons maintenant pourquoi dans le cas de covid-19 ces principes évidents et connus depuis des dizaines d’années n’ont pas été appliqués.

covid-19 : analyse d’un délire collectif

https://konfedera.org/gestion-epidemies#covid-19-analyse-delire-collectif

Cette section est composée de deux parties. La première compare vérité médiatique et réalité statistique. La seconde identifie les agents du délire collectif autour de covid-19 ainsi que leurs possibles motivations.

QUOI : Info vs réalité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#info-vs-realite

Cette section est composée de trois parties :

Charge hospitalière

https://konfedera.org/gestion-epidemies#charge-hospitaliere

Dans la section #SIR-parametrage-fin-confinement nous avons vu que la charge hospitalière liée à covid-19 a atteint un maximum de 16% en Belgique, pays où le taux de mortalité de covid-19 fut le plus élevé au monde. Les quotidiennes « informations » assénées quotidiennement, selon lesquelles les capacités hospitalières étaient « au bord de la rupture », étaient donc soit biaisées (cas particuliers médiatisés comme fait général) soit tout simplement mensongères (nous analyserons les possibles motivations de ces malversations dans la section #agents-delire-covid19).

covid-19 : hôpitaux débordés … vraiment ? (1m7s – avril 2020)

On notera d’autre part que plus de la moitié des décès ont eu lieu en dehors du milieu hospitalier, en l’occurrence essentiellement dans les maisons de repos ! [source p.10]. Et cela parce que, mis sous pression par le catastrophisme extrêmement agressif des médias « d’information » [exemple], le gouvernement a paniqué et pris la décision absurde d’interdire aux maisons de repos d’hospitaliser leurs résidents quel que soit le problème qu’ils avaient ! source].

Mortalité toutes causes

https://konfedera.org/gestion-epidemies#mortalite-toutes-causes

L’évolution de la mortalité toutes causes montre une régularité cyclique, sous la forme d’une sinusoïdale calquée sur les saisons annuelles. Cette dynamique est due principalement aux variations des propriétés physico-chimiques de température et d’humidité de l’air, qui influencent le métabolisme des organismes vivants ainsi que la propagation des virus et bactéries.

Ainsi dans le graphique suivant la courbe hachurée inférieure montre que la mortalité globale est relativement constante d’une année à l’autre, avec le sommet en début d’année et le creux en milieu d’année. NB : ce ne sont pas les hauteurs maximales de la courbe qui sont déterminantes mais la surface en-dessous, sur des périodes identiques (mortalité « intégrale »). Si l’on prend chaque fois la période commençant vers octobre de l’année précédente on voit que la surface de 2020 est légèrement supérieure à celle de 2018 ou de 2017.

La tendance sur les pics des années 2017 à 2019, étant baissière, suggère que la mortalité en 2020 aurait été inférieure à celle de 2019 s’il n’y avait eu la panique et le confinement général. Cependant on ne peut ici inférer le futur à partir du passé.

Mortalité toutes causes en Europe (janvier 2016 à 29 juin 2020)mortalite-toutes-causes-europe.png

Source

Quelle est la cause de ce pic très élevé et très fin de 2020, jamais observé lors des précédentes épidémies ? Et pourquoi est-il observé même chez les adultes de moins de 65 ans ?

Pour tenter de répondre à cette question constatons un premier fait atypique : ce pic n’est observé que dans environ 50% des pays européens ! Deuxièmement il apparaît en même temps (troisième semaine de mars 2020) et juste après la mise en confinement et la recommandation faite par l’OMS de préparer les hôpitaux à des afflux massifs de patients nécessitant une aide respiratoire. Cela suggère donc que c’est le mode de gestion épidémique qui a provoqué le pic, et non pas le virus ! Des faits documentés confirment cette thèse :

  • en Belgique, où plus de la moitié des décès ont eu lieu en dehors du milieu hospitalier, en l’occurrence essentiellement dans les maisons de repos [source p.10], celles-ci avaient reçu instruction du gouvernement de ne plus hospitaliser leurs résidents quel que soit le problème qu’ils avaient ! [source];
  • plus de 50% de la mortalité covid-19 serait causée par les intubations abusives : « Mortality rates for those who received mechanical ventilation in the 18-to-65 and older-than-65 age groups were 76.4% and 97.2%, respectively. Mortality rates for those in the 18-to-65 and older-than-65 age groups who did not receive mechanical ventilation were 1.98% and 26.6%, respectively » [source].

Étudions maintenant le rapport entre mortalité covid-19 et mortalité toutes causes.

Polypathologies

Abstraction faite des décès causés par la mauvaise gestion épidémique, la plupart des décès des personnes positives à covid-19 sont en réalité causés par des pathologies chroniques (hypertension, diabète, maladies cardiovasculaire, cancers, etc). À nouveau la mortalité est abusivement attribuée au virus alors qu’elle résulte ici de la combinaison de ces affections.

Le tableau suivant montre les dix premières causes de mortalité dans le monde. On constate que la plupart sont très impliquées dans la mortalité attribuée, à tort ou à raison, à covid-19.mortalite-mondiale-causes.png

Source : OMS.

La létalité de covid-19 est très faible pour des personnes saines : le cas du navire de croisière US Diamond Princess suggère ainsi un taux de létalité (morts/infectés) de seulement 1% pour les personnes âgées en bonne santé [source].

Didier Raoult – premier expert mondial en maladies transmissibles selon le classement expertscape – rappelle qu’il y a une surmortalité saisonnière, que l’on a attribuée à la grippe pendant très longtemps, et qui en réalité représente probablement toutes sortes de mortalités associées à des infections virales y compris leur conséquences [source]. Ainsi près de 30% des cas suspects de covid-19 seraient en réalité des grippes … [source].

Regroupement
statistique

Par conséquent, si tous ces décès sont classés comme comme « décès par covid-19 » – donc y compris ceux qui sont en réalité des « décès avec covid-19 » – il en résulte que le taux de mortalité de covid-19 surestime la réalité, et sera donc revu à la baisse dans les mois à venir. Il est donc possible que les statistiques de mortalité globale de 2020 seront caractérisées par un nombre anormalement bas de décès causés par le diabète, les crises cardiaques, les cancers, etc, qui auront été classés comme « décès par coronavirus » plutôt que « décès avec coronavirus ».

Méthodes
de calcul

La source du graphique de mortalité toutes-causes en Europe supra est euromomo.eu, une agence nationale danoise, qui centralise les données en provennce d’agences nationales d’autres pays européens [liste des partenaires]. Cependant la comparaison des graphiques pour la France montre que la « méthode de calcul » utilisée peut donner une image très différente, du moins pour l’année 2020 … (NB : il faut comparer la surface en-dessous de la courbe sur des périodes de mêmes longueur et dates : notion de mortalité intégrale).

Mortalité toutes causes en France (janvier 2016 à juin 2020) selon la sourcemortalite-toutes-causes-france-comparaison.png

Sources : euromomo.eu – insee.fr

Il faut alors se poser des questions sur la validité du graphique supra concernant la mortalité toute cause sur l’ensemble de l’Europe : comment se fait-il que le maximum relatif de 2020 pour l’Europe montre un maximum relatif si proche de celui de la France (pays avec une des plus fortes mortalités en 2020) alors que – comme nous allons le voir dans la section suivante – la moitié des pays européens n’ont pas de surplus de mortalité en 2020 … ?

Différences entre pays

https://konfedera.org/gestion-epidemies#mortalite-differences-entre-pays

Faits

Il est extrêmement étonnant de constater qu’aucun pic notable de mortalité n’a été constaté durant la « pandémie de covid-19 dans près de la moitié des pays européens, alors qu’au même moment on observait un pic historique dans les autres pays … [source] :

  • pas de pic notable : Allemagne, Autriche, Danemark, Finlande, Grèce, Hongrie, Norvège, Portugal;
  • pic historique : Angleterre, Belgique, Espagne, France, Hollande, Italie, Suède, Suisse.

Ce fait suggère que la cause de cette dichotomie ne serait pas naturelle mais liée à la gestion de l’épidémie.

Causes

Les maladies transmissibles constituent un phénomène d’écosystème, c-à-d extrêmement complexe (grands nombre de facteurs, relations non linéaires, effets de rétroaction, etc) qui peuvent expliquer que dans deux pays voisins une même pandémie pourra avoir des effets très différents. Parmi ces facteurs de différenciation il y a probablement :

  1. la capacité hospitalière, l’intuition suggérant une corrélation négative avec le taux de mortalité;
  2. la densité de population, l’intuition suggérant une corrélation positive avec le taux de mortalité;
  3. les pratiques culturelles;
  4. les particularités régionales aléatoires, comme par exemple les nombreuses affections respiratoires chroniques en Chine en raison de la pollution atmosphérique, ou encore en Iran suite aux intoxications chimiques durant la guerre contre l’Irak;
  5. le type de stratégie anti-épidémique appliquée et son intensité; …

Par conséquent lorsque l’on étudie les causes de différences d’incidence d’une même pandémie entre pays, il faut pouvoir déterminer la part de chacun des ces facteurs. Dans les cinq ci-dessus la dernière a une particularité importante qui la distingue des autres : elle peut être changée du jour au lendemain.

Capacité
et densité

Sur base des statistiques de mortalité covid-19 actuelles l’analyse statistique ne révèle pas de corrélation significative, ni avec le taux de lits de soins intensifs, ni avec la densité de la population [source]. Ces résultats contre-intuitifs sont-ils observés chaque année (une possible explication étant la nature multifactorielle des maladies transmissibles) ou bien sont-ils une exception ?

Pratiques
culturelles

Une différence dans la consommation d’un aliment particulier peut avoir pour effet que telle substance se retrouvant dans les organismes en quantités moyennes très différentes entre deux pays pourra avoir pour effet des sensibilités différentes par rapport à un virus ou une bactérie. D’autres habitudes culturelles comme le fait de cracher par terre peuvent se traduire par une propagation plus rapide d’un agent pathogène. Et l’on peut probablement trouver d’autres exemples presque à l’infini …

Stratégie
nationale

Notre analyse statistique (dont la taille de l’échantillon doit être élargie) suggère une certaine corrélation positive entre taux de mortalité et stratégie SNP (mesurées en degrés de confinement) : les pays ayant appliqué une stratégie de confinement fort (degré 3/3) – c-à-d le confinement général – ont généralement un taux de mortalité supérieur à celui observé dans les pays ayant appliqué un confinement faible (degré 1/3) – c-à-d le confinement ciblé sur les seuls groupes à risque.

Mortalité vs stratégie SNP (confinement)mortalite-SNP.png

Source

Les données du graphique proviennent du tableau ci-dessous : les carrés représentent les pays de la colonne A, les valeurs d’abscisse correspondent à la colonne B, et les valeurs d’ordonnée à la colonne E.

Mortalité vs stratégiesmortalite-vs-strategie-tableau.png

SNP : stratégie non pharmaceutique (confinement)
1 : confin. faible – 2 : confin. moyen – 3 : confin. fort
SNP : stratégie pharmaceutique (dépistage & traiter)
Source

Le cas de la Suède est très intéressant : bien que faisant partie du groupe 2 (SNP), son taux de mortalité est relativement élevé, ce qui pourrait s’expliquer par le fait que le taux de dépistage (stratégie SP) dans ce pays est très bas. La Belgique est un autre cas intéressant : ce pays, dont le taux de mortalité attribué à covid-19 est le plus élevé, est passé de SP(1) à SP(2) durant le mois d’avril.tests.png

Source

Cependant on ne distingue pas de corrélation notable entre taux de mortalité et stratégie SP (dont l’intensité est mesurée en nombre de tests par 1000 hab.). Cela avoir deux causes possibles : (i) le nombre encore limité de pays repris dans le tableau (nous allons l’augmenter) ; (ii) le nombre de test est un moins bon indicateur de la stratégie SP que le degré de liberté des médecins d’appliquer des traitements non spécifiques.

Mortalité vs stratégie SP (dépister & traiter)mortalite-SP.png

Source

Pour illustrer la thèse d’une corrélation positive de la stratégie SNP, et négative de la stratégie SP relativement au taux de mortalité, nous utilisons l’indice combiné niveau de confinement – niveau de nombre de tests (⇒ échelle de 1-3=-2 à 3-1=2). Nous trouvons effectivement une corrélation positive, mais faible (< 0,5).

Ainsi, confrontés à un virus nouveau les pays dont la législation médicale est très restrictive en matière d’autorisation de médicaments (interdiction d’utiliser des médicaments non spécifiques même pour traiter un virus nouveau) auront par conséquent un faible niveau de SP (et donc une valeur relative élevée pour le paramètre λ du modèle SIR). Le gouvernement peut alors être tenté de compenser par un fort niveau de SNP, ce qui a théoriquement pour effet d’abaisser la valeur du paramètre β, mais selon nous d’augmenter la mortalité en raison d’une part de l’inefficience pratique du confinement général (cf. supra #efficacite-strategie-non-pharma), et d’autre part de ses effets pervers (cf. supra #effets-pervers-strategie-non-pharma).

Mortalité vs stratégie SNP(+) + SP(-) (dépister & traiter)mortalite-SNP+SP.png

Source

Covid-19 : Les mensonges de l’OMS (Prof. Denis Rancourt) (38 min. – 2020)

Nous sommes arrivés ici à la fin de l’analyse statistique du phénomène covid-19, qui confirme la thèse selon laquelle c’est la panique et le confinement général, et non le virus, qui constitueraient la cause essentielle de surmortalité (modérée) de covid-19 dans certains pays. L’analyse statistique permet de mesurer rationnellement un phénomène et d’ainsi corriger nos perceptions, qui sont très influencées par les médias de masse. Ce qui nous conduit à la section suivante …

Agents du délire collectifs

https://konfedera.org/gestion-epidemies#agents-delire-covid19

Nous allons ici montrer que le délire collectif autour de covid-19 fut une parfaite illustration :

  • de ce que les phénomènes sociaux sont généralement multifactoriels ;
  • d’un effet « boule de neige », c-à-d cumulatif, par lequel les facteurs originels en induisent d’autres, qui renforcent les premiers par boucle de rétroaction.

Nous allons analyser les agents de ces phénomènes en distinguant agents sources (la vague) et agents induits (les surfeurs, qui ont pour effet d’amplifier la vague) :

  1. agents sources :

    • entreprises « d’information »;
    • atlantisme anti-chinois;

  2. « surfeurs » :

    • scientifiques de plateaux TV;
    • personnel médical;
    • gouvernements.

Entreprises « d’information »

https://konfedera.org/gestion-epidemies#catastrophisme-mediatique

La concurrence que représentent les médias sociaux pour les entreprises « d’information » incite ces entreprises à toujours plus de catastrophisme (« biased news ») afin de doper l’audimat et partant les revenus publicitaires. Ainsi dans le cas de l’épidémie covid-19 ces médias « professionnels » ont annihilé chez les infos-dépendants toute capacité d’analyse des faits statistiques, en les matraquant de messages catastrophistes focalisant sur des cas particuliers (exemple) mais en passant sous silence le fait que chaque année on observe de tels cas dits « atypiques » rien qu’avec la grippe saisonnière.

Les médias ont également dénigré des informations contrecarrant le très rémunérateur catastrophisme (audimat = revenus publicitaires). Ainsi le journal Le Monde a accusé Didier Raoult – premier expert mondial en matière de maladies transmissibles – d’avoir propagé des « fake news » dans sa vidéo annonçant la disponibilité d’un traitement de l’infection à covid-19 [source] !

covid-19 : hyper-hystérisation (8m03s – 2020)

Voici le témoignage surjoué de Christine Borowiak, une journaliste de la RTBF (télévision publique belge) qui s’est rendue à l’hôpital pour des symptômes grippaux. Seule différence, le nom de cette maladie est covid-19.

Atlantisme anti-chinois

https://konfedera.org/gestion-epidemies#atlantisme-anti-chinois

Une autre force de fond, et tout aussi manifeste, fut le biais anti-chinois des entreprises « d’information » occidentales (pudiquement dénommée « presse »). Les parts de marchés gagnées par la Chine dans le commerce international depuis le début des années 2000 poussent les pays occidentaux à abandonner le principe de libre échange. Ce points sera développé plus loin (#contexte-economique). Nous allons ici nous concentrer sur la réaction du gouvernement chinois face à cette campagne médiatique, alors que la Chine fut la source de l’épidémie de covid-19.

Il suffit de suivre la presse chinoise (peopledaily.com.cnnews.cnscmp.com) pour constater que le gouvernement chinois est extrêmement sensible à son image internationale. Selon notre analyse, s’inspirant de la technique du judo (exploiter l’attaque – ici médiatique – de l’adversaire), le gouvernement chinois a ainsi surfé sur la vague médiatique (voire même l’aurait amplifiée) pour positionner la Chine en champion de la gestion des épidémies, une fois la « bataille » gagnée « avec brio », et d’autant plus facilement que l’épidémie n’avait rien d’exceptionnelle. Ainsi le confinement général de l’agglomération de Wuhan (foyer de l’épidémie) – visuellement très spectaculaire – n’avait aucune nécessité de santé publique, mais fut motivé par des raisons d’image du gouvernement chinois dans l’opinion publique étrangère, et aussi semble-t-il pour des raisons de politique intérieure, liées aux relations entre pouvoir central et régions.

Scientifiques de plateau TV

https://konfedera.org/gestion-epidemies#scientifiques-de-plateaux-TV

Les entreprises « d’information » n’ont aucune peine à attirer sur leur plateau ou dans leurs colonnes des scientifiques considérant être injustement méconnus, et espérant que la fréquentation des plateaux de télévision et les contributions dans les colonnes de la presse écrite, leur permettra – en alimentant le catastrophisme – d’enfin briller sous les spotlights. Il existe d’ailleurs dans le jargon des médias « d’information » professionnels un terme pour dénommer ces experts : des « bons clients » [exemples pour la Belgique].

Spectacle médiatique. Le temps d’antenne et l’espace rédactionnel sont limités par de fortes contraintes liées à l’audimat et aux proportionnels revenus publicitaires. Il en résulte que le discours de ces scientifiques est simplifié à outrance, ce qui facilite son détournement en « biased news » à des fins économiques ou politiques.

Incompétents ou
charlatans ?

À la question « s’agit-il d’incompétence ou de compromission ? » on pourrait être tenté de répondre qu’il s’agit de compromission étant donné le haut niveau de formation de ces scientifiques. Cependant il ne faut pas sous-estimer la possibilité d’une gigantesque incompétence chez certains scientifiques spécialisés dès qu’ils sortent de leur domaine de compétence. Ainsi un sommet d’absurdité fut atteint en Belgique par le très médiatisé Marc Van Ranst, professeur à la Katholieke Universiteit Leuven lorsqu’il s’est exprimé en faveur, si nécessaire, d’un confinement « à la Wuhan » (foyer de l’épidémie en Chine) c-à-d d’un couvre-feux (!) national [source]. Ce faisant le virologue oublie (i) que grâce aux cellules locales du Parti Communiste – dont il n’existe aucune organisation équivalente en Europe – les habitants de toute la province du Hubei étaient dépistés et ravitaillés (nourriture et médicaments) [source], (ii) que cette province était approvisionnée par les provinces chinoises environnantes, ce qui ne pourrait être le cas en Europe, vu l’absence flagrante de solidarité et de coordination au sein de l’UE. C’est donc à un effondrement de la société belge qu’aurait conduit une telle mesure. Comment se fait-il qu’après avoir énoncé de telles inepties ce scientifique ait pu conserver la moindre crédibilité ?

Personnel médical

https://konfedera.org/gestion-epidemies#delire-collectif-soignants »

La politique « libérale » de l’UE a pour effet d’asphyxier les entreprises publiques du service public en réduisant progressivement leur financement public. Il en résulte des conditions de travail de plus en plus difficiles pour le personnel médical ⇒ dégradation de la qualité des services ⇒ les citoyens sont ainsi poussés vers des entreprises privées plus chères [ France : L’hôpital public au bord de la crise de nerfs (avril 2018) ; Belgique : Hôpitaux publics bruxellois: le ras-le-bol des blouses blanches (juin 2019) ]. Dans le contexte catastrophiste de covid-19, certains médecins et infirmières ont pu amplifier l’effet boule de neige en cédant à la panique (crainte de surcharge au pic de l’épidémie) ou en exagérant leur situation pour revendiquer plus de moyens financiers pour les hôpitaux.

covid-19 : hôpitaux débordés … vraiment ? (1m7s – avril 2020)

Gouvernements

https://konfedera.org/gestion-epidemies#delire-collectif-gouvernements »

Une fois mis au pied du mur par l’hystérie médiatique, la plupart des gouvernements s’y soumettent. Peut être certains décideurs politiques (ou leurs « sponsors » …) ont-ils aussi vu dans l’hystérie collective une opportunité pour faire avancer des mesures controversées (protectionnisme, politique anti-immigration, vaccination obligatoire, traçage de nos relations, …) ?

Quoi qu’il en soit la méthode utilisée – consistant à terroriser la population (et de façon très hypocrite, comme le montre l’extrait vidéo ci-dessous) – est inacceptable.

Comment un gouvernement terrorise la population (1m07s – mars 2020)

Chaque jour à 11 heures le gouvernement belge organisait une conférence de presse, présentée par des scientifiques, et consistant essentiellement (i) à mentionner le nombre de nouveaux décès ; et (ii) à répéter inlassablement les mêmes instructions. Or citer chaque jour le nombre de nouveaux décès sans les placer en perspective (notamment par rapport au nombre quotidien de victimes de la grippe saisonnière) n’a aucune valeur informative, et ne peut avoir pour effet que de terroriser la population.

Des pratiques telles que celle illustrée par la vidéo ci-dessus mettent gravement en question la crédibilité des gouvernements et de la communauté scientifique (le monsieur qui parle dans la vidéo ci-dessus est un scientifique qui fut ultra-médiatisé par la presse belge, et d’une façon qui n’est pas sans rappeler la création de « héros nationaux » par les régimes totalitaires : exemple). Leur volonté manifeste d’attiser la peur par des effets de focalisation pose une question légitime : quelles autres pratiques manipulatoires les gouvernements sont-ils prêt à appliquer pour convaincre la population d’accepter, par exemple, le traçage de leurs relations privées ? Ainsi parmi ces autres mesures il y a-t-il la modification de statistiques « pour le bien de la population » ?

  • Un autre exemple flagrant de manipulation sémantique apparaît dans les articles de presse évoquant le traçage « des malades » plutôt que celui « des citoyens » en général [vérifier]. Or par définition le traçage ne se limite pas qu’aux malades car si ceux-ci étaient identifiables en tant que tels le traçage ne serait plus nécessaire.
  • Les manipulations de l’opinion publique par des scientifiques « respectables et bien-pensants » existent dans d’autres domaines que l’épidémiologie, comme en témoigne cet exemple dans le domaine de l’écologie.

Contexte économique

https://konfedera.org/gestion-epidemies#contexte-economique

Diverses forces économiques ou idéologiques ont pu jouer un rôle substantiel dans le phénomène de surmédiatisation catastrophiste de covid-19.

Concurrence chinoise

Depuis 2015 la Chine est la première puissance économique mondiale en terme de PIB mesuré en PPA [source]. Il suffit d’observer les messages anti-chinois propagés par les entreprises « d’information » occidentales pour constater que cette concurrence déplaît fortement aux classes dirigeantes des pays atlantistes. Alors que jusqu’au début des années 2000 le libre-échange international était la pierre angulaire de l’idéologie atlantiste, on assiste à un rétro-pédalage intégral de la part des pays atlantistes depuis que cette logique se retourne contre eux. Pour « justifier » ce retournement de veste, la prégnance du réchauffement climatique et le risque épidémique ont manifestement été amplifiés par les entreprises « d’information » occidentales ainsi que par les dites « organisations non gouvernementales ».

Sur l’exploitation médiatique du réchauffement climatique : allocation-universelle.net/developpement-durable#rechauffement-climatique.

Mondialisation ? La modification actuelle des rapports de forces commerciales ne doit pas être confondue avec la mondialisation des échanges, qui est un phénomène ancien. Le transport maritime intercontinental est florissant depuis plusieurs siècles, et le transport intercontinental par avion existe depuis huit décennies [source]. Par conséquent il est faux d’affirmer qu’il y aurait depuis quelques années une augmentation de la propagation des épidémies en raison de la mondialisation. Les épidémies ne sont ni plus nombreuses ni plus virulentes. Par contre leur suivi statistique et la médiatisation de ce suivi ont augmenté exponentiellement depuis les années 1990 (début d’Internet grand public), avec tous les biais de mesures et d’interprétations qu’illustre le phénomène sociologique covid-19 (cf. supra #suivi-temps-reel).

Big Data & Pharma Inc.

https://konfedera.org/gestion-epidemies#big-pharma-data

En suscitant une paranoïa collective la décision d’imposer le confinement général a fortement stimulé le marché des vaccins ainsi que celui du big data (le traçage des individus est une source de revenus gigantesques pour les entreprises qui collecteront et revendront ces données). Le « LancetGate » illustre parfaitement les dérives auxquelles peut conduire l’appât du gain.

LancetGate

Surgisphère est une société de Big Data dont les données mensongères ont été utilisées pour produire (en mai 2020) deux articles scientifiques discréditant l’hydroxychloroquine comme traitement de covid-19 [article-1article-2]. Parmi les auteurs de ces deux articles figurent Sapan S. Desai, fondateur de Surgisphère, et Mandeep Mehra, qui avait collaboré avec la société pharmaceutique Gilead Science. Mehra a menti en déclarant n’avoir pas de conflits d’intérêts : en avril 2020 il avait participé à une conférence sponsorisée par Gilead et concernant Covid-19 [source]. Des conflits d’intérêt entre Mehra et des entreprises pharmaceutiques, dont Gilead et Bayer, avaient été mentionnés en 2013 [source]. Malgré le caractère évident des fraudes (cf. vidéo ci-dessous) les deux articles de mai 2020 furent publiés dans des revues scientifiques réputées : The Lancet pour le premier article et New England Journal of Medicine pour le second. Ces revues furent contraintes de se rétracter [rétractation-1rétractation-2].

Commentaires de Didier Raoult sur le « LancetGate » (15m26s – 2 juin 2020)

Fin juin 2020 l’Agence européenne des médicaments (EMA) publia un avis recommandant l’autorisation du Remdesivir, un médicament concurrent de la Chloroquine (et beaucoup, beaucoup plus cher) produit par … Gilead [source] ! En avril 2020, la même EMA avait publié un avis défavorable à la Chloroquine [source], alors que sur la seule année 2019 trente six millions de comprimés de ce médicaments avaient été consommés dans le monde, sans ordonnance [source] !

De nombreux chercheurs du secteur médical sont intoxiqués par des sources d’informations « scientifiques » formatées et conditionnées par l’industrie pharmaceutique, et ont en outre des conflits d’intérêt avec elle.

Enfin on notera à quel point la gestion de covid-19 par de nombreux appareils d’État (gouvernement, scientifiques de plateaux TV, presse, …) est cohérente dans la combinaison de ses effets favorables au business pharmaceutique :

  • « nouvelle normalité » de « l’ennemi invisible et omniprésent » (terreur médiatique) ⇒ distanciation et stress ⇒ inhibition permanente du système immunitaire des individus ⇒ élargissement du marché des vaccins, dans le temps et l’espace;
  • dénigrement voir interdiction des médicaments non spécifiques ⇐ qui accepterait de se faire vacciner si un traitement peu coûteux est disponible … ?
Data
business

Le potentiel financier et politique du « Big data » est tel (il concerne la quasi totalité des secteurs économiques) que de très fortes pressions ont pu être exercées sur les décideurs politiques afin que ceux-ci profitent de la vague médiatique catastrophiste de covid-19 pour amener les populations à accepter le traçage de leur vie privée. On notera à cet égard le fait pour le moins surprenant que dans de nombreux pays le « déconfinement » (sic) à été conditionnalisé à l’application du traçage [exemple] !

Il apparaît que la plupart des citoyens ne participent pas spontanément au traçage. Il est donc plus que probable que celui-ci sera imposé aux populations de façon plus insidieuse. Ainsi dès le mois de juin 2020, alors que l’épidémie était déjà quasiment éteinte, l’accès à des services publics (dont des piscines) fut converti – en un temps record – à la réservation préalable par Internet, en sous-traitant la gestion du système à des entreprises privées (par exemple qweekle.com). Pour réserver il faut obligatoirement mentionner un numéro de téléphone en plus de l’adresse email. Quant à ceux qui n’ont pas accès à Internet, tant pis pour eux (mais de toute façon ils n’intéressent pas les entreprises du data business).

Idem pour le traçage (!), avec des sociétés telles que devside.com, en dehors de véritable démocratique et dans le silence assourdissant du pouvoir judiciaire.

Dans tous ces cas, comment les procédures d’appel d’offre ont-elles pu être appliquées correctement dans un délai aussi court … ?

Extrémisme vert

Décroissants. L’extrémisme vert commence-t-il à prendre des proportions inquiétantes, notamment dans le milieu des universités ? Depuis quelques années une dangereuse idéologie, issue notamment de la théorie des jeux, est en train de se développer dans le milieu scientifique, selon laquelle il serait rationnel d’imposer la supposée « vérité scientifique » par la contrainte (psychique ou physique) plutôt que par le seul partage du savoir. Se pourrait-il que des scientifiques enfermés dans leurs convictions se soient convaincus de la nécessité de tromper l’opinion publique au nom de la décroissance ? J’invite le lecteur qui croirait que j’exagère à lire ce cas que j’ai personnellement constaté … et documenté.

PIB jusqu’au premier trimestre 2020pib.png

Source

Problématique politique

https://konfedera.org/gestion-epidemies#problematique-politique

Pour exposer cette problématique il faut considérer deux cas de figures correspondant chacun à l’une des deux stratégies théoriques SNP et SP (cf. supra #SIR-strategies) :

  • SP : le gouvernement reconnaît le fait que les modèles épidémiologiques ne peuvent prévenir l’avenir d’une épidémie ⇒ la capacité hospitalière est régulièrement adaptée à l’évolution observée de la demande de services de soins hospitaliers, en termes qualitatifs (« quels services ») et quantitatifs (« en quelles quantités »)

    • ⇒ selon le budget alloué aux soins de santé et la qualité de leur gestion il y a dans certains pays une surcapacité durant toute l’année, alors que dans les autres pays on observe régulièrement des périodes (généralement assez courtes) durant lesquelles la capacité est dépassée, ce qui se traduit par une surmortalité.

  • SNP : le gouvernement croit dans la capacité (i) des modèles épidémiologiques à anticiper l’évolution d’une épidémie, et (ii) de la stratégie SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) à abaisser et reculer le sommet de l’épidémie ⇒ cette stratégie sera appliquée à chaque fois que l’on découvrira des virus « nouveaux » et aussi longtemps qu’il n’y aura pas de médicament ou vaccin efficace ⇒

    • au niveau santé publique : le gouvernement pourra « justifier » la suppression de la surcapacité hospitalière, ce qui se traduira par de très fréquentes surcharges dès lors que les hypothèses i et ii sont erronées et que les effets pervers du confinement sont avérés ;
    • au niveau politique : régression vers un régime totalitaire;
    • au niveau économique : baisse de la production & consommation.

Éthique et
démocratie

Les forces extrêmement puissantes qui en 2020 ont réussi à imposer la stratégie SNP s’appuyaient sur un argument implicite qu’on pourrait qualifier de « zéro mortalité épidémique » et qui s’oppose au principe (lui aussi implicite) qui était la norme avant 2020, à savoir un « nombre tolérable de victimes« . Celui-ci peut à priori paraître scandaleux ou auto-destructeur, et pourtant nous l’appliquons en n’interdisant pas le transport routier (PS : les accidents de la route constituent une des dix premières causes de mortalité).

D’autre part la stratégie SNP risque fort d’être appliquée en permanence. Il y a en effet une vingtaine de virus associés aux seules infections respiratoires qui circulent dans le monde [source], causant tous des victimes. En outre le nombre des virus par continent augmente en raison de la mondialisation, et le nombre des virus connus augmente avec le progrès scientifique [source]. D’autre part des infections peuvent se transmettre pendant plusieurs dizaines d’années, avant de s’atténuer et de disparaître [source].

Fusion
écologisme
libéralisme

Les écologistes radicaux pourraient voir dans le totalitarisme SNP un moyen d’imposer la décroissance aux populations. D’autre part on pourrait assister en occident à une fusion idéologique entre écologisme et libéralisme atlantistes dès lors que pour celui-ci la décroissance serait le prix à payer pour neutraliser la Chine.

Notons également le rôle joué par l’Union européenne, qui depuis trente ans, lentement mais sûrement, étrangle les services publics et les entreprises publiques du secteur médical, ce qui a pour effet d’en dégrader la qualité des services, et d’ainsi pousser les patients (du moins les plus aisés …) et le personnel médical vers des entreprises privées [approfondir].taux-lits-soins-intensifs.png

Source

Conclusion

https://konfedera.org/gestion-epidemies#conclusion

Hystérie
collective

Malgré que covid-19 fut précédé d’autres pandémies de virus nouveaux (grippes aviaires, H1N1, SARS, MERS, Ebola, chikungunya, Zika, …) dont nous savons que leurs surmédiatisations catastrophistes n’était pas fondées, il semble que nous sommes incapables d’apprendre les leçons du passé, y compris de nombreux scientifiques. Avec covid-19 une barre a été franchie : le confinement général et le port obligatoire du masque sont le signe que les modèles-jouets nous ont fait perdre confiance dans la nature c-à-d dans la vie.

Étant donné que (i) la pandémie de covid-19 n’a, au niveau modial, rien de particulier par rapport aux précédentes pandémies de virus « nouveaux » ; et (ii) que l’on « découvre » régulièrement de « nouveaux » virus (suite au progrès scientifique), il en résulte logiquement que si les populations ne se révoltent pas contre le confinement général, celui-ci deviendra la norme. Or nous avons montré qu’en appliquant le confinement général on ne neutralise pas une pandémie, mais on massacre la démocratie, la santé psychique de la population et le développement économique.

Info &
savoir

Business de « l’info ». Le délire collectif covid-19 qui a submergé la planète illustre la puissance aussi phénoménale que délétère des médias « d’information ». S’agit-il d’une forme de coup d’État version 21° siècle, ou du dernier soubresaut d’un pouvoir médiatique contesté par les réseaux sociaux c-à-d par la démocratie ?

Médias vs réseaux sociaux : qui dit la vérité (1m05s – 2020)

Le conférencier est Didier Raoult, le premier expert mondial dans le domaine des maladies transmissibles.

On notera, dans le chef des journalistes, un comportement d’inversion accusatoire consistant à accuser « les réseaux sociaux » de propager des « fake news ». Or si cela est certes exact il reste à démontrer que globalement ces réseaux nuiraient à la qualité de l’information. Or de récentes recherches scientifiques sur l’intelligence collective suggèrent plutôt le contraire [approfondir].

Opportunisme médical. On notera également le rôle néfaste joué par une partie du personnel médical qui, cédant à la panique (crainte de surcharge au pic de l’épidémie) et/ou pour revendiquer plus de moyens financiers pour les hôpitaux, a exagéré la gravité de la situation : #delire-collectif-soignants.

Modèles épidémiologiques. Nous avons d’autre part démontré la réalité du charlatanisme de l’épidémiologie mathématique et l’ampleur des force « tectoniques » qui sont en train de nous mener vers le totalitarisme, par le biais d’une déconnexion totale du business de « l’info » et du « savoir » par rapport à la réalité.

Totalitarisme
sanitaire

Le délire médiatique autour de COVID-19 nous rappelle qu’aucun citoyen ne devrait renoncer à sa capacité de jugement (le bon sens populaire), quel que soit le domaine. Il ne faut pas abandonner le pouvoir aux scientifiques de plateau TV. La science doit convaincre et non pas contraindre.

La contrainte – fondée ici sur le chantage au supposé risque porté à autrui (« tu obéis et tu te tais sinon je t’accuse d’être un meurtrier potentiel ») – est très probablement le résultat de la corruption de décideurs politiques par le « lobbying » du business pharmaceutique (vaccins obligatoires) et du « big data » (traçage), comme montré et documenté dans la section #big-pharma-data;

Démocratie
directe

Les faits exposés dans cet article confirment la nécessité d’une prise de contrôle démocratique des moyens de production de l’information et du savoir. Cette évolution devrait selon nous se réaliser en parallèle avec la création d’une Confédération mondiale de démocraties directes souveraines. Nous avons montré dans d’autres publications que ces démocratie du 21° siècle ne pourront exister qu’en faisant du statut de grande entreprise (dont les banques et les entreprises « d’information ») un monopole public, et en gérant ces entreprises publiques sous statut de coopératives publiques.

Toute démarché collective étant la somme d’actions individuelles il importe que chacun prenne conscience de la nuisibilité de l’info-dépendance et de la nécessité absolue de détruire la TV et de résilier son abonnement.(34)Sélectionner une langue​▼

Infos


Une publication de François Jortay




COVID-19, l’ami des dominants

[Source : L’ardeur]

de Anthony Pouliquen

COVID-19, l’ami des dominants : un texte écrit par l’équipe de L’ardeur, association d’éducation populaire politique


Pour ce gouvernement anti-populaire, engagé dans une politique de destruction de la protection sociale et de répression policière des colères, des mobilisations et des insurrections qui en découlent, le COVID-19 permet de réaliser plusieurs tests en grandeur nature :

  • Test de contrôle de la population (répression, prison, hélicoptères, drones, communications).
  • Test d’obéissance de la police dans ce contrôle des populations.
  • Test de privatisation-dislocation de l’éducation nationale transférée en e-learning.
  • Test d’avancement de la vidéo-médecine à distance.
  • Test de soumission des médias, de la population et des gauches (union nationale oblige).
  • Test de démolition avancée du droit du travail.

1 – Le contexte

Depuis les années 1980, l’effacement de l’hypothèse communiste (1) laisse le capitalisme en roue libre et l’humanité livrée aux inégalités monstrueuses qui l’accompagnent. Or les profits ne se réalisent plus sur la fabrication et la vente de marchandises qui sont en surproduction (les voitures de 2018 ne sont toujours pas écoulées) mais sur la financiarisation-casino de l’économie et les réductions de dépenses publiques dans le cadre de politiques d’austérité. Si le capitalisme européen s’est assuré tout un temps de l’ordre social en échange de politiques de protection sociale, il s’aligne (dès 1983 en France) sur le capitalisme américain et s’engage dans la voie d’une privatisation-marchandisation de la société et d’une destruction des services publics. Ces dernières se réalisent dès Maastricht, puis dans l’imposition de la « Constitution » de l’Union Européenne et de sa monnaie unique interdisant aux États d’agir sur la protection sociale par des dépenses publiques, lesquelles sont désormais soumises à l’impératif de non-inflation, d’interdiction des augmentations de salaires pour maintenir le taux de profit des dominants, propriétaires d’entreprises ou traders. Mais réduire la protection sociale, réduire et supprimer les allocations chômage, démanteler les soins de santé, démolir la recherche, supprimer des postes à l’éducation nationale, vendre les barrages et les aéroports, baisser puis écraser les retraites… tout cela génère des mouvements de population insurrectionnels et incontrôlables (les gilets jaunes en sont un exemple) qui supposent que l’État se prépare à la guerre sociale en armant son dispositif policier vers le contrôle des mouvements insurrectionnels. Après les LBD, voici les drones et le suivi des smartphones. Dans son dernier ouvrage « La lutte des classes au 21e siècle » (2), Emmanuel Todd évoque la dérive fascistoïde du gouvernement Macron. Nous y sommes !

L’union nationale : vous avez aimé « Je suis Charlie » ? Vous allez adorer COVID-19 !

« Nous sommes en guerre », a déclamé sept fois Macron. Invisible, diffus, insaisissable l’ennemi combattu ? Qu’importe ! Car désigner un ennemi, a fortiori invisible, c’est faire taire tous les désaccords, au nom de l’union sacrée ! Si l’éducation populaire consiste à comprendre les systèmes à l’œuvre dans un événement, et à déjouer les effets de propagande en traquant les biais de pensée, il convient de s’alerter collectivement sur cet appel à l’union nationale : « Plus de place pour la division », ressassent les chroniqueurs. Mais rien n’est plus étranger à l’éducation populaire qu’une union sacrée renonçant à toute critique derrière un chef autoritaire ! Refuser cette injonction au consensus et à l’enrouement du débat rend alors nécessaire d’apporter notre voix à l’analyse de la situation…

La seule guerre à laquelle nous assistons est celle que le capitalisme mène sur nos existences. Dans cette crise sanitaire, que peut-on attendre d’un pouvoir qui a si férocement et si continûment attaqué la protection sociale de sa population, démoli l’hôpital, les retraites, le chômage, la formation continue, qui a rivalisé de suppressions de fonctionnaires avec les autres candidats à la présidentielle (moi 200 000 ! Non… moi 500 000 ! ) ? Rien !

Macron n’existe pas. La démolition de l’hôpital public a commencé avec Mitterrand et Bérégovoy dès le départ des ministres communistes en 1983, et s’est poursuivie avec les autres présidents. Macron lui-même n’a été fabriqué que pour prendre la suite des serviteurs du capital qui l’ont précédé à ce poste, et choisi pour sa capacité de nuisance… Car, privé de toute marge de manœuvre économique ou monétaire dans le cadre de l’UE, il n’a aucun autre pouvoir que celui de nous nuire. En s’affichant sans honte dans un hôpital saturé pour combattre les effets d’une situation dont il a fabriqué les causes, lui qui a supprimé plus de 4 000 lits d’hôpitaux sur la seule année 2018 et a charcuté plusieurs centaines de millions d’euros de moyens alloués aux personnels médicaux… Macron ne saurait nous rendre dupes : il n’est pas, et ne sera jamais, notre sauveur. Fidèle à son programme électoral exigé par le Medef, il se saisira de cette crise sanitaire pour renforcer la dévastatrice emprise du capitalisme sur nos existences. À l’heure où beaucoup se remettent à lire La stratégie du choc de Naomi Klein (3) et font l’expérience en grandeur nature d’un capitalisme qui déploie sa nuisance par crises successives, on peut s’attendre – « crise » et « union nationale » obligent – à une démolition accélérée du droit du travail, à une politique accrue d’austérité et de réduction des dépenses publiques.

Interrogé sur France Inter sur le fait de savoir si cette épidémie le ferait revenir sur sa proposition de 500 000 suppressions de postes de fonctionnaires, Bruno Retailleau (qui bien que dans l’opposition parlementaire n’a d’opposition à la politique du gouvernement que l’apparence) affirme sans sourciller qu’il ne sera pas question de ralentir les réformes ! Ces gens-là ne tireront aucune leçon. Au contraire. Cette crise sera pour eux l’opportunité d’une accélération des destructions, notamment celle des services publics. Noam Chomsky nous a prévenu·e·s : « Comment détruire un service public ? Commencez par baisser son financement. Il ne fonctionnera plus. Les gens s’énerveront, ils voudront autre chose. C’est la technique de base pour privatiser un service public »… et seule une insurrection ou une grève générale les arrêtera.

Car avec le COVID-19, c’est la guerre des classes qui va se durcir par un enchaînement trop prévisible pour ne pas être annoncé : crise sanitaire, crise économique, crise financière et, en bout de course, crise sociale ! Quand le COVID-19 aura mis sur le carreau un ou deux millions de chômeur·se·s supplémentaires, on pourra compter sur ce gouvernement, qui a déjà fait la démonstration de son amour de la protection sociale, pour nous concocter quelques exonérations de cotisations, dégrèvements, allègements fiscaux supplémentaires pour les patrons, bonus records pour les traders les plus malins, dont le job n’est pas de financer l’économie mais de jouer à la baisse ou à la hausse les fluctuations de l’économie… Pour eux, cette crise est un cadeau, qui comme, toutes les crises financières avant elle, ne sera rien d’autre qu’une banale crise cyclique de la surproduction qui permet au capital de se concentrer encore un peu plus en liquidant les maillons faibles des petites entreprises et en écrabouillant les travailleurs sous l’œil docile des lanceurs de LBD et des médias. Le capitalisme est le seul mode de production dans lequel les crises prennent la forme d’une surproduction (https://wikirouge.net/Crise_de_surproduction).

2 – Le test sécuritaire

16 mars (jour de l’annonce du confinement) : dans le département des Côtes d’Armor, 1 cas détecté (sur une population de 600 000 habitants). Le préfet fait survoler les plages par des hélicoptères de la gendarmerie.

Si des mesures de prudence et confinement dans le cas d’une épidémie sont un choix compréhensible, encore peut-on s’interroger sur les différentes modalités possibles d’un tel confinement : total ou régional, par tranche d’âge, avec ou sans possibilité de s’aérer, etc. À l’exception d’un accident nucléaire majeur, ou d’un virus que l’on contracterait par simple respiration dans l’air, aucune crise sanitaire ne peut justifier l’interdiction de promenades solitaires en forêt, sur des plages, dans les rues… Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on désigne les citoyen·ne·s comme des coupables en puissance (lorsqu’Édouard Philippe annonce que le gouvernement prend des mesures de confinement drastiques car les citoyens ne sont pas suffisamment dociles, il transforme tout un chacun en délinquant). Aucune crise sanitaire ne peut justifier une politique hyper répressive incluant le survol d’une plage par des hélicoptères, l’interdiction de sortir plus de 20 minutes de chez soi, de s’éloigner de plus de 1km. Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on ferme les parcs et les jardins publics. Aucune crise sanitaire ne peut justifier que l’on punisse des citoyen·ne·s d’amendes lourdes (jusqu’à 3 500 €) et de prison (six mois) en cas de promenades solitaires. N’importe quel gouvernement soucieux du bien-être de la protection de sa population en cas de crise sanitaire devrait au contraire prendre acte des difficultés personnelles, familiales, psychologiques, sociales considérables qu’entraîne un confinement, et le rendre supportable en invitant largement la population à s’aérer et à sortir se promener, à condition de respecter les mêmes règles de gestes barrières qui sont demandées pour le travail qui, lui, non seulement n’est pas solitaire, non seulement est autorisé, mais est rendu obligatoire sur rappel du Medef.

Au risque du sentiment d’une humiliation collective, aucune population ne peut comprendre qu’elle soit obligée d’utiliser les transports en commun pour aller travailler, à condition de respecter une distance d’un mètre, mais qu’elle risque la prison si elle va se promener sur une plage, en ne nuisant à personne, en ne mettant personne en danger dans la mesure où elle respecte les mêmes règles que celles imposées dans l’utilisation des transports en commun.

Avec Emmanuel Todd, nous rappelons que « faute d’avoir prise sur l’Histoire, les gouvernants français sont passés « en mode aztèque ». Ils se vengent de leur impuissance au niveau international en martyrisant leurs concitoyens… ». Et ils peuvent compter pour cela sur le zèle d’une police inféodée qui s’empressera de matraquer les promeneurs isolés à coups d’amendes à 135 euros pour leur apprendre à obéir. Nous savons depuis un an de gilets jaunes que nous ne pouvons plus attendre aucune protection de la police. Que, comme dans toutes les périodes de crise, comme en 1940, elle choisit de servir le gouvernement, et non plus le droit. Et cela risque bien de se renforcer… Comme l’écrit Raphaël Kempf, avocat pénaliste, « il faut dénoncer l’état d’urgence sanitaire pour ce qu’il est : une loi scélérate » ! Adopté à marche forcée pour une période soi-disant circonscrite, cet état d’urgence vise des objectifs à plus long terme : celui de violer les libertés élémentaires de tou·te·s, celui de donner à la police des pouvoirs illimités, celui de venir enterrer définitivement l’État de droit.

La constitution de la 5e République avait bricolé un régime présidentiel sur mesure pour un général dans une situation de guerre en Algérie. Elle transformait le Parlement en une chambre d’enregistrement, à l’image des 308 pantins recrutés à la hâte sur entretien au printemps 2017 pour servir de paillasson au Medef. Entre les mains des Hollande, Sarkozy, Chirac ou Macron, cette 5e République est entre les mains de voyous caractériels et doit être abandonnée. Macron n’hésitera pas à se réfugier derrière le COVID-19 pour utiliser les pleins pouvoirs de l’article 16 et faire interdire la presse, les réseaux sociaux, et ce qu’il appelle déjà les fake news et les incitations à la haine. Sa position est une position de haine de classe, et son gouvernement suinte la haine de classe. L’intérêt des ateliers constituants qui se multiplient partout en France est de nous préparer à écrire nous-mêmes la constitution dont nous aurons besoin quand nous aurons chassé ce pouvoir.

Cette guerre de classes, cette guerre au peuple, cette guerre aux pauvres, est lisible au niveau spatial, géographique. Dès les premiers jours, les médias ont évoqué le manque de « civisme » des habitant·e·s des quartiers populaires, épinglé.e.s pour leur inconscience face à la propagation et leur refus des contrôles : ainsi, le 19 mars, BFMTV dénonce des « violences urbaines malgré le confinement », des « rébellions et crachats sur des policiers » et même « des regroupements sur les toits d’immeuble » pour y faire des barbecues (jusqu’à quelle extrémité peuvent aller ces petits voyous de banlieue !). Depuis, des témoignages attestent d’interpellations policières violentes dans ces mêmes quartiers. Comme celle de Sofiane, 21 ans, habitant des Ulis (Essonne), qui, le 24 mars, a eu le grand tort de vouloir sortir de chez lui pour aller travailler (il est livreur pour Amazon !) : il a été rossé par les agents de la BAC pour avoir essayé d’échapper à leur contrôle (il n’avait pas son attestation de déplacement dérogatoire sur lui). Imagine-t-on les mêmes scènes à Neuilly ou à Passy ? Et, comme ce fut le cas pour les gilets jaunes, ces violences policières sont encore largement sous-médiatisées.

3 – Des médias au garde-à-vous

En dehors des aspects proprement médicaux de la situation sur lesquels nous ne sommes pas compétent·e·s (nous ne sommes pas microbiologistes et il y a déjà suffisamment de vidéos sur le coronavirus, d’interviews et d’exposés de tous bords, de tous scientifiques pour ne pas inonder davantage le débat), il nous revient en revanche d’interroger les aspects politiques et en soumettre les contradictions à notre intelligence collective. Compter sur nous-mêmes en somme et sur notre intelligence critique que nous nie l’intégralité (ou presque) des médias, docilement regroupés autour du pouvoir exécutif.

Le nombre de morts égrené chaque jour dans nos médias est profondément anxiogène. Le traitement médiatique de la situation nous rend inévitablement vulnérables et les conséquences sur nos citoyennetés sont dramatiques. On ne compte plus les exemples de personnes se faisant apostropher pour être sorties acheter du pain (franchement, a-t-on vraiment besoin de pain frais quotidien en cette période de catastrophe mondiale ?) ou pour avoir rendu visite à un proche. Tout le monde est en train de devenir le flic des autres. L’ambiance est à la dénonciation et aux milices de volontaires qui vont bientôt patrouiller dans les rues. Surtout si ces chiffres ne sont pas expliqués et qu’ils n’ont pour seule fonction que de créer un traumatisme sur fond de méfiance circulaire et nourrie de tous bords.

Expliquer les chiffres, cela voudrait dire les contextualiser, les mettre en perspectives (historiques notamment), les comparer à d’autres… Un exemple : sans vouloir minimiser l’épidémie, il est intéressant de savoir que le nombre de morts faits par le COVID-19 en quatre mois (environ 30 000) est à peu près identique au nombre de personnes qui meurent de faim chaque jour. Ou que le paludisme cause encore plus de 450 000 décès chaque année. Sans qu’on ne s’alarme, dans ces deux cas, des mesures à mettre en place pour éviter pareilles hécatombes. Et que dire de cette information en boucle sur les Ehpad qui se confinent avec le personnel ? Il y a en France 610 000 décès chaque année (une personne toute les 50 secondes) dont 25 % en Ehpad. Les décès au sein des Ehpad représentent donc plus de 150 000 morts par an. Nous parler des décès en Ehpad, c’est nous les présenter comme un problème injuste et terrifiant. On se demande alors ce qu’est la représentation d’un Ehpad pour un chroniqueur de TF1 : une colonie de vacances ? Une thalassothérapie ? Ou un de ces mouroirs sans personnel vendu au privé, qu’on intègre de façon définitive mais dans lequel on vous garantit un placement à 11 % si vous achetez une chambre pour la louer aux résidents ? Pour rappel (car c’est aussi cela mettre les chiffres en perspectives), la moyenne d’âge des morts du coronavirus en France est de 81,2 ans ! Et si la mort du musicien Manu Dibango a suscité beaucoup d’émoi, précisons tout de même qu’il avait… 86 ans.

La télé gouvernementale nous montre en boucle l’hôpital de Mulhouse saturé, l’armée qui évacue des malades en avion vers Toulon. Les tentes de médecine de guerre… terrible ! Mais elle se garde bien de questionner les odieux petits soldats des ARS (Agences régionales de santé) qui ont vidé l’hôpital de tous ses moyens, de tous ses personnels, qui ont mis cent directeurs en démission administrative il y a deux mois, et qui font fonctionner le matériel hospitalier en flux tendus .. Traduirons-nous un jour les ARS devant les tribunaux pour mise en danger délibérée à grande échelle de la vie d’autrui ?

Et c’est probablement à la lecture des médias de gauche ou d’extrême gauche qu’on mesure la puissance de cette manipulation à grande échelle. C’est cela une union nationale : faire taire notre capacité critique, adhérer à l’autorité du pouvoir. La chaîne Youtube « Osons causer » qui, jusqu’à peu décryptait les différentes faces des politiques macronistes, est désormais réduite à répercuter les ordres gouvernementaux : « Restez chez vous ! ». Si nous voulons prendre des leçons de civisme, nous n’avons pas besoin d’ « Osons causer », nous avons déjà TF1 pour traiter quelques doux promeneurs de « délinquants des parcs ». Le philosophe Vladimir Jankelevitch écrivait : « Je serai toujours le gardien de tes droits et jamais le flic de tes devoirs ». Si « Osons causer » renonce à sa mission d’éducation populaire, la preuve est apportée que le test en grandeur nature de soumission des médias (y compris ceux censés critiquer l’ordre de la domination) fonctionne !

S’il est si dur pour des médias, quels qu’ils soient, d’échapper à ces logiques manipulatrices, s’ils épousent si facilement la logique du pouvoir, c’est que les conditions de fabrication de l’information les ont déjà rendus structurellement perméables à cette logique.

Et déjà, la place prise par les chaînes d’info en continu, avec sa conséquence : la course à l’information en « temps réel ». Temps réel ? Allons bon… Cela supposerait qu’existe un temps « irréel » ? Ne serait-ce pas justement ce temps qu’on nous vend pour du « réel » qui, en évacuant l’histoire et les processus d’émergence des phénomènes, constitue l’« irréel », un temps qui n’a pas de sens ? Dans ce monde-là, il faut occuper l’antenne et meubler les flux en permanence. Donc trouver du nouveau au fil des jours, au fil des heures… Heureusement, ce qu’il y a de nouveau, presque en permanence, ce sont les chiffres. Alors… bingo sur ces chiffres qui montent, qui viennent s’aligner de manière vertigineuse sur les écrans ! Chaque jour apporte son lot de « nouveau record », de « chiffre jamais atteint »… Puisqu’il s’agit d’une « pandémie » en plein essor, la probabilité que le nombre de nouveaux cas détectés ou de nouveaux décès à l’hôpital en 24 heures soit inférieur à celui de la veille est sans doute inférieure à 1 %, non ? Donc balancer cette info, ce n’est pas vraiment un scoop, on est d’accord ? Il y a d’ailleurs fort à parier que le journaliste qui l’a annoncée en martelant chaque mot sur un ton affolé, quand il rentre chez lui et retrouve son conjoint, il ne lui dit pas : « Tu sais, c’est incroyable : le chiffre a encore progressé ! ». Oui : il est probable que, dans sa vie privée, il reste quelqu’un d’à peu près censé. Mais quand il passe à l’antenne, il devient cet imbécile qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes.

C’est que, sur les ondes, il faut sacrifier aux rites de la dramatisation. Pour « vendre » et faire du « buzz », il faut maintenir le « suspense », « feuilletonner » l’information, avec, si possible, un bon « casting » et de « bons clients ». Autant de termes venus des mondes de la fiction et du commerce et qui se sont progressivement imposés dans les rédactions. C’est ainsi que se construit et se reconstruit le thème de la « vague » épidémique qui va déferler (sans qu’on ne sache jamais pourquoi le « pic » est attendu à tel moment). Avec sa conséquence inéluctable, en gros titre à la « une » de l’Est Républicain du 23 mars : « Vers un inévitable durcissement du confinement » (quatre semaines plus tôt, de nombreux médias titraient sur le « recours inévitable au 49.3 » à propos de la réforme des retraites !). Prophétie auto-réalisatrice dans laquelle les médias oublient – ou feignent d’oublier – le rôle qu’ils jouent eux-mêmes.

Autre facteur structurant : la place prise dans les médias par un ballet d’experts où se succèdent hypothèses hâtives et contradictoires (sur les tests, le port de masques, l’efficacité du traitement par la chloroquine…), sans que les faux pronostics ne soient ensuite rectifiés et sans que l’on précise que « médecin » n’est pas un titre suffisant pour se qualifier d’expert en matière de COVID-19. Mais avec cette certitude auto-proclamée : les fake news, c’est l’affaire des réseaux sociaux ; l’information sérieuse et vérifiée, celle des médias main stream.

4 – La gouvernance « scientifique »

Dans un monde où les demandes de financement de la recherche publique sur les coronavirus sont restées lettre morte, où les multinationales de la pharmacie ont plus de pouvoirs que les États et où le vaccin de ce coronavirus engrangera des milliards de profits, qu’est-ce qu’un expert ? Qui sont les « scientifiques » qui « conseillent » un gouvernement entièrement dévoué aux multinationales ? (voir Monsanto-Macron, et les milliers de cancers liés au Roundup). Y aura-t-il des conflits d’intérêts ? Jupiter met ses pas dans ceux d’un « conseil scientifique », créé le 10 mars et invité à infléchir voire à dicter les décisions. Cette délégation de pouvoir à l’expertise « scientifique » présente de multiples dangers. Elle éteint toute contestation au nom de l’intérêt supérieur : elle gomme ce que nous, gesticulant·e·s et formateur·trice·s, militant·e·s de l’éducation populaire, avons appris et ne cessons de marteler : tout point de vue est nécessairement « situé », on ne parle toujours que de « quelque part », et avec une intention. Mais non : les experts, eux, échappent à cette condition humaine puisqu’ils parlent de nulle part et sans jamais aucune intention autre que de nous transmettre la vérité.

C’est dire à quel point cette délégation va faciliter le passage à une société de contrainte…

5 – Le COVID19, révélateur mais aussi accélérateur des inégalités

Isolement des plus vulnérables, exploitation des plus précaires, contamination des plus exposé.e.s, stigmatisation des classes populaires (car ce peuple que l’on doit confiner, c’est bien celui des classes populaires, celles qui pourraient désobéir, ces classes dangereuses…), entassement des plus pauvres dans des logements insalubres pendant que les bourgeois aisés des arrondissements parisiens fuient leur 200 m2 pour aller (exode sanitaire oblige !) se mettre au vert dans leur maison secondaire ou dans une villa louée pour l’occasion… cette crise sanitaire amplifie le développement des rapports de domination.

Regardons du côté de la condition des femmes. Par leur position dans la société, les femmes représentent indéniablement une classe fragilisée par cette crise sanitaire et le confinement que celle-ci impose. La situation des femmes victimes de violences conjugales est alarmante. Les chiffres actuels montrent une augmentation de 32 % des cas depuis le début du confinement. Des situations où la présence permanente du mari violent rend les demandes d’aide et les moyens de protection extrêmement difficiles. 210 000 femmes sont violentées par leur mari chaque année en France. Le confinement porte donc ce chiffre à (au moins) 300 000. Belle réussite du confinement ! Toujours dans la sphère de l’intime, l’accès à l’avortement est fragilisé, notamment pour les adolescentes qui n’ont plus de prétexte pour sortir de chez elles.

Et puisque, dans cette crise, c’est bien le monde du travail qui impose la marche à suivre, dans la sphère productive, l’exploitation des femmes se poursuit. Il y a les plus précaires, celles qui vivent sous le seuil de pauvreté, celles qui n’auront pas le choix d’accepter de travailler – quelles que soient les conditions sanitaires – pour pouvoir boucler la fin de mois. Il y a les femmes élevant seules leurs enfants, qui, faute d’école ou de nounou, subiront un chômage partiel qui les mettra à terre. À la fin de la crise, quelle sera la posture des banques envers ces femmes ?

On le sait : parmi le travail dédié aux femmes, celui du soin. Le 12 mars dernier, Macron demandait au personnel hospitalier de « continuer à faire des sacrifices ». La division sexuelle du travail à l’œuvre dans notre société fait reposer ce « sacrifice » sur une large majorité de femmes : 90 % de femmes chez les aides-soignantes, 87 % de femmes chez les infirmières… Les postes prestigieux, eux, sont occupés par des hommes. Avec la pénurie de matériel de protection, entre l’aide-soignante et le chirurgien, qui aura le masque ?

Le sacrifice se joue entre les classes sociales qui se côtoient à l’hôpital. Le sacrifice se joue entre les classes sociales tout court. Les femmes font partie des dominé·e·s, des exploité·e·s du système capitaliste, à qui l’on demande de continuer à faire marcher la machine économique à n’importe quel prix, et qui n’en obtiendront que du mépris (une prime de 1000 € ?) lorsque les puissants n’auront plus peur d’attraper la grippe.

6 – Le COVID19, arme de guerre… contre l’école

La mise en place de l’école à distance est une aubaine pour qui s’acharne à détruire le service public. C’est une véritable expérimentation grandeur nature pour terminer la privatisation de l’école rêvée par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) et mise en œuvre par les ministres successifs depuis Luc Ferry.

Quoi de mieux que d’amener les enseignants à se penser comme des « facilitateurs pédagogiques » pour assurer la « continuité pédagogique » ? Le rêve ultime de l’idéologie libérale : l’enseignant·e est déchargé·e de toutes responsabilités éducatives, de tout désir de penser l’élève comme un être humain complet et complexe. L’enfant n’existe plus. Le sacro-saint programme construit autour des compétences n’a plus qu’à être digitalisé. Les enseignant·e·s deviennent des « intervenants à distance », pratiquant le « e-learning », surfant sur des plate-formes privées dont les contenus deviennent contrôlables et évaluables. Le contrôle : outil indispensable à la légitimité de la domination. Pour preuve ce mail envoyé ce jour, par une enseignante de maternelle, qui demande aux parents d’envoyer une photo de leur enfant en train de travailler : « Nous devons assurer la continuité pédagogique et l’inspection nous demande de vérifier qu’elle est bien mise en œuvre par les parents, sinon cela peut être considéré comme de l’absentéisme ». Pressions, contrôles et menaces… on y retrouve alors tous les ingrédients de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel », adoptée en 2018, qui permet d’imposer une « démarche qualité » à tous les organismes de formation. Calquée sur des procédures de rentabilité industrielle, la démarche qualité a réussi le tour de force de mettre tous les organismes de formation en concurrence, d’imposer un vocabulaire unique (celui de la langue de bois bien sûr), de récupérer tous les contenus pédagogiques, de dématérialiser au maximum en réduisant les liens humains au minimum. Une expérimentation grandeur nature de ce qui est déjà à l’œuvre dans l’éducation nationale !

Alors on peut toujours penser que l’école par internet, c’est juste provisoire, que non cette loi n’est pas une étape intermédiaire pour finir de faire de l’école le réservoir de main d’œuvre du capital au détriment d’un lieu où penser la société de demain… si seulement cette expérimentation n’était pas déjà dans les tuyaux depuis plus de trente ans : baisse du nombre de fonctionnaires, privatisation de l’enseignement supérieur, décentralisation favorisant le lien avec le marché du travail local, emploi de directeurs devenus des managers, suppressions massives des postes éducatifs et de soins dans les établissements (psychologues scolaires, assistants sociaux, éducateurs, infirmiers…), mise en concurrence des établissements par l’attaque du statut d’enseignant (précarisation du métier, CDD, contractuel·le·s) et les enseignements de spécialités avec la loi Blanquer… Les bases sont posées, affirmées, assumées… Comment être naïfs au point de penser que cette période ne sera qu’une parenthèse ?

Et le place des enf… des élèves pardon ! C’est simple : on remplace une heure de cours par une heure de travail personnel… La durée d’attention d’un élève en classe varie de 4 minutes en maternelle à 35 minutes par heure pour un adulte. Transformer alors une heure de cours en une heure de travail personnel, c’est multiplier l’exigence de productivité scolaire par deux au minimum pour les lycéens. De plus, cela ne tient pas compte de chaque élève. Là où l’enseignant·e va évaluer que, sur la classe d’âge concernée, le travail donné est faisable en une heure, la réalité sera que ce travail sera réalisé en 30 minutes par certains et en 1h30 par d’autres. Ajoutons à cela les conditions matérielles de chaque élève : chambre seule ou non, travail sur ordinateur ou sur smartphone, accès à une imprimante scanner ou pas, nombre de personnes dans la maison et en capacité d’aider scolairement ou pas… Sans oublier qu’actuellement, celles et ceux qui sont toujours au travail – et donc pas disponibles pour leurs enfants – sont les salarié·e·s les plus précaires : ouvrier·e·s, caissières, aides à domiciles …On voit bien à nouveau les réalités matérielles niées, on voit bien comment, au profit de la « continuité pédagogique », on enterre les enfants des classes populaires pour pouvoir applaudir les quelques autres à la fin du confinement… Bravo les enfants, vous voyez bien que c’était possible : quand on veut, on peut !

Les ultra-libéraux de l’Union européenne et de l’OCDE l’ont rêvé, le COVID-19 l’a fait : la dématérialisation complète et totale de l’éducation nationale. Les requins de l’ordre capitaliste lorgnent sur ce ce marché éducatif mondial à conquérir (estimé à 20 000 milliards de dollars, dont 7 000 milliards d’euros pour l’Europe). Le fruit est mûr pour privatiser le système éducatif… Il ne restera plus qu’à Hachette édition (propriété du groupe Lagardère) à nous vendre par millions les logiciels que cet enseignement à distance, assuré par des « uber-profs », nécessitera. Et que feront les parents ? Dans le marasme de l’offre proposée, dans ce climat de compétition acharnée, les familles paieront bien sûr, enfin celles qui le pourront ! Pour le plus grand bonheur de la Bourse. L’OCDE l’a dit : les perspectives de profit pour les investisseurs institutionnels sur le marché éducatif mondial sont de 1 à 7 quand elles ne sont que de 1 à 2 sur le marché de la construction automobile.

Et lorsqu’il faudra, une fois la mission éducative de l’éducation nationale piétinée, se charger de transmettre quelques « savoir-être » et « compétences relationnelles » aux enfants et adolescents, le marché du développement personnel viendra nous vendre sa came à grands coups de conférences, de cours de coaching et de slogans plus creux les uns que les autres : « Sois le monde que tu veux voir », « La confiance en soi est le premier secret du succès », etc. Comme l’a si bien montré Eva Illouz dans son livre Happycratie, le développement personnel est non seulement un marché juteux, mais surtout l’ami protecteur des dominants puisqu’il contribue à invisibiliser les rapports sociaux de domination (classe, race, genre) au profit d’un seul discours : « Tu as les ressources en toi pour t’en sortir », et autres outils de culpabilisation individuelle. Théorisée aux Etats-Unis, la « psychologie positive » est la condition de la domination capitaliste dans les entreprises et sur nos vies.

7 – COVID19 et droit du travail

Pendant qu’on nous invite à nous laver inlassablement les mains, le patronat, lui, se les frotte ! Emmanuel Macron est définitivement l’ami des grands patrons. Et voilà la loi d’urgence face à l’épidémie qui autorise le gouvernement à agir par ordonnances. Le texte 52 de ces dernières permet à l’employeur d’imposer une durée de travail hebdomadaire portée à 60 heures, le travail le dimanche, des dates imposées de congés payés…

Il est intéressant de comparer les intitulés de ces ordonnances. Ici : « Ordonnance portant mesures d’urgence en matière de congés payés, de durée du travail et de jours de repos » ; et là : « Ordonnance adaptant temporairement les conditions et modalités d’attribution de l’indemnité complémentaire » . Il n’est sans doute pas anodin de voir que, dans la seconde, apparaît le terme « temporairement », indication à laquelle Muriel Pénicaud s’est formellement opposée lorsqu’un amendement proposa de le faire figurer dans l’ordonnance « congés payés et autres… ». De là à penser que ces dérogations au code du travail soient destinées à perdurer…. Relance de l’économie oblige : 60 heures par semaine, réduction du repos quotidien de onze à neuf heures, soit quinze heures de travail-transport chaque jour ne font que nous renvoyer aux conditions de 1841, date de la première loi sur le travail. Cet « effort » qui va être imposé au monde du travail ne sera pas imposé à toutes les catégories sociales. Un amendement visant à relever le montant de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus, faisant passer son taux de 3 % à 5 % des revenus supérieurs à 250 000 euros par an, a été sèchement rejeté.

Dans un tweet du 24 mars, Bruno Le Maire demande aux entreprises, notamment les plus grandes, « de faire preuve de la plus grande modération sur le versement de dividendes. C’est un moment où tout l’argent doit être employé pour faire tourner les entreprises ». Une simple demande donc, pas d’ordonnance ici pour contraindre le capital à participer à l’effort collectif alors même que les entreprises européennes s’apprêtent à verser 359 milliards d’euros à leurs actionnaires au titre des dividendes de l’année 2019. Pourtant, malgré ces chiffres exorbitants, l’État, pour pallier à la suspension partielle de l’économie, va soutenir ces mêmes entreprises en prenant en charge une partie des salaires, à travers les mesures de chômage partiel, ainsi qu’en suspendant les obligations fiscales et sociales de ces mêmes entreprises.

Au final, c’est bien aux travailleur·se·s que Macron s’en prend à nouveau pour « soutenir l’économie » en s’attaquant, non pas aux dettes sous lesquelles croulent les entreprises et dont il pourrait déclarer un moratoire, mais… aux cotisations sociales et aux impôts qu’elles versent, et au droit du travail.

