Modèles de procédures pour les soignants contre l’injection forcée de substance génique expérimentale

[Source : BonSens.org]

En étroite collaboration entre médecins, avocats, juristes et scientifiques, nous mettons à la disposition des avocats de tous les soignants des informations juridiques à télécharger ci-dessous afin de contribuer à leur défense contre l’injection forcée de substances géniques expérimentales :

1  Modèle de RÉFÉRÉ (procédure rapide) au Tribunal Administratif avec recueil d’informations scientifiques inclus – demande de suspension – Me JP JOSEPH
(PDF et WORD)

2  Modèle de procédure au FOND au Tribunal Administratif avec recueil d’informations scientifiques inclus  – demande d’annulation – Me JP JOSEPH (PDF et WORD)

3 Eléments juridiques de Me ARAUJO RECCHIA

4  Rapport scientifique du Dr STUCKELBERGER  – Experte pour l’OMS et l’UE et Curriculum Vitae

Brevet CN112220919A sur les nanomatériaux, notamment sur l’oxyde de graphène utilisé comme véhicule des outils biologiques

NOTA 1: Les éléments juridiques et scientifiques présents dans ces documents peuvent bien entendu être utilisés par les avocats diligentant les procédures prud’homales pour les salariés du privé.

NOTA 2 : Les avocats des soignants pourront prélever ces informations juridiques et scientifiques afin de compléter les mémoires ou assignations selon les spécificités de chaque dossier.

NOTA 3 : L’utilisation du rapport scientifique du Dr STUCKELBERGER – experte pour l’OMS et l’UE – est fortement recommandée dans vos procédures judiciaires afin d’informer les Magistrats des dangers de ces injections forcées.

NOTA 4 : La communication du brevet CN112220919A aux Magistrats semble indispensable également afin d’expliquer l’utilisation de l’oxyde de graphène comme véhicule des outils biologiques à usage génétique dans les “vaccins anti covid”.

Pour TÉLÉCHARGER :

1- Modèle Référé format DOC

1- Modèle Référé format PDF

2- Modèle Procédure de Fond format DOC

2- Modèle Procédure de Fond format PDF

3- Eléments juridiques Me ARAUJO RECCHIA

4- Rapport Scientifique Dr Stuckelber

5- Brevet sur les nanomatériaux (notamment oxyde de graphène)




Dr Salim Laïbi : « Aujourd’hui est mon dernier jour en tant que chirurgien-dentiste ! »

[Source : Le Libre Penseur via reseauinternational.net]

Par Dr Salim Laïbi

Aujourd’hui est mon dernier jour en tant que chirurgien-dentiste libéral à Marseille à cause de l’obligation vaccinale Covid19 ! Voici le message laissé au cabinet à mes patients qui seront à partir de demain abandonnés à cause de Macron pour en faire des sans-dents !
On ne se laissera pas faire, la mise en danger de la vie d’autrui est une réalité, des plaintes au pénal seront déposées dans les prochains jours.




Deux visions de la maladie et de la santé

Par Joseph Stroberg

Comme pour la plupart des autres domaines de la vie humaine, la question de la maladie ou de la santé peut s’appréhender selon deux perspectives assez radicalement opposées : une approche matérialiste et une autre spirituelle. La première suppose que la conscience naît de la matière et la seconde qu’elle s’y incarne, mais peut exister en dehors d’elle ou provenir d’ailleurs (de plans d’existence immatériels, dont au moins une partie est alors appelée « au-delà »). La différence d’abord ou de traitement d’un tel domaine aboutit bien sûr dans la pratique à des résultats à leur tour différents.

Pour les individus qui ne conçoivent la vie qu’en termes matériels et la conscience comme un simple épiphénomène de la matière, comme quelque chose qui se manifeste peut-être ou sans doute automatiquement dès qu’un niveau suffisamment complexe de capacités de calcul apparaît. Dans une telle perspective, aussi bien un robot perfectionné finirait par développer une forme de conscience, notamment de lui-même. Jusqu’à maintenant, aucun ordinateur ni robot n’a pu démontrer une telle capacité. Par contre, pour ceux qui ont une approche plus spirituelle, la conscience finirait peut-être par s’incarner dans un robot si elle s’y trouvait à son aise.

Les individus matérialistes s’identifient généralement à leur corps physique fait de chair et de sang. Celui-ci fait intimement partie de leur identité. Il leur faut disposer d’un beau corps pour se sentir beaux. À l’inverse, si ce corps est difforme ou généralement considéré comme laid, ils se trouveront souvent laids ou deviendront plus facilement tristes, rancuniers ou encore négatifs, mais aboutiront plus rarement à une vision positive d’eux-mêmes et de la vie. Pour les gens de nature spirituelle, le corps physique ne représente au contraire qu’un véhicule de leur conscience et ils ne s’y identifient guère plus que le pilote s’identifie à sa voiture. Ils ne se sentent pas autant perdus s’il arrive que leur corps soit moche ou dégradé ou désormais handicapé par un accident. Ils s’accommoderont plus facilement du nouvel état de ce dernier et s’accommodent aussi plus facilement de son usure et de son vieillissement inéluctables.

