Lettre ouverte aux politiques de tous bords, aux députés et sénateurs et candidats à la Présidence

Par N. et G. Delépine(([1] Sur telegram t.me/DrDelepine))

L’état actuel de notre système de soins, des libertés publiques, et en particulier les libertés de soigner et celle d’être soigné, doit investir les débats

Les médias mainstream et les politiques se comportent comme si l’après Covid était acquis et ne posait plus aucun problème.

Ils veulent nous persuader qu’un consensus, une fausse évidence de l’accord de tous pour l’injection génique existerait. Que le respect des libertés fondamentales de circuler, de se réunir, de travailler, la liberté vaccinale, le passe ne serait pas un sujet politique majeur ! De qui se moque-t-on ?

Peut-on à nouveau imaginer une présidentielle sans débat sur le système de soins, la liberté de soigner, comme en 2016, alors que les hôpitaux publics et privés se vident de leur personnel et qu’en conséquence des pans entiers de nos hôpitaux ferment jour après jour et que les déserts médicaux se multiplient ? Les Français en subissent déjà les dégâts avec la suppression continue de lits et la régression de la qualité des soins…

L’apartheid a été instauré aux pays des droits de l’homme ! Au moins vingt-cinq millions de Français se sentent discriminés, les « vaccinaux prudents »(([2] Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023)) mis au ban de la société, dont les 300 000 soignants suspendus ou qui risquent de l’être, et les pompiers, mais aussi au moins cinq millions à dix millions de « malgré nous », les personnes qui ont été contraintes à se faire injecter par extorsion de consentement par un chantage ignoble au droit de travailler, de prendre le train ou l’avion, d’aller au restaurants, au spectacle ou aux musées, de faire du sport en équipe ou en compétition.

Toutes ces personnes ne comprennent absolument pas que la perte de liberté et le pass sanitaire ne soient pas débattus entre candidats déclarés ou putatifs. Dans quel monde vivent-ils, ces politiques ?

D’autant que l’instauration d’un pass a été suivie dans la plupart des cas d’une augmentation importante des nouvelles contaminations quotidiennes comme en Tchéquie :

En Roumanie :

Ou en Autriche :

La vie des exclus est devenue une réclusion volontaire à domicile. Et beaucoup de ceux qui sont titulaires actuels d’un passe craignent de les rejoindre devant la perspective inacceptable d’être soumis à nouvelles injections de plus en plus dangereuses selon toutes les études sérieuses.

La proportionnalité des restrictions rapportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles sont censées poursuivre, réclamée par le défenseur des droits, n’est pas respectée puisque d’après les données du réseau sentinelle, l’épidémie est terminée en France.

Ce pass et cette obligation vaccinale ouverte ou cachée via les extorsions de consentement sont inacceptables et d’ailleurs condamnés par le conseil de l’Europe, imposés y compris aux enfants (quand des pays proches comme la Grande-Bretagne ou le Danemark n’en ont pas).

Les violences continues faites aux enfants par le port du masque alors que le coronavirus a disparu sont inacceptables, d’autant que leur suppression dans des pays européens de plus en plus nombreux n’est nulle part suivie d’une reprise de l’épidémie.

Croire que les restrictions majeures injustifiées des libertés publiques et l’obligation de fait du pseudovaccin pour ceux qui veulent poursuivre leurs activités normales n’intéresseraient pas les candidats est un non-sens.

Nous dire que le candidat élu fera ce qu’il faut après l’élection relève de la croyance au Père Noël.

Aucun président ne pourra être élu, sans un positionnement très clair sur ce sujet qui perturbe la vie de tous les habitants. Faire semblant que tout va bien avec le pass et le vax relève de la méthode Coué bien connue des médias et de trop d’élus.

Chaque jour, une nouvelle lettre ouverte aux sénateurs, aux députés, au Président apparaît sur le net de personnes concernées ou de groupes, avec la demande aux citoyens de partager, d’écrire personnellement à nos élus et en particulier aux sénateurs qui doivent examiner le 13 octobre un projet d’obligation étendue chez les nourrissons avec un douzième vaccin qui n’est qu’une thérapie génique EXPÉRIMENTALE avec tous les risques que l’on commence à découvrir et à entrevoir.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le 22 sept

« Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus. Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination ; (…) ».

Il faut cesser l’injection génique : appel de survivants de l’Holocauste à la CPI — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le premier octobre

https://nouveau-monde.ca/appel-au-rassemblement le 5 octobre 2021 avec des modèles de lettres à envoyer aux élus, et voir https://www.comitedesalutpublic.fr/

La commission des lois du Sénat : premier espoir

a rejeté l’amendement qui voulait rendre obligatoire l’injection génique expérimentale, ce qui est réconfortant et justifie la poursuite d’informations venant de multiples sources à nos sénateurs.

[Info Public Sénat] Vaccination obligatoire contre le covid-19 : le texte rejeté en commission au Sénat | Public Senat

Et ce jour, nous partageons un nouvel appel à cesser ces injections mortifères écrit par un professeur des universités, chirurgien, résumant l’avis de très nombreux confrères qui le félicitent largement.

Le Professeur Jean Gabriel Balique, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie(([3] jgbalique@gmail.com))

À propos du projet d’obligation vaccinale. Lettre ouverte Le 2 octobre 2021 Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

« Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle.

Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccin (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins “classiques” rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus “facile” de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale.

La première constatation qui s’impose est que le “vaccin” ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). »

COMMENTONS CE PASSAGE

L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre qu’une couverture vaccinale record et des restrictions sévères ne préviennent pas une récidive de l’épidémie avec une intensité accrue avec des hospitalisations en hausse et des réanimations débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…).

Suite de la lettre ouverte du Pr Balique

« Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente). Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients.

Les médecins “du terrain” croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer.

Les principes fondamentaux du serment, dont “primum non nocere” (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été écartés d’un revers de main par décret. Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications.

Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves.

Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire.

Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgés, des cancers jusque-là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination.

L’ANSM indique comme “signaux confirmés” la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exact de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge.

Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid, mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination.

Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner, car ils sont à risque infime de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés.

Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont très limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ? Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale.

Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy et Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres…

Parallèlement dans la même population de personnes jeunes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population-là que le “vaccin” peut avoir une certaine protection.… /… Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir.

Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du Covid lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du “vaccin” dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un “remède” plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…), mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps.

N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ? Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information.

Vous avez le droit de vous informer, car vous êtes nos représentants. La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la pseudo vaccination généralisée :

Au Royaume-Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la pseudo vaccination obligatoire
Au Texas l’injection anticovid des jeunes est interdite.
Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on leur annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants, mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des anti-vaccins, mais des vaccinaux prudents redoutent les effets de pseudo vaccins(([4] Ce ne sont pas des vaccins selon Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène)) encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants “du terrain” voient de vrais malades, contrairement aux médecins des plateaux télé qui extrapolent à partir de chiffres issus de simulations mathématiques dont la plupart se sont avérées erronées. Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique, mais un consensus pour défendre la santé des Français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soi-disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés par les médias et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.…/…

FAITES AU MINIMUM UN MORATOIRE, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre, mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale.

Il faut aussi ré-évaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.

Supprimer le passe sanitaire et faites arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : “tous vaccinés = tous protégés” slogan complètement faux, on le sait maintenant !

Levez les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin ».

Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire, mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

LA STRATÉGIE IMPOSÉE EST DÉCONNECTÉE DE LA RÉALITÉ :

c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0,05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement, car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’Ebola, d’une méningite ou de la variole…).

En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie »

Merci Mr Le Professeur pour cette belle lettre qui résume bien ce que nous, médecins fidèles au serment d’Hippocrate ressentons. Espérons que vous serez entendu…

Des professeurs de droit conseillent de rappeler aux élus l’expérience de Papon :

« Je vous recommande de diffuser largement cette mise en garde solennelle d’un professeur de médecine et de préciser à vos éventuels destinataires parlementaires que si les choses devaient se gâter sérieusement, nous serions dans le cadre de poursuites pour “crime contre l’humanité”. En ce domaine il n’y a ni prescription, ni immunité parlementaire ou autre. 

Papon l’a appris à ses dépens sur le tard, et pourtant il avait des circonstances atténuantes, car la France était occupée par une puissance totalitaire, ce qui n’est pas le cas en ce moment… »

En résumé et comme le conseille également Éric Verhaeghe

Continuer à écrire en masse aux sénateurs (contre la loi d’obligation vaccinale) et aux députés (contre la prolongation de l’état d’urgence et du pass sanitaire, et contre toutes les mesures « sanitaires »).

Il y a actuellement 4 cas de covid pour 100 000 habitants, bulletin du Réseau de surveillance Sentinelles du 29/9/2021, et ce taux est très bas depuis novembre 2020, le seuil épidémique étant de 173 cas / 100 000 h.

Toutes leurs adresses sont sur www.voxpublic.org, rubrique « Annuaires partagés ».

« Attention, danger ! Le texte rejeté reviendra.

Le Courrier des Stratèges suit ce dossier depuis plusieurs mois. Le 1er juillet, nous vous avions averti du rôle joué par Bernard Jomier, qui sert de poisson-pilote à Emmanuel Macron et Olivier Véran. Plus récemment, nous vous avons montré combien une réélection d’Emmanuel Macron rendrait quasi-certaine une vaccination obligatoire contre le Covid. 

Ce qui doit inquiéter le plus, c’est le type d’argumentation développée, purement planiste, quantitative et volontariste sans aucun rapport avec le réel d’une palette de vaccins à dispositions encore peu efficaces et comportant des effets secondaires beaucoup plus nombreux que pour d’autres vaccins. Comme l’a dit Éric Verhaeghe dans ces colonnes, la vaccination obligatoire est “fâchée avec le principe de précaution‘.  C’est pourtant le moment de se rappeler la formule de Chesterton sur la folie — ici idéologique — qui consiste à ‘avoir tout perdu sauf la raison’. Le texte reviendra, parce qu’ainsi le veut la raison technocratique. Le jour même où la proposition de texte est rejetée, la Haute Autorité de Santé recommande une troisième dose de vaccin Pfizer pour les soignants soumis depuis seulement le début août à la vaccination obligatoire. Et l’expérience des assemblées conduit à redouter un passage à l’usure ou par surprise, lors d’une discussion parlementaire en petits effectifs. Il va falloir rester très vigilants. »(([5] Le rejet du texte du PS pour la vaccination obligatoire ne signifie pas que le danger soit écarté —Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’heure est grave et personne ne doit se croire dispenser de se battre pour la liberté de soigner, pour le libre choix thérapeutique et en particulier pour la liberté vaccinale.

Aucun politique ne pourra être choisi par le peuple s’il ne défend pas le peuple et aujourd’hui s’il ne bat pas pour le libérer MAINTENANT de l’état d’urgence pseudo- sanitaire complètement injustifiable, des masques et des injections mortifères. REGAGNONS NOS LIBERTÉS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD COMME L’EXPLIQUENT LES SURVIVANTS DES CAMPS.





Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Chers amis,

Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups. 

6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.

Amicalement, Julie

Julie STEVENS

À La Hulpe

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.(([1] « Event 2021 » par le Dr Richard Fleming, version doublée vocalement en français :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/fleming-presentation)) En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente —, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes — les médecins généralistes — ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens — mais ne contraint aucune institution — constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité — avouée par tous les chercheurs honnêtes — à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »(([2] Terme que j’emprunte au doyen du barreau de Grenoble, Me Jean-Pierre Joseph
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/pass-sanitaire-ou-pass-suicidaire)) est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et — ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre — le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1— Fiabilité des études préliminaires :

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts(([3] Par exemple Christine Cotton, biostatisticienne forte de 23 ans d’expérience dans la lecture critique des essais cliniques
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4)) leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2— Efficacité du vaccin :

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3— L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante.

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1 %) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4— Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19.

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov 2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel — une « chimère » — dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue.

5— De la vaccination obligatoire et généralisée.

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul
pour un Covid « naturel » entre 0 à 14 ans,
il est non nul pour l’administration du vaccin.
Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités
de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical — et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale — peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton ou du Dr de Lorgeril (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir — quand la vérité sera enfin établie — la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna — qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères — et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes — de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent — sans souvent pouvoir le démontrer — que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD.(([4] http://youtu.be/Vdg4vVmFy5g)) Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois).





Project Veritas 5 : Pfizer a dissimulé aux chrétiens américains l’utilisation de cellules de fœtus dans la fabrication du vaccin anti-Covid

Par Edouard Husson

Cinquième vidéo de Project Veritas sur les vaccins. Une lanceuse d’alerte employée par Pfizer a divulgué une chaîne de courriels envoyés par des cadres de l’entreprise pour discuter de la meilleure façon de cacher au public des informations sur l’utilisation de lignées de cellules fœtales provenant de cellules de fœtus (avortés) dans le développement du vaccin contre le COVID. Ce problème peut sembler lointain aux Européens mais aux Etats-Unis la querelle de l’avortement est centrale. Et Pfizer a menti aux Américains sur ce point comme sur d’autres.

Dans la cinquième vidéo sur les vaccins publiée par Project Veritas, la lanceuse d’alerte Melissa Strickler, employée chez Pfizer, a porté à la connaissance du public une série de courriels entre des cadres supérieurs de Pfizer, dont le vice-président et directeur de la gstion des risques Philip Dormitzer et la directrice de la recherche au plan mondial Vanessa Gelman. Ils  discutent du scénario approprié et de la “réponse approuvée” à utiliser pour éviter de divulguer au public des informations sur l’utilisation de lignées de cellules fœtales dans la création du vaccin.

Une culture du mensonge selon la lanceuse d’alerte

Melissa Strickler travaille chez Pfizer depuis une dizaine d’années et fait partie du service qualité de l’une des plus grandes usines de l’entreprise. Elle a accidentellement découvert cette série de courriels.

“Ce qui m’a troublée, c’est qu’ils voulaient garder le secret”, a déclaré Mme Strickler au fondateur de Project Veritas, James O’Keefe. “Ils ne voulaient pas vraiment que l’on sache qu’ils utilisaient les cellules de reins d’embryons humains pour réaliser l’étude. Ils sont tellement trompeurs dans leurs courriels… ils sont vraiment trompeurs et font attention à leurs mots, et cela m’a empêché de les croire.” Pourtant, entre eux, les dirigeants de Pfizer sont explicites : “Une ou plusieurs lignées cellulaires dont l’origine peut être retracée jusqu’au tissu fœtal humain ont été utilisées dans des tests de laboratoire associés au programme de vaccination.”

Pfizer voulait absolument éviter une polémique lancée par les « pro-vie » aux Etats-Unis

Pourquoi se préoccuper de ce sujet ? Le Saint-Siège semble avoir donné en décembre 2020 une interprétation très large des enjeux de la vaccination en précisant que le caractère de nécessité absolue de la vaccination pouvait, éventuellement, l’emporter sur le caractère répréhensible du recours à des cellules prélevées sur des fœtus avortés. Cependant le Saint-Siège n’a pas aboli l’idée qu’il s’agissait d’une exception liée à un caractère d’urgence. Et une partie des catholiques américains ne partageant pas l’idée que le vaccin soit la seule parade au COVID 19, l’entreprise basée aux Etats-Unis ne voulait en aucun cas que se déclenche un débat aux Etats-Unis qui aurait pu ébranler la position très « provaxx » du Pape François. Et ceci d’autant plus que les protestants américains auraient eu une convergence de vue avec les catholiques. 




PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

[Photo : Le Pape écoute une question lors de la conférence de presse sur le vol Bratislava-Rome, le 15 septembre 2021.  (Vatican Media)]

Le journaliste Bohumil Petrik (Denník Štandard) :

« La vaccination a divisé les chrétiens, également en Slovaquie. Vous dites que se faire vacciner est un acte d’amour. … Il y a différentes approches dans les différents diocèses sur ce point. Alors, on aimerait tous savoir comment s’entendre, comment se réconcilier sur cette question. »

Citation de François :

« … l’incertitude concernant la réputation de certains vaccins qui ne sont rien d’autre que de l’eau distillée. Cela a apeuré les gens. Puis, d’autres qui disent que c’est un danger, car avec le vaccin, vous êtes infecté… Je ne sais pas bien l’expliquer : certains disent que les vaccins ne sont pas suffisamment testés. Au Vatican, tout le monde est vacciné, sauf un petit groupe… »

Commentaire : Bergoglio admet qu’il ne sait pas bien l’expliquer, mais malgré cela, il utilise l’autorité papale afin de promouvoir des slogans tels que « le vaccin pour tous », « cela doit être fait », « se faire vacciner est un acte d’amour ». La réalité, aujourd’hui, c’est que le fabricant, le gouvernement ou le professionnel de la santé qui vous injecte le vaccin refusent d’assumer la responsabilité de ce vaccin, mais si vous refusez de vous faire vacciner, vous êtes étiqueté comme étant un(e) irresponsable ! Et Bergoglio ajoute que vous n’avez pas non plus d’amour !

Que disent les meilleurs scientifiques et experts ? En plus de beaucoup d’autres, mentionnons juste un récent avertissement urgent du professeur S. Bhakdi d’Allemagne, qui a de nombreuses années d’expérience dans la recherche en tant que microbiologiste et virologue. Il parle de la fraude mondiale au Covid, et d’une fraude encore plus grande concernant la vaccination mondiale contre le Covid. Il met en garde :

« Ne permettez à personne de vous faire de la propagande afin que vous obteniez la deuxième dose ! Si vous avez déjà reçu la première injection et que tout va bien pour vous, remerciez Dieu pour cela. Mais assurez-vous de ne pas obtenir la seconde injection, car alors le danger est vraiment grand. Les lymphocytes tueurs attaquent le corps et peuvent bloquer les vaisseaux sanguins… ce qui peut conduire à une maladie auto-immune, où le corps commence à s’attaquer lui-même ».

Les médecins allemands sont choqués par l’apparence du sang après la vaccination contre le covid-19, et déclarent n’avoir rien vu de tel en 30 à 40 ans de pratique. (https://odysee.com/videoghj:1)

Seule l’immunité innée — immunité « générale » à large spectre — peut mettre fin à cette soi-disant pandémie. Les vaccins ne peuvent jamais arrêter la mutation, l’infectiosité ou la transmission du covid-19, pour la simple raison que ces vaccins ne perçoivent jamais l’avenir, et même le CDC admet qu’ils ne peuvent pas empêcher l’infection ou la transmission. Actuellement, 2,4 milliards de personnes dans le monde sont vaccinées. Même si la vaccination prenait fin maintenant, un milliard de personnes dans le monde pourraient en mourir dans les trois prochaines années.

Ce sont des faits disponibles auprès des experts aujourd’hui. Dans ce contexte, il est choquant que si quelqu’un en Slovaquie souhaite assister à une célébration religieuse avec Bergoglio, la condition était qu’il devienne un rat de laboratoire et reçoive deux doses de vaccin expérimental. Le Code de Nuremberg inclut les expériences effectuées sur les êtres humains parmi les crimes contre l’humanité. Bergoglio ne le sait-il pas ? N’a-t-il pas pitié de ces gens ? Sera-t-il responsable des conséquences, qu’il s’agisse de mutilations ou de décès prématurés chez les jeunes ?

Un vrai berger est obligé de mettre en garde radicalement contre ces dangereux vaccins sur base d’informations véridiques provenant d’experts incorruptibles. Faire appel à ou prendre ses sources à partir des arguments provenant des médias mainstream ou de politiciens corrompus, constitue une trahison du service pastoral. C’est ce que Bergoglio, qui est un faux berger, fait.

Journaliste Gerard O’Connell (America Magazine) :

« … Comme vous le savez, aux États-Unis, après les dernières élections, il y a eu une discussion parmi les évêques concernant le fait de donner la communion aux politiciens qui ont soutenu les lois pro-avortement. Il y a des évêques qui veulent refuser la communion au président et à d’autres. Que pensez-vous de cette réalité, et que recommandez-vous aux évêques ? ».

Citation de François :

« Celui qui pratique un avortement tue. À la troisième semaine de conception, tous les organes sont déjà là. Tous. Même l’ADN. … C’est une vie humaine. Cette vie humaine doit être respectée. Ce principe est si clair. … Est-il juste, est-ce juste, de tuer une vie humaine pour résoudre un problème ? Est-il juste d’engager un tueur à gages pour résoudre un problème ? … C’est pourquoi l’Église est si stricte sur cette question, car accepter cela, c’est un peu comme accepter un meurtre quotidien ».

Commentaire : Ici, Bergoglio dit la pure vérité, exactement comme l’Église l’a toujours prêché. Mais quel paradoxe qu’en même temps, il promeuve cyniquement un vaccin qui contient des tissus arrachés à un bébé à naître, avant que ce bébé ne soit tué ! Il impose avec véhémence ce vaccin à tout le monde, et dit de manière manipulatrice que c’est un acte d’amour !

Il ne répond pas du tout à la question de savoir si la position des évêques américains qui veulent refuser la communion aux partisans publics de l’avortement, c’est-à-dire du meurtre, est correcte ou non. Il est de son devoir d’avertir et d’admonester les politiciens catholiques aux États-Unis et, en outre, non seulement de leur refuser la communion, mais même de les expulser publiquement de l’Église s’ils continuent à promouvoir le meurtre d’enfants à naître et refusent de se repentir. Bergoglio élude cependant cette question et soutient publiquement ces politiciens, même au cours de la campagne électorale.

On sait également que Bergoglio a fait l’éloge d’un avorteur notoire en Italie, responsable de plus de dix mille avortements ! De plus, il l’a béni pour la suite du « travail ». Selon l’enseignement de l’Église, non seulement ceux qui ont avorté sont accusés de meurtre, mais aussi ceux qui y ont participé. Bergoglio bénit les meurtres de masse, appelle le meurtre « travail » et lui donne une décoration papale. C’est pourquoi il est également passible d’une peine pour le meurtre d’enfants à naître. De plus, il est de son devoir d’avertir les politiciens, et s’il ne le fait pas, les paroles de saint Basile s’appliquent à lui :

« Celui qui a le devoir de réprimander dans l’Église et ne le fait pas sera puni comme un meurtrier ».

Citation de Bergoglio :

« Vous souvenez-vous de la tempête provoquée par Amoris Laetitia ? “Hérésie, hérésie !” Dieu merci, il y avait le cardinal Schönborn, un grand théologien qui a clarifié les choses… »

Commentaire : L’exhortation Amoris Laetitia contient-elle des hérésies, ou est-elle orthodoxe ? Pourquoi François, depuis plusieurs années, n’a-t-il pas du tout répondu aux doutes de quatre cardinaux ? Pourquoi n’a-t-il pas répondu à la Correction Filiale émise par les intellectuels et théologiens catholiques ? Au lieu de cela, il fait appel au théologien hérétique Schönborn. Schönborn est connu pour promouvoir l’homosexualité, et a maintenant transformé la cathédrale de Vienne en centre de vaccination.

Journaliste Stefano Maria Paci (télévision italienne Sky TG24) :

« La question concerne la famille : vous en avez parlé avec les autorités hongroises, et hier est arrivée la nouvelle d’une résolution au Parlement européen, résolution qui invite les États membres à reconnaître les mariages homosexuels. Que pensez-vous de ceci ? »

Citation de François :

« Ce sont des lois qui essaient d’améliorer la situation de nombreuses personnes d’orientations sexuelles différentes. Et c’est important… Les États ont la possibilité de les soutenir civilement, de donner une sécurité par l’héritage [l’assurance] santé… »

Commentaire : L’année dernière, dans un documentaire intitulé « François », le pseudo-pape a publiquement soutenu, pour la première fois, la légalisation du mariage homosexuel et de l’adoption d’enfants par les homosexuels. Comme il y avait beaucoup de bruit à ce sujet, on a rapidement soutenu qu’il ne s’agissait que d’un film. Mais Bergoglio ne se défendit pas, il se tut. Et à présent, dans l’avion, au moment où le Parlement européen a publié une résolution, il (François) soutient ouvertement le mariage civil entre personnes du même sexe.

L’enseignement de l’Église est qu’un catholique qui est enclin à l’homosexualité doit combattre cette concupiscence pécheresse, et éviter la prochaine occasion de pécher parce que le salut de son âme immortelle est en jeu. Le mariage homosexuel signifie légaliser l’obstination dans le péché, et rejeter la repentance salvatrice. Si Bergoglio dit qu’ils sont des enfants de Dieu qui n’ont pas besoin de se repentir, et que l’Église doit les accompagner, alors nous demandons : pour aller où ? Vers l’abîme de l’enfer ?

Bergoglio est coupable d’un plus grand péché que les homosexuels, parce qu’il abuse de la plus haute autorité ecclésiastique afin de légaliser le péché.

La sodomie fait tomber une malédiction et l’Écriture met en garde contre elle, parlant du feu temporel et éternel (Jud 1:7 ; 2P 2:6).

De plus, l’homosexualité est désormais associée à une anti-législation décadente, qui promeut l’idéologie du genre, la chirurgie de conversion sexuelle et le vol d’enfants par les services sociaux.

Il est gênant que la plus haute autorité ecclésiastique utilise l’héritage ou l’assurance-maladie comme argument en matière de mariage homosexuel, ferme les yeux sur les dégâts moraux pour les individus et la société, et boycotte la chose la plus importante, qui est le salut de l’âme.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 16 septembre 2021

Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Grève nationale contre la vaccination en Israël

[Source : Cogiito]

Par Shai Shelly & Philippe A. Jandrok

La grande grève a commencé en Israël

ISRAËL S’ÉVEILLE ENFIN, ET CRIE STOP AU CRIME VACCINAL ET AU MENSONGE D’ÉTAT.

Alors que la presse israélienne aux ordres, refuse de diffuser l’information de cette prise de conscience, le peuple manifeste aujourd’hui son épuisement et son ras-le-bol face à la situation COVID et aux vaccinations criminelles dans tout le pays. Les voitures s’accumulent, se mettent les unes derrière les autres pour bloquer la circulation, le peuple ferme le pays d’une ville a l’autre, toutes les villes sont désormais solidaires dans ce combats pour la vie, pour la survie de tout un peuple.

La négation de la science a pour conséquence, la privation des libertés mais également le massacre de la population israélienne et internationale à l’échèle d’un nouvel Holocauste comme l’affirme le Dr Zelenko à New York, Vera Sharav rescapée des camps et combien d’autres ?

https://www.youtube.com/embed/NGoWgYHl7Os



Le peuple israélien ne supporte plus cette privation de liberté et ce nouvel holocauste organisé par les laboratoires, les industriels de la pharmacie, les banques et le gouvernement Israélien.

Les preuves scientifiques sont criantes, ils ne peuvent plus mentir, ils ne peuvent plus les cacher, les vaccins anti-COVID sont dangereux, mortels, destructeurs de la vie ; le jour de la révolte pour la vérité et l’humanité est enfin arrivé… en Israël.

En ce jour béni, les voitures bloquent tout le pays et toutes les rotondes par des opérations escargots.

DES DIZAINES DE MILLIERS DE CITOYENS ONT PORTÉ PLAINTE CONTRE LA POLICE ET LE GOUVERNEMENT POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Des centaines de milliers de personnes sont dans les rues à manifester et ils ne vont pas cesser de bloquer le pays tant que le gouvernement n’annulera pas le passeport vert et les obligations vaccinales.

La vérité est enfin découverte par le peuple, malgré les dissimulations de Facebook, Youtube et les médias techno-nazis, les vaccins Pfizer ont tué des centaines de milliers de personnes dans tout le pays, alors que le ministre de la santé a déclaré officiellement :

“QU’IL N’Y AVAIT PAS DE VICTIMES VACCINALES APRÈS LA TROISIÈME INJECTION”.

20 000 citoyens ont témoigné que les israéliens sont soit blessés avec de graves effets secondaires, soit ils décèdent rapidement après les injections du vaccin Pfizer.

Le peuple Israélien veut mettre un terme à ce massacre et réclame de retrouver son statut d’êtres humains libres comme avant le déclenchement de la crise pandémique du Coronavirus.

Nous sommes à l’ère des révélations, les psychopathes organisateurs de cette pandémie ne pourront plus se cacher et leurs complices hommes et femmes politiques, médecins, personnels soignants, fonctionnaires, policiers, toutes ces personnes qui ont joué un rôle dans ce crime contre l’humanité devront rendre des comptes.

Klaus Schwab, grand ordonnateur du Forum Economique Mondial nous averti de sa fausse bienveillance et de sa prochaine globale cyber attaque – car nous pensons qu’il n’y est pas étranger – pour empêcher l’humanité d’accéder à la véritable information et pour permettre aux banques d’imposer la monnaie numérique en pillant l’argent des citoyens du monde entier. Cette opération sert également à tous ces criminels pour s’échapper, se cacher et tenter de garder le contrôle sur notre humanité.

Restons lucides, ne cédons à aucune panique, celles et ceux qui portent la lumière de la vérité devront tenir bon face à la tempête qui s’affaiblit de jour en jour. Le peuple vaincra car, il est dans la vérité.

Il ne tient qu’à nous toutes et tous, êtres bienveillants de faire s’écrouler ce géant aux pieds d’argile.





https://www.facebook.com/nurit.orvieto/videos/289437172731496

THE GREAT STRIKE HAS BEGUN IN ISRAEL




Les mécanismes des régimes totalitaires

[Extrait de Viol des esprits et psychose de masse – Anthropo-logiques]

Audition donnée devant la Commission Corona de l’avocat allemand Reiner Fuellmich par le Pr Mattias Desmet. Celui-ci enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires.

Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes.

Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique diffuses, amplifiées par la perte de liens sociaux. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable que tout facteur obvie apparaissant porte en lui le risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation.

Un agent comme le coronavirus peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse : grâce au Covid, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés.

La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas), les gens s’éprouvent victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié (le redoutable virus, auquel se retrouvent agglutinés ceux qui contestent le narratif officiel -complotistes et antivaxx selon les étiquettes de circonstance- désignés eux aussi comme des « dangers publics » ) et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).

Dans ce processus, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples renoncent actuellement à leurs droits et libertés.

Une fois cet « engoncement » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance implique nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante, perspective psychiquement insupportable. Ce qui explique pourquoi les « covidistes » (autorités et population) sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer.

Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile pour elle l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend à l’inverse les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes.

Les chiffres insensés que continue à produire la Task Force scientifique suisse dans ses hallucinations modélisatoires en est un bon exemple : après avoir prétendu à l’encontre de toute réalité que les confinements avaient sauvé des dizaines de milliers de vies (là où la vraie science montre qu’il n’ont pas eu d’impact favorable) sa vice-présidente Samia Hurst est venue il y a peu expliquer aux médias complaisants que le pass sanitaire allait permettre maintenant d’éviter des dizaines de milliers d’hospitalisations, là où les meilleurs épidémiologistes ont montré son inutilité en ce sens. A part aligner les « 0 » après un nombre entier dans de parfaits fantasmes pseudoscentifiques, les élucubrations de la Task Force ne sont rien d’autre depuis le début de l’épidémie de Covid que des productions proprement délirantes au regard des critères de la vraie science.

