La transition écologique va faire l’objet d’un rejet social et politique croissant

[Source : institutdeslibertes.org]

Par Jean-Jacques Netter

L’Union Européenne a fait de sa politique écologique une machine infernale qui la plonge dans un malthusianisme ruineux. Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution de son PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne.

Aujourd’hui, le PIB de l’UE ne représente plus que 65 % du PIB américain contre 91 % il y a dix ans. Si on continue à ce rythme-là, la transition écologique ne sera pas supportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seraient seront trop négatives.

On a longtemps vendu à l’opinion publique l’illusion d’une transition écologique merveilleuse qui créerait des emplois et des richesses pour tous. Un des problèmes est clairement que les Français ne sont pas prêts à sacrifier un peu de leur bien être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises…

L’obscurantisme écolo-bobo-bio : incarne le camp du « bien » avec ses mots vertueux : écologie, environnement, éolienne, lanceur d’alerte, santé et leurs qualificatifs tout aussi positifs : vert, naturel, durable, circulaire, biodynamique, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé. De l’autre il y a le camp du mal : pétrole, charbon, pesticides, OGM, nucléaire, pollution, croissance, climatosceptiques, et des qualificatifs négatifs : polluant, dangereux, intensif, capitaliste, industriel, cancérigène. Bien évidemment pour le camp du bien, seul le camp du mal est corrompu…

Au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique. Ils utilisent le principe de précaution pour embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles. On assiste à la résurgence d’une pensée collectiviste dont les résultats ne seront connus que par les générations à venir…

La posture catastrophiste des écologistes idéologistes a trois inconvénients : 1/ elle implique que la partie est d’ores et déjà perdue. 2/ L’urgence qui en découle conduit à ne plus prendre le temps d’analyser l’ensemble des contraintes. 3/ La décroissance est la seule perspective proposée. On est dans une guerre idéologique où des forces anticapitalistes profitent de la crise climatique pour renverser le système économique actuel…

La triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux des énergies renouvelables.

Les climatosceptiques sont exclus du débat public…

Une proposition de loi visant à bannir le climatoscepticisme des médias a même été envisagée. L’objectif étant d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques. Tout cela se ferait au nom d’un « consensus scientifique ». Rappelons que dans les régimes à vérité officielle idéocratique les dirigeants qui pratiquent cette posture finissent souvent en gardiens de camp…

Steven Koonin est professeur de physique théorique à Cal’Tech et ancien conseiller scientifique d’Obama passe régulièrement en revue les affirmations péremptoires qui nous sont assénées sur le climat et la planète. Ce sont les politiques et les médias qui contrôlent totalement le récit. C’est pourquoi il recommande de cesser de propager la panique climatique. Il pense que les modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

L’alliance écologistes-gauche ne fonctionne plus… Aux Pays-Bas le PPV de Geert Wilders a largement battu l’alliance de la gauche et des écologistes et le centre droit. La révolte des néerlandais doit être un avertissement sans frais qui doit être entendu. On assiste à une montée contre une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Les écologistes ne pratiquent que l’écologie punitive…

L’écologie politique est une des armes de la cancel culture. Au nom du climat, elle déconstruit notre histoire et nos paysages. Elle défend un humanisme aux antipodes du terrorisme vert. Les démonstrations de force des activistes du climat révèlent le vrai visage de l’écologie politique autant que la démission presque irrémédiable de toute une société.

Voilà une sélection d’opinions émises par les écologistes les plus influents :

Marc Jancovici a défendu un système de rationnement des billets d’avion. Quatre vols pour aller découvrir le monde quand on est jeune avec les vieux qui partent en train en Corrèze !. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre le changement climatique.

Sandrine Rousseau est un mélange de cynisme et de bêtise. L’élue écologiste propose un terrifiant projet de société avec une idéologie qui veut couper des têtes et museler la liberté d’expression. Sa mesure phare consisterait à interdire immédiatement de louer des passoires thermiques

Greta Thunberg pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation est notre seule voie de salut. Ce totalitarisme mou teinté d’anticapitalisme de combat est érigé en système de pensée politique et morale. Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM elle démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Elle est devenue le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Cara New Daggett pense que la relation entre « masculinité dominante » et « pétroculture » dont découlent structure une hiérarchie de genre, de race, de classe… Les énergies fossiles ont intensifié la violence, dit-elle !

Le nucléaire français a été démantelé

En France l’État a peu à peu démissionné sur le nucléaire. Avec la globalisation les dirigeants ont pensé que la géopolitique n’était plus un problème. L’État actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. L’État régulateur s’est abrité derrière le principe de précaution introduit dans la Constitution par Jacques Chirac pour fuir ses responsabilités. Le résultat c’est une entreprise en faillite avec 60 Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise.

L’Amérique est à la poursuite du Graal énergétique. Deux entreprises tentent de percer les mystères de la fusion nucléaire. CFS a levé 2 Md $ pour réaliser la fusion nucléaire. Une installation américaine a réussi à produire plus de chaleur que ce qui avait été injecté par rayonnement…

L’ARENH (Accès Réglementé à l’Électricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25 % de sa production (100 TWh) au prix de 42 €/MWh. La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Ce mécanisme a largement fait la preuve de son échec. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. C’est ce qu’ont demandé dans une tribune collective du 06/06/2023 Henri Proglio, Arnaud Montebourg et Loïk Le Floch Prigent. L’Arenh est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public. EDF après une année 2022 catastrophique avec une production de 229 TWh table sur 300 à 330 en 2023, 350 en 2025. Le record historique est de 420 TWh.

L’éolien est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable

Si vous cherchez la France périphérique, levez les yeux au ciel. S’il est encombré d’acier et de matériaux composites, vous y êtes. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance. Les déceptions enregistrées par les sociétés les plus exposées au secteur sont nombreuses : Siemens Energy dans l’éolien en mer a récemment été sauvé par une garantie du gouvernement allemand de 7,5 Md€, Orsted le géant danois a baissé de 50 % depuis 6 mois, Iberdrola a abandonné son projet d’éolienne au large du Massachussets. Svevind AB et le fabricant de turbines Enercon sont associés dans un projet au large de la Suède. Il est au bord de la banqueroute

Bétonner la mer est l’idée technocratique la plus anti-écologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes.

La montée en puissance de l’énergie éolienne terrestre supposée écologiquement correcte s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’image verte de l’éolien, on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia… Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45 % du marché de l’éolien dans le monde !

Le Photovoltaïque est contrôlé par la Chine

Le solaire est le grand gagnant de la transition énergétique partout sauf en France…

Pourtant Il aurait été beaucoup plus efficace d’inciter l’Allemagne à sortir plus vite du charbon qui constitue encore 45 % de son mix énergétique.

La Chine possède 72 % de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35 % à ceux de l’Europe et de 20 % à ceux des États-Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montrent la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens

Les énergies fossiles ont toujours de l’avenir…

Le monde est encore avide de pétrole

La France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale. Les dernières opérations réalisées dans le secteur du pétrole sont claires. Exxon a racheté Pioneer Natural Reserves pour 59.5 Md$. Chevron a racheté Hess pour 53 Md $

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes

Là encore l’intérêt ne faiblit pas. Glencore a mis la main sur Teck au Canada dans le charbon.

La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Il faudra qu’un jour les écologistes du camp du bien comprennent que le raccordement de 100 MW d’éolien ou de solaire ne permet selon JP Morgan de débrancher que 10 à 30 MW de thermique…

Auteur : Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de la bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.




Selon Willie Soon, expert en climatologie, le carbone n’a rien à voir avec les changements climatiques

[Source : aubedigitale.com]

Un grand expert en climatologie tire la sonnette d’alarme : Le dioxyde de carbone n’est pas à l’origine du « réchauffement de la planète »

L’un des plus grands experts mondiaux du climat s’est exprimé pour avertir le public que l’affirmation du programme vert mondialiste selon laquelle le dioxyde de carbone est à l’origine du « réchauffement de la planète » est « totalement fausse ».

Ces dernières années, des bureaucrates non élus, des élites du monde des affaires et leurs alliés au sein des gouvernements mondiaux et des médias ont promu le programme de « décarbonisation ».

Ce programme, défendu par le Forum Économique Mondial (FÉM) et les Nations unies (ONU), prétend que le dioxyde de carbone est à l’origine de la soi-disant « crise climatique ».

La solution à cette supposée « crise » consiste pour les gouvernements du monde à se conformer aux objectifs « Net Zéro » du FEM afin de respecter « l’Agenda 2030 » et « l’Agenda 2050. »

Le plan du FEM cherche à éliminer les « émissions d’origine humaine » telles que le dioxyde de carbone pour « sauver la planète. »

Cependant, les critiques soutiennent que la « décarbonisation » n’est qu’un euphémisme pour l’agenda anti-humain du FEM.

Bien entendu, la principale source de dioxyde de carbone sur Terre est l’homme et ses activités, telles que la combustion de combustibles fossiles.

L’homme moyen exhale environ 1 kg de dioxyde de carbone par jour.

Si l’on multiplie ce chiffre par une population mondiale de 8,1 milliards de personnes respirant 365,25 jours par an, on obtient une production annuelle de CO2 de 3,4 milliards de tonnes.

Toutefois, les experts s’empressent de souligner que ce chiffre n’a pas de sens puisque la respiration humaine fait partie d’un « cycle fermé » dans lequel notre production de dioxyde de carbone est compensée par le dioxyde de carbone absorbé par le blé, le maïs, le céleri et les fruits de l’Ougli que nous mangeons.

Néanmoins, l’agenda anti-carbone cible directement les humains et les activités humaines.

La réponse, selon le FEM, est que le grand public doit réduire drastiquement sa qualité de vie tout en remettant d’importantes sommes d’argent à l’élite mondiale.

Selon Willie Soon, expert en climatologie, le carbone n’a rien à voir avec les changements climatiques.

Soon dénonce aujourd’hui le programme des écologistes et avertit le public que les affirmations anti-carbone ne sont que des mensonges.

L’expert explique que les changements climatiques sont des phénomènes naturels qui se produisent depuis des milliards d’années et qu’ils n’ont rien à voir avec l’activité humaine.

Il ajoute que l’humanité devrait regarder au-delà de la Terre pour en trouver la source.

Soon, membre invité du comité consultatif scientifique du Centre pour l’énergie, le climat et l’environnement de la Heritage Foundation, affirme que c’est la rotation de la Terre autour du Soleil qui influe sur la température de la planète, et non le dioxyde de carbone comme le prétendent les élites du pouvoir mondial.

Par exemple, les glaciers « ont fondu parce que le Soleil a commencé à devenir… plus brillant et a fourni plus d’énergie solaire au système climatique », selon M. Soon.

Tout au long de sa carrière, M. Soon, ancien chercheur au Centre d’astrophysique de Harvard et à l’Institut Smithsonian, explique qu’il a cherché à établir les faits entourant les changements climatiques parce que « la science n’est pas une question de croyance ».

« La science est une affaire de données », affirme-t-il.

Les mondialistes prétendent que « l’augmentation du dioxyde de carbone est le principal facteur […] qui affecte le changement climatique, ce qui est totalement faux », affirme Soon.

« C’est une vision tellement déformée que je pense qu’elle doit être corrigée. »

REGARDEZ :

Soon explique le faux programme anti-carbone lors d’une interview sur « The Daily Signal Podcast » pour la deuxième partie d’une série en trois parties sur le « changement climatique ».

Il explique pourquoi le soleil est la source du changement climatique et comment il affecte les cycles de réchauffement et de refroidissement de la Terre.

Les bureaucrates « wokes » et les élites du monde des affaires ne peuvent pas changer ces cycles, note-t-il.

ÉCOUTEZ :






Mythes et légendes de l’écologie

[Source : @TVL]

Mathématicien, enseignant chercheur en mathématiques, Benoît Rittaud montre que la science sert désormais d’outil de censure au profit d’une idéologie qui, sous couvert de sauver la planète, installe ses rituels, ses légendes et ses prescriptions toujours plus exigeantes au cœur de notre société. Dans « Mythes et légendes écologistes », le scientifique démontre que la mythologie écologiste postmoderne n’a rien d’une vision naïve et bien intentionnée. Pour Benoît Rittaud, derrière son sympathique imaginaire de façade, se cache en réalité un projet totalitaire qui combat l’aspiration même à un monde plus prospère et plus libre.
Dans un entretien sans concessions, Benoît Rittaud évoque la mascarade de la Cop28 et revendique son statut « d’environnementaliste raisonnable » refusant de verser dans le catastrophisme global émanant d’un cartel de recherche qui interdit la dissidence et ne tolère pas la nuance.

[Le site des climato-réalistes de Benoît Rittaud :
https://www.climato-realistes.fr]






Des scientifiques « wokes » accusent la respiration humaine d’être à l’origine du changement climatique

[Source : aubedigitale.com]

Par David Lindfield

Un groupe de scientifiques « wokes » a affirmé que la respiration humaine contribuait au « changement climatique ».

La lutte des mondialistes contre la prétendue « crise climatique » devait toujours se résumer à restreindre l’activité biologique humaine de base, essentielle.

L’agenda a toujours été une guerre contre l’humanité elle-même.

En 2010, Bill Gates, cofondateur de Microsoft, l’a admis lors d’un Ted Talk.

Les commentaires anti-humains de Gates ont été accueillis par une cacophonie d’applaudissements flagorneurs de la part de son public lobotomisé.

« Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants », a déclaré Gates.

« Nous nous dirigeons vers neuf milliards d’individus. »

« Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 pour cent…

« Nous émettons beaucoup de dioxyde de carbone chaque année — plus de 26 milliards de tonnes », a expliqué Gates.

« D’une manière ou d’une autre, nous devons apporter des changements qui ramèneront ce chiffre à zéro… »

« Cette équation comporte quatre facteurs, un peu de multiplication… »

« Il y a donc un facteur à gauche, le CO2, que l’on veut ramener à zéro, et ce facteur sera basé sur le nombre de personnes, les services que chaque personne utilise en moyenne, l’énergie, en moyenne, pour chaque service, et le CO2 émis par unité d’énergie. »

« Examinons donc chacun de ces éléments et voyons comment nous pouvons les ramener à zéro. »

« Il est probable que l’un de ces chiffres devra s’approcher de zéro. »

Puis le public se met à rire.

REGARDEZ :

En ajoutant le qualificatif « l’un de ces nombres » et en ne le précisant pas, M. Gates a maintenu un déni plausible sur ce qu’il voulait dire exactement.

Mais nous savons ce que lui et ses collègues transhumains voulaient dire.

Selon le Daily Mail, les scientifiques avertissent désormais que les gens provoquent un « changement climatique » par le simple fait de respirer.

La nouvelle étude a été menée par Nicholas Cowan, physicien de l’atmosphère au Centre britannique d’écologie et d’hydrologie d’Édimbourg.

L’étude affirme que les gaz contenus dans l’air expiré par les poumons humains alimentent le réchauffement de la planète.

Selon les scientifiques, le méthane et l’oxyde nitreux présents dans l’air expiré représentent 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni.

Et ce chiffre ne tient même pas compte des gaz que nous rejetons en rotant et en pétant.

Les soi-disant « émissions » proviennent également de notre peau sans que nous nous en rendions compte, prévient la science « woke ».

« L’haleine humaine peut contenir de faibles concentrations élevées de méthane (CH4) et d’oxyde nitreux (N2O), qui contribuent tous deux au réchauffement de la planète », préviennent le Dr Cowan et son équipe.

« Nous invitons à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions d’origine humaine sont négligeables ».

La manière dont les humains sont censés faire preuve de prudence lorsqu’il s’agit de respirer n’est toutefois pas claire.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Les billets de banque bientôt éliminés pour cause d’empreinte carbone ?

[Source : jovanovic.com]

HARO SUR LES BILLETS DE BANQUE QUI ONT UNE EMPREINTE CARBONE

Par Pierre Jovanovic

du 18 au 24 décembre 2023

Celle-là je ne l’ai pas vue venir, et pourtant, je suis vraiment informé :

« L’utilisation des billets de banque a un impact sur l’environnement équivalent à 8 km en voiture ou à 0,01 % de l’impact environnemental total moyen de la consommation d’un Européen. C’est ce qui ressort d’une étude de la Banque Centrale Européenne. »

!!!!!!!!!!!!!!!! ??????????? !!!!!!!!!!!!

Prendre les citoyens pour des imbéciles à un tel niveau relève clairement des Jeux Olympiques, restez assis :

« Pour l’étude, l’impact environnemental du cycle de vie complet des billets a été examiné, y compris l’extraction des matières premières, la fabrication, la distribution et la circulation jusqu’à la destruction finale des billets.

La plus grande charge environnementale provient de la consommation d’énergie des distributeurs automatiques de billets, suivie par le traitement des billets dans les banques centrales, le transport, la production de papier à partir de coton durable et le processus de vérification des billets en magasin.

L’euro est la monnaie de 346 millions d’Européens dans 20 pays. L’utilisation des pièces de monnaie et des transactions électroniques, qui passent par des connexions Internet et des centres de données, n’a pas été étudiée dans le rapport. La BCE souhaite réduire davantage l’impact environnemental des billets de banque en recyclant plus de matériaux provenant de billets usagés et s’attend à des distributeurs automatiques de billets encore plus économes en énergie. »

Le message est on ne peut plus clair ! lire ici De Telegraaf, merci à nos lecteurs.




SolarBall : l’invention d’un étudiant qui purifie l’eau sale sans électricité

[Source : observelemonde.com]

Une invention révolutionnaire qui a changé tout ce que l’on savait sur la purification de l’eau par évaporation, la SolarBall. Cette sphère est capable de purifier l’eau sale sans avoir besoin d’utiliser d’électricité. Elle a été créée par un étudiant.

La SolarBall pour purifier l’eau sale

La création du SolarBall a été rendue possible par un jeune étudiant australien nommé Jonathan Liow de l’Université Monash de Melbourne. Le garçon a dévoilé son invention pour la première fois en 2008, lors du concours international de design James Dyson.

L’invention a attiré l’attention du monde entier, apparaissant dans divers titres et chaînes de télévision. Cependant, l’impact n’était pas seulement dû à l’invention elle-même, mais aussi aux motivations qui l’ont motivée.

Dans plusieurs interviews, Liow a déclaré que l’inspiration pour le SolarBall était le besoin urgent d’eau potable au Cambodge. Il s’est dit ému par le contraste frappant entre les privilèges qu’il a vécus et le sort de ceux qui, au Cambodge, n’ont pas accès à ce besoin fondamental.

En voyageant dans cette région, Liow a pu se rendre compte des conditions de vie difficiles. Il s’est rendu compte que même si l’eau potable ne résolvait pas tous les problèmes, elle pourrait certainement faire une différence significative. Poussé par ce besoin, il a créé le SolarBall.

Le mécanisme de la sphère solaire

Bien qu’il existe des appareils similaires destinés à la purification de l’eau, le SolarBall a été méticuleusement conçu pour répondre à un besoin spécifique. Sa simplicité, combinée à son efficacité, le rend idéal pour ceux qui font face à une pénurie d’eau.

Cet outil innovant peut produire jusqu’à 3 litres d’eau purifiée. Les utilisateurs n’ont qu’à verser de l’eau dans le SolarBall et à le placer à la lumière directe du soleil. La combinaison de l’eau non potable et de l’ensoleillement intense qui prévaut dans ces régions facilite la transformation.

Démontrant son potentiel d’impact significatif sur la santé, le SolarBall ne se limite pas au Cambodge. Liow a envisagé une application plus large et l’a donc conçue pour qu’elle soit aussi adaptable et universelle que possible. La combinaison de couleurs neutres et d’un design polyvalent garantit son adéquation à diverses cultures et routines quotidiennes.

Le succès de cet appareil est évident parmi ceux qui l’ont utilisé et ont vu ses effets transformateurs.

Jonathan Liow voulait laisser un impact durable sur l’histoire, c’est pourquoi il a développé le SolarBall, un appareil capable de fonctionner dans les circonstances les plus extrêmes et de résoudre un problème qui pourrait tous nous affecter dans un avenir pas si lointain. Cela signifie-t-il la fin de la lutte pour l’eau potable dans ces régions ? La réponse reste incertaine, mais elle marque sans aucun doute une étape importante vers cet objectif.

Source : https://www.solarfeeds.com/mag/wiki/solarball/




Le président de la Cop28 estime que les demandes d’élimination progressive des combustibles fossiles ne reposent sur aucune donnée scientifique

[Source : theguardian.com]

[Illustration : Anadolu/Getty Images]

Exclusif : Sultan Al Jaber, des Émirats arabes unis, affirme que l’élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz ramènerait le monde « dans les cavernes ».

Par Damian Carrington et Ben Stockton

Le président de la Cop28, Sultan Al Jaber, a déclaré qu’il n’existait « aucune science » indiquant qu’une élimination progressive des combustibles fossiles était nécessaire pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C, ont révélé le Guardian et le Centre for Climate Reporting.

M. Al Jaber a également déclaré qu’une élimination progressive des combustibles fossiles ne permettrait pas un développement durable, « à moins de vouloir ramener le monde dans les cavernes ».

Ces commentaires sont « incroyablement préoccupants » et « frôlent le déni climatique », ont déclaré les scientifiques, et ils sont en contradiction avec la position du secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

M. Al Jaber a fait ces commentaires dans des réponses malveillantes aux questions de Mary Robinson, présidente du groupe des « Elders » et ancienne envoyée spéciale des Nations unies pour le changement climatique, lors d’un événement en ligne en direct le 21 novembre. En plus de diriger la Cop28 à Dubaï, M. Al Jaber est également directeur général de la compagnie pétrolière publique des Émirats arabes unis, Adnoc, ce que de nombreux observateurs considèrent comme un grave conflit d’intérêts.

Plus de 100 pays soutiennent déjà l’élimination progressive des combustibles fossiles. La question de savoir si l’accord final de la Cop28 prévoit cette élimination ou utilise des termes plus faibles tels que « réduction progressive » est l’une des questions les plus âprement discutées lors du sommet et pourrait être le facteur déterminant de son succès. Des réductions profondes et rapides sont nécessaires pour ramener les émissions de combustibles fossiles à zéro et limiter l’aggravation rapide des effets sur le climat.

Al Jaber s’est entretenu avec Mme Robinson lors d’un événement organisé par She Changes Climate. Mme Robinson a déclaré : « Nous sommes dans une crise absolue qui touche les femmes et les enfants plus que quiconque… et c’est parce que nous ne nous sommes pas encore engagés à éliminer progressivement les combustibles fossiles. C’est la seule décision que la Cop28 peut prendre et, à bien des égards, parce que vous êtes à la tête d’Adnoc, vous pourriez en fait la prendre avec plus de crédibilité ».

M. Al Jaber a ajouté :

« J’ai accepté de venir à cette réunion pour avoir une conversation sobre et mature. Je n’adhère en aucun cas à une discussion alarmiste. Il n’y a pas de données scientifiques, ni de scénario, qui disent que l’élimination progressive des combustibles fossiles permettra d’atteindre 1,5 °C. »

M. Robinson l’a encore mis au défi : « J’ai lu que votre entreprise investissait dans beaucoup plus de combustibles fossiles à l’avenir ». Al Jaber a répondu : « Vous lisez vos propres médias, qui sont biaisés et erronés. Je vous dis que je suis l’homme de la situation ».

Al Jaber a ensuite déclaré :

« Aidez-moi, s’il vous plaît, montrez-moi la feuille de route pour une élimination progressive des combustibles fossiles qui permettra un développement socio-économique durable, à moins que vous ne vouliez ramener le monde dans les cavernes ».

« Je ne pense pas que vous puissiez aider à résoudre le problème du climat en pointant du doigt ou en contribuant à la polarisation et à la division qui existent déjà dans le monde. Montrez-moi les solutions. Arrêtez de pointer du doigt. Arrêtez ça », a déclaré M. Al Jaber.

M. Guterres a déclaré aux délégués de la Cop28 vendredi : « La science est claire : la limite de 1,5 °C n’est possible que si nous arrêtons de brûler tous les combustibles fossiles. Il ne s’agit pas de réduire, ni d’atténuer. Il s’agit d’une élimination progressive, avec un calendrier précis ».

Bill Hare, directeur général de Climate Analytics, a déclaré : « Il s’agit d’un échange extraordinaire, révélateur, inquiétant et belliqueux. Nous renvoyer dans les cavernes » est le plus vieux trope de l’industrie des combustibles fossiles : cela frise le déni du climat.

« Al Jaber demande une feuille de route à 1,5 °C. Quiconque s’en soucie peut trouver cette feuille de route dans le dernier scénario d’émissions nettes nulles de l’Agence internationale de l’énergie, qui stipule qu’il ne peut y avoir aucun nouveau développement des combustibles fossiles. La science est absolument claire [et] cela signifie absolument une élimination progressive d’ici le milieu du siècle, ce qui améliorera la vie de toute l’humanité ».

[Note de Joseph : Il ne s’agit pas de science, mais d’idéologie ou de religion ici, car la science est caractérisée notamment par le doute permanent, par la possibilité de réfutation des hypothèses et des modélisations et par la possibilité d’un débat argumenté sur les différents points de vue défendus. De plus, une théorie solide doit être cohérente, sans contradictions logiques internes, et s’appuyer sur la démarche scientifique observationnelle et expérimentale. Or les bases de l’hypothèse d’une modification climatique anthropique qui serait due à des gaz à supposé « effet de serre » ou « forçage radiatif » sont contestées, mais les diverses réfutations ne sont pas prises en compte par le GIEC.
Voir notamment :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée
Les principes du raisonnement. Partie 3. Logique et climatologie
La modélisation informatique du climat relève-t-elle de science ?
Climats sous influence : des modèles pas vraiment top
La nouvelle « crosse de hockey » du réchauffement climatique vient d’exploser en plein vol
La religion du carbone]

Le professeur Sir David King, président du Climate Crisis Advisory Group et ancien conseiller scientifique en chef du Royaume-Uni, a déclaré : « Il est extrêmement préoccupant et surprenant d’entendre le président de la Cop28 défendre l’utilisation des combustibles fossiles. Il est indéniable que pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C, nous devons tous réduire rapidement nos émissions de carbone et abandonner progressivement l’utilisation des combustibles fossiles d’ici à 2035 au plus tard. L’alternative est un avenir ingérable pour l’humanité ».

