Un « Gouverne Aimant » pour la France

[Source : Philippe Argillier le RDH / le HRU]

https://youtu.be/YZGJjJfkfiI

[Voir aussi :
Révélations de Philippe Argillier auprés de Christian Tal Schaller
et
Le gouvernement mondial de l’ombre]




Évolution sanitaire des pays les plus vaccinés au 14 novembre 21 — Faits avérés d’après les chiffres OMS

Par Gérard Delépine

Depuis plus de 18 mois, nos gouvernants et les médias complices nous rabâchent :

« le retour à la vie normale sera possible grâce au vaccin »,
« vous retrouverez vos libertés quand vous serez vaccinés »
« les non-vaccinés sont responsables de la poursuite de l’épidémie ».

Mais aucune étude dans le monde réel n’a apporté le moindre début de preuve à l’appui de cette propagande marchande pro injection anti-covid.

Et l’analyse des données officielles de l’OMS (consultable à OMS covid dashboard) est très inquiétante. Aucun des champions de la vaccination n’est parvenu à éliminer le virus, ni à éviter de fortes reprises de l’épidémie et très peu ont totalement libéré leur peuple vacciné des mesures liberticides prétendument sanitaires imposées sans preuve scientifique de leur efficacité.

La Grande-Bretagne est le champion de l’injection Astra Zeneca

Mais son haut niveau de « vaccination » ne l’a pas protégée d’une forte reprise de l’épidémie qui persiste depuis quatre mois, avec une moyenne de 40000 cas quotidiens.

Le 10 août 21, témoignant devant les députés anglais, le professeur Sir Andrew Pollard chef de l’Oxford Vaccine Group a déclaré « le fait que les vaccins n’arrêtent pas la propagation de Covid signifiait que l’atteinte du seuil d’immunité globale dans la population était “mythique”. », ajoutant « avec la variante Delta actuelle, ce n’est pas possible »

Israël est le champion de l’injection Pfizer

Au printemps 2021, avant l’émergence du variant Delta, Israël avait été le premier pays au monde à croire avoir atteint l’immunité collective grâce à l’injection Pfizer.

Mais son très haut taux d’injection ne lui a pas permis d’éviter une nouvelle vague avec l’établissement d’un nouveau record absolu de contaminations quotidiennes (11000/J soit l’équivalent pour la France de 70000 cas/J). Et la mortalité quotidienne a suivi malgré les troisièmes injections. Cette résurgence de la maladie a fait reconnaître au ministre de la Santé que le taux d’efficacité de l’injection ne dépassait pas 39 % et qu’elle ne durait que quelques mois.

S’adressant à Channel 13 TV News le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a précisé que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées » et « 95 % des patients sévères sont vaccinés. » détruisant ainsi la propagande vaccinale prétendant que le vaccin protégerait des formes graves.

Les Pays-Bas ont plus de 75 % de leur population vaccinée,

mais ce grand succès de vente de pseudo vaccin est actuellement marqué par un record absolu des contaminations quotidiennes (12000/J soit l’équivalent français de 50000 cas/J) qui fait envisager de nouvelles mesures restrictives.

Là aussi la vaccination s’est révélée incapable de protéger la population.

Le 13 novembre le docteur Kuipers, spécialiste des soins intensifs a déclaré(([1] https://www.curacaochronicle.com/post/main/nl-forget-it-acute-care-expert-says-about-covid-herd-immunity/))

« La suggestion a été faite de l’immunité collective. Oubliez ça ! ».
« Nous travaillons maintenant avec plusieurs scénarios. L’un est le suivant : il y aura toujours un grand nombre de patients corona. Avec un nombre substantiel de patients, nous devons vraiment organiser les soins différemment à long terme. Augmenter la capacité hospitalière pour accueillir tous les patients atteints de Covid-19 et de soins réguliers ».

Singapour est le champion asiatique de la pseudo vaccination anti-Covid avec environ 90 % de la population injectée

Mais ce succès du nombre des injections ne l’a pas empêché de subir un véritable tsunami de contaminations avec un nombre 4 fois supérieur au pic d’avant injection.

Le jeudi 19 août 2021, lors d’un multi- conférence du groupe de travail du ministère, le ministre des Finances Lawrence Wong a averti :

« Singapour n’atteindra pas l’immunité collective pendant la pandémie malgré son taux élevé de vaccination contre le COVID-19(([2] : Lawrence Wong Singapour n’atteindra pas l’immunité collective contre le COVID
https://www.bworldonline.com/95-herd-immunity-vs-delta-is-a-myth-says-infectious-disease-expert/))»
« Le chemin pour devenir une nation résiliente au COVID sera une tâche longue et difficile. Même avec des taux de vaccination très élevés, nous n’allons pas atteindre l’immunité collective ».

Le 8 septembre 21, Tikki E. Pangestu, expert en maladies infectieuses et professeur invité à la NUS Yong Loo Lin School of Médecine à Singapour a déclaré :

« Atteindre 95 % d’immunité collective contre le Delta est un mythe. La variante Delta étant désormais dominante dans la plupart des pays, la cible devrait plutôt être l’immunité aux maladies ou la prévention des maladies graves et des décès dus au virus ».

La Corée du Sud dépasse un taux de vaccination de 80 %

En juin les médias coréens se réjouissaient que l’immunité de groupe était à portée de main.(([3] La Corée du Sud est en passe de créer une immunité collective après avoir vacciné 20 millions de personnes
https://en.yna.co.kr/view/AEN20210803004500320))(([4] https://koreajoongangdaily.joins.com/2020/07/09/national/socialAffairs/herd-immunity-covid-antibody/20200709190007649.html))

Ils prétendaient même « qu’elle serait atteinte dès novembre(([5] https://www.nationthailand.com/international/40004280))». Le porte-parole du ministère de la Santé, Son Young-rae, prévenait que :

« même après que l’immunité collective sera atteinte en novembre, les masques faciaux et d’autres mesures de sécurité resteront nécessaires ».

Mais, depuis octobre leur mirage s’évanouit, l’épidémie explose et la mortalité également :

En octobre, le nombre quotidien de contaminations s’est élevé à 2,5 fois celui du pic de l’épidémie avant la vaccination (2600 vs 1000) et la mortalité a suivi.

démontrant que les vaccins ne résolvent pas le problème Covid ni celui des restrictions sanitaires.

L’Allemagne a injecté 70 % de sa population

Mais ce succès des ventes de pseudo vaccins n’a pas évité une forte reprise de l’épidémie en juillet avec croissance exponentielle depuis septembre avec un nombre de contaminations quotidiennes (36000) dépassant largement les records d’avant « vaccination ».

Les habitants du quartier gouvernemental de Berlin font un adieu lent et silencieux, sans déclaration, sans communiqué de presse, l’adieu à une illusion, à l’objectif que les politiques poursuivent depuis le début de l’année : l’immunité collective.

« Je peux malheureusement difficilement imaginer à ce stade que nous atteindrons l’immunité collective », a déclaré K. Lauterbach(([6] Milena Hassenkamp, Christoph Hickmann, Armin Himmelrath, Martin Knobbe, Timo Lehmann, Martin U. Müller, Miriam Olbrisch, Gabriel Rinaldi et Christoph Schult L’immunité collective est impossible. Maintenant quoi ? Der Spiegel 21/7/2021
https://www.spiegel.de/international/germany/herd-immunity-is-impossible-now-what-a-35335ea0-5ab2-4e3d-95e5-f2672b817056-amp)) expert en santé des sociaux-démocrates de centre gauche (SPD).

L’euphorie vaccinale a apparemment cédé la place à la lassitude vaccinale, et une partie de la population ne veut toujours pas se faire vacciner, sachant que la protection vaccinale est beaucoup plus faible et plus courte qu’annoncée et les accidents post vaccinaux plus nombreux. Le pays apprend progressivement à vivre avec la pandémie, mais il peine, en partie parce que toutes les conséquences ne sont pas avouées et restent imprévisibles.

La population danoise est vaccinée à plus de 75 %,

mais ce haut taux de « vaccination » a été incapable de lui éviter une reprise brutale de l’épidémie et une menace de nouveau confinement.

L’agence danoise des maladies infectieuses SSI a déclaré qu’elle ne pensait plus qu’il serait possible d’obtenir une immunité collective dans le pays grâce à la vaccination,(([7] Ritzau/Le local news@thelocal.dk @thelocaldenmark 6 août 2021
https://www.thelocal.dk/20210806/explained-why-has-denmark-given-up-on-achieving-herd-immunity-via-vaccines/)) ce qui signifie que sars CoV 2 pourrait continuer à circuler pendant des années.

« Si les vaccins étaient efficaces à 100 % contre les variantes actuellement en jeu et si nous avions une couverture vaccinale à 100 % chez les personnes de 12 ans et plus, alors nous pourrions parler de l’obtention d’une véritable immunité collective contre la variante delta », a déclaré Krause. « Mais malheureusement ce n’est pas la réalité, nous ne pouvons pas y parvenir. »

« Cela signifie qu’il est désormais logique de traiter Covid-19 de la même manière que nous traitons la grippe saisonnière, et de ne pas répondre aux vagues d’infection avec des restrictions strictes ». « Cela rappellera plus la grippe qu’avant », a-t-elle ajouté.

L’Islande est le pays européen le plus vacciné

Malheureusement, cette couverture vaccinale ne lui a pas évité une récidive majeure de l’épidémie.

En juin 2021 Þórólfur Guðnason l’épidémiologiste en chef de l’Islande déclarait que l’immunité vaccinale progressait bien.(([8] https://grapevine.is/news/2021/06/11/icelands-herd-immunity-is-progressing-well/))

Mais depuis la nouvelle vague, il a dû déchanter et reconnaître dans une interview à la radio publique que :

« la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient et qu’en réalité l’immunité collective ne pouvait pas être obtenue par la vaccination. »(([9] https://www.organiclifestylemagazine.com/iceland-says-herd-immunity-must-be-reached-through-transmission))

Faute de mieux, il tente une dernière fois de l’atteindre en incitant à un rappel (3e dose).(([10] https://icelandmonitor.mbl.is/news/news/2021/11/08/hopes_booster_shot_will_create_herd_immunity/))

L’Irlande est également très vaccinée (plus de 75 % de la population totalement vaccinée)

En juin le Dr Vellinga déclarait(([11] https://www.rte.ie/news/primetime/2021/0608/1226962-covid-19-ireland-herd-immunity/)):

« avec les vaccins, si nous continuons comme nous le faisons, d’ici la fin de l’année, nous devrions avoir une situation assez normale ».

Mais une rechute majeure des contaminations est survenue début juillet 2021 qui s’amplifie encore depuis un mois.

La ville de Waterford a l’un des taux de vaccination les plus élevés d’Irlande contre Covid-19, avec 99,7 % des adultes de plus de 18 ans entièrement vaccinés, mais est devenue l’endroit avec le taux d’infection Covid-19 le plus élevé du pays.

Le taux d’incidence sur 14 jours atteint 1 486 cas pour 100 000 habitants, soit trois fois la moyenne nationale qui s’élève à 493 infections pour 100 000 habitants. La zone électorale adjacente de Tramore-Waterford City West a un taux sur 14 jours de 1 121 pour 100 000, selon les derniers chiffres hebdomadaires publiés par le Health Service Executive’s Health Protection Surveillance Centre.

Que penser de « l’immunité de troupeau » érigée en Graal par nos dirigeants ?

Thierry Breton, le commissaire européen en charge des vaccins, avait jugé possible une immunité collective le 14 juillet 2021 dans l’Union européenne. Devant le sénat, il exposait ainsi le principe du certificat vaccinal :

« Rien ne sera obligatoire ! ».
« On n’utilisera jamais le mot passeport. Ça donne le sentiment d’être obligatoire. Il ne le sera pas. Ce sera volontaire ».

Comment pourrait-on encore le croire ?

L’OMS avait d’emblée prévenu :

« jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie ».(([12] Allocution liminaire du Directeur général de l’OMS lors du point de ‎presse sur la COVID-19 — 12 octobre 2020‎
https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—12-october-2020))

Le 12/11/2021 le Dr Jefferson Jones, médecin du groupe de travail sur l’épidémiologie COVID-19 du CDC concluait lors de la réunion :

« penser que nous serons en mesure d’atteindre une sorte de seuil où il n’y aura plus de transmission d’infections peut ne pas être possible. » 

Depuis lors, le CDC détourne son attention d’un objectif de vaccination spécifique qui, une fois atteint, présagerait la fin de la pandémie. 

L’immunité de groupe ne pourrait être espérée par le vaccin que si celui-ci protégeait totalement les individus vaccinés suffisamment longtemps et les empêchait de transmettre la maladie. C’est le cas des vaccins contre la variole ou contre la fièvre jaune.

Or les faits avérés montrent qu’aucune de ces deux conditions n’est remplie par les pseudo vaccins anti-Covid. Les vaccinés ne sont protégés qu’à 40 % et guère plus de quelques mois, en cas d’infection leur charge virale est égale à celle des non-vaccinés infectés et ils peuvent transmettre parfaitement la maladie. Cela explique que l’immunité collective est irréalisable par la pseudo vaccination actuelle.

Conclusions

Ce panorama de l’évolution de l’épidémie dans ces pays champions de la vaccination, telle qu’elle est décrite par les données de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins démontre :

  • Que les pseudo vaccins Covid ne protègent pas les populations des récidives de l’épidémie
  • Que les agences sanitaires abandonnent l’espoir d’une immunité collective par la vaccination maintenant qualifiée de mythe par la quasi-totalité des agences qui y croyaient
  • Que cet échec est la conséquence de l’efficacité insuffisante et de la durée beaucoup trop courte(([13] 4 à 6 mois alors que L’immunité naturelle dure beaucoup plus longtemps)) des pseudo vaccins actuels qui n’empêchent ni d’être malade ni de transmettre la maladie
  • Que beaucoup d’experts pensent qu’il est temps d’apprendre à vivre avec le covid comme avec la grippe saisonnière.

Il est grand temps que notre ministre de la Santé considère
les faits avérés et les conclusions des agences étrangères
et cesse la quête infructueuse d’un Graal vaccinal illusoire et dangereux.

L’échec maintenant patent des pseudo vaccins est d’autant plus criant que les traitements précoces bon marché ont fait leurs preuves d’innocuité et d’efficacité en Inde comme en Afrique (Nigéria, Madagascar) lorsqu’on regarde leurs données publiées par l’OMS.

L’inde a privilégié les traitements précoces et préventifs par hydroxychloroquine et Ivermectine avec succès.

Le Nigéria a bénéficié des traitements quotidiens par les antipaludéens

Madagascar est le champion victorieux de l’Artémisine





Gabriel Attal n’exclut pas de reconfiner les Français non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Invité sur le plateau de l’émission de France 2 On est en direct le 13 novembre 2021, Gabriel Attal, n’exclut pas la possibilité d’un reconfinement pour les non-vaccinés. Face aux questions de Laurent Ruquier et Léa Salamé sur un possible confinement à l’autrichienne, qui ne concernerait que les personnes non-vaccinées, la réponse du porte-parole du gouvernement laisse planer une possible ségrégation un peu plus ciblée :

« On espère pouvoir éviter ça [NDLR: le reconfinement], on va tout faire pour ! […] L’un des enseignements que je tire en tant que porte-parole du gouvernement après dix-huit mois de crise, c’est qu’il ne faut jamais rien exclure par principe, car cette épidémie continue de surprendre le monde entier.  [L’exemple de l’Autriche] ça ressemble un peu à ce que l’on a fait avec le pass sanitaire. Il faut voir concrètement comment ça va s’organiser. »

Pourquoi se mettre à dos toute la population française quand on peut s’acharner sur les 20 % de récalcitrants ? En effet le gouvernement n’est pas aussi con qu’il en a l’air, bien au contraire. L’idée reste de contraindre — par la violence de la semi-liberté — les Français qui ne souhaitent toujours pas se faire injecter le produit Pfizer. Et confiner toute la population, c’est suicidaire, surtout avant la présidentielle. Rappelons à nos lecteurs que la vaccination n’est que la face cachée de l’identité numérique mondiale. Même si Albert Bourla se fait des couilles en or massif, c’est Bill Gates avec le projet ID2020 qui doit se finaliser. Et pour manipuler toutes les populations, il faut contraindre les récalcitrants qui emmerdent ces messieurs. Mais il ne faut pas non plus exaspérer les vaccinés, tout en gardant une certaine pression tout de même. Dans un monde qui ressemble de plus en plus à un cirque, rien d’étonnant à voir de la contorsion et des clowns en guise de politiques prêts à vendre leur propre mère pour se faire un p’tit billet.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




Pape François : « L’heure de la réinitialisation mondiale a sonné »

[Source : Aube Digitale]

Le pape François a déclaré que l’élite devait introduire une « réinitialisation mondiale » et a prévenu que le monde ne reviendrait pas à la normale après la pandémie.

Le souverain pontife a critiqué le monde d’avant la pandémie, qui, selon lui, était en proie à l’oppression capitaliste, à la corruption et à la guerre.

« La réalité que nous connaissions avant la pandémie était que la richesse et la croissance économique étaient réservées à une minorité tandis que des millions de personnes étaient incapables de répondre aux besoins les plus élémentaires et de mener une vie digne », a déclaré le pape d’extrême gauche.

« Un monde dans lequel notre Terre était pillée par une exploitation myope des ressources, par la pollution, par le consumérisme « jetable », et blessée par les guerres et les expériences avec les armes de destruction massive ».

« Le retour à la normale signifierait aussi un retour aux anciennes structures sociales inspirées par l’autosuffisance, le nationalisme, le protectionnisme, l’individualisme et l’isolement », a ajouté François.

« Et l’exclusion de nos frères et sœurs les plus pauvres ».

« Est-ce un avenir que nous pouvons choisir ? »

« Dans ce monde globalisé mais déchiré, les décisions que nous prenons aujourd’hui pour sortir de la crise déterminent la « route » des générations à venir ».

« Nous avons besoin d’une nouvelle porte de sortie » pour « en sortir mieux qu’avant ».

« L’espoir est audacieux et incite à l’action en sachant que la réalité peut être changée. »

Notre conscience nous appelle « à ne pas suivre la voie facile du retour à une « normalité » marquée par l’injustice, mais à accepter le défi d’assumer la crise comme une opportunité concrète de conversion, de transformation, pour repenser notre style de vie et notre système économique et social », a déclaré le pape François.

Breitbart rapporte : La vision du pape pour un monde nouveau commence par « un engagement collectif concret en faveur du désarmement intégral », a-t-il noté. « Les dépenses militaires mondiales ont maintenant dépassé le niveau enregistré à la fin de la « guerre froide » et augmentent systématiquement chaque année ».

Le pontife a critiqué les arguments fondés sur la dissuasion comme étant « une idée abusive » qui, dans de nombreux cas, « s’est révélée fallacieuse, entraînant de grandes tragédies humanitaires ».

« Il faut également souligner que la logique de la dissuasion a été associée à la logique du marché libéral selon laquelle les armements peuvent être considérés au même titre que tous les autres produits manufacturés et donc, comme librement commercialisables dans le monde entier », a-t-il averti. « Ce n’est donc pas une coïncidence si, pendant des années, nous avons assisté sans critique à l’expansion du marché des armes au niveau mondial ».

[Voir aussi :
La vraie vie du pape des pauvres
Le pape estime que les choses ne seront plus jamais les mêmes dans un monde post-pandémique et a, une nouvelle fois, appelé à l’établissement d’un « Nouvel Ordre Mondial »
PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation]




Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins

[Source : anguillesousroche.com]

Bill Gates a exhorté les gouvernements du monde entier à sanctionner les utilisateurs en ligne qui remettent en question les masques et les mandats de vaccination.

Dans une nouvelle interview de 30 minutes avec le politicien britannique Jeremy Hunt, M. Gates a évoqué la « préparation à la pandémie » et le déploiement actuel de vaccins dans le monde.

« Nous avons besoin d’une nouvelle façon de faire les vaccins », a déclaré Gates à Hunt.

M. Gates a souligné l’importance de supprimer ce qu’il a appelé les « fausses informations » concernant le coronavirus et les « vaccins » approuvés par le gouvernement qui l’accompagnent. Il a déploré la montée de ce que l’on appelle « l’hésitation du masque » et « l’hésitation du vaccin » chez ceux qui choisissent de ne pas porter le masque ou de ne pas se soumettre aux injections expérimentales.

Au lieu de s’en remettre aux médias sociaux pour réglementer « ce qui doit circuler » en ligne en ce qui concerne les discussions scientifiques sur la médecine et les vaccins COVID, M. Gates a suggéré que les gouvernements devraient « prendre les devants » pour contrôler la censure des médias en ligne, après avoir critiqué les plateformes telles que Facebook pour avoir été « un peu lentes » à enfoncer le clou.

Le magnat de la technologie a ensuite jeté l’opprobre sur les géants des médias sociaux, en se moquant de leurs motivations en matière de publication de contenu, qui sont loin d’être vertueuses, tout en préconisant que les gouvernements prennent en charge le contrôle des discussions sur Internet.

Affirmant qu’il n’est pas « réaliste » d’attendre de Big Tech qu’elle modère suffisamment ses propos, M. Gates a suggéré que « les gouvernements finiront par décider [des] supposées théories du complot sauvages : doivent-elles être vérifiées ? Doit-on ralentir leur diffusion ? Doit-on y placer des points de vue contrebalancés ? »

Après avoir exprimé une certaine insatisfaction à l’égard de la réponse mondiale à COVID-19, Gates a expliqué qu’il souhaitait désormais que les responsables politiques planifient les « futures pandémies », en s’appuyant sur les efforts concertés de 2020, en demandant aux organismes internationaux de mettre en place des programmes de surveillance médicale et de commencer à « s’entraîner » à répondre à d’éventuelles menaces biologiques à l’aide d’une série de « germ games« .

M. Gates a appelé à la création d’un « groupe de travail sur les pandémies à l’OMS [Organisation mondiale de la santé] » qui effectuerait des simulations d’attaques bioterroristes dans les aéroports, a-t-il déclaré, par exemple. « Vous dites, ok, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui. »

Le groupe de travail nécessiterait des « dizaines de milliards » de dollars d’investissement de la part des nations du monde pour se préparer à l’éventualité d’une arme biologique fabriquée, a suggéré M. Gates.

« On pourrait donc penser qu’il s’agit d’une priorité », a-t-il déclaré, prédisant que « l’année prochaine, ces allocations [financières] devront être faites, y compris pour ce groupe de travail sur la pandémie mondiale ».

[En guise d’antidote, voir la vidéo suivante et les articles associés :
Dr Valentina Kiseleva : Le virus et autres mythes]




Qui décide de l’approbation des vaccins pour les plus jeunes ?

[Source : Kla.TV]

L’Agence européenne des médicaments (EMA) examine actuellement l’autorisation des vaccins Covid19 des fabricants BioNTech et Pfizer pour les enfants âgés de cinq à onze ans ! C’est ce qu’a annoncé l’EMA le 18 octobre à Amsterdam. C’est dans la précipitation que les autorisations pour les vaccins génétiques controversés ont été approuvées, d’abord pour les adultes, puis également pour les adolescents à partir de douze ans.
L’EMA, qui est responsable de l’autorisation et de la surveillance des médicaments dans l’UE, est présentée comme l’instance des experts.
Mais dans quelle mesure l’agence est-elle digne de confiance et surtout indépendante, compte tenu également du fait que le « vaccin » serait bientôt injecté aux plus jeunes ?

Le 16 novembre 2020, Madame Emer Cooke a été nommée directrice de l’EMA. Elle a une influence décisive sur l’approbation des produits pharmaceutiques. D’où vient-elle ?

— De 1985 à 1991, Madame Cooke a occupé divers postes au sein de l’administration de
l’industrie pharmaceutique irlandaise.

— En 1991, elle a rejoint le conseil d’administration de la Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques (EFPIA). Ceci est la plus importante organisation de lobbying de l’industrie pharmaceutique européenne, avec les dépenses les plus élevées, qui a le plus de contacts avec l’UE et plusieurs agences de lobbying.

— Elle représente certaines des plus grandes sociétés pharmaceutiques, dont Astra Zeneca, Johnson & Johnson et Pfizer. Jusqu’en 1998, Madame Cooke a officiellement représenté les intérêts de ces sociétés pharmaceutiques justement dans le domaine des réglementations.

— De 1998 à 2002, Madame Emer Cooke a ensuite dirigé le département pharmaceutique de la Commission européenne. Puis elle a rejoint l’EMA, où elle a occupé jusqu’en 2016 le poste de chef des inspections et chef des affaires internationales.

— De novembre 2016 à novembre 2020, Madame Cooke a occupé un mandat de directeur exécutif de l’EMA, en étant responsable de toutes les activités réglementaires liées aux produits pharmaceutiques.

Après la prise de fonction de Madame Cooke à l’EMA, les vaccins Covid19 ont été approuvés pour l’UE dans un délai très court par les sociétés pharmaceutiques suivantes:

— le 21 décembre 2020, celui de Pfizer et de BioNTech,
— le 29 janvier 2021, celui d’AstraZeneca.
— le 12 mars 2021, celui de Johnson & Johnson.

Lorsque de nombreux cas de thrombose veineuse cérébrale, dont certains mortels, ont été signalés en rapport avec une vaccination d’AstraZeneca, Madame Emer Cooke a notamment fait pression pour que l’autorisation de l’UE soit maintenue.

En outre, le budget total de l’EMA pour 2021 s’élève à la somme impressionnante de 386 millions d’euros. Sur ce montant, 330 millions d’euros, soit environ 86 %, proviennent uniquement des redevances d’approbation versées par les entreprises pharmaceutiques.

Le député autrichien Gerald Hauser se demande si une personne comme Madame Cooke avec une expérience aussi prononcée dans le secteur pharmaceutique peut décider de l’autorisation d’un vaccin sans parti pris :

« Alors, Madame Emer Cooke, qui a été nommée au conseil d’administration de l’EMA à la mi-novembre 2020, a travaillé toute sa vie pour l’industrie pharmaceutique. Elle a fait du lobbying pour l’industrie pharmaceutique à titre exécutif et est maintenant responsable de l’approbation, du contrôle et de l’efficacité des vaccins — dont AstraZeneca. Mesdames et Messieurs. Dans un tel cas, que dire en tant que parlementaire non praticien ? Que dire ? Délit d’initié pur et simple, favoritisme pur et simple, corruption… C’est comme ça. Veuillez y penser lorsqu’à l’avenir vous citerez l’EMA, comme preuve de l’exactitude des tests des médicaments. »

La question de la crédibilité de l’EMA se pose donc évidemment : un vaccin qui provoque déjà plus de décès et d’effets secondaires que tous les autres « vaccins » réunis, est censé protéger les enfants de maladie ? Une injection qui fait gagner des milliards aux compagnies pharmaceutiques est censée être « bénéfique » pour les enfants ? !

Résultats de l’entreprise en 2020 et au premier trimestre 2021 :

Pfizer : 14 500 millions de dollars
Johnson & Johnson : 21 600 millions de dollars
BioNTech : 1 100 millions d’euros






Vaccination de masse et logique sacrificielle

[Source : AIMSIB]

Par Hypathie A

Nous vivons un temps d’une exceptionnelle dureté pour la démocratie où même les juges, quels qu’en soient l’instance, répriment systématiquement le droit pour promouvoir l’idéologie vaccinale prétendument salvatrice. Exception notable de ce jugement du Conseil d’État en date de la semaine dernière, passé inaperçu et pourtant d’une double exceptionnelle portée (1) : Oui la myosfasciite à macrophage existe (2), et oui ses victimes doivent être indemnisées. Quinze ans pour faire reconnaître les droits d’une infirmière vaccinée par obligation professionnelle, probablement autant pour pouvoir peut être recevoir la compensation financière de celle-ci? Mais alors, si les victimes des vaccins ne peuvent ni préjuger de leurs effets secondaires possibles au moment des injections ni toucher leurs indemnisations en temps utile, comment peut-on éthiquement défendre le principe de la vaccination obligatoire ? Ce qui ce conçoit bien s’énonce clairement, et dans cet exercice, Hypatie A excelle (3)(4)(5). Voici un texte argumenté  et d’une limpidité sans faille, bonne lecture.

Introduction

Les blessés de guerre ont une place définie dans la société. Leur terrible malheur est transmuté en Honneur par la “Nation reconnaissante”. S’ils y perdent un membre ou la santé, ils gagnent une pension, une médaille, voire une statue, bref un statut. Et même une place réservée dans le métro.

“Nous sommes en guerre”

Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, nous sommes en guerre. M. Macron l’a même affirmé en direct à la télé. Certes, une guerre d’un genre nouveau, mais une guerre malgré tout.

L’idéologie qui impose cette guerre est extrêmement simpliste, terriblement violente et diablement efficace. Elle tord la réalité pour nous faire croire qu’il ne peut y avoir qu’un seul et unique problème qui mérite toute notre attention, et

Ce problème ne peut être réglé que par une seule et unique solution (brevetée), véritable panacée : une “vaccination” expérimentale universelle. C’est trop simple : “il n’y a pas d’alternative”, le credo néolibéral par excellence.

Et puis, quand on y pense, la vaccination de masse n’est-elle pas intrinsèquement totalitaire ? Non seulement elle vise la soumission totale des individus et ne peut s’imposer que par coercition, terreur, propagande et autres bons pour une bière gratuite …

Mais surtout, il s’agit de l’intrusion ultime dans l’intime : la modification forcée et potentiellement irréversible de l’organisme de chaque Humain.
Et peu importe notre singularité : femme enceinte, vieux diabétique, bébé baveux ou jeune athlète, nous avons tous droit au même produit standardisé (breveté). La différence biologique est simplement niée.

Ne serait-ce pas là le commencement de la déshumanisation, et la porte ouverte aux pires atrocités ?

Alors imaginons un instant… Que se passerait-il si l’on ne produisait qu’une seule taille de chaussure afin de simplifier les chaînes de production et d’augmenter les rendements ? Beaucoup de gens auraient mal aux pieds… des « anti-chaussures » à n’en pas douter.

La logique de la standardisation génère forcément des oeufs cassés. Que faire de ces très très rares victimes de la standardisation industrielle ?

Une logique sacrificielle

Pour faire passer la pilule, on affirme que ces sacrifiés sont “acceptables” au regard du “bien commun”. De nombreux outils “scientifiques” sont là pour recenser, accompagner, dédommager les oeufs cassés : pharmacovigilance, balance bénéfice-risque, ONIAM… tout un arsenal spécialement dédié. Et on jure sur ses grands dieux que de tels oeufs sont très très rares… voire inexistants.

1. La Pharmacovigilance

Même Martin Blachier, pourtant ardent défenseur des vaccins, le reconnaît : la pharmacovigilance est incapable de déceler plus de 10% grand maximum des effets indésirables des médicaments, probablement autour des 1% dans le cas des vaccins (7)(8) . On le sait, on le dit depuis longtemps, ce système obsolète cumule les aberrations et les défauts (9).

Les vaccins en particulier bénéficient d’avantages que les Humains ont perdu depuis longtemps comme la présomption d’innocence, même s’il existe de nombreuses preuves du contraire, mais ils bénéficient aussi :
– D’une véritable “dissonance cognitive” de la part des médecins, incapables d’envisager ne serait-ce que la possibilité qu’un vaccin (n’importe lequel) puisse causer des drames.
 Par voie de conséquence : la méconnaissance par le corps médical des effets graves relevés dans la littérature scientifique par les chercheurs académiques ou les associations de victimes… voire des effets graves inscrits dans la notice, ce qui expliquerait leur incapacité à reconnaître que les pleurs inconsolables d’un nourrisson, à la suite de ses vaccins obligatoires, peuvent être le signe d’une inflammation cérébrale.
– La passivité du système de déclaration : de fait, si on refuse d’entrevoir un lien de causalité, rien n’est déclaré par le soignant. Quant aux victimes elles-mêmes, elles chercheront d’abord à se soigner. Déclarer l’effet ne vient pas spontanément à l’esprit, pour peu que le lien avec l’injection soit envisagée.
– Une extrême difficulté à déclarer un effet : obsolescence des plateformes qui peuvent saturer, difficultés d’accès, dossiers qui disparaissent… Sur ce point, le Réseau des Victimes d’Accidents Vaccinaux (REVAV) a beaucoup à nous apprendre (10).

Reconnaître les effets indésirables de tout médicament est pourtant fondamental à plus d’un titre :
– À titre médical, afin de favoriser les diagnostics et de développer des thérapies idoines
– À titre juridique, afin d’évaluer et de reconnaître les dommages, et de les indemniser.
– À titre humain, afin d’aider la victime à surmonter son traumatisme.
– À titre politique, pour évaluer le vrai coût des risques… et des campagnes de vaccination.

Ainsi, la fameuse balance bénéfice-risque est truquée à la base, reposant sur des données pourtant officiellement reconnues comme peu fiables.

Comme le dit le médecin québécois René Lavigueur dans sa lettre ouverte publiée dans le journal La Presse (censurée dès le lendemain) à propos des vaccins anti-covid : “Pourquoi ignorer (…) le risque de ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins (11) ?”

Très bonne question.

2. L’ ONIAM

Dans le cas d’une simple recommandation vaccinale, si vous êtes victime d’un effet grave, vous l’avez dans l’os. Et bonne chance face aux laboratoires surpuissants.

Dans le cas d’une vaccination obligatoire, il existe en France un système d’indemnisation dédié, en cas d’accident vaccinal : l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux. Car bien évidemment, on ne va pas demander aux laboratoires de prendre la responsabilité de la sécurité de leurs produits… ce ne serait pas bon pour les affaires (12). C’est à la solidarité nationale d’assumer les “blessés de guerre”.

On privatise les bénéfices et on mutualise les pertes.

Le business plan parfait.

Étude de cas :

Mme L. était infirmière. Dans le cadre de sa profession, elle a reçu de multiples vaccinations obligatoires contenant de l’aluminium. Dès 2007, elle rencontre divers troubles neurologiques et en 2009, elle reçoit un diagnostic de Myofasciite à macrophages (MFM), un syndrome de fatigue chronique accompagné de douleurs musculaires et de troubles neurologiques, causé par une biopersistance des adjuvants aluminiques au sein des macrophages, qui migrent partout dans l’organisme via les voies lymphatiques, et peuvent même traverser la barrière hémato-encéphalique… avec leur dangereuse cargaison (13).

