Est-ce la fin de la médecine libre ?

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

[Également transmis par Christine Côte]

Par Jérôme (Fondation Hippocrate)

– Vous n’avez jamais tué quelqu’un, docteur ?
– Sans ordonnance, jamais !
Cet extrait d’un sketch de Raymond Devos m’a longtemps fait sourire.

Aujourd’hui, c’est la médecine intégrative que l’on tue. Et cela se fait par décret. Le gouvernement a pris la peine d’établir un arrêt de mort officiel.

L’apparence du droit et de la démocratie est respectée. Toutefois, le résultat est le même : à partir du 15 septembre 2021, des milliers de soignants et de médecins en France se trouvent bannis du système de santé.

Il leur est imposé une obligation vaccinale contre la covid 19 sans laquelle ils ne peuvent plus exercer. S’ils sont hospitaliers du public ou du privé, ils seront suspendus le temps de l’état d’urgence et de l’obligation vaccinale. Ils ne seront pas payés. (1)

S’ils pratiquent leur discipline en libéral en tant que médecin, ostéopathe ou kiné, leur cabinet peut être fermé à tout moment s’ils ne montrent pas la preuve de leur “passe sanitaire”.

Or, comme les tests PCR vont devenir payants et qu’ils doivent en faire un tous les trois jours, c’est une obligation vaccinale déguisée.

10% d’irréductibles !

Au mois d’août dernier, 9 médecins généralistes sur 10 auraient été vaccinés contre la covid 19. Il resterait donc 10% d’irréductibles. (2)

Cela pourrait représenter 10 000 médecins sur les un peu plus de 100 000 médecins généralistes qui exercent en France. (3)

Au niveau des hôpitaux, le chiffre serait de 13% sur les 1,1 millions de soignants. (4)

Cela fait tout de même plus de 100 000 soignants !

En tout, 300 000 thérapeutes et soignants pourraient refuser d’appliquer l’obligation vaccinale. (5)

L’obligation vaccinale imposée aux médecins et aux soignants est donc une mesure qui va toucher des millions de Français. Pour l’instant, ils ne se doutent de rien. La mesure a été peu commentée dans les médias. Elle est presque passée inaperçue. Pourtant, ces conséquences à court et à long termes devraient être considérables.

Cette décision pourrait aboutir à un véritable désastre sanitaire. Explications.

Le cadre juridique

Comment, un gouvernement, peut-il, en toute légalité, licencier 10% des effectifs d’un secteur économique entier ?

Cette décision a été prise au début du mois d’août, en quelques jours. Elle a été actée par un décret du 1er ministre du 7 août 2021. (1)

Il faut comprendre que de telles décisions sont possibles sans discussion parce que nous sommes en état d’urgence sanitaire. (6)

Cet état de droit d’exception a été institué une première fois par décret le 17 octobre 2020 à minuit. Il a été prolongé :

  • par une loi du 14 novembre 2020 jusqu’au 16 février 2021.
    par une loi du 15 février 2021 jusqu’au 1er juin.
    par une loi du du 31 mai 2021 jusqu’au 30 septembre 2021.
    par une loi du 5 août 2021 jusqu’au 15 novembre 2021.
    Nul doute que le 14 novembre 2021, nos députés voteront sagement une nouvelle loi pour étendre encore et toujours l’état d’urgence sanitaire…

En tout cas, ce cadre juridique permet au gouvernement d’agir vite et sans débat. En effet, lorsque les mesures ne sont pas discutées au Parlement, elles sont moins reprises par les médias. Cela fait moins de polémiques.

Un décret du 7 août 2021 a instauré le fameux “passe sanitaire”. (1)

Depuis le 15 août, ce document ou “QR code” est exigé de tous les majeurs pour accéder aux :

  • restaurants, bars et musées ;
    hôpitaux, Ephad et maisons de retraite ;
    transports publics longue distance (train, avion) mais pas aux métros ni aux bus urbains ;
    centres commerciaux supérieurs à 20 000 m2.
    événements de plus de 50 personnes.
    Il est exigible pour tous les majeurs. Il le sera pour les adolescents de plus de 12 ans à partir du 30 septembre 2021.

Celui qui ne présente pas son “passe sanitaire” s’expose à une amende de 135 euros. Les commerçants qui ne contrôlent pas les “passes sanitaires” risquent, eux, une amende de 1000 euros. (1)

Enfin, les soignants hospitaliers ou libéraux ont l’obligation de se vacciner avant le 15 septembre. S’ils ont déjà reçu une dose de vaccin, ils ont jusqu’au 15 octobre pour faire la deuxième.

Le refus des soignants libres et ses conséquences

Comprenez bien la situation. Les soignants fonctionnaires ne seront pas payés. Mais ils n’auront pas le droit non plus d’avoir une autre activité salariée en raison de leur statut, sauf illégalement. Ils risquent donc d’être à la rue.

Les salariés du privé pourront essayer de trouver un emploi ailleurs.

Les médecins ou les libéraux, habitués à une gestion plus souple de leur activité, la mettront entre parenthèses en espérant tenir sur leurs réserves ou prendront leur retraite pour ceux qui le peuvent.

Dans ces conditions, certains se feront vacciner et continueront à travailler avec beaucoup d’amertume. Vous serez soignés par des personnes qui détesteront les autorités, la société et peut-être même leurs patients.

D’autres partiront à l’étranger ou changeront de voie.

Personne ne sait aujourd’hui combien de thérapeutes, d’infirmiers, d’ostéopathes, etc. vont cesser de travailler.

Même s’il n’y en avait “que” 100 000, c’est énorme pour un système de santé exsangue où le “turn over” et les “burn out” sont déjà très élevés. (7,8)

Le départ de nombreux médecins libéraux va accentuer encore les déserts médicaux. De nombreux patients ne pourront plus se soigner

Pourquoi refusent-ils ?

Vous me direz mais pourquoi ces médecins et ces soignants refusent-ils l’obligation vaccinale contre la covid 19 ?

Pourquoi sont-ils prêts à tout perdre pour ne pas se soumettre aux obligations du gouvernement?

Il y a trois raisons essentielles à cela :

1/ Ils ne veulent pas des effets secondaires des vaccins. La covid 19 tue certaines personnes, c’est vrai. Néanmoins, les vaccins provoquent de nombreux effets secondaires et peuvent tuer également. (9)

Plusieurs milliers de personnes pourraient avoir trouvé la mort à cause du vaccin en Europe, même si ces chiffres font débat parce qu’il n’est pas toujours simple d’établir le lien entre une vaccination et un décès. (9)

C’est moins que la covid 19 mais ce n’est pas un détail non plus.

Par exemple, beaucoup de jeunes infirmières redoutent les effets secondaires douloureux des vaccins. Elles risquent de voir leurs cycles menstruels très perturbés, elles ne savent pas si le vaccin n’impacte pas leur fertilité alors qu’elles savent que la covid 19 ne représente pas un danger pour elles. (10)

Par ailleurs, elles font extrêmement attention aux gestes barrières et sont très prudentes avec leurs patients. Pour elles, le bénéfice du vaccin est vraiment discutable.

2/ Ils savent que les vaccins ne jouent pas ou peu sur l’épidémie. Ces soignants ont en tête la situation sanitaire dans des pays comme Israël ou l’Islande. Ces pays sont ultra vaccinés mais connaissent toujours des vagues épidémiques. Les contaminations y sont à la hausse ! (11,12)

Les vaccinés y sont autant hospitalisés que les non vaccinés et le virus tue autant les uns que les autres. Il est possible que chez les personnes à risque, ayant des comorbidités, le vaccin permet d’éviter les formes graves de la covid 19. Mais pour des soignants de moins de 60 ans en bonne santé, le risque mortel est faible.

3/ Ils savent que la covid 19 fait peu de victimes. Le taux de létalité du SARS- CoV-2 est faible. (13) La moyenne d’âge des morts est au-dessus de 80 ans. (14) La très grande majorité des morts avaient des comorbidités. On dit qu’ils sont morts de la covid 19 mais on aurait pu les compter dans les victimes du cancer, du diabète de type II, de l’obésité ou simplement de la grande vieillesse.

La vaccination obligatoire n’est pas une fatalité !

Les soignants dont nous parlons sont-ils égoïstes ? Prennent-ils le risque de contaminer leurs patients ?

Ce n’est pas le cas.

Ces soignants comme la majorité des thérapeutes ont choisi ce métier par vocation, par amour de leur prochain. C’est le désir d’aider les autres qui les a mis là où ils sont.

Il faut comprendre qu’ils refusent de se soumettre à une obligation vaccinale qui crée une situation absurde du point de vue sanitaire.

En effet, les vaccins Janssen et AstraZeneca ne fonctionnent pas ou peu. (15,16) Ils n’empêchent pas la transmissibilité du virus. Or ces vaccins ont beaucoup été utilisés pour les personnels hospitaliers. Les soignants concernés ne sont pas protégés et sont des vecteurs possibles de la maladie sans en avoir nécessairement conscience.

À l’inverse, ceux qui ne sont pas vaccinés le savent. Ils font donc très attention. Ils seraient disposés à faire deux tests PCR par semaine s’il le fallait, si ces derniers restaient gratuits.

En clair, il était possible de construire une politique sanitaire prudente fondée sur la confiance et le dialogue avec les patients. Ce n’est pas le choix qui a été fait. Le gouvernement passe en force.

Qui sont ces soignants ?

Parmi les médecins et les thérapeutes qui refusent la vaccination, beaucoup pratiquent des médecines intégratives.

Ils pratiquent l’homéopathie, l’acupuncture, la nutrition, l’hypnose, l’ostéopathie, toutes ces disciplines douces qui s’appuient sur le terrain du patient autant que sur le remède pour l’aider à guérir.

Pour eux, c’est la relation entre le patient et le médecin qui compte avant tout.

Ils refusent d’être les exécutants d’un système médico-technocratique qui ne fait plus qu’appliquer des protocoles de santé validés par l’industrie pharmaceutique et semble ne plus s’occuper des patients.

La perte pour les patients sera donc énorme à la fois au niveau du nombre de médecins mais aussi de la pluralité de l’offre médicale.

Il était déjà difficile de trouver un nutritionniste ou un phytothérapeute. Cela deviendra quasi impossible. Vous n’aurez plus que des médecins prescripteurs de paracétamol – potentiellement dangereux pour la Covid 19 (17) -, d’antibiotiques et de statines.

C’est la grande victoire de la médecine chimique et systématique !

Et c’est de fait, la mort programmée des médecines intégratives, faute de praticiens…

Un désastre sanitaire

Cette victoire toutefois sera de courte durée.

L’innovation dans la médecine vient de ceux qui pensent librement. Toute la recherche actuelle sur le microbiote est venue de gastro-entérologues et nutritionnistes courageux qui ont cherché à comprendre le rôle du monde bactérien dans la santé humaine.

Cela a permis de découvrir de nouvelles pathologies : l’intestin poreux, le SIBO ou l’intestin qui fermente, etc. (18)

Cela a surtout permis de développer de nouveaux traitements et thérapies pour de très nombreuses maladies : digestives mais aussi neurologiques et psychiques. L’importance du lien entre le cerveau et l’intestin n’est plus à démontrer !

La médecine y perd donc et les patients aussi.

Ces médecines intégratives permettent d’agir au niveau préventif. Elles proposent des solutions efficaces pour traiter le stress, les troubles divers, les douleurs multiples…

D’une manière ou d’une autre, donc, compte tenu de leur efficacité, ces médecins reviendront. Mais que de souffrances endurées ! Que de temps perdu !

Enfin, ce passe sanitaire, de manière plus générale, coûte cher aux patients.

Il y a le défaut de soignants, la complexité administrative, les oublis de passe sanitaire, les fraudes, la perte de confiance dans le système médical et la science plus généralement…

Comment chiffrer tout cela ?

Jusqu’où iront les injonctions sanitaires ?

Quand s’arrêtera la chasse aux sorcières contre les médecins alternatifs ?

Combien d’injections vaccinales faudra-t-il pour calmer la machine gouvernementale ?

Voilà les questions que se posent ces soignants libres, dont certains ont tout perdu depuis le 15 septembre 2021.

Jérôme
Responsable communication
Fondation Hippocrate

Références

  1. https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15084
  2. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-la-vaccination-des-soignants-a-fait-un-bond-en-quelques-semaines-1339505
  3. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  4. https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/13-des-soignants-non-vaccines-la-federation-hospitaliere-de-france-relativise-les-chiffres-a71b3bf2-10a2-11ec-9117-940091b907ce
  5. https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/les-infos-de-6h-obligation-vaccinale-des-soignants-c-est-abject-reagit-une-infirmiere-7900072410
  6. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  7. https://www.actusoins.com/344397/turnover-et-absenteisme-a-lhopital-une-hausse-sensible-et-constante.html
  8. https://www.caducee.net/actualite-medicale/15406/burn-out-dans-la-sante-98-des-soignants-reconnaissent-avoir-deja-ressenti-les-symptomes-de-l-epuisement-professionnel.html
  9. https://www.precisionvaccinations.com/european-agency-confirms-covid-19-vaccine-fatalities
  10. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/06/covid-19-vaccins-et-perturbation-des-regles-des-signaux-et-beaucoup-d-incertitudes_6090781_4355770.html
  11. https://www.la-croix.com/Monde/Record-contaminations-Israel-pays-continue-miser-vaccin-2021-09-02-1201173431
  12. https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-08-17/pourquoi-les-contaminations-au-covid-19-sont-en-hausse-en-islande-lun-des-pays-les-plus-vaccines-558ccfd9-594f-4f37-9919-c62a80a7a5e8
  13. https://fr.statista.com/themes/6050/le-coronavirus-covid-19/
  14. https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/04/18/qui-sont-les-100-000-morts-francais-du-covid-19
  15. https://fr.sott.net/article/37419-Conclusion-d-un-rapport-du-centre-francais-d-evaluation-des-medicaments-la-vaccination-avec-les-produits-Pfizer-Moderna-AstraZeneca-et-Janssen-doit-etre-interrompue
  16. https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-sont-ils-tous-efficaces-contre-le-variant-delta-on-vous-repond-fc7b1bd8-d8e6-11eb-9333-fd7799748e3d
  17. https://www.20minutes.fr/sante/2900083-20201103-coronavirus-ibuprofene-reellement-dangereux-face-covid-19
  18. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sibo-symptomes-traitements-cette-infection



Où en sont les effets indésirables des « vax » anti-Covid ? MàJ

[Source : Centre for Research on Globalization]

[Mise à jour : ajout d’autres témoignages après l’article]

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

Par Brian Shilhavy

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires consécutifs aux injections de COVID signalés sur la base de données de l’Union Européenne sur les effets indésirables des médicaments.

La base de données de l’Union Européenne des déclarations d’effets indésirables des médicaments s’appelle EudraVigilance, et elle fait état de 24 526 décès et de 2 317 495 effets indésirables suite à des injections anti COVID-19.

Un abonné européen de Health Impact News nous a rappelé que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays. Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50. (Il existe quelques divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe).

Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou atteintes d’effets secondaires à la suite des injections de COVID-19 en Europe serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

La base de données EudraVigilance indique que jusqu’au 11 septembre 2021, 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires ont été signalés suite à l’injection de quatre vaccins expérimentaux anti-COVID-19 :

COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH
LE VACCIN COVID-19 MRNA MODERNA (CX-024414)
VACCIN COVID-19 ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
VACCIN COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S)

Sur le total des effets secondaires enregistrés, près de la moitié (1 126 869) sont des effets graves.

« La gravité fournit des informations sur l’effet indésirable suspecté ; il peut être classé comme « grave » s’il correspond à un événement médical qui entraîne la mort, met en danger la vie du patient, nécessite une hospitalisation, entraîne une autre affection médicalement importante ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraîne un handicap ou une incapacité persistante ou importante, ou constitue une anomalie congénitale/défaut de naissance. »

Un abonné de Health Impact News en Europe a regroupé les déclarations pour chacune des quatre injections anti-COVID-19 que nous incluons ici. C’est un travail considérable que d’établir un tableau de chaque réaction avec les effets indésirables et les décès, car il n’y a pas d’endroit sur le système EudraVigilance que nous avons trouvé pour établir un tableau de tous les résultats.

Depuis que nous avons commencé à publier ces données, d’autres personnes en Europe ont également calculé les chiffres et confirmé les totaux*.

[ Définition : syndrome médiastinal : envahissement de la plèvre par du pus, à la suite d’un abcès profond du poumon ou des ganglions lymphatiques médiastinaux ou de l’entrée de la poitrine (Gardin,Guide vétér.,1944, p.112). ]

Voici le résumé des données jusqu’au 11 septembre 2021

Total des réactions pour le vaccin

ARNm Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

11 711 décès et 980 474 effets secondaires jusqu’au 11/09/2021

26 6341 Troubles du sang et du système lymphatique dont 156 décès
26 940 Troubles cardiaques dont 1 745 décès
253 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 21 décès
13 005 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 9 décès
728 Troubles endocriniens dont 5 décès
15 314 Troubles oculaires dont 28 décès
87 239 Troubles gastro-intestinaux dont 489 décès
256 117 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 3 330 décès
1 098 Troubles hépato-biliaires dont 55 décès
10 351 Troubles du système immunitaire dont 64 décès
32 834 Infections et infestations dont 1 141 décès
12 714 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 179 décès
24 765 Investigations dont 368 décès
7 178 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 210 décès
130 077 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 149 décès
757 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 67 décès
173 079 Troubles du système nerveux dont 1.278 décès
1 211 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 36 décès
168 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
17 756 Troubles psychiatriques dont 156 décès
3 348 Troubles rénaux et urinaires dont 198 décès
19 084 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
43 232 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 1 376 décès
47 012 Troubles de la peau et du tissu sous-cutané dont 105 décès
1 805 Circonstances sociales dont 14 décès
887 Interventions chirurgicales et médicales dont 31 décès
26 888 Troubles vasculaires dont 497 décès

Total des réactions pour le vaccin ARNm mRNA-1273 (CX-024414) de Moderna

6 358 décès et 281 505 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/ AstraZeneca

5,254 décès et 980,909 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S) de Johnson & Johnson

1 203 décès et 74 607 effets secondaires au 11/09/2021

690 Troubles du sang et du système lymphatique dont 31 décès
1 201 Troubles cardiaques dont 120 décès
25 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques
560 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
42 Troubles endocriniens dont 1 décès
1 006 Troubles oculaires dont 5 décès
6 822 Troubles gastro-intestinaux dont 56 décès
19 539 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 303 décès
96 Troubles hépato-biliaires dont 9 décès
302 Troubles du système immunitaire dont 7 décès
1 679 Infections et infestations dont 66 décès
694 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 16 décès
3 861 Investigations dont 72 décès
431 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 26 décès
11 861 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 30 décès
31 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 2 décès
15 493 Troubles du système nerveux dont 142 décès
26 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 1 décès
20 Problèmes liés aux produits
988 Troubles psychiatriques dont 11 décès
280 Troubles rénaux et urinaires dont 11 décès
863 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 4 décès
2 629 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 136 décès
2 296 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 5 décès
212 Circonstances sociales dont 4 décès
546 Interventions chirurgicales et médicales dont 38 décès
2.414 Troubles vasculaires dont 106 décès

Témoignages

https://twitter.com/i/status/1438579909924954113

Royaume-Uni : proposition de loi pour l’indemnisation des effets secondaires vaccinaux (francesoir.fr) 



https://twitter.com/BBR_06/status/1438621506217693184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438621506217693184%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]
https://twitter.com/GaumontRene/status/1438623061721460742?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438623061721460742%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]

Révolte contre l’obligation vaccinale

« Mais quelle démocratie fait ça ? » : des soignants manifestent contre l’obligation vaccinale – Aphadolie




Guide pratique pour éviter la suspension sans salaire

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Est-il possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation d’un passe sanitaire, à partir du 15 septembre pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale ? La réponse est oui. Nous avons synthétisé ici les grands points à connaître (avant d’approfondir ou de prendre un avocat) pour sauver la mise au milieu de la tempête.

Oui, il est possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour tous les salariés et fonctionnaires qui doivent en principe présenter un passe sanitaire et qui n’en disposent pas, ou à partir du 15 septembre pour ceux qui sont soumis à l’obligation vaccinale. Nous vous rappelons ici comment faire, tout en soulignant que le mieux, pour vous, est d’être accompagné d’un avocat spécialisé en droit du travail (la facturation moyenne d’un avocat se situe entre 1.500 et 2.000€). 

Dans quelle catégorie êtes-vous ?

Pour bien vous repérer, il faut que vous sachiez à laquelle de ces 4 catégories vous appartenez :

  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • fonctionnaire soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation de se vacciner
  • fonctionnaire soumis à l’obligation de se vacciner

Ces distinctions sont importantes, car il ne faut jamais oublier que les salariés du secteur privé ont un contrat qui relève du code du travail, alors que les fonctionnaires sont soumis au statut de la fonction publique. Ces deux “ordres” fonctionnent de façon relevant différente. Les salariés peuvent par exemple faire un recours devant les prudhommes, alors que les fonctionnaires doivent saisir le tribunal administratif compétent pour leur domicile. 

Dans les “fonctionnaires”, nous regroupons ici tous les agents publics, c’est-à-dire ceux qui sont titulaires d’un emploi permanent et ceux qui ont signé un contrat relevant du décret sur les contractuels de la fonction publique. 

La suspension en droit public et en droit privé

Vous êtes désormais exposé au risque d’une suspension avec interruption de salaire. Il faut bien comprendre, pour déterminer votre stratégie, ce qu’est une suspension selon votre statut public ou privé. 