Voulons-nous que la « guerre » menée par une classe dirigeante qui a montré son impréparation absolue à faire face à la pandémie – parce qu’elle a organisé le démembrement des services publics et de la production en France de biens de première nécessité – soit à nouveau l’occasion d’une union sacrée pour « sauver l’économie » en s’attaquant aux travailleur·se·s et en soutenant les prêteurs capitalistes, comme cela s’est fait en 2007 avec les beaux résultats que l’on sait ? Nous faisons depuis plus de dix ans l’expérience amère de la potion capitaliste que Macron veut à nouveau nous faire avaler alors que c’est elle qui nous a conduits à une impasse dont il prétend nous faire sortir en en rajoutant une louche. C’est assez !

Nous n’allons pas nous faire avoir à nouveau. Nous savons que nous ne pouvons attendre que le pire des « mobilisations générales » et de « l’union nationale » dans lesquelles nous enrôle la classe dirigeante sans nous demander notre avis, pour nous faire taire. Seule une mobilisation venue d’en-bas sera efficace contre le retour régulier de pandémies liées à une excessive division internationale du travail et à un rapport de plus en plus mortifère au vivant et à la nature dans la folle organisation capitaliste de la production.

La médiocrité de la réponse à la pandémie fait prendre conscience de l’absurdité de faire dépendre notre production de groupes capitalistes indifférents au maintien d’un tissu productif équilibré sur un territoire, qu’il soit régional ou national : les exemples d’entreprises neuves fermées alors qu’elles produisent des masques ou des bouteilles d’oxygène ont fait le tour des réseaux sociaux. Les travailleur·se·s (pas l’État !) doivent devenir propriétaires de tout outil de production de biens communs, les actionnaires doivent être évincés sans indemnisation, et les prêteurs non remboursés.

Autre prise de conscience : les ressources des personnes ne doivent pas dépendre de l’aléa de leur activité. Le confinement laisse nus tous les indépendants et génère un chômage partiel plein de trous qui vont notablement réduire les ressources d’employés du privé ou de contractuels de l’État. Alors que les fonctionnaires, eux, conservent leur salaire, qui est lié à leur grade et non à leur emploi. Seul le salaire lié à la personne (celui des fonctionnaires, celui des salariés à statut, celui des retraités… bref celui qu’attaquent avec détermination tous les gouvernements de l’Union européenne) nous permet de sortir de la forme capitaliste de la rémunération, qui la lie à la mesure d’activités aléatoires avec le filet de sécurité d’un revenu de base. Nos personnes doivent être libérées de cet aléa et reconnues, de 18 ans à la mort, par un salaire posé comme un droit politique et qu’il serait raisonnable d’inscrire dans une fourchette de 1 à 3. Chacun·e, à sa majorité, quels que soient son passé scolaire et son handicap, est doté·e du premier niveau de qualification, et donc des 1700 euros nets du Smic revendiqué, et peut, par des épreuves de qualification, progresser jusqu’à un salaire plafond de 5000 euros nets : au-delà, les rémunérations n’ont aucun sens. Droit politique de tout adulte vivant sur le territoire national, le salaire peut stagner, mais jamais diminuer ou être supprimé.

La propriété de tout l’outil par les travailleur·se·s et le salaire lié à la personne supposent une forte socialisation du PIB. Déjà, plus de la moitié est socialisée dans les impôts et cotisations sociales. Il faut aller encore plus loin. La valeur ajoutée des entreprises doit être affectée non plus à des rémunérations directes et à du profit, mais à des caisses gérées par les travailleur·se·s comme l’a été le régime général de 1947 à 1967. Elles verseront les salaires et subventionneront l’investissement, y compris par création monétaire. Alors nous pourrons libérer du capital nos vies et notre pays.

La survenue de l’épidémie de coronavirus a mis en évidence l’état de délabrement de l’hôpital public après quarante années de politiques libérales qui lui ont été imposées. Hasard du calendrier, cette épidémie a conduit le gouvernement à suspendre son projet de réforme des retraites. Maladie, vieillesse : deux branches de la sécurité sociale réunies par les événements.

Comme Ambroise Croizat et ses co-détenus au bagne de « Maison carrée » à Alger préparèrent un plan complet de sécurité sociale, mettrons-nous à profit cette période pour réfléchir aux revendications à porter dès la fin de la période de confinement ? Parmi celles-ci, une reconstruction de la sécurité sociale dans ses structures révolutionnaires de 1946, en revenant non seulement sur les exonérations de cotisations patronales, mais en revendiquant leur augmentation. Car c’est bien l’augmentation de ces cotisations qui permit à la sécurité sociale de subventionner la mise en place des Centres hospitaliers universitaires (CHU) au début de années 1960, transformant des mouroirs en usines de santé. Des plans de nationalisation de l’industrie pharmaceutique et de la recherche scientifique seraient également des revendications incontournables. Profiter de cette épidémie pour obtenir la reconquête de droits précédemment conquis représenterait en quelque sorte un renversement de la « stratégie du choc ».


[Notes :]

1 Alain Badiou : L’hypothèse communiste, Ed Lignes
2 Emmanuel Todd : La lutte des classes en France au 21e siècle. Ed Seuil
3 Naomi Klein : La stratégie du choc. Ed Babel



Sommation adressée au Gouvernement du Québec

[Source : https://www.youtube.com/watch?v=u33VXrcrd4Y

https://www.youtube.com/watch?v=u33VXrcrd4Y

et Document Word sur Facebook]

[NdNM : à chacun d’estimer la validité et/ou l’intérêt de la démarche ainsi que son caractère réaliste ou non. Le texte pourra facilement être qualifié de complotiste étant donné les sujets abordés et la manière dont ils le sont.]


SOMMATION
DE RÉPONDRE PUBLIQUEMENT, DANS LES 24 HEURES
LORS DE VOTRE PROCHAINE CONFÉRENCE DE PRESSE
ADRESSÉE À :

Monsieur François Legault, Premier ministre du Québec
Madame Danielle McCann, ministre de la Santé du Québec
Monsieur Horacio Arruda, Responsable de la Santé Publique du Québec

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Article 35, Déclaration des droits de l’homme 1793

La Nation Kébékoise remercie le Covid-19.

Merci à cette pandémie imaginaire qui nous a permis un répit pour se recentrer et réfléchir ; nous a redonné nos enfants et une vie de famille depuis longtemps oubliée. Ce temps d’arrêt, craint par tous, nous a permis de faire nos recherches, de nous instruire et de réaliser que la société dans laquelle nous vivons n’est plus ce que nous voulons pour nous et nos enfants. Nous avons pris conscience de notre condition d’esclave au profit des multinationales, des corporations et des élites qui gouvernent dans l’ombre, qui nous accordent que ce qu’il faut pour survivre et nous écrasent par des dettes bidons, mais en conférence, vous avouez que 25 000 $ annuel est le minimum pour qu’une personne puisse vivre décemment. Nous espérons une correction concrète dans les jours à venir. Nous avons également pris conscience de toutes les manipulations tordues et vicieuses qui nous entourent, que ce soit au niveau des médias, des ministères, du corps médical, du barreau, de la justice et de la sécurité policière. Nous en avons froid dans le dos. Notre situation se résume à être une batterie qui produit de l’énergie pour enrichir les élites d’en haut. Avec ce canular de Covid-19, chaque Canadien est endetté de 172 %. Nous vivons dans un monde où le mensonge est honoré et la vérité condamnée. On s’est laissé entraîner sournoisement dans un monde satanique qui a anéanti les valeurs fondamentales d’un peuple fier de ses racines pour une société rendue à encenser l’immoralité, l’éducation sexuelle chez les enfants, la pédocriminalité, le mensonge, la médiocrité, la corruption, l’illégalité, le tout servi d’une sauce de menaces et de culpabilité à la moindre réflexion critique et contraire au plan des mondialistes.

Aujourd’hui, si l’on compare la vie des jeunes adultes avec celle des babyboomers, seuls ceux-ci peuvent constater l’effondrement de nos sociétés à comparer à la vie d’il y a à peine soixante ans et tous constatent que des changements majeurs se sont instaurés silencieusement pour ne pas dire sournoisement.

Depuis 60 ans, on constate de la part de tous les gouvernements une volonté d’affaiblir nos services publics comme l’éducation et le réseau des affaires sociales. Nous avons vu défiler des Commissions d’enquêtes bidon et des récompenses à peine voilées pour les bons amis contribuant à vos caisses électorales ; une collusion qui perdure toujours.

Ce qui fait la grande différence aujourd’hui, ce sont les réseaux sociaux et les médias alternatifs, ceux que vous voulez faire disparaître en faisant des lois votées en catimini. Les chercheurs et les éveillés ont une qualité fondamentale : dire la vérité. Cependant, aux yeux des mondialistes et des élus-marionnettes franc-maçons à la solde des Soros, Rothschild, Rockefeller, Trudeau, Desmarais ; Power Corporation, ces éveillés représentent une menace nationale et sont passibles d’emprisonnement. Nous avons la liste complète des francs-maçons du Kébek et du Canada qui sera publiée sous peu. Le peuple refuse d’être gouverné par ces pervers sataniques, ces pédocriminels qui kidnappent nos enfants pour les immoler sur l’autel de leur bassesse.

Voilà pourquoi ce temps d’arrêt nous a permis de faire des découvertes jusqu’ici bien enfouies, découvrir comment les francs-maçons, les mondialistes et les Illuminati ont tout planifié depuis 60 ans pour arriver à nous détruire et à prendre le contrôle de nos vies.

Cet avenir nous le refusons, même au prix de nos vies et cela débute aujourd’hui.

Nous avons découvert Le Protocole de Toronto
(Fin juin de 1967 marque les derniers préparatifs de la mise au point du plan de la « chute des nations » par les hautes instances de la franc-maçonnerie anglo-saxonne à Toronto, Canada).

Cette réunion secrète, hautement confidentielle, est organisée par les « 6.6.6. » (tels ils se nomment eux-mêmes), ceux qui dirigent les 6 plus grandes banques mondiales, les 6 plus grands consortiums énergétiques de la planète (dont le pétrole), et les 6 plus grands consortiums de l’agroalimentaire (dont le contrôle des principales routes alimentaires du monde).

Ces 6.6.6. étant les plus hauts responsables de la finance internationale, vont définir, à l’intérieur de leur réunion, une « stratégie commune » en vue de la mainmise absolue sur le « commerce mondial » ; sur la possession de l’arme énergétique (porte ouverte sur le XXIᵉ siècle) ; et sur le contrôle international de l’agroalimentaire [lequel comprend aussi, pour eux, les consortiums pharmaceutiques comprenant, à leur tour, le marché mondial des « vitamines » et des « vaccins »].

Dans son ouvrage Le Protocole de Toronto, Serge Monast nous dévoile deux documents explosifs et confidentiels s’intitulant « Panem et circenses » [rapport officiel de juin 1967 des 6.6.6. sur le projet du « génocide du vital au profit du rentable occulte »] & « l’Aurore rouge » [rapport officiel de juin 1985 des 6.6.6. visant en 27 protocoles, au contrôle total de la planète par la mainmise sur le F.M.I., le G.A.T.T., la commission de Bruxelles, l’OTAN, l’O.N.U. ainsi que d’autres organismes internationales.

À la révision des événements survenus ces vingt-cinq dernières années, il appert que le scénario décrit dans ces deux documents confidentiels nous permet de mieux comprendre ce qui, jusqu’à aujourd’hui, paraît des plus incompréhensibles à plus d’un. « Même si ma vie est en danger à cause de la diffusion d’informations comme celles-ci, la vôtre l’est encore plus par l’ignorance de ces mêmes informations ». Serge Monast]

Étrangement, Serge Monast est décédé de façon inexpliquée.
Autre lanceuse d’alertes et écrivaine, Claire Séverac, qui démontrait l’empoisonnement des peuples par l’air, la nourriture, l’eau et les médicaments est aussi décédée de façon inexpliquée.
Combien d’autres lanceurs, tels que Marie-Claude Montpetit, ont disparus ? Impossible de tous les nommer.

Voici comment le gouvernement mondial a prévu s’installer pour détruire les NATIONS :

1- Destruction du noyau familial (faire travailler les 2 parents, séparation de l’enfant de ses parents, création CPE)

2- Destruction de l’éducation des enfants [CPE — niveler par le bas et changements des programmes/Éducation sexuelle dès l’enfance et sexualité dès la naissance, les transgenres dans les écoles et bibliothèques, promotion des gays et lesbiennes, etc.] 

https://www.ippf.org/sites/default/files/ippf_sexual_rights_declaration_french.pdf

3- Mise sur pied de la DPJ (Organisme créé par le Barreau, qui siège à huis clos, tout à fait indépendant de la Justice générale. Ces avocats se sont créé un fonds à la banque de New York en tant que registraires et créanciers. En vous retirant vos enfants, ils se sont créé un emploi et un chèque de paye stable qui leur permettent de prendre le contrôle du titre sur la tête de nos enfants pour devenir la propriété de l’État. Ainsi, ils gèrent pour eux-mêmes un compte à New Yord dans une banque via le Kébek. Et chaque parent, s’il a été un enfant de la DPJ, sera harcelé, menacé et surveillé quand viendra le temps de fonder une famille. Un cercle vicieux très payant pour le barreau.

4- Destruction du noyau social et du patrimoine culturel (immigration de masse et illégale/lois restrictives pour le peuple fondateur/restreindre les libertés d’expression/menaces et même emprisonnement pour ceux qui osent s’exprimer. 

5- Suppression de la mémoire collective [en supprimant l’histoire des programmes éducatifs, en coupant les liens entre aînés et enfants. Pacte de l’Éducation mondiale (14 mai 2020)
6- Pacte mondial de la vaccination par l’OMS et l’Alliance, ID2020 [implantation de la puce] pour un contrôle total de géolocalisation et du carnet numérique de santé. Pendant ce confinement planifié [installation des tours 5G] et finalisation de la mise en place du gouvernement mondial.

https://www.who.int/immunization/ia2030_Draft_Zero_FR.pdf

Comment un gouvernement mondial va-t-il procéder pour s’installer sur toute la planète ? EN CRÉANT UNE PEUR MONDIALE, car la peur rend l’humain docile et manipulable. Bien que dans toute l’histoire de l’humanité aucune épidémie n’ait jamais exigé un confinement, l’ONU et l’OMS, ces manipulateurs sataniques vont créer un virus supposément mortel et maintiendront la peur. L’OMS évoquant l’urgence sanitaire, suspendant du même coup la liberté fondamentale de tous en nous confinant à demeure. Les médias [payés par ces mêmes élites sataniques] auront l’ordre de diffuser en boucle des images horribles et le peuple va remercier leurs bourreaux pour ce confinement, car ils se sentiront protégés [concept de PROBLÈME-RÉACTION-SOLUTION].

Le gouvernement mondial a fait une grosse erreur. Laquelle croyez-vous ? Il nous a donné du temps libre. Le peuple était superficiellement alerté depuis de nombre d’années sur tous les changements néfastes au sein de nos sociétés, mais, avec ce confinement, ils disposent de temps pour faire des recherches et pour corréler des articles et des vidéos de lanceurs d’alerte. Eh oui, ils comprennent.

Enfin, le peuple prend conscience que tous les pays et leurs gouvernements n’ont plus aucune latitude pour gouverner quoi que ce soit. Ils ont tous subi une infiltration et de la subversion par des pervers narcissiques sociopathes dont le but est de prendre le pouvoir, de s’enrichir à outrance et de placer des gens de compétence douteuse à des postes de haute direction. Ils ont créé des sociétés.

De collusion et de mensonges. Le Canada et le Kébek ne sont plus des états de droits puisqu’ils sont dirigés par l’ONU et que tout l’argent dont ils disposent de même que tous leurs salaires viennent de l’ONU. Ce sont des repères de voyous crasses aux ordres d’une ploutocratie mondialiste hégémonique criminelle. Ce n’est pas l’homme du peuple qui détruit, mais les élites richissimes, les corporations et les multinationales qui gèrent les gouvernements en place.

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ [L’OMS]

Dr Arruda : Connaissez-vous l’OMS et ses dirigeants ?

Voici le résultat de nos recherches.

L’OMS est dirigée par Tedros Adhanom Ghebreyesus, un homme d’apparence bon et généreux, mais tombé dans le filet des pires mondialistes et profiteurs des démocraties actuelles. Son passé obscur en tant que membre des groupes terroristes ultra-violents qui étaient au pouvoir en Éthiopie, où il est soupçonné de détournement de fonds, de sa contribution à éliminer une ethnie éthiopienne avec les produits de santé [Bill Gates] peuple qui a servi de cobayes pour la vaccination], a été effacé par ses maîtres actuels mondialistes, affamés de finance et de pouvoir. Cette mafia silencieuse et constamment malveillante envers l’humanité, mais en prétendant le contraire. Il est devenu le valet servile et obéissant des plus grands criminels vaccinateurs de la planète qui se cachent derrière lui pour écouler leurs vaccins sous prétexte de pandémie.

L’OMS, dont le principal actionnaire est Bill Gates, à hauteur de 10 Milliards par décennie (article publié dans le Business Insider du 6 avril 2020), a mis en place un plan machiavélique pour en réaliser un autre encore plus sordide ; celui de diminuer la population à travers la vaccination obligatoire. Elle va venir et elle sera imposée par les organisations sataniques comme l’OMS, l’Alliance GAVI, INOVIO, MODERNA et la Fondation Bill et Mélinda Gates (qui a mains mises sur toutes les pharmaceutiques). Il faut admettre que les plus grands satanismes se dissimulent sous les titres des plus respectables.

Voici la vidéo où Bill Gates déclare que s’il travaille bien, avec un bon programme de vaccination, il pourra réduire la population mondiale de 10 à 15 %.

https://www.dailymotion.com/video/xgy4l1?fbclid=IwAR2jApODSFsccsYxuWk3ibqkJKGzEVWmM_ds99H02AFtwt7Fb2TtqaZf0Z4

https://www.dailymotion.com/video/xgy4l1?fbclid=IwAR2jApODSFsccsYxuWk3ibqkJKGzEVWmM_ds99H02AFtwt7Fb2TtqaZf0Z4

L’OMS a publié une déclaration en septembre 2019 (quel hasard !) selon laquelle elle avait travaillé avec Facebook pour lutter contre la désinformation à propos des vaccins, c’est-à-dire qu’elle empêchait tout article de dire la vérité sur le contenu réel des vaccins et des dangers qu’ils représentent pour l’humain. Par cette action, elle usurpait la liberté d’expression (article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen) et la démocratie responsable à la fois aux États-Unis et dans le reste du monde ; le Kébek n’en faisant pas exception.

QUI SE CACHE DERRIÈRE l’OMS ? BILL GATES

Un homme n’ayant aucune formation scientifique, étant ni médecin ni chercheur, mais simplement multimilliardaire. Grâce à ses dons à travers ses fondations, cet excité de la piquouse rapportant plus que n’importe quel autre produit de santé, il peut influencer les politiques du monde entier. Il achète.

Presque tous les chefs d’État, les organismes, les laboratoires, les médias et les médecins. Il est facile de suivre son raisonnement et sa façon de procéder : il nous empoisonne puis il nous soigne.

  1. Il est l’actionnaire majoritaire de l’OMS.
  2. Il est actionnaire de Mosanto-Bayer ; a acheté tous les brevets d’agriculture dans lequel cas les agriculteurs, sous peine de prison, sont tous contraints d’acheter exclusivement des semences OGM (créant de super cancers et affaiblissant le système immunitaire)
  3. Il est actionnaire de Big Pharma qui, telle une pieuvre, étend ses tentacules dans tous les domaines et nomme des eunuques à tous les postes importants de la planète. Il achète tout le monde.
  4. Il est investisseur de milliards ($) en Afrique afin d’avoir des enfants comme cobayes pour ses vaccins.
  5. Il est actionnaire des laboratoires de recherches.
  6. Il est le président du Forum Économique tenu à Davos en janvier 2020 où il a présenté son Plan de vaccination mondial (comme par hasard) sur le Covid-19. Le Kébek n’avait pas de représentant à ce forum ?
  7. Il est actionnaire de nombreux médias de masse, donc contrôle la nouvelle et paie Facebook et Google pour supprimer quiconque dira la vérité sur le véritable contenu des vaccins.
  8. Il finance des programmes secrets d’épandages chimiques sur les populations (chemtrails) qui nous pulvérisent, comme des cafards, de produits chimiques et de nanoparticules empoisonnant l’air, l’eau et le sol.

Résumé très court : Bill Gates nous empoisonne avec Mosanto-Bayer et les Chemtrails, ensuite fait répandre le virus qui dormait depuis fort longtemps, fait semblant de mobiliser tous les laboratoires pour inventer un vaccin qui va sauver la planète. Il existe une pétition adressée à la Maison Blanche pour que cet individu, qui a les mains souillées du sang de nos enfants, soit accusé de crime contre l’humanité. Nous espérons fortement que le Kébek se joindra à l’Inde pour déclarer cet individu persona non grata au Kébek. Ce serait un signe de respect envers la Nation.

Monsieur le Premier Ministre, avez-vous remarqué que depuis le confinement, le ciel est bleu, absence totale de smog, disparition des embouteillages et aucun chemtrails dans le ciel ? Pourquoi ? Ce confinement nous a tracé la route à suivre pour avoir une meilleure vie et ce ne sont pas les experts à la solde des corporations et des multinationales qui vont vous montrer le chemin, mais les gens du peuple, ceux qui sont libres de toute redevance.

Dr ARRUDA : En votre nom et celui de tous vos confrères et consœurs, pouvez-vous nous lire le serment d’Hippocrate des médecins du Québec
J’affirme solennellement que :

  1. Je remplirai mes devoirs de médecin envers tous les patients avec conscience, loyauté et intégrité ;
  2. Je donnerai au patient les informations pertinentes et je respecterai ses droits et son autonomie ;
  3. Je respecterai le secret professionnel et ne révélerai à personne ce qui est venu à ma connaissance dans l’exercice de la profession à moins que le patient ou la loi ne m’y autorise ;
  4. J’exercerai la médecine selon les règles de la science et de l’art et je maintiendrai ma compétence ;
  5. Je conformerai ma conduite professionnelle aux principes du Code de déontologie ;
  6. Je serai loyal à ma profession et je porterai respect à mes collègues ;
  7. Je me comporterai toujours selon l’honneur et la dignité de la profession.

Questions au Dr Arruda :

Q : Dr Arruda
Le 30 janvier 2020, vu le nombre de décès à Wuhan, l’OMS déclare l’état d’urgence sanitaire publique de portée internationale, donc une pandémie (1re fois dans toute l’histoire de l’humanité), mais (absurdité oblige), on ne ferme pas les frontières ni le commerce, le tourisme continu, pourquoi ? Avec le recul, le peuple comprend que le virus doit se propager partout dans le monde, surtout éliminer les plus fragiles, ceux qui coûtent cher à la société, comme nos aînés. Et l’OMS, avant même la pandémie, dicte déjà qu’il faut accélérer le développement de vaccins.

Toutes les années, chaque pays fait face à des épidémies de grippe ou d’influenza, de SRASS, de grippe aviaire ou de grippe porcine faisant des milliers de morts (résumé pris sur Santé Canada) :

  • 1918-19 Grippe espagnole 50 000 décès
  • 1957 Grippe asiatique H2N2 1 à 2 millions décès 7000 décès
  • 1968 Grippe Hong Kong H3N2 1 à 4 mille décès 4000 décès
  • 2002-2003 SRAS 8,098 décès
  • 2009-2010 Grippe porcine H1N1 12 500 décès
  • 2017-18 Influenza 61 000 décès
  • 2020 Covid-19 Québec 1,599/8 millions d’habitants
  • Canada 2,707/36 millions d’habitants
  • E-Unis 56,803/328 millions d’habitants
  • Monde 211 000/7,8 milliards

NB : au Kébek, chaque année, 139,054 décès dus à la grippe saisonnière [en moyenne].

NOUS VIVONS UNE ARNAQUE MONDIALE

MALGRÉ CES CHIFFRES ALARMISTES, L’OMS N’A JAMAIS DÉCLARÉ DE PANDÉMIE NI D’URGENCE SANITAIRE DE PORTÉE INTERNATIONALE

Q : Dr Arruda, lors de vos conférences de presse, vous faites allusion aux experts en santé que vous consultez. Pouvez-vous nous les nommer ? Pouvez-vous nous certifier, selon votre serment d’Hippocrate, qu’aucun de ces experts n’ont de liens avec des compagnies pharmaceutiques ou des laboratoires de recherches financés par Bill Gates ? Bref, les experts que vous consultez sont-ils en conflits d’intérêts ?

Dr Arruda, Êtes-vous en conflit d’intérêts ?

Wuhan ; point d’origine du coronavirus. Les médecins sur place constataient que, bien que présentant des symptômes de pneumonie (mais pneumonie sèche) que ce n’était pas les poumons qui étaient malades, mais qu’il s’agissait bien d’un manque d’oxygène dans le sang, tout comme le mal de l’altitude. Avec le temps il a été prouvé que le Covid-19 est un jumeau du SRASS (combinaison du virus de la rougeole et des oreillons) provoquant une détresse respiratoire, mais y a été ajouté le gène du VIH, confirmé par de nombreuses sommités médicales.

Q : Dr Arruda : Expliquez-nous clairement comment un virus, même très intelligent, peut s’ajouter lui-même un gène de VIH? À ce jour, avec toutes les informations disponibles et le questionnement de réels biologistes-infectiologues, n’est-ce pas plutôt une arme biologique ?

Q : Dr Arruda : Vous avez déclaré que vous attendiez un vaccin et qu’il sera possiblement obligatoire. Vous parlez que la géolocalisation (donc la puce) qui faciliterait le confinement des cas récalcitrants ? Donc, vous approuvez le projet de l’OMS (Bill Gates) qui est d’injecter une puce à tous les humains, est-ce exact ? Donc, pour vous, l’être humain est une boîte de conserve qui doit avoir un code-barre ?

Que faites-vous de notre liberté fondamentale, de notre libre arbitre ?

Q Dr Arruda, votre serment d’Hippocrate vous oblige à porter secours à toute personne en danger lorsque sa vie est menacée. En vous abstenant d’autoriser les soins aux malades de la Covid-19 avec tous les traitements que les autres pays se servaient, vous avez manqué à votre serment et posé un geste criminel, car partout sur les sites de santé, il est publié qu’il existe [des] traitements reconnus pour soigner le Covid-19, soit :

  • Chloroquine (en usage depuis 60 ans) + azithromycine
  • Ivermectine
  • La Vitamine C Liposomale IV (en intraveineuse) guérit en 7 jours
  • Macrolide + C3G (appliqué par la Société de Gériatrie de France)
  • Ozone (apport d’oxygène dans le sang)

Q : — Veuillez expliquer à la Nation Kébékoise pourquoi aucun de ces traitements n’a été appliqué aux malades.

Q : Dr Arruda : La médecine allopathique existe depuis que l’homme existe tandis que la médecine conventionnelle est toute récente. — Veuillez expliquer également comment se fait-il que le Kébek ne possède plus de plantes médicinales, que la Vitamine C Liposomale (en capsule ou IV), que l’Artémésia de Madagascar qui soigne bien des maux, est introuvable au Kébek ? Les huiles essentielles, les onguents de nos grands-parents et le camphre sont aussi disparus. Le corps médical et Big Pharma ont pris le contrôle de nos maladies et non de notre santé. Reconnaissez-vous que la santé n’est pas rentable pour Big Pharma et Bill Gates ?

Q : Dr Arruda : notre dernière question. Ici se trouve le lien qui prouve l’arnaque du sida et les milliards de profits qu’a fait le Cartel pharmaceutique, le tout avec la complicité du corps médical. Faire mourir des êtres humains pour inventer une pandémie (comme le covid-19), détruire de supposés malades du sida pour faire de l’argent. Voilà ce à quoi le corps médical participe.

https://www.youtube.com/watch?v=-1iM6BIy8Yw&feature=emb_title&fbclid=IwAR1pVYnsWrvGm5QDiMRx_KktMSpbctIacRFqNezgSA-qfkPp3A8RHO9B6tY

https://www.youtube.com/watch?v=-1iM6BIy8Yw&feature=emb_title&fbclid=IwAR1pVYnsWrvGm5QDiMRx_KktMSpbctIacRFqNezgSA-qfkPp3A8RHO9B6tY

https://www.youtube.com/watch?v=1i2xtW1uzCk

https://www.youtube.com/watch?v=1i2xtW1uzCk

En tant qu’être humain, on ne peut plus tolérer ces arnaques et ces mensonges. Cependant, FB et Google suppriment tout ce qui se rapporte à la vérité. Quelle piste de solution avez-vous à proposer ?

Q : Monsieur Legault : La Nation Kébékoise est plus que convaincue que vous étiez au courant de toutes ces malversations criminelles de l’OMS. Les révélations du Dr Arruda vous font-elles douter de la compétence humanitaire de l’OMS ? Tous les reportages de vrais spécialistes comme le Dr Didier Raoult et du Dr Luc Montaigner (deux Prix Nobel) sur les traitements qui guérissent, la fraude criminelle des cartels pharmaceutiques et la fraude mondiale organisée par l’OMS vous font-ils comprendre que votre gouvernement, au même titre de Bill Gates, est criminellement complice de l’élimination de notre nation, de la ruine de notre économie et de la peur qui s’est installée ?

Q : Monsieur Legault : Pouvez-vous démontrer à la Nation qu’aucune subvention n’a été donnée à aucun laboratoire subventionné par Bill Gates ou ses acolytes ; qui participerait à la course pour trouver un vaccin ?

Q : Monsieur Legault : Depuis quand un Premier ministre se soumet-il aux directives d’une organisation criminelle comme l’OMS ? Quand allez-vous travailler de concert avec tous les Premiers ministres des autres provinces afin que le Canada se retire du financement de l’OMS et déposer une accusation officielle contre cette organisation pour crime contre l’humanité et génocide planifié des humains ?

Êtes-vous conscient que nous finançons notre propre mort ?

LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE que la science naturelle par les plantes, science millénaire, REVIENNE sur nos tablettes et soit en libre circulation.

Lors des premières conférences de presse, le Dr Danielle. McCann affirmait que les établissements de santé avaient tout le matériel nécessaire pour leur protection. Le lendemain, les journalistes s’empressaient d’aller voir les employés qui, même sous menace par leur employeur, disaient tout le contraire. Même chose concernant les liens entre le ministère et les CIUSS, etc. Mais pour vous Mme McCann, tout allait bien et qu’il y avait une bonne communication et une bonne gestion.

Q : Dre McCann, vous avez enjolivé la situation à plusieurs occasions et vous n’étiez jamais en mode active, mais défensive. Les journalistes ont prouvé au peuple que vos affirmations étaient mensongères et que votre crédibilité a fondu comme neige au soleil. Lorsque le Premier ministre a demandé l’aide des spécialistes (pratiquement tous en congé, vu le report des chirurgies électives) au lieu de faire appel à leur humaniste (s’il en reste) vous avez immédiatement parlé salaire. Tout le corps médical devrait réaliser que leur salaire est payé par les taxes et les impôts de chaque citoyen, ce qui implique qu’ils sont les employés de chaque citoyen et s’il n’y avait pas de préposés, de laveur de planchers, d’infirmières, et de préposés à la buanderie, aucun n’aurait de travail. Malheureusement, il en reste très peu qui ont vraiment la vocation. La grande majorité est devenue de simple caisse enregistreuse. Un médecin ne devrait jamais être ministre de la Santé, cela pose un problème d’éthique et de conflits d’intérêts, et vous êtes dans cette position.

Q : Dre McCann, selon vous, avez-vous encore la légitimité pour occuper le poste de ministre de la Santé ? Nous ne croyons pas que vous l’ayez.

PARLONS DE LA 5G, 60 GHz

Si nous lisons l’historique de l’arrivée de la technologie (le téléphone, l’électricité, la télévision, le cellulaire), chacune a produit des malaises dans la population.

LE CORPS HUMAIN

Depuis la nuit des temps, l’être humain vit naturellement avec les énergies qui viennent du sol, une électricité naturelle dont on peut se servir gratuitement. Nous sommes des êtres conducteurs d’électricité, de fréquences, de lumière et de magnétisme. Le corps humain est merveilleux, mais fort complexe. Toutes les créatures de cette planète se sont adaptées à l’environnement dans lequel elles vivent, mais cet environnement doit demeurer équilibré avec ses propres champs et résonnances. La fréquence des ondes alpha émises par le cerveau et la résonance de Schuman sont la même ; soit 7,8 Hz.

Le corps humain est composé à 80 % d’eau et tout comme un sonar, les fréquences de la 4G perturbent déjà sa fluidité. Donc, que fait la 5G ? Elle perturbe l’action normale des microzimas (toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer et de former certaines bactéries qui continuerait à vivre après la mort de la cellule dont elle proviendrait).. Les fréquences sont comme le vent, on ne le voit pas, nos yeux ne voit que le résultat de son passage, tout comme on ne voit pas les fréquences, mais si nos yeux pouvaient voir le résultat, ils verraient un smog permanent qui ondule et nous enveloppe quotidiennement. La 5G a les mêmes effets, ses rayonnements et ses fréquences sont invisibles, mais les effets sont visibles. Les fréquences naturelles des mammifères et des oiseaux sont brouillées. Les oiseaux sont terrassés en plein vol et les mammifères marins et les poissons s’échouent sur les plages. Savez-vous qu’il n’y a plus d’oiseaux au Mexique et en Chine.

Monsieur Legault : Votre immobilisme nous laisse croire que vous voulez un Kébek dépourvu de toute la beauté animale et d’une population moribonde.

CE SONT NOS CORPS QUI REFUSENT et non nous. Les ondes émises par la 5G brouillent (pour ne pas dire « grille ») nos cerveaux et retirent de notre sang et de nos cellules l’oxygène dont notre corps à besoin pour vivre (concept d’entropie). Voilà pourquoi Wuhan (ville pilote connectée entièrement à la 5G) soignait par apport d’oxygène (supplément d’oxygène aux victimes du virus). La 5G crée des symptômes de type grippaux auxquels s’ajoute la perte de l’odorat et du goût, avant d’entraîner éventuellement la mort des sujets. Aucune épidémie de SRAS, de grippe porcine, de H1N1, de grippe aviaire et même la grippe espagnole n’a jamais présenté ces deux nouveaux symptômes. Selon quelques experts qui connaissent bien le fonctionnement du corps humain, la 5G est un danger réel et nos gouvernements se sont laissés bernés par le lobbying de vipères qui ne sont là que pour le fric au détriment de nos vies.

Selon l’OMS, il est reconnu que les champs de radio fréquence émis par les portables, de potentiellement cancérigène pour l’homme tout comme le glyphosate de Mosanto a été reconnu potentiellement cancérigène, MAIS suite à la condamnation de Mosanto, le glyphosate est maintenant reconnu cancérigène.

Q : M. Legault, si la 5G n’est pas dangereuse, alors pourquoi toutes les tours ont poussé comme des champignons, dans toutes les villes du Kébek, depuis le confinement ? Pourquoi les dissimuler dans des arbres ou construire une cheminée autour ?

Lorsqu’on y réfléchi bien, on doit songer à l’éventualité suivante : Si les vaccins de Bill Gates étaient volontairement conçus pour diffuser, dans nos cellules, les substances toxiques qu’ils contiennent sous commande du signal 5G et provoquant ainsi la mort par toxicité cellulaire (manque d’oxygène dans le sang) ? N’est-ce pas ce qui se passe avec la Covid-19 ?

Q : M. Legault, avez-vous signé un contrat pour l’installation de tours 5G au Kébek et ce malgré l’absence d’enquêtes indépendantes et malgré les avertissements de la population sur les dangers potentiels que cette technologie représente ?

Q : M. Legault, quels étaient les dividendes prévus pour le gouvernement (au détriment de la santé de la Nation ?

LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE que la technologie 5G soit bannie et que toutes les installations soient démantelées immédiatement. Le peuple est prêt à aider à démolir les tours, mais les compagnies n’aimeront pas la technique qui sera employée.

Q : M. Legault est-ce que le glyphosate est encore permis au Kébek ? Si oui, la NATION Kébékoise EXIGE qu’il soit banni immédiatement.

NOUS ATTENDONS VOTRE ENGAGEMENT PUBLIC A CES DEUX EXIGENCES.

LES FAKE NEWS

Q : M. Legault, Pouvez-vous nous communiquer les raisons de votre adhésion à la LOI sur les fake news ? Quels sont les objectifs poursuivis ? Serait-ce plutôt un moyen de censurer les informations provenant d’une autre source que la source officielle validée par l’État ? Nous sommes supposés vivre en démocratie, mais avec toutes les nouvelles lois votées en catimini, les amendes, la censure imposée au peuple dans les médias traditionnels, ajouté à ça la complicité des journalistes qui sont subventionnés par les gouvernements pour ne parler que de vos discours mensongers, nous voyons le régime communiste qui s’installe sournoisement au Kébek.

Monsieur Legault, C’EST NOTRE DROIT FONDAMENTAL DE VOUS POSER LA QUESTION ET D’OBTENIR UNE RÉPONSE CLAIRE afin de planifier notre avenir. LA NATION KÉBÉKOISE A TOUJOURS VÉCU DANS UNE SOI-DISANT DÉMOCRATIE, CE QUI N’EST PLUS LE CAS.

LES CENTRES INTÉGRÉS DE SANTÉ ET SERVICES SOCIAUX

Tout comme les Commissions scolaires, nous n’avons pas besoin de nous étendre longuement sur les CIUSS ou autres appellations, ces institutions qui nous démontrent depuis fort longtemps, mais surtout depuis le Covid-19, toute leur inutilité, leur insignifiance et leur non-imputabilité d’aucune sorte. Souvenez-vous M. Legault lorsque ces paliers inutiles furent créés ; tous les syndicats dénonçaient haut et fort leur inutilité et les coûts faramineux associés. Ensuite furent retirés les directeurs d’établissements pour tout centraliser et finalement la démolition finale par Couillard et Barrette. On avait promis aux payeurs de taxes et d’impôts de fortes réductions des dépenses administratives dans le secteur de la santé pour les investir dans les services aux patients.
MENSONGES

Aujourd’hui, toute la Nation Kébékoise est en mesure d’évaluer le gâchis monumental de son réseau de santé. Il y a tellement de paliers créés pour les ti-amis des partis en place et tellement de bureaucratie que même une chatte ne retrouverait pas ses chats. Tout comme les commissions scolaires, ce sont des fonctionnaires qui appliquent simplement des directives, pas plus et, performant ou pas, personne n’est imputable. Un système de médiocratie.

Le réseau de la santé, tout comme une NATION, a besoin d’éprouver un sentiment d’appartenance et non pas être un numéro ballotté sur tous les côtés.

LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE le démantèlement complet de ces super structures inutiles et coûteuses. Nous exigeons le retour de directions responsables dans chaque établissement de santé, qui sera responsable de son budget, des soins établis en fonction de sa population et qui sera imputable directement de la qualité des soins et de ses dépassements de coûts. Le réseau de la santé a été saboté de la même façon que les mondialistes sont en train de saboter les Nations du monde entier.

LES CHSLD

Il y a des années que les conditions de travail, le temps accordé aux résidents [quota] et la nourriture sont dénoncés. Personne n’a bougé. Barrette, qui a finalisé la démolition de l’appareil de santé, a même poussé l’effronterie à aller déguster, devant caméra, un repas de grand restaurant, mais nos aînés continuent de manger de la potasse. . Tout le gouvernement et ses ministres promettaient des investissements et de meilleures conditions salariales pour les préposés, ce n’était encore que des promesses. Quant à Mme Blais, qui n’a jamais réalisé quoi que ce soit pendant son passage précédant et actuel en politique, elle ne voit qu’un beau décor, de belles couleurs, ce qui, pour elle, faciliterait le mourir dans la dignité. Et nonobstant tous les articles de convention collective, un employé qui maltraite un aîné est congédié immédiatement. Et toute famille qui désire installer une caméra de surveillance dans la chambre où est hébergé un membre de sa famille a le droit fondamental de le faire.

Au lieu de toujours construire, modernisez les établissements qui existent déjà. Faites abattre des murs, moderniser ce qui est déjà payé. Donnez un juste salaire, non à un titre professionnel, mais à ceux qui dispensent le plus de soins directs aux aînés. Un CHSLD public ou privé est un endroit.

Destiné aux personnes qui n’ont pas d’autres choix. Ces aînés ont travaillé et contribué toute leur vie au Kébek, ils nous ont tracé le chemin où nous marchons aujourd’hui. Chacun est en droit de recevoir les soins essentiels pour vivre et non être confiné dans une garde-robe qui sert de mouroir. Ils ont droit, tout comme s’ils étaient dans leur maison, à un espace de vie confortable et viable.

Tout comme les garderies ou les CPE où beaucoup de ti-amis ont eu des permis ou des passe-droits pour se les procurer, nous constatons le même stratagème au niveau des CHSLD privés où le propriétaire s’est enrichi à outrance et bien souvent au détriment des soins accordés ou des salaires donnés aux employés.

Suite aux révélations d’horreur qui sont vécues par nos aînés dans les CHSLD, privés ou publics, LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE une enquête publique télévisée avec les vrais experts qui y séjournent et qui y travaillent, soit les bénéficiaires eux-mêmes, les aidants naturels de ces aînés, les préposés(es) aux bénéficiaires, les infirmières/infirmiers. Le peuple veut entendre ceux qui travaillent auprès des aînés et non des soi-disant experts ou des fonctionnaires qui n’ont jamais sorti de leur bureau.

M. Legault, vous n’êtes pas sans savoir qu’actuellement, le PEUPLE DU KÉBEK est souffrant. . L’OMS a volontairement planifié une crise sociale, économique et humaine, et le peuple sait que vous le savez.

Q : M. Legault, à la lumière de tous ces faits, croyez-vous avoir encore la légitimité d’occuper le poste de premier ministre d’une Nation que vous deviez défendre et non la livrer aux mains de criminels ? En nous cachant la vérité, vous vous êtes fait complice des franc-maçons, des pédocriminels et des mondialistes qui veulent prendre le contrôle des peuples du monde ?

Les signataires de cette sommation vous réclament une rencontre à votre bureau de Montréal, au moment que cela vous conviendra, afin de discuter de l’avenir du Kébek. [nous ne croyons aucunement dans l’existence du virus ni du confinement, donc le plus tôt possible). Au Kébek, il y a des groupes d’extrémistes, des groupes de modérés, et des groupes d’éveillés comme nous qui veulent le bien de notre Nation. Nous voulons vous exprimer notre vision du futur et voir comment on peut travailler ensemble.

En tout état de cause, sans réponse précise et factuelle publique [à l’intégralité des questions posées] au sens de « qui tacet consentire videtur » la jurisprudence sur la liberté de circulation et de l’absence de justification en fait et en droit, sur le fondement des amendes prévues, celles-ci seront sans objet ; ainsi que sans réponse à l’ensemble des questions posées dans cet acte, le peuple en déduira que RIEN, sur le plan légal et scientifique, ne justifie que nous donnions nos droits fondamentaux pour des activités et démarches qui nous sont personnelles et qui relèvent de la sphère privée (santé, loisirs divers, sport, exercice physique, courses alimentaires et autres, rendre visite à des proches ou amis(es), banque et poste, etc.. et ce sans aucune restriction de distance sociale. Les différents ministres (en cas de non-réponse/absence de réponse) ne pourront nier avoir été officiellement informés et, de ce fait, aucune sanction ne pourra nous être infligée.

En tout état de cause, nous nous réservons le droit d’apporter par voie d’acte extrajudiciaire (et/ou par courrier recommandé) incluant une clé USB, tous les éléments complémentaires nécessaires à la MANIFESTATION DE LA VÉRITÉ. Le peuple se réserve également la possibilité de demander aux ministères visés par l’acte, tout complément d’information utile à la bonne compréhension de cette affaire.

MOI, Aline Lafond, domiciliée au kÉBEK email : alynel@outlook.com
Jacques Coulombe Moi, Jacques Coulombe, autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature originale pour la sommation du 27 avril 2020.
Chantal Gagnon Moi, Chantal Gagnon autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature  originale pour la sommation du 27 avril 2020 
Jacinthe Horth Moi, Jacinthe Horth,  autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature originale pour la sommation du 27 avril 2020
Serge Trottier Moi, Serge Trottier, autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature originale pour la sommation du 27 avril 2020.

ET NOUS (la Nation Kébékoise), DÉCLARONS PAR LA PRÉSENTE ÊTRE DOMICILIÉS AU KÉBEK.

M/ Mme. …………………………….., HUISSIER DE JUSTICE, EST LE MANDATAIRE À CET EFFET, aux fins de signification du présent acte.


27 avril 2020




« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise

[Source : France Soir]

Violaine Guérin laissons les prescrire
Louise BERTRAND

Auteur(s): Guy Courtois pour FranceSoir

GRANDE INTERVIEW de Violaine Guérin, co-fondatrice du mouvement « Laissons les médecins prescrire »


Guy Courtois pour FranceSoir : Pouvez-vous vous présenter ? 

Violaine Guérin : Je m’appelle Violaine Guérin j’ai 60 ans, future retraitée, et je dois dire que la crise me fait dire qu’il va falloir penser à s’arrêter. Il y a une dégradation du système de santé qui est insupportable pour les gens comme moi qui ont connu d’autres temps. Je suis endocrinologue et gynécologue médicale, mon domaine de recherche est l’immunologie. Je suis une chercheuse à la fois en science fondamentale et en science clinique. Je suis pour quelques semaines encore également présidente de l’association : « Stop aux Violences Sexuelles », (note 2) qui porte une stratégie de santé publique. 

FS : Quelles sont vos valeurs ? Vos engagements dans la vie ? 

VG : Mes valeurs tournent beaucoup autour de l’humanité. Je suis convaincue que les personnes, les êtres humains, sont des belles personnes dès lors qu’elles n’ont pas été fracassées par la violence. Nous vivons dans une société extrêmement violente. J’essaie de travailler pour que les gens comprennent ça. C’est un peu central dans ma vie. J’ai eu la chance de passer un peu de temps de ma vie dans les déserts, avec les Touaregs, et cela m’a beaucoup recentrée sur ce qui est essentiel dans la vie.

Donc je suis assez « dépouillée » de beaucoup de superflus. 

FS : Pouvez-vous nous présenter le mouvement « Laissons les médecins prescrire » ? (note 3)

VG : C’est un mouvement qui s’est créé de façon extrêmement spontanée, suite aux décrets successifs qui ont été publiés et qui ont fini par restreindre totalement la liberté de prescription des médecins libéraux; ces décrets n‘ont pas touché les médecins hospitaliers. Ça a été un choc, je pense que cela a créé beaucoup d’émotion parce que c’est la première fois, dans l’histoire de la médecine en France, que l’on s’attaque à cela. Les médecins se sont agrégés les uns les autres en un noyau dur.

Et cette période de confinement a favorisé les choses parce que tout le monde était sur les réseaux sociaux, les gens essayaient de comprendre.

FS : Pourquoi ce nom « Laissons les médecins prescrire » ? 

VG : On a décidé de faire simple : le nom veut exactement dire ce que ça veut dire, c’est on ne peut plus basique : ne touchez pas à la liberté de prescription. Et puis c’était un appel très simple et clair, car il y avait des informations disant que des traitements pouvaient marcher. Ce qu’il s’est passé c’est que la crise a été gérée de façon hospitalo-centrée, et

vous n’avez quasiment pas entendu parler pendant la crise des médecins libéraux, qui sont en première ligne

Dans la gestion de la crise, on a complètement occulté les médecins libéraux en donnant instruction aux patients « appelez le 15 ». Les patients, dans une communication de terreur, pour beaucoup n’allaient même plus voir la personne qui les connait le mieux, à savoir leur médecin traitant ! On a vidé l’hospitalisation privée pour soi-disant faire de la place et diminuer la tension sur l’hôpital public. Mais cette hospitalisation privée n’a pas été remplie, alors qu’elle aurait dû l’être. On a décidé d’évacuer des malades de certaines zones parce que les hôpitaux publics étaient débordés alors qu’en Alsace, en Lorraine, en Ile-de-France des cliniques privées étaient vides et s’étaient organisées pour recevoir des patients infectés par le COVID-19.

On a organisé un grand transfert de patients en zone saine ce qui est totalement contraire à la notion de confinement, ce d’autant plus que les soignants n’avaient pas tout le matériel non plus pour se protéger, ce qui a été vecteur de contamination de zones saines.

FS : Quand le mouvement s’est-il créé ? 

VG : Après toutes ces incohérences, les médecins se sont regroupés, ont échangé. Le collectif a été créé la semaine du 23 mars en raison du blocage de la liberté de prescription des décrets successifs les 23 puis 25 et enfin 26 mars.

On commençait à être très inquiet de ce qu’il se passait, de la gestion et de la communication sur la crise. 

FS : Donc c’est vous qui avez créé ce mouvement ? 

VG : Nous sommes plusieurs médecins à travailler de façon très rapprochée sur le sujet des violences sexuelles, et plusieurs d’entre nous ont fait partie de ce mouvement à son début. D’autres médecins s’y sont retrouvés comme le Dr Martine Wonner, ex députée LaREM qui nous avait reçus à l’Assemblée Nationale sur ce sujet des violences et qui a fait partie des créateurs du collectif. 

FS : Concrètement combien étiez-vous de médecins ? 

VG : Au départ une quarantaine dont le Dr Thierry Lardenois, président de la CARMF (Caisse Autonome de Retraite des Médecins de France) que nous avions contacté très tôt, la CARMF relayant des informations sur la crise. À part les syndicats, la CARMF est un des grands acteurs de la médecine libérale. Nous lui avons expliqué ce que l’on voulait faire, c’est-à-dire conduire une étude avec des médecins malades pour valider ou pas sur une plus grande échelle les données de la première étude de l’équipe du Pr Didier Raoult. Nous n’avons pas du tout pris parti, mais simplement pris en compte une information sur une étude préliminaire qu’il était essentielle de vérifier. Thierry Lardenois, comme Martine Wonner, avaient déjà acquis une grande expérience en Lorraine et en Alsace sur la problématique COVID-19, au moment où il y a eu la suppression de la liberté de prescription. Donc ils avaient une vision déjà extrêmement claire de ce qu’il se passait et de la gravité de la situation.  Thierry Lardenois, ainsi que d’autres médecins du collectif qui suivaient des patients en EHPAD, nous donnaient des informations de terrain, et on voyait bien qu’il y avait un décalage entre ce que disait le gouvernement et la réalité du terrain. C’était des situations médicales surréalistes.

Les médecins généralistes ont reçu des protocoles ne visant pas à soigner mais à trier des malades, à les endormir au Rivotril, etc. Tout ça, vous commencez à peine à en entendre parler, mais cela a été terrible pour les médecins, les soignants et les familles. 

FS : Le Rivotril ?

VG : C’est un neuroleptique qu’on utilise en fin de vie, en médecine de soins palliatifs. Les médecins généralistes ont reçu des protocoles de soins palliatifs qui accélèrent la fin de vie. 

FS : Ça semble surréaliste : on n’autorise pas l’hydroxychloroquine mais on utilise le Rivotril. 

VG : C’est exactement ça et c’est la contradiction qu’a soulignée le sénateur Alain Houpert au Sénat lors des questions au gouvernement. Le Dr Houpert a interpelé le Premier Ministre, en rappelant que ces décrets nous avaient contraints d’enfreindre notre serment d’Hippocrate en ne pouvant pas porter assistance à nos patients. Il a rappelé que l’hydroxychloroquine a été interdite alors qu’il n’y avait aucune raison de le faire, non seulement en raison des statistiques sur les effets secondaires du médicament entre 2017 et 2019, mais également en raison des recommandations d’usage par un Professeur qui est une référence scientifique au niveau mondial. Il a aussi souligné qu’on demandait aux médecins de prescrire du Rivotril hors AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) parce qu’on ne leur mettait pas à disposition les moyens de soigner leurs patients. Le Premier Ministre n’a pas répondu, c’est une secrétaire d’État qui a répondu à côté de la plaque en disant qu’il n’y avait aucune étude démontrant l’efficacité de l’hydroxychloroquine, occultant nombre de publications internationales prouvant le contraire, lorsque l’hydroxychloroquine est prescrite dans le cadre préconisé par le Pr Raoult, c’est-à-dire à un stade précoce de la maladie. 

FS : Quels objectifs se donne-le mouvement ? 

VG : À l’origine il y avait un objectif unique : retrouver la liberté de prescription des médecins libéraux. Avec le temps, on s’est aperçu qu’il y avait énormément de dysfonctionnements. On voyait bien qu’il se passait plein de choses anormales y compris dans les régions « moins sous tension ». Donc forcément on a essayé de comprendre ce qu’il se passait. Aujourd’hui on ne peut pas dire qu’on ait une vision totalement claire des choses mais il y a quand même énormément de points qui nous interpellent. On a surtout regardé le plan sanitaire: par exemple, il n’y avait pas de masques alors qu’il y a eu des instructions de détruire des masques en janvier par les ARS (Agences Régionales de Santé), officiellement parce qu’ils étaient périmés;

on a appris qu’il y avait des offres de masques faites au gouvernement qui avaient été refusées, etc.

Il n’y avait pas de surblouses. Je suis allée m’occuper de confrères et consœurs malades: pour aller ausculter les gens chez eux, j’ai mis un pantalon de k-way, une veste k-way, des gants MAPA parce qu’il n’y avait pas de gants, juste un vieux masque chirurgical périmé, et un foulard sur la tête.  C’était ça la réalité. 

Il y a eu des problèmes avec chaque type de matériel. On peut encore prendre l’exemple de respirateurs commandés par l’état auprès d’entreprises publiques, inutilisables car ne correspondant pas aux spécifications techniques d’un respirateur de réanimation. C’est aussi du gaspillage de l’argent public.

Sans oublier la problématique des tests qu’on n’arrivait pas à avoir, alors qu’on sait très bien qu’on aurait pu acheter des tests à la Chine, à l’Allemagne, etc. Alors qu’est-ce qui se joue ? Est-ce qu’on veut faire travailler les entreprises françaises ? Il y a d’autres intérêts ? Les institutions veulent tout contrôler ?

Tout ça, quand on est en train de voir les gens mourir, c’est surréaliste. 

Et cela se poursuit ! On a eu l’info il y a quelques jours d’un médecin généraliste du Var qui a dit qu’on leur avait remis quelques masques FFP2 et masques chirurgicaux, tous périmés. Et il a fait de l’humour en disant « c’est peut-être parce qu’on est en zone verte », alors qu’on dit à la radio et à la télévision que maintenant tous les médecins sont équipés, etc. Anne Roumanoff est venue à notre aide. Elle a fondé une association « Solidarité avec les soignants », en urgence, qui a fourni du matériel aux médecins, aux hôpitaux et aux cliniques mais aussi aux médecins de terrain. Je l’ai rencontrée, et elle m’a dit qu’il y avait plusieurs sociétés qui vendaient des masques, que l’on pouvait passer des commandes, qu’elle avait identifié des fournisseurs. Elle achetait des masques et d’autres matériels utiles et nous les remettait. C’est en discutant avec elle que je me suis aperçue que ce n’est pas qu’on n’avait pas de masques, c’est qu’on ne voulait pas les acheter, puisque quelqu’un comme Anne Roumanoff, grâce aux dons faits à son association, était capable d’en acheter.

FS : On ne voulait pas, ou on ne savait pas les acheter ? 

VG : Si Anne Roumanoff est capable d’identifier qui vend des masques dans le monde, de passer commande, je pense que le gouvernement peut le faire. Donc il y a un problème là. Il y a eu d’autres associations qui ont été créées pour aider les soignants et cela a été le même schéma. 

FS : Est-ce que ce mouvement a été soutenu par tous les médecins, ou est-ce qu’il y a eu au contraire des critiques ? 

VG : Il y en a eu très peu, mais il y a surtout des médecins qui sont dans leur peur, menacés par les Conseils de l’Ordre entre autres et les ARS (Agences Régionales de Santé). 

FS : Que peuvent faire les ARS contre un médecin ? 

VG : Les ARS font une gestion administrative de la médecine. Les médecins libéraux sont régulièrement menacés de multiples maux et d’amendes s’ils n’appliquent pas les directives. Il y a beaucoup de médecins qui, soit parce qu’ils débutent soit pour d’autres raisons, exécutent des décisions qui ne sont pas dans l’intérêt final des patients ni de la médecine au sens large. Donc les gens font ce qu’on leur demande de faire même s’ils ne sont pas en accord. Tous les mois, ou tous les trois mois, vous recevez combien vous avez consommé de médicaments, d’actes biologiques, et il y a des petites étoiles si vous dépassez la moyenne etc. Donc on vous demande des comptes sur plein de choses, et certains médecins se voient menacés s’ils ne sont pas dans le cadre et ce sans analyse fine de leur pratique qui peut précisément expliquer des valeurs hors cadre.

Des médecins lorrains ont reçu des avertissements, par leurs conseils de l’Ordre, pour des prescriptions qui n’étaient pas illégitimes en situation de crise sanitaire. Ces prescriptions n’ont pas mis en danger la vie de leurs patients, et qui plus est, ils avaient donné leur consentement à des prescriptions d’azithromycine avec du zinc par exemple. 

FS : On n’avait pas le droit non plus de prescrire de l’azithromycine ? 

VG : Si, mais pas de dire que ça marche bien pour traiter le Covid-19, en ville, avec du zinc de ce que j’ai compris. Il y a des médecins de Lorraine qui l’ont fait parce que le zinc est un antioxydant dont l’intérêt a été évoqué dans certaines publications internationales. Patients et médecins en ont parlé sur les réseaux sociaux, ils ont même fait des vidéos en disant que ça avait marché. Ils en ont parlé pour donner des clés à leurs confrères. Il faut bien garder en tête le contexte de crise et d’une communication anxiogène de type  » vous risquez tous de mourir du COVID-19″.

C’est le rôle des médecins de chercher des solutions thérapeutiques, ce d’autant plus que le gouvernement répétait : « il n’y a pas de traitement du Covid-19 ». 

FS : Didier Raoult a-t-il déjà été embêté, menacé, sur l’une de ses études qui soi-disant n’aurait pas été déclarée si elle n’avait pas été observationnelle ?

VG : J’ai lu cela dans la presse. Si c’est réel c’est une tentative d’intimidation. Les médecins n’ont pas à déclarer un usage compassionnel (hors AMM). C’est un contrat entre un médecin et son malade, et le consentement du malade est requis. C’est d’ailleurs cette approche qui a permis de grandes découvertes. Mais aujourd’hui, l’administration veut tout contrôler et cela entache la liberté de prescription. À force de tout contingenter et de tout mettre dans des rails, dans des grilles, on ne fait plus de la médecine, on fait des statistiques.

Je rappelle que pour un patient donné, la survie à l’infection n’est pas de 14, 28 ou 92% mais de 0 ou de 100%.

FS : Pourquoi le gouvernement tient-il cette position-là ? 

VG : Je pense que c’est multifactoriel. Sur la France il y a eu des guerres d’égo entre les patrons. Il y a aussi du passif dans le milieu de l’infectiologie sur la maladie de Lyme.

FS : Comment savez-vous ça ? Est-ce quelque chose dont vous êtes certaine ou s’agit-il simplement d’une rumeur ? 

VG : C’est un médecin du collectif qui nous a expliqué qu’on pourrait aussi analyser la crise avec une lunette « le camp pro-traitement des Lyme » contre le camp qui ne veut pas entendre parler du traitement, dont la direction générale de la Santé. Je pense qu’il faut aussi voir l’intérêt des lobbys, de l’industrie pharmaceutique, qui sont à l’action. Quand vous entendez des gens dire que « 4 à 5 % seulement de la population française est immunisée » : qu’est ce qui permet de dire ça ? Alors qu’on n’a pas fait de sérologie à large échelle dans notre pays. Qui sait, il y en a peut-être 15%, 20% ? En ce moment on prépare tout le monde à : « Vous allez acheter un vaccin à la rentrée ». Et L’OMS affirme des choses non justifiées. Je me suis confrontée avec une de leurs membres sur un plateau télévision qui disait « On ne s’immunise pas du COVID-19, les anticorps ne sont pas neutralisants… il faudra revacciner tous les ans… ». Je lui ai demandé ce qui lui faisait dire ça et lui ai expliqué qu’elle ne pouvait pas affirmer cela puisque le virus n’a été identifié qu’en janvier 2020, et qu’au moment où l’interview se passe, on a à peine 7 mois de recul sur la maladie.

Toute cette désinformation et cette terreur dans laquelle on plonge la population fait sacrément réfléchir.

FS : Donc globalement, il n’y a pas eu de médecins qui se sont opposés à vous ? 

VG : Dans les libéraux non, très peu. Personne ne s’est opposé à notre mouvement. Les médecins hospitaliers ont commenté une guerre médiatique mais pas le sujet de l’atteinte à la liberté de prescription; elle ne les touchait d’ailleurs pas directement. Certains hospitaliers ont rejoint le collectif. 

FS : Combien de médecins êtes-vous aujourd’hui à votre avis ?

VG : On est plus de 1250, cela grandit chaque jour. Mais dans le collectif, vous avez aussi des soignants (sages-femmes, kinésithérapeutes, infirmières et infirmiers, aides-soignants), des pharmaciens, des avocats, des bénévoles, des citoyens tous choqués par cette atteinte à la liberté de prescription.

Nous communiquons par mail et avons installé des fils de discussion sur une messagerie instantanée.

FS : Quand quelqu’un adhère reçoit-il des messages ?  Vous avez une messagerie où tout le monde échange : Comment ça fonctionne ?

VG : L’adhésion est accueillie par un mail de bienvenue, précisant les actions majeures du moment. Il y a plusieurs fils de discussion pour les personnes souhaitant partager des expériences, s’entraîder et comprendre ce qu’il se passe. Il y a également un fil spécifique pour les soignants au sens large et un pour les médecins. Sur ce dernier on assure une veille des données scientifiques internationales et nous les analysons. Le fil des bénévoles est plus pratique « Est-ce que je peux fabriquer des masques pour tels médecins dans telle région, pour telles sages-femmes, etc. ».

En ce moment les gens ont peur du déconfinement, on voit également des questions à ce sujet.

FS : Des personnalités ont-elles rejoint le mouvement depuis sa création ?

VG : Il y a très peu de personnalités, les deux premières ont été le président de la CARMF Thierry Lardenois et Martine Wonner députée LaREM récemment exclue pour avoir pris des positions médicales plus que politiques. Et je dirais que c’est bien ainsi, même si des personnalités de renom ont clairement pris la parole pour souligner l’action du collectif. Car ce sont vraiment des médecins de terrain qui alertent sur cette atteinte à la prescription, en dehors de toute considération politique, économique, lobbyiste, etc. Le Dr Emmanuel Sarrazin, urgentiste à Tours, a rejoint le collectif également dans cette dimension d’atteinte à la liberté de prescription, alors qu’en parallèle il fait parti d’un autre collectif de médecins qui a initié un dépôt de plainte contre l’ex-ministre de la santé et le Premier Ministre sur le sujet de la carence de matériel. Il y a ainsi un certain nombre de médecins qui travaillent dans d’autres collectifs.

Il va être important aujourd’hui que les collectifs travaillent en synergie afin qu’une telle cascade de dysfonctionnements ne se reproduise plus jamais.

FS : Quels sont les autres collectifs ?

VG : Il y a différents collectifs et il y a les syndicats, qu’on a peu entendu pendant la crise à part celui du docteur Jérôme Marty l’UFML (Union Française pour la Médecine Libre) qui a été très présent dans la communication. Les médecins sont peu syndiqués. On ne peut pas dire que Syndicats et Conseils de l’Ordre, aient vraiment porté haut et fort les revendications des médecins pendant la crise. 

FS : Avez-vous changé vos objectifs par rapport à ceux initiaux ou bien avez-vous commencé à adresser d’autres problématiques ?

VG : On a essayé de comprendre, et ce faisant, nous sommes tombés sur des choses qui nous interpellent et qu’il va falloir traiter comme informations.

Notre objectif premier est toujours là : c’est de rétablir la prescription de l’hydroxychloroquine en médecine de ville.

FS : Pourquoi la prescription de l’hydroxychloroquine a-t-elle été interdite aux médecins généralistes selon vous ?

VG : Le gouvernement a invoqué une toxicité mais on sait très bien que l’hydroxychloroquine bien prescrite, bien surveillée ne pose pas de problème particulier.

FS : Même par un médecin généraliste ? 

VG :  Il faut rappeler qu’elle était en vente libre jusqu’au 15 janvier. Ça aussi, ça fait partie de l’incompréhension totale. Il s’agissait d’un médicament qui était en vente libre, donc vous alliez en pharmacie le 14 janvier vous demandiez quatre boîtes d’hydroxychloroquine et on vous les donnait, sans ordonnance. Et puis tout d’un coup on dit que c’est le médicament le plus dangereux au monde. Le Dr Martine Wonner, a revêtu sa casquette de parlementaire et a demandé à l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé) les données de pharmacovigilance de cette molécule entre 2017 et 2019.

Et l’analyse des données a bien montré qu’il n’y avait pas eu de problème majeur sur les trois années antérieures.

Après des échanges avec certains confrères de service de réanimation je crois avoir compris une chose dont on parle peu. Le problème avec l’hydroxychloroquine est qu’elle a été prescrite au début de l’épidémie avec beaucoup d’espoir et que mes confrères hospitaliers ont eu à faire face à ce qui a été étiqueté comme « effets secondaires cardiaques », sans que l’on ait pris le temps d’analyser chaque dossier. Il y a ensuite eu une confusion dans la communication puisqu’on a mis sur le même plan arrêt pour effet secondaire et arrêt pour inefficacité. Qui plus est, un dossier de pharmacovigilance demande beaucoup de travail d’analyse pour vérifier si un événement qui peut ressembler à un événement indésirable est bien un événement indésirable d’une molécule donnée. C’est ce qu’on appelle l’analyse d’imputabilité.

Je sais de source sûre que ce travail n’a pas encore été fait et qu’on a communiqué sur ces arrêts de traitement de façon déraisonnable, sans prendre en compte que les patients à qui l’hydroxychloroquine avait été prescrite, étaient à un stade clinique grave, avec souvent des comorbidités dont des pathologies cardio-vasculaires, parfois même méconnues des patients, que ces patients pouvaient avoir des atteintes cardiaques du COVID-19 (qui s’avèrent nombreuses) et étaient en plus sous d’autres thérapeutiques elles-mêmes potentiellement responsables d’effets indésirables.

En période d’urgence, il est compliqué de faire ces enquêtes de pharmacovigilance. Il faudra vraiment faire une analyse sérieuse et professionnelle des dossiers de pharmacovigilance pour vérifier si le problème majeur était ou pas l’hydroxychloroquine et si un lien était établi avec la molécule, de savoir si elle a été prescrite à des gens qui n’auraient pas dû la recevoir.

Dans tous les cas, ce cadre de prescription n’était pas du tout celui préconisé par l’équipe de l’IHU Méditerranée qui conseillait de l’utiliser en synergie avec l’azithromycine à un stade précoce de la maladie.

FS : Pourquoi de la désinformation ?

VG : Ça c’est ce qu’il faut analyser, c’est le travail des journalistes et pas le mien. Quel est le rôle des lobbys, etc. ? Comme tous, j’ai entendu la Professeure Karine Lacombe pendant des semaines tenir des propos défavorables à l’hydroxychloroquine et dire, il y a quelques jours, que sa prescription pouvait être envisageable en phase précoce. Entre-temps la presse a rappelé les conflits d’intérêt des uns et des autres.

Tout cela est sans doute encore plus complexe.

FS : Quelles sont les grandes réalisations qu’a fait le mouvement « Laissons les médecins prescrire » ?

VG : La première chose qu’on a faite c’est de demander au gouvernement de conduire une étude sur 1000 médecins COVID plus. On a envoyé au Ministère de la Santé le protocole, le cahier d’observation et on a demandé d’obtenir la délivrance du Plaquenil® pour les médecins dans cette étude. On avait appelé au préalable Sanofi et on savait que le laboratoire était prêt à nous donner des boîtes, même gratuitement, mais le laboratoire ne pouvait le faire sans le feu vert de la direction générale de la santé. Comme nous avons eu une fin de non-recevoir, les médecins qui devaient centraliser les observations, ont conduit une étude rétrospective sur les dossiers de patients qu’ils avaient traités du COVID-19 avant le blocage de l’hydroxychloroquine. 

Cette étude menée chez 88 médecins, soignants et leur famille, met en avant l’intérêt de la prescription de l’azithromycine seule et de l’association azithromycine-hydroxychloroquine. Ce qu’il est important d’affiner maintenant rapidement, ce sont les indications médicales de tel ou tel traitement.

Quel profil clinique de patient sera traité au mieux avec l’azithromycine seule et quel autre profil avec l’association.

D’autres actions, grâce aux membres du collectif, sont mises en place. Les juristes suivent avec attention les textes de lois qui sont en train de sortir, comme un texte en préparation pouvant mettre en danger les réserves financières de structures telles que la CARMF.

Nous avons préparé un recours devant le Conseil d’État, mis en attente temporairement mais qui pourrait redevenir d’actualité.

FS : Comment expliquez-vous la faillite des médias aujourd’hui ?

VG : Je pense que les médias maintenant sont détenus par des groupes d’influences et des groupes industriels, et que la presse n’a plus rien à voir avec le journalisme d’il y a trente ans. C’est bien qu’il y ait des journalistes, des médias indépendants qui se créent, mais ils n’ont pas la force de frappe des structures largement financées. Ce qui me choque énormément ce sont les interventions de personnes qui se disent spécialistes santé et qui sont totalement incompétentes sur le sujet du jour. Quant à certains médecins embauchés sur certaines chaînes qui se permettent de commenter la prise en charge du COVID-19 et de contredire nos propos, alors qu’ils/elles n’ont à l’évidence pas suivi un seul patient atteint de la maladie, c’est également grave.

FS : Il semble que lorsque vous voulez aborder le sujet de l’hydroxychloroquine à la télévision, on ne vous laisse quasiment pas parler. Comment l’expliquez-vous ?  