Ce type d’information cruciale, vous ne la trouverez dans aucun rapport officiel. Non, officiellement, les macrophages restent gentiment au site d’injection, l’adjuvant aluminique s’élimine par magie en quelques jours, les doses sont riquiquies et c’est bien connu, seule la dose fait le poison… Et puis, on en mange tous les jours, de l’alu ! Et tout le monde sait que « avalé » et « injecté », c’est kif kif en termes de pharmacodynamie (14).

Il existe pourtant à ce jour une littérature scientifique internationale de premier plan, plusieurs centaines d’études cliniques, post-mortem, in vivo et in vitro sur la toxicité des particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination qui contredisent formellement ces croyances infondées.

Un parcours du combattant

C’est donc avec confiance que Mme L., épaulée par l’association E3M, dépose un dossier d’indemnisation en 2016 auprès de l’ONIAM. Seulement voilà, l’ONIAM rejette le dossier au prétexte que le lien entre la vaccination et la pathologie n’est pas démontré.

Pour affirmer cela, ses experts s’appuient exclusivement sur le “consensus règlementaire”, celui des agences sanitaires officielles (15) qui acceptent les données des laboratoires sans rien vérifier.

Ce consensus règlementaire est bien éloigné de l’état réel des connaissances scientifiques, celui des chercheurs qui étudient sérieusement ce sujet à l’exclusion de tout autre, et qui publient dans les plus grands journaux scientifiques, soumettant leurs travaux à la critique des pairs.

Ces chercheurs assument et signent leurs travaux, contrairement aux “experts” des laboratoires qui imposent leurs résultats de façon anonyme, sans donner accès aux données brutes classées “secret des affaires” (16).

En clair, la décision de l’ONIAM repose sur une contrefaçon intellectuelle : la confusion entre le consensus règlementaire (généralement fourni par les laboratoires, figé dans le marbre et impossible à vérifier) et le consensus scientifique (l’état des lieux réel de la connaissance, en perpétuelle évolution).

Ainsi, sur le sujet des adjuvants aluminiques, le consensus règlementaire toujours en vigueur est de considérer que les particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination ne posent aucun problème, surtout pas chez le nourrisson en plein développement neurologique… surtout pas en lien avec l’autisme (17) .

Mais le plus amusant, c’est que pour affirmer cela, les agences s’appuient sur une rhétorique totalement anti-scientifique, pour ne pas dire magico-religieuse.

En effet, tout l’argumentaire règlementaire des agences ne repose que sur une seule et unique étude in vivo (18)…  portant sur 4 lapins étudiés pendant un mois… et qui observe systématiquement une pénétration cérébrale des particules neurotoxiques.

Ne serait-ce pas là un premier indice, conforté par de nombreuses études récentes (19) de “plausibilité biologique” pour de potentiels troubles neurologiques ? Pas pour les agences sanitaires.

Mme L. ne lâche pas. S’en suit des années de procédures, véritable calvaire pour des personnes épuisées physiquement, mentalement, financièrement : le Tribunal administratif de Caen condamne l’ONIAM, qui fait appel. Report du dossier en cour administrative d’appel de Nantes qui annule le jugement. Déjà 6 ans de procédures, et rien n’est encore gagné. Tout est fait pour décourager les victimes : allongement et coûts des procédures, refus des experts d’étudier la littérature scientifique, confiance quasi religieuse dans les leaders d’opinion et les agences sanitaires, question des délais de survenue des effets indésirables, question d’imputabilité… Sans les associations de victimes, l’implication de juristes spécialisés et une bonne dose de chance, c’est peine perdue.

3. Le Conseil d’État

Dernier espoir : le Conseil d’Etat.

Saisi en 2019, l’institution vient de rendre son verdict, estimant que la cour administrative d’appel avait commis une erreur de droit, et que « pour écarter toute responsabilité de la puissance publique, il appartenait à la cour, non pas de rechercher si le lien de causalité entre l’administration d’adjuvants aluminiques et les différents symptômes attribués à la myofasciite à macrophages était ou non établi, mais de s’assurer, au vu du dernier état des connaissances scientifiques en débat devant elle, qu’il n’y avait aucune probabilité qu’un tel lien existe.” (20)(21)

Depuis 2012, le Conseil d’État a rendu 12 arrêts en faveur des victimes de MFM. En clair, l’arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes est annulé : Mme L. devrait être indemnisée… Un jour… Car l’ONIAM ne semble pas être un organisme favorable aux victimes d’accidents médicaux. Bien au contraire, il semblerait que la gestion de cet argent public sente le souffre : prise illégale d’intérêts, abus de confiance, malversations, impayés envers des victimes dont le dossier a pourtant été accepté (22)… Un scandale qui perdure. (23)

Maître François Jégu, chargé de l’affaire de Mme L., souligne que « la jurisprudence est en cours d’édification » dans le but également de faire progresser l’indemnisation des vaccinations non obligatoires qui se fait par voie contentieuse, face à des acteurs d’une extrême puissance.

L’ONIAM ne peut plus se retrancher derrière l’avis (obsolète) des agences sanitaires pour écarter toute demande.

Il paraît raisonnable de considérer qu’un « faisceau de preuves concordantes » devrait suffire pour accorder une indemnisation, et qu’il ne s’agit pas ici d’un tribunal pénal où les preuves formelles d’imputabilité, impossibles à obtenir pour ce type de produit, seraient exigées.

Ce n’est pas comme si les laboratoires étaient condamnables, de toute façon. (24)

Pourquoi de tels dysfonctionnements ?

On voit clairement qu’un organisme comme l’ONIAM est conçu pour protéger les laboratoires et les décisions politiques, le système en place.

Après tout, reconnaître les victimes vaccinales, c’est reconnaître les défauts des politiques de santé publique. C’est poser la question de la responsabilité politique (que l’idéologie néolibérale a totalement dissoute), la question des compromissions d’intérêts des leaders d’opinion, de l’indépendance des agences sanitaires, du pouvoir pharamineux qu’exercent les laboratoires sur le monde de la santé (entre autres).

Du coût réel de ces mesures, en termes de vies gâchées, en termes de dépenses engagées.

Alors que faire ?

Lors d’un colloque portant sur le droit des victimes d’un effet indésirable de médicament (25), l’universitaire Laurent Bloch fait des recommandations concrètes :

– La pharmacovigilance devrait être indépendante des structures étatiques, organisée par un groupe de citoyens et d’associations.
– Les comités d’experts doivent être totalement indépendants de l’industrie. Ils doivent exercer dans leur champ précis de compétences et s’exprimer exclusivement sur l’objet de leurs recherches.
– Le fonds d’indemnisation prévu devrait être financé par les laboratoires : l’ONIAM serait uniquement chargée de distribuer ce fonds. Le contrôle de la gestion de ce fonds devrait être renforcé.
– Le doute devrait bénéficier aux patients : la charge de la preuve doit porter sur les laboratoires et le produit doit être « présumé coupable » jusqu’à preuve du contraire.
– En clair il faut revoir toute la législation…

Sans ces réformes, les victimes sont condamnées à subir cette violence institutionnelle et à gérer, en plus de leurs soucis de santé, un poids moral et financier épuisant.

Le cas des vaccins anti-covid

En France, c’est également l’ONIAM qui prend en charge les accidents liés aux vaccinations anti-covid, au titre des articles L3131-0 à L3131-4 du Code de la Santé Publique. Au vu des difficultés rencontrées par les victimes des vaccins obligatoires, il y a de quoi être très inquiet.

Au moins 21 demandes d’indemnisation ont été déposées à l’ONIAM concernant des dommages liés aux vaccins anti-covid (26). Sur ces 21 dossiers, 2 ont été rejetés, 4 font l’objet d’une mission d’expertise médicale et 15 sont en cours d’instruction… Il est précisé que l’ONIAM dispose d’un délai de 6 mois pour se prononcer sur chaque dossier…

L’exemple des victimes de la vaccination H1N1 de 2009, souffrant notamment de narcolepsie, un trouble extrêmement handicapant, n’augure rien de bon.

Après 11 années, sur les 173 demandes déposées à l’ONIAM (l’avocat d’une victime affirme à lui seul détenir plus de 250 dossiers…) 57 seulement ont, à ce jour, reçu une indemnisation.

55 victimes ont été forcée de saisir la justice pour faire avancer leur dossier (27). Un véritable calvaire pour des victimes épuisées. L’ONIAM n’est-il pas censé simplifier et accélérer les procédures « amiables, rapides et gratuites » précise le site internet de l’établissement (28).

Au lieu de ça, on nage dans l’arbitraire le plus total : l’ONIAM décrète quelle marque de vaccin il indemnise ou pas, ce qui est imputable ou non au vaccin (on rappelle qu’il est le payeur). Il choisit les délais d’apparition des effets indésirables les plus courts possibles… et les montants versés sont systématiquement revus à la baisse, à l’encontre des préconisations de ses propres experts… Quand les victimes reçoivent effectivement leur indemnisation…

Conclusion

Bien sûr, on pourrait tiquer sur le fait que les vaccins, et notamment les vaccins anti-covid, ont été financés avec l’argent public (29) en termes de recherche et de pré-achat : les profits et les brevets, eux, restent bien privés. C’est encore l’argent public qui servira à indemniser les victimes.

Pile on perd, face ils gagnent.

Les victimes des effets secondaires des vaccins sont livrées à eux-mêmes et devront, in fine, supporter seules la charge d’effets parfois très graves pour leur santé et leur vie. Elles devront supporter seules les longues procédures d’indemnisation et l’impact psychologique et financier que tout cela génère. Devant autant de dysfonctionnements, il paraît absolument évident qu’aucune obligation vaccinale ne devrait être imposée à la population, de quelque façon que ce soit, et que chacun devrait pouvoir estimer sa propre balance bénéfice-risque, de façon éclairée et posée, pour ne pas avoir à dire « si seulement j’avais su… »

Hypatie A
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
(2) https://www.aimsib.org/2019/08/23/professeur-romain-gherardi-et-laluminium-vaccinal-quand-la-science-avance-a-pas-de-geants/
(3) https://www.aimsib.org/2019/07/29/aluminium-vaccinal-larticle-qui-tue-a-suivre-deux-heures-de-videos-gratuites/
(4) https://www.aimsib.org/2021/02/28/adjuvants-aluminiques-bravo-a-ceux-qui-savent-changer-davis/
(5) https://www.aimsib.org/2021/03/07/autopsie-assassinat-scientifique/
(6) Pour la blague : https://www.thecut.com/2021/06/the-most-wild-vaccine-incentives-that-states-are-offering.html
(7) http://www.pharmacovigilance-tours.fr/tl_files/Documents/Publications/2011/Pharmacovigilance%20des%20vaccins.%20E.%20Autre-teca%20et%20al.%20Revue%20du%20Praticien%20Med%20Gen%202011%2025%20869%20715-8.pdf
(8) https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf
(9) https://www.aimsib.org/2021/09/25/pharmacovigilance-des-vaccins-anti-covid/
(10) https://www.facebook.com/reseauvictimesdaccidentsvaccinaux/photos/pcb.2993640594210404/2993640200877110
(11) https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html
(12) Pour en savoir plus : https://alutotal.wordpress.com/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
(13) Gherardi RK et al. Myalgia and chronic fatigue syndrome following immunization: macrophagic myofasciitis and animal studies support linkage to aluminum adjuvant persistency and diffusion in the immune system. Autoimmun Rev 2019;18:691-705
(14) https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
(15) http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/10/adjuvants-vaccinaux-rapport-ANM1.pdf
https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/hcspr20130711_aluminiumetvaccins.pdf
http://www.acadpharm.org/dos_public/Rapport_Adjuvants_aluminiques_VF_CORR_5.pdf
(16) Pour en savoir plus : Lobbytomie de Stéphane Horel, éditions La Découverte. Les Gardiens de la raison, Stéphane Horel, Stéphane Foucart, Sylvain Laurens, éditions La Découverte
(17) https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/autism-spectrum-disorders
(18) Flarend RE, Hem SL, White JL, Elmore D, Suckow MA, Rudy AC, et al. In vivo absorption of aluminium-containing vaccine adjuvants using 26Al. Vaccine. 1997 Sep;15(12–13):1314–8
(19) Bruce M, Streifel KM, Boosalis CA, et al. Acute peripheral immune activation alters cytokine expression and glial activation in the early postnatal rat brain. J Neuroinflam. 2019; 16:200.
(20) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
(21) Un seul regret : il est bien dommage que le Conseil d’Etat fasse exactement le contraire de ce qu’il préconise en se retranchant derrière l’avis (obsolète) de l’OMS dès que l’on s’attaque à la sécurité des vaccins pédiatriques à l’aluminium, obligatoires en France et injectés dès l’âge de 2 mois. Dans ce cas précis, ce n’est plus un « état des connaissances scientifiques » qui est observé, mais une simple référence aux agences sanitaires… Exactement comme l’ONIAM. Le scandale est probablement beaucoup trop gros et trop politique pour éclater.
(22) https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/scandale-dans-la-gestion-de-largent-des-victimes-daccidents-medicaux-3509534
(23) https://www.youtube.com/watch?v=CcrjvRp9jTE
(24) Article L3131-3 du Code de la santé publique
(25) https://www.prescrire.org/Docu/Archive/docus/ColloqueVictimesBloch.pdf
https://www.prescrire.org/Fr/1/507/49888/4156/SubReportList.aspx
(26) https://www.village-justice.com/articles/vaccination-contre-covid-qui-est-responsable-cas-prejudices,39873.html
(27) https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/indemnisation-des-accidents-vaccinaux-un-scandale-francais_2146050.html
(28) https://www.oniam.fr/
(29) https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-5-chiffres-fous-sur-le-financement-des-vaccins-1269170




Le seul choix qui nous reste : l’esclavage ou la liberté

[Source : Dr Mercola]

Analyse par le Dr Joseph Mercola — 31 octobre 2021

Les toilettes intelligentes utiliseront les empreintes digitales anales.

La « plandémie » et le Grand Réveil

Bref aperçu :

  • Catherine Austin [Catherine Austin Fitts] a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
  • Nous assistons à un transfert de milliards de dollars de passifs envers les familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage et de décès parce que les injections COVID sont obligatoires tandis que les laboratoires, les médecins et les entreprises ont été affranchis de toute responsabilité.
  • À ce jour, il n’y a aucune obligation vaccinale légalement valide. Les injections sont toujours sous autorisation d’utilisation en urgence, et il n’y a pas de document officiel du gouvernement, que ce soit sous forme législative, de loi ou de règlement, qui accorde une base légale à l’obligation. L’Administration Américaine de la Sécurité au Travail et de la Santé n’a pas non plus publié de règle concernant l’obligation vaccinale par des entreprises privées.
  • Les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et retrace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
  • Pour empêcher la mise en œuvre finale de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts et disposés à faire des sacrifices à court terme. Nous devons être prêts à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelles qu’en soient les conséquences », ou nous perdrons même nos libertés les plus fondamentales.

[Voir aussi :
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
L’heure de la justice]

Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l’infection et de son traitement. L’interview d’aujourd’hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s’attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.

Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.

« J’ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j’ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J’ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j’ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.

Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J’ai décidé pendant cette période que j’arrêterai d’essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens… s’est transformé en deux entreprises, dont l’une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.

J’ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d’entre eux provenaient de blessures vaccinales et d’effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements… je de donne pas de conseil individuel en investissement.

Mais ce que j’ai découvert c’était qu’il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d’intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J’avais des gens qui me disaient qu’ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d’actions, mais qui n’avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.

J’ai l’air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m’a amenée à beaucoup m’intéresser aux vaccins. J’ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».

Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d’une même pièce et les personnes qui n’apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.

La fraude de l’injection

Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l’obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d’une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.

« Au début de la pandémie COVID-19 j’ai publié un article intitulé « La Fraude de l’Injection »(([1] The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine – Solari Report))» dit Austin Fitts, « et j’ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.

L’objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d’essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.

Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c’est de donner aux personnes des formulaires qu’ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé… Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d’assurance-vie…

Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l’injection.

Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu’ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m’assurer qu’un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu’il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s’ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.

Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s’est traduit en formulaire pour employé et pour l’université, et des abonnés m’ont dit qu’ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d’exiger l’injection après qu’ils aient examiné ensemble le formulaire.

C’est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu’est la loi.

Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu’ils imposent ceci alors qu’ils sont encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, de produire un document du gouvernement, qu’il s’agisse d’une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu’ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l’OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n’a rien publié à ce jour. »

Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?

Alors que je pense que de nombreux employeurs et d’administrateurs d’écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l’Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu’ils savent exactement ce qu’ils font.

« Je ne pense pas qu’il s’agisse de propagande », dit-elle. ‘Je pense qu’ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques… Je pense qu’il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.

Je pense qu’ils le comprennent. Et je pense qu’ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.

Depuis un an j’ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l’éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu’il y a dans cette injection COVID et ce qu’elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu’ils sont.

Et, j’ose le dire, je crois que c’est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d’une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »

Il ne reste plus qu’un seul choix : l’esclavage ou la liberté

Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu’en soit la conséquence, que vous m’enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ». C’est cela qu’il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.

S’ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC – NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts

Comme l’a relevé Austin Fitts :

« Il s’agit d’esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu’ils préparent, ce qu’ils visent, c’est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l’esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n’avez pas de biens, qu’est-ce qui n’est pas clair là-dedans ? Vous n’avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».

D’après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l’inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n’ont pratiquement pas de réserve d’argent liquide.

« C’est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour… mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu’il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C’est ce que j’ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d’État financier.

En ce moment le coup d’État financier est en train d’être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s’ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l’on prenne nos actifs.

Donc, nous sommes en présence d’un véritable coup d’État, et c’est pourquoi, si vous jetez un coup d’œil sur l’ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d’arrêter cela. »

Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux

Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n’est pas d’accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.

« Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d’échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger’, dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d’argent, je pense qu’ils ont la capacité d’exercer un contrôle remarquable sur n’importe lequel d’entre eux… je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles… et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu’elles ne le sont ».

Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d’accéder aux données privées de personnes ciblées. « J’ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c’est incroyable ce qu’ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu’ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.

« Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.

S’ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».

Le passeport vaccinal est un ticket d’entrée pour l’esclavage financier

Comme l’explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.

Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S’ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d’acheter des pizzas.

« Donc c’est l’Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l’aide d’argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu’ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.

C’est très effrayant et cela communique le contrôle qu’ils pensent qu’ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d’abord besoin que l’ensemble du système de passeport voie le jour. C’est en gros la grille d’information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher…

Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n’ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l’argent. Il peut retirer de l’argent de votre compte bancaire. En d’autres mots, ce n’est plus une monnaie. C’est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout…

Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J’ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s’inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».

Que pouvez-vous faire maintenant ?

Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu’en soient les conséquences.

Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l’esclavage.

Ce que cela signifie c’est qu’il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d’accès si nous n’avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l’éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l’économie.

Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu’il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n’auront plus d’argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l’industrie pharmaceutique avec eux, puisqu’ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.

« J’ai découvert qu’il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l’intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu’ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.

Donc, mon sentiment c’est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J’ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j’étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J’ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j’ai eu affaire à un harcèlement assez grave.

Tout ce que je peux vous dire c’est qu’avoir dit non s’est avéré être la chose la plus intelligente que je n’aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n’est pas difficile. C’est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C’était assez horrible.

Mais en même temps, vous sortez de l’autre bout et c’est une belle vie. C’est juste une belle vie que d’être libre … Je ne pense pas qu’il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s’y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s’y trouve. »

Il n’y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis

Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l’injection de tous les membres du personnel. L’amende peut s’élever jusqu’à 700 000 dollars par infraction.

De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s’y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu’en l’état actuel des choses, il n’y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.

« Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. ‘Il n’y a pas de règle d’urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n’y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n’avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d’urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.

Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d’une loi non existante et d’une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l’effrayer afin qu’il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s’il y a quelque chose qui vaut la peine d’être plaidé, c’est bien cela.

Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l’organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l’actionnaire, parce qu’ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.

Alors nous n’avons plus d’économie. Nous n’avons plus de marché boursier. Nous n’avons plus de pays. Nous n’avons plus de civilisation. Nous n’avons plus qu’une mafia, n’est-ce pas ? Tout a disparu.

Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n’est que la règle de la mafia, il n’y aura pas d’entreprises. Il n’y aura pas de marché boursier. Il n’y aura pas de système financier. Et bon nombre d’entre nous vont mourir.

Donc je pense qu’il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit… Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »

Qui est derrière tout cela ?

Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c’est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l’identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :

« Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J’ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l’Aristocratie des Profits Boursiers ». J’ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j’ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu’un de ma famille.

Donc je l’ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l’histoire de comment j’ai été une associée et membre du conseil d’administration de Dillon Read. À un moment donné, j’ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit ‘Je suis surprise de ce choix. Ce n’est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l’ancien président — NdT)

Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c’est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, ‘Nick ne l’a pas choisi. Les Rothschild l’ont choisi’. J’ai dit, ‘Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l’entreprise. Qu’est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m’a simplement regardée et a roulé les yeux… et est parti comme si j’étais la personne la plus stupide d’Amérique. 

Le surnom d’Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est “Mr Global”. Elle reconnaît qu’elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu’elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.

Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d’argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier’, dit-elle. ‘C’est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d’investissement immobilière). Je n’oublierai jamais la scène du film ‘Jupiter Ascending’ où la princesse d’une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit ‘La Terre n’est qu’une toute petite partie d’une société bien plus grande’.

En fait, si vous regardez le système financier, c’est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu’il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.

Maintenant on m’a dit à plusieurs reprises — et j’ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l’État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.

S’il y a une solution dont nous avons tous besoin, c’est d’apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu’une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c’est… qu’ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l’intelligence artificielle…

Le contrôle complet c’est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l’esprit, et ils ont le pouvoir d’effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l’IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)…

Je le décrirais comme un système d’esclavage… Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu’ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières…

Je pense que c’est une terrible erreur. Mais je pense qu’ils… ne savent pas quoi faire d’autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L’autre (deuxièmement — NdT) c’est qu’il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu’il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »

Il nous faut une réinitialisation, mais pas de ‘la grande réinitialisation’

Ils sont nombreux à avoir souligné que c’est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s’effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n’est tout simplement qu’une question de quand. Comme l’a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.

Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :

« À l’heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu’aussi longtemps qu’ils peuvent se faire de l’argent, ils sont plus ou moins libres d’agir au-dessus des lois. L’économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.

Le modèle d’entreprise actuel, tel qu’il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c’est la destruction de la société afin qu’il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l’inverse. »

Des signes d’un changement positif

Cependant, il y a des signes d’un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu’elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d’être réduites en esclavage par le crime organisé.

« Je me rappelle d’un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, ‘Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation’. Il y a une vague de talents et de solennité que je n’ai jamais vue et qui dit ‘Je préfère faire partie de la nouveauté. J’en ai marre de celle-ci.

Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d’essayer de s’entendre ou d’être au milieu de la route ou de suivre…

Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D’une part, vous avez des étudiants qui quittent l’école et qui doivent faire l’école à la maison. D’autre part, vous avez des enseignants qui quittent l’école parce qu’ils ne veulent pas recevoir l’injection.

Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d’entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.

C’est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l’éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.

Sans intégrité il n’y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l’intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l’ancien système). Je le répète, il n’y a pas de juste milieu… Je dis, dites oui à la science, dites oui à l’intégrité, dites oui à la loi.

La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C’est ce que j’ai essayé de faire. J’ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d’affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)… j’ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu’un qui avait 25 000 dollars.

Donc j’ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu’à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière ‘Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n’ai fait qu’essayer d’être utile. Donc chacun d’entre nous doit commencer par là.

Nous devons nous demander ‘quelle compétence ai-je’ ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.

Mais vous devez choisir l’intégrité et la civilisation ou choisir d’être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C’est un choix dangereux. J’ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l’ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d’être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »

Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021




Une brève histoire des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« Le CDC n’est pas une agence indépendante. C’est une entreprise d’exploitations de vaccins. Le CDC détient plus de vingt brevets de vaccins. Il vend environ 4,6 milliards de dollars de vaccins chaque année. »

Robert F. Kennedy Jr.

L’opération Warp Speed ​​qui est entrée en vigueur au début de 2020, après que COVID-19 a été officiellement reconnu comme une pandémie par l’OMS, était essentiellement une opération d’exercice de guerre biologique militariste pour fabriquer des vaccins très rapidement et pour faire appel au DOD pour la distribution des vaccins aux hôpitaux et aux cliniques de santé si besoin est. Avec le recul, il s’agit d’une boule de cire qui a été moulée par des entités telles que la DARPA, la Fondation Bill et Melinda Gates et son associée GAVI, le CDC, le NIH et son porte-parole Big Pharma pour le National Institute of Allergies and Infectious Diseases (NIAID). Le Dr Anthony Fauci comme moyen non seulement de verrouiller l’ensemble de l’économie mondiale en vue d’un plan élaboré par le Forum économique mondial (WEF) pour une réinitialisation mondiale, mais aussi d’amener des milliards de personnes dans le monde à se faire injecter un vaccin expérimental et très dangereux. Même s’il s’agit clairement d’une pro vaccination, Bloomberg a révélé à quel point six grandes sociétés pharmaceutiques incroyablement rentables qui ont reçu de l’argent des coffres du gouvernement pour développer des vaccins contre le SRAS-CoV-2 ont été gratifiés dans des contrats attribués de manière opaque au sein de l’Operation Warp Speed OWS) .

Préambule

La guerre biologique, ou « guerre des germes », est « l’utilisation de toxines biologiques ou d’agents infectieux (bactéries, virus et champignons) dans l’intention de tuer ou de neutraliser des humains ». Historiquement, l’implication des États-Unis dans les armes bactériennes a été motivée par la concurrence et la paranoïa.
En 1918, vers la fin de la Première Guerre mondiale, le gouvernement a brièvement expérimenté la ricine – une protéine végétale naturelle mortelle – et le Chemical Warfare Service (CWS) a été formé pour superviser la recherche et le développement. Avec la signature du Protocole de Genève en 1925 (qui interdisait l’utilisation d’armes biologiques et chimiques dans les guerres internationales), l’intérêt du gouvernement américain s’est affaibli : jusqu’aux années 1940, les armes biologiques étaient largement considérées comme impraticables.
Peu de temps après Pearl Harbor, les États-Unis ont changé d’avis.

En 1942, le président Roosevelt a mis en œuvre le premier programme de guerre biologique ; soutenue par la National Academy of Sciences, l’initiative visait à développer des armes biologiques et à explorer la vulnérabilité des États-Unis à de telles attaques. Un organisme gouvernemental – le War Research Service (WRS) – a été créé pour superviser ces activités, et George W Merck (de la Merck Pharmaceutical Company) a été nommé à la direction. À la demande de son équipe, Fort Detrick [6], le « quartier général » de guerre biologique des États-Unis, a été construit dans la petite ville de Frederick, dans le Maryland.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement avait amassé un arsenal massif d’armes biologiques (utilisant l’anthrax et d’autres bactéries diverses) – le tout dans le « plus strict secret ». Bientôt, la justification de la poursuite de la recherche s’est déplacée vers le « besoin de défense nationale ».
Sous le commandement du professeur et bactériologiste de l’Université du Wisconsin, Ira Baldwin, un comité sur la guerre biologique a été créé en 1948. Lorsqu’un rapport ultérieur a déterminé que les États-Unis étaient « particulièrement sensibles » aux attaques, une série de « tests en plein air » a été ordonnée. . Le but de ces efforts ? Pour simuler les effets d’une attaque de guerre biologique réaliste.

Pour en savoir plus sur d’autres tests de guerre biologique aux États-Unis, reportez-vous au livre bien documenté de Leonard J. Cole, Clouds of Secrecy.

H. Genséric


Selon Bloomberg :

Au cours des six semaines suivantes, OWS a passé des contrats d’une valeur de plus de 8 milliards de dollars pour soutenir cinq vaccins supplémentaires, ceux de Johnson & Johnson, Moderna, Novavax, Pfizer et Sanofi conjointement avec Glaxo. Le gouvernement a publié à contrecœur certains des contrats – fortement censurés – au cours de l’été en réponse aux demandes du Freedom of Information Act. Slaoui(([1] Le 15 mai 2020, Moncef Slaoui est nommé par Donald Trump coordinateur de la stratégie vaccinale de son administration contre la Covid-19 (programme gouvernemental Operation « Warp Speed »). Cette mission s’achève avec l’arrivée de l’administration Biden en janvier 2021)) dit que le tapage n’est pas nécessaire : « Ce sont des contrats simples. Ils n’ont rien de spécial à part le montant d’argent, qui est lié au coût de développement des vaccins. » À la mi-octobre, le groupe de défense Public Citizen a déposé une plainte exigeant la publication des contrats des vaccins coronavirus. Fin octobre, HHS a publié un contrat Moderna, fortement censuré.

Les accords OWS ont conduit à d’énormes gains pour de nombreux dirigeants de l’industrie pharmaceutique. Les dirigeants de Moderna ont réalisé un bénéfice de 115,5 millions de dollars en vendant des actions de leur entreprise du 15 mai au 31 août, selon Accountable Pharma, un groupe de surveillance non partisan. Un porte-parole de Moderna a déclaré que les ventes d’actions avaient été effectuées dans le cadre de programmes précédemment programmés et conformément à la réglementation sur les délits d’initiés. Les dirigeants d’Emergent ont récolté 5 millions de dollars en vendant des actions au cours de la même période, et en septembre, le président exécutif de la société, Fuad El-Hibri, a vendu 80.000 actions supplémentaires pour un bénéfice net de 8,1 millions de dollars. Emergent a déclaré dans un communiqué que les dirigeants vendaient régulièrement des actions, conformément à toutes les lois régissant les transactions financières. Les actions d’Emergent ont grimpé de 78% cette année jusqu’au 23 octobre.

« C’est un buziness parfait », déclare Eli Zupnick, porte-parole d’Accountable Pharma, des sociétés OWS. « Leurs inconvénients sont couverts par les contribuables et leurs avantages sont déjà dans leurs poches. »

Maintenant que des millions d’Américains et des millions d’autres dans le monde ont pris ces « vaccins » de thérapie génique de Pfizer-BioNTech, Moderna, Astro-Zeneca et Johnson & Johnson, nous avons déjà vu des effets indésirables plus graves ainsi que des décès dus à juste la dernière année où ils ont été administrés à des personnes que nous avons vu de tous les 70 vaccins combinés des 10 années précédentes selon les propres chiffres VAERS du CDC.(([2] Le gouvernement britannique publie la 32e mise à jour sur les effets indésirables des vaccins Covid-19
–  Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
–  Maux de tête, fausse couche, surdité, cécité, accident vasculaire cérébral, décès – les réactions indésirables aux vaccins ARNm Covid-19
–  HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré
–  La vaccination dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans tuera 117 enfants pour sauver UN SEUL de la mort par COVID !
–  Vax tueurs. Il y a 6 fois plus de décès chez ceux qui sont entièrement vaccinés que chez les non vaccinés
–  Une effrayante vague de surmortalité en Europe, aux Etats Unis et ce n’est pas la covid….
–  Le sang contaminé nouveau est arrivé
–  Pandémie vaccinale. Pour 10 mille vaccinés, il y a 5400 effets secondaires et 7 morts))
Et, étant donné qu’il est extrêmement long de remplir tous les documents nécessaires pour signaler ces effets indésirables et le fait qu’ils ne sont presque jamais déposés après 48 heures ainsi que le biais inhérent au système allopathique de soins médicaux en ce qui concerne les vaccins, vous pouvez être sûr que le nombre d’effets indésirables graves et de décès est bien plus élevé que ce qui est signalé (d’au moins un ordre de grandeur de dix fois, mais probablement plus proche de 100 fois(([3] Officiel. Les « vaccins » Covid-19 sont 100 fois plus mortels que TOUS les autres vaccins réunis
–  USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
–  HOLOCAUSTE SECRET : Des millions de victimes du vaccin disparaissent-elles dans des fosses communes ?
–  Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts. Au contraire : les chiffres le démontrent)) ). Cependant, aussi fou que cela puisse paraître, il ne faut pas oublier que le gouvernement américain a une longue et tortueuse histoire d’expériences biologiques sur ses propres citoyens avec divers agents pathogènes et agents, généralement sans en informer les citoyens au préalable. Ce qui suit est une brève chronologie, bien que loin d’être exhaustive, d’une poignée de telles expériences biologiques que nous connaissons et qui ont été documentées, comme vous pouvez tout lire dans les hyperliens indiqués.

• 1763 : Dans l’un des premiers cas enregistrés de guerre biologique sur le sol américain, le capitaine Ecuyer a rencontré deux chefs indiens sous prétexte d’amitié. Il leur a ensuite donné des couvertures prises dans un hôpital où les patients étaient infectés par la variole. Au cours des mois qui ont suivi, la variole a décimé les tribus indiennes de la région de l’Ohio.

• 1918 : La pandémie de grippe, également connue sous le nom de « grippe espagnole », a été une énorme tragédie aux proportions épiques, tuant quelque quelque 50 millions de personnes dans le monde. Elle aurait été déclenchée dans le monde comme une pandémie de pneumonie bactérienne induite par un vaccin plutôt qu’une pandémie naturelle par l’Institut Rockefeller avec leurs cobayes soldats de la Première Guerre mondiale avec des vaccins contre la méningite bactérienne dérivés d’un sérum de cheval.(([4] Bis repetita. La « Grippe Espagnole » de 1918 était une pandémie mondiale provoquée par Rockefeller et l’armée américaine
Un nouveau développement historique qui a évolué depuis quelques années et qui est maintenant mis en évidence à cause du COVID-19, est la soi-disant «grippe espagnole» de 1918, il y a donc un siècle.
Des rapports et des documents récurrents émergent pour nous dire que cette «plus grande pandémie de L’histoire n’était [1] ni «espagnole», [2] ni «une grippe» et ni [3] un événement naturel mais le résultat du bricolage humain fait avec des vaccins.

Cela ne vous rappelle-t-il pas comment le virus fabriqué du COVID-19 s’est échappé des labos américains pour infecter le mode entier ??))
Cette véritable pandémie a été aggravé par les quartiers exigus de la guerre des tranchées et si l’on considère que c’était également à l’époque où le système immunitaire des gens était gravement compromis par les fréquences radio des rayonnements électromagnétiques, comme le documente l’excellent livre The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life (L’arc-en-ciel invisible : une histoire de l’électricité et de la vie) par Arthur Firstenberg.

