Pas ou peu de Covid dans les pays du paludisme

[Source : Maurizio Blondet]

C’est un fait : dans les régions du monde où le paludisme fait rage, le coronavirus est absent.

L’endémicité est très élevée en Asie du Sud-Est, très élevée en Afrique équatoriale (mais pas en Afrique du Sud qui est tempérée), au nord du Brésil et au sud du Mexique, en Guyane française, en Amérique centrale. Dans les régions voisines, comme Cuba, la lutte contre le plasmodium est une tradition de santé.

Les gouvernements eux-mêmes conseillent et paient leur personnel pour les médicaments antipaludiques, parmi lesquels la chloroquine et ses dérivés sont massivement présents, bien que la résistance du plasmodium à ce vieux médicament ait été signalée.

Il est utile de savoir que la recherche, pour lutter contre la résistance de l’agent antipaludique à ces médicaments, a repris pour s’intéresser à l’artémisine, un extrait d’Artemisia annuel déjà connu pour ses propriétés de prévention du paludisme depuis les années 1970, et associé à l’amélioration de ses effets avec un antipaludique synthétique, méfloquine ou, oui, hydroxychloroquine ou similaire, même l’ancienne quinine (nom commercial Quinimax). En fait: depuis 2001, l’artemisiathérapie combinée (ACT) est le seul traitement recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé.

Cependant, les Français opérant dans les régions tropicales paludéennes prescrivent encore (et adoptent pour eux-mêmes) la chloroquine (Novaquine) comme prophylaxie.

Presque tous les antipaludiques utilisés (à l’exception de la doxycycline, un antibiotique) sont aussi des vermifuges antiparasitaires, tous massivement ingérés par les populations de la zone marécageuse; comme l’ivermectine, « un vieux médicament utilisé pour un large éventail d’infections parasitaires et, ces dernières années, avec des indications potentielles plus larges, s’est avéré efficace pour réduire la charge virale de 99,98 % en 48 heures dans les cellules de culture in vitro infectées par le SRAS-CoV2 » (ARS Toscana).

L’exemple de l’Afrique du Sud est significatif – il n’y a pas de paludisme (à l’exception de certaines régions du Natal) et on n’utilise pas de chloroquine : il compte un nombre de décès Covid pour 1 000 000 habitants comparable à l’Europe, soit dix fois plus que dans les pays marécageux plus septentrionaux.

Aucun pays de la ceinture du paludisme en Afrique ne compte plus de 5 ou 6 décès Covid pour 100 000 habitants. En Amérique du Sud, le paludisme n’existe pratiquement pas ou n’existe plus que dans quelques pays, et il n’y a pas de médecins qui contestent l’interdiction de l’hydroxychloroquine sanctionnée par l’OMS… En conséquence, le record appartient au Mexique avec le même taux de mortalité que la France, 89 pour 100 000 habitants. La Colombie échappe le plus souvent au paludisme mais pas à la Covid (77 décès pour 100 000 habitants, la même chose pour le Pérou (114). Il n’y a pas de paludisme au Chili, mais pour la Covid 84 décès pour 100 000.

Au Mexique, le contraste entre Mexico sans paludisme (et sans chloroquine) et la région du Chiapas en dit long. Ce dernier semble immunisé contre la Covid. La population combine antipaludique et distribution massive d’ivermectine…

Chiapas (jaune) a distribué de l’ivermectine. Aucun autre État mexicain ne l’a fait.

Les régions impaludées d’Amérique centrale ? Haïti en mauvaise santé, 2 décès pour 100 000 habitants. Cuba 1,2. Venezuela 3. Les autres pays ont encore deux à trois fois moins de décès Covid que le Mexique voisin : Honduras 30, Belize 47, Costa Rica 37, République dominicaine 22, El Salvador 18, Guyana 18, Guatemala 25.

L’Asie du Sud-Est présente plus d’un mystère :

  • Taïwan: 0,03
  • Vietnam: 0,04
  • Thaïlande: 0,09
  • Myanmar: 4.10
  • Malaisie: 1,2
  • Inde: 10,5
  • Indonésie: 7
  • Bangladesh: 4
  • Philippines: 7

Comment se fait-il que le Vietnam super marécageux (delta du Mékong…) ait la même résistance à la Covid que Taiwan, tempéré mais sans coronavirus ? Que prennent les Taïwanais pour avoir un impact sur le virus [avec un nombre de morts qui] est une fraction de ceux aux États-Unis et en Europe ? Pourquoi le Bangladesh (delta du Gange-Bramaputra : j’y suis allé et je peux vous assurer que c’est un immense et monstrueux marais paludéen) a-t-il moins d’incidences que l’Inde ? L’artémisine est également largement utilisée partout dans ces pays sous forme de médecine traditionnelle; et l’ivermectine est largement prescrite, ou d’autres antipaludiques à base de chloroquine.

Voici un tableau « sauvage » de ce qui s’est avéré utile dans la pratique. La liste des substances qui aident à la prophylaxie (par-infection) est intéressante: de l’aspirine au viatmina D, de l’acétylcystéine (Fluimucil…) au zinc. Nulle part la «thérapie de l’espoir» n’apparaît : juste de la tachypirine et attendre de suffoquer…




Le virus et le président

[Source : is-edition.com]

Enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l’Histoire

Auteurs : Jean-Loup IZAMBERT – Claude JANVIER

Résumé

Début 2020, le virus de la Covid-19 se propage rapidement dans tous les pays du monde. Mais pas partout de la même façon… Il semble exister une exception « Française d’Origine Contrôlée par l’Union Européenne », dont l’acronyme laisse entrevoir la façon dont le gouvernement traite cette pandémie.

Dans les couloirs de l’Élysée et de Matignon, les dirigeants de groupes terroristes ont ainsi cédé la place au virus. Nostalgie de son ancien boulot à la Rothschild & Compagnie, dans lequel Emmanuel Macron s’efforçait, selon son propos, de « séduire un peu comme une prostituée » ? Toujours est-il que le président s’entiche de ce nouveau tueur qui paralyse pourtant l’économie de son pays..

Mais que cache ce racolage médiatique ?

Dans « Le virus et le Président », co-écrit par le journaliste d’investigation Jean-Loup IZAMBERT et l’écrivain-polémiste Claude JANVIER, plongez dans une enquête sur l’une des plus grandes tromperies contemporaines organisée par un pouvoir politique, main dans la main avec les dirigeants de l’Union « européenne » et les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise ainsi que les enjeux d’aujourd’hui et de demain.

Les auteurs

Jean-Loup Izambert est journaliste d’investigation indépendant (économie,
finance et politique), collaborateur de médias français et étrangers et écrivain. Plusieurs de ses ouvrages ont défrayé la chronique :
« Le krach des 40 banques »,
« Le Crédit Agricole hors la loi ? »,
« Crédit Lyonnais, la mascarade »,
« Faut-il brûler l’ONU ? »,
« 56 – Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels »,
« 56 – Tome 2 : Mensonges et crimes d’État » et enfin « Trump face à l’Europe ».

Claude Janvier est écrivain polémiste. Un rien provocateur, doté d’un humour noir et disciple de Pierre Desproges, il est l’auteur de trois livres « coups de gueule ». Depuis quinze ans, il fouille, déterre, décortique et analyse l’actualité afin de mettre à jour les véritables informations. Il intervient notamment sur Sud Radio, Agoravox, Les Moutons Enragés, Le blog à Lupus, Réseau International, Stratégika, Mondialisation.ca, Planetes360 et bien d’autres. Un beau parcours dans l’hôtellerie et la restauration lui a permis de développer son sens de l’observation. Il reste fidèle à sa devise : « Je râle donc je suis ».

L’idée du livre

En quoi les dirigeants de l’Union dite « européenne » et les dirigeants français sont-ils responsables de la crise sanitaire et comment utilisent-ils celle-ci pour camoufler la crise économique et financière dont ils sont également responsables et qui s’aggrave. L’enquête

Dans un style direct soutenant une argumentation étayée de nombreux faits et témoignages, les auteurs décrivent comment, avec ou sans la maladie Covid-19, les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie – les « écrasés » – se servent de l’État pour s’enrichir de manière éhontée au détriment de l’intérêt général. Et comment le pouvoir politique impose aux Français de nouvelles mesures d’austérité afin de leur faire payer la dette et leurs crises économiques et financières résultant de leur politique. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise et les enjeux d’aujourd’hui.

L’ouvrage est préfacé par le docteur Pascal Trotta, ancien Interne des Hôpitaux de Paris, lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin spécialiste radiologue et fondateur de l’Institut de Médecine naturelle de Saint-Sébastien.

Les 8 chapitres et leur contenu

Chapitre 1- Macronavirus

Retour sur la campagne de communication politique et médiatique sur la crise sanitaire. L’opinion, ça se travaille. Pourquoi les chiffres diffusés par Santé publique France, l’agence nationale du ministère français de la Santé, et ceux de l’Organisation Mondiale de la Santé sur le nombre de décès dus à la Covid-19 ne sont pas fiables. Dirigeants politiques, administrations, médias et autres décideurs travaillent avec ces chiffres… Témoignages. En réalité, ce coronavirus n’est pas plus dangereux qu’un virus grippal et n’a pas augmenté la mortalité globale dans les proportions que le pouvoir politique suggère pour instaurer des mesures qu’aucune base scientifique sérieuse ne justifie.

Chapitre 2 – Mort programmée sur ordonnances

Le budget de la Santé français est préparé par le gouvernement dans le cadre des directives de l’Union « européenne » avant d’être soumis aux parlementaires. Comment, en appliquant à la France depuis 1992 les ordonnances de l’Union « européenne » exigeant la réduction des dépenses de santé et la privatisation du système de santé public au profit de sociétés transnationales, les dirigeants français ont affaibli celui-ci au point qu’il ne puisse plus remplir sa mission ? Que sont ces « ordonnances » ? Comment la Commission « européenne » a méprisé des chercheurs de plusieurs pays qui, dès 2015, alertaient sur une possible épidémie avec des coronavirus et proposaient des solutions pour se préparer à la contrer.

Chapitre 3 – Pour votre santé, plantez des tulipes

Résultat de cette politique : 7 Français sur 10 renoncent à se soigner en raison du manque de moyens financiers, de délais d’attente trop longs et de l’éloignement des structures de soins. En revanche, des fonds publics alimentent des monstres financiers privés de l’industrie pharmaceutique. Dans une opacité presque totale, des fondations privées brassent des milliards d’euros à coups de campagnes médiatiques en profitant du désengagement de l’État. Un rapport de l’Inspection générale des finances et une étude des cabinets d’audit Deloitte et Taste révèlent des intérêts très particuliers au sein de ces organisations « d’intérêt général ». « Il faut maintenant reconstruire » dit le président français qui continue de… détruire.

Chapitre 4 – Camouflage

Car la crise économique et financière était déjà en cours bien avant l’apparition de la Covid-19. Le pouvoir politique tentait alors de colmater les frasques des banquiers de la haute finance avec des fonds publics. En 2018, le Haut conseil des finances publiques alertait déjà sur « des risques économiques importants », puis, en 2020, sur « Une croissance quasi ininterrompue de la dette depuis 10 ans ». Un véritable camouflage médiatique est organisé par le pouvoir politique pour dissimuler ses responsabilités dans la crise économique et financière en attribuant ses conséquences à la Covid-19.

Chapitre 5 – 11 400 milliards en secret

Dans un système où « le secret des transactions est la règle », la « finance de l’ombre » est à l’œuvre. « Chaque seconde, des milliards d’ordres sont exécutés » rapporte Jean-François Gayraud, haut fonctionnaire de la police nationale spécialisé sur les affaires économiques et financières. Un rapport de la Janus Henderson Investors, société spécialiste de la gestion d’actifs mondiaux, révèle que « les sociétés ont également, à travers le monde, versé à leurs actionnaires le montant impressionnant de 11 400 milliards de dollars US au cours des dix dernières années. » Pendant la crise sanitaire, les actionnaires des sociétés transnationales continuent de s’enrichir. Aux États-Unis, entre décembre 2019 et mai 2020, les « profiteurs pandémiques » ont « augmenté leur richesse de plus de 565 milliards de dollars depuis le début de la crise des coronavirus ». Dans le même temps, ceux-ci ont supprimé plus de 22 millions d’emplois.

Chapitre 6 – Tableau de chasse des assassins financiers

Dans des sociétés US de conseil, des « assassins financiers » préparent les plans qui permettent aux transnationales étasuniennes de s’approprier des entreprises et de « nouveaux territoires économiques ». L’un d’entre eux, John Perkins, témoigne sur leurs méthodes. Les appropriations et délocalisations d’entreprises qu’ils organisent ont pour première conséquence l’appauvrissement du tissu économique et social. L’exemple de la donation d’Alstom à la transnationale US General Electric par l’un de leurs collaborateurs : Emmanuel Macron. Bien avant que la maladie Covid-19 n’apparaisse, celui-ci était déjà l’un des principaux responsables de la régression de l’emploi, du saccage du travail et de l’accroissement de la dette publique. Les vrais chiffres du chômage et de la précarité. Autre conséquence : le suicide cote à la hausse. Les enquêtes menées par l’association Soins aux Professionnels de Santé (SPS) confirment l’ampleur du phénomène jusqu’au sein du corps médical. Alors que les professionnels de la santé n’ont plus les moyens humains et financiers de faire face à la maladie, les « profiteurs pandémiques » de France se disent « écrasés » par « l’État interventionniste ». Sans rire.

Chapitre 7 – Les « écrasés »

Pour cette caste d’oligarques, les Français qui vivent avec au moins 6 650 euros par mois après impôt, soit 1% de la population française, sont des pauvres. Leur organisation, le Medef, ne cesse de demander la suppression des charges des entreprises. Mais ils sont la plus lourde charge dans le budget des entreprises qu’ils dirigent comme dans celui de l’État français : plus ou moins 200 milliards d’euros annuels de subventions publiques et d’exonérations de toutes sortes pour maintenir l’emploi – qu’ils assassinent -, développer l’outil de travail – qu’ils délocalisent -, d’allégements de charges et d’impôts – alors qu’ils fabriquent les plus longues files de chômeurs et pratiquent l’évitement fiscal. Qui sont ces «écrasés» qui n’ont pas attendu la Covid-19 pour parasiter l’économie et détruire l’emploi ? Tour d’horizon de l’oligarchie d’origine française. Ils reçoivent aujourd’hui de nouveaux milliards d’euros pour « relancer l’économie » en supprimant… des milliers d’emplois.

Chapitre 8 – « Le guerrier », les endetteurs et les payeurs

Prenant la maladie de la Covid-19 pour prétexte, le président et le gouvernement français décident par décrets de nouvelles mesures antisociales et liberticides. La violence de la répression policière et administrative du mouvement social n’a pas d’égal en Europe. Mais qui est vraiment derrière la dette totale et l’effondrement économique de la France ? Comment dégager l’Etat des réseaux de la grande finance et de la technocratie administrative qui détournent son activité au profit des grands propriétaires privés de l’économie ? La trouille de l’oligarchie financière ? Que le peuple prenne conscience de leur imposture et s’organise pour prendre ce qui lui appartient, fruit du travail de générations. Demain, la démocratie ?

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Pr Perronne reçoit le soutien du Syndicat National des Médecins Hospitaliers FO

[Source : FranceSoir]

Dans un communiqué ce 11 décembre 2020, le Syndicat National des Médecins Hospitaliers FO apporte son soutien au Pr Perronne et donne le sentiment d’avoir plus de bon sens que certains mandarins de l’AP-HP (Assistance Publique Hôpitaux de Paris) sans oublier son Directeur Général Martin Hirsch.

Le communiqué commence par :

« L’exercice de la médecine à l’hôpital comme en ville nécessite le respect de règles inscrites dans le code de déontologie médicale et le statut de praticien hospitalier qui protègent notre indépendance professionnelle et autorisent les médecins à débattre entre eux. La place publique n’est pas le bon endroit pour ce débat et détourne de leur rôle les instances médicales. L’instrumentalisation de ces instances à des fins politiques est encore plus condamnable. »

Puis il continue par déplorer la campagne contre le Pr. Perronne

« La campagne dirigée contre notre collègue le Professeur Perronne constitue de ce point de vue une menace pour tous les médecins. La motion de la CME de l’AP-HP condamnant le Pr Perronne s’inscrit malheureusement dans cette campagne. Nous le déplorons. »

Le SNMH FO n’a pas vocation à se prononcer sur les débats scientifiques légitimes concernant les stratégies thérapeutiques. Le syndicat regroupe des médecins hospitaliers de toutes opinions sur la seule base de la défense de leurs intérêts matériels et moraux. C’est pourquoi il ne peut pas accepter qu’un collègue PU-PH ou PH soit attaqué parce que, publiquement, il n’adhère pas à la ligne officielle, au consensus.

Et il s’interroge sur le bienfondé de la demande de Martin Hirsch :

« Y aurait-il bientôt une médecine d’état, une vérité d’état ? La présidence de la CME de l’AP-HP est-elle fondée avec sa demande en direction de Martin Hirsch (directeur de l’AP-HP) de saisine du conseil de l’ordre des Hauts de Seine à l’encontre du Professeur Perronne ? »

Où est la confraternité ? Gare à celui qui n’adhère pas à la vérité officielle ?

Les attaques, menaces, cabales, contre Christian Perronne doivent s’arrêter. La procédure de retrait d’agrément pour l’enseignement en maladie infectieuses et tropicales doit cesser. La motion de la CME doit être abandonnée.

Le SNMH FO défendra tous les médecins dont l’indépendance professionnelle est attaquée et ceux qui, PH ou PU-PH et MCU-PH, sont attaqués dans leurs statuts de médecins hospitaliers ou d’universitaires-fonctionnaires d’Etat avec leurs devoirs et droits.

Pour finir le SNMH FO envisage une démarche commune :

« Le SNMH FO s’adresse à l’ensemble des organisations syndicales de médecins hospitaliers pour envisager une démarche commune contre cette chasse aux sorcières. »

Le communiqué est signé du Dr Cyrille Venet Secrétaire général SNMH FO

Auteur(s): FranceSoir




Crise Covid-19 en Suède ? Différence entre ce que rapportent les médias et le vécu quotidien du peuple

[Source : Lucie Mandeville]

https://youtu.be/JH6DJbntl6U



La trahison mondialiste, c’est le coup de poignard dans le dos de Macron et Véran contre la santé des Français et contre l’économie de la France.

[Source : Dreuz.info]

PUBLIÉ PAR THIERRY FERJEUX MICHAUD-NÉRARD

Le socialiste Véran, qui fut, pendant la guerre à la con de Macron contre le Coronavirus, le sinistre de la santé, a trahi l’éthique médicale et la France, contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français. Un réquisitoire conséquent, digne du tribunal révolutionnaire des années de la Terreur à la Fouquier-Tinville, pour forfaiture contre Macron et Véran, est attendu de la Haute-Cour de Justice. Certains attendus de ce réquisitoire sont très significatifs. Les voici :

Attendu qu’il est constant pour la Cour qu’un plan a été concerté sur le territoire de la République, dès la fin de 2019, pour ruiner la santé du pays en portant atteinte à la force morale de la nation et à l’esprit de discipline des Français, et que cette propagande criminelle s’est exercée notamment avec la collaboration des journaux et des télés vulgaires en continu, LCI et BFM-Macron, par la diffusion de mensonges sur la mortalité et sur la dangerosité du Coronavirus, et par la répétition des discours trompeurs des autorités sanitaires ;

Attendu que le sinistre de la santé Véran n’a pas ignoré l’existence de la mainmise de Gilead dans cette entreprise de manipulation-désinformation, dont tous les vrais experts non corrompus par la mafia des labos ont signalé la gravité, et qui a été la cause principale des révoltes contre les amendes iniques et la répression scandaleuse de Macron contre les personnes âgées et les plus faibles, malgré l’impunité de fait des racailles islamistes du 93 et des Black blocs gauchistes révolutionnaires accordée par le lâche Macron ;

Attendu qu’au lieu de s’opposer à cette propagande mensongère, Macron a accordé des subventions aux médias dont les principaux collaborateurs sont mis en cause pour intelligence avec l’ennemi-Gilead, et en ce que Macron a facilité, par des faveurs et des complaisances abusives, les agissements criminels de Gilead contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français, et qu’il a entravé la surveillance des tractations auxquelles se livrait la mafia des labos avec les faux experts de Macron et surtout ses copains corrompus des comités bidons, les « pieds nickelés de la science des affaires » ;

Attendu qu’il s’est refusé à empêcher la propagande contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et contre le peuple français, et aussi contre l’épidémie des mensonges avec la propagande vaccinale de la mafia des labos, qui fait toujours plus de ravages chez les pauvres gens mal informés et crédules ;

Attendu que Macron s’est refusé à empêcher le complot antipatriotique des vaccins des milliardaires de Davos contre les peuples, ce qui éclaire la méfiance et la révolte des Français contre les vaccins ;

Attendu que Véran a refusé d’autoriser l’usage du protocole du Pr Raoult et de l’hydroxy-chloroquine dans les débuts de la maladie, au moment où elle pouvait être utilement pratiquée en médecine de ville ;

Attendu que le socialiste Véran s’est refusé à la saisie du CSA à propos des faux-experts collabos et des gaucho-macronistes post-soixante-huitards du type Cohn-Bendit-Goupil sur les télés vulgaires en continu, surtout LCI et BFM-Macron, excitant avec des généralistes affairistes encartés, ces abrutis et ces ignares, le dénigrement systématique des travaux du Pr Raoult avec l’hydroxy-chloroquine et la trahison des Français ;

Attendu qu’en vertu des instructions qu’il a données, l’action de la déontologie médicale et des règles sanitaires pour soigner les malades a été suspendue ou empêchée au profit de la mafia des labos ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran prétend vainement pour sa défense qu’il n’a fait qu’exécuter la politique de Macron et les instructions absurdes du gouvernements dont il fait partie ;

Attendu que cette politique du mensonge du socialiste Véran pour dissimuler la gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus par Macron, qui a été absolument incohérente, inhumaine et brutale, et pour cacher l’abjection des copains de Macron corrompus par Gilead et des « pieds nickelés de la science des affaires » diffusée dans les médias collabos pro-Macron pour tromper les Français à propos du Coronavirus ;

Attendu que la politique du mensonge du sinistre socialiste de la santé Véran contre tous les Français face au Coronavirus en fait l’ennemi de la vérité sur la crise sanitaire et justifie sa mise en cause devant la Haute Cour de Justice, d’autant que l’accusation reproche à juste titre à Véran d’avoir poursuivi une politique personnelle d’abandon de la santé des Français et de faiblesse devant les copains des CHU corrompus par Gilead, les « pieds nickelés de la science des affaires, qui faisait se renforcer chaque jour le danger de la pandémie du Coronavirus dont il ne pouvait ignorer la gravité, alors que la doctrine du gouvernement dont il fait partie consistait à refuser d’appliquer les principes de la déontologie médicale et des règles sanitaires pour soigner les malades du Coronavirus en début de maladie avec l’application du protocole du Pr Raoult avec l’hydroxy-chloroquine, au moment où elle pouvait être utilement pratiquée pour soigner en médecine de ville ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran soutient encore en vain qu’il était obligé d’agir comme il l’a fait de peur de provoquer des crises avec la mafia des labos et des réactions néfastes de la part des faux experts des CHU corrompus par Gilead, les fameux « pieds nickelés de la science des affaires » ;

Attendu que le sinistre socialiste de la santé Véran a laissé les Français sans aucune défense contre la propagande qu’il laissait s’exercer contre le Pr Raoult, contre l’hydroxy-chloroquine et donc contre le peuple français, et que cette politique justifie pleinement les actes reprochés à Véran parce qu’elle a eu le tort grave de décider les Français interdits de se soigner avec l’hydroxy-chloroquine et le protocole du Pr Raoult ;

Par ces motifs, le procureur à la Fouquier-Tinville décide de renvoyer le sinistre socialiste de la santé Véran devant la Haute-Cour de Justice, tant comme auteur principal, que comme complice de Macron et, du crime d’intelligence avec la mafia des labos, commis notamment en protégeant les faux experts des CHU corrompus par Gilead, l’ennemi objectif et déclaré de l’hydroxy-chloroquine et du protocole du Pr Raoult pour vendre et imposer le remdevisir, un produit dangereux, toxique et inefficace, pourtant acheté à prix d’or par Macron, par Merkel et par les nuls de l’UE sur le dos des contribuables Français et européens.

Deux faits significatifs ont attiré l’attention sur la personne de Macron : son intimité avec Gilead et la Lacombe subventionnée par le Big Pharma, intimité qu’il a raillée mais qui fut confirmée par de nombreux témoins et qui apparaît d’ailleurs très clairement dans les articles et les photos des journaux dès les premières déclarations de la guerre en pantoufles de Macron contre la pandémie du Coronavirus.

Non seulement Macron n’a jamais été un véritable guerrier courageux, intelligent, et particulièrement versé dans les problèmes de défense sanitaire, mais sa vie d’enfant gâté gay-friendly dans les ors de l’Élysée a été âprement critiquée comme dans la sinistre affaire de : « Benalla n’est pas mon amant » et sa gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus fut violemment attaquée sur tous les réseaux sociaux !

Le fin mot de l’affaire c’est que, pendant tout ce temps, le sinistre socialiste de la santé Véran fut au gouvernement le représentant, l’agent, le factotum de Macron totalitaire et de son groupe des faux expert des CHU corrompus par Gilead, les fameux « pieds nickelés de la science des affaires ». Le fait de Macron consista à maintenir au poste le plus important de la guerre sanitaire en pantoufles de Macron contre la pandémie du Coronavirus, un politicien socialiste et un bureaucrate médiocre ignorant de la vraie médecine de terrain.

Ce politicien socialiste, et bureaucrate médiocre moralement vicié, est tout dévoué à Macron et à sa politique de laisser-faire qui a eu pour résultat l’abandon desvieux voués à la mort dans les Ehpad !

Mais pour la France et les Français, l’abjection de la macronnerie vulgaire dans le scandale honteux du Coronavirus, cette illustration de la monstruosité progressiste postmoderne, est une abomination absolue. Et cette abomination de Macron socialiste, pur produit de la société néo-libérale, exigera réparation !

On conçoit parfaitement que l’abjection de la macronnerie vulgaire dans la gestion calamiteuse de la pandémie du Coronavirus, qui révèle le désastre intellectuel des clowns qui nous gouvernent, justifie la haine des Français. Avec le Rivotril, elle est objectivement inhumaine et même déjà post-humaine. L’État a organisé l’euthanasie des séniors en Ehpad, selon Serge Rader, pharmacien et figure du mouvement anti-vaccin.

L’État aurait organisé l’euthanasie des personnes âgées en Ehpad, autorisant l’utilisation du Rivotril, un sédatif utilisé en soins palliatifs pour pallier la pénurie de midazolam utilisé pour endormir les patients en réanimation, et adoucir la fin de vie provoquée des malades en soins palliatifs. On ne les a donc pas admis en réanimation. On a préparé la seringue de Rivotril pour les achever quand ils étaient en détresse respiratoire.

Macron est complètement dépassé. Il veut faire peur aux gens et il recourt à l’autoritarisme ! Voilà qui n’inspire pas confiance dans ce gouvernement des incapables, les clowns socialistes LREM !

Et Macron en a l’entière responsabilité.

Moralité : L’affaire calamiteuse du Coronavirus justifie pleinement le prochain réquisitoire de la Haute-Cour de Justice contre les socialistes Macron et Véran !


Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.




Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins.

[Source : Anguille sous roche]

Gates et ses sous-fifres insistent sur le fait que le milliardaire n’a jamais dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins.

Mais lors d’un entretien avec TED en juin 2020, M. Gates a dit exactement cela. Quelqu’un a édité la déclaration, mais CHD a retrouvé l’original.

12 décembre 2020 (Children’s Health Defense) – Un éditeur a modifié le discours de Bill Gates sur le TED de juin 2020 pour supprimer sa prédiction révélatrice selon laquelle nous aurons tous bientôt besoin de passeports numériques pour les vaccins (diapositive 1). Mais après des efforts considérables, nous avons retrouvé la vidéo originale (diapositive 2).

Les serviteurs de Bill Gates sur le câble et les réseaux d’information, ses crapauds de la radiodiffusion publique, des médias sociaux et de la vérification des faits insistent tous aujourd’hui sur le fait que Bill Gates n’a jamais dit de telles choses. Ils disent qu’il n’a jamais eu l’intention de nous suivre et de nous tracer avec des puces sous-cutanées ou des tatouages injectés.

Ils rejettent ces propos comme étant des « théories du complot ».

Eh bien, le voici de la bouche du cheval.

En 2019, selon un article de Scientific American qui n’a pas encore été publié, M. Gates a chargé le Massachusetts Institute of Technology de construire un système de teinture par points quantiques injectable pour tatouer les informations médicales stockées sous la peau des enfants. Le tatouage a été conçu pour être lisible par une application iPhone.

La société de M. Gates, Microsoft, a breveté une technologie sinistre qui utilise des puces implantées avec des capteurs qui surveilleront l’activité du corps et du cerveau. Elle promet de récompenser les humains qui se conforment aux règles par des paiements en cryptomonnaie lorsqu’ils effectuent les activités qui leur sont assignées.

M. Gates a également investi environ 20 millions de dollars dans MicroCHIPS, une société qui fabrique des dispositifs à base de puces, notamment des puces pour implants contraceptifs avec des interrupteurs marche/arrêt sans fil pour l’administration de médicaments télécommandée par les autorités médicales.

En juillet 2019, quelques mois avant la pandémie de COVIDM. Gates a acheté 3,7 millions d’actions de Serco, un entrepreneur militaire qui a des contrats avec les gouvernements américain et britannique pour suivre et tracer les infections pandémiques et la conformité des vaccins.

Pour faciliter notre transition vers sa société de surveillance, M. Gates a investi un milliard de dollars dans EarthNow, qui promet de couvrir la planète de satellites de surveillance vidéo 5G. EarthNow lancera 500 satellites permettant aux gouvernements et aux grandes entreprises de surveiller en direct presque tous les « coins » de la Terre, en fournissant un retour vidéo instantané avec un délai d’une seconde.

La Fondation Bill et Melinda Gates a également acquis 5,3 millions d’actions de Crown Castle, qui possède des antennes espionnes 5G comprenant plus de 40 000 tours de téléphonie cellulaire et 65 000 petites cellules.

Veuillez faire votre propre copie de ces clips – car le pouvoir de Gates de faire disparaître les faits gênants s’accroît chaque jour numérique.

Lire aussi : Le mensonge de Bill Gates : « Je n’ai jamais été impliqué dans aucune sorte de chose de type micropuce »

Source : LifeSite – Traduit par Anguille sous roche




Contre l’internement du Professeur Fourtillan

[Source : Liliane Held-Khawam]

[Voir Le Pr Fourtillan, apparu dans “Hold-Up”, interné en hôpital psychiatrique contre son gré? MàJ 12/12/2020]

Un membre de l’Académie des Sciences — Institut de France — demande la libération du Prof Fourtillan.

Paul Deheuvels.
Normalien (promotion S1967), agrégé de mathématiques (1969), docteur d’État ès sciences mathématiques (1974), il est professeur de statistique à l’université Pierre-et-Marie-Curie (devenue Sorbonne Université) depuis 1974. Il est élu membre de l’Académie des sciences (section des Sciences mécaniques et informatiques) en novembre 2000.

Wikipédia

À Monsieur le Directeur du Centre Hospitalier le Mas Careiron (Uzès)

Monsieur le Directeur,

Mon nom est Paul Deheuvels, membre de l’Académie des Sciences et professeur à l’Université Pierre et Marie Curie (Université Paris VI -Sorbonne Université). Je vous écris au sujet du Professeur Jean-Bernard Fourtillan. Je le connais depuis de nombreuses années, et je puis vous certifier qu’il est sain de corps et d’esprit, un savant de grande réputation et de forte personnalité, ayant apporté de nombreuses innovations majeures au traitement de maladies neuro-dégénératives, et à l’analyse de la toxicité des adjuvants aluminiques dans certains vaccins. Récemment, il a développé des arguments très convaincants, que je n’ai pas été en mesure de vérifier moi-même, pour impliquer les laboratoires de l’Institut Pasteur dans l’ingénierie génétique de virus grippaux pathogènes. Il est vraisemblable que son activité de lanceur d’alerte ait pu être à l’origine de ce qui vient de lui arriver.

Quelle n’a pas été ma surprise d’apprendre qu’un homme d’un si grand talent ait été interné contre son gré dans un établissement psychiatrique. Je vous mets en garde à l’idée de prolonger une telle détention dont l’arbitraire ne vous échappera pas. Il faut, à l’évidence que le professeur Fourtillan recouvre sa liberté tout de suite.

J’ai eu l’occasion, au cours de ma longue carrière scientifique, devisiter la Roumanie, sur invitation de son gouvernement, alors dirigé par Nicolae Ceaucescu. Il était alors fréquent de voir des universitaires ayant manifesté la moindre dissidence se faire interner en asile psychiatrique. J’en connais qui en sont morts, victimes de traitements allant de l’électrochoc à l’administration de substances psychotropes à hautes doses. Je ne voudrais pas qu’on puisse utiliser de telles méthodes en France, ce qui voudrait dire que notre société aurait basculé dans une certaine forme de dictature. Je crains que ce ne soit déjà le cas.

Pour ces raisons, et au nom de toute la communauté scientifique française, je vous prie de libérer sans attendre le professeur Jean-Bernard Fourtillan, faute de quoi vous seriez complice de voies de fait et d’enlèvement arbitraire envers une personne, littéralement victime d’une lettre de cachet à la mode de 2020. Les très nombreuses personnes qui estiment et soutiennent la valeur professionnelle comme la liberté de penser du professeur Fourtillan ne manqueront pas de porter l’affaire devant la justice s’il n’était pas mis fin sans délai à son enfermement.

C’est parce que je n’ai aucune raison de mettre en doute ni votre honnêteté ni votre compétence professionnelle que je vous envoie ce message. Je n’ai pas d’information sur les donneurs d’ordre de
l’internement de Jean-Bernard Fourtillan. Il n’en demeure pas moins que sa remise en liberté ne relève que de votre autorité. Je vous prie donc de l’exercer dès que faire se peut.

Dans cette attente, recevez, Monsieur le Directeur, l’expression de ma considération distinguée.

Paul Deheuvels

Membre de l’Institut et de plusieurs autres académies


[Source : source:https://odysee.com/]

La vérité sur sa découverte


[Via https://reseauinternational.net/]




Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation

[Source : Guy Boulianne]

« Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant: Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l’impudicité, et c’est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. »

(Apocalypse 17:1-2)

Le pape François a annoncé que le Vatican conclurait une « alliance mondiale » avec les grandes banques mondiales, les entreprises internationales et les fondations mondialistes pour créer un conseil économique visant à redistribuer la richesse à travers le monde.

L’initiative mondialiste, appelée « Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer « des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives ». Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement « Les Gardiens » (The Guardians), se qualifie lui-même de « collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon », indique le site internet.

Selon le communiqué de presse du Conseil, le partenariat avec le Vatican signifie « l’urgence d’unir les impératifs moraux et commerciaux pour réformer le capitalisme en une force puissante pour le bien de l’humanité. » L’héritière bancaire Lynn Forester de Rothschild déclare dans une vidéo : « Nous répondons au défi du pape François de créer des économies plus inclusives qui répartissent plus équitablement les bénéfices du capitalisme et permettent aux individus de réaliser leur plein potentiel ». En réalité, ceux qui se prénomment les « Gardiens » sont la même bande mégalomaniaque habituelle de mondialistes déterminés à mettre en œuvre des politiques d’extrême gauche radicale dans le monde entier, comme le Green New Deal et les initiatives de politique identitaire.

Le Conseil se compose d’entreprises et d’organisations mondiales qui partagent la mission de « mobiliser le secteur privé pour créer un système économique plus inclusif, durable et fiable », selon son site internet. Parmi la liste des « Gardiens » en plus du pape François figurent les PDG de Visa, Mastercard, Bank of America, DuPont, The Estée Lauder Companies, Johnson & Johnson et BP, ainsi que le secrétaire général de l’OCDE, le président de la Fondation Ford Darren Walker, le président de la Fondation Rockefeller Rajiv Shah et l’envoyé spécial des Nations Unies pour le climat, Mark Carney.

On lit sur le site Web de l’organisation : « Le Conseil est déterminé à agir. Il recherche un changement réel et durable pour le bien. Les organisations membres adopteront chacune une approche différente pour mettre en œuvre les Principes pour le capitalisme inclusif, mais chacune s’engage à promouvoir des économies durables, inclusives, fortes et fiables dans le monde entier. (…) Cela comprend une nouvelle amélioration des mesures environnementales, sociales et de gouvernance dans nos opérations quotidiennes alors que nous contribuons à atteindre les objectifs de développement durable des Nations Unies. »

Cela vient après que le Forum économique mondial, les Nations Unies et d’autres institutions ont récemment appelé à une « grande réinitialisation » pour réorganiser le système capitaliste mondial en un ordre mondial transhumaniste socialiste qui éliminerait la propriété privée et la monnaie.


« Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. »

(Apo 17:16)


Les projets subversifs de la Société fabienne

La Base fabienne de 1887

Comment des compagnies mondialistes qui se sont évertué durant toute leur existence à ruiner les peuples comme Visa et Mastercard, à polluer l’environnement comme British Petroleum Company (BP) et à répandre leurs organismes génétiquement modifiés (OGM) comme Johnson & Johnson peuvent-elles prétendre aujourd’hui se mobiliser pour créer « un système économique plus inclusif » et contribuer à atteindre les objectifs de développement durable incluant une nouvelle amélioration des mesures environnementales et sociales ? Je vous rappelle que le vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson est un vaccin OGM (le généticien Axel Kahn, L’Usine Nouvelle, 27-11-2020).

« Le capitalisme a créé une énorme prospérité à l’échelle mondiale, mais il a aussi laissé trop de gens pour compte, a entraîné la dégradation de notre planète et n’inspire pas largement confiance dans la société », a déclaré Lynn Forester de Rothschild, fondatrice du Conseil et associée directrice d’Inclusive Capital Partners. Mais d’où provient donc cet élan d’humanisme alors que la famille Rothschild a de tout temps cherché à causer du tort à des sociétés et à des individus, sans aucun remord ?

À la fin du XIXe siècle, les grands capitalistes libéraux (Rothschild, Carnegie, Rockefeller, etc.) ont soutenu la réforme sociale comme un moyen d’apaiser les classes ouvrières rétives et, finalement, de les placer sous leur contrôle. La Société fabienne était l’organisation clé mise en place à cet effet. Lord Nathan Mayer Rothschild fut donc l’un des premiers partenaires de Sidney et Beatrice Webb à financer leurs projets subversifs. Lord Rothschild lui-même a été personnellement impliqué, avec Sidney Webb, dans la restructuration de l’Université de Londres dans laquelle la London School of Economics (LSE) des Fabiens a été incorporée en 1898. Il a également fourni des fonds pour la LSE et en a été le troisième président, après son parent Lord Archibald Primrose, 5e comte de Rosebery.

Les Rothschild sont sans doute les principaux actionnaires du système mondial de banque centrale. La carrière de Victor Rothschild [1] comme agent soviétique confirme que le plan de ces banquiers basés à Londres pour imposer un “gouvernement mondial” dictatorial s’appuyait sur le Communisme. Le souci de la Société fabienne vis-à-vis de l’organisation internationale fut articulé dès le début dans les documents Fabiens comme le « Gouvernement International » qui fut à l’origine de la création, trois ans plus tard, de la Société des Nations, qui fut remplacée en 1945 par l’Organisation des Nations unies reprenant un certain nombre de ses agences et organismes. [2]

Or, le concept mortifère de l’Agenda 21 est profondément ancré dans la pensée et la stratégie fabienne. En effet, la Base fabienne de 1887 — que tous les membres devaient signer et respecter — stipule ceci :

« La Société fabienne est composée de socialistes. Elle vise donc à réorganiser la société par l’émancipation de la terre et du capital industriel de la propriété individuelle et à leur attribution en communauté pour le bénéfice général. De cette manière, seuls les avantages naturels et acquis du pays peuvent être équitablement partagés par l’ensemble du peuple.

