Exemple d’action antivax contre-productive : Covid-19 — Un centre de vaccination vandalisé et 500 doses détruites près de Toulouse

[Source : ouest-france.fr]

Dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 août, un centre de vaccination a été vandalisé à Saint-Orens-de-Gameville (Haute-Garonne), près de Toulouse. Des doses de vaccins contre le Covid-19 ont été détruites.

[Ndlr : c’est une action contre-productive de la part de personnes antivax, mais qui peut être un « faux drapeau » très utile pour le gouvernement, puisque cela peut ensuite faciliter l’accusation de terrorisme domestique contre les personnes hostiles à la vaccination.]

Un centre de vaccination contre le Covid-19 situé près de Toulouse a été vandalisé dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 août. 500 doses de vaccins ont été détruites.

Aucune inscription ou revendication n’a été observée sur place, a indiqué à l’AFP la maire de Saint-Orens-de-Gameville (Haute-Garonne), Dominique Faure.

« Il s’agit de vandalisme classique : des tables et des chaises ont été cassées ainsi que deux écrans d’ordinateurs », a-t-elle précisé, ajoutant que le système d’alarme dont est dotée la salle associative transformée en centre de vaccination n’avait pas fonctionné.

Cinq cent doses de vaccin ont également été détruites sur place, selon une source proche de l’enquête.

Une plainte déposée par la mairie

Une plainte a été déposée par la mairie de la commune. L’enquête est confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Toulouse et à la brigade des recherches de Villefranche-de-Lauragais, a indiqué à l’AFP le parquet de Toulouse.

Lire la suite : ici.




Ce matin, des citoyens ont forcé le dispositif du Pass Sanitaire pour rentrer dans l’hôpital de Pau (France)

[Source : businessbourse.com]






C’est une extermination que ces félons sont en train de réaliser

[Source : ripostelaique.com]

Par Victor Hallidée

Sus aux pollueurs occidentaux !

Tous doivent disparaître !

Israël est sur l’avant-scène sacrificielle. Ses dirigeants mondialistes montrent l’exemple au monde occidental. Tout doit disparaître !

Il ne leur suffit pas d’avoir traité comme des cobayes 80% de leur population en lui injectant un produit expérimental aux résultats calamiteux, il faut qu’ils étendent maintenant leur nuisance mortelle aux tout-petits, les enfants de 3 ans !

Quand des dirigeants en arrivent là, à faire de la propagande séductrice, à  susurrer des promesses de lendemains qui chantent, offrir des privilèges,  des friandises (glaces, MacDo, entrées gratuites en boîte, etc…) et à menacer si la carotte  ne marche pas assez bien…

Tout ceci pour pousser toute une population à se faire injecter un produit des plus douteux, qui n’a subi aucun contrôle réglementaire notamment sur les moyen et long terme, c’est qu’il y a un loup, un gros danger quelque part.

Ceci se vérifie aisément quand même les labos qui fabriquent ce produit n’en garantissent ni l’efficacité  ni l’innocuité. Et quand par contrat ils refusent d’assumer la responsabilité des effets secondaires de leurs produits. Très graves en l’occurrence.

Et tout ceci pour une pandémie dont le taux de mortalité est identique à  celui de la grippe annuelle.

Une maladie qui se soigne très bien,  avec des produits sûrs…

Si les médicaments, connus et éprouvés depuis des dizaines d’années, n’avaient pas été mystérieusement retirés du marché, si les médecins étaient libres de les prescrire comme ils l’étaient auparavant. Avant que l’État ne leur passe la camisole et la muselière.

Tout ceci pour conduire à une seule “solution” :  inoculer un produit expérimental aux masses… un produit qui occasionne un taux de mortalité et des risques ahurissants, du jamais vu : déjà, en quelques mois, bien plus de morts qu’en 30 ans de politique vaccinale…

Alors qu’auparavant si les essais pharmacologiques in vivo occasionnaient entre 25 et 50 morts, on stoppait net les essais cliniques.

Mais là  non ! Les morts post injection se comptent par milliers mais on continue de plus belle !

Déjà des dizaines de milliers de morts. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg disent les spécialistes…. Le pire étant probablement à venir.

Mais sans doute est-il prévu par les félons qui gouvernent que les morts qui adviendront plus tard suite aux “vaccins” seront attribuées aux variants et les non vaccinés désignés comme les transmetteurs et coupables.

Malgré toutes les preuves – notamment la déclaration  explicite de Véran devant le conseil d’État –  que ces injections fragilisent ceux qui les ont reçues et ne protègent personne. Ni l’injecté ni ceux alentours.

L’inouï est que malgré tous ces morts et graves effets secondaires,  malgré que les plus grands scientifiques mondiaux demandent la suspension de cette scandaleuse expérimentation pseudo-vaccinale de masse, malgré qu’ils mettent en garde contre la dangerosité de ces produits…

Les dirigeants de presque tous les pays occidentaux font la sourde oreille, continuent de plus belle leur propagande mensongère, leurs menaces et intimidations. Toujours plus pressés  d’étendre l’amplitude des injections.

Leur seul souci manifeste est que personne n’échappe aux mailles de leur filet. Que personne ne soit épargné. Le tour des enfants arrive !

De toute évidence, les intentions des dirigeants politiques sont criminelles, génocidaires. C’est une extermination de masse que ces félons sont en train de réaliser.

Allons-nous les laisser nous exterminer, tuer nos enfants ?

REFUSONS D’OBTEMPÉRER !

UNISSONS-NOUS !

RÉVOLTONS-NOUS !

C’EST UNE AFFAIRE DE VIE  OU DE MORT !

Victor Hallidée 




Le confinement a créé 1 million de nouveaux alcooliques en Angleterre

[Source : Divulgation.fr]

Les données officielles montrent que le confinement de l’Angleterre a entraîné la dépendance à l’alcool d’un million de personnes supplémentaires depuis le début de la plandémie.

Avant le début de la pandémie, les sondages gouvernementaux indiquaient qu’il y avait environ 1,5 million d’alcooliques dans le pays, c’est-à-dire des personnes qui buvaient au moins 50 unités par semaine.

« Mais ce chiffre est passé à un peu moins de 2,5 millions cet été, ce que les experts ont imputé au cycle sans fin des restrictions liées à la lutte contre le virus », rapporte le Daily Mail.

Selon le Dr Tony Rao, expert en abus d’alcool au King’s College de Londres, « l’impact de la pandémie de Covid sur la consommation d’alcool a été dévastateur. Les dernières données, associées au nombre le plus élevé de décès liés à l’alcool jamais enregistré, constituent un avertissement sévère pour le gouvernement. »

Les associations de lutte contre l’alcoolisme mettent en garde contre une crise « qui se produit maintenant » après que Public Health England a révélé que « les décès directement causés par l’alcool ont grimpé en flèche de 20 % au cours de la première année de la pandémie. »

Comme nous l’avons souligné précédemment, le développement cognitif des jeunes enfants pendant le confinement a également été gravement altéré en raison du manque d’interaction humaine et des mandats de masquage.

L’impact réel des confinements sur la santé et le bien-être des jeunes et des moins jeunes ne sera connu que dans plusieurs années.

Cependant, les études déjà entreprises sur les ravages qu’ils provoqueront font froid dans le dos.

Un consortium d’analystes de données d’Afrique du Sud a conclu que les conséquences économiques du confinement du pays entraîneraient 29 fois plus de décès que le coronavirus lui-même.

Comme nous l’avons déjà signalé, des universitaires de Duke, Harvard et Johns Hopkins ont conclu qu’il pourrait y avoir environ un million de décès supplémentaires au cours des deux prochaines décennies à la suite des confinements.

En juin, Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l’université de Stanford, a averti que dans les années à venir, les confinements seront considérés comme la politique la plus catastrophique de « toute l’histoire ».

Source : https://www.zerohedge.com/medical/lockdown-created-1-million-new-alcoholics-england

Traduction : https://www.divulgation.fr/




Comment échapper à la suspension sans salaire dans la fonction publique ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par Éric Verhaeghe

La suspension sans salaire est-elle inévitable dans la fonction publique, pour les membres des professions soumises à l’obligation vaccinale qui refusent de se vacciner ? Nous proposons ici une lecture alternative des textes en vigueur depuis le 5 août 2021 : de notre point de vue, une réaction juridique vigoureuse est possible pour limiter les dégâts et éviter une catastrophe financière complète pour ceux qui souhaiteraient ne pas être vaccinés. Voici un rapide mode d’emploi.

https://youtu.be/BcT0lv0hpBs

La suspension sans salaire dans la fonction publique est une sanction très lourde et… telle qu’elle est présentée par la loi du 5 août 2021, elle a toutes les apparences d’une disposition inconstitutionnelle et contraire à la Charte Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme. 

Suspension sans salaire et sanction disciplinaire

Rappelons en effet que suspendre un fonctionnaire en lui ôtant son salaire est une sanction disciplinaire et, en soi, il s’agit de l’une des pires sanctions imaginables, puisqu’elle revient à priver la personne de tout revenu du jour au lendemain. 

Or… une sanction disciplinaire obéit dans des règles, en particulier au principe du contradictoire : toute personne sanctionnée doit pouvoir présenter ses arguments, sa “défense”, à l’autorité qui la sanctionne. Dans la fonction publique, ce principe du contradictoire passe forcément par une commission paritaire où des représentants élus du personnel doivent pouvoir défendre les impétrants. 

Assez curieusement, la loi du 5 août 2021 n’a prévu aucun de ces dispositifs. Elle réserve un pouvoir unilatéral à l’employeur sans “contradictoire”. 

Une procédure inconstitutionnelle selon les Sages

Pour mémoire, le Conseil Constitutionnel a rappelé le 10 mai 2019 que le respect du contradictoire, aussi appelé les “garanties disciplinaires”, était une obligation constitutionnelle, tirée de l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC). Cette jurisprudence récente sanctionnait une disposition applicable à l’administration pénitentiaire, qui prévoyait que certaines sanctions pouvaient être prises de façon unilatérale. 

On s’amusera de voir le Conseil Constitutionnel changer à ce point d’avis en deux ans à peine…

Une procédure inconventionnelle

Mais le bloc de constitutionnalité français n’est pas le seul corpus qui fait planer de nombreux doutes sur la suspension unilatérale sans traitement. La Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), dans son article 6, prévoit également un droit au procès équitable. Le guide d’application de cet article 6 rappelle que ce droit s’applique aux sanctions prises contre des fonctionnaires. 

La loi du 5 août 2021 paraît totalement contraire à cette convention…

Référé-suspension et inconventionnalité

S’il est peu probable qu’un tribunal administratif contrevienne à la validation de la loi par le Conseil Constitutionnel (même si le Conseil Constitutionnel disait, il y a deux ans, le contraire de ce qu’il dit aujourd’hui), il y a de fortes chances pour qu’un tribunal administratif se montre plus réceptif à la violation de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Nous vous recommandons donc, si vous faites l’objet d’une suspension dans le cadre de la loi du 5 août, de lancer un “référé-suspension” auprès du tribunal administratif compétent, pour demander la levée de la mesure d’interruption du salaire. 

Vous pouvez arguer, dans ce référé, de la violation de l’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, puisque vous êtes sanctionné sans procédure contradictoire. Dans ce cadre, nous vous recommandons d’exiger le maintien de votre salaire en attendant que la situation se résolve. Une suspension conservatoire avec maintien du salaire n’est en effet pas une sanction… et ne suppose pas de principe du contradictoire. 




Preuves que le pass sanitaire et les vaccins COVID étaient prévu depuis 2019. Attali en parlait même en…1979 !

[Source : Divulgation.fr]

Par Angel

Avant même que l’OMS ne parle de pandémie, en date seulement du 11 Mars 2020, nous avons découvert des documents dont la plupart ont déjà été publiés, mais visiblement oubliés, ou passés en catimini.

Le pass sanitaire décidé pour l’Europe le 12 septembre 2019

Lors d’un sommet avec les chefs d’États et l’OMS, il est sorti un rapport sous PDF, une feuille de route, dans lequel il est indiqué le désir de l’union européenne d’instaurer une « carte de vaccination européenne », et pour 2022, ils l’appellent carrément « passeport sanitaire ».

Lien du rapport :
https://ec.europa.eu/health/sites/default/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf

Et l’AFP et LCI se contredisent totalement pendant ce temps, quant à ce PDF de la commission européenne qui a été assez partagé à l’époque mais oublié depuis. Ils ne s’attendaient tellement pas à cette réaction des peuples, pas si dupes, qu’ils tentent de le justifier par plusieurs moyens en se prenant les pieds dans le tapis.

C’est assez drôle de les voir se perdre dans leurs mensonges et manquer de coordination.
Source :
https://www.lci.fr/sante/oui-la-commission-europeenne-reflechit-a-un-passeport-vaccinal-et-cela-fait-plusieurs-annees-2175528.html

Mais attendez, vous n’êtes pas au bout de vos surprises. Le journal « Le Monde », en Décembre 2019 officialisait déjà l’instauration d’un passeport sanitaire en phase de test, en Afrique, subventionné par Bill Gates, comme par hasard.

Source :
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/19/le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau_6023461_3212.html

Et si cela ne vous suffisait pas, la firme ModernaTX, qui comme Pfizer a développé un vaccin à ARNm toujours en phase de test dont l’efficacité n’est pas prouvée tout comme la balance bénéfices/risques, et les effets secondaires très présents, a publié un document passé inaperçu concernant le développement d’un vaccin à ARN messager contre le coronavirus, 4 mois avant la déclaration de pandémie par l’OMS:

Source.
Regardez la dernière phrase :
« Vaccin à ARNm coronavirus développé par le NIAID et Moderna », page 105
Source
Daté du 12 Décembre 2019 comme marqué ci dessus, page 107

La manipulation est de plus en plus avérée dans la tête des gens, le réveil est en marche et ils ne pourrons plus berner les peuples aussi longtemps qu’ils le désirent. Ils pensaient instaurer le pass sanitaire dans une suite logique de leur plan dictatorial, mais les européens en ont décidé autrement.

Tout est résumé dans cette interview de Philippe de Villiers, à partir de la 31è minute. Il développe tout ce que l’on vient de démontrer, en allant plus loin, expliquant que la prochaine étape est le crédit social si on laisse faire.

https://youtu.be/LsntxWX9bX8

Cadeau en bonus, une internaute qui filme en direct des affiches parlant du pass sanitaire placardées dans les rues, avec comme date d’impression…Janvier 2020. Soi disant une faute de frappe, selon la réponse du premier ministre. Ça fait beaucoup tout de même non ?

https://twitter.com/GaumontRene/status/1422891981320097800

Attali en 1979 évoquait le pass sanitaire pour aujourd’hui

Édifiant, tout simplement.



Quand tout ce paragraphe mortifère & liberticide de l’histoire de l’humanité sera fini, ne revenons pas à 2018. Bâtissons ensemble un système alternatif, respectueux et durable, car si nous revenons à la matrice, ils voudrons toujours et encore nous asservir.

Victoire de la lumière.




Pass sanitaire et vaccination obligatoire : la stratégie diabolique de Macron

[Source : E&R via ZEjournal]

C’est un fait que les vaccinés – simple, double ou triple (avec le « rappel » Bourla) – se sont fait avoir : ils pensaient être libres après leur injection, ils sont ferrés dans un lieu sinistre qui se referme derrière eux. Maintenant, il faut un pass pour avoir une vie prétendument normale, alors que tout est anormal avec un passeport intérieur, qui en outre flique le citoyen du matin au soir. Le premier pas vers l’acceptation de la non-liberté a été fait, le retour en arrière sera beaucoup plus dur. Heureusement, grâce aux non-vaccinés et aux anti-pass, il reste un espoir. Les citoyens encore libres attendent donc la dégradation de la situation pour que les prisonniers réalisent leur erreur, et tendent la main aux hommes libres. Cela viendra.

En attendant, une nouvelle, ou plutôt une fuite organisée a retenu notre attention, et elle révèle bien des choses sur la stratégie de ce président maléfique. Si l’on considère que Macron est un simple président de la République, un petit banquier de chez Rothschild, forcément néolibéral, progressiste et malin, on ne peut pas tout comprendre à la situation actuelle.

Si l’on ajoute qu’il se prend pour l’antéchrist, pour le fils du Diable, alors les choses deviennent plus claires. Ce n’est pas de gaieté de cœur qu’on utilise les termes du registre diabolique pour qualifier Macron et sa stratégie, c’est parce que les points de concordance sont multiples : le tableau de l’Élysée, la Bête de l’événement, le séparatisme forcené (la joie sadique d’être le Grand Diviseur), la destruction de Notre-Dame, les prêtres assassinés… Là on n’est plus dans un film de série B, mais bien dans le réel, un réel dont la structure cachée affleure.

[Voir aussi : Le pass sanitaire bientôt retiré selon Martin Blachier?]

Ceci étant dit, passons à la « fuite » du château du prince des ténèbres françaises, puisque les Français vivent actuellement dans des ténèbres, organisées par celui qui éteint une à une toutes les lumières.

Donc Blachier, que l’on a surnommé la girouette du palais, et qui aurait l’oreille du Petit Dictateur, diffuse la rumeur selon laquelle le pass serait bientôt retiré. Le pass, c’est tout simplement l’outil de coercition pour les résistants à l’ordre macronien, ou au Nouvel Ordre mondial, celui des mondialistes ennemis de l’humanité. Ils l’ont prouvé à maintes reprises, même s’ils cachent leur projet diabolique derrière un humanisme qui n’est que de mots.

Alors pourquoi envoyer Blachier annoncer très officieusement que le pass va disparaître ? D’abord pour faire baisser la tension dans la rue, qui ne fait qu’enfler, chaque samedi, malgré les scores de mobilisation grotesques annoncés par l’Intérieur, et repris servilement, sans aucun travail de vérification, par les médias mainstream. On sait qu’ils n’ont pas le choix : ils sont soit en faillite, soit en chute libre.

Mais l’astuce du fils du Diable va plus loin : en jouant avec le chaud et le froid, au Blachier et au Véran, il entretient la confusion dans l’esprit des Français, qui sont totalement désorientés. Or, l’objectif est justement la désorientation, pour emmener le troupeau à l’abattoir. La désorientation de l’ennemi est un élément important de victoire dans une guerre, et Macron, la recrue des mondialistes, a lancé une guerre contre le peuple de France.

Mais pourquoi les mondialistes en veulent autant à la France ? Digression.

Les mondialistes veulent, pour être le seul modèle, la seule possibilité, que la France, ce pays des arts, de la culture, de l’amour et des libertés, ne soit plus un modèle pour le monde entier. En clair, qu’elle soit détestée. C’est pourquoi les Attaliens nous infligent et nous injectent des gens qui ont été élevés dans la haine de notre pays. Ils veulent détruire la douceur de vivre française, ce modèle qui ne cadre pas avec la dette, le mensonge, le mercantilisme et le Diable. Ils veulent que l’humanité déteste la France, que le modèle mercantile évince le modèle épicurien pour devenir le seul sur le marché, et que le Marché domine tout. Que le désintéressement et les relations gratuites soient éradiquées, que la famille explose, que le couple disparaisse, que l’Amour s’efface devant la Consommation.

Ils s’en prennent, grâce à leur infiltré au poste de président, à l’âme de notre nation, à notre esprit de résistance (pléonasme), et tous les vices sont utilisés dans ce but ignoble. Aujourd’hui, par exemple, pour détruire le moral des parents, ils veulent vacciner les enfants, jusqu’aux bébés ! Une presse indigne prête ses pages à ce projet littéralement maléfique :

« Dans une interview donnée à Nice Matin Philippe Babe, chef du service adjoint des urgences pédiatriques de l’hôpital Lenval de Nice, s’inquiète de la croissance du nombre d’hospitalisations de nourrissons.
Dix bébés de moins de trois mois ont été hospitalisés en deux semaines, phénomène qui n’était pas du tout observé pendant les vagues précédents. Les nourrissons souffrent de fièvre et présentent des symptômes fébriles et ont en commun d’avoir un des parents, parfois les deux qui sont positifs au Covid-19 et la plupart du temps non-vaccinés, explique le médecin dans les colonnes du quotidien régional ». (20 Minutes)

La carotte, et le bâton, c’est la sempiternelle stratégie des dominants. La carotte, c’est Blachier, le bâton, c’est Véran, ou Attal, au choix.

Voici d’abord le fil Twitter de Véran sur la Martinique, en date du 12 août 2021, à 9h17 PM (21h17). Accrochez-vous bien, et ne manquez pas la pointe finale, qui n’est pas de Véran…

« Je viens en Martinique pour dire les choses. La vague de covid qui frappe les Antilles est la conséquence d’une vaccination trop faible. Elle fait des milliers de malades, des dizaines de morts par jour et met en tension le système sanitaire. Mes pensées vont vers les familles.

Pour faire face, des centaines de médecins et soignants ont pris un vol avant-hier depuis Paris pour sauver des vies après mon appel à la mobilisation. Je leur dis mon admiration et ma reconnaissance. Nous organisons déjà les prochains renforts depuis la métropole.

Pour faire face, nous renforçons les hôpitaux Antillais en oxygène, en traitements de pointe comme les anticorps monoclonaux, en matériels de protection, en lits d’hôpitaux. Nous organisons des évacuations sanitaires vers la métropole.

La situation sanitaire, je le dis et pèse mes mots, est sans commune mesure avec ce que j’ai pu voir jusqu’ici. La virulence des variants, la puissance de l’épidémie, les jeunes patients sont une réalité que chacun doit regarder en face. Avec courage, sang froid et détermination.

Je le dis, sans provocation, mais avec ma conviction de médecin, et de ministre. Le retard pris par la vaccination ne peut plus durer. C’est une affaire trop grave pour que nous ne réussissions pas à protéger au plus vite la population.

Il y a ici des vaccins pour tout le monde, les mêmes qu’en métropole et que dans la plupart des pays occidentaux. Efficaces, sûrs, ils sauvent des vies partout, en quantité.

85 % des médecins de l’hôpital de Fort-de-France sont vaccinés. Faites leur confiance, plutôt qu’à ceux qui sèment la peur et la discorde en espérant y récolter un peu de célébrité ou de pouvoir. Le konseye pa le peye.

L’hôpital est rempli de malades qui avaient peur du vaccin au lieu d’avoir peur du virus. C’est insupportable, parce que c’est évitable. Nous ne baisserons jamais les bras, nous tiendrons, ensemble. Kimbé rèd ! »

Doc / Prof. Laurent Thines @LaurentThines

•Bon Olivier – OK, tu as en partie raison… Mais pour l’autre partie, tu te fous un peu du monde…non ? Tu as vu la gueule du système sanitaire aux Antilles, bon sang ?

Et pendant que Véran joue de la psychose (un pipeau) en Martinique, Attal en joue en métropole.

Attal nous menace d’un nouveau confinement, parce que nous ne serions pas assez vaccinés (alors que le virus se fout objectivement du vaccin) :

« C’est un motif d’espoir quand même sur le fait qu’on n’ait pas à reprendre des mesures comme celles malheureusement qu’on prend aux Antilles pasque la vaccination n’est pas au rendez-vous. Maintenant je peux pas l’exclure par principe, mais plus on continuera à se faire vacciner, plus les Français iront se faire vacciner, plus on mettra derrière nous le risque d’avoir à reprendre des mesures très dures de confinement ».

https://www.youtube.com/embed/Jh2hYCqGZPM

Le message, ou plutôt les messages, sont clairs : la rue est en train de monter une barricade contre les délires du Petit Dictateur, qui tente de faire baisser la tension avec la fuite d’une fausse promesse d’assouplissement sur l’Ausweis. De l’autre côté, via le porte-parole de Pfizer – le stagiaire Attal –, le pouvoir maintient la pression et formule un nouveau chantage au confinement, qui serait la faute des non-vaccinés, histoire de bien fracturer le pays entre vax et antivax.

La dernière pierre de cette stratégie scélérate est apportée par France Inter, qui ne trouve rien à redire à la vaccination des enfants :

« Il y a fort à parier que le sujet de la vaccination des moins de 12 ans va se poser à la rentrée prochaine. Avec la grande contagiosité du variant delta, le retour à l’école pose question, et les autorités, comme les médecins y réfléchissent ».

Il faut oser, en trois lignes, balancer autant de désinformation, et de désinformation dangereuse. Le sujet ne va pas « se poser » tout seul, comme par enchantement, c’est le pouvoir politique qui le pose, et l’impose.
La « contagiosité du variant delta » n’a rien à voir avec une dangerosité, et ce n’est pas parce que la Martinique a un système hospitalier défaillant (par volonté politique centrale) qu’il faut imaginer un tsunami de morts.
Enfin, on aimerait que les parents soient associés à la fameuse réflexion entre les « autorités », qui n’en ont plus beaucoup, et les « médecins », qui se prêtent à cette politique immonde. Nous qui pensions que les médecins étaient faits pour soigner… Heureusement, il en reste !

Pour bien comprendre ce qu’est la désinformation à la sauce France Inter, voici le premier paragraphe de sa propagande nauséabonde, sachant qu’en période de fortes chaleurs, et donc de pollution atmosphérique dans les villes, les bébés, comme les octogénaires, ont toujours souffert :

« Un virus plus contagieux, c’est un virus plus contagieux pour tout le monde, et donc aussi pour les enfants, et même les nouveau-nés. On l’a vu la semaine dernière avec cette alerte lancée par l’hôpital pédiatrique Lenval à Nice : une dizaine de bébés de moins d’un mois ont été hospitalisés ces derniers jours, dans un contexte de forte incidence épidémique (taux d’incidence supérieur à 600) pour cause de covid. Ils avaient de la fièvre (autour de 39°) et des problèmes gastriques. Rien de gravissime mais leur très jeune âge a justifié une hospitalisation de quelques jours. Leurs parents n’étaient pas vaccinés ».




Quand le Dr Tess Lawrie en appelle au sursaut de tous les médecins du monde

[Source : AIMSIB]

par Nicolas Moreux

Son message résonne comme celui d’une résistante qui a décidé le 25 avril 2021 que la tyrannie galopante, imposée par l’industrie pharmaceutique et soutenue par tout un système, a assez duré.  Que d’émotion, de colère, de tristesse mais aussi d’espoir, en voici la traduction française. L’AIMSIB accueille officiellement Nicolas Moreux, passionné par l’éthique et curieux de ce qui se fait dans le monde y compris chez l’Oncle Sam, au sein de ses rédacteurs. Médecins de tous les pays, chercheurs, journalistes généralistes ou spécialisés, politiciens, membres d’organisations de santé locales et internationales, salariés de l’industrie pharmaceutique et des réseaux sociaux, avocats et juristes, citoyens : le moment d’agir arrive. Cet article arrive pile à l’heure pour réjouir le Dr Antony Fauci puisque l’ivermectine répond parfaitement au cahier des charges qu’il détaillait le 5 août… Bonne lecture.

L’appel de Tess Lawrie

Quelques réflexions sur l’Evidence Based Medicine – EBM

Traduit de l’anglais par NM

« Avant que nous ne terminions cette journée, je souhaitais partager avec vous quelques réflexions sur l’Ivermectine et l’état de la situation concernant l’Evidence Based Medicine.
En tant que scientifique dont la mission était de fournir les preuves basées sur les principes de l’Evidence Based Medicine, j’ai constaté que l’approche hiérarchique, avec les revues systématiques et les méta-analyses positionnées au sommet de la pyramide et les opinions d’experts et de scientifiques tout en bas n’est plus appropriée. Cela est dû en partie au fait que l’intégrité des revues systématiques et des méta-analyses ont été dégradées petit à petit par les exigences associées aux essais randomisés considérés comme l’étalon or [les présumés « Gold-Standard » qui seraient les seuls valides] des études cliniques.

Ces fameux Grands Essais Cliniques Randomisés en Double Aveugle favorisent l’industrie pharmaceutique. Ils sont devenus si consommateurs en ressources que la production d’un dossier de 70 pages intégrant protocole et synthèse de la recherche requiert des mois de travail d’experts capables de passer toutes les subtilités indispensables en termes de processus et de d’habilitations. Sans compter que chaque essai coûte plusieurs millions de dollars ([souvent plus de 20 millions de dollars]). Toutes ces subtilités dans les éléments attendus jouent le jeu de l’industrie pharmaceutique qui est la seule qui peut financer de telles études.

Les Grands Essais Cliniques pour les médicaments génériques et les traitements non pharmaceutiques qui mériteraient d’être évalués pour un grand nombre de conditions virales et de traitements contre certains cancers sont très rares. En effet, pour être transparent, il n’y a pas d’argent à gagner sur ces derniers et il n’y a pas de financement disponible.

Dans mon expérience de chercheuse sur les nouveaux traitements contre le cancer, il est très fréquent que les découvertes réalisées dans les premières études montrant des bénéfices et ayant conduit à l’Approbation de Mise sur le Marché (AMM) soient contredits par des études complémentaires montrant qu’il n’y a en fait aucun bénéfice.

Cependant, à ce moment-là le médicament dispose déjà de son AMM et la société pharmaceutique a déjà engrangé des milliards.

Pour cette raison, je mets en garde contre le fait de prendre pour argent comptant sans remise en question les données fournies par les sociétés proposant ces nouveaux traitements. Et je suggère très fortement qu’il y ait une évaluation indépendante de ces données.

Cette évaluation ne doit pas être faite par des chercheurs financés avec des moyens quasi-illimités – financements et bourses – de l’industrie pharmaceutique et leurs acolytes parmi les associations financées par des philanthropes ou d’autres formes d’organisations caritatives. Les chercheurs en charge de ces évaluations doivent être indépendants et sans conflits d’intérêts.

Il est temps que nous reconnaissions et questionnions le rôle de l’industrie pharmaceutique et des institutions qui étaient par le passé reconnues pour leur intégrité scientifique, tout comme le rôle des soit-disant Partenariats Public Privé avec ces organisations.