• 1942 : L’armée impériale japonaise établit un camp de recherche en Nouvelle-Guinée pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout comme ils l’avaient fait auparavant au tristement célèbre Camp 731 en Mandchourie, les soldats-scientifiques japonais ont expérimenté sur la tribu indienne Fore là-bas. La tribu a reçu une injection de la version hachée du cerveau de moutons malades contenant des prions du virus Visna, qui a causé la maladie de Creutzfelt-Jacob ou l’équivalent humain de la maladie de la « vache folle ». Après cinq ou six ans, la tribu Fore a développé ce qu’elle appelait le «kuru» où elle s’est littéralement dépérie alors que son cerveau se transformait en bouillie. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Dr Ishii Shiro (le médecin généraliste en charge du développement, des tests et du déploiement de la guerre biologique au Japon) a été capturé par les États-Unis. On lui a donné à choisir. Soit être mis à mort en tant que criminel de guerre, soit venir travailler pour l’armée américaine. Sans surprise, il a choisi la deuxième solution, et dans les années qui ont suivi, il a aidé les spécialistes américains de la « guerre biologique avec des germes » à développer leur propre agent de la maladie à prion kuru de la MCJ/ESB de qualité militaire.

• 1946 : le Dr George Merck, alors qu’il était encore directeur de la recherche américaine sur la guerre biologique, admet que les États-Unis ont appris à cristalliser les toxines bactériennes. Notez que c’est le même Merck de Merck Pharmaceuticals qui allait développer de nombreux vaccins comme celui contre la polio, qui était contaminé par le SV40 (Simian Virus 40), un cancérogène humain connu.

• 1949-1969 : L’armée américaine pulvérise au moins 239 zones peuplées, d’agents de guerre biologique et de soi-disant « simulants biologiques » qui incluent, entre autres,  de l’Aspergillus fumigatus (un champignon connu pour causer la mort), du sulfure de zinc et de cadmium, du Bacillus subtilis (une bactérie qui partage des caractéristiques avec l’Anthrax) et Serratia Marcescens (qui est connu pour causer la méningite).(([5] Les États-Unis ont fabriqué la bio-arme Covid et l’ont d’abord disséminée en Chine et en Iran. Ils ont contaminé le Monde
–  Implication israélienne dans la création du COVID-19 à l’Université de Caroline du Nord (censuré / supprimé)
–   La Chine exhorte l’OMS à enquêter sur le biolab militaire américain à la recherche des origines de Covid
–  USA. Le virus Covid-19 se serait échappé du laboratoire dès juillet 2019
–  Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine
–  France. Quand la CIA empoisonnait au LSD les habitants de Pont Saint Esprit (Gard)
–  Covid-19: une guerre bioterroriste voulue par Fauci, l’armée US, la CIA, les chinois, la France, et les pharmaceutiques!
–  Le projet pour un nouveau siècle américain et l’ère des armes biologiques : 20 ans de terreur psychologique
–  Le Covid-19 participe de la course aux armements biologiques, visant à fabriquer et répandre des agents pathogènes mortels!))

• 1955 : La CIA pulvérise de grandes quantités d’Haemophilus Pertussis (bactérie de la coqueluche) lors d’« essais sur le terrain » le long de la côte du golfe de Floride. Les dossiers médicaux de cette époque montrent que l’incidence de la coqueluche a triplé par rapport à l’année d’avant. (Voir aussi le livre Clouds of Secrecy.: The Army’s Germ Warfare Tests Over Populated Areas de Leonard Cole)

• 1957 : L’une des premières épidémies de syndrome de fatigue chronique à Punta Gorda, en Floride, est déclenchée par des moustiques infectés par la bactérie Brucella par le Dr Guilford B. Reed de l’Université Queen’s au Canada. Les moustiques ont été élevés à Belleville, en Ontario, et relâchés à Punta Gorda, où au moins 450 personnes ont contracté la maladie pour la première fois.

• 1962 : agissant sur une directive émise en janvier 1961, l’administration Kennedy a autorisé le DOD à lancer le projet 112 avec son projet dérivé SHAD (Shipboard Hazard and Defense ; Risque et défense à bord des navires) qui a expérimenté sur les soldats et les citoyens américains des armes chimiques et bactériologiques, appelées par euphémisme « stimulants ». Au moins 13 navires de la marine américaine ont été exposés dans le cadre du seul projet SHAD à des attaques chimiques et biologiques simulées, ce qui a été nié jusqu’en mai 2000, lorsque CBS News a finalement révélé l’histoire publiquement.

• 1969 : le président Richard Nixon met théoriquement fin à la recherche et aux tests sur la guerre des germes biologiques sur les citoyens américains avec l’adoption d’un décret. Cependant, les preuves qui suivent démontreront clairement que les tests et les expérimentations se sont poursuivis.

• 1969 : le Dr Donald MacArthur, lors d’une réunion secrète à huis clos portant sur l’approbation budgétaire du budget noir du Pentagone de 1970 avec un sous-comité du Congrès, a déclaré : « Il est possible qu’avec un financement approprié, nous puissions développer dans les 5 à 10 ans un virus synthétique pour lequel il n’y a pas d’immunité naturelle connue. C’est précisément  le virus du sida a fini qui a été conçu. Il a été créé à partir d’une bactérie Brucella mutée avec un virus visna et la toxine éliminée sous forme de particule d’ADN appelée mycoplasme.

• 1971 : Le Service de santé publique des États-Unis publie un rapport détaillant ce qu’on appelle le « The Special Virus Cancer Program» créé par la CIA et le NIH pour développer un agent pathogène mortel pour lequel l’humanité n’a pas d’immunité naturelle (c’est-à-dire le syndrome d’immunodéficience acquise, le SIDA) , qui était déguisé en guerre contre le cancer mais faisait vraiment partie de MKNAOMI. (Par exemple, voir : « The Special Virus Cancer Program : Progress Report No. 8 » ainsi que le livre Dr. Mary’s Monkey d’Edward T. Haslam)

• 1974 : National Security Study Memorandum 200 intitulé « The Kissinger Report » indique que pour réduire la croissance démographique : 

“ Un certain nombre d’actions majeures dans le domaine de la création des conditions d’une baisse de la fécondité peuvent être financées à partir des ressources disponibles pour les secteurs en question (par exemple, l’éducation, l’agriculture). D’autres actions, dont les services de planification familiale, les activités de recherche et d’expérimentation sur les facteurs affectant la fécondité, relèvent des fonds de la population… ”

• 1974-1979 : Le vaccin contre la variole est administré en Afrique centrale et le vaccin contre l’hépatite B est administré à la population homosexuelle à New York et à San Francisco, et l’on assiste aux premiers cas de sida qui explosent à plein régime dans les années 1980.

• 1991 : le brevet américain n° 5 242 820 montre que Shyh-Ching Lo est « l’inventeur » du mycoplasme pathogène, qui peut provoquer des « maladies pseudo-grippales » et d’autres maladies débilitantes et mortelles comme je l’ai déjà dit.

• 1994 : Le rapport Riegle détaille comment les États-Unis ont envoyé des armes biologiques et chimiques aux irakiens tout au long des années 1980. Ces agents biologiques et chimiques comprenaient l’anthrax, le virus du Nil occidental, les gaz neurotoxiques, etc.

• 1997 : US Public Law 95-79, Title 50, Chapter 32, Section 1520 est finalement modifié. Avant sa modification, on lisait : « L’utilisation de sujets humains sera autorisée pour les tests d’agents chimiques et biologiques par le département américain de la Défense. »

• 1999 : Une infection par le virus du Nil occidental unique en son genre s’est déclarée naturellement à New York. Environ la moitié des corbeaux et de nombreuses autres espèces d’oiseaux sont morts, et il s’est apparemment propagé aux humains par les moustiques. Au 8 octobre 2002, le CDC avait signalé un total cumulé de 2 768 infections au VNO avec 146 décès enregistrés. Ce n’est qu’au milieu des années 90 que le VNO a commencé à causer un grand nombre de décès d’oiseaux, et la souche virale la plus proche du virus NY99 était celle qui a circulé en Israël de 1997 à 2000. L’une des personnalités clés pendant cette période à la tête du Bureau de la gestion des urgences était l’ancien homme de Kroll Associates lié au renseignement de sécurité sur le 11 septembre, Jerome Hauer. Après avoir dirigé pendant quelques années des pulvérisations massives et sans doute très dangereuses de pesticides qui semblaient viser non seulement les moustiques mais aussi les humains, il a tenté d’imposer d’autres expériences biologiques comme le vaccin contre la variole sous la « Emergency Health Powers Act » jusqu’à ce que la California Association of Nurses refuse de l’accepter et qu’ils soient obligés de reculer. Il est ensuite devenu vice-président de SAIC, l’un des poids lourds de l’État profond du complexe militaro-industriel. Quelques bons candidats pour la source de la souche génétiquement manipulée du VNO sont les principaux laboratoires américains de développement biologique et germinatif de Ft. Detrick [5]et Plum Island, cette dernière étant située de manière suspecte près de Long Island. Rétrospectivement, il semble probable que le VNO a été délibérément déployé pour au moins deux raisons principales : 1) En fonction d’un « exercice de préparation au bioterrorisme » utilisant un virus vivant au lieu d’un « stimulant », et 2) Pour créer « un marché d’un million de dollars » pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE) d’OraVax, ainsi que d’autres médicaments majeurs à suivre, comme le Cipro de Bayer utilisé pour l’anthrax. Fait intéressant, George W. Bush et les membres de son cabinet prenaient déjà Cipro avant que les lettres suspectes contenant de l’anthrax ne soient envoyées à NBC et à des opposants politiques clés comme le chef de la majorité au Sénat, Tom Daschle. (Voir le livre Death in the Air du Dr Leonard G. Horowitz)

• 2014 : Début décembre 2014, le Centre de surveillance épidémiologique (CVE) du ministère brésilien de la Santé a annoncé la vaccination obligatoire des femmes enceintes entre la 27e et la 36e semaine de grossesse avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTaP). En mai 2015, un grand nombre de bébés naissaient avec une microcéphalie où ils avaient la tête rétrécie et malformée et d’autres malformations congénitales graves. La majorité des cas se sont produits dans la région nord-est de Pernambouc, au Brésil, où la plupart des vaccins DTaP ont été distribués. En décembre 2015, le gouvernement brésilien a déclaré une urgence nationale après la naissance de 2400 bébés atteints de microcéphalie. L’OMS a ensuite imputé l’épidémie de microcéphalie au virus Zika, découvert en Ouganda en 1947 et propagé par les moustiques. Cependant, il n’y a aucune preuve que le virus Zika provoque une microcéphalie, alors que les vaccins le font parfois. Les vaccins utilisés en 2014 qui sont les principaux suspects de l’épidémie de bébés nés avec une tête mal formée en raison d’une microcéphalie étaient le Refortrix de GlaxoSmithKline (connu au Brésil sous le nom de Boostrix) et l’Adacel de Sanofi Pasteur produit en France.

En résumé, permettez-moi de citer Catherine O’Driscoll d’un article intitulé « Vaccines, Biowarfare, and Betrayal » (Vaccins, guerre biologique et trahison ) publié dans Nexus Magazine, Vol. 24, No. 3, May-June 2017:

 « Les agences gouvernementales, y compris les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, le National Cancer Institute (NCI), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le ministère de la Défense, le US Public Health Service ainsi que l’Institut Pasteur  et le Centre international de recherche sur le cancer en France, Porton Down en Angleterre, l’Institut Ivanovsky en Russie et d’autres – des scientifiques du monde entier dans des départements gouvernementaux et des sociétés pharmaceutiques – étaient (et sont toujours) en train de jouer avec les virus dans les laboratoires, épissant ensemble différents virus de différentes espèces et créant des super virus sous le couvert de soins de santé préventifs tout en délivrant de puissantes armes biologiques et en les partageant les uns avec les autres ! »

SOURCE : Algora Blog

NOTES de H. Genséric




La liberté d’information à l’épreuve d’une commission ? Arnaud Dimeglio au Défi de la vérité

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Arnaud Dimeglio a relevé le défi ! Avocat au barreau de Montpellier, spécialisé dans les nouvelles technologies, le droit de la communication et le droit de la propriété intellectuelle, ce docteur en droit, avocat de FranceSoir par ailleurs, revient sur l’actualité crispée autour des questions de vérité et de désinformations médiatiques et institutionnelles, plus particulièrement sur la mise en place de la commission Bronner du nom du sociologue Gérald Bronner.

Cette commission intitulée : « Les Lumières à l’ère du numérique » qui prétend lutter contre la désinformation et le complotisme, a inspiré un article dans lequel Arnaud Dimeglio a exposé ses réserves : les risques de la commission Bronner. Il y fustige une commission obscure (malgré son intitulé), censée lutter contre les diffuseurs de haine et de la désinformation, des notions vagues et floues juridiquement, et en liste les contradictions et zones d’ombre.



Pour contrer l’imprécision, il revient sur la définition que le droit français propose de la désinformation dans la loi de 1881 : délit de fausses nouvelles, de mauvaise foi, qui trouble la paix publique… Il évoque aussi la loi de 2018 : si elle complète et prévoit que les « fausses informations » doivent être sanctionnées, elle ne permet pas d’établir qu’une information contraire à la vérité « officielle » du pouvoir en place constituerait pour autant une « fausse information ».

C’est pourtant une définition qu’a donnée Gérald Bronner : serait théorie du complot toute théorie remettant en question la vérité officielle… Une déclaration choquante et dangereuse qui a soulevé l’indignation générale.

Pour lutter contre ces dérives, Arnaud Dimeglio propose de revenir aux définitions, et à la liberté d’expression, qui permet de diffuser des idées minoritaires qui ne font pas (…ou pas encore) consensus. Prenant l’exemple des effets secondaires du vaccin, et de ce qu’il est possible d’en écrire pour ne pas enfreindre la loi, il revient sur les fondements possibles.

Une réflexion sur les Gafam (Google, Apple, Facebook…) qui suppriment tous les contenus qui seraient contraires aux « consensus » de l’OMS et des autorités locales, tandis que la Cour européenne des droits de l’homme affirme qu’il faut admettre les idées minoritaires et non pas les informations largement admises, en matière de santé. La suppression de ces contenus est d’autant plus choquante que le consensus est mouvant et qu’une information considérée comme fausse un jour peut se révéler juste ou plausible quelques mois plus tard. Des géants du numérique, réseaux sociaux et autres plateformes, qui jouent un double jeu, entre leur rôle d’hébergeur et celui d’éditeur, souligne Arnaud Dimeglio – voire de juge ? 

L’avocat montpelliérain regrette enfin la proximité des médias et du pouvoir et invite, dès lors que la presse est le « quatrième pouvoir », à s’inspirer de la séparation des pouvoirs telle que Montesquieu l’avait pensée, et revient enfin sur les polémiques autour du rôle médiatique de médecins dans cette crise sanitaire.

Auteur(s): FranceSoir




Le rapport qui ne change rien et dont les médias ne parlent pas. Le Covid a officiellement représenté 2 % des hospitalisations en 2020

Par Alain Tortosa

Un rapport totalement officiel de l’ATIH(([1] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf
[voir aussi : Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ?])) fait couler de l’encre dans la sphère dite « complotiste », mais il est passé sous silence dans les médias mainstream. Il énonce que le Covid a représenté 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques en 2020.

À ma connaissance, seul Pascal Praud sur Cnews et, étrangement, Martin Blachier sur LCP, en ont parlé.

Mais le sujet est suffisamment dangereux et épineux pour que les « vérificateurs » de l’information de checknews(([2] https://www.liberation.fr/checknews/est-il-vrai-que-les-patients-covid-nont-represente-que-2-du-total-des-hospitalisations-en-france-en-2020-20211111_BEEG2I2RTRAX7O3Q5LD2D33J4I/)) s’en emparent.

Il est intéressant de constater que le mode opératoire des « vérificateurs » est toujours le même, aussi bien chez les décodeurs de France-info que chez le checknews de Libération.

Le titre sera quasi toujours le même « C’est vrai, mais c’est faux ! »
Les premières phrases seront généralement de nature à dédouaner le peuple de s’intéresser au sujet.

« Dormez sur vos deux oreilles, on s’occupe de tout ».

Ils savent très bien que la majorité des gens se contente de titres et ne vont pas au bout, raisons pour lesquelles ils insistent sur les premières phrases choc.

Résumons-le déroulé de l’argumentaire de Libération sur ce fameux rapport « vrai, mais faux ».

Le 2 % initial devient 4 % de la durée, pour ne retenir au final que les pics et arriver à la conclusion que les Covid ont occupé plus de 100 % des réanimations.
Le « journaliste » concluant quand même que 110 % c’était un peu exagéré.

La conclusion est donc que 2 % ne reflètent pas la réalité d’une saturation des réanimations à 100 %.
Nous sommes donc bien dans le « c’est vrai, mais c’est faux ».
Et il n’est donc pas utile de perturber le public avec cela, mieux vaut se focaliser sur la 5e vague…

Je voudrais néanmoins souligner quelques faits :

  • Si seuls certaines périodes et certains lieux ont connu une saturation des hôpitaux et des réanimations et si la moyenne des patients Covid n’est que de 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques… C’est bien la preuve que la quasi-totalité des régions françaises et/ou la quasi-totalité de l’année… les hôpitaux étaient vides de patients Covid ! Dans ces conditions : Pourquoi paniquer les Français 24 heures sur 24 depuis mars 2020 ? Pourquoi leur faire croire que TOUS les hôpitaux étaient au bord de la saturation dans TOUTES les régions ? Et donc pourquoi confiner nationalement, pourquoi faire des restrictions nationales ?
  • Notons aussi que certaines régions comme l’Île-de-France ou le Nord semblent avoir eu plus de cas, plus de morts que d’autres régions. Il est possible de se poser des questions sur des conflits d’intérêts de tel ou tel. Pourquoi une inégalité aussi flagrante dans des régions alors même que l’on ne cesse de nous dire que le virus circule partout et tout le temps ?
  • Libération oublie aussi de dire que le nombre de patients hospitalisés pour Covid est un faux. Je ne perdrai pas mon temps à retrouver les sources… Le fait est que l’État a officiellement reconnu qu’il n’était pas en capacité de distinguer un patient hospitalisé pour Covid dans une unité Covid d’un patient positif à un test et présent dans l’hôpital. Si on ajoute le fait que 90 % des personnes positives à un test PCR étaient asymptomatiques, qu’il y avait souvent un facteur 10 entre le taux d’incidence gouvernemental et le taux d’incidence relevé par le réseau Sentinelles, et si nous tenons compte du fait qu’une majorité écrasante de patients Covid avaient de lourdes comorbidités, nous pouvons aisément dire que seules 10 % des hospitalisations pour Covid l’étaient réellement. Nous pouvons donc affirmer que les patients Covid n’ont pas représenté 2 % des hospitalisations de 2020, mais 0,2 % !
  • Concernant les soins critiques. J’invite mes lecteurs à se pencher sur mes précédents textes à ce sujet. Je dénonçais ce scandale dès novembre 2020. Je vous rappelle que le gouvernement n’a cessé de nous fournir ce qu’il appelait le pourcentage de personnes en réanimation. Or le chiffre du nombre de personnes en réanimation n’a JAMAIS été fourni, seul le nombre de personnes en soins critiques. Pour calculer le pourcentage d’occupation, le gouvernement a toujours divisé le nombre de personnes en soins critiques par le nombre de lits de réanimation disponibles. Le hic est qu’il y a en France environ 5000 lits de réanimation pour 15 000 de soins critiques. Il est dès lors très facile de dépasser les 100 % d’occupation en divisant par 5000 au lieu de 15 000. Si l’on tient compte du nombre de personnes en soins critiques au pic de l’épidémie et qu’on le divise par le nombre total de lits de soins critiques, alors on constate que le taux d’occupation en soins critiques n’a JAMAIS dépassé les 37 % ! Si nous ajoutons à cela que des personnes en fin de vie étiquetées Covid étaient en soins critiques et que l’on affirme raisonnablement que pour la moitié d’entre elles le Covid n’était pas la cause principale de lit de soins critiques, alors on peut affirmer avec une énorme marge de sécurité que le Covid n’a utilisé que 18 % des lits de soins critiques au PIC de l’épidémie, soit environ 2,5 % de moyenne nationale annuelle.

Et des journalistes débiles ou corrompus continuent à dire que le Covid a fait 118 000 décès en France en oubliant de mentionner que c’est sur 2 saisons et que la plupart étaient des personnes en fin de vie !

Les droits de l’homme ont été détruits, nous avons été privés de libertés et nous le sommes encore. Nous avons été confinés ou placés sous couvre-feu. Des masques aussi inutiles que dangereux ont été imposés y compris à nos enfants. Nous subissons un passeport vaccinal pour nos besoins de la vie courante. Nous sommes obligés à une injection génique expérimentale.

Et ce pour quoi ?

  • Pour une maladie qui a représenté 0,2 % des personnes hospitalisées !
  • Pour une maladie qui a au maximum représenté 2,5 % des soins critiques avec un pic au pire de l’épidémie de 18 % des lits de soins critiques !
  • Pour une maladie dont l’âge médian des décès était de 84 ans et dont les traitements efficaces ont été et sont encore interdits.

C’est sans doute cela que les médias considèrent comme n’étant « rien » et qu’il est donc inutile d’en faire les grands titres ! C’est donc sur une base de propagande mensongère que nous demeurons en dictature.

Alain Tortosa.

12 novembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa2021112-la-fausse-pandemie-chiffres-officiels.pdf





Appel aux candidats à la Présidence : protégez les enfants des pseudovaccins Covid dangereux et inutiles

Par N et G Delépine(([1] Suivez-nous sur Telegram https://t.me/DrDelepine))

Résumé :

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes qui risquent moins du Covid que de la grippe saisonnière.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles.

Ils ne protégeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales.

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts des pays qui ont le plus vacciné.

La « vaccination anti-Covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

L’essai Pfizer est frauduleux.(([2] BMJ Investigation
Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial
BMJ 2021; 375 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021)
Cite this as: BMJ 2021 ; 375 : n2635))

Résistons pour nos enfants, notre Futur.

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB À LA VACCINATION Covid CHEZ L’ENFANT.

Les enfants sont innocents du Covid :
ni malades ni contaminateurs

Alors que depuis mars avril 2020, les médecins et chercheurs honnêtes, et les sociétés de pédiatrie(([3] https://www.sfpediatrie.com/actualites/Covid-19)) savent, écrivent, publient et clament que les enfants (moins de 19 ans) ne risquent rien du Covid et ne le transmettent pas, ni aux autres petits ni aux adultes, même s’ils font une forme bénigne (appelée dans le monde d’avant un rhume).

L’étude publiée en juin 2020 par l’Institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur. 

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

Le Covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0,035 %, et 0 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Les écoles n’auraient jamais dû fermer, comme l’expérience de la Suède (dûment critiquée) l’a amplement démontré. Seuls les enfants immunodéprimés par maladie ou par traitement chimio par exemple peuvent décéder avec le Covid comme avec la rougeole ou la varicelle (sans danger chez les petits sans comorbidité). Ils se comptent sur les doigts de la main tant en France que dans les autres pays comme USA, Royaume-Uni, etc.

Plus de 19 000 articles détaillés sur Covid et enfants avec bibliographie (recensés sur la banque de données PubMed au 12/11), émanant d’auteurs différents et de nombreuses macroanalyses les résumant ont largement confirmé ces faits.

Mais la propagande mensongère des médias et gouvernements au service du plan Schwab/Bill Gates/OMS, a été si lourde, quotidienne et répétitive sur toutes les chaînes de TV du monde, dont celles de France appartenant à huit milliardaires, que la rumeur de contamination par les enfants continue à courir, à faire peur aux enseignants, aux parents. Les petits sont obligés de porter le masque démontré inutile et toxique sur tous les plans, physique et encore plus psychologique.(([4] Pendant que les puissants s’affichent sans masque et sans distanciation sur des vidéos provocantes pour le peuple astreint à muselière et surtout les petits)) Et le temps passe, laissant prévoir des séquelles d’apprentissage et de comportement sur plusieurs années.

But de la désinformation sur la contamination par les enfants :
les vacciner !

Tout cela est décrit en détail dans tous les pays, dans toutes les langues, mais la puissance mondiale de la désinformation nous incite à revenir sur le sujet. On voit bien aujourd’hui que le but de ce mensonge mondial était de préparer les citoyens confiants et incapables d’imaginer une telle perversion — à vacciner vos enfants et leur faire courir les dangers immédiats comme les myocardites(([5] Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) )) voire des morts subites, mais aussi à long terme de probables problèmes de fertilité, de maladies auto-immunes, de cancer, voire pire encore de maladie à prions, cousine de la maladie terrible de Creutzfeld — Jacob, dite maladie de la vache folle.(([6] https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/parents-enfants-verite/
une association de parents d’enfants décédés à la suite du vaccin anti-Covid se met en place Verity France))

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, les pseudo vaccins ne protègent ni de la contamination ni de la transmission. Alors, pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception, 99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0,64 %) d’après l’essai présenté par Pfizer.

LES EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSÉS PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

Ils sont importants et devraient justifier à eux seuls le renoncement à cette injection sans effet positif chez les enfants. Ils ont été largement résumés ailleurs.(([7] https://docteur.nicoledelepine.fr/effets-indesirables-des-injections-geniques-sources-officielles-au-10-octobre-2021/)) Chacun peut consulter l’état des lieux directement sur les sites respectifs. Quelques exemples :

EUDRAVIGILANCE – EMA pour l’Union Européenne selon le site officiel de l’agence européenne du médicament au 5 novembre (27 pays sans la GB)

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE au 30 octobre 2021

Le Pr Suisse Dr Astrid Stuckelberger @Stuckelberger publie une nouvelle vidéo pour mettre en garde contre cette injection encore en expérimentation.

« C’est quand même dingue, si ça marchait, ils ne se feraient pas injecter encore, encore, encore… on en est à 29 173 morts directes et 2 999 743 effets secondaires graves dans EudraVigilance en Europe… 12 115 enfants de 0 à 17 ans… »(([8] https://twitter.com/i/status/1456689834395897858))

VAERS : RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DÉCLARÉS SPONTANÉMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control (CDC).

les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([9] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Les mêmes analyses sont disponibles pour les autres pays avec des résultats comparables.

SAUVER LES GÉNÉRATIONS FUTURES — SAUVER LEUR ADN :
NON AUX pseudo vaccins, vraies injections OGM à des HUMAINS

Il faut parvenir à relayer l’information, sauver les générations futures qui sont déjà traumatisées par le vécu invraisemblable de ces deux années de coronafolie mondiale, moins sauver leur ADN, ne pas risquer de les transformer en transhumain OGM d’avenir incertain. Les nouveau-nés de mères vaccinées font craindre le pire, en particulier un vieillissement accéléré.

N’oublions pas que les candidats vaccins contre les précédents coronavirus (SRAS et MERS-CoV) ont été abandonnés en raison de décès, plus fréquents chez les animaux vaccinés que dans les groupes témoins. Essais animaliers qui n’ont guère été réalisés pour le Covid19

Ce jour, nous nous adressons donc à vous, tous les candidats déclarés ou potentiels, et à tous les élus, car vous disposez d’une visibilité, qui pourrait aider les médecins honnêtes du monde entier, à faire passer l’information et à éviter ainsi au moins une partie de l’humanité de cette menace majeure de notre patrimoine génétique construit sur des millénaires.

En résumé, message à faire passer : les enfants ne risquent rien du Covid, mais beaucoup des pseudovaccins.

En même temps que le Pfizergate émerge démontrant l’absence totale de fiabilité des essais, que le vaccin Moderna est interdit au moins de trente ans, le PDG de Moderna demande le même jour à l’UE d’autoriser l’injection de ce même Moderna chez les enfants de 5 à 11 ans.

SONNEZ L’ALERTE.

Nos milliardaires ne doutent de rien, mais le monde résiste de plus en plus. Pas certain qu’ils gagnent, mais combien de victimes entre temps. Alors, diffusons l’appel de ces médecins réunis en Floride.(([10] t.me/VaccinoSceptique November 09, 2021
Traduction de l’article du site trialsitenews.com 👇🏻
https://trialsitenews.com/dont-vaccinate-kids-urgent-message-from-doctors-summit/))

NE VACCINEZ PAS LES ENFANTS :
MESSAGE URGENT DU SOMMET DES MÉDECINS

Extraits de l’article de Mary Beth Pfeiffer

« Les principaux experts de la politique défectueuse du programme Covid américain ont lancé un avertissement urgent lors d’un sommet le 8 novembre 2021 : les jeunes enfants seront lésés par la hâte malavisée de vacciner une population dont le risque d’infection grave par le virus est très faible. »

« Le risque réel pour les enfants en bonne santé est à peu près nul — il semble bien qu’il soit inférieur à celui de la grippe », a déclaré le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm sur laquelle repose le vaccin. Inoculer 28 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans, a déclaré le Dr Malone aux participants du sommet de Floride sur le Covid,(([11] Public de 800 médecins, infirmières et défenseurs des droits.)) pourrait entraîner « un millier ou plus de décès supplémentaires ».

« C’est un millier d’enfants », a-t-il dit au « C’est un millier d’enfants de trop ».

« Les enfants ne tombent pas gravement malades. Les enfants ne meurent pas de cette infection », a déclaré Paul Alexander, épidémiologiste clinique et ancien conseiller principal sur la politique en matière de pandémie au ministère américain de la Santé et des Services sociaux. « On nous a donné beaucoup d’informations trompeuses ».

Bien que sévèrement critiquée pour avoir gardé les écoles ouvertes, « la Suède n’a pas eu un seul décès d’enfant dû au Covid », a déclaré le Dr Richard Urso, ophtalmologiste texan citant des données publiées.

Dans une étude portant sur 48 000 enfants de moins de 18 ans infectés par le Covid, aucun décès n’a été signalé parmi ceux qui ne présentaient pas de comorbidités comme la leucémie ou l’obésité. En d’autres termes, les enfants en bonne santé ne meurent pas du Covid, ce qui suggère que les vaccins ne sont pas nécessaires pour eux.

L’AVEUGLEMENT VOLONTAIRE

« le coût potentiel de la vaccination est inacceptable, soulignant les milliers d’effets secondaires et de décès officiellement minimisés, mais réels. Les risques pour les enfants comprennent, entre autres, une grave inflammation du cœur appelée myocardite, dont le taux est trois à six fois supérieur au taux attendu… Une étude des CDC a fait état de 14 décès liés à la vaccination et de 849 réactions graves chez des enfants âgés de 12 à 17 ans. »

« Il y aura des enfants perdus avec le vaccin — bien plus que ce qui s’est passé avec le Covid », a déclaré le Dr Peter McCullough, cardiologue, voix importante pour une réponse rationnelle à la pandémie. Les médecins sont coupables d’un « aveuglement volontaire » face aux dangers des vaccins, a-t-il ajouté, car ils ont « cru à ce rêve… que ce vaccin était à la fois sûr et efficace. Le fait qu’il ne soit pas suffisamment sûr est en train de briser leurs rêves ».



En Floride, où le débat sur l’obligation de vacciner est vigoureux, les organisateurs du sommet considèrent la vaccination des enfants comme une ligne à ne pas franchir dans un État qui pourrait servir d’exemple à la nation. Ils espèrent « arrêter le programme de vaccination obligatoire élargie voulue par Biden et attendent un décret du gouverneur Ron DeSantis ou une loi lors d’une prochaine session d’urgence convoquée pour traiter des obligations de vaccination. »

« Nous devons faire tout ce qui est possible », a dit le Dr John Littell, médecin d’Ocala qui a dirigé le sommet. « Nous n’avons fait que commencer à nous battre pour nos enfants ».

Avec un soutien médiatique quasi universel, la pression est intense pour vacciner les tout-petits.

LA SCANDALEUSE VIDÉO SUR LES SUPER HÉROS PASSE SUR NOS TV :
QUI PORTE PLAINTE ?

Elle montre des garçons et des filles « super-héros », en capes, masques et ailes, célébrant la vaccination. Ils prononcent des mots écrits par Pfizer, ils félicitent les autres enfants qui se sont fait vacciner pour leur « courage », leur volonté « d’essayer de nouvelles choses » et « d’aider le monde entier ». UNE PROPAGANDE ABSOLUMENT HONTEUSE.

Les médecins réunis ont également soulevé deux autres préoccupations urgentes :

  • 1) suppression effective de la liberté des médecins de traiter le Covid précoce avec de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine, de la fluvoxamine et d’autres médicaments qui pourraient éviter aux patients d’être hospitalisés et sauver des vies.
  • 2) valeur protectrice de la Covid, qui offre des avantages immunitaires qui dépassent — et suppriment — la nécessité de la vaccination.

« L’immunité naturelle est robuste ; elle est complète ; elle est durable », a déclaré le Dr McCullough au groupe. « Avec le Covid, vous développez une immunité contre une cinquantaine de protéines qui stimulent la production d’anticorps », a expliqué M. Malone dans son exposé. « Avec le vaccin, vous développez une immunité contre une protéine structurelle, à savoir la protéine spike. C’est une énorme différence. »

« Ne les laissez pas vous dire que le Covid récupéré n’entraîne pas une immunité durable », a déclaré le Dr Ryan Cole, pathologiste de l’Idaho, opposant un rapport sur 106 articles scientifiques en faveur de l’immunité acquise par l’infection à un seul « faux papier » du CDC affirmant que les vaccins offrent une meilleure protection.

Une corruption sans bornes

« Pierre Kory, président de Frontline Covid-19 Critical Care Alliance et défenseur d’un traitement précoce, a pointé du doigt une litanie de méthodes que les revues scientifiques, les médias et le gouvernement ont utilisées pour refuser les soins efficaces par des médicaments “réadaptés” peu coûteux comme l’ivermectine. »

« Parmi elles : Le refus de publier des articles scientifiques favorables au traitement et la rétractation, sous pression, d’autres articles. L’insistance sur les essais de contrôle aléatoires coûteux, alors qu’ils ne sont pas financés. Un double standard qui fait que le molnupiravir de Merck, très coûteux, est en passe de devenir un médicament ambulatoire de premier choix, sur la base d’un essai parrainé par la pharmacie, alors que des dizaines d’études en faveur de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine et d’autres traitements potentiels sont écartées. Le rejet de l’expérience clinique de centaines de médecins qui ont vu des médicaments de traitement précoce éviter des hôpitaux et des cercueils ».