Friederike Otto, de l’Imperial College London, au Royaume-Uni, a déclaré : « La science du changement climatique est claire depuis des décennies : nous devons cesser de brûler des combustibles fossiles. Si nous ne parvenons pas à éliminer progressivement les combustibles fossiles lors de la Cop28, plusieurs millions de personnes vulnérables supplémentaires se retrouveront dans la ligne de mire du changement climatique. Ce serait un terrible héritage pour la Cop28 ».

[Note de Joseph : il y a un fait qui semble échapper aux alarmistes climatiques, c’est que la quantité de CO2 continue sa croissance sans ralentir, voire plutôt en accélérant, mais que dans le même temps, depuis une vingtaine d’années, la température moyenne évaluée n’évolue pratiquement plus. Normalement lorsqu’une cause est la principale responsable d’un effet donné, comme ici le CO2 qui serait le principal coupable des changements climatiques, les variations des effets doivent être directement corrélées à celles des causes et avoir en gros les mêmes pentes : si la cause augmente fortement, l’effet doit aussi fortement augmenter. Or, ce n’est pas le cas ici — la température moyenne stagne tandis que le CO2 continue d’augmenter nettement.]

M. Otto a également rejeté l’affirmation selon laquelle les combustibles fossiles étaient nécessaires au développement des pays les plus pauvres, en déclarant que le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat [le GIEC] « montre que les objectifs de développement durable des Nations unies ne sont pas réalisables si l’on poursuit les économies actuelles à fortes émissions basées sur les combustibles fossiles. Le passage à un monde sans énergie fossile présente d’énormes avantages connexes ».

Un porte-parole de la Cop28 a déclaré :

« Les scénarios 1,5 °C de l’AIE et du GIEC indiquent clairement que les combustibles fossiles devront jouer un rôle dans le futur système énergétique, même si ce rôle est moindre. Le président de la Cop a cité les données scientifiques et les principaux experts en matière de climat. »

[Voir aussi :
Sans pétrole, pas d’électricité !]

« Il a clairement indiqué que l’industrie pétrolière et gazière devait s’attaquer aux émissions de portée 1 et 2 [provenant de ses activités], qu’elle devait investir dans les énergies et les technologies propres pour s’attaquer aux émissions de portée 3 [provenant de la combustion des carburants], et que l’ensemble de l’industrie devait s’aligner pour maintenir l’objectif de 1,5 °C à portée de main. »

« Une fois de plus, il s’agit clairement d’un effort continu pour saper les réalisations tangibles de la présidence de la Cop et d’une fausse représentation de notre position et de nos succès à ce jour. »

Le porte-parole a déclaré que la présidence avait rendu opérationnel le fonds pour les pertes et dommages avec plus de 700 millions de dollars, lancé un véhicule climatique du marché privé de 30 milliards de dollars, et amené 51 compagnies pétrolières à convenir d’objectifs de décarbonisation et 119 pays à signer une promesse de tripler les énergies renouvelables. « Ce n’est que le début », a déclaré le porte-parole.

M. Al Jaber est également à la tête de Masdar, la société émiratie spécialisée dans les énergies renouvelables, mais sa nomination en tant que président de la Cop28 a suscité la controverse. Peu avant le sommet, des documents ayant fait l’objet d’une fuite ont montré que les Émirats arabes unis avaient prévu d’utiliser les réunions sur le climat avec les gouvernements pour promouvoir des accords pétroliers et gaziers. M. Al Jaber a nié avoir vu ou utilisé les points de discussion contenus dans ces documents. Selon une analyse indépendante, Adnoc a également les plus grands projets d’expansion dans le domaine du pétrole et du gaz qui n’ont aucune incidence sur les émissions nettes.

La question de l’élimination progressive ou de la réduction progressive est compliquée par le fait que les termes n’ont pas de définitions convenues et par le rôle très incertain des technologies visant à « réduire » les émissions, telles que le captage et le stockage du carbone. « Pour que les objectifs de l’accord de Paris restent d’actualité, il faudra une élimination complète des combustibles fossiles, et non une vague réduction progressive reposant sur des technologies qui n’ont pas fait leurs preuves », a déclaré M. Otto.

Plus de 100 pays d’Afrique, d’Europe, du Pacifique et des Caraïbes soutiennent l’abandon progressif des combustibles fossiles. Les États-Unis, premier producteur mondial de pétrole et de gaz, sont également favorables à une élimination progressive. D’autres, comme la Russie, l’Arabie saoudite et la Chine, rejettent cet appel. Les deux options sont sur la table de la Cop28, ainsi que des propositions visant à ne mentionner que le charbon ou à ne rien dire du tout sur les combustibles fossiles.

[Note de Joseph : pendant que le GIEC et les alarmistes climatiques se focalisent sur le CO2 (indispensable aux végétaux) et le méthane, ils négligent les effets plus ou moins hautement polluants de l’industrie du Charbon et de la pétrochimie. Ceux-ci sont bien plus préjudiciables à la vie organique.]

La Cop26, qui s’est tenue à Glasgow en 2021, a accepté pour la première fois de « réduire progressivement » l’utilisation du charbon, mais cette proposition a été édulcorée à la dernière minute, ce qui a fait fondre en larmes le président de la Cop26, Alok Sharma.

Lors de sa conversation avec M. Robinson, M. Al Jaber a également déclaré :

« Selon moi, la réduction et l’élimination progressives des combustibles fossiles sont inévitables. C’est essentiel. Mais nous devons être vraiment sérieux et pragmatiques à ce sujet ».

« Attendez. Permettez-moi d’expliquer », a-t-il déclaré. « Le monde continuera à avoir besoin de sources d’énergie. Nous [les Émirats arabes unis] sommes les seuls au monde aujourd’hui à avoir décarbonisé les ressources pétrolières et gazières. Nous avons la plus faible intensité de carbone ».

Il s’agit des émissions provenant de l’énergie utilisée pour extraire les combustibles fossiles, et non des émissions bien plus importantes provenant de la combustion des combustibles. Il n’existe pas de pétrole et de gaz « à faible teneur en carbone » ou « à plus faible teneur en carbone », a déclaré M. Otto.

De nombreux commentateurs ont déclaré que les révélations négatives ou embarrassantes concernant Al Jaber et Adnoc augmentent la pression exercée sur lui pour qu’il conclue un accord solide dans le cadre de la Cop28. Le Guardian a récemment rapporté que les champs pétroliers et gaziers des Émirats arabes unis, gérés par l’État, brûlaient du gaz presque quotidiennement alors qu’ils s’étaient engagés, il y a 20 ans, à appliquer une politique de zéro brûlage systématique.

Le Guardian a précédemment rapporté qu’Adnoc avait pu lire les courriels envoyés et reçus par le bureau de la Cop28 jusqu’à ce que le Guardian soulève la question en juin, et que les Émirats arabes unis n’avaient pas non plus déclaré les émissions de méthane, un puissant gaz à effet de serre, produites par leur industrie pétrolière.

Harjeet Singh, du Réseau Action Climat, a déclaré : « La Cop28 doit prendre une décision sur l’élimination progressive des combustibles fossiles d’une manière juste et équitable, sans aucune faille ou échappatoire permettant à l’industrie de continuer à se développer et à exacerber la crise climatique. »




Le roi Charles demande 5 000 milliards de dollars par an pour faire avancer l’agenda « Net Zero » du FEM

[Source : aubedigitale.com]

Le roi Charles de Grande-Bretagne a exigé que les contribuables du monde entier déboursent 5 000 milliards de dollars chaque année pour faire avancer le programme mondialiste « Net Zéro ».

[NDLR 5 000 milliards de dollars par an, c’est deux fois plus que le PIB annuel de la France qui est déjà super endettée !]

Le « Net Zéro » est une liste d’objectifs irréalistes établie par le Forum économique mondial (FEM), avec le soutien de l’Organisation des Nations unies (ONU), qui cherche à faire avancer un programme collectiviste mondialiste.

Sous couvert d’environnementalisme, les objectifs irréalisables du « Net Zero » conduiraient la société à la faillite et rendraient le public dépendant d’une élite corporatiste non élue.

Hier, le roi Charles III a prononcé un discours lors de la cérémonie d’ouverture de la COP28.

Il a déclaré qu’« ils » avaient besoin de 4,5 à 5 000 milliards de dollars par an pour conduire la transformation nécessaire en raison du « changement climatique ».

La Conférence des Nations Unies sur le changement climatique 2023 ou Conférence des Parties de la CCNUCC (COP28) se tiendra au cours des deux prochaines semaines à Dubaï, aux Émirats arabes unis.

Elle est annoncée comme le « Sommet mondial de l’action pour le climat » et constitue le premier « bilan mondial » destiné à évaluer les progrès réalisés dans le cadre de l’Accord de Paris.

Le roi Charles III a prononcé un discours lors de la cérémonie d’ouverture vendredi.

« Il y a 28 ans, j’ai été très touché d’être invité à prendre la parole lors de l’ouverture de la COP21 à Paris, qui a bien sûr abouti à l’accord de Paris », a déclaré Charles III lors de la COP28.

L’accord de Paris adopté en décembre 2015 lors de la conférence sur le climat COP21 stipule que l’augmentation de la température moyenne mondiale doit être maintenue bien en dessous de 2 °C par rapport aux « niveaux préindustriels » et que les efforts sont poursuivis pour limiter l’augmentation de la température à 1,5 °C par rapport aux « niveaux préindustriels ».

Cependant, comme l’a découvert en 2017 Fritz Vahrenholt, ancien responsable des énergies renouvelables et directeur de la German Wildlife Foundation, un examen plus approfondi du texte du traité révèle que l’expression « niveaux préindustriels » n’est définie nulle part dans ce document historique de l’ONU.

Bjorn Lomborg est président du Centre du consensus de Copenhague.

Il est également l’auteur de « Fausse alerte : comment la panique du changement climatique nous coûte des milliards, nuit aux pauvres et ne permet pas de réparer la planète ».

Dans une vidéo de 2017, Lomborg a expliqué combien il en coûterait pour atteindre les objectifs « Net Zero » du FEM, tels qu’ils sont énoncés dans l’Accord de Paris sur le climat.

Selon les estimations de l’époque, cela coûterait aux contribuables entre 1 et 2 000 milliards de dollars par an.

Les défenseurs du climat affirment que ces dépenses sans précédent permettront de « sauver la planète ».

Cependant, comme les lecteurs réguliers de Slay News le savent, le FEM, l’ONU et d’autres organisations mondialistes et élites corporatives n’ont aucun intérêt à sauver la planète.

Le plan ne fera qu’appauvrir les membres du grand public et les rendre plus dépendants des politiciens et des « environnementalistes », qui deviendront au contraire plus riches et plus puissants.

En 2015, Lomborg avait déjà expliqué que l’Accord de Paris, s’il était pleinement mis en œuvre, ferait baisser les températures de la planète de 0,05 degré Fahrenheit (℉).

Un degré Celsius (℃) équivaut à 33,8℉.

0,05℉ est si petit qu’il ne peut être mesuré en ℃.

[NDLR 0,05℉ correspond à un peu moins de 0,03℃]

Alors pourquoi Charles fait-il avancer l’agenda climatique ?

Ce qu’il a dit ensuite apporte une pièce du puzzle.

L’accord de Paris, a déclaré Charles III, est « un moment historique d’espoir et d’optimisme où les nations mettent de côté leurs différences pour le bien commun. »

Le « bien commun » et le « plus grand bien » sont des concepts néfastes.

Ils représentent le collectivisme par opposition à l’individualisme.

Le collectivisme est le fondement de la politique de gauche et se retrouve dans la trame des mouvements socialistes, communistes et fascistes.

Le collectivisme est essentiellement utilisé comme un outil de contrôle social.

« Je prie de tout mon cœur pour que la COP28 soit un nouveau tournant décisif vers une véritable action transformationnelle à un moment où, comme les scientifiques nous le signalent depuis si longtemps, nous assistons à des points de basculement alarmants », a déclaré le roi à l’auditoire de la COP28.

En ce qui concerne les « points de basculement », les alarmistes du changement climatique pontifient à ce sujet depuis des décennies.

Depuis 2001, au moins sept conférences sur le climat ont été présentées comme la « dernière chance » d’arrêter le réchauffement de la planète.

Toutes se sont révélées fausses.

Philip Stott est professeur émérite de biogéographie à la School of Oriental and African Studies de l’université de Londres.

Il a également été rédacteur en chef du Journal of Biogeography.

Stott publie un blog intitulé « EnviroSpin Watch » pour surveiller la couverture médiatique britannique des questions environnementales et de la science.

En 2011, Stott a résumé le phénomène du point de basculement :

« En substance, la Terre reçoit régulièrement un avertissement de survie de 10 ans depuis une cinquantaine d’années. »

« Nous avons été condamnés en série. »

« Notre période post-moderne d’angoisse face au changement climatique remonte probablement à la fin des années 1960, si ce n’est plus tôt. »

« J’ai passé une grande partie de ma vie à essayer de mettre en garde contre les menaces existentielles auxquelles nous sommes confrontés en raison du réchauffement de la planète, du changement climatique et de la biodiversité », a déclaré Charles III.

« Toutes ces décennies plus tard et malgré toute l’attention portée, il y a aujourd’hui 30 % de dioxyde de carbone en plus dans l’atmosphère qu’à l’époque, et même près de 40 % de plus. »

Le dioxyde de carbone (CO2) est l’élément constitutif de toute vie sur Terre.

Le CO2, également appelé « engrais naturel », n’a cessé d’enrichir l’atmosphère terrestre, passant de 320 parties par million en 1970 à 365 parties en 2000 et à plus de 412 parties aujourd’hui.

Le CO2 est un élixir de vie, qui nourrit les plantes depuis l’origine du monde et rend possible pratiquement toute vie sur Terre.

Nous devrions le célébrer, et non le diaboliser.

En 2015, le Dr Patrick Moore a donné une conférence au cours de laquelle il a déclaré :

« On enseigne à nos enfants et à nos publics que le CO2 est un polluant toxique qui détruira la vie et mettra la civilisation à genoux. »

« Ce soir, j’espère renverser cette dangereuse propagande d’origine humaine. »

« Ce soir, je vais démontrer que les émissions humaines de CO2 ont déjà sauvé la vie sur notre planète d’une fin très prématurée ».

Charles III décrit ensuite autant d’effets catastrophiques du « changement climatique » que le temps le permet.

« Les dangers ne sont plus des risques lointains. Je les ai vus dans tout le Commonwealth et au-delà », affirme-t-il en énumérant sans vergogne les catastrophes « causées par le changement climatique ».

Sa liste comprend des vies et des moyens de subsistance détruits, des cyclones répétés, des inondations sans précédent, des sécheresses, de graves incendies de forêt, et l’hémisphère nord qui connaît « les températures moyennes mondiales les plus chaudes jamais enregistrées ».

« Nous sortons le monde naturel de normes et de limites équilibrées et l’emmenons sur des territoires dangereux et inexplorés », a déclaré Charles III.

« Nous menons une vaste et effrayante expérience consistant à modifier toutes les conditions écologiques d’un seul coup, à un rythme qui dépasse de loin la capacité de la nature à y faire face », a-t-il ajouté dans son discours alarmiste.

Le plan du roi consiste à réunir « les organisations philanthropiques publiques et privées et les ONG afin qu’elles jouent toutes un rôle dans l’action climatique », car « les finances publiques ne suffiront jamais à elles seules ».

Charles poursuit en proposant des plans pour un « système financier » mondialisé afin de faire avancer le programme qu’il propose.

Le monde a besoin d’un « système financier international combiné à l’utilisation innovante d’outils de réduction des risques tels que les garanties de risque de première perte », a-t-il déclaré.

« Nous pourrions ainsi mobiliser les billions de dollars dont nous avons besoin — de l’ordre de quatre et demi à cinq billions par an — pour mener à bien la transformation dont nous avons besoin ».

REGARDEZ :

[NDLR Utiliser un VPN pour regarder depuis le Canada et les autres pays bloqués.]

Nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi Charles III réclame des sommes aussi considérables pour lutter contre la soi-disant « crise climatique ».

Cependant, il est clair que la « transformation » vers un « avenir durable » dont parle Charles III est un avenir où nous ne possédons rien et où ils possèdent et contrôlent tout.

Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, appelle ce plan « la Grande Réinitialisation ».

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Pas de poissons rouges ni de chiens, mais une grande messe à Dubaï : bienvenue dans l’univers délirant des écologistes

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Anthony Tremblay

La COP28, ce grand rassemblement mondialiste en faveur de « l’écologie » se tient cette année à Dubaï. Elle est probablement à tous les niveaux parmi les plus grands cancres de l’environnement mondial. Mais bon, cela n’empêche pas la bien-pensance mondialisée de s’y rassembler pour formuler des vœux pieux et serrer le contrôle sur la population. Pendant ce temps, un penseur français de l’écologie nous dit que les animaux de compagnie polluent… Il fallait y penser ! Nous allons voir ça ensemble.

Dubaï ressemble un peu à un de ces films dystopiques comme Blade Runner. C’est une ville conçue pour les joies des plus riches de la planète. Mais de l’autre côté du décor, il y a toute une population de travailleurs migrants sous-payés et exploités au point qu’il en meurt des milliers chaque année. Cette année, la COP28 se tient dans cet endroit parmi les plus grands consommateurs d’eau au monde, et ce dans une région désertique.

Bien évidemment, nous avons droit aux mêmes discours sur la transition énergétique, aux émissions carbone. Alors qu’on traite du climat comme d’habitude, nous ne parlons jamais d’environnement. Par exemple sur le fait que Dubaï manque de sable pour produire des îles artificielles ou ses gratte-ciel. Cela peut paraître surprenant, mais l’humanité manquera bientôt de sable. Le sable de Dubaï est importé d’Australie, car le sable du désert est trop fin pour faire du béton. Mais de ces enjeux, qui en parle ?

Autre exemple : la pollution monstrueuse des bateaux de croisière ou de transport. Un bateau de croisière par exemple dans le port de Québec pollue davantage à lui tout seul que l’ensemble du parc automobile de la ville. Pour cela, nos gouvernants n’en ont que faire. Que dire des avions privés qui atterrissent à Dubai pour la COP28 ou le Forum économique mondial à Davos en Suisse ? C’est à vous citoyens de vous serrer la ceinture !

Cela permet d’amener sur la table un chercheur et penseur du « réchauffement » climatique qui a fait parler de lui pour de mauvaises raisons. Jean-Marc Jancovici, qui est un conférencier vedette en France, y est allé de plusieurs positions controversées pour combattre le « réchauffement » climatique. Il propose que chaque individu ait uniquement le droit à quatre voyages en avion dans sa vie. Il y a de ça quelques années, avant la pandémie, on voulait faire sentir coupable ceux qui aiment voyager. Des animateurs vedettes de Radio-Canada ont traité du sujet le plus sérieusement du monde alors qu’eux-mêmes voyagent plusieurs fois par année pour des championnats sportifs, des retraites de yoga ou des vacances de luxe en Polynésie ou à Bali.

Jean-Marc Jancovici, qui n’en est pas à ses premières controverses, affirme maintenant que posséder un poisson rouge, un chat ou un chien augmentera votre bilan carbone ! Le poisson rouge, car il faut éclairer et chauffer l’eau de son aquarium, consomme autant d’énergie qu’un réfrigérateur. Quant aux chats et aux chiens, ceux-ci feraient augmenter de 10 % le bilan carbone d’un individu. Car il faut bien nourrir les copains, et on ose même parfois les gâter avec de la viande !

Heureusement selon lui, pas besoin d’abandonner Paco sur le bord de la route. Plus l’animal est petit, mieux c’est. Car selon Jancovici, avoir un animal plus gros vous incitera également à avoir une plus grosse voiture ! Et qu’abandonner des chats dans la nature sont une véritable hécatombe pour la faune qui sera décimée par minou ! Si vous tenez absolument à avoir un ami sous votre toit, assurez-vous de ne pas lui donner de viande !

Mais plus sérieusement, c’est justement des propositions écologistes comme ça qui deviennent plus tard des politiques autoritaires qui donnent envie aux gens de décrocher. Nous n’avons aucune leçon en matière d’écologie ou d’environnement à recevoir de Dubaï. Nous savons tous très bien que le seul but de nos gouvernants dans ces grandes messes, c’est d’augmenter le fardeau fiscal et de toujours réduire davantage nos libertés. Quant à nos animaux, profitons-en, avant que nos politiciens décident d’en interdire la vente ou l’adoption.




Les démasqués

Présentation du livre de Claude Janvier

Notre planète est-elle dirigée par un groupuscule de financiers nomades et apatrides œuvrant pour l’établissement d’un gouvernement mondial ? Est-elle sous l’empire des propriétaires de Vanguard, qui n’aiment pas être sous les feux de la rampe, à savoir les Rothschild, les Orsini, les Bush, la maison royale britannique, les DuPont, les Goldman Sachs, les Soros, avec leur Open Society, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller et leurs satellites ?

Ces familles, adeptes des clubs très fermés et de l’ostracisme social, sont parfaitement identifiées dans la chronologie élaborée par l’auteur. Leurs sociétés tentaculaires, secrètes et discrètes, ont pour but essentiel de trouver, d’enrôler et de placer, selon leurs besoins, une élite politicienne à la tête des pays de leur choix, pour exécuter à la perfection les termes de leur agenda établi sous l’autorité du Forum économique mondial de Klaus Schwab et consorts.

Que ce soit dans le secteur financier, économique, écologique, alimentaire, ou dans celui des Big Pharma, des médias mainstream, des fonds de pensions et d’investissements, notamment de BlackRock et de Vanguard, cette hyperclasse, appuyée par des sociétés-écrans, des fondations suspectes, dont celle de Bill et Melinda Gates, des ONG ambivalentes, ainsi que par des mouvements sociaux des minorités (Genre, LGBétisme, Wokisme, Black Lives Matter, etc.), agit pour mettre en esclavage le plus grand nombre de citoyens du monde et rendre leur quotidien infesté par des pandémies, des crises de tout genre, des guerres et des lendemains qui déchantent !

Alors que rien ne semble pouvoir arrêter ce mastodonte, les voix de plusieurs complotistes sont parvenues à le freiner, voire à le paralyser, dans sa course destructrice de l’humanité, en dépit des moyens colossaux dont il dispose…

En parcourant ce livre, chacun se forgera sa propre opinion sur l’implication, ou non, de cette caste méprisable qui continue de susciter la polémique en France et ailleurs. Cependant, il est indéniable que des preuves de sa culpabilité existent. Il était nécessaire de les rassembler et de les révéler. Les voici…

Pour se procurer le livre :

https://www.cultura.com/p-les-demasques-qui-dirige-reellement-le-monde-9789938913545.html




Bitcoin : la cryptomonnaie consomme plus d’électricité que le Pakistan

[Source : reporterre.net]

« Si le Bitcoin était un pays, sa consommation d’énergie serait classée au vingt-septième rang mondial. » Entre 2020 et 2021, le réseau mondial de minage de cette cryptomonnaie a consommé 173,42 térawattheures d’électricité, soit plus que le Pakistan et ses 231 millions d’habitants. C’est ce que révèle, le 24 octobre, une étude menée par des scientifiques des Nations unies.

Ce minage consiste à résoudre des casses-tête mathématiques pour sécuriser (crypter) la monnaie. Une tâche nécessitant de puissants ordinateurs énergivores. « Pour compenser cette empreinte, il faudrait planter 3,9 milliards d’arbres, soit une superficie presque égale à celle des Pays-Bas […] ou 7 % de la forêt amazonienne », détaille le professeur Kaveh Madani, directeur de l’étude.

Des quantités d’eau astronomiques

Au-delà de l’empreinte carbone considérable, ces activités ont des effets inquiétants sur l’eau et la terre. En deux ans, la quantité d’eau utilisée pour le minage — pour refroidir les ordinateurs — est similaire à celle nécessaire pour remplir… plus de 660 000 piscines olympiques. Autrement dit, de quoi répondre aux besoins domestiques actuels en eau de plus de 300 millions de personnes dans les zones rurales d’Afrique subsaharienne.

Ces monnaies numériques ont déjà gagné la confiance des plus grands investisseurs, qu’il s’agisse de multinationales, de millionnaires, de criminels ou de blanchisseurs d’argent, précise l’étude. Elles auraient même le potentiel d’écraser les monnaies les plus fortes au monde. Parmi les grandes nations consommatrices de Bitcoin, la Chine se classe de loin sur la première marche du podium. Les États-Unis, le Kazakhstan, la Russie, la Malaisie, le Canada, l’Allemagne, l’Iran, l’Irlande et Singapour complètent le top 10.




Religieuses contre écologistes : 1-0

Bras de fer entre religieuses et militants écologistes sur le chantier d’un centre catholique, à Saint-Pierre-de-Colombier en Ardèche

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Église de Saint-Pierre-de-Colombier (Ardèche). (Capture d’écran Google Maps.)]

Par Emmanuelle Bourdy

Fermement décidées à défendre leur projet de construction d’un grand centre religieux catholique à Saint-Pierre-de-Colombier (Ardèche), les religieuses ont affronté les militants écologistes venus stopper les travaux, ce lundi 16 octobre. Elles ont notamment tenté de mettre ces opposants dehors et ont formé une chaîne humaine autour des engins de chantier.