Ils ont facilité la corruption de la science et de notre profession. Ceux qui définissent les protocoles des essais et contrôlent les données contrôlent aussi les résultats. Ainsi, ce système et le rôle de l’industrie – les essais cliniques conduits par l’industrie – doit prendre fin.

Les données des études en cours et futures concernant les traitements du COVID doivent être traitées et analysées de manière indépendante. On ne peut se fier à aucun résultat qui ne serait pas complètement transparent.

Pour ce qui concerne la pyramide de l’Evidence Based Medicine, il est nécessaire de mettre en place une nouvelle approche, une approche intégrée qui remplacera l’approche actuelle hiérarchique.

La pyramide doit, à mon avis, être remplacée par une figure plus appropriée : le cercle. Au centre l’intégralité des données disponibles issues de différentes sources : méta-analyse et analyse systématique des études randomisées représenteraient certaines des sources tout comme les études observationnelles, les données pragmatiques recueillies sur le terrain, les données qualitatives relatant les points de vue et expériences tout comme les opinions des docteurs experts. Ainsi, les décisions cliniques pourraient être prises sur une base bien plus holistique.

Toutes ces données différentes sont critiques pour obtenir une vue d’ensemble et leur intégration a été complètement oubliée dans l’évaluation de toutes les interventions proposées au public au cours de l’année passée. Au lieu de cela, les autorités ont pris ça et là dans la science et identifié des scientifiques pour appuyer leurs processus de décisions. »

Tess Lawrie continue, dans la foulée, sur l’exemple de l’ivermectine

« L’histoire de l’ivermectine a mis en évidence le fait que nous sommes à un point de bascule de l’histoire médicale où la preuve scientifique rigoureuse, notre formation et notre expérience, les outils que nous utilisons pour soigner et nos connexions avec nos patients sont systématiquement discrédités par une désinformation constante et sans pitié alimentée par la cupidité de certaines sociétés.

L’histoire de l’ivermectine montre que nous, le peuple, nous avons eu tort d’avoir une confiance aveugle dans nos institutions et avons sous-estimé le niveau de corruption imposé par l’argent et le pouvoir.

Il semblerait que si nous avions utilisé l’ivermectine en 2020, quand nos collègues médecins à travers le monde ont d’abord alerté les autorités de son efficacité, des millions de vies auraient potentiellement pu être épargnées et cette pandémie avec toutes ses souffrances et dégâts collatéraux aurait été freinée plus rapidement.

Depuis, des centaines de millions de personnes ont été impliquées dans la plus grande expérience médicale jamais réalisée par l’industrie : vaccination de masse avec une thérapie nouvelle et non éprouvée. Des centaines de milliards seront empochés par l’industrie pharmaceutique payés par nous le peuple.

Avec les politiciens et les autres non-médecins qui nous dictent quoi prescrire aux malades, nous, médecins, avons été mis dans une situation telle que notre capacité à respecter notre serment d’Hippocrate est assiégée. A ce point de bascule, nous devons donc choisir si nous devons rester les otages d’organisations corrompues, d’autorités de santé, de l’industrie pharmaceutique tout comme de ces milliardaires sociopathes. Ou bien réussirons nous à tenir notre engagement moral de commencer par ne pas nuire en faisant toujours le mieux pour ceux qui nous confient leur santé.

Cette deuxième option nécessite que nous contactions de manière absolument urgente tous nos collègues à travers le monde pour décider quels sont les médicaments éprouvés et sûrs de la pharmacopée qui peuvent être utilisés contre le COVID en tenant des forums comme celui-ci, libre de tout conflit d’intérêt, et en nous organisant tous ensemble pour résister à la tyrannie médicale qui nous a été imposée tout comme au public depuis un an.

Pour cela, je suggère que nous formions une nouvelle Organisation Mondiale de la Santé, une Organisation de Santé qui représente l’intérêt et la santé du peuple non ceux des entreprises et des milliardaires. Une organisation centrée sur l’optimisation de la santé des humains et de leur potentiel et non sur la contraception et le contrôle de la population. Une organisation centrée sur l’humain.

Et notre rôle de médecin n’a jamais été aussi important parce que jamais par le passé nous n’avons été complices d’engendrer autant de souffrances. J’appelle tous les médecins ici, à regarder leur cœur et à se rappeler leur serment pour que nous puissions avancer unis et avec le plus grand courage pour protéger ceux que nous soignons.

– Merci »

(1 – document en anglais traduit ci-dessus in extenso par NM)

« Qui est Tess Lawrie ? » me direz-vous…

Si ce message se passe de commentaires, vous retrouverez ci-dessous quelques éléments précisant qui est Tess Lawrie et qui vous permettront de mieux comprendre sa démarche, de suivre ses conférences et interventions. Mais Tess Lawrie n’est pas seule. Elle est désormais très investie dans BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et est une intervenante régulière des réunions du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3) dont vous trouverez les activités ci-dessous. Vous trouverez aussi des liens additionnels, des références pour aller plus loin sur les problématiques de la corruption systémique.

Et bien, le mieux est de jeter un œil à son parcours, ses interviews récentes et ses publications :

Titulaire d’un doctorat en médecine, Tess Lawrie a grandi, étudié la médecine et a obtenu son doctorat en Afrique du Sud, où elle a pratiqué la médecine clinique et la chirurgie. Elle est fondatrice et directrice de la société Evidence Based Medical Consultancy (E-Bmc) à Bath, au Royaume-Uni (4). Cette société indépendante travaille au niveau mondial (OMS) et national (NHS au Royaume Uni) pour les assister dans les différentes tâches associées aux études cliniques.

Vous découvrirez particulièrement ses positions et publications via :

  • Son message vidéo accompagnant la lettre ouverte au Premier Ministre du Royaume Uni, Boris Johnson dans lequel elle demande que l’ivermectine puisse être utilisée. (5 – document en anglais, non traduit)
  • Les interviews réalisées récemment pour
    • Réinfo-Covid (6) cette référence semble censurée,
    • France Soir (7 – interview traduite en français),
  • Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast dans laquelle elle détaille la méta-analyse qui vient d’être publiée sur l’ivermectine en prophylaxie et en traitement. Elle s’y indigne aussi de la différence de traitement scientifique, médiatique et politique entre les vaccins contre le COVID et l’ivermectine. Vous retrouverez en particulier (min 18 de l’interview) le moment où elle reprend en direct la méta-analyse est fait la simulation d’exclure l’étude égyptienne controversée… et montre que même en excluant cette étude les résultats de la méta-analyse restent très robustes en faveur de l’utilisation de l’ivermectine (8 – interview en anglais)
  • et ses apparitions régulières dans les réunions hebdomadaires du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (9 – conférences en anglais, non traduites).
  • Sa lettre ouverte à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, dans laquelle elle demande l’arrêt de la vaccination au Royaume Uni et la mise en place de mesures sanitaires pour soutenir les personnes vaccinées présentant des Effets Indésirables Graves (10 – lettre en anglais).
  • Et bien entendu, sa contribution majeure à la méta-analyse sur l’ivermectine publiée très récemment (11 – traduite en français)
  • Vous pouvez bien sûr suivre l’actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et tout particulièrement l’intégralité des vidéos des séminaires en accès gratuit (12 – conférences en anglais). La diversité des intervenants (médecins cliniciens, chercheurs, analystes de données) donne un éclairage sur chaque aspect de la science qui est passé sous silence par la majeure partie des autres médias et de la communauté scientifique.

Pour rappel ou précision pour les plus informés, le samedi 24 juillet était la journée de l’ivermecine. En avez-vous entendu parler ?

« Scoop : Olivier Véran pense que l’ivermectine peut avoir un effet »

Gérard Maudrux, dans son post du 23 juillet 2021, nous fait une synthèse des derniers rebondissements concernant l’ivermectine en France (13).

« Olivier Véran pense que l’ivermectine a une présomption d’efficacité, mais il ne peut le dire. En tous cas, il refuse de dire le contraire.

En mai 2021, 1500 médecins ont fait un recours gracieux auprès du ministre de la Santé, conformément à l’article L.5322-2 du Code de la Santé Publique, pour faire réétudier la décision de l’ANSM, concernant le refus d’une RTU pour l’ivermectine.

Dans ce recours, une question simple et directe était posée au ministre, mais aussi au médecin, interpellé par ses confrères :

« En votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ?  Nous souhaitons une réponse claire à cette question. »

Le Ministre a « botté en touche », ce qui est clairement un aveu : il a refusé d’écrire au-dessus de sa signature qu’il n’y avait pas de présomption d’efficacité de l’ivermectine. S’il le pensait, il lui aurait été très facile de nous envoyer promener, s’appuyant sur les conclusions de ses services, ce qu’il n’a pas fait. Face à l’évidence des faits, il ne pouvait le faire. En ne reprenant pas à son compte ce refus, ses motifs, c’est aussi quelque part clairement un désaveu de la position de l’ANSM, que nous critiquons et qu’il n’a pas repris. »

Pour rappel, le « recours gracieux » vaut, à lui seul, une lecture détaillée des références utilisées par l’ANSM au regard des études disponibles. (14)

Mais, y-a-t-il des exemples de manque de transparence en lien avec l’ivermectine ?

Vous avez découvert le FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3). Parmi les docteurs les plus impliqués dans cette organisation, notons particulièrement les docteurs Paul Marick (le chercheur que l’on voit peu) (15), Pierre Kory (le « diplomate », comme on dirait chez Reinfo-Covid, et qui est venu soutenir la cause de l’ivermectine au Sénat Américain) (16) et Joseph Varon (le « Chasseur de Covid » – « Covid Hunter ») (17).

Le rôle des médias mainstream

Le cas de Joseph Varon est passionnant, il a été interviewé par toutes les chaines américaines locales et nationales de tous les bords politiques (CNN, MSSBC, Fox News,…) mais aussi mondiales : l’avantage avec ce médecin est qu’il parle 9 langues. Il tient son surnom de « Chasseur de Covid » du fait qu’il a travaillé sans relâche 407 jours consécutifs dans son hôpital United Memorial Medical Center de Houston Texas donnant à la date de l’interview qu’il donne ici à Ivory Hecker (18 – en anglais) 1 640 interviews à travers le monde, ayant traité 1 293 patients hospitalisés dont seulement 86 sont décédés soit une mortalité de 6,7%. A chaque interview, il a pu détailler les protocoles pour les patients hospitalisés – MATH+ (19) et en traitement préventif (prophylaxie) – I-MASK (20) (intégrant entre autres l’Ivermectine) développés au sein du groupe du FLCCC qu’il a implémentés et contribué à faire évoluer au fur et à mesure de l’évolution de ses connaissances liées au COVID.

Et pourtant, jamais aucune référence n’a été faite au sujet de ces protocoles dans les 1 640 reportages à l’issue du montage et des coupures éditoriales. Etonnant donc d’encenser un médecin, de le présenter comme un héros sans jamais oser donner la recette de ses résultats : son implication sans relâche bien sûr mais aussi les protocoles de traitement et de prévention.

Ivory Hecker, journaliste de Fox News, a quitté ses fonctions après avoir expliqué comment elle a été « interdite de parole » sur le sujet de l’ivermectine en particulier dans cette courte vidéo (18 – en anglais). La qualité du son est parfois dégradée mais l’interview et les vidéos complémentaires d’Ivory Hecker sont nécessaires car elle fait partie des rares journalistes qui ont osé s’insurger contre l’omerta imposée par les rédactions mondiales. Elle a osé privilégier l’information des citoyens quitte à abandonner le salaire et la situation qui étaient les siens au sein de sa rédaction.

Et en France, quels sont les journaux Mainstream qui sortent de la doxa dont parle Laurent Muchielli (21 – en français) pour donner un éclairage différent ? Combien de « Fact checkers » nous ont ouvert les yeux sur l’origine du Covid avant que Brice Perrier dans son livre « Aux origines du mal » (22) n’apporte des éléments tangibles montrant que le virus se serait peut-être échappé d’un laboratoire ?

Et bien ce sont les mêmes qui, inlassablement, vont apporter les preuves que l’ivermectine n’est pas le remède que l’on veut croire. Une simple revue de presse de la situation en Inde, de son évolution et de la situation actuelle, comparée à l’analyse des données faite par Juan Chamier (23 – en anglais) dans son article de TrialSite News (24 – traduite en français) nous éclaire sur le biais de conformité de la majeure partie des médias.

Pour ce qui est de la France, il est intéressant de voir que les journaux réputés d’opposition, ceux qui sont restés vent debout quand il s’agissait de religion, de terrorisme, ces mêmes journaux sont cruellement absents aujourd’hui. Heureusement quelques aiguillons tentent de réveiller les journalistes par trop apathiques. C’est dur d’être vacciné par des cons… (25) En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax » et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ». Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

Notons, pour la France toujours, que le Club de Mediapart s’est illustré il y a deux semaines en décidant de supprimer le dernier billet de blog de Laurent Muchielli publié au sujet de la pharmaco-vigilance des vaccins COVID et dans lequel l’auteur s’appuyait exclusivement sur les données officielles de pharmaco-vigilance européenne. Le CNRS, au sein duquel travaille le sociologue, a lui aussi pris ses distances avec Laurent Mucchielli à la suite de la publication de ce billet polémique précisant que l’auteur s’exprimait à titre personnel et non en sa qualité de chercheur au CNRS. Cette histoire fait d’ailleurs échos à ce qui est arrivé à notre ami Amine Umlil (fondateur et CTIAP au sein de l’hôpital de Cholet où il est le responsable de la pharmaco-vigilance (26) avec le directeur de l’hôpital de Cholet.

La censure rencontrée dans les médias mainstream se propage ainsi même sur des médias qui permettaient jusqu’à récemment de proposer des points de vue divergents de la pensée monolithique.

Vous retrouverez ici la synthèse de cet article diffusé lors du Conseil Scientifique Indépendant (27), les raisons officielles proposées par la direction de Médiapart (28) ainsi que la réponse de Laurent Muchielli et l’article de Laurent Muchielli republié sur France Soir (29).

Saluons, en tout cas, ceux qui ouvrent la voie et jouent leur rôle d’informer les citoyens.

Le rôle des politiques

Pierre Kory est intervenu devant le Sénat américain le 8 décembre 2020 (30 – interview en anglais) pour faire état des connaissances et pratiques en matière de repositionnement de médicaments et en particulier de l’ivermectine en prévention et en traitement. Après son intervention, et depuis 9 mois désormais, peu de politiciens des Etats Unis ou d’Europe de l’ouest ont soutenu sa démarche. Peu ont contribué à faire connaître et appliquer les traitements précoces et la prévention recommandée.

Il faut aller chercher les hommes et femmes politiques courageux et résolument engagés dans d’autres régions du monde.

Dans de nombreux cas, il aura suffit qu’une figure de proue s’empare du sujet, fasse un discours intégrant l’ivermectine pour que les réactions en chaine se produisent, que les recherches en ligne sur l’ivermectine augmentent, que les ventes d’ivermectine augmentent et que les résultats se fassent sentir dans la chute des nombres de cas, des hospitalisations puis de la baisse de la mortalité.

  • Jorge Ivan Ospina, le maire de Cali en Colombie : son annonce de début juillet 2020 a vu l’opposition du ministre de la santé, de l’organisme de santé Colombien et même du président du pays et bien entendu de l’OMS. Mais ses apparitions répétées dans les médias ont déclenché un pic des ventes d’ivermectine dans de nombreux états du pays, les cas ont atteint un plateau puis ont décliné. L’étude de Juan Chamie sur le sujet montre que la baisse de la mortalité liée au COVID est très significativement corrélée à l’utilisation de l’ivermectine (p-values très proches de 0). (23 – en anglais)
  • Olivia Lopez, la Secrétaire à la Santé pour la ville de Mexico annonce que la ville de Mexico a utilisé l’ivermectine depuis décembre 2020. Le même scénario qu’en Colombie se reproduit à l’identique (23 – en anglais).
  • Gérard Maudrux, dans son billet de blog dur 28 mai 2021 nous décrivait comment les politiciens des Etats indiens de l’Uttar Pradesh, de Uttarakhand et de Dehli ont contribué à faire reculer le Covid par leur volonté politique et malgré l’opposition de l’OMS (31 –  en français). Il est nécessaire de prendre le recul pour mieux comprendre la complexité de la situation, les différences entre Etats, les pressions des organisations de santé nationales et internationales pour aborder le sujet de l’Inde :  c’est ce qui est fait dans cet article de TrialSite News (24 – traduit en français).
  • Au Bangladesh, chercheurs, médecins et politiques, manquant de moyens ont eux aussi opté pour l’ivermectine.
  • En Europe, il faut aller chercher la Slovaquie et la République Tchèque pour trouver des politiques engagés allant à contre-courant de la seule solution vaccinale (23 – en anglais).

Le rôle des médecins

Bien entendu, chaque médecin, chacun d’entre nous a un rôle à jouer dans cette crise. Il ne faut pas attendre la venue d’un messie et de ses apôtres qui, à eux seuls apporteraient la solution. Chaque médecin, qu’il soit membre de l’AIMSIB, du Conseil Scientifique Indépendant, de Réinfocovid, du CTIAP ou de toute autre organisation, ou bien qu’il soit totalement indépendant,… chaque médecin a un rôle à jouer. Il n’est pas trop tard, chers et chères confrères soignants. Manifestez votre engagement, comme ce médecin généraliste qui prend la parole ouvertement en préambule de la manifestation de samedi 14 août 2021 à La Rochelle (32) ou comme d’autres médecins, infirmières et soignants qui, soutenus par la population et les politiques locaux, osent défier les contraintes et parler publiquement.

Médecins, ne laissons pas nos 10 confrères menacés par l’Ordre National des Médecins sans rien faire. Médecins, ne laissons pas nos patients sans traitement. Médecins, ne laissons pas quelque autorité que ce soit nous dicter ce que nous devons prescrire ou non. Soyons les gouttes d’eau qui feront déborder ce vase bien trop plein, Manifestons-nous, élevons la voix, montrons, nous-aussi, la voie à ceux qui préfèrent, pour l’instant encore, rester dans l’anonymat. Publions nos témoignages sur les réseaux sociaux, contactons les médias locaux et nationaux, mobilisons nos confrères.

Les thèmes qui auraient aussi mérité d’être détaillés ici…

Il faudrait aussi ici se poser les questions sur les rôles des scientifiques, des organisations de santé nationales et internationales et tout particulièrement du rôle central de l’Organisation Mondiale de la Santé et des revues scientifiques ce qui fera l’objet d’études complémentaires.

Docteur Fauci, une bonne nouvelle pour vous

Le Docteur Fauci (33) est, depuis 1984, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé et surtout nommé à la Cellule de Crise de l’administration Trump (et prolongé dans ses fonctions sous l’administration Biden) sur le coronavirus (White House Coronavirus Task Force), jouant un rôle de premier plan tant en termes de communication sur le virus qu’en termes de stratégie et de conseil pour le combattre. Il passait un appel sous forme de cahier des charges synthétique pour une molécule permettant la prévention et le traitement précoce du Covid.

L’équipe du FLCCC s’est directement emparée du sujet répondant mot à mot à cet appel montrant point à point que l’Ivermectine est la réponse aux demandes du Docteur Fauci. La vidéo humoristique mérite de faire le tour du monde même pour les non-anglophones. (34 – vidéo en anglais)

Corruption Systémique

Vous trouverez, pour poursuivre la réflexion, trois références sur les problématiques de la corruption systémique dans le domaine de la médecine.

Peter Goetzsche « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé »

Peter Goetzsche faisait un état des lieux dans son livre « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé » de 2013.

Il y aborde, entre autres, les chapitres suivants pour ce qui concerne la corruption et convoque des experts pour mettre en lumière chacun des points :

  • Le crime organisé, modèle d’affaires des grosses compagnies pharmaceutiques
  • 4 Très peu de patients tirent avantages des médicaments qu’ils consomment
  • Les essais cliniques, la rupture du contrat social avec les patients
  • 6 Les conflits d’intérêts dans les périodiques médicaux
  • 7 L’influence corruptrice de l’argent facile
  • 8 A quoi donc s’affairent les milliers de médecins à la solde de l’industrie ?
  • 9 Vendre sous pression
  • 10 L’impuissance de la régulation des médicaments
  • 11 L’accès public aux données des agences du médicament
  • 19 Intimidation, menaces et violences pour protéger les ventes
  • 20 Démolir les mythes de l’industrie
  • 21 La faillite générale du système commande : une révolution

Jean-Dominique Michel

Jean-Dominique Michel et en particulier son intervention du 21 mai 2021 au sein de l’IHU Méditerranée Infection (35 – en français).

Jean-Dominique Michel est aussi un intervenant régulier du Conseil Scientifique indépendant où il aborde fréquement les problèmes d’étique et de corruption systémique.

Les conflits d’intérêts en médecine : le programme de l’IHU

et abordé récemment encore lors des jeudis de l’IHU (36 – en français)

Merci à tous ceux qui seront arrivés jusque là. Rappelez-vous que désormais, c’est vous qui avez un devoir moral. Celui de vous engager concrètement ici et maintenant, celui d’agir, celui de témoigner, celui d’être un membre actif de la société civile, celui de soigner vos patients.

Notes et sources :

(1 – vidéo en anglais) L’appel de Tess Lawrie ; Conclusion du 25 avril 2021 – Deuxième jour de la Première Conférence Internationale de l’ivermectine contre le COVIDhttps://www.palmerfoundation.com.au/dr-tess-lawries-powerful-closing-address-at-the-international-ivermectin-for-covid-conference%E2%80%8B/(2) Actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment)https://bird-group.org/(3) Site du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care)https://covid19criticalcare.com(4) E-mbc : le site de la société créée et dirigée par Tess Lawriehttps://ebmcsquared.org/(5 – en anglais) Sa demande de commencer à sauver des vies avec l’ivermectine au Premier Ministre du Royaume Uni Boris Johnsonhttps://www.healthrising.org/forums/threads/a-letter-to-mr-boris-johnson-from-uk-scientist-dr-tess-lawrie-calling-on-him-to-start-saving-lives-with-ivermectin.6481/(6) Son interview par Jennifer Hibberd pour RéinfoCovidhttps://reinfocovid.fr/base_documentaire/interview-de-la-dr-tess-lawrie-par-la-dr-jennifer-hibberd-sur-livermectine/(7 – en français) France Soir

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-scandale-de-livermectine-tess-lawrie-le-retour
(8 – vidéo en anglais) Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast
https://odysee.com/@BretWeinstein:f/TessLawrie:0
(9 – vidéo en anglais) Tess Lawrie lors de l’une de ses interventions pour le FLCCC
https://covid19criticalcare.com/videos-and-press/
(10) Royaume Uni du 9 juin : lettre à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf
(11) Méta-analyse Ivermectine
https://journals.lww.com/americantherapeutics/abstract/9000/ivermectin_for_prevention_and_treatment_of.98040.aspx
(12 – vidéo en anglais) Les vidéos du premier séminaire mondial sur l’ivermectine
https://bird-group.org/conference-post-event/
(13) Blog de Gérard Maudrux du 23 juillet 2021
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/23/scoop-olivier-veran-pense-que-livermectine-peut-avoir-un-effet/
(14) Blog de Gérard Maudrux du 12 mai 2021 : recours gracieux auprès du ministre
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/
(15) Paul Marik
https://covid19criticalcare.com/?s=marik
(16) Pierre Kory
https://covid19criticalcare.com/?s=Pierre+Kory
(17) Joseph Varon
https://covid19criticalcare.com/?s=varon+joseph
(18 – vidéo en anglais) Ivory Hecker, ancienne journaliste de Fox News, interviewe le « Chasseur de Covid » Joseph Varon
https://www.youtube.com/watch?v=frwkkeH6mwM
(19) MATH+ protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/math-plus-protocol/
(20) I-MASK protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/
(21) Blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog
(22) Brice Perrier interviewé sur Thinker View
https://www.youtube.com/watch?v=1wul4z8pmzU
(23 – vidéo en anglais) Juan Chamie – Analyste de données pour BIRD
https://www.youtube.com/watch?v=jBjULEZWl6c&t=677s
(24) Etat des lieux sur la situation en Inde par Trial Site News
https://trialsitenews.com/the-outbreak-in-india-initial-review-of-the-data/
(25) C’est dur d’être vacciné par des cons

https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/

(26) Lettre ouverte de Amine Umlil CTIAP
http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/08/lettre-ouverte-au-cng-information.html
(27) Laurent Muchielli sur la Pharmaco-vigilance des vaccins COVID lors du CSI de 29 juillet – à partir de la minute 6
https://odysee.com/@ludovicgarcia7500:c/CSI-16-R%C3%A9union-publique-du-Conseil-scientifique-ind%C3%A9pendant:2?
(28) La justification de la Rédaction de Médiapart sur la suppression du billet de blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/040821/notre-sante-face-au-covid-vrais-debats-et-fausses-sciences
(29) Le droit de réponse de Laurent Muchielli et l’article supprimé
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite
(30 – vidéo en anglais) Pierre Kory intervient au sénat américain le 8 décembre 2020 (vidéo à partir de 28 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=k8RyV3VEDKI
(31) Gérard Maudrux dans son blog du 28 mai 2021 fait un état des lieux des 3 principaux états Indiens où l’ivermectine a été utilisée
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/28/inde-covid-et-ivermectine-suite/
(32) Intervention publique de ce médecin de La Rochelle

(33) Que dit wikipédia du Docteur Fauci ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci
(34 – vidéo en anglais) Paul Marick et Pierre Kory ont de quoi rendre le Docteur Fauci heureux : l’ivermectine répond à toutes ses demandes  https://bird-group.org/making-dr-fauci-happy/
(35) Jean-Dominique Michel : La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid
https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0&t=1773s
(36) Les Jeudis de l’IHU – Conflits d’intérêts
https://www.youtube.com/watch?v=ZeSHT87hzC4




Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade

[Source : Sott.net]

Par Dylan Charles — Waking Times

« La psychose collective est une épidémie de folie et elle se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans les illusions. »

Lorsque la plupart des gens entendent le terme de psychose collective, ils pensent que cette psychose s’applique à tout le monde sauf à eux-mêmes. Toutefois, dans la réalité que nous partageons, nous sommes tous fortement influencés par les mêmes forces négatives, qui ont depuis des décennies maintenant attaqué la psyché publique, et sont devenues progressivement plus efficaces grâce à la science et à leur capacité à influencer de manière subtile et discrète le subconscient de nos esprits.

Nous sommes tous les cibles d’une guerre menée dans le but de tuer nos facultés mentales et de les priver de la capacité de s’engager dans une pensée rationnelle et un discours logique et raisonnable.

« On peut répondre à la logique par la logique, mais pas par l’illogisme. L’illogisme désoriente ceux qui pensent clairement. »

Dans ma quête pour comprendre les conséquences sur les populations du conditionnement collectif, de la manipulation mentale et de l’endoctrinement qui suintent du moindre recoin de notre société, j’ai découvert qu’utiliser les mêmes outils que ceux utilisés contre les populations, à savoir la reprogrammation du subconscient, constitue un moyen d’extirper de l’esprit ces influences extérieures.

Dans la situation qui est la nôtre aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les tendances actuelles en matière de médias, de propagande et de censure changent en notre faveur de sitôt. Si nous ne dirigeons pas la lumière de la vérité sur nos propres vies, nous risquons d’être entraînés par le troupeau, de suivre le mouvement juste pour faire partie d’une tribu qui ne fait que nous maintenir dysfonctionnels, effrayés et en mauvaise santé.

La présentation suivante [vidéo en fin d’article – NdT] est très utile pour comprendre, d’un point de vue historique et philosophique, ce qu’est la psychose collective et comment elle se manifeste dans notre monde par les catastrophes sociales et les tragédies les plus dévastatrices.

En tant que coach en maîtrise de soi, j’aide les individus à débusquer les illusions échafaudées au cours de leur vie par leur histoire personnelle et par les influences culturelles qui nous poussent à nous conformer et à participer à la panique. Puisque ces influences veulent nous faire perdre le contact avec la réalité, nous devons donc nous défendre en prenant le contrôle total de nos esprits, de nos corps et de nos comportements.

Le totalitarisme est à notre porte. Il représente la suppression de l’individu. Notre arme dans cette guerre est notre individualité unique, et lorsque l’on acquière pleinement ce potentiel, les forces extérieures qui déchirent cette société ne peuvent tout simplement plus nous dominer et nous entraver. Si vous souhaitez obtenir de l’aide pour comprendre comment ces forces vous poussent à saboter votre propre vie et à ne jamais suivre la voie de la maîtrise de soi, contactez-moi ici. Dans ce contexte insensé de psychose collective, j’aime aider les gens à se rappeler qui ils sont vraiment.

Note du traducteur : Les lecteurs pourront aussi se référer aux articles suivants :

Le contenu de la vidéo — située en fin d’article — est d’une telle importance, qu’il nous a paru évident de mettre à la disposition de nos lecteurs la traduction que voici [après l’image ci-dessous] :

Citation Robert Hare Psychopathie
© Sott.net adapté en français de hare.org


« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des preuves qui ne sont pas à leur goût, préférant déifier l’erreur, si l’erreur les séduit. Celui qui peut leur fournir des illusions est facilement leur maître ; celui qui tente de détruire leurs illusions est toujours leur victime. »

Gustav Le Bon

Selon le psychologue Carl Jung, la plus grande menace pour la civilisation ne réside pas dans les forces de la Nature, ni dans une quelconque maladie physique, mais dans notre incapacité à faire face aux forces de notre propre psyché. Nous sommes nos propres pires ennemis ou, comme le dit un proverbe latin : « l’homme est un loup pour l’homme ».

Note du traducteur : Les forces de la Nature semblent toutefois corrélées et exponentielles à l’état plus ou moins généralisé et profond de cette psychose collective. Voir notre article Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon et l’ouvrage Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique.