VG : Maintenant on fait du show, on ne fait pas du journalisme, on ne cherche pas forcément à faire de l’information. Ça crée sur du « short term » et ça empêche les réflexions. Les réseaux sociaux permettent l’existence de médias indépendants et l’échange entre les citoyens, et c’est bien. Il faut aussi que toutes et tous nous fassions notre expérience par rapport à toutes ces nouvelles technologies, et développions un esprit critique vis-à-vis de certaines news. 

Le collectif reçoit des tas de mails, je reçois même des courriers à mon cabinet et je ne suis pas la seule, “merci pour votre action, on est là, défendez les citoyens, continuez de vous battre…” C’est surréaliste. En fait je pense que beaucoup de gens de la population sont lucides, mais après, il y a interdiction de parler. Tout le monde est manipulé.

“Ne parlez pas, ne bougez pas, soyez confinés, ne sortez pas du rang, ne vous réunissez pas à plus de 10 personnes”. Cette crise questionne les libertés individuelles.

Un collectif, c’est important. Nous y avons puisé de la force dans une période dramatique sur le plan médical. De nombreux médecins ont été malades, certains très gravement, avec des séquelles, sans parler des morts. C’est toute la communauté des soignants qui a été touchée et quand il s’agit de nos patients, vous avez pu mesurer à quel point cette communauté est solidaire.

Nous nous devons de faire en sorte qu’une telle catastrophe ne se reproduise jamais, c’est pour cela que de nombreuses actions vont se poursuivre ou être initiées par la communauté médicale.

Mais c’est aussi à chaque citoyen d’agir pour l’avenir de sa santé et celle de sa famille.


[Notes]

Auteur(s): Guy Courtois pour FranceSoir




Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique

[Source : France Soir]

Auteurs : Dr Gerard Delépine chirurgien oncologue et statisticien et Xavier Azalbert

ANALYSE : Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés.  Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :  

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

Epidémie terminée et « en même temps » confinement relatif poursuivi 

Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

Un but subliminal : poursuivre la terreur ?

Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jetter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait « sauvé des vies », qu’il faut « craindre une deuxième vague » d’épidémie parce que « l’immunité collective serait insuffisante » (note 1,2,3), que « l’application stop Covid serait utile ». Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose. 

Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

Résultats comparatifs des pays confinés ou non, d’après les chiffres OMS

Les données publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Dans les pays confinés, les évolutions du nombre de contaminations quotidiennes avant et après le verrouillage, ne montrent en effet aucun signe de discontinuité (Note 9), ni dans leurs taux de croissance, ni dans leurs temps de doublement. Cette remarque a été le sujet d’un article bien documenté (Note 10). Ceux qui prétendent que le confinement aurait évité l’accélération, protégeant de fait d’une surcharge des hôpitaux, sont démentis par les faits que démontrent les résultats comparés entre pays voisins de même culture.

Résultats comparatif par pays sur le confinement – FranceSoir

Résultats comparatif par pays sur le confinement - FranceSoir

Infections cumulées Belgique versus Pays-Bas

Et si on compare la propagation de l’épidémie dans les pays adeptes du confinement autoritaire à la française à celle observée dans les autres pays, on s’aperçoit que le confinement aveugle a été délétère. A titre d’exemple, la comparaison des courbes d’infections cumulées entre la Belgique (confinée) et les Pays-Bas (non confinés), pays proches, suggère que le confinement policier aurait même pu accélérer l’épidémie. En effet c’est dix à quinze jours après le début du confinement belge que la propagation de l’épidémie s’accélère dans ce pays, alors qu’elle reste stable aux Pays-Bas non confinés.

Le confinement aveugle augmente le risque d’infection – FranceSoir

Le confinement aveugle augmente le risque d'infection - FranceSoir

Le bilan médical actuel du confinement aveugle franco-italien appliqué aussi en Belgique et en Espagne est catastrophique

Pour évaluer la balance avantages/risques du confinement, il ne faut pas se baser sur les résultats des simulations (Note 10) qui inventent des morts virtuels, théoriques, mais se baser uniquement sur les faits réels, avérés et publiés.

Mortalités comparées

D’après les données publiées par l’OMS le 30 mai 2020 (note 11), la mortalité directe du Covid19 est beaucoup plus élevée dans les pays qui ont pratiqué le confinement aveugle (sans séparer les porteurs de virus des autres) et autoritaire (avec contrôle policier), que dans ceux qui ont pratiqué la quarantaine ciblée (réservée aux seuls porteurs de virus) et fait confiance à leurs citoyens (conseillés et non astreints à domicile).

Au 29 mai 2020, exprimée par million d’habitants, la mortalité officielle directement liée au Covid19 atteint 810 en Belgique, 621 en Espagne, 548 en Italie et 459 en France, pays adeptes du confinement aveugle et policier, contre 100 en Allemagne, 98 au Danemark et 4 à 7 dans les pays asiatiques démocratiques qui n’ont pas confiné leur population.

En adoptant les mesures sanitaires de l’Allemagne, nous aurions probablement 23 000 morts de Covid19, en moins à déplorer. Et sans aucune mesure sanitaire, à l’instar des Pays-Bas, nous pourrions avoir eu 6100 morts directes du Covid19 en moins.

Mortalités comparées par méthode de confinement – FranceSoir

Mortalités comparées par méthode de confinement - FranceSoir

Morts de Covid19 ou suspectés, et morts « politiques « liées aux conséquences d’une mesure politique et non sanitaire (note 12)

A ce surplus de mortalité directe lié au confinement aveugle, il convient d’ajouter les victimes collatérales et en particulier les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, arrêt imposé par le plan Blanc (note 13) et les nouveaux malades qui n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades non reconnus urgents par les agences régionales de santé.

Les morts pendant le confinement, et les décès anticipés, non dus au Covid19 mais au retard de soins (note 14)

Depuis le début du confinement, 75000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. Même l’académie de chirurgie s’en inquiète dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Plus d’un million d’interventions auraient été déprogrammées, remises aux calendes grecques, puisqu’on ne sait toujours pas quand le véritable déconfinement aura lieu, et que les mesures déjà discutables au début de l’épidémie sont maintenant imposées alors qu’elles sont aujourd’hui devenues complètement inutiles.

De combien de morts supplémentaires ces retards aux traitements seront-ils responsables ? Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie (infarctus dont seulement la moitié des malades attendus se sont présentés en consultation), de neurologie (là aussi moitié moins d’accidents vasculaires constatés à l’hôpital), d’endocrinologie, rhumatologie etc. (note 15)

Alors que l’épidémie se termine et que les hôpitaux sont aux trois quarts vides, le plan blanc a interdit jusque récemment aux chirurgiens d’opérer (note 16), blocage maintenu par les agences régionales de santé pour une durée indéterminée et un nombre croissant de victimes supplémentaires. (note 17). L’étau semble se desserrer, mais les cliniques craignent de manquer de produits anesthésiques, alors que les besoins en réanimation sont en grande baisse.

Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte les complications psychologiques et en particulier les suicides liés à l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage que constate déjà la presse australienne (note 18, 19 20)et qui pourrait atteindre jusqu’à 150000 victimes aux USA si le déconfinement est trop lent (note 21). Ce bilan n’est pas près d’être terminé.

Les raisons du dramatique échec médical du confinement à la française

Les simulations des prophètes de l’OMS qui ont convaincu de nombreux gouvernements de confiner aveuglément leurs populations ont très largement surestimé le risque réel de la maladie virale et oublié les autres pathologies, le gain espéré de leur mesure et refusé de prendre en compte les complications médicales, sociétales et économiques qui s’annoncent catastrophiques. Nos gouvernants, plutôt que de croire ces prophètes de malheur auraient dû suivre l’exemple des pays asiatiques démocratiques qui ont protégé leurs populations du covid19 et des complications du confinement policier aveugle à la française.

Dans toute l’histoire de l’humanité la lutte contre les épidémies repose sur l’hygiène, la compréhension des modes de propagation des maladies infectieuses, la mise en place de mesures efficaces de désinfection et la séparation des porteurs de germes de la population saine.  Ainsi, actuellement le règlement sanitaire international prévoit en cas de peste, l’isolement de tout le groupe de voyageurs, même si une seule personne est touchée, tandis qu’en cas de fièvre jaune ou de choléra, seul l’isolement de la personne atteinte est obligatoire.

Le confinement aveugle de toute une population tel qu’il nous a été imposé est une mesure connue pour être inefficace. En France, elle avait été utilisée pour la dernière fois lors de la peste de Marseille entraînant la mort de la moitié de la population de la ville, sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence avec 70 000 victimes supplémentaires. Cette méthode du passé, remise à la mode par la dictature chinoise, a été présentée par le mathématicien -prophète de l’OMS, N Ferguson comme la méthode la plus efficace (note 23 24) de lutte contre l’épidémie.

Mais la simulation de l’Imperial College n’avait apparemment pas envisagé que le confinement d’un adulte malade à la maison (avec seulement du doliprane) constituait le meilleur moyen de contaminer toute la famille, voire les voisins.

Un confinement aveugle sans réflexion

Il eut fallu réfléchir à l’illogisme d’enfermer soignants, policiers ou agents de transport RATP, bus, etc. exposés à de fortes charges virales qui vont et viennent avec leurs familles bloquées à domicile, en milieu clos peu aéré (en raison de la peur transmise sur les médias du vol de virus à travers l’air extérieur, « au-dessus d’un nid de coucous »).

Même si les autorités n’y avaient pas pensé, rien ne les empêchait de rajuster la mise lorsqu’il apparut au début de l’épidémie et la virulence du coronavirus que les soignants étaient les plus rapidement et fortement touchés. D’ailleurs soulignons que les autorités nous ont vanté, tout au long de cet enfermement liberticide accompagné de mesures humiliantes, le modèle de Wuhan. Mais les Chinois, eux, recherchaient avec opiniâtreté les citoyens fiévreux dans les appartements et extrayaient les personnes suspectes pour les isoler rapidement de leur famille.

Nous n’avons retenu que l’autoritarisme chinois, mais moins la logique sanitaire.

Incompétence ou malveillance des ARS ?

Les directions des Agences Régionales de Santé ont imposé aux responsables d’EHPAD de garder les infectés de retour des urgences, y compris après un séjour à l’hôpital où ils avaient été étiquetés Covid19. Ils revinrent sans traitement autre que le doliprane et donc rien ne permettant de faire baisser la charge virale. Ils rejoignirent les autres résidents au moins dans les premières semaines et personne ne s’étonna de la forte contamination chez les ainés, de plus fragiles. N’auraient-ils pas dû comprendre qu’ils favorisaient ainsi la contamination de tous les pensionnaires pourtant les plus fragiles d’entre nous, ceux qu’ils devaient protéger ?

Au-delà du 20 Mars et la circulaire précédent le décret Rivotril du 26 mars (note 24) interdisant le traitement actif des ainés et autorisant l’injection de Rivotril en cas d’insuffisance respiratoire possiblement Covid, les patients ne furent même plus envoyés aux urgences pour préciser le diagnostic. Les habituels infarctus, embolies pulmonaires ou pneumonie bactérienne furent laissés de côté et le résident atteint bientôt euthanasié et étiqueté Covid19.

Que penser du ministre dont les décrets ont interdit la chloroquine soi-disant dangereuse pour prôner le Rivotril à coup sûr mortel en cas de complications respiratoires !

Curieusement, les simulations n’imaginèrent pas non plus que les soignants (qui ne disposaient pourtant pas de protection lors du premier mois de l’épidémie) puissent contaminer leurs malades venus consulter ou leurs voisins dans les transports publics.

Ni que les employés des transports publics et les policiers puissent être contaminés et contaminants parce que non protégés (même interdits de l’être par leur ministre). On entendit ainsi un haut responsable de la santé déclaré à la télévision que les soignants malades s’étaient infectés chez eux !

La sommation de ces erreurs explique que les pays adeptes du confinement strict, mais sans isolement des malades ou des personnes à risque, comme les soignants, comptent davantage de morts que ceux qui ont pratiqué les méthodes médicales éprouvées de l’endiguement (quarantaine) et même que ceux qui n’ont presque rien imposé à leurs populations (Pays-Bas, Suède, Islande).

Le rôle et la responsabilité de l’OMS, ainsi que de Neil Ferguson de l’Imperial College seront à évoquer en détail lors d’une enquête sur le devenir et l’efficacité de nos contributions à cette organisation ainsi qu’à ses publications.  La confiance n’excluant pas le contrôle, il sera d’autant plus important de conduire un audit approfondi des recommandations faites par l’OMS qui a ce jour donne plus le sentiment de se comporter comme la FIFA jadis.  Verra-t-on le prochain scandale venir des modes opératoires de l’OMS ? FIFA gate, OMS gate ?

Il faudra aussi auditer les décisions publiques autoritaires qui ont été prises en France ont été particulièrement nocives et justifient des enquêtes approfondies (note 25) pour éviter que cela ne puisse se reproduire.  Un regard sur la politique italienne de réduction de la mortalité journalière est parlant.

Italie tendance avant et après hydroxychloroquine FranceSoir

Italie tendance avant et après hydroxychloroquine FranceSoir

Heureusement, l’épidémie se termine en France comme dans les autres pays d’Europe

Les données publiées par l’OMS montrent que l’épidémie se termine en Europe continentale et en Méditerranée orientale. Depuis la seconde semaine d’avril, le nombre moyen quotidien de nouvelles contaminations a régulièrement diminué ; ce recul atteint 92% en France et dépasse les 85% chez la plupart de nos voisins, même ceux qui présentaient les plus gros chiffres de contaminations depuis le confinement.

L’épidemie recule dans les pays voisins FranceSoir

L'épidemie recule dans les pays voisins FranceSoir

La comparaison de l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, proches par leur situation géographique et leurs modes de vie, est particulièrement frappante et questionne une fois de plus sur l’utilité même du confinement. En effet, les Pays-Bas, qui n’ont pas restreint les libertés publiques, bénéficient de la même régression (83%) de l’épidémie et dans les mêmes délais que la Belgique confinée policièrement après avoir pleuré au total 344 décès par million d’habitants contre 810/1000000 en Belgique.

Il n’y aura pas de deuxième vague (note 26) ou se sera une vaguelette comme pour les autres épidémies

Lors des épidémies virales il n’existe pratiquement jamais de deuxième vague du même virus. Il y a eu précédemment deux épidémies comparables : le SRAS et le Mers et aucune ne s’est exprimée en plusieurs vagues.

Après quelques mois et sans qu’on ne sache pourquoi, l’épidémie s’éteint même si au total peu de personnes ont été immunisées. Contrairement à ce que prétendent les simulations et en particulier celle de Ferguson ou de ses élèves de l’institut Pasteur parisien, ce n’est pas le pourcentage de personnes immunisées qui explique l’arrêt des contaminations.

Le professeur Jean-François Toussaint, lors d’un entretien à la Charente Libre, précise que l’hypothèse d’une deuxième vague est très peu crédible « sur l’analyse dans les 188 pays qui ont déclaré des cas et sur la dynamique évolutive de la maladie ».

Mais certaines épidémies, comme la grippe dont le virus ne dure le plus souvent qu’une saison, reviennent chaque année.

Et jusqu’ici, nous surmontions ces épreuves sans imposer à la population des mesures autoritaires injustifiées et souvent ubuesques qui ont aggravé la situation sanitaire immédiate et impacté l’économie pour plusieurs années.

Le tsunami économique qui nous attend sera pire que celui de 1930

Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (Note 27), les huit semaines de confinement ont déjà diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros (soit 5 points de PIB). Les secteurs les plus durement touchés sont ceux des transports, de l’hébergement et de la restauration, la construction et les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du rétablissement ralenti par la persistance incongrue des mesures de déconfinement, l’impact global pour 2020 serait de -10 points de PIB.

D’après l’INSEE, le PIB français diminuerait d’environ 20 % au deuxième trimestre 2020 (après –5,8 % au premier). Ce serait la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948. Même si l’activité économique revenait intégralement à son niveau d’avant crise dès le mois de juillet, le PIB français diminuerait de 8 % sur l’année 2020, or un retour aussi rapide à la normale semble peu réaliste. L’impact global de la crise sanitaire en 2020 sera donc certainement supérieur à ce chiffre.

L’Organisation Internationale du Travail alerte sur les ravages sanitaires et sociaux de la crise qualifiant l’impact sur l’emploi de profond, d’une grande portée et sans équivalent. 1,25 milliard de travailleurs sont exposés à des licenciements, pertes d’activité et de revenus, du fait du confinement dans le monde.

Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée :  celle du « Grand Confinement » par Gita Gopinath.  Selon les prédictions du FMI, l’économie mondiale va connaître « sa pire récession depuis la Grande Dépression ».

Et lorsqu’on constate que l’étendue (5 817 385 infectés) et la mortalité mondiale (362 705) du Covid19 au 30 mai, se situent dans la fourchette basse des grippes saisonnières (environ 20 millions d’infectés et 290 000 à 550 000 morts), on peut déplorer que les mesures injustifiées pour lutter contre une fausse pandémie aient créé une vraie misère.

En urgence, lever les mesures liberticides inutiles et toxiques

Ces constatations conduisent à demander en urgence aux décideurs de lever les mesures coercitives de confinement encore imposées : 

Reprendre les activités scolaires partout, à tous les âges et sans mesure de distanciation ni masques, particulièrement chez les petits très traumatisés par ce théâtre tragique.

Libérer les « EHPAD » dans lesquels nos ainés sont devenus des bêtes de zoo, dans leurs prisons même pas dorées. (Note 28) Signez les pétitions pour accélérer leurs sorties de prison, alors que leur seule faute est le grand âge et/ou la dépendance.

Libérez l’activité économique, dans les cafés, restaurants etc. Ces mesures de distanciation imposées sont grotesques, alors que l’épidémie se termine et bloquent de fait la reprise économique dont le pays a tellement besoin.

Impérativement rendre aux médecins de ville et d’hôpital leur liberté de soigner, en particulier libérer la prescription de chloroquine après le triste feuilleton de l’étude biaisée ou inventée du Lancet et la décision brutale du ministre d’aggraver encore le décret mortifère du 26 Mars.

Abroger les décrets liberticides du 26 mars et sa prolongation injustifiée.

Faire stopper complètement le plan blanc, afin que les chirurgiens puissent reprogrammer leurs patients, les rassurer et finalement les soigner. Le bilan spécifique du plan blanc devra être passé à la loupe, car complètement inutile et extrêmement toxique pour les patients et leurs équipes chirurgicales. 

Selon Frédéric Bizard, « l’impact sur le volume de la crise Covid19 a été estimé en chirurgie avec une baisse comprise entre 1,7 million et 2 millions d’actes chirurgicaux, soit une chute du volume comprise entre 25% et 29% selon la date de levée du plan blanc. L’évolution des tarifs a été estimée selon les engagements gouvernementaux de 2019 pour les années 2020 à 2022 en chirurgie.  L’impact économique global est compris entre 4,2 milliards d’euros et 5 milliards d’euros de baisse des dépenses de chirurgie pour l’assurance maladie en 2020 ». (Note 29)

Activités médicales interdites pour RIEN ! Tout Covid, rien que Covid

Les lits libérés restèrent vides tant en privé qu’en public, et la surcharge en réanimation jamais soulagée par cette privation générale d’activité, les ARS, encore elles, ayant refusé de transférer les malades dans les lits privés (sauf en IDF dans quelques établissements), préférant jouer à la guéguerre à coups d’hélicoptères, et de TGV avec transferts en France ou à l’étranger.  En public, ce fut la même chanson, pas d’autres malades que covid19 sauf urgence extrême. Les internes se sont beaucoup ennuyés pendant deux mois et racontent avec beaucoup d’émotion les pertes de chance de leurs patients « habituels ».

Quant au Ségur (Note 30), il est certain que si l’on en espère quelque chose, il serait impératif qu’il se déroule avec une équipe neuve, sous la houlette d’un ministre non responsable des erreurs récentes avant et pendant la crise sanitaire, et surtout après la prise de position ahurissante du ministre de la santé interdisant la chloroquine sur la foi d’un article complètement caviardé, qu’il ne peut avoir lu, et qui fait de nous la risée du monde entier.

Bien curieux film que la gestion de ce Covid19 qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire. Pas crédible !


[Notes]

Note 1 : Jean-François Delfraissy, le Président du conseil scientifique, a annoncé que « le taux d’immunité de la population française face au coronavirus est plus faible que prévu ».

Note 2 : Simon Cauchemez dans Le Monde « dans tous les cas, on sera très loin des 70 % dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème »

Note 3 : Toute cette propagande de la terreur repose sur des simulations mathématiques dont « l’étude de Pasteur qui a utilisé l’un des meilleurs modèles qui existe actuellement » ; ce modèle prédisait 70000 morts en Suède si elle refusait de confiner. La Suède n’a pas restreint les libertés et ne comptait au 30 mai que 4266 morts soit quatorze fois moins qu’annoncé.

Note 4 : Allez sur réglages, confidentialité, puis santé avec un cœur rouge et là si installée, désinstaller et vérifier régulièrement, sauf si vous souhaitez cette application, mais ce doit être un choix et non pas une manœuvre cachée.

Note 5 : La soi-disant « deuxième vague » de la grippe espagnole était en fait une poussée d’infections bactériennes favorisées par la malnutrition et l’épuisement de la population après l’épidémie de grippe ; une telle complication ne peut plus se reproduire depuis l’arrivée des antibiotiques (sauf si on refusait d’en donner aux patients comme cela s’est passé avec l’injonction Rivotril et rien d’autre, imposée en début d’épidémie de Covid, mais les français se seront réveillés.

Note 6 :  http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 7 https://ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-i…

Note 8 La dernière fois que cette technique a été utilisée en France au 18ème siècle, elle a abouti à la mort de 50% de la population marseillaise sans empêcher l’extension de l’épidémie à la Provence (70000 morts supplémentaires) et à l’Italie.

Note 9 : Analyse de recherche de changement de tendance (break point analysis) négative = aucune différence sur la vitesse de propagation du virus n’est apparue entre la période d’avant le confinement et pendant le confinement. Le confinement n’a pas ralenti l’épidémie contrairement à trop de racontars sur les TV. Seuls les chiffres font foi.

Note 14 : http://www.academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/6ef75…

Note 15 : http://academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/449c6ce34…

Note 16 : www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confi… ?

Note 17 : https://youtu.be/eay-Txlr-GQ

Hôpitaux & Cliniques : Interdiction d’opérer » Dr Nicole DELÉPINE 16 MAI 2020

Note 18 : https://www.telegraph.co.uk/news/2020/05/07/australia-fears-suicide-spike-due-virus-shutdown/

Note 19 : https://www.breitbart.com/health/2020/05/07/report-suicide-rise-from-lockdowns-to-kill-more-than-coronavirus-in-australia/

Note 20 : https://www.sbs.com.au/news/australia-s-suicide-rate-could-surge-due-to-economic-fallout-of-coronavirus

Note 21 : Petterson, Steve et al. “Projected Deaths of Despair During the Coronavirus Recession,” Well Being Trust. May 8, 2020. WellBeingTrust.org

Note 22 : Présentée comme le technique ‘extinction’ de la maladie dans la simulation du rapport 9 d l’Impérial College

Note 23 : http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 24 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…

Note 25 : Car il s’agit de récidivistes ; les précédentes simulations de Ferguson sur le Sida, la grippe H1N1, la maladie de la vache folle, l’Ebola ont été toutes aussi fausses, exagérant à chaque fois considérablement les risques

Note 26 : http://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-genese-et-consequences-dune-hys…

Note 27 : Evaluation au 20 avril 2020 de l’impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de confinement en France”,

Note 28 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/epidemie-terminee-mesures-224795

Note 29 : Et combien d’autres professions impactées : « l’activité chirurgicale génère en amont du geste opératoire de l’activité pour d’autres secteurs (secrétariats médicaux, analyses biologiques, prothèses, masques, produits d’hygiène, activités de recherche…) ainsi qu’en aval (infirmières, aide soignantes, kinésithérapeutes en ville, soins de suite, ambulances, taxis, laboratoires d’anatomopathologies…). »

Note 30 : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus-et-…

Auteur(s): Dr Gerard Delépine chirurgien oncologue et statisticien et Xavier Azalbert pour FranceSoir




Facebook et Mark Zuckerberg se placent au-dessus de la souveraineté des états — un séisme social

[Source : France Soir]

Auteur(s) : Xavier Azalbert pour FranceSoir

Le rôle des GAFAM dans la crise du Covid-19 (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) devient de plus en plus contesté.  D’un côté ils ont facilité le télétravail, la continuité de l’activité, le lien social et l’échange d’information avec une augmentation du trafic et de l’usage des services et outils offerts. D’un autre leur rôle de « média » devient de plus en plus contesté culminant avec la déclaration de Mark Zuckerberg ce mercredi 29 juillet lors d’une audition sur la loi antitrust :

« Si quelqu’un dit que l’hydroxychloroquine est un remède contre la COVID, nous le retirerons »

Un jour avant Twitter, Facebook et YouTube avaient tout simplement censuré des tweet de Donald Trump, ou une vidéo de médecins demandant la liberté de prescrire et relatant le traitement réussi avec de patients Covid-19.  A ce jour la vidéo du Dr Sapan Desai, le fondateur de Surgisphere, dont l’étude frauduleuse a été retirée, est elle toujours en ligne!  Un séisme dans le monde des GAFAM et des réseaux sociaux.  Les citoyens se plaignent de plus en plus de la couverture de la crise par les médias mainstream.  Cette perte de confiance envers la parole des médias, entraine une augmentation des échanges entre citoyens ou les médias alternatifs.  

Ce qu’il y a de plus important à la lecture de cette déclaration est lié au fait que Facebook a probablement la moitié de ses 2.6 milliards d’utilisateurs dans des pays ayant choisi une thérapie médicale contre la Covid 19 incluant de l’hydroxychloroquine.  A la lecture de la déclaration de Zuckerberg, des questions ont fusé sur internet

« à quoi joue Facebook à supplanter la souveraineté de nos états » écrit un internaute. 

Il sera intéressant d’observer comment les citoyens de ces pays, devant cette « censure subie », blacklistent à leur tour Facebook ou YouTube ou Twitter.

« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe ».

Jean Jaurès, Discours à la jeunesse, 1903.

Le monde d’après Covid-19 amène les citoyens vers des paradoxes importants.  La plupart questionnent la politique de Trump, ses déclarations fracassantes, son omni présence sur les réseaux sociaux, et ce que certains vont jusqu’à caractériser comme un « manque d’intelligence ». Au travers de ces évènements récents, Trump ressortira-t-il comme incarnant le pragmatisme et le « bon sens » devant l’adversité de ses opposants à la course à la maison blanche, ou les lobbys des BigPharma qui paraissent avoir noyauté les instances les plus profondes des états ?  La position de la Chine sur son indépendance sur les outils des réseaux sociaux sera-t-elle considérée aujourd’hui comme une position saine vis-à-vis des GAFAM alors qu’il y a encore quelques temps les mêmes observateurs considéraient la censure chinoise comme inacceptable ?

Les recommandations du comité judicaire de la Chambre sur la loi antitrust concernant Amazon, Apple Facebook Google seront révélatrices de ce que l’avenir réserve.  En guise d’introduction lors de l’audition, il a été fait référence à la situation monopolistique des transports ferroviaires au début du siècle dernier, puisque le citoyen américain n’avait pas qu’un choix unique.  Aujourd’hui l’histoire se répète puisque les citoyens n’ont pas d’autres choix que de passer par un des GAFAM.  Il y a 20 ans Bill Gates et Microsoft étaient devant cette commission, pour défendre leur comportement monopolistique et dominant au moment où Google lançait son service de recherche sur internet et navigateur.  Cette semaine ils étaient absent.

Une audition de plus de 5 heures

Lors d’une audition du comité judiciaire de la Chambre sur la loi antitrust avec les PDG d’Amazon, Apple, Facebook et Google, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré que les publications positionnant l’hydroxychloroquine en tant que remède contre le coronavirus seraient supprimées.

« Nous ne voulons pas devenir les arbitres de la vérité. Je pense que ce serait une mauvaise position pour nous et non ce que nous devrions faire », a déclaré Zuckerberg. « Mais sur des éléments spécifiques, si quelqu’un va sortir et dire qu’il est prouvé que l’hydroxychloroquine guérit le COVID, alors qu’en fait il n’a pas été prouvé qu’il guérit le COVID, et que cette déclaration pourrait conduire les gens à prendre un médicament qui dans certains cas, certaines données suggèrent que cela pourrait être nocif pour les gens, nous pensons que nous devrions supprimer cela. « 

« Mark Zuckerberg: Si quelqu’un dit que l’hydroxychloroquine est un remède contre le COVID, nous le retirerons. « 

Jim Sensenbrenner membre du congrès a défié Zuckerberg et a suggéré qu’il s’agissait d’un «sujet légitime de discussion» et que les patients et leurs médecins devraient décider si l’hydroxychloroquine est le bon médicament:

«Il y a encore un débat sur son efficacité sur le traitement ou la prévention du COVID-19 et je pense que c’est un sujet de discussion légitime et qu’il appartiendrait à un patient et à son médecin de déterminer si l’hydroxychloroquine était le bon médicament, vous savez, compte tenu des circonstances.

Facebook et Zuckerberg supplantent donc la liberté de prescrire et l’opinion des médecins individuels

Zuckerberg a insisté sur le fait que Facebook rendrait la décision finale, quelle que soit l’opinion de certains médecins sur la question, et que la position de Facebook est la suivante:

«Déclarer qu’il existe un remède éprouvé pour le COVID alors qu’il n’y en a pas, en fait, pourrait encourager quelqu’un pour aller prendre quelque chose qui pourrait avoir un effet indésirable, alors nous le supprimons. »

Ce commentaire intervient deux jours après la censure par Facebook, YouTube et Twitter  d’une vidéo virale et de messages de plusieurs médecins soutenant l’hydroxychloroquine comme option de traitement du coronavirus .

Le Dr Simone Gold, médecin et avocat certifié par le conseil d’administration qui était l’organisateur principal de la conférence de presse censurée, a déclaré qu ‘

«il y a toujours des points de vue opposés en médecine» et que les options de traitement pour le coronavirus devraient être débattues et discutées, non censurées et silencieuses.

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques, énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. Les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne qu’hors ligne. 

Le débat médical restant légitime, l’expression de cette censure ayant des conséquences importantes sur la santé ne saurait reposer sur une personne unique.




“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”

[Source : CovidInfos]

message alerte

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Un collectif de professionnels de santé a lancé ce jour un “Message d’alerte international” adressé aux gouvernements et citoyens du monde entier. Parmi les signataires, des médecins de nombreux pays et plusieurs professeurs en médecine dont le microbiologiste Martin Haditsh.

Le collectif revient sur la dangerosité réelle du virus, la manipulation des chiffres, le rôle de l’OMS, les conséquences du confinement ou du port du masque, et demande notamment aux gouvernements de “lever toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens”. Vous pouvez télécharger l’intégralité de cette lettre ici en français, ou ici en anglais.

Les professionnels de santé qui le souhaitent sont invités à rejoindre le collectif “United Health Professionnals” à l’adresse join.unitedhealthprofessionals@gmail.com

Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

1. Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.

Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.

On nous dit :
«Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux» et nous répondons : C’EST FAUX. Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale. Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée. Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole.

– «Mais, c’est un virus nouveau» et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a cités étaient aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte.

– «Mais, on n’a pas de vaccin» et nous répondons : au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

– «Mais, ce virus est beaucoup plus mortel» et nous répondons : C’EST FAUX. Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises- : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%).

– «Mais, la COVID-19 est une maladie grave» et nous répondons : C’EST FAUX. Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe».

– «Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et nous répondons : dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000.

– «Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST FAUX. La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe et qu’à cette époque, on parlait même de : “tsunami” de patients dans les hôpitaux, “d’hôpitaux saturés”, de tentes érigées à l’extérieur des hôpitaux, de “zones de guerre”, “d’hôpitaux effondrés” et d’un “état d’urgence”. […]

2. Nous disons : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure […], graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerres. […]

3. Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

4. Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

5. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques.

Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition d’un cas en épidémiologie est : «la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence». Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger.

6. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID- 19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu’un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l’hôpital, sera toujours compté comme un décès COVID même s’il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard. Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

7. Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi- systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts.

8. Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques. Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés. Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9. Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque. Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. […]

10. Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace. Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie. Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé et le transforme en nid à microbes. “Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l’enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager”, a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste. Lorsqu’on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu : «En raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger». […] Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité. D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

11. Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste. Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias. Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

12. Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc.) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique. Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque. Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit : «Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale». Le Professeur Didier Raoult dit : «La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques…». […]. Le Professeur Maël Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : «politique, pas scientifique». Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. […]

13. Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. […]

14. Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques, sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent : «Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous».

15. Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.
Les succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme.

L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels -surtout pharmaceutiques- et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous- estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes) a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.

À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a conduit à la situation où “inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés” et que, pour une souche de grippe, elle était “beaucoup moins nocive” que toutes les épidémies de grippe précédentes. Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une “fausse pandémie”, l’a qualifiée de “l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle” et a demandé l’ouverture d’une enquête.

En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde. Selon un rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : «gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé…De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique». L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il a été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : «c’est une réunion privée»…

16. Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés en particulier celui qui a fait la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde. En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à l’épidémie. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à l’ancienne», a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine !

Une fois, il a aussi qualifié la Chine de «très ouverte» et «très transparente». Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte de l’épidémie doit se faire avec des “méthodes à l’ancienne” ?

Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises sont : “agiles et ambitieuses”), les pays du monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive alors que ce n’est absolument pas le cas.

[…] Des élus Canadiens de la Chambre des communes ont même sommé ce responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. […]

La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l’étranger ont été “isolés” !

Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. L’OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine. Quelques pays seulement ont refusé d’imiter bêtement les autres, comme la Suède ou la Biélorussie qui peuvent être félicités. […]

17. Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS car elle n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu. Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé d’un pays européen a répondu : «C’est une décision de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins nécessaires».

Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les conseillent et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ; Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen : «Un membre éminent de la commission Maladies transmissibles de ce Haut Conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros de [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce Haut Conseil qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants…je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts…Si un membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à la rédaction de l’avis…Or en bas de cet avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement au règlement». […]

18. Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles de confinement. En effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS avait dit que :

– 50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés.
– la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés.
– la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés. Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à dénoncer l’argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de 116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1.

Et aujourd’hui, c’est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu’ils ont donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en France ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces modélisations de : «forme moderne des divinations».

Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur préconisait. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement : «Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures fantaisies». Le fameux slogan international : «Restez chez vous, sauvez des vies» était une affirmation tout simplement mensongère. Au contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.

19. Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes :
– Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin.

– C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace.

– Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation et certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à l’avenir.

– Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants :
en 2004, l’un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d’autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.

– Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé.

– La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).

Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la grippe H1N1 : «Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow».

L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 : «Quand il y a une épidémie comme le COVID, nous on voit : mortalité, quand on est médecin,…ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars…vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des milliards».

Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : «On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale». Le site internet du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit : «L’épidémie est terminée en France…en tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : Il faut non seulement refuser ces vaccins [contre la COVID-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production».

– Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques :
comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.

– Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent des citoyens ! À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé. Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont été «choqués» par cet accord.

– Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) :

Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la narcolepsie.

[…] Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times: “Il n’y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments”. Parmi les enfants victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti- narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l’aider à rester éveillé pendant la journée à l’école. […] Les familles ont subi un calvaire qui a duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les états qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen ![…]

20. Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour, […] 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays, des entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits – touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis, etc. […]

21. Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.

Le professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la normale n’est pas fondée, selon l’Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?»45. Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect». Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou». Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du confinement : “mesures grotesques, absurdes et très dangereuses…un impact horrible sur l’économie mondiale…auto- destruction et suicide collectif…”. Une enquête internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables doivent être jugés.

22. Nous disons aux citoyens : pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et documentées.

23. Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT. Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller ! Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales «made in China» seront imposées. Vous devez REFUSER ça. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie. Le Docteur Anders Tegnell a dit : «Le monde est devenu fou» en mettant en place les confinements qui «vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus».

24. Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif : United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes : prénom, nom, profession et pays à : join.unitedhealthprofessionals@gmail.com

La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

SIGNATAIRES :

Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, Austria
Ghislaine Gigot, general practitioner, France
François Pesty, pharmacist, France
Catherine Raulin, general practitioner, France
Laurent Hervieux, general practitioner, France
Geneviève Magnan, nurse, France
Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg
Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium
Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile
Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France
Daniele Joulin, general practitioner, France
Mohamed Zelmat, clinical biologist, France
Nadine Blondel, nurse, France
Hélène Banoun, clinical biologist, France
Estelle Ammar, speech therapist, France
Caroline Durieu, general practitioner, Belgium
Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland
Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America
Fabien Quedeville, general practitioner, France
Michel Angles, general practitioner, France
Dominique Carpentier, general practitioner, France
Christophe Cornil, plastic surgeon, France
Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium
Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America
Tasha Clyde, nurse, United States of America
Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany
Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician, Belgium
Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France
Karim Boudjedir, hematologist, France
Caroline Heisch, osteopath, France
Eric Blin, physiotherapist, France
Vincent Schmutz, dental surgeon, France
Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa
Virginie Merlin, nurse, Belgium
Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium
Marie-José Eck, general practitioner, France
Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France
Christine Villeneuve, psychotherapist, France
Philippe Voche, plastic surgeon, France
Gérard Bossu, osteopath, France
Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America
Richard Amerling, nephrologist, United States of America
Phil Thomas, general practitioner, South Africa
Manfred Horst, allergologist and immunologist, France
Sybille Burtin, public health physician, France
Chantal Berge, nurse, France
Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France
Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium
Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon
Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium
Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic
Cerise Gaugain, midwife, France
Delphine Balique, midwife, France
Marion Campo, midwife, France
Olivier Chailley, cardiologist, France
Johan Sérot, physiotherapist, France
Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium
Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak
Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America
Pascal Leblond, nurse, France
Sybille Morel, nurse, France
Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France
Graziella Mercy, nurse, France
Pierre Maugeais, general practitioner, France
Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America
Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico
Martin Boucher, nurse, Canada
Evelyne Nicolle, pharmacist, France
Agnès Dupond, general practitioner, France
Azad Mitha, general practitioner,
France Ines Heller, physiotherapist, France
Marie Laravine, nurse, France
Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak
Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America
Mary Baty, dental hygienist, United States of America
Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru

Vous pouvez télécharger l’intégralité de cette lettre ici en français, ou ici en anglais.

Toutes les références des citations et publications se trouvent dans les documents ci-dessus.




Message d’alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde

[Source : Cogiito]

Image by PublicDomainPictures from Pixabay

Voici une des prises de position les plus importantes de professionnels de la santé concernant l’imposture du COVID-19. Vous pouvez la télécharger et la diffuser comme bon vous semble.

Plus de personnes seront informées et prendront connaissance de ce document, plus nous pourrons conserver notre liberté de penser, d’être et d’action.

Diffusez, diffusez… Freedom, Freedom, Freedom!

STOP : À LA TERREUR, À LA FOLIE, À LA MANIPULATION, À LA DICTATURE, AUX MENSONGES ET À LA PLUS GRANDE ARNAQUE SANITAIRE DU 21E SIÈCLE

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26 Août 2020,

Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

1. 

Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2. (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.

Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là. On nous dit :

«MAIS, LE SARS-COV-2 EST TRÈS CONTAGIEUX» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale1.

Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée2,3. Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole.

« MAIS, C’EST UN VIRUS NOUVEAU » 

ET NOUS RÉPONDONS :

H1N1 et les autres virus qu’on a cités était aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte4.

«MAIS, ON N’A PAS DE VACCIN» 

ET NOUS RÉPONDONS :

Au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

« MAIS, CE VIRUS EST BEAUCOUP PLUS MORTEL » 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises – : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie5. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%).

«MAIS, LA COVID-19 EST UNE MALADIE GRAVE» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe6 et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe»7.

« MAIS, IL Y A DES PERSONNES ASYMPTOMATIQUES » 

ET NOUS RÉPONDONS :

Dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus8. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000.

«MAIS, CE VIRUS ENTRAÎNE UNE SATURATION DES HÔPITAUX» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe9 et qu’à cette époque, on parlait même de : « tsunami » de patients dans les hôpitaux, « d’hôpitaux saturés », de tentes érigées à l’extérieur des hôpitaux, de « zones de guerre », « d’hôpitaux effondrés » et d’un « état d’urgence ». Et pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

2. 

NOUS DISONS : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure (peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13,000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord), graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerresUn editorial5 publié dans l’European Journal Of Clinical Investigation a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures extrêmes prises non fondées sur des preuves, des informations exagérées sur la dangerosité réelle du virus et des fake news propagées (y compris par des grandes revues). Certains ont même comparé cette pandémie à la celle de la grippe de 1918, ce qui est un MENSONGE et une manipulation puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui n’a absolument rien à voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.

3. 

Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

4. 

Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité10 (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

5. 

Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques.

Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition11 d’un cas en épidémiologie est : 

«la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence».

Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger.

6. 

Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID- 19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi12. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen13 ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu’un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l’hôpital, sera toujours compté comme un Décès COVID même s’il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard.

Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

7. 

Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi- systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts14.

8. 

Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques.

Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie7, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés15. Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9. 

Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque.

Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. Un article scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a démontré que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui- même.

10. 

Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace.

Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie.

Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé16 et le transforme en nid à microbes.

« Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l’enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager »,

a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste.

Lorsqu’on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu :

« en raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger ».

Même les dentistes ont récemment mis en garde contre les effets graves sur la santé bucco-dentaire car ils constatent que le port de masque de façon prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des maladies parodontales ou une très mauvaise haleine.

«Nous voyons beaucoup de gens avec plus d’inflammation, plus de caries et de maladies des gencives… Nous constatons une inflammation des gencives des gens qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n’en ont jamais eu auparavant… Environ 50% de nos patients sont impactés par cela »,

déclare le Docteur Rob Ramondi, un dentiste.

« Les gens ont tendance à respirer par la bouche plutôt que par le nez lorsqu’ils portent un masque… La respiration buccale provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents… Les patients nous disent : « wow, mon haleine sent, j’ai besoin d’un nettoyage ». [mais] quand vous avez une mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries sur votre langue à cause de la bouche sèche… Les maladies des gencives – ou les maladies parodontales- entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque»,

explique le docteur Marc Sclafani, un autre dentiste.

De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués.

Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité.

D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

11. 

Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste.

Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias17. Faire cela relève de la folie.

Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

12. 

Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique.

Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque 5.

Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit :

«Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale».

Le Professeur Didier Raoult dit :

«La décision du confinement comme la décision des masques… ne reposent pas sur des données scientifiques…».

Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret Sietsema, expertes en protection respiratoire, disent :

«Nous ne recommandons pas d’exiger du grand public qui ne présente pas de symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en tissu ou chirurgicaux car : il n’y a aucune preuve scientifique qu’ils sont efficaces pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…».

Le Professeur Maël

Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : « politique, pas scientifique ».

Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec les 8 millions de tonnes de plastique qui sont déjà déversées chaque année dans les océans, les masques et les gants viennent ajouter une nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement dangereuse pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1% des masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont 10 millions de masques qui finiraient chaque mois dans l’océan18. De plus, les masques chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer ! Nous disons donc aux gouvernements :

13. 

Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui ont soutenu les citoyens en s’agenouillant avec eux. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

STOP à ces mesures illégales et dangereuses du port obligatoire du masque.

14. 

Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques.

Sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent :

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous ».

15. 

Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.

Les succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme.

L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels – surtout pharmaceutiques – et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous- estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes)19 a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.

À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a conduit à la situation où « inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés » et que, pour une souche de grippe, elle était « beaucoup moins nocive » que toutes les épidémies de grippe précédentes20Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une « fausse pandémie », l’a qualifiée de « l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle » et a demandé l’ouverture d’une enquête.

En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde.

Selon un rapport21 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS :

« gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé… De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique ».

L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan 22. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : « c’est une réunion privée »

16. 

Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés, en particulier celui qui a fait la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde.

En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à l’épidémie23. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à l’ancienne», a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine !

Une fois, il a aussi qualifié la Chine24 de «très ouverte» et «très transparente». Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte de l’épidémie doit se faire avec des « méthodes à l’ancienne » ?
Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises sont : « agiles et ambitieuses »), les pays du monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive alors que ce n’est absolument pas le cas.

Heureusement, une interview réalisée avec lui a montré une partie importante de la vérité et les conflits d’intérêts de l’OMS avec la Chine lorsqu’une journaliste lui a posé une question sur le refus de l’adhésion de Taiwan (qui est en conflit avec la Chine) par l’OMS : il a fait semblant de ne pas entendre la question puis quand cette dernière lui a été reposée, il a coupé la communication ! (la vidéo a été visionnée plus de 8 millions de fois)25. C’est lui aussi qui a dit fin Février :

« Il n’existe actuellement qu’un seul médicament duquel nous pensons qu’il pourrait avoir une réelle efficacité : le remdesivir » .

Comment peut-il dire cela avant même la sortie des résultats ? Et pour quelles raisons l’a-t-il dit ?

Des élus Canadiens de la Chambre des communes26 ont même sommé ce responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. En plus, des mois après : le monde a découvert que ces chiffres n’étaient même pas vrais ! Récemment, trois pays Africains ont expulsé des représentants de l’OMS parce que, selon certains de ces états, ils falsifiaient le nombre de cas en les gonflant.

Les gens qui sont derrière le confinement, la psychose et la terreur mondiales, lorsqu’ils voient la ruée des gens vers les magasins, les gens se disputer pour des pâtes ou du papier toilette, les distances d’1 mètre comme si c’était la peste, les gens confinés comme s’ils étaient des animaux, les rues désinfectées, les policiers frappant les citoyens qui sortent, les drones et les hélicoptères mobilisés, les gens sortant avec des attestations, le port de masque malgré la fin de l’épidémie et le fait que les gens ne soient pas malades, il n’est pas exclu qu’ils soient en train de rire de la facilité avec laquelle ils ont manipulé des pays entiers et peut être même qu’ils les traitent de moutons.

La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l’étranger ont été « isolés » !

Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. L’OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine.

QUELQUES PAYS SEULEMENT ONT REFUSÉ D’IMITER BÊTEMENT LES AUTRES, COMME LA SUÈDE OU LA BIÉLORUSSIE QUI PEUVENT ÊTRE FÉLICITÉS.

Le président d’un pays européen a eu raison de dire : «Il ne s’agit que d’une psychose plus dangereuse que le virus lui-même». Des experts de renommée internationale ont qualifié l’alerte mondiale de «disproportionnée. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit : «Il me semble que l’OMS a une très grande responsabilité en n’ayant pas su établir la priorité, en ayant continué inlassablement à répéter qu’il s’agissait d’une menace pour l’humanité» (Journal International de Médecine, 13 Juin 2020).

17. 

Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS, car ce n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu.

Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé27 d’un pays européen a répondu :

« C’est une décision de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins nécessaires ».

Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les conseille et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ; Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen :

« Un membre éminent de la commission maladies transmissibles de ce haut conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros d’ [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce haut conseil qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants… Je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts… Si un membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à la rédaction de l’avis… Or, en bas de cet avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement au règlement ».

Un ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine a déclaré :

« La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d’être les agents rémunérés de l’industrie pharmaceutique. je pense que c’est honteux »28

Ceci ne doit bien sûr pas être généralisé sur tout le monde.

18. 

Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles de confinement.

En effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS avait dit que :

  • 50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés.
  • la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés.
  • la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés29.

Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à dénoncer l’argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université30, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de 116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1.

Et aujourd’hui, c’est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu’ils ont donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en France31 ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces modélisations de :

«forme moderne des divinations».

Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur préconisait32. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement :

« Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures fantaisies ».

Le fameux slogan international : «Restez chez vous, sauvez des vies» était une affirmation tout simplement mensongère.

Au contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.

19. 

Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes :

  • Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers33. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin.
  • C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace.
  • Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation34 et certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux, sans comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à l’avenir.
  • Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants34 :
    en 2004, l’un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d’autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.
  • Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé.
  • La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).
    Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la grippe H1N1 :

«Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow»27.

L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 :

« Quand il y a une épidémie comme le Covid, nous on voit : mortalité, quand on est médecin,… ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars… Vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des milliards »35.

Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : 

« On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale ».

Le site internet du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit :

« L’épidémie est terminée en France… En tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : il faut non seulement refuser ces vaccins [contre la Covid-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production ».

Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques :

Comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport36 rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.

Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent des citoyens !

À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé.

Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont été «choqués» par cet accord.

Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) :

Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la narcolepsie.

La narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable où les patients s’endorment de façon incontrôlable, ils subissent des accès brusques de sommeil de quelques minutes qui surviennent n’importe où et n’importe quand dans la journée (somnolence diurne) et ils sont victimes aussi de crises impressionnantes de cataplexie (brusque relâchement du tonus musculaire engendré par une émotion forte comme un éclat de rire, de colère ou de surprise. Cela peut provoquer une faiblesse au niveau des genoux, une impossibilité à articuler ou parfois même une chute pendant quelques secondes). Elle endommage la fonction mentale et la mémoire et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales.

Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times: 

« Il n’y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments ».

Parmi les enfants victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti- narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l’aider à rester éveillé pendant la journée à l’école. 

« Si vous le faites rire, il s’effondre. Sa mémoire est abattue. Il n’y a pas de remède. Il dit qu’il souhaite qu’il ne soit pas né. Je me sens incroyablement coupable de l’avoir fait vacciner »,

a déclaré sa mère38

Les familles ont subi un calvaire qui a duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les états38,39 qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen !

Le scandale du vaccin mortel contre la dengue dans un pays asiatique40, en 2018 :

Selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades. Certains ont besoin d’opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La plupart des familles n’en ont pas les moyens. Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables.

Le docteur Erwin Erfe, qui travaillait pour le bureau du procureur, pratiquait des autopsies d’enfants deux à trois par semaine avec toujours les mêmes résultats : « Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons…et des organes enflés ». Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire ; en 2015, le laboratoire confirmait en grande pompe la mise sur le marché d’un vaccin révolutionnaire contre la dengue. C’était une première mondiale, le produit de vingt ans de recherche et 1,5 milliard d’euros d’investissements. Pourtant dès le début, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique :

Le docteur Antonio Dans a tenté d’alerter sur les résultats non concluants des premiers essais cliniques. Aux Etats-Unis, le Professeur Scott Halstead, un spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui s’inquiétait, a même envoyé une vidéo diffusée au Sénat du pays en question pour l’exhorter à suspendre le programme de vaccination. L’ancienne ministre de la Santé du pays en question a été inculpée dans ce scandale.

« C’est l’appât du gain, qui a tué ces enfants »,

estime la procureure Persida Acosta.

20. 

Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour :

Une adolescente s’est suicidée en Grande Bretagne parce que le confinement pour elle durait 300 ans41, une femme enceinte a souffert le martyre lors de son accouchement en France42, un adolescent aux États-Unis nécessitera une intervention chirurgicale après avoir été agressé par un couple à qui il a demandé de porter le masque.

Une infirmière a également été agressée en France et un chauffeur de bus est même mort à cause aussi de ces mesures illégales du port obligatoire de masques, 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays43, des entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits – touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis44, etc. Même les oiseaux souffrent de ces mesures dangereuses et se retrouvent piégés et tués à cause des masques :

« Le pauvre animal trébuchait et tombait sans cesse. Les élastiques du masque s’étaient resserrés autour de ses pattes, dont les articulations étaient gonflées et le faisaient souffrir… J’ai bien peur que ce goéland soit la première d’une longue série de victimes »,

ont déclaré des employés de la société royale pour la prévention de la cruauté animale, à la BBC le 20 Juillet et l’oiseau a subi ce supplice pendant une semaine ! Il faut préciser aussi que la cause initiale et première du drame de George Floyd est le confinement : s’il n’y avait pas de confinement, il n’aurait pas perdu son emploi, il aurait été le 25 Mai à son travail, il n’aurait pas été assassiné, les pillages de magasins et les incendies comme les affrontements avec la police ne se seraient jamais produits, le chaos aux Etats-Unis aurait été évité et George Floyd serait aujourd’hui encore vivant parmi nous.

21. 

Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. 

Le professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la normale n’est pas fondée, selon l’Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?»45.

Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect»

Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou».

Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du confinement :

« mesures grotesques, absurdes et très dangereuses… un impact horrible sur l’économie mondiale… auto- destruction et suicide collectif… ».

Une enquête internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables doivent être jugés.

22. 

Nous disons aux citoyens :

pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et documentées.

23. 

Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT.

Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller !

Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales « made in China » seront imposées. Vous devez REFUSER ça.

Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

Le Docteur Anders Tegnell a dit :

« Le monde est devenu fou» en mettant en place les confinements qui «vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus ».

24. 

Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif :

United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :

prénom, nom, profession et pays à :

join.unitedhealthprofessionals@gmail.com

La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ».

ALBERT EINSTEIN

SIGNATAIRES :

Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, AustriaGhislaine Gigot, general practitioner, France
François Pesty, pharmacist, France
Catherine Raulin, general practitioner, France
Laurent Hervieux, general practitioner, France
Geneviève Magnan, nurse, France
Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg
Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium
Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile
Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France
Daniele Joulin, general practitioner, France
Mohamed Zelmat, clinical biologist, France
Nadine Blondel, nurse, France
Hélène Banoun, clinical biologist, France
Estelle Ammar, speech therapist, France
Caroline Durieu, general practitioner, Belgium
Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland
Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America
Fabien Quedeville, general practitioner, France
Michel Angles, general practitioner, France
Dominique Carpentier, general practitioner, France
Christophe Cornil, plastic surgeon, France
Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium
Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America
Tasha Clyde, nurse, United States of America
Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany
Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician, Belgium
Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France
Karim Boudjedir, hematologist, France
Caroline Heisch, osteopath, France
Eric Blin, physiotherapist, France
Vincent Schmutz, dental surgeon, France
Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa
Virginie Merlin, nurse, Belgium
Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium
Marie-José Eck, general practitioner, France
Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France
Christine Villeneuve, psychotherapist, France
Philippe Voche, plastic surgeon, France
Gérard Bossu, osteopath, France
Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America Richard Amerling, nephrologist, United States of America
Phil Thomas, general practitioner, South Africa
Manfred Horst, allergologist and immunologist, France
Sybille Burtin, public health physician, France
Chantal Berge, nurse, France
Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium
Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon
Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium
Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic
Cerise Gaugain, midwife, France
Delphine Balique, midwife, France
Marion Campo, midwife, France
Olivier Chailley, cardiologist, France
Johan Sérot, physiotherapist, France
Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium
Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak
Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America
Pascal Leblond, nurse, France
Sybille Morel, nurse, France
Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France
Graziella Mercy, nurse, France
Pierre Maugeais, general practitioner, France
Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico
Martin Boucher, nurse, Canada
Evelyne Nicolle, pharmacist, France
Agnès Dupond, general practitioner, France Azad Mitha, general practitioner, France Ines Heller, physiotherapist, France
Marie Laravine, nurse, France
Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America Mary Baty, dental hygienist, United States of America
Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru
Professor Christophe de Brouwer, public health physician, Belgium Corinne Dodelin-Bricout, pediatrician, France
Jana Schwiek, pharmacist, Germany
Thierry Gourvénec, pédopsychiatrist, France
Stefan Landshamer, pharmacist, Germany
Christine Schirmann, physiotherapist, France
Jean Pierre Garcia, general practitioner, France
Thomas Haase, pharmacist, Germany
Louis Fouché, anesthesiologist and intensive care physician, France Michael Knoch, physician, Germany
Claire Charton Promeyrat, nurse, France
Paul-Conrad Delaëre, physiotherapist, France
Manon Dannenmuller, physioterapist, France
Catherine Solignac-Fernström, immunoallergist, France Cécile Andri, physician, Belgium
Perrine Terrasse, physiotherapist and nutritionist, France Maria Ojeda, physiotherapist, France
Cornelia Schielein, pharmacist, Germany
Felix Schielein, pharmacist, Germany
Christine Dubois, nurse, France
Angelique Huet, nursing assistive personnel, France
Noémie Marguet, general practitioner, France
Michel Charluet, physiotherapist and osteopath, France Hind Mahmoudi, nurse, Switzerland
Isabelle Riou, nurse, France
Jean-François Bertholon, physiologist, France
Clotilde Branly, midwife, France
Isabelle Ducros, nurse, France
Caroline Viane, allergist, France
Edouard Descat, radiologist, France
Matthias Pietzner, pharmacist, Germany
Catherine Salvi-Defrasne, general practitioner, Switzerland Brigitte Debourg, nurse, France
Amandine Thomasset, psychiatrist, France
Nathalie Garcia-Bonnet, general practitioner, France Christiane Conte Guiraud, endocrinologist, France
Martine Matthey, nurse, France
Daniela Engel, general practitioner, France
Florent Collonge, physiotherapist, France
Hélène Feuvrier-Romand, general practitioner, France Olivier Catry, physiotherapist, Luxembourg
Elena Andrei, general practitioner, Romania
Dorothée Bordier, pharmacist, Switzerland
Sophie Biénabe, emergency medicine physician, France Francesco Martini, digestive surgeon, France
Bruno Valois, general practitioner, France
Florence Jonville, nurse, France
Céline Deladreue, pharmacist, France
Laura Meyer, physiotherapist, Belgium
François-Xavier Clément, anesthesiologist, Switzerland Leandro Patterson Silva, general practitioner, Cuba
Pierre Gautron, nurse, France
Corinne Daurat, nurse, France
Emmanuel Agyemang, nurse, France
Jean-Philippe Wispelaere, nurse, France
Marc Keucker, legal medicine specialist, France
Marta Barreda González, general practitioner and public health specialist, Spain Carmela Scuncio, nursing assistive personnel, Switzerland
Didier Mariéthoz, nutritionnist, Switzerland
Murielle François, pediatrician and endocrinologist, France
Alain Roguet, dental surgeon, France
Christine Albanel, dental surgeon, France
Delphine Rive, general practitioner, France
Jérôme Le Bihan, general practitioner, France

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Olivier Chailley. Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou. Bookelis. Avril 2020. https://www.bookelis.com/sciences-humaines/40471-Le-virus-de-la-peur.html




Masques, tests, vaccins, prévention, actions et recours…

[Source : L’INFORMATION DÉVOILÉE via Fils de Pangolin]

« Si une étude montre que le masque permet de limiter les infections, ben dites-le moi, merci ! »


Cette compilation de faits sourcés reprend autant que possible des propos de médecin et d’experts relayés par les grands médias.

Table des matières

  • Convention de lecture 1
  • Enfants 2
  • Masque 4
  • Vaccins 12
  • Traitements 15
  • Tests 16
  • Actions et recours 18
  • Stratégie gouvernementale et médiatique 21
  • Index des intervenants 25

Convention de lecture

Afin de faciliter la lecture, les données seront présentées de la façon suivante :

Intervenant Propos Source

Les conclusions et analyses des auteurs apparaissent en italique.

Vous trouverez les détails sur les intervenants dans la section « Index des intervenants. »

Merci de lire et de partager cette œuvre collective. Ce recueil se veut simple pour aider au plus vite les gens qui ne respirent plus naturellement. De nouvelles publications sont prévues dans les mois qui viennent.

Dernière version à jour : https://cutt.ly/3gwbehp

Partagez vos témoignages personnels en rapport avec ce contenu : https://bit.ly/30F1C8K