Sachant que leur corps biologique n’est pas immortel, mais croyant que leur conscience en dépend pourtant exclusivement et ne voulant pas s’éteindre après la mort de celui-ci, bien des matérialistes cherchent ou chercheront à rendre leur corps immortel ou bien à transférer leur conscience dans une machine d’acier inoxydable qui serait prétendument capable de franchir le temps sans limites. Ils courent après un élixir de jeunesse éternelle, la pierre philosophale, ou encore le transhumanisme pour devenir surhumains ou autre chose qu’un humain périssable. En face d’eux, les individus spirituels croient en l’immortalité de la conscience et à la survie de cette dernière après la mort physique de leur véhicule de chair et de sang. Ils ne ressentent aucun besoin de prétendue immortalité physique, d’autant que par ailleurs la matière elle-même n’est pas éternelle.

Pour les matérialistes, la maladie est le plus souvent une affaire de malchance, de mauvaise génétique du corps ou de méchants microbes qui viennent l’attaquer. Comme ils ont peur de la mort, ils ont également peur de la maladie puisque celle-ci peut y conduire. Or, même des médecins matérialistes ont fini par réaliser que la peur elle-même, l’angoisse, le stress et des états émotionnels voisins finissent par engendrer ou au moins favoriser la maladie. Dans le même temps, d’autres chercheurs ont fini par découvrir que leur propre corps contenait en permanence des dizaines de milliers de milliards de bactéries et des centaines de milliers de milliards de virus au sein de ce qu’ils ont appelé respectivement le microbiote et le virome. S’ils étaient matérialistes ou au moins embarqués plus ou moins malgré eux dans les théories matérialistes dominantes, il leur a fallu alors faire toute une gymnastique conceptuelle pour arriver à justifier la simultanéité des méchants microbes et leur si abondante présence dans le corps humain. Ah ! Eh bien finalement, ceux dans le corps sont les gentils et les autres sont les méchants, du moins selon leur conception ainsi schématisée.

Une approche beaucoup plus spirituelle perçoit la maladie comme le résultat de deux grandes causes : l’existence de déficiences ou au contraire d’excès qui le plus souvent conduisent à des formes d’empoisonnement, sachant que la dose fait le poison (et même l’eau bue en trop grande quantité peut entraîner la mort physique). Pour simplifier, ceci a été plutôt traduit en termes de déficiences d’un côté et d’intoxications ou d’empoisonnements de l’autre. Cependant, ces déficiences et ces empoisonnements ne concernent pas seulement le domaine tangible (le corps de chair et de sang), mais aussi les plans d’existence plus subtils :

  • émotionnel, affectif, désirs ;
  • intellect, mental, idées, pensées ;
  • psychisme, conscience, âme ;
  • spirituel, intuitif pur, essence.

Et donc, une déficience importante ou prolongée en certaines émotions telles que la joie ou la satisfaction, en des pensées optimistes ou positives, en moralité et même en écoute des intuitions et de l’être intérieur finit par descendre de plan en plan jusque dans l’organisme physique et y produire des maladies. De même, un excès important ou prolongé de certaines émotions (telles que la haine, la colère, la jalousie, ou encore la peur), de pensées négatives ou pessimistes, mensongères, illogiques ou incohérentes, d’immoralité ou de sadisme psychopathe… finit aussi par se répercuter dans le corps de chair et de sang et par le rendre malade. Notons au passage que sur le plan physique lui-même, les sources d’empoisonnements sont de nos jours multiples et variées : pesticides qui se retrouvent dans la nourriture, additifs alimentaires, édulcorants et autres succédanés d’origine pétrochimique, adjuvants vaccinaux et autres toxines vaccinales (dans les « vaccins » anti-covid, notamment, comme la protéine Spike modifiée), produits nettoyants ménagers, peintures, colles, vernis, décapants…, parfums artificiels, polluants atmosphériques (gaz d’échappement automobiles…), radiations nucléaires en provenance des centrales déficientes, armes à uranium, plutonium provenant des essais nucléaires, etc., et également les ondes électromagnétiques pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+, 5G, etc.) en raison des phénomènes physiques d’induction magnétique et de résonance, compte tenu de la nature électrique et magnétique du corps humain. Rappelons que c’est la dose qui fait le poison, mais que de nos jours, à force de cumul des poisons, la résistance du corps est mise à rude épreuve.

L’approche de la médecine matérialiste face à la maladie consiste le plus souvent à introduire de nouveaux manques ou au contraire à ajouter de nouveaux poisons en espérant soigner le mal par le mal. Ainsi, d’un côté on coupe des organes malades, on mutile davantage le corps. Et de l’autre, on le drogue au point éventuellement de le rendre même dépendant de ces poisons. En face de cette approche barbare et archaïque (pour la vie universelle et cosmique, pour le divin…), la santé s’obtient par le retour à l’équilibre, par la réalisation de l’homéostasie et de la symbiose avec le microbiote et le virome, par l’obtention du juste milieu entre déficiences et excès. La voie du milieu proposée par le Bouddha Gautama vaut pour tous les plans : physique, émotionnel, mental, psychique et spirituel. Et elle conduit naturellement et logiquement à la santé physique, affective, mentale, psychique et spirituelle. Elle ne nécessite ni ablations chirurgicales ni prise de médicaments chimiques.