Dans son ouvrage Civilization in Transition, Jung affirme que ce proverbe « est une triste mais éternelle lapalissade » et que nos tendances de loup se manifestent surtout aux moments de l’Histoire où la maladie mentale devient dans une société la norme plutôt que l’exception, une situation que Jung a appelée une épidémie psychique :

« En effet, il devient de plus en plus évident que ce n’est pas la famine, ni les tremblements de terre, ni les microbes, ni le cancer, mais l’homme lui-même qui constitue le plus grand danger pour l’homme, pour la simple raison qu’il n’existe aucune protection adéquate contre les épidémies psychiques, qui sont infiniment plus dévastatrices que la pire des catastrophes naturelles. »

Carl Jung, La vie symbolique

Dans cette vidéo, nous allons explorer la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques : la psychose collective. Une psychose collective est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire [ou comme le nomme Ariane Bilheran ou encore Martha Stout, la paranoïa – NdT]. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction.

Deux exemples de psychoses collectives sont les chasses aux sorcières aux États-Unis et en Europe aux XVIe et XVIIe siècles, ainsi que la montée du totalitarisme au XXe siècle. Pendant les chasses aux sorcières, des milliers d’individus, principalement des femmes, ont été tués non pas pour les crimes qu’ils avaient commis mais parce qu’ils étaient devenus les boucs émissaires de sociétés devenues insensées :

« Dans certains villages suisses, il ne restait pratiquement plus aucune femme en vie une fois la folie meurtrière consumée. »

Frances Hill, Une illusion de Satan

Lorsqu’une psychose collective se développe, les résultats sont dévastateurs. Jung a étudié ce phénomène et a écrit que les individus qui composent la société infectée « deviennent moralement et spirituellement inférieurs », qu’ils « s’abaissent inconsciemment à un niveau intellectuel inférieur », qu’ils deviennent « plus déraisonnables, irresponsables, émotionnels, erratiques et peu fiables » et, pire encore, que « les crimes que l’individu seul ne pourrait jamais supporter sont librement commis par le groupe [frappé par la folie]. »

Ce qui aggrave les choses, c’est que les victimes d’une psychose collective sont inconscientes du phénomène. De même qu’un individu devenu fou ne peut faire abstraction de son esprit pour observer ses erreurs, de même il n’existe pas de point d’Archimède à partir duquel ceux qui vivent une psychose collective peuvent observer leur folie collective.

Mais quelles sont les causes d’une psychose collective ?

Pour répondre à cette question, nous devons d’abord explorer ce qui conduit un individu à la folie. Bien que de nombreux déclencheurs potentiels existent, tels qu’une consommation excessive de drogues ou d’alcool, des lésions cérébrales et d’autres maladies, nous ne nous intéresserons pas ici à ces causes physiques.

Nous allons nous intéresser aux déclencheurs psychologiques, ou à ce que l’on appelle les déclencheurs psychogènes, en tant qu’ils sont les responsables les plus courants d’une psychose collective. La cause psychogène la plus répandue d’une psychose est un flot d’émotions négatives, telles que la peur ou l’anxiété, qui plonge l’individu dans un état de panique. Une fois plongé dans un état de panique, l’individu cherche naturellement à s’en extraire pour éviter d’être épuisé mentalement et physiquement par cet état d’hyperémotivité.

Si l’on peut échapper à l’état de panique par des moyens adaptatifs tels que se confronter à la menace qui suscite la peur et la vaincre, un autre moyen de s’en extraire est de traverser une crise psychotique.

Note du traducteur : Ce qui rejoint les travaux menés par le Dr Kazimierz Dabrowski, que l’on retrouve dans son ouvrage La formation de la personnalité par la désintégration positive, dans lequel il « décrit les caractéristiques individuelles et universelles de la personnalité, les méthodes qui participent à son façonnage, et présente des études de cas de personnalités célèbres comme Saint-Augustin et Michel-Ange qui démontrent la nature concrète et normative du développement de la personnalité. Pour Dabrowski, la personnalité ne va pas de soi — elle doit être consciemment créée et développée par l’individu. »

Une crise psychotique n’est pas une descente dans un état de désordre plus profond, comme beaucoup le croient, mais une réorganisation de son propre monde expérientiel qui mêle réalité et fiction, ou illusions et réalité, d’une manière qui aide à mettre fin aux sentiments de panique.

Silvano Arieti, l’un des plus grands spécialistes de la schizophrénie du XXe siècle, explique les étapes psychogènes qui mènent à la folie : il y a d’abord

« [la] phase de panique — lorsque le patient commence à percevoir les choses d’une manière différente, qu’il en a peur, qu’il semble confus et qu’il ne sait pas comment expliquer les choses étranges qui se produisent. »

Silvano Arieti, Interprétation de la schizophrénie

L’étape suivante est ce qu’Arieti appelle une phase de perception psychotique, au cours de laquelle un individu

« parvient à rassembler les choses [en] concevant une manière pathologique de voir la réalité, [qui lui permet] d’expliquer ses expériences anormales. Ce phénomène est appelé perceptif parce que le patient distingue enfin un sens et des connexions à ses expériences. […] Mais la perception est psychotique parce qu’elle est basée sur des illusions et non sur des approches adaptatives et favorables à la vie qui permettraient de faire face aux menaces — quelles qu’elles soient — qui ont conduit à la panique. »

En d’autres termes, les illusions permettent à l’individu paniqué d’échapper au flot d’émotions négatives, mais c’est au prix d’une perte de contact avec la réalité. C’est pourquoi Arieti affirme que l’épisode psychotique peut être considéré comme « une façon anormale de gérer un état d’anxiété extrême. »

Si un flot d’émotions négatives entraînant la panique peut déclencher une crise psychotique chez un individu faible et vulnérable, une population d’individus faibles et vulnérables poussée à la panique par des menaces réelles, imaginaires ou fabriquées peut entraîner une psychose collective. Mais comme les illusions peuvent prendre de nombreuses formes et que la folie peut se manifester d’innombrables façons, la manière spécifique dont se déroule une psychose collective sera différente selon le contexte historique et culturel de la société infectée.

À l’époque moderne, toutefois, c’est la psychose collective du totalitarisme qui apparaît comme la plus grande menace. Arthur Versluis écrit que :

« Le totalitarisme est le phénomène moderne de la centralisation totale du pouvoir de l’État couplée à l’oblitération des droits humains individuels : dans l’État totalisé, il y a ceux qui sont au pouvoir, et il y a les masses objectivées, les victimes. »

Arthur Versluis, Les nouvelles inquisitions

Dans une société totalitaire, la population est divisée en deux groupes, les dirigeants et les dirigés, et les deux groupes subissent une transformation pathologique. Les dirigeants sont élevés à un statut presque divin qui est diamétralement opposé à notre nature d’êtres imparfaits facilement corrompus par le pouvoir. Les masses, quant à elles, sont transformées en sujets dépendants de ces dirigeants pathologiques et acquièrent un statut psychologiquement régressif et infantile.

Hannah Arendt, l’une des plus éminentes spécialistes du XXe siècle de cette forme de régime, a qualifié le totalitarisme de tentative de transformation de « la nature humaine elle-même ». Mais cette tentative de transformation ne fait que transformer des esprits sains en esprits malades, comme l’a écrit le médecin néerlandais qui a étudié les effets mentaux de la vie sous le totalitarisme :

« […] il existe en fait beaucoup de choses comparables entre les réactions étranges des citoyens [sous le joug] du [totalitarisme] et de leur culture dans son ensemble, d’une part, et les réactions du […] schizophrène malade, d’autre part. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit — La psychologie du contrôle de la pensée, du menticide et du lavage de cerveau

Note du traducteur : Le menticide est, selon la définition médicale qui en est donnée, une atteinte systématique et intentionnelle à l’esprit conscient d’une personne.

La transformation sociale qui s’opère sous un régime totalitaire est fondée et soutenue par des illusions. Car seuls les hommes et les femmes trompés régressent au statut enfantin de sujets obéissants et soumis, et cèdent le contrôle total de leur vie aux politiciens et aux bureaucrates. Seule une classe dirigeante trompée croit qu’elle possède la connaissance, la sagesse et la perspicacité nécessaires pour contrôler complètement la société selon une approche qui va du sommet vers la base.

Et ce n’est que sous le charme des illusions que l’on peut croire qu’une société composée de dirigeants assoiffés de pouvoir, d’une part, et d’une population psychologiquement régressée, d’autre part, conduira à autre chose qu’à des souffrances massives et à la ruine sociale. La psychose collective du totalitarisme a été induite à de nombreuses reprises au cours de l’histoire, et comme l’explique Meerloo :

« Il ne s’agit que de réorganiser et de manipuler les sentiments collectifs de la manière appropriée. »

La méthode générale par laquelle les membres d’une élite dirigeante peuvent accomplir ce dessein est appelée menticide, l’étymologie de ce mot étant « une mise à mort de l’esprit », et comme l’explique encore Meerloo :

« Le menticide est un vieux crime contre l’esprit humain, mais systématisé à nouveau. C’est un système organisé d’intervention psychologique et de perversion judiciaire par lequel une [classe dirigeante] peut imprimer [ses] propres pensées opportunistes dans l’esprit de ceux qu'[elle] prévoit d’utiliser et de détruire. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Préparer une population au crime de menticide implique d’abord de semer la terreur afin de placer la population dans un état de panique qui la prépare à une plongée dans les croyances délirantes d’une psychose. Une technique particulièrement efficace pour atteindre cet objectif consiste à utiliser des vagues de terreur. Dans le cadre de cette technique, les vagues de terreur sont ponctuée de périodes de calme, mais chacune de ces périodes de calme est suivie de la production d’une vague de peur encore plus intense, et ainsi de suite, ou comme l’écrit Meerloo :

« Chaque vague de terreur […] engendre plus facilement ses effets — après un temps de répit — que celle qui l’a précédée, car les populations sont encore désorientées par leur expérience précédente. La moralité devient de plus en plus basse, et les effets psychologiques de chaque nouvelle campagne de propagande deviennent plus forts ; elle atteint un public déjà amadoué. »

Alors que la peur prépare une population au menticide, l’utilisation de la propagande pour diffuser des informations erronées et favoriser la confusion quant à la source des menaces et à la nature de la crise, contribue à briser l’esprit des masses. Les responsables gouvernementaux et leurs laquais médiatiques peuvent utiliser des rapports contradictoires, des informations insensées et même des mensonges flagrants, car plus ils sèment la confusion, moins la population sera capable de faire face à la crise et d’atténuer sa peur de manière rationnelle et adaptée.

La confusion, en d’autres termes, accroît la susceptibilité d’une plongée dans les délires du totalitarisme, ou comme l’explique Meerloo :

« On peut répondre à la logique par la logique, mais pas par l’illogisme. L’illogisme désoriente ceux qui pensent clairement. Le gros mensonge et les absurdités répétées de façon monotone ont plus d’attrait émotionnel […] que la logique et la raison. Pendant que [les gens] cherchent encore un contre-argument raisonnable au premier mensonge, les totalitaires peuvent [les] assaillir avec le suivant. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Jamais auparavant dans l’Histoire, des moyens aussi efficaces n’ont existé pour manipuler toute une société et la faire basculer dans la psychose d’un totalitarisme. Les Smartphones et les médias sociaux, la télévision et l’Internet, tous associés aux bots qui diffusent propagande et algorithmes pour rapidement censurer le flux d’informations indésirables, permettent aux individus au pouvoir d’agresser facilement l’esprit des masses. Qui plus est, la nature addictive de ces technologies signifie que de nombreuses personnes se soumettent volontairement à la propagande de l’élite dirigeante par un usage réitéré dans une proportion remarquable :

« La technologie moderne apprend à l’homme à prendre pour acquis le monde qu’il regarde ; il ne prend pas le temps de prendre du recul et de réfléchir. La technologie l’attire, l’entraîne dans ses rouages et ses mouvements. Pas de repos, pas de méditation, pas de réflexion, pas de conversation — les sens sont continuellement surchargés de stimuli. [L’homme] n’apprend plus à questionner son monde, l’écran lui offre des réponses toutes faites. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Mais les dirigeants totalitaires en devenir peuvent prendre une mesure supplémentaire pour augmenter les probabilités d’une psychose totalitaire, à savoir isoler les victimes et perturber les interactions sociales normales.

Lorsqu’il est seul et qu’il n’a pas d’interactions normales avec ses amis, sa famille et ses collègues de travail, un individu devient bien plus susceptible de développer des illusions pour plusieurs raisons : premièrement, il perd le contact avec la force corrective de l’exemple positif. En effet, tout le monde n’est pas dupe des machinations de l’élite dirigeante et les individus qui voient à travers la propagande peuvent aider à libérer les autres de l’assaut menticide. Toutefois, si l’isolement est imposé, le pouvoir de ces exemples positifs diminue considérablement.

Mais une autre raison pour laquelle l’isolement augmente l’efficacité du menticide est que, comme beaucoup d’autres espèces, les êtres humains sont plus facilement conditionnés à de nouveaux schémas de pensée et de comportement lorsqu’ils sont isolés, ou comme l’explique Meerloo à propos des travaux du physiologiste Ivan Pavlov sur le conditionnement comportemental :

« Pavlov a fait une autre découverte importante : le réflexe conditionné pouvait être développé plus facilement dans un laboratoire calme avec un minimum de stimuli perturbateurs. Tous les dresseurs d’animaux le savent par expérience ; l’isolement et la répétition patiente des stimuli sont nécessaires pour apprivoiser les animaux sauvages. Les totalitaires ont suivi cette règle. Ils savent qu’ils peuvent conditionner leurs victimes politiques plus rapidement si elles sont maintenues dans l’isolement. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Note du traducteur : Il s’agit un processus également connu sous le nom d’inhibition transmarginale :

« L’inhibition transmarginale décrit la réaction d’un organisme soumis à d’intenses stimuli. Ivan Pavlov a découvert que les organismes avaient différents niveau de tolérance. Il explique : « La différence héréditaire fondamentale entre les gens réside dans la vitesse à laquelle ils atteignent le point de rupture, et ceux qui s’effondrent rapidement possèdent un type de système nerveux fondamentalement différent. Ironiquement, l’acronyme populaire TMI signifie Too Much Information (trop d’informations), ce qui peut être un facteur commun de l’inhibition transmarginale dans la culture contemporaine. À l’époque, j’ai pris conscience de ce qui se passait ; les techniques découvertes/développées par Pavlov pour amener les chiens au point de rupture en provoquant chez eux un état de stress sont aujourd’hui utilisées sur la population humaine à l’échelle mondiale. »

Seule, désorientée et battue par des vagues de terreur, une population victime d’une attaque de menticide sombre dans un état désespéré et vulnérable. Le flot incessant de propagande transforme des esprits autrefois capables de pensée rationnelle en terrains de jeu de forces irrationnelles et, le chaos tourbillonnant autour d’eux et en eux, les masses aspirent à un retour à un monde plus ordonné. Les totalitaires en devenir peuvent maintenant faire le pas décisif, ils peuvent offrir une porte de sortie et un retour à l’ordre dans un monde qui semble évoluer rapidement dans la direction opposée.

Mais tout cela a un prix : les masses doivent renoncer à leur liberté et céder le contrôle de tous les aspects de leur vie à l’élite dirigeante. Elles doivent renoncer à leur capacité d’être des individus autonomes et responsables de leur propre vie, et devenir des sujets soumis et obéissants.

Les masses, en d’autres termes, doivent sombrer dans les délires de la psychose totalitaire. Le médecin Joost Meerloo écrit :

« […] les systèmes totalitaires du XXe siècle représentent une sorte de psychose collective. Dans un tel système, que ce soit de manière progressive ou soudaine, la raison et la décence humaine commune ne sont plus possibles : il ne reste qu’une atmosphère omniprésente de terreur, et une projection de l’ennemi, que l’on imagine être parmi nous. Ainsi, la société se retourne contre elle-même, poussée par les autorités dirigeantes. »

Mais l’ordre d’un monde totalitaire est un ordre pathologique. En imposant une stricte conformité et en exigeant des citoyens une obéissance aveugle, le totalitarisme prive le monde de la spontanéité sur laquelle reposent de nombreuses joies de la vie et la créativité, ferment de la progression de la société.

Le contrôle total induit par cette forme de règne — quel que soit le nom qu’on lui donne et qu’il soit le fait de scientifiques et de médecins, de politiciens et de bureaucrates, ou d’un dictateur — engendre la stagnation, la destruction et la mort à grande échelle. Aussi, la question la plus importante à laquelle le monde est confronté est peut-être de savoir comment prévenir le totalitarisme. Et si une société a été dès les premiers stades induite dans cette psychose collective, peut-on en inverser les effets ?

Bien que l’on ne puisse jamais être sûr du pronostic d’une folie collective, il existe des mesures à prendre pour contribuer à sa guérison. Cette tâche, cependant, nécessite de nombreuses approches différentes, de la part de nombreuses personnes différentes. Car, tout comme l’attaque menaçante est multiple, la contre-attaque doit l’être aussi.

Selon Carl Jung, pour ceux d’entre nous qui souhaitent contribuer à ramener de la raison dans un monde en proie à la psychose, la première étape consiste à mettre de l’ordre dans notre propre esprit, et à vivre d’une manière qui serve d’inspiration aux autres :

« Ce n’est pas pour rien que notre époque réclame la personnalité rédemptrice, celle qui peut s’émanciper de l’emprise de la [psychose] collective et sauver au moins sa propre âme, celle qui allume un phare d’espoir pour les autres, proclamant qu’il y a ici au moins une personne qui a réussi à extirper son identité de l’attachement funeste de la psyché de groupe. »

Note du traducteur : Ce qui revient à adopter la bonne attitude dans les moments difficiles :

« Je crois qu’un chemin peut s’ouvrir, qu’une porte peut devenir visible, qu’un lieu où l’on pourra trouver abri et nourriture peut se présenter à nous si l’on est capable — même dans les moments les plus difficiles — de maintenir en permanence une présence à Soi. Cette conviction est présente dans chaque fibre de mon être. Mais je sais aussi que maintenir une telle vigilance à ce niveau de réalité pourrait ne pas être possible. Mais qu’importe : cela ne signifie pas que l’on doit renoncer à essayer. Et si vous échouez ? Si vous êtes resté fidèle à vous-même et aux vôtres, et si vous avez dans la vie donné le meilleur de vous-même, alors cela n’a pas d’importance. Vous avez cristallisé votre âme. »

Voir aussi : L’hystérie collective du Covid-19 et le « processus alchimique de l’humanité » 
et Ne perdez pas espoir, nous sommes faits pour affronter le défi de cette époque

Mais en supposant que l’on vive sans être sous l’emprise de la psychose, d’autres mesures peuvent être prises : premièrement, les informations qui contredisent la propagande doivent être diffusées aussi loin et aussi largement que possible. Car la vérité est plus puissante que la fiction et les falsifications colportées par les dirigeants totalitaires en devenir, et leur succès dépend donc en partie de leur capacité à censurer le libre flux d’informations.

Une autre tactique consiste à utiliser l’humour et le ridicule pour délégitimer l’élite au pouvoir ou comme l’explique Meerloo :

« Nous devons apprendre à traiter les démagogues et les aspirants dictateurs qui se trouvent dans notre entourage […] avec l’arme du ridicule. Le démagogue lui-même est presque incapable d’humour d’aucune sorte, et si nous l’abordons par le biais de l’humour, il commencera à s’effondrer. »

Une tactique recommandée par Vaclav Havel, un dissident politique sous le régime communiste soviétique qui devint plus tard président de la Tchécoslovaquie, est de construire ce que l’on appelle des « structures parallèles ». Une structure parallèle est une forme d’organisation, d’entreprise, d’institution, de technologie ou de recherche créative qui existe au sein d’une société totalitaire de manière physique, mais qui lui est extérieur sur le plan moral. Dans la Tchécoslovaquie communiste, Havel a constaté que ces structures parallèles étaient plus efficaces que l’action politique pour combattre le totalitarisme. En outre, lorsque suffisamment de structures parallèles sont créées, une « deuxième culture » ou une « société parallèle » se forme spontanément et fonctionne au sein d’un monde totalitaire comme une enclave de liberté et de bon sens. Ou comme Havel l’explique dans « Le pouvoir des sans-pouvoir », publié dans son Essais politiques :

« […] Qu’est-ce que des structures parallèles sinon un espace où l’on peut vivre une vie différente, une vie qui est en harmonie avec ses propres objectifs et qui, à son tour, se structure en harmonie avec ces objectifs ? Qu’est-ce que ces premières tentatives d’auto-organisation sociale sinon les efforts d’une certaine partie de la société […] pour se débarrasser des aspects auto-entretenus du totalitarisme et, par conséquent, pour s’extraire radicalement de sa participation au système […] totalitaire ? »

Note du traducteur : « Le Pouvoir des sans-pouvoir », de Vaclav Havel, constitue une méditation sur ce que signifie la « dissidence ». Voici un autre extrait, dans lequel il s’adresse aux responsables de la dictature communiste en Tchécoslovaquie :

« Derrière une apparence de « normalisation », vous avez installé le règne de la peur, du mensonge et de la corruption à tous les niveaux. Vous assurez la ruine du pays en étouffant la création et en voulant, à terme, abolir toute mémoire collective, toute vie sociale autonome pour régner sur un peuple anesthésié et une société désintégrée. Cela, nous le refusons. »

Il s’agit pour les citoyens sous le joug d’un totalitarisme de revendiquer les droits de la conscience morale individuelle, les droits à refuser le mensonge, à restaurer la responsabilité personnelle et la parole publique. Ce qui revient à dire que la solution est de « tourner le dos » au totalitarisme pour ne pas sombrer avec lui, et de développer sur la base d’intérêts communs, des groupes qui formeront une alternative de vie, comme l’explique très bien Louis Fouché, par exemple :

Mais ce qu’il faut avant tout pour empêcher une plongée totale dans la folie du totalitarisme, c’est l’action du plus grand nombre de personnes possible. De même que l’élite dirigeante ne reste pas passive, mais prend des mesures délibérées pour accroître son pouvoir, de même un effort actif et concerté doit être fait pour ramener le monde dans la direction de la liberté.

Dans un monde en proie aux illusions du totalitarisme, cet œuvre peut représenter un immense défi, mais comme l’a noté Thomas Paine :

« La tyrannie, comme l’enfer, n’est pas facile à vaincre ; pourtant, nous avons pour nous cette consolation que plus le conflit est dur, plus le triomphe est glorieux. »

Thomas Paine, La Crise américaine

À propos de l’auteur

Dylan Charles est le rédacteur en chef de Waking Times et l’animateur de « Battered Souls : A Podcast About Transformation », tous deux consacrés aux idées de transformation personnelle, d’éveil sociétal et de renouveau planétaire. Son parcours personnel est profondément inspiré par les plantes médicinales chamaniques et les arts du Kung Fu, du Qi Gong et du Yoga. Après avoir vécu sept ans au Costa Rica, il vit maintenant dans les Blue Ridge Mountains, où il pratique le jiu jitsu brésilien et aime passer du temps avec sa famille. Il a écrit des centaines d’articles, touchant et inspirant des millions de personnes dans le monde entier.


Cet article a été créé et publié à l’origine par Waking Times et Dylan Charles sous licence Creative Commons. Il peut être publié à nouveau librement avec l’attribution appropriée, la biographie de l’auteur et cette déclaration de copyright.

Source de l’article initialement publié en anglais le 9 août 2021 : Waking Times
Traduction de l’article et de la transcription vidéo : Sott.net




Répétition générale ou situation sans direction ?…


Par Lucien Samir Oulahbib

Les affairistes hygiénistes et leurs cyborgs boomers continuent donc à faire peur (« dramatisons madame », souffla le Préfet Tartarin…) en mélangeant les services hospitaliers (soins intensifs et réa. Or dans ces cas le malade n’est pas en situation de se faire interviewer pour quémander une piquouse, n’est-ce pas…), masquant ainsi le fait qu’ils empêchent toujours et depuis le début les traitements précoces*. Tout en agitant non plus seulement la « quatrième vague », mais LA vague de « 15 m » selon le GIEC (mais n’est-ce pas plutôt une vague, un tsunami totalitaire qui émerge plutôt ?).

Maintenant, « ils » veulent littéralement marquer les Français comme s’ils étaient des veaux (alors qu’il s’agissait d’une boutade gaullienne), mais comme nous sommes dans l’hyperréalisme intégral (la peinture ayant été par exemple réduite à mettre en scène le matériel pour en faire), la santé de son côté est donc devenue un vulgaire problème vétérinaire, au même titre qu’une barquette de viande avec sa date de péremption de six mois (ou la nième dose ad vitam aeternam) avec passeport à la clé, au clic vert ou rouge bien visible sur les immenses panneaux de points et de courbes projetés sur les écrans hologrammes (cette vraie peinture de l’art contemporain véritable) que l’on peut même voir de la piscine privée entre deux lignes de coke et trois jeunes et jolies courbes pan-sexuées. Le tout a été débattu le mardi au soir en « Conseil de défense » et entériné le mercredi matin au « Conseil des ministres » en France. Ou comment, par un tour de passe-passe (politique), « l’État français a disparu »

Voilà pour le constat. Mais motus des élites plutôt « savantes » qui soit entérinent soit discutent du sexe des anges pour les plus lucides, ou alors qui ne dit mot consent. Il semble bien cependant que la « rue » s’en rende compte et de plus en plus, cherchant à s’enfuir de ce triangle des Bermudes (vortex redoutable) en renouant avec le Réveil de novembre 2018 qui avait été empêché, tué dans l’œuf du fait de son manque de programme clair et de direction par les remugles néo-léninistes venus s’y agglutiner sur le tard, mais muselés heureusement aujourd’hui par leur propre impéritie scientiste (mais « prolétarienne »).

Aujourd’hui, cette « crise » endémique a enfanté un second œuf en attente de sa fécondation. Et au vu de ce qui se passe ces deux mois d’été, c’est inédit, ou alors cela fait penser à ce fameux août 1914 lorsque la guerre avait été brutalement déclarée alors qu’il faisait si beau et bon pour conter fleurette et plus encore à « l’ombre des jeunes filles en fleur » et des coquelicots du bois joli…

Aujourd’hui, la guerre nouveau genre « nous » a bel et bien été déclarée un 12 juillet 2021 par un Exécutif, exécutant, comme sa fonction l’indique, toute une panoplie d’ordres dictés par ce globalisme hypocondriaque à l’ego hypertrophié, tant à force de se mouvoir dans le labyrinthe médiatique ses sbires ne font plus de différence entre leurs fantasmes et la réalité (comme l’exigeaient Deleuze et Foucault : le fantasme doit être réalisé et non pas refoulé), ce qui fait que ce processus de fabrication de « l’Œuvre » non plus « française » doit s’accélérer à coup de films catastrophes sanitaires et climatiques vécus en temps réel ou 4DX permanente (et le régime maoïste en remet une secousse supplémentaire en bonus dans « l’épouvante » comme en décembre 19).

Aujourd’hui « nous » voilà à nouveau au « front », les jeunes envoyés au casse-virus, y compris les « cadets », tant le régime vermoulu du quantitativisme hygiéniste scientiste affairiste lance ses dernières troupes dans la bataille qu’il a fomentée lui-même (comme dans toute bonne tyrannie). Sauf que le temps ne roule plus pour lui lorsque les trois quarts de la population ne votent plus ou, à l’inverse, acceptent de se faire piquer pour un hamburger ou une sauterie — un nihilisme populaire appliqué. La jeunesse qui meurt bien plus de cette injection expérimentale que de la maladie s’en va la fleur au fusil en croyant participer à une expérience LSD tant vantée par les boomers alors qu’ils peuvent y laisser leur peau — une attitude mentale sans direction, propice à tous les embrigadements qui ont secrété les deux à trois centaines de millions d’assassinés du 20e siècle (si l’on fait le compte global des deux guerres et des génocides racialistes et classistes), siècle le plus « scientifique » pourtant qui soit.

Le tribunal international ad hoc qui sans doute aura à punir tous ces responsables coupables d’envoyer ainsi jusqu’à ces jeunes à la mort devra être sans pitié. Sa main ne devra pas trembler, même s’il s’agit de la si fascinante Milady. 

Ce n’est pas la seule perspective à effleurer, mais comme le mouvement se prouve en marchant, les propositions et positions s’affichent déjà et nous savons ce que nous ne voulons plus. À charge maintenant de reconstruire une nation effective au sens où la France ne doit plus être seulement la « fille aînée de l’Église », mais une Mère souveraine, celle-là même qui signale au Christ que les mariés n’ont plus de vin et malgré sa protestation (de se voir ainsi dérangé dans sa quiétude), Marie indique aux gens « Tout ce qu’il vous dira faites-le »… Ou comment transformer l’eau du quotidien en vin pétillant et délicieux : la vie humaine, en dialogue, permanent, avec ce qui la dépasse. Sans attendre de « sauveur suprême » cependant, ou la quadrature du cercle (Rhombe).


(*Réseau Sentinelles : « En France métropolitaine, la semaine dernière [2021s31, 2-8 août 21], le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë [IRA] vus en consultation [ou en téléconsultation] de médecine générale a été estimé à 75 cas pour 100 000 habitants [IC 95 % [59 ; 91]]. »

* « En France métropolitaine, la semaine dernière [2021s31, 2-8 août 21], le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 74 cas pour 100 000 habitants [IC 95 % [58 ; 90]]. »)




Le pass sanitaire bientôt retiré selon Martin Blachier?

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 PHILIPPE LOPEZ]

Martin Blachier a indiqué au micro de LCI le 13 août dans l’émission 24h Pujadas que le pass sanitaire serait bientôt retiré par le gouvernement. Le médecin semble pourtant avoir une position floue concernant la vaccination.

Bientôt la victoire pour les opposants au pass? C’est en tout cas ce qu’a affirmé Martin Blachier le vendredi 13 août au micro de LCI dans l’émission 24h Pujadas. Ce même pass qui est entré en vigueur le 9 août pour pouvoir accéder à de nombreux lieux publics comme les cafés, les restaurants ou les infrastructures sportives est à l’origine des manifestations qui se déroulent dans tout le pays depuis un mois.