M. Kory a décrit en deux mots la raison de l’échec monumental du traitement du Covid : « la capture réglementaire ». En bref, les agences alphabétiques — NIH, CDC, FDA — ne prennent pas les décisions officielles de ces agences ne sont pas prisesselon les données acquises de la science, mais guidées uniquement par la politique, les lobbys et la corruption.

« Toutes ces agences sont littéralement dirigées par Pharma », a-t-il dit. « Si vous voulez garder votre emploi, vous laissez les dirigeants faire ce qu’ils font ». Cela a conduit, selon lui, à « des actes de corruption non mitigés et répétés, qui nuisent à la santé publique. »

Kory et d’autres ont dit qu’il y a peut-être deux autres douzaines de composés qui pourraient aider rapidement. Néanmoins, les responsables de la santé publique ne recommandent aucun d’entre eux. Parmi eux : l’aspirine, le budésonide, la colchicine, la curcumine, la mélatonine, le nitazoxanide, la quercétine, le zinc et les vitamines C et D. Même un essai très favorable sur la fluvoxamine n’a pas obtenu l’aval du gouvernement.

« Les PDG et les administrateurs des hôpitaux nous menacent. Vous allez être virés. Vous devez vous conformer à nos normes de soins. »(([12] Telegram: t.me/VaccinoSceptique))

LA CRISE EST POLITIQUE ET NON SANITAIRE

Vous aurez tous compris qu’il s’agit d’un problème politique et non sanitaire, résultant de la mainmise de Big Pharma sur les instances dirigeantes et sur trop de responsables des agences d’état corrompus et tenant l’ensemble du système de santé par corruption à tous les étages et/ou harcèlement des opposants les réduisant au silence ou à la démission.

Cette organisation perverse est en place depuis des décennies, mais a atteint un niveau de « perfection » avec la crise du Covid longtemps préparée après la répétition générale du H1N1. Il faut en sortir VITE, car l’avenir de l’Humanité, de son génome sont en jeu.

Mesdames, Messieurs les Politiques et vos relais dans les médias, la balle est dans votre camp. Nous vous soutiendrons.

Il faut libérer tous les citoyens de cette terre des mesures liberticides injustifiées, et en particulier le masque chez les enfants, et interdire la poursuite de cette injection mortifère officiellement contre une maladie extrêmement peu létale chez les sujets sans comorbidité.

Exigez un moratoire pour cette injection génique suivie de débats publics devant les élus en présence des scientifiques indépendants et sans lien d’intérêt avec Big Pharma. En attendant, laissez-les vivre, laissez-nous vivre.





COP26 : comment les élites nous préparent un « pass carbone »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G.

Le Nouvel Ordre Mondial est bien là et le Prince Charles a donné, à la COP26, un aperçu des moyens que les élites utiliseront pour parvenir à leurs fins. Après les états d’urgence attentat et sanitaire, les dirigeants mondiaux ont clairement montré leur volonté de mettre en place un état d’urgence climatique. Prenant prétexte de l’urgence climatique, cette politique doit permettre, non pas un développement plus harmonieux pour tous, mais un renflouement vert du système financier spéculatif actuel et quoi de mieux qu’un pass carbone ?

1. Le prince Charles en roue libre

Lors de la COP26, le Prince Charles a tenu des propos surréalistes concernant le futur de l’humanité. Des propos, qui par ailleurs, ont été peu ou pas repris par les médias hexagonaux.

La feuille de route ne parle pas de confinement pour fin 2021, mais de pénuries et d’installation de contrôles militaires pour le programme de transition et de renoncement à la dette.

Il a expliqué, d’un ton sur et monotone, qu’il fallait mettre en place une campagne militaire qui imposera la nouvelle transition économique mondiale afin de sauver la planète en y injectant des milliers de milliards de dollars, une somme plus importante que le PIB mondial !

Il affirme que les pays sont gravement endettés et qu’ils ne pourront pas faire face aux défis climatiques.

Qui pouvait mieux annoncer cette grande réinitialisation du monde que « son Altesse » dont l’obsession climatique est bien connue de tous !

Ségolène Royal l’avait d’ailleurs fait venir chez nous, en décembre 2015, pour trôner aux côtés de Michael Bloomberg (un des mécènes de Joe Biden), Al Gore et Arnold Schwarzenegger, au sommet de la COP21 aboutissant aux fameux Accords de Paris.

Si ces dirigeants mondiaux mettaient à disposition cet argent fictif gagné via la spéculation boursière, ce n’est pas pour le bien de l’humanité, mais pour en contrôler l’avenir.

Comment imaginer un seul instant que Jeff Bezos, le patron d’Amazon, devenu milliardaire en vendant des gadgets chinois aux Américains et aux Européens en détruisant leur industrie et leur petit commerce, puisse à un moment devenir une partie de la solution au problème climatique !

Nous assistons, donc, à la mise en place du Nouvel ordre mondial, une dictature mise en place par le secteur privé mondialiste, qui veut mettre fin aux démocraties que nous connaissons en utilisant systématiquement la menace pour arriver à ses fins.

Pour rappel, du 9 au 11 novembre 2020, s’est tenue une rencontre de haut niveau, baptisée Green Horizon summit, réunissant une centaine de décideurs financiers et économiques de haut vol, tous avides d’examiner comment passer de la théorie climatique à la spéculation verte : le Great Reset de leur portefeuille au détriment de la planète.

Selon les organisateurs, le sommet avait pour but d’accélérer l’innovation financière dans le climat, en promouvant des initiatives semblables à celles des obligations vertes.

2. Et maintenant l’état d’urgence climatique

En 2015, c’était la menace terroriste, depuis 2 ans nous sommes en état d’urgence sanitaire et demain ce sera la menace climatique.

En effet, comment ne pas admettre la conformité massive et sans questionnement des peuples aux réglementations restrictives et liberticides du COVID.

L’idée de confinement climatique pourrait être facilement normalisée à la lumière du respect massif des confinements pandémiques.

Alors qu’avec la crise sanitaire, beaucoup de responsables se rendent à l’évidence que la mondialisation financière a rongé la substance productive de nos économies et fragilisé nos secteurs publics, cette « Caste » voit comme une énorme menace le retour aux recettes économiques élémentaires ayant fait leurs preuves lors de la reconstruction d’après-guerre.

Pour ces élites déconnectées, il s’agit, donc, de saisir la formidable occasion que leur offre la peur suscitée par la crise sanitaire mondiale, pour imposer une dictature climatique et de contrôler directement le portefeuille de chaque citoyen.

De faire en sorte que l’essentiel des investissements soit affecté exclusivement au fameux New Green Deal et que les citoyens se comportent comme il faut.

L’idée est donc de mettre en place une tyrannie plus intrusive en misant sur le fait que les gens peuvent être plus disposés à accepter le suivi et les limitations liées aux quotas carbone personnels pour obtenir un climat plus sûr.

3. Un pass carbone pour contrôler chaque aspect de votre vie

Si, lors de cette COP26, les gouvernements décident soudainement de bannir le CO2 de leur économie, le monde pourrait connaître un retournement brutal des valeurs d’un tiers de l’économie mondiale, soit la partie liée aux hydrocarbures (lignite, charbon, gaz, pétrole, etc.) et l’écosystème qu’elles entretiennent (exploitation minière, pétrochimie, plastique, etc.).

Mieux vaut donc prendre les devants et organiser le verdissement de la finance mondiale, afin de limiter les frais et surtout les secousses.

Pour cette finance-là, faute d’une réelle opposition de la part de gouvernants obéissant à l’intérêt général et non aux lobbies, la crise pandémique de Covid-19 a offert une fenêtre de tir pour mettre en place le type de société totalitaire et de surveillance dont elle rêve depuis longtemps.

Car s’il s’agit, officiellement, de sauver le climat et la planète, en réalité, ce n’est que l’ultime bouée de sauvetage de la bulle des « actifs verts » et un moyen efficace pour la faire gonfler.

Nos élites, présentes à Glasgow, préparent donc des quotas de carbone personnels obligatoires qui introduiraient le rationnement dans tous les domaines de votre vie et ceci via une application qui enregistrerait vos déplacements, vos dépenses de chauffage et même la nourriture que vous mangez.

D’ailleurs, cette proposition avait été présentée dans la revue scientifique Nature par quatre experts de l’environnement comme un moyen de réduire les émissions mondiales de carbone.

Le discours ambiant de cette COP26 est donc que, face aux problèmes écologiques présents et à venir, il est nécessaire de mettre dans l’esprit collectif, que chaque citoyen soit conscient d’avoir un rôle à jouer dans la lutte contre le changement climatique, en proposant l’instauration d’un compte ou pass carbone.

À l’image d’un compte en banque, ce compte carbone sera crédité de 2000 kg de carbone par français par an, suivant les accords de Paris.
Il sera demandé lors de tout achat de produits ou services de première main générant une quantité non négligeable de carbone dans son cycle de production/commercialisation de présenter son compte ou pass carbone sur lequel sera débité le montant de carbone lié à la dépense.

Il est donc envisagé que pass sanitaire se transformera en pass carbone et donc une limitation des voyages, de la nourriture, des kilomètres en voiture, etc.

Le tout au nom de la prochaine crise à venir : le changement climatique.

Aujourd’hui le pass, renouvelé à minima jusqu’en juillet 2022, offre un QR code pour le vaccin. Et demain ce sera pour votre bilan carbone.

Et le surlendemain ?

Reste à savoir si les populations mondiales vont se laisser faire et se faire esclavagiser et de la sorte par cette caste.




Allocution du président de la République : « Mes chers compatriotes ou plutôt, mes amis, mes enfants, mes petits enfants… »

Par Alain Tortosa

« C’est toujours un immense plaisir de m’adresser à vous en cette fin d’année 2047.

Les plus perspicaces d’entre vous auront peut-être perçu une légère diminution de la bonhomie et de la jovialité qui me caractérisent habituellement. Vous n’êtes pas sans savoir que ma fidèle épouse, ma muse, vient de s’éteindre dans la force de l’âge. Elle aussi, terrassée par cet odieux et perfide virus.

Je vous fais confiance comme vous me faites confiance depuis le début la crise. Nous nous disons tout et vous savez que jamais je ne vous ai menti ou dissimulé la moindre information.

Nous savons tous que ma femme se dévouait corps et âme pour la nation et c’est probablement lors d’une de ces multiples missions humanitaires ou pour venir en aide aux plus démunis qu’elle a contracté le virus.

Mes amis, face à la souffrance et la maladie, il n’y a plus ni riche ni pauvre, mais notre condition humaine.

Les premiers éléments de l’enquête laissent penser qu’elle aurait été contaminée lors d’une visite dans une ferme éducative pour primo-délinquants non vaccinés.

N’écoutant que son cœur et au mépris du danger, elle aurait caressé une poule dont nous savons désormais que sa dernière injection remontait à plus de 8 mois. Une enquête est en cours et je ne manquerai pas de vous tenir informé. Sachez que justice passera et que les coupables seront châtiés comme il se doit.

Vous me connaissez, je parle de moi, de ma vie, je me laisse aller à mes émotions et j’en suis à oublier l’objet de mon intervention…

Je voudrais d’abord vous remercier encore de votre soutien actif. Sans vous, mes amis, nous n’aurions pas pu parcourir un tel chemin. Vingt-huit années de crise !

En premier lieu, permettez-moi de saluer le parlement qui, spontanément, après 18 votes, a finalement autorisé le Président de la République à garder son mandat tant que la crise sanitaire n’était pas terminée et lui donner les pleins pouvoirs. Et surtout vous, vous les 99,2 % de Français qui ont voté par Internet pour ma réélection et renouvelé votre pleine confiance pour des décennies.

Permettez-moi d’avoir une pensée émue pour les millions de nos compatriotes de moins de 30 ans qui, du fait du Covid, sont décédés du jour au lendemain d’AVC, de thromboses, de crises cardiaques ou de cancers aussi soudains que fulgurants. Réjouissons-nous que nous fussions tous vaccinés, cela a prévenu 10 fois plus de morts.

Cela fait désormais plusieurs années que 100 % des Français sont vaccinés avec un rappel tous les 3 mois.

Ceci grâce à une loi spontanément proposée puis votée par le parlement autorisant les autorités administratives à déchoir automatiquement de la nationalité française tous les ennemis du peuple refusant l’injection salvatrice.

Et il est bien loin le temps où l’on communiquait sur les risques ou les avantages de la vaccination à tel ou tel âge.

D’aucuns, des idéalistes, disent que nous aurions dû rendre la vaccination obligatoire à la naissance dès l’année 2020 et que nous aurions gagné ainsi quelques années de souffrance.

C’est peut-être vrai, je ne le nie pas, mais nous sommes un pays de liberté qui a toujours fait passer l’intérêt individuel, les droits de chacun et le principe de précaution avant toute autre préoccupation. Notre méthode nous a permis de rassurer les Français et nous assurer de l’innocuité de tous les vaccins.

Avec ces années de recul, nous avons désormais la preuve que le vaccin n’a tué PERSONNE sur la planète.

On ne peut pas en dire autant du changement climatique qui a entraîné le décès de millions de nos compatriotes, changement que nous sommes sur le point de maîtriser. Certains experts pensent que d’ici 70 ans nous aurons sauvé la planète !

J’en profite au passage pour remercier la grande Greta Thunberg, triple prix Nobel de la paix et de l’économie, avec qui je partage beaucoup, y compris son rapport à l’émotion. Elle est une icône à suivre… nous lui devons toutes les grandes lois climatiques comme l’interdiction d’un moyen de transport individuel au-delà d’un rayon d’action supérieur à 5 km. Mais aussi l’interdiction de chauffer sa maison à plus de 15 degrés ou l’usage des avions réservés aux personnes utiles, pour ne citer que ces quelques exemples.

Nous pouvons affirmer que la mise en œuvre du crédit écologique associé au pass vaccinal nous a permis de conserver nos valeurs et notre modèle basé prioritairement sur les libertés individuelles.

Je vous rappelle le slogan « la liberté individuelle prime, mais s’arrête au meurtre d’un ours blanc. »

Ma prise de parole est aussi l’occasion de saluer la mémoire de notre grand et glorieux Ministre de la Santé retrouvé mort chez lui il y a maintenant 5 ans. Ses proches ne comprennent toujours pas son suicide, lui qui avait tant donné pour la France… Avant son décès, il avait tenu quelques propos incohérents sur la crise, propos qui ont été depuis supprimés d’Internet et de tous les ordinateurs, en respect à sa mémoire et de son œuvre. Les résultats de l’enquête sont sans appel. Il a été établi qu’il s’est donné la mort en se tirant deux balles, dont une, dans le dos et que la première était déjà mortelle.

Nous ne doutons pas que son remplaçant, à l’éthique sans failles et au parcours professionnel exceptionnel l’ayant conduit au poste de président de Pfizer France, sera un atout majeur pour l’avenir et la santé de tous. Rappelons que la loi autorise désormais un ministre à conserver son emploi, et ce afin qu’il garde le contact avec le monde réel. Son expertise ne pouvant qu’être un plus dans la noble mission qu’il se doit d’accomplir.

Je salue au passage la probité de notre nouveau Ministre de la Santé et son esprit républicain, celui-ci ayant spontanément renoncé à son salaire de ministre pour ne garder que ses modestes émoluments au sein de l’entreprise Pfizer. Dans un esprit de transparence, son salaire de 1975,50 euros brut par mois a été rendu public. Moi-même, l’ensemble des députés et des membres du gouvernement le remercions aussi pour le WE inoubliable organisé à Little St James.

Cette vaccination volontaire et spontanée de tous les Français nous a permis de retrouver notre entière liberté.

Le pass sanitaire a été abandonné parce qu’il était source d’inégalités Rappelez-vous, seuls les nantis pouvaient se permettre de s’acheter un test quatre fois par jour pour vaquer à leurs occupations et pouvoir acheter leur nourriture. C’est grâce à un amendement conjoint du groupe socialiste et du groupe communiste, salué par l’ensemble des députés, que les tests ont été rendus interdits au nom du principe d’égalité.

La solidarité et la fraternité chères à notre grande nation nous ont conduits vers cette avancée majeure pour remplacer le pass sanitaire par un pass vaccinal et écologique pour tous.

Mesure de bon sens, vous en conviendrez…

Concernant les mauvais Français déchus de leur nationalité, les débats furent rudes à l’Assemblée. Les députés les plus idéalistes souhaitaient que nous les placions dans des bateaux que nous aurions coulés au large. Tollé immédiat, comme vous vous en doutez, du Ministre de l’Économie targuant que nous avions besoin de ces bateaux pour le commerce depuis la Chine démocratique et pour notre croissance infinie. Mais aussi du groupe écologique affirmant justement une fois de plus que « la mer n’est pas une poubelle dans laquelle on peut se débarrasser impunément de ses déchets ».

Il fut donc décidé de construire des camps de rééducation ou d’assigner à domicile ces ex-Français que nous ne pouvions expulser du fait que nulle nation n’en voulait.

Un programme de réinsertion fut mis en œuvre. Chaque paria pouvait décider de postuler à la nationalité française. Pour cela il s’engageait à :

  • Se vacciner tous les 15 jours pendant deux ans pour rattraper le retard.
  • Suivre des cours de citoyenneté et de déprogrammation des thèses complotistes.
  • Se couper définitivement de sa famille et de ses ex-amis restés complotistes.

À l’issue de deux années, il pouvait commencer à réintégrer la société avec un bracelet électronique, l’obligation d’un traitement psychiatrique à vie, et, bien entendu, interdiction de procréer et de s’approcher à moins de 500 m d’enfants innocents.

La transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, écologique et social a été une avancée majeure dans nos libertés, mais aussi un formidable outil de croissance. Des centaines de millions de portiques de détection ont été installés dans toute la France. Aussi bien à l’entrée des administrations, entreprises, commerces, hôpitaux, mais aussi des lieux de loisirs. Plus aucun appareil, téléphone, four micro-ondes, ordinateur, voiture, carte bancaire ne pouvant fonctionner si vous n’étiez pas à jour de toutes vos obligations vaccinales et citoyennes.

Hélas ! le virus est encore là, mais heureusement, nos scientifiques ont trouvé la solution qui fait que nous serons bientôt sortis du tunnel et cette crise ne sera qu’un lointain souvenir. Preuve en est que la patience paye !

Je tenais aussi à souligner l’innovation et l’imagination de nos chercheurs. Une entreprise 100 % française aux capitaux chinois vient de mettre au point un micro-masque qu’il est possible d’insérer dans la paroi nasale des nouveau-nés. Ce masque écologique traité avec des nanoparticules qui détruisent le virus est sans danger pour les nourrissons et n’est à renouveler que tous les 6 mois chez son médecin traitant dans la caserne de son choix. J’en profite pour vous mettre en garde contre une vidéo virale qui montre un nouveau-né hurler 2 h 30 pendant et après lui avoir inséré le micro-masque. Nos services ont pu démontrer que ses parents, des anarchistes notoires, avaient torturé leur enfant avant de le lui mettre. Nous rappelons qu’à cet âge, l’enfant n’arrive pas à faire la différence entre le plaisir et la douleur. Nos spécialistes ont ainsi pu prouver que le plaisir pour le nourrisson était tel qu’il se mettait à pleurer de joie pendant quelques heures.

Après toutes ces années, nous voyons bien que le port du masque n’a eu aucune conséquence pour notre santé. Bien au contraire même, il permet de coller aux rythmes naturels de l’enfant. Désormais les bébés commencent à parler vers l’âge de 3 ans ce qui est beaucoup moins violent. Nous déplorons encore quelques rares déclenchements de crises de schizophrénie chez certains bébés, mais le masque n’est pas en cause. Ces bébés ont été traumatisés par des mères aussi stupides qu’irresponsables qui enlèvent leur masque devant un enfant découvrant un visage humain pour la première fois de sa vie.

Je profite de mon intervention pour rappeler l’importance vitale des gestes barrières et de ne jamais enlever son masque devant, ou à, son enfant, quand bien même il serait en train de s’étouffer.

Ici encore je salue une fois de plus l’innovation française avec la commercialisation de cabines individuelles de restauration avec verre fumé permettant à toute personne de pouvoir manger et d’enlever son masque en dehors de tout regard, mais surtout en toute sécurité sans risque d’assassiner un membre de sa famille, et ce, grâce au système de ventilation de la machine. Ces cabines individuelles peuvent être placées tout autour d’une table, elles sont munies d’écran de télé permettant de partager un moment convivial et de liberté avec les membres de sa famille ou des amis venus dîner. Fini le temps des contraintes dans les années 20 où il fallait faire manger papi et mamie dans la cuisine le jour de Noël pour ne pas les assassiner.

Le masque n’est de fait plus un sujet depuis quelques années. Nous le portons tous, tout le temps, partout, y compris pour dormir.

Côté économie, cette crise sanitaire est devenue un eldorado grâce aux efforts de chacun. Malgré les 20 000 milliards d’euros (planche à billets) injectés dans l’économie française, tous les indicateurs sont au vert :

  • La croissance est de 10 % par an.
  • Le déficit est en dessous des 3 %.
  • Le cac40 n’a jamais été aussi haut.
  • Le chômage n’est plus, nous sommes au plein emploi.
  • Les ménages n’ont jamais eu autant d’argent épargné.
  • L’industrie française a fait un bon au point que nous allons devoir faire venir 5 millions d’immigrés pour répondre à la demande croissante.

Nous voyons bien que les efforts ont payé et les résultats sont au-delà des espérances du haut-commissaire au plan.

Hélas ! les nouveaux variants ne cessent de voir le jour malgré les vaccins toujours plus efficaces. Cela prouve bien notre humilité face à ce virus… Bien heureusement, le Ministère de la Vérité a enfin réussi à faire taire les complotistes avec leurs théories de la terre plate, complotistes qui affirmaient que les vaccins bloquaient la souche d’origine et qu’ils étaient de nature à favoriser les variants. Hypothèse farfelue, réfutée par tous les grands chercheurs accrédités par le Ministre de la Santé.

Nous voyons le bout du tunnel, mais nous devons maintenir nos efforts. Il serait stupide de tout gâcher alors que nous approchons de l’immunité vaccinale de masse, qui, si tout va bien, devrait se produire l’année prochaine.

En effet, si tous les Français sont vaccinés, il demeure des animaux non vaccinés.

Nous savons depuis quelques mois que les poules et les cochons sont de forts vecteurs de propagation. Notre Ministre de la Santé, en collaboration étroite avec les plus grands chercheurs de son entreprise, nous a confirmé que le vaccin était parfaitement efficace et inoffensif chez ces animaux.

Le fait qu’un pourcentage non négligeable décèdent en pleine course n’a strictement rien d’inhabituel. Les études, réécrites cette année, prouvent qu’il en a toujours été ainsi. Des sujets jeunes et en bonne santé décèdent, c’est triste, mais c’est la nature.

Pour autant et malgré les campagnes de promotion de la vaccination, seuls 70 % des poules et des cochons de notre pays sont à ce jour vaccinés. C’est totalement irresponsable de la part de celles et ceux qui disent que nous n’avons pas assez de recul et que cela pourrait compromettre la santé des poussins, mais aussi leur capacité reproductive.

Balivernes !
Nos voisins israéliens l’ont fait depuis plusieurs mois et la situation chez eux aurait empiré de 70 % s’ils n’avaient pas pris ces mesures grâce auxquelles il n’y a que 30 % d’augmentation du taux de décès des poules (ils n’ont pas pu faire les tests sur les cochons). Preuve en est de l’efficacité sans commune mesure de cette vaccination qui évite de nombreux décès.

C’est pourquoi, sous conseil du Ministre de la Santé, j’ai décidé de rendre obligatoire dès ce jour la vaccination des poules et des cochons avec un rappel tous les 3 mois.

Dans un premier temps, nous avions pensé à brûler les animaux non vaccinés, mais sur proposition du Ministre de l’Écologie il a été décidé d’envoyer les poules et cochons non vaccinés dans les camps des parias.

Nul doute que cette mesure forte en faveur de la vaccination massive des poules et des cochons nous permettra de sortir de la crise et retrouver une vie encore plus normale alors qu’elle est déjà normale.

N’écoutez pas ces oiseaux de mauvais augure qui vous disent que demain il faudra rendre obligatoire la vaccination des chats et des chiens. Nous savons bien qu’ils ne sont ni porteurs ni vecteurs et que leur vaccination n’est donc pas à l’ordre du jour. Vaccination qui est même déconseillée à ce jour. Celle-ci ne sera jamais préconisée et encore moins rendue obligatoire, vous pouvez me croire les yeux fermés.

Le bout du tunnel est là mes amis. Ne perdez pas espoir !

N’oubliez pas que toutes ces mesures contraintes nous ont permis de retrouver nos libertés. Je n’hésiterai pas à citer une fois de plus notre grand maître G Orwell « l’interdit c’est la liberté ».

Vive la république, vive la France ! »

Propos(([1] Pure fiction évidemment. « toute ressemblance…, blablabli, blablabla »)) recueillis par Alain Tortosa.

Le 11 novembre 2047
https://7milliards.fr/tortosa20211111-allocution-president-2047.pdf




Sénateur Ted Cruz : Biden compte sur les entreprises pour obéir au mandat « illégal » de vaccination jusqu’à ce que les tribunaux décident

[Source : lifesitenews.com]

Le sénateur du Texas a déclaré que l’administration Biden sait que le mandat de vaccination « manifestement illégal » sera « invalidé », mais qu’elle « compte cyniquement sur le fait que certains employeurs et certains employés vont simplement obéir, et qu’il faudra des mois et des années pour que le litige se règle de lui-même ».

Quelques jours après que le mandat de l’administration Biden concernant le vaccin COVID-19 pour les grandes entreprises ait été bloqué par un tribunal fédéral, le sénateur républicain du Texas Ted Cruz a déclaré qu’il pense que le président Biden sait que le règlement ne passera pas l’épreuve judiciaire, mais qu’il « compte cyniquement sur le fait que certains employeurs et certains employés vont simplement obéir » au mandat pendant que cela prend « des mois et des années pour que le litige se règle ».

« Les mandats de vaccination de Biden sont manifestement illégaux », a déclaré le sénateur Cruz à un journaliste de One America News lors de la Coalition juive républicaine à Las Vegas, Nevada, lundi. « Ils constituent un abus de pouvoir ».

« Joe Biden et l’administration savent que les mandats de l’OSHA [Occupational Safety and Health Administration : Administration de la sécurité et de la santé au travail] vont être invalidés, qu’ils vont être contestés devant les tribunaux et qu’ils vont perdre. Et franchement, ils comptent cyniquement sur le fait que certains employeurs et certains employés vont simplement obéir, et qu’il faudra des mois et des années pour que le litige se règle de lui-même », a déclaré le sénateur du Texas.



Les commentaires de Cruz interviennent alors que la tentative de l’administration Biden d’utiliser l’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) pour obliger les employeurs de plus de 100 employés à se faire vacciner contre le COVID-19 ou à se soumettre à des tests hebdomadaires a rencontré un obstacle majeur.

Le mandat a été arrêté samedi par la cour d’appel du cinquième circuit des États-Unis, deux jours seulement après la publication du règlement de 490 pages. Le panel de trois juges a déclaré que les pétitions des États et des entreprises qui ont intenté une action contre le gouvernement « donnent à penser que le mandat pose de graves problèmes statutaires et constitutionnels ».

S’il est confirmé par les tribunaux, le règlement de l’OSHA aura un impact sur quelque 84 millions d’Américains et punira les entreprises non conformes d’amendes pouvant aller jusqu’à 136 532 dollars par infraction pour les contrevenants récidivistes, des sanctions massives qui pourraient mettre en faillite la plupart des entreprises.

Le ministère américain du Travail a également laissé entendre qu’il pourrait étendre l’obligation aux entreprises de moins de 100 employés, ce qui pourrait avoir un impact sur presque tous les Américains adultes et faire courir aux petites entreprises un risque sérieux de fermeture.

Lundi, l’administration Biden a dit aux entreprises qu’elles devaient aller de l’avant et exiger que les travailleurs reçoivent des injections de COVID-19 malgré la suspension du mandat de l’OSHA par le tribunal fédéral.




Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ?

[Source : businessbourse.com]

Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ? écoutez et lisez ce rapport !

https://twitter.com/LE_GENERAL_OFFL/status/1458726080769110018?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1458726080769110018%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2021%2F11%2F11%2Fmartin-blachier-en-mode-retournage-de-veste-puissance-1000-il-doit-sentir-le-vent-tourner-nous-aurait-on-menti-a-linsu-de-notre-plein-gre-ecoutez-et-lisez-ce-rapport%2F

Source : https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf




Argentine : Une journaliste s’emporte contre la vaccination… « Vous réalisez ce qui se passe dans le monde aujourd’hui ? Je vous le dis, Ils sont en train de tuer énormément de gens ! Beaucoup de médecins sont complices de ce chaos humain !!! »

[Source : businessbourse.com]

« Ceux qui meurent ne meurent pas seulement du Covid… Énormément de médecins sont complices et un jour, on saura tout…Et même si je perds mon emploi, je vous dis que ils nous font peur à longueur de journée… Quand il y aura une énorme réaction, la société changera… Arrêtez de les écouter, avec toutes leurs mauvaises nouvelles ! Attention à ces médias corrompus qui nous bernent, Faites gaffe par rapport à tout ce que vous écoutez ou lisez…Restez calmes et surtout n’ayez plus peur du Covid !!! »




Accès du parlement européen à Bruxelles refusé à des députés non vaccinés

[Source : Ciel voilé]






Des médecins de soins intensifs et des scientifiques prestigieux sont menacés pour avoir sonné l’alarme sur les blessures causées par le vaccin COVID-19

[Source : MIRASTNEWS]

Par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Aujourd’hui, je vous apporte plus de preuves que les dirigeants des agences de santé du gouvernement américain et les sociétés pharmaceutiques produisant les «vaccins» COVID-19 sont coupables de crimes contre l’humanité, y compris de meurtres de masse.

J’ai été critiqué et censuré par beaucoup, même dans les médias alternatifs, pour avoir utilisé un langage aussi fort, souvent accusé d’utiliser le « sensationnalisme ».

Mais quand la vérité et les faits sont aussi évidents qu’ils le sont aujourd’hui, le sensationnalisme n’est pas nécessaire. Juste le courage de dire la vérité et d’exposer les criminels, c’est tout ce qui est nécessaire pour avertir le public.

Et la vérité est que de plus en plus de médecins de première ligne qui travaillent avec des patients blessés par vaccin, ainsi que des scientifiques et chercheurs médicaux très prestigieux, ont tenté de dénoncer ceux qui sont tués et blessés par ces vaccins en informant les dirigeants de la FDA, CDC, NIH, etc., et non seulement leurs voix sont ignorées, il y a un effort concerté pour les faire taire.

Ces professionnels risquent non seulement leur carrière et leurs moyens de subsistance, mais peut-être leur vie même pour avoir révélé la vérité sur les dommages causés par ces injections expérimentales de modification génétique.

Les compagnies pharmaceutiques et les organismes de réglementation fédéraux savent très bien ce qui se passe, ce qui les rend complices de ces crimes contre l’humanité et de ces meurtres de masse.

C’est la vérité, et pour mes collègues des médias alternatifs qui n’ont pas le courage de sortir et de dire cela parce que vous avez peur d’être étiquetés avec un terme péjoratif qui pourrait affecter votre financement ou votre popularité, honte à vous !  

Vous aussi, vous êtes alors complice de ces crimes car ces monstres se précipitent aussi vite qu’ils le peuvent pour injecter autant d’enfants et d’autres personnes que possible avant que la vérité ne les rattrape enfin.

Parce que cela arrivera à un moment donné. À un moment donné, le récit public changera, car il y aura tellement de morts et de paralysés à cause des injections qu’il ne pourra plus être nié, même parmi la plupart des ignorants et des idiots.  

Aujourd’hui, je publie le travail de l’avocat Aaron Siri qui représente plus de 12 médecins des unités de soins intensifs et d’autres emplois hospitaliers de première ligne qui ont essayé de parler au CDC, à la FDA et à d’autres organisations de santé de ce qu’ils voient chez leurs patients vaccinés blessés, mais sont ignorés.

L’avocat Siri a déposé 11 déclarations contre ces agences et menace de nouvelles poursuites judiciaires.

Ensuite, j’ai également publié un autre orateur de la table ronde de la semaine dernière à Washington DC par le sénateur Ron Johnson, avec le Dr Retsef Levi, un professeur israélien à la MIT Sloan School of Management qui a également essayé d’avertir les responsables de la santé en Israël et ici aux États-Unis , mais a été censuré, notamment en se voyant refuser la publication dans des revues universitaires.

11 mois maintenant après le début des campagnes de vaccination de masse contre le COVID-19, il n’y a plus d’excuse pour ceux qui permettent à ces décès et blessures de continuer. Il est temps de commencer à arrêter les gens et de convoquer des grands jurys de citoyens pour commencer à juger leurs affaires, et s’ils sont reconnus coupables, ils devraient être exécutés publiquement, le tout conformément à la loi du pays, la Constitution des États-Unis d’Amérique.

Et ces criminels appartiennent aux deux partis politiques, donc plus vite nous arrêterons d’en faire une question partisane, plus vite nous pourrons commencer à arrêter et à juger les criminels.

Un médecin de soins intensifs courageux signalant des blessures causées par le vaccin Covid-19 en entraîne une douzaine de plus

Dr. Patricia Lee.

Par Aaron Siri

AaronSsiri.substack.com

Un acte de bravoure commence à faire boule de neige. Le Dr Patricia Lee « a tout risqué » pour s’avancer, après avoir été ignorée par les responsables de la santé publique, pour révéler la grave série de dommages dont elle a été témoin des vaccins Covid-19 dans son unité de soins intensifs.

Avec ce seul acte, mon cabinet a maintenant été contacté par plus d’une douzaine d’autres médecins. Vous trouverez ci-joint 11 déclarations de médecins de tout le pays attestant de graves dommages causés par les vaccins Covid-19.

Ces médecins, comme le Dr Lee, ont contacté les autorités de santé publique du CDC, de la FDA et du NIH pendant plus de dix mois, mais leurs préoccupations ont été rejetées ou ignorées.

