Pass sanitaire et vaccination obligatoire : la stratégie diabolique de Macron

[Source : E&R via ZEjournal]

C’est un fait que les vaccinés – simple, double ou triple (avec le « rappel » Bourla) – se sont fait avoir : ils pensaient être libres après leur injection, ils sont ferrés dans un lieu sinistre qui se referme derrière eux. Maintenant, il faut un pass pour avoir une vie prétendument normale, alors que tout est anormal avec un passeport intérieur, qui en outre flique le citoyen du matin au soir. Le premier pas vers l’acceptation de la non-liberté a été fait, le retour en arrière sera beaucoup plus dur. Heureusement, grâce aux non-vaccinés et aux anti-pass, il reste un espoir. Les citoyens encore libres attendent donc la dégradation de la situation pour que les prisonniers réalisent leur erreur, et tendent la main aux hommes libres. Cela viendra.

En attendant, une nouvelle, ou plutôt une fuite organisée a retenu notre attention, et elle révèle bien des choses sur la stratégie de ce président maléfique. Si l’on considère que Macron est un simple président de la République, un petit banquier de chez Rothschild, forcément néolibéral, progressiste et malin, on ne peut pas tout comprendre à la situation actuelle.

Si l’on ajoute qu’il se prend pour l’antéchrist, pour le fils du Diable, alors les choses deviennent plus claires. Ce n’est pas de gaieté de cœur qu’on utilise les termes du registre diabolique pour qualifier Macron et sa stratégie, c’est parce que les points de concordance sont multiples : le tableau de l’Élysée, la Bête de l’événement, le séparatisme forcené (la joie sadique d’être le Grand Diviseur), la destruction de Notre-Dame, les prêtres assassinés… Là on n’est plus dans un film de série B, mais bien dans le réel, un réel dont la structure cachée affleure.

[Voir aussi : Le pass sanitaire bientôt retiré selon Martin Blachier?]

Ceci étant dit, passons à la « fuite » du château du prince des ténèbres françaises, puisque les Français vivent actuellement dans des ténèbres, organisées par celui qui éteint une à une toutes les lumières.

Donc Blachier, que l’on a surnommé la girouette du palais, et qui aurait l’oreille du Petit Dictateur, diffuse la rumeur selon laquelle le pass serait bientôt retiré. Le pass, c’est tout simplement l’outil de coercition pour les résistants à l’ordre macronien, ou au Nouvel Ordre mondial, celui des mondialistes ennemis de l’humanité. Ils l’ont prouvé à maintes reprises, même s’ils cachent leur projet diabolique derrière un humanisme qui n’est que de mots.

Alors pourquoi envoyer Blachier annoncer très officieusement que le pass va disparaître ? D’abord pour faire baisser la tension dans la rue, qui ne fait qu’enfler, chaque samedi, malgré les scores de mobilisation grotesques annoncés par l’Intérieur, et repris servilement, sans aucun travail de vérification, par les médias mainstream. On sait qu’ils n’ont pas le choix : ils sont soit en faillite, soit en chute libre.

Mais l’astuce du fils du Diable va plus loin : en jouant avec le chaud et le froid, au Blachier et au Véran, il entretient la confusion dans l’esprit des Français, qui sont totalement désorientés. Or, l’objectif est justement la désorientation, pour emmener le troupeau à l’abattoir. La désorientation de l’ennemi est un élément important de victoire dans une guerre, et Macron, la recrue des mondialistes, a lancé une guerre contre le peuple de France.

Mais pourquoi les mondialistes en veulent autant à la France ? Digression.

Les mondialistes veulent, pour être le seul modèle, la seule possibilité, que la France, ce pays des arts, de la culture, de l’amour et des libertés, ne soit plus un modèle pour le monde entier. En clair, qu’elle soit détestée. C’est pourquoi les Attaliens nous infligent et nous injectent des gens qui ont été élevés dans la haine de notre pays. Ils veulent détruire la douceur de vivre française, ce modèle qui ne cadre pas avec la dette, le mensonge, le mercantilisme et le Diable. Ils veulent que l’humanité déteste la France, que le modèle mercantile évince le modèle épicurien pour devenir le seul sur le marché, et que le Marché domine tout. Que le désintéressement et les relations gratuites soient éradiquées, que la famille explose, que le couple disparaisse, que l’Amour s’efface devant la Consommation.

Ils s’en prennent, grâce à leur infiltré au poste de président, à l’âme de notre nation, à notre esprit de résistance (pléonasme), et tous les vices sont utilisés dans ce but ignoble. Aujourd’hui, par exemple, pour détruire le moral des parents, ils veulent vacciner les enfants, jusqu’aux bébés ! Une presse indigne prête ses pages à ce projet littéralement maléfique :

« Dans une interview donnée à Nice Matin Philippe Babe, chef du service adjoint des urgences pédiatriques de l’hôpital Lenval de Nice, s’inquiète de la croissance du nombre d’hospitalisations de nourrissons.
Dix bébés de moins de trois mois ont été hospitalisés en deux semaines, phénomène qui n’était pas du tout observé pendant les vagues précédents. Les nourrissons souffrent de fièvre et présentent des symptômes fébriles et ont en commun d’avoir un des parents, parfois les deux qui sont positifs au Covid-19 et la plupart du temps non-vaccinés, explique le médecin dans les colonnes du quotidien régional ». (20 Minutes)

La carotte, et le bâton, c’est la sempiternelle stratégie des dominants. La carotte, c’est Blachier, le bâton, c’est Véran, ou Attal, au choix.

Voici d’abord le fil Twitter de Véran sur la Martinique, en date du 12 août 2021, à 9h17 PM (21h17). Accrochez-vous bien, et ne manquez pas la pointe finale, qui n’est pas de Véran…

« Je viens en Martinique pour dire les choses. La vague de covid qui frappe les Antilles est la conséquence d’une vaccination trop faible. Elle fait des milliers de malades, des dizaines de morts par jour et met en tension le système sanitaire. Mes pensées vont vers les familles.

Pour faire face, des centaines de médecins et soignants ont pris un vol avant-hier depuis Paris pour sauver des vies après mon appel à la mobilisation. Je leur dis mon admiration et ma reconnaissance. Nous organisons déjà les prochains renforts depuis la métropole.

Pour faire face, nous renforçons les hôpitaux Antillais en oxygène, en traitements de pointe comme les anticorps monoclonaux, en matériels de protection, en lits d’hôpitaux. Nous organisons des évacuations sanitaires vers la métropole.

La situation sanitaire, je le dis et pèse mes mots, est sans commune mesure avec ce que j’ai pu voir jusqu’ici. La virulence des variants, la puissance de l’épidémie, les jeunes patients sont une réalité que chacun doit regarder en face. Avec courage, sang froid et détermination.

Je le dis, sans provocation, mais avec ma conviction de médecin, et de ministre. Le retard pris par la vaccination ne peut plus durer. C’est une affaire trop grave pour que nous ne réussissions pas à protéger au plus vite la population.

Il y a ici des vaccins pour tout le monde, les mêmes qu’en métropole et que dans la plupart des pays occidentaux. Efficaces, sûrs, ils sauvent des vies partout, en quantité.

85 % des médecins de l’hôpital de Fort-de-France sont vaccinés. Faites leur confiance, plutôt qu’à ceux qui sèment la peur et la discorde en espérant y récolter un peu de célébrité ou de pouvoir. Le konseye pa le peye.

L’hôpital est rempli de malades qui avaient peur du vaccin au lieu d’avoir peur du virus. C’est insupportable, parce que c’est évitable. Nous ne baisserons jamais les bras, nous tiendrons, ensemble. Kimbé rèd ! »

Doc / Prof. Laurent Thines @LaurentThines

•Bon Olivier – OK, tu as en partie raison… Mais pour l’autre partie, tu te fous un peu du monde…non ? Tu as vu la gueule du système sanitaire aux Antilles, bon sang ?

Et pendant que Véran joue de la psychose (un pipeau) en Martinique, Attal en joue en métropole.

Attal nous menace d’un nouveau confinement, parce que nous ne serions pas assez vaccinés (alors que le virus se fout objectivement du vaccin) :

« C’est un motif d’espoir quand même sur le fait qu’on n’ait pas à reprendre des mesures comme celles malheureusement qu’on prend aux Antilles pasque la vaccination n’est pas au rendez-vous. Maintenant je peux pas l’exclure par principe, mais plus on continuera à se faire vacciner, plus les Français iront se faire vacciner, plus on mettra derrière nous le risque d’avoir à reprendre des mesures très dures de confinement ».

https://www.youtube.com/embed/Jh2hYCqGZPM

Le message, ou plutôt les messages, sont clairs : la rue est en train de monter une barricade contre les délires du Petit Dictateur, qui tente de faire baisser la tension avec la fuite d’une fausse promesse d’assouplissement sur l’Ausweis. De l’autre côté, via le porte-parole de Pfizer – le stagiaire Attal –, le pouvoir maintient la pression et formule un nouveau chantage au confinement, qui serait la faute des non-vaccinés, histoire de bien fracturer le pays entre vax et antivax.

La dernière pierre de cette stratégie scélérate est apportée par France Inter, qui ne trouve rien à redire à la vaccination des enfants :

« Il y a fort à parier que le sujet de la vaccination des moins de 12 ans va se poser à la rentrée prochaine. Avec la grande contagiosité du variant delta, le retour à l’école pose question, et les autorités, comme les médecins y réfléchissent ».

Il faut oser, en trois lignes, balancer autant de désinformation, et de désinformation dangereuse. Le sujet ne va pas « se poser » tout seul, comme par enchantement, c’est le pouvoir politique qui le pose, et l’impose.
La « contagiosité du variant delta » n’a rien à voir avec une dangerosité, et ce n’est pas parce que la Martinique a un système hospitalier défaillant (par volonté politique centrale) qu’il faut imaginer un tsunami de morts.
Enfin, on aimerait que les parents soient associés à la fameuse réflexion entre les « autorités », qui n’en ont plus beaucoup, et les « médecins », qui se prêtent à cette politique immonde. Nous qui pensions que les médecins étaient faits pour soigner… Heureusement, il en reste !

Pour bien comprendre ce qu’est la désinformation à la sauce France Inter, voici le premier paragraphe de sa propagande nauséabonde, sachant qu’en période de fortes chaleurs, et donc de pollution atmosphérique dans les villes, les bébés, comme les octogénaires, ont toujours souffert :

« Un virus plus contagieux, c’est un virus plus contagieux pour tout le monde, et donc aussi pour les enfants, et même les nouveau-nés. On l’a vu la semaine dernière avec cette alerte lancée par l’hôpital pédiatrique Lenval à Nice : une dizaine de bébés de moins d’un mois ont été hospitalisés ces derniers jours, dans un contexte de forte incidence épidémique (taux d’incidence supérieur à 600) pour cause de covid. Ils avaient de la fièvre (autour de 39°) et des problèmes gastriques. Rien de gravissime mais leur très jeune âge a justifié une hospitalisation de quelques jours. Leurs parents n’étaient pas vaccinés ».




Italie, Espagne, ces pays où le passe sanitaire est remis en question par des magistrats et des tribunaux

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Il n’a fallu que quelques jours, ou semaines, pour que le passe sanitaire ait du plomb dans l’aile en Espagne et en Italie.

En Espagne, pays décentralisé, le passe sanitaire ne passe pas : en Galice, c’est le tribunal régional qui vient d’en suspendre l’usage estimant que la décision a été prise par le gouvernement régional sans l’en informer. Décision prise ce jeudi 11 août par la justice de la communauté autonome de Galice. Cette suspension concerne les bars, les restaurants et les boîtes de nuit. D’après plusieurs médias espagnols dont ElPeriodico.com, la décision prise par le gouvernement galicien de rendre obligatoire ce passe sanitaire a été attaquée par la justice régionale qui accuse le gouvernement autonome de ne lui avoir jamais soumis cette mesure. La mise en place du passe sans que le tribunal régional n’en soit informé avait été prise par Alberto Nunez Feijoo, actuel président de la région de Galice, lequel avait présenté une loi sanitaire en novembre 2020 pour infliger une amende de 3 000 euros aux Galiciens qui refusent la vaccination.

La décision de justice de Galice suit celle identique du tribunal de justice des îles Canaries qui a aussi suspendu le passe sanitaire le 29 juillet dernier. Le média espagnol Eldiario.es explique que la justice a pris cette décision estimant que des droits ont été bafoués. La justice de deux autres communautés autonomes espagnoles (Cantabrie et Andalousie) ont également suspendu le passe Sanitaire au début du mois d’août comme le révèlent plusieurs sources dont ABC.es.

En Italie, la contestation contre le« Green Pass » a, à sa tête, des magistrats. « Un document publié dans le journal officiel de la Magistrature Démocratique, le courant historique des juges de gauche évoque ”une violation de la constitution”, peut-on lire dans le quotidien italien Il Giornale.it. Les mots sont plus que durs envers le gouvernement en place : cette violation, écrivent les magistrats, est voulue par « gouvernement aplati sur la logique de l’urgence » et réalisée grâce à « un pouvoir policier généralisé ».

« Il s’agit en fait d’une sorte d’appel aux robes rouges dans toute l’Italie, écrit Il Giornale, pour empêcher les mesures gouvernementales anti-Covid de se concrétiser : le décret sur le pass vert “devrait être inappliqué”. Et l’attaque implique aussi toute hypothèse de sanctions à l’encontre de ceux qui ne vaccinent pas : “Son refus doit être protégé et non recouvert d’un moralisme apocalyptique”. »

« Le document a un titre explicite, continue l’article italien, Sur le devoir constitutionnel et communautaire de non-application du décret du laissez-passer vert, et a été publié dans le dernier numéro de Questione Giustizia, le magazine officiel de Md. Il n’est pas signé par des magistrats mais par un groupe de constitutionnalistes réunis sous le sigle « Future Generations ». Mais il est clair que la décision de publier le document sans prendre aucune distance signifie qu’au sein du courant, la ligne de pensée s’est enracinée. En revanche, déjà ces derniers jours sur certains chats internes à l’Association nationale des magistrats, le document avait été divulgué par des membres de Md connus pour contester ouvertement la stratégie gouvernementale de lutte contre la pandémie.

(…)Le décret-loi, selon le document, produit ”des effets de discrimination multiples”, et ”finirait par constituer l’imposition indirecte d’une obligation de vaccination (…) il aboutirait à la violation de la liberté individuelle”. Et tout cela pour imposer un vaccin “encore en phase expérimentale n’ayant obtenu qu’une certification d’urgence” et malgré “le manque de preuves sur sa capacité à limiter l’infection”.

(…) Le texte attaque également la possibilité pour les gestionnaires de lieux publics de vérifier le certificat vert : qui se définit comme un ”transfert de pouvoirs de police à des sujets totalement non qualifiés” ; et l’attribution de cette faculté aux gérants est définie ”de faible soutenabilité juridique” : un ”modèle de régulation fluide et invasif qui met en grande tension toutes les garanties des libertés individuelles telles qu’elles nous sont transmises par nos Constituants” ».

Le document des magistrats de gauche se conclut par cet avertissement : « les vaccins anti Covid 19 peuvent être raisonnablement encouragés mais pas imposés, même pas à des catégories à risque ». Sinon le droit à la santé collective devient un « droit tyrannique ».

Francesca de Villasmundo




« Le Conseil de l’ordre des médecins sera supprimé »

[Source : nice-provence.info]

Par Massimo Luce

C’était la 85e proposition des 110 du Programme Commun de François Mitterrand. Bien entendu il n’en a rien été, les programmes électoraux étant faits pour se faire élire, puis à ne plus être respectés.

Lorsque les élus — en général de gauche — veulent prendre le contrôle de cette institution dont le contrôle échappe à l’État, ils nous rappellent que c’est une loi du gouvernement de Vichy (7 octobre 1940) qui crée le « Conseil supérieur des médecins ». Horreur ! donc.

Du reste en 2017 Mélenchon annonce : « Le Conseil de l’Ordre des médecins sera aboli parce que c’est une organisation pétainiste » [source]. À son habitude Jean-Luc Mélenchon sort des formules qui l’arrangent même si elles sont erronées. C’est le cas ici puisque selon le Quotidien du Médecin : « Cet organe de l” “État Français” sera dissous par une ordonnance du gouvernement provisoire de la République Française à Alger présidé par le Général de Gaulle le 18 octobre 1943 ». C’est ensuite le 24 septembre 1945 qu’une ordonnance du Général de Gaulle crée l’Ordre des médecins dans sa forme actuelle dont la principale mission est de veiller au respect de l’éthique médicale. » Ainsi donc l’Ordre des médecins est plus une institution gaulliste que pétainiste. Mais qu’importe, c’est surtout une institution, très puissante et très riche, dont le contrôle échappe à l’État.

Noyautée par la franc-maçonnerie, cette institution est très corporatiste et très conservatrice. Dans le fond elle ne gêne pas l’État tant qu’elle est en phase avec les intérêts de ce dernier, tributaire de Big Pharma. L’Ordre des médecins menaçait en août l’année dernière de sanctionner les médecins qui n’appliquaient pas les consignes gouvernementales en matière de port du masque :[Retranscription de l’échange téléphonique avec l’Ordre des médecins :]

[Retranscription de l’é­change télé­pho­nique avec l’Ordre des médecins :]

Fort de cet appui, Macron peut donc dérouler son plan sous faux drapeau sanitaire de passeport numérique pour tous qui passe par la vaccination pour tous. Il n’hésite même pas à prendre des mesures barbares telles que l’interdiction de l’accès aux soins aux Français non vaccinés (lire Le retour à la barbarie du 7 août 2021).

Mais il n’est pas conscient qu’il franchit là, le pas de trop pour le Conseil de l’ordre qui publie alors ce communiqué :

L’Ordre des médecins rappelle que la mission de service public assumée par tous les soignants est de garantir l’accès aux soins pour tous.

Les professionnels de santé quels que soient leurs modes d’exercice auront l’obligation déontologique de garantir à tous leurs patients des soins dans des conditions de sécurité optimales.

L’Ordre des médecins attend la réponse du Conseil constitutionnel, chargé du fait de sa saisine de garantir l’égal accès aux soins de tous les citoyens de notre pays.

Un camouflet cinglant pour Macron qui est plus le VRP de Big Pharma que le Président de tous les Français. Pour ce dernier, cette rebuffade est insupportable. En quelques jours à peine il crée une nouvelle institution qui détrône le sacro-saint Conseil de l’ordre des médecins : le nouveau « Conseil National de Certification ».

Par décret passé en catimini, Macron et Véran créent le « Conseil national de certification », soumis au gouvernement, pour reconduire ou retirer le droit d’exercer des médecins qui n’obéissent pas… Pas un mot dans les médias. [source]

Macron, plus fort encore que Pétain et Mitterrand réunis !

Ce dernier voulait supprimer une institution jugée trop corporatiste. Macron, lui, la supplante par une institution étatique. Trop fort ! Ce décret parfaitement dictatorial n’a pas suscité beaucoup de commentaires dans la presse subventionnée. C’est dire le niveau de soumission dans laquelle elle se trouve aujourd’hui. On peut dire la même chose des partis politiques, tous soumis, même les « Insoumis ». Ohé, Mélenchon ? On ne vous a pas entendu. Ah, il est peut-être en vacance(s). Mais c’est la même chose pour tous nos élus, à part quelques maires rebelles.

Il ne reste que l’insurrection populaire pour mettre fin à ces dérives dictatoriales et barbares.

Massimo Luce

Bonus :




La dictature sanitaire aura une fin

[Source : Kernews via nicolasbonnal.com]

Connu sur le plan international pour ses nombreuses vidéos diffusées sur Internet avec ses cours sur la Torah, le Rav Dynovisz aborde à nouveau la question de l’autodestruction de l’Occident, le mondialisme, la stratégie du chaos et la volonté de domination des peuples dans le cadre de cette crise sanitaire. Le Rav Dynovisz, maître de la Torah, nous accorde un entretien exceptionnel dans lequel il livre des clés essentielles pour appréhender le monde qui se prépare.




Pourquoi les intellectuels de gauche ont-ils eux aussi viré hygiénistes totalitaires ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La riposte de Jean-Paul Bourdineaud(([1] Professeur à l’Université de Bordeaux, où il enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale tout en étant chercheur dans ces divers domaines)) à l’attaque en dessous de la ceinture de Charlie Hebdo et de Libération qui ont franchi allègrement le point Godwin (« à droite d’Hitler » en gros) en présentant les contestataires de l’actuelle politique dite « sanitaire » comme étant(([2] selon ce qu’en rapporte Bourdinaud)) « une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum) » en dit long sur les prétentions (non étonnantes à vrai dire) de toute une frange de pseudo-intellectuels tels Enthoven, Naulleau, Onfray, BHL, Ferry (le journal Marianne et le site Mediapart ostracisant on l’a déjà dit ici Mucchielli) et cherchant obstinément à continuer de donner le La (malgré leurs échecs retentissants dans tous les domaines), comme ils l’ont toujours fait en réalité, y compris et surtout en matière de santé si l’on entend par là (suivant ici Descartes dans la 6° partie du Discours de la Méthode, 192-193*) une certaine manière de penser notre corps dans le monde.

Ils en sauraient plus, en soi, comme ça, et c’est dit, un point c’est tout, en tout cas bien plus, mais oui, que tout le monde, en particulier à « droite » (qui a trop confiance en la « nature », en son système immunitaire, car celui-ci semble être [pour ces intellectuels] une relique, un dernier terrain vague…). D’où cette prégnance présente d’histrions et d’écrivaillons qui bien qu’étant complètement incompétents en matière de santé (ne parlons pas d’économie, de politique étrangère, mais aussi de philosophie, de littérature, d’arts…) viendront railler un Raoult, un Perronne, une Henrion-Caude, parce que pour eux, mais oui, la messe est dite face à ce virus présenté façon nouveau conte de Grimm comme étant effroyablement monstrueux, pire que la peste, bien sûr ma bonne dame, qui ravage jusqu’aux jeunes (un ici et là), d’où la nécessité « vaccinale », solution unique au-dessus de tout (über alles), alors que pour les corona aux variants innombrables, même les vétérinaires ont abandonné, par exemple s’agissant des chats, tant l’hécatombe des effets secondaires s’avérait pire que le mal. Mais que nenni ! mon bon monsieur. Taïaut, taïaut, à cheval sur son baudet, Don Quichotte armé de sa seringue bionique vient ainsi épauler les nouveaux dragons déguisés en moulins à paroles. Peu importe si cela touche plutôt certaines catégories et les pays dits « développés » (l’hécatombe prévue en Afrique et en Asie ne vient pas. qu’à cela ne tienne, fourguons-leur le Remdesivir et les « vaccins » quitte à graisser la patte de dirigeants déjà corrompus) et en avant pour l’injection des… bambins (nouveaux babouins) !…

Cette génération « je sais tout », à force de réagir dans les émissions d’opinion sur n’importe quoi, s’est (dé)construit un ego si hypertrophié que toiser de haut un spécialiste critique s’avère être une billevesée, une chiquenaude, surtout lorsque l’on trône dans les Salons qui comptent sur des milliers de « followers » (ex-groupies). Et puis une piquouse de plus ou de moins, entre deux shoots de coke, d’amphé, d’opioïdes et quelques bidouillages « high tech », tous azimuts (insémination, blocage hormonal…), what a big deal my dear fellow… [« quelle grosse affaire mon cher ami !… »]

Si l’on creuse un peu maintenant, quoique toujours trop rapidement, vers quelques profondeurs analytiques, il s’avère que toutes ces prétentions en matière de santé sont la continuité quasi directe de toutes les vieilles railleries possibles et inimaginables sur lesdites bondieuseries « réactionnaires, obscurantistes » — aujourd’hui « complotistes » — (telles les méditations, recherches de sérénité via la sophrologie, l’homéopathie) et autres « remèdes de bonne femme » dans lesquels sont de plus en plus catalogués ces savoirs ancestraux (jusqu’à traquer la lavande désormais) qui soignaient bon an mal an les maux physiques et mentaux (au-delà des manques évidents en matière de conservation de la nourriture, de lutte contre les mauvaises moisissures, contaminations liées aux égouts à ciel ouvert). Tous ces remèdes ressurgissent aujourd’hui cependant depuis les années « new Age » par toute une naturopathie et autres « médecines douces », les ayant désormais triés avec le bon dosage. Or la pensée dite « logique » (puis « matérialiste ») et se prétendant issue des « Lumières » a toujours choisi les remèdes académiques normés (que raillèrent Molière et Romains…) et écarté les gêneurs (Pasteur [Ndlr : Pasteur semble pourtant, au contraire d’un Béchamp tombé dans l’oubli, être très encensé par le côté académique ou matérialiste.], Mendel, Einstein…) suivant ici les « scolastiques » (Galilée, Bruno…), hormis un très bref intermède de sympathie avec les mouvements « romantiques » à la suite de Rousseau et Goethe (alliant Poésie et Science) et autres « symbolistes (les Parnassiens), jusqu’aux « surréalistes », alors que la plupart de ces « éclairés » aura peu à peu arrimé son supposé « réalisme » (pétri de biais idéalistes) vers un naturalisme physicaliste qui circonscrit les phénomènes charnels, y compris « inconscients », a des « forces » forcément obscures qu’il s’agit de dompter, canaliser, éradiquer, aseptiser, telles ces eaux sauvages que les barrages savants des « castors » labellisés made in Science viennent domestiquer

Le tout en reproduisant tous les travers pourtant dénoncés par une innombrable littérature à propos de « l’absolutisme », de « l’ordre moral », de la « dictature bourgeoise » sur les cœurs, les corps et leurs esprits, déployant ainsi sous nos yeux toute une panoplie inquisitrice que l’on croyait révolue à l’heure du « relativisme post-moderne ». Aujourd’hui celui-ci s’avère encore pire que l’absolutisme d’antan (y compris au niveau « écologique », sommant certaines tribus africaines d’abandonner leurs coutumes afin de sauver des « espèces en danger » — ne parlons pas du climat ni des rapports politiques du GIEC, nouveaux contes de Grimm là aussi), ayant cependant, il est vrai, substitué la mort sociale à la mort physique, cette dernière étant cependant pourtant là, mais cela ne se voit pas, tant les corps réduits aux choix « multiplex » manifestent encore leur « esprit critique » par des variations insignifiantes au sein d’une culture de plus en plus réduite à l’état de ruines, mais illuminées (dernier « cri » de l’Aufklärung)…

Au fond, que serait une « riposte laïque » dans sa profondeur de champ sinon renouer avec cet esprit que la gauche comme la droite ont « détruit » ? Ou comment permettre à tout un chacun d’avoir l’audace de penser hors des tutelles thuriféraires ? Sapere aude ! disait le vieux Kant, ce « questionniste » complotiste avant l’heure, selon nos grands penseurs (de TPMP à l’Institut)…

Descartes, Discours de la Méthode, 192/193 :

« (…) sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant la physique, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusques où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusques à présent, j’ai cru que je ne pouvois les tenir cachées sans pécher grandement contre la loi qui nous oblige à procurer autant qu’il est en nous le bien général de tous les hommes : car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connoissances qui soient fort utiles à la vie ; et qu’au lieu de cette philosophie spéculative qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connoissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux, et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connoissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. Ce qui n’est pas seulement à désirer pour l’invention d’une infinité d’artifices, qui feroient qu’on jouiroit sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusques ici, je crois que c’est dans la médecine qu’on doit le chercher. Il est vrai que celle qui est maintenant en usage contient peu de choses dont l’utilité soit si remarquable : mais, sans que j’aie aucun dessein de la mépriser, je m’assure qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir ; et qu’on se pourroit exempter d’une infinité de maladies tant du corps que de l’esprit, et même aussi peut-être de l’affoiblissement de la vieillesse, si on avoit assez de connoissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. (…) »




«Vous tuez la France»

[Source : RT en français]

[Photo : © Frédéric Scheiber Source: Reuters.
Le Premier ministre Jean Castex dans le centre de Carcassonne le 11 août 2021 avec le maire Gérard Larrat lors d’une visite axée sur l’application du pass sanitaire.]

