Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique

Par Gilles Levesque

L’Occident a tout simplement perdu la guerre économique avec l’Orient. Celle-ci a commencé dans un premier temps par trop d’abus spéculatif (cupidité) via la titrisation à outrance de titres obligataires de certaines créances (dette) transformées en produits financiers. Cet abus a été grandement favorisé à partir des années 1995 par des politiques monétaires axées sur la libéralisation des mouvements des capitaux et des taux de change. Le monde financier devenait tout d’un coup transnational et mondialisé où plus aucun État ne pouvait désormais penser à réguler les comportements abusifs. Un monde sous forme d’un nouveau royaume sans foi ni loi qui venait d’émerger, ouvert et sans entraves à la privatisation et à la circulation libre des capitaux. Cette politique néocoloniale du capitalisme néolibéral, financier et mondialisé a été favorisée par les cotations actionnariales des entreprises en Bourse, ayant comme résultat direct la privatisation des profits, par la captation (sous forme de dividendes aux créanciers actionnaires) des impôts déversés, tout en favorisant au passage l’amplification de l’évasion fiscale.

L’appauvrissement des États-nations vient de cette politique axée sur la privatisation des profits et de la socialisation des pertes. Il s’agit d’une complicité croissante, de longue date, entre le monde politique, la haute finance et les multinationales, qui doucement va tranquillement se transformer par regroupement de réseaux d’intérêts mafieux et criminels où règnent en maîtres la collusion, le copinage et la corruption à volonté. Une finance rendue tribale, de type féodal, et bâtie uniquement sur le vol ou la razzia des ressources naturelles, le pillage devenant butin, et la traite d’êtres humains, esclaves des temps modernes et pièces de rechange pour ceux qui nourrissent des délires d’éternité. Il s’agit d’esclavage par ceux qui détiennent la dette. Et ces derniers contrôlent également le réel pouvoir qui est donné par la politique monétaire des Banques Centrales.

Le déficit budgétaire et le poids des taxes et des impôts allant toujours croissant, d’année en année, des États-nations vient de ce manque d’entrées en recette fiscale, ou plutôt de la privatisation du flux des impôts et de l’évasion fiscale pour les très riches. Les conséquences directes de tout ça est d’ajouter de plus en plus de mesures d’austérité et de détresse humaine pour combler la différence. Si nous revenons à ce phénomène de titrisation à outrance, qui a eu pour résultat de faire éclater la bulle immobilière en 2008 avec la crise des surprimes, tout en détruisant du même coup la confiance envers les banquiers. Ceux-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et même négatif, afin de lutter dans un premier temps contre la chute boursière, d’éviter l’éclatement de la zone euro, et, pour finir, de contrôler par le flux migratoire une déflation de plus longue durée causée essentiellement par la décroissance démographique des baby-boomers (voir aussi la crise du LIBOR — ou taux interbancaire — en septembre 2019). En parallèle, l’Orient se désengage de plus en plus des pétrodollars et le développement des routes de la soie avec la reconstruction de la Libye, de la Syrie, de l’Irak et du Yémen, va grandement simuler leur économie. Soit l’équivalent d’un plan Marshall, ce qui fait que l’Orient ne tombera pas dans une crise monétaire et financière systémique, contrairement au monde occidental qui y plonge de plein fouet et à très grande vitesse.

L’alternative pour l’Occident et l’OTAN aurait été de déclarer la guerre avec soit l’Iran ou la Russie. Puisqu’il fallait bien détruire les bases arrière des alliées de la Chine, avant de pouvoir déclencher un conflit militaire direct. Cette stratégie d’encerclement et de confinement des alliées de la Chine et de la Chine elle-même est promue clairement par la stratégie du chaos depuis les années 2000 avec l’endiguement de la Russie et de l’Iran par L’OTAN. Une idéologie qui cherche à instrumentaliser l’aspect conflictuel et tribal du multiculturalisme confessionnel de certaines régions de la planète, en voulant lui imposer l’aspect virtuel et illusoire d’une pâle copie de la théorie du choc des civilisations. Une politique néocoloniale axée sur le pillage des ressources naturelles afin de lutter contre le manque de croissance de profit résultant d’un monde aux limites bien finies. Ceci ne pourrait pas exister sans le développement et l’emboîtement de différents réseaux de groupes d’intérêts reliant la corruption institutionnalisée et le copinage entre la finance, le monde politique et les multinationales dans un monde occidental devenu transnational, aux limites virtuelles mondialisées. Couper l’approvisionnement et les routes du pétrole est capital pour toute armée qui désire garder son autonomie et ses capacités de déploiement et d’intervention rapide face à toute offensive guerrière étrangère.

La stratégie des changements de régime (« régime change » en anglais) contre certains pays instrumentalise abusivement les Droits de l’homme ou utilise des ONG qui conseillent discrètement certains groupes d’opposition gouvernementale en jouant sur l’aspect confessionnel et ethnique plus ou moins chaotique relié au multiculturalisme et qui vont parfois jusqu’à leur donner une forme d’assistance militaire pour faciliter leur armement. Le but général est de morceler ces pays tout en favorisant le déclenchement de conflits civils, ce qui les rend encore plus impuissants face aux politiques hégémoniques occidentales. Ceci a été mis en œuvre lors des Révolutions de couleur dirigées par la CIA, entre les années 2004 et 2014, dans les ex-républiques soviétiques (Ukraine et Géorgie), lors des crises de Tchétchénie (en 1994 et 2000), ainsi que lors des Printemps arabes de 2011. Pour cela, il suffit essentiellement d’instrumentaliser et d’armer les partis d’oppositions pour les conduire à l’affrontement du régime en place, tout en poussant ce dernier à l’erreur dans le but de favoriser l’esprit de rébellion et d’insurrection dans la population. Une alternative consiste à favoriser des guerres (de type néocolonial) indirectes par « proxy » en utilisant tout simplement des armées privées de mercenaires ou en instrumentalisant des tribus mutuellement hostiles. Dans un processus de mondialisation du monde marchand, financier et capitaliste, le tout finira inéluctablement par se transformer en néocolonialisme féodal de type ploutocratique.

Les armées russe et iranienne ont développé de nouvelles armes technologiques et stratégiques très performantes et les ont dévoilées et utilisées pour la première fois en Syrie : un nouveau type de missiles balistiques intercontinentaux ultrasoniques à propulsion nucléaire filant à plus de 10 fois la vitesse du son ; des armes de défense antiaérienne et d’interception antimissile comme le système S-400 russe ou le Khordad-3 iranien ; etc. Leur efficacité et leurs performances ne sont plus à démontrer, contrairement au bouclier antimissile Patriot américain qui s’est révélé être une véritable passoire (un bluff !). Le système antimissile Patriot a révélé son inefficacité lors du bombardement par le Yémen de la raffinerie d’Aramco en Arabie Saoudite le 14 septembre 2019, mais surtout lors du bombardement par l’Iran de la base américaine Al-Asad en Irak le 8 janvier 2020, en réponse à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani le 3 janvier 2020. Cet état de fait a drôlement changé la situation géostratégique, surtout depuis 2015 lors de l’intervention russe en Syrie. L’hégémonie occidentale a dû modifier ses plans et faire un véritable repli stratégique, puisque la guerre avec l’Orient était devenue trop incertaine sous le couvert d’une technologie de guerre trop performante.

Ce scénario paraissait très possible sous l’administration Trump, mais qui devient de moins en moins certain avec le vol de l’élection par les démocrates de Biden. Celui-ci semble vouloir renouveler le pillage du pétrole et morceler la Syrie par l’implantation d’une zone sunnite située à l’est de l’Euphrate, recyclant ainsi les mercenaires et l’opposition armée syrienne (ancienne Al-Qaïda et Daesh) dans l’est de la Syrie. Entre 2003 et 2006, Daesh était l’ennemi juré des forces armées américaines qui se trouvaient en Irak, mais à partir de 2006 et surtout depuis 2014 avec la proclamation du Califa Islamique par Abou Bakr al-Baghdadi. Une sorte d’entente illicite s’est alors mise tranquillement en place par association d’intérêts sur le morcellement de l’Irak et la Syrie en trois régions ethniques différentes : kurde au nord, sunnite au centre, et chiite aux extrémités. Daesh était désormais devenu un simple groupe armé privé agissant comme proxy tout en étant coordonné sur le terrain par l’armée américaine pour combattre l’armée syrienne. Ce dernier scénario est porteur d’un potentiel de guerre globale impliquant le bloc occidental via l’OTAN contre le bloc de l’alliance de la résistance orientale. La lutte pour le dernier des royaumes terrestre est peut-être commencée.

Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peut partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Initialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique. Autrement dit, il s’agit de forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont en fait des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée. De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). Néanmoins, en réalité le « numérique » ne peut pas être appliqué (c’est un rêve de puissance des élites), car il est trop sensible aux moindres variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages susceptibles de survenir lors de situations de crise ou de conflit militaire. De telles conditions entraînent facilement la destruction des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) entre émetteur et récepteur nécessaires aux transactions monétaires numériques. Il n’est alors plus possible de faire la moindre transaction virtuelle pour réaliser de simples échanges basiques reliés à la survie même des individus. Famine, guerre et maladie s’ensuivront de toute évidence, voire même le retour au barbarisme.

Les virus à ARN subissent des mutations plus rapidement que les virus à ADN, car le matériel génétique à base d’ARN est moins stable que l’ADN, et c’est pour cela qu’il faut protéger les vaccins avec le froid, car il finit par se dégrader et donc de devenir très dangereux (c’est peut-être cela qui explique la lenteur et la rareté des vaccinations). Un virus trop virulent n’a pas vraiment le temps de se propager rapidement dans la population pour se reproduire, il (l’épidémie !) est donc condamné à mourir rapidement. C’est pour cela que la nature à travers la sélection naturelle favorise plutôt une virulence moindre par une contagiosité plus grande, comme le font chaque année les virus de la grippe. L’un des virus du rhume de la famille des coronavirus (SRAS-COV-2) est passé par une mutation (naturelle ou pas ?) très virulente en mars, avril et mai 2020. Comme c’est le cas pour tous virus que notre système immunitaire rencontre pour la première fois, le temps de s’adapter, et c’est d’ailleurs dans cette situation qu’il y a beaucoup plus de décès parmi les personnes plus fragiles. Le SRAS-COV-2 a par la suite muté pour devenir l’équivalent d’une simple grippe ou rhume à mutation saisonnière (soit des variances de la Covid-19). La situation sanitaire a en réalité tout simplement mis en évidence le manque de financement causé par des politiques d’austérité sur le déficit budgétaire envers les hôpitaux et des systèmes de santé. Ceux-ci sont soumis au flux tendu et débordant chaque année depuis les années 2000 avec l’arrivée des épidémies de grippe saisonnière. La très mauvaise gestion de la crise sanitaire à son début, en plus de l’état de peur du personnel soignant que cela a provoqué par le manque d’informations adéquates, sont les seules responsables du fort taux de mortalité rencontré dans certaines maisons de retraite.

En effet, nous savons désormais que les personnes asymptomatiques présentent une charge virale insuffisante pour promouvoir la propagation de la contamination, car leur système immunitaire combat efficacement en freinant la reproduction du virus. En réalité, ils participent plus à l’établissement de l’immunité collective à travers la population. Le protocole à suivre aurait dû être de protéger les personnes fragiles et à risque de ces établissements (maisons de retraite) en leur fournissant les outils adéquats pour affronter la crise. Les autorités en place auraient dû prévoir de leur fournir des masques pouvant filtrer adéquatement les micros-gouttelettes. Comme les masques filtrants N95 (ou FFP2 pour l’Europe). De tester les individus présentant des symptômes (de là l’efficacité réelle des tests PCR), de les isoler et surtout de leur donner un traitement préventif pour baisser la charge virale, avant que des complications plus graves d’infection bactérienne ne surviennent (tempête de cytokine, thrombose, etc.). De faire un traitement préventif anti-inflammatoire au besoin, incluant un antiviral pour baisser la charge virale ayant pour effet d’augmenter le PH de certaines vacuoles intracellulaire (lysosome), puisque ce virus évolue dans un environnement plus acide à PH bas. Aussi, de faire un traitement antibactérien pour éviter des complications d’infection bactérienne, causée essentiellement par l’affaiblissement du système immunitaire. Et surtout d’inclure du Zinc, de la vitamine C et D pour stimuler les défenses du système immunitaire, comme l’avait suggéré le protocole fort logique du Dr Didier Raoult.

En réalité, la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la cause réelle qui est en réalité une crise économique, financière et monétaire systémique, et qui était sur le bord de tout faire exploser depuis 2008. Les QE (Quantitative Easing ou politique de rachat d’obligations) impliquent la mise en marche d’une planche à billets virtuelle, et les politiques des taux d’intérêt bas et même négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Ceci a ainsi donné l’illusion que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mais, le tout allait inévitablement finir un jour à l’autre par exploser. De même, ce que nous vivons actuellement dans la plupart des pays occidentaux à la solde des consignes de l’ONU et de l’OMS, comme le confinement tueur d’économie nationale et créateur de chômage de masse, est en fait la mise en place (forme) de cette après-explosion de la crise systémique, afin de permettre aux élites de garder la main mise sur les Banques Centrales et sur les politiques de contrôle monétaire (l’Arme du pouvoir absolu).

Masque Vs anti-masque ou vaccin Vs anti-vaccin sont en réalité le résultat de l’utilisation d’une stratégie d’ingénierie sociale pour diviser et instrumentaliser les peuples, dont le but est de dévier l’attention et de diviser pour mieux régner. Entre-temps, se scénario hypnotique de l’attention ciblée favorise la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc. Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales. Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. De quoi ont le plus peur nos élites et nos oligarques ? Eh bien, de rétrograder et de perdre les outils qui leur donnent le pouvoir de garder leur prestige et privilège. Et entre vous et moi, à quoi cela peut-il bien servir de faire une campagne de vaccination massive si plus de 99,95% des gens atteints guérissent sans problème ? Dans ces conditions et toute proportion gardée, ce n’est pas la maladie du Covid-19 qui est le plus dangereux ni à redouter, mais ce sont les effets secondaires de la vaccination.

Le monde change, et nous devrons désormais l’obliger à nous écouter !


Références pour le suivi de la situation en Syrie et en Irak

Cartes :
Syrie : https://syria.liveuamap.com/fr
IRAK : https://iraq.liveuamap.com/fr

Syrie : SitRep 97 avec Ayssar Midani du Cercle des Volontaires
https://www.youtube.com/user/CercleDesVolontaires/videos

Site de PressTV de l’Iran : https://french.presstv.com/




Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2

[Source : Recherches Covid-19]

[Photo : Alfred Abel, Rudolf Klein-Rogge et Gertrude Welcker dans Dr. Mabuse, le joueur (1922)]

Même l’Institut Robert Koch et d’autres autorités sanitaires ne peuvent pas présenter de preuve décisive qu’un nouveau virus appelé SARS-CoV-2 nous hante. Ce seul fait transforme le discours sur les mutations virales dangereuses en une campagne de peur irresponsable et les tests PCR du SARS-CoV-2 en une entreprise sans valeur.

Dans une demande d’étude qui montre l’isolement et la purification complète des particules prétendues être le SARS-Cov-2, Michael Laue, de l’un des plus importants représentants mondiaux de la “panique” COVID-19, l’institut allemand Robert Koch (RKI), a répondu à cela[1] :

Je n’ai pas connaissance d’un document qui ait purifié et isolé le SARS-CoV-2.

C’est une déclaration plus que remarquable, elle admet un échec complet. Cette concession est en accord avec les déclarations que nous avons présentées dans notre article «Les tests PCR COVID19 n’ont aucune signification scientifique» qu’OffGuardian a publié le 27 juin 2020 – un article qui a été le premier au monde à décrire en détail pourquoi les tests PCR du SARS-CoV-2 sont sans valeur pour le diagnostic d’une infection virale.

L’un des points cruciaux de cette analyse est que les études prétendant avoir montré que le SARS-Cov-2 est un nouveau virus potentiellement mortel n’ont aucun droit de le prétendre, notamment parce que les études prétendant à l’”isolement” du SARS-Cov-2 n’ont en fait pas réussi à isoler (purifier) les particules dites du nouveau virus.

Cela est confirmé par les réponses des scientifiques des études respectives à notre enquête, qui sont présentées dans un tableau dans notre article – parmi elles, le document le plus important au monde en ce qui concerne l’affirmation d’avoir détecté le SARS-Cov-2 (par Zhu et coll.), publié dans le New England Journal of Medicine le 20 février 2020, et maintenant même le RKI.

Soit dit en passant, nous sommes en possession d’une autre réponse de confirmation des auteurs [2] d’une étude australienne.

Recherché, en vain : le virus SARS-CoV-2

En outre, Christine Massey, une ancienne biostatisticienne canadienne dans le domaine de la recherche sur le cancer, et un de ses collègues en Nouvelle-Zélande, Michael Speth, ainsi que plusieurs personnes dans le monde entier (dont la plupart préfèrent rester anonymes) ont soumis des demandes de renseignements au titre de la liberté d’information à des dizaines d’institutions de santé et de sciences et à une poignée de bureaux politiques dans le monde.

Ils recherchent tout document décrivant l’isolation du virus du SARS-COV-2 à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade.

Mais les 46 institutions/bureaux qui ont répondu n’ont absolument pas fourni ou cité de dossier décrivant l’isolement du “SARS-COV-2” ; et le ministère allemand de la Santé a complètement ignoré leur demande de liberté d’information.

L’entrepreneur allemand Samuel Eckert a demandé aux autorités sanitaires de différentes villes telles que Munich, Düsseldorf et Zurich une étude prouvant l’isolation complète et la purification du “SARS-CoV-2”. Il ne l’a pas encore obtenue.

Récompenses pour la preuve de l’isolement et de la causalité

Samuel Eckert a même promis 230 000 euros à Christian Drosten s’il peut présenter des extraits de publications qui prouvent scientifiquement le processus d’isolation du SARS-CoV-2 et de sa substance génétique. La date limite (31 décembre 2020) est passée sans que Drosten réponde à Eckert.

Et une autre date limite est passée le 31 décembre sans que la documentation souhaitée soit présentée. Dans ce cas, le journaliste allemand Hans Tolzin a offert une récompense de 100 000 euros pour une publication scientifique décrivant une tentative d’infection réussie avec le SARS-Cov-2, qui a entraîné de manière fiable une maladie respiratoire chez les sujets testés.
La variation de la taille des particules réduit également l’hypothèse du virus à l’absurdité.

Récemment, nous avons été effrayés par de prétendues nouvelles souches de “SARS-CoV-2”, mais cette affirmation n’est pas fondée sur une science solide.

Tout d’abord, on ne peut pas déterminer le variant d’un virus si l’on n’a pas complètement isolé le virus original.

Deuxièmement, il existe déjà des dizaines de milliers de nouvelles souches supposées, “trouvées” depuis l’hiver dernier dans le monde entier. En fait, la banque de données du virus GISAID compte maintenant plus de 452 000 séquences génétiques différentes qui prétendent représenter un variant ou une mutation du SARS-Cov2.

Ainsi, prétendre qu’il y a soudainement de “nouvelles souches” est de la foutaise, même d’un point de vue orthodoxe, parce que, de ce point de vue, les virus mutent constamment. Ainsi, ils peuvent constamment proclamer avoir trouvé de nouvelles souches, perpétuant la peur.

Cette crainte est d’autant plus absurde que les micrographies électroniques publiées dans les études concernées montrent des particules qui sont censées représenter le SARS-CoV-2. Ces images révèlent que la taille de ces particules est extrêmement variable. En fait, la largeur de bande varie de 60 à 140 nanomètres (nm). Un virus qui présente une telle variation de taille extrême ne peut pas réellement exister.

Grâce à un appareil de mesure de la taille (FreeRuler), les particules que les auteurs attribuent au SARS-CoV-2 peuvent être mesurées. Les particules agrandies de la photo de gauche mesurent environ 100 nm chacune (sur une échelle de 100 nm). Mais sur l’image de droite, toutes les petites particules indiquées par des flèches comme étant le SARS-CoV-2, mesurées sur une échelle de 1 MicroM (1 000 nm), ont des tailles totalement différentes.

Les flèches noires indiquent en fait des vésicules. En mesurant certaines de ces particules avec la règle, le résultat est que dans la vésicule centrale, la particule la plus haute au centre mesure presque 52 nm, donc en dessous de la plage proposée par Zhu et al (60 à 140 nm) ; la particule immédiatement à sa droite mesure un peu plus, environ 57. 5nm, mais toujours en dessous de la limite ; alors que, presque au centre de la vésicule la plus basse, la plus grosse particule (flèche jaune) mesure environ 73,7nm, se situant dans les larges marges de Zhu et coll. enfin, dans la vésicule inférieure gauche, la plus grosse particule mesure un bon 155,6nm, c’est-à-dire bien au-dessus de la limite maximale définie par Zhu et coll. (140nm).

Il est probable que la correction effectuée récemment sur Wikipédia visait précisément à couvrir ce problème.

Il existe d’autres indications fortes que les particules appelées SARS-CoV-2 dans ces images pourraient en fait être ces particules inoffensives ou même utiles, appelées “vésicules extracellulaires” (EV), qui ont des dimensions extrêmement variables (de 20 à 10.000nm), mais qui pour la plupart vont de 20nm à 200nm, et qui comprennent, comme sous-catégorie, celle des “exosomes”.

Les exosomes sont des particules produites par nos cellules et contiennent des acides nucléiques, des lipides et des protéines, et sont impliqués dans diverses activités utiles à notre corps, comme le transport de molécules immunitaires et de cellules souches, ainsi que l’élimination des débris cataboliques de la cellule.

Les exosomes représentent peut-être la plus grande part des VE et font l’objet de nombreuses études depuis plus de 50 ans. Bien que peu de gens aient entendu parler de ces particules bénéfiques, la littérature scientifique à leur sujet est énorme, et seulement sur PubMed, si l’on tape “exosome”, plus de 14 000 études sont fournies ! Nous ne pouvons pas entrer dans les détails des VE et des exosomes ici, mais il est important de souligner comment ils sont indiscernables des virus sur microscopie électronique, et plusieurs scientifiques pensent qu’en réalité ce qui est défini comme un virus dangereux n’est rien d’autre qu’un exosome bénéfique dans certains cas.

Cela est immédiatement visible au microscope électronique [3] :

Comme on peut le voir, le plus grand des exosomes est de la même taille et structure que le prétendu SARS-CoV-2, et il est donc plausible de croire que, dans la grande mer de particules contenues dans le surnageant du liquide broncho-alvéolaire du patient COVID-19, ce qui est considéré comme le SARS-CoV-2 n’est qu’un exosome.

Pourquoi la purification est essentielle pour prouver l’existence du SARS-Cov-2

Donc, logiquement, si nous avons une culture avec d’innombrables particules extrêmement similaires, la purification des particules doit être la toute première étape pour pouvoir vraiment définir les particules que l’on croit être des virus comme des virus (en plus de la purification des particules, bien sûr, il faut ensuite déterminer sans faille, par exemple, que les particules peuvent causer certaines maladies dans des conditions réelles et pas seulement en laboratoire).

Par conséquent, si aucune “purification” des particules n’a été effectuée nulle part, comment peut-on prétendre que l’ARN obtenu est un génome viral ? Et comment cet ARN peut-il alors être largement utilisé pour diagnostiquer une infection par un nouveau virus, que ce soit par un test PCR ou autre ? Nous avons posé ces deux questions à de nombreux représentants du récit officiel du Covid dans le monde entier, mais personne n’a pu y répondre.

Par conséquent, comme nous l’avons indiqué dans notre article précédent, le fait que les séquences de gènes d’ARN – que les scientifiques ont extraites d’échantillons de tissus préparés dans le cadre de leurs études in vitro et auxquelles les tests RT-PCR du SARS-CoV-2 ont finalement été “calibrés” – appartiennent à un nouveau virus pathogène appelé SARS-CoV-2 est donc basé sur la foi seule, et non sur des faits.

Par conséquent, on ne peut conclure que les séquences de gènes d’ARN “tirées” des échantillons de tissus préparés dans le cadre de ces études, auxquelles les tests PCR sont “calibrés”, appartiennent à un virus spécifique, en l’occurrence le SARS-CoV-2.

Au lieu de cela, dans toutes les études prétendant avoir isolé et même testé le virus, on a fait quelque chose de très différent : les chercheurs ont prélevé des échantillons de la gorge ou des poumons de patients, les ont ultracentrifugés (projetés à grande vitesse) pour séparer les molécules les plus grosses/lourdes des plus petites/légères, puis ont pris le surnageant, la partie supérieure du matériel centrifugé.

C’est ce qu’ils appellent “isoler”, auquel ils appliquent ensuite la PCR. Mais ce surnageant contient toutes sortes de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes mentionnés plus haut, qui sont produites par notre propre corps et sont souvent simplement impossibles à distinguer des virus :

De nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen de méthodes d’isolement des vésicules canoniques, telles que l’ultracentrifugation différentielle, car elles sont souvent co-pulvérisées en raison de leur dimension similaire… comme il est dit dans l’étude The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses publiée en mai 2020 dans la revue Viruses.

Ainsi, les scientifiques “créent” le virus par PCR : vous prenez des amorces, c’est-à-dire des séquences génétiques préalablement existantes disponibles dans des banques génétiques, vous les modifiez sur la base d’un raisonnement purement hypothétique, et vous les mettez en contact avec le bouillon surnageant, jusqu’à ce qu’elles s’attachent (s’annulent) à un certain ARN dans le bouillon ; puis, par l’intermédiaire de l’enzyme transcriptase inverse, vous transformez l’ARN ainsi “pêché” en un ADN artificiel ou complémentaire (ADNc), qui peut alors, et seulement alors, être traité par PCR et multiplié par un certain nombre de cycles PCR.

(Chaque cycle double la quantité d’ADN, mais plus le nombre de cycles nécessaires pour produire du matériel “viral” détectable est élevé, plus la fiabilité de la PCR – c’est-à-dire sa capacité à “obtenir” réellement quelque chose de significatif du surnageant – est faible. Au-delà de 25 cycles, le résultat a tendance à être dénué de sens, et tous les tests ou protocoles PCR en circulation actuellement utilisent toujours bien plus de 25 cycles, en fait généralement 35 à 45).

Pour aggraver les choses, les amorces sont constituées de 18 à 24 bases (nucléotides) chacune ; le virus SARS-Cov2 est censé être composé de 30 000 bases ; l’amorce ne représente donc que le 0,08% du génome du virus. Il est donc encore moins possible de sélectionner le virus spécifique que vous recherchez sur un terrain aussi minuscule, et de plus dans une mer de milliards de particules très similaires.

Mais ce n’est pas tout. Comme le virus que vous recherchez est nouveau, il n’existe manifestement pas d’amorces génétiques prêtes à correspondre à la fraction spécifique du nouveau virus ; vous prenez donc des amorces qui, selon vous, peuvent être plus proches de la structure supposée du virus, mais il s’agit d’une supposition, et lorsque vous appliquez les amorces au bouillon surnageant, vos amorces peuvent s’attacher à n’importe laquelle des milliards de molécules présentes dans celui-ci, et vous n’avez aucune idée que ce que vous avez ainsi généré est le virus que vous recherchez. Il s’agit en fait d’une nouvelle création des chercheurs, qui l’appellent alors SARS-CoV-2, mais il n’y a aucun lien avec le “vrai” virus présumé responsable de la maladie.

Le «génome du virus» n’est rien d’autre qu’un modèle informatique

Le génome complet du virus SARS-CoV-2 n’a jamais été séquencé et a plutôt été “reconstitué” sur ordinateur. Le médecin californien Thomas Cowan a appelé cela une “fraude scientifique”. Et il n’est pas le seul, et de loin !

Cowan a écrit le 15 octobre 2020 [c’est nous qui soulignons] :

Cette semaine, ma collègue et amie Sally Fallon Morell a attiré mon attention sur un article étonnant publié par le CDC en juin 2020. L’objectif de l’article était qu’un groupe d’environ 20 virologistes décrivent l’état de la science de l’isolation, de la purification et des caractéristiques biologiques du nouveau virus SARS-CoV-2, et qu’ils partagent ces informations avec d’autres scientifiques pour leurs propres recherches.

Une lecture approfondie et attentive de cet important document révèle des conclusions choquantes.

La partie de l’article intitulée “Séquençage du génome entier” montre que plutôt que d’avoir isolé le virus et séquencé le génome de bout en bout”, le CDC “a conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (n° d’accès GenBank NC045512).

On peut donc se demander comment ils ont séquencé le virus, c’est-à-dire l’ont analysé génétiquement ?

Eh bien, ils n’ont pas analysé l’ensemble du génome, mais ont plutôt pris quelques séquences trouvées dans les cultures, ont affirmé sans preuve qu’elles appartenaient à un nouveau virus spécifique, puis ont fait une sorte de puzzle informatique génétique pour remplir le reste. “Ils utilisent la modélisation informatique pour créer un génome à partir de zéro“ comme le dit le biologiste moléculaire Andrew Kaufman.

https://youtu.be/sSBQUIEUbQ8

Il n’est donc peut-être pas surprenant que l’une des amorces du test mis au point par l’Institut Pasteur corresponde exactement à une séquence du chromosome 8 du génome humain.

Aucune preuve que le SARS-CoV-2 peut voler dans les airs

Pour soi-disant arrêter la propagation du prétendu nouveau virus, nous sommes obligés de pratiquer diverses formes de distanciation sociale et de porter des masques. Derrière cette approche se cache l’idée que les virus, et en particulier le SARS-CoV-2, que l’on croit responsable de la maladie respiratoire Covid-19, se transmettent par l’air ou, comme on l’a dit plus souvent, par les gouttelettes nébulisées dans l’air de ceux qui toussent ou éternuent ou, selon certains, parlent simplement.

Mais la vérité est que toutes ces théories sur la transmission du virus ne sont que des hypothèses qui n’ont jamais été prouvées.

Il manquait des preuves dès le début. Comme le rapporteNature dans un article d’avril 2020, les experts ne sont pas d’accord sur le fait que le SARS-CoV-2 se transmet par voie aérienne, et selon l’OMS elle-même, “les preuves ne sont pas convaincantes”.

Même d’un point de vue orthodoxe, les seules études dans lesquelles la transmission d’un coronavirus (pas le SARS-Cov2) par l’air a été “prouvée” de manière préliminaire ont été menées dans des hôpitaux et des maisons de soins, dans des endroits qui sont censés produire tous types d’infections en raison des conditions d’hygiène.

Mais aucune étude n’a jamais prouvé qu’il y avait transmission de virus dans des environnements ouverts, ou dans des environnements fermés, mais bien ventilés. Même en supposant qu’il y ait cette transmission par voie aérienne, il a été souligné que, pour que la “contagion” se produise, il est nécessaire que les personnes entre lesquelles la prétendue transmission se produit soient en contact étroit pendant au moins 45 minutes.

En bref, toutes les mesures d’éloignement radical n’ont aucun fondement scientifique.

Pas d’«infection» asymptomatique

Comme la purification des particules est la condition préalable indispensable pour les étapes suivantes, c’est-à-dire la preuve de la causalité et le “calibrage” des tests, nous avons un test diagnostiquement insignifiant et le mantra “test, test, test” de Tedros Adhanom Ghebreyesus de l’OMS, mentionné dans notre article du 27 juin, doit donc être qualifié de non scientifique et de trompeur.

Cela est particulièrement vrai pour les tests effectués sur des personnes ne présentant pas de symptômes. Dans ce contexte, même une étude chinoise de Wuhan publiée dans Nature le 20 novembre 2020, dans laquelle près de 10 millions de personnes ont été testées et tous les cas positifs asymptomatiques, les cas ré-positifs et leurs contacts proches ont été isolés pendant au moins 2 semaines jusqu’à ce que le test PCR soit négatif, a constaté cela :

Tous les contacts étroits des cas positifs asymptomatiques ont été testés négatifs, ce qui indique que les cas positifs asymptomatiques détectés dans cette étude n’étaient probablement pas infectieux.

Même l’orthodoxe British Medical Journal s’est récemment joint à la critique.

Peu avant Noël, le magazine scientifique a publié l’article “COVID-19: Mass testing is inaccurate and gives false sense of security, minister admits” (“COVID-19″ : Les tests de masse ne sont pas fiables et donnent un faux sentiment de sécurité, admet le ministre”), expliquant que les tests déployés dans certaines régions du Royaume-Uni ne sont tout simplement pas du tout précis pour les personnes asymptomatiques et affirmant qu’ils ne peuvent pas déterminer avec précision si une personne est positive ou négative, comme l’a écrit Collective Evolution. (L’OMS elle-même l’a admis depuis, deux fois – éd.)

Déjà quelques semaines auparavant, on pouvait lire cela dans The BMJ :

Les tests de masse pour COVID-19 sont un gâchis injustifié, mal conçu et coûteux,

Et :

Le dépistage de la COVID-19 dans la population en bonne santé est d’une valeur inconnue, mais il est introduit à l’échelle nationale.

Et cela [nous soulignons] :

« La réponse du Royaume-Uni à la pandémie repose trop sur les scientifiques et autres personnes nommées par le gouvernement qui ont des intérêts contradictoires inquiétants, notamment des participations dans des sociétés qui fabriquent des tests de diagnostic, des traitements et des vaccins contre le covid-19 »

À part cela, l’avocat Reiner Füllmich, membre de la commission d’enquête extra-parlementaire allemande “Stiftung Corona Ausschuss”, a déclaré que Stefan Hockertz, professeur de pharmacologie et de toxicologie, lui a dit que jusqu’à présent aucune preuve scientifique n’a été trouvée pour une infection asymptomatique. Livestream Session 27 – A sweeping blow

https://youtu.be/kANkpqtWLN4

L’Institut Robert Koch n’a pas été en mesure de nous envoyer une seule étude démontrant que (a) les personnes asymptomatiques “positives” rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), que (b) les personnes “positives” présentant des symptômes de maladie rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), et que (c) toute personne ayant été testée “positive” pour le SARS-CoV-2 rendait une autre personne “positive”. [4]

« Si vous ne testiez plus, le Covid disparaîtrait »

Déjà en mai, une publication importante comme le Journal of the American Medical Association affirmait qu’un résultat “positif” de PCR n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable“, alors qu’une étude récente du Lancet affirme que “la détection de l’ARN ne peut pas être utilisée pour déduire l’infectiosité”.

Dans ce contexte, on ne peut qu’être d’accord avec Franz Knieps, responsable de l’association des caisses d’assurance maladie d’entreprise en Allemagne et en contact étroit depuis de nombreuses années avec la chancelière allemande Angela Merkel, qui a déclaré à la mi-janvier que “si vous ne faisiez plus de tests, le Covid disparaîtrait”.

Il est intéressant de noter que même le principal conseiller du gouvernement en matière de confinement et autres mesures, Christian Drosten, s’est contredit sur la fiabilité des tests PCR. Dans une interview de 2014 concernant le test PCR pour le dénommé MERS-CoV en Arabie Saoudite, il a déclaré

« La méthode [PCR] est si sensible qu’elle peut détecter une seule molécule héréditaire du virus. Par exemple, si un tel agent pathogène traverse la membrane nasale d’une infirmière pendant une journée sans qu’elle ne tombe malade ou ne remarque rien, alors elle est soudainement un cas de MERS. Alors que les décès étaient auparavant signalés, les cas bénins et les personnes en parfaite santé sont soudainement inclus dans les statistiques. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie Saoudite. De plus, les médias locaux ont fait monter l’affaire jusqu’à des niveaux incroyables ».

Cela vous semble vaguement familier ?

Et même Olfert Landt critique les résultats des tests PCR, affirmant que seule la moitié environ des personnes “infectées par le coronavirus” sont contagieuses. C’est plus que remarquable, car Landt est non seulement l’un des co-auteurs de Drosten dans l’article de Corman et coll. – le premier protocole de test PCR à être accepté par l’OMS, publié le 23 janvier 2020 dans Eurosurveillance – mais aussi le PDG de TIB Molbiol, la société qui produit les tests selon ce protocole.

Malheureusement, ce conflit d’intérêts n’est pas mentionné dans l’article de Corman/Drosten et coll., comme l’ont critiqué 22 scientifiques – dont l’un des auteurs de cet article, Stefano Scoglio – dans une récente analyse approfondie.

Au total, Scoglio et ses collègues ont constaté “de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs”, dont Christian Drosten, ainsi que diverses failles scientifiques fondamentales. C’est pourquoi ils ont conclu que “le comité de rédaction d’Eurosurveillance n’a pas d’autre choix que de se rétracter”.

Le 11 janvier 2021, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu au courriel de Torsten Engelbrecht lui demandant de commenter cette analyse :

Nous sommes au courant d’une telle demande [de rétractation du document de Corman/Drosten et coll.], mais nous espérons que vous comprendrez que nous ne faisons pas de commentaire à ce sujet pour le moment. Cependant, nous travaillons en vue d’une décision d’ici la fin janvier 2021.

Le 27 janvier, Engelbrecht s’est de nouveau adressé au journal pour lui demander : “Nous sommes maintenant à la fin du mois de janvier. Permettez-moi donc de vous le redemander : Quel est votre commentaire sur l’analyse mentionnée de votre article de Corman/Drosten et coll. Et allez-vous vous rétracter l’article de Corman et coll. – ou qu’allez-vous faire ? Deux jours plus tard, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu comme suit :

Cela prend un certain temps, car plusieurs parties sont impliquées. Nous communiquerons notre décision dans l’un des prochains numéros réguliers du journal.

Des milliards et des milliards de dollars gaspillés pour des tests qui ne veulent pas dire grand-chose

Compte tenu de l’absence de faits pour la détection du nouveau virus présumé et pour que les tests PCR SARS-CoV-2 aient un sens, il est d’autant plus scandaleux que les coûts des tests ne soient pas discutés publiquement, car ils sont énormes. Souvent, nous entendons des politiciens et des chefs de file déclarer que, selon certains critères, les tests sont gratuits, mais c’est un mensonge. Ce qu’ils veulent dire en réalité, c’est que vous ne payez pas sur place, mais avec vos impôts.

Mais quelle que soit la manière dont vous payez, en Suisse, par exemple, le coût d’un test PCR se situe entre 140 et 200 francs suisses (130 à 185 euros). Alors, faisons le calcul. Au moment où nous écrivons ces lignes, la petite Suisse, avec une population de 8,5 millions d’habitants, a réalisé environ 3 730 000 tests PCR pour le SARS-CoV-2, en plus d’environ 500 000 tests d’antigènes, qui sont un peu moins chers.

Si l’on considère un prix moyen de 170 CHF par test PCR, cela représente un montant stupéfiant de 634 millions de CHF, soit 586 millions d’euros. Et malgré l’absurdité de tester les personnes asymptomatiques, pas plus tard que la semaine dernière, le 27 janvier, le Conseil fédéral suisse a de nouveau appelé la population à se faire tester. Annonçant qu’à partir du lendemain, les Suisses devront également payer avec leurs impôts pour les tests de masse des personnes asymptomatiques. Le Conseil fédéral suisse estime que cela coûtera environ 1 milliard de francs suisses.

Le Dr Tom Jefferson, épidémiologiste, a déclaré dans une interview au Daily Mail

La plupart des kits PCR coûtent encore plus de 100 livres sterling à obtenir dans le secteur privé, par exemple, et le gouvernement [britannique] dit qu’il en distribue maintenant 500 000 par jour. Mais même ces chiffres sont éclipsés par les 100 milliards de livres que le Premier ministre est prêt à dépenser pour réaliser son rêve de fournir à la population des tests [PCR et autres – NDLR] plus ou moins en fonction de la demande – soit 29 milliards de livres de moins que le budget annuel du NHS dans son ensemble.
 

En Allemagne, le prix varie considérablement, selon que le test est payé par le secteur privé ou non, mais il est en moyenne similaire à celui pratiqué en Grande-Bretagne, et à ce jour, environ 37,5 millions de tests PCR ont été réalisés.

En France, un test PCR coûte environ 70€ et environ 45 959 545 ont déjà été réalisés, soit un coup de 3,217,168,150 €.

Autrement dit, des milliards et des milliards sont dépensés – ou carrément “brûlés” – pour des tests insignifiants qui alimentent la “chasse” moléculaire et numérique mondiale pour un virus qui n’a jamais été détecté.

*Torsten Engelbrecht est un journaliste d’investigation de Hambourg, en Allemagne. La nouvelle édition de son livre “Virus Mania” (co-écrit avec le Dr Claus Köhnlein MD, le Dr Samantha Bailey MD et le Dr Stefano Scolgio BSc PhD), qui a été considérablement augmentée, sera disponible début février. En 2009, il a remporté le prix allemand des médias alternatifs. Il a été membre du personnel du Financial Times Deutschland et a également écrit pour OffGuardian, The Ecologist, Rubikon, Süddeutsche Zeitung, et bien d’autres. Son site web est http://www.torstenengelbrecht.com.

**Le Dr Stefano Scoglio, BSc PhD, est un expert en microbiologie et en naturopathie. Il coordonne la recherche scientifique et clinique sur les extraits d’algues Klamath et sur les probiotiques à base de microalgues, en coopération avec le Centre national de recherche italien et diverses universités. Depuis 2004, il a publié de nombreux articles dans des revues scientifiques internationales. En 2018, Scoglio a été nominé pour le prix Nobel de médecine.

***Konstantin Demeter est un photographe indépendant et un chercheur indépendant. Avec le journaliste Torsten Engelbrecht, il a publié des articles sur la crise “COVID-19” dans le magazine en ligne Rubikon, ainsi que des contributions sur le système monétaire, la géopolitique et les médias dans des journaux suisses italiens.


NOTES

  • [1] Email from September 4, 2020
  • [2] Email from October 5, 2020
  • [3] The pictures are taken from a presentation by Dr. Andrew Kaufman, Ohio, one of the main proponents of the theory that viruses are actually exosomes.
  • [4] Email from December 3, 2020

Source : https://off-guardian.org/2021/01/31/phantom-virus-in-search-of-sars-cov-2/
Traduction par http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/virus-fantome-a-la-recherche-du-sras-cov-2-off-guardian et https://cv19.fr




Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

[Source : Recherches Covid-19]

Comment créer son propre “nouveau virus” à l’aide de programmes informatiques. Veuillez noter que ce “virus” (chaîne d’ARN) n’est pas réel, il est généré par ordinateur. Malheureusement, presque tout le monde, quand ils croient que c’est réel, a peur.

Ainsi, une fois que vous avez prélevé un échantillon d’ADN animal (fœtus de bovin), d’ADN humain, d’autres contaminants et d’ARN très délicat, vous le mélangez et laissez les ordinateurs créer un virus virtuel.
Et si vous avez besoin de le présenter comme réel, et non pas comme il est réellement, simulé, vous pouvez opter pour un faux tableau de mortalité généré par ordinateur, le faire lancer par un universitaire comme le professeur Neil Ferguson et pour son rôle dans cette fraude criminelle, il pourra plus tard dire qu’il s’agissait d’une “erreur de jugement”.

On crée donc un faux virus, une simulation prédictive de la mortalité due à ce virus, puis on passe à la mise en place de tests de diagnostic erronés (RT PCR) qui, à partir d’un “positif” à partir de quelques séquences d’ARN, peuvent également être positifs pour une maladie qui n’existe pas réellement. Testez Testez Testez.
https://cv19.fr/2020/10/26/les-tests-pcr-covid19-nont-aucune-signification-scientifique/

L’histoire vraie et vérifiable de la création du virus 100% fictif “Sars CoV2” par de multiples logiciels.

Le 26 décembre, alors que les autorités chinoises inquiétaient les habitants de Wuhan en enfermant les médecins et les journalistes lanceurs d’alerte, un homme de Wuhan a été testé. Le résultat est arrivé comme le début de la nouvelle campagne de tests PCR : un test sans intérêt – un écouvillon de l’arrière de sa gorge ou de l’intérieur de son nez avait détecté la présence du “nouveau nouveau coronavirus”. Mais je vous demande comment c’est possible puisque le test PCR n’avait pas été développé et que le nouveau “nouveau” virus n’avait même pas été isolé. Les tests moléculaires nécessitent des connaissances sur le(s) agent(s) potentiel(s) pour déterminer le(s) test(s) correct(s).

La première séquence du génome du ” SARS-CoV-2 “, Wuhan-Hu-1, aurait été publiée le 10 janvier 2020 (GMT) par un consortium dirigé par Zhang, Résumé :
Une séquence complète du génome du coronavirus 2 (SARS-CoV-2) a été générée par ordinateur, et non isolée, à partir d’un échantillon d’ADN, d’ARN, d’ADN animal et d’additifs de culture provenant d’un patient sud-africain qui était retourné en Afrique du Sud après avoir voyagé en Italie. Par un consortium dirigé par Zhang en Chine ? ?! Un nouveau génome a été séquencé par modèle informatique, un génome de sars CoV2 n’a jamais été isolé, il a été généré.

Rapport sur le génome Virological.org
COVID-19, une nouvelle maladie présumée et non prouvée prétendument causée par un brin d’ARN ” SARS-CoV-2 ” (Zhou et al., 2020) se propagerait rapidement en Afrique du Sud (Ministère sud-africain de la santé et NHI, 2020), dans le reste du continent africain (Afrique CDC, 2020) et dans le monde (Organisation mondiale de la santé, 2020).

Rapport sur le génome Virological.org
COVID-19, une nouvelle maladie présumée et non démontrée, prétendument causée par un brin d’ARN “SARS-CoV-2” (Zhou et al., 2020), se propagerait rapidement en Afrique du Sud (ministère sud-africain de la Santé et NHI, 2020), dans le reste du continent africain (Afrique CDC, 2020) et dans le monde (Organisation mondiale de la Santé, 2020).