Ces agences répondent généralement en disant que le VAERS ne montre pas de signal de sécurité, il n’y a donc rien à craindre.

Si vous ne le savez pas déjà, le VAERS est le système qui, selon le CDC et la FDA, ne peut pas montrer qu’un vaccin provoque une blessure, mais peut néanmoins montrer qu’un vaccin est sûr. C’est-à-dire qu’ils gagnent face, que vous perdez face.

Pire encore, bon nombre de ces médecins ont eux-mêmes été blessés par un vaccin Covid-19 et, bien qu’ils soient médecins, les médecins auprès desquels ces médecins blessés ont demandé un traitement ont également généralement rejeté leurs blessures. Et ce sont des médecins qui recherchent l’aide de leurs collègues médecins !

L’histoire que racontent la plupart de ces médecins ressemble à celle de Maddie de Garay qui, bien qu’elle soit en fauteuil roulant et qu’elle ait besoin d’une sonde d’alimentation par le nez, s’est fait dire que c’était psychologique.

Ces médecins ont été, incroyablement, presque tous initialement à dire la même chose. Ce n’est qu’après avoir demandé un traitement à des médecins qu’ils connaissaient du travail ou de la faculté de médecine que beaucoup d’entre eux ont cru.

Si les médecins sont rejetés comme « inventant », imaginez à quoi doit faire face la personne moyenne sans connaissances et accès médicaux après une blessure due au vaccin Covid-19.

Les autorités de santé publique nous disent de faire confiance aux médecins. Si des personnes ont des inquiétudes au sujet du vaccin, elles disent : « parlez avec votre médecin. » Ces mêmes médecins disent maintenant aux autorités sanitaires qu’il y a un grave problème.

Ils le disent à ces autorités sanitaires depuis des mois dans une myriade de correspondances. Et les 11 déclarations jointes sont probablement un petit échantillon – après tout, la lettre du Dr Patricia Lee n’a été publiée sur cette sous-pile que lorsqu’elle n’avait que quelques centaines d’abonnés. Cela a néanmoins déclenché une boule de neige de médecins tendant la main avec des histoires similaires qui se multiplient de jour en jour.

Il ne faudrait pas que les autorités de santé publique n’écoutent les médecins que s’ils répètent leur message préféré concernant les vaccins Covid-19.

Au contraire, les médecins devraient être particulièrement écoutés lorsque leur expérience clinique s’oppose directement à ce message. Mais l’expérience de ces médecins, et des nombreux autres qui ont contacté mon cabinet, prouve que c’est exactement le contraire qui est vrai.

Ces médecins, comme la plupart des médecins, sont les derniers individus à vouloir admettre qu’un vaccin Covid-19 a été la cause des blessures de leurs patients ou de leurs propres blessures. Et ils sont les derniers à vouloir faire publiquement un tel aveu. Vraiment.

Mais la réalité ne leur offre pas ce luxe. Les blessures qu’ils rapportent sont bien trop réelles et dévastatrices. Comme détaillé dans les déclarations ci-jointes, la plupart des médecins blessés ne peuvent plus travailler ou sont sévèrement limités dans leur capacité de travailler.

La leçon encore une fois est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale. Jamais.

Exiger un consentement éclairé – ce qui signifie donner à chaque Américain la possibilité de donner ou de refuser son consentement sans coercition – est le dernier et dernier filet de sécurité face aux dangers qui résultent lorsque nous permettons au gouvernement de décider ce qui doit être injecté ou placé dans ou sur notre corps.

Ce n’est pas une hyperbole car l’état actuel des choses est que vous ne pouvez pas poursuivre les fabricants pour les blessures du vaccin Covid-19, ne pouvez pas voir les données sous-jacentes à l’homologation du vaccin, ne pouvez pas discuter des blessures du vaccin Covid-19 sur les réseaux sociaux, et ne pouvez pas dire non au vaccin si vous souhaitez conserver votre emploi ou fréquenter de nombreuses universités.

Quel que soit votre point de vue sur le vaccin Covid-19 lui-même, chaque Américain devrait refuser de laisser le gouvernement décider des procédures médicales dans lesquelles il doit s’engager pour participer à la société civile.

Lisez l’article complet et consultez les pièces jointes sur AaronSsiri.substack.com.

Un scientifique israélien du MIT s’oppose au récit « grand public » du vaccin COVID-19 : « Vous devez être prudent car vous pourriez être éliminé »

Le Dr Retsef Levi est professeur à la MIT Sloan School of Management. Il était l’un des conférenciers invités la semaine dernière à Washington D.C. lors de la table ronde du sénateur Ron Johnson sur les mandats des vaccins COVID-19. Nous avons publié les présentations de nombreux autres participants qui ont assisté à cette réunion organisée par le sénateur Johnson. Voir:

Des médecins et des blessés par vaccin COVID-19 témoignent à Washington D.C. de crimes contre l’humanité – CDC, FDA, NIH, Fauci ne se présentent pas

Le Dr Levi est pro-vaccin et possède une biographie impressionnante en tant que scientifique et professeur à la MIT Sloan School of Management.

Retsef Levi est le professeur J. Spencer Standish (1945) de gestion des opérations à la MIT Sloan School of Management. Il est membre du groupe de gestion des opérations du MIT Sloan et affilié au MIT Operations Research Center. Levi est également codirecteur de la faculté des leaders du MIT pour les opérations mondiales (LGO).   

Avant de venir au MIT, il a passé un an au département des sciences mathématiques de l’IBM T.J. Watson Research Center en tant que titulaire de la bourse postdoctorale Goldstine.   

Il a obtenu un baccalauréat en mathématiques de l’Université de Tel-Aviv (Israël) en 2001, et un doctorat en recherche opérationnelle de l’Université Cornell en 2005.   

Levi a passé près de 12 ans dans les Forces de défense israéliennes en tant qu’officier de l’aile du renseignement et a été désigné officier du mérite supplémentaire. Après avoir quitté l’armée, Levi a rejoint une nouvelle entreprise de haute technologie israélienne émergente en tant que consultant en développement commercial.   

Les recherches actuelles de Levi sont axées sur la conception de modèles et d’outils d’aide à la décision basés sur des données analytiques traitant des décisions complexes de conception d’entreprise et de système dans des domaines tels que la gestion de la santé et des soins de santé, la chaîne d’approvisionnement, la gestion des achats et des stocks, la gestion des revenus, l’optimisation des prix et logistique.   

Levi a dirigé plusieurs efforts de recherche collaborative basés sur l’industrie avec certains des principaux hôpitaux universitaires de la région de Boston, tels que le Mass General Hospital (MGH), le Beth Israel Deaconess Medical Center (BIDMC), le Children’s Hospital et à travers les États-Unis (par ex. , Memorial Sloan Kettering Cancer Center, NYC Presbyterian Hospital System et l’American Association of Medical Colleges).  

Levi était l’IP dans le cadre d’un contrat du MIT avec la Federal Drug Administration (FDA) pour développer une approche systématique de gestion des risques afin de traiter les risques liés aux falsifications économiques d’aliments fabriqués dans les chaînes d’approvisionnement mondiales.   

Levi a diplômé 10 étudiants au doctorat, 34 étudiants à la maîtrise et 6 boursiers postdoctoraux. Il a également reçu plusieurs prix d’enseignement prestigieux. (Biographie complète ici.)

Comme vous pouvez le voir, il a beaucoup d’expérience dans le développement de médicaments et en collaboration avec la FDA.

Et pourtant, à l’instar des médecins de première ligne qui ont maintenant envoyé des déclarations à la FDA, au CDC et au HHS, ses inquiétudes concernant les dangers des vaccins COVID-19 ont été ignorées.

Il a déclaré:

Je ne suis pas un anti-vaccin. Je ne suis pas républicain, je ne suis pas démocrate.   

Il se trouve que je suis un scientifique qui remet en question le discours actuel qui domine les politiques de santé publique dans le monde, aux États-Unis et en Israël.  

Je peux vous dire que je connais de nombreux scientifiques et professionnels de la santé traditionnels, qui, comme moi, pensent que le récit actuel est extrême et faux.   

Mais très peu d’entre eux sont prêts à s’exprimer.   

Et je ne suis pas sûr de pouvoir les blâmer, car toute tentative de s’écarter du récit aujourd’hui se heurte à un mur d’hostilités, de rejet et même d’élimination de la part du gouvernement, y compris des agences de financement, des médias publics et, pire encore, de la communauté scientifique elle-même.

Le Dr Levi déclare ensuite qu’un de ses collègues au MIT qui est membre de la National Academy of Engineering lui a dit :

« Il faut faire attention, car on peut être éliminé. »

Le Dr Levi poursuit ensuite en parlant de la fraude universitaire et de la façon dont lui et de nombreux autres scientifiques ont tout de suite vu que ce que Pfizer publiait sur les résultats de leurs essais de vaccins COVID-19 était gravement erroné et que leurs déclarations concernant l’efficacité étaient fausses.

Et nous avons maintenant également un dénonciateur qui a travaillé sur les essais de vaccins COVID-19 pour Pfizer qui a également exposé la fraude chez Pfizer. Voir:

Un lanceur d’alerte révèle une fraude dans les essais de vaccins COVID de Pfizer alors que des enfants de 5 à 11 ans commencent à se faire injecter – Décès et blessures par vaccin à suivre

Ces scientifiques ont tenté de faire publier leurs critiques des études de Pfizer dans les revues universitaires, mais ont été déboutées. Les seules études publiées étaient celles qui se conformaient au récit dominant, et ces études étaient essentiellement de la camelote.

Le Dr Levi donne l’exemple des études qui viennent d’être publiées pour affirmer que les nouvelles injections de rappel étaient efficaces et sûres. La plupart des patients ayant reçu les injections dans les essais n’ont été suivis que pendant moins de deux semaines afin que les sociétés pharmaceutiques déclarent que les vaccins sont sûrs et efficaces.

Il est très critique à l’égard de ces journaux, car en ce qui concerne la sécurité, ils ne signalent aucun effet secondaire négatif, y compris des décès.

Le Dr Levi donne ensuite un exemple de cette censure académique.

Mes co-auteurs et moi avons souligné que lorsque vous examinez les appels des services d’urgence nationaux en Israël pour un arrêt cardiaque chez les jeunes de moins de 40 ans, vous constatez une augmentation spectaculaire de 25% de ces appels parallèlement à la campagne de vaccination en Israël au début de 2021, et nous voyons une association statistique à cette campagne.  

Nous avons écrit l’article à ce sujet, sans prétendre qu’il y a un effet occasionnel entre les vaccins et ce que nous voyons, car nous n’en avons pas la preuve.   

Mais nous avons soulevé la préoccupation et nous avons appelé les autorités pour vérifier ce qui se passait.   

Inutile de dire que nous n’avons jamais reçu de réponse des autorités, et en fait, elles ont rendu publiques et ont qualifié cette recherche de « fausse ».   

Mais encore plus inquiétant, revue après revue après revue dans la littérature académique rejette cet article, la plupart du temps en se basant sur l’argument qu’il n’est « pas une priorité ».  

Eh bien, je ne pense pas que qualifier les problèmes de sécurité de « faux » soit moralement juste ou scientifiquement juste.   

Je pense qu’il est clair que ces vaccins ne sont pas naïfs et qu’ils ont des effets secondaires graves et sans précédent.

Regardez la présentation complète du Dr Levi. C’est sur nos chaînes Rumble et Bitchute.



https://www.bitchute.com/embed/76q9F5B9qQiC/?feature=oembed#?secret=mVkOmPEUdd

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Health Impact News




Maître Marian : « l’AP-HP a appliqué la vaccination obligatoire avec brutalité »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

L’AP-HP (les hôpitaux de Paris, dirigés par Martin Hirsch, ancien Haut-Commissaire sous Nicolas Sarkozy mais issu de la coterie des « Kouchner boys ») vient de connaître un nouveau drame : un salarié a tenté de s’immoler par le feu dans les bureaux de l’hôpital Saint-Louis. Nous avons interrogé, à cette occasion, Maud Marian, avocate qui s’est beaucoup investie dans la défense des soignants suspendus. Elle nous donne son point de vue sur le comportement de l’AP-HP vis-à-vis de ses salariés à l’occasion de la mise en œuvre de l’obligation vaccinale.



Il est vrai (nous pouvons en témoigner après avoir lu les centaines de mails que nous avons reçus cet été) que l’AP-HP n’a pas donné dans la dentelle dès lors qu’il s’est agi d’appliquer la loi du 5 août 2021. Forte des prescriptions illégales de la FHF, présidée par le maire de Fontainebleau Frédéric Valletoux (proche d’Edouard Philippe), l’AP-HP, elle-même dirigée par une personnalité indissociable de l’appareil de santé publique en France, Martin Hirsch, s’est livrée à une véritable inquisition contre les soignants non-vaccinés cet été.

La brutalité de l’AP-HP laissera des traces

Il faut écouter le témoignage sur le déferlement de violence patronale, très symptomatique, dont l’AP-HP a été le théâtre cet été pour comprendre l’état de tension des personnels. Maud Marian en donne, dans son interview, de nombreuses illustrations. Nous-mêmes avons reçu de nombreux témoignages détaillant des scènes hallucinantes. 

Avant l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale, l’encadrement moyen des hôpitaux, probablement sous la férule des directeurs, s’est dans de nombreux endroits livré à un véritable travail de harcèlement moral pour pousser le plus grand nombre possible de soignants à se vacciner. Parfois lors des réunions d’équipe, les non-vaccinés étaient sommés de s’expliquer devant leurs collègues que l’encadrement exhortait à prendre les non-vaccinés en grippe. 

Ailleurs, les non-vaccinés recevaient une cascade de mails, de messages, de coups de téléphone, leur assénant la propagande officielle sur le vaccin, et cherchant à les culpabiliser de ne pas y céder. 

Une fois l’obligation vaccinale mise en place, les suspensions ont régulièrement été appliquées en dehors du cadre légal. Comme l’indique Maud Marian, des fonctionnaires hospitaliers accidentés depuis plusieurs mois sur leur lieu de travail ont vu leurs indemnités journalières illégalement suspendues sans explication, alors même qu’ils étaient en arrêt maladie. L’entretien prévu trois jous après la suspension se tient rarement. Les non-vaccinés font l’objet d’un véritable acharnement totalement inhumain de la part d’une hiérarchie supposée défendre l’intérêt général, le soin, et le bien public. 

L’AP-HP se comporte-t-elle de façon illégale ?

Ce déchaînement de violence patronale, qui vise des personnels dont les congés ont été suspendus en mars 2020 pour faire face au COVID, affronté sans masque et sans protection à l’époque, et qui ont brutalement basculé dans la relégation sociale sans un remerciement, pose de vrais problèmes juridiques. L’AP-HP semble en effet jouer le pot de fer contre le pot de terre, refusant de répondre aux recours, et refusant toute explication aux personnels victimes d’agissements patronaux qui violent la loi. 

C’est notamment le cas dans le refus de continuer le versement des indemnités maladie aux personnels non-vaccinés en arrêt de travail. Une fois de plus, rappelons que la sécurité sociale est ici utilisée par le gouvernement comme une arme de répression et d’oppression

Cette violation de la loi par l’institution, dans une indifférence générale, soulève une vraie question sur la légitimité de l’ordre en vigueur en France. Cette légitimité est d’autant plus mise à mal que la justice, et tout particulièrement la justice administrative, ne joue plus son rôle d’autorité indépendante protectrice des libertés. 




Macron ou le faux-nez néo-nazi de la nouvelle race des seigneurs

Par Lucien SA Oulahbib


Un nazisme même inversé reste un nazisme en ce sens où l’idée de supériorité de fait d’une couleur de peau, d’une origine, d’un genre, d’une religion, s’établit de manière violente (mais progressive… nouvelle définition du « progrès »…), tel l’étranger sur le Français qui s’est érigé en pratique depuis par exemple 2019 puisque l’étranger (victime magnifiée idolâtrée comme force salvatrice face à un monde occidental méprisable) peut avoir désormais dans les faits des droits sociaux supérieurs (comme l’accès à la CSS — ex-CMU — qu’un smicard ou, bien sûr, un salarié médian français ne peut guère espérer). De même, et ce toujours dans les faits (car dans le « Discours » le contraire est bien entendu professé façon village Potemkine), le genre « neutre » (ou « queer ») devient dominant. Il est symbolisé par l’effacement des notions de « père » et de « mère » (et peu à peu d’homme et de femme). Enfin, une religion remplace peu à peu les autres dans les faits (non dans les discours et les apparences), puisque par exemple l’islam est de plus en plus privilégié en ce sens où il peut construire autant d’établissements religieux qu’il le désire (Eurabia), alors que la réciprocité reste interdite dans les faits par les pays dominés par lui (plusieurs établissements protestants ont été d’ailleurs récemment fermés en « Algérie »).

Cette supériorité, revendiquée également par un Mélenchon avec son concept de « créolisation » (qu’un « Tonneau » taureau aux cornes acérées aimerait même imposer rapidement) ne signifie cependant pas que l’on accepte le métissage comme nouvelle réalité à prendre en compte, mais seulement comme étant la seule possible. Ceci, du moins dans la version exotérique (pour l’instant), parce qu’en réalité il s’agit d’une « transition » vers la domination totale : celle d’une nouvelle race des seigneurs au sens métaphysique, c’est-à-dire ayant certes comme indice privilégié de cooptation la couleur de peau (non blanche), mais pas seulement. Et, en ce sens, c’est un néo-nazisme, puisqu’il faut posséder, d’abord, et ce même surtout, du moins si l’on veut arriver au sommet de cette « race », il faut savoir donc psalmodier à souhait sa couleur intérieure ou idéologique queer, Antifa, scientiste, hygiéniste, affairiste, y compris dans ses diverses nuances nécessaires et suffisantes.

Cette supériorité racialiste inconditionnée (sacralisée) peut être nommée « transitude » afin de caractériser précisément la spéciation (voir La condition néomoderne sur ce point) de ce néonazisme : ou le fait (primat deleuzien de l’empirique) d’être à l’intersection de la métamorphose permanente (au sens caméléon du terme), celui du désir néo-thélémiste (le » Fays ce que vouldras » mais dévoyé de Rabelais comme « Seigneur » façon Salô décrit si bien par Pasolini) selon l’instant le moment la personne ou l’opportunisme et donc le cynisme du Paradoxe du Menteur élevé par Foucault au rang de mode de vie, de « souci de soi » (au sens sadien) animant cette « race » des seigneurs assise tout en haut de la Pyramide globale mondialisée ; tandis qu’à la base est de plus en plus greffée la masse indifférenciée (neutralisée au sens de Schmitt : émasculée) de post-citoyens futurs cyborgs c’est-à-dire de populations broyées soumises écervelées de plus en plus injectées Q-R codées et enfin branchées aux séries diverses laveuses de cervelles au sens de fabriquer (industriellement) les nouveaux comportements neutres (queer) en attendant que l’industrie des organes artificiels prenne pleinement son envol : assemblage bionumérique de néo-organes.

Ce qui implique économiquement par exemple qu’en haut de la Pyramide mondiale cette nouvelle race néonazie des Seigneurs (théorisée via une lecture de Nietzsche sur la notion de « race forte » par Blanchot maître de Derrida, Foucault, Deleuze, voir ici Éthique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du Sens) imprime (indirectement) de la monnaie sans compter (le « quoiqu’il en coûte » des banques centrales) ce qui crée une inflation financière lui permettant d’acheter des actions et obligations à foison et par là de posséder non seulement un pouvoir d’achat inouï, mais aussi une puissance politique globale et mondiale à même d’entretenir de multiples « danseuses » comme toutes ces ONG (façon Soros, Gates, etc.) qui favorisent ainsi l’établissement sociologique et psychologique progressive d’une base de masse : celle de toute cette transitude néonazie qui chasse de plus en plus en meute tous les récalcitrants (tels en France ces 200 « journalistes » anti-Zemmour) les faisant fuir de certains quartiers devenus des concessions accordées à Eurabia les attaquant dans les médias, les universités, partout en agitant les faux-nez de noms valise (extrême droite, complotisme…).

Ainsi, et schématiquement dit, cette nouvelle race des seigneurs qu’incarne le néonazisme d’aujourd’hui est issue d’une recomposition et de la fusion sous nos yeux du néo-léninisme (via Althusser, BHL comme exemple type en France) du djihadisme altermondialiste (Mélenchon, Autain… comme exemples phare également en France) enfin du scientisme hygiéniste affairiste d’un Macron l’un des faux-nez de cette nouvelle race des seigneurs néo-nazis.

En apparence, il s’agit d’agir pour un « Bien » abstrait parsemé de boules de Noël, mais en pratique, dans les faits durs et têtus du réel au quotidien, il est de plus en plus question d’avancer dans le programme de la destruction industrielle des Nations en général des individus en particulier (il est regrettable que la soumission structurelle du judaïsme de cour comme le CRIF en France ne le voie pas ou refuse de le faire) afin de transformer tout un chacun en terminaux bio-numériques distribuant cette transitude néonazie : une race des Seigneurs globalisée dépense ainsi sans compter et coopte (par « l’amitié » des alcôves et salons affrétés) qui elle veut à partir du moment où le catéchisme de cette Secte Scientiste (hygiéniste affairiste) est frénétiquement adoptée.

Toute cette qualification peut être surprenante, mais à force de recherches et de réflexions je suis obligé d’en arriver à cette conclusion, inédite me concernant ; la goutte d’eau aura été sans doute la façon dont lesdits Antifa (en particulier ex-Allemands, Américains, Français, « ex » parce qu’ils rejettent cette « identité ») s’en prennent violemment à tout ce qui n’est pas eux, tout en imposant une conception globale allant jusqu’à transformer le vivant humain ; ce qui est là non seulement un geste totalitaire, mais néonazi au sens non seulement d’imposer, mais de fabriquer le Bios pour le substituer à l’ancien jugé impur, dangereux, inférieur, contaminant (tel aujourd’hui le blanc hétérosexuel non injecté).

Ainsi ce qui était, dans le principe industriel, le rêve d’un Mengele, mais aussi d’un Lyssenko, devient la continuation du Pacte germano-soviétique par d’autres moyens ; intégrant en plus aujourd’hui une force de frappe financière anglo-saxonne et aussi post-maoïste, devenues démesurées, avec comme allié inédit le scientisme hygiéniste de plus en plus exacerbé de certains israéliens qui, au pouvoir, se sont jetés tête baissée dans une expérimentation de masse de plus en plus instable et aux effets à long terme inconnus ; le tout comme si toute la pensée complexe d’un Moïse Maïmonide, d’un Léo Strauss, d’un Einstein, d’un Schrödinger (son « Qu’est-ce que la vie ? » par exemple) comptaient désormais pour rien ou le technocratisme tacticien poussé jusqu’à l’absurde ; ce qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler le départ tactique précipité de la bande de Gaza par Sharon et le fait aussi d’avoir voulu jouer également tactiquement le Hamas contre l’OLP avec les résultats que l’on sait (et dont les répercussions se font sentir également dans les banlieues françaises) tout en laissant les djihadistes pavaner en haut du Mont du temple alors qu’ils n’en ont pas du tout le droit historique (idem en « Algérie » d’ailleurs).

En tout cas, l’actuel président de la République française, ainsi que toute la classe politico-médiatico-intellectuelle française et occidentale, sont non seulement de moins en moins à la hauteur des enjeux (hormis quelques exceptions), mais s’avèrent être devenus les faux-nez de cette nouvelle Race des Seigneurs forgeant aujourd’hui la transitude cybernétique sectaire scientiste hygiéniste affairiste ou ce néonazisme renouant avec la version originelle réinitialisée : fabriquer industriellement du surhumain purifié.




Une publicité révoltante de Pfizer présente les enfants vaccinés comme des « super-héros », et oublie ceux qui souffrent d’effets secondaires

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Matt Agorist

Le géant pharmaceutique multimilliardaire, dont les malversations ont défrayé la chronique dans le passé, a non seulement enregistré des profits exponentiels pendant la pandémie du fait que les contribuables ont été contraints de payer le vaccin, mais a également bénéficié de milliards de dollars des contribuables pour faire la publicité dudit vaccin. La manne de profits réalisés grâce à la vaccination des adultes a rapidement incité la firme à s’intéresser aux enfants pour pallier la diminution de sa clientèle. Bien que les enfants n’aient pratiquement aucune chance de mourir du COVID-19, la Food and Drug Administration (FDA) s’est empressée d’approuver le vaccin à ARNm de Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Après avoir dépensé des milliards de dollars en publicités financées par les contribuables pour convaincre les adultes de se faire vacciner, Pfizer a lancé cette semaine une nouvelle publicité qui cible sa nouvelle clientèle, les enfants. La société s’est surpassée en qualifiant les enfants, qui ont reçu l’injection dans le cadre de l’expérience, de « super-héros » dotés de « super-pouvoirs ».

« Il y a des super-héros de toutes les tailles.🦸🏽‍♀️🦸🏻🦸🏿‍♂️🦸🏼‍♀️ Regardez cette vidéo où de vrais enfants remercient leurs super-héros : les volontaires de l’essai clinique du vaccin #Covid19 âgés de 5 à 11 ans. Notre reconnaissance envers les participants à l’essai et leurs familles est infinie 💙 #ScienceWillWin »

Voilà la scandaleuse vidéo en question:

Malheureusement, les enfants de la vidéo ci-dessus ne sont pas des héros. Aucun d’entre eux n’est en âge de consentir à recevoir un vaccin et ils ont tous été offerts au géant pharmaceutique comme cobayes par leurs parents.

La publicité semble s’adresser spécifiquement aux « super-héros », que seraient les enfants qui ont servi de cobayes, mais elle a, en réalité, pour objectif d’influencer tous les enfants.

« Si je me fais vacciner, je serai un super-héros ! »

Naturellement, cette publicité n’enthousiasme pas ceux dont un membre de la famille ou un ami a souffert d’effets secondaires. En conséquence, les dislikes [pouce en bas] sur la vidéo ont déjà dépassé les likes [pouce en haut] et ils s’accumulent rapidement.

Il est important de souligner que l’écrasante majorité des personnes qui se font vacciner n’ont que peu ou pas d’effets secondaires. Cependant, dire qu’il n’y a aucun risque et censurer ceux qui soulignent ces risques est, au mieux, contraire à l’éthique et, au pire, carrément malhonnête.

[Ndlr : le nombre de vaccinés anticovid n’ayant pas eu d’effets secondaires notables est probablement loin de représenter une majorité « écrasante ». Selon les sites officiels chargés de rapporter les effets secondaires post-vaccinaux, autant en Amérique qu’en Europe, leur nombre dépasse le million, sachant que de nombreux médecins s’accordent à dire que seulement 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.]

Comme le rapporte le TFTP (TheFreeThoughtProject), la pression en faveur de la vaccination des enfants s’intensifie en dépit du fait que le virus ne représente pas une menace pour les enfants. De plus, comme les Américains sont en train de le découvrir, le vaccin perd de son efficacité au fil du temps, ce qui entraîne un grand nombre de nouveaux cas que les Centres de contrôle des maladies (CDC) ne peuvent plus dissimuler.

En plus de ces nouveaux cas, il a été signalé aux CDC un nombre record d’effets indésirables dont souffrent aussi un grand nombre d’enfants. L’un de ces enfants – qui a participé à l’essai de Pfizer et qui est un « super-héros » selon la publicité ci-dessus – est Maddie de Garay. On lui a injecté le vaccin de Pfizer lorsqu’elle avait 12 ans. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant.

Comme Pfizer, la famille de Maddie a réalisé une vidéo pour raconter son expérience du vaccin. Mais contrairement à Pfizer, la vidéo de Maddie a été censurée sur YouTube et l’est toujours. De plus, Comcast a retiré la vidéo la semaine dernière, alors qu’elle devait être diffusée avant que le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes ne se réunisse pour discuter des vaccins COVID-19 destinés aux enfants.



Un autre de ces « super-héros » qui a été censuré jusqu’à l’oubli est Ernesto Ramirez Jr. qui faisait partie des centaines d’enfants qui, comme Maddie, ont été vaccinés très tôt. Malheureusement, contrairement à Maddie, il n’a pas survécu et cinq jours après l’injection, selon son père, Ernesto est mort subitement.

« J’ai entendu toujours plus de publicités affirmer que c’était sans danger pour les adolescents, alors j’ai dit ‘OK’ », a déclaré le père d’Ernesto Ramirez à Ivory Hecker, un journaliste de Fox 26 Houston, plus tôt dans l’année. « Deux ou trois semaines plus tard, le CDC a commencé à annoncer que des enfants avaient le cœur hypertrophié. »

« Le cœur d’un garçon de cet âge pèse normalement moins de 250 grammes », a déclaré le Dr Peter McCullough, un médecin de Dallas dans la vidéo de Hecker. « Dans son cas, il pesait plus de 500 grammes ».

Ramirez a essayé de collecter des fonds pour les funérailles de son fils décédé, mais parce qu’il a prétendu que l’injection a tué son fils, GoFundMe a supprimé sa collecte.

Apparemment, les multinationales de la haute technologie ont décidé que seuls ceux qui louent l’efficacité du vaccin ont droit à la parole. Si vous ou votre enfant avez souffert des effets secondaires du vaccin, vous n’avez pas le droit de le dire. Si vous vous interrogez sur le raison de cette censure, regardez la vidéo ci-dessous !

Matt Agorist

Article original en anglais :

Creepy Pfizer Ad Tells Kids They Are “Superheroes” for Taking Jab, Ignores Injuries of Others

Traduction : Dominique Muselet pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est TheFreeThoughtProject.com
Copyright © Matt AgoristTheFreeThoughtProject.com, 2021




« Régime coercitif » – Le vrai visage du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Kla.TV]






Je ne sais plus où et quand je me suis perdu… Avant j’étais médecin, avant j’avais une éthique, avant je ne tuais pas…

Par Alain Tortosa

« Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est purement fortuite. »

NDLR

Je sors d’un direct de plus sur une chaîne « d’informations » et je ne compte plus mes interventions. J’ai l’impression de passer plus de temps dans les taxis et sur les plateaux télé que dans mon service. En même temps, comme dirait notre Président, pour ce que j’y fais, cela ne changerait pas grand-chose.

Toute l’équipe m’a congratulé une fois de plus… les journalistes, les techniciens, le rédacteur en chef… Ils semblent heureux, ils semblent apprécier le « grand » médecin et professeur que je suis.

Me voici dans la salle de démaquillage, je me vois dans le miroir… en fait non, je ne me vois plus, je vois une image, mais ce n’est plus moi… juste un pantin éteint sans âme qui vient de jouer la même scène macabre une fois de plus.

Pendant « l’interview », les « journalistes » buvaient mes mots comme des paroles d’évangile. Comme d’habitude aucun d’entre eux n’a émis le moindre questionnement ni la moindre réflexion pouvant mettre en doute mes propos. Ils se contentaient d’en rajouter une couche… Si moi je me suis perdu, que dire de ces robots décérébrés imbus d’eux-mêmes ?

Rendez-vous compte que je leur ai affirmé que ces injections étaient parfaitement tolérées, pas le moindre effet secondaire grave ! Je leur dirais que les injectés ont vu leur cancer disparaître qu’ils approuveraient sans sourciller.

Tout passe !
Hier Véran a dit qu’il n’y avait aucun mort d’une injection et ça passe comme une lettre à la poste. Les « vérificateurs de l’information », comme ils se nomment, ont fait une démonstration magistrale !

« Il n’y a aucun mort parce qu’il ne peut pas être prouvé que le vaccin soit la cause du décès. »

L’autre jour, j’ai vu arriver aux urgences un homme de 30 ans sportif, sans antécédent, qui est décédé sous mes yeux 30 minutes après sa « dose »… un de plus. Ah, ils ont raison, il n’y a pas de preuves, car il faudrait remonter le temps et voir si il serait décédé sans l’injection, la belle affaire.

Quant aux effets secondaires, c’est extraordinaire… nous n’avons même plus besoin de faire pression pour empêcher les médecins du service de les déclarer. Ils savent qu’ils ont intérêt à se taire pour ne pas compromettre leur carrière. Et à ce stade, ils ne font même plus le lien entre les injections et les effets qui se produisent dans les heures ou jours qui suivent. Leur cerveau est en dissociation.

Je suis bien tranquille pour ma fin de carrière et je sais que je vais pouvoir encore monter en grade. Le directeur de l’hôpital m’a dit que nous avions reçu une subvention de 30 millions d’euros d’un laboratoire pharmaceutique et que d’autres suivront ! Une « chance » inespérée… mais pour qui, pour quoi ? Pour s’en mettre plein les poches ?

Et voilà j’en suis à dire sur les plateaux qu’il n’y a aucun effet secondaire des vaccins ! Mon service croule de patients hospitalisés et je fais semblant d’ignorer que la majorité de ces personnes sont vaccinées et qu’avant, soit elles allaient bien, soit leur maladie chronique était stabilisée avant leur injection… J’en suis même à dire, sans être perturbé, que leurs défenses immunitaires sont affaiblies par le masque.

Et je rajoute quoi devant les médias ? Qu’il ne faut surtout pas se relâcher, qu’il faut porter le masque et que le remettre aux enfants est totalement indispensable ! Je me dégoûte, nous masquons des enfants quand nous n’en portons que devant le public ou les médias. Je peux aussi dire avec un aplomb terrible qu’il y a des enfants hospitalisés pour Covid dans l’hôpital. C’est sûr, ils ont le Covid, ou disons plutôt que quelqu’un a inscrit Covid dans leur dossier, et puis c’est toujours ça de gagné pour les entrées d’argent de l’hôpital. Une « omission » de plus devant les médias quand « j’oublierai » de parler de leur maladie de cœur, de leur leucémie ou de leur obésité morbide. Ah il a bon dos le Covid !

Et c’est ainsi que je n’hésite pas à affirmer que le Covid touche aussi les enfants, que le vaccin ne présente aucun danger pour eux et qu’il faut absolument les vacciner pour… protéger les vaccinés !

Existe-t-il ce journaliste qui va me faire taire ? Existe-t-il ce journaliste qui va vouloir se rendre dans mon service et regarder les dossiers médicaux quand j’ose affirmer que 90 % des patients Covid ne sont pas vaccinés ?! Tu m’étonnes qu’il n’y a que des non-vaccinés, on se garde bien de faire des tests sur les vaccinés…

Demain on va passer le message de nos services « saturés » par des vaccinés deux doses et qu’il faut donc faire la troisième qui « protège » et ce, sans contradicteurs. Quand ce sera l’heure de la quatrième dose, on parlera alors des services saturés par les vaccinés trois doses et ce dans l’indifférence générale des médias.