  1. Enfants
France Soir « Les grands-parents peuvent aller chercher leurs petits-enfants à l’école et les embrasser sans risques ! »« Tribune : Lors de sa conférence du 26 août, le premier ministre a déconseillé aux grands parents d’aller chercher leurs petits enfants à l’école. Une telle recommandation paraît ignorer les données acquises de la science. Ses conseillers lisent-ils la littérature médicale internationale ? l’informent-ils ? »« L’enfant et l’adolescent (jusqu’à 19 ans) n’ont aucune raison scientifique de porter un masque. »« Les masques courants, incapables d’empêcher la transmission d’un virus d’un enfant qui ne le transmet pas même sans masque n’a donc aucune justification chez l’enfant.Or il gêne les travaux scolaires, empêche la communication non verbale si précieuse pour apprécier le suivi d’un cours et sa compréhension par les élèves. Il retire une grande partie de leur humanité à ses voisins au moment où se nouent l’essentiel des contacts, des amitiés et des amours adolescentes. »« Sanitairement inutile chez l’enfant, il est scolairement et socialement très toxique. Les petits-enfants n’infectent pas leurs grands-parents. »« Sur près de 25 millions de contaminations comptabilisées par l’OMS le 30.08.2020 et dans plus de 5000 articles étudiant les Covid infantiles référencés par PubMed (publication médicale), aucun cas de contamination de grands-parents par leurs petits-enfants n’a été démontré. »« On peut donc rassurer les aînés : le contact avec les petits-enfants (de moins de 19 ans) ne les expose aucunement à la contamination par le coronavirus.Les enfants ne transmettent pas la maladie !Les enfants ne propagent pas le coronavirus, ni à leurs grands-parents, ni aux autres adultes, ni à leurs camarades. » https://bit.ly/3kBeqEi
Dr. DELEPINE Nicole « Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ». https://bit.ly/3c0hrv3 
« L’Indépendant » Retour à l’école à Wuhan sans masque ni distances de sécurité. https://bit.ly/2HlhsOU 
  1. Masque
Dr. VAN KERKHOVE Maria L’OMS a déclaré le 8 juin 2020 que :« Les individus asymptomatiques ne transmettent pas le COVID ». https://bit.ly/32ev3Qd
France Soir Les masques courants en papier ou en tissu sont incapables d’arrêter les virus (c’est d’ailleurs spécifié sur leur emballage).« Ils ne sont pas destinés à protéger l’individu qui le porte mais ambitionnent de diminuer le risque de contaminer l’entourage. » https://bit.ly/3kBeqEi 
OMS « Les inconvénients probables de l’utilisation du masque par des personnes en bonne santé dans le grand public comprennent :• potentiel accru de risque d’auto-contamination en raison de la manipulation d’un masque facial et du contact ultérieur avec les yeux avec des mains contaminées.une auto-contamination potentielle qui peut survenir si les masques non médicaux ne sont pas changés lorsqu’ils sont mouillés ou sales. Cela peut créer des conditions favorables à l’amplification des micro-organismes.• maux de tête potentiels et / ou difficultés respiratoires, selon le type de masque utilisé• développement potentiel de lésions cutanées du visage, de dermatite irritante ou d’aggravation de l’acné, en cas d’utilisation fréquente pendant de longues heures.• difficulté à communiquer clairement.• inconfort potentiel.• problèmes de gestion des déchets ; élimination incorrecte des masques entraînant une augmentation des déchets dans les lieux publics, risque de contamination des nettoyeurs de rue et danger pour l’environnement.• difficulté à communiquer pour les personnes sourdes qui se fient à la lecture labiale.• désavantages ou difficulté à les porter, en particulier pour les enfants, les personnes ayant des troubles du développement, les personnes souffrant de maladie mentale, les personnes âgées souffrant de troubles cognitifs.• danger de le porter pour les personnes souffrant d’asthme ou de problèmes respiratoires ou respiratoires chroniques, celles qui ont subi un traumatisme facial ou une chirurgie buccale maxillo-faciale récente, et ceux qui vivent dans des environnements chauds et humides.• … » https://bit.ly/3jX6WLB
Maintenant réfléchissez au budget masques jetables d’une famille avec 2 enfants. A 95 centimes d’euros le masque, il est estimé à plus de 220 euros par mois. Pensez-vous que des gens modestes qui ont perdu leur emploi avec le Covid-19 vont faire passer leurs derniers deniers dans des masques. Bien sûr que non.En revanche, par crainte de l’amende ou par peur du Covid-19, ils vont porter un masque souillé, périmé, dangereux et qu’ils auraient dû jeter depuis longtemps. Et s’il s’agit de masques en tissu, discutez avec les gens et constatez que le lavage de ce dernier n’est pas effectué ou de façon insuffisante.Bref, un peu à la façon des médicaments dont nous ignorons les effets secondaires indiqués dans la notice sous prétexte de faire confiance à des praticiens désinformés voire achetés, nous portons des masques par pur dogmatisme et cela peut avoir de graves conséquences à long terme. Car on ne peut comparer des chirurgiens qui restent relativement statiques dans l’air conditionné d’un bloc opératoire à des gens qui déambulent activement, parfois à l’extérieur par plus de 30°C. Les effets secondaires des masques sont alors incomparables.
Dr. LORIDAN Eric  « Si vous trouvez une étude qui montre que le port du masque au bloc opératoire permet de limiter les infections de sites opératoires, ben dites-le moi, merci. » https://bit.ly/2ZWqXdL
Pr. RANCOURT Denis « Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que ce soit en intérieur ou en extérieur. Point final. »« Le virus se transmet par des particules aérosols et le masque ne peut rien contre cela. »« Il n’y a pas plus de gens qui meurent depuis 1972 de toutes les maladies respiratoires ou toute cause. »« L’état impose une règle qui n’est pas basée sur la science, le danger c’est qu’on s’habitue à obéir à des règles absurdes de l’autorité pour un futur totalitaire. C’est une hiérarchie de dominance, driftée vers un état totalitaire »« Atteinte au souffle de vie, charge virale évacuée lors de l’expiration, en plein air il n’y a pas de stagnation de charge virale. »Pendant le confinement, les médias dominants ont reproché à Raoult l’absence d’Essai Contrôlé Randomisé (ECR) attestant de l’efficacité de l’Hydroxychloroquine (HCQ). Sachez qu’il existe des dizaines d’ECR montrant que le masque est parfaitement inutile contre les virus.  Sources vidéo :https://bit.ly/3hPj005 https://bit.ly/2FUAScu
Pour plus d’informations, consultez la traduction en français de l’étude du Pr Denis Rancourt :https://bit.ly/3ibstzJ https://bit.ly/2R2QHAk Source originale en anglais : https://bit.ly/337IrVs 
Pr. RANCOURT Denis Une autre étude au sujet du masque montre que les résultats de 14 Essais Contrôlés Randomisés […] n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe (confirmée en laboratoire). De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement. https://bit.ly/3bBCRhG
Pr. RANCOURT Denis Encore une étude ? Celle-ci explique : « Notre étude systématique a trouvé peu de preuves que l’utilisation de masques puisse réduire le risque d’infections respiratoires virales.Dans le cadre communautaire, nous n’avons trouvé aucune preuve concernant l’utilisation de masques par le grand public en dehors de la maison… » https://bit.ly/35gvwTz
Pr. RANCOURT Denis Une dernière étude ? Elle explique que l’usage du masque dans le milieu médical ou le grand public n’apporte aucune différence en termes de transmission de maladies grippales confirmées en laboratoire. https://bit.ly/32b6gMJ
Bref la science de la meilleure qualité disponible nous montre que tous ceux qui imposent le port du masque font appel à leurs suppositions et leurs croyances, pas à la science factuelle. Porter un masque (chirurgical, FFP1,2,3) dans le but de prévenir les maladies respiratoires virales, ce n’est pas de la science c’est de la religion.
M6 Voici une vidéo montrant que même les médias dominants parlent de l’effet asphyxiant du masque entraînant la baisse des capacités cognitives à commencer par la vue (impeccable pour conduire donc…) https://bit.ly/33yFoHg
Statista Comment expliquer qu’en termes d’incidence COVID (morts par million d’habitants), la Suède s’en tire mieux sans confinement et sans masques que la Belgique, le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Italie, le Brésil et les USA ? https://bit.ly/2FSM7Cm
Dr. GUNDRY Steven Le rôle du masque est de bloquer la chute de bactéries dans des plaies ouvertes en bloc opératoire.Il n’a jamais été question de filtrer des virus. Et même en bloc opératoire, c’est UN DOGME, une tradition.Le masque a été conçu pour filtrer les bactéries et non pas les virus (bien trop petits) mais l’abrasion de la peau par le masque génère des fragments (avec bactéries) qui se détachent et tombent quand même dans les plaies.  https://bit.ly/3hbOVHQ
Pr. DESUTER Gauthier  « Les enseignants masqués ne tiendront pas !Un médecin laryngologue s’inquiète de la multiplication des pathologies qui découleront du port du masque imposé aux enseignants pendant plusieurs heures.Une hérésie physiologique :Dès lors, demander à un enseignant, ou toute autre profession vocale, de porter un masque en permanence est une hérésie physiologique. Non seulement les flux d’air sont ralentis mais le masque constitue une barrière à la propagation de l’onde sonore. Cela rend déjà la voix conversationnelle fastidieuse mais surtout cela rend la voix projetée im-po-ssi-ble !A quoi le professionnel de la voix s’expose-t-il ? Outre une fatigue professionnelle d’installation quasi immédiate, il sera à haut risque de lésions traumatiques des cordes vocales. En effet, au déficit respiratoire répondra une tentative de compensation – bien illusoire – par un forçage laryngé créant hémorragies, polypes et nodules.Ces lésions rendent dysphonique et parfois même aphonique. La sanction est sans appel : chirurgie suivie d’une longue rééducation logopédique avec convalescence de trois mois. Certains présenteront malgré tout des séquelles permanentes.Déjà des premiers cas :En forçant les enseignants à porter le masque en classe, nous nous exposons à un afflux de pathologies vocales dans les mois qui viennent.Les premiers cas frappent déjà à nos portes de laryngologistes.Pour conclure je dirais qu’imposer le masque aux enseignants durant leurs cours est comparable à l’action de placer un sabot dans un métier à tisser tels qu’y procédaient les ouvriers nordistes au XIXe siècle afin de démarrer une grève. Mesdames, Messieurs les décideurs, sans modifications des règles vous allez casser l’outil… et ce sera du sabotage ! » Le Soir du 07/09/2020 : https://cutt.ly/rfA5l4r 
Pr. PERRONE Christian « Les masques ne servent à rien sauf pour les soignants, sauf pour les personnes qui ont des symptômes, pour leur entourage dans certaines circonstances. Même dans les endroits clos, pour moi le masque à l’école c’est un délire total, alors que les gamins ne sont pas malades. Même dans les open-spaces dans les entreprises ont devrait dire aux gens si vous avez des symptômes restez chez vous, appelez votre médecin faites un test, on vous dépiste l’entourage notamment les collègues au travail. Sinon on va le porter pendant des mois jusqu’au vaccin du printemps. »   https://cutt.ly/8fA83qD
Dr. GARCIA ALONSO Marisa Marisa Garcia Alonso a décidé de faire des tests microbiologiques sur les masques qu’ils soient en tissu ou chirurgicaux, qu’ils aient été peu ou trop utilisés, mais dans tous les cas, des masques qui avaient été portés par des personnes réelles dans des situations réelles. Le 17.07.2020Le Masque est dangereusement contaminé selon l’infectiologue espagnole« Il faudrait qu’on les enlève avec des pincettes, puis les déposer dans un sac, de préférence en papier, ou en tissu, pour qu’il puisse absorber la transpiration, car les sacs en plastique favorisent la poussée des champignons.Rallonger la vie d’un masque pourrait occasionner de l’acné jusqu’au problème digestif. » Plusieurs pathologies dermiques sur le visage, des patients qui ont présenté de la sinusite ou beaucoup d’autres, avec des herpès sur les lèvres, ou des otites, des maux de gorge par infection. Il y a diverses pathologies si nous favorisons la prolifération des bactéries rhino-buccales. L’utilisation des masques en continu sans les changer ni les laver régulièrement peut favoriser la prolifération anormale des bactéries dans notre cavité buccale. J’ai juste l’intention de mettre tout le monde au courant. »Un grand merci à Marisa Garcia Alonso compte Instagram pour avoir pris l’initiative de faire ce test et nous montrer ces expérimentations empiriques éclatantes ! Source vidéo traduite en français : https://bit.ly/3hgjV9z
Dr. KHOURY Antoine
Dr. ROO Eliane  « Comment les températures élevées affectent la peau de notre visage quand celle-ci est couverte en permanence : Acné, dermatite péribuccale, problèmes de rosacées, parce que les masques retiennent la chaleur et l’humidité »« Le bureau des affaires sanitaires ordonne que les communes renvoient les masques FFP2 en provenance de Chine en raison d’incompatibilité avec la norme Européenne. »Il est intéressant de noter que les masques chirurgicaux (exigés dans les avions plutôt que les masques en tissu) sont souvent fabriqués dans des conditions d’hygiène déplorable. De plus il est marqué sur les boîtes de masques que ces derniers ne protègent pas contre les virus. https://bit.ly/3hiIHGh
Del Bigtree Hypoxie (O2), hypercapnie (CO2) et comorbidités : Une expérience de Del Bigtree mesure l’oxygène sous un masque et montre le danger de le porter. Analyse du niveau de dioxyde de carbone et les problèmes de santé potentiels : 10 000 PPM en 10 respirations, soit un seuil extrêmement dangereux…atteint en moins d’une minute.. https://cutt.ly/7fA6Zmq
Une autre vidéo nous montre la baisse du niveau d’oxygénation liée au port du masque. https://cutt.ly/RfA6V2S
CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) Rapport du CDC aux Etats Unis : 94% des morts du Covid19 étaient à risque (comorbidités). Source CDC (voir le texte sous comorbidities) : https://cutt.ly/ofA6MiR
Dr. A BUTTAR Rashid
M6
Porter le masque n’est pas sans DANGER. Ceux qui le recommandent aveuglément sont des irresponsables. Voici ce à quoi on s’expose :– Intoxication par accumulation de pathogènes (champignons, bactéries, etc.)– Hypoxie (baisse de l’oxygène dans le sang) et hypercapnie (augmentation du CO2 dans le sang)– Maux de tête (dûs à l’hypoxie et l’hypercapnie)– Baisse des capacités cognitives à commencer par la vue (impeccable pour conduire donc…)On met son corps en stress chronique en portant le masque, cela fait monter le cortisol, l’hormone du stress, et baisser les lymphocytes T qui sont en 1ère ligne des défenses immunitaires contre les maladies respiratoires virales. Plusieurs médecins le disent, comme le Dr Rashid A Buttar. Donc en portant le masque en permanence on devient la cible idéale pour la prochaine grippe saisonnière…
Sans parler plus généralement de l’effet nocebo de la société anxiogène que cela génère. On ne voit plus un seul sourire, c’est terrifiant. L’hormone du stress, le cortisol est liée au manque de respirations complètes et profondes.« Un stress chronique conduit à sa production chronique, responsable d’une série de dérèglements comme l’hypertension, la baisse de la réponse immunitaire, la dépression, les troubles cardio-vasculaires et le cancer. »
Dr. BUTTAR (7m43s) :https://bit.ly/30H9CWxM6 :https://bit.ly/33yFoHg
Dr. KORBA BOUDGHENE Catherine « Les dangers du port du masque sont un manque d’oxygénation des cellules, une diminution de l’échange entre l’oxygène et le dioxyde de carbone, et des problèmes de peau comme staphylococcie de la face…Alors l’organisme se met en acidose respiratoire, et là on devient déjà malade avec une baisse de l’immunité et une fatigue chronique. » https://cutt.ly/gfZzPEa
Dr. FOUCHE Louis  « Le masque… tout le monde le sait que c’est une imposture.Renouez avec le réel, ayez du contact social, c’est très important. » https://cutt.ly/VfLicU6
  1. Vaccins
Pr. MONTAGNIER Luc « Je crois que les vaccinateurs oublient ce principe d’Hippocrate : ne pas nuire. »« On est dans un monde de fous, un monde de fous ! ».« Les scientifiques sont achetés, américains, français, anglais. Ils sont payés pour dire ce qu’ils disent. »« Les vaccins parfois sont mauvais, il faut le dire et je le dis vraiment il faut le dire très fort, si vous avez quelqu’un qui est atteint par le Covid-19, vous risquez de le faire mourir dans les jours ou semaines qui suivent. Si vous avez quelqu’un qui a une chimiothérapie bien équilibrée contre un cancer, vous le vaccinez contre la grippe, vous allez le tuer aussi très rapidement, il faut le dire ça, les vaccinations interférentes sont très mauvaises, donc ceci doit être retenu. »« Un vaccin je répète, il peut être très mauvais, il peut être bon, mais il faut le démontrer et ceci prend du temps, et il y a des exemples en Italie du Nord notamment où l’on a vacciné contre la méningite toute une population et c’est là qu’on a vu le pic de mort augmenter de façon très importante. Je crois que les vaccinations oublient ce principe d’Hippocrate : ne pas nuire. Ce sont des médecins qui vaccinent donc c’est à eux de mettre la barrière éthique. »« Le virus COVID-19 est une manipulation humaine. »  https://cutt.ly/ufA7oXX
Pr. MONTAGNIER Luc « Nous sommes arrivés à la conclusion qu’effectivement y avait eu une grande manipulation au sujet de ce virus. On a ajouté par-dessus des séquences notamment du VIH le virus du sida. Ce n’est pas naturel c’était un travail de professionnel, un travail de biologiste moléculaire, un travail très minutieux on peut dire d’horloger, au niveau des séquences. »« Dans quel but, ça n’est pas clair… Mon travail c’est d’exposer les faits c’est tout, je n’accuse personne; je ne sais pas qui a fait ça et pourquoi. » https://bit.ly/3iR3nXm 
La médecine aurait-elle oublié la véritable prévention ? Plutôt que de vous administrer à tout prix des substances chimiques fabriquées en laboratoire, pourquoi ne vous recommande-t-elle pas :- de cultiver une bonne immunité naturelle en prenant soin de votre corps (alimentation saine, sommeil, exercice doux et régulier, soleil, forêt, mer…)- de ne pas mettre de masque- de vous interroger sur le rapport bénéfice/risque des vaccins- de limiter les ondes électromagnétiques (WIFI, DECT, mobile…)- et d’éviter les médias anxiogènesA ce stade du document vous avez compris que les intérêts de l’industrie pharmaceutique influencent la conduite de nos dirigeants et des médias dominants. Et après les masques, ils ont l’intention de vous imposer des vaccins
Pr. FOURTILLAN Jean-Bernard Dr. RADER Serge Dr. SCHALLER TalDr. MADEJ Carrie Le futur vaccin COVID-19Voici deux vidéos traitant du futur vaccin Covid19. Toutes les données mentionnées ont été scrupuleusement vérifiées par des médecins. Maintenant c’est à vous de choisir. https://cutt.ly/hfCL2XJ  https://cutt.ly/dggBdgh
Info Vaccin France Le libre consentement face aux vaccinsLe site « Info Vaccin France » propose une manière de faire valoir vos droits face à l’obligation vaccinale. Attention cette démarche n’est pas dénuée de risques. Nous vous recommandons de bien réfléchir avant d’agir et de vous faire assister par un avocat (ex : Me Brusa) pour valider les fondements juridiques de votre démarche. https://bit.ly/3cy3AfK https://lh6.googleusercontent.com/OzODDzXkypRyl8eqEx8ysJbl4uRY7OHq8P2JJoua1khfUc0s5EhAm2VxLhmFFbK_5wxxeCJtlD71Hma1QN0-79gez0npJ46Qa_BGKoZJmgimCRinKztC5_v0ak1rhXcA2xPs4KTi
Pr. FOURTILLAN Jean-Bernard Le Pr Jean Bernard Fourtillan se bat pour mettre fin au scandale de l’aluminium dans les médicaments à usage humain : pansements gastriques, vaccins, etc. Téléchargez son certificat d’expertise qui vous permet de vous opposer, pour vos enfants ou vous-même, à l’administration de ces médicaments mortifères interdits d’après les normes de la FDA depuis 1989 et de l’OMS depuis 1996. https://bit.ly/3kGjlE1 
Pr. FOURTILLAN Jean-Bernard Dans une interview, le Pr Fourtillan s’explique en détail sur :- ses découvertes révolutionnaires (cycle éveil sommeil)- sa lutte avec l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament)– l’aluminium dans les médicaments et les vaccins et les solutions pour s’en débarrasser https://cutt.ly/dfCKASf 
Le Monde Rappel important sur les erreurs médicales :Des données de l’OMS ont permis d’avancer ceci en 2015 : « Avec 15 millions d’hospitalisations en France en 2013, le nombre de décès liés aux erreurs médicales pourrait ainsi avoisiner les 50 000 (137 par jour), en faisant la troisième cause de mortalité du pays après les cancers et les maladies cardio-vasculaires. »En 2013, un rapport sur l’iatrogénie (conséquences néfastes liées aux soins), rédigé par le pharmacologue Bernard Bégaud et par l’épidémiologiste Dominique Costagliola, relevait que « des études de pharmacovigilance permettent d’avancer la fourchette de 10 000 à 30 000 décès attribuables chaque année en France à un accident médicamenteux (soit 27 à 82 par jour) ». Sans compter ceux dus à d’autres causes médicales ou chirurgicales. Le Monde 03/05/2016 : https://bit.ly/35YjcI8 
Vous pensez toujours que les dirigeants de ce monde vous protègent ? Observez de quelle manière les politiques sanitaires et sociales agissent sur l’évolution de la mortalité d’un pays. Faites appel à votre intuition et vous saurez si le système prend réellement soin de vous. Tout ceci pourrait être évitable si on faisait de la prévention…
  1. Traitements
Médecins américains Des médecins américains dénoncent la désinformation autour du Covid, de l’hydroxychloroquine et des masques inutiles voire nocifs.Les traitements préventifs et curatifs existent : Pas besoin de muselière ni de vaccinIl existe un protocole simple et peu cher qui soigne avec succès les gens à risque (comorbidités), c’est le protocole de Raoult : Hydroxychloroquine (HCQ) + Azithromycine (AZ) + Zinc. Et l’HCQ est aussi un très bon préventif à faible dose. Ce sont des médecins américains en première ligne du Covid qui le disent. Leur vidéo a subi une censure sur tous les réseaux. https://cutt.ly/6fA6zxI  
France Soir Le gouvernement français a refusé de soigner les gens avec l’HCQ et nos anciens ont même été achevés en EPADH avec le Rivotril en injection. Les pays qui ont le moins de morts ont utilisé des tisanes, ou le protocole de Raoult : HCQ + AZ. Il le tient d’ailleurs des premiers bons résultats obtenus en Chine au début de la crise. Un article chez France Soir compare la France à l’Allemagne qui a 5 fois mieux géré la mortalité grâce à l’HCQ https://bit.ly/2FKet22  
HCQ Trial Observez également en temps réel avec les liens ci-dessous, que les pays qui ont utilisé l’HCQ de façon précoce ont 73,1% de morts en moins. https://hcqtrial.com/  
Pr. RAOULT Didier Des mots et des chiffres qui rassurent :1. « Des études cliniques observationnelles ou randomisées dont la somme montre que l’hydroxychloroquine (à 4.70 euros) est efficace pour prévenir la mort. Dans certains de ces travaux il y a une diminution de 50% de la mort. C’est un point important je vous rappelle, ni le médicament Remdesivir (à 2450 euros qui a de graves effets secondaires sur les reins) ni le Lopinavir/Ritonavir, n’ont jamais eu une étude publiée montrant qu’il y avait une prévention de la mortalité : 0 ! »« Donc le seul produit dans lequel il y a une prévention de la mortalité c’est l’Hydroxychloroquine, seule ou associée à l’Azithromycine. »2. « De toutes les études publiées avec le portage viral, seul l’hydroxychloroquine diminue le portage viral. »« Dans ce monde on finit par avoir l’impression qu’il suffit d’avoir droit à la parole ou de faire des communications pour que ce soit la vérité. Mais la vérité c’est pas ça, c’est les études, c’est les chiffres, c’est la mortalité, et ça on ne peut pas tricher, ça finit par sortir. » https://bit.ly/2RSLWtG
  1. Tests
Pr. RAOULT Didier Pas fiables, blessants, contaminésIls obligent les gens à se faire tester juste pour un éternuement, ou un rhume ou un « cas contact », alors que la personne n’a aucun symptôme !Une personne guérit simplement de ses maux de tête, de ventre, ou gorge par une tisane de menthe, thym, ortie, sans même parler d’Artemisia…Ces tests ne sont pas fiables : IHU Marseille Pr. RAOULT expert infectiologue :« Nous, on a eu jusqu’à 44% de faux positifs, donc il faut faire attention. » https://cutt.ly/gfZnHvl 
Le Parisien Ce test blesse les parois internes des narines. Nous avons tous des témoignages d’enfants qui saignent du nez, et d’adultes dont la narine les démange pendant 24 heures.Ce test coûte cher : « Avec 1,19 million de tests réalisés dans la semaine du 7 septembre, la France, devenue troisième pays testeur au monde, a dépensé 88 millions d’euros pour détecter les cas contaminés.Depuis le début de la pandémie, plus de douze millions de contrôles, très majoritairement par la technique dite RT-PCR, avec prélèvement nasal par écouvillon, ont été réalisés, portant la facture globale à près de 917 millions d’euros cette semaine.Facture prise en charge à 100 % par l’Assurance maladie. A ce rythme, 30 millions de tests auront été réalisés à la fin d’année et plus de 2,2 milliards d’euros dépensés. »« Profitant de la tension, quelques laboratoires parisiens en abuseraient, promettant des résultats sous 48 heures, moyennant 80 ou 100 euros le test, a révélé Europe 1. Des pratiques fermement condamnées par l’Assurance maladie ce mercredi 16 septembre. » https://bit.ly/3cj8EnY 
Radio Canada Avec ces tests on peut vous contaminer au Covid-19.« 7000 écouvillons contaminés de la part de l’Agence de la santé publique du Canada. En Colombie-Britannique, il y en avait 30 000.Au Manitoba, 8800 tests de dépistage en provenance du Laboratoire national de microbiologie étaient contaminés.Le Nouveau-Brunswick a également reçu 6400 trousses de dépistage contaminées.En Ontario, le premier ministre Doug Ford a lui aussi confirmé qu’une livraison de 100 000 écouvillons en provenance d’Asie était arrivée contaminée par de la moisissure plus tôt ce mois-ci. »
Se faire tester alors que l’on n’est pas réellement malade créer un effet nocebo (du latin : « je nuirai ») qui a lui seul peut rendre malade :« La maladie du désenchantement » c’est prouvé par le scanner cérébral, « des zones s’éteignent ». Pr. RAOULT.8.5 millions de Français hypocondriaques et 2 millions agoraphobes,  à cause de leur propagande de peur ces chiffres vont augmenter. 
22 avril 2020 : https://bit.ly/33NRPhi 
Pr. RAOULT Didier « Faire les choses raisonnablement, faut faire attention on a beaucoup de PCR à contrôler, qui sont positifs en dehors, il faut faire attention tout le monde n’a pas les mêmes critères.On a entre 30 et 40% de PCR (test avec prélèvement naso-pharyngé par écouvillon) qui sont faussement positifs ; qui viennent se faire contrôler, et qui sont négatifs en réalité, donc il faut faire attention.Nous on le signale à nos autorités pour qu’ils ne soient pas pris en compte comme des nouveaux cas. »  (Les médias ne parlent pas des faux positifs, ils préfèrent relayer la peur.)« Pendant plus de 3 jours y a eu 1 mort ce qui fait 0.06% de létalité » (soit 99.94% de gens guéris) 01/09/2020 : https://bit.ly/3clWgUv  
  1. Actions et recours
Médecins pour la vérité « Médecins pour la vérité », 140 professionnels de santé : La conférence s’est tenue le 25 juillet 2020 avec les orateurs suivants :Le Dr. Natalia Prego Cancelo, le Dr. Rafael Gazo Lahoz, le Dr. María José Martínez Albarracín, le Dr. Angel Ruiz-Valdepeñas Herreros et le Dr Heiko Schöning.Les médecins prestigieux d’Argentine comme le Dr. Chinda Brandolino, le Dr. Mario Borini, le Dr. Eduardo Yahbes, le Dr. Ramiro Salazar des épidémiologistes argentins, entre autres, y ont également participé.Les médecins María José Martínez Albarracín et Angel Ruiz-Valdepeñas Herreros ont été licenciés et menacés d’être professionnellement radiés. Le collectif a présenté une conférence remettant en cause la version officielle du Coronavirus. Plus de 140 professionnels de santé le composent.L’événement a commencé par l’intervention du Dr.Heiko Schöning, représentant de la Commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona allemand et s’est terminé par un examen des 4 points fondamentaux d’enquête auprès du gouvernement et des autorités espagnoles par l’association Médicos por la Veridad.« Avec des données, des chiffres et des analyses bien fondées, il a été révélé l’incohérence et l’erreur des décisions qui sont prises dans le monde pour lutter contre la pandémie de COVID-19. »Le port du masque est très dangereux pour les gens qui travaillent en mouvement, avec énergie comme le personnel des EHPADS, des restaurants, des collèges et lycées qui sont pris pour des déménageurs et des nettoyeurs de Covid-19. https://bit.ly/3iPkhpk
Dr. CRABBE Jean Michel Dr Jean Michel CRABBE, seconde lettre au conseil de l’ordre des médecins :« Je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins lui-même. »« Le port du masque, l’isolement des sujets en bonne santé et la distanciation sociale sont des mesures inventées en 2020, qui ne s’appuient sur aucune expérience passée, sur aucune étude scientifique, et ne figurent dans aucun ouvrage de médecine. »« Au service des médecins dans l’intérêt des patients », l’Ordre des médecins devait informer les praticiens d’une façon objective, dénoncer les mesures de prévention non validées scientifiquement et dangereuses. »« En conclusion, l’Ordre des médecins doit être traduit devant ses propres instances disciplinaires et jugé pour manquements graves aux missions qui lui sont confiées et à l’éthique médicale.Dr. Jean-Michel Crabbé » Lettre du 27 août 2020 : https://bit.ly/3iOVzVW
Initiative CitoyenneKRUSI EmaDr. SCHALLER TalCREVECOEUR Jean-Jacques
Transparence Coronavirus
Soignants belges : 24 professionnels de santé belges témoignentUn collectif de 250 professionnels de la santé recommande :- de prendre soin de son système immunitaire par la compréhension du rôle essentiel de la respiration, de la nourriture ;- d’apprendre à connaître l’Artemisia une plante simple qui guérit.« Plus de 26 soignants ont déposé plainte à l’Ordre des Médecins, contre la Ministre belge fédérale Maggie De Block , 9 autres experts et Mme Wilmès Sophie 1ère ministre provisoire. Ils ont écrit à tous les parlementaires, pour demander l’arrêt immédiat de tout ce qui est une atteinte à l’intégrité physique et une violation de la loi sur les droits du patient qui prévoit le libre consentement. » Site d’Initiative Citoyenne : https://cutt.ly/bfA5Fm4 Source des propos en vidéo : https://cutt.ly/Ef0mWKQhttps://lh3.googleusercontent.com/1Kve9VUlAnWL-sieHRUE0-SWiEqcyKewLeygRi4Ele5JrOM6iHDUjvLa4_BE-17TwJaJaCzUnZf_rhtGTVwm3GU28jRWpGozaf8uHhbTJuL8Tx7IxKBf_gC4WI1EX3Dreo3nzANY
Site du collectif Transparence Coronavirus : https://cutt.ly/3fA5NOk
Comité de 200 médecins Un comité de 200 médecins a lancé un message d’alerte mondial dans un dossier international de 29 pages : Message d’alerte international de professionnels de la santé aux gouvernements et aux citoyens du monde :STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif :United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :prénom, nom, profession et pays à : join.unitedhealthprofessionals@gmail.com https://cutt.ly/pfA82uX 
Me. BRUSA Carlo Alberto Contre les mesures illégales du gouvernement : confinement, masque… « Le masque n’est pas une thérapie. »« Le droit est plus fort que les lois injustes et les règles détournées. »« Utilisez le droit pour porter l’esprit de la liberté. »Selon un courrier réponse de l’ordre des médecins à Maître Brusa, les docteurs peuvent faire un certificat pour déroger au port du masque.Les amendes sont illégales, vous pouvez contacter l’association Réaction19 de Maitre Brusa et vous y inscrire pour la somme modique de 10€. Vous pourrez alors obtenir une aide personnalisée ainsi que des documents utiles et prêts à l’usage :– feuille de route pour contester une contravention– lettre type de contestation de contravention pour non-port du masque– déclaration d’illégalité des contraventions en cas de défaut de port du masque- etc. https://bit.ly/33AZteE
Site association Réaction19 : https://reaction19.fr/
  1. Stratégie gouvernementale et médiatique
Dr. TROTTA Pascal « Peu de médecins osent élever la voix, pourquoi j’ose élever la voix, c’est parce que nous sommes face à une immense manipulation, une manipulation d’opinions. »« Vous respirez un véritable bouillon de culture. On a laissé mourir les personnes âgées dans les EPADHS. Ce n’est pas un problème médical, c’est un problème politique et cela c’est beaucoup plus grave. La France est devenue la Corée du nord de la médecine naturelle.Ces juges intelligents du Tribunal Administratif le 25 Septembre 2020 ont rétorqué l’arrêté préfectoral et ont dit : Le masque est une atteinte grave à la liberté d’aller et de venir, c’est une atteinte à la dignité de la personne. »« Il s’agit d’une dictature virale à des fins politiques. On prépare par cette soumission généralisée au masque, à la soumission généralisée aux vaccins. On est donc face à une immense manipulation financière qui n’a rien à voir avec la médecine que nous pratiquons, nous les médecins de terrain, nous sommes en train de rentrer dans un régime soviétique. »« Le docteur Michel GEFFARD a été radié de l’ordre des médecins parce qu’il guérissait la sclérose en plaque. 30 gendarmes sont venus le 23 septembre à son domicile et l’ont arrêté parce qu’il continuait à soigner des patients. »C’est ça la réalité de la médecine en France. Voilà ce qui est arrivé à ces médecins courageux qui trouvent des traitements, ils sont enfermés à domicile, ils n’ont plus le droit de parler à leur malade, plus le droit de parler à leurs élèves, plus le droit de continuer leurs recherches. C’est ça l’état de la médecine en France et dans d’autres pays. »« La vérité, c’est comme l’eau : ça finit toujours par passer. » https://cutt.ly/RfA6dWR
Dr. PROVENZANO Sandro « Là on essaye de nous affaiblir en nous forçant, obligatoirement à porter le masque dans des endroits clos, maintenant même dans des endroits ouverts, on se balade en pleine nature et on doit porter des masques, c’est de l’ineptie.Je crois qu’en 25 ans de médecine je n’ai jamais vu une telle mascarade et alors quoi, il faut oublier tous nos cours, tous nos cours d’immunité ?Mais ce n’est plus ça la médecine, c’est de la prescription pour big pharma, c’est de suivre « les guidelines » inscrite pas par les scientifiques, mais de nouveau par les lobbyistes.J’espère que beaucoup de gens vont se réveiller de cette situation. » https://cutt.ly/OfA7Le6 
Dr. WONNER Martine  Elle rejoint le Pr. Perrone et confirme la « Privation de liberté » : car elle a voté contre la loi titrée : Sortie de l’état d’urgence sanitaire, mais cette loi votée avant l’été permet au gouvernement, à l’exécutif de prendre toutes les décisions qu’ils veulent sans les parlementaires.« C’est la première fois depuis la 5ème république que les parlementaires sénateurs ou députés, n’ont plus leur rôle fondamental à jouer, d’évaluation et de contrôle du gouvernement. La démocratie aujourd’hui, elle est masquée, bâillonnée et les parlementaires aujourd’hui ne servent à rien. »« Des bureaucrates de la haute administration, des ministères de paris ont interdit en France, aux médecins d’exercer leur ART par 2 décrets du 25 et 26 Mars, qui étaient en plus là encore illicites. Puisque la loi qui s’impose et qui est dans le code de santé publique, article 515-1 qui donne l’obligation aux médecins de traiter, et dans notre constitution le droit inaliénable c’est l’accès au soin, et l’obligation de protéger la santé de tout le monde, et encore + les plus vulnérables. » Débat vidéo « Wonner – Perronne – Sibilia » : https://bit.ly/33IFoTL 
Pr. TOUSSAINT Jean-François Le Professeur a signé un manifeste avec différents scientifiques : « Nous ne voulons plus être gouvernés par et dans la peur. » A tous les docteurs merci de rejoindre ce manifeste.« Plus de la moitié actuellement et probablement les trois quart, voir 9 sur 10 des cas positifs diagnostiqués sont des gens qui ne sont pas contagieux… » Sud Radio le 14/09/20 : https://bit.ly/2ZXw7pY
Pr. TOUSSAINT Jean-François « Pendant la canicule les personnes à risque ont 10 fois plus de chance de mourir du fait de la chaleur que du Covid. Il faut enlever les vêtements chauds et ce qui bloque les voies aériennes supérieures, donc le masque. » 12/08/2020 (à 9m28s):https://bit.ly/3kRRtgs https://lh3.googleusercontent.com/KsBvFXtAH_9_6vfS1rZ_3f4rhBFteF1gjqWMLWkFvDdJ8ZQJupgoMOS-k6hHT33gMnWqipWCFuKWyaapzU9P6KRwwZ0DnEWFMnxtJsFhazb0nAuRS1I8iF9uYwFGC1CmpjfvGSR2
Pr. TOUSSAINT Jean-François « Le gouvernement annonce et assume de ne plus gouverner sur la réalité des choses. »« On arrive maintenant à des situations aussi dramatiques que de faire croire que les petits enfants sont responsables de la mort de leurs grands-parents, c’est cette séquence unique qui se trouve projeté actuellement sur les écrans de télévision. Et la 2ème qui aboutit à faire naître des enfants alors que leur mère est sous un masque avec des difficultés respiratoires, et au moment le plus important où elle donne la vie, les faire passer pour des tueuses en séries » Cnews le 28/09/2020 :https://cutt.ly/6f2dU9D
DUCROCQ François « La pénurie des masques pendant l’épidémie du Covid 19 a été voulue, organisée et assumée. Tel est le sens de mon témoignage de chef d’entreprise à travers les nombreuses démarches, les mails reçus et échangés. La vidéo est longue, (13.33 min) mais elle va vous permettre de comprendre ce qui s’est réellement passé. » https://cutt.ly/PfA6Q9c 
Dr. FOUCHE Louis
BRZEZINSKI Zbigniew, Mika
ORWELL Georges « Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire. » Georges Orwell.
KAFKA Franz Apprendre, réfléchir, comprendre, évoluer… La littérature nous offre cette chance.Saisissons-la et ne nous laissons pas anesthésier par l’indifférence et la paresse!« Un livre doit être un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous. »
  1. Index des intervenants

B

BEGAUD, Bernard: Professeur de Pharmacologie à l’Université de Bordeaux. Membre de l’unité de recherche INSERM U657 « Pharmaco-épidémiologie et évaluation de l’impact des produits de santé sur les populations ». Il est aussi président du département du transfert de la recherche et des finances de l’Université de Bordeaux.

BRZEZINSKI, Zbigniew : Ancien conseiller à la sécurité nationale (USA).

BRZEZINSKI, Mika : Journaliste.

BRUSA, Carlo Alberto : Avocat. Chargé de cours de Droit à l’Université de Paris II Assas et de l’Université Paris IV, Panthéon Sorbonne et a commencé son activité d’avocat en 1994. En 1996 il créait son cabinet individuel.

C

COSTAGLIOLA, Dominique : Biomathématicienne et épidémiologiste. Ses domaines de compétence vont de la biostatistique à l’épidémiologie, en particulier la pharmaco-épidémiologie, sans oublier les essais thérapeutiques et la modélisation. En termes d’applications, ceux-ci couvrent l’infection à VIH, l’hémophilie, le médicament et la transfusion.

CRABBE, Jean-Michel : Le docteur Jean-Michel Crabbé exerce la médecine depuis plus de trente ans, d’abord comme médecin généraliste, puis comme praticien dans un centre de réadaptation fonctionnelle. Depuis 1984 il étudie le domaine du rêve, de la chronobiologie et les interactions psychosomatiques. Il a notamment publié : Sommeil et rêves (Ellébore, 2003) et L’Échec de la médecine occidentale (Ellébore, 2005).

D

DELEPINE, Nicole : Pédiatre, oncologue et ancien chef de service en cancérologie pédiatrique à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris.

DESUTER, Gauthier : Laryngologue aux cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles).

DUCROCQ, François : Chef d’entreprise.

E

EAUBELLE, Gregory : Président de l’association EVIDENCE.

F

FOUCHE, Louis : Praticien hospitalier. Centre interrégional des brûlés de la méditerranée.

FOUCHE, Louis : Médecin anesthésiste-réanimateur.

FOURTILLAN, Jean-Bernard : Expert en pharmacologie et en toxicologie et ancien professeur des universités.

G

GARCIA ALONSO, Marisa : Pharmacienne spécialisée en analyses cliniques et directrice d’une pharmacie et d’un laboratoire microbiologique à Madrid. Elle est spécialiste en micro-immunothérapie, en microbiote intestinale et en maladie de Lyme.

GEFFARD, Michel : un chercheur, un excellent médecin qui a trouvé un traitement efficace de la sclérose en plaque, il est docteur à Bordeaux.

GUNDRY, Steven : Pionnier de la chirurgie cardiaque chez le nourrisson.

K

KHOURY, Antoine : Microbiologiste.

KORBA BOUDGHENE, Catherine : Médecin généraliste à Nice.

L

LORIDAN, Eric : Chirurgien général à Boulogne-sur-Mer.

M

MONTAGNIER, Luc : Biologiste virologue, Prix Nobel de physiologie ou médecine de 2008, pour la découverte, en 1983, du virus de l’immunodéficience humaine (VIH).

O

ORWELL, Georges : Ecrivain. L’adjectif « orwellien » est également fréquemment utilisé en référence à l’univers totalitaire imaginé par cet écrivain anglais.

P

PERRONE, Christian : Médecin et professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, et ancien président de la commission spécialisée Maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique.

PROVENZANO, Sandro : Médecin généraliste.

R

RANCOURT, Denis : Chercheur et ancien professeur titulaire de physique, ancien directeur de laboratoire reconnu internationalement, a publié plus de 100 articles dans des revues scientifiques de 1er plan.

RAOULT, Didier : Spécialiste français des maladies infectieuses et professeur de microbiologie. Il est un spécialiste émergent des maladies infectieuses tropicales à l’École de médecine et de médecine assistante de Marseille et à l’Institut des maladies infectieuses (IHU) du CHU de Marseille.

ROO, Eliane: Dermatologue de l’Académie espagnole de dermatologie et vénérologie.

T

TOUSSAINT, Jean-François : Professeur de physiologie à l’Hôtel-Dieu (AP-HP, université Paris-Descartes), directeur de l’Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport (Irmes) à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep).

TROTTA, Pascal : Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, radiologue, homéopathe, nutritionniste et acupuncteur auriculaire.

V

VAN KERKHOVE, Maria : Epidémiologiste américaine des maladies infectieuses. Avec une formation en pathogènes à haut risque, elle est spécialisée dans les maladies infectieuses émergentes et est basée dans le programme des urgences sanitaires de l’Organisation mondiale de la santé

W

WONNER, Martine : Médecin psychiatre et élue députée dans la 4ème circonscription du Bas-Rhin.




L’Assemblée nationale face à ses responsabilités

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie]

[Auteur :] Alain Nicolai

L’Assemblée nationale est l’institution française qui forme, avec le Sénat, le Parlement de la Cinquième République. Son rôle est de débattre, de proposer, d’amender et de voter les lois, et de contrôler l’action du Gouvernement.

À la différence du Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure. Elle siège au palais Bourbon à Paris. (Wikipéda)

En octobre 2019 un virus inconnu apparait subitement à Wuhan, puis touche, quasiment l’ensemble de la planète dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures en urgence pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Certaines de ces dispositions semblent temporaires.

L’Assemblée Nationale est fermée.

À la fin du confinement les parlementaires retournent au Palais Bourbon. Les citoyens qui ont élus ces députés pour les représenter pensent alors que ceux-ci vont reprendre normalement leur travail pour recadrer les mesures prises par le gouvernement dans l’urgence, et qui ne sont pas en phase avec la Constitution, comme la privation de libertés instaurés par le confinement. Mais ce n’est pas le cas. Aussi le gouvernement décide sans aucun débat de reconfiner le 31 octobre 2020 alors que le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible.

à écouter. Nicole Delépine :

CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE

et cet article:

Tout aussi grave, l’affaire Raoult.

La France est le seul pays au monde à avoir interdit formellement l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. « L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. A la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le ministère de la santé dans un communiqué. » Journal Le Monde du 27 mai 2020.

Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privées, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisé ultérieurement en France mais sans publicité. Cependant les français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement comme le démontre par exemple ce.

Constat, après la réouverture de l’Assemblée nationale il n’y pas eu de débats sérieux sur ce sujet en ce lieu, conséquence l’hydroxychloroquine a de nouveau été interdite en France par le gouvernement le 23 octobre 2020 sur un avis de l’Agence du médicament.

Nous apprenons que le Pr Didier Raoult va porter plainte contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament pour « mise en danger de la vie d’autrui » par l’intermédiaire du très efficace Maitre Fabrice Di Vizio, avocat des médecins libéraux, dont la plainte pour « abstention volontaire » est à l’origine des perquisitions du jeudi 15 octobre 2020.

« Les gendarmes de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) ont coordonné jeudi 15 octobre, sur huit lieux simultanés et sur dix sites de perquisitions, la première opération de police de l’enquête orchestrée par la commission d’instruction de la CJR (Cour de Justice de la République).

Plus de 100 policiers, gendarmes et enquêteurs ont été mobilisés pour cette grande action de justice et de vérité contre mensonges et impunité. Accompagnés de spécialistes en informatique, ils ont aspiré toutes les données des téléphones portables sur les logiciels cryptés, les informations sur ordinateurs et les boîtes mails des ministres Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, et l’ancienne porte parole Sibeth Ndiaye. Mais aussi du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon puis la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. » Source Lucien Cavelier.

Lucien Cavelier est un des trois soignants qui est à l’origine de la création de ce collectif de médecins appelé C19 qui avait annoncé le jeudi 19 mars son intention de porter plainte contre l’ancienne ministre de la santé, A. Buzyn, et le premier ministre, E. Philippe, devant la Cour de Justice de la République, estimant que ces derniers « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». Leur initiative est appuyée par une pétition en ligne écrite le 21 mars qui avait déjà recueilli 500 000 signatures en trois semaines.

Conclusion :

« À la fin, qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés. » (Didier Raoult)

Nos députés portent une énorme responsabilité sur l’évolution de la crise de 2020. Ils semblent comme anesthésiés, et même fascinés, par les forces obscures qui les empêchent de voir clair, à l’exception de quelques-uns, qui, à l’image de Martine Wonner essaye de les faire réagir.

Intervention brillante de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale. 

“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.” Françoise Giroud.




La dynamique de réduction

[Source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch via Réseau International]

par Marie-France de Meuron.

Je suis frappée par toutes les réductions dans lesquelles nous sommes plongés actuellement, comme si nous devions être acculés au fond d’une impasse, non seulement économique, mais aussi mentale, culturelle, sanitaire, sociale, sociétale, fraternelle, en un mot …existentielle ! Chacun ou chaque groupe de personnes en subit les inconvénients ou alors en tirent les avantages, dans la mesure inéluctable où nous sommes soumis à des lois d’équilibre inhérentes au cosmos.

Un philosophe nous rappelle une disposition d’esprit appropriée à diverses circonstances : «  Ressentir ce qu’exige la situation : la juste émotion, vis-à-vis du bon objet, au bon moment et au juste degré ».

Mais sommes-nous encore à même de fonctionner avec tous nos potentiels et capacités ? La peur devient le maître à penser dans plusieurs situations quotidiennes. Elle conduit ainsi à une réduction de la réflexion de maintes décisions des autorités. Un auteur présente bien l‘envergure du problème à l’annonce du reconfinement : « Covid : quand la gouvernance perd la raison. Arrêter un pays parce qu’un coronavirus continue de circuler est une folie aux conséquences incalculables ».

On peut lire aussi : « la Confédération mise désormais de plus en plus sur les masques pour lutter contre le coronavirus« . Ainsi, on en arrive à une réduction de la vision en misant sur un paramètre alors que les lois du développement d’une maladie sont bien plus complexes. Réduction qui s’accompagne d’une réduction du vocabulaire : « Alain Berset a appelé lundi à une remobilisation générale face au coronavirus…., il a souligné « le besoin d’une réaction forte » alors que le Conseil fédéral annoncera mercredi de nouvelles mesures« . Cette réaction forte n’est qu’au niveau de mesures qui ont prouvé leurs limitations, rien au niveau de la réceptivité des êtres humains aux microorganismes ni aux conditions environnementales qui influencent cette propagation.

De son côté, le Figaro relève : « Couvre-feu : « Liberté et responsabilité deviennent des mots sans valeur en France ». Que nous reste-t-il quand nos activités sont pareillement brimées et que la responsabilité de notre santé est détenue par des mesures sanitaires ou des experts limités à leurs spécialités qui, de ce fait, en perdent la vue d’ensemble et écartent même des professeurs chevronnés voire licencient des médecins – dont on a urgemment besoin – parce qu’ils informent de la réalité des faits dans leurs interactions, faits que le système dirigeant réduit à des données chiffrées (même si enrobés de propos grandiloquents).

Je suis très perplexe quant au type de réduction de la réflexion scientifique qui aboutit par exemple à un revirement fondamental effectué par un virologue, suivi par tous ceux qui s’appuient sur lui et ceci malgré le fait qu’il avait déjà effectué un tel revirement lors de la grippe porcine. Il est affligeant qu’on doive en arriver à utiliser la voie juridique pour replacer la vérité et chercher à se faire dédommager des conséquences dramatiques de ce revirement.

Nous sommes témoins aussi de la réduction de la pensée politique avec l’illusion qu’on peut supprimer ce virus, sans imaginer les gros couacs possibles « Si le vieux continent adopte une stratégie de « contrôle » de la circulation du virus, l’Australie et la Nouvelle Zélande tentent de « supprimer » toute apparition de foyer épidémique. Une politique qui s’accompagne de restrictions drastiques des libertés individuelles« . Cette réduction est telle qu’on oublie qu’il y a des soins à porter à la population autres que ceux nécessités par le covid-19. « Mais le coût des politiques mises en place n’est pas simplement économique : un coût humain parfois considérable est aussi à déplorer. Ces dernières semaines, la presse anglophone faisait état de l’augmentation de la mortalité chez les enfants de la ville de Melbourne en raison de la hausse des accidents domestiques survenus suite aux mesures de confinement. » À quoi se sont ajoutées les conséquences infectieuses dues à des « Seringues et appareils réutilisées dans un hôtel de quarantaine ».

La dynamique en cours réduit les êtres humains à des sujets – considérés comme des objets du moment où ils sont comptabilisés en tant que cas – stigmatisés par le coronavirus, hospitalisés ou morts sans tenir compte de leurs propres états de santé à la source de leurs vulnérabilités ; leurs identités humaines ont également été réduites quand ils ont dû mourir à l’écart de leurs êtres chers.  Dans le même ordre d’idée, on réduit la dignité et la protection des humains à des mesures préventives, masques, confinements, vaccins au lieu de les soigner pour renforcer leurs immunités. C’est une simplification qui montre à quel point la pratique médicale s’est réduite.

C’est aussi dans la méthode de diagnostic qu’on trouve une réduction en un test PCR qui lui-même détient ses propres limitations puisque remis en cause par divers médecins qualifiés. « Mensonges, maudits mensonges et statistiques sanitaires du Royaume-Uni : Le danger mortel des faux positifs« . L’article est très long mais démontre bien à quel point le sujet est complexe et que vouloir gérer une épidémie en s’appuyant sur ces tests est très réducteur alors quecomme l’affirme très fermement l’auteur : « La méthode scientifique ne quitte jamais une personne qui a suivi une formation et travaillé comme scientifique professionnel ».

Un médecin soulève aussi le problème d’obtenir un indicateur qui différencie une PCR positive forte d’une PCR positive faible. Par conséquent on constate une réduction de la valeur du test.

De plus, la population fait preuve d’une réduction de conscience : « En se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de « transe hypnotique » induit par les mesures autoritaires liées à la crise sanitaire ».

En réalité aujourd’hui, la science se confond avec les mathématiques, les statistiques, les modélisations, l’économie et la politique. Il est ainsi beaucoup plus facile de discourir en s’appuyant sur des chiffres sonnants et trébuchants. Chacun en vient à donner son avis, sûr des chiffres à sa disposition et sans connaissances de l’ensemble de la situation. De ce fait, deux prix Nobel d’économie recommandent un confinement de tout le territoire du 1er au 20 décembre. « Ils affirment encore : « Les citoyens responsables vont bientôt faire face à des dilemmes cornéliens entre leurs différents devoirs, et il est déraisonnable de ne pas les guider dans ces choix ». Ainsi, ils prétendent guider les citoyens « responsables » en réduisant leurs pouvoirs de soupeser les différents paramètres en jeu puisqu’ils devraient se soumettre au confinement. Leurs sources d’information sont bien réduites puisque « le directeur régional de l’Organisation mondiale de la santé pour l’Europe, Hans Kluge, estime que les gouvernements devraient cesser d’appliquer des mesures de confinement, sauf en cas de « dernier recours », car l’impact sur d’autres domaines de la santé et du bien-être mental est plus néfaste ».

Un chirurgien urologue de longue expérience se pose la question fondamentale : « Pourquoi le gouvernement se prive-t-il, et nous avec, volontairement, de ce qui peut peut-être marcher, quand on n’a rien d’autre à proposer ? » Il donne son avis bien planté dans la réalité concrète et propose : « Covid : d’autres solutions que le confinement ? » On peut évoquer ici une réduction des moyens d’action.

Alors que d’autres solutions sont offertes pour renforcer la santé de la population et de ceux qui prennent la responsabilité des systèmes de leurs corps, voilà que j’apprends « L’ANNULATION DU SALON THERAPEIA des 21 & 22 NOVEMBRE 2020, à YVERDON ». À souligner aussi que lors du premier confinement, les thérapeutes alternatifs avaient reçu l’ordre de fermer leurs centres de soins. On assiste vraiment là à une réduction des moyens de prévention des maladies, en réduisant la visée à un seul virus, alors que la santé découle d’un équilibre de très nombreux microorganismes. Ce n’est pas parce qu’on lui voit une couronne au microscope qu’il faut le nommer empereur de tous les microbes !

Le projet de donner un terme à cette épidémie est concentré sur un vaccin, donc réduit à un mode de lutter contre un microorganisme. Seulement voilà, le concept du vaccin paraît simple et on cherche à en persuader le peuple en réduisant au maximum, d’une part, les paramètres nécessaires à sa création et, d’autre part, les multiples réponses des organismes humains à qui, de plus,  il est injecté de force dans la mesure où la barrière épidermique n’est pas prise en compte. D’autre part, de premières alertes sont lancées suite à une recrudescence de la covid 19 après la vaccination antigrippale. Ce qui s’expliquerait par une réduction d’immunité due à cet autre vaccin.

Il est cocasse de mentionner que pour faire un vaccin, on doit passer par une réduction d’un virus à un modèle breveté car le naturel ne peut pas être breveté. Donc même dans ce cas le système scientifique passe par une dynamique réductrice!

Nous sommes confrontés aussi à la réduction des traitements possibles en relation aussi avec les divergences dans le monde médical, tant entre les médecins eux-mêmes que dans leurs dénis des autres médecines qui peuvent présenter un effet important spécialement au stade précoce de la maladie. Comme le rappelle avec beaucoup de conscience un médecin de famille : « Covid-19 : on ne soigne pas des tests, mais des personnes malades ! » Il est vraiment tragique qu’on doive rappeler qu’il ne s’agit pas de réduire les êtres humains à des résultats de tests.

La réduction des traitements va aussi à la réduction des aînés : « Entre le mois de mars et le mois de mai dernier 13 464 doses « supplémentaires » de Rivotril ont été délivrées Cela pourrait représenter un tiers voire la moitié de tous les décès pendant la « pandémie » ! Cette molécule est destinée à abréger les souffrances des malades de la Covid« . Abréger arbitrairement les souffrances avec un médicament est une réduction du vécu et non un accompagnement actif avec bienveillance dans une intention d’apaisement.

On réduit aussi l’état de santé globale par un stress à répétition, en créant une épidémie de peur avec ses conséquences que décrit si bien « la Dre G. F., médecin-psychiatre : La peur hypnotique distillée jour après jour dans tous les médias nous maintient dans un état de sidération qui empêche toute réflexion et toute mise en perspective de ce qui nous arrive. »

Un informaticien explique le processus de la propagande de la peur et comment plus personne ne croit plus à rien – réduction de la confiance –Sur sa lancée dynamique, il démontre comment l’élan de vie peut « regonfler les voiles », semer dans l’esprit des gens « les graines de l’analyse critique » et « Rompre la spirale de la peur« .

En plongeant dans la peur, on se retrouve dans un état de soumission dans la passivité comme nous le décrypte un professeur de cardiologie.

Voici une nouvelle qui laisse songeuse : « L’Argentine ne parvient pas à enrayer l’avancée du coronavirus. Malgré des mesures d’isolement prises très tôt et le plus long confinement du monde dans Buenos Aires et sa région, le pays paie un lourd tribut à la maladie ». Un pareil constat démontre un manque d’initiative pour trouver soi-même, en fonction des lieux et de ses habitants, des solutions plus efficaces. Cette rigidité à persister plus que tout autre pays à un confinement qui n’apporte pas de réel bénéfice dénote d’une forte réduction de l’imagination !

Dans un autre domaine, on veut aussi imposer un mode de travailler monobloc qui semble techniquement et conceptuellement satisfaisant. Toutefois, « Covid-19 : les entreprises ne sont pas prêtes pour une nouvelle période de télétravail obligatoire. La réduction de considération pour les travailleurs déjà éprouvés conduit à une situation pénible : « L’absence d’interactions sociales peut engendrer une perte de performance chez le collaborateur s’il se sent trop isolé« .

De son côté, un économiste accuse le gouvernement français de réduire les emplois comme du jamais vu depuis la Deuxième Guerre Mondiale. Le premier confinement a détruit 700 000 emplois, qui se transformeront bientôt en une destruction d’un million d’emplois, et même 1,5 million d’emplois après le deuxième confinement, selon les économistes.

Evidemment, d’autres pays déplorent aussi la perte d’emploi : 30 000 emplois menacés chez Lufthansa ou en Suisse : « Jusqu’à 100 000 emplois menacés dans la restauration. Mardi, le président de Gastrosuisse a manifesté son inquiétude face aux nouvelles mesures qui touchent le secteur de la restauration. Des emplois sont à la clé ».

On peut aussi évoquer la réduction des pouvoirs quand nous apprenons que « Macron reconfine, la société française à nouveau bloquée. Pour la première fois, en régime d’exception sanitaire, la bureaucratie s’imagine vivre sans la société ou, au pire, la remplacer dans son fonctionnement essentiel. Effectivement « Coronavirus : à qui profite la crise économique mondiale ? Ainsi, la réduction de l’économie est « recyclée »…

Voici un exemple très percutent d’un autre type de dynamique réductive, tant pour celui qui en est l’acteur par sa réduction de l’éthique que pour celui qui la subit et s’appauvrit atrocement : « Le FMI profite de la « pandémie » pour endetter 81 pays ! L’énorme bouleversement économique causé par la « pandémie » du Covid-19 offre une occasion unique de modifier fondamentalement la structure des sociétés. Le Fonds monétaire international (FMI) profite des bouleversements actuels pour continuer de mettre en œuvre des mesures d’austérité quasi perpétuelles à travers le monde ».

Avec toutes les mesures, nous subissons aussi la réduction de la démocratie. Un commentateur, Cornelle V l’exprime ainsi : « Il y a peu, si on nous avait dit que la démocratie et la liberté seraient abolies en Europe occidentale, qui l’aurait cru ? ? ?

Personne ! ! !

Aujourd’hui, pour des raisons SANITAIRES, la démocratie et les libertés, C’EST FINI ! FINI !

Des mesures de confinement et de couvre-feu sont prises par les gouvernements SANS PASSER PAR LES PARLEMENTS, et sont appliquées sans que personne ne proteste ! Et tout à coup, tous les partis politiques sont devenus aphones ! APHONES! On n’entend plus rien !

Réduction aussi de la scolarisation des enfants : « Les écoles belges prolongent les vacances de la Toussaint. Pourtant, le bilan de l’école à distance est contrasté selon l‘expérience d’autres écoles.

J’ai lu aussi une observation qui mérite réflexion pour sa grande portée :  les masques conduisent à la réduction de notre espace public par l’espace médical« .

Les services religieux sont également réduits : Réduc des fidèles à Noël. Même le pape se soumet à César et ses mesures sanitaires alors qu’on  prétend que c’est en raison de la « pandémie » : « Le pape privé de fidèles pour les cérémonies de Noël, Le souverain pontife officiera sans fidèles pour les messes de l’Avent et de Noël en raison de la « pandémie » de Covid-19. Les cérémonies, qui se dérouleront « sous une forme privée », seront diffusées en ligne ». Sans doute, le pape est privé de ses fidèles mais on ne mentionne pas la réduction des interrelations entre les fidèles qui, par leurs ferveurs et leurs compassions peuvent être des sources de santé bien plus intenses et fondamentales que leurs éventuels postillons !

L’imposition des masques nous incitent à la réduction de la conscience de respirer : même en sortant d’un lieu clos, les gens n’ont plus conscience de la limitation de l’air inspiré et du milieu clos dans lequel ils expirent et certains gardent leurs masques, de même que dans leurs voitures.

Nous arrivons à la réduction de l’autonomie par le puçage que je ne développerai pas ici. Qui rejoint aussi la perte d’autonomie de forger son système immunitaire, aussi bien quand il y a des restrictions de sortir, des interdictions de fréquenter des lieux sains ou encore par vaccins obligatoires.

Nous subissons aussi l’arbitraire de la réduction des vidéos selon leurs messages hors pensée unique à laquelle les médecins sont censés se soumettre. Certains restent fidèles à eux-mêmes et cherchent à éveiller leur confrères par un « Message d’un médecin américain à tous les médecins. La Conscience doit prévaloir sur les réponses programmées du conditionnement mental humain et de la manipulation par la peur ». Malgré des millions de vue en 2 ou 3 jours, elle a été supprimée par les grands réseaux, ce dont Le Monde informe. Évidemment, on trouve l’accusation de « désinformation » mais aucune explication de ce qui anime les auditeurs à écouter les critiques de médecins concernant le port du masque et leurs intérêts à prescrire de l’hydroxychloroquine.

La pensée unique prêche principalement pour les études randomisées en double aveugle, comme un credo fondement de sa science. Malgré les réductions qu’elles présentent, on leur accorde la priorité en évacuant les études observationnelles qui sont davantage ciblées. Je ne vais pas approfondir ici car cela nécessiterait de discuter d’une église qui décrète « hors de Moi, point de salut ! »

Dynamique de réduction hors du contexte du coronavirus

Évidemment, cette dynamique ne date pas du déclenchement de l’épidémie mais s’est mise en place en quelques décennies, tout en s’intensifiant ces dernières années.

Il est question de la réduction de la population. Cette dynamique a stimulé différentes initiatives. Parmi elles, je relève : Stérilisation de masse au Kénya suite à une vaccination.

Dans un tout autre domaine, on peut se poser la question du pourquoi on réduit autant les témoins des attentats en France en les tuant. Il me semble que les policiers ont assez de métier pour neutraliser sans tuer aussi fréquemment des humains malfaisants.

Encore sur un tout autre plan, le service du feu a renoncé dans ma commune à faire son contrôle. Y aurait-il réduction des risques en cas de confinement ?!

Quel avenir pour la dynamique de réduction ?

Une réduction est une forme de contraction, donc elle va appeler une décontraction car les forces de vie restent actives, même en apparente sourdine. Elles vont amener une expansion qui correspond bien à la dynamique de croissance et d’évolution de tout être vivant.

Il nous reste à demeurer vigilants pour repérer les prémisses de ces forces de décontraction et d’expansion afin de ne pas les retenir davantage, ce qui amène des souffrances et, surtout, d’avoir la joie de découvrir l’expansion de notre santé.

Quelles prises de conscience nous incite-t-elle à faire ?

J’ai retenu 2 vidéos soigneusement présentées par des hommes bien impliqués dans leurs témoignages.

La première nous fait ressentir l’état de violence que nous avons accumulée et qui nous a conduits à oublier toute forme de vie à commencer par nous-mêmes. Si nous acceptions d’entreprendre un retournement de nos attitudes, alors « LE CORONAVIRUS EST NOTRE SAUVEUR – Déclic-19

La seconde nous invite à « Saisir les opportunités de la COVIDCOMÉDIE (crise admirablement orchestrée) ». L’auteur cherche à répondre aux questions indispensables si nous voulons nous libérer de l’emprise de l’ambiance actuelle : Comment conserver un esprit apaisé, une joie de vivre avec toute cette manipulation autour de nous, cette COVIDCOMÉDIE, cette crise inventée de toute pièce ? Comment saisir les opportunités de cette crise ? Est-il possible de rester centré, aligné avec ses valeurs, de voir les opportunités de la crise, de continuer à avoir des projets, des rêves, de l’enthousiasme, alors que l’oppression et la dictature s’imposent de plus en plus autour de nous ?

Marie-France de Meuron




La mondialisation… en marche — 9 alertes rouges

[Source et auteur :] Alain Nicolaï
[Cf : L’Assemblée nationale face à ses responsabilités]

[Avec la participation de Nouveau Monde]

Neuf alertes rouges pour vous faire bien comprendre que leur « Monde d’après » sera bien pire que le monde d’hier.

Alerte rouge n° 1 : La haute finance.

Préambule :

À l’origine, la monnaie était créée et gérée par les États, au fil du temps des intérêts privés ont réussi, à force de manigances et de coups tordus, à déposséder les États de la création monétaire. Par exemple, la FED, Federal Reserve System [Système de Réserve Fédérale], la Réserve fédérale est la banque centrale des États-Unis, est un organisme privé.

« Il y a tant de présidents (américains) qui ont lancé des avertissements à répétition contre le pouvoir de l’argent ! Tant de sessions au Congrès et d’affaires juridiques qui ont incontestablement démontré le caractère privé de la Réserve Fédérale ! »

Hongbing Song, La guerre des monnaies, Le Retour aux Sources, Paris, 2013, page 123.

Ce système propulsé par le FMI, c’est étendu pratiquement à l’ensemble de la planète, actuellement de très rares États sont encore maîtres de leurs monnaies comme la Corée du Nord et Cuba.

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font les lois. »

Mayer Amschel Rothschild (1743–1812)

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières dressées. »

Thomas Jefferson, président des États-Unis de 1801 à 1809.

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation, puisque “la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit”. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

Napoléon Bonaparte 

« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé, un des plus contrôlés et dominés, non pas par la conviction et le vote de la majorité, mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants. »

Woodrow Wilson, président des États-Unis de 1913 à 1921.

Alerte rouge n° 2 : Le capital et le capitalisme

« Au demeurant, la survie de l’entreprise n’est pas un objectif de l’économie de marché : celle-ci cherche en effet à assurer la maximisation de la rentabilité du capital, ce qui passe par la réallocation (sic) permanente dans les secteurs les plus rentables, fut-ce au prix de la destruction des entreprises qui, à un moment donné, l’utilisent. Leur survie n’est donc pas de l’intérêt du capitalisme et elles ne survivent qu’aussi longtemps qu’elles permettent à ceux qui y investissent de faire le maximum de plus-values et de profits : et leur loyauté ne résiste pas à une chute de l’espérance de gains. L’entreprise est ainsi, pour l’actionnaire, comme une sorte de prostituée dont le mépris qu’elle inspire à son client augmente avec le plaisir qu’elle lui procure. »

Jacques AttaliSurvivre aux crises Fayard, Paris, 2009, page 207.

Qu’en conclure ?

1) À la lecture de ce texte, on comprend facilement que le sort des travailleurs, et donc de leurs familles, est le cadet de leurs soucis. Plus surprenants, l’entreprise et donc les entrepreneurs sont aussi jetés sans état d’âme avec l’eau du bain !

2) On comprend aussi facilement que ces gens-là n’ont aucun respect pour le travail. Ils n’ont de considération que pour la rente et les profits.

3) La dernière phrase est d’un cynisme absolu, elle révèle abruptement la mentalité égoïste de certains capitalistes. Par respect pour l’espèce humaine, on ose cependant croire que cet état d’esprit est exceptionnel !

« Le moteur du capitalisme financier apparaît plus clairement que jamais : la cupidité. »

« Les marchés, étant globaux sans que l’état de droit le soit, prennent peu à peu le pas sur l’état de droit de chaque nation et sur la démocratie supposée le fonder. »

« Nul ne peut évidemment croire que le capitalisme financier se moralisera tout seul. À l’heure actuelle, il est prêt à tout, ou presque, pour que les contribuables aient assez peur de leur propre avenir pour accepter sans trop rechigner de financer ses erreurs. Mais, sitôt qu’il le pourra, il recouvrera sa superbe et recommencera à se développer dans son intérêt propre, en poussant les autres à s’endetter pour son seul bénéfice. »

« Depuis que le capitalisme a pris le pouvoir, la crise semble même être son état naturel. »

Jacques AttaliLa crise, et après ? Fayard, Paris, 2008.

« Les pouvoirs n’aiment terroriser les peuples que lorsqu’ils disposent aussi d’un moyen de les rassurer. »

Jacques Attali, Au-delà de nulle part. LGF — Livre de Poche, Paris, 1999.

Alerte rouge n° 3 : Les médias et le pouvoir.

4 agences de presse influencent toute la population mondiale. www.réseauinternational.net

« Les agences de presse sont rarement le point de mire du public. Pourtant, elles sont parmi les catégories de médias les plus influentes et en même temps parmi les moins connues. Ce sont des institutions clés avec une importance substantielle pour chaque système de médias. Elles sont le centre nerveux invisible qui relie toutes les parties de ce système. »

(Wolfang Vyslozil, ancien gérant d’APA)

C’est l’un des aspects les plus importants de notre système médiatique, et pourtant presque inconnu du public ; la plus grande partie des nouvelles internationales dans tous les médias principaux provient de quatre agences de presse seulement : New York, Londres, Paris et Berlin. La position de monopole de ces agences a plusieurs conséquences : elles déterminent le choix des reportages, elles décident de quoi on parle et de quoi on ne parle pas, et il est évident que les reportages sont très uniformes et ils sont souvent simplement copiés. (www.réseauinternational.net)

Rappel :

« Les riches achètent les médias pour donner de l’information bien choisie aux pauvres » ce qui dit autrement veut dire qu’on nous cache beaucoup de choses.

Bourdieu

Encore une manipulation de Macron : faire payer les Français pour la dette de la presse, Les médias officiels vous enfument, Macron veut nous faire payer l’addition. (Résistance verte)

Dans son édito du Trimestriel d’informations Tous contribuables de septembre — novembre 2020, son directeur Eudes Beaufreton résume parfaitement la situation actuelle :

« Car avec la crise du covid, l’État a réussi ce tour de force extraordinaire (avec l’aide des médias dominants) de nous faire croire que sans son intervention à tout bout de champ, nous allions tous mourir. »

Le Viol des foules par la propagande politique, Serge Tchakhotine, Tel Gallimard, Paris, Présentation par l’éditeur. Quatrième de couverture.

Censuré en 1939 par le ministère français des Affaires étrangères, détruit en 1940 par les Allemands, ce livre a été finalement réédité au début des années 1950 dans sa version actuelle augmentée et actualisée. C’est un traité classique de psychologie sociale qui cherche à démonter comme à comprendre les mécanismes auxquels obéissent les foules, les masses et, plus généralement, la formation de la volonté politique et l’action politique. Quatre impulsions affectives primaires sont mises en œuvre par la manipulation propagandiste et idéologique : l’agressivité, l’intérêt matériel immédiat, l’attirance sexuelle au sens large, la recherche de la sécurité et de la norme. Cette psychologie sociale discute, bien sûr, Freud, mais aussi Jung, Tarde et Pavlov. C’est bien évidemment sur le terrain historique de l’affrontement entre propagande nazie et résistance social-démocrate que l’auteur se situe dans un premier temps pour analyser les raisons du fulgurant succès de Hitler et celles de l’échec de la démocratie. Mais il étend ses investigations au-delà de ces événements, et traite aussi de la propagande soviétique, de l’affrontement idéologique de la guerre froide, du pacifisme, bref des formes générales de la propagande, de sa réussite ou de son échec, ainsi que des moyens d’y résister, ce qui conduit l’auteur, savant biologiste, à parler ici en sociologue et, surtout, en pédagogue.

Alerte rouge n° 4 : La politique politicienne.

« La politique ne consiste pas à faire taire les problèmes, mais à faire taire ceux qui les posent. » « Quand vous êtes embêtés, embrouillez tout. »

Henri Queuille, membre du parti radical-socialiste, plusieurs fois ministre sous la Troisième République française.

Un bel exemple de politicards qui a fait des émules… En premier et essentiellement, ce genre de chenilles républicaines ne fondent leurs causes que sur leurs intérêts personnels. Ils cherchent le pouvoir, non pas pour aider honnêtement leurs semblables, mais pour les dominer et en tirer, seul, ou avec d’autres, des avantages et/ou des profits.

« La majorité des hommes politiques, à en croire les éléments dont nous disposons, ne s’intéressent pas à la vérité, mais au pouvoir et au maintien de ce pouvoir. Pour maintenir ce pouvoir, il est essentiel que les gens demeurent dans l’ignorance, qu’ils vivent dans l’ignorance de la vérité, jusqu’à la vérité de leur propre vie. Ce qui nous entoure est donc un vaste tissu de mensonges, dont nous nous nourrissons. »

Harold Pinter, prix Nobel de littérature en 2005.

« Des tireurs de ficelles aux sociétés plus au moins secrètes, des organisations de parti aux comités, tous ont une action sournoise d’accaparement des institutions et d’emprise sur les fonctionnaires ; ils choisissent les candidats, font les élections, domestiquent et corrompent les élus, pour aboutir à ce que le monde de l’argent et le monde de la politique tendent, de plus en plus, à ne faire qu’un. »

André Tardieu, Ancien Président du Conseil, 1936.

La Théatrocratie de Platon

La mise en scène du pouvoir politique est la façon dont ses détenteurs donnent à voir la nature de ce pouvoir aux yeux de ceux qu’ils gouvernent, de leurs pairs ou leurs rivaux.

Il semble qu’assez vite le principe de l’affichage symbolique des différences se transforme en un exercice psychologique du pouvoir, et l’autorité des hommes et femmes qui détiennent le pouvoir politique va être non seulement affichée, mais également dramatisée et mise en scène au travers d’une symbolique stéréotypée ou non.

En fonction des sociétés, de la conjoncture historique, ces mises en scène ont été destinées à impressionner, rassurer, mystifier, terrifier, ou simplement berner les spectateurs.

La mise en scène peut donc avoir une fonction heuristique, illustrant les différentes responsabilités du pouvoir aux yeux des sujets, promouvoir l’éthos de la personne publique ou au contraire jouer un rôle de désinformation analogue à celui de la propagande en insistant sur le pathos. Certaines mises en scène peuvent même être classées dans l’arsenal de propagande du pouvoir.

Ce souci de jouer sur l’apparence, à l’aide de techniques proches de celles du théâtre et du spectacle en général, existe dans de nombreux domaines du pouvoir, et dans toutes les formes de pouvoir politique. (Préambule de l’article de Wikipédia sur la Théocratie)

Alerte rouge n° 5 : Le Nouvel Ordre Mondial.

Nous avons vu dans un précédent article, que la société secrète des Skull & Bones, issue de l’Université de Yale, « dont les membres les plus actifs de l’organisation viennent d’un noyau d’environ 20 à 30 familles, attachées à la défense de leur héritage et de leur lignée. » (Skull and Bones, l’élite de l’Empire) n’hésite pas à signer leurs interventions dans la crise du covid-19.

Par ailleurs, il faut savoir que des réunions soi-disant informelles, avec des participants triés sur le volet, se tiennent régulièrement depuis des années, comme celles du groupe Bildeberg, de la Trilatérale, ou du Forum de Davos… sans que la grande presse s’en occupe particulièrement. Le groupe Bilderberg, Conférence de Bilderberg ou Club Bilderberg, créé en 1954 est un rassemblement annuel d’environ cent trente personnes, composé en majorité de personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. Les fondateurs et promoteurs étaient le prince Bernhard des Pays-Bas (qui était le président de la réunion jusqu’en 1976) et le conseiller politique polonais Józef Retinger. La Trilatérale (ou Commission trilatérale) est une organisation privée créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinsk et David Rockefeller. Le Forum de Davos ou Forum Économique Mondial est plus connu… Suite à la crise du covid-19, ce dernier, et sans aucun doute les précédents, veulent nous imposer des décisions prises dans notre dos… comme le montre clairement le site du Forum Économique Mondial (Davos) qui propose unilatéralement leurs soi-disant solutions pour leur « Monde d’après », en annonçant un « Great Reset », une « grande réinitialisation », c’est-à-dire un nouveau système mondial basé sur leurs seules décisions prisent en dehors du système démocratique.

En fait, la crise du covid-19, et la crise économique qui en découle, ne leur sert que de prétexte pour camoufler la faillite du système monétaire actuel. Elle leur permettra de justifier la création à plus ou moins long terme d’un gouvernement mondial et l’édification d’un nouveau système monétaire basé sur une monnaie (dématérialisé ?) entièrement sous leur contrôle. En résumé, les citoyens verront les pouvoirs s’éloigner encore plus d’eux, ils n’auront plus aucune prise sur les décisions les concernant, ils deviendront les jouets de forces obscures… et pour finir, pour le mieux, ils seront plumés.

Valérie Bugault le dit clairement :

« J’ajoute que la fin du dollar en tant que monnaie internationale est la condition sine qua non pour qu’advienne une monnaie mondiale viable, du moins selon les critères de fonctionnement économiques et monétaires imposés par les banquiers internationaux. Or, la fin du dollar comme monnaie mondiale suppose la fin de l’hégémonie de l’empire américain. Dès lors, il devient facile de comprendre que certains membres décisionnaires de cet empire se sont violemment opposés, et s’opposent encore violemment, à ce projet qui aboutira à une disparition de leur situation dominante. Cette partie des dirigeants américains qui se rebellent peut être qualifiée de patriote, il s’agit des gens qui étaient ouvertement impliqués dans la domination du monde par les Américains eux-mêmes. À l’opposé, ces derniers ont pour pires ennemis internes les globalistes apatrides, dont la tête se situe à la City of London, et qui œuvrent en sous-main pour l’avènement d’un gouvernement mondial, lequel suppose la disparition de l’empire US. »

Extrait de l’article Géopolitique du coronavirus I – entretien avec Valérie Bugault 
Stratégika. 15 avril 2020.

De plus, en consultant le site du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) vous pourrez constater qu’après avoir pendant des décennies pollué la planète, ils veulent maintenant nous faire croire qu’ils se sont transformés en écologistes vertueux, ils prennent vraiment les gens pour des imbéciles…

Un exemple flagrant est le décret passé en douce début juillet 2020 par le gouvernement Macron sur les milieux aquatiques. Il fera sans doute comprendre définitivement aux écolos et aux amoureux de la nature que ce gouvernement se moque d’eux. Un décret scélérat autorise la destruction des moulins, canaux, étangs et plans d’eau sur simple formalité, sans étude d’impact ni enquête publique ! (hydrauxois)

Alerte rouge n° 6 : L’OMS, Bill Gates et le mauvais usage du pouvoir et de l’argent.

« Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux. »

Dr George Brock Chisholm, premier Directeur général de l’OMS, de 1948 à 1953.

OMS — Fonds privés… (L’OMS dans les griffes des lobbyistes ?). Le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée en grande partie par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont la fondation Bill et Mélinda Gates, son plus grand « donateur », qui prône la vaccination à outrance tous azimuts (BILL GATES : L’INCROYABLE ARNAQUE DERRIÈRE SA FONDATION)

C’est pour cela, sans aucun doute, que Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui n’a aucun diplôme en médecine, a été nommé Directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2017 malgré les très lourdes casseroles qu’ils traînent derrière lui. (Les crimes de Tedros Adhanom, directeur général de l’OMS)

« C’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser. »

Montesquieu — Du pouvoir.

Alerte rouge n° 7 : La crise protéiforme du Covid-19 en France et dans le monde, symptôme d’un monde en perdition.

1) Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine (XIIs) dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours », au XVIIs, âge de quarante ans » et « « isolement de quarante jours » (pour éviter la contagion). Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 655.