En visite dans l’Aude, le Premier ministre a été interpellé de vive voix par une passante bien décidée à lui signifier son opposition aux restrictions et au pass sanitaire, qui, selon elle, tuent la France, les restaurateurs et les artisans.

Lors de sa visite à Carcassonne (Aude) ce 11 août, le Premier ministre s’est fait interpeller par une passante visiblement très remontée contre la gestion de la crise par le gouvernement, et notamment la mise en place du pass sanitaire. La scène a été captée par les caméras de BFM TV. 

« Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là,
on est traités comme des chiens »

« Vous tuez la France monsieur, vous tuez la France et les commerçants. Et vous tuez aussi tous les artisans qui sont en train de mourir, voilà ce que vous faites», a lancé la femme en croisant le cortège du Premier ministre qui déambulait dans les rues de la ville. Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là, on est traités comme des chiens », poursuit la passante, véhémente. 

« Je ne parade pas, et je n’ai tué personne, au contraire, j’en ai sauvé. On essaye d’en sauver », se défend alors le chef du gouvernement.

Pas de quoi convaincre son interlocutrice, qui insiste : 

« Je ne pense pas, demandez aux restaurateurs, ils sont en train d’essayer de survivre ici. On peut quand même manger sur une terrasse sans pour autant infecter qui que ce soit je crois, qu’on soit vaccinés ou pas. »

« De toute façon, votre vaccin c’est pas un vaccin », conclut-elle, dans ce qui s’apparente à une référence aux vaccins à base d’ARN messager.

La scène s’est déroulée après le Conseil de défense sanitaire auquel le Premier ministre a assisté depuis la préfecture de l’Aude. Le but de sa visite dans la ville de Carcassonne était notamment de défendre le pass sanitaire le cas échéant, et d’en constater l’application sur le terrain.




Capitaine Alexandre Juving-Brunet : « Beaucoup de personnes au pouvoir devraient commencer à s’inquiéter »

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

Alexandre Juving-Brunet est chef d’entreprise et capitaine dans la réserve de la gendarmerie nationale.

Reçu au concours de l’École spéciale militaire (ESM) de Saint-Cyr en 2002 (promotion Général de Galbert), il intégrera la gendarmerie nationale en qualité d’officier à l’issue de ses trois années de formation.

Au cours de sa carrière dans la gendarmerie, Alexandre Juving-Brunet a exercé différents postes opérationnels qui lui ont permis de se confronter aux problématiques de sécurité publique et de maintien de l’ordre, avant d’évoluer au sein de l’État-major puis de terminer sa carrière dans le renseignement militaire en qualité d’officier de liaison détaché à la Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD).

Un dernier poste dans le cadre duquel il a pu appréhender les problématiques liées au terrorisme, à l’espionnage, à la subversion et au sabotage, mais aussi au crime organisé.

Après avoir quitté la gendarmerie en 2013 au grade de capitaine, Alexandre Juving-Brunet a fondé plusieurs entreprises en lien avec ses passions. Ces dernières années, il a mis au point et breveté des technologies parfumantes (ingénierie olfactive) à destination des industriels évoluant dans les secteurs de l’alimentation, de la beauté ou du divertissement.

Ces dernières semaines, Alexandre Juving-Brunet a participé aux manifestations contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants et des professions en contact avec un public vulnérable organisées à Toulon (Var).

Sommes-nous face à un tournant historique, un défi de civilisation ? La rupture est-elle consommée entre le peuple et la classe politique ? Le gouvernement a-t-il pris la mesure de l’ampleur du mécontentement exprimé par les manifestants ?

Quel avenir pour nos institutions et notre démocratie ? Comment restaurer la confiance entre le peuple et ses élites ?

Quel est l’état d’esprit des forces de l’ordre vis-à-vis des manifestations ? Quelles conséquences pour le pouvoir si la force publique venait grossir les rangs des manifestants ?

Existe-t-il un risque d’infiltration d’éléments perturbateurs dans les cortèges, voire de récupération politique ?

Retrouvez les réponses d’Alexandre Juving-Brunet à ces questions dans la vidéo :




L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !

Par Alain Tortosa

Au commencement du capitalisme, le modèle n’était pas forcément mauvais… Une valorisation de la réussite, une égalité des chances, la prise de risque récompensée…

N’étant pas un écolo défenseur de la bougie et de l’âge de pierre, j’ai la croyance que de nombreuses inventions humaines n’auraient pu voir le jour sans un système permettant la recherche, le dépassement, la récompense ou la compétition.

Et même si je ne suis pas un adepte de la compétition, reconnaissons qu’elle peut avoir certains bons côtés, par exemple dans le sport.

De l’autre côté de l’échiquier, le début du 20e siècle a connu la dictature du prolétariat, étape censée nous conduire à une espèce d’Éden communiste. Nous avons vu l’enfer que cela a pu produire dans les faits.

Cela a aussi mis en exergue le besoin (vital ?) pour l’homme d’avoir sa « carotte » directe ou indirecte. La production agricole s’est effondrée en URSS, car non seulement le paysan ne tirait aucun bénéfice à travailler mieux et avoir de meilleures récoltes, mais l’État lui volait quasi tout au point de crever de faim… Et impossible aussi pour lui de se reconnaître dans un « grand tout »…

De son côté, le capitalisme « terrien » et productif, créateur de richesses, s’est petit à petit éloigné de ses valeurs pour basculer dans la jungle de l’ultralibéralisme. Ne me faites pas dire que la révolution industrielle n’a pas été un enfer pour les paysans devenus ouvriers et ainsi dépossédés de leurs biens. Mais cette richesse financière accumulée, même si elle était sur le dos du travail d’esclaves, produisait néanmoins de la richesse productive…

Jusqu’au bouleversement total dans les années 80 qui ont été « formidables » pour aller à fond dans la dérégulation et nous faire croire que les marchés allaient s’autoréguler et qu’il fallait un minimum d’interventionnisme des États sous peine de gripper la machine et produire de la pauvreté.

Aujourd’hui 1 % des plus riches possèdent deux fois plus que 90 % du reste de la planète ! Et quoiqu’en disent certains politiques ou banquiers il n’y a plus aucun contrôle sur les marchés. L’argent dette(([1] https://7milliards.fr « 7 milliards d’esclaves et demain ? »)) est roi et les bulles spéculatives sont plus grosses que des nations.

Les entreprises tentaculaires, des lobbies, des banques privées ont une puissance financière et de corruption auquel aucun politique au pouvoir ne peut résister sous peine d’être broyé.

En fait c’est l’inverse, personne ne peut accéder aux manettes sans l’aide et le feu vert des maîtres du monde. La démocratie, comme certains osent encore l’appeler, n’est qu’une mascarade visant à illusionner le peuple et l’empêcher de prendre les armes !

Pour les pourritures à la tête du monde ultralibéral, l’ennemi c’est le peuple. Imaginez des lois sociales, des ascenseurs sociaux, de la justice, de la morale ou, pire encore, des projets au service du peuple…

Bref tout ceci est détestable pour eux et c’est avec bonheur qu’ils voient enfin arriver l’ère de la robotisation et de l’intelligence artificielle de masse qui va signer l’arrêt de mort du travail et rendre l’humain inutile pour produire (mais utile pour consommer).

Quant à ceux qui croient que des milliards de travailleurs manuels non qualifiés et rendus volontairement analphabètes seront les ingénieurs de demain, je ne sais pas encore si ils sont payés, s’ils vivent sur la planète des bisounours ou si leur QI est plus proche de celui du singe ou de l’huître.

Et ne croyons pas que nous, les « conscients », soyons les « bons » de l’affaire. Notre confort d’Occidentaux est uniquement bâti sur la sueur et le sang de travailleurs esclaves dans les pays pauvres.

Cet ultralibéralisme, avec la complicité des médias et d’écolos incultes, a réussi à nous vendre la voiture électrique dont la pollution pour produire les moteurs et les batteries rendrait jaloux le pire pollueur de la planète. Et ce sans compter l’esclavagisme des adultes et des enfants qui extraient les terres rares qui ravagent la planète et leur santé. Ces pourritures ont même transformé une pauvre fille autiste et illettrée en égérie de l’écologie, inconsciente de travailler pour les pires saloperies de l’ultralibéralisme et du profit maximal à court terme. Elle est l’étendard de la dictature écologique qui fera passer la dictature sanitaire comme une gentille parenthèse.

Pour revenir aux deux systèmes, les psychopathes maîtres du monde étaient rendus à deux impasses :

  • L’impasse de l’ultralibéralisme qui n’est pas totalement libre de détruire les humains et la planète à cause de ces foutus droits de l’homme et des lois sociales.
  • L’impasse de la dictature communiste qui détruit les humains, mais limite fortement la production et les profits. Le système étant économiquement non viable…

Et c’est la que la Chine communiste est intervenue, permettant de concilier le « meilleur » des deux mondes ultralibéral et communiste !

L’ère d’une dictature, du parti unique, du contrôle total de la population associé à une dérégulation totale du marché et un ultralibéralisme sans la moindre conscience !

Alors personnellement je n’ai pas les éléments de preuve pour savoir si la situation sanitaire actuelle est en partie le fruit du hasard, une « chance » formidable qui s’est présentée à ces fils de putes (pardon pour la profession qui, elle, mérite du respect) ou totalement planifiée…

Il n’en demeure pas moins vrai que c’est la Chine qui a proposé en 2020 les confinements à la surprise générale. Et (quasi) tous les pays riches et l’OMS ont suivi alors que TOUS savent et savaient que le confinement d’une population en bonne santé alors qu’un virus circule est voué à l’échec comme cela a été confirmé depuis des centaines d’années et par toutes les études sérieuses.

Les QR codes, la reconnaissance faciale, le pass sanitaire et bientôt le crédit social sont désormais en voie d’adoption et de normalisation par de nombreuses « démocraties » occidentales.

Et comme dirait le con de service plus concerné par le dernier iPhone que les droits de l’homme :

« Si on n’a rien à se reprocher en quoi est-ce gênant d’être espionné 24 heures sur 24 ? »

Nous vivons ainsi les premiers mois de la mise en œuvre de la dictature ultralibérale qui est basée sur exactement le mémé modèle que la dictature communiste chinoise !

Mais comme nous ne sommes pas des pourris, que nous sommes les « gentils », que nous ne sommes pas la Corée du Nord, nous demeurerons une « démocratie » dans laquelle le peuple n’a qu’un seul droit, c’est de fermer sa gueule, regarder Hanouna et acheter des Nike !

Pour autant, nous voyons bien qu’une écrasante majorité du peuple n’est plus dupe, il n’y a qu’à voir que 70 % des inscrits (et non des personnes en âge de voter) ne prennent plus le temps de participer à cette mascarade électorale parce qu’elle est convaincue que cela ne sert à rien. Hélas, une majorité de cette majorité a renoncé, car cet ultralibéralisme a réussi à tuer Dieu, le communisme, les valeurs, la famille, pour laisser croire qu’il n’y avait que la voie de la croissance infinie dans un monde fini. Et comme je l’ai rapidement évoqué, « l’écologie » n’est qu’un marché à la croissance infinie qui a réussi à transformer le « jeter », qu’ils appellent le recyclage, en acte écolo !

Demain, le vote électronique va être mis en œuvre en France et comme aux USA, il ne sera même plus la peine d’aller sur son clavier pour voter, le résultat des élections sera connu bien avant le début du scrutin. Nos maîtres du monde psychopathes auront déterminé à l’avance qui sera l’heureux esclave « élu » et à leurs bottes.

Il est encore temps de dire NON, il est toujours temps de dire NON !

À nous de récupérer une conscience politique, à nous de réclamer une justice sociale, à nous de refuser la redistribution des miettes qui n’est qu’aumône. C’est ce principe tordu de la redistribution qui vante le modèle ultralibéral de la réussite. « Le riche redonne au pauvre » (des miettes) notamment dans le système américain. Riche qui a obtenu sa richesse grâce au labeur des travailleurs pauvres ou en exploitant des ressources de la planète qui devraient être un bien commun ou en vendant une fortune des produits inutiles à l’obsolescence programmée à ces mêmes travailleurs pauvres !

À nous de réclamer un système distributif dans lequel la répartition des richesses est inscrite dans la constitution, dans lequel chaque humain viendrait au monde avec un capital ! Dans lequel tout un chacun pourrait s’enrichir, mais « raisonnablement » ! Que penser d’un Elon Musk qui gagne 300 000 dollars par minute (24 heures sur 24, 365 jours par an) ? Ce type tant admiré pour ses voitures qui détruisent la planète et ses fusées voit sa richesse augmenter chaque minute l’équivalent de 17 années de travail d’une caissière au salaire minimum… Elle même nantie comparé aux esclaves des pays pauvres payés 3 dollars par jour qui mettraient 235 ans pour arriver à la minute de revenus d’Elon Musk !

Vous avez dit « monde de merde ? », je suis d’accord !

Mais Rome ne s’est pas faite en un jour. Pour reprendre notre dignité, nous devons avancer pas à pas et commencer à dire NON au pass sanitaire, non à l’obligation vaccinale pour quiconque et non au crédit social. Ensuite ce sera l’heure des réformes politiques et de l’éducation des citoyens.

… Sans quoi demain nous nous réveillerons en République Populaire de France !

Alain Tortosa.

11 août 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210811-republique-populaire-de-france.pdf




France : la fin de l’État ?

Par Valérie Bugault

À propos du détournement des fonctions étatiques, et de l’abus de droit international s’agissant d’un organisme étatique

[Source : valeriebugault.fr]

Le 16 mars 2020, Emmanuel Macron fait une « déclaration de guerre », dans laquelle aucun « ennemi » n’est clairement identifié, dans la mesure où l’on veut bien reconnaître qu’un virus ou une maladie n’est pas un « ennemi de type militaire » (https://youtu.be/5wYyJckGrdc).

En conséquence de cette « Déclaration de guerre », apparaît la 1ère loi d’urgence sanitaire en date du 23 mars 2020. Nous ne reviendrons pas sur l’inconstitutionnalité de cette loi. Loi qui a, par ailleurs, engendré, généré, une incapacité du parlement à se réunir dans des conditions normales (ou même simplement satisfaisantes), et correspond donc à une loi d’exception institutionnelle, ayant mis entre parenthèse nos institutions nationales.

Mais ce n’est pas tout, car, parallèlement à l’édiction de cette loi dérogatoire, d’exception institutionnelle, le « pouvoir exécutif français » s’est senti justifié à instaurer, sur l’initiative d’un « conseil scientifique », dont la composition est en soi extrêmement contestable – et à ce titre dument contesté par le professeur Didier Raoult comme étant en réalité un « Conseil des amis du professeur Delfraissy » (écouter vers la 11ème minute de la vidéo suivante : https://m.youtube.com/watch?v=Ld1kpIDzmLE)-, un « Conseil de Défense sanitaire » (https://www.elysee.fr/la-presidence/le-conseil-de-defense-sanitaire). Depuis lors, les décisions du gouvernement français sont soit initiées directement, soit passent par le prisme, de ce Conseil de Défense sanitaire, lequel agit comme un « usurpateur » du pouvoir politique français.

Or, ce Conseil de Défense repose sur un fondement extrêmement discutable :
“les recommandations d’un Conseil scientifique Covid-19 créé en mars 2020 à la demande du ministère de la Santé, formation autonome et indépendante composée de treize experts scientifiques.”

Il faut encore préciser que le président de ce conseil scientifique a, dès le 25 mars 2020, entretenu une correspondance amicale et politique, sinon strictement professionnelle, avec l’américain Anthony Fauci (cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci) en charge des intérêts sanitaires américains. Correspondance dont on ne perçoit pas très bien la pertinence au regard des intérêts français ; pour dire les choses autrement, cette correspondance pourrait très bien être analysée au regard de la collusion d’intérêts avec une puissance étrangère.

En résumé, le pouvoir politique français est désormais, en quelques sortes, accaparé par (dans le pire des cas) ou soumis à (dans le meilleur des cas) un Conseil de Défense, lequel a été institué à l’initiative d’un organisme, le conseil scientifique, dont la forme juridique n’est pas clairement établie, organisme réuni par le seul ministère de la santé, et dont la composition est hautement suspecte au regard des intérêts politiques français.

Quoiqu’il en soit de sa qualité intrinsèque, en l’occurrence très douteuse, un « conseil scientifique » ne saurait en aucun cas avoir l’autorité et/ou la légitimité politique de décider de la création d’un organisme, un Conseil de Défense, qui prendra désormais les décisions stratégiques au lieu et place du gouvernement français !

Il y a, fondamentalement, un problème juridique initial avec l’instauration de ce Conseil de Défense.

Et ce n’est pas tout !

Étant en guerre, la France désormais régit par un Conseil de Défense est, par voie de conséquence, soumise à la propagande qui accompagne toute guerre ! Or, à l’évidence, cette « propagande de guerre » n’est pas franco-française, elle sévit au niveau européen et même international et concerne particulièrement les pays développés, eux-mêmes réunis au sein de l’OTAN.
Dès lors, la question juridique à poser est la suivante : un organisme international est-il légitime à diligenter et à gérer une propagande de guerre Nationale ? Alors qu’aucune « déclaration de guerre » officielle visant un ennemi militaire n’a officiellement eu lieu… Un virus n’ayant a priori pas de nature militaire (encore que nous ayons de plus en plus d’informations allant dans le sens d’un virus fabriqué en laboratoire et frôlant donc la qualification de « guerre bactériologique », mais c’est encore une autre histoire…).

La déclaration d’Emmanuel Macron selon laquelle « nous sommes en guerre » a eu pour objectif et pour effet de lancer toutes ces manœuvres de nature politico-militaires sans qu’aucun ennemi, au sens militaire du terme, n’ait réellement été déclaré ! Une déclaration de guerre ne doit-elle pas nécessairement désigner un ennemi militaire ? En tout état de cause, la situation étatique et militaire traditionnelle, antérieure à l’actuelle suspension de nos institutions politiques, était qu’une « déclaration de guerre » était accompagnée de la désignation d’un « ennemi militaire ».

On ne compte plus les vices, de fond et de forme, qui entourent les décisions politiques françaises depuis que nous sommes, de facto, dans un état de suspension de nos institutions.

Il résulte de cet état de fait, que le gouvernement français a, de facto, perdu toute fonction réelle, qu’il est aujourd’hui concentré dans les mains d’un Conseil de Défense dépourvu de tout fondement juridique sérieux et surtout de toute légitimité politique.

Du point du vue du droit international, l’État français, qui a été vidé de sa substance politique pour être mis au service d’organismes dominés par des intérêts non formellement identifiés, se trouve dans une situation de détournement institutionnel, d’abus de droit international public.

Il importe aujourd’hui d’agir au niveau international afin de faire reconnaître la scission entre le gouvernement français et sa population ; scission entraînant la fin de toute légitimité publique des décisions d’un gouvernement qui a, de facto, démissionné au profit d’un Conseil de Défense illégal et politiquement illégitime.

Les Français sont dans une situation de détournement de leur État et des fonctions étatiques régaliennes y afférentes. Non seulement le pouvoir globaliste a déclaré la guerre à notre système de droit continental traditionnel mais il a désormais également usurpé notre État, dont la qualification elle-même relève de ce système de droit.


Olivier Renault – Entretien (partie.1) avec Valérie Bugault pour Observateur Continental, le 6 Août 2021

[Source : valeriebugault.fr]

Observateur Continental a demandé à Valérie Bugault, auteure notamment des « Raisons cachées du désordre mondial », de préciser son appel récemment fait à tout le monde mais essentiellement aux forces de l’ordre pour agir et sauver la France et son peuple.

1°) Est-ce que votre appel signifie que nous sommes en Troisième Guerre mondiale ?

Valérie Bugault : On pourrait présenter les choses comme cela mais il faut alors immédiatement préciser qu’il s’agit d’une Guerre d’une nature nouvelle. Cette guerre n’est pas menée militairement par un ou des États contre un ou plusieurs autres États. Cette guerre est conduite, au sein même de chacun des États, par une oligarchie compradore accapareuse – elle-même menée par le modèle défini par les dirigeants globalistes de la City of London (mélange de banques globales, de multinationales à leurs ordres sous anonymat, d’anciennes familles régnantes et de grands industriels ralliés à la banque) – contre les populations desdits États.

Il faut immédiatement ajouter, à des fins de clarté du débat, que les populations constituent, en elles-mêmes, historiquement le concept d’État ; c’est-à-dire que les populations sont intrinsèquement les éléments constitutifs de la notion politique d’État. Il en résulte qu’un État accaparé par une caste compradore n’est, du point de vue juridique et institutionnel, qu’une coquille vide, un détournement de la notion d’État, en d’autres termes, un « abus de droit public international ».

2°) Sur quels éléments de preuves pouvez-vous affirmer que tout ce qui est décision stratégique sur la communication, la politique, la santé publique, la stratégie sanitaire et militaire a échappé aux forces françaises ?

Valérie Bugault : Je vous renvoie à mon dernier article (https://valeriebugault.fr/a-propos-du-detournement-des-fonctions-etatiques-et-de-labus-de-droit-international-sagissant-dun-organisme-etatique-2). En réalité, l’État Français n’existe plus car les institutions officielles sur lequel il repose sont suspendues depuis la création du Comité de Défense sanitaire ; lequel comité ne repose sur aucune base juridique satisfaisante et ne dispose d’aucune légitimité politique.

3°) De qui est quoi est constitué ce contrôle globaliste qui commande aujourd’hui la France ?

Valérie Bugault : Il est constitué par la prise de contrôle, au niveau mondial – via le contrôle du système économique global – de :

  • La force de travail des individus ;
  • Des ressources matérielles et financières par les multinationales et les grandes banques globalistes ;
  • Des systèmes politiques via le « parlementarisme » (prétendument représentatif), lequel repose sur la captation de la vie politique par les partis politiques qui dépendent de leurs fournisseurs de capitaux.

Cette prise de contrôle mondiale opère à partir des armes développées par l’empire britannique que sont le droit anglo-saxon (y compris le concept de soft law) et le système des banques centrales. Anonymat et secret (notamment des affaires, mais aussi d’État…) ont été de puissants moyens pour accroître, en toute discrétion et impunité, leur accaparement des richesses et du pouvoir.

Au-delà de ces armes de pointes, les globalistes en ont développé de nouvelles : à savoir les institutions internationales dont ils ont, initialement ou au fil du temps, pris le contrôle plus ou moins officiellement : ONU (accompagnée de sa multitude d’agences qui se sont octroyé une compétence sur toutes les thématiques de la vie), OMC, OMS, OCDE, FMI, Banque des règlements internationaux, Banque mondiale, Club de Rome, Davos, Bilderberg, Union Européenne…

4°) Quelle est cette organisation qui est derrière les armées secrètes de l’Otan ?

Valérie Bugault : Les armées secrètes de l’OTAN ont été parfaitement renseignées par l’universitaire suisse Daniele Ganser, qui a fait un remarquable et difficile travail d’investigation et de synthèse. Je vous renvoie à ses nombreux travaux sur le sujet : livre réédité, (« Les armées secrètes de l’OTAN »), très nombreuses conférences que tout un chacun peut retrouver, écouter et visualiser sur Youtube notamment.

Ces armées secrètes ont été organisées dès la 2nde Guerre Mondiale afin de lutter contre Staline mais leur mission première était, à l’image de son instigateur Allan Dulles, d’être mise au service exclusif des multinationales et des banques globalistes qui opéraient, à l’époque, à partir de l’empire américain.

Cette superstructure opaque s’est développée en toute indépendance vis-à-vis des États membres de l’OTAN tout en disposant de la capacité de ponctionner, en secret, dans les ressources de l’OTAN. Cette organisation occulte s’est, en particulier, spécialisée dans les attentats sous faux drapeaux. Encore une fois, je renvoie les lecteurs intéressés à en savoir plus aux formidables travaux de Daniele Ganser.

à suivre


[Source : https://odysee.com/@valeriebugault:c]






La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie

Par Gérard Delépine

[Illustration : imgscan contrepoints 2013-2433 santé.]

[Voir aussi sur economiematin.fr]

Il y a vingt ans notre système de soins était reconnu comme l’un des meilleurs du monde. Maintenant nous sommes au-delà du 20e rang mondial. Et la surcharge prétendue des services de réanimation constitue le prétexte à des contraintes liberticides qui achèvent l’économie mise à mal, non pas par l’épidémie, mais par les mesures inutiles censées la combattre.

Certes le gouvernement Macron n’est pas le seul responsable de la destruction de notre système de santé, mais toutes ses actions n’ont fait qu’aggraver considérablement la situation.

