Restrictions Delta : Castex manque de plus en plus de cortex

Par Lucien Samir Oulahbib

Dire sans honte, comme Castex, que « 96 % des positifs sont des non-vaccinés » revient à jouer sur la peur et non sur la raison (cortex) : les positifs ne sont pas des malades, le Delta est moins grave que les autres variants, confirme le docteur Gérard Delépine, et nous avons des traitements et de la prévention indique le docteur Guillaume, donc point de besoin de cet essai clinique qui ne donne pas toujours la preuve de son efficacité comme l’admet un récent rapport anglais.

Mais les paranoïaques qui nous gouvernent n’ont cure de ces objections qu’ils considèrent comme du « complot/isme » tout en refoulant leur part de vérité par le dédoublement de personnalité caractéristique du psychotique (Psychose de Hitchcock qui s’était appuyé sur les études de Pierre Janet concernant cette dissociation), ou docteur Jekyll et Mister Hyde, voire le bon la brute et le truand, Castex jouant les deux derniers en même temps sous les traits du premier. Il y arrive cependant très mal. N’est pas Clint Eastwood qui veut…

Au lieu de mettre le paquet en augmentant le salaire des soignants, en leur promettant qu’ils seront protégés par de la prévention et des traitements au cas où, tout en sachant que plus en amont les médecins peuvent donner massivement ces derniers, Castex sans cortex va chercher les poux encore à l’IHU de Raoult parce qu’il aurait mal appliqué des protocolesalors que des millions de personnes participent à une expérimentation cobaye grandeur nature qui a ses milliers de morts, mais en effet noyés dans la masse, tant l’on ne connaît pas encore la fin de l’histoire sinon l’injonction à répétition (Macron confirmant Castex sur l’affaiblissement du système immunitaire : (…)« Je veux m’adresser à ceux qui, vaccinés les premiers, c’est-à-dire en janvier-février, verront prochainement leur taux d’anticorps baisser, leur immunité diminuer », a souligné le chef de l’État. (…)) Mais Zorro est arrivé et une troisième dose est en vue pour les « plus vulnérables » officiellement, pour tous en réalité — faisons-en en effet le pari :

En gros, plus les cobayes prendront des doses, plus certains d’entre eux (et sans doute de plus en plus) verront « leur taux d’anticorps baisser, leur immunité diminuer » (dixit, supra) jusqu’à être de plus en plus dépendants, à la façon de certaines maladies chroniques. Ou comment transformer des bien portants ayant très peu de risques d’en mourir en malades permanents.

Plus fondamentalement, dans ce genre de déraison nihiliste, mais affairiste (que j’ai étudié dans Éthique et épistémologie du nihilisme et divers articles en ligne (autour du néo-léninisme contemporain), le fait d’être bien portant est un outrage ou le sentiment d’être maître de soi alors que la notion même de « maîtrise » s’apparente à de la domination, de la fermeture identitaire ; de la même façon que de dire « je » ou de se considérer comme voulant être acteur de sa vie (le terme « acteur » est interdit chez Bourdieu, Foucault) ; d’où l’idée paradigmatique de voir dans le handicapé, le modèle anthropologique à atteindre (comme l’avait bien vu Jean Baudrillard encore une fois), prélude au devenir cyborg de la troisième révolution bionumérique actuelle et ses fantasmes divers de transhumanisme au sens fort du terme « trans »…

Bien sûr, le lien entre ce cortex collectif, celui de la Secte néo-léniniste (et son faire-valoir post-gaulliste) dominant la Justice, l’Université, les Médias, les plus hauts Conseils, et celui tout simplet de Castex, ne semble pas évident, mais lorsque l’on creuse les convergences, les faisceaux (étymon de fascisme) ne manquent pas : la Secte voit dans le peuple non encore formaté des gens nécessairement « sales, affreux et méchants » qu’il faut désinfecter, casser, remodeler (à la façon du théâtre de la non-méthode dite « Actor’s studio“), éventuellement coopter à la façon d’autrefois les meilleurs indigents, en particulier les nouveaux nymphes et éphèbes.

Il s’agit dans l’ensemble de promouvoir la symbiose globale d’une domination planétaire jet-set : palaces, mignon(nes), le tout combiné façon table de mixage où l’on voit les plus grandes firmes globales s’approprier ce néo-léninisme comme colonne vertébrale de leur CSO (Corps Sans Organes) théorisé par Deleuze, ce maître en « éthique », disait Foucault dans la préface américaine de « Mille plateaux », cette matrice qui se déroule sous nos yeux, comme je l’explique en long et en large (supra) dans l’indifférence générale (ou quasi).

Rendez-vous dans dix ans, cependant : un ami avait prédit dix ans auparavant que cette idéologie mortifère serait vue ainsi dans vingt ans. Dix ans sont passés. Encore dix, donc… Pendant ce temps elle va faire visiblement beaucoup de dégâts, tant elle est désireuse d’Être l’Histoire, son film, son œuvre d’art (à la façon de Wonder Woman revisitant la guerre de 14… en vrai)… Marquer son temps avec le « VACX », car écrire Guerre et Paix ne vaut rien disait Blanchot leur master, mais écrire le Capital oui. Modeler des millions de gens en cobayes expérimentaux, alors là, oui, c’est « géniaaaaal », se moquait Robert de Musil dans L’homme sans qualités.

Game over.




« Nous devons lutter contre la désinformation », déclare l’empire entièrement basé sur la désinformation

[Source : reseauinternational.net]

par Caitlin Johnstone.

Le plus étrange dans le fait que l’administration Biden se charge de la censure de la « désinformation » sur les médias sociaux, c’est que les États-Unis sont la plaque tournante d’un empire mondial qui repose sur la désinformation, qui est entretenu par la désinformation et qui est facilité par la désinformation.

Si le moteur de propagande de l’empire centralisé aux États-Unis cessait de tromper activement le public sur le monde, il s’effondrerait immédiatement. Il y aurait des troubles massifs dans le pays et à l’étranger, les politiques de statu quo seraient abandonnées, les alliances et les coalitions s’effriteraient, les dirigeants officiels et officieux seraient évincés et l’hégémonie unipolaire des États-Unis prendrait fin.

La seule chose qui empêche que cela se produise est l’énorme quantité de richesse et d’énergie qui est déversée pour tromper continuellement le peuple américain et ses alliés sur ce qui se passe réellement dans leurs nations et leurs systèmes politiques, et dans le monde dans son ensemble.

Pour faire croire aux gens qu’ils vivent dans des nations distinctes et souveraines qui fonctionnent indépendamment les unes des autres, au lieu d’être des États membres d’un seul empire non déclaré qui se déplace comme une seule unité sur la scène internationale.

Pour faire croire aux gens qu’ils contrôlent le destin de leur nation par le biais du processus démocratique, alors qu’en réalité, toutes les politiques à grande échelle sont des spectacles de marionnettes scénarisées contrôlées par une classe ploutocratique qui possède à la fois les politiciens et les médias qui en parlent.

Pour faire croire aux gens qu’ils font partie d’un ordre international vertueux fondé sur des règles, qui s’oppose aux régimes totalitaires pour répandre la liberté et la démocratie, au lieu d’un empire tyrannique qui s’emploie à détruire toute nation qui désobéit à ses diktats.

Et surtout, fabriquer l’illusion que le statu quo impérialiste oppressif et exploiteur est normal.

Ce ne sont pas les grands et célèbres mensonges, comme ceux qui ont précédé l’invasion de l’Irak, qui constituent le gros de la colle qui maintient l’empire en place, mais les petits mensonges banals que les médias ploutocratiques nous servent chaque jour. Ceux qui déforment notre vision du monde par des demi-vérités, des déformations et des omissions conçues pour normaliser un statu quo de meurtre, de vol et d’écocide.

Cette normalisation se produit dans la façon dont les experts et les politiciens traitent toute tentative de mettre fin aux guerres ou de redresser les inégalités de revenus comme un extrémisme effrayant et un fantasme irréaliste, alors qu’en réalité, c’est la chose la plus saine et la plus normale au monde et que la seule chose irréaliste à ce sujet est le fait que les tentatives pour faire avancer ces programmes sont toujours sabotées par ces mêmes experts et politiciens.

La normalisation se manifeste également dans la manière dont les guerres sans fin, les morts de faim causées par les sanctions américaines, la menace imminente d’une extinction totale par l’effondrement du climat ou la guerre nucléaire, l’exacerbation rapide des inégalités de revenus et l’accroissement de la tyrannie dans le pays et à l’étranger ne sont pas traités comme des sujets dignes d’intérêt, alors que les potins de célébrités et les querelles partisanes entre Alexandria Ocasio-Cortez et Marjorie Taylor Greene font la une des journaux. Chaque jour, les médias omettent de rendre compte des plus grandes horreurs que l’empire a déchaînées sur notre monde et se concentrent sur des banalités insipides, ce qui contribue à normaliser ces horreurs.

Si les médias de masse existaient réellement pour partager des informations importantes sur le monde, le génocide soutenu par les États-Unis au Yémen ferait la une des journaux tous les jours au lieu d’être mentionné de façon marginale toutes les quelques semaines. Chaque jour où personne n’en parle, cet abus scandaleux est normalisé.

Si les médias de masse existaient réellement pour partager les informations importantes sur le monde, le fait que les Américains deviennent de plus en plus pauvres alors que les milliardaires multiplient leurs richesses pendant la « pandémie » serait porté à l’attention de tous. Chaque jour où personne n’en parle, cet abus scandaleux est normalisé.

Si les médias de masse existaient réellement pour partager des informations importantes sur le monde, le fait que l’armée américaine vienne de dépenser des milliards de dollars pour une occupation de plusieurs décennies de l’Afghanistan qui n’a rien accompli à part enrichir des gens horribles aurait été un scandale national. Chaque jour où personne n’en parle, cet abus scandaleux est normalisé.

Mais les médias de masse n’existent pas pour partager des informations importantes sur le monde. Ils existent pour partager d’importantes désinformations sur le monde. S’ils ne le faisaient pas, le même empire américain qui décrie aujourd’hui la diffusion de la désinformation s’effondrerait dans sa propre empreinte.

L’empire américain est sans exception la force la plus corrompue et la plus destructrice sur cette planète, et de loin. C’est la toute dernière institution sur terre qui devrait être chargée de décider quel contenu en ligne est vrai et ce qui est de la « désinformation ». Absolument la dernière, sans exagération.

Des institutions dépravées qui mentent constamment et qui ont tué des millions de personnes et déplacé des dizaines de millions de personnes depuis le début de ce siècle ne devraient pas être le Ministère de la Vérité pour les systèmes de communication en ligne du monde. Cela devrait être extrêmement évident pour tout le monde.


source : https://caityjohnstone.medium.com

traduit par Réseau International




À Toulon, un afficheur transforme Macron en Hitler avec le slogan : « Obéis, fais-toi vacciner »

[Source : lesmoutonsrebelles.com]

À Toulon, une affiche géante fait apparaître Emmanuel Macron en Hitler, avec le slogan : « Obéis, fais-toi vacciner ». Quelques heures après l’installation de cette affiche, elle a été tagguée du mot « honte ».

C’est l’afficheur controversé Michel-Ange Flori qui est à l’origine de cette provocation qui a été relayée par France Bleu. Il a d’ailleurs réagit au mot « Honte » sur ses affiches en écrivant : « Les fossoyeurs de la liberté d’expression ne supportent pas que je me gausse de leur idole, ils ont courageusement tagué l’affiche du mot Honte de nuit à l’entrée de Toulon et s’en sont pris au texte « fais toi vacciner ».

Alors que des milliers de personnes manifestaient ce samedi en France contre l’instauration du pass sanitaire à partir de la semaine prochaine, l’afficheur provoque une nouvelle fois en prenant part au débat et en affirmant se battre pour la liberté d’expression. Michel-Ange Flori n’en est pas à son coup d’essai. Il utilise fréquemment certains de ses 350 panneaux pour donner son opinion.




Un cas d’école de honte nationale

[Source : Le Saker Francophone]

[Photo : des Pachtounes, par Sylvie Lasserre]

Par Dmitry Orlov – Le 12 juillet 2021 – Source Club Orlov

https://1.bp.blogspot.com/-4epZX5mtnQQ/YOwhFCnVabI/AAAAAAAAL6o/qo49EP5qeLMEPeytzpIJNMN0L7gmVkoTgCLcBGAsYHQ/s400/taliban%2Bfighter.jpg

L’occupation américaine de l’Afghanistan est, heureusement, terminée, et la façon dont elle s’est terminée fait remarquablement miroir à cette initiative qui était complètement malavisé. Les États-Unis se sont retirés au milieu de la nuit, sans avertir leurs alliés et en laissant derrière eux un État fantoche s’effondrant rapidement, qu’ils ont mis en place et soutenu pendant deux décennies, pour un coût de 2 260 milliards de dollars. Pour vous donner un ordre d’idée de ce chiffre, la population de l’Afghanistan est de 38 millions d’habitants ; son revenu annuel par habitant est de 581 dollars. En multipliant les deux ensemble et le tout par 20 ans, on obtient 441,56 milliards de dollars. Ainsi, les dépenses américaines en Afghanistan ont dépassé le PIB du pays par un facteur de cinq !

Et qu’est-ce que cela a donné ? Eh bien, pendant qu’il était sous le contrôle des États-Unis (dans de nombreux cas plus théorique que réel), l’Afghanistan est devenu responsable de 90 % de l’approvisionnement mondial en opium, soit environ 58,5 milliards de dollars par an. Même s’il s’agissait d’un stratagème de corruption visant à utiliser des fonds publics pour s’emparer de l’argent sale de la drogue, l’entreprise afghane s’est avérée pitoyablement inefficace, et c’est probablement la raison pour laquelle le sujet n’est presque jamais abordé. Être dirigé par un gouvernement mafieux n’est peut-être pas particulièrement honteux pour les personnes qui n’ont pas honte, mais être dirigé par un gouvernement mafieux qui ne peut même pas voler correctement est, pour les voleurs, le déshonneur ultime.

Un déshonneur encore plus grand est peut-être de laisser derrière soi des dizaines de personnes que les talibans considèrent comme des collaborateurs américains : des traducteurs et d’autres personnels de service recrutés et employés par les forces américaines et de l’OTAN en Afghanistan au cours des deux dernières décennies. Une chose honorable à faire serait de les faire venir par avion aux États-Unis et de leur donner un endroit où vivre et une pension. La chose déshonorante à faire est ce que les États-Unis font habituellement dans de telles circonstances : abandonner leurs alliés dès qu’ils deviennent inutiles. Le monde entier regarde et la leçon qu’il en tire est la suivante : les États-Unis sont en recul rapide et chaotique, et il est manifestement dangereux d’être un allié américain ou, pire encore, un collaborateur américain.

Mais des sujets aussi importants sont soigneusement ignorés. Ce dont on parle à la place … rien, le son du silence. Joe Biden nous a récemment laissé entrevoir son vide mental interne en déclarant : « Nous sommes allés [en Afghanistan] pour deux raisons : pour… pour… ». Puis son regard vide s’est figé et il a fini par trouver deux explications opportunes : attraper Oussama Ben Laden (qui se trouvait au Pakistan, un allié des États-Unis à l’époque, profitant de sa retraite tranquille de la CIA à côté d’un collège militaire) et combattre le terrorisme (qui est aujourd’hui un problème plus grave que jamais).

Nous pourrions en conclure que l’échec américain en Afghanistan et le fait d’y rester pendant deux décennies était une erreur épouvantable, et c’est certainement le cas, mais cela n’explique pas pourquoi cette erreur a été commise. Pourquoi les empires, en particulier les empires mourants, sont-ils attirés par l’Afghanistan comme des papillons de nuit par une flamme ? L’étude de cas ci-dessous est tirée de mon livre The Five Stages of Collapse. Elle porte sur les Pachtounes, mais, en simplifiant un peu, les Talibans, qui selon toutes les indications seront bientôt à nouveau en charge de l’ensemble de l’Afghanistan, sont des Pachtounes ethniques (ils ont recruté un grand nombre de Tadjiks ethniques ces derniers temps, mais cela ne change pas leur nature fondamentale).

Au-delà de la satisfaction d’un intérêt pour la politique étrangère américaine, l’histoire de l’Afghanistan, et des Talibans dans ce pays, offre une occasion précieuse de changer d’attitude. Vous n’avez peut-être pas une haute opinion d’eux ; en retour, ce qu’ils pensent de vous, c’est que vous devriez vous taire, partir et rester en dehors de tout cela. Vous pouvez être tenté de leur exposer vos tendres sentiments à l’égard de la liberté, de la démocratie, des droits de l’homme, du progrès social et technologique, de l’environnementalisme, de l’égalité des sexes et des droits reproductifs des femmes. Ils ignoreront simplement tout cela comme un bruit idiot et enfantin.

Il y a de fortes chances pour que votre civilisation entière finisse par tomber en poussière et qu’il n’en reste rien, à part quelques armature rouillées sortant du béton fissuré, et eux seront toujours là, comme avant. Votre défi est d’apprendre à les respecter, en sachant pertinemment qu’ils n’auront jamais, au grand jamais, de respect pour vous.

Étude de cas : Les Pachtounes

Parmi les nombreux espaces non gouvernés du monde, il y en a peu qui soient aussi durables et aussi capables de résister aux assauts incessants des empires que les zones tribales pachtounes, qui chevauchent la frontière poreuse et largement théorique entre l’Afghanistan et le Pakistan, y compris la zone tribale pakistanaise du Waziristan. Pour les envahisseurs, il s’agit d’une forteresse invisible mais imprenable qui a résisté à toutes les tentatives de la part d’autorités gouvernementales centralisées d’imposer leur volonté. Le terme « non gouverné » est, comme d’habitude, mal appliqué ici : les Pachtounes ont un système de gouvernance alternatif dont les règles empêchent l’établissement de toute autorité centralisée. Avec plus de quarante millions de personnes, ils constituent l’un des plus grands groupes ethniques de la planète. Leur capacité à résister aux Britanniques, aux Pakistanais, aux Soviétiques et maintenant aux Américains et à l’OTAN en fait l’une des plus grandes réussites anti-impérialistes de notre planète. Qu’est-ce qui constitue la coquille d’une noix si difficile à casser ? C’est une question intéressante, et c’est pourquoi j’ai décidé d’inclure un exposé sur les Pachtounes, la noix la plus difficile à casser de tout le sac de noix tribal.

Une autre question tout aussi intéressante est de savoir ce qui a poussé une succession d’empires à continuer de faire des tentatives futiles pour la casser, en sacrifiant des vies et des trésors pour la conquête d’un morceau de terre rude, farouchement indépendant, inaccessible et pratiquement sans valeur. Ne serait-il pas beaucoup plus simple de laisser les Pachtounes tranquilles et de continuer à utiliser des fusils contre des Pygmées armés de fruits mûrs ? La compulsion de conquête et d’asservissement n’est en aucun cas nouvelle, et les tribus n’ont cessé de conquérir et d’asservir d’autres tribus depuis la préhistoire, mais avec l’émergence des empires mondiaux, un nouvel élément semble avoir été introduit : l’intolérance totale à une indépendance totale. Chaque secteur de la planète, aussi petit soit-il, doit être attribuée à un État internationalement reconnu qui est lié à d’autres États par des traités et des relations juridiques étatiques. L’ordre politique mondial ne peut plus tolérer une seule tache blanche sur la carte politique. Son impératif semble être de forcer chaque groupe humain à s’asseoir à la table des négociations, où les plus puissants (du moins le pensent-ils) ont toujours le dessus, et à signer des documents juridiquement contraignants. L’existence d’un tel point blanc constitue une menace existentielle pour l’ensemble du système, c’est pourquoi les efforts déployés pour l’éliminer sont souvent disproportionnés par rapport à sa valeur ou à sa menace. Comme des extraterrestres, les grands empires arrivent en piqué et disent : « Emmenez-moi à votre chef ! ». Et s’il n’y a pas de chef, et que le seul élément de politique étrangère que cette tribu particulière ait jamais développé est exhaustivement décrit par les mots « partez et laissez-nous tranquilles », alors un malentendu en résulte inévitablement et les choses finissent mal pour les deux parties. Nommer un larbin local pour signer des documents juridiquement contraignants au nom d’un territoire non gouverné qui est censé se comporter comme un État-nation ne fonctionne pas.

Il semblerait que l’État ne puisse pas imposer son autorité sur une région si le système de gouvernance local sous-jacent n’est pas hiérarchique, s’auto-renforce de lui-même et est décentralisé, et s’il a une forte tradition d’unité dans le seul but de se liguer contre les menaces extérieures et une tradition tout aussi forte de tentative de vengeance de toutes les morts injustifiées (comme un membre de la famille tué par un drone américain Predator). C’est le cas des Pachtounes. Leur code de conduite ancien et éternel est le Pashtunwali, ou « la voie pachtoune ». La raison de suivre le Pashtunwali est d’être un bon Pashtoune. En retour, ce que fait un bon Pachtoune est de suivre le Pashtunwali. Ce principe s’auto-renforce car tout Pachtoune qui ne suit pas le Pashtunwali est incapable de s’assurer la coopération des autres Pachtounes et a une espérance de vie très faible, car l’ostracisme équivaut généralement à une condamnation à mort. Chez les Pachtounes, le droit à la vie n’existe pas ; il n’y a que la raison qui le pousse à ne pas tuer quelqu’un sur-le-champ. Si cela vous semble inutilement dur, à quoi vous attendiez-vous ? Un voyage à Disneyland ? Il va sans dire que les Pachtounes ne peuvent pas être séduits par des offres de progrès social et de développement économique, car ce n’est pas le but du Pashtunwali. Le but du Pashtunwali est de perpétuer le Pashtunwali, et il est apparemment très, très bon à cela.

La société pachtoune est classée comme segmentaire, un sous-type d’acéphale (sans chef). Les principales figures d’autorité sont les anciens (maliks) qui servent un chef de tribu local (khan), mais leur position de leader reste à tout moment subordonnée à la priorité accordée aux intérêts de la tribu. Toutes les décisions sont prises par consensus, ce qui limite considérablement le champ d’action unitaire. Toutefois, lorsqu’ils sont confrontés à une menace extérieure, les Pachtounes sont capables de nommer un dictateur et de le servir avec une obéissance absolue jusqu’à ce que la menace soit éteinte.

Le pachtounwali définit les concepts clés suivants : l’honneur (nang) exige une action, quelles qu’en soient les conséquences, dès que le pachtounwali est violé. Il est permis de mentir et de tuer pour protéger son nang. La vengeance (badal) exige « œil pour œil » en cas de blessure ou de dommage, mais permet aussi le paiement d’une compensation pour éviter l’effusion de sang. L’incarcération est considérée comme inacceptable et injuste en toutes circonstances. Elle est considérée comme une ingérence dans la justice, car elle complique le processus de vengeance et empêche le paiement d’une compensation. C’est pourquoi l’Afghanistan a été le théâtre d’évasions spectaculaires de prisons, où des centaines de détenus sont libérés en une seule attaque de type militaire ; l’objectif des assaillants n’est pas seulement de libérer les prisonniers, mais aussi de les tuer plus tard ou de leur demander réparation. La loi de l’hospitalité (nanawatai) exige que tout Pachtoune accueille et donne asile à quiconque le demande. Dans le cadre du nang, l’invité doit être maintenu en parfaite sécurité et à l’abri de tout danger pendant qu’il est invité. Une fois qu’il a franchi le seuil et qu’il n’est plus un invité, il peut être abattu à loisir si une telle action s’avère nécessaire. Les lois interdisant d’héberger des fugitifs, de servir de complice après le fait, d’entraver les enquêtes officielles, etc. sont dénuées de sens et toute tentative de les faire appliquer entraîne automatiquement le badal.

L’organe de gouvernement local pachtoune est la jirga, qui n’est convoquée que pour des occasions spéciales. Elle tire ses racines de la démocratie athénienne, bien que certains spécialistes soutiennent qu’elle lui est antérieure. Les participants se disposent en cercle et chacun a le droit de s’exprimer. Personne ne préside, conformément au principe selon lequel personne n’est supérieur aux yeux du pachtounwali. La décision est basée sur un consensus majoritaire. Ceux qui défient la décision de la jirga s’exposent à un incendie criminel et à un meurtre officiellement sanctionnés. Il est significatif que la jirga ne permette pas la représentation : il s’agit d’une démocratie directe plutôt que représentative. Il est également crucial que la jirga se réserve le droit d’abroger tout accord précédemment conclu, ce qui rend impossible toute relation légale fondée sur un traité entre l’État et les Pachtounes . Enfin, seuls ceux qui suivent le Pashtunwali peuvent participer à une jirga ; tous les étrangers sont automatiquement exclus.

Cela devrait vous donner une idée de la raison pour laquelle le Pashtunwali représente un problème insoluble pour tout empire qui veut dominer les Pachtounes. Jetons maintenant un bref coup d’œil à l’histoire longue et embrouillée de ces tentatives.

Les empires s’y cassent les dents

Le premier empire moderne à avoir eu maille à partir avec les Pachtounes est l’empire britannique, qui a tenté avec optimisme de leur imposer le code pénal indien. Lorsque les Pachtounes ont refusé de reconnaître ce code comme juste, il en a résulté un carnage considérable. Les Britanniques ont abandonné alors toute tentative d’imposer un système de justice et ont recouru plutôt à des moyens administratifs : leur politique de frontières fermées vise à séparer les tribus des plaines de celles des collines. Cette politique n’a pas réussi à arrêter le carnage et a été abandonnée après trente ans. Finalement, les Britanniques ont été contraints de recourir à des accommodements en reconnaissant le droit tribal pachtoune. Puis ils se sont vidés de leur sang et sont partis dans une précipitation inconvenante, laissant les Pachtounes aux Pakistanais, qui pratiquaient eux aussi des accommodements. Le mouvement taliban, qui est majoritairement dirigé par des Pachtounes, a été reconnu par le Pakistan. Le Pakistan s’est contenté de permettre l’autonomie des Pachtounes jusqu’au 11 septembre 2001. Depuis lors, il a été contraint de faire au moins semblant d’imposer son autorité aux Pachtounes, afin de donner l’impression de coopérer avec ses alliés américains, bien qu’il ne reste plus grand-chose de cette coopération aujourd’hui.

Les Soviétiques ont débarqué en Afghanistan dans un effort malavisé pour défendre le socialisme contre les tendances régressives contre-révolutionnaires, conformément à la doctrine Brejnev. Ils ont tenté en vain d’éradiquer les identités ethniques et religieuses par une stratégie de répression et ont réussi, pendant un certain temps, à consolider le contrôle des zones urbaines tandis que la résistance, principalement pachtoune, prenait pied dans les collines entourant Kaboul, la capitale . Ils ont également bombardé sans relâche la frontière afghano-pakistanaise pour créer un no man’s land. Ce faisant, ils ont échoué dans les grandes largeurs, créant une crise de réfugiés de très grande ampleur et assurant ainsi à leurs ennemis un large soutien international. Une fois que, grâce aux efforts de la CIA (qui travaillait en étroite collaboration avec Oussama Ben Laden), les Pachtounes ont acquis des missiles anti-aériens Stinger, les Soviétiques ont progressivement perdu la capacité de poursuivre la campagne aérienne.

Les efforts déployés par les Soviétiques pour gagner le cœur et l’esprit des Pachtounes ont également été un échec spectaculaire. Le pachtounwali exigeait une vengeance pour les actions militaires des Soviétiques, même de la part des Pachtounes les plus ambivalents. Les quelques anciens que les Soviétiques ont réussi à coopter par l’intimidation ou la corruption ont rapidement perdu le soutien de leurs partisans. Les Soviétiques se sont retirés en 1988, n’ayant fait aucun progrès et ayant perdu la volonté politique de réussir. Ce fut un conflit coûteux, sans aucun bénéfice.

Les Américains (et quelques troupes de l’OTAN) sont actuellement en train de répéter l’expérience soviétique, avec des résultats très similaires. Voici un joli petit fait pour illustrer ce point : le 18 mars 2012, Hamid Karzai, le président de l’Afghanistan imposé par les Américains et un Pachtoune de souche (mais un apostat évident du Pachtounwali) dénonçait les Américains comme étant des  » démons «  engagés dans des  » actes sataniques. «  Les Américains ont rapidement réagi… en ne disant rien et en faisant encore moins. Puis ils ont fait appel à des médias aux ordres bien pensants qui ont déclaré que l’Afghanistan était encore, potentiellement, « une bonne guerre ». Ainsi, le résultat de l’invasion américaine de l’Afghanistan était prévisible : les Américains font comme si rien ne s’était passé. Lorsqu’ils seront forcés d’en discuter, ils resteront dans l’illusion. Mais surtout, elle ne fait pas la une des journaux, et les Américains ne savent plus, ou ne se soucient plus, de ce qui se passe là-bas. Au départ, les États-Unis sont entrés en Afghanistan avec l’illusion qu’ils y trouveraient Oussama Ben Laden (alors que, si l’on en croit les informations, Oussama était au Pakistan, vivant tranquillement à côté d’une école militaire). Si les avions de ligne recommencent à s’écraser sur des gratte-ciel, il y a de fortes chances pour qu’une autre tribu soit « bombardée pour la renvoyer à l’âge de pierre ».