Chaque être humain a le choix de la méthode de guérison, le choix de l’approche qui favorise la santé plutôt que celle qui favorise la maladie. Cela dépend essentiellement de sa manière d’envisager la vie.




En France aussi ils ont menti pour faire croire que la majorité des décès Covid étaient des non-vaccinés

Par Patrice Gibertie et Pierre de « Décoder l’éco« 

[Voir aussi, pour les USA : La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve]

[Source : pgibertie.com]

1)- LE GOUVERNEMENT A PLANQUÉ 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test PCR avant ou après l’entrée à l’hôpital. Étrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès (partout ailleurs, Israël, UK, [etc.] c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

EN Israel 86% des décédés de plus de 60 ans en juillet sont vaccinés deux doses ( ce qui correspond à leur part dans la population). En France …2%…Les propagandistes ont la main lourde.

La « disparition  » concerne peu les cas de contamination 145000 sur Geodes, 138000 pour la DREES, plus les hospitalisations ou même les réas 2084 sur Geodes et 1696 dour la DREES, Le mystère est total pour les décès: un sur deux escamoté.

Les données internationales donnent toujours plus de contaminations parmi les non vaccinés car nous savons que les vaccinés sont plus souvent asymptomatiques ( mais contagieux) et donc non testés.

Les vaccinés connaissant des formes graves sont proportionnellement plus nombreux

L’étude n’est pas crédible:on ne peut pas parler d’échantillon car ils prennent pratiquement tous les cas ,encore 80% des cas graves mais seulement 50% des décès

C’est une manipulation.

LES SOURCES MERCI AU TRAVAIL D’ENQUÈTE @NiusMarco

https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf…

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=home

À TITRE DE COMPARAISON, LES CHIFFRES DE DÉCÈS EN GRANDE Bretagne : 34 non vaccines sur 72 décès

toujours pour comparer les chiffres en israel


[Source : francesoir.fr]

2)- Statistiques officielles, « oublis » : la DREES a-t-elle reconnu son erreur ? « Décoder l’éco » débriefe

Auteur(s): FranceSoir

Les prétendus « complotistes » avaient-ils raison ? Une fois n’est pas coutume, suite à une analyse de Patrice Gibertie au coeur de l’été, le désormais bien connu de nos lecteurs Pierre, de « Décoder l’éco« , s’était installé en verificateur de sa déclaration. En effet, Patrice Gibertie avait écrit que la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé, oubliait 50% des décès dans son analyse qui a servi de base à la justification d’un message sur l’efficacité vaccinale.

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » !

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :




[Source : pgibertie.com]

3)- Le mythe des 85 % explose en plein vol : les services gouvernementaux avouent avoir « oublié » la moitié des décès (et 20 % des cas graves)…

Vous les avez tous entendus se gargariser de statistiques fabuleuses sur l’efficacité vaccinale ! « On peut débattre de tout sauf des chiffres ! » Oui mais quand les chiffres sont pipés ! La DREES finit par reconnaitre mais la propagande se poursuit…

Depuis des mois je passe en revue toutes les informations  officielles  et je débusque les magouilles :

Le 31 juillet :

LE GOUVERNEMENT A PLANQUE 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test pcr  avant ou après l’entrée à l’hôpital . Etrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès ( partout ailleurs, Israel UK, c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

https://pgibertie.com/2021/07/31/le-gouvernement-a-planque-50-des-deces-pour-sous-evaluer-la-part-des-vaccines-decedes/

Décoder l’info et France SOIR VOUS EXPLIQUENT

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » 

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-drees-oubli-erreur-pierre-decoderleco

À QUOI DOIT CORRESPONDRE LA SITUATION DE LA France ? 

La France a quelques semaines de retard sur Israël ou la Grande Bretagne , ainsi en aout, en Israel, 390 personnes vaccinées  deux ou trois doses sont décédées  soit 58 ,5% des décès pour une population vaccinée qui représente à cette date 62% DES HABITANTS

Présenté ainsi l’avantage vaccinal serait très très faible.

Calculés en décès pour 100 000 habitants on obtient 8 décés pour 100 000  non vaccinés contre 7 pour 100 000 deux ou trois doses…

https://pgibertie.com/2021/09/14/israel-60-des-decedes-de-la-covid-etaient-vaccines/




Pourquoi Macron a d’ores et déjà perdu la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le 12 juillet, à la faveur d’un improbable été pluvieux, Emmanuel Macron déclenchait la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants. L’histoire dira un jour quels ont été les tenants et aboutissants exacts de ce fabuleux cadeau aux laboratoires pharmaceutiques, renforcé par un passe sanitaire qui a tonné comme une mise sous contrainte de toute une population pour recevoir aveuglément l’injonction d’un produit sous autorisation conditionnelle. Mais enfin, c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait.