La diminution du nombre de lits et la prise de contrôle de la médecine par la bureaucratie

Toutes les politiques sanitaires depuis plus de vingt ans sont décidées par des non-médecins(([1] Un médecin est une personne qui traite non pas des maladies mais des malades en tenant compte de leur nature unique (antécédents, besoins…) )) qui considèrent que la santé a uniquement un coût qu’il faut absolument abaisser. Ils ont drastiquement diminué le nombre de lits. Entre 2000 et 2015, « le nombre de lits d’hôpitaux en France a diminué de 15 %,(([2] Gaëtan Lafortune économiste à l’OCDE. Diminution du nombre de lits à l’hôpital mais hausse de la population selon un rapport de l’OCDE France info 24/11/2017. 
https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/diminution-du-nombre-de-lits-a-l-hopital-mais-hausse-de-la-population_2483265.html)) alors que la population a augmenté de 10 % et a fortement vieilli. Le nombre de lits pour 1000 habitants est ainsi descendu de 8 à 6,1 tandis que les besoins de soins d’une population plus nombreuse et plus âgée grandissaient.(([3] https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/salaires-des-infirmiers-nombre-de-lits-niveau-de-la-dette-neuf-graphiques-pour-comprendre-la-situation-des-hopitaux-avant-les-annonces-d-edouard-philippe_3709593.html))

Et malgré la pandémie, Gouvernement et autorités sanitaires continuent de fermer des centaines de lits d‘hospitalisation temps plein dans les hôpitaux. En mai 2020, le ministre de la Santé Olivier Véran affirmait qu’il fallait « sortir du dogme de la fermeture des lits » mais c’est une promesse reniée de plus.(([4] Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés – Basta ! (bastamag.net) ))
 

Une gestion dispendieuse qui oublie la raison d’être de l’hôpital

Un hôpital devrait être conçu pour répondre aux besoins de la population. Mais la gestion uniquement financière a détourné le système hospitalier de sa mission fondatrice. Les directeurs favorisent systématiquement les activités rentables, poussent les soignants à multiplier les actes intrusifs et abandonnent celles qui le sont moins dans le système de paiement à l’acte (tout ce qui relève de la clinique. C’est l’une des raisons de l’abandon des services des urgences au profit des actes de chirurgie réglée, plus rentables.

Les services de gestion ont été considérablement hypertrophiés aux dépens des services de soin. En trente ans, dans certains hôpitaux de l’AP-HP, le rapport nombre de gestionnaires/ nombre de lits a été multiplié par 10 tandis que celui soignants/lits stagnait.

Et cette gestion n’est pas efficace : lorsque le ministère constatant l’état déplorable des ordinateurs du service nous a alloué un budget dédié pour y remédier la direction nous a imposé le service d’achat centralisé qui a acquis le matériel à un prix nettement supérieur à celui du marché de l’époque, matériel qui ne nous ait d’ailleurs pas parvenu car il aurait été volé le soir même de sa livraison à l’hôpital !

Ce n’est pas seulement d’argent que l’hôpital a besoin mais d’une gestion peu couteuse, transparente et efficace, recentrant les moyens disponibles vers le soin et les soignants et limitant, comme à l’armée en temps de crise, les effectifs de « l’arrière » à un pourcentage réduit de l’effectif total. Donner plus de ressources à l’hôpital pour augmenter le nombre de non soignants est inutile, voire malfaisant.

Les politiques ont limité fortement le nombre de médecins car former des médecins revient cher d’autant que le temps de formation d’un médecin est long (10 ans). Augmenter le numérus clausus nécessiterait d’augmenter les moyens des facultés de médecine qui sont aujourd’hui au maximum de leurs capacités d’accueil. Un rapport de l’OCDE note que si entre 2000 et 2015, le nombre de médecins en France est resté stable (3,3 médecins pour 1000 habitants), « il a augmenté presque partout » en Europe. La France qui affichait un niveau « plus élevé que la moyenne européenne en 2000 », se situe désormais en-dessous. Et la baisse est particulièrement marquée pour les médecins généralistes qui constituent les soignants de première ligne contre le Covid19 entre autres maladies.

Ces médecins français sont en outre relativement âgés : plus de 50 % d’entre eux ont plus de 55 ans, En 2025, la France aura perdu un médecin généraliste sur quatre en vingt ans.(([5] https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html)) Actuellement plus de 5,4 millions de personnes, soit 8 % de la population, vivent dans des zones où l’accès à un médecin généraliste est limité. Sans alternative, ils se tournent alors régulièrement vers les urgences constamment débordées.

La démotivation des soignants culmine avec l’obligation d’un pseudovaccin expérimental

Bien avant la crise du Covid les soignants criaient à l’aide par des tribunes, une grève des urgences qui durait depuis près d’un an et des manifestations réprimées avec violence. Pour un représentant syndical, « à force de ronger l’hôpital public, on en a atteint l’os ». Depuis le début de la crise Covid le gouvernement a affiché son mépris des soignants en leur interdisant de traiter les malades selon leur expérience, le ministre dictant leur ordonnance : pas d’antibiotiques ni de chloroquine, Doliprane seul pour les formes bénignes, Rivotril pour achever les vieux. Maintenant il veut leur imposer une injection expérimentale inefficace suscitant des préavis de grève dans de nombreux hôpitaux. Les soignants ne sont pas des antivax, mais ils savent que l’inefficacité du traitement expérimental Pfizer se confirme chaque jour davantage comme le montrent les données officielles de l’état hébreux, et ils en constatent chaque jour directement les effets secondaires aux urgences, dont certains mortels

« La France est en guerre » a déclaré le président en mars 2020. Mais quel général peut espérer gagner une guerre en réduisant le nombre de ses soldats de première ligne, en les désarmant ? en fermant les lits d’hospitalisation temps plein, en leur interdisant de traiter précocement, et en cassant le moral des troupes par le mépris qu’il affiche à leur égard en voulant leur imposer des pseudo-vaccins qu’ils savent inefficaces et dangereux.

Et quel soldat peut encore avoir confiance en un général qui s’est parjuré après son allocution du 24 novembre 2020 où il déclarait « Je veux aussi être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire » ?

Au total, il aurait suffi d’une dizaine de milliards et d’écouter les soignants pour remettre l’hôpital au niveau de 2000 et redonner confiance aux personnels. Macron a répondu qu’il n’y a « pas d’argent magique » à leur consacrer, mais les mesures prises en urgence parce que l’hôpital risquait d’être débordé ont déjà couté 400 milliards. Et l’hémorragie financière continue à saigner la France et à détruire l’économie.

Le mirage de la sanctuarisation par la vaccination

Le ministre prétend pouvoir transformer les hôpitaux en sanctuaire sans covid par la vaccination. Mais sait-t-il vraiment de ce qui se passe dans le monde réel où un taux de 100 % de vaccinés ne protège pas des reprises de l’épidémie ?

Un exemple récent d’échec de sanctuarisation par les pseudovaccins est celui du porte avion britannique Queen Elizabeth. 1300 marins à bord, tous complètement vaccinés depuis plus de 4 mois. Une escale. Et trois jours plus tard une épidémie éclate avec plus de 100 cas.

L’exemple de Gibraltar démontre qu’un taux de vaccination record est loin de protéger la population. Ce micro-état de 34000 habitants a commencé l’injection d’Astra Zeneca en décembre2020 et, au terme d’une campagne éclair, est parvenu à une couverture vaccinale de 115 % (car elle concernait aussi les travailleurs espagnols).

Malheureusement cette couverture vaccinale record a été suivie d’une dissémination colossale de la maladie, d’une mortalité record (95 morts soit 2794/Million contre 1049/M aux Pays-Bas et 189/M en Norvège) et n’a pas empêché la reprise récente de l’épidémie par le variant delta.

Un plus petit exemple, plus proche de nous, est celui des moines retraités de Vendée. À Chavagnes-en-Paillers, entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

Le mirage de la création de sanctuaires par les vaccins, né de simulations virtuelles, n’existe pas dans le monde réel.

L’inefficacité des pass sanitaires

L’inefficacité des pseudo-vaccins actuels expliquent l’inefficacité des pass sanitaires que la loi scélérate récente instaure. Donnons-en quelques exemples :

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht se sont crus protégés par leur pass sanitaire vérifié à l’entrée via l’application CoronaCheck. Mais quelques jours après le festival, plus de mille d’entre eux participants ont été infectés dont une majorité de vaccinés. Au moins 448 festivaliers auraient été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour.

Les 50 000 participants des festivals tests Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté à l’entrée des pass valides ou des tests négatifs et porté des masques. Dans les jours qui ont suivi 2300 personnes se sont révélés contaminés : 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla, soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents.

L’Autriche a instauré un pass sanitaire obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport le 1er juillet 2021 alors que l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières).

Depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant passe (479 cas/jour).

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters : 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

L’inefficacité sanitaire du pass et son caractère discriminatoire inédit l’ont fait abandonner dans la plupart des pays qui l’ont essayé : après un mois à Moscou, deux mois en Israël, quatre mois au Danemark…Et de nombreux pays démocratiques l’ont jugé anti constitutionnel : les USA, la Grande-Bretagne, la Suède, les Pays-Bas…

Alors pourquoi la loi scélérate impose-telle une discrimination majeure attentatoire aux libertés fondamentales, inefficace et abandonnée par presque tous ceux qui l’ont essayé ?

Les mesures dites sanitaires tuent la population, mais aussi l’économie

Ces mesures prétendument sanitaires(([6] Aucune des contraintes majeures (masque en extérieur, confinement, couvre-feux, fermeture des restaurants et café en terrasse, pseudovaccin) n’a scientifiquement prouvée qu’elle était efficace)) visent à masquer la responsabilité de nos gouvernants dans la destruction de notre système de santé. Mais elles aggravent considérablement la situation du pays en rajoutant aux victimes directes de la maladie les victimes collatérales des mesures sanitaires, une crise sociale, scolaire, et économique et politique majeure.

Le confinement et le plan blanc ont aggravé la mortalité globale par les refus et retards de soins, des maladies aigues et chroniques, l’arrêt des programmes de prévention, multiplié les troubles psychiatriques, multiplié les décrochages scolaires, aggravé la pauvreté et le chômage et détruit inutilement une partie de notre économie.

Les pertes financières ont touché plus fortement les pauvres aggravant d’autant leur pauvreté.(([7] Annie Firlej, Émilie Pawlowski Insee Des conséquences financières du premier confinement plus ou moins marquées selon les territoires))

Au deuxième trimestre de l’année 2020, l’INSEE indique une baisse de 13,7 % du PIB par rapport au trimestre précédent (dont -31 % en avril) ce qui constitue un des plus gros chocs économiques qu’a connus la France depuis 1945. L’impact du 2e confinement a été moins violent (-11,6 % de PIB en novembre) grâce à des mesures moins drastiques et la réouverture des commerces non-essentiels deux semaines avant la levée du confinement. Au total, d’après l’INSEE, l’économie française a subi une chute du produit intérieur brut de 8 % en 2020,(([8] Victor Amoureux, Jean-Cyprien Héam, Thomas Laurent (Insee Les comptes de la Nation en 2020 No 1860
Paru le : 28/05/2021 
https://www.insee.fr/fr/statistiques/5387891)) bien supérieure à celle observée dans les pays qui n’ont pas subi de confinement (tel que la Suède où la chute du PIB n’a atteint que 2,8 %(([9] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/suede/apprehender-le-contexte-economique)) ou les Pays-Bas où elle est d’environ 3,8 %(([10] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/pays-bas/apprehender-le-contexte-economique)))

La responsabilité des restrictions sanitaires dans ce désastre économique sans précédent est confirmée par la proportionnalité de la chute des PIB et l’intensité des restrictions imposées aux populations selon le schéma ci-après publié par le Monde. Ceux qui ont fait pire que nous sont ceux qui ont appliqué les mesures ls plus restrictives de liberté (Italie, Espagne, Grande-Bretagne :

La poursuite d’une propagande covid terroriste et de mesures restrictives comme le pass sanitaire continue d’entraver la reprise économique et risque de condamner une grande partie des secteurs les plus durement touchés comme le spectacle, le tourisme, les restaurateurs,(([11] https://www.youtube.com/watch?v=kdQUxa1VaB0)) les transports. l’hôtellerie qui ne peuvent redémarrer sans le retour de la clientèle internationale et des voyageurs d’affaires que le pass qui n’existe pas dans leurs pays rebute.

L’incertitude a forcé les Français qui le pouvaient à économiser. Mais pour qu’ils reprennent le chemin des commerçants et relancent l’économie, il faut leur redonner confiance dans la parole de l’état et dans le futur.

Cela nécessite de reconnaitre que les pseudovaccins actuels et le pass ne sont pas efficaces contre le variant delta puisqu’il a d’abord prospéré dans les pays qui les ont utilisés.

Dire enfin la vérité : qu’il est plus contagieux mais très peu dangereux et qu’il n’y donc aucune raison pour que la vague en cours submerge les hôpitaux. Reconnaître enfin que la suppression de toutes les mesures sanitaires en Grande-Bretagne le 19 juillet par B. Johnson a été suivie d’une forte baisse es contaminations et qu’il ne faut donc pas en avoir peur en France.

La poursuite de la propagande de terreur par le gouvernement et les médias covid terroristes nous condamne à une stagnation économique sans fin.





Injonction aux autorités : rendre publique la liste complète des composants des vaccins anti-covid-19 qui ont reçu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en Europe comme l’exige la Loi !

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, pour vaincre la résistance face à la vaccination obligatoire due à la création du Passe Sanitaire, il vous faut impérativement rendre publique la liste les ingrédients de ces vaccins puisque les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit, et ne sont donc pas conforme à la Loi.

Source Légi France :

Étiquetage et informations sur le médicament (spécialité pharmaceutique)

publié le13.06.16.

Médicaments 

Conditionnement

Le conditionnement primaire est celui en contact avec le médicament. Le conditionnement secondaire, ou extérieur, est l’emballage dans lequel est placé le médicament. L’étiquetage du conditionnement secondaire mentionne notamment le nom du médicament, le dosage, la composition qualitative et quantitative en substances actives par unité de prise, la forme pharmaceutique, les mises en garde spéciales, le numéro de lot de fabrication, la date de péremption, le nom et l’adresse du titulaire de l’autorisation de mise sur le marché.

Consulter les articles R. 5121-137 à R. 5121-142 du Code de la santé publique

Notice

La notice est le document d’information accompagnant le médicament et destiné spécifiquement à l’utilisateur.

Elle décrit notamment le nom du médicament, le dosage, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, les informations relatives aux contre-indications, précautions d’emploi et interactions médicamenteuses, la posologie, le mode et la voie d’administration, la description des effets indésirables.

Consulter les articles R. 5121-147 à R. 5121-149 du Code de la santé publique

RCP (résumé des caractéristiques du produit)

Le RCP est le document qui précise les caractéristiques du médicament, notamment la dénomination du médicament, la composition qualitative et quantitative, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, la posologie et le mode d’administration, les contre-indications, les mises en garde spéciales et précautions particulières d’emploi, les interactions médicamenteuses et autres, l’utilisation en cas de grossesse et d’allaitement, les effets indésirables.

Consulter l’arrêté du 6 mai 2008 pris pour l’application de l’article R. 5121-21 du code de la santé publique

En parallèle, dans le Code de la Consommation il est indiqué que le moindre produit industriel doit avoir affiché sur son emballage sa composition comme l’indique le site Légi France. Celui qui reçoit sa vaccination n’est-il pas lui aussi un consommateur à qui l’on doit la considération et donc de l’information objective ?

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Source Légi France

Code de la consommation.

Chapitre Ier : Obligation générale d’information

Chapitre II : Modes de présentation et inscriptions (Articles R112-1 à R112-33)

Article R112-1

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

Au sens du présent chapitre, on entend par :

1° Denrée alimentaire : toute denrée, produit ou boisson destiné à l’alimentation de l’homme ;

2° Denrée alimentaire préemballée : l’unité de vente constituée par une denrée alimentaire et l’emballage dans lequel elle a été conditionnée avant sa présentation à la vente, que cet emballage la recouvre entièrement ou partiellement, mais de telle façon que le contenu ne puisse être modifié sans que l’emballage subisse une ouverture ou une modification ;

3° Étiquetage : les mentions, indications, marques de fabrique ou de commerce, images ou signes se rapportant à une denrée alimentaire et figurant sur tout emballage, document, écriteau, étiquette, bague ou collerette accompagnant ou se référant à cette denrée alimentaire.

Liens relatifs

Article R112-2

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

On entend par ingrédient toute substance, y compris les additifs, utilisée dans la fabrication ou la préparation d’une denrée alimentaire et qui est encore présente dans le produit fini, éventuellement sous une forme modifiée.

Lorsqu’un ingrédient d’une denrée alimentaire a été élaboré à partir de plusieurs ingrédients, ces derniers sont considérés comme ingrédients de cette denrée.

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Complément concernant l’obligation d’informations, source Union Européenne :
https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/product-safety-and-requirements/eu-product-requirements_fr
Exigences de l’UE concernant les produits | Commission européenne (europa.eu)

Notice du vaccin Pfizer :
https://nouveau-monde.ca/la-notice-complete-du-vaccin-pfizer/
Combien de vaccinés en ont eu connaissance ?

Compte tenu de la notice précédente, comment expliquer ceci :
https://nouveau-monde.ca/waccins-covid-aimantes-lincroyable-scandale-arrive/ ?

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, notre demande étant parfaitement légitime, nous vous demandons de répondre sans tarder. Il va de soi que votre refus sera considéré dans le pays des Droits de l’Homme et de la Révolution française comme une attaque directe contre le bien commun : un refus vous mettra hors la Loi et sera considéré comme une provocation.

TANT QUE VOUS NE PUBLIEREZ PAS LA COMPOSITION EXACTE ET COMPLÈTE DES VACCINS ANTI COVID-19 COMME L’OBLIGE LA LOI, VOUS SEREZ CONSIDÉRÉS COMME DES HORS LA LOI.




CHINE COMMUNISTE : VERS LA CHUTE FINALE ?

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

[Photo : Le président chinois Xi Jinping. (Source : Asia Nikkei)]

Par L’Imprécateur

Des circonstances récentes et exceptionnelles m’ont permis d’avoir accès à des informations surprenantes sur la Chine.
En voici l’inventaire. Il donnera lieu plus tard, et en fonction des circonstances, à des articles plus détaillés.
Mais le scoop, c’est que l’accumulation des erreurs commises sous la responsabilité de 
Xi Jinping pourrait, probablement en 2022, entraîner un effondrement du régime communiste actuel.

L’Imprécateur

XI JINPING ACCUMULE LES ERREURS. Y SURVIVRA-T-IL ?

1 — La gestion brutale du conflit diplomatique et économique avec l’Australie

On se souvient que l’Australie avait entraîné en avril 2020 plusieurs pays à déposer une plainte à l’OMS accusant la Chine d’avoir été à l’origine de la pandémie Covid.

La Chine avait menacé ces pays, qui s’étaient ensuite, les uns après les autres, désolidarisés de la plainte.

Pour punir l’Australie, Xi Jinping avait annoncé que si l’Australie persistait dans ses mensonges, la Chine pourrait bombarder quelques-uns de ses ports !
Puis les importations de bœuf et de vins australiens avaient été interdites, puis surtaxées. Celles de céréales furent considérablement réduites ou, comme l’orge, surtaxées elles aussi.
La guerre continue aujourd’hui, mais avec l’OMC comme acteur principal.

Xi a mal apprécié le risque. Il croyait punir l’Australie, c’est la Chine qui pendant l’hiver 2020-21 souffrit le plus ! Il y eut même des débuts de famines dans certaines provinces rurales, les céréales importées étant en priorité données à Pékin, aux villes et aux provinces.

Des révoltes paysannes auraient eu lieu, comme celle de 2005 dans la province de Guandong. Mais la confirmation est difficile à obtenir, le PCC ayant menacé les agences de presse et les journalistes de représailles s’ils rapportaient ces révoltes.

Pourtant elles sont vraisemblables.

2 — Les jeunes et les ouvriers en colère contre les horaires de travail : le 9-9-6

Les paysans ne sont pas les seuls à être mécontents de la gestion du pays par Xi Jinping. Les jeunes travailleurs et les ouvriers du secteur industriel dit « tech » se révoltent, pour le moment calmement, contre le « 9-9-6 ».

Xi, pour réaliser son rêve fou de dominer avant 1949 le monde occidental par l’inoculation du « gène rouge », commet la même erreur que Mao Zedong avec le « grand bond en avant ». Il exige des travailleurs qu’ils travaillent plus fort, plus durement et plus longtemps.
Il leur impose le régime du 9-9-6, un régime sur lequel notre syndicat CGT qui rêve d’une France communiste devrait méditer :

72 heures par semaine (de 9 heures du matin à 9 heures du soir), 6 jours par semaine !

Leur révolte est encore pacifique et se manifeste en s’allongeant par terre en groupes dans les jardins publics et partout où ils le peuvent, c’est le tang ping (rester allongé) en expliquant aux passants qu’ils sont épuisés par le 9-9-6.

3 — Le patronat inquiet hostile à la suppression des participations étrangères

Les chefs d’entreprises optimistes croient que si Xi Jinping prenait la décision d’exproprier les porteurs de financements étrangers dans les entreprises chinoises, il déclencherait un processus bloquant l’entrée des entreprises chinoises sur les marchés boursiers étrangers.
Ils en concluent que cela ne peut pas arriver.

Les pessimistes savent que ce que dit Xi Jinping dit, Xi Jinping le fait !
Une preuve : l’annulation de dernière minute de l’introduction d’Ant Group([1] Ant group est une énorme entreprise financière qui appartenait à Ali Baba)) à la bourse à Hong-kong et Shanghai en novembre dernier a montré que Xi Jinping est prêt à tout pour suivre son plan de conquête mondiale en gardant par tous les moyens — y compris les plus immoraux — la main sur tout.

Beaucoup oublient que le communisme chinois est intrinsèquement hostile au secteur privé en général et aux étrangers en particulier.
La pseudo « ère des réformes » qui, à partir de 1978, a libéralisé et ouvert au monde l’économie et le système financier chinois, est désormais terminée.
Xi Jinping juge l’influence étrangère beaucoup trop importante au sein des entreprises chinoises et veut limiter autant que possible la part étrangère dans leur capital. Des mesures obligeant les investisseurs étrangers à quitter la Chine sont en préparation. Sont visés au premier chef les investisseurs étrangers dans les entreprises chinoises de haute technologie.

Business France et Business China, qui font une promotion délirante au VIE en Chine (Volontariat International pour Entreprendre), devraient creuser la question !

4 — La Chine n’est pas le « paradis free-covid » décrit par la presse mal informée

Depuis les premières annonces sur les premiers cas de Covid en décembre 2019, alors que ceux-ci étaient connus localement à Wuhan depuis la première semaine d’octobre, la communication officielle chinoise n’a jamais cessé de mentir.

Et la presse française, naïve ou mal informée, n’a jamais cessé de répéter les sornettes chinoises, comme le dernier mort de Covid en janvier 2021. En début d’année, deux provinces proches de Pékin, le Liaoning au Nord-est (frontière avec la Corée du Nord) et l’Anhui (à mi-distance entre Wuhan et Shanghai) étaient confinées, ainsi qu’une quarantaine de villes dans toute la Chine. Et Courrier International (Groupe Le Monde) le confirmait il y a quelques jours encore :

Confinement, rues vides, délation : en Chine l’histoire semble se répéter 

5 — Xi Jinping menace constamment des pays dans le monde

 En premier lieu, Taïwan.

Taïwan, île peuplée depuis trente mille ans de Negritos aborigènes et depuis six mille ans d’Austronésiens, ni japonais ni chinois, était portugaise depuis 1542 sous le nom de Ilha Formosa, « la plus belle île ». Colonisée à la manière de Macau ou de Goa en Inde : un fort et un port, quelques centaines de militaires et de fonctionnaires portugais et aucun conflit avec la population locale.
Puis passèrent des Espagnols et des Hollandais qui importèrent de la main-d’œuvre chinoise, les aborigènes locaux étant comme en Australie, ou comme les Canaques en Nouvelle-Calédonie, réfractaires au travail agricole.

Suivirent des empereurs chinois, les Ming, les Zheng, les Quing, ils venaient pour se servir de Taïwan comme base arrière de reconquête de la Chine continentale. Mais ils tenaient si peu à Taïwan que le premier gouverneur chinois n’y fut envoyé par l’empereur Quing qu’en 1885, avec de la troupe, pour faire croire aux Japonais que Taïwan appartenait à la Chine. Et pour la vendre ensuite au Japon, ce qui fut fait en 1895. Le Japon investit beaucoup pour développer l’île.

En 1945 les Américains chassèrent les Japonais et donnèrent Formose à Tchang Kaï-Chek. Il en fit en 1949 la République de Chine sous le nom de Taïwan. Taïwan n’a jamais appartenu à la Chine communiste comme le prétend Xi. Il veut la prendre pour arrêter la protection américaine sur Taïwan et confirmer son autorité sur la totalité des mers riveraines de la Chine, du Japon à Singapour.

Singapour contrôle le détroit de Malacca. Il donne accès à l’océan indien, donc Xi avance l’argument d’une population chinoise à Singapour, comme Hitler avait avancé l’argument d’une population germanophone en Autriche, et Xi dit qu’il serait donc normal qu’il s’approprie Singapour.

Mais pendant qu’il y est, il menace les riverains de la mer de Chine du Sud, Bahreïn, Philippines, Indonésie, Vietnam et Malaisie de représailles s’ils s’avisaient de contester son droit à s’attribuer leur zone maritime internationale et les îles, les atolls, et même les récifs submergés. Sur lesquels la Chine construit aussitôt des bases militaires à coups de milliers de tonnes de béton sous l’œil attendri des écolos qui n’ont émis aucune protestation pour dénoncer ce crime international contre l’environnement.

L’Afrique est en partie sous tutelle chinoise, la Chine menaçant de représailles financières le pays qui oublierait de voter pour elle à L’A.G. de l’ONU et aux Commissions qu’elle contrôle, OMS, OMC… Il s’agit surtout d’empêcher une sanction contre la Chine fraudeuse des lois internationales et des Droits de l’Homme.

En Europe, sa tactique est différente. Il y a les petits pays fragiles, comme le Monténégro, qu’elle terrorise, et ceux, plus malléables dont elle achète les élites gouvernementales et de la haute administration, via France-China Foundation et Business China qui ne comptent plus leurs « young leaders » membres ou ex-membres du gouvernement.

Xi Jinping est au milieu, uniforme gris. 100e anniversaire du PCC, 1er juillet 2021, Tien An Men

6 — La Chine est en permanence agressive

Que ce soit en mettant en avant ses missiles balistiques intercontinentaux à chaque défilé des troupes au pas de l’oie place Tien An Men ou dans les discours de son président à vie Xi Jinping, la Chine montre un visage belliqueux.