Une approche qui fonctionne

Il est difficile, mais pas impossible, d’engager un dialogue constructif avec les Pachtounes : en des temps meilleurs, les Pakistanais ont été les plus proches de le faire. Ils ont offert gratuitement les quelques cadeaux importants que les Pachtounes étaient prêts à accepter et à apprécier. Ils ont offert aux Pachtounes un sentiment de participation en leur donnant une large audience et une voix. Ils ont fourni un horizon temporel illimité pour engager les Pachtounes en tant que voisins permanents, en construisant des liens traditionnels et des relations à long terme. Ces activités reposaient sur la conviction que les tentatives d’imposer l’ordre sans autorité légitime sont vouées à l’échec et sur la prise de conscience qu’avec les Pachtounes, une telle autorité légitime doit nécessairement venir de l’intérieur et rester autonome et décentralisée.

Le succès de ces accommodements s’explique en partie par le fait que le Pakistan est un État faible aux ressources limitées. Mais tant qu’il y aura de puissants empires militaires sur la planète (plus pour très longtemps, espérons-le), nous devrons nous attendre à ce que l’un d’entre eux vienne périodiquement et, comme ceux qui l’ont précédé, se casse les dents sur le Pashtunwali. On pourrait penser qu’ils apprendront de leurs erreurs respectives, mais voici une règle simple à retenir : l’intelligence d’un groupe de personnes hiérarchiquement organisé est inversement proportionnelle à sa taille, et les grands empires militaires sont si grands, et par conséquent si stupides, qu’ils n’apprennent jamais, jamais rien.

Dmitry Orlov

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Fit for 55 – Le Pacte vert européen et l’effondrement industriel de l’Europe

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par F. William Engdahl

L’une des rares déclarations honnêtes de Bill Gates a été sa remarque, début 2021, selon laquelle si vous pensez que les mesures du Covid sont mauvaises, attendez les mesures pour le réchauffement climatique. L’Union européenne est en train d’imposer, de haut en bas, les mesures les plus draconiennes à ce jour, qui détruiront effectivement l’industrie moderne à travers le visage des 27 États de l’Union européenne.

Sous de jolis noms tels que « Fit for 55 » et European Green Deal [Pacte vert pour l’Europe], des technocrates non élus finalisent à Bruxelles des mesures qui provoqueront le pire chômage industriel et le pire effondrement économique depuis la crise des années 30. Des industries telles que l’automobile ou le transport, la production d’électricité et l’acier sont sur la sellette, tout cela pour une hypothèse non prouvée appelée réchauffement climatique d’origine humaine.

Alors que la plupart des citoyens de l’UE ont été distraits par des restrictions sans fin concernant une « pandémie » de type grippal appelée Covid-19, les technocrates de la Commission européenne à Bruxelles ont préparé un programme de désintégration planifiée de l’économie industrielle de l’UE. L’aspect pratique d’un groupe supranational non élu, loin de Bruxelles ou de Strasbourg, est qu’il n’a pas de comptes à rendre à de véritables électeurs. Ils ont même un nom pour cela : Le déficit démocratique. Si les mesures sur le point d’être finalisées par la Commission européenne, sous la direction de la présidente allemande Ursula von der Leyen et du technocrate néerlandais Frans Timmermans, vice-président chargé du réchauffement climatique, sont adoptées, voici un aperçu de ce qui se passera.

« Fit for 55 »

Le 14 juillet, la Commission européenne présente son programme vert « Fit for 55 ». Bien que le titre ressemble davantage à une publicité pour un centre de santé pour personnes d’âge moyen, il s’agira du programme de désindustrialisation le plus draconien et le plus destructeur jamais imposé en dehors de la guerre.

Fit for 55 sera le cadre central des nouvelles lois et règles de Bruxelles pour réduire considérablement les émissions de CO2, en utilisant des systèmes tels que les taxes sur le carbone, les plafonds d’émission et les systèmes de plafonnement et d’échange.

En avril 2021, la Commission européenne a annoncé un nouvel objectif européen en matière de climat : Les émissions doivent être réduites de 55% d’ici 2030 par rapport à 1990, contre 40% précédemment. D’où le joli nom « Fit for 55 ». Mais l’industrie et la main-d’œuvre des États membres de l’UE seront tout sauf en bonne santé si ce plan est mis en œuvre. En clair, il s’agit d’un fascisme technocratique imposé sans débat public à quelque 455 millions de citoyens européens.

Ce « Fit for 55 » représentera la première fois au monde qu’un groupe de pays, l’UE, impose officiellement un programme visant à imposer un absurde « zéro » CO2 d’ici 2050 et une réduction de 55% du CO2 d’ici 2030. Le tsar du Pacte vert pour l’Europe, le commissaire Frans Timmermans, a déclaré en mai : « Nous allons renforcer le système d’échange de quotas d’émission de l’UE, actualiser la directive sur la taxation de l’énergie et proposer de nouvelles normes de CO2 pour les voitures, de nouvelles normes d’efficacité énergétique pour les bâtiments, de nouveaux objectifs pour les énergies renouvelables et de nouvelles façons de soutenir les carburants propres et les infrastructures pour des transports propres ». En réalité, il détruira l’industrie des transports, de l’acier, du ciment ainsi que la production d’électricité à partir de charbon et de gaz.

Voici les principales parties du sinistre Fit For 55.

Voitures et camions

L’un des principaux objectifs du « Pacte vert » pour l’UE sera de prendre des mesures qui obligeront les véhicules à moteur à combustion interne – voitures et camions à essence ou diesel – à respecter des limites d’émissions de CO2 si punitives qu’ils seront contraints de quitter les routes d’ici 2030, voire plus tôt. Le plan modifiera l’objectif actuel d’une réduction de 37,5% des émissions de CO2 des véhicules d’ici à 2030 pour le remplacer par un objectif de zéro émission d’ici à 2035, selon la rumeur.

Le 7 juillet, une coalition de syndicats, d’entreprises du secteur des transports et de fournisseurs, dont la Confédération européenne des Syndicats et l’Association des Constructeurs européens d’Automobiles, a adressé un appel urgent au tsar de l’écologie, Frans Timmermans. Ils ont déclaré : « …nous voulons voir la transformation industrielle et l’innovation en Europe, plutôt que la désindustrialisation et les perturbations sociales ». La lettre souligne que l’UE n’a aucun plan pour une soi-disant « transition juste » pour l’industrie automobile européenne, notamment aucune nouvelle formation qualifiante pour les travailleurs déplacés : « Actuellement, il n’existe aucun cadre de ce type pour les 16 millions de travailleurs de notre écosystème de mobilité, et notamment pour le secteur automobile européen, qui est un moteur de l’emploi industriel ».

Il ne s’agit pas d’un problème mineur, car la transition des voitures et camions à moteur à combustion interne vers les voitures électriques entraînera une perturbation sans précédent des chaînes de fournisseurs automobiles actuelles. La lettre souligne qu’à l’échelle de l’UE, le secteur automobile compte 8,5% de tous les emplois manufacturiers européens et a produit en 2019 près de 10% du PIB de la seule Allemagne, ainsi que 40% des dépenses de recherche et développement du pays. L’UE représente aujourd’hui plus de 50% des exportations mondiales de produits automobiles. Ils soulignent que la transition vers les véhicules zéro CO2 entraînera la perte d’au moins 2,4 millions d’emplois qualifiés et bien rémunérés dans l’UE. Des régions entières seront déprimées. La lettre souligne que Bruxelles n’a même pas encore dressé la carte des conséquences du Pacte vert pour le secteur automobile.

En avril, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a indiqué qu’en juillet, Fit for 55 pourrait étendre un système d’échange de quotas d’émission de carbone (SEQE) draconien au-delà des centrales électriques ou de l’industrie pour couvrir le transport routier et les bâtiments dans le cadre d’un ajout « pollueur-payeur ». Le lien avec le SEQE imposera automatiquement des pénalités financières aux conducteurs ou aux propriétaires, au-delà des taxes actuelles sur le carbone, malgré un impact très limité de quelque 3% sur les émissions. Cette mesure, qui s’ajoute au renforcement des normes d’émission des voitures, portera un coup fatal aux consommateurs et à l’industrie. Lorsque le gouvernement français a imposé une telle taxe carbone en 2018, elle a déclenché les manifestations nationales des Gilets jaunes et a obligé Paris à la retirer.

Acier

Le plan drastique de l’UE contient de nouvelles dispositions qui signifieront des changements radicaux pour les industries européennes de l’acier et du ciment, grandes consommatrices d’énergie. L’acier est la deuxième plus grande industrie au monde après le pétrole et le gaz. Actuellement, l’UE est le deuxième plus grand producteur d’acier au monde après la Chine. Sa production s’élève à plus de 177 millions de tonnes d’acier par an, soit 11% de la production mondiale. Mais le plan Timmermans introduira de nouvelles mesures qui pénaliseront ostensiblement les importations d’acier en provenance de producteurs « sales », mais qui, en fait, rendront l’acier européen moins compétitif au niveau mondial.

Des fuites dans le plan de l’UE indiquent qu’elle prévoit de supprimer les permis de polluer actuellement gratuits du SEQE pour les industries à forte intensité énergétique telles que l’acier ou le ciment. Cela portera un coup dévastateur à ces deux industries essentielles. Ils l’appellent le Mécanisme d’Ajustement du Carbone aux Frontières. Comme le souligne le Center for European Policy Network, les exportateurs européens d’acier « ne recevront aucune compensation pour la suppression de l’allocation gratuite. En conséquence, ils subissent des désavantages concurrentiels considérables par rapport à leurs concurrents des pays tiers ».

Taxes sur le carbone du charbon

Le nouvel objectif climatique de 55% de l’UE pour 2030 implique une élimination quasi-complète du charbon d’ici à 2030 dans l’ensemble de l’UE. L’Allemagne, qui est de loin le plus grand consommateur d’électricité au charbon de l’UE, sera touchée. Le gouvernement allemand, dont l’électricité est déjà la plus chère du monde en raison de la transition de l’Energiewende de Merkel vers des énergies solaire et éolienne peu fiables, qui entraînera la fermeture de la dernière centrale nucléaire en 2022, vient d’abandonner son projet d’élimination progressive du charbon d’ici à 2038. Elle abandonnera le charbon bien plus tôt, mais pour des raisons politiques évidentes en cette année électorale, elle n’a pas révélé sa nouvelle date « zéro charbon ».

Il est déjà évident qu’il est absurde de croire que l’UE, et en particulier l’Allemagne, sera en mesure d’atteindre le « zéro charbon » d’ici 2030, en le remplaçant non pas par du gaz naturel, mais par des énergies solaire et éolienne peu fiables. Le 1er janvier 2021, dans le cadre du mandat du gouvernement sur la réduction de la puissance du charbon, 11 centrales électriques au charbon d’une capacité totale de 4,7 GW ont été fermées. Cet arrêt progressif a duré huit jours, car plusieurs des centrales au charbon ont dû être reconnectées au réseau pour éviter les pannes dues à une période prolongée de vents faibles. Les centrales au charbon fermées ont reçu l’ordre de fonctionner en mode de réserve, aux frais des consommateurs. La commission gouvernementale de Berlin qui a rédigé le plan d’élimination progressive du charbon ne comprenait aucun représentant de l’industrie de l’électricité ni aucun expert en réseaux électriques.

Avec le nouvel élément du plan destructeur Fit for 55 de la Commission européenne, le cœur de l’industrie européenne, l’Allemagne, est préprogrammé non seulement pour un chômage industriel sévère dans les secteurs de l’acier, du ciment et de l’automobile. Elle est également préprogrammée pour des pannes d’électricité comme celle qui a dévasté le Texas au début de l’année 2021 lorsque les éoliennes ont gelé. En 2022, en Allemagne, comme nous l’avons indiqué, la dernière centrale nucléaire ainsi que d’autres centrales au charbon seront fermées, ce qui entraînera la suppression de 3% de l’électricité. En outre, 6 000 éoliennes seront également fermées en raison de leur âge, soit une réduction totale de 7%. Pourtant, l’ajout prévu de nouvelles éoliennes et de nouveaux panneaux solaires est loin de remplacer cette baisse, de sorte que d’ici 2022, l’Allemagne pourrait connaître un déficit de capacité de production de 10 à 15%.

La Grande Réinitialisation du FEM et le Pacte vert de l’UE

Ce que les citoyens sains d’esprit ont du mal à comprendre dans ce « Fit for 55 » de l’UE, dans la « Grande Réinitialisation » de Davos ou dans l’Agenda 2030 de l’ONU, c’est qu’il s’agit d’un plan technocratique délibéré pour la désintégration de l’économie, sous l’excuse frauduleuse d’un danger de réchauffement climatique non prouvé, qui prétend – sur la base de modèles informatiques douteux qui ignorent l’influence de notre soleil sur les cycles climatiques de la Terre – que nous verrons une catastrophe d’ici 2030 si le monde ne réduit pas les émissions de CO2 inoffensives et essentielles à la vie.

Le Forum économique mondial de Davos, toujours actif, joue également un rôle important dans l’élaboration du « Pacte Vert » pour l’Europe de la Commission européenne, dans le cadre de sa Grande Réinitialisation. En janvier 2020, le Forum économique mondial, lors de sa réunion annuelle à Davos, a réuni des leaders de l’industrie et du monde des affaires avec le vice-président exécutif Frans Timmermans pour étudier comment catalyser le Pacte vert pour l’Europe. Le dévoilement du 14 juillet par Bruxelles en est le résultat. Le FEM soutient le groupe d’action des PDG pour le Pacte vert européen afin que les grandes entreprises soutiennent le plan dystopique de Bruxelles.

F. William Engdahl

Article original en anglais :

“Fit for 55”: The EU Green Deal and the Industrial Collapse of Europe

Traduit par Réseau International
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © F. William Engdahl, Mondialisation.ca, 2021




Pass sanitaire : la majorité sénatoriale va saisir le Conseil constitutionnel

[Source : sudouest.fr]

[© Crédit photo : D.LE DEODIC/SUD OUEST / SUD OUEST]


Tout en rappelant « ne pas être antivaccins », les sénateurs LR et centristes contestent une « stratégie de masse » et demandent un meilleur équilibre dans la protection des libertés publiques.

Les groupes LR et centriste, qui composent la majorité sénatoriale, ont annoncé jeudi qu’ils saisiraient le Conseil constitutionnel après l’adoption du projet de loi prévoyant l’extension du pass sanitaire. « Lors de son examen au Sénat, nous veillerons à trouver le meilleur équilibre entre la nécessité de combattre la propagation du virus et la protection de nos libertés publiques », affirment les présidents des groupes LR Bruno Retailleau et centriste Hervé Marseille dans un communiqué commun.

« C’est ainsi que conscients de cette exigence, nous saisirons le Conseil constitutionnel (…) pour avoir toutes les garanties possibles », ajoutent-ils. « Personne de raisonnable ne peut méconnaître l’importance qu’il y a à protéger par le vaccin la population », déclarent les deux chefs de file, soulignant qu’une extension du pass sanitaire « comportera des conséquences importantes sur nos vies quotidiennes ».

Décision « sournoise »

Dans une tribune diffusée mercredi soir sur le site du Figaro, l’eurodéputé LR François-Xavier Bellamy et le sénateur centriste Loïc Hervé jugent la liberté en France « gravement menacée ».

Les deux élus soulignent que « s’opposer au pass sanitaire n’est pas être antivaccins » mais ils contestent « la stratégie de masse » choisie pour la vaccination qui leur « semble hors de toute mesure » et relève selon eux de la « déraison ». Du côté des députés, l’Insoumis François Ruffin, qui précise être en cours de vaccination et être « 0 % antivax », accuse Emmanuel Macron de décision « sournoise » sur le pass sanitaire qui revient à rendre la vaccination ogligatoire, selon lui. « Je sens la jouissance du tyran », ajoute-t-il avec ironie.

Le texte du gouvernement qui transcrit les nouvelles dispositions annoncées lundi par Emmanuel Macron face à l’explosion du variant delta doit être présenté lundi en Conseil des ministres, puis examiné mercredi par l’Assemblée nationale et ensuite jeudi soir et vendredi par le Sénat.




France : La loi du 21 juillet d’extension du pass sanitaire était déjà dans les tuyaux il y a 7 mois !

[Source : Nexus]

Par Charles-Maxence Layet

Rappelez-vous, le 21 décembre 2020 (par ailleurs date d’anniversaire de notre Président actuel), le premier ministre Jean Castex déposait un projet de loi souhaitant instituer un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires. Prévue au départ pour être débattue rapidement, la présentation de ce projet de loi a finalement été repoussée de quelques mois suite aux vives critiques du texte à droite, à gauche et à l’extrême droite, que certains interprétaient alors comme une obligation vaccinale détournée. Cette fois, ce n’est plus avant Noël, mais le 21 juillet 2021, soit une semaine avant le mois d’août que le Gouvernement revient à la charge. Au mot près. Sans susciter cette fois beaucoup de vagues au sein de la classe politique… Comparons.

◆ Première tentative d’un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires »

21 décembre 2020, le projet de loi n°3714 arrive au bureau de l’Assemblée nationale. Son ambition, explique le Premier Ministre est de « bâtir un cadre robuste et cohérent à partir des dispositions qui préexistaient à la crise et de celles mises en place à cette occasion ». En clair « de substituer à ces dispositions, conçues dans des circonstances particulièrement contraintes et pour faire spécifiquement face à l’épidémie de covid‑19, un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles. »

« La refonte prévue par le présent projet de loi distingue deux niveaux d’intervention selon la gravité de la situation et la nature des mesures à prendre pour y faire face : l’état de crise sanitaire, d’une part, et l’état d’urgence sanitaire, d’autre part. Ces deux régimes pourront rester parfaitement autonomes mais ils pourront également s’inscrire dans le prolongement l’un de l’autre, car l’état de crise sanitaire pourra être déclenché avant comme après l’état d’urgence sanitaire, soit pour juguler une crise naissante qui n’a pas encore l’ampleur d’une catastrophe sanitaire, soit pour mettre un terme durable aux effets d’une catastrophe qui n’aura pu être empêchée. Pendant la catastrophe sanitaire elle‑même, c’est le régime de l’état d’urgence sanitaire qui s’appliquera avec ses prérogatives propres auxquelles s’ajouteront celles de l’état de crise sanitaire, applicables de plein droit », précise le Premier Ministre.

Qui ajoute :

« Il est en outre proposé de bâtir un cadre pérenne des systèmes d’information de crise, une disposition législative étant nécessaire pour autoriser, dans la stricte limite nécessaire à leur objet, des dérogations au secret médical, comme c’est actuellement le cas pour les systèmes créés pour la crise de la covid‑19. »

◆ Exit le secret médical ?

Le projet de loi prévaut notamment l’ajout dans le Code de Santé Publique d’un chapitre spécifique aux « Systèmes d’informations » comprenant une

« sous-section qui établit un régime pérenne autorisant la création, par décret en Conseil d’État, après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés, de traitements de données personnelles dérogeant au secret médical dans les situations sanitaires exceptionnelles qui le justifient. »

Mais c’est une autre disposition que celles « des dérogations au secret médical » ou celles, nouvelles, de la mise en quarantaine ou en isolement des personnes contaminées ou cas contact, qui va particulièrement faire débat et entrainer le report du projet de loi. Celle de

« subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, (…) au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin. »

◆ Retrait en décembre

Car fin décembre 2020, les réactions au projet de loi 3714 se sont multipliées au sein de la classe politique, certains n’hésitant pas à exprimer leurs craintes quant à la mise en place d’un « passeport sanitaire » pour pouvoir se déplacer ou pratiquer certaines activités, alors que l’expression ne figure pas dans le texte.

Ces critiques sont d’abord liées à une phrase qui cristallise l’opposition :

« subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. »

Après les vives polémiques suscitées par son projet de loi sur la gestion pérenne des crises sanitaires, l’exécutif décide finalement le jour-même ou presque de mettre le pied sur le frein. Annonçant repousser de quelques mois l’examen de ce projet de loi. Et ces quelques mois… c’est maintenant !

◆ … Retour en juillet ?

Le ton est donné avec l’article 1 du projet de loi sur l’adaptation de nos outils de gestion de la crise sanitaire. Présenté au conseil des ministres le 19 juillet, puis à l’assemblée nationale le 21 juillet 2021, ce texte prévoit de :

« Subordonner l’accès des personnes à certains lieux, établissements ou événements à la présentation soit du résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19, soit d’un justificatif de statut vaccinal concernant la covid-19, soit d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19 pour :
« a) Les activités de loisirs ;
« b) Les activités de restauration ou de débit de boisson ;
« c) Les foires ou salons professionnels ;
« d) Les services et établissements accueillant des personnes vulnérables, sauf en cas d’urgence ;
« e) Les grands établissements et centres commerciaux. »

La feuille de route a été divulguée le 12 juillet dernier. Et l’examen par le Conseil d’État de ce nouveau projet de loi est en cours.

Regardons les mots employés entre les versions de décembre et de juillet. C’est à dire à peine 7 plus tard. Les similitudes sont frappantes. Le procédé aussi. Exit en revanche la référence à une « gestion pérenne », place cette fois à « l’adaptation de nos outils de gestion ». Si l’intitulé a changé, le contenu des mesures restent étonnamment proche. Quand à la période choisie, il ne s’agit plus non plus de la période de Noël cette fois, mais bien du coeur des vacances d’été. Il est certain que cette période est la plus représentative d’une vie démocratique exemplaire.

Il est toujours question de pass sanitaire, mais aussi d’isolement. Ce qui concerne le secret médical a disparu en revanche de l’avant-projet de loi du 21 juillet 2021.

◆ Un plan bien préparé ?

Premièrement, on l’aura compris, ce qui nous arrive est en fait tout sauf improvisé, ni fignolé à la va-vite.

Le cadre annoncé le 12 juillet s’avère en réalité proposé dès le 21 décembre 2020.

Et le projet de loi du 21 décembre 2020 soumis à l’avis du Conseil d’État le 3 décembre.

Et en ce qui concerne la dérogation au secret médical, le projet de loi du 21 juillet 2021 bénéficie fort opportunément de l’avis de la CNIL remis le 1er juillet dernier. Délibéré faisant suite à une demande de modification de decret datant du 12 mai 2021 et pour laquelle la CNIL rappelle, « qu’en principe, elle n’est pas favorable à la constitution, pour les médecins, de listes de leurs patients non vaccinés. » La CNIL « estime néanmoins que le contexte sanitaire peut justifier l’envoi aux médecins traitants, de façon sécurisée, de la liste de leurs patients non vaccinés à la COVID-19, mais uniquement s’ils en font la demande (…) l’obligation pour le médecin de détruire la liste à l’issue de la campagne de sensibilisation. »

◆ Des mesures disproportionnées

Une autre réflexion porte sur la proportionnalité des mesures annoncées. L’avis du conseil d’état du 20 décembre 2020, ne cesse de le rappeler les mesures doivent être proportionnées, et que seule une menace ou une crise sanitaire « grave » peut justifier de telles décisions.

Alors que le nombre de décès ne cesse de diminuer, et que le taux de vaccinés « prémunis » contre les formes graves du virus augmentent, voire que les traitements précoces font de mieux en mieux la preuve de leur efficacité, sommes nous dans une situation sanitaire « grave » justifiant ces mesures autoritaires et restrictives ? La menace justifie-t-elle l’instauration d’un « état policier » pour reprendre les mots du philosophe et député européen François-Xavier Bellamy, chef de file des Républicains à Bruxelles ? Comme beaucoup, je le ne crois pas.

Et c’était aussi officiellement l’avis du gouvernement en décembre 2020. « À Matignon, on insiste sur le fait que ces mesures ne s’appliqueront pas forcément pour l’épidémie que nous vivons actuellement », rapportait, rassurant, le quotidien 20 minutes le 22 décembre dernier.

C’était aussi l’avis du Conseil d’État le 20 décembre 2020. « En repoussant l’étude de ce texte, le gouvernement a ainsi suivi les recommandations du Conseil d’État », expliquait Capital le 23 décembre 2020. Dans son avis publié en début de semaine, l’institution a jugé ce texte un peu prématuré. Elle 

« estime que la réflexion engagée pour définir un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires devra être poursuivie à l’issue de l’épidémie afin de tirer les enseignements de l’évaluation de la gestion de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19 ».

La suite, vous la connaissez. Elle a été annoncée sur les ondes le 12 juillet 2021. Elle s’appelle désormais « pass sanitaire », « incitation vaccinale » et « accompagnement à la vaccination », dans le silence aussi surprenant qu’assourdissant des ténors politiques pourtant vent debout sept mois plus tôt.

Charles-Maxence Layet

#PassSanitaire

Sources :




Lettre de Véronique Lévy, sœur de BHL* et convertie au Christianisme

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

Par Véronique Lévy

[* : BHL = Bernard Henry Lévy]

« Monsieur Macron, toute mon enfance j’ai entendu parler de la dictature nazie ou stalinienne… Mon frère — que vous avez reçu dans vos salons élyséens — voyait des collabos à chaque coin de rue… J’ai vécu dans cette terreur fantôme et aujourd’hui, vous vous comportez comme un tyran de mascarade SS…

Et je le dis devant le peuple béni de France… Oui je le dis devant ce peuple que vous méprisez, déchirez… Ce pauvre peuple si patient que vous avez confiné, humilié et qu’aujourd’hui, vous montez en factions vaccinés/non vaccinés… Ce peuple si patient est un peuple de la liberté et vous ne piétinerez plus sa fierté, sa dignité. Réfractaires, nous le serons et c’est nous qui renverserons la bête! « La bête de l’évènement », disiez-vous avec cynisme et vous avez testé les Français depuis un an…

Et aujourd’hui, vous provoquez la Mère des petits, des pauvres, des humiliés dans son sanctuaire… Ces Pauvres de Marie qui ne seront jamais parqués par les transhumanistes eugénistes appliquant les programmes de messieurs Attali et Alexandre… La « solution finale » modifiant le génome humain avec un vaccin faisant l’inventaire tous les trois mois des populations terrorisées par un hypothétique variant, pour les rendre serviles, soumises, labellisées, conformes à vos phantasmes d’un monde arraché à sa liberté dont l’Autre Nom est l’Éternel.

Et l’Éternel des Armées ne vous permettra pas de profaner le génome humain qui est Sa Signature, Son écriture, Son poème!

Homme à l’image irréductible car, c’est le Visage de Dieu Qui y rayonne.

Et pour l’éternité.

Moi, fille du Verus Israël qu’est l’Église du Christ, fille de France et de la liberté, je vous le dis : le peuple ne se couchera pas ! Aux terrasses, dans les gares, ou ailleurs, il ne présentera pas sa pièce d’identité ou de « santé conforme » pour satisfaire vos délires de pureté sanitaire! On ne laissera pas mourir les non vaccinés aux portes des hôpitaux ; interdits aux non testés, comme jadis « interdit aux juifs », aux homosexuels, aux lépreux, aux intouchables, aux pestiférés… aux prêtres réfractaires. Vous ne séparerez plus les familles ; vous ne ferez pas injecter les enfants! Vous ne censurerez plus la vérité ! c’est la bête qui se couchera !

Vous êtes allé trop loin, monsieur Macron.

Moi,
Véronique
Jeanne




Que cherche à faire notre Néron national en montant les vaccinés contre les non-vaccinés ?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dominique Muselet

C’est au moment de l’incendie de la cathédrale Notre Dame que je me suis dit que le tyran de l’histoire auquel Macron ressemblait le plus était Néron, un mélange de bouffon et de pervers narcissique mégalomane. J’imagine très bien Macron jouant de la lyre et chantant sur le toit de l’Elysée entouré des bloggeurs  Mcfly et Carlito et des danseurs de la communauté LGBT, à côté de l’hélicoptère prêt à l’emmener en Arabie saoudite, le paradis des dictateurs, si les choses se gâtent, pendant que Notre-Dame brûle. Je parie que je ne suis pas la seule, et d’ailleurs je serais curieuse de connaître le nombre d’incidences sur Internet où les termes pyromane, incendiaire, enflammer, etc. sont associés à Macron.

Au pouvoir par effraction

Comme Macron, Néron est arrivé au pouvoir par  « effraction ». Sa mère, Agrippine, a d’abord réussi à évincer Britannicus, le légitime héritier du titre d’empereur, exactement comme la Caste a réussi à éliminer Fillon avec la complicité de procureurs et de juges corrompus. Puis Agrippine a fait assassiner son mari, l’empereur Claude. La Caste n’a pas eu besoin d’assassiner Hollande, il s’en est chargé tout seul !

Néron et Macron sont montés très jeune sur le trône. Aussitôt en place, ils se sont débarrassés de leur dernier challenger, Néron de Britannicus, et Macron de Mélenchon.

Lassés de par la gente féminine, Néron a fini par faire assassiner sa mère, tandis que Macron épousait symboliquement la sienne. Autres temps, autre mœurs.