Et voilà, nous sommes le 15 septembre, et le temps d’un premier bilan pour la bataille de l’obligation vaccinale lancée par Emmanuel Macron vient. Beaucoup de victimes de ce diktat sont encore dans un état de sidération et font régulièrement part de leur angoisse ou de leur conviction d’une résistance sans espoir face à l’évidente offensive internationale, commencée par la France, en faveur d’une vaccination. Nous avons commencé à expliquer (et c’est à suivre), les dessous de cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels qui trouvent dans la Commission Européenne une écoute très poreuse. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie désormais spécialisée dans l’identité numérique

Deux mois après le lancement de cette campagne éclair par la caste mondialisée au pouvoir, quelle tendance globale pouvons-nous observer ? Je voudrais ici prendre le temps d’expliquer pour quelle raison, de mon point de vue, l’actualité doit nous rassurer sur l’avenir. 

La croyance naïve d’une victoire éclair de la caste

Nous l’avons exposé récemment, la caste vit dans une bulle dont la réalité n’est pas la même que la nôtre. Dans cette bulle-là, les Français sont des “veaux”, une sorte d’emballage de Babybel qu’on peut tourner dans les doigts pour lui donner la forme qu’on veut. Pourvu que les Français puissent prendre un pot en terrasse, tout leur irait, et toutes les libertés pourraient être abolies. Dans ce monde-là, les signaux faibles d’une opinion en colère ne comptent pas, et les craquements qui s’entendent de partout dans la structure architectonique de la maison France n’ont aucune importance. 

Forte de ces croyances naïves sur l’état d’une société, la caste a la conviction (comme l’état-major allemand en 1941 lorsqu’il a lancé l’opération Barbarossa) que l’obligation vaccinale serait une promenade de santé et que tous les Français finiraient bien, tôt ou tard, par s’y conformer. Certes, il y aurait des manifestations, des gens pas contents, mais, globalement, tout finirait par suivre et rentrer dans l’ordre. 

Les adversaires du passe sanitaire (ou en tout cas beaucoup d’entre eux) ont, d’une certaine façon, nourri une croyance assez proche. Dans leur esprit, la bataille durerait deux mois au maximum, et battre le pavé jusque-là chaque samedi devait suffire à faire reculer le gouvernement. D’où l’effet de désespoir qui tétanise de nombreux partisans des libertés, convaincus que, dans une démocratie libérale, un gouvernement ne peut pas se comporter comme ça. 

Et d’où leur sentiment d’avoir déjà perdu la guerre et de ne rien pouvoir face au coup de force contre la démocratie mené par la caste mondialisée

De notre point de vue, la réalité est très différente. Nous essayons de l’argumenter et de le documenter depuis plusieurs mois : la caste mondialisée s’est organisée depuis quelques années pour changer le cours de l’histoire en imposant unilatéralement un nouveau modèle de société où l’humanité sera dégradée au profit de la “nature”. Je renvoie sur ce point à mon livre sur le Great Reset. La bataille qui a commencé le 12 juillet n’est donc qu’un épisode dans une longue guerre qu’il va nous falloir mener avec nos armes face à un ennemi moins nombreux, mais beaucoup mieux équipé, et beaucoup plus structuré. 

Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un coté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. 

Le Great Reset et la dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé et désincarné

Poussée en cela par la presse subventionnée, l’opinion française a essentiellement réduit la question du vaccin et du passe sanitaire à un comportement de mauvais coucheurs “antivax” qui feraient preuve d’irresponsabilité en menaçant la vie des vaccinés. Cette fixation sur une logique de bouc-émissaire a permis d’occulter l’essentiel de la visée politique portée par le passe sanitaire : la mise en place d’un crédit social, où les citoyens les plus obéissants sont récompensés (le droit d’aller au restaurant, au concert, etc.), et où les dissidents sont dégradés (obstacles multiples pour être soignés, sociabilisés, etc.). Ce faisant, le gouvernement est parvenu à faire croire aux amis du passe sanitaire que devoir décliner son identité pour prendre un café était une récompense réservée aux bons élèves, alors qu’il s’agit d’une ahurissante bascule dans la surveillance de masse. 

Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’Etat veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté. 

L’instrumentalisation de l’épidémie pour convaincre une bonne moitié de la société française que le passe sanitaire est un outil de liberté constitue, de ce point de vue et de la part d’Emmanuel Macron, un coup de maître. Le spectacle des bien pensants au sens large (on y mettra pêle-mêle Pascal Praud, Michel Onfray, et une quantité d’autres qui se laissent distraire par l’écran de fumée du vaccin) convaincus d’être très intelligents en plaidant en faveur de leur mise sous surveillance est de ce point de vue jubilatoire et d’une ironie absolue. 

Mais le programme du Great Reset ne s’arrête pas là. Nous avons déjà insisté sur l’importance du Big Government et sur le remplacement des Etats-Nations par des ensembles multilatéraux calqués sur l’Union Européenne. Mais la principale phase du Great Reset, son stade ultime, sera la révolution “écologique” où l’humanisme ne sera qu’un vieux souvenir, où l’humanité sera considérée comme un stade primitif dans un nouvel ordre naturel où la technologie permettra le dépassement de l’homme.