Une suspension, sur le fond, n’est pas une rupture définitive de contrat ou de nomination comme fonctionnaire, mais une interruption temporaire de ses effets. Il s’agit donc d’une position bâtarde, que la loi du 5 août 2021 n’a pas pris soin “d’encadrer”. Ce flou ouvre la voie à de nombreuses innovations jurisprudentielles qui devraient profiter aux salariés, beaucoup plus qu’aux employeurs. 

Dans le secteur privé, il n’y aucune ambiguïté : la suspension est une sanction disciplinaire. Elle ne peut donc intervenir que dans le respect des “garanties disciplinaires” habituelles (entretien préalable, etc.)

Dans le secteur public, la suspension n’est pas une sanction, mais l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 prévoit qu’elle n’entraîne pas l’interruption du traitement. En imposant le contraire sans aucune explication, la loi du 5 août 2021 a pris beaucoup de risques, notamment celui de faire basculer la suspension du fonctionnaire dans le champ de la sanction disciplinaire, comme dans le Code du Travail. 

La suspension du fonctionnaire : une chance !

S’agissant de la suspension dans la fonction publique, nous restons sur notre avis et nos conseils déjà publiés, la jurisprudence devrait être favorable aux fonctionnaires qui demanderont leur maintien de salaire à l’occasion d’un référé devant le juge administratif. La loi du 5 août 2021 prévoit en effet la pire des sanctions disciplinaires (l’interruption immédiate sans indemnité du salaire) en soutenant qu’il ne s’agit pas d’une sanction, donc qu’elle est décidée unilatéralement sans que le fonctionnaire ne puisse exposer ses arguments. 

C’est une invention baroque qui n’a pas de sens. Elle ouvre la voie à des décisions d’application massive du droit ordinaire :
la suspension avec maintien du traitement. Nous avons publié des recours-types pour l’obtenir

Les risques pour l’employeur

Globalement, et avant d’examiner les situations au cas par cas, un point important doit être rappelé, martelé et au besoin écrit à votre employeur. La loi n’a pas prévu de sanction pour en employeur qui ne vérifie pas le passe sanitaire de ses salariés, et elle a prévu des sanctions modestes pour l’employeur qui ne vérifie pas le respect de l’obligation vaccinale. Elle a en revanche prévu des sanctions lourdes en cas de demande abusive d’un employeur à ses salariés (un an de prison et 45.000€ d’amende). 

Mathématiquement, un employeur a donc tout intérêt à ne pas jouer les auxiliaires du gouvernement en faisant respecter une loi dont il ne tirera aucun profit, et qui risque de lui coûter très cher s’il se trompe… ce qui sera très souvent le cas. 

Le cas des salariés soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes salarié du secteur privé non soumis à l’obligation vaccinale, mais en apparence soumis au passe sanitaire, nous vous conseillons de collectionner les demandes écrites de votre employeur, et d’attendre sagement votre suspension pour l’attaquer devant les prudhommes. Comme nous l’avons indiqué, il faut invoquer la discrimination en raison de votre état de sante et la violation du secret médical.
Il faut par ailleurs vérifier que votre activité est effectivement soumise à l’obligation du passe sanitaire

Surtout, n’oubliez pas la différence entre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire. Vous pouvez obtenir un passe sanitaire sans vaccin…

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes fonctionnaire et que votre employeur vous demande de présenter un passe sanitaire, commencez par vérifier que vous êtes réellement concerné par cette obligation.
Nous avons par exemple cité le cas d’un adjoint technique de ménage qui n’est pas concerné par le sujet, mais à qui le maire demande un passe sanitaire

Si vous ne pouvez échapper à ce passe sanitaire, attendez la notification de votre suspension sans traitement
pour demander, en référé, le rétablissement de votre traitement au juge administratif

Le cas des salariés soumis à l’obligation vaccinale

Si vous appartenez aux catégories socio-professionnelles concernées par l’obligation vaccinale (essentiellement les soignants de l’hospitalisation privée et les para-médicaux), n’oubliez pas que la suspension est une sanction disciplinaire. Il vous faut agir comme pour les salariés soumis au passe sanitaire, en invoquant la discrimination en raison de votre état de santé et la violation du secret médical.
N’oubliez pas que l’employeur doit vous proposer un entretien pour évoquer votre reclassement

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale

Pour ces cas où la pression est forte, nous le savons, il faut là aussi saisir le juge administratif en référé pour demander le maintien du salaire pendant la période de suspension. 

Écrivez-nous vos difficultés

Nous recevons déjà énormément de courrier, qui nous instruit sur la réalité des pratiques dans les entreprises. Continuez à nous écrire sur les difficultés pratiques et les comportements de vos employeurs. Ces informations sont indispensables pour ne pas donner de conseil déconnecté du réel.

Notre adresse est : lecourrierdesstrateges@gmail.com

Merci à tous. 


GRATUIT : le référé-type des fonctionnaires contre la suspension imposée par l’employeur

Par Éric Verhaeghe

Il y a quelques jours, je vous ai exposé ma conviction selon laquelle la suspension du fonctionnaire sans traitement et sans garanties disciplinaires n’était ni constitutionnelle ni « conventionnelle ». Autrement dit, suspendre un fonctionnaire et son traitement sans l’avis d’une commission de discipline viole à la fois la Constitution et la Convention Européenne des Droits de l’Homme (et son droit au procès équitable prévu par l’article 6). Je vous avais promis un modèle de référé à introduire. Le voici ! Mais surtout lisez bien les conseils qui le précèdent…

Le référé que vous introduisez obéit à une mécanique simple que vous devez bien comprendre. Il ne concerne que les fonctionnaires exposés à la suspension sans traitement, et pas les salariés de droit privé. 

Rappelons qu’on entend par “fonctionnaire” tous les agents de droit public, qu’ils soient titulaires d’un concours de la fonction publique ou bénéficiaire d’un contrat avec une collectivité publique. Mais ce dispositif ne concerne pas les salariés de droit privé. 

Dans la pratique, le raisonnement est simple :

  1. en droit français, toute sanction disciplinaire infligée à un fonctionnaire suppose un passage devant un conseil de discipline (ce qu’on appelle les “garanties disciplinaires”)
  2. suspendre un fonctionnaire n’est pas une sanction lorsque la suspension se fait avec maintien du traitement
  3. la suspension devient une sanction lorsqu’elle s’accompagne d’un arrêt du traitement (c’est-à-dire de la paie)
  4. suspendre un fonctionnaire et son traitement sans garanties disciplinaires est donc inconstitutionnel (et contraire à la Convention Européenne des Droits de l’Homme). 

Comme la suspension du traitement est une mesure d’urgence, elle vous ouvre droit à un référé devant le tribunal administratif compétent pour votre lieu de travail. Dans ce référé, vous demandez le rétablissement de votre traitement pendant votre suspension. 

Bien comprendre la procédure administrative

Pour bien comprendre les opérations, il faut avoir en tête que l’intervention d’un avocat n’est pas obligatoire devant le tribunal administratif de première instance. Je vous recommande toutefois d’en choisir un qui connaisse un peu le droit administratif. 

En outre, le droit administratif n’est pas plaidé, mais écrit, ce qui signifie qu’il se passe essentiellement sur dossier. 

Pour que votre dossier soit complètement carré, il faut qu’il soit précédé :

  • d’un recours dit “hiérarchique” contre la décision prise,
  • d’un recours ordinaire devant le tribunal administratif

Ces documents doivent être cités dans votre référé.

ASTUCE : multipliez les écrits. Souvent, les gestionnaires de personnel dans le service public sont des burnes finies qui ne connaissent pas les textes. Faites-les écrire le plus possible, ils commettront rapidement des fautes qui vous serviront (je vous en donnerai quelques exemples au fil de l’eau).

Commençons par le recours hiérarchique

Cette étape consiste à écrire à celui qui a un pouvoir de nomination sur vous. Dans la plupart des cas, il s’agit du président du conseil d’administration de l’hôpital où vous travaillez (on part de ce cas-type, hein). 

Une fois que votre suspension vous est notifiée, vous lui écrivez ceci :

XXX, le 15 septembre 2021

Albert Dupond, Infirmier à l’hôpital XXXX

à

M. le Directeur de l’Hôpital de…

OBJET : recours hiérarchique contre ma suspension sans traitement

M. le Directeur, par arrêté en date du XXX, vous avez procédé à ma suspension sans traitement, en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021. J’ai l’honneur de solliciter de votre haute bienveillance le retrait grâcieux de cette mesure que je considère comme contraire à la Constitution et aux traités dont la France est signataire. 

S’il entre en effet dans vos prérogatives de procéder à ma suspension, l’interruption de mon traitement est une sanction disciplinaire qui ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires prévues par la Constitution, telles que le Conseil Constitutionnel les a rappelées dans sa décision du 10 mai 2019. 

En outre, ce procédé viole le droit à un procès équitable prévu par l’article 6 (§1) de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme. 

Par conséquent, je vous serais par avance reconnaissant de bien vouloir respecter les règles de l’Etat de droit et, par conséquent, de rétablir mon traitement sans délai. 

Pour votre information, je saisis ce jour-même le tribunal administratif d’un référé en ce sens. 

FORMULE DE POLITESSE

Un grand rappel : surtout on ne polémique pas dans ce genre de courrier, et on s’en tient aux faits. 

Ce courrier doit être envoyé en recommandé avec accusé de réception. 

Continuons par le recours au principal

Ce qu’on appelle le recours au principal est le dossier de fond que vous montez contre l’employeur qui vous a suspendu. Il est obligatoire de déposer un premier recours sur le fond pour ouvrir droit à un référé, qui est une procédure d’urgence, mais provisoire. 

Le recours au principal est gratuit et ne suppose pas forcément l’intervention d’un avocat, même si (j’insiste) mieux vaut en avoir un qui ne soit pas une bille complète en droit administratif. Dans la pratique, le tribunal administratif ne prendra aucune décision sur le fond avant plusieurs mois. Vous aurez tout le temps d’améliorer votre dossier, qui ne dira pas grand chose d’autre que votre référé. 

Voici comment vous pouvez le libeller :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : recours pour excès de pouvoir contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

  • sur la légalité externe de la décision attaquée :

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Vous devez déposer ce recours par lettre recommandée au tribunal administratif. Vous pouvez l’envoyer le même jour que votre référé, dont voici le texte. 

Venons-en au référé que vous envoyez

Dans ce référé, qui est une procédure urgente et provisoire, qui vous permet d’obtenir une décision rapide du tribunal administratif, vous devez mettre en copie et en annexe :

– l’arrêté de suspension dont vous faites l’objet

– votre recours hiérarchique

– votre recours au principal

– tout autre document que vous jugez utile (bien numéroter ces pièces à la fin de votre recours)

Voici comment vous devez libeller votre référé :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : référé contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

– sur le bien-fondé du référé :

L’alinéa ler de l’article L.521.1 du code de justice administrative prévoit que « quand une décision administrative, même de rejet, fait l’objet d’une requête en annulation ou en réformation, le juge des référés, saisi d’une demande en ce sens, peut ordonner la suspension de l’exécution de cette décision, ou de certains de ses effets, lorsque l’urgence le justifie et qu’il est fait état d’un moyen propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de la décision ».
Il ressort de ces dispositions procédurales législatives que le prononcé du référé est subordonné à la réunion de deux conditions :
– d’une part, une condition d’urgence;
– d’autre part une condition tenant à l’existence d’un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée.

En l’espèce, ces deux conditions sont à l’évidence réunies.

Concernant l’urgence, l’arrêté du directeur de l’hôpital de… prive M. Albert Dupont de son traitement. Conformément à l’Ordonnance du juge des référés (Mme Aubin), du 22 juin 2001, 234434, mentionné aux tables du recueil Lebon, le Conseil d’Etat reconnaît qu’il s’agit d’une situation d’urgence. 

S’agissant du doute sérieux concernant la légalité de la décision attaquée, cette condition est satisfaite pour les raisons suivantes. 

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

Vu l’article L.521.1 du code de justice administrative :

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Bien entendu, il s’agit ici d’une trame “développée” mais que vous pouvez enrichir (ou martyriser, ma contribution est gratuite, solidaire, et sans amour-propre… faites-en juste profiter les autres), de préférence avec un bon avocat si vous en connaissez. 

Tenez-moi au courant !

Dans tous les cas, souvenez-vous qu’un acte administratif ne peut faire l’objet d’un recours que dans les deux mois suivant son édiction. Ne traînez surtout pas !


Première victoire des anti-passe sanitaire au tribunal administratif contre un maire abusif

Par Éric Verhaeghe

Depuis plusieurs semaines, nous vous incitons à introduire des référés devant le tribunal administratif de votre domicile pour faire annuler soit certaines dispositions de la loi du 5 août 2021, soit des applications abusives qui en sont faites notamment par certains employeurs. La décision que nous publions ci-dessous, obtenue par la CGT des fonctionnaires territoriaux du Gard, illustre le bien-fondé de cette démarche. Le juge de Nîmes vient en effet d’annuler le passe sanitaire dans les services municipaux de Saint-Laurent-d’Aigouze, demandé illégalement par le maire.

Le tribunal administratif peut parfois réserver de très belles surprises. La preuve en est fournie par cette ordonnance en référé rendue par le tribunal administratif de Nîmes annulant l’obligation du passe sanitaire imposée par circulaire à tous les fonctionnaires municipaux de Saint-Laurent-Aigouze, dans le Gard. Le juge du référé n’a pas hésité à suspendre cette demande abusive d’un maire (parmi tant d’autres, nous avons reçu de nombreux témoignages à ce sujet) de voir tout le monde présenter un passe sanitaire alors même que la loi ne le prévoit pas. 

Les arguments du tribunal administratif

Pour suspendre le passe sanitaire dans les services municipaux de cette ville, le juge administratif a considéré, de façon très prévisible, qu’un maire n’était pas habilité à ajouter des critères restrictifs à la loi. L’extension du passe sanitaire décidée par le maire constitue donc une “atteinte grave et manifestement illégale au droit des intéressés, au respect de leur vie privée et à leur droit au travail”. 

Ces motivations sont importantes, car elles pourront être retenues dans d’autres jurisprudences. Nous rappelons ici que le tribunal administratif est compétent pour annuler des décisions administratives (des circulaires, mais aussi des arrêtés de suspension…) qui ne seraient pas conformes à la loi ou à la constitution (ou aux traités). 

Une campagne de référés contre la suspension

Nous avons beaucoup souligné, au mois d’août, l’importance de saisir les tribunaux de première instance (tribunal administratif, prudhommes, notamment) contre les applications abusives du passe sanitaire. Nous avons aussi proposé un guide complet de référé administratif contre la suspension dans le cadre de l’obligation vaccinale

Démonstration est désormais faite de l’utilité de ces propositions… N’hésitez pas à vous en emparer. 




Mercredi 15 septembre, triomphe « du droit et de la justice »

Par Alain Tortosa

Merci au chef de l’État, au gouvernement, à la majorité des députés, aux médias nationaux et la majorité des Français d’avoir permis et soutenu cette belle France démocratique et « saine » que nous aimons tous.

Que l’odeur de l’apartheid est bonne au petit matin !

Enfin le « bien » a triomphé !

Le chef de l’État, le gouvernement, les médias affirment qu’il est « moral » de faire pression, menacer, terroriser, ostraciser, parquer, exclure toutes les personnes qui refusent l’injection ! Et ils ne se privent pas de le dire et le faire depuis des mois…

J’approuve évidemment sans réserve cette politique solidaire et novatrice ! Pourquoi de mauvais Français égoïstes auraient le droit de nous nuire ouvertement ? Ils n’ont que ce qu’ils méritent !

Harceler un non-vacciné, faire pression, le menacer, lui pourrir la vie, en faire un paria, y compris avec les enfants, c’est « bien » et « solidaire ».

Attention, il ne s’agit pas d’être des monstres, nous avons nos valeurs !
Pour nous autoriser à nous comporter ainsi, y compris avec les enfants, il faut une « noble cause »… Nous savons bien que « la fin justifie les moyens » et que le « bien commun » transforme l’inhumanité et l’immonde en bonne action.

Depuis plusieurs mois il est devenu « moral » et « solidaire » de prendre le risque de tuer un enfant en lui injectant une substance expérimentale, censée lutter contre un virus qui ne le concerne pas, pour espérer peut-être éventuellement avec un peu de chances protéger des vieux malades ou en fin de vie. Après tout, le risque statistique est tellement infime, ça vaut bien de tuer ne serait qu’un enfant par million d’injections ! Et puis les vieux ne sont pas interdits de traitements, nous savons tous qu’il n’existe aucun traitement hors de prix qui fonctionne.

Ils sont d’ailleurs parfaitement protégés par leur « vaccin efficace » et c’est bien pour cela que les enfants doivent absolument se vacciner et porter un masque « pour ne pas tuer papi et mamie ». Et qui pourrait douter de l’efficacité des injections au regard des résultats, notamment en Israël ?

C’est donc au nom de ladite « solidarité », au nom du « groupe » qu’il devient indispensable de mettre en œuvre des pass sanitaires et des vaccinations quasi forcées pour les enfants et ce n’est pas se comporter en vraie pourriture que de leur faire, vu que c’est au nom de la « solidarité ».

Mais le monde n’est pas joli, joli… Rendez-vous compte que certains complotistes pensent que la vaccination est dangereuse, que les vaccinés favorisent les variants, que les vaccinés seraient dangereux, etc.

Ils s’arrogent même le droit de harceler ou menacer de pauvres employés innocents qui auraient fait leur première dose. Ces fous imaginent leur acte « moral » dès lors que nous, les bons, agissons de même en ostracisant de la sorte les non-vaccinés ce qui, évidemment, n’a rien à voir !

Les lois actuelles n’autorisent pas et ne favorisent pas la dis-cri-mi-na-tion, l’apartheid ou la suppression des droits des personnes non vaccinées.

Non elles autorisent uniquement la communauté à se protéger quoi qu’il en coûte.

Les non-vaccinés doivent-ils avoir la vie la plus pourrie ? Question idiote s’il en est… « Of course » [« Bien sûr »], sinon comment les « convaincre » ?

Suppression des loisirs, suppression des possibilités de voyager et même du droit de travailler et de toucher un salaire.

C’est bien grâce à ces mesures justes que de nombreux Français ont été « convaincus » de s’injecter !

Un chef d’entreprise qui « au nom de la loi », prive une mère antivax célibataire avec deux enfants en bas âge, de salaire, ne fait que protéger sa société et LA société.

Il est totalement légitime de se comporter ainsi, y compris avec des enfants (je ne le répéterai jamais assez), parce qu’une « majorité » (de façade) a voté des lois qui le permettent avec la complicité d’un Conseil Constitutionnel à l’indépendance vaporeuse,

Nous assumons que pour le bien de tous, une « démocratie » doit être l’outil de la dictature de la majorité.

« Si tu veux des droits, appartiens à la majorité sinon paye le prix et accepte d’être dans la sous-caste des intouchables, c’est ton choix, assume-le. ! »

Ça valait vraiment le coup de faire la révolution pour en arriver là et je n’ai jamais été autant fier d’être un « bon » français.

Nous les pro-vaccins Covid, nous les pro-pass sanitaire, avons la morale avec nous, nous n’avons pas à rougir de lois pour le bien de tous, nous pouvons être fiers de ces textes qui nous débarrassent des brebis galeuses, fiers d’être complices ou acteurs de ces lois nullement scélérates.

D’autant plus que ces mesures ne sont pas bien méchantes et même un peu timorées. Comme je peux le lire ici et là, et notamment sur les réseaux sociaux, il faudrait enfermer les antivax dans des camps de travail (on ne va pas les nourrir à ne rien foutre), leur supprimer tous droits et allocations et bien entendu leur retirer leurs enfants qui sont sous emprise de ces monstres.

Dire que certains imaginent une démocratie dans laquelle il y aurait les mêmes droits et devoirs pour tout le monde, quelles que soient leurs opinions, et en fonction de leurs capacités. Pire encore, une démocratie dans laquelle celui qui aurait le plus de pouvoir aurait le plus d’obligations et, paradoxalement, le moins de droits.

Et puis quoi encore ?

Alors je dis :

« Oui à l’obligation vaccinale, oui au pass sanitaire, oui à l’apartheid, oui à la discrimination, oui au marquage sur la peau, oui à l’internement pour les mauvais Français ! »

Merci

Alain Tortosa pour « dictature égalité fraternité magazine »

15 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210915-que-l-odeur-de-l-apartheid-est-bonne.pdf




300.000 soignants non vaccinés : Macron a perdu la guerre de la contrainte

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

« Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement. » 

Churchill à propos de la bataille de Stalingrad

Trois mille soignants sont suspendus en ce 16 septembre, dans un système de santé déjà exsangue depuis deux décennies au moins. Peu importe, puisque certains hôpitaux ou services n’hésitent pas à renvoyer des malades en chimiothérapie ou des parturientes pour absence de passe sanitaire, dont chacun a compris qu’il n’avait de sanitaire que le nom. Et la suppression continue des lits depuis 2020 a démontré pour les plus naïfs que le but du pouvoir n’était pas de soigner (interdiction des traitements précoces efficaces, euthanasie déguisée au Rivotril dans les EHPAD, etc..) mais bien de soumettre le peuple au contrôle numérique via la mise en condition par la vaccination et le pass de moins en moins sanitaire et de plus en plus totalitaire.