D’après Blachier, le gouvernement souhaitait augmenter la couverture vaccinale et «ils l’ont eu». Il poursuit en affirmant que le pass est un boulet pour l’exécutif et qu’Emmanuel Macron l’a compris puisqu’il «ne parle que de la vaccination». Le médecin développe son propos en affirmant que le Président n’a jamais défendu l’idée du pass sanitaire et laisse ce rôle à Gabriel Attal et Olivier Véran, qui eux-mêmes se retrouvent en porte-à-faux vis-à-vis de leurs convictions.

«Le gouvernement est dans un moment charnière, ils vont faire semblant d’être encore pour ce pass sanitaire, pour que les gens continuent de se faire vacciner en se disant j’en aurai besoin, mais en même temps il ne faut pas qu’ils disent qu’ils vont le retirer rapidement. Ça va être un moment difficile à gérer.»

Un fervent opposant au pass sanitaire?

Le docteur Martin Blachier est un habitué des plateaux télé ces derniers jours. Le 9 août, toujours sur LCI, il avait affirmé que le pass sanitaire n’était d’aucune utilité s’il n’était plus un moteur du nombre de vaccinations journalières. Hier encore sur Cnews, il affirmait qu’il créait des conditions pour que les gens se contaminent entre eux. Il ajoutait que son utilité était en train d’être réfutée puisqu’au niveau international de nombreux scientifiques affirment que ce n’est pas la solution. Et que le gouvernement allait devoir étudier d’autres options puisqu’on «ne peut plus rien faire».

​Une prise de position floue concernant la vaccination

Si ces dernières prises de parole peuvent sembler apporter un peu d’espoir aux anti-pass sanitaire, il faut malgré tout prendre du recul. En effet, dans le même temps et à plusieurs reprises dans différentes émissions de LCI et Cnews, Martin Blachier évoquait qu’au niveau mondial les gouvernements privilégient le passeport vaccinal, une solution dont il serait plutôt partisan. Paradoxalement, il affirmait hier que le vaccin, en particulier celui de Pfizer «ne protège pas si bien que cela».

Si on analyse ses prises de position, on sait qu’il est de manière ferme et convaincue un partisan de l’obligation vaccinale pour les personnes âgées et les adultes, mais qu’il y est opposé pour les enfants, lui-même en ayant en bas âge. Des propos qu’il a lui-même martelés à plusieurs reprises au printemps dans diverses émissions.

​Enfin, il est fermement opposé aux anti-vax qui n’ont rien à voir avec les opposants au pass sanitaire. Selon Blachier, ils «sont sans scrupules et utilisent les pires méthodes qui font extrêmement mal dans le monde entier». Pour lui, Emmanuel Macron «a eu raison d’être ferme face à ces gens parce qu’il ne faut pas être mou face à (eux)».




Faire tomber la France et son peuple : le rêve de l’oligarchie anglo-saxonne depuis des siècles

[Source : Divulgation.fr]

[Illustration : Chouans de Vendée.]

Par Angel

La France est un point stratégique dans le monde pour l’instauration d’un nouvel ordre mondial, et l’a toujours été. C’est par ailleurs en France qu’a démarré, grâce à la fausse révolution maçonnique de 1789, le début de notre ère de gouvernance par l’infiltration des sociétés secrètes & leur idéologie républicaine sans valeurs, sans âme, sans racines, avec une culture uniformisée, afin de mener les peuples à une société sous contrôle absolu de l’intelligence artificielle et du traçage. Car qui ne connaît pas l’Histoire, le passé de ses ancêtres et les valeurs qui lui ont été transmises, est de fait ignorant et ne peut pas savoir où il va.

jean moulin

Pour détruire la France, ils se servent de valets soumis aux idéaux mondialistes comme Macron, et tant d’autres. La guerre étant un stratagème dépassé et inefficace à long terme, l’infiltration, la subversion de l’intérieur est un choix clé pour déstructurer un pays. Car attaquer la France et son peuple de front serait une erreur fatale.

D’ailleurs, la secte dangereuse des illuminati dont l’influence se faisait de plus en plus ressentir à l’époque en ayant infiltré la Franc maçonnerie française, a été chassée d’Allemagne par l’intermédiaire en 1784 de Karl Theodor de Bavière, qui fit à l’époque une copie à tous les rois l’Europe afin de les mettre en garde de ce danger.

D’ailleurs une grande désinformation est faite depuis tant de temps concernant la « révolution ». Dès l’an 1790, les opposants à la République à Paris, plus que nombreux, bien plus que les révolutionnaires, font face à des milices républicaines lourdement armées qui n’hésitent pas à massacrer tout le monde.

Je ne suis pas royaliste. Je suis pour la prise de conscience de chaque humain et l’élévation spirituelle de l’humanité afin que l’on bâtisse un monde bienveillant.

Néanmoins, je pense qu’il est important de le faire en partant sur des valeurs solides. L’ancien régime n’était pas parfait, c’est évident, mais il était tout de même bien moins pire que celui vers lequel on nous amène. Certaines des valeurs très importantes de nos ancêtres pourraient permettre de participer à la construction d’un nouveau monde encore meilleur et encore plus haut en conscience. Entre autre grâce à la foi, l’entraide, le sentiment d’unité au sein d’un pays, l’attachement aux valeurs de la terre. Ce qu’on a presque perdu aujourd’hui, en somme.

Emblème des illuminés de Bavière

Ceci dit, ce pays qu’est la France a toujours été un très grand architecte de la construction du monde.

  • Culturellement
  • Linguistiquement
  • Culinairement
  • Touristiquement

[Ndlr : l’auteur aurait pu ajouter religieusement (la France ayant été longtemps considérée comme la fille aînée de l’Église du Christ et le Roi de France comme le Lieutenant de ce dernier), philosophiquement, scientifiquement…]

La France et son peuple ont toujours participé à adoucir la vibration du monde et cela rappelle à quel point un peuple créatif et attaché à sa terre sont un danger à l’instauration d’un nouvel ordre du monde tel que prôné par les élites actuelles.

[Ndlr : Toujours ? Rien n’est moins sûr. Elle a aussi participé à ce qui a été appelé les Guerres de religion, le massacre des Albigeois, les Croisades, etc., et ce type d’actions n’est pas vraiment réputé pour adoucir les choses.]

Comment les élites ont fait perdre à la France ses racines ?

En 1 phrase : en commettant un énorme génocide de paysans catholiques. Et celui-là, on en parle pas ! Entre 1793 et 1796, en pleine période de la terreur du franc-maçon Robespierre, les Français qui s’opposent à l’instauration de la République sont plus que nombreux. Commence alors la guerre de Vendée (qui ne concernait pas que les vendéens, bien-sûr. Cela allait du Pays Bordelais à la Bretagne). On dénombre environ 500 000 morts ou plus. Très conséquent pour l’époque.

S’en vient ensuite Napoléon Bonaparte (dont beaucoup pensent qu’il est à l’initiative de la loge maçonnique du Grand Orient, la loge la plus impliquée en France politiquement, et de très loin aujourd’hui) et ses campagnes meurtrières successives qui ont mis l’Europe à genoux durant plus d’une décennie afin de déstabiliser en profondeur la culture européenne, avec la France comme outil. On parle là de près de 4 000 000 de Français morts au combat.

S’en vient plus tard la première guerre mondiale, 2 000 000 de Français morts au combat, sans compter au préalable la bataille de Sedan qui fit perdre l’Alsace Lorraine.

Tout cela, la République se garde bien de s’en vanter.

Adam Weishaupt, fondateur des Illuminati

Ces guerres ont très activement participé à dégrader profondément les valeurs & traditions historiques ancrées dans le cœur des Français, dont certaines essentielles, transmises par le père. Aujourd’hui, notre société compte des centaines de milliers d’humains passant leur temps à se « chercher » et tentent de s’identifier dans des mouvements toujours plus divisionnaires les uns des autres.

Néanmoins, il reste dans le cœur des Français ce désir profond, cette valeur qu’est la liberté qui se fait de nouveau de plus en plus ressentir, sous l’œil bienveillant de nos ancêtres qui nous regardent. Nous réussirons mes amis. Ces « maîtres du monde » ne parviendront pas à nous asservir.




Une étude révèle que les enfants nés pendant le confinement ont perdu des points de QI et présentent des troubles du fonctionnement cognitif

[Source : anguillesousroche.com]

Le manque de contact humain et les masques sont à blâmer.

Une nouvelle étude a révélé que les scores moyens de QI des jeunes enfants nés pendant la pandémie ont chuté de 22 points, tandis que les performances verbales, motrices et cognitives ont toutes souffert du confinement.

« Avec une stimulation limitée à la maison et moins d’interaction avec le monde extérieur, les enfants de l’époque de la pandémie semblent avoir obtenu des résultats étonnamment bas aux tests conçus pour évaluer le développement cognitif », rapporte le Guardian.

L’étude a été menée par des chercheurs de l’Université Brown et a porté sur 672 enfants nés à la fois avant et après le début de la pandémie, en mars 2020.

« Au cours de la décennie précédant la pandémie, le score moyen de QI aux tests standardisés pour les enfants âgés de trois mois à trois ans tournait autour de 100, mais pour les enfants nés pendant la pandémie, ce chiffre a dégringolé à 78 », selon l’étude.

Les chercheurs ont conclu que la principale raison de l’altération du fonctionnement cognitif était le manque de stimulation et d’interaction à la maison.

Selon l’auteur principal de l’étude, Sean Deoni, « la capacité à rectifier le tir diminue à mesure que l’enfant vieillit », ce qui signifie que cette base inférieure risque d’avoir un impact sur l’enfant tout au long de l’adolescence et jusqu’à l’âge adulte.

Comme le note Michael Curzon, tous ces facteurs ont été exacerbés par les mesures d’enfermement qui tenaient les bébés et les jeunes enfants à l’écart des autres enfants, ainsi que par les masques.

« Les enfants nés au cours de la dernière année de confinement – à un moment où le gouvernement a empêché les bébés de voir des parents âgés et d’autres membres de la famille élargie, de socialiser dans les parcs ou avec les enfants des amis de leurs parents, et d’étudier les expressions des visages derrière les masques des habitants dans les espaces publics intérieurs – ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant, selon une nouvelle étude américaine. Les tests sur l’apprentissage précoce, le développement verbal et le développement non verbal ont tous donné des résultats très inférieurs à ceux des années précédant les confinements. »

L’étude a été menée dans l’État de Rhode Island et portait sur des enfants majoritairement blancs.

Le sort des enfants issus de milieux socio-économiques moins favorisés, dont la plupart ne sont pas blancs, sera probablement bien pire.

Cependant, ne vous attendez pas à ce que de nombreux gauchistes, qui ont en général soutenu avec véhémence les confinements draconiens, s’en soucient beaucoup.




Italie, Espagne, ces pays où le passe sanitaire est remis en question par des magistrats et des tribunaux

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Il n’a fallu que quelques jours, ou semaines, pour que le passe sanitaire ait du plomb dans l’aile en Espagne et en Italie.

En Espagne, pays décentralisé, le passe sanitaire ne passe pas : en Galice, c’est le tribunal régional qui vient d’en suspendre l’usage estimant que la décision a été prise par le gouvernement régional sans l’en informer. Décision prise ce jeudi 11 août par la justice de la communauté autonome de Galice. Cette suspension concerne les bars, les restaurants et les boîtes de nuit. D’après plusieurs médias espagnols dont ElPeriodico.com, la décision prise par le gouvernement galicien de rendre obligatoire ce passe sanitaire a été attaquée par la justice régionale qui accuse le gouvernement autonome de ne lui avoir jamais soumis cette mesure. La mise en place du passe sans que le tribunal régional n’en soit informé avait été prise par Alberto Nunez Feijoo, actuel président de la région de Galice, lequel avait présenté une loi sanitaire en novembre 2020 pour infliger une amende de 3 000 euros aux Galiciens qui refusent la vaccination.

La décision de justice de Galice suit celle identique du tribunal de justice des îles Canaries qui a aussi suspendu le passe sanitaire le 29 juillet dernier. Le média espagnol Eldiario.es explique que la justice a pris cette décision estimant que des droits ont été bafoués. La justice de deux autres communautés autonomes espagnoles (Cantabrie et Andalousie) ont également suspendu le passe Sanitaire au début du mois d’août comme le révèlent plusieurs sources dont ABC.es.

En Italie, la contestation contre le« Green Pass » a, à sa tête, des magistrats. « Un document publié dans le journal officiel de la Magistrature Démocratique, le courant historique des juges de gauche évoque ”une violation de la constitution”, peut-on lire dans le quotidien italien Il Giornale.it. Les mots sont plus que durs envers le gouvernement en place : cette violation, écrivent les magistrats, est voulue par « gouvernement aplati sur la logique de l’urgence » et réalisée grâce à « un pouvoir policier généralisé ».

« Il s’agit en fait d’une sorte d’appel aux robes rouges dans toute l’Italie, écrit Il Giornale, pour empêcher les mesures gouvernementales anti-Covid de se concrétiser : le décret sur le pass vert “devrait être inappliqué”. Et l’attaque implique aussi toute hypothèse de sanctions à l’encontre de ceux qui ne vaccinent pas : “Son refus doit être protégé et non recouvert d’un moralisme apocalyptique”. »

« Le document a un titre explicite, continue l’article italien, Sur le devoir constitutionnel et communautaire de non-application du décret du laissez-passer vert, et a été publié dans le dernier numéro de Questione Giustizia, le magazine officiel de Md. Il n’est pas signé par des magistrats mais par un groupe de constitutionnalistes réunis sous le sigle « Future Generations ». Mais il est clair que la décision de publier le document sans prendre aucune distance signifie qu’au sein du courant, la ligne de pensée s’est enracinée. En revanche, déjà ces derniers jours sur certains chats internes à l’Association nationale des magistrats, le document avait été divulgué par des membres de Md connus pour contester ouvertement la stratégie gouvernementale de lutte contre la pandémie.

(…)Le décret-loi, selon le document, produit ”des effets de discrimination multiples”, et ”finirait par constituer l’imposition indirecte d’une obligation de vaccination (…) il aboutirait à la violation de la liberté individuelle”. Et tout cela pour imposer un vaccin “encore en phase expérimentale n’ayant obtenu qu’une certification d’urgence” et malgré “le manque de preuves sur sa capacité à limiter l’infection”.

(…) Le texte attaque également la possibilité pour les gestionnaires de lieux publics de vérifier le certificat vert : qui se définit comme un ”transfert de pouvoirs de police à des sujets totalement non qualifiés” ; et l’attribution de cette faculté aux gérants est définie ”de faible soutenabilité juridique” : un ”modèle de régulation fluide et invasif qui met en grande tension toutes les garanties des libertés individuelles telles qu’elles nous sont transmises par nos Constituants” ».

Le document des magistrats de gauche se conclut par cet avertissement : « les vaccins anti Covid 19 peuvent être raisonnablement encouragés mais pas imposés, même pas à des catégories à risque ». Sinon le droit à la santé collective devient un « droit tyrannique ».

Francesca de Villasmundo




« Le Conseil de l’ordre des médecins sera supprimé »

[Source : nice-provence.info]

Par Massimo Luce

C’était la 85e proposition des 110 du Programme Commun de François Mitterrand. Bien entendu il n’en a rien été, les programmes électoraux étant faits pour se faire élire, puis à ne plus être respectés.

Lorsque les élus — en général de gauche — veulent prendre le contrôle de cette institution dont le contrôle échappe à l’État, ils nous rappellent que c’est une loi du gouvernement de Vichy (7 octobre 1940) qui crée le « Conseil supérieur des médecins ». Horreur ! donc.

Du reste en 2017 Mélenchon annonce : « Le Conseil de l’Ordre des médecins sera aboli parce que c’est une organisation pétainiste » [source]. À son habitude Jean-Luc Mélenchon sort des formules qui l’arrangent même si elles sont erronées. C’est le cas ici puisque selon le Quotidien du Médecin : « Cet organe de l” “État Français” sera dissous par une ordonnance du gouvernement provisoire de la République Française à Alger présidé par le Général de Gaulle le 18 octobre 1943 ». C’est ensuite le 24 septembre 1945 qu’une ordonnance du Général de Gaulle crée l’Ordre des médecins dans sa forme actuelle dont la principale mission est de veiller au respect de l’éthique médicale. » Ainsi donc l’Ordre des médecins est plus une institution gaulliste que pétainiste. Mais qu’importe, c’est surtout une institution, très puissante et très riche, dont le contrôle échappe à l’État.

Noyautée par la franc-maçonnerie, cette institution est très corporatiste et très conservatrice. Dans le fond elle ne gêne pas l’État tant qu’elle est en phase avec les intérêts de ce dernier, tributaire de Big Pharma. L’Ordre des médecins menaçait en août l’année dernière de sanctionner les médecins qui n’appliquaient pas les consignes gouvernementales en matière de port du masque :[Retranscription de l’échange téléphonique avec l’Ordre des médecins :]

[Retranscription de l’é­change télé­pho­nique avec l’Ordre des médecins :]

Fort de cet appui, Macron peut donc dérouler son plan sous faux drapeau sanitaire de passeport numérique pour tous qui passe par la vaccination pour tous. Il n’hésite même pas à prendre des mesures barbares telles que l’interdiction de l’accès aux soins aux Français non vaccinés (lire Le retour à la barbarie du 7 août 2021).

Mais il n’est pas conscient qu’il franchit là, le pas de trop pour le Conseil de l’ordre qui publie alors ce communiqué :

L’Ordre des médecins rappelle que la mission de service public assumée par tous les soignants est de garantir l’accès aux soins pour tous.

Les professionnels de santé quels que soient leurs modes d’exercice auront l’obligation déontologique de garantir à tous leurs patients des soins dans des conditions de sécurité optimales.

L’Ordre des médecins attend la réponse du Conseil constitutionnel, chargé du fait de sa saisine de garantir l’égal accès aux soins de tous les citoyens de notre pays.

Un camouflet cinglant pour Macron qui est plus le VRP de Big Pharma que le Président de tous les Français. Pour ce dernier, cette rebuffade est insupportable. En quelques jours à peine il crée une nouvelle institution qui détrône le sacro-saint Conseil de l’ordre des médecins : le nouveau « Conseil National de Certification ».

Par décret passé en catimini, Macron et Véran créent le « Conseil national de certification », soumis au gouvernement, pour reconduire ou retirer le droit d’exercer des médecins qui n’obéissent pas… Pas un mot dans les médias. [source]

Macron, plus fort encore que Pétain et Mitterrand réunis !

Ce dernier voulait supprimer une institution jugée trop corporatiste. Macron, lui, la supplante par une institution étatique. Trop fort ! Ce décret parfaitement dictatorial n’a pas suscité beaucoup de commentaires dans la presse subventionnée. C’est dire le niveau de soumission dans laquelle elle se trouve aujourd’hui. On peut dire la même chose des partis politiques, tous soumis, même les « Insoumis ». Ohé, Mélenchon ? On ne vous a pas entendu. Ah, il est peut-être en vacance(s). Mais c’est la même chose pour tous nos élus, à part quelques maires rebelles.

Il ne reste que l’insurrection populaire pour mettre fin à ces dérives dictatoriales et barbares.

Massimo Luce

Bonus :




Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait

[Source : theconversation.com]

Par Laurent Bègue-Shankland, professeur de psychologie sociale, membre de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)

Durant les années 60, Stanley Milgram a mené des études marquantes sur la soumission à l’autorité qui font aujourd’hui partie du patrimoine des sciences humaines. Le psychologue de Yale avait recruté des volontaires pour une étude sur l’apprentissage. À leur arrivée au laboratoire, ceux-ci rencontraient un scientifique et un homme qu’ils croyaient être un simple participant et qui endosserait le rôle d’apprenant. Lorsqu’il commettait une erreur durant un test d’association de mots, le sujet devait lui administrer une décharge électrique au moyen d’un générateur de chocs allant jusqu’à 450 volts par sauts de 15 volts, et s’il hésitait, le scientifique présent lui demandait imperturbablement de poursuivre l’expérience. Les résultats ont montré que la majorité des participants administraient les chocs maximaux à l’apprenant malgré ses supplications (simulées) pour que l’expérience cesse. Pour expliquer ces résultats, Milgram a affirmé que les individus soumis à l’autorité se comportaient comme de simples agents déresponsabilisés qui exécutaient aveuglément les ordres. Cependant, cette théorie de l’« état agentique » est aujourd’hui contestée. L’application de l’expérience de Milgram à la pratique de l’expérimentation animale permet d’introduire une nouvelle lecture de la soumission à l’autorité.

Électrocuter un chiot

L’idée d’une translation du protocole de Milgram à des victimes non humaines n’a pas tardé à germer. En 1975, une année seulement après la parution du livre Soumission à l’autorité, le philosophe Peter Singer évoquait directement les travaux de Milgram :

« si les participants agissent ainsi quand ils croient infliger de la douleur à un être humain, n’est-il pas bien plus facile encore pour les étudiants d’étouffer leurs scrupules initiaux quand un professeur leur enjoint de conduire des expériences sur des animaux ? ».

Comme en écho à cette question, un chercheur de l’université de Berkeley et son collègue ont réalisé en 1972 une étude qui se voulait être une réponse à l’une des critiques couramment adressée à Milgram. Il avait été suggéré en effet que durant les expériences, les participants pouvaient avoir simplement administré les chocs électriques sans penser que la victime les recevrait vraiment. Pour cela, les chercheurs n’ont pas hésité à fabriquer un abominable protocole dans lequel un « chiot au poil soyeux » dont les pattes touchaient une grille métallique recevait des décharges électriques bien réelles et qui augmentaient à chaque erreur durant une tâche de discrimination perceptive.

Une expérimentation brutale impliquant des chiots a montré que trois quarts des participants terminaient l’expérience. PixabayCC BY-NC-ND

L’intensité des chocs était telle qu’aux dernières séquences de l’expérience, le chiot « aboyait et hurlait de manière continue ». Les résultats de cette étude inqualifiable ont confirmé ceux de Milgram : les trois quarts des participants terminaient l’expérience.

Les suites de Milgram

Soixante ans exactement après les premières recherches menées à Yale, dans quelle mesure le phénomène de soumission à l’autorité mis en évidence à travers le protocole de Milgram est-il robuste ? Comment l’expliquer, et qu’en tirer pour comprendre l’expérimentation sur des humains ou des animaux ?

En ce qui concerne la solidité des travaux consacrés à la soumission à l’autorité impliquant des victimes humaines, au-delà des 20 variations expérimentales publiées par Milgram lui-même et impliquant un millier de participants, une vingtaine de réplications ont été menées dans 10 pays différents avec des adultes et parfois même des enfants. Dans la grande majorité des études, plus des deux tiers des participants administraient les chocs maximaux, et lorsque les pressions situationnelles variaient, le taux de soumission suivait en conséquence.

Comme cela a été évoqué plus haut, la possibilité que les participants aient tout simplement joué le rôle que l’on attendait d’eux sans vraiment croire en la réalité de l’expérience a été soulevée. Cependant, l’exhumation récente des archives laissées à Yale par Milgram infirme pour l’essentiel cette hypothèse. Elle démontre qu’au contraire bon nombre d’entre eux manifestaient un intense soulagement lorsqu’ils apprenaient que l’expérience était une pure simulation, se souciaient authentiquement de l’état de santé de la victime et surtout argumentaient dans certains cas avec la figure d’autorité plutôt que de se soumettre aveuglément à ses injonctions.

L’un des participants indiqua même à la journaliste Gina Perry avoir consulté la rubrique nécrologique de la ville où s’était déroulée l’expérience pendant au moins deux semaines afin de s’assurer s’il n’avait pas contribué à un décès. Milgram avait indiqué qu’à quelques exceptions près, ses participants étaient convaincus de la réalité de la situation expérimentale : 84 % d’entre eux pensaient en effet que la victime recevait les chocs électriques.

Une copie du générateur de chocs récemment utilisée lors d’une réplication des études de Milgram en Pologne par Darius Dolinski. Darius Dolinski, Author provided (no reuse)

Si la communauté scientifique considère aujourd’hui que le phénomène mis en évidence par Milgram est bien établi, plusieurs chercheurs considèrent toutefois que l’explication qu’il en a défendue n’est pas adéquate.

La soumission à l’autorité n’est pas ce que Milgram croyait

Dans Soumission à l’autorité, Stanley Milgram développe en effet le concept d’« état agentique » et en fait la clé de voûte de son analyse de l’obéissance.

Il écrit ainsi :

« un individu est en état agentique quand il se définit de façon telle qu’il accepte le contrôle total d’une personne possédant un statut plus élevé. Dans ce cas, il ne s’estime plus responsable de ses actes. Il voit en lui un simple instrument destiné à exécuter les volontés d’autrui » (1974, p. 167).

Par cette « abdication idéologique » (sic), l’individu abandonnerait donc temporairement ses critères moraux habituels face à une figure d’autorité.

Le premier inconvénient de cette analyse, c’est qu’elle semble très circulaire : « si l’individu est soumis à l’autorité, c’est parce qu’il se déresponsabilise ».

Ensuite, elle ne permet pas de comprendre pourquoi l’on observe de telles variations de la soumission dans des conditions expérimentales où l’autorité est pourtant bien présente, ou encore pour quelle raison c’est lorsque les interventions du scientifique sont les plus directives et « autoritaires » dans leur formulation que la soumission est la moins élevée.

Enfin, l’analyse proposée par Milgram n’éclaire pas les comportements de rébellion feutrée. L’enregistrement des paroles des participants durant les expériences montre en effet que ceux-ci n’étaient pas passivement soumis, mais négociaient leur implication, essayant même parfois d’aider subtilement la victime pour ne pas devoir lui administrer de chocs.

Le jeu de la mort

Dans une étude publiée en 2017 et menée en France suite de l’adaptation par Jean‑Léon Beauvois et son équipe du protocole de Milgram à la télévision, nous avons pu observer que dès qu’il n’était plus possible de douter du caractère douloureux des chocs, le quart des participants cherchait à aider discrètement la victime qu’ils avaient devant eux, par exemple en insistant par leur ton sur les bonnes réponses lorsqu’ils lisaient les options possibles lors du test.

Le jeu de la mort (Christophe Nick, documentaire, 2004).

Pour Milgram, le caractère graduel de la séquence des chocs contribuait aussi à intensifier l’obéissance. Invoquant la théorie de la dissonance cognitive, des chercheurs ont suggéré que les participants subissaient un phénomène d’engrenage : il était difficile pour eux de stopper l’expérience une fois commencée, car y mettre fin aurait été un désaveu de leur conduite antérieure. Une idée très proche a été exprimée par un chercheur qui se demandait si les effets observés par Milgram seraient les mêmes si les participants devaient directement actionner le bouton de 450 volts sans passer par les étapes précédentes.

La douleur consentie pour la science ?

Deux études récemment menées en Pologne par Dariusz Dolinski à l’université de Varsovie ont permis de mettre à l’épreuve cette hypothèse en comparant un protocole progressif standard à un protocole où dès la première erreur de l’apprenant, les sujets devaient lui administrer 150 volts (étude 1) ou 225 volts (étude 2).

Une récente série d’études en Pologne infirment l’hypothèse d’un effet lié à la gradualité des chocs. 
Darius Dolinski, Author provided (no reuse)

A la grande surprise des chercheurs, les résultats ont complètement infirmé l’idée d’un effet d’engrenage. La mise en cause de l’hypothèse d’un état agentique et l’impossibilité de s’appuyer sur une explication fondée sur la progressivité des chocs met en cause les explications courantes de la soumission à l’autorité.

Repenser l’obéissance raisonnée

Dans le cas de l’expérimentation animale, c’est la connaissance scientifique et ses applications notamment biomédicales qui justifient le désagrément ou la souffrance des animaux utilisés. N’est-ce pas ce que Claude Bernard, fondateur de la médecine expérimentale et illustre vivisectionniste, reconnaissait en écrivant dans son Introduction à la médecine expérimentale ?

« Le physiologiste n’est pas un homme du monde, c’est un savant, c’est un homme qui est saisi et absorbé par une idée scientifique qu’il poursuit : il n’entend pas les cris des animaux, il ne voit plus le sang qui coule, il ne voit que son idée et n’aperçoit que des organismes qui lui cachent des problèmes qu’il veut découvrir »

Claude Bernard dans son laboratoire. Lhermitte, Léon/WikimediaCC BY-NC-ND

La science, bien qu’elle incite selon les mots de Claude Bernard lui-même, à une « non soumission à l’autorité », n’est pas exempte dans sa pratique institutionnelle de phénomènes conformistes et représente un principe d’autorité évident.

Lorsque, dans l’une de ses expériences, Milgram demandait à un homme d’apparence ordinaire de communiquer les ordres aux participants, seulement 20 % de ces derniers administraient les chocs les plus élevés. Si l’expérience était réalisée dans un lieu de faible prestige comme l’était le bâtiment commercial d’une petite ville, le taux de soumission n’était que de 47,7 %, soit près de 20 % de moins que lorsque celle-ci se tenait à Yale.

Ces exemples introduisent la question de la légitimité accordée à l’autorité, et à travers elle, à la science. Les analyses qualitatives des entretiens avec les participants des expériences de Milgram montrent que l’identification aux buts scientifiques constituait une composante majeure de l’expérience.

L’image qui se dégage accorde ainsi aux participants de Milgram une relative rationalité qui leur a longtemps été récusée. Loin d’être, comme il l’a écrit, un « exécutant-robot » de l’action, l’individu apparaît plutôt comme un acteur qui, investi d’un but culturel supérieur, servir la science, non seulement consent, mais s’engage activement dans les comportements que l’on attend de lui.

La valeur attribuée au but de l’expérience est donc une cause décisive du comportement, et non simplement l’autorité qui est physiquement présente dans le laboratoire. A travers le soutien à l’expérimentation animale, c’est la valeur et les promesses de la science qui sont souvent affirmées. Malgré des signes de scepticisme perceptibles dans le public, la science s’impose aujourd’hui comme la première autorité culturelle dans le monde anglo-européen.