Symptôme d’un mal plus profond : comme le problème n’est pas intellectuel ou logique, les données véridiques ne peuvent rien pour ces psychismes azimutés. Qui se tiennent parmi hélas dans une grande bouffée psychotique pour le plus grand malheur de la population.

Alors comment sortir de l’ornière ?! Mattias Desmet souligne qu’il y a toujours dans les formations de masse une répartition inégale de la population : à peu près 30% est captive de l’hypnose collective et ne dispose pas de la ressource nécessaire à la remettre en question. 40% de la population est simplement emportée par le mouvement, mais tout en conservant la ressource latente de se questionner et de sentir intuitivement que quelque chose ne joue pas. En particulier dans la présentation absurde des données. Enfin, de 20 à 30% de la population est constituée de personnes qui ont une immunité psychique face à la formation de masse. Elles ont vocation à être des gardiens des valeurs humaines et du bon sens, avec pour objectif principal de garder le dialogue ouvert avec les 40% de personnes « récupérables ».

Cette audition est si éclairante, si fondamentale, que je ne peux qu’en recommander vivement le visionnement. Fuellmich et son équipe poussent évidemment les questions plus loin, notamment quant à la possible « ingénierie » délibérée et impliquant donc une responsabilité pénale de certains acteurs. La suite est à découvrir ici :



  • Article « Masse und Macht renommées « La formation de masse » par Mattias Desmet » par Valoloz sur son blog de Mediapart : cliquer ici.
  • Dr. Mattias Desmet – psychological crisis and mass formation, podcast (en anglais) : cliquer ici.

[Voir aussi :
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




Lien entre relations sociales et santé

[Source : plos.org]

Relations sociales et risque de mortalité : une revue méta-analytique

Résumé

Contexte

La qualité et la quantité des relations sociales des individus
ont été liées non seulement à la santé mentale.
mais aussi à la morbidité et à la mortalité.

Objectifs

Cette revue méta-analytique a été menée pour déterminer dans quelle mesure les relations sociales influencent le risque de mortalité, quels aspects des relations sociales sont les plus prédictifs et quels facteurs peuvent modérer le risque.

Extraction des données

Les données ont été extraites sur plusieurs caractéristiques des participants, y compris la cause de la mortalité, l’état de santé initial et les conditions de santé préexistantes, ainsi que sur les caractéristiques de l’étude, y compris la durée du suivi et le type d’évaluation des relations sociales.nes bleues) 

Résultats

Dans l’ensemble des 148 études (308 849 participants), la taille de l’effet moyen pondéré par les effets aléatoires était OR = 1,50 (IC à 95 % : 1,42 à 1,59), ce qui indique une probabilité de survie accrue de 50 % pour les participants ayant des relations sociales plus fortes. Ce résultat est resté cohérent quels que soient l’âge, le sexe, l’état de santé initial, la cause du décès et la période de suivi. Des différences significatives ont été constatées selon le type de mesure sociale évaluée (p<0,001) ; l’association était la plus forte pour les mesures complexes de l’intégration sociale (OR = 1,91 ; IC 95 % 1,63 à 2,23) et la plus faible pour les indicateurs binaires du statut résidentiel (vivre seul ou avec d’autres) (OR = 1,19 ; IC 95 % 0,99 à 1,44).

Conclusions

L’influence des relations sociales sur le risque de mortalité
est comparable aux facteurs de risque de mortalité bien établis.


[Source : infochretienne.com]

Comment vivre heureux et en bonne santé ?
Découvrez la réponse des scientifiques d’Harvard

Quand les équipes de recherche d’Harvard ont interrogé les jeunes adultes de la génération Y sur le but de leur vie, et la manière avec laquelle ils pensaient accéder au bonheur, 80% d’entre eux ont reconnu vouloir être riche et 50% célèbre ! Mais qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux et en bonne santé pour toute la vie ? 4 générations de chercheurs se sont succédées tout au long d’une étude inédite, réalisée sur un échantillon de 724 hommes pendant 75 ans. Et la réponse à cette grande question est désormais connue et démontrée scientifiquement. Elle n’est en aucun cas liée à la richesse, à la célébrité ou au travail.



Cette étude est la plus longue jamais réalisée. 75 ans d’enquêtes, de questionnaires, d’entretiens, d’analyses médicales, de scanners, conduits par 4 directeurs de recherche successifs, ont permis d’étudier de manière scientifique ce qui rend vraiment les gens heureux.

Le projet initié par l’Université d’Harvard a démarré en 1938. 2 groupes de jeunes garçons de 19 à 20 ans ont été constitués. Le premier était formé par des étudiants de Harvard en deuxième année. Des jeunes garçons pauvres des bas quartiers du Boston des années 30 constituait le deuxième groupe. 60 de ces hommes sont toujours en vie aujourd’hui.

L’étude a commencé par des entretiens avec les garçons et leurs parents, ainsi que des analyses médicales variées. Tous les 2 ans, le rituel s’est répété, s’étoffant peu à peu, au fur et à mesure des progrès de la science et de l’imagerie médicale.

Les jeunes hommes sont devenus ouvriers, maçons, avocats, médecins… L’un d’eux est même devenu président des États-Unis ! Certains sont devenus alcooliques, schyzophrènes… Quelques-uns ont pris l’ascenseur social et d’autres ont fait le chemin inverse.

Aujourd’hui l’étude s’est élargie et porte sur les épouses, les enfants et petits-enfants. Des dizaines de milliers de pages de données ont été collectées autour de cette passionnante étude, pour pouvoir répondre à la grande question de la recette du bonheur.

« Comment vivre heureux et en bonne santé ? »

La réponse est simple :

Ni l’argent, ni le travail, ni la célébrité ne sont nécessaires au bonheur et à la bonne santé.
C’est la nature de nos relations qui compte.

Les relations harmonieuses nous rendent plus heureux et en meilleure santé !

Selon l’actuel directeur de recherche, le psychiatre Robert Waldinger, l’étude au long cours enseigne 3 grandes leçons :

  • Les connexions sociales sont d’une importance capitale et la solitude tue. Les personnes les plus connectées à leurs amis à leurs familles sont en meilleure santé. Mais la solitude est toxique. Les gens isolés socialement voient leur santé décliner en milieu de vie, et leurs fonctions cérébrales ralentissent plus vite.
  • Ce n’est pas le nombre d’amis qui compte, ce n’est pas non plus le fait de vivre en couple, mais c’est la qualité des relations avec ses proches qui importe. Vivre en conflit est désastreux pour la santé, alors que les relations chaleureuses protègent notre santé. Les quinquagénaires qui ont de bonnes relations deviennent des octogénaires en bonne santé.
  • Les relations de qualité ne protègent pas que notre corps. Elles protègent également notre cerveau. Les personnes qui ont des relations de qualité à 80 ans, ont moins de problèmes de mémorisation et le cerveau est mieux protégé. Certains couples d’octogénaires se disputent, mais tant qu’ils peuvent compter l’un sur l’autre, leur mémoire ne flanche pas.

Le psychiatre conclut sa présentation ainsi :

« On aimerait une solution facile… Les relations sont désordonnées et compliquées. C’est un dur labeur de s’accrocher à sa famille et ses amis, ce n’est ni sexy ni glamour. C’est tout le long de la vie. Ça ne finit jamais ! »

Les querelles et les mauvaises relations laissent des empreintes indélébiles en nous. Laissons nos écrans pour des temps de qualités, allons discuter pendant de longues marches, préservons les relations avec nos proches.

Nul besoin de la richesse, de la célébrité ou d’un travail valorisant, une belle vie se construit avec de bonnes relations.

« On n’a pas le temps, si brève est la vie, pour les chamailleries, les excuses, l’animosité, les appels à rendre des comptes. On n’a que le temps pour aimer et pas un instant de plus, pour ainsi dire, que pour ça. »

Mark Twain

H.L.


[Source : PubMed (nih.gov)]

Dans la maladie et dans la santé :
La corégulation de l’inflammation et du comportement social

Résumé

Bien qu’il ait été communément admis que le système immunitaire et les processus qui régissent le comportement social sont des entités distinctes et non communicantes, les recherches menées au cours des dernières décennies suggèrent le contraire.

Des preuves considérables montrent maintenant que
les processus inflammatoires et le comportement social
sont en fait de puissants régulateurs les uns des autres.

Cette revue résume d’abord les preuves que les processus inflammatoires régulent le comportement social, conduisant à des changements caractéristiques qui peuvent aider un individu à naviguer dans l’environnement social pendant les périodes de maladie. Plus précisément, cette revue montre que l’inflammation :

  • (1) augmente la sensibilité neuronale liée à la menace pour les expériences sociales négatives (par exemple, le rejet, les réactions sociales négatives), probablement pour augmenter la sensibilité aux menaces pour le bien-être ou la sécurité afin de les éviter
  • et (2) augmente la sensibilité neuronale liée à la récompense pour les expériences sociales positives (par exemple, voir des personnes proches et recevoir des réactions sociales positives), probablement pour augmenter la motivation liée à l’approche des autres qui pourraient fournir un soutien et des soins pendant la maladie.

Ensuite, cette revue résume les preuves montrant que le comportement social régule également certains aspects de l’activité inflammatoire, préparant le corps à des situations dans lesquelles les blessures et les infections sont plus probables (isolement social). Ici, nous passons en revue les recherches montrant :

  • (1) que l’exposition à des facteurs de stress social augmente l’activité pro-inflammatoire,
  • (2) que les individus qui sont plus isolés socialement (c’est-à-dire solitaires) présentent une activité pro-inflammatoire accrue,
  • et (3) que les individus qui sont plus isolés socialement présentent une activité pro-inflammatoire accrue en réponse à un défi inflammatoire ou à un facteur de stress social. Les implications de la corégulation de l’inflammation et du comportement social sont discutées.



Euro numérique, saisie des comptes bancaires au delà de 3000 €, Eric Verhaeghe nous explique

[Source : Eric Verhaeghe]

Ancien haut-fonctionnaire, énarque, auteur du Courrier des Stratèges, spécialiste du Great Reset, Éric Verhaeghe nous explique notre futur proche:
– création de l’euro numérique par la BCE, une cryptomonnaie du type bitcoin;
– saisie des comptes bancaires au delà de 3000 euros pour éviter que les gens soient autonomes;
– fin de la propriété individuelle, on sera tous locataires;
– extension du passe sanitaire à tous les domaines de la vie;
– généralisation du contrôle numérique à reconnaissance faciale.

Y a-t-il un lien entre le pass sanitaire et l’euro numérique? – 09.09.2021, Sputnik France (sputniknews.com)






Project Veritas : des scientifiques de Pfizer piégés en caméra cachée sur la vaccination ?

[Source : RT en français]

Trois hommes interrogés à leur insu par le média conservateur Project Veritas, présentés comme des scientifiques travaillant pour l’entreprise pharmaceutique américaine Pfizer, se sont exprimés sans filtre sur la vaccination contre le Covid-19.

Le média conservateur américain Project Veritas – connu pour diffuser des enregistrements en caméras cachées – a mis en ligne le 5 octobre une vidéo d’une dizaine de minutes dans laquelle apparaissent à tour de rôle des protagonistes présentés comme des scientifiques du laboratoire Pfizer, filmés à leur insu lors de conversations informelles sur la vaccination contre le Covid-19. A l’heure où nous écrivons ces lignes, la vidéo en question a déjà cumulé plusieurs millions de vues, toutes plateformes confondues.

Les différents profils qui apparaissent à l’écran émettent en premier lieu de sérieuses réserves concernant la pertinence de la stratégie vaccinale en vigueur aux Etats-Unis. «Il s’agit juste de rendre la vie impossible à tous les non-vaccinés», jusqu’à les faire céder, «Si vous empêchez les non-vaccinés de faire quoi que ce soit, en permettant aux vaccinés de faire ce qu’ils veulent, les gens finissent par se dire : « Putain, laissez-moi juste me faire vacciner »», résume par exemple l’un des protagonistes.

«Tout se résume au profit», dénonce un protagoniste

Ils pointent en outre une recherche excessive de profit dans le secteur pharmaceutique qui, selon certains interlocuteurs de Project Veritas, aurait joué un rôle significatif pour écarter des traitements contre le coronavirus. «Vous avez des entreprises qui ont reçu énormément d’argent pour produire des vaccins et [les traitements par anticorps monoclonaux] sont mis de côté juste pour l’argent, c’est dégoûtant», déplore ainsi un des hommes interrogés à son insu, faisant ici référence à des anticorps fabriqués spécifiquement pour traiter une maladie, dont l’arrivée en France avait d’ailleurs été annoncée par le gouvernement en février 2021.

«J’ai vraiment l’impression de travailler pour une entreprise diabolique, tout se résume au profit alors que mon rôle est d’aider les gens, pas de faire des millions de dollars, ça pose un dilemme d’ordre moral […]. En ce moment, notre entreprise est dirigée par l’argent du Covid», surenchérit le même personnage à d’autres moments de la vidéo.

Vous ne parlez pas de choses qui pourraient vous causer du tort à vous, ou à Big pharma

Enfin, les interlocuteurs de Project Veritas décrivent le climat de censure auquel ils seraient confrontés, évoquant notamment une surveillance accrue sur leur lieu de travail. «On nous répète que « le vaccin est plus sûr que le Covid ». Genre, franchement, on a du faire tellement de séminaires là-dessus, tu n’as pas idée. Genre, on doit s’assoir pendant des heures et des heures en mode « Vous ne pouvez pas parler de cela… ce n’est pas public »», affirme l’un d’entre eux. «Il y a des yeux et des oreilles partout […] à Pfizer, dans les locaux. Donc vous ne parlez pas de choses qui pourraient vous causer du tort à vous, ou à Big pharma», abonde encore en ce sens un autre. 

Project Veritas, qui n’a pas précisé comment avait été obtenus ces propos ni dans quel contexte, a fait le choix de révéler l’identité de ses interlocuteurs, tous présentés comme scientifiques travaillant pour le laboratoire américain : Chris Croce, Rahul Khandke ou encore Nicholas Karl. Pour ce dernier, le média américain a d’ailleurs publié une autre vidéo dans laquelle le protagoniste semble réaliser qu’il a été filmé sans le savoir.

Nicholas Karl aurait depuis supprimé son compte sur Linkedin selon Eric Spracklen de Project Veritas. 

Fondée par James O’Keefe, cette organisation militante conservatrice publie régulièrement du contenu multimédia obtenu dans le cadre de caméras cachées ou encore d’enregistrements téléphoniques, parfois sujets à controverse.

De l’autre côté de l’Atlantique, l’Agence européenne des médicaments (EMA) vient de donner, le 4 octobre, son accord pour envisager l’administration d’une troisième dose du vaccin Pfizer-BioNtech pour les plus de 18 ans, «au moins six mois après la deuxième dose». Selon elle, ce rappel renforce la protection face au Covid-19.




« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ

[Source : Ma France]

[Photo : Wikimedia Commons]

Par jipp

Jomier : Celui là, il ne faudra pas l’oublier non plus le jour ou l’on soldera les comptes

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Docteur P.E.B
@DocteurPEB1·

La DICTATURE n’a plus de limite ! Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé aujourd’hui un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la #VaccinationObligatoire à compter du 01/01/2022 

https://twitter.com/AntiJupiter_TER/status/1445051972529311745?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1445051972529311745%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fby-jipp.blogspot.com%2F2021%2F10%2Fjomier-il-ne-faudra-pas-loublier-non.html

Mise à jour : Extrait FranceSoir :

Bernard Jomier, sénateur depuis 2017 et médecin très impliqué dans Vers Paris Sans Sida qui a été « aidé » par Gilead

En 2015 2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » en 2014.  Il était déjà membre de la commission des affaires sociales (1) sur l’enquête de la Cour des comptes sur la politique de prévention et de prise en charge du VIH. (Rapport du 3 juillet 2019 Numéro 624).

Dans un article de juin 2017 d’Hervé Latapie sur le site de Médiapart, était évoquée la PrEP (consistant à faire prendre des médicaments à des non malades !).  Il y dénonçait déjà certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

Hervé Latapie écrivait « Il va être difficile d’en sortir pour en limiter les dégâts, tant il est compliqué de déconstruire une idéologie et de remettre en cause des intérêts socio-économiques établis par cette politique. »

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts. Il est regrettable que l’on n’ait pas davantage écouté et pris en compte les critiques formulées par de nombreuses personnes, moins intégrées dans les institutions dominantes, mais présentes sur le terrain, et donc tout aussi légitimes pour évaluer l’attractivité et l’efficacité de la prévention auprès du public gay. Leurs propositions alternatives risquent bel et bien de s’imposer très vite, lorsque les promesses excessivement optimistes des partisans de la PrEP s’effriteront. »

Latapie continue en expliquant « La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscription onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches, …), encarts publicitaires offerts à la presse gay. Le tout se déroule d’une manière assez habile, Gilead n’apparait pas forcément au premier plan, tout se passe comme si le laboratoire avait réussi à déléguer à des acteurs non commerciaux (associations, médecins, …) la campagne de promotion de son produit PrEP. »

En 2018 l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  

On retrouve dans le rapport de la commission de l’époque, les professeurs Delfraissy, Molina, Yazdanpanah, ainsi que le laboratoire Gilead, des liens d’intérêts et des sommes substantielles d’argent en jeu.  

Latapie concluait en 2017

« On retrouve dans cette histoire tout le savoir-faire habituel de l’industrie pharmaceutique pour gérer son commerce, planifier des essais thérapeutiques, contrôler les prix, s’appuyer sur les particularités locales de chaque sphère géographique du marché et surtout, bien manier son pouvoir d’influence grâce à des moyens financiers énormes. »




Sommes-nous encore en démocratie en France ?

[Source : Gérard Infos]

https://youtu.be/lDsyIIQFm_c



Idriss Aberkane : « L’État français est un des plus gros producteurs de fake news »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Idriss Aberkane a relevé le défi ! Conférencier, essayiste, titulaire de plusieurs doctorats dans des disciplines aussi différentes que les sciences cognitives, la géopolitique ou encore la littérature comparée, Idriss Aberkane est consultant international, auprès de gouvernements et d’entreprises, avec pour sujet de prédilection le développement durable.

S’intéressant toujours à ses premières amours, la biologie ou les mathématiques, il dénonce le niveau de corruption inédit de l’industrie pharmaceutique comme il l’avait évoqué dans un debriefing en décembre 2020. Un exemple : la déclaration d’un éditorialiste de CNN qui affirmait que l’ivermectine était un vermifuge pour chevaux. Or, si l’ivermectine est effectivement à usage vétérinaire, cette molécule multi-thérapeutique qui a été découverte par un prix Nobel de physiologie en médecine, était indiquée chez l’homme avant d’être prescrite en médecine vétérinaire. La vérité étant dans la totalité d’une information, celle-ci, si elle est incomplète, la transforme en mensonge aggravé.

Il fustige le « deux poids, deux mesures » en matière de preuves demandées pour les différentes molécules thérapeutiques, des exigences nulles pour certains traitements coûteux et innovants, tandis qu’il est demandé à des molécules repositionnées un niveau de preuve toujours plus élevé.



Rappelant le parcours exceptionnel du professeur Raoult, il regrette une époque où l’on peut dénigrer les plus grands savants du jour au lendemain. A ce propos, il cite Malcolm X qui avait dit dans les années 60 : « Méfiez-vous des médias : ils peuvent vous faire adorer votre oppresseur et vous faire détester les opprimés ».

Sur la décision du président Macron de créer un observatoire contre le complotisme destiné à contrôler les fausses informations, il déplore une idée catastrophique alors que l’État en est un plus gros producteur de fake news. Le pouvoir médiatique étant l’un des plus puissants, l’enquête ne peut revenir in fine qu’au peuple, seule entité rigoureuse et légitime pour vérifier, recouper, échanger, discuter et contredire l’information. Pour cela, il réclame un journalisme citoyen, le combat du terrorisme intellectuel, l’arrêt immédiat d’un système qui promeut de fausses élites et le retour à la méritocratie.

Un « Défi de la vérité » à l’image de son invité : éclectique, percutant et iconoclaste.




La Commission Bronner en guerre contre la liberté d’expression

Par Nicole Delépine

[Photo : Le sociologue Gérald Bronner préside cette commission. AFP/Ludovic Marin]

Qui sont les complotistes ? Ceux qui posent les questions, ou bien ceux qui refusent d’y répondre et mentent en permanence, les médias dominants et les comploteurs du pouvoir… ? Écoutez cette interview de Mme Anne Sophie Chazaud, essayiste et auteur du livre « la liberté d’expression » sur Sud radio par André Bercoff.

Le nom de la commission fait appel « aux Lumières » ce qui est en soi une inversion à la Orwell ! « La paix, c’est la guerre !(([1] Dans 1984 ou il décrit le parfait totalitarisme qu’il a combattu les armes à la main et disséqué ensuite finement dans ses romans))». Pour saluer la création d’un ministère de la Vérité de Macron ?

L’auteur du livre confirme que cette commission traduit l’obsession de la Macronie de bloquer le débat démocratique depuis quatre ans et d’interdire progressivement le droit à l’expression. Cette commission vient compléter l’arsenal mis en place depuis 2017 : la loi anti-fake news, la tentative de la loi Avia (qui revient par la fenêtre), la tentative de Conseil de l’Ordre des journalismes et le décret de décembre 2020 qui interdit la liberté de paroles des médecins dorénavant appelés à défendre le point de vue gouvernemental sur tous les sujets médicaux. Très épouvantable enterrement d’Hippocrate qui a toujours spécifié :

« Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. »(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Serment_d%27Hippocrate))

Pour Anne-Sophie, cette commission contre le « complotisme vise à compléter l’arsenal de l’entrée en campagne d’Emmanuel Macron, qui a annoncé sa volonté de prolonger le passe sanitaire jusqu’après l’élection. (ne serait-ce pas pour empêcher ses opposants d’entrer dans les bureaux de vote, évitant ainsi qu’ils soient scrutateurs et qu’ils veillent sur les urnes et/ou pour justifier le vote par correspondance aboli jadis parce qu’il permettait les trucages ?).

Cette commission, qui va déclarer qui est complotiste ou non, est présidée par Bronner, lui-même auteur dans son livre de fake news que Bercoff signale ! Quant à Guy Vallancien, macroniste fervent et défenseur de l’industrie pharmaceutique convaincu, il a été condamné par le Conseil de l’Ordre pour mensonges et a exprimé son humanité en laissant pourrir et manger par les rats les corps des personnes confiés à sa garde…

Mais qu’importe ces personnes qui seront toujours discutables car sans légitimité démocratique puisque choisies par le prince, c’est le principe lui-même de la commission qu’il faut combattre !

Qu’est-ce qui est acceptable alors que toute pensée divergente de la pensée du Président est considérée comme complotiste ?

Mélange des genres dans cette commission, le fait du Prince. Sur la question de la vérité, qui va décréter que ce qui va se dire est la vérité ou pas ? On est dans une démarche politique, et purement politique.

L’État veut contrôler l’information. Le concept de fake news a été monté en épingle au moment de l’élection de Trump pour le décrédibiliser et est devenu à la mode en France et pourtant !

André Bercoff confirme que dans les main stream il y a autant d’informations fausses, mais cela n’a pas attendu l’informatique et il rappelle par exemple les fausses nouvelles de la guerre de 14.  Et nous ajouterons les charniers de Timisoara ou les mensonges majeurs de la guerre d’Algérie. Alors oui les réseaux sociaux peuvent receler de fausses informations, mais cela ne date pas d’aujourd’hui mais dès qu’il y a information.

Le pouvoir s’en sert d’ailleurs largement quand il répand sur les réseaux et les TV des clips faisant croire que les petits-enfants pourraient infecter leurs grands-parents, que les vaccins actuels auraient terminés leurs essais et qu’ils seraient efficaces et sans dangers  ce qui sont d’énormes fake news à l’origine de bien des malheurs, des familles privées de contact, aux enfants et adolescents « vaccinés » par extorsion de consentement sur fausse info, et des effets secondaires parfois graves, perte de vue, troubles neurologiques peu réversibles, voire décès.

Et La MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins Covid-19 dangereux pour une utilisation chez l’homme. Des préparatifs doivent être faits pour intensifier les efforts humanitaires afin d’aider les personnes touchées.(([3] Mark Ready Visage souriant avec des yeux rieurs Fleur de cerisier @MarkReady47    2 oct))

À qui va profiter cette commission ? Il s’agit de délégitimer les opposants du pouvoir, purement et simplement.

Et par ailleurs le pouvoir utilise les mensonges à longueur de journée. Il va falloir faire taire les opposants. Avec la loi fake news, le juge va établir ce qu’est la vérité et a le droit de faire supprimer en 48 h un contenu.  Nous arrivons au modèle chinois ou nord-coréen, et au ministère de la Vérité d’Orwell.

Néanmoins il y a raidissement autoritaire par la panique, car l’opinion commence à comprendre, comme le démontrent les centaines de milliers de manifestants qui arpentent les rues chaque week end et les blocages qui commencent à se multiplier.

Même si le pouvoir tente de bloquer encore plus les réseaux sociaux déjà largement censurés sur Facebook et Twitter (qu’il faut abandonner largement), cela nous contraindra à reprendre les bonnes vieilles méthodes des tracts, du boîtage aux lettres, des discussions à la sortie du métro ou des magasins et finalement à toucher beaucoup plus de personnes éloignées jusque-là de nos circuits. Le mieux est l’ennemi du bien, mais les énarques ne l’apprennent probablement pas dans leur monde coupé de la réalité.

Le pouvoir panique. Doucement les covidistes sincères prennent conscience. Poursuivons l’information par les faits avérés, rien que les faits, seuls capables de désintoxiquer les cerveaux conditionnés par la propagande effrénée du pouvoir depuis 20 mois. Défendons l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement.

GARDONS ESPOIR
Et n’oublions pas que les peuples se réveillent partout dans le monde.

Opération escargot dans les Alpes-Maritimes le 4 oct 2021 en opposition au passe sanitaire sur la A 8

https://twitter.com/i/status/1444996010049163268

blocage de l’ARS de Rouen, journée nationale de blocage contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale.

Blocage en Charente contre le passe sanitaire en ce lundi noir

RUNGIS « il y a des blocages en Île-de-France, on passe à l’action »

On va bloquer le pays on est contre le passe sanitaire et contre l’obligation vaccinale, on veut une augmentation des salaires

Opération escargot sur la rocade de Bordeaux (33) tôt ce matin / des blocages aussi dans toute la France ce matin : Vichy, Belfort, Chambéry, La Rochelle, Charente, Alpes-Maritimes…

Écoutez l’interview du Pr Raoult sur l’information et les faits réels :

où il commence par se poser la question du harcèlement sur l’IHU et sur sa personne et la gravité de ces mœurs anti-élite qui règnent en France et qui ne sont pas combattus par les autorités.




Après la ceinture de sécurité, puis le Pass sanitaire, bientôt le gilet de sauvetage obligatoire pour tous

[Source : Florian Philippot sur Twitter]

[Humour]




Les décès d’enfants « vaccinés » contre le SARS-CoV-2 en France ou en Europe sont « impossibles » car ce serait ouvrir la boîte de Pandore

Par Alain Tortosa

La dictature fera tout pour qu’il en soit ainsi et il ne sera pas avoué que l’injection Anti-Covid puisse être la principale cause de décès d’un enfant.

Il existe bien des statistiques françaises et européennes sur les effets secondaires des injections, mais :

  • D’une part la sous-déclaration est connue et actée sans compter toutes les pressions.
  • Tous les effets secondaires graves et décès de personnes vaccinées ne sont jamais imputés aux thérapies géniques, mais uniquement aux comorbidités.

Au 18 septembre, plus de 25 000 européens injectés seraient officiellement décédés.

Décédés, mais de quoi ? Car le problème est sur la charge de la preuve…

Pour tenter de prouver qu’un médicament a des effets secondaires, une des méthodes consiste à cesser de le prendre et de voir si l’on va mieux. Mais il n’existe pas de retour en arrière possible pour une vaccination et encore moins si l’on est décédé.

Les autorités ont ainsi beau jeu de déclarer que toutes ces personnes sont mortes de comorbidités.

Mais là où la malhonnêteté est élevée au rang d’un art… c’est que le gouvernement ne s’est pas gêné et ne se gêne pas pour étiqueter Covid tout décès d’une personne positive à un test PCR comme cela était demandé dès le premier trimestre 2020 par l’OMS (Je ne vais pas m’embêter à référencer une fois de plus les liens, le mouton paniqué qui les a sous les yeux n’en tire aucune conclusion).

Le summum du tragi-comique étant sur la Nouvelle-Calédonie qui ne fait même plus semblant :

« Toute personne décédée à son domicile, dans un établissement social, un EHPAD ou sur la voie publique est présumée décédée du Covid-19, sauf si un certificat médical en atteste autrement. »

D’un côté nous avons les personnes vaccinées qui décèdent et pour lesquelles le « vaccin » ne sera JAMAIS la cause. Ces personnes injectées seront mortes uniquement de leurs comorbidités, quand bien même elles étaient jeunes et en bonne santé.

Et de l’autre côté, nous avons les personnes positives à un test Covid ou dont les symptômes pourraient laisser penser à un Covid qui, lorsqu’elles décèdent, ne sont JAMAIS mortes de leurs comorbidités ou de leur grand âge.

Le statut vaccinal décide ainsi de la cause du décès !

Bien entendu tout est fait pour camoufler ou manipuler les statistiques afin de cacher un pic de mortalité soudain dans une tranche d’âge…

Dans les temps anciens, il y a deux ans, il était parfois possible d’admettre que des vaccins pouvaient exceptionnellement entraîner des effets secondaires graves et parfois même le décès.

En 2013 Le Monde titrait « Les médicaments causent au moins 18 000 morts par an en France ». Il est naturellement admis que des médicaments tuent, mais en revanche il est totalement inimaginable et blasphématoire de penser que des vaccins pourraient tuer, même dans des proportions minimes. Et il est encore plus hérétique de laisser croire qu’une injection expérimentale à grande échelle d’ARNm, première mondiale sur des personnes en bonne santé, puisse avoir des effets secondaires graves ou provoquer la mort alors même que le produit est encore en phase III de test.

Et pourquoi ?