Autrement dit, le vieux noyau occidental qui conduit le monde depuis des siècles sera définitivement dilué, après des décennies de sape menée par George Soros et ses sbires de Black Lives Matter et autres mouvements racialistes. 

Grâce à Macron, le réveil de la volonté individuelle

Après des décennies de consumérisme aveugle, où le confort valait religion dans une sorte d’insouciance éternelle savamment cultivée comme l’a très bien montré Philippe Muray (aujourd’hui lâchement trahi par certains ou certaines de ses disciples), le réveil est douloureux. Bercés par la propagande unioniste selon laquelle l’Europe garantissait la paix et la victoire ultime des bisounours, beaucoup découvrent que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. Et beaucoup comprennent que la démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. 

De ce point de vue, le discours du 12 juillet par Emmanuel Macron a constitué un premier et formidable révélateur. Si une majorité de Français l’a avalé dans le contentement, ou parfois dans la peur et le tremblement, il a pour un grand nombre de Français constitué un signal majeur. L’heure du réveil a sonné, particulièrement pour une masse colossale d’agents hospitaliers, d’aide-soignant(e)s, d’infirmiers ou d’infirmières qui ont dû choisir entre conserver leur emploi ou subir une injection dont ils ou elles ne voulaient pas. 

Pour tous ceux-là, le discours de Macron a constitué une ordalie, comme l’épreuve du feu dans le droit germanique au Moyen-Âge. Certains ont parfois, la mort dans l’âme, et pour des raisons que l’on peut comprendre, choisi d’être vaccinés. Mais leur amertume durera, et la caste le paiera cher tôt ou tard. D’autres, souvent après des nuits d’angoisse et d’incertitudes, après des tourments qu’ils n’imaginaient pas, ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance,  pour affirmer leur volonté et pour résister. 

Comment le Great Reset réveille la liberté

Ce 15 septembre au soir, nous subirons très probablement la propagande officielle, délivrée industriellement par des medias subventionnés (et détenus par les marionnettistes qui meuvent la classe politique), selon laquelle la mise en place de l’obligation vaccinale constitue une grande victoire des colonnes macroniennes. La réalité profonde est toute autre. 

D’abord parce que la saignée imposée dans les hôpitaux et dans la médecine de ville est terrible, même si elle sera de-ci de-là longue à montrer ses effets. Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. Les arrêts-maladie ont explosé. Les suspensions vont couronner cette situation de fragilité dangereuse. Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID. Et que dire des résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre dont les familles ne tarderont pas à voir les effets ?

Ceux qui ont déclenché cette bataille méprisent le bien commun et prendront leur mépris en boomerang dans les mois qui viennent, lorsque les vaccinés seront à la recherche d’un médecin, d’un service hospitalier, capable de leur injecter leur quatrième dose, ou capable de soigner en urgence la thrombose créée par le vaccin, et qu’ils trouveront devant eux un système sanitaire dévasté par la folie macronienne. 

Surtout, l’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté  – et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. 

Organiser la sécession pour se protéger de la caste

Beaucoup (qui ignoraient que l’Histoire est tragique) me répondront que la meilleure volonté du monde ne peut rien contre un rouleau compresseur aussi puissant que le projet de Great Reset qui se met en place. C’est assez vrai, mais nous disposons en réalité d’une arme extrêmement puissante et destructrice pour contrer les visées de la caste. Il s’agit de la sécession, forme suprême de la désobéissance civile qu’il convient désormais de décliner sous toutes ses formes. 

Je vous propose que nous mettions les jours à venir au service de cette déclinaison, que nous pourrions partager collectivement. L’urgence est en réalité de procéder à une sécession psychique. Je vous expliquerai demain comment la pratiquer. 




Australie : depuis le début de la vaccination, près de trois fois plus de morts signalées après vaccin qu’attribuées à la covid-19

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Xavier Azalbert et Dr Jean-François Lesgards, pour FranceSoir

ANALYSE – L’Australie, pays peu touché par les décès covid, apporte une clarification sur les décès raportés suite à la vaccination Covid. Les chiffres sont éloquents et de réelles questions se posent.

Éléments factuels

L’Australie compte 25,858 millions d’habitants et attribue 1076 décès à la Covid-19, soit 41,62 décès par million d’habitants. Une mortalité très faible eu égard aux 169 301 décès en 2019 rapportés dans les statistiques nationales australiennes.

L’Australie décompte 8,27 millions de personnes pleinement vaccinées, soit 32% de la population et 53% de la population a reçu une première dose.

La base de données australienne des effets secondaires fait état de 487 décès signalés après vaccins covid – sur sélection des trois possibilités : Comirnaty (Pfizer-BioNtech), AstraZeneca et type de vaccin non identifié.  

Au 22 février 2021, l’Australie comptait 909 décès attribués à la covid-19, et 1076 décès au 9 septembre 2021. Soit 167 décès attribués à la covid-19 depuis le début de la vaccination.