Aujourd’hui, la Caste politico-financière qui détient tous les pouvoirs dans presque tous les pays du monde, n’a plus besoin de répandre le sang pour s’imposer. Elle préfère la manipulation (ingénierie sociale, nudging, stratégie du choc, division, etc.), la propagande, le mensonge et la délation, la corruption, les alliances entre milliardaires, politiciens et crime organisé, l’instrumentalisation des institutions et de l’appareil d’Etat, ainsi que la surveillance, le chantage, l’intimidation, la répression tous azimut des simples citoyens, tandis que les délinquants ne sont pas inquiétés. Ce sont des méthodes que les progrès technologiques et la puissance des médias ont rendues beaucoup plus efficaces et maniables que la violence physique, même si les puissants ne reculent pas devant l’assassinat (souvent déguisé en suicide) quand cela les arrange.

Révolution de couleur.
Source : conspiracywatch.info

De même, à l’international, la Caste occidentale préfère les sanctions et les révolutions de couleur à l’intervention militaire qui pourrait se retourner contre elle depuis l’avènement de la bombe atomique, pour faire plier les nations qui refusent de se laisser piller, sauf lorsque ce sont des petits pays très riches en pétrole, gaz ou métaux rares, qu’elle peut détruire sans danger, encore qu’en Syrie, au Yémen, en Palestine, la Caste occidentale soit mise en échec par la Russie et de l’Iran.

Le bouc émissaire, la bouée de sauvetage des tyrans en difficulté

De plus en plus impopulaire à cause de ses scandales, de ses orgies, de sa cruauté et de sa versatilité, Néron a décidé de détourner la colère des Romains sur la secte juive des chrétiens. Il a fait jeter les chrétiens aux lions dans les arènes, ou crucifier, ou encore brûler vifs.

Capture d’écran : La mort de Dircé (1897), par Henryk Siemiradzki,
est une reconstitution de l’épisode mythologique de la mort de Dircé avec une martyre chrétienne.
© Cyfrowe.mnw.art.pl, DP

Comme Néron, notre monarque républicain s’est rendu odieux à tous, sauf aux riches et assimilés. Atterrés, nous avons vu défiler les affaires (Ferrand, Rugy, Delevoye, Bayrou, Goulard, Kohler) et les scandales (Benalla) sous l’œil indifférent de la justice. Nous avons subi des violences policières inédites (Gilets jaunes), la mesquinerie et la cruauté sociale du monarque (5€ d’APL en moins, réforme du chômage, des retraites, etc.), sa duplicité et sa perversité (mensonges éhontés et manœuvres innommables pour arriver à ses fins : nous déposséder et nous réduire en esclavage), ses trahisons (vente à la découpe de nos biens communs, dépeçage de nos services publics et notamment de notre système de santé qui a ensuite servi de prétexte à l’emprisonnement des citoyens pendant le confinement, destruction de notre industrie, délocalisation de nos entreprises, ruine de notre économie), son sadisme vengeur (confinement, et maintenant pass sanitaire pour nous pourrir la vie et nous montrer qui est le maître). Les frasques du petit roi absolu ont même irrité la reine.

Suivant les traces de Néron, Macron vient de faire des non-vaccinés les boucs émissaires de l’appauvrissement express des Français provoqué par les mesures démentes, erratiques et contradictoires qu’il a prises soi-disant contre le Covid, alors même que la maladie est relativement bénigne et ne touche qu’une frange réduite de la population qu’il aurait été facile de protéger et de soigner.

Pourquoi Macon ne fait-il pas brûler vifs les non-vaccinés ?

Si Macron ne fait pas brûler vifs les non-vaccinés, ce n’est pas par bonté d’âme, non, c’est parce qu’il en a besoin pour élargir sa base électorale à l’approche des élections présidentielles. Il a compris que la menace de l’extrême-droite ne faisait plus recette. Marine le Pen s’est ralliée à l’idéologie dominante (capitalisme, mondialisme, atlantisme et européisme) comme la gauche avant elle, et il est devenu impossible de diaboliser le Rassemblement National. Macron doit donc trouver une autre menace, et les non-vaccinés, qu’on peut aisément accuser de mettre en danger toute la population par leur inconséquence et leur manque de civisme, sont l’incarnation idéale d’une menace inexistante.C’est de la même manière qu’a fonctionné la menace terroriste. Entre le 11 septembre 2001 et le début de la « pandémie » de Covid-19, les terroristes authentiques ou fabriqués ont peuplé nos cauchemars et saturé nos médias. Les populations se sont habituées à voir leurs libertés fondre comme neige au soleil, alors même que la probabilité d’être victime d’un attentat était infinitésimale. Mais à force de servir, la menace terroriste s’était usée, et on ne peut que s’émerveiller de l’à-propos avec lequel le destin a sorti de son chapeau la menace sanitaire, pour le plus grand profit de la Caste. Un miracle ! D’ailleurs Macron vient d’aller à Lourdes remercier la Sainte Vierge…

Et entre temps, ils nous resservent la menace climatique… Une valeur sure et durable !

La France vaccinée est la France des riches

Il suffit de jeter un coup d’œil sur les graphiques de cet article de Libération pour se rendre compte que plus le niveau de vie d’une commune est élevé, plus ses habitants sont vaccinés. Macron courtise donc les vaccinés qu’il considère comme de potentiels électeurs en leur jetant en pâture les non-vaccinés, qui sont en quelque sorte les Gilets jaunes de la Covid-19. Ainsi il sacrifie une fois de plus les classes populaires qui de toute façon le haïssent, pour rallier la petite bourgeoisie à son panache hygiéniste et autoritaire…

Le vaccin n’a pas de fonction médicale. Il ne protège pas du Covid. Et, soit dit en passant, heureusement pour nous que le Covid, celui des médias, celui qui décime les populations, n’existe pas, sinon nous serions tous morts, vu que le vaccin semble plutôt aggraver l’épidémie et que les médicaments traditionnels nous sont interdits… Le vaccin a une fonction politique, il sert à opposer entre elles les deux classes sociales françaises. Il a pour rôle de monter l’une contre l’autre la bourgeoisie et la classe laborieuse : les cadres, le corps enseignant, les fonctionnaires, ceux qui travaillent dans les bureaux ou à distance, les retraités aisés, contre ceux qui ont les mains dans le cambouis et que la Caste méprise ou honore suivant le besoin qu’elle a d’eux.

Laissez-passer sanitaire

Bien que Macron ait choisi, comme d’habitude, l’été pour perpétrer son forfait, il y a une certaine opposition à son pass sanitaire. Mais elle vient pratiquement uniquement de la base.

Cela m’a tout de même ragaillardie. Toutes ces dernières semaines, j’étais au désespoir devant le silence, voire la complicité, de la soi-disant opposition parlementaire. Peu de voix se sont élevées contre l’instrumentalisation du Covid par Macron et la Caste pour s’enrichir et nous asservir. Je ne comprenais pas pourquoi Mélenchon, par exemple, avait l’air de trouver normal le confinement, les masques et les fermetures de commerces, restaurants et théâtres. Je n’en revenais pas de le voir se plier docilement à tous les caprices de Macron. Il m’a fallu du temps pour réaliser qu’il ne voulait/pouvait pas se mettre mal avec les écolos qui, dans leur hygiénisme fanatique et leur négation de la maladie et de la mort, voulaient tout fermer et tous nous enfermer, en attendant que le virus soit éradiqué, comme s’il était possible d’éradiquer un virus.

Mon seul espoir actuellement est que la contestation se développe suffisamment pour que les parlementaires soient obligés de suivre la base.

Une autre question me taraude :

Est-ce que les gens ne se rendent pas compte qu’on est peu ou prou en dictature ou est-ce que cela leur est égal ?

Voilà la définition de la dictature que donne le Larousse :

« Dans le domaine de la politique, on appelle « dictature » un régime dans lequel une personne (dictateur), ou un groupe de personnes, disposant d’un pouvoir absolu, s’y maintient de manière autoritaire et l’exerce de façon arbitraire. »

On voit que Macron coche toutes les cases sans compter qu’il prend ses ordres de la Commission européenne qui est régie par une Constitution que les Français ont rejetée par un Référendum en 2005.

Voilà les raisons que j’ai trouvées à l’apathie de la population :

  • Les Français croient qu’il ne peut pas y avoir de dictature en France, pays de la liberté et des droits de l’homme.
  • Les Français croient que les gouvernements œuvrent pour leur bien. Ils ne peuvent pas croire que ceux qu’ils ont élus soient prêts à les détruire pour s’enrichir ou faire carrière.
  • Les Français ne se rendent pas compte qu’ils sont désinformés à longueur de journée et qu’ils subissent une propagande de tous les instants. Ils croient les médias et le gouvernement qui leur mentent sans arrêt ouvertement ou par omission.
  • Les Français ne pensent par eux-mêmes. Ils se contentent de répéter ce qu’ils entendent ou lisent dans les médias, mais cela ne les empêche pas de s’accrocher à leurs idées comme si leur vie en dépendait.
  • Les Français ont besoin de l’estime de leurs concitoyens et penser « comme tout le monde » les rassure.
  • Parce qu’ils croient le gouvernement, ses médias et ses « scientifiques » qui attisent la peur, la haine et la discorde, ou parce qu’ils ne savent plus qui croire, les Français sont gagnés par une forme d’hystérie collective aveugle, mais ils ne s’en rendent pas compte.
  • La plupart des gens attachent plus d’importance à leurs croyances qu’à la réalité. Au lieu de voir ce qui est, ils voient ce qu’ils croient qui est ou qui devrait être.

La propagande de guerre

La propagande de guerre n’est pas différente de la propagande Covid, elle engendre pareillement une forme d’hystérie collective qui balaie tout sur son passage comme un raz de marée. Il est plus facile d’entraîner les foules dans la folie que de les convaincre par la raison et le bon sens. Les pacifistes sont balayés par les bellicistes et le peuple chauffé à blanc se laisse entraîner dans une guerre dont il fera les frais. Le moindre argument de bon sens ou de logique, la moindre mise en garde, réserve ou hésitation est qualifiée de trahison.

Macron, discours du 16 mars 2020 (YouTube)

L’aveuglement et le fanatisme sèment toujours la mort et l’injustice. Avons-nous oublié comment Jaurès a été assassiné le 31 juillet 1914 pour avoir tenté jusqu’au bout d’empêcher la boucherie de 1914-1918 (20 millions de morts), et comment son assassin a été acquitté le 29 mars 1919 par onze voix sur douze, et que sa veuve a été condamnée aux dépens ? Un juré a même osé dire que l’assassin avait rendu service à sa patrie : « Si l’adversaire de la guerre, Jaurès, s’était imposé, la France n’aurait pas pu gagner la guerre. »

Profondément choqué, Anatole France s’est exclamé : « Travailleurs, Jaurès a vécu pour vous, il est mort pour vous. Un verdict monstrueux proclame que son assassinat n’est pas un crime. Ce verdict vous met hors la loi, vous et tous ceux qui défendent votre cause. Travailleurs, veillez ! »

Le peuple est sorti dans la rue pour protester contre le verdict. La police a attaqué les manifestants et il y a eu deux morts.

La haine du non-vacciné inonde les plateaux TV

J’écoutais tout à l’heure des éditorialistes sur BFM TV et Cie. C’est incroyable à quel point ils suintent la haine. Plus tyranniques que le tyran, plus venimeux que le serpent à sonnettes, les chiens de garde du pouvoir, tout hérissés d’indignation vertueuse, enveloppent de la même haine rance et tripale les non-vaccinés et les Gilets jaunes qui commettent le crime inexpiable de refuser de se soumettre, pour leur bien, aux diktats de la Caste. Ces donneurs de leçons ne nous pardonneront jamais d’avoir la prétention de savoir mieux qu’eux ce qui est bon pour nous. Et on voit bien qu’ils ne nous lâcheront pas, ce sera eux ou nous.

Mais il y a de la résistance et la résistance prend des chemins mystérieux. Elle vient souvent de là où on l’attendait le moins, car le courage n’a rien à voir avec les idéologies, dont on hérite généralement. Le courage vient de l’intérieur de nous-mêmes et il se manifeste souvent à l’improviste, au détour d’une situation insupportable, qui nous pousse, presque à notre insu, à prendre des risques personnels pour sauver des valeurs et/ou d’autres personnes. Les « courageux » sont presque toujours eux-mêmes surpris de leur courage car on ne décide pas d’être courageux, ce sont les circonstances et notre degré de force intérieure qui en décident. Comme on sait, il y a très peu de courageux. C’est pourquoi, je crois qu’il faut saluer le courage, d’où qu’il vienne. Par exemple celui de Lionnel Luca, le maire de Villeneuve Loubet, lors de son discours du 14 juillet.

https://www.youtube.com/embed/CjE945-KpPo

Néron n’était pas courageux. C’était un psychopathe narcissique et sadique, un fou malfaisant et provocateur qui, comme tous les lâches, abusait de son pouvoir. A force d’excès, d’abus et de brutalités, il s’est retrouvé isolé. Le Sénat l’a démis et, pour échapper au châtiment des Parricides*, il s’est donné la mort. « Le Sénat a voté sa damnatio memoriae, et maudit sa mémoire. En Occident, il reste le symbole de ce que la Rome antique a enfanté de plus monstrueux », selon Wikipedia.

Macron n’a pas sa dimension tragique. Bien qu’il soit tout aussi isolé, comme il l’a reconnu lui-même quand il s’est plaint que nous soyons devenus : «une nation de 66 millions de procureurs », il ne paiera pas pour le mal qu’il nous a fait. Il ne sera pas tenu responsable de ses crimes. Il n’est qu’un Néron de pacotille, un Néron de passage. Il a emprunté les habits de Néron, comme un comédien endosse un rôle qui lui va comme un gant, pour remplir la mission que la Caste lui a confiée : piller la France et soumettre les Français. La Caste l’exfiltrera lorsqu’il aura fait ton temps pour le remplacer par un autre tyranneau à ses ordres (le favori semble être pour l’heure Xavier Bertrand) qui à son tour et à sa manière mettra la France et les Français en coupe réglée… pour leur bien, évidemment !

Une note d’espoir

Selon Michel Maffesoli, dont la pensée iconoclaste est toujours rafraîchissante, comme l’est celle d’Emmanuel Todd, la caste occidentale sent qu’elle perd son pouvoir et cela explique son durcissement. En effet la société est en train de changer, l’ère de l’individualisme hérité des Lumières touche à sa fin, et des communautés de vie et d’intérêt se créent partout. C’est ce que le pouvoir politico-financier combat en le traitant de « communautarisme » mais il a déjà perdu la bataille. Les gens se regroupent et partagent. Ils se remettent à vivre ensemble. Et comme on le sait, l’union fait la force !

Dominique Muselet

Montreuil, le 19 juillet 2021

Note

* le culleus : recouvert d’une cagoule, cousu dans un sac de cuir dans lequel étaient introduits des animaux — coq, chien et serpent —, le supplicié est jeté dans le Tibre.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dominique Muselet, Mondialisation.ca, 2021




France : le gouvernement refuse de repousser la mise en place du pass sanitaire étendu, malgré les manifestations

[Source et photo : Sputnik France (sputniknews.com)]

Ce lundi 19 juillet, le projet de loi sur l’extension du pass sanitaire est présenté en Conseil des ministres en vue de son adoption cette semaine. Bien que les professionnels concernés par cette mesure aient demandé un report, Olivier Véran a rejeté cette possibilité. Les manifestations n’ont pas eu plus d’effets.

L’extension du pass sanitaire, mal accueillie par certains qui accusent le gouvernement de vouloir restreindre les libertés individuelles, entre en application le 21 juillet. La semaine dernière, des manifestations contre ce texte ont eu lieu dans plusieurs grandes villes du pays.

Ce lundi 19 juillet, le projet de loi sur ces mesures doit être adopté en Conseil des ministres. Malgré le fait qu’il n’ait pas encore été approuvé, le gouvernement n’envisage aucun report, le calendrier d’extension du pass sanitaire reste donc inchangé.

Olivier Véran a noté sur son compte Twitter le 18 juillet qu’«un report au 15 septembre du pass sanitaire n’est clairement pas à l’étude».

Cette précision du ministre de la Santé a suivi un article du Parisien paru le 18 juillet, dans lequel il était indiqué que l’exécutif «qui reste sur une ligne de fermeté» serait prêt «à concéder quelques ajustements». Le quotidien notait également l’éventualité de différer l’entrée en vigueur du document pour «permettre aux professionnels de s’organiser».

Un report demandé

Concernés par ces nouvelles mesures sanitaires, les professionnels des cafés, bars et restaurants ainsi que ceux des autres secteurs touchés ont été consultés le 13 juillet par le ministère de l’Économie. Ils avaient «bon espoir» d’obtenir un délai pour son application à leurs salariés, jeunes et encore peu vaccinés.

«Nous avons demandé qu’on reporte à mi-septembre la date de prise en compte du pass sanitaire pour les salariés au cours de la réunion» à Bercy, avait déclaré à l’AFP Didier Chenet, président du GNI, le syndicat patronal de l’hôtellerie-restauration.

Lieux soumis au pass sanitaire

Emmanuel Macron a annoncé que dès le 21 juillet, ce document sera obligatoire pour se rendre dans un lieu rassemblant plus de 50 personnes. Il sera alors étendu aux lieux de loisir et de culture. Puis, à partir de début août, il devra être présenté aux cafés, restaurants, centres commerciaux et dans certains transports, comme c’est le cas des avions, trains et cars pour les longs trajets.

L’obligation vaccinale

En outre, le chef de l’État a imposé la vaccination obligatoire pour les personnels soignant et non soignant des établissements de santé.

Il a prévenu que jusqu’au 15 septembre tous les soignants et les personnes concernées d’autres professions doivent aller se faire vacciner, et que des contrôles et des sanctions seront mis en place après cette date.

Défilés contre le pass sanitaire

Les annonces de M.Macron ont provoqué plusieurs rassemblements, dont les participants protestaient contre l’extension du pass sanitaire le 17 juillet un peu partout en France, comme ce fut le cas à Paris, Nice, Lille, Perpignan, Pau, Aix-en-Provence, Narbonne, Marseille, Nantes, Rennes, Toulouse et plusieurs autres villes. À Lyon et Dijon, les forces de l’ordre ont même dû utiliser du gaz lacrymogène pour disperser les manifestants. Dans la capitale des Gaules, où la manifestation n’avait pas été autorisée, neuf personnes ont également été interpellées, selon l’AFP.

Au total, ces manifestations ont rassemblé près de 114.000 personnes, dont 18.000 à Paris, a annoncé le ministère de l’Intérieur.

Le 14 juillet, de semblables manifestations avaient déjà eu lieu dans plusieurs villes, causant quelques débordements. À Annecy, un groupe d’individus avaient notamment forcé l’enceinte de la préfecture de Haute-Savoie. Un acte condamné par le ministre de l’Intérieur.

[Voir aussi : Note sur les manifestations sous le règne du NOM]




Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-COVID dans leur pays

[Source : Aube Digitale]

Les présidents de trois nations différentes sont morts peu après avoir refusé la distribution du vaccin contre le COVID-19.

Après leur mort, les trois pays distribuent désormais les vaccins contre le COVID à leurs citoyens.

Le dernier en date est le président haïtien Jovenel Moise, qui a été assassiné à son domicile de Port-au-Prince la semaine dernière par un groupe de mercenaires.

En mai, Haïti avait refusé le vaccin d’AstraZeneca de l’installation Covax de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), invoquant les effets secondaires répandus signalés en Europe.

Haïti était ainsi le seul pays de l’hémisphère occidental à ne pas accepter le vaccin contre le COVID.

Quelques jours après l’assassinat de Moïse, la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Jen Psakia annoncé que les États-Unis enverraient des vaccins COVID à Haïti, en plus d’une aide de 5 millions de dollars et d’une équipe d’agents du FBI « dès la semaine prochaine ».

Le président du Burundi, Pierre Nkurunziza, a été le suivant à mourir récemment, d’une crise cardiaque en juin.

Le ministre de la santé du Burundi a refusé les vaccins en février, affirmant que « puisque plus de 95 % des patients sont en voie de guérison, nous estimons que les vaccins ne sont pas encore nécessaires » dans ce pays africain.

En mars, le président tanzanien John Magufuli avait également succombé à un « malaise cardiaque ».

M. Magufuli a suscité la colère du corps médical lorsqu’il a refusé le vaccin contre le COVID dans son pays, invitant les citoyens à « prier pour que le coronavirus disparaisse. »

Magufuli s’est également moqué de l’efficacité des tests PCR, en montrant comment une chèvre et un fruit à pattes ont tous deux été testés positifs au COVID-19.

Quelques mois après sa mort, la Tanzanie a passé une commande à l’OMS pour un envoi de vaccins contre le COVID pour ses 60 millions de citoyens.

Est-ce une simple coïncidence ?…

A vous de décider.




2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire!

[Source : Boris Karpov (tvs24.ru) via reseauinternational.net]

Par Boris Guenadevich Karpov

Je vois avec plaisir que les Français semblent se réveiller, avec les nombreuses manifestations contre le « camp de concentration numérique » qui se met en place. Je voudrais vous dire comment à Moscou nous avons fait pour faire plier le maire qui, lui aussi, semble avoir la nostalgie d’une certaine période…

Un petit retour en arrière.

Depuis un an environ, quasiment aucune restriction en Russie. Seul le port du masque est obligatoire dans les transports et magasins… en théorie. En pratique, disons que 20 % au maximum le portent, et qu’à part des actions ponctuelles ordonnées par la mairie, la police regarde ailleurs et ne verbalise personne.

Il y a un mois, Vladimir Poutine déclare être totalement opposé à la vaccination obligatoire, qui doit être un choix personnel. Le lendemain, il s’envole pour rencontrer Biden à Genève. Alors que l’avion présidentiel est encore en l’air, le maire de Moscou lance une bombe en publiant un décret imposant la vaccination obligatoire « pour certaines catégories de personnes » ! Stupéfaction totale, mais ce n’est pas une blague ! Le décret prévoit également des sanctions contre les récalcitrants, allant jusqu’au licenciement ! Le maire met donc en place une organisation, il faut le dire, très performante, avec des centres de vaccination partout à Moscou : dans les centres commerciaux, les parcs, etc. La décision du maire est par ailleurs immédiatement copiée par plusieurs gouverneurs, dont celui de la « région de Moscou ».

Les secteurs concernés sont en gros tous ceux où les employés sont au contact des clients ! Quasiment tout le monde en fait, et le maire impose que 60 % des gens y soient vaccinés. Transports, commerces, services.

Vladimir Poutine, une fois rentré en Russie, reste silencieux. Seul son porte-parole déclare que non, la vaccination n’est pas obligatoire puisque seules certaines catégories de personnes sont concernées, et qu’elles peuvent changer de travail si ça ne leur convient pas ! La fureur gronde sur les groupes Telegram.

Les semaines suivantes, très peu de personnes se présentent pour se faire piquer. Voyant ceci, le maire de Moscou prend alors une mesure qui va faire un second énorme scandale : Il interdit l’accès des non-vaccinés aux restaurants et cafés. Et le contrôle se fera par un QR-code, obtenu une fois vacciné.
Même si en fait cela concerne peu de monde sur les 12 millions de Moscovites, ceci déclenche un énorme scandale, toujours sur Telegram. Dans le même temps, les pirates s’activent et très vite proposent des QR-codes avec enregistrement dans la base de données fédérale des personnes vaccinées moyennant finances.
Mais, surtout en Russie, ce genre de choses ne passe pas, le rappel des « heures sombres » de la guerre. Des étoiles jaunes commencent à fleurir sur les tee-shirts, mais surtout la fronde s’organise.

Les taxis par exemple, dont les patrons de sociétés (GET, Yandex, etc.) ont annoncé ne pas pouvoir garder les chauffeurs non vaccinés, développent immédiatement une application pour smartphone, « réservée aux clients non vaccinés et sans masque » ! Un énorme succès immédiat ! Certains restaurants refusent également de respecter les mesures et continuent d’accueillir les clients. Mais beaucoup d’autres ferment définitivement, on a compté 700 cafés et restaurants fermés à Moscou en 2 semaines.

Le plus important une fois encore se passe en ligne. Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement a développé des services en ligne parfaitement efficaces : vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? À un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sûr les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !

Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5 000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du Travail pour se plaindre de la violation du Code du travail, etc., etc. C’est un véritable raz de marée qui ne peut être ignoré puisque les envois électroniques sont tous « signés » électroniquement, il ne peut pas y avoir de trucage. À côté de ça, Telegram croule sous les témoignages de médecins qui mettent en garde contre cette vaccination. Une vidéo fait un carton, où on voit une personne fraîchement vaccinée dans un parc être évacuée sur une civière, et les gens qui attendent leur tour déguerpissent vite ! Et des pirates mettent en panne les serveurs servant à contrôler les QR-codes.

Dans le même temps, tous les sondages d’opinion renvoient des signaux d’une catastrophe aux élections législatives de septembre. La cote des partis politiques, qui tous restent silencieux (à l’exception des communistes, mais plus personne ne les écoute !) est en chute libre, et tout le monde s’attend à une raclée magistrale de Russie Unie, le parti de Vladimir Poutine. Ceci permet d’ailleurs à un parti « patriotique » de se mettre en avant, le ROS.

Côté vaccination, le nombre de personnes vaccinées remonte un peu, mais on est très loin des 60 % exigés par le maire. Même s’il déclare chaque jour être en bonne voie pour obtenir le but, la vérité est que moins de 20 % des gens se sont fait piquer ! Et dans ces 20 % se trouve un nombre inconnu, mais présumé important de « faux vaccinés »… Il y a par contre de véritables ordures qui vont jusqu’à se faire tatouer leur QR-code sur le bras, à l’initiative d’un service de livraison express filiale de Sberbank, la plus grande banque de Russie avec plus de 100 millions de clients. La banque est dirigée par Gref, un grand ami du maire de Moscou ! Celui-ci, imperturbable, en rajoute et menace mercredi dernier de fermer Moscou complètement si les gens ne vont pas se faire vacciner.

Ceci sera la goutte d’eau qui va faire tout exploser. Les tatouages sur le bras, ça rappelle pas mal de choses et en Russie ça ne passe pas. C’est la curée sur Telegram, certains appellent à des mesures expéditives contre le maire qui est présenté vêtu d’un uniforme nazi, le summum en Russie. La cote de popularité de Vladimir Poutine « dégringole » à 60 % (encore pas mal, mais elle était à 75 % !), et certains politiciens commencent à prendre peur et murmurent qu’un report des élections, peut-être…

Ça n’arrivera pas puisque vendredi, alors que personne ne s’y attend, le maire de Moscou déclare annuler les QR-codes à dater de lundi (demain), pour la raison que le taux de 60 % de vaccinés est quasiment atteint. Un énorme mensonge, le taux réel tourne autour de 20 %. Dans les services médicaux, il se dit que moins de la moitié du personnel l’est.

En réalité, le Kremlin a « reçu le message » des citoyens, le chiffre de 2 millions de plaintes déposées est avancé. Et comme l’an dernier quand le maire de Moscou avait reçu, en pleine réunion alors qu’il annonçait la poursuite de la quarantaine, un coup de téléphone lui ordonnant de tout arrêter, il a été sommé de cesser ses conneries.

Lundi, c’est demain, mais beaucoup n’ont pas attendu, et ont rouvert leurs bars et restaurants dès vendredi soir !

Pourquoi en France ne feriez-vous pas pareil ? Submergez vos juges gauchistes de plaintes contre la violation de vos libertés ! Servez-vous d’eux, qui ne peuvent pas voir Macron même de loin ! Les manifestations de rue ne servent pas à grand-chose, à moins d’y aller avec des armes. Sinon elles sont l’occasion pour les provocateurs de dénaturer votre juste combat ! Vous avez sans doute vous aussi des « hackers » capables, qu’ils piratent les bases de données et mettent en panne les serveurs ! Tout doit être utilisé contre cette clique d’ordures !

Boris Guenadevich Karpov




La dictature Macroniste tremble !

Par Claude Janvier

Samedi 17 juillet 2021 : plus de 250 000 personnes dans les rues en France. À Paris, plus de 150 000 personnes ont défilé du Conseil d’État jusqu’au ministère de la Santé, sous l’égide de Florian Philippot, président du mouvement Les Patriotes, que je félicite personnellement pour sa lutte depuis toujours contre l’oppression sanitaire, Martine Wonner député, Nicolas Dupont-Aignan député, Francis Lalanne – un artiste engagé -, Maître Fabrice Di Vizio, Richard Boutry,(([1] Richard Boutry lance La Une TV : https://launetv.com/)) des Gilets Jaunes, des lanceurs d’alertes et les nombreux collectifs(([2] Bas les Masques. Xavier Legay :
https://baslesmasques.com/p/qui-sommes-nous
Réaction 19 : Maître Brusa
https://reaction19.fr/
Réinfo Covid :
https://reinfocovid.fr/
Bravo également à tous les lanceurs d’alertes qui étaient présents.)) dénonçant la gestion calamiteuse de l’état contre la Covid-19. Journée mémorable.

Pas de violences, pas de grabuges, pas de destructions, que de la bonne humeur et de la fraternité. Peu importe les couleurs politiques, tous unis contre le passe-sanitaire imposé. Vaccinés, non vaccinés, tous unis contre le terrorisme viral sanitaire. Étant présent, je peux le certifier.