Tout simplement parce que la dictature et Big Pharma ne peuvent pas reconnaître ne serait-ce qu’un seul décès, chez un adulte et encore moins chez un ado ou un enfant, qui serait dû à la « vaccination ».

S’il est « autorisé » qu’un médicament puisse tuer c’est que les médicaments sont (en théorie, mais de moins en moins) donnés à des personnes malades et potentiellement gravement malades.

De fait la balance bénéfice/risque pour le patient a un sens. Si on admet que le médicament est là pour sauver des vies on peut admettre que, parfois, il tue, mais avec un rapport bénéfice vs risque favorable.

Avec un vaccin c’est très différent pour la simple raison qu’il s’adresse majoritairement à des personnes en bonne santé et, qui plus est, des enfants. Prenons une maladie infantile…. Le risque de mourir d’une maladie infantile est infime pour un enfant en bonne santé. Il devrait d’ailleurs être nul si la médecine faisait son boulot et qu’elle était en capacité de détecter si un enfant est à risque ou pas. Bref le vaccin contre cette maladie infantile devra être d’une innocuité délirante afin que le rapport bénéficie vs risque demeure favorable. Pour autant, le risque de décéder de maladie infantile n’est pas nul et donc il peut s’entendre qu’un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif…

Il est quand même étrange que les médicaments tuent et que les vaccins ne tuent pas… Nous pouvons regretter que l’exigence de sécurité pour un médicament ne soit pas la même que pour un vaccin… à moins que nous ne disposions pas des vraies données sur les vaccins (fin de la parenthèse).

Mais avec le Covid, rien ne va plus… Le risque pour un enfant en bonne santé de mourir du Covid n’est pas simplement minime, mais NUL. Il n’existe pas de cas d’enfants sans comorbidités décédés dont la cause de décès serait le Covid… et quand bien même il y en aurait 2 ou 3, ce risque demeurerait NUL.

Dès lors, il ne peut exister de rapport bénéfice vs risque positif pour l’injection d’ARNm chez un enfant. C’est pourquoi il n’y a pas et la dictature fera TOUT, même du plus ignoble, pour que tout enfant « vacciné » qui décède le soit de ses comorbidités, mais certainement pas de l’injection.

Le plus abject est qu’en cas de décès d’un enfant qui avait des problèmes cardiaques non connus et qui serait décédé suite à l’injection du poison, il ne sera JAMAIS reconnu que le « vaccin » aura été catalyseur de ses problèmes cardiaques et que cet enfant ne serait pas décédé en l’absence d’injection.

Il donc est IMPOSSIBLE de reconnaître que : « Un enfant est décédé des suites de l’injection ». Simplement parce que c’est ouvrir la boîte de Pandore et que des médecins vont alors enfin avoir le courage de reconnaître et affirmer médiatiquement qu’il existe des dizaines d’autres victimes.

Quand on pense que la propagande a réussi à tuer l’AstraZeneca en avouant de rares thromboses chez des adultes au point que le peuple berné en est arrivé à réclamer de l’ARNm expérimental…

La mort d’enfants en bonne santé dans le but (officiel, mais pas réel) de sauver des vieux grabataires signerait l’arrêt de mort de la « vaccination » Anti-Covid et la mort de la poule aux œufs d’or ou d’un dessein plus sombre.

La dictature n’avouera donc JAMAIS son crime et il faudra la forcer avec le soutien des rares médecins qui ont encore leur dignité.

Merci

Alain Tortosa.

5 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211005-avouer-deces-vaccin-boite-pandore.pdf




Dr Nicole Delépine à Ondes de choc sur LaUnetv

[Source : LaUnetv2]






Un tribunal italien se range du côté d’une infirmière suspendue à tort pour avoir refusé le vaccin contre le COVID-19

[Source : resistance-mondiale.com]

La décision renverse les précédents et consacre dans la loi l’illégitimité du licenciement ou de la suspension sans solde des salariés pour non-vaccination.  

MILAN, Italie, ( LifeSiteNews ) – Un tribunal civil s’est rangé du côté d’une infirmière qui a été suspendue sans salaire après avoir refusé le vaccin COVID-19.

La décision a été rendue par le tribunal de Milan le 16 septembre, suite à l’appel de l’infirmière italienne, qui n’a pas été nommée. Elle avait été suspendue sans salaire en février parce qu’elle refusait de recevoir le vaccin au mépris d’ une obligation vaccinale imposée par son employeur. Le tribunal a qualifié la suspension d’« illégitime » et a ordonné à l’employeur de verser à l’infirmière l’intégralité de son salaire avec intérêts et arriérés. La décision annule les décisions de justice antérieures pour des cas similaires.  

C’est la première fois en Italie qu’un tribunal donne raison à un salarié dans une affaire de suspension ou de licenciement pour non-vaccination. 

La décision émane de l’un des tribunaux les plus autoritaires d’Italie et est considérée comme particulièrement importante car elle annule les précédents et consacre dans la loi l’illégitimité du licenciement ou de la suspension d’employés sans salaire pour non-vaccination.  

“C’était l’un des premiers cas de suspension d’un travailleur de la santé”, a déclaré Mauro Sandri, l’avocat de l’infirmière, dans une interview sur YouTube.

Sandri a comparé le cas à celui de 5 infirmières dans une situation similaire ; ils ont perdu leur appel en mai. 

« Tout le monde [en Italie] se souviendra de la décision de Belluno, lorsque 5 infirmières suspendues par leur employeur ont fait appel et l’ont perdu », a-t-il déclaré.  

« Les médias grand public ont amplifié le résultat de cette décision en allant jusqu’à dire qu’il était inutile de faire appel aux suspensions imposées par les employeurs.  

Sandri a ensuite rappelé que la décision dans cette affaire avait été “malheureusement imitée par d’autres tribunaux, dont Modène et Vérone” et qu’”une jurisprudence avait été créée, autorisant les employeurs à suspendre leurs employés”. 

Toutes les tentatives précédentes de Sandri pour faire appel de telles décisions avaient été infructueuses. Cependant, il voit que cette nouvelle décision avait renversé la tendance. 

“Cette décision a été extrêmement positive, car elle a établi le caractère illégitime de la suspension”, a-t-il déclaré.  

L’infirmière en question était suspendue depuis février et n’avait reçu aucun salaire depuis cette date. Le tribunal a donc ordonné à l’employeur de lui verser son salaire pour toute la période pendant laquelle elle n’avait pas été indemnisée, avec des intérêts en sus, comme l’a souligné Sandri. 

“Le recours visait à obtenir sa réintégration dans le travail (…) Nous avons donc demandé cela, ainsi qu’un paiement intégral de son salaire, avec arriérés.” 

L’avocat italien est convaincu que la nouvelle décision servira de jurisprudence pour des affaires similaires à l’avenir. 

« La décision du tribunal constituera certainement une référence pour les décisions futures », a déclaré Sandri.

« Ça va être une étape importante (…). Pour moi, cela va également servir de base à d’autres affaires que j’ai en cours. »

L’avocat a encouragé les travailleurs dans des situations similaires après avoir résisté aux pressions pour prendre le vaccin à poursuivre non seulement pour perte de salaire mais aussi pour dommages et intérêts. Sandri a décrit les tactiques alarmistes et les menaces utilisées par certains employeurs qui font pression sur leurs travailleurs pour qu’ils se fassent vacciner comme une forme de « intimidation ».  

« Le même principe peut être appliqué dans de nombreuses autres situations où il existe une obligation vaccinale », a-t-il déclaré.

« Toute personne employée dans une entreprise qui a subi des pressions indues pour se faire vacciner et peut-être suspendue pour ne pas l’avoir fait devient ainsi une victime d’intimidation. »  

Sandri considère également la décision comme un développement prometteur dans la lutte en cours contre l’imposition du « Green Pass » en Italie. 

“Cette décision nous montre à quel point il est important de défendre vos droits de manière efficace afin d’obtenir des résultats”, a-t-il déclaré.

Source : Italian court sides with nurse wrongly suspended for refusing COVID-19 jab – LifeSite (lifesitenews.com)




URGENT : aidez Maître Marian à mener son offensive contre la suspension des soignants non-vaccinés

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Enfin une bonne nouvelle sur la suspension des soignants non-vaccinés : maître Maud Marian, avocate à Paris, propose de les défendre bénévolement (ou presque, il faut payer les frais de déplacement), selon la stratégie de l’Himalaya par la face Sud que j’ai proposée, c’est-à-dire de remise en cause des suspensions sans traitement pour des raisons techniques et non politiques. Rejoignez-la d’où que vous veniez ! Il faut qu’elle puisse agir dans toute la France pour obtenir la jurisprudence qui va bien.



Les soignants non-vaccinés suspendus doivent absolument prendre contact avec Maître Maud Marian, du barreau de Paris, mais qui a l’ambition de plaider dans toute la France. Elle se concentre pour l’instant sur les soignants dont les indemnités maladies ont été suspendues par l’employeur en toute illégalité. 

Aidez-la à attaquer dans toute la France pour obtenir une jurisprudence positive. 

L’argent n’est pas un problème : ses plaidoiries sont aux frais réels. 

Tenez-moi au courant sur lecourrierdesstrateges@gmail.com (et écrivez-lui tout de suite à l’adresse qu’elle donne dans la vidéo). 




APPEL AU RASSEMBLEMENT

[Source : comitedesalutpublic.fr]

ACTION N°1 – SEMAINE DU 4 AU 13 OCTOBRE 2021

METTRE LES DEPUTÉS DE LA NATION DEVANT LEURS RESPONSABILITÉS DANS LE CADRE DU VOTE DE LA LOI N°2021-1040 DU 5 Août 2021.

MÉTHODOLOGIE

ÉTAPE 1 : CONSTITUER VOTRE COMITÉ DE SALUT DU PEUPLE SUR VOTRE CIRCONSCRIPTION EN VOUS RENDANT SUR LA PAGE « COMMENT NOUS REJOINDRE ? »

ÉTAPE 2 : ENVOYER À VOTRE DEPUTÉ(E) LE COURRIER TÉLÉCHARGEABLE ICI PAR COURRIEL ET VOIE POSTALE EN L’ADAPTANT À VOTRE NUMÉRO DE CIRCONSCRIPTION ET VOS NOMS CANTONS ET L’ENVOYER  LE VENDREDI 1ER OCTOBRE 2021. Y JOINDRE LE CAS ÉCHÉANT LA LETTRE ADRESSÉE AU PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE TÉLÉCHARGEABLE ICI.

ÉTAPE 3 : SANS NOUVELLES DE VOTRE DEPUTÉ(E) PAR COURRIEL, RÉUNIR TOUS LES CITOYENS AVEC PANCARTES, BANDEROLES & DRAPEAUX ET SE REUNIR DEVANT LA PERMANENCE PARLEMENTAIRE (LISTE CONSULTABLE ICI) POUR Y RENCONTRER LE DEPUTÉ ET LUI LIRE PUBLIQUEMENT LE DOCUMENT EN LUI POSANT LES QUESTIONS ET DEMANDER SA POSITION LORS DU VOTE POUR LE PROLONGEMENT DU 13-15 OCTOBRE 2021.

LETTRE AU DEPUTÉ(E) LETTRE AU PRÉSIDENT DE LA REPUBLIQUE 

ÉTAT DES LIEUX DE LA MOBILISATION – MISE À JOUR / LUNDI 4 OCTOBRE 2021 / 22H00

LISTE DES CSP ET DES ACTIONS

https://youtu.be/SExZvKlt_6k



Facebook, Instagram, WhatsApp tombent en rade dans le monde entier après la disparition des registres DNS (C’est même encore pire que ça !)

[Source : Aube Digitale]

[Note de Joseph : si les réseaux virtuels tombent en panne, il reste les relations réelles (à recréer au besoin, ce qui n’exige aucune technologie).]

Mise à jour (20h07) : Facebook semble avoir plus que des problèmes de registres DNS, comme le rapporte Sheera Frenkel du NYT :

« Je viens de parler au téléphone avec une personne qui travaille pour FB et qui a décrit des employés incapables d’entrer dans les bâtiments ce matin pour commencer à évaluer l’étendue de la panne parce que leurs badges ne fonctionnaient pas pour accéder aux portes. »

Mise à jour : Cela fait plusieurs heures, et Facebook, Instagram, Whatsapp, et Facebook Messenger, sont toujours hors service. Selon des chercheurs Internet, Facebook semble être confronté à un problème de système de nom de domaine (DNS).

Le chercheur en sécurité Internet Brian Krebs a tweeté :

Confirmé : Les enregistrements DNS qui indiquent aux systèmes comment trouver Facebook.com ou Instagram.com ont été retirés ce matin des tables de routage mondiales. Pouvez-vous imaginer travailler chez FB en ce moment, lorsque votre courriel ne fonctionne plus et que tous vos outils internes basés sur FB tombent en panne ?

Pour être plus précis (et facteur 5 du Geek), les routes BGP desservant le DNS faisant autorité de Facebook ont été retirées, rendant tous les domaines Facebook inaccessibles. C’est ce qu’affirme @DougMadory , qui s’y connaît un peu en BGP/DNS.

La recherche des enregistrements DNS de Facebook ne donne rien.

Kevin Collier de NBC News a qualifié les problèmes de DNS chez Facebook de « vraiment mauvais ».

Nous ne savons pas encore exactement ce qui se cache derrière le problème de DNS qui a mis Facebook/Instagram/WhatsApp hors ligne, mais c’est vraiment mauvais. Pratiquement tout ce qui passe par ces trois entreprises est inaccessible. Les employés ne peuvent même pas entrer dans les salles de conférence parce qu’elles sont *internet des objets* !

Il y a même une réaction en chaîne sur Internet.

Pendant ce temps, tout le monde sur Twitter…

Downdetector rapporte que Facebook, Instagram, Whatsapp et Facebook Messenger connaissent des problèmes et/ou des pannes dans le monde entier. Cette panne intervient juste avant qu’un lanceur d’alerte de Facebook ne témoigne devant le Congrès mardi.

Les utilisateurs ont commencé à signaler des problèmes sur la plateforme de médias sociaux vers 17h20.

Les utilisateurs de Facebook signalent que le site Web ne se charge pas, avec un message d’erreur indiquant :

« Désolé, un problème est survenu. Nous y travaillons et nous le réparerons dès que possible. »

Andy Stone, porte-parole de Facebook, a reconnu sur Twitter que « certaines personnes ont des difficultés à accéder à nos applications et produits. »

Ces pannes généralisées surviennent alors qu’une lanceuse d’alertes de Facebook doit témoigner devant le Congrès mardi. La lanceuse d’alerte est apparue dans l’émission « 60 Minutes » dimanche, décrivant en détail la mission de l’entreprise technologique, qui consiste à faire passer le profit avant « ce qui est bon pour le public », notamment en luttant contre les discours haineux.

Les actions de l’entreprise technologique ont chuté de 6 % en début d’après-midi, en raison non seulement de la lanceuse d’alertes, mais aussi de la panne mondiale.

Les utilisateurs de Facebook se sont rendus sur Twitter pour se plaindre des pannes :

… et il y a ça :

L’utilisateur de Twitter Chad Loder a tweeté : « Quelqu’un a détruit les enregistrements DNS A et AAA de Facebook, Instagram et WhatsApp. »

Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a répondu au tweet de Loder et demande « A combien? »

Laissez les théoriciens du complot se déchaîner avec les événements d’aujourd’hui :

« Facebook est en panne parce que la lanceuse d’alertes faisait le buzz aujourd’hui avant son témoignage au congrès. Maintenant, il y a une panne qui est en train de buzzer. Un astucieux coup de coms », a déclaré un utilisateur de Twitter.