« La Société travaille donc à l’extinction de la propriété privée et en conséquence de l’appropriation individuelle, sous la forme d’un loyer, un prix à payer pour l’autorisation d’utiliser la terre, ainsi que des avantages des sols et des territoires. » [3]

Depuis sa création, la Société fabienne entretient des objectifs ténébreux et diaboliques. Beatrice Potter Webb admirait le fondateur de l’eugénisme, Francis Galton. Elle poussa son époux Sidney Webb à adhérer à la Société eugénique à partir de 1890. Cependant, tous deux rejetaient l’idée d’eugénisme positif de Francis Galton. Ils préconisaient une action sur l’environnement plutôt que sur la biologie. [4] L’un des quatre fondateurs principaux de la Société fabienne, George Bernard Shaw, admirait le chef du parti national-socialiste, Adolf Hitler, et son programme génocidaire. Il disait explicitement :

« Vous connaissez presque tous au moins une demi-douzaine de personnes qui ne sont d’aucune utilité dans ce monde. Qui sont plus de problèmes que ce qu’ils valent. Il suffit de les mettre là et de dire, Monsieur ou Madame, allez-vous maintenant avoir la gentillesse de justifier votre existence? Si vous ne pouvez pas justifier votre existence, si vous ne tirez pas votre poids dans le bateau social, si vous ne produisez pas autant que vous consommez ou peut-être un peu plus, alors, clairement, nous ne pouvons pas utiliser la grande organisation de notre société dans le but de vous garder en vie. Parce que votre vie ne nous profite pas et qu’elle ne peut pas vous être très utile. »

Nous voyons donc que l’Agenda 21/2030 respecte en tout points les objectifs eugéniques et totalitaires de la Société fabienne. Le Dr Igor Shepherd écrit : « La grande réinitialisation (Great Reset) est un gouvernement mondial planifié de style régime communiste, actuellement en cours (par la force) via la pandémie Covid-19 pré-planifiée et canularisée. C’est un programme mondial totalitaire qui est devenu populaire en 1987 grâce aux Nations Unies. Il s’intitulait Agenda 21, car l’objectif était de réinitialiser complètement tous les gouvernements et économies du monde d’ici 2021. » [5] C’est exactement la tâche que les « Gardiens du Conseil » se proposent de réaliser selon le calendrier qui leur est imparti.


« Il cria d’une voix forte, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. »

(Apocalypse 18:2-3)


Les Rothschild s’asseoient dans le temple de Dieu

Le « Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican) a été fondé par Lynn Forester de Rothschild, une femme d’affaires américano-britannique qui est la directrice générale d’E. L. Rothschild, une société holding qu’elle possède avec son troisième mari, Sir Evelyn Robert de Rothschild, membre de la famille Rothschild. Elle siège actuellement au conseil d’administration d’Estée Lauder Companies, de The Economist Group, de Bronfman-Rothschild, de E. L. Rothschild LP et de Christies International.

Elle est membre du Council on Foreign Relations (États-Unis), de Chatham House (Royaume-Uni), de l’Institute for Strategic Studies (Royaume-Uni), de l’International Advisory Council of Asia House (Royaume-Uni) et de la Foreign Policy Association (États-Unis).

Lynn Forester de Rothschild a été mariée trois fois. Son troisième mari est Sir Evelyn de Rothschild (né le 29 août 1931), à qui elle a été présentée par Henry Kissinger lors de la conférence du Groupe Bilderberg en 1998 en Écosse. Ils se sont mariés le 30 novembre 2000, à Londres, en Angleterre, après que de Rothschild a divorcé de sa femme en 2000. À l’annonce du mariage, le couple Rothschild a été invité à passer leur lune de miel à la Maison Blanche par les Clinton.

Sir Evelyn Robert Adrian de Rothschild est un financier britannique. Il a été nommé administrateur de Rothschild Frères à Paris en 1968 alors que Guy de Rothschild de la branche française de la famille est devenu associé chez NM Rothschild & Sons. En 1976, il a succédé à son cousin, l’agent soviétique Victor Rothschild, en tant que président de la banque et en 1982, il est devenu président de Rothschilds Continuation Holdings AG, la société de coordination du groupe de banque d’affaires. Il est devenu co-président de Rothschild Bank AG, Zurich en 1994, servant jusqu’en 2003, date à laquelle il a supervisé la fusion des maisons françaises et britanniques de la famille. David René de Rothschild de la succursale française a pris la relève en tant que président exécutif de Rothschild International après la fusion des différentes succursales et Sir Evelyn est resté président non exécutif de NM Rothschild & Sons.

Evelyn de Rothschild a été le président du journal The Economist de 1972 à 1989. Il fut le gouverneur de la London School of Economics, fondée en 1895 par les membres de la Société fabienne Sidney Webb, Beatrice Webb, Graham Wallas et George Bernard Shaw. Sir Evelyn a été nommé “Knight Bachelor” [6] dans les honneurs du Nouvel An 1989. Il sert de conseiller financier de la reine Elizabeth II.

Sceau découvert lors des fouilles sur les sites khazars. Cependant, plutôt que d’avoir été fabriqués par des Juifs, ceux-ci semblent être des disques solaires chamaniques.

Contrairement à la croyance populaire, la famille Rothschild n’a rien à voir avec le peuple juif, et encore moins avec le peuple sémite. En fait, les Rothschild descendent des Khazars, un peuple semi-nomade turc d’Asie centrale dont la religion d’origine était un mélange de chamanisme nomade et de sorcellerie. L’aspect chamanique implique généralement des chamanes qui entrent dans des états de transe pour tenter « d’entrer en contact direct et immédiat avec des êtres dans le domaine spirituel afin d’effectuer divers souhaits ».

L’une des pratiques chamaniques des Turcs que les Khazars avaient adoptées était la méthode d’installation d’un nouveau dirigeant. L’étranglement cérémonial d’un dirigeant nouvellement élu a amené ce dirigeant à entrer « dans un état d’inconscience avant la mort » afin « qu’il puisse devenir un médium pour la réception et la communication d’oracles ». [7]

Les Khazars se sont convertis au judaïsme autour de 735, au contact des marchands juifs venus de Byzance, ou par le biais des populations de Crimée. Cette conversion est généralement expliquée par un choix stratégique des élites khazares, leur permettant d’échapper à l’influence islamique et à l’influence chrétienne de leurs puissants voisins arabes et byzantins. Malgré cette conversion, les Khazars conservèrent leurs traditions occultes tout en s’imprégnant du Tamuld de Babylone.

Malgré la fin apparente de l’Empire khazar, nous nous retrouverons dix siècles plus tard avec le « faux messie » Sabbataï Tsevi, l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ainsi que de celle des frankistes. Ce courant spirituel découlait d’un réexamen de la kabbale lourianique, qui enseignait que « tout acte a un certain contenu par lequel l’homme se trouve rattaché à la racine spirituelle des mondes ». Ce précepte fut exacerbé jusqu’à ce que s’élabore l’idée de « rédemption par le péché ». L’argument théologique était le suivant : si, après la rupture des vases, les étincelles divines se sont répandues sur toute la surface du monde, cela signifie qu’il est nécessaire de s’abîmer jusque dans le domaine impur du mal (kelipot) pour parvenir à les rassembler intégralement, sans quoi la Rédemption ne peut arriver à son terme :

« Telle est donc l’œuvre qui a été laissée au Rédempteur, le plus saint de tous les hommes: il doit accomplir ce que les âmes les plus justes du passé n’ont pas été elles-mêmes capables de faire ; il doit descendre par les portes de l’impureté dans le domaine des kelipot et sauver les étincelles divines qui s’y trouvent emprisonnées. »

La sataniste Marina Abramovic posant avec Lord Jacob Rothschild devant le tableau intitulé « Satan convoquant ses légions »

Absolument hétérodoxe, ce courant juif manifeste la fine ligne qui sépare le nihilisme pur de la spiritualité radicale : il fait de la duplicité, c’est-à-dire du fait d’épouser des comportements contraire à ses convictions, une preuve de sainteté.

Les sabbatéens soutenaient en effet que la vraie foi ne peut être professée en public, car elle doit toujours restée cachée : « Chacun a le devoir de la nier extérieurement, car elle est comme une semence qui a été plantée dans le lit de l’âme et qui ne peut croître sans avoir été d’abord recouverte ». Encourageant ainsi la transgression de tous les tabous, le sabbatéisme donna lieu à un complet renversement des valeurs qui déboucha sur une massification des rituels orgiastiques et blasphématoires. Il fut considéré comme une immense « hérésie révolutionnaire » au sein du judaïsme. Poussant les contradictions à leur limite suprême, Sabbatai Zevi alla en 1683 jusqu’à se convertir volontairement à l’islam, « afin de conquérir la Kelipah de l’intérieur ». [8]

Passés maîtres du mensonge et de la duperie, les Rothschild ont poursuivi sans relâche les préceptes de leurs ancêtres et utilisèrent sans ménagement la kabbale et la magie babylonienne pour arriver à leur fin de domination mondiale. L’historien israélien Shlomo Sand écrit : « Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale. » [9]


« Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent. »

(Apocalypse 3:9)


L’allégeance de David Mayer de Rothschild

À l’ouverture d’une conférence TEDx le 16 décembre 2010, David Mayer de Rothschild dit : « Je suis un grand fan de Google, alors j’ai pensé, voyons quel est le message général sur la nature et je ne suis pas surpris. Lorsque vous cherchez ce qu’est la nature, la première chose qui se présente est : «la nature est L’église de Satan». (…) J’aime le fait que c’est comme si la nature était une île gastronomique tropicale. Mais c’est comme si la nature était l’église de Satan. Donc je veux profiter de cette opportunité pour dire que si c’est l’église de Satan, je suis un adorateur du diable. Je vais le dire maintenant : j’aime Satan. » (sur Youtube, à partir de 1:38 minutes).

Sous le couvert d’une plaisanterie, David de Rothschild proclame en fait son allégeance au prince de ce monde, puisque les Écritures révèlent que le diable – Satan – est actuellement en charge de la planète Terre. [10] Même Jésus-Christ, peu avant Son arrestation et Sa crucifixion, a reconnu l’autorité de Satan : « Je ne parlerai plus guère avec vous ; car le prince du monde vient. Il n’a rien en moi. » (Jean 14:30). Alors qu’il se trouvait devant Ponce Pilate, Jésus déclara : « Mon royaume n’est pas de ce monde. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs; mais maintenant mon royaume n’est point d’ici-bas. » (Jean 18:37)

Fils cadet de Sir Evelyn de Rothschild, né le 25 août 1978 à Londres, David de Rothschild est le plus jeune héritier de la fortune bancaire de sa famille. À l’âge de 20 ans, de Rothschild avait lancé sa propre entreprise de marchandisage de musique et l’avait vendue. En 2001, il a acheté une ferme biologique de 1100 acres en Nouvelle-Zélande et a été invité à participer à une expédition polaire. Cette expérience a fait de Rothschild un éco-aventurier entreprenant, ainsi que le chantre du réchauffement climatique et du développement durable. Il a reçu le prix d’« Explorateur émergent » par le National Geographic, nommé « ambassadeur international » par l’ONG Clean Up the World et nommé « Young Global Leader » par le Forum économique mondial, En 2009, Rothschild a été nommé par le Programme des Nations unies pour l’environnement (UNEP) en tant que « héros du climat ».

Certains le considèrent comme un candidat possible en tant qu’Antéchrist. Lorsqu’il a entrepris son voyage « Palastiki » sur un catamaran de 60 pieds composé de 12500 bouteilles en plastique, certains l’ont même surnommé « Plastic  Jesus ». Henry Makow Ph.D. écrivait en 2016 :

« Son entreprise de marque lifestyle orientée vers l’écologie, « The Lost Explorer » a été lancée en 2015. Sous le logo occulte de son entreprise se trouvaient les mots « Est. 1978 » (Établi en 1978), une référence à l’année de la naissance de Rothschild. Le logo le plus récent indique « Est. 2025 ». Est-ce l’année où Rothschild passera de l’activisme, de la culture et des affaires à la scène politique et à un rôle de leadership mondial comme prévu par le Forum économique mondial ?

« Des aperçus rapides de l’écriture et de l’activité en ligne de cet homme révèlent un personnage à plusieurs niveaux qui n’est pas seulement calculé, mais également de nature psychologique. Son compte Twitter le montre audacieusement présidant une salle de réunion vide de type Nations Unies représentant la “Nature”. La bannière sur la page se lit simplement “Donnez une voix à la nature” et sa description indique : “Se perdre n’est pas un destin à éviter, mais un destin à embrasser”. » [11]

La question que nous sommes tous en droit de nous poser est celle-ci : Comment le pape François a-t-il pu conclure une « alliance mondiale » avec une famille qui a de tout temps évolué dans la sphère des illuminati et du satanisme ? La réponse ne se trouve-t-elle pas dans ce verset : « C’est là ce que je vous disais lorsque j’étais encore avec vous, qu’il fallait que s’accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes. Alors il leur ouvrit l’esprit, afin qu’ils comprissent les Ecritures. » (Luc 24:44-45) En tant que successeur de l’apôtre saint Pierre, sachant très bien ce qu’il en est des temps eschatologiques, Jorge Mario Bergoglio lança tout de même un cri du cœur — une sorte d’appel au secours — lors de l’homélie de la messe à la maison Sainte-Marthe le 13 février 2020 :

« Se laisser glisser lentement dans le péché, relativiser les choses et entrer en «négociation» avec les dieux de l’argent, de la vanité et de l’orgueil. Se laisser lentement glisser car c’est une chute avec anesthésie, tu ne t’en aperçois pas, mais lentement on glisse, on relativise les choses et l’on perd la fidélité à Dieu. Et pour nous, ce lent glissement de la vie vers la mondanité, c’est le grave péché : “Ils le font tous, mais oui, il n’y a pas de problème, oui, ce n’est vraiment pas l’idéal, mais…”.

« Ces paroles nous justifient au prix de la perte de la fidélité au Dieu unique. Ce sont des idoles modernes. Réfléchissons à ce péché de mondanité. De perdre l’authenticité de l’Évangile. L’authenticité de la Parole de Dieu, de perdre l’amour de ce Dieu qui a donné sa vie pour nous. On ne peut pas être bon avec Dieu et le diable. » [12] [13]

« Le Fils de l’homme s’en va, selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne fût pas né. »

(Matthieu 26:24)


« Que personne ne vous séduise d’aucune manière; car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme du péché, le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu. »

(2 Thessaloniciens 2:3-4)

https://youtu.be/PGbPXq8OJE4?list=PL0ZzLfn9ACdpCf7wscVI8Lx_zy63O1zz_

RÉFÉRENCES :
NOTES :
  1. Victor Rothschild (père de Lord Jacob Rothschild) avait épousé Teresa “Tess” Mayor, la petite-nièce de la fondatrice de la London School of Economics, Béatrice Webb, cette dernière ayant joué un rôle crucial dans la formation de la Société fabienne.
  2. Leonard Woolf : « International government. Together with a project by Fabian Committee for a Supernational Authority that will prevent War ». Introduction by Bernard Shaw. Fabian Research Department, Brentano’s, New York 1916.
  3. George Bernard Shaw : « Basis of the Fabian Society », in: The Fabian Society : its early history. Fabian Society, tract n ° 41, 2nd ed., London, p. 31.
  4. Daniel Becquemont : « Eugénisme et socialisme en Grande-Bretagne. 1890-1900 ». In: Mil neuf cent. Revue d’histoire intellectuelle (Cahiers Georges Sorel). Année 2000 / 18 / pp. 53-79.
  5. Guy Boulianne : « La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19 ». Publié le 10 décembre 2020.
  6. Le rang de Knight Bachelor (Chevalier Bachelor) fait partie des distinctions du Royaume-Uni. Il s’agit du rang le plus bas acquis par celui qui est décoré par le monarque sans pour autant être membre d’un ordre de chevalerie. Les Knight Bachelor constituent la plus ancienne famille de chevaliers anglais — ce rang existe depuis le règne de Henri III d’Angleterre (1207-1272) — mais leur rang est inférieur aux chevaliers membres d’un ordre, bien qu’ils portent le prédicat Sir.
  7. Kevin Alan Brook : « An Exploration of Khazarian Shamanism ». The American Center of Khazar Studies. A Resource for Turkic and Jewish History in Russia and Ukraine.
  8. Élise Gonthier-Gignac : « Les anges déchus. Politiques messianiques de la littérature dans des Anges mineurs d’Antoine Volodine, Faber le Destructeur de Tristan Garcia et les Renards pâles de Y Annick Haenel ». Mémoire présenté comme exigence partielle de la maîtrise en études littéraires. Université di Québec à Montréal, octobre 2015, p. 57.
  9. Shlomo Sand : « Déconstruction d’une histoire mythique. Comment fut inventé le peuple juif ». Le Monde diplomatique, Août 2008, page 3.
  10. La rédaction : « Pourquoi Satan est-il le “dieu de ce siècle” ? ». Le Monde de Demain, 2009 Juillet-Septembre, p. 5. [PDF]
  11. Henry Makow Ph.D. : « David Mayer de Rothschild – Groomed as Antichrist? ». An Oasis for the Awake, October 3, 2016.
  12. Debora Donnini : Pape François: la lente apostasie du cœur est un glissement vers la mondanité. Vatican News, 13 février 2020.
  13. Anne Kurian-Montabone : Sainte-Marthe : attention à la chute lente anesthésiée. ZENIT, le monde vu de Rome, 13 février 2020.



Le Dr Gaétan Brouillard et l’importance de la pensée dans la santé

Diplômé en 1976 de l’Université de Montréal, le Dr Brouillard est médecin-conseil à l’hôpital Maisonneuve Rosemont où il a été chargé d’enseignement clinique pendant plus de 35 ans. Il possède une expertise dans la pratique de la médecine préventive — style de vie, nutrition, suppléments, gestion du stress, hormones — ainsi que dans les traitements de la douleur chronique et la médecine fonctionnelle.

Il a suivi la formation de L’Institute of Functional Medicine américain et il a rédigé plusieurs articles sur le renouveau de la médecine dans la revue l’Actualité Médicale. Il s’est intéressé aux médecines complémentaires dès 1982 et il a obtenu un diplôme en acuponcture. Subséquemment il a acquis des compétences dans divers domaines telles la naturopathie, l’ostéopathie et l’hypnothérapie.

Reconnaissant l’homme dans sa globalité, reconnaissant l’unité corps et esprit, il s’est passionné pour le yoga ainsi que pour la médecine énergétique lors de voyages au Népal, au Tibet, en Thaïlande et en Inde. Il encourage la recherche d’une médecine globale axée sur l’individu et non sur la maladie et prône l’intégration pour une vision renouvelée de la médecine honorant la grandeur et l’unicité de chaque être humain. Il est l’auteur du livre La santé repensée, paru aux Éditions de l’Homme, et dont le tirage dépasse déjà les 55 000 copies vendues.

[Source : Pour une médecine du corps, du cœur et de l’esprit, article de Marie-Josée Tardif]

« Nous sommes des êtres magnétiques au point que nos pensées, qui gravitent autour de nous, attirent des événements qui se matérialiseront tôt ou tard dans notre vie. En effet, à notre insu, nous invitons toutes sortes de situations dans notre existence. Les pensées — peurs, et appréhensions — se concrétisent, et notre vie se déroule comme nous l’avions imaginé. Nos pensées sont puissantes et créatives, et cela, sans que nous le demandions. Elles interviennent dans notre vie selon la loi de l’attraction. Il suffit de penser au bonheur pour que le corps réagisse favorablement et éprouve de la joie. Une pensée négative et vous voilà malheureux et pitoyable. Il suffit d’un seul instant, d’une seule pensée pour que « votre monde s’écroule autour de vous ».

Trop souvent, hélas !, nous mettons les freins à notre réussite en nous chargeant du poids inutile de nos peurs. Notre langage est souvent négatif, tout comme nos pensées. La loi de l’attraction n’est pas du simple positivisme et encore moins de la pensée magique. Même si, à bien y penser, des pensées positives dirigées et intentionnées positivement et en harmonie avec l’Esprit peuvent créer de la magie. Il s’agit d’un véritable travail sur soi, une action intelligente de conscientisation de tous les instants. Nous avons un rôle actif à jouer dans le cours des événements, tant sur le plan personnel que planétaire. Nous sommes redevables de qui nous sommes et de cette planète avec qui nous vivons de façon symbiotique. »

Dr. Brouillard

« La médecine n’est pas encore arrivée à ce niveau de compréhension, mais on sait très bien maintenant, par intuition et par expérimentation, que les messages
psychologiques non verbalisés, retenus, vont se condenser, se matérialiser dans le corps physique et se manifester sous forme de maladie. »

« À la rigueur, on pourrait même dire que la maladie est une leçon de vie qui nous parle. Chaque fois qu’une maladie se présente, prenons le temps de nous examiner, de voir ce qui se passe dans notre vie. »

Dr Brouillard (Pour une médecine du corps, du cœur et de l’esprit)

Comme ce docteur, de plus en plus de médecins tendent à considérer que nous sommes responsables de notre état de santé et que le pouvoir de guérison réside en nous-mêmes (selon la manière dont nous agissons, nous nourrissons, choisissons notre environnement, gérons le stress, pensons, etc.).

Et l’épigénétique tend même à démontrer que notre génétique peut changer (selon ces mêmes variables présentées succinctement ci-dessus).

Notre volonté semble cependant encore insuffisante pour, par exemple, régénérer nos dents cariées, nos disques vertébraux lésés, nos membres coupés… Peut-être nous manque-t-il pour cela un lien plus solide avec la Volonté supérieure, celle qui est probablement à l’origine du cosmos et en particulier de la vie terrestre.


Voir aussi :




Le temps est venu de faire le grand ménage

[Source : Sott.net]

[Auteur :] M.K. Scarlett

L’année 2020 pourrait être décrite comme une année où l’absurde côtoie la psychose — une année de division et de polarisation extrême tant sur le plan climatique que sur le plan sociopolitique. Les populations font encore plus qu’avant des choix, pour le meilleur ou pour le pire. Certaines personnes s’alignent sur les mensonges de plus en plus flagrants colportés par les médias mainstream et les gouvernements profondément pathologiques tout autour du globe, mais surtout en Occident, et d’autres prennent position contre ces mêmes mensonges et parviennent à ce point de compréhension qui leur laisse à penser que la version de la réalité qui leur est présentée est en essence malfaisante.

Le temps du grand ménage est arrivé. Parce que s’il vous arrive en ce moment d’éprouver la sensation d’être au sein d’une bataille spirituelle, vous n’êtes pas seul. Nombre des plus grands érudits, philosophes et ascètes du monde ont compris l’aspect multidimensionnel du monde dans lequel vivent des êtres non physiques, bons et mauvais, en lutte perpétuelle contre nous et les uns contre les autres. Il convient de cultiver une sensibilité telle que l’existence des êtres spirituels puisse être directement vécue parce que

« […] les Esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de voir où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir à quel endroit ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d’être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n’est pas modifiée du fait que l’homme les connaît ou ne les connaît pas. »

Rudolf Steiner, La Chute des Esprits des ténèbres

Vous n’êtes pas seul, mais vous pourriez avoir dans votre entourage des personnes qui entravent votre voie vers la spiritualité et déséquilibrent votre recherche d’harmonie intérieure. L’article qui suit explore ce sujet. Il sera suivi par quelques citations qui aideront peut-être les lectrices et les lecteurs à y voir plus clair.
[NdNM : voir l’article sur Sott.net pour ces citations qui, comme l’introduction ci-dessus, ne sont pas de l’auteure M.K. Scarlett.
Le propos de cette dernière est ici dans la ligne des croyances véhiculées par le New Age ou « Nouvel Âge »].


Nous vivons une époque de folie. Il semble que nous soyons entrés dans la zone crépusculaire. Un « tourbillon » tordu de polarisation extrême et de systèmes de valeurs contradictoires. Un monde où la haine est palpable des deux côtés du point de contrôle de la polarité. La volonté orchestrée de provoquer des divisions sur tous les fronts : race, sexe, politique et religion ne devrait pas surprendre ceux qui sont sur le chemin de la spiritualité. L’énergie de l’ancienne ère des Poissons se meurt et les débranchés se battent contre la marée montante de la nouvelle ère du Verseau.

L’enfer se déchaîne. Les émeutes et la violence abondent, les pénuries alimentaires, les confinements, les conditions météorologiques extrêmes et les maladies sont au rendez-vous, et à mesure que la vie s’écoule, nos préjugés profonds et notre instinct de conservation se manifestent. Des instincts de survie délibérément exacerbés par nos sombres dirigeants, des êtres au charisme néfaste qui cherchent désespérément à garder le contrôle d’un paradigme moribond.

Programmés pour les conflits

Les humains sont programmés pour les conflits. Nous possédons tous un schéma interne de type Jekyll et Hyde — un M. Gentil et un M. Méchant qui partagent le même espace. Chacun d’entre nous est soumis à des forces positives et négatives qui envahissent notre esprit et bouleversent notre vie. La lutte pour la polarité devient évidente lorsque nous vérifions nos propres dialogues internes. Nous avons tous un Gollum qui partage notre conscience, et il est parfois inconfortable de surveiller notre pensée… et ce qu’elle révèle sur l’état de notre conscience.

Le mécanisme de contrôle absolu

Depuis que notre réalité tribale et intégratrice nous a été arrachée, nous sommes devenus des esclaves de la dette, enfermés dans du béton et du verre, divorcés de la réalité vivante de la Nature et immergés dans la plus grossière des cultures matérialistes. L’humanité est asservie à un modèle qui se nourrit de lui-même, du micro au macro. Du proxénète au coin de la rue aux plus hauts échelons du gouvernement, nous sommes contrôlés par un mécanisme qui enrichit les élites et étrangle les pauvres. Peu importe qui est aux commandes. Nos dirigeants sont corrompus. Tous les hauts responsables mettent en œuvre un programme occulte basé sur la gematria pour dominer le monde et créer un nouvel âge des ténèbres numérique.

Note du traducteur : La gematria est une forme d’exégèse propre à la Bible hébraïque dans laquelle on additionne la valeur numérique des lettres et des phrases afin de les interpréter. Gematria, Temura et Notarikon sont les trois procédés de la combinatoire des lettres, pour déchiffrer la Torah.

 Source

Tel était le plan de l’église romaine et luciférienne depuis le début de l’ère des Poissons — deux mille ans de boucherie et de génocide au nom de la religion et de la cupidité. Une ère de mensonges, de tromperie, d’illusions, d’excès et de destruction de la vraie spiritualité. Les clones matriciels qui se font passer pour des êtres humains sont des empilements d’ordures faits de mensonges, de tromperie, d’égoïsme, de cruauté, de malhonnêteté, de déviance sexuelle et sont « purement et simplement malfaisants ».

Mais cette dimension n’est qu’une question de division. Le principe fondamental du jeu de la bulle matricielle repose sur le principe « moi contre toi » et « nous contre eux ».

La bulle matricielle

Chacun de nous existe dans une bulle polarisée — un petit univers à soi. Chaque fraction de seconde, des bulles de moi absorbées par le « Je » se heurtent les unes aux autres, et débordant d’une indignation moralisatrice, elles se battent pour le concept « la force prime le droit », concept qui accompagne leur version héritée et déformée de la vérité.

Poussés et contrôlés par la peur, les dogmes religieux et politiques, les « Je » vont faire la fine bouche, défendre et livrer leur esprit à tout démagogue politique ou religieux corrompu qui se présente sur la scène. Ils veulent que les choses continuent comme elles sont sans comprendre que tout ce qui existe est en mouvement, et que tout est susceptible de changer en un clin d’œil.

Le point d’assemblage

« Tout déplacement du point d’assemblage signifie un éloignement d’une préoccupation excessive à l’égard du moi individuel. Les chamans pensent que c’est la position du point d’assemblage qui fait de l’homme moderne un égoïste meurtrier, un être totalement impliqué dans l’image qu’il a de lui-même. Ayant perdu l’espoir de revenir un jour à la source de tout, l’homme moyen cherche du réconfort dans son égoïsme. »
~ Don Juan Matus, par Carlos Castaneda.

Par essence, l’être humain est un champ de conscience vibrant dans un océan infini de conscience. Nos champs d’énergie possèdent un noyau cosmique de puissance de pulsation, et c’est ce qu’on appelle le point d’assemblage. C’est le programme de base à partir duquel nous regardons notre réalité personnelle. Il façonne notre manière de vivre le monde, notre réaction à l’environnement, notre interaction et nos relations avec les autres. Il façonne nos croyances et nos décisions.

Le point d’assemblage des êtres humains équilibrés est situé au centre de la poitrine, un point qui se trouve dans l’axe des aisselles. Lorsque notre point d’assemblage est centré, nous avons tout ce dont nous avons besoin, nous sommes satisfaits de notre vie et nous pouvons faire face à tout ce que la vie nous réserve.

Il est triste que la masse de l’humanité soit coincée dans la division et le drame. Incapables d’éloigner leur point d’assemblage de la dualité, ils vivent et meurent au sein de la bulle matricielle sans réaliser qu’il existe une autre possibilité — l’espace tranquille entre la charge « + » positive et « – » négative — le siège du pouvoir des chamans.

Le temps du grand ménage

Les personnes dont la vie est dépourvue de fondement spirituel sont des individus toxiques et conflictuels. Ils choisissent toujours leur camp sans se rendre compte que dans une dualité, « les deux extrémités de la queue remuent le même chien ». Ces individus sont critiques [au sens négatif du terme – NdT], sèment la discorde et prennent plaisir à rabaisser les autres. Cette forme d’abus peut nous bouleverser émotionnellement et lorsque ces abus sont commis de façon constante sur notre psyché, ils peuvent déstabiliser notre équilibre intérieur. Ce processus peut entraîner un déplacement de notre point d’assemblage et transformer une réalité harmonique en une forme de résonance discordante et haineuse.

Alors, chers amis, il est temps de faire un grand ménage et de supprimer de notre petite bulle de réalité les personnes qui sèment la discorde. Ce n’est qu’alors que notre résonance sera débarrassée de l’énergie négative et que nous pourrons progresser sur la voie de l’état d’Unité par le biais de notre vérité inébranlable et particulière.

La réalité non-locale

Le domaine de l’Unité — ou la réalité non-locale — est expérimental et difficile à énoncer. Nous sommes tout et pouvons instantanément être tout parce que dans la réalité non locale, il n’y a pas de séparation — pas de dualité. Il existe un champ universel de potentialité où tout est connecté. Dans cet état de conscience, nous pouvons libérer nos propres schémas de contrôle sur les autres et nous libérer des contraintes du dualisme. Nous pouvons atteindre un état de conscience où nous rallumons nos centres psychiques atrophiés et permettons à notre intuition intérieure de nous guider vers une vie de coïncidences et de rencontres synchronisées significatives qui favorisent notre ascension spirituelle. Lorsque nous cultivons une reconnexion personnelle avec la Source, nous subissons une transformation mystique — une renaissance qui nous élève dans un état de conscience du Soi supérieur.

Source de l’article initialement publié en anglais le 20 novembre 2020 : Waking Times
Traduction : Sott.net


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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?

[Source : Sott.net]

[Image : © Chris Gash – New York Times]

[Auteur :] Mike Whitney — Unz Review

Les nouveaux vaccins contre le Covid vont rapporter des milliards de dollars aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais voici ce qu’ils ne feront pas :

  • Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les décès dus au Covid.

« Le monde a misé sur les vaccins comme solution à la pandémie, mais les phases de test ne visent pas à répondre aux questions soulevées par beaucoup quant à ce qu’ils sont exactement. »

Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal et professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutiques à l’école de pharmacie de l’université du Maryland

« La différence entre le génie et la stupidité, c’est que le génie a ses limites. »

Albert Einstein

Maintenant, je sais ce que vous pensez. Vous vous dites : « Si le vaccin ne m’empêche pas d’attraper le Covid, ou de mourir du Covid, alors pourquoi devrais-je me le faire injecter ? »

Et la réponse est : Vous ne devriez pas. Cela n’a aucun sens, surtout si l’on considère que les nouveaux vaccins présentent des risques considérables pour la santé et le bien-être de chacun.

Et vous vous dites : « Des risques ? Personne n’a parlé de risques. Je pensais que ce merveilleux nouveau remède anti-Covid était entièrement sans risque ; il suffit de se le faire injecter et — illico presto — la vie redevient normale. »

Faux. Les risques existent, des risques importants, que les médias et l’establishment médical ont dissimulés avec leurs ridicules discours enthousiastes sur les vaccins « miracles ». Mais tout cela n’est qu’un battage publicitaire destiné à tromper les populations pour qu’elles se fassent injecter une substance douteuse qui ne fait PAS ce qu’elle est censée faire et qui présente de graves risques à long terme pour la santé.

Alors, creusons un peu plus cette question des risques et voyons ce que disent les experts. Voici un extrait d’une « Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni » :

« Il est inquiétant de constater que les récents débats parlementaires semblent ne pas accorder suffisamment d’importance à toutes les préoccupations concernant les risques des vaccins et le droit au consentement éclairé, tout en se concentrant uniquement sur les stratégies visant à accroître l’utilisation des vaccins dans la population générale.

Évaluation inadéquate du risque pour la santé publique d’un vaccin Covid

Dans une récente lettre au British Medical Journalle médecin Arvind Joshi a mis en garde contre le désastre qui pourrait résulter de cette politique malavisée et a souligné les risques graves encourus par le public et les autres conséquences désastreuses qui pourraient découler de l’utilisation précipitée d’un vaccin contre le Covid sans que des tests approfondis et adéquats aient été effectués quant à leur innocuité et leur efficacité :

« Des effets indésirables tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes et la possibilité plus rare de déclencher le développement de malignités sont les possibilités les plus redoutées. […] La ruée vers les vaccins ne devrait pas conduire au désastre. »

Note : une liste plus complète des potentielles « conséquences désastreuses » est disponible dans le lien de l’article en anglais ci-dessus.

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination…

Les effets indésirables tardifs du vaccin, tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes, la stérilité et les cancers, ne peuvent être exclus des essais de courte durée. »

Tout cela est très technique, mais la vérité est évidente : se faire injecter le vaccin anti-Covid comporte de sérieux risques. La plupart des personnes vaccinées ne ressentiront que des douleurs mineures, mais certaines seront sans aucun doute très malades et leur santé en souffrira de façon permanente. Personne n’en est vraiment sûr, car il n’y a pas eu d’essais à long terme. Le vaccin anti-Covid a fait l’objet, dès le premier jour, d’une procédure accélérée. La question est donc la suivante : « Les avantages l’emportent-ils sur les risques ? » Il se trouve que, dans le cas présent, ce n’est clairement pas le cas. Les risques de tomber gravement malade ou de mourir à cause du Covid sont très faibles — le taux de survie est de 1 sur 400 — alors que les effets indésirables — potentiels — du vaccin sont eux décrits ci-dessus. Pourquoi devrait-on jouer à la roulette russe avec un vaccin qui n’empêche pas de contracter le Covid, ne protège pas contre l’hospitalisation et n’empêche pas de mourir ? Ce n’est tout simplement pas un bon compromis. Voici d’autres extraits d’un article paru dans le magazine Forbes :

« La prévention de l’infection devrait constituer le but primordial… Mais la prévention de l’infection n’est un critère de succès pour aucun de ces vaccins. En fait, leurs buts à tous requièrent des infections préalablement confirmées… puisque leurs vaccins ne sont pas censés prévenir l’infection, mais seulement modifier les symptômes des personnes infectées.

En cas d’infection, nous attendons tous d’un vaccin efficace qu’il protège d’une maladie grave. Trois des protocoles de vaccination [Moderna, Pfizer et AstraZeneca – NdT] n’exigent pas de leur vaccin qu’il protège d’une maladie grave, mais seulement qu’il empêche des symptômes modérés pouvant être aussi bénins que la toux ou les maux de tête… »

Note du traducteur : nous avons déjà partiellement traduit ce passage de Forbes — ainsi que celui qui suit — dans notre Focus qui y fait également référence : « Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux ».

Comprenez-vous ce qui se passe ? La « prévention » n’est même pas un objectif premier. La norme de réussite dans ces essais est de savoir si le vaccin atténue les symptômes du Covid chez les personnes qui sont testées positives. Mais qui se soucie des symptômes ? Ce qui intéresse les gens, c’est la mort. C’est la raison pour laquelle [une partie] du public est si désireuse de se faire vacciner, dans l’espoir d’échapper à la mort.

C’est un point critique, et l’un de ceux qui mérite que l’on y réfléchisse sérieusement.

Pourquoi ?

Parce qu’il permet d’illustrer à quel point la campagne de vaccination est construite sur une base de mensonges et de tromperie. Par exemple, lorsque les sociétés pharmaceutiques se vantent que leur produit est « efficace à 95 % », cela ne signifie PAS que — si vous vous faites vacciner — vous serez immunisé contre le Covid. Cela ne signifie même pas que vous ne tomberez pas gravement malade et que vous ne mourrez pas. Cela signifie simplement que le vaccin a réduit les symptômes de certaines des personnes testées positives.

Le saviez-vous ?

Bien sûr, vous ne le saviez pas. Vous pensiez qu’en vous faisant vacciner vous seriez protégé contre le Covid, parce que c’est l’hypothèse logique que tout le monde ferait. La plupart des gens assimilent les vaccins à l’immunité. Les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles exploitent leur ignorance et obscurcissent délibérément la vérité. Elles veulent que les populations continuent à croire que la vaccination constitue un bouclier protecteur qui les sauvera de la maladie et de la mort. Mais ce n’est pas le cas. C’est un ramassis de balivernes.

En fin de compte, l’« efficacité » d’un vaccin ne se mesure pas en termes de « prévention de l’infection ». Elle est liée à l’impact du vaccin sur les symptômes. Voici d’autres informations issues de l’article paru dans le magazine Forbes :

« L’une des questions les plus immédiates auxquelles un essai doit répondre est de savoir si un vaccin prévient l’infection. Si une personne prend ce vaccin, a-t-elle beaucoup moins de chances d’être infectée par le virus ? Ces essais sont tous clairement axés sur l’élimination des symptômes du Covid-19, et non sur les infections elles-mêmes…

Il s’avère que toutes les entreprises pharmaceutiques partent du principe que le vaccin n’empêchera jamais l’infection. Leur critère d’approbation est la différence de symptômes entre un groupe contrôle [ou témoin – NdT] infecté et un groupe infecté qui reçoit le vaccin.

Pour les millions de personnes âgées et celles souffrant de maladies préexistantes, la question est de savoir si ces essais testent la capacité du vaccin à prévenir les maladies graves et la mort. Une fois de plus, nous constatons que dans ces tests, la maladie grave et la mort ne sont que des objectifs secondaires. Aucun d’entre eux ne mentionne la prévention des décès et des hospitalisations comme un obstacle d’une importance capitale…

Ces protocoles ne mettent pas l’accent sur les ramifications les plus importantes du Covid-19 dont les personnes cherchent le plus à se prémunir : l’infection globale, l’hospitalisation et la mort. Cela dépasse l’entendement et défie le bon sens que le National Institute of Health, le Center for Disease Control, le National Institute of Allergy and Infectious Disease et les autres organismes envisagent l’approbation d’un vaccin qui serait distribué à des centaines de millions de personnes sur des bases aussi minces.

Il s’avère que ces essais sont intentionnellement conçus pour être couronnés de succès. »

L’auteur a raison, n’est-ce pas ? Si le vaccin n’empêche pas l’infection, il ne sert à rien. Point final. Et pourtant, toutes ces institutions grandiloquentes sont d’accord avec cette farce. C’est une honte. Nous ne parlons même pas de « faible seuil » en matière de réussite vaccinale. Il n’y a « pas de seuil du tout ». Si les gens sont préoccupés par les symptômes, ils feraient mieux de prendre une aspirine [de la Vitamine C – NdT] et d’en rester là. Il n’est pas nécessaire de se faire injecter un cocktail hybride dont personne n’a la moindre idée des effets à long terme. Ce serait tout simplement très imprudent.

Comme nous l’avons dit plus tôt, les vrais problèmes sont habilement dissimulés par ceux qui, pour inciter les populations à coopérer, font miroiter l’absurdité d’une « efficacité à 95 % ». C’est d’une malhonnêteté flagrante.

Et voici une autre chose à laquelle il faut réfléchir : Que savons-nous vraiment de ces vaccins miraculeux qui sont censés nous sortir de notre « crise de santé publique » ?

Pas grand chose. Nous savons qu’ils sont lancés sur le marché à toute vitesse. Nous savons qu’ils ont été retardés pour des raisons politiques. Nous savons que la science est façonnée par la politique. Nous savons que le développement de vaccins prend généralement dix ans, que le développement « précipité » de vaccins prend trois ans, et que le prochain lot de vaccins douteux aura pris environ huit mois.

Huit mois !

Trouvez-vous cela rassurant ? Cela vous donne-t-il envie de vous frayer un chemin jusqu’au premier rang de la file d’attente en retroussant votre manche quand la « Journée vaccinale » viendra ? Et êtes-vous surpris qu’un grand nombre de professionnels de la santé aient décidé de ne pas se faire vacciner avant au moins un an ?

Et voici une autre chose : les géants pharmaceutiques ne savent même pas si leurs vaccins vont arrêter la transmission ou non. Je ne plaisante pas, ils ne le savent vraiment pas. Par conséquent, outre le fait que le vaccin ne confère pas d’immunité, il n’arrêtera pas la propagation de l’infection, ce qui signifie que la pandémie va se poursuivre.

Note du traducteur : Et il y aura plus de malades — certains induits par ces vaccins anti-Covid — et donc plus de confinements, plus de distanciation sociale, plus de fermetures de commerces et d'entreprises, plus de faillites, plus de morts, plus de suicides, plus de violence, plus de contrôle super-étatique, plus de Hold-Up sur nos vies et nos libertés, plus de passeport d'immunité pour voyager, travailler, vivre, voire des internements forcés dans des camps, etc. Bienvenue dans 1984Le meilleur des mondes et Le Travailleur, tout ça mélangé à la sauce Nouvel Ordre mondial.