Pas de vitrines saccagées. Impossible de faire tourner les images de vitres brisées avec les casseurs qui s’en donnent à cœur joie, afin de discréditer le mouvement. N’est ce pas BFM TV ?

Mais heureusement, la page blanche est sauvée par l’inénarrable Christophe Castaner. Vous l’aviez oublié ? L’ex ministre de l’Intérieur. Celui qui en 1 an, 8 mois et 20 jours, a été responsable de la répression sanglante des manifestations Gilets Jaunes. Souvenez-vous : 13 morts, 27 éborgnés, des mains arrachées, plus de 150 blessés graves, plus de 2 000 blessés. Quel CV !

Étant président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, il vient d’écrire à son ami Richard Ferrand, le président de l’institution autrefois démocratique, afin que ce dernier demande au procureur de la République de Paris d’engager des poursuites contre Martine Wonner. Entre présidents, il faut bien s’épauler…

En cause ? Une phrase de Martine Wonner comme quoi il fallait envahir les permanences des députés. Sauf qu’il faut replacer la phrase dans le contexte : “… Jamais nous n’accepterons cette dictature. Nous devons refuser la ségrégation entre vaccinés et non vaccinés, nous devons refuser la stigmatisation”, a-t-elle lancé à la tribune montée près du ministère de la Santé… » “… Allez faire le siège des parlementaires, allez envahir leurs permanences pour dire que vous n’êtes pas d’accord…” Huffpost 17 juillet 2021 : Manifestation à Paris contre le pass sanitaire: le dérapage de Martine Wonner(([3] https://fr.news.yahoo.com/manifestation-%C3%A0-paris-contre-pass-202249881.html
https://fr.sputniknews.com/france/202107181045890868-castaner-souhaite-saisir-la-justice-apres-les-propos-de-la-deputee-wonner-contre-le-pass-sanitaire/))

Martine Wonner refuse la ségrégation entre vaccinés et non vaccinés ainsi que la stigmatisation, et je ne peux que la féliciter pour cette prise de position que je partage sans réserve.

Mais l’occasion était trop belle pour Castaner de monter au créneau afin de défendre son siège éjectable. Pour ma part, je n’ai pas perçu sa phrase comme étant une incitation à la haine, mais plutôt pour une incitation à communiquer avec son député, afin de recevoir une réponse à sa demande. Ce qui relève de la politesse élémentaire.

Car il faut bien avouer que question communication, nos chers députés qui, je vous le rappelle, vous représentent, ne répondent quasiment jamais aux e-mails. À part la réponse automatique :  » Nous avons bien reçu et nous revenons vers vous dans les meilleurs délais… », c’est le désert total. Ça lasse, surtout de la part d’élus qui sont censés être à l’écoute.

En tout cas, le déchaînement parlementaire contre Martine Wonner ainsi que la couverture médiatique intervenant moins de 24 h après son discours laisse rêveur. Pour un dimanche, les politiques et médias ont mis le turbo.

Quelques phrases d’un député et le pouvoir vacille. Fragiles sont donc les dictatures. Continuons à pousser et à montrer nos désaccords au passe-sanitaire et à la vaccination obligatoire, et nous verrons la fin de l’oppression. Nous ne lâcherons pas.

Claude Janvier
Ecrivain polémiste.(([4] Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/))

Notes :




Information pour les députés et sénateurs : « donne le doigt au Diable et il voudra toute la main »

Par Gérard Delépine

[Illustration : leparisien.fr]

Information pour les députés et sénateurs :
« donne le doigt au Diable et il voudra toute la main »(([1] Proverbe russe))

Mesdames, Messieurs les députés et sénateurs, élus et citoyens,

Vous allez être appelés à prendre une décision majeure et historique pour notre pays, risquant de faire glisser la France de la démocratie à la tyrannie. Nous vous exhortons à ne pas vous livrer inconsciemment à cette manipulation monstrueuse de vaccination obligatoire et de pass sanitaire (ou ausweiss), dont vous êtes comme tant de français mal informés, les victimes…

Ne sombrez pas dans cette intoxication non sanitaire, et écoutez les vôtres, à commencer par le député européen et philosophe FX. Bellamy.

L’alibi des régimes autoritaires selon Albert Camus évoqué par le maire de Villeneuve-Loubet, Lionel Luca dans son discours du 14 Juillet à ses administrés, est toujours le bien collectif. Mais où pourrait être le gain pour la société d’une injection génique obligatoire et inefficace, de fait contre un virus peu létal et qui de plus a disparu de nos contrées ?

Il est en effet paradoxal que la loi projetée par le président le 12 juillet s’adresse à une épidémie aujourd’hui quasiment disparue.(([2] Comme le montre chaque jour le bilan officiel sur le réseau Sentinelles des médecins généralistes.)) Et aussi qu’on essaie de faire un monstre d’un minable variant delta, certes très contagieux, mais très peu virulent.(([3] Rien à craindre du variant Delta : il donne le rhume, curable par traitements précoces (francesoir.fr) )) Le contraste saisissant entre les courbes de contaminations qui montent de manière exponentielle et le taux d’hospitalisation et la mortalité qui restent très bas en Israël, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas est éloquent.

On poursuit l’état d’urgence et on priverait les Français de toutes leurs libertés les plus chères, dont un petit café en terrasse, pour un gros rhume qui ne nécessite qu’exceptionnellement une hospitalisation ? Ce n’est pas sérieux et bien sûr ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Le pouvoir le sait bien, qui accélère son calendrier avant que la fin mondiale de l’épidémie (démontrée depuis de longs mois en Floride ou au Texas) et la catastrophe des effets secondaires du « vaccin » ne soient trop flagrantes.

Il veut mettre en place son modèle sécuritaire à la chinoise avant d’avoir perdu la main dans la partie de poker menteur en cours

Qu’est-ce qui pourrait motiver aujourd’hui un député ou un sénateur pour accepter les ukases délirants d’un pouvoir en perdition, au point d’envisager l’interdiction d’entrer dans un hôpital si on n’a pas cédé à l’injection « miraculeuse » (par suite de la visite de E. M. à Lourdes probablement) ?

LE 12 JUILLET 2021 « UNE RUPTURE HISTORIQUE »

François-Xavier Bellamy, philosophe dont il faut lire la tribune dans le figaro du 14 juillet, rappelle que « Pass sanitaire : “une remise en cause profonde et inédite de notre modèle de société” »

« Pour le philosophe et député européen François-Xavier Bellamy, ainsi que pour le vice-président des Centristes, Loïc Hervé, le fait que l’accès à l’espace public soit conditionné à la présentation de données de santé est une rupture historique. L’atteinte aux libertés est disproportionnée au regard de l’objectif poursuivi. »

Rien de sanitaire ne peut justifier les mesures évoquées par le président en ce début juillet. Rappelons que des pays comme la Suède jamais soumise à des contraintes importantes ont 20 % de moins de morts par million d’habitants que nous, vont toujours bien et ont une vie normale malgré les croquemitaines variants qui obsèdent nos éditorialistes.

Le CTIAP,(([4] Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques — CENTRE HOSPITALIER DE CHOLET — Docteur Amine UMLIL)) en réaction à l’allocution du 12 juillet,(([5] CTIAP* Centre Hospitalier de Cholet : Vaccins contre la Covid-19. Allocution du Président de la République du 12 juillet 2021, 20 h : Emmanuel MACRON oublie de révéler aux Français ce que le ministre de la Santé (Olivier VÉRAN) a écrit au Conseil d’État ? (ctiapchcholet.blogspot.com) )) rappelle quelques extraits des affirmations, du ministre de la Santé, enregistrées auprès de la plus haute juridiction administrative fin février 2021 et fin mars 2021.

Dans ces écritures du 28 mars 2021, le ministre affirme que

« les connaissances scientifiques actuelles font apparaître en tout état de cause comme prématurée toute différenciation des règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccins »

Autrement dit, les personnes « vaccinées » continueront d’être soumises aux mêmes restrictions des droits et libertés fondamentaux que les personnes « non vaccinées ». Pour justifier ce traitement identique, il avance les quatre arguments suivants :

1. « En premier lieu, comme on le sait, l’efficacité des vaccins n’est que partielle ». Et, lorsqu’il évoque l’« efficacité clinique », il ne parle que des formes « symptomatiques » sans distinction entre les formes légères, modérées et « graves ». Il explique que « dès le stade des essais de ces vaccins, il n’y avait donc pas de garantie d’immunité associée pour les personnes qui se le voyaient administré ».

2. Il ajoute : « En deuxième lieu, cette efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants »

3. Il poursuit : « En troisième lieu (…), les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale, du fait d’une immunosénescence (…) ou de la virulence d’un variant ». Notons que c’est bien ce qu’il semble se passer dans les pays les plus vaccinés en Israël ou en Angleterre sur la proportion des malades parmi les vaccinés ou non, avec dans les faits une plus grande fragilité des vaccinés.

4. Il termine : « En quatrième lieu, même lorsqu’il a une efficacité sur les personnes concernées, en l’état des connaissances scientifiques, le vaccin ne les empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

Et eu égard à ces quatre arguments, le ministre conclut :

« Il n’y a donc pas de justification à exempter les personnes vaccinées de l’application des restrictions de circulation actuelles destinées à les protéger comme à protéger leur proche ainsi que l’ensemble de la population. Aucune recommandation du conseil scientifique ne va d’ailleurs dans le sens de telles exemptions. »

Ces écritures confirment les précédentes datant de fin février 2021 enregistrées par ce même Conseil d’État. Et que le CTIAP a porté à votre connaissance dans notamment son article publié, le 4 mars 2021, sous le titre : « Efficacité des vaccins contre la Covid-19 : le Conseil d’État relève les contradictions de l’ »administration’ française » ». On peut rappeler notamment ce qui suit :

« L’administration fait néanmoins valoir, d’une part l’existence d’études récentes invitant à la prudence quant à l’absence de contagiosité des personnes vaccinées, d’autre part, l’incertitude scientifique sur l’immunité conférée par la vaccination en cours à l’égard des variants du virus, enfin la survenue de foyers de contamination de résidents et de personnels dans certains EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] où la campagne de vaccination a eu lieu. »

L’INVRAISEMBLABLE CONCLUSION DU MINISTRE

« Ce lundi 12 juillet 2021, à 23 h 48, ce même ministre, qui a remis en cause l’efficacité de ces vaccins auprès du Conseil d’État dans le but de maintenir les restrictions aux droits et libertés fondamentaux des personnes vaccinées », publie le message suivant sur le réseau social Tweeter :

« Vous êtes des centaines de milliers à avoir réservé un rendez-vous de vaccination ce soir ! Ça tombe bien, on a des vaccins, des centres ouverts partout, et des dizaines de milliers de soignants, pompiers, agents des collectivités qui n’attendent que vous (avec trois smileys) ». « Des centaines de milliers » de consentements qui seraient extirpés par le dol et la violence notamment, et en direct ?

Le consentement est pourtant une liberté fondamentale. Oui le Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP) a raison, viol des consciences et consentement extirpé

« Ce lundi 12 juillet 2021, à 20 h, la forme et le fond du discours présidentiel nous auraient projetés vers notamment l’anacyclosis. Vers cet éternel retour : un cycle en quatre phases. Ce 12 juillet 2021, la France aurait opéré la dernière transition de cet anacyclosis en passant de la démocratie à la tyrannie ».

POURQUOI UNE TELLE VIOLENCE EN DÉBUT D’ÉTÉ ? Après sera-ce trop tard ?

Selon le CTIAP, elle serait le témoin de l’impossibilité juridique de rendre cette vaccination expérimentale contre la Covid-19 obligatoire

STRATÉGIE DÉPLOYÉE : POURRIR LA VIE DES FRANÇAIS

User de la peur des représailles (limitation de l’accès à la nourriture et aux soins, perte d’emploi et ses conséquences, difficultés d’accès aux moyens de transport, aux activités sportives, culturelles et de loisirs, etc.)

La tactique du gouvernement consiste à « pourrir la vie des Français » pour contraindre, par une force qui semble illégitime, les personnes à aller elles-mêmes se faire vacciner ; un acte qui prendrait, en apparence, la forme d’une vaccination « volontaire »

Que dire de plus sinon de vous conseiller de prendre le temps de lire l’intégralité des analyses proposées par le CTIAP depuis plusieurs mois. Witold KRAUZE.

On peut supposer que la vaccination pseudo volontaire ferait encourir moins de responsabilité pénale qu’au législateur qui l’imposerait. Aux juristes d’en débattre.

LA RÉACTION INCROYABLE DE MAUVAISE FOI DU POUVOIR

Alors que les manifestations spontanées se sont développées dans énormément de villes et villages de France, avec des dizaines de milliers de manifestants de tous bords, vaccinés ou non, atteignant probablement le million de personnes voire beaucoup plus, le pouvoir ose comparer le chiffre officiel de 115 000 manifestants (trois par commune ?) à l’hallucinant chiffre de plus d’un million d’inscrits pour une vaccination « volontaire » en urgence !

Faites peur, bloquez les départs en vacances prévus, les locations retenues avec arrhes versés et billets d’avion achetés. Faites peur pour la rentrée et vous entraînerez pleurs des parents et des enfants, panique et inscription « volontaire » à la piqûre ?

Les juifs faisant la queue pour récupérer leur étoile jaune étaient aussi consentants, nous dira-t-on ? Décidément, rien ne nous sera épargné dans le mépris affiché du peuple ! Ils veulent nous faire croire qu’ils sont consentants, volontaires, convaincus par les arguments du ministre. NON, ils ont peur du pouvoir et quelques-uns encore du virus.

Ne nous mentez pas. Au moins, assumez votre volonté d’hégémonie à la chinoise, Mr Véran, vous et votre compagne députée étant membres de France-Chine, Chine qui achète tout en France, discrètement et nous demande de mettre en place la sécurité selon son modèle, avec la complicité de trop d’entre vous aux manettes.

ATTENTION LA BOÎTE DE PANDORE EST OUVERTE. LISEZ ARIANE BILHERAN.(([6] Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

« La boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique. »

« L’heure de la persécution paranoïaque a sonné. Les ennemis semblent désignés, mais ne nous y trompons pas. Il ne faut jamais croire le langage de la perversion. Elle vous assure que, si vous consentez à faire ce que vous ne souhaitez pas faire, alors vous serez tranquille et tout ira bien pour vous. Elle exige que vous renonciez à un petit bout de territoire de vous-même. Puis, la boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique.

Alors, peut-être qu’aujourd’hui certains se rassurent, en se disant que, s’ils sont des citoyens obéissants, ils seront épargnés, puisque la vindicte désigne une catégorie d’individus en particulier dans un corps social désormais considéré malade, et qu’il conviendrait d’amputer. C’est une erreur.

Dans tous les systèmes harceleurs, tous ceux qui se soumettent docilement et font du zèle, espérant passer entre les gouttes, finissent par être persécutés puis exécutés.

Car la paranoïa est une folie raisonnante ; il faut entendre qu’elle n’a rien de rationnel et ne s’embarrasse pas de contradictions. Au diable la logique ! La logique devient ce que l’angoisse psychotique exige : de la persécution, du sang, des morts, pour se calmer, toujours temporairement. Aussi, cela procède à l’arbitraire, et par vagues. Tous les totalitarismes ont agi ainsi.
Soljenitsyne nota bien l’incrédulité des gens 
; ils pensaient être de bons citoyens bolchéviques, n’avoir rien à se reprocher et pourtant, les rafles ne les épargnaient pas ! Cette incrédulité leur donnait ainsi l’illusion que quelqu’un s’apercevait bien de leur innocence… mais rien n’est plus faux car leur erreur était la croyance aveugle en l’existence d’une rationalité, dans ce qui n’était qu’une folie empruntant de façon frauduleuse l’apparence de la raison ».

POURQUOI L’OBLIGATION VACCINALE PARAÎT-ELLE DIFFICILE À IMPOSER ?

Beaucoup d’entre nous rappellent régulièrement les fondements de notre État, encore de droit, et surtout insistent sur le fait que RIEN n’a encore été voté : ni loi ni décret, d’aucune sorte, n’ont encore été promulgués.(([7] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le Droit international prévaut toujours sur le droit national, en vertu du principe de « hiérarchie des normes » : principe fondamental du Droit. Et si le code de Nuremberg n’est pas une référence juridique opposable, il est pour le moins une référence historique ayant conduit aux articles actuellement en vigueur dans plusieurs conventions, que nous citerons une nouvelle fois.

Citons les articles de droit international(([8] PETITPOINDEDROIT.pdf rappelés, entre autres, par Daniel Antoine))

  • Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 et DUDH adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 : les lois d’obligation sont anticonstitutionnelles.(([9] Déclaration universelle des droits de l’Homme 1948 (adequations.org) ))
    • Arrêt SALVETTI c/Italie – CEDH du 9 juillet 2002 ; décision n° 42197/98. « En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales ».
    • Article 8 de la CEDH : « Droit au respect de la vie privée et familiale
      • 1.Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
      • 2. Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui. ».
  • « Déclaration sur l’élimination de toutes formes d’intolérance et de discrimination fondées sur la religion ou la conviction » 36/55, proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies l’ONU le 25 novembre 1981 :
    HCDH | Déclaration sur l´élimination de toutes formes d´intolérance (ohchr.org)
  • Déclaration de Genève adoptée par l’assemblée générale de l’Association médicale mondiale (AMM) à Genève en septembre 1948, adaptation du serment d’Hippocrate aux enjeux contemporains.
  • Déclaration d’Helsinki de l’AMM, articles 23, 24, 25 et 26 sur le consentement en matière de recherche médicale (les « vaccins » sont une « expérimentation », assimilables à des « recherches médicales », puisque les essais de phase III sont en cours).(([10] Déclaration d’Helsinki de L’AMM – Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains – WMA – The World Medical Association))
  • « Convention d’Oviedo » du 4 avril 1997 » : Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine (Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine)
    • article 5 : « Art. 5 Règle générale : une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.(([11] Réfléchissez à ce qu’on appelle « libre et éclairé » et si le consentement extorqué au vaccinodrome où vous venez en voiture et que vous passez votre épaule pour la piqûre après quelques mots dans le meilleur des cas est vraiment un consentement… ou bien quand le médecin fait quinze « vaccins » en une heure, combien de temps vous consacre-t-il ?)) Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement ».
      Cette convention est applicable en droit interne français depuis 2012.
  • Article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) de 1950, sur le respect de la dignité humaine.
  • Enfin citons la Résolution n°2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe du 23 janvier 2021 est citée, mais ce conseil est uniquement consultatif, texte UNIQUEMENT un principe directeur sur lequel un recours judiciaire peut s’appuyer, mais en aucun cas un texte opposable en tant que tel.
    • : « 7,3 en ce qui concerne la garantie d’un taux élevé de vaccination : 7.3.1 s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pression politique, sociale ou autre pour se faire vacciner s’il ne souhaite pas le faire lui-même ;
    • 7.3.2 veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques sanitaires potentiels, ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

On constate chaque jour que ce texte est piétiné, toute la journée et à répétition, ne serait-ce qu’en écoutant les émissions radio et télévisées « bien pensantes ». Entendre un professeur de faculté exerçant à Paris à l’APHP oser affirmer que le vaccin anticovid est sans effet secondaire(([12] Voir les sites officiels de l’agence européenne EMA EUDRAVIGILANCE ou de la FDA le VAERS par exemple ou des synthèses https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/)) et qu’on n’a jamais vu des effets indésirables d’un vaccin apparaître au-delà de trois mois paraît incroyable, ne serait-ce qu’après les narcolepsies (endormissement brutal et insurmontable) secondaires au vaccin H1N1 de Mme Bachelot, qui avaient touché au moins 800 personnes plusieurs mois après l’injection et encore en cours d’indemnisation.

Il est dommage que peu de gens demandent leurs liens d’intérêt avec les labos à ces pourvoyeurs d’énormes mensonges aux conséquences parfois tragiques.

EN CE QUI CONCERNE LE DROIT NATIONAL :

  • Loi « Kouchner » n° 2002-303 du 04 mars 2002. Chaque parent/patient peut, conformément à la loi Kouchner, demander aux vaccinateurs des informations exhaustives sur l’acte médical proposé, et le refuser.
  • Art. L1111-4 du Code de la Santé Publique (CSP) : « AUCUN ACTE MÉDICAL ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le CONSENTEMENT LIBRE et ÉCLAIRÉ de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».
  • Art L1111-2 du CSP sur l’information du patient concernant le produit injecté (traitement médical dans l’absolu) : l’information doit être « claire, loyale et appropriée ».
  • Loi sur le respect du corps humain, insérée dans le Code Civil, Art. 16-1 et suivants (29 juillet 1994).
    • Art. 16-1 : « Chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable ».
    • Art. 16-3 : « Il ne peut être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l’intéressé doit être recueilli préalablement. »
    • Art. 16-4 : « Nul ne peut porter atteinte à l’intégrité de l’espèce humaine. »
  • Constitution française (4 octobre 1958), article 55 (hiérarchie des normes) :
    • « Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie. ».
  • Code de Déontologie médicale inséré dans le Code de la santé publique (6 septembre 1995) :
    • Art. R4127-2 : « Le médecin, au service de l’individu et de la santé publique, exerce sa mission dans le respect de la vie humaine, de la personne et de sa dignité. ».
    • Art R4127-3 : « Le médecin doit, en toutes circonstances, respecter les principes de moralité, de probité et de dévouement indispensables à l’exercice de la médecine. ». Art R4127-36 :
      • « Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
      • Si le malade est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que la personne de confiance, à défaut, la famille ou un de ses proches ait été prévenu et informé, sauf urgence ou impossibilité.
      • Les obligations du médecin à l’égard du patient lorsque celui-ci est un mineur ou un majeur faisant l’objet d’une mesure de protection juridique sont définies à l’article R. 4127-42. ».
    • Art 4127-39 (sur l’injection d’une substance parfaitement inconnue, puisqu’en cours d’évaluation en phase III d’expérimentation) :
      • « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite. »
  • enfin, le Serment d’Hippocrate : « PRIMUM NON NOCERE » (« en premier, ne pas nuire »)

Notons que la Loi BARNIER sur le principe de précaution (2 février 1995) n’est pas applicable en matière de santé, aussi aberrant que cela puisse paraître.

EN CONCLUSION

Aucun médicament expérimental, même affublé frauduleusement du nom vaccin ne peut être légalement obligatoire, c’est un MENSONGE COMPLET. Notre président le sait, et buffle.

Toute vaccination dans ces conditions, relève donc, sur un plan pénal, de la « mise en danger de la vie d’autrui » (art 223-1 du Code pénal), voire de « l’abus de faiblesse », concernant les enfants, les personnes déficientes mentales, et les personnes âgées (art 223-15-2 à 223-15-4 du Code pénal),

Lorsque cette vaccination est imposée de force ou par malice, cela relève de « l’extorsion » (art 312-21 du Code pénal).

Ainsi chers lecteurs, chers élus, vous avez pu retracer les guides juridiques, mais aussi éthiques, moraux de notre belle Médecine telle que nous l’ont enseigné nos Maîtres, pleine d’amour envers nos prochains et d’humilité envers une science toujours incomplète, imparfaite et jamais dogmatique.

Quelle chance avons-nous eu de pouvoir la pratiquer dans cet esprit.

Nous espérons qu’après cette période d’obscurantisme scientiste, la raison reviendra aux hommes et permettra de revenir à nos pratiques fidèles à Hippocrate. Merci de nous aider via votre Mission d’élu par vos discussions au Parlement et par vos votes à retrouver notre médecine et à conserver nos Libertés fondamentales.





Non au pass sanitaire et à l’obligation des pseudos-vaccins anti-covid19

Par Gérard Delépine

Le pass sanitaire totalement inefficace sur l’épidémie(([1] Israël et la Grande-Bretagne l’ont abandonné)) est gravement attentatoire aux libertés fondamentales. Il crée une ségrégation inacceptable et constitue un chantage brutal pour imposer une injection expérimentale.

Défendons les soignants qui savent mieux que nos politiques, leurs journalistes aux ordres ou leurs experts corrompus que vous entendez tous les jours à la télé si les pseudos vaccins sont efficaces et sans danger.

Les soignants ne sont pas des antivax ; ils ont été les premiers à se faire vacciner et aussi les premiers à en subir les effets secondaires. Si les résultats réels des vaccins étaient ceux que le gouvernement et les médias prétendent, les soignants continueraient à se précipiter pour se faire vacciner. S’ils refusent, c’est qu’ils sont mieux informés des complications post vaccinales (y compris les décès dont un interne en médecine, nantais, sportif, en parfaite santé avant la vaccination et qui n’avait aucun bénéfice personnel à espérer du pseudo vaccin), et de la disparition actuelle de la maladie dans les cabinets médicaux.

et dans les hôpitaux :

Si les menaces des mesures de Macron étaient appliquées, elles aggraveraient le manque de personnel dont on a tant besoin pour faire face aux besoins de santé accrus après la désorganisation hospitalière aggravée, non pas par l’épidémie Covid, mais par les mesures prétendument sanitaires du premier confinement (entre autres le plan blanc et les suppressions de lits malgré l’épidémie) constatées récemment par le canard enchaîné. De nombreux soignants ont déjà démissionné et demandé leur affectation en Suisse ou en Belgique où les salaires sont plus élevés. D’ autres attendent quelques semaines l’évolution de la situation, mais par exemple 40 % du personnel de réanimation de l’hôpital Lariboisière à paris a décidé de démissionner en groupe si le couteau leur est mis sous la gorge en septembre.

Et après les soignants et les autres professions déjà menacées, ils s’attaqueront à vous.

Méditez le poème du pasteur Martin Niemöller prisonnier personnel de Hitler sur la lâcheté de la population au moment de l’ascension des nazis « Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »

C’est maintenant qu’il faut arrêter le fascisme sanitaire en marche !

Ce qu’on veut vous injecter n’est pas des vaccins : ça ne contient aucun antigène, mais une protéine (ARN messager) ou des virus non humains génétiquement modifiés ; ce sont des médicaments à visée préventive.

Leur création repose sur une technique jamais utilisée chez l’homme sauf pour dans un essai de traitement des maladies génétiques qui a été interrompu, car il causait des leucémies.

Ils sont expérimentaux Les essais phase 3 ne sont pas terminés ; leurs résultats définitifs ne serontévalués qu’en 2023

Ils ne vous protègent pas de la maladie ni d’en mourir. La Grande-Bretagne et Israël sont actuellement confrontés à une croissance exponentielle du variant delta

et près de la moitié des morts Covid actuels ont reçu deux injections.

Ils ne protègent pas vos contacts.

Le dernier exemple démonstratif est celui le porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth où une épidémie de plus de 100 cas atteint les marins qui ont tous reçu leurs deux doses il y a plus de 3 mois.

Cette obligation est totalement illogique. Si vous croyez que ces injections vous protègent, vaccinez-vous, mais vous n’aurez alors aucune raison d’avoir peur des autres et de leur imposer un pass ou une injection expérimentale.

Et si vous avez des doutes sur l’efficacité de ces injections, vous devez vous méfier tout autant des vaccinés que des non-vaccinés et n’avez aucune raison d’imposer aux autres une injection expérimentale qui ne vous protégera pas.

Pour protéger vos enfants et tous ceux qui ont moins de 65 ans qui risquent beaucoup plus du vaccin que du Covid, dites non à ces mesures injustifiées totalement discriminatoires que personne n’avait osé proposer au plus fort de l’épidémie de Sida.

Dites non au fascisme vaccinal ! Manifestez pour vos libertés si durement conquises par nos ancêtres. Joignez vos députés et sénateurs en urgence, car le gouvernement a modifié le calendrier parlementaire et veut faire passer sa loi liberticide en quelques jours. Montrez-leur les vrais chiffres de l’épidémie et la totale disproportion entre une menace virtuelle (une simulation !) et des mesures gravement attentatoires aux droits fondamentaux et que personne au monde (à part deux théocraties islamiques) n’a jusqu’ici appliquées. N’hésitez jamais à rappeler aux élus, et à tous les citoyens qu’il existe des traitements précoces efficaces et sans danger.

Espérons que les fortes manifestations du samedi 17 juillet, dans de très nombreuses villes de France réunissant tous les Français vaccinés ou non, mais hostiles à l’apartheid hygiéniste et les sollicitations multiples des députés et sénateurs par les citoyens de tous bords attachés à la liberté, influenceront nos gouvernants et les conduiront à abandonner le pass sanitaire partout, comme Boris Johnson l’a fait début juillet après la manifestation monstre de Londres. Emmanuel Macron sera-t-il plus royaliste que les Anglais ?




La guerre bactériologique est en marche — « Nous sommes en guerre ! »

[Source : Sott.net]

Par Dr David Martin — Bitchute/Odysee
mar., 13 juil. 2021 14:59 UTC
Le Dr David Martin lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021.

Commentaire : Le Dr David Martin faisait partie des intervenants dans le documentaire Plandemic: Indoctornation.