2) De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus avec un franc succès. Ils ont testé les malades et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

3) Le point sur les différents tests (Journal des femmes).

4) Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai de plusieurs jours), il est déclaré systématiquement positif au covid-19. (Il y a des directives pour surestimer considérablement le nombre de décès dans tous les pays)
Article FranceSoir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.
[Voir aussi : Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».]

5) Des tests nettement plus précis et rapides (30 min) existent, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion. (ASIE – ÉPIDÉMIE: Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19)

6) Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des intérêts privés, des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Didier Raoult explique, par ce constat, alors qu’il en est membre, son refus d’y siéger. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

7) Vous voulez voir quelle est la nature des liens avec des intérêts privés ? Il est bien évident que ceux qui profitent de cette manne ne peuvent pas avoir de jugements objectifs. Ils ne peuvent pas être impartiaux. (Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique et Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt)

8) Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population. Avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

9) En nombre de décès, les pays ayant confiné, comparés avec ceux qui ont testé avec des tests fiables et rapides et n’ont pas confiné l’ensemble de la population (CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE)

10) En France, les effets pervers du confinement. Conclusion de l’article Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France… à partir de la mortalité toutes causes confondues de 1946 à 2020 — Denis G. Rancourt, Ontario Civil Liberties Association, Marine Baudin et Jérémie Mercier, Mercier Production.

“La politique nationale soudainement appliquée de quarantaine forcée et le stress psychologique qu’elle a généré chez les personnes âgées fragiles ont certainement contribué de manière importante à la diminution de l’efficacité de la réponse du système immunitaire à une maladie respiratoire virale (Comas-Herrera, Zalakaín, et al., 2020) et c’est aujourd’hui l’explication la plus probable de la majeure partie du pic de mortalité massif et étroit qui s’est produit en mars-avril 2020 en France. Le même mécanisme fonctionnerait dans n’importe quel cadre (établissement, foyer de groupe, maison, hôpital) où les personnes vulnérables sur le plan de la santé sont isolées et sensibles au stress psychologique.” (Comment le stress rend malade).

11) La France est le seul pays au monde à avoir interdit l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. “L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. À la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le Ministère de la Santé dans un communiqué.” Journal Le Monde du 27 mai 2020. Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privés, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisée ultérieurement en France, mais sans publicité. Cependant, les Français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement. (Tout comme l’Allemagne , le petit Luxembourg a été sauvé par l’hydroxychloroquine)

12) Tous les médecins savent qu’en cas d’épidémie le terrain est primordial. Un sujet ayant de faibles défenses immunitaires aura nettement plus de prédispositions à attraper un mauvais virus. Cela tombe sous le sens, en cas d’épidémie, il est indispensable pour la population de renforcer ses défenses immunitaires. Pour cela il faut prendre des compléments alimentaires, des vitamines par exemple, des probiotiques, pratiquer une ou des activités physiques modérées, bien dormir et… se déstresser. Pourtant en France lors de cette épidémie, et encore de nos jours, une chose ahurissante c’est produite, le gouvernement nous a bombardé incessamment de messages officiels du Ministère des Solidarités et de la Santé nous recommandant, la distanciation, le port du masque (avec retard à l’allumage)… mais jamais, au grand jamais, nous n’avons reçu de sa part, avec autant d’acharnement, le message pourtant fondamental, et même vital, que nous devons impérativement renforcer nos défenses immunitaires !!!

La mise à jour de cette omission plus que suspecte est d’une portée considérable, à l’évidence, ce gouvernement privilégie la contrainte abrupte, l’infantilisation, la peur…, au détriment du bon sens.

13) Cet aspect essentiel de la prévention n’ayant pas manifestement été pris suffisamment en compte par les autorités sanitaires françaises et les responsables politiques, on peut se demander si en droit juridique ils ne peuvent pas être attaqués pour « Abstention volontaire ». L’article 223-6 du Code pénal (article 63-1 de l’ancien Code pénal) condamne l’abstention volontaire de porter assistance à une personne ou des personnes en périls.

14) Rappel : Dans l’article précédent Le Choc en Retour nous avons présenté le livre du Pr Perronne Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Ce qui dit autrement veut dire : ils ont commis toutes les erreurs possibles. (https://www.alternativesante.fr/coronavirus/y-a-t-il-une-erreur-qu-ils-n-ont-pas-commise)

15) Antoine Hubert : La gestion de la crise du covid est délirante, par Chantale de Senger. L’administrateur délégué d’Aevis Victoria, Antoine Hubert, déplore la gestion actuelle de la crise du Covid-19. (https://www.bilan.ch/economie/antoine-hubert-la-gestion-de-la-crise-du-covid-est-delirante ou “Il faut arrêter d’écouter les médias français. La France est probablement le pays d’Europe qui a le plus mal géré cette crise” selon A. Hubert)

16) Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.

17) En termes d’importance et de décès, l’épidémie du covid-19 n’arrive qu’en dixième position des épidémies depuis 1945. Alors pourquoi un tel battage ? [NdNM : En fait, il ne semble y avoir eu que la Grippe asiatique
et la Grippe de Hong Kong à atteindre un niveau comparable ou supérieur à la mortalité attribuée à la covid-19, si l’on fait abstraction des maladies endémiques ou épidémiques comme le sida, la tuberculose, le paludisme, etc.. Voir Mortalité dans le monde]

https://www.youtube.com/watch?v=baRauK8yV04

18) On a la méchante impression que tout est fait pour bidouiller les chiffres. (Chronique Covid N°29 – « Santé Publique France a-t-elle manipulé les chiffres d’incidence pour faire croire à une aggravation de la pandémie dans plusieurs gros départements ? » et le point 6 dans Message d’alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde)

https://youtu.be/JeliScgfETY
Excellente intervention de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale

19) À ce stade, au niveau des rapports de l’État et des citoyens, on se demande où est passé le vrai débat démocratique. Peut-on encore avoir encore dans ce pays, et dans d’autres, un vrai débat contradictoire, où l’avis de ceux qui n’ont pas le pouvoir est pris en compte, afin de comprendre ce qu’il en est réellement dans la réalité ? Ne sommes-nous pas tombés directement dans un système qui impose de force sa vision des choses, sans s’occuper de l’objectivité ?

20) Laurent Toubiana, Chercheur épidémiologiste à l’INSERM et directeur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), étudie l’évolution de la Covid-19 en France depuis début mars. Son analyse est sans appel : l’épidémie est terminée ! Il l’affirme par un article publié le 15 septembre 2020 (lien). Nous sommes curieux de voir combien de temps mettra le gouvernement pour prendre en compte cette bonne nouvelle… (« J’affirme que l’épidémie est terminée » : entretien exclusif avec un épidémiologiste en colère)

21) La fin de l’épidémie en France est confirmée par les propos des Drs Nicole et Gérard Delepine lors d’une émission du 17 septembre 2020 de LCI. À la fin, André Bercoff, nous surprend en nous disant qu’à cette date, à Amsterdam tout le monde circule sans masque.

22) Décompte morbide faux présenté le week-end du 20 septembre 2020 aux journaux télévisés de 20 h et démenti 3 h 30 plus tard quand les gens dormaient. (https://qactus.fr/2020/10/03/q-infos-excellentissime-toussaint-detruit-le-gouvernement-en-7-minutes/)

23) Le 2 octobre 2020 L’épidémie est terminée en Europe.

24) Comme à Wuhan. (D’après Philippe Klein, médecin français à Wuhan : « L’épidémie est terminée en Chine, la vie a repris son cours »).

25) À l’évidence nous sommes en présence d’un gouvernement partial et mal conseillé par des intérêts privés. Ce gouvernement, qui fait principalement de la communication, est, à l’évidence, pour le moins, d’une insigne incompétence. Toute une série de mesures basées sur aucun fondement scientifique le prouve abondamment, citons un seul exemple, dans une liste qui est longue comme le bras : l’interdiction d’achat d’alcool à partir de 20 h. Ce qui signifie qu’un client peut acheter le contenu d’un caddy de vodka à 19 h 59, mais pas une bouteille à 20 h. Conséquence de toutes ces aberrations scientifiquement injustifiables, les citoyens sont les vrais cocus de cette crise. Une preuve de plus ci-dessous, avec la promotion du vaccin anti-covid qui ne servira à rien compte tenu des mutations du virus.

26) Raoult explique qu’il existe déjà sept mutants de la Covid et vous ne devez pas le savoir ; car c’est toute la stratégie de vaccination qui est en cause — YouTube le censure…, par Patrice Gibertie.

“Les virus mutent, cela ne fait aucun doute, c’est d’ailleurs pour cette raison que le vaccin de la grippe doit être mis à jour chaque année.

La vidéo où s’exprimaient hier Laurence Camoin, Professeur d’Hématologie, et Didier Raoult a été censurée un temps par YouTube. Pourquoi ? 

De « grandes personnalités du monde scientifique » qui se répandent sur les réseaux sociaux en messages de haine irrépressible (après être allées jusqu’à déblatérer sur Didier Raoult dans le New York Times) sont probablement à l’origine de signalements multiples.

Vous ne devez rien savoir des différentes mutations du virus, et des facteurs thrombotiques sur lesquels agit l’hydroxychloroquine, médicament utilisé de façon de plus en plus massive dans le monde. « Il n’y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé », a indiqué le chercheur marseillais. Selon lui, « ce n’est probablement pas une mauvaise nouvelle ».

“Depuis juillet, depuis l’apparition de ce deuxième acte, les génomes que nous avons ne sont pas les mêmes que ceux que nous avions avant […] Il n’y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé […] Les mutations que nous voyons sont associées avec la dégradation des organismes [du virus, NDLR]. Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole”, a affirmé Didier Raoult à Radio Classique…………………..

Le gouvernement français, d’autres états, la Commission Européenne, l’OMS… après avoir dédouané l’industrie pharmaceutique en cas de problèmes résultant de la vaccination (Le Figaro) continuent imperturbablement à prôner la vaccination de masse…

27) L’État allemand, comme l’État français, a profité du confinement pour installer dans notre dos des antennes pour la 5G qui est au demeurant, d’après de nombreux scientifiques, très nocive. (Expansion rapide de la 5G pendant le confinement : coïncidence ou calcul ?)

28) Le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible. Qui en France vous l’a fait savoir ? Certainement pas le gouvernement ! (Coronavirus : L’OMS déconseille aux dirigeants de recourir de nouveau au confinement et Strategika)

29) Une  décision inacceptable : le port du masque est obligatoire dans les écoles à partir de six ans. (Ils osent imposer le masque aux enfants de 6 ans !)

30) Pour couronner le tout, nous apprenons par l’intermédiaire d’avocats que la mise en place des mesures sanitaires prises en France lors de la crise du covid-19 est anticonstitutionnelle. !!!!  Elles ont été prises en dehors du cadre juridique légal défini par la Constitution, prouvant incontestablement de la sorte que le gouvernement français en ne respectant pas le processus légal défini par la Constitution a agi en dehors de La Loi. (https://youtu.be/SVNUhN20igY)

Toutes les mesures prises par le gouvernement depuis le début de la crise sont anticonstitutionnelles

Valérie Bugault, Avocate

31) Se pose alors une question, ne serait-on pas face à une gigantesque manipulation aux services d’intérêts privés ? Une manipulation qui nous ramène aux heures les plus sombres de l’Histoire, et qui fera passer l’anticyclone des Açores qui avait repoussé le nuage de Tchernobyl, ou, la soi-disant présence d’armes de destructions massives en Irak, qui avait motivé la seconde guerre du Golfe, pour des mensonges d’enfants de chœur.(Covid-19: Le jeu des chiffres: La « deuxième vague » est basée sur des statistiques « fake »)

Alerte rouge n° 8 : La stratégie du choc

La stratégie du chocmontée d’un capitalisme du désastre, Naomi Klein, Actes Sud, Arles, 2010.

Présentation de l’Éditeur. Quatrième de couverture.

Qu’y a-t-il de commun entre le coup d’État de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, le naufrage de l’épopée Solidarnosc en Pologne, les difficultés rencontrées par Mandela dans l’Afrique du Sud post-apartheid, les attentats du 11 septembre, la guerre en Irak, le tsunami qui dévasta les côtes du Sri Lanka en 2004, le cyclone Katrina, l’année suivante, la pratique de la torture partout et en tous lieux — Abou Ghraïb ou Guantanamo — aujourd’hui ?

Tous ces moments de notre histoire récente, répond Naomi Klein, ont partie liée avec l’avènement d’un « capitalisme du désastre ».

Approfondissant la réflexion militante entamée avec son best-seller No Logo, Naomi Klein dénonce, dans La stratégie du choc, l’existence d’opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d’un ultralibéralisme tout-puissant. Ce dernier met sciemment à contribution crises et désastres pour substituer aux valeurs démocratiques, auxquelles les sociétés aspirent, la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation.

Remarquablement conduite et documentée, cette histoire secrète du libre marché, qui dessine une nouvelle éthique de l’investigation journalistique, s’affirme comme une lecture indispensable pour réévaluer les enjeux des temps présent et à venir, vis-à-vis desquels les citoyens du monde portent, ensemble, une responsabilité impossible à déléguer.

« Au lendemain de la Grande Dépression, Keynes proposa l’instauration d’une économie mixte et réglementée, c’est-à-dire la révolution de la politique gouvernementale qui instaura le New Deal et ses diverses incarnations aux quatre coins du monde. C’est ce système de compromis, de freins et de contrepoids que la contre-révolution lancée par Milton Friedman visait à démanteler, un pays après l’autre. Vu sous cet angle, le capitalisme prôné par l’École de Chicago a effectivement un point commun avec d’autres idéologies dangereuses : la recherche d’une pureté inaccessible, d’une table rase à partir de laquelle bâtir une société modèle entièrement revue et corrigée.

C’est du reste cette volonté de création totale, de puissance divine, qui explique l’attrait qu’exercent les crises et les catastrophes sur les idéologues néolibéraux. Seule l’apocalypse est à la hauteur de leurs ambitions. »

Page 37. 

Alerte rouge n° 9 : La mort de la démocratie.

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. » 

Jean-Claude Junker, 28/01/2015.

Jean-Claude Junker, ancien président de la Commission Européenne, retranscrit dans Der Spiegel en décembre 1999 :

« Nous prenons une décision, nous la mettons sur la table et nous attendons pour voir ce qui se passe, si elle ne provoque pas de rejet, parce que la plupart des gens ne comprennent rien à ce qui a été décidé, nous poursuivons, pas à pas, jusqu’au point de non-retour ».

Qu’en conclure ?

1) Si un président d’un organisme démocratique se permet de prononcer de telles affirmations sans être sanctionné par ceux qui l’ont élu, cela signifie qu’au moins la majorité des membres de cette institution ne les trouve pas choquantes et les partage.

2) Compter sur l’ignorance de la population pour prendre des décisions ne peut pas être considéré comme un principe de gouvernement honnête.

3) Devant de tels propos et l’absence de réactions des députés européens, il ne faut pas qu’ils s’étonnent de l’écœurement d’une grande partie de la population pour le monde politique. Sans compter qu’ils ont le culot de se faire passer pour des démocrates respectueux de leurs électeurs alors, qu’en fait, consciemment ou inconsciemment, la plupart sont fascinés par le pouvoir, ce qui, dans les cas extrêmes, aboutit au fascisme.

À propos de la crise du covid-19. Certains sont tellement imbus de leur personne, sont tellement sûrs de ne risquer rien et d’être aux dessus des Lois, qu’ils n’hésitent pas sur le site du Forum Économique Mondial 5fem) à étaler leur plan au grand jour en prônant « The Great Reset » (https://www.weforum.org/great-reset). La crise du covid-19 n’est pas une pandémie, c’est une « plandémie ». Elle a été planifiée longtemps à l’avance. La preuve ci-après. (lien disque, à la rubrique covid du FEM) Un travail aussi considérable, publié sur leur site ne peut pas se faire dans l’urgence. Le site du Forum Économique Mondial a publié ces textes sur son site dès le lendemain de la déclaration par l’OMS d’une pandémie mondiale !!!!!!! 

Pour confirmer cette impression, il nous semble nécessaire de porter à la connaissance des lecteurs, les deux articles suivants que les médias dominants se gardent bien de vous faire connaître : le premier nous alerte sur les manœuvres de la haute finance et le deuxième sur les menaces technologiques dues aux progrès d’une science sans conscience et pervertie !!!! Premier article : Le bon virus au bon moment (et LE PHARMA-DOLLAR) par Andréas Cecchi. Deuxième article : Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale machiavélique par Amar.

À ce stade, un faisceau d’informations et de preuves s’accumule pour nous faire comprendre que la mondialisation est en marche et qu’elle touche quasiment l’ensemble des pays à des degrés divers.

Quoiqu’il en soit, nous partageons entièrement le point de vue de Kenneth Roth qui est un procureur général américain et le directeur exécutif de Human Rigth Watch depuis 1993. « Le covid-19 pourrait devenir notre prochaine guerre contre le terrorisme. » Ci-dessous, début de l’Article de Serge Bussart dans le journal Le Temps.

“Les restrictions imposées pour combattre la crise sanitaire due au coronavirus inquiètent les défenseurs des droits fondamentaux. Elles pourraient durer bien au-delà de la fin de la pandémie. Directeur exécutif de Human Rights Watch, Kenneth Roth rappelle les effets encore durables de telles mesures aux États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001.

Le Covid-19 est-il l’occasion rêvée pour les autocrates en puissance de renforcer leur pouvoir ? Certains scientifiques voient une corrélation entre une plus forte prévalence de maladies au sein d’une population et un surcroît de politiques autoritaires.

Guantanamo toujours ouverte

Le prolongement des confinements, l’engagement de l’armée et de la police pour les faire respecter, la suspension apparemment temporaire des parlements au profit du pouvoir exécutif sont des mesures sans doute nécessaires. Mais leurs effets à long terme inquiètent. Des mesures d’exception sont nécessaires face à l’urgence sanitaire de la pandémie de SARS-CoV-2. Montesquieu ne disait-il pas : « Il y a des cas où il faut mettre, pour un moment, un voile sur la liberté comme on cache les statues des dieux. » Selon les défenseurs des droits fondamentaux toutefois, nombre de libertés qui sont au cœur des démocraties, liberté d’expression, d’association, de manifestation, de la presse, etc. sont en danger. Ils tirent la sonnette d’alarme.

Directeur exécutif de Human Rights Watch (HRW), Kenneth Roth le dit sans ambages :

“Il y a un vrai danger que la pandémie de Covid-19 devienne notre nouvelle guerre contre le terrorisme, une excuse pour divers gouvernements pour saper les droits fondamentaux en exploitant les peurs des gens.”

Le New-Yorkais a pu observer ce phénomène :

“Une fois que les gouvernements ont acquis de nouveaux pouvoirs, il est difficile pour les citoyens d’exiger de retrouver leurs droits, analyse-t-il. Prenez les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Certaines des mesures d’exception prises par le gouvernement américain sont toujours en place. La prison de Guantanamo est toujours ouverte. Les assassinats ciblés sont toujours pratiqués et la surveillance de masse continue.”

Le Patriot Act américain a laissé des traces.

Dans le contexte du Printemps arabe, en 2011, les peuples ont pu s’exprimer l’espace de quelques mois, mais lorsque la répression s’est mise en route, il a été écrasé. “Or aujourd’hui, le Printemps arabe a vécu. Mais, poursuit Kenneth Roth, les mesures d’exception sont toujours là. L’Égypte est un État policier, la Syrie mène une guerre désastreuse.”

Abus de l’état d’urgence en France

Les organisations de défense des droits humains ont dénoncé à l’époque les abus de l’état d’urgence en France au lendemain des attentats terroristes de novembre 2015. Les dispositions d’exception prises à cette période appartiennent désormais au droit commun. Quand le président Emmanuel Macron déclare que “nous sommes en guerre” contre le coronavirus, la métaphore est forte et susceptible de sensibiliser un public au vrai danger de la pandémie. Mais un tel vocabulaire guerrier pourrait justifier des mesures répressives “et transformer une crise sanitaire en crise sécuritaire”, prévient Florian Bieber dans Foreign Policy.

Face au Covid-19, la Chine a limité comme peu d’autres les libertés individuelles en usant du bâton autoritaire. Les démocraties limitent elles aussi ces libertés au nom du combat justifié contre la pandémie. Tout est question de proportionnalité. Ces jours-ci (avril 2020), la Corée du Sud est montrée en exemple pour son dépistage systématique qui a permis de contenir la propagation du Covid-19.

Séoul “a transmis des informations détaillées et très claires sur le mouvement de personnes à tout individu qui aurait pu avoir des contacts avec eux”, nuance toutefois le directeur de HRW.

Le Covid-19 est un prétexte tout trouvé pour renforcer de façon massive la surveillance digitale des citoyens…”

La mort de la démocratie

Il devient de plus de plus évident que la démocratie française est en voie d’extinction. Sa disparition ne se produit pas sous la forme de l’instauration d’une dictature sanglante: élimination physique des opposants, interdictions des partis, suppression du droit de vote et de la liberté de presse. Mais ce n’est guère mieux: elle meurt de l’indifférence. Les Français votent de moins en moins. Aux six législatives partielles de dimanche, la participation connaissait un nouvel effondrement. L’abstention dépasse 79 % dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82 % dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, 84 % dans la 1re de la Réunion, 83,4 % dans les Yvelines et atteint même 87 % dans la 9e circonscription du Val-de-Marne. Dans ce contexte, le parti présidentiel LREM se ridiculise: aucun de ses candidats n’atteint le niveau pour se présenter au second tour. L’un d’eux réalise à peine 3%! Certains se rassurent à l’idée que seule l’élection présidentielle intéresse les Français. Ils se voilent la face, refusent de voir la réalité. Qu’est-ce qu’une démocratie sans partis politiques, sans projets ni débat d’idées, avec des médias largement formatés, sans parlement, sans députés, sans électeurs, sans peuple? Dans l’avenir tel qu’il s’esquisse, il ne restera in fine en guise de paysage politique qu’un petit pitre élyséen élu avec l’adhésion initiale de 10% des électeurs*, un pantin bavard, gesticulant du matin au soir, au-dessus des cendres de feue, la démocratie, pour donner l’illusion du mouvement.  Mais qui aura l’indécence ou la stupidité de qualifier un tel système de démocratie?

Maxime Tandonnet

Conclusion sur la crise covid-19.

En octobre 2019 un virus inconnu apparaît subitement à Wuhan, puis touche quasiment l’ensemble de la planète, dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Cependant, face aux trop nombreuses décisions non scientifiques, apparemment incohérentes et absurdes, prises par les pouvoirs publics, auquel s’additionne le suspect feu roulant de la puissance médiatique qui assènent ses « vérités » sans créer de véritables débats, petit à petit, des citoyens, peut-être plus lucides, ou moins naïfs, sont amenés à s’interroger sur la vraie nature de cette crise… Nous avons limité sciemment à trente et un points notre séquence sur le coronavirus, comprenant qu’une fois lancée leur opération de manipulation, celle-ci deviendra permanente tant qu’ils n’auront pas atteint leur objectif… ou qu’ils soient arrêtés par les citoyens les plus conscients.

Quoiqu’il en soit, à la lecture de tout ce qui précède, et plus particulièrement de ce qui est annoncé comme imminent sur le site du gang du Forum Économique Mondial, on peut se rendre compte que la mafia du Nouvel Ordre Mondial est prête à tout pour en finir définitivement avec la démocratie et nos républiques.

Ce qui est prévisible, c’est qu’en France ceux qui jouent constamment sur la peur, nous donneront le coup de grâce quand la grippe saisonnière fera son apparition et saturera comme chaque année les hôpitaux. (lien hôpitaux Delepine) À moins que les perquisitions en cours ou la Commission d’Enquête Sénatoriale composée d’hommes politiques intègres nous en débarrassent avant. 

Aussi, nous les citoyens de bases, nous les travailleurs, nous les abstentionnistes, nous les véritables Gilets Jaunes de la Victoire…, nous qui voulons simplement vivre en paix, une vie libre, dans une République la plus exemplaire que possible, nous vous disons qu’en tant que citoyens conscients de vos manipulations grossières nous ne tomberons jamais dans votre piège diabolique.

En conséquence, nous, en tant qu’authentiques républicains, en tant qu’authentiques démocrates, sachant que la crise du covid-19 a forcément complètement bouleversé le paysage politique français, nous vous attendons pacifiquement avec nos bulletins de vote aux prochaines échéances électorales.

Conclusion générale.

« La crétinisation des mieux éduqués est extraordinaire. »

« La vraie fracture n’est aujourd’hui plus sociale, mais éducative. »

Emanuel Todd. Libération du 6 septembre 2017.

C’est bien ce que révèle la crise du covid-19. Ne nous voilons pas la face devant ces vérités énoncées par ce sociologue reconnu.  Les gogos de tous les milieux sociaux se font enfumer, certains ont même contribués, de bonne foi, à l’établissement de ce régime d’asservissement. Cela  ne vous rappelle t-il pas  les heures les plus sombre de notre histoire.    

« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. »

Françoise Giroud.  

Surtout ne vous voilez pas la face, depuis le 5 novembre 2020 nous sommes en dictature

Voir aussi :

Médias : on nous cache tout :

Pétition qui porte notamment sur Un collectif de médecins et de scientifiques qui alerte sur les dangers du nouveau confinement, sur le problème de la saturation des hôpitaux par manque de lits et sur la saisonnalité de l’accès aux urgences.

https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps :

La réalité des chiffres sur le Covid-19 d’après des sources officielles européennes. (La comparaison des statistiques européennes prouve combien nous nous plantons…).


Diffusion libre de droits 




Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché

[Source : Profession Gendarme]

Un ami de Profession-Gendarme, ancien trader, nous adresse copie de la lettre qu’il vient de poster à l’intention des personnalités citées en titre.

Chers Maître Di Vizio, Professeur Raoult, Professeur Perronne, Docteur Fouché,

Avant toute chose je tiens à vous faire part de mon admiration pour votre travail et tous ces efforts que vous déployez avec tant de constance et de courage pour défendre la santé, la vie, le bien commun, la vérité et en définitive, la démocratie.

Ceci étant dit, je souhaitais à travers ce message apporter quelques éléments complémentaires sous-jacents qui me semblent très importants dans le cadre de cette crise du Covid et de cette lutte acharnée pour décrédibiliser le travail du Pr Raoult, de ses collègues et de l’efficacité de l’hydroxychloroquine en général.

Le professeur Raoult et son protocole sont d’une certaine manière le caillou dans la botte de cartels et de groupes d’influence extrêmement puissants qui en plus de vouloir obtenir des gains et des plus valus astronomiques sont animés par un désir ardent de mettre en place un nouveau système basé sur un nouveau paradigme qui leur sera encore bien plus favorable que celui qui prévalait jusqu’à ce jour.

Et cela dépasse largement le domaine purement médical… Ceci se fera au détriment du vivant, de la santé, des libertés et de la démocratie.

Biotechs, Newtech et plus valus à 5 chiffres

Je reçois de temps à autre un bulletin d’information boursière conçu par des analystes financiers connectés au cœur nucléaire qu’est Wall Street.

Celui du mois de juillet proposait de prendre le train de la douzième prophétie de Bill Gates, sachant que les onze premières se sont réalisées comme prévue et que la douzième devrait elle aussi se réaliser, car d’une certaine manière, l’on peut dire qu’elles sont toutes auto réalisatrices, compte tenu de la puissance de feu et du pouvoir d’influence du prédicateur en question, de tous ses apôtres et de leurs armées, pour parler de manière métaphorique. (Je vous laisse deviner qui…)[*]

En fait cette prophétie prêche pour la mise en place d’une nouvelle société où sera célébré l’avènement des newtechs, des biotechs, le tout supervisé par le lobby de la finance internationale.

Les objectifs de cours, ou plutôt de plus valus sont de l’ordre de 15 000 % et plus.

La date butoir pour prendre le train était le 22 septembre; cela m’angoissait quelque peu car ayant enquêté minutieusement sur cette affaire depuis le début, je savais qu’ils allaient accélérer la cadence durant l’automne et cette date du 22 septembre me confortais dans mon ressenti.

Pour parvenir à de tels objectifs de cours, il faut bien entendu en finir avec l’ancien modèle: c’est un peu comme dans le cas d’un breuvage; pour le savourer, il faut vider le verre de son contenu, le laver et ensuite y verser le nouveau breuvage.

C’est aussi un peu comme pour reconstruire un pays, s’enrichir et donner du travail à ses entreprises et à ses copains; on bombarde à volonté, on rase tout et ensuite, on reconstruit avec des financements internationaux en endettant les nations détruites… Beaucoup de pays en ont déjà fait les frais; c’est à notre tour maintenant !

En réalité, ces newtechs et biotechs misent sur ce virus, sur les confinements, les vaccins, le tout contrôle, la digitalisation à outrance de la société et de l’être humain, sur l’effondrement de notre système et de notre économie pour implémenter leur modèle et en tirer tous les avantages inhérents tant en terme de richesse que de pouvoir.

Quand on a une idée des individus et des fonds d’investissement qui sont impliqués dans cette dynamique, l’on peut imaginer que parier n’est pas seulement parier…

Ces individus sans scrupules ont généralement de quoi donner un coup de pouce voire même les moyens de tout orchestrer pour que le business model arrive à son terme.

J’ai été trader et analyste de marché, et je sais que tout ou presque est manipulation et que rien de ce qui se produit n’est fortuit, sinon qu’il y a dans la plus grande partie des cas des commanditaires très puissants qui créent des tendances, des contre tendances et des événements déterminés pour potentialiser ou engendrer des dynamiques  et obtenir les objectifs recherchées in fine.

Ceci, ni la presse ni la radio ni la TV vous l’expliquera … Au contraire, ces médias sont les outils des maîtres de l’ingénierie sociale qui contrôle les esprits des braves gens pour les mener à « bon port » en les manipulant à souhait .

Nota: Si les liens ci dessous sont inactif, merci de copier-coller dans votre navigateur ou moteur de recherche

Je vous recommande de regarder par exemple l’évolution du cours de Moderna où Bill Gates et ses amis ont pas mal d’implications.

Voir l’évolution sur un an (1A) sur le graphique. Mettre le curseur sur le top du 17 juillet; c’est édifiant ! L’on comprends dès lors que l’hydroxychloroquine devient très gênante pour ce genre de biotech et tant d’autres encore…

https://www.boursorama.com/cours/MRNA/

[Historique pour MODERNA en date du 17 juillet 2020 :
Dernière valeur 94.85
Variation +15.94%
Volume 102 538 515
Ouverture 83.36
+ Haut 95.21
+ Bas 82.61

Dans un autre domaine, regardons l’évolution d’entreprises comme Amazon et Netflix ces derniers mois et notamment pendant la période du premier confinement… Ca donne le vertige, mais ça n’est rien comparé à d’autres entreprises qui sont impliquées dans la mise en place du nouveau modèle sociétal et économique… Lorsque les gens sont confinés ou qu’ils doivent porter un masque en tout lieu, ils finissent par prendre un abonnement chez Netflix et faire leurs courses chez Amazon, surtout si nos gouvernants bienveillants obligent les commerces non essentiels à fermer et à mourir, de même pour la culture, le spectacle, la restauration etc. Graphique Amazon : voir sur un an, (1A) et se positionner sur le top du 02 septembre…

https://www.boursorama.com/cours/AMZN/

[Historique pour Amazon en date du 2 septembre 2020 :
Dernière valeur 3 531.45
Variation +0.92%
Volume 3 866 667
Ouverture 3 550.00
+ Haut 3 550.00
+ Bas 3 486.69

Voir Netflix ; Évolution sur un an (1A) Voir l’évolution entre le 18 mars et le dernier top (pic haussier) 

https://www.boursorama.com/cours/NFLX/

[Historique pour Netflix en date du 1er septembre 2020 :
Dernière valeur 556.55
Variation +5.10%
Volume 9 506 934
Ouverture 532.58
+ Haut 557.39
+ Bas 532.45

Voilà pourquoi il est important de tout détruire même si cela doit créer des drames, de la ruine, des suicides, de la maladie, de la dépression, etc. Comme l’a dit Macron, c’est une guerre, oui une guerre, contre les peuples, une guerre silencieuse, sans bombes, avec pour seules armes des médias corrompus à la solde de politiques ayant prêté allégeance à des cartels aux finalités plus que douteuses, tout ceci en échange de compte off shore bien garnis et bien cachés derrière des montages d’ingénierie financière…

Ces acteurs économiques ont en actifs financiers des sommes qui dépassent le PIB de plusieurs pays européens tels que la France, L’Allemagne, La G.B, L’Italie etc. Ils ont de grands pouvoirs d’influence et infiltrent les institutions, les réseaux politiques… Et en échange de quelques faveurs financières, ils obtiennent ce qu’ils souhaitent si vous voyez ce que je veux dire…

Nous avons plus ou moins fait le tour de cette affaire Gilead et de son Remdésivir et il est évident qu’il y a des conflits d’intérêts à bien des niveaux et dans bien des pays… Il y a aussi probablement des délits d’initiés pour ce qui à trait aux cours de bourse de l’action, autant pour parier à la hausse que pour parier à la baisse (V.A.D) ( Connaissance à l’avance de l’évolution du cours de bourse pour se positionner à la hausse ou la baisse et profiter du delta de plus value).

Mais il est plus que probable que l’on observe le même phénomène avec beaucoup d’autres entreprises impliquées dans cette affaire du covid… Il est très facile pour ces gens très puissants et très influents de « suggérer » aux responsables politiques de tel ou tel pays de prendre telle ou telle décision afin d’obtenir tel ou tel résultat dans le but de parvenir à tel ou tel objectif…

J’ai aussi travaillé dans le domaine des réductions de consommations énergétiques avec des grandes industries et des administrations, et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir des liens de corruption et des conflits d’intérêt atteignant des niveaux très préoccupants, en dépit du beau discours officiel… Je ne rentrerai pas dans les détails mais tout cela est franchement très inquiétant… Le système est gangrené, et ce à beaucoup de niveaux et dans des domaines très vastes et très variés… Nous avons affaire à de véritables mafias en cols blancs qui opèrent en bandes organisées avec le soutien logistique des médias mainstream et de l’ingénierie sociale.

Nous donnons un vote de confiance à certains individus pour gérer les affaires de la cité dans la recherche du bien commun, mais ces derniers  nous trahissent et nous livrent en pâture à des prédateurs sans vergogne, quand ils ne sont pas en plus psychopathes… De la santé aux radars en passant par les énergies, l’agro chimie, etc. Tout est perclus de conflits d’intérêts et de corruption !

La gangrène ne concerne pas seulement la France, mais elle remonte aussi jusqu’à Bruxelles qui est un véritable cheval de Troie pour les lobbies de tout crin. (Bruxelles n’est qu’un étage de la fusée)

Bruxelles nous a trahis avec le Remdésivir, et maintenant, ils veulent mettre en place un plan de vaccination de masse dès l’été prochain. Un vaccin douteux préparé en toute hâte en faisant fi de toutes les étapes à respecter dans l’élaboration et la sécurisation. Le problème ne se limite donc pas à Hydroxychloroquine vs Remdesivir… C’est l’arbre qui cache la forêt…

https://fr.sputniknews.com/europe/202010301044656911-la-presidente-de-la-commission-europeenne-explique-comment-les-pays-de-lue-recevront-le-vaccin/

Alors bien sûr que le Professeur Raoult, ses collègues et ce super protocole efficace et économique sont un gros caillou dans la botte de ces traîtres qui nous ont vendus aux lobbies de l’industrie pharmaceutique, de la finance mondiale, des biotechs et autres newtechs qui rêvent de nous digitaliser pour mieux nous contrôler et avoir encore plus de big data à commercialiser !

Avec la Chloroquine, tout l’échafaudage s’effondre et le business plan de cette belle affaire part à la corbeille ! Autant dire Maître que vous êtes en train de tirer sur un fil qui va vous emmener à une grosse, voire très grosse pelote de laine, et c’est peu dire ! Vous n’imaginez même pas ! 

Un autre aspect intéressant à souligner dans cette affaire est relatif à la bulle des marchés financiers.

De fait, cette « crise » a permis aux gros opérateurs de la crever en provoquant un  « crash éclair » suivi d’un rebond fulgurant n’obéissant pas aux règles habituelles de la mécanique des marchés. Conséquence : les 600 plus grosses fortunes américaines et les 1500 plus grosses fortunes mondiales ont ainsi augmenté leurs actifs financiers pour une valeur d’environ +25% ! Dans le jargon des traders, certains appellent cela « saigner les pigeons »… Grâce à ce type de mouvement, on provoque d’importants transferts de richesses vers les portefeuilles des commanditaires.

Plus de richesse encore, pour plus de pouvoir d’influence et de corruption ou de coercition !

Pot des vins et aides financières en échange de lock down des pays

Je tiens aussi à attirer votre attention sur un aspect des choses qui a été mis en lumière par un article publié entre autres sur le site web de l’association professionnelle de la gendarmerie, lequel phénomène a été repris dans une vidéo d’information présentée par Mr François Asselineau, président de L’UPR. Quelle que soit notre obédience politique, nous devons bien admettre que ce Monsieur n’est pas du genre complotiste ! L’on a ainsi appris que certaines instances financières internationales proposaient des pots de vins aux gouvernants et des financements aux pays en échange du lock down des pays et de tout les reste (Masques, vaccins, digitalisation à outrance, contrôle total des individus, etc.)

Bien évidemment, ceux qui acceptent de telles offres ne vont pas s’en vanter, mais le président de Biélorussie après avoir refusé un marché aussi néfaste et douteux à décidé de porter à la connaissance du public ces agissements dignes d’une mafia… Soit dit en passant, il a refusé de confiner et pour autant, la mortalité liée au covid est plutôt faible dans ce pays.

Par contre, l’on constatera que son refus l’a placé dans la ligne de mire de ces instances mafieuses et que depuis lors, il semble faire face à une petite révolution colorée comme certains savent si bien les organiser lorsque l’on ne leur prête pas allégeance ! ( Ces instances sont très très puissantes ! )

En résumé…,  on vous confine, on détruit votre économie, et pour vous soigner, on vous prête de l’argent, on vous surendette, et ensuite on hypothèque votre pays pour se faire rembourser, à moins que l’on procède à un Big Reset en échange de…

Professeur Raoult, vous êtes l’empêcheur de tourner en rond, et avec toute votre bonne volonté, votre sagesse et votre savoir, vous avez mis sans le savoir le pied sur un boîte de Pandore dont vous êtes sur le point, avec Maître Di Vizio et d’autres confrères courageux, de libérer le Chaos !

Lorsque le pouvoir devient tyrannique et toxique, le seul pouvoir qui puisse rétablir l’état de droit est le pouvoir judiciaire avec l’aide, dans ce cas précis, d’experts comme vous, comme Perronne, Tibiana, Toussaint, etc. Si votre enquête et celle des magistrats en charge du dossier s’attaque aux véritables sous-jacents, aux commanditaires et complices de cette crise destructrice, il est à penser que vous aurez besoin de beaucoup de soutien, mais aussi de protection, car vous vous attaquez à un véritable dragon dont vous ne voyez que le bout de la queue…

Sachant que dans cette affaire beaucoup de pays occidentaux sont impliqués, excepté la Suède qui visiblement n’a pas cédé ni aux chants des sirènes ni à l’hystérie, je terminerai par le cas de l’Espagne que je connais bien, car je suis frontalier et j’ai quelques implications à différents niveaux dans ce pays. J’ai passé mon confinement près de San Sebastian, au Pays Basque espagnol.

Professeur Raoult, je suis vos travaux depuis le début de cette crise. Compte tenu de la situation en Espagne, j’ai pris contact avec l’IHU de Marseille ou l’on m’a même transmis un numéro de ligne directe que je pouvais communiquer aux instances espagnoles afin d’avoir accès à tous les détails de votre protocole. J’ai envoyé des mails à plusieurs grands hôpitaux, collèges de Biologistes, presse, en cherchant à les informer et les sensibiliser en vue de venir en aide. J’ai même fais en sorte que le message arrive au commandement de la Guardia Civil d’une grande région du nord de l’Espagne.

À vrai dire, j’ai eu peu ou pas de retour, et j’ai été indigné de voir comment vous étiez parfois méprisé et déprécié dans la presse mainstream qui H24 faisait le décompte des morts en expliquant qu’il n’y avait pas de remède pour faire face à cette terrible maladie qui obligeait  les gens à rester enfermés chez eux. En Espagne, il n’était même pas possible de sortir une heure pour faire du sport. Enfin, vint le déconfinement et très rapidement le port du masque obligatoire en tous lieux, même pour aller à la plage ou pour se promener dans la montagne !

À en croire le discours officiel, il n’y a pas de remède à cette maladie et il faut attendre le vaccin qui arrivera dès l’été prochain (Même version que Macron et que l’U.E.). Certains médecins courageux ont dénoncé des incitations financières et des directives de l’administration pour déclarer comme cas Covid tous les cas suspicieux… Même les morts d’accident de la route, de cancers, etc., etc. ont été déclarés Covid ! Plutôt étrange non ? Surtout frauduleux !

Les personnes âgées ont été abandonnées dans les maisons de retraite ou chez elle, ce qui a engendré de nombreux décès, bien sûr classés Covid ! Enfin, certains scientifiques dénoncent la manipulation frauduleuse des tests PCR et des cycles d’amplification qui atteignent des valeurs inacceptables… J’ai échangé avec des gens qui ont été confinés suite à des test positifs, et qui ne comprenaient pas, car ils n’ont jamais eu aucun symptôme ni mal être…

Les médias et les politiques passent leur temps à instiller la peur ici aussi et ils maltraitent les citoyens à coups de confinements localisés en attendant le reconfinement généralisé et le vaccin salvateur qui arrivera des mains généreuses de L’U.E.

Il est étrange de constater qu’à peine une semaine après le début du confinement, les soi-disant experts de la TV espagnole nous expliquaient à chaque instant que le monde ne serait plus jamais comme avant, qu’il faudrait s’habituer à la nouvelle normalité, à la distanciation sociale et attendre le vaccin salvateur pour pouvoir retrouver un peu de liberté ! Ou ces gens sont des oracles, ou ils lisaient la feuille de route de leurs maîtres de l’ombre… Je pense plutôt à la deuxième version !

En Espagne, les médecins et policiers de la dissidence sont stigmatisés, mais l’État profond ne parvient pas pour autant à faire taire leur voix porteuse de vérité. L’association Espagnole des militaires a mis en lumière que plusieurs agences de « fact checking news » [nouvelles de vérification des faits] reliées à des chaînes de grande audience étaient financées par la fondation Bill et Melinda Gates… Et c’est la même chose dans d’autres États où les médias et leurs agences de vérification ont passé leur temps à promouvoir la terreur, la nouvelle normalité, le Remdesivir, à décrédibiliser la chloroquine, à faire croire qu’il n’y a pas d’autre alternative que le vaccin, etc.

Il apparaît clairement que cette sale affaire va bien au-delà des frontières de l’Hexagone et qu’elle dépasse le simple cadre d’un conflit d’intérêt entre le labo Gilead et des acteurs du monde politique et d’autre du monde de la santé !

Il est vraiment URGENT que la justice et les forces de l’ordre mènent des enquêtes exhaustives en mettant en perspective toutes les facettes de cette affaire, en espérant que le dragon les laissent mener à bien leur mission pour que nous soyons libérés de cette tyrannie sanitaire qui finit par nous détruire à petit feu. Le troisième pouvoir doit soutenir les professionnels de santé intègres qui en plus de privilégier la santé de leurs patients, ont le mérite volontairement ou involontairement d’ouvrir la boite de Pandore, ce qui  permettra aux citoyens et à la justice de voir tous les aspects de cette opération et de mettre hors d’états de nuire les commanditaires et leurs complices.

Je tiens à saluer au passage le travail de l’association professionnelle de la gendarmerie qui, à défaut de pouvoir s’exprimer en direct, essaye, par ses publications, de réinformer les citoyens manipulés par ces médias qui pour beaucoup d’entre eux suivent les consignes de ces élites criminelles corrompues. Je vous informe donc que je leur enverrai une copie de cette missive, car il font partie des citoyens courageux qui œuvrent pour le bien commun et pour la défense de nos libertés tout comme vous le faites jour après jour.

Enfin, en marge de cette plainte et de l’action juridique que vous entreprenez, il serait peut-être opportun d’unir les talents et de rejoindre d’autres collectifs d’avocats et de magistrats qui agissent, tant au plan national qu’au plan international, tous unis au sein d’un même mouvement pour la défense de la santé, de la vie, des libertés et de la démocratie.

En espérant que ces quelques informations vous seront d’utilité pour élargir le champ de vos investigations, je tiens à vous témoigner toute mon admiration et ma gratitude en mon nom et au nom de beaucoup d’autres personnes, parmi lesquelles des personnes portant l’uniforme. 

Un ancien trader qui vous admire


[*] Voir aussi : La religion de l’Antéchrist et Qui est l’Antéchrist ?




Leipzig : le peuple allemand se lève pour défendre les libertés

[Source : https://ripostelaique.com]

[Auteure : Nicole Delépine]

Amazing freedom rally in Leipzig, Germany. Lights in the dark
(Incroyable rallye de la liberté à Leipzig, en Allemagne. Lumières au bout du tunnel ?) :

Senta Depuydt, la journaliste belge qui ne compte pas son énergie pour sauver la liberté et la civilisation de notre monde a partagé avec nous la vidéo de la manifestation de Leipzig qui fait suite à celle de berlin occultée par les médias, mais qui malgré tous les énormes efforts du camp mondialiste avait été une réussite formidable avec plus d’un million de participants. La présence de Robert Jr Kennedy, neveu de l’illustre président des USA avait galvanisé les foules avec son évocation du « i bin ein berliner » de son oncle à Berlin quelques décennies plutôt.

Senta raconte : « 7 novembre… « Das Folk », le peuple est à nouveau dans la rue. Des milliers de personnes se sont rassemblées au cœur de la ville de Leipzig lors d’un autre événement pour la paix, l’amour et la liberté. Des manifestations ont eu lieu dans toute l’Europe ces dernières semaines, mais ce qui se passe en Allemagne est vraiment unique… »

(…) Oui, nous savions que l’Allemagne serait un moment historique, quelque chose de significatif. Et c’était… au-delà de notre imagination !!!
Malgré tous les efforts déployés par les responsables de la ville de Berlin pour interdire l’événement et décourager les gens de venir, plus d’un million de personnes de toutes les régions d’Allemagne et d’Europe se sont jointes à l’un des plus grands rassemblements pour la liberté du siècle. Le discours inoubliable de Robert F. Kennedy, Jr., faisant écho aux paroles de son oncle en 1963 dans un message pour défendre le « peuple libre de Berlin » contre la menace du communisme et de la dictature, a instantanément atteint des dizaines de millions de personnes dans le monde. Et son avertissement était très clair. La démocratie est à nouveau en danger, cette pandémie est un coup d’État et nous sommes ici ensemble pour lutter pour nos droits ».

Senta raconte également ce que nous percevons des messages de nos amis allemands qui se battent bec et ongles pour libérer le monde de ce nouvel ordre mondial qui ne se cache plus ! Les avocats appellent à un Nuremberg 2.

Le « plus jamais cela » a une énorme signification pour eux, alors même que les petits français et même certains médecins qui appliquent des vaccins obligatoires ou euthanasient des patients sans leur consentement, ne connaissent même pas ce que signifie le code de Nuremberg .

Les Allemands ne sont pas remis de la honte du nazisme, tandis que les français ont intériorisé le combat de magnifiques résistants, comme le leur, mais sont prêts aujourd’hui à dénoncer leur voisin pour une fête familiale interdite par le sieur Castex … sans compter les monceaux de lettres anonymes de dénonciation encore en stock à la bibliothèque nationale. Des héros ? Non certains oui le furent au-delà de notre imagination ; mais pas tous les français.

Les Français de la deuxième guerre mondiale ont-ils été globalement plus innocents que les Allemands de la même époque ?

Pourquoi notre pays a -t-il autant ce sentiment de supériorité, d’invulnérabilité qui nous mène à la soumission outrancière, au massacre des cerveaux de nos enfants aggravé encore par ce port du masque obligatoire au- delà du stress psycho traumatique subi pendant le confinement et les aberrantes et honteuses mesures de « distanciation » imposées à l’école pour calmer les foules, les syndicats bien conditionnés par les représentants zélés de big pharma via la peur induite par les relais gouvernementaux obéissants.

Senta raconte ce que nous lisons trop souvent de la part de nos amis allemands. « Chaque personne que j’ai rencontrée à Berlin m’a raconté la même histoire :

« En tant qu’Allemands, nous avons dû grandir avec la honte du régime nazi et la misère du communisme. Cela ne peut plus jamais se reproduire ! Il n’y a tout simplement aucun moyen d’accepter une autre société totalitaire. C’est une question de vie ou de mort … »

« Les Allemands sont dans les rues tous les samedis depuis août dans des dizaines de villes. Des centaines, voire des milliers de médecins sont totalement en désaccord avec les « coronamesures ». Ils s’expriment, soutenus par des dizaines d’avocats, de scientifiques, d’artistes, de sportifs, d’hommes d’affaires, de parents. Il est difficile d’estimer le nombre de personnes au courant de la situation en Allemagne, mais certains disent que cela pourrait représenter jusqu’à 20% de la population.

Les combattants de la liberté ont défilé chaque semaine avec des portraits de Ghandi, des messages d’amour, des prières, des chants de paix et de la méditation et semaine après semaine, ils ont été qualifiés d’extrémistes, de fascistes et de criminels violents par leurs médias et leur gouvernement. Des blocs noirs se sont infiltrés dans leurs rangs pour provoquer des incidents, les forces de l’ordre ont tenté de les intimider. Lors de l’une des récentes manifestations à Berlin, nous avons vu des images de nos bons amis brutalisés et arrêtés par des « robocops » alors qu’ils se promenaient simplement dans la foule. Mais les voici de nouveau. Rien ne les arrêtera. »

Nous-mêmes et nos médias se taisent, taisent le comportement du voisin soi-disant notre modèle, taisent le fait qu’ils ont contrôlé de façon beaucoup plus adaptée de la crise covid. Les allemands ont non seulement évité le confinement mortifère et ses victimes collatérales de non ou retard de traitement et surtout évité un grand nombre de morts en laissant ses médecins choisir le traitement adapté, précocement, en d’autres termes l’usage de la chloroquine.

Relayons le combat de nos voisins allemands et nous ferons écho aux manifestations italiennes, espagnoles etc… dans d’autres tribunes.

« Je vous invite à regarder ce moment unique à Leipzig. La police a annoncé la fin de la manifestation à 15 heures “parce que la foule ne respectait pas la distance sociale et ne portait pas de masques”. Mais lorsque les organisateurs ont quitté la scène, les gens ont tout simplement refusé d’y aller. Ils ont montré tant de force, tant de courage, ils étaient si nombreux que personne ne pouvait les forcer à partir. Nos amis ont résisté avec paix et amour et une part croissante des forces de police se tourne de leur côté. Tel est le nouvel esprit du peuple allemand, un esprit qui doit à la fois nous éveiller et nous inspirer. »

« Regardez cette belle vidéo des habitants de Leipzig. (…) Laissez le nouvel esprit de l’Allemagne vous surprendre et vous guider, comme une lumière qui monte du plus profond des ténèbres. »

Les rues de Leipzig, le 7 Novembre

Nicole Delépine




Pas ou peu de Covid dans les pays du paludisme

[Source : Maurizio Blondet]

C’est un fait : dans les régions du monde où le paludisme fait rage, le coronavirus est absent.

L’endémicité est très élevée en Asie du Sud-Est, très élevée en Afrique équatoriale (mais pas en Afrique du Sud qui est tempérée), au nord du Brésil et au sud du Mexique, en Guyane française, en Amérique centrale. Dans les régions voisines, comme Cuba, la lutte contre le plasmodium est une tradition de santé.

Les gouvernements eux-mêmes conseillent et paient leur personnel pour les médicaments antipaludiques, parmi lesquels la chloroquine et ses dérivés sont massivement présents, bien que la résistance du plasmodium à ce vieux médicament ait été signalée.

Il est utile de savoir que la recherche, pour lutter contre la résistance de l’agent antipaludique à ces médicaments, a repris pour s’intéresser à l’artémisine, un extrait d’Artemisia annuel déjà connu pour ses propriétés de prévention du paludisme depuis les années 1970, et associé à l’amélioration de ses effets avec un antipaludique synthétique, méfloquine ou, oui, hydroxychloroquine ou similaire, même l’ancienne quinine (nom commercial Quinimax). En fait: depuis 2001, l’artemisiathérapie combinée (ACT) est le seul traitement recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé.

Cependant, les Français opérant dans les régions tropicales paludéennes prescrivent encore (et adoptent pour eux-mêmes) la chloroquine (Novaquine) comme prophylaxie.

Presque tous les antipaludiques utilisés (à l’exception de la doxycycline, un antibiotique) sont aussi des vermifuges antiparasitaires, tous massivement ingérés par les populations de la zone marécageuse; comme l’ivermectine, « un vieux médicament utilisé pour un large éventail d’infections parasitaires et, ces dernières années, avec des indications potentielles plus larges, s’est avéré efficace pour réduire la charge virale de 99,98 % en 48 heures dans les cellules de culture in vitro infectées par le SRAS-CoV2 » (ARS Toscana).

L’exemple de l’Afrique du Sud est significatif – il n’y a pas de paludisme (à l’exception de certaines régions du Natal) et on n’utilise pas de chloroquine : il compte un nombre de décès Covid pour 1 000 000 habitants comparable à l’Europe, soit dix fois plus que dans les pays marécageux plus septentrionaux.

Aucun pays de la ceinture du paludisme en Afrique ne compte plus de 5 ou 6 décès Covid pour 100 000 habitants. En Amérique du Sud, le paludisme n’existe pratiquement pas ou n’existe plus que dans quelques pays, et il n’y a pas de médecins qui contestent l’interdiction de l’hydroxychloroquine sanctionnée par l’OMS… En conséquence, le record appartient au Mexique avec le même taux de mortalité que la France, 89 pour 100 000 habitants. La Colombie échappe le plus souvent au paludisme mais pas à la Covid (77 décès pour 100 000 habitants, la même chose pour le Pérou (114). Il n’y a pas de paludisme au Chili, mais pour la Covid 84 décès pour 100 000.

Au Mexique, le contraste entre Mexico sans paludisme (et sans chloroquine) et la région du Chiapas en dit long. Ce dernier semble immunisé contre la Covid. La population combine antipaludique et distribution massive d’ivermectine…

Chiapas (jaune) a distribué de l’ivermectine. Aucun autre État mexicain ne l’a fait.

Les régions impaludées d’Amérique centrale ? Haïti en mauvaise santé, 2 décès pour 100 000 habitants. Cuba 1,2. Venezuela 3. Les autres pays ont encore deux à trois fois moins de décès Covid que le Mexique voisin : Honduras 30, Belize 47, Costa Rica 37, République dominicaine 22, El Salvador 18, Guyana 18, Guatemala 25.

L’Asie du Sud-Est présente plus d’un mystère :

  • Taïwan: 0,03
  • Vietnam: 0,04
  • Thaïlande: 0,09
  • Myanmar: 4.10
  • Malaisie: 1,2
  • Inde: 10,5
  • Indonésie: 7
  • Bangladesh: 4
  • Philippines: 7

Comment se fait-il que le Vietnam super marécageux (delta du Mékong…) ait la même résistance à la Covid que Taiwan, tempéré mais sans coronavirus ? Que prennent les Taïwanais pour avoir un impact sur le virus [avec un nombre de morts qui] est une fraction de ceux aux États-Unis et en Europe ? Pourquoi le Bangladesh (delta du Gange-Bramaputra : j’y suis allé et je peux vous assurer que c’est un immense et monstrueux marais paludéen) a-t-il moins d’incidences que l’Inde ? L’artémisine est également largement utilisée partout dans ces pays sous forme de médecine traditionnelle; et l’ivermectine est largement prescrite, ou d’autres antipaludiques à base de chloroquine.

Voici un tableau « sauvage » de ce qui s’est avéré utile dans la pratique. La liste des substances qui aident à la prophylaxie (par-infection) est intéressante: de l’aspirine au viatmina D, de l’acétylcystéine (Fluimucil…) au zinc. Nulle part la «thérapie de l’espoir» n’apparaît : juste de la tachypirine et attendre de suffoquer…




La trahison mondialiste, c’est le coup de poignard dans le dos de Macron et Véran contre la santé des Français et contre l’économie de la France.

[Source : Dreuz.info]

PUBLIÉ PAR THIERRY FERJEUX MICHAUD-NÉRARD

Le socialiste Véran, qui fut, pendant la guerre à la con de Macron contre le Coronavirus, le sinistre de la santé, a trahi l’éthique médicale et la France, contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français. Un réquisitoire conséquent, digne du tribunal révolutionnaire des années de la Terreur à la Fouquier-Tinville, pour forfaiture contre Macron et Véran, est attendu de la Haute-Cour de Justice. Certains attendus de ce réquisitoire sont très significatifs. Les voici :

Attendu qu’il est constant pour la Cour qu’un plan a été concerté sur le territoire de la République, dès la fin de 2019, pour ruiner la santé du pays en portant atteinte à la force morale de la nation et à l’esprit de discipline des Français, et que cette propagande criminelle s’est exercée notamment avec la collaboration des journaux et des télés vulgaires en continu, LCI et BFM-Macron, par la diffusion de mensonges sur la mortalité et sur la dangerosité du Coronavirus, et par la répétition des discours trompeurs des autorités sanitaires ;

Attendu que le sinistre de la santé Véran n’a pas ignoré l’existence de la mainmise de Gilead dans cette entreprise de manipulation-désinformation, dont tous les vrais experts non corrompus par la mafia des labos ont signalé la gravité, et qui a été la cause principale des révoltes contre les amendes iniques et la répression scandaleuse de Macron contre les personnes âgées et les plus faibles, malgré l’impunité de fait des racailles islamistes du 93 et des Black blocs gauchistes révolutionnaires accordée par le lâche Macron ;

Attendu qu’au lieu de s’opposer à cette propagande mensongère, Macron a accordé des subventions aux médias dont les principaux collaborateurs sont mis en cause pour intelligence avec l’ennemi-Gilead, et en ce que Macron a facilité, par des faveurs et des complaisances abusives, les agissements criminels de Gilead contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français, et qu’il a entravé la surveillance des tractations auxquelles se livrait la mafia des labos avec les faux experts de Macron et surtout ses copains corrompus des comités bidons, les « pieds nickelés de la science des affaires » ;

Attendu qu’il s’est refusé à empêcher la propagande contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français, et aussi contre l’épidémie des mensonges avec la propagande vaccinale de la mafia des labos, qui fait toujours plus de ravages chez les pauvres gens mal informés et crédules ;

Attendu que Macron s’est refusé à empêcher le complot antipatriotique des vaccins des milliardaires de Davos contre les peuples, ce qui éclaire la méfiance et la révolte des Français contre les vaccins ;

Attendu que Véran a refusé d’autoriser l’usage du protocole du Pr Raoult et de l’hydroxy-chloroquine dans les débuts de la maladie, au moment où elle pouvait être utilement pratiquée en médecine de ville ;

Attendu que le socialiste Véran s’est refusé à la saisie du CSA à propos des faux-experts collabos et des gaucho-macronistes post-soixante-huitards du type Cohn-Bendit-Goupil sur les télés vulgaires en continu, surtout LCI et BFM-Macron, excitant avec des généralistes affairistes encartés, ces abrutis et ces ignares, le dénigrement systématique des travaux du Pr Raoult avec l’hydroxy-chloroquine et la trahison des Français ;

Attendu qu’en vertu des instructions qu’il a données, l’action de la déontologie médicale et des règles sanitaires pour soigner les malades a été suspendue ou empêchée au profit de la mafia des labos ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran prétend vainement pour sa défense qu’il n’a fait qu’exécuter la politique de Macron et les instructions absurdes du gouvernements dont il fait partie ;

Attendu que cette politique du mensonge du socialiste Véran pour dissimuler la gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus par Macron, qui a été absolument incohérente, inhumaine et brutale, et pour cacher l’abjection des copains de Macron corrompus par Gilead et des « pieds nickelés de la science des affaires » diffusée dans les médias collabos pro-Macron pour tromper les Français à propos du Coronavirus ;

Attendu que la politique du mensonge du sinistre socialiste de la santé Véran contre tous les Français face au Coronavirus en fait l’ennemi de la vérité sur la crise sanitaire et justifie sa mise en cause devant la Haute Cour de Justice, d’autant que l’accusation reproche à juste titre à Véran d’avoir poursuivi une politique personnelle d’abandon de la santé des Français et de faiblesse devant les copains des CHU corrompus par Gilead, les « pieds nickelés de la science des affaires, qui faisait se renforcer chaque jour le danger de la pandémie du Coronavirus dont il ne pouvait ignorer la gravité, alors que la doctrine du gouvernement dont il fait partie consistait à refuser d’appliquer les principes de la déontologie médicale et des règles sanitaires pour soigner les malades du Coronavirus en début de maladie avec l’application du protocole du Pr Raoult avec l’hydroxy-chloroquine, au moment où elle pouvait être utilement pratiquée pour soigner en médecine de ville ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran soutient encore en vain qu’il était obligé d’agir comme il l’a fait de peur de provoquer des crises avec la mafia des labos et des réactions néfastes de la part des faux experts des CHU corrompus par Gilead, les fameux « pieds nickelés de la science des affaires » ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran a laissé les Français sans aucune défense contre la propagande qu’il laissait s’exercer contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et donc contre le peuple français, et que cette politique justifie pleinement les actes reprochés à Véran parce qu’elle a eu le tort grave de décider les Français interdits de se soigner avec l’hydroxy-chloroquine et le protocole du Pr Raoult ;

Par ces motifs, le procureur à la Fouquier-Tinville décide de renvoyer le sinistre socialiste de la santé Véran devant la Haute-Cour de Justice, tant comme auteur principal, que comme complice de Macron et, du crime d’intelligence avec la mafia des labos, commis notamment en protégeant les faux experts des CHU corrompus par Gilead, l’ennemi objectif et déclaré de l’hydroxy-chloroquine et du protocole du Pr Raoult pour vendre et imposer le remdevisir, un produit dangereux, toxique et inefficace, pourtant acheté à prix d’or par Macron, par Merkel et par les nuls de l’UE sur le dos des contribuables Français et européens.

Deux faits significatifs ont attiré l’attention sur la personne de Macron : son intimité avec Gilead et la Lacombe subventionnée par le Big Pharma, intimité qu’il a raillée mais qui fut confirmée par de nombreux témoins et qui apparaît d’ailleurs très clairement dans les articles et les photos des journaux dès les premières déclarations de la guerre en pantoufles de Macron contre la pandémie du Coronavirus.

Non seulement Macron n’a jamais été un véritable guerrier courageux, intelligent, et particulièrement versé dans les problèmes de défense sanitaire, mais sa vie d’enfant gâté gay-friendly dans les ors de l’Élysée a été âprement critiquée comme dans la sinistre affaire de : « Benalla n’est pas mon amant » et sa gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus fut violemment attaquée sur tous les réseaux sociaux !

Le fin mot de l’affaire c’est que, pendant tout ce temps, le sinistre socialiste de la santé Véran fut au gouvernement le représentant, l’agent, le factotum de Macron totalitaire et de son groupe des faux expert des CHU corrompus par Gilead, les fameux « pieds nickelés de la science des affaires ». Le fait de Macron consista à maintenir au poste le plus important de la guerre sanitaire en pantoufles de Macron contre la pandémie du Coronavirus, un politicien socialiste et un bureaucrate médiocre ignorant de la vraie médecine de terrain.

Ce politicien socialiste, et bureaucrate médiocre moralement vicié, est tout dévoué à Macron et à sa politique de laisser-faire qui a eu pour résultat l’abandon desvieux voués à la mort dans les Ehpad !

Mais pour la France et les Français, l’abjection de la macronnerie vulgaire dans le scandale honteux du Coronavirus, cette illustration de la monstruosité progressiste postmoderne, est une abomination absolue. Et cette abomination de Macron socialiste, pur produit de la société néo-libérale, exigera réparation !

On conçoit parfaitement que l’abjection de la macronnerie vulgaire dans la gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus, qui révèle le désastre intellectuel des clowns qui nous gouvernent, justifie la haine des Français. Avec le Rivotril, elle est objectivement inhumaine et même déjà post-humaine. L’État a organisé l’euthanasie des séniors en Ehpad, selon Serge Rader, pharmacien et figure du mouvement anti-vaccin.

L’État aurait organisé l’euthanasie des personnes âgées en Ehpad, autorisant l’utilisation du Rivotril, un sédatif utilisé en soins palliatifs pour pallier la pénurie de midazolam utilisé pour endormir les patients en réanimation, et adoucir la fin de vie provoquée des malades en soins palliatifs. On ne les a donc pas admis en réanimation. On a préparé la seringue de Rivotril pour les achever quand ils étaient en détresse respiratoire.

Macron est complètement dépassé. Il veut faire peur aux gens et il recourt à l’autoritarisme ! Voilà qui n’inspire pas confiance dans ce gouvernement des incapables, les clowns socialistes LREM !

Et Macron en a l’entière responsabilité.

Moralité : L’affaire calamiteuse du Coronavirus justifie pleinement le prochain réquisitoire de la Haute-Cour de Justice contre les socialistes Macron et Véran !


Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.




Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteur :] Dr Joseph Mercola

Bill Gates a bâti un empire mondial autour de ses technologies et de ses entreprises « philanthropiques », dont l’ampleur est aujourd’hui de plus en plus évidente. Sa richesse absolue lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé et le tsar mondial non élu de la santé face au Covid-19, mais il exerce également une grande influence sur le système alimentaire mondial [et plus encore, comme nous le verrons tout au long de l’article – NdT].

Bill Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement qu’il accorde à un grand nombre d’organisations impliquées dans le développement agricole et l’élaboration des politiques, comme le révèle le rapport d’AGRA Watch[1], « L’homme derrière le rideau — L’influence de la Fondation Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires », publié en août 2020 [Pdf en anglais – NdT].

Note du traducteur : Bill Gates ne peut toutefois pas véritablement être qualifié d’« homme derrière le rideau » — encore que l’on puisse le penser au vu de tout ce qui suit. Il est au contraire la figure de proue bien visible qui permet de cacher à la vue de tous les quelques individus parfaitement inconnus qui eux, sont derrière le rideau.

Par ailleurs, l’AGRA Watch a été créée pour contester la participation — ou la main-mise, peut-être ? — de la Fondation Gates au sein de l’AGRA.

Quant à l’AGRA elle-même, elle fut lancée il y a quatorze ans par les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller. L’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a pour objectif d’apporter à l’Afrique sa propre révolution verte en matière de productivité agricole, armée de semences commerciales à haut rendement, d’engrais et de pesticides. Il s’agissait pour l’AGRA de doubler la productivité et les revenus d’ici à 2020 (et nous y sommes) pour trente millions de familles de petits exploitants agricoles tout en réduisant de moitié l’insécurité alimentaire dans vingt pays.

Hélas, et selon le rapport mentionné plus bas par le Dr Mercola, il n’y a pas eu, sur les quatorze années en question, d’augmentation de la productivité, et le nombre de personnes sous-alimentées dans les treize pays cibles par l’AGRA a augmenté de 30 pour cent, et celui du Rwanda, « l’enfant affamé de l’Afrique », s’est accru lui de 15 pour cent. Il est à noter qu’aucune évaluation globale des effets de ces programmes n’a pour le moment été publiée, ni par l’AGRA elle-même, ni par la Fondation Gates — Voir la troisième note de traduction pour des données issues des recherches de Timothy Wise.

Les organisations financées par Bill Gates défendent l’envoyée de l’ONU financée par Bill Gates

Bien qu’il ne soit qu’un homme, Bill Gates finance un si grand nombre d’entreprises et d’organisations que son influence considérablement renforcée et amplifiée lui permet par leurs biais d’imposer ses choix en catimini [pour les non-initiés, à savoir presque tout le monde – NdT].

À la vue des longues listes de ces groupes, on est automatiquement amenés à penser qu’il existe de nombreux acteurs différents impliqués alors qu’en fait, Gates constitue le fil conducteur de la plupart ou de la totalité d’entre eux. Le rapport d’AGRA Watch[2] en est un parfait exemple si l’on considère l’histoire d’Agnes Kalibata.

Note du traducteur : Il est possible que les lecteurs ne connaissent pas Agnes Kalibata, en voici donc un peu plus, depuis la page Wikipedia en anglais qui lui est consacrée ; notons au passage qu’il n’est pas fait mention ne serait-ce que d’une année de naissance, et les recherches en ce sens n’ont rien donné :

Agnes Matilda Kalibata est une agronome et responsable politique rwandaise, elle a été ministre rwandaise de l’agriculture et des ressources animales de 2008 à 2014 e elle est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique depuis 2014.

Elle est née au Rwanda et a été élevée en Ouganda en tant que réfugiée par des parents petits exploitants. Elle a obtenu une licence en entomologie et biochimie, suivie d’une maîtrise en agriculture. Elle a ensuite obtenu un doctorat en entomologie.

Elle a été louée par beaucoup pour ses réalisations lorsqu’elle était ministre, mais certains groupes de défense des droits de l’homme les ont critiqué parce que le soutien financier n’était accordé qu’aux agriculteurs qui suivaient les politiques gouvernementales de regroupement des terres.

Kalibata est membre du conseil d’administration du Centre international de développement des engrais (IDFC) depuis 2008, où elle préside le Comité Afrique et est membre de son comité exécutif et de son comité d’audit. Elle est également membre de nombreux conseils d’administration nationaux et internationaux, notamment pour l’Université du Rwanda, Africa Risk Capacity, le Conseil de l’agenda mondial du Forum économique mondial, la Commission mondiale sur l’adaptation et le Groupe d’experts de Malabo Montpellier sur l’agriculture et la sécurité alimentaire.

Agnes Kalibata est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, elle a été nommée envoyée spécial au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

En réponse, 176 organisations de la société civile et des groupes d’agriculteurs de 83 pays ont demandé à António Guterres de retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d’intérêts évidents avec des entreprises. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s’est également opposée à sa nomination et au fait qu’elle organise le sommet.