Ne pensez-vous pas que le public a le droit de savoir cela ?

Et n’oublions pas que ces soi-disant « vaccins » ne correspondent pas du tout à la définition traditionnelle du vaccin. Le CDC définit un vaccin comme suit :

« Un produit qui stimule le système immunitaire d’une personne afin qu’il produise une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie. »

Et le CDC définit l’« immunisation » comme suit :

« Un processus par lequel une personne devient protégée contre une maladie par la vaccination. Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec la vaccination ou l’inoculation. »

Il se trouve que nous avons déjà montré que les nouveaux vaccins ne procurent pas nécessairement une immunité. La question est donc de savoir s’ils « stimulent réellement le système immunitaire » d’une personneou si le surnom de « vaccin » a simplement été conservé comme outil marketing pour tromper le public. Voici quelques éléments de contexte tirés d’un article paru sur RT :

« Le type de vaccin développé contre le Covid-19 n’a jamais été utilisé auparavant, en dehors d’Ebola. Certaines personnes estiment qu’il ne faut pas vraiment les appeler des vaccins, car ils sont complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant.

Jusqu’à présent, la vaccination consistait à injecter un virus mort — ou une bactérie — , ou un virus affaibli qui ne peut se répliquer que difficilement, ou des parties d’un virus, ou d’autres éléments similaires. Une fois à l’intérieur du corps, le système immunitaire repère cette entité étrangère et y réagit en créant une réponse qui, avec un peu de chance, sera mémorisée pour des années. Lors de l’apparition suivante du virus dangereux, le corps utilisera la mémoire immunitaire d’une substance très similaire à même d’éliminer le virus — ou la bactérie — et de le faire suffisamment rapidement pour lui ôter toute possibilité de provoquer des dommages.

Nous disposons à présent d’une chose appelée vaccin à ARN messager (ARNm). L’ARN est, en fait, un simple brin d’ADN — la double hélice qui se trouve à l’intérieur de nos cellules et qui constitue notre code génétique. De nombreux virus sont constitués d’un seul brin d’ARN, entouré d’une sphère protéique. Ils entrent dans la cellule, prennent le contrôle des systèmes de réplication, font des milliers de copies d’eux-mêmes, puis sortent de la cellule. Parfois ils tuent la cellule au fur et à mesure, parfois ils en sortent plus doucement. Le Sras-Cov2 du Covid-19 est un virus à ARN.

Plutôt que d’essayer de créer un virus affaibli, ce qui peut prendre des années, ou de briser le virus en morceaux, les chercheurs ont en toute connaissance de ce qui précède décidé d’utiliser l’ARN du Sras-Cov2 contre lui-même. Pour ce faire, ils ont isolé la section de l’ARN qui code pour la protéine « Spike » — la « clé » utilisée par le virus pour entrer dans les cellules…

Ces protéines « Spike » quittent ensuite la cellule — d’une manière ou d’une autre, ce point n’est pas clair. Le système immunitaire les rencontre, les reconnaît comme entités étrangères et lance l’offensive. Ce faisant, des anticorps sont créés et la mémoire du système de immunitaire entre en action. Si, plus tard, un virus de type Sras-Cov2 pénètre dans l’organisme, le système immunitaire s’active et lance l’offensive contre la protéine « Spike » qu’il a mémorisée. Avec un peu de chance, il tuera le virus dans sa totalité. »

Tout cela est très compliqué et avant-gardiste, mais ce qui est clair, c’est que l’« ARN messager » et la « protéine Spike » sont très éloignés du traditionnel virus mort [ou « inactivé » – NdT] utilisé depuis des décennies.

Il est difficile de comprendre pourquoi les compagnies pharmaceutiques ont décidé de réinventer la roue en essayant de trouver un antidote au Covid. Comme l’ont souligné dans leur lettre les chercheurs de la Medical Freedom Alliance, cette nouvelle technologie de pointe présente néanmoins des inconvénients. Voici ce qu’ils en ont dit dans leur Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni :

« Plusieurs vaccins anti-Covid impliquent l’utilisation d’une technologie totalement nouvelle — la vaccination par ARNm — dont l’utilisation à grande échelle chez des sujets humains sains est sans précédent et dont les effets à long terme sont inconnus. L’ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l’ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. En outre, une étude a mis en évidence des preuves de mimétisme moléculaire…

Note du traducteur : L'auteur inclut à nouveau un des paragraphes déjà présents plus haut :

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination… »

Le fait est que les effets de l’injection d’une concoction hybride dans le corps d’une personne peuvent être très graves. Nous ne savons tout simplement pas quels seront les effets à long terme, et nous ne le saurons probablement pas parce que le vaccin va être rapidement distribué avant que ces essais puissent être effectués. S’il s’agit de lutter contre le virus ce n’est pas une stratégie judicieuse. Elle est inutilement risquée, voire mortelle. Voici un extrait issu d’un article intitulé « Les vaccins anti-Covid-19 à ARNm pourraient-ils être à long terme dangereux ? » paru dans le Jerusalem Post, dans lequel Tal Brosh, chef de l’unité des maladies infectieuses à l’hôpital Samson Assuta Ashdo, déclare :

« Une course à la vaccination du public est en cours, nous sommes donc prêts à prendre plus de risques. Nous ne disposerons d’un profil connu d’innocuité que pour un certain nombre de mois, donc si un effet à long terme existe après deux ans, nous ne pouvons pas le savoir. Nous pourrions attendre deux ans pour les découvrir, mais alors nous aurions à faire face au coronavirus pour deux années supplémentaires. »

L’article précise que

Brosh a reconnu qu’il existe des risques uniques et inconnus pour les vaccins à ARN messager, notamment des réactions inflammatoires locales et systémiques qui pourraient conduire à des maladies auto-immunes… Un article publié par le National Center for Biotechnology Information, une division des National Institutes of Health, a déclaré que les autres risques comprennent la biodistribution et la persistance de l’expression immunogène induite ; le développement possible d’anticorps auto-réactifs ; et les effets toxiques de tout nucléotide non natif et des composants du dispositif d’administration…

Michal Linial, professeur de chimie biologique à l’université hébraïque de Jérusalem, a exprimé des sentiments similaires :

« Les vaccins classiques ont été conçus pour être développés en 10 ans. Je ne pense pas que le monde puisse attendre un vaccin classique. »

[…] Mais lorsqu’on lui a demandé si elle accepterait de prendre le vaccin tout de suite, elle a répondu :

« Je ne le prendrai pas immédiatement — probablement pas avant au moins l’année prochaine. Nous devons attendre et voir si cela fonctionne vraiment. »

Super ! Donc le « professeur de chimie biologique » ne se fera pas injecter le vaccin, mais les gens ordinaires comme vous et moi devrions le faire ?

Un peu de sérieux. La réticence du professeur Linial est un aveu tacite que le vaccin n’est pas sans danger. Qu’est-ce que cela pourrait signifier d’autre ? Voici d’autres informations tirées du même article :

« Pour obtenir l’approbation de la FDA, les fabricants devront prouver que l’injection de ces vaccins n’a pas d’effets négatifs sur la santé, immédiats ou à court terme. Mais lorsque le monde commencera à recevoir ces vaccins totalement nouveaux et révolutionnaires, il ne saura pratiquement rien de leurs effets à long terme. »

Eh bien, c’est tout simplement génial. Nous savons que les vaccins n’empêcheront pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort. Nous savons également qu’ils sont « complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant ». Nous savons aussi qu’ils n’arrêteront pas la transmission et que leur innocuité à long terme est très douteuse. Malgré cela, nos dirigeants — qui nous mentent sur pratiquement tout — nous veulent au garde-à-vous et soumis à une injection vaccinale qu’on la veuille ou pas.

À mon avis, les risques de la vaccination dépassent de loin les avantages. Je préfère faire confiance à mon propre système auto-immunitaire — et aux nouveaux traitements, médicaments et thérapies — plutôt que d’être le cobaye de la sinistre expérience de laboratoire [« grandeur nature » – NdT] de Big Pharma.

« Merci, mais non merci. »

Source de l'article initialement publié en anglais le 28 novembre 2020 : TheUnz Review
Traduction : Sott.net

Alors, à quoi ce vaccin sert-il ?

Quelques articles pour un début de réponse :

Par ailleurs, la FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.
© FDA

Voir aussi la mise en garde du Professeur Perronne :

« Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.


[Voir aussi :




Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

[Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth
par Thomas S. Cowan, MD, et Sally Fallon Morell.]

Table des matières

PRÉFACE
INTRODUCTION

Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME

CHAPITRE 1 : CONTAGION
La balle de ping-pong et le mur.
Les postulats de Koch.
Les postulats de Rivers.
Louis Pasteur et comment il a triché.
CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
Premières expériences électriques.
Électrification mondiale et grippe.
La radio mondiale et la grippe espagnole.
La grippe espagnole n’était pas contagieuse.
Téléphones portables et augmentation de la mortalité.
La mise en œuvre de la 5G et la propagation de la Covid-19.
Symptômes de sensibilité électrique.
Preuve de dommages causés par la technologie des ondes millimétriques.
CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
Les comètes et la peste noire.
Poisons d’insectes et toxines environnementales.
Le Dr Charles Campbell résout l’énigme de la variole.
Chauves-souris contre les moustiques.
Robert Koch sur la tuberculose et comment il a triché.
Les observations du Dr Weston Price sur la tuberculose.
La polio et le DDT.
Paralysie induite par le vaccin.
Maladies amérindiennes.
Stefan Lanka et le virus de la rougeole.
CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
De la guerre contre le cancer à la guerre contre le sida.
Les vraies causes du SIDA.
AZT pour les patients atteints du SIDA.
Épidémie de Covid à Wuhan.
La recherche chinoise ne trouve pas de virus.
CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
Le monde des tests de coronavirus d’Alice-au-Pays des Merveilles.
L’histoire de Stefan Lanka.
L’échec de la chasse au coronavirus.
Le test PCR par rapport à l’étalon-or.
Tests d’anticorps.
CHAPITRE 6 : EXOSOMES
Louis Pasteur et la théorie de la contagion.
Darwinisme social.
Microscopes et germes.
Les exosomes sont des virus.
La peur et le stress produisent des exosomes.
Nature une entreprise coopérative.
CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
Virologie et bifurcation.
La nature de la vie.
La découverte de la résonance.
Résonance et maladies infantiles.
Résonance et évolution.

Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?

CHAPITRE 8 : L’EAU
Le travail de Gerald Pollack et Gilbert Ling.
Les quatre phases de l’eau.
L’eau et les processus électriques dans la cellule.
Les caractéristiques de l’eau vivifiante.
CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
Les huiles végétales.
Graisses animales et intégrité de la membrane cellulaire.
La 5G et la carence en niacine.
Le transport des aliments du commerce moderne.
Régimes à base de plantes.
Lait cru.
Bouillon d’os, aliments fermentés.
Sel.
Le four à micro-ondes.
CHAPITRE 10 : TOXINES
Toxines dans le monde antique.
Toxines modernes.
Toxines dans les aliments.
Médicaments modernes.
Glyphosate et biocarburants.
L’âge de l’aluminium.
Toxines dans les vaccins.
CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
La toxine la plus répandue de l’ère moderne.
Créer notre monde à partir de notre conscience.
Comment la peur et les mensonges mènent à la maladie.

Partie 3: CHOIX

CHAPITRE 12 : QUESTION DE COVID
Les chiffres – Covid est-il sous-estimé ou surestimé ?
Symptômes alarmants.
Traitement.
Masques.
Distanciation sociale.
5G et l’apparition de contagion.
CHAPITRE 13 : UN VACCIN CONTRE LE COVID-19
Jenner et le vaccin contre la variole.
Pasteur et le vaccin antirabique.
La doctrine de l’immunité.
Fabriquer des vaccins modernes.
Problèmes avec le vaccin.
Une nouvelle étiquette.
Nettoyer l’électro-smog.
CHAPITRE 14 : 5G ET L’AVENIR DE L’HUMANITÉ
Qu’est-ce que l’homme ?
La 5G et l’avenir de la Terre.

ÉPILOGUE
ANNEXE A : EAU
ANNEXE B : BIO-GÉOMÉTRIE ET ATTÉNUATION DES CEM
ANNEXE C : QUE MANGER ?
Notes de fin
Remerciements
Autres livres des auteurs
Index


Extraits

[Note : les numérotations correspondant aux notes de fin de livre ont été retirées.]

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.


Imaginez un cas dans lequel certaines personnes qui boivent le lait d’une certaine vache développent une diarrhée abondante et sanglante. Votre travail consiste à trouver la cause du problème. Vous vous demandez s’il y a un agent transmissible dans le lait qui est consommé par les malheureux, ce qui les rend malades. Cela semble parfaitement raisonnable jusqu’à présent. Vous examinez ensuite le lait sous l’appareil de microscope nouvellement inventé et trouvez une bactérie dans le lait. Vous pouvez dire par son apparence qu’elle est différente des bactéries habituelles que l’on trouve dans le lait. Vous examinez attentivement le lait et découvrez que la plupart des personnes atteintes de diarrhée sanglante, sinon toutes, ont en fait bu ce lait. Vous examinez ensuite le lait consommé par les personnes qui n’ont pas développé de diarrhée et vous constatez qu’aucun des échantillons de lait ne contient cette bactérie particulière. Vous nommez la bactérie « listeria » d’après un collègue scientifique. Ensuite (…) vous purifiez les bactéries, afin qu’il ne reste plus rien du lait. Vous donnez cette culture bactérienne purifiée à une personne qui développe alors une diarrhée sanglante. L’argument décisif est que vous trouvez ensuite ces mêmes bactéries dans leurs selles. Affaire classée. Infection prouvée.

Pasteur a fait ce type d’expérience pendant quarante ans. Il a trouvé des malades, prétendu avoir isolé une bactérie, donné la culture pure à des animaux souvent en l’injectant dans leur cerveau et les a rendus malades.

(…)

N’est-il pas possible que les toxines dans le lait peut-être parce que la vache n’est pas bien nourrie et ne peut pas facilement se débarrasser des toxines expliquent la présence de listeria (qui est toujours présente dans notre corps, avec des milliards d’autres bactéries et particules appelées virus) ? La listeria est simplement en train de biodégrader les toxines qui prolifèrent en raison de l’état malsain du lait.

La question centrale est alors de savoir comment prouver que la listeria, et non quelque chose de toxique dans le lait, est à l’origine de la diarrhée ? (…) Nourrir une personne en bonne santé avec du lait, (…) cela ne prouve rien. Vous devez isoler (…) la listeria et nourrir la personne ou l’animal en bonne santé uniquement avec [cette bactérie] pour voir ce qui se passe. C’est ce que Pasteur prétend avoir fait dans ses papiers.

Pasteur remit ses cahiers de laboratoire à ses héritiers à condition de ne jamais les rendre publics. Cependant, son petit-fils, Louis Pasteur Vallery-Radot, qui ne se souciait apparemment pas beaucoup de Pasteur, fit don des cahiers à la bibliothèque nationale française, qui les publia. En 1914, le professeur Gerard Geison de l’Université de Princeton a publié une analyse de ces cahiers, qui a révélé que Pasteur avait commis une fraude massive dans toutes ses études. Par exemple, lorsqu’il a dit qu’il avait injecté des spores virulentes d’anthrax dans des animaux vaccinés et non vaccinés, il pouvait clamer le fait que les animaux non vaccinés étaient morts, mais c’était parce qu’il avait également injecté des poisons aux animaux non vaccinés.

Dans les cahiers, Pasteur déclare sans équivoque qu’il était incapable de transférer la maladie avec une culture pure de bactéries (il n’était évidemment pas capable de purifier les virus à ce moment-là.) En fait, le seul moyen de transférer la maladie était d’insérer le tissu infecté entier dans un autre animal (il injectait parfois le cerveau broyé d’un animal dans le cerveau d’un autre animal pour « prouver » la contagion) ou de recourir à l’ajout de poisons à sa culture, qui, selon lui, provoqueraient des symptômes chez les receveurs.

Il a admis que tout l’effort pour prouver la contagion était un échec, conduisant à sa célèbre confession sur son lit de mort : « Le germe n’est rien; le terrain est tout ». Dans ce cas, le terrain fait référence à l’état de l’animal ou de la personne et du fait que l’animal ou la personne a été soumis au poison.

Depuis l’époque de Pasteur, personne n’a démontré expérimentalement la transmissibilité de la maladie avec des cultures pures de bactéries ou de virus.


Avec la découverte de la nature électrique du soleil, les scientifiques ont fait des observations intéressantes. La période 1645-1715 est celle que les astronomes appellent le minimum de Maunder, lorsque le soleil était calme. Les astronomes n’ont observé aucune tache solaire pendant cette période et les aurores boréales étaient inexistantes. En 1715, les taches solaires réapparurent, tout comme les aurores boréales. L’activité des taches solaires a ensuite augmenté, atteignant un sommet en 1727. En 1728, la grippe est apparue par vagues sur tous les continents. Les activités des taches solaires sont devenues plus violentes jusqu’à leur pic en 1738, lorsque les médecins ont signalé la grippe chez l’homme et les animaux (y compris les chiens, les chevaux et les oiseaux, en particulier les moineaux). Selon certaines estimations, deux millions de personnes ont péri au cours de la pandémie de dix ans.

Ces faits et d’autres sur la relation entre la grippe et les perturbations électriques proviennent d’un livre remarquable, The Invisible Rainbow [L’arc-en-ciel invisible] par Arthur Firstenberg. Firstenberg raconte l’histoire de l’électricité aux États-Unis et dans le monde, et les épidémies de maladie qui ont accompagné chaque pas vers une plus grande électrification. La première étape consistait à installer des lignes télégraphiques. En 1875, celles-ci formaient une toile d’araignée sur la terre totalisant sept cent mille miles, avec suffisamment de fil de cuivre pour encercler le globe près de trente fois. Avec elle est venue une nouvelle maladie appelée neurasthénie.

Comme ceux qui souffrent aujourd’hui de syndrome de fatigue », les patients se sentaient faibles, épuisés et incapables de se concentrer. Ils avaient des maux de tête, des étourdissements, des acouphènes, des flotteurs [des points dansants] dans les yeux, des battements de pouls, des douleurs dans la région du cœur et des palpitations; ils étaient déprimés et avaient des crises de panique. Le Dr George Miller Beard et la communauté médicale ont observé que la maladie se propageait le long des voies ferrées et des lignes télégraphiques. Elle ressemblait souvent au rhume ou à la grippe et saisissait souvent des personnes dans la fleur de l’âge.

En 1889, nous marquons le début de l’ère électrique moderne et aussi d’une pandémie de grippe mortelle, qui a suivi l’avènement de l’électricité dans le monde entier. Selon Firstenberg : « La grippe a frappé de manière explosive et imprévisible, encore et encore par vagues jusqu’au début de 1894. C’était comme si quelque chose de fondamental avait changé dans l’atmosphère. »

Les médecins sont perplexes face à la propagation capricieuse de la grippe. Par exemple, William Beveridge, auteur d’un manuel de 1975 sur la grippe, a noté: « Le navire de guerre anglais Arachne naviguait au large de Cuba « sans aucun contact avec la terre ». Pas moins de 114 hommes sur un équipage de 149 sont tombés malades de la grippe et ce n’est que plus tard qu’on a appris qu’il y avait eu des flambées à Cuba au même moment. »

Pendant la Première Guerre mondiale, les gouvernements des deux côtés du conflit ont installé des antennes, qui ont fini par recouvrir la terre de signaux radio puissants et pendant la dernière partie de 1918, une catastrophe s’est produite. La grippe espagnole a touché un tiers de la population mondiale et tué environ cinquante millions de personnes, soit plus que la peste noire du XIVe siècle. Pour arrêter la contagion, les communautés ont fermé les écoles, les entreprises et les théâtres. Les gens ont reçu l’ordre de porter des masques et de s’abstenir de se serrer la main.

Ceux qui vivent sur des bases militaires hérissées d’antennes sont les plus vulnérables. Un symptôme courant était le saignement des narines, des gencives, des oreilles, de la peau, de l’estomac, des intestins, de l’utérus, des reins et du cerveau. Beaucoup sont morts d’hémorragie dans les poumons, noyés dans leur propre sang. Les tests ont révélé une diminution de la capacité du sang à coaguler. Ceux qui sont proches de la mort souvent développé « cette couleur bleue particulière qui semblait marquer tous les premiers cas mortels. »

[Note : voir aussi : L’aspirine a peut-être aggravé la pandémie de grippe de 1918. Il y a eu un usage massif d’aspirine pendant cette période, un médicament connu pour ses propriétés anticoagulantes.]


Le système 5G est également installé sur les navires de croisière modernes. Par exemple, le bateau de croisière Diamond Princess annonce « le meilleur Wi-Fi en mer ». Le 3 février 2020, le navire a été mis en quarantaine à Yokohama, au Japon, après que de nombreux passagers se sont plaints de maladie. Au final, 381 passagers et membres d’équipage sont tombés malades et quatorze sont morts.

Le bateau de croisière Diamond Princess.
Les quatre objets ronds sur le dessus du navire sont des antennes et des émetteurs 5G.

Il est intéressant de noter que l’armée possède des dispositifs de contrôle des foules qui fonctionnent dans les mêmes gammes: 6–100 GHz. Le système de déni actif à 95 GHz est une arme qui peut pénétrer dans la peau et produire des sensations de chaleur intolérables, poussant les gens à s’éloigner du faisceau.


Une revue de recherche de près de deux cents études a noté que « les effets non thermiques ont été clairement démontrés dans des milliers de publications évaluées par des pairs ». Alors que certains modèles de bandes de fréquences EMF sont cohérents et peuvent être bénéfiques pour la santé, « les fréquences 5G choisies appartiennent en grande partie aux zones nuisibles ». Les auteurs ont noté que les études gouvernementales revendiquant la sécurité de la 5G n’ont pas tenu compte du fait que le rayonnement 5G peut être pulsé et modulé et émis par plusieurs antennes. Il est intéressant de constater que « les ondes électromagnétiques peuvent également être polarisées circulairement par interaction avec la poussière atmosphérique et peuvent donc pénétrer beaucoup plus profondément dans l’organisme. En outre, les ondes 5G peuvent présenter des interférences avec d’autres fréquences d’onde EMF, ce qui se traduit par des ondes stationnaires et des «points chauds» environnementaux de rayonnement qui peuvent être très éprouvants pour les personnes hypersensibles aux CEM. » La pollution atmosphérique et la 5G ne font pas bon ménage !

Une étude publiée dans Frontiers in Oncology décrit les lésions pulmonaires causées par la radiothérapie. La radiothérapie utilise des ondes plus courtes à courte distance pendant une période plus courte, mais il va de soi que les ondes millimétriques 5G, avec des émetteurs à proximité, pulsant des quantités massives de fréquences à tout moment, pourraient également causer des lésions pulmonaires. Selon les auteurs, « En fonction de la dose et du volume de poumon irradié, une pneumopathie radique aiguë peut se développer, caractérisée par une toux sèche et une dyspnée (essoufflement). »

Il est intéressant de noter que la Lloyd’s of London et d’autres compagnies d’assurance ne couvriront pas les blessures causées par les téléphones portables, le Wi-Fi ou les compteurs intelligents. Les champs électromagnétiques sont classés comme polluants, aux côtés de la fumée, des produits chimiques et de l’amiante : « L’exclusion des champs électromagnétiques (exclusion 32) est une exclusion d’assurance générale et est appliquée en standard sur le marché. Le but de l’exclusion est d’exclure la couverture des maladies causées par exposition continue et à long terme aux rayonnements non ionisants, c’est-à-dire par l’utilisation du téléphone portable. »

Selon le Dr Cameron Kyle-Sidell, travaillant dans une salle d’urgence (ER) à New York, les affligés sont littéralement à bout de souffle. « Nous n’avons jamais rien vu de tel ! » Les symptômes des patients atteints de Covid-19 ressemblent à ceux d’une maladie de haute altitude plutôt qu’à une pneumonie virale. En fait, les ventilateurs que les hôpitaux se sont efforcés d’obtenir peuvent faire plus de mal que de bien et peuvent expliquer le taux de mortalité élevé, car ils augmentent la pression sur les poumons. Ces patients n’ont pas besoin d’aide pour respirer ils ont besoin de plus d’oxygène lorsqu’ils respirent. Beaucoup deviennent bleus au visage. Ce ne sont pas des signes d’une maladie contagieuse mais d’une perturbation de nos mécanismes de production d’énergie et d’acheminement de l’oxygène vers les globules rouges.


[Voir aussi :




Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains

[Source : Guy Boulianne]

[NdNM : face au propos tenu dans cet article, plusieurs réactions sont possibles. L’une d’elles consiste à rejeter tout en bloc. Cela peut être stimulé par la peur ou par l’incrédulité et la difficulté à envisager ce qui sort du cadre des références personnelles. Une autre, probablement plus utile, est de l’envisager comme possible, voire plausible et probable, de sorte à se préparer au moins concrètement, psychologiquement, mentalement, psychiquement et/ou spirituellement.]

Nous avons récemment reçu un lien vers un discours courageux donné par un ancien citoyen russe lors d’une réunion d’action communautaire du Keep Colorado Free & Open, dans une église de Loveland, Colorado, le 10 novembre 2020.

L’orateur, le Dr Igor Shepherd, a travaillé pendant de nombreuses années dans l’ex-Union soviétique en tant que professionnel de la santé spécialisé dans le développement d’armes biologiques mortelles. Il savait que ce programme top secret était consacré à l’avancement du communisme mondial et serait utilisé un jour pour détruire les États-Unis. A cette époque, imprégné d’idéologie communiste, il ne voyait rien de mal dans le meurtre de cent millions de personnes. Lui et ses collègues pensaient que c’était un petit prix à payer pour la création d’une utopie communiste mondiale.

Dans cet article, nous souhaitons souligner bon nombre des points soulevés par le Dr Shepherd.

Le Dr Shepherd a occupé pendant environ sept ans un poste de direction au sein du ministère de la Santé publique de l’État du Wyoming, mais a récemment été démis de ses fonctions en attendant une enquête sur le discours qu’il a prononcé le 10 novembre. Lui et sa femme, June, savaient que sa carrière en souffrirait s’il franchissait cette étape.

Le parcours du Dr Shepherd

Pour apprécier la gravité et l’urgence de ce qu’il dit, nous devons comprendre son parcours. Il a une connaissance et une expérience considérables dans ce domaine. En tant qu’ancien officier du KGB, ayant grandi en Union soviétique et travaillé en étroite collaboration avec l’armée russe, il sait que la conquête communiste planifiée de toutes les nations a été continuellement active depuis la formation de l’Union soviétique en 1917. La supposée « chute » de l’Union soviétique en 1991 n’était qu’une réorganisation de son fonctionnement. Le même groupe d’élite est resté en contrôle tout au long.

Il a grandi en Union soviétique à Saint-Pétersbourg, en Russie, et est diplômé de l’Académie de médecine militaire SM Kirov en tant que médecin militaire en médecine interne. Il s’est entraîné dans le cadre de la Force de fusée stratégique russe et s’est spécialisé dans la toxicologie militaire, le contrôle des infections, la prolifération CBRN, les armes de destruction massive et la guerre nucléaire / biologique / chimique.

Depuis 2000, il a développé et mis en œuvre des programmes de préparation et formé des hôpitaux, des premiers intervenants, des professionnels de la santé, des techniciens Hazmat, des forces de l’ordre, des militaires, de la Garde nationale, des équipes SWAT, du FBI et des patrouilles frontalières sur la préparation CBRNE et les situations d’urgence (y compris la préparation à une pandémie mondiale). Il a prononcé des discours liminaires dans tout le pays pour de nombreuses conférences DHS et d’État et militaires. Il est spécialiste des armes biologiques, de la médecine des catastrophes et du contre-terrorisme.

Avant de travailler pour l’état du Wyoming, il a travaillé dans divers autres emplois de préparation aux situations d’urgence et également sur un site d’essais nucléaires du Nevada pour les opérations de lutte contre le terrorisme où il a été impliqué dans la recherche et le développement techniques sur la préparation nationale et la sécurité nucléaire pour le ministère de la Justice, Bureau de la préparation intérieure, DHS, DOE, NNSA, DOD, DTRA, FEMA, Garde nationale, équipes SWAT tactiques, application de la loi, premiers intervenants et professionnels de la santé. Igor et June Shepherd écrivent :

« Le but final de l’humanité sous ce régime totalitaire est le transhumanisme, et pour y parvenir, ils doivent fusionner l’homme avec la machine. Les vaccins anti-ADN Covid-19 sont les moyens avec lesquels ils peuvent nous rendre transhumains. Les vaccins Covid-19 utilisent une nouvelle technologie d’ARNm qui a le potentiel de corrompre et de modifier notre génome humain d’origine, créant des effets secondaires graves et le potentiel de millions de décès. Les processus technologiques de ce type de vaccin sont étrangement similaires aux armes biologiques créées par les laboratoires militaires russes au cours des trois dernières décennies. Et ce qui est alarmant, c’est que chaque société de vaccins qui a développé aujourd’hui des vaccins Covid-19 pour la population américaine est financée et en partenariat avec l’armée américaine et la DARPA. La DARPA est une organisation militaire impliquée dans les armes biologiques depuis les années 1950 ! Un vaccin qui est autorisé à contourner des réglementations médicales rigoureuses pour assurer la sécurité publique est inacceptable. Un vaccin dirigé par des entités militaires spécialisées dans les armes biologiques est tout aussi inacceptable, en particulier lorsque des brevets sont sécrétés, que des ingrédients malsains sont ajoutés et que les fabricants de vaccins sont exonérés de toute responsabilité. Nous croyons que chaque personne a le droit de connaître ces détails et de faire ses propres choix concernant ce qu’elle croit être le mieux pour son corps et sa santé. »


« Tout le monde sera sous l’égide du système Baal… aspiré dans l’obscurité du système Baal. Et le système Baal n’a aucune pitié. »

Igor Shepherd M.D.


Avertissement du Dr Shepherd à Loveland

Nous ne pouvons que donner un avant-goût dans cette section de ce que le Dr Shepherd a transmis dans sa présentation. Nous essaierons dans la mesure du possible de préserver l’urgence de ses propos.

Il est né et a grandi sous le communisme : « Je suis venu du monde sombre du communisme… C’est un monde très sombre. » Il a rejoint l’armée et a été qualifié en tant que médecin travaillant pour le KGB et le renseignement militaire russe. Il est devenu impliqué dans le programme russe d’armes biologiques et a eu des contacts réguliers pendant un certain temps avec certaines des meilleures personnes dans le domaine. Comme il l’explique, le programme avait un but : détruire les États-Unis.

Tout a changé pour lui lorsqu’il a trouvé le Christ en 1992.

Il a décrit la Russie sous le communisme comme « le système Baal ». Ce système a travaillé pendant des décennies pour saper leur grand rival, les États-Unis, et les faire tomber. « J’ai été formé pour détruire les États-Unis d’Amérique … physiquement, pas spirituellement. » Dans sa présentation, il a souligné l’urgence de la menace qui pèse maintenant sur l’Amérique et la nécessité pour que les gens s’unissent le plus rapidement possible contre cette menace. « Nous avons très peu de temps… Dans 6 à 8 mois, vous ne reconnaîtrez plus du tout ce pays. »

La technologie n’est pas nouvelle

La science de la génétique est bien plus avancée que les gens ne le pensent. Ce que les médias appellent «la nouvelle technologie révolutionnaire» n’est pas du tout nouvelle. La Russie, la Chine et Cuba, ainsi que certains autres pays, développaient dès les années 1990 des armes biologiques mortelles basées sur la technologie du génie génétique. Le principal centre russe de ce travail est l’Institut du vecteur de Novossibirsk. L’Institut utilise la technologie des « ARN messagers » depuis plusieurs décennies pour développer de nouveaux virus.

Vue de l’énorme complexe de virologie vectorielle à Koltsovo à Novosibirsk, en Russie. Ouvert en 1974, les laboratoires de recherche scientifique de Vector ont développé et produit en masse un grand nombre d’armes biologiques mortelles. S’il ne s’agissait que d’une installation de la guerre froide, elle aurait été fermée au début des années 90, mais elle a continué de fonctionner. Selon Wikipedia, le centre a développé plusieurs souches hautement contagieuses de grippe aviaire et d’hépatite.

Parmi les armes qu’il a développées, il y en a une qui détruit la gaine de myéline qui recouvre nos fibres nerveuses. Dans les deux semaines suivant l’exposition, les victimes étaient incapables de marcher. Ces dégâts étaient permanents. Beaucoup de ces scientifiques étaient et sont des psychopathes et ont souvent fait des expériences sur le peuple russe, tant militaire que civil. Par exemple, la soi-disant pandémie de grippe russe de 1977-78 a été produite en dispersant une toxine en aérosol dans les métros de Saint-Pétersbourg. Lorsque les voyageurs sont devenus malades, ils se font vacciner contre la grippe. Les vaccins eux-mêmes ont été délibérément contaminés par un virus génétiquement modifié, entraînant la mort de 70 000 personnes. Comme l’a dit le Dr Shepherd, « Il y a beaucoup de science perverse dans le monde et beaucoup de scientifiques pervers… Le système Baal n’a aucune pitié. Aucun. Absolument aucun. »

La soi-disant pandémie

La « pandémie » de Covid est un canular. Il existe peut-être un virus, mais il n’est pas plus nocif que la grippe. La pandémie elle-même, et en particulier l’opération massive de « peur » actuellement menée à travers le monde, est prévue depuis 19 ans. Cela a commencé par une conférence appelée « Operation Dark Winter » qui a eu lieu à Andrews Airforce Base dans le Maryland du 22 au 23 juin 2001. L’opération a simulé la réponse à une attaque bioterroriste. Les différentes étapes préparatoires qui seront mises en œuvre dans les années à venir ont été esquissées lors de cette conférence.

Celles-ci comprenaient les lettres d’anthrax de 2001, la peur du SRAS de 2003, l’épidémie de grippe H1N1 de 2009 (qui avait un taux de mortalité beaucoup plus élevé que “Covid”), l’épidémie de MERS de 2012, les diverses épidémies d’Ebola, le rapport allemand sur la « pandémie » de 2015 et, le 18 octobre 2019, « Event 201 », où les techniques qui seraient utilisées pour gérer la réponse du public au « Covid-19 » ont été discutées et approuvées.

Hiver sombre

Lucifer, par William Blake (1808)

Le scénario « Dark Winter » envisagé en 2001 est mis en œuvre en 2020 et au-delà. Cela n’est possible que parce que les gouvernements de la plupart des pays soutiennent la mise en œuvre d’un « nouvel ordre mondial » et ont accepté « l’hiver sombre » comme événement déclencheur nécessaire. Bref, ils ont trahi leur propre peuple. Comme l’a dit le Dr Shepherd, « Nous avons… une trahison au plus haut niveau. »

Les grandes sociétés pharmaceutiques ont un rôle central dans l’Opération Dark Winter. La peur de la pandémie est utilisée pour inciter le public à accepter des vaccins qui modifieront leur ADN. Ce changement se produira progressivement à mesure que davantage de vaccins seront administrés, très probablement sur une base annuelle. Le public sera amené à croire que sans ces vaccins, les souches nouvelles ou mutées d’un virus mortel infecteront et tueront quiconque n’a pas été vacciné contre lui.

Ces sociétés sont dirigées par des personnes qui servent Lucifer : « Ceux, comme Bill Gates, le servent en fait [Lucifer]… Toutes les sociétés de vaccins sont contrôlées par Bill Gates. Toutes. »

L’armée chinoise

Le Dr Shepherd a déclaré que toutes les sociétés pharmaceutiques qui « développent » des vaccins Covid-19 sont liées à l’armée chinoise. Le public apprend que ces vaccins ont été « développés » en seulement deux à trois mois après l’éclosion de la supposée pandémie de Covid. Cependant, c’est un mensonge. Les six vaccins dont l’utilisation sera approuvée aux États-Unis ont été développés et testés il y a des années.

Les mêmes entreprises sont également liées financièrement à la DARPA — Defense Advanced Research Projects AgencyModerna travaille en étroite collaboration avec la DARPA depuis 2013. Une fois que suffisamment de personnes ont pris les vaccins, « quelque chose pourrait se produire », comme l’a dit le Dr Shepherd, lorsque la 5G sera activée.

Il a dit que, là où le vaccin n’a pas d’effet indésirable immédiat, il affectera certainement notre progéniture. En conséquence, a prochaine génération d’enfants aux États-Unis souffrira de graves problèmes neurologiques : « Ce sera désastreux. » De plus, cela affectera tous les pays, pas seulement les États-Unis. Il l’a appelé GGG — « Global Genetic Genocide » (Génocide génétique mondial).

Communisme technocratique

Il ne s’agit pas de communisme traditionnel mais de « communisme technocratique », où la surveillance et le contrôle universels sont maintenus en temps réel grâce à l’intelligence artificielle.

« Mon message est urgent… Toutes les petites entreprises auront disparu, complètement disparues, sous le communisme… C’est moche. C’est luciférien… Aux États-Unis en 2021, 2022, les vaccins deviendront des événements annuels, semi-annuels. Obligatoire pour tous… [Tout le monde sera] sous l’égide du système Baal… [aspiré] dans l’obscurité du système Baal. Et le système Baal n’a aucune pitié. »

À mesure que chaque vaccin annuel est administré, nos génomes se détourneront de plus en plus du génome que Dieu nous a donné. À un moment donné, vous ne serez plus humain.

« Faites la paix avec Dieu. »


« Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné en tant que virus particulièrement meurtrier »

Prince Philip d’Édimbourg


Conclusion

En tant qu’ancien officier du KGB, le Dr Shepherd est exceptionnellement bien qualifié pour évaluer la menace qui pèse sur les États-Unis. Il a grandi dans un système qui méprisait la liberté, où l’État dominait l’esprit de ses citoyens et où l’armée était entraînée à haïr les États-Unis. Il sait que la menace est réelle car il a déjà travaillé avec les mêmes personnes qui l’exécutent actuellement.

Le communisme conquiert les nations en écrasant toute opposition. Cela crée un État policier où aucune opinion opposée ne peut fleurir. Là où il ne peut pas envahir de l’extérieur, il cherche d’abord à corrompre de l’intérieur. Ensuite, lorsque sa cible est suffisamment affaiblie, elle se déplace militairement. La Russie ne peut pas faire cela seule. La Chine non plus. Les traîtres opérant aux États-Unis ne le peuvent pas non plus, les trompeurs traîtres qui ont ouvert les portes à l’ennemi. Mais les trois travaillant ensemble sont susceptibles de réussir.

Le public américain est douloureusement inconscient de l’ampleur de cette menace. Une « première frappe » se profile. Même à cette heure tardive, alors que tant d’éléments du plan sont bien visibles, ils ne peuvent pas se résoudre à voir qu’un énorme marteau de fer est sur le point de s’écraser sur leur autre grande nation.

L’avertissement du Dr Shepherd est vraiment urgent. Le temps est presque écoulé. Veuillez tenir compte de ses paroles !

Jeremy James
Irlande, 1er décembre 2020

RÉFÉRENCES :

[Voir aussi une série d’articles pouvant être reliés au sujet et apporter un éclairage complémentaire :




Wikipédia : Une opération de désinformation ?

[Source : Swiss Policy Research]

Publié: March 2020; Mise à jour: June 2020
Langues CNDEENESFAFRJPNLPLRU
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Wikipédia est généralement considéré comme une encyclopédie en ligne ouverte, transparente et surtout fiable. Pourtant, en y regardant de plus près, il s’avère que ce n’est pas le cas.

En fait, la version anglaise de Wikipedia, avec ses 9 milliards de pages vues par mois dans le monde, est gérée par seulement 500 administrateurs actifs, dont la véritable identité reste souvent inconnue.

De plus, des études ont montré que 80 % de l’ensemble du contenu de Wikipédia est écrit par seulement 1 % de tous les éditeurs de Wikipédia, ce qui, là encore, ne représente que quelques centaines de personnes pour la plupart inconnues.

Il est évident qu’une telle structure non transparente et hiérarchique est susceptible de corruption et de manipulation, les fameux “éditeurs payés” engagés par les entreprises n’en étant qu’un exemple.

En effet, déjà en 2007, des chercheurs ont découvert que des employés de la CIA et du FBI éditaient des articles de Wikipédia sur des sujets controversés, notamment la guerre en Irak et la prison militaire de Guantanamo.

Toujours en 2007, les chercheurs ont découvert que l’un des administrateurs anglais de Wikipédia les plus actifs et les plus influents, appelé “Slim Virgin”, était en fait un ancien informateur des services de renseignement britanniques.

Plus récemment, un autre rédacteur en chef de Wikipédia très prolifique, portant le faux nom de “Philip Cross”, s’est avéré être lié aux services de renseignement britanniques ainsi qu’à plusieurs journalistes des grands médias.