LE STALINGRAD DU POUVOIR

La médecine d’Hippocrate agonise, et la question est de savoir quand on va la mettre en réanimation et lui donner les traitements précoces efficaces… Mais est-ce une victoire du pouvoir ou bien un Stalingrad de Emmanuel Macron quand on sait qu’environ 300 000 soignants ont résisté au harcèlement, aux menaces, aux intimidations de leur hiérarchie, des ARS et de la sécurité sociale, et pire peut-être aux pleurs de leur famille, inquiète des conséquences en particulier financières d’un licenciement sans indemnité de chômage, ni aides sociales ni rien… « On va se retrouver à la rue ».

Comme l’explique clairement le Dr Éric Menat dans une interview coup de gueule du soir de cette Bérézina du pouvoir, un étranger qui arrive en France reçoit rapidement entre 1500 et 2000 euros, et il ne le remet pas en cause le moins du monde, mais souhaiterait que l’aide-soignante qui gagne à tout casser 1500 euros par mois et n’a donc pas d’avance sur ses comptes, ne se retrouve pas SDF faute de salaire, mais aussi interdiction d’autre travail et absence d’indemnité y compris de logement.

Comment accepter cette discrimination sordide entre citoyens ?

Eric Verhaeghe comme souvent nous remonte le moral dans sa tribune du 15 septembre 2021 dans le courrier des Stratèges(([1] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/15/pourquoi-macron-a-dores-et-deja-perdu-la-bataille-de-lobligation-vaccinale-pour-les-soignants/?)):

« c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait ».

« Cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels trouvent dans la Commission Européenne une écoute très attentive. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie numérique et en particulier sa branche spécialisée dans la surveillance numérique des populations, la reconnaissance faciale, la recherche des citoyens (tracking), l’identité numérique dont le passe dit sanitaire est le modèle. »

Pour Éric Verhaeghe l’idée de la bulle du pouvoir renfermée sur elle-même, à cent lieues de la vraie vie des villes et des campagnes, est qu’elle a déjà gagné.

A contrario les combattants pour la liberté du samedi sont convaincus qu’ils ont déjà perdu ! Ces analyses sont aussi fausses l’une que l’autre et nous partageons cet avis.

Comme nous avait avertis Emmanuel Macron en mars 2020, il s’agit d’une guerre dont les racines sont déjà anciennes (voir les nombreuses vidéos des défenseurs de l’eugénisme et de la société du tout numérique de Attali à Bill Gates en passant par Laurent Alexandre, par exemple).

L’actualité doit nous rassurer sur l’avenir

« Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un côté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. »

Les médias complices des adorateurs du Great Reset ont réussi à réduire le débat (qui n’a jamais lieu) sur l’opportunité de la vaccination et du pass et à le réduire à une bataille rangée entre provax et les citoyens prudents qualifiés d’antivax.

 « Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’État veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté » nous explique Éric Verhaeghe.

Finalement les générations des jeunes ou encore jeunes nés après 1968, qui ont vécu en bisounours, dans la pensée unique, sans grande conscience de ses dangers, découvrent un monde inimaginable. Parfois les parents et grands-parents avaient évoqué la Seconde Guerre mondiale, et l’extermination des Juifs dont certains étaient restés en Allemagne lors de la montée du nazisme, car ils ne pouvaient croire aux horreurs que d’autres, plus clairvoyants, pressentaient.

Ils découvrent comme le dit joliment Éric Verhaeghe.

« que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. La démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. »

LA FORCE INTÉRIEURE INSOUPÇONNÉE EN NOUS 

Et là il nous explique la force intérieure que beaucoup auront découvert dans les nuits d’angoisse et d’hésitations et finalement

« ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance, pour affirmer leur volonté et pour résister. 

L’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. Organiser la sécession pour se protéger de la Caste en commençant par une sécession psychique. »

LA TRAGÉDIE ACTUELLE COUPLÉE À LA RÉSISTANCE

La limite du supportable a-t-elle été atteinte ? Comme pour mon père, entré en résistance et le maquis lorsque les mesures de l’occupant avaient dépassé le supportable.

Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. 450 soignants seraient suspendus à Nice.

Les arrêts-maladie ont explosé partout avec de nombreuses fermetures de service, des urgences, itératives, intermittentes.

Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID et surtout de faux covid et d’interdiction de soigner, de prendre en charge des malades non-covid devant des lits obstinément vides.

Les soignants ont ensuite vu arriver les malades du vaccin, AVC, infarctus, embolies pulmonaires, thromboses, etc. avec interdiction d’en parler à l’extérieur sous peine de sanction. Ils ont été aux premières loges pour évaluer les conséquences morbides de ces faux vaccins qu’on leur impose, d’où les refus, les dépressions, les démissions, les suicides, etc.

Quant aux résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre, les familles ne tarderont pas à voir les effets ? Où est passé le respect de la personne humaine dans ces lieux qui n’étaient pas des prisons, mais sont devenus des lieux d’enfermement pire que les prisons. Rappelons-nous à quel point les résidents sont contraints à l’injection dangereuse, car refus signifie isolement dans la chambre, interdiction de visites et de vie commune, etc. les capos se révèlent vite dans ces périodes de guerre, comme les héros à l’opposé. Dans les prisons, le refus est accepté, car les détenus ne sont pas des cobayes le ministre de la Justice l’a dit… Mais les vieux, pas de problème ?

Et chaque jour, le pouvoir en rajoute comme aujourd’hui ces mesures propres à la Nouvelle-Calédonie

« Épouvante de l’obligation vaccinale covid en Nouvelle-Calédonie : les trisomiques, les obèses ou les personnes souffrant d’un cancer auront une amende de 175 000 francs (1470 euros) si non vaccinés ! Affreux et scabreux ! Notre combat n’est pas que politique, il est humain ! »(([2] Tweet de Florian Philippot))

Mais la résistance continue

Des centaines de personnes rassemblées devant l’ARS de #Montpellier, contre l’obligation vaccinale pour le personnel soignant. Ils avaient jusqu’à aujourd’hui pour avoir au moins une première dose du vaccin. Autrement, leur contrat de travail sera suspendu.

Et devant l’hôpital de Besançon.

Devant l’ARS DU VAUCLUSE à Avignon

 Chaîne humaine autour du ministère de la Santé en soutien aux soignants soumis à l’obligation vaccinale.

Une action parmi les centaines d’actions en #France pour défendre la #Liberté de soins & #prescription et dénoncer la Dictature sanitaire.

Aucun rationnel médical.

Poursuivons, le Droit, l’Humain sont de notre côté, les consciences se réveillent.

Nicole Delépine




L’Holocauste s’est produit, car les gens ont détourné le regard !

[Source : Quantumleap]






Dr Salim Laïbi : « Aujourd’hui est mon dernier jour en tant que chirurgien-dentiste ! »

[Source : Le Libre Penseur via reseauinternational.net]

Par Dr Salim Laïbi

Aujourd’hui est mon dernier jour en tant que chirurgien-dentiste libéral à Marseille à cause de l’obligation vaccinale Covid19 ! Voici le message laissé au cabinet à mes patients qui seront à partir de demain abandonnés à cause de Macron pour en faire des sans-dents !
On ne se laissera pas faire, la mise en danger de la vie d’autrui est une réalité, des plaintes au pénal seront déposées dans les prochains jours.




Pourquoi Macron a d’ores et déjà perdu la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le 12 juillet, à la faveur d’un improbable été pluvieux, Emmanuel Macron déclenchait la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants. L’histoire dira un jour quels ont été les tenants et aboutissants exacts de ce fabuleux cadeau aux laboratoires pharmaceutiques, renforcé par un passe sanitaire qui a tonné comme une mise sous contrainte de toute une population pour recevoir aveuglément l’injonction d’un produit sous autorisation conditionnelle. Mais enfin, c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait.

Et voilà, nous sommes le 15 septembre, et le temps d’un premier bilan pour la bataille de l’obligation vaccinale lancée par Emmanuel Macron vient. Beaucoup de victimes de ce diktat sont encore dans un état de sidération et font régulièrement part de leur angoisse ou de leur conviction d’une résistance sans espoir face à l’évidente offensive internationale, commencée par la France, en faveur d’une vaccination. Nous avons commencé à expliquer (et c’est à suivre), les dessous de cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels qui trouvent dans la Commission Européenne une écoute très poreuse. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie désormais spécialisée dans l’identité numérique

Deux mois après le lancement de cette campagne éclair par la caste mondialisée au pouvoir, quelle tendance globale pouvons-nous observer ? Je voudrais ici prendre le temps d’expliquer pour quelle raison, de mon point de vue, l’actualité doit nous rassurer sur l’avenir. 

La croyance naïve d’une victoire éclair de la caste

Nous l’avons exposé récemment, la caste vit dans une bulle dont la réalité n’est pas la même que la nôtre. Dans cette bulle-là, les Français sont des “veaux”, une sorte d’emballage de Babybel qu’on peut tourner dans les doigts pour lui donner la forme qu’on veut. Pourvu que les Français puissent prendre un pot en terrasse, tout leur irait, et toutes les libertés pourraient être abolies. Dans ce monde-là, les signaux faibles d’une opinion en colère ne comptent pas, et les craquements qui s’entendent de partout dans la structure architectonique de la maison France n’ont aucune importance. 

Forte de ces croyances naïves sur l’état d’une société, la caste a la conviction (comme l’état-major allemand en 1941 lorsqu’il a lancé l’opération Barbarossa) que l’obligation vaccinale serait une promenade de santé et que tous les Français finiraient bien, tôt ou tard, par s’y conformer. Certes, il y aurait des manifestations, des gens pas contents, mais, globalement, tout finirait par suivre et rentrer dans l’ordre. 

Les adversaires du passe sanitaire (ou en tout cas beaucoup d’entre eux) ont, d’une certaine façon, nourri une croyance assez proche. Dans leur esprit, la bataille durerait deux mois au maximum, et battre le pavé jusque-là chaque samedi devait suffire à faire reculer le gouvernement. D’où l’effet de désespoir qui tétanise de nombreux partisans des libertés, convaincus que, dans une démocratie libérale, un gouvernement ne peut pas se comporter comme ça. 

Et d’où leur sentiment d’avoir déjà perdu la guerre et de ne rien pouvoir face au coup de force contre la démocratie mené par la caste mondialisée

De notre point de vue, la réalité est très différente. Nous essayons de l’argumenter et de le documenter depuis plusieurs mois : la caste mondialisée s’est organisée depuis quelques années pour changer le cours de l’histoire en imposant unilatéralement un nouveau modèle de société où l’humanité sera dégradée au profit de la “nature”. Je renvoie sur ce point à mon livre sur le Great Reset. La bataille qui a commencé le 12 juillet n’est donc qu’un épisode dans une longue guerre qu’il va nous falloir mener avec nos armes face à un ennemi moins nombreux, mais beaucoup mieux équipé, et beaucoup plus structuré. 

Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un coté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. 

Le Great Reset et la dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé et désincarné

Poussée en cela par la presse subventionnée, l’opinion française a essentiellement réduit la question du vaccin et du passe sanitaire à un comportement de mauvais coucheurs “antivax” qui feraient preuve d’irresponsabilité en menaçant la vie des vaccinés. Cette fixation sur une logique de bouc-émissaire a permis d’occulter l’essentiel de la visée politique portée par le passe sanitaire : la mise en place d’un crédit social, où les citoyens les plus obéissants sont récompensés (le droit d’aller au restaurant, au concert, etc.), et où les dissidents sont dégradés (obstacles multiples pour être soignés, sociabilisés, etc.). Ce faisant, le gouvernement est parvenu à faire croire aux amis du passe sanitaire que devoir décliner son identité pour prendre un café était une récompense réservée aux bons élèves, alors qu’il s’agit d’une ahurissante bascule dans la surveillance de masse. 

Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’Etat veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté. 

L’instrumentalisation de l’épidémie pour convaincre une bonne moitié de la société française que le passe sanitaire est un outil de liberté constitue, de ce point de vue et de la part d’Emmanuel Macron, un coup de maître. Le spectacle des bien pensants au sens large (on y mettra pêle-mêle Pascal Praud, Michel Onfray, et une quantité d’autres qui se laissent distraire par l’écran de fumée du vaccin) convaincus d’être très intelligents en plaidant en faveur de leur mise sous surveillance est de ce point de vue jubilatoire et d’une ironie absolue. 

Mais le programme du Great Reset ne s’arrête pas là. Nous avons déjà insisté sur l’importance du Big Government et sur le remplacement des Etats-Nations par des ensembles multilatéraux calqués sur l’Union Européenne. Mais la principale phase du Great Reset, son stade ultime, sera la révolution “écologique” où l’humanisme ne sera qu’un vieux souvenir, où l’humanité sera considérée comme un stade primitif dans un nouvel ordre naturel où la technologie permettra le dépassement de l’homme.

Autrement dit, le vieux noyau occidental qui conduit le monde depuis des siècles sera définitivement dilué, après des décennies de sape menée par George Soros et ses sbires de Black Lives Matter et autres mouvements racialistes. 

Grâce à Macron, le réveil de la volonté individuelle

Après des décennies de consumérisme aveugle, où le confort valait religion dans une sorte d’insouciance éternelle savamment cultivée comme l’a très bien montré Philippe Muray (aujourd’hui lâchement trahi par certains ou certaines de ses disciples), le réveil est douloureux. Bercés par la propagande unioniste selon laquelle l’Europe garantissait la paix et la victoire ultime des bisounours, beaucoup découvrent que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. Et beaucoup comprennent que la démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. 

De ce point de vue, le discours du 12 juillet par Emmanuel Macron a constitué un premier et formidable révélateur. Si une majorité de Français l’a avalé dans le contentement, ou parfois dans la peur et le tremblement, il a pour un grand nombre de Français constitué un signal majeur. L’heure du réveil a sonné, particulièrement pour une masse colossale d’agents hospitaliers, d’aide-soignant(e)s, d’infirmiers ou d’infirmières qui ont dû choisir entre conserver leur emploi ou subir une injection dont ils ou elles ne voulaient pas. 

Pour tous ceux-là, le discours de Macron a constitué une ordalie, comme l’épreuve du feu dans le droit germanique au Moyen-Âge. Certains ont parfois, la mort dans l’âme, et pour des raisons que l’on peut comprendre, choisi d’être vaccinés. Mais leur amertume durera, et la caste le paiera cher tôt ou tard. D’autres, souvent après des nuits d’angoisse et d’incertitudes, après des tourments qu’ils n’imaginaient pas, ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance,  pour affirmer leur volonté et pour résister. 

Comment le Great Reset réveille la liberté

Ce 15 septembre au soir, nous subirons très probablement la propagande officielle, délivrée industriellement par des medias subventionnés (et détenus par les marionnettistes qui meuvent la classe politique), selon laquelle la mise en place de l’obligation vaccinale constitue une grande victoire des colonnes macroniennes. La réalité profonde est toute autre. 

D’abord parce que la saignée imposée dans les hôpitaux et dans la médecine de ville est terrible, même si elle sera de-ci de-là longue à montrer ses effets. Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. Les arrêts-maladie ont explosé. Les suspensions vont couronner cette situation de fragilité dangereuse. Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID. Et que dire des résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre dont les familles ne tarderont pas à voir les effets ?

Ceux qui ont déclenché cette bataille méprisent le bien commun et prendront leur mépris en boomerang dans les mois qui viennent, lorsque les vaccinés seront à la recherche d’un médecin, d’un service hospitalier, capable de leur injecter leur quatrième dose, ou capable de soigner en urgence la thrombose créée par le vaccin, et qu’ils trouveront devant eux un système sanitaire dévasté par la folie macronienne. 

Surtout, l’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté  – et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. 

Organiser la sécession pour se protéger de la caste

Beaucoup (qui ignoraient que l’Histoire est tragique) me répondront que la meilleure volonté du monde ne peut rien contre un rouleau compresseur aussi puissant que le projet de Great Reset qui se met en place. C’est assez vrai, mais nous disposons en réalité d’une arme extrêmement puissante et destructrice pour contrer les visées de la caste. Il s’agit de la sécession, forme suprême de la désobéissance civile qu’il convient désormais de décliner sous toutes ses formes. 

Je vous propose que nous mettions les jours à venir au service de cette déclinaison, que nous pourrions partager collectivement. L’urgence est en réalité de procéder à une sécession psychique. Je vous expliquerai demain comment la pratiquer. 




Un juge fédéral bloque l’obligation de vaccination des soignants de l’État de New York

Par Nicole Delépine

Voici le résumé du jugement qui donne de l’espoir aux soignants du monde entier, espérant qu’il pourra faire jurisprudence.

Federal Judge Blocks New York State Health Care Worker Vaccination Mandate (theepochtimes.com)

Un juge fédéral a accordé une injonction d’urgence empêchant l’État de New York d’appliquer une nouvelle obligation de vaccin anticovid pour les travailleurs de la santé.

Dix-sept professionnels de la santé avaient demandé au tribunal la suspension de l’exécution d’obligation, à New York imposé par le gouvernement de l’époque. Le maire exigeait que le personnel des hôpitaux et des établissements de soins de longue durée tels que les maisons de soins infirmiers, les établissements de soins pour adultes et d’autres établissements de soins collectifs soit vacciné contre la COVID-19 pour continuer à être employé.(([1] Verified-Complaint-and-Exhibits-Dr.-A.-et-al.-v.-Hochul-et-al.-Filed-Version.pdf (thomasmoresociety.org) ))

Les demandeurs, des médecins, des infirmières, un technicien médical et un agent de liaison d’un médecin étaient confrontés à un licenciement, à la perte de privilèges d’admission à l’hôpital et à la destruction de leur carrière à moins qu’ils ne consentent à être vaccinés avec des vaccins en contradiction avec leurs croyances religieuses, a fait valoir la poursuite.

Leurs croyances religieuses ont contraint les plaignants « à refuser la vaccination avec les vaccins COVID-19 disponibles, qui utilisent tous des lignées cellulaires de fœtus avortées dans leurs tests, leur développement ou leur production », selon des documents judiciaires.

Les employés de la santé ont fait valoir que l’obligation de vaccination annulerait les protections pour les croyances religieuses sincères en vertu du titre VII de la loi sur les droits civils de 1964, même si l’ordonnance sanitaire antérieure de l’État en vigueur quelques jours plus tôt avait accordé les mêmes protections. Plus précisément, ils ont fait valoir que l’obligation violait les premier et quatorzième amendements, la clause de suprématie et la clause de protection égale de la Constitution des États-Unis.

« Ce que New York tente de faire, c’est de fermer une trappe d’échappement à une obligation de vaccination inconstitutionnelle », a déclaré l’avocat Christopher Ferrara, avocat spécial de la Thomas More Society, dans un communiqué avant que l’injonction ne soit accordée.

« Et ils le font tout en sachant que beaucoup de gens ont des objections religieuses sincères aux vaccins qui ont été testés, développés ou produits avec des lignées cellulaires dérivées d’enfants avortés. »

Les plaignants ne sont identifiés dans la poursuite que par des pseudonymes, car, comme ils l’indiquent dans la plainte légale, ils sont « vilipendés » par les médias comme « des parias qui doivent être exclus de la société jusqu’à ce qu’ils soient vaccinés contre leur volonté ».

La nouvelle injonction

« émerge dans le contexte d’une atmosphère de peur et d’irrationalité dans laquelle les non-vaccinés sont menacés d’être réduits à une caste d’intouchables s’ils ne consentent pas à se faire injecter […] avec des vaccins qui violent leurs croyances religieuses, ne sont clairement pas aussi efficaces que promis, et ont connu et de plus en plus évident des risques d’effets secondaires graves et même potentiellement mortels. »

Le juge David Hurd de la Cour de district des États-Unis pour le district Nord de New York, nommé par Bill Clinton, a accordé une ordonnance restrictive temporaire le matin du 14 septembre dans l’affaire. Le procès a été intenté contre le gouverneur de New York, Kathy Hochul.

« L’obligation de vaccination est suspendue » et le ministère de la Santé de New York « est interdit de prendre toute mesure, disciplinaire ou autre, contre le permis, la certification, la résidence, les privilèges d’admission ou tout autre statut professionnel ou qualification de l’un des demandeurs en raison de leur demande ou de l’obtention d’une exemption religieuse de la vaccination obligatoire CONTRE LA COVID-19 », indique l’ordonnance de Hurd. 




France : la chasse aux sorcières recommence

[Source : Nicolas Bonnal]

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[Voir aussi : LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse]
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Selon Nice-Matin, « près de 450 personnes ont été suspendues par la direction de l’hôpital pour ne pas avoir présenté de schéma vaccinal complet ». 

Le CHU de Nice qui compte environ 7.500 personnels, dont 95% de vaccinés, précise Nice-Matin « va être obligés de fermer des services », avait déploré Michel Fuentes, dans le quotidien  le 14 septembre.

Le sénateur Bernard Jomier indique sur Twitter avoir été « désigné rapporteur de la proposition de loi instaurant la vaccination universelle obligatoire contre le COVID19 ». Le texte, à l’initiative du groupe socialiste, doit être débattu en séance publique au Sénat mercredi 13 octobre.

https://www.lci.fr/sante/en-direct-covid-19-pandemie-coronavirus-pass-sanitaire-obligation-vaccinale-9-soignants-sur-10-sont-vaccines-affirme-gabriel-attal-2196156.html




Des journalistes présentent leurs 10 théories du complot préférées les plus fausses et les plus débiles

Par Nicolas Bonnal

Nous vivons une époque où les débiles vous accusent de débilité. Après Kaboul nos mabouls s’en donnent à cœur joie. Un canard féminin résume ces théories :

1. Bill Gates aurait créé ce virus pour vacciner la population mondiale et lui implémenter une micro-puce dans la foulée. Le fondateur de Microsoft a été contraint de démentir, tant les vidéos l’accusant de vouloir «contrôler les masses» sont devenues virales. Les accusations sont parties de conférences datant de 2015, et repartagées, dans lesquelles le milliardaire annonçait que le monde n’était pas prêt pour la prochaine épidémie. Il faisait référence à Ebola.