Quant au contenu de cette vidéo doublée, voir aussi notre récent Focus Seconde Guerre froide — Le Covid/Sras-CoV-2 est une arme biologique fabriquée à Fort-Detrick aux États-Unis et envoyée en Chine pour la cibler et l’incriminer

Il aborde l’histoire du développement de l’arme biologique du SRAS, qui a été initialement financée pour la recherche sur le SIDA/VIH en 1999, et il a lâché cette bombe sur le public :

Anthony Fauci a dépensé, écoutez bien ce chiffre, 191 MILLIARDS de dollars, pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 MILLIARDS de dollars de fonds contrôlés pour la bio-armement de virus contre l’humanité.

[Note de Joseph : en fonction des arguments scientifiques présentés dans l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial, une arme bactériologique bactérienne ou virale aura peu de chances de réellement se répliquer à l’intérieur d’un organisme vivant et c’est probablement la raison de l’échec d’une telle arme qui selon les prévisions de l’Event 201 aurait dû faire 65 millions de morts. Une arme bactériologique ne peut tuer que par contact direct, en tant que poison auquel on est directement exposé. Si les virus et les bactéries ne sont pas les causes réelles des maladies prétendument virales ou bactériennes, dites « infectieuses », mais en sont plutôt des conséquences ou des mécanismes de réparation, comme exposé dans l’article évoqué ci-dessus, alors un « virus » aura beau être modifié chimiquement, il ne se répliquera pas davantage dans les cellules humaines que ne le font les virus naturels. Ceux-ci ne sont pas formés à cause d’une invasion de virus depuis l’extérieur, mais par les cellules corporelles ou comme résultat de dégradation de ces dernières (suite à un empoisonnement ou à une déficience en nutriments), selon les types de ces composants qui ont été appelés « virus ». Il est plus que temps pour l’Humanité d’abandonner la théorie virale fallacieuse et jamais réellement démontrée dans le cadre d’une démarche scientifique rigoureuse, mais qui est devenue une religion à laquelle presque tous les êtres humains croient aveuglément sans jamais la remettre en question. Il est temps d’arrêter d’avoir peur des bactéries et des virus et de comprendre que ceux-ci sont naturellement présents dans le corps, respectivement par dizaines de milliers de milliards et centaines de milliers de milliards, car ils y fonctionnent en symbiose et y remplissent diverses fonctions précises.]

Et c’est l’argent du contribuable américain qui a été dépensé.

Merci beaucoup pour votre aide afin que je puisse améliorer ma chaîne.



Dr Fauci a dépensé, écoutez bien, 191 milliard de dollars. Pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 milliards de dollars de fonds alloués pour l’armement biologique contre l’Humanité. Ceci est un programme d’arme biologique pour nous tuer. Voila ce que c’est. Et ce n’est pas que pour nous tuer, c’est pour procéder à une dépopulation massive. Vous avez un virus, vous avez une arme biologique.

En 1999, cet armement a été évoqué explicitement dans le premier rapport NIAID. Et DURC était impliqué, tout comme un tas d’agences de La Défense. Ce qui a été fait spécifiquement en 1999, l’épithélium du poumon humain était visé pour la première fois car le Coronavirus était plutôt inoffensif pour la plupart des humains. Mais l’epithelium du poumon humain est explicitement visé afin que cela devienne pathogène pour le poumon humain.

Nous avons construit le Sras. Les humains ont construit le Sras et ce sont les contribuables américains qui ont payé cela. En 1999, nous avons construit une arme biologique. J’ai écrit mon premier briefing en 2001, et j’ai mentionné les armes biologiques et la sécurité globale. En 2003, en Slovénie. En 2004, en République Islamique d’Iran à la Conférence sur les armes biologiques en Iran. Ce sont des faits historiques qui ne sont pas nouveaux. C’était connu, et en 2005, ils ont fondé l’initiative DARPA.

Source de la vidéo doublée : Liberty Voice sur Odysee
Source de la vidéo en version originale (anglais) : Bitchute




Le plan de « force de frappe » de Biden sur les vaccins pue le désespoir

Par Brandon Smith

S’il y a une règle dont les esprits libres doivent se souvenir, c’est que l’establishment n’aime pas perdre le contrôle de la version officielle. Et quand il le fait, des choses bizarres commencent à se produire. Par exemple, il devient douloureusement évident que le récit sur les « vaccins » expérimentaux à ARNm a glissé entre les doigts de l’administration Biden et, par conséquent, ils sont maintenant dans une course effrénée pour injecter des millions de vaccins dans autant de bras sceptiques que possible avant que le public ne s’organise pour repousser l’ordre du jour. Il me semble qu’ils sont un peu en train de paniquer.

Le problème est devenu plus évident depuis janvier, lorsque diverses entités gouvernementales et les médias ont commencé à se plaindre ouvertement du nombre de doses de vaccins jetées à la poubelle en raison de leur péremption. Pourquoi les vaccins arrivaient-ils à expiration avant d’être utilisés ? Les médias suggèrent que c’est dû à la « mauvaise gestion du gouvernement », alors que les responsables au niveau de l’État ont admis que c’était dû à une baisse significative de la demande.

Entre-temps, Biden a expédié plus de 500 millions de doses de vaccin contre la coqueluche à l’étranger en juin, tout en affirmant que les États-Unis étaient en bonne voie pour atteindre son objectif de 70 % de vaccination pour le 4 juillet. Inutile de préciser que cela ne s’est jamais produit. L’administration Biden affirme maintenant que la population américaine est vaccinée à 67%, et si cela était vrai, elle serait très proche des directives originales d’Anthony Fauci en matière d’immunité collective. Alors pourquoi tout ce battage autour des personnes non vaccinées ?

Tout d’abord, Fauci n’a cessé de déplacer les objectifs de l’immunité de groupe au point de dire au public d’ignorer complètement l’immunité de groupe et que la seule option est de faire vacciner TOUT LE MONDE. Beaucoup d’entre nous, dans les médias libres, ont dit que c’était exactement ce qu’il ferait, et il s’est avéré être incroyablement prévisible. Deuxièmement, les chiffres de vaccination des CDC semblent être gonflés afin de créer un consensus artificiel.

Tout en revendiquant un taux de vaccination global de 67 %, les statistiques des CDC indiquent un maximum d’environ 184 millions d’Américains ayant reçu au moins une dose, puis indiquent 160 millions de personnes ayant reçu une double dose. Pourtant, selon la carte de données de la Mayo Clinic, seuls quatre États ont un taux de vaccination de 67 % ou plus, tous situés dans le Nord-Est. Même la Californie et New York sont bien en dessous de 67 %, et la grande majorité des États se situent autour de 50 % ou moins.

Franchement, je ne crois pas du tout aux chiffres de vaccination des CDC. Les chiffres des nouveaux dosages sont en chute libre à travers les États-Unis, selon les responsables des États ; tous ceux qui n’ont pas été vaccinés à ce jour ne le seront pas à moins d’y être contraints. Il n’y a pas de longues files d’attente pour les vaccins. Pas de temps d’attente. Les CDC ont même supprimé le temps d’attente entre les doses. Et pourtant, CVS et Walgreens ont jeté des doses périmées par centaines de milliers.

Si nous regardons les statistiques des CDC concernant la vaccination complète, nous sommes plus proches de 51 % de la population américaine totale, ce qui correspond plus précisément aux statistiques de la Mayo Clinic. Rien n’indique que ce pourcentage dépassera bientôt la barre des 51 %, si tant est que les statistiques soient exactes.

Cela signifie qu’au moins la moitié de la population américaine est en désaccord avec le programme. C’est probablement la raison pour laquelle Fauci et Biden sont devenus plus agressifs dans leur programme de vaccination le mois dernier. S’ils obtenaient les taux de vaccination de près de 70 % qu’ils revendiquent, ils ne se plaindraient pas avec indignation des personnes non vaccinées. Les statistiques montrent qu’un nombre ÉNORME d’Américains refusent de se faire vacciner – Nous sommes une vaste armée, et c’est une bonne chose.

Pourquoi ? Parce qu’il n’y a tout simplement aucune raison de prendre le vaccin expérimental à ARNm.

FAIT : Covid-19 a un IFR (taux de mortalité par infection) médian de 0,26% ou moins.

Pourquoi prendre un vaccin expérimental plutôt qu’un virus auquel 99,7% de la population, en dehors des maisons de retraite, survivra facilement ? Dans mon comté, seules 17 personnes sont mortes du covid en 16 mois, dont beaucoup dans des maisons de retraite. La majorité de la population a également cessé de porter des masques et mis fin aux confinements environ trois mois après l’épidémie initiale, lorsqu’il est apparu clairement que le covid n’était rien. Le variant dit « Delta » est également très présent ici, et ni les décès ni les infections n’ont augmenté de manière notable.

La plupart des gens ici ont déjà eu le virus, et c’était essentiellement comme une mauvaise grippe avec un coup de fouet supplémentaire ou un brouillard cérébral supplémentaire. Après environ une semaine, les gens se sont rétablis. C’est facile. Je comprends parfaitement les inquiétudes des gens lorsque la pandémie a commencé ; nous n’avions aucune idée de ce à quoi nous avions affaire. Cependant, après quelques mois, la réalité s’est imposée. La peur et la terreur délirantes que suscite le Covid ne sont plus qu’une paranoïa complaisante.

FAIT : Les infections et les décès dus au Covid ont commencé à s’effondrer bien avant que les vaccins ne soient répandus.

Les médias grand public suggèrent continuellement que les vaccins sont la raison de la chute des infections, mais c’est un mensonge. Les cas de covid ont atteint un pic en janvier 2021, puis ont chuté de façon vertigineuse. En février 2021, seuls 5,9 % de la population américaine avaient reçu au moins une dose du cocktail à ARNm. Dans les États conservateurs où les mandats ont été levés bien avant les États bleus et où les vaccinations sont moins nombreuses, les infections et les décès ont chuté encore plus rapidement. Les vaccins n’ont RIEN à voir avec la baisse des infections. Rien du tout.

FAIT : Au moins 81% des personnes qui ont eu le covid sont peu susceptibles d’être réinfectées.

[Note de Joseph. Du point de vue d’une démarche scientifique rigoureuse (voir Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial), il ne s’agit pas d’un fait, mais d’une statistique interprétée en provenance d’un fait. Le fait est que les personnes qui ont eu une maladie représentée par des symptômes particuliers ont peu tendance à retomber malades de la même maladie, sauf lorsque celle-ci est chronique (ce qui signifie alors qu’ils n’ont jamais trouvé le moyen d’en éliminer les causes). Ce fait peut s’interpréter tout à fait différemment et de manière bien plus logique que celle de l’hypothèse, jamais vraiment démontrée, d’une prétendue « immunité collective ». Tout simplement, le corps humain peut s’habituer ou s’adapter dans une certaine mesure et à la longue à certaines sources d’empoisonnement qui le rendent malade.]

Fauci continue d’ignorer la science de l’immunité de groupe et rejette complètement les personnes qui ont contracté le covid comme étant immunisées. Pourtant, c’est la réalité. Si nous comptons le grand nombre de personnes qui ont contracté le covid, alors les Etats-Unis ont atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. C’est pourquoi les infections et les décès ont chuté d’une falaise, pas à cause des vaccinations.

FAIT : Les vaccins à ARNm n’ont AUCUNE donnée de test à long terme les soutenant ou prouvant leur sécurité.

Les tests initiaux pour un vaccin expérimental moyen durent de 2 à 4 ans, puis plusieurs années d’observation et de tests supplémentaires sont nécessaires avant l’approbation. Globalement, les vaccins sont censés être testés et re-testés pendant 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins à ARNm anti-covid ont été mis à la disposition du public en quelques mois, sans approbation officielle de la FDA et sans données à long terme, du moins aucune qui ait été révélée ouvertement. Le résultat final est que nous n’avons aucune idée des effets secondaires à long terme de ces vaccins. Cependant, certains experts tirent la sonnette d’alarme…

FAIT : De nombreux experts en vaccins mettent en garde contre les troubles auto-immuns et l’infertilité potentiellement dangereux causés par les vaccins expérimentaux à ARNm, y compris le médecin qui a inventé la technologie à ARNm.

Nous avons reçu de nombreux avertissements d’experts en virologie et en vaccins appelant à la prudence en ce qui concerne les vaccins anti-covid. L’ancien vice-président de Pfizer Michael Yeadon et plusieurs de ses associés médicaux ont publié un appel à l’arrêt des vaccinations jusqu’à ce que des tests supplémentaires puissent être effectués. Yeadon a spécifiquement mis en garde contre d’éventuels troubles auto-immuns et des effets secondaires sur l’infertilité. Il a depuis été attaqué sans relâche par les médias.

L’inventeur du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, s’est exprimé sur les dangers de la thérapie génique à ARNm, soulignant spécifiquement que la protéine spike que le vaccin anti-covid indique à vos cellules de fabriquer pourrait présenter des risques pour la santé à long terme, notamment des caillots sanguins et l’infertilité chez les femmes. L’interview de Malone a depuis été effacée de YouTube et ses réalisations ont été discrètement retirées de sites web comme Wikipedia. Il est lentement dépersonnalisé.

Enfin, dans les hôpitaux du pays, 30 % des professionnels de santé ont refusé de se faire vacciner. Certains n’ont pris le vaccin que parce que leur emploi était menacé.

L’argument des médias sous contrôle contre des avertissements comme ceux-ci de la part d’experts en la matière est qu’ils sont « fous » et doivent être rejetés. Donc, seuls les professionnels de la santé qui reçoivent un salaire du gouvernement et qui sont d’accord avec les mandats du gouvernement sont en quelque sorte « sains d’esprit » ? Intéressant…

Lorsque l’éclairage gazeux ne fonctionne pas, les doreurs d’image (sans mauvais jeu de mots) sortent une logique floue classique, affirmant qu’il n’y a « aucune preuve que les vaccins causent des dommages ». C’est manifestement faux, car toute personne effectuant une recherche rudimentaire constatera que de nombreuses personnes dans le monde sont mortes ou ont souffert d’effets secondaires après avoir été vaccinées. Mais, bien sûr, les défenseurs des vaccins affirment que ce n’est pas une « preuve » à 100 % que les vaccins sont globalement dangereux.

Eh bien, il n’y a également AUCUNE PREUVE que les vaccins sont sans danger. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Et dans la science médicale, la règle est de pécher par excès de prudence, de ne pas prendre de risques inconsidérés pour un virus qui ne représente aucune menace pour 99,7 % de la population.

Permettez-moi donc d’être parfaitement clair avec la secte du covid qui ne comprend pas la science médicale de base – La charge de la preuve VOUS incombe, ainsi qu’au gouvernement et aux sociétés pharmaceutiques, et non à nous. VOUS devez prouver que les vaccins sont sûrs, par des tests à long terme. Ce n’est pas à nous d’accepter le vaccin et de devenir les cobayes de la plus grande expérience médicale du monde, fondée sur une foi aveugle et des opinions vides étayées par aucune donnée.

Les « forces de frappe de la vaccination » de Biden

Ces faits, et bien d’autres encore, sont en train d’être digérés par le public américain et les résultats sont clairs : des millions et des millions d’entre nous ne prendront pas le vaccin. Cela ne se fera pas. Nous allons nous battre plutôt que de nous conformer, et nous finirons par gagner. Le programme mondialiste du Grand Reset exige une vaccination totale, des passeports vaccinaux et une conformité totale. Ils ne l’obtiennent pas, donc le résultat naturel sera une tentative de forcer les personnes non vaccinées à accepter le vaccin.

Récemment, Biden a annoncé un plan visant à déployer des « équipes d’enquête » dans toute l’Amérique, qui feraient du porte-à-porte, comme des agents de recensement, afin de déterminer qui a pris les vaccins et qui ne les a pas pris. Ces équipes « encourageraient » également les personnes qui ne sont pas vaccinées à se faire vacciner dans un endroit proche.

Ces enquêtes sont, à mon avis, plus une ruse qu’autre chose. Elles ne peuvent pas recueillir des chiffres exacts car elles n’ont aucun moyen de savoir si les gens disent la vérité ou non. Le but probable de ces enquêtes est de localiser les foyers qui refusent par principe de parler aux équipes et de les marquer comme « problématiques ».

L’attachée de presse de Biden a laissé échapper un langage intéressant sur ces équipes, révélant peut-être leur véritable intention lorsqu’elle les a appelées « forces de frappe ». Est-ce à dire que l’objectif initial sera de forcer les gens à prendre le direct sur le pas de leur porte ? Non, pas dans l’immédiat. Cependant, je pense que les équipes d’enquête sont la prochaine étape vers cette politique à l’avenir.

Pour l’instant, la secte du covid utilise les entreprises pour imposer des mandats médicaux en exigeant que les employés et même les clients se fassent vacciner avant de pouvoir accéder à un emploi ou à des services. C’est inacceptable, car bon nombre de ces entreprises ont bénéficié d’injections de relance sans fin de la part du gouvernement et sont donc redevables aux contribuables. Leurs droits de propriété privée ne s’étendent pas au contrôle de nos décisions ou de nos antécédents médicaux personnels.

Toute société ou entreprise qui exige une preuve de vaccination au nom du gouvernement ou des mondialistes devrait être mise au piquet et mise au pas. Toute entreprise concurrente qui refuse de demander des passeports vaccinaux devrait être soutenue par le public et protégée des représailles du gouvernement. Mon État natal, le Montana, a rendu illégal le fait que des entreprises demandent des passeports vaccinaux, mais de nombreux États ne l’ont pas fait. C’est aux Américains ordinaires, au niveau local, de faire savoir aux entreprises qu’ils ne toléreront pas la tyrannie médicale.

Par extension, les équipes de sondage de Biden sont à proscrire. Elles sont le précurseur des vaccinations forcées au porte-à-porte et de la pression invasive du gouvernement fédéral sur un certain nombre d’autres questions. Cela s’appelle « l’incrémentalisme », et ils pensent que nous sommes trop distraits pour le remarquer. Au fur et à mesure que l’ordre du jour continue de s’effondrer aux États-Unis, l’establishment va se désespérer. Lorsque les mandats de passeport vaccinal des entreprises échoueront (et ils échoueront), ils devront prendre des mesures violentes à court terme pour obtenir ce qu’ils veulent.

Ces équipes devraient être expulsées de toutes les communautés dans lesquelles elles se présentent. Elles ne devraient pas être autorisées à faire du porte-à-porte. Le mouvement pour la liberté gagne un terrain incroyable dans ce combat, mais cela signifie que les élites deviendront plus déséquilibrées et plus dangereuses dans leur rhétorique et leurs actions. Lorsque les obsédés du contrôle et les psychopathes n’obtiennent pas ce qu’ils veulent, ils ont tendance à piquer des crises de colère épiques.

Traduction de Alt Market par Aube Digitale




LETTRE-TYPE À ADRESSER À VOTRE DÉPUTÉ et AUX SÉNATEURS DE VOTRE DÉPARTEMENT pour lui demander d’être contre le Pass Sanitaire

[Source : UPR]


Nous mettons en ligne ci-dessous le projet de lettre que nous conseillons à chaque citoyen français d’adresser avec la date et sa signature à son député et à ses sénateurs.

Il suffit de faire un copier-coller de ce texte, puis de modifier les éléments surlignés en jaune pour enfin imprimer et envoyer celle-ci à votre député et à vos sénateurs.

Nous vous invitons à ne pas vous contenter d’un envoi papier ou par mail, mais à aller à la rencontre des parlementaires, physiquement, pour leur remettre la lettre et en discuter avec eux.

En effet, il est également recommandé de l’adresser aux sénateurs de votre département.

La liste de tous les députés par département avec les moyens de les joindre peut être consultée en cliquant ici.
La liste de tous les sénateurs par ordre alphabétique avec les moyens de les joindre peut être consultée en cliquant ici.


MODÈLES DE COURRIERS (les éléments en jaunes sont à adapter)

À <Prénom> <Nom>
Député/Députée / Sénateur/Sénatrice
de [mettre le département]

Le <xx> juillet 2021,

Monsieur le député,
Madame la députée,
Monsieur le sénateur,
Madame la sénatrice,

Résident/Résidente et électeur/électrice

de votre circonscription, j’appelle votre attention sur les atteintes aux libertés publiques et individuelles sans précédent depuis 1945 que constituent les annonces du Président de la République du lundi 12 juillet 2021, à la fois sur l’obligation vaccinale et le passeport sanitaire.

————

Rendre obligatoire – ou quasiment obligatoire par des pressions et des contraintes – l’administration de vaccins génétiques dont la phase expérimentale est toujours en cours, l’efficacité incertaine, la technologie toute nouvelle et les effets secondaires d’ores et déjà notables est politiquement imprudent et moralement condamnable.

C’est même impossible juridiquement dans l’état actuel de la réglementation pour des raisons parfaitement fondées liées à la préservation de la santé publique et au libre consentement de chacun.

Le projet du Président de la République est d’autant plus douteux que dans le même temps, plusieurs traitements prophylactiques ont prouvé leur efficacité contre le covid-19 et sont employés à l’étranger. L’ivermectine par exemple, qui a bénéficié d’une étude favorable – d’ailleurs très tardive et peu relayée dans les médias – de la part de l’Institut Pasteur publiée le 13 juillet 2021, a permis de briser spectaculairement la courbe des contaminations et des décès en Inde.

Comme de très nombreux Français, je ne comprends pas pourquoi la vaccination, aux conséquences encore inconnues et qui n’a pas permis d’enrayer l’épidémie en Israël et en Grande Bretagne où elle est la plus massivement répandue, constitue la seule et unique stratégie sanitaire du gouvernement, quand des traitements précoces bien connus, présentant un degré parfois très élevé d’efficacité et au pire dénués d’effets secondaires sérieux restent, eux, interdits dans notre pays pour contrer l’épidémie.

Surtout, la vaccination obligatoire va à l’encontre de la liberté de chacun d’apprécier la balance entre bénéfice et risque pour recourir, ou non, aux tout nouveaux vaccins génétiques. Après celui de la liberté de prescription de traitement des médecins, c’est le principe essentiel du consentement éclairé que le gouvernement s’apprête à enterrer.

————

Quant au « passeport sanitaire » envisagé par M. Macron, il institue une discrimination inacceptable entre Français, fondée sur les données sanitaires de chacun d’entre nous. En outre, il conduit à une stigmatisation blessante et dangereuse de nos compatriotes, nombreux, qui osent se questionner sur les vaccins génétiques et, plus largement, sur la politique sanitaire du gouvernement. Cette atmosphère de maccarthysme transpire aussi bien dans les médias que dans le monde professionnel et jusque dans la vie privée et familiale de chacun.

Il faut rappeler ici que les avantages sanitaires prétendus d’un tel dispositif se heurtent à tellement de difficultés pratiques de mise en œuvre et à de telles incertitudes sur son efficacité réelle que plusieurs institutions l’ont déjà formellement déconseillé ou interdit. Ainsi, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) déconseille l’adoption d’un passeport sanitaire, tout comme l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Ces deux institutions le déconseillent formellement, tant l’atteinte portée aux libertés publiques et les coûts engendrés sont disproportionnés par rapport à la minceur des avantages présumés.

Aux États-Unis, l’administration Biden elle-même a indiqué qu’elle n’imposerait jamais de passeport sanitaire et plusieurs États l’ont déjà formellement interdit, à commencer par le Texas et la Floride, qui comptent parmi les plus peuplés des États-Unis d’Amérique. Au total, la France n’est imitée par aucun pays européen et même par aucun État de l’OCDE dans cette dérive très préoccupante.

————

Les mesures annoncées par M. Macron constituent les germes d’une politique d’essence tyrannique et le prélude d’un contrôle social totalitaire fondé sur de pseudo-raisons sanitaires tellement discutables qu’elles n’ont convaincu ni l’OMS, ni le Conseil de l’Europe, ni les États-Unis, ni l’écrasante majorité des pays du monde.

C’est pourquoi je vous demande solennellement de voter contre.

Je conclurai qu’avec un score de 10% au premier tour des élections régionales (3,5% des électeurs inscrits), la « majorité présidentielle » au Parlement dispose d’une légitimité très affaiblie voire quasiment inexistante pour poursuivre son action, a fortiori quand celle-ci remet en cause autoritairement et sans fondements des éléments déterminants de notre pacte républicain.

Il vous appartient de sauver l’honneur de la politique lorsque le Président de la République se parjure, lui qui avait annoncé que jamais la vaccination ne serait obligatoire et que jamais le passeport sanitaire ne restreindrait les libertés. La réélection en 2022, et même la seule candidature, de M. Macron sont d’ailleurs, désormais, plus qu’hypothétiques.

Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de recevoir mes salutations républicaines.

<Date>
<Signature>




Résistance face à la tyrannie vaccinale de Macron : il faut mettre une pression monumentale sur les députés

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

On ne le leur pardonnera pas. Si les parlementaires – et en particulier les élus à l’Assemblée nationale qui auront la haute main – adoptent le texte d’instauration de la tyrannie voulue par Emmanuel Macron, il faut qu’ils sachent qu’ils seront politiquement morts. Tout député qui votera la soumission des Français à un régime de facto de « vaccination » obligatoire pour pouvoir vivre normalement, travailler, recevoir un salaire, se déplacer, aller au café ou au restaurant visiter ses anciens, aller faire ses courses (dans une « grand » centre commercial, en attendant l’interdiction pure et simple de commercer), doit savoir que son acte proprement terroriste sera répertorié et retenu contre lui. Face à la tyrannie vaccinale, un seul mot d’ordre : aujourd’hui, il fait mettre une pression monumentale sur les députés et les sénateurs. C’est l’heure de la résistance.
 
Ils auront des comptes à rendre et demain, lorsque cette folie sera derrière nous, ce n’est pas un « pass sanitaire » qui leur permettra de poursuivre leur carrière politique, car de carrière politique, ils n’en auront plus.

Résistance à la tyrannie : un droit et encore plus, un devoir !

On ne se contentera pas de leur abstention, et encore moins de leur absence, si jamais ils n’ont pas envie de perturber leurs vacances par une session extraordinaire du Parlement, annoncée à compter du 21 juillet. Ils ont un rôle, pour lequel ils ont été élus. Sans doute le cynisme politicien pourra-t-il les pousser à se désintéresser de la cause ou, pire, les inciter à approuver les visées tyranniques d’Emmanuel Macron et de ceux qui l’entourent – et pire, de ceux qui le pilotent, comme on mène un bateau… et en bateau.
 
Mais ce qui leur est demandé, ce n’est même pas du courage. C’est la simple défense de leurs propres intérêts, de leur propre carrière. On ne leur demande même pas de résister à la vaccination obligatoire par amour de leurs compatriotes ou pour être fidèles à leur éventuel sens de l’honneur. S’ils choisissent de soumettre hommes, femmes et adolescents à cette gigantesque et maléfique expérience de suivi et de traçage de toute la population – car c’est aussi de cela qu’il s’agit – ils seront « morts ». Politiquement morts, socialement morts (et non, ces mots ne doivent pas nous faire peur, car c’est précisément ce qui est en cours de mise en place : la mort sociale de ceux qui ne se vaccineront pas).
 
Insistons là-dessus. Il n’y a pas – pas encore comme l’a laissé entendre Macron – d’obligation vaccinale générale. Mais il y a bien un « QR code pour tous », et, déjà, un système de crédit social tel qu’il existe, et nous répugne, en Chine, avec le pass sanitaire. Et les conditions du pass sanitaire sont telles qu’elles reviennent à une vaccination obligatoire pour tous, avec un QR code toujours, permettant de suivre à la trace et dans tous les actes de la vie chaque citoyen, dès 12 ans. 

Macron veut le vaccin obligatoire pour tous, Laurent Alexandre l’a compris

Laurent Alexandre l’a bien compris, ce médecin-urologue « penseur » de la quatrième révolution industrielle et du dépassement de l’homme par l’intelligence artificielle. Avec gourmandise, il a salué les annonces d’Emmanuel Macron, lundi :
 
« Franchement je ne pensais pas que @EmmanuelMacron rendrait de fait le vaccin obligatoire. Sans pass la vie est TOTALEMENT IMPOSSIBLE : on ne peut même plus prendre le train nous (sic) aller au café. Et il est inhumain de faire 15 PCR par mois ! »
 
Et un peu plus tard : « Je n’imaginais pas une seconde que la vaccination obligatoire serait AUSSI HARD ! C’est justifié mais très violent ! Les soignants ne seront plus payés à partir du 15 septembre. »
 
Tout aussi goulûment, il saluait ce jeudi la tournure que prend le projet de loi visant à rendre obligatoire le pass sanitaire (avec vaccination ou test COVID négatif de moins de 48 heures), avec sa pression inouïe sur les professionnels : » Un cafetier ou un restaurateur qui ne contrôlerait pas le pass sanitaire sera puni de 45.000 euros d’amende et un an de prison en cas de récidive. »
 
Quiconque votera une telle disposition prendra une responsabilité dont il devra être conscient.