La presse française est toujours très discrète sur ce sujet tabou. Il faut consulter la presse dissidente des Chinois anticommunistes pour avoir des comptes rendus clairs et précis.
En voici un où Xi menace « d’écraser » Taïwan si elle essaie de préserver son indépendance, et de « fracasser la tête » des pays occidentaux qui s’opposeraient à la Chine. Sans commentaire.

https://fr.theepochtimes.com/a-loccasion-centenaire-pcc-xi-jinping-menace-loccident-taiwan-1783185.html

La Chine communiste considère le monde entier comme son ennemi, excepté peut-être la Corée du Nord, et le veut soit soumis (c’est le projet 2049), soit détruit.
Mais comme un monde détruit entraînerait sa propre disparition par les famines et les guerres civiles inter chinoises, elle espère obtenir la soumission totale dans moins de trente ans.

L’ÉLITE DU PCC EST CONSCIENTE DES ERREURS DE XI JINPING

Bien conscients que Xi Jinping commet trop d’erreurs qui coûteront finalement cher à la Chine, les vieux caciques du PCC et les plus intelligents des jeunes réfléchissent aux moyens de l’écarter du pouvoir. Ainsi que de nombreux membres de l’opposition.

Plusieurs moyens d’action sont possibles, en se servant des erreurs de Xi et en les amplifiant pour les retourner contre lui.

  • En signant une alliance miliaire avec l’Iran, Xi a pris le risque de se mettre à dos les nombreux pays musulmans sunnites hostiles à l’islam chiite, ainsi qu’Israël et les États-Unis. Surtout si l’Iran provoque une nouvelle guerre au Moyen-Orient que Donald Trump avait réussi à calmer avec ses Accords Salomon.
  • Un nouvel hiver froid avec de nouvelles famines, s’il pousse à bout la paysannerie chinoise alliée aux jeunes et aux ouvriers de la « tech », obligerait le PCC à choisir entre le dictateur à vie et le peuple.
  • Si le prochain Sommet Mondial sur les Droits de l’Homme, organisé en principe en septembre par la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU, met la Chine en minorité, ce sera une défaite terrible pour Xi.
  • Même chose si la nouvelle vague Covid qui démarre actuellement n’est pas maitrisée, alors qu’avec ses mensonges la Chine a fait croire au monde entier qu’elle maîtrisait le virus.
  • Et d’autres, pour le moment moins évidents. Comme la rupture du barrage des trois gorges que craignent les spécialistes.

C’est pourquoi l’année 2022 pourrait voir un effondrement du PCC en Chine et la disparition de Xi Jinping.
Et pas seulement au figuré.

L’Imprécateur

7 août 2021




Louis Fouché s’est-il couché ?

[Source : Jean Robin]






Coup de gueule contre des projets glaçants de nos dirigeants (France)

Par Diane Vincero

Coup de gueule :

Voici une partie, glaçante, de ce que nos dirigeants mijotent contre le peuple, un projet digne des plus effrayants films d’anticipation, un scénario à faire peur :

Rapport sénatorial français N° 673 (Sénat-Session ordinaire de 2020-2021) par Mmes Véronique Guillotin, Christine Lavarde et M. René-Paul Savary :

« Crise sanitaire, naturelle ou industrielle : autoriser les applications de contact tracing, de tracking ou de géolocalisation, pass et passeport sanitaires, utilisation de drones ou de caméras thermiques, vidéosurveillance avec reconnaissance faciale, permettre un ciblage précis, individuel et en temps réel, des mesures ou des contrôles. Désactivation des titres de transport ou des comptes bancaires des personnes violant une éventuelle quarantaine, ou encore, utilisation d’outils de rappels à l’ordre, comme l’envoi de SMS, identification précise des personnes, leur géolocalisation et le croisement des données personnelles, voire sensibles (dont les données médicales), le recours à des bracelets électroniques pour assurer le respect de la quarantaine, en complément d’autres mesures telles que des visites inopinées, les appels vidéo surprise, et bien sûr, les sanctions dissuasives (amendes et prison) ».

Une horreur pour aujourd’hui et demain, juste devant nous…

Précisons que le port du bracelet électronique par les conjoints violents a été décrié sous prétexte « qu’il privait ces derniers de liberté », mais remarquons au passage que leurs victimes, elles, vivent à chaque instant dans la terreur de les croiser sur leur chemin…

Ce rapport vise à mettre en place toutes les stratégies bien connues du harcèlement et celles de la plus puissante des dictatures qui soit.

Alors, voici le coup de gueule !!


Pour avoir vu toutes ces années, comme tout le monde, d’innombrables grèves et manifestations qui n’ont jamais abouti, à commencer par celles des gilets jaunes que nos gouvernants ont totalement méprisés et qui se sont arrangés pour saboter leurs manifestations avec des casseurs, et, pour laisser ce mouvement pourrir dans le temps, en reportant sans cesse des réponses au fil des mois, réponses qui n’ont jamais été apportées finalement, alors que ces mêmes gouvernants ont su voter en quelques jours à peine, un texte de loi d’une telle envergure (et si fondamentalement scandaleux)…

Pour avoir vu les camionneurs bloquer les raffineries — et c’était pourtant une action forte, radicale, bien organisée — et avoir vu que leurs conditions de travail n’ont pas évolué pour autant !!!… Eux aussi, méprisés par les gouvernants…

Pour avoir vu combien de mouvements restés sans réponse et avortés parce que nos dirigeants ont divisé les groupements en donnant des avantages à certains et pas à d’autres…

Pour avoir vu que les seuls qui obtiennent immédiatement ce qu’ils demandent, ce sont les policiers, la gendarmerie, etc. Comme par hasard !!…..

On voit que manifester, c’est bien, pour se stimuler, se rassurer, croire qu’on fait quelque chose, mais qu’il faut en réalité un réel plan d’action.

Le premier point est de comprendre la stratégie que nos dirigeants utilisent pour nous asservir, à savoir la manipulation destructrice (MD).

La manipulation destructrice, ou comment bercer, berner et abuser les peuples depuis l’Antiquité : c’est la stratégie qui consiste à :

1 — mentir sur tout, en se cachant derrière un beau principe, bien sûr indiscutable, pour bien anesthésier et faire croire à de bonnes intentions (comme le nombre de morts sur les routes ou le prétendu « trou de la SS », ou « nous voulons vous protéger de cet affreux virus »),

2 — puis à culpabiliser, en accusant les autres de ce que eux-mêmes font, à isoler et diviser pour mieux régner (« vous êtes un délinquant routier, parce que vous avez fait du 118 km/h au lieu de 110 », ou bien « vous coûtez cher à la SS », ou encore « Vous êtes un citoyen indigne parce que vous ne portez pas le masque », ou « parce que vous ne vous faites pas vacciner, parce qu’il faut protéger les autres », sachant que nos dirigeants ne se faisant pas RÉELLEMENT vacciner, ils accusent les autres de ce qu’eux-mêmes font… et qu’ils cherchent à monter les vaccinés contre les non-vaccinés…)

3 — et enfin à extorquer de l’argent (les amendes, les cotisations, les vaccins).

Voici en illustration, un exemple flagrant de MD, aux Antilles, — un autre scandale — qui est que deux insecticides, le Chlordécone et le DDT, interdits en France métropolitaine, mais par contre autorisés aux Antilles (…), entraînent des maladies — comme l’hypertension artérielle, le diabète type 2, les cancers, les maladies auto-immunes telles que thyroïdite d’Hashimoto, sclérose en plaques, spondylarthrite ankylosante, polyarthrite rhumatoïde, etc., etc. — autant de comorbidités qui font que le coronavirus qui à la base, n’est pas un virus mortel, le devient lorsqu’il touche ces patients. Le professeur généticien Christian Vélot, spécialisé dans ces pesticides et les OGM résistants à ces derniers (signalés ou masqués aux consommateurs…), explique qu’au fil des années, la population sera de plus en plus fragilisée par ces pesticides et OGM (et autres produits industriels) en développant de plus en plus les maladies ci-dessus et qu’ainsi, les pandémies à venir seront de plus en plus mortelles.

Ce sont nos dirigeants qui permettent cette situation mortelle et ce sont les mêmes qui font croire aux Antillais que ces morts sont dus au fait qu’ils ne se vaccinent pas !!…

Pour information, le DDT est interdit depuis 1971 en France et a une rémanence de 30 ans dans le milieu environnant, et, le Chlordécone a lui, une rémanence de… 700 ans dans le milieu environnant !!!… Et, il est utilisé dans les bananeraies. Et, où elles vont les bananes ensuite ???…. En France métropolitaine !!!…

Donc, nos gouvernants ont un mépris total pour nos vies, celles des Antillais, celles des Métropolitains, pourvu que Monsanto (avec le DDT, mais aussi le glyphosate=Rondup et les céréales OGM résistantes au glyphosate, etc.) et toutes ces industries chimiques fassent des milliards sur notre dos, et auxquels est associé Big Pharma, c’est-à-dire toutes ces industries pharmaceutiques qui font ensuite des milliards avec leurs médicaments contre l’hypertension artérielle, le diabète, les cancers, la thyroïdite d’Hashimoto (Lévothyrox), etc., etc….. Et la boucle est bouclée…

UN VÉRITABLE SCANDALE HUMANITAIRE EN SOI, PARMI TANT D’AUTRES (MEDIATOR/ISOMERIDE, AMIANTE, ALUMINIUM DANS LES VACCINS, ETC.)….

N’oublions jamais qu’un état n’est pas philanthrope, comme c’est d’ailleurs indiqué noir sur blanc dans les manuels de philosophie de classe terminale…

— Pour avoir vu les gens souffrir de cette situation de manipulation (destructrice) à grande échelle (mondiale), à cause précisément de ces dirigeants MD, à force de mesures coercitives, d’isolement par le confinement, etc., les soignants, mais aussi tout autre corps de métier, sombrent dans un état dépressif tel, que l’ensemble de tous ces professionnels ne sera plus en mesure d’aller au travail en septembre (du fait d’une tristesse lancinante, d’une envie de rien, de goût à rien, d’une perte de l’appétit, d’un sommeil perturbé avec des difficultés à s’endormir et des réveils nocturnes)…  et ce sera alors une pandémie d’arrêts maladie

— Le boycott est un autre moyen pacifique de faire changer les choses.

— il faut aussi passer le message aux policiers, gendarmes et militaires qu’ils sont eux-mêmes instrumentalisés par les gouvernants qui font d’eux, les « méchants-barrières » face aux peuples (encore une belle manipulation destructrice…) et qu’en cessant de protéger les dirigeants au profit de ces peuples dont ils sont issus, ils changeront radicalement la donne.

— Une autre chose aussi à faire est de s’associer à la plainte du CSAPE auprès de la CPI, et la diffuser le plus largement possible dans le monde pour lui donner le plus de poids possible. Cette plainte, sérieusement documentée, reprend tous les points de la situation « sanitaire » actuelle (masque, confinement, couvre-feu, tests PCR, vaccination, pass vaccinal), en démontrant en quoi ces mesures bafouent nos libertés fondamentales, et en l’étayant par tous les textes de loi bafoués.
https://www.csape.international/

— DIFFUSER LARGEMENT CE TEXTE.

À plusieurs, germeront peut-être encore d’autres idées d’actions pour stopper net ces dirigeants. Que peuvent faire une poignée de dirigeants contre 7 milliards d’habitants, surtout si la police, la gendarmerie et l’armée arrêtent de servir de « chiffons-tampons » à ces MD…

— [Ndlr : Dépasser la peur — voir La clef de la libération]

ALERTE : les médecins préviennent que les vaccins tueront la plupart des personnes, 62 % de la population vaccinée présentant déjà des caillots sanguins microscopiques dans tous les organes (cœur, cerveau, etc.) https://www.naturalnews.com dans « search » (en haut à droite), taper : Alert : doctor says mRNA vaccines will kill more people — et vous trouverez plusieurs autres articles sur les méfaits de ces vaccins.

[Voir aussi : Dr. Charles Hoffe : 62 % de ses patients vaccinés contre le COVID ont des dommages cardiaques permanents]

Voici une belle photo de fleurs pour se changer les idées… et qui pourrait d’ailleurs servir de symbole à toutes ces actions : « Non à la MD sur le COVID et oui à la nature dont nous faisons tous partie »




Dogma Édition 16. Été 2021

Par Dr.  Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

(voir aussi sur Dogma.lu)

SOUFFLET

LA MÉTAMORPHOSE

L’outrecuidance cuistre affiche de plus en plus avec fureur ce Mauvais Universel que l’on croyait exsangue tant il avait voulu agir « au nom du Bien » ; il se régénère maintenant et puissamment à coup d’obligations hygiénistes et « climatistes » empêchant alors que la Mutation qualitative en gestation, celle visant la santé d’ensemble des êtres moraux et politiques que nous sommes, craquèle leurs paradigmes à compartiment en faillite. Pourtant, sans fards, leur ignorance, impudente, qui suinte ouvertement maintenant de menaces fétides, s’habille de plus en plus effrontément en Pravda, quoique de manière très vulgaire (et perlée de menaces totalitaires) ; l’altérité démocratique est ainsi désormais fragilisée. Cela mérite bien un soufflet.

Leurs courants délétères ne veulent en effet pas mourir seuls dans les mouroirs à théories subventionnées. Aussi tentent-ils d’emporter l’Humanité avec eux dans les Poubelles en agitant de pseudo « concepts » (guère validés malgré leurs ornements chiffrés) agitant par exemple des notions de « théorie critique » accolée à « race » ou à « genre » ou de « vaccination empathique » opposée à « égoïsme » ; alors qu’il n’y a pas d’une part d’égalité à établir entre origine ethnique et intelligence et que d’autre part il existe des traitements précoces en suffisance comme le démontrent des centaines d’études et des milliers de médecins souhaitant les prescrire malgré les menaces des coupe-jarrets et seconds couteaux. Cette hargne à imposer une Carte en guise de Territoire peut faire croire à une profondeur de champ alors qu’il s’agit d’un dernier chant celui de cette vision étriquée provenant d’un monde quantitativiste mort, mais qui arrive encore à se maintenir en sustentation stationnaire parce que « nous » le voulons bien. Aussi s’agira-t-il dans ce numéro d’été de continuer à étudier par une sorte de dossier sur la question proche-orientale comment cette Secte pense agit empêche et tue partout.  D’autres textes et images tentent aussi de créer des contrepoisons afin de renforcer notre système immunitaire mental.


CONTENU:

LE RETOUR DE L’ISLAM EN EUROPE

Entretien avec Bat Ye’or

LESZEK KOLAKOWSKI. LES ANTISÉMITES : CINQ THÈSES CONFIRMÉES ET UN AVERTISSEMENT

Traduction et notes Irena Elster

LE « RAPPORT » DE BENJAMIN STORA

Par Jean-Pierre Lledo

« LES MYTHES FONDATEURS DE L’ANTISIONISME CONTEMPORAIN »
(COMPTE-RENDU)

Par Lucien Samir Oulahbib

L’ECRITURE DE LA PASSION DANS L’ŒUVRE DE CLEMENT MAROT

Par Zahra Chaouch

ÉDUCATION ET PENSÉE COMPLEXE CHEZ E. MORIN

Par Abdelkader Bachta

DIE MISCHPOCHE SINGER

DER WEIBLICHE UND DER MÄNNLICHE BLICK ZURÜCK AUF DIE FAMILIENBANDE

Elvira Groezinger

LE CONCEPT DU POLITIQUE SELON JULIEN FREUND

UN HOMMAGE AU CENTENAIRE DE SA NAISSANCE

David Cumin

LE CLIMAT ET LA RELATION TEMPÉRATURE-CO2

UN RÉEXAMEN ÉPISTÉMOLOGIQUE DU MESSAGE DES CAROTTES GLACIAIRES

Pascal Richet

L’ISLAMO-GAUCHISME COMME RHÉTORIQUE

Par Shmuel Trigano

LES TROIS ÂGES DU MYTHE DE LA NAKBA : UNE DÉCONSTRUCTION

Par Shmuel Trigano

AGAMBEN LECTEUR DE BENJAMIN ET DE FOUCAULT : RETOUR SUR UNE INCOMPRÉHENSION

Par Pierre Lurçat

L’INTENTION D’AMOUR, DE SHMUEL TRIGANO : ESQUISSE D’UNE ANTHROPOLOGIE HÉBRAÏQUE

Par Pierre Lurçat

QUELQUES PRÉCISIONS À LA RÉPONSE DE LA FÉDÉRATION TRANS ET INTERSEXE POUR DONNER SUITE À UN PETIT TEXTE POSANT LA QUESTION DE LA PRÉSENCE DES MILITANTS TRANS DANS LES STAFFS MÉDICAUX DE TRANSITION DES ENFANTS ET ADOLESCENTS

Dr Nicole Athea

Philippe Remacle

A FAREWELL TO THE AGE OF ENLIGHTENMENT, WELCOME TO THE ERA OF WOKENESS?

Elvira Groezinger

LES MÉTALOGISMES CHEZ RABELAIS, MAROT ET MONTAIGNE OU LA FABRIQUE DU MENSONGE

Zahra Chaouch

ELECTRICITÉ ET BIOCARBURANT DANS LES VÉHICULES EN FRANCE

Par Michel Gay et Christian Bailleux

KNOWLEDGE AND EVIL

Par Marco A. Andreacchio

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René Chiche: « Le pass sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! »

[Source : putsch.media]

[Extraits (lire l’article entier sur putsch.media]

(crédit photo René Chiche)

René Chiche, professeur de philosophie, auteur du livre « La désinstruction nationale » a accordé un très long entretien à Putsch. Il évoque le pass sanitaire, la démocratie, Emmanuel Macron, l’état de droit, la désinformation de certains grands médias ainsi que l’éducation nationale sous Jean-Michel Blanquer dans une analyse au vitriol qui permet de mieux appréhender la situation dans laquelle la France se retrouve aujourd’hui, et surtout avec un point de vue très discordant. Un entretien passionnant.

PROPOS RECUEILLIS PAR NICOLAS VIDAL

Quel regard portez-vous sur ce Pass sanitaire et la façon dont il est imposé aux Français ?

Plus de trois semaines après son allocution le 12 juillet dernier, je suis encore sidéré qu’un président de la République se soit permis de dire droit dans les yeux aux Français que désormais, le poids des restrictions pèserait sur une partie d’entre eux. Cette déclaration est extrêmement grave dans la bouche d’un homme dont le premier devoir est d’assurer l’unité de la nation et d’œuvrer à la paix civile. Car, indépendamment de tout ce que l’on peut dire pour justifier ce « laissez-passer sanitaire » (il faut appeler les choses par leur vrai nom !), la façon de le présenter ne va pas du tout, et la suite n’a fait que l’illustrer : on a clairement désigné à la vindicte une partie de la population. Pire : on a sciemment donné à une mesure censée être sanitaire une toute autre portée, suggérant que se faire vacciner était une forme de civisme et que les personnes non-vaccinées étaient de mauvais citoyens, des égoïstes, quand ce n’était pas tout simplement des ignares ou des égarés puisque, si j’en crois les dernières sorties d’Emmanuel Macron dans Paris-Match, il n’hésite plus à qualifier les opposants au laissez-passer vaccinal d’ennemis de la démocratie ou de débiles mentaux « en perte de sens » (sic) !

(…)

En résumé, le passeport sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! (…) Le virus circule autant et surtout il se moque du taux de vaccination de la population car sa circulation dépend d’autres facteurs sur lesquels on n’a finalement que peu de prise, sauf à cloîtrer indéfiniment chez elle la population mondiale !

(…)la crise sanitaire est en réalité une crise des systèmes de santé, et il est évident qu’une sous-capacité, par exemple dans les services de réanimation (…), devient tout de suite une catastrophe en cas de pic épidémique, mais avec la grippe aussi bien que la covid. (…) Il me semble évident que si l’on ne surveille pas attentivement la maladie dans sa phase initiale, on augmente le nombre de chance de voir survenir des cas graves. (…) la médecine, contrairement à la statistique, ne porte que sur l’individu, la première règle à laquelle s’astreint l’homme de l’art étant de connaître l’histoire du patient afin de ne pas lui nuire. Je crois qu’on touche ici au cœur de la « crise » actuelle, où je vois d’abord une tentative pour l’administration de se mêler de médecine et, concrètement, d’en entraver la pratique, exactement comme elle le fait en matière d’éducation.

Comment avez-vous réagi à ces déclarations de Jean-Michel Blanquer sur la « mise à l’isolement » des élèves cas contacts/positifs non vaccinés ? Est-on en train de toucher à un fondement de l’éducation nationale ?

(…) on sait désormais que lorsqu’un membre de ce gouvernement ou de cette majorité annonce qu’il va faire beau demain, il faut se munir de son parapluie. Oui, Jean-Michel Blanquer instaure un « passeport sanitaire » qui ne dit pas son nom dans les écoles, et ce sans aucun fondement légal puisque la loi instaurant ledit passeport ne mentionne pas les établissements scolaires.

(…) Avec une telle mesure, on assiste dans le domaine de l’éducation à ce qu’on voit par ailleurs : sous prétexte d’une crise sanitaire dont j’ai déjà dit qu’elle était surtout une crise hospitalière, on tourne le dos à des principes fondamentaux comme si les circonstances suffisaient à le justifier. Cela permet surtout de constater que ceux qui invoquent à longueur de journée et d’année les « valeurs de la République » ne savent pas ce qu’est un principe et n’en ont aucun. Pendant la seconde guerre mondiale, des Français ont sacrifié leur vie parce qu’ils avaient des principes, et désormais, on sacrifie des principes pour sauver des vies. C’est une inversion terrible et qui donne à penser.

Jean-Michel Blanquer semble empiler les approximations notamment sur le processus de contamination et le vaccin ou encore sur la proportion d’enseignants aujourd’hui vaccinés. Pourquoi selon vous ?

J’ai cru en Jean-Michel Blanquer lors de son arrivée rue de Grenelle, mais très rapidement, je l’ai vu à l’œuvre et ai cessé de le prendre au sérieux. Il est capable de dire tout et son contraire, et d’aligner d’énormes mensonges avec la candeur d’un enfant de chœur, que ce soit à propos de la vaccination, de la contamination ou de tous les autres sujets (je suis bien placé pour le dire en tant que professeur mais aussi membre du Conseil supérieur de l’éducation où je représente comme vice-président du syndicat Action & Démocratie la CFE-CGC). (…)

(…) Il ne faut pas oublier que nous avons à faire à des gens qui prétendent gouverner au nom de la science ! Cette prétention est évidemment grotesque quand on sait que la science, c’est le doute, la précaution contre soi-même érigée en méthode, la prudence, alors qu’on fait présentement de la science l’usage inverse, l’argument d’autorité qui interdit toute critique et renvoie les doutes légitimes à l’obscurantisme, pour ne pas dire au « complotisme » !

Est-on arrivé aux limites de l’État de droit avec une décrédibilisation de plus en plus grande chez de nombreux Français pour les parlementaires et le Conseil d’État ?

(…): si des élus se croient légitimes quand ils obtiennent un mandat avec 10% du corps électoral, je ne vois pas ce qui les empêche de se dire légitimes avec moins encore ! Mais là, il s’agit de la limite de la démocratie, non de l’État de droit.

(…) il est clair que, la désinstruction nationale aidant, notre époque est celle d’une crise de la démocratie. Enfin non, le mot « crise » étant un mot bon à tout faire, je préfère parler plus exactement d’un effacement de la démocratie, dont certains éléments formels demeurent et permettent de maintenir l’illusion que nous sommes en démocratie alors que ce qui décrit plus exactement notre régime actuel, c’est la notion de despotisme technocratique.

(…) L’autre aspect de votre question concerne l’État de droit, et là, je ne parlerais pas de discrédit mais, plus gravement, d’une liquidation en douceur. Je précise que le contraire de l’État de droit, c’est l’état de nature, c’est-à-dire le pur jeu des forces. Et en effet, on est en droit, c’est le cas de le dire, de s’inquiéter quand on lit certains avis ou certaines décisions des juges du Conseil d’État qui se permettent d’écarter des objections sérieuses à l’aide de sophismes grossiers et qui me font dire de cette instance qu’elle réalise la proposition de Pascal selon laquelle, n’ayant pas pu faire en sorte que la justice soit forte, on a fait en sorte que la force soit juste.

Le Conseil d’État n’est qu’une annexe de l’exécutif, quand il n’en est pas tout simplement l’antichambre.(…)

Enfin, comment jugez-vous le traitement de certains grands médias sur les fortes mobilisations de Français qui s’opposent au Pass sanitaire depuis le 14 juillet dernier ?

Eh bien parlons donc de l’industrie de la désinformation. J’avoue que le spectacle offert chaque jour par les chaînes de bavardage en continu est impressionnant et, à part ceux qui s’y pressent ou ne vivent que de ça, je suis persuadé que personne ne les prend au sérieux, ou alors il faudrait prendre au sérieux les conversations des tontons et tatas autour du gigot du dimanche.

Mais ce spectacle présente un intérêt tout de même pour qui veut s’instruire, car on y observe un usage de la langue qui permet de comprendre bien des choses. J’en parle abondamment dans le petit livre sur la désinstruction que j’ai écrit voici deux ans, et il me sera difficile de résumer cela en deux lignes, mais pour dire l’essentiel, les mots ne sont plus utilisés comme des signes mais comme des signaux destinés à faire réagir au lieu de faire réfléchir. Les ficelles de la désinformation sont à la fois grossières, pour qui n’en est pas dupe, et subtiles. Par exemple, puisque vous faites allusion aux manifestations contre le passeport sanitaire, je suis tombé par hasard sur un journal télévisé où la speakerine (car à ce niveau, je ne peux pas l’appeler journaliste même si elle a probablement une carte de presse) évoquait les « antivax » et enchaînait en parlant de ce que « les Français » en pensaient : du coup, je me suis demandé quelle était la nationalité des « antivax ». On fait avec ce mot absolument ridicule ce qu’on a fait avec « les gilets jaunes » : en désignant de la sorte des Français qui ne sont pas d’accord avec les politiques conduites par le gouvernement, on les met insidieusement au ban de la communauté nationale, on en fait une espèce singulière, et l’on suggère ainsi à son auditoire les pires choses à leur sujet. (…) Si je devais faire un cours sur la manipulation à l’ère de la démocratie moderne, j’aurais l’embarras du choix pour l’illustrer. Pas un seul média n’y échappe, comme si les écoles de journalisme formataient les jeunes gens de la même manière, toutes choses égales par ailleurs, que l’école nationale d’administration formate les futurs gouvernants. Mais, comme je l’ai dit précédemment, ceci est très grave dans la mesure où l’existence d’une opinion publique instruite est une des conditions de possibilité d’un régime républicain, et le niveau des médias en dit long à ce sujet. Je parle bien du niveau, et pas seulement du fait qu’ils désinforment plus souvent qu’ils n’informent, au point qu’il m’était arrivé de dire, quand le documentaire Hold-up a fait jaser et que l’on a crié au « complotisme », que même si je le trouvais plutôt médiocre, il m’apparaissait beaucoup moins nuisible à la santé mentale des Français que le journal télévisé de TF1 !