Attention, j’insiste bien dans ces médias pour que l’on ne parle pas de 3e dose, mais de « rappel » et même de « booster ». J’en suis même à dire que c’est aussi la procédure standard pour de nombreux vaccins comme celui de la tuberculose. Qu’il est tout à fait « classique » et même « habituel » pour un vaccin de ne pas bloquer les contaminations et ne pas prévenir de tomber malade… Nous sommes abreuvés depuis des dizaines d’années sur le « vaccin solidaire », celui qui sauve des vies et j’ose dire (une vérité ?) que l’absence de protection contre les contaminations est un classique chez les vaccins. Tout passe, je vous le dis, je peux tout dire et ils gobent tout avec bonheur.

Ils croient même que je m’informe, que je lis les études, que je passe des heures alors que j’ai acquis mon « savoir » en écoutant la radio dans le taxi qui menait au studio d’enregistrement. Je n’en sais pas plus ou pas moins, question de point de vue, que l’AFP ! C’est d’autant plus « drôle » que je n’hésite pas à cracher sur mes confrères complotistes dont je sais pertinemment qu’ils investissent leur temps et leur intelligence dans une démarche scientifique.

Et oui, mais eux n’ont pas droit de cité… Une affirmation scientifique, fruit d’un travail de longue haleine, étayée par des preuves, que je balaye d’un simple mot : « Mensonge ! » et le tour est joué pour les discréditer.

Je ne sais plus quand je me suis perdu… quand j’ai renoncé à voir mes patients comme des êtres humains, mais comme une rente viagère.

Est-ce quand je me suis mis à prescrire des « nouvelles » molécules trois fois plus chères dans lesquelles les laboratoires avaient ajouté un peu de vitamines à la formulation précédente qui allait tomber dans le domaine public et devenir un générique ? En même temps, comme dirait l’autre, si ce n’était pas moi qui faisais la promotion de ces « médicaments », un autre confrère aux dents longues s’en chargerait… Alors, autant profiter de quinze jours de vacances, pardon de « séminaire », aux Caraïbes. Ou est-ce quand j’ai renoncé à guérir pour faire de chaque humain un « malade » à vie avec un traitement ?
Je ne suis plus médecin, je suis un VRP, un commercial au service de la mauvaise santé chronique cité en exemple par ses pairs.

Les années précédentes, je passais dans les médias en disant que mon service était saturé par la grippe, service qu’il fallait bien que je remplisse avec n’importe qui pour ne pas risquer la fermeture de lits l’année suivante. Que voulez-vous, il faut bien faire tourner l’usine… Le service qui a le plus de personnels sera bientôt celui de la branche « croissance et optimisation »… Les administratifs étant depuis belle lurette plus nombreux que les soignants. Et quand je dis « soignants », je rigole. Ils passent la moitié de leur temps sur leur ordinateur à saisir des données pour prouver la « qualité » des soins. Parfois j’ai l’impression de vivre en URSS à l’époque ou elle produisait sur le papier de quoi nourrir trois fois la planète entière alors que le peuple crevait de faim. Ah! il peut être fier le directeur, ah il peut être fier le ministre de la Santé ! Nous sommes les meilleurs !

Que reste-t-il de mes illusions, de mes valeurs ? J’en suis là aujourd’hui, devant des plateaux télé, à me réjouir de l’interdiction faite à des médecins de prescrire des molécules de plusieurs dizaines d’années. J’ose même dire qu’elles sont (devenues) dangereuses (tout en étant prescrites tous les jours à des dizaines de milliers de patients, mais pour d’autres pathologies).

Qui aurait pu croire que j’eusse pu tomber si bas !

J’ose me réjouir devant les médias de l’interdiction de travailler pour des confrères qui n’ont pas un vrai faux passe-sanitaire… comme moi. Rendez-vous compte, ces « mauvaises » personnes « égoïstes et complotistes » menacent la santé des patients vaccinés… ben voyons ! Les héros d’hier sont devenus les salauds d’aujourd’hui. Tous ces bons Français qui les applaudissaient seraient prêts à les tondre sur la place publique pour garantir leur « sécurité ».

Il n’y a pas UN journaliste mainstream pour noter que le manque dramatique de postes et la fermeture de services sont aussi liés à cette obligation vaccinale !

Je ne cherche plus à soulager la souffrance, je ne cherche plus à soigner, je ne cherche plus à guérir…

J’explique à mes employés qu’il faut passer un minimum de temps avec les patients, que l’on est pas là pour papoter avec eux, que nous devons être « efficaces ».

30 ans d’études et d’exercice de la médecine pour donner du paracétamol qui, au mieux, ne fera pas empirer les symptômes d’un malade Covid et dont la toxicité est largement documentée. Puis de l’oxygène à forte dose histoire de bien faire exploser les alvéoles pulmonaires et si ce n’est pas suffisant, un petit coup de Rivotril pour terminer le patient grabataire !

Je suis un « bon » praticien qui s’empêche de vomir dès qu’il se regarde.

Officiellement, grâce à cela, je ne suis pas une « pourriture » comme certains de mes confrères, ceux qui « osent » donner de l’hydroxychloroquine, des antibiotiques ou de l’Ivermectine à leurs patients qui en auraient besoin plutôt que rester spectateur (ou même acteur) de leur mort.

Nous pouvons être vraiment « fiers » de disposer d’un Conseil de l’Ordre qui les poursuit aujourd’hui pour « exercice de la médecine ».

Des siècles de recherche, des siècles de lumière, des siècles de déontologie pour en arriver à punir celles et ceux qui n’ont pas trahi leur serment ! Sartre disait que l’enfer c’est les autres alors que l’enfer c’est moi-même.

Je me suis à ce point perdu que j’en suis à recommander l’injection d’ARNm totalement expérimental chez des enfants et des bébés en bonne santé dont je sais bien qu’ils ne font JAMAIS de formes graves de Covid ! Ne vous méprenez pas, je me garde bien de dire aux journalistes que cette technique est expérimentale. Bien au contraire, je rassure en disant qu’elle est utilisée sans risque depuis des dizaines d’années. De toutes les façons, si c’est pour mentir tout passe. Seule la vérité est devenue totalement prohibée.

Ah ! j’en ai vu des jeunes enfants en bonne santé mourir de la grippe, mais pas un seul du Covid ! J’ai beau me mentir pour m’éviter de vomir tous les matins, je sais bien, comme TOUS les professionnels de santé, que ce gentil Covid n’est pas une maladie pédiatrique. Mais cela ne m’empêche pas ni mes illustres confrères « respectables », de dire le contraire et de parler de ce fameux Covid long.

Je suis abject au point de dire que personne ne connaît le devenir sur 10 ou 20 ans d’enfants qui ont attrapé le Covid comme si nous pouvions connaître les conséquences à long terme des injections expérimentales ! Et quand on voit les dégâts actuels, difficile d’être optimiste sur ce long terme.

J’envoie donc des enfants vers l’injection dont je sais pertinemment que certains vont faire des réactions graves et même mourir pour une minorité d’entre eux. Et ce alors que je sais et que j’ose même dire à la télé que le vaccin n’empêche pas la contamination. Êtes-vous conscients de l’absurdité criminelle de ma démarche ?

Injecter des enfants en bas âge en bonne santé d’un produit expérimental dangereux qui au mieux les protégerait d’une forme grave qu’ils ne font jamais, et ce dans le but officiel de protéger des personnes en fin de vie, tout en sachant que cette injection ne les empêchera pas de les contaminer !

Non seulement ce délire n’est pas contredit par le moindre journaliste, journaliste qui censure la parole des professionnels qui eux n’ont pas perdu leur dignité. Pire encore, cette folie est amplifiée à l’infinie comme une « démarche à la fois éthique et efficace » pour lutter contre le Covid. Covid que le réseau Sentinelles ne voit même plus dans les consultations des généralistes !

Primum non nocere [D’abord ne pas nuire] qu’ils disaient ? Trop drôle !

Après des adultes en bonne santé, j’envoie désormais à la mort des enfants avec strictement aucun bénéfice personnel ni même d’un point de vue de la santé publique.

Et tout ce que je risque, c’est une Légion d’honneur remise des mains par ce « Président » à la solde des entreprises pharmaceutiques et autres maîtres du monde !

Heureusement, j’arrive suffisamment à me mentir à moi-même certains jours pour croire en mes mensonges avec l’aide de l’OMS, des politiques, des médecins médiatiques et des journalistes qui répètent tous la même chose, « preuve » en est que les « autres » ne sont que des complotistes !

Je ne sais pas si je serai rattrapé un jour par la justice des hommes, mais s’il y a un enfer, je me suis acheté un billet de première classe ! Et ce n’est pas des avions privés qu’il faudra affréter vers l’enfer, mais des charters entiers, tant nous sommes nombreux à avoir du sang sur les mains.

Alain Tortosa.(([1] Fiction ?))

9 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211109-j-ai-vendu-mon-ame-au-diable.pdf




Julie Ponesse, professeur d’éthique, sur la politique COVID : « La plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés »

[Source : Le blog de Jeanne Smits]

Je vous propose aujourd’hui la traduction intégrale de l’intervention publique d’un professeur d’éthique canadien, Julie Ponesse, lors d’une réunion de The Democracy Fund. Le Dr Ponesse a été licenciée pour faute en septembre pour avoir refusé le vaccin expérimental COVID exigé par son employeur, Western University au Canada. Son appel à la résistance est un modèle du genre.

La retranscription de son intervention originale en anglais a été publiée ici par le Brownstone Institute.

J’aurais sans doute quelques points de désaccord avec cette femme remarquable (notamment au sujet de la démocratie – il faisait sûrement meilleur être sujet de Louis IX que citoyen sous Macron ! – et de son choix de personnalités ; ainsi Margaret Mead dont elle invoque une remarque intéressante et vraie a ouvert la voie à la révolution sexuelle des années 1960) mais nous pouvons tous partager l’essentiel de son message. – J.S.

Jeanne Smits


Revenez quelques années en arrière, à l’automne 2019, par exemple. Que faisiez-vous alors ? À quoi ressemblait votre vie ? A quoi teniez-vous alors ? De quoi aviez-vous le plus peur ? Comment imaginiez-vous l’avenir ?

Voilà la personne avec laquelle j’aimerais parler pendant les 15 prochaines minutes, et je commencerai par ma propre histoire ; à la fin, j’aurai une faveur à demander et un petit secret à partager.

À l’automne 2019, j’étais professeur d’éthique et de philosophie antique ; j’enseignais aux étudiants la pensée critique et l’importance de la réflexion personnelle, comment poser de bonnes questions et évaluer les preuves, comment apprendre du passé et pourquoi la démocratie exige la vertu civique.

Faisons un accéléré au 16 septembre 2021, date à laquelle j’ai reçu une lettre de « licenciement avec motif » après avoir contesté, et refusé de respecter, la vaccination obligatoire imposée par mon employeur. J’ai été licenciée pour avoir fait exactement ce pour quoi j’avais été engagé. J’étais un professeur d’éthique qui remettait en question ce que je considérais comme une exigence contraire à l’éthique. Il ne faut pas chercher bien loin pour voir l’ironie de la chose.

Le Canada est régi par des lois qui sont fondées sur l’éthique. On pourrait dire que l’éthique est le fondement de notre démocratie.

« Le droit de déterminer ce qui doit ou ne doit pas être fait avec son propre corps, et d’être libre vis-à-vis des traitements médicaux non consensuels, est un droit profondément ancré dans notre système de common law. »

Ces mots ne sont pas de moi ; ce sont ceux du juge Sydney Robins de la Cour d’appel de l’Ontario.

À de très rares exceptions près, le corps de chaque personne est considéré comme inviolable dans le droit canadien, et c’est l’éthique sous-jacente du Code de Nuremberg, la promesse faite à l’humanité que nous n’autoriserions plus jamais des prises de décision médicale non informée et non volontaire, même pour le bien du patient, et même au nom du bien public.

Par définition, la vaccination obligatoire est une stratégie d’immunisation coercitive : en l’absence de coercition – la menace de perdre son emploi, par exemple – les gens accepteraient volontairement de faire ce que le mandat tente de réaliser !

Aujourd’hui, les employeurs prennent nos carrières en otage et nous privent de notre participation à l’économie et à la vie publique. Leur justification est suivante :

« Nous sommes en pleine pandémie, et nous devons donc renoncer à l’autonomie de notre corps au nom du bien public. »

Parlons donc un peu d’autonomie et de bien public.

En cas d’urgence, le Parlement et les législatures provinciales disposent d’un pouvoir limité pour adopter des lois qui violent certains droits de la Charte au nom du bien public. Mais, pour justifier ces violations, la vaccination obligatoire devrait satisfaire à un seuil d’exigence très élevé : il faudrait, par exemple, que le COVID-19, soit un agent pathogène très virulent pour lequel il n’existe aucun traitement adéquat, et l’efficacité et la sécurité des vaccins devraient être démontrées.

L’état actuel des choses au Canada ne répond à aucun de ces critères.

Considérons les faits suivants :

1) le COVID-19 a un taux de fatalité par rapport à l’infection qui ne représente même pas 1 % de celui de la variole (et il pose encore moins de risque pour les enfants) ;

2) il existe un certain nombre de produits pharmaceutiques sûrs et très efficaces pour le traiter (notamment des anticorps monoclonaux, l’Ivermectine, la fluvoxamine, la vitamine D et le zinc) ;

3) ET les vaccins ont fait l’objet de plus d’événements indésirables (y compris d’innombrables décès) que tous les autres vaccins sur le marché au cours des 30 dernières années.

À la lumière de ces faits, je me pose de nombreuses questions :

  • Pourquoi les vaccinés se voient-ils accorder des passeports vaccinaux et l’accès aux espaces publics, alors que le directeur du CDC a déclaré que les vaccins COVID-19 ne peuvent pas empêcher la transmission ?
  • Pourquoi la vaccination est-elle la SEULE stratégie d’atténuation alors que les preuves émergentes (y compris une étude récente de Harvard) ne mettent en évidence aucune relation perceptible entre le taux de vaccination et les nouveaux cas ?
  • Pourquoi notre gouvernement continue-t-il de ne pas recommander l’ivermectine comme traitement, alors que les National Institutes of Health des États-Unis le soutiennent et que l’État d’Uttar Pradesh, en Inde, l’a distribué à ses 230 millions d’habitants, réduisant ainsi son taux de mortalité liée au COVID à près de zéro ? Comment l’Inde a-t-elle pu dépasser le Canada en matière de soins de santé ?
  • Pourquoi sommes-nous sur le point de vacciner des enfants de 5 ans alors que le COVID présente pour eux moins de risques que les réactions potentielles aux vaccins ET alors qu’il n’existe AUCUN système de surveillance efficace des vaccins ?
  • Pourquoi nous concentrons-nous sur les avantages limités de l’immunité induite par le vaccin alors que des études dans le monde réel montrent que l’immunité naturelle est plus protectrice, plus puissante et plus durable ?
  • Pourquoi flétrissons-nous ceux qui hésitent à se faire vacciner et non ceux qui veulent imposer le vaccin à tout prix ?
  • « Pourquoi, comme l’a récemment demandé une infirmière, les personnes protégées doivent-elles être protégées des personnes non protégées en contraignant ces dernières à utiliser une protection qui de toute façon n’a pas protégé les personnes protégées ? »

À tous les égards et sous tous les angles, ce château de cartes est sur le point de s’effondrer…

Mais la question qui m’intéresse est de savoir pourquoi il ne s’est pas déjà effondré ? Pourquoi ces questions ne font-elles pas la une de tous les grands journaux du Canada chaque jour ?

Les bonnes personnes n’ont-elles tout simplement pas vu les bonnes données ? S’agit-il simplement d’une erreur administrative… à l’échelle mondiale ?

Qu’est-il donc arrivé à nos dirigeants ? Notre premier ministre a lancé le cri de guerre : « Ne croyez pas que vous monterez dans un avion », a-t-il menacé. Les promesses de campagne sont devenues des politiques publiques ségrégationnistes. Notre gouvernement nous encourage quotidiennement à nous diviser et à être haineux.

Comment les choses ont-elles pu changer si radicalement ? Comment nous, Canadiens, avons-nous pu changer aussi radicalement ?

J’observe que nous sommes confrontés à une pandémie, non pas seulement d’un virus, mais d’une pandémie de conformisme et de complaisance, dans une culture du silence, de la censure et de l’intimidation institutionnalisée.

Les médias mainstream aiment à dire que nous menons une « guerre de l’information » : que la désinformation, et même le questionnement et le doute, ont été les fléaux de cette pandémie.

Mais ce n’est pas seulement l’information qui a été instrumentalisée comme arme, dans cette guerre ; c’est aussi le droit d’une personne à penser par elle-même.

J’ai entendu dire : « Eh bien, je n’y connais pas grand-chose en virus, donc je ne devrais pas vraiment avoir d’opinion », mais…

La question n’est pas de savoir si vous en savez plus sur la virologie que nos responsables de la santé publique ; la question est de savoir pourquoi nous ne leur reprochons pas tous de ne pas être prêts à s’engager sur la voie des preuves et à débattre avec celui qui a une opinion différente.

Nous devrions demander non pas un résultat, mais le rétablissement d’un processus.

Sans ce processus, nous n’avons pas de science, nous n’avons pas de démocratie.

Sans ce processus, nous sommes dans une espèce de guerre morale.

Mais, les guerres du passé avaient des frontières claires et nettes : l’Est et l’Ouest, les patriotes et le gouvernement.

La guerre où nous nous trouvons aujourd’hui est une guerre d’infiltration et non d’invasion, d’intimidation et non de libre choix, de forces psychologiques si insidieuses que nous en venons à croire que les idées sont les nôtres et que nous y faisons notre devoir en abandonnant nos droits.

Comme l’a dit récemment un sage collègue :

« C’est une guerre qui porte sur le rôle du gouvernement. Il s’agit de notre liberté de penser et de poser des questions, et de savoir si l’autonomie individuelle peut être réduite à un privilège conditionnel ou si elle demeure un droit. C’est une guerre qui vise à déterminer si vous devez rester un citoyen ou devenir un sujet. Il s’agit de savoir à qui vous appartenez… à vous-même ou à l’État. »

Elle porte sur le point où nous établissons la ligne de démarcation.

Il n’est pas question ici de libéraux et de conservateurs, de pro et d’anti-vaxx, d’experts et de profanes. Chacun a le devoir de se soucier de la vérité, chacun devrait se soucier des processus scientifiques et démocratiques, chacun devrait se soucier des autres.

Je dirais qu’il n’y a pas grand-chose à faire pour assurer la survie de notre nation si notre liberté de débattre, de critiquer, d’exiger des preuves quant à ce que notre gouvernement nous demande, ne survit pas avec elle.

En tant que personne née dans les années 70, je n’ai jamais pensé que je devrais mener CE type de guerre ; que le droit à l’autonomie corporelle, à l’échange libre et transparent d’informations serait menacé.

Pensez un instant aux horreurs les plus inimaginables du siècle dernier – la « solution finale », l’apartheid sud-africain, les génocides rwandais et cambodgiens. Ne sommes-nous pas censés nous souvenir des atrocités du passé pour ne pas les répéter ? Eh bien, la mémoire est courte, les chaînes familiales sont brisées, les nouveaux soucis éclipsent les anciens, et les leçons du passé se perdent dans l’histoire ancienne pour être oubliées.

Aujourd’hui, les vaccinés semblent jouir de tous les droits et privilèges d’une société civilisée : liberté de mouvement, accès à l’éducation, approbation des gouvernements, des législateurs, des journalistes, des amis et de la famille. La vaccination est le ticket pour un retour CONDITIONNEL de notre droit à participer à la société canadienne.

Mais comme l’a dit John F Kennedy :

« Les droits de chaque homme sont diminués lorsque les droits d’un seul homme sont menacés. »

CONCLUSION :

Je n’ai aucun doute sur le fait que COVID-19 est la plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés ; non pas à cause d’un virus ; celui-ci n’est qu’un chapitre d’une histoire beaucoup plus longue et complexe ; mais à cause de notre réponse à ce virus.

Et cette réponse est en train, je crois, de gagner sa place dans tous les manuels d’éthique médicale qui seront publiés au cours du siècle prochain.

Que pouvons-nous faire ?

Comme l’a dit le chimiste et auteur canadien Orlando Battista, « Une erreur ne devient une faute que lorsque vous refusez de la corriger. »

Dans notre monde, la politesse, « se débrouiller », « passer sous le radar » semblent être devenus les seuls objectifs. Finis les révolutionnaires des années 60, finis les patriotes de l’Amérique primitive. Nous sommes les victimes – et les soldats – d’une pandémie du conformisme.

Mais le conformisme n’est pas une vertu, il n’est pas neutre, et il n’est certainement pas inoffensif.

Lorsque Hannah Arendt a couvert le procès d’Adolf Eichmann pour le New Yorker en 1961, elle s’attendait à trouver un homme complexe, arrogant, diabolique, voire psychotique. Elle a trouvé tout le contraire. Elle a été frappée par son « caractère très ordinaire ». Il était « terriblement normal, terrifiant dans sa normalité », écrit-elle, un homme qui « ne faisait que suivre les ordres », comme il le répétait sans cesse. Ce qu’elle a découvert, c’est ce qu’elle a appelé la « banalité du mal », la tendance irréfléchie des gens ordinaires à obéir aux ordres afin de se conformer sans penser par eux-mêmes.

Les messages dédaigneux et bien rodés de nos responsables de la santé publique ont créé une machine très efficace qui ne publie pas ses preuves et ne s’engage pas dans un débat, mais émet des ordres que nous suivons avec empressement. Avec l’aide des médias, ses erreurs sont cachées, ses politiques ne sont pas remises en question et ses dissidents réduits au silence.

Comment briser ce silence ? Comment retrouver la raison et reconstruire notre démocratie ? Il est peut-être temps de faire un peu de bruit. Des études ont prouvé qu’une fois qu’une idée est adoptée par seulement 10 % de la population, c’est le point de basculement où les idées, opinions et croyances seront rapidement adoptées par les autres. Un 10 % qui parle, un 10 % qui fait du bruit, il n’en faut pas plus.

La démocratie, « le règne du peuple », ne permet pas seulement la liberté d’expression et de recherche, elle l’exige.

Et le petit secret que je vous ai promis au début ? Le voici : vous n’êtes PAS une mauvaise personne parce que vous exigez des preuves, vous n’êtes pas une mauvaise personne parce que vous faites confiance à votre instinct, et vous n’êtes pas une mauvaise personne parce que vous voulez penser par vous-même. En réalité, c’est le contraire qui est vrai.

Si la perte de la justice vous inquiète, si le genre de vie que pourront mener nos enfants vous fait du souci, si vous voulez retrouver votre pays – le pays qui était autrefois l’envie du monde entier – c’est maintenant qu’il faut agir. Il n’y a pas de raison d’attendre, vous ne pouvez pas vous offrir le luxe d’attendre, ou trouver des excuses. C’est maintenant que nous avons besoin de vous.

C’est maintenant qu’il faut appeler nos politiciens et écrire à nos journaux. C’est le moment de protester, c’est le moment de contester et même de désobéir à notre gouvernement.

Comme l’a dit Margaret Mead :

« Ne doutez jamais qu’un petit groupe de citoyens réfléchis et engagés puisse changer le monde ; en fait, c’est la seule chose qui y soit jamais parvenue. »

En d’autres termes, vous n’avez pas besoin d’une tribu de héros, d’une masse de héros, d’un pays de héros. Il ne vous en faut qu’un seul. Vous pouvez apporter votre contribution et vous POUVEZ faire la différence. Les pilotes de Southwest Airlines, la police montée canadienne, les infirmières du University Health Network font tous une différence.

Et cette faveur que je devais vous demander ? Nous avons besoin de héros maintenant plus que jamais. Notre démocratie demande des volontaires… Serez-vous un héros, pour notre pays, pour nos enfants ? Ferez-vous partie des 10 % qui font du bruit ?

Dr Julie Ponesse,
Discours du 28 octobre 2021
pour “The Democracy Fund”

© leblogdejeannesmits pour la traduction.




Le nazisme d’aujourd’hui et ses trois nouvelles branches (néo-léninisme, djihadisme, scientisme hygiéniste)

Par Lucien Samir Oulahbib

Contrairement aux idées reçues, le nazisme originel reprochait moins au marxisme et au bolchevisme leur critique acerbe du capitalisme et du libéralisme, mais le fait qu’ils oubliaient d’en dénoncer le caractère essentiellement « juif » (abordé tout de même par Marx dans sa « Question juive ») ; d’où la dénonciation du « judéo-bolchevisme » qui aurait détourné, trahi en quelque sorte les idéaux communs antilibéraux au sens d’assujettir l’individu à l’État « national » prolétarien que devient aussi d’un certain côté l’URSS de Staline (« socialisme dans un seul pays »), d’où les accointances entre ce dernier et Hitler. Staline avait d’ailleurs permis à ce que secrètement les forces spéciales allemandes s’entraînent sur le sol russe, tout en faisant de plus en plus la chasse aux juifs (quitte à leur reconnaître le droit d’avoir un « État » en 1947, tout en aboutissant, en 53, au dit « complot des blouses blanches »).

Aujourd’hui, le fait que de plus en plus les individus soient classés et attaqués, y compris violemment, en fonction de leur couleur de peau, de leur position critique vis-à-vis de l’islam (islamophobie), du climat (« négationnisme »), de la santé (complotisme et conspirationnisme) relève finalement d’une idéologie globale. On peut caractériser dorénavant et également celle-ci de (néo)nazie au sens non pas dudit « point Godwin », mais du fait qu’elle ne regroupe pas seulement des suprématistes « blancs ». Cependant, elle représente aussi tout courant qui met en avant une couleur de peau et une « conception du monde » aux préceptes sacralisés et dont la critique nécessite une répression sévère, voire annihilante, comme le réclame de plus en plus ce qu’il est possible de nommer désormais (puisqu’elle abat ses cartes) la néonazie-sphère française dont par exemple un Patrick Cohen, un Christian Barbier, un certain « Tonneau » (percé), une Annie Hidalgo et tant d’autres (tels ces remugles staliniens sortis d’un Jurassic Park « déconstruit ») en sont de plus en plus les chantres aux propos violents et de plus en plus exterminateurs.

Cette néonazie-sphère encourage par exemple le fait d’attaquer violemment des réunions qu’elles soient liés à une rencontre autour du climat comme récemment en Allemagne, autour de la liberté de critiquer l’islam (comme l’indique Didier Lemaire), sans oublier bien sûr les attaques incessantes à l’encontre des réunions de Zemmour (encouragées par Hidalgo), de Marine Le Pen (mais aussi naguère à l’encontre des déplacements de Sarkozy lorsqu’il tenait des propos fermes sur ces sujets). Elle encourage aussi la diabolisation accentuée envers tous ceux qui critiquent la montée en puissance du scientisme hygiéniste symbolisée par la mise à l’Index des professeurs de médecine Perronne et Raoult et la manipulation statistique à marche forcée à l’encontre des traitements précoces et des chiffres réels sur LA maladie, et les effets secondaires liés aux injections expérimentales actuelles (Médiapart en tchékiste patenté par exemple).

Ces exemples montrent de plus en plus plusieurs choses : d’une part une méconnaissance globale (vu le niveau intellectuel de plus en plus faible des « élites » animant cette néonazie-sphère) des idéologies de leurs racines et leur manifestation, d’autre part le fait que ces dernières évoluent, se transforment et passent dans leur contraire supposé.

Ainsi droite, extrême droite, fascisme, nazisme ne sont pas divers points s’accentuant d’un même continuum contrairement à ce que la vulgate stalinienne et sartrienne a pu ébaucher dans les années 30-60. Schématiquement énoncé, la droite en ses diverses composantes s’appuie également et en premier lieu sur la notion de liberté plus ou moins « ouverte » ou « mixte » (au sens aristotélicien) selon les tendances. Alors que ladite extrême droite rompt totalement avec cette idée d’ouverture, préfère plutôt la fermeture en la justifiant par les notions de tradition non plus évolutive, mais rigide, débouchant sur la préservation impérieuse du socle ethnique « originel », le tout en tentant de dépasser les césures élite/peuple, gauche/droite dans une conception du « social » bien plus étatiste que nationaliste en réalité. En effet, ce qui a pu donner le fascisme, le nazisme et le pétainisme (ces trois branches ayant chacune leur spécificité) se rassemble autour de deux idées fortes : extirper l’idée de liberté au sein du « social » afin de mieux protéger l’ethnie, collectiviser peu à peu toute la société civile en plaçant à sa tête des éléments sûrs afin de renforcer l’ethnie, et, pour ce faire, éliminer tout élément étranger au socle ethnique fondamental en particulier les juifs pour le nazisme et dans une certaine mesure pour le fascisme et le pétainisme, car si ces derniers avaient pour objet d’écarter les juifs y compris « nationaux » des affaires de l’État, ils ne voulaient pas les liquider comme le firent les nazis (et les staliniens d’un certain côté), même si à la toute fin du régime de Vichy le poids grandissant de la Milice fait que Laval se fait directement complice de l’extermination, rompant dans ce cas avec les courants maurrassiens anti-germains qui préférèrent peu à peu s’agréger à la mouvance gaullienne.

Le néo-léninisme, le djihadisme et le scientisme hygiéniste ressuscitent en quelque sorte, avec des nuances bien sûr, le socle fondamental du nazisme basé sur le remplacement (des juifs par les Aryens), l’épuration (mise à l’écart des écrits jugés contraires à l’enseignement officiel), l’assainissement (mise à l’écart de populations susceptibles de contaminer celles qui sont déclarées « saines » et qu’il faut protéger).

Ces trois branches agrégées désormais au néonazisme vont en effet appuyer le remplacement des autochtones par des « indigénistes » qui ainsi se vengent du supposé mal « absolu » des premiers. Elles vont également réclamer, exiger et finalement obtenir peu à peu l’effacement de tout ce qui peut rappeler un passé glorieux puisqu’il est censé avoir été établi uniquement par la domination et la servitude. Et d’autre part, ces trois branches vont, dans la foulée, réclamer, exiger et finalement obtenir de plus en plus l’épuration des administrations et des institutions de la « société civile », en particulier de tout élément hostile à leur idéologie globale basée de plus en plus sur la couleur de peau, le catastrophisme multiforme, et l’hygiénisme scientiste, ce triptyque fondamental du nazisme canal historique :

« (…)il existe entre nous et les bolchevistes plus de points communs que de divergences, et tout d’abord le véritable esprit révolutionnaire que l’on trouve en Russie comme chez nous, partout du moins où les marxistes juifs ne mènent pas le jeu. J’ai toujours tenu compte de cette vérité et c’est pourquoi j’ai donné l’ordre d’accepter immédiatement dans le parti tous les ex-communistes. Les petits-bourgeois sociaux-démocrates et les bonzes des syndicats ne pourront jamais devenir de véritables nationaux-socialistes ; les communistes toujours. » (Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, Paris, éditions Pluriel, 1979, pp. 190-191).

Traduit aujourd’hui, cela implique la convergence effective de ces trois branches (néo-léninisme, djihadisme hygiénisme, scientiste affairiste), ne serait-ce le fait qu’aucune exaction djihadiste n’est formellement non pas « condamnée », mais expliquée dans ses profondeurs (sinon par le « déséquilibre » et la « mauvaise » lecture de l’islam dans le texte), y compris lorsque des délits et crimes mériteraient bien plus que des propositions de circonstance (« agrandir les trottoirs », « leur laisser le temps d’apprendre nos codes »). Idem pour le catastrophisme dit « écologiste » censé être l’apanage du seul « Occident », alors que le président du régime maoïste, premier pollueur de la planète, n’était même pas présent à leur cérémonie annuelle et que les chiffres sont tout autant truqués qu’exagérés. Et même chose pour l’hygiénisme scientiste qui aujourd’hui cherche également à masquer son affairisme exacerbé par des menaces supplémentaires de ségrégation et d’internement, bref, de purification biologique, et ce malgré les scandales à répétition (caviardage, truquage, expérimentations sauvages ou à la va-vite à l’instar du Pfizergate). Le tout permet d’écarter tout élément qui refuse d’appartenir à cette nouvelle race métaphysique néonazie dont le néo-léninisme et le catastrophisme sont les branches actives et qui peuvent même afficher des visages d’ange alors que par exemple les « violences faites aux femmes » dénoncées par ces derniers ne désignent jamais leurs alliés objectifs du djihadisme qui, comme le dit Didier Lemaire, pousse pourtant ses victimes à s’exclure, à fuir dans une sorte d’émigration intérieure si elles ne veulent pas être violentées ou poussées au suicide (comme pour Mila encore actuellement).

Aussi faut-il être de plus en plus sans concession : si l’on vous traite de « facho » rétorquez « néonazi » — tendance djihadiste, hygiéniste, néo-léniniste — c’est selon, tout dépend de la prothèse milicienne qui viendra perturber votre geste de citoyen français, celui de débattre, de critiquer, d’applaudir qui bon vous semble. Ne vous laissez surtout pas intimider par des créatures qui certes vont vous rétorquer qu’il n’y a ni Goulag ni Shoah, sauf que d’une part ces horreurs n’apparaissent ni en 17 ni en 33, et que les assassinats djihadistes atteignent désormais plus de cent mille tués au niveau mondial, et d’autre part la forme d’extermination que peut prendre ce néonazisme peut être plus subtile basée par exemple sur l’implosion, la soumission, le démembrement, l’autodestruction, l’expérimentation queer et autres injections le tout sur plusieurs années voire décennies…




Étude sur les raisons qui ont poussé les Luxembourgeois à se laisser vacciner contre la Covid-19 et sur la réalité du nombre de personnes ayant eu des effets secondaires après avoir opté pour cet acte irréversible

[Source : efvv.eu]




Ubérisation de la politique et grand effondrement

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Infographie : l’ubérisation en 15 secteurs | Observatoire Uberisation et Economie Collaborative]

Par Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal

Zemmour, Macron, LREM, RN, LR, LFI… Nous nous approchons de ces élections dérisoires et nous découvrons de nouveaux partis politiques, vite créés, bâclés et usagés. La destruction en règle de la France depuis Chirac-Sarkozy-Lagarde concerne aussi les partis politiques. Elle gagne les services publics, l’hôpital et tout le reste et reflète notre vie ordinaire : nous sombrons dans le modèle Blade runner décrit par Ridley Scott il y a quarante ans (voyez mon livre), soit la misère et la précarité pendant qu’au sommet s’édifient des fortunes colossales qui ne se basent sur rien mais organisent notre dystopie parce qu’elles contrôlent notre mental (voyez le livre de ma femme sur Dick). Tesla devient la première marque vendue en Europe.