2. Il s’agirait d’un programme d’armes biologiques chinois, conçu dans le laboratoire de Wuhan, d’où l’épidémie est partie. La moitié des adhérents veulent que la propagation soit un acte volontaire, l’autre moitié parlant plutôt d’un accident.

3. En Chine aussi, on accuse les autres pays d’être responsables du virus, dont… les Etats-Unis, qui l’auraient créé pour «cibler précisément le peuple chinois». En mars, l’ambassadeur chinois à Washington
a été convoqué par le gouvernement américain pour s’expliquer.

4. Après la chauve-souris et le pangolin, le raton laveur est aussi devenu persona non grata, puisque, en anglais, racoon est l’anagramme de corona. De plus, il passe son temps à se laver les mains et porte un masque…

5. La mouvance d’extrême droite américaine QAnon a affirmé que Donald Trump avait planifié la pandémie pour ordonner un confinement. Il aurait eu pour but de procéder à une «arrestation massive de pédophiles, de politiciens, de personnalités comme Tom Hanks ou Hillary Clinton et d’acteurs hollywoodiens».

6. Selon certains, la 5G propagerait le virus; selon d’autres, elle serait même à l’origine du virus. Des antennes ont été détruites aux Pays-Bas et au Royaume-Uni où ces théories sont très populaires.

7. Dans un post Facebook viral, des internautes avancent que Nostradamus avait prédit la pandémie. Or, les textes partagés… n’ont jamais été écrits par l’auteur français.

8. La Corona a été désertée par les amateurs de bières – on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas. Un sondage publié en mars aux Etats-Unis a montré que 38% des sondés ne boiraient plus de Corona. Parmi eux, 16% soupçonnent un lien entre le virus et la bière. Quand le Covid était encore un sujet de plaisanterie, en janvier et février, les ventes de Corona avaient augmenté de 5%.

9. Par peur de se faire griller les neurones par les pistolets thermomètres (ce qui évidemment n’arrive pas), au Mexique, les clients des magasins ont réussi à faire plier les vigiles: ces derniers prennent désormais leur température au poignet.

10. Fake news encore, des recettes permettraient de se prémunir contre le virus, parmi lesquelles se laver à l’huile de sésame ou à l’urine d’enfant, manger de l’ail ou du foie de bœuf, boire de la Javel (attention, ce peut être mortel), du jus de fenouil ou de gingembre.

On commente ?

https://www.femina.ch/societe/actu-societe/comment-parler-a-un-ami-complotiste?


[NDLR en comparaison, voici quelques éléments factuels :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays
    (voir notamment 
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris
    (voir : 
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent
    (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents
    (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux 
    (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe:
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 
    (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr)):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Ondes électromagnétiques et corps humain
    • Le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 4G+, la 5G, etc. sont des ondes électromagnétiques pulsées.
    • Le corps humain est aussi de nature électrique (influx nerveux et neuronaux, courants électriques dans les mitochondries pour la transformation du glucose en ATP, etc.) et magnétique (présence de magnétite dans les cellules).
    • Même à très faible intensité, les cellules humaines peuvent subir des effets de la part des ondes électromagnétiques (spécialement lorsqu’elles sont pulsées, à cause de l’équivalence des impulsions et de la superposition d’un très grand nombre d’ondes de fréquences différentes — cf. la transformée de Fourier d’un pic de Dirac), ceci notamment par les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique :

]




Marc Faber prévient «Une fois le COVID terminé, les élites entreront en guerre»

[Source : Aube Digitale via Les 7 du quebec]

Marc Faber, investisseur légendaire, économiste et prévisionniste de marché, pense que les banques centrales (BC) ne vont pas réduire l’impression monétaire. C’est tout le contraire…

Il prévoit que les banques centrales vont imprimer encore plus d’argent à un rythme plus rapide pour maintenir le système économique défaillant un peu plus longtemps. Le Dr Faber explique :

« Ce qui est perçu comme sûr, à savoir l’argent liquide, n’est plus sûr. Il n’est plus sûr. Vous me demandez ce qui est sûr ? Je ne sais pas ce qui est sûr quand vous avez des imprimeurs de monnaie qui impriment de la monnaie indéfiniment. Je ne pense pas qu’ils puissent s’arrêter. Je pense en fait qu’ils doivent accélérer leur impression monétaire. Donc, les actions peuvent monter, mais en termes réels, cela ne signifie pas que votre niveau de vie va augmenter. Peut-être que le niveau de vie des 50 personnes les plus riches du monde va augmenter, mais pas le niveau de vie de l’Américain typique… ou de l’Américain moyen. Ce niveau de vie va baisser…. Toute cette impression monétaire est une mesure désespérée pour empêcher les électeurs de se rebeller. »

Le Dr Faber prédit que non seulement nous allons assister à une plus grande inflation des actifs, mais aussi à une inflation spectaculaire des salaires. Le Dr Faber, qui est titulaire d’un doctorat en économie, déclare :

« Ce qui va se passer selon moi, et que la plupart des gens n’ont pas vraiment envisagé, c’est que nous allons avoir une inflation des salaires. Pour la première fois depuis la fin des années 1970, l’inflation des salaires va s’accélérer, et dans certains cas, elle sera assez spectaculaire. Dans certains États, le salaire minimum est de 15 dollars. Je pourrais voir ce salaire passer à 30 dollars de l’heure très rapidement. Je ne pense pas que l’inflation soit « transitoire » (comme le proclame la Fed). Nous n’aurons pas de stagflation. Nous aurons quelque chose de pire. Nous aurons une hausse des prix et une dépression du niveau de vie de la plupart des gens. »

Inflation, déflation ou stagflation, les banques préparent l’effondrement post-Covid – les 7 du quebec ) 

Le Dr Faber affirme que le marché boursier américain est « surévalué et trop détenu ».

Il aime les actions de pays étrangers, l’immobilier « loin des villes » et l’or physique, l’argent et un peu de cash. M. Faber apprécie également la présence de crypto-monnaies dans son portefeuille.

Le Dr Faber est moins préoccupé par la situation économique que par la montée du socialisme et du communisme dans le monde occidental. (sic)  Faber soutient que le socialisme détruit les économies et la liberté. Faber fait remarquer :

« Je peux vous dire une caractéristique de tous les pays socialistes que j’ai visités dans ma vie, et tous avaient moins de liberté, moins de bonheur que nous, et les niveaux de vie étaient substantiellement, pas un peu, mais substantiellement inférieurs à ce qu’ils sont dans le monde capitaliste libre… Je suis désolé de dire que je pense que le monde occidental s’est engagé dans une voie très dangereuse où essentiellement, grâce aux taux d’intérêt zéro, tout est gratuit. Puis vous obtenez des conséquences involontaires. »

Donc, avec l’inflation qui augmente et le niveau de vie qui baisse en Occident, la possibilité d’une guerre augmente-t-elle ?

Faber répond :

« Je pense qu’une fois que cette histoire de Covid19 sera terminée, l’élite, ceux qui font de l’argent, iront à la guerre. C’est la dernière recette pour maintenir l’unité de la population. »

Rejoignez Greg Hunter pour un tête-à-tête avec le Dr Marc Faber du « Gloom, Boom & Doom Report ». 04/09/21

[Ndlr : d’autres éventualités ont été envisagées, plus ou moins probables, telles qu’une fausse menace venue de l’espace extraplanétaire ou encore une cyberguerre mondiale.]

Dans une autre interview, cette fois avec Adam Taggart de Wealthion, Faber fustige Bernanke, Yellen et Powell « comme les bureaucrates de bas étage que j’ai vus dans l’histoire ».

« Ces gens vont continuer à imprimer de l’argent. »

« Les universitaires diront que nous n’en avons pas imprimé assez. »

« Les banquiers centraux sont des criminels. »

https://www.youtube.com/embed/fDf24HkFXKE

Comme le note Mike Shedlock, le portefeuille de Faber est composé de 25% de métaux précieux, 25% d’immobilier, 25% d’actions et 25% d’obligations. Faber prédit que le cash disparaîtra, mais sera remplacé par des crypto-monnaies de banques centrales «tout aussi mauvaises».

« Qui veut contrôler votre argent ? », demande Faber.

« La beauté de l’or et de l’argent est que personne ne le contrôle ».

De plus, Faber dit « n’oubliez pas : la Fed mentira toujours, de la même manière que les généraux américains ont déformé les conditions infortunées de l’Afghanistan au monde entier afin de maintenir la machine de guerre. »

Et rappelle aux lecteurs de se souvenir des mots de Léon Nikolaïevitch Tolstoï

« Dans toute l’histoire, il n’y a pas de guerre qui n’ait été ourdie par les gouvernements, les gouvernements seuls, indépendamment des intérêts des peuples, pour lesquels la guerre est toujours pernicieuse, même lorsqu’elle réussit. »

Traduction de USA Watch Dog par Aube Digitale




Fortes tensions, séismes dans le monde de l’anal

Par Alain Tortosa

Le hors-série semestriel de « anal magazine » fait voler en éclat le consensus sur les mesures (dans le cul) de lutte contre le Covid

Tremblements, secousses, explosions et ondes de choc dans le monde de l’anal !

Le dernier numéro hors série de « anal magazine », celui dont nous attendons tous avidement la parution, du fait du poster en page centrale au format A3 que nous nous empressons d’afficher sur le mur de notre salon, a fait voler en éclat le consensus scientifique sur le Covid.

Tels un éclair ou des coups de tonnerre, la nouvelle est tombée !

Alors que les spécialistes étaient tous d’accord pour dire que le test PCR anal(([1] https://www.futura-sciences.com/sante/breves/coronavirus-test-anal-covid-19-plus-fiable-test-nasal-3852/)) était une grande avancée dans la lutte contre le Covid…
Test qui était unanimement reconnu comme étant moins invasif, plus efficace (et surtout plus agréable) que le test PCR nasal.

À ce titre, le courrier des lecteurs de « anal magazine » ne tarissait pas d’éloges sur celui-ci… des clubs avaient d’ailleurs été créés dans toute la France.
En revanche nous avions reçu à la rédaction de nombreuses lettres de présidents de clubs de bridge ou de scrabble qui dénonçaient les clubs « anal PCR » comme étant une concurrence déloyale.
Il est en effet évident de constater qu’ils ne faisaient pas le poids face à une nouvelle source de plaisirs immédiats et conviviaux.

Le test PCR anal faisait donc partie de l’arsenal de lutte contre le Covid avec son fameux slogan :

« Une tige dans le cul, une vie sauvée ! »

Slogan qui valut à ses auteurs le grand prix du concours annuel de « anal magazine », et dont le court métrage dans lequel apparaissent les fesses d’une star de cinéma fut diffusé en avant-première lors de la biennale de Venise sous les acclamations du public qui était… sur le cul.

Bien vite, le test PCR anal fut complété par la plus grande invention que le siècle ait connue pour lutter contre le Fléau.
Son génial inventeur, dont la modestie est telle qu’il a toujours désiré flouter son arrière-train, avait théorisé, testé, évalué la fameuse plume dans le cul.(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf
ou Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))
Comme toutes les inventions géniales, le public et les scientifiques ont tout de suite considéré que cette invention était évidente et naturelle…

Il est vrai que les premiers essais furent sources de quelques irritations, mais largement compensées par le sentiment d’agir pour le bien de l’humanité, mais aussi, parfois, ne le cachons pas, pour le sien propre.

Ah ! Je me rappelle quand Marcel, pour faire avancer la science, s’enfonça totalement une plume d’albatros dans le cul,… sous notre regard médusé, mais pour autant admiratif.

Mais bon, redevenons un peu sérieux, c’est quand même grâce à la plume dans le cul (je vous invite à lire le dossier scientifique à l’occasion) que l’épidémie marqua le pas, sauvant des centaines de millions de personnes à travers le monde, condamnées sans cela à une mort tragique… et bien triste.

Aujourd’hui strictement personne n’oserait remettre en question l’efficacité et l’utilité de la plume dans le cul pour se protéger du Covid. Sans compter que le monde a gagné en beauté et en couleurs !
Qui pourrait ne pas se réjouir, en voyant des centaines de personnes sortir précipitamment d’une rame de RER avec une plume dans le cul…
On pourrait s’imaginer dans la savane africaine avec l’envol de milliers d’oiseaux dans le soleil couchant…

Bref tout était pour le mieux et tout n’était qu’harmonie dans la lutte contre le Covid.
Mais voilà que l’Institut Pasteur, probablement aigri et relégué au rôle de simple prévisionniste dont le personnel avait été recruté dans les hippodromes, se contentait de lire l’avenir dans les entrailles de poissons.

Bon ne soyons pas trop dur quand même, force est de constater que leurs prévisions ont « toujours » été fausses, ce qui est une preuve de leur « justesse ».

Je vous explique :
Si vous dites à quelqu’un qu’il va se faire écraser par un camion en traversant la rue, il va bien évidemment faire attention et donc ne pas se faire écraser.
C’est donc grâce à la fausse prédiction qu’il ne s’est pas fait écraser.

Si les prévisions de l’Institut Pasteur (et de tous les autres) se sont révélées fausses, c’est la preuve qu’elles étaient justes !
Des mesures totalement « efficaces » comme le masque ou la plume dans le cul ont été mises en œuvre et ainsi permis de sauver des vies. Les prévisions ne se sont pas réalisées et donc c’est bien la preuve qu’elles étaient justes…
Fin de la parenthèse.

Donc, cet Institut Pasteur, qui n’a pas été reconnu pour le « génie de ses fausses prévisions » a voulu frapper un grand coup dans la lutte contre le virus.

Il a donc fait (et fait encore) des essais sur un médicament pour lutter contre le Covid, mais, voulant surfer sur la vague, il a décidé non pas que celui-ci serait administré par injection, solution buvable ou gélule à avaler, mais sous forme de suppositoire(([3] https://www.huffingtonpost.fr/entry/lessai-clinique-de-suppositoires-anti-covid-19-a-linstitut-pasteur-manque-de-patients_fr_61366b54e4b0f1b97064a459)) dans le cul !

J’entends qu’ils avaient compris que l’orifice a une importance capitale dans la lutte contre le virus, mais pour autant cela ressemble vraiment à du plagiat.

Attention, il ne s’agit pas pour nous ou pour « anal magazine » de remettre en question l’efficacité d’un suppositoire dans le cul, il faudrait être débile ou complotiste pour imaginer qu’elle ne serait pas décuplée en passant par ledit orifice.

Néanmoins, il faut se rendre à l’évidence, le suppo n’est PAS compatible avec la plume dans le cul !

En effet le suppositoire entraîne une lubrification de l’anus qui, quand bien même source de plaisir, rend quasi impossible la tenue dans le temps d’une plume.

Je vous rappelle que l’objet de la plume dans le cul est de filtrer nos flatulences afin de retenir l’odieux virus et ainsi sauver des vies.
Mais lorsque vous utilisez un suppositoire, l’orifice est à ce point lubrifié, que lorsque vous en lâchez une, l’énergie déployée expulse la plume !

Nous avons ainsi assisté à de nombreux accidents, heureusement sans gravité… mais plusieurs personnes qui admiraient les superbes oscillations des plumes dans le cul de leur voisin ont failli avoir un œil crevé par ces jets de plumes, telle la flèche d’un arc.

Autant le consensus demeure pour affirmer unanimement qu’il faut nous la mettre bien profond et même de plus en plus profond, autant il y a désormais divergence sur le contenu à insérer !

Nous assistons désormais à ce qui pourrait s’apparenter à un « schisme » dans le monde scientifique et c’est d’autant plus déplorable qu’il y avait un consensus total depuis le début de la crise du Covid…

100 % des scientifiques de la planète étant bien évidemment totalement en accord avec les mesures prises par le gouvernement et l’analyse de la situation.
Je ne parlerai pas ici de la dizaine de malades mentaux à travers le monde qui véhiculent des théories complotistes totalement délirantes comme le fait que le confinement, le masque dans une population générale ou les injections expérimentales ne seraient pas efficaces et même seraient dangereuses.

Ces mêmes fous allant jusqu’à véhiculer des idées comme quoi des molécules vétérinaires du siècle dernier seraient inoffensives et efficaces !

Comme l’explique si bien l’article « d’anal magazine », nous avons désormais les « pro-plumes dans le cul » versus les « pro-suppo dans le cul » et force est de constater que les deux ne sont pas compatibles.

Dans un souci de démarche scientifique, nous nous sommes donc attelés à faire un tableau comparatif des deux méthodes en soulignant le pour et le contre pour chacune d’entre elles :

Vous voyez bien qu’il n’y a pas photos.
Objectivement la plume dans le cul est largement supérieure au suppo dans le cul…
Soyons optimistes et voyons donc dans le suppo un épiphénomène qui ne tardera pas à passer aux oubliettes.

Nous pouvons nous réjouir, le gouvernement n’a pas fini de vouloir nous la mettre le plus profond possible et nous ne pouvons que le remercier pour cela.

Alain Tortosa pour « anal magazine ».

14 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210914-plume-cul-vs-suppo-cul-anal-mag.pdf




« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers » : l’Angleterre dit « non » au pass sanitaire

[Source : lindependant.fr]

Le ministre de la Santé britannique a annoncé ce dimanche que le projet de passeport vaccinal envisagé notamment pour entrer en discothèque était abandonné.

« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers (…) pour faire ce qui est simplement une activité courante », a expliqué Sajid Javid ce dimanche sur la BBC, rapporte BFMTV.

Le ministre de la Santé a ainsi décidé d’enterrer son projet d’introduire un passeport vaccinal pour les discothèques et les grands évènements, comme les stades. Le gouvernement le juge désormais inutile en raison du succès de la campagne de vaccination.

« Nous l’avons considéré comme il se doit, et tandis que nous devrions le garder en réserve comme une option potentielle, je suis ravi de dire que nous n’allons pas poursuivre avec notre projet de passeport vaccinal », a-t-il ajouté.

81% de personnes complètement vaccinées

Le gouvernement britannique avait pourtant réaffirmé cette semaine son intention de créer un tel passeport vaccinal et s’était d’ailleurs attiré les foudres des professionnels du secteur de la nuit et de nombreux députés, qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition.

Malgré un nombre quotidien de contaminations toujours élevé, le ministre de la Santé estime que le pays peut se passer d’une telle mesure grâce à son taux de vaccination très élevé. Près de 81% de la population de plus de 16 ans dispose d’un schéma vaccinal complet.

Chaque nation du Royaume-Uni disposant néanmoins d’un droit de légiférer sur les restrictions anti-Covid, le gouvernement écossais a lui décidé d’introduire, dès le 1er octobre, un certificat de vaccination pour accéder aux discothèques et à certains événements.

N.M./lindependant.fr




Éviction de Zemmour : Patrick Cohen est lui (parmi d’autres) « sorti du cadre » depuis longtemps

Par Lucien Samir Oulahbib

Sur quoi, tout d’abord, s’appuient tous nos prétentieux prétendants concernant maints sujets, dont C.19 ? Sur le même type d’arguments qu’ils avancent pour dénigrer les traitements précoces en disant que même s’ils marchent ici et là ils ne sont pas nécessaires.

Ainsi un placebo ou une aspirine suffirait pour « soigner » 98 % des gens touchés. Les médecins de plateau s’en délectent : c’est « bénin » pour la plupart de la population, dixit également Google(([1] Cf. ce lien (voir sous la carte mondiale des cas Covid-19) )) en se référant à l’OMS :

« La majorité des personnes atteintes de la Covid-19 ‎ne ressentiront que des symptômes bénins ou ‎modérés et guériront sans traitement particulier ».

Et comme les trois milliards de personnes qui se sont faites injectées vont bien (balayant d’un revers de main les effets secondaires et les morts de cette expérimentation mondiale), tout ce branle-bas de combat concernerait en fait seulement ces fameux « 2 % » qu’il faudrait à tout prix protéger en amont en empêchant de les infecter ou en les injectant massivement, alors que la contamination ne veut pas dire maladie et que la prise de traitements précoces montre empiriquement que celle-ci les protège bien plus que l’injection. D’innombrables exemples le prouvent, mais évidemment placés sous l’aune de la concomitance, comme ces EHPAD et monastères plus touchés mortellement depuis qu’ils ont fait l’injection qu’avant…

De plus, on peut fort bien renverser cet argument qui relativise la portée des traitements précoces. Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’injection d’une partie du virus est sans doute immédiatement détruite par leur système immunitaire. Elle ne leur sert donc à rien (sauf à montrer patte blanche), mais s’avère nuisible à certains, au vu des effets secondaires et des morts, en particulier pour ceux qui, bien que jeunes, ont des malformations génétiques et/ou des comorbidités, du moins lorsqu’ils ont un système immunitaire déficient.