En Allemagne, l’un des rédacteurs de Wikipédia les plus agressifs a été démasqué, après une bataille juridique de deux ans, en tant qu’agent politique ayant servi dans l’armée israélienne en tant que volontaire à l’étranger.

Même en Suisse, des employés du gouvernement non identifiés ont été pris en train de blanchir les entrées de Wikipedia sur les services secrets suisses juste avant un référendum public sur l’agence.

Beaucoup de ces personnages de Wikipédia éditent des articles presque toute la journée et tous les jours, ce qui indique qu’ils sont soit des individus très dévoués, soit en fait, qu’ils sont dirigés par un groupe de personnes.

En outre, les articles édités par ces personnages ne peuvent pas être facilement révisés, car les administrateurs susmentionnés peuvent toujours annuler les modifications ou simplement bloquer les utilisateurs en désaccord.

Le but premier de ces campagnes secrètes semble être de promouvoir les positions des gouvernements occidentaux et israéliens tout en détruisant la réputation des journalistes et des politiciens indépendants.

Les articles les plus touchés par ce type de manipulation comprennent des sujets politiques, géopolitiques et certains sujets historiques ainsi que des biographies d’universitaires, de journalistes et de politiciens non-conformistes.

Sans surprise, le fondateur de Wikipédia, Jimmy Wales, un ami de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et un “Young Leader” du forum de Davos, a défendu ces opérations à plusieurs reprises.

En parlant de Davos, Wikimedia a lui-même amassé une fortune de plus de 160 millions de dollars, donnés en grande partie non pas par des étudiants paresseux, mais par de grandes entreprises américaines et des fondations influentes.

De plus, les médias sociaux et les plateformes vidéo américaines se réfèrent de plus en plus à Wikipédia pour encadrer ou combattre des sujets “controversés”. Les révélations évoquées ci-dessus peuvent peut-être aider à expliquer pourquoi.

Déjà, le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden a révélé comment les espions manipulent les débats en ligne, et plus récemment, un cadre supérieur de Twitter s’est révélé être un officier “des opérations psychologiques (psyops)” de l’armée britannique.

Pour ajouter au moins un certain degré de transparence, des chercheurs allemands ont développé un outil de navigation gratuit appelé WikiWho qui permet aux lecteurs de coder en couleur qui a édité quoi dans Wikipedia.

Dans de nombreux cas, le résultat semble aussi inconfortable qu’on pourrait le penser.

WikiWho / WhoColor
Références supplémentaires



« Les aliens existent et ils ont signé un contrat avec les États-Unis »: les révélations hallucinantes d’un ancien haut responsable israélien

[Source : BusinessAM]

Responsable de la sécurité du programme spatial israélien pendant 30 ans, Haim Eshed a livré une incroyable interview à la presse de son pays. Il explique que les aliens existent, mais que l’humanité n’est pas encore prête à l’accepter.

Les propos ont tous les atours d’une théorie fumeuse. S’ils ne sortaient pas de la bouche d’une éminence de la recherche spatiale, ils seraient sans doute rangés dans la catégorie « discours conspirationniste ». Car non seulement les aliens existeraient, mais en plus, ils seraient en contact étroit avec les autorités américaines.

De 1981 à 2010, Haim Eshed a été le responsable de la sécurité du programme spatial israélien. Durant cette période, il a reçu à trois reprises le « prix de la Sécurité d’Israël » des mains du président israélien.

Dans une interview accordée au Yediot Aharonot – l’un des principaux quotidiens d’Israël – Eshed a révélé l’existence des aliens. Qu’un ancien haut responsable divulgue de telles informations est déjà, en soi, exceptionnel. Mais l’homme est allé beaucoup plus loin, expliquant que ces extraterrestres étaient en contact avec les autorités américaines, avec lesquelles ils auraient passé un contrat.

Haim Eshed

Fédération Galactique

Haim Eshed explique que les humains et les extraterrestres échangent déjà depuis « des années ». D’après lui, ce sont surtout les États-Unis qui ont un contact privilégié avec ces aliens. Ensemble, les deux communautés formeraient la « Fédération Galactique ».

« Trump était sur le point de révéler cela, mais les extraterrestres de la Fédération Galactique ont dit: « Attendez, laissez d’abord les gens se calmer ». Ils ne veulent pas déclencher une hystérie de masse. Ils veulent d’abord nous rendre sains d’esprit et compréhensifs », a détaillé Eshed.

[Voir aussi :] Il y aurait au moins 36 formes de civilisations extraterrestres intelligentes dans notre galaxie

L’ancien responsable de la sécurité du programme spatial israélien a ensuite franchi une étape supplémentaire, expliquant que les autorités américaines et les extraterrestres avaient conclu un contrat.

« Ils ont signé un contrat avec nous pour faire des expériences ici. Eux aussi font des recherches et essaient de comprendre l’ensemble de l’univers, et ils veulent que nous nous aidions. Il y a une base souterraine dans les profondeurs de Mars, où se trouvent leurs représentants, ainsi que nos astronautes américains », a-t-il confié.

Rappelons que Donald Trump a créé il y a un an la United States Space Force, une nouvelle branche des forces armées américaines destinée à mener des opérations militaires dans l’espace.

Pourquoi Eshed parle-t-il ?

Haim Eshed le dit lui-même : les extraterrestres sont réticents à ce qu’on apprenne leur existence sur Terre, parce qu’ils estiment que « l’humanité n’est pas prête ». Alors, pourquoi brise-t-il cet accord ? Car, selon lui, les mentalités sont en train d’évoluer.

« Si j’avais raconté tout ce que je dis aujourd’hui il y a cinq ans, j’aurais été interné. Partout où j’ai présenté cela dans le milieu universitaire, on m’a dit : cet homme a perdu la tête. Aujourd’hui, ils parlent déjà différemment. Je n’ai rien à perdre. J’ai été gradé et récompensé, je suis respecté dans les universités à l’étranger, où la tendance change également », a-t-il expliqué.

A 87 ans, Haim Eshed semble bien décidé à révéler tout ce qu’il sait. Pour ce faire, il vient de publier un livre, intitulé The Universe Beyond the Horizon – conversations with Professor Haim Eshed. Le Jerusalem Post indique qu’il y explique notamment comment les aliens ont réussi à nous sauver de catastrophes nucléaires.




Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses

[Source : Sott.net]

[Auteur : M.K. Scarlett ]

Le 1er décembre 2020, l’ancien directeur de la recherche en pneumologie de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le pneumologue et ancien directeur du département de santé publique, le Dr Wolfgang Wodarg, ont déposé une demande auprès de l’Agence européenne des médicaments — responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’Union européenne — pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin Sras-CoV-2, et en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que les études — pour protéger la vie et la santé des personnes testées [voire vaccinées, puisque c’est initié dans certains pays dès la semaine prochaine – NdT] — ne soient pas poursuivies jusqu’à ce que l’on dispose d’un protocole d’étude adapté pour répondre aux importantes préoccupations en matière d’innocuité, préoccupations exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du protocole d’étude.

Les pétitionnaires demandent d’une part qu’un séquençage dit de Sanger soit utilisé en raison du manque patent d’études sérieuses quant au test PCR. C’est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin anti-Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l’éventuel bénéfice d’un vaccin ne peuvent être déterminés avec une certitude suffisante, et c’est la raison pour laquelle les tests du vaccin sur des humains sont en soi contraires à l’éthique.

En outre, ils exigent qu’il soit exclu, par exemple au moyen d’expérimentations animales, que des risques déjà connus par des études antérieures — qui proviennent en partie de la nature des coronavirus — puissent se concrétiser. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants :

  • La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée est confrontée après la vaccination au vrai virus « naturel ». Cette amplification dite aggravation dépendante des anticorps, l’ADE, est depuis longtemps connue grâce à des expériences avec des vaccins anti-coronavirus chez les chats, par exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus « naturel ».
  • On s’attend à ce que les vaccins produisent des anticorps contre les protéines Spike du Sras-CoV-2. Cependant, ces protéines Spike contiennent également des protéines analogues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il faut absolument exclure qu’un vaccin contre le Sras-CoV-2 puisse déclencher une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une stérilité de durée indéterminée chez les femmes vaccinées.
  • Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). Il se trouve que 70 % des personnes développent des anticorps contre cette substance — cela signifie que de nombreuses personnes peuvent, suite à cette vaccination, développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles.
  • La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets sur le long terme. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et que la possibilité d’observer les effets sur le long terme de la vaccination ne devait qu’advenir ensuite. Néanmoins, BioNTech/Pfizer a apparemment soumis une demande d’approbation d’urgence le 1er décembre 2020.

APPEL À L’AIDE : Wodarg et Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens européens de cosigner leur pétition en envoyant à l’Agence européenne des médicaments le mail préparé ICI.

Source de l’article initialement publié en anglais le 1er décembre2020 : 2020news.de
Traduction : Sott.net


Considérons la possibilité que ce « vaccin » anti-Covid — notamment celui de BioNTech/Pfizer, mais ce n’est peut-être pas le seul, les données sont à ce jour trop partielles — cache une volonté de dépopulation…

Tout d’abord, après quelques recherches, il s’avère que, selon cette étude publiée en avril 2014 sur le Journal of Assisted Reproduction and Genetics,la syncytine-1 est également présente dans le sperme. Ce ne serait donc pas seulement les femmes qui seraient stérilisées, mais aussi les hommes.

EN PLUS de supprimer toute responsabilité qui pourraient incomber aux fabricants de vaccins, il est fait usage de tests PCR largement considérés comme inadéquats. En outre, ils exercent une forte pression sur les populations pour les inciter à se faire vacciner.

Pourquoi ?

S’agirait-il — sous couvert de lutter contre un coronavirus — de concrétiser ce qui est gravé sur les Guidestones en Géorgie ?

Il n’existe à ce jour aucune données sur l’efficacité du vaccin chez les enfants et les femmes enceintes. Et pour cause, ces deux catégories n’ont pas participé aux essais. Pas encore… Le 2 décembre, Selon l’article de Nature du 3 décembre, Moderna a dévoilé ses plans pour tester son vaccin chez les enfants.

La Grande-Bretagne est le premier pays à avoir autorisé l’usage du vaccin contre le Covid-19 mis au point par Pfizer et BioNtech, et son gouvernement précise que ce vaccin n’est pas destiné aux femmes enceintes ou aux femmes « qui prévoient de tomber enceintes » :

« Il n’existe pas encore de données sur l’innocuité des vaccins Covid-19 pendant la grossesse, qu’elles proviennent d’études sur l’homme ou sur l’animal. Étant donné le manque de preuves, la JCVI privilégie une approche de précaution et ne conseille pas actuellement la vaccination Covid-19 pendant la grossesse.

Il convient de conseiller aux femmes de ne pas se présenter pour la vaccination si elles sont enceintes ou prévoient de l’être dans les trois mois suivant la première dose.

Des données sont attendues qui alimenteront les discussions sur la vaccination pendant la grossesse. Le JCVI les examinera dès qu’elles seront disponibles. »

Donc, et selon Wodarg et Yeadon, dans le cadre d’une grossesse existante, le vaccin composé de syncytine-1 attaquerait le placenta et provoquerait rapidement une fausse couche. Des vaccins de l’OMS/Gates ont déjà produit ces effets aux femmes d’Amérique latine : « Quand Bill Gates stérilisait des millions de femmes à coups de seringue ».

Pourquoi ne veulent-ils pas — à ce stade — que les femmes enceintes soient vaccinées ? Il peut bien sûr exister tout un tas de bonnes raisons de ne pas le faire, et d’ailleurs, les femmes enceintes ne font en général pas partie des essais vaccinaux. Toutefois, est-il possible que ce soit parce que les fausses couches se produiraient tellement rapidement qu’il pourrait devenir par trop évident que le « vaccin » en serait la cause ? Le fait de ne pas vouloir — au début — inclure dans leurs programmes de vaccination des femmes qui sont enceintes ou veulent tomber enceintes leur permettrait-il d’enterrer la vérité sur les effets réels du vaccin, suffisamment longtemps pour que la majorité de la population l’accepte?

Beaucoup de questions, mais peu de réponses. À ce stade, on ne peut que conjecturer en prenant en compte notre connaissance des desiderata d’une élite mondialiste psychopathe.

Voir aussi les Focus suivants :

[À propos de l’auteur]

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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




Les méthodes coercitives communistes pour obtenir le consentement individuel : « The Biderman Report » de 1956 comparé au COVID-19

[Source : Recherches Covid-19]

Communisme COVID-19
Isolation
Prive l’individu du soutien social, de sa capacité de résistance Rendre l’individu dépendant du ravisseur L’individu développe une conscience intense de lui-même.
Isolation
Distanciation sociale Isolation des êtres aimés, perte massive d’emplois Confinement solitaire, semi-isolement Quarantaine, camps de confinement
Monopolisation de la perception (démoralisation)
Fixe toute l’attention sur les difficultés immédiates Fruste toutes les actions non conformes aux exigences de conformité Élimine les stimuli en concurrence avec ceux contrôlés par le ravisseur
Monopolisation de la perception (démoralisation)
Restreindre les déplacements Créer la monotonie, l’ennui Empêcher les rassemblements, les réunions, les concerts, les sports Dominer tous les médias, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, censurer l’information
Faiblesse et épuisement induits
Affaiblissement des capacités mentales et physiques de résistance Les gens… s’épuisent sous l’effet de la tension et de la peur
Faiblesse et épuisement induits
Forcés de rester à la maison, tous les médias sont négatifs interdiction de faire de l’exercice ou de socialiser
Menaces et intimidation
Cultiver l’anxiété et le désespoir Donne des exigences et des conséquences en cas de non respect des règles
Menaces et intimidation
Menace de fermeture d’entreprise, imposition d’amendes Prévoir l’extension de la quarantaine, forcer les vaccins Créer des camps de confinement
Indulgences occasionnelles
Fournir une motivation pour le respect des règles Entrave l’adaptation aux privations. Crée l’espoir d’un changement, réduit les résistances, ce qui maintient les gens dans l’incertitude sur ce qui se passe.
Indulgences occasionnelles
Autoriser la réouverture de certains magasins, services Laisser les restaurants ouverts mais seulement à une certaine capacité Augmenter le nombre de personnes autorisées à se réunir Suivre les concessions avec des règles plus strictes
Faire preuve de sa toute puissance
Démontre la futilité de toute résistance Montrer qui commande Motivation positive pour le respect des règles
Faire preuve de sa toute puissance
Arrêter des économies entières à travers le monde Créer de l’argent à partir de rien, forcer la dépendance Développer une surveillance totale avec les nanopuces et la 5G
Techniques d’humiliation ou de dévalorisation
Donner l’impression que la résistance est pire que la conformité Créer un sentiment d’impuissance Créer la peur de la liberté, la dépendance vis-à-vis des ravisseurs
Techniques d’humiliation ou de dévalorisation
Faire honte aux personnes qui refusent de porter un masque, ne respectent pas la distanciation sociale Faire en sorte que les gens se tiennent debout sur des cercles et entre des lignes Faire sortir les gens et les faire attendre dans des files d’attente Postes de désinfection dans chaque magasin
Faire respecter des obligations inutiles
Développer l’habitude de se conformer aux règles Les demandes formulées sont illogiques et contradictoires Les règles de conformité peuvent changer Renforcer le contrôle
Faire respecter des obligations inutiles
Les membres de la famille doivent être séparés Port du masque à la maison et même lors des rapports sexuels Limites aléatoires des personnes autorisées à être ensemble Les désinfectants à utiliser en permanence au cours d’une journée



Plainte contre Pasteur pour crime contre l’humanité

[Source : verite-covid19.fr]

Depuis la première diffusion de la vidéo Alerte Vaccin qui dénonce que Pasteur a créé le virus COVID19, l’Institut Pasteur n’a jamais répondu directement au Professeur Fourtillan. L’AFP a été chargé de créer une publication « Fake News » sans aucune démonstration scientifique, puis après plusieurs mois de publication, l’institut a demandé à YouTube la suppression des vidéo pour « information médicale incorrecte » qui n’est pas le sujet. Ils prétendent avoir porté plainte contre le réalisateur du film mais c’est du bleuf. Comme la demande de suppression du site COVID19 sans ordonnance pénale sur un site Français.
Le site est desormais hébergé à l’étranger.

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D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux

[Source en italien : DataBaseItalia]

Selon le Forum économique mondial, d’ici 2030, nous ne posséderons rien et nous en serons heureux.

Des termes tels que «Grande réinitialisation», « Quatrième révolution industrielle » et « Construire mieux » [« Build Back Better », en anglais] font tous référence au même programme mondialiste à long terme pour démanteler la démocratie et les frontières nationales en faveur de la gouvernance mondiale par des dirigeants non élus, et à la dépendance à l’égard de la surveillance technologique plutôt qu’à l’État de droit pour maintenir l’ordre public.

Pendant des décennies, la guerre et la menace de guerre ont enrichi l’élite technocratique et maintenu la population à la suite de leurs programmes. Aujourd’hui, les pandémies et la menace d’épidémies infectieuses sont les nouveaux outils de guerre et de contrôle social

La Réserve fédérale travaille sur une monnaie de la banque centrale numérique (CBDC). Un système monétaire entièrement numérique mis en place dans le cadre du système de contrôle social

Les principaux acteurs mondiaux travaillant à la mise en œuvre de l’agenda technocratique sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, Bill Gates et des fondations telles que la Fondation Rockefeller, la Fondation des Nations Unies et l’Open Society Foundation de George Soros, Avanti Communications, Vision et Frontier 2030, Google, Mastercard et Salesforce.



La vidéo sur les relations publiques du Forum économique mondial ci-dessus, « 8 prédictions pour le monde en 2030 », aussi courte soit-elle, offre un regard significatif sur ce que l’élite technocratique réserve au reste d’entre nous. Cela comprend :

« Vous n’avez rien » et « vous serez heureux. » Au lieu de cela, vous louerez tout ce dont vous avez besoin et il vous sera livré par drone directement à votre domicile.
« Les États-Unis ne seront pas la première superpuissance mondiale » – Au lieu de cela, une poignée de pays domineront ensemble.
« Vous ne mourrez pas en attendant un donneur d’organes » – Au lieu de transplanter des organes de donneurs décédés, les organes personnalisés seront imprimés en 3D sur demande.
« Vous mangerez beaucoup moins de viande » – La viande sera « un plaisir occasionnel, pas un aliment de base, pour le bien de l’environnement et notre santé ».
« Un milliard de personnes seront déplacées à cause du changement climatique » – En conséquence, les pays devront se préparer à accueillir davantage de réfugiés.
« Le pollueur devra payer pour émettre du dioxyde de carbone » – Pour éliminer les combustibles fossiles, il y aura un prix mondial du carbone. Vandana Shiva, Ph.D., en a parlé dans une récente interview. Plutôt que de promouvoir l’agriculture biologique et régénérative, l’élite technocratique pousse ce qu’on appelle l’agriculture naturelle à budget zéro. Bill Gates fait partie de ce modèle. Comme Shiva l’a expliqué, la configuration complètement contre nature fonctionne comme ceci : l’État prend d’importants prêts, qui sont ensuite divisés aux agriculteurs pour cultiver de la nourriture gratuitement. Les agriculteurs gagnent de l’argent non pas en vendant des récoltes, mais en échangeant le taux de carbone dans le sol sur le marché mondial. Fondamentalement, le carbone est transformé en un produit commercialisable, remplaçant la production agricole réelle de céréales et d’autres cultures. Les agriculteurs qui ont plus de carbone dans leur sol gagneront plus d’argent que ceux dont le sol est à faibles émissions de carbone. En attendant, ils n’auront rien des cultures qu’ils cultivent.
« Vous pourriez vous préparer à aller sur Mars »  Les scientifiques « auront découvert comment vous garder en bonne santé dans l’espace », ouvrant ainsi la possibilité de course à l’espace et de coloniser d’autres planètes.
« Les valeurs occidentales auront été testées jusqu’au point de rupture. »

Les pandémies sont un instrument de contrôle social

Pendant des décennies, la guerre et la menace de guerre ont enrichi l’élite technocratique et maintenu la population à la suite de leurs programmes. La guerre et les attaques physiques ont été utilisées à maintes reprises pour nous imposer des restrictions de plus en plus draconiennes et supprimer nos libertés. Le Patriot Act, promu à la suite du 11 septembre, n’est qu’un exemple frappant.

Aujourd’hui, les pandémies et la menace d’épidémies infectieuses sont les nouveaux instruments de guerre et de contrôle social. Pendant des années, Gates a préparé la psyché mondiale pour un nouvel ennemi : des virus mortels et invisibles qui peuvent faire surface à tout moment. La seule façon de nous protéger est d’abandonner les anciennes notions de vie privée, de liberté et de prise de décisions personnelles.

Nous devons garder nos distances avec les autres, y compris les membres de la famille. Nous devons porter des masques, même dans nos maisons et pendant les rapports sexuels. Nous devons fermer les petites entreprises et travailler de la maison. Nous devons vacciner l’ensemble de la population mondiale et mettre en place des restrictions de voyage strictes pour prévenir le risque de propagation.

Nous devons traquer tout le monde, à chaque instant du jour et de la nuit, et installer des lecteurs biométriques dans le corps de chacun pour identifier qui sont les porteurs potentiels de risques. Les personnes infectées sont la nouvelle menace. C’est ce que l’élite technocratique veut vous faire croire, et ils ont réussi à convaincre un pourcentage choquant de la population mondiale de cela en quelques mois.

Si vous n’êtes pas familier avec le terme « technocratie », n’oubliez pas de lire Patrick Wood auteur de « Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation » [« L’ascension de la technocratie : le cheval de Troie de la transformation mondiale »] et « Technocracy: The Hard Road to World Order » [Technocratie : la difficile route vers l’ordre mondial]. Vous pouvez également en savoir plus sur le site Web de Wood, Technocracy.news.

Un nouveau système de monnaie numérique en cours

Deux des derniers morceaux de conquête totalitaire seront la transition vers une monnaie entièrement numérique liée aux monnaies numériques d’État. Avec cela, l’application des règles sociales sera plus ou moins garantie, puisque vos finances, voire toute votre identité, peuvent être facilement prises en otage si vous ne vous y conformez pas.

Pensez à la facilité avec laquelle il serait facile de l’automatiser de telle sorte que si vous ne pouvez pas obtenir le vaccin requis ou postez quelque chose d’indésirable sur Internet, votre compte bancaire ne sera pas disponible ou votre pièce d’identité biométrique ne vous permettra pas d’entrer dans le bâtiment où vous travaillez.

Un article du 13 août 2020 sur le site web de la Réserve fédérale [états-unienne] traite des avantages allégués d’une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC). Les experts sont d’accord pour dire que la plupart des grands pays mettront en œuvre la CBDC au cours des deux à quatre prochaines années.

Un système monétaire entièrement numérique joue également dans l’ingénierie sociale, car il peut être utilisé pour encourager le comportement souhaité, tout comme ce que la Chine fait avec son système de crédit social.




Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu’à ce que l’an 2020 arrive

[Source : Sott.net]

L’article publié par Daisy Luther le 23 novembre dernier sur Organic Prepper décrit ces sept théories depuis le point de vue des États-Unis. Toutefois, et de par le contexte de Coup d’État mondial/ mondialiste actuel, ce point de vue vaut pour toutes les populations — notamment occidentales, mais pas seulement — quelles que soient leurs nationalités.

Le Covid-19, c’est une épidémie de peur. Un canular perpétré sur les populations mondiales. Là où il n’y a pas de peur, il n’y a pas de Covid-19. La peur et l’incertitude dominent la couverture médiatique. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d’un jour à l’autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d’inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l’establishment médical. La réponse au coronavirus relève d’une campagne de terreur étatique basée sur la propagande. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l’esprit de nombre de gens, tandis qu’on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste. Les confinements illégitimes d’un point de vue scientifique s’enchaînent et nous enchaîne chaque fois un peu plus, et on aurait parfois l’impression d’être embarqués à notre insu dans des montagnes russes. Ne parlons même pas des vaccins qui ont parait-il « sauvé l’humanité » des pires maladies infectieuses.

Laissons la parole à Daisy Luther, et nous [=Sott.net] reviendrons ensuite notamment sur son point 1, en tentant de démontrer pourquoi et comment le « revenu de base universel » constitue — sous couvert de panacée — un piège.


Vous vous souvenez de l’époque, disons en 2019, où toute personne qui parlait d’implants de puces RFID, de l’obligation pour circuler de présenter des attestations de déplacement, ou encore de la mise en place de camps de rééducation, était considérée comme un théoricien du complot en plein délire ? Et puis, 2020 est arrivé, et voilà ! Il s’est avéré que ces théories du complot n’étaient pas si « délirantes » après tout.

Et je ne parle pas seulement du gouvernement [des États-Unis – NdT] qui publie des informations sur les OVNIs.

Nous vivons dans une époque où si vous avez voté pour le « mauvais » candidat à la présidence, un individu pourrait tenter de vous tabasser, de brûler votre maison ou même de vous tuer. Nous sommes soumis à des couvre-feux, nos déplacements sont limités et nos entreprises ont été fermées de force. Un jour, les gens considéreront 2020 comme l’année où tout a changé — ou selon la façon dont les populations réagissent aux obligations qui leur sont faites — comme l’année où nous avons enfin dit, ça suffit.

Voici sept théories qui étaient avant 2020 considérées comme des conspirations délirantes… jusqu’à aujourd’hui, où elles deviennent bien trop réelles.

1 — Revenu de base universel

Auriez-vous jamais pensé pouvoir vivre dans un pays où le gouvernement dirait aux propriétaires d’entreprises privées quand et comment ils seraient autoriser à exercer leurs activités ? Où les travailleurs se verraient dire : « Pour votre propre bien, vous ne pouvez plus aller travailler ? »

Eh bien, bienvenue en 2020.

22 millions d’emplois ont été perdus et seulement 42 % d’entre eux ont en août dernier été retrouvés [aux États-Unis – NdT], lorsque le pays a commencé à déconfiner. Des millions d’emplois perdus le sont de façon irréversible, parce que les entreprises croulent dans tout le pays sous le poids des restrictions qui ne leur permettent pas de poursuivre leurs activités et/ou sont aux prises avec les difficultés financières de leurs anciens clients.

Mark Zandi, économiste en chef de Moody’s Analytics, déclare que :

« Il est clair que la pandémie cause des dommages fondamentaux au marché du travail. Beaucoup d’emplois perdus ne reviendront pas de sitôt. L’idée que l’économie va revenir à ce qu’elle était avant la pandémie n’est clairement pas envisageable. Les personnes qui comptent sur la réouverture des entreprises peuvent être surprises de constater qu’une perte temporaire est devenue permanente. »

Quant à Heidi Shierholz, économiste senior à l’Economic Policy Institute, un groupe de réflexion libéral, elle déclare que :

« […] Plus de 10 millions d’Américains sont actuellement classés comme temporairement sans emploi. Mais historiquement, près de 30 % des personnes qui déclarent au ministère du travail qu’elles sont temporairement au chômage ne retrouvent jamais leur emploi. Même si nous ne savons pas si le record historique tiendra dans ces conditions, le fait que toutes ces personnes ne soient pas rappelées constitue une préoccupation extrêmement justifiée. »

Parmi les entreprises qui ont fermé, beaucoup ne rouvriront jamais. Les plus durement touchées sont les petites entreprises.

« Environ 60 % des entreprises qui ont fermé pendant la pandémie de coronavirus ne rouvriront jamais, et ce sont les restaurants qui ont le plus souffert, selon de nouvelles données de Yelp. »

Nous avons donc non seulement des gens qui sont devenus chômeurs, mais aussi des propriétaires d’entreprises qui ont tout perdu. Alors qu’aux États-Unis nous entrons dans le deuxième épisode de confinement, il n’est pas exagéré de penser que certaines des petites entreprises qui ont jusqu’à présent réussi à se maintenir à flot succomberont aux effets économiques de ces mesures… qui entraîneront avec elles encore plus de pertes d’emplois et plongeront encore plus de citoyens dans la pauvreté.

Note du traducteur : En France, et selon l’INSEE, c’est près de 500 000 emplois qui ont été perdus en additionnant les premier et second trimestre, ce dernier n’étant pas terminé. Selon l’institut, la baisse du premier semestre annule, à elle seule, les hausses enregistrées au cours des deux années précédentes.

La pauvreté est un cercle vicieux et une seule chose, petite en apparence, peut aspirer ceux qui se débattent dans une spirale de frais et de pénalités financières dont il semble impossible de sortir. J’ai déjà fait part ici de ma propre expérience de la pauvreté. L’inquiétude porte sur le nombre encore plus élevé de personnes qui après ce cycle de mesures gouvernementales ne se remettront pas financièrement, ce qui ne fera qu’augmenter encore plus le nombre de citoyens fauchés, affamés et sans abri.

© Reuters

Mais ne vous inquiétez pas — le gouvernement est là pour vous aider. Il a fourni un chèque de « relance » à tout le monde et a tellement donné d’argent aux chômeurs que ces derniers gagnaient plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Le gouvernement s’est tellement endetté que le montant de la dette est tout simplement abyssal.

En effet, des citoyens ont été payés pour ne pas travailler. Et, dans la plupart des cas, ces personnes ne sont pas coupables — le gouvernement a imposé la fermeture de leur lieu de travail, à moins qu’il ne soit considéré comme « essentiel ».

Et cette situation ressemble beaucoup à celle du revenu de base universel. Ou, comme j’aime à l’appeler, le féodalisme moderne :

« Beaucoup sont prêts à renoncer à leur liberté pour que quelqu’un d’autre puisse s’occuper d’eux. »

Ces personnes ne pensent pas que de cette manière elles renoncent à leur liberté. Elles sont convaincues qu’elles adoptent un système intelligent et équitable qui élimine la pauvreté. La cupidité, le droit et le manque d’ambition qui semblent aujourd’hui inhérents à de nombreuses personnes les feront glisser volontairement sous le joug de la servitude.

Elles estiment que leur vie mérite une bouffée d’air [ou que leur survie vaut mieux que leur vie – NdT]. L’un des titres de Gawker, « Un revenu de base universel est l’utopie que nous méritons », exprime assez bien ceci :

« L’idée d’un revenu de base universel pour tous les citoyens a fait son chemin partout dans le monde. Est-ce trop fou pour y croire ? Nous avons parlé à l’auteur d’un nouveau livre sur les tenants et aboutissants et les rêves utopiques de faire du revenu de base une réalité.

Le mouvement en faveur du revenu de base a reçu un coup de fouet cette semaine, lorsque l’organisation caritative GiveDirectly a annoncé qu’elle allait lancer un projet pilote de 30 millions de dollars sur dix ans pour donner un revenu de base à un groupe choisi de villageois kenyans et en étudier les effets. En tant que solution à la pauvreté, le revenu de base universel s’adresse aux personnes les plus démunies d’Afrique, aux Scandinaves relativement aisés et aux Américains qui ont perdu leur emploi en raison de l’automatisation de leurs activités. »

Bien sûr, de l’argent pour rien, ça a l’air génial en surface. Mais quel serait le résultat réel d’un revenu de base universel ? Le féodalisme. Le servage. L’esclavage.

Le revenu de base universel nous ramènerait rapidement au féodalisme du Moyen Âge. Bien sûr, en lieu et place de simples cabanes, nous pourrions vivre dans des logements modernes et pratiques. Nous pourrions exercer un métier adapté aux temps modernes plutôt que d’élever des moutons pour le seigneur du chateau.

Mais, en fin de compte, nous ne posséderions rien, car la propriété privée serait abolie pour tous sauf pour la classe dirigeante. La vie ne nous octroierait plus aucune possibilité de progression. Nos trajectoires personnelles nous seraient imposées et nous serions fortement dissuadés d’en dévier.

Les gens seraient complètement dépendants du gouvernement et de la classe dirigeante pour tout ce qui est nécessaire : nourriture, logement, eau, vêtements. Quel meilleur moyen d’affirmer le contrôle que de rendre la conformité nécessaire à la survie ? »

À l’aune de ce deuxième épisode de confinement, combien d’emplois supplémentaires vont définitivement disparaître ? Comment vont faire toutes ces personnes pour se nourrir ? Pour payer leur loyer ? Le gouvernement est en train de leur donner de l’argent. Et il est en fait impossible d’en débattre, parce que tout le monde connaît quelqu’un ayant perdu un emploi occupé pendant des décennies et qui est incapable aujourd’hui d’en trouver un autre.

Note du traducteur : Les prévisions pour l’année 2020 font état de la disparition d’environ 840 000 emplois, dont près de 730 000 emplois salariés. En France et à l’heure actuelle, c’est l’économie francilienne qui a été le plus impactée, et sans surprise, ce sont les secteurs de l’hôtellerie-restauration, les services de transport, les activités récréatives et de loisirs qui sont le plus touchés au niveau national.

On pourrait en entendre parler sous une autre expression, mais le revenu de base universel arrive. Et c’est pour bientôt.

[NdNM : voir aussi La mort de la propriété privée et Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)]

2 — Attestations de déplacement

Ne soyez pas ridicule. Nous n’aurons jamais à montrer des « attestations » pour se déplacer librement..

Et c’est là que, lorsque survient une pandémie de Covid accompagnée de toutes ses restrictions subsidiaires, la réalité de la chose vous envahit comme une révélation. En mars dernier, quelques jours après avoir mis en garde contre le premier confinement, j’ai écrit :

« Pour tous ceux qui pensaient que l’article sur le « confinement américain » était une « exagération hystérique » et que, parce qu’il n’était pas vraiment appliqué, ils pouvaient toujours faire ce qu’ils voulaient, que pensez-vous aujourd’hui du fait que des « attestations de déplacement » sont distribués ? Pour moi, on dirait que les mesures de confinement que j’ai écrites alors n’étaient que le premier pas vers une société que personne n’espère voir.

Hier, les lecteurs m’ont envoyé des photos de ces « attestations de déplacement » qui leur ont été remises par leurs employeurs pour leur permettre de se rendre à leur travail et d’en revenir. Il s’agit d’employés qui travaillent dans des secteurs tels que les soins de santé, les pharmacies et la restauration, ainsi que ceux qui travaillent dans la production, le transport et la vente de fournitures essentielles.

Un lecteur a écrit : « On nous a dit de les montrer si nous étions arrêtés sur le chemin du travail et que si les autorités nous posaient des problèmes, de ne pas discuter et de rentrer chez nous. »

Ces attestations qui m’ont été envoyées venaient de Pennsylvanie, de New York, d’Arizona, du Michigan, de Caroline du Nord, du Kansas, du New Jersey, de Virginie occidentale, de Virginie, de l’Oregon, de Floride, de Louisiane et d’Ohio. Les sociétés mentionnées dans ces documents étaient des entreprises de camionnage, des épiceries, des cliniques médicales, des hôpitaux, des maisons de repos, des sociétés de transports en commun, des compagnies ferroviaires, des usines de production alimentaire, des pharmacies, des stations essence, des magasins comme Target et Walmart, et des ateliers de réparation automobile.

La plupart des gens recevaient leurs attestations le vendredi ou le samedi et étaient prévenus qu’ils en auraient besoin dès la semaine suivante pour se rendre à leur travail et en revenir. »

Vous pouvez voir certaines de ces attestations qui m’ont été envoyées ici.

[NdNM : voir aussi France : Comment rédiger par écrit l’attestation de déplacement dérogatoire ? (Tutoriel Coronavirus)]

3 — Suivi obligatoire des individus par GPS

« Ne sois pas idiote. Personne ne te suit à la trace grâce à ton téléphone. Tu n’es pas Jason Bourne.»

Oups ! Raté ! 2020 a prouvé que c’était un mensonge à partir du moment où ils ont déployé des applications de recherche de contacts pour s’assurer que vous ne respiriez pas le même air qu’une personne ayant eu un test Covid positif.

« Non seulement les personnes malades ou potentiellement malades doivent s’inquiéter d’être appelées ou interrogées par des traceurs de contact, mais il existe également un tout nouveau monde de technologie dystopique qui se développe rapidement.
Apple et Google ont formé un partenariat afin de développer une application pour téléphone permettant de surveiller un tiers de la population mondiale. Le gouvernement australien a développé une application appelée COVIDSafe pour vous protéger, vous, votre famille et vos amis et sauver la vie d’autres Australiens. Plus les Australiens se connecteront à l’application COVIDSafe, plus vite nous pourrons trouver le virus.

En fait, toutes sortes de nouveaux outils technologiques potentiellement invasifs apparaissent pour combattre le Covid. Certains utilisent l’IA pour détecter les signes de Covid et le ministère de la défense déploie l’imagerie thermique pour détecter les signes de Covid.

Ces dispositifs ne disparaîtront pas une fois la pandémie terminée. Si elles sont utilisées pendant un an ou deux — quelle que soit la durée de présence du virus — il y a de fortes chances qu’elles restent. »

Donc… si vous avez un smartphone, soyez rassuré, une application comme celle-ci sera à un moment donné probablement installée de force lors d’une de ces incessantes mises à jour. Bien sûr, ils diront que l’application n’est qu’un cadre conceptuel et que vous devez l’activer pour qu’elle fonctionne. Oh, attendez, ils ont déjà dit ça. Après avoir installé « le cadre conceptuel ».

4 — Sociétés sans cash

D’une manière ou d’une autre, les États-Unis n’ont plus de monnaie.

On ne pouvait plus avoir de pièces de monnaie… nulle part… et ça a duré un certain temps. Bloomberg en a parlé en août :

« Comme si une profonde récession et une pandémie sans fin ne suffisaient pas, les États-Unis sont maintenant confrontés à une autre crise : une pénurie de pièces de monnaie. En raison des confinements, moins de pièces sont en circulation, ce qui empêche les commerçants de rendre la monnaie lorsque les clients les payent en billets. »

Beaucoup s’en sont montrés inquiets, d’autant plus que le Vénézuela a utilisé le Covid pour pousser les citoyens vers une société sans argent liquide. Ici, aux États-Unis, la « pénurie de monnaie » était tellement considérable que de nombreux magasins vous rendaient la monnaie sur une carte de fidélité ou vous invitaient à faire don de cette monnaie à une cause quelconque. Une véritable société sans numéraire permettrait un contrôle important sur notre vie quotidienne. Voir cet article pour connaître les effets totalitaires que cela aurait sur nous.

5 — Puces RFID

Le Darpa s’est impliqué très tôt, vantant les mérites de cette initiative pour nous « sauver » du Covid. Robert Wheeler a écrit :

« Mais les gouvernements n’ont pas besoin de commercialiser la micro-puce comme une méthode pour suivre, tracer et contrôler leurs populations. Au contraire, ils commercialisent la puce comme un moyen de suivre et de détecter les positifs au Covid et autres coronavirus. Il est clair que c’est bien plus facile à vendre à un public littéralement terrorisé par leurs gouvernements et les grands médias depuis six mois.

Dans son article « Une micro-puce implantable financée par la DARPA pour détecter le Covid-19 pourrait être commercialisée d’ici 2021 », Raul Diego détaille la création et le lancement prochain de la nouvelle biopuce :

« La découverte scientifique la plus importante depuis la gravité se cache au grand jour depuis près d’une décennie et son potentiel destructeur pour l’humanité est si énorme que la plus grande machine de guerre de la planète a immédiatement déployé ses vastes ressources pour la posséder et la contrôler, en finançant sa recherche et son développement par le biais d’agences comme les National Institutes of Health (NIH), la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et la BARDA du HHS.

La percée révolutionnaire a été réalisée par un scientifique canadien nommé Derek Rossi en 2010, par pur hasard. Ce professeur de Harvard, aujourd’hui à la retraite, a affirmé dans une interview au National Post qu’il avait trouvé un moyen de « reprogrammer » les molécules qui portent les instructions génétiques nécessaires au développement des cellules dans le corps humain, sans parler de toutes les autres formes de vie biologiques.

Ces molécules sont appelées « acide ribonucléique messager » ou ARNm et la nouvelle capacité à réécrire ces instructions pour produire n’importe quel type de cellule dans un organisme biologique a radicalement changé le cours de la médecine et de la science occidentales, même si personne ne l’a encore vraiment remarqué. Comme Rossi le dit lui-même : La découverte la plus importante fut que vous pouviez maintenant utiliser l’ARNm, et si vous l’introduisiez dans les cellules, alors vous pouviez faire en sorte que l’ARNm exprime n’importe quelle protéine dans les cellules, et c’était ça le plus important. »

Note du traducteur : Raul Diego poursuit en expliquant que cette découverte était si importante,

« qu’en 2014, Rossi a pu prendre sa retraite après que la société qu’il a cofondée avec la société de capital-investissement Flagship Pioneering pour exploiter son innovation — à savoir Moderna Inc — a attiré près d’un demi-milliard de dollars de fonds fédéraux pour commencer à développer des vaccins en utilisant cette technologie. N’étant plus affilié à Moderna au-delà de ses actions, Rossi guette la suite des événements et s’il ressemble un tant soit peu à la description de père attentionné que l’on fait de lui, il doit être horrifié. »

[NdNM : voir aussi Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID? , 5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom et Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale]

6 — Vaccinations obligatoires

Vous vous souvenez de l’époque où personne — sauf les « théoriciens du complot en plein délire » — ne pensait que les adultes seraient un jour obligés de se faire vacciner ? Eh bien, ce jour approche à plus grands pas qu’imaginé par beaucoup.