© Inconnu

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole.

~ AGRA Watch

C’est un recul important, qui illustre l’inquiétude générale que suscite la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des institutions universitaires et le secteur privé sont intervenues pour la défendre.

Elles ont exhorté António Guterres à maintenir Kalibata dans sa fonction, en citant notamment ses qualités de leader et son éthique professionnelle. Cependant, parmi ces douze défenseurs, « onze entretenaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates », indique AGRA Watch, qui ajoute[3] :

Dans certains cas, les organisations ont directement été financées par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dans d’autres, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation était subventionnée par l’AGRA, elle-même financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.

L’excessive influence de Bill Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires

En d’autres termes, bien qu’il puisse sembler que Kalibata ait eu le soutien d’une douzaine d’individus ou de groupes distincts et indépendants, en réalité, seules deux voix s’expriment pour sa défense. C’est juste que la voix de Gates est multipliée par onze. De plus, puisque son nom n’est jamais mentionné, les non-initiés considèrent généralement qu’il n’est en rien partie prenante.

Ces résultats illustrent l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté son rôle dans l’influence du développement agricole, qui a connu une croissance considérable ces dernières années.

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l’expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé…

Dans ce rapport, nous avons démontré quelques-uns des liens entre la Fondation Bill & Melinda Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.

Alors que des centaines d’organisations de la société civile ont demandé sa destitution, seuls douze signataires ont accepté de soutenir sa nomination, presque tous bénéficiant directement des subsides de la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l’élaboration de l’ordre du jour du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.

~ AGRA Watch

Le graphique suivant, inclus dans le rapport d’AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’envoyé spécial du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, Agnes Kalibata.

© AGRA Watch
En vert : Financements directs – En rouge : Financements indirects de la Fondation Gates à des programmes spécifiques affiliés aux signataires

La Fondation Bill & Melinda Gatesouvre la porte à Monsanto

AGRA Watch s’inquiète depuis de nombreuses années de l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur l’agro-business :

Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche[4] figure le rapport 2010 intitulé « La porte tournante : Les liens Monsanto-Gates »[5], qui détaille les liens directs entre la Fondation Bill & Melinda Gates et les représentants de Monsanto que sont Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering[6], feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, intitulé « Les liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures transgéniques au Kenya », souligne[7] les liens entre la Fondation Gates et Monsanto :

« AGRA Watch a été créé en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.

Nous avons assisté à l’accélération de la pression en faveur du génie génétique comme solution à la faim en Afrique, à la criminalisation de ses opposants en tant qu’éco-impérialistes peu enclins à accepter les avancées scientifiques, et à un respect mal placé pour le soutien philanthropique aux solutions d’entreprises vis-à-vis des problèmes alimentaires mondiaux. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans le programme de l’AGRA, comme on le voit ci-dessous ».

© AGRA Watch

La Fondation Bill & Melinda Gates n’est pas là pour résoudre les réels problèmes du monde

Dans son rapport de 2014[8], « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n’ont résolu aucun des problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. Avant tout, nombre des solutions qu’il soutient sont des « solutions de façade » qui aggravent en fait les problèmes à la racine.

Citons par exemple le financement du développement d’aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés génétiquement modifiées qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant à la création de variétés de cultures « enrichies », la biodiversité diminue et la malnutrition s’aggrave.

Par ailleurs, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec les recherches qui montrent qu’un faible rendement ou une production insuffisante n’est pas la cause de la faim dans le monde. AGRA Watch fait le constat suivant :

Il existe aujourd’hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d’accès, qui sont eux-mêmes aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments. Les subventions de la Fondation Gates et de l’AGRA continuent à se concentrer sur le rendement, en préparant l’Afrique à un système adapté aux besoins de l’agriculteur commercial à la recherche de profits et axé sur le rendement plutôt qu’adapté au paysan ou au petit agriculteur qui produisent des cultures diverses pour une communauté locale.

Un troisième problème souligné dans le rapport AGRA Watch concerne le financement par Bill Gates des organisations de recherche et des scientifiques européens et américains plutôt qu’africains, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique :

Cette situation peut ne pas être le résultat d’intentions conscientes, mais d’un préjugé structurel profondément ancré qui fait que les scientifiques et les institutions scientifiques africains ne sont pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir le financement des subventions.

© Fotokostic – Shutterstock.com
L’agriculture se développe en Afrique, les pesticides aussi

Note du traducteur : Puisqu’il n’existe à échéance 2020 aucune publication relative à l’efficacité ou pas du programme de l’AGRA dans sa globalité et que cette dernière a refusé de lui fournir les informations nécessaires à ses recherchesTimothy Wise a utilisé les données nationales de treize pays « bénéficiaires » de l’AGRA jusqu’en 2018, données portant sur la production, le rendement et la superficie récoltée pour la plupart des cultures vivrières importantes de la région, afin d’évaluer dans quelle mesure les programmes de cette révolution verte augmentent sensiblement la productivité.

L’AGRA a par ailleurs reçu près d’un milliard de dollars de contributions, dont la grande majorité provient de la Fondation Gates, mais également des contributions importantes des gouvernements donateurs, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres pays. L’AGRA a versé plus de 500 millions de dollars en subventions pour promouvoir sa vision d’une agriculture africaine « modernisée », libérée de sa technologie peu développée et de ses faibles rendements.

Timothy Wise a également examiné les données sur la pauvreté et la faim afin de déterminer s’il existe des signes d’amélioration des revenus et de la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles dans la région, qui se situeraient à des niveaux correspondant aux objectifs de l’AGRA en matière d’amélioration du bien-être des agriculteurs.

Il n’a trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. Il déplore au contraire « n’avoir trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. » Et plus précisément, il a constaté ce qui suit :

  • Peu de preuves que l’AGRA atteignait un nombre important d’agriculteurs. Son dernier rapport d’étape indique seulement que l’AGRA a formé 5,3 millions d’agriculteurs aux pratiques modernes, dont « 1,86 million d’agriculteurs » utilisent directement ces méthodes. Ce chiffre est vague et bien loin de l’objectif déclaré de doubler directement la productivité et les revenus de 7 millions d’agriculteurs, et indirectement pour 21 millions d’autres.
  • Aucune preuve d’une augmentation significative des revenus des petits exploitants ou d’une sécurité alimentaire. Pour l’ensemble des pays cibles de l’AGRA, il y a eu une augmentation de 30 pour cent du nombre de personnes souffrant de la faim extrême depuis le début, une situation qui touche 130 millions de personnes dans les pays cibles de l’AGRA. Le Kenya, où se trouve son siège, a connu une augmentation de la proportion de ses habitants souffrant de sous-alimentation pendant les mêmes années.
  • Il n’existe aucune preuve d’une augmentation importante de la productivité. Pour l’ensemble des cultures de base, les rendements n’ont augmenté que de 18 pour cent sur douze ans dans les treize pays cibles de l’AGRA. Même le maïs, fortement encouragé par les programmes de la Révolution verte, n’a connu qu’une croissance de 29 pour cent de son rendement, bien loin de l’objectif de l’AGRA d’en doubler la productivité, ce qui représenterait une augmentation de 100 pour cent.
  • Là où l’adoption des technologies a eu lieu, les subventions aux intrants fournies par les gouvernements africains semblent avoir beaucoup plus d’influence que les programmes de l’AGRA. Il est difficile de trouver des preuves que les programmes de l’AGRA auraient un impact significatif en l’absence de subventions aussi importantes de la part des gouvernements africains.
  • Même là où la production a augmenté, comme en Zambie, la production de maïs qui a quasiment triplée n’a pas entraîné de réduction de la pauvreté ou de la faim en milieu rural. Les petits agriculteurs n’en ont pas profité ; la pauvreté et la faim sont restées incroyablement élevées, 78 pour cent des Zambiens vivant en milieu rural étant dans une pauvreté extrême.
  • Les incitations de la Révolution verte pour les cultures prioritaires comme le maïs ont conduit à l’abandon des cultures traditionnelles plus nutritives et plus résistantes au climat comme le millet et le sorgho, ce qui a érodé la sécurité alimentaire et la nutrition des agriculteurs pauvres. La production de millet a diminué de 24 pour cent, les rendements ayant chuté de 21 pour cent pendant les années de l’AGRA.
  • Aucun signe d’« intensification durable », l’objectif étant d’augmenter durablement la production sur les terres agricoles existantes. Les impacts environnementaux sont négatifs, notamment l’acidification des sols dans le cadre de la culture en monoculture avec des engrais à base de combustibles fossiles. L’augmentation de la production provient davantage des agriculteurs qui mettent de nouvelles terres en culture — par « extension » — que de l’augmentation de la productivité. Ces deux tendances ont des implications pour l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci.

Il s’agit donc d’un bilan d’échec pour l’AGRA — sauf à penser que l’objectif n’était pas celui-là même qui a été mis en avant — et il serait temps que les gouvernements africains qui en sont « bénéficiaires » changent de cap…

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La spécialité de Gates — Le philanthro-capitalisme

Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l’article de l’AGRA Watch[9] « Philanthro-capitalisme : Les programmes africains de la Fondation Bill & Melinda Gates ne sont pas de la charité », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthro-capitalisme est décrit comme « une tentative d’utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui se révèle intrinsèquement problématique « parce que les marchés sont mal adaptés pour produire des résultats socialement constructifs ».

En d’autres termes, la marque de fabrique de la philanthropie de Gates engendre plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout. Comme l’indique l’article, les partisans de la philanthro-capitalisation…

… attendent souvent de leurs investissements dans les programmes sociaux des retours financiers ou des bénéfices secondaires à long terme. La philanthropie devient une autre partie du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de développement de la Fondation Bill & Melinda Gates encourage en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises.

Il est […] probable que Bill Gates, qui a un accès régulier aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d’universités, d’organisations internationales, d’ONGs et de médias, soit devenu la voix la plus influente en matière de développement international.

Un examen plus approfondi de la Fondation Bill & Melinda Gates est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire plus grande que celle de la plupart des gouvernements donateurs. La Fondation Bill & Melinda Gates fournit plus d’aide à la santé mondiale que tout autre pays donateur et est le cinquième plus grand donateur pour l’agriculture dans les pays en développement.

En 2013, seuls onze pays ont dépensé plus que la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qui en fait le douzième donateur mondial. La Fondation Bill & Melinda Gates est devenue un donateur plus important que des pays tels que la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Irlande et l’Italie[10].

Le plan médical de Gates — Immunisation et surveillance mondiales

L’une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent conscience de la puissance de Gates est sa présence fréquente en tant qu’expert du jour du Covid-19. C’est un choix étrange, compte tenu de son absence totale de formation médicale formelle. C’est d’autant plus troublant que les opinions des médecins, des scientifiques etdes chercheurs qui sont en conflit avec ses vuessont effacées de l’Internet.

Note du traducteur : Le Dr Jospeh Mercola fait lui-même l’objet d’attaques sur Internet. Voici ce qu’il écrivait le 17 août dernier :


Deux décennies de journalisme sur la santé sont en jeu

Ces vingt-trois dernières années, je me suis battu contre l’introduction de fluorure neurotoxique dans l’eau. J’ai été l’un des premiers médecins à alerter le monde sur les dangers du Vioxx, qui a tué plus de 60 000 patients avant d’être finalement retiré du marché. J’ai fait campagne contre les OGMs et les produits agrochimiques toxiques, en finançant en 2012 la première collecte de signatures pour obtenir l’étiquetage des OGMs en Californie.

Pendant plus de dix ans, j’ai financé la lutte pour mettre fin à l’utilisation des plombages dentaires au mercure dans le monde entier. J’ai mis en garde contre la sur-utilisation des antibiotiques en médecine humaine et les dangers de leur consommation dans les viandes CAFO [c’est-à-dire issues de l’élevage intensif – NdT]

J’ai financé des recherches et j’ai été l’un des premiers médecins journalistes à sensibiliser aux dangers de la carence en vitamine D. Je sensibilise maintenant le public à l’importance d’optimiser la vitamine D pour minimiser les risques du Covid-19.

Ce plaidoyer en faveur de la santé publique a créé une armée d’adversaires bien financés. Ils m’ont attaqué en utilisant des groupes de relations publiques coûteux et des médias de masse, ont saisi des agences de régulation fédérales et des groupes pharmaceutiques de façade pour tenter de me faire taire et de me discréditer.

Jamais auparavant les Américains n’ont été exposés à un tel assortiment coordonné de mensonges et de censure. Le lavage de cerveau, la surveillance des médias sociaux, la coercition et la destruction des dissidents s’accélèrent. Pour un aperçu complet de ce nouvel ordre mondial, un empire construit et dirigé par des milliardaires, voir ma série d’articles « Le fantôme dans la machine ».

Bill Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne pourrait pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas vacciné contre le Covid-19 l’ensemble de la population mondiale. Et ce, en dépit du fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux ont découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le Covid-19.

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Lorsque vous ou vos enfants vous faites vacciner, vous devez être certain de savoir qui injecte quoi dans votre sang et pour quelle raison.

Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement non fondées de Bill Gates façonnent dans le monde entier les réponses à la pandémie alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux constitue la preuve que nous ne fonctionnons plus sur une base scientifique et de vérité médicale.

Au lieu de cela, le monde entier devrait s’aligner sur le programme créé par Bill Gates qui sert ses propres intérêts et ceux de ses nombreux alliés dans le domaine de la technologie et de la médecine. Dans un article publié dans GatesNotes[11-12] le 30 avril 2020, Gates déclare même qu’il « soupçonne que le vaccin Covid-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveaux-nés » — un joli petit morceau de programmation prédictive, si vous voulez mon avis.

Note du traducteur : Pour appuyer les propos du Dr Mercola, voici ce que Bill-Gates-le-psychopathe-de-service-aux-ordres-du-consortium-en-haut-de-la-pyramide explique aussi dans cet article :

La plupart des gens s’accordent à dire que les professionnels de la santé devraient d’abord se faire vacciner. Mais qui le reçoit ensuite ? Les personnes âgées ? Les enseignants ? Les travailleurs occupant des emplois essentiels ?

Je pense que les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à le recevoir, car les gens risquent beaucoup plus de mourir dans ces pays. Le Covid-19 se répandra beaucoup plus rapidement dans les pays pauvres, car des mesures comme l’éloignement physique sont plus difficiles à mettre en œuvre. Un plus grand nombre de personnes ont un mauvais état de santé sous-jacent qui les rend plus vulnérables aux complications, et la faiblesse des systèmes de santé fera qu’il leur sera plus difficile de recevoir les soins dont ils ont besoin. La mise en circulation du vaccin dans les pays à faible revenu pourrait sauver des millions de vies. La bonne nouvelle, c’est que nous disposons déjà d’une organisation spécialisée dans ce domaine, la Vaccine Alliance (Gavi).

Il s’agit donc d’attaquer les plus faibles d’abord, sous couvert d’humanisme et de bonnes intentions, on s’occupera des autres ensuite ; d’ici là, des lois d’obligation vaccinale auront peut-être eu le temps de voir le jour un peu partout. Peut-être…

Les vaccins à ARNm développés contre le Covid-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment judicieux d’envisager l’utilisation d’un tel nouveau vaccin sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons aujourd’hui dans un monde dirigé par les hommes de main de Gates [lui-même sacrifiable s’il est besoin par le même consortium qui a permis qu’il soit là où il est à dessein – NdT], et la raison et la logique ont donc largement disparues de l’équation.

Dans une dialectique hégélienne prévisible de type problème-réaction-solution, le problème du Covid-19 a conduit à des stratégies anti-pandémiques illogiques et mal conçues telles que l’obligation de porter un masque et l’assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » offerte par un vaccin élaboré à la hâte qui repose sur l’usage d’une nouvelle technologie d’ARNm.

Aussi radical que tout cela puisse paraître, les projets de Gates pour le monde ne s’arrêtent pas là. Il fait également pression pour la mise en place d’un vaste système de surveillance mondial permettant de suivre et de retracer le statut de chacun en matière infectieuse et vaccinale. Il finance même, avec George Soros, le groupe de recherche des contacts Partners in Health. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé[13]).

Il n’est pas surprenant que les recommandations de Bill Gates finissent par lui profiter avant tout. Comme nous l’avons vu dans « Bill Gates — Le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne », la Fondation Bill & Melinda Gates fait des dons de plusieurs milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries que celles dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.

Utiliser l’argent des associations à but non lucratif pour faire avancer la recherche au sein des entreprises dans lesquelles vous investissez est illégal, mais Bill Gates continue depuis de nombreuses années à ne rendre aucun compte à la justice. Sa fondation bénéficie parallèlement d’avantages fiscaux au titre des donations qu’elle reçoit.

N’oubliez pas qu’au fil des ans il a « donné » des dizaines de milliards de dollars et pourtant la valeur nette de sa fondation n’a pas diminué — elle a même doublé, et cela est dû en grande partie au fait que ses dons sont traités comme des investissements fiscalement déductibles. C’est du philanthro-capitalisme dans sa plus grande expression.

Note du traducteur : Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l’ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l’un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la Fondation Gates nourrirait un système destructeur.

Entretien.

Bill Gates est celui qui bénéficie le plus d’une peur propagée de pandémie

À ce jour, la pandémie de Covid-19 est indéniablement le plus grand projet philanthro-capitaliste de Bill Gates, et il s’apprête à engranger d’énormes sommes d’argent, puisqu’il finance et investit à la fois dans les traitements et dans les vaccins contre le Covid-19.

© Inconnu

En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé[14] un nouveau partenariat, baptisé « The Covid-19 Therapeutics Accelerator », avec Wellcome et Mastercard pour « coordonner les efforts de recherche et développement, et éliminer les obstacles au développement des médicaments [et intensifier les traitements pour faire face à la pandémie » — Voir le site en anglais ici – NdT] ». Selon le communiqué de presse[15] :

L’accélérateur thérapeutique Covid-19 jouera un rôle de catalyseur en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter à court terme les patients atteints du Covid-19, puis d’autres agents pathogènes viraux à plus long terme.

La Fondation Gates s’est également associée au Serum Institute of India pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, sont destinés à être livrés aux pays à faible revenu[16-17].

Le financement est acheminé sous la forme d’un prêt sans intérêt et remboursable à Gavi, la Vaccine Alliance, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire au Serum Institute of India. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s’est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires[18].

Note du traducteur : Le Wellcome Trust est une fondation caritative fondée en 1936 dédiée à la médecine dont le siège est en Grande-Bretagne, dont la mission générale consiste à « encourager et promouvoir la recherche dans le but d’améliorer la santé de l’homme et des animaux », et qui finance la recherche biomédicale à hauteur d’une moyenne de 725 millions d’euros par an. Au 30 septembre 2007, ses actifs nets se montaient à 16,8 milliards d’euros. Au 30 septembre 2018sa dotation s’élevaient à près de 29 milliards d’euros. En termes d’avoirs, il s’agit de la seconde fondation la plus riche après la Fondation Bill & Melinda Gates.

Cette influence générale sur la technologie, l’alimentation et la médecine — et sur les vaccins en particulier — ne décrit pourtant pas de manière adéquate l’emprise de Bill Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l’éducation. Le très critiqué programme Common Core [Tronc commun, fondé en 2009 – NdT] fut une tentative de la Fondation Gates de redéfinir l’éducation américaine[19] et la plupart des parents vous diront à quel point cette tentative était stupide[20].

Note du traducteur : Selon un article de Forbes de mai 2020,

Bill Gates n’a pas inventé ce Tronc commun, mais comme l’a expliqué Lyndsey Layton en 2014, il a fourni le soutien financier, l’organisation et l’influence nécessaire pour les faire entrer rapidement dans tous les États de la nation. Il est difficile de savoir exactement combien d’argent Bill Gates a dépensé pour soutenir son projet de Tronc commun, le nombre de groupes et le nombre des chèques émis étant stupéfiants. Mais les dépenses de Bill Gates en matière d’éducation aux États-Unis se chiffrent en milliards de dollars et ont directement influencé la façon dont ont été dépensés des milliards de milliards de dollars du contribuable. Et si certains continuent à affirmer que ce projet de Tronc commun fut un succès, il est pour le moins difficile de conclure à un consensus général. Ce que le Tronc commun de Bill Gates a cependant réussi, c’est d’aider à faire accepter dans le système scolaire américain les deux aspects majeurs qui définissent Bill Gates — mettre l’accent sur la collecte des données, et définir qu’une moins bonne réussite scolaire s’assimile à « de bons résultats à un test de mathématiques et de lecture ».

Malgré cet échec lamentable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, annonçait que l’État s’associait à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système d’éducation plus intelligent » pour le monde post-Covid, système qui se concentrera sur l’apprentissage en ligne et intégrera de façon permanente la technologie dans tous les aspects de la vie civique[21].

L’État de New York s’est également associé à Google, et Cuomo a demandé à son ancien PDG, Eric Schmidt, de diriger un nouveau panel chargé de planifier l’infrastructure technologique de l’État[22]. Comme l’a noté Naomi Klein dans son article publié dans The Intercept[23], l’appareil de surveillance contre lequel les consommateurs se sont insurgés est maintenant rebaptisé en réponse aux préoccupations de chacun en matière de santé.

Note du traducteur : dans son article, Naomi Klein écrit aussi ceci :

C’est un avenir dans lequel nos maisons ne seront plus jamais exclusivement des espaces personnels mais aussi, grâce à la connectivité numérique à haut débit, nos écoles, nos cabinets médicaux, nos gymnases et, si l’État le détermine, nos prisons.

Bill Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne

Qu’elle soit planifiée ou pas, la pandémie de Covid-19 est de toute évidence utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement totalitaires, y compris la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé dans le cadre de partenariats public-privé.

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d’engranger d’énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.

Pour mieux comprendre ce à quoi vous renoncez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin de Big-Technologie pour être sauvés, voir mon article à propos de la psychologue sociale et professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, et son livre extraordinaire, L’Âge du capitalisme de surveillance.

Vous ne voudrez pas non plus manquer mon récent entretien avec Patrick Wood, présenté dans « Les plus impérieux dangers de la technocratie ». J’ai intégré cette interview ci-dessous pour vous faciliter la tâche.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui souhaitent visionner cette vidéo en anglais, suivez ce lien. Pour accéder à la transcription de l’interview en anglais, suivez ce lien. Sinon voici quelques paragraphes concernant les grandes lignes de son contenu :

  • La technocratie est un système économique qui a vu le jour dans les années 1930, au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation [les États-Unis – NdT]. Depuis lors, les technocrates ont silencieusement et sans relâche progressé, et leur programme devient de plus en plus visible.
  • Les technocrates ont inventé un nouveau système économique à partir de zéro — un système économique basé sur les ressources dans lequel l’énergie et l’ingénierie sociale dirigent l’économie plutôt que des mécanismes de prix tels que l’offre et la demande.
  • La technocratie appelle au démantèlement total du système politique, qui inclut la Constitution américaine. Les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident des ressources que les entreprises peuvent utiliser et des produits que les consommateurs sont finalement autorisés à acheter.
  • La Commission trilatérale est un groupe technocratique clé qui a dominé le système politique américain depuis Jimmy Carter.
  • La seule raison pour laquelle la technocratie n’a pas encore réussi à supplanter les États-Unis — bien qu’elle s’en rapproche de façon incroyable — c’est à cause de notre Constitution [ou grâce à elle, selon le point de vue – NdT]. C’est pourquoi nous devons nous battre pour protéger notre Constitution à tout prix. L’un des moyens les plus efficaces pour y parvenir est de créer des mouvements de base et de s’impliquer dans la politique locale.

Patrick Wood est un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart des folies que nous observons actuellement, et qui a été exacerbé par la pandémie de Covid-19.

Il a écrit deux livres sur ce sujet : Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation et Technocracy: The Hard Road to World Order [« La montée de la technocratie — Le cheval de Troie de la transformation globale » et « Technocratie — La dure route vers l’ordre mondial », ouvrages non traduits en français – Ndt].

Patrick Wood brosse un tableau qui peut être difficile à avaler, surtout si vous venez d’entendre tout cela pour la première fois, mais il est vraiment crucial que tout le monde commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés. Le temps nous est compté. Pour avoir une chance de l’arrêter, nous devons comprendre notre trajectoire et nous unir pour changer le cap que Bill Gates et d’autres comme lui nous ont tracé.

Sources et références

Source de l’article initialement publié en anglais le 21 août 2020 : Mercola
Traduction: Sott.net

Commentaire : Voici une liste d’articles sur Bill Gates en particulier et sur le Covid-19 en général

Bill Gates


Covid-19

[Voir aussi : Bill Gates sur Nouveau Monde]




COVID19: Débunkage du narratif officiel

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Auteur : ANNES BOURIA – Pharmacien]

Chers amis et compagnons de ré-information,

Je vous propose 10 points de débunkage à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du Covid :

1) Le covid19 est un virus dangereux

Le Sars-cov2, alias Covid19, est potentiellement dangereux pour certaines catégories de la population (tout comme les autres infections respiratoires), sinon,… pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début.

Le taux de mortalité est évalué entre 0,2 et 0,65% [1]. C’est 5 à 15 fois moins que les 3% donnés en début de pandémie. De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente [2] : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie.

Sans parler du fait que beaucoup de « morts covid » (probablement en majorité) sont en fait des décès de patients déjà très faibles chez qui le virus a joué un rôle marginal [3].

Les cas graves chez les personnes en dessous 50 ans et en bonne santé sont totalement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques [4] ou peu symptomatiques (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5% de patients covid+ doivent être hospitalisés, et 1 à 2% de cas graves [5,6] pour l’ensemble des contaminés qui sont en majorité des personnes âgées et fragiles.

Avec près de 80% d’asymptomatiques [7] et une médiane des décès à plus de 80 ans [8]… On peut trouver pire comme affection.

2) Le virus est inconnu

Ce virus est nouveau, mais on ne peut plus dire qu’il soit inconnu à l’heure actuelle. C’est un cousin du 1erSRAS, identifié en Chine en 2002, et bien documenté. Après quasiment 1 an d’observations, c’est le sujet pour lequel il y a eu le plus de publications médicales scientifiques en 2020.

Ce virus, bien qu’il reste quelques zones d’ombres autour de lui, on commence à bien le connaitre…

3) Il n’y a pas de traitements

Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique s’attache aux essais statistiques randomisés en double aveugle. Mais ce n’est ni de la médecine, ni de la science. La médecine c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, l’observation faite par les praticiens de terrain à travers le monde  a mis en évidence plusieurs associations qui donnent de bons résultats [9] : l’association Hydroxychloroquine/Azithromycine/Zinc [10] ou l’association Macrolide/Céphalosporine/Zinc [11] semblent éviter les formes graves à condition d’être prises tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre le covid [12].

Aux stades plus avancés, l’on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone [13], les anticoagulants[14] pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie [15].

L’on n’aura peut-être plus besoin d’intuber les patients en soins intensifs, qui en réalité étaient arrivés à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie car on avait choisi de ne pas soigner les gens durant l’épidémie !

4) Toutes les personnes touchées ont des séquelles

Tout d’abord, un grand nombre de viroses peuvent engendrer des séquelles organiques à des niveaux divers, y compris cardiaques ou neurologiques [16,17] .

Ici, il est impossible de se prononcer sans avoir plus de recul. Mais ce tableau semble loin de représenter la réalité.

Selon l’académie française de médecine [18], 30% des patients hospitalisés présentent diverses séquelles 6 semaines après la rémission.

Ces séquelles vont de la fatigue aux difficultés respiratoires en passant par des troubles neurologiques, rénaux ou cardiaques. Il semblerait que ces séquelles soient potentiellement réversibles, mais encore une fois il est trop tôt pour être catégorique.

Donc il s’agirait d’un tiers des patients hospitalisés (qui sont déjà une minorité des cas- 5%) qui présenteraient des séquelles à des degrés divers.

Quant aux graves atteintes pulmonaires peu réversibles, on les observe surtout dans les stades très avancés [19], et les intubations, dont l’utilité médicale est remise en question [20], y ont fortement contribué.

5) Il va y avoir/ on assiste à une deuxième vague

Le concept de deuxième vague ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il se base sur l’épisode de la pandémie de grippe espagnole il y a un siècle [21], mais non transposable aux conditions actuelles.

L’on nous a prédit, voire annoncé, cette deuxième vague à de nombreuses reprises depuis la fin du pic épidémique européen d’avril, mais ce fut à chaque fois des pétards mouillés.

Nul ne peut prédire l’avenir, mais les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes [22] : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît (comme ce fut le cas du 1er SRAS) soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques [23]).

A ce jour, en Europe, aucune reprise observable en terme clinique ou de hausse significative de la mortalité n’a été observée [24].

Nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

6) Il y a une augmentation des « cas »

Il ne s’agit pas de « cas » au sens médical ou clinique du terme. Ce qu’il se passe dans de nombreux pays d’Europe, c’est que les capacités et les politiques de test ont été élargies [25].

Ce que les autorités, ainsi que la presse, recensent sont uniquement des tests sérologiques (prise de sang) ou PCR (écouvillon dans le nez) protocolaires où l’on détermine si un individu a été en contact avec le virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne est malade ni contagieuse [26]. D’autant que 75% des positifs sont asymptomatiques [27], cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.

Voilà comment faire passer de bonnes nouvelles pour des mauvaises !

Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir jusqu’à 90% de « cas » sans infection en cours ni contagiosité ! [28] Et à raison de 3% sur l’ensemble des tests… cela correspond à la moyenne en termes de taux de positivité en France et en Belgique notamment depuis l’élargissement des campagnes de testing… [29]

7) Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.

Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invités à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elles présentent peu de risques et sont donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme [30].

Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires car l’on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prisent empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, c’est à n’y rien comprendre…

8) Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance »

Tout d’abord, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir, ni qu’il soit totalement efficace.

Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?

Il faut également signaler que les vaccins contre les rétrovirus, comme le covid, sont extrêmement compliqués à élaborer dans la mesure où ces virus mutent très vite [31].

Ajoutez à cela que ce vaccin semble être élaboré à la hâte, sans recul, avec des technologies inédites [32]… Faudra y réfléchir à deux fois avant d’accepter une vaccination massive, sachant que selon certaines études, on constate une immunité (croisée) déjà présente chez certains individus allant jusqu’à 50% de la population [33]. Ce qui expliquerait cette large proportion d’asymptomatiques.

Si un vaccin est élaboré, il devra être réservé aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, c’est une ineptie !

9) Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité. ABSOLUMENT RIEN !

D’ailleurs, les pays n’ayant imposés aucune de ces mesures (la Suède, un cas intéressant [34], la Biélorussie) ou de manière allégée (Allemagne, Pays-Bas) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques [35] sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie,Espagne)!

Que l’on soit clair :

Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté [36], sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.

Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique lorsque le risque est grand (on nous avait d’ailleurs dit que c’était inutile à l’époque), et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalable, y compris en extérieur et en dehors d’un pic épidémique par-dessus le marché. C’est de la grosse foutaise, pardon !

Non définitivement, le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés [37,38].

10) Les autorités savent ce qu’elles font

Il est dans certains esprits l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. C’est une croyance qu’il paraît urgent de réviser !

Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général fonctionnent par conformisme et cooptation, certains disent même médiocratie. [39] C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus plutôt médiocres mais obéissants et reconnaissants.

Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à accéder à des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Albert Jaccard avait prévenu en 1994 déjà : « Nous sommes en train de sélectionner les gens les plus dangereux » disait-il.

Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et ont leur ambition carriériste comme principal objectif.

Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts évidents, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme.

Un sacré cocktail !

C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, anti-démocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

ANNES BOURIA – Pharmacien

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Références

  1. https://theconversation.com/how-deadly-is-the-coronavirus-the-true-fatality-rate-is-tricky-to-find-but-researchers-are-getting-closer-141426?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  2. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-scenarios-2020-05-20.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  3. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#Comorbidities
  4. https://arxiv.org/abs/2006.08471?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=59d57f54e5-briefing-dy-20200706&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-59d57f54e5-45555106&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  5. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/covid-data/covidview/index.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#hospitalizations
  6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.pdf
  7. https://www.journaldequebec.com/2020/05/28/jusqua-80-de-cas-de-covid-silencieux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  8. https://www.liberation.fr/direct/element/la-repartition-par-age-des-deces-lies-au-coronavirus-ressemble-a-une-mortalite-classique_112144/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  9. https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.02.20080036v1?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  11. https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/azithromycine-etc-la-controverse-gronde-autour-du-cocktail-anti-covid-19-de-medecins-generalistes/article-normal-47443.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE7
  12. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=10570600&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  13. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-dexamethasone-efficace-contre-les-formes-graves-ne-doit-pas-etre-donne-au-debut-de-la-maladie?id=10544918&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=La%20dexam%C3%A9thasone%2C%20premier%20m%C3%A9dicament%20%C3%A0,un%20essai%20clinique%20publi%C3%A9s%20vendredi.
  14. https://www.revmed.ch/covid-19/Risque-thrombotique-veineux-induit-par-le-SARS-CoV-2-prevalence-recommandations-et-perspectives
  15. https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/coronavirus/covid-19-loxygenotherapie-pourrait-eviter-lintubation_29764.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  16. https://www.coeuretavc.ca/articles/comment-les-virus-endommagent-ils-le-coeur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  17. https://www.gbpf.be/images/uploads/congres/Frere-Julie_Infections_virales_du_SNC.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  18. http://www.academie-medecine.fr/avis-de-lacademie-les-sequelles-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  19. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/covid-wwksf/2020/07/what-we-know-covid-19-long-term-sequelae.pdf?la=en&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  20. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-les-medecins-sinterrogent-sur-le-bon-usage-des-respirateurs-1195147?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  21. https://uclouvain.be/fr/decouvrir/la-grippe-espagnole-de-1918-suscitait-elle-la-meme-peur-que-le-coronavirus.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  22. https://www.lindependant.fr/2020/04/29/professeur-didier-raoult-99-des-cas-de-coronavirus-en-france-auront-eu-lieu-avant-le-19-mai,8867698.php?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  23. https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/pourquoi-le-froid-plait-aux-virus-respiratoires?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  24. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  25. https://swprs.org/covid-just-a-casedemic/
  26. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  27. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptomatiques-au-moment-du-test?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.
  28. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v2.full.pdf
  30. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-la-communaut%C3%A9?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  31. https://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/10/24095-vaccin-contre-sida-pourquoi-cest-difficile?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  32. https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  33. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-moitie-de-la-population-possederait-une-immunite-au-covid-19-pre-existante_2132005.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  34. https://www.thesun.co.uk/news/12591827/sweden-coronavirus-case-rate-lower-denmark-norway-lock-down/
  35. https://www.worldometers.info/coronavirus/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  36. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-population-du-Canada.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  37. https://www.express.co.uk/life-style/health/1320428/Coronavirus-news-lockdown-mistake-second-wave-Boris-Johnson?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  38. http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients-leur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  39. https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2016-2-page-17.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  40. https://www.youtube.com/watch?v=9v9updAv018



Covid 19 : Les masques, les Tests, les médias Main Stream… vus par un gendarme

[Source : Profession gendarme]

Covid 19 : Les masques, les Tests PCR, l’hydroxychloroquine, le Rivotril (le décret autorisant l’assassinat), les médias Main Stream…

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Un camarade gendarme, lecteur assidu de Profession-Gendarme, répond à l’un de nos lecteurs à la suite d’un commentaire sur le site.

Des médecins commencent à se libérer du carcan de l’O.M.S. et suivant le serment d’Hippocrate s’expriment en fonction des connaissances médicales acquises.

Nous avons voulu partager avec vous ce commentaire qui donne matière à réflexion.

«La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

Aldous Huxley, Retour au meilleur des mondes


Il faut d’abord rappeler qu’initialement au début mars et depuis toujours d’ailleurs les masques n’étaient pas recommandés pour une utilisation grand public et ces recommandations figuraient noir sur blanc dans les documents O.M.S.

D’ailleurs, encore dans les dernières recommandations il est bien précisé qu’il n’y avait aucune preuve de l’efficacité de ces masques grand public.
D’autre part les boites de masques dit chirurgicaux précisent bien que ce ne sont pas des dispositifs médicaux et les boites mises en vente après l’apparition du covid précisent même que ça ne protège en aucune manière des virus et de celui-ci en particulier.
Ce qui était exigé pour l’hydroxychloroquine à savoir les ECR (Essais Contrôlés Randomisés) ont fait l’objet de nombreuses études internationales sans attendre l’arrivée du Covid 19 pour les masques et la sanction est sans appel ils sont inefficaces et même dangereux pour toutes les affections respiratoires. D’abord ils ne servent à rien  en raison du mode de transmission, le fluide aérien, et de la disproportion entre les mailles du filtre et la taille des virus à retenir.
Ils sont dangereux car ils empêchent une respiration normale, accumulent de l’humidité, des bactéries, virus et autres champignons et obligent à ré-inspirer ses propres exhalaisons et miasmes divers dont des virus.

Il n’aura échappé à personne que les masques étaient prévus pour les soignants et les malades dans des actes de soins où il ne s’agit ni de faire un cent mètres ni simplement de se déplacer, chaleur ou pas d’ailleurs.

Cette décision aberrante de port généralisé du masque n’est pas une mesure d’ordre sanitaire mais strictement politique pour imposer des mesures coercitives inutiles à la population et tester sa soumission à une dictature qui ne dit pas son nom.
Le prétexte de la reprise des cas est une fausse nouvelle puisque non lié à la maladie mais à la multiplication des tests qui ne sont pas fiables quelque soit le principe.

Les tests PCR aux dires même de son inventeur, prix Nobel pour cela, ils ne doivent servir qu’à la recherche et non au diagnostic médical, les tests sérologiques en laboratoire ne peuvent pas conclure de façon certaine au statut du testé quant aux tests automatiques ils sont une escroquerie couverte par le ministère de la santé puisque le physicien de la société chargée de leur contrôle a dénoncé leur nullité mais qu’ils ont malgré cet avis été homologués par le ministère (Cf interview David Mandel par le Media).

Il y a donc dans cette gesticulation des tests encore beaucoup de conflits d’intérêts qui pèsent tant sur la santé des testés que sur le budget de la sécurité sociale en pure perte.

Quant à l’évocation des ordres professionnels ce sont justement des institutions mises en place pour le contrôle des médecins, en l’occurrence  dans une triste période de l’histoire de France.

Faut-il encore rappeler que le traitement d’une maladie est une affaire de colloque singulier entre le médecin et son patient et que ce n’est pas à l’état de signer un décret assassin et s’il y a encore une justice en France les signataires de ce décret devront rendre des comptes.

S’il faut proposer une solution aussi simpliste que votre raisonnement contentez-vous donc de porter un masque si ça vous chante puisque selon vos principes il vous protégera et laissez ceux qui ne veulent pas en porter se suicider sans masque.
C’est le même raisonnement que pour les vaccins modernes, ceux qui pensent que c’est pour leur bien se feront vacciner et les autres préfèreront faire confiance à leur système immunitaire que nos bons conseillers scientifiques et nos gouvernants n’évoquent jamais depuis le début de la crise.
C’est donc bien que la santé des français n’est pas leur préoccupation majeure et qu’ils préfèrent favoriser celle des opérateurs de la mal bouffe de l’agro-alimentaire et ensuite les médicaments toxiques de Bigpharma plutôt que d’inciter la population à se maintenir naturellement en bonne santé.
Grâce à l’ignorance entretenue nos dirigeants favorisent la maladie au lieu de promouvoir la santé. Ils préfèrent voir l’homme comme une somme de maladies possibles plutôt que de le voir comme un tout, de façon plus holistique.

Alors après avoir lu ces quelques explications soit vous êtes de bonne foi et vous allez procéder à vos propres recherches sans céder au réflexe psittaciste des media Main Stream soit vous êtes un troll au service d’une dictature en marche et vous allez sévir sur un autre site car les gendarmes même retraités n’avalent pas n’importe quelle baliverne.

Encore merci à tous ces médecins, infirmières et autres soignants qui disent la vérité au risque de se voir sanctionnés par des instances indignes de leurs responsabilités et qui aussi auront un jour des comptes à rendre aux français.




Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible

[Source en italien : Maurizio Blondet]

[Traduction automatique corrigée]

« Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible »

Maurizio Blondet   18 novembre 2020  

La rumeur circulait depuis des mois dans le monde médical français. Le Monde avait écrit un article pour dire qu’ils étaient sans fondement, faux, intoxiqués. Maintenant, un titre apparaît où un médecin dit : « Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus tôt possible » . Elle s’est déroulée dans des maisons de retraite pour non autosuffisantes (EPHAD en France, comme nous avons RSA [en Italie]). Et cela est confirmé sur la chaîne France 3 par la diffusion le 18 novembre à 21h05 de l’enquête « Covid-19: que se passe-t-il vraiment dans les maisons de retraite? ». Le site Internet de la chaîne consacre un article et une vidéo à cette enquête, dont le thème principal est le tristement célèbre « décret Rivotril » du 29 mars et ses conséquences pour les professionnels de santé et leurs patients.

Rivotril sous forme injectable est mortel pour les patients souffrant d’insuffisance respiratoire. Le gouvernement a autorisé l’utilisation du Rivotril, par ce décret, au motif que l’Hypnovel manquait, ce qui était nécessaire pour les soins palliatifs de fin de vie; ces vieillards devaient être tenus à l’écart des unités de soins intensifs…

« Au milieu de la première vague de l’épidémie de Covid-19, au printemps 2020, le gouvernement a autorisé l’utilisation de médicaments palliatifs qui sont généralement interdits » , indique désormais le rapport sur France 3. Le programme s’intitule « Evidence against » ( Pièces à conviction), et a recueilli des témoignages d’agents de santé scandalisés par cette décision. « Lorsque nous avons reçu ces directives, nous avons été stupéfaits », raconte Sandra Rotureau, directrice de la santé. « Lorsqu’une personne âgée n’est pas hospitalisée [faute de lits] et que ce qui lui est proposé, c’est une sédation dès qu’elle a des difficultés à respirer… ma première réaction est de me souvenir : « Comment, on nous demande de pratiquer une euthanasie passive avec nos résidents ? » ». […] Notez la formulation. « Euthanasie » est le moment où le patient a demandé à être activement aidé à mourir. « L’euthanasie passive » n’existe pas. Ça s’appelle un meurtre.

Dans une autre résidence publique non identifiée, un médecin EPHAD, le visage couvert, avoue « un sentiment d’horreur ». « Je ne suis pas autorisé à prescrire quelque chose qui guérirait les gens [fait allusion à l’hydroxychloroquine] s’ils étaient affectés, mais je suis autorisé « à les faire partir… doucement » ».

« Nous avons raccourci la souffrance des gens? J’appelle ça de l’euthanasie », poursuit-elle, extrêmement bouleversée. « Que nous ayons osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite est insupportable.[…] ».

Il a également été constaté que les médecins qui travaillaient pour les EHPAD avaient demandé aux infirmières d’injecter [le contenu de] la seringue mortelle, les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait pas dû leur peser. Ceci ressort d’une audition de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

La bassesse et la lâcheté. Et le silence complice, le silence des médias alors que le nombre de décès dans les maisons de retraite assistées augmentait de façon spectaculaire grâce au décret Rivotril. « Certains soignants ont déclaré qu’ils ne faisaient que soulager les malades, mais ils se taisent sur le fait que sur le certificat de décès, ils ont pu écrire la « cause du décès: Covid » sans aucune preuve ni test », utilisant également une euthanasie passive pour augmenter le nombre de décès par Covid, ce qui rapporte aussi en France aux hôpitaux, même si ce n’est pas les 2 mille euros par jour de l’Italie [NdNM : la subvention reçue par l’hôpital en cas de décès par la covid-19 est plus importante que pour d’autres causes déclarées de décès. Même chose au Canada].

« Covid: attitudes criminelles? ». Gérard Maudrux, chirurgien urologue, demande à voix haute dans un magazine du domaine [l’urologie], de raconter comment [les membres de] sa famille ([qui travaillent] tous dans le secteur hospitalier) ont été malades de la Covid, assez gravement, avec comme seule thérapie recommandée par les autorités : « Le paracétamol. L’utilisation d’antibiotiques n’est expressément pas recommandée. Pour mes trente premiers patients traités de cette manière j’ai eu 3 problèmes : un décès à domicile, une fibrillation auriculaire le deuxième et une hospitalisation de réanimation de trois semaines le troisième ». Puis, en étudiant, le médecin découvre dans un journal australien les effets de la vermectine (un anti-helminthes!)  « Je connais bien le traitement de deux épidémies de gale dans la maison de retraite; les résultats après 48 heures sont stupéfiants : la disparition des signes cliniques pour tous. Trop heureux de partager ces résultats, je pense que je fais une faveur, j’en parle, ce qui m’a valu de sévères critiques de la part de collègues et d’un pharmacien. Et l’ avertissement de l’Ordre ».

Et il cite « les confrères de StopCovid19, qui ont collecté plus de 700 cas traités [à la chloroquine et aux antibiotiques] et qui ne publient pas en raison des menaces reçues. N’oublions pas qu’au 19 avril, contre la Covid, 100 000 patients avaient reçu de l’azithromycine, 41 000 de la chloroquine et 10 000 les deux (source Assurance Maladie). Combien de vies avez-vous sauvées? Combien d’hospitalisations évitées? L’observation sur le terrain a-t-elle encore une valeur? ».

Un autre médecin parle de la mort sur ordonnance. Et il écrit: « En d’autres temps, des procédures judiciaires auraient été mises en place et la justice pénale aurait été adressée pour se prononcer sur l’éventuel caractère pénal du décret Rivotril, adopté en contradiction avec tous les textes et la jurisprudence en matière de fin de vie. Aujourd’hui, le virus a le dos large pour permettre des actes injustifiables, susciter la peur et l’angoisse généralisées, établir une dictature que nos ploutocrates réclament depuis des années »; et expose le nombre de flacons de Rivotril (« remboursé par le service de santé », précise-t-il) énormément augmenté pendant la « pandémie », et en relation directe avec la surmortalité dans les maisons de retraite ces semaines-là.

Tribunaux vers lesquels il est inutile de se tourner pour dénoncer ces crimes et cette imposture, le paracétamol comme seule thérapie « recommandée » par les comités technico-scientifiques, menaces aux médecins qui découvrent des remèdes efficaces, interdiction de l’hydroxychloroquine. Et, à la place, Rivotril en ampoules pour injection létale. Il est impressionnant de découvrir que les directives sont identiques en Italie et en France.

Mais plus encore, voir à quelle vitesse la dictature de la ploutocratie totale est tombée, dans son Grand Reset, au niveau qu’on nous apprend depuis 50 ans à considérer comme un mal absolu : l’attitude génocidaire du nazisme, l’euthanasie des bouches inutiles à grande échelle, l’injection mortelle par décret, l’asservissement volontaire des juges et le silence total des médias dans ce qui se profile comme le plus gigantesque crime contre l’humanité jamais commis. Des décennies de cours moralisateurs dans les écoles, des documentaires sur l’Holocauste, des journées de mémoire répétées de manière obsessionnelle, des visites d’écoliers à Auschwitz, des appels à la vigilance : prenez garde que le nazisme ne revienne pas ! Regardez ! Le voici, et les journaux télévisés appellent des « négationnistes » les foules qui, dans toute l’Europe, se rebellent contre l’esclavage et contre cette barbarie indescriptible, Le titre de la République

[Voir des vidéos sur le site originale en italien, en fin d’article.]




COVID-19 : opération psychologique

[Source : Agoravox]

par Collectif TPH

Partie 1- Des psys sonnent l’alarme

Nous sommes un collectif de psychologues, psychanalystes et psychothérapeutes et nous lançons un message d’alerte. La politique gouvernementale s’apparente à nos yeux à une campagne de destruction massive du psychisme de la population. Ceux qui sont censés œuvrer pour le bien-être de nos concitoyens sont en train de créer des traumatismes potentiellement irréversibles.

Depuis presque un an, le monde est confronté à une crise inédite liée à la propagation d’un virus nouveau de la famille des corona virus, le SARS-COV-2, au sein de la population humaine. La maladie causée par ce virus est quant à elle appelée COVID-19 pour « corona virus disease 2019 » (maladie à corona virus 2019).

Pour faire face à cette épidémie mondiale, les instances politiques nationales ont pris la décision d’imposer des mesures radicales qui impactent très fortement le quotidien des Français. La méthode employée, particulièrement coercitive, a fait la preuve de son inefficacité. Elle a des conséquences dramatiques sur le plan économique et sur lasanté de la population, en particuliersur sa santé mentalequi est directement attaquée. Pourtant le gouvernement s’entête dans une stratégie politique délétèreau point qu’un nouveau confinement est désormais envisagé.

Les Français doivent prendre conscience que leur gouvernement n’agit pas dans le sens de leur intérêt : il est devenu clairement « pathogène » (c’est-à-dire générateur de pathologies). L’analyse de cette gestion de crise nous amène à conclure que cette situation n’est pas seulement le résultat des errements du pouvoir. La crise actuelle a le mérite de lever le voile sur ce qui apparaît désormais comme une évidence : ceux qui prétendent représenter le peuple agissent sous l’influence de lobbies qui défendent des intérêts diamétralement opposés à ceux de la population.Les médias, quant à eux, relaient les messages délibérément anxiogènes du pouvoir et pratiquent une censure quasi systématique à l’encontre de toutes les études susceptibles de mettre en cause la narration officielle. Force est donc de constater qu’une coalition malsaine et machiavélique, alliant gouvernement, médias et puissances d’argent, s’est constituée. Elle s’attaque de façon systématique et caricaturale à la santé psychique de la population. 

En tant que « psy », nous ne pouvions rester plus longtemps sans réaction. Les Français doivent se mobiliser collectivement pour mettre un terme à cette folie et protéger leur cerveau et celui de leurs enfantscontre les coups de boutoir du pouvoir, faute de quoi nous allons au devant d’une catastrophe sanitaire et humaine sans précédent

Partie 2 : Danger pour la santé psychique des Français !

Des mesures portant atteinte à la santé de la population

La gestion de la crise sanitaire par le gouvernement a des conséquences sérieuses sur la santé de la population. Le confinement a provoqué un affaiblissement de l’immunitépour des raisons variées : sédentarité, manque d’air et de soleil, absence de pratiques sportives et d’échanges sociaux. Cette mesure radicale, inédite dans l’histoire de l’humanité(imposer à la population dans son ensemble, y compris les gens en bonne santé, de rester chez elle), a eu un effet très anxiogènece qui est en soi nuisible à la santé par effet nocébo(impact mesurable à l’imagerie cérébrale d’une substance absorbée ou d’une information véhiculée et perçue comme négative).

Le port du masque obligatoire et généralisé, autre mesure inédite dans l’histoire de l’humanité, n’a nullement fait la preuve de son efficacité. Le port du masque ne peut être efficace que dans des conditions d’utilisation très précises qui ne peuvent pas être respectées à grande échelle. A contrario, de nombreuses études démontrent la nocivité du port du masque pendant plusieurs heures d’affilées. Comme le résume Thierry Lagrange, médecin généraliste à La Rochelle, « on demande aux gens de rester confinés sous leur masque ce qui est totalement inepte du point de vue physiologique ». Cette mesure délétère est imposée manu militari par un gouvernement qui, quelques mois plus tôt, se démenait pour expliquer son inutilité. 

Exemples de patients dans nos cabinets 

La façon dont cette crise a été gérée a également provoqué des dégâts sur le plan psychologiqueNous avons pu le constater dans le cadre de nos consultations

1- Une patiente est arrivée en consultation à la suite du confinementen état de choc post traumatique. Elle était désorientée, ne comprenait rien à ce qui se passait. Elle raconte qu’elle s’est faite agresser dans la rue un jour où elle faisait des courses par une personne qui l’a insulté car elle ne gardait pas suffisamment ses distances. Extrêmement angoissée et déprimée, elle avait également développé des troubles du sommeil

2- Un patient est venu en consultation en état de décompensation. Totalement désorienté et dans la confusion, il était incapable de revenir à lui. Son cerveau sursaturé d’informations contradictoires tournait en boucle sans parvenir à dénouer le vrai du faux. Il était envahi d’angoisses de mort et terrorisé.

3- Afin d’échapper à la réalité (très difficile à vivre) du confinement,un adolescent de 17 ans avait pris une fois du LSD à la suite de quoi il avaitbasculé dans la décompensation psychotique (schizophrénie)

4- Une mère amène sa fille de 7 ans qui présente des TOCS (troubles obsessionnels compulsifs) depuis le confinement. La petite n’ose plus rien toucher. A chaque fois, elle demande à sa mère si elle peut toucher ceci ou cela : jusqu’à l’herbe dans son jardin ; jusqu’à ses crayons de couleur ou même la table dans sa classe. La petite vit désormais dans une angoisse permanente de contamination, multipliant les lavages de main et les conduites d’évitement… Par ailleurs, elle a la terreur d’oublier de se laver les mains avant de toucher ses ami(e)s, persuadée que, si elle oublie, elle risque de les contaminer. Elle a peur de faire du mal à quelqu’un qu’elle pleure tous les matins avant d’aller à l’école.

La mère est en panique de voir sa fille aussi angoissée. Après quelques questions, il apparaît que les parents sont tout aussi terrorisés que leur fille. Ainsi, depuis le confinement et le matraquage médiatique qui a suivi, ils lavent les courses à l’eau de javel avant de les ranger dans la maison. Si la petite a le malheur de toucher aux courses avant qu’elles n’aient été lavées, c’est l’angoisse et elle se fait aussitôt réprimander. 

La mère comprend alors qu’elle a elle-même adopté un rituel obsessionnel qu’elle a transmis à sa fillede même que l’angoisse de toucher des objets non lavés et de contaminer les autres.

Ce ne sont quequelques exemples parmi tant d’autres. Ainsi le confinement, ainsi que le dé-confinement qui s’en est suivi,ont provoqué l’apparition de très nombreux symptômes : 

  • angoisses, notamment chez des jeunes enfants, énurésie,
  • état de choc posttraumatique, 
  • violences conjugales et violences sur les enfants, 
  • hypocondrie,
  • troubles obsessionnels compulsifs, notamment chez les enfants, 
  • multiplication des cas de décompensations psychotiques, 
  • dépressions,
  • suicides, etc.

Partie 3 : Quand le pouvoir pervers joue avec nos cerveaux

Des comportements pathologiques normalisés

De nouveaux rituels de nature obsessionnelle 

Les « gestes barrières »ainsi que la généralisation du masque, mesures d’apparence moins brutales que le confinement, ont également des conséquences psychiques importantes. La systématisation des « gestes barrières » revient à généraliser au sein de la population des comportements qui s’apparentent aux rituels de nature obsessionnelle.Le plus grave est que cette folie a atteint jusqu’aux classes maternelles : en effet, les enfants ne peuvent plus aller librement à la découverte de leur environnement ; ils doivent eux aussi suivre des protocoles sortis d’on ne sait quel cerveau malade.

La généralisation du masque jusque dans les espaces publics s’apparente à une mesure de confinement psychique généralisé. Le port du masque nous coupe radicalement du lien à l’autre. Il porte sérieusement atteinte à notre capacité à nous rencontrer, partager, échanger,construire ensemble et in fine à résister. L’homme étant un être fondamentalement social, le masque attaque notre humanité, nous isole et nous pousse vers la folie. Il nous transforme en une masse indifférenciée de zombies.

Obligation à maltraiter nos enfants 

Le fait d’imposer le port du masque toute la journée aux collégiens et lycéensest, pour le coup, une véritable honte. Cette obligation s’apparente clairement à un exercice de soumission collective. Forcer des jeunes de 11 ans à mettre des masques toute la journée et les sanctionner s’ils ne le font pas est un stade supérieur de la violence psychologique.On emprisonne psychiquement nos enfants. L’Education Nationale est en quelque sorte devenu le ministère de la Soumission Nationale

Injonctions paradoxales dignes du pervers narcissique

Tout semble avoir été fait pour mettre les citoyens dans un état maximal de confusion, d’angoisse, de sidération, d’hébétude.

Le procédé de la « double contrainte »

Au début de la crise, le gouvernement et les médias n’ont cessé de diffuser des messages contradictoires. Ainsi par exemple, le Président Macron était au théâtre le 6 mars 2020 et incitait les Français à sortir et à ne rien changer de leur mode de vie. Le 12 mars, il maintenait le premier tour des élections municipales tenues le 15 mars… et il annonçait le 16 un confinement généralisé. 

Lorsque deux messages opposés sont proférés simultanément ou presque (et notamment quand un message explicite s’oppose à un message implicite concomitant), le cerveau est incapable de gérer l’information. Il « bug » en quelque sorte. Ce procédé, connu sous le nom de « double contrainte  » (double bind en anglais), est typique du fonctionnement pervers. Il conduit à la destruction de la capacité à penser et jette la personne dans la confusion, l’impuissance et finalement la dépression.

Des terroristes qui s’ignorent

Lorsque le Président Macron annonce le confinement lors de son allocution du 16 mars 2020, il fait le choix d’une rhétorique guerrière, répétant à de nombreuses reprises que « nous sommes en guerre… ». Nous nous sommes retrouvés dans une sorte de version 2.0 de la guerre contre le terrorisme,cet ennemi invisible qui peut surgir à tout moment. Loin de se mobiliser pour faire face à la menace que représentait le virus, le gouvernement a choisi de nous confiner. Au lieu d’agir, il s’est contenté de nous dire : « restez chez vous, sauvez des vies ». Ainsi, comble de la terreur, nous pouvions nous-mêmes héberger, à notre insu, ce tueur assoiffé de sang. Nous étions en quelque sorte des terroristes qui s’ignorent.

Clivage intérieur

Ce message a eu des conséquences psychologiques désastreuses, notamment chez les jeunes. Très peu de nos patients craignaient pour eux-mêmes mais un très grand nombre était terrorisé d’être responsable de la mort d’un proche. Le niveau de perversité de ce sloganest inimaginable : ilporte directement atteinte à l’intégrité psychique des individus en y instillant un clivage intérieur

Quand respirer devient un acte criminel

Toute remise en question du discours officiel a été violemment réprimée. Ainsi, avoir l’audace de respirer librement au grand airdans une forêt ou sur une plage est devenu un acte criminel, passible d’une amende de 135€ d’amende (beaucoup plus en cas de récidive). Pour faire respecter ces règles dictatoriales, le gouvernement a fait usage de méthodes tout droit sorties des pires films apocalyptiques  : on a vu des drones survolant des villes désertes et ordonnant aux rares passant de rentrer chez eux. La culpabilisation des réfractaires et l’incapacité de se révolter ont renforcé l’état d’impuissance dans laquelle la population a été jetée.

Absence de visibilité sur l’avenir et effets psychologiques irréversibles

Mais le pire, dans la gestion de cette crise par le gouvernement, est sans doute l’absence totale de visibilité sur l’avenir. En effet, notre psychisme est capable de faire face à des événements traumatiques à la condition qu’ils soient limités dans le temps. En revanche, quand la population n’a aucune perspective de retour à la normale et que la situation traumatisante s’installe dans la durée, les effets psychologiques deviennent irréversibles

Des messages anxiogènes réguliers et un état de stress permanent

Or c’est précisément ce qui se passe dans la gestion de cette crise prétendument sanitaire : Au cœur de l’été, alors même que l’épidémie était terminée, le gouvernement a décidé de maintenir une pression maximale sur la population et de ne lui laisser aucun répit. Il a maintenu l’impératif des gestes barrières et du port du masque au point que ces mesures sont en train de devenir la norme. Chaque fois que la tension psychique des gens redescend, les médias nous gratifient d’une piqûre de rappel  : ils distillent un nouveau message anxiogène qui a pour finalité de nous maintenir dans un état de stress chroniquequi a des conséquences délétèressur les organismes.

Le caractère systématique de cette démarche nous conduit à nous interroger sur les raisons qui poussent le gouvernement à agir ainsi. Cette manière de procéder s’apparente à la technique de l’entonnoir, méthode manipulatoire (utilisée notamment en technique de vente) dont la finalité est d’amener pas à pas l’interlocuteur à adopter une conduite désirée. En l’occurrence, quel est l’objectif poursuivi par le pouvoir en agissant de la sorte ?

Partie 4 : Population sous propagande

Incompétence et manipulation

Cette crise sanitaire a d’abord révélé la très grande fragilité d’un pouvoirdonnant la désagréable impression d’être en permanence dépassé par les évènements. 

Incapable de prendre de la hauteur et d’agir dans la sérénité, ce dernier a semblé basculer dans une instabilité émotionnelle de type hystérique. Par la suite, le pouvoir a tenté de reprendre la main en manipulant de façon systématiquement les chiffres afin de donner une vision totalement déformée de la réalité et faire taire toute velléité de contestation.

Manipulation des chiffres 

  • De nombreux témoignages indiquent que beaucoup de morts ont été classés « COVID19 » sans vérification ou de façon délibérément fallacieuse. A titre d’exemple, un patient nous a raconté que sa mère, atteinte d’un cancer en phase terminale, a été testée positive au SARSCOV-2. A sa mort, elle a été comptée au rang des personnes décédées de la COVID-19 (et non du cancer).
  • L’un des indicateurs clés pour évaluer la gravité d’une épidémie est la baisse de l’espérance de vie  : on ne peut en effet pas mettre sur le même plan le décès d’une personne dans la force de l’âge (un jeune père de famille par exemple) et celui d’un vieillard au crépuscule de sa vie, qui n’aurait vécu, dans le meilleur des cas, que quelques mois de plus. Or la baisse d’espérance de vie a été quasi nulle entre 2019 et 2020 à ce jour (moins deux mois, ce qui correspond au niveau standard de variabilité annuelle). Cette seule donnée permet de conclure qu’il ne s’est absolument rien passé qui puisse, de près ou de loin, justifier un arrêt de l’économie et une mise au pas de la population dans son ensemble.

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise au cours de l’épidémie illustre bien les intentions manipulatoires du pouvoir : 

  • Au pic de l’épidémie, le Directeur Général de la Santé annonçait tous les soirs, avec la plus grande solennité, le nombre de morts dû à la COVID19des dernières 24 heures, se gardant bien d’en donner des éléments d’appréciation (âge, comorbidité, etc.). Nous avions ainsi droit à une sorte de « grandmesse » macabre du journal de 20 heures.
  • Puis lorsque le nombre de morts est devenu très faible, la narration a brutalement changé et les médias n’en ont, d’un seul coup, plus fait état. Une nouvelle référence s’est imposée : le nombre de cas testés « positifs ». Rares sont ceux qui se sont émus de ce revirement grossier qui s’apparente à un tour de passepasse visant à faire perdurer le climat anxiogène aussi longtemps que possible.
  • La notion même de « cas positifs » est en ellemême sujette à interprétation manipulatoire, le gouvernement entretenant délibérément la confusion sur la signification du test  : un cas positif n’est pas, dans la majorité des cas, malade ni même contagieux.

Polémique autour du Professeur Didier Raoult

La polémique autour du Professeur Didier Raoult et de son traitement à base d’Hydroxychloroquine (HCQ) et d’Azithromycine soulève, quant à elle, de très nombreuses questions :

  • Pourquoi avoir véhiculé l’idée que l’HCQ était une molécule dangereusealors qu’elle est utilisée depuis des décennies et qu’elle a été prise par des centaines de millions de personnes ?
  • Même si la décision aurait été prise dès le mois d’octobre 2019, pourquoi avoir acté le 13 janvier 2020 le classement de l’HCQ comme substance vénéneuse,en interdisant sa vente sans ordonnance pour la première fois depuis 1955, alors même que de nombreux pays (notamment la Chine)utilisaient déjà un traitement à base de chloroquine contre le COVID19 ?
  • Pourquoi le journal Le Monde ainsi que le ministère de la Santé ontils qualifié de « fake news » les annonces du Professeur Raoultsur l’efficacité de son traitement en février 2020 accusant ainsi cet éminent professeur de n’être ni plus ni moins qu’un menteur ? Le ministère de la Santé s’est ensuite rétracté.
  • Comment expliquer l’affaire du Lancet Gate qui restera comme l’un des plus grands scandales scientifiques de notre temps ?Le 22 mai 2020, la prestigieuse revue scientifique britannique The Lancet publie en effet une étude censée clore le débat sur l’efficacité de l’HCQ : les conclusions défavorables conduisent l’OMS puis le ministère de la Santé français à suspendre les essais concernant l’HCQ. Le gouvernement français interdit également son utilisation pour le traitement de la COVID19. Quelques jours plus tard,The Lancet est contraint de retirer son étude, entièrement bidon. Pourquoi aucune procédure judiciaire n’at-elle été lancée pour faire toute la lumière sur cette affaire ?
  • Pourquoi la société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF), qui est une association regroupant des professionnels de santé intéressés par les maladies infectieuses et tropicales, at-elle porté plainte contre le Professeur Raoult auprès de l’Ordre des Médecins des Bouches du Rhône en mai 2020 ? Pourquoi avoir pris le parti de la censure et de la répression plutôt que d’engager un débat honnête et ouvert entre spécialistes ? L’association ainsi que les membres de son bureau touchent des sommes importantes des grands laboratoires pharmaceutiques, et notamment de Gilead, qui produit le Remdésivir, concurrent de l’HCQ. Pourquoi ces versements, dont les sommes ont considérablement augmenté ces dernières années, n’ont pas été relatés par les médias ? Plus généralement,pourquoi les médias ontils régulièrement donné la parole à des médecins et chercheurs sujets à conflits d’intérêts avec l’industrie sans même en faire état ?
  • Pourquoi tous les praticiens de terrain ayant eu des résultats avec ce traitement ontils été réduits au silence ?Pourquoi les médecins français se sont vus interdire la prescription d’HCQ ce qui revient à porter atteinte au code déontologique de la profession qui confère aux médecins la liberté de prescrire ? 
  • Pourquoi le géant Facebook (2,5 milliards d’utilisateurs)at-il décidé, de manière très officielle, de censurer toute information qui défendrait l’efficacité de ce traitementde l’aveu même de son PDG Mark Zukerberg (« Si quelqu’un dit que l’HCQ est un remède contre la COVID, nous le retirerons »).
  • Pourquoi avoir pris le traitement du Professeur Raoult pour cible alors qu’il est utilisé pour le traitement de la COVID19 dans de très nombreux pays, notamment aux EtatsUnis, au Brésil, en Chine, en Russie, en Iran, au Portugal, aux Pays-Bas, en Belgique, en Italie, dans de nombreux pays africains, etc. ?

Didier Raoult estime à 15.000 le nombre de morts qui aurait pu être évités en France si son traitement avait été généralisé. Le Professeur Perronne parle même de 25.000 vies épargnées. 

Opération psychologique contre la population (PsyOp)

Angoisses de mort réactivées et propagande de masse 

Ainsi, le pouvoir a délibérément véhiculé une vision déformée de la réalité de cette crise sanitaire. Il a berné la population afin de la maintenir en état de stress chronique et de délire collectif généralisé. La survenue d’une pandémie réveille le spectre des grandes épidémies du passé (peste noire, cholera, typhus, grippe espagnole). Des angoisses de mort puissantes sont donc logiquement réactivées. Dans ce contexte, il est de la responsabilité du pouvoir et des institutions médicales d’apporter des informations précises, d’agir et de rassurer.Mais le gouvernement a fait tout l’inverse  : il a capitalisé sur l’apparition de l’épidémie de SARS-COV-2 pour imposer depuis presque huit mois une propagande de masse. Toutes les voix discordantes ont été réduites au silence, le pouvoir ne craignant pas de faire usage de la force pour imposer sa vision au prétexte fallacieux et pervers de protéger la population.

Les tapis de bombes ont cédés la place à une invasion de masques

En agissant de la sorte, le gouvernement, secondé par la plupart des médias de masse, a servi des intérêts opposés à ceux de la population. Il s’est rendu coupable d’une agression psychologique à l’encontre des citoyensqui ressemble en tout point aux « opérations psychologiques » (ou « Psy Op ») menées par la CIA pour terroriser les populations. Les agissements actuels du pouvoir s’apparentent à une attaque invisible, à bas bruit, sournoise, perverse, qui vise à affaiblir nos défenses psychiques. A l’heure du« soft power », les tapis de bombes ont cédé la place à une invasion de masques d’apparence inoffensive, mais c’est la même terreur qu’il s’agit d’alimenter afin de soumettre la population. Ce sont nos cerveaux qui sont pris d’assautet il est de notre responsabilité d’en assurer la défense. 

Dans sa fameuse allocution du 16 mars 2020, le Président de la République annonçait le confinement et la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, justifiant ces mesures en matraquant que « nous sommes en guerre » contre ce méchant virus. Mais ne nous y trompons pas : Macron aurait été plus honnête s’il avait précisé : « Nous sommes en guerre contre vous qui me regardez ». Reste à identifier et comprendre qui est ce « nous »…

Le Professeur Raoult : pilier face au délire collectif généralisé

Dans le délire collectif généralisé délibérément entretenu, le Professeur Raoult a incarné un des rares pôles stables par delà les frontières de l’Hexagone. Alors que le pouvoir mettait tout en œuvre pour terroriser la population, il a aidé beaucoup de monde à résister au délire et à ne pas basculer dans la folie. Il avait la compétence, l’expérience et la personnalité pour le faire. Dans cet océan, d’incompétence, d’arrogance, de mensonges et de manipulation, il a montré qu’il avait la stabilité, la solidité psychique, l’expérience et le recul nécessaires pour résister à la pression. Il su assumer ses responsabilités. Les attaques que Raoult a subies (diffamation, insultes, etc.) attestent du fait qu’il dérange. Il constitue en effet une menace sérieuse pour tous ceux qui cherchent à instrumentaliser la crise pour servir leurs intérêts.

Partie 5 : Développons des armes psychologiques

Des enjeux financiers colossaux

Fuite en avant dans le mensonge

L’obstination du gouvernement à mentir sur la réalité de ce virus et à imposer des réponses inadaptées et délétères peut s’expliquer par la volonté de se prémunir de toute attaque. C’est une sorte de fuite en avant dans le mensonge pour masquer son incompétence et ses errements initiaux. Terrorisé de devoir rendre des comptes, le gouvernement a ainsi persévéré dans ses mauvais choix. 