Nous avons des médias tétanisés et qui n’osent plus critiquer le pouvoir, ce qui condamne des gens qui ont des choses à dire, et même parfois (ce qui est tout de même un comble !) des scientifiques de grande valeur, à ne pouvoir s’exprimer que dans des médias alternatifs et bien entendu réputés « complotistes » ou au service de puissances étrangères (…)

La désinstruction nationale, René Chiche, les éditions Ovadia




État de droit ou État Dépravé ?

Par Claude Janvier

Dupont-Moretti s’est fendu d’un tweet le 5 août 2021 à 10 h et je cite :

« non, nous ne sommes pas dans une dictature, mais dans un État de droit ! Ceux qui hurlent après le Conseil constitutionnel pour sa décision sur le #PassSanitaire l’auraient encensé s’il les avait confortés. Contrairement à leurs convictions, le droit, lui, ne peut être manipulé. »

Ce genre de rhétorique fleure bon la droiture, l’équité, l’intégrité, l’éthique ! Un état de droit… Sonnez buccins et trompettes !

La réalité est toute autre. Au vu du nombre de casseroles — des chaudrons pour certains — que se traînent pratiquement tous les politiques, et au vu du fait qu’un casier judiciaire vierge ne soit toujours pas exigé pour être député — alors que pour ouvrir un restaurant, c’est une obligation —, l’équité, la droiture et tout le flonflon ont déjà du plomb dans l’aile.

15 janvier 1990 : Michel Rocard, alors 1er ministre de la Ve République, fit voter la loi d’amnistie pour les délits et crimes liés au financement des partis politiques et des campagnes électorales, dans le cadre d’un projet de régulation du financement de la vie politique française. Le début de la fin.(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Amnistie_parlementaire))

Mais au fait, qu’est-ce qu’un état de droit ?

Le concept d’État de droit s’oppose à la notion de pouvoir arbitraire. Il désigne un » État dans lequel la puissance publique est soumise aux règles de droit.

Le concept d’État de droit est théorisé par le juriste Hans Kelsen au début du XXe siècle qui le définit ainsi : un « État dans lequel les normes juridiques sont hiérarchisées de telle sorte que sa puissance s’en trouve limitée ».

L’État de droit implique une hiérarchie des règles de droit, l’égalité devant la loi et la séparation des pouvoirs.

Le respect de la hiérarchie des normes

La hiérarchie des normes implique que chaque norme juridique est rédigée sur le fondement d’un droit qui lui est supérieur. Par exemple, en France, au sommet de la hiérarchie des normes figure le bloc de constitutionnalité (composé de la Constitution de 1958 et de plusieurs textes tels que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ou le Préambule de la Constitution de 1946). Viennent ensuite les traités internationaux, les lois et les règlements. À la base de la hiérarchie des normes figurent les décisions administratives ou les conventions entre personnes de droit privé.

L’égalité devant la loi

L’égalité des sujets de droit constitue la deuxième condition essentielle d’un État de droit. Cela implique que les personnes et les organisations reçoivent la personnalité juridique, en tant que personnes physiques pour les personnes, en tant que personne morale pour les organisations. L’État est lui-même considéré comme une personne morale.

La séparation des pouvoirs

Pour être effectivement appliqué, l’État de droit suppose la séparation des pouvoirs qui vise à éviter la concentration du pouvoir dans les mains d’un despote. Le pouvoir est distribué entre des organes indépendants et spécialisés :

Le quatrième pouvoir ne figure pas dans ce texte, mais il existe : la presse. Contrôlée par une clique de milliardaires issue du CAC 40 et aux ordres de l’État, elle est un organe de propagande assurant que le pouvoir reste dans les mêmes mains.

Sur le papier, un État de droit paraît être le garant du peuple. En réalité, un Président possédant la majorité à l’Assemblée nationale et au Sénat est le maître du pays. Étant donné aussi que les membres des Conseils d’État et constitutionnel sont souvent des anciens ministres, la boucle est bouclée. Un État de droit n’est pas différent d’un pouvoir arbitraire.

L’imposition de la loi concernant le passe sanitaire le démontre. Emmanuel Macron et ses ministres en voulaient l’instauration. Votée la nuit en commission mixte le 25 juillet 2021, et entérinée par le Conseil constitutionnel en ce 5 août 2021 — jour funeste pour la démocratie —, cette loi inique prouve bien que l’État de droit français ressemble plus à une république d’opérette qu’à une institution bienveillante censée protéger le peuple.

L’instauration du passe sanitaire privant les citoyens du droit le plus élémentaire qui est la libre circulation, prouve indubitablement que nous sommes vraiment en dictature.

Il n’y a aucune différence entre un État de droit tel que nous le subissons depuis trop longtemps et un État arbitraire soumis au bon vouloir d’un souverain.

De plus en plus de Français sont dans la rue pour dire « Non » au passe de la honte. En plein mois d’août, le nombre de manifestants présents est un record. Mais ne vous y fiez pas, combattre le passe sanitaire ne représente que le sommet de l’iceberg.

Une refonte totale de nos institutions est urgente. Il est plus que nécessaire de sortir de l’Europe, de faire le ménage, et d’avoir enfin des politiciens intègres prenant soin des citoyens.

Claude Janvier.

Ecrivain, polémiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes :




Passe sanitaire : un ancien militaire porte plainte contre Jean Castex et Olivier Véran

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Le Premier ministre français Jean Castex (d), à côté du ministre français de la Santé Olivier Véran.
(GAIZKA IROZ/AFP via Getty Images)]

Par EMMANUELLE BOURDY

Un habitant du Cotentin âgé de 72 ans a décidé de porter plainte contre le Premier ministre Jean Castex et contre le ministre de la Santé Olivier Véran. Il dénonce la mise en place du passe sanitaire.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur »

Une plainte a été déposée par Philippe A., un habitant de Cherbourg (Manche), contre Jean Castex et Olivier Véran. Cet officier supérieur retraité du Service de Santé des Armées a adressé un courrier à François Molins, le procureur général près la cour de cassation et à Rémy Heitz, procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris, ainsi que le relate France Bleu. Il leur a demandé d’ouvrir une enquête et de saisir la Cour de Justice de la République. Par ailleurs, l’ancien officier s’est adjoint les conseils d’un juriste pour déposer plainte et a pris un avocat. Dans sa plainte, le septuagénaire a pointé plusieurs violations des droits de l’homme.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur où les convulsions politiques cédant à la panique, cherchent à dresser les Français les uns contre les autres, dans la recherche de boucs émissaires pour faire oublier les carences de leurs gestions respectives passées, notamment en matière de santé », a martelé Philippe A., ainsi que le relate Actu.fr. Concernant cette gestion du gouvernement, il a précisément pointé du doigt la fermeture des hôpitaux auprès de France Bleu.

Ce passe sanitaire est illégal et discriminatoire !

Le plaignant, qui a étudié de nombreux textes de loi, ouvre cette procédure avec une volonté « apolitique »« Il y a dans ce passe sanitaire une contrariété vis-à-vis de la constitution, des droits de l’homme, vis-à-vis des personnes qui vont contrôler le passe sanitaire et qui auront donc accès à des données médicales nous concernant », s’est indigné Philippe A. au micro de France Bleu.

L’ancien militaire dénonce effectivement le fait d’être contraint de justifier de son état de santé auprès de « personnes physiques ou morales privées, non détentrices de la fonction publique et non habilitées officiellement à accéder à [ses] données médicales ».

Il explique encore à Actu.fr : « Je ne suis pas en mesure de fournir un passe sanitaire assujetti, soit à une injection dont la compatibilité avec mon affection n’est pas avérée, soit à une entrave permanente de mes déplacements soumis à des tests caducs et scientifiquement contestés. » Il ajoute que de ce fait, il est « de manière discriminatoire, interdit d’accès pour des raisons de santé », dans de nombreux lieux où le passe sanitaire est demandé. « Je me vois privé de manière discriminatoire de mes déplacements familiaux territoriaux par le non-accès aux services publics (trains, avions, cars) », a poursuivi l’officier retraité.

Une dictature d’obligations et un apartheid sanitaire !

« Je subis de fait au nom de la Liberté, une dictature d’obligations, au nom de l’Égalité, un apartheid sanitaire, et au nom de la Fraternité, un déclassement social égaré dans les tiroirs de la distanciation », s’exaspère encore Philippe dans un extrait de sa plainte.

« Il est nécessaire aujourd’hui de redonner, dans la sérénité, aux scientifiques et médicaux pratiquant, la maîtrise et les moyens de la gestion de crise tout en permettant aux personnels de santé de terrain la liberté de remèdes et de soins à la hauteur de la confiance que leur ont toujours porté leurs patients », réclame enfin cet habitant du Cotentin.




La science discréditée par la finance pour régner sur le monde

[Source : reseauinternational.net]

par Jean Goychman.

L’opinion publique sort de la léthargie profonde dans laquelle elle était immergée depuis des décennies. L’Américain Mark Twain, grand observateur de la nature humaine, disait : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés ».

Les récentes manifestations et surtout leur montée en puissance partout en France nous indiquent que cette prise de conscience se produit et qu’elle marquera un tournant de notre Histoire.

Pour autant, la victoire est loin d’être acquise et le chemin qui y conduit sera encore long.

Qui est au cœur de ce bouleversement mondial ?

Si on en croit les médias « mainstream », tous les événements que nous subissons depuis près de 2 ans sont purement fortuits et quiconque y verrait un quelconque déterminisme, sans même parler d’un plan concerté, ne pourrait être qu’un affreux complotiste, ennemi de l’Humanité et fomenteur de troubles. Pourtant, la quasi-parfaite unanimité du propos devient d’autant plus suspecte que ce sont toujours les mêmes arguments qui nous sont présentés, un peu comme si « tous ces détaillants se fournissaient chez le même grossiste », pour paraphraser le regretté Philippe Seguin.

Considérés comme des moyens d’information au service de leurs lecteurs, les médias se sont progressivement mués en véritables instruments de propagande. Certes, cela n’est pas tout à fait nouveau, mais soulève néanmoins la question : « pour le compte de qui agissent-ils vraiment ? » Nous avons assisté à la dépersonnalisation progressive des éditorialistes et il n’en reste que très peu (et c’est tout à leur honneur) qui osent encore braver la doxa de la bien-pensance universalisée.

La première opération de prise de contrôle d’un média par la finance est probablement celle relatée par Carol Quigley. Dans son livre « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » (éditions Le retour aux sources) celui-relatait, dans le chapitre 6, intitulé « The Times » que le groupe de Milner avait utilisé le Times pour propager ses idées depuis 1905. Après avoir pris la direction de la ligne éditoriale dès 1912, ce groupe en fit l’acquisition en 1922.

C’est en 1906 que les banquiers à l’origine de la création de la FED avaient commencé à prendre le contrôle d’un certain nombre de journaux américains. Ceux-ci, après la crise de 1907, réclamèrent la mise en place d’une banque centrale, dont le peuple américain ne voulait pas.

Depuis cette époque, nombreux furent les médias qui, au travers d’une prise de participation majoritaire de leur capital, durent ainsi aliéner leur liberté de parole ou d’écrit aux « amicales pressions » de leurs administrateurs.

Un pouvoir sans limite

Après avoir convaincu (partiellement) le peuple américain de la nécessité de créer une banque centrale (sans utiliser le terme) la Réserve fédérale, couramment désignée sous le nom de FED, fut créée le 23 décembre 1913 à 23 h 30, au terme d’une séance particulièrement animée, car certains sénateurs et représentants avaient perçu ce qui se cachait derrière l’apparence. En réalité, la FED était une banque privée dont le capital était détenu par d’autres banques privées qui formaient une sorte de « cartel ». En ayant obtenu le pouvoir d’imprimer les dollars, la FED avait de facto pris le contrôle de la monnaie américaine, alors même que la Constitution donnait ce droit exclusif au peuple américain (Article 1er, section 8 §5)

Il ne manquait plus que la dernière étape pour libérer complètement ce pouvoir et celle-ci fut franchie en 1971 lorsque le dollar perdit sa convertibilité en or. Le dollar, devenu monnaie « fiduciaire » pouvait alors être créé à partir de rien et financer sans limites les dettes publiques américaines, comme le faisaient les autres banques centrales bâties sur le même modèle. Or, le dollar n’était pas une monnaie comme les autres, car il possédait un autre attribut : il était également, depuis les accords de Bretton Woods de 1944, la monnaie dite « de réserve internationale » avec laquelle s’effectuaient les transactions internationales, et en particulier le commerce du pétrole. Il est évident que ce double statut « brouillait » les cartes et que cela permettait à la finance américaine (et aux banques internationales qui contrôlaient Wall Street) de s’enrichir également sans limites car il fallait créer de plus en plus de dollars pour satisfaire la demande mondiale. Et comme ces dollars ne pouvaient être créés que sur demande du Trésor américain, ils généraient également des intérêts en proportion…

C’est donc toute la planète, ou presque, qui s’est trouvé sous la coupe de la monnaie américaine. Ajoutez à cela les deux autres piliers de la finance mondiale qui sont le FMI et la Banque Mondiale et vous obtenez le système financier qui dirige la planète.

Il est curieux de constater qu’en aout 2019, les principales banques centrales décidèrent de « tuer le dollar » et que certains y voient l’acte initiateur du « Great Reset » pour lequel , aux dire même de Klaus Schwab, celle-ci fut une sorte de bénédiction.

Les conséquences de cette mainmise

On prête à Nathan Rothschild, dès 1815 la phrase : « Si j’imprime les billets, je me moque de qui fait les lois ! » Cette prophétie semble s’être réalisée car ce pouvoir exorbitant est aujourd’hui concentré dans les mains d’une infime minorité qui peuvent pratiquement tout se payer.

Ils ont compris tout de suite que la faiblesse des démocraties résidait dans la facilité à convaincre, voire à égarer, les opinions publiques et que, pour cela, il fallait contrôler les différents moyens d’informations. Lorsqu’on dispose d’une telle « manne céleste », les choses deviennent faciles.

Et parmi les moyens de contrôle de ces opinions, il y en avait un qui présentait d’énormes avantages, qui était de pouvoir inspirer des grandes peurs collectives. Ce climat de peur s’est progressivement installé depuis quelques décennies.

Les grandes peurs successives

Ne citons que pour mémoire que la « grande peur de l’an Mille » qui devait voir la fin du monde, et passons au XXe siècle. En 1938, Orson  Welles avait réalisé une émission de radio qui commentait l’attaque de New-York inspirée de « La guerre des mondes » écrite par HG Wells.

[Ndlr : il semble bien que la prétendue grande peur de l’an Mille relève davantage de légende urbaine que de fait historique (voir par exemple Jean Delumeau: «La peur de l’an mille n’est qu’une légende» – L’Express (lexpress.fr) et Sylvain Gouguenheim, Les Fausses Terreurs de l’an mil – Persée (persee.fr)).
Concernant, l’émission de radio d’Orson Welles, voir L’arnaque de la fausse panique de “La Guerre des Mondes” – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]

Une opération similaire a eu lieu en France en 1946 et avait pour thème la désintégration incontrôlée des atomes, qui généra également une certaine panique. En fait, ces expériences montraient très clairement le pouvoir de persuasion sur une foule que possédaient les « mass-médias »

Mais c’est surtout à la fin des années 60 que les grandes peurs planétaires sont apparues. Elles trouvaient probablement leur origine dans le « Rapport de la Montagne de Fer ». Souvenez-vous du trou de la couche d’ozone, ou encore des « pluies acides ». D’une façon générale, il fallait accréditer l’idée que l’Homme détruit la planète sur laquelle il vit. Cette base allait constituer le soubassement d’un dogme religieux qui s’est progressivement transformé en véritable religion.

La Croyance nécessite l’appui de la Science

Alors que, depuis plusieurs siècles, les religions, de par leur coté dogmatique, avaient toujours observé une certaine méfiance au sujet de la science, et notamment de ce côté « prédictif » qui empiète sur le pouvoir divinatoire de Dieu, la grande force de ceux qui utilisent ces peurs est justement de leur donner un aspect scientifique destiné à établir la véracité des causes des phénomènes mis en jeu. Et peu importe si les étapes nécessaires pour passer de l’observation à la formulation d’une hypothèse qui devra être suivie d’une expérience « cruciale », pièce maîtresse qui, seule, permettra de valider une théorie, ne sont pas respectées, l’essentiel est que les gens croient, du moins dans leur immense majorité, à cette théorie. Pour cela, l’apparence scientifique, voire la signature de sommités réputées, relayées par des médias unanimes sont les instruments essentiels de persuasion. Dans les temps jadis, un événement relaté dans un journal ne pouvait-être que vrai. Et cela était très souvent le cas car les rédacteurs ne voulaient en aucun cas, par déontologie, divulguer de fausses nouvelles. Seuls étaient admis les écarts ne modifiant pas le sens général de l’information transmise. Nous n’en sommes plus là et aujourd’hui, ce n’est plus la réalité qui est le critère, mais ce que les gens pensent être la réalité. Nous sommes rentrés insensiblement dans l’ère du « story telling ».

Le monde des trois peurs

Trois menaces nous surplombent aujourd’hui, et alternent dans l’actualité. Il y a le terrorisme international, le réchauffement climatique et la pandémie. La première se caractérise par un énorme choc dans l’opinion dû à l’horreur des méthodes employées et la sidération de voir des gens perdre la vie sans d’autre justification que d’inspirer la terreur. Il y a cependant eu un certain nombre de retombées financières, notamment dans le domaine de la surveillance et de la sécurité, notamment dans les transports, mais cela n’est guère évoqué.

Ensuite, il y a le réchauffement climatique. De quoi s’agit-il exactement ? On nous prédit un réchauffement catastrophique qui va tout bouleverser à la surface de la planète. La fonte des glaces va engloutir les terres émergées et faire disparaître, à terme, toute vie sur terre…

La cause ? La concentration en dioxyde de carbone est passée de 3 particules pour dix mille à 4 en quelques décennies. Même si les molécules de ce gaz peuvent réémettre une partie de l’énergie qu’elles captent, (effet de serre) cela reste quand même très limité et il est impossible que ce seul phénomène, à l’exclusion de tous les autres, soit à l’origine de ce qui est appelé le « dérèglement climatique ». D’autant plus que l’enfer prévu semble plus que modéré car, d’après les relevés satellites, la température moyenne de la planète ne s’est élevée que d’environ 1°C depuis un peu plus d’un siècle et semble même ne plus augmenter du tout depuis une quinzaine d’années.

Enfin, il y a la pandémie du virus SARS-CoV-2. Qu’en retiendra l’Histoire ? Probablement le nombre de décès qui lui sont imputables, comme cela s’est toujours fait pour les grandes épidémies. Je vous laisse le soin d’aller chercher les chiffres, et vous conviendrez que, rapportée à la population actuelle de la Terre, cette épidémie est, du moins jusqu’à présent, une des moins tueuses qui soit.

Cependant, la dramatisation extrême de la communication planétaire fait que la crainte qu’elle inspire est telle que les peuples sont prêts à accepter toutes les privations de leur liberté au nom de leur survie, qui ne semble pourtant pas vraiment menacée.

Le bilan de tout cela

Parti d’une simple idée qui consistait à créer de la fausse monnaie à laquelle on donnait l’apparence de la vraie, celle qui possède une réalité économique et dont la création ne peut se faire qu’en raison des richesses créées par l’Homme, l’oligarchie financière qui a entrepris de diriger le monde il y a environ 150 ans touche pratiquement au but.

Les étapes successives se sont déroulées sous nos yeux et quiconque s’interrogeait sur le bien-fondé de celles-ci se voyait immédiatement ostracisé et interdit de parole, voire de pensée.

Il y eut pourtant de nombreux avertissements, y compris venant de personnalités pouvant influencer le cours mondial des choses (de Gaulle, Eisenhower, Kennedy, Philippe de Villiers, pour parler des politiques, mais également des historiens, comme Carol Quigley, Pierre Hillard, Peter Dale Scott et tant d’autres, sans parler des témoignages écrits de nombre de journalistes et d’éditorialistes, rien n’y fait. Les gens refusèrent de voir ce qui, pourtant, était devant leurs yeux.

Redonnons un court instant la parole à Nathan Rothschild, publiée par Stephen Mittford Goodson, dans son livre « L‘histoire des banques centrales » page 64 (éditions Omnia Veritas) :

« La minorité qui comprend le système sera si intéressée par ses profits ou si dépendante de ses faveurs qu’il n’y aura jamais d’opposition de la part de cette classe sociale ».

Reste à savoir si le « Great Reset » qui semble déjà entrer dans une phase active, marquera la victoire définitive de cette élite mondialiste ou si les peuples, dans un sursaut salvateur, sauront retrouver le chemin de la liberté que cette minorité entend leur confisquer.




« Les médecins ne sont plus autorisés à remettre en question le récit politique » Charles Hoffe

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Médecin généraliste, le docteur Charles Hoffe exerce dans petite ville au milieu de la campagne canadienne et compte tenu du lieu géographique où se trouve, il pratique également la médecine d’urgence. En mars 2021, tandis que la campagne de vaccination en est à son troisième mois, il prend connaissance de rapports inquiétants qui affluent depuis l’Europe et les Etats-Unis concernant des problèmes graves que certains patients rencontrent suite aux injections. Conscient qu’il s’agit d’un vaccin expérimental dont les conséquences à long terme sont inconnues, il soulève des questions éthiques qui gênent le milieu médical et rappelle que lorsque surviennent des accidents graves, la déontologie médicale exige la fin de l’expérience. Charles Hoffe communique ses préoccupations à ses collègues par e-mail et reçoit un avertissement de la part des autorités sanitaires locales lui expliquant qu’il est interdit de dire quoi que ce soit de négatif aux sujets de ces vaccins, même s’ils doivent provoquer des accidents.

Lorsqu’il constate de graves problèmes chez ses patients vaccinés notamment des atteintes neurologiques et pulmonaires, il en informe le responsable provincial de la santé publique auprès duquel il plaide l’arrêt de la campagne de vaccination. Il explique à une infirmière qu’une personne qui a contracté le Covid est naturellement immunisée par l’infection et n’a pas besoin de faire le vaccin. Cette prise de position lui  vaut d’être accusé de détourner les gens de la vaccination, de perdre son poste d’urgentiste tandis que le collège des médecins et chirurgiens lance une enquête contre lui et l’avertit qu’il n’a pas le droit de contredire le récit officiel en matière de santé publique.



Après avoir perdu un patient et constaté des atteintes corporelles définitives chez 15 autres patients (soit 1% de sa patientèle), il lance une recherche pour essayer de comprendre ce qui peut provoquer ces accidents à la vaccination, afin de savoir comment  les prendre en charge au mieux. Il rejoint l’association « Doctors for Covid Ethics » principalement basée en Europe mais également présente dans le monde entier. Aidé de médecins et de scientifiques, il entreprend de rechercher la cause de ses effets secondaires graves. Il fait pratiquer un test sanguin appelé D-dimère sur les personnes qui ont reçu un vaccin dans les 7 jours et ceci afin de détecter une éventuelle activation de la coagulation et se rend compte que 62% des tests révèlent la présence de caillots.

Le docteur Hoffe revient sur les déclarations mensongères des laboratoires qui ont présenté ces vaccins à la FDA et à l’ensemble des autorités régulatrices en assurant que la substance n’entrait pas dans la circulation sanguine. Or il est prouvé avec une certitude absolue que 25% seulement reste dans le bras tandis que 75% entre dans la circulation sanguine et y reste pendant des semaines.

Il soulève la difficulté à faire reconnaître les effets secondaires graves par les autorités régionales. Il explique remplir de longs formulaires qu’il envoie à l’officier médical de santé de la région et constate que son courrier lui est à chaque fois renvoyé ; les autorités ne cherchent jamais à pousser les investigations ou à dialoguer avec lui, préférant conclure à une simple coïncidence.

Charles Hoffe note également que les médias mainstream, contrôlés par le gouvernement qui leur alloue des subventions, refusent de rapporter sa parole et se conforment à ce que les autorités leur dictent. Il trouve néanmoins la possibilité de s’exprimer dans les médias alternatifs et invite les gens à éteindre la télévision et à s’informer sur ces nouveaux médias s’ils veulent connaître la vérité sur ce qu’il appelle « un crime contre l’humanité ».

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.

Auteur(s): FranceSoir




Conseil Constitutionnel et pass-sanitaire : Fabius en conflit d’intérêt ?

[Source : economiematin.fr]

Article initialement publié le 28 juillet 2021, republié à l’occasion de la validation du Pass sanitaire par le Conseil constitutionnel le 5 août 2021.

Alors que la loi prévoyant l’extension du pass-sanitaire vient d’être adoptée par la commission mixte paritaire du Sénat et de l’Assemblé nationale, celle-ci doit être étudiée par le Conseil constitutionnel pour vérifier sa conformité avec les grands principes fondamentaux de la République établis par la constitution. L’institution qui est composé de 9 membres et est présidée par Laurent Fabius – l’ancien premier Ministre de François Mitterrand – vient de préciser qu’elle rendrait sa décision d’ici le 5 août.

Cette loi qui a été largement pilotée et décidée par la Présidence de la République et le gouvernement à l’initiative de ces mesures est considérée par de nombreux français comme portant atteintes aux libertés fondamentales et ils attendent avec impatience que statue cette instance indépendante garante de notre Constitution.

Dans cette affaire, le point troublant est le rôle du cabinet de conseil et de lobbying américain Mc Kinzey qui, selon des informations déjà dévoilées en janvier par le site Politico, a été engagé comme consultant par la Présidence de la République pour le déploiement en France de la politique vaccinale dans le cadre de la lutte contre le covid. Ce cabinet est donc rémunéré pour que ses « experts » accompagnent les fonctionnaires chargés de la politique vaccinale pour définir le cadre de la logistique et « soutenir la coordination opérationnelle du groupe de travail ». Selon le Point, cette prestation est payée 2 millions d’euros par mois.