Un vaccin Covid très attendu pourrait être mis en place en quelques jours. Pfizer et BioNTech ont tous deux conclu la phase 3 de la mise sur le marché rapide de leurs vaccins. Il reste encore beaucoup, beaucoup de questions [sans réponses – NDT]. Dans son article du 21 novembre, le Washington Post nous fait part des informations suivantes :

« Arthur Reingold, professeur d’épidémiologie à l’école de santé publique de l’université de Californie, à Berkeley :

« Le retour à beaucoup de nos anciennes habitudes prendra du temps, et on ne sait pas encore combien de temps. Les réponses nécessitent d’autres recherches sur les vaccins, la manière dont ils peuvent être distribués et le nombre de personnes disposées à en bénéficier.

Un vaccin ne sera pas disponible immédiatement pour tout le monde.

Ceci prendra probablement quatre à six mois. Ce que j’en conclus, c’est que les gens devront continuer à porter des masques au moins jusqu’au printemps. Nous ne serons pas dans une situation magiquement différente en février ou mars. Je ne vois pas comment cela pourrait arriver. »

Tout aussi importantes sont les inconnues concernant les vaccins eux-mêmes. Les scientifiques ne savent toujours pas combien de temps durera la protection induite par le vaccin, par exemple, ni si les inoculations peuvent bloquer l’infection proprement dite ou seulement empêcher l’apparition de la maladie [ou ne réduire que les symptômes – NdT]. Si c’est le cas, c’est-à-dire si les vaccins nous empêchent de tomber malade, mais pas d’être infectés, nous pourrions quand même être contagieux pour les autres. Tant que nous ne le savons pas, ne jetez pas ces masques à la poubelle…
[…]
Andrew Badley, un immunovirologue qui préside le groupe de travail sur le Covid-19 de la clinique Mayo, affirme que le retour à des activités normales dépend de nombreux facteurs, notamment du nombre de personnes qui se font vacciner :

« La seule possibilité que la vie revienne à la normale d’ici l’été est que la majorité de la population reçoive les vaccins d’ici là et que les premières données d’efficacité soient confirmées par les études en cours. Je pense qu’il est peu probable que nous puissions vacciner la majorité de la population d’ici là. »

Et comment vont-ils s’assurer que « la majorité » de la population soit vaccinée ? Au début, ce sera facile : des tas de gens retrousseront volontiers leurs manches pour se faire vacciner avec un vaccin mis sur le marché à la hâte, sans que les effets à long terme aient été testés. Et puis, le reste d’entre nous sera contraint de ne pas pouvoir aller au travail, à un concert, à l’école ou dans un bâtiment public sans avoir la preuve qu’il a été vacciné.

Selon l’article de National Geographic publié cet été,

« Vous marchez vers le stade, prêt pour voir un grand match, billets en main. Mais ce que vous voyez, c’est une longue file d’attente qui se poursuit au coin du bâtiment avec un goulot d’étranglement à l’entrée, alors que les gens fouillent leurs poches et leurs sacs à main pour trouver un petit bout de papier. Pour être autorisé à entrer, vous devrez également présenter un document prouvant que vous avez reçu un vaccin Covid-19.

C’est l’avenir tel que le voient certains experts : un monde dans lequel vous devrez, pour assister à un match sportif, vous faire faire une manucure, aller au travail ou prendre le train, faire la preuve que vous avez été vacciné contre le nouveau coronavirus.

Arthur Caplan, bioéthicien à la faculté de médecine de l’université de New York déclare que « Nous n’en arriverons pas au point où la police vaccinale défoncera votre porte pour vous vacciner. »

Mais lui et plusieurs autres experts de la politique de santé envisagent que des obligations vaccinales pourraient être instituées et appliquées par les gouvernements locaux ou les employeurs, comme c’est le cas actuellement pour les enfants d’âge scolaire, le personnel militaire et les travailleurs hospitaliers…

[…] Les obligations peuvent également être orientés vers les consommateurs. Tout comme les propriétaires de commerces peuvent interdire l’accès à leurs restaurants, salons, scènes et magasins aux clients « sans chemise et sans pantalon », ils peuvent légalement empêcher les gens d’entrer pour un certain nombre de raisons, « tant qu’ils ne sont pas en infraction avec les lois anti-discriminatoires », explique Dorit Rubinstein Reiss, professeur de droit de la santé et des vaccins à l’université de Californie, Hastings College of the Law.

Lorsqu’un vaccin Covid-19 sera disponible, certains experts pensent que les États exigeront des entreprises ciblées qu’elles fassent respecter les obligations vaccinales pour leurs employés, en particulier ceux que nous connaissons sous le terme de « travailleurs essentiels. »

Carmel Shachar, directeur exécutif du Petrie-Flom Center for Health Law Policy, Biotechnology, and Bioethics à la faculté de droit de Harvard explique que :

« Les employés des épiceries sont exposés à beaucoup de monde, mais peuvent aussi eux-mêmes en infecter beaucoup d’autres en raison de la nature de leur travail et du fait que pratiquement tout le monde doit acheter de la nourriture. »

Les employés du secteur hôtelier — ceux qui travaillent dans les restaurants, les bars et les cafés, par exemple — pourraient également se voir confier des obligations similaires.

Carmel Shachar poursuit :

« Il est dans l’intérêt d’un employeur de s’assurer que son lieu de travail est protégé et qu’un employé ne peut pas infecter ses collègues. Le fait de disposer d’un vaccin largement accessible permet à de nombreux commerçants de ne pas avoir à contrôler le comportement de leurs clients. Si votre main-d’oeuvre est vacciné, vous n’avez pas à vous inquiéter si les personnes que vous servez au restaurant ont le Covid-19. »

Même le grand public pourrait être incité à se faire vacciner. Arthur Caplan explique :

« Bizarrement, la meilleure façon d’imposer une obligation est de récompenser les gens en leur accordant plus de liberté s’ils la respectent. Par exemple, avec une preuve d’inoculation, vous pourriez assister à un événement sportif « comme récompense pour avoir fait ce qui était bien. Et j’imagine bien les gens dire : si vous voulez entrer dans mon restaurant, mon bowling ou mon salon de tatouage, alors je veux aussi voir un certificat de vaccination. »

Des rappels d’injections pourraient également être nécessaires, en fonction de l’efficacité des futurs vaccins.

La façon dont tous ces experts prévoient de forcer une population réticente à accepter un vaccin non testé ne vous fait-elle pas éprouver des sentiments émus et chaleureux ? C’est pour notre propre bien, vous savez…

[NdNM : voir aussi Vaccinations obligatoires : j’ai choisi mon camp !, OBÉISSEZ OU AUTREMENT: Le New England Journal of Medicine dit que les personnes qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES contre le coronavirus devraient être sévèrement punies, enfermées chez elles et licenciées de leur travail et 2022: un passeport de vaccination. L’UE garde le silence sur les documents suspects]

7 — Camps de rééducation

Vous vous rappelez comment nous avions l’habitude de plaisanter sur le fait d’être mis dans des camps de la FEMA ? Eh bien…

Enfin, pour ceux d’entre nous qui ont toujours cru que ces théories conspirationnistes n’étaient que des fables complotistes — oh — et pour les électeurs de Trump — il y a la discussion sur la façon de nous rééduquer afin que nous puissions réintégrer la société.

Dans un fil de discussion sur Twitter, nous avons vu le côté sombre de certains démocrates « bien éduqués » qui essayaient sincèrement de trouver comment récupérer ceux d’entre nous qui n’ont pas voté pour Joe Biden.

[NdNM : voir aussi LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires et Un journaliste québécois favorable à l’envoi des anti-vaccins en camp de concentration]

Note du traducteur : S’ensuit une succession de plusieurs tweets que vous pouvez retrouver dans l’article de Daisy Luther en lien ci-dessous. J’ai fait le choix de ne pas les inclure.

Source de l’article initialement publié en anglais le 23 novembre 2020 par Daisy Luther : The Organic Prepper
Traduction : Sott.net


Bienvenue dans le Nouvel ordre mondial

INGSOC – George Orwell, 1984

En lieu et place de la succession de tweets en anglais, je préfère renvoyer le lecteur vers les articles relatifs aux camps et à l’idéologie sous-jacente qui opère aujourd’hui au grand jour.

Le piège du revenu de base universel

Je voulais revenir sur le revenu de base universel évoqué par Daisy Luther dans son Point 1, et dont il est particulièrement question ces derniers jours dans les médias mainstream français. Avec cet article, entre autres, nous avons compris comment et pourquoi les médias abordent à un certain moment donné des thématiques bien précises, en vue de « tester » les réactions du public. Le dernier en date ne fait pas exception. Il s’agissait d’un des fers de lance du programme de Benoît Hamon lors des dernières élections présidentielles. Il avait alors nommé ce Revenu, « Revenu universel d’existence » — en acronyme, ça fait RUE… Croyez-vous que d’un point de vue sémantique ce soit un hasard ? Le même Benoît Hamon vient juste de publier un livre Ce qu’il faut de courage. Plaidoyer pour le revenu universel, et l’on peut donc considérer que puisque les médias se sont dernièrement emparés du sujet, les marionnettistes de l’ombre doivent estimer que le temps est venu de « déposer »,vraiment, le sujet dans l’esprit des Français.

Ce revenu de base universel ne peut pas vraiment voir le jour sans son corollaire : une société sans cash.

La suppression du cash, avec l’encadrement légal des moyens de productions alimentaires, constitue sans doute la base la plus solide sur laquelle pourrait reposer tout système de contrôle vraiment efficace, comme celui du revenu de base universel. Puisque l’argent détermine presque entièrement la qualité de notre vie sociale, il devient possible, en conditionnant de façon restrictive cet accès à l’argent, de contrôler la vie d’une personne dans sa quasi-totalité. C’est qu’il ne s’agit plus de savoir ce que fait, souhaite et pense le citoyen ordinaire : les autorités compétentes le savent depuis longtemps déjà, aidées en cela par les traces inévitables qu’il laisse en utilisant son ordinateur, son téléphone, sa voiture et en effectuant ses paiements par carte bancaire. Il s’agit plutôt, pour les pouvoirs en place, de disposer d’un instrument de punition sans équivalent, qui sanctionne, sans échappatoire possibleN’est-ce pas là une manière de remplacer la peine de mort physique par une peine de mort virtuelle tout aussi létale, mais politiquement correcte ?

À l’heure où les lois les plus liberticides sont votées, où le langage est surveillé, où les délits d’intention sont fantasmés, combien de temps faudra-t-il à l’État pour finaliser, à l’aide de cette crise sanitaire ET financière « tombée du ciel », le processus irréversible de la création d’une monnaie entièrement électronique ? Et à ce moment-là, que pourront bien encore faire les ennemis désignés de l’État ?

Comme toujours, présenté comme il l’est — l’idée selon laquelle l’État devrait distribuer un revenu de base de manière inconditionnelle à l’ensemble des citoyens, chômeur volontaire ou involontaire, travailleur à temps plein ou à temps partiel, et cumulable avec d’autres revenus — ce revenu universel de base fera dire à beaucoup que « c’est plutôt pas mal, c’est une bonne chose pour les pauvres ou les sous-payés, etc. ». Il suffit de lire la 4e de couv du livre de Benoît Hamon pour s’en — peut-être — laissé convaincre (ce n’est évidemment pas mon cas) :

« Le revenu universel sera la grande conquête sociale du siècle. Un instrument de justice qui permet d’éradiquer la pauvreté. Un revenu qui libère les hommes de la « cage de fer » consumériste, productiviste et capitaliste. Une bombe démocratique qui affranchit de la tyrannie du court terme, ralentit le temps et rétablit la juste hiérarchie entre l’homme et la machine. C’est par le revenu universel d’existence que nous préparerons une société où la nature n’est plus seulement considérée comme une ressource, mais comme un bien commun. Ce salaire du bonheur, par opposition au salaire de la peur, propose un choix existentiel, une éthique de l’individu réconcilié avec le collectif et la nature. »

On ressort de cette lecture avec le sentiment qu’enfin, la solution à tous nos problèmes a été trouvée. Elle libérerait l’être humain de ses chaînes ; c’est tellement beau qu’on en pleurerait, n’est-ce pas ? On en viendrait aussi presque à se demander pourquoi et comment il se fait que cette idée n’ait pas pris racine dans l’humanité avant. Un « salaire du bonheur », il fallait quand même oser ! Un rêve, véritable élaboration de la pensée imaginative qui transforme la réalité.

Mais le rêve de qui ?

Selon un article de Cairn.Info publié en 2018 :

« Cette proposition [de revenu de base universel] s’inspirait notamment de nos voisins européens, puisque des expérimentations voyaient le jour aux Pays-Bas et en Finlande, tandis qu’une votation populaire soumettait ce projet au peuple suisse en juin 2016 et était massivement rejetée. Ici, comme ailleurs, on trouve à la base de cette proposition, la thèse de la « fin du travail » ou de la raréfaction de l’emploi — notamment chez les non-qualifiés — ou encore l’idée de la perte de sens de sociétés entièrement organisées sur le paradigme de l’activité. Le diagnostic comme les solutions proposées semblent donc plus anciennes que l’actualité ne le laisserait croire et témoignent de questionnements récurrents depuis les années 1980. »

Tout d’abord, la première théorisation du « revenu universel » est attribué à Thomas Paine en 1797 :

« Dès le XVIe siècle Thomas More, dans son Utopie, envisagea un revenu permettant à tous les habitants d’une communauté d’échapper à la pauvreté. Au XVIIIe siècle, l’idée fut reprise par Voltaire dans un conte qu’il publia en 1768, L’homme aux quarante écus. La somme de quarante écus résulte de la division du nombre d’arpents du royaume — un arpent formant une superficie comprise alors entre deux mille et cinq mille mètres carrés — entre le nombre des sujets et la rente associée à la surface en question. Permettant tout juste de vivre dans des conditions modestes, elle a au moins le mérite d’être une allocation attribuée à chaque individu quel qu’il soit. Le narrateur du conte évoque également ses démêlés avec une administration fiscale pesante.

Toujours au siècle des Lumières, c’est le libéral Thomas Paine, partisan du libre-échange, du droit de propriété et chantre du gouvernement limité et des droits individuels qui défendit, dans son Sens commun paru en 1776, l’idée d’une redistribution des richesses et de l’attribution de droits sociaux. Puis, dans sa Justice agraire, publiée en 1797, partant du principe que la propriété engendre les inégalités, il défendit le revenu universel sous la forme de l’attribution inconditionnelle d’une somme pour toute personne adulte ainsi que d’une retraite inconditionnelle pour tous ceux âgés de plus de cinquante ans.

De leur côté, les mondialistes ne sont pas en peine. Selon leur livre blanc intitulé Réinitialiser le futur du monde du travail – dans un Monde Post-Covid et publié en octobre dernier, un des buts avoués du Forum économique mondial à travers le « Grand Reset », ou la « Grande réinitialisation », est de

« Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches — cela devrait toucher 30 % de la main-d’œuvre. Cela signifie également des échelles de rémunération complètement différentes — très probablement des salaires non viables, ce qui ferait du « salaire de base universel » ou du « revenu de base » également prévu — un salaire qui permet à peine de survivre, de faire face aux besoins évidents. Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système — un système numérique, sur lequel vous n’avez aucun contrôle. »

Voir aussi notre article « Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle ».

Selon un article de Contrepoints, publié en 2016, il s’agit d’un concept effroyable :

« Sur le plan moral tout d’abord, elle instille l’idée perverse qu’on peut, sans dommage sur l’individu, rendre instantanément tout le monde directement dépendant de l’État, de la naissance à la mort. Distribuez ce revenu pendant quelques années et au bout d’un peu plus d’une génération, plus personne ne se souviendra qu’avant son arrivée, des millions de gens se passaient de son existence et savaient vivre sans lui, sans l’État, exactement de la même façon que tout le monde est maintenant persuadé de l’absolue nécessité de la guerre permanente contre les drogues ou de l’interdiction du port d’arme, même si drogues et armes furent bien plus librement disponibles dans l’Histoire sans qu’il fut question de sociétés barbares ou médiévales (on parle d’il y a moins d’un siècle).

Sur le plan économique ensuite, ce revenu deviendra en pratique un plancher pour à peu près tout, créant de l’inflation de façon immédiate ou quasiment ; de la même façon que les APL (aides publiques au logement) ont tiré les loyers vers le haut pour quasiment l’intégralité de leurs montants, le revenu universel en fera de même pour à peu près tout ; tout étant renchéri, le gain pour ceux qui n’auront que ce revenu sera à peu près nul. »

Une société sans cash, des vaccins avec implant RFID, un revenu universel, etc. constituent la camisole électronique, impossible sans la mise en place de la 5G, qui nous est tricotée par ceux qui n’ont pas notre bonheur à cœur — contrairement à ce que prétend Benoît Hamon — dans un avenir qui verra l’ensemble des transactions monétaires contrôlées par l’Etat, les banques où les grandes sociétés privées. Autrement dit, toute notre vie.

Dans un autre article où j’abordais les tests anti-Covid comme outil de contrôle et dans lequel je considérais que le monde est transformé en Virusocratie, j’écrivais ce qui suit :

[…] Nous sommes égarés dans une simulation, à la recherche de la « vérité » et de la réalité. On peut le faire entre autres en s’emparant des mots et en les analysant. Les mondialistes adorent utiliser les mots comme des armes et les épeler, voire les marteler. Ce sont des hypnotiseurs. Ils inventent à dessein de nouveaux mots, et nous forcent à les utiliser et à les ressentir. Des mots comme « Coronavirus » et « distanciation sociale », ou encore « Covid-19 », « testé positif », « vaccins » ou « sauver le monde ».

Les mondialistes écrivent des codes. Ils codent les « virus » et leur donnent une identité militarisée de type jeu vidéo. Dans ce jeu vidéo, toutes vos libertés ont été supprimées et il faut faire preuve de gratitude et de servitude. Le code viral l’emporte sur toutes les autres formes de politique. Rien ne peut le contrer. Surtout pas la « science ». Ce virus constitue aussi une métaphore générale à propos de la « désinformation » propagée, à savoir tout ce qui est extérieur à leurs doctrines religieuses, et non reconnaissable par la virologie classique.

Le code, les scénarios possibles, le mysticisme et la superstition sur la façon dont le virus se propage, ne doivent pas être remis en question. C’est une forme de socialisme environnemental post-mondialiste devenu maléfique qui exige que tout un chacun se soumette à une chance égale d’être tué par un virus. Si les mondialistes sont obsédés par la « propagation » et les « virus », c’est parce qu’ils veulent mettre un terme à toutes les formes de communication et d’échange d’informations qui menacent leur Nouvel Ordre Mondial.

Cette « Virusocratie » n’existe que grâce à la plus grande opération psychologique jamais utilisée sur des milliards d’individus au sein de laquelle la bonne science est évitée ou censurée, où les médias intimident les dissidents, dans laquelle les intérêts particuliers prévalent et où les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »…

Nous n’avons pas besoin de technologies qui nous déresponsabilisent, en disant et décidant à notre place où nous pouvons aller. Ce dont nous avons besoin, c’est d’exercer notre responsabilité personnelle, pour pallier les défaillances et le cynisme des dirigeants.

La pandémie de coronavirus a provoqué la pauvreté et la famine pour des millions de personnes dans le monde. Et on en voit pas le bout.

On a vraiment l’impression que presque tous les gouvernements sont cooptés ou contraints de manière tacite à adhérer aux « lignes directrices ». C’est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Parce que certaines des « élites mondiales » — celles qui, nombreuses, sont flouées par les échelons supérieurs d’élites psychopathes — pensent a priori vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir. Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique et mentent, encore et encore à leur population de façon abjecte. Ces populations même qu’ils sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir. Ajoutons aussi la corruption « organisée » intrinsèque au monde dans lequel nous vivons, avec la Fondation Bill Gates et l’Open Society de George Soros qui financent — entre autres — le Conseil de l’Europe et ses institutions comme par exemple la Cour européenne des Droits de l’Homme. Au-delà de l’Union européenne, la Fondation Gates et l’Open Society — entre autres, là encore, car on peut y ajouter Ford ou Oak — financent aussi l’ONU et la Cour pénale internationale. Le fait que toutes ces fondations et ONGs privées financent des institutions dites publiques en dit long sur la privatisation de ces mêmes institutions qui, de fait, ne peuvent plus être indépendantes — nonobstant le fait qu’elles ne l’ont peut-être jamais vraiment été. L’influence politique globale qu’elles s’octroient par leurs dons privés leur donne une marge de manœuvre qui anéantit même toute illusion ou promesse de démocratie.

Les technocrates du monde entier prétendent nous préserver du coronavirus aujourd’hui, en accélérant un système de production qui compromet déjà notre survie de demain. En plus d’être voué à l’échec, c’est absurde… Quoique du point de vue des Pouvoirs en place, ça ne l’est certainement pas : entre l’«Event 201», le «Lock-Step», Bill Gates et sa GAVI, Rockfeller ou l’OMS, sans omettre le Forum économique mondial, il y a tout lieu de penser que ce que nous vivons aujourd’hui correspond à des scénarii pré-établis, propres à nous faire passer à toute vitesse dans un monde orwellien dématérialisé, inhumain et mortifère, qui aurait fait rêver Hitler ou Staline.

Ce qui est en jeu nous menace d’un grand péril : la mise à mort progressive de la conscience. Thomas Merton met en lumière la métaphore de la grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite, parce qu’un changement, s’il est suffisamment dilué dans le temps, échappe à la conscience et ne suscite ni réaction ni révolte avant un point de non retour :

« Le grand danger est que, sous la pression de l’anxiété et de la peur, de l’alternance des crises et puis de détente et puis de nouvelles crises, les peuples du monde en viennent à accepter progressivement […] l’idée de soumission au pouvoir total, et l’abdication de la raison, de l’esprit et de la conscience individuelle. »

~ Thomas Merton

[À propos de l’auteur]

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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




Plainte pénale pour génocide des Français contre Macron, ses ministres et son administration

[Source : FranceSoir]

Après les saisies chez divers ministres ou ancien ministres (Edouard Philippe, Olivier Véran, Agnès Buzyn), ce 1er décembre, une plainte au pénal pour « génocide du peuple français » a été déposée par Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, contre le président de la République, ses ministres et son administration.

Pierre-Alain Depauw, de medias-presse.info, rapporte que Mme Bonny encourage chacun à adresser copie de cette plainte aux parlementaires, à son député et son sénateur

La plainte a été transmise en français avec traduction dans six autres langues : allemand, anglais, espagnol, italien, danois, néerlandais.

La plainte complète est reproduite ci-dessous.


À Mesdames et Messieurs les parlementaires, 

à Monsieur François Molins, Procureur général près la Cour de cassation,
à Monsieur Rémy Heitz, Procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris,

Je soussignée, Madame Marion BONNY, née le 9 décembre 1980 à Nice (06), de nationalité française, thérapeute domiciliée xxxxxxx.

Ancien médecin militaire formée aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires. Suite à une blessure de guerre j’ai été réformée le 14 juillet 2020, à cause de mes séquelles d’un syndrome de stress post traumatique suite à une mission de cinq mois en Afghanistan.

Après huit ans de psychothérapie, je me suis spécialisée dans la prise en charge des traumatismes psychiques. Désormais je n’exerce plus la médecine. Je préfère, dans ma thérapeutique, faire le lien que je crois essentiel entre l’histoire émotionnelle du patient et la survenue d’une maladie, car l’environnement socio-économique et le contexte émotionnel sont des facteurs importants de notre état de santé global.

Forte de mon expérience, je veux contribuer à mettre un terme aux abus du gouvernement dans le cadre de la crise sanitaire, épidémie ou pandémie dite du « coronavirus », puis du « covid-19 ».

La population de notre pays subit depuis le mois de janvier 2020 une insupportable persécution faite de terreur alimentée par des informations floues ou contradictoires et par des mesures en tous sens : « gestes barrières », masque déconseillés puis obligatoire, confinements à échelle variable, couvre-feu, obligation de rester chez soi sans soins en cas de symptômes, drame des EPHAD, fermeture administrative des magasins, des bars, des restaurants et des dancings, des cinémas et des théâtres, interdiction de se réunir, mises au chômage, travail et enseignement à distance etc.

Cela se paie d’une épouvantable casse économique, sociale, culturelle, spirituelle, éducative et scientifique. Toutes ces mesures sont sources de traumatismes psychiques qui auront toujours plus de conséquences (isolement, violence, burn-out, dépression, intoxications médicamenteuses, usages de stupéfiants, suicide). En particulier, les jeunes générations sont privées d’un accès au savoir qu’elles ne rattraperont jamais, et spécialement les tout petits sont en danger, parce qu’ils sont privés de phases essentielles à l’humanisation (depuis leur premier souffle jusqu’aux années d’apprentissage de la parole et de la socialisation).

L’argument du protocole sanitaire doit être sérieusement interrogé. Nombre de scientifiques se sont élevés, en vain, contre l’absurdité des mesures prises. Derrière l’irresponsabilité d’un appareil administratif aveugle, il ne faut écarter ni l’œuvre de corruption d’une industrie pharmaceutique orientée exclusivement par la soif de profit, ni la possibilité de la volonté délibérée d’un ennemi invisible qui se sert de la crise sanitaire comme d’un prétexte.

Il est nécessaire d’établir ce fait par une enquête indépendante, sérieuse et objective, notamment en clarifiant les conflits d’intérêts entre gouvernants, administratifs et lobby pharmaceutique.

Parmi les nombreuses infractions en cause, la principale et la plus claire à établir est celle qui figure à l’article 211-1 du code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;
– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;
– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;
– mesures visant à entraver les naissances ;
– transfert forcé d’enfants.

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

C’est pourquoi

Vu que d’après l’article 68 de la Constitution et la Loi organique du 24 novembre 2014, dans le cas de manquement aux devoirs d’un Président de la République manifestement incompatible avec l’exercice d’un mandat, une Haute Cour peut prononcer la destitution du chef de l’Etat. L’initiative de cette procédure appartient à un dixième des parlementaires de l’une ou l’autre chambre qui déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour.

Vu l’article 68-2 de la Constitution du 4 octobre 1958 et les articles 13 et suivants de la loi n°93-1252 du 23 novembre 1993 sur la Cour de justice de la République, étant donné que pour la saisine de la Cour de Justice de la République, s’agissant de la responsabilité de ministres, le procureur général près la Cour de cassation peut agir d’office.

Vu l’article 40 du code de procédure pénal et la compétence des magistrats judiciaires, s’agissant de voie de fait et de crime commis par des fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions.

J’ai l’honneur de porter plainte, en tant que victime individuelle directe, contre le chef de l’Etat, contre ses ministres et contre son administration, et par conséquent, la chaîne de commandement et la spécialisation des procédures commandant une action trine,

De demander

Au parlementaire, de prendre l’initiative de déposer une proposition de résolution portant mise en accusation du président de la République, Emmanuel MACRON,

À Monsieur le Procureur Général près la cour de cassation, de saisir d’office la Cour de justice de la République concernant les premiers ministres, les ministres de la santé et de l’intérieur en exercice depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Nommément Madame Agnès BUZYN et Messieurs Edouard PHILIPPE, Jean CASTEX, Gérald DARMANIN, Olivier VERAN ainsi que tous ceux dont l’enquête déterminera la responsabilité,

À Monsieur le Procureur de la République, d’ouvrir une enquête afin de déterminer les négligences et les intentions, et, en fonction des résultats de cette enquête, de requérir les mises en examen nécessaires.

Sous toutes réserves

Le 30 novembre 2020

Marion BONNY
 

Madame ou Monsieur le sénateur
Palais du Luxembourg
15, rue de Vaugirard
75291 PARIS Cedex 06 

Madame ou Monsieur le député
Assemblée nationale
126 rue de l’Université
75355 Paris 07 SP

Monsieur le Procureur près la Cour de cassation
Cour de cassation
5 quai de l’Horloge – TSA 19201
75055 Paris Cedex 01

Monsieur le Procureur de la République
Parvis du Tribunal de Paris
75017 PARIS

Auteur(s): FranceSoir




Pour ceux qui s’apprêtent à remettre en cause l’autorité – Je vous salue

[Source : Le Saker Francophone]

Il y a beaucoup de gens qui, peut-être pour la première fois de leur vie, commencent à se poser des questions fondamentales sur la nature de la société et leur rapport à l’autorité. Cela va à l’encontre de tout ce qu’on leur a appris à croire et constitue une expérience extrêmement inconfortable. Il faut du courage pour remettre en question ses propres valeurs et systèmes de croyance.

Nous sommes tous instruits, presque depuis le berceau, que l’obéissance est une bonne chose. Faire ce qu’on nous dit est toujours récompensé et la désobéissance punie. C’est en partie une leçon précieuse pour un jeune enfant. Nous devons obéir aux ordres de nos parents, sous peine de conséquences désagréables. Lorsqu’un parent dit « non », l’enfant doit obéir. Les parents aiment leurs enfants et exercent leur autorité pour les protéger. L’enfant en sait moins que son parent.

En grandissant, nous devenons de plus en plus capables d’exercer une pensée critique. Nous apprenons à évaluer les dangers par nous-mêmes et, à mesure que l’expérience s’accumule, nous devenons des adultes capables d’exercer leur propre jugement. Nous avons le libre arbitre et assumons la pleine responsabilité de nos propres actions.

Cependant, à mesure que nous grandissons, les autorités exigent que nous ne mettions jamais de côté les choses enfantines. Nous devons rester obéissants, suivre les règles et apprendre à accepter la convention de l’autorité. Plutôt que d’assumer la pleine responsabilité de notre propre vie, on nous dit que nous avons signé ce qu’ils appellent le contrat social.

Les autorités ne nous aiment pas. Elles n’exercent pas l’autorité qu’elles revendiquent pour nous protéger. Elles n’en savent pas plus que nous.

Ce contrat social, jamais vu ni signé, nous est vendu comme étant essentiel au « bon » fonctionnement de notre société. Les autorités nous disent que sans lui, nous ne serions guère plus que des habitants des cavernes, incapables d’ordre spontané. Le chaos régnerait et seule notre volonté de faire exactement ce qu’on nous dit, comme des bambins bien formés, nous protège.

Vidéo

Ce contrat invisible exige d’être honoré. Nous ne devons enfreindre aucune des nombreuses règles qui nous sont imposées. La liste des règles ne cesse de s’allonger et les règles auxquelles nous devons obéir changent constamment. Il est pratiquement impossible de savoir quelles sont toutes les règles, mais l’ignorance n’est pas une excuse pour désobéir.

Dans le cadre du contrat social qu’ils disent avoir créé avec leurs règles, nous devons payer les autorités. Nous devons nous mettre au travail afin de payer ce tribut.

Ils utilisent l’argent que nous devons leur donner de manière sage et efficace. Comme les autorités sont exemptes de corruption et qu’elles n’ont que nos intérêts à cœur, nous pouvons compter sur elles pour utiliser l’argent qu’elles nous prennent pour nous fournir les choses dont nous avons besoin.

Nous avons besoin de beaucoup de choses que, sans les autorités, nous serions incapables de nous procurer nous-mêmes. Nous avons besoin de soins de santé et d’aide sociale, d’ordre public, d’infrastructures vitales et d’accès aux services, de scolarisation pour nos enfants, de services publics, d’une énorme bureaucratie et bien d’autres choses encore.

Les autorités nous prennent notre argent afin de pouvoir payer des entrepreneurs privés pour nous fournir les choses dont nous avons besoin. Cela signifie que les entreprises privées n’ont qu’à faire appel aux autorités pour obtenir leur part du contrat social.

Comme les autorités sont incorruptibles, elles agissent avec bien plus de clairvoyance que si nous nous réunissions en tant que communauté, établissions nos propres contrats et achetions ces services directement. Nous sommes trop incompétents pour le faire.

En échange de notre argent, les autorités nous protégeront toujours. En fait, elles prétendent que c’est leur premier et plus important devoir. Tant que nous payons et faisons ce qu’on nous dit, elles nous protégeront, ainsi que nos familles et nos moyens de subsistance.

Parfois, pour assurer notre sécurité, les autorités doivent établir des priorités. Il est souvent essentiel qu’elles consacrent une grande partie de notre argent à des bombes et à des milices par procuration. Ces dépenses sont nécessaires car les autorités doivent parfois s’attaquer à d’autres autorités. Bien sûr, ce sont rarement les autres autorités qui sont massacrées dans leur lit. Ce sont surtout ses habitants qui, comme nous, vivent ailleurs.

Cela entraîne toutes sortes de dangers. Pour que les autorités nous protègent contre les menaces qu’elles ont créées, elles doivent investir beaucoup de temps. Nous ne pouvons tout simplement pas travailler assez dur pour payer directement toute cette protection. Donc, pour s’assurer que nous restons en sécurité, les autorités doivent emprunter l’argent en notre nom pour payer notre sécurité.

Cela crée des niveaux d’endettement ahurissants que nous devons nous efforcer de rembourser, malgré le fait qu’ils soient si importants que nous ne le ferons jamais. Cette dette est détenue par un nombre infime de personnes qui ne sont pas, elles-mêmes, soumises aux mêmes règles d’autorité que nous.

Contrairement au reste d’entre nous, si elles deviennent insolvables, elles sont trop grosses pour faire faillite. Bien que nous ayons payé les autorités pour maintenir les choses dont nous avons besoin, nous devons tout sacrifier pour protéger ceux qui sont très importants. C’est ainsi que nous serons en sécurité.

Même ces dangers sont insignifiants par rapport à la menace existentielle à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. La Covid-19 est si dangereuse que les autorités ont décidé que nous devons complètement réorganiser toute notre société et l’économie mondiale afin qu’elles puissent continuer à nous protéger.

Pour rester en sécurité, nous devons disposer d’un État de surveillance bio-sécurisé, contrôlé par les globalistes. Il est essentiel que nos entreprises se voient imposer des règles qui les rendront non viables. Ces obligations sont si lourdes que seules quelques unes, des méga-corporations, auront les moyens de survivre. Cela a été fait dans un souci de sécurité.

Toutes nos transactions, nos déplacements, les personnes que nous rencontrons (le cas échéant) et les services que nous utilisons doivent être suivis et tracés afin que les autorités puissent nous protéger. La Covid-19 est tellement mortelle que nous sommes devenus un danger pour nous-mêmes.

L’ancienne société que nous connaissions doit être complètement détruite afin de construire un nouveau système de gouvernance mondiale, administré de manière centralisée, dans lequel chacun d’entre nous est une menace potentielle pour tous les autres. Nous devons prendre nos distances les uns par rapport aux autres et traiter nos propres proches comme des risques biologiques.

Parce que nous sommes tous désormais des sources d’infection, pour rester en sécurité, nous devons incontestablement obéir aux nouvelles règles conçues pour nous protéger. Les autorités doivent avoir un pouvoir illimité pour nous incarcérer, elles doivent pouvoir commettre tout crime qu’elles jugent nécessaire pour maintenir l’ordre et elles doivent rechercher, isoler et faire taire tous ceux qui remettent leur autorité en question. Car ce n’est qu’en acceptant aveuglément tous les ordres des autorités que nous pouvons espérer rester en sécurité.

Si cela vous semble être le genre de racket de protection dont Al Capone aurait été fier, alors vous avez raison, c’est le cas. Il n’a jamais été autre chose que cela. Les autorités, qu’il s’agisse de rois, de reines, de PDG, de chefs de groupes de réflexion, de parlements ou de sénats, ont toujours régi par un seul mécanisme. La peur.

Elles doivent nous maintenir dans un état de terreur constant car sinon nous n’apprécierions pas leur protection. Nous sommes devenus si effrayés que nous nous croyons incapables de gérer notre propre société.

Sans ces craintes, notre besoin des autorités s’évapore. Leur pouvoir corrompu et inepte, leurs règlements mesquins et leur mépris total pour l’humanité sont devenus d’une évidence impardonnable.

Nous le savons tous. Qui parmi nous regarde la classe politique et les banquiers avec admiration ? Cela ne veut pas dire qu’ils sont tous mauvais ou même corrompus. Nous serions stupides de ne pas soutenir ceux d’entre eux qui, peut-être mal à l’aise avec la dictature naissante, sont prêts à s’exprimer.

Cependant, ce n’est pas non plus un groupe de personnes particulièrement douées ou sages. Qu’est-ce qui nous fait croire que nous sommes incapables d’ordonner notre propre vie tout en imaginant que ce groupe de personnes possède des pouvoirs spéciaux et peut guider en toute sécurité la vie de milliards de personnes ?

C’est une notion absurde. Et pourtant, comme les lemmings proverbiaux, il semble que nous ne puissions pas échapper à notre obligation de suivre, profondément ancrée. Même si la Covid-19 était un fléau capable d’anéantir l’humanité, ce qui n’est certainement pas le cas, quelle part de votre vie êtes-vous prêt à abandonner pour rester en sécurité ?

Si vous ne pouvez pas être avec vos proches quand ils ont besoin de vous, si vous ne pouvez pas ressentir la chaleur et l’affection d’autres êtres humains, si vous ne pouvez pas vous réunir, célébrer, danser et chanter, si vous ne pouvez même pas faire l’amour sans vous soumettre au diktat des autorités, pourquoi êtes-vous en vie ? Votre liberté, acquise grâce au sacrifice de sang des générations qui vous ont précédé, signifie-t-elle vraiment si peu pour vous que vous la donniez simplement parce que vous avez peur ?

Nous ne sommes pas des enfants. Nous sommes capables d’assumer la responsabilité de notre propre vie. Nous n’avons pas besoin qu’on nous dise quoi faire, où aller, quoi dire et quoi penser. Si les autorités disparaissaient demain, décideriez-vous soudainement de rouler du mauvais côté de la route ? Commenceriez-vous à vous battre juste parce que vous êtes en enfer ou frapperiez-vous une vieille dame et lui voleriez son sac à main ? Renonceriez-vous à toutes vos responsabilités et ne vous donneriez-vous tout simplement plus la peine ?

Si la réponse à ces questions est non, alors regardez attentivement les autres personnes que vous voyez, descendant la rue, la tête baissée, muselée et effarouchée, et demandez-vous lesquelles d’entre elles le feraient ? Qu’est-ce qui vous fait si peur que vous pensez avoir besoin d’être protégé contre eux ?

On vous fait subir un lavage de cerveau pour vous faire croire que tout le monde est un danger pour vous. Ce n’est pas le cas. Ce sont vos semblables. Ils sont extrêmement ingénieux, pleins d’esprit, tristes, expérimentés, naïfs, intelligents, stupides, apaisants, colériques, certains et confus. Ils sont tout comme vous.

La perspective que nous puissions dissiper nos craintes terrifie les autorités jusqu’à la moelle. C’est pourquoi elles consacrent tant de temps, d’argent et d’efforts à marginaliser, rabaisser et persécuter quiconque critique leur politique et revendique le droit de gouverner. En réaction, nous sommes devenus incapables de voir les ombres sur le mur de la grotte. En fait, nous attaquons ceux qui défendent notre liberté pour défendre ceux qui veulent la supprimer.

Si une maladie représentait vraiment une menace existentielle pour vous et votre famille, imaginez-vous un instant qu’il faudrait vous « convaincre ». Vous verriez les preuves tout autour de vous. Mais où sont-elles ? À la télévision ?

Pour que nous puissions voir que l’empereur n’a pas de vêtements, nous devons surmonter les années d’endoctrinement auxquelles nous avons tous été soumis ; notre servitude entraînée à l’égard de quelques personnes, qui assument le manteau d’autorité que nous leur donnons volontiers. Qui nous enseigne que nous devons obéir à leur autorité ?

Sans notre foi dans les histoires qu’ils tissent et les cauchemars qu’ils affirment être réels, le pouvoir des autorités n’est rien d’autre que l’illusion de futurs tyrans. Si personne n’obéit, il n’y a pas de dirigeants. C’est aussi simple que cela.

Si nous décidons de ne plus obéir, alors que les premiers à se lever affronteront leur colère, en fin de compte, ils ne pourront rien y faire. Leur emprise sur le pouvoir disparaîtra en moins d’une génération. Ce ne sera pas facile. Rien de ce qui vaut la peine d’être fait n’est jamais simple. Mais lorsque le travail sera terminé, nous pourrons peut-être alors discuter, comme des adultes, de ce que nous voulons que soit le Grand Reset.

Je sais que de plus en plus de gens commencent à remettre en question l’autorité et leur relation avec le gouvernement. Cette relation est en train de changer, que cela vous plaise ou non, et nous devons tous faire de même. Cela peut être un processus difficile et parfois inconfortable.

Remettre en question tout ce que nous pensons comprendre sur la nature de notre société, signifie inévitablement que nous devons nous remettre en question. Ce n’est pas pour les timorés et, dans des circonstances normales, il est plus facile et plus sûr de ne pas s’en préoccuper.