Le bon côté des choses, c’est qu’avec une grande partie des plateformes de médias sociaux hors service aujourd’hui, les gens vont peut-être se remettre au travail et stimuler la productivité mondiale puisque la panne est généralisée.




Le président brésilien Jair Bolsonaro : les passeports vaccinaux servent à contrôler la population

[Source : anguillesousroche.com]

Alors que les dirigeants occidentaux continuent d’essayer d’imposer des passeports vaccinaux au grand public, le Brésilien Bolsonaro a récemment dénoncé ce passeport, affirmant qu’il conduirait à terme à une véritable tyrannie de la part des gouvernements du monde entier.

« Ces gouverneurs de Rio de Janeiro, Sao Palo, Goias… Vous émettriez un décret par le biais du passeport vaccinal, c’est-à-dire que seuls ceux qui sont vaccinés peuvent aller à l’école, seuls ceux qui sont vaccinés peuvent faire telle chose », a déclaré Bolsonaro.

« Les gars, soit nous avons la liberté, soit nous ne l’avons pas. Et l’histoire dit : que celui qui abandonne une partie de sa liberté pour la sécurité, finit sans liberté et sans sécurité. »

Regardez :

Redvoicemedia.com rapporte : Bolsonaro ne s’est pas arrêté là et a continué à énumérer les conséquences potentielles de l’exigence de passeports de vaccination, affirmant qu’elle conduirait à un contrôle de la population : 

« Si vous acceptez ce passeport de vaccination, une autre exigence viendra bientôt et une autre et une autre… et vous savez où cela s’arrêtera alors… un contrôle de la population. Les personnes qui m’ont le plus accusé d’être un dictateur sont celles qui le font maintenant. »

Alors que certains pourraient croire que le président brésilien réagit de manière excessive, il convient de noter qu’Israël a récemment exigé un laissez-passer vert pour tous les citoyens vaccinés. Dans un premier temps, les citoyens doivent seulement être entièrement vaccinés. Maintenant, le gouvernement israélien a changé la politique pour rendre les laissez-passer invalides jusqu’à ce que les citoyens obtiennent le vaccin de rappel supplémentaire.




Médecins de plateaux : les nouveaux télévangélistes

[Source : RT en français]

[Photo : © REUTERS/Regis Duvignau/File Photo]

Ariel Beresniak, docteur spécialiste en santé publique, met en garde contre les médecins de « plateaux » des médias mainstream, qui relaieraient le discours du pouvoir sur les questions de santé et donneraient une fausse idée du consensus scientifique.


Par Ariel Beresniak.

La « pandémie de Covid » a fait émerger une nouvelle catégorie de médecins, les médecins de « plateaux ». Il ne s’agit pas des plateaux de Madagascar ou des Andes, mais des plateaux de télévision.

Ces médecins étaient inconnus du grand public avant la crise sanitaire. Ils ont été sélectionnés soit par les médias qui étaient à la recherche de médecins experts, soit par le pouvoir exécutif à la recherche de conseillers scientifiques courtisans.

Issus de spécialités très variées (urologues, urgentistes, réanimateurs, diététiciens, généralistes, immunologistes voire même simples administrateurs comme les directeurs d’hôpitaux…), le plus souvent très éloignées de celle des maladies transmissibles, ils sont courtisés par toutes les chaînes d’information car le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives.

Le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives

C’est que l’argument d’autorité allié à un ton péremptoire devant les caméras relèvent d’une stratégie de communication extrêmement efficace utilisée couramment par les télévangélistes américains. Ces successeurs modernes des prédicateurs anglais itinérants méthodistes du XVIIIe siècle fondent leurs stratégies de communication sur la répétition d’un même message élémentaire en utilisant un ton charismatique afin de provoquer une adhésion frénétique collective de l’audience écartant toute velléité d’esprit critique. Comme tous les catéchismes, la parole ne doit souffrir d’aucune critique car chaque question amène une réponse et chaque réponse correspond à une question.

Portés par une notoriété soudaine, il apparaît plus facile à ces médecins de plateaux, non compétents en dynamique des épidémies ou en évaluation des interventions de santé publique, d’adhérer et de colporter un dogme ambiant clé en main, plutôt que d’évoquer des informations alternatives pouvant exiger des investigations et des connaissances particulières.

Oscillant entre un ton condescendant et une agressivité paternaliste, ils relaient et martèlent ainsi avec conviction la communication du pouvoir exécutif, fusse-t-elle contradictoire à quelques semaines d’intervalle. Magister dixit, Le Maître a dit.

Pour convaincre, ces nouveaux télévangélistes ne disent pas « Dieu à dit que… » mais « La communauté scientifique a dit… » ou « La Science montre que… ». Qui peut être contre Dieu, la Communauté scientifique ou la Science ? Le mariage de la télévision et de la blouse blanche fait son grand œuvre : la force de conviction du « vu à la télé » exploite les principes élémentaires du marketing auprès d’un public naïf.

Aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général

Quelques éclaircissements permettent cependant à chacun de développer son propre esprit critique.

En premier lieu, aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général. La communauté scientifique ne cautionne aucun dogme. Elle est une mosaïque composée d’une multitude de chercheurs confrontant leurs idées et leurs travaux. Selon le fameux philosophe de la science Karl Popper, une théorie ne peut d’ailleurs être considérée comme scientifique qu’à la condition où elle peut être réfutée. Sinon il ne s’agit pas de science mais d’idéologie.

En deuxième lieu, un médecin n’est pas un scientifique. Il est à la fois moins et plus que cela : il est un homme de l’art. Un scientifique est titulaire d’une thèse de sciences, et non d’une thèse de médecine dite « d’exercice ». Un scientifique a publié un minimum d’articles scientifiques sur les sujets dont il est censé être compétent. Bien entendu, certains médecins peuvent aussi être de véritables scientifiques mais ils sont alors titulaires de deux doctorats et poursuivent une activité de recherche.

En troisième lieu, un médecin est compétent dans le périmètre de sa spécialité, voire de sa sous-spécialité. Le public devrait s’interroger face aux discours d’un urologue, d’un réanimateur ou d’un diététicien s’exprimant sur des sujets extérieurs à leurs domaines de compétence comme les épidémies à maladies transmissibles. On ne demande pas à un gynécologue obstétricien une prescription de lunettes de vue, ni à un ophtalmologiste de réaliser un accouchement.

La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques

Enfin les questions médicales et les interrogations scientifiques réelles ne se résolvent pas à la majorité ! La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques. Sinon la Terre serait toujours plate et toujours au centre de l’Univers.

L’ignorance de ces principes par le public permet aux télévangélistes en blouse blanche de manipuler très facilement leur audience par les techniques bien connues de lavage de cerveau dont l’objectif est d’amenuiser les résistances pour faciliter la persuasion :

  • Isolement social : situation imposée à la population pendant les confinements et couvre-feux, générant une vulnérabilité extrême
  • Contrôle de l’information et dénigrement de l’esprit critique : répétition de la pensée officielle unique avec avertissement à se méfier des informations alternatives présentées comme complotistes appartenant au camp du « mal »
  • Tromperie : déformation de la réalité par simplification pour accentuer le côté dramatique de l’épidémie et entretenir la peur
  • Soumission : incitation à se conformer au dogme
  • Identification au groupe : chaque individu abandonne sa propre personnalité pour rejoindre celle du groupe, par exemple des vaccinés
  • Contrôle du vocabulaire : une véritable novlangue s’est imposée depuis le début de l’épidémie (nombre de « cas », « clusters », on « sauve des vies », « pas de traitements », « la seule solution est la vaccination généralisée », etc.)
  • Distorsion de l’autorité : la seule autorité médicale valable est celle de l’État qui concentre tous les pouvoirs, relayés par les télévangélistes en blouse blanche. Les discours des autres médecins sont pervertis et à éviter.

Par ces moyens, la population se sent nécessairement fragilisée physiquement et moralement. Les sujets, se sentant coupables de risquer de contaminer les autres s’ils ne suivent pas strictement les règles imposées, demeurent les cibles idéales d’une persuasion psychologique.

Ces mécanismes d’avilissement de la population pendant la pandémie de Covid-19 n’auraient pas pu se mettre en place sans la complicité des principaux médias dits « mainstream » et du pouvoir exécutif qu’ils servent. Si les journalistes de ces médias avaient fait correctement leur métier, ils auraient sélectionné des spécialistes en fonction du périmètre de leurs compétences pour répondre aux questions légitimes de la population, ne serait-ce qu’en consultant la nature de leurs travaux accessibles sur les bases de données scientifiques. Les chaînes d’information auraient ainsi prôné des débats contradictoires d’experts confrontant tous les points de vue médicaux, plutôt que d’interviewer un seul médecin par plateau, lui laissant le champ libre pour déverser ses éléments de langage face à un public suffisamment fragilisé pour être conquis par le discours officiel. Il n’est ainsi pas étonnant que ce public manipulé constitue vite une majorité qui cherche à forcer la minorité dissidente à la rejoindre en servitude.

Le principe fondamental de la démocratie n’est-il pas de protéger la minorité contre la tyrannie de la majorité ? C’est bien le rôle de la Constitution censée protéger les droits de tous. Encore faut-il qu’elle soit respectée !

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/91312-medecins-plateaux-nouveaux-televangelistes-ariel-beresniak




« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah

[Photo : wikipedia]

« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah
Lettre ouverte de survivants des atrocités de la Seconde Guerre mondiale
Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience

Chaque jour nous découvrons un nouvel appel à cesser cette injection génique mortifère vendue aux peuples comme vaccin réactivant leur confiance inconsciente en ces médicaments.

Mensonge grave, car l’inefficacité est évidente, mais se complique d’accidents graves et de décès inacceptables de personnes de plus en plus jeunes, à mesure que l’obligation s’élargit de fait ou par extorsion de consentement devant les privations de liberté qu’impose le refus de la piqûre.

Nous partageons ici la lettre ouverte de rescapés de l’Holocauste et de leurs familles : « Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience »

Comme la lettre ouverte de Vera Sharav et coll. précédemment publiée,(([1] Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov, Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID-19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.
Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) ils insistent avec des mots comparables sur l’horrible scénario en cours qui leur évoquent la Shoah.

Malgré le déni du journal Libération, ce sont bien des survivants qui écrivent et supplient les autorités de cesser ce massacre.

(La Rédaction)


Stop the Covid Holocaust ! Open Letter—Global Research—Centre for Research on Globalization

Envoyé à :

  • Agence médicale européenne (EMA), Union européenne
  • Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), Royaume-Uni
  • L’Agence australienne de réglementation de la santé, AHPRA, Australie
  • Administration des produits thérapeutiques (TGA), Australie
  • Medsafe, Nouvelle-Zélande
  • Fédération des organismes de réglementation médicale (FMRAC), Canada

***

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. 

Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons. En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de la mi-1997 à la fin de 2013, soit une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité. Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature

Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain. C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

 Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.(([2] Le « vaccin » COVID-19 et le code de Nuremberg. Crimes contre l’humanité, génocide))

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Re (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Re (b) : Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé. En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant nombres de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

« Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains. Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus.

Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques par suite de la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés par suite de la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code de Nuremberg :

« Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent requis de lui, qu’un la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental »

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence :

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningoencéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thromboembolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.

Selon les présents consentements :

Rabbi Hillel Handler
Hagar Schafrir
Sorin Shapira
Mascha Orel
Morry Krispijn
Shimon Yanowitz
Hila Moscovich
Tamir Turgal
Amira Segal
Jacqueline Ingenhoes
Andrea Drescher
Edgar Siemund, Esq.


Ecoutez aussi la vidéo de Vera Sharav qui pointe le rôle terrible des médecins pendant les atrocités nazies et de façon comparable dans le drame actuel de la mascarade covid.






Les Pièges de l’identité numérique

[Source : Cercle Aristote]

Pierre Yves Rougeyron échange dans le cadre du Cercle Aristote avec PHilippe Guillemant, physicien, spécialiste en intelligence artificielle au CNRS sur l’identité numérique, ses pièges, son rapport avec l’Intelligence artificielle et la 5G.




Hommage aux enfants « morts pour la France » dans la lutte contre le Covid

Par Alain Tortosa

Remerciements éternels aux parents solidaires du sacrifice de leurs enfants injectés

La Nation est bien trop timide et timorée !

Les médias ne rendent pas suffisamment justice et hommage à tous les enfants et adolescents en pleine santé qui n’ont pas hésité à donner leur vie ou leur santé pour essayer de sauver des vieux grabataires.

Vous enfants balayés par cette injection dans la force de l’âge et à l’avenir radieux, êtes des « héros » et la France ne vous oubliera jamais !

Je voudrais être le plus juste possible et remercier :

  • Le gouvernement et particulièrement le ministère de la Santé et de l’Éducation.
  • Les députés, préfets, hommes politiques et les maires.
  • Les médias grand public et TOUS leurs « journalistes ».
  • L’OMS, les médecins médiatiques, les médecins et infirmiers injecteurs grassement arrosés.
  • Les personnels de l’éducation et les enseignants.
  • Les entreprises privées qui ont offert des avantages commerciaux aux enfants injectés ou qui ont mis en œuvre des « vaccibus ».

Mais aussi tous ceux qui ont œuvré à la publicité pour inciter, manipuler, fait pression, culpabilisé, instauré le pass sanitaire, afin qu’un maximum d’enfants soient injectés.

Vous, acteurs, n’avez pas hésité une seconde à donner de votre personne et continuez à mettre toute votre énergie afin d’envoyer un maximum de soldats enfants au front dans cette guerre impitoyable !

Sachez que je n’oublierai JAMAIS vos actions au service de l’injection massive des enfants et que je mettrai mon énergie à rappeler votre participation active lors de l’après-guerre.

Je ne manquerai pas de rafraîchir la mémoire aux plus modestes d’entre vous qui diront alors qu’ils manquaient d’informations…

Je tiens d’autant plus à vous rendre hommage, vous les protagonistes qui ont conduit à l’injection massive de ces « vaccins » pour des enfants en pleine santé, que…

Vous n’avez pas reculé devant les difficultés qui auraient pu faire barrage à cette injection de masse et prévenir le sacrifice de ces enfants et je vous en remercie.

  • Ignorer que les données sont mensongères.
  • Ignorer qu’il existe des traitements.
  • Ignorer que de nombreuses personnes âgées ont été terminées au Rivotril.
  • Ignorer que le paracétamol a précipité dans la mort des patients.
  • Ignorer que les enfants en bonne santé ne sont pas concernés par cette maladie.
  • Ignorer que l’immunité de masse est un leurre et que ces injections ne bloquent pas le virus.
  • Ignorer les statistiques officielles publiées et effets secondaires dramatiques.

Espérons qu’un maximum d’enfants et parents prendront modèle sur ces « héros morts pour la France ».

Fasse que la plupart s’engagent « héroïquement » dans la lutte contre le « fléau » et n’hésitent à se faire injecter ces produits, en hommage aux victimes, et ce au péril de leur vie ou de leur santé.

Produits qui sont « les seuls qui permettront de mettre fin à cette odieuse pandémie » tueuse de vieux !

Non ces enfants ne seront pas morts en vain et on élèvera une stèle à leur mémoire afin que personne n’oublie leur « merveilleux sacrifice ».

Vive la République populaire de France ! Vive la France !

Alain Tortosa.