Après une première action menée le 12 octobre dernier, une trentaine de militants écologistes ont de nouveau manifesté leur désapprobation concernant le chantier d’extension de centre religieux sur le Site Notre-Dame des Neiges, à Saint Pierre de Colombier. Ayant connu bien des déboires depuis 2018, le chantier a effectivement été le témoin d’un moment d’agitation, ce lundi 16 octobre. Des membres du collectif écologique Les Amis de la Bourges s’étaient rendus sur place, bien décidés à stopper toute reprise des travaux, rapporte France 3 Auvergne-Rhône-Alpes. Mais les religieuses de la Famille missionnaire ont résisté, avec les moyens du bord.

Un plaquage réussi !

Le chantier, que l’État avait fait stopper en octobre 2020, avait repris à la fin de l’année dernière. Ce lundi 16 octobre, après avoir réussi à franchir les barrières de sécurité, une trentaine de militants écologistes se sont introduits sur cette propriété privée en toute illégalité. Mais les religieuses se sont mises en travers de leur route.

Les deux camps se sont affrontés vers 8 heures du matin et quelques heurts ont même éclaté. Sur une vidéo dévoilée par France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, on peut voir une religieuse intercepter un militant en train de courir avec deux tuyaux dans les mains. Celui-ci jette ensuite les tuyaux en demandant à l’un de ses acolytes de les casser, ce qu’il exécute aussitôt. La religieuse, toujours agrippée au militant, réussie à le faire tomber à terre tout en chutant elle aussi, entraînée par le mouvement. Après environ une heure d’affrontements, la situation s’est enfin calmée. Une dizaine d’agents des forces de l’ordre sont également intervenus sur le site, précisent nos confrères.

Les religieux forment un cercle autour d’une tractopelle, tout en chantant

Le co-président de l’association pour l’avenir de la vallée de la Bourges, Sylvain Hérenguel, a expliqué à France 3 qu’il « ne s’attendait pas à ça ». Il aurait voulu que les religieuses « soient un peu raisonnables pour l’ordre public ». Mentionnant que ces religieux « ont décidé de passer à la violence », il a précisé avoir été pris à partie trois fois par cinq personnes qui ont voulu le mettre dehors. « Là, ils ont décidé de protéger le chantier par leurs actes et leur corps », a-t-il poursuivi. Afin de protéger le chantier, les religieux ont en effet encerclé une tractopelle en se tenant la main, tout en entonnant des chants religieux.

Ce mercredi 11 octobre, l’association de Sylvain Herenguel a déposé plainte, souhaitant « défendre des terres agricoles qui pourraient servir aux générations futures », a souligné le militant. En avril dernier, TF1 rapportait que, selon ces opposants, ce projet était « démesuré » et allait détruire la vallée, la construction d’une basilique de 3500 places et 50 mètres de haut étant prévue, avec une passerelle permettant de passer au-dessus de la rivière comme on peut le voir sur le site de Famille missionnaire de Notre-Dame (FMND), le tout pour la somme totale de 18 millions d’euros.

Découverte d’une plante protégée sur le site

Par ailleurs en mai dernier, une plante protégée du nom de reseda de jacquin a été découverte sur ce site et les opposants assurent que la communauté religieuse n’a pas demandé les dérogations nécessaires avant de reprendre le chantier. L’Office français de la biodiversité a effectivement confirmé la présence de cette petite plante parfumée sur le site. Les militants craignent aussi les nuisances générées par l’afflux de pèlerins et pensent que le site va ainsi se détériorer.

Mais pour le père Bernard Pinède — qui est le supérieur de la FMND — il s’agit du « projet de Dieu ». Dans un communiqué paru sur le site de la FMND ce vendredi 13 octobre, il est indiqué qu’une petite dizaine d’opposants ont pénétré sur ce chantier la veille, « violant la propriété privée, et empêchant par la force et la violence la poursuite des travaux ». « Deux personnes se sont enchaînées à une pelleteuse. Plusieurs sont restées sur les lieux en toute impunité durant toute la journée », est-il précisé. « Plusieurs plaintes ont été déposées contre ces activistes qui utilisent des méthodes en totale opposition aux lois de la République », est-il encore mentionné dans ce communiqué.

La FMND a également rappelé « sa totale détermination à poursuivre les travaux dans la légalité et à faire valoir ses droits pour cela », remerciant au passage les forces de l’ordre « qui ont assuré le maintien de la paix, mais aussi les artisans, les élus et les habitants de la vallée qui sont nombreux à lui apporter son soutien ».

Une réunion, organisée par la préfète, devrait se tenir ce jeudi 19 octobre. Elle réunira les différentes parties du projet.




Les « droits de l’océan », une nouvelle religion fait son apparition à l’ONU

[Source : epochtimes.fr]

Des idéologues écologistes ont été chargés de promouvoir un plan visant à accorder des « droits » à « l’océan » lors de la récente réunion de l’Assemblée générale des Nations unies à New York.

Par Wesley J. Smith

L’« ordre mondial international » est de plus en plus radical dans son engagement environnemental et anti-humain quant aux politiques qu’il promeut. Dans la grande cause du « sauvetage de la planète », les préceptes scientifiques et les analyses empiriques sont mis de côté au profit d’un mysticisme religieux néo-terrestre.

Dernier exemple en date. Des idéologues écologistes ont été invités à promouvoir un plan visant à accorder des « droits » à « l’Océan » (au singulier, avec un O majuscule) lors de la réunion de l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) 2023 qui vient de s’achever à New York.

Les « droits de l’océan », Wesley ? Ils plaisantent ? J’aimerais bien. Les « droits de l’océan » sont un sous-ensemble du mouvement des « droits de la nature » qui élève la « Nature » (avec un N majuscule) au-dessus de la prospérité humaine et adopte une approche quasi religieuse de la gestion du monde de la nature.

Le mouvement des « droits de la nature » frise le paganisme. Ainsi, la constitution de l’Équateur stipule : « La nature ou Pachamama, où la vie se reproduit et existe, a le droit d’exister, de persister, de maintenir et de régénérer ses cycles vitaux, sa structure, ses fonctions et ses processus d’évolution. »

Pachamama est la déesse inca de la Terre, et le déploiement du terme n’est pas accidentel. En effet, le mouvement Pachamama (si l’on peut dire) a récemment gagné du terrain, parfois dans des endroits surprenants. Par exemple, des idoles de Pachamama ont été incluses, à la grande controverse, dans des messes catholiques internationales à haute visibilité.

Les droits des océans sont imprégnés de la même émotion mystique, comme l’indique un document intitulé « Nous sommes l’océan et l’océan est nous », présenté à l’Assemblée générale des Nations unies. Ce document encourage ce qu’il appelle une « vision écocentrique du monde » et doit servir de base à une future « Déclaration universelle des droits de l’océan », qui sera promulguée à l’ONU d’ici à 2030.

« L’océan est une entité vivante, et non une ressource… avec des droits inhérents », déclare le texte. En outre, « l’océan est notre ancêtre et notre parent, il est chargé d’histoire, en constante évolution, et constitue un lieu de valeur culturelle et spirituelle, doté d’une autorité, d’une force vitale, d’une identité et d’une valeur intrinsèque ».

Cette affirmation est profondément dépourvue d’empirisme. Certes, les océans sont essentiels au maintien de la vie sur Terre. Mais ce ne sont pas des entités vivantes. Ils constituent certes un environnement pour les organismes, grands et petits, tout comme l’atmosphère (et après, les « droits de l’air » ?). Mais les océans n’ont pas d’« identité ». Ils n’ont pas d’« autorité » parce qu’ils n’ont pas de conscience. Ils ne sont pas « notre famille ». Les océans sont de vastes entités géologiques, mais ils ne sont pas animés au sens propre du terme.

De plus, la définition de « l’océan » dans la présentation de l’Assemblée générale des Nations unies est plus que vaste :

« Nous reconnaissons l’océan comme un système naturel, biologique et physique dynamique, fluide et interconnecté » qui comprend « toutes les mers, les eaux intérieures, les mers territoriales, les zones économiques exclusives, la haute mer, les plateaux continentaux, les fonds marins et le sous-sol, avec des échanges constants entre les systèmes terrestres et atmosphériques ».

Cette définition est si large qu’elle pourrait inclure les rivières qui se jettent dans les océans (« eaux intérieures ») et les zones terrestres qui ont un impact sur les océans (« échanges entre les systèmes terrestres et atmosphériques »). À bien y penser, les « systèmes atmosphériques » pourraient ouvrir la voie aux « droits de l’air ».

Comment les « droits » de l’océan seraient-ils appliqués ? Faisons le tour de la question : « Tous les peuples ont le droit et la responsabilité de veiller à ce que les intérêts et les besoins de l’océan soient représentés dans les décisions et les différends qui affectent la santé de l’océan ». En outre, l’océan aurait « le droit d’être représenté et de s’exprimer au sein d’un système de gouvernance internationale multinationale ».

En d’autres termes, les idéologues des droits de l’océan auraient une grande influence sur l’adoption de lois et la promulgation de règlements visant à promouvoir les droits de l’océan, et des avocats écologistes radicaux représenteraient certainement « l’océan » devant les tribunaux internationaux et nationaux.

Les droits des océans engloberaient explicitement la prospérité humaine en appliquant ce que l’on appelle le principe de précaution à la question de savoir quelles sont les utilisations acceptables des ressources océaniques.

« En cas d’incertitude ou de divergence dans l’évaluation de l’impact d’une activité anthropique concernant l’océan, le document stipule que le principe “en cas de doute, privilégiez l’océan” doit être appliqué ».

Il y a toujours un doute. En d’autres termes, la plupart des ressources océaniques seraient définitivement interdites à l’exploitation humaine ou nécessiteraient un processus d’autorisation si coûteux et si long — contrôlé par les idéologues des droits de l’océan — que peu d’entreprises se donneraient la peine de tenter l’expérience.

Tout cela nous amène à nous demander pourquoi l’octroi de « droits » sur les océans est devenu un sujet d’actualité. Ce n’est pas comme si la protection des mers n’avait pas déjà reçu une haute priorité à l’ONU. Soixante-sept pays viennent de signer une proposition de traité international — connu sous le nom de « 30-30 » — qui, s’il est mis en œuvre, rendrait 30 % des océans inaccessibles à la plupart des activités humaines d’ici à 2030.

Mais il n’y a jamais assez de restrictions pour les radicaux de l’environnement. Les « droits de l’océan » reflètent la profonde misanthropie qui a contaminé le mouvement écologiste dans son ensemble, la conviction que nous ne sommes qu’une « espèce vivant dans la nature » et qu’il faut empêcher les ennemis de la planète d’exploiter les richesses de la Terre.

Concentrons-nous un instant sur les conséquences économiques désastreuses d’un régime de « droits sur les océans ». Toutes les activités d’extraction minière et énergétique en eaux profondes seraient, au minimum, interdites. L’industrie du transport maritime serait soumise à des réglementations étouffantes. Les flottes de pêche seraient mises en sommeil. Les ports ne pourraient pas être construits ou agrandis. Même les activités terrestres qui pourraient être considérées comme susceptibles d’avoir un impact négatif indirect sur l’océan pourraient être réprimées. Le préjudice causé à la prospérité humaine par les droits de l’océan serait impossible à quantifier.

Nous devrions promulguer des lois qui nous obligent à traiter les environnements océaniques avec les égards qui s’imposent. La pollution des océans par le plastique, par exemple, est tout à fait inacceptable et il faut y remédier. Mais il est possible d’y parvenir sans porter atteinte à la singularité humaine ni accorder à des idéologues proches de la carte blanche le contrôle des pratiques qui ont un impact sur les mers.

Hélas, cet environnementalisme de bon sens n’est plus à la mode. Les mouvements pour les droits de l’océan et de la nature sont les symptômes d’un anti-humanisme viral qui sacrifierait la prospérité humaine sur l’autel de la déesse de la terre, Pachamama.




Les manifestations pour le climat sont-elles vraiment utiles pour la planète ?

[Source : quebecnouvelles.info]

[Illustration : PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN PHILIPPE HUGHES]

Par Anthony Tremblay

Le climat est l’un des grands sujets de notre époque. Non seulement dans les médias et les politiques gouvernementales, mais aussi dans la « rue » par la société civile. Pourtant, lorsque nous regardons l’activisme qui lutte contre le « réchauffement climatique », nous ne pouvons que rouler des yeux. Notamment car tout ce beau monde veut du changement, mais que personne ne veut changer. Et des solutions existent face à un « problème » sous contrôle.

Bill Gates, que l’on ne peut pas accuser « d’inertie » sur la question, a affirmé récemment que le « réchauffement » ne sera pas aussi dramatique qu’anticipé. Que la terre et l’humanité vont s’en sortir. Un homme, qui a accès aux meilleurs vulgarisateurs et experts du monde entier, vient de dire une vérité que beaucoup de jeunes gens refusent d’entendre. À écouter les manifestants des marches pour le climat dans le monde entier, c’est comme si l’humanité avançait inexorablement à sa perte.

Ces manifestants demandent des mesures coercitives aux gouvernements. L’humanité court un grave danger selon eux. Pourtant, rien n’est dit parmi eux sur la recherche scientifique effrénée pour réduire le carbone dans l’industrie pétrolière, et que le charbon est peu à peu remplacé par du gaz naturel. Ni sur le fait que d’autres chercheurs se penchent sur la fusion nucléaire ou encore même sur l’utilisation des algues pour produire des carburants. Non, l’humanité ne court pas à sa perte.

Les gouvernements imposent constamment de nouvelles taxes sur l’essence et font augmenter les factures de tout le monde. Incluant celles de nos manifestants pour le climat. Par contre, aucun d’entre eux n’aura la volonté d’annuler son stage de yoga au Nicaragua qui nécessite de prendre l’avion. Comme Pénélope McQuade qui parle énormément de la honte de prendre l’avion, alors qu’elle doit prendre l’avion six fois par année pour des destinations lointaines comme la Polynésie. Il y a un meme qui montre une assemblée avec un orateur. Celui-ci demande : voulez-vous du changement? Tout le monde lève la main. Et après, il demande : voulez-vous changer? Là, plus personne ne lève la main.

C’est exactement le symptôme de notre époque. Énormément de ces manifestants consomment comme les jeunes non politisés de leur âge. C’est-à-dire se faire livrer du Uber Eats au lieu de cuisiner. Acheter des vêtements de qualité médiocre qui ne seront portés que quelques fois sur Shein. Mais aussi voyager, comme beaucoup aimeraient le faire. Il y a quelque chose de triste dans cette jeunesse québécoise qui se dit « child free » au nom du climat, mais qui achètent des objets inutiles qui ne font que produire plus de pollution en Chine ou au Bangladesh.

Le nihilisme n’a jamais rien donné de bon dans l’histoire. Jamais nos ancêtres ne se sont dit : nous cessons de faire des enfants, car les temps sont trop durs! S’ils avaient pensé comme ça, nous ne serions pas là aujourd’hui dans la société la plus prospère de toute l’histoire de l’humanité. L’humanité continuera de vouloir se développer et prospérer. La Chine, l’Inde, l’Afrique demandent leur part du gâteau. C’est normal. Nous serions comme eux dans leur situation. Et c’est à nous de faire plus d’efforts alors que nous sommes les seuls à en faire?

La décroissance est quelque chose d’impensable dans notre société qui a goûté au confort moderne. Par contre, il est vrai que l’on peut faire des choses. Comme justement d’améliorer l’efficacité de l’industrie pétrolière. Développer le nucléaire. Ce n’est pas dans le cynisme que l’on produira quelque chose pour les générations futures. Personne n’est prêt à réduire son niveau de vie de façon notable pour un problème qui de toute façon ne met pas l’humanité en péril. Donc aussi bien se mettre au travail et trouver des solutions sans constamment nous endetter.




Elles tournent, les éoliennes !

Par Claude Brasseur

Elles tournent, comme s’il y avait du vent, trop lentement pour pouvoir donner de l’énergie, mais elles tournent et impressionnent les passants.

La moitié du temps où les éoliennes tournent, elles ne produisent pas d’électricité. Il y a juste assez de vent pour faire tourner les pales. Cette rotation des pales suffit pourtant pour faire croire à leur utilité…

Mathématicien, spécialisé en physique nucléaire, m’intéressant à l’énergie depuis plus de 30 ans, j’ai créé un centre de recherche en technologies peu coûteuses à l’université de Lubumbashi (RDC), ai construit des éoliennes utiles et n’aime pas qu’on se moque de mes concitoyens. Je n’aime pas qu’on leur prenne de l’argent pour remplir les poches de fabricants et de commerçants… j’aimerais qu’on offre un courant propre, sans aucun danger, éternellement renouvelable et donc réellement vert, peu coûteux en prime.

Ce courant absolument vert… les centrales nucléaires de 4génération le fournissent déjà dans quelques pays et des Verts finlandais l’exigent. La Belgique — à Mol — est à la pointe du progrès dans ce domaine aussi passionnant qu’utile et je n’arrive pas à comprendre pourquoi ces centrales ne sont pas construites ici, pendant que les anciennes — celles appelées de 2e et 3génération — continuent à fournir leur énergie peu coûteuse et créant nettement moins de risques pour notre santé que les autres sources d’énergie connues. On nous assomme des dangers du nucléaire. J’ai même lu un livre « précisant » tous les risques liés au nucléaire… comme si notre planète n’était pas entièrement radioactive en certains endroits — comme le Massif Central — nettement plus que d’autres.

Le Massif central est plus radioactif que Fukushima après la destruction de sa centrale nucléaire. Bien sûr, Greenpeace a envoyé des « témoins » encagoulés pour mesurer la radioactivité à Fukushima peu après le tsunami… Vous a-t-on fait savoir qu’elle était semblable à celle, naturelle, de la Belgique ?

Un livre donne des précisions en matière de dangers liés aux différentes sources d’énergie : Nucléaire, les vérités cachées de Fabien Bouglé. Cet auteur n’est pas spécialisé en physique nucléaire, mais il s’est renseigné de manière admirable et je ne puis que conseiller son livre.

Et je tiens à préciser que nos anciennes centrales nucléaires sont encore assez jeunes — aux USA elles peuvent vivre et travailler 80 ans — pour pouvoir ajouter des centrales de 4génération.

Il suffit à nos hommes politiques d’observer que tous nos voisins — sauf l’Allemagne — ont commandé des centrales nucléaires…

La ruine n’est pas la seule calamité liée à l’installation d’éoliennes ! Ces engins hyper coûteux sont aussi hyper polluants au moment de leur fabrication — par l’emploi de matériaux demandant des procédés d’extraction salissants et… radioactifs — et j’aimerais vraiment que tout le monde lise Fabien Bouglé — il écrit pour un public de bonne volonté, non spécialisé — et réfléchisse à cette vérité éternelle : l’argent, la richesse, demande « toujours plus » et se moque des humains.




Professeur Contreras : « Le piège de l’Agenda 2030 est dans les petits caractères »

[Source : medias-presse.info]

Le podcast espagnol Luz del Mundo — une production de l’Association catholique des propagandistes (ACdP) et de l’Institut des sciences humaines CEU Ángel Ayala — aborde cette semaine un sujet controversé : l’Agenda 2030 et les Objectifs de développement durable (ODD). Il le fait avec l’aide du professeur de philosophie du droit et ancien député de Vox au Congrès Francisco J. Contreras, qui le considère comme le visage le plus visible de l’ONU agissant « en tant que gouvernement proto-mondial ». Dans une conversation avec la journaliste Ana Campos, le Professeur Contreras affirme que, même si les Objectifs de développement durable semblent à première vue incontestables, « le problème est dans les petits caractères ».

Commençons par poser la question : qu’est-ce que l’Agenda 2030 ?

Il s’agit d’un document contenant 17 objectifs de développement durable (ODD) que l’ONU a approuvé en 2015 et dans lequel elle propose aux États membres un horizon d’action, avec une période de 15 ans pour l’atteindre. Il s’agit, disons, de l’ONU agissant comme une sorte de gouvernement mondial, ou de proto-gouvernement mondial. Tous les pays ne l’ont pas signé, mais l’Espagne a bien entendu été l’un des premiers pays à le faire. Le PP et le PSOE — parce qu’en 2015 il y avait un gouvernement du Parti populaire — rivalisent dans la ferveur des « vingt-trentenaires », dans le sens où le PP prétend avoir été le gouvernement qui a signé l’agenda, mais le PSOE affirme que ce sont eux, ceux qui ont fait le plus pour le mettre en pratique.

Éradication de la pauvreté, égalité entre hommes et femmes… N’importe qui avec un demi-cerveau accepterait ces Objectifs de développement durable, non ?

C’est clair. Une vision sinistre de l’Agenda 2030 se répand, notamment dans les secteurs conservateurs, comme s’il s’agissait d’une sorte de conspiration d’élites obscures pour dominer le monde… et quand on l’ouvre et qu’on regarde les objectifs, ce ne semble vraiment pas être ça. C’est le cas, mais c’est d’une manière plus dissimulée. Mais à première vue, les objectifs — presque tous, car il y a quelques exceptions — sont incontestables. Qui serait contre l’éradication de la faim dans le monde ? Qui s’opposerait à la fourniture d’eau potable et d’un système d’assainissement à l’ensemble de la population mondiale ? Qui serait contre la construction de systèmes de santé de qualité partout, ou contre une éducation de qualité ? Je liste les Objectifs de développement durable…

Alors, où est le piège ?

D’abord, dans les petits caractères. Chacun de ces principes génériques est ensuite décomposé en sous-objectifs, en buts, et là apparaît un parti pris idéologique clairement gauchiste. Les moyens proposés par les Nations Unies pour atteindre ces objectifs que nous partageons en principe tous sont discutables. Et deuxièmement, dans le fait que les Nations Unies proposent les mêmes objectifs à tous les pays du monde, ignorant les disparités abyssales de développement matériel et moral entre les différents pays.

Existe-t-il certains objectifs qui sont contestables de façon évidente parmi ces Objectifs de développement durable ?

Oui : il y en a un qui me semble rejetable, pas seulement dans les petits caractères, mais dans sa formulation générique elle-même, à savoir l’action climatique, l’ODD numéro 13. Parler de la nécessité d’une action climatique, c’est déjà assumer toute la vision catastrophique, la version officielle, du changement climatique comme une sorte d’apocalypse qui justifie une transition énergétique accélérée et très onéreuse. Et autoritaire aussi, car cela se fait verticalement, par décret des gouvernements… mais uniquement des gouvernements occidentaux, curieusement. Il n’y a qu’en Europe, aux États-Unis et peut-être au Canada que nous prenons au sérieux cette transition très coûteuse, qui pénalise l’économie européenne et nord-américaine. Dans le reste du monde, cela ne se fait pas. L’Europe, par exemple, émet déjà moins de 9 % des émissions totales de CO2. Même si l’Europe parvenait à réduire de moitié ses émissions de dioxyde de carbone, l’impact sur les émissions mondiales totales serait à peine de 3 ou 4 % : nous ne sommes pas concernés par les effets climatiques mondiaux. Et pourtant, nous nous sommes lancés dans une transition énergétique qui entraîne des coûts immenses. Je le sais bien grâce à mon travail au Congrès : le Plan National Intégré Énergie et Climat — la stratégie énergétique du gouvernement espagnol pour les années 2020 — reconnaît la nécessité d’investir 240 milliards d’euros dans l’énergie d’ici 2030. En Allemagne, on estime que d’ici 2025, 500 milliards auront été investis dans la transition énergétique. C’est ce que nous coûte l’abandon précipité des combustibles fossiles. Et tout cela pour réduire encore davantage les émissions occidentales, déjà très faibles, parce que nous réduisons les émissions depuis des décennies. Mais ce que je veux dire, c’est que cet ODD est discutable même dans sa condition générique, car le CO2 — par exemple — n’est pas une pollution. Des études de la NASA confirment que la végétation a augmenté partout dans le monde parce que nous stockons davantage de CO2.

Ces 17 ODD comportent 169 objectifs. Y a-t-il quelque chose en commun entre eux tous ? Peut-on dire, par exemple, que l’Agenda 2030 est pro-avortement ?

Oui, même s’ils n’appellent pas l’avortement par son nom : ils le font en utilisant l’euphémisme « droits sexuels et reproductifs ». Mais l’objectif 5.6 parle de la nécessité de promouvoir la santé sexuelle et reproductive, les droits sexuels et reproductifs… Quiconque connaît le jargon et la pratique des Nations Unies sait que cet euphémisme inclut non seulement les contraceptifs, mais aussi l’avortement. Et cela a été confirmé en 2018 par le Rapporteur spécial sur le droit au développement dans des déclarations dans lesquelles il a déclaré que les lois qui restreignent ou criminalisent l’avortement constituent une menace pour la santé sexuelle et reproductive des femmes, entraînent des décès lors d’avortements clandestins, etc. On peut donc dire que l’Agenda 2030 est favorable à l’avortement.

Si, lorsque nous examinons les petits caractères, nous constatons que l’Agenda 2030 n’a pas cette bonté apparente, pourquoi l’acceptons-nous au niveau national ou européen ?

Je suppose que c’est une question de posture morale. Apparaître devant le public comme quelqu’un qui s’identifie à ce projet de progrès parrainé par l’ONU, qui semble conserver une aura morale positive… Personne n’ose s’en distancier de peur d’être identifié comme ultra, ou de se faire dire qu’il est faveur de la faim dans le monde, ou de l’analphabétisme… Bien sûr, personne n’ose se charger d’expliquer où se trouvent les pièges.