Ce ne sont pas des circonstances normales. Même si c’est terrible pour ceux qui en souffrent, la Covid-19 n’est pas le danger le plus pressant auquel nous sommes confrontés. Notre ennemi mortel est notre propre apathie individuelle. Si nous permettons simplement à une nouvelle société mondiale anormale d’être construite par un minuscule groupe de courtiers en pouvoir immensément riches, cette société les servira et nous asservira tous, ainsi que nos enfants, pour les générations à venir.

À ceux qui commencent à remettre en question l’autorité, à poser des questions sur le pouvoir, je vous salue. Pour ceux qui ne le font pas, je vous demande pourquoi ? Vous n’avez rien à perdre. Vous ne pouvez pas garder la tête baissée et espérer que vous serez épargnés. Le nouvel État bio-sécuritaire que les autorités sont en train de construire est pour tout le monde. La résistance ou l’esclavage sont vos seules options.

Iain

Traduit par Hervé, relu par jj pour le Saker Francophone




Appel du Dr Pascal Sacré

[Source : Profession Gendarmes]

Bonjour,

Je suis Pascal Sacré, docteur en médecine, chirurgie et accouchements en Belgique depuis 25 ans. Anesthésiste, j’exerce la médecine de soins intensifs depuis 17 ans et ce n’est pas fini.

J’ai été licencié par un hôpital où je travaillais depuis 9 ans sans aucun problème, pour mes opinions et leur expression, par écrit. Pour la direction de cet hôpital, cette liberté fondamentale dans une démocratie est une faute grave.

Je suis ici pour vous dire d’arrêter de les écouter.
Restaurateurs, ouvrez vos restaurants. Directeurs d’école, professeurs, ouvrez les écoles et enseignez dans les classes comme avant, sans masques, sans gel et sans distance sociale. Magasins, faites-le aussi.

Si quelqu’un est malade, vraiment, s’il tousse ou s’il a des difficultés à respirer, alors qu’il reste à la maison et consulte son médecin généraliste.
Oui, nous pouvons revivre comme en 2018, oui, et c’est un médecin réanimateur qui a vu le COVID en face qui vous le dit !

Il est temps, compatriotes, confrères, collègues, amis, ennemis, gens, de tous âges et professions, que vous entendiez une autre voix, une autre approche, un autre son de cloche. Sortez, respirez, prenez de la vitamine D, du zinc, marchez, vivez, tenez-vous dans vos bras.

Je connais quelqu’un d’âgé qui commençait la maladie de parkinson et que le seul fait d’être retourné voir ses enfants et petits-enfants, enfin, est redevenu comme avant, sans aucun tremblement !

Écoutez les médecins, les généralistes qui vous disent qu’il y a beaucoup à faire pour tuer les virus, pour se protéger et éviter d’aller à l’hôpital. À ces conditions, OUI ! Il est possible de revivre comme avant, sans masque, avec des écoles et des lieux de vie ouverts ! Que ces quelques personnes stupides ou payées pour le dire arrêtent de vous faire croire que nous ne sommes que quelques médecins éparpillés, un peu fous ou inconscients ! Non, loin de là, nous sommes nombreux, des médecins très sérieux dont certains, professeurs ou ancien recteur d’université !

Cessez d’écouter des gens, même dits « experts », qui ne proposent que trois choses, se masquer, se confiner, attendre, attendre la mort ou un poison présenté comme un vaccin.

Ceci est l’appel du 29 novembre, après l’appel du 18 juin, mes compatriotes, ne vous trompez pas de guerre, ne vous trompez pas de cible, policiers, juges, militaires, agents du maintien de l’ordre, soyez du bon côté, du côté des gens, de la vie, de l’espoir, ne vous laissez pas tromper !
Sortez, respirez, sans masques, enseignez, ouvrez les bars, les restaurants.
Et vous, politiciens, médecins spécialistes, soyez dignes de votre mission, dites la vérité, toute la vérité, donnez les moyens aux hôpitaux de travailler correctement !

Laissez les médecins de première ligne prescrire et soigner.

Merci

Dr Pascal Sacré






Coup de gueule de Jean-Marie Bigard

[Source : France Bleu]

Jean-Marie Bigard : son coup de gueule en pleine émission

Jean-Marie Bigard excédé par la gestion du confinement et du COVID :

« Comment veux-tu que je ne sois pas en colère? On nous prend pour des cons. On nous manipule. On fait crever nos commerces. À qui profite le crime? »




Ils ont perdu

[Source et auteur : Éloïse Al’Cyona]

Ils ont perdu. Car en nous enfermant, ils nous obligent à affronter nos parts d’ombre, à regarder nos propres démons droit dans les yeux, à les soigner et à les transmuter.

Ils ont perdu. Car en nous isolant les uns des autres, ils nous encouragent à nous re-unir, à renforcer nos liens et nous reconnecter de cœur à cœur.

Ils ont perdu. Car en nous mentant effrontément, ils nous amènent à rechercher la vérité ailleurs et par nous-mêmes, donc à sortir de l’illusion.

Ils ont perdu. Car en cherchant à nous faire peur, ils nous poussent à lâcher prise, à rester centrés, confiants et connectés à notre âme.

Ils ont perdu. Car en contrôlant nos véhicules physiques, ils nous permettent d’expanser nos corps subtils et nos consciences, donc notre puissance.

Ils ont perdu. Car en voulant nous rendre malades, ils nous donnent finalement plus de temps libre, de repos et de renaissances.

Ils ont perdu. Car en essayant de nous faire disparaître dans l’obscurité, ils nous font accroître et cultiver notre Lumière intérieure.

Ils ont perdu. Car en nous coupant de Mère Nature, nous lui permettons de se nettoyer et de guérir, et nous, de méditer pour elle comme jamais.

Ils ont perdu. Car en nous manipulant pour faire de nous des esclaves, ils nous forcent à reprendre en main notre Souveraineté et notre Liberté.

Ils ont perdu. Car ce confinement est une belle allégorie de notre enfermement dans la matrice 3D, qui nous motive encore plus à ascensionner vers la 5D.

Ils ont perdu. Car en tentant de nous endormir et de nous soumettre, ils sont en train de secouer et de réveiller toute l’Humanité.

Ils ont perdu. Car en nous infantilisant, ils nous font grandir. En attaquant nos aînés et nos enfants, ils nous font rugir.

Ils ont perdu. Car en voulant nous affaiblir, ils renforcent le Guerrier de Lumière qui sommeille au fond de chacun de nous.

Éloïse Al’Cyona




L’association Internationale de Transport Aérien annonce le passeport numérique vaccination

[Source : IATA]

[Traduction automatique révisée]

Passeport de voyage IATA

Pour rouvrir les frontières sans quarantaine et relancer l’aviation, les gouvernements doivent être convaincus qu’ils atténuent efficacement le risque d’importation du COVID-19. Cela signifie avoir des informations précises sur l’état de santé des passagers par rapport au COVID-19.

La création d’une plate-forme numérique pour les passagers avec

  • des informations sur les tests, vaccins et autres mesures dont ils ont besoin avant le voyage,
  • des détails sur l’endroit où ils peuvent se faire tester
  • et qui donne aux passagers la possibilité de partager leurs tests et les résultats de vaccination d’une manière vérifiable et sûre tout en protégeant la vie privée

est la clé pour permettre aux gouvernements d’ouvrir les frontières en toute confiance. Pour relever ce défi, l’IATA lance l’IATA Travel Pass [Passeport de voyage IATA].

Défis actuels pour une information exacte sur la santé

  1. Complexité et variété
    L’ensemble fragmenté et diversifié des exigences en matière de tests COVID-19 pour l’entrée et la sortie [de territoires] ainsi que la gamme de différents types de tests (PCR, LAMP, antigène et spectroscopique) requis par les gouvernements ont créé un environnement difficile et complexe pour les autorités de l’immigration, les passagers et les compagnies aériennes.
  2. Déficit d’information
    Les passagers sont confus et ont besoin d’informations exactes. Mais ils ne savent pas où le trouver – ni le comprendre, même s’ils les trouvent.
  3. Inefficacités, erreurs, fraudes
    Les agents d’enregistrement doivent suivre les directives détaillées sur les exigences d’entrée et tenter de déterminer l’authenticité de plusieurs documents de tests non standard que les passagers leur présentent. Cela conduit à des inefficacités de bilan de santé, des erreurs et des fraudes – un problème croissant dans le monde entier.

L’infrastructure de flux d’information nécessaire aux tests systématiques doit prendre en charge :

  • Les gouvernements ayant les moyens de vérifier l’authenticité des tests et l’identité de ceux qui présentent les certificats de tests.
  • Les compagnies aériennes ayant la possibilité de fournir des informations précises à leurs passagers sur les exigences de tests et de vérifier qu’un passager répond aux exigences de voyage.
  • Les laboratoires ayant les moyens d’émettre des certificats aux passagers qui seront reconnus par les gouvernements.
  • Et les voyageurs qui ont des renseignements exacts sur les exigences des tests, où ils peuvent se faire tester ou se faire vacciner, et les moyens de transmettre en toute sécurité des informations de tests aux compagnies aériennes et aux autorités frontalières.

Solution : Passeport de voyage IATA

Une solution globale et standardisée pour valider et authentifier toutes les réglementations nationales concernant les exigences de transport de passagers par rapport au COVID-19. Le Passeport de voyage IATA intègre quatre modules open source et interopérables qui peuvent être combinés pour une solution de bout en bout :

REGISTRE DES EXIGENCES EN MATIÈRE DE SANTÉ REGISTRE DES CENTRES DE DÉPISTAGE ET DE VACCINATION APPLICATION DE LABORATOIRE APPLICATION VOYAGE SANS CONTACT
Permet aux passagers de trouver des informations précises sur les besoins en matière de voyage, de test (et éventuellement de vaccination) pour leur voyage

Propulsé par IATA Timatic

Permet aux passagers de trouver des centres test et des laboratoires sur leur lieu de départ qui répondent aux normes de test/vaccination de leur destination Permet aux laboratoires et centres de test autorisés d’envoyer en toute sécurité les résultats des tests ou les certificats de vaccination aux passagers Permet aux passagers
(1) de créer un « passeport numérique »,
(2) de vérifier que leur test/vaccination respecte la réglementation et
(3) de partager des certificats de test ou de vaccination avec les autorités pour faciliter les déplacements.

Peut être utilisé par les voyageurs pour gérer la documentation de voyage numériquement et de façon transparente tout au long de l’expérience de voyage.

La principale priorité est d’amener les gens à voyager à nouveau en toute sécurité. Dans l’immédiat, cela signifie établir la confiance des gouvernements que les tests systématiques covid-19 avant le départ peuvent fonctionner comme un remplacement aux exigences de quarantaine. Et cela finira par se transformer en un programme de vaccination.

Le Passeport de voyage IATA est une solution pour les deux. Il est construit en modules comme une solution de l’industrie basée sur les normes open source. Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres fournisseurs ou comme solution de bout en bout. Le plus important, c’est qu’il réponde aux besoins de l’industrie tout en permettant un marché concurrentiel.




Les Dessous de la Science – Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs

[Source : TVL]

Les Dessous de la Science n°1 – Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a récemment annoncé que des coupures d’électricité seront possibles cet hiver.
Floriane Jeannin et Nicolas Faure s’intéressent justement à la thématique de l’énergie dans « Les Dessous de la Science ».
Le premier numéro de cette nouvelle émission dédiée aux sciences et à l’écologie aura en effet pour thème : « Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs » et s’attachera à apporter des éléments factuels d’analyse et de comparaison entre ces trois formes de production d’énergie.

Sommaire de cette émission :

03:17 LA SÉLECTION
03:18 Prix Nobel, ciseaux moléculaires et précipitations politiques
05:44 Covid-19 : une hypothèse plus si complotiste que cela…
07:25 Dyslexie : les promesses de la génétique

09:06 LA CONTROVERSE
France Culture et Libération se sont appuyés sur une étude scientifique sur les restes d’une chasseuse datant de 9 000 ans pour évoquer l’idée que les « stéréotypes de genre » actuels ne correspondent pas au passé.
Une lecture idéologique de la science qu’il convient de nuancer.
Sommaire de cette émission :

12:01 NUCLÉAIRE, ÉOLIEN, SOLAIRE : DANGERS ET ESPOIRS

15:00 La sûreté nucléaire

15:06 Les grandes catastrophes nucléaires et leur bilan
17:10 La sécurité en France
19:49 Le risque terroriste

19:23 Bilan

19:44 Les déchets nucléaires

23:06 Le démantèlement

23:31 Des coûts comparés… incomparables ?

23:39 Le coût du nucléaire
24:05 L’inquiétude de l’EPR
25:02 : Le coût du renouvelable
25:24 Les subventions
26:09 Les coûts de réseau
27:10 Une comparaison impossible ?
30:18 Une intermittence irréversible ?

31:24 Bilan

31:51 Quel impact environnemental ?

32:23 Premières comparaisons
32:54 Bilan carbone
33:30 Besoins en matériaux
36:52 L’impact écologique de l’extraction de matériaux
39:55 L’augmentation de la part du renouvelable intermittent dans le cadre de la transition écologique : une utopie ?
42:59 La question des surfaces

44:26 Bilan

45:57 Avenir

45:57 La problématique de la souveraineté énergétique

48:18 Le nucléaire : une technologie complexe dans un monde de plus en plus incertain

50:38 Conclusion générale




Les confinements détruisent ce qui nous rend humains

[Source : Anguille sous roche]

[Auteur : Zachary Yost]

Si l’économiste de GMU, Tyler Cowen, a peut-être rejeté l’idée d’un renforcement des mesures de confinement des pandémies comme étant « un homme de paille » et que les mesures extrêmes qui ont commencé en mars de cette année « sont maintenant derrière nous », il semble que les gouverneurs et les autres politiciens du pays n’aient pas compris le message.

De plus en plus d’États ont recommencé à imposer des mesures d’enfermement ruineuses. Les médias et Twitter sont remplis de grognons bien-pensants qui crient au malheur imminent des familles qui se réunissent pour Thanksgiving.c

S’il en était ainsi, tout le monde resterait en véritable assignation à résidence et ne verrait personne d’autre pendant des mois, voire des années, car la durée de ces lourdes charges est passée de « quinze jours pour ralentir la propagation » à des mois, voire des années, dans le futur. Le fait que de telles idées soient même envisagées montre à quel point une grande partie de notre classe d’« experts » et de leurs hordes d’adeptes lemmings sont déconnectés de la réalité humaine.

Les choses n’ont pas beaucoup changé depuis que j’ai abordé certaines des conséquences matérielles désastreuses et involontaires des blocages en avril de cette année. Toutefois, à mesure que l’année 2020 s’est écoulée, il est apparu clairement qu’au moins une partie de la logique du confinement est ancrée dans une conception fondamentalement erronée et relativement récente de la nature humaine.

Presque toutes les cultures et religions de l’histoire de l’humanité ont considéré que les humains sont des êtres à la fois matériels et spirituels. Cependant, en vivant à l’ère laïque comme nous le faisons, l’aspect matériel de notre existence a supplanté le spirituel à tel point qu’il est à peine reconnu comme tel.

Russell Kirk va jusqu’à affirmer que la ligne de démarcation dans la politique contemporaine repose sur cette différence de compréhension, déclarant que « d’un côté de cette ligne se trouvent tous ces hommes et femmes qui pensent que l’ordre temporel est le seul ordre, que les besoins matériels sont leurs seuls besoins et qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent du patrimoine humain. De l’autre côté de cette ligne se trouvent toutes ces personnes qui reconnaissent un ordre moral durable dans l’univers, une nature humaine constante, et des devoirs élevés envers l’ordre spirituel et l’ordre temporel ».

Une vision purement matérielle de l’existence humaine conduira bien sûr à certaines prescriptions politiques, en particulier face à une pandémie. Nier l’existence spirituelle de l’homme, c’est nier la possibilité d’une vie après la mort – seul le vide de l’annihilation attend. Dans cette perspective, il est logique que l’on puisse conclure que la vie terrestre doit se poursuivre à tout prix, qu’aucun compromis n’est trop élevé pour repousser l’oubli à venir.

En revanche, ceux qui conservent une conception plus traditionnelle de la nature humaine, quelle que soit la religion ou la croyance spécifique à laquelle ils appartiennent, peuvent facilement voir tout un monde de coûts à enfermer que ceux qui ont une perspective purement matérialiste ne sont même pas capables de comprendre.

Les humains sont des êtres sociaux. Notre existence et notre développement en tant que personnes humaines reposent sur cette nature sociale. Les penseurs du contrat social comme Hobbes, Locke et Rousseau peuvent fantasmer sur une existence humaine solitaire, mais tous les témoignages d’enfants sauvages ou isolés indiquent que sans d’autres humains, un individu solitaire périrait rapidement, sans parler de son incapacité à développer la conscience de soi ou la capacité à penser et à parler avec le langage.

Certains érudits personnalistes, tels que le théoricien politique David Walsh, affirment que toute notre conception du moi ne peut se former qu’en relation avec d’autres personnes. Contrairement à la célèbre phrase de Descartes qui dit « Je pense, donc je suis », un personnaliste affirmerait que nous ne sommes même pas capables de comprendre l’existence du « je » tant que nous n’avons pas d’abord compris l’existence d’un « je » chez les autres. Tout comme nous ne pouvons jamais vraiment voir notre propre visage, mais seulement le visage des autres, ce qui nous permet de comprendre notre propre visage invisible, nous ne pouvons pas prendre conscience de nous-mêmes tant que nous ne nous trouvons pas dans le contexte des autres et, à travers eux, reconnaître la nature mutuelle de nos vies intérieures qui fait de nous des personnes.

De nombreuses religions, sous une forme ou une autre, parlent de l’interconnexion du monde et des personnes et de l’illusion de la séparation. Bien qu’elle soit le plus souvent associée aux religions orientales comme le bouddhisme, cette unité spirituelle n’est pas étrangère au christianisme et à l’Occident. En effet, la Trinité chrétienne est comprise comme étant un Dieu unique en trois personnes. Jésus Christ fait référence à cette unité dans le dix-septième chapitre de l’Évangile de Jean lorsqu’il prie « afin que tous soient un, Père, comme tu es en moi et que je suis en toi… afin qu’ils soient un comme nous sommes un – moi en eux et toi en moi – afin qu’ils soient amenés à l’unité complète ».

En laissant de côté les implications religieuses spécifiques, les humains ont reconnu depuis des millénaires que lorsque des personnes se rassemblent, nous entrons les uns dans les autres sur un plan spirituel par la reconnaissance de notre identité personnelle mutuelle. Cependant, cette unité spirituelle si essentielle à notre existence même en tant que personnes humaines ne se produit pas dans le vide, mais plutôt dans le contexte dans lequel nous nous rassemblons dans le monde matériel.

Les humains pourraient acquérir tous les nutriments dont nous avons besoin en s’imprégnant de Soleil Vert dans la solitude, mais au lieu de cela, nous transformons souvent nos repas en occasions sociales rituelles. Les repas partagés ne fournissent pas seulement une alimentation matérielle mais aussi spirituelle. Danser seul dans sa cuisine, c’est bien beau, mais c’est bien peu en comparaison de la foule de milliers de personnes qui se bousculent lors d’un festival de musique de danse électronique ou des pieds d’une secte soufie qui danse le dhikr. Nous avons la chance de pouvoir accéder à de grandes œuvres d’art par un simple clic de souris, mais regarder le Lac des Cygnes chez soi sur YouTube ne remplace pas l’expérience de le voir en direct dans une salle bondée où chaque personne est émue jusqu’aux larmes.

Il y a peu d’événements plus débordants d’unité spirituelle que le mariage, une célébration de l’unité littérale de deux personnes comme une seule en présence de leurs amis et de leurs proches avec des festins, des chants et des danses.

Pourtant, combien de mariages ont été annulés ou célébrés en privé cette année grâce aux confinements ? Combien de repas partagés n’ont pas été pris ? Des danses non dansées, des chants non chantés, des conversations non tenues ? Combien de parents et de grands-parents dans les maisons de retraite n’ont pas pu voir leurs proches avant de quitter cette terre ? Combien d’enfants ont souffert toute la journée, seuls devant un écran ? Ce ne sont pas là de simples luxes frivoles dont nous, les humains, pouvons nous passer. Le double contexte matériel et spirituel de notre existence ne peut être séparé. Ces contextes de nos familles et de nos communautés ne sont pas de beaux ajouts à la vie, ils sont la vie humaine elle-même.

Il est indéniable que pendant une pandémie, il sera nécessaire de modifier son comportement, mais tout comme aucun bureaucrate d’État ne peut planifier avec succès l’économie, aucun responsable de la santé publique n’est capable de planifier de manière centralisée une réponse pour des centaines de millions de personnes qui sont toutes dans des conditions de vie différentes, avec des besoins matériels et spirituels différents.

Chaque personne doit décider elle-même de la marche à suivre en fonction de ses circonstances de vie uniques. Le fait d’arracher ces décisions à chaque personne et de les placer entre les mains des bureaucrates de la santé publique a conduit au désastre.

Le taux de suicide est en hausse dans tout le pays, dans certains endroits jusqu’à 70 % par rapport à la même période l’année dernière. Les suicides militaires ont augmenté de 20 %. Les décès par overdose sont en passe d’atteindre un niveau record. La RAND Corporation a constaté une augmentation de la consommation d’alcool cette année. L’Associated Press fait état des conditions horribles qui règnent dans les maisons de retraite du pays et qui ont pu entraîner la mort de dizaines de milliers de résidents dans des circonstances atroces et horribles, leurs familles n’ayant pas été autorisées à s’occuper d’eux. De plus, il semble que de nombreux patients se soient tout simplement évanouis, l’esprit brisé par le fait d’avoir été enfermés dans un véritable isolement sans contact avec leurs amis ou leur famille pendant des mois.

La planification médicale centralisée qui ne reconnaît même pas l’aspect spirituel et social de l’existence humaine a causé la mort d’un nombre incalculable de personnes dans tout le pays, peut-être plus que le virus lui-même à long terme.

Nos dirigeants tant vantés peuvent agir comme de purs matérialistes lorsqu’il s’agit de leurs décrets dictatoriaux anéantissant la société et notre humanité même, mais à un certain niveau, ils comprennent évidemment l’importance de leur propre santé spirituelle. Sinon, pourquoi les dirigeants de Californie enfreindraient-ils leurs propres règles pour dîner dans des restaurants luxueux ou s’envoler pour Hawaï pour des réunions et ne se contenteraient-ils pas de plats à emporter et de Zoom comme le reste d’entre nous, les paysans ? Mais que peut-on attendre d’autre d’un système de contrôle du haut vers le bas ?

Les humains sont des êtres à la fois matériels et spirituels. Tout comme nous avons des besoins matériels que les planificateurs centraux ne peuvent pas anticiper, nous avons aussi des besoins spirituels qui ne peuvent être satisfaits que d’une myriade de façons que les planificateurs centraux ne peuvent pas prévoir, surtout lorsqu’ils ne reconnaissent même pas qu’il s’agit de besoins. Lorsqu’ils ne sont pas satisfaits, notre santé physique en souffre tout aussi sûrement que si nous étions porteurs d’un virus. Les aspects sociaux et communautaires de la vie humaine, qu’il s’agisse d’un dîner de fête en famille, d’aller à l’église, d’un mariage ou même des relations banales de la vie quotidienne, ne sont pas de simples luxes dont on peut se passer, ils sont la vie humaine elle-même. Les gens doivent être libres de traverser ces moments difficiles armés de la connaissance de leur situation qu’ils sont les seuls à posséder.

Lire aussi : Les confinements n’ont pas réduit la mortalité due au COVID, mais ils ont tué des millions d’emplois

Source : The Mises Institute – Traduit par Anguille sous roche




Choisir la vie

[Source : La maison du 21e siècle]

Le monde, depuis plusieurs mois, est distrait de la question existentielle qui se profile de plus en plus à l’horizon : embrassons-nous la vie, dans tous ses mystères, plaisirs et tempêtes, ou l’enterrons-nous? Joignons-nous nos mains autour de la Terre ou les lavons-nous vingt fois par jour? Nous unisson-nous dans la maladie et la santé, ou nous cachons-nous la tête dans le sable de nos masques et de la distance sociale, et en prétendant que notre vie et notre avenir ne dépendent pas de nos relations physiques avec les gens, les oiseaux, les chauves-souris, les fleurs et les poissons qui se soutiennent les uns les autres et font vivre ce monde?

Nous avons des décisions à prendre.

Tandis que nous sommes tous préoccupés par le coronavirus, un trou géant s’est développé ce printemps dans la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique, sans précédent en taille et en durée. Cela permet à des niveaux élevés de rayonnement ultraviolet (UV) du soleil d’atteindre la surface de la Terre. L’indice UV est plus élevé que la normale sur une grande partie de l’hémisphère nord. Cela peut être en partie le résultat des émissions des centaines de lancements de fusées qui ont eu lieu au cours des dernières années, principalement dans l’hémisphère nord. Environ 225 lancements de fusées sont prévus pour 2020. Pouvons-nous continuer à le permettre? Ou, une fois que nous sortirons de nos maisons et que les quarantaines seront levées, allons-nous les arrêter?

Au lieu de nous cotoyer dans les écoles, les marchés, les restaurants, les parcs et les églises, nous nous sommes retirés dans nos téléphones portables et nos ordinateurs sans fil, substituant le rayonnement à la vie, tandis que le Web sans fil, sur Terre et dans l’espace, continue de se tisser. Allons-nous continuer de permettre cela? Ou, une fois que nous sortirons de nos maisons et que les quarantaines seront levées, allons-nous arrêter?

JOURNÉE INTERNATIONALE D’ACTION, 20-21 JUIN 2020

« Ne poussez pas la rivière, elle coule d’elle-même », écrivait Barry Stevens dans son livre de 1970 sous ce nom (Don’t Push the River, It Flows by Itself. Eh bien, parfois même la rivière a besoin d’un petit coup de pouce. Une nouvelle organisation vient d’être formée, appelée End Cellphones Here On Earth (ECHOEarth), dont les membres ne possèdent pas de téléphones portables et dont la mission est de mettre fin à la cause profonde du Web sans fil qui perce des trous dans notre atmosphère et nous baigne tous dans les radiations.

ECHOEarth a fixé le solstice, du 20 au 21 juin 2020, comme jour d’annulation de votre compte de téléphone portable, le jour où nous vous invitons à descendre de ce train et à changer de direction. Les détails suivront dans ma prochaine infolettre (cellphonetaskforce.org).

MISE À JOUR SUR LES SATELLITES

SpaceX, qui avait déjà 360 satellites en orbite, avait prévu d’en lancer 60 autres le 2 avril mais a retardé le lancement en raison de la situation du coronavirus. Le lancement de 60 satellites a eu lieu hier, portant le nombre en orbite à 420.

Vendredi dernier, le 17 avril, SpaceX a soumis une nouvelle demande à la Federal Communications Commission, demandant l’autorisation d’abaisser l’altitude de certains de ses satellites prévus. Auparavant, elle allait mettre en orbite ce qu’elle appelle ses satellites de “première génération” sur deux niveaux – le premier à 550 kilomètres (340 miles) d’altitude, et le deuxième niveau à 1200 kilomètres (750 miles) d’altitude. Désormais, SpaceX veut placer tous ses 4 408 satellites de première génération à la plus basse altitude. L’une des raisons invoquées est de rendre moins de satellites visibles de n’importe quel point de la terre à un moment donné. Cependant, plus les satellites sont bas, plus ils seront brillants. Et plus il y en a dans l’ionosphère (qui s’étend jusqu’à environ 1000 kilomètres), plus l’impact sur la vie en dessous est grand.

OneWeb, qui a lancé 74 satellites, a déclaré faillite et a licencié la plupart de ses employés après avoir échoué à obtenir le financement attendu en raison du ralentissement économique provoqué par l’arrêt du coronavirus.

CORONAVIRUS: SCIENCE, POLITIQUE ET POLITIQUE

Beaucoup de gens ont même peur de demander si la 5G joue un rôle dans la maladie COVID-19 qui a fermé une grande partie du monde. Cela ressemble à la peur qui a empêché les gens de remettre en question les ordres de rester à la maison, de porter des masques et de se tenir à six pieds les uns des autres.

Je parle de vérité, où que je la trouve, où qu’elle mène, car notre monde est en jeu et la vie elle-même – physique, mentale, émotionnelle et spirituelle – est en train d’être démantelée. Les complots n’ont pas leur place dans cet effort. La peur non plus.

Mes opinions, basées sur ma lecture de la littérature scientifique et médicale, du mieux que je peux déterminer, sont les suivantes:

La 5G a-t-elle causé le coronavirus? Non.
La 5G provoque-t-elle une maladie similaire au coronavirus? Oui.
La COVID-19 origine-t-elle des chauves-souris? Non.
Le virus de la COVID-19 est-il un virus à ARN recombinant, créé en laboratoire, intentionnellement ou non, dans le cadre d’un programme de recherche dont le but était de protéger la population? S’est-il échappé accidentellement d’un laboratoire de virologie à Wuhan, en Chine? Probablement.

Les mesures qui ont été mises en place et acceptées sans aucun doute sont inefficaces, destructrices et anti-vie.

Les masques ne protègent pas le porteur. Les masques médicaux sont inefficaces contre les virus, et les masques en tissu leur offre un lieu de reproduction. Une étude de 2015 dans le British Medical Journal a révélé que les travailleurs de la santé attrapaient les virus de leurs patients 13 fois plus souvent s’ils portaient un masque en tissu que s’ils portaient un masque médical, et une étude chinoise a révélé qu’un masque médical n’était pas plus protecteur contre les virus que de ne porter aucun masque.

L’Organisation mondiale de la santé avertit que le port d’un masque médical « peut créer un faux sentiment de sécurité » contre la COVID-19 et qu’« aucune preuve n’est disponible sur son utilité pour protéger les personnes non malades ».

Le respirateur N95, recommandé pour les travailleurs médicaux, nécessite une formation pour être utilisé correctement et «sans formation, les masques pourraient non seulement exposer les travailleurs au virus mais aussi les endormir en leur faisant croire qu’ils sont protégés», selon des médecins de la Harvard School of Public Health. En pratique, même le masque N95 s’est révélé inefficace pour empêcher la transmission de virus. Un examen de six études cliniques, publié dans le Journal de l’Association médicale canadienne, a révélé que les travailleurs médicaux attrapaient les virus de leurs patients aussi souvent lorsqu’ils utilisaient des respirateurs N95 que lorsqu’ils utilisaient des masques médicaux ordinaires.

Les masques sont nocifs pour le porteur. La COVID-19 tue en provoquant une hypoxie sévère (faibles niveaux d’oxygène dans le sang). Les personnes portant des masques respirent une partie de leur air expiré, réduisant ainsi la quantité d’oxygène qu’elles respirent. « Le port de respirateurs s’accompagne d’une multitude de charges physiologiques et psychologiques. Ceux-ci peuvent interférer avec les performances des tâches et réduire l’efficacité du travail. Ces fardeaux peuvent même être suffisamment graves pour causer des conditions mortelles s’ils ne sont pas améliorés », a écrit l’auteur d’un article de 2016 dans le Journal of Biological Engineering. Lorsque le respirateur N95 a été testé en cours d’utilisation en 2010, « les niveaux d’oxygène et de dioxyde de carbone dans l’espace mort ne respectaient pas les normes de milieu de travail ambiant de la Occupational Safety and Health Administration ».

Les ventilateurs ne fonctionnent pas et sont nocifs. Le Dr Cameron Kyle-Sidell a quitté son emploi à l’unité de soins intensifs du Maimonides Medical Center à Brooklyn parce qu’il était obligé de mettre ses patients COVID-19 sous des ventilateurs qui, selon lui, les tuaient parce que la pression de l’air endommageait leurs poumons. Ses patients atteints de coronavirus présentaient tous une hypoxie sévère mais des muscles respiratoires sains: ils avaient besoin d’oxygène, a-t-il dit au New York Post, mais pas de pression.

« La maladie pulmonaire à COVID-19, pour autant que je puisse voir, n’est pas une pneumonie », a-t-il dit, mais semble être « une sorte de maladie d’origine virale qui ressemble le plus à une maladie de haute altitude … Ces patients sont lentement affamés d’oxygène… et bien qu’ils ressemblent à des patients au bord de la mort, ils ne ressemblent pas à des patients mourant de pneumonie. » Les médecins italiens sont d’accord: « Les patients sous respirateurs se détériorent de toute façon, d’une manière inexpliquée … La plupart de ces patients sont clairement hypoxiques. »

Les tests de virologie PCR ne sont pas précis. Un article du 25 mars 2020 de Carver et Jones a rapporté qu’il n’est pas possible d’évaluer l’exactitude des tests PCR car « il existe peu de données publiques sur les taux de faux positifs et de faux négatifs des différents tests basés sur la RT-PCR ». Un test faussement positif signifie que vous êtes diagnostiqué avec la COVID-19 alors que vous ne l’avez pas réellement. Une des seules études à ce jour qui a tenté d’estimer la fréquence des faux positifs est celle de Zhuang et al., « Taux de faux positifs potentiels parmi les individus infectés asymptomatiques dans les contacts étroits des patients COVID-19 », publié dans le Chinese Journal of Epidemiology, 2020, 41 (4): 485-488 (en chinois). Ils ont conclu que jusqu’à 80 % des personnes asymptomatiques dont le test de dépistage du coronavirus était positif pourraient ne pas l’avoir.

Les confinements n’ont aucun effet. Le Japon, qui n’a fermé ses portes que le 6 avril, puis uniquement grâce à des mesures volontaires, compte 2 décès de COVID-19 par million d’habitants. La Chine, qui a fermé ses portes en décembre, a 3 morts par million d’habitants. La Biélorussie, qui n’a jamais fermé ses portes, en a 4 par million. La Corée du Sud, qui n’a que des mesures volontaires, en a 5 par million. L’Iran, qui a fermé ses portes début mars, en compte 62 par million. La Suède, qui n’a pas fermé ses portes, en compte 156 par million. La Suisse, qui a fermé ses portes, en compte 165 par million. La Belgique, qui a fermé ses portes, compte 503 décès par million d’habitants. Le Vietnam, le Laos et le Cambodge, tous proches de la Chine, n’ont aucun décès lié au COVID-19. Le Vietnam a fermé ses portes début février, le Laos a fermé ses portes fin mars et le Cambodge n’a jamais fermé ses portes. Aux États-Unis, le Dakota du Sud, qui n’a pas fermé du tout, compte quatre fois plus de cas, mais moins de décès, que le Montana voisin, qui est complètement confiné. Aux États-Unis, les taux globaux de mortalité sont en baisse et non en hausse depuis le début de l’année. Si vous écoutez les nouvelles, vous pourriez supposer qu’un nombre record de personnes meurent. L’inverse est vrai. Non seulement la mortalité globale aux États-Unis est en baisse constante depuis janvier, mais la mortalité a été beaucoup plus faible cette année que l’an dernier. Voici les statistiques hebdomadaires de mortalité pour les États-Unis des Centers for Disease Control:

Semaine Nombre de décès 2019 Nombre de décès 2020
1 58 291 59 087
2 58 351 59 151
3 58 194 57 616
4  57 837   57 000
5  58 128   56 426
6  58 492   56 962
7  57 917   55 981
8  57 858  55 494
9  57 920   54 834
10  58 490  54 157
11  57 872   52 198
12  57 087  51 602
13  56 672  52 285
14  56 595   49 292
15  55 477   47 574
TOTAL 865 181 819 659

On nous dit que 37 308 personnes sont décédées cette année de COVID-19 jusqu’au 18 avril, mais en fait 45 522 personnes de moins sont décédées cette année que l’année dernière au cours de la même période.
Le rayonnement RF et le COVID-19 provoquent une maladie similaire. Dans mon dernier bulletin d’information («Le ciel tombe-t-il vraiment?»), J’ai noté certains effets du COVID-19 qui sont similaires aux effets des ondes radio. La liste des effets en commun s’est allongée et comprend les maux de tête, les étourdissements, les nausées, les problèmes digestifs, les douleurs musculaires, la tachycardie, l’hypotension, les arythmies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les convulsions. Près des deux tiers des personnes testées positives pour COVID-19 ont perdu leur odorat, souvent sans aucun autre symptôme. Les patients présentent une confusion mentale, sans aucun symptôme respiratoire. Les patients présentent des diarrhées, des vomissements et des douleurs abdominales. Lorsque les patients présentant l’un de ces symptômes sont positifs pour le coronavirus, leurs maladies sont attribuées à ce virus. Mais ce sont tous des symptômes classiques du mal des ondes radio. Lorsque le virus et le rayonnement RF sont présents, la maladie doit être attribuée aux deux.

Et le rayonnement RF et le COVID-19 provoquent tous deux une hypoxie. COVID-19 nuit à l’absorption d’oxygène par le sang et le rayonnement RF nuit à l’oxygène utilisé par les cellules. COVID-19 ne serait pas aussi sévère sans le rayonnement.

Récemment, il y a un nouveau symptôme attribué au virus qui est exactement ce que l’on s’attendrait à voir des ondes millimétriques: une sensation de «pétillement» dans tout le corps. Il est décrit comme une «sensation de bourdonnement», «une sensation de brûlure» et «une sensation électrique dans la peau». Il est probablement attribué à tort au virus et est plutôt dû à la 5G.

C’est un fait que la 5G a été allumée à Wuhan, en Chine, le 1er novembre 2019, et que le premier patient COVID-19 connu y est tombé malade le 17 novembre. C’est un fait qu’il y a un laboratoire de virologie de recherche à Wuhan, et que les chercheurs ont co-rédigé un article en 2015 avec des chercheurs américains de Chapel Hill, en Caroline du Nord, décrivant un coronavirus hybride qu’ils avaient créé en attachant une protéine de pointe de chauves-souris à un coronavirus du SRAS.

Zheng-Li Shi, chercheuse principale de Wuhan, a déclaré dans une interview à Scientific American qu’elle s’inquiétait que COVID-19 soit un virus qui s’était échappé de son laboratoire, mais elle a rassuré le monde qu’elle avait vérifié et qu’il ne ressemblait pas l’un des virus qu’elle avait collectés dans les grottes de chauves-souris. Pourtant, dans la phrase suivante, elle a justifié son affirmation selon laquelle COVID-19 provenait de chauves-souris en disant qu’il était presque identique à un virus qu’elle avait collecté dans une grotte de chauves-souris dans le Yunnan. Le virus du SRAS s’est échappé des installations de confinement de haut niveau en Chine à plusieurs reprises. Comme l’a révélé le Washington Post le 14 avril 2020, les responsables de l’ambassade des États-Unis avaient averti en 2018 que les protocoles de sécurité bâclés pour la manipulation des virus contagieux dans le laboratoire de Wuhan “représentaient un risque de nouvelle pandémie de type SRAS”.

C’est aussi un fait que le marché aux animaux de Wuhan ne vend pas de chauves-souris. Une vidéo YouTube qui a été partagée sur les réseaux sociaux et qui montre que des chauves-souris sont vendues pour la viande sur un marché a en fait été filmée à Langowan, en Indonésie, et pas du tout en Chine.

En bref, la 5G fait partie de l’équation des coronavirus, et tout ce que nous avons fait pour lutter contre la pandémie a plus à voir avec la politique et la peur qu’avec la réalité. Il est temps de rouvrir la société, d’enlever nos masques et d’ouvrir nos yeux sur ce qui se passe réellement dans notre monde.


Au sujet de l’auteur

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison. Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life, par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages. Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org




« Personne n’est mort du coronavirus ». Des révélations importantes partagées par le Dr Stoian Alexov, président de l’Association bulgare de pathologie

[Source en anglais : Off-Gardian.org]

[Auteurs :] Rosemary Frei et Patrick Corbett

Un pathologiste européen réputé rapporte que lui et ses collègues à travers l’Europe n’ont trouvé aucune preuve de décès dus au nouveau coronavirus sur ce continent.

Le Dr Stoian Alexov a qualifié l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d ‘«organisation médicale criminelle» pour avoir créé la peur et le chaos dans le monde sans fournir la preuve objectivement vérifiable d’une pandémie.

Une autre révélation étonnante du président de l’Association bulgare de pathologie (BPA), le Dr Alexov, est qu’il pense qu’il est actuellement «impossible» de créer un vaccin contre le virus.

Il a également révélé que les pathologistes européens n’avaient identifié aucun anticorps spécifique du SRAS-CoV-2 [alias Covid-19].

Ces déclarations stupéfiantes soulèvent des questions majeures, notamment sur les affirmations des autorités et des scientifiques concernant les nombreux vaccins dont ils précipitent les essais cliniques à travers le monde.

Elles soulèvent également des doutes sur la véracité des allégations de découverte d’anticorps anti-Covid-19 (qui commencent à être utilisés pour traiter les patients).

Les anticorps spécifiques au nouveau coronavirus sont censés être à la base des kits de tests sérologiques coûteux utilisés dans de nombreux pays (dont certains se sont révélés inexacts de manière inacceptable).

Et ils sont censés être la clé des certificats d’immunité voulus par Bill Gates qui sont sur le point d’être généralisés — sous la forme du COVI-PASS — dans 15 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada.