Le séquençage de nouvelle génération d’agents pathogènes peut aider les grandes entreprises pharmaceutiques à vendre et à commercialiser des médicaments et des vaccins (Gwrinn et al., 2019)… Au 1er avril 2020, plus de 3000 génomes de SARS-Cov-2( pourquoi ont-ils tous des génomes différents ? Selon le GISAID, il y a maintenant plus de 40 000 génomes pour un seul et même croque-mitaine). Ils ont été créés à l’échelle mondiale par des modèles de séquençage et téléchargés au GISAID (The GISAID Initiative, 2020). Le site web Nextstrain (The Nextstrain Team, 2020) offre un suivi en temps réel .

“Le virus” (brin d’ARN généré par l’ordinateur) a été préparé sur des modèles informatiques.

“L’ARN viral du SARS-CoV-2 a été préparé en extrayant l’ARN total de cellules Vero (ATCC, CCL-81) infectées par le BetaCoV/Korea/KCDC03/2020 , à une multiplicité d’infection (MOI) de 0,05, et cultivé dans du DMEM (GIBCO) supplémenté/contaminé avec 2% de sérum foetal bovin (GIBCO) et de la pénicilline-streptomycine (GIBCO) à 37 C, 5% CO2. L’ARN est le quatrième élément et n’est pas isolé en plaques.
L’architecture transcriptomique est inconnue, il y a eu de nombreux événements de transcription discontinus.
Aucune preuve ou indice n’indique que le patient (ou le fœtus bovin) dont ils ont utilisé les échantillons pour générer un “virus” avait une maladie appelée covid. Pas de contrôle, pas de référence.

Des prélèvements nasopharyngés et oropharyngés provenant d’un “individu symptomatique” ont été collectés et combinés, contaminés par de l’ADN humain et animal.

La multitude de logiciels différents que vous devrez utiliser pour le fabriquer ( comme, bien sûr, le SARS-CoV-2, juste sur l’écran de votre ordinateur) et le gouvernement ne vous laissera pas faire. Ce n’est pas un vrai “virus”, un organisme/brin d’ARN que vous pouvez isoler et voir sur un microscope électronique ou un nanoscope. Il est important de noter que bien que la RT-PCR soit l’outil de diagnostic le plus utilisé pour la détection, un résultat positif n’indique pas une infection ou l’existence d’un “virus”. Il ne peut qu’indiquer la présence de certains ARN que les amorces recherchent et ne prouve pas de manière concluante que les molécules d’ARN trouvées ont même une queue et une coiffe ou sont des molécules d’ARN vivantes et transmissibles. Comme les chercheurs ne savaient pas quel agent ils recherchaient au départ, on peut comprendre qu’ils ne pouvaient pas savoir quel agent (amorces) utiliser, c’est-à-dire quel acide nucléique rechercher et amplifier.

L’extraction totale des acides nucléiques a été réalisée à l’aide du kit MagNA Pure 96 DNA and Viral NA Small Volume Kit (Roche, Suisse) comme décrit par le fabricant. L’acide nucléique SARS-CoV-2 a été détecté ? ?? Mais comment ont-ils su quel était l’acide nucléique du SARS-CoV-2 s’ils n’avaient pas encore le génome ? En utilisant le test TIB Molbiol LightMix Sarbeco E-gene real-time polymerase chain reaction assay, qui a donné une valeur de 23,21 pour le seuil de cycle (Ct) (Corman et al, 2012) Une autre extraction d’acide nucléique, obtenue à l’aide du mini kit d’ARN viral QIAamp (QIAGEN, Allemagne), a été évaluée avec le kit de test ARN Qubit (Invitrogen, Carlsbad, CA, USA) et la station de bande magnétique Agilent 4200 (Agilent Technologies, Allemagne). La déplétion de l’ARN ribosomique de l’hôte a été réalisée à l’aide du kit de déplétion de l’ARNr NEBNext (New England Biolabs, Ipswich, MA, USA), suivie de la synthèse de l’ADNc. Les bibliothèques couplées ont été préparées à l’aide du kit de préparation de bibliothèque d’ADN Flex de Nextera, suivi d’un séquençage de 2×300 bp effectué sur Illumina MiSeq (Illumina, San Diego, CA, USA). Toutes les méthodes et techniques mentionnées ci-dessus ont été réalisées à l’Institut national des maladies transmissibles, une division du Service national des laboratoires de santé, à Johannesburg, en Afrique du Sud.

La séquence métagénomique qui en résulte (9 406 678 paires de lectures) – ils ont dit qu’elle n’était que de 30 000 – a donc été réduite à 23 489 (Q>20) en utilisant Trim Galore (Felix Krueger, 2019) et ensuite FastQ Screen (Steven Wingett, 2019) a été utilisé pour “filtrer”. Les lectures d’ARN restantes (23 489 lectures) ont ensuite été mises en correspondance avec le génome complet de l’isolat de Wuhan-Hu-1 du SARS-CoV-2
…. Il en manque 7 000, il existe un autre programme pour remédier à cela. Demandez à l’ordinateur d’ajouter 7 000 aléas.

(Numéro d’accès Genbank : MN908947.3) (Excusez-moi, mais comment pouvez-vous faire correspondre le prétendu premier génome à un autre ?) en utilisant CLC Bio (Qiagen, 2020) pour générer la séquence de consensus.
La séquence de consensus a été combinée avec une collection de 965 génomes SARS-CoV-2 téléchargés à partir de GISAID ( Attendez, il n’y a pas de génomes si c’était prétendument le premier nouveau) et un alignement de séquence multiple (MSA) a été généré en utilisant MAFFT v7.042 (Katoh et Standley, 2013) fonctionnant dans Nextstrain (Hadfield et al., 2018) à l’Institut national sud-africain de bioinformatique (SANBI), Université de Western Cape, Cape Town, Afrique du Sud. Les lectures de séquences utilisées pour générer le consensus ont été mises en correspondance avec la séquence MN908947.3 en utilisant BWA-MEM v0.7.17 (Li, 2013) fonctionnant dans Galaxy (Afgan et al., 2018).

La séquence métagénomique qui en résulte (9 406 678 paires de lectures) – ils ont dit qu’elle n’était que de 30 000 – a donc été réduite à 23 489 (Q>20) en utilisant Trim Galore (Felix Krueger, 2019) et ensuite FastQ Screen (Steven Wingett, 2019) a été utilisé pour “filtrer”. Les lectures d’ARN restantes (23 489 lectures) ont ensuite été mises en correspondance avec le génome complet de l’isolat de Wuhan-Hu-1 du SARS-CoV-2
…. Il en manque 7 000, il existe un autre programme pour remédier à cela. Demandez à l’ordinateur d’ajouter 7 000 aléas.

(Numéro d’accès à la Genbank : MN908947.3) (Excusez-moi, mais comment pouvez-vous faire correspondre le prétendu premier génome à un autre ?) en utilisant CLC Bio (Qiagen, 2020) pour générer la séquence de consensus. Le consensus scientifique est un sujet très délicat.
La séquence de consensus a été combinée avec une collection de 965 génomes SARS-CoV-2 téléchargés à partir de GISAID ( Attendez, il n’y a pas de génomes si c’était prétendument le premier nouveau) et un alignement de séquence multiple (MSA) a été généré en utilisant MAFFT v7.042 (Katoh et Standley, 2013) fonctionnant dans Nextstrain (Hadfield et al., 2018) à l’Institut national sud-africain de bioinformatique (SANBI), Université de Western Cape, Cape Town, Afrique du Sud. Les lectures de séquences utilisées pour générer le consensus ont été mises en correspondance avec la séquence MN908947.3 en utilisant BWA-MEM v0.7.17 (Li, 2013) fonctionnant dans Galaxy (Afgan et al., 2018).

Les variantes de la séquence de consensus ont été identifiées par l’inspection de la MSA, validées par l’inspection de la cartographie de lecture et visualisées en IGV (Robinson et al., 2011). Sur une liste initiale de 74 variants, 6 ont été confirmés par les preuves des lectures cartographiées et retenus. La profondeur de la couverture a été calculée à l’aide de samtools (Li et al., 2009), et la moyenne a été calculée sur le génome, ce qui a donné une profondeur moyenne de 10 lectures. Les régions à forte couverture (plus de 5 lectures) ont été identifiées en utilisant covtobed (Birolo et Telatin, 2020) et le fichier BED résultant utilisé pour masquer les positions des variantes (en utilisant Python et le module intervaltree dans un carnet Jupyter (Thomas et al., 2016)). Ce masquage a confirmé que les 6 variantes de bonne qualité mentionnées précédemment étaient situées dans les 76% du génome qui étaient couverts par des lectures à une profondeur supérieure à 5. Les variantes ont été insérées dans la séquence de référence MN908947.3 à l’aide de BioPython (Cock et al., 2009).

Virological.org Ref Séquence du génome entier du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) obtenu sur un patient sud-africain atteint de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19)
https://virological.org/t/whole-genome-sequence-of-the-severe-acute-respiratory-syndrome-coronavirus-2-sars-cov-2-obtained-from-a-south-african-coronavirus-disease-2019-covid-19-patient/452

Les résultats de l’étude de Lancet sur les maladies infectieuses confirment la théorie selon laquelle il n’y a pas de nouveau virus ni de nouvelle maladie.
La fausse maladie un modèle de symptômes “COVID-19” s’est d’abord présentée sous la forme de trois modèles cliniques distincts. Woops fait des diagnostics erronés sur la base d’un test PCR qui n’était pas censé être utilisé pour diagnostiquer la maladie.
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(20)30237-1/fulltext

Pas de nouvelle maladie car il n’y a pas eu de nouveaux symptômes.
On dit maintenant que les symptômes sont les mêmes que ceux de la grippe = pas de nouvelle maladie.

Il a été rapporté dans les cas précédents la cinétique de l’ARN “viral” de deux patients qui ont développé une détérioration respiratoire tardive malgré la disparition de l’ARN “viral” nasopharyngien. Les tests se sont révélés négatifs, aucun “virus” n’a été trouvé, et la détérioration et la mort sont survenues sans lui, mais ils ont quand même insisté sur le fait qu’il y avait/est un nouveau virus et une nouvelle maladie.
Je suis désolé si je vous ai ennuyé jusqu’aux larmes mais 1) ils n’ont pas isolé de virus 2) il s’agit d’une fraude continue et d’une croyance religieuse totale dans un test PCR qui n’était pas censé être utilisé pour diagnostiquer des maladies mais qui est maintenant utilisé frauduleusement pour enregistrer des cas d’une maladie qui n’existe même pas. Cela dépasse l’entendement.

Alors détendez-vous, la mortalité due à un faux virus est de 0. Le problème est de lancer le canular auprès de l’OMS et des Nations unies par le biais des médias en infectant les personnes avec un virus mental, cy croire le rend réel dans leurs tête. Le virus mental qui utilise la peur comme un récepteur contrairement à un virus généré par ordinateur peut être nocif car une réponse prolongée au stress n’est pas bonne pour le corps/esprit.
Pour en savoir plus.
https://thegnmsolution.com/the-elusive-virus-2/
https://thegnmsolution.com/rational-voices-talk-about-covid-19/
*Vous ne pourrez probablement pas obtenir le laboratoire, l’équipement, les agents, le financement et les permis nécessaires pour jouer avec l’ADN. Le but de ce fil de discussion était de faire comprendre aux gens que ce Sars CoV2 n’est pas réel et qu’ils sont manipulés mentalement.
N’oubliez pas la grande question, la recherche intérieure qui est primordiale, découvrir qui vous êtes au-delà du nom et de la forme.

Source : https://notpublicaddress.wordpress.com/2020/08/08/how-to-create-your-own-novel-virususing-computer-software/
Traduction par https://cv19.fr




COVID, une maladie qui n’en a que le nom

[Source : Recherches Covid-19]

Par Jon Rappoport

[Photo : Les séquences de gènes des virus n’existent que sous forme de modèles informatiques.]


Une toux, ou des frissons et de la fièvre, par exemple. L’un ou l’autre suffit pour un diagnostic COVID.

L’exigence d’un test PCR positif pour le virus — même cela n’est pas forcément nécessaire.

En outre, comme je l’ai démontré dans de nombreux articles [FR], la PCR est truffée de défauts irrémédiables, ce qui entraîne des millions de faux positifs.

En outre, le lien direct entre la maladie covid-19 et le virus du SRAS-CoV-2 n’est pas prouvé.

Il existe donc une recette parfaite pour une fausse pandémie.

Une personne qui, en 2018, serait diagnostiquée comme ayant la grippe se transforme en une personne qui, en 2020, est diagnostiquée comme ayant le COVID-19.

Une pneumonie ordinaire se transforme soudainement en pneumonie COVID.

Toutes sortes d’autres infections pulmonaires sont maintenant des COVID.

— J’ai un rhume, docteur.

— Non, c’est le COVID.

— C’est un rhume.

— Un rhume COVID.

ATHLÈTE STAR : — Merci à tous mes fans qui m’ont soutenu pendant cette période. Après mon diagnostic COVID, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIF (qui sera licencié cinq minutes après avoir soumis cette interview à son rédacteur en chef) : — Avez-vous déjà eu un mauvais cas de grippe, Charlie ?

STAR ATHLETE : — Bien sûr. En 2015, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIVE : — Ça s’appelle un indice, mon pote. Réfléchis bien.

— Quoi ? Oh…tu veux dire… ?

Le jeu de l’étiquetage et du réétiquetage des maladies se poursuit depuis l’aube de la médecine. La médecine moderne l’a quelque peu affiné, mais c’est encore une arnaque assez évidente.

J’ai rencontré la version moderne pour la première fois en 1987. En Afrique centrale, il y avait la « maladie du dépérissement ». Puis on l’a appelée « maladie de la maigreur ». Et enfin, le sida.

En fait, il s’agissait d’une nouvelle appellation pour désigner la malnutrition protéino-calorique, la faim et la famine.

Mais la vérité était trop brutale. Elle impliquait des dictateurs locaux et des sociétés agricoles transnationales prédatrices qui se spécialisaient dans le vol de bonnes terres agricoles au peuple.

Aujourd’hui, le COVID-19 est une étiquette qui cache une autre vérité brutale : la véritable « maladie » est une attaque contre les économies nationales et contre chaque être humain qui travaille pour gagner sa vie, par le biais de confinements.

Dans cet article, je continue à retracer les implications du virus manquant; je fais référence au fait que personne n’a prouvé le lien direct entre la maladie et le virus du SARS-CoV-2.

Ici, j’examine la situation dans son ensemble.

Apparemment, la notion de virus est née lorsque les théoriciens du germe ont manqué de bactéries pour expliquer les maladies. Ils ont donc prétendu qu’il devait y avoir une particule invisible plus petite, qui a fini par être appelée virus.

Depuis ce choix fatidique, les chercheurs ont rencontré divers problèmes. Le plus important d’entre eux : comment prouver, dans des cas précis, que ces virus provoquent des maladies ?

Deux moyens de preuve modernes ont été inventés. L’une d’elles consiste à déformer et à inverser le sens du terme « isolement ». Et deuxièmement, séquencer la structure génétique des virus en utilisant des programmes informatiques prédéfinis pour construire, à partir de rien, sans justification, des collections d’informations génétiques, pour finir avec rien de plus que des entités virtuelles.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Au début, les humains suivent les règles qui définissent le système. Ensuite, ils passent à l’application des règles. Leur esprit devient excessivement littéral. Ils considèrent les alternatives comme des hérésies.

— Monsieur, vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous pensez que vous découvrez de nouveaux virus. Vous pensez que vous les manipulez pour créer de nouvelles formes.

— Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous dites que la non-isolation est une isolation. Vous utilisez des algorithmes pour inventer des “virus” composés de données non pertinentes. Ce sont des constructions de données, rien de plus.

— Vous êtes un blasphémateur. Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous manipulez des processus qui n’ont rien à voir avec ce que vous pensez qu’ils doivent avoir à voir avec…

— Comment êtes-vous entré dans mon laboratoire ?

— J’ai amené une équipe de tournage. Nous voulons filmer et documenter chaque étape que vous entreprenez pour “découvrir un nouveau virus”.

— Absolument pas. Vous n’êtes pas officiel. C’est une installation de haute sécurité.

— En d’autres termes, à vue de nez, nous devons accepter vos revendications comme si elles étaient légitimes.

— Oui, c’est la règle. Nous ne dirigeons pas une société de débat. Nous faisons de la science.

— Mais vous voyez, c’est le but. Vous ne faites pas de la science.

— Qu’est-ce que vous dites ?

— Vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous PENSEZ que vous découvrez de nouveaux virus. Vous croyez que vous les manipulez. Mais vous ne travaillez qu’avec des fantasmes auto-générés.

— Je vais vous dire. Je vais vous injecter un de ces fantasmes et on verra ce qui se passe.

— Vous ne possédez pas un spécimen réel d’un virus isolé et purifié, séparé de tout autre matériel.

— Le voici, dans ce récipient.

— Non. Regardez-le. Dans ce plat, il y a une soupe. Elle contient des cellules humaines et de singe, des drogues et des produits chimiques toxiques, et d’autres matériels génétiques. C’est la chose la plus éloignée de “isolé”.

— Nous savons que le virus est là. Certaines des cellules sont en train de mourir. Le virus doit être en train de tuer.

— Non. Les médicaments et les produits chimiques toxiques pourraient faire des ravages. De plus, les cellules sont privées de nutriments. Ce seul fait peut expliquer leur mort. Réfléchissez bien.

— Il n’y a rien à penser. Nos procédures ont été vérifiées par des milliers d’études et d’articles scientifiques publiés.

— Le consensus n’est pas la même chose que la vérité.

— Sécurité, venez au laboratoire ! Nous avons un intrus non certifié. Escortez-le hors des locaux.

— C’est ça, votre conclusion ?

— Notre travail est classé secret. Vous êtes un civil. Nous prononçons ; vous obéissez.

— Et c’est ça la science ?

— Absolument. On ne vous a pas appris ça à l’école ?

— VOUS N’AVEZ AUCUNE IDÉE DE CE QUE VOUS FAITES DANS CE LABORATOIRE. Vous êtes prisonnier de vos propres illusions.

— Sécurité, dépêchez-vous. Cet homme est subversif…

— Supposons que vous croyiez travailler avec des virus, mais que vous ne travailliez qu’avec des IDÉES ET DES HISTOIRES SUR LES VIRUS ?

— Que voulez-vous dire ?

— Vous n’isolez pas vraiment quoi que ce soit. Et vous ne séquencez rien. Les séquences ne sont que des INFORMATIONS bricolées par des programmes informatiques à partir de bibliothèques de référence génétique. Tout cela n’est, au mieux, qu’une métaphore numérique de ce que vous croyez exister. Vous générez des contes de fées.

— Même si c’était vrai, ce serait le plus proche possible de la réalité. Rien n’est parfait.

— Un rocher est parfait. Vous le voyez, vous lui donnez un coup de pied, vous vous asseyez dessus.

— Les virus sont très petits.

— Raison de plus pour être sûr que vous avez affaire à quelque chose de réel.

— Nous utilisons la technologie PCR.

— Mais il ne cherche qu’un morceau d’ARN que vous avez trouvé dans le virus. Comme vous n’avez pas de virus isolé et purifié, vous n’avez aucune raison de penser que l’ARN provient du “virus”.

— Sécurité, emmenez cet homme à sa voiture. Emmenez l’équipe de tournage avec lui. Ils n’ont pas le droit d’être ici. C’est une installation financée par le gouvernement. Les particuliers n’ont pas accès au gouvernement.

CHEF DE LA SÉCURITÉ : — En fait, j’aimerais entendre le reste de la conversation. Ma sœur vient de se faire vacciner contre le virus, et elle est maintenant à l’hôpital…

Auteur de trois ouvrages explosifs, THE MATRIX REVALED, EXIT FROM THE MATRIX et POWER OUTSIDE THE MATRIX, Jon était candidat à un siège au Congrès américain dans le 29e district de Californie. Il a un cabinet de conseil pour des clients privés, dont le but est l’expansion du pouvoir créatif personnel. Nominé pour un prix Pulitzer, il travaille comme journaliste d’investigation depuis 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis et en Europe. Jon a donné des conférences et des séminaires sur la politique mondiale, la santé, la logique et le pouvoir créatif à des publics du monde entier.

Source : https://off-guardian.org/2021/02/03/covid-a-disease-in-name-only/
Traduction et adaptation par https://cv19.fr




Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme

Extraits de LA CHUTE DES ESPRITS DES TÉNÈBRES de Rudolph Steiner

Autrefois, au concile de Constantinople, l’esprit a été éliminé, on a institué un dogme : l’homme n’est fait que d’une âme et d’un corps, parler d’esprit est une hérésie. On aspirera sous une autre forme à éliminer l’âme, la vie de l’âme. Et le temps viendra, dans un avenir peut-être pas très lointain, où lors d’un Congrès comme celui qui s’est tenu en 1912, on verra se développer encore tout autre chose, où de tout autres tendances feront leur apparition, où l’on dira : parler d’esprit et d’âme, c’est pathologique ; seuls sont bien portants les gens qui ne parlent jamais que du corps. On considérera comme un symptôme pathologique le fait qu’un être humain se développe de façon telle qu’il en vienne à penser qu’il existe un esprit ou une âme. Ces gens seront des malades, et l’on trouvera, soyez-en sûrs, le remède qui agira sur ce mal. Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une « saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. — Les deux courants, les deux conceptions du monde s’opposeront radicalement. L’une réfléchira à la manière d’élaborer des concepts et des représentations qui soient à la mesure de la réalité véritable, de la réalité d’âme et d’esprit. Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps « sains », c’est-à-dire constitués de telle façon qu’ils ne parleront plus de ces sottises que sont l’âme et l’esprit, mais, parce qu’ils seront « sains », des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les planètes et le soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes. Oui, ceux qui croient qu’on peut prévoir l’avenir à l’aide d’idées qui jouent avec la réalité, sont bien dans l’erreur. Il faut regarder l’avenir en utilisant des concepts pensés avec sérieux, bien fondés, profonds. La Science spirituelle n’est pas un jeu, elle n’est pas seulement une théorie. Elle est, en face de l’évolution, un devoir à remplir.

(pages 104 et 105)

Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité. On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie : à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les « folies » de la vie spirituelle – « folie » dans la perspective matérialiste, bien entendu.

(page 255)

Je le disais tout à l’heure, ce sont là d’innocents débuts littéraires. Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. Ceci à titre d’indication parmi beaucoup de choses qui apparaîtront dans un proche avenir et au-delà dans ce domaine, afin que la confusion se crée dans les forces qui, grâce à la victoire des esprits de la lumière, veulent descendre des mondes spirituels sur la terre. Pour cela, il faut naturellement que les conceptions du monde, la manière de voir des hommes soient gagnées par la confusion, que leurs concepts, leurs représentations soient faussées. C’est là une situation grave vis-à-vis de laquelle on doit être très vigilant. Car il fait partie des arrière-plans les plus importants derrière les événements qui se préparent actuellement. Je choisis à dessein mes mots avec précision. Je dis : « qui se préparent » et j’ai bien conscience que lorsque quelqu’un parle de préparation après que s’est accompli ce qui a eu lieu au cours des trois dernières années, il prononce un mot important. Car celui qui voit les choses en profondeur sait qu’il s’agit en effet de préparation. Seul un esprit superficiel peut croire que demain ou après-demain, ce qui n’est pas une guerre au sens d’autrefois sera terminé par une paix, comme les guerres l’étaient autrefois. Seul celui qui juge superficiellement des événements peut le croire. Sans doute beaucoup le croiront-ils quand extérieurement se produira quelque chose qui approchera ce que l’on s’imagine ; et l’on ne réfléchira pas à tout ce qui sommeille sous la surface.

(pages 255 et 256)




Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva

[Source : Ciel voilé]

Dans une interview avec le président de la CHD, Vandana Shiva avertit les auditeurs que si nous ne nous battons pas contre Gates et son empire, « Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien… pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées. »

Équipe de Défense de la Santé des Enfants ( CHD) – Le 8 février 2021

https://childrenshealthdefense.org/defender/rfk-jr-interviews-vandana-shiva-gates-empire/

Dans une interview avec Robert F. Kennedy Jr, Vandana Shiva explique comment Bill Gates, ainsi que Big Ag, Big Chemical, Big Food, Big Tech et Big Pharma détruisent l’écosystème de la Terre et, avec lui, notre santé.

Transcription :

RFK Jr : Voici mon héroïne, Vandana Shiva, que je connais depuis de nombreuses années, qui a été un modèle pour moi, vraiment. Elle a environ 40 points de QI de plus que moi. J’ai découvert cela en lisant votre biographie aujourd’hui, et je ne savais pas que vous aviez fait votre thèse de doctorat sur la physique quantique. Est-ce que c’est ce que vous avez étudié à l’école à un moment donné ?

Vandana Shiva : Oui, c’est toujours ce qui guide mon travail, la non-séparation et le potentiel. Ce sont les deux idées qui vont nous libérer de la pensée mécaniste du monde. Oui, nous sommes connectés, et nous avons tous un potentiel, y compris la désobéissance civile.

RFK, Jr : Donc Vandana Shiva : Shiva est actuellement à la tête de Navdanya, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Navdanya, ce qui signifie neuf graines.

RFK, Jr : Mais je vous ai rencontrée pour la première fois lorsque vous dirigiez le mouvement Chipko dans les années 1980, c’est alors que j’ai entendu parler pour la première fois de vous, et de ce leader extraordinaire en Inde qui organisait les femmes pour protéger les forêts et les arbres et tout cela.

Vandana Shiva : Bobby, je n’étais pas une leader. J’étais étudiante, et je faisais du bénévolat, et les leaders étaient les femmes et elles étaient mes professeurs. Je dis toujours que je suis allée à l’Université de Western Ontario pour mon doctorat afin de mieux comprendre la théorie quantique, mais je suis allée à l’Université de Chipko pour comprendre la biodiversité. Et Bobby, l’autre jour, la mafia s’est emparée de David Attenborough pour lancer la gestion de portefeuilles sur la biodiversité, comme les portefeuilles sur la propriété foncière, comme si la valeur de la biodiversité n’était pas reconnue par les femmes de Chipko. Je pense que c’est le conflit que nous vivons. Les milliardaires qui veulent tout transformer en portefeuille, et les gens ordinaires qui disent : « Non, nous voulons protéger notre terre ». Nos agriculteurs protestent maintenant depuis six mois pour la terre. C’est ce qu’ils disent.

RFK Junior : J’ai vu dans les nouvelles internationales ces énormes, vastes rassemblements de fermiers qui marchent maintenant sur les villes en Inde. Alors dites-nous, parce que je sais que vous êtes en plein milieu de tout ça… laissez-moi vous présenter un peu plus. Shiva est l’une des grands leaders du peuple sur Terre aujourd’hui. Elle a remporté tous les prix que vous pouvez gagner auprès de personnes qui se soucient des droits des femmes à la base, de la propriété intellectuelle et des semences, en particulier, des OGM, de la protection des forêts, de l’agriculture chimique par rapport à l’agriculture pour laquelle Vandana Shiva se bat, et elle nous a tous conduits dans les guerres contre Monsanto. Je ne me souviens même pas de la première fois que nous nous sommes rencontrés, mais c’est une dirigeante extraordinaire, extraordinaire. Je voudrais donc vous parler de Bill Gates et de son achat de terres, et de son action pour créer un nouveau féodalisme sur cette planète, et pour faire sortir les agriculteurs de leurs terres, et les milliardaires de leurs terres. Et parlons d’abord des événements actuels et de ce qui se passe en Inde avec ces marches auxquelles vous participez.

Vandana Shiva : Alors Bobby, ma vie a tourné autour de la physique et de la physique quantique, et bien sûr, du mouvement Chipko. J’ai été, dès mon plus jeune âge, une militante écologiste. Mais c’était en 1984 …

RFK Junior : Ton père était forestier, non ?

Vandana Shiva : Mon père soignait les forêts. Oui, j’ai beaucoup appris de lui. Et ma mère était une réfugiée de la partition. Quand l’Inde a été divisée par une ligne tracée sur une carte, elle a dit : « Eh bien, j’ai tout fait. J’ai brisé tous les plafonds de verre pour les femmes, et maintenant je serai agricultrice. » Alors elle est devenue agricultrice, et mon père était dans la forêt, et nous vivions entre la ferme et la forêt. Et c’étaient des gens merveilleux. Je veux dire, leurs valeurs, leur vie m’a donné toutes les valeurs que je vis, d’intrépidité, de vérité, de ne jamais abandonner, et d’aimer la nature très profondément. Mais mon engagement dans l’agriculture commence en 1984, lorsqu’il y a eu des manifestations similaires contre la révolution verte. Aujourd’hui, la révolution verte a été mise en œuvre pour la première fois au Pendjab…

RFK, Jr : C’était un programme des Rockefeller, à l’origine, des Rockefeller, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Exactement, et de la Banque Mondiale. Donc la Banque mondiale, l’USAID [Agence américaine pour le développement international], les Rockefeller. Ils avaient un programme qui a fonctionné pendant un certain temps sur la façon dont vous pouvez déplacer ces énormes quantités de produits chimiques, les engrais, les pesticides après les guerres. Ces usines auraient dû simplement fermer, et à la place, les Rockefeller, qui étaient très impliqués dans les expériences de l’IG Farben et d’Hitler. Je veux dire, il y a tellement d’articles à ce sujet. Le pétrole provenait des Rockefeller. L’agriculture chimique est une agriculture de combustibles fossiles. Ils ont fourni le pétrole, les Allemands ont fourni la science et les Rockefeller, ainsi que les banquiers privés, ont fourni le financement. Et donc, après la guerre, cela aurait dû être la fin de la guerre chimique sur cette planète, et au lieu de cela, ils ont travaillé à dire : « Comment changer l’agriculture pour la rendre plus adaptée aux produits chimiques ? Nous avons donc de grands blés, de grands riz et même des animaux à double usage.

Les taureaux tireront la charrue et les vaches vous donneront du lait. En Inde, nous ne faisons donc jamais de pensée unidimensionnelle. Et pourtant tant d’indiens dirigent tant d’institutions en vivant sur les restes de la pensée multidimensionnelle, mais en poussant le monde vers une pensée unidimensionnelle de l’intelligence artificielle. Mais à ce moment-là, Barlow a été récupéré dans les laboratoires de la défense de DuPont pour travailler sur le changement des plans. Les États-Unis avaient volé du blé au Japon pendant la guerre, et il y avait du riz d’Indonésie, et ils ont modifié la plante, qui est devenue minuscule… J’appelle cela la désobéissance civile de la plante. Les plantes disaient : « Je ne veux pas de produits chimiques. Partez », et ils ont changé la plante. Et tout cela a été fait par Norman Borlaug, qui a reçu le prix Nobel de la paix. En 1984, des agriculteurs sont fusillés. Des agriculteurs sont tués, et je vois que c’était sur le point de… C’est censé être une question de paix. Il a reçu le prix Nobel de la paix. 20 000 personnes sont mortes au Pendjab.

Les protestations d’aujourd’hui s’inscrivent donc dans la continuité de celles que nous avons eues depuis 1991, qui est un tournant pour cette mondialisation néolibérale imposée par la Banque mondiale, qui nous a d’abord endettés. Je veux dire, c’est comme ça que fonctionnent les « amortisseurs » du monde, n’est-ce pas ? On s’endette, puis on s’endette sur le « sang du peuple ».

Et les lois contre lesquelles les agriculteurs se battent, veulent le « sang du peuple » que la Banque mondiale avait déjà exigé en 1991, sauf qu’elles ont été repoussées, et repoussées et repoussées. En ce moment, les protestations sont énormes. Les agriculteurs ne sont pas stupides. Les agriculteurs savent contre quoi ils se battent et ils disent : « Nous nous battons pour l’âme et le sol de l’Inde, parce que si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette civilisation mourra. Si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette terre mourra. Ils ont vu à quel point le sol a été dégradé par la révolution verte chimique.

Ils ont été témoins de la monoculture de produits de base pour Pepsi, qui est un modèle. Pepsi est donc arrivé en Inde après 1984 et le suicide a commencé parmi les producteurs de pommes de terre. Pepsi, pour un paquet de pommes de terre de 20 roupies de valeur, payait l’agriculteur 0,04 paisa, ce qui est une somme insignifiante. Ainsi, lorsqu’il s’agit d’agriculture chimique, de semences OGM et de commerce mondialisé par l’agrobusiness et l’industrie agroalimentaire, les agriculteurs reçoivent en moyenne 0,5 à 4 % de ce que paie un consommateur. Mais le consommateur ne paie pas seulement le prix de la malbouffe contenue dans l’emballage, il paie le prix de la malbouffe pour sa santé.

Et c’est pourquoi le travail que vous faites Bobby, sur la question de la santé, en particulier la santé des enfants est si primordial. Je considère l’agriculture industrielle et la transformation industrielle ainsi que l’esprit industriel comme des invasions dans notre corps. Auparavant, cela se produisait indirectement, les cancers par le biais des produits toxiques. Vous vous êtes battus sur les cas de cancer de Monsanto. Tout cela est une invasion dans le corps. Mais maintenant, on nie consciemment qu’il y a une harmonie entre la santé des sols, la santé des plantes et notre santé. Le microbiome de notre intestin est une forêt tropicale de diversité. Et s’il ne reçoit pas de nourriture diversifiée et fraîche, c’est comme une guerre contre notre microbiome intestinal, qui représente 90% d’entre nous en termes de biodiversité. Nous sommes 10 % d’êtres humains, 90 % d’autres êtres qui nous maintiennent en bonne santé, qui nous font. Et la guerre contre notre corps en est à ses derniers stades.

Mais elle se déroule à un moment où la prise de conscience sur la santé est de plus en plus importante. Où la prise de conscience de la biodiversité est si importante. Et maintenant, ils se disent : « Oh, ce que nous avons fait quand le colonialisme a commencé, il suffit de changer les mentalités, de les traiter de barbares, de les civiliser ». Je veux dire qu’ils continuent à faire le récit d’une mission civilisatrice. Et c’est pourquoi j’ai écrit mon livre, L’Unité contre le 1%. J’ai dit, Bill Gates, continue de parler d’innovation, tout ce qu’il fait c’est de la colonisation. Et j’ai montré en gros comment c’est la colonisation.

RFK, Jr : Oui, c’est ça. Et c’est de cela que je veux vous parler. Et j’ai un article pour lequel je vous ai interviewé longuement et qui est publié dans The Defender cette semaine, sur le nouveau féodalisme de Bill Gates. Les journaux américains ont finalement reconnu la partie émergée de l’iceberg de ce qui se passe parce qu’ils ont découvert soudainement qu’il était désormais le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis d’Amérique. Il a fait cette campagne de santé pour s’approprier nos terres agricoles. Personne ne savait qu’il le faisait. Il l’achetait par le biais de sociétés écrans, d’investissements en cascade et d’autres moyens. Et ce que je fais dans cet article, avec votre aide, c’est faire le lien avec ce qu’il fait dans ce pays.

Il investit également dans Alphabet, une société de Google, et développe des robots agricoles qui remplaceront les agriculteurs. Il développe l’intelligence artificielle et vole le savoir, comme il l’a fait en Inde, au petit paysan. Il a mis des caméras dans leurs maisons, dans leurs champs. Il a mis des capteurs partout pour savoir comment ils utilisaient les semences.

Et puis il a pris les banques de semences, il y a 15 banques de semences dans le monde qui stockent toutes les semences du patrimoine de l’humanité, 786 000 espèces de semences. Elles sont là pour l’humanité, pour le bien commun, et il a pris le contrôle de cette banque de semences, l’a consolidée et est en train de la privatiser et de modifier la composition génétique de ces semences, en les rendant chimiquement dépendantes, afin de pouvoir breveter toute la vie qui a été développée pendant 20 000 ans d’agriculture sur cette planète.

Je veux commencer à raconter cette histoire sur ce qui s’est passé pendant la révolution verte, qui a été lancée par les Rockefeller, principalement en Inde et au Mexique. Gates l’a déplacée au début des années 2000 en Afrique. Gates et la Fondation Rockefeller. Et ils ont commencé à faire la même chose là-bas. Et c’est la même chose qu’il a fait avec les vaccins. Il y a un problème humain, qu’il dit être la faim ou la maladie, et je vais le résoudre avec ma technologie, qui est les cultures OGM, les semences brevetées, les aliments synthétiques, l’agriculture chimique, les pesticides, les monocultures fertilisantes à base de pétrole.

Il s’est rendu dans 13 pays africains et les a forcés à pratiquer l’agriculture intensive, à accepter ses intrants, à construire la chaîne d’approvisionnement et aujourd’hui, 131 millions de personnes meurent de faim dans ces pays. Le taux de famine a augmenté de 30 %. Et il essaie maintenant de faire la même chose au reste du monde. Et je sais que vous êtes actifs en Afrique et que vous les combattez depuis de très nombreuses années. Et cela a vraiment contribué à alerter le monde à ce sujet. Il ne s’agit pas d’agriculture, il ne s’agit pas de nourriture, il s’agit de s’emparer de nos terres et de nous donner une nourriture vraiment malsaine.

Vandana Shiva : Bobby, tu sais mieux que quiconque que nous sommes témoins des deux schémas de l’ancienne colonisation d’il y a 500 ans. Et je pense qu’il est très important que Black Lives Matter se réveille face à l’empire Gates, qui est un empire raciste. Ils peuvent nommer à leur tête ou donner quelques emplois, mais c’est la mentalité et les processus structurels qui décident des systèmes.

Alors qu’il utilise cette vieille mentalité, il utilise bien sûr de nouveaux outils, et ces nouveaux outils sont essentiellement le génie génétique. Et j’avais commencé Navdanya, qui signifie neuf graines, ce qui est la diversité, lorsque j’ai été convoquée à une réunion en 1987 avec l’ancien cartel du poison. « Maintenant, nous possédons les semences, nous ne gagnons pas assez d’argent en vendant des produits chimiques, nous devons rendre illégal pour les agriculteurs le fait d’avoir des semences.

Nous posséderons les semences en tant que propriété intellectuelle et nous aurons un manteau international appelé propriété intellectuelle liée au commerce de l’OMC pour obliger les agriculteurs à acheter des OGM brévetés. J’ai dit : « Mais c’est vraiment mal. C’est un empire sur la vie ». Et j’ai pris un engagement, je vais sauver les semences. Je veux travailler avec notre gouvernement sur des lois qui disent que les plantes, les animaux et les semences ne sont pas brevetables.

RFK, Jr : Laissez-moi vous interrompre une seconde parce que beaucoup de gens qui écoutent ça ne comprendront pas pourquoi les semences OGM sont liées aux produits chimiques. Et laissez-moi vous expliquer très brièvement ce qui s’est passé, lorsque le DDT a été interdit en 1974, et c’était le produit de Monsanto, ils ont acheté un autre produit appelé glyphosate. Quelqu’un l’avait pris, c’était un nettoyant de réservoir, quelqu’un l’avait jeté dans le jardin et avait vu qu’il tuait toute l’herbe. Et Monsanto a dit : « Ce serait un bon désherbant. » Il en a fait un désherbant, l’a commercialisé comme un petit désherbant. Des centaines d’ouvriers agricoles portaient des pulvérisateurs à dos et pulvérisaient les mauvaises herbes dans les champs de maïs avant que le maïs ne devienne trop gros.

Puis, en 1994, quelqu’un a mis un peu de ce glyphosate sur le sol, et il y a eu une mauvaise herbe qui n’est pas morte. Monsanto a retiré de cette mauvaise herbe le gène qui la rendait résistante au glyphosate et l’a mise dans le maïs. Et maintenant ils avaient du maïs, qui ne mourrait pas si on le pulvérisait avec du glyphosate. Maintenant, vous pouvez virer tous ces ouvriers agricoles et vous louez un avion qui sature tout le paysage de glyphosate, et la seule chose qui vit, c’est ce maïs OGM.

Et c’est maintenant le pesticide le plus répandu au monde. Je pense que 80 % des pesticides dans le monde sont des OGM et ils ont cultivé toutes sortes de nos céréales. Et tous nos aliments et nos fruits sont maintenant génétiquement modifiés pour résister au Roundup, pour que vous puissiez les répandre dans tout le paysage. Ce que nous constatons, c’est que la façon dont il tue les plantes est qu’il aspire tous les minéraux et détruit les éléments constitutifs de la vie. Les déchets que vous recevez n’ont pas les minéraux dont vous avez besoin, vous pouvez avoir le ventre plein, mais vous pouvez mourir de malnutrition. Et c’est l’une des choses que vous avez vraiment démontrées mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Vous avez raison. Que ce soit la révolution verte en Inde, où Borlaug a marié les engrais chimiques à des variétés de plantes naines, ou les vols de Monsanto, qui a pratiquement déjà fabriqué le glyphosate Roundup, en fait du Roundup. Et puis ils ont poursuivi en justice toutes les entreprises qui faisaient du génie génétique pour pouvoir les racheter. Ils n’ont jamais rien fait. Monsanto, aucune de ces entreprises n’a fait de travail. Ils ont juste poursuivi, et poursuivi, et poursuivi. Et le génie génétique, les brevets et les produits chimiques vont ensemble.

Et maintenant, les mêmes Rockefeller qui ont lancé l’industrie chimique avec l’IG Farben, et qui ont également lancé l’ensemble des produits pharmaceutiques irresponsables. Vous savez, nous avons la médecine depuis toujours. Et Hippocrate a dit : « Que la nourriture soit ta médecine ». L’Ayurveda dit « que la bonne nourriture est le seul médicament, et que la mauvaise nourriture n’a pas de médicament pour guérir les maladies qu’elle provoque ». Tout cela est connu. Cent ans de mauvaise … comment s’appelle-t-elle ? Il y a un joli mot pour ça, l’huile de serpent ? Vendre de l’huile de serpent.

Et maintenant, les grandes entreprises pharmaceutiques, technologiques, informatiques et financières l’appellent FinTech. C’est en gros utiliser des mesures et des portefeuilles spéculatifs numériques, transformer la terre en portefeuille, la biodiversité en portefeuille, et penser que c’est de l’économie intelligente. Et malheureusement, le pauvre Attenborough est allé dire : « Les écologistes ne connaissent pas la biodiversité. Et Aristote avait dit : « L’économie est l’art de vivre ». La chrématistique est l’art de faire de l’argent.

Donc maintenant, dans l’art de faire de l’argent, il y a le Big Ag, le Big Food, le Big Tech, le Big Everyone qui veut devenir plus grand comme une cellule cancéreuse. Et le nouveau Gates Ag One est cette convergence. Elle a un an. L’année dernière, en janvier, il l’a annoncée. Et comme il le dit, le temps est l’ennemi. Quand seuls des gens stupides pensent que le temps est l’ennemi. Les gens sages savent que le temps est votre ami qui met à l’épreuve le meilleur de vous-même. Après tout, M. Gates nous a tous enfermés pendant un an, et le temps nous a appris ce que sont les merveilleuses amitiés et l’amour. Il nous a appris la suffisance et la simplicité, ce dont nous pouvons nous passer. Ils ne se rendent pas compte qu’il y a un monde vivant dehors. Et je pense que M. Gates, en plus d’avoir la maladie de la cellule cancéreuse, ne sait pas quand s’arrêter de croître… Les cellules saines savent comment s’arrêter de croître. Je pense qu’il a une maladie du pouvoir et une maladie de la peur parce que… J’ai dit : pourquoi cet homme a-t-il si peur du moindre microbe et si peur du moindre petit fermier qui proteste dans les rues indiennes aujourd’hui ? Pourquoi a-t-il si peur d’une plante qui se reproduit gratuitement ? Et pourquoi a-t-il si peur de la démocratie que si l’Inde dit non au riz OGM, le riz doré, une fausse solution à la cécité de l’or, ou l’aubergine Bt, que nous avons jetée en 2001 par l’intermédiaire de notre ministère, lors de sept audiences publiques, où le gouvernement a écouté les agriculteurs, et a écouté les citoyens et les scientifiques.

RFK, Jr : Et il s’agissait de cultures OGM qu’il a essayé d’imposer à l’Inde, et l’Inde les a rejetées. Mais il s’est installé au Bangladesh et au Pakistan avec son coton OGM. Il ne veut rien d’autre que les OGM.

Vandana Shiva : Mais il a aussi déplacé le riz doré aux Philippines, pour lequel il y a un énorme mouvement, pas de riz doré. Et cela revient à la question des semences. Donc, quand la révolution verte a commencé et que les Rockefeller et la Banque mondiale ont pris toutes les semences des agriculteurs pour les forcer à avoir des semences de la révolution verte avec des produits chimiques, ces 15 banques de semences ont été créées, et toutes nos semences se trouvent là-dedans.

Aujourd’hui, Gates a pris le contrôle de ce système public de semences. Et la banque de semences de riz aux Philippines, où l’on travaillait sur le riz doré, le riz doré OGM, la raison pour laquelle il est important de suivre cela est une, toutes les semences de riz sont là. Nous avons toutes les 200 000 variétés de riz. Et nos meilleurs scientifiques ont refusé de se séparer des semences. Ils ont dit : « C’est notre héritage. C’était notre civilisation. Nous ne pouvons pas laisser la Banque mondiale s’en emparer ». La Banque mondiale a fait en sorte qu’il soit démis de ses fonctions de meilleur scientifique de son temps, le Dr Richharia. C’est mon professeur. Et donc, quand Gates s’empare de la banque de semences aux Philippines, et qu’il fait du riz doré, il se prépare maintenant. Et c’est là que nous avons besoin de la désobéissance civile, Bobby. Nous devons tous nous donner la main. Cette année, le 16 octobre, Journée mondiale de l’alimentation, ou avant le Sommet de l’alimentation, qu’il a détourné, faisons une désobéissance civile contre l’alimentation forcée de la mauvaise nourriture. Qu’il s’agisse d’aliments de laboratoire, comme l’Impossible Burger, ou de riz doré, car il prépare la biofortification qui sera rendue obligatoire. Et nous avons vu comment il peut rendre les choses obligatoires.