3 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa2021003-enfants-injectes-morts-pour-la-france.pdf




Le Seigneur des « vaccins »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vont font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vaccination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vaccin » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vaccins’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vaccins’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vaccin’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vaccins) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré


Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Tyrannie sanitaire

[Source de l’image : breizh-info.com]




L’école en famille

[Source : Nexus]

Par Nexus Magazine

Reportage : une famille nous raconte son expérience de l’instruction en famille

En plein cœur de la Creuse, nous avons rencontré  Sarah et Adrien avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, qui ont accepté de se prêter au jeu de la caméra pour partager avec nous leur expérience de l’instruction en famille. Ils ont passé 5 ans à la maison, mais sont aujourd’hui scolarisés au collège pour une troisième année d’école.

Friperie, bibliothèque associative partagée, journées de la gratuité trimestrielles, grand potager communautaire, le tout autour d’une belle maison en pierre que Sarah et Adrien prennent le temps de retaper. Quand on arrive sur le lieu de vie de cette petite famille, on s’y sent tout de suite à l’aise et bien accueilli, par les plus grands, comme par les plus petits. Un contact se crée facilement avec les parents, mais également avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, âgés respectivement de 13 ans et 11 ans et demi. Leur âge nous étonne, quand on voit l’aisance et le vocabulaire avec lesquels ils communiquent avec leurs comparses, mais aussi nous autres, les « vieux ». Les quatre membres de cette famille nous confieront chacun avec leurs propres mots et ressentis leur expérience de l’instruction en famille, qui sera bientôt soumise à une demande d’autorisation plutôt qu’à une simple déclaration auprès des instances publiques.

◆ L’instruction en famille vue par les enfants

Avant le témoignage des parents, découvrez tout d’abord en vidéo comment ont vécu l’instruction en famille Eden et Zenayah :

https://www.youtube.com/embed/R_D0VLve5Vk

◆ Respecter le rythme familial et individuel

Eden et Zenayah ont bénéficié de l’instruction en famille à partir de leurs 6 ans, puisqu’à leur époque, l’instruction était obligatoire à partir de cet âge-là, et non pas à partir de 3 ans.

« C’est avant tout pour respecter notre rythme de vie et le leur que nous avons choisi l’instruction en famille », nous expliquent Sarah et Adrien. « Nous nous déplacions beaucoup, à la recherche d’une propriété que nous voulions transformer en lieu de vie ouvertDe plus, le rythme scolaire à l’école est très réglé, dense et mouvementé, et le fait de les instruire à la maison nous a permis de transmettre des connaissances à nos enfants lorsqu’ils étaient prêts à les recevoir. »

◆ Une vision différente de l’école

Sarah et Adrien reconnaissent ne  pas leur avoir donné une image très réjouissante de l’école, même si Sarah a beaucoup aimé y aller, ainsi que « l’ambiance copains » sur place.  Il n’en a pas été ainsi pour Adrien. Pour lui, elle génère des « pseudo-relations sociales » éphémères, tout comme les connaissances qu’on y acquiert. Il nous confie que c’est après avoir quitté le lycée qu’il détestait et où il a l’impression de ne rien avoir appris d’essentiel à part lire et compter, qu’il est tombé bien bas. Et que c’est à ce moment-là qu’il est tombé de haut, en se relevant tout seul et en acceptant parfois l’aide de personnes inattendues. Les quelques souvenirs qu’il garde de l’école lui semblent secondaires.
Sarah évoque les matières enseignées : « Tout ce qu’on a appris nous sert aujourd’hui rarement, à part les bases. Dans l’enseignement secondaire, à moins d’avoir choisi une profession très spécifique en lien avec les études choisies, on ne se souvient pas de grand-chose. Certes, tu apprends à l’école. Certes, tu peux te faire des copains, mais tu peux aussi être mis de côté, montré du doigt. Tu peux apprendre, mais pas forcément à ton rythme. Je pense que l’école a encore beaucoup de travail pour être adaptée à l’enfant. Elle oublie souvent que l’enfant est un adulte en devenir et qu’il se doit d’être autonome, et pas que sur son travail scolaire. »

◆ De l’autonomie guidée

Sarah poursuit : « Ça n’est pas nous qui leur avons appris à lire, à compter, ou les bases nécessaires. C’est eux qui ont appris, seuls, en étant accompagnés par nous, parents. Nous leur avons donné des outils et eux les ont utilisés. » Jusqu’à 7-8 ans, les parents d’Eden et Zenayah les ont beaucoup laissés se débrouiller en autonomie, principalement par le jeu et avec un accès à l’extérieur assez grand, avec une parenthèse d’un an et demi en école Montessori qui leur a permis de découvrir le concept de l’école et de la collectivité lorsqu’ils n’avaient pas encore 6 ans.
Les initier également à la vie du quotidien dans une famille a été très important pour Adrien et Sarah. « Nos enfants, depuis qu’ils ont 3 ou 4 ans, participent aux tâches de la maison, et on y tient encore, maintenant qu’ils sont scolarisés. Il n’y a pas de raison qu’ils mettent les deux pieds sous la table ou restent derrière leur écran. Dans certaines écoles alternatives, les enfants participent au ménage et à la cuisine, et je trouve cela très bien. » Adrien complète : « On a voulu leur apprendre que ça n’est ni au système, ni à leurs parents de tout prendre en charge pour eux et qu’ils ont leur propre chemin à trouver. »

◆ Un niveau adapté au cadre scolaire classique, pour les enfants… et les parents !

Ces années n’ont posé aucun problème à Eden et Zenayah pour entrer au collège. « Bien sûr, lorsqu’ils ont exprimé la demande de changer de mode d’instruction, on a veillé à faire un bilan de là où ils en étaient, et de là où ils devaient en être pour rentrer dans leurs classes respectives, et ça allait. » Pour pouvoir instruire ses enfants, les parents eux-mêmes doivent avoir certaines compétences. « Comment enseigner la grammaire à ses enfants si soi-même on ne la comprend pas ? Ça veut dire qu’il faut réviser avec nos enfants à des moment donnés et se replonger dans certaines règles qu’on applique quand on écrit et auxquelles on ne réfléchit plus. Je pense que jusqu’à dix ans, on a tous le niveau pour faire ça, mais au-delà, il y a des matières dans lesquelles on n’a peut-être pas envie de se replonger ou qu’on ne souhaite pas intégrer. »

◆ Un apprentissage mutuel

« J’estime avoir appris énormément grâce à mes enfants et à tout ce temps passé avec eux. L’instruction  n’est pas allée que dans un sens », reconnaît Adrien. Pour lui, avec leur  cerveau en formation et évolutif, les enfants sont plus intelligents que les adultes très souvent « butés » selon lui. Il est épaté par leur capacité à trouver des solutions pour réaliser certains objectifs que lui n’avait pas entrevues. Il ne prend pas cela pour de l’insolence, mais pour de l’ingéniosité et de l’ouverture d’esprit dont il veut s’inspirer. « Ils m’ont également appris à reconnaître et accepter mes émotions, à accepter l’autre dans ses différences, malgré mon impatience ».

◆ Un besoin de prendre son envol à un moment donné

Entre 6 et 10 ans, l’instruction en famille s’est plutôt bien passée dans cette famille selon les dires de chacun de ses membres.. « On avait un temps quotidien de travail scolaire, mais parfois, eux comme nous, n’avions pas envie de le prendre. Il nous est donc arrivé de laisser couler. » Même s’ils avaient des copains dans le village qui eux allaient à l’école, ainsi que des activités à l’extérieur du foyer familial comme les sorties culturelles, la piscine et le cirque, les deux enfants d’un tempérament très sociable ont exprimé le besoin de ne plus être tout le temps avec leurs parents. Sarah souligne qu’« être 24h sur 24 ensemble, ça peut être contraignant. Il faut que les enfants et les parents aient les épaules pour ça. Même si on a choisi d’avoir des enfants, on n’a pas choisi leur personnalité, tout comme ils n’ont pas choisi la nôtre. Je crois que l’être humain a besoin d’un contact autre que celui avec sa famille, et ce contact, on le trouve majoritairement à l’école dans un premier temps ».

◆ D’autres formes d’instruction à trouver et peaufiner

Pour Adrien, il n’existe aucune école idéale, mais uniquement des expériences éducatives qui peuvent être bonnes, mais  toujours à parfaire. Il a la conviction qu’à partir du  moment où l’enfant est à l’école, les parents n’ont plus un mot à dire sur ce qu’il y vit. Que l’administration, froide et impersonnelle, s’accapare en quelque sorte le pouvoir sur les jeunes et infantilise complètement les parents. Ce qui est dommage pour Sarah, c’est qu’on ne propose pas de réelle alternative à l’école : « Soit on va à l’école, soit on n’y va pas. Certes il existe d’autres écoles que les écoles classiques, mais ça reste des écoles. Et instruire nos enfants aux côtés d’autres enfants est aujourd’hui non recevable auprès de l’académie lors du contrôle annuel. » Les enfants d’Adrien et Sarah ont d’ailleurs pendant un an et demi intégré une école Montessori. « Je pense qu’il y aurait d’autres possibilités pour permettre aux enfants de se retrouver, car c’est important qu’ils le fassent, dans des cadres différents, où ils pourraient s’instruire et progresser. Heureusement il existe actuellement des écoles parentales qui se créent et de petites structures entre particuliers, et je trouve ça bien qu’on aille dans ce sens-là. Qu’on permette davantage à l’enfant de choisir ce qu’il peut faire de ses journées, qu’il soit autonome et responsable tout en étant bien accompagné me semble fondamental. C’est un être intelligent, qui se rend compte de ce dont il a besoin pour son bonheur, et ce, dès le plus âge. »

◆  Une nouvelle loi qui met des bâtons dans les roues

Adrien et Sarah ne sont foncièrement pas d’accord avec la nouvelle loi sur le séparatisme qui vient de sortir et qui risque de limiter sérieusement la possibilité de faire l’instruction en famille. Mais Sarah reste confiante et déterminée : « Cette loi va encourager les parents à faire des pieds et des mains pour pouvoir y arriver. Ce qu’ils veulent donner, c’est une autorisation. Est-ce que ça va changer grand-chose ? Est-ce qu’ils vont la donner à tous ? Qui va donner cette autorisation ? Est-ce que l’Éducation nationale va se pencher sur tous les dossiers de demande d’instruction en famille pour déterminer les spécificités de l’enfant ? Ce qui me met en  rogne, c’est que ça va peut-être pousser certains parents à trouver des stratagèmes pour pouvoir instruire leurs enfants en famille, alors qu’à la base, ils n’ont pas envie d’être malhonnêtes. Mais pense que des parents déterminés trouveront une façon ou une autre de parvenir à leur fin. »

Adrien pense que grâce à ces années en famille, ses enfants vivent davantage l’instant présent, ont la capacité de savourer les liens relationnels qu’ils peuvent avoir, en faisant preuve de discernement et sans s’attacher à tout le monde. Quant à Sarah, elle ne peut pas encore dire si elle leur a permis d’acquérir des valeurs différentes de celles qu’ils auraient acquises à l’école. Avec un grand sourire, elle conclue : « C’est encore trop tôt. Je pourrai peut-être vous dire quand ils auront dix ans de plus ! »

🗞 Découvrez notre dernier article intitulé « Instruction en famille : incohérence et manipulation gouvernementales » dans notre dernier numéro en kiosque et en ligne : https://magazine.nexus.fr/n136




France : « Maintenant, ça suffit…Le gouvernement doit absolument lever toutes ces mesures liberticides ! On n’a pas droit de faire vivre cela à nos enfants !!! »

[Source : businessbourse.com]




Les États-Unis vont-ils se désunir ?

[Extraits de Dedefensa.org]

(…) enquête de l’honorable Center for Politics de l’université de Virginie. La guerre civile n’est pas inéluctable lorsque les deux ennemis jurés sont d’accord pour se séparer.

Pour l’heure, ce que nous dit cette enquête est bien que nous avons, non pas un affrontement, non pas une mésentent,e mais une irrémédiable fracture que les deux camps s’accordent pour juger irréversible.

« Plus de la moitié des Américains qui ont voté pour Trump sont favorables à ce que les États “rouges” [républicains] fassent sécession de l’Union, selon un récent sondage qui révèle également que près de la moitié des électeurs de Biden sont du même avis. La nation est-elle en route vers une guerre civile 2.0 ?

Selon un sondage publié vendredi, quelque 52% des électeurs de Trump interrogés par le Center for Politics de l’université de Virginie estiment que le pays se porterait mieux si les États à vote républicain (“rouges”) faisaient sécession de l’Union pour former leur propre nation. Un quart de ces électeurs sont tout à fait d’accord avec ce sentiment.

Les électeurs de Trump ne sont pas les seuls à penser qu’il est temps pour les États-Unis de se désunir. Quelque 41% des électeurs de Biden approuvent également cette idée, et un plus petit pourcentage, – 18%,– sont fortement d’accord.

Les implications pour l’“autre’ parti si la sécession n’avait pas lieu sont sans aucun doute plus inquiétantes. Une majorité non négligeable des électeurs de Trump et de Biden sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle “si notre société le veut, il est du devoir de tout vrai citoyen d’aider à éliminer le mal qui empoisonne notre pays de l’intérieur”. Il est bien sûr évident que personne ne se présente pour défendre “le mal” ou s’identifier à lui, et il apparaît tout aussi évident que les deux partis se réfèrent à l’autre lorsqu’ils utilisent un tel terme.

Des pourcentages énormes de 80% des électeurs de Biden et de 84% des électeurs de Trump sont d’accord pour dire que les élus de l’autre parti “présentent un danger clair et immédiat pour la démocratie américaine”.

En ce qui concerne les “valeurs”, près de 90% des électeurs de Trump pensent que le parti démocrate veut “éliminer l’influence des valeurs traditionnelles dans la vie et la culture américaines”, tandis que 78% des électeurs de Biden pensent la même chose, – en substituant “progressiste” à “traditionnel”.

Ce n’est pas nécessairement seulement la haine ou le dédain qui est à l’origine de ce clivage, – dans de nombreux cas, c’est la peur qui domine. Les électeurs de Biden et de Trump (80% et 82%, respectivement) craignent qu’eux-mêmes ou un de leurs proches “ne subissent une perte ou une souffrance personnelle en raison des effets des politiques [du parti adverse] à l’avenir”. 

Près des trois quarts des deux partis ont perdu la foi dans le premier amendement, suggérant que “certaines sources médiatiques des extrêmes [droite/gauche] sont devenues si mensongères qu’elles devraient être censurées pour mettre fin à la diffusion de mensonges dangereux”.

Les deux partis considèrent les médias qui favorisent le “camp” opposé comme un bras de facto du parti concerné. 77% des démocrates estimant que Fox News, par exemple, est un organe de presse du GOP qui diffuse des fausses nouvelles, tandis que 88% des républicains considèrent MSNBC comme une ruche de faux jetons progressistes.

Ne voyant apparemment pas de place pour la nuance, 76% des électeurs de Trump déclarent qu’il n’y a “aucune différence réelle entre les démocrates et les socialistes”, tandis que 56% des électeurs de Biden répondent qu’il n’y a “aucune différence réelle entre les républicains et les fascistes”.