Les députés doivent subir une pression monumentale comme ils n’en ont jamais vue

C’est maintenant, aujourd’hui, qu’il faut écrire et faire écrire à son député et lui envoyer des courriers électroniques, téléphoner à sa permanence, lui rappeler que son vote sera public, que nul ne l’oubliera et que nous nous chargerons de le rappeler. Peu importe sa couleur politique. Peu importe la nôtre. Extrême droite, extrême gauche et même extrême centre n’ont plus de sens face à ce qui se prépare. Nous ne sommes pas dans un combat partisan. Les options politiques sont sans objet, c’est une bataille de simple survie qui aujourd’hui, peut et donc doit se mener sur le front parlementaire. Chaque circonscription devra avoir son association locale pour suivre « son » député, le pister plus sûrement, plus justement et plus intelligemment qu’une surveillance numérique ; pour le faire battre s’il a voté pour le QR code et la tyrannie vaccinale ou s’est abstenu, et pour le faire réélire s’il s’y est opposé – quelle que soit sa couleur politique.
 
Car si les élus des Français doivent aujourd’hui être mis devant leur responsabilité historique, la responsabilité de le faire, avec ténacité et sans peur, est celle de chacun. Nous sommes nombreux. Nous sommes des millions. Il suffit de descendre dans la rue et d’écouter les conversations de trottoir et de café pour le constater : ils sont nombreux, les Français qui ne veulent pas céder à l’odieux chantage.
 
Il faut le redire : nous vivons des heures totalement inédites. La France a connu des guerres, des autocrates, des occupations, des persécutions religieuses, la Terreur. Mais jamais aucun gouvernement n’a prétendu, n’a osé soumettre les plus élémentaires libertés d’aller et de venir, de vendre et d’acheter, de soigner et de nourrir, d’assister au concert ou au théâtre, à l’injection dans le corps d’une substance expérimentale aux effets inconnus à long terme, et aux effets secondaires graves dont le nombre se révèle déjà exceptionnel. Personne n’a jamais osé (ni pu, mais des capacités techniques sans précédent) est aujourd’hui entre les mains du pouvoir « marquer » chacun. Apocalyptique ?

Marquer chaque Français : Emmanuel Macron instaure le crédit social à la chinoise

La liste des mensonges et des contradictions qui accompagnent cette mise en place d’une tyrannie effroyable dans son totalitarisme signe le crime. Macron avait déclaré d’emblée que nous étions « en guerre » contre un ennemi invisible. 18 mois plus tard, on s’aperçoit que l’espérance de vie pour 2020 est exactement la même… qu’en 2015. Ce sont toujours les personnes très âgées et très fragiles qui meurent « du COVID » – vaccinées ou non d’ailleurs – comme de n’importe quelle grippe ou pneumopathie.
 
Macron brandit l’épouvantail du variant « Delta », ou indien du SARS-CoV-2, qui mériterait un article à lui tout seul. Il est sans doute plus contagieux que les autres, mais certainement moins meurtrier. On prétend « vacciner » pour « protéger » les populations, mais il est quasiment interdit de soigner les malades au moyen de remèdes dont l’efficacité se constate dans des pays moins avancés que le nôtre, et qui par bonheur pour eux, « manquent » de vaccins. En France, le nombre d’hospitalisations comme le taux d’occupation des réanimations et soins intensifs ne cessent de décroître, et l’on comptait en ce 14 juillet 2021 exactement six (6) décès officiellement attribués au COVID.
 
La majorité des Français n’a plus peur : il suffit de voir comment ils se promènent, s’embrassent, retrouvent sans masques un peu de la douceur de vivre de ce beau pays, et la vie sociale, et l’amitié, si tant est qu’ils les aient abandonnées. Macron les dresse maintenant les uns contre les autres au nom de nouvelles peurs créées de toutes pièces.
 
Ne laissons pas le Parlement entériner cela !

Jeanne Smits




Le peuple se réveille : informez vos députés et sénateurs avant le 21 juillet 21

Par Nicole Delépine

À la suite de la tentative de passage en force du président pour l’obligation de la « vaccination » en masse, son argument n’est plus de convaincre du bien-fondé du pseudo vaccin, mais de contraindre par la force comme tout racketteur de rue : « tu te vaccines ou tu restes enfermé ».

Malgré les mauvais résultats Covid mis en évidence dans les pays hautement vaccinés et les effets secondaires majeurs. La menace de privation de libertés à court terme (deux semaines) conduit chacun à chercher une solution individuelle dans les premières heures et cela peut se comprendre au milieu des larmes des enfants et des insomnies des parents engendrées par les annonces du président.

L’heure n’est pas à la clandestinité, mais bien au combat démocratique

Durant l’occupation la première préoccupation des résistants était les faux papiers. Mais nous n’en sommes pas encore là et après la nuit blanche pour beaucoup, les pleurs sur les trains, avions que nous ne pourrons pas prendre sauf à se faire injecter ce faux vaccin, l’heure est à la réaction démocratique.

Et à regarder les réseaux sociaux dès le 14 juillet, l’espoir renaît, le peuple est en train de se réveiller et de comprendre que si ceux qui nous gouvernent sont immensément riches et puissants, ils ne sont que quelques-uns et nous sommes des millions.

Le réveil des soumis de la classe politique

Même des politiques jusque là passifs et soumis, envoûtés peut-être par le mensonge de la pandémie se réveillent. Les extrêmes qui étaient jusqu’ici sous la coupe d’E. M. s’expriment enfin, de la députée Obono et son collègue de France insoumise Adrien Quatennens, à Marine Lepen qui s’était fourvoyée dans l’obligation vaccinale, et Gilbert Collard(([1] Une vaccination obligatoire déguisée ? Les annonces de Macron décriées par l’opposition – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) entre autres.

Ceux qui avaient mis en garde depuis des mois sont évidemment sur le pont avec en priorité le plus efficace depuis des semaines à organiser des manifestations sous les fenêtres du ministre, Florian Philippot. Le chef de file des Patriotes Florian Philippot a fustigé le « piétinement des droits fondamentaux » en évoquant l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certaines professions, dont les aides-soignants.

« Je n’ai pas vu ce soir un président de la République, mais un dictateur », a-t-il renchéri. Et « ce qu’a annoncé ce soir #Macron20h est d’une gravité exceptionnelle. Ne sombrez pas. Tenez, et ensemble nous nous libérerons. Vive la France ! »

Quelques autres, comme Francois Asselineau, appellent à la prise de conscience populaire de la privation de nos libertés sous prétexte de crise sanitaire qui n’existe plus en France.

Son appel au peuple est très poignant également. Puissent-ils enfin s’unir dans le combat pour la reconquête de nos libertés.

La peur et les mensonges comme mode de gouvernement

Aujourd’hui les autorités, sanitaires, ou politiques, tentent de terroriser la population en réanimant la pseudo pandémie. Pourtant, le 14 juillet, d’après Santé Publique France, il n’y a eu en France que 6 morts liés au coronavirus

… pour 67 millions d’habitants et près de 1700 décès français quotidiens (santé, vieillesse, ou accidents).

Les cancers sont à l’origine d’environ 500 morts par jour parmi ces 1700 par jour. Alors pourquoi cette course effrénée au vaccin qui n’en est pas un,(([2] Un vaccin selon Pasteur est composé d’antigène (des fragments du virus, ou un virus vivant atténué) qui suscitent une réaction immunitaire avec formation d’anticorps spécifique. Les pseudo vaccins covid actuels n’en contiennent pas ce sont en réalité des médicaments préventifs contenant des OGM)) mais une injection génique visant à vous faire fabriquer vous-même un antidote à des morceaux de ce fameux ennemi le SARS-CoV-2 ? Injection génique en expérimentation et n’ayant obtenu qu’une AMM conditionnelle ?

Est-il acceptable que le président mente aux Français en prétendant que les non-vaccinés seraient 12 fois plus contagieux que les vaccinés alors qu’aucune étude dans le monde réel ne l’a démontré ? Il sacre ainsi « vérité présidentielle », une simple prédiction mathématique non encore publiée, non revue par des pairs, qui n’a rien à voir avec le monde réel, mais a l’immense avantage, en modifiant les hypothèses de base, d’inventer le futur apocalyptique qui convient à l’auteur. Cette prophétie est signée par Yazdan Yazdanpanah, grand défenseur du Remdesevir(([3] Il a fait partie des différents comités et conseils de : Johnson & Johnson, Viiv, Abbvie, MSD, Pfizer, Janssen, BMS, Gilead, etc. Entre 2014 et 2019, il aurait perçu environ 96 000 euros de groupes privés. « Il n’y a pour l’instant qu’un seul médicament dont nous pensons qu’il pourrait avoir une réelle efficacité. Et c’est le Remdesivir. »)) et des confinements et autres mesures restrictives des libertés pour nous forcer à nous faire injecter des produits OGM expérimentaux abusivement appelés vaccins. Comme membre du comité scientifique, il oriente la stratégie anti-covid de la France en défendant les intérêts des consortiums des firmes dont il a été très proche et des consortiums REACTing et du GloPID-R(([4] « une alliance mondiale d’organisations internationales » qui compte parmi ses membres la Fondation Bill et Melinda Gates.)) dont il est président et de l’Institut Pasteur (qui vit des vaccins).

Est-il acceptable que le ministre de la Santé mente aux Français en affirmant que les essais sont terminés ?

Consultez directement clinicaltrials.gov en tapant covid19 et le nom du « vaccin » dont vous souhaitez voir où en est l’ensemble de l’essai (Pfizer par exemple).

Est-il acceptable que les responsables prétendent que les vaccins actuels seraient efficaces contre le variant delta alors que l’explosion des cas de variants delta se voit dans les pays très vaccinés ?

Les expériences britannique et israélienne, marquées par l’explosion récente de l’épidémie à variants delta, montrent que les vaccins actuels ne protègent pas des divers variants.

Les variants sont de plus en plus contagieux et de moins en moins dangereux, responsables d’un gros rhume pour le delta. Le Pr Luc Montagnier, célèbre prix Nobel pour avoir isolé le virus du Sida, avait été l’un des premiers à alerter en mai dernier 2021 : « les variants viennent de la vaccination. La vaccination est une énorme erreur scientifique, et une faute médicale. C’est inacceptable ».

L’obligation vaccinale n’a aucune justification, ni scientifique ni légale. L’article du Nouveau-monde.ca(([5]
L’obligation vaccinale n’aurait aucune justification, ni scientifique ni légale – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
ou https://www.mondialisation.ca/lobligation-vaccinale-naurait-aucune-justification-ni-scientifique-ni-legale/5658232)) apporte la preuve de la grande inefficacité de la vaccination ARNm contre le variant Delta et montre du doigt notre gouvernement et les médias qui tentent d’entretenir la peur dans la population en agitant une hypothétique 4e vague. Cette vague, si elle existe sera celle des accidents des vaccinations, en particulier les AVC et infarctus qu’on voit déjà se multiplier dans nos entourages vaccinés, et dont le lien avec le vaccin est pour l’instant nié par trop de médecins sur ordre, semble-t-il.

Nous avons alerté ailleurs sur les innombrables effets indésirables des injections géniques, rapportés dans les banques de données officielles telles EudraVigilance pour l’agence européenne EMA ou VAERS pour la FDA aux USA entre autres, que chacun peut et devrait consulter avant de confier son corps à Big Pharma. Les inquiétudes chez les jeunes vaccinés sont maintenant reconnues par l’OMS. Les « vaccins pouvaient générer de gros problèmes cardiaques, admettant un “lien probable” » et ce risque est d’autant plus élevé que les vaccinés sont plus jeunes, selon les experts américains et israéliens.

Allons-nous suivre l’exemple de 2 pays islamiques ?

Dans le monde, seuls deux pays peuplés ont rendu les pseudo vaccins anti-covid obligatoires et ce sont deux pays islamiques qui ne fondent leur mode de vie, ni sur le respect des libertés démocratiques ni sur l’état actuel de la science, mais sur la foi.

Au Turkménistan, l’un pays à n’avoir déclaré aucune contamination depuis le début de l’épidémie, le gouvernement a rendu la vaccination obligatoire pour « toutes les personnes de plus de 18 ans sans contre-indications médicales », mais, d’après l’OMS au 4 avril 2021, seulement 41 993 doses de doses de vaccin avaient été administrées.

Au Tadjikistan, c’est un décret du 7 juillet qui contraint désormais les adultes de plus de18 ans à se faire vacciner et au 11 juillet 2021, 397 694 doses de doses de vaccin avaient été administrées à moins de 5 % de la population.

Après le modèle démocratique chinois utilisé lors du confinement, prendrons-nous modèle sur des théocraties islamiques ? Les autres démocraties occidentales ont unanimement critiqué cette dérive totalitaire.

COMMENT SAUVER L’AVENIR DE NOS ENFANTS ET NOTRE DÉMOCRATIE

Si le réveil est là, et qu’une partie importante de la population réalise que cette politique dictatoriale n’est en rien sanitaire et que le virus n’est qu’un prétexte permettant aux décideurs d’imposer dans le silence la réforme des retraites et du chômage, le saccage continu du système de santé avec la fermeture des lits et la destruction continue de l’éducation nationale, alors tous les espoirs sont permis. Le temps nous est compté. Que faire de plus ?

DESCENDRE DANS LA RUE COMME A LONDRES

Il est évident que si les Français suivent l’exemple des Anglais et manifestent largement leur refus du pass sanitaire et de l’obligation de l’injection génique imposée, le gouvernement dont l’assise électorale est très basse (3 % des inscrits aux régionales) ne pourra que céder rapidement comme l’a fait Boris Johnson qui prévoyait de reconfiner et qui « miraculeusement » (peu ont parlé de la manifestation géante du 29 juin) a fortement allégé les contraintes, pass etc. tout début juillet. Ceci a permis à 60 000 personnes sans masque de profiter de la finale de l’Euro dans les conditions normales de joie et de partage.

Il semble en ce 14 juillet que les populations, des petites aux grandes villes, soient spontanément sorties dans la rue pour crier leur refus de la dictature sanitaire et de toute loi liberticide. Dès le 12 au soir, les habitants de Toulon sortaient dire leur refus absolu de ce délire hygiéniste et affairiste. Puis le 14 juillet, des milliers de manifestants à Paris « à bas la dictature », « liberté », à Montpellier, Marseille, Lille, Avignon, Lyon, Bayonne, Bordeaux, Annecy, Toulouse, Strasbourg, Saint-Étienne, la Réunion, en Martinique, mais aussi dans de tout petits villages bretons, etc. Espérons que le pouvoir saura entendre le peuple rapidement dans l’intérêt de tous et prendra exemple sur le Premier ministre britannique en supprimant toutes mesures oppressives. La goutte d’eau (si on peut dire cela de l’effroyable discours du 11 juillet) aurait-elle fait déborder le vase ?

Avignon




Rouen




Lille




Paris




Bordeaux




Annecy




Toulouse




Île de la Réunion

Nantes




Tour

Marseille




Montpellier




EN APPELER DIRECTEMENT A NOTRE REPRÉSENTATION NATIONALE

Par ailleurs les députés et sénateurs seront rapidement appelés à voter, étant convoqués le 21 juillet par le chef de l’état. Ils semblent bien coupés pour certains d’entre eux de notre vie quotidienne, de notre réalité et peut-être est-ce le moment de retisser des liens.

Ce d’autant que nombre d’entre eux voudront peut-être faire appel à vos suffrages, l’an prochain. Alors, pourquoi ne pas les joindre de toutes les façons possibles, par lettre à l’adresse de leur permanence locale (courrier trop souvent jeté ou refusé à l’Assemblée nationale), par téléphone, par rendez-vous pour qu’enfin ils entendent ce que pensent leurs administrés. La dictature sanitaire qui s’aggrave de jour en jour alors que l’évidence, les expériences des nombreux pays qui ont libéré leurs citoyens depuis de nombreux mois démontrent chaque jour que la vie normale sans masque, ni distanciation, ni « vaccin » en masse reprend facilement pour le bonheur de tous.

Que chacun fasse son petit mot avec son cœur, son vécu, et surtout tente de rencontrer directement son élu, mais aussi les maires, les conseillers généraux qui peuvent servir de courroie de transmission avec l’Élysée.

Les sites de l’Assemblée nationale et du Sénat vous permettent de trouver l’adresse postale de votre député ou sénateur, son mail et éventuellement le téléphone de sa permanence pour prise de rendez -vous. Ne croyez pas que ces démarches soient inutiles ! Dans les années 1997, alors que la normalisation de l’oncologie pédiatrique était en cours et que notre service de Robert Debré devait fermer, des parents, amis, grands-parents de nos petits patients ont contacté les élus de l’époque dont un certain nombre ont pris le combat en main et finalement nous avons tenu jusqu’en 2014 ce service ouvert. ATTENTION, les députés sont convoqués le 21 juillet 2021. Tentez de les joindre au plus tôt !

Et signez les pétitions

Pétition nationale contre le certificat numérique ou « passeport vaccinal »

Je signe la pétition ci-dessous

À l’attention de Monsieur le Premier ministre Jean Castex


Monsieur le Premier ministre,

  • Depuis 1 an, le Gouvernement et les autorités de santé ont adopté une série de mesures qui n’ont jamais pu être validées avec le recul nécessaire, sur le plan scientifique.
  • A chaque fois, le débat public a été quasiment écarté.
  • Comme jamais dans notre histoire récente, des décisions aussi importantes pour la santé publique ont pu être prises sans aucun débat démocratique.
  • Des restrictions de liberté sans précédent ont été mises en oeuvre en France : entrave à la liberté de circuler, couvre-feu, etc.

Les droits les plus fondamentaux de notre société ne doivent pas être malmenés même pour des raisons sanitaires.

C’est la force de notre démocratie.

Aujourd’hui, nous sommes très inquiets face à la généralisation du « pass sanitaire ».

Cette mesure reviendrait notamment à stigmatiser les citoyens qui ne sont pas vaccinés, qui n’ont pas fait de tests ou qui n’ont pas développé d’anti-corps.

C’est une mesure contraire au principe d’égalité, qui est le ciment de notre société.

En tant que chef du Gouvernement, nous vous demandons :

  • de veiller à ce que la liberté élémentaire de chacun de se soigner comme il l’entend soit garantie, même en situation d’urgence sanitaire ;
  • de veiller à ce que chacun soit libre de se faire vacciner ou non, surtout quand il s’agit de vaccins nouvellement développés ;
  • de veiller à ce que nos autorités de santé prennent les décisions de façon raisonnée
  • de veiller à ce qu’aucune décision n’obéisse à la pression médiatique ni à celles des industriels de la santé.

C’est la responsabilité historique du Premier ministre de la France de prendre ces mesures difficiles pour garantir notre liberté et la santé de tous.

C’est pourquoi je vous adresse solennellement cette pétition nationale.

Je compte sur vous, Monsieur le Premier ministre, pour aider la France à faire face à cette crise sanitaire, en protégeant la santé de tous les habitants tout en garantissant notre liberté.

Avec ma respectueuse considération,

L’Association Santé Naturelle

Nombre de signatures :

806044

Prénom, Nom, Adresse email 
[Voir Passeport sanitaire =Vaccination forcée déguisée (petition-passeport-sanitaire.com) pour signer la pétition.]

Et celle-ci

Contre la vaccination obligatoire COVID et pass sanitaire obligatoire

Auteur(s) : Sophia Albert Salmeron

Destinataire(s) :Gouvernement

La pétition

Chers citoyens, 

Pour mener à bien nos futures actions contre la vaccination obligatoire pour nos soignants et le pass sanitaire pour tous, il faut démontrer que les chiffres annoncés de ceux qui seraient pour ce pass et cette vaccination, sont faux.

Alors, signer et partager est aujourd’hui essentiel pour préserver nos libertés essentielles déjà tellement atteintes.

Nous comptons sur vous tous.
Un grand merci

Et celle-ci

NON à la vaccination obligatoire contre le Coronavirus

Auteur(s) : Teodora Mindroc

Destinataire(s) : Emmanuel Macron (Président de la République) 

La pétition

Chers citoyens de la République Française, 
Suite au discours du président Emmanuel Macron, nous sommes nombreux à vouloir défendre nos droits et à prendre nos propres décisions.

Cette pétition est notre dernière opportunité de nous imposer face à la vaccination obligatoire ainsi qu’à l’adoption du Pass Sanitaire.

Liberté Egalité Fraternité, et non discrimination et obligation. 

Voici un extrait de nos droits : 

7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement;

7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner;

7.3.3 de prendre des mesures efficaces le plus tôt possible pour lutter contre les fausses informations, la désinformation et la méfiance concernant les vaccins contre la covid-19.

Et pour les soignants, un point de ralliement





Le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde*

Par Jean-Michel Grau

On la croyait disparue à jamais, elle revient.
Pas de façon officielle, mais par une porte dérobée.
Pas par un parti néo-nazi, mais par la finance mondialiste.

Cette finance qui a placé ses pions dans tout l’occident aux postes stratégiques du pouvoir depuis tant d’années afin d’asseoir définitivement son emprise sur les peuples et les nations pour mieux voler toutes leurs richesses afin de se refaire une santé après l’effondrement des bourses qui arrive maintenant au grand galop et qui va emporter toute la sphère financière dans un tourbillon de faillites bancaires comme le capitalisme n’en a encore jamais connu.

La crise des subprimes de 2008 a montré à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché était porteuse de chaos.

« Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes. »(([1] les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel))

La finance est devenue folle et veut entraîner le monde dans sa folie. Elle a ainsi inventé au sein du Forum de Davos de Klaus Schwab(([2] Klaus Schwab, Covid19 : la grande réinitialisation, forum publishing)) le Covid19, son cheval de Troie qui doit contraindre tous les peuples à se faire piquer par des vaccins géniques expérimentaux mortifères sous peine de se faire retirer toute liberté de se déplacer, de travailler, de se divertir, en bref, toute liberté de vivre.

Pour arriver à ses fins, elle a trouvé des exécutants fanatiques et zélés, comme notre chef d’État, pour dérouler son scénario d’enfermement des peuples via des institutions dévoyées, gangrenées par la corruption, telle l’Union Européenne, dans le but de nous contraindre de gré ou de force à des piqûres géniques mortifères, en échange d’un « ausweis »**, seul sésame pour pouvoir garder la liberté de vivre ! Même les pires dystopies imaginées au siècle dernier par les meilleurs écrivains de science-fiction n’ont jamais été aussi loin dans un scénario aussi sordide. (([3] Aldous Huxley, le meilleur des mondes.
George Orwell, 1984.
Ray Bradbury, Fahrenheit 451.
Ira Levin, Un bonheur insoutenable))

Ainsi, l’invention du pass sanitaire, viol flagrant du code de Nuremberg de 1947, mais aussi de la déclaration de Genève de 1948, de la déclaration d’Helsinki de 1996 et de la Convention d’Oviedo de 1997(([4] Code de Nuremberg (1947) :

« le consentement du sujet humain est absolument essentiel. Le pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique »

Déclaration de Genève pour les médecins (1948) :

« je respecterai l’autonomie et la dignité de mon patient. Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte. Je garderai le respect absolu de la vie humaine, dès la conception. Je considérerai la santé de mon patient comme mon premier souci »

Déclaration d’Helsinki (1996) signée par 45 pays, dont la France :

« la participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Aucune personne capable de donner son consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé »

Article 25

Convention d’Oviedo (1997) signée par 29 pays, dont la France :

« une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement »

Article 5

)) n’est rien d’autre que la version 2.0 de la sinistre étoile jaune revisitée par les financiers pour créer un nouvel apartheid afin de diviser le monde en alpha plus et bêta moins, en d’autres termes, les vaccinés et les non-vaccinés. Ces derniers deviendront ainsi les nouveaux parias de la société, amenés à être exclus de toute vie sociale avant de l’être, tout comme les juifs en leur temps, de toute vie tout court.

Anne Frank écrivait ainsi dans son journal en 1943 :

« À partir de mai 1940, Les lois antijuives se sont succédées sans interruption et notre liberté de mouvement fut de plus en plus restreinte. Les Juifs doivent porter l’étoile jaune ; les Juifs doivent rendre leurs vélos ; les Juifs n’ont pas le droit de prendre le tram ; les Juifs n’ont pas le droit de circuler en autobus, ni même dans une voiture particulière ; les Juifs ne peuvent faire leurs courses que de trois heures à cinq heures, les Juifs ne peuvent aller que chez un coiffeur juif ; les Juifs n’ont pas le droit de sortir dans la rue de huit heures du soir à six heures du matin ; les Juifs n’ont pas le droit de fréquenter les théâtres, les cinémas et autres lieux de divertissement ; les Juifs n’ont pas le droit d’aller à la piscine, ou de jouer au tennis, au hockey ou à d’autres sports ; les Juifs n’ont pas le droit de faire de l’aviron ; les Juifs ne peuvent pratiquer aucun sport en public. Les Juifs n’ont plus le droit de se tenir dans un jardin chez eux ou chez des amis après huit heures du soir ; les Juifs n’ont pas le droit d’entrer chez des chrétiens ; les juifs doivent fréquenter des écoles juives, et ainsi de suite, voilà comment nous vivotons et il nous est interdit de faire ceci ou de faire cela. »

.
[Voir aussi : Lois sur le statut des Juifs du régime de Vichy]
.

Aujourd’hui en 2021, le pass sanitaire dont le texte, actuellement soumis au Conseil d’État, doit être adopté le lundi 19 juillet par le conseil des ministres, puis examiné par le parlement la semaine prochaine prévoit ceci :

Si le test Covid est positif, c’est le placement et le maintien en isolement pour 10 jours dans le lieu déclaré à l’examen. Cette disposition était jusqu’ici réservée aux personnes entrant sur le territoire. Le respect de ce placement à l’isolement pourra être contrôlé par la police et la gendarmerie, la procédure étant placée sous le contrôle du juge des libertés et de la détention.

Le projet prévoit ensuite le maintien d’une autorisation de sortie entre 10 h et 12 h, ainsi que des adaptations possibles concernant « la poursuite de la vie familiale », « la condition particulière des mineurs » ou encore le cas de personnes dont la sécurité serait menacée pendant leur isolement.
Par ailleurs, l’exploitant d’un lieu qui manquerait aux futures obligations de contrôle du pass sanitaire sera passible d’une amende allant jusqu’à 45 000 euros et un an de prison, selon l’avant-projet. Le texte crée par ailleurs un nouveau motif de licenciement.

« Le fait, pour un exploitant d’un lieu ou établissement, le responsable d’un événement ou un exploitant de service de transport, de ne pas contrôler la détention du pass sanitaire par les personnes qui souhaitent y accéder est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende », stipule son article 1er.

Le chef de l’État a annoncé le 12 juillet que la présentation du pass sanitaire conditionnerait l’accès aux salles de spectacle et aux cinémas à partir du 21 juillet, et aux cafés, restaurants, centres commerciaux ou encore aux trains et avions à partir du 1er août, même si certaines mesures de « souplesse » s’appliqueront pour les adolescents. Tous les clients et usagers à partir de 12 ans des lieux et transports concernés devront avoir leur pass, ainsi que leurs salariés (serveurs des restaurants, contrôleurs de trains, etc.) mais pas les policiers ou gendarmes. Un sursis jusqu’au 30 août a été décidé pour les enfants de 12 à 17 ans et les salariés. Le projet de loi dispose également que les salariés soumis à la vaccination obligatoire (personnels soignants, au contact de populations fragiles, pompiers) ne pourront plus exercer leur activité en cas de manquement au 15 septembre prochain, et pourront être licenciés si la situation perdure pendant les deux mois qui suivent.(([5] Contrôle de l’isolement, autorisation de sortie : les nouvelles restrictions à l’étude — RT en français))

Toute ressemblance avec les lois anti-juives promulguées sous le régime de Pétain pendant l’occupation nazie ne serait-elle que pure coïncidence ?

Nous laisserons au lecteur le soin d’en juger en son âme et conscience.


* Bertolt Brecht, la Résistible Ascension d’Arturo Ui
** Laissez-passer




Vu de Suisse, l’autoritarisme de Macron est surréaliste

[Source : Heidi.news]

par Annick Chevillot Yvan Pandelé

Les annonces d’Emmanuel Macron le 12 juillet à la télévision française ont instauré un nouveau ton: obligation vaccinale pour les soignants, pass sanitaire partout dès 13 ans, spectre de la vaccination obligatoire pour tous à la rentrée. Une reprise en main qui a provoqué un certain effarement à la rédaction de Heidi.news, tant les méthodes et la culture suisses sont différentes. Annick Chevillot, responsable du flux santé, et Yvan Pandelé, journaliste scientifique au flux santé, en discutent.

Yvan Pandelé. Je ne suis pas du genre éruptif, mais le ton de l’intervention d’hier nous a plongés en pleine dystopie. «Macron a sorti son gros bâton», voilà la première chose qui m’est venue en tête. Les Français sont habitués à avoir un Etat fort, mais un tel autoritarisme sur des questions sanitaires a quelque chose d’inédit. Je crois que l’exécutif assume de placer l’Hexagone à la pointe des pays intransigeants sur la vaccination, c’est le genre d’initiative «disruptive» que notre président affectionne. Mais de tête de gondole à repoussoir il n’y a qu’un pas, surtout vu de Suisse. Qu’en penses-tu?

Annick Chevillot. Sincèrement, je suis choquée! Ce ton paternaliste m’horripile. Le chantage induit par l’annonce d’Emmanuel Macron risque fort d’être contre-productif. Le débat va vite se déplacer du champ sanitaire au champ politique en passant par les chants haineux. La France en est coutumière, mais s’était lassée des échanges entre pavés et matraques. T’imagines: les gosses dès 13 ans devront avoir un pass sanitaire pour aller acheter des mangas et des bonbons, mais les policiers et gendarmes ne sont pas soumis à l’obligation vaccinale, ni au pass sanitaire. C’est quoi ce monde qui se dessine en France? La discrimination qui éclot paraît surréaliste vu de Suisse.