RFK, Jr : Laissez-moi vous expliquer ce que Vandana Shiva dit à propos du Sommet de l’alimentation. La plupart des gens qui regardent cette émission savent qu’en 2010, 2009, Bill Gates est allé devant les Nations Unies, a promis 10 milliards de dollars à l’Organisation mondiale de la santé, et la plupart de ces fonds ont fini par venir du gouvernement, pas de lui, mais il a versé quelques milliards. Et il a déclaré une décennie de vaccins. Personne ne lui a prêté beaucoup d’attention. Mais il a été le premier fonctionnaire non élu, sans portefeuille diplomatique, à se présenter devant les Nations unies et il a fait cette déclaration.

Immédiatement, il a commencé à faire tourner toutes ces roues. Il a créé tous ces groupes qui luttent contre la vaccination, et il a commencé à promouvoir les vaccins dans le monde entier … et il a créé toutes ces organisations quasi-gouvernementales, la CEPI [Coalition for Epidemic Preparedness], PATH et GAVI [Alliance pour les vaccins] que tout le monde croit être des gouvernements, mais ce n’est que Bill Gates. Il a pris la tête de l’Organisation mondiale de la santé au cours de cette décennie.

Même le Financial Times a déclaré qu’aucune décision n’est prise à l’Organisation mondiale de la santé qui ne soit d’abord gérée par la Fondation Gates. Et en 2019, l’Organisation mondiale de la santé sort en janvier, et déclare que le refus des vaccins est l’une des 10 plus grandes menaces pour la santé mondiale. A-t-elle proposé une étude scientifique pour le prouver ? Non. Ils l’ont juste déclaré. Immédiatement, le monde s’est mis en ordre. Dans 150 pays, les législatures, les politiciens qui sont à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques et qui font pression pour obtenir des obligations vaccinales et abolir les exemptions.

Aux États-Unis, en l’espace de trois mois, 100 projets de loi dans 50 États ont été introduits dans le processus législatif pour rendre les vaccins obligatoires et pour interdire les exemptions… Adam Schiff, qui avait reçu de l’argent de Gates, le chef du Comité des renseignements, se présente et dit aux PDG des médias sociaux, Pinterest, Facebook, Google, tous, Instagram, YouTube, « Vous devez commencer à censurer la désinformation sur les vaccins ».

Et puis nous avons eu le rouleau compresseur jusqu’en 2020, et 2020 en janvier, juste à temps pour sa décennie de vaccins, nous avons eu le Covid. Et Fauci, qui est son partenaire, investit 48 milliards de dollars dans la promotion des vaccins. Chaque jour, M. Gates passe à la télévision en disant : « Tant que tout le monde n’est pas vacciné, nous devons rester enfermés. Nous allons faire s’effondrer l’économie mondiale jusqu’à ce que vous fassiez tous ce qu’on vous dit et que vous soyez tous vaccinés ».

Il a payé des études pour tuer l’ivermectine, pour tuer l’hydroxychloroquine, pour les discréditer. Nous avons dépensé dans notre pays 0 dollar pour des antiviraux, des antiviraux disponibles sur le marché, pour la recherche, pour la vitamine D, pour toutes les choses que nous savons qui réduisent le nombre de décès dus au COVID. Rien de tout cela n’a été étudié. Rien de tout cela n’a été recommandé. Au lieu de cela, tout l’argent, 48 milliards de dollars, a été consacré aux vaccins.

Maintenant, il reproduit cela. Il a réussi avec sa Décennie des vaccins au-delà des rêves les plus fous. Et maintenant, il est passé à la deuxième partie, qu’il a déclarée Décennie de l’alimentation, et il fait la même chose. Il s’agit d’aliments chimiques. C’est de la nourriture synthétique. Il possède les « Impossible Burgers », « Beyond Beef », toutes ces choses qui sont chargées de pesticides, et il essaie de faire sortir les agriculteurs des fermes, il prend le contrôle des fermes avec ses robots et son intelligence artificielle en Inde, en Afrique, et maintenant aux États-Unis, et il nous donne des aliments malsains, et il contribue aux maladies chroniques qui vont nous rendre dépendants de ses médicaments. Oh, vous connaissez la suite de cette histoire, Vandana Shiva, et vous la racontez mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Eh bien, je pense que ce à quoi les gens qui aiment la vie et la liberté devraient se préparer maintenant, c’est, A, le fait que oui, avec ce Gates Ag One, il veut une agriculture unique sur une planète avec tant de diversité. Nos zones humides avec le riz sont très différentes de nos terres arides avec le mil. Nos systèmes de granges du Bengale sont très différents des systèmes désertiques de Rogerstown. Et la seule agriculture qu’il souhaite est ce système qui est dirigé de l’extérieur, où deux des produits chimiques d’après-guerre sont ajoutés, les OGM, qui sont devenus après les années 1990 avec l’OMC et leur diffusion et le brevetage. Et maintenant, il veut ajouter l’agriculture numérique, l’agriculture sans les agriculteurs. Et bien sûr, le récit d’aujourd’hui, tout comme celui de l’époque, c’est que nous nous développons bien grâce à l’air car nous fixons l’azote en brûlant des combustibles fossiles. Eh bien, c’était un mythe. Ils ont ruiné la terre. Ils ont ruiné les océans. Ils ont ruiné le climat, 300 fois plus mortel que le dioxyde de carbone, l’oxyde nitreux qui est émis par les engrais azotés.

Ils ont donc dit que le sol est vide. Je l’appelle terra nullius. C’était la jurisprudence de l’époque coloniale. Puis ils ont breveté la semence et fait croire que la vie est vide. Je l’ai appelé bio nullius. Et M. Gates était en train de créer son nouvel empire. Je l’appelle mente nullius, les esprits vides. Nous allons vider les esprits en exploitant les données et en les brevetant, en transformant tout le monde en zombie, en les évaluant et en leur attribuant une valeur. Et comme l’a dit la recherche, vous ne posséderez rien. Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien. Et tout sera à eux. Donc pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées, juste de l’argent, de l’argent, de l’argent entre leurs mains, et eux étant une machine d’extraction.

Parce que depuis 1991, tout a été essayé à l’époque qui a créé Gates. Il n’était pas aussi riche qu’il l’était jusqu’à la déréglementation de la finance et de l’informatique. Lors de la première réunion de l’OMC, il est parvenu à faire en sorte que le commerce de l’information soit exonéré de droits et de taxes. C’est ainsi que tous ces géants de la technologie sont devenus si riches.

Alors pour comprendre ce qu’il se passe maintenant, rappelons qu’ à l’époque, l’OMC disait que les semences seraient brevetées. Et la plupart des semences ne le sont pas. La deuxième chose, c’est que les Cargill veulent faire du commerce agricole et qu’il n’y aura plus de système de souveraineté nationale pour protéger les droits à l’alimentation. C’est contre cela que les agriculteurs arméniens se battent en ce moment. Et la troisième, c’est ce qu’ils ont appelé des mesures sanitaires et phytosanitaires, c’est-à-dire interdire la bonne nourriture et faire de la malbouffe la seule option. C’est pourquoi nous avons des maladies chroniques.

Aujourd’hui, M. Gates fait passer tout cela à l’étape suivante. Oh, il y a eu des lois créées pour m’empêcher de voler. Je vais faire de la cartographie génomique numérique et contourner toutes les lois internationales. Et en ce qui concerne le commerce international de la nourriture, si des mouvements se développent pour la vraie nourriture et la souveraineté alimentaire, laissez-moi créer de la fausse nourriture dans les laboratoires et créer la famine et la faim par le confinement. Il n’y a donc pas de nourriture, les agriculteurs sont détruits et l’agriculture se fait sans les agriculteurs. Et pourquoi se préoccuper uniquement du Pepsi, de la malbouffe et du Coca-Cola ? Nous sommes aussi les plus grands pollueurs de plastique au monde. Non, non, non. Ce que nous faisons maintenant, c’est fabriquer de la nourriture totalement fausse et nous ferons du droit à une bonne alimentation un crime, tout comme le droit de connaître sa santé, le droit d’avoir les bons médicaments, le droit pour des sociétés entières d’avoir des connaissances médicales approfondies, que tout cela se transforme en crime. Nous avons vu cela se produire.

RFK, Jr : Laissez-moi vous donner un exemple de ce dont vous parlez. Gates possède une grande participation dans Philip Morris, qui est propriétaire de Kraft Foods et de General Foods. Et ils font des aliments transformés et ils fabriquent des fromages américains simples et du Cheez Whiz. Ces produits sont tellement dénués de valeur nutritive que le gouvernement oblige ces entreprises à y ajouter des vitamines, de la vitamine A, de la vitamine C, etc. Il y a des vitamines dans ces produits. Ce que Gates fait maintenant dans toute l’Afrique, dans le monde entier, c’est qu’il fait passer des lois, il achète des politiciens et impose des obligations pour des aliments enrichis afin que vous ne puissiez pas vendre des aliments sur les marchés africains, à moins qu’ils ne soient enrichis. Eh bien, la nourriture, le fromage de chèvre que l’agriculteur fabrique dans le Masai Mara au Kenya n’a pas besoin d’être fortifié. Il contient déjà tous les nutriments que nous voulons, mais cet agriculteur ne pourra pas vendre ce fromage de chèvre sur son marché local. Au lieu de cela, Cheez Whiz aura le monopole sur ce marché. Et c’est l’une des façons dont il utilise les propos de Vandana Shiva sur l’illégalisation de la santé ou la mise au ban des aliments sains pour ouvrir ces marchés et nous obliger à manger ses aliments sales et toxiques.

Vandana Shiva : Deux petites choses, Bobby. Phillip Morris est également responsable du sirop de maïs à haute teneur en fructose, qui se présente sous la forme d’un sucre synthétique. Ce sirop a provoqué une cirrhose du foie chez les bébés et est ajouté à tous les aliments parce qu’il crée une dépendance. Deuxièmement, l’Inde est une terre de diversité et de richesse. Nous avons toujours dit, en Hindoustan, que la diversité est notre voie. Nous avons tellement d’en-cas et d’aliments qu’on ne peut pas goûter la même chose à trois endroits. Tout cela est unique. Ils ont interdit tout cela. J’ai vu tout cela disparaître. Ils ont interdit nos moulins à huile vierge à pression à froid. Cinq millions d’entre elles ont été fermées en 1998 quand Cargill et Monsanto ont voulu nous inonder de musoya génétiquement modifié. Nous avons vu cela se produire. Il est donc important de tirer les leçons de la révolution verte de la mondialisation. Et maintenant, voyez comment la concentration de tout cela entre les mains d’un Bill Gates accélère ce qui a été mis en place et nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour empêcher une prise de contrôle totale de nos semences, de notre nourriture, de notre liberté.

RFK, Jr : Vandana Shiva, nous n’avons plus le temps. Merci beaucoup. Dites aux gens comment ils peuvent vous soutenir dans votre travail.

Vandana Shiva : Eh bien, pour tous ceux qui écoutent, la première est que, plus tôt à la ferme, nous avons eu des expériences d’apprentissage sur la façon d’apprendre de la terre et de faire pousser de la bonne nourriture. Mais en ce moment, nous avons ces cours comme des cours de zoom. Et vous pouvez aller sur le site web de navdanya N-A-V-D-A-N-Y-A.org. Vous pouvez devenir un guerrier des semences, un guerrier de la nourriture.

Écrivez-moi à Vandana Shiva : shiva@gmail.com. Et nous avons aussi un programme international appelé Navdanya International, où nous venons de faire un reportage, Gates to a Global Empire. Si vous voulez en savoir plus sur les activités de Gates, lisez ce rapport. Il est disponible en téléchargement gratuit. Et faisons de cette année l’année de la transition de l’empire Gates vers la liberté de toute vie sur cette planète et de tous les habitants de cette planète dans toutes leurs libertés et dans toute leur diversité.

Et au fait, je m’appelle Shiva parce que mes parents ont combattu le système des castes. Et ils ont dit : « Nous voulons prendre un nom qui n’est pas un nom de caste. » Et donc ils ont pris le nom d’une divinité et dans le christianisme, il y a une trinité, mais nous avons des millions de divinités. L’herbe est une divinité, le sol est une divinité, les rivières sont des divinités et la mère Gange est notre mère. Et c’est beau. L’Inde est si belle en reconnaissant les forces divines dans toute vie, et vous devez donc les protéger. Mais nous avons aussi une Trinité et il y a Brahma le créateur, Vishnu, le mainteneur, et Shiva, qui détruit les mauvais systèmes pour en créer de nouveaux. Joignons nos mains pour créer de nouveaux systèmes.

RFK, Jr : Un nom parfait pour vous, Vandana Shiva. Merci de vous joindre à moi. Suivez Vandana Shiva et vous pouvez lire mon article dans The Defender cette semaine sur notre collaboration avec Vandana Shiva. Merci beaucoup de vous joindre à nous.




À quoi jouent les médecins scolaires ? Les enfants innocents du Covid19 sont victimes de maltraitance collective

Par Dr Nicole Delépine

À quoi jouent les médecins scolaires ? Les enfants innocents du covid19[1] sont victimes de maltraitance collective

AUCUNE RAISON MÉDICALE DE LES PRIVER D’ÉCOLE comme le réclament les médecins scolaires

Covid-19 : fermeture des écoles réclamée par les médecins scolaires — (lasanteauquotidien.com) 

« Les médecins de l’Éducation nationale demandent, dès à présent, la fermeture de tous les établissements scolaires pour quatre semaines. Le but : freiner la propagation des variants qui sont plus contagieux chez les jeunes. Nombre exponentiel de cas contacts »

Ralentir la circulation du virus et de ses variants et éviter un confinement.
C’est l’objectif du Syndicat national des médecins scolaires et universitaires qui réclame la fermeture de toutes les écoles de France. Les médecins scolaires, dans ce communiqué, prétendent que les élèves « sont des maillons actifs de la chaîne de transmission, surtout depuis l’apparition des nouveaux variants ». D’autant que la présence du virus en milieu scolaire serait « de plus en plus forte ». Preuve en serait l’augmentation des établissements scolaires confrontés à des cas positifs de variants. Sans compter le nombre de cas contacts prétendument « exponentiel ».

Heureusement le ministre fait la sourde oreille !

Les médecins de l’Éducation nationale sont montés au créneau lundi 8 février, premier jour de congés pour la zone A (Lyon). Ils réclament, à leur ministre de tutelle, de « tenir compte de l’avis des médecins de l’Éducation nationale qui sont experts de la promotion de la santé à l’école ».

Pour ces médecins, « deux semaines de vacances d’hiver ne suffiront pas à diminuer l’incidence de la pandémie en milieu scolaire. » Lundi, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, semblait faire la sourde-oreille à leurs revendications, campant sur sa position de ne fermer les écoles « qu’en dernier recours ».

LE MINISTRE RÉSISTE À JUSTE RAISON

Le ministre résiste et il a bien raison à tous égards : aucun, absolument aucun argument sanitaire pour la fermeture des activités scolaires et une catastrophe éducative et psychologique avérée déjà énorme à la suite des fermetures successives qui n’auraient jamais avoir eu lieu et des mesures de distanciation injustifiées qui perturbent les enfants.

Il est étrange que les médecins scolaires ne tiennent pas compte des faits démontrés depuis un an :

  • les enfants ne font pas de formes graves pour les rares cas cliniques ;
  • les enfants ne contaminent ni les adultes ni les enfants[2] ;
  • les enfants sont moins contaminés dans les écoles que dans la famille.

Les variants de covid19 ne sont pas plus dangereux que les précédents.

L’augmentation des cas n’est pas exponentielle doit être mis en rapport avec l’augmentation considérable du nombre de tests recherchés.[3] Une augmentation est dite exponentielle lorsqu’elle suit une équation utilisant une puissance N=N0t/p qui n’est pas absolument pas le cas ici puisque l’augmentation hebdomadaire des cas des enfants d’une semaine à l’autre n’a été que de 10% (12520 cette semaine contre 11864 la semaine précédente et 10003 la semaine d’avant soit au total 0,1% des enfants scolarisés). Qu’on se le dise ! Pas exponentielle, oubliez le terme, les matheux doivent trembler.

Les contaminations des enfants qui sont sans risque ni pour eux ni pour leur entourage préparent l’immunité collective qui protégera les personnes âgées.

Les « cas » ne sont pas des malades,[4] mais des enfants majoritairement en bonne santé qu’on aurait dû laisser tranquilles s’ils n’ont pas de symptômes conformément aux recommandations de l’OMS.

Conséquences dramatiques des mesures imposées depuis des mois sans justification sanitaire

Les enfants privés d’école sont en grand danger psychologique affectif en plus du manque d’apprentissage et de nombreux décrochages[5]. Les mesures imposées sont très traumatisantes.

Les masques sont inutiles et dangereux [6] [7] [8] [9]

les médecins scolaires feraient mieux de défendre les enfants contre le port du masque toxique et inutile et toutes les mesures de distanciation injustifiées et mauvaises pour leur état mental.

Les tests sont peu fiables et déconseillés en dehors de signes cliniques[10] [11] [12] [13]

Les médecins scolaires comme les autres devraient faire stopper cette honteuse campagne de tests dans les écoles, informer et réinformer politiques et citoyens que les tests PCR ne sont pas fiables pour détecter un virus particulier.

La société de microbiologie française a rappelé qu’ils ne devaient être utilisés qu’à la demande d’un médecin sur des signes cliniques d’un patient et jamais à l’aveugle.

L’OMS a également rappelé ces notions le 21 janvier 2021, certes tardivement, mais clairement.[14]


Notes

[1] « Non, les enfants ne transmettent pas le Sars-cov-2 », selon le Dr Gérard Delépine — Nexus

[2] Les grands-parents peuvent aller chercher leurs petits-enfants à l’école et les embrasser sans risques ! (francesoir.fr)

[3] Terme « exponentiel « utilisé largement dans les médias à mauvais escient par les animateurs ou invités ! Joli mot pour faire peur ? Mais pas dans son acception exacte !

[4] Belgique, masques et confusion entre tests positifs (dits « cas ») et vrais malades. Dommage ! (francesoir.fr)

[5] La fermeture des écoles : facteur d’aggravation des conséquences négatives du confinement (francesoir.fr)

[6] Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr)

[7] Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! (francesoir.fr)

[8] Les masques et les enfants : que faire en cas d’effets indésirables ? Ou le parcours d’une maman devenue combattante… (francesoir.fr)

[9] Pour en finir avec le masque pour nos enfants, le film (odysee.com)

[10] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[11] Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR (francesoir.fr)

[12] recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[13] ALERTE : le préfet de Moselle impose le masque permanent pour une épidémie de tests ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[14] AVIS DE L’OMS 20 janvier 2021 Alerte de produit médical À L’ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05




Au moins 1627 morts suite à la vaccination Covid-19

[Source : Recherche Covid-19]

Voici le compte des morts après une vaccination Covid-19 rapporté par la presse et les bases de données officielles.
Avec plusieurs cas très graves en réanimation.
Et il y a aussi 2 morts lors des essais du vaccin Pfizer, 1 mort lors de l’essai AstraZeneca et 6 morts lors de l’essai Moderna, donc 9 morts en plus qui ne sont pas comptés dans les morts.
Pour les décès aux Etats-Unis et en Europe (hors Suisse), seul les morts rapportés par les bases de données officielles sont comptabilisés pour éviter les doublons, les articles sont laissés pour archivage au bas de l’article.
Pour les pays hors UE et USA, les articles de presses sont comptabilisés en l’attente d’accès à des bases de données officielles plus complètes.

On voit aussi apparaître des décès massifs dans certains EHPAD mais un lien direct avec la vaccination n’est pas encore établi officiellement, la France rapporte peu les effets indésirables par rapport aux autres pays:
Coronavirus : après Nice, des résidents d’Ehpad et des soignants vaccinés à Antibes et Cannes (31/12/2020)
Covid-19: Cinquante morts supplémentaires recensés en trois jours dans les Ehpad de la Côte d’Azur (16/01/2021)

• une indienne de 55 ans ainsi que 4 autres indiens de la même région (01/02/2021) :
https://timesofindia.indiatimes.com/city/hyderabad/woman-health-worker-in-state-dies-11-days-after-vaccination/articleshow/80618698.cms?from=mdr

• 1025 décès et 41,142 effets secondaire pour le vaccin Pfizer, 27 décès et 849 effets secondaires pour le vaccin Moderna (jusqu’au 06/02/2021) rapportés par la base de données Européenne des rapports d’effets indésirables
Voir comment accéder à la base de données ici : https://cv19.fr/2021/01/29/441-morts-lies-au-vaccin-rapportes-par-la-base-de-donnees-europeenne-des-rapports-deffets-indesirables/

• 9 indiens morts, 16 hospitalisés, un cas grave de septicémie bactérienne et 447 effets indésirables (vaccins Covishield et Covaxin) au 29/01/2021:
https://www.thehealthsite.com/news/odisha-man-dies-after-taking-covid-19-vaccine-another-develops-bacterial-sepsis-793037/
Parmi les morts, un jeune vigile de 27 ans :
https://www.msn.com/en-in/news/other/odisha-health-worker-dies-days-after-taking-covid-vaccine-official-says-not-linked-to-vaccination/ar-BB1d8jdX

• Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), au moins 501 Américains sont morts à cause des vaccins COVID-19 aux États-Unis. (jusqu’au 29 janvier 2021)
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=AGE&EVENTS=ON&VAX%5B%5D=COVID19&DIED=Yes
https://cv19.fr/2021/01/26/181-americains-sont-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19-en-seulement-2-semaines/

• 53 morts à Gibraltar en 10 jours après le début des injections expérimentales d’ARNm COVID de Pfizer (pas clair, pas compté dans le total pour l’instant)
https://reseauinternational.net/53-morts-a-gibraltar-en-10-jours-apres-le-debut-des-injections-experimentales-darnm-covid-de-pfizer/

• 21 morts à l’Île-du-Prince-Édouard (Canada), parmi les 645 personnes ayant subi des effets secondaires du vaccin à ARNm. (Sur 166, les symptômes ont persisté jusqu’au moment de la notification, tandis que l’état de 118 autres personnes était incertain au moment de la notification) :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/
Article original : https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/

• La princesse saoudienne Tarfa Bint Hathloul (vaccinée 11 jours avant):
https://www.lelibrepenseur.org/deces-de-la-princesse-tarfa-bint-hathloul-bin-abdulaziz-survenu-apres-la-vaccination-anti-covid-19/
Et https://saudiarabianewsexpress.com/2021/01/08/royal-court-death-of-princess-tarfa-bint-hathloul-bin-abdulaziz-al-saud/
Elle dit sur son compte twitter qu’elle se sentait fatiguée après la 1e injection : https://twitter.com/THAAF73/status/1343496485141426176

• 4 israéliens dont deux de 75 et 88 ans :
https://www.jpost.com/israel-news/88-year-old-dies-hours-after-covid-vaccination-in-second-such-incident-653721https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/293865
https://www.rt.com/news/511332-israel-vaccination-coronavirus-pfizer/

• Une israélienne de 75 ans morte 2h après la 2e injection :
https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/294861

• Un suisse de 91 ans :
https://www.24heures.ch/deces-a-lucerne-dune-personne-vaccinee-contre-le-coronavirus-236165160824

>> 9 morts lors des essais des vaccins (sans les placebos) :
Moderna :
https://www.lifesitenews.com/news/13-people-died-during-modernas-covid-vaccine-trial

Les deux vaccinés Pfizer avaient plus de 55 ans : l’un a subi un arrêt cardiaque 62 jours après la 2e vaccination et est décédé 3 jours plus tard, et l’autre est décédé d’une artériosclérose 3 jours après la première vaccination:
https://www.algerie-eco.com/2020/12/09/essais-du-vaccin-pfizer-six-participants-sont-morts-et-des-effets-indesirables/

AstraZeneca :
Un médecin brésilien de 28 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen
Article original : https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen

Des cas de convulsions ont aussi été rapportés par des patients et partagés massivement sur les réseaux sociaux :

•Convulsions de l’infirmière Kristi Simmonds aux US :
https://www.facebook.com/kristi.simmonds.1/videos/1283294655359609
Page FB : https://www.facebook.com/kristi.simmonds.1
Elle dit que beaucoup de personnes sont dans son cas.

• La mère de Brant Griner : convulsions du corps (Pfizer) :

https://www.facebook.com/brant.griner.7/posts/903453733725240https://www.youtube.com/watch?v=kf6NDIiE3Tw

• Shawn Shelton : convulsions incontrôlées qui perdurent encore, 9 jours après le vaccin Moderna :

https://www.facebook.com/shawn.skelton.73/posts/403541337597874

• Une jeune qui travaille en maison de soin de 19 ans : Paralysie du côté droit du corps (Pfizer) :

https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2749373985391622&id=100009571428119

• Un médecin de Boston a eu une réaction allergique très grave au vaccin de Moderna, il a été sauvé in extremis par un EpiPen :
https://www.nytimes.com/2020/12/25/health/Covid-moderna-vaccine-allergies.html

• Une mère de 27 ans avec des crises d’épilepsie après avoir reçu le vaccin Pfizer : https://www.lifesitenews.com/news/27-year-old-mother-suffers-seizures-is-hospitalized-after-taking-covid-vaccine

• Un israélien de 23 ans avec un syndrome rare : https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/294606

• 13 israéliens ont des paralysies faciales :https://www.rt.com/news/512736-israel-facial-paralysis-13-covid-vaccine/

• 19 ans aux soins intensifs avec une myocardite cinq jours après l’injection du vaccin COVID-19 de Pfizer (Israël)
https://www.jpost.com/health-science/19-year-old-hospitalized-with-heart-inflammation-after-pfizer-vaccination-657428

>> 2 cas graves hospitalisés (aucunes nouvelles depuis) :
un directeur grec de 54 ans et une médecin mexicaine de 32 ans (encéphalomyélite) :
https://www.tuniscope.com/article/220500/actualites/international/medecin-grec-570913https://www.infobae.com/america/mexico/2021/01/02/convulsiones-y-paralisis-por-encefalomielitis-las-reacciones-alergicas-de-una-doctora-de-coahuila-tras-recibir-la-vacuna-contra-covid-19/

Et en bonus, les courbes de cas positifs et de décès Covid en Grande Bretagne après le début de la campagne de vaccination :

https://ourworldindata.org/grapher/weekly-covid-deaths?tab=chart&time=2020-03-16..latest&country=~GBR
https://ourworldindata.org/grapher/weekly-covid-cases?tab=chart&stackMode=absolute&time=2020-03-16..latest&country=~GBR&region=World

Archive :

• Un américain de 60 ans, après la 2e dose du Pfizer, les symptômes sont apparus 2h1/2 après :
https://childrenshealthdefense.org/defender/healthcare-worker-dies-4-days-after-second-pfizer-shot/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=88702226-40f0-46ed-9837-7516aff85cc2
https://www.foxla.com/news/oc-health-care-worker-dies-after-receiving-2nd-shot-official-cause-of-death-pending

• 13 allemands au Lac de constance, après la vaccination :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/
article original : https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/

• 2 danois décédés après le Pfizer :
https://translate.google.com/translate?sl=da&tl=fr&u=https://ekstrabladet.dk/nyheder/samfund/to-er-doede-efter-vaccine-sammenhaeng-er-mindre-sandsynlig/8422212

• Un suédois de 84 ans fait une crise cardiaque un jour après le Pfizer :
https://www.breitbart.com/europe/2021/01/01/death-of-elderly-swede-after-coronavirus-vaccination-referred-for-possible-investigation/

• Hank Aaron, 86 ans, joueur de baseball américain, mort 2 semaines après son injection, il encourageait les afro-américains à se faire vacciner comme lui : https://www.newsweek.com/health-experts-hope-hank-aarons-death-doesnt-deter-people-covid-vaccine-1563914
Son compte tweeter : https://twitter.com/HenryLouisAaron/status/1346598799993667588

• Mort d’un homme de Californie du Nord plusieurs heures après que le vaccin COVID-19 ait été administré.
https://www.msn.com/en-us/health/medical/death-of-northern-california-man-after-covid-19-vaccine-under-investigation/ar-BB1d4q9i

• 9 français en Ehpad (Pfizer) et 135 cas d’effets indésirables graves:
https://www.20minutes.fr/sante/2959279-20210122-vaccination-neuf-deces-personnes-agees-vaccinees-france-lien-vaccin

• 10 morts en Allemagne (et 51 effets graves) :
https://www.wochenblick.at/deutschland-zehn-menschen-sterben-nach-covid-impfung/ Traduction : https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.wochenblick.at/deutschland-zehn-menschen-sterben-nach-covid-impfung/

• Un chirurgien de 64 ans italien décède après l’injection :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.informazione.it/a/B3EDB8C1-55A7-43E3-B409-392E87D44BF8/Mantova-medico-muore-dopo-vaccino-anti-covid-soffriva-di-patologie-croniche-disposta-autopsia
Article original : https://www.informazione.it/a/B3EDB8C1-55A7-43E3-B409-392E87D44BF8/Mantova-medico-muore-dopo-vaccino-anti-covid-soffriva-di-patologie-croniche-disposta-autopsia

• Un belge de 82 ans, 5 jours après le vaccin:
https://www.dhnet.be/actu/belgique/coronavirus-un-examen-requis-apres-le-deces-d-un-octogenaire-vaccine-il-y-a-5-jours-600078a87b50a652f7cb8c7f

• Un français en Ehpad 2h après l’injection :
https://www.ansm.sante.fr/S-informer/Points-d-information-Points-d-information/Point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-COVID-19

• L’Agence norvégienne des médicaments associe 33 décès aux effets secondaires du vaccin.
https://www.todayonline.com/world/covid-19-no-links-between-pfizer-vaccine-and-deaths-elderly-norwegians-patients-already

• Un allemand de 89 ans 1h après son injection :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://www.weser-kurier.de/region/regionale-rundschau_artikel,-89jaehrige-verstirbt-rund-eine-stunde-nach-coronaimpfung-_arid,1953707.html
Article original : https://www.weser-kurier.de/region/regionale-rundschau_artikel,-89jaehrige-verstirbt-rund-eine-stunde-nach-coronaimpfung-_arid,1953707.html

• Une femme de 41 ans au Portugal qui travaillait en service d’oncologie:
https://www.theportugalnews.com/fr/nouvelles/2021-01-05/une-femme-au-portugal-meurt-apres-avoir-recu-le-vaccin-pfizer/57516?fbclid=IwAR1S9Yf6trOvkg3g2aGTAKF8XmxMh_MkZ14PnRCJFLehuCbMtBmfUVNnuyA

• Une italienne de 89 ans : https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.corriere.it/cronache/21_gennaio_06/genova-anziana-rsa-muore-emorragia-cerebrale-vaccino-covid-regione-momento-nessun-nesso-b31d6f44-5011-11eb-9028-76598b615ecf.shtml Article original : https://www.corriere.it/cronache/21_gennaio_06/genova-anziana-rsa-muore-emorragia-cerebrale-vaccino-covid-regione-momento-nessun-nesso-b31d6f44-5011-11eb-9028-76598b615ecf.shtml

• Un infirmier roumain :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.antena3.ro/actualitate/asistent-mort-dupa-vaccin-coronavirus-constanta-590571.html
article original : https://www.antena3.ro/actualitate/asistent-mort-dupa-vaccin-coronavirus-constanta-590571.html

• 2 islandais (dont un 3e dans l’article que je ne compte pas car il était déjà en soin critique avant la vaccination) :
https://translate.google.com/translate?sl=no&tl=fr&u=https%3A%2F%2Flegemiddelverket.no%2Fnyheter%2Fdodsfall-hos-sykehjemsbeboere-etter-koronavaksineringarticle original : https://www.icelandreview.com/society/no-evidence-of-link-between-nursing-home-deaths-and-vaccination/

• 3 décès dus à la vaccination en 4 jours, que se passe-t-il dans les États du Telugu (Inde)
https://tolivelugu.com/three-corona-vaccination-deaths-in-four-days-tensions-in-telugu-states/

• 1 personnel hospitalier Indien (vaccin Covishield) :
https://greatgameindia.com/indian-dies-vaccine-covishield/

• 14 belges :
https://www.rtl.be/info/coronavirus-en-belgique-14-personnes-sont-decedees-apres-vaccination-la-causalite-pas-etablie-1275604.aspx

• Un californien meurt quelques heures après l’injection le 21/01/2021 :
https://www.foxnews.com/us/california-resident-dies-several-hours-after-receiving-covid-19-vaccine

• Un médecin italien de 45 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=en&u=https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html
Article original : https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html

• Une infirmière américaine de 39 ans :
https://www.lifesitenews.com/news/39-year-old-nurse-aide-dies-within-48-hours-of-receiving-mandated-covid-19-shot

• 17 polonais :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://stopnop.com.pl/smierc-covid/
Article original : https://stopnop.com.pl/smierc-covid/

• 7 morts dans un Ehpad en Espagne après la vaccination alors qu’ils n’avaient pas eu de morts du covid :
https://healthimpactnews.com/2021/7-dead-and-100-of-residents-infected-in-spanish-nursing-home-after-being-injected-with-experimental-pfizer-mrna-covid-shots/

• une française de 110 ans :
https://www.lejsl.com/societe/2021/02/03/a-110-ans-la-doyenne-de-la-saone-et-loire-nous-a-quittes

• un breton de 108 ans :
https://www.ouest-france.fr/bretagne/camille-lehoux-le-doyen-des-bretons-est-decede-a-108-ans-7141447

• un infirmier italien de 42 ans (après 2e dose du Pfizer) et une pharmacienne italienne de 49 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html
Article original : https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html

• 21 morts italiens dans une maison de retraite à Côme après la vaccination. 85 résidents sur 93 et 54 soignants testés positifs après la première injection :
https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/25/strage-di-anziani-in-rsa-a-como-21-morti-erano-stati-vaccinati-positivi-85-ospiti-e-54-sanitari.html

• US, une femme de 58 ans en Virginie :
https://www.msn.com/en-us/news/us/virginia-woman-dies-shortly-after-receiving-coronavirus-vaccine/ar-BB1dqFKP




Les mythes à l’origine de votre destruction

[Source : Rdw Chaine secondaire]

Si vous voyez tant de problèmes, le confinement, la vaccination, le chômage de masse, l’immigration-invasion, l’hyper-fiscalité, la dissolution des familles, les lois « sociétales », la théorie fumeuse du genre, la sexualisation de l’enfance, la pédophilie, les empoisonnements publics, tout cela et le reste a une explication majeure : une croyance ancrée chez les maîtres du monde, un véritable mythe.

https://youtu.be/PpbhbICIM9Y

Y a-t-il une surpopulation ? La Terre est-elle surpeuplée ? | École à la Maison (l-ecole-a-la-maison.com)

Pour un Coup d’État (remy-daillet-wiedemann.fr)




Citations médicales sur les vaccinations

[Source : L’école à la maison]

Le Dr SALK​ a introduit le vaccin original de la polio dans les années 50). Il dit:

« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts. »

« J’ai découvert que tout le business des vaccins était en fait un énorme canular. La plupart des médecins croient à l’utilité des vaccins, mais si vous vous donnez la peine d’étudier les statistiques correctes, ainsi que les circonstances au cours desquelles sont apparues les diverses maladies, vous réaliserez que les choses ne sont nullement comme on nous les présente. »

Dr A. KALOKERINOS, M.D., Juin 1995

« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. »

Dr Paul-Emile CHEVREFILS

« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’elles contractèrent après avoir été vaccinées. »

Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition)

« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. »

British Medical Journal 1967

« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui. »

Dr. MOSKOWITZ

« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. »

Pr. R. SIMPSON de l’American Cancer Society

« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ? »

Dr MENDELSOHN

« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population. »

Medical Journal of Australia 1978

« L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés. »

Center for Control Diseases 1977

« C’est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par vaccinations. »

Dr Bernard RIMLAND directeur et fondateur du Autism Research Inst. of San Diego

« Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquents chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers souffrent plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres. »

Dr Philip INCAO

« Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants — ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. »

Dr Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association)

« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien, mais ils continuent à le vendre tout de même. »

Dr Anthony MORRIS anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des États-Unis

« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. »

Nicholas REGUSH, journaliste médical

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné »

« …Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudoscientifique, des statistiques tronquées, une publicité éhontée, l’appui acheté des mandarins, et, suprême astuce, la gratuité du produit… financé par le contribuable. Tout cela ne sort pas de l’ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c’est l’ultime manœuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs, le Conseil de la République, l’obligation vaccinale pour le B. C. G. »

(La Médecine retrouvée, Dr Jean ELMIGER)

« … Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une des journaux dans le monde entier. Les centaines d’enfants tués chaque année par le B.C.G. restent anonymes… La poule aux œufs d’or de l’Institut P… finirait en court-bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé… » « …Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d’une affreuse mort d’enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l’autopsie a confirmé le diagnostic classique d’« encéphalite virale > foudroyante… » « …Si le médecin responsable d’une telle horreur est conscient du rapport de cause à effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n’avoir pas parlé. S’il ne saisit pas le rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement type lavage de cerveau… On utilise tout d’abord la désinformation, avec trucage des chiffres statistiques et amalgame savant de l’effet protecteur du vaccin avec d’autres affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on sème la terreur, pour faire croire à l’ensemble de la population que telle maladie est effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l’acte vaccinal. »

Dr Alain SCOHY

« La quasi-totalité des cas de poliomyélite recensés aux USA, de 1980 à 1994, a été causée par l’administration du vaccin oral atténué.»

Dépêche AFP, 1er février 1997

«Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l’acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger… Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle.»

Dr Louis DE BROUWER (Vaccination erreur médicale du siècle)

« Le système immunitaire s’avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine… » « …Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.»

Le Concours Médical (20 janvier 1974)

« …Ce n’est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d’éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais. »

Dr Kris GAUBLOMME

« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain. »

Dr TORCH (« Neurology 1982 »)

« Une équipe médicale du Baylor Collège à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le vaccin contre la polio… »

Science et Vie (décembre 1996)

« …Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d’autres voies… »

Dr Yves COUZIGOU

« …Les végétariens prétendent depuis toujours que l’ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l’homme la bestialité de l’animal abattu… Qui parle ici d’ingestion ? …Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle… Les compères C. et G. (Calmette et Guérin) n’ont pas pris l’animal au hasard. Ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Depuis1957, l’O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu’avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d’être la vérité. »

Dr SCHEIBNER (Expert Australien)

« …Après l’échec retentissant du vaccin Salk (Au Massassuchets, 75 % des cas paralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou davantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l’industrie du médicament du pétrin (« Life science ») : on décida de nouvelles normes pour l’établissement du diagnostic de la polio. »

Pr GREENBERG

« Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20e siècle du fait que le monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d’individus, constitue non seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à l’échelle planétaire. »

(Sida, le vertige, Dr Louis de Brouwer)

« Que la vaccination soit obligatoire ou non obligatoire, vacciner de force, c’est violer y collaborer est meurtrier. »

Dr Guylaine LANCTOT

« La vaccination est le modèle de l’incertitude, des interactions et relations imprévisibles. Elle se situe aux antipodes de l’esprit scientifique. »

Dr Jacques KALMAR

« L’ânerie humaine est la source des pires catastrophes… » (Montaigne)
« …Mais aussi une mine d’or inépuisable pour qui sait l’exploiter. »

Dr Toulet

« L’effet patent des vaccins est de favoriser la mort. »

Pr Louis Claude Vincent

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination.»

Pr Lépine ( Médecine praticienne n°467)

« Quand les scientifiques et les médecins s’attribuent la gloire d’une évolution qui est due en réalité aux plombiers et aux paysans! C’est grâce à eux que s’est développée une meilleure hygiène et que l’on a pu avoir une meilleure nourriture. (…) Avec une bonne nutrition, vous vous assurez un bon système immunitaire et vous n’êtes plus la proie des maladies. »

Peter Duesberg, Professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Berkeley

« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence — c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral sont bien connus. » « Il n’existe aucune souche vaccinale issue des singes qui soit dépourvue de virulence neurologique.»

Dr Garcia Silva ( le Maroc Médical n° 43)

« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection. […] Le mal qui est fait est incalculable. »

Pr R. Delong, Virologue et immunologue de l’université de Toledo aux États-Unis.

« En 1945, la Hollande était le pays d’Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En 1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. À l’inverse, le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore pratiqué »

Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécuritésociale (n° 1 de 1974)

« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (…) Il est responsable d’un grand nombre de morts et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. »

Dr Kalokerinos (24 mai 1987 Sunwell Tops)

« On a mené une campagne à la hussarde. On a violé la conscience des gens. Même les grands-mères de 80 ans venaient réclamer leur vaccin ! »

Pr Alain Fisch

« Les hommes politiques sont donc désormais responsables et coupables. Leur culpabilité repose sur le fait qu’ils ont en main toutes les informations sur le système actuel. Ils savent parfaitement que l’expertise fonctionne à sens unique. Ils connaissent la collusion entre les experts et les vendeurs. Ils acceptent cet état de choses. Les dirigeants politiques ont des comptes à rendre. »

Dr Lacaze

« Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d’enfant de chœur font reculer l’intelligence et donc la civilisation. »

Dr René DUFILHO

« Si l’on pouvait mettre à jour tous les cas de décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

G. Bernard SHAW

« Les vaccinations ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinations. »

Dr Hubert BOENS

« Des monstruosités comme la vaccination sont fondées non sur la science, mais sur l’argent. »

G. Bernard SHAW

« La vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. »

Pr Jules TISSOT

« Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique.»

Dr Jacques KALMAR

« La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante… Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie. »

Dr Jane ORIENT Médecin, directrice de l’Association des médecins américains et des chirurgiens

« Comme dans les livres saints, le dogme est installé sans faille. »

Dr Jacques KALMAR

« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. »

Dr. Harris COULTER (Vaccination Social Violence and Criminality)

« Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. »

Pr Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971)

« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessible qu’à l’erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu’ils ont cultivée avec soin : la force de leur IGNORANCE. »

Dr Jacques KALMAR

« Nous retrouverons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

Pr R. Bastin (Concours médical, Ier février 1986)

« Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles ont été bricolés de telle manière que la majorité des individus développe des pathologies chroniques dont les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause initiale. »

Dr Jacqueline Bousquet

« Si nous continuons à généraliser et multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir que d’ici quelques décades une pathologie nouvelle, celle de sociétés vaccinées, verra le jour. »

Pr . P. DELOGE Tendance de la médecine contemporaine 1962)

« Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection virale, vous risquez de compromettre sa guérison. »

Pr . André LWOFF (Prix Nobel de médecine )

« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider, car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. »

Drs H. BUTTRAM et J. HOFFMANN

« Certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques. »

Dr. G. DETTMAN (Australian Nurses Journal)

« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. »

Dr. William FROSEHAVER

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. »

Bibliographie (Liste non exhaustive)
  • Vaccinations, les vérités indésirables, Pr. M. GEORGET, Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny.
  • L’apport des vaccinations à la santé publique. Pr Michel GEORGET.
  • Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies, F. DELARUE, LNPLV.
  • Vaccination, le marché de l’angoisse, Dr G. BUCHWALD, ALIS.
  • La mort subite du nourrisson, Colette Leick-Welter. Ph.D, AEGIS
  • La mafia médicale, Dr G. LANCTOT, Ed. Voici la clé.
  • La dictature médico-scientifique, Sylvie SIMON, Ed. Filipacchi.
  • Vaccination, erreur médicale du siècle, Dr L. De BROUWER, Ed. Louise Courteau.
  • Les vaccins, racket et poisons ? Dr P.E. CHEVREFILS, Librairie Transatlantique.
  • Danse avec le diable, G. SCHWAB, Ed. Courrier du livre.
  • La guerre des virus, L. HOROWITZ, Ed. Félix.
  • Au cœur du vivant, J. BOUSQUET, Ed. Saint Michel.
  • Vaccination ; la grande illusion, R. BICKEL, auto-édité.
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, R. BICKEL, auto édité.
  • Vaccinations : l’Overdose, Sylvie SIMON, Ed.Déjà.
  • Vaccins, mensonges et propagande, Sylvie Simon, Édit. Thierry Souccar.
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, F. JOET, Ed. Alis.
  • Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • La santé confisquée, Mirko et Monique BELJANSKI, Ed. Compagnie.
  • La lumière médicale, Dr Norbert BENSAÏD, Ed. le Seuil.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • On peut tuer ton enfant, Dr P. CHAVANON, Ed. Médicis.
  • Les vérités indésirables, Le cas Pasteur, Archives Internationales Philippe DECOURT, Ed. La Vieille Taupe, 1989.
  • L’intoxication vaccinale, F. DELARUE, Ed. Le Seuil, 1977.
  • La rançon des vaccinations, Simone DELARUE, Ed. LNPLV, Ed 1988.
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, Dr. Bruno DONATINI, Ed. MIF.
  • Des lobbies contre la santé, Roger LENGLET, Ed. Syros
  • La médecine retrouvée, Dr. J. ELMIGER, Ed. Léa
  • Maladies auto-immunes, Dr J. ELMIGER, Biosophie.
  • Vaccinations : prévention ou agression ? M. Th. QUENTIN, Ed. Vivez Soleil.
  • Des enfants sains même sans médecin, Dr R. MENDELSOHN, Ed. Soleil 1987.
  • Immunologie et vaccinations, D. Jacques KALMAR, Edit Les Bardes.
  • Vaccins, un génocide planétaire ? Dr Christian Tal Schaller, Edit. Testez.
  • La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ? Dr. Jean PILETTE, Ed. de l’Aronde.
  • La catastrophe des vaccins obligatoires, Pr. TISSOT, Ed. de l’Ouest, 1950.
  • Les dessous des vaccinations, Dr. A. SCOHY, Ed. Cheminements.
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., Pr GRIGORAKI.
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, Miller Schär MANZOLI.
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ? Dr A. BANOIS — Sylvie SIMON.
  • Vaccinations : le droit de choisir, Dr. F. CHOFFAT, Ed. Jouvence.
  • 12 balles pour un veto, Dr. QUIQUANDON, Ed. Agriculture et Vie, 1978.
  • Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?L’avis d’un Avocat, Jean-Pierre JOSEPH, Edit.Testez.
  • Les radis de la colère, J.-P. JOSEPH, Ed. Louise Courteau.
  • Nous te protégerons, Dr Jean PILETTE, Ed. Daxhelt.
  • La faillite du B.C.G., Dr. Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile, Ed. Princeps.
  • La Santé Publique en otage, Eric GIACOMETTI, Ed. Albin Michel.
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE, Ed. Marco Pietteur. Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • Vaccination, Social Violence and Criminality, Dr H.COULTER, North Atlantic Books, Berkley 1990.
  • A shot in the dark, Dr. H. COULTER et B. Loe FISHER, Avery Publishing group.
  • Live viral vaccine, biological pollution, Pr. R. DELONG, Cartlon Press Corp, New York, 1996
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996.
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991
  • Etc.