Analyse

  • Sur la base de ce qui précède, il y a donc 2,91 fois plus de décès signalés après vaccin covid que de décès attribués à la maladie.
    487 décès signalés après vaccin dans la base de données des effets secondaires, pour 167 décès attribués au Covid depuis le début de la vaccination.  
  • De plus, le site des effets secondaires recense 547 décès tous vaccins confondus depuis 1971.
    Les décès rapportés des vaccins Covid représente 487/547, soit 89% de tous les décès.

Sur six mois, il y a donc huit fois plus de décès rapportés suite aux vaccins covid qu’en 50 ans pour les autres vaccins, avec un total de 60 décès (grippe, hépatite, rougeole, DTP).

Il est important de noter que la population australienne compte une part importante de personnes ayant des comorbidités, en particulier du diabète et de l’hypertension.

En 2017-2018, environ deux Australiens sur trois (67 %) âgés de 18 ans et plus étaient en surpoids ou obèses (36 % étaient en surpoids mais pas obèses, et 31 % étaient obèses). Cela représente environ 12,5 millions d’adultes. Ceci comprend 23 % qui présentent une pression artérielle élevée non contrôlée, et environ 5% de diabétiques.

Étant donné que ces comorbidités sont associées à une inflammation chronique importante et une facilitation de la coagulation dans l’organisme de ces personnes, il semble urgent de se poser la question de la dangerosité des vaccins à ARNm (produisant de la protéine spike de façon incontrôlée) sur ces populations déjà en état d’inflammation.

En effet, de nombreux articles scientifiques commencent à rapporter l’activité très inflammatoire et pro-coagulante des vaccins à ARNm, en particulier à cause de la protéine Spike.

Une étude de Pfizer a montré que l’ARNm était détecté dans la plupart des tissus dès les premiers instants après injection (15 minutes) et les résultats confirment que le site d’injection et le foie sont les principaux sites de distribution (EMA, 2021). Après 48 heures, on retrouve cet ARNm surtout dans le foie (jusqu’à 21,5 %), les glandes surrénales, la rate (≤ 1,1 %) et les ovaires (≤ 0,1 %). Il a été démontré aussi par différents auteurs que la protéine Spike produite se retrouvait sous forme libre dans la circulation et pouvait atteindre de nombreux organes vitaux et essentiels, où elle peut exercer son action inflammatoire et activatrice de la coagulation : cœur, cerveau, foie, rein, organe génitaux (Trypsteen W et al., 2020)

Il semble donc essentiel d’analyser la mort vaccinale en fonction des comorbidités pays par pays. Le taux élevé de comorbidités en Australie a probablement un lien direct, même si cela reste à étudier, avec ce taux élevé de décès dûs aux vaccin COVID ARNm.

Références

EMA Public Assessment Report on Pfizer-BioNTech Vaccine. (2020). Accessed 5/2/21.

Trypsteen W, Van Cleemput J, Snippenberg WV, Gerlo S, Vandekerckhove L. On the whereabouts of SARS-CoV-2 in the human body: A systematic review. PLoS Pathog. 2020 Oct 30;16(10):e1009037.

Lesgards F, 2021 Pourquoi la proteïne spike est toxique dans le covid-19, mais aussi dans les vaccins à ARN messager et ADN ? Archives Scientifiques Libres de FranceSoir  

Auteur(s): Xavier Azalbert et Dr Jean-François Lesgards, pour FranceSoir




Covid-19 : l’OMS ne compte plus sur le vaccin pour mettre fin à la pandémie

[Source : Boursorama]

[Photo : Hans Kluge à Moscou, en Russie, le 23 septembre 2020. ( SPUTNIK / ALEXANDER ASTAFYEV )]

« L’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » a reconnu vendredi 10 septembre le directeur de l’OMS en Europe, Hans Kluge. Selon lui, l’émergence de variants plus contagieux a remis en question la possibilité de contrôler l’épidémie grâce au vaccin.

Il faut « anticiper pour adapter nos stratégies de vaccination », notamment sur la question des doses supplémentaires, selon lui, alors qu’il est probable que le covid-19 devienne une maladie saisonnière et ne puisse être éradiquée.

En mai, le responsable sanitaire onusien avait affirmé que « la pandémie sera(it) terminée lorsque nous aurons atteint une couverture vaccinale minimale de 70% » de la population mondiale. Interrogé sur le fait de savoir si cet objectif valait toujours ou s’il devait être relevé, Hans Kluge a souligné que les nouveaux variants plus contagieux, principalement Delta, avaient changé la donne.

Une immunité collective illusoire ?

À l’époque, même si le variant détecté initialement en Inde sévissait déjà, « il n’y avait pas une telle émergence des variants plus transmissible et plus viraux », a-t-il fait valoir. « Donc je crois que cela nous amène au point où l’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » , a souligné Hans Kluge.

« Si on considère que le Covid va continuer à muter et rester avec nous , comme la grippe, alors nous devons anticiper comment adapter progressivement notre stratégie de vaccination à la transmission endémique, et acquérir un savoir très précieux sur l’impact des doses supplémentaires », a-t-il ajouté.