Le Dr Alexov a fait ses observations stupéfiantes dans une interview vidéo résumant le consensus des participants lors d’un webinaire de la Société européenne de pathologie (ESP) le 8 mai 2020 sur le Covid-19.

L’interview vidéo du 13 mai du Dr Alexov a été réalisée par le Dr Stoycho Katsarov, président du Centre pour la protection des droits des citoyens à Sofia et ancien vice-ministre bulgare de la Santé. La vidéo est sur le site Web du BPA, qui met également en évidence certains des principaux points du Dr Alexov.

Nous avons demandé à personne de langue maternelle bulgare ayant une formation scientifique de traduire oralement l’interview vidéo en anglais. Nous avons ensuite transcrit sa traduction. La vidéo est ici et notre transcription en anglais est ici.

Parmi les principales bombes que le Dr Alexov a lâchées, les dirigeants du webinaire ESP du 8 mai ont déclaré qu’aucun anticorps spécifique au nouveau coronavirus n’avait été trouvé.

Le corps forme des anticorps spécifiques aux agents pathogènes qu’il rencontre. Ces anticorps spécifiques sont connus sous le nom d’anticorps monoclonaux et constituent un outil clé en pathologie. Cela se fait par immunohistochimie, ce qui implique le marquage des anticorps avec des couleurs, puis à les appliquer sur les lames de biopsie ou d’autopsie. Après avoir laissé aux anticorps le temps de se lier aux agents pathogènes pour lesquels ils sont spécifiques, les pathologistes peuvent observer les lames sous un microscope et voir les endroits spécifiques où se trouvent les anticorps colorés — et donc les agents pathogènes auxquels ils sont liés.

Par conséquent, en l’absence d’anticorps monoclonaux dirigés contre le nouveau coronavirus, les pathologistes ne peuvent pas vérifier si le SARS-CoV-2 est présent dans l’organisme ni si les maladies et les décès qui lui sont attribués ont bien été causés par le virus plutôt que par autre chose.

Il serait facile de rejeter le Dr Alexov comme un autre « théoricien du complot ». Après tout, beaucoup de gens croient qu’ils sont partout ces jours-ci, répandant une désinformation dangereuse sur le Covid-19 et d’autres problèmes.

De plus, peu de ce que le Dr Alexov prétend être le consensus du webinaire du 8 mai se trouve dans les parties publiquement visibles des débats.

Mais gardez à l’esprit que les dénonciateurs sont souvent seuls parce que la grande majorité des gens ont peur de s’exprimer publiquement.

De plus, le Dr Alexov a un dossier et une réputation irréprochables. Il est médecin depuis 30 ans. Il est président du BPA, membre du conseil consultatif de l’ESP et chef du service d’histopathologie de l’hôpital d’oncologie de Sofia, la capitale bulgare.

En plus de cela, il y a d’autres éléments qui soutiennent les propos du Dr Alexov.

Par exemple, le directeur de l’Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf en Allemagne a déclaré lors d’entrevues dans les médias qu’il existe un manque frappant de preuves solides de la létalité du COVID-19.

« Le COVID-19 n’est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s’agit d’une infection virale principalement inoffensive », a déclaré le Dr Klaus Püschel à un journal allemand en avril. Il a ajouté dans une autre interview :

« Dans de nombreux cas, nous avons également constaté que l’infection au coronavirus actuelle n’avait rien à voir avec l’issue fatale, car d’autres causes de décès sont présentes, par exemple, une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque […] [COVID-19 n’est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse […] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n’ont pas été examinés de manière experte ne font qu’alimenter l’anxiété. »

De plus, l’un de nous (Rosemary) et un autre journaliste, Amory Devereux, ont documenté dans un article du 9 juin d’Off-Guardian que le nouveau coronavirus n’avait pas rempli les postulats de Koch.

Ces postulats sont des étapes scientifiques utilisées pour prouver si un virus existe et a une relation biunivoque avec une maladie spécifique. Nous avons montré qu’à ce jour, personne n’a prouvé que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie distincte correspondant aux caractéristiques de toutes les personnes décédées officiellement du COVID-19. Le virus n’a pas non plus été isolé, reproduit puis démontré comme provoquant cette maladie spécifique.

De plus, dans un article du 27 juin sur Off-Guardian, deux autres journalistes, Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter, ont ajouté à la démonstration que «l’existence de l’ARN du SARS-CoV-2 est basée sur la foi, pas sur les faits».

Les deux ont également confirmé « qu’il n’y a aucune preuve scientifique que ces séquences d’ARN [réputées correspondre à celles du nouveau coronavirus] sont l’agent causal de ce qu’on appelle COVID-19 ».

Le Dr Alexov a déclaré dans l’interview du 13 mai que :

« la principale conclusion [de ceux d’entre nous qui ont participé au webinaire du 8 mai] était que les autopsies réalisées en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Suède ne montrent pas que le virus est mortel. »

Il a jouté que :

« Ce que tous les pathologistes ont dit, c’est qu’il n’y a personne qui soit mort du coronavirus. Je le répète : personne n’est mort du coronavirus. »

Le Dr Alexov a également observé que les autopsies ne prouvent pas que quiconque considéré comme infecté par le nouveau coronavirus est décédé uniquement d’une réaction inflammatoire déclenchée par le virus (se présentant comme une pneumonie interstitielle) plutôt que d’autres maladies potentiellement mortelles.

Une autre de ses révélations est que :

« Nous devons voir exactement comment la loi traitera de la vaccination et du vaccin dont nous parlons tous, car je suis certain qu’il n’est [actuellement ?] pas possible de créer un vaccin contre le COVID-19. Je ne sais pas exactement ce que Bill Gates fait avec ses laboratoires — est-ce vraiment un vaccin qu’il produit, ou autre chose? »

Comme indiqué ci-dessus, l’incapacité d’identifier des anticorps monoclonaux contre le virus suggère qu’il n’y a aucune base pour que les vaccins, les tests sérologiques et les certificats d’immunité soient déployés dans le monde entier à une vitesse et à un coût sans précédent. En fait, il n’existe aucune preuve solide que le virus existe.

Le Dr Alexov a souligné des points encore plus importants. Par exemple, il a noté que, contrairement à la grippe saisonnière, il n’a pas été prouvé que le SRAS-CoV-2 tue les jeunes :

« [Avec la grippe], nous pouvons trouver un virus qui peut faire mourir un jeune sans autre maladie […] En d’autres termes, l’infection à coronavirus est une infection qui ne mène pas à la mort. Et la grippe peut entraîner la mort. »

(Des cas graves de maladie de type Kawasaki et d’accident vasculaire cérébral ont été signalés chez des jeunes considérés comme infectés par le nouveau coronavirus. Cependant, la majorité des articles publiés sur ces cas sont très courts et ne comprennent qu’un cas ou une petite poignée de patients. En outre, les commentateurs des articles notent qu’il est impossible de déterminer le rôle du virus car les auteurs des articles ne contrôlaient pas suffisamment, voire pas du tout, les facteurs de confusion. Il est fort probable que les décès d’enfants attribués au COVID-19 soient dus en fait à une défaillance d’organes multiples résultant de la combinaison du cocktail de médicaments et de la ventilation auxquels ces enfants sont soumis.)

Le Dr Alexov a donc affirmé que :

« l’OMS crée un chaos mondial, sans aucun fait réel derrière ce qu’ils disent. »

Parmi les innombrables façons dont l’OMS crée ce chaos, c’est en interdisant presque toutes les autopsies de personnes présumées décédées à cause du COVID-19. En conséquence, a rapporté le Dr Alexov, en date du 13 mai, seules trois autopsies de ce type avaient été pratiquées en Bulgarie.

De plus, l’OMS exige que toute personne qui serait infectée par le nouveau coronavirus qui décède par la suite doive voir sa mort attribuée au COVID-19.

« C’est assez stressant pour nous, et pour moi en particulier, parce que nous avons des protocoles et des procédures que nous devons utiliser », a-t-il déclaré au Dr Katsarov. « … Et un autre pathologiste dans 100 ans va dire : « Hé, ces pathologistes ne savaient pas ce qu’ils faisaient [quand ils ont dit que la cause du décès était COVID-19]! » Nous devons donc être très stricts avec nos diagnostics, car ils pourraient être prouvés [ou réfutés], et ils pourraient être vérifiés à nouveau plus tard. »

Il a révélé que les pathologistes de plusieurs pays d’Europe, ainsi qu’en Chine, en Australie et au Canada résistent fortement aux pressions exercées sur eux pour attribuer les décès au seul COVID-19 :

« Je suis vraiment triste que nous devions suivre les instructions de [l’OMS] sans même y penser. Mais en Allemagne, en France, en Italie et en Angleterre, ils commencent à penser que nous ne devrions pas suivre l’OMS de manière aussi stricte, et [au lieu de cela] lorsque nous écrivons la cause du décès, nous devrions avoir une certaine pathologie [résultats à l’appui ] et nous devons suivre le protocole. Lorsque nous disons quelque chose, nous devons être en mesure de le prouver. »

(Il a ajouté que les autopsies auraient pu aider à confirmer ou infirmer la théorie selon laquelle de nombreuses personnes présumées mortes du COVID-19 en Italie avaient précédemment reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Parce que, comme il l’a noté, le vaccin supprime le système immunitaire des adultes et par conséquent, il peut avoir contribué de façon importante à leur décès en les rendant beaucoup plus sensibles à l’infection.)

Les docteurs Alexov et Katsarov ont convenu qu’un autre aspect du chaos provoqué par l’OMS et de ses conséquences fatales est que de nombreuses personnes risquent de mourir bientôt de maladies telles que le cancer, car le confinement, combiné au vidage des hôpitaux (apparemment pour faire de la place pour les patients COVID-19), a interrompu toutes les procédures [médicales] et tous les traitements, sauf les plus urgents.

Ils ont également observé que ces maladies étaient exacerbées par la peur et le chaos entourant le COVID-19.

« Nous savons que le stress affaiblit considérablement le système immunitaire, je peux donc vraiment affirmer à 200% que toutes les maladies chroniques seront plus graves et plus aiguës en soi. (…)
Spécifiquement, les carcinomes in situ — plus de 50% d’entre eux — vont devenir plus invasifs. Je dirai donc que cette épidémie n’est pas tant une épidémie de virus, c’est une épidémie qui donne aux gens beaucoup de peur et de stress. »

De plus, a affirmé le Dr Alexov, comme autre résultat direct et terrible de la panique pandémique, de nombreuses personnes perdent confiance dans les médecins.

« Parce que, à mon avis, le coronavirus n’est pas si dangereux, et comment les gens vont-ils avoir confiance en moi pour la pathologie du cancer, dont une grande partie est également liée aux virus ? Mais personne n’en parle. »

Nous avons envoyé plusieurs questions au Dr Alexov, notamment en lui demandant pourquoi il pensait qu’il était impossible de créer un vaccin contre COVID-19.

Il n’a pas répondu directement aux questions. Le Dr Alexov a plutôt répondu :

Cher Patrick, merci pour votre courriel et vos informations.
J’accepte vraiment à 1000 % toutes les informations. De plus, l’OMS a déclaré que les patients du covid-19 n’ont pas besoin d’autopsie. Pourquoi ???
Avec le petit nombre d’autopsies que nous avons réalisées en Europe, c’est clairement visible. Personne n’est mort du covid-19. Nous disons plus probablement « avec » le covid-19.
Je pense fortement que l’OMS est la pire organisation médicale criminelle.
Sincères salutations,
Dr St. Alexov MD.
Chef du département d’histopathologie.

Nous avons également envoyé un courriel à cinq des collègues du Dr Alexov de la Société européenne de pathologie pour leur demander de confirmer les révélations du Dr Alexov. Nous avons fait un suivi par téléphone avec deux d’entre eux. Aucun n’a répondu.

Pourquoi le Dr Alexov ou ses cinq collègues n’ont-ils pas répondu à nos questions ?

Nous doutons que cela soit dû au manque de maîtrise de l’anglais.

Il est plus probable que ce soit en raison de la pression exercée sur les pathologistes pour suivre les directives de l’OMS et ne pas s’exprimer publiquement. (Et, en plus de cela, les services de pathologie dépendent des gouvernements pour leur financement.)

Néanmoins, des pathologistes comme les Drs. Alexov et Püschel semblent vouloir dire publiquement que personne n’est mort d’une nouvelle infection à coronavirus.

Peut-être parce que les dossiers et la réputation des pathologistes sont basés sur des preuves physiques solides plutôt que sur une interprétation subjective des tests, des signes et des symptômes. Et il n’y a aucune preuve matérielle tangible que COVID-19 est mortel.


Rosemary Frei est titulaire d'une maîtrise en biologie moléculaire de la faculté de médecine de l'Université de Calgary, a été rédactrice médicale indépendante et journaliste pendant 22 ans et est maintenant journaliste d'investigation indépendante. Vous pouvez regarder son interview du 15 juin sur The Corbett Report, lire ses autres articles sur Off-Guardian et la suivre sur Twitter.
Patrick Corbett est un écrivain, producteur, réalisateur et monteur à la retraite qui a travaillé pour tous les grands réseaux au Canada et aux États-Unis, à l'exception de Fox. Ses crédits journalistiques incluent Dateline NBC, W-5 de CTV et l’unité documentaire de CTV où il a écrit et réalisé "Children's’s Hospital", la première production canadienne à être nominée pour un Emmy international. Vous pouvez suivre Patrick sur Twitter.



Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteur :] Dr Joseph Mercola

Bill Gates a bâti un empire mondial autour de ses technologies et de ses entreprises « philanthropiques », dont l’ampleur est aujourd’hui de plus en plus évidente. Sa richesse absolue lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé et le tsar mondial non élu de la santé face au Covid-19, mais il exerce également une grande influence sur le système alimentaire mondial [et plus encore, comme nous le verrons tout au long de l’article – NdT].

Bill Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement qu’il accorde à un grand nombre d’organisations impliquées dans le développement agricole et l’élaboration des politiques, comme le révèle le rapport d’AGRA Watch[1], « L’homme derrière le rideau — L’influence de la Fondation Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires », publié en août 2020 [Pdf en anglais – NdT].

Note du traducteur : Bill Gates ne peut toutefois pas véritablement être qualifié d’« homme derrière le rideau » — encore que l’on puisse le penser au vu de tout ce qui suit. Il est au contraire la figure de proue bien visible qui permet de cacher à la vue de tous les quelques individus parfaitement inconnus qui eux, sont derrière le rideau.

Par ailleurs, l’AGRA Watch a été créée pour contester la participation — ou la main-mise, peut-être ? — de la Fondation Gates au sein de l’AGRA.

Quant à l’AGRA elle-même, elle fut lancée il y a quatorze ans par les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller. L’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a pour objectif d’apporter à l’Afrique sa propre révolution verte en matière de productivité agricole, armée de semences commerciales à haut rendement, d’engrais et de pesticides. Il s’agissait pour l’AGRA de doubler la productivité et les revenus d’ici à 2020 (et nous y sommes) pour trente millions de familles de petits exploitants agricoles tout en réduisant de moitié l’insécurité alimentaire dans vingt pays.

Hélas, et selon le rapport mentionné plus bas par le Dr Mercola, il n’y a pas eu, sur les quatorze années en question, d’augmentation de la productivité, et le nombre de personnes sous-alimentées dans les treize pays cibles par l’AGRA a augmenté de 30 pour cent, et celui du Rwanda, « l’enfant affamé de l’Afrique », s’est accru lui de 15 pour cent. Il est à noter qu’aucune évaluation globale des effets de ces programmes n’a pour le moment été publiée, ni par l’AGRA elle-même, ni par la Fondation Gates — Voir la troisième note de traduction pour des données issues des recherches de Timothy Wise.

Les organisations financées par Bill Gates défendent l’envoyée de l’ONU financée par Bill Gates

Bien qu’il ne soit qu’un homme, Bill Gates finance un si grand nombre d’entreprises et d’organisations que son influence considérablement renforcée et amplifiée lui permet par leurs biais d’imposer ses choix en catimini [pour les non-initiés, à savoir presque tout le monde – NdT].

À la vue des longues listes de ces groupes, on est automatiquement amenés à penser qu’il existe de nombreux acteurs différents impliqués alors qu’en fait, Gates constitue le fil conducteur de la plupart ou de la totalité d’entre eux. Le rapport d’AGRA Watch[2] en est un parfait exemple si l’on considère l’histoire d’Agnes Kalibata.

Note du traducteur : Il est possible que les lecteurs ne connaissent pas Agnes Kalibata, en voici donc un peu plus, depuis la page Wikipedia en anglais qui lui est consacrée ; notons au passage qu’il n’est pas fait mention ne serait-ce que d’une année de naissance, et les recherches en ce sens n’ont rien donné :

Agnes Matilda Kalibata est une agronome et responsable politique rwandaise, elle a été ministre rwandaise de l’agriculture et des ressources animales de 2008 à 2014 e elle est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique depuis 2014.

Elle est née au Rwanda et a été élevée en Ouganda en tant que réfugiée par des parents petits exploitants. Elle a obtenu une licence en entomologie et biochimie, suivie d’une maîtrise en agriculture. Elle a ensuite obtenu un doctorat en entomologie.

Elle a été louée par beaucoup pour ses réalisations lorsqu’elle était ministre, mais certains groupes de défense des droits de l’homme les ont critiqué parce que le soutien financier n’était accordé qu’aux agriculteurs qui suivaient les politiques gouvernementales de regroupement des terres.

Kalibata est membre du conseil d’administration du Centre international de développement des engrais (IDFC) depuis 2008, où elle préside le Comité Afrique et est membre de son comité exécutif et de son comité d’audit. Elle est également membre de nombreux conseils d’administration nationaux et internationaux, notamment pour l’Université du Rwanda, Africa Risk Capacity, le Conseil de l’agenda mondial du Forum économique mondial, la Commission mondiale sur l’adaptation et le Groupe d’experts de Malabo Montpellier sur l’agriculture et la sécurité alimentaire.

Agnes Kalibata est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, elle a été nommée envoyée spécial au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

En réponse, 176 organisations de la société civile et des groupes d’agriculteurs de 83 pays ont demandé à António Guterres de retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d’intérêts évidents avec des entreprises. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s’est également opposée à sa nomination et au fait qu’elle organise le sommet.

© Inconnu

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole.

~ AGRA Watch

C’est un recul important, qui illustre l’inquiétude générale que suscite la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des institutions universitaires et le secteur privé sont intervenues pour la défendre.

Elles ont exhorté António Guterres à maintenir Kalibata dans sa fonction, en citant notamment ses qualités de leader et son éthique professionnelle. Cependant, parmi ces douze défenseurs, « onze entretenaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates », indique AGRA Watch, qui ajoute[3] :

Dans certains cas, les organisations ont directement été financées par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dans d’autres, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation était subventionnée par l’AGRA, elle-même financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.

L’excessive influence de Bill Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires

En d’autres termes, bien qu’il puisse sembler que Kalibata ait eu le soutien d’une douzaine d’individus ou de groupes distincts et indépendants, en réalité, seules deux voix s’expriment pour sa défense. C’est juste que la voix de Gates est multipliée par onze. De plus, puisque son nom n’est jamais mentionné, les non-initiés considèrent généralement qu’il n’est en rien partie prenante.

Ces résultats illustrent l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté son rôle dans l’influence du développement agricole, qui a connu une croissance considérable ces dernières années.

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l’expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé…

Dans ce rapport, nous avons démontré quelques-uns des liens entre la Fondation Bill & Melinda Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.

Alors que des centaines d’organisations de la société civile ont demandé sa destitution, seuls douze signataires ont accepté de soutenir sa nomination, presque tous bénéficiant directement des subsides de la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l’élaboration de l’ordre du jour du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.

~ AGRA Watch

Le graphique suivant, inclus dans le rapport d’AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’envoyé spécial du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, Agnes Kalibata.

© AGRA Watch
En vert : Financements directs – En rouge : Financements indirects de la Fondation Gates à des programmes spécifiques affiliés aux signataires

La Fondation Bill & Melinda Gatesouvre la porte à Monsanto

AGRA Watch s’inquiète depuis de nombreuses années de l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur l’agro-business :

Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche[4] figure le rapport 2010 intitulé « La porte tournante : Les liens Monsanto-Gates »[5], qui détaille les liens directs entre la Fondation Bill & Melinda Gates et les représentants de Monsanto que sont Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering[6], feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, intitulé « Les liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures transgéniques au Kenya », souligne[7] les liens entre la Fondation Gates et Monsanto :

« AGRA Watch a été créé en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.

Nous avons assisté à l’accélération de la pression en faveur du génie génétique comme solution à la faim en Afrique, à la criminalisation de ses opposants en tant qu’éco-impérialistes peu enclins à accepter les avancées scientifiques, et à un respect mal placé pour le soutien philanthropique aux solutions d’entreprises vis-à-vis des problèmes alimentaires mondiaux. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans le programme de l’AGRA, comme on le voit ci-dessous ».

© AGRA Watch

La Fondation Bill & Melinda Gates n’est pas là pour résoudre les réels problèmes du monde

Dans son rapport de 2014[8], « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n’ont résolu aucun des problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. Avant tout, nombre des solutions qu’il soutient sont des « solutions de façade » qui aggravent en fait les problèmes à la racine.

Citons par exemple le financement du développement d’aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés génétiquement modifiées qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant à la création de variétés de cultures « enrichies », la biodiversité diminue et la malnutrition s’aggrave.

Par ailleurs, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec les recherches qui montrent qu’un faible rendement ou une production insuffisante n’est pas la cause de la faim dans le monde. AGRA Watch fait le constat suivant :

Il existe aujourd’hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d’accès, qui sont eux-mêmes aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments. Les subventions de la Fondation Gates et de l’AGRA continuent à se concentrer sur le rendement, en préparant l’Afrique à un système adapté aux besoins de l’agriculteur commercial à la recherche de profits et axé sur le rendement plutôt qu’adapté au paysan ou au petit agriculteur qui produisent des cultures diverses pour une communauté locale.

Un troisième problème souligné dans le rapport AGRA Watch concerne le financement par Bill Gates des organisations de recherche et des scientifiques européens et américains plutôt qu’africains, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique :

Cette situation peut ne pas être le résultat d’intentions conscientes, mais d’un préjugé structurel profondément ancré qui fait que les scientifiques et les institutions scientifiques africains ne sont pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir le financement des subventions.

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L’agriculture se développe en Afrique, les pesticides aussi

Note du traducteur : Puisqu’il n’existe à échéance 2020 aucune publication relative à l’efficacité ou pas du programme de l’AGRA dans sa globalité et que cette dernière a refusé de lui fournir les informations nécessaires à ses recherchesTimothy Wise a utilisé les données nationales de treize pays « bénéficiaires » de l’AGRA jusqu’en 2018, données portant sur la production, le rendement et la superficie récoltée pour la plupart des cultures vivrières importantes de la région, afin d’évaluer dans quelle mesure les programmes de cette révolution verte augmentent sensiblement la productivité.

L’AGRA a par ailleurs reçu près d’un milliard de dollars de contributions, dont la grande majorité provient de la Fondation Gates, mais également des contributions importantes des gouvernements donateurs, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres pays. L’AGRA a versé plus de 500 millions de dollars en subventions pour promouvoir sa vision d’une agriculture africaine « modernisée », libérée de sa technologie peu développée et de ses faibles rendements.

Timothy Wise a également examiné les données sur la pauvreté et la faim afin de déterminer s’il existe des signes d’amélioration des revenus et de la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles dans la région, qui se situeraient à des niveaux correspondant aux objectifs de l’AGRA en matière d’amélioration du bien-être des agriculteurs.

Il n’a trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. Il déplore au contraire « n’avoir trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. » Et plus précisément, il a constaté ce qui suit :

  • Peu de preuves que l’AGRA atteignait un nombre important d’agriculteurs. Son dernier rapport d’étape indique seulement que l’AGRA a formé 5,3 millions d’agriculteurs aux pratiques modernes, dont « 1,86 million d’agriculteurs » utilisent directement ces méthodes. Ce chiffre est vague et bien loin de l’objectif déclaré de doubler directement la productivité et les revenus de 7 millions d’agriculteurs, et indirectement pour 21 millions d’autres.
  • Aucune preuve d’une augmentation significative des revenus des petits exploitants ou d’une sécurité alimentaire. Pour l’ensemble des pays cibles de l’AGRA, il y a eu une augmentation de 30 pour cent du nombre de personnes souffrant de la faim extrême depuis le début, une situation qui touche 130 millions de personnes dans les pays cibles de l’AGRA. Le Kenya, où se trouve son siège, a connu une augmentation de la proportion de ses habitants souffrant de sous-alimentation pendant les mêmes années.
  • Il n’existe aucune preuve d’une augmentation importante de la productivité. Pour l’ensemble des cultures de base, les rendements n’ont augmenté que de 18 pour cent sur douze ans dans les treize pays cibles de l’AGRA. Même le maïs, fortement encouragé par les programmes de la Révolution verte, n’a connu qu’une croissance de 29 pour cent de son rendement, bien loin de l’objectif de l’AGRA d’en doubler la productivité, ce qui représenterait une augmentation de 100 pour cent.
  • Là où l’adoption des technologies a eu lieu, les subventions aux intrants fournies par les gouvernements africains semblent avoir beaucoup plus d’influence que les programmes de l’AGRA. Il est difficile de trouver des preuves que les programmes de l’AGRA auraient un impact significatif en l’absence de subventions aussi importantes de la part des gouvernements africains.
  • Même là où la production a augmenté, comme en Zambie, la production de maïs qui a quasiment triplée n’a pas entraîné de réduction de la pauvreté ou de la faim en milieu rural. Les petits agriculteurs n’en ont pas profité ; la pauvreté et la faim sont restées incroyablement élevées, 78 pour cent des Zambiens vivant en milieu rural étant dans une pauvreté extrême.
  • Les incitations de la Révolution verte pour les cultures prioritaires comme le maïs ont conduit à l’abandon des cultures traditionnelles plus nutritives et plus résistantes au climat comme le millet et le sorgho, ce qui a érodé la sécurité alimentaire et la nutrition des agriculteurs pauvres. La production de millet a diminué de 24 pour cent, les rendements ayant chuté de 21 pour cent pendant les années de l’AGRA.
  • Aucun signe d’« intensification durable », l’objectif étant d’augmenter durablement la production sur les terres agricoles existantes. Les impacts environnementaux sont négatifs, notamment l’acidification des sols dans le cadre de la culture en monoculture avec des engrais à base de combustibles fossiles. L’augmentation de la production provient davantage des agriculteurs qui mettent de nouvelles terres en culture — par « extension » — que de l’augmentation de la productivité. Ces deux tendances ont des implications pour l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci.

Il s’agit donc d’un bilan d’échec pour l’AGRA — sauf à penser que l’objectif n’était pas celui-là même qui a été mis en avant — et il serait temps que les gouvernements africains qui en sont « bénéficiaires » changent de cap…

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La spécialité de Gates — Le philanthro-capitalisme

Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l’article de l’AGRA Watch[9] « Philanthro-capitalisme : Les programmes africains de la Fondation Bill & Melinda Gates ne sont pas de la charité », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthro-capitalisme est décrit comme « une tentative d’utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui se révèle intrinsèquement problématique « parce que les marchés sont mal adaptés pour produire des résultats socialement constructifs ».

En d’autres termes, la marque de fabrique de la philanthropie de Gates engendre plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout. Comme l’indique l’article, les partisans de la philanthro-capitalisation…

… attendent souvent de leurs investissements dans les programmes sociaux des retours financiers ou des bénéfices secondaires à long terme. La philanthropie devient une autre partie du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de développement de la Fondation Bill & Melinda Gates encourage en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises.

Il est […] probable que Bill Gates, qui a un accès régulier aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d’universités, d’organisations internationales, d’ONGs et de médias, soit devenu la voix la plus influente en matière de développement international.

Un examen plus approfondi de la Fondation Bill & Melinda Gates est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire plus grande que celle de la plupart des gouvernements donateurs. La Fondation Bill & Melinda Gates fournit plus d’aide à la santé mondiale que tout autre pays donateur et est le cinquième plus grand donateur pour l’agriculture dans les pays en développement.

En 2013, seuls onze pays ont dépensé plus que la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qui en fait le douzième donateur mondial. La Fondation Bill & Melinda Gates est devenue un donateur plus important que des pays tels que la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Irlande et l’Italie[10].

Le plan médical de Gates — Immunisation et surveillance mondiales

L’une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent conscience de la puissance de Gates est sa présence fréquente en tant qu’expert du jour du Covid-19. C’est un choix étrange, compte tenu de son absence totale de formation médicale formelle. C’est d’autant plus troublant que les opinions des médecins, des scientifiques etdes chercheurs qui sont en conflit avec ses vuessont effacées de l’Internet.

Note du traducteur : Le Dr Jospeh Mercola fait lui-même l’objet d’attaques sur Internet. Voici ce qu’il écrivait le 17 août dernier :


Deux décennies de journalisme sur la santé sont en jeu

Ces vingt-trois dernières années, je me suis battu contre l’introduction de fluorure neurotoxique dans l’eau. J’ai été l’un des premiers médecins à alerter le monde sur les dangers du Vioxx, qui a tué plus de 60 000 patients avant d’être finalement retiré du marché. J’ai fait campagne contre les OGMs et les produits agrochimiques toxiques, en finançant en 2012 la première collecte de signatures pour obtenir l’étiquetage des OGMs en Californie.

Pendant plus de dix ans, j’ai financé la lutte pour mettre fin à l’utilisation des plombages dentaires au mercure dans le monde entier. J’ai mis en garde contre la sur-utilisation des antibiotiques en médecine humaine et les dangers de leur consommation dans les viandes CAFO [c’est-à-dire issues de l’élevage intensif – NdT]

J’ai financé des recherches et j’ai été l’un des premiers médecins journalistes à sensibiliser aux dangers de la carence en vitamine D. Je sensibilise maintenant le public à l’importance d’optimiser la vitamine D pour minimiser les risques du Covid-19.

Ce plaidoyer en faveur de la santé publique a créé une armée d’adversaires bien financés. Ils m’ont attaqué en utilisant des groupes de relations publiques coûteux et des médias de masse, ont saisi des agences de régulation fédérales et des groupes pharmaceutiques de façade pour tenter de me faire taire et de me discréditer.

Jamais auparavant les Américains n’ont été exposés à un tel assortiment coordonné de mensonges et de censure. Le lavage de cerveau, la surveillance des médias sociaux, la coercition et la destruction des dissidents s’accélèrent. Pour un aperçu complet de ce nouvel ordre mondial, un empire construit et dirigé par des milliardaires, voir ma série d’articles « Le fantôme dans la machine ».

Bill Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne pourrait pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas vacciné contre le Covid-19 l’ensemble de la population mondiale. Et ce, en dépit du fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux ont découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le Covid-19.

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Lorsque vous ou vos enfants vous faites vacciner, vous devez être certain de savoir qui injecte quoi dans votre sang et pour quelle raison.

Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement non fondées de Bill Gates façonnent dans le monde entier les réponses à la pandémie alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux constitue la preuve que nous ne fonctionnons plus sur une base scientifique et de vérité médicale.

Au lieu de cela, le monde entier devrait s’aligner sur le programme créé par Bill Gates qui sert ses propres intérêts et ceux de ses nombreux alliés dans le domaine de la technologie et de la médecine. Dans un article publié dans GatesNotes[11-12] le 30 avril 2020, Gates déclare même qu’il « soupçonne que le vaccin Covid-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveaux-nés » — un joli petit morceau de programmation prédictive, si vous voulez mon avis.

Note du traducteur : Pour appuyer les propos du Dr Mercola, voici ce que Bill-Gates-le-psychopathe-de-service-aux-ordres-du-consortium-en-haut-de-la-pyramide explique aussi dans cet article :

La plupart des gens s’accordent à dire que les professionnels de la santé devraient d’abord se faire vacciner. Mais qui le reçoit ensuite ? Les personnes âgées ? Les enseignants ? Les travailleurs occupant des emplois essentiels ?

Je pense que les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à le recevoir, car les gens risquent beaucoup plus de mourir dans ces pays. Le Covid-19 se répandra beaucoup plus rapidement dans les pays pauvres, car des mesures comme l’éloignement physique sont plus difficiles à mettre en œuvre. Un plus grand nombre de personnes ont un mauvais état de santé sous-jacent qui les rend plus vulnérables aux complications, et la faiblesse des systèmes de santé fera qu’il leur sera plus difficile de recevoir les soins dont ils ont besoin. La mise en circulation du vaccin dans les pays à faible revenu pourrait sauver des millions de vies. La bonne nouvelle, c’est que nous disposons déjà d’une organisation spécialisée dans ce domaine, la Vaccine Alliance (Gavi).

Il s’agit donc d’attaquer les plus faibles d’abord, sous couvert d’humanisme et de bonnes intentions, on s’occupera des autres ensuite ; d’ici là, des lois d’obligation vaccinale auront peut-être eu le temps de voir le jour un peu partout. Peut-être…

Les vaccins à ARNm développés contre le Covid-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment judicieux d’envisager l’utilisation d’un tel nouveau vaccin sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons aujourd’hui dans un monde dirigé par les hommes de main de Gates [lui-même sacrifiable s’il est besoin par le même consortium qui a permis qu’il soit là où il est à dessein – NdT], et la raison et la logique ont donc largement disparues de l’équation.

Dans une dialectique hégélienne prévisible de type problème-réaction-solution, le problème du Covid-19 a conduit à des stratégies anti-pandémiques illogiques et mal conçues telles que l’obligation de porter un masque et l’assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » offerte par un vaccin élaboré à la hâte qui repose sur l’usage d’une nouvelle technologie d’ARNm.

Aussi radical que tout cela puisse paraître, les projets de Gates pour le monde ne s’arrêtent pas là. Il fait également pression pour la mise en place d’un vaste système de surveillance mondial permettant de suivre et de retracer le statut de chacun en matière infectieuse et vaccinale. Il finance même, avec George Soros, le groupe de recherche des contacts Partners in Health. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé[13]).

Il n’est pas surprenant que les recommandations de Bill Gates finissent par lui profiter avant tout. Comme nous l’avons vu dans « Bill Gates — Le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne », la Fondation Bill & Melinda Gates fait des dons de plusieurs milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries que celles dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.

Utiliser l’argent des associations à but non lucratif pour faire avancer la recherche au sein des entreprises dans lesquelles vous investissez est illégal, mais Bill Gates continue depuis de nombreuses années à ne rendre aucun compte à la justice. Sa fondation bénéficie parallèlement d’avantages fiscaux au titre des donations qu’elle reçoit.

N’oubliez pas qu’au fil des ans il a « donné » des dizaines de milliards de dollars et pourtant la valeur nette de sa fondation n’a pas diminué — elle a même doublé, et cela est dû en grande partie au fait que ses dons sont traités comme des investissements fiscalement déductibles. C’est du philanthro-capitalisme dans sa plus grande expression.

Note du traducteur : Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l’ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l’un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la Fondation Gates nourrirait un système destructeur.

Entretien.

Bill Gates est celui qui bénéficie le plus d’une peur propagée de pandémie

À ce jour, la pandémie de Covid-19 est indéniablement le plus grand projet philanthro-capitaliste de Bill Gates, et il s’apprête à engranger d’énormes sommes d’argent, puisqu’il finance et investit à la fois dans les traitements et dans les vaccins contre le Covid-19.

© Inconnu

En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé[14] un nouveau partenariat, baptisé « The Covid-19 Therapeutics Accelerator », avec Wellcome et Mastercard pour « coordonner les efforts de recherche et développement, et éliminer les obstacles au développement des médicaments [et intensifier les traitements pour faire face à la pandémie » — Voir le site en anglais ici – NdT] ». Selon le communiqué de presse[15] :

L’accélérateur thérapeutique Covid-19 jouera un rôle de catalyseur en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter à court terme les patients atteints du Covid-19, puis d’autres agents pathogènes viraux à plus long terme.

La Fondation Gates s’est également associée au Serum Institute of India pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, sont destinés à être livrés aux pays à faible revenu[16-17].

Le financement est acheminé sous la forme d’un prêt sans intérêt et remboursable à Gavi, la Vaccine Alliance, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire au Serum Institute of India. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s’est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires[18].

Note du traducteur : Le Wellcome Trust est une fondation caritative fondée en 1936 dédiée à la médecine dont le siège est en Grande-Bretagne, dont la mission générale consiste à « encourager et promouvoir la recherche dans le but d’améliorer la santé de l’homme et des animaux », et qui finance la recherche biomédicale à hauteur d’une moyenne de 725 millions d’euros par an. Au 30 septembre 2007, ses actifs nets se montaient à 16,8 milliards d’euros. Au 30 septembre 2018sa dotation s’élevaient à près de 29 milliards d’euros. En termes d’avoirs, il s’agit de la seconde fondation la plus riche après la Fondation Bill & Melinda Gates.

Cette influence générale sur la technologie, l’alimentation et la médecine — et sur les vaccins en particulier — ne décrit pourtant pas de manière adéquate l’emprise de Bill Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l’éducation. Le très critiqué programme Common Core [Tronc commun, fondé en 2009 – NdT] fut une tentative de la Fondation Gates de redéfinir l’éducation américaine[19] et la plupart des parents vous diront à quel point cette tentative était stupide[20].

Note du traducteur : Selon un article de Forbes de mai 2020,

Bill Gates n’a pas inventé ce Tronc commun, mais comme l’a expliqué Lyndsey Layton en 2014, il a fourni le soutien financier, l’organisation et l’influence nécessaire pour les faire entrer rapidement dans tous les États de la nation. Il est difficile de savoir exactement combien d’argent Bill Gates a dépensé pour soutenir son projet de Tronc commun, le nombre de groupes et le nombre des chèques émis étant stupéfiants. Mais les dépenses de Bill Gates en matière d’éducation aux États-Unis se chiffrent en milliards de dollars et ont directement influencé la façon dont ont été dépensés des milliards de milliards de dollars du contribuable. Et si certains continuent à affirmer que ce projet de Tronc commun fut un succès, il est pour le moins difficile de conclure à un consensus général. Ce que le Tronc commun de Bill Gates a cependant réussi, c’est d’aider à faire accepter dans le système scolaire américain les deux aspects majeurs qui définissent Bill Gates — mettre l’accent sur la collecte des données, et définir qu’une moins bonne réussite scolaire s’assimile à « de bons résultats à un test de mathématiques et de lecture ».

Malgré cet échec lamentable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, annonçait que l’État s’associait à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système d’éducation plus intelligent » pour le monde post-Covid, système qui se concentrera sur l’apprentissage en ligne et intégrera de façon permanente la technologie dans tous les aspects de la vie civique[21].

L’État de New York s’est également associé à Google, et Cuomo a demandé à son ancien PDG, Eric Schmidt, de diriger un nouveau panel chargé de planifier l’infrastructure technologique de l’État[22]. Comme l’a noté Naomi Klein dans son article publié dans The Intercept[23], l’appareil de surveillance contre lequel les consommateurs se sont insurgés est maintenant rebaptisé en réponse aux préoccupations de chacun en matière de santé.

Note du traducteur : dans son article, Naomi Klein écrit aussi ceci :

C’est un avenir dans lequel nos maisons ne seront plus jamais exclusivement des espaces personnels mais aussi, grâce à la connectivité numérique à haut débit, nos écoles, nos cabinets médicaux, nos gymnases et, si l’État le détermine, nos prisons.

Bill Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne

Qu’elle soit planifiée ou pas, la pandémie de Covid-19 est de toute évidence utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement totalitaires, y compris la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé dans le cadre de partenariats public-privé.

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d’engranger d’énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.

Pour mieux comprendre ce à quoi vous renoncez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin de Big-Technologie pour être sauvés, voir mon article à propos de la psychologue sociale et professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, et son livre extraordinaire, L’Âge du capitalisme de surveillance.

Vous ne voudrez pas non plus manquer mon récent entretien avec Patrick Wood, présenté dans « Les plus impérieux dangers de la technocratie ». J’ai intégré cette interview ci-dessous pour vous faciliter la tâche.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui souhaitent visionner cette vidéo en anglais, suivez ce lien. Pour accéder à la transcription de l’interview en anglais, suivez ce lien. Sinon voici quelques paragraphes concernant les grandes lignes de son contenu :

  • La technocratie est un système économique qui a vu le jour dans les années 1930, au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation [les États-Unis – NdT]. Depuis lors, les technocrates ont silencieusement et sans relâche progressé, et leur programme devient de plus en plus visible.
  • Les technocrates ont inventé un nouveau système économique à partir de zéro — un système économique basé sur les ressources dans lequel l’énergie et l’ingénierie sociale dirigent l’économie plutôt que des mécanismes de prix tels que l’offre et la demande.
  • La technocratie appelle au démantèlement total du système politique, qui inclut la Constitution américaine. Les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident des ressources que les entreprises peuvent utiliser et des produits que les consommateurs sont finalement autorisés à acheter.
  • La Commission trilatérale est un groupe technocratique clé qui a dominé le système politique américain depuis Jimmy Carter.
  • La seule raison pour laquelle la technocratie n’a pas encore réussi à supplanter les États-Unis — bien qu’elle s’en rapproche de façon incroyable — c’est à cause de notre Constitution [ou grâce à elle, selon le point de vue – NdT]. C’est pourquoi nous devons nous battre pour protéger notre Constitution à tout prix. L’un des moyens les plus efficaces pour y parvenir est de créer des mouvements de base et de s’impliquer dans la politique locale.