[Ndlr : la science peut aussi bien être considérée de nos jours comme une autorité religieuse, dans la mesure où pour une très grande majorité d’êtres humains, elle a acquis les principales caractéristiques d’une religion. On y trouve :
des saints (Einstein, Pasteur, Darwin, etc.),
des dogmes (la vaccination, le hasard, le progrès, le réchauffement climatique anthropique…),
des croyances non démontrées scientifiquement (la théorie virale, la théorie des germes, la théorie de l’évolution…),
l’excommunication des hérétiques (Jean-Pierre Petit, Jacques Benveniste…),
des messes (congrès, séminaires, démonstrations publiques…),
des miracles (résurrection des morts par réanimation cardiaque, voler dans les airs, aller sur la Lune, parler et se voir instantanément d’un bout à l’autre de la planète, faire apparaître des hologrammes sur scène théâtrale ou en plein ciel…),
une déesse suprême (la matière),
des grands prêtres (des « experts »),
des inquisiteurs (des journalistes vulgarisateurs ou non, des présentateurs de télévision, des « fact chekers » — prétendus « vérificateurs de faits »…),
des missionnaires (des lobbyistes de Big Pharma…),
au moins un prophète (Bill Gates),
et surtout la dévotion indéfectible, trop souvent fanatique, des fidèles de la religion et des adorateurs de la déesse.
Et donc, la science sert de caution morale, même devant les actes les plus barbares tels que l’expérimentation animale et la vivisection au nom du progrès.]

De nouveaux travaux expérimentaux

L’individu confronté à un choix d’utilisation animale au laboratoire devra résoudre un dilemme opposant deux buts : servir des finalités scientifiques telles qu’il les comprend (notons ici que les véritables bénéfices scientifiques de l’expérimentation animale restent très discutés par les chercheurs eux-mêmes), et éviter de blesser des êtres vivants, exigence qui constitue un véritable fondement moral universel.

Des travaux expérimentaux en cours à l’Université de Grenoble opèrent une translation directe du protocole de Milgram en introduisant une victime animale (en réalité un robot biomimétique) que les participants doivent progressivement sacrifier dans le cadre d’un protocole pharmacologique.

Impliquant plus de 750 participants de toutes les couches de la société et réalisées pendant une durée de 3 ans, ces recherches à paraître dans la revue Personality and Social Psychology Bulletin permettent d’apporter des éclairages inédits au phénomène d’obéissance. Ils démontrent notamment que l’autorité culturelle de la science est une donnée-clé pour comprendre le sacrifice d’un animal et feront l’objet d’une présentation ultérieure. Avec les évolutions contemporaines de la considération accordée aux animaux, conséquences de l’évolution des connaissances scientifiques les concernant, on peut s’interroger sur la forme que prendra à l’avenir le dilemme moral qui oppose les intérêts des 125 millions d’animaux utilisés annuellement pour la recherche dans le monde à ceux des humains poursuivant des buts scientifiques.




Afghanistan : la cécité occidentale

Par Lucien Samir Oulahbib

L’islam n’a rien à faire lui non plus en Afghanistan dans ce cas, à ceux qui relativisent (et le retour des Talibans ne résoudra rien, permettant seulement à l’État islamique financé par les wahhabites de diverses obédiences — Pakistan compris — de supplanter « La Base » tout en tuant le plus de chiites possible). N’est-il pas un cruel conquérant colonisateur (voir également son action effroyable en Inde), alors que cette terre ne lui appartient pas, comme le montrent bien ces images des années 70 qui signifient moins une « domination occidentale » que l’évolution d’échanges civilisationnels (immémoriaux) qui font que les humains adoptent des coutumes autres lorsqu’elles semblent s’insérer au mieux à des désirs d’épanouissement morphologique (au même titre que l’enfouissement des égouts, l’électricité, l’eau courante, la mécanisation des tâches pénibles) ?

Il en est de même pour l’idée de « nation » qui s’avère s’être perfectionnée au fil du temps, comme l’indique Liah Greenfeld au sens où le citoyen n’est plus seulement membre d’une Cité comme en Grèce antique (n’oublions pas que Sparte avait fait financer sa flotte par la Perse contre Athènes lors de la guerre du Péloponnèse), mais aussi d’une entité politique avec des frontières civilisationnelles et physiques (le Limès romain exprime bien l’intrication de ces deux notions) censée mieux développer les aspirations du « citoyen » à ne plus être dépendant de ses origines sociales stratifiées dans des « Ordres », mais pouvant progresser de façon « méritocratique ». Tel est (toujours) l’acquis morphologique fondamental très récent (quelques siècles) dilapidé aujourd’hui par les actuels réductionnistes globalistes (affairistes hygiénistes, néo-eugénistes au fond) ne voyant plus en l’humain que son aspect animal (à modifier — modéliser — et marquer de plus en plus à la façon d’un bétail « javélisé »).

Il s’avère qu’en Afghanistan tout comme en Afrique (Égypte, Algérie par exemple) ce stade d’évolution progressive vers cette liberté d’ascension méritocratique qu’est la nation a été peu à peu tué dans l’œuf. Ce « printemps des peuples », disait-on en 1848, a été mal compris par Marx (puis Lénine) qui n’y voyaient que le conflit, éternel, entre « classes » (cf. Machiavel à ce sujet, dans Les Discours sur la seconde décade de Tite-Live), alors qu’il s’agit d’une lutte bien plus spirituelle entre imaginaires singuliers : un Français n’est pas un Anglais ni un Allemand ; un Hongrois ne veut plus être associé à un Autrichien, pas plus qu’un Serbe ; un Amazigh n’est pas un Arabe ; un Touareg n’est pas un « Malien » ; un Marseillais n’est certes pas un Parisien (on le voit bien aujourd’hui), mais c’est d’une autre nature (qu’il faudra cependant un jour analyser, en particulier le rôle — sous-estimé — de Marseille lors de la première phase du changement de Régime en 1789), car ils se sentent tous deux également « français » (à peaufiner en permanence cependant, comme on le voit visiblement aujourd’hui tant la recette pour y arriver peut se perdre…).

Cette avancée (en termes de Technè) vers la nation a été fragilisée dans les pays fraîchement élevés par l’idée « nationale », du fait d’une corruption accélérée au sein d’un désengagement hâtif des puissances dominantes ne prenant pas en compte toutes les forces en présence (comme en Algérie, au Vietnam…) avec par voie de conséquences le retour aux conflits intertribaux via des différents religieux : les tribus en tant que phénomène politique global (donc également spirituel) étant en effet toujours présentes, quoique en sourdine, au creux des liens familiaux et non pas le produit d’un « État failli » (comme le prétend un Bertrand Badie), puisque cet « État » au sens national (État-nation) n’a jamais été réellement construit dans sa profondeur morphologique (et non pas seulement juridique)…
Ce qui signifie (sommairement) que l’idée nationale transcende en effet la notion d’« État de droit » (sur ce point Zemmour a raison), en ce sens où il ne suffit pas de construire des institutions en soi, mais celles-là mêmes qui correspondent à l’état d’avancée donnée de la société civile (ainsi édifier en Afrique des « partis », ces nouveaux types de « tribus » travestissant les tribus canal historique fut une illusion). Par exemple, en Algérie il aurait mieux valu réunir toutes les forces en présence et leur imposer la constitution d’un compromis, ce qui implique aussi d’écraser les réticents : le FLN algérien était par exemple militairement et spirituellement vaincu en 1958 — voir le débat Soustelle/Aron sur ce point, ce que n’a pas compris de Gaulle qui pensait que les démocrates algériens francophones étaient de fait cristallisés pour toujours dans « l’essence » musulmane, ce qui était faux, même chez les arabophones (voir mon livre Le monde arabe existe-t-il ?), mais éliminer ce dernier en sautant sur Paris au lieu de seulement occuper Alger fut aussi une erreur fondamentale du « quarteron ».

De même, écraser les djihadistes comme l’a fait Petraeus en Irak et en Afghanistan avec son « Surge » (avant d’être évincé par Obama et les Républicains n’ayant jamais digéré un Reagan, ce Trump avant l’heure…) était essentiel pour asseoir le processus constitutif de l’idée nationale au sens indiqué ci-dessus de liberté en acte du processus méritocratique entouré des institutions du moment considéré (l’Irak n’existant pas en réalité, pas plus que l’Algérie), alors qu’un Saddam Hussein pas plus qu’un Nasser ou un Boumediene ne pouvaient l’incarner (ce que ne saisit pas Zemmour, ne parlons pas d’Onfray là aussi dans les choux à l’instar d’un Mélenchon également…) ; mais il aurait fallu poursuivre en lien avec les Kurdes du moins débarrassé de leur tutelle du PKK qui empêche leur réelle avancée en Turquie comme en Iran, ce que n’ont pas fait les Républicains tendance Cheney et Rumsfeld… Et donc soutenir durablement en Afghanistan toutes les forces réellement modernes (comme Abdullah Abdullah successeur de Massoud, mais affaibli par des élections truquées) au sens méritocratique et laïque (non pas athéisme, mais ouverture d’esprit) au lieu de chercher des compromis tordus avec les djihadistes de diverses obédiences qui n’auraient pas de poids réel (à la différence des chefs de tribus) s’ils n’avaient pas été soutenus par les wahhabites et les khomeynistes avec la complicité tacite des services secrets occidentaux jouant à ces Talleyrand/Chamberlain aux petits pieds que vilipendait tant Churchill, d’où la situation présente tout de même…

En tout cas, dire, « nous n’avons rien à faire là-bas » revient non seulement à revivre Saïgon et Evian, mais surtout à réitérer la position des Verts allemands avec leur « mieux vaut être rouge que mort » dans l’affaire des Pershing. Et puis dans cet état d’esprit jamais Reagan n’aurait entamé la Guerre des étoiles qui aura fait plier l’URSS… De même aujourd’hui soutenir Taïwan reste un casus belli (mais pour cela il faudrait renforcer nos forces armées, déjà en arrêtant le cirque corona actuel à la létalité égale à une grippe sévère qu’il faut certes soigner adéquatement avec des traitements précoces, mais sans sacrifier le pays)…

« Si tu veux la paix prépare la guerre » selon l’adage. Aussi si chute de Kaboul il y a, cela ne présagera rien de bon sinon renforcer les relativistes de tous bords (« c’est un pays musulman, que voulez-vous », ce qui est déjà faux) acceptant de fait des « londonistan » partout ou bases avancées qu’il n’est de plus en plus toujours pas possible d’admettre du point de vue non seulement géostratégique, mais civilisationnel au sens également morphologique du terme.




La dictature sanitaire aura une fin

[Source : Kernews via nicolasbonnal.com]

Connu sur le plan international pour ses nombreuses vidéos diffusées sur Internet avec ses cours sur la Torah, le Rav Dynovisz aborde à nouveau la question de l’autodestruction de l’Occident, le mondialisme, la stratégie du chaos et la volonté de domination des peuples dans le cadre de cette crise sanitaire. Le Rav Dynovisz, maître de la Torah, nous accorde un entretien exceptionnel dans lequel il livre des clés essentielles pour appréhender le monde qui se prépare.




Le trans-numérique contre le pétrole

[Source : plumenclume.org]

Par ISRAEL ADAM SHAMIR

Commençons par une bonne nouvelle. Un mois d’août resplendissant, le dernier mois d’été, a béni le Nord ! Le soleil brille, les lacs sont encore assez chauds pour la baignade, les champignons sont prêts à être cueillis, les framboises sauvages sont pourpres et sucrées, les fauves rousseurs de Bambi gambadent dans la forêt qui s’étend jusqu’à notre maison d’été ; Dieu est dans son paradis – tout va pour le mieux ! À moins que….? Malgré les efforts incessants pour nous faire basculer dans la panique et le désespoir, on ne jette pas si facilement ce monde robuste dans la tourmente, et il y a même des signes d’amélioration (même si des nuages orageux planent toujours à l’horizon).

Les gens quittent les grandes villes pour s’installer dans des villes plus petites, inversant ainsi une longue tendance. Les capitales surpeuplées ont commencé à se débarrasser de leurs habitants excédentaires. Stockholm a commencé à libérer sa population ; Moscou fait de même. Les Russes innovateurs réfléchissent à des plans pour reconstruire leur capitale dans la lointaine Sibérie, laissant Moscou en plan. Les salaires des ouvriers agricoles et dans le bâtiment augmentent, car les travailleurs invités ne sont pas faciles à trouver. Alors que le flux de migrants et de réfugiés se tarit, oui, les salaires des travailleurs ont commencé à augmenter.

Les voyages internationaux sont devenus si compliqués que seuls les très riches ou les très obstinés s’aventurent encore à l’étranger, de sorte qu’il y a davantage de tourisme intérieur – une activité qui était presque éteinte. Pourquoi un Suédois, un Britannique ou un Russe sain d’esprit passerait-il des vacances dans son propre pays, alors qu’il est moins cher et plus exotique d’aller en Espagne, en Turquie ou en Grèce ? Maintenant, avec ces entraves sans fin, ils préfèrent dépenser leur temps et leur argent dans leur propre pays. Un Suédois découvrira les forêts de montagne de Bergslagen ou la ville médiévale de Gotland ; un Russe pourra visiter les monastères de Vologda, oubliés il y a des siècles dans la nature sauvage du Nord, ou parcourir les magnifiques montagnes de l’Altaï ; un Britannique, au lieu des îles Canaries, pourra désormais se rendre dans les rudes Cornouailles ou visiter la majestueuse cathédrale de Salisbury. Nous n’avions jamais été très sensibles à la mondialisation, et notre désir a été exaucé : la mondialisation, c’est fini. Il s’agit sans aucun doute d’un résultat positif d’une évolution très négative.

Cependant, le durcissement des régimes se poursuit partout dans le monde. Certaines libertés élémentaires dont personne ne doutait, si élémentaires que nous ne savions même pas qu’elles étaient des libertés, comme aller au bistrot, allumer une cigarette, conduire sur quelques kilomètres, discuter avec les copains, flirter avec les filles, dépenser son argent de poche, dire ce que l’on pense, tout cela a été balayé comme l’ivraie sur l’aire de battage. Le droit de se réunir, de manifester, de décider de son propre sort, et même le droit de disposer de son propre corps sont désormais considérés comme insalubres et crapuleux. Les autorités prétendent toujours le faire dans notre intérêt, parce qu’elles savent ce qui est le mieux pour nous.

Il y a quelques années, elles se sont attaquées aux fabricants de tabac ; les juges les ont déclarés coupables de chaque cas de cancer et leur ont imposé des milliards d’amendes. Les gens ont applaudi ; personne n’aime les grandes entreprises. Ce n’est que plus tard qu’elles ont commencé à rendre la vie impossible aux personnes qui avaient cette innocente habitude. Maintenant, ils s’en prennent aux compagnies pétrolières. Elles sont grandes et sales ; personne ne les aime. Mais très bientôt, nos factures de chauffage, nos frais de transport et de nourriture vont monter en flèche. Et nous découvrirons alors que se chauffer en hiver n’est pas un droit naturel, mais un grand luxe.

Aujourd’hui, le prix du pétrole a de nouveau baissé, poursuivant la tendance à la baisse. Pourtant, le prix à la pompe ne baisse jamais, et nous ne pouvons donc pas profiter de ce résultat de la guerre du pétrole. Mais quelqu’un en profite : les géants du numérique. Le pétrole mammouth a été vaincu dans le discours par des géants numériques élégants. Il y a vingt ans, lorsque les États-Unis se sont lancés dans les guerres du Moyen-Orient, il était de bon ton de qualifier chacune d’entre elles de « guerre du pétrole », à moins d’être prêt à faire face à une accusation d’antisémitisme (à Dieu ne plaise !). C’est en vain que nous faisions remarquer que Big Oil n’avait pas besoin du pétrole irakien et ne pouvait pas en tirer profit. Nous avons fait remarquer que l’Afghanistan n’avait pas de pétrole, mais l’invasion était toujours présentée comme une guerre pour le pétrole. Les compagnies pétrolières étaient impuissantes à contrer l’accusation sans pointer du doigt Israël, et elles n’ont pas bronché, elles ont gardé un silence de pierre.

Maintenant, nous avons une offensive sérieuse contre les compagnies pétrolières. Les démocrates ont rédigé un projet de loi visant à taxer Exxon, Chevron et une poignée d’autres grandes compagnies pétrolières et gazières, en affirmant que les plus grands pollueurs du climat devraient payer pour les inondations, les incendies de forêt et autres catastrophes que les scientifiques ont liées à l’usage de « combustibles fossiles ». La taxe devrait rapporter 500 milliards de dollars pour la prochaine décennie. Avant de vous réjouir de la chute des grands pétroliers bellicistes, n’oubliez pas qu’ils transféreront chaque centime de cette taxe sur vous, leurs clients. Et qui fait pression pour cette taxe ? Nos chers philanthropes, dit le New York Times :

« Ces compagnies pétrolières et leurs dirigeants sont de loin les parties les plus responsables de la crise climatique », a déclaré Lee Wasserman, directeur du Rockefeller Family Fund, un groupe philanthropique qui a contribué à l’élaboration de la législation proposée. Les compagnies pétrolières ont accusé le Rockefeller Family Fund de financer une conspiration climatique en finançant des recherches qui ont été utilisées dans des litiges contre l’industrie des combustibles fossiles. 

L’histoire remonte à 2016, lorsque la famille Rockefeller a été accusée d’encourager et de financer les enquêtes et les campagnes contre les compagnies pétrolières. Nous poursuivons dans la version non payante, et donc tout public: 

Les deux organisations journalistiques qui ont enquêté sur l’Exxon Mobil ont été financées par des philanthropies Rockefeller, bien que les organisations disent que leurs donateurs n’ont aucun regard sur ce qu’ils écrivent.

Elle est bien bonne, celle-là! Les donateurs seraient donc aussi susceptibles de soutenir The Unz Review que les publications qu’ils soutiennent effectivement, hum!

Les Rockefeller ont également soutenu des groupes comme Greenpeace et 350.org qui ont enquêté et critiqué l’entreprise. Une conférence sur le pétrole et le climat s’est tenue dans les bureaux partagés par deux fonds de la famille Rockefeller avec l’intention « d’établir dans l’esprit du public qu’Exxon est une institution corrompue qui a poussé l’humanité (et toute la création) vers le chaos climatique et de graves dommages ». Alan Jeffers, un porte-parole d’Exxon Mobil, a déclaré dans une interview : « À chaque fois que nous avons vu l’entreprise faire l’objet d’attaques, il y avait un lien de retour vers le Fonds des frères Rockefeller ou le Fonds de la famille Rockefeller. »

Pour nous, il est particulièrement pertinent que le plus ancien scénario connu de la pandémie de Covid et de la réponse privilégiée à celle-ci (Lockstep 2010 – et voici un « déboulonnage de cette accusation » plutôt ridicule) ait été créé par cette même famille Rockefeller, ce vieil ennemi de l’humanité. Leur emprise unique sur les États-Unis avait été ostensiblement brisée en 1911 par une décision de la Cour suprême, mais comme l’hydre mythique, elle s’est fait repousser de nouvelles têtes et elle est revenue à ses vieux jeux de contrôle. Le Covid et l’Agenda vert semblent être inséparables comme des frères siamois, tous deux nés et militarisés par la grâce de ces « philanthropes » internationaux.

Il n’y a pas si longtemps, ils nous exhortaient à nous débarrasser de nos fidèles réfrigérateurs parce qu’ils provoquaient des « trous dans la couche d’ozone » ! Personnellement, je m’en tape, du Green Deal et de son austérité obligatoire.

Sous la bataille bruyante contre les compagnies pétrolières, l’économie réelle est tranquillement étranglée par l’économie numérique. Vous pouvez choisir de regarder encore plus profondément dans le terrier du lapin d’Alice au pays des merveilles,  et d’entrevoir ce qui se cache en dessous. Vous y découvrirez le programme transhumaniste, une idée singulière qui consiste à créer des surhommes androïdes et à se débarrasser des humains ordinaires. La négation de Dieu est à la base de cette idée. Nietzsche l’a popularisée au début du XXe siècle, après avoir lancé sa célèbre boutade « Dieu est mort ». C’est Julian Huxley, le frère d’Aldous Huxley, qui lui a donné le nom de transhumanisme.

L’idée a connu un essor dans les périphéries de la pensée soviétique en raison de son environnement totalement impie. La version pop se trouve dans les livres de science-fiction écrits par les frères Strugatsky. Ils affirment que la transhumanité est la prochaine étape logique de l’évolution, aboutissant inévitablement à des créatures immortelles, connectées à des ordinateurs et incroyablement intelligentes. Les transhumains hériteront de la terre, tandis que les humains ordinaires pourront vivre leur vie naturelle avant de s’éteindre. C’est ici qu’intervient l’idée du revenu de base universel, version moderne du pain et du cirque romains – il s’agit de l’argent que fourniront  les transhumains supérieurs pour permettre aux humains ordinaires de poursuivre leur vie inutile jusqu’à leur disparition naturelle.

Cette étrange idée post-soviétique (ou plutôt anti-soviétique) a été importée dans la Silicon Valley par les informaticiens russo-juifs qui ont formé le noyau de Google. De là, elle s’est répandue parmi le personnel de la haute technologie jusqu’à attirer l’attention des super-riches, qui ont toujours voulu être spéciaux et pas seulement riches. Yuval Noah Harari, écrivain israélien à succès, est devenu l’un des prophètes du transhumanisme, niant l’existence même d’une âme humaine et du libre arbitre. [en anglais :]

Le transhumanisme est la base idéologique de la Wokerie (ou Wokisme ou Wokitude), une façon particulière de parler et de penser qui souligne le statut spécial et supérieur de chacun. Selon Scott Alexander, la wokitude est une religion à mystères inventée par des universitaires pour se sentir supérieurs à vous. Les gens ordinaires n’aiment pas ça, mais on leur fait comprendre que les wokes ont plus d’argent et de pouvoir, et que c’est une raison suffisante pour faire comme eux. C’est une foi, mais ce n’est pas une foi pour tout le monde comme l’était le christianisme. C’est une foi pour la classe dirigeante. La version arienne du christianisme constituait une foi semblable pour les dirigeants de l’Espagne wisigothique jusqu’à ce que les Maures viennent gâcher la fête. La foi judaïque est un autre exemple de religion pour l’élite, faisant de la vie des masses un véritable enfer. Vous ne pouvez pas comprendre les temps que nous traversons si vous n’êtes pas au courant de cette foi cachée de nos supérieurs.

Les transgenres sont exaltés et promus par les médias appartenant à l’élite pour préparer l’humanité à l’avènement du transhumain. Idem pour les vaccins covididiques qui sont promus et poussés avec une vigueur sans précédent. Cela n’est pas fait dans le but de tuer l’humanité, comme le soupçonnent les anti-vaxx, ni dans le but de nous sauver tous du redoutable covid, comme le croient les vaxxeurs. C’est un pas dans la direction de la transhumanité. L’économie numérique, le revenu de base universel, la transsexualité et les vaccins ARNm obligatoires constituent une stratégie d’évolution rapide dont les visionnaires d’aujourd’hui espèrent qu’elle préparera les masses à accepter une super-race transhumaine.

Mais ce sont des choses qui visent loin et profond. Il y a beaucoup d’escroqueries à réussir avant que leur rêve puisse se matérialiser. Revenons au niveau observable, à la lutte actuelle pour l’énergie. La pandémie de Covid a diminué la demande de pétrole en 2020 et 2021, ce qui a permis à l’agenda vert de se développer. Ce n’est pas suffisant ; l’avenir des Verts a besoin d’une autre attaque contre le pétrole, et le variant Delta de Covid fournira l’occasion. La chute actuelle des prix du pétrole a été interprétée comme l’anticipation de reconfinements imminents, tout d’abord en Israël, pays fortement vacciné. Aux États-Unis, malgré une forte vaccination urbaine, on compte 250 000 nouveaux cas par jour, et on entend des demandes stridentes de limitation de l’activité commerciale.

La Chine est un acteur puissant face à Big Oil ; elle dispose de peu de pétrole en propre ; elle est obligée de l’acheter à l’étranger et a donc tout intérêt à faire baisser les prix du pétrole. C’est pourquoi, bien que la Chine compte un nombre dérisoire de personnes souffrant de covidie (125 nouveaux cas ! mille fois moins qu’aux États-Unis), elle limite toujours fortement les voyages. La version chinoise de Google, Baidu, indique que le trafic à Pékin a baissé de 30 % par rapport à la semaine dernière. Bien sûr, nous pourrions expliquer ces mesures draconiennes en invoquant le respect de la Chine pour la vie humaine, mais leur participation à la guerre mondiale du pétrole l’explique peut-être mieux. Les Chinois continuent tranquillement à faire tourner leur économie au charbon, ce qui montre à quel point leurs partenaires verts dans la guerre du pétrole ne craignent pas le changement climatique. Idem pour les États-Unis : Un projet d’accord visant à mettre fin à l’exploitation du charbon n’a pas été repris dans le communiqué de la réunion du G7 de juin en Grande-Bretagne, apparemment parce que l’administration Biden craignait une réaction négative dans le pays.

De toute façon, le client, c’est-à-dire vous, finira par payer plus cher ; en tout cas, c’est l’idée. En Europe, les prix du gaz naturel ont grimpé de 1000 %, rapporte Bloomberg ; le gaz n’est plus bon marché, mais il reste nécessaire pour réchauffer les Européens au cours de l’hiver à venir. Voilà ce qui se passe: le prix est élevé parce que les bureaucrates de l’UE ont basé leurs calculs sur les prix au comptant, qui sont généralement moins chers que les prix des contrats à long terme, et qu’ils avaient prévu d’entuber les fournisseurs de gaz naturel russes, mais ces derniers jours, la tendance s’est inversée en raison du déficit de gaz et de l’augmentation de la demande.

Les Russes étaient censés être les premières victimes de l’agenda vert, du Covid et de la tarification du gaz naturel au comptant, mais apparemment, le grand judoka Poutine-san est une fois de plus sorti vainqueur. Le prix du gaz au comptant était censé appauvrir la Russie, mais il lui a apporté la richesse. L’attaque contre les compagnies pétrolières américaines et britanniques par les pourvoyeurs du Green Deal a, contre toute attente, fait le jeu des compagnies pétrolières russes. La Russie devra payer une taxe climatique, mais cette dépense sera répercutée sur leurs clients internationaux. Le Green Deal a déjà fait de la Russie le deuxième exportateur de pétrole vers les États-Unis, après le Canada.

Le gaz naturel russe arrivera très bientôt, peut-être avant la fin du mois d’août, en Allemagne par le North Stream II, le nouveau gazoduc achevé la semaine dernière. C’est exactement à temps pour contrer la hausse des prix, alors qu’un déficit gazier se fait sentir dans toute l’Europe. Le président Biden a accepté, dans un accord semi-secret avec la chancelière Merkel, de lever les objections américaines au gazoduc européen. L’une des raisons invoquées est une pénurie mondiale de gaz naturel, la Chine et l’Asie du Sud-Est en achetant de plus en plus. Cela aussi est lié au Green Deal, car ses concepteurs considèrent que le gaz naturel est le moins polluant et le moins dommageable des combustibles naturels.

Cette évolution a permis à Poutine de couper l’herbe sous le pied aux autorités ukrainiennes qui avaient tenté de jouer les premiers violons dans l’orchestre anti-russe. Jusqu’à présent, le gaz naturel russe était acheminé vers l’Europe par d’anciens gazoducs de construction soviétique traversant l’Ukraine et entraînant de lourdes taxes de transit au profit de Kiev. Désormais, avec l’achèvement de North Stream II, la majeure partie du gaz ira directement en Allemagne. Le gaz européen deviendra considérablement moins cher ; les Ukrainiens avaient l’habitude de voler une grande partie du gaz destiné à l’Europe occidentale, oscroquaient les deux parties pour les frais de transit. Cela signifie que l’Ukraine aura moins de bénéfices pour jouer ses petits jeux anti-russes. Il n’est pas impossible que le peuple ukrainien comprenne que son avenir réside dans l’amitié avec la Russie, car l’inimitié ne lui a rapporté aucun bénéfice. Selon un récent sondage, près de la moitié des Ukrainiens vivant à l’est et au sud de ce pays fragmenté ressentent une grande affinité avec les Russes et approuvent la vision de M. Poutine selon laquelle les Ukrainiens et les Russes ne forment qu’un seul peuple. Les prix du pétrole et les gazoducs font des merveilles dans l’esprit des gens !

Dans mon récent article, le professeur Roman Zubarev parle de ces changements en termes de « pic pétrolier », le concept d’un déclin inévitable des combustibles naturels extraits. Il y a une dizaine d’années, le pic pétrolier faisait fureur dans les médias, mais depuis, il n’est pratiquement plus mentionné. Cependant, une analyse récente de Fred Pierce, analyste de YaleEnvironment 360, arrive à la même conclusion et va même plus loin : Le pic pétrolier est déjà derrière nous. Apparemment, cela s’est produit en 2019. En mai dernier, des militants en colère contre les politiques climatiques d’ExxonMobil ont remporté trois sièges au sein de son conseil d’administration ; les actionnaires de Chevron ont voté pour obliger l’entreprise à commencer à réduire ses émissions ; et un juge néerlandais a décidé que Shell devait réduire ses émissions de 45 % d’ici 2030. Le pétrole est en voie de disparition, tout comme les voyages et les nombreux autres plaisirs que nous goûtions jadis. Seul l’avenir nous dira si le pétrole a disparu parce que nous n’en avons plus ou parce qu’il a été déclaré démodé, mais dans tous les cas, les élites inspirées par le numérique et le transhumanisme ont décidé de le mettre à la retraite.