Comment Merkel a fabriqué le consentement au confinement

[Source : Le courrier des stratèges]

François Stecher revient pour nous sur l’étrange fabrique du consentement au confinement telle qu’Angela Merkel l’a pratiquée. Il analyse les informations explosives révélées par Die Welt ce week-end, indiquant que le ministère allemand de l’Intérieur a cherché à justifier scientifiquement un confinement décidé pour des raisons politiques. Un élément de plus qui montre comment la pandémie de coronavirus est utilisée pour mettre les populations au pas.


François Stecher

Ingénieur établi en Allemagne depuis plusieurs années, contributeur irrégulier de différents médias alternatifs.

Dimanche 7 février, l’édition dominicale du quotidien allemand « Welt », « Welt am Sonntag » a publié un article assez court, qui aurait déjà provoqué une déflagration et des dégâts importants dans l’appareil d’État si cette parution avait eu lieu dans un cadre « normalement » démocratique.

Die Welt révèle la mise en scène du confinement

S’appuyant sur une abondante correspondance électronique – pas moins de 200 pages – échangée entre la direction du ministère fédéral de l’Intérieur et divers instituts de recherches médicales et autres écoles supérieures, les auteurs de l’article expliquent que le dit ministère, sous la férule d’Horst Seehofer, a explicitement mis à contribution ces entités – dont le Robert-Koch-Institut, qui joue en Allemagne un rôle analogue à celui de l’institut Pasteur – afin qu’elles élaborent un modèle mathématique permettant de justifier les mesures, y compris les plus sévères, que l’on s’apprêtait ou que l’on envisageait de prendre dans le cadre de la lutte contre la « pandémie » du Covid-19.

Ces échanges datent de mars 2020, c’est-à-dire du tout début de la crise. Ils montrent que l’outil de simulation commandé a été élaboré en seulement quatre jours. Ils ne laissent aucun doute sur le niveau hiérarchique des personnes impliquées du côté du ministère, citant le secrétaire d’État Markus Kerber – numéro deux, juste derrière le ministre, qui demande expressément que le modèle permette de fonder des mesures « préventives et répressives ». Cet objectif sera tenu, avec un « Worst Case Scenario » laissant envisager la mort de plus d’un million d’Allemands si on laissait la vie sociale se poursuivre comme si de rien n’était. Ce que les auteurs expliquent encore, c’est que les résultats des différentes simulations ont été réunis dans un document que l’on a classifié « secret », avant de le laisser filtrer puis carrément publier dans la presse. Cerise sur le gâteau, ils expliquent qu’un groupe de juristes, dont on ne nous dira rien de plus, s’est battu pendant des mois pour obtenir la dite correspondance.

Quelle fabrique du consentement en Allemagne ?

Cet article jette une lumière crue sur la méthode employée outre-Rhin pour obtenir l’assentiment du peuple, et dévoile plusieurs de ses ressorts, mettant à mal le narratif servi sur tous les plateaux de télévision et dans la plupart des grands médias – et complaisamment accueilli, le plus souvent.

Le premier point qui saute aux yeux, c’est évidemment que tous nos gouvernements affirment depuis le début qu’ils s’appuient sur l’expertise des médecins, des virologues, des épidémiologistes pour prendre des décisions de nature politique. Or, c’est bien le contraire qui apparaît ici : un organe de gouvernement a mandaté des experts en fixant dès l’origine le résultat attendu ; puis, dans un second temps, sur la foi des résultats livrés, on a progressivement restreint les libertés publiques, poussé des entreprises à la faillite et plongé les gens dans le désespoir et la terreur.

Le deuxième point qu’on relèvera, c’est la volonté délibérée et observable à peu près simultanément dans plusieurs capitales européennes, à partir d’un certain moment de mars 2020 – peu après la sortie au théâtre d’Emmanuel Macron, de terroriser les gens. Cette coordination des efforts en vue d’obtenir par la terreur l’assentiment des peuples à leur assujettissement est un élément remarquable de cette « crise ». Ceci renvoie comme en écho à la constellation d’astres noirs qui gravitent autour de la chancelière, lui conseillent les plus grandes restrictions de libertés et s’épanchent dans les médias pour instiller la peur et terrifier les foules. On nommera en particulier deux figures emblématiques de celle-ci : le virologue Christian Drosten, de la Charité de Berlin, qui s’était fait connaître – déjà pour ses prévisions hasardeuses – lors de l’épisode de la grippe H1N1, mais qui est aussi l’un des principaux bénéficiaires de la folie des tests PCR, et son homologue Melanie Brinkmann, l’une des principales instigatrices de l’initiative #ZeroCovid, qui prétend enfermer tout le monde et stopper toute activité jusqu’à l’éradication totale du virus …

Il faut en mentionner un troisième, qui est celui de l’instrumentalisation cynique, par le politique, des experts et des médias, et la complaisance de ces derniers vis-à-vis du premier. La duplicité des autorités politiques se trouve ainsi mise en évidence. Peut-être plus grave encore, la collaboration active des experts de santé à cette manœuvre pourrait être dévastatrice pour leur crédibilité – pour les médias, la partie est déjà jouée.

La résistance au mensonge s’organise-t-elle ?

Il reste un dernier point que cet article effleure à peine, qui suscite l’espoir et laisse entrevoir les prémices d’une résistance : ces informations ne sont pas le résultat d’un travail d’investigation. Qui sont ces juristes qui ont bataillé pour obtenir cette correspondance ? Qui a donné ces éléments aux journalistes de « Welt » ? Dans quelle intention ? Faut-il y voir la main d’une opposition interne à la CDU, hostile à la chancelière ? Ou bien la préparation d’une offensive du Mittelstand, soutenu par quelques gros industriels, soucieux de défendre les fondements de l’économie allemande ? L’avocat Reiner Füllmich, qui a lancé une « Class Action », en particulier contre Drosten, pour crimes contre l’humanité, pas moins, dans plusieurs états américains, est-il à la manœuvre ? Une chose est certaine : la date de parution est bien choisie, trois jours avant la prochaine réunion des ministres-présidents autour de la chancelière et de ses ministres, pour décider de la prolongation ou non des mesures de confinement. Depuis plusieurs jours, la presse allemande laisse apparaître l’incohérence des déclarations toujours plus alarmistes des astres noirs avec les chiffres d’une épidémie en déclin. On aurait voulu torpiller les efforts des « terroristes » que l’on ne s’y serait pas pris autrement.

Et en France ?

Enfin, au-delà de l’article, il reste cette question lancinante : ce qu’il révèle de la pratique politique allemande, en trouvera-t-on l’écho à Paris ? L’observation un peu superficielle des événements, de part et d’autre de la frontière, laisse apparaître une étroite coordination entre les deux capitales. Une analyse plus fine montre clairement que Berlin est à la manœuvre, et que Paris s’aligne – les exemples les plus grotesques en resteront certainement, à l’injonction de Merkel de fermer les stations de ski, la décision du premier ministre de mettre les remontées mécaniques à l’arrêt, et en écho à la suspension de l’obligation de scolarisation, décision prise par les Länder en vertu de leurs prérogatives dans un cadre parfaitement légal, la déclaration bouffonne, illégale et inconsistante du même Jean Castex, peu avant Noël. Il faut donc poser la question : Macron, Castex, Véran, ont-ils eux-mêmes instrumentalisé les experts ? Qu’ils aient choisi la voie de la terreur, personne n’en disconviendra.




Mario Draghi, roi de la fausse monnaie, a pris le pouvoir en Italie et va devenir Premier Ministre

[Source et auteur : Pierre Jovanovic]

MARIO DRAGHI, ROI DE LA FAUSSE MONNAIE, A PRIS LE POUVOIR EN ITALIE ET VA DEVENIR PREMIER MINISTRE
du 8 au 12 février 2021
 
: Dans la rubrique « Vous pensiez avoir tout vu? », cette semaine nous sommes gâtés: imaginez que l’ancien directeur de Goldman Sachs, puis l’ancien directeur de la Banque Centrale italienne et finalement gouverneur de la BCE, Mario Draghi a été choisi (par on ne sait trop qui :-)) pour diriger le nouveau gouvernement italien, où le pouvoir a été sérieusement abîmé depuis que les européistes ont eu la peau de Salvini, exactement comme ils ont eu la peau de Silvio Berlusconi.

Je vous rappelle que c’est Mario Draghi lui-même, à l’époque patron de la BCE, qui a fait grimper les taux d’intérêt sur les Bons du Trésor italiens afin DE FORCER Berlusconi à démissionner (je vous en ai parlé maintes fois) parce que Silvio n’avait qu’un seul tort: défendre les intérêts de l’Italie contre ceux de l’UE et de l’euro.

Les européistes s’en sont même vantés et félicités d’avoir réussi leur coup.

Via Reuters: « Janet Yellen had a conversation with Italy’s economics minister just a couple of days ago and Italian President Sergio Mattarella has just confirmed that former ECB chief Mario Draghi — who earned the nickname « Super Mario » for his infamous « Whatever it takes » to save the euro speech, given nearly 9 years ago — will be tapped to form a new Italian government »

Donc voici la finale de cette symphonie glauque aux dépens du peuple italien: les politiques ont demandé à Mario Draghi de devenir Premier Ministre, vu que le pays est en totale faillite avec 130% d’endettement.

!!!

Je résume:

En tant que banquier, vous mettez en faillite les hommes politiques qui ne vous plaisent pas, vous endettez le pays au-delà de ses capacités, et une fois l’objectif de 130% atteint, vous devenez le sauveur puisque c’est vous qui avez mis en place tout le plan pour en arriver là !

Bravo Mario Draghi, superbo, magnifico, bellissima.

Voilà comment on prend le pouvoir au XXIe siècle: en contrôlant les circuits financiers. La pieuvre Goldman Sachs est de nouveau à l’œuvre.

PS: Draghi n’a jamais travaillé de sa vie, il est passé de professeur à banquier, mais aujourd’hui il serait bien incapable ne serait-ce que de gérer une épicerie G20 de quartier. La seule chose qu’il ait jamais faite a été de multiplier les planches à billets euro à l’infini, situation catastrophique dont a hérité Christine Lagarde. Lire ici Mediaset24.

PS2: Notez que ce sont tous les européistes qui ont poussé le président Mattarella à choisir Draghi ! Le peuple italien va souffrir à la manière grecque.

PS3: Il ne manque plus que Christine Lagarde candidate aux élections de 2022… Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2021




ALERTE : le préfet de Moselle impose le masque permanent pour une épidémie de tests !

Par Dr Nicole Delépine*

[*] : Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France


Un habitant de Moselle nous a averti d’un décret imposant le port du masque en Moselle à partir du 6 février alors que l’épidémie covid19 est stable, avec un taux de reproduction de 1,02, et des courbes d’admissions hospitalières et en réanimation en plateaux à des taux inférieurs de 50% de ceux observés en avril.

Les tests positifs appelés « cas » ne sont pas des malades. Il ne peut s’agir à notre sens que de la confusion entre incidence de « cas » Covid, et incidence des malades qui présentent des symptômes, qui consultent leurs médecins ou nécessitent des hospitalisations.

Nos bureaucrates paraissent ignorer qu’être cas positifs ne préjuge en rien que la personne testée soit porteuse de virus entier, ni malade, ni contagieuse.

Les dernières recommandations de l’OMS[1] sont pourtant sans ambiguïté : l’OMS

« souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. 

Aide au diagnostic : les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques. »

Dans le décret préfectoral, on remarque la phrase suivante :

« en dépit des mesures prises pour la protection des Mosellans, les dernières données disponibles de l’agence régionale de santé témoignent d’une dégradation de la situation sanitaire dans le département de la Moselle, notamment dans la métropole de Metz »

Or manifestement l’incidence des malades covid19 n’a pas augmenté. Il est paradoxal de prétendre que la situation s’aggrave et d’imposer des restrictions abusives et dangereuses aux habitants du département alors que tant le nombre de malades, ni le nombre d’hospitalisations, ni le nombre de patients en réanimation n’ont augmenté.

Le préfet adopterait-il des mesures restrictives, guidé par le simple nombre de “cas”, sans tenir compte des recommandations de l’OMS qui spécifient la nécessité de tenir compte des observations cliniques ?

Aberration médicale et aberration juridique, car le décret du 29 octobre, qui habilite les préfets à prendre des mesures, est un décret prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de la covid-19 et non pas au seul nombre de cas positifs.

Les préfets ne sont pas habilités par ce décret à prendre des mesures restrictives pour d’autres raisons :

– Les rassemblements, réunions, activités, accueils et déplacements ainsi que l’usage des moyens de transport qui ne sont pas interdits en vertu du présent décret sont organisés en veillant au strict respect de ces mesures. Dans les cas où le port du masque n’est pas prescrit par le présent décret, le préfet de département est habilité à le rendre obligatoire, sauf dans les locaux d’habitation, lorsque les circonstances locales l’exigent.

Art. 1er.
……….…II.

On peut espérer et supposer que les informations parvenues au préfet et aux élus qui en ont discuté avec lui n’aient pas clairement explicitées et nous espérons que l’alerte donnée ici démontrant que les malades de Covid19 actuels sont très en dessous de la barre inquiétante, conduira à l’abrogation rapide de ce décret inadapté à la situation sanitaire réelle.

Par ailleurs, en Moselle, comme partout ailleurs, le port du masque dans la voie publique n’est pas réglementé par le décret du 29 octobre en cas d’absence d’arrêté préfectoral en cours de validité !

 Les gens portent encore les masques à l’extérieur, alors que rien ne les y oblige sauf des arrêtés ponctuels dans certaines agglomérations.

Rappelons à cette occasion que le port du masque est dénoncé comme inutile et dangereux par plusieurs études universitaires et que le conseil d’état italien l’a interdit chez l’enfant en raison de sa dangerosité.[2] [3]

Rappelons les dires du conseil d’état italien :

« dans l’affaire portée à l’attention de cette juridiction, la mineure représentée par ses parents, a documenté avec des certificats médicaux à l’appui, à plusieurs reprises, des problèmes de manque d’oxygénation dus à l’utilisation prolongée de masque pendant toute la durée de la classe
que, dans la classe fréquentée par le mineur, un dispositif de contrôle de l’oxygénation – saturomètre, ne semble pas être disponible outil de coût minimal et très simple à utiliser dans des cas comme celui-ci, par chaque enseignant, pour intervenir dès les premiers signes de difficulté à respirer avec le masque par le très jeune élève

Considéré, par conséquent, que dans la chambre du conseil en instance déjà fixée devant le tribunal administratif régional, le mineur ne peut être contraint de porter le masque pendant la durée des cours, car le danger de fatigue respiratoire – en l’absence d’un contrôle constant avec un saturomètre – est trop grave et immédiat, et qu’on ne peut évidemment pas non plus supposer une suspension du droit constitutionnellement protégé du jeune élève de fréquenter l’école, jusqu’à la décision préventive du tribunal administratif régional. »

Le test PCR

Notons que le préfet conseille à ses administrés qui souhaiteraient voyager pendant les vacances scolaires de se faire tester avant leur départ. Or les tests PCR sont dénoncés par la communauté scientifique en justice depuis plusieurs mois et condamnés au moins dans une juridiction portugaise[4]. Il serait urgent que la France prenne en compte le caractère fallacieux des résultats des tests PCR et ne les exige plus dans les aéroports, les entreprises ou les écoles, entretenant une apparence d’épidémie qui n’existe plus via des résultats de tests contestables et contestés. Nous y reviendrons inéluctablement.[5]

Baser une politique sanitaire sur le seul nombre de positivité d’un test PCR est inefficace et potentiellement dangereux. Il faut revenir à une gestion traditionnelle de l’épidémie basée sur des données médicales objectives des malades examinés par de vrais médecins.


Notes

[1] AVIS DE L’OMS 20 janvier 2021 Alerte de produit médical À L’ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

[2] http://www.dirittoegiustizia.it/allegati/16/0000090219/Consiglio_di_Stato_sez_III_decreto_n_304_21_depositato_il_26_gennaio.html Conseil d’État, section III, décret 26 janvier 2021, n° 304
Président Frattini

[3] Pour en finir avec le masque pour nos enfants, le film (odysee.com)

Difficultés respiratoires : le port du masque pas si anodin ? (alternativesante.fr)

[4] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[5] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)




Le « Lockstep » de Draghi

[Source en italien : Draghi’s Lockstep (maurizioblondet.it)]

Un article éclairant de Thomas Fazi, publié par son ami Gianluigi Paragone, fait état du très récent rapport politique post-COVID préparé par le G30 – un groupe de réflexion fondé à l’initiative de la Fondation Rockefeller en 1978, « présidé par Draghi avec Raghuram Rajan, ancien gouverneur de la banque centrale indienne ».

Par Maurizio Blondet

« Il indique clairement que les gouvernements ne devraient pas gaspiller de l’argent pour soutenir les entreprises qui sont malheureusement condamnées à la faillite, définies dans le rapport comme des « entreprises zombies » – pensez, par exemple, en ce qui concerne l’Italie, aux centaines de milliers de magasins et d’établissements publics mis à genoux par la pandémie et ses mesures pour le contenir et seulement partiellement soutenus par les « rafraîchissements » insuffisants du gouvernement – , mais ils devraient plutôt soutenir la « destruction créatrice » du marché libre, laissant ces entreprises à leur sort et favorisant le déplacement des travailleurs vers des entreprises vertueuses [NdNM : traduire par « les entreprise multinationales telles qu’Amazon ».] qui continueront d’être rentables et qui se développeront après la crise.

[…]

Le document du G30 met également l’accent sur le marché du travail, en écrivant que « les gouvernements devraient encourager les ajustements sur le marché du travail… qui exigeront que certains travailleurs doivent changer d’entreprise ou de secteur, avec des voies appropriées de recyclage et d’aide économique. »

Pour Fazi, « le message est clair : les gouvernements ne devraient pas essayer d’empêcher l’expulsion de la main-d’œuvre des entreprises vouées à la faillite, comme en Italie et dans plusieurs autres pays, une tentative a été faite jusqu’à présent, en partie, avec le blocage des licenciements (expirant en mars) et l’utilisation intensive du fonds de licenciement. Ils devraient plutôt soutenir et faciliter ce processus afin de permettre au marché de prévoir une allocation « efficace » des ressources (y compris les humains). »

Je ne sais pas si Fazi, qui accuse Draghi d’« idéologie libérale précoce » – a compris que la Fondation Rockefeller est celle qui a, en octobre 2019, avec la Fondation Gates et à la « John Hopkins Bloomberg School of Public Health » (une chaire privée « universitaire » payée par le milliardaire Bloomberg) organisé à New York « Event 201 », la simulation bien connue d’une pandémie de coronavirus qui aurait causé 65 millions de décès et conduit les États à assumer la suspension de la liberté de circulation et du commerce, et [imposé] la vaccination universelle répétée et permanente, etc.

Je rappelle que l’intérêt de la Fondation Rockefeller pour l’exploitation des opportunités offertes par une pandémie remonte à 2010 : puis, en mai, il a publié Scenarios for the Future of Technology and International Development. (http://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf)

Comment renforcer la mondialisation même après une pandémie mondiale ?

Dans cette prédiction, la Fondation Rockefeller a simulé le scénario appelé « Lockstep » sur la façon dont une pandémie mondiale engendrerait un État policier mondial commencé par la Chine, mais qui après la fin de la pandémie « non seulement resterait en place , mais s’intensifierait ». Prendre l’exemple du contrôle total de la Chine sur la population a été implicitement (et même pas si implicitement) également recommandé en Occident.

En bref, la Fondation Rockefeller (et donc ses émanations telles que le G30 coprésidé par Draghi) est l’une des centrales électriques stratégiques qui ont conçu le Grand Reset du Forum économique mondial : en profitant de la « rare occasion » offerte par l’épidémie pour « reconstruire mieux » – reconstruire mieux, c’est le slogan répété par tous les puissants ces derniers mois – l’économie mondiale, corrigeant ses pierres d’achoppement vers un capitalisme véritablement libre (comme le petit immobilier privé, à abolir), en éliminant les émissions nocives causées par une population désormais superflue qui prétend voyager, partir en vacances, gagner un salaire dans des emplois, qui peut être remplacé par l’avantage des robots, et qui doit disparaître. Avec le tourisme de masse, les restaurants, les hôtels, les agences de voyages, les compagnies aériennes surdimensionnées [qui devront aussi disparaître]…

Alors peut-être que Draghi était un humain « libéral depuis le début ». C’est lui qui mettra en œuvre le Grand Reset pour l’Italie. Les compagnies zombies dont il a parlé sont clairement de petits magasins et toutes les activités d’accueil, défilés de mode et aux salons, dont l’idéologie transhumaniste du Forum Économique Mondial a décrété l’élimination parce qu’elles sont « polluantes » (effet de serre, producteurs de CO2).

Dans le projet idéologique-transhumaniste de la Grande Réinitialisation, le DAD [?] et le travail intelligent de masse élimineront les déplacements et la nécessité de réunions en personne, et amèneront la fermeture (c’est déjà le cas) des bars et pizzerias. Il s’en suivra – annoncé ouvertement : 

  • l’élimination des élevages de bovins, de porcs et de volailles très polluants;
  • la rééducation des bouches inutiles à l’apport protéique des insectes;
  • le maintien de la population superflue avec un revenu universel de base, en monnaie numérique, qui sera donné contre la vente au gouvernement de tous les bâtiments;

le gouvernement proposera d’éliminer toutes les dettes de toutes les personnes (hypothèques, prêts, cartes de crédit, etc.), grâce au financement du FMI dans le cadre de ce qui deviendra connu sous le nom de programme mondial de réinitialisation de la dette. « En 2030, nous n’aurons rien, pas d’intimité, et nous serons heureux ».

C’est ce qu’ils appellent « une dose de socialisme dans la quatrième révolution industrielle ».

« Après l’âge de 65 ans, l’homme coûte plus cher à la société qu’il ne produit. Aujourd’hui, la vieillesse est un marché, mais elle n’est pas solvable. En tant que socialiste, je suis contre la prolongation de la durée de vie utile. L’euthanasie sera l’un des outils essentiels des sociétés futures. La logique socialiste, c’est la liberté, et la liberté fondamentale, c’est le suicide. »

Jaques Attali

Draghi le fera, il n’y a aucun doute là-dessus. Il y a quelques jours, j’avais mis un point d’interrogation à la fin de la phrase :

« Un homme d’une singulière duplicité, sans scrupules, toujours en accord avec l’idéologie actuelle des milliardaires, va-t-il mettre en œuvre le Grand Reset du Forum économique mondial, qui est l’orthodoxie du moment ? »

Maintenant, le point d’interrogation doit être supprimé. La certitude ultime m’a été donnée par Paolo Mieli, mélodieux, lors d’un talk-show, quand il espérait que Draghi ne garderait aucun ministre du gouvernement précédent », sauf Roberto Speranza qui était si doué pour gérer la pandémie « : un maître du discours nous a dit que la dictature et l’imposture thérapeutique doivent continuer, avec des verrouillages ultérieurs de plus en plus impitoyables, comme décrit dans la feuille de route publiée du Canada.

Alors pourquoi ai-je dit que c’était bien que la Ligue ait accepté de soutenir Draghi ? Tout d’abord, parce que la Grande Réinitialisation faite par les grillini-piddini, incapables aussi bien que méchants, serait pire pour la cruauté envers la population, et puis parce que la Ligue a pris Draghi au mot sur sa conversion « keynésienne », et peut au moins montrer sa duplicité. Cela peut aussi lui faire manquer de soutien. En bref, cela peut au moins l’affecter un minimum.

Ce sera peu. Bien sûr, mais débarrassons-nous de toute illusion. Angela Merkel en Allemagne, Macron en France, Boris Johnson au Royaume-Uni, voire Netanyahou en Israël, mettent en œuvre le Grand Reset, tout comme nous, selon le même programme de « vaccinations totales » et la même destruction prévue d’activités économiques « inutiles », « polluantes », non résilientes et non vertes. La Commission, avec Van der Leyen, doit absolument vacciner l’ensemble de la population (pour une « maladie » qui peut être traitée avec des médicaments connus et bon marché), parce qu’ils servent évidemment un autre but. Et il n’y aura pas de libération tant que le peuple n’aura pas réalisé la dictature inhumaine qui l’opprime, ce qui est peu probable. Dans ce contexte, le choix de Meloni de rester à l’écart est également excellent : en tant qu’électeur, j’ai deux fours (pour ce que ça vaut, car je ne pense pas que nous continuerons à voter – ou nous voterons avec la méthode révélée par Time pour faire gagner Biden).

(Je me souviens avoir prié pour que « le filet qu’ils ont tendu » les capture : la libération viendra d’en haut)




Victoire en Italie : Le Conseil d’État déclare qu’un mineur ne peut pas se voir imposer l’utilisation du masque pendant les cours

[Source : Exoportail]

Par Jonathan

Note ExoPortail : Ne parlant pas Italien ceci est une traduction automatique, j ‘espère que c’est correct et sans coquilles… )

« Considérant que le recours contre le décret monocratique de précaution adopté par le président du tribunal administratif régional, compte tenu des dispositions textuelles de l’article 56 du code de procédure civile, ne peut être considéré comme recevable que dans des cas très exceptionnels d’une mesure qui n’a que la forme d’un décret mais un contenu essentiellement décisif ;

Considère que de tels cas de mesures monocratiques qui ne peuvent être contestées que sous la forme formelle d’un décret ou de « simples décrets apparents » surviennent exclusivement dans les cas où la décision monocratique en première instance n’est pas du tout provisoire et intérimaire mais définit ou risque de définir de manière irréversible la question en litige, le juge d’appel devant intervenir dans ces cas pour rétablir la dialectique correcte entre la fonction monocratique et la fonction collégiale en première instance ;
Considérant que, dans le cas en question, il apparaît :

1) l’Administration défenderesse n’a pas encore déposé dans les dossiers, devant le Tribunal administratif régional du Latium, les documents que le premier juge du Tribunal de première instance avait demandés. Que l’administration défenderesse n’a pas encore déposé auprès du Tribunal administratif régional du Latium les documents que le premier tribunal lui a ordonné de produire dans le délai de 15 jours, qui est expiré ;

2) ces documents, dont le dépôt en temps utile est confirmé, sont pertinents par rapport aux aspects décisifs du litige en question

3) que, dans l’affaire portée à l’attention de cette juridiction, la mineure représentée par les appelants d’aujourd’hui, ses parents, a documenté avec des certificats médicaux, à plusieurs reprises, des problèmes de manque d’oxygénation dus à l’utilisation prolongée des équipements de protection individuelle (EPI) pendant toute la durée de la classe

4) que, dans la classe fréquentée par le mineur, il ne semble pas – ou en tout cas d’après les registres il ne semble pas – être disponible même un dispositif de contrôle de l’oxygénation – saturationmètre, un outil de coût minimal et très simple à utiliser dans des cas comme celui proposé, par chaque enseignant, pour intervenir dès les premiers signes de difficulté à respirer avec l’EPI par le très jeune élève ;

Considéré, par conséquent, que dans la chambre du conseil en instance déjà fixée devant le tribunal administratif régional, le mineur ne peut être contraint de porter l’EPI pendant la durée des cours, car le danger de fatigue respiratoire – en l’absence d’un contrôle constant avec un saturomètre – est trop grave et immédiat, et qu’on ne peut évidemment pas non plus supposer une suspension du droit constitutionnellement protégé du jeune élève de fréquenter l’école, jusqu’à la décision préventive du tribunal administratif régional ;

Accepte la demande en référé et suspend l’applicabilité du décret du Premier ministre contesté à l’égard des requérants en ce qui concerne l’obligation du mineur -OMISSIS- de porter des EPI pendant les heures de classe ;
Les responsabilités liées à l’application du présent décret restent de la responsabilité de l’école fréquentée par le mineur.

Ce décret sera appliqué par l’Administration et est déposé au Secrétariat de la Section qui en avisera les parties.

Considérant que les conditions préalables énoncées à l’article 52, paragraphes 1, 2 et 5, du décret législatif n° 196 du 30 juin 2003, et à l’article 6, paragraphe 1, lettre f), du règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016, existent, il charge le Secrétariat de procéder, en cas de reproduction sous quelque forme que ce soit, à l’occultation des données personnelles du mineur, des personnes exerçant l’autorité parentale ou la tutelle et de toute autre donnée susceptible d’identifier le même intéressé signalée dans le jugement ou l’ordonnance. »

Source : http://www.dirittoegiustizia.it/allegati/16/0000090219/Consiglio_di_Stato_sez_III_decreto_n_304_21_depositato_il_26_gennaio.html

Traduction : ExoPortail 




La médaille Sainte Madeleine, les Dossiers secrets d’Henri Lobineau, Pierre Plantard de Saint-Clair et le mystère de Rennes-le-Château

[Source et auteur : Guy Boulianne]

J’ai récemment fait l’acquisition d’une médaille touristique de « Sainte Madeleine – Rennes-le-Château », faite d’un alliage en cupro-aluminium au nickel. Les cupronickels peuvent être employés pour fabriquer des objets utilitaires, résistants, stables et à bel aspect, par exemple dans l’industrie d’armement, les industries électriques, chimiques et pétrochimiques… ainsi que des objets d’ornementation. Mais il s’agit surtout d’un alliage commun de frappe monétaire, utilisé en conséquence pour la fabrication de nombreuses pièces de monnaie.

Bérenger Saunière écrit le 21 septembre 1891 : « Lettre de Granès. Découverte d’un tombeau. Le soir pluie. »

La pièce que j’ai acquise a un diamètre de 30 mm, une épaisseur de 2 mm, un poids de 16 g et une tranche cannelée. Elle est de couleur or. Mise en circulation en 2015, celle-ci n’a aucune valeur monétaire sur le marché. Je l’ai acquise en raison de ce qui me rattache à l’histoire mystérieuse de la France, et par le fait même à l’histoire de la Nouvelle-France. Je l’ai acquise aussi en souvenir de Rennes-le-Château, située dans l’ancien comté carolingien du Razès où pris souche la descendance cachée et mystérieuse des Mérovingiens.

En effet, il y a plusieurs années, j’ai habité à moins de 4 Km de la mythique Rhedae, plus précisément à Granès dans une petite maisonnette perdue dans le bois du Lauzet qu’un ami me prêtait. De là je parcourais toute la région, allant de Rennes-les-Bains à Bugarach, en passant par Espéraza, Quillan, le Bézu, Alet-les-Bains, Vic de Sòs, Carcassonne et bien plus encore.

Lorsque j’arrivai pour la première fois du nord de la France en auto-stop dans la région de Limoux, je commençai à marcher sur le sentier me conduisant à Rennes-le-Château. Soudain une voiture s’immobilisa et un homme m’y fit entrer pour m’amener au sommet du piton rocheux dominant la région naturelle du Razès, la vallée de l’Aude et la vallée de la Sals. Le hasard fit qu’il s’agissait du grand chercheur et philosophe Jean Pellet, possible descendant des comtes de Narbonne-Pelet.

Située dans le Sud de la France, en région Occitanie, la petite commune de Rennes-le-Château a tout particulièrement été rendue célèbre par l’un de ses curés qui vécut dans la paroisse à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, l’abbé Bérenger Saunière. De nombreuses théories laissent entendre qu’il y aurait trouvé un trésor en 1885 sans que l’origine et la nature exactes en soient connues. Dans son journal à la date du 21 septembre 1891, Bérenger Saunière note : « Lettre de Granès. Découverte d’un tombeau. Le soir pluie ». Le chemin de Rennes-le-Château à Granès passe par le lieu-dit Clots de Cavaillé et rejoint Granès par le Prat du Juge exactement où se trouvent des géoglyphes. Une salle souterraine très importante existe dans le bois du Lauzet coté fontaine des Quatre Ritous, salle qui contient des ossements humains ainsi que des tessons de poteries. Plusieurs tombes furent découvertes sur le plateau du Lauzet, près de la fontaine des 4 ritous.

Rennes-le-Château est située plus précisément dans la micro-région du Razès qui, elle-même, est entièrement située dans le département de l’Aude et ce village fut, historiquement, la capitale sous le nom de Redae ou Rhedae. Il s’agit d’une petite région, très ancienne, mais aussi très rurale, assez peu peuplée et composée de collines plutôt modestes à l’est, et au nord-est, et de massifs plus élevés à l’ouest. Cette région se situe à la rencontre du climat méditerranéen et des climats océaniques et montagneux qui favorisent la cohabitation d’espèces de plantes très différentes.

Le nom de la localité, ainsi que celui de Rennes-les-Bains, est attesté sous les formes Redae en 1002 ; Redez en 1067 ; Redes en 1070 ; Rezae en 1258 ; Rennas (sans date) ; Rehennes du XVe au XVIe siècle ; alias de RedisRénes en 1647. Le rôle politique de la cité de Rhedae à l’époque de Charlemagne est attesté par un poème de l’évêque d’Orléans Théodulf, issu d’une famille de l’aristocratie wisigothique. En 798, ce dernier fut chargé de missions administratives et politiques en Provence et en Septimanie par Charlemagne comme Missus Dominicus avec Leidrade, futur archevêque de Lyon. On peut noter l’intérêt que Charlemagne apporte au Razès, région de Rhedae, en envoyant de ses plus fidèles conseiller. Théodulf citera le fameux village de Rennes-le-Château sous son nom de Rhedae dans un poème en latin intitulé “Paraenesis ad judices” (page 12) : « Inde revisentes te, Carcassona Redasque, Moenibus inferimus nos cito Narbo tuis ».

Le chercheur et historien d’art, Robert Tiers, et Guy Boulianne devant le tableau crypté de Nicolas Poussin représentant Rennes-le-Château et son mystère (Avignon, 1997).

L’écrivain Gérard de Sède, pionnier dans l’affaire de Rennes-le-Château, a fort bien souligné que si Charlemagne s’intéressait à Rennes, c’est que celui-ci avait connaissance du fait que la précédente dynastie, celle des Mérovingiens avait pu subsister par la survivance de Sigebert IV, fils de Saint Dagobert II. Sigebert IV est supposé être arrivé en terre de Rhedae, le 17 Janvier de l´an 681 chez son grand-père Wisigoth Bera, et continuer la lignée cachée des Mérovingiens.

Le premier comte particulier en titre du Razès dont le nom nous soit parvenu est celui de Guillaume de Gellone, valeureux compagnon de Charlemagne qui participa à la bataille de Roncevaux (778), aux côtés de Roland. Celui-ci administra un territoire libre de toute présence sarrasine et indépendant du comté de Narbonne. Ensuite, c’est Berà, que l’on dit fils de Guillaume de Gellone, qui porta le titre. Au IXe siècle, le comté du Razès est divisé au profit de puissances locales.

En 1062, le comté du Razès est réuni à celui de Carcassonne. Mais le système féodal, avec ses suzerains et ses vassaux, va générer de nombreux conflits privés armés entre les seigneurs locaux. Rhedae, l’antique Rennes-le-Château et le comté du Razès vont alors être convoités et disputés de manière violente et sans ménagement entre achats, ventes, luttes, successions, et trahisons.

En 1170, Rhedae appartient au comté de Carcassonne, mais le roi d’Aragon qui revendique le Razès, lance une offensive et détruit en partie l’ancienne ville et ses fortifications. Durant cette même période, les Cathares commencent à s’installer et à prêcher dans toute l’Occitanie et notamment dans le Razès. En 1207, la croisade contre les Albigeois débute et Rhedae, au cœur du Pays cathare, voit la région s’embraser. C’est à cette époque que Simon IV de Montfort prend et détruit le château de Coustaussa, mais ne semble pas s’intéresser à Rhedae. Les vainqueurs de la croisade se partagent les domaines des seigneurs vaincus et le comté du Razès est attribué en partie à Pierre de Voisins.

En 1293, Pierre II de Voisins va remettre en état les fortifications de Redhae : la ville compte quelques centaines d’habitants et reste encore de taille importante pour l’époque. Commence alors une période de prospérité. La ville se développe, le commerce et la population augmentent. La famille de Voisins restera maître de ce qui deviendra Rennes-le-Château, au fil du temps, jusqu’en 1362.

En 1362, Henri de Trastamare (Henri II de Castille), à la tête d’une bande de pillards surnommés les “routiers aragonais”, ravage et pille le Razès. Les pillards mettent le siège devant Rhedae, qu’ils prennent et détruisent ne laissant derrière eux que des ruines. C’est à cette date que l’antique ville disparaît. Sur le plateau, seules restent quelques bâtisses épargnées et la structure du château qui a résisté à la destruction. La ville ne retrouvera jamais son importance et, dépourvu de fortifications, le lieu va laisser place à un village nettement plus modeste que l’antique cité, celui de Rennes-le-Château.

Le comté de Razès passe en 1422 à la maison d’Hautpoul, originaire d’Aussillon près de Mazamet, par le mariage de Pierre-Raymond d’Hautpoul avec Blanche de Marquefave, fille de Jeanne de Voisins, descendante de Pierre II de Voisins à qui le Razès avait été inféodé en 1230. François d’Hautpoul (1689-1753) releva le titre de marquis de Blanchefort tombé en désuétude, que lui apporta en dot son épouse Marie de Nègre d’Ables (1714-1781), dame de Niort, de Roquefeuil et de Blanchefort.

Lors de la Révolution française, le marquis Paul-François-Vincent de Fleury, héritier des Hautpoul-Blanchefort, après son mariage avec Anne-Gabrielle-Élisabeth d’Hautpoul-Blanchefort, dernier seigneur des lieux, émigra en Espagne avec ses trois enfants et son chapelain, l’abbé Antoine Bigou. Cependant, un de ses fils, Paul Urbain de Fleury, racheta son domaine (et les établissements thermaux) le 27 floréal an IV, lorsque ces propriétés furent vendues comme biens nationaux. Après de nombreuses vicissitudes, les biens et les propriétés de la famille d’Hautpoul furent vendus aux enchères le 7 juin 1889.https://www.youtube.com/embed/FMczNuKSz5I?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


L’abbé Bérenger Saunière et le trésor de Rennes-le-Château

L’abbé Saunière pose devant le porche de l’église de Rennes-le-Château.

Officiellement nommé le 22 mai 1885, l’abbé Saunière arrive en juin 1885 pour prendre son office dans le petit village de Rennes-le-Château, déjà durement touché par l’exode rural qui frappe toute la région des Hautes Corbières. En effet, en moins de 60 ans, Rennes-le-Château a déjà perdu la moitié de sa population.

Après avoir été quelques mois suspendu de sa cure par René Goblet, ministre des Cultes du Gouvernement Charles de Freycinet, pour ses opinions politiques antirépublicaines déclarées en chaire, l’abbé Saunière décidera, à son retour, d’entreprendre des travaux de rénovation dans son église en 1891 qui s’échelonneront sur plusieurs années entraînant une soif d’embellissements toujours plus variés et somptueux. À la suite de ses premiers travaux, l’abbé entreprendra dans la décennie suivante et à titre personnel, la construction d’un ensemble monumental, à proximité immédiate de la petite église et comprenant, une villa, un grand jardin de type paysager, une serre, une terrasse et une petite tour d’aspect médiéval.

Durant ces travaux, certaines rumeurs avancent l’hypothèse qu’il aurait découvert un trésor. La légende indique que l’abbé aurait trouvé de

mystérieux parchemins. La nature de ses hypothétiques découvertes et l’origine de sa probable fortune sont le sujet de nombreuses thèses à l’origine de la légende du trésor de Rennes-le-Château Les pistes les plus fréquemment évoquées, pour tenter de justifier cette hypothétique découverte devenue mythique au fil des livres et des reportages, sont présentées ci-dessous dans un ordre chronologique :

  • Le trésor des Volques tectosages, datant de l’époque romaine.
  • Le trésor des Wisigoths (ou Trésor de Jérusalem), déposé dans la région de Rhedae, après le Sac de Rome (410) par le roi Alaric Ier.
  • Le trésor de Blanche de Castille, à la suite de la Croisade des pastoureaux en 1251, survenue sous le règne de son fils Louis IX.
  • Le trésor des Templiers, à la suite du procès de l’Ordre du Temple effectué contre cette communauté religieuse par Philippe IV Le Bel entre 1307 et 1314.
  • Le trésor des faux monnayeurs du château du Bézu, affaire datant du XIVe siècle.
  • Le trésor des cathares. Un récit historique attesterait que lors la prise du château de Montségur par les croisés en 1244, quatre cathares s’en seraient échappés avec un trésor.
  • Le trésor de l’abbé Bigou, abbé de Rennes le Château durant de la Révolution française.

Des éventuelles aides financières extérieures (sous forme de donations) ont également été évoquées, le curé voisin de Rennes-les-Bains, l’énigmatique abbé Henri Boudet ayant pu être alors considéré comme une sorte d’intermédiaire, hypothèse reprise dans le téléfilm L’Or du diable. Cependant, aucun document de nature comptable ou bancaire ne vient étayer ce fait, et ni l’abbé Saunière, ni sa servante n’ont jamais fait état d’une aide de ce type.

Avant la fin de sa vie l’abbé Saunière se lance donc, au début de l’année 1901, dans la construction de plusieurs d’autres bâtiments et de structures d’embellissement sur des parcelles achetées au nom de sa servante Marie Dénarnaud. Ces bâtiments se présentent précisément sous la forme suivante :

  • une petite maison de style Renaissance, dénommée villa Béthanie (transformée aujourd’hui en musée),
  • une tour néogothique, dénommée tour Magdala, dotée d’un belvédère (ou terrasse) qui la relie à une construction en verre,
  • un parc et un jardin abritant de nombreuses plantes exotiques.

Ces dernières constructions raviveront certaines rumeurs d’enrichissement personnel de l’abbé, mettant de côté le fait que celui-ci a durant cette période contracté une dette de 6 000 francs auprès du Crédit foncier et qu’il ne la remboursera jamais de son vivant.

À la mort de l’abbé, survenue le 22 janvier 1917, son ancienne servante Marie Dénarnaud hériterait de ses biens, même si-celle-ci a été évoquée, dès l’origine de ces acquisitions, comme étant la seule propriétaire des terrains et des bâtiments de l’ensemble du domaine, notamment de sa Villa Bethania. Il reste d’ailleurs selon certaines déclarations officielles, notamment, celle de l’ancien maire de Rennes-le-Château, des zones d’ombre, non quant à la réalité de cet héritage, mais dans la nature même de cette transmission de propriété. Quoi qu’il en soit, Marie Dénarnaud, unique résidente du domaine durant plus de trente ans, finira par céder celui-ci à l’homme d’affaires perpignanais Noël Corbu, en échange de ce qui s’apparenterait à une rente viagère annuelle.



Les Dossiers secrets d’Henri Lobineau

En 1997, mon ami Didier Lutz me fit rencontrer pour la première fois le chercheur et historien d’art Robert Tiers, dans sa demeure à Avignon. Celui-ci est célèbre à travers la France et l’Europe pour la minutieuse enquête qu’il a réalisée autour du tableau qu’il possède, « Le Jardin des Hespérides », qu’il attribue avec raison au grand maître du XVIIe siècle, Nicolas Poussin. Il me remit alors un précieux document réunissant plusieurs tableaux généalogiques et portant le titre suivant : Dossiers Secrets d’Henri Lobineau. Quelle ne fut ma surprise d’apercevoir le nom d’Ursus à la planche No. 2 de ce dossier et ma joie s’intensifia lorsque je constatai que le petit-fils présumé de cet Ursus possédait un blason similaire à celui de notre propre famille, les de Bouillanne : « De gueules à une patte d’ours d’or ».

Le document que me remit Monsieur Tiers était une photocopie de mauvaise qualité des « Dossiers secrets ». Récemment, j’ai donc décidé de commander un exemplaires de ce même dossier auprès de la Bibliothèque nationale de France, espérant recevoir une copie en couleur. Malheureusement, cette exigence fut impossible pour des raisons de droits particuliers. Je reçus donc 25 feuilles photocopiées, illustrées en noir et blanc (in-4°, 25 cm). La qualité de la reproduction n’était guère mieux, mais il est clair pour moi que la clé se trouvait dans ces « Dossiers secrets d’Henri Lobineau ».