Une opportunité pour des bénéfices record

Mais cette raison ne saurait à nos yeux expliquer à elle seule le niveau de manipulation dont nous avons parlé : cette épidémie est l’objet d’enjeux financiers colossaux. L’acharnement contre l’HCQ qui est une molécule peu chère (elle n’est plus sous brevet) et facile à fabriquer, s’explique, du moins en partie, par ces questions d’ordre financier. Le marché de la santé dans son ensemble est aujourd’hui de plus en plus soumis aux logiques capitalistiques.

Pour l’industrie pharmaceutique, la « pandémie » de SARS-COV-2 se résume à une opportunité extraordinaire d’engranger des bénéfices record. Le coût de fabrication d’une dose vaccinale est minime et la marge qu’il permet de réaliser est très importante. Ainsi la manne financière qui peut découler de la mise sur le marché d’un vaccin destiné à 7 milliards d’individus est inimaginable. Bill Gates, informaticien aujourd’hui autoproclamé médecin chef de la gouvernance mondiale, estime à 40 milliards de dollars le coût pour vacciner la planète. Cette épidémie aiguise donc des appétits féroces que rien ne saurait contrarier.

C’est une véritable course contre la montre qui est lancée et les enjeux financiers sont tels qu’il y aura un vaccin, n’en déplaise au plus grand infectiologue de la planète, le Professeur Raoult, qui explique en quoi l’idée même d’un vaccin contre le virus SARS-COV-2 est une ineptie du point de vue scientifique…

Coalition d’intérêt contre la population 

Nous assistons ainsi à une collusion d’intérêts de ceux qui nous gouvernent avec la puissance médiatique et certains lobbies. Ensemble ils agissent pour défendre les intérêts d’une toute petite minorité contre ceux de la population dans son immense majorité. Macron s’exprime en tant que porte-voix de cette coalition usant de procédés pervers et, pour reprendre ses mots, c’est cette coalition davantage que le virus qui est « en guerre » contre la population.

Les conséquences prévisibles de cette crise.

Aujourd’hui, nous constatons que la pression ne redescend pas. L’objectif est clairement de préparer la vente d’un vaccinpourtant globalement inutile(du fait de la faible létalité du SARS-COV-2) et dangereux (développé à la va-vite en court-circuitant les protocoles habituels de mises sur le marché en raison de l’urgence).

Les propagandistes officielscherchent même désormais à conditionner la population à l’idée qu’il ne s’agira pas d’une vaccination définitive, mais qu’il faudra prévoir une revaccination régulière (avec nouveau passage à la caisse…). Le 2 octobre 2020 sur le plateau d’Europe 1, Christine Rouzioux, professeure de virologie et membre de l’Académie de médecine, développait des trésors d’ingéniosité pour essayer de nous démontrer que nous serions, malheureusement, sans doute obligés de nous refaire vacciner tous les 3, 4, 6 mois car « l’immunité ne persiste pas beaucoup ». Il ne saurait y avoir de limite aux intérêts financiers…

A court terme, la situation risque de s’aggraver  :

  • Les conséquences économiques de la gestion de la crise vont s’amplifier provoquant chômage et faillites en cascade.
  • La pression va augmenter sur la population, incluant de possibles mesures de reconfinement. 
  • La répression va également monter en puissanceafin de tuer dans l’œuf la colère populaire qui va immanquablement grandir.
  • La propagande de la peur va continuer à s’intensifier afin de maintenir la population en état de choc et de la soumettre.
  • Cette tendance devrait s’intensifier jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera rendu obligatoire si la propagande n’a pas suffisamment convaincu la population pour qu’elle y aille de son plein gré (l’obligation vaccinale contre le SARCOV-2 est déjà annoncé au Royaume Uni). 

La mise en vente d’un vaccin pourrait transitoirement conduire à un relâchement de la pression, mais nous ne croyons pas en un retour à la normalité. Nous pensons au contraire que la population va être soumise à une propagande croissante au service de puissants intérêts particuliers et contre son intérêt propre.

En tant que « psy », nous savons qu’il est essentiel, vital, de ne pas pérenniser indéfiniment un état d’exception et de revenir à une situation normale le plus rapidement possible. C’est pourtant ce que s’obstine à faire le gouvernement. 

  • Quelles seront les conséquences psychologiques sur la population à long terme ?
  • Nous ne pouvons pas douter un seul instant du fait que le pouvoir est parfaitement conscient de l’impact psychologique des mesures qu’il prend. Alors pourquoi agitil ainsi ? 

Ce texte propose un début de réflexion mais laisse de nombreuses questions sans réponse. Enfin, nous devons nous interroger sur la meilleure façon d’agir dans un tel contexte.

Protéger nos cerveaux et adopter une posture responsable.

Face à la situation dans laquelle nous nous trouvons, les citoyens doivent se mobiliser

Paranoïa ou « folie raisonnante » collective 

Le propre de la paranoïaest qu’elle développe une pensée pseudo-rationnelle qui a les apparences de la logique bien qu’elle soit déconnectée de la réalité. On parle de la « folie raisonnante » du paranoïaqueLa paranoïa collectivequi sévit actuellement, délibérément entretenue par le pouvoir, a une force de contagion bien supérieure à celle du virus lui-même. Dans ce contexte, nous devons donc avant tout reprendre le contrôle sur nos cerveaux. Nous devons nous réapproprier notre capacité de penser qui est notre bien le plus précieux. Nous devons sortir de la paresse intellectuelle et développer notre réflexion propre. Nous devons refuser d’offrir du « temps de cerveaux disponible » à des puissances qui, loin de servir notre intérêt, nous transforme inexorablement en poulets en batterie. Nous devons nettoyer notre cerveaud’années de propagande sournoise dont il est encombré. 

Reprendre le contrôle sur nos cerveaux

Attendre encore du pouvoir un comportement favorable au bien-être de la population relève de l’infantilisme. Cela revient à se comporter comme un adolescent mécontent de ses parents mais incapable de devenir un adulte autonome construisant sa vie en toute indépendance. Un enfant dont les parents sont toxiques, pervers, malades, n’a rien à attendre d’eux. Il en est de même de la population à l’égard du pouvoir. Nous devons nous réveiller et devenir adultes intellectuellement.

La crise actuelle soulève de nombreuses questions pratiques  : Comment se prémunir d’un pouvoir qui réduit chaque jour davantage nos libertés ? Comment survivre dans une société qui bascule dans la folie et ressemble de plus en plus à un hôpital psychiatrique à ciel ouvert ? Doit-on laisser nos enfants à l’école dans ces conditions, ou doit-on envisager une solution alternative ? Comment protéger notre santé et celle de nos enfants ?

Depuis très longtemps, la Thérapie Provocatrice et Humaniste (TPH) s’intéresse à l’impact de la société sur les individus. C’est même un peu sa marque de fabrique. La situation actuelle ne fait que confirmer, de façon criante, la pertinence de cette orientation. La « guerre » menée contre la population étant de nature psychologique, nous devons développer des armes psychologiques pour nous défendre.Dans ce contexte, les professionnels de la santé mentale doivent se trouver en première ligne. 


[Voir aussi : Covid-19 — Dr Louis Fouché : “On fouette votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu…”]




Pourquoi la dette de la France de plus de 2 300 milliards ne se réglera que par l’esclavagisme et le sang du peuple

[Source : FranceSoir]

Auteur(s) : Valérie Bugault pour FranceSoir

Tribune : Le sang est-il la face sociale et politique de la dette ? Une analyse chiffrée de la dette se trouve sur le site de l’Agence France Trésor (AFT). Nous verrons, au cours de cet article, que la dette, qui suppose la disparition de tout ce qui cimente l’État et la possibilité de vie en commun est, historiquement, effectivement payée par le sang des populations endettées. Autrement dit, l’endettement qui a conduit, de façon inéluctable, à la disparition du bien commun, est, corrélativement, le moyen le plus sûr de nous mener à l’esclavagisme. Aussi, ce n’est pas sans raison que la Cour des comptes lance le 15 juillet 2020 une alerte sur le niveau de la dette publique française. A la fin du quatrième trimestre 2018, la dette publique recensée s’élevait à la somme astronomique de 2315 milliards d’euros, soit 98,4% du PIB en décembre 2018. Or, l’endettement s’est encore considérablement accru à l’occasion de la crise sanitaire liée à la Covid-19.

Ce que l’on a trop tendance à ignorer, d’une façon générale, est que la « dette » et le « contrôle monétaire » sont intimement liés. Pour rappel, l’Etat américain du Delaware, premier paradis fiscal au monde, fut également le dernier Etat esclavagiste des Etats-Unis : cet Etat n’a renoncé à son statut d’esclavagiste que pour devenir un dominant fiscal, un paradis fiscal. Qui dit domination fiscale dit contrôle de la circulation monétaire car il faut bien comprendre que le paradis fiscal a pour fonction essentielle de drainer l’argent public vers des trous noirs institutionnels, lesquels ne prospèrent que grâce à l’assèchement financier des Etats. Le paradis fiscal est l’ennemi irréductible des Etats et de leur capacité de financement. Or les trous noirs institutionnels que sont les paradis fiscaux sont désormais sous le contrôle exclusif de la finance anglo-saxonne. D’un autre côté, depuis l’avènement et la généralisation du système des banques centrales, les Etats sont tombés sous la domination exclusive des banques privées pour ce qui concerne l’émission monétaire.closevolume_off

Le constat est donc le suivant : que l’on parle d’émission ou de circulation monétaire, les Etats sont devenus impuissants, sous la dépendance exclusive des banquiers qui se sont octroyés le contrôle quasi exclusif de la monnaie.

Dans le cadre du Projet de Loi de Finances pour 2021, la dette publique française pourrait-elle mener irrémédiablement au sacrifice humain des générations actuelles et futures ?

Cet article  comporte trois parties dont la première permet un tour d’horizon de la dette française, en n’oubliant pas de recontextualiser la problématique budgétaire française dans la problématique monétaire européenne et mondiale.

La seconde partie, passera en revue certaines expériences historiques auxquelles l’endettement des Etats a mené.

Enfin, la troisième partie, examinera les différentes possibilités, pour les populations, d’échapper à une forme « d’esclavagisme promis ».

I – La Dette : tour d’horizon

L’examen de l’augmentation de la dépense publique liée, en 2020, à la crise covidique est parfaitement éclairante. Il faut immédiatement préciser que ladite augmentation de dépense publique n’est pas définitive puisqu’elle est appréciée en septembre 2020 moment de la publication du PLF pour 2021 et qu’à cette date les dégâts économiques de la crise sanitaire sont loin d’être consolidés. Ajoutons que les chiffres mentionnés ci-dessous sont exprimés en pourcentage du PIB, lequel est considéré à valeur constante, ce qui fausse légèrement le débat puisque les mesures de confinement font mécaniquement diminuer le PIB :

  • Dépense publique pour 2019 = 54%
  • Dépense publique pour 2020 = 62,8 %

D’après les chiffres officiels issus du PLF pour 2021, nous avons donc assisté, en 2020, à une augmentation de 6,3 % de dépenses publiques en 2020 par rapport à 2019. Or, rappelons qu’en ce début de mois d’octobre 2020, le problème covidique est loin d’être réglé puisque non seulement les bars, restaurants et salles de sport de Marseille et Aix en Provence ont fait l’objet d’une fermeture administrative, mais qu’il est question de généraliser cette mesure punitive à toutes les grandes agglomérations ; Paris et sa banlieue étant les premiers sur la liste ! On imagine aisément que tant le PIB que les recettes publiques ne vont pas sortir vainqueurs de ces mesures autoritaires !

Il faut donc s’attendre, en ce début octobre, à une première Loi de Finances rectificative pour 2021, qui devra dès février 2021 prendre en compte les dégâts économétriques dus à la dégradation économiques et financières de la France reconfinée au cours du troisième trimestre 2021.

Par ailleurs, si l’on s’intéresse au solde budgétaire, c’est-à-dire à la prévision de déficit structurel pour les deux années 2020 et 2021, nous constatons que nous sommes, pour ces deux années, bien au-delà d’un déficit structurel de 150 milliards d’euros :

  • Solde budgétaire pour 2020 (issus de la 3ème LFR) = – 195,2 Mds euros
  • Solde budgétaire pour 2021 (prévu par le PLF) = – 152,8 Mds

Ce déficit structurel existe, précisons-le, malgré la prise en compte dans le Projet de Loi de Finances (PLF) pour 2021, de recettes « non fiscales » à hauteur de de 10 Mds d’euros ; lesdites recettes étant issues du plan de relance européen (1ère partie du financement).

Rappelons au passage que la dette contractée par l’UE au titre du fumeux « plan de relance européen », va, encore et toujours peser sur les contribuables, certes européens et non strictement français. Notons toutefois que, business as usual,

le ratio coût/avantage de ce plan de relance européen sera très probablement, pour les français inférieur à ce même ratio pour les autres pays européens. Quoiqu’il en soit de la prétendue justice fiscale entre européens (que nous laissons volontairement de côté), un fait demeure : le capital de la dette européenne issue du plan de relance devra être remboursé et les intérêts afférents à cette dette devront être payés ! Cette charge financière (capital + intérêts) viendra donc mécaniquement alourdir la dette de l’Etat français – c’est-à-dire de chaque français -, dont on peut grosso modo évaluer l’augmentation à une fourchette allant de 4 à 6 milliards (pour le prêt issu du « plan de relance européen »). Car il faut, ici encore, apporter une précision importante : une partie de cet emprunt européen total sera réalisé via le Mécanisme Européen de Stabilité (MES), dans lequel la France est le deuxième plus gros contributeur, derrière l’Allemagne et devant l’Italie ; concrètement, la France – comprendre l’ensemble des français – contribue au capital du MES à hauteur de 20,3859 % du capital total.

Par ailleurs, à propos de ce plan de relance prétendument justifié par la pandémie covidique, écoutons ce qu’en dit un expert averti, Jean-Michel Naulot : « Seuls 30 % des montants alloués, ceux de l’année 2023, seront en effet en lien avec la pandémie. Il aurait été pourtant simple de retenir dès l’année 2021 deux critères simples reflétant la gravité de la situation pour chaque État : le nombre de morts par million d’habitants et la chute du PIB. Ces critères auraient naturellement été pondérés par la population. Dans le système proposé, très complexe si l’on en croit les équations utilisées par les experts, certains pays d’Europe centrale pourraient recevoir des montants significatifs alors qu’ils sont peu affectés par la pandémie. Quant à l’Allemagne, également peu affectée et plutôt prospère, elle recevrait selon l’Institut Bruegel un montant du même ordre que la France. Comprenne qui pourra… Il ne faudrait pas que cette opération soit dans certains cas un jeu à somme nulle ! La nature même des subventions aura plus à voir avec l’écologie et le numérique qu’avec le secteur hospitalier et la relocalisation de l’industrie pharmaceutique. Comme le dit très bien Olivier Berruyer, il s’agit en fait d’un « plan de rééquilibrage macroéconomique de l’UE ». La Commission met à profit l’aubaine du plan de relance pour faire accepter ce qui lui a été refusé dans le cadre du budget ordinaire. Mais elle s’éloigne de la lettre et de l’esprit de l’article 122 (du TFUE). »

La France se trouve donc dans le contexte économique dans lequel la dégradation structurelle est conjoncturellement considérablement aggravée par un confinement qui, comme une bombe à retardement multiple, n’en finit pas de produire des effets économiques négatifs.

Nous ne devons pas oublier que la dégradation économique conjoncturelle – qui s’ajoute à la dégradation économique structurelle et agit comme un accélérateur de la dette – est liée à une crise sanitaire prétendument dramatique.

Or, dans ce contexte, la priorité du gouvernement n’est pas de faire un moratoire sur la liquidation du service public hospitalier ou de mettre gratuitement à disposition des français un médicament existant et peu onéreux, le Plaquenil dont la molécule active est l’hydroxychloroquine ! Tout au contraire, ledit médicament peu onéreux en question s’est vu, en tout début d’épidémie (janvier 2020) interdit de prescription car brutalement classé comme substance vénéneuse ! Dans le même temps qu’était largement promu par les pouvoirs publics l’arrivée d’un nouveau médicament, n’ayant aucunement fait ses preuves et suspecté de vice caché, le Remdesivir du laboratoire pharmaceutique Gilead.

Mais ce n’est pas tout, car dans ce contexte sanitaire préoccupant (pour le moins que l’on puisse en dire), le PLF pour 2021 nous renseigne sur une des priorités du gouvernement : l’accroissement des moyens financiers du Ministère de l’Intérieur… du Ministère de l’intérieur, vous avez bien lu, pas du Ministère de la Santé ! Ainsi, le Ministère de l’intérieur voit son budget augmenter, par rapport à 2020, de la coquette somme d’un milliard d’euros.

Parmi ce milliard, 35 millions seront affectés à l’équipement… on imagine dès lors que la surveillance sanitaire des grandes villes par drônes, comme cela est déjà le cas à Marseille, va être assez rapidement généralisée partout sur le territoire. La France économiquement effondrée va donc se réveiller en pleine dystopie avec des voix dronesques intimant à la population de « garder des distances de sécurité » et de porter « le masque ». Nous voilà en plein carnaval de Venise ; ce qui est normal puisque justement le principe de domination de l’empire vénitien est en train de resurgir à grande vitesse. Avec, aux dernières nouvelles, Christine Lagarde (des banques) qui prévient « la zone euro » de se préparer à l’arrivée d’un « euro numérique »..

Tiens, ça tombe bien car l’année 2021 sera justement l’année de réévaluation du panier de monnaies du FMI appelé DTS (Droits de Tirage Spéciaux). Rappelons que ce panier de monnaie est prévu pour se transformer en monnaie mondiale (ce dont DSK avait fait les frais en son temps), en remplacement du dollar US. Cette réforme des DTS/Phénix sera l’occasion idoine de réévaluer au passage la valeur de chacun des ingrédients monétaires du gros gâteau DTS. Ainsi, l’euro numérique pourra être facilement réévalué en fonction de la richesse réelle, c’est-à-dire des actifs réels nets (déduction faite des dettes dues aux banques) de la zone euro. Plus généralement, chaque zone monétaire, y compris les Etats-Unis d’Amérique, verra sa part de DTS réévaluée en fonction de ses actifs réels.

Remettre le problème budgétaire français dans le contexte monétaire international permet de mieux percevoir et apprécier l’avenir de la France, qui se résume en quatre mots : « disparition pure et simple ». Car, en raison du niveau astronomique de la dette publique supportée par la France, le patrimoine public devra intégralement être vendu pour servir de garantie à ses créanciers. Or, de façon mécanique, une France sans patrimoine public n’aura pas d’existence monétaire – rappelons à toutes fins utiles qu’une monnaie est intimement liée à une économie -, pas plus que les français n’auront d’existence juridique dans les institutions européennes intégrées.

En parlant des institutions européennes, il importe d’ailleurs, pour les plus ignorants, de bien mettre en avant les « priorités » décrétées par ses dirigeants de paille : il s’agit de l’écologie et du numérique. Ainsi, ni la santé publique, ni la durée de vie ou le niveau de vie des ressortissants français ne sont une priorité… la priorité européenne est l’écologie, dans sa version Club de Rome, et le Numérique. La priorité numérique permettra en effet :

  • Que la future monnaie européenne et mondiale puisse aisément circuler,
  • Que l’identité des ressortissants européens devienne également numérique,
  • Que la santé soit intégrée à l’identité numérique. Cette intégration se faisant à la faveur de la pression covidienne des pouvoirs publics pour tracer les malades et leurs familles, pour aller vers un carnet de santé numérique et gérer la masse populaire en fonction de critères obscurs tels que, par exemple, l’obtention d’une vaccination forcée.

On comprend que l’alliance des priorités écologique et numérique de l’Union Européenne promet des jours heureux aux habitants de l’Europe, ainsi :

  • Le minage de monnaie, c’est-à-dire l’affectation monétaire individuelle, sera conditionnée à la réalisation d’une activité physique déterminée,
  • La possibilité de vie sociale sera conditionnée à la soumission individuelle au vaccin ou à toutes sortes d’expériences génétiques ou sanitaires des multinationales de la santé et de l’agro-alimentaire.

Nous examinerons, dans une seconde partie, les conséquences connues de la dette. Ainsi, loin d’être une abstraction, nous verrons que la date a des conséquences humaines et qu’elle se paye avec le sang. 

II – Les conséquences connues de la dette : misère matérielle et sociale (exemples historiques : Argentine, Grèce, Chypres)

III – le refus de la dette par le peuple : identification précise des créanciers, moratoire et audit public / l’abandon de la dette et le retour à la vie sociale

Auteur(s): Valérie Bugault pour FranceSoir




Pour un certain journaliste québécois, la dissidence relève de maladie mentale

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

La dissidence, une maladie mentale : Patrick Lagacé et le journalisme d’inspiration soviétique

« Si seulement nous avions été solidaires contre la menace commune, nous aurions pu facilement la vaincre. Alors, pourquoi ne l’avons-nous pas fait? Nous n’aimions pas assez la liberté. De plus, nous n’avions pas conscience de la situation réelle… Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui s’est passé par la suite. »

Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne, L’Archipel du Goulag

Le journalisme étant une profession consistant à poser beaucoup de questions, on peut sérieusement se demander si Patrick Lagacé ne ferait pas mieux de songer à réorienter sa carrière, puisque, de son propre aveu, le journaliste/chroniqueur/animateur se pose toujours la même question lorsqu’il voit ce qu’il qualifie de « délire anti-masque ».

Dans son billet publié dans La Presse et titré « Les idiots du village global », Patrick écrit :

« Et chaque fois que je vois un délire anti-masque, je me pose toujours la même question : est-ce une maladie mentale ? »

Sur un ton méprisant digne d’une élite complètement déconnectée de la réalité, la star médiatique, pour qui les studios de radio et de télé font depuis longtemps partie du quotidien, remet en question la santé mentale de ceux qui ne possèdent pas ce privilège, simplement parce qu’ils doivent se filmer dans des espaces exempts de tout prestige, réservés aux gens ordinaires :

« Je les vois faire des vidéos dans leurs chars – ce mode de communication qui indique invariablement un bel équilibre psychique […] »

Invariablement.

comedians in cars
Jerry Seinfeld et ses invités dans Comedians in Cars Getting Coffee seraient donc tous invariablement déséquilibrés.

Patrick a posé sa seule et unique question à « un ami psychiatre qui préfère ne pas être identifié pour éviter de se faire accuser de poser des diagnostics à distance, ce qu’il ne veut bien sûr pas faire… », mais qu’il s’empresse de faire quand même.

Dans la logique manichéenne de l’omniprésent chroniqueur, les personnes qui contestent les mesures sanitaires sont réduites à leur plus simple expression. Ce sont des « anti-masques ». Pour le psychiatre anonyme, cela ne pose aucun problème puisqu’il se lance sans gêne dans une évaluation délirante de leur psyché sur la base de cette simple épithète.

En résumé, selon l’avis de ce professionnel de la santé mentale, les « anti-masques » sont :

  • des oppositionnels, soit des gens « qui s’opposent à tout et à tout le monde »
  • « des gens qui ont tendance à mettre en doute l’intégrité des autres, en cas de désaccord… »
  • des gens pour qui « la réalité est ce qui est devant eux, c’est ce qu’ils peuvent voir, toucher, point […], du premier degré pur, une absence totale de nuance, de gris »

Le fait de réduire tous les contestataires à la désignation « anti-masque » et leur attribuer un seul profil psychologique n’est-il pas « du premier degré pur, une absence totale de nuance, de gris »? On dirait que le psychiatre fait un peu de projection.

Il poursuit son diagnostic à distance :

« Mon expérience de ce type de personnes, c’est qu’ils ont vécu des humiliations dans la vie. Ce ne sont pas des gens qui ont un grand pouvoir sur leur vie. S’opposer, et ici s’opposer au masque, c’est une forme de reprise de pouvoir sur leur vie… »

Ah ces oppositionnels, victimes d’humiliations et d’impuissance! Le monde se porterait tellement mieux sans eux!

Thérèse Casgrain
Michel Chartrand durant la crise d'Octobre
René Lévesque
Rosa Parks
Gandhi
Martin Luther King Jr.
Jésus

Les George Sand, Rosa Parks, Thérèse Casgrain, Simone de Beauvoir, Sophie Scholl, Simonne Monet-Chartrand, Ghandi, Martin Luther King, Simon Bolivar, René Lévesque, Michel Chartrand, Chelsea Manning, Julian Assange, Jésus et tous les autres oppositionnels auraient donc dû vivre leurs humiliations dans le silence et l’inaction, se résigner à leur impuissance et laisser le monde vivre en paix!

Esti d’gang de malades mentals! [NdNM : à peu près équivalant à « Putain de bande de malades mentaux »]

Et ça se reproduit…

Vraisemblablement investi d’une mission contre ces hordes de décérébrés qui s’opposent à tout, y compris à la pensée unique, Patrick a redoublé d’ardeur en interviewant la psychiatre Marie-Ève Cotton au sujet des « conspirationnistes » à son émission Le Québec maintenant au 98,5.Marie-Ève Cotton

cotton

D’une remarquable bravoure, c’est à visage découvert que Dr. Cotton se permet de diagnostiquer à distance « les conspirationnistes », et à spéculer sur le vécu de ce groupe de personnes dont elle ignore les noms et n’a jamais vu les visages, mais dont elle sait, grâce à sa grande expertise, qu’ils croient en de soi-disant théories fantaisistes qu’elle prend soin de ne pas nommer afin que l’on ne puisse pas vérifier s’il s’agit de théories ou de faits avérés.

Ces personnes anonymes ont bien sûr des caractéristiques communes et seraient à risque de sombrer dans le conspirationnisme en raison d’un « moindre niveau d’intelligence et de capacités analytiques, d’un moindre niveau d’études et de littératie ».

krishnamurti-adapté société malade

C’est fort!

Elle est comme dieu. Elle connait le niveau d’études et les capacités analytiques et intellectuelles de personnes inconnues qui pensent des choses sur des sujets.

Ce sont des gens qui ont « peu de sources de valorisation », « des gens qui ont des caractéristiques d’avoir subi des pertes récemment, perte d’emploi, séparation, etc. », « ce sont des gens qui ont de la difficulté à gérer de l’incertitude », des gens « qui ont perdu le contrôle de leur vie », qui en adhérant aux théories du complot « se placent dans une position très gratifiante, très narcissisante » et ils ont besoin de ça, parce que dans leur vie ils manquent de ce genre de gratification-là, d’être admirés par les autres », tout ça et pire encore, mais inutile d’aller plus loin.

Il est évident que c’est absolument n’importe quoi et que cette femme n’a rien compris lorsqu’elle affirme qu’adhérer à de soi-disant théories complotistes équivaut à se placer « dans une position très gratifiante », comme par exemple se faire constamment traiter de malade mental dans les médias.

L’auteure de ces lignes, diplômée en journalisme, n’adhère à aucune théorie du complot et appuie tous ses propos sur des faits vérifiables et vérifiés. Cela n’a pas empêché Radio-Canada de la faire passer pour une complotiste dans un article désormais brandi par ses disciples afin de la discréditer et de la dénigrer.

Non, Docteure, le complotisme, qu’on en soit un adepte ou que l’on n’en porte seulement l’étiquette, est tout sauf un gage de gloire et de gratification.

Votre discours démontre en fait le contraire de ce que vous dites.

Vous êtes vous-même en train de dénigrer ces personnes publiquement en avançant tout à fait gratuitement qu’elles épousent des idées saugrenues en raison de leur ignorance, de leur manque d’éducation et de leur faiblesse intellectuelle, pour ne nommer que quelques-unes de vos remarques désobligeantes. Lorsque l’on se fait constamment traiter d’idiot n’ayant aucun pouvoir sur sa vie dans les grands médias, on est aux antipodes de l’admiration, madame.

Choisir de penser de manière critique, de se baser sur des faits occultés par les médias de masse et de renoncer à la pensée unique, ce que les médias amalgament trop souvent avec les croyances aux « théories du complot », c’est choisir de se tenir debout dans une marre de mépris et d’encaisser les coups, les uns après les autres, année après année.

don't think

Votre discours est d’un non-sens ahurissant. On se croirait dans un mauvais film de Woody Allen.

Quiconque questionne le discours dominant sait très bien que sa prise de position n’est pas un passeport pour la gloire, mais plutôt un aller-simple pour la case médiatique « maladie mentale ».

Ce qui nous amène à l’URSS.

Les abus de la psychiatrie en URSS

La « maladie » de la dissidence.

Voilà le titre d’une critique de livres parue en 1977 et portant sur les abus de la psychiatrie en Union soviétique.

Extrait :

« Tout au long des années 1970, l’abus de la psychiatrie pour réprimer les dissidents en URSS a attiré l’attention et l’indignation internationales plus que toutes les autres formes de persécution. »

L’un de ces livres, Russia’s Political Hospitals: The Abuse of Psychiatry in the USSR (Les hôpitaux politiques russes : L’abus de la psychiatrie en URSS), décrit comment les « individus critiques de diverses pratiques soviétiques officielles » et autres personnes dérangeantes ont été « enfermés dans des hôpitaux psychiatriques pour des raisons politiques plutôt que médicales ».

Durant les années 1960-1970, sous le règne de Brejnev, « on a fait des plus célèbres dissidents soviétiques une cible de choix pour l’hospitalisation psychiatrique […] Les hôpitaux psychiatriques ordinaires servaient couramment à incarcérer des dissidents pour de courtes périodes dans le but de les intimider ou de les écarter du chemin lors d’importants événements étatiques ».

russia's political hospitals

« Les auteurs découvrent bien des choses qui ne vont pas d’un point de vue médical et illustrent abondamment la façon dont l’‘’école de Snezhnevsky’’ a facilité le diagnostic des dissidents comme malades mentaux et fixé une norme pour les psychiatres dans tout le pays, lesquels sont tenus de traiter ces cas qui leur sont transmis par les organes de sécurité.

[L]a grande majorité des psychiatres […] sont relativement ignorants quant à la manière dont on abuse de leur profession au profit de la sécurité politique.

Certains, en raison de leur incompétence, de leur lâcheté ou de leurs convictions, coopèrent pleinement avec les organes de sécurité et diagnostiquent “la dissidence comme une maladie” […] »

Patrick Lagacé et ses psychiatres sont-ils des apparatchiks en mission au service de l’État?

Sur le plan médical, rien ne justifie les mesures sanitaires imposées à tous les Québécois pour lutter contre un virus somme toute bénin. Le taux de mortalité de la COVID-19 serait d’environ 0,4 % « pour les personnes symptomatiques » selon les « meilleures estimations » du Centers for Disease Control (CDC), et il y aurait jusqu’à 75 % d’asymptomatiques, donc le taux de mortalité peut être estimé au mieux à environ 0,1 % au pire à environ 0,3 %. De plus, les personnes asymptomatiques transmettraient rarement le virus selon l’OMS*.

Au lieu de s’acharner sur le peuple, pourquoi Patrick Lagacé ne s’attaque-t-il pas au Collège des médecins?

Selon des statistiques récentes, les pays qui emploient l’hydroxychloroquine au début de l’infection ont un taux de mortalité inférieur de 77,4 % comparativement aux pays qui l’emploient peu ou pas. Or, le 21 mars 2020, le Collège des médecins du Québec a jugé les ordonnances de chloroquine et d’hydroxychloroquine « inappropriées » pour traiter la COVID. A-t-on, par cette décision injustifiée, délibérément laissé mourir des personnes vulnérables?

graphique
Censuré par Facebook : https://hcqtrial.com/

Au lieu de perdre du temps à diagnostiquer et discréditer des citoyens qui voient clairement que les mesures sanitaires imposées en Occident ne reposent sur aucune base scientifique et servent de prétexte à une prise de contrôle sans précédent sur les peuples, Patrick Lagacé devrait s’acharner sur le Collège des médecins, nos gouvernements, l’OMS et Bill Gates, l’ingénieur en informatique, devenu à la fois le kingpin des vaccins et l’expert numéro un en santé publique, grâce à ses milliards et l’influence qu’il s’est achetée.

Malheureusement, cela ne risque pas d’arriver avant qu’il ne soit trop tard car nos journalistes semblent être plus que jamais les apparatchiks de l’ordre établi.

Bienvenue en QRSS.

state-judge-jail

Note

* Extrait d’un article de Statnews sur la déclaration de Maria Van Kerkhove, responsable technique de l’OMS pour l’épidémie de COVID-19 : « Certaines personnes infectées sont “vraiment asymptomatiques”, a-t-elle déclaré, mais les pays qui procèdent à un traçage détaillé “ne trouvent pas de transmission secondaire” à partir de ces cas. “C’est très rare”, a-t-elle déclaré. »




L’autre liberté

[Source : Le journal de Montréal]

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[Auteure :] NATHALIE ELGRABLY-LÉVY

Quand on se mesure à d’autres pays, nous sommes relativement libres. Mais si nous comparons la société actuelle à celle d’autrefois, le constat est moins réjouissant.

Soyons sincères, qui, aujourd’hui, se sent parfaitement à l’aise d’exprimer son opinion, surtout lorsqu’elle s’éloigne de la bien-pensance et de la doxa ? Qui n’a pas opté pour l’autocensure lors d’une conversation entre collègues ou amis ?

S’exprimer librement peut être un pari risqué. Un délit d’opinion est si vite arrivé ! Et les sanctions peuvent être draconiennes.

Enjeu

Le Dr Lacroix et la pédiatre ontarienne, la Dre Gill, l’ont bien compris. Le premier s’est prononcé contre le masque obligatoire, tandis que la seconde défend l’hydroxychloroquine. Il n’en fallait pas davantage pour que les deux se fassent rapidement censurer et sermonner.

Que leurs positions soient fondées ou non n’est pas la question. L’enjeu gravite plutôt autour de deux libertés.

L’attaque contre la liberté d’expression est évidente. « Du choc des idées jaillit la lumière », disait Boileau. Or, les débats sont maintenant honnis, et dévier du narratif médical décrété par une élite autoproclamée entraîne l’ostracisation.

L’autre liberté bafouée est celle de la population d’être informée et de se faire une opinion.

Car bâillonner les uns, c’est maintenir les autres dans l’ignorance.

Or, pourquoi n’aurions-nous pas le droit de savoir ce que certains médecins pensent ? Pourquoi recourir à la police de la pensée pour cacher leurs points de vue ?

Débats

Peut-être que certains médecins ou scientifiques entretiennent de délirantes élucubrations. Ou peut-être que non. Pour le savoir, il faut permettre, voire encourager, de vrais débats d’idées. On nous répète que nous ignorons tout de ce nouveau virus. N’est-il donc pas essentiel d’être réceptif aux diverses opinions avant de poser un verdict ?

Le droit d’être informé doit être entier. Autrement, le risque n’est pas d’être désinformé, mais d’être manipulé. Or, la fin ne peut jamais justifier les moyens !




De « Décodeurs de l’info » à « Décorateurs de l’info » : Le Monde a t-il franchi le pas ?

[Source : France Soir]

Auteur(s): Gérard Delépine et FranceSoir

Contrairement à l’avis du « décodeur » du Monde, nous confirmons que le confinement aveugle et policier a augmenté la mortalité.

Dans un article des décodeurs du monde du 15 juin[1],  en réponse à notre article sur le confinement dans France soir [2] William Audureau, journaliste, présente le docteur G Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue[3] comme un « cancérologue controversé ».   Réaction de l’intéressé : « première nouvelle, je suis très surpris de l’apprendre, car pour la communauté internationale des chirurgiens des cancers des membres, je représente plutôt un chirurgien novateur de la chirurgie évitant l’amputation, reconnu dans le monde entier, ainsi qu’en attestent les invitations qui m’ont été faites d’aider des collègues dans plus de 10 pays d’Europe et d’Afrique, mes articles référencés dans PubMed[4] , et des conférences ou des modérations de séminaires de congrès de très nombreuses sociétés internationales dans plus d’une trentaine de pays depuis plus de 30 ans. Je suis encore souvent sollicité pour des avis tant en France qu’à l’étranger, n’en déplaise à nos critiques du Monde ».

Il est clair que lorsque l’on ose émettre un avis différent de la pensée unique officielle, on devient au minimum « controversé » et rapidement complotiste. Le Pr Raoult pourtant sommité internationale et souvent récompensé y compris en France est devenu « controversé ». Finalement, il suffit de décoder le langage orwellien.

Monsieur Audureau manque peut-être d’expérience, de temps et/ou n’a éventuellement qu’une vision franco-française de la probité et de la notoriété qui peut s’ensuivre. Il est vrai qu’à l’occasion de cette crise, nous avons tous constaté que la France semblait relever d’une autre planète que le reste du monde, osant laisser calomnier sur des chaines de télévision un éminent infectiologue admiré à l’étranger, un prix Nobel de médecine etc. par certains journalistes et/ou chroniqueurs.  Cette crise mortifère démontre la limite de capacités de certains journalistes à tout simplement interpréter et/ou comprendre l’information, aveuglés par la publication de The Lancet à en oublier le devoir critique sur l’information de base. L’erreur commise par le Pr Mehra est observable dans bien des médias : ne pas questionner « l’origine des données ».  Dans le cas présent monsieur Audureau, plutot que de faire un travail originel en observant et analysant les effets du confinement, préfère évaluer le travail de fond fait par son confrère FranceSoir, en s’appuyant sur des experts statistiques qui parlent hors contexte.    

Effectivement, nous avons des mots très durs contre le confinement policier mortifère qui nous a été imposé et ils sont nécessaires pour éviter aux autorités d’oser y recourir à nouveau. Comment pourrait-on parler à la légère d’une action sanitaire qui a causé inutilement la mort d’environ 50 000 français au moins, dont la moitié assez directement et autant de victimes ou plus des conséquences directes et indirectes de ce confinement meurtrier ? 

25000 français n’auraient pas dû mourir du Covid19 ou d’euthanasie par Rivotril (parce que Covid ou supposés Covid, alors qu’ils ne souffraient parfois que d’une simple grippe, d’une embolie pulmonaire ou d’un infarctus, le tout classé détresse respiratoire au téléphone et donc refusés en hospitalisation). Ils avaient pour seul tort d’être âgés ou handicapés et la malchance de ne pas avoir reçu un traitement précoce par chloroquine et azithromycine interdit par le gouvernement pour les vrais Covid19. Ils n’avaient pas non plus eu la chance d’avoir été examinés, par un médecin au lit du malade, pour établir un vrai diagnostic et donc se voir prescrire un traitement adapté.

Pourquoi le Covid19 a-t-il conduit à l’arrêt de tous les soins habituels ? Qui en a décidé ? Au nom de quelle médecine ?

Si on avait suivi l’exemple de la Corée, de Taiwan, du Japon ou de l’Allemagne, (qui n’ont pas confiné, mais seulement pratiqué des quarantaines ciblées), on aurait probablement pu éviter une grande majorité de ces décès.

Les « morts politiques » par interdiction de soigner via le plan Blanc

D’autres décès ont aggravé le bilan du Covid19  et de ce confinement aveugle et général : plus de 25000 victimes au minimum seront à déplorer, conséquence de l’interdiction de soigner, qu’ils soient déjà morts (d’arrêt cardiaque, d’accidents vasculaires cérébraux, de suicide) ou qui vont mourir dans les mois ou les années qui viennent, car leurs chances de guérison ont été définitivement compromises par le retard de diagnostic et de traitements imposé par le plan Blanc.[5] Parmi eux 10000 à 15000 des 90000 cancéreux qui auraient dû être reconnus durant les 3 mois du plan blanc, mais aussi combien de cardiaques , d’hypertendus, de malades neurologiques, de diabétiques..[6]

Pour un docteur qui a juré de défendre ses malades, toutes ces victimes du Covid non traitées et ces malades abandonnés constituent une violation directe du serment d’Hippocrate et de l’arrêt Mercier de 1936.  Celui-ci impose de donner à chaque patient les meilleurs soins en fonction des données acquises de la science et non pas des recherches en cours. Le refus de traitement doublé du confinement a mis la France dans la plus mauvaise position

puisqu’à ce jour, nous sommes le pays au monde qui a la plus forte mortalité par rapport au nombre de contaminés.

Quelles compétences pour oser afficher ce graphique avec la mention « faux » ?

William Audureau, journaliste se permet de traiter notre graphique sur la mortalité mondiale du Covid en fonction du type de confinement, de « grossier et manipulateur » et l’affuble d’un « faux » alors que toutes les données sont exactes et vérifiables par tous : il s’agit des données publiées par l’OMS [7] . Les remet-il en cause ? Dans ce cas, il devrait nous le dire.

Dans son texte, il sous-entend par un « sic » que le confinement aveugle ne pourrait jamais être suivi d’une multiplication de la mortalité par 200. Pourtant ce coefficient était vrai au 15 mai ; au 17 juin 2020 les données de l’OMS donnent une mortalité de 834 par million d’habitants en Belgique, confinée aveuglément à la française, contre 4,4 à Singapour, soit 190 fois plus, attribuable à ce confinement délirant.

Faire appel à un statisticien pour parler de corrélation et de causalité sans lui fournir toutes les données de l’analyse est trop facile, mais « les décodeurs du Monde » se le permettent.  Afin de tirer conclusion de causalité il faut un peu plus de temps qu’une simple question au téléphone et un propos pris hors de son contexte.  Nous aurions pu facilement faire de même et leur faire dire l’inverse des propos tenus.   

La nouvelle médecine pratiquée par des non-médecins

 Pour étayer son argumentation, le journaliste du Monde ne recueille pas l’avis de médecins cliniciens, mais de non-médecins selon la coutume « moderne » qui sévit depuis quelques années :  faire des séminaires de refondation de la santé, avec des sociologues, des économistes, des biologistes, mais exceptionnellement de vrais docteurs, parfois un médecin de santé publique, mais de médecins de terrain au lit du malade, quasiment jamais.

Ainsi, il interroge des non-médecins (Patrick Pintus, professeur d’économie, Pierrick Tranouez, ingénieur de recherche, Olivier Borraz, directeur du Centre de sociologie des organisations). Ces trois-là trouvent le graphique contestable parce qu’il n’y aurait qu’une corrélation statistique entre le confinement et mortalité.

Ils ont raison sur la réalité d’une corrélation statistique significative forte mais paraissent ignorer qu’en médecine d’observation la mise en évidence d’une corrélation statistique évoque la possibilité d’un lien de causalité directe et constitue la première étape de sa démonstration. Ces notions furent agitées sur les ondes ces trois derniers mois à propos de la polémique ubuesque sur la chloroquine.

Ce graphique dont les données sont indiscutables soulève donc un problème crucial qu’ils refusent d’aborder : pour quelle autre raison les pays qui confinent sans séparer les infectés des autres seraient-ils dans le top 5 mondial de la mortalité ?

Aucune autre raison valable exposée dans cet article pour expliquer l’importance de la mortalité dans les pays confinés aveuglément

Et lorsque ces chercheurs évoquent quelques hypothèses susceptibles d’être responsables des différences de mortalité observée, ils se gardent bien de rechercher les corrélations statistiques nécessaires à leur crédibilité. Non, ils préfèrent se fier à leur intuition et/ou à leur croyance, ce qui est paradoxal dans le cadre d’une critique soi-disant scientifique d’un graphique.

Ils prétendent que la diminution des cas de contamination dans les quatre pays confinés à la française serait liée au confinement aveugle, mais cette hypothèse est totalement incompatible avec la durée d’incubation de la maladie[8], les dates des confinements et les courbes de contaminations qui ne paraissent pas avoir intéressé nos contradicteurs non-médecins.

L’analyse la plus récente de la maladie[9], comme celles qui l’ont précédé ont démontré que la durée d’incubation, (temps qui s’écoule entre l’infection et l’apparition des premiers symptômes permettant le diagnostic clinique), est d’environ 5 jours. S’il était efficace sur la transmission de la maladie, le confinement aveugle devrait entraîner une diminution du nombre de contaminations quotidiennes dès les 5-6e jours du confinement.

Le confinement italien, un échec majeur

En Italie, instauré le 9 mars, le confinement aurait dû entraîner une décroissance du rythme des contaminations ou au moins sa stabilisation dès le 14-15 mars. Or les données de l’OMS objectivent une explosion des contaminations jusqu’au 30 mars.

L’échec patent du confinement aveugle a d’ailleurs contraint les autorités sanitaires italiennes (plus souples que les Françaises) à recommander le traitement par l’hydroxychloroquine des infectés confinés à domicile.

C’est 8 à 10 jours après l’instauration du traitement par l’hydroxychloroquine que la courbe des contaminations s’est inversée en Italie, double preuve de l’inefficacité du confinement aveugle, policier et de l’efficacité de la chloroquine qui aurait largement suffi à traiter l’épidémie en évitant le drame économique, social et psychologique de l’enfermement carcéral d’une population innocente.

Evolution des contaminations en Italie

Evolution des contaminations en Italie - FranceSoir

Espagne et France, échecs patents du confinement

En Espagne et en France la baisse des contaminations a été également beaucoup trop tardive (une vingtaine de jours) pour être attribuée au confinement

Evolution des contaminations en France

Evolution des contaminations en France - FranceSoir

En Belgique, le confinement parait même avoir été franchement nocif, puisque c’est après celui-ci que les contaminations ont explosé, contrairement à la situation dans les Pays-Bas voisins non confinés et qui s’en sortent avec une mortalité deux fois plus faible.

Pourquoi refuser la comparaison entre les pays ?

Nos contradicteurs affirment que comparer les situations des différents pays n’a pas d’intérêt.  Pourtant chaque soir, dans les journaux télévisés, s’étalent encore les mortalités comparées dans le monde. Peut-être pour tenter de critiquer les USA ou le Brésil qui, relativement, ont plutôt moins de morts que nous ?

Les adeptes des modélisations qui ont coûté si cher au monde ?

Comment analyser autrement l’effet des différentes politiques sanitaires ? En tout cas, pas avec des modélisations dont le modèle achevé a été celle de Ferguson[10] qui a servi de prétexte pour nous confiner. Il prédisait 2,2 millions de morts aux USA, 500000 en Grande Bretagne et en France, 100000 aux Pays-Bas et 70000 en Suède si on ne confinait pas aveuglément.

Ces deux derniers pays ont refusé le confinement et ne pleurent respectivement au 17 juin[11] que 6070 et 4939 morts, soit 14 à 16 fois moins que ce qu’avait prévu Ferguson !

Les décodeurs se basent sur leur intuition et non sur les faits

Pierrick Tranouez affirme aussi péremptoirement que : « quand on voit les courbes de la Suède [qui n’a pas opté pour un confinement généralisé], de la Norvège et de la Finlande, cela donne l’intuition que c’était une bonne idée de confiner ».

Mais intuition mal informée n’est pas scientifique. Sait-il que Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique a affirmé fin mai que le confinement n’était vraisemblablement pas responsable[12] des bons résultats sanitaires de son pays en précisant[13] « le taux de reproduction effectif était déjà tombé à 1,1 le 12 mars » [avant le confinement]. De ce fait, « les résultats obtenus avec confinement ou sans confinement auraient été similaires ». « Nous aurions pu rester non confinés en prenant simplement une série de précautions pour ralentir l’épidémie. Il est important que nous en soyons conscients ».

Mea culpa de la première ministre norvégienne

L’agence norvégienne des statistiques a calculé les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles : « chaque semaine d’enseignement en classe refusée aux élèves, freine les chances de réussir sa vie et réduit de façon permanente le potentiel futur des revenus ».

C’est sur ces données que la première ministre norvégienne Erna Solberg vient courageusement de reconnaitre à la télévision nationale qu’elle aurait dû suivre l’exemple de ses voisins suédois et a regretté les contraintes sanitaires qu’elle a imposées[14]. Nous accordons à notre contradicteur aux intuitions erronées la présomption de bonne foi : il ne regarde peut-être pas cette chaine où la ministre s’est exprimée en norvégien… 

Pierrick Tranouez affirme encore : « plus cela se passait mal dans un pays, plus on a confiné. Quand ça se passait mieux, on confinait moins. »   Ce qui n’est évidemment qu’un constat des faits, non de leur intérêt, mais reflet de la pression des organisations internationales sur les gouvernements via la manipulation de la peur sur les peuples.  Rien d’une démonstration scientifique.

Que disent les courbes de progression de l’épidémie ?

Lorsqu’on examine les courbes de contamination des Pays-Bas et de la Belgique, on peut vérifier que le confinement belge a été décidé et imposé alors que tout se passait aussi bien en Belgique que chez ses voisins néerlandais et que c’est après le confinement que la situation belge a échappé à tout contrôle.

Confinement Belgique

Confinement Belgique - FranceSoir

Décision prise sur la panique créée par les prédictions et non sur un état critique réel

Même chose en France : la décision de confiner aveuglément n’a pas été motivée par une situation menaçante, mais par la crainte des prédictions cataclysmiques de Ferguson promettant 500000 morts, si on ne confinait pas.

Evolution reelle de l’épidemie mais par la peur

Evolution reelle de l'épidemie mais par la peur - FranceSoir

Patrick Pintus prétend aussi que l’âge avancé des populations en Espagne, l’Italie et la France, expliquerait le surplus de mortalité observé, ce qui ne serait pas le cas en Asie.

Ignore-t-il ou feint-il d’ignorer que le Japon possède la population la plus vieille du monde et que la mortalité au 17 juin y est de 7,25/ million contre 580/ million en Espagne, 559/ million en Italie, et 467/ million en France (soit 64 fois plus que le Japon) dont les populations sont pourtant plus jeunes ? A-t-il recherché une corrélation statistique (qui n’existe pas) entre l’âge médian des populations et les mortalités observées en Europe ?

Il n’hésite pas non plus à prétendre qu’en « Europe, le déclenchement le plus fort de la pandémie a eu lieu dans les pays les plus touristiques » pour une épidémie qui a frappé précisément en dehors de la saison touristique. Heureusement pour nous qu’elle n’est pas apparue en été, et pour la Grèce, qu’elle n’est pas un pays touristique !

Quant à expliquer les différences de mortalité entre les pays par la conscience du risque épidémiologique comme le fait Peter Piot, c’est reporter sur les populations la responsabilité écrasante de nos décideurs, ceux qui nous ont imposé leur décision totalitaire de confinement aveugle et une mortifère interdiction de la chloroquine.

Il ne fallait pas confiner globalement, seulement isoler les malades cliniques, et les traiter dès le début par chloroquine, comme près de 3 milliards de personnes au monde.

Soulignons à ce propos que contrairement à ce que les médias répètent la chloroquine est prescrit dans la majorité des pays du monde et que la population des pays qui recommandent officiellement la chloroquine (Chine, Russie, Inde, Maroc, Algérie, Malaisie) atteint actuellement près de 3 milliards d’êtres humains.

Pour le plaisir des décodeurs, nous leur dédions un autre graphique, lui aussi basé sur les données de l’OMS, qui montre une corrélation fortement significative entre la politique officielle des autorités sanitaires des différents pays envers la chloroquine et la mortalité observée.

Mortalité (Nb décès/infectés) selon l’usage des antipaludéens

Mortalité (Nb décès/infectés) selon l’usage des antipaludéens

Il est important que tous ceux qui s’intéressent aux résultats réels de la politique de confinement et de l’interdiction de la chloroquine se concentrent sur les faits observés.  Le reste n’est que petite politique qui met malheureusement la vie des êtres humains en jeu.

Intuitions, approximations, rumeurs n’ont pas leur place en médecine.

Peut-on encore croire le Monde ?

Les décodeurs du Monde déploient beaucoup d’efforts pour éluder les responsabilités de nos dirigeants dans la catastrophe sanitaire, sociale et économique due au confinement et pour minimiser leur inconduite dans la crise du Covid19.

Ils ont été les avocats zélés de K Lacombe fustigée pour n’avoir pas mentionné ses liens d’intérêt avec Gilead lors de son agression publique contre le professeur Raoult. Curieusement, l’article destiné à la blanchir a oublié de rappeler la loi française sur la transparence en santé qui impose à tout médecin qui prend publiquement la parole de révéler ses liens d’intérêts.

Ne pas le faire constitue une infraction à cette loi et au code de santé publique.

Les décodeurs du Monde se sentent-ils obligés de défendre les protégés de Bill Gates (Neil Ferguson, l’OMS et les médecins français liés à Gilead), instigateurs du confinement en contrepartie

du don de 4 millions de dollars que le journal le Monde a reçu[15] des fondations Bill Gates ? Nous n’osons pas l’imaginer.

Sont-ils comme les rédacteurs du Lancet et du New England Journal of Medicine qui ont reconnu être « contraints » d’accepter les articles truqués concoctés par l’industrie pharmaceutique qui assure une part importante de leur budget ?

Il est triste de constater que le Monde a suivi la dérive financière des grandes revues médicales préférant faire la propagande des puissants qui les financent au détriment de l’information équilibrée qui constituait jadis l’éthique des journalistes d’investigation et la réputation du journal.

Après le Lancet Gate et le NEJMGate, assisterons-nous à un « le Monde Gate » ?

Si on revenait au bon sens, la médecine aux médecins !

Il faudrait qu’enfin ce soient des médecins qui décident du traitement des malades, discutent des résultats des politiques médicales, plutôt que des spécialistes non-médecins, des épidémiologistes et des virologues même très compétents dans leur domaine, mais pour lesquels les malades ne sont que des abstractions numériques modélisables.

Un patient n’est pas modélisable

Et bien sûr le système de santé devrait être rendu aux médecins cliniciens, ceux qui examinent, touchent, palpent, auscultent les malades, les autres spécialités qui ont pris le pouvoir depuis 50 ans « au nom de la science » ne devraient être là que pour aider le clinicien !

Stop le hold-up ! Faites médecine si vous voulez faire de la médecine

Il suffit ! Le hold-up de la médecine par les technocrates du ministère et son bras armé, les préfets directeurs d’agences régionales de santé, a cassé ce qui fonctionnait si bien jusque dans les années 90[16].

Au nom d’une médecine « quantifiée » qui devait remplacer les soins individuels, notre santé a été mise entre les mains de personnes ayant sûrement de grandes compétences dans leur domaine, mais ne savent pas ce qu’est un malade.

Les feuilletons grotesques des masques, des tests et de la chloroquine ont illustré avec brio le délire de la médecine de soins confondue avec science et recherche. Deux univers.

Qui appelez-vous au lit de votre fille quand elle a 40° ? Le sociologue ? L’économiste ? L’épidémiologiste ?  Le virologue et ses éprouvettes ? La réponse vous appartient.


[1] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/06/15/les-conclusions-…

[2] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-…

[3] Et diplômé de statistiques médicales

[4]Pub med est le principal moteur de recherche de données bibliographiques de l’ensemble des domaines de la médecine. Hébergé par la Bibliothèque américaine de médecine des Instituts américains de la santé Il a été développé par le Centre américain pour les informations biotechnologiques (NCBI). Il est ouvert, accessible à tous.

[5] Le plan Blanc décidé par Matignon dès le 15 mars a interdit aux établissements publics et privés de prendre en charge toute pathologie hors Covid, sauf les urgences dont le degré réel d’urgence est jugé par l’ARS et non pas par le malade ni le médecin.

[6] http://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-et-confinement-aveugle-combien-…

[7] https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/situatio…

[8] La durée d’incubation est le temps qui s’écoule entre l’infection et l’apparition des premiers symptômes permettant le diagnostic clinique

[9] LauerS A et all: The Incubation Period of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) From Publicly Reported Confirmed Cases: Estimation and Application, Annals of Internal Medicine, 20 Mars 2020

[10] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

[11] OMS Covid 19 situation report 149

[12] D Dewitte Norvège : ‘Le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19’Business AM 28/5/2020

[13] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai https://www.fhi.no/contentassets/c9e459cd7cc24991810a0d28d7803bd0/notat-…

[14] Erna Solberg le 27 mai à la télévision d’état : « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur »

[15] Nexus Pourquoi la Fondation Bill & Melinda Gates a subventionné le journal Le Monde à hauteur de 4 millions de dollars ? 6 MAI 2020 https://www.nexus.fr/actualite/news/fondation-bill-melinda-gates-le-monde/

[16] canempechepasnicolas.over-blog.com/2020/05/le-hold-up-de-la-medecine-par-la-bureaucratie-au-service-de-la-finance.le-role-des-ars.html
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sante-et-argent-magique-le…

Auteur(s): Gérard Delépine et FranceSoir




Transcription en français de la conférence de presse SCOTUS des médecins de première ligne de l’Amérique

[Source : France Soir via Réseau International]

Un groupe de médecins américains appelé «Médecins de première ligne de l’Amérique» a tenu une conférence de presse sur la Covid-19, l’hydroxychloroquine, et plus encore devant la Cour suprême des États-Unis. Nous présentons ci-après la transcription et traduction de leur conférence de presse.

La vidéo a été postée sur les réseaux sociaux et a été virale puisque 34 millions de personnes ont vu le message. La vidéo a été retirée puis remise sur d’autres réseaux. Les médias ont rapporté cet événement important avant d’être signalé et arrêté par plusieurs réseaux sociaux.

Les participants à cette conférence de presse sont : Simone Gold, Dr Bob Hamilton, Dr. Stella Immanuel, Dr Dan Erickson, Dr James Todaro et le Dr Joe Ladapo. Ce sont des médecins qui ont été actifs sur les réseaux sociaux au cours de la « pandémie ». FranceSoir a été en contact avec le Dr Todaro notamment au moment de l’étude viciée de The Lancet.

Bien des questions se posent sur le traitement de l’information au cours de la « pandémie ».  Le site de AmericasFrontLineDoctors vient d’être « censuré » informe le Docteur Todaro sur twitter.

AmericasFrontLineDoctors Censuré?

Avertissement : Cette conférence de presse a été signalée et arrêtée par plusieurs plateformes de médias sociaux pour contenir des informations soi-disant «trompeuses» ou «fausses». 



Membre du Congrès Norman: (00:00)

Simone Gold: (00:01)
Merci. Merci beaucoup aux membres du Congrès. Nous sommes donc ici parce que nous avons l’impression que le peuple américain n’a pas entendu parler de toute l’expertise qui existe dans tout notre pays.  Nous avons des experts qui parlent, mais il y a beaucoup, beaucoup d’experts à travers le pays. Alors certains d’entre nous ont décidé de se réunir. Nous sommes les médecins de première ligne de l’Amérique. Nous sommes ici uniquement pour aider les patients américains et la nation américaine à guérir. Nous avons beaucoup d’informations à partager. Les Américains sont rivés et capturés par la peur en ce moment. Nous ne sommes pas autant retenus par le virus que par la toile d’araignée de la peur. Cette toile d’araignée est tout autour de nous et elle nous resserre et elle draine la force vitale du peuple américain, de la société américaine et de l’économie américaine.

Simone Gold: (00:53)
Cela n’a pas de sens. COVID-19 est un virus qui existe essentiellement en deux phases. Il y a la maladie en phase précoce et la maladie en phase tardive. Dans la phase précoce, soit avant d’attraper le virus, soit tôt lorsque vous avez contracté le virus, si bien sur vous avez contracté le virus, il y a un traitement. Nous sommes ici pour vous le faire savoir. Nous allons en parler cet après-midi. Vous pouvez le trouver sur America’s Frontline Doctors, il existe de nombreux autres sites qui le diffusent en direct sur Facebook. Mais nous vous implorons d’entendre cela car ce message a été réduit au silence. Il y a des milliers de médecins qui ont été réduits au silence pour avoir annoncé au peuple américain la bonne nouvelle de la situation, que nous pouvons gérer le virus avec soin et intelligence, mais nous ne pouvons pas vivre avec cette toile d’araignée de peur qui resserre notre pays.

Simone Gold: (01:45)
Nous allons donc entendre maintenant de diverses positions. Certains vont vous parler de ce que le confinement a fait aux jeunes, aux plus âgés, aux entreprises, à l’économie et comment nous pouvons nous sortir du cycle de la peur. Dr Hamilton.

Dr Bob Hamilton: (02:03)
Merci, Simone. Et merci à tous d’être ici aujourd’hui. Je suis le Dr Bob Hamilton. Je suis pédiatre de Santa Monica, en Californie. J’y suis en pratique privée depuis 36 ans. Et aujourd’hui j’ai de bonnes nouvelles pour vous. La bonne nouvelle, c’est qu’en règle générale, les enfants prennent très bien ce virus. Rares sont ceux qui sont infectés. Ceux qui sont infectés sont hospitalisés en petit nombre. Et heureusement, le taux de mortalité des enfants est d’environ un cinquième de 1%. Les enfants tolèrent donc l’infection très fréquemment, mais sont en fait asymptomatiques.

Dr Bob Hamilton: (02:38)
Je tiens également à dire que les enfants ne sont pas les moteurs de cette pandémie. Les gens s’inquiétaient, au départ, de savoir si les enfants seraient réellement ceux qui propageraient l’infection. Le contraire se produit. Les enfants le tolèrent très bien, ils ne le transmettent pas à leurs parents, ils ne le transmettent pas à leurs professeurs. Le Dr Mark Woolhouse d’Écosse, spécialiste des maladies infectieuses pédiatriques et épidémiologiste, a déclaré ce qui suit. Il a déclaré: «Il n’y a pas eu un seul cas documenté de transfert de COVID d’un élève à un enseignant dans le monde.» Dans le monde.

Dr Bob Hamilton: (03:19)
Je pense qu’il est important que nous tous qui sommes ici aujourd’hui réalisent que ce ne sont pas vraiment nos enfants qui sont à l’origine de l’infection. Il est conduit par des personnes plus âgées. Et oui, nous pouvons renvoyer les enfants à l’école je pense sans crainte. Et c’est la grande question à l’heure actuelle, comme l’a fait allusion le membre du Congrès Norman, c’est la chose vraiment importante que nous devons faire. Nous devons normaliser la vie de nos enfants. Comment fait-on cela? Nous faisons cela en les ramenant en classe. Et la bonne nouvelle est qu’ils ne sont pas du tout responsables de cette infection. Oui, nous pouvons utiliser des mesures de sécurité. Oui, nous pouvons être prudents. Je suis tout à fait pour ça. Nous sommes tous. Mais je pense que l’important est que nous ne devons pas agir par peur. Nous devons agir par science. Nous devons le faire. Nous devons le faire.

Dr Bob Hamilton: (04:07)
Enfin, l’obstacle, et je déteste le dire, mais l’obstacle pour ramener nos enfants à l’école ne sera pas la science, ce sera les syndicats nationaux, les enseignants syndicat, l’Association nationale de l’éducation, d’autres groupes qui vont demander de l’argent. Et écoutez, je pense que c’est bien de donner de l’argent aux gens pour les EPI et différentes choses dans la classe. Mais certaines de leurs demandes sont vraiment ridicules. Ils parlent de, d’où je viens de Californie, l’UTLA, qui est l’union des enseignants de Los Angeles, exige que nous démobilisions la police. Qu’est-ce que cela a à voir avec l’éducation? Ils demandent d’arrêter ou de fermer toutes les écoles à charte privées, les écoles à charte privées. Ce sont les écoles qui éduquent les enfants.

Dr Bob Hamilton: (04:59)
Il va donc clairement y avoir des barrières. Les barrières ne seront pas scientifiques. Il n’y aura pas de barrières pour le bien des enfants. Ce sera pour le bien des adultes, des enseignants et de tout le monde, et pour le syndicat. C’est donc là que nous devons concentrer nos efforts et riposter. Alors merci à tous d’être ici et réintégrons nos enfants à l’école.

Dr. Stella Immanuel: (05:27)
Bonjour, je suis Dr. Stella Immanuel. Je suis médecin de premier recours à Houston, au Texas. En fait, je suis allée à l’école de médecine en Afrique de l’Ouest, au Nigéria, où j’ai pris en charge des patients atteints de paludisme, les ai traités avec de l’hydroxychloroquine et des trucs comme ça. Je suis donc habitué à ces médicaments. Je suis ici parce que j’ai personnellement traité plus de 350 patients atteints de COVID. Les patients diabétiques, les patients souffrant d’hypertension artérielle, les patients asthmatiques, les personnes âgées… Je pense que mon patient le plus âgé a 92… 87 ans. Et le résultat a été le même. Je les ai mis sur hydroxychloroquine, je les ai mis sur zinc, je les ai mis sur Zithromax, et tout va bien.

Dr Stella Immanuel: (06:12)
Au cours des derniers mois, après avoir soigné plus de 350 patients, nous n’en avons pas perdu un. Pas un diabétique, ni une personne souffrant d’hypertension artérielle, ni une personne asthmatique, ni une personne âgée. Nous n’avons pas perdu un seul patient. Et en plus de cela, je me suis mis, moi-même, mon personnel et de nombreux médecins que je connais sur l’hydroxychloroquine pour la prévention, parce que par le mécanisme même d’action, cela fonctionne tôt et comme prophylaxie. Nous voyons des patients, 10 à 15 patients COVID, tous les jours. Nous leur donnons des traitements respiratoires. Nous ne portons que des masques chirurgicaux. Aucun de nous n’est tombé malade. Ça marche.

Dr Stella Immanuel: (06:46)
Donc maintenant, je suis venu ici à Washington DC pour dire, Amérique, personne n’a besoin de mourir. L’étude qui m’a fait commencer à utiliser l’hydroxychloroquine était une étude qu’ils ont menée sous le NIH en 2005 et qui dit que cela fonctionne. Récemment, je faisais des recherches sur un patient qui avait le hoquet et j’ai découvert qu’ils avaient même fait une étude récente au NIH, qui est notre National Institute… c’est le National… NIH, quoi? Institut national de la santé. Ils ont en fait eu une étude et sont allés la chercher. Tapez hoquet et COVID, vous le verrez. Ils ont traité un patient qui avait le hoquet avec de l’hydroxychloroquine et cela a prouvé que le hoquet est un symptôme du COVID. Donc, si les NIH savent que traiter le patient avec de l’hydroxychloroquine prouve que le hoquet est un symptôme du COVID, alors ils savent certainement que l’hydroxychloroquine fonctionne.

Dr Stella Immanuel: (07:42)
Je suis bouleversée. Pourquoi je suis contrariée, c’est que je vois des gens qui ne peuvent pas respirer. Je vois des parents entrer, je vois des diabétiques assis dans mon bureau en sachant que c’est une condamnation à mort et qu’ils ne peuvent pas respirer. Et je les serre dans mes bras et je leur dis: «Ça va aller. Vous allez vivre. » Et nous les soignons et ils partent. Aucun n’est mort. Donc, si une fausse science, une personne parrainée par toutes ces fausses sociétés pharmaceutiques sort dire: «Nous avons fait des études et ils ont découvert que cela ne fonctionne pas. Je peux vous dire catégoriquement que c’est de la science fixe. Je veux savoir qui parraine cette étude. Je veux savoir qui est derrière cela parce que je ne peux pas traiter 350 patients et compter et personne n’est mort et ils ont tous fait mieux.

Dr Stella Immanuel: (08:21)
Je sais que vous allez me dire que vous avez traité 20 personnes, 40 personnes, et cela n’a pas fonctionné. Je suis un vrai témoignage. Je suis donc venu ici à Washington DC pour dire à l’Amérique que personne n’a besoin de tomber malade. Ce virus a un remède. Il est appelé hydroxychloroquine, zinc et zithromax. Je sais que vous voulez parler de masque. Bonjour? Vous n’avez pas besoin de masque. Il existe un remède. Je sais qu’ils ne veulent pas ouvrir d’écoles. Non, vous n’avez pas besoin que les gens soient enfermés. Il y a de la prévention et il y a un remède.

Dr Stella Immanuel: (08:48)
Et laissez-moi vous dire quelque chose, vous tous les faux médecins qui me disent: «Ouais. Je veux une étude en double aveugle. Je viens de vous dire, arrêtez de ressembler à un ordinateur, double aveugle, double aveugle. Je ne sais pas si vos puces fonctionnent mal, mais je suis un vrai médecin. J’ai des radiologues, nous avons des chirurgiens plasticiens, nous avons des neurochirurgiens, comme Sanjay Gupta qui disent: «Oui, cela ne fonctionne pas et cela cause des maladies cardiaques.» Permettez-moi de vous demander Dr Sanjay Gupta. Entends moi. Avez-vous déjà vu un patient COVID? Avez-vous déjà traité quelqu’un avec de l’hydroxychloroquine et il est mort d’une maladie cardiaque? Quand vous le faites, venez me parler car je m’assois dans ma clinique tous les jours et je vois ces patients marcher tous les jours de peur de mourir. Je vois des gens conduire deux ou trois heures à ma clinique parce qu’un médecin des urgences a peur du conseil d’administration du Texas ou a peur de quelque chose,

Dr Stella Immanuel: (09:35)
Je dis à tous les médecins qui sont assis et regardent mourir des Américains. Vous êtes comme le bon nazi… le bon, les bons Allemands qui ont vu des Juifs se faire tuer et vous n’avez pas parlé. S’ils viennent après moi, ils me menacent. Ils ont menacé de… je veux dire, j’ai reçu toutes sortes de menaces. Ou ils vont me signaler aux robots. Je dis, tu sais quoi? Je m’en fiche. Je ne vais pas laisser les Américains mourir. Et si c’est la colline sur laquelle je suis cloué, je serai cloué dessus. Je m’en fiche. Vous pouvez me dénoncer aux robots, vous pouvez me tuer, vous pouvez faire n’importe quoi, mais je ne vais pas laisser les Américains mourir.

Dr Stella Immanuel: (10:09)
Et aujourd’hui, je suis ici pour le dire, qu’en Amérique, il existe un remède contre le COVID. Toute cette folie n’a pas besoin de se produire. Il existe un remède contre le COVID. Il existe un remède contre le COVID qui s’appelle l’hydroxychloroquine. Cela s’appelle le zinc. Cela s’appelle Zithromax. Et il est temps pour la base de se réveiller et de dire: «Non, nous n’allons pas prendre cela plus longtemps. Nous n’allons pas mourir. Parce que laissez-moi vous dire quelque chose, quand quelqu’un est mort, il est mort. Ils ne reviennent pas demain pour se disputer. Ils ne reviennent pas demain pour discuter de l’étude en double aveugle et des données. Tous les médecins qui attendent des données, si six mois plus tard, vous avez découvert que ces données montrent que ce médicament fonctionne, qu’en est-il de vos patients décédés? Vous voulez une étude en double aveugle où des gens meurent? C’est contraire à l’éthique. Alors les gars, nous n’avons pas besoin de mourir. Il existe un remède contre le COVID.