Quelle est alors la réaction d’ensemble d’un Patrick Cohen, déjà lorsqu’il s’en était pris à Raoult ? Précisément, le fait que ce dernier souligne ce caractère « bénin » (OMS, supra) nécessitant plutôt de tester, soigner, isoler les personnes malades et ce de façon précoce (afin d’éviter les séquelles) tout en avançant que les jeunes ont en effet bien plus de risques de mourir d’un accident de la route, y compris de « trottinette électrique » que de cette maladie « bénigne ». Ensuite, lorsque ce même Patrick Cohen (suffisant à souhait) critique dernièrement le dénommé Véran, c’est bien moins pour souligner les déficiences, de plus en plus criantes, de leur « thérapie génique » (exclusive) que de lui signifier robotiquement, à l’instar d’un responsable australien ou néo-zélandais (ou d’un démocrate US, ou d’un sénateur PS français) la « stagnation » du taux d’injection (car il l’avait félicité au contraire du niveau tout de même atteint au préalable). Il présuppose ainsi que ce serait là le facteur clé. D’où la hargne, rentrée, contre les supposés « antivax » qui seraient, eux, les principaux responsables de la persistance virale, bien sûr, ce qui reste évidemment faux au regard des chiffres réels (et où en sont les « clusters » ?). Sans parler de ce qui se passe à l’étranger (qui sont les « non-vaccinés en réa » en réalité ? Nul ne le sait hormis les effets d’opérette habituels : ici un jeune, là une femme enceinte, sans que l’on en sache plus sur leur cas, toujours singulier, mais, en Israël, les choses ne se précisent-elles pas un peu plus, oui ou non ?…).

S’agissant maintenant des autres sujets sur lesquels un Patrick Cohen (parmi mille [animateurs], tels Ruquier, Apathie, Salamé…) « sort du cadre » (expression qu’il a utilisée contre Zemmour) depuis longtemps, il s’agit (tout à l’avenant) de ces problèmes de taille qui sont systématiquement minorés ou mis sur le tapis, comme l’impossibilité de lire uniquement de manière démographique les entrées et sorties migratoires, les financements illégaux de lieux de culte islamique sous couvert de lieux culturels, le tout afin de continuer pour des fins clientélistes à placer sous cloche spirituelle des populations qui ont précisément fui les contrées régies par l’islam. Sans parler du caractère délétère de l’enseignement de ce dernier et du silence abyssal quant à sa propre colonisation en Afrique (du Nord), en Asie, en Inde, toutes choses que Zemmour critique et dénonce en tant qu’éditorialiste, une profession reconnue comme faisant partie du corps journalistique, semble-t-il, et que Patrick Cohen ne se prive pas, lui, d’utiliser pour brocarder un Trump, une Le Pen, etc.,etc. Un temps de parole qu’il faudrait décompter aussi, ou additionner, c’est selon (Zemmour n’étant toujours pas candidat, pourquoi une telle attaque préventive qui s’avère inconstitutionnelle ? Vous avez quatre heures [pour répondre]…).

Est-ce que pour autant et ce faisant Zemmour « sort du cadre républicain » ? Ce n’est pas à un Patrick Cohen de le juger, même s’il peut le dire, ce qui n’est pas la même chose. En tout cas Patrick Cohen sort du cadre français, lui, et en particulier du cadre voltairien. Ne remontons pas plus haut. L’Histoire n’est, semble-t-il, pas son fort.

Aussi, au final (et pour la route), quand une radio comme Europe 1 glougloute parce que Google aurait « démonétisé » FranceSoir, ce « site de désinformation » écrit-elle, on comprend pourquoi Patrick Cohen l’aura quitté lors de cette rentrée : il craignait qu’elle n’aille pas assez loin dans l’épuration, la désinfection des idées « nauséabondes ». C’est chose faite. Patrick Cohen peut donc y revenir tranquillement (en attendant à nouveau F.I, qui sait ?…).

Reste aussi la nécessité de brûler le(s) dernier(s) livre(s) de Zemmour en place de Grève. Les soumis Canadiens ont montré la voie.




Recours collectif contre le pass sanitaire

[Source : NO PASS !!!]

Qui êtes-vous ?

Je suis Guillaume Zambrano, maitre de conférences en droit privé. J’ai fait mes études à Montpellier, où j’ai obtenu mon doctorat en droit en 2012. J’ai également obtenu mon certificat d’aptitude à la profession d’avocat en 2011, mais je ne suis pas inscrit au barreau et je n’exerce pas en tant qu’avocat. J’enseigne à l’université et je me consacre à la recherche sur l’Intelligence Artificielle appliquée au droit.

En quoi consiste cette requête ?

La CEDH [Cour Européenne des Droits de l’Homme] peut condamner les violations des droits fondamentaux commises par les États européens. Une requête est tout simplement une demande faite par un simple particulier – n’importe qui, vous, moi, sans condition de nationalité – pour voir condamner la France en violation des droits fondamentaux.

Comment puis-je participer ?

Avec un simple stylo, deux timbres, une enveloppe et 10 minutes de votre temps. Vous pouvez personnellement attaquer le gouvernement français en saisissant la CEDH. Pour cela, il faut envoyer à la CEDH une requête par la Poste.

Qui peut envoyer la requête ?

Toute personne victime du « pass sanitaire », que ces personnes soient majeures ou mineures, vaccinées ou non-vaccinées. Si vous êtes affecté par la loi sur le « pass sanitaire », simplement parce que vous vous trouvez sur le territoire français, ou parce que vous pourriez potentiellement vous trouver sur le territoire français. Il n’y a pas de condition de nationalité. Toute personne, de n’importe quelle nationalité peut agir. Peu importe également que vous résidiez à l’étranger. N’hésitez pas à envoyer une requête, ce sera au gouvernement français de prouver que vous ne possédez pas la qualité de victime. Ce qui est difficile.

Les membres d’une même famille doivent-ils dupliquer les requêtes ?

Le règlement de la Cour exige que chaque requérant remplisse un formulaire de requête individuellement. La requête est nominative. Il faut donc dupliquer plusieurs fois la même requête : une pour chaque personne, y compris les enfants, qui ont aussi le droit de saisir la Cour.

Ce recours est-il toujours d’actualité ?

Tant que la loi sur le « pass sanitaire » est en application et n’a pas été abrogée, vous pouvez saisir la Cour européenne des droits de l’Homme. L’objectif du recours vise d’abord à dissuader le gouvernement de prolonger le « pass sanitaire » au-delà du 15 novembre, en montrant que les plaintes ne cesseront pas de s’accumuler devant la CEDH tant que la loi sera en vigueur. De plus, même après le 15 novembre, et même si le « pass sanitaire » est finalement abandonné, il sera utile d’obtenir un jugement constatant que la France a violé les droits de l’Homme. Cela empêchera qu’une telle violation se reproduise à l’avenir.

On m’a dit que pour saisir la CEDH, il faut épuiser toutes les voies de recours.

  • C’est vrai. Toutefois en droit, les règles connaissent souvent des exceptions. Pour saisir la CEDH, il faut en théorie avoir épuisé toutes les voies de recours internes. Mais nous sommes dans un cas particulier : la violation résulte de l’existence de la loi elle-même. Pour un exemple d’une affaire où une personne a introduit une requête jugée recevable contre une loi, lire : Arrêt CEDH Grande Chambre, 1er juillet 2014, SAS c. France, requête n°43835/11. Dans cette affaire, la requérante contestait la loi n°2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public, porte atteinte aux articles 3, 8, 9, 10 et 11 de la Convention, en ce qu’elle l’empêche de porter le voile intégral, expression de sa religion musulmane, dans l’espace public. La Cour a jugé la requête recevable, au motif qu’un requérant a la qualité de victime au sens de l’article 34 « s’il est obligé de changer de comportement sous peine de poursuites ou s’il fait partie d’une catégorie de personnes risquant de subir directement les effets de la législation ». (voir, notamment, Marckx c. Belgique, 13 juin 1979, série A no 31, § 27, Johnston et autres c. Irlande, 18 décembre 1986). La Cour constate que la requérante se retrouve dans une telle situation, puisqu’elle doit choisir entre respecter la loi ou se comporter de manière conforme à son identité.
  • Il existe ainsi une exception (jugée par exemple dans l’affaire CEDH, 20 février 1991, Vernillo, requête n° 11889/85 ) permettant de passer outre les voies de recours inutiles ou non effectives en pratique au sens des articles 13 et 35 de la CEDH. Puisque le conseil constitutionnel a déclaré la conformité le 5 août, il n’existe plus en France de voie de recours en mesure d’annuler le « pass sanitaire ». De plus, les simples particuliers n’ont pas la possibilité de saisir directement le conseil constitutionnel, autrement qu’en soulevant une Question Prioritaire de Constitutionnalité. La déclaration de conformité par la décision du 5 août 2021 rend impossible de soulever une QPC.

La saisie de la CEDH est-elle risquée ?

  • Il n’y a aucun risque et c’est parfaitement légal. Vous ne pouvez pas être condamné à payer les frais d’avocat de l’Etat défendeur. Et à la différence des procédures judiciaires en droit français, vous ne pouvez pas être condamné pour recours abusif. La seule sanction du recours abusif consiste à déclarer le recours irrecevable.
  • De plus, j’ai demandé l’anonymat pour les requérants. Cela signifie, comme dans l’affaire S.A.S contre France du 1er juillet 2014, que votre identité ne sera pas révélée publiquement par la Cour. Vous ne serez jamais inquiété pour avoir participé à ce recours, car cela est un secret protégé par la confidentialité.

Combien cela coûte t-il ?

Environ 3 euros pour acheter 2 timbres, une enveloppe et imprimer 13 pages A4. Vous pouvez aussi opter pour un envoi par lettre recommandée (+/-6€) si vous souhaitez accroitre la charge de travail de la CEDH et conserver une preuve de dépôt.

Des frais supplémentaires sont-ils à prévoir ?

  • Je ne réclame aucun honoraire ou versement d’une somme d’argent à quelque titre que ce soit. Ni maintenant, ni plus tard.
  • Les frais de la requête se limitent pour les requérants à l’impression, l’enveloppe et les deux timbres (ou lettre recommandée avec AR).
  • Si la requête prospère devant la CEDH, la Cour nous imposera de désigner un avocat. Dans cette hypothèse, si je ne suis pas en mesure de faire face aux frais d’avocat seul, je ferai un appel à des contributions volontaires de 1 euro maximum. Uniquement pour ceux qui le souhaitent, de manière volontaire, et si nécessaire.

Quel est le lien juridique qui nous unira ?

Juridiquement la signature de ce document crée entre nous un mandat (qu’on peut appeler aussi « pouvoir »). Vous êtes la personne représentée, et j’effectue un acte juridique en votre nom et pour votre compte. Ce mandat est gratuit, je ne vous réclame aucun salaire. En remplissant le formulaire et en l’envoyant à la Cour, vous verrez que vous avez signé et que j’ai moi aussi signé en page 3 l’encadré intitulé « Pouvoir ». Cette signature crée entre nous un contrat, qui est un mandat bénévole, pour lequel je ne réclame aucune rémunération.

Puis-je remplir le document numériquement ?

Lorsque vous remplissez le formulaire pour agir sur le site nopass.fr, le document est rempli numériquement.

Comment compléter la requête ?

Il y a un tutoriel vidéo. Et chaque champ contient des exemples. La chose la plus importante pour assurer la validité de la requête consiste à signer en page 3 et en page 13.

Quelles étapes dois-je suivre ?

Faut-il joindre des documents aux 13 pages de la requête ?

Non, il n’y a absolument rien à ajouter. J’ai transmis à la Cour au nom du groupe, les pièces jointes nécessaires. Vous devez simplement imprimer la requête et la poster à Strasbourg.

Je n’ai pas d’adresse mail à renseigner dans le formulaire d’inscription

L’adresse mail ne sert qu’à communiquer avec les requérants. Vous pouvez créer une adresse spéciale qui ne servira qu’à ce seul recours. Dans tous les cas, votre adresse ne sera utilisée que pour communiquer avec vous, afin de vous renseigner sur l’avancement de la procédure, ou vous demander des renseignements complémentaires si la Cour l’exige.

Puis-je mettre des raisons personnelles dans l’encadré du recours ?

Cela n’est pas nécessaire. Le recours est collectif, il est identique pour toutes les personnes faisant partie du groupe. Nous vous demandons de communiquer vos raisons personnelles dans le formulaire d’inscription, afin de traiter et organiser ces informations. Elles seront transmises à la Cour si elles sont utiles et fournissent des arguments. Si vous souhaitez ajouter des détails personnels, vous êtes libre de le faire, mais cela rendra ma mission de correspondant de la Cour plus difficile.

Je n’arrive pas à valider le formulaire !

Vérifiez que la case GDPR est bien cochée. Le numéro de téléphone doit être valide : 04 12 23 45 67 devient +33 4 12 23 45 67 en format international

Je n’arrive pas à récupérer le formulaire !

Si vous avez validé le formulaire et que pour une raison ou une autre vous ne parvennez pas à le télécharger, pas d’inquiétude: il va être envoyé à votre adresse mail.

Je n’ai pas reçu le mail de confirmation de mon inscription, est-ce normal ?

Un mail de confirmation est envoyé automatiquement, peut-être s’est-il retrouvé dans vos courriers indésirables. Vous y trouverez en pièce jointe le document PDF de la requête, à imprimer, signer et poster à la Cour.

Je n’ai pas d’imprimante, comment faire ?

  • Vous pouvez vous rendre dans un bureau de la Poste, afin d’imprimer les 13 pages. N’oubliez pas que la signature doit être sous forme manuscrite (pas d’initiales). Pour cette seule raison, il est impératif de trouver un moyen d’imprimer le document.
  • Si vraiment vous êtes dans l’impossibilité de vous déplacer, en dernier recours vous utiliser le service en ligne de la poste : https://www.laposte.fr/courriers-colis/conseils-pratiques/envoyez-un-courrier-imprime-sans-stylo-ni-papier
  • Mais Il faudra nécessairement insérer votre signature dans le document PDF ou dessiner votre signature à la souris dans le document.

Puis-je imprimer recto-verso ?

Il est conseillé de faire l’impression recto uniquement mais l’impression recto-verso n’est pas interdite (cela ne change pas le nombre de timbres)

La requête s’affiche mal (pages blanches) ou l’impression de fonctionne pas.

Dois-je envoyer la requête par lettre recommandée (avec RAR) ?

L’envoi en RAR est conseillé par la CEDH mais pas obligatoire. Si vous souhaitez conserver une preuve de dépôt, le RAR est à privilégier.

Dois-je envoyer le recours à la CEDH ou vous le faire parvenir ?

Il faut l’envoyer directement à la CEDH, une vidéo tuto est présente sur ma chaine YouTube. L’adresse est indiquée en dernière page du recours, et également sur la fenêtre pop-up qui s’affiche lorsque vous avez complété le formulaire d’inscription.

Dois-je remplir certains champs ?

Non, hormis votre signature en page 3 et en page 13, vous n’avez rien à renseigner !

Comment m’inscrire sur le site ?

Avec le nouveau formulaire, vous n’avez rien à faire: une fois le PDF généré, vous êtes automatiquement inscrit(e) sur le site.

Où en est ma requête ?

  • Dès que vous avez rempli la requête à l’aide du formulaire, vous êtes automatiquement inscrit dans la liste des requérants. Pour cette raison, il est très important de l’imprimer et de la poster le plus vite possible. Ensuite, l’effet recherché de saturation de la CEDH sera immédiatement atteint : tous les jours, ce sont des centaines de requêtes qui arrivent à la Cour à Strasbourg. Il faut continuer cette mobilisation jusqu’au 15 novembre 2021, afin de dissuader le gouvernement de prolonger la durée de vie du « pass sanitaire » au-delà de cette date.
  • Les délais de jugement de la Cour sont relativement longs : trois ans environ pour obtenir une décision sur le fond de la question. Mais avant, il faudra entamer un dialogue avec la Cour pour passer le filtrage de recevabilité. Cette phase peut durer 12 mois environ. Tout au long de la procédure, je vous maintiendrai informés par courriels, par des informations sur le site, et par des vidéos sur ma chaîne YouTube

Je crains pour mes données, comment et combien de temps celles-ci seront conservées ?

La liste ne sera donnée qu’à la CEDH et sera détruite lorsque celle-ci rendra sa décision. J’ai demandé l’anonymat, donc la Cour connaîtra votre identité et les informations personnelles que vous avez transmises, mais ces informations resteront secrètes.

Je souhaite savoir s’il est possible d’imprimer votre requête et la faire signer par des manifestants.

Il est parfaitement légal d’imprimer la requête en dizaines d’exemplaires, de la distribuer sur la voie publique et mieux de faire des ateliers de signature. Ensuite, vous pouvez parfaitement coordonner les envois et envoyer les requêtes signées en blocs par cartons entiers. Néanmoins, attention, il faut que tous les requérants soient bien inscrits sur le site, en remplissant le formulaire en ligne. Car sinon, ils ne seront pas comptabilisés dans le groupe. Pensez à leur faire compléter ce formulaire au moment de la signature de la requête, pour éviter des oublis.

Je souhaite apporter mon aide et mon soutien contre le « pass sanitaire ». Comment dois-je faire ?

La meilleure façon d’aider à promouvoir cette action est d’y participer en envoyant la requête puis de relayer le message sur les réseaux sociaux ou dans votre entourage. La chose la plus utile c’est de diffuser et convaincre. N’hésitez pas à envoyer des mails à des personnalités susceptibles d’avoir de la sympathie pour cette action et disposant d’une large audience. Plus le message est visible, plus nombreux seront les participants. L’aide la plus vitale consiste à expliquer cette démarche autour de vous, dans vos cercles militants, en faisant des vidéos YouTube (que je peux aussi relayer sur ma chaîne). Faites connaître votre démarche et incitez les autres à vous imiter : vaccinés ou non-vaccinés tout le monde est victime du « pass sanitaire », même ceux qui en possèdent un, puisqu’ils doivent quand même se soumettre à des contrôles abusifs.

À quelle échéance imaginez-vous un résultat (positif ou négatif) ?

La première échéance c’est la date du 15 novembre 2021. À ce moment nous saurons si le gouvernement décide de prolonger ou d’abandonner le « pass sanitaire ». Le résultat attendu immédiat consiste à saturer le fonctionnement de la CEDH par le nombre de plaintes. Cet effet sera obtenu dès que nous franchirons la barre des 40.000 requérants inscrits. Surveillez le compteur dans le coin supérieur droit du site, pour suivre la progression du nombre de requérant. Un résultat négatif de rejet des requêtes peut intervenir assez vite, en quelques mois. Un résultat positif de recevabilité tardera au minimum 12 mois, et un résultat très positif de jugement au fond condamnant la loi sur le « pass sanitaire » n’interviendra pas avant 3 ans. Notre objectif premier est beaucoup plus proche : faire monter la pression sur le gouvernement français avant le 15 novembre, en ayant franchi la barre des 40.000 requérants. Cela sera un résultat très visible, qui contribuera à l’abandon de la loi sur le « pass sanitaire », car provoquant trop de problèmes judiciaires.




Sir Christopher Chope sur les effets secondaires de la « vaccination » anti-Covid : « du jamais vu »

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LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse

[Source : I’M OK Le Grand Réveil]

Cette vidéo aide à comprendre comment la « plandémie » Covid-19 permet d’installer le totalitarisme (forme de psychose de masse) du Nouvel Ordre Mondial.


Cette vidéo a été réalisée en collaboration avec l’Académie des idées et traduite sur la plate-forme TRAD.PUB par Rémi IGOR 31 et doublée par I’M OK. l’Académie des idées créent des vidéos expliquant les idées des grands penseurs de l’histoire afin d’aider à fournir au monde plus de connaissances, pour donner du pouvoir à l’individu et pour promouvoir la liberté. Consultez leur chaîne youtube pour un contenu plus brillant. https://www.youtube.com/c/academyofideas ou visitez leur site Web pour en savoir plus https://academyofideas.com/.

Dans cette vidéo, nous allons explorer la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques, la psychose de masse. Une psychose de masse est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction. Deux exemples de psychoses de masse sont les chasses aux sorcières américaines et européennes des 16e et 17e siècles et la montée du totalitarisme au 20e siècle.

Cette vidéo a pour but de répondre aux questions concernant les psychoses de masse : Qu’est-ce que c’est ? Comment cela commence-t-il ? S’est-elle déjà produite ? Sommes-nous en train d’en vivre une en ce moment même ? Et si oui, comment peut-on inverser les étapes d’une psychose de masse ?




France : la dictature en marche à Martigues

[Source : Offres d’emploi leboncoin.fr]

L’annonce sous forme de capture d’écran (à télécharger au besoin) :




Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire…

[Source : benoit-et-moi.fr]

Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial, exclue de son parti (qui est actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi) pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire: elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, dans un magnifique élan de courage. En conclusion, elle s’adresse directement au Pape. On attend vainement la même chose en France.

Original en italien trouvé sur ce non moins formidable site: 
www.korazym.org/64986/la-dichiarazione-di-voto-di-sara-cunial-alla-camera-durante-la-discussione-del-vergognoso-decreto-green-pass/

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

https://youtu.be/ttm3k0ws0Vo

Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments] a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider, cf. blog du Dr Gulisano, ndt].

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document – financé par Bill Gates et Rockefeller – sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ». Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence. Le but du Pass Covid européen – qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) – est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ». L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino [ndt: du mot sicilien pizzinu signifiant «petit bout de papier». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement] de Speranza [ministre de la santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays. Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les [test] nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la santé] plurivaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS – et je dis bien TOUS – payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes : par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22%. Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique ! Nous parlons de +32%, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées ! Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable – jusqu’à 26 % – de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies car le chiffre officiel du ministère israélien de la santé du 13/08/2021 dit que 81% des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés ! Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques ont « peur » du vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. » C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ». INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.