On peut dire que là où il est dit « éducation de qualité », il y a endoctrinement, que là où il est dit « frontières ouvertes », il y a invasion migratoire, que là où il est dit « égalité des sexes », il y a destruction de la famille…

C’est clair. Parmi les objectifs que nous avons qualifiés d’incontestables, on peut distinguer deux types : les objectifs qui présentent un niveau de saturation et ceux qui ne le sont pas. Par exemple, l’éradication de la faim est un objectif déjà atteint dans les pays occidentaux développés : il n’y a pas de faim en Espagne, en Suède ou au Canada. C’est ce que j’entends par niveau de saturation : à partir du moment où l’on peut dire « il n’y a plus de faim », « il y a de l’eau potable pour tout le monde ». Il existe ensuite d’autres objectifs dans lesquels il est toujours possible de faire mieux, comme une éducation ou des soins de santé de qualité. Mais à ce sujet, il convient de dire qu’il est absurde et ridicule que l’ONU vienne nous faire la leçon sur l’importance d’améliorer l’éducation ou d’améliorer les soins de santé, comme si cela ne nous était pas venu à l’esprit. En cela, les responsables de l’ONU tentent de se légitimer : Il s’agit d’un syndrome général des hommes politiques : « sans moi, une telle chose ne se ferait pas dans la société ». « Nous avons créé des emplois »… Vous mentez, vous n’avez créé aucun emploi. L’emploi est créé par les hommes d’affaires, les travailleurs indépendants, la société civile : dans tous les cas, le politique doit rester à l’écart, avec des lois sensées et non invasives qui permettent à la société de générer des richesses pour elle-même. Ce syndrome qui consiste à présenter les choses comme si tout ce qui se passe de bien dans la société était dû à la tutelle du politicien se produit également au niveau supranational, et nous avons ici l’ONU qui rappelle aux gouvernements l’importance d’une éducation de qualité, de soins de santé de qualité. Non désolé. Nous poursuivons ces objectifs depuis des décennies, voire des siècles, bien avant l’existence de l’ONU.

Et y a-t-il quelque chose à dire sur ceux qui ont un niveau de saturation ?

Il y a une distorsion liée au fait que l’ONU donne des leçons à l’Espagne, à la Suisse ou à la Finlande sur la faim ou sur l’eau potable, alors qu’il n’y a pas de faim en Espagne, en Suisse ou en Finlande. Ou sur l’égalité des sexes. Ici, nous pénétrons dans un terrain plus accidenté. Je considère qu’en Occident, l’égalité souhaitable entre les sexes est atteinte depuis longtemps. Depuis des décennies, l’égalité des droits entre les hommes et les femmes existe, même si elle commence à être érodée précisément par les lois féministes, les quotas, les lois sur la violence de genre qui impliquent une asymétrie pénale… Bien sûr, cela n’est pas atteint dans d’autres régions du monde. : en Afghanistan ou en Somalie, les femmes sont discriminées. Elles y sont opprimées. Le piège ici est que l’ONU nous traite tous de manière égale, en égalisant par le bas. L’ONU agit comme un gouvernement mondial, ou un proto-gouvernement mondial, dans un monde extrêmement hétérogène. Quoi qu’il en soit, il faudrait moduler son message en fonction du niveau de développement et adresser des messages différents à la Finlande et à la Somalie, mais non : ce qu’il fait, c’est nous traiter comme si nous étions tous des Somaliens. Mais il y a tout un secteur idéologique et politique qui se réjouit que l’ONU nous traite comme la Somalie : je fais référence au spectre wokiste, non seulement la gauche, mais aussi la droite qui avale ces choses. L’homme politique wokiste se réjouit que l’ONU, avec toute sa prétendue autorité morale, vienne dire qu’en Espagne, nous avons également un long chemin à parcourir en termes d’égalité des sexes. L’essence du wokisme, c’est précisément une forme de néo-marxisme qui remplace la lutte des classes par la lutte des sexes, des races et des orientations sexuelles. Sa thèse fondamentale est que les femmes sont opprimées et discriminées par les hommes non seulement en Somalie, mais aussi en Suisse. Homosexuels et autres minorités sexuelles seraient opprimés par les hétérosexuels. Et les races autres que les blanches seraient opprimées, discriminées par la race blanche. Cependant, la vérité est que le type d’égalité des sexes souhaitable dans une société juste — c’est-à-dire l’égalité des droits et non l’égalité des résultats — a déjà été atteint en Occident. Et je dis égalité des résultats parce que le sophisme qu’ils utilisent est celui — par exemple — de l’écart salarial : que le salaire moyen des femmes est inférieur de 5 000 euros par an à celui des hommes, donnant à tort l’impression que le même travail est rémunéré différemment. C’est un mensonge, et en Espagne, c’est illégal depuis le statut des travailleurs de 1980. Le fait est que les femmes et les hommes choisissent des emplois différents, ce qui est autre chose. Il y a peu de femmes qui étudient l’ingénierie, non pas à cause d’une conspiration sexiste des professeurs d’ingénierie pour dissuader les femmes, mais parce que les femmes n’ont pas envie d’étudier l’ingénierie. Elles ne sont pas attirées par les carrières techniques qui ont tendance à bien payer, et voici une explication à la disparité salariale. Ou bien les femmes choisissent plus souvent que les hommes le travail à temps partiel, mais — encore une fois — non pas à cause d’un complot, mais à cause de la liberté d’action, car pour beaucoup, cela vaut la peine de ralentir leur carrière professionnelle pendant quelques années afin d’être plus disponibles à leurs enfants.

L’Agenda 2030 semble dire a priori la même chose que l’Église : faim zéro, fin de la pauvreté, santé et bien-être… L’Église en a-t-elle parlé ?

Le représentant du Saint-Siège auprès des Nations Unies, Mgr Aúza, a exprimé à plusieurs reprises des réserves, ou est venu dire que l’Église est d’accord avec les objectifs génériques, mais pour autant qu’ils soient interprétés sous un certain angle, conformément à la loi naturelle, à la morale catholique, à la doctrine sociale de l’Église, etc. En d’autres termes, ils acceptent l’Agenda pour autant qu’il soit interprété dans le sens qu’ils considèrent acceptable. Par exemple, lorsqu’on parle d’égalité des sexes, les droits sexuels et reproductifs ne sont pas inclus, ce qui, nous le savons, inclut implicitement l’avortement. Mais cela me semble un peu naïf, dans le sens où l’Agenda est ce qu’il est et les objectifs sont ce qu’ils sont. Mgr Aúza parle de ce qu’il aimerait que ce soit, si l’Église pouvait réécrire l’Agenda. Bien sûr, j’écrirais les objectifs différemment, pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté et qu’aucune porte ne soit ouverte à l’avortement, à d’autres formes de famille que la famille naturelle fondée sur le mariage entre un homme et une femme, à la fécondation artificielle, à la maternité de substitution, la transsexualité… Évidemment tout ce qui touche à la bioéthique, à la famille… où il y a des contradictions entre la doctrine catholique et l’Agenda 2030, parce que c’est de cela qu’il s’agit. Est-il logique de dire : « Je soutiens l’Agenda 2030, mais il doit être interprété selon mes principes » ? Eh bien, mais ils ne l’interprètent pas de cette façon ; entre autres parce que la formulation de l’ordre du jour ne le permet pas. Alors peut-être devrions-nous avoir le courage de prendre nos distances par rapport à l’Agenda 2030. de telle sorte qu’il n’y ait aucune ambiguïté.

Certains catholiques, comme le Nonce, ont déclaré que l’Agenda 2030 ne pouvait être assumé dans aucune institution qui se déclare chrétienne. Que peut-on faire pour le combattre ?

Eh bien, ce que vous pouvez faire, c’est expliquer ce que nous expliquons dans cette conversation, mais ce sont des choses qui ne rentrent pas dans un slogan en trois mots. Il faut du temps, des nuances… mais il faut le faire, car sous couvert de ces principes de bien apparent nous contribuons à la destruction de notre société. Par exemple, à la destruction de la famille dans la mesure où elle prive les enfants d’un père et d’une mère. Ou plus encore, dans la mesure où ils poussent le taux de natalité à des extrêmes qui le mettent déjà en danger… La durabilité, concept progressiste, est ici en jeu. Mais la société cesse d’être durable dans le sens le plus dramatique et le plus immédiat, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de changement générationnel. Il n’y a pas assez d’enfants. Et l’Agenda 2030 y contribue. Eh bien, tout cela doit être expliqué pour que les gens ne se laissent pas tromper par la bonté apparente des objectifs génériques. Il faut expliquer ce qu’il y a derrière, ce qui est implicite. Mais notre société est habituée aux slogans où ne pénètrent pas les messages qui ont un minimum de complexité.




LES SM@RT CITIES : UN PARADIS OU UN ENFER ?

[Source : Iam Mazikeen]

Les villes intelligentes sont présentées comme une solution aux défis urbains, mais elles pourraient avoir des conséquences désastreuses pour nos libertés individuelles et notre vie privée. Dans cette vidéo, nous explorons les avantages et les inconvénients des villes intelligentes et les moyens d’en tirer avantage ou au contraire de les contrer.

Plongez dans l’avenir envisagé pour les membres du C40, avec des objectifs qui vont bien au-delà des normes actuelles. Découvrez comment les données sont devenues la nouvelle richesse et comment elles pourraient être utilisées pour exercer un contrôle inédit sur nos vies.

Le site qui répertorie toutes les smart cities :
https://spring.smartcitiesconnect.org/




Atrazine dans l’eau : la fabrique de l’homosexualité ?

Par Gérard Le Maître

Robert F Kennedy Jr :

« Il y a de l’atrazine dans notre approvisionnement en eau et si vous mettez de l’atrazine en laboratoire dans un réservoir rempli de grenouilles, elle féminisera toutes les grenouilles qui s’y trouvent ».

« Et 10 % des grenouilles mâles deviendront des femelles viables capables de produire des œufs viables. Si c’est le cas pour les grenouilles, il y a beaucoup d’autres preuves que c’est aussi le cas pour les êtres humains »..

L’atrazine (2-chloro-4-(éthylamine)-6-(isopropylamine)-s-triazine) est la substance active d’un pesticide appartenant à la famille chimique des triazines (caractérisée par un cycle s-triazine), qui présente un effet herbicide.

Très utilisée depuis les années 1960 du fait de son prix modéré, de son efficacité et de son ancienneté sur les marchés, l’atrazine continue à être utilisée actuellement dans beaucoup de pays dont les États-Unis, où quelque 40 000 tonnes seraient épandues chaque année sur des cultures telles que le maïs, le blé, le sorgho et la canne à sucre ;

L’atrazine a été interdite dans l’Union européenne depuis 2003 et en Suisse depuis 2012 (?) :

En France, parmi les pesticides, l’atrazine est le principal polluant des eaux, pour cette raison, les herbicides contenant de l’atrazine ont été

  • interdits à la commercialisation à partir du 30 septembre 2002 ;
  • interdits à l’utilisation à partir du 30 juin 2003.

— De 2002 à 2006, en France, une vaste étude épidémiologique de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) réalisée en Bretagne sur quelque 3 500 femmes enceintes en début de grossesse, « a mis en évidence que les femmes ayant des traces d’atrazine dans les urines avaient 70 % de risque supplémentaire de mettre au monde un enfant ayant une faible circonférence crânienne à la naissance »…

[MAIS, MAIS… INCROYABLE et on peut être surpris, ne voulant plus de ce poison chez nous : « ILS » l’ont envoyé en grosses quantités vers des pays en voie de développement !!]

1) Depuis 2004, date de l’interdiction de l’atrazine dans l’Union européenne, et selon l’Agence européenne des produits chimiques, le ministère de l’environnement français a autorisé l’exportation de 142 cargaisons d’atrazine vers plusieurs pays en voie de développement, dont la Chine et le Pakistan. L’association Public eye reproche en mai 2017 à la France de violer la convention de Bâle et la convention de Bamako en permettant l’exportation par Syngenta des « déchets dangereux », soit selon les termes de la convention « les substances dangereuses qui ont été frappées d’interdiction […] dans les pays de production du soja pour des raisons de santé humaine ou de l’environnement »

2) L’Italie vend chaque année plusieurs centaines de tonnes d’atrazine aux entreprises agricoles brésiliennes.

Il faut savoir que nous importons grâce (ou à cause) du Mercosur énormément et de plus en plus de produits agricoles du Brésil : Viande de bœuf, poulet, des fruits, du sorgho, du soja, du maïs (transgéniques ?) et tous ces produits sont donc contaminés et nous consommons cette Atrazine sans le savoir !1

Évolution : pourquoi l’homosexualité s’est développée chez les humains ?

Normes de l’OMS sur l’eau potable

Les lignes directrices de l’OMS en ce qui concerne la qualité de l’eau potable, mises à jour en 2006 sont la référence en ce qui concerne la sécurité en matière d’eau potable.

On ne trouve pas l’atrazine dans la liste des traces à surveiller :

https://www.lenntech.fr/applications/potable/normes/normes-oms-eau-potable.htm#ixzz8CLQF0Dfu

Les conséquences sur la santé :

Le grand désordre hormonal : le livre explosif de Corinne Lalo

Ce livre révèle un scandale sanitaire à l’échelle mondiale, où les perturbateurs hormonaux appelés aussi les perturbateurs endocriniens, l’auteur révèle les effets dévastateurs de ces perturbateurs endocriniens sur le corps humain…

Alors accrochez-vous bien, car voici les conséquences sur la sexualité,

  • Une faune qui se féminise développe des anomalies génitales ou devient homosexuelle…
  • Les hommes qui perdent 70 % de leurs spermatozoïdes en une génération…
  • Une augmentation des micropénis…
  • Une augmentation des cancers des testicules de 200 % en 40 ans…
  • Des médicaments qui font pousser les seins chez les hommes…
  • Une augmentation des malformations génitales et de la stérilité chez les hommes et es femmes…
  • Changement d’orientation sexuelle…
https://www.fnac.com/a15773074/Corinne-Lalo-Le-grand-desordre-hormonal-Ce-qui-nous-empoisonne-a-notre-insu

[Voir aussi :
https://www.inspq.qc.ca/eau-potable/atrazine
et
https://www.medecinsfrancophones.ca/sites/www.medecinsfrancophones.ca/wp-content//uploads/2020/02/Pesticides.ACME_.DocumentInformation_Atrazine_FR.pdf]





Comment le fonds d’investissement Blackrock a déclenché la crise énergétique mondiale

[Source : globalresearch.ca]

Par F. William Engdahl

« Adhésion au programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030 ». Désinvestissement colossal dans le secteur pétrolier et gazier mondial qui pèse des milliers de milliards de dollars.

La plupart des gens sont déconcertés par ce qui constitue une crise énergétique mondiale, avec des prix du pétrole, du gaz et du charbon qui montent simultanément et forcent même la fermeture de grandes usines industrielles telles que celles de la chimie, de l’aluminium ou de l’acier. L’administration Biden et l’UE ont insisté sur le fait que tout cela était dû aux actions militaires de Poutine et de la Russie en Ukraine. Ce n’est pas le cas. La crise énergétique est une stratégie planifiée de longue date par les milieux économiques et politiques occidentaux pour démanteler les économies industrielles au nom d’un agenda vert dystopique. Cela trouve ses racines dans la période bien antérieure à février 2022, lorsque la Russie a lancé son action militaire en Ukraine.

Blackrock pousse l’ESG

En janvier 2020, à la veille des confinements liés au Covid, économiquement et socialement dévastateurs, le PDG du plus grand fonds d’investissement au monde, Larry Fink de Blackrock, a publié une lettre à ses collègues de Wall Street et aux PDG d’entreprises sur l’avenir des flux d’investissement. Dans le document, modestement intitulé « Une refonte fondamentale de la finance », Fink, qui gère le plus grand fonds d’investissement au monde avec quelque 7 000 milliards de dollars alors sous gestion, a annoncé un changement radical pour l’investissement des entreprises. L’argent « passerait au vert ». Dans sa lettre de 2020, Fink a déclaré :

« Dans un avenir proche — et plus tôt que prévu — il y aura une réallocation importante du capital… Le risque climatique est un risque d’investissement. » Il a ajouté :

« Chaque gouvernement, entreprise et actionnaire doit faire face au changement climatique. »1

Dans une lettre distincte adressée aux clients investisseurs de Blackrock, Fink a présenté le nouveau programme d’investissement en capital. Il a déclaré que Blackrock abandonnerait certains investissements à forte teneur en carbone, comme le charbon, la plus grande source d’électricité des États-Unis et de nombreux autres pays. Il a ajouté que Blackrock examinerait les nouveaux investissements dans le pétrole, le gaz et le charbon pour déterminer leur adhésion à la « durabilité » de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

Fink a clairement indiqué que le plus grand fonds mondial commencerait à désinvestir dans le pétrole, le gaz et le charbon. Il écrit :

« Au fil du temps, les entreprises et les gouvernements qui ne répondent pas aux parties prenantes et ne s’attaquent pas aux risques liés au développement durable se heurteront à un scepticisme croissant de la part des marchés et, par conséquent, à un coût du capital plus élevé. »

Il a ajouté :

« Le changement climatique est devenu un facteur déterminant dans les perspectives à long terme des entreprises… nous sommes à la veille d’une refonte fondamentale de la finance. »2

À partir de ce moment-là, l’investissement dit ESG, pénalisant les entreprises émettrices de CO2 comme ExxonMobil, est devenu à la mode parmi les hedge funds [fonds spéculatifs], les banques de Wall Street et les fonds d’investissement dont State Street et Vanguard. Telle est la puissance de Blackrock. Fink a également réussi à convaincre quatre nouveaux membres du conseil d’administration d’ExxonMobil de s’engager à mettre fin aux activités pétrolières et gazières de la société.

L’image est de Michael Buholzer
Copyright FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL
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La lettre Fink de janvier 2020 était une déclaration de guerre des grandes entreprises financières contre l’industrie de l’énergie conventionnelle. BlackRock est un membre fondateur du Groupe de travail sur les informations financières relatives au climat (TCFD en anglais) et est signataire des PIR (Principes pour l’investissement responsable) de l’ONU, un réseau d’investisseurs soutenu par les Nations unies qui prône l’investissement zéro carbone en utilisant les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) hautement corrompus dans les décisions d’investissement. Il n’existe aucun contrôle objectif sur les données falsifiées relatives à l’ESG d’une entreprise. En outre, Blackrock a signé la déclaration du Vatican de 2019 qui préconise des régimes de tarification du carbone. En 2020, BlackRock a également rejoint Climate Action 100, une coalition de près de 400 gestionnaires d’investissement gérant 40 000 milliards de dollars américains.

Avec cette lettre fatidique de janvier 2020, Larry Fink a lancé un désinvestissement colossal dans le secteur mondial du pétrole et du gaz, qui pèse des milliers de milliards de dollars. La même année, M. Fink de BlackRock a été nommé au conseil d’administration du Forum Économique Mondial dystopique de Klaus Schwab, l’organe politique et corporatif de l’Agenda 2030 de l’ONU pour l’élimination du carbone. En juin 2019, le Forum Économique Mondial et les Nations unies ont signé un cadre de partenariat stratégique pour accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030. Le FEM dispose d’une plateforme d’intelligence stratégique qui comprend les 17 objectifs de développement durable de l’Agenda 2030.

Dans sa lettre au PDG de 2021, Fink a redoublé d’attaques contre le pétrole, le gaz et le charbon. Fink y a déclaré :

« Étant donné l’importance cruciale de la transition énergétique pour les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan sur la manière dont leur modèle commercial sera compatible avec une économie nette zéro. »

Un autre responsable de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie :

« Là où BlackRock va, d’autres suivront ».3

En seulement deux ans, jusqu’en 2022, on estime que 1 000 milliards de dollars auront été retirés des investissements dans l’exploration et le développement pétroliers et gaziers à l’échelle mondiale. L’extraction pétrolière est une activité coûteuse et l’arrêt des investissements externes par BlackRock et d’autres investisseurs de Wall Street signifie la mort lente de l’industrie.

Vidéo : BlackRock, la société qui possède le monde

Biden : un président de BlackRock ?

Au début de sa candidature présidentielle alors terne, Biden a eu une réunion à huis clos fin 2019 avec Fink qui aurait dit au candidat :

« Je suis là pour aider ».

Après sa rencontre fatidique avec Fink de BlackRock, le candidat Biden a annoncé :

« Nous allons nous débarrasser des combustibles fossiles… »

En décembre 2020, avant même l’investiture de Biden en janvier 2021, il a nommé le responsable mondial des investissements durables de BlackRock, Brian Deese, au poste d’assistant du président et de directeur du Conseil économique national. Deese, qui a joué un rôle clé pour Obama dans l’élaboration de l’Accord de Paris sur le climat en 2015, a discrètement façonné la guerre de Biden contre l’énergie.

Cela a été catastrophique pour l’industrie pétrolière et gazière. Deese, l’homme de Fink, s’est employé à donner au nouveau président Biden une liste de mesures anti-pétrolières à signer par décret dès le premier jour en janvier 2021. Cela comprenait la fermeture de l’énorme oléoduc Keystone XL qui amènerait 830 000 barils par jour du Canada jusqu’en janvier 2021. comme les raffineries du Texas, et l’arrêt de tout nouveau bail dans l’Arctic National Wildlife Refuge (ANWR) [Réserve naturelle nationale de l’Arctique]. Biden a également rejoint l’Accord de Paris sur le climat que Deese avait négocié pour Obama en 2015 et que Trump avait annulé.

Le même jour, Biden a mis en œuvre une modification du soi-disant « coût social du carbone » qui impose une taxe punitive de 51 dollars la tonne de CO2 à l’industrie pétrolière et gazière. Cette seule décision, prise sous l’autorité purement exécutive sans le consentement du Congrès, entraîne un coût dévastateur pour les investissements dans le pétrole et le gaz aux États-Unis, un pays qui, seulement deux ans auparavant, était le plus grand producteur de pétrole au monde.4

Tuer la capacité des raffineries

Pire encore, les règles environnementales agressives de Joe Biden et les mandats d’investissement ESG de BlackRock sont en train de tuer la capacité de raffinage des États-Unis. Sans raffineries, peu importe le nombre de barils de pétrole prélevés sur la réserve stratégique de pétrole. Au cours des deux premières années de la présidence de M. Biden, les États-Unis ont fermé quelque 1 million de barils par jour de capacité de raffinage d’essence et de diesel, en partie à cause de l’effondrement de la demande de cobalt, le déclin le plus rapide de l’histoire des États-Unis. Ces fermetures sont permanentes. En 2023, une capacité supplémentaire de 1,7 million de barils par jour devrait être fermée en raison du désinvestissement de BlackRock et de Wall Street dans le domaine de l’ESG et des réglementations de M. Biden.5

Citant le désinvestissement massif de Wall Street dans le pétrole et les politiques anti-pétrolières de Biden, le PDG de Chevron a déclaré en juin 2022 qu’il ne croyait pas que les États-Unis construiraient un jour une autre nouvelle raffinerie.6

Larry Fink, membre du conseil d’administration du Forum économique mondial de Klaus Schwab, est rejoint par l’UE dont la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, a quitté le conseil d’administration du WEF en 2019 pour devenir chef de la Commission européenne. Son premier acte majeur à Bruxelles a été de faire passer l’agenda de l’UE « Zero Carbon Fit for 55 » [Zéro carbone pour 2055]. Cela a imposé d’importantes taxes sur le carbone et d’autres contraintes sur le pétrole, le gaz et le charbon dans l’UE bien avant les actions russes de février 2022 en Ukraine. L’impact combiné du programme ESG frauduleux de Fink dans l’administration Biden et de la folie zéro carbone de l’UE crée la pire crise énergétique et inflationniste de l’histoire.


F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et maître de conférences. Il est titulaire d’un diplôme en politique de l’Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique.
Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © F. William Engdahl, Global Research, 2023


Notes




Près de 5000 m² déboisés sans aucune autorisation, pour le stockage de 10 éoliennes géantes

[Source : epochtimes.fr]

Par Emmanuelle Bourdy

En juillet dernier, un gigantesque terrassement a été réalisé au niveau de Guyor Haut, dans la commune du Bez (Tarn [France]), dans le cadre d’un chantier éolien. Seulement, celui-ci a été exécuté sans aucune autorisation environnementale préalable. Une association a porté plainte contre X pour atteinte à l’environnement.

« Il s’agit de la réalisation d’une plateforme destinée à “stocker” temporairement des éléments de dix éoliennes de 125 m de haut », a indiqué le 22 août dernier sur sa page Facebook l’association Vent mauvais, qui surveille de près ce chantier illégal situé en bordure de la départementale D22, sur la commune du Bez. Car l’entreprise de TP Sévigné a démarré ce terrassement sur près de 5000 m², celui-ci ayant entraîné un défrichement important du secteur, mais sans aucune autorisation environnementale.

« Une fois de plus un opérateur éolien semble se placer au-dessus des lois »

Les éléments de ces dix éoliennes, qui doivent être stockés sur ce terrassement, devront cet automne, être acheminés sur le chantier en cours dans les hauteurs de St Amans Valtoret, en face du village d’Anglès, par le promoteur Valorem, explique Vent mauvais.

Mais l’association s’indigne, car l’ensemble de ces travaux « ne semblent pas correspondre aux caractéristiques du projet tel qu’il avait été présenté lors de l’enquête publique et approuvé par l’administration, ni avoir fait l’objet d’autorisations spécifiques ».

« Ce terrassement n’était pas inscrit, à notre connaissance, dans l’autorisation environnementale accordée à ladite société éolienne », dénonce l’association sur Facebook, « pas plus d’ailleurs qu’une coupe d’arbres en alignement à la sortie du village d’Anglès pour l’aménagement d’une plate-forme de retournement, le décaissement massif du talus de la D 52 au-dessus du pont de la Resse, la réalisation d’une piste à grand gabarit sur plus de 2 kilomètres avec un défrichement considérable du secteur, pour accéder à la zone d’implantation des éoliennes », détaille-t-elle.

Des associations ont réussi à faire stopper le chantier

Les associations environnementales surveillant de près ce chantier viennent de le faire arrêter. « L’administration (DREAL), saisie par les associations locales, a fait savoir que les travaux de terrassement de Guyor Haut sont arrêtés et qu’une déclaration préalable a été déposée pour une éventuelle régularisation », précise Vent mauvais.