Simone Gold: (11:02)
Mon Dieu. Dr Immanuelle également connu sous le nom de guerrier. Avant de présenter le prochain invité, je veux juste dire que je souhaite que tous les médecins qui écoutent cela apportent ce genre de passion à leurs patients. Et l’étude à laquelle le Dr Immanuel faisait référence se trouve dans Virology, qui parle d’une épidémie virale de SRAS qui affecte les poumons en provenance de Chine. Et ils ne savaient pas ce qui fonctionnerait. L’étude a montré que la chloroquine fonctionnerait. Cela ressemble exactement à ce que cela aurait pu être écrit il y a trois mois, mais en fait, c’est une étude en virologie, qui a été publiée par le NIH, l’Institut national de la santé lorsque le Dr Anthony Fauci était le directeur. Encore une fois, la publication officielle du NIH, Virology, il y a 15 ans a montré que la chloroquine… nous utilisons l’hydroxychloroquine, c’est pareil… un peu plus sûr… fonctionne.

Simone Gold: (12:03)
… coronavirus, ce qui n’est pas si nouveau. C’est 78% similaire à la version précédente. Le COV-1, sans surprise. Ça marche. Je vais maintenant vous présenter notre prochain orateur. Désolé. J’ai oublié de dire votre nom. Désolé.

Dr Dan Erickson: (12:12)
C’est d’accord. Dr Dan Erickson, le Dr Gold m’a demandé de parler du confinement, de son efficacité et est-ce que cela cause quelque chose de non financier? Ils parlent toujours de l’aspect financier, mais vous devez réaliser que le verrouillage, nous n’avons pas pris une économie de 21 billions de dollars et l’avons verrouillée. Ainsi, lorsque vous le verrouillez, cela pose des problèmes de santé publique. Nos lignes d’assistance téléphonique pour le suicide sont en hausse de 600%, notre violence conjugale. Différents domaines de l’alcoolisme sont tous à la hausse. Ce sont des problèmes de santé publique dus à un blocage financier. Nous devons donc être clairs sur le fait qu’il y en a, ce n’est pas comme si vous vous contentiez de verrouiller et d’avoir des conséquences sur les emplois des gens. Ils ont aussi des conséquences, des conséquences sur la santé à la maison. Nous parlons donc d’avoir un peu plus une approche mesurée, une approche cohérente. Si nous avons un autre pic à venir pendant la saison du rhume et de la grippe,

Dr Dan Erickson: (13:13)
Qu’est-ce qui est durable. Eh bien, nous pouvons socialement distancer et porter des masques, mais nous pouvons aussi ouvrir les écoles et ouvrir des entreprises. Donc, cette approche mesurée dont je parle, n’est pas inventée, elle se passe en Suède et leur décès est d’environ 564 par million. Royaume-Uni, confinement complet, 600 décès par million. Nous voyons donc que le confinement ne diminue pas de manière significative, le nombre de décès par million. Certains de leurs voisins nordiques ont moins de morts pour diverses raisons, je n’ai pas le temps de parler aujourd’hui. Alors quoi, mon message rapide ici dans une minute ou deux est simplement que nous devons adopter une approche durable. Une approche durable ralentit les choses, ouvre des écoles, ouvre des entreprises. Et puis on peut permettre au peuple d’avoir son indépendance et sa responsabilité personnelle de choisir de porter des masques et de se distancer socialement, au lieu de leur imposer des décrets, en quelque sorte les contrôler. Donnons-leur des données et laissons-les étudier ce que d’autres pays ont fait et prendre leur propre décision. C’est ce que j’aimerais partager. Je vous remercie.

Orateur 1: (14:28)
Y a-t-il des questions?

Simone Gold: (14:29)
Y a-t-il des questions?

Conférencier 2: (14:32)
Vous les gars, nous sommes tellement excités que je viens du Dakota du Sud? Vous avez peut-être entendu.

Simone Gold: (14:36)
Oui.

Conférencier 2: (14:38)
Je suis si heureux que vous prêchiez ce message.

Simone Gold: (14:39)
Vous savez, le Dakota du Sud a fait quelque chose d’intéressant. C’est intéressant que vous veniez de là. Le gouverneur n’a donc pas restreint l’accès à l’hydroxychloroquine.

Orateur 2: (14:46)
Nous savons.

Simone Gold: (14:49)
C’est vrai. Et vous étiez, je crois que vous étiez le seul État du syndicat à avoir fait cela. Et il y a eu des études qui tentent de montrer que cela ne fonctionne pas. Elles sont inexactes parce qu’elles sont administrées au mauvais moment, à la mauvaise dose, au mauvais patient soit trop, soit pendant longtemps. Le Dakota du Sud a donc fait mieux parce qu’il avait accès à l’hydroxychloroquine. Merci beaucoup.

Orateur 3: (15:06)
D’accord. Donc, si quelqu’un que nous aimons tombe malade du COVID et que vous avez dit le mot hydro, ou comment vous le dites, c’est limité. Comment pouvons-nous y avoir accès?

Simone Gold: (15:16)
Ouais. C’est la première question que nous nous posons tous chaque jour. Je veux que tu saches que tu n’es pas seul. De nombreux membres du Congrès m’ont demandé, comment puis-je l’obtenir? Donc les membres du Congrès ne peuvent pas l’obtenir, c’est pas de chance pour l’Américain moyen de l’obtenir. C’est très difficile. Vous devez surmonter quelques obstacles. Votre médecin doit avoir lu la science avec un œil critique et avoir éliminé la science indésirable. De nombreuses études ont été retirées comme vous le savez, et numéro deux, le pharmacien ne doit pas la restreindre. De nombreux États ont autorisé leurs pharmaciens à ne pas honorer la prescription médicale. Cela n’est jamais arrivé auparavant. Cela interfère avec la relation médecin-patient où le patient parle au médecin, honnêtement, et le médecin répond honnêtement au patient a été violé.

Simone Gold: (15:55)
Vous avez donc une période très difficile en tant qu’Américain moyen. Une partie des informations que nous partagerons plus tard cet après-midi est de montrer les taux de mortalité dans les pays où il n’est pas limité et les taux de mortalité où il est limité. J’ai donc des amis partout dans le monde maintenant à cause de cela. Et en Indonésie, vous pouvez simplement l’acheter au comptoir. C’est dans la section des vitamines. Et je suis ici pour dire au peuple américain que vous pouvez l’acheter au comptoir en Iran. Parce que les dirigeants en Iran, les mollahs en Iran, pensent qu’ils devraient avoir plus de liberté que les Américains. J’ai un problème avec ça. Mes collègues ont des problèmes avec cela. Nous n’aimons pas voir les patients mourir.

Julie: (16:26)
Donc, quand les gens ont des problèmes, ils devraient prendre le téléphone, ils devraient appeler leur État et leurs représentants et sénateurs fédéraux et dire que nous sommes le peuple américain.

Orateur 1: (16:42)
Permettez-moi de dire une chose [diaphonie 00:16:46].

Julie: (16:45)
Vous les gars, nous avons besoin que le public soit.

Orateur 1: (16:49)
Merci. Merci Julie. C’est exactement ça. Si vous entendez ce que vous êtes, lorsque vous entendez cela, si vous êtes inquiet et que vous vous demandez pourquoi vous ne pourrez peut-être pas y accéder, nous devons passer quatre appels, appeler votre gouverneur, appeler vos deux sénateurs et appeler votre membre du Congrès et dites-leur que vous voulez savoir pourquoi vous ne pouvez pas avoir accès à un médicament qui, selon les médecins, aidera à mettre fin à cela et nous aidera à réduire le nombre d’hospitalisations et le nombre de décès. Demandez-leur de lire l’étude du Dr Harvey Rich de Yale. C’est un professeur d’épidémiologie à Yale. Et à partir de là, vous trouverez d’autres études.

Orateur 4: (17:31)
Oui. Je voulais demander comment les gens font-ils confiance aux données qu’ils consultent chaque jour? Les chiffres sont si variables lorsque vous allez à Johns Hopkins, CDC, qui divise les décès par COVID en différentes catégories liées à la pneumonie, d’autres choses où nous obtenons les bonnes informations pour avoir un sens?

Simone Gold: (17:52)
Donc, le seul chiffre auquel je pense qu’il vaut la peine de prêter attention, et même ce chiffre n’est pas si utile, c’est la mortalité, car c’est un chiffre précis et rapide. Le nombre de cas est donc presque sans importance. Et c’est parce qu’il y a beaucoup d’inexactitudes avec les tests. Et même si le test est précis, la plupart des gens sont asymptomatiques ou légèrement symptomatiques. Ce n’est donc pas si important de le savoir. Donc, le nombre de cas, que vous voyez augmenter tout le temps dans les nouvelles, est fondamentalement hors de propos. Et si vous nous aviez dit il y a quelques mois, que c’était le chiffre sur lequel les médias allaient devenir fous, nous aurions tous ri de cela. Je veux dire, c’est essentiellement l’immunité collective. Il y a beaucoup de gens qui ont été testés positifs sans symptômes ou avec des symptômes très légers. Le seul chiffre qui mérite donc d’être pris en compte est la mortalité.

Simone Gold: (18:33)
Quand on regarde la mortalité, c’est une maladie qui prend, qui tue malheureusement nos membres les plus fragiles de la société. Les personnes atteintes de plusieurs maladies comorbides, en particulier le diabète, l’obésité est un problème majeur. On n’en parle pas, mais ça l’est. C’est un fait. Maladie coronarienne, maladie coronarienne grave, des gens comme ça. Et aussi si vous êtes plus âgé, c’est un facteur de risque. Mais le plus grand facteur de risque est si vous avez des conditions comorbides. Si vous êtes jeune et en bonne santé, ce n’est pas… Vous allez récupérer. Si vous avez moins de 60 ans sans conditions comorbides, c’est moins mortel que la grippe. Cela semble être une excellente nouvelle pour les Américains, car ce n’est pas ce qu’on vous dit. Je dirais que la réponse est qu’il est très difficile d’obtenir des chiffres précis.

Orateur 5: (19:13)
Ceci est [inaudible 00:19:13] de Breitbart News, si vous aviez un message au Dr Anthony Fauci, que lui diriez-vous?

Orateur 1: (19:18)
Écoutez les médecins. [inaudible 00:19:21] les médecins de première ligne. Ayez une réunion avec les médecins de première ligne, et peut-être que j’ai besoin de le dire dans le micro. Mon message au Dr Anthony Fauci est d’avoir une réunion avec ces médecins de première ligne qui voient de vrais patients. Ils touchent la peau humaine. Ils regardent les gens dans les yeux, ils les diagnostiquent et les aident à vaincre le virus. Ce sont eux qui parlent aux patients, ont des réunions avec eux et le font tous les jours et découvrent ce qu’ils apprennent sur le virus de première main. Et c’est, et il est important de le comprendre, que nous avons ici des médecins qui ne sont pas des médecins d’urgence. Ils empêchent même les patients de se rendre aux urgences. Donc, s’ils n’écoutent les urgences ou les soins intensifs qu’à la fin tragique de la vie d’une personne, ils ne comprennent pas toute l’histoire. Ils doivent revenir ici la partie précédente. Et ils doivent également comprendre ce que le confinement et les craintes font aux patients de tout le pays, car il y a beaucoup de conséquences imprévues, dont les médecins peuvent parler.

Dr Stella Immanuel: (20:30)
Puis-je dire quelque chose. Mon message au Dr Anthony Fauci est à quand remonte la dernière fois que vous mettez un stéthoscope sur un patient? Que lorsque vous commencez à voir des patients comme nous le voyons quotidiennement, vous comprendrez la frustration que nous ressentons. Vous devez commencer à ressentir les Américains comme nous, les médecins de première ligne, ressentons. Je dois commencer à réaliser cela. Ils vous écoutent. Et s’ils s’adressent à vous, vous devez leur donner un message d’espoir. Je dois leur donner un message qui va avec ce que vous savez déjà que l’hydroxychloroquine fonctionne. 

Conférencier 6: (21:06)
J’ai une question pour le Dr Warrior.

Simone Gold: (21:09)
Dr Immanuel.

Conférencier 6: (21:10)
Dr Immanuel, d’accord. Vous avez mentionné précédemment certains résultats remarquables que vous avez obtenus en traitant vos propres patients. Elle a dit, je crois qu’elle a dit 300 patients.

Dr Stella Immanuel: (21:17)
Oui. Oui.

Orateur 6: (21:19)
Avez-vous pu publier vos découvertes et résultats [inaudible 00: 00: 21: 22].

Dr Stella Immanuel: (21:22)
Nous travaillons actuellement à sa publication. Nous y travaillons, mais c’est ce que je vais dire. Des gens comme le Dr Samuel [inaudible 00:21:29] ont publié les données. Et ma question est, et? Cela vous fera voir des patients. Il n’y a pas de données dans le monde. Oui. Mes données sortiront. Quand cela sort. C’est génial. Mais en ce moment, les gens meurent. Donc, mes données ne sont pas importantes pour vous pour voir les patients. Je le dis à mes collègues qui parlent de données, de données, de données.

Orateur 6: (21:44)
Si je peux poser juste une autre question.

Simone Gold: (21:46)
Puis-je simplement intervenir. Il y a beaucoup de données [diaphonie 00:21:49] à ce sujet. Tous les cliniciens n’ont pas besoin de publier leurs données pour être pris au sérieux. Les médias ne l’ont pas couvert. Il y en a une tonne. J’ai un compendium sur americasfrontlinedoctors.com, il y a un compendium de toutes les études qui fonctionnent avec l’hydroxychloroquine. Le taux de mortalité a été publié à Detroit, moins d’un… C’était le week-end du 4 juillet. Ils l’ont publié. La mortalité de moitié chez les patients gravement malades, les patients qui l’attrapent tôt, on estime que la moitié à trois quarts de ces patients ne seraient pas morts. Nous parlons de 70 000 à 105… 70 à 100 000 patients seraient encore en vie si nous suivions cette politique. Il y a beaucoup de données publiées. [diaphonie 00:22:27].

Dr Stella Immanuel: (22:26)
Même avec le Dr Rich. Le Dr Rich a publié des données récemment. Il y a donc beaucoup de données là-bas. Ils n’ont pas besoin de moi pour prendre ces décisions.

Orateur 6: (22:34)
Si je peux poser une autre question. Il y avait une petite fille qui il y a à peine quelques jours [inaudible 00:22:37] par ailleurs en bonne santé et il a été conclu qu’elle est décédée du COVID-19, donc j’étais curieux de votre point de vue, vous pensez que cette petite fille est peut-être morte de certains autre condition et il a été attribué au COVID-19 ou y a-t-il une autre raison pour laquelle elle [diaphonie 00: 00: 22: 52].

Dr Stella Immanuel: (22:52)
Je ne le ferai pas. Je ne pourrai pas dire cela tant que je n’aurai pas regardé l’histoire de la petite fille et ce qui s’est passé. Je sais que j’ai pris soin de beaucoup de membres de ma famille et que je vois beaucoup d’enfants qui présentent généralement des symptômes bénins, mais je ne peux pas parler d’enfants que je n’ai pas examinés.

Dr Bob Hamilton: (23:07)
Quel était encore l’âge de l’enfant?

Orateur 6: (23:10)
Elle avait neuf ans.

Dr Bob Hamilton: (23:10)
D’accord. Alors écoutez, il y a des enfants qui meurent de cette infection. Et la réalité est que lorsqu’ils meurent, ils semblent avoir des comorbidités. Vraiment, vous devez en quelque sorte examiner chaque cas individuel. Uniquement, il y a eu un peu plus de 30 patients dans tout le pays, dans la catégorie d’âge de 15 ans et moins, qui sont décédés du COVID. Souvent, ils ont des comorbidités comme une maladie cardiaque. Ils souffrent d’asthme, ils ont d’autres problèmes pulmonaires. Alors je ne sais pas, nous ne connaissons pas la réponse à cette fillette de neuf ans, tragiquement. Elle est décédée et elle n’est plus avec nous, mais il y a probablement, si vous creusez dedans, il y a probablement une histoire derrière.

Conférencier 1: (23:48)
Dr Hamilton, avez-vous vu des patients qui ont des effets secondaires indésirables parce que les écoles ont été fermées, qui souffrent de dépression ou de suicide?

Dr Bob Hamilton: (23:54)
Je veux dire, je pense qu’il est de notoriété publique que les écoles n’étant pas ouvertes, quand vous pensez à votre expérience au collège et au lycée …

Dr Bob Hamilton: (24:03)
… ne pas être ouvert. Quand vous pensez à votre expérience au collège et au lycée, à quoi pensez-vous? Vous pensez aux fêtes et vous pensez aux matchs de football, à la socialisation. Ce sont les choses auxquelles nous pensons. Ceux-ci sont tous fermés, les gars. Personne ne s’amuse plus. Et je vais vous dire que ce sont des années critiques de la vie pour se mélanger avec d’autres enfants, d’autres personnes, et cela a été fermé. Alors oui, il y a beaucoup de comorbidités qui accompagnent l’arrêt. Nous parlons d’anxiété, nous parlons de dépression, de solitude, de maltraitance et d’enfants qui ont des… Les enfants qui ont des besoins spéciaux, les enfants ne vont pas bien non plus. Il existe donc une longue liste de complications qui surviennent lorsque vous mettez en quarantaine et enfermez des personnes.

Conférencier 7: (24:48)
Donc, une extension de ce dont vous venez de parler, nous entendons toutes ces études et tous ces sondages selon lesquels les mamans ont peur de retourner au travail parce qu’elles ont laissé leurs enfants aller à l’école, elles ne devraient pas vont à l’école parce qu’alors ils sont exposés, et si les mamans retournent à l’école, alors les grands-parents âgés, ils sont [diaphonie 00:25:04].

Dr Bob Hamilton: (25:04)
Bon, eh bien, c’est la grande [diaphonie 00:25:05].

Orateur 7: (25:06)
Pouvez-vous nous en parler, s’il vous plaît?

Dr Bob Hamilton: (25:07)
Bien sûr. Oui, c’est un gros problème parce que les gens ont peur que leurs enfants ne tombent pas particulièrement malades, parce que je pense qu’ils apprennent la vérité, c’est que cette infection est bien tolérée par les enfants. Mais certainement, ils regardent leur environnement, leur famille unique et je pense que dans certaines situations, cela peut être une peur appropriée. Cependant, je pense qu’en général, une règle générale dans tout le pays, les enfants peuvent retourner à l’école. Peut-être que quelques enfants ici et là, leur situation de vie, leurs soins, cela peut être un problème potentiel. Mais encore une fois, pour les jeunes enfants en particulier, ce ne sont pas eux qui transmettent la maladie aux adultes.

Orateur 7: (25:52)
L’hydroxychloroquine ne serait-elle pas …

Dr Stella Immanuel: (25:52)
Je vais en parler.

Conférencier 7: (25:52)
Peut-être que le Dr Immanuel peut en parler, ou quelqu’un d’autre.

Dr Bob Hamilton: (25:53)
Eh bien, l’hydroxychloroquine, oui. [diaphonie 00:25:56].

Conférencier 7: (25:53)
En termes de prophylaxie.

Dr Bob Hamilton: (25:53)
Cela peut être fait. Oui, cela peut être utilisé. [diaphonie 00:26:06]

Dr Stella Immanuel: (26:06)
Nous parlons de, nous ne pouvons pas ouvrir nos entreprises. Nous ne pouvons pas aller à l’école et les parents ont peur d’être traités. Et moi, j’ai mis plus d’une centaine de personnes sous prophylaxie à l’hydroxychloroquine. Les médecins, les enseignants, les professionnels de la santé, mon personnel, moi, je vois plus de 15 à 20, parfois 20, 15, 10 patients par jour. J’utilise un masque chirurgical. Je n’ai pas été infectée. Personne que je connais n’a été infecté autour de moi. Voilà donc la réponse à cette question. Vous voulez ouvrir des écoles, tout le monde prend de l’hydroxychloroquine. C’est la prévention du COVID. Un comprimé toutes les deux semaines suffit. Et c’est ce que nous devons transmettre au peuple américain. Il y a prévention et guérison. Nous n’avons pas à confiner les écoles. Nous n’avons pas à confiner nos entreprises. Il y a de la prévention et il y a un remède. Alors au lieu de parler de masque,

Dr Stella Immanuel: (26:59)
Mettez ceux qui sont à haut risque à l’hydroxychloroquine. Ceux qui le veulent. Si vous voulez attraper COVID, c’est cool, mais vous devriez avoir le droit de le prendre et d’être prévenu. Voilà donc le message. Tous ces trucs que nous mettons ensemble, ce n’est pas nécessaire car l’hydroxychloroquine a une prévention. L’hydroxychloroquine est une prévention du COVID.

Orateur 8: (27:17)
Plus tôt, je vous ai entendu dire que …

Dr Stella Immanuel: (27:18)
Hydroxychloroquine.

Orateur 8: (27:21)
… l’hydroxychloroquine, que ce médicament était le remède.

Dr Stella Immanuel: (27:22)
Cure, mm-hm (affirmatif).

Orateur 8: (27:25)
Mais vous avez également dit mesuré avec du zinc et d’autres choses.

Dr Stella Immanuel: (27:27)
Oui.

Conférencier 8: (27:27)
Et vous avez également dit que les médecins précédents l’avaient utilisé, mais qu’ils l’avaient utilisé dans le mauvais dosage. Alors je continue d’entendre le médicament, mais alors quel est le bon dosage. Quel est le bon mélange?

Dr Stella Immanuel: (27:39)
Vous allez en discuter avec votre médecin, mais laissez [inaudible 00:03:43] prendre cela.

Orateur 9: (27:45)
Ouais, c’est une excellente question. Parce que toute la situation politique a poussé la peur vers cette drogue. Alors abordons cela. Ce médicament est super sûr. C’est plus sûr que l’aspirine, Motrin, Tylenol. C’est super sûr. D’accord. Alors, quel est le problème dans bon nombre de ces études, c’est qu’ils ont fait des doses très, très élevées, des doses massives dans tout le pays. Ils ont fait l’étude des remaps, l’essai de solidarité. C’était l’essai de l’Organisation mondiale de la santé, ainsi que l’essai de rétablissement. Ils utilisent 2400 milligrammes le premier jour. Tout ce dont vous avez besoin est de 200 deux fois par semaine pour la prophylaxie. Ils ont utilisé des doses toxiques massives. Et devinez ce qu’ils ont découvert? Lorsque vous utilisez des doses toxiques massives, vous obtenez des résultats toxiques. Le médicament ne fonctionne pas lorsque vous donnez des doses toxiques. C’est un médicament très sûr. Il se concentre dans les poumons, 200 à 700 fois plus élevé dans les poumons.

Conférencier 9: (28:38)
C’est un médicament incroyable parce que dans la circulation sanguine, vous n’obtiendrez pas des niveaux élevés, mais vous obtenez des niveaux massifs dans les poumons. Donc, vous allez vous rendre compte, si vous faites une prophylaxie, que dès que le virus arrivera là-bas, il aura du mal à passer parce que l’hydroxychloroquine l’empêche d’entrer. Et puis une fois qu’il est entré, il a gagné ». t laissez le virus se répliquer. Apporter du zinc et du zinc va gâcher la photocopieuse appelée RDRP. Donc, avec la combinaison de médicaments, c’est incroyablement efficace au début de la maladie. En soi, c’est incroyablement efficace comme prophylaxie. Cela répond-il à la question?

Simone Gold: (29:15)
Ouais. Je veux souligner quelque chose que le Dr [inaudible 00:29:20] vient de dire, parce que j’aime la question. Il s’agit d’un régime de traitement très simple, et il devrait être entre les mains du peuple américain. L’aspect difficile de tout cela, c’est qu’en ce moment, à cause de la politique, il est interdit aux médecins de le prescrire, et il est interdit aux pharmaciens de le publier. Ils ont été autorisés à annuler l’opinion du médecin. Pourquoi n’est-ce pas en vente libre? Comme vous pouvez l’obtenir dans une grande partie du monde et presque dans toute l’Amérique latine, en Iran, en Indonésie, en Afrique subsaharienne, vous pouvez simplement aller l’acheter vous-même. Et la dose, mes amis, est de 200 milligrammes deux fois par semaine et de zinc par jour. Voilà la dose. Je suis favorable à ce que ce soit en vente libre. Donnez-le au peuple. Donnez-le au peuple.

Modérateur: (30:06)
Nous en avons deux autres, qui peuvent répondre à cette question et qui connaissent cette information. 

Dr James Todaro: (30:12)
Bonjour, Dr James Todaro [inaudible 00:30:13]. Je veux simplement ajouter quelques commentaires à ce que disait le Dr Gold. S’il semble qu’il y ait une attaque orchestrée contre l’hydroxychloroquine, c’est parce qu’il y en a. Quand avez-vous déjà entendu parler d’un médicament générant ce degré de controverse? Un médicament âgé de 65 ans qui figure sur la liste des médicaments essentiels et sûrs de l’Organisation mondiale de la santé depuis des années. C’est en vente libre dans de nombreux pays. Et ce que nous voyons, c’est beaucoup de désinformation. J’ai donc co-rédigé le premier document sur l’hydroxychloroquine comme traitement potentiel du coronavirus. C’est de retour en mars et cela a déclenché toute une série de tempêtes. Et depuis lors, il y a eu une énorme censure sur les médecins comme nous et ce que nous disons. Et plusieurs d’entre nous ont déjà été censurés. Ce document Google que j’ai co-écrit a en fait été supprimé par Google. Et c’est après maintenant, de nombreuses études ont montré qu’il est efficace et sans danger. Vous ne pouvez toujours pas lire cet article. Et il y a aussi cette désinformation là-bas. Et malheureusement, cela a atteint les plus hauts ordres de la médecine. En mai, un article a été publié dans The Lancet. Il s’agit de l’une des revues médicales les plus prestigieuses au monde. L’Organisation mondiale de la santé a arrêté tous ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine à cause de cette étude. Et ce sont des chercheurs indépendants comme nous qui se soucient des patients, qui se soucient de la vérité qui ont creusé dans cette étude et qui ont déterminé qu’il s’agissait en fait de données fabriquées. Les données n’étaient pas réelles. Et nous l’avons fait de manière si convaincante que cette étude a été rétractée par The Lancet moins de deux semaines après sa publication. Ceci est presque inconnu, surtout pour une étude de cette ampleur.

Dr James Todaro: (31:44)
Je m’excuse donc auprès de tout le monde pour le fait qu’il y a tellement de désinformation là-bas, et il est si difficile de trouver la vérité. Et malheureusement, il faudra chercher la vérité dans d’autres endroits. C’est pourquoi nous avons formé des médecins de première ligne ici pour essayer d’aider à diffuser la véritable information.

Conférencier 10: (32:00)
Comment avez-vous dit que votre nom était?

Dr James Todaro: (32:01)
Je suis James Todaro.

Modérateur: (32:02)
Donnez votre site Web.

Dr James Todaro: (32:05)
La plupart de mes pensées, je les publie en fait sur Twitter. Twitter a été génial ces derniers temps. Donc, James Todaro, M D. TODARO MD, mais j’ai aussi un site Web medicineuncensored.com, qui contient beaucoup d’informations sur l’hydroxychloroquine, je pense que c’est beaucoup plus objectif que ce qui se passe dans d’autres canaux médiatiques.

Conférencier 10: (32:28)
Un point, en termes de Twitter. C’est important parce que, comme je le comprends non seulement des médecins, mais aussi d’autres personnes dans les médias, YouTube a bloqué des informations spécifiquement sur l’hydroxychloroquine.

Dr James Todaro: (32:42)
Je vais aller de l’avant et aborder cette question très rapidement. Je dirais que Facebook et YouTube ont pris les mesures les plus draconiennes pour faire taire et censurer les gens. Et cela vient du PDG de YouTube, ainsi que de Mark Zuckerberg, disant que tout ce qui va à l’encontre de ce que l’Organisation mondiale de la santé a déclaré est soumis à la censure. Et nous savons tous que l’Organisation mondiale de la santé a commis un certain nombre d’erreurs au cours de cette pandémie. Ils n’ont en aucun cas été parfaits. Twitter, bien qu’ils aient des défauts et des défauts et signalent certains contenus et choses, ils restent vraiment l’une des plateformes les plus libres pour partager des dialogues, des discussions intelligentes concernant ces informations. Et beaucoup d’entre nous ici aujourd’hui se sont connectés sur des plateformes sociales comme ça.

Conférencier 11: (33:21)
Pourriez-vous parler de ce que vous avez mentionné plus tôt au sujet du médicament et depuis combien de temps il existe?

Dr Joe Ladapo: (33:27)
Chose sûre. Je suis le Dr Joe. Ladapo. Je suis médecin à l’UCLA et je suis également chercheur clinique. Et je parle pour moi et non au nom de l’UCLA. Je veux donc dire que je pense aux gens qui sont derrière les écrans et qui regardent ce que vous diffusiez. Et je veux partager avec vous car il y a tellement de controverse et l’atmosphère est si pleine de conflit en ce moment que ce que ce groupe de médecins essaie de faire fondamentalement, c’est vraiment d’apporter plus de lumière à cette conversation sur la façon dont nous gérons COVID-19 et l’énorme défi. Et c’est ce dont il s’agit en fin de compte. Et faire la lumière sur quelque chose, c’est réfléchir davantage aux compromis, à un de mes collègues a dit sur les conséquences involontaires. Et je pense en fait que ce n’est même pas le bon mot, le bon mot est des conséquences imprévues.

Dr Joe Ladapo: (34:45)
Donc, je suis sûr que les gens écoutent une partie de la discussion sur l’hydroxychloroquine et se demandent de quoi ces médecins parlent-ils? Et, ce sont des médecins qui s’occupent des patients, certifiés par le conseil, une école de médecine, de grandes écoles de médecine, tout cela. Comment pourraient-ils dire cela? Je regarde CNN et NBC, et ils ne disent rien à ce sujet. Et c’est en fait, c’est le point. Il y a des problèmes qui sont d’ordre moral, pour lesquels il devrait vraiment y avoir une voix singulière. Donc, pour moi, les problèmes liés à savoir si les gens sont traités différemment en fonction de leur sexe ou de leur race, ou de leur orientation sexuelle. Personnellement, je pense que ce sont des questions morales et il n’y a qu’une seule position à ce sujet. Mais COVID-19 n’est pas une question morale. Le COVID-19 est une question difficile et complexe sur laquelle nous tirons avantage d’avoir plusieurs points de vue. Ce n’est donc pas bon pour le peuple américain lorsque tout le monde entend un point de vue sur les principales stations. Il n’y a aucun moyen que cela fonctionne. Donc, le point de vue que la plupart des gens ont entendu est que l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas. C’est le point de vue que la plupart des gens ont entendu à la télévision grand public.

Dr Joe Ladapo: (36:03)
C’est le point de vue que la plupart des gens ont entendu à la télévision grand public, et je le crois aussi, jusqu’à ce que je commence à parler à des médecins qui regarderaient de plus près que certains des médecins derrière moi ici. , qui examinerait de plus près les données et les études.

Dr Joe Ladapo: (36:17)
C’est donc un fait que plusieurs essais randomisés sont sortis jusqu’à présent, c’est notre plus haut niveau de preuve, et ont montré que l’hydroxychloroquine … Leurs résultats ont généralement été qu’il n’y a pas d’effet significatif sur la santé avantage. Donc, c’est un fait, que les essais contrôlés randomisés sont sortis… Jusqu’à présent, ils sont sortis. En fait, il y en a eu deux ou trois grands qui ont été publiés au cours des deux dernières semaines, [inaudible 00:36:44] Internal Medicine, New England Journal of Medicine, et je pense qu’un autre journal.

Dr Joe Ladapo: (36:49)
C’est également un fait qu’il y a eu plusieurs études d’observation. Ce ne sont tout simplement pas des essais contrôlés randomisés, mais des patients traités avec ce médicament qui ont constaté que l’hydroxychloroquine améliore les résultats. Donc, ces deux choses sont vraies. Il y a des preuves contre cela et il y a des preuves pour cela. C’est également un fait que nous traversons une période extrêmement difficile. Compte tenu de ces considérations, comment la bonne réponse peut-elle être de limiter l’utilisation du médicament par le médecin? Cela ne peut pas être la bonne réponse. Et quand on considère que ce médicament avant le COVID-19 était utilisé depuis des décennies, par des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde, par des patients atteints de lupus, par des patients souffrant d’autres affections, par des patients qui voyageaient en Afrique de l’Ouest et avaient besoin d’une prophylaxie antipaludique, nous je l’utilise depuis longtemps, mais tout d’un coup, il est élevé à ce domaine de ressembler à une drogue toxique. Cela n’a tout simplement pas de sens.

Dr Joe Ladapo: (37:59)
Ensuite, lorsque vous ajoutez à cela le fait que nous avons eu deux des plus grandes revues au monde, New England Journal of Medicine et Lancet, comme mes collègues disent, retirez les études qui ont trouvé , fait intéressant, que l’hydroxychloroquine a nui aux patients. Ces deux études. Ils ont dû retirer ces études, ce qui est vraiment inouï. Cela devrait inquiéter tout le monde quant à ce qui se passe. À tout le moins, nous pouvons vivre dans un monde où il y a des divergences d’opinion sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine, mais qui permettent quand même plus de données à venir, permettent toujours aux médecins qui se sentent en mesure d’utiliser ce médicament, et continuent de parler, et apprendre et devenir meilleur pour aider les personnes atteintes du COVID-19.

Dr Joe Ladapo: (38:50)
Alors pourquoi nous ne sommes pas là n’est pas bon. Cela n’a pas de sens, et nous devons sortir de là.

Dr Stella Immanuel: (38:58)
Écoutez, permettez-moi de vous en parler un peu. J’ai vu 350 patients et je compte. Mettez-les sur hydroxychloroquine. Ils se sont tous améliorés. C’est ce que je dirais à toutes ces études, elles avaient des doses élevées, elles ont été données à de mauvais patients. Je les appellerai de la fausse science. Toute étude qui dit que l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas est une fausse science et je veux qu’ils me montrent comment cela ne fonctionne pas. Comment cela va-t-il fonctionner pour 350 patients pour moi et ils sont tous vivants, puis quelqu’un dit que ça ne marche pas? Les gars, tous ces études, fausse science.

Simone Gold: (39:30)
Quelle était votre question? Je vous remercie.

Orateur 14: (39:31)
Dernière question.

Simone Gold: (39:31)
Ouais, dernière question.

Conférencier 13: (39:35)
J’ai entendu dire qu’il y avait une augmentation de l’anxiété, des idées suicidaires, de la toxicomanie et de divers problèmes de santé mentale à la suite des fermetures des restaurants et des d’écoles. Recommandez-vous que le financement fédéral [inaudible 00:39:48] des programmes aidera à régler ces problèmes?

Simone Gold: (39:54)
Oui, je ne comprends pas comment vous iriez à cette conclusion. Si le problème est que les écoles sont fermées, et que cela en est la cause, alors nous devons ouvrir les écoles.

Orateur 14: (40:03)
[inaudible 00:40:03] santé mentale [diaphonie 00:40:05].

Simone Gold: (40:06)
Ouais. J’irais à l’école. J’ouvrirais les écoles, parce que la chose la plus importante pour les enfants est de socialiser, d’être avec d’autres enfants et d’apprendre. Ouais. [diaphonie 00:40:14] Ouais. Remettons les enfants à l’école.

Orateur 14: (40:17)
Vous ne croyez pas cela?

Simone Gold: (40:20)

Les enfants sont de retour à l’école. Nous sommes en faveur des enfants qui retournent à l’école.

Conférencier 15: (40:22)
Merci à tous. [diaphonie 00:04:24]. Merci beaucoup. Et nous allons retourner en direct pour continuer notre sommet, afin que vous puissiez continuer à regarder. Une fois de retour, nous courrons peut-être.

Conférencier 16: (40:35)
Merci beaucoup. [inaudible 00:40:45].

Dr Stella Immanuel: (40:38)
C’est de la fausse science. [diaphonie 00:04:50]. C’est de la fausse science.

Simone Gold: (40:50)
C’est vrai. Je te crois. Je te crois. [diaphonie 00:40:52].

Docteur 1: (40:54)
C’est plus spécialisé, donc je dois reporter.

Orateur 18: (40:55)
Vous avez dit que la dépression

Docteur 1: (40:56)
Cette dépression est causée par de faibles niveaux de zinc. De nos jours, lorsque vous allez à l’hôpital, ils ne testent pas ces niveaux de zinc. Les faibles niveaux de zinc se manifestent par une perte de l’odorat, une perte de goût. Pourquoi sont-ils également des symptômes de COVID, n’est-ce pas? COVID, perte de l’odorat, perte du goût, non? Et la raison en est que le zinc est la chose naturelle qui combattait le COVID. Ce qui se passe, c’est que le zinc arrête l’ARN polymérase et l’hydroxy chloroquine permet au zinc de pénétrer dans les cellules.

Orateur 18: (41:33)
Je me demande …

Docteur 1: (41:33)
Pour arrêter l’ARN polymérase-

Orateur 18: (41:35)
Parce qu’il y avait un-

Docteur 1: (41:36) Attendez, attendez

Orateur 18: (41:36)
Il était sous-entendu que –

Docteur 1: (41:37)
Laissez-moi vous donner la science derrière cela. Donc, si votre laboratoire est [diaphonie 00:41:41]… je comprends.

Orateur 18: (41:43)
Ouais.

Docteur 1: (41:43)
Permettez-moi de vous expliquer un peu mieux. Le zinc arrête l’ARN polymérase et il est utilisé par vos cellules dans le combat normal du COVID. Donc, si vous n’avez jamais pris d’hydroxychloroquine, vous serez toujours appauvri en zinc. Nous sommes dans un état naturel d’épuisement du zinc aux États-Unis, mais le COVID diminue encore plus votre zinc et vous en avez besoin pour lutter contre tout virus. C’est pourquoi ta mère a toujours dit: «Prends ton zinc», n’est-ce pas?

Conférencier 18: (42:04)
Le problème avec les enfants dans les unités psychiatriques est-il qu’ils ont de faibles niveaux de zinc?

Docteur 1: (42:11)
Non, non, non. Nous parlons du COVID et comment cela… [inaudible 00:06:13].

Orateur 18: (42:15)
D’accord. Ma question portait sur la question de savoir si les fonds fédéraux devraient être détournés pour aider les thérapeutes, les travailleurs sociaux et les autres travailleurs de première ligne à faire face aux problèmes psychologiques mentionnés par votre collègue, les fermetures des services du gouvernement et les écoles provoquent une augmentation des idées suicidaires, et la toxicomanie et l’anxiété. Ces facteurs environnementaux sont donc à l’origine de ces problèmes de santé mentale. N’est-il pas logique que les fonds destinés à aider ces institutions à s’attaquer au problème devraient recevoir davantage de financement?

Docteur 1: (42:47)
Je vais m’en remettre à mon collègue psychiatre.

Orateur 18: (42:50)
Il ne m’a pas entendu poser la question. [diaphonie 00:42:51].

Docteur 1: (42:51)
Premièrement, nous devons prendre soin de la base biologique, qui est le zinc, qui est la vitamine D, le manque de vitamine D. Nous déversons notre lait.

Orateur 18: (43:03)
Oui, je n’en sais rien.

Docteur 1: (43:04)
Nous déversons notre lait [diaphonie 00:07:05]. Nous déversons actuellement notre lait dans les fosses à fumier. Si nous nous réunissions

Docteur 2: (43:09)
Oui, c’est difficile à croire.

Docteur 1: (43:10)
Si nous permettions aux enfants de ne pas aller à l’école, ce serait très utile.

Orateur 18: (43:14)
D’accord.

Docteur 1: (43:14)
Je m’en remets donc à mon collègue.

Orateur 18: (43:17)
Donc ma question, je n’ai toujours pas obtenu de réponse claire à ce sujet –

Docteur 2: (43:19)
Je vais essayer de répondre. La politique publique n’est pas mon expertise, mais je peux essayer.

Orateur 18: (43:23)
Oh non, il ne s’agit pas vraiment de… Ce n’est pas non plus mon expertise, en fait. Mais je me demandais, puisque votre collègue a dit qu’à la suite de fermetures d’écoles et de fermetures des services gouvernementaux, qui ont provoqué une augmentation des idées suicidaires, de l’anxiété, de la toxicomanie et de divers autres problèmes, je me demande si le financement fédéral devrait être détourné vers travailleurs de première ligne, travailleurs sociaux, thérapeutes en santé mentale?

Docteur 2: (43:45)
La réponse à votre question est la suivante, je le vois de cette façon, le mal est déjà arrivé, c’est ce que nous disons. La réponse à la question est donc que le mal est déjà survenu. Que devons-nous faire face à ce préjudice? Je ne connais pas le fonctionnement interne du gouvernement, mais dire que le mal est déjà survenu et dire que nous allons faire quelque chose à ce sujet, c’est logique. Pour moi en tant que médecin, je pense que si nous savons que le mal va arriver, si vous et moi savons que nous avons déjà été écrasés par une voiture, je pense qu’il est logique de me laisser aller de l’avant et d’aller à l’hôpital chercher mon-

Conférencier 18: (44:10)
Il y a un réel manque de financement pour que les gens de ma profession puissent aider ces enfants et ces adultes.

Docteur 2: (44:12)
Oui, je pense que cela a beaucoup de sens. Alors je vais simplement me dire que c’est logique, et je pense que c’est juste.

Conférencier 18: (44:20)
J’apprécie la préoccupation bien équilibrée. Cela s’arrête en quelque sorte avec inquiétude et ne continue pas à agir. Le Congrès pourrait ne pas, je ne suis pas sûr de qui il était, peut-être que vous pourriez réellement donner [diaphonie 00:08:31].




L’OMS veut immuniser le public contre la désinformation : tous les moyens de contrôle et de persuasion sont mis en œuvre!

[Source : Organisation Mondiale de la Santé]

[Traduction : Conscience du peuple]

[Note de Isabelle :]

Voici un communiqué de l’OMS daté du 25 août 2020 qui nous informe que l’agence internationale a mandaté des agences d’analyse de l’information, qui utilisent l’intelligence artificielle, pour mesurer et identifier les opinions qui circulent sur les réseaux sociaux ainsi que les humeurs/émotions des citoyens et ce, afin d’affiner leurs stratégies de contrôle de l’information et de persuasion en vue d’une vaccination massive.

Tout comme dans une campagne électorale, la cible à atteindre ce sont les « indécis », dans ce cas précis ce sont les indécis concernant la vaccination. 👉Toute cette manigance médiatique se concentre sur créer une forte adhésion à la vaccination et sur rétablir la crédibilité de la Science et de l’OMS.

Lisez jusqu’à la fin ou concentrez-vous sur le signe 👉 pour comprendre à quel point le contrôle de l’information est un enjeu majeur dans la poursuite de l’Agenda.


Immuniser le public contre la désinformation

Peu de temps après que le monde ait commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot: «infodémie»,  soit une surabondance d’informations et une propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus, « l’infodémie » est très contagieuse et croît de façon exponentielle. Cela complique les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19.

«Nous ne combattons pas seulement le virus», a déclaré le Directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. «Nous luttons également contre les trolls et les théoriciens du complot 👉qui poussent à la désinformation et sapent la réponse à l’épidémie.»

La prolifération de la désinformation – même lorsque le contenu est, dans le meilleur des cas, inoffensif – 👉peut avoir des ramifications sanitaires graves et même sociales et mortelles dans le contexte d’une pandémie mondiale. Dans certains pays, les rumeurs sur une pénurie alimentaire imminente ont incité les gens à faire des réserves dès le début de l’épidémie et ont provoqué de réelles pénuries. Aux États-Unis d’Amérique, une personne est décédée après avoir ingéré un produit de nettoyage d’aquarium contenant de la chloroquine après que des rapports aient mentionné l’hydroxychloroquine comme un remède possible – mais non prouvé – pour le traitement du COVID-19. En République islamique d’Iran, des centaines de personnes sont mortes après avoir bu de l’alcool méthanolique qui, selon les messages des médias sociaux, avait guéri d’autres personnes du coronavirus. C’est le genre de désinformation dangereuse qui inquiète le plus l’OMS.

👉Alors même que le monde se concentre sur la recherche d’un vaccin sûr et efficace, la désinformation continue de se répandre sur la vaccination. Les experts de la santé en Allemagne craignent que le mouvement anti-vaccination du pays ne dissuade de nombreuses personnes à se faire vacciner lorsqu’un vaccin sûr devient disponible. Une étude récente qui a examiné les opinions de vaccination de 100 millions d’utilisateurs de Facebook dans le monde a révélé que si le camp pro-vaccination (6,9 millions de personnes) était plus nombreux que celui contre la vaccination (4,2 millions), le groupe anti-vaccin était moins isolé et avait plus d’interaction 👉avec les individus (de loin le plus grand groupe, avec 74,1 millions) qui sont indécis au sujet de la vaccination. 👉 Ces «vaxxers swing» sont importants à cibler et à embarquer avec la vaccination qui sauve des vies.

Pour en savoir plus sur la manière dont l’OMS s’attaque à la lutte contre l’infodémie, la Fondation des Nations Unies a rencontré Tim Nguyen en marge de la première conférence mondiale sur l’ infodémiologie, qui a réuni des experts mondiaux pour discuter de la science en développement de la gestion des infodémies. 👉L’équipe de Nguyen gère le Réseau d’information sur les épidémies (EPI-WIN), qui dirige les travaux de l’OMS sur la gestion des infodémies.

Traverser la toile de la désinformation

« Les infodémies se sont déjà produites d’une manière ou d’une autre lors d’épidémies passées, mais ce qui se passe en ce moment est à l’échelle mondiale, où les gens sont connectés par différents moyens et partagent des informations plus rapidement », a déclaré Nguyen. 👉«Cela a créé une nouvelle situation dans laquelle nous repensons et remodelons notre approche de la gestion des infodémies dans les situations d’urgence.»

👉Selon une étude récente évaluant la désinformation en anglais, la plus grande catégorie de publications qualifiées de fausses ou trompeuses par les vérificateurs de faits était le contenu qui remettait délibérément en cause ou remettait en question les politiques et les actions des fonctionnaires, des gouvernements et des institutions internationales telles que les Nations Unies et OMS.

Un exemple flagrant de ceci est «Plandemic», une vidéo de 26 minutes sur la théorie du complot qui accuse à tort le Dr Anthony Fauci, le principal spécialiste des maladies infectieuses aux États-Unis, d’avoir fabriqué le virus et de l’avoir envoyé en Chine. La même vidéo prétend à tort que le port de masques entraînera une auto-infection. Plus de 8 millions de personnes ont regardé la vidéo sur les réseaux sociaux avant qu’elle ne soit supprimée.

Un tel contenu peut éroder la confiance du public dans les organisations mêmes qui mènent la lutte contre le COVID-19. 

👉Pour rappeler au public la primauté de la science, l’OMS identifie d’abord le type de désinformation qui circule, puis répond avec ses propres directives fondées sur des preuves. La communauté des Nations Unies dans son ensemble a contribué à amplifier ces informations grâce à sa propre initiative de lutte contre la désinformation. Par exemple, l’initiative «Pause. Faites attention avant de partager ». La campagne encourage les gens à prendre le temps de vérifier les sources avant de décider de partager du contenu en ligne.

L’OMS a également travaillé en étroite collaboration avec les entreprises de médias sociaux et de technologie pour aider à freiner une partie de la désinformation qui se répand sur leurs plateformes. En février, des responsables de l’agence de santé se sont réunis au siège de Facebook pour savoir comment promouvoir des informations de santé précises sur le COVID-19. 

👉À présent, l’OMS travaille avec plus de 50 entreprises numériques et plates-formes de médias sociaux, notamment TikTok, Google, Viber, WhatsApp et YouTube, pour garantir que les messages de santé basés sur la science de l’organisation ou d’autres sources officielles apparaissent en premier lorsque les gens recherchent des informations liées au COVID-19. Même l’application de rencontres Tinder propose désormais des rappels de santé de l’OMS, car la distance sociale est toujours appropriée pendant un rendez-vous.

👉Écoute sociale avec intelligence artificielle 

«Ce que nous avons mis en place au début de la pandémie, c’est ce que nous appelons une approche d’écoute sociale», a déclaré Nguyen.

L’OMS travaille avec une société d’analyse pour intégrer l’écoute sociale dans son élaboration de messages de santé publique – une première pour l’Organisation.

Écoute des médias sociaux

👉Chaque semaine, la société examine 1,6 million d’informations sur diverses plateformes de médias sociaux, puis utilise l’apprentissage automatique pour effectuer des recherches basées sur une taxonomie de santé publique nouvellement développée afin de classer les informations en quatre sujets: la cause, la maladie, les interventions et le traitement. Cela aide l’OMS à suivre les sujets de santé publique qui gagnent en popularité et à élaborer et adapter des messages de santé en temps opportun. Les exemples incluent «Comment une pandémie se termine-t-elle?» et « Comment savons-nous quand nous avons une deuxième vague? ».

👉L’apprentissage automatique fournit également des informations sur les types d’émotions que les utilisateurs ressentent. Au lieu de simplement diviser les données par type de sentiment (positif, neutre, négatif), 👉 l’analyse du langage peut mettre en lumière l’anxiété, la tristesse, le déni, l’acceptation et d’autres émotions exprimées dans les publications sur les réseaux sociaux. 👉Ce niveau de détail permet à l’OMS de développer une stratégie offensive efficace et d’apaiser les inquiétudes du public avant que la désinformation ne prenne pas plus l’ampleur.

«Ce que nous avons appris maintenant, après deux mois et demi à faire ce genre d’analyse, c’est qu’il y a des thèmes et des sujets récurrents qui reviennent encore et encore», a déclaré Nguyen. 

Tout le monde n’a pas accès aux médias sociaux ou à Internet, mais ils restent tout aussi enclins que quiconque à être exposés à la désinformation. Pour surmonter cette lacune numérique, l’OMS collabore avec des collègues de l’initiative UN Global Pulse, qui utilise l’intelligence artificielle et les mégadonnées pour s’attaquer aux problèmes de développement et humanitaires et ce, pour appliquer l’écoute sociale aux pays où la radio est un moyen d’information populaire.

👉En Ouganda, par exemple, plus de la moitié des ménages dépendent de la radio pour leurs informations, et des milliers d’Ougandais appellent chaque jour à des programmes locaux pour parler de questions allant des sujets les plus banals aux sujets les plus graves tels que les soins de santé. 👉 La branche de Kampala de UN Global Pulse utilise un outil de reconnaissance vocale automatisé alimenté par l’intelligence artificielle pour traduire les enregistrements radio du dialecte local en texte numérique anglais. L’initiative a été présentée dans la série « Innovation in Action » de la Fondation des Nations Unies l’année dernière, montrant comment l’ONU tire parti de l’innovation et d’une nouvelle réflexion pour relever les défis les plus urgents du monde.

L’équipe UN Global Pulse utilise maintenant l’outil pour identifier le langage lié au COVID en Ouganda et toute désinformation diffusée par les communautés locales. L’équipe a constaté que les communautés locales faisaient la promotion de la sorcellerie et des herbes comme remèdes contre le COVID-19; des rumeurs circulaient même au sujet d’un vaccin fabriqué en Ouganda. Ce type de données est inestimable pour les organisations telles que l’OMS pour éclairer leurs messages et l’élaboration de directives. L’OMS travaille avec les Nations Unies pour étendre et piloter ce projet dans deux autres pays d’Afrique subsaharienne et deux en Asie du Sud-Est.

«Vous devez disposer d’un certain degré de bonnes informations pour atteindre les populations afin qu’elles soient inoculées et qu’elles ne soient pas sensibles aux fausses informations ou à la désinformation», a déclaré Nguyen. 👉 «Nous pensons que nous devons vacciner 30% de la population avec de« bonnes informations », afin d’avoir un certain degré d’immunité « collective » contre la désinformation.»

C’est là que la communauté locale devient particulièrement importante pour aider à amplifier le message de l’OMS.

Intégrer les voix de la communauté

Étant donné qu’une grande partie de la désinformation provient des communautés et peut se répandre dans des messages privés et des conversations entre amis et familles, l’OMS encourage les individus à vérifier les faits avec leurs proches si nécessaire. Ils ont créé une page dédiée de «mythbusters», contenant des réponses factuelles aux idées fausses les plus courantes sur le COVID-19, notamment: si les chaussures peuvent propager le virus (très faible probabilité), si les bains chauds peuvent maintenir le nouveau coronavirus (non, et vous risquez de vous brûler), et si les sèche-mains peuvent tuer le virus (non, ils ne le font pas).

Alors que l’OMS est habituée à travailler avec les ministères de la Santé et d’autres organes et responsables gouvernementaux pour développer et amplifier les messages de santé publique. Nguyen a déclaré que dans une crise de l’ampleur du COVID-19, une approche à l’échelle de la société est nécessaire pour s’assurer que tous les communautés sont atteintes.

👉Par exemple, au lieu d’une stratégie descendante, l’OMS travaille avec des groupes spécifiques tels que les jeunes, les journalistes et les organisations confessionnelles pour co-développer des orientations adaptées à chaque contexte et communauté. Ces groupes servent d’amplificateurs et diffusent de manière organique des informations précises sur la santé.

Nguyen a noté qu’au niveau mondial, les besoins d’information peuvent être très différents. «Prenons les conseils sur le lavage des mains, par exemple. C’est important et il y a une recommandation mondiale sur la durée et la façon dont vous devez le faire », a-t-il déclaré,« mais soyons aussi honnêtes. Il y a certaines régions du monde où il n’est pas possible de le faire comme recommandé.»

Les dirigeants communautaires peuvent aider à adapter les conseils d’hygiène dans des contextes où il n’y a pas assez de sources d’eau ou de savon pour se laver correctement les mains, ou dans des conditions exiguës où la distanciation sociale peut sembler presque impossible. Les directives révisées et co-élaborées par l’OMS et les chefs religieux incluent le remplacement des salutations de contact physique par un simple contact visuel et un salut; encourager les fidèles à effectuer les ablutions rituelles à la maison plutôt qu’au lieu de culte; et même offrir des conseils dans des situations douloureuses telles que la façon d’enterrer des êtres chers tout en respectant les restrictions du COVID-19.

«Il est important de travailler avec ces groupes d’amplification qui comprennent bien mieux que nous les personnes dont ils se soucient», a déclaré Nguyen. «Nous développons conjointement des conseils avec des personnes directement concernées et pouvons nous aider à mettre en œuvre une certaine pratique qui conduit à un changement de comportement.»

👉Une nouvelle alliance des Nations Unies pour lutter contre l’infodémie – comprenant l’OMS, l’UNESCO, l’Union internationale des télécommunications et UN Global Pulse – a récemment reçu un peu plus de 4,5 millions de dollars américains du Fonds de réponse de solidarité COVID-19 pour étendre son travail d’amplification communautaire, initiative d’écoute sociale et d’autres projets, notamment la création d’un centre centralisé de vérification des faits et de désinformation pour fournir aux pays des outils pour lutter contre l’infodémie.

👉Le 29 juin, l’OMS a également organisé la première conférence mondiale sur l’infodémiologie, qui a réuni des scientifiques de divers horizons pour se concentrer systématiquement sur la question et réfléchir à des moyens scientifiques pour mieux la gérer.

«Nous avons des physiciens, des mathématiciens, assis avec des épidémiologistes, avec des spécialistes des sciences sociales pour discuter d’approches fondées sur des preuves pour gérer l’infodémie», a déclaré Nguyen. «Tous ces domaines scientifiques ont leurs propres écoles de pensées, leurs cadres, comment ils font de la recherche, il est donc intéressant de voir comment une perspective peut aider à fertiliser l’autre.

👉Bien qu’un vaccin et un traitement contre le COVID-19 ne soient pas encore prêts, les mesures proactives de l’OMS aident à neutraliser l’infodémie de désinformation.  

«Pour lutter contre cette infodémie, nous devons faire les choses différemment de ce que nous avons fait dans le passé», a déclaré Nguyen. «Grâce au leadership du Dr Tedros, nous sommes de plus en plus ouverts à l’innovation et à repenser la façon dont nous faisons les choses.»

https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/immunizing-the-public-against-misinformation




Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale

[Source : Les 7 du Québec à partir du Saker Francophone]

[Commentaires de] Robert Bibeau

Nous vous proposons aujourd’hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de « complotiste ». C’est qu’à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l’auteur  présente une bonne synthèse de faits avérés concernant cette pandémie qui a les apparences d’un exercice en vue d’une guerre bactériologique en préparation. Laissons de coté les interprétations diaboliques de Grand Complot de l’Ordre Nouveau et examinons les données qu’il expose.  Pour ce qui est de l’idéologie du « conspirationnisme« , voici une citation de L’Idéologie allemande qui remet les choses en perspective:  «À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées socialement dominantes : autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défautLes pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie.»  

Robert Bibeau. Éditeur https://les7duquebec.net


Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.

Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures» que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.

Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart «des gens normaux» qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique «se sont retrouvés dépassés».

Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller. (sic – le conspirationnisme pointe son nez. ndlr).

Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.

Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont on ne sait absolument rien.

Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours dans le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais «le Mal» tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.

Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z. (sic. disons que c’est une hypothèse de recherche. ndlr).

Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonniques. (un autre petit coup de complotisme. NDLR)

Alors prémonition, prédiction ou hasard ?

En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un «Street cooker» dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre. (ici le conspirationniste renvoi les autres conspirationnistes à leurs marmites. ndlr).

La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous le trouverons pas (exact. ndlr).

La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.

Le hasard, comme le disait Einstein« c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.

Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations — et des pandémies évidemment —, Dieu n’y est pour rien.

L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep [traduction compte tenu du contexte : verrouillage] économique et un lockdown [traduction : confinement] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.

Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.

Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.

Adorable petite fille jouant avec le chapeau d’un homme âgé sur fond de nature. Le concept de deux générations différentes.

Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».

Sans doute est-ce là encore un non sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.

Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.

En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine, basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.

Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.

Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?

Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçu dans les médias européens.

Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.

Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.

L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autres que les représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.

Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.

L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais  (ou moins souvent disons. ndlr).

Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.

« Le monde », disait Nicholas Butler« se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.

L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.

Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté

Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.

À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûr que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.

Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…

John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.

Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial »  (une crise de complotisme. ndlr).

John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.

En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.

Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.

A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long [long terme]. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.

Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.

Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédée les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.

Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.

Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance (ceci est absolument faux – et les prévisions sont toujours hight or low. ndlr [NdNM : la réalité est plus probablement située quelque part entre ces deux affirmations]).

En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années (jamais confirmées. ndlr).

Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publié dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de population, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.

Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.

Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.

S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui, c’est que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, mais surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.

Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité (voici une vérité avérée. ndlr).

Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux qui veulent nous sauver des virus et des pandémies  sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population ? (Les mêmes qui financent la recherche sur ces virus létaux. ndlr).

Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».

Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il «  et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits » (Voilà deux autres vérités avérées que Kadhafi a osé répéter… il en est mort. ndlr).

 Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.

Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».  (???)

Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.

Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.

Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 même si le ton est toujours le même : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.

Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?  (Question tout à fait pertinente. ndlr).

Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.

Au paragraphe « Indicateurs de progrès », il est écrit :

Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.

The world looks wobbly" according to The World in 2019

Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.

Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (ou se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.

Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.

Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?

J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie.

Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.

D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un 1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.

Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au cœur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.

Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » n’a pas été une erreur et un cas isolé. (Voilà d’autres faits avérés. ndlr).

Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.

Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.

À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme.

Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.

Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.

Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.

Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance [du transhumanisme] et la voie du vaccin.

Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.

Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :

  • Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
  • Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
  • Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?

Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. (Un autre assertions très plausible en effet. ndlr).

Ils seront progressivement éliminés. (Ca c’est moins certain –  c’est le problème des complotistes – ils déifient leurs bourreaux et pensent que les péquenots victimes du système ne peuvent pas résister ni se révolter.  Erreur – Leurs crimes nous feront réagir à coup sur. ndlr [NdNM : la réalité pourrait, encore une fois, se situer plutôt entre ces deux affirmations.]).

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. (Oui, beaucoup de fiction à mon avis. ndlr).

Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science fiction et nous ne sommes pas dans un film.

Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long [long terme].

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.

Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ? (Le prolétariat ne veut pas [et] ne peut pas tolérer ces projets et il sera acculé – obligé – de réagir pour ne pas périr. ndlr).

Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.

Il s’agit de l’Event 201.

Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.

Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète (une autre vérité avérée. ndlr).

Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas mal en soi.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?

N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.

Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.

Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.
Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, — et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié —, qu’il va y avoir une pandémie.

A votre avis, combien de banques accepteraient de se lancer, — de façon hasardeuse —, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.

Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.

Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.

La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts qui en découlent.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats, en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.

Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute :

« Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».

Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.

A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.

Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.

Mais ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.

Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaires et philanthropiques, ne date pas d’hier.

Comme le montre la photo ci-dessous, on peut y voir le père du créateur de Microsoft, en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.

Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains avec des alibis infantiles, comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’être humains, comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site.

La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles (une autre vérité avérée. ndlr).

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite. (Voilà une autre vérité avérée et extrêmement dangereuse. ndlr).

Du point de vue technique et salutaire, dans le cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et où nous devrions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de vous révolter ou de vouloir contester un ordre.

La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années.

Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. (Non, c’est le Grand capital international qui possède tout le pouvoir — relire Marx ci-haut — les eugénistes reflètent les idées d’une faction des intellectuels au service de ces ploutocrates… comme d’autres idéologues qui décrivent le monde mais ne le dirigent pas. ndlr [NdNM : Bill Gates et les Rockefeller font partie du Grand capital international et en sont assez probablement au sommet avec les Rothschild et quelques autres familles]).

Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’Humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.

Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont déjà là et ils sont prometteurs.

Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.

Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. (C’est tout à fait plausible. ndlr).

Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ?
Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.

Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camp pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.

À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni à avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

Ce qui est plus facile également de comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.

L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, à alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une fausse solution : le vaccin.

Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage, mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).

Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués ? Non.

Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.

[NdNM : la théorie virale n’est qu’une théorie non pleinement démontrée. La théorie des exosomes semble expliquer mieux et plus complètement les phénomènes « épidémiques ». Voir : La théorie des exosomes contre celle des virus, Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus et 5G, virus et covid-19]

Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.

En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’école, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.

Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.

A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais, alors par quel miracle trouverons nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?

Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.

Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.

[NdNM : dans la théorie des exosomes, les prétendus « virus » seraient en fait des « exosomes » produits par nos propres cellules ou par celles des animaux, lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre — par déficience en nutriments, par des toxines ou des poisons divers (pesticides, additifs alimentaires, produits chimiques ménagers, polluants atmosphériques, etc.), par le froid, le manque de soleil, la peur et le stress ou même par des ondes électromagnétiques pulsées telles que celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G. Les exosomes produits par nos cellules sont éjectés de notre corps en particulier par la sudation, favorisée par la fièvre en cas de besoin. S’ils se retrouvent en contact avec d’autres organismes, ils sont perçus comme des éléments étrangers et éjectés pareillement sans faire spécialement de dommages, mais surtout sans s’y multiplier, car ils ne sont que des conséquences des agressions subies par les cellules, pas les véritables causes. Les nombreuses prétendues « mutations » des virus ne sont que l’expression de la grande variété du matériel génétique humain et de l’adaptation partielle du corps à ces agressions. On peut ainsi déduire de cette théorie scientifique révolutionnaire que manipuler des virus en laboratoire P4, pour en faire de nouvelles sortes de virus supposément plus mortels, n’aura jamais les effets escomptés et ne produira jamais d’hécatombe. Il est pratiquement démontré que le SRAS-COV2 n’a pas produit de surmortalité par rapport aux années précédentes, et pour cause si cette théorie est avérée. À l’inverse, la peur, le stress, le port du masque, le confinement, les vaccins, le Wi-Fi, la 5G… agressent nos cellules et produisent des effets qui seront facilement perçus comme épidémiques, puisqu’ils sont produits en masse, grâce notamment aux propagandes de peur des médias mainstream, aux campagnes vaccinales contre la grippe et autres maladies et à l’expansion des réseaux de communication sans fil.]

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.

Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fous » pour reprendre ses termes.
(Voilà une autre vérité avérée. Je ne dirais pas un monde de fous – je dirais un monde capitaliste décadent rendu au bout de son destin et que le grand capital ne sait pas mieux faire que de tenter de le faire perdurer. Il faut l’abolir. ndlr [NdNM : le « grand capital » se partage facilement la vedette avec le communisme en ce qui concerne les conséquences négatives sur la vie humaine et planétaire. Plusieurs dizaines de millions de personnes ont été victimes de génocides sous des régimes communistes. Mao Zedong, Joseph Staline et Pol Pot sont parmi les principaux assassins.])

Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?

À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.

Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun grand média mainstream n’apporte de contradiction ou ne remettent en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?

N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?

Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fous.

Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque. Et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.

Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux, car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir, sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.

D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.

Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : 

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Nous y sommes non ?  (NON nous n’y sommes pas – dans l’énoncé précédent il est stipulé que les esclaves consomment et se divertissent – mais de fait, le confinement appauvrit tout le monde – tuent les pauvres et paupérises les petits-bourgeois. Le grand capital creuse sa tombe parmi les prolétaires enragés. Voilà ce qui nous oppose aux conspirationnistes qui croient que la game is over! ndlr [NdNM : capitalisme et communisme sont les deux idéologies majeures — et systèmes — sur lesquelles s’appuient les élites mondiales pour construire leur Nouvel Ordre Mondial qui en fait la synthèse. S’imaginer que l’un vaut mieux que l’autre est probablement illusoire.]).

Les gouvernements ne  font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.

Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.

En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.

Ils nous rendent malade de stress et d’anxiété

Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons. Ce qui amplifie nos angoisses et notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».

Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, telles que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), https://les7duquebec.net/archives/253109  pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc.) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.

Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs États du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.

Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.

L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.

Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, c’est tous les repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une position d’extrême vulnérabilité voire même de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.

Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.

Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.

Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.

Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ?

Il est vrai que c’est effrayant, mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car elles dépendent elles aussi d’autres structures pour les financer.

Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes et des hommes de paille.

Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.

Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.

Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche, que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.

Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien.

Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.

Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.

Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.

La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé, entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.

On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.

C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.

La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.

La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien être de l’humanité et de la nature.

A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à la pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.

Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. (Un autre point qui nous différentie des complotistes. Nous ne faisons aucune confiance à l’État et à ses institutions corrompues et à ses ONG stipendiées et nous n’endossons aucune pétition ou appel à la « justice » des riches.  Ainsi, les laboratoires militaires P4 sont ceux-là même qui ont exfiltré et échappé ce SRAS Cov-2. Ces  45 laboratoires de guerre doivent être détruits. Seule la révolution nous permettra d’imposer cette sentence sans appel. ndlr).

Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.

Amar


Note du Saker Francophone

En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.

Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.



Didier Raoult défend les réseaux sociaux et s’attaque aux «médias traditionnels»

[Source : RT France]

[Photo d’entête : © Martin BUREAU Source: AFP]

Le charismatique infectiologue de Marseille a réitéré ses piques contre les «médias traditionnels», tels que Le Monde. Il a notamment déclaré que «la plupart du temps, les informations sont de meilleure qualité sur YouTube que sur les médias».

Dans une interview teintée de complaisance sur i24News – notamment accompagnée d’un bandeau mentionnant «Didier Raoult : un visionnaire» –, le microbiologiste est revenu sur le traitement médiatique dont il fait l’objet, critiqué par les uns, adulé par les autres. «Je suis désolé pour les médias traditionnels, mais je pense qu’ils sont en train de rentrer en conflit frontal avec les réseaux sociaux, YouTube par exemple, comme chaînes d’informations», a déclaré en préambule le promoteur du protocole à base d’hydroxychloroquine. «Je dois dire que, la plupart du temps, les informations sont de meilleure qualité sur YouTube que sur les médias», a-t-il asséné.

« Si, sur un podcast, j’ai trois fois la notoriété du journal Le Monde, je comprends que le journal Le Monde n’aime pas »

Dans une longue tirade, le professeur estime par ailleurs qu’«il y a une révolution à faire» avec «une mise en danger des médias traditionnels, qui se traduit aussi par beaucoup de violence». «Si, sur un podcast, j’ai trois fois la notoriété du journal Le Monde, je comprends que le journal Le Monde n’aime pas», argumente-t-il, pointant du doigt le quotidien du soir non sans arrière-pensée. Le Monde a par exemple publié un article où il est considéré que Didier Raoult est «devenu une figure centrale des théories complotistes».

« Les médias traditionnels ne relaient pas plus d’informations exactes que les réseaux sociaux »

«Moi, ça ne me coûte rien [de faire un podcast], cela ne m’apporte rien et donc je deviens un rival incontrôlable dans l’information», poursuit-il. Le médecin appelle ainsi les médias à se saisir des enjeux liés à l’information, estimant qu’«on est dans un tournant historique dans la distribution de l’information». «On ne peut pas ignorer cette évolution absolument considérable et le rôle que prennent les réseaux sociaux dans l’information.

« Donc, on voit que les médias traditionnels, souvent – et cela m’est arrivé – identifient comme des «fake news», des news qui ne sont pas relayées par des médias traditionnels. Mais les médias traditionnels ne relaient pas plus d’informations exactes que les réseaux sociaux »,

conclut-il.

Une analyse clivante qui ne manquera pas d’ajouter une nouvelle coloration au trublion marseillais révélé médiatiquement à l’occasion de la pandémie de Covid-19.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/75134-didier-raoult-defend-reseaux-sociaux-attaque-aux-medias-traditionnels




Martine Wonner (exclue de LREM en mai, car contre le confinement) : “Le masque ne sert strictement à rien”

[Sources : Sylvano Trotta et Planetes 360]

Cette Nuit [du 2 au 3 octobre], l’Assemblée Nationale quasi déserte (que fait votre député ?) a voté la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 1er avril ! Seuls 17 députés s’y sont opposés !!!

Réanimatrice & médecin psychiatre, Martine Wonner explique clairement la situation COVID19 aujourd’hui avec des FAITS. En plus, elle ajoute que le CDC (santé USA) s’est excusé pour s’être trompé sur l’Hydroxychloroquine et qu’une étude du CDC confirme qu’il n’y a pas d’évidence pour le port de masque. [Source en anglais : https://www.politico.com/news/2020/09/21/cdc-coronavirus-spread-airborne-419363]

https://youtu.be/Hpk6PFtU2Tc