Rappelons ce que notre encyclopédie polyvalente et elle-même ubérisée (Wikipédia donc) nous dit de l’ubérisation :

L’ubérisation (du nom de l’entreprise Uber), ou la plateformisation, est un phénomène récent dans le domaine de l’économie consistant en l’utilisation de services permettant aux professionnels et aux clients de se mettre en contact direct, de manière quasi instantanée, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies.

Toute cette technologie américaine réorganise le monde et nos sociétés, se vante Wikipédia :

La mutualisation de la gestion administrative et des infrastructures lourdes permet notamment de réduire le coût de revient de ce type de service ainsi que les poids des formalités pour les usagers. Les moyens technologiques permettant l’ubérisation sont la généralisation du haut débit, de l’internet mobile, des smartphones et de la géolocalisation.

C’est la fin du modèle des Trente Glorieuses, se vante  notre encyclopédie :

Ce modèle d’organisation du travail repose sur le travail à la tâche et s’oppose de fait à celui reconnu depuis des générations, et particulièrement depuis les Trente Glorieuses, c’est-à-dire le monde fixe et réglementé du salariat. L’ubérisation s’inscrit de manière plus large dans le cadre d’une branche intégrée au marché de l’économie à la tâche.

Le mot « ubérisation » vient du grand patron de Publicis qui soumit la presse dans les années 80 :

Le terme « ubérisation » est un néologisme, popularisé en francophonie par Maurice Lévy après un entretien accordé au Financial Times en décembre 2014. Le terme provient de l’entreprise Uber qui a généralisé à l’échelle planétaire un service de voiture de tourisme avec chauffeur entrant directement en concurrence avec les taxis.

La blague fut de nous faire croire que le taxi Uber est moins cher que nos taxis de la Marne ou leurs successeurs disparus. La fin de tout professionnalisme et de toute compétence est la clé du système : d’où la nullité des personnels politiques, diplomatiques et même militaires. Mais quand on rêve de grand effondrement…

Les caractéristiques de ce service sont en premier lieu les gains financiers importants liés à l’évitement des contraintes réglementaires et législatives de la concurrence classique (l’acquisition d’une licence de taxi dans le cadre d’Uber), mais aussi la quasi-instantanéité, la mutualisation de ressources et la faible part d’infrastructure lourde (bureaux, services supports, etc.) dans le coût du service, ainsi que la maîtrise des outils numériques.

On voit aussi ce que donne la fin des infrastructures lourdes chères à ces imbéciles : l’effondrement de l’infrastructure dans tous les pays occidentaux (USA, France, Allemagne).

[Note de Joseph Stroberg : si certaines élites semblent apprécier de passer par le chaos pour achever la construction de leur Nouvel Ordre Mondial, le résultat pourrait être bien différent de celui de leurs attentes, surtout si cet ordre lui-même subit un violent choc en retour. Au lieu d’asservir l’Homme et d’enchaîner l’Humanité à la machine, cela pourrait en fait aboutir à la libération de la Créativité et à la floraison de la Conscience : un nouveau ciel et une nouvelle terre pour une Humanité rénovée, souveraine depuis l’individu jusqu’à sa totalité, en conformité cette fois avec le dessein cosmique.]

Le Petit Larousse est lui-même euphorique sur le sujet :

Le terme « ubérisation » fait son apparition dans le dictionnaire Le Petit Larousse 2017, qui le définit comme : la « remise en cause du modèle économique d’une entreprise ou d’un secteur d’activité par l’arrivée d’un nouvel acteur proposant les mêmes services à des prix moindres, effectués par des indépendants plutôt que des salariés, le plus souvent via des plates-formes de réservation sur Internet.

Encore plus euphorique le Figaro (la presse aussi a été ubérisée, et depuis longtemps encore). Au sujet de l’ubérisation, Guillaume Sarlat explique dans Le Figaro :

L’ubérisation, tout le monde en parle aujourd’hui : tous les business models des grands groupes seraient sur le point d’être disruptés, ubérisés, désintermédiés, commoditisés, en un mot pulvérisés par une multitude de startups beaucoup plus agiles et innovantes.

Retenons le mot de pulvériser. Pour le reste le petit mange-merde du Figaro pulvérise la langue de Malherbe et de Chateaubriand. L’ubérisation amorce le bref règne des pignoufs qui veulent nous amener à un âge technocratique de ténèbres sauce Davos.

On a parlé d’économie à la tâche, alors expliquons :

L’économie à la tâche (de l’anglais gig economy, gig signifiant le concert, on a souvent payé les musiciens d’une soirée une fois le bal terminé) On la désigne aussi sous le nom d’économie à la demande ou économie des petits boulots. C’est un système basé sur des emplois flexibles, temporaires ou indépendants.

La politique est devenue un petit boulot. Chacun opinera et/ou appréciera.
L’optimisme médiatique ajoute :

En 2021, livraison de repas à domicile, voitures avec chauffeur, participation rémunérée à des sondages, micro-tâches d’assistance aux algorithmes, aux réseaux sociaux, aux corrections de données, « l’économie des petits boulots » génère un chiffre d’affaires mondial de 5 000 milliards de dollars.

Un petit bémol :

En 2025, 500 millions de personnes pourraient dépendre pour vivre des petits boulots associés à l’économie à la tâche. La liberté et la simplicité d’accès qui font le succès des plates-formes reposent aujourd’hui sur l’exploitation de ces travailleurs.

Les travailleurs ne sont pas les seuls exploités : les clients et les consommateurs aussi. L’ubérisation de la culture et de l’enseignement ont préparé les jeunes générations à accepter leur condition d’ilote. Le bobo d’aujourd’hui (et sa descendance ruineuse et efflanquée) a la sous-culture média de sa femme de ménage ubérisée.

Cette dégradation du matériel humain préparée depuis quarante ans (voyez ma Lettre ouverte à la vieille race blanche) était la condition sine qua non et le préalable du démantèlement terminal de notre société et de notre patrie. Le mécontentement étant lui-même ubérisé politiquement, la caste de Blade runner a peu de soucis à se faire.

Nicolas Bonnal 




Dr Josiane JOSPELAGE : Je suis interpellée par cette atteinte grave à l’éthique. Le légal est-il moral ?

[Source : EVOLUTION MARTINIQUE]

Ce courrier du Docteur Josiane Jospelage expose sa position au regard de l’obligation vaccinale et fait des propositions de sortie de crise.


Docteur Josiane JOSPELAGE Pédiatre 
Centre hospitalier du Saint Esprit 
97270 Saint Esprit ​​​​​

​​​​​​​À Monsieur le Docteur Jérôme VIGUIER 
​​​​​​​Directeur de l’Agence Régionale de santé 

​​​​Le 29 octobre 2021

Monsieur le Directeur,

J’ai pris connaissance de votre courrier du 6 octobre 2021 m’invitant à régulariser ma situation vaccinale contre le COVID 19, eu égard à la loi du 5 aout 2021. Ma réponse est la suivante :

Je n’ai absolument pas l’intention de me faire vacciner contre le Covid 19 qui est une maladie infectieuse passagère dont le taux de guérison spontanée sans séquelles avoisine les 80% et la mortalité inférieure à 5%. On est loin de la situation de la variole, de la tuberculose, de la fièvre typhoïde ou de l’hépatite B qui sont des maladies que j’ai connues il y a quelques années et qui de fait requéraient une prévention efficace. Aucune urgence sanitaire ne justifie une telle législation répressive. Un cancer sur deux tue et pourtant la lutte contre ce fléau est encore timide.

Je ne peux donner mon consentement « éclairé » à des produits pour la plupart mis sur le marché à titre « conditionnel » pour satisfaire une obligation. Il   y a là une entrave grave à l’objection de conscience qui pose de sérieux problèmes éthiques. Le légal est-il moral ?  En tant que citoyenne, médecin, je suis interpellée par cette atteinte grave à l’éthique et la conscience individuelle qui ont toujours été préservées au moins pour l’exercice médical.

J’ai analysé avec la plus grande attention la composition des vaccins mis actuellement sur le marché français et ma conviction intime est que le rapport bénéfice /risque individuel et collectif penche du côté des risques.

Les risques à court terme exposés par exemple dans le dictionnaire Vidal des médicaments, concernant le vaccin Pfizer à ARN Messager COMMINARTY sont inacceptables,même s’ils sont rarissimes. Les   myocardites, les péricardites, sont bien souvent bénignes mais elles peuvent conduire à une insuffisance cardiaque chronique voire un décès prématuré inopiné. Les   hémorragies utérines dénommées « irrégularités menstruelles » d’ordre immunologique et non hormonalepeuvent perturber l’ensemble du système immunitaire y compris chez la femme ménopausée. L’adjuvant   polyéthylène glycol peut causer des morts immédiates, subites par choc anaphylactique. 

Par ailleurs, la composition du vaccin COMINARTY que j’ai longuement analysée, montre qu’il s’agit non pas d’un ARN messager naturel, copie fidèle de l’ARN natif du virus, comme dans tous les autres vaccins (virus atténué, gêne recombinant,ADN recombinant du vaccin de la grippe ou de l’hépatite B)mais d’un pur produit de synthèse « modifié formulé » introduisant des « mutations » dont la pharmacocinétique non produite est mystérieuse. Quelle est par exemple la durée de vie de l’ARN messager synthétique ? La durée de vie de 24 heures annoncée concerne l’ARN messager naturel. Quel est le devenir dans l’organisme des nanotubes de carbone qui enrobent l’ARN ? Selon mes connaissances la voie métabolique d’élimination des nanoparticules stockées dans les cellules nerveuses est à ce jour inconnue (nanotubes de titane, de fer, d’aluminium). Ces nanomatériaux   peuvent facilement du fait de leur taille nanométrique pénétrer la paroi des vaisseaux, les cellules sanguines, le cœur et ne restent pas cantonnées au seul muscle deltoïde. Aucun autre vaccin que le Pfizer n’est enrobé de nanoparticules, ce qui ne permet aucune comparaison. Or actuellement même après une vaccination par le JANSEN le rappel doit être effectué avec le Pfizer.

Après donc lecture de cette documentation et une analyse rigoureuse de ce produit vaccinal, comme les autres d’ailleurs à ARN messager ou non, les risques à court moyen et long terme me sont apparus   inacceptables et je ne pourrai pas donner mon consentement éclairé.

Quel bénéfice peut – on attendre de cette vaccination de masse ?

Il a été question de la prévention des formes graves. Pour le moment je n’en ai aucune preuve. Plusieurs personnes vaccinées ont été contaminées, ont diffusé le virus autour d’elles et ont bénéficié d’oxygénothérapie à domicile voire de surveillance hospitalière.

Ce n’est pas parce que 94% des personnes admises en réanimation pour COVID n’étaient pas vaccinées que la cause de leur état vient de la non vaccination !! Nous le savons tous » Une relation statistique épidémiologique n’est pas une relation causale. Il s’agit d’une fausse cause prise pour une vraie cause « PRO CAUSA NON CAUSA », c’est du moins ceque nous avons appris en statistique médicale.

De surplus, nous avons un exemple criant avec la crise sanitaire du chlordécone, où chacun a pu apprécier les contorsions explicatives sur le lien de causalité entre cancer de la prostate et chlordécone. « Il ne saurait répète- t -on, avoir de lien de causalité directe tiré d’une relation statistique ou d’une étude épidémiologique ». Il faut chercher tous les facteurs confondants. Etablir une relation toxicologique et une preuve mécanistique. Au total après 10 années de discussion de preuve de l’action épigénétique perturbateur endocrinien, toxicologique dose -réponse, l’INSERM nous dit en juin 2021 que le lien entre cancer de la prostate et chlordécone est « vraisemblable, » Or s’agissant du COVID, en moins d’une année la relation causale est établie ! Qui a recherché des facteurs confondants ?

94% des personnes en réanimation étaient atteintes d’obésité morbide. L’obésité morbide constituant un état d’inflammation chronique avec libération de cytokines et interleukine par stress oxydatif. 50%   avaient ou un diabète ou une hypertension artérielle.

Le syndrome métabolique est un premier facteur confondant et le risque pour ces personnes se réitérera lors de n’importe quel épisode inflammatoire aigu.

Pendant toute la période critique des mois de juillet et aout 2021 nous avons eu deux fois par semaine une pollution par la brume de sable qui comme vous le savez fragilise l’arbre respiratoire. Sans compter la pollution chronique par les nanoparticules aériennes dont on connait l’action sur les alvéoles pulmonaires. Et l’hydrogène sulfuré inhalé de façon subaigüe par les habitants de la côte atlantique Deuxièmefacteur confondant l’environnement non pris en compte

Il ne faut pas non plus minimiser l’imprégnation de 92% de la population par le chlordécone, présente vraisemblablement chez plus de 90% des hospitalisés qui peut générer troubles immunitaires obésité diabète, hypertension. Troisième facteur confondant non pris en compte.

De plus, au niveau physiopathologique et toxicologique, on a du mal à imaginer comment on peut en quelques mois affirmer qu’une « vaccination peut empêcher une forme grave ». Une observation du même type a été faite avec   le BCG   chez l’enfant, dont on a compris qu’il empêchait non pas l’infection tuberculeuse mais la méningite tuberculeuse mais il a fallu des dizaines d’années pour parvenir à cette conclusion en observant l’immunité cellulaire induite. 

Il reste donc le doute et l’incertitude qui ont accompagnéd’ailleurs l’exercice médical pendant des millénaires et que l’on rejette aujourd’hui d’un revers de main. L’affirmation facile ,l’absence de prudence  et de doute des décideurs, pourtant bien jeunes, sans recul médical, est une  de mes préoccupations que j’espère vous partagerez , qui  risque d’avoir des conséquences gravissimes pour la médecine de demain. Les médecins ne pourront plus dire « Je ne sais pas » Et ils vont se contredire. Or il est évident qu’aujourd’hui nous ne savons pas grand-chose de ce Coronavirus 19 qui n’a cessé de nous surprendre par ses mutations et ses variants. Quand en 1992 l’obligation vaccinale a été légalisée chez les collégiens, quelques parents ont signalé des cas de sclérose en plaque apparus au décours de la vaccination. Le   Ministre de   la santé de l’époque Bernard KOUCHNER   a levé l’obligation vaccinale en précisant que le doute et l’incertitude devraient amener à être vigilant. A ce jour le doute sur le vaccin de l’hépatite B n’est toujours pas levé puisque sur la notice des vaccins ce risque figure encore. 

En conclusion je vous dirai que dans le doute sur l’innocuité de ces vaccins, compte tenu du peu de bénéfice attendu, et surtout de leur durée éphémère, le rapport bénéfice /risque de la vaccination pour moi comme à mon sens pour la société martiniquaise que j’ai toujours servie, penche nettement du côté des risques et que ma décision est prise de ne pas me faire vacciner QUOI QU’ IL EN COUTE.

Le bénéfice /risque pour la société, affiché comme un acte de la solidarité, est lui aussi trop aléatoire à mon avis pour qu’il prenne le dessus sur le mien. On voit bien l’épidémie re -flamber dans les pays bien vaccinés. La vaccination ne saurait être la solution devant une pandémie quand le réservoir de virus n’est pas qu’humain. Par contre il peut y avoir des alternatives à la vaccination à ne pas minimiser 

Si je peux me permettre, car il faut bien sortir de cette crise, je vous suggérerais de négocier un long moratoire sur cette obligation vaccinale avec les autorités. Pourquoi ?

1/ Beaucoup de médecins libéraux ont eu recours à des prises en charge alternatives à la vaccination lors de l’épidémie Il serait bon de faire une étude rétrospective , sans parti pris, de leurs expériences car elles ont évité nombre d’hospitalisation et les patients martiniquais se le disent et leur en  sont gré Lors de l’épidémie de grippe H1N1 en 2009,  tous les médecins ont prescrit des antiviraux en première intention dès les premiers signes grippaux, ont complémenté leurs patients en vitamine .Cela est inscrit dans  la mémoire collective .

2/ Il faut à mon sens passer un temps suffisant à comprendre et prendre en compte le vécu douloureux de la population lors de l’épidémie non pas tant du fait du nombre de morts, ce que l’on peut avoir lors des catastrophes naturelles, mais du sentiment de trahison par les autorités sanitaires qui « ont laissé mourir la population » en leur donnant des consignes inadaptées « Mot d’ordre  Paracétamol 8j et SAMU si détresse respiratoire » est vécu comme un abandon thérapeutique. Lors de cette épidémie les patients n’ont pas été invités à consulter leur médecin traitant pour évaluer leur état de santé et faire ou non des prescriptions de première intention et de suivi pendant la première semaine en lieu et place du paracétamol qui est connu pour réduire le glutathion indispensable à l’immunité cellulaire.

Il faut rétablir un dialogue de confiance avec la population en urgence 

Il ne faut pas passer en force à mon avis mais panser cette douleur le temps nécessaire.

3/ Pendant cette épidémie les familles se sont déchirées comme jamais auparavant. Le    corps médical et paramédical est divisé, éprouvé. 

4/ La société toute entière est dans un état de souffrance inimaginable. Il faut que l’ARS entende cette souffrance et tente d’y remédier le temps nécessaire.

Il faut rétablir en urgence une communauté médicale tournée vers le soin. 

Sinon ce sera l’explosion sociale n’importe quand et n’importe comment. 

5/ La méthode coercitive ne convient pas.  Priver la population de fêtes de Noel alors que les familles ont besoin de se retrouver après les deuils douloureux ou les confinements, ne contribuera pas à apaiser la souffrance. Il vaut mieux réexpliquer ce qu’est ce virus et comment se protéger comme lors de la première vague, insister sur les consignes sanitaires et rétablir la confiance.

Ce n’est qu’après tout cela que la question de l’obligation vaccinale ou non pourra être réexaminée

Je reste à votre disposition pour en parler et aider à sortir de cette impasse.

En attendant je vous prie d’agréer mes salutations respectueuses.

Docteur Josiane JOSPELAGE




Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir

Par Nicole Delépine

Laisserons-nous les enfants courir le risque d’atteinte cardiaque post pseudovaccin Covid pour sauver une sortie au resto ?

Ou même une inscription dans un club de foot ?

Laissez-les jouer devant l’immeuble avec les copains ou courir les champs si vous êtes à la campagne. Rien ne vaut la santé, et on a vécu sans salle de gym avec équipements lourds pour COURIR, sans club payant !

Un adulte sympathique aidait les gosses dehors à faire des passes … La coronafolie va bien se terminer et d’autant plus vite que nous ne céderons pas.

Ne risquez pas l’avenir de votre petit, pour quelques mois de vie « différente » et pas « anormale », car finalement courir sur un tapis fixe est -il plus normal qu’une balade dans les bois ? Ce sera l’occasion de leur expliquer la vie d’autrefois, et la gabegie actuelle plutôt que des grands cinémas pro-planète… Les bobos parisiens ont-ils renoncé à leur SUV pour se promener et à leurs clubs de sport consommateurs d’énergie ? En tous cas les milliardaires n’ont pas renoncé à leurs jets privés pour se montrer et faire croire qu’ils veulent sauver la planète, mais c’est un autre sujet (apparemment).

DES ALERTES MULTIPLES (sauf en France, comme pour Tchernobyl ?)

Info : une nouvelle catastrophe

F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a été diagnostiqué d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer(([1] https://theCovidworld.com/florian-dagoury-world-record-holder-in-static-breath-hold-freediving-diagnosed-with-myopericarditis-after-pfizer-vaccine-possible-end-of-career/))

L’agence de presse allemande dresse une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés.(([2] A partir de 13 ans! Longue liste d’athlètes « soudainement » décédés ou gravement malades (report24.news) ))

« Nous avons pris beaucoup de temps pour cette recherche, en choisissant chaque cas individuellement. Y a-t-il eu un nombre évident de décès « soudains et inattendus » dans le sport et le sport d’élite seulement à la mi-2021 ? Une accumulation possible depuis le début des vaccinations géniques peut (et ne veut pas) être expliquée par n’importe qui du côté officiel. Selon la lecture des médias et de la politique, peut-être victimes de chantage et de pots-de-vin, ce sont des coïncidences malheureuses – bien que même les jeunes de 13 ans souffrant de problèmes cardiaques tombent sur le terrain. »

L’agence de presse poursuit, par objectivité :

« Nous voudrions commencer ce rapport par les arguments de l’autre partie, car il est toujours important d’écouter toutes les parties. Nous voudrions également recommander ce principe à la presse judiciaire et au système, même s’il n’y a pas d’importantes subventions d’État à utiliser pour cela.

En 2016, le média français Futura Santé s’est plaint de « nombreux » décès cardiaques dans le football. Elle toucherait 2 athlètes sur 100 000 par an en France, soit un total de 1 000 à 1 500 personnes. Le « New Statesman » parle de 12 jeunes qui meurent de mort subite d’origine cardiaque en courant – chaque semaine. L’article a été publié en novembre 2018 en Angleterre. En février 2019, le journal autrichien der Standard a demandé pourquoi la mort cardiaque survient « si fréquemment » dans le sport.

« ll n’existe pas de statistiques fiables à des fins de comparaison. Mais dans Wikipédia, il y a des listes d’athlètes qui sont morts pendant le jeu. Cette liste remonte à 1889 et est longue à première vue – mais en fin de compte, il s’avère que même dans les « années de catastrophe », environ 5 à 8 décès de ce type ont été enregistrés ».

 Y a-t-il plus de gens qui meurent actuellement « soudainement et de manière inattendue » dans le sport, surtout lorsqu’il s’agit de professionnels et d’athlètes de haut niveau ? Et est-ce à cause de la vaccination ? ou bien avons-nous cauchemardé ?

Plus de 75 cas connus au cours des 5 derniers mois(([3] Veuillez signaler d’autres cas ou erreurs: redaktion@report24.news))

Etc.. Suite sur l’article de référence :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-

Peut-on vraiment croire au hasard et discuter doctement de l’imputabilité alors que des familles sont endeuillées et des enfants sacrifiés au nom de la soumission aux directives dites sanitaires. Jusqu’à quel degré l’aveuglement aide-t-il à vivre ?

Les atteintes cardiaques chez l’enfant sont rares

Contrairement à ce qu’essaient de vous faire croire les médias, les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu (les années 60) grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque, en l’absence de comorbidité comme des maladies auto-immunes ou des lésions post médicamenteuses (chimiothérapie anticancéreuse par exemple).

L’incidence des myocardites chez l’enfant, estimée entre 2007-2016 aux USA est de 1/100 000.(([4] R Vasudeva, P Bhatt, C Lilje Tendances des hospitalisations pédiatriques liées à la myocardite aiguë aux États-Unis, 2007-2016 AM J Cardiology . 15 juin 2021; 149:95-102 doi: 10.1016/j.amjcard.2021.03.019. Publication en ligne du 20 mars 2021.))

Même les maladies cardiaques congénitales s’étaient raréfiées dans nos contrées via le dépistage anténatal (et beaucoup d’avortements à la moindre communication interauriculaire) et via les interventions précoces pour les enfants nés avec des anomalies acceptées par la famille. Bref le concept de « maladie bleue » par exemple ne vous était plus familier et tant mieux.

Actuellement, les myocardites et péricardites peuvent se rencontrer dans le cadre de maladies virales, mais sont alors le plus souvent bénignes et de courte durée et plus fréquemment chez des sujets fragiles, voire immunodéprimés.

Plus exceptionnellement se rencontre en pédiatrie une myocardite grave et menaçante à l’occasion d’un diagnostic difficile qui débouche sur une maladie congénitale exceptionnelle.

Nous sommes alors dans le cadre de maladies rares, dites orphelines(([5] Définition del’OMS maladie orpheline si incidence = ou < à 6 /100 000 habitants)) et non de pathologies habituelles comme on aimerait vous le faire croire pour minimiser la tragédie actuelle, conséquence de pseudo vaccination inutile et dangereuse.

Donc une nouvelle fois, le récit médiatique démarre par d’énormes mensonges.

Non, les crises cardiaques qui tombent du ciel ne sont pas habituelles chez les jeunes qui jouent au foot dans la cour.

Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques des journalistes corrompus ou devenus complètement fous via la coronafolie.

Qu’est-ce au fond qu’une myocardite ?

Les myocardites et les péricardites sont des inflammations du muscle cardiaque (myocardites) ou de son enveloppe, le péricarde (péricardites). Classiquement elles se révèlent par une fatigue croissante, des douleurs thoraciques, des difficultés de plus en plus importantes à respirer, une accélération du rythme cardiaque, une baisse de la pression artérielle, et parfois des douleurs dans les membres. La maladie est parfois accompagnée de fièvre, car une infection virale ou bactérienne peut être à l’origine de l’atteinte cardiaque. Ce n’est pas le tableau le plus courant actuellement.

Elles peuvent passer inaperçues et ne se révéler brutalement que par un énorme malaise, voire une mort subite, à l’occasion d’un effort. Ce sont les jeunes sportifs qui paient actuellement un lourd tribut. Et les médecins belges recommandent depuis plusieurs mois de ne pas faire d’efforts au moins dans la semaine suivant l’injection.

L’évolution de la myocardite peut être très variable. Elle ne provoque souvent que des symptômes mineurs, mais elle peut aussi entraîner un arrêt cardiaque brutal ou guérir en laissant des séquelles permanentes responsable dans 20% des cas de mort dans les 5 ans qui suivent pour les myocardites habituelles.

Il est évident que les notions générales évolutives citées ici sont liées aux myocardites infectieuses ou congénitales connues et que personne ne peut prédire les conséquences de l’atteinte cardiaque par la protéine spike créée via l’injection génique nouvelle. Combien de temps le vacciné produit-il de protéines spike susceptibles d’aggraver la maladie et/ou de se compléter par d’autres lésions sur d’autres organes ? Aucune réponse claire possible sans recul.

Les prédictions de guérison possibles basées sur l’évolution des myocardites d’autres origines n’ont aucune valeur. Il serait honnête d’avouer que l’on ne sait pas ! Ce qui est certain est qu’un énorme doute existe sur l’avenir de ces patients.

ATTENTION AU BÉNÉFICE/RISQUE

Les marchands de vaccin aimeraient nous faire croire et l’écrivent sans remords, que le Covid donne plus de risque de myocardite que le vax. Ils inventent et/ou manipulent les données, oubliant que les jeunes ne meurent pas de Covid, alors que les jeunes vaccinés meurent de crise cardiaque. Regardons les données.

Quels sont les risques de myocardite après infection Covid chez les jeunes 

La myocardite (ou péricardite ou myopéricardite) résultant d’une infection primaire à la Covid19 s’est produite à un taux de 450 par million chez les jeunes hommes malades du Covid. Les jeunes hommes infectés par le virus sont plus susceptibles de développer une myocardite que ceux qui ont reçu le vaccin nous dit-on.(([6] Risk of Myocarditis from Covid-19 Infection in People Under Age 20: A Population-Based Analysis (nih.gov) ))

Mais ce pourcentage omet de préciser que la maladie clinique du Covid est exceptionnelle chez le jeune de moins de 20 ans et que ces atteintes cardiaques sont bénignes et d’évolution favorable rapide.

Il serait honnête d’avouer que le Covid chez le jeune ne tue pas alors que la myocardite post-vaccinale d’un sujet sain non malade tue parfois et confisque l’avenir du jeune en tous les cas. Comparaison purement chiffrée n’est pas raison.

La myocardite du vaccin antiCovid

L’histoire médiatique de l’atteinte cardiaque post vaccination remonte à quelques mois après le début des injections intensives vers mai 2021.

Fin mai 2021, le comité de sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une déclaration d’intérêt concernant les cas signalés d’inflammation myocardique et/ou péricardique survenant chez des patients après vaccination avec des vaccins à ARNm Covid-19. Cela faisait suite à un petit nombre de cas signalés en Israël et aux États-Unis.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans. Les cas semblaient être principalement chez les hommes et se développer peu de temps après l’administration de la 2e dose.

Démonstration de l’imputabilité de l’atteinte cardiaque à la vaccination

Les Canadiens ont vérifié chez l’adulte, sur deux mois de juin à fin juillet 2021 la survenue de myocardites après injection, ce qui a permis d’établir clairement(([7] https://resistance-mondiale.com/vaccination-contre-larnm-Covid-19-et-developpement-de-la-myopericardite-confirmee-par-cmr)) la temporalité entre l’apparition de la myocardite et la vaccination.

Les symptômes constatés chez les cardiaques canadiens sont résumés dans le tableau tiré de leur article.

Il s’agit de la plus grande série de la littérature à établir clairement la relation temporelle entre la vaccination par l’ARNm Covid, les symptômes cliniques de la myocardite et les résultats de l’IRM.

Chez la plupart des patients, l’apparition des symptômes a commencé dans les premiers jours suivants la vaccination avec des anomalies correspondantes des biomarqueurs et de l’ECG. L’IRM cardiaque a confirmé des modifications myocardiques et péricardiques aiguës avec la présence d’un œdème démontré à la fois par la cartographie des tissus et le rehaussement tardif du gadolinium. Les symptômes se sont résorbés rapidement avec le traitement standard et les patients ont pu sortir en quelques jours.

Si la cohorte canadienne avait capturé tous les cas dans la région d’Ottawa, l’incidence de la myocardite serait de 0,1 % de toutes les doses de vaccin (32 cas/32 379 doses x 100), ou 10 cas de myocardite pour 10 000 doses de vaccin. Cette étude concerne des adultes, mais est intéressante pour notre sujet, car elle confirme le lien entre atteinte cardiaque et injection génique.

L’une des cohortes les plus importantes à ce jour a décrit la nécessité d’un traitement de l’insuffisance cardiaque chez 40 % de ses patients atteints de myocardite (malgré l’absence d’épisodes d’insuffisance cardiaque antérieurs) et de soins intensifs chez 10 %. Mais l’étude concerne les adultes et la maladie cardiaque post vaccinale paraît d’autant plus grave que le sujet est plus jeune.

L’inflammation péricardique est un épiphénomène d’inflammation myocardique ; cela a également été démontré dans la série de cas de Starekova et al. La véritable péricardite diffuse isolée est rare dans la littérature.

La myocardite a été décrite comme complication de vaccins classiques, mais dans des proportions beaucoup plus faibles qu’avec les pseudovax antiCovid

La myopéricardite est une complication reconnue associée à quelques vaccins, aux États-Unis représentant 0,1% de tous les effets indésirables collectés par le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS).(([8] Le CDC, Centre for Disease Control, organisme officiel américain qui surveille les maladies aux USA. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) système officiel de pharmacovigilance américain.)) Ces rapports, recueillis entre 1990 et 2018, révèlent que 79 % des cas concernaient des hommes et sont survenus principalement dans les 2 semaines suivant la vaccination.

Myocardites associées aux injections antiCovid aux USA selon les données du VAERS

Les évènements indésirables cardiaques sont nettement plus fréquents chez les jeunes garçons d’autant plus qu’ils sont plus jeunes et qu’ils ont reçu deux doses de vaccin. Les signes cliniques apparaissent dans les jours suivant l’injection. Relevons la fréquence considérablement augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale : 23 % de plus entre 12 et 15 ans, 40 fois plus entre 16 et 17 ans.(([9] CDC Awardee Covid-19 Vaccination Planning Meeting))

Une autre étude dite stratifiée a été réalisée sur les myocardites chez les adolescents et leurs liens avec les vaccins à ARNm à partir des données du VAERS  pour comparer le danger respectif de la maladie Covid et du vaccin.(([10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1 « SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »))

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même

Le CDC rapporte qu’il y a 94 à 96% d’hospitalisation des myocardites/péricardites post-vaccinales.

Les garçons de 12 à 15 ans sont 12 fois plus sujets à des effets indésirables cardiaques que les filles du même âge, et cela principalement après la seconde injection du vaccin.

Pour les garçons de 12 à 15 ans, ont été enregistrés 162,2 cas d’effets indésirables cardiaques par million d’injections de vaccins anti-Covid, contre 94 cas / million chez les 15-17 ans, évènements ayant nécessité une hospitalisation.

Cette étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.(([11] SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children
Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »
https://medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1.full.pdf))(([12] Vaccination plus risquée que la Covid-19 pour les 12-17 ans – REINFOCovid))

Comparaison de la fréquence générale des myocardites avant et après vax antiCovid

Une étude récente(([13] Forty hospitals in Washington, Oregon, Montana, and Los Angeles County, California, that were part of the Providence health care system and used the same electronic medical record (EMR) were included)) chez l’adulte a comparé le taux de myocardites dans les périodes prévaccination et post vax(([14] George A. Diaz, MD1; Guilford T. Parsons, MD, MS2; Sara K. Gering, BS, BSN3; et al Audrey R. Meier, MPH4; Ian V. Hutchinson, PhD, DSc5; Ari Robicsek, MD2 Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 JAMA2021 Sep 28;326(12):1210-1212.doi: 10.1001/jama.2021.13443
Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 – PubMed (nih.gov) )) Jan 2019–Jan 2021) et pendant la période de vaccination Covid-19 vaccination (Fevrier-Mai 2021) au sein d’un large système de santé américain

Le nombre mensuel moyen de cas de myocardites ou de myo-péricardites pendant la période pré vaccinale était de 16.9 pour 100000 (95% CI, 15.3-18.6) vs 27.3 (95% CI, 22.4-32.9) durant la période vaccinale (P < .001).

Le nombre moyen de péricardites était pendant les mêmes périodes de 49.1 (95% CI, 46.4-51.9) et 78.8 (95% CI, 70.3-87.9), respectivement (P < .001).

Les myocardites se développent rapidement chez les patients les plus jeunes et surtout après la seconde dose. Les péricardites affectent surtout les patients plus âgés et soit après la première, soit après la seconde.