Dans les prochains jours, une réunion est prévue en mairie de Le Bez, afin de donner une suite à cette affaire. Une plainte a été déposée par le collectif régional Toutes Nos Énergies-Occitanie Environnement, via son association OC.2E.

Par ailleurs, l’hebdomadaire Le Tarn libre nous apprend le renvoi de l’ancien maire de Lacaune, André Cabrol, devant la chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Castres, avec une audience prévue pour le 5 septembre prochain. André Cabrol — qui est poursuivi pour des faits de « prise illégale d’intérêt » dans le cadre de l’implantation de ce parc éolien — est cependant toujours présumé innocent à ce stade. Le porteur du projet éolien sera également jugé « pour recel de prise illégale d’intérêts ».




Des millions de Britanniques sont invités à ne pas chauffer leur maison la nuit dans le cadre des objectifs climatiques « Net Zéro »

[Source : zerohedge.com]

Par Tyler Durden

Le Comité britannique sur le changement climatique (CCC) a exhorté des millions de Britanniques à ne pas chauffer leur maison le soir afin d’aider le gouvernement à atteindre son objectif « net zéro ».

Chris Stark, le président de la commission sur le changement climatique, a déjà admis qu’il utilisait une chaudière à gaz parce qu’une pompe à chaleur est « très difficile à installer ».

Non, il ne s’agit pas d’exhorter les élites à abandonner leur jet privé au profit d’un avion de ligne, ou à ne pas brûler 1 000 litres de carburant pour sortir leur yacht. Chris Stark, directeur de la CCC, veut que les citoyens ordinaires éteignent leurs chauffages électriques (pompes à chaleur) la nuit, dans le cadre d’une campagne plus large visant à réduire les émissions, ce qui inclut l’abandon des chaudières à gaz — que Chris, un hypocrite, possède toujours.

Dans un document sur le « changement de comportement », la CCC recommande aux Britanniques de « préchauffer » leurs maisons l’après-midi, lorsque la consommation d’électricité est plus faible, ce qui permettrait théoriquement aux familles d’économiser de l’argent.

« Il existe un potentiel important de réduction des émissions, simplement en changeant la façon dont nous utilisons nos maisons », peut-on lire dans le sixième document sur le « budget carbone » de la CCC, qui explique comment le Royaume-Uni devrait réduire ses émissions entre 2033 et 2037.

« Lorsque les maisons sont suffisamment bien isolées, il est possible de préchauffer avant les heures de pointe, ce qui permet d’accéder à des tarifs plus avantageux qui reflètent les coûts réduits associés à l’exploitation des réseaux et à la production d’électricité pendant les heures creuses. »

Les détracteurs en ébullition

« Le réseau est déjà en train de s’effondrer et des idées aussi stupides que celle-ci montrent à quel point la situation va empirer », a déclaré Andrew Montford, directeur de Net Zero Watch, au Telegraph. « Il est clair que les énergies renouvelables sont un désastre en devenir. Nous avons maintenant besoin de dirigeants politiques qui aient le courage de l’admettre ».

Selon le député conservateur Craig Mackinlay, chef du groupe de surveillance « Net Zéro » de son parti, « il devient évident que l’adhésion à des budgets carbone judicieux et aux décrets de la CCC tourne à la farce ».

« La loi sur le changement climatique de 2008 devra être modifiée pour nous libérer des objectifs fous et irréalisables imposés à la population par des politiciens disparus depuis longtemps ».

« Ce dernier conseil de se geler les soirs de grand froid montre simplement que le rêve d’une énergie renouvelable abondante et bon marché n’est qu’un leurre ».

« Je suis entré en politique pour améliorer tous les aspects de la vie de mes électeurs, pas pour les rendre plus froids et plus pauvres », a-t-il déclaré au Telegraph.

Des factures moins élevées ?

La CCC insiste sur le fait qu’en suivant ces conseils, « les maisons resteront chaudes, mais les factures pourront être réduites », ajoutant : « Il s’agit d’un exemple de propriétaires qui profitent des périodes de la journée où l’électricité est moins chère ».

« L’utilisation de l’électricité pour chauffer une maison offre la possibilité de choisir un moment où les prix sont plus bas, ce qui n’est pas possible avec une chaudière à gaz », poursuit-il, ajoutant que « le chauffage intelligent des maisons comme celle-ci permet également d’utiliser au mieux le réseau et de soutenir une plus grande utilisation de la production d’énergie renouvelable bon marché ».

Ce conseil fait suite au tollé provoqué par les projets du gouvernement visant à interdire l’installation de nouvelles chaudières au fioul à partir de 2026 et à forcer les foyers à adopter des pompes à chaleur.

Downing Street a laissé entendre qu’il était désormais prêt à faire volte-face, alors que l’on craignait que cette mesure n’accroisse la précarité énergétique dans les zones rurales et ne mette à rude épreuve le réseau électrique en difficulté.

La CCC est un organisme indépendant créé par les ministres en 2008 pour conseiller le gouvernement sur la manière d’atteindre ses objectifs climatiques.

Dans son dernier rapport, la commission critique le gouvernement pour sa « lenteur inquiétante » à agir sur le climat.

Il affirme que le soutien de Downing Street à de nouvelles explorations pétrolières et charbonnières et à l’expansion des aéroports signifie que la Grande-Bretagne n’est plus un leader mondial en matière d’écologie.

Le Telegraph

Le mois dernier, M. Stark, chef de la CCC, a admis qu’il possédait encore une chaudière à gaz chez lui au lieu d’une pompe à chaleur électrique. Et il n’est pas le seul.

« J’ai une chaudière à gaz. J’aimerais ne pas en avoir, mais je vis dans un appartement et il est très difficile d’y installer des pompes à chaleur », a-t-il déclaré à la commission d’audit environnemental de la Chambre des Communes. « Le chauffagiste qui vient réparer ma chaudière à gaz — elle tombe souvent en panne — me dit qu’elles ne fonctionneront jamais. »

Faites ce que Chris dit, pas ce qu’il fait.




HVE, le label qui tue le bio

[Source : Sur le front avec Hugo Clément]

Que cache le label « Haute valeur environnementale », encadré par les ministères de l’Agriculture et de l’Écologie ? Protège-t-il vraiment les insectes ? Pourquoi fleurit-il dans les rayons des supermarchés, alors qu’en ce moment, les ventes de bio s’effondrent ? Hugo Clément a remonté les filières et découvert des modes de production surréalistes, bien loin de l’image bucolique de son logo. Ainsi, les insecticides qui tuent les papillons sont autorisés. En Loire-Atlantique, des serres de production de tomates hors-sol, labellisées HVE, sont chauffées au gaz et éclairées la nuit, en plein hiver.




Pour aider les Verts à mesurer leurs Certitudes !

Voilà ce que l’on pouvait lire dans un journal anglais, le Ampshire Advertiser from Southampton, le 17 juillet… 1852 !

[NDLR En réalité, l’origine de l’article, recopié par plusieurs journaux de l’époque, comme l’indique
https://skeptics.stackexchange.com/questions/44011/did-the-the-hampshire-advertiser-publish-an-article-about-many-droughts-in-eur semble être un article antérieur du Galignani’s Messenger sauvegardé ici.

Voir aussi :

https://www.climato-realistes.fr/emmanuel-garnier-500-annees-de-secheresses-et-de-canicules-en-ile-de-france/

]

En 1132 en Alsace, les sources se tarirent et les ruisseaux s’asséchèrent. Le Rhin pouvait être traversé à pied.

En 1152, la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable.

En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.

En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.

En 1303 et 1304, la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.

En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.

En 1440, la chaleur fut excessive.

En 1538, 1539, 1540 et 1541, les rivières européennes étaient littéralement asséchées.

En 1556, il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe.

En 1615 et 1616, la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas.

En 1646, il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs.

En 1676 des canicules à nouveau.

Les mêmes événements se reproduisirent au XVIIIe siècle.

En 1718, il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre. Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur (45 degrés C) à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison.

En 1723 et 1724, les températures étaient extrêmes.

En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie.

En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788, les chaleurs estivales furent excessives.

En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.

En 1818, les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C.

En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.

En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.

En 1835, la Seine était presque à sec.

En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre afficha 34 degrés ».


Il s’agit bien là d’un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.

Ceux qui font remarquer qu’à une époque où il n’y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l’on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sécheresses catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de morts…

Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu’on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?

C’est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l’évidence il n’y a rien de nouveau sous le soleil !

PS Amusez-vous à taper « sécheresse 1718 » sur Google [ou sur Bing qui censure moins] et vous en saurez beaucoup plus.

À moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n’a encore jamais eu d’antécédents, car provoqué par l’activité humaine.




Pesticides : l’État français condamné pour « carence fautive »

[Source : reporterre.net]

L’État a été condamné le 29 juin par la justice à réparer le « préjudice écologique » engendré par les pesticides qu’il peine à réduire.

Les pesticides qui contaminent les eaux et les sols constituent un « préjudice écologique » et l’incapacité de l’État français à les réduire est une « carence fautive ». Voici la conclusion du tribunal administratif de Paris, rendue publique le 29 juin, dans l’affaire « Justice pour le vivant ».

En janvier 2022, cinq ONG — Pollinis, Notre Affaire à tous, Biodiversité sous nos pieds, Anper-Tos et l’Aspas — avaient déposé un recours contre l’État pour son inaction face à l’effondrement de la biodiversité.

Elles faisaient remarquer que les populations d’insectes volants ont diminué de plus de 75 % en près de trente ans, ou que 41 % des amphibiens sont menacés d’extinction. Parmi les principaux coupables : les pesticides, qui empoisonnent les êtres vivants, les sols, les cours d’eau, etc. Or c’est à l’État français de valider et de maintenir sur le marché ces produits néfastes. Les cinq ONG espéraient donc, par ce recours, que la justice reconnaisse la responsabilité de l’État.

Restaurer et protéger les eaux souterraines

Le tribunal administratif de Paris n’est pas allé jusque-là. Le 29 juin, les juges ont bien reconnu l’existence « d’un préjudice écologique résultant de la contamination généralisée, diffuse, chronique et durable des eaux et des sols par les substances actives de produits phytopharmaceutiques, du déclin de la biodiversité et de la biomasse et de l’atteinte aux bénéfices tirés par l’Homme de l’environnement ».

Les juges ont toutefois estimé que « l’État ne peut être regardé comme responsable du préjudice écologique invoqué par les associations requérantes » — tout en reconnaissant que ses « insuffisances » en matière d’évaluation des risques et d’autorisation de mise sur le marché des pesticides étaient une « carence fautive ».

Le tribunal ordonne donc à l’État de prendre « toutes les mesures utiles » pour réparer ce préjudice écologique d’ici le 30 juin 2024. Plus précisément, les juges demandent de rétablir le rythme de diminution de l’utilisation des pesticides prévu par les plans Écophyto — objectifs que le gouvernement s’est lui-même fixés. Ils appellent aussi à des mesures « de nature à restaurer et protéger les eaux souterraines contre les incidences des produits phytopharmaceutiques ».

Ainsi, le tribunal n’a retenu que deux fautes : le non-respect des objectifs en matière de réduction de l’usage des pesticides, et le non-respect de l’obligation de protection des eaux souterraines. Les autres griefs invoqués par les associations requérantes (mauvaises procédures d’évaluation et d’autorisation de mise sur le marché des pesticides, absence de procédure de suivi et de surveillance des effets de ces produits, défaut d’indépendance de l’Anses, l’agence nationale qui autorise ces produits…) ont été écartés.

Condamnations multiples

Les cinq associations ont annoncé dès l’annonce du délibéré qu’elles comptaient faire appel devant la cour administrative d’appel de Paris, pour que la justice ordonne à l’État — comme cela avait été recommandé par la rapporteuse publique, lors de l’audience du 1er juin — de revoir les méthodologies d’évaluation des risques des pesticides. Les cinq ONG réitèrent leur appel : elles demandent cette révision, la réévaluation de la dangerosité des près de 3 000 produits phytopharmaceutiques homologués en France, le retrait du marché des substances problématiques, et de s’assurer que de nouvelles substances toxiques pour le vivant n’y fassent pas leur entrée.

Elles se réjouissent toutefois de cette décision.

« La justice a tranché : après des décennies d’inaction, l’État est enfin reconnu coupable de l’effondrement de la biodiversité par son incapacité à mettre en œuvre une évaluation des risques des pesticides réellement protectrice du vivant, ont-elles réagi dans un communiqué. Mais c’est aussi sa capacité à agir et la possibilité de renverser cette situation dramatique que cette décision met en lumière. Les solutions pour inverser la tendance existent, il faut les mettre en place de toute urgence. »

L’État versera à chacune de ces ONG la somme symbolique de 1 euro, « en réparation de leur préjudice moral », et leur remboursera les frais de justice. Lors du procès du 1er juin, aucun représentant du gouvernement ne s’était déplacé. Les arguments en faveur de l’État avaient ainsi été présentés par l’un des principaux lobbies des pesticides, le syndicat professionnel Phytéis.

Cette décision de justice s’ajoute à d’autres : l’État a déjà été condamné à plusieurs reprises pour son inaction climatique (« L’Affaire du siècle » et « l’affaire Grande-Synthe ») et pour sa mauvaise gestion de la pollution de l’air.




La révolution permanente du « zéro net » : une guerre contre la démocratie

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

Une intéressante chronique du Telegraph de Londres dénonce la guerre contre la démocratie que constitue la « révolution permanente du zéro net », cette obligation faite au Royaume-Uni (de la même manière qu’à l’Union européenne) d’arriver à des émissions de CO2 neutres dans un délai donné, sans le moindre égard pour la volonté des électeurs à ce sujet. Allister Heath y voit une nouvelle variante des fameux « plans quinquennaux » propres aux économies communistes planifiées, par lesquels des planificateurs centralisés imposent des objectifs et des moyens pour y parvenir, sans dire au public « l’horrible vérité » à leur sujet.

« Une nomenklatura “verte” dispose désormais d’un immense pouvoir », observe l’éditorialiste : au Royaume-Uni, tous les partis — conservateurs, travaillistes, « Lib Dems » — ont souscrit aux plans quinquennaux contraignants qui définissent les « budgets carbone » avec leurs émissions maximales, et au passage, font de l’ingénierie sociale à hautes doses.

« Savez-vous, cher lecteur, que nous sommes actuellement sous le régime de notre quatrième budget carbone de cette espèce, qui court de 2023 à 2027 ? Avez-vous conscience de ce que les deux suivants — qui nous mènent jusqu’en 2037 — sont déjà gravés dans le marbre de la loi, moyennant quoi les deux ou trois élections générales ne seront que des mascarades ? », écrit Allister Heath. Et tout écart par rapport à ces objectifs pourrait donner lieu à des procédures contre l’État de la part d’associations écologistes.

Le « zéro net » avec ou sans Brexit

Le Royaume-Uni a beau avoir quitté l’UE, les accords de Paris chapeautés par l’ONU s’appliquent aussi outre-Manche et aboutissent à des contraintes qui s’apparentent à celles mises en route dans l’Union. Ainsi, les Britanniques vont-ils comme nous être sévèrement bridés dans leurs choix de consommation, énergétiques notamment. D’ici à un an et demi, aucun logement neuf au Royaume-Uni ne pourra être équipé d’une chaudière à gaz. Dans 7 ans, il sera illégal d’acheter des véhicules à pétrole neufs. Dans douze ans, le remplacement d’une chaudière à gaz par un dispositif du même type sera à son tour prohibé.

Tout cela a été mis en place en 2008 par Ed Miliband, ministre de l’Énergie, avec une loi sur le « Changement climatique » votée par la quasi-totalité des membres du Parlement : « L’équivalent d’un nouveau traité de Maastricht, un bouleversement profond qui à terme, provoquera la réaction furieuse de l’électorat qui prendra conscience d’avoir perdu tout contrôle. » À l’origine, la baisse des émissions de CO2 devait atteindre 80 % en 2050 par rapport aux chiffres de 1990 ; en 2019, Theresa May a porté ce pourcentage à 100 %. Le tout selon un échéancier extrêmement strict.

Les trois premiers plans quinquennaux ont été respectés, note Alister Heath, entre 2008 et 2022, « sans trop d’efforts » : c’est la « combinaison d’une récession, de la désindustrialisation continue, de l’insuffisance de construction d’infrastructures et de logements neufs et du recours accru aux renouvelables » qui a rendu la chose possible.

Les nouveaux plans quinquennaux imposent la révolution contre la démocratie

Mais « la douleur s’installe », note le chroniqueur, alors que propriétaires et automobilistes sont de plus en plus frappés par les conséquences de cette politique. Au fur et à mesure que le pourcentage de coupes augmente, de nouveaux secteurs vont être touchés : l’aviation civile, le transport de marchandises, les obligations d’isolation par exemple. La « décarbonation » ne déplaît pas tant qu’elle ne touche pas visiblement au portefeuille des électeurs : une fois ce pas franchi, les électeurs s’y opposeront « avec fureur », prévoit Heath, et d’autant plus qu’ils comprendront que le législateur n’y pourra rien.

Le Climate Change Committee (CCC) qui pilote les plans et définit les arbitrages par secteur estime d’ailleurs que le recours aux nouvelles énergies et à d’autres moyens technologies ne suffira pas : « Les véhicules électriques ne suffiront pas, il faudra quand même rouler moins. Il nous faudra moins prendre l’avion, même en utilisant de l’énergie “durable”. Il nous faudra manger 20 à 35 % de viande et de produits laitiers en moins », avertit Allister Heath. Le CCC, précise-t-il, est une agence aux pouvoirs gigantesques, « que seule dépasse probablement la Banque d’Angleterre ».

La révolution du zéro net, une machine à appauvrir l’Occident

Ne pourrait-on pas nommer un président plus souple à l’heure où le CCC embauche son nouveau chef ? « De toute façon, le zéro net est sur pilotage automatique, et les échéances trop figées pour éviter des restrictions handicapantes, une très forte augmentation de la dette et des coupures d’énergie par roulement », constate le chroniqueur.

Décidément, la course vers le « net zéro » est une machine à appauvrir les pays développés. On le savait déjà, les politiques en place ne pouvaient l’ignorer : ce qui nous est imposé par l’Union européenne ou le CCC outre-Manche est ce qu’ils ont approuvé en toute connaissance de cause et complicité, contre les peuples.




Le plan de dépopulation mondiale et sa stratégie

[Source : expose-news.com]

[Illustration : Getty Images]

Les chiffres de Deagel concernant la dépopulation en 2025 sont un objectif et non une estimation. Parce qu’on n’a plus besoin de vous en raison de la naissance de l’intelligence artificielle et que la prochaine étape du plan de l’élite est d’utiliser la propagande de l’ébullition mondiale pour vous convaincre que vous êtes l’empreinte carbone qui doit être éliminée.
Un plan effrayant a été découvert, qui devrait vous choquer au plus haut point.

Depuis des décennies, les puissances mondiales orchestrent une stratégie de dépopulation, dissimulée sous le couvert de crises de santé publique, d’instabilité économique et de préoccupations environnementales.

Aujourd’hui, à l’aube de la révolution de l’intelligence artificielle, que Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, appelle affectueusement la quatrième révolution industrielle, le monde est confronté à un avenir inquiétant.

L’intelligence artificielle étant sur le point de remplacer la main-d’œuvre faiblement rémunérée, la main-d’œuvre humaine, autrefois indispensable, est soudain dépeinte comme le méchant d’une soi-disant saga environnementale qui a été baptisée de nombreux noms :

« Réchauffement de la planète », « Changement climatique » et maintenant même « Ébullition de la planète », comme le Secrétaire général des Nations unies l’a scandaleusement annoncé au monde le 27 juillet 2023 en proclamant à tort :

« Le changement climatique est là. Il est terrifiant. Et ce n’est que le début. »

« L’ère du réchauffement climatique est terminée ; l’ère de l’ébullition mondiale est arrivée. »

« L’air est irrespirable. »

António Guterres, secrétaire général des Nations unies, lors de sa conférence de presse sur le climat.
Source

En réalité, la prétendue crise du changement climatique n’est qu’un autre rouage d’un programme de dépopulation dissimulé, habilement mis au point par les pouvoirs en place.

Et la seule empreinte carbone qu’ils veulent éliminer, c’est vous.

Préparez-vous à vous aventurer au cœur de cette histoire qui fait froid dans le dos, en naviguant dans le labyrinthe des prévisions inquiétantes, des documents ultrasecrets, des politiques stratégiques et de l’histoire du changement climatique qui fait partie d’un grand dessein inquiétant.

Section 1 : Un monde piloté par l’IA et la proposition impensable

L’intelligence artificielle (IA) devient omniprésente et promet un avenir aux possibilités infinies. Mais y aurait-il un revers à la médaille ?
Imaginez un peu :
À mesure que l’IA continue d’évoluer, des millions, voire des milliards d’êtres humains ne seront plus nécessaires pour les emplois quotidiens qui, par construction, sont faiblement rémunérés.
Ils deviendront en fait des « mangeurs inutiles ».
L’establishment n’ayant pas l’intention de payer pour qu’ils vivent, un plan est en cours d’élaboration depuis des décennies, qui consiste à réduire délibérément la population humaine.
Bienvenue dans une vérité qui fait froid dans le dos et qui nous plonge dans les bas-fonds de prédictions inquiétantes et de schémas sinistres que vous ne trouverez pas sur BBC News.

Section 2 : L’oracle de la ruine — Les prévisions de Deagel en matière de dépopulation

Deagel.com est une obscure entité en ligne connue pour ses données exhaustives sur les capacités militaires et ses prévisions sourcilleuses de dépopulation pour 2025.
Nous pouvons révéler que des découvertes récentes relient directement Deagel à des acteurs importants sur la scène mondiale : La Central Intelligence Agency (CIA), le Département de la Défense des États-Unis (DoD) et la Fondation Rockefeller.
Les prévisions apocalyptiques de Deagel en matière de dépopulation pour 2025 annoncent une baisse significative de la population dans différents pays, ce qui suscite un certain malaise compte tenu des données actuelles sur la surmortalité enregistrées dans le monde entier.
Les [tristement célèbres] prévisions de Deagel.com pour 2025 ont été retirées de leur site web au cours de l’année 2020. Toutefois, grâce à la Wayback Machine/Internet Archive, nous pouvons consulter les prévisions originales avant qu’elles ne soient découvertes par des penseurs critiques.
En 2020, Deagel proposait une série de prédictions étonnantes : en 2025, ils prévoyaient que la population du Royaume-Uni diminuerait d’un pourcentage stupéfiant de 77,1 %.

Les États-Unis n’étaient pas loin derrière avec une diminution prévue de 68,5 %. L’Allemagne devrait connaître une réduction de 65,1 %, tandis que l’Australie devrait voir sa population diminuer de 34,6 %. Ces projections ont également mis en évidence des baisses significatives dans de nombreux autres pays occidentaux.

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Une liste complète des prédictions apocalyptiques originales de Deagel sur la dépopulation peut être consultée ici.
Nous pouvons confirmer que le Dr Edwin A. Deagle Jr, qui est décédé le 16 février 2021, est la figure de proue confirmée que les autorités voudraient vous faire croire qu’il est le seul à être à l’origine de Deagel.com.
Au cours de sa vie, le Dr Edwin a occupé les fonctions d’assistant du secrétaire à la défense et de secrétaire adjoint à la défense. Il a également été directeur des relations internationales de la Fondation Rockefeller, une influente organisation philanthropique mondiale.
Mais des documents déclassifiés, publiés à la suite de demandes présentées en vertu de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act), révèlent les communications de M. Deagle avec le directeur du renseignement central des États-Unis de l’époque, Stansfield Turner, ce qui prouve l’existence d’une relation avec les hauts responsables de la CIA.
L’un de ces documents, daté de 1977, fait référence à un événement décrit comme « le plus important dans le domaine du renseignement depuis 1947 ».

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Le texte intégral de la lettre adressée à Stansfield Turner, alors directeur de la CIA, par Edwin A. Deagle Jr, directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller.

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Lettre complète adressée au Dr Edwin A. Deagle Jr,
directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller,
par Stansfield Turner, alors directeur de la CIA.

La CIA a publié 23 articles FOIA concernant le Dr Deagle, la Fondation Rockefeller, le ministère américain de la Défense et l’ancien directeur de la CIA.

Ces informations montrent que Deagel.com n’est pas l’œuvre d’un seul homme, mais qu’il s’agit plutôt d’un effort concerté des principaux éléments du complexe militaro-industriel américain, à savoir la CIA, le ministère américain de la Défense et l’énigmatique Fondation Rockefeller.

Ces liens confèrent une gravité inquiétante aux sombres prédictions de Deagel en matière de dépopulation. Elles soulèvent une question qui devrait vous faire frissonner : pourquoi une organisation, étroitement liée aux structures du pouvoir mondial, prévoit-elle un avenir aussi effrayant ?

Section 3 : Le fantôme de Kissinger et la stratégie de dépopulation

Se référant à un mémorandum rédigé par le général Taylor en 1973, le général Draper et ses collègues ont présenté leur point de vue selon lequel l’explosion démographique dans les pays en développement constituait non seulement une menace pour les intérêts américains en matière d’économie et de développement de ces pays, mais aussi, plus fondamentalement, un danger pour les intérêts politico-militaires des États-Unis.

L’ombre de l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger plane sur ce discours. C’est sous sa direction qu’a été conçu le National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200), connu familièrement sous le nom de « rapport Kissinger ».

« La dépopulation devrait être la plus haute priorité
de la politique étrangère envers le tiers-monde. » — Henry Kissinger

Le rapport, formulé en 1974, a représenté un changement radical dans la politique étrangère américaine, en plaçant le contrôle de la population au premier plan de sa stratégie de sécurité. Son objectif déclaré était de s’attaquer à la croissance démographique dans les pays en développement, mais les machinations qui le sous-tendaient étaient sans doute bien plus sinistres.