Selon des épidémiologistes, il semble désormais illusoire d’atteindre l’immunité collective uniquement grâce aux vaccins , mais ceux-ci restent tout de même cruciaux pour circonscrire la pandémie de Covid-19. Un niveau très élevé de vaccination reste aussi indispensable « pour réduire la pression sur nos systèmes de santé qui ont désespérément besoin de traiter les autres maladies que le Covid », a souligné Hans Kluge vendredi.

Désormais dominant, le variant Delta est jugé 60% plus transmissible que le précédent (Alpha) et deux fois plus que le virus historique. Or, plus un virus est contagieux, plus élevé est le seuil nécessaire à l’immunité collective, c’est-à-dire le seuil de personnes immunisées au-delà duquel l’épidémie cesse. Celle ci peut s’obtenir via les vaccins ou l’infection naturelle.




Un juge fédéral bloque l’obligation de vaccination des soignants de l’État de New York

Par Nicole Delépine

Voici le résumé du jugement qui donne de l’espoir aux soignants du monde entier, espérant qu’il pourra faire jurisprudence.

Federal Judge Blocks New York State Health Care Worker Vaccination Mandate (theepochtimes.com)

Un juge fédéral a accordé une injonction d’urgence empêchant l’État de New York d’appliquer une nouvelle obligation de vaccin anticovid pour les travailleurs de la santé.

Dix-sept professionnels de la santé avaient demandé au tribunal la suspension de l’exécution d’obligation, à New York imposé par le gouvernement de l’époque. Le maire exigeait que le personnel des hôpitaux et des établissements de soins de longue durée tels que les maisons de soins infirmiers, les établissements de soins pour adultes et d’autres établissements de soins collectifs soit vacciné contre la COVID-19 pour continuer à être employé.(([1] Verified-Complaint-and-Exhibits-Dr.-A.-et-al.-v.-Hochul-et-al.-Filed-Version.pdf (thomasmoresociety.org) ))

Les demandeurs, des médecins, des infirmières, un technicien médical et un agent de liaison d’un médecin étaient confrontés à un licenciement, à la perte de privilèges d’admission à l’hôpital et à la destruction de leur carrière à moins qu’ils ne consentent à être vaccinés avec des vaccins en contradiction avec leurs croyances religieuses, a fait valoir la poursuite.

Leurs croyances religieuses ont contraint les plaignants « à refuser la vaccination avec les vaccins COVID-19 disponibles, qui utilisent tous des lignées cellulaires de fœtus avortées dans leurs tests, leur développement ou leur production », selon des documents judiciaires.

Les employés de la santé ont fait valoir que l’obligation de vaccination annulerait les protections pour les croyances religieuses sincères en vertu du titre VII de la loi sur les droits civils de 1964, même si l’ordonnance sanitaire antérieure de l’État en vigueur quelques jours plus tôt avait accordé les mêmes protections. Plus précisément, ils ont fait valoir que l’obligation violait les premier et quatorzième amendements, la clause de suprématie et la clause de protection égale de la Constitution des États-Unis.

« Ce que New York tente de faire, c’est de fermer une trappe d’échappement à une obligation de vaccination inconstitutionnelle », a déclaré l’avocat Christopher Ferrara, avocat spécial de la Thomas More Society, dans un communiqué avant que l’injonction ne soit accordée.

« Et ils le font tout en sachant que beaucoup de gens ont des objections religieuses sincères aux vaccins qui ont été testés, développés ou produits avec des lignées cellulaires dérivées d’enfants avortés. »

Les plaignants ne sont identifiés dans la poursuite que par des pseudonymes, car, comme ils l’indiquent dans la plainte légale, ils sont « vilipendés » par les médias comme « des parias qui doivent être exclus de la société jusqu’à ce qu’ils soient vaccinés contre leur volonté ».

La nouvelle injonction

« émerge dans le contexte d’une atmosphère de peur et d’irrationalité dans laquelle les non-vaccinés sont menacés d’être réduits à une caste d’intouchables s’ils ne consentent pas à se faire injecter […] avec des vaccins qui violent leurs croyances religieuses, ne sont clairement pas aussi efficaces que promis, et ont connu et de plus en plus évident des risques d’effets secondaires graves et même potentiellement mortels. »

Le juge David Hurd de la Cour de district des États-Unis pour le district Nord de New York, nommé par Bill Clinton, a accordé une ordonnance restrictive temporaire le matin du 14 septembre dans l’affaire. Le procès a été intenté contre le gouverneur de New York, Kathy Hochul.

« L’obligation de vaccination est suspendue » et le ministère de la Santé de New York « est interdit de prendre toute mesure, disciplinaire ou autre, contre le permis, la certification, la résidence, les privilèges d’admission ou tout autre statut professionnel ou qualification de l’un des demandeurs en raison de leur demande ou de l’obtention d’une exemption religieuse de la vaccination obligatoire CONTRE LA COVID-19 », indique l’ordonnance de Hurd. 




La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve

[Source : mercola.com]

Par Dr. Joseph Mercola

Alors que les responsables de la santé publique et les médias grand public affirment que la pandémie de COVID-19 est désormais « une pandémie de personnes non vaccinées « 1, nous savons maintenant que cette affirmation est basée sur des statistiques très trompeuses.