Nous pensons que la principale victime de tout cela sera le consommateur américain. Le maladroit Donald Trump se souciait de ce grand pays et de ses habitants, mais n’a pas pu faire grand-chose ; les élites qui s’abreuvent maintenant aux sources du pouvoir ne pourraient pas se soucier moins des Américains ordinaires. Elles ont une vision plus élevée de la transformation de l’humanité et du remodelage de son cours. C’est vous qui paierez pour cela, que cela vous plaise ou non, mais ça, ils s’en moquent.

Les États-Unis de Biden ont moins d’appétit pour les aventures militaires ; l’idéologie du woke est fortement anti-testostérone. C’est une raison suffisante pour le retrait de l’Afghanistan et de l’Irak. On ne peut pas s’attendre à ce que les wokes veuillent aller se battre dans des pays du tiers-monde, loin des plaisirs urbains de New York et de la Californie. Et si leur idéologie élitiste, ou trans-foi, est abominable, mais les conséquences internationales pourraient être positives pour le monde.

En résumé

Nous vivons une lutte titanesque entre un futur numérique contre notre passé pétrolier. Cela explique une grande partie du drame covidique. Dans cette lutte, la Chine, sans pétrole, s’oppose à Big Oil, même au prix de lourdes restrictions et de blocages pour sa population. La Russie s’abstient de participer à l’attaque du « Green Deal » contre les producteurs de pétrole américains, tout en profitant de la hausse de la demande de gaz russe. La Russie dispose de son propre vaccin, elle est donc plutôt à l’abri des pressions orchestrées par les pandémies. L’Afghanistan et l’Irak ne sont plus d’actualité pour les élites de Biden ; elles ont des combats plus urgents à mener chez elles, avant tout contre les nationalistes américains. C’est pourquoi l’empire se retire. En fin de compte, les transhumanistes impies seront vaincus, comme l’ont été tous leurs prédécesseurs, à moins qu’ils n’atteignent d’abord leur « Singularité » (leur nom pour l’avènement de l’Antéchrist). Mais ne nous inquiétons pas trop de l’avenir, car il est dit (Mt, 6:34) : « ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine ».

https://www.unz.com/ishamir/trans-digital-vs-oil/

Écrit en collaboration avec Paul Bennett.

Joindre l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: MP.




Manifestation du 14 août en France : encore plus de rassemblements prévus

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Ce samedi 14 août encore une fois, des manifestations contre le pass sanitaire sont prévues à Paris et partout en France. Celles-ci ont commencé le 17 juillet suite aux annonces d’Emmanuel Macron et continueront sans doute tant que le pass sanitaire sera d’actualité.

Ces manifestations sont inédites par leur densité et leur multiplicité partout sur le territoire, alors que nous sommes en plein été et que de nombreux français sont en vacances. À Paris, Lyon, Toulouse, Lille, mais aussi dans des petits villages… Ceux qui refusent le pass sanitaire et le contrôle social que celui-ci instaure, peuvent presque toujours trouver un point de manifestation proche de chez eux.

Pour connaître les lieux de rassemblements proches de chez vous, cette liste peut vous aider :

À Paris samedi dernier, 17 000 manifestants se sont rassemblés selon les chiffres du gouvernement. Avec quatre manifestations différentes, il est difficile de se rendre compte de l’ampleur de la foule, mais une compilation aérienne de celles-ci permet de se faire une idée et de constater que l’influence était très largement supérieure : 

https://www.youtube.com/embed/U6gB4uO4mbI

Pour ce samedi, trois manifestations sont prévues.

Une manifestation des Gilets jaunes partira à 13h30 de la place de la Bourse et rejoindra la place du palais royal. Elle est organisée par Sébastien Philippart, figure des Gilets jaunes depuis 2018. Sa manifestation, apartisane et apolitique, est un rassemblement simple de citoyens protestant contre une « tyrannie à usage sanitaire » selon le déclarant de cet évènement. Joint par téléphone, il appelle tous les Français présents sur la capitale à le rejoindre. L’intéressé se distingue des autres déclarants de la manifestation Gilets jaunes, au départ de la Porte Dorée, qu’il juge sortir de chez eux « maintenant que les caméras sont présentes » et rappelle qu’il manifestait déjà cet hiver quand ils étaient « 30 ou 40, dans la neige, on marchait dans le froid. »

https://twitter.com/cab2626/status/1425434441627885574?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1425434441627885574%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.francesoir.fr%2Fpolitique-france%2Fmanifestation-du-14-aout-encore-plus-de-rassemblements-prevus

L’autre manifestation organisée par les Gilets jaunes partira dès 11h30 au métro Porte Dorée, et prévoit un départ à 13h en direction de Place de Clichy, en passant par la place de la Nation et place de la République.

Pour Florian Philippot, ces manifestations montrent qu’il « se passe quelque chose de puissant au sein du peuple français ». Celle qu’il organise partira de la place de Catalogne à 14h30 :

Le collectif Paris pour la liberté n’organise pas de manifestation ce samedi, mais en prévoit de grande ampleur le 28 août. 

Le nombre de manifestants continue de grandir chaque semaine. Ils étaient 237 000 samedi dernier selon les chiffres du gouvernement. Sûrement beaucoup plus en réalité, et ils seront encore plus nombreux ce week-end.

Les services de renseignements annoncent 250 000 manifestants ce samedi en France, soit 13 000 de plus que la semaine dernière. On n’arrête pas le progrès : désormais, les médias annoncent les chiffres officiels avant même les manifestations, ont grincé certains observateurs.

Un calcul simple nous permet de nous questionner légitimement sur la précision de ces chiffres : les renseignements comptabilisent eux-mêmes 200 lieux de rassemblements, soit une moyenne prévisionnelle de 1250 participants par manifestation. Si certains rassemblements mobilisent effectivement quelques dizaines ou centaines de manifestants, il est plus qu’improbable à voir l’impressionnante compilation des cortèges de manifestations partout en France, que la moyenne réelle soit aussi basse. Ce genre d’indiscrétion semble donc bien davantage politique que mathématique… À confirmer ce week-end !

À voir aussi : Chiffres des manifestations : entre manipulation et communication

Le récapitulatif à l’heure où nous publions : (à retrouver ici)

SAMEDI 14 AOUT

  • Abbeville – Samedi 14 – 14H – Mairie
  • Agen – Samedi 14 – 14H – Gravier
  • Aix-En-Provence – Samedi 14 – 10H – place de Général de Gaulle (Fontaine de la Rotonde)
  • Albertville – Samedi 14 – 10H – Parking du pénitencier (Palais de justice)
  • Albi – samedi 14 – 14h – place du Vigan
  • Alès – Samedi 14 – 17H – Sous-préfecture
  • Amiens – Samedi 14 – 14H – Maison de la culture
  • Angers – Samedi 14 – 15H – Place du Ralliement
  • Angouleme – Samedi 14 – 14H – Place New York
  • Annecy – Samedi 14 – 14h – Le Pâquier
  • Annonay-Davézieux – Samedi 14 – 10h > 18h30 Rond-Point d’Annonay-Davézieux
  • Argentan – samedi 14 – 8h45 – gare SNCF
  • Arras – Samedi 14 – 15H – Place des héros
  • Aubenas tous les samedis à 14h, place du château
  • Autun – samedi 14 – 15h – place de la mairie
  • Auxerre – Samedi 14 – 14H – Place de l’arquebuse
  • Avignon – Samedi 14 – 14H – Place de l’Horloge
  • Bar-le-duc – samedi 14 – 14H – Gare SNCF
  • Bayonne – Samedi 14 – 14H – Devant la mairie
  • Beauvais – Samedi 14 – 14H – Mairie ???
  • Bédarieux – (34400) samedi 14 – 9h30 – square schumann
  • Belfort – Samedi 14 – 16H – préfecture
  • Bellac– samedi 14 – 10h au marché de Bellac , place du 138e RI (Place du Champ de Foire). Rendez-vous au fond du marché, côté parking
  • Bergerac – Samedi 14 – 10h30 – palais de justice
  • Besançon – samedi 14 – 14H – Place de la révolution
  • Bessèges – Samedi 14 – 14H – Mairie (à 100m de la mairie sous le cèdre)
  • Béziers – Samedi 14 – 10H30 – place du 14 juillet
  • Blois – Samedi 14 – 14H – Place Louis XII
  • Bordeaux – samedi 14 -motards ANTI-PASSE SANITAIRE 13H centre routier pour rejoindre les manifestants piétons place de la bourse à 14h https://fb.me/e/4PviJOOWm
  • Bordeaux – Samedi 14 – 13H30 – Place de la bourse
  • Bouillante (Guadeloupe) – Samedi 14 – 8H – Mairie ?
  • Boulogne Sur Mer – Samedi 14 – 17H – Parvis de Nausicaa
  • Bourges – samedi 14 – 15H – place seraucourt
  • Bourg-en-Bresse – Samedi 14 – 14h – préfecture
  • Brest Samedi 14 – 14H Place de Strasbourg https://fb.me/e/2xhJmJtlm
  • Bretenoux Tous les samedis 14H > 20H Parking du rond-point de la Cèré https://fb.me/e/Jkytg713
  • Briançon – Samedi 14 – 14H – Champs de Mars
  • Brignoles (83) – samedi 14 – 15h – devant l’Hôpital en bas du Cours des Ursulines
  • Caen – Samedi 14 – 14 h – Place du Théâtre
  • Cahors – Samedi 14 – 14H – tribunal
  • Calais – Samedi 14 – 14H – Théâtre de Calais
  • Châlons-En-Champagne – Samedi 14 – 14H – kiosque du grand jard
  • Chalon-sur-Saône – Samedi 14 – 15H – Place de Beaune
  • Chambéry – Samedi 14 – 14h – palais de justice
  • Cherbourg – chaque samedi – 14h – place du Général de Gaulle
  • Cannes – samedi 14 – 10h30 – Rond-Point de la Victoire https://fb.me/e/dyd5e58Ab
  • Carcassonne – Samedi 14 – 14H30 – Square Gambetta
  • Cavaillon – Samedi 14 – 11H – Place du Clos
  • Châteauroux – Samedi 14 – 14h – palais de justice
  • Chaumont – Samedi 14 – 14H – Mairie ?
  • Chauny – Samedi 14 – 14H – place bouzier
  • Clermont-Ferrand – Samedi 14 – 14H – place de Jaude
  • Colmar – Samedi 14 – 14H – Place Rapp
  • Compiègne – Samedi 14 – 14h30 – place de l’hôtel de ville
  • Coulommiers – Samedi 14 – 14H – RV est sur le parking de feu vert dans la ZI
  • Dax – Samedi 14 – 10H – parc de la mairie
  • Denain (59) – Samedi 14 – 10H – place du marché
  • Digne-les-Bains – Samedi 14 – 14H – Place du General de Gaulle
  • Dijon – Samedi 14 – 14H – Place de la république
  • Dole (39) – Samedi 14 – 14H – Avenue De Lahr
  • Draguignan – Samedi 14 – 14H – Sous-Préfecture
  • Dunkerque – Samedi 14 -14 h – Place Jean Bart
  • Epinal – Samedi 14 – 14h – préfecture
  • Evreux – Samedi 14 – 14h30 – Devant la mairie
  • Ferney voltaire – samedi 14 – 16h – rdv sur le parking du bijou
  • Figeac – Samedi 14 – 10H – Lycée Champollion
  • Flers – samedi 14 – 14h – parking de la mairie
  • Foix – samedi 14 – 10h – hall aux grains
  • Fréjus – Samedi 14 – 14H – Base Nature > Mairie
  • Gap – Samedi 14 – 14H – parc de la pépinière
  • Grenoble – samedi 14 – 14h30 – Hôtel de préfecture de l’Isère place Verdun https://fb.me/e/YlARPksG
  • Guéret – Samedi 14 – 14H – Place Bonnyaud
  • Hendaye – Samedi 14 – 15H>18H Rond point du palmier Hendaye plage
  • La Ciotat – Samedi 14 – 11H>14H – Port-vieux (Apéro suivi de manif à 14H)
  • La Rochelle – Samedi 14 – 13H – Parvis de l’aquarium
  • La roche-Sur-Yon – Samedi 14 – 13H30 – Place Napoléon
  • Le Havre – Samedi 14 – 14H – Hotel de Ville
  • Le Mans – Samedi 14 – 14h30 – place du marché de Pontlieue
  • Le Palais (Belle-Île-en-Mer) – Tous les samedis – 11H – Place de la république ?
  • Le-Puy-En-Velay – Samedi 14 – 14H – Place de Breuil
  • Le Touquet – samedi 14 – 14h – place du centenaire (front de mer)
  • Lamballe – Samedi 14 – 10h – devant la gare
  • Lannion – Samedi 14 – 10h – Quai de l Aiguillon
  • Lens – Samedi 14 – 10H – Rendez-vous devant la gare de Lens
  • Lille – Samedi 14 – 14H – Place de la République
  • Limoges – Samedi 14 – 14H Place Jourdan
  • Lons-le-Saunier – Samedi 14 – 14H – Place de la liberté
  • Lunel – Samedi 14 – 9H – Mairie
  • Lyon – Samedi 14 – 11H-14H – La confluence/esplanade François Mitterrand
  • Lyon – Samedi 14 – 14h – Gare des Brotteaux: Manifestation à destination de Jean Macé, [autorisée par la préfecture]
  • Marseille – Samedi 14 – 14H – Vieux-Port
  • Melun – Samedi 14 – 14h – devant la préfecture
  • Metz – Samedi 14 – 14H – Place de la république
  • Montauban – samedi 14 – 14h – devant la préfecture
  • Mont-de-Marsan – Samedi 14 – 10h – Place st rock
  • Montélimar – samedi 14 – 14h-16H – départ place de la mairie
  • Montluçon – Samedi 14 – 10H – Rue Porte-Saint-Pierre
  • Montmorillon (86) – Samedi 14 – 14H – Mairie
  • Montpellier – Samedi 14 – 14h – Place de la comédie
  • Montréal (Quebec) Samedi 14 14h et/ou 20H 100 Boulevard René-Lévesque O
  • Morlaix – Samedi 14 – 10H – Mairie
  • Mougins – Samedi 14 – 10h30 – Rond Point de la Victoire https://fb.me/e/dyd5e58Ab
  • Mulhouse – Samedi 14 – 14H – Square de la Bourse
  • Nancy – Samedi 14 – 14h – place Maginot
  • Nantes – tout les samedis – 14h – à la croisée des trams
  • Nevers – samedi 14 – 15h30 – place de la résistance (devant préfecture) (déclaré)
  • Nice – samedi 14 – 14h – garibaldi
  • Nîmes – Samedi 14 – 16H – Jardins de La Fontaine
  • Niort – Samedi 14 – 10H – Place Pierre Semard
  • Orléans – Samedi 14 – 14h30 – place de la République
  • Paris – samedi 14 – Rassemblement dès 11h30 au métro porte Dorée ligne 8 et départ en manif à 13h00 en direction de place Clichy en passant par la place de la nation et place de la république https://fb.me/e/13fHHHn8V
  • Paris – samedi 14 – 14H – Gare de Noisy-le-Grand – Mont d’Est (Conférence)
  • Paris – Samedi 14 – 14H30 – Quartier Montparnasse place de Catalogne
  • Paris – samedi 14 – 13H30 14H30 – Place de la bourse > Place du palais royal
  • Pau – Samedi 14 – 10H – Place Verdun
  • Périgueux – samedi 14 – 10h – palais de justice
  • Perpignan – samedi 14 – 14h – place catalogne
  • Pertuis – samedi 14 – 10H – Place Jean Jaurès
  • Poitiers – samedi 14 – 14h – place d’armes (devant la mairie)
  • Quimper – samedi 14 – 14h – place de la Tourbie
  • Redon – samedi 14 – 14h – sous pref
  • Reims – samedi 14 – 14h – Parking René Tys
  • Rennes – samedi 14 – 14 H – place république
  • Roanne – (42) samedi 14 – 14h – place hôtel de ville
  • Rodez – Samedi 14 -14h – Esplanade des Rutènes
  • Rouen – Samedi 14 – 14H – Place de l’hôtel de ville
  • Royan – Samedi 14 – 15H – Rond-point de l’aérodrome de Médis
  • Saint-Brieuc – Samedi 14 – 10h>14H place de la liberté>place du Guesclin
  • Saint-Brieuc – samedi 14 – 14h – Place du Guesclin ( Philippot )
  • Saint-Gaudens – Samedi 14 – 18H – Place Jean Jaurès (collégiale)
  • Saint-Dié-des-Vosges – Samedi 14 – 14h30 – Place du Gl de Gaulle (Cathédrale)
  • Saint-Etienne – Samedi 14 – 14H – Centre commercial géant Espace Monthieu ( convergence avec manif place du bicentenaire )
  • Saint-Etienne – Samedi 14 – 14H – place du bicentenaire ( convergence avec manif espace monthieu )
  • Saint-lo ( 50 )- samedi 14 – 14 h – plage verte
  • Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (83) – Samedi 14 – 14h – place Jean de Lattre
  • Saint-Nazaire (44) – Samedi 14 – 14H – Place de la Mairie
  • Saint-Pierre ( Réunion ) – samedi 14 – 10h – Marché Forain
  • Saint-Pierre-d’Oléron – Samedi 14 – 15H30 – Kiosque/place gambetta
  • Saintes – samedi 14 – 14H – devant le tribunal (Picnic à 13H)
  • Saumur – Samedi 14 – 15H30 – Place du Chardonnet
  • Sélestat – Samedi 14 – 14H – Place de Lattre de Tassigny
  • Strasbourg – Samedi 14 – 14H – place Kléber
  • Tarbes – Samedi 14 – 14h – Place de la mairie
  • Terrasson – Samedi 14 – 13H45 – Place de la libération
  • Thonon-les-Bains – Samedi 14 – 14H30 – Place des Arts
  • Toulon – Samedi 14 – 13H/14H – Place de la Liberté
  • Toulouse – Samedi 14 – 14H – Métro Jean-Jaurès https://fb.me/e/335F30Je8
  • Tours – Samedi 14 – 14H – Place Jean Jaurès
  • Troyes – Samedi 14 – 15H Préfecture (13H Picnic géant vers le restaurant la péniche)
  • Valence – Samedi 14 – 12h – Devant la préfecture
  • Vannes – Samedi 14 – 14 h – Esplanade du Port
  • Versailles – samedi 14 – midi – Place d’Armes https://fb.me/e/2jcgmQW7C
  • Vésoul (70) – Samedi 14 – 14h – Hotel de ville
  • Vichy – Samedi 14 – 14H – Place de la Mairie
  • Vienne – Samedi 14 – 16h – Jardin des Cybeles
  • Villefranche sur Saône – samedi 14 – 10H – devant la mairie
  • Villeneuve sur lot ( 47 ) – samedi 14 – h ?? – devant la prefecture
  • Viriat – samedi 14 – 10h – La neuve
  • Voiron (38) – Samedi 14 – 14H – Cathédrale

DIMANCHE 15 AOUT

  • Belfort – Dimanche 15 – 12H – Place-d’armes (Picnic)
  • Brive-La-Gaillarde – Dimanche 15 – 15H30 – Théâtre
  • Châlons-en-Champagne – Dimanche 15 – 12H – Jard Anglais (Picnic)
  • Nice – Dimanche 15 – 14h30 – Place Masséna/coulée verte
  • Paris – dimanche 15 – 13h30 – Les Champs Elysées https://fb.me/e/Ql2Z9gzf
  • Saint Malo – Dimanche 15 – 15 H – porte de Dinan
  • Sallanches – Dimanche 15 – 14H – Pré de Foire

Auteur(s): FranceSoir




«Vous tuez la France»

[Source : RT en français]

[Photo : © Frédéric Scheiber Source: Reuters.
Le Premier ministre Jean Castex dans le centre de Carcassonne le 11 août 2021 avec le maire Gérard Larrat lors d’une visite axée sur l’application du pass sanitaire.]

En visite dans l’Aude, le Premier ministre a été interpellé de vive voix par une passante bien décidée à lui signifier son opposition aux restrictions et au pass sanitaire, qui, selon elle, tuent la France, les restaurateurs et les artisans.

Lors de sa visite à Carcassonne (Aude) ce 11 août, le Premier ministre s’est fait interpeller par une passante visiblement très remontée contre la gestion de la crise par le gouvernement, et notamment la mise en place du pass sanitaire. La scène a été captée par les caméras de BFM TV. 

« Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là,
on est traités comme des chiens »

« Vous tuez la France monsieur, vous tuez la France et les commerçants. Et vous tuez aussi tous les artisans qui sont en train de mourir, voilà ce que vous faites», a lancé la femme en croisant le cortège du Premier ministre qui déambulait dans les rues de la ville. Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là, on est traités comme des chiens », poursuit la passante, véhémente. 

« Je ne parade pas, et je n’ai tué personne, au contraire, j’en ai sauvé. On essaye d’en sauver », se défend alors le chef du gouvernement.

Pas de quoi convaincre son interlocutrice, qui insiste : 

« Je ne pense pas, demandez aux restaurateurs, ils sont en train d’essayer de survivre ici. On peut quand même manger sur une terrasse sans pour autant infecter qui que ce soit je crois, qu’on soit vaccinés ou pas. »

« De toute façon, votre vaccin c’est pas un vaccin », conclut-elle, dans ce qui s’apparente à une référence aux vaccins à base d’ARN messager.

La scène s’est déroulée après le Conseil de défense sanitaire auquel le Premier ministre a assisté depuis la préfecture de l’Aude. Le but de sa visite dans la ville de Carcassonne était notamment de défendre le pass sanitaire le cas échéant, et d’en constater l’application sur le terrain.




Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Fakurian Design sur Unsplash — Fakurian Design]

Application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie de covid

Par Samuel Fitoussi.

Face au covid, il existe un dilemme fondamental entre liberté et santé, entre la sévérité des restrictions et le nombre de vies sauvées. Le rôle des pouvoirs publics est de trouver le bon compromis, à la faveur d’analyses coûts-bénéfices.

Or, depuis dix-huit mois, un certain nombre de biais et d’erreurs systématiques de raisonnement faussent la rationalité des décisions et favorisent la mise en place de restrictions excessives.

Le texte qui suit est une application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie.

LE BIAIS D’ANCRAGE

29 janvier 2020. Donald Trump annonce la suspension de tous les vols en provenance de la Chine. La décision est condamnée unanimement : on trouve choquant qu’un homme bafoue avec tant de légèreté la liberté de voyager de millions de personnes.

En juillet 2021, Joe Biden annonce que tout voyageur – même vacciné – provenant de Chine, du Royaume-Uni, d’Irlande, du Brésil, d’Afrique du Sud, d’Inde, d’Iran et de n’importe quel pays membre de l’Union européenne, se verra refuser l’entrée sur le sol américain. Aucune condamnation.

Que s’est-il passé entretemps ?

Dans un magasin, si le premier t-shirt que vous voyez coûte 9 euros, le second à 25 euros vous paraîtra cher. Si le premier t-shirt coûte 50 euros, le second à 25 euros vous paraîtra bon marché.

C’est le biais d’ancrage, mis en lumière pour la première fois en 1974 par Daniel Kahneman et Amos Tversky, psychologues israéliens. Une première information vous fournit un référentiel arbitraire en fonction duquel vous raisonnez ensuite.

Au printemps 2020, face à une situation d’urgence absolue – hôpitaux débordés, pénuries d’équipements et de tests, méconnaissance du virus – la plupart des pays occidentaux se tournent vers une solution de dernier recours : le confinement. Survenu très tôt dans la crise, le confinement crée ce référentiel, ce cadre cognitif par lequel nous évaluons depuis toutes les autres restrictions.

À l’annonce de chaque nouvelle mesure, nous nous souvenons que nous avons accepté pire et en concluons que la nouvelle mesure (restrictions de voyages, couvre-feux à 21 heures, à 20 heures, à 19 heures, à 18 heures, masque à l’extérieur, QR codes pour s’assoir en terrasse) est acceptable.

Et donc, pour en revenir aux États-Unis : en comparaison avec l’interdiction de dépasser les frontières de nos appartements, l’interdiction de franchir certaines frontières nationales nous paraît être un non-évènement.

[Ndlr : ici, il y a un autre facteur probablement aussi déterminant dans l’absence de réactions négatives face à l’annonce de Biden en comparaison du tollé contre celle de Trump, c’est la très forte disproportion de soutien médiatique entre les deux personnages. Trump avait 97 % des médias dominants contre lui, alors que Biden dispose d’un fort support.]

LE BIAIS D’ACTION

Évoqué pour la première fois par les économistes Richard Patt et Anthony Zeckhauser en 2000, le biais d’action désigne la croyance – plutôt logique en apparence – que face à un problème, il est toujours préférable d’agir que de ne pas agir. Le biais explique par exemple pourquoi l’homéopathie plait tant pour soigner des petits maux et pourquoi au football, les gardiens choisissent presque toujours, face à un penalty, de plonger plutôt que de rester au milieu, solution qui leur offrirait pourtant une meilleure chance d’arrêter le ballon.

En janvier 2021, lorsque le gouvernement décale le couvre-feu de 19 heures à 18 heures, l’impact sanitaire est probablement nul (voire négatif puisque l’on incite aux rassemblements intérieurs) mais au moins, on ne reste pas les bras croisés.

En juillet 2021, les maires ou préfets qui rétablissent l’obligation du port du masque en extérieur ne sauvent aucune vie, mais peuvent mieux se regarder dans la glace : ils agissent.

Dans les deux cas, la perte de bien-être pour les Français est en revanche bien réelle. On peut se demander combien de restrictions, depuis 18 mois, répondent uniquement au besoin instinctif de « faire quelque chose ».

Le biais d’action explique aussi pourquoi le principe de précaution est toujours évoqué de manière asymétrique. On entend que par précaution, il faut confiner 66 millions de personnes 6 semaines (agir), car on connait mal la maladie, [Ndlr : et peut-être pour signer une fois de plus le 666 ?] alors qu’on entend moins que par précaution il ne faut pas confiner 66 millions de personnes six semaines (ne pas agir) car on connait mal les effets du confinement.

LE BIAIS D’ILLUSION DE CONTRÔLE

Théorisé par Ellen Langer, psychologue américaine, ce biais désigne notre tendance à sous-estimer l’importance des facteurs externes et à surestimer l’importance des facteurs internes, à n’expliquer une situation donnée que par des causes sur lesquelles on possède un levier d’action.

Pendant les périodes de sécheresse, certaines tribus sacrifiaient des enfants pour apaiser les dieux. Si la sécheresse prenait fin, c’était grâce au sacrifice, sinon il fallait sacrifier d’autres enfants. Au bout d’un moment, la situation finissait toujours par s’améliorer, validant la stratégie des chefs de tribu.

En France depuis 18 mois, quand les courbes descendent c’est grâce aux restrictions, quand elles montent c’est parce qu’on n’a pas assez restreint.

C’est le biais d’action qui encourage la tribu à sacrifier des enfants, c’est le biais d’illusion de contrôle qui conduit à s’en féliciter. C’est le biais d’action qui nous encourage à fermer les remontées mécaniques, c’est le biais d’illusion de contrôle qui nous conduit à nous en féliciter.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ AUX ORDRES DE GRANDEUR

En 1992, William Desvousges, économiste américain, demande à trois groupes de participants combien chacun serait prêt à payer pour sauver un certain nombre d’oiseaux de la noyade.

Résultat : les participants qui peuvent sauver 20 000 oiseaux souhaitent payer moins (78 dollars) que ceux qui peuvent en sauver 2000 (80 dollars), tandis que ceux qui peuvent en sauver 200 000 ne donnent que 88 dollars. Conclusion : l’importance que nous accordons à un problème n’est quasiment pas affectée par le nombre de personnes que le problème affecte.

Daniel Kahneman – lauréat du prix Nobel d’économie en 2002 pour ses travaux sur les biais cognitifs – donne l’explication suivante : puisqu’il est impossible de se représenter un très grand nombre d’éléments, nous réduisons le problème à une seule image mentale, un prototype. Pour évaluer la souffrance de 2000 ou de 200 000 oiseaux, les participants imaginent un oiseau se débattant dans l’eau – image indépendante du nombre d’oiseaux concernés.

Lorsque l’on cherche à estimer ce qui est plus grave entre, par exemple, 5000 morts supplémentaires du covid ou l’instauration du port du masque obligatoire dans les écoles, on imagine, d’un côté, une personne âgée en détresse respiratoire et de l’autre, un écolier masqué. La première image étant infiniment plus dramatique que la seconde, on en conclut que la seconde option est préférable à la première. Le fait qu’ils soient 5000 à être concernés par la première et 12,9 millions par la seconde n’entre pas en considération.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ À LA DURÉE

En 1993, Kahneman diffuse à des sujets plusieurs vidéos désagréables, d’intensités et de longueurs variables. Il leur demande ensuite de classer les vidéos des plus déplaisantes aux plus plaisantes. L’unique facteur qui influence le classement : l’intensité des images. La longueur de la vidéo ne joue aucun rôle. C’est le biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons la valeur d’une expérience en fonction du plaisir moyen qu’elle nous apporte sans égard pour le temps qu’elle dure et donc pour la somme de bien-être ou de mal-être qu’elle nous fournit.

En octobre 2020, lorsque le gouvernement choisit de mettre en place un couvre-feu, il est prévu qu’il durera six semaines. Au fil des mois, alors que le couvre-feu ne cesse d’être reconduit, presque tous ceux qui approuvaient sa mise en place le 17 octobre continuent d’approuver sa reconduction, comme si le prolongement de la mesure dans le temps n’exerçait aucune influence sur sa balance coût-bénéfice.

Nous succombons au biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons « le couvre-feu », pas « un couvre-feu d’une durée de… ». Le processus mental à l’œuvre est semblable à celui du biais précédent : qu’il s’agisse d’un couvre-feu de six semaines ou de huit mois, l’image mentale que nous utilisons pour estimer son coût est la même : une soirée moyenne sous couvre-feu.

LE BIAIS DE VICTOIRE DES POSITIONS LES MOINS COÛTEUSES SOCIALEMENT

Il a imposé l’idée que la saturation des réanimations avait un coût infini.