Le député Olivier Marleix, par ailleurs auteur du livre « Les liquidateurs », avait dénoncé sur Twitter cette situation « Absolument sidérant ! Qu’est-ce que McKinsey vient faire là-dedans ? On a un ministère de la Santé, un ministère de l’Intérieur et un ministère de La Défense armée en gestion de crise… pour peu qu’on sache les mobiliser. Après les ARS hors-sol, un cabinet de conseil US ».

On peut effectivement s’interroger sur la présence d’un cabinet de conseil et de lobbying comme structure d’accompagnement de l’Elysée mais on ne peut qu’être sidéré lorsque l’on apprend sur le propre site Internet de la compagnie que celle-ci se range parmi les leaders dans le conseil des sociétés pharmaceutiques :

«  Notre cabinet s’est imposé comme le leader mondial du conseil dans le secteur biopharma au sens large, avec plus de 3 750 missions effectuées au cours des cinq dernières années, auprès de grands laboratoires pharmaceutiques, mais aussi d’acteurs des biotechs, de laboratoires de taille moyenne, d’industriels des dispositifs médicaux, de génériqueurs… Nous avons ainsi contribué au développement de huit des dix principales marques de médicaments sur ordonnance et à la conduite de huit des dix plus grosses opérations de fusion-acquisition du secteur ».

Le site français de l’entreprise précise également avoir accompagné « 18 des 20 plus gros laboratoires pharmaceutiques ».

Dès lors il apparait clairement que le cabinet de conseil qui accompagne la Présidence de la République en France sur la politique vaccinal actuelle est également celui qui conseille dans le monde les principaux laboratoires pharmaceutiques pour leur développement commercial.

Encore plus troublant, l’un des directeurs associés du cabinet Mc Kinzey en France qui bénéficie de ce contrat de conseil de l’Elysée n’est autre que Victor Fabius le fils de Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel, chargé de censurer ou non la loi qui établit le pass-vaccinal et qui donc contribue au déploiement « logistiques de la vaccination en France ».

A ce stade il est difficile de savoir si Victor Fabius est impliqué ou non dans le dossier de la vaccination et du pass-vaccinal. Il n’en demeure pas moins qu’en tant qu’associé, il participe financièrement aux succès financiers du cabinet à ce titre.




Conseil Constitutionnel : « démocratie réelle et démocratie formelle »

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette formule de Marx fait suite à celle de Montesquieu : « le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument » ainsi que celle de Max Weber lorsqu’il différencie « légalité et légitimité » : ici, le 5 août, soit le lendemain de l’anniversaire de l’abolition des privilèges du 4 août 1789 en France, le Conseil Constitutionnel français a réinstauré l’idée de privilège inique associé de fait audit « passe sanitaire » qu’il vient de légaliser.

Ce qui fait que ce « Conseil » ne peut d’autant pas le rendre légitime que cette disproportion criante ne se justifie pas au vu de la réalité sanitaire effective et non pas construite.

La teneur de ce marquage est donc en réalité politique, et ce de bout en bout : il avalise ainsi une rupture d’égalité de fait, ce qui est pourtant anticonstitutionnel. Il y a même là parjure puisque l’article 2 de la DDH (qui fait partie du Bloc de constitutionnalité) est violé.

Ce qui implique a contrario, du moins s’il s’agit de préserver la démocratie réelle, de recourir à l’un de ses lemmes énonçant explicitement la  « résistance à l’oppression ».

Qu’il s’agisse par exemple de la réalité médicale, la « proportionnalité » et l’« équilibre » liés à la notion « d’état d’urgence » s’avèrent bafoués puisque cette maladie n’est guère létale et il existe de plus en plus de traitements fiables sans passer par une injection expérimentale de plus en plus hasardeuse en particulier pour les personnes ayant une immunité solide et pas de comorbidité.

Qu’il s’agisse également des principes fondamentaux tels que la liberté, l’égalité et la propriété, ils sont pour l’heure suspendus dans les faits. Or la philosophie de l’État de droit fait que « quoiqu’il en coûte » ces pierres d’angle forgeant toute démocratie réelle doivent être défendues bec et ongles, y compris en temps de « guerre ». C’est une donnée intangible qui fait dire par exemple au niveau du droit international que les démocraties ne peuvent recourir aux mêmes moyens que les dictatures, puisque précisément elles sont fondées sur des droits imprescriptibles coextensifs à la notion même de personne humaine, excluant torture, y compris mentale (extorsion de consentement à être injecté au risque de perdre son emploi), dégradation (obligation de porter des marques infamantes, de ne plus se toucher fraternellement — injustifiées médicalement lorsque l’on n’est pas malade), discrimination (obligation de justifier son état de santé, ce qui est une violation du secret médical, pour une maladie très peu létale).

Pourtant le Conseil Constitutionnel français, faisant suite au Conseil d’État, a avalisé ces mesures iniques qui marqueront au fer rouge son histoire politique.

Ne parlons pas, sinon en passant, de tous ceux qui ont eux aussi basculé du « côté obscur de la Force », puisqu’il s’agit d’observer que l’offensive actuelle n’a plus rien de « sanitaire » et oblige de relier toutes les autres attaques entre elles, ne serait-ce que, en dernier lieu, cette volonté de l’UE de cataloguer les huiles essentielles comme « toxiques » (dont la lavande), le tout pour empêcher en réalité qu’une naturopathie effective face pièce au tout chimique d’une politique qui prône d’un côté les « énergies renouvelables » et de l’autre veut les interdire en matière de santé…

D’où l’idée que ces diverses offensives (y compris celle prônant « l’urgence climatique », alors que « le climat a toujours “changé” » disait feu Marcel Leroux et que la Terre a pu y répondre comme l’indique — entre autres — Patrick Moore, cet ancien de Greenpeace) sont des attaques circonstanciées visant à forcer toute une société à se « déconstruire » en vue d’être « reconstruite » tel un lego géant selon le Modèle cybernétique de la bionumérisation du monde, le tout formaté par une Secte hygiéniste affairiste qui veut à tout prix faire de l’Histoire humaine une matière première politique visant à la marquer ainsi de leur trace; à la manière de tous ces noms célèbres parsemant les dictionnaires qui n’ont pas fait que renouveler, inventer, mais bouleverser le Cours du Monde :

« (…) Celui qui reconnaît pour sa tâche essentielle l’action efficace au sein de l’Histoire ne peut pas préférer l’action artistique. L’art agit mal et agit peu. Il est clair que, si Marx avait suivi ses rêves de jeunesse et écrit les plus beaux romans du monde, il eût enchanté le monde, mais ne l’eût pas ébranlé.

Il faut donc écrire Le Capital et non pas Guerre et Paix.

Il ne faut pas peindre le meurtre de César, il faut être Brutus. (…) »

Maurice Blanchot (Maître de Michel Foucault, Deleuze, Derrida…) L’espace littéraire, 1955., Gallimard p. 284.

Cette démesure doit être combattue et il s’agit maintenant de faire en sorte que se réunissent, de manière non partisane, toutes les forces éprises de liberté, d’égalité et de fraternité, cette devise venant d’être piétinée sous nos yeux, avec l’aval de la plupart des forces institutionnelles et intellectuelles (ainsi Médiapart a censuré un article de Laurent Mucchielli pourtant très proche de cette structure que j’avais par ailleurs critiqué dans Disparation du crime dans la sociologie contemporaine). Ces forces sont devenues les soutiens effectifs de cette démocrature « illibérale » en marche. Toutes sont devenues elles aussi illégitimes.




Appel à tous les Français

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, 5 août 2021, la République est morte.

Ainsi en a décidé le Conseil Constitutionnel qui a validé toutes les mesures liberticides de l’extension du pass sanitaire, instituant par là même une dictature de facto.

La République est morte par la décision inique de ceux qui se présentent comme des sages alors qu’ils ne sont plus que les valets d’un pouvoir criminel qui applique à la lettre le Grand Reset de Klaus Schwab, le fou illuminé du Forum de Davos à la solde de l’oligarchie mondialiste qui a décidé purement et simplement de réduire en esclavage les peuples en instituant un apartheid pour les uns et en exterminant les autres à coup de piqûres géniques pour leur voler toutes leurs richesses.

La République est morte ce 5 août 2021, comme elle était morte le 10 juillet 1940 lorsque 569 députés se sont couchés pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.

Ce sont les mêmes traîtres qui 80 ans plus tard se vautrent à nouveau dans la lâcheté et l’ignominie.

Les mêmes criminels qui acceptent de créer un apartheid entre vaccinés et non vaccinés, comme leurs prédécesseurs en ont créé une avec la sinistre étoile jaune, se rendant ainsi complices de crimes contre l’humanité.

La République est morte par ceux-là mêmes qui étaient les gardiens de la Constitution française et qu’ils viennent de bafouer et violer allègrement sans aucun état d’âme alors que cet abject pass sanitaire viole de A à Z non seulement la Constitution française, mais encore la Constitution européenne.

Pour rappel, le pass sanitaire qui est de facto une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom viole non seulement la Déclaration des droits de l’homme, mais encore la Constitution française de 1946 ainsi que la déclaration de 1789. Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un « pass sanitaire » aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

  • Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)
  • Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).
  • Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

    Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel en validant le pass sanitaire, la plus grave atteinte aux libertés jamais portée contre le peuple français depuis l’État collaborationniste de Vichy, valide de facto la dictature instituée par Macron pour réduire les non-vaccinés à l’état d’esclave et les vaccinés à l’état de cobayes de l’industrie pharmaceutique dont Macron est le VRP le plus zélé et le plus fanatique.

Ces vaccins qui, rappelons-le, n’en sont pas, puisque tous n’ont obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché qui court jusqu’en 2023, ne sont que des piqûres expérimentales qui n’ont rien à envier à celles que pratiquaient en leur temps les médecins nazis.

Il faut donc croire que les 9 membres du Conseil Constitutionnel sont assez fous pour s’imaginer que les Français vont accepter cet apartheid et cette dictature nauséabonde en marche sans broncher !

Eh bien, ils se trompent lourdement !

John Fitzgerald Kennedy rappelait déjà en son temps que ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. Il parlait d’or !

Macron, n’avait-il d’ailleurs pas intitulé en 2017 son livre-programme : « Révolution » ?

Eh bien, oui, la révolution préconisée dans le livre de Macron, ce sont les Français qui vont s’en charger dorénavant. Ce n’est pas exactement celle qu’il imaginait. Car cette révolution est celle qui va permettre aux Français de retrouver leurs libertés perdues et qui va le conduire, lui, Macron, ainsi que ses acolytes criminels, devant la justice pour répondre de tous les crimes qu’ils ont commis et continuent de commettre pour sauver l’oligarchie financière de l’effondrement.

Ils vont devoir payer la facture et elle risque d’être particulièrement lourde.

Macron devra payer, ainsi que son ministre de la santé Véran pour l’interdiction des traitements qui soignent qui a entraîné la mort de nombre de français ainsi que pour les injections de Rivotril pour avoir euthanasié sans la permission de leurs proches, les petits vieux des EHPAD laissés à l’abandon.

Il devra payer pour avoir obligé des millions de Français à se faire piquer avec des vaccins expérimentaux dont on ne commence à voir les effets délétères que maintenant, en leur agitant la menace de devenir des citoyens de deuxième zone.

Il devra payer pour avoir créé et entretenu un climat de peur permanente depuis plus d’un an et demi, entraînant un nombre incroyable de dépressions et de suicides en particulier chez les jeunes.

Il devra payer pour avoir traité les Français comme des chiens en leur imposant une muselière y compris aux enfants dès l’âge de 6 ans les obligeant de respirer leur gaz carbonique du matin au soir.

Il devra payer pour avoir fait de la France une prison à ciel ouvert en confinant et reconfinant les Français au gré de sa volonté et de leur avoir fait subir des couvre-feux inutiles qu’on n’avait plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Même les nazis les plus fanatiques n’ont jamais osé imaginer un traitement aussi cruel contre leur propre peuple. C’est dire…

Emmanuel Macron est le premier chef d’État malveillant que la France ait jamais connu.

Pour tous ses crimes, il paiera, et le peuple français va s’en charger dès maintenant. Il va voir ce que c’est que d’avoir osé s’attaquer à un peuple qui a déjà quatre révolutions à son actif.(([1] 1789, 1830, 1848, 1871.))

En ce jeudi 5 août 2021, le Conseil Constitutionnel vient d’ouvrir une boîte de Pandore qui ne se refermera plus. La colère est là. Elle grondait déjà. Elle va exploser dès demain.

« Notre patrie est en péril de mort. Luttons tous pour la sauver ! »(([2] Général de Gaulle, appel du 18 juin.))




France et passe Sanitaire : on pourra attaquer les décrets d’application devant le Conseil d’État

[Source : bvoltaire.fr]

[Ndlr : l’article est paru avant la validation du projet de loi par le Conseil Constitutionnel.]

Passage en revue des différents points du projet de loi sur l’extension du passe sanitaire qui pourraient être censurés par Guillaume Leroy, chargé d’enseignement en droit constitutionnel à l’université et responsable du pôle affaires publiques du Cercle Droit et Liberté.

Quels sont les éléments du texte de loi sur le passe sanitaire qui pourraient être non constitutionnels ?

Il y a plusieurs éléments. Dans l’article premier, plusieurs libertés constitutionnelles sont violées par cette loi. L’article premier de la Déclaration des droits de l’homme prévoit que les êtres humains naissent libres et égaux en droit. Or, le passe sanitaire crée deux sortes de citoyens : ceux qui sont vaccinés ou sont dépistés tous les deux jours et ceux qui n’ont pas la possibilité de le faire.

De nombreuses libertés sont restreintes : celle d’aller et venir et la liberté d’entreprendre, qui sont des libertés garanties par la Constitution. À partir du moment où on démontre qu’il y a disproportion dans cette atteinte, cet article premier devrait être censuré.

Pensez-vous que les sages puissent retoquer ces éléments ?

C’est compliqué. En effet, le Conseil constitutionnel est une institution juridique mais également très politique. Il est nommé par le pouvoir exécutif et législatif, donc par le président de la République et par les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, il sera donc difficile d’aller à l’encontre du gouvernement. Il y a, malheureusement, peu de chances que certaines dispositions soient censurées. Certaines ont déjà été pointées du doigt par le Conseil d’État, notamment le manque de clarté concernant les transports. Une autre problématique a été pointée par le Conseil d’État : la fermeture des centres commerciaux à ceux qui n’ont pas de passe sanitaire. Certains centres commerciaux sont des hypermarchés, donc certaines personnes ne pourraient plus simplement se fournir en nourriture, cela pose un problème. Mais il n’y a quasiment aucune chance que le passe sanitaire soit abrogé dans son intégralité.

Pourriez-vous nous éclairer sur le fonctionnement du Conseil constitutionnel ?

Il est composé de neuf membres nommés par le président de la République, le président de l’Assemblée nationale et le président du Sénat. Ces neuf personnes décident de la constitutionnalité d’une loi et regardent que la Constitution ne soit pas violée par une loi votée. Des parlementaires ou le gouvernement peuvent saisir le Conseil constitutionnel avant qu’une loi ne soit promulguée. Après la promulgation de la loi, toute personne peut le saisir à l’occasion d’un litige en justice. Le problème est que, souvent, le secrétariat général se prononce et écrit la décision à la place des sages. Cela est problématique.

Y a-t-il une sorte de conflit d’intérêts entre Laurent Fabius, le président du Conseil constitutionnel, et son fils, directeur associé du cabinet McKinsey & Company qui assiste le gouvernement pour la campagne de vaccination ?

Ce n’est pas un réellement conflit d’intérêts mais ça laisse présager d’un manque d’impartialité du président du Conseil constitutionnel. Les décisions du Conseil constitutionnel se prennent à la majorité, à cinq contre quatre. À mon avis, la quasi-totalité des sages du Conseil constitutionnel sera favorable au passe sanitaire, donc la voix de Laurent Fabius ne changera pas grand-chose.

Votre mouvement, le Cercle Droit et Liberté, a déposé un recours auprès du Conseil constitutionnel. Que stipulait-il ?

Ce n’est pas exactement un recours, c’est un appui à la saisine du Conseil constitutionnel faite par 60 députés et 60 sénateurs. On donne des arguments en faveur de cette anticonstitutionnalité du passe sanitaire. On démontre trois choses : le passe sanitaire n’aidera pas forcément à la protection de la santé ; la loi adoptée par le Parlement est peu claire sur certains points, notamment sur l’accès aux transports et aux centres commerciaux ; et, enfin, on démontre que ce passe sanitaire va à l’encontre du principe de fraternité.

Si le texte est validé dans sa forme actuelle par le Conseil constitutionnel, quel recours resterait-il ?

Après la validation de la loi, des décrets d’application sont nécessaires. On pourra attaquer ces décrets devant le Conseil d’État. Par exemple, on ne sait pas quels moyens de transport seront soumis au passe sanitaire : les TGV, les TER, le RER ?

La seule opportunité qu’il reste est celle d’attaquer légalement les décrets.

Une action devant la Cour européenne des droits de l’homme est-elle envisageable ?

Oui c’est possible, mais à très long terme, car il faut un épuisement des voies de recours. À mon sens, ce ne serait pas avant un ou deux ans.




France : passe sanitaire validé par Conseil Constitutionnel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Passe sanitaire vacciné (validé) bien sûr par Fabius et le conseil constitutionnel ; il va donc falloir une révolution. Mais attention : car leur France QR avec sa masse de vaccinés, de soumis, de bobos, de « jeunes filles », de retraités et de technophiles, ce n’est pas le modèle de la Liberté : c’est le coq hérétique. Je suis le seul à le dire [Ndlr : peut-être pas tout à fait. Voir notamment :
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID,
Discrimination, ennemie inacceptable de la devise française : Liberté, Égalité, Fraternité,
Note sur les manifestations sous le règne du NOM,
Garçon, la carte s’il vous plaît !,
Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?], et je le maintiens. Pass sanitaire pour les touristes étrangers vaccinés… La France passe sous administration étrangère (Rothschild, McKinsey, KPMG, Pfizer, Microsoft and Co.), est privatisée, fascisée, et ses ressortissants sont des actifs financiers à plumer (souvent volontaires). Les bourreaux volontaires ? Richard Boutry craque et incrimine les loges et la dictature maçonnique. J’ai parlé il y a un an de dressage maçonnique (strategika.fr). Richard prie la vierge Marie, on va tous en avoir besoin avec nos chaînes à QR code.

Pourquoi les ouvriers se révoltaient et pas nous :

« Il faut remarquer encore que cette insurrection formidable ne fut pas l’entreprise d’un certain nombre de conspirateurs, mais le soulèvement de toute une population contre une autre. Les femmes y prirent autant de part que les hommes. Tandis que les premiers combattaient, les autres préparaient et apportaient les munitions ; et, quand on dut enfin se rendre, elles furent les dernières à s’y résoudre. Quant à la science stratégique que fit voir cette multitude, le naturel belliqueux des Français, la longue expérience des insurrections et surtout l’éducation militaire, que reçoivent tour à tour la plupart des hommes du peuple suffisent pour l’expliquer. La moitié des ouvriers de Paris ont servi dans nos armées et ils reprennent toujours volontiers les armes. Les anciens soldats abondent en général dans les émeutes. »

(Tocqueville, Souvenirs, p. 176)

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-passe-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-valides-par-le-conseil-constitutionnel-20210805

Le passe sanitaire et la vaccination des soignants validés par le Conseil constitutionnel

Les dispositions prévoyant l’isolement obligatoire des malades ainsi que la rupture d’un contrat de travail ont en revanche été censurées.

Le projet de loi visant à contrer la flambée de l’épidémie de Covid-19, avec l’extension controversée du passe sanitaire, a été approuvé jeudi 5 août par le Conseil Constitutionnel, à l’exception de la mesure d’isolement obligatoire. L’avis des Sages, très attendu, a été rendu en fin d’après-midi et conditionne la mise en œuvre de la stratégie du gouvernement.

« Le législateur a poursuivi l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé », notent les Sages à propos du passe et de la vaccination des soignants. Les juges constitutionnels ont toutefois estimé que l’isolement obligatoire des malades de 10 jours n’était ni «nécessaire, adapté et proportionné» en ce qu’il constitue une mesure privative de liberté « sans décision individuelle fondée sur une appréciation de l’autorité administrative ou judiciaire ».

L’extension du passe sanitaire aux centres commerciaux validée

Le Conseil constitutionnel a également validé l’extension du passe sanitaire à certains centres commerciaux «au-delà d’un certain seuil défini par décret» et si «la gravité des risques de contamination» à l’échelle d’un département le justifie. L’autorité préfectorale pourra ainsi mettre en place le passe sanitaire dans les grands magasins et centres commerciaux tout en garantissant «l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ainsi qu’aux moyens de transport accessibles dans l’enceinte de ces magasins et centres», selon la loi adoptée le 25 juillet et validée par le Conseil Constitutionnel. Le gouvernement veut appliquer cette mesure dès lundi 9 août.

La rupture du contrat de travail censurée

Les dispositions de la loi sanitaire prévoyant qu’un CDD ou contrat d’intérim puisse être rompu «avant son terme» par l’employeur faute de passe sanitaire, ont, en revanche, été censurées. Le Conseil a toutefois validé la procédure de suspension du contrat de travail sans rémunération pour les CDI. «En prévoyant que le défaut de présentation d’un ‘passe sanitaire’ constitue une cause de rupture anticipée des seuls contrats à durée déterminée ou de mission, le législateur a institué une différence de traitement entre les salariés selon la nature de leurs contrats de travail qui est sans lien avec l’objectif poursuivi», indique ainsi le Conseil constitutionnel.

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-mais-retoque-lisolement-obligatoire-20210805_LLLIRNBY3RBDDFUQ62MALZHPZM/

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-gouvernement-annonce-la-creation-dun-pass-sanitaire-pour-touristes-etrangers-vaccines-20210805_G7MGM6BNIRCFDIOBYFSM6FIZII/

https://www.nouvelobs.com/pass-sanitaire/20210805.OBS47243/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-mais-censure-l-isolement-obligatoire.html

Richard Boutry :

« Il faut mettre fin à la dictature de la Franc-Maçonnerie en Politique et Médecine »

Vidéo extraite de :




L’empire chinois (eurasien) encercle l’empire américain (île lointaine entre deux océans)

[Source : Les 7 du quebec]

Par Pepe Escobar

Encore une fois Pepe Escobar voit plus loin que ses confrères. Là ou d’autres anticipent les manoeuvres de l’impérialisme Yankee pour encercler l’empire du milieu de l’Eurasie (le centre du monde disaient les empereurs chinois),  Pepe voit très bien les manigances du nouvel empire chinois (Chine-Russie-Iran-« Allemagne »(?)) pour encercler le vieil empire américain décadent, isolé sur son ile d’Amérique du Nord entre deux océans tourmentés. Lisez cette analyse d’un ami de la Chine impériale et vous comprendrez mieux que les choses changent dans ce monde en perpétuelle crise économique – politique – sociale – commerciale – militaire – diplomatique et pourquoi pas « sanitaire ». Ne soyez pas surpris que la crise pandémique du COVID ne soit même pas évoquée par le scribe. L’empire chinois, qui prépare sa guerre de conquête depuis des années, a évacué cet exercice militaire – sanitaire – depuis des mois, alors que l’Empire du chaos s’y empêtre chaque jour d’avantage… C’est l’avantage que procure un État totalitaire expérimenté, déjà bien implanté, versus un État totalitaire à consolider… n’est-ce pas messieurs Biden, Macron, Johnson, Trudeau et les autres !?… 
Robert Bibeau. Éditeur. 


Requiem pour un empire : une préquelle

Par Pepe Escobar

L’inexorable pourriture impériale se poursuivra, une affaire vulgaire sans aucun pathétique dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung.

31 juillet 2021 –  » Asia Times ‘ —- Agressé par une dissonance cognitive à tous les niveaux, l’ Empire du Chaos  se comporte désormais comme un détenu maniaco-dépressif, pourri jusqu’à l’âme – un destin plus rempli d’effroi que d’avoir à faire face à une révolte de les satrapies.

Seuls les zombies en état de mort cérébrale croient maintenant en sa mission universelle autoproclamée en tant que nouvelle Rome et nouvelle Jérusalem. Il n’y a pas de culture, d’économie ou de géographie unificatrices qui tissent le noyau à travers un «paysage politique aride, desséché, étouffant sous le soleil cuivré de la ratiocination apollinienne, dépourvu de passion, très masculin et vide d’empathie humaine».

Clueless Cold Warriors rêvent encore de l’époque où l’axe Allemagne-Japon menaçait de gouverner l’Eurasie et le Commonwealth mordait la poussière – offrant ainsi à Washington, craignant d’être contraint à l’île, l’occasion unique de profiter de la Seconde Guerre mondiale pour ériger lui-même en tant que Paradigme Mondial Suprême et sauveur du « monde libre ».

Et puis il y a eu les années 90 unilatérales, lorsque la Shining City on the Hill, une fois de plus autoproclamée, se prélassait dans des célébrations vulgaires de «fin de l’histoire» – tout comme des néoconservateurs toxiques, engendrés dans l’entre-deux-guerres via la cabale gnostique du trotskysme new-yorkais. , ont tracé leur prise de pouvoir.

Aujourd’hui, ce n’est plus l’Allemagne-Japon mais le spectre d’une entente Russie-Chine-Allemagne qui terrorise l’Hégémon comme le trio eurasien capable d’envoyer la domination mondiale américaine aux poubelles de l’Histoire.

Entrez dans la « stratégie » américaine. Et comme on pouvait s’y attendre, c’est un prodige d’étroitesse d’esprit, n’aspirant même pas au statut d’exercice – infructueux – d’ironie ou de désespoir, cédant comme il l’est à la fondation piétonne Carnegie, avec son QG à Think Tank Row entre Dupont et Thomas Circle le long du Massachusetts. Avenue à Washington

Faire en sorte que la politique étrangère des États-Unis fonctionne mieux pour la classe moyenne est une sorte de rapport bipartite guidant l’administration actuelle et désorientée de Crash Test Dummy. L’un des 11 écrivains impliqués n’est autre que le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan. L’idée qu’une stratégie impériale mondiale et – dans ce cas – une classe moyenne profondément appauvrie et enragée partagent les mêmes intérêts n’est même pas qualifiée de mauvaise blague.