Il est très important de noter que le tableau de Nicolas Poussin dont Robert Tiers est le propriétaire, se compose d’un personnage principal tenant dans sa main gauche un bâton de pèlerin. Or, en observant de plus près, on s’aperçoit vite la main de ce personnage n’est pas une main, mais bien une patte d’ours. Il s’agit donc du Prince Ursus qui se fait montrer la voie vers Rennes-le-Château et le Bugarach.

Au centre : le blason du prince Ursus selon les Dossiers secrets d’Henri Lobineau. À gauche : le blason de la famille Bouillanne. À droite : le blason de la famille Planta.

Les Dossiers secrets d’Henri Lobineau (aussi appelés le Dossier Lobineau ou les Dossiers secrets) sont une série de documents dactylographiés, élaborés par le français Pierre Plantard et son ami Philippe de Chérisey puis déposés entre 1964 et 1967 à la Bibliothèque nationale de France sous la forme d’un don anonyme. Ces documents seraient des « preuves inventées par les auteurs dans le but de mettre en place une monarchie française dirigée par un descendant des rois Mérovingiens ». Ils sont enregistrés sous la cote 4° LM1 249 et sont datés de 1975 dans le fichier central. Ce ne sont nullement des parchemins mais des documents contemporains, aujourd’hui microfilmés et accessibles aux chercheurs. Ils se présentent comme un mince volume, chemise à couverture rigide contenant un assemblage hétéroclite de documents : coupures de presse, lettres, encarts, plusieurs arbres généalogiques et pages imprimées d’autres ouvrages, et à plusieurs reprises d’ailleurs subtilisées puis remplacées par d’autres, elles-mêmes surchargées parfois de notes et de corrections manuscrites.

Les recherches récentes montrent que derrière ces dossiers soi‑disant manipulés, une part historique se révèle être de plus en plus pertinente et rejoint un vaste ensemble d’indices, de sources diverses, et directement liés à l’énigme des deux Rennes. Férocement critiqués et exploités pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la raison pour laquelle ils ont été créés, ces dossiers contiennent d’importants indices historiques et généalogiques qui se rattachent également à l’histoire de Rennes le Château et Rennes le Bains.

Le dernier lot de documents fut déposé à la Bibliothèque Nationale de France en avril 1967 sous le nom d’Henri Lobineau et concerne « Les Dossiers secrets Lobineau » rassemblés par un certain Philippe Toscan du Plantier. Ce titre donnerait non seulement un nom à la série, mais une ultime indication sur l’identité de l’auteur. Ce dernier recueil complète ainsi le processus de dévoiler au grand public le Prieuré de Sion. Les dossiers sont aujourd’hui microfilmés et accessibles aux chercheurs.

Parmi ces dossiers, un manuscrit datant de 1956 affirme l’existence d’une société secrète, le Prieuré de Sion, et relate son histoire depuis sa fondation en 1099 par Godefroy de Bouillon. On y trouve aussi la liste des grands maîtres qui se seraient succédé à la tête de l’organisation depuis le XIIe siècle, parmi lesquels figurent Léonard de Vinci, Isaac Newton, Victor Hugo, Claude Debussy, Jean Cocteau. La mise en parallèle de ces généalogies avec l’objectif du Prieuré de Sion confirme en réalité les ambitions de Pierre Plantard. En effet, on peut supposer que lorsque celui-ci laisse entendre que la mission du Prieuré est de restituer la dynastie mérovingienne en France en s’appuyant sur la mythologie de Rennes-le-Château, il sous-entend que leur héritier légitime n’est autre que lui-même.

Quoi que l’on puisse en penser, il est indéniable que Pierre Plantard est un personnage incontournable de l’affaire moderne de Rennes-Le-Château. C’est lui qui, pendant de nombreuses années « guida » de nombreux auteurs dans les structures de leurs ouvrages. Nous pouvons citer sans soucis, Gérard de Sède : « Les Templiers sont parmi nous » et « Le Trésor Maudit de Rennes-Le-Château », Henry Lincoln, Richard Leight et Michael Baigent : « L’Enigme Sacrée » et « Le Message ». En 1993, Pierre Plantard sera interrogé par la justice dans le cadre de l’enquête sur la mort de Roger-Patrice Pelat, ancien ami de François Mitterrand. Plusieurs documents retrouvés chez lui le présentent comme étant le « vrai Roi de France ». C’est alors que Plantard avouera son illégitimité de roi de France et recevra le conseil « de ne plus jouer avec la justice française ».

Lors de mon séjour en Europe il y a très longtemps, j’étais censé rencontrer Pierre Plantard à Paris et nous avions un rendez-vous en ce sens. Malheureusement, peu avant mon retour de Belgique, j’eu un important incident qui m’obligea à annuler ce rendez-vous. J’avais raté là une occasion unique car je suis certain que nous aurions partagé ensemble des informations fort intéressantes. Il en va du destin…

Pierre Plantard usera de toute une série de noms d’emprunt au fil de sa vie : “Varran de Verestra” ; “Pierre De France” ; “Chyren” (en référence à la prophétie de Nostradamus sur la venue d’un grand monarque) ; et, dès 1975 (date importante dans l’Affaire dite de Rennes-Le-Château), il se fera nommer “Pierre Plantard de Saint-Clair”. Il resta isolé de 1993 jusqu’à sa mort. Décédé le 3 février 2000, l’annonce ne fut faite que le 17 juin de la même année, mais en indiquant une date de décès au 13 juin. Ses restes ont été incinérés. Sa mort fut donc aussi nimbée de mystère….

Ces dernières années, Pierre Plantard a été la victime de journalistes et d’auteurs sans scrupules qui se sont ingéniés malicieusement à le diffamer et à le discréditer sur la place publique. Je considère cela comme étant une injustice puisque — pour ma part — je crois fermement que Pierre Plantard était l’agent d’une société bien réelle, et que sa mission consistait à sensibiliser le monde à une histoire non-révélée, à travers un jeu de piste parsemé de symboles et d’indicateurs historiques.

En cela il aura particulièrement bien réussi !




Ceci n’est pas un complot

[Source : Le site d’Initiative Citoyenne]

[Ndlr : le film a été supprimé de Vimeo le 23 février et reste pour l’instant visible sur YouTube. Le texte sous la vidéo provenait d’une chaîne sur Vimeo.]

Voici quelques phrases symboliques extraites de ce beau film qui invite à retrouver notre liberté de penser, de réfléchir, de vivre sans masques, sans distanciation. RETROUVER NOTRE LIBERTÉ.

Répétition des messages subliminaux.

Tous les médias participent à la campagne prétendument antivirus dont le but réel est de terroriser la population. La tv crée une hypnose collective puis une phobie collective. Les messages subliminaux se multiplient. Les images de patient jeune maquillé sont mises en avant alors que ce sont les vieux qui meurent de covid (ou le plus souvent d’une maladie ancienne accompagnée par un test covid19 positif).

Les entreprises d’information font de l’audience.

Le taux de mortalité du covid19 est pourtant extrêmement faible. Ce qui frappe est la discordance majeure entre le faible nombre de décès et l’intensité de la phobie. Pourtant les décès ont été largement surestimés en attribuant au coronavirus tous les décès avec tests positifs. Seuls 4 % des résidents décédés en Belgique sont vraiment décédés du seul covid. Mais on a interdit aux familles de leur faire des adieux dignes.

L’opposition médicale très large dans tous les pays ne peut s’exprimer que dans les médias alternatifs, car elle n’a pas d’accès aux médias nationaux. Elle est traitée de complotisme qui permet d’éviter tout questionnement et empêche de poser les questions qui dérangent. Est-ce que c’est être complotiste que de chercher et de révéler les conflits d’intérêts des doc TV ou des politiques ?

Les gens qui conseillent un gouvernement public, mais ont en même temps des relations financières (ou autres) avec les entreprises privées du secteur concerné ne doivent-ils pas en informer les médias qui les interrogent ? En France la loi transparence santé l’exige, mais les médecins des plateaux télé et les diffuseurs ne respectent pas cette loi et le conseil de l’ordre chargé par la loi de la faire respecter regarde ailleurs

Le documentaire revient sur les tests PCR falsifiés qui depuis des mois alimentent la peur, les mensonges d’état diffusés par les télévisions, truqués.

Il revient sur l’enfant de trois ans prétendument décédé du covid en Belgique alors que cette version a été contestée d’emblée par le père de l’enfant choqué qu’on instrumentalise sa fille. En fait le père dit que l’enfant avait une maladie neuromusculaire et une thrombose. La communication manipule la peur. L’info n’a pas été rectifiée malgré l’insistance de son père, y compris trois mois plus tard.

Le réalisateur interviewe le réanimateur belge Pascal Sacré, licencié pour avoir informé (faute grave !)

Les états de stress vont aggraver des problèmes de santé plus dangereux que le covid19 ; la peur est associée à une inhibition de l’action. La personne qui a peur est capable d’accepter tout et n’importe quoi.

Silence sur les évènements importants qui contestent la politique officielle

Le documentaire détaille les premiers rassemblements s’opposant au masque en août 2020 et le silence sur l’énorme rassemblement à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy.

Puis grande propagande publicitaire pour les vaccins covid19 qui serait la seule solution à une crise dont on nie la possibilité de traiter simplement. Les pouvoirs qui envient la dictature chinoise voudraient nous imposer le vaccin puis un « passeport vaccinal » pour suivre tous nos déplacements (voir projet DAVOS).

Puis il raconte comment les gouvernants et les médias fustigent les comportements sociaux et en particulier les jeunes qu’on culpabilise en faisant croire qu’ils seraient responsables de la diffusion de l’épidémie. La presse s’en prend aux professionnels de la santé qui s’autorisent à parler. On les traite de « marchands de déni », de « complotistes », de « rassuristes ». Il rappelle l’exclusion du Dr Pascal Sacré réanimateur belge et les poursuites contre les médecins français pour avoir parlé. 

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des manifestations dans plusieurs pays occidentaux ni des décisions judiciaires comme celle du Portugal. Il analyse les censures médiatiques.

En fin de vidéo, il aborde ce que cache la crise du coronavirus, révélateur du fait qu’on a désinvesti le système de santé et que le désendettement de l’état avait diminué, mais que tout a été effacé en 2020.
Le virus va être accusé de la faillite du système alors que c’est le confinement qui a coûté des centaines de milliards. Les gouvernements ont détruit l’économie. Démission politique. Les exécutifs mènent la danse. Les médecins bafouent le secret médical, communiquent les données. En quelques semaines on a bafoué les données personnelles.

Pourquoi a -t­-on fermé tous les lieux d’échange, universités, bars, théâtre ? Éviter au maximum les échanges entre humains qui pourraient contester cette hystérie organisée au service de la finance ?

La presse accompagne le pouvoir même dans ses délires.

MES AMIS SONT DEVENUS DES PIXELS

Ceci est une opportunité pour ceux qui rêvent de pouvoir fort et de peuple sage auquel les gouvernants font confiance. L’auteur espère un sursaut de l’intelligence collective, il faut en finir avec cette crise.

À regarder, partager, discuter entre vous, vos amis, reprendre contact au-delà de cette distanciation sociale sans fondement sanitaire (qui s’oppose à l’immunité collective qui a fonctionné dans les pays non confinés comme la Suède.)




La Lettre de la Médecine du Sens n°326

[Source : Sens et Symboles]

« L’intelligence n’est pas affaire de diplômes. Elle peut aller avec mais ce n’est pas son élément premier. L’intelligence est la force, solitaire, d’extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi – vers l’autre là-bas, comme nous égaré dans le noir. » 

Christian Bobin, L’inespérée

La Lettre de la Médecine du Sens n°326

Bonjour à toutes et à tous,

On se dit tous que ça ne se terminera jamais et que cela n’a pas de sens. Et pourtant, c’est d’une grande logique.

Essayons de bien voir ce qui se passe actuellement au niveau des vaccins. Il y a une chose capitale à comprendre et qui explique beaucoup de choses. 

Les vaccins ne sont autorisés qu’avec une AMM conditionnelle, ce qui est différent d’une AMM pleine et entière. (AMM = Autorisation de Mise sur le Marché)

Dans l’AMM pleine et entière les produits ont terminé la totalité des essais.

Mais il est possible de délivrer une AMM plus précoce, dite conditionnelle, avant que tous les essais ne soient terminés et validés, c’est-à-dire dans une phase encore expérimentale, dite de phase 3.  

Cette situation d’exception demande deux conditions :

  • que l’action du produit soit au-dessus de 50%,
  • qu’il n’y ait pas d’autre traitement possible.

C’est donc un traitement réservé aux situations d’urgence sans aucune autre possibilité. Seulement voilà, ici il y a deux hic. Le premier c’est que si les vaccins sont annoncés par les laboratoires à 95% d’action, Peter Doshi dans le BMJ (British Médical Journal ) du 4 janvier (Lettre MDS 325, lien : https://www.lessymboles.com/une-etude-scientifique-remet-en-cause-lefficacite-des-vaccins-anti-covid/ ) nous indique que les dits vaccins ne sont actifs, après relecture par ce très grand scientifique incontesté, que entre 19 et 29%. 

Cette publication n’a été contredite par personne.

Et bing ! Voilà une des deux conditions qui saute.

La deuxième est qu’il n’y ait aucun autre traitement, et là vous comprenez pourquoi depuis le début tout le système s’acharne à démontrer que le traitement du Pr Raoult n’existe pas (alors qu’il fonctionne à 60%), ou que soit ignorée aussi totalement, en France du moins, l’Ivermectine qui agit entre 80 et 100% au début et encore  40% en phase tardive.

Bing ! C’est la deuxième qui saute.

Ce serait tout le jackpot des vaccins qui sauterait. Et nous verrons juste après qu’il est énorme.  

Nous utilisons donc actuellement des vaccins qui ne devraient pas légalement avoir d’AMM provisoire.  

Si on continue, on réalise ce qui pourtant était évident depuis longtemps, c’est que les virus à ARN mutent perpétuellement et que c’est pour cela que l’on n’a jamais réussi à faire de vaccins contre les coronavirus.

Les laboratoires prétendent encore que leurs vaccins agissent sur la variant Anglais, mais déjà plus sur le variant Sud Africain à peine 1 mois 1/2 après le début des vaccinations. Et ce sont encore une fois les seules données de Pfizer, entreprise qui a déjà été condamnée en 2009 à 2,3 milliards d’euros d’amende pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes (valises de billets pour corruption, pour des responsables et des leaders d’opinion).

Il faut toujours en médecine faire attention à ne pas abuser de ce qui marche. Les antibiotiques ont été en médecine une découverte essentielle, mais leur utilisation abusive a conduit à des antibio-résistances qui vont être dramatiques.

Malheureusement, nous continuons les mêmes erreurs au niveau des vaccins. Nous voyons bien apparaitre un vaccino échappement avec les variants anglais et sud africain. Cela risque de créer, comme au niveau des antibiotiques, une situation critique de résistance. 

Pourtant, les traitements existent.  

La Coordination Santé Liberté publie ce 31 janvier 2021 une synthèse très interessante et documentée des traitements efficaces du Covid 19 de quoi soigner très efficacement.

Télécharger le PDF :  https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/2-Groupe_de_travail_PREVENTION___THERAPEUTIQUE.pdf 

Dans quelques jours elle publiera le Comité Scientifique Indépendant. Qui pourra donner des avis sur la crise avec une autre voix face à la doxa officielle de plus en plus totalitaire. Évidement, dès la sortie des recommandations toute la presse mainstream (celle qui appartient aux mêmes milliardaires) réagit. Il faut voir cela comme un satisfecit de qualité. Nous avions déjà dit dans la dernière lettre que la mortalité corrigée de 2020 était moindre que celle de 2015 ou 2017.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=8pA9pfFUSIk&feature=youtu.be 

Voilà avec ces recommandations notre Covid qui a terrorisé, ramené au stade d’une infection respiratoire assez commune.  

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant.

Pourtant LA chose à faire depuis le début de la crise était d’augmenter massivement le nombre de lits de réanimation en France. Cette pandémie aura au moins eu le mérite de révéler que la politique massive de réduction de lits poursuivie par tous les gouvernements depuis 20 ans était une catastrophe. Pourtant le gouvernement fait tout le contraire. Une fois de plus, il fait n’importe quoi ! En Ile de France, selon le Canard Enchaîné, ils sont passés de 2500 à 1700, alors que c’est tout l’inverse qu’il aurait fallu faire. Dans la situation actuelle c’est provoquer artificiellement une saturation des lits de réa. C’est à la fois manipulateur et criminel.

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

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Le conseil de l’Europe, dans une décision, rappelle la liberté vaccinale et l’interdiction de faire pression ou de discriminer.

La résolution 2361 adoptée le 28 janvier au Conseil de L’Europe indique entre autres : 7.3. pour ce qui est d’assurer un niveau élevé d’acceptation des vaccins:
7.3.1. de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que  la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;
7.3.2. de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ;   Alors restons calmes, fermez vos télés, adhérez aux différents collectifs, attendons la fin des études pour prendre position sur les vaccins. Et prenez soin des personnes que vous aimez, et des autres aussi ! E.A.


BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, 

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/


Ivermectine de très nombreuses études montre sa remarquable action.

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Ivermectin-covid-metanalysis-fev2021.pdf


HOLD-UP Version finale, le 15 février 2021 à 20h00. 

HOLD-UP revient dans une version augmentée, c’est énorme ! Le Lundi 15 Février 2021 à 20H sur https://holdup-lefilm.fr/


Dr Louis Fouché 

Bas les masques – COVID-19 Bilan avec le Dr Louis Fouché Très belle synthèse médicale pour bien tout comprendre simplement.


Dr Louis Fouché : la désobéissance civile.


Pr Didier Raoult 

Surmortalité chez les très âgés, mais pas du tout avant 65 ans. Les mesures contraignantes  (confinement, couvre-feu, fermetures des restaurants et commerces) n’ont aucune efficacité.


Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

La surmortalité la plus importante s’est produite en région parisienne.

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Pr Raoult chez Guillaume Durand.

Pr. Didier Raoult, on va rendre tout le monde fou ! (Radio Classique, 28 janvier 2021)


Le Pr Raoult chez Bercoff

Les mesures sanitaires, on le sait maintenant, ne servent à rien. C’est en famille que l’on se contamine et le confinement a fait flamber l’épidémie. Didier Raoult : « Ce n’est pas dans la rue qu’on attrape le Covid-19, mais confiné à la maison ».


Excellent article de Edouard Broussalian sur les vaccins.

Version PDF de l’article :  https://planete-homeopathie.org/wp-content/uploads/2021/01/Lettre-Ouverte-Pr-Siegrist.pdf

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Je suis navré, aucun médecin doué de raison ne peut acheter un tel discours.

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Et son passage sur RTS revu avec humour


Chez Pascal Praud, le Pr. Peyromaure dénonce une vaccination « à marche forcée”:


Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Un article de Jean-Dominique Michel. C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. Lire la suite.


PFIZER : le vaccin, un jackpot à plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

Le chiffre d’affaires est ressorti à 11,7 milliards, contre un consensus de 11,5 milliards.

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Nice Matin, édition du 17 janvier 2021


Confinement : vers la fin de l’hystérie

Confinement : vers la fin de l’hystérie

Par  Ivan Rioufol du Figaro. « J’ai confiance en nous », a tweeté samedi le chef de l’Etat, en feignant d’oublier sa précédente politique d’infantilisation et de culpabilisation des Français. Lire la suite.


Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché. Par Kamran Abbasi le patron du BMJ dénonçant la corruption en manière de science ce qui nous renvoie évidement au fameux article bidon du Lancet. _ * La FDA, l’agence américaine de réglementation pharmaceutique, a approuvé l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez tous les patients atteints de Covid-19. *

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché.

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Vaccination des handicapés et trisomiques.

Les personnes fragiles et pas en état de donner leur consentement. « Les gens qui ne sont rien » de Emmanuel Macron.


Une étude sur 9 899 828 personnes en Chine montre que les asymptomatiques ne sont pas contagieux.


Le gouvernement américain a perdu un procès historique sur les vaccins !

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Le-gouvernement-américain-a-perdu-un-procès-historique-sur-les-vaccins-.pdf  


Emmanuelle Charpentier, prix Nobel de chimie 2020, affirme que l’A.R.N a pour but de modifier le génome


La face cachée du système Macron

Macron le Manipulateur. Glaçant.


Francis Lalanne au Défi de la Vérité


Quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité

BAS LES MASQUES – Refus de la transparence : quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité.


Ce n’est qu’un début.

Un jour, qui se rapproche, il y aura un Nuremberg pour juger les responsables du plus grand scandale sanitaire du 21° siècle comme le titre du dernier livre de Didier Raoult.


Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe après la plainte de Didier Raoult pour diffamation 

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

« Ce qui se passe à Marseille est à mon avis absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique. »

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Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses.

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La ministre australienne fait semblant d’être vaccinée.

Le capuchon de l’aiguille reste en place !

COMMENT NOS PSEUDO ÉLITES MENTENT DEPUIS TRES LONGTEMPS, tout comme Bill Gate qui a dit que ces propres enfants ne seront JAMAIS vaccinés !!! Mais il veut vacciner la Terre entière !!! Réfléchissez ….

Autre information , la recherche d’un vaccin met environ 10 ans et là, une pseudo-pandémie en cours et déja un vaccin ???


Vaccins miracles et marketing!

Vaccins miracles et marketing!

Les « complotistes » avaient une fois de plus raison , il faut revenir à l’évidence, une évidence rappelée par le PR Fisher lui même… Et si l’urgence était de soigner ? La vaccination ne règle rien.

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Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé, qui mouille courageusement la chemise en écrivant ceci à l’Ordre des Médecins: Monsieur le Président, mes chers confrères, Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins. Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes …

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« Danser encore », une chanson de HK.

Radio Courtoisie : Les vaccins.

Drs Louis Fouché, François Godeau, Pascal Sacré, Olivier Soulier, Me Carlo Alberto Brusa, La député Carine Montaner, Oskar Feyinger …

Réécouter les précédentes émissions : https://www.lessymboles.com/emissions-de-radio/


HUMOUR

Franjo : la vaccination

Drôle et si vrai.


Le dessin d’Emeline : « Corona etc… »

Le site d’Emeline : https://lesdessinsdeme.com/


« Olivier Soulier a fait un débriefing avec BonSens, France Soir et Xavier Azalbert »


Les prochains séminaires

Voir le programme complet de Sens et Symboles 

https://www.lessymboles.com/seminaires-resume/


Bonne semaine à toutes et à tous !




Les Nouvelles de la VÉRITÉ BRUTALE #4

[Source : Amélie Paul]

https://youtu.be/gAbyHd7fYqM



Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!

Par Pryska Ducoeurjoly [via Réseau International]

Des centaines de millions de tests RT-PCR ont été réalisés cette année pour tenter de contrôler l’épidémie de coronavirus. Rien qu’en France, pas moins de 18 millions[1] de personnes sont passées par l’épreuve désagréable de l’écouvillon entre mars et octobre 2020. Il est temps de s’intéresser en détail à cet instrument qui s’est imposé depuis une dizaine d’années dans le paysage des tests biologique. Est-il potentiellement dangereux ?

DOSSIER PARU DANS NEO SANTE n°106 DECEMBRE 2020

L’écouvillon, c’est un peu la baguette magique des épidémies de cas positifs que connaissent de nombreux pays. À commencer par la France, qui bat tous les records. Mais l’objet de cette enquête n’est pas de revenir sur la fiabilité du test RT–PCR dont nous avons déjà beaucoup parlé dans Néo Santé[2]. Nous savons que ce test, lorsqu’il est pratiqué en masse sur des cas asymptomatiques, a de très forte chance de donner un faux positif. Intéressons-nous cette fois à l’écouvillon, arme de détection massive longue de 18 centimètres, que l’on enfonce jusqu’au fond des fosses nasales pour y prélever de la matière virale.

Un recul d’une dizaine d’année

Le « prélèvement nasopharyngé » s’est imposé dans le cadre de l’épidémie de grippe H1N1 de 2009, une pseudo-pandémie qui a fait couler beaucoup d’encre à l’époque, le scandale santé publique précurseur de celui que nous connaissons actuellement… A l’époque, l’écouvillon et le prélèvement nasopharyngé ne sont pas encore le standard de référence. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les quelques rares études publiées au début des années 2010 au sujet de ce type de prélèvement. Bien que ne datant pas d’hier, le test nasopharyngé va profiter de la crise sanitaire pour s’introduire profondément dans les recommandations officielles.

Voici ce qu’écrivaient des chercheurs américains en 2012, dans l’article « Comparaison des écouvillons nasaux et nasopharyngés pour la détection de la grippe chez les adultes »[3]« La pandémie de 2009 et l’augmentation de la résistance aux antiviraux spécifiques à un type ont accru le besoin de tests de dépistage de la grippe précis, opportuns et bien tolérés par les patients. Une variété d’échantillons ont été utilisés pour le dépistage de la grippe, y compris l’écouvillon nasopharyngé (NP), l’écouvillon oropharyngé, le lavage nasal et l’aspiration nasale. Le lavage ou l’aspiration nasale est généralement considéré comme le « standard de référence » pour l’isolement du virus, mais il est difficile à réaliser et désagréable pour les patients. Les écouvillons sont plus faciles et plus rapides à prélever et peuvent être préférés par les prestataires et les patients. (…) À ce jour, aucune étude n’a comparé des écouvillons nasaux et nasopharyngés appariés prélevés sur des adultes”.

En d’autres termes, nous n’en savions pas beaucoup il y a encore 10 ans sur la pertinence des différents types de prélèvements, aussi bien en matière de fiabilité des résultats que du confort pour les patients. Mais ce que l’on découvre à travers ces études, c’est le caractère moins invasif d’un prélèvement par écouvillon que par aspiration nasopharyngée ! Cette dernière nécessite la présence de deux personnes et se fait à l’aide d’une canule beaucoup plus grosse et vraiment moins confortable, il faut le reconnaître, surtout pour les enfants[4]

Le prélèvement nasopharyngé devient la référence

En 2020, 10 ans plus tard, le prélèvement nasopharyngé s’est imposé comme la référence, du moins en France, un pays particulièrement engagé en faveur de l’écouvillonnage de sa population. En premier lieu, pour la surveillance de la grippe saisonnière. « Plus de 1 300 médecins généralistes du réseau Sentinelles assurent une surveillance clinique. Environ 300 d’entre eux, épaulés depuis 2015 par 116 pédiatres, réalisent une surveillance virologique en effectuant des prélèvements nasopharyngés qui sont analysés au Centre national de référence Virus des Infections Respiratoires”, explique l’Institut Pasteur[5].

Avec la pandémie de coronavirus, l’écouvillon a confirmé son hégémonie. Ainsi, dans un arrêté publié le 12 mai 2020 au Journal officiel, cosigné par le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, il est clairement indiqué que « le prélèvement à privilégier est un prélèvement nasopharyngé profond des voies respiratoires hautes par écouvillonnage ou un prélèvement des voies respiratoires basses (crachats ou liquide brochoalvéolaire) »[6]. Un arrêté qui s’inscrit dans la droite ligne des recommandations de la Société française de microbiologie (SFM) du 6 avril 2020. Dans une Mise au point publiée le 9 mai 2020 par le centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur, on peut également lire que « les tests RT-PCR sur prélèvement naso-pharyngé sont aujourd’hui considérés comme la technique de référence pour les virus respiratoires ». Quant aux « prélèvements de gorge », ils ont « une sensibilité de détection inférieure à celle des prélèvements naso-pharyngés » avec « parfois un fort risque de faux négatif ».

Donc, si l’on en croit les autorités sanitaires françaises qui ont, par ailleurs, de moins en moins de crédibilité aux yeux du grand public, pour avoir un test fiable il FAUT passer par le prélèvement nasopharyngé et non par un simple prélèvement nasal (moins profond) ou dans la gorge (oro-pharyngé). Mais… Ce n’est pas la position de l’OMS ni d’autres organismes de santé publique. En effet, l’Organisation mondiale de la santé recommande de prélever des échantillons des voies respiratoires supérieures (écouvillons nasopharyngés et oropharyngés) et/ou inférieures (expectoration) en réservant l’aspiration endotrachéale pour les patients dont les symptômes respiratoires sont plus sévères.

Pas de réel avantage

En réalité, la supériorité du prélèvement par écouvillon ne fait pas l’objet d’un consensus scientifique. Un simple test salivaire réalisé chez soi ou quelques crachats envoyés au labo s’avèrent sans doute aussi efficaces, et beaucoup moins pénibles. La meilleure synthèse de l’état des connaissances a été réalisée par les Canadiens de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Ce document[7] compare les différentes recommandations internationales et une vingtaines d’études récentes sur les écouvillons. Je vous passe les préférences des scientifiques pour les « écouvillons en polyester floconnés montés sur une tige de plastique », concentrons-nous sur le vrai débat qui a trait au site et au mode de prélèvement à privilégier pour détecter le SARS-CoV-2.

« Les données de la littérature sont mitigées, écrit l’institut canadien. Certaines études observent des taux de positivité plus élevés dans les expectorations, suggérant qu’elles devraient être utilisées de manière préférentielle aux prélèvements nasaux [Yang 2020], nasopharyngés [Wu 2020] ou de gorge [Lin 2020]. Dans d’autres études, on observe que la charge virale de l’expectoration est semblable à celle du prélèvement de gorge [Pan 2020] et que la charge virale du prélèvement de gorge est semblable à celle du prélèvement nasopharyngé [Wolfel 2020], ou encore que le prélèvement nasal [Zou et al., 2020] ou nasopharyngé [Becker 2020] possède une charge virale 8 supérieure au prélèvement de gorge ou de la salive. Selon une étude finlandaise, le prélèvement nasal aurait une sensibilité comparable à l’aspiration nasopharyngée [Waris et al., 2013]. ». Bref, c’est kif-kif bourricot…

L’auto-prélèvement maison, tout aussi valable !

« Deux études américaines [Kojima 2020, Tu 2020] ont testé une approche différente, soit l’autoprélèvement, poursuit l’INESSS. Ils sont arrivés à la conclusion que le taux de positivité obtenu à partir de prélèvements oraux (salive) et nasaux effectués par les patients eux-mêmes sont semblables aux taux de positivité obtenus à partir de prélèvements nasopharyngés réalisés par des professionnels de la santé. De plus, une revue systématique [Khurshid 2020] et quatre études primaires [Iwasaki, Jamal, Pasomsub, Williams, 2020], dont une canadienne, ont montré que la salive est une alternative efficace, voire plus sensible dans certaines circonstances que les écouvillons nasopharyngés, en plus de permettre l’autoprélèvement à domicile afin de détecter le SARS-CoV-2 à grande échelle. Un protocole américain est présentement en cours d’essais afin de démontrer la faisabilité de l’autoprélèvement de salive dans un contexte de COVID-19 [Sullivan, 2020] ».

Pour toutes ces raisons, rien ne vous oblige à préférer l’écouvillon naso-pharyngé pour une question de fiabilité ! D’ailleurs, la possibilité d’avoir un prélèvement moins invasif reste ouverte dans bon nombre de pays, même en France (en insistant lourdement…) puisque la Haute autorité de santé (HAS) a rendu un avis[8] favorable, le 20 septembre 2020 : « Les prélèvements salivaires représentent une alternative mais pour les seuls patients symptomatiques. Aujourd’hui, la HAS valide le recours au prélèvement oropharyngé pour les tests RT-PCR des personnes asymptomatiques chez qui le prélèvement nasopharyngé est contre-indiqué ».

Un test pénible voire douloureux

« Ma conjointe a eu un mal de tête accompagné de points de couleur devant ses yeux pendant 2 jours », explique un internaute sur Twitter (où l’écouvillon a bien circulé). « L’infirmière a tellement insisté/trituré que j’avais vraiment envie de lui coller un pain », commente une autre sur le même réseau. « Une heure après le test, j’avais encore une sensation bizarre au fond de mon nez. Pas vraiment douloureuse non plus, mais assez gênante. Surtout que j’ai subi le test à une période où je faisais de fortes allergies aux pollens, ça ne m’a sans doute pas aidé, je n’arrêtais pas d’éternuer », explique Nicolas[9].  « Je l’ai pour ma part trouvé plus désagréable que douloureux, mais je ne peux pas dire que ça ne fait pas mal du tout. Concernant mes collègues, je dirais que 60 à 70% l’ont trouvé douloureux », explique une infirmière.

En fonction de la sensibilité de la personne testée et la dextérité du praticien les expériences sont très personnelles. Ce n’est en tout cas pas un acte médical anodin car il y a une manipulation qui doit être bien réalisée. Comme l’explique le CHU d’Angers dans sa démonstration vidéo sur Youtube (« Prélèvement naso-pharyngé – COVID-19 »[10]), la première erreur à éviter est d’introduire l’écouvillon parallèlement à l’arête du nez. On butte sur la « plaque cribriforme » qui est une porte d’entrée micro perforée vers le système nerveux central, via les ramifications du nerf olfactif.

Et la barrière hémato-encéphalique ?

Certains articles en ligne ont affirmé que les couillons pouvaient perforer la barrière hématoencéphalique et que les tests pouvaient servir de prétexte à introduire des nanoparticules dans le cerveau. Qu’en est-il vraiment ?

La barrière hémato-encéphalique, découverte en 1885, a pour fonction principale d’isoler le système nerveux central (SNC) de la circulation sanguine, en empêchant que des substances étrangères/molécules potentiellement toxiques/agents pathogènes ne pénètrent dans le cerveau et la moelle épinière. Après enquête, ces articles s’avèrent finalement diffuser des affirmations non sourcées, qui ne reposent sur aucune étude ou fait avéré. Lorsque le test est pratiqué correctement, il ne touche pas la plaque cribriforme, mais vient butter sur le carrefour oro-pharyngé, entre l’arrière du nez et la gorge.

L’écouvillon ne peut pas atteindre la barrière hémato-encéphalique ni percer cette partie anatomique, mais il peut en revanche faire saigner.

De nombreux témoignages ont abondé en ce sens, notamment avec un certain type d’écouvillon. Un article[11] de medi-sphere.be (donc en Belgique) rapporte le 14 septembre 2020 que « De nouveaux écouvillons livrés par le fédéral aux centres de dépistage feraient saigner un patient sur deux ». Le Dr Maxime Delvaulx, comme d’autres, dénoncent la souffrance des patients : « Nous sommes confrontés depuis 15 jours à un problème d’écouvillons. Ils sont très coupants. Même en le frottant sur le doigt, cela fait mal. Ces écouvillons se prennent dans les poils du nez et ils font saigner un patient sur deux. A l’utilisation, ils sont rigides et ils cassent très vite. » Cela amène les médecins à faire des choix : « Nous ne les utilisons plus pour les enfants ni pour les adultes sous anticoagulants. »

Des contre-indications nombreuses

C’est dire si ce test n’est pas anodin, surtout pour les personnes qui ont des antécédents médicaux divers : problèmes cardiaques (anticoagulant), problèmes O.R.L., patients ayant des troubles psychiatriques, personne ayant une déviation nasale, etc. De fait le test est contre-indiqué dans un assez grand nombre de cas. Si elle n’est pas bien repérée, une contre-indication à l’écouvillon peut tourner au cauchemar :

« Un test Covid a provoqué une fuite de liquide céphalo-rachidien, rare complication chez une patiente fragilisée », titre ainsi Sciences et Avenir le 2 octobre dernier : « Une patiente américaine a consulté peu après un test nasal du Covid-19 pour vomissements, maux de tête, nuque raide, et une fuite de liquide céphalo-rachidien par le nez. Le test, probablement mal administré (au niveau de la plaque cribriforme, ndlr), avait endommagé la base du crâne, fortement fragilisée par une ancienne intervention de ponction à la suite d’hypertension intracrânienne ».

« Ce cas montre que les professionnels de la santé doivent suivre les protocoles à la lettre », indique Jarrett Walsh, auteur de l’étude de ce cas, publiée dans la revue JAMA Otolaryngology–Head & Neck Surgery[12]

« Il convient d’envisager des méthodes alternatives au dépistage nasal chez les patients présentant des défauts antérieurs connus de la base du crâne, des antécédents de chirurgie des sinus ou de la base du crâne, ou des conditions prédisposant à l’érosion de la base du crâne ».

Gare aux écouvillons contaminés !

Si les rumeurs d’implantation de nano matériaux ou de prélèvements d’ADN ne reposent sur aucune source crédible, en revanche une contamination des écouvillons peut poser un réel problème. Des cas de contamination ont été largement rapportés cette année par la presse (voir plus loin). Ces écouvillons peuvent infecter le patient à l’endroit précis où se logent les virus respiratoires. Il est connu aujourd’hui que certains virus peuvent passer la barrière hémato-encéphalique toute proche. Leurs voies principales d’entrée se fait soit par le sang soit par transport le long des neurones. 

« Concernant les troubles neurologiques associés aux virus respiratoires, on sait par ailleurs que c’est la sphère oropharyngée qui est touchée principalement, ce qui est plutôt propice à une infection cérébrale »,

explique France Culture, dans une émission[13] de 58 minutes dédiées à la « Barrière hémato-encéphalique : la dernière frontière ».

« Concernant le SARS-CoV-2, 2 hypothèses sont soulevées pour expliquer les symptômes neurologiques associés à la maladie : le virus pourrait parvenir jusqu’au SNC par le sang (encéphalite virale), mais les troubles neurologiques pourraient également ne pas être liés au virus lui-même et pourraient être provoqués par la réaction inflammatoire excessive déclenchée en réponse au virus (la tempête de cytokines) qui irait occasionner des dommages au cerveau. Ce serait donc là une encéphalite auto-immune. Certains émettent une 3e hypothèse, selon laquelle le nez pourrait être la voie d’accès au cerveau, puisque la perte d’odorat est commune à certains malades de la Covid-19 ». D’où l’absolue nécessité de disposer d’écouvillons stériles !

Des importations ou fabrications suspectes

Or, de très nombreux articles ont relayé des problèmes de lots contaminés. Par exemple au Québec, des milliers d’écouvillons importés de Chine ont révélé[14] la présence d’un champignon ! D’autres provinces du Canada ont aussi été concernées : les autorités sanitaires de la Saskatchewan ont indiqué avoir reçu 7.000 écouvillons contaminés de la part de l’Agence de la santé publique du Canada. En Colombie-Britannique, il y en avait 30.000. Au Manitoba, 8.800 tests de dépistage en provenance du Laboratoire national de microbiologie étaient contaminés, selon le ministère de la Santé. Le Nouveau-Brunswick a également reçu 6.400 trousses de dépistage chinoises défectueuses : « Dès qu’on les a reçus, on s’est rendu compte qu’ils étaient tous contaminés avec des bactéries », explique le Dr Richard Garceau, microbiologiste-infectiologue au CHU Dumont qui estime que pas moins de 320.000 tests ont pu être contaminés. Contaminés dans le sens où ils ne sont tout simplement plus stériles.

En Ontario également, le premier ministre Doug Ford a lui aussi confirmé qu’une livraison de 100.000 écouvillons en provenance d’Asie était arrivée contaminée par de la moisissure plus tôt dans le mois. Quand on sait le nombre d’écouvillons chinois importés partout dans les pays en pénurie, il y a de quoi se poser des questions sur le matériel qui a servi à tester de nombreux Européens.

Les États-Unis ont connu des déboires similaires, mais émanant de leurs propres fabricants. Une fois à cause d’une contamination « probable » aux Centers for Disease Control and Prevention[15] qui a abouti à des résultats faussement positifs. Une autre fois à cause du laboratoire Randox[16] : 750 000 tests rappelés pour suspicion de contamination de l’écouvillon, en août 2020…

Tous ces faits divers montrent que le matériel de tests nécessite une manutention complexe pour bénéficier d’une complète stérilité. Donc, renseignez-vous bien sur la provenance des kits de tests et d’écouvillons si vous devez vraiment faire tester !

Votre nez les intéresse…

Je ne pouvais pas finir cette enquête sans vous parler d’une découverte que j’ai faite à l’occasion de mes recherches sur les rumeurs de nanoparticules présentes dans les écouvillons. En consultant le site de référence PubMed, j’ai flairé deux articles intéressants. Le premier, une étude[17] indienne datant de 2010 : « Potentiel des systèmes d’administration de médicaments nanoparticulaires par administration intranasale ». Les auteurs nous expliquent que : « Le cerveau bénéficie de l’administration intranasale car le transport olfactif direct contourne la barrière hémato-encéphalique et les nanoparticules sont absorbées et transportées le long des processus cellulaires des neurones olfactifs à travers la plaque criblée jusqu’aux jonctions synaptiques avec les neurones du bulbe olfactif. »

Cela confirme le fait que votre nez n’est pas étanche… et qu’il pourrait servir de voie royale à l’absorption de nouveaux médicaments, et notamment de nouveaux vaccin nanoparticulaires. D’autres études ont suivi en ce sens, comme en 2019, cet article[18] en provenance de Hongrie : « Systèmes nanoparticulaires intranasaux comme voie alternative d’administration des médicaments ». On y trouve à peu près la même chose que dans l’étude indienne mais avec la mise à jour suivante : « Selon les études rapportées sur l’administration intranasale basée sur la nanotechnologie, une attention potentielle a été concentrée sur le ciblage du cerveau et l’administration de vaccins avec des résultats prometteurs. Malgré les efforts de recherche importants dans ce domaine, les produits à base de nanoparticules pour l’administration intranasale ne sont pas disponibles. Ainsi, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour promouvoir l’introduction de produits nanoparticulaires intranasaux qui peuvent répondre aux exigences des affaires réglementaires avec une forte acceptation par les patients. »

En conclusion, attendez-vous ces prochaines années à voir arriver sur le marché des vaccins nasaux composés de nanoparticules. D’un grand confort d’administration, leurs conséquences pourraient s’avérer beaucoup plus intrusives et définitives que le pénible écouvillon !


[Notes]

[1] « Covid : le nombre de tests PCR en nette accélération en France ». Les Echos, 23 octobre 2020.

[2] Voir https://www.neosante.eu/4-raisons-de-detester-le-test/ et « Tests du covid-19, attention aux faux positifs ! » sur www.pryskaducoeurjoly.com

[3] « Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults ». Stephanie A. Irving et al. Clin Med Res. 2012 Nov

[4] « Comparing nose-throat swabs and nasopharyngeal aspirates collected from children with symptoms for respiratory virus identification using real-time polymerase chain reaction ». Stephen B Lambert et al. Pediatrics, sept. 2008.

[5] https://www.pasteur.fr/fr/comment-diagnostiquer-grippe

[6] « Dépistage du Covid-19 : un million d’écouvillons livrés par la Chine attendent le feu vert pour être utilisés », par Benoît Collombat, Cellule investigation de Radio France, publié sur fanceinter.fr, mis à jour le 16 mai 2020.  https://www.franceinter.fr/depistage-du-covid-19-un-million-d-ecouvillons-livre-par-la-chine-attendent-le-feu-vert-pour-etre-utilises

[7] « COVID-19 et pénurie d’écouvillons », 27 mai 2020. https://www.inesss.qc.ca

[8] « COVID-19 : avis favorable au prélèvement oropharyngé en cas de contre-indication au nasopharyngé »
Communiqué de presse du 25 sept. 2020 sur www.has-sante.fr

[9] « Covid-19 : le test PCR est-il douloureux ? » Maxime Poul, Yahoo Actualités, 20 juillet 2020.

[10] https://youtu.be/fhShfC0Eczo

[11] https://www.medi-sphere.be/fr/actualites/de-nouveaux-ecouvillons-livres-par-le-federal-aux-centres-de-depistages-feraient-saigner-un-patient-sur-deux.html

[12] « Cerebrospinal Fluid Leak After Nasal Swab Testing for Coronavirus Disease 2019 », Christopher Blake Sullivan.  October 1, 2020, JAMA Otolaryngol Head Neck Surg.

[13] Le 25/05/2020. Dans l’émission « La méthode scientifique », par Nicolas Martin. https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-emission-du-lundi-25-mai-2020

[14] Radio-Canada, publié le 22 avril 2020. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1696091/test-depistage-ecouvillons-covid-19-contamines-chine-quebec

[15] « CDC coronavirus test kits were likely contaminated, federal review confirms ». 20 juin 2020.  www.washingtonpost.com

[16] « Tory-linked firm behind ‘contaminated’ Covid-19 tests keeps government contract », le 14 aout 2020. www.mirror.co.uk

[17] Potential of nanoparticulate drug delivery systems by intranasal administration”, Javed Ali. Curr Pharm Des. 2010 May

[18] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31453778/

Articles complémentaires




Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattre — Rav Dynovisz

[Source : TORAH STUDIO]

NdNM : Rav Dynovisz expose notamment dans cette vidéo le parallèle étonnant entre l’histoire biblique du Déluge à la tour de Babel et notre époque depuis approximativement la Révolution française. L’époque prédiluvienne était caractérisée par la dilution des mœurs et la corruption des valeurs (comme ce que nous vivons au moins depuis les années 60-70). L’époque de Nimrod est celle que nous vivons maintenant avec l’installation de la dictature technologique du Nouvel Ordre Mondial. La lutte d’Abraham contre ce dictateur futé trouve son parallèle dans celle des « complotistes » et autres résistants au NOM.

Voir aussi :





Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Le 1er décembre 2020, nous avons publié cet article : Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

Le 26 janvier 2021, Macron a participé au Forum Économique Mondial virtuel de Davos 2021 en faisant une intervention en compagnie de Klaus Schwab.