Pas le choix pour les soignants

YP. La vaccination obligatoire des soignants était attendue, toute la presse française bruissait de rumeurs depuis plusieurs jours. Et puis bon, c’est une tradition hexagonale, la vaccination contre la grippe a été obligatoire jusqu’en 2006 chez les professionnels, et celles du nourrisson l’est depuis 2018. Pas de surprise de ce côté-là, si ce n’est le ton. Mais il est fascinant de voir à quel point le débat est différent de l’autre côté du Jura. Les hôpitaux suisses n’ont que le mot «liberté vaccinale» à la bouche, et le simple fait de comptabiliser les vaccinés est débattu. Tout le monde pense à la vaccination obligatoire, des directions d’établissement à l’OFSP, mais personne n’ose piper mot de peur de braquer.

AC. Le sujet est très sensible en Suisse, c’est sûr. L’obligation vaccinale n’est pas la norme et ne sera pas acceptée. Le pouvoir des Suisses s’évalue dans les urnes, pas aux muscles du bras de l’exécutif. Si tu rends la vaccination contre Covid obligatoire en Suisse, tu auras un référendum dans l’heure et les citoyens devront voter. Et il y a de fortes chances qu’un tel projet ne passe pas. En Suisse, convaincre passe avant contraindre. Du coup, la couverture vaccinale n’est pas très élevée dans le pays. Et le risque de nouvelle vague est réel, surtout avec le variant Delta. Mais je crois que les politiques sont prêts à assumer ce risque, plutôt que d’engendrer une fracture démocratique profonde.

Lire aussi: «L’obligation vaccinale des soignants nous met face à un conflit de valeurs»

C’est toute la pesée des bénéfices-risques d’une telle obligation, bien résumée par l’OMS dans un document paru le 13 avril 2021, où il est notamment dit: «Comme pour les autres politiques de santé publique, les décisions relatives à la vaccination obligatoire doivent s’appuyer sur les meilleures preuves disponibles et être prises par des autorités de santé publique légitimes, de manière transparente, équitable, non discriminatoire et avec la participation des parties concernées.» La notion de non discriminatoire est capitale, et elle est bafouée par Emmanuel Macron lorsqu’il dit qu’il va faire porter les restrictions aux non-vaccinés! Parce qu’au final, ce ne sont pas les non-vaccinés qui vont devoir porter cette responsabilité, mais la société civile (magasins, restaurateurs, hôpitaux, EMS, etc.) qui devra assurer le contrôle avec des contraintes supplémentaires.

Le pass partout

Yvan Pandelé. En effet. Le point inquiétant, c’est que le pass sanitaire aura vocation à s’appliquer partout, à compter du mois d’août. Dans les cafés et les cinémas, mais aussi dans les transports, au supermarché et même — ce qui est assez incroyable — à l’hôpital. («Sauf en cas d’urgence», précise le gouvernement, grand seigneur…) Comme d’habitude, l’Etat central fait des rodomontades, et il faudra voir comment c’est appliqué. Je n’ai aucun doute pour les arrondissements parisiens à un chiffre, mais il fera beau temps avant que le kebabier de Saint-Ouen ou le restaurateur du Gers n’exigent un pass sanitaire.

Le message politique en tout cas est très clair: tant que vous ne serez pas vaccinés, on vous rendra la vie invivable. On est plus proche de la coercition que de l’incitation. Et contrairement à la Suisse, la question de la durée de ce dispositif d’exception n’a jamais vraiment émergé dans le débat public. Les contre-pouvoirs à l’exécutif étant très faibles en France, on peut craindre qu’il soit prolongé ad vitam aeternam. Une vie invivable pour une durée indéterminée: pas étonnant que les plateformes de vaccination aient été prises d’assaut hier soir!

AC. Logique en effet: le père de la patrie exempte les non vaccinés de cette décision. Obligés, ils s’y résolvent. Cela dit, je peux comprendre l’obligation vaccinale pour le personnel soignant. L’Italie et la Grèce ont aussi passé ce cap. Mais lier vaccination à la présentation d’un document prouvant son statut immunitaire, ce n’est pas proportionnel. Surtout pour la vie quotidienne. C’est complètement fou et dystopique, comme tu le dis très justement, de devoir présenter un pass sanitaire pour avoir le «droit» d’aller faire ses courses, accéder à un hôpital et prendre le train pour aller voir sa famille. Plus que discriminatoire, c’est suicidaire politiquement.

Le jeu politique

YP. C’est un calcul politique assumé. Le «chef qui sait cheffer» est une figure qui plaît à droite. N’oublions pas que tout ceci s’inscrit dans la perspective des élections présidentielles de mai 2022: la gauche française est en plein marasme et le danger, pour le camp Macron, vient de droite – de Xavier Bertrand à Marine Le Pen. Je m’interroge plus sur les répercussions politiques en Suisse. D’un côté, cela pourrait donner du grain à moudre aux anti-tout, comme l’UDC et les Amis de la Constitution. De l’autre, c’est aussi un épouvantail bien pratique pour le Conseil fédéral quand il devra réagir pour éviter une troisième vague: si vous cherchez une dictature sanitaire, regardez en France, ici nous restons dans la mesure et le consensus.

AC. Notre ministre de la santé Alain Berset avait d’ailleurs relevé au printemps 2020 que la Suisse n’était pas en guerre, contrairement à son grand voisin. Les citoyens suisses ne sont pas concernés par l’élection de 2022. En revanche, ils voient l’émergence d’un Etat dont ils ne veulent pas. En ce sens, c’est vrai, l’exécutif suisse pourra jouer par contraste en tenant un discours du type «regardez, c’est pire ailleurs». Cela a été fait lors du premier (semi-)confinement.

Vaccin obligatoire pour tous?

YP. Un point qui n’a pas été assez relevé, à mon sens, c’est le spectre de la vaccination obligatoire pour tous agité par Emmanuel Macron, «en fonction de l’évolution de la situation». Pour l’heure, seuls le Tadjikistan, le Turkménistan et le Vatican en sont là. Deux pays autoritaires et une théocratie… Cela me paraît difficilement tenable.

Lire aussi: Tout ce qu’il faut savoir sur la vaccination Covid-19 en Suisse

Les vaccins Covid-19 sont porteurs de risques, si infinitésimaux soient-ils. Sur des millions d’injections, il y aura toujours quelques personnes pour développer un syndrome exotique ou faire une réaction sévère. C’est acceptable dans le cadre d’une décision personnelle, ça ne l’est plus si le choix est contraint. Le consentement volontaire est à la base de l’éthique médicale depuis Nuremberg. Il faut de très, très, bonnes raisons pour y renoncer. Sans quoi la pandémie aura achevé ce que le 11 septembre et l’essor des technologies de l’information ont initié: une perte massive, peut-être irréversible, de liberté individuelle.

AC. Oui, et c’est bien un argumentaire qui pourrait être utilisé dans le cadre de la votation du 28 novembre en Suisse sur le certificat Covid. Etendre l’usage de ce sésame à la vie quotidienne et le rendre obligatoire, c’est généraliser l’abus de pouvoir. Comme c’est également le cas du moment où l’on passe outre le consentement éclairé du patient. Ça fait mal, mais de telles décisions aux enjeux éthiques complexes font émerger des dérives qui peuvent mener à une forme de «dictature sanitaire». Du moins en France.




Emmanuel Macron sans masque ou Le Président qui fait tirer sur son peuple

Par Alain Nicolaï

Macron par Macron, son vrais visage, dans le  Wall Street Journal, le journal des « élites financières » qui n’est pas lu par les manants.

Pour Macron être banquier c’est être… une « prostituée »

1 MILLION €
Emmanuel Macron touchait jusqu’à un million d’euros par an
lorsqu’il était banquier chez Rothschild

Article de Paolo Garoscio du 10/03/2015 publié dans Economie Matin au sujet d’une interview de Macron dans le Wall Street Journal.
http://www.economiematin.fr/news-macron-banquier-pute-metier-ministre-interview

Comment a-t-il osé ? le ministre de l’Économie, qui a été également un banquier au salaire de millionnaire chez Rothschild a-t-il vraiment dit, que les banquiers sont des putes ? Non, en fait il n’a pas dit ça. Comme il donnait une interview au Wall Street Journal il ne pouvait certainement pas utiliser des mots insultants. Il a donc préféré le terme « prostituée »… Oui, c’est pareil.

Emmanuel Macron : le banquier qui attaque… le métier de banquier ?

Ce n’est qu’une anecdote que celle relatée par le Wall Street Journal : au cours d’une interview donnée lors de son séjour à Las Vegas le ministre de l’Économie français s’est un peu lâché. Un peu beaucoup même.

Pas étonnant alors qu’aux États-Unis le politiquement correct est loin de faire partie du quotidien des personnalités publiques… mais la comparaison qu’il a faite ne devrait guère être appréciée par les banquiers de France qui ne sont autres que ses anciens collègues.

 » D’une certaine manière, [quand on est banquier] on est comme une prostituée. Le boulot, c’est de séduire » a déclaré Emmanuel Macron. On est déçus, on aurait aimé un peu plus de détails. Après le « séduire » il y a quoi ?

Sans compter qu’Emmanuel Macron ne considère sans doute pas que les banquiers sont comme une « prostituée » de rue, pas chère, issue des réseaux clandestins d’Europe de l’Est ou de Chine. Rappelez-vous : il aurait gagné plus de 2,5 millions d’euros entre 2008 et 2012.


Il faut croire qu’Emmanuel Macron a pris de bien mauvaises habitudes avant son mandat quand il a travaillé dans le privé, notamment à la Banque Rothschild, un des fiefs de la finance internationale, puisqu’on a pu le constater, notamment depuis le début de la crise sanitaire, il ne respecte pas les lois, et sa grande spécialité est la manipulation des gens et des masses. Il a foulé aux pieds maintes fois les lois républicaines sans sourciller et maintenant, avec son discours du 12 juillet 2021, la Convention internationale d’Oviedo (([1] https://rm.coe.int/090000168007cf99)). Depuis le premier trimestre 2020, il a profité, pour le moins, de l’apathie des membres du Parlement et du Sénat. Il a bénéficié de la complicité de la quasi-totalité de nos institutions et des médias, dont on peut se demander si tous ces gens sont anesthésiés ou corrompus. Les parlementaires et les sénateurs se sont particulièrement distingués en se discréditant, démontrant aux yeux des personnes conscientes l’absence d’entendement de l’écrasante majorité du personnel politique que nous entretenons à nos frais. Très rares en effet sont ceux qui ont compris les colossaux enjeux politiques et surtout sociétaux de cette crise. Car il ne faut pas se voiler la face, le véritable but des manœuvres sournoises de Macron et de l’Union Européenne n’est pas de soigner la population, mais d’établir, à l’aide d’une menace invisible, réelle, mais amplifiée par des ignorants ou des complices, le règne centralisé d’une élite autoproclamée que certains nomment Nouvel Ordre Mondial, et qui exercera son pouvoir sur l’ensemble de la planète sous prétexte de mieux gérer les crises qui d’après eux vont se répéter.

Nous sommes en face d’une révolution planétaire qui se passe sous nos yeux et qui remet en cause totalement, et totalitairement, les principes républicains ; notamment la souveraineté du Peuple sur ce que l’on dénomme l’État ou la Nation. Leur but est de les dissoudre dans une entité supranationale mondiale où ils seront les seuls aux commandes, et dont nous ne serons plus que les manants soumis à leur bon vouloir, bref, ils nous proposent de ne plus qu’être que des pions, des numéros… Tel est l’avenir qu’ils proposent à vos enfants.


Par son discours du 12 juillet 2021, Emanuel Macron  vient de rendre obligatoire la vaccination anti-covid pour les soignants qui doivent tous se faire vacciner avant le 15 septembre 2021.

Un des problèmes est que ces soi-disant vaccin anti-covid ne sont pas des vaccins comme le démontrent les Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://nouveau-monde.ca/linjection-genique-anti-covid-nest-pas-un-vaccin/
et de plus ces injections sont dangereuses :
https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/

Une multitude de professionnels de la santé ont déjà alerté sur le caractère frauduleux et dangereux de ces injections et comble du foutage de gueule  le directeur de l’ARS de Nouvelle-Aquitaine, un proche d’Olivier Véran, a osé faire ces aveux sur BFMTV, informations reprises et commentées sur CNEWS :

Pascal Praud : « Ils veulent nous imposer une dictature sanitaire » – Jacques Séguéla : « C’est satanique, c’est un discours satanique » (lemediaen442.fr)

Face aux propos ahurissants du directeur de l’ARS Benoît Elleboode sur BFMTV,  assurant que tous les non-vaccinés seront contaminés par le variant Delta, Pascal Praud s’emporte. Il s’exclame : « J’ai envie de lui dire : à quoi servent les gestes barrières et le masque, si personne n’y échappera… Il faut immédiatement retirer le masque. » L’animateur de CNews a continué sur sa lancée en ciblant Olivier Véran, l’accusant de vouloir imposer une dictature sanitaire. Ce à quoi Jacques Séguéla lance : « C’est satanique, c’est un discours satanique ! »

Pascal Praud : « Ils sont de retour, ils sont là, ils veulent nous imposer — le ministère de la Santé — une dictature sanitaire. Tant que vous ne comprenez pas ça, vous ne comprenez rien. »

Il est bien évident que si la plupart des Français ne sont pas au courant de tous ces problèmes, tellement ils sont soumis à un bourrage de crâne permanent sur les « avantages » de la « vaccination », les soignants par contre sont plus informés, et savent par leurs études, qu’un vaccin ne s’élabore pas en quelques mois, mais en plusieurs années. En toute conscience, ils comprennent qu’avec ces injections pseudo vaccinales, ils risquent leur santé et même leur peau : ils ne veulent pas être de la chair à canon.

Conclusion

En République, le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider et le protéger.

Pour Macron ce n’est pas le cas.

En 2017, il déclarait que s’il était élu il ne serait pas un président « normal ». Ci-dessous, début de l’article de Jefferson Desport, publié par le journal Sud Ouest le 10/03/2017.

Face aux lecteurs de Sud Ouest, Emmanuel Macron a expliqué quel président de la République il sera s’il gagne l’élection.

S’il est élu en mai prochain à l’Élysée, quel président sera Emmanuel Macron ? C’est l’une des questions qui a été posée ce vendredi par une des lectrices de Sud Ouest invitée à rencontrer le leader d’En Marche ! au siège du journal à Bordeaux, en compagnie de sept autres lecteurs. Sur ce point l’ex-ministre de l’Économie a été clair : il ne sera pas un président normal.

« Les Françaises et les Français ne cherchent pas la normalité. D’abord, parce que ce n’est pas une fonction normale. Ensuite, parce que la normalité se déconstruit toujours. Je ne sais pas ce que c’est la normalité. C’est, à un moment, ce qui est dominant dans les représentations sociales. »

Et d’ajouter :

« La normalité se définit par le regard de l’autre. Un président de la République n’est pas défini par le regard de ses concitoyens. C’est lui qui explique et éclaire l’avenir par son regard. C’est une vraie différence ».

Les propos de Macron, que ce soit dans le Wall Street Journal où dans Sud Ouest, mettent bien en perspectives les actes de Macron Président, il n’a aucun respect pour le peuple, il se fout complètement de ce que pensent les citoyens, il exerce le pouvoir comme un despote qui n’a de compte à rendre qu’à ses maîtres financiers.

C’est incontestablement un individu machiavélique qui abuse de la confiance des citoyens pour les trahir. Il ne faut pas qu’il s’étonne quand il en payera le prix.


Bonus :

1– Voici un communiqué récent  du Collectif des Syndicats et  Associations Professionnels Européens :
Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

2– Piège pour ceux qui ont des prêts en cours, et autres informations :

3– Pour ceux qui n’ont pas encore compris :
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

4– La résistance se renforce jours après jour :






La dictature Macron

[Sources : nicolasbonnal.com et reseauinternational.net]

[Sur l’illustration : « Aucune autre espèce sur la Terre ne s’alignerait volontairement pour sa propre exécution »]

Par Nicolas Bonnal

La dictature de Macron comme à la parade

Voici où nous en sommes : vaccination avant incarcération et extermination (mais avec assentiment populaire). Et cela gagnera toute l’Europe. Voyez la Grèce, l’Allemagne ou la Belgique…

Macron établit sa dictature avec l’assentiment de la ploutocratie totalitaire : voyez mon livre de 2017, quand j’ai évoqué la fin des libertés. J’annonçais aussi de nouvelles résistances, mais de ce côté, au pays de Louis XIV, de Napoléon, de Napoléon III, de la Vendée, des Massacres de septembre, des guerres mondiales et coloniales, des droits du citoyen et du politiquement correct remixé Mai 68, on a été moins entreprenant que prévu – à part la protestation pétrolière et vite calmée (et encadrée) des Gilets dits Jaunes.

Tout cela je l’avais exposé dans mon universitaire pamphlet intitulé le Coq hérétique : la France n’était pas la terre de la liberté. Point. Les plus grands écrivains du dix-neuvième siècle l’avaient dit, et ils avaient fini par inspirer le dernier grand esprit français François Furet (Penser la révolution française). Jouvenel dans son Du pouvoir eut le courage de mettre les pendules à l’heure après 1945 quand il inventa la fastueuse expression « démocratie totalitaire » depuis rebaptisée « société ouverte ».

De la même manière on assiste depuis quelques semaines à une disparition des antisystèmes ; le front se fracture et je l’avais dit aussi en me basant sur le film de Don Siegel L’invasion des profanateurs de sépulture. À la fin le héros (excellent Kevin McCarthy – sic) se retrouve seul face aux extraterrestres ou comme dirait Philippot aux rhinocéros. La fin-vaseline a été rajoutée sur ordre des studios, alors que Siegel (l’évadé d’Alcatraz…) voulait montrer une seule chose : nous devenions des légumes face à l’État et à la télé ; rappel, le héros résistant est médecin aussi, et c’est un beau clin d’œil. À la même époque on réalise aussi à Hollywood l’Homme qui rétrécit, qui rétrécit face à la science, face au médecin, face au chat, face à la femme libérée. Rien de neuf là aussi : lisez le livre VIII de Platon et le compte-rendu que j’en ai fait.

Les antisystèmes et les rebelles se volatilisent donc comme l’Église. Des gusses comme le Saker insultent, le vieux catho Castelnau ronchonne, Raoult rétropédale, le Tandonnet évoque une panique, les pépères comme Sannat résistent passivement, les Ménard et les Marianne veulent vacciner à tour de bras. En réalité ce n’est pas qu’il y avait fausse opposition ou opposition contrôlée, c’est qu’il n’y avait pas d’opposition du tout. Les types aboient, prennent leur coup de pied et partent la queue entre les pattes. C’est très bien expliqué dans Point Break.

Tandonnet, ex-conseiller de Sarkozy et biographe de Tardieu (il faut le faire), ose écrire que le pouvoir panique. C’est comme si on disait que Louis-Napoléon Bonaparte paniquait le 2 décembre 1851 ou que Hitler tremblait de peur avant l’incendie du Reichstag. Il devrait lire Jouvenel ou Tocqueville au lieu de les citer ; le pouvoir ne fait que se renforcer. Il le fait car il a affaire à un peuple de semi-esclaves qui a cru se libérer en 1789 ou en 1870. On en revient à l’hallucination collective dont j’ai parlé maintes fois et qui dure en occident depuis la Renaissance et la machine à imprimer (Gutenberg, Faust, la planche à billets…).

La liberté occidentale est un mythe absolu : les gouvernements occidentaux sont toujours enragés, bolchéviques, oligarchiques, fascistes, ce qu’on voudra. Le populo continuera de se coucher, comme le remarquaient en leur temps Céline, Drumont et Bernanos.

Les bourreaux volontaires vont charger, et le troupeau s’incliner.

On conseillera aux résistants de se faire une raison avec leurs paquets. Ce n’est pas la Résistance qui a libéré la France, contrairement à l’énième mythe reçu.


La dictature Macron entre bourreaux volontaires et moutons de Panurge

Macron joue sur du velours – avec un beau boulevard devant lui. Alors que les antisystèmes invoquent comme toujours la Résistance, le gaullisme, 89, les droits de l’homme, Dieu sait quoi encore, 1,3 million de Français se sont vaccinés après la sévère allocution du martial président. On a senti encore la puissance des médias, ces instruments d’hallucination collective. Et on a compris qu’internet n’aura servi à rien comme outil de développement intellectuel personnel. Je dirais même qu’on a reculé sur ce point depuis 2001. Il y a de moins en moins de justes – comme sous toute occupation qui dure.

On va citer Rabelais alors : « Soudain, je ne sais comment la chose arriva si vite, je n’eus le loisir de le considérer, Panurge, sans dire autre chose, jette en pleine mer son mouton criant et bêlant. Tous les autres moutons, criant et bêlant avec la même intonation, commencèrent à se jeter et sauter en mer à sa suite, à la file. C’était à qui sauterait le premier après leur compagnon. Il n’était pas possible de les en empêcher, comme vous connaissez le naturel du mouton, qui est de toujours suivre le premier, en quelque endroit qu’il aille. Aristote le dit aussi au livre 9 de « L’Histoire des animaux », c’est l’animal le plus sot et inepte du monde ».

Notre peuple d’imbéciles s’est tellement fait bourrer le mout à l’école avec des histoires de révolution, de droits de l’homme et de résistance qu’il accepte sans broncher la pire des tyrannies. Anesthésié par la technologie et le renforcement pervers de l’État-providence, le peuple est devenu depuis la disparition du parti communiste et du catholicisme un vrai ochlos au sens grec, une masse imbécile, soumise, adoratrice du fric et de la merde culturelle. Ochlocratie rime avec ploutocratie, et on a vu cette France arriver avec le mitterrandisme au cours des années 80, quand les « jumeaux du populisme » Le Pen et Tapie consacraient cette alliance non pas contre nature mais contre culture ; ce fut à cette époque que tout jeune je pus vivre l’effondrement de ce pays du point de vue de la civilisation. La marginalisation du peuple date de cette époque-là. Et il fut pris en charge par une américanisation culturelle proprement insensée. Plus récemment l’écrasement des benêts gilets jaunes a servi d’accélérateur à l’entropie politique de la nation. Je rappelle toujours l’interview de Stanley Payne sur les Espagnols : ils sont anesthésiés, crétinisés par la matrice, et ils demandent quelque chose, même si ce n’est pas beaucoup (« pide algo, no mucho »).

Il y a une petite minorité dont nous sommes, dont le nombre va diminuer (« l’homme qui rétrécit ») et qui va être persécutée et transformée en bouc émissaire : voyez mes textes sur Stefan Zweig et Bernanos. Désolés, mais nous allons passer de sales moments. La masse des bœufs ne se révoltera pas plus que contre Hitler, Pétain ou Franco. Elle fermera les yeux ou hurlera avec les loups.

Il faut voir maintenant le problème des bourreaux volontaires, flics, gendarmes, militaires (beaucoup de traitements très réévalués par le régime), médecins, fonctionnaires divers et avariés, enseignants, et bien sûr journalistes, sans compter les politiciens ; combien y en a-t-il et jusqu’où iront-ils ? Tout nous a montrés jusque-là que personne ne recule, et ce d’autant que la résistance n’oppose aucune résistance quantitative (je veux dire par là que nous n’attirons pas les masses). Je répète aussi qu’il faut un certain temps pour en former ; mais le virage traîtreux du chiraquisme au milieu des années 2000, renforcé par les démentielles présidences suivantes, a préparé selon moi une belle avant-garde de tortionnaires. Le reste est chez Stefan Zweig.





Pas de panique ! La victoire est proche !

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Pierre-Émile Blairon

J’entends de jeunes intellos parisiens (mais pas seulement, il y a aussi des Bretons, ou des Basques, etc.) qui se croient de « droite » et qui sont persuadés de donner le ton de ce qu’il convient de penser à leurs petits copains tout aussi incultes qu’eux, découvrir que la société française risque de se voir limiter dans ses libertés essentielles par une dictature qui n’a pas cessé de proclamer ses projets depuis des années sans que ces benêts aient eu le courage, ou l’intelligence, de réagir avant les autres. Et ils y vont de leurs analyses d’autant plus subtiles qu’elles proviennent de ceux qui les ont élaborées 18 mois avant eux, seuls contre tous, dans l’opprobre et le dénigrement des Bien-Pensants.

Je lis sur Facebook les messages de vieux briscards de « l’extrême-droite » habituellement occupés à raconter leurs souvenirs d’anciens combattants qui n’ont jamais combattu, messages inquiets de la tournure que prennent les événements qu’ils n’ont pas su prévoir, sans que rien de nouveau susceptible de les faire évoluer ne soit intervenu dans leur façon de voir le monde.

Je déplore enfin la dérive conformiste d’un parti en lequel les Français avaient mis tant d’espoirs ne se préoccuper que de problèmes secondaires (histoire de ressembler aux autres partis « respectables ») pendant qu’une dictature comme la France et le monde n’ont en jamais connue se met en place.

Tous ces gens-là : jeunes cons vaniteux, boomers confits dans leurs certitudes, militants d’un jour devenus carriéristes pour toujours, n’ont eu de cesse de traiter d’hurluberlus, d’irresponsables, de rêveurs, de rigolos, de complotistes, de tarés, d’obsédés de l’anticovidisme, etc. ceux qui prenaient la peine et le risque de dénoncer en temps voulu, c’est-à-dire depuis le début de l’année 2020, la gigantesque manipulation(([1] Lire par exemple : Objectif Covid : soumission et robotisation de la population planétaire du 1er août 2020,
ou encore : Mais quelle est cette secte qui dirige le monde ? du 6 février 2021.)) qui avait pris le monde dans ses filets. On le sait : on a toujours tort d’avoir raison trop tôt.

Ce que les courageux lanceurs d’alerte ont fait, et font encore, pour le Bien Commun, est admirable ; ils ne constituent, hélas, sur le plan numérique, qu’une infime partie de la population, celle qui est restée lucide et sur laquelle la propagande mise en place avec des moyens colossaux, n’a pas pu agir.

Mais il y a un espoir : quand les résistants de la dernière heure, ceux qui sortent des maquis confortables dans lesquels ils se vautraient, attendant le moment de se poser en libérateurs, lorsque ces opportunistes commencent à se manifester, c’est que la roue est en train de tourner ; ces gens-là ne se sont jamais trompés quand il était question d’être du côté du vainqueur.

Pierre-Émile Blairon





Obligation vaccinale : policiers et gendarmes n’y seront pas soumis, les commentateurs s’interrogent

[Source : RT en français]

[Photo : © Guillaume Horcajuelo Source: Reuters]

Contrairement aux soignants et pompiers, les membres des forces de l’ordre ne seront pas inclus dans les professions soumises à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. D’aucuns y voient une dérogation suspecte.

Le gouvernement a confirmé ce 13 juillet que les membres des forces de l’ordre, policiers et gendarmes, ne seraient pas soumis à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. C’est ce que rapportent BFMTV et Le Parisien, citant le ministère de l’Intérieur.

Lors de son allocution télévisée le 12 juillet dans la soirée, le président Emmanuel Macron avait annoncé que « les personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pour personnes en situation handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes fragiles, y compris à domicile » seraient obligés d’être vaccinés à partir du 15 septembre. Parmi les personne contraintes, sous peines de lourdes sanctions, à se faire vacciner, on trouve les pompiers et les ambulanciers comme l’a confirmé le porte-parole du gouvernement sur le plateau de la chaîne d’information en continu, mais pas les policiers et les gendarmes.

Gabriel Attal a néanmoins précisé que cette dérogation pour les forces de l’ordre concernait exclusivement leurs heures de travail. « Sur le temps de repos, les membres des forces de l’ordre sont soumis aux mêmes restrictions que le reste de la population, avec notamment le pass sanitaire », précise BFM. En effet, parmi les annonces des autorités, le pass sanitaire va devenir la norme pour se rendre dans les lieux recevant du public. Il sera étendu début août aux cafés, restaurants, centres commerciaux, hôpitaux ainsi qu’aux avions et aux trains inter-régionaux.

Cette dérogation a suscité de nombreux commentaires.

Pour Jean-Luc Mélenchon, l’exclusion des forces de l’ordre des professionnels obligés de se faire vacciner est une contradiction, une aberration. « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », écrit le leader de La France insoumise sur son compte Twitter.

« Les policiers et les gendarmes sont exclus de l’obligation vaccinale en septembre […] C’est plus clair comme ça ? » interroge l’éditorialiste Alexis Poulin, un tantinet suspicieux. 

« Pourquoi exempter policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale alors qu’ils sont autant en contact avec le public que les soignants ? » interroge le patron de l’UPR François Asselineau. « Cette décision prouve que Macron et son gouvernement ont peur de la colère populaire contre la dictature et veulent pouvoir avoir recours à la force », estime-t-il.