En mars 2020, il est décidé que nous n’accepterons pas la saturation des réanimations et les désastres qu’elle impliquerait (décès, tri des patients, déprogrammations, soignants exténués, chaos…). Sauf qu’à ce stade, nous croyons que l’alternative à la saturation des réanimations est un confinement de un mois, pas trois confinements et 8 mois de couvre-feux. Peu importe, nous ne remettrons plus jamais en cause l’idée que la non-saturation des réanimations doit être la ligne rouge guidant les politiques publiques et acceptons donc l’hypothèse implicite suivante : la saturation des réanimations possède un coût infini.

Pourquoi cette hypothèse s’est-elle imposée comme une évidence ?

Octobre 2020. Arguez qu’il faut re-confiner le pays, on risque de vous rétorquer que vous ne savez pas mener d’analyse coût-bénéfice. Arguez qu’on peut accepter la saturation des réanimations, on risque de vous traiter d’égoïste sans âme.

Une des deux positions plus coûteuse socialement est donc moins exprimée. Puisque notre cerveau associe les idées beaucoup répétées avec ce qui est vrai (biais de vérité illusoire) la seconde position perd des adhérents, elle est repoussée à la marge du débat. Il devient donc de plus en plus coûteux de la tenir (puisqu’en plus d’être un égoïste vous devenez un extrémiste), elle est donc encore moins exprimée, perd d’autres adhérents, est repoussée davantage à la marge. Elle finit par disparaître complètement des cerveaux. Cercle vicieux, généralisable à un tas de sujets, qui montre que ce n’est pas uniquement la validité d’une position qui la rend dominante mais aussi (et parfois surtout) son acceptabilité sociale.

Notez que je n’écris pas qu’il fallait accepter la saturation des réanimations, simplement que le choix de ne pas l’accepter a été effectué pour les mauvaises raisons, puisqu’il qu’il a été admis arbitrairement qu’on n’optimiserait pas la balance santé (y compris réanimations) – liberté, mais la balance santé – liberté sous contrainte de non-saturation des réanimations. De façon toute aussi arbitraire, il aurait pu être décidé qu’on optimiserait la balance santé – liberté sous contrainte de ne pas imposer à 66 millions de Français 8 mois d’affilée sous couvre-feu et confinement. Ce qui aurait impliqué une ligne rouge et donc un élément au coût infini : irrationnel aussi.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE ON NE PEUT PAS LAISSER DES GENS MOURIR

Nous faisons chaque année des choix de société qui impliquent que la vie humaine a un prix. Par exemple, les 10 000 à 15 000 morts annuels de la grippe sont évitables, mais on choisit de ne pas les éviter car on considère que le différentiel de liberté entre une situation avec des restrictions anti-grippe et une situation sans restrictions possède un coût social plus élevé que celui des décès.

Ainsi, il existe un nombre de décès X que l’on préfère à la suppression d’un degré de liberté Y, un ratio décès évités/bien-être supprimé X/Y en dessous duquel une restriction n’est plus acceptable.

C’est à la lumière de cette réalité qu’il faut évaluer le bien-fondé de chaque nouvelle restriction, plutôt qu’au nom de principes abstraits.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE LA LIBERTÉ DES UNS S’ARRÊTE LÀ OÙ COMMENCE CELLE DES AUTRES

Depuis 18 mois, cette formule est brandie pour justifier toute nouvelle mesure. Elle est fausse, dangereuse, et porteuse de projets de sociétés totalitaires. Dans le cadre du covid, la liberté de faire x ou y s’arrêterait là où commencerait la liberté d’un autre de ne pas se faire contaminer.

D’abord, la formule est disqualifiée par le fait qu’on peut, en toute situation, la renverser :

La liberté de l’un de ne pas se faire contaminer s’arrête là où commence la liberté de l’autre de faire x ou y.

Ensuite, pour la grippe, on constate chaque année que la liberté des uns de prendre le métro sans masque (par exemple) ne s’arrête pas là où commence celle des autres de ne pas être contaminés. Il y a un donc un niveau de risque que l’on est en droit de faire courir aux autres. Le covid étant plus létal et contagieux que la grippe, il est possible que ce soit, dans la plupart des situations, la liberté des uns à ne pas être contaminés qui mérite de primer par rapport à celle des autres de vivre librement. Mais l’exemple montre que la formule n’est pas absolue et qu’il faut raisonner au cas par cas, en balance liberté supprimée pour l’un, liberté obtenue (santé) pour l’autre.

En outre, il faut noter que l’accessibilité d’un vaccin modifie complètement la balance car il atténue les bénéfices liés à la réduction de la probabilité de contamination (une contamination entraîne 90 % moins de formes graves aujourd’hui), alors qu’il ne change pas le coût des restrictions.

Toutes choses égales par ailleurs, une restriction justifiée par la balance liberté supprimé-liberté obtenue il y a 6 mois n’est donc plus forcément justifiée aujourd’hui.

LE BIAIS DES COÛTS IRRÉCUPÉRABLES

En 1973, les gouvernements français et britannique découvrent que Le Concorde, leur projet d’avion supersonique, ne pourra pas être rentable. Pour ne pas « perdre » les 300 millions d’euros déjà investis, ils décident de mener le projet à son terme. Bilan : 1,5 milliard d’euros dépensés pour un retentissant échec commercial. Influencés par une décision prise antérieurement, les gouvernements français et britannique ont succombé au biais des coûts irrécupérables.

Octobre 2020. Alors que le nombre de cas de covid explose, le gouvernement est confronté à un dilemme : confiner la France à nouveau ou accepter des milliers de décès supplémentaires ? Un élément complique l’analyse : choisir la deuxième option, ce serait rendre, a posteriori, le premier confinement vain, puisque la plupart des décès évités au printemps surviendraient à l’automne. C’est donc en partie la volonté irrationnelle de ne pas « avoir fait tous ces efforts pour rien » qui guide le choix de re-confiner, plutôt qu’une analyse mettant en balance les coûts et bénéfices futurs des différentes options.

Lors de guerres déclenchées par des rois trop orgueilleux, il fallait ne jamais capituler pour que les soldats ne soient pas morts en vain.

Aujourd’hui, il faut restreindre éternellement la liberté pour que les confinements n’aient pas été vains.

LE BIAIS DE PENSÉE DÉSIDÉRATIVE

Il s’agit du biais qui nous pousse à former nos croyances non pas en fonction de la réalité mais en fonction de ce qu’il est agréable d’imaginer.

Depuis 18 mois, beaucoup sont tombés sous l’emprise d’une pensée désidérative : nous n’avons à compromettre ni notre santé ni notre liberté puisque nous pouvons éradiquer le virus.

Prenant leurs désirs pour des réalités, ces commentateurs passent à côté du fait que la situation des pays zéro-covid n’est en rien comparable avec la situation française : ces pays ont agi tôt, n’ont pas six frontières terrestres, ne font pas partie d’une union politique de 447 millions d’habitants, et surtout, il n’est pas donné qu’ils s’en sortent mieux que la France sur la durée. Tant pis, cette pensée désidérative a beaucoup d’influence dans le débat public, puisqu’elle motive consciemment ou inconsciemment la position de beaucoup de partisans d’un durcissement des mesures : pourquoi laisser traîner le problème alors qu’il suffirait de taper un grand coup pour en finir ?

En 2011, Christopher Booker, écrivain britannique, décrit ce qu’il nomme le cycle du fantasme (les parenthèses sont les miennes) :

Lorsque nous nous lançons dans une ligne de conduite inconsciemment motivée par une pensée désidérative (nous pouvons vaincre le virus), tout peut sembler aller bien pendant un certain temps : c’est l’étape du rêve (le confinement). Mais ce faux-semblant ne peut jamais être réconcilié avec la réalité et cela conduit à une étape de frustration dès que les choses commencent à mal tourner (la remontée des courbes), ce qui incite à un effort plus déterminé pour maintenir le fantasme en vie (re-confinement).

Le biais de pensée désidérative nous pousse aussi à sous-estimer la durabilité de ce qui nous affecte négativement.

En mars 2020, nous sommes persuadés que le confinement n’est qu’une courte parenthèse et que la vie normale (le monde d’après, encore mieux que le monde d’avant) ne tardera pas à reprendre. Aujourd’hui, une des raisons du large soutien au passe sanitaire est la certitude qu’il disparaîtra dans quelques mois. Personne n’a envie de présenter pendant plusieurs années un QR code pour s’asseoir en terrasse et donc personne ne s’imagine qu’il faille pendant plusieurs années présenter un QR code pour s’asseoir en terrasse. Pourtant, les vaccins nécessiteront sûrement des rappels.

LE BIAIS DE CONFORMISME

En 1951, Salomon Asch, pionnier de la psychologie sociale, pose à plusieurs participants une question simple.

Certains répondent seuls : ils se trompent dans moins de 1 % des cas.

D’autres, soumis à la même question, observent d’abord six autres participants (des complices de l’expérimentateur), choisir, unanimes, une mauvaise réponse. Ceux-ci se conforment, dans 37 % des cas, au choix des six complices.

C’est l’illustration du biais de conformisme : nous avons tendance à adopter sans fondements rationnels les comportements de ceux qui nous entourent.

Plusieurs raisons l’expliquent.

Premièrement, nous considérons que si les autres modifient leur comportement, ils possèdent peut-être des informations que nous n’avons pas et/ou comprennent mieux la situation que nous. C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence informationnelle.

En février, lorsque l’Italie est frappée par le virus, la seule région qui a connu une tension hospitalière comparable est la région de Wuhan. Incertaine de la voie à suivre, l’Italie se conforme donc à la méthode chinoise : le 9 mars, elle confine ses 60 millions d’habitants. Les dirigeants italiens auraient-ils même eu l’idée d’employer une telle méthode sans le précédent chinois ?

Deuxièmement, dès lors que face à un problème, certains agissent, la charge de justification est modifiée : ce n’est plus à ceux qui adoptent le comportement d’expliquer pourquoi ils agissent, mais à ceux qui n’agissent pas de justifier leur inaction. Il s’agit d’une forme de pression sociale. Dans les jours qui suivent la décision italienne, dans les pays touchés par la maladie il devient plus difficile de justifier de ne pas confiner que de justifier de confiner. Preuve de la modification de cette charge de justification : depuis 18 mois, c’est le choix suédois de ne pas confiner qui est scruté et interrogé.

Enfin, (surtout ?) il est toujours beaucoup moins coûteux de se tromper avec les autres (diffusion de la responsabilité) que seul (s’exposer, cible unique, aux critiques).

Ainsi, il sera souvent rationnel de préférer la quasi-certitude d’avoir tort avec la majorité au petit risque d’avoir tort seul (voire au risque d’avoir raison seul). C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence normative.

En mars 2020, Boris Johnson attend sept jours avant de se conformer à la décision des autres grandes nations européennes (la France confine le 17, le Royaume-Uni le 24) : il subit encore, dans l’opinion publique, les répercussions de ce choix.

Phénomène de mimétisme qui soulève une question intéressante : que ce serait-il passé si le virus n’était pas né en Chine, dictature qui par essence accorde moins de poids à la liberté, mais dans une démocratie libérale ?

LE BIAIS D’INDUCTION

Le problème de l’induction désigne le fait d’utiliser le passé pour prédire le futur et donc de surestimer la probabilité que le futur ressemble au passé.

Une idée énoncée dès le XVIIIe siècle par le philosophe David Hume :

Ce n’est pas la raison mais l’habitude qui permet de supposer que le futur sera conforme au passé.

Et reprise de façon amusante par Bertrand Russell, qui ironise sur la mauvaise surprise qui attend le poulet raisonnant par induction :

L’homme qui l’a nourri tous les jours finit par lui tordre le cou.

Dans le cadre politique, le biais d’induction nous pousse à sous-estimer la probabilité de chamboulements majeurs dans les 10, 20 ou 50 prochaines années. Ainsi, lorsque nous évaluons les conséquences à long terme des restrictions, nous projetons ces conséquences dans une France semblable à celle d’aujourd’hui et accordons peu d’égard aux coûts liés à la constitution d’un précédent.

Par exemple, le fait que les confinements et les couvre-feux soient devenus des outils de politique publique conventionnels augmente la probabilité d’utilisation de ces outils dans le futur. Problème auquel nous accordons peu d’égard puisque le biais d’induction nous projette dans un monde où nous serons toujours d’accord (ou pas trop en désaccord) avec les justifications des confinements.

De même, si on n’est pas anti-vaccin, on aura tendance à sous-estimer la probabilité que l’on puisse un jour se retrouver dans la frange de la population qui refuse une pratique sociale ou médicale encouragée par le gouvernement.

Ainsi, lorsque l’on analysera les coûts du passe sanitaire, on accordera un poids insuffisant aux conséquences de la normalisation du procédé d’exclusion d’une partie de la population possédant certaines convictions (ici, convictions anti-vaccin).

LE BIAIS DE DICTATURE DES MINORITÉS INTRANSIGEANTES

Nassim Nicholas Taleb, qui a théorisé le processus, prend l’exemple d’un dîner où deux invités sur vingt sont des juifs pratiquants. Asymétrie fondamentale : les non-juifs peuvent manger de la nourriture casher alors que les juifs pratiquants ne peuvent pas ne pas manger casher. L’hôte préparera donc un dîner casher. La préférence d’une minorité est imposée à tous.

Dans le cadre du covid, il existe de nombreuses asymétries de ce type.

Par exemple : une personne ne craignant pas le virus accepte de porter un masque, alors qu’une personne craignant le covid refusera certaines interactions avec des interlocuteurs non-masqués. Imaginez qu’un vendeur préfère interagir sans masque mais ne connaisse pas les préférences du client qui entre dans sa boutique. Le client préfère lui aussi interagir sans masque mais ne connaît pas les préférences du vendeur.

Dans le doute, les deux garderont leur masque : le coût potentiel de ne pas le porter (l’autre peut refuser l’interaction ou formuler une remontrance) est supérieur au coût de le porter (buée dans les lunettes). La préférence d’une minorité intransigeante est imposée alors même qu’aucun membre de cette minorité n’est présent.

Limitée au phénomène ci-dessus, la dictature de la minorité est plutôt bénéfique, le covid étant une maladie contagieuse. Le problème, c’est qu’il s’agit d’un processus sans fin. Lorsque le port du masque devient la norme, une nouvelle minorité intransigeante naît, exigeant qu’on s’écarte de la situation en place pour aller vers une nouvelle norme permettant encore davantage de limitation des risques. Et de cette nouvelle norme naissent encore d’autres intransigeants…

L’important est donc de garder en tête que les codes de conduite en vigueur ne reflètent pas toujours les préférences de la majorité. La loi, puisqu’elle permet de renforcer ou d’affaiblir ces normes, doit tenir compte de ce biais.

LE BIAIS DE MÉCONNAISSANCE DE L’EFFET NOCEBO

Il conduit à une surestimation de l’ampleur du problème posé par le covid long.

Le 24 juin 2021, The Guardian publie un article abondamment repris affirmant que 37,7 % des malades du covid développent un covid long, c’est-à-dire des séquelles persistant plus de 12 semaines après leur rétablissement.

La méthodologie de l’étude : on présente à 508 707 anciens malades une liste de 29 symptômes (variant d’insuffisance respiratoire à simple fatigue) et on leur demande s’ils souffrent encore d’au moins l’un de ces symptômes. Il y a 37,7 % de réponses positives.

Le 31 décembre 2020, Pfizer publie les résultats d’efficacité de son vaccin. Chez les 2298 participants du groupe contrôle (ceux à qui on n’a rien injecté, mais qui ne le savent pas) 33,4 % déclarent ressentir, suite à l’injection, de la fatigue, 33,7 % des maux de tête, 11,7 % des coups de froid, et 10,8 % des douleurs musculaires. C’est l’effet nocebo : lorsque l’on s’attend à souffrir, le cerveau peut anticiper la douleur et déclencher par lui-même des symptômes psychologiques ou même réels. Dans l’estimation de l’ampleur du covid long, en plus de l’effet nocebo, s’ajoute un autre biais : la fausse attribution de maux réels (fatigue, dépression…) au fait d’avoir eu le covid.

Ainsi, il est évident que :

  1. La plupart des études qui visent à estimer la réalité du covid long, puisqu’elles ne comparent pas avec un groupe contrôle (idéalement, des patients qui croiraient avoir eu le covid mais ne l’auraient pas eu, ce qui est impossible à trouver en pratique), surestiment massivement l’ampleur du phénomène.
  2. Plus les médias reprendront ces études sans esprit critique en alarmant sur les prétendus dangers du covid long, plus les gens souffriront du covid long.

Ce biais peut sembler mineur mais il devient important de le pointer du doigt car à mesure que la couverture vaccinale progresse et que sont éliminées la plupart des formes graves de la maladie, le danger du covid long sera de plus en plus évoqué pour justifier la poursuite de certaines restrictions.

LE BIAIS DE CONFIRMATION

Le biais de confirmation est le fait de remarquer de manière disproportionnée ce qui permet de confirmer ses opinions pré-existantes.

Si, par exemple, l’auteur d’un texte sur les biais cognitifs pense que les restrictions sanitaires ont été excessives, il risque de s’intéresser uniquement aux biais ayant conduit à trop restreindre la liberté, oubliant que d’autres biais ont pu avoir l’effet inverse.




Capitaine Alexandre Juving-Brunet : « Beaucoup de personnes au pouvoir devraient commencer à s’inquiéter »

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

Alexandre Juving-Brunet est chef d’entreprise et capitaine dans la réserve de la gendarmerie nationale.

Reçu au concours de l’École spéciale militaire (ESM) de Saint-Cyr en 2002 (promotion Général de Galbert), il intégrera la gendarmerie nationale en qualité d’officier à l’issue de ses trois années de formation.

Au cours de sa carrière dans la gendarmerie, Alexandre Juving-Brunet a exercé différents postes opérationnels qui lui ont permis de se confronter aux problématiques de sécurité publique et de maintien de l’ordre, avant d’évoluer au sein de l’État-major puis de terminer sa carrière dans le renseignement militaire en qualité d’officier de liaison détaché à la Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD).

Un dernier poste dans le cadre duquel il a pu appréhender les problématiques liées au terrorisme, à l’espionnage, à la subversion et au sabotage, mais aussi au crime organisé.

Après avoir quitté la gendarmerie en 2013 au grade de capitaine, Alexandre Juving-Brunet a fondé plusieurs entreprises en lien avec ses passions. Ces dernières années, il a mis au point et breveté des technologies parfumantes (ingénierie olfactive) à destination des industriels évoluant dans les secteurs de l’alimentation, de la beauté ou du divertissement.

Ces dernières semaines, Alexandre Juving-Brunet a participé aux manifestations contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants et des professions en contact avec un public vulnérable organisées à Toulon (Var).

Sommes-nous face à un tournant historique, un défi de civilisation ? La rupture est-elle consommée entre le peuple et la classe politique ? Le gouvernement a-t-il pris la mesure de l’ampleur du mécontentement exprimé par les manifestants ?

Quel avenir pour nos institutions et notre démocratie ? Comment restaurer la confiance entre le peuple et ses élites ?

Quel est l’état d’esprit des forces de l’ordre vis-à-vis des manifestations ? Quelles conséquences pour le pouvoir si la force publique venait grossir les rangs des manifestants ?

Existe-t-il un risque d’infiltration d’éléments perturbateurs dans les cortèges, voire de récupération politique ?

Retrouvez les réponses d’Alexandre Juving-Brunet à ces questions dans la vidéo :




« Lettre ouverte aux non vaccinés »

[Source : Les 7 du quebec]

À l’heure où la France a basculé dans la tyrannie suite à la démission de son «Conseil constitutionnel» (sic) de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens..

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vaccination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant :

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[Voir aussi : Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »]

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vaccin COVID-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vaccinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vaccin contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vaccinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vaccinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vaccinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vaccins insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vaccination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vaccin est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vacciner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vaccin, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vaccinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vaccin expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vaccins.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vaccin laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD
Denis Rancourt, Ph.D.
Claus Rinner, PhD
Laurent Leduc, PhD
Donald Gallois, PhD
John Zwaagstra, PhD
Jan Vrbik, PhD
Valentina Capurri, PhD




Pourquoi les employeurs n’ont pas intérêt à appliquer la loi sur le passe sanitaire

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Les employeurs ont-ils intérêt à appliquer la loi sur le passe sanitaire ? Un président de section prud’homal nous explique pourquoi cette loi est un piège à employeurs, qui n’ont rien à perdre à ne pas appliquer la loi, et même tout à y gagner. Une contribution essentielle, qui apportera de nombreuses précisions de notre part dans les jours à venir.

Le Conseil Constitutionnel ayant validé une bonne partie de la nouvelle loi sur le passe sanitaire, la question se pose maintenant de savoir ce qu’elle change pour les employeurs.

Pour tous les employeurs, le texte ne change rien à ce qui existe aujourd’hui

Tout d’abord, alors que le gouvernement avait annoncé des sanctions pour les employeurs qui refuseraient de suspendre, voire à l’époque de licencier, leurs salariés qui n’auraient pas de pass sanitaire ou de vaccin obligatoire, selon les cas,  en fait cette loi ne crée aucune sanction pour ces cas là !

Si donc un employeur de la restauration suspend un salarié pour absence de pass sanitaire, ou si en employeur du milieu médical suspend un salarié pour absence de vaccination, il ne pourra pas se cacher derrière une contrainte : il n’y en a aucune dans cette Loi !

Et c’est normal, et c’était prévisible : le contrat de travail de droit privé a force de Loi, et si un tiers s’immisce dans la relation pour la bloquer par la contrainte, alors il doit en assumer toutes les conséquences pour les deux autres parties. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’État avait pris en charge les salaires de tous les salariés qu’ils avait empêchés de travailler pendant le confinement. Ce n’était pas par gentillesse, c’est juste parce que c’était une obligation légale.

La subtilité de l’article 16

Une petite subtilité cependant pour les employeurs des milieux médicaux et paramédicaux dans l’article 16 :

«  La méconnaissance, par l’employeur, de l’obligation de contrôler le respect de l’obligation vaccinale » est passible  d’une sanction, en l’espèce une contravention de 5eme classe, soit 1500 euros maximum.

C’est la seule sanction prévue pour les employeurs,  et une lecture rapide laisserait penser qu’elle s’applique pour ceux qui ne sanctionne pas leur salarié. Tel n’est pas le texte.

L’obligation qui est faite à ces employeurs est de contrôler le respect de l’obligation vaccinale. Ce qui n’est pas du tout la même chose que de sanctionner un salarié pour absence de respect de l’obligation vaccinale.

Le deuxième piège de la loi

Et ce qui amène au deuxième piège.

Un employeur ne peut pas interroger un salarié sur sa santé, et encore moins le sanctionner pour ce motif. C’est très explicitement interdit par l’article L1132-1 du Code du Travail

Pour faire court : «  aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte…. en raison de son état de santé »

La suspension du contrat de travail étant une sanction, si elle est prononcée « en raison de son état de santé », elle est nulle. C’est-à-dire que si l’employeur suspend le contrat de travail pour tout motif de santé, l’application de cet article suffira à annuler la sanction. Et comme il s’agit d’une discrimination, c’est l’un des seuls cas avec le harcèlement où il n’y a ni barème ni plafond en cas de rupture du contrat. Les condamnations peuvent donc être très lourdes.

Le troisième piège de la loi pour les employeurs

Enfin, le troisième piège : la suspension du contrat de travail, qui est en fait une sanction disciplinaire qui prive le salarié de son salaire, est soumis à une procédure particulière, qui est décrite dans les articles L 1332-1 et suivants du Code du Travail.

Il faut notamment convoquer le salarié en respectant des délais, permettre l’assistance par un membre de l’entreprise, respecter encore un délai avant de prononcer la sanction. Le non respect de cette procédure peut invalider la sanction.

Pour résumer les pièges tendus, un employeur qui voudrait suspendre le contrat de travail de son salarié devra :

  • respecter le formalisme et la procédures propres aux sanctions disciplinaires
  • ne pas interroger le salarié sur sa santé
  • ne pas le sanctionner sur un motif de santé.

Si l’employeur ne respecte pas ces éléments, le risque de sanction devant un Conseil de Prud’hommes est maximal, et s’agissant de discrimination, sans limite.

Que faire ?

Alors, comment l’employeur peut-il s’accorder avec la nouvelle Loi ?

Pour tous ceux qui ne relèvent pas de l’article 12 (les restaurateurs, bars, lieux culturels ou de loisirs…), la meilleure chose à faire est : RIEN

Il n’y a aucune sanction prévue si l’employeur ne fait rien, en revanche il risque très gros en sanctionnant son salarié.

Pour les employeurs particuliers de l’article 12, qui sont exclus des sanctions, là encore, la meilleure chose à faire est : RIEN

Pour les autres employeurs de l’article 12 (les professions de santé et assimilées), ils ont l’obligation sous peine d’amende, de contrôler le respect de l’obligation vaccinale. Comme ils ne peuvent pas interroger leur salarié sur leur situation vaccinale, qui relève du secret médical, ils doivent suivre la procédure normale en cas de question sur un élément de santé : ils doivent organiser une visite d’examen par le Médecin du Travail indépendamment des examens périodiques, ainsi qu’il est prévu par l’article R4624-17 du Code du Travail.

Le Médecin du Travail ne communiquera aucune information à l’employeur sur l’état de vaccination, mais seulement l’aptitude ou pas du salarié à travailler à son poste. Et l’employeur aura satisfait à son obligation de contrôle du respect de l’obligation vaccinale sans enfreindre aucune Loi.  

Finalement, loin des effets d’annonce tonitruants du 12 juillet 2021, cette Loi a été vidée de sa substance en ce qui concerne le Droit du Travail, qui n’a pas été remis en cause. Elle ne produit que très peu, voire pas du tout, d’obligations contraignantes pour les employeurs. Elle vise manifestement plutôt à mettre en place une pression psychologique sur les employeurs. Malheur cependant à ceux qui cèderaient à cette pression et mettraient ainsi eux-mêmes leur tête sur le billot judiciaire.




L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !

Par Alain Tortosa

Au commencement du capitalisme, le modèle n’était pas forcément mauvais… Une valorisation de la réussite, une égalité des chances, la prise de risque récompensée…

N’étant pas un écolo défenseur de la bougie et de l’âge de pierre, j’ai la croyance que de nombreuses inventions humaines n’auraient pu voir le jour sans un système permettant la recherche, le dépassement, la récompense ou la compétition.

Et même si je ne suis pas un adepte de la compétition, reconnaissons qu’elle peut avoir certains bons côtés, par exemple dans le sport.

De l’autre côté de l’échiquier, le début du 20e siècle a connu la dictature du prolétariat, étape censée nous conduire à une espèce d’Éden communiste. Nous avons vu l’enfer que cela a pu produire dans les faits.

Cela a aussi mis en exergue le besoin (vital ?) pour l’homme d’avoir sa « carotte » directe ou indirecte. La production agricole s’est effondrée en URSS, car non seulement le paysan ne tirait aucun bénéfice à travailler mieux et avoir de meilleures récoltes, mais l’État lui volait quasi tout au point de crever de faim… Et impossible aussi pour lui de se reconnaître dans un « grand tout »…

De son côté, le capitalisme « terrien » et productif, créateur de richesses, s’est petit à petit éloigné de ses valeurs pour basculer dans la jungle de l’ultralibéralisme. Ne me faites pas dire que la révolution industrielle n’a pas été un enfer pour les paysans devenus ouvriers et ainsi dépossédés de leurs biens. Mais cette richesse financière accumulée, même si elle était sur le dos du travail d’esclaves, produisait néanmoins de la richesse productive…

Jusqu’au bouleversement total dans les années 80 qui ont été « formidables » pour aller à fond dans la dérégulation et nous faire croire que les marchés allaient s’autoréguler et qu’il fallait un minimum d’interventionnisme des États sous peine de gripper la machine et produire de la pauvreté.

Aujourd’hui 1 % des plus riches possèdent deux fois plus que 90 % du reste de la planète ! Et quoiqu’en disent certains politiques ou banquiers il n’y a plus aucun contrôle sur les marchés. L’argent dette(([1] https://7milliards.fr « 7 milliards d’esclaves et demain ? »)) est roi et les bulles spéculatives sont plus grosses que des nations.

Les entreprises tentaculaires, des lobbies, des banques privées ont une puissance financière et de corruption auquel aucun politique au pouvoir ne peut résister sous peine d’être broyé.

En fait c’est l’inverse, personne ne peut accéder aux manettes sans l’aide et le feu vert des maîtres du monde. La démocratie, comme certains osent encore l’appeler, n’est qu’une mascarade visant à illusionner le peuple et l’empêcher de prendre les armes !

Pour les pourritures à la tête du monde ultralibéral, l’ennemi c’est le peuple. Imaginez des lois sociales, des ascenseurs sociaux, de la justice, de la morale ou, pire encore, des projets au service du peuple…

Bref tout ceci est détestable pour eux et c’est avec bonheur qu’ils voient enfin arriver l’ère de la robotisation et de l’intelligence artificielle de masse qui va signer l’arrêt de mort du travail et rendre l’humain inutile pour produire (mais utile pour consommer).

Quant à ceux qui croient que des milliards de travailleurs manuels non qualifiés et rendus volontairement analphabètes seront les ingénieurs de demain, je ne sais pas encore si ils sont payés, s’ils vivent sur la planète des bisounours ou si leur QI est plus proche de celui du singe ou de l’huître.

Et ne croyons pas que nous, les « conscients », soyons les « bons » de l’affaire. Notre confort d’Occidentaux est uniquement bâti sur la sueur et le sang de travailleurs esclaves dans les pays pauvres.