La Coordination Santé Libre appelle les soignants à faire pression sur le gouvernement

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Soignants en grève. AFP]

Auteur(s): FranceSoir

Dans un communiqué de presse ce jour, la Coordination Santé Libre (CSL), qui regroupe différentes associations de médecins, soignants et scientifiques, appelle à un retrait immédiat de l’obligation vaccinale qui sera imposée à certains professionnels à partir du 15 septembre.

Dans cette lettre, l’obligation vaccinale est jugée « illégale », « choquante » et « scandaleuse », notamment du fait de son incompatibilité avec le Code du travail. Par ailleurs, la façon dont cette loi a été promulguée reste mal acceptée. À ce sujet, la CSL rappelle notamment « la sous-représentation des parlementaires ayant voté cette loi » et « la complaisance du Conseil constitutionnel », sur fond de prorogation de l’état d’urgence sanitaire.

Voir aussi : des débats parlementaires à l’image de la société, confus et électriques

En réponse à cela, grâce à l’union de ses différents membres, la CSL met un point d’honneur à la réinformation depuis sa création en janvier 2021. Sur son site, on trouve notamment les vidéos de leur Conseil Scientifique Indépendant (CSI), qui se réunit chaque jeudi pour traiter de différents sujets de santé ou de société.

Outre l’information, la CSL appelle finalement tous les professionnels concernés par l’ogligation vaccinale à faire pression sur le gouvernement, au travers des recours juridiques notamment. L’association BonSens par exemple, propose à chacun de signer ses plaintes collectives. Sur le site de Reinfo Covid, on trouve plusieurs modèles de lettres juridiques, rédigées avec des avocats, destinées à aider les professionnels en difficulté. De fait, depuis l’application du passe sanitaire en août, le parquet de Paris et la Cour de justice de la République croulent tous deux sous les plaintes, notamment grâce aux modèles de l’association créée par Me Fabrice Di Vizio.

Voir aussi : gestion de crise sanitaire : les plaintes pleuvent

Par ailleurs, d’autres moyens de lutte sont aussi envisageables et ouverts à un plus grand nombre, tels que l’affichage, la manifestation, les pétitions, le boycott ou encore la grève. À ce sujet, la CSL ponctue d’ailleurs sa lettre en apportant son soutien à l’appel à une grève illimitée des professionnels de la santé du Syndicat Liberté Santé.

Voir ici : le communiqué du Syndicat Liberté Santé

Communiqué de la Coordination Santé Libre

Auteur(s): FranceSoir




Effet macron vaccination ? Et si c’était une tromperie et un échec total ?

Par Alain Tortosa

La vaccination en France est quasiment à l’arrêt !

Commençons par nous pencher sur le nombre d’injections quotidiennes :

Si l’on regarde la courbe de vaccinations quotidiennes (au moins une dose) sur geodes,santepublique alors force est de constater qu’il y a un pic à partir du lendemain de la déclaration du chef de l’État.

La vaccination étant au plus bas depuis la fin juin.

Bref à la lecture simple de cette courbe, on pourrait se dire que « l’effet Macron » a été très efficace jusqu’au pic du 29 juillet, puis effondrement du nombre de vaccinations jusqu’à aujourd’hui.

Le problème est que le gouvernement ne fournit pas (volontairement) le nombre de vaccinations journalières première dose, mais les vaccinations « au moins une dose » ce qui veut dire clairement que ces données comptabilisent à la fois des premières et deuxièmes doses.

La question est :

« Assistons-nous durant le mois de juillet à une vague de nouvelles vaccinations ? »

ou

« Est-ce une vague de deuxièmes doses ? »

Penchons-nous sur le nombre cumulé de personnes vaccinées « au moins une dose » et « deux doses ».

En téléchargeant les données sur tableur, on peut faire quelques constatations intéressantes.

Regardons à nouveau la première courbe (des vaccinations quotidiennes au moins une dose).

Le 2 juillet le gouvernement enregistre le nombre le plus faible de vaccinations depuis le mois de mars soit 223 398 dans la journée.

Sur la même courbe, on voit que le pic de vaccinations que l’on attribue à notre ami Emmanuel s’est produit le 29 juillet avec 486 484 doses dans la journée.

Si maintenant l’on reprend le nombre total de personnes vaccinées au moins une dose, celui-ci est de 34 731 494 ce même 2 juillet alors que le nombre de personnes complètement vaccinées est de 23 918 529 le même jour, soit un écart d’environ 10 millions de doses.

En revanche si l’on se place au 29 juillet, le jour du pic qui semble prouver la « victoire » de l’effet dictature de notre grand monarque lumineux, nous constatons que le nombre total de personnes vaccinées deux doses est de 34 764 184, qui était le nombre de personnes vaccinées « au moins 1 dose », 27 jours auparavant…

Et 27 jours c’est quoi ? C’est le délai habituel entre deux doses !

J’affirme donc qu’il n’y a eu AUCUN effet Macron sur la vaccination.

C’est ce qui expliquerait l’explosion délirante du nombre de tests.

Les vaccinés première dose se sont probablement précipités pour faire la 2e alors que les non-vaccinés se sont précipités pour faire des tests PCR comme vous pouvez le voir sur la courbe suivante.

Les gens se sont fait tester de plus en plus jusqu’au 20 août qui correspond à une semaine avant la fin des vacances.

Et il n’y a pas d’effet « augmentation du nombre de tests » pour la rentrée comme il n’y a pas d’effet « augmentation du nombre de vaccinations quotidiennes » pour la rentrée (voir première courbe).

Le gouvernement est donc factuellement en échec TOTAL sur le chantage vaccinal, mais ce n’est pas l’histoire véhiculée par les ministres et les merdias mainstream qui ne sont que la voix de leurs maîtres

Pour celles et ceux qui aimeraient plus de preuves de l’échec du gouvernement et du Président de la République, regardons l’évolution mensuelle des vaccinations « au moins une dose » et des « vaccinations complètes ».

(Chaque point indique le nombre de vaccinations pour l’intégralité du mois donné.)

Nous voyons sur la courbe en bleu que la vaccination « au moins une dose » diminue fortement en juin, une toute petite embellie en juillet (vraiment très légère) et à nouveau une forte chute au mois d’août.

Quand on regarde la courbe en rouge du nombre de personnes complètement vaccinées, le mois de juillet est en forte hausse, ce qui confirmerait bien que juillet a été le mois de la deuxième dose et non le fameux succès gouvernemental.

En revanche le mois d’août se traduit aussi par une forte baisse des deuxièmes doses ce qui prouverait bien que l’augmentation journalière des « au moins une dose » en juillet n’était pas des premières doses, mais bien des deuxièmes doses. Si le pic de fin juillet avait été des premières doses, nous aurions revu le même pic fin août pour des deuxièmes doses.

Si on regarde à nouveau la courbe cumulée des personnes vaccinées, on voit bien que la pente a fortement diminué et tend de plus en plus vers l’horizontal comme le confirme la courbe de vaccinations journalières qui s’effondre depuis la fin juillet.

Au 9 septembre nous sommes à 68 000 injections dans la journée soit des quantités comparables au 9 janvier, bien avant le début de la campagne massive et alors que nous n’avions pas de doses.

« Les Français ne se vaccinent quasiment plus ! »

Précision importante, officiellement 79 % des 25-64 ans sont vaccinés. La population active avec emploi des 25-64 est de 24 471 000 (Insee). Cela veut dire que 5 millions de travailleurs sont non vaccinés. La France ne peut PAS tourner sans eux. Les non-vaccinés détiennent de fait le pouvoir en France !

Hasard ou machiavélisme ?

Le gouvernement a-t-il eu la chance de bénéficier de la manne des deuxièmes injections pour tromper le peuple ou les stratèges ont-ils, tout comme moi, calculé que le creux du 2 juillet se traduirait mathématiquement par un pic de 2e doses fin juillet ?

En tous les cas, ceci confirme que le battage médiatique que nous avons subi depuis l’allocution du Président en juillet sur le « succès total » de la mesure est un des plus grands « fake » que nous ayons connus depuis le début de la crise du Covid.

Les personnes qui se sont précipitées suite à l’annonce ne sont, pour une écrasante majorité, que des personnes qui devaient faire leur deuxième dose.

De l’art de camoufler un échec total et de le présenter comme un succès !

Alain Tortosa.

10 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210910-echec-chantage-vaccinal.pdf




« Merci M Estrosi d’être présent pour défendre la sécurité et les valeurs de notre belle démocratie. » — « Vive le label “personnel vacciné” pour les commerçants de Nice. »

Par Alain Tortosa

Cher M Estrosi,

J’ai appris que vous aviez eu le « courage et l’intelligence » de créer le label « personnel vacciné » pour les commerçants de votre belle ville de Nice où il fait bon vivre.

Je ne suis pas du genre sensible, croyez bien, mais à cette annonce, je n’ai pu retenir une larme à l’œil, devant l’humanité de votre décision.

Je suis un de vos fidèles admirateurs, abonné à votre page Facebook et je me souviens avec nostalgie lorsqu’au mois d’avril vous diffusiez dans les haut-parleurs de la ville des annonces pour faire respecter les gestes barrières et ainsi lutter contre le « fléau ».

Mais tout ceci n’était rien face à votre idée géniale de « label ».

« Enfin un homme politique qui pense à protéger aussi bien les personnels des commerces que les clients et qui n’hésite pas à retrousser ses manches ! »

J’espère que tous les maires de France auront le courage et l’intelligence de suivre votre initiative.

Grâce à vous, lorsque je me rendrai à Nice, je pourrai rentrer dans un commerce qui affiche le « label » et bien entendu, boycotter tous les commerçants dénués de sens civique ou moral qui ne l’affichent pas.

Nous vivons une période à la fois dramatique où des adultes font preuve d’un égoïsme écœurant en ne se vaccinant pas et en ne vaccinant pas leurs enfants, quand bien même ceux-ci ne seraient absolument pas concernés par le Covid…

… mais nous voyons aussi beaucoup d’amour, de solidarité… ces millions de Français qui portent un masque et se vaccinent, absolument pas par peur, absolument pas par égoïsme, mais dans l’unique but de protéger leur famille, leur voisin ou quiconque.

Plus encore tous ces Français vaccinés « solidairement » se battent pour que les non-vaccinés se vaccinent, non pas parce qu’ils auraient peur… En effet comment une personne vaccinée avec un vaccin « efficace » pourrait-elle avoir peur d’un non-vacciné ?

Convenez qu’il faudrait être particulièrement stupide. Et c’est là où je rejoins totalement votre démarche altruiste…

Vous-mêmes et les commerçants qui adhèrent à votre label agissez de la sorte uniquement pour protéger les non-vaccinés qui ne peuvent que vivre dans la peur de se retrouver en réanimation ou pire…

En fait vous êtes « BON ». Depuis le début de mon texte, je cherchais le mot juste qui vous qualifie le plus et c’est le mot « bon » !

Vous auriez même pris le risque inouï de vous traiter à l’hydroxychloroquine lorsque vous avez été malade et avez bien compris qu’il fallait protéger les Français et aller vers le tout vaccin !

Certains aigris jaloux osent dire que vous prendriez toutes ces mesures courageuses qui vont bien au-delà de la loi, pour des raisons électoralistes, et même devenir Premier ministre de M. Macron lors du prochain quinquennat.

Mais que les gens sont petits et mesquins à imaginer que vous ne feriez ceci que par opportunisme…

Ces mêmes petites gens vont jusqu’à oser dire que votre « label » introduirait une forme de discrimination entre les Français et violerait le secret médical.

Je reste sans voix, je ne les comprends plus. Croyez-bien que je n’ai qu’amour pour mon prochain, comme vous, mais là je n’arrive pas à les comprendre.

Mais quand on fait quelque chose de bien, pourquoi devrions-nous le cacher ?

Si demain je donne à une association, pourquoi devrais-je cacher mon geste généreux ?

C’est exactement la même chose pour ce « label du cœur », car c’est ainsi qu’il faudrait le nommer.

Tous les personnels qui sont vaccinés peuvent être fiers de leur geste de solidarité, fiers de s’être vaccinés pour protéger les autres et fiers de l’afficher en devanture !

Il faudrait même organiser une tombola pour récompenser les Niçois. Je verrais bien une fête avec 50 000 personnes aux arènes de Cimiez, bien sûr toutes vaccinées… car un bon test PCR ne remplace pas une vaccination « efficace »…

Je salue donc votre héroïsme, mais je regrette que vous n’alliez pas plus loin…

Le Covid est bien entendu le pire fléau qu’ait connu la planète depuis plusieurs dizaines d’années, mais il ne faudrait pas oublier que notre santé est menacée par de très nombreuses maladies.

Il existe des maladies mortelles dont certaines peuvent se transmettre par voie aérienne, la salive, etc.

Il me semblerait juste et efficace que les commerçants qui affichent votre merveilleux « label » puissent garantir au public que leur personnel n’a pas de :

  • VIH.
  • Hépatite A, B ou C.
  • Méningite, tuberculose, gale, etc.

Il faudrait afficher les résultats d’examens médicaux de tous les personnels et s’ils sont piqués pour tous les vaccins commercialisés.

Ne pouvant garantir l’hygiène des mains des personnels qui peuvent se les mettre un peu partout, le résultat d’un frottis vaginal ou d’un toucher rectal de moins de 15 jours serait la moindre des choses.

Dès lors que l’on interdit à un chauffard ivre de conduire, pourquoi certaines personnes auraient-elles le droit de menacer notre sécurité dans les magasins et dans la rue ?

Je vous rappelle que le bien le plus précieux que la civilisation puisse nous apporter est la « sécurité » et que cela doit passer bien après des prétendues « libertés ». L’interdit c’est la liberté !

Il faudrait donc aussi que soit affiché le casier judiciaire de tous, ainsi que la liste des précédentes condamnations, mais aussi mises en examen.

Encore que pour ma dernière proposition, je ne suis pas certain que vous l’approuviez à titre personnel.

Et que dire des préférences sexuelles ? Personnellement je n’aimerais pas que mes enfants puissent pénétrer dans des boutiques dans lesquelles une partie du personnel serait déviant, voire même à préférences pédophiles.

Nous voyons bien que le chantier est immense pour faire des commerces et des rues des lieux « sains » et je vous remercie grandement d’apporter votre première pierre à l’édifice, mais quelle pierre !

Le dernier point le plus réjouissant pour moi est de savoir que des lecteurs prendront mon texte au premier degré et que certains approuveront massivement mes « propositions ».

Alain Tortosa

9 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210909-label-personnel-vaccine-nice.pdf




Fête de Wallonie… « non merci! »

[Source : Kairos (kairospresse.be)]

[Photo : Les Fêtes de Wallonie à Namur en 2019 – Belga]

Marie-Rose Cavalier-Bohon, ancienne membre du Parlement de Wallonie, a partagé avec nous ce courrier qu’elle a envoyé aux président du Parlement wallon, des Membres du Bureau et du Ministre Président du Gouvernement de Wallonie, ainsi qu’aux différents députés. Elle y explique pourquoi elle refuse leur invitation à la cérémonie officielle des Fêtes de Wallonie en cette année 2021.

Mesdames Jacqueline Galant, Sophie Pécriaux, Sybille de Coster-Bauchau, Messieurs J‑Claude Marcourt, Manu Disabato, et au Ministre Président du Gouvernement ; Mer Elio Di Rupo.

Chères Mesdames et Chers Messieurs les Députés,

Comme ex-parlementaire wallonne, c’est toujours un plaisir pour moi de recevoir une invitation venant d’une Assemblée importante en termes de choix politiques pour notre Région .

Assemblée pour laquelle j’ai tenté de donner le meilleur au travers des compétences qui m’étaient attribuées, car son rôle de relais entre l’U.E, le Fédéral, les entités fédérées et sa tutelle sur les Communes, est déterminant.

L’invitation de ce jour, me laisse plus que perplexe.

En effet, pour assister à cette cérémonie, aux propositions ou bilans politiques des uns et des autres, qui sont pour moi indispensables dans la compréhension des mesures prise en fonction de l’intérêt général, je dois nécessairement présenter « un certificat Covid numérique de l’UE » !!!!

Curieuse, j’ai donc lu les étapes de ce certificat indispensable pour recouvrer la possibilité de voyager et ….plus simplement, d’assister, à quelques km de chez moi, à la mise en valeur de l’Assemblée régionale (https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_21_2593)

Suite à cette lecture, j’en déduis qu’à chacun de mes déplacements, même pour vous entendre,  je dois quand même présenter :

– soit une vaccination complète ( très mal nommée me semble-t-il, puisqu’il s’agit d’une thérapie génique qui a obtenu une autorisation de mise sur le marché » PROVISOIRE, mais que l’on promotionne à tout va !) ,

– un test PCR( remis au goût du jour sans arrêt, dont les trop nombreux cycles d’analyse (dixit Mer Van Laethem) montrent tout et n’importe quoi, …mais ils sont quand même utilisés pour la poursuite des mesures prises suite à « ladite pandémie » !),

– un certificat médical qui atteste ma guérison, tout ceci, de manière à correspondre aux diktats sanitaires et validés par les Assemblées politiques.

Ces diktats sont pour moi, tout à fait disproportionnés, voire mensongers, puisque pour voyager aujourd’hui, même « vacciné » , de nouveaux tests sont exigés et doivent être négatifs. 

A ce sujet, j’ai sans doute mal lu « la loi pandémie » …serait-elle la base de l’application de ce certificat de traçage national ou non ?

Comme en France, cette application est-elle décidée ?

Merci de m’éclairer à ce sujet.

Mesdames , Messieurs les Députés, je dois vous dire que cette invitation « sous conditions » me met mal à l’aise , j’espère aussi que je ne suis pas la seule !!!

Il me faut donc, pour pouvoir fêter notre Région, pour pouvoir vous entendre, vous présenter officiellement le fait que je ne suis pas malade. Ces conditions dépassent mon entendement !

Juste une question encore : allez-vous persister dans cette fuite en avant, vers un monde de surveillance à tout crin , de contrôle partout, même au sein des Assemblées dites démocratiques et citoyennes ?

J’ai juste l’impression en vivant ces difficultés qualifiées de « sanitaires », portées fièrement par les autorités politiques, de vivre un cauchemar !

C’est la raison pour laquelle, ce 18 septembre, lors des Fêtes de Wallonie et jour de mon anniversaire, je ne pourrai pas vous rejoindre pour les raisons invoquées et je le regrette.

Comme dit le Président Macron , « le jour d’après ne sera pas le jour d’avant » !!!!Vous portez ces choix politiques de manière, me semble-t-il, avec obéissance et irresponsabilité. Dommage !

Une toute dernière remarque ; l’Assemblée wallonne fut pour moi, magique de « pouvoir, de savoir, d’espoir ».

Bien à vous

M‑R Cavalier

Deux pièces jointes si vous avez du temps …et si cela vous intéresse.

Bientôt un identifiant numérique pour tous ? | Les Echos 
Entreprises, institutions internationales et ONG rêvent d’un système mondial permettant d’authentifier l’identité de n’importe qui, n’importe où. 
www.lesechos.fr

Scoop : qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le passe sanitaire ? – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)
Mais en quoi le Great Reset a‑t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations. 
lecourrierdesstrateges.fr




La 25e heure et la prophétie de notre extermination technique

Par Nicolas Bonnal

[Article initialement publié notamment sur reseauinternational.net]

La vingt-cinquième heure ? C’est selon Virgil Gheorgiu : « Le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien. »

Nous y sommes, car nous avons devant nous une conspiration avec des moyens techniques et financiers formidables, une conspiration formée exclusivement de victimes et de bourreaux volontaires. On a vu les bras croisés le cauchemar s’asseoir depuis la mondialisation des années 90 et la lutte contre le terrorisme, puis progresser cette année à une vitesse prodigieuse, cauchemar que rien n’interrompt en cette Noël de pleine apostasie catholique romaine. La dégoûtante involution du Vatican s’est faite dans la totale indifférence du troupeau de nos bourgeois cathos, et on comprend ce qui pouvait motiver Drumont, Bloy ou Bernanos contre une telle engeance de bien-pensants. Un pour cent ou un pour mille de résistants ? Le reste s’est assis masqué et a applaudi.

La situation est pire que sous le nazisme ou le communisme, car à cette époque elle était localisée. Il y a des Thomas Mann, il y a des Soljenitsyne pour témoigner, pour tonner contre, comme dit Flaubert. Là, la situation techno-nazie de Schwab et consorts est et sera globale. La crise du virus a déclenché une solution totalitaire planétaire et des expédients ubiquitaires et démentiels. Certes c’est surtout l’occident la cible, et cette vieille race blanche toujours plus gâteuse, que je mettais en garde il y a dix (Lettre ouverte) ou trente ans (La Nuit du lemming). Mais c’est le propre des Cassandre de n’être jamais crus ou des Laocoon d’être étouffés par les serpents. Lisez dans Virgile l’entrée du cheval dans la cité de Troie pour comprendre. Après la mort de Laocoon, le peuple troyen enjoué abat les murs et laisse entrer la machine pleine de guerriers. Allez, un peu de latin :

Diuidimus muros et moenia pandimus urbis. [Nous divisons les murs et ouvrons les murs de la ville. ]

Nous sommes donc à la veille d’une gigantesque extermination et d’un total arraisonnement. Et tout cela se passe facilement et posément, devant les yeux des victimes consentantes ou indifférentes que nous sommes. Nous payons ici l’addition de la technique et de notre soumission. De Chateaubriand à Heidegger elle a été rappelée par tous les penseurs (voyez mes chroniques). C’est cette dépendance monotone qui nous rend incapables de nous défendre contre les jobards de l’économie et de l’administration qui aujourd’hui veulent faire de leur troupeau humain le bifteck de Soleil vert ou les esclaves en laisse électronique. Et le troupeau est volontaire, enthousiaste comme disait Céline avant juin 40.