Forum Économique Mondial de Davos

Le Forum Économique Mondial (weforum.org)

Klaus Schwab

Klaus Schwab est le fondateur et le président du Forum de Davos (Forum Économique Mondial) depuis 1971. C’est sans aucun doute un des plus fervents promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il y a consacré toute sa carrière !
Le livre de Klaus Schwab écrit avec un collaborateur (Thierry Malleret) et publié en 2020.

COVID-19: The Great Reset | Malleret, Thierry & Schwab, Klaus

Analyse de cet ouvrage par des journalistes dissidents de The Guardian :
• en anglais : https://off-guardian.org;
• traduction en français : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.

Intervention commune de Klaus Schwab et de Macron

Transcription

INTERVENTION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DANS LE CADRE DE L’AGENDA DE DAVOS ORGANISÉ PAR LE WORLD ECONOMIC FORUM

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Le Président de la République

Bonjour, Professeur SCHWAB, je suis très heureux aussi de vous retrouver par ce biais, et merci en effet d’avoir organisé ces échanges qui, je crois, s’imposent encore plus dans la période.

Je voudrais faire le lien entre le monde d’aujourd’hui et le monde d’après. D’abord parce que dans tous nos pays, les sociétés se transforment avec l’expérience qu’on est en train de vivre. Et je crois qu’on a quelques leçons à retenir de ce qu’on vit tous ensemble depuis un peu plus d’un an, et qui va encore durer, on le sait, pendant des mois, certains nous disent, des années. Avec en tout cas une présence plus ou moins forte de ce virus.

Je crois que la première chose que ça nous a enseigné, c’est qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain. Alors, ça paraît être une banalité de dire ça, mais enfin, nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. Première leçon. Et on s’est rappelé que l’économie dont vous parlez, c’était une science morale et donc que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres.

La deuxième chose, c’est que cette période nous rappelle notre vulnérabilité, à titre personnel, si je puis dire (j’en ai fait les frais en l’attrapant), mais comme organisation, entreprise, société, pays. Et la vulnérabilité, ça veut dire qu’on ne peut pas penser nos organisations de notre économie sans l’intégrer. Et c’était au fond une idée qui nous paraissait – certains avaient plus conscience que d’autres sur ce sujet – mais qui nous paraissait parfois lointaine quand on parlait de l’écologie et du climat. Mais c’est la même notion. C’est de dire : ce qui se passe autour de nous a un impact sur notre quotidien et peut, en quelque sorte, briser les chaînes, changer nos vies.

Une fois que j’ai dit ça, ça veut dire qu’on ne peut rien reconstruire, à mes yeux, dans le monde d’après- Covid, qui ne tire les leçons de ces deux éléments fondamentaux. L’économie est redevenue une science morale, et rien n’est au-dessus de la valeur humaine ; et nos sociétés sont vulnérables parce que la nature nous le rappelle et elles sont vulnérables face à des événements pandémiques, climatiques et autres.

Et donc, l’économie de demain, forte de ces enseignements, mais de ce qu’on savait aussi avant, parce qu’il y a aussi, on parle beaucoup des variants dans cette période, il y a aussi des invariants, eh bien, l’économie de demain, c’est à mes yeux, une économie qui va devoir penser à la fois l’innovation, la vulnérabilité et l’humanité, et donc qui va devoir construire une autre compétitivité compatible et même aidant à la résolution des problèmes climatiques : réduction du CO2, adaptation de nos sociétés parce qu’on en a déjà les conséquences, agenda biodiversité. Ça veut dire une économie qui devra être plus résiliente aux chocs et donc intégrer dans ses modes de protection des individus, dans ses organisations des éléments de résistance, soit dans ses chaînes de production, soit dans ses organisations logistiques très fines des éléments de résilience -on pourra y revenir si vous le souhaitez- et une économie qui prenne en compte ce principe d’humanité, qu’il s’agit d’ailleurs du sanitaire ou des inégalités sociales. Et on avait ce problème, on en avait parlé ensemble il y a un an. Et je crois qu’on ne sortira pas de la Covid-19 avec une économie, je dirais, qu’on sortira plutôt de la Covid-19 avec une économie qui aura encore plus en son cœur la problématique de la lutte contre les inégalités. Voilà les quelques convictions rapidement brossées.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, je crois, l’année passée, vous avez dit dans une réunion de l’OID que le capitalisme est devenu fou, et dans le contexte que vous dites d’une économie morale, quelle est votre conception du rôle de l’entreprise, de la philosophie de l’entreprise ? Je pose la question parce que j’ai publié aujourd’hui un livre qui s’appelle « Stakeholder capitalism », which means un capitalisme des parties prenantes. Quelle est votre philosophie ?

Le Président de la République

Je me retrouve dans la formule du stakeholder capitalism, mais au fond, ce qui est vrai, c’est quand on regarde l’évolution des dernières décennies, nous avons un capitalisme qui, d’abord, capitalisme et économie de marché ont des vraies réussites dans cette dernière décennie, parce qu’il ne faut pas caricaturer les choses. Elle a permis l’ouverture des économies. Le commerce mondial, le capitalisme ont permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes. Donc ça, ça a eu un intérêt. Ça a permis de procéder à beaucoup d’innovations, ça a permis de répondre à des demandes du citoyen consommateur de nos économies de manière extraordinaire, avec de l’accès aux biens et à des services comme rarement dans l’humanité, nous y avons eu accès. Donc ça, c’est le formidable succès des dernières décennies. Il y a une façon à tout cela. C’est que tout cela est allé avec, un, évidemment, de la création d’inégalités dans nos sociétés ; c’est-à-dire que l’ouverture et la théorie des avantages comparatifs a permis de sortir de la pauvreté à l’autre bout du monde des gens et d’autres concitoyens pour accéder à la production, mais à la sortie de la production et donc de l’activité, de l’utilité sociale, d’un rôle réel et d’un accès aux salaires, beaucoup de nos concitoyens qui ont eu à souffrir des crises de délocalisation que toutes les économies développées ont eu à vivre. Et c’était un choc à la fois économique et social pour des centaines de millions dans le monde, dans mon pays des centaines de milliers, voire des millions de personnes qui ont eu ce sentiment de perte d’utilité, qui ont perdu leurs emplois avec une vraie crise économique et morale. Et en quelque sorte ce problème, il a été externalisé par le capitalisme des dernières décennies.

Le deuxième sujet, c’est la déconnexion entre la création de valeur et les profits. Il y a une financiarisation de ce capitalisme. La financiarisation, c’est une très bonne chose quand elle permet d’aller plus vite, quand elle permet de procéder à la bonne allocation de l’épargne vers les besoins de financement. C’est une mauvaise chose quand elle sur-alloue en quelque sorte de la rémunération, alors qu’il y a peu de prise de risque et donc qu’elle permet des enrichissements qui ne sont pas liés ni à un travail ni à un phénomène d’innovation. Et c’est ce qui s’est passé. Donc, il y a eu une espèce d’emballement qui a accru ce premier phénomène d’inégalité. On a revu dans toutes nos sociétés une inégalité croissante en leur sein.

Troisième phénomène, avec l’accélération des réseaux sociaux, elle a mondialisé l’imaginaire en créant aussi une insoutenabilité, si je puis dire, des systèmes de comparaison, je dirais ce terme, de plus en plus difficiles.

Quatrième problème, elle a totalement externalisé le problème climatique pendant des décennies, c’est- à-dire qu’on a créé une logistique mondiale, des échanges mondiaux. On a dit au fond, il y a deux rois dans ce système : le consommateur et l’actionnaire, et le système a très bien produit pour le consommateur et l’actionnaire, mais il a ajusté sur le travailleur et sur le reste de la planète. Et en quelque sorte, on a créé des externalités négatives, comme on dit pudiquement, en termes climatiques.

Ces quatre phénomènes ont alimenté la crise des inégalités sociales, la crise de la démocratie et la crise climatique. Et donc, le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ouverte, il ne peut plus fonctionner dans cet environnement. Pourquoi ? Parce qu’il a été le fruit historiquement d’un compromis qui étaient des sociétés démocratiques, l’individu libre, des libertés individuelles, le progrès des classes moyennes qui ont créé la soutenabilité dans chacune de nos sociétés. Et il est en quelque sorte complètement percuté, cet équilibre, ce consensus qu’il y avait, par ces 4 accélérations. Et donc, moi, je crois très profondément dans votre Stakeholder Capitalism, entre autres, c’est-à-dire dans l’idée de dire qu’on doit remettre au cœur du modèle la réponse à ces problématiques.

On a au fond, durant les dernières années, essayé d’y répondre par une réponse des États. L’État seul ne peut pas le faire parce que sinon on a un problème, c’est que l’État est le seul à corriger des externalités négatives. Et donc, il s’endette de plus en plus pour payer tout seul la réponse aux problèmes climatiques, pour payer tout seul la réponse aux inégalités. Et vous avez en quelque sorte un modèle où la dette publique devient trop importante et/ou c’est le contribuable qui vient payer pour toutes ces crises. Le contribuable est en quelque sorte le sédentaire de ce modèle et celui qui ne peut pas non plus en tirer tous les bénéfices. C’est pourquoi ma conviction, c’est que le modèle capitaliste, parce que je crois malgré tout que nous construirons l’avenir de l’humanité en gardant quelques fondamentaux : la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives qui ont fait nos sociétés. Et donc, que tout ça doit simplement conduire à repenser nos organisations pour réintégrer au cœur de l’entreprise. Eh bien, la prise en compte des inégalités sociales dans nos pays, des inégalités entre les différents espaces géographiques, des conséquences climatiques que nous vivons, entre autres.

Et au fond, ce qu’on a ces dernières années appelé la responsabilité économique, environnementale, sociale de nos entreprises, l’approche par l’impact de nos entreprises, ce sont des innovations qu’il nous faut maintenant pousser beaucoup plus loin et nous devons réformer nos entreprises en leur sein pour qu’en leur cœur, pour que, en quelque sorte, l’ensemble des parties prenantes, donc stakeholders, les employés, les dirigeants, les actionnaires intègrent dans leurs comportements, mais aussi dans ce qu’on mesure, eh bien, l’impact de leurs actions en termes économiques, sociales, environnementales et démocratiques.

Pr. Klaus SCHWAB

Vous avez mentionné qu’en mesure, je suis très heureux, monsieur le président, de vous dire qu’aujourd’hui même, on a annoncé l’engagement de la société ici virtuellement, de reporter régulièrement selon des critères très exacts sur le progrès qu’ils font dans leur responsabilité sociale, écologique et aussi en ce qui concerne la goutte [inaudible]. J’aimerais bien reprendre l’écologie. Je crois avec aussi l’engagement maintenant du Gouvernement de la nouvelle administration américaine pour les objectifs du traité de Paris. Ma question, on a certainement fait beaucoup de progrès, mais je vous demande : est-ce que vous êtes satisfait avec ces progrès ? Ou est-ce que vous souhaiterez une sorte de nouveau consensus qui va au-delà de ce qu’on a discuté et décidé auparavant ?

Le Président de la République

Je pense plusieurs choses sur ce sujet. D’abord, on a une question de mise en œuvre, on a discuté et on s’est mis d’accord sur beaucoup de choses : un agenda climatique, l’agenda de Paris. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas au rendez-vous tous ensemble, exactement de nos actes. Et donc, je pense que la priorité des priorités, c’est de manière coordonnée, de tout faire pour tenir nos engagements. Je dis de manière coordonnée parce qu’en quelque sorte, le passager clandestin peut détruire tout le système. Tout cela ne marche que si on avance ensemble au même rythme pour ne pas créer des biais de compétitivité. Et c’est en cela que les dernières années ont été capitales au moment où les États-Unis d’Amérique avaient décidé de quitter l’accord de Paris, à l’été 2017, il y avait un grand risque. Et moi, je regarde quand même les années qui viennent de s’écouler comme des années de résistance formidable où le château de cartes ne s’est pas effondré parce qu’on a tous ensemble tenu, on a créé cette initiative du One Planet Summit le 12 décembre 2017 avec ces coalitions. Tous ensemble on a tenu, Européens, avec beaucoup de pays émergents, développés, avec la Chine il faut bien le dire aussi qui a coopéré très fortement et avec le secteur privé et les États fédérés américains. Et là on a une administration américaine dont le premier geste est de revenir dans les accords de Paris.

Donc, moi, mon premier objectif, c’est qu’on tienne ces accords de Paris ; rehaussement de nos objectifs 2030, nous l’avons fait en européen en décembre dernier avec la réduction d’émissions comme on l’a dit, -55%, ce qui est un objectif très important. Deuxième point, neutralité carbone 2050. Ce sont les deux points de passage absolument décisifs pour, dans les prochaines années, structurer nos comportements. Derrière, il faut qu’au niveau régional et national, on décline ces stratégies et c’est là le plus dur, c’est-à-dire avoir un prix carbone suffisamment élevé, des mécanismes qui incitent nos entreprises et nos investisseurs à aller plus vite dans la direction, des mécanismes d’accompagnement et de sanction pour que les entreprises et les ménages puissent aller plus vite et plus fort, qu’on renouvelle plus rapidement notre parc automobile, qu’on change plus vite la rénovation de nos bâtiments, etc. etc. Donc ça, c’est le premier pilier, il est essentiel.

Le deuxième pilier, il est d’embarquer véritablement tout le secteur financier et toutes les entreprises et ça rejoint la discussion qu’on avait juste avant. On a des coalitions très importantes à cet égard, et moi je crois beaucoup à l’initiative qu’on a mise en place avec le One Planet Summit, des sovereign wealth funds, asset managers et private equity. Et on l’a réuni le 12 décembre dernier en mode virtuel. Et maintenant, on a réussi à généraliser, en effet, une même nomenclature. Tout le monde s’est engagé avec la task force for Climate-related financial disclosure, TCFD, qui est une vraie avancée à cet égard. On a une même méthodologie et on avance. Donc les investisseurs se sont engagés sur une méthodologie de mesure qui correspond exactement à ce que vous venez de dire et qui, maintenant, est en train de se décliner sur les entreprises. Et par exemple, on a obtenu en décembre dernier, le 12 décembre dernier, que les 40 entreprises du CAC 40 français intègrent cette méthodologie. Ce qui veut dire qu’elles vont devoir reporter à leurs actionnaires, aux marchés, le fait qu’elles sont justement elles- mêmes conformes à ses engagements et qu’elles font des efforts.

Troisième pilier de notre action, c’est qu’on fasse la même chose sur la biodiversité. Moi je crois beaucoup qu’on ne tiendra l’engagement climatique que si on arrive à engager nos entreprises, nos investisseurs, nos pays sur un agenda biodiversité. C’est tout le sens d’ailleurs de ce qu’on a fait avec One Health, qui est de rassembler notre sujet santé humaine, biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique et contre la désertification. Mais je crois véritablement qu’on n’est encore qu’au début sur le climat, sur la biodiversité. Et c’est très important parce que c’est des changements de production dans notre agriculture, c’est des changements de notre mode de consommation, de notre mode de vie. Et donc là, nous avons à bâtir cette année les règles communes. Et donc quand vous dites qu’est-ce que l’on doit réussir à négocier de plus ? Eh bien moi, je pense qu’à la COP de Kunming, on doit réussir à négocier l’équivalent de l’accord de Paris pour la biodiversité. Nous avons réuni, il y a quelques jours à Paris et en mode virtuel, un One Planet Summit biodiversité, c’était le premier du genre. On a pris plusieurs initiatives très fortes : la Grande Muraille verte, justement, pour dans 11 pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, réussir à lutter contre la désertification ; beaucoup d’initiatives en matière de biodiversité. Et on a lancé une initiative, là aussi, de disclosure en matière financière pour intégrer la biodiversité dans ces critères, avec un rendez-vous qui se tiendra cet été. Et donc, ça, c’est le point clé. Voilà les trois piliers.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, si on prend tous ces changements, est-ce que ça signifie aussi un nouveau mode de mondialisation ? Est-ce c’est aussi, comme on dit, un « new normal » pour la mondialisation ?

Le Président de la République

Alors complètement. Je vais vous dire, tout ce qu’on est en train de se dire converge pour moi vers trois éléments. Le premier, on doit bâtir un nouveau consensus. Le 11 novembre dernier, lors du Forum de Paris pour la paix, on a essayé de réunir des chefs d’Etat et de gouvernement, des ONG, des organisations internationales, des intellectuels pour essayer de réfléchir à ce qu’on a appelé très immodestement le consensus de Paris. C’est le consensus de partout, qu’importe, mais de se dire plusieurs décennies après le consensus de Washington, il nous faut bâtir un nouveau consensus dont les règles ne sont pas la réduction de l’État, la baisse du secteur public et la création de valeur uniquement pour justement l’actionnaire. Et donc on doit bâtir, et c’est exactement la discussion qu’on a depuis tout à l’heure ensemble, un nouveau consensus qui intègre tout cela et qu’il remet au cœur du modèle. Deuxième point, il faut trouver un nouveau mode de coopération entre les États, c’est-à-dire retrouver un multilatéralisme efficace. C’est ce à quoi je crois depuis des années. Il était bloqué, en effet, par une administration américaine qui n’y croyait pas. Je nourris beaucoup d’espoirs en ce début d’année avec un partenaire américain, je l’espère, qui va se réengager, et donc nous devons construire un multilatéralisme efficace qui permettra de répondre et de mettre en œuvre ce nouveau consensus. Et puis, troisième chose, on a besoin de bâtir ces nouvelles coalitions, celles-là même qu’on a essayé de construire dans le cadre des One Planet Summit. C’est-à-dire qu’au fond, pour répondre à ces défis, le « new normal » dont vous parlez est une interaction et je salue à cet égard le caractère très innovant de votre forum, depuis des décennies, vous avez pensé ça, c’est-à-dire la coopération, mais au concret entre les États, les ONG, les entreprises, les investisseurs. C’est-à-dire que ce « new normal » dont on parle, la mise en scène du consensus, ce n’est pas qu’un multilatéralisme intergouvernemental, ce sont des coalitions d’acteurs hétérogènes qui se donnent les mêmes objectifs pour avoir des résultats.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, ça me donne justement une raison de vous demander : je sais votre intérêt pour toutes les nouvelles technologies, pour ce qu’on appelle la quatrième révolution industrielle, mais dans toute sa conception, disons, le numérique joue un très grand rôle.

Comment voyez-vous l’impact de la puissance de l’écosystème numérique sur tout ce que vous avez dit ?

Le Président de la République

Je pense qu’il y en a plusieurs. Le premier, c’est que nous sommes en effet en train de multiplier les révolutions, quand on parle de numérique. Il y a plusieurs révolutions en une. Nous sommes au début de plusieurs révolutions technologiques qui nous font complètement changer de dimension. On a la révolution de l’intelligence artificielle, qui va totalement changer la productivité et même aller au-delà du pensable dans énormément de verticaux, de l’industrie à la santé en passant à l’espace. À côté de la révolution de l’intelligence artificielle, il y en a une deuxième qui, pour moi, est totalement fondamentale, qui est celle du quantique, qui va là aussi, par la puissance de calcul et la capacité d’innovation, profondément changer notre industrie, en changeant l’industrie des capteurs et donc ce qu’on peut faire dans l’aéronautique, ce qu’on peut faire dans le civil, changer totalement la réalité du cyber, par exemple ; et notre puissance de calcul, ce qui veut dire aussi la capacité qu’on a à résoudre des problèmes. Je prends l’épidémie que nous sommes en train de vivre, l’intelligence artificielle et le quantique sont des instruments de gestion, de transformation de gestion de l’épidémie. C’est-à-dire que vous pourrez régler des problèmes qui aujourd’hui prennent des semaines, en un jour. Vous pourrez régler des problèmes de diagnostic, peut-être en quelques secondes, grâce au croisement de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle. Et donc dans la grande famille de ce qu’on appelle le numérique, on a en fait une convergence entre des innovations, celles du numérique, qui est au fond, quand on appelle ça génériquement, des réseaux sociaux et d’une hyper connectivité avec celle de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Le mariage de tout ça fait que nous allons rentrer dans une ère d’accélération de l’innovation, de rupture très profonde d’innovation et donc de capacités à commoditiser certaines industries et créer de la valeur très vite. Par rapport à ce que j’ai dit, qu’est-ce que cela a comme impact ? Un, on va continuer

àinnover et à accélérer. C’est sûr. Deux, il y aura des impacts en termes d’ajustement sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. C’est-à-dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant dans un monde comme celui que je viens d’évoquer parce que nous aurons des impacts, des ajustements qui seront réels et qui sont à penser dès maintenant. Trois, tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Et donc si vous voulez, pour moi, ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. L’expérience américaine des dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique, si besoin était. Quatre, la bonne nouvelle c’est que je pense que sur la résilience de nos systèmes et la réponse à la crise climatique, on a sans doute sous-estimé l’apport de l’innovation et je pense aussi que toutes ces technologies vont nous permettre, beaucoup plus vite, de répondre aux défis climatiques.

Et donc si je regarde, que je prends deux pas de recul par rapport à tout ce qu’on est en train de se dire, je pense que nos économies vont devoir de plus en plus investir dans ces innovations et il faut y aller à fond. Je pense que si on s’y prend bien et qu’on coopère entre nous, ces innovations vont nous permettre de créer de la valeur, de répondre aux défis économiques. Elles vont nous permettre, je l’espère, je le crois possible, de répondre plus vite aux défis climatiques. Et c’est aussi pour ça que moi je crois à ce que j’appelle l’économie du mieux, la réponse climatique par l’innovation plutôt que par l’arrêt des activités. Mais elles vont nous poser des problèmes sur lesquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales dans nos différentes nations.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, c’était vraiment une vision intégrale de notre avenir. Mais notre avenir ne va arriver automatiquement, il faut le construire. Et je suis heureux, on a vu, à travers votre présentation, qu’il y a des gens et des leaders qui ont une perspective très claire comment devrait cet avenir – qu’est- ce que devrait être cet avenir qu’on veut construire pour le bien de tout le monde. Alors un grand merci, Monsieur le Président, et je suis désolé que la technologie, pendant un moment, avec la ligne entre Paris et Genève, nous a réservé certaines surprises. Mais je crois que c’était un grand événement en regardant l’avenir. Merci bien Monsieur le Président de la République.

Le Président de la République

Merci Professeur, merci cher Klaus et je remercie tout le monde. En effet, nous sommes parfois plongés dans le quotidien mais je pense que c’est aussi important – et merci de m’en avoir donné l’occasion – d’essayer de regarder ensemble le cap et d’échanger sur ces sujets. Et votre conclusion le dit très bien, je la partage et je m’arrêterai là dessus, n’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne, avec les vertus qui vont avec et la volonté de respecter l’autre. Et je pense que c’est au service de cet objectif qu’on doit mettre chacune de nos actions. Donc merci beaucoup, tous mes vœux et j’espère à très bientôt physiquement.

Pr Klaus SCHWAB

A bientôt, au revoir Monsieur le Président.

Le Président de la République

Merci beaucoup, merci Klaus, merci Professeur.

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Commentaire

À l’évidence, les deux sont entièrement sur la même longueur d’onde. Ils partagent les mêmes idées. Ils prônent les mêmes solutions. Culs et chemises, ils sont ! D’après eux, le virus covidien les a fait réfléchir. Le système capitaliste est injuste. Il faut le modifier, le transformer, l’améliorer… L’écologie devient subitement une de leur priorité, alors que ce sont leurs petits copains qui pendant des décennies, en prônant le libéralisme économique, ont le plus contribué à saloper notre planète. La préservation de la santé de l’homme devient tout aussi subitement la priorité absolue. Elle justifie les confinements et la dépression économique. Ce qu’ils oublient de dire est que cette dépression, ils l’ont voulue. Ce sont eux qui l’ont créée, pour une raison très simple : tout le système financier a failli s’effondrer en automne 2019 ; les banques ne voulaient plus se prêter entre elles. (Voir : Le bon virus au bon moment). Mais ce n’est pas tout, au passage ils en ont profité pour faire quelques profits, et saigner les pigeons (voir : Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché).

En cas de crise majeure, tout était planifié depuis de nombreuses années, comme le prouve la mise en place dès le printemps 2020 des éléments contenus sur le site du Forum Économique Mondial.

Ce qui est très significatif dans cette histoire, c’est le silence médiatique : aucun écho un tant soit peu élaboré de ces manigances et de ces bacchanales : ni à la télévision, ni à la radio, ni dans la presse… À votre avis pourquoi ?

Intervention du Ministre allemand de la Santé

[Source :  Maurizio Blondet]

Le ministre allemand de la Santé admet au forum en ligne de Davos qu’il n’arrêtera pas de propager la terreur du Coronavirus tant que l’ADN de la population entière ne sera pas modifié avec l’ARNm et le Great Reset ne sera pas terminé.

Vidéo en allemand [Nécessité de vérifier la traduction ci-dessus]

Voir aussi :


Tranquillement le ministre de la santé québécois : “On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables”




À propos du complotisme et des complotistes

[Source : Les 7 du Québec]

Par Raoul Victor.   

Complot ? Complotisme ? Conspirationniste ?

Le terme de « complotisme » est devenu un anathème, une condamnation de toute pensée qui met en doute ne fut-ce qu’une partie des discours officiels concernant la pandémie du Coronavirus. Et pourtant : c’est quoi un « complot »?

D’après le CNRLT (Centre national de ressources textuelles et lexicales) :

Complot : « Dessein secret, concerté entre plusieurs personnes, avec l’intention de nuire à l’autorité d’un personnage public ou d’une institution, éventuellement d’attenter à sa vie ou à sa sûreté. »
« Par extension : Projet quelconque concerté secrètement entre deux ou plusieurs personnes. »

Le Robert :

« Projet concerté secrètement afin de nuire (à quelqu’un, à une institution) »

Deux notions sont présentes : le secret et la malveillance.

Dans son sens le plus général la malveillance est absente. Quand les parents préparent les cadeaux du Père Noël on pourrait dire qu’ils complotent.

Le terme « complotisme » contient  deux sens. L’un général qui concernerait la tendance à voir dans les discours et actions des gouvernements et autres institutions telles que les entreprises, les banques, les médias, etc. le résultat de complots, c’est à dire de « desseins secrets« , non transparents, dissimulés au public en vue d’atteindre des objectifs inavouables. L’autre sens est une caricature du premier consistant à ne retenir que des versions de toute évidence invraisemblables, voire ridicules ou fantaisistes. C’est surtout dans ce dernier sens que les médias et de nombreux commentateurs l’emploient, faisant, volontairement ou involontairement, un amalgame qui tend à discréditer la méfiance à l’égard des discours officiels (ce en quoi l’accusation de complotisme ferait partie de la tactique de brouillage du complot). Il ne serait pas surprenant d’apprendre que des « théories du complot » particulièrement absurdes ou caricaturales soient mises en circulation dans le seul but de nourrir cet amalgame et le dénigrement des pensées trop méfiantes à l’égard des versions gouvernementales officielles et officieuses.

Le complot, le secret, le manque de transparence en vue de renforcer leur pouvoir font partie du mode de vie des classes dominantes depuis la division de la société en classes. Le capitalisme ne fait pas exception, au contraire. Dès sa naissance le secret joue un rôle déterminant dans son fonctionnement. Le secret était déjà important dans les guildes d’artisans au Moyen Âge, jalouses de leurs savoirs techniques. Le capitalisme qui porte le rôle des techniques et des sciences de la production à des degrés de développement sans précédents et qui en même temps fait de la concurrence entre agents économiques le mode de vie ordinaire, le capitalisme ne pouvait qu’accroître la place du secret et donc du complot dans le mode de gouvernance social.

Dans l’opéra franc-maçon de MozartLa flûte enchantée, (1791), Papageno et le prince Tamino sont soumis à des épreuves, dont celle de garder le silence quelles que soient les circonstances qu’ils rencontreront. Papageno, image du personnage populaire, n’y parviendra pas alors que le prince Tamino réussira et y gagnera le droit à être « initié ». Pour les Francs-maçons, porteurs des valeurs de la bourgeoisie naissante, « le silence est d’or ».

La corruption est un des fléaux du capitalisme, comme de tout système marchand, mais ici elle acquiert une dimension internationale, mondiale, omniprésente.  Elle ne touche pas que les pays les moins développés, comme le montre « L’indice de corruption » publié par Transparency International. En 2014 les États-Unis se situaient au 17e rang, la France au 24e, l’Italie au 43e…. à noter la Chine au 100e, le Venezuela au 161e. (1)

Or la corruption comporte par définition une part de complot, de secret, de conspiration.

Le « lobbyisme » est une forme de « légalisation », d’institutionnalisation de la corruption, mais celle-ci ne perd pas pour autant sa nature conspiratrice, opaque. L’ampleur de cette réalité est souvent sous-estimée et les médias en parlent peu. Les exemples sont pourtant éloquents. Pour l’Union Européenne un article du Monde de 2019 donnait quelques chiffres :

« L’Organisation non gouvernementale Transparency International estime quant à elle à environ 26 500 le nombre de lobbyistes présents de façon régulière à Bruxelles, et à environ 37 300 le nombre de personnes impliquées dans les activités de lobbying dans la capitale belge. » (https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/05/23/petit-guide-de-lobbyisme-dans-les-arenes-de-l-union-europeenne_5466056_4355770.html)

L’exemple des lobbies à Washington et leur croissance depuis le début de ce siècle est aussi parlant :
« Le nombre d’agences de lobbyistes répertoriées à Washington, D.C. a plus que doublé depuis 2000, passant de 16 000 à 34 000 environ en 2005… L’argent dépensé par les entreprises et les groupes de pression pour défendre leurs causes au Congrès des États-Unis d’Amérique et auprès de l’administration est passé de 1,6 milliard de dollars en 2000 à 2,1 milliards de dollars en 2004. Certaines firmes ont augmenté leurs tarifs de 100 % et engagent à des salaires de départ de 300 000 dollars par an. Environ la moitié des anciens élus quittant le Congrès deviennent lobbyistes. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Lobby)

La manipulation. Les principaux responsables politiques tout comme les grandes institutions publiques et privées possèdent des « conseillers en communication ». Dans la pratique il s’agit de conseillers en manipulation. D’ailleurs en anglais on appelle cela des « spin doctors », « spin » ayant ici le sens de manipulation. [« spin : pejorative, political (=news manipulation) manipulation ».
https://dictionnaire.reverso.net/anglais-francais/spin].

Mais qu’est-ce que la manipulation sinon un des instruments fondamentaux des « desseins secrets » destinés à atteindre des objectifs au détriment de ceux qui les écoutent.

Les spin doctors sont les petites mains de la société du spectacle.

L’économie « illégale » (drogues, prostitution, rackets, paradis fiscaux, etc) a toujours existé dans le capitalisme. Mais elle a pris et prend une place de plus en plus importante dans les dernières décennies. L’interpénétration entre ce monde sombre, par définition régi par le secret, et le monde politique est une réalité bien connue. Secret et malveillance, sont les deux caractéristiques du complot.

Un acteur joue un rôle très important dans le capitalisme et exige, peut être plus que tout autre, le secret, la malveillance, le complot : Eisenhower l’a appelé le complexe militaro-industriel. Dans la célèbre allocution télévisuelle qu’il a prononcée le 17 janvier 1961, quelques jours avant le terme de son deuxième et dernier mandat il mettait en garde contre ce « pouvoir illégitime » :
« Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_fin_de_mandat_de_Dwight_D._Eisenhower)  Eisenhower, un des plus importants militaires de l’histoire des États-Unis, savait de quoi il parlait.

Dans le même domaine, les laboratoires militaires chargés de la production d’armes bactériologiques (laboratoires P4 à « sécurité » maximum)  sont une illustration de l’opacité extrême qui recouvre les agissements de ce secteur. La crise du coronavirus, en mettant en lumière les laboratoires de virologie, en particulier celui de Wuhan, a permis de « découvrir » qu’il existe plus de 30 laboratoires virologiques militaires dans le monde, répartis dans 21 pays, au premier rang desquels les États-Unis, la France, l’Australie, la Suisse, la Chine… Les entraves multipliées par le gouvernement chinois à l’égard de l’équipe de l’OMS chargée d’enquêter sur l’origine du virus à Wuhan illustrent encore l’importance du secret dans ce domaine.

Enfin, last but not least, il faut citer ce que les historiens appellent respectueusement la « diplomatie secrète« , c’est à dire les tractations entre États en dehors des cadres diplomatiques officiels, publics.

Dans un article intitulé « Le monde après le Coronavirus », paru dans le Financial Times en mars 2020, Yuval Noah Harari écrit:

« Ces dernières années, des politiciens irresponsables ont délibérément sapé la confiance dans la science, dans les autorités publiques et dans les médias. »   Mais il ne s’agit pas seulement des « dernières années » ni de quelques « politiciens irresponsables ». C’est toute la vie du capital qui est infectée par les virus du secret, de la manipulation, du complot.

Le « scandale du Lancet« , où les laboratoires pharmaceutiques et nombre de « leurs » médecins réputés ont collaboré avec des politiciens pour des raisons de profit, en est une criante illustration. The Lancet, revue fondée en 1823, une des références les plus respectées du monde scientifique médical, publie en mai 2020 une étude sur la Covid-19 condamnant l’emploi de l’hydroxychloroquine pour soigner la maladie. La méthodologie de l’étude soulève immédiatement des réactions de la part de nombreux scientifiques. Quelques semaines plus tard le journal Le Monde daté du 4 juin 2020 rapporte la suite des événements : « Coup sur coup, deux des plus grandes revues médicales mondiales [The Lancet et The New England Journal of Medicine] ont procédé à la rétractation d’articles ayant trait au Covid-19, fondés sur des données fournies par une société américaine, Surgisphere, [créée à Chicago en 2008] et à l’origine, désormais, plus que douteuse. (…) Cette étude avait conduit à la suspension de l’usage de ce traitement en France contre le Covid-19. » (Notons que dans la pratique cette suspension est toujours en vigueur.)

Heureusement il y a eu des scientifiques qui ont permis de mettre à jour rapidement la supercherie. Mais la question qui se pose est: comment en est-on arrivé là ?

La réponse ne peut être étrangère au fait que le prix de l’hydroxychloroquine, employée depuis des décennies par des millions de personnes, est particulièrement bas (quelques centimes d’euros par cachet) alors que le prix du traitement par le Remdesivir, le seul traitement approuvé par la US-FDA au début juillet 2020, est fixé par son producteur, le laboratoire américain Gilead, à 2340 $ (2 085 €) par patient. (https://www.industriepharma.fr/covid-19-gilead-fixe-le-prix-du-remdesivir,111716)

Début octobre 2020, l’Europe a conclu un contrat portant sur la possibilité de commander jusqu’à 500 000 doses de Remdesivir pour un montant global de plus d’un milliard d’euros. Pourtant, le 20 novembre l’OMS est obligée de publier une recommandation:  « contre l’administration de Remdesivir aux patients hospitalisés, quelle que soit la gravité de leurs symptômes, dans la mesure où rien ne prouve à ce jour que le remdesivir améliore pour ces patients les chances de survie et les autres résultats sanitaires. » (https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)

Récemment une secrétaire d’État belge, pour des raisons de polémique avec l’opposition flamande, a rendu publics les prix des différents vaccins contre la Covid-19 achetés par le gouvernement. Elle en a été fortement critiquée. « Je voulais être transparente, peut-être un peu trop transparente » s’en est-elle excusée. Un porte-parole de l’Union Européenne a rappelé l’impératif d’opacité : « Tout ce qui concerne des informations comme le prix des vaccins est couvert par la confidentialité, c’est une obligation très importante. C’est une exigence contractuelle. » (Le Monde, 22 décembre 2020)

Le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, un des plus importants du monde, premier à fournir avec BioNTech un vaccin contre la Covid-19, a été par le passé accusé ou condamné a plusieurs reprises pour des cas d’ »inconduite » tels que publicité mensongère, corruption, tests meurtriers sur des enfants en Afrique, etc. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Pfizer)

Tous ces faits ne sont pas des coïncidences ni des délires paranoïaques. Ils illustrent cyniquement à quel point la rapacité capitaliste sécrète par tous ses pores la manipulation et le complot, le secret et la malveillance en vue du profit. Ce sont des faits comme ceux-là qui ont « sapé la confiance dans la science, dans les autorités publiques et dans les médias », pour reprendre les mots de Harari.

Peut-être dira-t-on que toutes ces formes de complots font partie de la vie courante des différentes fractions du capital mais que du fait même des divisions des classes dominantes ces complots restent limités en ampleur. C’est un peu ce que dit encore Harari quand il écrit : « Il existe naturellement de nombreux complots réels dans le monde. Certains individus, entreprises, organisations, églises, factions ou gouvernements ne cessent d’imaginer et de mettre en œuvre divers complots. Tous ces plans et projets se sont régulièrement télescopés, mais le résultat n’était pas orchestré par un unique groupe de responsables. » (Article dans le Financial Times, mars 2020). Ou encore, dans une tribune du New York Times : « Tous ces complots et intrigues sont peut-être réels, toutefois ils ne sont pas les pièces constituantes d’une seule et même conspiration mondiale.« 

Harari reconnaît qu’il y a « de nombreux complots réels dans le monde »… « naturellement ». Ce qu’il rejette c’est l’idée que tous ces complots soient « orchestrés par un unique groupe de responsables », qu’il s’agisse « d’une seule et même conspiration mondiale satanique »  (sic).

Il n’existe pas un « unique groupe de responsables » ou « une seule conspiration mondiale ». Mais il y a des conspirations, sinon mondiales du moins « trans-nationales » assez évidentes, même si on n’en connaît pas les contenus exacts, dont une partie est par définition secrète. Les GAFAM élaborent et mettent en pratique des stratégies mondiales (s’entendent sur les prix et la répartition des marchés), tout comme les banques, les entreprises, les laboratoires pharmaceutiques les plus importants. On sait en outre qu’il existe de nombreux « clubs » de hauts responsables, des lieux de rencontre, des conférences très élitistes où l’on « réfléchit » à l’échelle trans-nationale sinon mondiale. Les politiciens (un des métiers les plus méprisés au monde) ne sont qu’une partie apparente du pouvoir des classes dominantes. Personne n’adhère à des théories qui disent en même temps que la Covid est pratiquement une grippe inoffensive et qu’il s’agit d’un complot pour éliminer les pauvres de la planète.

Ce dont il s’agit c’est de garder et entretenir une méfiance extrême, et saine, à l’égard des discours officiels.

Cela implique parfois le recours à des « spéculations », c’est à dire au « fait de s’interroger sur les conséquences d’une hypothèse si elle était vraie, sans nécessairement la considérer au départ comme telle. » (Wikipedia fr) L’opacité, le recours au secret systématique qui caractérise les gestions capitalistes rend souvent difficile, voire impossible, de trouver les « preuves » indiscutables d’une hypothèse qui s’oppose aux versions officielles. Les « preuves indiscutables » de certains complots des gouvernements n’apparaissent que longtemps après les événements.

Aurait-il fallu en septembre 2002 traiter de « complot et de spéculation fantaisiste et irrationnelle » l’idée que le rapport de Bush au Conseil de sécurité de l’ONU, affirmant que l’Irak possédait des armes de destruction massive, était peut-être un mensonge destiné à justifier l’ouverture de la guerre d’Irak ? Aurait-il été « fantaisiste-complotiste » de se poser une telle question puisque rien ne permettait alors de « prouver » la certitude d’une telle supposition ? Pourtant, « dans un entretien en 2013, [9 ans plus tard] Colin Powell déclare, au sujet des armes de destruction massive en Irak, que « Saddam Hussein (…) n’en possédait pas un gramme » »  (https://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_destruction_massive_en_Irak)

On pourrait se poser la même question pour quelqu’un qui aurait en août 1964 mis en question la version officielle de l’attaque contre deux destroyers américains par des torpilleurs nord-vietnamiens dans le Golfe de Tonkin, prétexte utilisé par Johnson pour entamer le bombardement du Nord-Vietnam. Pourtant « des éléments ultérieurs, dont un rapport rendu public en 2005 par la National Security Agency, [41  ans plus tard] indiquent qu’il n’y a pas eu d’attaque nord-vietnamienne à cette date. »
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Incidents_du_golfe_du_Tonkin)

Les « théories du complot » sont multiples et contradictoires entre elles. Certaines sont probablement des caricatures mises en circulation pour ridiculiser les analyses qui rejettent les discours officiels. Je ne sais pas quelle est l’ampleur de l’adhésion qu’elles suscitent ni leur impact sur la conscience de la population. On pourrait s’y attarder. Mais ce dont je suis sûr c’est du danger que représente la pratique qui consiste à rejeter de véritables analyses qui mettent en évidence la réalité des manipulations, l’omniprésence du secret, de la malveillance, des complots dans la gestion sociale capitaliste, au nom d’une lutte contre le « complotisme », les « théories du complot », le « conspirationnisme », etc.

C’est devenu aujourd’hui une tarte à la crème, une gangrène, dont les spin doctors se servent ad nauseam pour protéger leurs cyniques manipulations.

Aujourd’hui, avec les nouvelles technologies, dont la reconnaissance faciale, l’omniprésence croissante de la digitalisation dans la vie quotidienne qui permet de suivre les faits et gestes de chaque individu, les gouvernements et les gérants du système, si jaloux de leurs secrets, se paient le luxe de soumettre la population dominée à une surveillance sans limites. La Chine est un modèle du genre. La Covid-19 sert insidieusement à justifier partout la mise en place de pratiques de contrôle totalitaire que les anti-complotistes doivent combattre farouchement.

Raoul Victor


Notes :

1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le:Classement_de_l%27indice_de_corruption

« L’indice est élaboré à l’aide d’enquêtes réalisées auprès d’hommes d’affaires, d’analystes de risques et d’universitaires résidant dans ces pays ou à l’étranger. » (Wikipédia fr)

Il donne pourtant une vision biaisée car la corruption dans les pays plus développés se fait à des niveaux très élevés et sa dissimulation est des plus raffinées. C’est ainsi que des pays comme la Suisse et le Luxembourg, véritables instruments de la corruption mondiale, apparaissent au 5e et 9e rang de l’échelle… une auréole sur la tête.




Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Mondialisation.ca]

Une publicité mensongère pour les vaccins anti-COVID-19 vantant leur « efficacité et leur sécurité prouvées par leurs essais » mobilise sans relâche les médias et les représentants du gouvernement, assortie du chantage « vacciné ou enfermé, ou socialement mort [1]».

Cette propagande vaccinale élaborée par le gouvernement prétend en autre que la commercialisation accélérée ne s’est pas faite aux dépens de la sécurité sanitaire. Compte tenu des techniques de fabrication toute nouvelle utilisées (ARNm, virus vecteur) et de l’extrême rapidité de la commercialisation, cela est impossible. 

Le schéma classique des essais de vaccins avant commercialisation

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenant de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours normal.[3]

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. 

Phase d’essais sur l’animal enjambée

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquat [4, 5] , le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

 La presse anglo-saxonne s’en est fait souvent l’écho en titrant que les protocoles de validation essais “sautaient” fréquemment cette phase normalement préalable aux essais cliniques, mais les médias hexagonaux n’en ont pas parlé. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectuées simultanément voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS. 

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline [6, 7] a été abandonné à cause de cette complication   Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus.

Les essais cliniques bien faits sont la clef de la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives. 

La phase I qui porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance l’innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire) mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration de vaccin le plus efficace.

Cette phase II nécessite un nombre plus élevé de volontaires et a pour objectif de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document, (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

Tant que les résultats complets des essais phase III n’ont pas été publiés l’utilisation du vaccin ou du médicament est expérimentale. C’est cette phase qui est en cours dans le monde pour les vaccins anticovid actuellement utilisés et non une phase IV comme on le voit trop souvent écrit car les gens ne comprennent pas qu’on puisse à la fois être en phase 3 et commercialisé contre paiement au laboratoire.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence habituellement avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est considérablement insuffisante et les sous déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins Covid

La mise sur le marché en moins d’un an n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais.

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.

Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées.

 La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement de fait comme le détaille de l’essai Pfizer par exemple dans sa publication sur clinicaltrials.gov le montre : première analyse en aout 2021, et fin de l’essai janvier 23.[8] Néanmoins le profil de l’essai ne devait concerner que des bien portants d’âge inférieur à 85 ans. 

Critères de jugement non pertinents. 

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit de la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [9].

Le « miracle » de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses. 

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles

Les vaccins de Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisant spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les couts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto immunes est fortement suspecté. Mais ils restent des vaccins au sens pasteurien, contrairement aux produits Pfizer et Astra Zeneca qui sont des médicaments nouveaux de type thérapie génique, ne contenant pas d’antigènes mais des produits (Arn messager, virus) destinés à faire fabriquer des anticorps par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique d nous est étranger et est d’origine virale [10].  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de virus autre. . Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dits souvent vaccins géniques ou vaccins OGM, dont la technique n’a jamais été utilisée pour un vaccin auparavant exposent donc à des risques non maitrisés en opposition totale avec le principe de précaution. 

Une absence totale de transparence des contrats d’achat de vaccins

Dans un pays démocratique, les décisions importantes pour les populations doivent être décidées en toute transparences par nos représentants élus. Pour les vaccins anti covid, les contrats ont été passés en catimini entre les dirigeants et les entreprises et comportent des clauses inacceptables comme la clause de confidentialité et d’immunité juridique. 