Patrick Wood est un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart des folies que nous observons actuellement, et qui a été exacerbé par la pandémie de Covid-19.

Il a écrit deux livres sur ce sujet : Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation et Technocracy: The Hard Road to World Order [« La montée de la technocratie — Le cheval de Troie de la transformation globale » et « Technocratie — La dure route vers l’ordre mondial », ouvrages non traduits en français – Ndt].

Patrick Wood brosse un tableau qui peut être difficile à avaler, surtout si vous venez d’entendre tout cela pour la première fois, mais il est vraiment crucial que tout le monde commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés. Le temps nous est compté. Pour avoir une chance de l’arrêter, nous devons comprendre notre trajectoire et nous unir pour changer le cap que Bill Gates et d’autres comme lui nous ont tracé.

Sources et références

Source de l’article initialement publié en anglais le 21 août 2020 : Mercola
Traduction: Sott.net

Commentaire : Voici une liste d’articles sur Bill Gates en particulier et sur le Covid-19 en général

Bill Gates


Covid-19

[Voir aussi : Bill Gates sur Nouveau Monde]




5G, virus et covid-19

Extraits significatifs du Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

5G et coronavirus

Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome.

L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur.

Les substances chimiques immunologiques contenues dans l’exosome pénètrent l’ACE2.

L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2 est une enzyme liée à la face externe des membranes plasmiques de cellules du poumon, des artères, du cœur, du rein et de l’appareil digestif. Elle joue un rôle important dans le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) qui régule l’homéostasie hydrosodée et la pression artérielle.

L’ACE2 est réputé être le point d’entrée dans les cellules humaines de certains coronavirus, dont le coronavirus humain NL63, le SARS-CoV13 (coronavirus à l’origine du SRAS) et le SARS-CoV-2 (à l’origine de la COVID-19).

Par ailleurs, il est à noter que le calendrier des déploiements de la 5G semble coïncider avec les cartes d’apparition du coronavirus et avec les endroits où l’incidence du nouveau coronavirus est la plus élevée, ce qui a d’ailleurs provoqué dans certains pays des réactions populaires visant à détruire ou incendier de nombreux pylônes d’antennes-relais (Royaume-Uni, Hong-Kong).

A cet égard, YouTube a retiré toutes les vidéos associant la 5G à la propagation du coronavirus, depuis le début du mois de février.

Reste qu’il y aurait une corrélation, à vérifier une fois disponibles les nouvelles cartes relevant les installations effectuées durant le confinement selon les lois d’urgence, entre le déploiement massif de la 5 G et le berceau de la propagation.

Effectivement, l’épidémie a débuté en Chine, qui est le promoteur de la 5G (10.000 antennes sur Wu-Han, zone de démonstration officielle de 5G, fin 2019), et l’Italie n’était pas loin derrière dans cette course au déploiement, les grandes villes italiennes étant déjà entièrement équipées en 5G à la fin 2019. La Lombardie (Milan) a été une des premières régions italiennes équipées de 5G et la région la plus touchée par le Covid-19 : ainsi que titraient les journaux italiens fin 2017,

«Milan se rêve en capitale européenne de la 5G », Vodafone Italia ayant lancé un plan de 90 millions d’euros pour couvrir 100% de la capitale économique italienne en 2019.

Comparaison des cartes de déploiement de la 5G et des malades hospitalisés en France (la différence entre le nombre d’hospitalisation et le nombre de décès résultant par ailleurs d’une différence dans les traitements appliqués, par exemple entre Marseille – Professeur Raoult – et le Grand-Est).

Il y avait, officiellement et avant le confinement du 17 mars 2020, 450 antennes-relais de 5G installées en France, notamment dans les villes de Marseille (95), en région Parisienne (85), Montpellier (53), Lyon (22), Toulouse (22) et Bordeaux (22).


LES PATHOLOGIES LIEES AUX CHAMPS ELECTRO-MAGNETIQUES

Tout d’abord, il convient de souligner que :

−les cas graves de COVID-19 sont liés à un phénomène de thrombose, ainsi qu’en ont alerté plusieurs médecins de terrain, nous le savons maintenant ;

−cette thrombose résulte d’un choc cytokinique, qui est un processus d’inflammation, donc un problème immunitaire :

−effectivement : la thrombose veineuse (DVT) est une cause majeure de morbidité et de mortalité. Alors que la thrombose veineuse a longtemps été considérée comme un désordre lié à la coagulation du sang, plusieurs démontrent que le système immunitaire et un processus d’inflammation sont à l’origine de la thrombose (« Deep vein thrombosis (DVT) is a major origin of morbidity and mortality. While DVT has long been considered as blood coagulation disorder, several recent lines of evidence demonstrate that immune cells and inflammatory processes are involved in DVT initiation. » Immune factors in deep vein thrombosis initiation) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6065414/

Ceci étant posé, voyons ce qu’il en est des pathologies spécifiquement liées à l’exposition à des champs électromagnétiques, en cause dans la forte présomption d’un lien entre les malades hospitalisés pour le COVID-19 et un déploiement des installations de 5G :

Nous allons pour cela nous référer à une Bibliographie sur les phénomènes biologiques rapportés (« effets ») et les manifestations cliniques attribuées aux ondes électromagnétiques. Institut de recherche médicale navale MF12.54.015-0048, rapport n°2n révisé. 106 pp. [NOTE : ce document a été réduit à 25 pages afin que nous puissions le publier ici et ne contient pas toutes les 2311 références.]

«Plus de 2000 références sur les réponses biologiques aux ondes électromagnétiques et aux micro-ondes, publiées jusqu’en juin 1971, sont incluses dans la bibliographie. Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. […]

Note : Ce document n’est pas classifié.

SIGNIFICATION

La valeur du document de Glaser de 1972 est de contrer les affirmations selon lesquelles aucune recherche « crédible » n’existerait qui mettrait en évidence des effets non thermiques. Il s’agit d’une déclaration inexacte promue par ceux qui ne connaissent pas les publications ou qui ne veulent pas admettre que ces ondes, aux niveaux d’exposition actuels, peuvent être nuisibles. Des recherches crédibles existent depuis des décennies, largement ignorées par les responsables de santé publique et les professionnels de santé.

COMMENTAIRES

C’est l’une des premières compilations à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des ondes électromagnétiques, apparue pour la première fois en 1971. L’auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous).

A. Effet thermique sur les organes

Cela comprend l’augmentation de la température de tout le corps ou d’une partie du corps comme la peau, l’os et la moelle osseuse, la lentille de l’œil avec des cataractes et des dommages à la cornée; aux organes génitaux provoquant une dégénérescence tubulaire des testicules; au cerveau et aux sinus; aux implants métalliques provoquant des brûlures près des broches de hanche, etc. Ces effets sont réversibles sauf les dommages causés à l’œil.

B. Changements dans la fonction physiologique

Ceci inclut la contraction des muscles striés; la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l’élasticité vasculaire), leur dilatation; des modifications des processus oxydatifs dans les tissus et les organes; l’élargissement du foie; la sensibilité aux médicaments; la diminution de la spermatogenèse conduisant à une diminution de la fertilité et à la stérilité; l’augmentation du nombre des naissances de filles par rapport à celui des garçons; une altération de l’activité menstruelle; une altération de l’évolution du fœtus; une réduction de la lactation chez les mères allaitantes; une réduction de la diurèse entraînant une excrétion de sodium par voie urinaire; une altération de la fonction rénale; des changements dans les réflexes conditionnés; la diminution de la résistance électrique de la peau; des changements dans la structure des récepteurs de la peau; une altération du flux sanguin; une modification des courants dans le cortex cérébral chez les animaux; des changements dans le taux d’élimination des ions marqués des tissus; changements structurels réversibles dans le cortex cérébral et le diencéphale; changements dans les électrocardiographes; sensibilité altérée aux stimuli lumineux, sonores et olfactifs; changements fonctionnels et pathologiques des yeux; nécrose myocardique; hémorragie des poumons, du foie, de l’intestin et du cerveau et dégénérescence généralisée du tissu corporel à des niveaux de rayonnement mortels; perte de parties anatomiques; décès; déshydratation; taux de calcification tissulaire altéré.

C. 100 effets sur le système nerveux central

Cela comprend maux de tête; insomnie; agitation (journée et sommeil); changements dans l’activité des ondes cérébrales (EEG); troubles du nerf crânien; lésions pyramidales; troubles des réflexes conditionnés; action vagomimétique et sympathomimétique du cœur; attaques et convulsions.

D. Effets sur le système nerveux autonome

Rythme cardiaque altéré; fatigue, altérations structurelles dans les synapses du nerf vague; stimulation du système nerveux parasympathique conduisant à la bradycardie et à l’inhibition du système nerveux sympathique.

E. 500 effets sur le système nerveux périphérique

Effets sur les nerfs locomoteurs.

F. Troubles psychologiques

Les symptômes comprennent neurasthénie (malaise général); dépression; impuissance; anxiété; manque de concentration; hypocondrie; vertiges; hallucinations; somnolence ou insomnie; irritabilité; diminution de l’appétit; perte de mémoire; sensations du cuir chevelu; fatigue; douleurs thoraciques, tremblements.

G. Changements de comportements chez les animaux

Les effets incluent des changements dans les comportements de réflexion, d’action, d’évitement et de discrimination.

H. Troubles du sang

Les effets incluent des modifications du sang et de la moelle osseuse; fonctions phagocytaires et bactéricides accrues; taux d’hémolyse accru (durée de vie plus courte des cellules); taux de sédimentation sanguine accru; diminution des érythrocytes; augmentation des concentrations de glucose dans le sang; teneur en histamine sanguine altérée; changements dans les lipides et le cholestérol; modifications des anticorps et de la concentration totale en protéines; changements du nombre d’éosinophiles; diminution du taux d’albumine/globuline ; Hémopoïèse altérée (taux de formation de globules sanguins); leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose, réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

I. Troubles vasculaires

Cela inclut la thrombose et l’hypertension.

J. Modifications enzymatiques et biochimiques (in vitro)

Changements dans l’activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, des transaminases; des amylases, des carboxydismutases; dénaturation des protéines; inactivation des champignons, des virus et des bactéries; mort de tissus en culture; taux de division cellulaire altéré; augmentation de la concentration d’ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d’ARN dans le cerveau, le foie et la rate; changements dans les excrétions d’acide pyruvique, d’acide lactique et de créatinine; changements de concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie); concentrations aItéréesde17-cétostéroïdes dans les urines.

K. Troubles métaboliques

Les effets incluent la glycosurie (sucre dans l’urine); l’augmentation des phénols urinaires; le traitement modifié des enzymes métaboliques; métabolisme modifié des glucides

L. Troubles gastro-intestinaux

Les effets incluent l’anorexie; trouble épigastrique; constipation; sécrétion altérée des sucs gastriques.

M. Modifications des glandes endocrines

Les effets comprennent la modification du fonctionnement de la glande pituitaire, de la glande thyroïde (hyperthyroïdisme et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l’absorption de l’iode radioactif) et de l’adrénaline; diminution des corticostéroïdes dans le sang; diminution de l’activité glucocorticoïde; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).

N. Modifications histologiques

Changements dans l’épithélium tubulaire des testicules et changements de volume.

O. Modifications génétiques et chromosomiques

Les effets incluent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudos-chiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, ¨’adhérence’, irrégularités dans l’enveloppe chromosomique); mutations; mongolisme; altérations somatiques (ne comportant pas de noyau ou de chromosome); maladies néoplasiques (tumeurs).

P. Alignement en chaînes de perles

Cela se réfère à l’orientation intracellulaire des particules subcellulaires et à l’orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, par exemple magnétiques) affectant l’orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.

Q. Effets divers

Ceux-ci comprennent étincelles entre les obturations dentaires; goût métallique dans la bouche; changements dans l’activité optique des solutions colloïdales; dans le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau; perte et fragilité des cheveux; sensations de bourdonnement, vibrations, pulsations et chatouilles sur la tête et les oreilles; transpiration abondante, salivation et protrusion (avancée) de la langue; modifications dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés; changements dans les rythmes circadiens.

5 juillet 2010. Glaser, Z.R. 1972.

Sources :

http://www.magdahavas.com/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/
http://www.cielvoile.fr/2017/10/effets-biologiques-des-ondes-electromagnetiques-plus-de-2000- publications-avant-1972.html


UNE OPERATION D’ENFUMAGE ?

ARMES ELECTROMAGNETIQUES POUR UNE GUERRE SILENCIEUSE

De ce qui précède, on peut raisonnablement retenir une légitime impression de défiance en certaines institutions, présidées par des personnalités que la corruption semble guider bien davantage que des considérations de bien public.

Mais d’autres voix s’élèvent au surplus pour contester l’existence même du COVID-19, qui serait

«un assemblage de symptômes relevant de pathologies variées regroupées artificiellement sous ce vocable (interview London Real).

Pour rappel, le test RT PCR (reverse transcription Polymerase Chain Reaction ) bien qu’utilisé à cette fin, ne viserait pas à déceler la présence de génome viral de la maladie à COVID-19, mais seulement du « matériel génétique » pouvant avoir des origines différentes.

Malgré cela, les personnes testées seraient diagnostiquées être infectées par le COVID-19 et leur décès éventuel est alors attribué au COVID-19. En outre, le cycle d’amplification utilisé (la sensibilité du test), dans différents pays, dicte le nombre de tests positifs obtenus.

Il devient ainsi très facile de manipuler les chiffres.

A l’origine, ce test (inventé en 1984 par un biochimiste US) a été développé pour diagnostiquer plusieurs choses, par exemple pour tenter de diagnostiquer le cancer du poumon. Son inventeur indique que « ce test ne devrait pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies infectieuses ».

Le postulat de Koch, en vigueur depuis 1890, est un protocole permettant de prouver qu’un agent infectieux est bien la cause de ce que l’on prétend avoir détecté. Il comporte quatre volets.

En ce qui concerne le COVID-19, pas un seul des quatre postulats le composant, n’a été utilisé ni respecté.

Nous avons vu plus haut que, quand une cellule est empoisonnée, elle secrète des exosomes (ce qui fait partie du système immunitaire).

Elle peut-être empoisonnée par une maladie, une infection, des champs électromagnétiques, le stress ou la peur.

Ces exosomes avertissent les autres cellules qu’il y a un problème. Dès qu’une cellule est empoisonnée, des exosomes sont libérés.

Dans ce contexte, le Dr Andrew (Andy) Kaufmann a pris au microscope des photos d’exosomes, et les a comparées avec des photos de ce que l’on prétend être le COVID-19.

Ces deux photos étaient exactement les mêmes.

Vous pouvez voir ici une interview du Dr Andy Kaufman, ancien du M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) qui contredit la thèse officielle : 

Il a ensuite examiné la composition génétique des exosomes, et celle revendiquée pour le COVID-19 et il s’avèrerait que ces deux compositions sont exactement les mêmes en tous points. Ils se fixent d’ailleurs l’un comme l’autre sur les mêmes récepteurs cellulaires.

Il s’agirait de la même chose.

Ainsi il s’agirait d’un mécanisme naturel de réponse du système immunitaire du corps humain qu’on a rebaptisé « COVID-19 ». Or toute personne présentant un niveau quelconque de toxicité cellulaire va produire ces exosomes et ainsi le potentiel de tests positifs au COVID-19 est infini.

« Des personnes tombent malades en Chine. L’OMS alerte alors sur une pandémie.

Compte-tenu des informations communiquées, toute personne présentant des symptômes grippaux ou pulmonaires est présumée infectée au COVID-19. Mais ce n’est pas suffisamment probant.

Alors, il est décidé que toute personne malade qui se rendra à l’hôpital (pour une grippe ou un cancer) soit testée au COVID-19 et elle sera évidemment diagnostiquée positive puisqu’elle présente des exosomes.

Si ces personnes décèdent, elles sont officiellement diagnostiquées comme étant morts du COVID-19.

Ainsi, les chiffres montent. »

Le nombre total de décès dans le monde n’aurait pas changé, mais on est en train de les reclasser comme « COVID-19 ».

Pourtant, ces gens ne meurent pas du COVID-19, mais après avoir été testés positifs au COVID-19 (par exemple pour un cancer en phase terminale), ce qui est différent.

Selon les chiffres officiels de l’institution médicale italienne, 99% des personnes dites décédées du « COVID-19 » en Italie souffraient d’un ou plusieurs problèmes de santé pour lesquels ils avaient été hospitalisés. Alors, il est très facile de mettre sur le compte du COVID-19 des personnes qui meurent pour toute autre chose.

Ainsi on remarquera qu’à la même époque, le nombre total des décès n’a pas augmenté par rapport à l’an dernier, mais ce chiffre total englobe les présumés morts par COVID-19 qui sont majoritaires. Cela signifie qu’il n’y a pas plus de gens qui meurent, mais que leur décès est attribué au COVID-19 alors qu’ils sont morts d’autre chose.

Observons ce qui se passe en Lombardie, centre de l’épidémie italienne, qui fait l’objet d’une telle attention avec le reste de l’Europe, morte de peur : la Lombardie, où se trouve Milan, est connue dans le monde entier pour son air pollué et toxique, tout comme Wu-Han en Chine.

La Lombardie enregistre un nombre de décès beaucoup plus élevé que dans le reste de l’Italie, notamment en raison de problèmes pulmonaires. Habituellement, un peu moins de 100.000 personnes y meurent chaque année.

Latium, qui est une autre région italienne, arrive en seconde position avec presque moitié moins de décès : 57.000.

Voici donc une région d’Italie où beaucoup de gens meurent, essentiellement de maladies pulmonaires et vous avez donc un formidable potentiel pour effectuer un diagnostic consistant à faire croire que les gens y meurent du COVID-19, alors qu’ils meurent d’autre chose.

Et ainsi, vous contrôlez les chiffres. En testant et en diagnostiquant d’une certaine manière, les chiffres augmentent. Et puis en jouant sur la sensibilité du test, les chiffres diminuent et peuvent s’effondrer de la même manière.

L’intention est d’attribuer le maximum de décès au COVID-19, parce que cela donne du crédit à cette pandémie. C’est pour une raison très importante et très simple. Et elle est liée à la raison pour laquelle il y a une règle de confinement.

Ce qui se passe également, c’est que les personnes âgées hospitalisées pour quelque raison que ce soit, sont tout d’abord testées pour le COVID-19. Beaucoup d’entre elles, pour les raison précitées, vont être testées positives. Il est question, selon les proches et les familles, ainsi que selon les personnels soignants sur le terrain, de nouvelles directives gouvernementales consistant à faire signer en Angleterre une décharge à ces personnes âgées – que le confinement devait protéger.

En France il y a une directive gouvernementale qui va dans le même sens :

Article de Libération sur la consigne gouvernementale du 19 mars 2020 de ne plus accepter de personnes de plus de 75 ans « fragile » dans les hôpitaux, qui condamne à mort nos anciens dans les EHPAD, alors que dans le même temps ce même gouvernement interdit d’appliquer le protocole du professeur Raoult dans les EHPAD et qu’il autorise par un Décret l’administration d’un très fort médicament pour endormir les personnes âgées (médicament justement contre-indiqué pour les affections pulmonaires). On interdit un traitement mais on autorise celui qui va donner la mort.

Ce qui signifie qu’on les laissera mourir et qu’aucune réanimation ne sera tentée. Et quand ils mourront, sans avoir été réanimés, ils feront partie des pertes dues au COVID-19. « Nous allons sans doute devoir faire des choix, pour décider qui nous allons traiter en priorité, et en ce qui concerne les personnes âgées, nous allons devoir faire des choix plus difficiles » – On va tuer ou laisser mourir ces personnes âgées à qui on demande de signer des formulaires de non- réanimation, ou qui sont visées par des directives gouvernementales de ne plus les accepter dans les hôpitaux, de ne pas leur appliquer un traitement pouvant les guérir, mais pour lesquelles on autorise une injection réputée létale.

Certains dirigeants semblent donc disposer et abuser de ces personnes âgées de la plus ignoble des manières, ces personnes âgées à qui ils disent que le confinement est là pour les protéger.

Les chiffres sont faussés par la façon dont ils font les tests, par la façon dont ion fait les diagnostics et par la façon dont sont comptabilisés les cas.

Nous pourrions voir les chiffres monter encore et encore, ce qui justifierait un confinement supplémentaire.

Ce sera fini – temporairement – lorsque les personnes physiques et morales à l’origine de cette manipulation penseront qu’ils ont atteint ce qu’ils voulaient obtenir, grâce à tout ça, c’est à dire la destruction totale de l’économie mondiale, qu’un nombre considérable de personnes perde leur gagne-pain et leurs revenus indépendants, et qu’ils soient donc devenus dépendants de l’Etat pour leur subsistance.

Puis, ces groupes en arrière des gouvernements mettront un terme à tout ça et feront baisser les chiffres « le pic est derrière nous », quand ils estimeront qu’ils sont allés assez loin et qu’ils en ont tiré tout ce qu’ils souhaitaient.

La Chine a repris ses activités, l’industrie redémarre, les gens sont à nouveau dans la rue et le transport aérien a repris.

Le but est que les autorités contrôlent les chiffres.

Ils n’ont pas obtenu un nombre suffisant de décès via ce virus, pour justifier le fait qu’il est mortel.

La grande majorité des gens n’a aucun symptôme, ou des symptômes légers.

Ce test RT PCR ne peut pas et ne détecte pas la quantité de « virus » en présence.

Nous avons tous ce que les gens appellent des « virus », mais qui en fait font partie du système immunitaire naturel, mais nous avons tous cela dans notre corps, à un niveau qui ne nous dérangera jamais. C’est pourquoi vous pouvez être testé positif et ne pas avoir de symptômes. Ce que ce test ne permet pas, c’est de vérifier la quantité présente en vous de ce « virus ».

Or, il faut en avoir une quantité énorme pour être malade. Ainsi, ils ne peuvent même pas vous dire si votre maladie est due à tel virus ou à tel autre.

Le nombre de morts actuel n’est pas suffisant pour justifier que ce « virus » est mortel ; Mais ils veulent un confinement pour des raisons bien plus importantes.

Donc, ils disent « attention à la prochaine vague, qui peut arriver à tout moment ». Selon la façon dont ils comptent, ils peuvent très bien créer une nouvelle vague, ou l’illusion d’une nouvelle vague.

Ils ont prévu, si nous les laissons faire, de pousser cela à l’extrême.

Et nous voilà confinés, et en quelques semaines nous sommes passés de ce que les gens percevaient comme un monde libre, à une tyrannie mondiale dans laquelle un tout petit nombre de personnes possède des milliards, tandis que la moitié de la population mondiale est assignée à résidence.

Et tout cela a été fait grâce à l’escroquerie COVID-19.

Il y a un cloisonnement féroce, pour qu’une poignée d’hommes puissent contrôler le monde. Si vous êtes au sommet de la pyramide, vous connaissez les objectifs, mais si vous êtes médecin, on vous dit « Voici les symptômes et si vous voyez ces symptômes, vous devez diagnostiquer le COVID-19. Si quelqu’un rentre à l’hôpital, vous devez faire un test pour le COVID-19. Si les gens meurent, peu importe de quoi, vous devrez inscrire sur le certificat de décès : COVID-19 ». Quelle est la ligne directrice que l’on retrouve, dans et après chaque tyrannie ? – « Je ne faisais que suivre les ordres ! ». C’est comme ça que ça marche.

Mais certaines infirmières et certains professionnels de la santé disent que c’est de la foutaise ! Certains d’entre eux rompent les rangs.

Le directeur de l’OMS qui a été ministre de la santé a été pris en flagrant délit de couvrir trois épidémies de choléra, fera ce qu’on lui dit de faire. C’est le moteur de cette politique. L’OMS a d’ailleurs été créée par les Rockefeller. L’OMS indique la marche à suivre et vous la suivez.

Vous suivez le protocole.

Donc, parce que la Chine a imposé ce confinement draconien et que les chiffres ont commencé à baisser, cela a créé un précédent pour suivre la voie.

Comme la Chine, on va créer un confinement et maintenir les gens à l’écart les uns des autres. Voilà comment fonctionne cette dynamique. Il y a des psychopathes en arrière-plan qui orchestrent tout ça, et puis il y a les ignorants [« Qui suis-je ? Où suis-je ? Que se passe-t-il ? » : les politiciens « Tout le monde va mourir, nous ferions mieux d’imposer un confinement ».] qui n’ont aucune idée de ce qu’il se passe réellement.

Et avec une « modélisation » bidon et un virus qui n’existe pas, on aura créé cet Armageddon économique. »

Ce qui nous amène à la 5G.

La 5G est une puissance d’énergie électromagnétique beaucoup plus importante que ce que nous avons vu auparavant.

Ce n’est pas seulement une amélioration de la 4G, qui est déjà assez nuisible, la 3G également, c’est une toute nouvelle partie du spectre électromagnétique, les ondes millimétriques, plus puissantes que tout ce que nous avons vu auparavant.

Le corps humain est un champ électromagnétique. Le cerveau communique avec le reste du corps des informations, électriquement. Lorsque ce champ et les cellules traitent les pensées, les électromagnétique est en équilibre, nous sommes en bonne santé. Lorsqu’il est en déséquilibre ou en dysharmonie, nous ressentons un mal-être, nous souffrons de maladies, qui se manifestent sous la forme de ce que nous appelons des maladies physiques ou des maladies psychologiques.

Nous sommes maintenant bombardés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par des champs électromagnétiques générés par la technologie et la Wi-Fi. Et dans cette période d’aliénation à ce « virus », on voit dans de plus en plus d’endroits l’installation de la 5G.

Chaque élévation de ce niveau de radiation se traduit par une épidémie.

Les docteurs et les scientifiques de 41 pays ont signé une pétition pour demander l’interdiction de la 5G. L’impact de la 5G sur la santé n’a fait l’objet d’aucune étude, sinon elle n’aurait pas pu voir le jour. Les satellites avec la 5G rayonnent sur chaque centimètre carré de la Terre.

Des gens veulent que cela arrive parce qu’ils souhaitent manipuler l’humanité. La 5G empoisonne les cellules, elles sont empoisonnées par le champ électromagnétique. Les cellules libèrent les exosomes, et ils vous testeront positif au COVID-19.

Quelle est la première ville chinoise à avoir installé la 5G, juste avant l’apparition de ce «virus » ? Wu-Han. La ville qui avait le plus d’Antennes-relais de 5G au monde est celle dans laquelle on a observé une hécatombe de COVID-19.

«Durant ce confinement, des antennes 5G sont en train d’être déployées à une vitesse fulgurante. Partout sur la planète, des antennes 5G sont en train d’être installées en grand nombre.

Et tandis que sont installées toutes ces antennes, bien sûr les gens ne peuvent pas manifester, puisqu’ils sont assignés à résidence.

Semaine après semaine, Elon Musk (c’est un très grand malade, il est parfaitement au courant de la raison pour laquelle la 5G est mise en place) envoit de plus en plus de satellites à basse altitude, qui vont rayonner de la 5G dans la Terre. Cet objectif est de 42.000. Les astronomes ne peuvent plus observer le ciel. Il a reçu l’autorisation d’installer un million et demi d’antennes terrestres en Amérique, qui grâce au champ électromagnétique se connecteront aux satellites. Il crée ainsi une réalité augmentée, grâce à la technologie 5G, ce qu’il appelle le réseau intelligent.

Ces gens créent un cordon ombilical grâce auquel l’esprit humain sera connecté via l’intelligence artificielle. Et on vous donne même l’année à laquelle deviendra sérieux : en 2030. »


En fait, il y a une forte présomption qu’existe une corrélation très nette entre les flots de personnes admises dans les services de réanimation avec des poumons dans un état « jamais vu » et des tests de mise en service de la 5G poussée à forte puissance, à New-York, Wu-Han et en Lombardie, première région italienne à être équipée de la 5G.

L’écran de fumée du « virus » (en fait de simples exosomes) ne servirait qu’à « couvrir » ces essais d’armes électromagnétiques, que certains annoncent destinées à terme à réduire drastiquement la population mondiale, en attribuant à la « pandémie » la destruction programmée d’une partie de l’humanité – dont d’ailleurs des personnalités et des éminences connues ne se cachent pas, même en France.

On se souviendra en effet que nous avons évoqué lesdits exosomes un peu plus-haut, dans le module consacré aux rayonnement de 5G :

« Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome. L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur. »

Et si les exosomes (alias « COVID-19 ») n’étaient pas la cause, mais bien la conséquence de l’utilisation d’une arme électromagnétique ?




COVID19: Débunkage du narratif officiel

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Auteur : ANNES BOURIA – Pharmacien]

Chers amis et compagnons de ré-information,

Je vous propose 10 points de débunkage à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du Covid :

1) Le covid19 est un virus dangereux

Le Sars-cov2, alias Covid19, est potentiellement dangereux pour certaines catégories de la population (tout comme les autres infections respiratoires), sinon,… pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début.

Le taux de mortalité est évalué entre 0,2 et 0,65% [1]. C’est 5 à 15 fois moins que les 3% donnés en début de pandémie. De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente [2] : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie.

Sans parler du fait que beaucoup de « morts covid » (probablement en majorité) sont en fait des décès de patients déjà très faibles chez qui le virus a joué un rôle marginal [3].

Les cas graves chez les personnes en dessous 50 ans et en bonne santé sont totalement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques [4] ou peu symptomatiques (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5% de patients covid+ doivent être hospitalisés, et 1 à 2% de cas graves [5,6] pour l’ensemble des contaminés qui sont en majorité des personnes âgées et fragiles.

Avec près de 80% d’asymptomatiques [7] et une médiane des décès à plus de 80 ans [8]… On peut trouver pire comme affection.

2) Le virus est inconnu

Ce virus est nouveau, mais on ne peut plus dire qu’il soit inconnu à l’heure actuelle. C’est un cousin du 1erSRAS, identifié en Chine en 2002, et bien documenté. Après quasiment 1 an d’observations, c’est le sujet pour lequel il y a eu le plus de publications médicales scientifiques en 2020.

Ce virus, bien qu’il reste quelques zones d’ombres autour de lui, on commence à bien le connaitre…

3) Il n’y a pas de traitements

Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique s’attache aux essais statistiques randomisés en double aveugle. Mais ce n’est ni de la médecine, ni de la science. La médecine c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, l’observation faite par les praticiens de terrain à travers le monde  a mis en évidence plusieurs associations qui donnent de bons résultats [9] : l’association Hydroxychloroquine/Azithromycine/Zinc [10] ou l’association Macrolide/Céphalosporine/Zinc [11] semblent éviter les formes graves à condition d’être prises tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre le covid [12].

Aux stades plus avancés, l’on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone [13], les anticoagulants[14] pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie [15].

L’on n’aura peut-être plus besoin d’intuber les patients en soins intensifs, qui en réalité étaient arrivés à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie car on avait choisi de ne pas soigner les gens durant l’épidémie !

4) Toutes les personnes touchées ont des séquelles

Tout d’abord, un grand nombre de viroses peuvent engendrer des séquelles organiques à des niveaux divers, y compris cardiaques ou neurologiques [16,17] .

Ici, il est impossible de se prononcer sans avoir plus de recul. Mais ce tableau semble loin de représenter la réalité.

Selon l’académie française de médecine [18], 30% des patients hospitalisés présentent diverses séquelles 6 semaines après la rémission.

Ces séquelles vont de la fatigue aux difficultés respiratoires en passant par des troubles neurologiques, rénaux ou cardiaques. Il semblerait que ces séquelles soient potentiellement réversibles, mais encore une fois il est trop tôt pour être catégorique.

Donc il s’agirait d’un tiers des patients hospitalisés (qui sont déjà une minorité des cas- 5%) qui présenteraient des séquelles à des degrés divers.

Quant aux graves atteintes pulmonaires peu réversibles, on les observe surtout dans les stades très avancés [19], et les intubations, dont l’utilité médicale est remise en question [20], y ont fortement contribué.

5) Il va y avoir/ on assiste à une deuxième vague

Le concept de deuxième vague ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il se base sur l’épisode de la pandémie de grippe espagnole il y a un siècle [21], mais non transposable aux conditions actuelles.

L’on nous a prédit, voire annoncé, cette deuxième vague à de nombreuses reprises depuis la fin du pic épidémique européen d’avril, mais ce fut à chaque fois des pétards mouillés.

Nul ne peut prédire l’avenir, mais les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes [22] : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît (comme ce fut le cas du 1er SRAS) soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques [23]).

A ce jour, en Europe, aucune reprise observable en terme clinique ou de hausse significative de la mortalité n’a été observée [24].

Nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

6) Il y a une augmentation des « cas »

Il ne s’agit pas de « cas » au sens médical ou clinique du terme. Ce qu’il se passe dans de nombreux pays d’Europe, c’est que les capacités et les politiques de test ont été élargies [25].

Ce que les autorités, ainsi que la presse, recensent sont uniquement des tests sérologiques (prise de sang) ou PCR (écouvillon dans le nez) protocolaires où l’on détermine si un individu a été en contact avec le virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne est malade ni contagieuse [26]. D’autant que 75% des positifs sont asymptomatiques [27], cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.

Voilà comment faire passer de bonnes nouvelles pour des mauvaises !

Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir jusqu’à 90% de « cas » sans infection en cours ni contagiosité ! [28] Et à raison de 3% sur l’ensemble des tests… cela correspond à la moyenne en termes de taux de positivité en France et en Belgique notamment depuis l’élargissement des campagnes de testing… [29]

7) Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.

Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invités à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elles présentent peu de risques et sont donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme [30].

Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires car l’on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prisent empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, c’est à n’y rien comprendre…

8) Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance »

Tout d’abord, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir, ni qu’il soit totalement efficace.

Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?

Il faut également signaler que les vaccins contre les rétrovirus, comme le covid, sont extrêmement compliqués à élaborer dans la mesure où ces virus mutent très vite [31].

Ajoutez à cela que ce vaccin semble être élaboré à la hâte, sans recul, avec des technologies inédites [32]… Faudra y réfléchir à deux fois avant d’accepter une vaccination massive, sachant que selon certaines études, on constate une immunité (croisée) déjà présente chez certains individus allant jusqu’à 50% de la population [33]. Ce qui expliquerait cette large proportion d’asymptomatiques.

Si un vaccin est élaboré, il devra être réservé aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, c’est une ineptie !

9) Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité. ABSOLUMENT RIEN !

D’ailleurs, les pays n’ayant imposés aucune de ces mesures (la Suède, un cas intéressant [34], la Biélorussie) ou de manière allégée (Allemagne, Pays-Bas) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques [35] sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie,Espagne)!

Que l’on soit clair :

Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté [36], sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.

Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique lorsque le risque est grand (on nous avait d’ailleurs dit que c’était inutile à l’époque), et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalable, y compris en extérieur et en dehors d’un pic épidémique par-dessus le marché. C’est de la grosse foutaise, pardon !

Non définitivement, le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés [37,38].

10) Les autorités savent ce qu’elles font

Il est dans certains esprits l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. C’est une croyance qu’il paraît urgent de réviser !

Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général fonctionnent par conformisme et cooptation, certains disent même médiocratie. [39] C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus plutôt médiocres mais obéissants et reconnaissants.

Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à accéder à des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Albert Jaccard avait prévenu en 1994 déjà : « Nous sommes en train de sélectionner les gens les plus dangereux » disait-il.

Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et ont leur ambition carriériste comme principal objectif.

Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts évidents, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme.

Un sacré cocktail !

C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, anti-démocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

ANNES BOURIA – Pharmacien

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Références

  1. https://theconversation.com/how-deadly-is-the-coronavirus-the-true-fatality-rate-is-tricky-to-find-but-researchers-are-getting-closer-141426?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  2. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-scenarios-2020-05-20.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  3. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#Comorbidities
  4. https://arxiv.org/abs/2006.08471?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=59d57f54e5-briefing-dy-20200706&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-59d57f54e5-45555106&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  5. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/covid-data/covidview/index.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#hospitalizations
  6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.pdf
  7. https://www.journaldequebec.com/2020/05/28/jusqua-80-de-cas-de-covid-silencieux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  8. https://www.liberation.fr/direct/element/la-repartition-par-age-des-deces-lies-au-coronavirus-ressemble-a-une-mortalite-classique_112144/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  9. https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.02.20080036v1?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  11. https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/azithromycine-etc-la-controverse-gronde-autour-du-cocktail-anti-covid-19-de-medecins-generalistes/article-normal-47443.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE7
  12. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=10570600&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  13. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-dexamethasone-efficace-contre-les-formes-graves-ne-doit-pas-etre-donne-au-debut-de-la-maladie?id=10544918&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=La%20dexam%C3%A9thasone%2C%20premier%20m%C3%A9dicament%20%C3%A0,un%20essai%20clinique%20publi%C3%A9s%20vendredi.
  14. https://www.revmed.ch/covid-19/Risque-thrombotique-veineux-induit-par-le-SARS-CoV-2-prevalence-recommandations-et-perspectives
  15. https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/coronavirus/covid-19-loxygenotherapie-pourrait-eviter-lintubation_29764.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  16. https://www.coeuretavc.ca/articles/comment-les-virus-endommagent-ils-le-coeur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  17. https://www.gbpf.be/images/uploads/congres/Frere-Julie_Infections_virales_du_SNC.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  18. http://www.academie-medecine.fr/avis-de-lacademie-les-sequelles-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  19. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/covid-wwksf/2020/07/what-we-know-covid-19-long-term-sequelae.pdf?la=en&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  20. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-les-medecins-sinterrogent-sur-le-bon-usage-des-respirateurs-1195147?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  21. https://uclouvain.be/fr/decouvrir/la-grippe-espagnole-de-1918-suscitait-elle-la-meme-peur-que-le-coronavirus.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  22. https://www.lindependant.fr/2020/04/29/professeur-didier-raoult-99-des-cas-de-coronavirus-en-france-auront-eu-lieu-avant-le-19-mai,8867698.php?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  23. https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/pourquoi-le-froid-plait-aux-virus-respiratoires?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  24. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  25. https://swprs.org/covid-just-a-casedemic/
  26. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  27. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptomatiques-au-moment-du-test?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.
  28. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v2.full.pdf
  30. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-la-communaut%C3%A9?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  31. https://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/10/24095-vaccin-contre-sida-pourquoi-cest-difficile?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  32. https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  33. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-moitie-de-la-population-possederait-une-immunite-au-covid-19-pre-existante_2132005.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  34. https://www.thesun.co.uk/news/12591827/sweden-coronavirus-case-rate-lower-denmark-norway-lock-down/
  35. https://www.worldometers.info/coronavirus/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  36. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-population-du-Canada.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  37. https://www.express.co.uk/life-style/health/1320428/Coronavirus-news-lockdown-mistake-second-wave-Boris-Johnson?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  38. http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients-leur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  39. https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2016-2-page-17.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  40. https://www.youtube.com/watch?v=9v9updAv018



Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington

[Source : Jean-Dominique Michel]

Trois des plus grands épidémiologistes de trois des plus grandes universités lancent un appel urgent à changer de réponse sanitaire face au Covid en sortant des mesures de confinement.

Tout le contraire de la « Task Force » suisse, qu’il faut dissoudre de toute urgence pour la remplacer par un comité compétent !

Cette déclaration, qui corrobore les analyses et recommandations exprimées sur ce blog depuis le mois de mars, a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux États-Unis, par :

  • Dr. Martin KULLDORFF, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.
  • Dr. Sunetra GUPTA, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.
  • Dr. Jay BHATTACHARYA, professeur à l’École Médicale de l’université de Standford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.

Tous les professionnels de santé du monde entier, ainsi que tous les citoyens, peuvent la signer à cette adresse. A l’heure de cette publication, elle est déjà soutenue par 4’135 scientifiques, 7’432 médecins et 104’697 citoyennes et citoyens de nombreux pays !
Le désastre en cours est bien dû au grave dysfonctionnement de nos systèmes de gouvernance se surajoutant à une épidémie respiratoire virale d’ampleur moyenne à forte. Face à laquelle existent des réponses efficaces autres que la panique et la destruction économique, culturelle et sociale de nos sociétés.
 Écoutons ces immenses professionnels qui savent de quoi ils parlent et non des clones de la pensée étroite bardés de conflits d’intérêts. L’intelligence collective c’est maintenant, ou il sera simplement trop tard ! Sauf à changer de modèle de société pour vivre selon Jeff Bezos, Bill Gates et Big Pharma. Si c’est cela le « programme politique » de nos gouvernants et comités « scientifiques », eh bien qu’ils nous le disent ouvertement… 

Déclaration de Barrington

En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection).

Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique au COVID-19. A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests PCR pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur. Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.

Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective.

(texte traduit de l’Anglais par Mathias Delori, avec l’accord expresse des auteurs)

Lien vers l’interpellation (en vidéo) des trois scientifiques :