Cet ultralibéralisme, avec la complicité des médias et d’écolos incultes, a réussi à nous vendre la voiture électrique dont la pollution pour produire les moteurs et les batteries rendrait jaloux le pire pollueur de la planète. Et ce sans compter l’esclavagisme des adultes et des enfants qui extraient les terres rares qui ravagent la planète et leur santé. Ces pourritures ont même transformé une pauvre fille autiste et illettrée en égérie de l’écologie, inconsciente de travailler pour les pires saloperies de l’ultralibéralisme et du profit maximal à court terme. Elle est l’étendard de la dictature écologique qui fera passer la dictature sanitaire comme une gentille parenthèse.

Pour revenir aux deux systèmes, les psychopathes maîtres du monde étaient rendus à deux impasses :

  • L’impasse de l’ultralibéralisme qui n’est pas totalement libre de détruire les humains et la planète à cause de ces foutus droits de l’homme et des lois sociales.
  • L’impasse de la dictature communiste qui détruit les humains, mais limite fortement la production et les profits. Le système étant économiquement non viable…

Et c’est la que la Chine communiste est intervenue, permettant de concilier le « meilleur » des deux mondes ultralibéral et communiste !

L’ère d’une dictature, du parti unique, du contrôle total de la population associé à une dérégulation totale du marché et un ultralibéralisme sans la moindre conscience !

Alors personnellement je n’ai pas les éléments de preuve pour savoir si la situation sanitaire actuelle est en partie le fruit du hasard, une « chance » formidable qui s’est présentée à ces fils de putes (pardon pour la profession qui, elle, mérite du respect) ou totalement planifiée…

Il n’en demeure pas moins vrai que c’est la Chine qui a proposé en 2020 les confinements à la surprise générale. Et (quasi) tous les pays riches et l’OMS ont suivi alors que TOUS savent et savaient que le confinement d’une population en bonne santé alors qu’un virus circule est voué à l’échec comme cela a été confirmé depuis des centaines d’années et par toutes les études sérieuses.

Les QR codes, la reconnaissance faciale, le pass sanitaire et bientôt le crédit social sont désormais en voie d’adoption et de normalisation par de nombreuses « démocraties » occidentales.

Et comme dirait le con de service plus concerné par le dernier iPhone que les droits de l’homme :

« Si on n’a rien à se reprocher en quoi est-ce gênant d’être espionné 24 heures sur 24 ? »

Nous vivons ainsi les premiers mois de la mise en œuvre de la dictature ultralibérale qui est basée sur exactement le mémé modèle que la dictature communiste chinoise !

Mais comme nous ne sommes pas des pourris, que nous sommes les « gentils », que nous ne sommes pas la Corée du Nord, nous demeurerons une « démocratie » dans laquelle le peuple n’a qu’un seul droit, c’est de fermer sa gueule, regarder Hanouna et acheter des Nike !

Pour autant, nous voyons bien qu’une écrasante majorité du peuple n’est plus dupe, il n’y a qu’à voir que 70 % des inscrits (et non des personnes en âge de voter) ne prennent plus le temps de participer à cette mascarade électorale parce qu’elle est convaincue que cela ne sert à rien. Hélas, une majorité de cette majorité a renoncé, car cet ultralibéralisme a réussi à tuer Dieu, le communisme, les valeurs, la famille, pour laisser croire qu’il n’y avait que la voie de la croissance infinie dans un monde fini. Et comme je l’ai rapidement évoqué, « l’écologie » n’est qu’un marché à la croissance infinie qui a réussi à transformer le « jeter », qu’ils appellent le recyclage, en acte écolo !

Demain, le vote électronique va être mis en œuvre en France et comme aux USA, il ne sera même plus la peine d’aller sur son clavier pour voter, le résultat des élections sera connu bien avant le début du scrutin. Nos maîtres du monde psychopathes auront déterminé à l’avance qui sera l’heureux esclave « élu » et à leurs bottes.

Il est encore temps de dire NON, il est toujours temps de dire NON !

À nous de récupérer une conscience politique, à nous de réclamer une justice sociale, à nous de refuser la redistribution des miettes qui n’est qu’aumône. C’est ce principe tordu de la redistribution qui vante le modèle ultralibéral de la réussite. « Le riche redonne au pauvre » (des miettes) notamment dans le système américain. Riche qui a obtenu sa richesse grâce au labeur des travailleurs pauvres ou en exploitant des ressources de la planète qui devraient être un bien commun ou en vendant une fortune des produits inutiles à l’obsolescence programmée à ces mêmes travailleurs pauvres !

À nous de réclamer un système distributif dans lequel la répartition des richesses est inscrite dans la constitution, dans lequel chaque humain viendrait au monde avec un capital ! Dans lequel tout un chacun pourrait s’enrichir, mais « raisonnablement » ! Que penser d’un Elon Musk qui gagne 300 000 dollars par minute (24 heures sur 24, 365 jours par an) ? Ce type tant admiré pour ses voitures qui détruisent la planète et ses fusées voit sa richesse augmenter chaque minute l’équivalent de 17 années de travail d’une caissière au salaire minimum… Elle même nantie comparé aux esclaves des pays pauvres payés 3 dollars par jour qui mettraient 235 ans pour arriver à la minute de revenus d’Elon Musk !

Vous avez dit « monde de merde ? », je suis d’accord !

Mais Rome ne s’est pas faite en un jour. Pour reprendre notre dignité, nous devons avancer pas à pas et commencer à dire NON au pass sanitaire, non à l’obligation vaccinale pour quiconque et non au crédit social. Ensuite ce sera l’heure des réformes politiques et de l’éducation des citoyens.

… Sans quoi demain nous nous réveillerons en République Populaire de France !

Alain Tortosa.

11 août 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210811-republique-populaire-de-france.pdf




France : la fin de l’État ?

Par Valérie Bugault

À propos du détournement des fonctions étatiques, et de l’abus de droit international s’agissant d’un organisme étatique

[Source : valeriebugault.fr]

Le 16 mars 2020, Emmanuel Macron fait une « déclaration de guerre », dans laquelle aucun « ennemi » n’est clairement identifié, dans la mesure où l’on veut bien reconnaître qu’un virus ou une maladie n’est pas un « ennemi de type militaire » (https://youtu.be/5wYyJckGrdc).

En conséquence de cette « Déclaration de guerre », apparaît la 1ère loi d’urgence sanitaire en date du 23 mars 2020. Nous ne reviendrons pas sur l’inconstitutionnalité de cette loi. Loi qui a, par ailleurs, engendré, généré, une incapacité du parlement à se réunir dans des conditions normales (ou même simplement satisfaisantes), et correspond donc à une loi d’exception institutionnelle, ayant mis entre parenthèse nos institutions nationales.

Mais ce n’est pas tout, car, parallèlement à l’édiction de cette loi dérogatoire, d’exception institutionnelle, le « pouvoir exécutif français » s’est senti justifié à instaurer, sur l’initiative d’un « conseil scientifique », dont la composition est en soi extrêmement contestable – et à ce titre dument contesté par le professeur Didier Raoult comme étant en réalité un « Conseil des amis du professeur Delfraissy » (écouter vers la 11ème minute de la vidéo suivante : https://m.youtube.com/watch?v=Ld1kpIDzmLE)-, un « Conseil de Défense sanitaire » (https://www.elysee.fr/la-presidence/le-conseil-de-defense-sanitaire). Depuis lors, les décisions du gouvernement français sont soit initiées directement, soit passent par le prisme, de ce Conseil de Défense sanitaire, lequel agit comme un « usurpateur » du pouvoir politique français.

Or, ce Conseil de Défense repose sur un fondement extrêmement discutable :
“les recommandations d’un Conseil scientifique Covid-19 créé en mars 2020 à la demande du ministère de la Santé, formation autonome et indépendante composée de treize experts scientifiques.”

Il faut encore préciser que le président de ce conseil scientifique a, dès le 25 mars 2020, entretenu une correspondance amicale et politique, sinon strictement professionnelle, avec l’américain Anthony Fauci (cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci) en charge des intérêts sanitaires américains. Correspondance dont on ne perçoit pas très bien la pertinence au regard des intérêts français ; pour dire les choses autrement, cette correspondance pourrait très bien être analysée au regard de la collusion d’intérêts avec une puissance étrangère.

En résumé, le pouvoir politique français est désormais, en quelques sortes, accaparé par (dans le pire des cas) ou soumis à (dans le meilleur des cas) un Conseil de Défense, lequel a été institué à l’initiative d’un organisme, le conseil scientifique, dont la forme juridique n’est pas clairement établie, organisme réuni par le seul ministère de la santé, et dont la composition est hautement suspecte au regard des intérêts politiques français.

Quoiqu’il en soit de sa qualité intrinsèque, en l’occurrence très douteuse, un « conseil scientifique » ne saurait en aucun cas avoir l’autorité et/ou la légitimité politique de décider de la création d’un organisme, un Conseil de Défense, qui prendra désormais les décisions stratégiques au lieu et place du gouvernement français !

Il y a, fondamentalement, un problème juridique initial avec l’instauration de ce Conseil de Défense.

Et ce n’est pas tout !

Étant en guerre, la France désormais régit par un Conseil de Défense est, par voie de conséquence, soumise à la propagande qui accompagne toute guerre ! Or, à l’évidence, cette « propagande de guerre » n’est pas franco-française, elle sévit au niveau européen et même international et concerne particulièrement les pays développés, eux-mêmes réunis au sein de l’OTAN.
Dès lors, la question juridique à poser est la suivante : un organisme international est-il légitime à diligenter et à gérer une propagande de guerre Nationale ? Alors qu’aucune « déclaration de guerre » officielle visant un ennemi militaire n’a officiellement eu lieu… Un virus n’ayant a priori pas de nature militaire (encore que nous ayons de plus en plus d’informations allant dans le sens d’un virus fabriqué en laboratoire et frôlant donc la qualification de « guerre bactériologique », mais c’est encore une autre histoire…).

La déclaration d’Emmanuel Macron selon laquelle « nous sommes en guerre » a eu pour objectif et pour effet de lancer toutes ces manœuvres de nature politico-militaires sans qu’aucun ennemi, au sens militaire du terme, n’ait réellement été déclaré ! Une déclaration de guerre ne doit-elle pas nécessairement désigner un ennemi militaire ? En tout état de cause, la situation étatique et militaire traditionnelle, antérieure à l’actuelle suspension de nos institutions politiques, était qu’une « déclaration de guerre » était accompagnée de la désignation d’un « ennemi militaire ».

On ne compte plus les vices, de fond et de forme, qui entourent les décisions politiques françaises depuis que nous sommes, de facto, dans un état de suspension de nos institutions.

Il résulte de cet état de fait, que le gouvernement français a, de facto, perdu toute fonction réelle, qu’il est aujourd’hui concentré dans les mains d’un Conseil de Défense dépourvu de tout fondement juridique sérieux et surtout de toute légitimité politique.

Du point du vue du droit international, l’État français, qui a été vidé de sa substance politique pour être mis au service d’organismes dominés par des intérêts non formellement identifiés, se trouve dans une situation de détournement institutionnel, d’abus de droit international public.

Il importe aujourd’hui d’agir au niveau international afin de faire reconnaître la scission entre le gouvernement français et sa population ; scission entraînant la fin de toute légitimité publique des décisions d’un gouvernement qui a, de facto, démissionné au profit d’un Conseil de Défense illégal et politiquement illégitime.

Les Français sont dans une situation de détournement de leur État et des fonctions étatiques régaliennes y afférentes. Non seulement le pouvoir globaliste a déclaré la guerre à notre système de droit continental traditionnel mais il a désormais également usurpé notre État, dont la qualification elle-même relève de ce système de droit.


Olivier Renault – Entretien (partie.1) avec Valérie Bugault pour Observateur Continental, le 6 Août 2021

[Source : valeriebugault.fr]

Observateur Continental a demandé à Valérie Bugault, auteure notamment des « Raisons cachées du désordre mondial », de préciser son appel récemment fait à tout le monde mais essentiellement aux forces de l’ordre pour agir et sauver la France et son peuple.

1°) Est-ce que votre appel signifie que nous sommes en Troisième Guerre mondiale ?

Valérie Bugault : On pourrait présenter les choses comme cela mais il faut alors immédiatement préciser qu’il s’agit d’une Guerre d’une nature nouvelle. Cette guerre n’est pas menée militairement par un ou des États contre un ou plusieurs autres États. Cette guerre est conduite, au sein même de chacun des États, par une oligarchie compradore accapareuse – elle-même menée par le modèle défini par les dirigeants globalistes de la City of London (mélange de banques globales, de multinationales à leurs ordres sous anonymat, d’anciennes familles régnantes et de grands industriels ralliés à la banque) – contre les populations desdits États.

Il faut immédiatement ajouter, à des fins de clarté du débat, que les populations constituent, en elles-mêmes, historiquement le concept d’État ; c’est-à-dire que les populations sont intrinsèquement les éléments constitutifs de la notion politique d’État. Il en résulte qu’un État accaparé par une caste compradore n’est, du point de vue juridique et institutionnel, qu’une coquille vide, un détournement de la notion d’État, en d’autres termes, un « abus de droit public international ».

2°) Sur quels éléments de preuves pouvez-vous affirmer que tout ce qui est décision stratégique sur la communication, la politique, la santé publique, la stratégie sanitaire et militaire a échappé aux forces françaises ?

Valérie Bugault : Je vous renvoie à mon dernier article (https://valeriebugault.fr/a-propos-du-detournement-des-fonctions-etatiques-et-de-labus-de-droit-international-sagissant-dun-organisme-etatique-2). En réalité, l’État Français n’existe plus car les institutions officielles sur lequel il repose sont suspendues depuis la création du Comité de Défense sanitaire ; lequel comité ne repose sur aucune base juridique satisfaisante et ne dispose d’aucune légitimité politique.

3°) De qui est quoi est constitué ce contrôle globaliste qui commande aujourd’hui la France ?

Valérie Bugault : Il est constitué par la prise de contrôle, au niveau mondial – via le contrôle du système économique global – de :

  • La force de travail des individus ;
  • Des ressources matérielles et financières par les multinationales et les grandes banques globalistes ;
  • Des systèmes politiques via le « parlementarisme » (prétendument représentatif), lequel repose sur la captation de la vie politique par les partis politiques qui dépendent de leurs fournisseurs de capitaux.

Cette prise de contrôle mondiale opère à partir des armes développées par l’empire britannique que sont le droit anglo-saxon (y compris le concept de soft law) et le système des banques centrales. Anonymat et secret (notamment des affaires, mais aussi d’État…) ont été de puissants moyens pour accroître, en toute discrétion et impunité, leur accaparement des richesses et du pouvoir.

Au-delà de ces armes de pointes, les globalistes en ont développé de nouvelles : à savoir les institutions internationales dont ils ont, initialement ou au fil du temps, pris le contrôle plus ou moins officiellement : ONU (accompagnée de sa multitude d’agences qui se sont octroyé une compétence sur toutes les thématiques de la vie), OMC, OMS, OCDE, FMI, Banque des règlements internationaux, Banque mondiale, Club de Rome, Davos, Bilderberg, Union Européenne…

4°) Quelle est cette organisation qui est derrière les armées secrètes de l’Otan ?

Valérie Bugault : Les armées secrètes de l’OTAN ont été parfaitement renseignées par l’universitaire suisse Daniele Ganser, qui a fait un remarquable et difficile travail d’investigation et de synthèse. Je vous renvoie à ses nombreux travaux sur le sujet : livre réédité, (« Les armées secrètes de l’OTAN »), très nombreuses conférences que tout un chacun peut retrouver, écouter et visualiser sur Youtube notamment.

Ces armées secrètes ont été organisées dès la 2nde Guerre Mondiale afin de lutter contre Staline mais leur mission première était, à l’image de son instigateur Allan Dulles, d’être mise au service exclusif des multinationales et des banques globalistes qui opéraient, à l’époque, à partir de l’empire américain.

Cette superstructure opaque s’est développée en toute indépendance vis-à-vis des États membres de l’OTAN tout en disposant de la capacité de ponctionner, en secret, dans les ressources de l’OTAN. Cette organisation occulte s’est, en particulier, spécialisée dans les attentats sous faux drapeaux. Encore une fois, je renvoie les lecteurs intéressés à en savoir plus aux formidables travaux de Daniele Ganser.

à suivre


[Source : https://odysee.com/@valeriebugault:c]






Ricardo : « Nous allons gagner la guerre »

[Source : La Minute de Ricardo]

Urgent: programme et vision !



Nous les résistants du peuple de France allons gagner la guerre !

Première bataille à gagner: stopper le pass sanitaire car il est contraire :
Aux droits de l’homme, article 2
À la constitution française, article 55
Au code civil, article 16
Au code pénal, article 225
Au code du travail, article 11.32
Au code de santé publique, article R27.31
Au code de déontologie médicale, article 36
Au serment d’Hippocrate
À la loi du 13 Juillet 1983
À la loi nᵒ 2002-3032 appelée loi Kouchner
Au Conseil de l’Europe, résolution 97 article 5
À la déclaration d’Helsinki de 1996
À la déclaration de Genève de 1948
À la déclaration de Nuremberg de 1945
Si quelqu’un vous empêche d’allez où que ce soit, relevez l’identité des personnes qui entravent votre liberté de circulation, elles seront punies le jour venu, condamnées pour non respect de toutes ces lois et surtout pour discrimination!

Deuxième bataille à gagner: stopper l’injection des wax !

On ne lâchera rien ! Même si Macron ne le veut pas, nous on sera là ! Vive la France !




Non, Louis Fouché ne s’est pas couché

[Source : Matthieu Lebrac]

[Ndlr : la vidéo suivante peut représenter une réponse à Louis Fouché s’est-il couché ?
Jean Robin envisage une résistance guidée par un ou plusieurs leaders qui peuvent avoir un rôle de sauveur, alors que Louis Fouché évoque une résistance bien davantage basée sur l’action, éventuellement souterraine (à l’image de la résistance lors de la Seconde Guerre mondiale), avec création de réseaux de différents ordres pour préparer la société de demain. Jean Robin se définit comme Chrétien et il se trouve sans doute marqué par le concept d’un Christ sauveur, alors que pour Louis Fouché, le Christ est déjà venu et il ne s’agit plus de l’attendre en tant que sauveur. Une certaine interprétation de textes bibliques prophétiques le montre d’ailleurs plutôt comme une sorte de Juge-Roi destiné à mettre en place une forme de société directement inspirée du divin.]




Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »

[Source : Bas Les Masques]

https://youtu.be/gWzGQruMXO0



L’avocat maître Prigent rappelle à la télévision que les traités internationaux priment le droit français et que le Passe sanitaire est illégal

[Source : rumble.com]






Le faux combat contre « l’antisémitisme » de pompiers pyromanes

Par Lucien Samir Oulahbib

À lire la pancarte incriminée, il s’avère en préambule que la pantalonnade de certains dirigeants du RN et ex-FN (réaction très décevante de Philippot, par exemple — repassant la patate chaude) reste incompréhensible tant il n’y a pas écrit sur celle-ci une once d’antisémitisme, pas une, à moins d’établir là aussi et là encore un lien mécanique de cause à effet entre ladite appartenance politique de cette enseignante, porteuse de cette pancarte qui dénonce les principaux acteurs de la situation post-démocratique actuelle (régie de fait par un Conseil occulte dit de défense ce qui est anticonstitutionnel comme l’indique Valérie Bugault) et des positions idéologiques supposées être affiliées en général à ce qui lui est reproché ce qui reste à démontrer déjà juridiquement.

D’autant plus que les accusateurs, et, parmi eux les officiels, sont, par contre, profondément engagés dans le discrédit de plus en plus permanent de l’État d’Israël, du fait de prises de position très pro-palestinistes de facto, par exemple en participant à nombre de condamnations promues par l’UE ou l’ONU (voire en s’abstenant de prendre position. Or même là c’est s’engager, en renvoyant ainsi dos à dos). Ceci découle non pas d’une critique recevable d’État à État (par exemple lorsqu’il s’agit de crimes dépassant l’entendement), mais d’une tournure idéologique a priori, d’un parti pris de fait, certes sournois (depuis 1967), mais antisioniste effectif et donc, par quelques biais, antisémite. Ne tournons pas autour du pot (quoique d’un nouveau genre) puisque continuer à toujours nier ce qui s’est réellement passé depuis 1947 (lire à ce propos le numéro été de Dogma, en particulier les articles de Shmuel Trigano et la recension du livre de Pierre Lurçat) revient à faire pencher toujours la balance plutôt d’un seul côté et donc de facto à avaliser un discours unilatéral qui s’auto-alimente aujourd’hui via certaines officines françaises aux ordres, stipulant par exemple qu’il existerait sous nos yeux un « apartheid » effectif en Israël ce qui est, bien entendu, strictement faux.

Rappelons juste quelques faits avant de poursuivre sur cette pancarte.

Commençons déjà par lesdits « arabes israéliens » : ils vont et viennent, enseignent, soignent, vivent tout simplement et sont même représentés au Parlement, et ensuite concernant également les populations régies par l’OLP et le Hamas qui, elles, ne vivent pas non plus une situation façon Ouïghours en Chine communiste (guère condamnée par les officiels Français sur ce point précis), alors que leurs organismes qui les dirigent (OLP, Hamas) les empêchent par contre de vivre ne serait-ce que le dixième de droits que détiennent les Arabes israéliens (qui pourtant les avalisent tout en refusant de vivre sous leur joug).

Pourquoi ? Parce que ce sont des instances non démocratiques, pourtant reconnues, de fait, par les officiels français et internationaux (les mêmes qui condamnent cette enseignante, Cassandre Fristot), alors que l’OLP et bien sûr le Hamas ont refusé d’appliquer le second volet des accords d’Oslo, en l’occurrence le plan Clinton (qui allait dans leur sens pourtant), tandis qu’aujourd’hui ils réclament des choses qui ne leur ont jamais appartenu, comme Jérusalem (inconnue dans leur Livre) ou le fait de vouloir, obstinément, le rapatriement de tous les « réfugiés » de leur guerre déclenchée suite à leur refus de la séparation entre deux États ainsi que de leurs descendants (soit entre 4 et 7 millions si l’on s’en tient aux chiffres de l’OLP et du Hamas) et qu’ils « rentrent » en Israël même et non pas dans leur futur État, ce qui est un non-sens. Et en plus, ils oublient le sort de ces centaines de milliers de juifs pourtant non israéliens expulsés des pays dits « arabes » (Algérie comprise).

Ne rentrons même pas ici dans la question de « l’annexion » ou pas des « territoires » « occupés » pour les palestinistes, « libérés » pour les Israéliens de « canal historique », « contestés » pour les plus aptes à des compromis. Ce qui importe ici est de comprendre qu’il y a bien deux poids et deux mesures produits par une supposée lutte antisémite et antiraciste (qui en même temps soutient les discours antijuifs des dirigeants palestinistes, puisque pour eux un juif ne peut pas être souverain sur une terre devenue musulmane). C’est un fait, au-delà des discours somnifères en direction de dirigeants occidentaux soumis ou toujours sous domination idéologique de toute cette antienne stipulant que les « juifs » gouvernent le monde alors que tous les métiers qu’ils exercent aujourd’hui étaient méprisés ou interdits pour les non juifs naguère…

Certes, un certain discours eugéniste et racialiste a encore pignon sur rue, mais il a été supplanté depuis longtemps par la phraséologie issue de ce djihadisme qui s’est lié (non pas opportunément, mais foncièrement) avec le nazisme par exemple, puis avec les courants altermondialistes (tel Ramadan), d’où les accointances progressives au fil du temps, et actuelles, avec l’extrême gauche proudhonienne et bakouninienne qui entraînent les néoléninistes (Plenel, Mélenchon) et poststaliniens (Autain, Haas) vers un antisionisme exacerbé qui enflamme les cours d’histoire dans les écoles occidentales, en particulier celles situées au sein des territoires non plus seulement « perdus », mais « conquis » désormais par le djihadisme officialisé de fait, dans maints endroits, via un clientélisme forcené et sous les effets de boutoir des lobby wahhabite qatari saoudien et turc.

Aussi est-il réellement affligeant et en même temps ironique d’observer des officiels se vautrer dans l’indigence de la fausse dénonciation afin de casser un mouvement qui récuse leur coup d’État de fait, puisqu’en effet nous sommes désormais sortis de l’État de droit, malgré les apparences du contraire.




Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid

Par Nicole Delépine

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera malade cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice »…

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté, alternant entre confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires, d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et, au minimum, de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir, mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien…

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio…

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les événements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs.

LE NOMBRE D’EFFETS INDÉSIRABLES DÉCLARÉS EN LIEN AVEC LES VACCINS ANTI-Covid A DÉJÀ LARGEMENT DÉPASSÉ, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDÉSIRABLES RAPPORTÉS, DEPUIS LA CRÉATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUÉS.(([1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/))

L’Étude d’Enzololo(([2] https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/Covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance
Covid-19 — Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo — Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.
Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 août : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours “les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS” (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle :
https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins »)) de début août rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-Covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins de 1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin Covid. Les données VAERS publiées début août par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la Covid, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.(([3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.))

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la Covid avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la Covid.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.(([4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/)) Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise Covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès, etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

•15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la Covid, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021, et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1 505 250), décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

•Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1 406 840 et 1 431 289), décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans, décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1 463 061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1 187 918, 1 382 906 et 1 242 573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1 420 630, 1 466 009, 1 225 942, 1 475 434 et 1 386 841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1 199 455, 1 388 042 et 1 420 762).

• 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

• 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.

• 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid :
AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITÉ

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

Selon les CDC les chiffres sont comparables(([5] Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.))

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.(([6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :
« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.
Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque. »))

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC,(([7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine: 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine,(([8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic)) une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PÉRICARDITE SIGNALÉS PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la Covid indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP(([9] Advisory Committee on Immunization Practices.
Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis.)) le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la Covid à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la Covid l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de Covid pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la Covid. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la Covid aux États-Unis à demander une approbation complète.

ACCIDENTS PRÉOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le Covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide — idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique.

« Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… »

Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832(([10] Le 1 er août 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale — en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours)) sur twitter.

FERTILITÉ ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter.(([11] 7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale))

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

Les vaccins anti-Covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu. »

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse”(([12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid — Résumé. (wordpress.com) ))

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du Covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTÉINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes, etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation.

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. »

Dr. Byram Bride

Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la Covid-19 et aux vaccins.

2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)

3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques

4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels.(([13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin Covid-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… » 27 juillet 2021 par mirastnews in Europe/Par le Dr Joseph Mercola))(([14] Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif- (covid19) — (post%C3%A9-par-Dr-Perronne) — (1) : 7?src=embed))

Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60 % des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements, etc. et pas à l’aveugle.

Enfin citons simplement les inquiétudes des cancérologues devant la multiplication des cancers nouveaux et des rechutes y compris chez des patients en rémission depuis longtemps. Une veille à ce sujet s’impose pour le moins de même que sur l’apparition de maladies neurodégénératives chez les vaccinés. L’histoire est loin d’être écrite.

VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFÈRE

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent ni les vaccinés ni les autres. Voyez les expériences à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

En Israël,

« 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés !(([15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/ à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive))

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que

« sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4 % ».

LE REMÈDE CONTRE L’HYSTÉRIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace, car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs-Élysées à la Bretagne, etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides ait la même efficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.(([16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! — Boris Karpov (tvs24.ru)
« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres “standard” de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sûr les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !
Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5 000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de “trahison”, au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc., etc. C’est un véritable raz de marée. »))





NOUS SOMMES UN !

Par Alain Tortosa

Je voudrais m’adresser au gouvernement, aux médecins arrosés, aux médias corrompus et lâches qui disent que nous sommes une bande de paumés, débiles, décérébrés, non informés ou illettrés.

Nous ne sommes pas une assemblée hétéroclite de manifestants ne vous en déplaise !

Nous ne sommes ni d’extrême gauche, ni d’extrême droite, ni d’extrême centre !

Nous sommes UNIS, nous sommes UN,

pour lutter contre la dictature sanitaire et défendre une valeur commune, la liberté !

Nous ne voulons pas d’une obligation vaccinale pour quiconque !

Nous ne voulons pas d’une société à plusieurs vitesses avec des citoyens de seconde zone !

Nous ne voulons pas appartenir à la caste des INTOUCHABLES !

Nous ne voulons pas que nos enfants soient parqués à l’école comme des parias !

Nous refusons de présenter un passeport de la honte pour nos activités de loisir et du quotidien !

Arrêtez de nous vendre de la peur, de nous diviser pour nous monter les uns contre les autres !

Nous disons stop aux mensonges !

Vous nous dites que nous sommes tous menacés par le variant Delta qui risque de provoquer quoi ? Une épidémie mondiale de Rhume !

Monsieur le Premier Ministre, vous affirmez que la Martinique est au bord de l’abîme parce qu’elle est un des départements les moins vaccinés de France (et je les félicite pour ça d’ailleurs).

Vous mentez ainsi sciemment à tous les Français !

Citez-vous la Guyane qui a le même pourcentage de vaccinés et un taux d’incidence 4 fois inférieur et même inférieur aux départements « noirs » de la métropole ?

Le taux d’incidence des départements les moins vaccinés est deux fois inférieur à celui des Alpes Maritimes qui est un des départements les plus vaccinés !

Les Pyrénées-Orientales ou les Alpes-Maritimes ont plus d’admissions à l’hôpital par habitant que des départements largement moins vaccinés comme l’Essonne !

Vous nous matraquez de « vaccin solidaire et efficace », de « devoir civique » quand Israël reconnaît que le Pfizer n’est efficace qu’à 39 % et tandis que le Dr Fauci déclare que la charge virale des vaccinés est désormais la même que celle des non-vaccinés !

Vous osez parler d’obligation vaccinale pour nos enfants, vous assumez de mettre en danger leur vie par « solidarité » envers des personnes en fin de vie ou gravement malades !

Qu’avez-vous fait de vos valeurs et de votre dignité ?

Sachez que nous ne renoncerons jamais et que nous continuerons semaine après semaine à dire NON aux mensonges et OUI à la liberté !

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/liberte