Fréquence en fonction de l’âge et du sexe – grand pic chez les garçons entre 12 et 20 ans

Les CDC américains (centres officiels : Centers for Disease Control and Prevention) ont rapporté l’association entre Covid-19 mRNA vaccins and myocardite surtout chez les garçons les plus jeunes dans les quelques jours suivant la deuxième injection.

Sur la base des données du Vaccine Adverse Events Reporting System, le CDC a estimé que l’incidence de la myocardite après toute vaccination Covid-19 est de 0,48 cas pour 100 000 au total et de 1,2 cas pour 100 000 parmi les vaccinés âgés de 18 à 29 ans.

Un rapport de la campagne de vaccination de l’armée américaine contre le Covid-19 a noté une incidence de 8,2 cas de myocardite pour 100 000 hommes militaires (un total de 23 cas). Les enquêteurs de l’étude militaire ont identifié un dysfonctionnement ventriculaire gauche chez 17% des hommes (tous les cas étant légers ou légers à modérés). 

Myocardites en UE selon le site officiel de l’EMA : Eudravigilance

Myocardites des 12-17 sur Eudravigilance et vaccination des 12-17 ans en France

Du 1er avril au 15 juin, 3 myocardites ont été déclarées sur Eudravigilance chez les 12-17 ans. Puis le « vaccin » est arrivé pour les enfants, et le nombre de myocardites a explosé ! Alors, pure coïncidence ?(([15] Yoann 3 oct sur tweeter))

Eudravigilance (2.10.2021).

À ce jour, + de 28 000 décès liés aux « vaccins » déclarés dans les pays membres de l’UE.
Sur 12-17 ans, plus de 500 myocardites imputables aux Vaccins antiCovid.

Les Effets secondaires globaux dits pudiquement « indésirables » s’approchent des 3 millions.. Et l’on sait tous que les remontées d’informations sont inférieures à 5 %. Qu’en est -il de la réalité ?

Resituons les atteintes cardiaques dans les atteintes globales en UE (sur 27 pays hors G-B)

Les études israéliennes

Un premier rapport d’Israël en avril 2021 a mis en évidence une relation séquentielle apparente entre la réception du vaccin à ARNm Covid-19 et la myocardite, la plupart survenant chez des jeunes hommes auparavant en bonne santé et avec une incidence 5 à 25 fois supérieure au taux de fond habituel.

Le mécanisme précis reste obscur et les théories incluent un effet trophique direct du virus (bien qu’il n’y ait aucun rapport d’isolats viraux provenant d’une biopsie endomyocardique), et une réponse immunitaire exagérée de l’hôte invoquant les cellules T cytotoxiques en tandem avec la tempête de cytokines

En conséquence, la Food and Drug Administration aux États-Unis et l’Agence de la santé publique du Canada ont décidé d’ajouter des étiquettes de mise en garde aux vaccins à ARNm Pfizer et Moderna soulignant le risque de maladie cardiaque inflammatoire. Cela a été signalé secondairement par l’EMA et il a été demandé aux médecins de signaler ce risque … tout en ne dissuadant pas de faire l’injection…

Le rapport initial d’Israël note une incidence
de 1 sur 3000 à 1 sur 6000 myocardites
suite à la vaccination chez les jeunes adultes.

Les médecins israéliens ont été les premiers à sonner l’alarme dans un silence assourdissant dans les premières semaines.(([16] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Ils ont évalué l’incidence de la myocardite après vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer) dans une seule organisation de soins de santé (HCO) en Israël et décrit l’évolution clinique et la gravité de la maladie à partir d’un examen des dossiers des patients.

Les estimations du VAERS américain sont inférieures à celles israéliennes, probablement en raison des différentes méthodes utilisées pour identifier les cas (déclaration passive au CDC vs dossiers de santé électroniques en Israël ). 

Dans l’étude israélienne de Barda et al.la vaccination a entraîné un excès de 2,7 cas de myocardite pour 100 000 personnes vaccinées. 

Dans cette étude de cohorte rétrospective portant sur des personnes âgées de 16 ans ou plus dans un grand système de santé israélien, l’incidence estimée de la myocardite dans les 42 jours suivant l’injection (d’au moins une dose du vaccin à ARNm BNT162b2) était de 2,13 cas pour 100 000 vaccinés et 10,69 cas pour 100 000 chez les hommes âgés de 16 à 29 ans

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([17] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))(([18] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))(([19] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées, et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins… (comme en France ou en Belgique et en suisse.)

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades (présentent des signes de maladies) du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). Ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites.

Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant

ET si vous voulez revenir au concret, chez de vrais enfants et non des statistiques

Je terminerai par le récit fictif d’Alain Tortosa à propos d’un enfant sain de six ans brutalement décédé futur astronaute qui rejoindra plus vite que prévu les étoiles. Si des larmes ne vous montent pas aux yeux, demandez-vous ce que les mesures antiCovid ont fait de vous…(([20] Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.[1]»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie[2]» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa[3]

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf

  1. [1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e
  2. [2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19
  3. [3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »

Alors avant de croire des recommandations mercantiles prônant l’injection anti Covid à vos enfants souvenez-vous des faits indiscutablement établis.





Quand le système monétaire MONDIAL tombera…

[Source : rusty james news]

… ce sera le 666 SystemE

[Ndlr : s’il a existé ou existe encore une conspiration de cet ordre, elle a visiblement pris du retard puisque la date de finalisation mentionnée en fin d’article — 1995 — est largement dépassée.]

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System… Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80 on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on ne le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires.

On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »…

À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution…

Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, sont prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé – comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné et s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini.

Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose.

Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.
De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant les nations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unis.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également un ancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte que « les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. » Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait :

« Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant :

« Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique.

Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue :

« L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale ».

En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen,…). On oblige(ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminatis. En effet, ce programme extrait d’une revue financière, rejoint l’article 4 du code des Illuminatis :

« … afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminatis il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminatis disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales – actions, valeurs, fonds mutuels, rentes – sur lesquels des fortunes encore plus grandes – celles des masses – vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation, se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU – les plus grands banquiers de la planète, – l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations, se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts à rembourser [cf. Charles Gave, « Des lions menés par des ânes », chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront – avant l’implosion – qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système, seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplie(ront) et augmente(ront) la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures aux niveau social. S’en suivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

article_Manif-Londres



Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org via profession-gendarme.com]

[Voir Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français ! pour le rapport complet]

Extrait du rapport du Pr Zelenko déjà publié en entier sur PG [Profession Gendarme] ; cette partie concerne les maîtres du monde et les différentes organisations qui leur permettent de tout contrôler dans leurs seuls intérêts.
Pour ceux (trolls ou autres) qui sur le site accablent les juifs ils devraient comprendre en raison de la personnalité d’un des auteurs, le médecin, que les juifs comme les autres populations sont victimes de criminels qu’on croit juifs comme les Rothschild mais qui sont membres d’une mafia khazars qui ont pris le nom du blason corporatiste de leur boutique en Allemagne, le bouclier rouge.

Profession Gendarme

[Voir L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Qui sont ces criminels ?

Découvrez les familles obscures qui gouvernent le monde

Qui sont exactement ces criminels ? Avons-nous certains de leurs noms et où ils se trouvent ? Comment opèrent-ils et comment peut-on faire pour les arrêter ? Une partie importante de la réponse est donnée par le magnifique documentaire Monopoly, qui peut être visionné sur StopWorldControl.com.

MONOPOLY révèle en détail, avec toutes les preuves à l’écran, comment pratiquement tout dans notre monde appartient aux mêmes personnes. Cela montre qui ils sont et ce qu’ils prévoient pour l’humanité. À voir pour tout le monde !

[Voir aussi Les projets des Maîtres du Monde]

Parce que ces entités super riches possèdent tout, c’est un jeu d’enfant pour elles de contrôler le monde. Ils possèdent Apple, Facebook, Twitter, Google, Facebook et le reste de Big Tech, tous les principaux médias d’information, toute l’industrie du voyage, toute l’industrie alimentaire, les banques, l’industrie du vêtement, etc.

En achetant stratégiquement tout, ils ont acquis un monopole sans égal dans le monde entier. Quelque chose dont Jules César ne pouvait que rêver…

Ils possèdent également l’ensemble du secteur de la santé, ce qui leur permet de dire aux hôpitaux du monde entier ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Ils ont positionné leurs marionnettes politiques dans les gouvernements du monde entier par la fraude électorale, la corruption et le chantage. Une fois que nous comprenons cela, nous pouvons voir comment ils sont capables d’imposer la tyrannie partout dans le monde.

Cela me mènerait trop loin de nommer toutes les entités individuelles impliquées, mais je vais en révéler quelques-unes, qui sont au cœur de ce réseau. En Italie, il existe par exemple 13 familles ou lignées italiennes, appelées la «noblesse noire». Je les appelle « la mafia sous stéroïdes ». Ces familles, ainsi que d’autres dynasties similaires d’autres régions de la terre, se considèrent supérieures au reste de l’humanité. Ils considèrent les gens ordinaires comme des « insectes », des « bovins » et des « chiens ». C’est littéralement comment ils écrivent sur vous et moi dans leur littérature.

Ils croient que c’est leur destin de régner sur l’humanité, qui doit devenir leurs esclaves.

Jeff Bezos, Bill Gates, Georges Soros

Ces familles sont organisées selon une hiérarchie pyramidale, où finalement tout le monde répond aux mêmes marionnettistes au sommet.

La clé de leur pouvoir est le secret, donc personne ne peut les toucher.

C’est pourquoi les vrais leaders restent toujours dans l’ombre.

La population mondiale ne voit que des marionnettes qui opèrent sur le devant de la scène mondiale, comme des politiciens contrôlés, des célébrités hollywoodiennes, des dirigeants industriels, des personnalités des médias, etc.

Certaines marionnettes plus connues sont Klaus Schwab, Bill Gates, George Soros, les Clinton, la famille Bush, etc.

Bien qu’ils soient tous individuellement très riches et puissants, ils sont soumis à des entités plus haut placées dans la hiérarchie, mais qui s’assurent de rester hors de vueLe secret est leur force.

L’une de leurs stratégies consiste à mettre en place des organisations publiques « mondiales », qui sont leurs plates-formes visibles pour élaborer leur agenda. L’un d’eux est devenu très important pendant cette pandémie organisée et s’appelle l’Organisation mondiale de la santé, qui est principalement financée par Bill Gates, une marionnette clé de ce réseau criminel. L’OMS dicte à toute l’humanité – pensez-y ! – ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire en matière de santé. Personne n’a élu l’Organisation mondiale de la santé et personne ne veut qu’ils soient là pour intimider chaque médecin, infirmière et praticien de la santé dans une obéissance aveugle.

L’OMS force le monde entier à se soumettre inconditionnellement à ses « directives » tyranniques, qui sont plus souvent anti-scientifiques que fondées sur une science appropriée.

L’OMS a par exemple dit au monde entier d’utiliser le test PCR pour découvrir les cas de covid, alors que ce test ne peut pas discerner les différents types d’agents pathogènes, et produit jusqu’à 93% de faux positifs. Ce test défectueux est le principal outil pour dire au monde qu’il y a une pandémie, alors qu’aucun dispositif médical dans l’histoire n’a jamais été aussi peu fiable. Pourtant, ce protocole anti-scientifique est imposé au monde entier, pour favoriser l’illusion d’une pandémie mondiale, qui repose principalement sur des faux positifs. Les centaines de millions de soi-disant « cas de covid » ne sont que des faux positifs, résultant d’un test fatalement défectueux. Le virus Sars-Cov-2 n’a jamais été isolé et purifié, il est donc impossible de le tester. C’est une arnaque aux proportions astronomiques.

C’est un exemple de la façon dont une « organisation mondiale » est utilisée pour déployer le programme de soumission de l’humanité à la tyrannie, au nom de la « protection de votre santé ».

Une organisation similaire est l’Organisation des Nations Unies, qui se présente comme le soi-disant « gardien de la paix » de ce monde. Leur agenda est cependant de soumettre toute l’humanité à un gouvernement mondial. L’ONU travaille en étroite collaboration avec l’Union européenne et l’OTAN, qui sont des outils similaires pour les familles criminelles pour anéantir l’indépendance des nations et mettre en place un gouvernement mondial.

Un autre acteur public est le Forum économique mondial, fondé par Klaus Schwab.

[Voir aussi :
Les valeurs familiales de Schwab
et
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Forum économique mondial se présente comme un groupe de réflexion pour les riches et les puissants du monde, où ils « cherchent des solutions aux problèmes du monde ».

Leur mot magique est « développement durable » qui prétend assurer un avenir meilleur à notre monde. En collaboration avec l’ONU, ils ont développé le soi-disant Agenda21, qui prétend offrir la solution ultime pour un monde plus durable.

En réalité, cela signifie rien de moins que de s’emparer de tous les droits, libertés et propriétés de l’ensemble de la population mondiale et de tout mettre entre les mains des super-riches.

Ensuite, il y a l’empire bancaire, qui contrôle tout l’argent du monde. Leur travail consiste à créer une société sans argent liquide où seuls ceux qui sont connectés numériquement au système de surveillance et d’esclavage, auront toujours accès aux finances. Le gouvernement nigérian a été généreusement payé par eux, pour réserver les services bancaires strictement aux vaccinés, un exemple qui sera bientôt suivi par d’autres pays.

Une entité de premier plan dans l’empire bancaire est la célèbre famille Rothschild. Ils possèdent les banques centrales de 165 pays, contrôlant ainsi les flux monétaires dans la plupart des pays. Depuis les temps anciens, cette famille s’est consacrée au culte de la plus sombre de toutes les forces. Une autre famille bien connue est celle des Rockefeller. Ils ont publié le « Scénario du futur » en 2010.

[Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation
et
La synagogue de Satan]

Des entités comme le Rockefeller Institute se présentent comme des protecteurs de l’humanité, mais derrière ce masque humanitaire se cache un visage macabre de soif de pouvoir.

J’ai déjà mentionné la noblesse noire d’Italie. Leur stratégie la plus efficace a été de se cacher derrière le beau visage du christianisme, lorsqu’ils ont établi le Vatican à Rome, en tant que « centre du catholicisme romain ».

Derrière l’architecture monumentale des cathédrales majestueuses, se cache pourtant un monde si sombre et pervers, qu’aucun être humain normal ne pourrait jamais le comprendre. L’exposition récente d’abus organisés et systématiques d’enfants dans ce bastion religieux n’est que la plus petite pointe d’un iceberg si profond qu’il traumatiserait la plupart d’entre nous, si nous savions ce qui s’y passe.

Ne vous y trompez pas : il y a aussi de bonnes personnes religieuses au Vatican, qui n’ont tout simplement aucune idée de ce qui se passe dans les coulisses.

[Voir aussi :
La Bête de la Mer: l’Église Catholique Romaine dans la Prophétie
Ndlr : le mot « Église » signifie originellement « Assemblée de fidèles » et l’Église guidée par Simon était une assemblée de chrétiens, d’essence spirituelle. Le Catholicisme Romain s’est lui construit sur des pierres.]

C’est tout un immense théâtre de marionnettes, où la majorité des gens – même la plupart de ceux qui sont complices – n’ont pas la moindre idée de ce qui se passe et de la façon dont tout le monde est trompé.

Le Vatican est situé à l’intérieur de la Cité du Vatican, qui est un État souverain indépendant de l’Italie, où aucune loi italienne n’a d’autorité. Parce qu’ils ne sont soumis aux lois d’aucun pays, pas même de l’Italie qui les entoure, ils peuvent commettre tous les crimes qu’ils veulent.

Des États souverains similaires à l’intérieur des nations sont « La Cité de Londres » (un État indépendant au sein de Londres qui échappe à toutes les lois britanniques mais contrôle le gouvernement britannique), « Washington DC » (ou le District de Columbia, qui est un État souverain à l’intérieur des États-Unis États, qui règne sur le peuple américain). Les familles criminelles ont mis en place ces « États au sein des nations » intouchables à partir desquels elles opèrent.

La Cité du Vatican est la plus importante de toutes, et c’est ici que les plus hauts marionnettistes ont leur siège.

Nous connaissons tous le Pape Blanc, un rôle qui est actuellement joué par le Pape François. Son travail consiste à contrôler la communauté de foi catholique romaine dans le monde entier et à l’orienter vers le Nouvel Ordre Mondial. Dans plusieurs messages publics, il appelle tous les croyants à se faire vacciner112, et continue à proclamer le Nouvel Ordre Mondial comme la seule solution aux problèmes du monde. Voici quelques-unes de ses déclarations :113

« Nous pouvons guérir l’injustice en construisant un nouvel ordre mondial … Le chemin du salut de l’humanité passe par la création de un nouveau modèle de développement … prendre soin de la Terre, avec des choix personnels et politiques radicaux, … sans pour autant une vision globale il n’y aura pas d’avenir … nous devons mettre un terme au nationalisme qui n’a pas de vision d’avenir … »

Outre le pape blanc, il existe également un pape noir moins connu qui a beaucoup plus de pouvoir, mais qui travaille davantage dans les coulisses.

Le Pape Noir est cependant toujours soumis à celui qui siège sur un trône plus élevé : le Pape Gris. Ce marionnettiste suprême opère entièrement dans l’ombre, d’où il détient un énorme pouvoir sur le monde.

Si vous voulez comprendre comment tout cela est né historiquement, vous devez rechercher les sombres origines spirituelles des jésuites. Je vais le laisser ici, pour l’instant, car ce sujet peut facilement nous conduire trop loin.

Nous devons comprendre que ce réseau criminel est de nature hautement spirituelle et que tous ceux qui sont au sommet sont impliqués dans de sombres pratiques spirituelles anciennes.

Pour parler franchement, ce sont des satanistes, aussi appelés lucifériens. Leur stratégie est cependant de toujours se cacher derrière de magnifiques masques, qui montrent le contraire de qui ils sont.

[Voir aussi : Quelle est la différence entre le diable, Lucifer et Satan? Religion la maison de l’esprit – Jecoco.com]

Nous le voyons avec Klaus Schwab, qui utilise une rhétorique éloquente pour ensorceler l’esprit de son public mondial et le convaincre que la plus noble de toutes les causes est de s’assurer que chaque humain sur terre pensera et ressentira exactement la même chose. « Elevez l’humanité dans une conscience collective ».

La façon dont il présente ce plan fou et délirant est cependant si rusée que la plupart des gens lui feraient une ovation debout, après avoir entendu son discours. La même chose que nous voyons avec le Pape Blanc, qui parle magnifiquement de prendre soin des pauvres, de mettre fin à l’injustice, de sauver la Terre et d’autres nobles causes, alors qu’en fait il dit simplement : « Le monde entier doit être asservi à un gouvernement mondial unique. , où personne n’aura de voix, de droits, de libertés, de biens, d’identité ou de vie privée. » C‘est le même genre d’hypnose qu’ils utilisent pour imposer les vaccins : « Le monde est attaqué par une maladie mortelle, mais nous avons une solution merveilleuse : des vaccins qui sauvent des vies. Hourra! » Que ces merveilleux vaccins contiennent des créatures vivantes avec des tentacules, des nanoparticules qui s’auto-assemblent, des substances hautement toxiques, et qu’elles en tuent des millions, n’est évidemment pas mentionné.

Il s’agit d’hypnotiser l’humanité en utilisant des formes raffinées d’hypocrisie et de tromperie.

Une autre façon pour ces criminels d’opérer est de s’organiser en soi-disant sociétés secrètes, pour établir leur influence cachée dans chaque nation.

En dehors des sociétés complètement cachées, il existe aussi des cultes plus publics, comme la franc-maçonnerie.

C’est l’une des organisations spirituelles les plus connues, utilisée pour influencer les autorités locales dans pratiquement chaque ville de chaque nation.

Ils attirent des personnes en position d’autorité, prétendant être une organisation innocente qui veut aider l’humanité.

Ce n’est que lorsque les membres grimpent aux niveaux supérieurs de la franc-maçonnerie, qu’ils découvrent que c’est du satanisme.

La franc-maçonnerie vise à faire des personnes influentes de chaque communauté leurs membres, afin qu’elles puissent les utiliser pour la réalisation de leurs plans.

Le lanceur d’alerte de Google Zach Vorhies109 m’a dit dans une conversation personnelle qu’en 2016, Google a présenté ses plans pour programmer l’humanité dans un endroit révélateur : le siège de la franc-maçonnerie de San Francisco. Là, Google a informé son personnel de la stratégie de l’entreprise : façonner l’esprit de l’humanité. Cela illustre comment la franc-maçonnerie joue un rôle central dans cet agenda mondial.

Les nombreuses sociétés secrètes travaillent en étroite collaboration avec les services secrets des nations, comme par exemple la CIA et le FBI en Amérique. Des entités qui, en apparence, combattent le crime, mais sont en réalité parmi les pires de toutes les organisations criminelles.

Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte, qui a été assassiné pour ses aveux, a admis il y a quelques années que les journalistes du monde entier sont payés par les services secrets, les sociétés secrètes, les agences gouvernementales, les milliardaires, etc. pour toujours mentir et ne jamais dire la vérité à le public.

[Voir Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Son témoignage important peut être vu dans le documentaire BUSTED sur StopWorldControl.com. C’est à cause des aveux de ce brave journaliste – qui fut rédacteur en chef d’un des plus grands journaux d’Europe – qu’un grand réveil est en train de se produire en Allemagne. Son livre a ouvert les yeux de la population allemande, qui est désormais une force majeure contre le Nouvel Ordre Mondial.

Bien que la Cité du Vatican, Washington DC et la ville de Londres soient le siège des familles criminelles, bon nombre de leurs opérations logistiques ont été transférées vers des pays asiatiques, car ils prévoient d’utiliser la Chine pour renverser le reste du monde. Le régime communiste oppressif d’esclavage total et de contrôle qu’ils ont installé en Chine, doit maintenant être étendu au reste du monde.

Notre ennemi n’est cependant pas le Parti communiste chinois, puisqu’ils sont aussi de simples marionnettes. Ceux qui tirent les ficelles sont toujours assis dans la Cité du Vatican.

La bonne nouvelle est qu’il y a eu beaucoup de luttes intestines dans ce réseau criminel, ce qui l’a fait s’effondrer dans plusieurs camps, qui se disputent tous la domination mondiale. Puisse cette confusion parmi eux augmenter, alors qu’ils tombent dans leurs propres fosses et que leurs plans échouent lamentablement.

On peut en dire beaucoup plus sur tout cela, car de nombreux livres ont été écrits sur ce réseau criminel, par des chercheurs qui ont souvent consacré leur vie entière à les exposer. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez trouver une mine d’informations de qualité compilées par d’excellents chercheurs sur le site Web néerlandais Ellaster.nl. Utilisez Google Translate pour lire les articles :
https://www.ellaster.nl/category/val-vancabal/cabal

Vous pouvez également regarder la série documentaire « La chute de la Cabale » sur StopWorldControl.com, un chef-d’œuvre du journalisme qui explique beaucoup de choses sur cette « cabale » mondiale. (Traduction en français de cette série de vidéos « La chute de la cabale », ici :
https://infovf.com/video/les-origines-cabale-part-the-sequel-the-fall-the-cabal-janet-ossebaard–1746.html )

Source : The vaccine death report par Valdimir Zelenko et David John Sörensen pages 37 à 42.

Traduction : par https://la-verite-vous-rendra-libres.org/




Propositions iconoclastes pour la prochaine élection présidentielle française

Par Lucien SA Oulahbib

  • Il y a environ 200 000 avortements par an en France, pourtant beaucoup de couples cherchent à adopter et n’y arrivent pas alors que la majorité est pourtant hétérosexuelle, ne parlons pas des autres… Pourquoi ne serait-il pas alors possible de proposer à ces femmes qui veulent avorter la possibilité soit d’accoucher sous X, soit de les accompagner financièrement jusqu’à qu’elles puissent subvenir aux besoins de l’enfant et des siens surtout lorsqu’elles sont très jeunes ? Quitte pour les autres à imaginer de nouvelles maisons d’accueil pour femmes si leur milieu familial et social s’avère hostile.
    .
  • Nombre de témoignages montrent que beaucoup de femmes, même jeunes, auraient aimé mener à leur terme leur maternité si elles avaient connu un environnement favorable. Mais elles subissent souvent la pression idéologique de groupes fanatisés agitant le refus de toute « emprise sur les corps » alors que ces mêmes groupes ne disent absolument rien à l’encontre de la contrainte étatiste actuelle sur ces derniers ; ne parlons pas de leur silence abyssal à l’encontre des pays qui les oppressent et obligent à leur migration censée cyniquement « remplacer » ces avortements faisant chuter la démographie de manière de plus en plus dramatique.
    .
  • Il faudrait interroger tous les candidats à la Présidentielle française sur ce point. Tous ? Oui…
    .
  • Concernant maintenant le point sans doute le plus attaqué des propositions de Zemmour concernant sa conception de la « préférence nationale » (le terme même étant traité de « fascisant » depuis des lustres alors que l’on ne peut pas être fonctionnaire sans être justement « Français » au moins sur le papier) est on le sait le suivant : réserver les allocations de solidarité, hors cotisations sociales, aux nationaux, ce qui implique que même les étrangers en situation régulière n’auraient plus le droit de les toucher (CAF, APL, RSA, CMU, AME…). À cela plusieurs conséquences pratiques : avant même de réfléchir sur sa philosophie, concrètement cela va impliquer un sérieux manque à gagner pour beaucoup de foyers d’étrangers. Est-ce que cela va les inciter à repartir vers leur pays d’origine dans lequel ils survivaient et étaient oppressés (mais très peu l’admettent) ?
    .
  • Pas sûr. Mais cela ne veut pas dire que cela ne soit pas salutaire pour ces étrangers, du moins pour ceux qui veulent réellement s’agréger à la nation française et sa culture.
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  • En effet, si dans un premier temps cela peut engendrer beaucoup de tensions et même embarrasser nombre de Français d’origine étrangère jusqu’à ce que cela déclenche des affrontements violents dont il n’est pas sûr que leur émergence puisse être réellement colmatée vu l’état réel actuel des forces de l’ordre et de la justice, par contre cela peut libérer les familles qui veulent s’émanciper durablement de la pression communautariste, mais ont toujours été empêchées par cette dernière de faire le premier pas vers la demande de naturalisation pleine et entière (voir infra). C’est d’ailleurs l’intervention de la loi sur les signes ostensibles qui a relativement protégé la jeunesse de cette pression communautaire, relativement parce que sitôt rentrée dans ses foyers cette jeunesse, en particulier féminine, reste toujours et en permanence harcelée, malmenée, menacée, violentée, parfois brûlée et même tuée sous l’indifférence générale des Autorités et des Milices pseudo-féministes et antifa à leurs ordres.
    .
  • Mais je ne militerai pas pour un « assouplissement », du moins tel quel, des conditions permettant d’acquérir la nationalité française (ou de la réintégrer pour les « Algériens » nés avant 1962 comme ce fut le cas pour ma famille en 1971, présente en France depuis 1954 et obligée de fuir parce que mon père était menacé du fait de sa lutte pour une « Algérie plurielle » et qu’il avait réintégré la religion chrétienne, dominante avant l’invasion arabo-musulmane). Je militerai plutôt pour que la possibilité d’être naturalisé ou de réintégrer la nationalité française soit subordonnée à deux conditions impliquant d’une part une extension de la loi sur les signes ostensibles et d’autre part l’acceptation des nouvelles contraintes liées au regroupement familial (à savoir perdre les allocations dites de « solidarité »).
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  • Ainsi demander la nationalité française ou la réintégrer implique strictement d’accepter ses us et coutumes ce qui implique donc d’une part que le port de signes religieux ostensibles ne soit pas possible non seulement durant la cérémonie, mais en général et en priorité dans les établissements publics et les entreprises privées, transports compris (la « rue » restant libre, mais son « espace commun » reste ouvert à la critique civilisationnelle), et, d’autre part, le fait de demander un regroupement familial implique de voir ses allocations de solidarité être en effet supprimées parce que ce n’est pas du devoir national de la France que de supporter les impérities des pays d’origine, mais plutôt à ces derniers et plus largement à ladite Communauté internationale d’y remédier.
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  • Il n’est en effet pas du tout « équitable » que ne soit pas reconnu le statut de réfugiés économiques qui inciterait, voire forcerait, les structures internationales qui s’occupent de réfugiés en général (irréguliers, mais aussi réguliers) à les prendre en compte. Ceci implique concrètement que ce soit ces structures qui financent des camps de réfugiés édifiés par ailleurs de manière responsable à la différence de ces cloaques comme la « jungle de Calais » ou ces différents sites de réfugiés irréguliers installés dans ces nouveaux bidonvilles qui fleurissent de plus en plus.
    .
  • La France devrait d’ailleurs suspendre ses participations de toutes sortes à ces instances tant qu’elles ne prennent pas à bras le corps ces problèmes, en particulier l’UE, ce qui impliquera de suspendre la somme allouée par la France à cette dernière, et d’opérer en effet la politique dite de la « chaise vide » jusqu’à militer au niveau mondial pour la constitution d’une nouvelle organisation des nations qui pourrait se nommer Alliance des Nations Démocratiques (AND) dans laquelle ne serait acceptées que les nations respectant réellement les libertés de penser, d’entreprendre et de choisir les institutions et le mode de vie adéquats à leur singularité civilisationnelle, du moins dans les limites de la nouvelle Charte reprenant les principes des droits de l’Homme et du Citoyen, mais en les précisant et en les élargissant en conformité avec les acquis civilisationnels atteints aujourd’hui comme l’égalité homme/femme, la liberté de penser, de s’exprimer, de se soigner, d’être instruit en fonction de considérations qui respectent le socle de la Charte indiquant que la liberté est le primat conditionnant l’égalité et la fraternité.
    .
  • De ce fait, il faut proposer également, du moins déjà en France, que la santé ne soit plus sous la dépendance d’un ministère ou d’organismes, qu’ils soient publics ou privés, mais soit prise en charge par le citoyen lui-même via un chèque « santé » qui lui redistribue ses cotisations afin qu’il puisse choisir l’organisme de son choix. L’État ici n’a pas à suspendre les libertés fondamentales, mais à les protéger à partir du moment où la liberté de soins est suffisamment prise en charge par des organismes responsables indépendants des pressions financières et idéologiques.
    .
  • Idem pour l’enseignement qui n’a pas besoin d’un ministère, mais de directives dites d’instructions publiques et non plus d’éducation nationale, les régions départements et communes prenant en charge ces instructions de telle sorte qu’elles veillent à ce qu’une réelle pluralité pédagogique les accompagne, tout en faisant en sorte que le « chèque » d’enseignement distribué à chaque famille soit réellement investi à cet effet.
    .
  • Les enseignants doivent être directement recrutés par les établissements scolaires à partir du moment où ils possèdent un diplôme nationalement reconnu.
    .
  • Le ministère de la Culture doit aussi disparaître et être remplacé par une régionalisation renforcée (du moins lorsque les régions seront redimensionnées dans leur état d’origine [infra]. Les aides et prêts ne doivent plus être dépendants d’organismes idéologiquement orientés, mais réellement pluralistes ce qui implique d’en faire un audit.
    .
  • Les ministères de l’Économie, de l’Industrie et de l’Environnement doivent être regroupés au sein d’un ministère du développement territorial équilibré [DTE] ce qui permettrait d’acheminer les attractions multiformes dont les investissements, de telle sorte qu’aucune région et commune, qu’aucun département soit défavorisé ou au contraire surdimensionné.
    .
  • Ceci implique d’encadrer l’énumération de ces propositions [dont une part est visible dans Intérêt général et bien commun : pour une théorie rénovée de l’Action Publique, 2014] par ces deux points constitutionnels : 1/les principales tâches d’intérêt général comme la sécurité, la défense, les relations diplomatiques restent l’apanage de l’État central et sont sous le contrôle de l’Assemblée nationale. 2/ toutes les tâches propres au « bien commun » [enseignement, santé, développement territorial comprenant les infrastructures énergétiques…] sont l’apanage des instances régionales, départementales, communales, sous le contrôle du Sénat, ce qui implique un rééquilibrage des pouvoirs de décision de ces deux Chambres, considérant par exemple que les députés qui interviennent au sein de l’UE doivent être les mêmes qu’au niveau national [par roulement], qu’il existe aussi une dissociation entre élections présidentielles et législatives, le mandat des premières revenant à sept ans, celui des secondes à cinq ans, mais sur la base d’une proportionnelle majoritaire à un tour ce qui évite les alliances de circonstance et le non-émiettement de la majorité dégagée.
    .
  • Au niveau international, il faudra faire de toute façon un audit des organisations dédiées et des types d’alliances aujourd’hui en vigueur.
    .

À suivre…




USA — Clay Higgins fait un discours fort et inspirant : « Nous n’obtempérerons pas ! »

[Source : L’Informateur. (qactus.fr)]

« Certains d’entre nous sont des Américains libres et nous préférons mourir debout que vivre à genoux. Si vous voulez vous faire vacciner, faites-le. Si vous ne le voulez pas, ne le faites pas. C’est la liberté qui est en jeu et certains d’entre nous sont prêts à mener ce combat avec chaque goutte de leur sang. »



Les Américains réclament la liberté. Nous, le peuple, sommes unis contre un gouvernement en constante expansion « et une dette nationale paralysante. Aucun vrai républicain ne devrait soutenir le programme socialiste Biden. »

« C’est une victoire pour la liberté. Notre lutte contre le mandat inconstitutionnel du vaccin Biden se poursuit… au Congrès et devant les tribunaux. je suis reconnaissant à mon ami @AGJeffLandry pour avoir mené cette contestation judiciaire au nom des travailleurs de la Louisiane.

« Dans une victoire majeure pour la liberté des créateurs d’emplois et de leurs employés, la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit vient d’arrêter la tentative de l’administration Biden d’imposer des vaccins aux entreprises de 100 travailleurs ou plus. »

« Dans une victoire majeure pour la liberté des créateurs d’emplois et de leurs employés, la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit vient d’arrêter la tentative de l’administration Biden d’imposer des vaccins aux entreprises de 100 travailleurs ou plus.

« L’action de la Cour empêche non seulement Biden d’aller de l’avant avec son excès illégal, mais commande également l’examen judicieuse que nous avons demandé.@POTUS n’imposera pas de procédures médicales au peuple américain sans les freins et contrepoids prévus par notre Constitution.#lagov#lalege