Chateaubriand dans ses Mémoires :

« Au milieu de cela, remarquez une contradiction phénoménale : l’état matériel s’améliore, le progrès intellectuel s’accroît, et les nations au lieu de profiter s’amoindrissent : d’où vient cette contradiction ?
C’est que nous avons perdu dans l’ordre moral. En tout temps il y a eu des crimes ; mais ils n’étaient point commis de sang−froid, comme ils le sont de nos jours, en raison de la perte du sentiment religieux. À cette heure ils ne révoltent plus, ils paraissent une conséquence de la marche du temps ; si on les jugeait autrefois d’une manière différente, c’est qu’on n’était pas encore, ainsi qu’on l’ose affirmer, assez avancé dans la connaissance de l’homme ; on les analyse actuellement ; on les éprouve au creuset, afin de voir ce qu’on peut en tirer d’utile, comme la chimie trouve des ingrédients dans les voiries. »

Voilà pourquoi les parlements et les administrations ne seront arrêtés par rien. Et le troupeau renâclera peut-être trois minutes, mais il se soumettra comme les autres fois sauf qu’ici ce sera global et simultané. Quant aux minorités rebelles (1 % tout au plus) le moins que l’on puisse dire c’est qu’elles ne sont pas très agissantes…

Dans la vingt-cinquième heure, Virgil Gheorghiu dénonce avec son personnage Trajan notre déchéance liée au progrès, au confort, à la technique, à la bureaucratie, ce qu’on voudra. Et cela donne :

« Nous apprenons les lois et la manière de parler de nos esclaves pour mieux les diriger. Et ainsi, peu à peu, sans même nous rendre compte, nous renonçons à nos qualités humaines, à nos lois propres. Nous nous déshumanisons, nous adoptons le style de vie de nos esclaves techniques… »

Cela explique pourquoi l’homme moderne fils des droits constitués et pas gagnés se laisse liquider partout si commodément.

« L’homme moderne sait que lui-même et ses semblables sont des éléments qu’on peut remplacer. »

Celui qui ne veut pas de leur ordre nouveau sera liquidé ou marginalisé (pas de restau, de magasin, de transport, d’eau, d’électricité). Georghiu, futur prêtre orthodoxe, le dit :

« Ceux qui ne respectent pas les lois de la machine, promue au rang des lois sociales, sont punis. L’être humain qui vit en minorité devient, le temps aidant, une minorité prolétaire. »

L’humain déshumanisé, Gheorghiu l’appelle le citoyen technique :

« Les esclaves techniques gagneront la guerre. Ils s’émanciperont et viendront les citoyens techniques de notre société. Et nous, les êtres humains, nous deviendrons les prolétaires d’une société organisée selon les besoins et la culture de la majorité des citoyens, c’est-à-dire des citoyens techniques. »

Et comme Chateaubriand, Gheorghiu rappelle :

« Dans la société contemporaine, le sacrifice humain n’est même plus digne d’être mentionné. Il est banal. Et la vie humaine n’a de valeur qu’en tant que source d’énergie. »

Et de conclure moins lugubre que visionnaire :

« Nous périrons donc enchaînés par les esclaves techniques. Mon roman sera le livre de cet épilogue… Il s’appellera la vingt-cinquième heure. Le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien. Ce n’est pas la dernière heure : c’est une heure après la dernière heure. Le temps précis de la société occidentale. C’est l’heure actuelle, l’heure exacte. »

Je dis moins lugubre que visionnaire, car il est temps de voir et de dire que tout cela est au final scientifique et juste, comme disait l’orthodoxe Vladimir Volkoff. Volkoff disait que le bolchévique c’est celui qui en veut plus, idéaliste, progressiste, banquier central, militaire ou agent secret ou même journaliste. Le troupeau c’est celui qui n’y croit pas ou ricane et de toute manière se soumet. C’est celui qui en veut moins. C’est le troupeau des Troyens euphoriques.

Virgil Gheorghiu – La vingt-cinquième heure


[Ndlr : pour terminer sur une note moins pessimiste,
voir La clef de la libération
ou encore L’avenir se crée maintenant]




Prise de contrôle du mouvement anti-pass sanitaire français

[Source : voltairenet.org]

Les manifestations contre les « pass sanitaires » se multiplient en Europe. Il s’agit de s’opposer à une discrimination entre les citoyens selon leur état de santé.

À Paris, deux manifestations concurrentes auront lieu, ce 11 septembre 2021. L’une est organisée par Floriant Philippot, un républicain ayant débuté à gauche au Mouvement des citoyens de Jean-Pierre Chevènement puis étant passé à droite au Front national de Marine Le Pen. L’autre par Jérôme Rodriguez, un Gilet jaune qui fut éborgné en janvier 2019 par la police durant une manifestation et qui eut la chance d’être indemnisé le 11 mars dernier.

La première manifestation entend promouvoir la souveraineté française. La seconde ambitionne de réunir tous les opposants au président Emmanuel Macron.

Or, les affiches diffusées par Jérôme Rodriguez sont ornées d’un poing levé. Pas n’importe quel poing levé : le logo déposé de Black Lives Matter, l’organisation racialiste états-unienne. C’est aussi le logo de toutes révolution colorées organisées par la National Endowment for Democracy[1] et les hommes de Gene Sharp[2] depuis trente ans.

À n’en pas douter, le mouvement de Jérôme Rodriguez va bientôt dégénérer et emporter avec lui une partie des opposants au président Macron pour le plus grand bénéfice de ce dernier.


[1] « La NED, vitrine légale de la CIA », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie) , Réseau Voltaire, 6 octobre 2010.

[2] « L’Albert Einstein Institution : la non-violence version CIA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 juin 2007.




Quand Bruno Toussaint (BFMTV) s’habille en Pravda

Par Lucien Samir Oulahbib

Lors d’un entretien avec Didier Raoult, ce sire sournois ([Bruno Toussaint] cachant hypocritement ses serres fallacieuses sous une physionomie bonhomme) a insisté, lourdement, (et à deux reprises) pour proposer, littéralement, à Raoult de s’associer à son attaque en dessous de la ceinture envers cette tribune de FranceSoir (qui fait décidément réagir puisqu’elle appuie là où cela fait mal) en lui demandant de lui retirer officiellement son soutien (Raoult l’ayant relayée via « tweeter »). Cette insistance sourde, ce chantage tout en filigrane dévoile la réalité sordide de « notre » gabegie politico-hygiéniste (dans sa faction franco-française) que les Toussaint et Cie veulent à tout prix masquer, entraînant alors dans leur chute aujourd’hui si visible y compris ceux qui ont été les premiers à vouloir l’empêcher, tel Didier Raoult.

Or, lorsqu’il a été question lors de cet « entretien » (cet interrogatoire plutôt) de cet énorme scandale, si mortifère, que fut le LancetGateToussaint l’écarte d’un revers de main et à plusieurs reprises, alors que ce fait crucial fut un élément pivot fondamental de l’impasse sanitaire actuelle que lui rappelle pourtant Raoult lorsqu’il compare la tribune controversée de FranceSoir, somme toute liée à la liberté d’exposer les faits comme on l’entend, à la monstruosité encore impensée que fut cette manipulation gravissime opérée par le LancetGate. Rien n’y fait pourtant. Toussaint regarde en l’air, puis s’obstine à revenir sur FranceSoir qu’il traite bien sûr de « complotiste », faute de mieux, etc., sans avancer l’ombre d’une preuve, ce qui est de la diffamation à l’État PUR (et le directeur de FranceSoir devrait en tirer toutes les conséquences idoines…).

Car le LancetGate a empêché, littéralement, la mise en place de traitements précoces (du moins en Occident) qui auraient sauvé des dizaines, voire des centaines, de milliers de viespuisque toutes les expérimentations furent arrêtées et jamais reprises, ou alors en suivant un mauvais protocole. Voilà ce qui, semble-t-il, EST grave, voire criminel, et non pas une tournure de phrase telle que « la Veuve s’impatiente » qui indique seulement que la Justice doit en effet passer, ce qui peut seulement troubler ceux qui se sentent de plus en plus coupables (du fait des piètres résultats actuels, y compris aux Antilles, et du manque crucial de lits, sans oublier la raréfaction de stocks d’ivermectine toujours « déconseillée » malgré des dizaines d’études favorables). Ce qui fait que ces irresponsables commencent déjà à sentir sur leur cou coupable le souffle, sinon du couperet, du moins du Glaive de la Justice. Et « Le glaive de la justice n’a pas de fourreau ».




La Suisse défigurée

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

L’impensable s’est produit : dans une décision qu’absolument rien ne justifie (nous le verrons plus bas) en termes de santé publique, le Conseil fédéral vient à son tour d’imposer un pass sécuritaire (et en aucun cas sanitaire) violant la Constitution ainsi que les fondements de notre démocratie et de notre état de droit.

Instaurant un véritable apartheid sur la base de la soumission à une injonction vaccinale scientifiquement et éthiquement indéfendable, le gouvernement suisse, à la suite de nombreux autres, emporte avec lui sa population dans une fuite en avant vers un univers orwellien fait de contrôle social, de soumission à l’autorité, de stigmatisation et de discrimination massive des citoyens faisant usage de leur liberté de conscience et de leurs droits fondamentaux dès lors qu’ils osent s’opposer aux dogmes gouvernementaux.

Reprenons les choses dans le bon ordre : le pass dit sanitaire est en réalité inutile face à l’épidémie, comme le résume sans ambiguïté un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Martin Kulldorf de la Harvard Medical School, dans une formule lapidaire : « Les dernière données scientifiques démolissent les arguments en faveur des pass vaccinaux » (à lire ici).

Le pass sanitaire non seulement ne sert à rien pour juguler la circulation du Sars-CoV-2, mais il est en outre injuste, antisocial, discriminatoire et non-éthique.

Qualifiant la gestion de l’épidémie par nos pays de « fiasco de santé publique », le Pr Kulldorff rappelle que « la réponse à la pandémie a été vraiment horrible et est allée à l’encontre des principes de base de la santé publique que nous suivons depuis de nombreuses décennies. »

Les citoyens sont désormais pris dans une « double-contrainte » perverse faisant croire que nous aurions le choix entre la vaccination généralisée et les confinements à répétition. Cette doxa, assénée en continu depuis 18 mois par les gouvernements, des « autorités de santé » arrosées par les firmes pharmaceutiques et une presse subventionnée interdisant désormais tout débat digne de ce nom, est purement et simplement fausse.

Certes, il se trouve des sectateurs zélés pour l’affirmer en abusant de leur crédibilité institutionnelle. Seulement voilà : ce n’est pas juste que le Pr Kulldorff tiendrait des thèses bizarres dans son coin. Un nombre impressionnant d’épidémiologistes les plus renommés, travaillant au sein des meilleures facultés de médecine, essayent désespérément de faire entendre ce message depuis une année.

Le parti-pris de nos gouvernements d’imposer des confinements qui créent des dégâts majeurs sans permettre de se protéger de la circulation du virus, l’imposition de mesures absurdes et vexatoires comme le port du masque (inutile face aux virus), et maintenant la coercition (directe ou indirecte) exercée pour pousser la population à se faire vacciner sont rien de moins que des abominations en termes de santé publique. Des initiatives absurdes, contraires à toute la science accumulée au long des dernières décennies, et qui sapent (à juste titre) la confiance de la population.

Elles sont de surcroît profondément antisociales puisqu’elles privilégient les classes sociales qui peuvent travailler à domicile et jouissent de bons salaires alors qu’elles font s’abattre un vent de désolation sur les groupes précaires ou démunis de la population.

Elles maltraitent, abusent et traumatisent les groupes les plus vulnérables mais aussi la population dans son entier sans le moindre bénéfice sanitaire, si l’on s’en tient à ce que montre la science.

Alors ?

Alors il faudra bien que les naïfs et les crédules (notamment dans nos affligeants parlements) commencent à entendre que si nos gouvernements infligent cette maltraitance et ces dégâts à la population, c’est bien parce qu’ils poursuivent un autre agenda.

Le premier est évident : en exigeant par exemple que les personnes immunisées suite à une infection au Sars-CoV-2 reçoivent malgré tout une dose de « vaccin génique » pour avoir droit au pass dit sanitaire, les autorités prouvent si besoin était qu’elles servent bel et bien les intérêts des firmes pharmaco-vaccinales et non la protection de la santé de la population. Comme avec toutes les maladies infectieuses, l’immunité naturelle (rayée de ses définitions par l’OMS !) est de loin la plus puissante et la plus durable. Un vaccin supplémentaire n’apporte aucun bénéfice autre que pour le trésor des pharmas. L’exiger est une hérésie, certes pas perdue pour tout le monde.

Mais il y a sans doute beaucoup plus que cela. En conclusion des investigations de son comité d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich rappelle que depuis le début, cette crise n’a rien de sanitaire. Elle est avant tout économique et probablement financière : les états (à l’exception frappante de la Suisse !) sont aujourd’hui endettés au-delà de leur capacité de remboursement et avec des fonds de pension en quasi-faillite. Le « Great Reset » abondamment invoqué (allant de pair avec l’imposition d’un système de surveillance numérique des individus « à la chinoise ») viserait à ponctionner l’épargne des particuliers, opération requérant un prétexte impérieux.

Ces questions sont trop éloignées de mon domaine d’expertise pour que j’ose m’y aventurer. A d’autres, qui en ont les compétences, de continuer à le faire. Par contre, je ne vois aucune raison au monde qui puisse expliquer rationnellement à partir de la situation sanitaire la décision honteuse du Conseil fédéral d’instaurer cet apartheid inutile, injuste et immoral, alors que la situation épidémique est actuellement calme et maîtrisées dans notre pays.

Sachant que si elle devait par malheur se péjorer, le pass sécuritaire n’aiderait de toute manière en rien.

Trahison

Nous sommes donc devant une véritable trahison. Trahison de notre identité nationale. Trahisons des intérêts du peuple – que nos Conseillers fédéraux ont fait le serment de servir,  de protéger et de défendre. Trahison de nos valeurs, de nos us et coutumes, de notre génie qui a permis au cours des siècles à des groupes diversifiés de cohabiter et de collaborer sans que les minorités se retrouvent écrasées sous le joug des majorités.

Ces temps sont désormais révolus. Pour puiser dans ce bel et grand imaginaire patriotique, notre pays est né de ce que des communautés rurales des vallées alpines ont refusé de se soumettre à la brutalité et à l’arbitraire de puissances étrangères. Elles se sont battues pour être maîtres chez elles, décider de leur destin en leur âme et conscience, élire leurs propres juges, cultiver leurs valeurs dans le respect envers la Création tout entière.

Je l’avais souligné lors d’une conférence de presse à Berne au printemps (censurée sur YouTube en dépit que tout ce que j’y avançais était documenté) : le mât dressé par un bailli étranger sur la place centrale d’Altdorf, au sommet duquel était placé le chapeau de l’Empereur et devant lequel tout citoyen était forcé à s’agenouiller est désormais celui dressé par notre propre gouvernement.

Guillaume Tell passant par-là refusa de se prosterner devant cette idole. Rudoyé par les gardes, il affirma fièrement qu’il ne s’agenouillait que devant Dieu.

On peut bien sûr faire de cette légende une question religieuse. Ou choisir une lecture symbolique, et donc universelle. « On ne peut servir en même temps Dieu et Mammon » dira Celui devant qui Tell acceptait de s’agenouiller selon ses convictions religieuses. Ce qui veut dire bien sûr : « vous ne pouvez servir en même temps l’intérêt commun, la cause de notre humanité, et les intérêts privilégiés de quelques-uns ».

Nos autorités politiques, tout comme les autorités scientifiques, médicales et médiatiques hélas, se révèlent brutalement prostituées à d’autres intérêts que celui souverain de la population. Elles se rendent coupables, je l’avais indiqué au printemps, ni plus ni moins que de haute trahison.

Dans une salutaire prise de conscience, le Conseiller fédéral Ueli Maurer partageait il y a quelques jours ses doutes sur le pass autoritaire, soulignant qu’il allait dans le sens d’une soumission des citoyens à l’état profondément contraire à nos us et coutumes ainsi qu’à nos valeurs.

Malgré le travail de propagande honteux des médias pour faire passer ceux qui se réfèrent encore à la science non-prostituée pour des « complotistes » des « antivaxx » ou des « imposteurs », il faut croire -parce que notre devenir en dépend- que le rude bon sens de nos aïeux, préservé sur la haute crête des cimes, saura voir la nature de ce nouvel ennemi, un ennemi de l’intérieur vendu à des intérêts extérieurs, et lui réserver le sort qu’il mérite.

Tout ce que j’avance ici est évidemment à nouveau documenté.

J’invite ainsi toute personne ayant des doutes ou voulant en avoir le cœur net à lire les deux articles -re-publiés ici et ici– présentant les analyses du Pr Kulldorff. Une objection que j’entends souvent est en effet : « mais, si vous aviez raison, pourquoi nos professeurs des hôpitaux disent-ils le contraire ? »

Objection valide !

En lisant les propos de Martin Kulldorff, ils découvriront comment les meilleurs épidémiologistes au monde, travaillant dans les meilleures universités, se sont vus combattre, censurer et même calomnier parce qu’ils rappelaient simplement l’état de la science et la réalité des connaissances en santé publique.

Ce qui pose de vraies questions !

  • Quand Kulldorff dit que la gestion mondiale du Covid est un fiasco horrible et sans précédent alors que Didier Pittet nous explique qu’on a à peu près tout bien fait, grâce à lui notamment, et qu’il a même trouvé plutôt réussie la gestion désastreuse du gouvernement français…
  • Quand Samia Hurst, vice-présidente de la Task Force affirme que si on n’avait pas imposé de confinements, il y aurait eu des dizaines de milliers de morts en plus alors que John Ioannidis, l’épidémiologiste le plus cité au monde, conclut de ses recherches que les confinements n’ont pas montré d’utilité avérée…
  • Quand le Pr Pollard (du Groupe vaccinal d’Oxford) explique à la mi-août qu’à la lumière des dernières données sur l’efficacité vaccinale, l’objectif d’une immunité vaccinale est un mirage, et que Didier Pittet et Mauro Poggia viennent sur le plateau de la RTS trois semaines plus tard affirmer avec arrogance le contraire…
  • Quand Antoine Flahaut réclame le masquage et la vaccination forcée des enfants alors que le Pr Kulldorff montre que ces deux mesures sont injustifiées, inutiles et non-éthiques…
  • Quand la Conférence des directeurs cantonaux de la santé ne cesse de demander des mesures de plus en plus coercitives et abusives alors que les meilleurs épidémiologistes réclament depuis des mois qu’on laisse vivre le plus normalement possible la société dans son ensemble tout en protégeant diligemment les groupes à risque, ce qui correspond à ce qu’on a toujours su devoir faire et qui était prévu dans TOUS les plans pandémie nationaux…

Eh bien oui, on a alors bel et bien un problème. Des points de vue aussi contradictoires ne peuvent être vrais simultanément.

Si les Suisses en avaient eu le courage, nous aurions créé une Commission d’enquête, honnête et indépendante, sur les mesures dites sanitaires depuis longtemps. Soit, nous en avons alors manqué.

Il est heureusement encore temps de nous souvenir de l’ouverture magistrale de notre Constitution et de mettre hors d’état de nuire (par tous les moyens légaux) ceux qui cherchent ni plus ni moins qu’à la détruire :

(…)

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance
pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités
dans le respect de l’autre et l’équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution que voici : …

J’ai mal à ma Suisse aujourd’hui, comme tant d’autres de mes compatriotes. Une Suisse actuellement trahie, bafouée, violentée, défigurée par ses autorités et son gouvernement.

Tous ceux qui participent à cette dérive scandaleuse feraient bien s’y réfléchir à deux fois.

Nous leur ferons échec.




Canada : face à la polémique, les cérémonies de destruction de livres jugés racistes suspendues

[Source : RT en français]

[Illustration : © Chris HELGREN Source: Reuters]

[Ndlr :

«Là où l’on brûle les livres, on finit aussi par brûler des hommes».

L’avertissement de Heinrich Heine prononcé il y a près de deux cent ans est aujourd’hui gravé sur une plaque près du monument souterrain érigé à Berlin en souvenir des auteurs de tous les livres brûlés lors du gigantesque autodafé nazi en 1933. Empêcher les mots et les images de circuler, c’est encore et encore tenter d’assassiner la liberté. L’obscurantisme, l’extrémisme, le totalitarisme, le fondamentalisme et l’indigénisme font le lit de la tyrannie. La preuve par le CSCP en Ontario. Jusqu’à quand, le ventre sera-t-il toujours fécond, d’où a surgi la bête immonde ?]

Un groupe scolaire francophone de l’Ontario a annoncé avoir amendé son projet polémique visant à retirer des écoles et brûler des livres jugés offensants pour les populations autochtones.

À la suite de la controverse liée à la décision d’écoles de la province de l’Ontario de procéder à la destruction de milliers de livres qualifiés de néfastes pour les populations autochtones, le Conseil scolaire catholique Providence (CSCP) annonce la révision de son processus de retrait d’ouvrages et la suspension de son projet de cérémonies dans lesquels les livres concernés sont brûlés. 