Le communiqué de presse [12] de la député Michèle Rivasi est explicite :

« La Commission nous a confirmé que nous n’avons toujours pas accès aux contrats en cours de négociation. Nous n’avons pas accès au nom des négociateurs. Nous n’avons pas accès aux données brutes des essais cliniques, la Commission précisant que cette législation n’entrera en vigueur qu’en 2021. »

 « Nous sommes face à une situation très dangereuse, prévient l’Eurodéputée Michele Rivasi. Ne nous laissons pas faire, ni instrumentaliser par la peur ou l’urgence brandies comme alibi pour justifier des décisions contraires à la santé publique et sources de risques inacceptables. » 

« Nous avons besoin d’une transparence absolue. C’est l’unique condition permettant de restaurer la confiance dans les vaccins, et l’unique moyen de s’assurer que les vaccins sont réellement sûrs et efficaces. Cela concerne autant les conditions opaques dans lesquelles les contrats de préachat ont été négociés que les données des essais cliniques. Nous avons besoin de savoir comment les vaccins OGM ont été testés, les effets indésirables qui ont été observés, et les évaluations manquantes ou incomplètes. »

Il n’y a aucun risque pour les firmes qui ont exigé et obtenu l’immunité juridique

Si vous vendez un produit défectueux qui cause des complications vous risquez d’être poursuivi et condamné. Mais pas les fabricants de vaccin qui ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits[13, 14, 15]  Cette exigence confirme que les entreprises n’ont pas confiance en leur vaccin. Alors que tous les médias et les agences sanitaires prétendent que les vaccins sont sûrs …

Le piratage des documents de la commission européenne, seul moyen d’obtenir un peu de transparence montre pourtant que la commission sait que certains vaccins sont défectueux.[16]

« Les vaccins commercialisés possèdent moins d’ARN « intègre » (séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike) que ceux utilisés dans les essais : 51% à 59% pour les vaccins commercialisés contre 69% à 82% pour les vaccins utilisés lors des essais cliniques. Ceci pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité : ces ARN tronqués ne peuvent plus être traduits en protéine Spike. »

Des résultats actuels très inquiétants

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.[17] 

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie.

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier

Gibraltar avait été presque épargné par le COVID-19 et après presque un an d’épidémie ne comptait que 15 décès avant la vaccination commencé le 9 janvier. En 3 semaines post vaccinale le nombre total des morts a été multiplié par 5 et atteint maintenant 73. 

Bien entendu, les agences sanitaires qui ont recommandé les campagnes de vaccination nient qu’il puisse y avoir un lien de causalité entre les vaccins et la hausse de la mortalité car cela reviendrait à admettre leurs responsabilités. « Il ne s’agit que de coincidence temporelle,  la mortalité augmentait avant la vaccination, il n’y a pa de preuve que le vaccin soit responsable… ». Mais ce lien de causalité  possible devrait conduire au minimum à un moratoire en l’attente de résultats plus complets. Il serait important que les essais et les résultats des vaccinations soient précis, car si les anglais décident vraiment de multiplier les mélanges de vaccins, nous aurons du mal à analyser les conséquences  positives ou négatives de la vaccination.

Ces campagnes de vaccination expérimentales chez les personnes fragiles sont dangereuses

Le vieillissement s’accompagne d’une baisse d’efficacité du système immunitaire rendant les vaccins moins efficaces. Dans l’essai mené par Pfizer, l’efficacité était comparable chez les plus de 55 ans et chez les moins de 55 ans. Mais au-delà de 75 ans, le nombre de personnes participant à l’essai était trop faible pour juger du niveau d’efficacité.

 La vaccination de ces personnes est donc actuellement purement expérimentale. La Haute autorité de santé (HAS) recommande d’ailleurs que des études complémentaires soient menées dans cette sous-population. Ainsi que le constatait récemment l’éditorial du Lancet [18] :

« Peu de données sur la sécurité sont disponibles. La façon dont les vaccins fonctionnent chez les personnes âgées ou celles qui ont des conditions sous-jacentes et leur efficacité dans la prévention des maladies graves ne sont toujours pas claires. »

LAllemagne a suspendu la vaccination des pensionnaires d’Ehpad par le vaccin Astra-Zeneca pour trop faible efficacité.

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad [19, 20]. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves.

 Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. Depuis la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet.

Malgré la censure qui règne sur les réseaux sociaux, de très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d ‘Ehpad après vaccination.

Il parait donc actuellement prudent de suivre les conseils des agences, norvégienne et allemande et de surseoir à cette vaccination chez les personnes âgées fragiles, tant qu’on ne disposera pas de résultats de mortalité complets.

La mise sur le marché express de vaccins sans respecter le schéma classique des essais risque d’aboutir une catastrophe vaccinale et de nuire à la vaccination. 

Cette hâte incroyable n’était pourtant pas justifiée par la gravité intrinsèque de la maladie qui se comporte au niveau mondial comme une mauvaise grippe seulement aggravée par des mesures autoritaires sans fondements scientifiques autres que des simulations grossièrement fausses.

Dr Gérard Delépine


Notes :

1 Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020

2 Le 9 juillet le comité scientifique dans VACCINS CONTRE LE SARS-CoV-2UNE STRATEGIE DE VACCINATION CARE se préoccupait surtout de la stratégie de la propagande « Vaccination contre la COVID-19 : une adhésion à construire « La communication devra explicitement préciser que l’accélération de la vitesse de développement des nouveaux vaccins ne concerne pas les étapes de sécurité, qui seront maintenues, mais les modes de développement et de production »

3 Rappelé dans Ile de France prévention santé https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htm 

4 Par exemple la souris adaptée à la recherche contre le Covid-19, est un animal génétiquement modifié, appelé ACE2, s’est trouvée en nombre insuffisant montrant ainsi la dépendance de la recherche envers les producteurs d’animaux de laboratoire.

5 Leila Marchand Coronavirus : les Etats-Unis manquent de singes pour leurs essais de vaccin, les échos 1/9/2020

6  Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

7   Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

8 Interventional (Clinical Trial) Study to Describe the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals

Estimated Enrollment : 43998 participants
Allocation : Randomized
Intervention Model : Parallel Assignment
Masking : Triple (Participant, Care Provider, Investigator)
Primary Purpose : Prevention

Official Title : A PHASE 1/2/3, PLACEBO-CONTROLLED, RANDOMIZED, OBSERVER-BLIND, DOSE-FINDING STUDY TO EVALUATE THE SAFETY, TOLERABILITY, IMMUNOGENICITY, AND EFFICACY OF SARS-COV-2 RNA VACCINE CANDIDATES AGAINST COVID-19 IN HEALTHY INDIVIDUALS

Actual Study Start Date : April 29, 2020
Estimated Primary Completion August 3, 2021
Estimated Study Completion Date : January 31, 2023

9 Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30 

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

10 https://www.jle.com/en/revues/vir/e-docs/virus_et_genes_viraux_endogenes_evolution_et_impact_307413/article.phtml 

11 Ce fait suggère l’existence d’une activité de rétrotranscription naturelle, au sein des cellules de l’hôte, en l’absence de rétrotranscriptase identifiée et démontre que le risque d’une rétrotranscription de l’ARNm vaccinal, vectorisé, n’est pas impossible

12  Michèle Rivasi Communiqué de presse Bruxelles, 7 septembre 2020

13 Les fabricants de vaccins Covid-19 font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique, 26 août, 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d 

14 Astra Zeneca organise son exemption juridique, 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN 

15 L’UE indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus, 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072 

16 Lise Barnéoud Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments Le monde 10 janvier2021  https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html 

17 La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

18 ÉDITORIAL Vaccins COVID-19 : pas le temps de la complaisance The Lancet VOLUME 396, NUMÉRO 10263, 21 NOVEMBRE 2020 https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)32472-7/fulltext 

19 Norway warns of side effects of Covid-19 vaccine on elderly …www.thelocal.no › Norway-warns-of…

20 Lars Erik Taralds La Norvège s’inquiète des vaccins pour les personnes âgées Bloomberg 16 janvier 2021 La source originale de cet article est Mondialisation.caCopyright © Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2021




30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021)

[Source : Magazine Nexus]

Les différents groupes de travail du Collectif Santé Libre ont présenté ce dimanche 31 janvier 2021 les premiers résultats de leurs travaux en présence de :

  • Violaine Guerin
  • Martine Wonner
  • Louis Fouché
  • Claude Veres
  • Patricia Melot
  • Claire Delval
  • Christine Spitz
  • Philip Keros
  • Claude Escarguel
  • Trinidad Garcia
  • Vincent Reliquet
  • Gérard Guillaume
https://youtu.be/ky7CjudtQc8



La plus grande chasse aux sorcières a débuté aux USA

[Source : Réseau Voltaire]

La chasse aux sorcières a débuté aux États-Unis alors que l’opinion publique désapprouve les mesures les plus idéologiques des néo-puritains de l’administration Biden.

Seuls 45 % des citoyens US approuvent l’interruption de la construction du mur à la frontière mexicaine. Tandis que seuls 42 % approuvent l’autorisation d’immigrer depuis les pays musulmans dans lesquels les ambassades n’ont pas la possibilité de vérifier l’identité des migrants [1].

Les membres du Comité international olympique ne savent pas comment remettre en cause l’autorisation du président Biden donnée à chaque athlète de choisir dans quelle catégorie, masculine ou féminine, il entend concourir. Certains réfléchissent à fixer des seuils de testostérone chez les concurrentes.

Plusieurs centaines de personnes, siégeant dans les 42 comités consultatifs du Pentagone, ont été invitées à démissionner ou seront renvoyées avant la fin du mois. La plupart d’entre elles avaient été nommées au cours des deux derniers mois de l’administration Trump. Il s’agit de la plus importante purge jamais effectuée au Pentagone, y compris au plus fort de la Guerre froide, durant la période maccarthyste (1953-54).

La Chambre des Représentants cherche officiellement un moyen de destituer la nouvelle représentante de Géorgie, Marjorie Taylor Greene, pour avoir suggéré qu’aucun avion n’avait frappé le Pentagone le 11 septembre 2001 et que les attentats n’ont pas été perpétrés par Al-Qaïda, mais par une partie de l’État profond US (la thèse de Thierry Meyssan [2]). D’ores et déjà, le leader de la minorité républicaine, Mitch Mc-Connell, a annoncé qu’il ne partageait pas ses « mensonges » et ne la défendrait pas.

Le représentant républicain Adam Kinzinger lève des fonds pour lutter contre l’influence de l’ancien président Donald Trump au sein du Parti républicain.

Le leader de la majorité démocrate du Sénat, Charles E. Schumer (photo), a quant à lui déposé une résolution le 2 février 2021 visant à contraindre le FBI à enquêter sur le mouvement QAnon, présenté comme une menace contre la Démocratie, et à le criminaliser. Les principaux médias mènent simultanément une campagne de propagande pour réduire le message politique de QAnon et faire passer ce mouvement pour une secte anti-pédophiles.




Le formatage idéologique des enseignants devient officiel

[Source : Nice-Provence Info]

La crise du Covid, préoccupation majeure des Français depuis un an, a permis au gouvernement de faire passer en catimini un certain nombre de mesures.

On se souviendra, en mars 2020, de l’ordonnance pour faciliter l’installation de la 5G sur le territoire ou encore du projet de loi bioéthique dont l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, dans la nuit du vendredi 31 juillet au samedi 1er août 2020, etc.

Mais cela ne s’arrête pas : vendredi dernier 29 janvier, le Journal Officiel de la République a publié les modalités d’organisation des concours du certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré, le fameux CAPES, fixées par l’arrêté du 26 janvier. Rien de bien inquiétant, me direz-vous. Et bien, détrompez-vous ! Car ces modalités de concours viennent institutionnaliser l’obligation de ne recruter que des candidats totalement acquis à la pensée unique.

Cette réforme du concours réduit encore la part consacrée à l’évaluation des compétences disciplinaires au profit du contrôle de la bonne adhésion à l’idéologie dominante. Depuis des décennies déjà, cette philosophie perverse assise sur les transcendantales « valeurs de la République » est venu gangréner la réflexion sur l’enseignement. Ces valeurs démagogiquement compilées sous les coups de boutoirs des minorités agissantes sont devenues le fer de lance de la pensée standardisée des progressistes. Elle a imprégné tous les rapports officiels et régenté la formation des professeurs, notamment à travers les fameux IUFM (instituts universitaires de formation des maîtres). Aujourd’hui, elle est gravée dans le marbre pour achever le formatage des enseignants.

Avec ce texte, les pouvoirs publics affichent ouvertement leur intention d’asservir des professeurs à leur idéologie. C’est la dictature de la pensée dominante qui devient officiellement la pensée obligatoire dans l’Éducation nationale.

D’aucuns déploraient depuis longtemps le niveau particulièrement bas des derniers reçus dans certaines sections du CAPES. Rien d’étonnant, il est exigé des commissions de jury qui évaluent les candidats de dégager une moyenne globale autour de 1020 : « Tant qu’on n’a pas atteint ce seuil, on remonte les notes », explique Annie Kuyumcuyan, membre du jury et professeur de linguistique française à l’université de Strasbourg (interview L’étudiant Educpros). Ce que confirme Valérie Fasseur, membre du jury et maître de conférences à l’université de Pau : « En 2015, j’ai par exemple été contrainte de noter 7 plusieurs copies auxquelles j’avais d’abord mis 3. Mais cette année-là, le seuil d’admissibilité a été placé à 6,5. Donc des candidats dont les copies avaient d’abord obtenu 320 ont été admissibles… ».

Alors, ce n’est certainement pas avec des mesures faisant la part belle à l’affiliation aux idées progressistes au détriment des savoirs, dans leur recrutement des professeurs, qu’on relèvera le niveau de ces derniers !

Charles André

Arrêté du 25 janvier 2021 fixant les modalités d’organisation des concours du certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré

[ … ]
Article 8

L’épreuve d’ entretien avec le jury mentionnée à l’article 7 porte sur la motivation du candidat et son aptitude à se projeter dans le métier de professeur au sein du service public de l’éducation.
L’entretien comporte une première partie d’une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d’une durée de cinq minutes maximum, par le candidat des éléments de son parcours et des expériences qui l’ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment ses travaux de recherche, les enseignements suivis, les stages, l’engagement associatif ou les périodes de formation à l’étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury.
La deuxième partie de l’épreuve, d’une durée de vingt minutes, doit permettre au jury, au travers de deux mises en situation professionnelle, l’une d’enseignement, la seconde en lien avec la vie scolaire, d’ apprécier l’aptitude du candidat à :
– s’approprier les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public ( droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l’égalité, notamment entre les filles et les garçons, etc.) ;
– faire connaître et faire partager ces valeurs et exigences.




Gouvernement Mondial – Le Ministère de la Vérité

[Source : ZE Journal]

Une pandémie permettrait d’instaurer enfin un véritable gouvernement mondial. 

Jacques Attali le 6 mai 2009

Je ferai de la formation d’un gouvernement mondial unique mon héritage.

George Soros le 8 août 2018

La collusion de l’État français avec les géants du web, jusqu’alors secrète, a été officialisée en novembre 2018 quand le conducator a annoncé la création d’un groupe mixte moitié cadres de Facebook, moitié politiciens et hauts fonctionnaires français.

Pour se donner une légitimité, ce groupe était supposé traquer les contenus racistes, antisémites, homophobes et sexistes. Curieusement, les djihadistes ne faisaient pas partie des « méchants »… Quinze mois plus tard, ce sont les thérapies du professeur Raoult qui sont clouées au pilori par ces prescripteurs de « bonnes pensées ».

Pour ne pas être en reste, Facebook et Twitter ne se contentent plus d’escamoter des dizaines de milliers de posts non conformes aux intérêts de la nomenklatura mondialiste… Ils se sentent désormais assez forts pour se permettre de censurer des chefs d’États ! Il semble clair que l’inertie des grandes puissances, qui disposent des outils juridiques anti-trusts pour disloquer ces léviathans du numérique, s’explique par l’intérêt qu’elles y trouvent. Donnant-Donnant.

Des vertes et des pas mûres

Auparavant, les fact-checkers se contentaient de vérifier article par article, rumeur par rumeur, photo par photo, sondage par prévision, chiffre arrangé par donnée truquée. Et puis est arrivé Decodex, le moteur de recherche du « Monde » financé par « Google », qui juge souverainement les sites internet et les envoie en enfer, au purgatoire ou au paradis selon leur soumission à la bien-pensance du N.O.M.

S’y ajoute une merveilleuse invention 2.0 sous forme de « add on » ou « extension » adaptée à « Chrome », « Firefox » ou « Microsoft edge » qui trie automatiquement le vrai du faux et vous dit ce que vous devez penser. Avec une signalétique simpliste inspirée des feux de circulation : vert allez y, rouge stop, orange plus ou moins mûre : freinez à fond.

Vert  : Ceux qui expliquent aux Français l’intérêt que présente un rabotage de leurs retraites et de leurs droits sociaux, s’ils ne veulent pas tout perdre dans un proche avenir. Car chacun sait (parole d’énarque) que si une partie des gens regimbe et se rebiffe, c’est parce qu’on leur a mal expliqué les mesures positives qui les concernent.

Vert : Les sites para-étatiques prétendant que le Covid-19 n’atteindrait jamais la France, puis que ce serait une simple grippette qui n’empêcherait ni de sortir ni de voter. Et que les tests et les masques ne servaient à rien… Toujours vert demain quand les masques seront obligatoires et que les flics verbaliseront ceux qui n’en portent pas avec un zèle qu’ils n’ont jamais déployé envers les femmes en burka ?

Vert : Des propagandistes sans la moindre formation médicale qualifiant de « fake news » la communication initiale du professeur Raoult, et bloquant l’accès à sa page Facebook avec l’appui du ministère de la santé, avant que les politiciens ne reculent sous la pression trop voyante à la fois des praticiens et des médias alternatifs qu’on n’a pas encore réussi à museler.

Vert : Le décret déclarant empoisonnée une molécule utilisée depuis 80 ans, puis en limitant l’usage aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité.

Vert  : Des membres du Conseil scientifique férocement opposés au professeur Raoult jurant qu’ils n’ont aucune relation d’intérêt avec les laboratoires qui attendent de proposer des remèdes coûteux… Quand on les trouvera… Si on les trouve.

Vert : Le matraquage continu pour convaincre les gens qu’il n’y avait pas d’autre solution que le confinement, et qu’on rend service aux vieillards en les finissant au Rivotril. Le 49.3 pour les retraités, c’était bon pour les politicards de l’ancien monde.

Un test : allez sur Google et tapotez « anti macron ». Les 5 premières pages (je n’ai pas eu la courage d’aller plus loin) vilipendent ceux qui osent critiquer le conducator avec en bandoulière l’antienne : « Extrême drouate ! Extrême drouate ! »

Le génial inventeur du Decodex

C’est un Libanais du nom de Nabil Wakim, membre de la Young leader French American Foundation, promotion 2012, celle de Macron… Une organisation liée au Bilderberg et à la Trilatérale avec pour objet de recruter des influenceurs de talent, appelés à devenir des exécutants zélés au service du Nouvel Ordre Mondial.

Le C.V de Wakim n’a rien d’exceptionnel de nos jours : une maîtrise d’histoire et un mastère du CELSA, une antenne de La Sorbonne spécialisée en public relations et journalisme. Plus intéressantes sont ses formations complémentaires de terrain : Selon ses propres dires Nabil Wakim se serait rendu en juin 2013 à Marrakech pour intervenir dans le « dialogue avec le monde arabe » organisé par la French American Foundation. Dans quel but ? « Étudier le printemps arabe » présenté comme un mouvement spontané des peuples.

Le jeune Wakim (alors 32 ans) ignorait sans doute que ces printemps médiatisés relevaient moins de révoltes populaires que de soulèvements provoqués et canalisés dans une tentative de recomposition du Moyen-Orient par les services secrets américains. Sous l’œil gourmand et attentif des Russes.

Y jouer un rôle de médiateur revenait à coopérer sans le savoir (?) à une vaste entreprise mondiale de désinformation, relayée par l’ensemble des médias occidentaux, avec « Le Monde » caracolant en tête.

Ensuite, alors qu’il enseigne le journalisme à Sciences Po Paris, tout en dirigeant « Le monde » dont il est devenu le rédac’ chef, ce qui présuppose quelques compétences… En 2014 alors qu’il a 33 ans, et déjà une belle carrière derrière lui, Wakim part aux USA pour « étudier le journalisme » (sic)

Renseignement pris, il a été sélectionné par la « Nieman Foundation » pour apprendre à adapter la propagande main stream aux particularités des médias numériques et sociaux : réactivité, inter-connectivité et interactivité, biais cognitifs exploitant l’émotion, et gestion d’un public virtuel sinon vertueux pour amplifier les buzz.

Reposez-vous, on pense pour vous !

Pauvres internautes perdus sans un guide, le moteur de recherche du « Monde » vous invite à signaler et faire analyser tout site suspect. Leur base de données répertorie tous les sites se livrant à la diffusion virale de fausses informations et se fait un devoir d’« aider les internautes à se repérer dans la jungle des sites producteurs ou relayeurs d’informations fausses ou douteuses » (sic)

À l’aune de quels critères ? Ceux du « Monde » naturellement. Journal de bobos écolo-parigots jusqu’à la caricature. Vigoureusement mondialistes, farouchement européistes et férocement immigrationnistes.

La loi du milieu

Le clivage est net et sans bavures. D’un côté en vert, tous les médias main stream avec subventions d’État et journalistes encartés. De l’autre, en rouge, ceux qui s’autofinancent et n’ont pas la carte de presse. Sans ce sésame, ils sont réputés écrire n’importe quoi, même lorsque les auteurs sont des pointures dans le domaine dont ils dissertent… S’ils ne sont pas des mercenaires du clavier stipendiés pour défendre des intérêts inavouables.

Parfois ce classement réserve des surprises : ainsi « Valeurs actuelles » qui fut condamné pour haine raciale, est en vert… Quand « Fakir », le site de François Ruffin, député insoumis est en rouge. En contradiction apparente avec les convictions affichées par « Le Monde » mais tout à fait dans la ligne idéologique des censeurs, selon laquelle les journalistes non professionnels n’ont pas droit de cité. Et à défaut de les faire interdire (pour le moment…) on doit s’ingénier à les discréditer.

Quant à la presse étrangère, elle est traitée avec autant de désinvolture et de parti pris. Le « Daily Mail » qui a défendu des points de vue pro-Brexit est catalogué en rouge donc peu fiable, tandis que « The Guardian » avocat du Remain qui a multiplié les prédictions apocalyptiques non confirmées dans les faits, est toujours en vert.

Il est évident que « Le Monde » s’est mis dans une situation inconfortable où il est à la fois juge et partie et donc, plus du tout fiable. Porteur dès la naissance de Decodex de ce double handicap qui nuit définitivement à sa crédibilité : il ne peut convaincre que les convaincus, c’est-à-dire ceux qui se réfèrent au « Monde » pour avoir confirmation de ce qu’ils tiennent pour vrai…

Avec en contrepartie, dans le cas où Decodex dénicherait un fake (ça doit quand même arriver parfois) la forte probabilité que seront confortés dans leurs certitudes ceux qui y croient ou sont tentés d’y croire, du simple fait que l’anathème provient d’un média du système auquel ils n’accordent aucun crédit.

Noyauter les pépins, tout un art

Vu la difficulté de créer ex nihilo des sites d’information crédibles, ou de donner rapidement confiance envers ceux qui existent, ces grands professionnels ont décidé de noyauter, par l’entrisme, les amateurs qu’ils méprisent ouvertement par ailleurs.

Le nombre de passerelles, de partenariats rémunérés ou non, de partage de « codes éthiques » et d’échanges d’info entre ces différents réseaux et les blogs, les sites informatifs, et des journalistes-citoyens triés sur le volet, est impressionnant ! On les détecte aux quasi copiés-collés de leurs infos formatées façon agences de presse, répétitives et orientées. Souvent ripolinées de moraline au service de la mondialisation heureuse.

Ce Ministère de la Vérité est une pieuvre dont les tentacules se jouent des frontières, des langues vernaculaires, des cultures et des traditions locales. Pour se légitimer, il distribue des prix et des « awards » à ses agents les plus méritants. Ainsi « ProPublica » a reçu un Pulitzer d’un jury présidé deux ans avant par Paul Steiger, président de « ProPublica » !

L’idéologie de l’oligarchie

Sur ses sites internet, le Ministère de la Vérité défend une ligne politique et sociétale qui est clairement celle de l’oligarchie : pas touche aux intérêts des banksters, aux entreprises qui exploitent les affamés du quart monde, à Big Pharma qui vous laisse crever pour optimiser ses profits, et aux multinationales du numérique dont le chiffre d’affaires pour certaines dépasse celui de quelques états de taille respectable…

Mais pour afficher une bonne conscience et amuser la galerie, on monte en épingle « la défense des droits de l’homme et de la démocratie » qu’ils sont les premiers à piétiner là où ils opèrent… Avec l’écologisme activiste dans un monde que leurs mines, leurs usines et leurs super porte-containers ne cessent de polluer.

À ces termes de novlangue qui signifient destruction des frontières et des nations, mise sous tutelle des gouvernements et détournement d’attention des vrais problèmes avec un réchauffisme amplifié, il convient d’ajouter les droits des LGBT, ça ne mange pas de pain, le progressisme sociétal qui ramasse tout et n’importe quoi, et le multiculturalisme récité comme un mantra par des vieux bonzes. Mais aussi « la lutte contre le populisme et les extrêmes ». Étant qualifiés d’extrémistes, tous ceux qui refusent d’être la pâte à modeler destinée à entrer dans leurs moules.

Il suffit de voir en France comment de pseudo-journalistes vrais nervis en quête de primes s’acharnent à contrer toute homme ou femme politique qui pense mal.

Résultats opérationnels : Une intégration horizontale avec des produits culturels et informatifs normalisés aux critères d’une idéologie consensuelle factice…

Et une concentration verticale qui absorbe les divers types de fournisseurs, de stockage, de diffuseurs et de supports. Super-Matrice permettant de créer un réseau de journalistes serviles, dits d’investigation (plus orwellien tu meurs !) capables de fournir des enquêtes orientées et des sondages truqués aux médias qui en sont friands.

Tout en censurant ou discréditant les informations qui dérangent en les qualifiant de « fakes dénoncés après une rigoureuse vérification des faits ». Meilleur moyen de contrer les opinions dissidentes, d’escamoter les débats et de discréditer les contradicteurs, qu’ils proviennent de la « fachosphère », de la « gauchosphère » ou de pays rétifs pas encore entièrement soumis à l’oligarchie.

C’est le Ministère de la Vérité financé par l’Oligarchie au service exclusif des vérités décidées par l’Oligarchie.

Les sponsors de la pieuvre numérique

Les élections présidentielles américaines de 2016 suspectées d’avoir été influencées par un complot associant des Russes à une partie de la droite la plus conservatrice, ont incité des gens un peu naïfs, croyant bien faire, à appuyer la création d’un système de contrôle des informations, afin d’éviter semblables ingérences à l’avenir.

Flairant le filon, Facebook a été le premier à réagir en faisant appel aux services d’une nébuleuse allemande « Correctiv » associant une trentaine de journalistes de diverses nationalités, en leur donnant pour mission de traquer les « fake news » sur le réseau social et de débusquer et bannir leurs auteurs. Les cibles prioritaires étant naturellement ceux qui refusent la mondialisation heureuse et l’européisme béat.

« Correctiv » prétend être une ONG neutre, spécialisée dans le journalisme d’investigation et le « fact checking ». En réalité, cette officine est financée par la « Fondation Brost », dépendant du groupe de médias « Funke Mediengruppe » (anciennement WAZ) associé à la « Deutsche Bank ».

« Correctiv » est membre du « Global Investigative Journalist Network » (GIJN), financé par « l’Open Society » de George Soros, la « Fondation Ford » et « Google ». « La Banque Mondiale » et la « Commission Européenne » font aussi partie du groupe. De façon tout à fait désintéressée. Pour s’assurer que de méchants provocateurs ne vont pas utiliser la relative liberté du web pour berner le public.

Sur le plan fonctionnel, « Correctiv » s’inspire de « l’Institut Poynter » dont il affiche en vitrine les préconisations rédigées dans une bible du politiquement correct qui se fait fort de déterminer la véracité de l’info à partir de critères cauteleux à mi-chemin entre les prêches des télé évangélistes et les niaiseries de Jean Jacques Rousseau.

Surprenante école de journalisme, puisque telle est sa vocation première, qui compte parmi ses filiales, une agence de presse politique (conservatrice-libérale à la sauce américaine) ainsi que le « Tampa Bay Times » une institution qui existe depuis 1884. Et dont on dit qu’il est conseillé à tout candidat gouverneur, sénateur ou procureur en Floride d’éviter de déplaire. N’est-ce pas incompatible, encore une fois, d’être juge et partie, tout en se recommandant de la plus parfaite objectivité ?

« Poynter » fonctionne grâce à des dons provenant de la « Fondation Bill Gates », de « Google » dont le réchauffiste milliardaire Al Gore est un gros actionnaire, de « l’Open Society » du sympathique George Soros et de la « Knight Foundation ».

La « Knight Foundation »qui n’a rien à voir avec la chevalerie disposait en 2015 d’un fonds de 2,14 milliards de dollars pour financer divers projets journalistiques. Parmi lesquels « Wikipédia » cette encyclopédie qui se dit libre et ouverte…

Enfin pour chapeauter le tout, « ProPublica » un réseau de journalistes soi-disant indépendants, financés par un mécénat dégoulinant de déclarations de foi ronflantes et archi-politiquement correctes.

Ainsi la Fondation Carnegie qui annonce : « Nous œuvrons à construire un monde meilleur autour de l’utilisation des sciences, de l’amélioration des hommes et des communautés en réseau ».

Ou la « Sandler Foundation » à la philosophie admirable : « Nous investissons dans des organisations stratégiques et des leaders exceptionnels (ndlr : Macron ?) qui cherchent à améliorer les droits, les opportunités et le bien-être des autres, en particulier les plus vulnérables et les plus défavorisés ».

S’y ajoutent, plus discrets mais non moins proactifs, le « Fondation Ford » et l’ « Open Society » de Soros laquelle se présente comme « la plus grande organisation philanthropique au monde, en matière de liberté, de démocratie et de droits humains ».

Ces parangons d’honnêteté, d’objectivité et de professionnalisme travaillent avec les grands médias : ABC News, CNN, Financial Times, New York Times, Guardian, Washington Post, Huffington Post pour ce qui est des supports traditionnels… Et sur le web, en plus de leurs pendants numériques : Facebook, YouTube, Twitter, Google, le Washington Post, Amnesty International, CNN, France Info, l’AFP et même Al-jazeera… L’objectif avoué de ces autoproclamés vérificateurs incorruptibles de la bonne pensée étant de mettre en place une « plateforme collaborative internationale de vérification ».

En privé ils disent « de certification ». En rêvant d’un monde meilleur où l’on ne pourrait plus rien publier qui n’ait été au préalable « certifié ». Les rustres qui fuient les périphrases appellent cela de la censure. Quel manque de finesse !

Le Ministère de la Vérité au service du Gouvernement Mondial

La domination culturelle des masses par de vieux préjugés ne peut être combattue et remplacée que par une autre hégémonie culturelle. Qui se donne l’air plus moderne, plus libre, plus séduisante. Et forcément ringardise les valeurs d’avant. Dans un monde interconnecté où ordis, tablettes, smartphones, réseaux sociaux, GPS et domotique, échangent entre eux pour votre plus grand bien, et surtout pour ne jamais vous perdre de vue, l’individualisme, l’autonomie, l’anticonformisme et le patriotisme n’ont plus leur place.

L’art, l’éducation et la culture préparent le terrain. Dès les petites classes, les enseignants sont chargés de formater les jeunes cervelles et d’en faire des individus sans passé, sans racines, sans références, avec des connaissances succinctes, éparses, sans liens entre elles. Peuvent alors débouler les bataillons médiatiques qui anesthésient les masses en assénant leurs vérités irréfragables, étouffent dans l’œuf toute contestation et condamnent à la mort sociale les hérétiques.

Gramsci n’aurait sûrement pas imaginé que « la future conscience de classe » qu’il appelait de ses vœux pour renverser l’ordre ancien se traduirait par une fusion dans la confusion de nouveaux liens d’appartenance tissés par des talk shows connivents, des séries lénifiantes, des mouvements panurgiques de détestation ou d’adhésion, une presse people affligeante, des télé-crochets hypnotiques, des parangons de sagesse sortis du néant avant d’y retourner, et l’indigent prêt-à-penser des J.T.

– Source : Agoravox [Note : la page ne s’affiche pas]




2020-2021 : Fin du Mouvement des Gilets Jaunes, Transition vers la Résistance

[Source : TML]

Avec l’épidémie de Covid-19 et l’instrumentalisation politique qui en est faite par le pouvoir macronien, le temps des Gilets Jaunes semble déjà bien loin, et leur combat, qu’il avait déjà réussi à étouffer par la violence et la provocation, définitivement devenu une page d’histoire supplantée par la suivante, l’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grands renforts de « Quoi qu’il en coûte » et de « liquidités » abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements « nationaux », dont celui de Macron, en France.

Or non seulement cette « loi du quoi qu’il en coûte » subventionnée par la BCE ne règle en rien le problème sanitaire qui en est le prétexte, non seulement elle ne règle en rien les problèmes sociaux du « monde d’avant », que ce soient les revendications des Gilets Jaunes ou les besoins déjà criants de l’Hôpital Public, mais elle génère, sur le terrain, une nouvelle strate de misère qui vient se rajouter à l’ancienne, sans même ouvrir une simple perspective de répit dans cette descente aux enfers du banco-centralisme.

Pour faire régner, dans le « monde d’après », ce nouvel ordre mondial sur le territoire de la France, le gouvernement Macron ne peut y arriver qu’en foulant aux pieds, et chaque jour un peu plus, les droits et les libertés des citoyens français, tels que ceux-ci les croyaient encore établis par les luttes sociales et politiques des générations passées.

C’est ce déni du droit que Francis Lalanne tente de nous expliquer dans le texte de son Appel, initialement publié sur France Soir, un titre de presse héritier des luttes de la résistance antifasciste sous le régime pétainiste de Vichy.

C’est en ce sens que cet Appel est emblématique de la transition entre deux périodes historiques, celle du « monde d’avant », qui s’achève, en France, avec l’étouffement de la lutte des Gilets Jaunes, et celle du « monde d’après », qui s’ouvre, en France, avec le refus du pouvoir macronien de soigner réellement les malades avec les traitements existants disponibles, allant jusqu’à en entraver lourdement la prescription, et même, directement ou non, la production.

L’Appel de Francis Lalanne, loin d’être un rejet des procédures constitutionnelles et/ou du droit, est, bien au contraire, une sorte de bilan constitutionnel de cette transition lourdement « ratée » par le pouvoir macronien, et même à un degré tel qu’il y a donc lieu, très légitimement, de s’interroger sur les véritables raisons et motivations sous-jacentes, en réalité, d’un « ratage » aussi monumental, et de chercher à comprendre s’il n’est pas, carrément et en définitive, le résultat d’une intention délibérée, et au profit de qui?

Dans la suite et conséquence historique du mouvement des Gilets Jaunes, il y a donc lieu d’exprimer notre soutien, notamment par la voie de ses pétitions nouvelles sur ce thème, à cette action de résistance civique face à l’acharnement du pouvoir macronien à bafouer les droits du peuple.


LE TEXTE DE L’APPEL DE FRANCIS LALANNE

APPEL DU 22 JANVIER : Francis Lalanne, le dernier des Gilets Jaunes, le premier des Résistants??!

https://youtu.be/pm-kBeTPock

Sur le nouveau pouvoir des Banques Centrales :

Paradoxe et suspense économique en 2021 : le Capital atteindra-t-il, ou non, le Nirvana par la Dette Mondiale ?




La liberté mise en pièces par la peur

[Source : h16free.com via Réseau International]

S’il y a bien une émotion particulièrement commode pour diriger la foule, c’est bien la peur. Cela fait passer presque instantanément la grande majorité des individus en mode « réflexes ».

Or, un réflexe simple lorsqu’on a peur est de simplement suivre le groupe parce qu’en moyenne, le groupe se trompe peu. [NdNM : du moins c’est ce que peuvent croire les gens apeurés]. Et si l’on a correctement orienté le groupe en lui faisant peur et en lui fournissant en même temps des solutions (de groupe, évidemment) qui répondent (fortuitement) à un agenda pratique pour celui qui manipule, le groupe fonce alors tête baissée vers la solution présentée, bonne ou mauvaise.

Bien utilisée, la peur fait en effet complètement oublier la liberté aux individus : la liberté, en laissant les possibilités ouvertes, n’apporte jamais de réponse immédiate, émotionnelle, instinctive et définitive aux dangers qu’on croit percevoir. Elle est toujours une réponse argumentée, raisonnée, pondérée et ne fait pas le poids devant les réponses instantanées, toutes faites et rassurantes par leur immédiateté.

Les adversaires de la liberté utilisent donc habilement la peur en multipliant les messages anxiogènes et les solutions toutes faites qui vont dans leur sens à eux : « La planète se réchauffe, vite, réduisons nos besoins en énergie, réduisons la population ! » ou encore « Vous allez mourir et atrocement en plus, vite barricadez-vous, ne bougez plus, taisez-vous, laissez l’État tout prendre en charge ! »…

Le besoin (pas nécessaire en réalité) de répondre vite, le caractère d’urgence (créé artificiellement) finissent par désarmer ceux qui ont l’habitude de la liberté lorsque le cadre se prête à la réflexion et à la pondération. Rapidement, les objections réfléchies sont complètement écrasées par les émotions et à la fin il ne reste plus qu’un groupe à peu près homogène d’individus qui se ruent vers les solutions proposées. Peu importe qu’elles n’ont de solution que le nom : ça marche pour diriger la foule et ça accroît sans cesse le pouvoir de ceux qui les proposent.

Le résultat très concret peut s’observer actuellement et il n’est pas beau à voir.

Assez rapidement, toujours en utilisant le prétexte de l’urgence et du caractère soi-disant exceptionnel, et grâce à l’intervention des médias qui, eux aussi, utilisent la peur d’autant mieux qu’elle fait vendre, on a mis en place une succession de confinements et de couvre-feux. Si leurs bénéfices sont parfaitement hypothétiques (« sans, il y aurait eu plus de morts patati patata »), les effets économiques, sociaux, politiques et même médicaux sont maintenant visibles (pas du tout hypothétiques) et catastrophiques.

Cependant, chaque nouveau confinement accepté par la foule apeurée brise un peu plus la résistance de ceux qui étaient auparavant indépendants, et qui deviennent de plus en plus soumis aux bons soins des dirigeants et de l’État à leur botte.

De façon habile, la réduction drastique, catastrophique même, de l’activité économique sera présentée comme bénéfique pour le climat. C’est faux, mais peu importe puisqu’il s’agit, là encore, de manipuler les foules, pas de les aider.

La suite logique a déjà été évoquée, sortie des cartons et la mise en musique ne tardera pas : la peur a fait des miracles et l’introduction d’un traçage permanent passe comme une lettre à la poste. Bien sûr, au début, on l’appellera « passeport médical » (pour ne pas effrayer le troupeau), puis « passeport vert » (qui permettra de vérifier l’adéquation comportementale avec l’agenda écologiste) puis enfin, ce sera le contrôle permanent des faits et gestes pour vérifier qu’ils sont en ligne avec la doxa officielle. Le procédé est transparent, simple, souple et cette doxa peut évoluer sans souci : le cheptel s’adaptera.

Bien évidemment, pour éviter la dissension, on laissera se développer la censure, le déplateformage et plus efficace encore, l’auto-censure (par pression sociale, depuis les groupes de Social Justice Warrior jusqu’aux fachos antifa pour taper du récalcitrant). Est-il vraiment besoin de revenir sur les derniers mouvements au sein de Facebook, Twitler et autres pour préciser ce point ?

L’accroissement de la pauvreté et la mise sous tutelle étatique d’un nombre croissant d’individus permet l’introduction d’un Revenu universel, magnifique étape dans l’asservissement le plus abject puisque ce principe est exactement équivalent à la distribution de nourriture « gratuite » aux animaux du zoo. On peut d’ores et déjà parier que la mise en place de ce système sera applaudi des deux mains par une proportion stupéfiante de Français.

Parallèlement, on continuera le grignotage de la propriété privée (en France, ça va à un rythme galopant ; il en ira de même partout ailleurs). Notez qu’on favorise déjà la location de tout et la possession de rien, la propriété privée étant maintenant de plus en plus ouvertement honnie, dans les médias, les discours politiques et les pensées jalouses de toujours plus d’individus.

Dans ce cadre, l’humain et ses services deviennent atomiques, parfaitement remplaçables. Les communistes, qui nient la notion même d’individu, se réjouiront – et se feront broyer à leur tour en devenant eux-mêmes des petits rouages anonymes d’une immense machine devenue folle.

Cette disparition de la propriété ne peut se faire sans une disparition complète de l’argent liquide anonyme. Cette disparition de toute transaction privée entraînera la disparition de toute possibilité de faire des affaires sans être fiscalisé, et surtout sans échapper au jugement permanent, à la scrutation de tous par tous : chaque transaction devenant publique, cela veut dire que tout le monde est jugé en permanence par tout le monde. La transparence totale que certains abrutis applaudissent des deux mains est évidemment un cauchemar abominable mais il faudra que ces abrutis la subissent pour comprendre pourquoi.

Ça tombe bien, on y va droit.

L’année passée nous a fourni une bien sévère leçon, celle que tous les efforts des libéraux sont vains s’ils ne parviennent pas à communiquer et amoindrir les sentiments de peur qui s’emparent de ceux qui connaissent mal la liberté.

Pire encore : on se rend compte qu’à mesure des progrès qui nous garantissent une diminution constante des dangers réels (guerres, catastrophes naturelles et même épidémies), les individus ont de plus en plus peur, de leur ombre, du changement, des autres, des frémissements de l’actualité ou de la liberté elle-même.




Ce “complotiste” avait tout compris (juillet 2020)

[Source : Olivier Demeulenaere]

Enfin presque tout… Il manque juste la dimension transhumaniste du projet de l’oligarchie mondialiste – et sa volonté d’accaparer la quasi-totalité des richesses de la planète.




La Commission européenne confirmerait-elle les dires du Pr Fourtillan ?

[Source : Réseau International]

par Jean Joseph.

Avez-vous vu la dernière intervention du Pr Fourtillan, le 25 janvier ? Si vous ne l’avez pas vue, vous pouvez la trouver là :

ou là :

Le Pr intervient après 45-50 minutes, – je vous fais un résumé (l’entretien est en effet assez touffu et brouillon, et le raisonnement est parfois, me semble-t-il, un peu hâtif) :

1°/ Il affirme à nouveau (il l’avait déjà fait en août dernier) (je passe sur la mise-en-scène clinquante à sensation de F. Chaumont) que le Covid 19 a été fabriqué à l’Institut Pasteur, par P. Charneau et F. Tangy.

Il avait déjà exhibé des brevets de SARS modifiés, trafiqués, pris par Pasteur.

Il a une nouvelle preuve, si j’ai bien compris : un de ses amis a découvert un nouveau brevet, de covid, déposé. Pièce manquante, en effet, à l’éventuelle preuve avérée.

Il le montre à l’écran mais, je dois dire, on ne peut rien lire. Il dit qu’il va le mettre sur le site « Vérité-covid19 ».

Mais pour le moment, sur le site, il n’y est pas — mais il y a bien sûr (à preuve…) les autres brevets découverts auparavant, etc…

Il affirme (lui aussi) que le virus n’est pas le but mais le prétexte. Au demeurant le virus s’est révélé n’être pas très dangereux, pas plus qu’une grippe ordinaire.

Le but est le « vaccin » qui, lui, est très dangereux (immunodéficience en particulier, je ne détaille pas ici). Et donc :

2°/ Il affirme de même que le (LE !) « vaccin » a été étudié, breveté, produit par Pasteur, avec la collaboration de Astra-Zeneca et l’Université d’Oxford (GB) entre autres pour la fourniture du ChAdOx1, virus vecteur du « vaccin » (virus de chimpanzé, à ADN).

Ce « vaccin » dénommé « ChAdOx1 nCoV-19 » a été fabriqué à partir de 2018 ; et bien qu’il soit censé être fabriqué en incorporant du SARS-CoV-2 (breveté par Pasteur), il se nomme nCoV-19, et se dit destiné au Covid-19 (documents à l’appui).

Il affirme que ce dit « vaccin » est LE seul qui ait été étudié et produit, et déjà acheté et stocké dans des endroits secrets, tous les autres sont des leurres.

Et il montre une vidéo de 2 minutes : reportage (très très anodin !) en Inde dans la plus grosse usine du monde (Serum Institute) qui fournit à elle seule les deux-tiers des vaccins du monde.

Je dois dire qu’en regardant cette vidéo (fournie par un internaute, dit-il) on ne voit pas grand chose, cela va très vite, et d’abord, je n’ai pas compris de quoi parlait Fourtillan ; mais en regardant de plus près, à deux moments, en arrêtant l’image, on peut LIRE une affiche sur la porte d’une salle réfrigérée qui s’ouvre, et les étiquettes sur les boîtes chargées par palettes entières. Et là (si l’on en croit ce que l’on voit), on s’aperçoit que l’usine est en train de produire en masse le « ChAdOx1 nCoV-19 ».

Alors que Pasteur vient d’annoncer abandonner la recherche sur l’un de ses vaccins anti-Covid19… (celui basé sur la rougeole, en fait)

Voici (en pièces jointes) deux de mes captures d’écran, où l’on peut même lire la date de fabrication : 2 janvier 2021 (agrandir l’image, au besoin).

Fourtillan précise :

1°/ Que ce « vaccin » contient, entre autres « saletés », des nanoparticules qui, injectées, permettent de détecter si l’on est vacciné ou pas.

2°/ Que ce dit vaccin est plus immédiatement dangereux que prévu (normalement cet effet ne devant se révéler que progressivement…).