Avec des « penseurs » comme ceux-ci, l’Hégémon n’a même pas besoin de « menaces » eurasiennes.

Vous voulez parler à M. Kinzhal ?

Pendant ce temps, dans un scénario digne de Desolation Row de Dylan réécrit par The Three Stooges, les proverbiales chihuahuas atlantistes délirent que le Pentagone a ordonné la partition de l’OTAN : l’Europe occidentale contiendra la Chine et l’Europe orientale contiendra la Russie.

Pourtant, ce qui se passe réellement dans ces couloirs de la puissance européenne qui comptent vraiment – ​​non, bébé, ce n’est pas Varsovie – c’est que non seulement Berlin et Paris refusent de s’opposer à Pékin, mais réfléchissent à comment se rapprocher de Moscou sans enrager l’Hégémon.

Voilà pour les micro-ondes, Divide and Rule Kissingerian. L’une des rares choses que le célèbre criminel de guerre a vraiment compris, c’est lorsqu’il a noté, après l’implosion de l’URSS, que sans l’Europe « les États-Unis deviendraient une île lointaine sur le littoral de l’Eurasie»: ils habiteraient « dans la solitude, un statut mineur ».

La vie est un frein lorsque le déjeuner gratuit (mondial) est terminé et en plus de cela, vous devez faire face non seulement à l’émergence d’un « concurrent de pairs » en Eurasie (copyright Zbig « Grand échiquier » Brzezinski) mais aussi à un partenariat stratégique global. Vous craignez que la Chine ne mange votre déjeuner – et votre dîner, et votre dernier verre – mais vous avez toujours besoin de Moscou comme ennemi désigné de choix, car c’est ce qui légitime l’OTAN.

Appelez les trois Stooges ! Envoyons les Européens patrouiller en mer de Chine méridionale ! Allons chercher ces nullités baltes et des Polonais pathétiques pour faire respecter le nouveau rideau de fer ! Et déployons la russophobe Britannia Rules the Waves sur les deux fronts !

Contrôler l’Europe – ou faire faillite. D’où le Brave New NATO World : le fardeau de l’homme blanc revisité – contre la Russie-Chine.

Jusqu’à présent, la Russie-Chine avait fait preuve d’une patience taoïste infinie face à ces clowns. Plus maintenant.

Les acteurs clés du Heartland ont clairement vu à travers le brouillard de la propagande impériale ; la route sera longue et sinueuse, mais l’horizon finira par dévoiler une alliance Allemagne-Russie-Chine-Iran rééquilibrant l’échiquier mondial.

C’est le cauchemar ultime de la Nuit impériale des morts-vivants – d’où ces humbles émissaires américains se précipitant frénétiquement autour de plusieurs latitudes essayant de maintenir les satrapies en ligne.

Pendant ce temps, de l’autre côté de l’étang, la Chine et la Russie construisent des sous-marins comme s’il n’y avait pas de lendemain équipés de missiles à la pointe de la technologie – et les Su-57 invitent les sages à une conversation étroite avec un hypersonique M. Kinzhal.

Sergueï Lavrov, tel un grand seigneur aristocratique , a pris la peine d’éclairer les clowns avec une distinction nette et érudite  entre l’état de droit et leur auto-défini « ordre international fondé sur des règles ».

C’est trop pour leur QI collectif. Ce qu’ils enregistreront peut-être, c’est que le traité russo-chinois de bon voisinage, d’amitié et de coopération, initialement signé le 16 juillet 2001, vient d’être prolongé de cinq ans par les présidents Poutine et Xi.

Alors que l’Empire du Chaos est progressivement et inexorablement expulsé du Heartland, la Russie et la Chine gèrent conjointement les affaires d’Asie centrale.

Lors de la conférence sur la connectivité en Asie centrale et du Sud à Tachkent , Lavrov a expliqué comment la Russie dirige « le Grand partenariat eurasien, un cadre unificateur et intégrateur entre les océans Atlantique et Pacifique qui est aussi libre pour la circulation des biens, des capitaux, du travail et des services. que possible et qui est ouvert à tous les pays du continent commun de l’Eurasie et aux syndicats d’intégration créés ici.

Ensuite, il y a la stratégie de sécurité nationale russe mise à jour , qui décrit clairement que la construction d’un partenariat avec les États-Unis et la réalisation d’une coopération gagnant-gagnant avec l’UE est une lutte difficile : « Les contradictions entre la Russie et l’Occident sont sérieuses et difficiles à résoudre. En revanche, la coopération stratégique avec la Chine et l’Inde sera élargie.

Un séisme géopolitique

Pourtant, la percée géopolitique déterminante au cours de la deuxième année des années folles pourrait bien être la Chine disant à l’Empire : « ça suffit ».

Tout a commencé il y a plus de deux mois à Anchorage, (la nouvelle phase du plan global du moins. NDÉ) lorsque le redoutable Yang Jiechi a préparé une soupe aux ailerons de requin  avec la délégation américaine impuissante. La pièce de résistance est arrivée cette semaine à Tianjin, où le vice-ministre des Affaires étrangères Xie Feng et son patron Wang Yi ont réduit la médiocre bureaucrate impériale Wendy Sherman au statut de boulette rassis.

Cette analyse fulgurante d’un groupe de réflexion chinois a passé en revue toutes les questions clés. Voici les faits saillants.

– Les Américains voulaient s’assurer que des « garde-fous et frontières » soient établis pour éviter une détérioration des relations américano-chinoises afin de « gérer » la relation de manière responsable. Cela n’a pas fonctionné, car leur approche était « terrible ».

– « Le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Xie Feng a mis le doigt sur la tête lorsqu’il a déclaré que la triade américaine «concurrence, coopération et confrontation» est un « bandeau sur les yeux » pour contenir et réprimer la Chine. La confrontation et le confinement sont essentiels, la coopération est opportune et la compétition est un piège à discours. Les États-Unis exigent la coopération lorsqu’ils ont besoin de la Chine, mais dans les domaines où ils pensent avoir un avantage, ils découplent et coupent les approvisionnements, les blocages et les sanctions, et sont prêts à affronter et confronter la Chine afin de la contenir.

– Xie Feng « a également présenté deux listes à la partie américaine, une liste de 16 éléments demandant à la partie américaine de corriger ses mauvaises politiques et paroles et actes envers la Chine, et une liste de 10 cas prioritaires préoccupant la Chine (…) si ces -Les problèmes de la Chine causés par le penchant des États-Unis ne sont pas résolus, de quoi peut-on parler entre la Chine et les États-Unis?»

– Et puis, le sorbet pour accompagner le cheesecake : les trois lignes de fond de Wang Yi à Washington. En un mot:

  1. « Les États-Unis ne doivent pas contester, dénigrer ou même tenter de subvertir la voie et le système socialistes aux caractéristiques chinoises. La route et le système de la Chine sont le choix de l’histoire et le choix du peuple, et ils concernent le bien-être à long terme de 1,4 milliard de Chinois et le destin futur de la nation chinoise, qui est l’intérêt central auquel la Chine doit adhérer.
  2. « Les États-Unis ne doivent pas essayer d’entraver ou même d’interrompre le processus de développement de la Chine. Le peuple chinois a certainement le droit à une vie meilleure, et la Chine a aussi le droit à la modernisation, qui n’est pas le monopole des États-Unis et implique la conscience fondamentale de l’humanité et de la justice internationale. La Chine exhorte la partie américaine à lever rapidement toutes les sanctions unilatérales, les tarifs douaniers élevés, la juridiction à bras long et le blocus scientifique et technologique imposé à la Chine. »
  3. « Les États-Unis ne doivent pas empiéter sur la souveraineté nationale de la Chine, et encore moins saper l’intégrité territoriale de la Chine. Les enjeux liés au Xinjiang, au Tibet et à Hong Kong ne concernent jamais les droits de l’homme ou la démocratie, mais plutôt les principaux droits et torts de la lutte contre « l’indépendance du Xinjiang », « l’indépendance du Tibet » et « l’indépendance de Hong Kong ». Aucun pays ne permettra que sa sécurité souveraine soit compromise. Quant à la question de Taïwan, c’est une priorité absolue (…) Si « l’indépendance de Taïwan » ose provoquer, la Chine a le droit de prendre tous les moyens nécessaires pour l’arrêter.

L’Empire du Chaos enregistrera-t-il tout ce qui précède ? Bien sûr que non. Ainsi se poursuivra l’inexorable pourriture impériale, une affaire vulgaire sans aucun pathos dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung, suscitant à peine un regard des dieux, « où ils sourient en secret, regardant les terres incultes / Fléau et famine, peste et tremblement de terre, abîmes rugissants et sables ardents, / Combats retentissants et villes en flammes, et navires coulant, et priant mains », comme Tennyson l’a immortalisé.

Pourtant, ce qui compte vraiment, dans notre royaume de realpolitik, c’est que Pékin ne s’en soucie même pas. Le point a été fait : « Les Chinois en ont depuis longtemps assez de l’arrogance américaine, et le temps où les États-Unis ont essayé d’intimider les Chinois est révolu.

Maintenant , c’est le début d’un nouveau monde géopolitique – et un prequel à un requiem impérial. De nombreuses suites suivront.


Pepe Escobar – Analyste géopolitique indépendant, écrivain et journaliste




Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?

Par Jean-Michel Grau

Le jeudi 12 juillet 2021 sera-t-il à marquer d’une pierre noire pour la démocratie française ?

En ce jour, le Conseil Constitutionnel devra prendre position pour savoir s’il valide ou non l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron le 12 Juillet.

Pour rappel, ce pass sanitaire est anti-constitutionnel en ce sens qu’il bafoue et viole la constitution française car il heurte de manière disproportionnée nombre de libertés fondamentales.(([1] Pass_sanitaire_50000_citoyens_deposent_un_recours_devant_le_Conseil_constitutionnel.pdf (dejavu.legal) )) Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »(([2] Qu’on soit pour ou contre, le passe sanitaire bafoue la Constitution et les droits de l’homme ! – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr) ))

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un “pass sanitaire” aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) dans des centres qui seront probablement raréfiés et engorgés (du fait du non-remboursement) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)

Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).

Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel s’expose à une responsabilité écrasante face à l’Histoire s’il valide l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron.

Cela équivaudra à enterrer de fait la République française. Exactement comme l’a fait le parlement français un certain 10 Juillet 1940 en votant les pleins pouvoirs à Pétain, ouvrant la voie aux trois premiers actes constitutionnels pris par ce même Pétain le lendemain qui, outrepassant le texte du 10, constituent une forme de coup d’État en supprimant la République pour instituer un régime dictatorial au profit d’un chef d’État autoproclamé.

Pour éviter d’arriver à un tel scénario catastrophe, il reste deux options au Conseil Constitutionnel :

Option n°1

Vider l’extension du pass sanitaire de sa substance en invalidant toutes ses dispositions liberticides :

  • Accès aux hôpitaux hors cas d’urgence,
  • Accès aux écoles, collèges, lycées et universités,
  • Accès aux transports en commun (Trains, bus, métro, tramway…)
  • Accès aux Centres Commerciaux,
  • Accès aux lieux culturels (Musées, concerts, salles de spectacle, cinémas…)
  • Accès aux restaurants, bars, cafés, discothèques…)

Option n°2

Démissionner en bloc pour cause de conflit d’intérêt du président du Conseil Constitutionnel Laurent Fabius avec son fils Victor, vice-président du Cabinet de conseil Mc Kinsey qui élabore la stratégie vaccinale de la France.

Ceux que l’on appelle « les sages » sauront-ils se montrer dignes de leur fonction en rejetant ce pass liberticide qui institue de facto la dictature ?

Réponse jeudi, mais quelle que soit leur décision, elle restera gravée dans l’Histoire de France.

Ou comme une victoire de la liberté, ou bien comme une tache indélébile.





L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts

[Source : jacqueshenry]

Par Paul Craig Roberts [avec commentaires de Jacques henry (en rouge)]

L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts un peu comme la Wehrmacht après Stalingrad. Le port de masques et les confinements sont de retour, car les autorités sanitaires admettent désormais que les vaccins Covid n’offrent pas de protection efficace, notamment contre ce qu’on appelle les « nouveaux variants ». À quoi sert un passeport Covid quand le vaccin ne protège pas et que les vaccinés doivent porter des masques ? La presse (presstitute dans le texte) aux États-Unis rapporte faussement que la « nouvelle épidémie » de Covid atteint surtout les jeunes non vaccinés, et la pression est donc exercée pour vacciner tous les jeunes. Mais les faits racontent une autre histoire. Au Royaume-Uni, par exemple, les nouveaux cas de Covid explosent parmi les personnes entièrement vaccinées, augmentant de 40% en une semaine tandis que les nouveaux cas de Covid parmi les non vaccinés diminuent de 22%. Israël est un autre exemple où la hausse des cas de Covid se fait parmi les vaccinés.

[Ndlr : dans le cas très hypothétique où les « vaccins » ne seraient que des placebos, si 99 % de la population était vaccinée, il faudrait s’attendre logiquement à ce que 99 % des cas de covid se retrouvent parmi ces vaccinés, et, inversement, à ce qu’il n’y ait que 1 % des cas de covid parmi les non-vaccinés. On ne doit donc pas comparer par rapport à la population globale, mais regarder le taux de malades parmi chacune des deux populations séparément : celle des vaccinés, d’une part, et celle des non-vaccinés d’autre part. Ainsi nous ne pourrions affirmer que le vaccin rend davantage malade que la covid elle-même uniquement si par exemple nous constations une moitié de malades de la Covid suite à la vaccination, par rapport à seulement un tiers ou un quart de malades chez les non-vaccinés.]

Il est hilarant de voir les défenseurs des vaccins soutenir que l’augmentation des nouveaux cas de Covid parmi les vaccinés est la preuve que les vaccins fonctionnent ! Non, je n’invente pas. Voici ce que déclare Katelyn Jetelina : « Plus une population est vaccinée, plus nous entendrons parler de vaccinés infectés ». Note, les inserts entre parenthèses et caractères italiques sont de mon fait et non de l’auteur de l’article.

Arieh Kovler explique : « Les pays à forte vaccination verront la plupart des personnes vaccinées tomber malades de Covid. » https://www.deseret.com/coronavirus/2021/7/20/22584134/whats-going-on-in-israels-outbreak-among-vaccinated-people . Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’au fur et à mesure que les populations se font vacciner, il n’y a personne pour attraper le Covid, sauf les vaccinés. Malgré ces évidences, les propagandistes des vaccins revendiquent toujours une efficacité de 97,5% pour les vaccins. Il n’y a aucune preuve que ce soit pour cette affirmation fantaisiste. Seul un crétin ignorant ferait une affirmation aussi absurde.

Bien que les vaccins soient inutiles comme protection, leurs effets secondaires sont mortels. La base de données de l’Union européenne sur les déclarations de réactions médicamenteuses suspectées couvrant 27 pays européens, EudraVigilance, rapporte qu’au 17 juillet 2021, il y a eu en 2021 18 928 décès et 1 823 219 effets secondaires associés aux vaccins Covid : https://www.globalresearch.ca/18928-dead-1-8-million-injured-50-grave-reported-in-european-unions-database-of-adverse-drug-reactions-for-covid-19-shots/5750722

La base de données américaine, VAERS, rapporte qu’au 9 juillet 2021, il y avait 10 991 décès et 463 457 effets indésirables sur la santé associés aux vaccinations Covid. Un lanceur d’alerte du CDC ayant accès aux données du VAERS a révélé dans une déclaration sous serment sous peine de parjure que le nombre réel de décès dans la base de données est cinq fois plus élevé que le nombre publié https://www.paulcraigroberts.org/2021/07/26/how-the-covid-scam-is-perpetrated/ La base de données britannique des effets secondaires causés par les vaccins s’appelle le système Yellow Card. Au cours des quatre premiers mois de cette année, il y a eu 888 196 événements indésirables liés au vaccin et 1 253 décès.

Considérant que les systèmes de notification des effets indésirables des vaccins ne devraient pas couvrir plus de 10 % de ces effets adverses et des décès dus aux vaccins, pour les seuls États-Unis et le Royaume-Uni du début de l’année à la mi-juillet ces pays pourraient avoir subi 22 866 760 effets indésirables sur la santé et entre 299 190 et 639 280 décès dus aux vaccins contre le Covid (cette estimation me semble hasardeuse dans la mesure où le chiffre de 10 % n’est pas prouvé et probablement loin de la réalité). C’est un résultat pire que ce qui a été observé lors de l’épidémie de Covid. Les presstitués (expression de Paul Craig Roberts pour qualifier les journalistes), les bureaucrates de la santé publique et les politiciens stupides qui ont rampé sous les pressions multiples ne rapportent pas ces chiffres massifs. Leur excuse est que les systèmes de déclaration des effets indésirables des vaccins ne prétendent pas que ces événements indésirables sont causés par les vaccins, mais seulement qu’ils sont associés à la vaccination. Mais dans tous les cas précédents de vaccination (l’exemple emblématique fut l’essai en phase 3 de Sanofi aux Philippines pour un vaccin contre la dengue qui provoqua la mort de plus de 2000 enfants), un nombre beaucoup plus petit de décès associés a servi à retirer les vaccins de leur utilisation. Pourquoi pas cette fois ? De toute évidence, il existe des programmes en cours qui ont la priorité sur les règles normales et la santé publique – le profit, une augmentation du pouvoir du gouvernement sur des personnes autrefois libres, et peut-être des programmes plus sombres tels que la « grande réinitialisation » du WEF (World Economic Forum, alias Club de Davos) et le contrôle de la population. Ces possibilités sont-elles les croyances des « théoriciens du complot » ou sont-elles des conclusions logiques des contradictions évidentes du récit officiel du Covid ?

La pandémie est-elle réelle ?

L’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont admis que la base même de la prétendue « pandémie de Covid » – le test PCR – n’est pas fiable et ne peut pas faire la différence entre grippe et Covid et entre infecté et non infecté. Le CDC a annoncé qu’il retirait sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence du test PCR à compter du 31 décembre 2021: https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html .Pourquoi le CDC attend-il quatre mois pour cesser d’utiliser un test Covid qui exagère énormément le nombre de cas ? La réponse est-elle que, comme le test est exécuté à des cycles élevés qui produisent un taux de faux positifs de 97%, le CDC veut préserver la peur d’une infection massive jusqu’à ce que tous soient vaccinés ? Comme le CDC partage le butin de Big Pharma, tout comme le NIH, nos autorités de santé publique ont de graves conflits d’intérêts. Alors que nous vivons dans un monde où littéralement tout est corrompu par l’argent, pourquoi devrions-nous penser que la santé publique est une exception ?

Mathew Crawford a examiné le remaniement par le CDC de son système d’alerte qui est utilisé pour indiquer quand les événements indésirables associés aux vaccins atteignent un niveau d’alerte rouge. https://roundingtheearth.substack.com/p/defining-away-vaccine-safety-signals Il a constaté que l’effet de la révision était de brouiller la différence entre les vaccins sûrs et ceux qui sont dangereux. En d’autres termes, le signal d’avertissement a été désactivé. Était-ce le résultat d’une incompétence ou d’une intention? Ne vous attendez pas à ce qu’une enquête soit menée. L’ensemble du monde politique, médiatique et médical est lié à la pandémie orchestrée et à l’efficacité de vaccins mortels. Leur crédibilité est en jeu. Ils ne peuvent pas se permettre qu’une telle chose soit reconnue et encore moins étudiée.

Et maintenant, nous avons un autre développement honteux. Eli Lilly a développé un remède avec des anticorps pour Covid, et son déploiement est bloqué au motif qu’il ne guérit pas des variants, ce qui pourrait être plus présumé que réel. https://www.wsj.com/articles/eli-lilly-covid-19-antibody-drug-shipments-paused-over-variant-concerns-11624652980 . Comme l’establishment commence à l’admettre les vaccins ne protègent pas contre les nouveaux variant et il existe la totalité de la presse pour défendre et contraindre à la vaccination universelle avec ces vaccins dangereux. Si le même argument utilisé contre le traitement d’Eli Lilly est appliqué aux vaccins, l’utilisation des vaccins devrait être immédiatement bloquée, en particulier avec leur dossier d’effets secondaires dévastateurs. De plus, l’establishment médical n’a fourni aucune preuve que le remède d’Eli Lilly ne fonctionne pas avec les variantes. C’est pourtant sur une affirmation mensongère que les presstitués font du battage médiatique.

En effet, comme je ne cesse de le demander, comment savons-nous que ce que l’on appelle des variants ne sont pas des maladies induites par la vaccination ? Comment qualifient-t-ils ce grand nombre signalé de maladies induites par la vaccination parmi les personnes entièrement vaccinées ? Ils ne le font pas. Ils les cachent sous le tapis. Je soupçonne que la véritable raison du blocage du traitement d’Eli Lilly est que les fabricants de vaccins ont plus de poids et ne veulent pas de diminution de leur marché des vaccins tant qu’ils n’auront pas pleinement exploité financièrement parlant les craintes de Covid. De plus, je soupçonne que les autorités de santé publique qui ont enfreint la loi en autorisant l’utilisation d’urgence des vaccins non testés au motif qu’il n’y avait pas de remède alors qu’il y en avait deux – HCQ et Ivermectine – ne veulent pas d’un troisième remède dans le paysage.

Le bureaucrate médical, le Dr Tony Fauci, qui a qualifié le sénateur américain Rand Paul de menteur pour avoir souligné que les documents de subvention du NIH montrent que Fauci a financé des recherches au laboratoire de Wuhan en Chine soucieux de rendre le coronavirus plus infectieux, a maintenant admis à la télévision qu’il avait financé la recherche et il la défend sur des motifs totalement absurdes que son protecteur presstitué, Jake Tapper, a soigneusement négligé. 
https://nypost.com/2021/07/25/anthony-fauci-defends-us-funding-research-at-wuhan-lab/?utm_campaign=iphone_nyp&utm_source=mail_app. Ce crétin de CNN est d’accord avec Fauci, qui a fait un paquet d’argent avec ce virus et qu’il aurait été « négligent » s’il n’avait pas financé la création du SARS-CoV-2.

Nous avons donc « le principal expert américain en virus » (quelle blague !) créant un virus, puis en créant une pandémie autour de lui sur la base de l’utilisation d’urgence frauduleuse d’un test invalide, puis en soutenant des blocages insensés qui ont détruit les entreprises de la classe moyenne, puis en prenant en charge l’obligation de port de masque insensée. qui n’offrait aucune protection et causait de nombreuses maladies, rien de moins qu’un masque N95 n’offre aucune protection, puis a augmenté un grand pourcentage de la population mondiale avec une nouvelle technologie expérimentale appelée un vaccin qui est très dangereux, et demande maintenant la vaccination obligatoire des adolescents et des enfants qui ne sont pas menacés par le Covid-19. L’establishment médical complètement corrompu dit d’un côté vicieusement que les vaccins Covid ne protègent pas contre les variants, donc les vaccinés doivent à nouveau porter des masques, et de l’autre côté tout aussi vicieusement ils disent, en totale contradiction, que les jeunes doit être vaccinés avec ces vaccins pour être sûr.

Maintenant, soit nous avons une situation dans laquelle presque tout l’establishment médical est totalement incompétent et stupide au-delà de toute croyance, soit nous avons presque tout cet establishment médical impliqué dans une gigantesque escroquerie qui tue et blesse des centaines de milliers de personnes. Il n’y a pas d’autre explication.

Il en va de même pour les politiciens. L’un des plus odieux est le meurtrier de masse de New York, le gouverneur Andrew M. Cuomo, qui a envoyé des patients Covid dans des maisons de retraite où les personnes âgées infectées par les patients Covid importés sont décédées. Le démocrate Cuomo a obtenu un laissez-passer du département de la justice du démocrate Biden. Voilà pour la responsabilité et la justice. Si vous êtes démocrate, il n’y a pas de responsabilité. Qu’est-il advenu du rapport de John Durham sur le Russiagate ? De toute évidence, le rapport n’est qu’une autre victime de la non-responsabilité des démocrates.

Voici le meurtrier de masse Cuomo. Regardez son expression folle. Écoutez ce meurtrier de masse hystérique déclarer la guerre aux non vaccinés :

Les républicains, y compris ce rénégat de McConnell se sont joints aux démocrates pour encourager les vaccinations. Maintenant que l’on sait que les vaccins ne protègent pas mais tuent, des républicains idiots veulent que tout le monde soit vacciné. Comme beaucoup le disent depuis si longtemps, il n’y a pas de parti d’opposition. Les agences fédérales imposent désormais la vaccination de leurs effectifs : 
https://www.theepochtimes.com/mkt_breakingnews/first-federal-agency-to-mandate-covid-19-vaccine_3918989.html?utm_source=News&utm_medium=email&utm_campaign=breaking-2021-07-26-3&mktids=22baca7c76e659bf404b407ad98afb5e&est=9B%2FSynA47SoRBDrsWy%2B%2BJs4ZudZ3GuM5s8sCo0KQSwTIjxgRyM%2FjbA%3D%3D

Il en va de même pour les États bleus : 
https://www.lewrockwell.com/2021/07/tyler-durden/california-nyc-require-all-public-workers-to-get-vaccinated-or-submit-to-weekly-tests/

Le département de la « Justice » (sic) (DOJ) corrompu de Joe Biden a « déterminé que la loi fédérale n’interdit pas aux agences publiques et aux entreprises privées d’exiger des vaccins contre le Covid-19, même si les vaccins n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence », du moins c’est ce que dit le président de CNN : 
https://www.cnn.com/2021/07/26/politics/doj-covid-19-vaccine-requirements-olc-opinion/index.html

C’est un mensonge flagrant, tout comme le « Russiagate » et la procédure d’impeachment du DOJ à l’encontre de D. Trump. Les États-Unis ont un département « Justice » (sic) indifférent à la justice et incapable de dire la vérité, ou alors ils ont un département « Justice » (sic) dont l’incompétence est sans précédent. (Remarque : il en est exactement de même en France macronienne, pays où non seulement la magistrature mais également le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel ne remplissent plus leur rôle).

Voici les faits réels : « Les vaccins sont une intervention médicale. Toutes les interventions médicales exigent de par la loi qu’un consentement valide soit obtenu. Voir, par exemple, le site officiel du UK National Health Service – https://www.nhs.uk/conditions/consent-to-treatment/ – qui indique : « Le consentement au traitement signifie qu’une personne doit donner sa permission avant de recevoir tout type de traitement médical, de test ou d’examen.

« Cela doit être fait sur la base d’une explication par un clinicien.