Le rapport NSSM 200 identifiait 13 pays considérés comme particulièrement problématiques en raison de la croissance rapide de leur population. Le rapport préconisait des mesures de contrôle de la population et approuvait même l’idée d’utiliser la nourriture comme arme pour faire appliquer ces mesures, donnant ainsi un aperçu d’un état d’esprit déconcertant.

Une analyse complète du rapport Kissinger est disponible ici.

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La NSSM 200 et ses implications effrayantes nous amènent à poser la question suivante : se pourrait-il que la même philosophie, l’idée même du contrôle de la population à des fins stratégiques, se soit infiltrée dans le récit du monde d’aujourd’hui ? Et cette philosophie pourrait-elle être à l’origine des forces qui façonnent notre présent et notre avenir ?
Les faits le suggèrent certainement.

Section 4 : Agenda 2030 de l’ONU, écoterroristes, propagande et mensonges : Problème, Réaction, Solution

L’objectif initial présumé de l’Agenda 21 était de parvenir à un développement durable mondial d’ici l’an 2000, le « 21 » de l’Agenda 21 faisant référence à l’objectif initial du 21e siècle.
L’Agenda 2030 des Nations unies, également connu sous le nom d’Objectifs de développement durable, était un ensemble d’objectifs décidés lors du Sommet des Nations unies (« ONU ») sur le développement durable en 2015. L’Agenda 2030 a repris tous les objectifs fixés par l’Agenda 21 et les a réaffirmés comme étant la base du « développement durable ».

L’Agenda 2030 prétend protéger la biodiversité. Mais dans les méandres de ses récits et de ses intrigues secondaires se cache un sinistre scénario pour un monde avec moins d’êtres humains.

Si nous regardons au-delà de la langue de bois qu’ils utilisent pour tenter de vous convaincre qu’ils sont une force pour le bien, nous pouvons voir quels sont leurs véritables objectifs. Les docteurs Michael Coffman et Henry Lamb ont une partie des réponses.

Le Dr Michael Coffman était un auteur, un chercheur, un conférencier et un contributeur fondateur de la lutte contre l’Agenda 21 pour le développement durable. Il a été président de Environmental Perspectives, inc. et directeur exécutif de Sovereignty International.

M. Coffman a joué un rôle crucial dans l’arrêt de la ratification du traité sur la biodiversité au Sénat américain. Il est malheureusement décédé en 2017.

Henry Lamb a été le premier à découvrir l’Agenda 21 et à tirer la sonnette d’alarme. Il a écrit le livre « The Rise of Global Governance, and Agenda 21 ». Il a également produit une série de vidéos sur l’Agenda 21. Celles-ci constituent des outils inestimables pour tous ceux qui veulent savoir d’où vient cet agenda maléfique et pourquoi il faut l’arrêter. Lamb est décédé en 2012.

La conservation de la diversité biologique fait l’objet du chapitre 15 de l’Agenda 21 et a été traduite dans l’Agenda 2030 en tant qu’ODD [Objectif de Développement Durable] 15.

Protéger, restaurer et promouvoir l’utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, stopper et inverser la dégradation des sols et enrayer la perte de biodiversité.

Mais ne vous laissez pas abuser par l’utilisation des mots « conservation », « protéger » et « restaurer », car vous verrez que l’ODD 15 n’a rien à voir avec la conservation. Il n’a pas non plus grand-chose à voir avec la diversité biologique.

Les véritables objectifs de l’ODD 15 sont enfouis dans trois documents fondateurs des Nations unies. Ces trois documents sont le traité sur la biodiversité de 1992, le projet Wildlands de 1992 et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995.

Signée par 150 chefs d’État et de gouvernement lors du Sommet de la Terre de Rio en 1992, la Convention sur la diversité biologique vise à promouvoir le « développement durable ». La Convention sur la diversité biologique est également connue sous le nom de Traité sur la biodiversité.

Si la Convention sur la diversité biologique, le traité sur la biodiversité, avait été signée par le Sénat américain au cours de l’été 1994, elle « aurait imposé une réduction de deux tiers de la population humaine de la Terre en 30 à 50 ans ».

Les États-Unis peuvent remercier le Dr Michael Coffman pour cela. Mais sa contribution au retard dans l’édifice du plan de l’establishment visant à dépeupler la planète a malheureusement été enterrée avec lui en 2017.

Le concept des terres sauvages est principalement l’œuvre de David Foreman, principal fondateur du groupe écoterroriste Earth First ! et ancien membre du conseil d’administration du Sierra Club.

Le groupe utilisait des tactiques d’action directe et, contrairement aux efforts de lobbying prudents des organisations environnementales établies, le « monkeywrenching » (sabotage industriel traditionnellement associé aux luttes syndicales) allait devenir la principale tactique du mouvement Earth First ! dans les années 1980.

Le Earth First! Journal, issu de la lettre d’information Earth First !, était édité par Foreman. Dans son premier numéro, Foreman définit les objectifs de l’organisation :

« Nous ne ferons pas de compromis politiques. Laissons les autres groupes s’en charger. EARTH FIRST exposera la position pure, dure et radicale de ceux qui croient en la Terre d’abord. »

Le journal a confirmé que Earth First ! était un groupe écoterroriste.

En 1990, Foreman a été l’une des cinq personnes arrêtées par le Federal Bureau of Investigation (FBI) à la suite de l’opération THERMCON, au cours de laquelle des agents du FBI ont infiltré un groupe d’Arizona Earth First ! et l’ont encouragé à saboter une ligne électrique alimentant une station de pompage d’eau.

Bien que Foreman n’ait pas joué de rôle direct dans la tentative de sabotage, il a finalement plaidé coupable d’un délit mineur pour avoir remis deux exemplaires d’Ecodefense à un informateur du FBI et a été condamné à une peine avec sursis.

David Foreman de World First!

Le concept inhabituel proposé par le Wildlands Scheme exige une réorganisation radicale de la civilisation humaine. Il s’agit notamment de fermer les mines, de supprimer les routes dans les paysages naturels, d’arrêter l’exploitation du bois et même de déplacer les populations humaines. L’objectif est de remodeler radicalement notre interaction avec l’environnement.

« À la page 15 de The Wildlands Project, Reed Noss affirme que nous devons convertir au moins 50 % de la superficie de l’Amérique du Nord en zones de nature sauvage interdites à l’homme.

« Ces zones centrales de nature sauvage doivent être reliées entre elles par des corridors de nature sauvage interdits à l’homme. Ces zones de nature sauvage doivent être entourées de zones tampons où l’utilisation des ressources peut être limitée, sous la supervision et avec l’autorisation du gouvernement fédéral, en collaboration avec des organisations non gouvernementales. »

« La population humaine doit être réinstallée sur les 25 % restants du territoire dans des communautés qualifiées de “communautés durables”. »

L’organisation environnementale Earth First!, créée en 1980, a inauguré une forme d’action directe pour mettre fin aux menaces perçues pour l’environnement, ouvrant la voie à des groupes modernes tels que Just Stop Oil et Extinction Rebellion.

Tout comme Earth First!, ces nouveaux groupes utilisent des stratégies d’action directe et de désobéissance civile pour sensibiliser l’opinion publique et faire pression sur les gouvernements et les entreprises pour qu’ils s’attaquent aux problèmes environnementaux.

Cependant, alors que les actions de Earth First! se concentraient principalement sur des menaces spécifiques telles que la déforestation et le développement urbain, Just Stop Oil! et Extinction Rebellion opèrent avec un mandat plus large, ciblant des problèmes systémiques tels que la dépendance aux combustibles fossiles et le changement climatique.

Elles visent à transformer radicalement la relation de la société avec l’environnement afin d’atténuer les effets du changement climatique. Cependant, ils partagent tous la même conviction, à savoir la nécessité de prendre des mesures radicales pour préserver et restaurer les écosystèmes de la Terre.

Mais il est extrêmement intéressant de noter qui finance réellement ces groupes. La principale source de revenus de Just Stop Oil provient d’Aileen Getty, l’héritière milliardaire de la fortune de Getty Oil. La Getty Oil Company était une société américaine de commercialisation du pétrole, issue de la grande société pétrolière intégrée fondée par J. Paul Getty.

Le plus grand donateur d’Extinction Rebellion est le milliardaire britannique Sir Chris Hohn, qui gère le fonds spéculatif TCI. Mais TCI a fait une grande partie de sa fortune grâce à un producteur de charbon indien et possède encore aujourd’hui des parts dans trois chemins de fer qui brûlent des tonnes de diesel et expédient des combustibles fossiles. Cela inclut les sables bitumineux, l’une des pires sources de prétendus gaz à effet de serre.

Pourquoi des entités profondément liées à l’industrie du pétrole et du charbon financeraient-elles des groupes qui prônent exactement le contraire, à savoir un monde libéré de la dépendance aux combustibles fossiles ?

Les réponses peuvent être multiples : il s’agit peut-être d’un stratagème astucieux pour paraître plus respectueux de l’environnement, ou peut-être d’une tentative de contrôler le discours et d’influencer la vitesse et la direction de l’inévitable évolution vers des énergies plus « vertes ».

Quelles que soient les motivations, cette étrange alliance met en lumière l’enchevêtrement des intérêts et des influences au sein du mouvement écologiste, laissant entrevoir un tableau bien plus complexe en filigrane.

Mais revenons aux véritables objectifs de l’ODD 15, enfouis dans trois des documents fondateurs des Nations unies.

En 1996, Henry Lamb s’est exprimé au Forum de Grenade. Son discours contenait des révélations sur l’évaluation mondiale de la biodiversité :

« La Convention sur la diversité biologique fait 16 pages. Très fade, extrêmement vague… [Cependant, elle stipule] qu’une Conférence des Parties [‘COP’] doit créer un organe subsidiaire qui produira une évaluation mondiale de la biodiversité… Lors de la première réunion [de la COP tenue en 1994 ou COP1], le Programme des Nations unies pour l’environnement [‘PNUE’] leur a présenté une évaluation mondiale de la biodiversité. »

Le plan visant à « étendre les habitats naturels et les corridors pour couvrir jusqu’à 30 % de la surface terrestre » est ce que l’on appelle aujourd’hui le plan « 30 par 30 ». Ce plan a de nouveau été présenté lors de la COP15 — la conférence de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (“UNCBD”) — qui s’est tenue en décembre 2022, 30 ans après que l’écoterroriste et le porte-parole autoproclamé des oracles l’aient conçu pour la première fois.

30 par 30 est le plus grand accaparement de terres de l’histoire, commercialisé sous le couvert de la « protection de la biodiversité ». Survival International estime que ce plan infâme déplacera environ 300 millions de personnes indigènes dans le monde entier de leurs terres et forêts d’origine au nom de la « conservation ». Ce faisant, il rendra quelques privilégiés extrêmement riches.

Mais le plan en faveur de la biodiversité est plus sinistre que l’appât du gain : il déplace des populations, les entasse dans des centres urbains et leur interdit l’accès à la nature et au monde naturel. L’alternative, comme l’indique l’évaluation mondiale de la biodiversité, est la dépopulation.

Global Biodiversity Assessment, UNEP, 1995, p. 773

Les principaux objectifs de l’ODD 15, une initiative clé des Nations unies, sont subtilement inscrits dans trois de ses documents fondamentaux : le traité de 1992 sur la biodiversité, le projet de 1992 sur les zones sauvages et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995. En reliant ces politiques distinctes, mais interdépendantes, nous découvrons une feuille de route potentielle pour une réduction massive de la population mondiale.

Pris ensemble, ces documents brossent un tableau déconcertant. Sous le noble couvert de la conservation de la biodiversité, on pourrait interpréter ces initiatives comme un plan graduel et systématique visant à limiter les populations humaines, le tout sous les auspices de la protection de notre planète.

Une planète qui serait entrée dans une ère d’« ébullition globale » où « l’air est irrespirable », selon le secrétaire général de l’ONU António Guterres.

Secretaire Général de l’ONU : António Guterres

Les techniques classiques de propagande entrent ici en jeu, en particulier l’appel à la peur, qui est une méthode puissante pour influencer l’opinion publique et susciter des changements de comportement.

L’appel à la peur fonctionne en présentant une menace suffisamment grave pour inquiéter le public, puis en proposant une recommandation spécifique pour atténuer cette menace. Dans le cas présent, la menace présumée est l’« ébullition mondiale » et l’« air irrespirable ».

Un langage aussi vif et dramatique génère une anxiété immédiate quant à l’état de notre planète et à notre survie sur celle-ci. Et ce, même s’il s’agit de mensonges éhontés.

Une fois que le public est suffisamment préoccupé par la menace, le propagandiste peut alors présenter l’action recommandée. Dans ce cas, il peut s’agir de politiques climatiques agressives, de changements de mode de vie ou peut-être, comme le suggère l’objet de notre enquête, d’un plaidoyer en faveur d’une réduction de la population mondiale afin de diminuer l’impact de l’homme sur l’environnement.

Ces déclarations extrêmes créent un récit qui fait apparaître l’action souhaitée non seulement comme raisonnable, mais aussi comme absolument nécessaire à la survie. Le public, poussé par la peur et le désir de sécurité, est plus enclin à accepter cette « solution », même si elle implique des changements ou des sacrifices drastiques.

Malheureusement, ces mesures incluront le contrôle de la population/dépopulation, déguisé en réponse vitale à la fausse crise climatique.

Section 5 : Les documents confidentiels de Pfizer : Un regard sur ce que la FDA a essayé de cacher

Attachez vos ceintures, car notre enquête ouvre maintenant une boîte de Pandore : les documents classifiés de Pfizer sur son vaccin à ARNm Covid-19.

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté de retarder de 75 ans la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer, bien qu’elle ait approuvé l’injection après seulement 108 jours d’examen de la sécurité le 11 décembre 2020.

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages à la fin du mois de janvier.

Depuis, le PHMPT a publié tous les documents sur son site web.

L’un des documents contenus dans le dumping de données est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf », et il révèle ce qui suit :

90 % des femmes enceintes vaccinées par Covid ont perdu leur bébé

Pfizer indique dans le document qu’au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse.

Source — Page 12

Compte tenu du fait que les organismes de réglementation médicale, les médecins et les sages-femmes ont contraint les femmes enceintes à recevoir le vaccin Covid-19 en affirmant qu’il était sûr à « 100 % », il est extrêmement préoccupant de constater que Pfizer déclare que sur les 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse, ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé dans 238 d’entre eux.
Mais voici les résultats connus des grossesses restantes :

97 % de tous les résultats connus de la vaccination Covid-19 pendant la grossesse se sont soldés par la perte de l’enfant.

Mais si l’on inclut les 5 cas pour lesquels le résultat était encore en suspens, on obtient 82 %. Cela équivaut donc à une moyenne d’environ 90 % entre les chiffres de 82 % et de 97 %.

Pfizer et les autorités médicales ont caché les dangers de la vaccination par Covid-19 pendant la grossesse, une étude animale ayant révélé un risque accru de malformations congénitales et d’infertilité.

L’étude peut être consultée dans son intégralité ici et est intitulée « Absence d’effets sur la fertilité des femelles et le développement prénatal et postnatal de la progéniture chez les rats ayant reçu le BNT162b2, un vaccin Covid-19 à base d’ARNm ».
L’étude a été réalisée sur 42 rats Wistar Han femelles. Vingt et un ont reçu l’injection de Covid-19 de Pfizer, et 21 n’ont pas reçu l’injection.
Voici les résultats de l’étude :

Source

Le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe témoin était de 3/3 (2,1). En revanche, le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe vacciné était de 6/12 (8,3). Par conséquent, en moyenne, le taux d’occurrence était 295 % plus élevé dans le groupe vacciné.

Les côtes surnuméraires, également appelées côtes accessoires, sont une variante peu courante de côtes supplémentaires provenant le plus souvent des vertèbres cervicales ou lombaires.

Cette étude a donc mis en évidence des anomalies dans la formation du fœtus et des malformations congénitales causées par l’injection du Covid-19 de Pfizer.

Mais les résultats anormaux de l’étude ne s’arrêtent pas là. Le taux de « perte préimplantatoire » dans le groupe de rats vaccinés était deux fois plus élevé que dans le groupe témoin.

Source

La perte préimplantatoire désigne les ovules fécondés qui ne s’implantent pas. Cette étude confirme donc que l’injection de Covid-19 de Pfizer réduit les chances d’une femme de tomber enceinte. Elle augmente donc le risque d’infertilité.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires.

Une autre étude, qui figure dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été contrainte de publier sur injonction judiciaire, a été réalisée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

Chaque rat a reçu une dose intramusculaire unique de l’injection de Covid-19 de Pfizer, puis la teneur et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminées à des moments prédéfinis après l’administration.

En d’autres termes, les scientifiques qui ont mené l’étude ont mesuré la quantité de l’injection de Covid-19 qui s’est répandue dans d’autres parties du corps telles que la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

Mais l’une des conclusions les plus inquiétantes de l’étude est que l’injection de Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

Dans les 15 premières minutes suivant l’injection du vaccin Pfizer, les chercheurs ont constaté que la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml. Cette concentration est ensuite passée à 1,34 ml après 1 heure, à 2,34 ml après 4 heures et à 12,3 ml après 48 heures.

Les scientifiques n’ont toutefois pas mené d’autres recherches sur l’accumulation après une période de 48 heures, de sorte que nous ne savons tout simplement pas si cette accumulation inquiétante s’est poursuivie.

Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland, que l’on peut consulter ici, offrent quelques indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

Les chiffres relatifs au nombre de personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne 2017-2019.

Cancer ovarien — Source

Le graphique ci-dessus montre les chiffres jusqu’en juin 2021, mais les graphiques trouvés sur le tableau de bord de Public Health Scotland [Santé publique d’Écosse] montrent maintenant les chiffres jusqu’en mai 2022, et révèlent malheureusement que l’écart s’est encore creusé avec le nombre de femmes souffrant d’un cancer de l’ovaire qui a augmenté de manière significative.

Une analyse complète des documents de Pfizer peut être lue ici, mais un résumé des conclusions est présenté ci-dessous :

Dans les documents de Pfizer obtenus grâce aux demandes de la loi sur la liberté d’information (FOIA), on trouve des détails notables concernant l’impact du vaccin pendant la grossesse et son accumulation dans les ovaires.

1. Risques liés à la grossesse : Les documents révèlent un taux inquiétant de fausses couches et de morts fœtales chez les femmes enceintes ayant reçu le vaccin Covid-19. Il est confirmé qu’un pourcentage significatif de femmes vaccinées pendant la grossesse ont perdu leur bébé.

2. Accumulation d’ovaires : Les documents confidentiels de Pfizer révèlent également que le vaccin s’accumule dans les ovaires, ce qui suscite des inquiétudes quant aux effets potentiels sur la fertilité des femmes.

Si l’on examine les données réelles, certaines observations semblent correspondre aux conclusions de ces documents :

– Augmentation des cas de cancer de l’ovaire : Les données post-vaccination en provenance d’Écosse montrent une augmentation des cas de cancer de l’ovaire à des niveaux jamais atteints. La question de savoir si cette augmentation est directement imputable à la vaccination est encore à l’étude.

– Taux de mortalité des nouveau-nés : L’Écosse a également connu un niveau critique de décès de nouveau-nés à deux reprises sur une période de sept mois.

Source

– Risque de fausse couche : Une étude de données réelles suggère que la vaccination Covid-19 augmente le risque de fausse couche d’au moins 1 517 %.

Ce résumé ne présente qu’un infime pourcentage des préoccupations soulevées dans les documents confidentiels de Pfizer et des données réelles qui étayent les conclusions.

Les révélations malvenues concernant les effets néfastes sur la grossesse et les dommages potentiels aux ovaires font dresser les cheveux sur la tête. Associées à l’augmentation des taux de cancer de l’ovaire et de mortalité néonatale, elles suggèrent que cette campagne de vaccination est plus complexe qu’il n’y paraît.

En effet, ces résultats contiennent à eux seuls suffisamment d’éléments pour conclure que la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation.

Section 6 : La grande remise à zéro — un Nouvel Ordre Mondial ?

C’est là qu’intervient Klaus Schwab, l’énigmatique fondateur et président exécutif du Forum économique mondial. Schwab est un visionnaire qui a élaboré un plan baptisé « Grande Réinitialisation » ou « Quatrième révolution industrielle ». Sa vision laisse entrevoir un monde où l’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation occuperont le devant de la scène, dépassant et surpassant les capacités humaines dans de nombreux secteurs.

La vision de Schwab est celle d’un monde où les machines, grâce à leur efficacité infatigable, remplacent des millions d’emplois. Dans ce monde, les machines ne se fatiguent pas, ne tombent pas malades et ne demandent pas d’augmentation de salaire.

En substance, Schwab envisage un avenir où le besoin de main-d’œuvre humaine faiblement rémunérée est considérablement réduit, ce qui nous amène à reconsidérer nos rôles dans une société dominée par l’IA.

À ce stade, vous vous demandez peut-être quel est le lien avec les inquiétantes prédictions de Deagel en matière de dépopulation.

La mise à l’écart des humains par l’IA entraîne-t-elle une réduction du « stock » humain, et est-ce là ce que les chiffres inquiétants de Deagel laissent entrevoir ?

Les points semblent se rejoindre, créant une ligne de spéculation surprenante.

Les progrès de l’IA et de l’automatisation, un programme fortement encouragé par des personnalités influentes telles que Klaus Schwab, pourraient-ils être le prélude à une stratégie de dépopulation ? Sommes-nous en train de nous diriger vers un monde qui n’a plus besoin d’humains en grand nombre ?

Section 7 : Le récit du changement climatique — un jeu de miroir et de fumée ?

En épluchant les couches de ce récit troublant, un thème provocateur émerge du discours dominant : le dioxyde de carbone, le gaz que chacun d’entre nous émet à chaque respiration, a été présenté comme le principal adversaire de la santé de la Terre.

Ce récit pourrait-il insinuer subtilement une vérité plus dérangeante ? L’« empreinte carbone » souvent mentionnée est-elle en fait une référence voilée à notre existence en tant que « problème » ?

Ce chemin que nous avons soigneusement démêlé indique un scénario troublant d’une réalité amère à laquelle l’establishment a décidé que nous étions destinés à faire face.

En guise de conclusion, une question déconcertante se pose : dans l’ère imminente dominée par l’intelligence artificielle, la race humaine pourrait-elle être la victime ultime ? L’avènement de l’IA, considéré comme l’aube d’une nouvelle révolution industrielle, est-il inextricablement lié à une stratégie globale visant à réduire la population humaine ?

La logique est d’une simplicité effrayante : l’IA et l’automatisation prenant en charge les tâches laborieuses, la demande de main-d’œuvre humaine diminue drastiquement. La « Grande Réinitialisation » pourrait-elle donc être en réalité une « grande réduction » du nombre d’êtres humains ?

Nous sommes à l’aube d’un avenir qui défie les paradigmes traditionnels. Pourrions-nous, sans le savoir, ouvrir la voie à notre propre perte, poussés par la vision du progrès ?

Avec Deagel.com, une plateforme influencée par des entités telles que la CIA, le ministère de la Défense et la Fondation Rockefeller, qui fournit des prévisions alarmantes de dépopulation pour 2025, il semble que nous nous rapprochions à grands pas de cet avenir.

En effet, les données actuelles sur la surmortalité en Occident suggèrent fortement que les prévisions de Deagel en matière de dépopulation ne sont pas seulement une estimation, mais qu’il s’agit en fait d’un objectif qui est en passe d’être atteint, en partie grâce aux effets mortels de la vaccination Covid-19.

Source

Au terme de cette exploration de l’impensable, considérons ceci : le dioxyde de carbone — un gaz que nous exhalons [et que les plantes utilisent pour la photosynthèse] — est présenté comme l’ennemi juré de la planète.

Est-il possible que nous soyons amenés à accepter une dure vérité : pour réduire notre empreinte carbone, nous devons réduire notre empreinte humaine ?

L’histoire que nous avons décrite brosse un tableau inquiétant. Mais s’agit-il d’une théorie du complot farfelue ou d’une vérité dérangeante ? Seul l’avenir nous le dira. En guise de conclusion, nous vous laissons réfléchir à une idée qui fait froid dans le dos : dans un monde où l’IA règne en maître, l’humanité sera-t-elle le prix à payer ? Préparez-vous à un avenir tout sauf ordinaire.




Pierre-Antoine Plaquevent et la conspiration ploutocratique

Par Nicolas Bonnal

Voici un travail sensationnel, formidablement documenté et référencé. Il commence par un long rappel de la catastrophe vaccinale à travers non pas les âges, mais les mois et les années, catastrophe miraculeusement passée sous silence. On citera encore Guy Debord qui notait alors dans ses Commentaires :

« Jamais censure n’a été plus parfaite. Jamais l’opinion de ceux à qui l’on fait croire encore, dans quelques pays, qu’ils sont restés des citoyens libres, n’a été moins autorisée à se faire connaître, chaque fois qu’il s’agit d’un choix qui affectera leur vie réelle. Jamais il n’a été permis de leur mentir avec une si parfaite absence de conséquence. Le spectateur est seulement censé ignorer tout, ne mériter rien. »

L’excellence du travail de Pierre-Antoine Plaquevent permettra à tous les béotiens en la matière de maîtriser la plupart des paramètres de cette globalisation devenue folle et dangereuse. Le livre insiste aussi sur le péril chinois qui s’est manifesté lors de la crise du Covid et qui a démontré la collusion entre l’empire totalitaire chinois et l’OMS de l’effrayant Bill Gates. La progression de la tyrannie numérique et de la gouvernance totale — par-delà l’inconstante et bien vague gesticulation des Brics — n’échappe qu’aux aveugles qui en sont restés aux enfantillages des camps des bons et des méchants, à un manichéisme de théâtre. La réalité que montre la situation actuelle est totalement orwellienne : il y a une élite technocratique et politique qui se renforce partout et un troupeau politique qui se renforce partout dans son acceptation aberrante de la situation (servitude volontaire, que de crimes ne commettra-t-on pas en ton nom ?).