Même analyse pour l’éditorialiste de Sud Radio André Bercoff, ironisant sur le fait que les forces de l’ordre devront « protéger nos citoyens contre les innombrables variants de ces trois virus mortels : liberté, égalité, fraternité ».

L’ex-policier Sébastien Jalamion se veut plus solennel et interpelle ses anciens collègues.

« À tous les policiers, gendarmes, militaires, douaniers, tous ceux qui sont dotés d’une parcelle d’autorité publique : n’appliquez pas des instructions distinguant les citoyens en fonction leur sérologie ! Protégez nos libertés et faites barrage à cet Exécutif ! Résistance », a-t-il plaidé.

Sur Europe 1 ce 13 juillet, Gabriel Attal a eu quelques difficultés à justifier l’exclusion des policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale.

Quand le journaliste lui rappelle qu’il y a du public dans un commissariat, le porte-parole du gouvernement botte en touche en rappelant que l’obligation vaccinale a été mise en place pour les personnes travaillant auprès de personnes vulnérables.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88688-obligation-vaccinale-policiers-gendarmes-pas-soumis-commentateurs-interrogent




Une vaccination obligatoire déguisée ? Les annonces de Macron décriées par l’opposition

[Source : RT en français]

[Photo : © Christophe ARCHAMBAULT Source: AFP]

Après les déclarations du chef de l’État sur l’extension du pass sanitaire ou encore de l’obligation vaccinale, les critiques se sont multipliées au sein de l’opposition. Nombre de responsables politiques dénoncent notamment un recul des libertés.

Lors d’une allocution présidentielle ce 12 juillet, le président français Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour faire face à un rebond des contaminations au Covid-19. A ce titre, il a notamment annoncé l’extension du pass sanitaire aux lieux recevant du public ou encore la mise en place de l’obligation vaccinale pour ceux qui sont « au contact de personnes fragiles », malgré l’opposition d’une partie de la classe politique. 

A droite de l’échiquier politique, les réactions ne se sont pas fait attendre, ses membres dénonçant de manière quasi-unanime un recul des libertés individuelles.

« L’extension du pass sanitaire revient à instaurer une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom, et à créer deux catégories de citoyens. Autant je suis favorable à la vaccination des soignants, autant je crois que cette mesure est brutale et inadaptée », s’est inquiété le député Les Républicains Julien Aubert.

Le chef de file des Patriotes Florian Philippot a fustigé pour sa part le piétinement des « droits fondamentaux » en évoquant l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certaines professions dont les aides-soignants. « Je n’ai pas vu ce soir un président de la République mais un dictateur », a-t-il renchéri. 

Pour Nicolas Dupont-Aignan, le président de la République est « devenu fou ». Le chef de file de Debout la France a fustigé un homme « dangereux » qui met en branle des mesures contraires à toutes les libertés fondamentales. « Trains, restaurants, cafés, cinémas… Macron met au ban des millions de Français, au mépris de nos droits fondamentaux et de l’égalité républicaine », s’est indigné le président de Debout La France. 

Même réaction d’indignation du côté de Marine Le Pen. La présidente du Rassemblement national (RN) a évoqué sur Twitter un « recul grave des libertés individuelles » et une « liquidation de notre système de protection sociale », ajoutant, en faisant référence à la réforme des retraites, que les Français « paieront l’imprévoyance et l’incompétence de nos dirigeants ».

Son collègue, le député européen du RN Gilbert Collard, a de son côté accusé sur RT France le président de la République d’instaurer « une dictature vaccinale », estimant que la contrepartie serait au minimum d’exiger que « l’Union européenne rende public les contrats qui [la] lie aux laboratoires ».

A gauche de l’échiquier politique, les critiques ont également fusé. Pour la députée de La France insoumise (LFI) Danièle Obono, le chef de l’État « contraint la population à la vaccination obligatoire mais pas Big Pharma ». Elle a regretté dans la foulée qu’Emmanuel Macron fasse « la chasse aux chômeurs mais pas aux profiteurs de crise » tout en « préparant la destruction du système des retraites ».

De son côté, le député LFI Adrien Quatennens a déploré une politique sanitaire répressive ne suivant pas les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé : « Pour la vaccination, l’OMS préconise de convaincre plutôt que de contraindre. Mais comme l’équipe qui a raconté mille foutaises sur les masques, les tests et tout le reste n’a plus grand chose de convaincant, ce sera pour le vaccin comme pour le reste : à la matraque. »

Le lendemain matin, le chef des insoumis Jean-Luc Mélenchon a également tonné contre les annonces du président de la République, qu’il a qualifiées de « contradictions » et d’« aberrations ». « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

En outre, le discours d’Emmanuel Macron a été jugé « inquiétant » par l’éditorialiste Alexis Poulin, qui regrette la mise en place d’une « politique de contrôle » et non la réalisation d’une « politique sanitaire ».

La vaccination obligatoire pour les soignants constitue au contraire une « bonne nouvelle » pour Eric Bouchard, médecin généraliste dans les Alpes-Maritimes. « Encore 40% des soignants dans les Ehpad ne sont pas vaccinés » a-t-il déploré.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88682-vaccination-obligatoire-deguisee-annonces-macron-decriees-opposition




Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

– l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

– La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

Auteur(s): FranceSoir




Macron prend le risque de fracturer le pays

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Dans son allocution de 27 minutes prononcée hier à la télévision, Emmanuel Macron a annoncé des mesures très autoritaires pour l’été : obligation vaccinale pour les soignants et d’autres professions « au contact du public » (on attend de voir si les enseignants seront concernés) et utilisation du pass sanitaire dans les restaurants, les cafés, les théâtres, les cinémas. Il a également annoncé une réforme des retraites après l’épidémie. Cette stratégie d’exclusion a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Reste à savoir si elle conduira à une fracture ouverte du pays.

Les annonces d’Emmanuel Macron hier soir ont surpris par leur autoritarisme et leur détermination. Elles constituent un véritable test sur l’intensité de l’opposition populaire au président de la République. 

Macron annonce l’exclusion des non-vaccinés

Les annonces d’hier sont sans ambiguïté. Pour l’instant, l’obligation vaccinale est limitée aux personnels soignants et à quelques professions en contact avec le public (le sort des enseignants ne manquera pas d’intéresser…). Mais le Président a évoqué une possible généralisation à toute la population. Surtout, les non-vaccinés seront exclus de fait de la vie sociale : leur accès aux cafés, aux restaurants, aux théâtres, au cinéma, aux avions, aux trains, sera supprimé.

Cette mesure autoritaire, largement approuvée dans la caste, devrait marquer les partenaires de la France par sa rigueur et son « innovation ». Elle constitue un précédent majeur dans le concert des nations démocratiques, aux antipodes du Freedom Day décidé par Boris Johnson. 

Un effet immédiat sur les prises de rendez-vous

Dès la fin de l’allocution présidentielle, le site de prise de rendez-vous pour la vaccination Doctolib a « explosé ». Près d’un million de Français auraient pris rendez-vous dans la soirée pour recevoir une dose de vaccin. 

Il ne reste plus qu’à en convaincre 32 millions supplémentaires. Mais l’objectif de pousser le « ventre mou » des non-vaccinés à recevoir leur dose pourrait avoir avancé.

La contestation bondit

Dans le même temps, les réseaux sociaux se sont embrasés, notamment sous l’effet des non-vaccinés qui ont annoncé leur intention de résister à la mesure présidentielle. Différentes manifestations pourraient avoir lieu dès le 14 juillet. Le défilé militaire sera d’ailleurs réservé aux détenteurs d’un pass sanitaire. 

La question est de savoir si l’exclusion des vaccinés suscitera une crise politique ou pas. Les semaines qui viennent, et même les jours qui arrivent, avec le dépôt imminent d’un projet de loi, donneront une bonne représentation de l’état des forces en France. 




Les aveugles guident les ignorants

[Source : Aube Digitale]

La plupart d’entre nous regardent la télévision. En partie, nous cherchons à nous divertir, mais, en plus, nous cherchons souvent à être éclairés sur « ce qui se passe ». Dans une époque difficile comme celle que nous vivons actuellement, où certains des pays les plus en vue connaissent un début de crise économique, où des personnages de dessins animés virtuels s’affrontent dans des concours politiques, où les gouvernements deviennent de plus en plus rapaces et où un État policier se développe rapidement, il n’est pas surprenant que la personne moyenne se demande « Mais à quoi pensent-ils ? ».

Eh bien, ce n’est pas l’exposition médiatique qui manque pour répondre à cette question. Aujourd’hui, il existe une multitude de chaînes proposant des « informations » 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, à partir desquelles nous pouvons espérer glaner quelques informations sur ce que pensent les dirigeants du monde. Pourtant, malgré l’interminable dépliant offert, la vision des dirigeants reste aussi claire que la boue.

Ils ne veulent pas de guerre, mais envahissent plus de pays que jamais dans l’histoire. Les candidats politiques sont pour le moins vagues quant à leurs propositions de programmes d’action, mais ils s’attaquent les uns aux autres comme s’ils étaient des journalistes de la presse à scandale. Les gouvernements parlent continuellement de leur souhait d’alléger la charge de l’homme ordinaire, tout en l’accablant de lois, de réglementations, d’amendes et de taxes comme jamais auparavant, et tout en versant des milliards de dollars d’impôts à leurs copains de l’industrie financière. Ils prétendent rechercher une plus grande sécurité pour tous, mais au lieu de cela, ils créent un flux sans fin d’agences qui ont le pouvoir d’ignorer les droits fondamentaux et se comportent davantage comme des opérateurs de racket de la mafia que comme des agents chargés de faire respecter la loi. Les gouvernements prétendent poursuivre une économie plus saine, mais ont créé un niveau d’endettement sans précédent, qui promet d’écraser les économies de plusieurs des pays les plus importants du monde dans un avenir très proche.

Ainsi, de nombreuses personnes se tournent vers les médias pour trouver des réponses. En général, un programme d’information présente un « panel d’experts » qui débat des dernières questions. Ils parviennent rarement à une conclusion, mais réussissent à créer l’impression générale qu’un parti politique est en train de détruire le pays et que l’autre (qu’ils représentent) est en train de le sauver.

(Gregory Mankiw, professeur d’économie à Harvard, interviewe Janet Yellen).

Outre les panels, les médias vont souvent directement à la source, en interviewant des dirigeants politiques et financiers. La liste des questions est invariablement préparée longtemps à l’avance et la personne interrogée n’est jamais prise au dépourvu. Ses manipulateurs ont préparé ses réponses pour lui et, à chaque fois, un plat complet de rhétorique prévisible et réchauffée est servi au téléspectateur pour sa consommation.

Dans ces réparties, l’intervieweur est censé paraître sympathique tout en étant indiscret, mais les questions posées sont invariablement assez fades pour que l’interviewé puisse les écarter ou fournir une réponse facile. L’interviewé doit donner l’impression d’informer le public de politiques et de procédures qui, bien que trop compliquées pour que le téléspectateur les saisisse pleinement, sont bien en place et apporteront des solutions dans un avenir proche. Soyez patient.

Le fait que ces solutions ne semblent jamais arriver semble être moins important que le fait qu’une nouvelle solution est en cours. De cette manière, le téléspectateur, quel que soit l’impact de sa vie, continue à rester assis et à garder espoir, car des jours meilleurs sont sûrement à portée de main.

Incroyablement, le téléspectateur moyen semble être capable de consommer des quantités infinies de cette propagande, année après année, sans jamais se dire : « Quelque chose ne tourne pas rond ici ».

S’il éteignait réellement la télévision pendant une semaine ou deux, prenait du recul et évaluait la propagande dans son ensemble, il pourrait conclure qu’en fait, les médias agissent sur ordre des dirigeants économiques et politiques, pour propager leur message. Les « débats » et les « questions urgentes » sont au mieux mous et ne conduisent jamais à un changement ou à une amélioration significative. Et ce n’est pas leur but. Ils ne sont que des sucettes.

Pire encore, les dirigeants eux-mêmes continuent non seulement à décevoir le public, mais aussi à faire évoluer les systèmes gouvernementaux, économiques et sociaux dans une direction qui mènera inévitablement à une mauvaise fin.

Il est vrai, bien sûr, que les citoyens de ces grandes nations deviennent de plus en plus cyniques à l’égard de leurs dirigeants et de leur propre avenir, mais leur réaction à ce pablum, après avoir bien râlé, tend à être « d’espérer que la prochaine administration sera meilleure ». C’est vraiment très imprudent. (Une fois que la pomme est complètement pourrie, attendez-vous à ne voir que des vers l’habiter).

Mais ceux qui ont le sentiment d’être lésés doivent se défouler d’une manière ou d’une autre. Et, pour cela, nous avons les partis politiques. Que notre pays ait des démocrates et des républicains, des conservateurs et des travaillistes, ou tout autre groupement de ce type, ceux qui sont élus n’ont pas l’illusion qu’ils existent pour servir ceux qui les ont élus ; ils existent pour servir les grands donateurs qui paient les élections. Et les grands donateurs contribuent aux deux partis, afin de s’assurer que leurs objectifs sont réalisés par les candidats qui réussissent, quel que soit leur parti. Le plan d’ensemble se poursuivra, à toute vapeur, peu importe qui est au pouvoir.

Mais les partis fournissent à l’électorat des cibles sur lesquelles il peut diriger ses flèches à pointe en caoutchouc. Quel que soit le parti au pouvoir, les électeurs libéraux se plaindront que l’on ne fait pas assez pour leurs causes et les électeurs conservateurs feront de même.

L’un d’eux finira-t-il par l’emporter sur l’autre ? Incontestablement non. Le système est conçu pour rester tel quel – avec des chamailleries sans fin encouragées, mais aucun progrès réel prévu.

Les pays les plus importants du monde sont à l’aube d’une crise économique majeure. Elle s’accompagnera de crises politiques et sociales et, très certainement, d’une guerre. Le téléspectateur, s’il l’accepte, dira : « Cela leur apprendra. Ils devront alors admettre que notre camp avait raison. »

Malheureusement, non. Après les inévitables krachs économiques, après des années de guerre inutile, après la montée du totalitarisme chez nous, il y aura une fin éventuelle à la lutte. Lorsque la poussière commencera à retomber, le citoyen moyen allumera sa télévision, espérant voir que des réponses ont été apportées.

Au lieu de cela, ce qu’il verra, s’il allume une chaîne libérale, ce seront des experts déclarant que, si seulement il y avait eu plus d’assouplissement quantitatif et plus de droits, tout aurait pu s’arranger, mais qu’au lieu de cela, il y a eu un désastre, à cause des conservateurs.

De même, les experts de la station conservatrice expliqueront que toutes les souffrances auraient pu être évitées si les droits avaient été contrôlés et si les bombes avaient pu être lâchées sur l’ennemi plus tôt. Les libéraux et les conservateurs retourneront dans leur coin pour panser leurs plaies et se préparer au prochain cycle de polarisation les uns contre les autres.

Alors, qui devons-nous blâmer pour les débâcles de l’humanité ? Nous avons certainement été trompés par les dirigeants – les politiciens, les banquiers centraux, les dirigeants des grandes industries, etc. Ou est-ce les médias qui ont fait un tel travail de propagande que nous n’avons pas su voir la forêt pour les arbres ?

Peu importe, car rien ne sera appris et nous recommencerons le jeu. Mais si c’est une véritable solution que nous recherchons, oui, c’est possible. Mais cette solution dépend de notre volonté de ne plus permettre aux médias de raisonner à notre place.

Nous devons être prêts à étudier les actions de nos dirigeants, à être prêts à être contrariants et, surtout, à tout remettre en question. Sinon, nous faisons partie des aveugles et des désemparés et nous pouvons nous attendre à un cycle sans fin du même spectacle de chiens et de poneys.

Traduction de International Man par Aube Digitale




La Secte « en marche » joue son va-tout

Par Lucien Samir Oulahbib

C’est ainsi, la Section française de la Secte Hygiéniste-affairiste (S.F.S.H.A) avance rageusement son tapis en accélérant le flicage et marquage du troupeau (jusqu’aux « centres commerciaux ») alors qu’aucun élément, aucun, peut légitimer cette hystérie hygiéniste au vu des chiffres à disposition de la syndémie C-19. Mais comme il s’agit de programmer les peuples, il faut d’abord « affaiblir » leurs fonctions immunitaires : c’est évident maintenant. Le Premier ministre français l’a même constaté et propose ainsi une troisième dose au lieu de traitements précoces et de vitamines adaptées.

Pour ce faire, il faut continuer de bombarder à l’artillerie lourde (par les médias dominants) la moindre fenêtre d’espérance, envoyer des snipers et coupe-jarrets pour ensuite nettoyer le terrain.

Raoult a été ainsi mis au pas. De même que Mila qui s’affiche en brandissant même l’un de leurs livres. Désormais la Secte se sert ainsi de groupes sectaires pour s’imposer. Comme en Iran avec le résultat que l’on sait. Afghanistan, idem.

Le troupeau se transforme en rhinocéros tout en le niant. « Vaccin marcht frei », écrivent en encre empathique en haut des vaccinodromes les nouveaux kapos aux aguets.

Nier cette situation est possible, mais cela relève dans ce cas de la tératologie qui a ainsi de beaux jours devant elle.




Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat

[Source : profession-gendarme.com]

Le Docteur Sylvain. ….., fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous adresse la photographie ci-dessous ainsi que copie d’une lettre adressée le 04 novembre 2020 au président du Sénat, mais restée sans réponse….

Dr Sylvain …………… le 04/11/2020

à l’attention de monsieur le président LARCHER

Copie : Vincent Delahaye, Mathieu Darnaud

Objet : le Sénat, dernier bastion contre une dérive totalitaire ????

Cher confrère et président, c’est le désespoir des PME et des jeunes entrepreneurs qui sont au cœur de la dynamique économique et des innovations de notre pays, qui me poussent à vous adresser ce cri d’alarme.

Vous me connaissez sans me connaitre, ayant eu le plaisir de fréquenter le cabinet de dentiste d’une certaine Madame Larcher Vaysse, à l’époque où je résidais à Igny, jeune chercheur en écologie et génétique microbienne à Jouy.

Pour compléter ma présentation, formé sur les bancs de l’école de Marcy, après 4 années de clientèle dans le charolais, je me suis tourné vers les filières agroalimentaires après avoir effectué une thèse de doctorat en Ecologie Microbienne et Génétique Microbienne dans l’équipe de Raibaud et Ducluzeau. Mon parcours dans les multinationales de l’agroalimentaire (Perrier sous les ordres de Jacques Bombal, Carrefour et Danone) m’a placé très tôt en première ligne dans les grandes crises sanitaires de la filière en tant que gestionnaire de crise et porte-parole (Listeria, Vache Folle, Salmonelle, Grippe Aviaire, Grippe porcine, Botulisme, Sakazaki et j’en passe). J’ai eu l’honneur et la chance de participer aux travaux de différentes instances consultatives (Conseil Supérieur d’Hygiène à l’invitation de mon ami Jean Louis Jouve et de Michel Catteau de Pasteur Lille, Conseil National de l’Alimentation, Conseil National de la Consommation). J’ai pu aussi siéger dans plusieurs Fédérations Professionnelles françaises et européennes pour participer activement aux tasks forces sécurité-environnement comme simple membre au début, puis président. Mon respect pour l’intérêt collectif doublé d’une crédibilité scientifique et d’une approche bénéfice-risque m’ont permis de contribuer efficacement à l’établissement de normes sanitaires « raisonnables » permettant de protéger les intérêts de nos filières françaises (produits au lait cru) et de l’ensemble des opérateurs du babyfood, malgré les pressions de quelques opérateurs internationaux souhaitant profiter de la peur sanitaire pour imposer des normes inacceptables pour la majorité des intervenants. Fatigué des pressions et de l’exposition personnelle liées à cette position de gestionnaire de crise, j’ai quitté il y a quelques années les multinationales pour me consacrer à un projet écologique porteur de sens dans mon domaine ardéchois, soutenir des jeunes porteurs de projet tout en continuant à apporter mon soutien d’expert auprès des PME dans les domaines de la gestion de crise et de la RSE. Pardonnez-moi la longueur de cette présentation qui a pour but de justifier ma prise de recul indépendante et mon expertise face à la situation que nous vivons.

Le traitement opportuniste évident de la crise COVID me laisse pantois autant sur les mensonges scientifiques que sur la manipulation extrême des citoyens par la peur, la privation progressive de nos droits fondamentaux et, insulte suprême aux praticiens, la violation du serment d’Hippocrate en interdisant aux médecins l’utilisation de traitements.

Je ne suis pas dupe d’une volonté de quelques acteurs internationaux de profiter d’une crise sanitaire (certains diront provoquée, mais ça ne change rien à la situation), ayant suffisamment fréquenté les couloirs de Bruxelles et du Ministère de la Santé. J’ai été moi-même en position de jouer à ce jeu, pour asseoir des stratégies de développement dans certaines filières, mais j’en connais les limites et les dangers.

A titre d’illustration, je ne citerai que quelques exemples majeurs de dysfonctionnement en terme de gestion de crise sanitaire

  • Confinement : la pratique courante de la prévention et de la gestion des épidémies animales (beaucoup plus nombreuses vous le savez que les épidémies humaines) nous apprend « qu’il ne faut pas laisser rentrer le loup dans la bergerie » (souvenir de nos cours de MRLC). Quelque soit la taille de la bergerie, confiner revient à faire tourner en boucle la contamination virale et favoriser son développement, particulièrement quand la contamination est présente en France depuis le mois de novembre (des amis japonais en voyage en France au mois de janvier étaient sidérés de la désinformation des français sur le début de l’épidémie chinoise, dont ils situaient le démarrage en août) ce qui situe probablement le pic de propagation en France fin février début mars.
  • Distanciation sociale : quelle plaisanterie quand certains cours nous apprenaient que la distance de diffusion des maladies virales animales se comptait en centaines de mètres !
  • Le port du masque grand public : je conviens que cette mesure moyenâgeuse soit la seule mesure socialement acceptable (inconscient collectif) qui permette de maintenir la peur et la soumission. N’importe quel hygiéniste honnête ayant pratiqué l’analyse microbiologique en routine montrera l’inefficacité et les dangers d’un port de masque chirurgical prolongé. Je compte par centaines de milliers les analyses microbiologiques que j’ai fait réaliser au cours de ma carrière dans différents environnements pour valider les mesures de prévention et de contrôle des contaminations. Assurément, le port du masque chirurgical ne fait pas partie de ces mesures, s’agissant de contamination virale, ni même pour la plupart des contaminations bactériennes aéroportées dans des environnements de vie conventionnels. J’ai même été amené à faire supprimer le port du masque dans certains ateliers sensibles compte tenu de l’incidence néfaste sur la santé des opérateurs et le risque de contamination de l’ambiance de travail… Pour avoir interrogé récemment quelques médecins, les conséquences du port du masque permanent sur la santé physique et psychologique représentent jusqu’à 20% des consultations.. Sans parler des troubles cognitifs chez les enfants qui en subiront plus tard les conséquences
  • Tests PCR : il m’a été donné de participer aux balbutiements de la technologie PCR (INRA) puis à son développement pour permettre d’identifier des contaminations dans les filière agroalimentaires et tracer leur origine. Utiliser un test PCR pour pratiquer un dépistage de masse est considéré comme une faute professionnelle par les analystes sérieux. Sa seule utilité est de confirmer rapidement un diagnostic et d’établir éventuellement un lien avec des sources de contamination……dans la limite de la spécificité du test. J’ai eu l’occasion d’interdire l’utilisation de test PCR dans des campagnes de surveillance de contaminations en usine et dans les aliments…

Il apparait évident que le nombre de « cas » communiqués par les voies officielles n’a rien à voir avec le nombre de malades potentiellement infectants, et traduit tout au plus la présence de traces d’un coronavirus (lequel ????) au fond des fosses nasales là où il est plus que probable d’en trouver. Les données d’écologie microbienne nous apprennent qu’un mètre cube d’air inspiré (20 minutes de respiration au repos) contient entre 1,7 et 40 millions de virus en suspension et que nous hébergeons en permanence entre 20 et 90 espèces de virus différentes….Une autre raison scientifique de sourire face aux mesures de port de masque et de distanciation

  • Communication : mensonge sur les chiffres

La consultation du processus de transmission des informations au ministère de la santé, l’analyse des courbes épidémiques des différentes années, les témoignages de plus en plus nombreux des soignants obligés d’inscrire COVID sur le bulletin des patients, indépendamment de la cause de la maladie ….ou du décès, doit nous alerter sur les pratiques de notre gouvernement pour manipuler l’opinion. J’ai toujours pratiqué la transparence des chiffres dans les différentes crises dont je fus le gestionnaire et le porte parole. Il y a manifestement un besoin de clarification officielle entre le nombre de décès « dus au COVID », le nombre de décès « avec présence avérée d’ARN de COVID » et le nombre de décès « déclarés COVID ». Il me semble même qu’une enquête judiciaire soit nécessaire s’il n’est pas trop tard pour se prémunir contre les fausses déclarations que ce soit au niveau de l’état ou de la presse.

  • La gestion des crises par la peur a toujours provoqué des catastrophes économiques. Sans parler des dégâts psychologiques auxquels je suis confronté régulièrement dans une activité de soutien que je mène en parallèle en équicoaching avec des praticiens.

Je vois que le Sénat commence à réagir et j’espère ardemment que cette institution proche au quotidien de nos concitoyens puisse survivre et faire entendre sa voix dans la tourmente, par quelque moyen que ce soit, mue par le souci et le devoir de préserver les droits constitutionnels et la survie des citoyens… Je vous fais parvenir ce courrier soit par un ami d’enfance, Vincent Delahaye, soit par notre sénateur Mathieu Darnaud que je mets en copie

Restant à votre disposition pour toute contribution ou autre témoignage nécessaire au maintien de notre économie et de la démocratie, veuillez agréer l’expression de mes salutations très confraternelles

Dr Sylvain




Le monde de Xi Jinping | ARTE

[Source : ARTE]

Derrière son apparente bonhomie se cache un chef redoutable, prêt à tout pour faire de la Chine la première puissance mondiale, d’ici au centenaire de la République populaire, en 2049. Ce portrait très documenté du leader chinois donne un aperçu inédit de sa politique et montre comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix.

En mars 2018, à l’issue de vastes purges, Xi Jinping modifie la Constitution et s’intronise « président à vie ». Une concentration des pouvoirs sans précédent depuis la fin de l’ère maoïste. Né en 1953, ce fils d’un proche de Mao Zedong révoqué pour « complot antiparti » choisit à l’adolescence, en pleine tourmente de la révolution culturelle, un exil volontaire à la campagne, comme pour racheter la déchéance paternelle. Revendiquant une fidélité aveugle au Parti, il gravira en apparatchik « plus rouge que rouge » tous les degrés du pouvoir. Depuis son accession au secrétariat général du Parti en 2012, puis à la présidence l’année suivante, les autocritiques d’opposants ont réapparu, par le biais de confessions télévisées. Et on met à l’essai un système de surveillance généralisée censé faire le tri entre les bons et les mauvais citoyens. Inflexible sur le plan intérieur, Xi Jinping s’est donné comme objectif de supplanter l’Occident à la tête d’un nouvel ordre mondial. Son projet des « routes de la soie » a ainsi considérablement étendu le réseau des infrastructures chinoises à l’échelle planétaire. Cet expansionnisme stratégique, jusque-là développé en silence, inquiète de plus en plus l’Europe et les États-Unis. Son pouvoir et ses ambitions sont d’autant plus renforcés qu’il apparaît comme le grand gagnant de la crise du coronavirus. Entre contre-feux et dissimulation, il poursuit à vitesse grand V son agenda politique et diplomatique afin d’intégrer les minorités au géant chinois, quitte à recourir à la violence. Génocide des Ouïghours, Hongkong, Taïwan : par sa politique, Xi Jinping revendique, plus que jamais, la force de l’hégémonie du régime chinois aussi bien dans les domaines économique et militaire que diplomatique. Avec un seul but : faire de la Chine la première puissance mondiale.

Impériale revanche. Dans ce portrait très documenté du leader chinois, Sophie Lepault et Romain Franklin donnent un aperçu inédit de sa politique et montrent comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix. De Pékin à Djibouti — l’ancienne colonie française est depuis 2017 la première base militaire chinoise à l’étranger — en passant par la mer de Chine méridionale et l’Australie, les réalisateurs passent au crible les projets et les stratégies d’influence du nouvel homme fort de la planète. Nourrie d’images d’archives et de témoignages (de nombreux experts et de dissidents, mais aussi d’un haut gradé proche du pouvoir), leur enquête montre comment Xi Jinping a donné à la reconquête nationaliste de la grandeur impériale chinoise, projet nourri dès l’origine par la République populaire, une spectaculaire ampleur. Elle jette aussi une lumière éloquente sur le système de fichage numérique de la population mis en place sous l’égide du « président à vie », qui a montré, avec la crise du coronavirus, sa redoutable efficacité.

Documentaire de Sophie Lepault (France, 2021, 1 h 30 min)

Disponible jusqu’au 12/08/2021

https://youtu.be/Jm-RKyY6UY0



Le camp Républicain passe de la défensive à l’offensive à propos du scandale du COVID

[Source : Les 7 du quebec]