Le consentement d’un patient est nécessaire quelle que soit la procédure, qu’il s’agisse d’un examen physique, d’un don d’organes ou autre.

Le principe du consentement est un élément important de l’éthique médicale et du droit international des droits de l’homme.

Pour que le consentement soit valide, il doit être volontaire et éclairé, et la personne consentante doit avoir la capacité de prendre la décision.

Le sens de ces termes est :
volontaire – la décision de consentir ou de ne pas consentir au traitement doit être prise par la personne et ne doit pas être influencée par la pression du personnel médical, des amis ou de la famille.
informée – la personne doit recevoir toutes les informations sur ce que le traitement implique, y compris les avantages et les risques, s’il existe des traitements alternatifs raisonnables et ce qui se passera si le traitement ne se poursuit pas.
capacité – la personne doit être capable de donner son consentement, ce qui signifie qu’elle comprend l’information qui lui est donnée et qu’elle peut l’utiliser pour prendre une décision éclairée

Si un adulte a la capacité de prendre une décision volontaire et éclairée de consentir ou de refuser un traitement particulier, sa décision doit être respectée.

C’est toujours le cas même si le refus de traitement entraînerait leur mort, ou la mort de leur enfant à naître ». (Ces règles fondamentales de l’éthique médicale sont également valables en France et inscrites dans la loi).

De toute évidence, la rétention d’informations sur les risques potentiellement graves et mortels des vaccinations et le fait d’obliger et de contraindre des personnes à subir des interventions médicales est non seulement immoral et contraire à l’éthique et sape la relation patient-médecin, mais viole également la loi et devrait conduire à des poursuites pénales. Mais ce ne sera pas le cas. Les démocrates protègent leurs criminels. Les démocrates réservent « leur justice » aux innocents qui protestaient pour défendre le président américain Trump.

Les États-Unis ont le même code d’éthique médicale. Le problème est que l’establishment médical américain ne suit pas son propre code. L’éthique médicale ne paie pas lorsque vous pouvez éviter la responsabilité. Si vous pouvez gagner de l’argent en injectant un vaccin contre la mort à des personnes non informées, faites-le. Les fabricants de vaccins ont utilisé des contributions de campagne politique pour acheter leur protection contre la responsabilité du Congrès corrompu des États-Unis. Ils peuvent assassiner toutes les personnes qu’ils veulent sans aucune responsabilité. Comme je l’ai souligné pendant des décennies, la population américaine est aussi crédule et confiante que les Amérindiens qui ont accepté des couvertures imprégnées de variole comme cadeaux de bonne volonté. Les Américains pensent qu’il est antipatriotique de se méfier du gouvernement. Comme ils pensent que ceux qui se méfient du gouvernement américain sont communistes et pire, il est facile pour l’establishment de contrôler leurs esprits.

Malgré l’échec des vaccins à protéger contre l’infection et malgré leurs effets indésirables massifs, le crétin du Bureau ovale se dit déterminé à forcer la FDA à approuver les vaccins non testés qui sont utilisés uniquement sur la base d’une « utilisation d’urgence » frauduleuse : 
https://www.globalresearch.ca/politics-science-biden-admin-signals-intent-force-fda-approval-covid-vaccines/5751215

La Maison Blanche souhaite que la condition « utilisation d’urgence uniquement » soit supprimée et que les vaccins non testés reçoivent une approbation officielle d’utilisation. L’idiot du bureau ovale le veut malgré les preuves accablantes que les vaccins ne protègent pas mais provoquent des effets indésirables graves sur la santé et des décès. Vous pouvez maintenant voir pourquoi l’establishment a volé une élection présidentielle pour mettre un idiot au pouvoir. Il gagne de l’argent pour eux et fait avancer leurs agendas secrets. Dites-moi, Biden est-il un homme qui représente le bien-être des Américains, ou est-ce un homme qui représente le bien-être et les profits de Big Pharma et des agendas cachés derrière la pandémie orchestrée ?


Article de Paul Craig Roberts paru sur son blog il y a quelques jours.

Cerise sur le gâteau pour ce qui concerne la France : 

https://www.youtube.com/watch?v=V_bnCyNSBas&t=179s



Vers la grève générale contre le pass sanitaire et la casse des moyens santé

[Source : mediapart.fr]

Le mouvement s’amplifie et s’accélère dans la santé. Un mouvement identique pourrait se déclencher aussi chez les territoriaux où de premiers appels à la grève sont lancés, et chez les pompiers où la colère gronde.

Appel à la grève illimitée contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale à partir du 5 août dans les hôpitaux de Marseille, après déjà Montélimar, Lyon, Bastia, Poitiers, Nord Franche-Comté, Lille, la Martinique, le Lot… le droit de retrait aux Urgences de l’hôpital Tenon à Paris… plusieurs EHPAD ou centres de santé également en grève…

Les grèves se multiplient dans les hôpitaux contre l’obligation vaccinale et le pass sanitaire


FO CHU de Lille

GRÈVE GÉNÉRALE -CHU DE LILLE -JEUDI 05 AOÛT 2021 – DEVANT LE BÂTIMENT ICP (cardio)…

NE PAS OUBLIER !!!

GRÈVE GÉNÉRALE AU CHU DE LILLE

JEUDI 05 Août 2021
DEVANT L’ICP (hôpital cardio)
A partir de 13h00

Manifestation contre l’obligation de vaccination et contre les sanctions possibles envers les soignants et non soignants qui refusent de se faire vacciner …

Ce n’est absolument pas une grève contre le pass-sanitaire.

Chacun est libre de se faire vacciner ou non.


ET ENCORE UN HÔPITAL QUI REJOINT LA LUTTE CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET LE PASS SANITAIRE

Vaccination : préavis de grève illimité au centre hospitalier Jura Sud dès le 5 août

C’est sur sa page Facebook que la CGT du Jura a annoncé la nouvelle ce vendredi 30 juillet.

« Ça bouge avec la CGT de l’hôpital de Lons-le-Saunier sur la vaccination obligatoire et le pass-sanitaire. Vaccination OUI, mais seulement sur la base du volontariat. » Les mots sont clairs. C’est sur la page Facebook de l’Union départementale de la CGT du Jura que les élus du syndicat CGT du centre hospitalier Jura Sud ont annoncé la nouvelle ce vendredi 30 juillet.  



« Nous déposons ce jour, un préavis de grève illimitée pour tous les professionnels de santé à compter du jeudi 5 août, à minuit. » 

Parmi les revendications, « l’opposition au pass-sanitaire qui fait le jeu de la discrimination, l’opposition à l’obligation vaccinale pour les professionnels de santé », ou encore « la reconnaissance en maladie professionnelle de la SARS-Cov2 ». 

A noter, que le 24 juillet dernier, près de 500 personnes ont manifesté dans les rues de Lons-le-Saunier, contre le pass-sanitaire.


LE GOUVERNEMENT S’ACHARNE A DÉTRUIRE LA SANTÉ PUBLIQUE

LE CARACTÈRE POLICIER DE SA CAMPAGNE CONTRE LES NON VACCINÉS EST JUSTE DESTINÉE A LE CACHER

LES MANIFESTATIONS ANTI PASS SANITAIRE DU 31 JUILLET DOIVENT ÊTRE AUSSI DES MANIFESTATIONS POUR PLUS DE MOYENS ET DES EMBAUCHES POUR LA SANTÉ PUBLIQUE

(CIU = Collectif Inter Urgences)


QUAND LES SOIGNANTS DEMANDAIENT PLUS DE MOYENS ET D’EFFECTIFS, MACRON LEUR ENVOYAIT LES FLICS

ET MAINTENANT IL LES MONTRE DU DOIGT POUR CACHER QU’IL N’A RIEN FAIT

Marion D. Infirmière, street medic, réclamait des moyens pour l’hôpital il y a quelques temps. Elle fut rouée de coups…


La France a été mauvaise dans la recherche contre le Covid, selon la Cour des Comptes

Un rapport de la Cour des comptes étrille le manque de moyens alloués à la recherche française ainsi que l’absence d’un « chef de file » pour coordonner la gestion de crise.

CORONAVIRUS – Les financements accordés à la recherche publique en France pour lutter contre la pandémie de Covid-19 ont été “nettement en retrait” par rapport à d’autres pays et “trop dispersés pour répondre aux enjeux de la crise” notamment sur la recherche de vaccin, estime ce jeudi 29 juillet la Cour des comptes.

Cette situation découle de “défauts structurels” que la mobilisation en urgence de tous les acteurs n’a pas suffi à pallier, ainsi que de l’absence d’un “chef de file” clair, analyse l’organisme de contrôle dans un “audit flash”, mené en quatre mois.

Entre janvier 2020 et mars 2021, “le montant total des ressources affectées à la recherche publique française sur la Covid-19 s’élève à 530,17 millions d’euros, fonds européens compris, ou à 502,48 millions d’euros sans ces fonds”, calcule la Cour des comptes.

Cette estimation a été obtenue en additionnant tous les “crédits d’intervention” (donc hors rémunération des chercheurs titulaires) attribués aux organismes de recherche, aux universités et aux centres hospitaliers universitaires, de sources publiques et privées. Du fait du calendrier particulier de cet audit, elle a pris en compte les crédits alloués et non les dépenses effectivement exécutées.


VERAN EST-IL VRAIMENT MÉDECIN ?

https://twitter.com/__iron_man_/status/1420330925993385988



Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?

[Source : Aube Digitale]

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination anti-Covid et sur le passeport vaccinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ »occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vaccine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

https://www.youtube.com/embed/1jMLzMpL_sE

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vacciner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Traduction de Alt-Market.us par Aube Digitale




Messieurs, je ne vous salue pas car un militaire ne salue jamais des criminels

[Sources : NS2017, ripostelaique.com et profession-gendarme.com)]

Par Colonel Jacques Amiot

C’est la déclaration de guerre de Macron du 12 juillet qui a provoqué ma vive réaction.

Elle correspond en effet à une quasi-obligation vaccinale, ce qui n’était pas du tout annoncé par le pouvoir qui a menti une fois de plus.

Je refuse absolument l’injection, pour moi et mes proches, d’un produit en cours d’expérimentation pour lequel personne ne peut assurer qu’il ne comporte pas de graves dangers à moyen et long terme ; d’autant, qu’à court terme, il y a des décès et des effets indésirables lourds, certainement sous-évalués.

À l’évidence, on se rend compte que la volonté d’imposer la vaccination était en fait prévue depuis début 2020, et que c’est la raison qui a poussé le pouvoir à refuser aux médecins généralistes les possibilités de soins précoces. S’il avait admis qu’il y avait des possibilités de soins, il n’aurait pas pu imposer le vaccin ; ce qu’il tente sournoisement de faire actuellement.

Ce refus de laisser les médecins généralistes soigner leurs patients a provoqué de nombreux décès, abouti à l’engorgement des hôpitaux, provoqué l’effondrement de l’économie et ses séquelles. Je confirme donc que c’est une décision criminelle.  

Besançon le 28 juillet 2021

Monsieur le Président de la République,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre de la santé,

Quoi qu’il puisse m’en coûter je n’hésite pas à affirmer que vous êtes des criminels et j’associe à cette accusation tous ceux qui vous soutiennent dans votre funeste besogne : certains élus, journalistes, (je ne généralise pas).

Vos premiers crimes remontent au début de 2020 quand, par décret, vous avez refusé aux médecins généralistes la possibilité de soigner leurs patients sous des prétextes fallacieux. Depuis cette époque vous avez des dizaines de milliers de morts sur la conscience car beaucoup de nos concitoyens auraient pu être traités et sauvés.

Je vous défie de me prouver le contraire, car, partout dans le monde, des médicaments ont prouvé leur efficacité. Début 2020 on a aussi découvert que la Chloroquine, largement utilisée depuis plus de 70 ans notamment en Afrique, était mystérieusement devenue un produit dangereux.
Le seul but de cette décision totalement illogique et condamnable a été de pouvoir imposer un « vaccin » en tentant de justifier qu’il n’y avait pas d’autres solutions.
La vérité finira par éclater ; vous ne pourrez pas encore la cacher bien longtemps.

Depuis plus d’un an le général Delawarde fait des recherches minutieuses et publie des analyses approfondies par lesquelles il a démontré que les pays qui pratiquent les traitements précoces ont proportionnellement beaucoup moins de décès que la France ; bien tardivement l’Institut Pasteur vient d’ailleurs de confirmer l’intérêt de l’Ivermectine. Le général a également démontré que la « pandémie » était très largement surfaite et qu’elle pouvait être gérée de manière beaucoup moins destructrice. D’autres maladies sont beaucoup plus meurtrières mais on en parle très peu.

Vous êtes des criminels, car, toujours en raison de ce refus de soins, les hôpitaux ont été engorgés, des opérations et des soins urgents ont été repoussés avec pour conséquences de nombreux décès ; sans parler de « l’assassinat » de personnes âgées par le Rivotril par manque de moyens en raison de votre incurie.

Vous êtes des criminels, car, toujours pour cette raison, vous avez provoqué l’effondrement de l’économie avec pour conséquence un chômage de masse, des suicides…
Messieurs de l’exécutif je ne suis pas anti vaccin ; depuis des années, avec mon épouse, nous nous faisons vacciner contre la grippe et je ne critique pas ceux qui se font « vacciner », car c’est leur choix qui, souvent, a été largement provoqué par la propagande de médias aux ordres.
Il ne faut pas s’étonner de cette attitude de nombreux médias car beaucoup sont la propriété de ceux qui vous ont propulsé au pouvoir par effraction, avec l’aide efficace de la justice, qui a bien opportunément disqualifié monsieur Fillon.

Il est par contre monstrueux de vouloir injecter de force aux Français des produits, toujours en cours d’expérimentation et dont on ne connait absolument pas les effets notamment à moyen-long terme. Les Français, à vos yeux, ne sont rien d’autres que des cobayes soumis au bon vouloir de puissants laboratoires pharmaceutiques.
Manifestement vous accomplissez scrupuleusement la feuille de route prévue depuis longtemps par les mondialistes dont le seul souci est d’imposer un « vaccin » afin d’engranger des milliards de dollars.

Pour imposer cette feuille de route vous avez constamment menti aux français et gouverné par la peur, des cas, des hospitalisions, des décès largement surévalués.
Les mesures que vous avez décidées le 12 juillet sont le fruit de l’imagination de psychopathes tyranniques. Nous faisons partie des cinq pays du monde à être rentré dans une tyrannie plus que draconienne. Qu’est devenue la patrie des droits de l’homme ?
Par plusieurs lectures j’ai compris que pour imposer une gouvernance mondiale les mondialistes devaient préalablement éliminer les nations souveraines ; j’avais encore un léger doute, mais je n’en ai plus.

Messieurs Klaus Schwab, Jacques Attali, Georges Soros, Bill Gates, Anthony Faucy, et beaucoup d’autres ne s’en cachent pas ; pour s’en convaincre il suffit de retrouver les déclarations et écrits de ces oligarques qui se prennent déjà pour les maitres du monde.
Avec eux vous participez donc activement à la destruction de la France, et actuellement vous nous préparez le coup du variant Delta, certainement pas plus létal que les précédents, de manière à soumettre encore un peu plus le peuple.

Le Conseil Constitutionnel et le Conseil d’État démontrent que l’on ne peut rien attendre d’eux ; ils sont complices.
Nous avons bien compris que vous voulez culpabiliser les non « vaccinés » et, surtout, que votre principal but est de dresser les Français les uns contre les autres. J’espère qu’ils auront l’intelligence de ne pas tomber dans ce piège maléfique ; sans quoi tout peut arriver.
Pour moi il ne s’agit pas uniquement de liberté de choix, mais, surtout, de préserver mon intégrité physique et celle de mes proches. Affirmer que les « vaccins » ne présentent pas de risques graves relève de la « voyance » et non de la science.

À vos places je ne serais pas tranquille, car l’histoire a montré que les tyrans et leurs collaborateurs finissent en général très mal. Je comprends que des Français, peut-être naïfs et crédules pour certains, veuillent devenir députés (c’est une bonne place) ; je comprends que des journalistes veuillent préserver leur emploi, mais beaucoup devraient se méfier de ne pas trop collaborer avec un pouvoir devenu tyrannique, car ils risquent d’en payer le prix fort. On surveille, on note.
Je ne vous salue pas, car un militaire ne salue pas des criminels.

Colonel Jacques Amiot

Colonel Amiot
Lieutenant-colonel de l’Armée de l’Air



Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike

Par François Daubé (Directeur IPSE)

Bonjour à tous,

Voici la publication que nous publions sur le site de IPSE (International Political & Scientific Ethics – Genève) afin d’alerter les autorités sur les résultats récents de plusieurs études démontrant qu’il serait urgent de réévaluer le Bénéfice/Risque d’une campagne de vaccination de masse contre le SARS-Cov2. 

Le ton utilisé et les arguments techniques mentionnés sont basés sur l’intention de communiquer des faits, et non pas une opinion, sur une démonstration et non pas un débat, afin de conquérir l’audience des personnes qui ont peur, qui se vaccinent et qui pensent être solidaires en appliquant docilement les intimations des médias d’Etat. 

Je vous remercie de relayer cette publication par mail (voir lien ci-dessous) vers toutes les institutions de santé et d’éducation, vers tous les médias également, afin de semer le doute individuel contre la machination de l’intelligence artificielle déjà en service pour dérouler le plan Covid-19, et contre laquelle il semblerait que nous ayons toujours un temps de retard.  

Je vous remercie infiniment pour votre contribution.

Voici le lien pour signatures: https://www.ngo-ipse.ch/petition.php?id_sujet=7 

François Daubé

Directeur ONG IPSE (International Political & Scientific Ethics – Genève)




Pass sanitaire ou pass suicidaire ? « Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France. »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans « Profession Gendarme », un article intitulé « Quand cesserons nous d’être des moutons ? » dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n’empêcheraient la deuxième vague. L’Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l’Histoire m’a donné raison, mais cela a continué, car j’avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n’auraient aucun effet sur le freinage de l’épidémie. En fait à l’époque, les gens croyaient qu’en obéissant cela s’arrêterait, et je leur disais 

« C’est justement parce que vous obéissez que cela ne s’arrêtera jamais… »

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu’il m’est difficile d’accepter qu’une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n’a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n’aient pas d’avantage dénoncé ces contradictions :

  • Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
  • Le confinement « allait faire accélérer l’épidémie« , puis un mois plus tard, « allait la freiner« 
  • Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d’antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
  • Plus récemment « les enfants n’attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux » puis « Ils doivent se vacciner« .
  • Dans les restaurants, dès que l’on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu’en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
  • Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s’il travaillait de nuit comme les infirmières… »

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la « Scientocratie ». Comment définissez vous cela ?

Ce que j’appelle la Scientocratie, c’est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de « scientifiques » dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu’il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l’on tombait malade, car « il n’y avait pas de traitement« , et que seul le « vaccin » nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant « laissez-nous prescrire« , car quiconque prescrivait l’une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s’il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l’objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l’on continue d’écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l’inefficacité de leur « Savoir ». Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des « thérapeutiques mondialement connues ». Pouvez vous préciser ?

Comme je l’ai déjà expliqué, l’on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d’un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l’artemisia annua
4- l’ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d’effets secondaires, à condition qu’elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s’ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l’on avait attendu que l’état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques « ne marchaient pas… »

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le « vaccin » pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d’autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d’arrêter l’épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé « Covid 19 : injection chimérique transgénique – l’hécatombe vaccinale s’étend dans le monde » le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu… le variant anglais… Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n’en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu’ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l’un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd’hui.

J’ai l’impression que non seulement ce « vaccin » ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on « vaccine », plus il y a de malades !

On parle d’effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu’au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d’effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu’il « y a très peu d’effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d’Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu’ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l’on est sur le point d’assister à la publication d’un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d’essai clinique jusqu’en 2022, voire 2023.

La Convention d’Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d’entre nous risquent d’être contraints de recevoir une injection d’un produit expérimental, qui n’est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s’arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d’autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n’existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d’autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d’infirmières ou de pompiers stupéfaits d’amener tous les jours des « vaccinés » aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : « Dois-je risquer de mourir ou d’être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?« 

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d’arrêter toute cette campagne de « vaccinations ».

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

« On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur« 

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement « du Covid » ! La consigne dans les hôpitaux était d’en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m’ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d’hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l’épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l’on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n’avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N’importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d’autre promeneurs, c’est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s’ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l’aide des slogans publicitaires, des affiches etc…

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre « comme avant »… Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu’on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies « aux composants du vaccin... »

On baigne dans l’absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d’essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c’est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens…) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu’on ne connait pas.
2- Pour savoir si l’on est allergique à un des composants, il n’y a qu’une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, « Maintenant je sais que je suis allergique… »

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu’avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
– Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
– Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
– Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d’empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l’Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d’empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n’est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d’encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves « sont très rares », procède d’une volonté criminelle délibérée.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits actuellement proposés, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu’ils appellent un « muselage de la population ». Par dizaines, ils nous expliquent l’inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l’Irsan qui écrit :

« De la même manière que le confinement généralisé d’une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n’a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l’Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d’établissements de l’académie, il s’est rendu coupable, ainsi que d’autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d’obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l’expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d’enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d’âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n’étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n’ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n’a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d’être interdite, étaient rappelés à l’ordre par le Conseil National de l’Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux « données acquises de la Science » et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane »,
b) Soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu’attendre que l’état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l’ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n’avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l’hôpital.

M. le Président du Conseil National de l’Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu’en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l’une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n’obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C’est donc en connaissance de cause qu’il a contribué à laisser s’aggraver l’état de santé de milliers de personnes.

Comment voyez-vous l’avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l’annonce du 12 juillet, j’ai reçu des dizaines d’appels d’infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

  • Inquiétude pour les personnes : Ils m’indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une « vaccination ». Ils me parlent d’hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.
  • Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L’avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l’on apprend que tant en Israël qu’en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » avaient été « vaccinées », l’on est en droit de se demander si le « vaccin » n’a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit « n’avait pas eu le temps de faire son effet », comme si l’on allait tenir pour postulat que la personne l’aurait « attrapée » même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c’est que dans l’esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l’aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

[Rappel : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Pour la gauche, c’est un acquis social, un progrès de l’humanité. Il est vrai que j’y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l’évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu’il s’agit d’une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s’agit de décès ou d’effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu’on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d’école, font comme s’ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu’ils nous obligent à manger, nous perturbe autant… Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le « vaccin » était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu’ils voient. C’est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d’un kilomètre de cortège le long d’une avenue à quatre voies, le journal local écrivait « Quelques centaines de manifestants... »

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu’en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n’en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : « La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé... »

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s’arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l’ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus il y a de malades.

Cela ne s’était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague « C’est de la faute des non-vaccinés », il est fort possible que dans beaucoup d’hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant « Êtes-vous vacciné ? » Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l’information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n’annulerait pas les contrats…

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu’elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement « mort du Covid » (et non de l’injection).

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l’on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

[Points de vue sur le but :
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Jean-Pierre Joseph est auteur de « Vaccins : on nous aurait menti ? » (5° édition 2020)

L’association BonSens.org fait savoir qu’elle s’associera à ces plaintes en y apportant son soutien.

Auteur(s): FranceSoir




Manifestations massives dans toute la France contre le pass sanitaire pour le troisième samedi consécutif

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Manifestation à Paris contre le pass sanitaire le 31 juillet 2021. (Photo ALAIN JOCARD/AFP via Getty Images)]

PAR AFP

La mobilisation contre l’extension du pass sanitaire et la vaccination obligatoire est très forte ce samedi dans toute la France. Les foules se sont rassemblées sur environ 200 points de manifestations dans plus de 150 villes dont Paris, Marseille, Toulon, Draguignan, Poitiers, Toulouse, Aix-en-Provence, Montpellier, Bordeaux, Nice, Metz, Nantes, Pau…

Selon les résultats d’une étude Harris Interactive x Euros Agency pour LCI publiée vendredi, près de la moitié des Français déclarent soutenir les manifestations contre l’instauration d’un pass sanitaire.

A Paris, deux manifestations sont particulièrement suivies. L’une d’elle est partie du métro Villiers (XVIIe) vers 14H00 en direction de la place de la Bastille (XIe). Une autre a démarré à 14H30 à proximité de la gare Montparnasse (VIe) pour un défilé en direction du ministère de la Santé (VIIe), à l’appel du président des Patriotes Florian Philippot.

https://twitter.com/CharlesBaudry/status/1421445417825357830?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1421445417825357830%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffr.theepochtimes.com%2Fmanifestations-massives-dans-toute-la-france-contre-le-pass-sanitaire-pour-le-troisieme-samedi-consecutif-1804890.html

Le président du parti pro-Frexit UPR (Union populaire républicaine) François Asselineau a de son côté annoncé vendredi être positif au Covid-19, et donc empêché de manifester contre le pass sanitaire, qu’il juge « absurde, injuste et totalement liberticide ».

Un rassemblement, initialement prévu devant BFM-TV, a été interdit. Une vingtaine de personnes étaient rassemblées samedi matin devant la chaîne, dans une rue bouclée par des dizaines de camions de police, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Plus de 3.000 policiers et gendarmes seront mobilisés pour encadrer les manifestants et sécuriser les lieux sensibles, une semaine après que des manifestants ont été repoussés des Champs-Élysées.

Un  important dispositif policier était en place ce samedi matin sur la célèbre avenue parisienne, et ses principales entrées bouclées par des gardes mobiles, selon un photographe de l’AFP.

Regroupée autour des mots-dièses #manif31juillet et #PassDeLaHonte sur les réseaux sociaux, l’opposition aux mesures gouvernementales pour lutter contre le Covid-19 fédère des manifestants anti-pass sanitaire, anti-vaccins ou anti-confinement, aux revendications protéiformes.

Dans les cortèges, où figurent également de nombreux « gilets jaunes », les manifestants fustigent un pass sanitaire « liberticide » et affirment marcher « contre la dictature ».

Le pass sanitaire a été adopté définitivement dimanche soir, après six jours de débats houleux à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Déjà appliqué dans les lieux culturels et de loisirs depuis le 21 juillet, son extension pour les cafés, foires, salons, restaurants et trains est prévue le 9 août. Entre temps, le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur la loi le 5 août.

La Guadeloupe vient de perdre un de ses artistes les plus renommés, Jacob Desvarieux, membre fondateur et pilier du groupe Kassav’, mort vendredi à 65 ans des suites du Covid. Il avait reçu trois doses de vaccin mais il était aussi immunodéprimé depuis une greffe rénale.