La gouvernance est rendue possible par les progrès de la science et de la technologie. Plaquevent invente un néologisme dans ce domaine : la technosophie.

« La volonté de transcender les capacités humaines par la technoscience et l’ingénierie génétique est un fil conducteur de sa pensée, une véritable gnose de la technique. J’emploie pour ma part le terme de technosophie pour designer cette croyance quasiment religieuse dans les capacités de transformation du genre humain et même de l’ensemble du vivant par la science et la technique. »

Pierre-Antoine rappelle les hauts faits de la famille Huxley dotée d’un pouvoir formidable après la Guerre grâce à l’UNESCO :

« En 1939, Julian Huxley était déjà à l’origine du Manifeste des généticiens, un écrit collectif qui s’intéressait aux moyens nécessaires pour l’amélioration sociale et biologique de l’humanité dans son ensemble. Parmi ceux-ci, était déjà envisagée l’idée d’une fédération. »

Le mondialisme est un humanisme et un transhumanisme !

Mais parlons d’un point de vue de lecteur : en tant que recenseur du présent permanent j’ai particulièrement apprécié l’aperçu historique qui dans ce livre montre l’ancienneté de cette conspiration essentiellement anglo-américaine. Les allusions à Galton notamment sont excellentes. J’ai parlé plusieurs fois de termites et de la hiérarchie de castes et de la resucée sacerdotale (cf. Abellio). Sur Galton Plaquevent écrit :

« Mais Galton lui donne un second sens : la race désigne une classe sociale. Les différences entre les classes sociales, visibles par la réussite sociale, s’expliquent par des facteurs héréditaires. C’est la démarche initiale à partir de laquelle il construira l’eugénisme. Il divise la “race anglaise” en trois classes sociales : l’aristocratie, à laquelle il s’identifie, qui correspond à l’élite et qu’il appelle les “désirables” (the gifted class), la bourgeoisie encore acceptable, mais sans talent particulier et une classe importante de pauvres qu’il appelle les “indésirables”. Selon Galton et ses contemporains, la pauvreté correspond à un état biologique : le pauvre est pauvre, car il est déterminé biologiquement ainsi. »

Le pauvre devient un indigne. On ne le sait que trop maintenant. Au fur et à mesure que les riches ne sont plus accablés d’impôts, les pauvres le sont. Et la dette de la nation savamment augmentée par chaque gouvernement est là pour les emprisonner puis les réduire.

Ces lignes sur Galton me semblent essentielles pour expliquer la situation française actuelle. Par exemple : on n’a plus de droite ni de gauche (au sens d’une vision culturelle ou idéologique du monde : il n’y a plus non plus de religion catholique). Par contre on a un président (vive cette constitution de la cinquième république, tant vantée par les imbéciles, et qui devait tôt ou tard nous mener à cette catastrophe dictatoriale) pour les riches ou, comme disait le peu regretté Hollande, les très riches. La mise en place de la ploutocratie progressiste avait été sentie par des esprits comme Drumont, Bernanos ou Céline (voyez mes textes sur cette question) ; et là, explique Plaquevent, elle a été mise en place dans le cadre d’une gouvernance technique, bancaire et sanitaire du monde. Dès les années 1910 Jack London en parle dans le Talon de fer en dénonçant une élite de businessmen qui désire bien faire (la philanthropie milliardaire) ; et Chesterton dans son roman à clés Un nommé Jeudi parle de cette conspiration milliardaire contre laquelle nations et policiers ne peuvent déjà plus rien. Les grands initiés et autres prédateurs (le Horla de Maupassant) ont gagné la partie.

Sur ce point précis de la conspiration milliardaire progressiste Plaquevent explique que :

« C’est en fait tout un milieu eugéniste de “gauche” libéral au sens anglo-saxon de ce terme) qui sera à l’origine de la fondation des grands organismes culturels, politiques et sanitaires de la gouvernance mondiale. Avec l’appui de grands argentiers mondialistes comme la famille Rockefeller, les bases d’une planification démographique globaliste et eugéniste furent élaborées et mises en place à cette époque, dans l’immédiat après-guerre. »

Les objectifs restent certains de ceux du nazisme, mais il va falloir s’y prendre of course autrement :

« Après la défaite militaro-politique de l’hérésie politique du socialisme internationaliste que fut le national-socialisme, l’eugénisme prenait désormais la forme unique et décomplexée d’un eugénisme humanitaire, projeté à l’échelle planétaire et cosmopolitique. »

Relire Smedley Butler sur cette proximité idéologique et comportementale entre nazisme et gouvernance dictatoriale-démocrate aux USA.

La dangerosité de ce monde moderne dominée par de progressistes forces d’argent n’est plus à démontrer ; la littérature populaire s’en est saisie (que l’on pense à Fantômas…) au début du vingtième siècle quand les 300 qui dirigent le monde (Rathenau) se connaissent déjà tous ; la guerre facilitera la gouvernance mondialiste une fois écrasée l’Allemagne (First we take Manhattan then we take Berlin comme dit la chanson du contre-initié Léonard C.). Gustave Le Rouge a publié un livre nommé la Conspiration des milliardaires… tous américains.

Mais restons à la nôtre d’époque. Plaquevent rappelle l’incroyable :

« Le 15 mai 2009, se réunissait à New-York un groupe restreint de milliardaires parmi les plus influents afin de débattre des “problèmes de la planète” selon l’expression consacrée. »

Comme on sait le problème de la planète, c’est nous, les huit milliards moins riches ! Pierre-Antoine ajoute :

« Parmi ceux-ci on retrouvait : Bill Gates, George Soros, Warren Buffett, David Rockefeller, Ted Turner et Oprah Winfrey. Mais aussi d’autres personnalités moins connues du grand public francophone comme le couple d’affairistes Eli et Edythe Broad. »

Le dernier nommé semble avoir été un contre-initié de haut vol notamment dans le domaine de l’architecture. On reverra à ce sujet l’œuf du serpent de Bergman dont le message implicite est le suivant : « toutes les villes et constructions nouvelles n’avaient qu’un but de contrôle psychologique et social. »

Passons à la fameuse « bombe démographique », brandie par ceux-là mêmes qui remplissent nos villes de migrants pour aboutir à leurs fins.

Le livre évoque bien sûr ces menaces, notamment celles des démographes catastrophistes des années 60-70 (les Ehrlich) dont toutes les prédictions se sont révélées fausses. On lit, car c’est édifiant (cf. notre planète en ébullition) :

« Bien que ses vues restent inchangées en matière de démographie planétaire, Paul Ehrlich semble quelque peu obligé de refréner ses anxiétés compte tenu des nombreuses prophéties catastrophistes qu’il annonçait dans les années 70 et qui ne se sont pas réalisées. Parmi ces prédictions, on peut citer les suivantes dont certaines sont assez étonnantes :

« Dans dix ans, toute vie animale importante dans la mer aura disparu. De vastes zones côtières devront être évacuées à cause de la puanteur des poissons morts. »
« La chute des températures ferait s’enfoncer les calottes glaciaires dans l’océan, produisant “un raz-de-marée mondial qui pourrait anéantir une grande partie de l’humanité” et faire “monter le niveau de la mer de 60 à 100 pieds”. »

Soixante ans donc de tartines Rousseau relayées par Al Gore. Il semble que la montée non pas des océans, mais de l’imbécillité médiatique rende la croisade de ces fous possible aujourd’hui. Ici on retrouve le R.P. Bruckberger et cette obsession suicidaire de la race blanche rendue possible par une déchristianisation massive et totale (Notre-Dame, es-tu là ?).

Pierre-Antoine rappelle nûment :

« Surtout, comme nous le verrons plus loin, ce type de discours catastrophistes servira de prétexte à des formes d’ingérences dépopulationnistes à travers le monde entier. Interventions dont l’habillage humanitaire-sanitaire camoufle mal des objectifs très concrets de domination géopolitique. »

La dépopulation est déjà là en Europe, de la France à l’Allemagne en passant par la Pologne. Effondrement de la natalité et explosion de la mortalité. Sous Hollande et Macron (vive les socialos que dénonçait Trotski justement, toujours alliés des milliardaires et du capital américain depuis les années vingt), la natalité française est passée de 800 000 à 600 000. Ce dépeuplement voulu et coordonné est en bonne marche, accompagné d’une invasion migrante extravagante.

C’est Tocqueville qui écrit quelque part (je cite de mémoire) :

« Je pense, qu’à tout prendre, l’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures qui aient paru sur la terre… c’est de ce côté que les amis de la démocratie doivent sans cesse tourner avec inquiétude leurs regards ; car, si jamais l’inégalité permanente des conditions et l’aristocratie pénètrent de nouveau dans le monde, on peut prédire qu’elles y entreront par cette porte. »

Et l’objet de cette manufacture aujourd’hui c’est la biomasse humaine qu’il faut à la fois réduire et transformer. C’est nous.

On vous laisse découvrir ce merveilleux ouvrage immense et protéiforme (le tome deuxième est plus techno-scientifique et orienté sur les manipulations climatiques), véritable encyclopédie des conspirations ploutocratiques et génocidaires en cours. J’ai bien sûr insisté sur les points qui m’étaient le plus familiers (tout le monde n’est pas encyclopédiste !).




1ᵉʳ août 2023 : les nouvelles mesures vexatoires du gouvernement français, pour remplacer celles d’avant

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

[Illustration : photo BERTRAND GUAY / AFP]

Par Pierre-Emile Blairon

Les nouvelles mesures gouvernementales sont édictées, comme d’habitude, en plein été, un 1ᵉʳ août, quand tout le monde est en vacances, s’apprête à y aller, ou sur la route, en chemin de retour, de telle manière que ces mesures impopulaires passent inaperçues.

Nous allons détailler ces nouvelles mesures, mais il en est une qui détermine le calendrier, dès l’abord, c’est la fin du pass sanitaire, mesure entérinée par le Parlement le 26 juillet 2023, le gouvernement se donnant toutefois la possibilité d’y recourir encore en cas d’émergence d’un nouveau variant, par exemple, on n’est jamais trop prudent.

Cependant, la suppression de cette contrainte n’a rien de réjouissant : elle annonce simplement que nos « élites » ont trouvé encore mieux pour nous « emmerder », comme dit si bien le président de ce qui reste de notre pays : il s’agit des mesures concernant le pseudo-réchauffement climatique, qui vient remplacer dans la panoplie des mesures liberticides celles qui concernaient la pseudo-pandémie et autres fariboles. Le dessin qui accompagne ce texte est tout à fait parlant : en 2020, la pseudo-pandémie, en 2021, les pseudo-vaccins, en 2022, la pseudo-invasion russe (en réalité, la guerre déclenchée en Ukraine par l’OTAN et ses vassaux européens) et, en 2023, le pseudo-réchauffement climatique. Tout est « pseudo », tout est mensonge !

Toutes les décisions vexatoires qui vont désormais restreindre encore les libertés fondamentales des Français seront produites par cette nouvelle manipulation.

Vous avez aimé le Covid, le vaccin, la guerre en Ukraine ? Vous allez adorer l’urgence climatique. On dit que le diable se cache dans les détails, le pseudo-réchauffement climatique se cache dans chacune de ces nouvelles dispositions édictées à la sauvette.

Augmentation du prix de l’électricité de 10 %

En 2019, la France était le premier exportateur d’électricité au monde (17,3 % des exportations mondiales) grâce à la production de ses 56 centrales nucléaires. En août de l’année dernière, elle n’avait plus que 30 réacteurs en état de marche, notre gouvernement ayant stupidement (ou, pire et plus probable, en toute connaissance de cause) cédé aux injonctions pseudo-écologistes européennes et surtout allemandes de désactiver 14 réacteurs d’ici à 2035, les deux réacteurs de la centrale de Fessenheim étant désormais fermés et les 14 autres étant inactifs pour cause de « maintenance ». C’est désormais la Suède, suivie de l’Allemagne (quelle coïncidence !), qui sont les plus importants producteurs européens d’électricité.

Les Espagnols et les Portugais, eux, se sont séparés du système européen pour devenir indépendants sur ce point en ayant pour objectif de réduire la facture électrique des ménages et des entreprises de 30 %.

Et en France ? Eh bien, la même facture qui va baisser pour la péninsule ibérique va augmenter en France de 10 % pour les ménages et les toutes petites entreprises, ce qui entraînera un coût supplémentaire annuel de 160 euros en moyenne par ménage ou TPE.

Comment EDF explique-t-elle une telle situation ? En partie, par « une moindre disponibilité en 2022 des moyens de production d’électricité en France en raison de deux principaux facteurs : la sécheresse qui impacte la capacité de production des centrales hydrauliques », et par les opérations de maintenance sur les réacteurs nucléaires « qui cumulent celles reportées à la suite des contraintes liées à la crise sanitaire Covid et les nouvelles opérations nécessaires apparues entre-temps ».

On voit que le rédacteur de ce texte évoque une sécheresse (à venir ?) qui est tout aussi « pseudo » que le reste, de même que la pseudo-« crise sanitaire Covid ».

En réalité, le PDG d’EDF en poste alors, Jean-Bernard Levy, a vivement critiqué le projet du gouvernement de démanteler la filière nucléaire, c’est pour cette prise de position qu’il a été « remercié » : « On n’a pas de problèmes d’expertise, les compétences, les experts, on les a […]. On a beaucoup de chantiers en parallèle et, d’une certaine manière, on manque de bras, parce qu’on n’a pas assez d’équipes formées […]. Un soudeur, un tuyauteur, il faut deux, trois ans pour le former », dit-il. « Et pourquoi on n’a pas assez d’équipes formées ? Parce que l’on nous a dit que le parc nucléaire va décliner, “préparez-vous à fermer des centrales”. Évidemment, on n’a pas embauché des gens pour en construire 12, on a embauché des gens pour en fermer 121 ».

Merci qui ? Merci, Macron !

La pseudo-sécheresse

Il a plu en Provence, fait exceptionnel, trois semaines durant, tous les jours, pendant une période à cheval entre mai et juin 2023. Nous sommes donc le 1ᵉʳ août 2023, et il pleut en France un peu partout comme vous le voyez sur cette capture d’image de Météo-France, sauf sur la Provence qui a déjà eu sa part. Rien de plus habituel. Mais la réalité importe peu à nos « élites » ; vous pouvez toujours prétendre que l’herbe est verte, vos dirigeants feront tout pour vous faire croire qu’elle est rouge.

J’ai vainement tenté de consulter les cartes proposées par le Ministère de la Transition écologique (propluvia.developpement-durable.gouv.fr) concernant l’emplacement géographique des restrictions d’eau et les arrêtés préfectoraux régissant ces restrictions, je tombe inévitablement sur le code 404 not found, ou sur les cartes éditées en 2022.

Beaucoup de fontaines en Provence ont été asséchées par décret préfectoral l’année dernière et leur débit n’a pas été rétabli alors que nos fontaines constituent un atout touristique indéniable dans le pays qui est le plus visité au monde.

Nombre de questions sur le sujet resteraient en suspens, et l’omerta gouvernementale aurait pu perdurer, si le sénateur Alain Houpert, au micro d’Alain Bercoff sur Sud-Radio le 12 avril 2023, ne nous avait alertés sur les raisons véritables de cette nouvelle manipulation. Il nous apprend, en effet, que le gouvernement français aurait signé un accord avec les pays du Golfe échangeant l’eau du territoire français contre des hydrocarbures à raison de 4 milliards de m³ par an, soit la totalité de la consommation des Français2. Cette eau serait acheminée par 66 tankers au départ de Fos et de Martigues, puisée dans la Durance et le Verdon via l’étang de Berre pour 800 millions de m³ et le reste… dans les nappes phréatiques ! alors, Français, évitez de vous doucher tous les jours, de laver votre voiture et d’arroser votre jardin pour que les magnats du pétrole puissent faire pousser des villes nouvelles dans le désert, comme ce projet titanesque dont les travaux ont déjà débuté, et dont Ouest-France du 14 janvier 2023 nous communique quelques caractéristiques :

« Imaginez un mélange des Los Angeles futuriste du film Blade Runner et de la Cité radieuse de Le Corbusier, en version écolo… “The Line”, un long immeuble monolithe recouvert de miroirs, large de 200 m et qui s’étire sur 170 km (et haut de 500 m, ndlr) abritant une ville futuriste, est le projet fou de Mohammed ben Salmane, dit “MBS”, prince héritier d’Arabie Saoudite3. »

[Voir aussi :
NEOM]

Mais on peut se demander, avec le sénateur Houpert, pourquoi Ben Salmane ne construit pas des usines de désalinisation à un prix bien inférieur à ce projet, au lieu de vouloir priver d’eau nos compatriotes, avec la complicité (pleine de duplicité) du gouvernement français ?

Les tickets de caisse supprimés

C’est le volet « amusant » de notre article par son absurdité et par son impréparation totale, si ce n’est que, depuis un an, les caissières de supermarché nous ont demandé systématiquement si nous voulions le ticket de caisse à la fin de nos achats. C’est comme pour un mariage : « oui, je le veux ». Les caissières ont bien appris de leurs supérieurs qu’il fallait promouvoir les mesures de « progrès », même si ça devait leur coûter leur emploi (là-dessus, leurs supérieurs sont restés muets) ; c’est ainsi qu’elles ont accepté avec enthousiasme de vous diriger vers les caisses automatiques qui constituent la mort certaine de leur activité au bénéfice des robots, mais surtout des patrons qui n’auront plus à gérer le personnel humain et ses inévitables complications.

Dans le même esprit, « par mesure d’économie », à partir de ce 1ᵉʳ août 2023, les tickets de caisse (ainsi que les reçus de carte bancaire) ne seront plus distribués automatiquement aux clients.

« À la caisse, il faudra dorénavant demander explicitement au vendeur l’impression du ticket de caisse pour tout achat. Cette mesure fait suite à la loi relative à la lutte contre le gaspillage votée en février 2020. Cette mesure doit permettre de faire des économies de papier, alors que 12 milliards de tickets de caisse sont imprimés chaque année dans l’Hexagone. »

(Les Échos, 29 juillet 2023.)

12 milliards de tickets, vu comme ça, ça paraît beaucoup. Mais mettons en parallèle ce nombre extravagant de 12 milliards avec la quantité de publicité papier déposé dans nos boîtes aux lettres, laquelle quantité ne souffre, elle, d’aucune restriction.

Il est distribué chaque année environ 1 million de tonnes de prospectus publicitaires dans les boîtes aux lettres françaises, au nombre d’environ 20 millions, ce qui correspond à 40 kg de prospectus par an et par boîte, soit 12 millions d’arbres abattus. Et savez-vous quelles entreprises distribuent massivement ces prospectus ? Oui, vous le savez : ce sont les super et hypermarchés à plus de 90 %. Comparez donc ces 40 kg de prospectus, c’est-à-dire 40 000 gr, dans votre boîte avec le poids de vos tickets de caisse pour une année, 100 gr, 150 gr, 200 gr ?

Voilà donc où se situe l’absurdité, on s’empressera de sourire, voire de rire franchement, sachant que le deuxième volet de cette loi permettra de « limiter l’exposition de la population aux substances dangereuses pour la santé présentes sur la majorité des tickets imprimés »

En revanche, vous pouvez manger sans problème les 40 kg de papier distribués dans votre boîte aux lettres pour les faire disparaître, tout comme il nous est recommandé de manger des insectes, ce qui n’est pas dangereux non plus ? À vrai dire, nos décideurs n’ont que faire de notre santé.

Et comment prouver, comme cela arrive très souvent, et toujours au bénéfice du vendeur, que vous avez acheté un produit qui s’avère défectueux, ou facturé à un prix qui ne correspond pas au prix vu sur l’étalage ? Eh bien, vous devrez laisser vos coordonnées, messagerie électronique, numéro de téléphone, et on vous enverra la note, si vous la demandez. Bien compliqué, n’est-ce pas ? Et, bien sûr, vos données personnelles seront « sauvegardées », ben voyons…

Enfin, et nous revenons au problème de l’eau, il faut savoir que la fabrication du papier est très consommatrice en eau puisqu’il faut environ 500 litres d’eau pour fabriquer 1 kg de papier. Là aussi, comparons les 40 000 gr de prospectus avec les 150 gr de tickets…

Il reste au consommateur un joker : nous pouvons demander à la caissière le ticket de caisse en papier, sur le champ, qui ne peut pas nous être refusé, même si l’on vous dit le contraire.

La chambre d’agriculture des Pyrénées-Orientales informe ainsi ses membres :

« Si le client en fait expressément la demande, vous ne pouvez pas refuser l’impression de son ticket, et ce, même si un ticket dématérialisé lui a été transmis. Vous n’avez pas, en tant que professionnel, l’obligation de demander formellement au client s’il souhaite ou non son ticket. C’est au consommateur qu’il revient de vous le réclamer. »

Tenez-vous le pour dit.

Déblocage du plan épargne logement

Dernière mesure édictée ce 1ᵉʳ août et qui ne semble pas concerner ce pseudo-réchauffement climatique, il s’agit de l’assouplissement des conditions d’usage du Plan d’épargne logement (PEL).

« Désormais, ce livret pourra être partiellement débloqué pour financer la rénovation thermique d’un logement. Jusqu’alors, le retrait des encours d’un PEL signifiait de facto la clôture du livret puisqu’il permettait uniquement l’achat d’un bien immobilier. Le gouvernement veut ainsi encourager la transition écologique au niveau des logements par la rénovation thermique, souvent très coûteuse, mais efficace en termes d’économies d’énergie. Grâce à ce mécanisme, les détenteurs d’un PEL pourront débloquer une partie des fonds pour financer des travaux thermiques sans clôturer le livret. » (Les Échos, 29 juillet 2023)

Eh bien oui, cette mesure concerne directement les « économies d’énergie » et va permettre la disparition plus rapide de nos villages. Il faut s’en reporter à notre article du 27 décembre 2022 sur ce même site : Comment faire disparaître radicalement le patrimoine français ?

Conclusion : Une pseudo-science journalistique massive

Il nous reste à conclure en citant les propos du prix Nobel de physique 2022, John Clauser (photo), qui lui a valu l’annulation de la conférence qu’il devait donner devant les membres du FMI, conférence intitulée Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ? Parlons-en.

« Le narratif commun sur le changement climatique, explique-t-il, constitue une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique massive. À son tour, celle-ci s’est fait bouc émissaire de quantité de maux qui n’ont aucun rapport. »

Difficile d’être plus clair.

« Il n’y a pas de crise climatique », insiste le spécialiste mondial de l’intrication quantique, usant ainsi d’une formulation qui fait un écho (sans doute volontaire) à la déclaration Clintel du même nom, qui rassemble plus de 1500 signatures, dont celle d’un autre prix Nobel de physique, Ivar Giaever.

« En revanche, ajoute Clauser, il y a un problème bien réel celui-là, qui est de fournir un niveau de vie décent à une large part de la population mondiale ». Le scientifique conclut sa déclaration en soulignant que la crise énergétique actuelle est « inutilement exacerbée par ce qui, à mon sens, est une science climatique incorrecte. »

(Valeurs actuelles du 10 mai 2023.)

Notes :

1 La Dépêche du 7 septembre 2022

2 « La consommation d’eau en France — essentiellement pour l’agriculture et l’eau potable — s’établit à 4,1 milliards de m³ en moyenne par an sur la période 2010-2019, selon la nouvelle estimation publiée mercredi par le Service des données et études statistiques (SDES) du ministère de la Transition écologique. » (ICI, France bleu, 30 mars 2023).

3 « The Line », ville futuriste de 170 km de long, verra-t-elle le jour en Arabie saoudite ?




« Pass carbone » : leur plan dévoilé et c’est explosif !

[Source : @FLORIANPHILIPPOT1]

[À partir de 3:40]




Silence Radio, il a coulé ! Naufrage du Cargo « Felicity-Ace » Porte-Voitures Électriques

[Source : fr.linkedin.com]

Par Jean-Louis Blairvacq

Le 28 février 2022, ce cargo chargé de 4108 voitures des marques du Groupe VW a pris feu. Ce feu aurait pris parmi les 3000 voitures électriques de Luxe à son bord. Il a coulé le 1er mars par 3000 m de fond dans l’Atlantique ! … Vous en avez entendu parler ? Non ? Étrange ! C’est Le Canard enchaîné qui ose le dire !

Le Felicity Ace est un cargo porte-conteneurs-roulier panaméen appartenant à la compagnie Mitsui O.S.K. Lines. Mis en service en 2005, il subit un important incendie en février 2022 dans l’océan Atlantique avant son naufrage au large des Açores le 1er mars 2022.

Le navire reliait l’Allemagne aux États-Unis, il contenait notamment des véhicules de luxe, l’incendie est déclaré le 16 février 2022 et se serait déclenché sur des batteries lithium-ion présentes sur les véhicules. Les 22 membres d’équipage sont évacués du navire sains et saufs, la procédure de remorquage débute le 24 février, cependant le navire subit une gîte et coule le 1er mars 2022, il repose à environ 3 000 m de profondeur1.

Le Canard enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l’absurdité des directions écologiques dans lesquelles s’est engagée la France. Il ne faut pas oublier en ligne de mire :

La voiture électrique censée être la solution d’avenir pour sauver la planète.2

On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir… et surtout la seule voie pour sauver la planète. À cette fin, la France s’est engouffrée tête baissée dans le Tout électrique, mais sans aucun discernement. Pourtant, nos gouvernants ont enjoint aux constructeurs automobiles de tout miser sur l’électrique. Soit ! Mais qu’est-ce que cela signifie ?

D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l’heure actuelle ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km. Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glace, du dégivrage ou de la climatisation !

Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie. Et là, il faut s’attarder un instant. À l’heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et… bourrées de métaux rares.

Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel. Or le nickel est plutôt rare sur notre terre. Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel ». Extraction du nickel à Goro en Nouvelle-Calédonie. Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver. Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle-Calédonie et son extraction est une vraie galère, car on ne le trouve jamais à l’état pur. Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion. Par conséquent, il faut creuser et creuser, encore, broyer, cribler, hydrocycloner3 pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins. Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l’on déverse la plupart du temps dans la mer ! Mais qu’importe la biodiversité pour les Khmers verts qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n’a pas de prix pour eux. Il n’y a pas que le nickel en jeu.

Il y a aussi le lithium. Extraction du lithium en Bolivie. Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes. Pour l’extraire, on pompe sous les salars (les lacs salés asséchés), ce qui entraîne une migration de l’eau douce vers les profondeurs. Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d’eau.

Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu’on va chercher au Congo. Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour seulement 2 € par jour (les échos du 23/09/2020). Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur. Alors, le travail des enfants, ça reste un détail ! …

Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.

On fait donc des carrosseries en aluminium dont l’extraction génère ces terribles boues rouges, déchets insolubles (issus du traitement de l’alumine avec de la soude) et qui sont composés de plusieurs métaux lourds, tels que l’arsenic, le fer, le mercure, la silice, et le titane, que l’on déverse aussi, dans la mer, au mépris des questions d’environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.

Voilà ce qu’est le développement « durable » selon nos écologistes.





Qui veut la mort de l’élevage en Europe ?

[Source : fr.irefeurope.org]

Par Aymeric Belaud

Dans un rapport publié le 22 mai 2023 intitulé « Les soutiens publics aux éleveurs bovins », la Cour des comptes sort de son rôle pour sombrer dans l’écologisme militant. Constatant que « l’élevage bovin est ainsi responsable en France de 11,8 % des émissions d’équivalents CO2 », elle prône « une réduction importante du cheptel » afin de respecter les « engagements de la France en matière de réduction des émissions de méthane ». Selon ses dires, « cette réduction peut être aisément conciliée avec les besoins en nutrition des Français, un tiers d’entre eux consommant davantage que le plafond de 500 g par semaine de viande rouge préconisé par le plan national nutrition santé ». La Cour envisage ainsi un rationnement de viande rouge pour les Français ; sans doute quelques fonctionnaires mettront-ils en place des tickets de rationnement numérique…

Attaquer l’élevage bovin n’est pas le seul fait de la Cour des comptes. Depuis quelque temps maintenant, le gouvernement des Pays-Bas a manifesté son intention de réduire le cheptel de 30 %, menaçant le tiers des exploitations agricoles de faillite. Et pour y parvenir, l’expropriation est envisagée ! L’élevage et la viande sont en danger.

Quand plusieurs gouvernements déclarent la guerre aux vaches

Depuis plusieurs mois, des gouvernements du monde occidental s’attaquent à l’élevage, à cause de ses rejets d’azote et de méthane. Si pour le moment le gouvernement d’Élisabeth Borne ne s’est pas prononcé sur une réduction du nombre de bêtes d’élevage, d’autres pays ont franchi le cap.

Aux Pays-Bas, le gouvernement a déclaré la guerre aux émissions d’azote de l’agriculture. L’année dernière, un plan national et régional destiné à les traquer plus sévèrement a été publié. Il prévoit de contraindre certaines régions à les réduire de 70 % au moins, parfois jusqu’à 95 %… ce qui revient à vouloir supprimer 30 % du bétail.

En Nouvelle-Zélande, l’année dernière, la Première ministre travailliste de l’époque Jacinda Ardern voulait que son gouvernement taxe les propriétaires d’animaux d’élevage émetteurs de gaz à effet de serre, touchant principalement les éleveurs bovins, soit une taxe sur les pets et les rots de vache.

En Irlande, le gouvernement aurait l’intention de procéder à l’abattage de 200 000 vaches laitières, selon un document émanant du ministère de l’Agriculture, afin de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. Le coût réel d’une telle mesure serait potentiellement de 600 millions d’euros ; une catastrophe économique.

En Irlande du Nord, l’Assemblée a adopté une loi sur le changement climatique engageant la région à réduire ses émissions de carbone à zéro d’ici à 2050. Un des objectifs est de réduire de 46 % les émissions de méthane, en grande partie associées au secteur agricole. Cela signifie, selon une analyse du cabinet d’audit et de conseil international KPMG commandée par ce secteur, qu’il faudrait éliminer environ 500 000 bovins et 700 000 ovins. Les poulets pourraient également faire partie des victimes pour « sauver la planète ». Cela rendrait vulnérables, par ricochet, plus de 100 000 emplois. La valeur de la production pourrait chuter d’environ 11 milliards de livres sterling.

Attaquer l’élevage en France ou en Europe serait en réalité favoriser la production d’autres pays, comme le Brésil, d’où proviennent aujourd’hui 25 % de la viande bovine importée dans l’Union européenne. Remplacer le bœuf européen par le bœuf brésilien, écologiquement parlant, ne ferait donc que déplacer les émissions « polluantes ». De plus, faire venir de la viande depuis l’Amérique du Sud n’est pas l’action la plus écologique qui soit.

Peu importe pour certains écologistes, qui répètent à l’envi et péremptoirement qu’il faut diminuer la consommation de viande, voire l’interdire. En écho à un article du Monde qui déplorait que la consommation de viande ne baisse pas en France, Sandrine Rousseau twittait le 2 juin : « La consommation de viande doit baisser. Nous sommes irresponsables d’en manger autant. » Le rapport de la Cour des comptes reprend peu ou prou cette injonction, également celle du GIEC, mais qui se révèle être basée sur un mensonge.

De l’art du mensonge sur l’élevage

L’élevage pollue, accapare des terres pouvant accueillir directement des cultures végétales, détourne des produits végétaux qui pourraient nourrir directement l’humanité et consomme énormément d’eau. Voilà de bonnes raisons pour réduire son impact. Des raisons… fausses ! L’INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, institut public, démolit ces arguments.

En premier lieu, l’INRAE revient sur la comparaison entre les émissions de CO2 de l’élevage et du transport qui seraient quasi équivalentes (environ 14 % des émissions mondiales) : les deux chiffres étant établis selon des méthodes différentes, cette comparaison n’est pas valable. « Le calcul pour l’élevage émane de la FAO, sur le modèle des analyses de cycle de vie, qui inclut diverses dimensions de l’élevage. Alors que le calcul pour les transports, qui émane du GIEC (Climate Change 2014 Synthesis Report — IPCC), ne prend en compte que les émissions de GES des véhicules en circulation. Par la méthode d’analyse de cycle de vie, cette valeur serait beaucoup plus élevée. »

Deuxième point, l’élevage occupe majoritairement des terres qui ne sont pas cultivables, comme des prairies, des montagnes, des steppes, ou encore la savane. Le supprimer ne réduirait donc pas le gaspillage des ressources. L’INRAE rappelle aussi que 86 % de l’alimentation animale n’est pas consommable par l’être humain, il n’y a par conséquent pas de compétition entre les deux. L’Institut ajoute que « les aliments concentrés utilisés pour les monogastriques (porcs, volailles) et les herbivores valorisent les résidus de cultures et les sous-produits des filières végétales destinées à l’alimentation humaine (tourteaux, sons, drêches, etc.) ». De fait, les élevages de ruminants herbivores et ceux qui utilisent beaucoup de « coproduits » de l’agriculture sont producteurs nets de protéines. Cela signifie qu’ils produisent plus de protéines consommables par l’homme qu’ils n’utilisent de protéines végétales consommables par l’homme pour nourrir les animaux.

Dernier point, sur la consommation d’eau. Le chiffre souvent avancé par les écologistes est de 15 000 litres d’eau consommée pour produire 1 kg de viande. En réalité, ce chiffre englobe trois types d’eau : l’eau bleue, soit l’eau réellement consommée par les animaux et l’irrigation des cultures ; l’eau grise, celle qui est utilisée pour dépolluer les effluents et les recycler ; et l’eau verte, l’eau de pluie. Sauf que cette méthode de calcul a été conçue pour des sites industriels et ne tient pas compte des cycles biologiques. Sur ces 15 000 litres, 95 % viennent de l’eau de pluie, qui, comme le rappelle l’INRAE, est « captée dans les sols et évapotranspirée par les plantes, et qui retourne de fait dans le cycle de l’eau. Ce cycle continuera même s’il n’y a plus d’animaux. » En vérité, dans les élevages français, la quantité d’eau utile1 pour produire 1 kg de viande de bœuf est comprise entre 20 et 50 litres…

Si Bruno Le Maire avait su tout cela, il aurait (peut-être) évité de faire la promotion de la viande végétale.

Les viandes végétales et synthétiques en embuscade

En effet, le ministre de l’Économie a vanté ses mérites dans une série de tweets publiée le 17 mai. Il visitait l’usine du fabricant de steaks végétaux HappyVore, société en partie financée par le milliardaire Xavier Niel (information importante pour la suite). M. Le Maire écrivait ainsi : « 100 g de protéines végétales génèrent de 60 à 90 % de gaz à effet de serre en moins que 100 g de protéines animales. »

Les « viandes » végétales et synthétiques sont des outils pour détourner les consommateurs de la vraie viande. Les écologistes s’en servent beaucoup, mais la science vient vertement, c’est le cas de le dire, modérer leurs ardeurs : selon une étude menée par l’Université de Californie, l’empreinte carbone d’un kilo de bœuf synthétique serait 4 à 25 fois plus importante que celle d’un kilo de bœuf élevé naturellement ! La viande cultivée en laboratoire serait bien plus nocive pour l’environnement que la vraie.

Un autre et puissant outil pour dégoûter les consommateurs de la viande est la cause animale. L’association L214, qui combat l’élevage dans sa globalité, mais dénonce particulièrement l’élevage dit intensif, est à la tête du combat. Ce mouvement militant, soutenu ouvertement par le journaliste du service public Hugo Clément, est un protagoniste du projet de référendum d’initiative partagée sur la cause animale. Six interdictions sont proposées : celles de l’élevage en cage et l’élevage à fourrure à partir de 2025, de la construction de nouveaux bâtiments d’élevage sans accès au plein air, de la chasse à courre, des spectacles avec des animaux sauvages et de l’expérimentation animale dès lors qu’une autre méthode existe. L214 n’est pas seul dans ce projet : l’accompagnent, notamment, des industriels français tels que… le patron de Free, Xavier Niel, que l’on retrouve impliqué dans plusieurs entreprises de viandes « alternatives ».

Il n’est évidemment pas le seul à financer la cause animale tout en investissant dans ce type d’industrie. Il y a maintenant sept ans, L214 a reçu un important don de la fondation américaine Open Philanthropy Project créée par l’un des fondateurs de Facebook, Dustin Moskovitz. Entre 2017 et 2020, la fondation a versé plus de 125 millions de dollars à des associations de défense animale, dont L214 qui a reçu 1,14 million d’euros en 2017. L’Open Philanthropy Project servirait d’intermédiaire entre plusieurs de ces associations et des organisations qui aident des start-up travaillant dans la viande synthétique. Elle a versé 6,5 millions de dollars à The Good Food Institute, qui fait la promotion de la viande cellulaire.

L214, dont les méthodes sont très contestables, allant de la diffamation au harcèlement en passant par la violation de propriétés privées, sert donc de marchepied à des concurrents directs du secteur de l’élevage. Les choses vont même plus loin, certains défenseurs de la viande artificielle proposant que cette industrie bénéficie de « l’appui des pouvoirs publics » pour se développer et se vendre. Or, le libre marché en a pour l’instant décidé autrement.

Pour terminer sur ce point, dans une enquête parue en juin 2022, l’École de guerre économique (EGE) accable la viande dite « cultivée ». Christian Harbulot, directeur de l’EGE, dénonce « la démarche des instigateurs de l’agriculture cellulaire [qui] consiste à éliminer les filières traditionnelles, en disant, sans le démontrer, qu’elles posent des problèmes de santé et d’environnement ». L’EGE explique que « les avantages environnementaux et sanitaires présumés de la viande cellulaire sont largement spéculatifs ». De même, l’innocuité de la viande synthétique n’est pas démontrée. Enfin, l’EGE insiste sur un point crucial : les alternatives cellulaires et végétales ne sont pas de la viande ! Elles ne doivent donc en aucun cas en porter le nom : c’est simplement de la tromperie.

Alors, le gouvernement français va-t-il plonger dans le mensonge et l’idéologie et assassiner son élevage déjà souffrant ?

L’écologisme veut achever un élevage français en grande difficulté

L’élevage en France est dans une situation catastrophique. L’élevage bovin compte près d’un million de vaches de moins qu’il y a dix ans (3 millions depuis 1980) et pourrait en perdre autant d’ici à 2030 à cause d’une vague de départs massifs à la retraite non remplacés. Entre 2010 et 2020, les exploitations en élevage ont subi une chute de 31 %, qui peut aller jusqu’à 41 % pour les exploitations combinant plusieurs types d’élevages, notamment lait et viande. On comprend facilement pourquoi cette profession n’attire plus la jeunesse.

Le taux de pauvreté chez les éleveurs de « bovins viande » est de 25,1 %, et de 25,5 % pour les éleveurs d’« ovins viande ». Le niveau de vie médian des premiers est de 18 420 € ; pour 10 % d’entre eux, le revenu moyen est de 8 570 €. En 2008, le taux de surmortalité par suicide était de 127 % pour les éleveurs « bovins viande » et de 56 % pour les éleveurs « bovins lait ». L’application de mesures écologistes comparables à celles que prévoient les Pays-Bas serait un énième coup de massue à notre agriculture et à nos éleveurs, déjà asphyxiés par le poids des normes et de l’État.

La Cour des comptes devrait d’urgence se renseigner sur les études de l’INRAE. Plusieurs d’entre elles démontrent les bénéfices environnementaux des prairies où l’élevage est pratiqué. Leur diversité floristique favorise les populations de pollinisateurs, leurs sols sont aussi plus riches en biomasse microbienne et en biodiversité que ceux des cultures ; ils stockent plus de carbone, sont 20 fois moins sensibles à l’érosion et filtrent mieux les eaux. En plus de cela, plusieurs projets de recherche européens l’ont montré, le stockage de carbone des prairies compense l’équivalent de 30 à 80 % des émissions de méthane des ruminants ! Des travaux du Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement) confirment ces résultats pour les zones d’élevage subtropicales.

Dans un autre article, l’INRAE précise également que si « toutes les populations du monde adoptaient un régime végétalien, il faudrait plus de terres cultivées pour nourrir la planète. En effet, il faudrait consommer plus de produits végétaux pour satisfaire les besoins humains en calories, en protéines et en certains micronutriments. »

La chasse à l’élevage ne se justifie donc pas, surtout dans nos pays occidentaux. Selon Pascal Mainsant, spécialiste de l’élevage et ancien ingénieur de recherches à l’INRA2, « un litre de lait produit en Bretagne dégage dix fois moins de gaz à effet de serre qu’un litre de lait produit en Inde ». En effet, 70 % des gaz à effet de serre de l’élevage mondial proviennent des pays émergents. Il surenchérit par la démonstration suivante : « La totalité des gaz à effet de serre anthropiques augmente de 2 à 3 % chaque année à cause du développement économique des pays émergents. Imaginons qu’on veuille réduire ceux de l’élevage par une action mondiale concertée, étalée sur une vingtaine d’années : l’impact de cet effort volontariste ne ferait que neutraliser une seule année de cette croissance actuelle des gaz à effet de serre totaux. Bref, c’est insignifiant. »

S’attaquer ainsi à l’élevage occidental n’a donc aucun sens. D’ailleurs, de nombreux scientifiques remettent en cause les travaux, les méthodes et les analyses du GIEC. Il serait hautement bénéfique de se libérer de l’emprise de l’écologisme dont les militants influencent les institutions et les relais d’opinion. Laissons nos éleveurs tranquilles !


À propos de l’auteur

Aymeric Belaud
Chargé d’études Diplômé en Science politique de l’Institut Catholique de Vendée et en Sciences politiques et Affaires publiques à HEIP. Spécialisé dans les questions agricoles, le fonctionnement de l’Etat et les questions politiques. Viticulteur.


1 Quantité d’eau dont est privée la ressource (eau consommée), pondérée par un facteur de stress hydrique régionalisé.

2 Ancêtre de l’INRAE.




Davantage de chemtrails en perspective ?

[Source : Ciel Voilé]

Les États-Unis et la Commission Européenne appellent à un « cadre international » pour faire progresser la recherche en géo-ingénierie

Par Derrick Broze (le 7 juillet)

Les déclarations prononcées la semaine dernière par le gouvernement américain et l’Union européenne représentent un pas de plus vers un organe directeur unique et centralisé gérant les nations individuelles.

Tard vendredi, la Maison-Blanche a publié un rapport soulignant l’ouverture de l’administration Biden à l’étude de la géo-ingénierie dans le cadre d’un effort visant à réduire la quantité de lumière solaire atteignant la planète. La géo-ingénierie est une science controversée de la manipulation du climat dans le but déclaré de lutter contre le changement climatique d’origine humaine. Il existe plusieurs types de géo-ingénierie, y compris la gestion du rayonnement solaire (GRS) ou la géo-ingénierie solaire. L’injection d’aérosols stratosphériques (ou IAS) est une pratique spécifique de géo-ingénierie solaire qui consiste à pulvériser des aérosols dans le ciel pour tenter de dévier les rayons du Soleil [ce qui crée des chemtrails]. Le Bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison-Blanche élabore actuellement un plan de recherche quinquennal sur la géo-ingénierie solaire.

Le document de la Maison-Blanche se concentre sur les « approches atmosphériques » de GRS, en particulier l’IAS et l’éclaircissement des nuages marins (ENM). Le rapport s’est concentré sur ces approches spécifiques de géo-ingénierie en raison de leur « plus grande faisabilité à court terme » et des « plus grands défis de gouvernance des approches atmosphériques » liés aux « impacts transfrontaliers importants ». En d’autres termes, parce que ces méthodes impliquent la pulvérisation de particules à partir d’avions dans le ciel, elles auront un impact sur les gens, quel que soit l’endroit où les lignes sur la carte sont tracées.

La Maison-Blanche de Biden note que si les agences scientifiques américaines commençaient à soutenir un « programme à grande échelle » de GRS, elles « pourraient envisager de s’engager dans une coopération internationale appropriée ». Cette coopération internationale, selon la Maison-Blanche, pourrait promouvoir les connaissances, les besoins et les résultats de la recherche, les économies de ressources, les meilleures pratiques et réduire le risque d’expérimentation et/ou de déploiement irresponsables.

La Maison-Blanche note également que tout « programme de recherche fédéral multi-agences à grande échelle » sur la GRS serait coordonné par le Programme américain de recherche sur le changement mondial, qui se concentre sur « la compréhension des forces qui façonnent l’environnement mondial, à la fois humaines et naturelles, et leurs impacts sur la société ».

L’administration Biden reconnaît également que les gouvernements ou les acteurs non étatiques pourraient « agir indépendamment pour développer et déployer des technologies de GRS ». Le rapport appelle à « identifier des cadres internationaux optimaux pour la coopération, la surveillance, la dissuasion et la réponse ». Plus que probablement, un tel cadre viendrait des Nations Unies.

Dans l’ensemble, l’administrateur Biden appelle à d’autres recherches sur les implications scientifiques et sociétales de la GRS afin de mieux éclairer les décisions à venir. Cependant, la Maison-Blanche a également déclaré « qu’il n’y a pas de plans en cours pour établir un programme de recherche complet axé sur la modification du rayonnement solaire ».

Le propre rapport de la Maison-Blanche a été inspiré par le rapport 2021 des National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine (NASEM), Reflecting Sunlight : Recommendations for Solar Geoengineering Research and Research Governance.

Ce rapport concluait ce qui suit :

« Le Comité est d’avis que, sous réserve d’une gouvernance et d’une surveillance appropriées, l’expérimentation en plein air pourrait être poursuivie de manière équilibrée », ce qui serait illicite « des observations critiques » mais serait « suffisamment petite pour limiter les impacts ».

Les auteurs du rapport NASEM affirment que de telles expériences « à petite échelle » produiraient des impacts réels à une échelle plus petite que d’autres « activités humaines délibérées librement entreprises par la société ». Les auteurs sont également conscients que l’avancement trop rapide des programmes de géo-ingénierie extérieure pourrait « induire des objections du public et des retards ou des restrictions subséquents ».

Pendant ce temps, le rapport de la Maison-Blanche a admis que « des recherches récentes ont soulevé des préoccupations quant aux changements possibles dans la coloration du ciel par l’IAS et aux impacts psychologiques qui en résultent, qui mériteraient d’être étudiés ». Ceci est une référence aux travaux de Ben Kravitz de la Carnegie Institution for Science qui ont montré que la libération d’aérosols sulfatés pourrait réduire de 20 % la quantité de lumière solaire qui frappe le sol et rendre le ciel plus brumeux. En fin de compte, cette brume pourrait entraîner la perte du ciel bleu.

Le rapport de la Maison-Blanche indique également qu’il est possible que la GRS soit « maintenue sur des échelles de temps de plusieurs décennies, voire de centuries ». Cela pourrait être une reconnaissance que, bien que les partisans de la géo-ingénierie la saluent comme la solution au changement climatique et au maintien de la vie, la recherche indique que la géo-ingénierie pourrait en fait avoir l’effet inverse du réchauffement de la Terre.

Selon une étude de 2013 publiée dans le Journal of Geophysical Research : Atmospheres, si des programmes de géo-ingénierie étaient lancés puis soudainement arrêtés, la planète pourrait voir une augmentation immédiate des températures, en particulier au-dessus des terres. L’étude, intitulée « L’impact de la suspension abrupte de la gestion du rayonnement solaire », semble indiquer qu’une fois que vous commencez la géo-ingénierie, vous ne pouvez pas suspendre les programmes sans causer le problème même que vous cherchiez à résoudre.

De plus, en février 2015, un comité international de scientifiques a publié un rapport indiquant que les techniques de géo-ingénierie ne sont pas une alternative viable à la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre les effets du changement climatique. Le rapport du comité a appelé à poursuivre la recherche et la compréhension de diverses techniques de géo-ingénierie, y compris les systèmes d’élimination du dioxyde de carbone et la gestion du rayonnement solaire avant la mise en œuvre.

Les scientifiques ont constaté que les techniques de géo-ingénierie solaire sont susceptibles de présenter,

« des risques environnementaux, sociaux et politiques graves connus et inconnus possibles, y compris la possibilité d’être déployé unilatéralement. »

L’Union européenne appelle à une gouvernance mondiale

Deux jours avant que la Maison-Blanche n’annonce son appel à davantage de recherche en géo-ingénierie, la Commission européenne a annoncé son soutien aux « efforts internationaux » pour évaluer les risques de la géo-ingénierie et son désir de promouvoir des discussions sur un « cadre international potentiel pour leur gouvernance ».

La Commission européenne a également déclaré que les tentatives de modifier le climat posaient des risques « inacceptables » et a appelé à des discussions internationales sur les dangers et la gouvernance de la géo-ingénierie.

« Personne ne devrait mener des expériences seul avec notre planète commune ». Le chef de la politique climatique de l’Union européenne, Frans Timmermans, a déclaré lors d’une conférence de presse. « Cela devrait être discuté dans le bon forum, au plus haut niveau international. »

La Commission européenne a également publié une déclaration selon laquelle la GRS dans sa forme actuelle « représente un niveau de risque inacceptable pour l’homme et l’environnement ».

Joanna Haigh, professeur émérite à l’Imperial College de Londres, a déclaré à Reuters que les modèles de gouvernance internationale sont nécessaires pour faire face aux expériences de géo-ingénierie. « La gouvernance de la géo-ingénierie sera extrêmement complexe, mais nécessaire pour réglementer toutes les futures technologies de géo-ingénierie qui pourraient faire baisser les températures moyennes mondiales », a-t-il ajouté.», a déclaré Haigh.

D’une manière ou d’une autre, la conversation sur la géo-ingénierie est utilisée pour promouvoir l’idée qu’il devrait y avoir un « cadre international » ou des « modèles de gouvernance mondiale » pour faire face aux réalités de cette technologie non testée. Bien qu’il semble logique de se demander si les gouvernements devraient coopérer s’ils prennent une mesure aussi conséquente, nous devrions également nous demander si nous pouvons même faire confiance à ces gouvernements pour « jouer à Dieu » en jouant avec le climat, ou même si cela devrait se produire.

Depuis 2017, j’ai averti que la promotion de la technologie connue sous le nom de géo-ingénierie serait une passerelle vers des systèmes de gouvernance mondiale qui sont eux-mêmes un tremplin vers un organe directeur unique et centralisé gérant les nations individuelles. Les déclarations prononcées la semaine dernière par le gouvernement américain et l’Union européenne représentent un pas de plus dans cette direction.

Bien que ces débats se soient principalement concentrés sur les pensées et les opinions des chefs de gouvernement et des experts politiques, la majorité du monde est exclue de ces discussions. Il est absolument vital que les élus discutent de questions d’une telle importance, mais nous ne pouvons pas permettre aux politiciens de dominer seuls la conversation. Qu’en est-il des pays en développement, des communautés autochtones et des populations locales ? Leurs voix doivent être entendues afin d’évaluer pleinement les risques de la géo-ingénierie.

Les gouvernements du monde se soucient-ils de la volonté du peuple, ou vont-ils faire avancer leur programme indépendamment de l’opinion ou de la préoccupation du public ? Ce sont des questions importantes qui doivent être prises en compte dans tout débat sur le potentiel de l’ingénierie du climat de notre planète. D’une manière ou d’une autre, nos vies et notre avenir dépendent de l’issue de ce débat scientifique.

Pour en savoir plus sur le complexe de manipulation renseignement-militaire-météo, veuillez lire ceci.

Pour un regard beaucoup plus approfondi sur l’histoire de l’ingénierie climatique et météorologique, veuillez lire ceci.




Pour en finir avec les éoliennes — Partie 1 : des promesses aux réalités

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




Petit message pour ceux qui ont bien fait leurs devoirs climatiques