Selon Radio Canada, près de 200 livres dont le contenu était encore à évaluer échappent – pour le moment – à une éventuelle destruction. Parmi eux se trouvent des albums de Tintin (L’Oreille cassée, Tintin et les Picaros), huit BD de Lucky Luke et un livre issu du film Avatar.

Les révélations de Radio Canada selon lesquelles la «gardienne du savoir» autochtone qui a accompagné le CSCP – une commission scolaire francophone regroupant 23 écoles primaires et 7 écoles secondaires – n’était en fait pas amérindienne aurait accéléré cette décision. La porte-parole du CSCP, Lyne Cosette, s’est exprimé sur la situation en ces termes : «Nous sommes profondément troublés et inquiets», écrit la porte-parole du CSC Providence, Lyne Cossette. «Nous avions la certitude que Suzy Kies était de descendance autochtone […] Nous nous étions fiés à sa parole […] Ces révélations nous poussent à entreprendre une nouvelle réflexion sur notre processus de refonte. En ce sens, nous mettons sous révision notre processus et mettons sur pause l’ensemble du projet Redonnons à Mère Terre.»

Une «purification par la flamme» lors de «cérémonies de réconciliation»

Le projet Redonnons à Mère Terre consistait à organiser dans les école une «cérémonie de réconciliation» lors de laquelle une trentaine de livres seraient brûlés – Suzy Kies aurait évoqué une «purification par la flamme», toujours selon le média canadien – et leurs cendres utilisées comme engrais pour planter un arbre. Une seule de ces cérémonies a pour le moment eu lieu, en 2019, les autres avaient été reportées en raison de la pandémie de Covid-19.

Le 7 septembre, Radio-Canada avait rapporté que plus de 4 000 livres avaient été retirés des bibliothèques du CSCP. «Au total 4 716 livres ont été retirés des bibliothèques du conseil scolaire, dans 30 écoles, soit une moyenne de 157 livres par école […] Ils ont été jetés, certains brûlés et enterrés», a relaté la radio canadienne, qui évoquait «une grande épuration littéraire» et selon qui l’objectif visé serait celui d’«une réconciliation avec les Premières Nations».

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/90463-canada-face-polemique-ceremonies-destruction-de-livres-juges-racistes-suspendus




Morandini et les GG contre FranceSoir ou le degré obtus de l’autosuffisance

Par Lucien Samir Oulahbib

En interviewant (tant qu’à faire sans doute) le directeur de FranceSoir, Xavier Azalbert, à propos d’un article provocant (mais pour la bonne cause aux dires d’Azalbert) Morandini d’un côté et les GG de l’autre ont atteint un sommet dans l’autosuffisance, l’ignorance et la mauvaise foi, se nourrissant cependant l’une l’autre grâce à ces zestes d’idées reçues assénées sans détour comme si cela allait de soi (« le consensus scientifique autour des vaccins », les « traitements précoces ne marchent pas », etc., etc.). Ils ne sont certes pas les seuls.

Leur prétention, si méprisante à entendre, et leur ton exaspérant de suffisance sont cependant ahurissants (les regards condescendants de Truchot et de Morandini en disant long) et résument en fait l’état général (moribond voire à l’état terminal) d’un journalisme de plus en plus écervelé, réduit à (s’)exciter par quelques « pics » d’audience et leurs saccades en cascade, le tout s’abaissant souvent au niveau du caniveau (« donnez le nom du médecin en appelant ainsi à la Veuve !!! », « Êtes-vous vacciné ? ») tant les faits sont piétinés (ce médecin n’est pas un « lâche » comme le prétend Truchot puisqu’il peut être condamné par son Ordre s’il admet soigner pas-comme-il-faut) et les mensonges, assénés sans vergogne, sont débités façon mitraille. Ne serait-ce le fait d’oser dire de façon ironique que si l’on est bien arrivé à soigner avec de l’aspirine alors à quoi bon les traitements précoces (dixit le médecin lié à Morandini, reprenant indirectement d’ailleurs des propos anciens de Christine Lacombe dès mars 2020 sur le caractère étrange de cette maladie qui voit « 80 % » de rémission au bout de quelques jours), alors que Raoult et d’autres prévenaient bien que pour certaines d’entre-elles, des séquelles pouvaient émerger et affaiblir sur le long terme les corps si ces derniers n’avaient pas été soignés bien en amont et que c’était très précisément pour cela qu’il fallait soigner absolument tout de suite afin d’éviter des complications pouvant surgir sur le tard concernant des personnes fragiles, et ce avec succès comme l’a indiquée cette députée d’Andorre, Karine Montaner, lors du dernier Conseil Scientifique Indépendant (09/09/21).

Quant au dit « consensus scientifique », rappelons cette banalité : l’analyse dite scientifique n’est jamais en soi DÉMOCRATIQUE en ce sens où ce n’est pas sur la base d’une quantité d’articles favorables, mais de RÉSULTATS EFFECTIFS et REPRODUCTIBLES que se définit la véracité d’un énoncé proposé : la neige EST blanchesi et seulement si la neige est blanche, les traitements précoces ne « marchent pas » si et seulement si la plupart des résultats empiriques le vérifient et si et seulement si les expériences suivant fidèlement les protocoles (bon dosage et suffisamment tôt) infirment les résultats faits en « labo ».

On reste confondu par tant d’ignorances épistémologiques et méthodologiques débitées pourtant par seconde et sans sourciller quand, par ailleurs et d’un autre côté, les résultats effectifs atteints en Israël, à Malte en Islande, etc. montrent l’inefficacité de l’injonction dite « vaccinale » (en attente d’une énième dose), ce que le statisticien Pierre Chaillot a développé lors d’un exposé de ce même Conseil Scientifique Indépendant (du 09/09/21)alors qu’au contraire les résultats atteints en Afrique, en Inde, au Mexique, mais aussi partout dans le monde avec les traitements précoces dont l’ivermectine (et dont parle en effet FranceSoir) mériteraient une attention soutenue.

Cette prétention pédante à réduire les liens, complexes, entre maladie et santé à quelques équations (fausses, en plus, comme l’a montré Vincent Pavan) est à rapprocher de cette autre prétention condescendante, elle, celle de l’OMS appelant à ne pas soutenir l’idée d’une 3e dose dans les pays riches sous le prétexte que les pays pauvres n’en auraient pas eu, alors que ces derniers ne sont pas demandeurs !

Ils se soignent, eux, merci, et n’ont donc pas à subir en plus cette vision paternaliste prétendument « universaliste » faisant croire que l’Occident devrait « partager » sa réussite alors qu’il ne montre jusqu’à présent que son incapacité (déjà sur le plan théorique) à observer qu’il s’agit d’une « syndémie », c’est-à-dire d’une synchronisation de maladies dites chroniques et en fait pour une grande part culturelles, au sens d’être le produit d’un mode de vie urbain stressant et déstructurant (jouant alors sur le système immunitaire des plus fragiles en cas d’attaque virale) que la surconsommation, y compris d’opiacés légaux, ne suffit pas à combler tant le « mal du siècle », celui d’une individualité malheureuse (le taux d’antidépresseurs pris est ahurissant), n’est pas compris. Il est clair que ce n’est guère chez les GG ou Morandini (et autre Aphatie) que l’on aura l’ombre d’un début d’explication, mais plutôt sa pénombre.

Pour qui sonne le glas ?…




Tintin, Astérix et Lucky Luke brûlés et jetés: le milieu scolaire canadien livré au mouvement «woke»?

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Par Jérôme Blanchet-Gravel

Quelque 5.000 livres jugés racistes ont été brûlés et jetés au Canada par un regroupement d’écoles au nom de la «réconciliation» avec les autochtones. L’affaire fait le tour du monde. Selon Claude Simard, spécialiste des sciences de l’éducation, il s’agit d’un geste «antipédagogique» témoignant d’une volonté d’endoctrinement.

La nouvelle s’est vite invitée dans la campagne électorale fédérale. Le 7 septembre dernier, la presse canadienne a appris que près de 5.000 livres avaient été brûlés, jetés ou pilonnés par un conseil scolaire de l’Ontario. Le motif de cet autodafé des temps modernes: les ouvrages contiendraient des stéréotypes et des représentations jugées racistes envers les Premières Nations.

À notre micro, Claude Simard fustige d’emblée «cette « cancel culture » qui tente d’effacer tout ce qui n’est pas conforme à sa vision du monde»:

«On pourrait parler d’une entreprise d’endoctrinement du monde scolaire axée sur l’inculcation d’une sorte de mythe antidiscriminatoire. L’autodafé ontarien est à l’évidence le résultat du wokisme qui se répand de plus en plus en Amérique du Nord. Ses promoteurs ont réussi à amener le monde de l’éducation à censurer les lectures des jeunes et à bannir tout livre qui semble s’écarter de la doctrine de la pureté sociale», tonne le professeur honoraire, auteur de nombreuses grammaires scolaires.

Parmi les livres retirés des bibliothèques figurent entre autres des albums des bandes dessinées Tintin, Astérix et Lucky Luke.

Une mise à l’index en réaction au scandale des pensionnats?

Les exemplaires du célèbre numéro Tintin en Amérique ont été retirés par le comité chargé de la révision des catalogues, un symbole qui fait particulièrement réagir. Des ouvrages savants rédigés par des auteurs renommés font également partie de la liste, de même que des romans et des encyclopédies.

La polémique survient alors que des recherches sont toujours en cours sur divers sites pour identifier les dépouilles d’enfants autochtones disparus à l’époque du système des pensionnats. Jusqu’à présent, quatre charniers contenant des corps d’élèves ont été mis à jour, plongeant chaque fois le pays dans un nouveau deuil. Ces découvertes mettent en lumière le rôle de l’État canadien et de l’Église catholique dans le «génocide culturel» des Amérindiens, selon les mots choisis par la Commission de vérité et réconciliation.

D’après les chiffres d’Ottawa, durant les XIXe et XXe siècles, 150.000 jeunes ont été placés dans ces établissements contre la volonté de leurs familles. Un certain nombre d’entre eux ont été victimes de mauvais traitements et d’abus sexuels. En réaction à ces découvertes, une dizaine d’églises avaient déjà été incendiées.

Claude Simard dit comprendre le traumatisme vécu par plusieurs membres des nations autochtones, mais il s’oppose catégoriquement aux méthodes employées par les acteurs du mouvement «décolonial». «Il n’y a rien de plus antipédagogique et de plus dévastateur que les index et les autodafés», réagit le professeur, pour qui cette entreprise va à l’encontre même de la mission éducatrice de l’école:

«Empêcher les jeunes de lire des livres de différentes époques et de divers horizons au nom d’une morale intransigeante conduit à leur imposer une pensée unique et à les habituer à se conformer servilement aux normes du groupe dominant. On ne peut former des citoyens libres qu’en amenant les jeunes à développer leur intelligence et leur jugement par la confrontation d’une pluralité de points de vue», poursuit l’ex-doyen de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval.

Le Conseil scolaire catholique Providence chapeaute trente écoles en Ontario (23 primaires et 7 secondaires), ces établissements accueillent en tout 10.000 élèves.

«La glorification des Premières Nations conduit à des dérives»

Se présentant comme une «gardienne du savoir autochtone», l’une des principales responsables du projet de retrait de livres, Suzy Kies, est coprésidente de la Commission autochtone du Parti libéral du Canada, formation dont le chef est le Premier ministre fédéral, Justin Trudeau. Le 8 septembre, le réseau Radio-Canada a révélé que Mme Kies ne pouvait être considérée comme une femme autochtone en vertu de divers critères officiels, ce qui ajoute à la polémique. Pour Claude Simard, cette imposture montre aussi le caractère idéologique du «vertuisme social actuel»:

«Le wokisme se mêle ici au courant décolonial qui entend lutter contre une décolonisation incomplète des peuples, notamment d’Amérique. Mais la glorification aveugle des Premières Nations conduit à des dérives comme celle de l’autodafé ontarien. Quand on entend l’instigatrice de cette purge littéraire, Suzy Kies, déclarer qu’un livre sur les autochtones doit être écrit ou du moins supervisé par un autochtone, on ne peut s’empêcher de voir un racisme inversé», analyse-t-il.

Questionné par les médias durant sa tournée électorale, Justin Trudeau a affirmé qu’il ne revenait pas à l’État central «de gérer des décisions des commissions scolaires». «Au niveau personnel, je ne suis jamais d’accord avec le fait de brûler des livres, mais il faut aussi se souvenir que ce n’est pas à moi, ce n’est pas aux non-autochtones de dire aux autochtones comment ils devraient se sentir ou comment ils devraient agir pour avancer la réconciliation», a déclaré le Premier ministre sortant.

Une attitude conciliante qui tranche avec le point de vue du Premier ministre québécois sur le sujet, François Legault:

«Pour moi, brûler des livres, c’est un acte atroce», a quant à lui opposé le chef d’État de centre.

Selon Claude Simard, aucun chef de parti fédéral ne s’est suffisamment montré ferme envers le conseil scolaire et le ministère de l’Éducation de l’Ontario, lequel l’a appuyé dans certaines démarches: «Par souci de bien-pensance, surtout en période électorale, aucun des chefs dans la course n’a vraiment eu en fait le courage de dénoncer le caractère totalitaire de l’autodafé ontarien et de proposer une analyse critique des dérives du milieu scolaire canadien», déplore l’ex-enseignant.

Dans l’embarras et sous la pression, le Conseil scolaire catholique Providence a annoncé le 8 septembre qu’il suspendait le retrait et la destruction de livres. La direction du conseil s’est également dite «troublée et inquiète» d’apprendre que Suzy Kies n’était pas amérindienne à part entière:

«Le Conseil scolaire catholique Providence croyait fermement les affirmations de Suzy Kies lorsqu’elle disait être autochtone de la Confédération des Wbanakis et du clan de la Tortue», a déclaré la porte-parole de l’organisation, Lyne Cossette.

[Voir aussi :
La star hollywoodienne Kirstie Alley dit qu’elle croit que les démocrates et la foule « woke » sont déterminés à normaliser la pédophilie auprès des masses
Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique]




Hommage macroniste et creux à Jean-Paul Belmondo

[Source : ripostelaique.com]

Par Charles Demassieux

L’élite macroniste a donc rendu hommage à Jean-Paul Belmondo, kidnappant cette personnalité populaire par excellence au profit d’une poignée de privilégiés dont quelques-uns ont, depuis la mort de l’acteur, apporté la preuve de leur ignorance crasse de sa carrière exceptionnelle. La cour d’honneur des Invalides, d’accord – Belmondo ayant à sa façon servi la France –, mais un hommage plus populaire eût été bienvenu, un peu comme celui rendu à Johnny Hallyday, en 2017. Tout ce monde recevant le salut présidentiel – Premier ministre, ministres, députés et j’en passe – avant la famille Belmondo. La honte, car il y a des préséances qui puent…

Concernant la cérémonie en question, on se demande encore s’il s’agissait d’un hommage à Jean-Paul Belmondo ou d’un satisfecit présidentiel. Car Macron a de nouveau entonné sa logorrhée indigeste, après avoir arboré la démarche martiale d’un chef de guerre passant ses troupes en revue, lui qui se préparait à fuir la France le 1er décembre 2018, à cause d’une fièvre jaune ! On ne rit pas…

Ainsi, devant un parterre de personnalités sans masques – ben alors, et les gestes machins ?! –, Macron a fait du Macron, ce qu’il sait le mieux faire : un dithyrambe insincère et abscons, en saupoudrant son discours de novlangue creuse. Quelqu’un peut-il me dire ce que c’est que la « gouaille solaire » : une nouvelle crème de protection ?!

On a aussi été copieusement servis par les poncifs abstraits qui ne veulent rien dire : « Héros aux mille visages dont la carrière charrie mille vies […] Mythologie d’une France heureuse. […] Il épousa la France. Lui qui, par tous ses rôles, traversa à grandes embardées l’histoire de notre pays. Jean-Paul Belmondo habita la France. » Bon, Manu, définitivement : André Malraux est mort depuis 1976, alors arrête de le singer, ça devient gênant !

Notons tout de même cette envolée lyrique, qui serait presque drôle si ce n’était pas consternant : « Belmondo fut la figure qui transperça tous les styles. »

Ceci n’a pas empêché l’authentique émotion de submerger certains, à commencer par la dernière fille, Stella, et le petit-fils de l’acteur, Victor ; Victor dont a pu apprécier l’hommage authentique précédant celui, tout plat, de l’Élysée : « Heureux de voir à quel point les Français lui témoignent de leur amour, lui qui les aimait tant […] On pense à toi, on t’aime et amuse-toi bien avec tes copains qui t’ont tant manqué. » Ce « soleil » qui « ne s’éteint pas », voilà comment Victor a décrit son grand-père, et ça avait plus d’allure que des phrases sans vie.

Insincère, je disais ? En voici l’exemple : eh non, ce n’est pas sur les Champs-Élysées que Belmondo – alias Michel Poiccard – est abattu dans le film À bout de souffle, de Jean-Luc Godard, mais au bout de la rue Campagne-Première, dans le 14e arrondissement de Paris, Môssieur le Président ! Et puis le film de Philippe de Broca c’est L’Homme de Rio et pas Un homme à Rio !

Par contre, je veux bien croire que Macron ait rêvé d’avoir la force et le courage du commissaire Jean Letellier dans Peur sur la ville, d’Henri Verneuil. Mais il ne faut pas prendre ses rêves pour des réalités…

Merci cependant pour Chi Mai, du film Le Professionnel, de Georges Lautner, qui a retenti dans la cour des Invalides pour clore la cérémonie, car c’est sans doute l’une des plus belles musiques d’Ennio Morricone.

Enfin, le vrai chagrin, la vraie émotion, je les ai certainement plus vus dans les yeux des anonymes, pleurant et applaudissant, plutôt que dans ceux, blasés, de toute de cette caste politique. Je mets à part la sincère émotion d’acteurs comme Jean Dujardin ou Richard Anconina et les autres.

Quoi qu’il en soit, adieu Jean-Paul et merci pour tout…

Charles Demassieux




Réponse astucieuse d’un parent aux autorités provax

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Une idée de courrier  de type arroseur arrosé,  à soumettre aux parents désemparés à la réception d’injonctions vaccinales de la part des autorités académico-sanitaires.


Bonjour,

J’ai reçu, il y a 48 heures, comme de nombreux parents, une invitation à faire vacciner mon enfant avant la rentrée scolaire. Cette invitation est accompagnée d’un courrier cosigné du Recteur et du Directeur de l’ARS…le contenu de ce courrier m’a affligée. Mais ce n’est que la suite (il)logique de ces 18 derniers mois…

Et après avoir tourné plusieurs réponses possibles dans mon cerveau en alerte, j’ai envoyé la réponse qui suit (de façon anonyme pour ne pas stigmatiser mon enfant…).

Madame, Monsieur,

Je vous remercie vivement pour cette invitation à faire vacciner mon enfant. C’est beaucoup plus appréciable qu’une obligation vaccinale comme se permettent d’en envoyer certains employeurs du privé. Je retrouve là tous les motifs de mon attachement au service public qui sait raison et décence garder.

Je répondrais volontiers favorablement à votre invitation car si cela ne tenait qu’à moi, il y aurait bien longtemps que mon enfant serait vacciné. Hélas cet adolescent refuse catégoriquement cette vaccination salvatrice. Je suis désemparé quand il m’affirme que le vaccin n’en est pas un, qu’il est toujours en phase expérimentale, qu’il ne protège ni de la transmission, ni de la contamination et que la balance bénéfices/risques est défavorable pour sa tranche d’âge. Je me demande où il va chercher tout ça !

Il ose prétendre que ces données sont disponibles sur enfance-libertés.fr ou sur d’autres sites complotistes comme toutvabien44.fr ou Réinfocovid. Il a même lu un article sur anthropo-logiques.org qui démontre que la Suède qui n’a ni confiné, ni imposé le port du masque à son peuple s’en trouve très bien aujourd’hui.

Je trouve très grave que des jeunes soient exposés à des informations aussi dangereuses, mais en tant que parent je n’arrive pas à contrôler les risques d’internet.

Je vous l’ai dit, je suis désemparé. L’ambiance à la maison est devenue infernale.

Quand je tente de le raisonner en disant que ce qu’il avance, c’est tout l’inverse de ce que je vois à la télévision, il ricane. J’ai bien essayé de le menacer concernant le risque d’éviction scolaire si un petit camarade choppe un rhume avec PCR positif, ou bien se retrouve avec ce même test positif en dépistage avant une sortie scolaire…Mon adolescent est intraitable ! Il ose rétorquer que sur le plan juridique il s’agit de discrimination ! Et que c’est un crime qui est puni par la loi.

Alors j’ai besoin de votre aide en urgence pour régulariser sa situation. Je ne souhaite qu’une chose, qu’il accepte le vaccin et rentre dans le rang.

Pourriez-vous m’adresser les documents scientifiques qui permettent de démentir le délire complotiste de mon enfant ? Je ne trouve pas ces informations dans le courrier cosigné par Monsieur le Recteur et Monsieur le Directeur de L’ARS.

C’est regrettable. Je n’ai aucun argument solide pour faire obéir cet adolescent qui est si exigeant sur le plan intellectuel. Seuls des documents scientifiques sourcés et indépendants sauraient le convaincre.

Dans l’attente anxieuse de votre réponse, je vous d’agréer Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Un parent au bord de la crise de nerf


Voir également le Kit Parents à télécharger ci-dessous

Kit Parents (17 pages au format.pdf) à télécharger