En imaginant comment réparer leur nation divisée, une minorité non négligeable, tant à gauche qu’à droite, a donné libre cours au totalitarisme qui sommeille en elle, suggérant que “ce serait mieux pour l’Amérique si le président, quel qu’il soit, pouvait prendre les mesures nécessaires sans être contraint par le Congrès ou les tribunaux”. Bien que ce chiffre ne s’élève qu’à 46% pour les Démocrates et seulement 44% pour les Républicains, les deux “camps” ont été assez ouverts quant à leur désir d’un “leader puissant” qui pourrait “détruire les courants radicaux et immoraux qui prévalent dans la société actuelle”.

Pas moins de 82% des républicains sont prêts à embrasser un tel homme fort (ou femme forte), et même 62% des démocrates approuvent cette idée. Une proportion similaire pense qu’il y a “beaucoup de gens radicaux et immoraux qui essaient de tout gâcher” et que “notre société doit les arrêter”.

Les sondeurs n’ont pas demandé qui étaient ces personnes radicales et immorales, supposant peut-être que c’était l’autre parti qui servait de bouc émissaire, – bien que le vitriol contre ces “radicaux” ait reçu une approbation bipartite beaucoup plus importante que le clivage politique lui-même.

Les médias américains, –  en particulier ceux du courant dominant, – déplorent souvent le manque d’unité nationale, qu’ils imputent principalement à Trump et à ses partisans. Même le rapport de Mediaite sur le sondage qui a montré que le désir de sécession est bipartisan semblait conçu pour diviser davantage la population, déclarant dans son titre que les “électeurs de Trump” sont ceux qui demandaient la sécession même si plus de 40% des électeurs de Biden appellent à la même chose. »

La “Guerre Civile 1.0” comme l’on dirait en termes numériques, ou Guerre de Sécession comme l’on dit d’une manière plus conforme à la vérité historique, opposait deux camps aux buts opposés : le Sud voulait la sécession, le Nord s’y opposait. Le feu et le sang réglèrent ce désaccord. Dans le cas de 2021 (…) ce qui frappe est l’accord pour considérer l’irrémédiabilité du désaccord. L’affrontement le cède à l’entente pour le divorce. (…)

Tout cela doit être pour l’instant considéré comme théorique puisqu’il n’existe aucune “unité” réelle et franche, de type géographique ou ethnique, entre les deux camps. (…) Cette situation qui reste notablement éparpillée est un problème certainement très lourd pour une sécession ordonnée. Pour autant, l’activisme désormais bien connu des gouverneurs des États (essentiellement conservateurs), avec l’exercice de leurs pouvoirs au maximum prévu et en confrontation directe avec le “centre” de Washington D.C. (complètement progressiste), montre que la vie politique est en cours de changement.

(…)

Il est difficile, voire impossible, d’envisager un avenir optimiste pour la cohésion des États-Unis d’Amérique. Les USA ne se sortiront pas de cette crise dans leurs structures actuelles… Pour rendre le propos plus clair en le renversant : cela signifie que la crise ne se dénouera qu’avec la fin des États-Unis dans leurs structures actuelles, et donc l’une ou l’autre formule de sécession(s), de fragmentation, de dislocation.




Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis, nous avons recueilli les propos de l’association ReinfoCovid sur place pour faire un point sur la situation sanitaire :

En Nouvelle-Calédonie, l’obligation vaccinale pour les majeurs à été votée au début du mois. Comment voyez-vous l’épidémie évoluer depuis ?

L’obligation vaccinale pour les majeurs a été votée le 03 septembre 2021 par le Congrès, quelques jours avant la détection d’un premier cas officiel de covid-19 en Nouvelle-Calédonie sur l’année 2021, jusque-là « Covid-free ». Depuis la détection de ce premier cas, de nombreux cas ont été détectés, avec, d’après les chiffres officiels au 25 septembre, 339 hospitalisations, 56 réanimations, 1 986 guérisons et 73 décès. Nous regrettons et dénonçons la décision de classer « covid » tout décès spontané sur le territoire, ce qui fausse les chiffres à la hausse et crée de la panique au sein de la population à l’annonce des décès dits « Covid » dans les médias locaux.

Pourtant, de nouvelles mesures de restrictions ont été remises en place juste après, et le gouvernement a annoncé renforcer ses aides économiques pour les entreprises calédoniennes. Comment la population réagit-elle face à cela ?

Le confinement strict a été annoncé le lendemain de la détection du premier cas covid-19, pour une durée de 15 jours, et a par la suite été prolongé jusqu’au 4 octobre (au moins). La population reste divisée sur la prolongation du confinement. Malgré les aides économiques, l’impact reste important, et d’autres secteurs comme l’éducation, avec la fermeture des établissements scolaires, sont fortement impactés. Une partie de la population est consciente qu’il n’a jamais été prouvé que le confinement réduisait la propagation de l’épidémie.

La population réagit très globalement dans la peur, celle d’attraper le virus et d’en mourir, comme cela est martelé quotidiennement dans les médias, avec désormais cette obligation à la vaccination pour les plus de 18 ans, qui est présentée comme la seule et unique solution pour éviter la mort.

Pour autant, le travail de ré-information de RéinfoCovid NC, depuis des mois maintenant, invite la population à la plus grande prudence face à l’injection expérimentale, avec le recul que l’on a des pays très majoritairement vaccinés. Ces derniers n’ont toujours pas « éradiqué » l’épidémie, bien au contraire, ils connaissent une recrudescence sans précédent de malades du covid parmi la population vaccinée et l’encombrement des hôpitaux.

La population du pays est de plus en plus consciente du besoin de traitements qui fonctionnent partout dans le monde, comme l’ivermectine, bien que les autorités locales ne permettent pas aux médecins de prescrire ces traitements précoces, ce que nous condamnons formellement. Depuis le vote de l’obligation vaccinale pour les plus de 18 ans, une partie de la population s’est jetée sur les « vaccinodromes » déployés en masse partout dans le pays. Après une quinzaine de jours, le rythme de vaccination a fortement diminué, ce que l’on explique par la réticence de la population non vaccinée à recevoir un produit expérimental, et du fait aussi de la survenue de nombreux effets indésirables, parmi lesquels plusieurs décès post-vaccinaux, qui n’ont pas fait la une des journaux locaux mais qui font l’objet de témoignages sur les réseaux sociaux.

D’un point de vue juridique, plusieurs recours en référé contre la délibération 44/CP ont été portés, notamment par une association locale et des citoyens.

Vous parliez d’un grand jour et d’un « ultimatum pour le gouvernement », pouvez-vous nous expliquer ?

Mercredi 22 septembre 2021, a été remis au gouvernement, au Congrès et au Haut-Commissariat de la République (représentant l’État français), un courrier commun signé par une quinzaine de collectifs, d’associations, de syndicats, de représentants du personnel, de professionnels et de citoyens, dans lequel nous demandons l’annulation pure et simple de la délibération 44/CP portant sur l’obligation vaccinale, pour laisser libre choix à chacun d’une liberté vaccinale avec une information claire, loyale, libre et appropriée.

Nous demandions également la mise en place de protocoles thérapeutiques préventifs et précoces pour la prise en charge du covid-19, en particulier l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et certains antibiotiques (azytromicine et doxycycline). Nous réclamions également la libre prescription par les médecins de terrain.

Nous demandions enfin de cesser les discussions visant à l’instauration d’un « passe sanitaire » en Nouvelle-Calédonie, dispositif liberticide et discriminatoire qui ne sera pas accepté par la population.

Dans ce courrier, nous avions invité expressément les autorités à accueillir les représentants de chaque entité signataire sous 48h afin d’obtenir une réponse à nos demandes. Aucune réponse n’a été faite à l’heure actuelle.

En parallèle, un rassemblement pacifique citoyen a été organisé à Nouméa par les entités signataires le 25 septembre, rassemblant environ 8 000 personnes, pour la liberté vaccinale, pour l’annulation de la délibération 44/CP, pour la liberté de se soigner, pour la libre prescription des médecins et le refus du « passe sanitaire ».

Lien vers la vidéo du rassemblement

Non loin de chez vous, le Dr Théron, qui exerce sur l’île de Tahiti, a été placé en garde à vue au début du mois. Avez-vous eu vent des réactions en Polynésie ?


En effet, nous avons vu les réactions vives de la population, en soutien au Dr Théron, suite à cette mise en garde à vue. Les images de son « interpellation », où il a été trainé littéralement comme un terroriste par les forces de l’ordre ont profondément choqué les populations dans toute la zone pacifique.
 Nous adressons tout notre soutien au Dr Théron, ainsi qu’à la population de la Polynésie. En Nouvelle-Calédonie, la pétition de soutien au Dr Théron a été relayée massivement.

À la proue du monde, l’île va être un théâtre expérimental surprenant. Que le monde ouvre l’œil. Le peuple est éveillé. Témoignages et plaintes risquent de bouleverser l’épisode insulaire…

Auteur(s): FranceSoir




Comment asservir un peuple ?

[Source : breizh-info.com]

« Vous voulez connaître le secret pour asservir un peuple ? Prévoir les comportements, contrôler les actions ? Déterminer les pensées ? Comment faire ? Certains ont tenté la coercition. Notre méthode est bien plus efficace, bien plus durable, bien plus profonde. Voulez-vous la connaître ? Écoutez bien.

Choisir un peuple en perte de repères, perdu, la suite sera d’autant plus efficace. Guerre longue, disparition de la tradition et de la foi, déclin civilisationnel, sentiment de déclassement : tout est bon à prendre. Ces peuples sont confrontés à un vide. C’est le moment parfait pour mettre en place notre système d’asservissement. La nature a horreur du vide. Les individus n’ont plus de repères ? À nous de leur en proposer : la valeur de l’argent, le goût du confort, le sens du matériel ; attractif et séduisant. Adhésion à ces valeurs : rapide et totale. L’avoir prend le dessus sur l’être. Les gens sont fiers de ce qu’ils possèdent, les gens commencent à se définir parce qu’ils possèdent. Et pour posséder, il faut acheter. Mais rapidement, l’achat des objets du quotidien ne suffit plus. La machine s’essouffle. Il faut posséder plus, toujours plus. On fait naître chez tous des nouveaux désirs, des désirs de plus en plus récurrents. Le désir devient besoin, le peuple devient marché, l’individu devient consommateur, la consommation devient reine… mais l’emprise est encore trop superficielle. Il faut rendre la dynamique plus durable, faire de cet attrait pour la consommation… une addiction. L’addiction, c’est quoi ? Une perte du libre arbitre qui découle d’une habitude.

Pour y arriver encore plus sûrement, s’appuyer sur la science : sociologie, ethnologie, sciences olfactives, neurosciences, toutes viennent renforcer encore plus les mécanismes d’addiction. Le progrès technique vient nourrir la dynamique ; on introduit alors le monde numérique. Tout est accessible plus vite, plus proche. Les notifications affluent à toute heure, donnant l’illusion du plaisir, l’illusion du bonheur. Le temps de cerveau disponible devient alors marchandise. Plus ça avance, plus le cerveau reptilien prend le dessus. Plus ça avance, plus l’emprise est totale. Les centres commerciaux sont devenus des prisons dans lesquelles les gens rentrent volontairement. Désormais, l’addiction est totale, la pathologie reconnue. Les individus en portent même les stigmates : depuis 2000, les gens qui naissent ont un QI inférieur à celui des générations antérieures. C’est la première fois. Un peuple millénaire fier est vaincu, asservi, se mettant lui-même aux chevilles les chaînes qui assurent sa servitude. Par leur addiction à la consommation, les Européens ont perdu la maîtrise de leur destin. Vous pensez avoir échappé à notre entreprise ? En êtes-vous vraiment sûr ? »

https://youtu.be/M9wGM49u2o0

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Des infirmières canadiennes lanceuses d’alerte disent que de nombreuses personnes meurent des vaccins contre le Covid, les hôpitaux sont remplis de personnes entièrement vaccinées

[Source : ZEjournal.mobi]

[Ndlr : au Québec et au Canada en général, les médias mainstream font croire le contraire, à savoir que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées, sachant qu’en fait des personnes n’ayant reçu qu’une dose sont le plus souvent considérées comme non vaccinées et que si elles meurent peu de temps après la vaccination, on dit qu’elles sont mortes de la Covid-19, mais surtout pas d’un effet secondaire du « vaccin ». Dans beaucoup de pays, il semble bien qu’il faille passer par des médias étrangers ou par des médias alternatifs pour avoir un autre son de cloche que celui du gouvernement.]

Deux infirmières canadiennes se sont exprimées en tant que lanceuses d’alerte et ont révélé ce qu’elles ont vu pendant la pandémie de Covid-19. Les infirmières ont décrit avoir vu des personnes mourir après la vaccination et des hôpitaux submergés de personnes entièrement vaccinées souffrant de Covid.

Erica Beardsley, qui a été infirmière pendant 11 ans dans la petite ville de Pontiac, dans la province canadienne de Québec, a récemment démissionné après que son employeur lui a ordonné de se faire vacciner.

Lors d’une manifestation contre le mandat anti-vaccin au Canada, Beardsley a parlé à un journaliste de ce dont elle a été témoin pendant la pandémie.

« J’ai vu physiquement des gens retenir des personnes âgées et les vacciner contre leur gré pendant qu’elles criaient ‘Non’ », a-t-elle déclaré.

« J’ai vu des patients se suicider et… une fois qu’ils sont morts, ils les testent pour le COVID. Pourquoi? Pourquoi les testons-nous pour COVID ? »

« J’ai vu beaucoup de gens mourir d’une crise cardiaque peu de temps après le vaccin », a-t-elle poursuivi. « J’ai été témoin de fausses couches à terme cinq jours, quatre jours après le vaccin ».

Bien qu’il vienne d’une ville d’environ 5 000 habitants, Beardsley a déclaré que cela devenait un phénomène inquiétant.

« Je suis dans un petit hôpital, un petit hôpital. J’ai travaillé à tous les étages », a déclaré Beardsley. Elle a dit qu’elle a travaillé dans les soins de longue durée, les soins généraux, le service des urgences et même pour la clinique externe de son hôpital. « J’ai tout vu. »

« Je n’ai rien à perdre, rien à cacher. Ils voulaient me faire vacciner et j’ai refusé. »

Une deuxième infirmière travaillant à l’hôpital St. Michael’s de Toronto affirme que l’hôpital est rempli de patients Covid entièrement vaccinés.

Un journaliste a demandé : « Les hôpitaux sont-ils pleins de patients Covid ?

L’infirmière a répondu : « Les hôpitaux sont à peu près pleins de gens qui ont été vaccinés. Ils retournent à l’hôpital en raison de leurs vaccinations. »

« Alors vous me dites que les gens qui se sont fait vacciner sont à l’hôpital en ce moment ? » demanda le journaliste.

« Oui, pas seulement à St. Michael’s, mais partout dans le monde », a déclaré l’infirmière. « C’est ce qui revient dans les hôpitaux à cette période de l’année, alors que les hôpitaux devraient être au plus bas, ce sont des gens qui sont vaccinés ».

Actuellement, au Canada, tous les travailleurs de la santé doivent être vaccinés ou risquent de perdre leur emploi. Cela inclut ceux qui travaillent dans les hôpitaux et dans un établissement de soins. Cependant, le gouvernement canadien a récemment annoncé que tous les travailleurs fédéraux doivent être vaccinés contre le Covid-19 d’ici la fin septembre.

Une fois ce mandat en place, une autre règle sera introduite pour rendre les injections obligatoires pour ceux qui travaillent dans les transports aérien, ferroviaire et maritime, et sera mise en œuvre «dès que possible à l’automne et au plus tard fin octobre. », a déclaré le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.



Source : The Daily Expose (Royaume-Uni)