Il cite le cas d’un EHPAD de Nice qui chaque année voit une vingtaine de ses pensionnaires mourir et qui, pour le seul mois de janvier de cette année, après « vaccination » (par quel vaccin ?), compte déjà 53 morts… Etc.

(Je note qu’en Australie certaines « vaccinations » à l’essai ont rendu les patients vaccinés positifs au test du SIDA (!) – Voir : http://www.geopolintel.fr/)

3°/ Que l’Institut Pasteur a menacé de porter plainte contre lui pour diffamation, mais ne l’a toujours pas fait, et pour cause.

(Se rappeler que Fourtillan a été arrêté à l’automne, interné en hôpital psychiatrique, puis relâché…)
[Voir : Le Professeur Fourtillan est maintenant libre.]

4°/ Que nos dirigeants sont aux abois, la machination étant dévoilée et avérée, ils ne savent comment arrêter la machine qu’ils ont lancée, – en sauvant leur peau (bien sûr).

(À part ça, Fourtillan dit deux trois choses notables sur le SIDA, les psychotiques, etc.)

Bref.

Je note par ailleurs : Certains biologistes se sont étonnés de la température de conservation du dit supposé (celui-là, ou un autre) vaccin : -80°, – c’est (à ce que j’en sais…) la température usuelle de conservation des virus, bacilles, etc. – mais pour conserver de l’ARNm (celui supposé de certains dits vaccins), une température de -20° suffirait, – et ils ont fait quelques hypothèses, par exemple qu’à l’ARNm serait adjoint CaS-9, et que le dit vaccin ferait en fait de l’édition génique guidée (!)… Mais le « vaccin » de Pasteur-AZ « ChAdOx1 nCoV-19 » utilise un virus comme vecteur… à quelle température se conserve ce « vaccin » ?

Récemment, le 29 janvier, la Commission européenne a publié 2 textes  :

1°/ Le premier « APA-AstraZeneca.pdf », daté du 26 août 2020 à effet au 27 août, sur une décision du 14 août, porte sur l’achat d’un « vaccin » à Astra-Zeneca. Le premier paragraphe précise que le dit vaccin est le « ChAdOx1 nCoV-19 » dont a parlé abondamment le Pr Fourtillan. Pour le reste, le document est copieusement caviardé par la Commission elle-même.

2°/ Le second « Vaccines contract between European Commission and AstraZeneca now published.pdf », en date du 29 janvier 2021, renvoie au premier, et précise l’achat de 300 millions + 100 millions de doses du dit vaccin par l’UE pour être distribuées au prorata des populations (les dites populations européennes comptant en gros 800 millions de sujets)…

(Voir aussi : https://francais.rt.com/international/83298-covid-regulateur

Cela ne confirme-t-il pas certains dires du Pr Fourtillan ?

En tout cas ce vaccin commence à être explicitement répandu ; et je note enfin que la revue Prescrire a publié ce 29 janvier un article très sceptique sur ce « ChAdOx1 nCoV-19 ».

source : https://www.prescrire.org/fr




Des ondes électromagnétiques pulsées peuvent détruire des cellules cancéreuses

[Source : L’Aile à Stick]

[NdNM : la vidéo suivante montre la destruction de micro-organismes et de cellules cancéreuses par des signaux électromagnétiques pulsés à une fréquence spécifique en fonction de l’organisme cible considéré. Une paramécie n’est pas détruite par la même fréquence qu’une cellule cancéreuse du pancréas, par exemple. Les ondes de la téléphonie sans fil et du Wi-Fi sont aussi de type pulsé, même si les fréquences sont différentes. Pour autant, par le même phénomène de résonance ainsi que par d’autres phénomènes physiques tels que l’induction électromagnétique, elles sont également susceptibles d’affecter des cellules, tissus biologiques ou organes vivants, cancéreux ou non, selon notamment la forme et la fréquence des pulsations. L’onde électromagnétique impliquée n’a pas besoin d’avoir une grande intensité. Voir aussi le dossier 5G et ondes pulsées.]

Cette technologie pourrait signer l’arrêt de mort des BigPharma

Doublage FR L’Aile à Stick

Lien source : Détruire des cellules cancéreuses à l’aide de fréquences de résonance | Anthony Holland | TED Talks https://youtu.be/1w0_kazbb_U

https://youtu.be/OteiAbQpn-Y [Censuré]




Nouvelle souche de coronavirus ou tromperie colossale ? Un mirage peut-il en cacher un autre ?

[Source : Sott.net]

Par M.K. Scarlett

Poursuivons notre plongée dans le terrier du lapin, de plus en plus obscur au fur et à mesure que l’on descend dans les étages inférieurs. Ce qui suit constitue un prolongement intéressant aux questions posées dans Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?

[Image : © Robert Gonsalves]

Jon Rappoport a écrit un article le 25 janvier dernier dont voici la traduction. Nous reviendrons ensuite sur quelques éléments supplémentaires qui viendront corroborer la nécessité des questionnements qui sont les nôtres dans le cadre du Sras-CoV-2/Covid. Et l’éventualité d’une fraude globale prend de l’ampleur, comme nous le verrons après la traduction, notamment en comparant la « pandémie » de Sras-CoV-2/Covid et l’« épidémie » de Sida.


David Rasnick[1], docteur en chimie, qui a longtemps travaillé dans l’industrie pharmaceutique (Abbott, Prototek, Arris), a rompu avec la science officielle et assuré la présidence de Rethinking AIDS, le groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse de l’existence du VIH. Il a été membre du groupe consultatif présidentiel sur le Sida en Afrique du Sud.

Voici une récente déclaration explosive de Rasnick[2] sur le Sras-CoV-2 et le VIH. La digérer aboutit à une révélation décisive :

« Les virus sont instables, en particulier les virus à ARN [comme le Sras-Cov-2]. Ils sont tellement instables qu’il n’existe pas de virus à ARN non muté. Ils sont comme des flocons de neige, il n’y en a pas deux qui soient identiques. »

Le VIH est un virus à ARN de 9 800 nucléotides. Vous pouvez télécharger le Compendium des séquences du VIH ici :[3]

Dans la préface, il est dit :

« Le nombre de séquences [génétiques] dans la base de données sur le VIH continue d’augmenter. Au total, fin 2017, la base de données des séquences du VIH contenait 812 586 séquences, soit une augmentation de 8,5 % par rapport à l’année précédente.

Aucune des séquences qui détruisent [sarcasme] le monde, y compris le coronavirus généré par ordinateur avec ses quelque 30 000 nucléotides, n’est identique.

Les maniaques du virus utilisent des ordinateurs pour comparer la ménagerie de séquences afin de trouver une séquence de consensus pour le VIH, le coronavirus et tout le reste. La séquence de consensus existe à deux endroits : dans les ordinateurs et dans les chaînes d’ARN synthétisées en laboratoire.

Même les séquences consensuelles ne sont pas stables. Différents groupes, utilisant une variété d’algorithmes informatiques, trouveront invariablement différentes séquences de consensus. »

Les implications de la déclaration de Rasnick sont colossales. Tout d’abord, oubliez l’idée que le Sras-Cov-2 n’a qu’une seule séquence génétique. Et ces multiples séquences ne sont pas assemblées en regardant dans un microscope magique. Elles sont assemblées par des programmes informatiques qui ont des algorithmes prédéfinis.En d’autres termes, les séquences sont construites par des CONJECTURES (et non des preuves) intégrées dans les algorithmes.

Tout [soi-disant]« vaccin » mis au point pour lutter contre le Sras-Cov-2 (même si l’on croit à la théorie sur le fonctionnement des vaccins) devrait produire une immunité contre un virus en constante mutation, non pas contre une seule souche mutée, mais contre un nombre infini de mutations. Il s’agirait d’une analogie avec la grippe saisonnière, dans laquelle les chercheurs font chaque année une supposition sur la nouvelle version du virus et développent un nouveau vaccin pour cette supposition.

Comment cela fonctionne-t-il ? L’ensemble des rapports des agences de santé publique totalisent, chaque année, un MILLIARD de cas de grippe saisonnière dans le monde. Pour aller plus loin encore, si les séquences génétiques des virus en constante mutation ne sont pas découvertes, mais concoctées par des programmes informatiques, quelle est la probabilité qu’un [soi-disant]« vaccin » utilisant ces « données » fonctionne ? Et tout en bas de la pile de suppositions se trouve, bien sûr, la prise de conscience que, si ces séquences génétiques sont concoctées — où se trouve le virus réellement isolé ? OÙ SE TROUVE LA PREUVE DE SON EXISTENCE ?

Où est-il, alors que, comme je le signale depuis des mois, les chercheurs tordent et maltraitent le sens du mot « isolé », de sorte qu’il indique que « le virus est quelque part dans une soupe dans un plat dans un laboratoire » — définitivement isolé par l’ONU. Telle est la « science » de la virologie moderne.

Mais ne vous inquiétez pas, soyez heureux, le test « pour le coronavirus » doit forcément être précis, le nombre de cas et de décès doit forcément être exact, et les confinements qui en résultent et qui détruisent les économies nationales et des centaines de millions de vies doivent forcément être nécessaires… n’est-ce pas ? Bien sûr, pourquoi pas ? Disons que l’un dans l’autre, il n’y a pas de problèmes. Tout le monde peut se rendormir et laisser les tyrans démolir la civilisation terrestre. OU, vous pouvez vous REBELLER contre l’État policier construit sur une arnaque que représente le château de cartes que l’on appelle « science ».

Par opposition au « virus », la liberté et l’indépendance sont bien réelles. Les gens peuvent les sentir dans leurs os, dans leur esprit et dans leur âme. Même et surtout s’ils sont esclaves, ils peuvent les ressentir. Puisque nous parlons de l’existence d’un virus, voici un de mes articles que j’ai repris plusieurs fois :

LE VIH EXISTE-T-IL ? ENTRETIEN EXPLOSIF

Avant d’en arriver à l’interview de Christine Johnson, un peu de contexte.

Mon premier livre, AIDS INC. a été publié en 1988. Les recherches que j’ai menées à l’époque ont servi de base à mes récents travaux visant à révéler la vaste fraude appelée Covid-19.

En 1987-88, ma principale question était devenue : le VIH cause-t-il le Sida ? Pendant des mois avant cela, j’avais allègrement supposé que la réponse évidente était oui. Cette question a donc chamboulé mon enquête, car je me trouvais face à des contradictions que je ne pouvais pas résoudre.

Par exemple, dans certaines régions d’Afrique, les personnes qui étaient chroniquement malades et mourantes n’avaient évidemment même pas besoin d’être touchées par un nouveau virus. Toutes leurs conditions et tous leurs symptômes de « Sida » pouvaient s’expliquer par leur environnement : approvisionnement en eau contaminée, eaux usées déversées directement dans l’eau potable, malnutrition protéine-calorique, faim, famine, traitement médical avec des vaccins et des médicaments immunosuppresseurs, pesticides toxiques, terres agricoles fertiles volées par les entreprises et les gouvernements, guerres, pauvreté extrême. L’histoire de ce virus a servi de couverture pour en fait occulter tous ces crimes en cours.

Enfin, à l’été 1987, j’ai découvert l’existence de plusieurs chercheurs qui rejetaient l’idée que le VIH causait le Sida. Leurs études étaient convaincantes.

Je raccourcis ici une grande partie de mon enquête de 1987-1988, mais à partir du moment où le VIH s’est avéré pour moi hors de cause, de nombreux éléments se sont mis en place. J’ai découvert, au sein de TOUS les groupes supposés être « à haut risque » pour le Sida, que leurs conditions et symptômes pouvaient être entièrement expliqués par des facteurs qui n’avaient rien à voir avec un nouveau virus.

Le Sida n’était pas une pathologie. C’était une étiquette parapluie, utilisée pour reconditionner un certain nombre de pathologies immunosuppressives et créer l’illusion d’une nouvelle et unique « pandémie ». Plusieurs années après la publication de AIDS INC., j’ai pris conscience d’un tout autre débat émergeant sous la surface de la recherche : LE VIH EXISTE-T-IL ?

Le prétendu virus a-t-il jamais réellement été découvert ?

Et CETTE question a conduit à ceci : quelle est la procédure correcte pour découvrir un nouveau virus ? L’interview suivante, réalisée en 1997 par la brillante journaliste indépendante Christine Johnson, approfondit ces questions :

« De quelle manière les chercheurs sont-ils censés prouver l’existence d’un virus particulier ? Comment devraient-ils l’isoler ? Quelles sont les étapes correctes ? Ces questions, et leurs réponses, sont au cœur de la plupart des recherches sur les maladies et pourtant, dans leur grande majorité, les médecins ne les explorent jamais ou ne les envisagent même pas. »

Johnson s’entretient avec le Dr Eleni Papadopulos, « biophysicienne et chef d’un groupe de scientifiques spécialisés dans le VIH/Sida à Perth en Australie occidentale. Au cours des dix dernières années et plus, elle et ses collègues ont publié de nombreux articles scientifiques remettant en question l’hypothèse du VIH/Sida… »

Ici, je publie et mets en évidence des extraits de l’interview[4] [5]. Des questions techniques y sont abordées. Les saisir n’est pas l’exercice le plus facile que vous ayez jamais fait, mais je crois que le lecteur sérieux peut comprendre l’essentiel [L’interview date de 1997 – NdT].

CJ : Le VIH cause-t-il le Sida ?

EP : Il n’y a pas de preuve que le VIH cause le Sida.

CJ : Pourquoi ?

EP : Pour de nombreuses raisons, mais surtout parce qu’il n’y a pas de preuve que le VIH existe.

[…] CJ : Luc Montagnier et Robert Gallo [prétendument les co-découvreurs du VIH] n’ont-ils pas isolé le VIH au début des années 80 ?

EP : Non. Les articles que ces deux chercheurs ont publiés à l’époque dans la revue Science n’apportent pas la preuve qu’ils aient isolé un virus chez un malade du Sida. [On dit que le VIH est un rétrovirus].

CJ : Ils prétendent pourtant qu’ils ont isolé le virus.

EP : Notre interprétation des données diffère. […] Pour prouver l’existence d’un virus, il faut faire trois choses. D’abord, cultiver des cellules et trouver une particule qui pourrait être un virus. Il est évident qu’au minimum, cette particule doit ressembler à un virus. Deuxièmement, vous devez mettre au point une méthode pour obtenir cette même particule afin de pouvoir la mettre en pièces et analyser précisément ce qui la compose. Ensuite, vous devez prouver que la particule peut faire des copies fidèles d’elle-même. En d’autres termes, qu’elle peut se répliquer.

CJ : Ne peut-on pas simplement regarder dans un microscope et dire qu’il y a un virus dans les cultures ?

EP : Non, on ne peut pas. C’est tout le problème des virus. Les particules qui leur ressemblent ne sont pas forcément toutes des virus.

[…] CJ : Je crois savoir que la centrifugation à grande vitesse est utilisée pour produire des échantillons constitués exclusivement d’objets ayant la même densité, ce qu’on appelle un « échantillon purifié par densité ». La microscopie électronique est utilisée pour voir si ces échantillons purifiés par densité sont constitués d’objets qui ont tous la même apparence — auquel cas l’échantillon est un isolat — et si cette apparence correspond à celle d’un rétrovirus, en termes de taille, de forme, etc. Si tout cela est vrai, vous êtes alors à trois étapes de la procédure d’obtention d’un isolat rétroviral. (1) Vous disposez d’un isolat, et cet isolat est constitué d’objets ayant la même (2) densité et (3) apparence qu’un rétrovirus. Vous devez ensuite examiner de plus près cet isolat, pour voir si les objets qu’il contient contiennent de la transcriptase inverse [une enzyme] et se répliquent lorsqu’ils sont placés dans de nouvelles cultures. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on peut déclarer avoir effectivement obtenu un isolat rétroviral.

Note de MKS : Pour isoler un virus, un échantillon de liquide provenant d’un patient infecté ou d’une culture de tissu infecté est ajouté à un gel à densité graduée. Ce gel est ensuite soumis à une centrifugation. « Le contenu de l’échantillon se dépose en tas séparés, ou en bandes, à différentes profondeurs selon leurs densités caractéristiques. Ces bandes sont appelées échantillons purifiés par densité. » Source

PE : Exactement. On a découvert que les particules rétrovirales ont une propriété physique qui leur permet d’être séparées d’autres matériaux dans des cultures cellulaires. Cette propriété est leur flottabilité, ou densité, et elle a été utilisée pour purifier les particules par un processus appelé centrifugation en gradient de densité.

La technologie est compliquée, mais le concept est extrêmement simple. Vous préparez un tube à essai contenant une solution de saccharose — du sucre de table ordinaire — conçue pour que la solution soit légère en haut mais devienne progressivement plus lourde, ou plus dense, vers le bas. Pendant ce temps, vous cultivez les cellules qui, selon vous, pourraient contenir votre rétrovirus. Si vous avez raison, les particules rétrovirales seront libérées des cellules et passeront dans les liquides de culture. Lorsque vous pensez que tout est prêt, vous décantez un échantillon de liquide de culture et vous déposez doucement une goutte sur la solution de sucre. Ensuite, vous faites tourner le tube à essai à des vitesses extrêmement élevées. Cela génère des forces énormes, et les particules présentes dans cette goutte de liquide sont forcées de passer à travers la solution de sucre jusqu’à ce qu’elles atteignent un point où leur flottabilité les empêche de pénétrer plus loin. En d’autres termes, elles dérivent le long du gradient de densité jusqu’à ce qu’elles atteignent un point où leur propre densité est la même que celle de la région de la solution de sucre. Lorsqu’ils y arrivent, ils s’arrêtent, tous ensemble. Pour utiliser le jargon virologique, c’est là qu’ils se regroupent. Les rétrovirus se groupent à un point caractéristique. Dans les solutions de saccharose, ils se groupent à un point où la densité est de 1,16 g/ml.

Cette bande peut ensuite être extraite de manière sélective et photographiée au microscope électronique. L’image est appelée micrographie électronique. Le microscope électronique permet de voir des particules de la taille de rétrovirus, et de les caractériser par leur apparence.

Note de MKS : Voici un exemple de micrographie électronique (qui fait partie d’un article en cours d’écriture et qui sera publié prochainement) :

© Dr. Graham Beards, CC BY-SA
Micrographie électronique par transmission de multiples bactériophages fixés à une paroi cellulaire bactérienne.

CJ : Donc, l’examen au microscope électronique vous dit quels poissons vous avez pêchés ?

EP : Pas seulement. C’est la seule façon de savoir si vous avez attrapé un poisson. Ou n’importe quoi d’autre.

CJ : Montagnier et Gallo qui ont-ils procédé ainsi ?

PE : C’est l’un des nombreux problèmes. Montagnier et Gallo ont utilisé des bandes de gradient de densité, mais pour une raison inconnue, ils n’ont publié aucune Ems [micrographie électronique – NdT] du matériau à 1,16 g/ml… C’est assez déroutant car en 1973, l’Institut Pasteur a accueilli une réunion à laquelle ont participé des scientifiques, dont certains sont aujourd’hui parmi les plus grands experts du VIH. Lors de cette réunion, la méthode d’isolement des rétrovirus a été discutée en profondeur, et la photographie de la bande de 1,16 du gradient de densité a été considérée comme absolument essentielle.

CJ : Mais Montagnier et Gallo ont publié des photographies de particules virales.

EP : Non. Montagnier et Gallo ont publié des micrographies électroniques de fluides de culture qui n’avaient pas été centrifugés, ni même séparés des cellules de culture, d’ailleurs. Ces EMs contenaient, en plus de beaucoup d’autres choses, dont des cellules de culture et d’autres choses qui ne sont clairement pas des rétrovirus, quelques particules que Montagnier et Gallo prétendaient être des rétrovirus, et qui appartenaient toutes à la même espèce rétrovirale, maintenant appelée VIH. Mais les photographies de particules non purifiées ne prouvent pas que ces particules sont des virus. L’existence du VIH n’a pas été établie par Montagnier et Gallo — ni par personne depuis — à l’aide de la méthode présentée lors de la réunion de 1973.

CJ : Et quelle était cette méthode ?

EP : Toutes les étapes que je viens de vous décrire. C’est la seule méthode scientifique qui existe. Cultiver des cellules, trouver une particule, isoler la particule, la mettre en morceaux, découvrir ce qu’elle contient, puis prouver que ces particules sont capables de produire davantage de la même chose avec les mêmes constituants lorsqu’elles sont ajoutées à une culture de cellules non infectées.

CJ : Avant l’apparition du Sida, il existait donc une méthode éprouvée pour prouver l’existence d’un rétrovirus, mais Montagnier et Gallo n’ont pas suivi cette méthode ?

EP : Ils ont utilisé certaines des techniques, mais ils n’ont pas entrepris toutes les étapes, y compris celle de prouver quelles particules, le cas échéant, se trouvent dans la bande des 1,16 g/ml du gradient de densité, la densité qui définit les particules rétrovirales.

CJ : Mais qu’en est-il de leurs photos ?

EP : Les micrographies électroniques de Montagnier et Gallo […] sont des cultures de cellules entières, ou de fluides non purifiés provenant de cultures. […]

Note du traducteur : Le lecteur francophone sera peut-être intéressé par la lecture de l'interview dans son intégralité et traduite en français ICI, bien que la source de cette traduction ne soit pas celle du site de Christine Johnson (sa question la plus longue n'y est par exemple pas reproduite dans son intégralité, comme c'est le cas ci-dessus). L'original comme indiqué dans les sources à la fin de l'article de John Rappoport se trouve sur le site de Christine Johnson ICI.

Si vous saisissez l’essentiel de cette discussion, vous verrez qu’il y a tout lieu de douter de l’existence du VIH, car la méthodologie [complète – NdT] permettant de prouver son existence n’a pas été suivie [dans toutes ses étapes – NdT].

Et donc… comme je l’ai signalé ces derniers mois, il y a toutes les raisons de douter de et de rejeter l’existence du virus Sras-CoV-2, puisque des études correctes au microscope électronique à grande échelle n’ont jamais été réalisées.

J’ai gardé à l’esprit l’interview de Christine Johnson, et d’autres informations similaires, lorsque, par exemple, j’ai exploré les soi-disant épidémies appelées Sras et grippe porcine de 2009 [H1N1 – NdT].

Combien de virus ont été désignés comme autant d’agents responsables de maladies, alors que ces virus n’ont en fait jamais été isolés ou que leur existence n’a jamais été prouvée ?

Bien entendu, les chercheurs et les médecins conventionnels se moqueront de toute tentative de soulever ces questions. Pour eux, « la science est établie ». Ce qui signifie qu’ils ne veulent pas réfléchir. Ils ne veulent pas troubler le cours des choses.

Note de MKS : Comme nous le savons, sans être chercheurs ou scientifiques nous-mêmes, la science n’est jamais établie, le consensus n’existe pas, et troubler le cours des choses soi-disant « établies » est un impératif pour faire avancer une juste science.

Il y a quelques années, le chimiste David Rasnick a envoyé une requête au CDC, demandant des preuves démontrant que le virus Ebola avait déjà été isolé chez un humain. Les réponses qu’il a reçues n’ont en rien permis d’approcher ne serait-ce qu’un seul niveau de certitude.

Après 30 ans de travail en tant que journaliste dans le domaine de la profonde falsification qui existe au sein de la recherche médicale, j’ai constaté que la fausse science se produit par niveaux. Plus on s’enfonce, plus elle devient étrange. En d’autres termes, plus on s’enfonce, plus la situation s’aggrave.

Sources

[1] https://www.davidrasnick.com/

[2] Personal communication

[3] https://permalink.lanl.gov/object/tr?what=info:lanl-repo/lareport/LA-UR-18-25673

[4] http://virusmyth.com/aids/hiv/cjinterviewep.htm

[5] https://www.immunity.org.uk/articles/christine-johnson/

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 janvier 2021 : No More Fake News
Traduction : Sott.net


© inconnu

Poursuivons sur le sujet présenté par Jon Rappport, car nous pouvons, grâce à ce qui suit, établir ce qui pour le moins s’apparente à des similitudes flagrantes, ou à un reflet, entre la « pandémie » du VIH/Sida et la « pandémie » du Sras-CoV-2/Covid-19.

Tout d’abord, Kary Mullis, co-Prix Nobel de chimie 1993 (avec Michael Smith) pour le test — aujourd’hui bien connu — PCR, faisait partie (il est décédé en août 2019) des 2 600 scientifiques ou chercheurs qui composent le groupe officiel des « dissidents » sur le Sida : Rethinking AIDS, dont Jon Rappoport fait mention dans son introduction. À propos du VIH, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

Statistiques des publications scientifiques sur le Srars-Cov-2/Covid-19

Pour comparer les 75 000 articles écrits sur le Sida évoqués par Kary Mullis (sur onze années depuis la « découverte » du VIH par Montagnier), j’étais curieuse de savoir combien d’articles scientifiques avaient été publiés sur le Sras-CoV-2/Covid-19 depuis le début de la « crise ». Selon un article de Nature Index publié le 28 août 2020, une étude estimait qu’entre le 1er janvier et le 30 juin 2020, pas moins de 23 634 articles uniques publiés avaient été indexés sur Web of Science et Scopus23 634 articles publiés en six mois !

Mais ce n’est pas tout.

Selon Science & Diplomacy, le nombre d’articles incluant le terme « coronavirus » qui ont été publiés dans les revues à comité de lecture au cours des six premiers mois de 2020 excède le nombre des 70 années précédentes. La voilà la « vague » ! Par ailleurs, les revues scientifiques publient des articles Covid-19 jusqu’à huit fois plus vite que les articles sur d’autres sujets, selon une analyse portant sur plus de 850 articles.

La pandémie a peut-être accéléré l’adoption de l’examen rapide par les pairs, mais un préprint publié sur biorXiv et intitulé « La science ouverte sauve des vies — Les leçons à tirer de la pandémie de Covid-19 » fait craindre que les conflits d’intérêts ne nuisent à l’équité et à la transparence. En effet, Lonni Besançon, de l’université Monash de Melbourne, en Australie, et ses collègues ont analysé 12 682 articles Covid-19 indexés sur la base de données PubMed. Ils ont constaté que 8 pour cent d’entre eux avaient été examinés et acceptés pour publication le jour où ils avaient été soumis, ce qui suggère que dans certains cas, le processus d’examen par les pairs a été précipité, et l’on pourrait penser qu’ils n’a dans certains cas (combien ?) pas été effectué du tout. Ils ont aussi identifié des conflits d’intérêts éditoriaux dans 43 pour cent de ces articles, y compris pour les auteurs qui étaient également rédacteurs en chef des revues auxquelles ils ont soumis.

Les préoccupations concernant l’équité et la transparence du processus d’évaluation par les pairs lorsque des délais d’acceptation des résultats sont aussi courts sont ici clairement mises en évidence. Et les auteurs de s’en inquiéter : « L’accélération de la procédure d’examen par les pairs ne devrait donc se faire que lorsque la rigueur scientifique peut être maintenue, car sa perte pourrait avoir des conséquences désastreuses pour les patients et pour la santé publique dans son ensemble. » Elles ont clairement d’ores et déjà des conséquences désastreuses…

Une autre étude publiée sur Scientometrics fait part quant à elle du fait que la majorité des articles relatifs au Covid-19 publiés dans les trois premiers mois n’ont fourni aucune nouvelle information sur la « maladie ». L’étude a également révélé que seuls quelques articles publiés (3,6 pour cent) faisaient état de réserves dans les résumés, telles que le risque de biais de sélection et le besoin de preuves supplémentaires, ce qui pourrait conduire à accorder une importance excessive aux conclusions et recommandations des articles.

Et puis il y a cet informaticien, Daniel Acuna de l’université de Syracuse à New York, qui a détecté des centaines d’images dupliquées de coronavirus dans les préprints. Il a appliqué un outil logiciel qu’il a développé pour extraire et comparer quelque 21 000 images dans 3 500 préprints postés sur medRxiv et bioRxiv. En appliquant des algorithmes capables d’identifier les images correspondantes dans des dizaines de milliers d’articles à la fois, l’outil d’Acuna a identifié en juin 2020 environ 400 images potentiellement dupliquées en seulement quatre heures, et a exposer 24 articles sur un site Web qu’il a créé avant de les signaler sur PubPeer, une plateforme de revue et de discussion. Les conclusions d’Acuna ont suscité une avalanche de discussions, certains chercheurs remettant en question l’exactitude de son outil et d’autres affirmant que les images devaient encore être vérifiées par des yeux humains pour s’assurer qu’elles n’étaient pas faussement étiquetées comme étant dupliquées. On se défend et se rassure comme on peut.

© Neo Santé

Les tests pour (soi-disant) dépister le Sida et les tests PCR pour (soi-disant) dépister le Covid-19

Le magazine Neosanté a publié en 2013, un dossier écrit par Renaud Russeil qui « commence par nous rappeler que le dépistage du VIH est une véritable fumisterie, particulièrement funeste pour les femmes et les enfants. ». Dans les extraits ci-dessous, les mises en gras porteront sur les similitudes précédemment évoquées :

« Il convient, une nouvelle fois, de remonter le cours de l’histoire du Sida. La déontologie de la science veut qu’une découverte majeure soit accompagnée par la publication de travaux que valide la communauté scientifique. Dans le cas du VIH, une prétendue urgence (ou principe de précaution, utilisé comme passe-partout) a justifié la tenue d’une conférence de presse politique très médiatisée, convoquée par la Secrétaire d’état à la santé américaine, Margareth Heckler, le 23 avril 1984. Les travaux de l’équipe américaine, n’avaient pas été validés par la communauté scientifique. De plus, ils ressemblaient trop à ceux de l’équipe française (une sorte d’usurpation, de fraude) ; ce qui déclencha une véritable guerre entre les deux pays pour s’adjuger la paternité du virus. Plus tard, aucune publication scientifique n’a confirmé que l’une des deux équipes (Gallo et le HTLV3, Luc Montagnier et le LAV) avait effectivement isolé et surtout purifié le VIH(1). Les photos publiées 14 ans plus tard suite aux travaux d’équipes américaines et européennes comprennent également de nombreuses failles(2). Sans purification du virus, il est impossible de démontrer in vitro le processus d’infection des cellules par ce virus. La communauté scientifique n’a donc jamais validé sur la base d’études conformes aux protocoles de Koch (on est en 1984), la responsabilité du VIH dans la chute de l’immunité cellulaire. Aujourd’hui, des milliers de chercheurs et professionnels de santé dans le monde s’opposent à ce qui n’est qu’un consensus.

Ainsi commença le Sidagate. Le conflit entre les deux gouvernements (celui de Ronald Reagan d’un côté, celui de Jacques Chirac de l’autre, 1er Ministre de François Mitterrand), durera plus de deux ans. Finalement, les deux partis trouveront un compromis en 1987, et accepteront de se partager les milliards de dollars de royalties générés par les tests de dépistage et autres accessoires. Vingt-quatre ans plus tard, les instances médicales destitueront Robert Gallo (fraude confirmée) et accorderont le Nobel de Médecine à l’équipe française. Tandis que la pandémie annoncée n’éclatera que dans les chiffres officiels, revus à la baisse depuis plusieurs années par les épidémiologistes les plus conformistes(3). Curieusement, on ne parlera plus jamais d’isolation du virus, malgré le vide scientifique, l’absence de référence pour documenter une affirmation qui dérange de plus en plus. Le Sidagate repose effectivement sur un consensus : un rétrovirus qui n’a jamais été isolé se transmettrait de multiples manières et provoquerait de multiples maladies, la plupart d’entre elles étant connues de longue date. Incapables de répondre par de véritables arguments scientifiques qui défendraient l’hypothèse VIH, ses supporteurs s’attaquent par voix de presse à la personnalité de leurs opposants, utilisant l’indignation, des termes à la mode suggérant la calomnie et font d’eux des ennemis publiques — révisionniste, négationniste, dissident, voire assassin. Mais on ne comble pas un vide scientifique par des déclarations à sensation.

En 1997, Luc Montagnier affirmait lors d’une interview réalisée par Djamel Tahi(4) : « … l’analyse des protéines du virus requiert une production massive et la purification […] Je répète, nous ne l’avons pas purifié. » L’isolation du VIH purifié n’avait donc pas été réalisée. Les rétrovirus observés au microscope électronique, identifiés comme étant le VIH, le furent à partir de cultures de laboratoires complexes, pas à partir du sang des malades du Sida. C’est ce qu’affirme depuis plus de vingt-cinq ans Etienne de Harven, spécialiste de la microscopie électronique. Sans isolation conforme aux protocoles de Koch, sans purification pour obtenir le gold standard, la norme en la matière, il est impossible de démontrer que le VIH est la cause du déficit immunitaire et qu’il est transmissible. Beaucoup plus grave : il est impossible de fabriquer un test de dépistage dont on aura évalué la sensibilité et la spécificité. Le dépistage du VIH est donc impossible.

Les tests Elisa et Western Blot utilisés pour le dépistage du VIH réagissent à des protéines. Si le VIH n’a été ni isolé ni purifié, les tests identifient effectivement des protéines qui provoquent une réaction positive; dans ce sens, ils sont fiables à 99 pour cent. En revanche, ils ne peuvent pas certifier que ces protéines proviennent ou sont une réaction au VIH. On sait aujourd’hui qu’il existe 70 causes reconnues autres que le VIH pour qu’un test de dépistage donne un faux résultat positif. »

La similitude est frappante ! Il semble donc qu’avec les tests PCR utilisés pour soi-disant détecter le Sras-CoV-2 ou tout autre infection virale d’ailleurs — ce qui n’est pas possible — le Covid-19 soit une sorte de « reflet » du Sida… Sida & Covid-19, notez l’autre similitude entre les deux : « une prétendue urgence (ou principe de précaution, utilisé comme passe-partout) »… Panique à bord dans le monde entier, sauf qu’aujourd’hui, les Maîtres du monde tournent plusieurs manivelles à la fois, grâce à l’avancée des domaines scientifiques, technologiques, et médiatico-politico-propagandistes aujourd’hui globalisées comme ils ne l’ont jamais été auparavant.

Poursuivons encore un peu avec l’article de Renaud Russeil, parce que plus j’avançais dans sa lecture, plus la similitude me sautait aux yeux :

« En d’autres termes, n’importe qui peut être séropositif pour 70 raisons autres que le VIH(5). On ne sait jamais si le VIH est présent, quel que soit le nombre de tests effectués. Le même principe s’applique à tous les tests de dépistage : on appelle cela une réaction croisée. Les tests de dépistage du VIH sont parmi les plus controversés de tout l’arsenal mis à la disposition des laboratoires. Si, conformément à la loi(6), les personnes testées étaient informées des recommandations et des incertitudes rédigées par les fabricants de ces tests, elles comprendraient que ceux-ci doutent eux-mêmes de leur capacité à donner un résultat dont ils veulent manifestement se protéger(7). Du fait de l’absence de spécificité, les résultats d’un test Elisa ou Western Blot sont interprétés de manière différente d’un pays à l’autre. Par exemple, le même test effectué sur la même personne donnera un résultat positif en Allemagne et négatif en France(8), parce que les critères d’interprétation ne sont pas les mêmes. Il suffit de franchir une frontière pour être face à la mort ou face à la vie. Tandis qu’en Afrique, les tests sont rarement utilisés par manque de moyens et de personnel compétent(9). Alors, comment savoir si la tuberculose et le paludisme, des maladies largement propagées en Afrique, sont le Sida, ou la tuberculose et le paludisme, comme ce fut toujours le cas ?

En 1998, le Docteur Roberto Giraldo révélait dans un article intitulé « Nous sommes tous séropositifs au test Elisa de dépistage du VIH(10) », que les tests Elisa nécessitent de diluer le sang jusqu’à 400 fois avec un mélange approprié fourni par le fabricant. Information troublante, sachant que la plupart des tests utilisent normalement un sérum pur. Les rares cas de dilution s’échelonnent entre 10 (Virus d’Epstein-Barr) et 20 (Cytomégalovirus) : 400, c’est un record. Roberto Giraldo testa une centaine d’échantillons de sang, une première fois dilués, la seconde sans les diluer : tous les échantillons donnèrent un résultat positif sans dilution. Il en conclut logiquement : si tous les échantillons donnent un résultat positif quand le sang n’est pas dilué, cela signifie que nous sommes tous naturellement porteurs des anticorps du VIH ; ceux qui font une réponse positive quand leur sang est dilué au 1/400e, ont été davantage exposés à l’une des nombreuses causes ayant entraîné la présence des anticorps. Le test a réagi malgré la dilution. Nous sommes tous séropositifs ! »

De la même manière, nous sommes tous positif à un coronavirus ou à un autre ! Par ailleurs, tout comme les interprétations des tests de dépistage du VIH qui « sont interprétés de manière différente d’un pays à l’autre », les cycles d’amplification des tests RT-PCR ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre, voire d’un laboratoire à l’autre, et là encore, certaines personnes seront déclarées « positives » dans certains pays, alors qu’elles ne l’auraient pas été dans d’autres. Rappelons qu’il n’existe aucun test capable d’identifier le Sras-CoV-2, et que par conséquent, « toutes les allégations concernant l’impact présumé du Covid-19 sur la santé de la population sont sans fondement ».

Dernier extrait avant de conclure :

« Les recommandations des fabricants de tests soulignent souvent qu’un résultat positif ne signifie pas que l’échantillon testé soit séropositif au VIH si le test n’a pas été répété pour contrôle ; sachant que le test de contrôle ne sera pas plus fiable que le premier test, puisqu’il n’existe pas de gold standard. De même, si un échantillon ne réagit pas au test, la majorité des recommandations soulignent que le sujet n’est peut-être pas négatif, que des interférences ont pu intervenir ou que les protéines recherchées n’ont pas réagi pour des raisons diverses… Aucun doute n’est permis : les tests de dépistage du VIH ne sont pas fiables. Le même débat, les mêmes doutes existent autour de la prétendue « charge virale», annoncée comme preuve de la maladie pour contourner l’absence d’isolation du VIH. Sans VIH formellement identifié, la question de l’infection et de la transmission du VIH reste une énigme. »

Conclusion

Je ne peux m’empêcher de laisser une fois encore, la parole à Renaud Russeil ; remplacez juste VIH/Sida/antivirus par Sras-Cov-2/Covid/vaccins à ARNm, et la concordance sera totale.

« Bien qu’un nombre important de scientifiques soutiennent l’hypothèse VIH, la violation des protocoles lors des études voulant prouver l’action positive des antivirus et la falsification de leurs résultats sont sans ambiguïté : ils font du Sidagate une réalité, un scandale sans précédent. Il se résume par :

  1. Une erreur de diagnostic tragique sur les causes du déficit immunitaire acquis ;
  2. Le défaut d’isolation et de purification du virus à partir du sang d’un malade ;
  3. La fabrication de tests incapables de certifier qu’un organisme humain risque de subir un déficit immunitaire qui le tuera ;
  4. La falsification des résultats des études affirmant l’efficacité des thérapies antivirales ;
  5. Le non-respect de la loi affirmant le droit des patients à un choix libre et éclairé sur les risques des thérapies ;
  6. L’empoisonnement des patients, des mères, des enfants et des bébés (iatrogénèse) ;
  7. L’utilisation de cobayes humains ;
  8. Le harcèlement des parents à qui on enlève leur enfant quand ils veulent le protéger de thérapies létales ; […] »

Comme l’écrivait Mark Twain dans son Autobiographie, Volume 2 –L’Amérique d’un écrivain — Dictée autobiographique, 2 décembre 1906 :

« Comme il est facile de tromper les gens avec un mensonge, et comme il est difficile de les en détromper ensuite ! »

Les psychopathes au pouvoir ne sont pas des êtres capables de « création », ils détruisent (entropie) parce qu’ils envisagent le monde et les êtres humains comme des objets à exploiter pour en retirer un profit personnel.

[NdNM : la psychopathie provient d’un manque de conscience, du fait d’une polarisation exclusivement sur la matière au détriment de l’esprit. L’entropie caractérise la matière, alors que la conscience est créatrice. Voir : La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos]

Il sont capables de vouloir imposer à des milliards d’individus leur vision psychopathique de ce que devrait être la Vie, et de ce que devrait être notre vie ; ils sont capables de fraudes, de mensonges, de corruptions, de tromperies, d’escroqueries, de falsifications, de tricheries, d’artifices, d’altérations, de supercheries, de ruses, de resquilles, de malversations, d’hypocrisie, de crimes, de contrefaçons, d’actes de mauvaise foi, de crimes contre l’humanité, mais ils ne sont pas capables de création, pas plus qu’ils n’ont de sens artistique. Quelle que soit leur « supposée » création, elle ne serait qu’une imitation d’une précédente fraude. Ils sont affligés d’une cécité de l’erreur. C’est la raison pour laquelle il est possible de trouver des schémas directeurs dans leurs comportements, et de percer à jour leurs stratagèmes : dans leur hubris, ils pensent que personne ne verra qu’ils utilisent à nouveau, voire jusque dans les moindres détails, ce qu’ils ont déjà mis en œuvre auparavant — une fraude globale. Mais le Diable est dans les détails, et ce sont justement ces détails qui les perdront, eux et leur pseudo-réalité.

Robert Hare, écrivait dans son livre Without Conscience : The Disturbing World of Psychopaths among Us [« Sans conscience — Le monde troublant des psychopathes qui vivent parmi nous », ouvrage non traduit en français], que les psychopathes

« se perçoivent eux-mêmes comme des êtres supérieurs dans un monde hostile où l’homme est un loup pour l’homme, monde dans lequel les autres sont des concurrents dans la course au pouvoir et aux ressources. Ils considèrent en général la générosité et la bonne volonté des autres comme de la stupidité qu’on peut exploiter. »

Ce monde qui leur est hostile est le monde « réel ». C’est la raison pour laquelle ils ont besoin de construire une fausse réalité dans laquelle ils se sentiront « bien » mais qui provoque immanquablement le chaos pour les populations qui y sont soumises :

« Les pseudo-réalités sont, en termes simples, de fausses constructions de la réalité. Il est évident, espérons-le, que parmi les caractéristiques des pseudo-réalités figure le fait qu’elles doivent présenter une compréhension plausible mais délibérément erronée de la réalité. Il s’agit de « réalités » sectaires au sens où elles reflètent la façon dont les membres des sectes vivent et interprètent le monde — tant social que matériel — qui les entoure. Nous devons considérer de prime abord que ces interprétations délibérément erronées de la réalité remplissent deux fonctions connexes. Premièrement, elles sont destinées à modeler le monde pour qu’il puisse accueillir une petite partie des personnes qui souffrent de limitations pathologiques quant à leurs aptitudes à faire face à la réalité telle qu’elle est. Deuxièmement, elles sont conçues pour remplacer avec force toutes les autres analyses et motivations, qui seront tordues jusqu’à déformation par et au profit de ces individus essentiellement ou fonctionnellement psychopathes aussi longtemps que leur règne pseudo-réel pourra durer. »

Quant à Hervey Cleckley, il écrivait dans The Mask of Sanity [« Le masque de santé mentale », non traduit en français] ce qui suit :

« Le vrai psychopathe n’essaie pas systématiquement d’exprimer par l’art ses réactions pathologiques ou ses évaluations déformées de la vie. […] Tout ce que le psychopathe pourrait exprimer serait aussi faux, aussi peu représentatif d’une expérience humaine authentique, que ses promesses, convaincantes mais vaines, que ses protestations éloquentes d’un amour qu’il ne ressent pas. Sa création, malgré son brio technique, n’exprimerait véritablement ni la santé ni la maladie : elle serait une contrefaçon. »

La « pandémie » de Sida s’est peu à peu estompée dans les esprits des populations et cette tentative de prise de contrôle des psychopathes au pouvoir via une « pandémie » annoncée a finalement perdu de son « effet stupefix », à une époque où la technologie et l’Internet n’en était encore qu’à leurs balbutiements, tout du moins pour le grand public. Ils ont ensuite en 2009 tenté de reprendre la « main pandémico-propagandiste » avec le H1N1 — rappelez-vous Jacques Attali qui disait en mai de cette année-là qu’une petite pandémie permettra d’instaurer un gouvernement mondial — mais ce fut un fiasco. C’est alors que le Sras-CoV-2-jamais isolé/Covid-19 est opportunément entré en scène, cette fois entouré de tout un cortège de technologies leur permettant de croire qu’ils allaient pouvoir reprendre, grâce à une « pandémie-mortellement-effrayante », le contrôle qu’ils étaient en train de perdre. Tout le story-telling duCovid-19 n’a pour seul but que de reprendre le contrôle qu’ils sont en train de perdre. À chaque fois qu’ils augmentent ce contrôle dont ils sont avides, ils le font d’une manière telle que le nombre de personnes à même de les voir pour ce qu’ils sont augmente, ce qui affaiblit un peu plus ce pouvoir auquel ils aspirent tant ; et, comme mus par une urgence aujourd’hui presque « désespérée », à chaque fois que ce pouvoir faiblit, ils utilisent tous les outils à leur disposition pour amplifier de manière systématique ce contrôle qui leur échappe, mais qui les pousse en fin de compte à se dévoiler un peu plus, dans une vaine poursuite à la Vil Coyote qui veut envers et contre tout et même au mépris de sa vie, faire de Bip-Bip son déjeuner.

© Chuck Jones

Josef Pieper, dans son Abus de langage, Abus de pouvoir, écrit ceci : « La difficulté des mesures à prendre pour résister à la menace […] est proportionnelle au caractère insaisissable de cette même menace. »

Il est temps de saisir le caractère « insaisissable » de cette menace, d’autant qu’elle est, de par son caractère globalisé, de plus en plus « saisissable ».

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M.K. Scarlett