Lors d’un point presse de la Maison Blanche du 16 juillet 20212, la Dre Rochelle Walensky, directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies, a affirmé que « plus de 97 % des personnes qui entrent à l’hôpital en ce moment ne sont pas vaccinées ». Quelques semaines plus tard, dans une déclaration datant du 5 août 2021, elle a révélé par inadvertance comment cette statistique avait été obtenue3.

Il s’avère que les CDC ont examiné les données relatives aux hospitalisations et à la mortalité de janvier à juin 2021 – une période pendant laquelle la grande majorité de la population américaine n’était toujours pas vaccinée4.

Mais ce n’est plus du tout le cas maintenant. Le CDC joue également avec les statistiques d’autres manières pour créer l’impression fausse et inexacte que les personnes non vaccinées constituent la majeure partie des infections, des hospitalisations et des décès. Par exemple, nous savons maintenant que l’agence compte comme non vaccinés tous ceux qui sont morts dans les 14 jours suivant l’injection.

Non seulement cela gonfle de manière inexacte le nombre de décès de personnes non vaccinées, mais cela cache également les véritables dangers des injections de COVID, puisque la grande majorité des décès dus à ces injections surviennent dans les deux premières semaines.5 Maintenant, leurs décès sont comptés comme des décès de personnes non vaccinées au lieu d’être comptés comme des décès dus à des effets secondaires vaccinaux ou à des infections COVID-19 post-vaccinales !

Comment le CDC comptabilise les cas de Covid post-vaccinaux

Selon le CDC6, vous n’êtes pas considéré comme pleinement vacciné tant que 14 jours ne se sont pas écoulés depuis votre deuxième injection dans le cas de Pfizer ou Moderna, ou 14 jours après votre première dose de Janssen. Voici comment le CDC définit un cas post-vaccinal :

« … une infection post-vaccinale est définie comme la détection de l’ARN ou de l’antigène du SRAS-CoV-2 dans un échantillon respiratoire prélevé sur une personne à partir de 14 jours après qu’elle ait reçu toutes les doses recommandées d’un vaccin COVID-19 autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. »

En d’autres termes, si vous avez reçu une dose de Pfizer ou Moderna et que vous développez des symptômes de COVID-19, que vous êtes admis à l’hôpital et/ou que vous décédez du COVID, vous êtes compté comme un cas non vacciné. Si vous avez reçu deux doses et tombez malade dans les 14 jours, vous êtes toujours considéré comme un cas non vacciné.

Le problème est que plus de 80 % des hospitalisations et des décès semblent survenir parmi les personnes ayant reçu les vaccins, mais cette réalité est masquée par la manière dont les cas sont définis et comptés. Une stratégie très astucieuse et courante des CDC au cours de la pandémie a consisté à modifier les définitions et les points de repère afin de soutenir leur narration infâme.

Par exemple, les CDC ont discrètement modifié la définition du terme « vaccin », apparemment dans le but de valider l’appellation de vaccins pour les thérapies géniques à ARNm COVID. Dans une version archivée7 du 26 août 2021, le CDC définit le vaccin comme un

« produit qui stimule le système immunitaire d’une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie ».

Mais quelques jours plus tard, une nouvelle définition est apparue sur le site web du CDC8, qui dit maintenant qu’un vaccin est une « préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies. » Les différences entre les définitions sont subtiles mais distinctes : la première définissait un vaccin comme quelque chose qui va « produire une immunité ».

Mais comme les vaccins COVID-19 ne sont pas conçus pour stopper l’infection, mais seulement pour en diminuer le degré, il est évident que la nouvelle définition a été créée pour couvrir les vaccins COVID.

Différentes directives de test pour les vaccinés et les non-vaccinés

Ce n’est pas seulement la définition du CDC d’un cas post-vaccinal qui fausse les données. Plus flagrant et illogique encore est le fait que le CDC a même deux séries différentes de directives de test : une pour les patients vaccinés et une autre pour les non-vaccinés.

Depuis le début de la pandémie, les CDC recommandent un seuil de cycle (CT) de 40 pour le test PCR.9 Cette recommandation va à l’encontre du consensus scientifique, selon lequel un CT supérieur à 35 produit 97 % de faux positifs10, ce qui rend le test inutile.11,12,13

À la mi-mai 2021, le CDC a finalement abaissé le nombre de CT recommandé, mais uniquement pour les patients ayant reçu une ou plusieurs injections de COVID.14 Donc, si vous avez reçu une injection de COVID, les directives du CDC prévoient que votre test PCR doit être effectué à un CT de 28 ou moins. Si vous n’êtes pas vacciné, votre test PCR doit être effectué à un CT de 40, ce qui surestime largement la prévalence réelle de l’infection.

Le résultat final est que les personnes non vaccinées qui se font tester sont beaucoup plus susceptibles d’obtenir des faux positifs, tandis que celles qui ont été vaccinées ont plus de chances d’obtenir un diagnostic précis de l’infection.

Si vous êtes vacciné, seules l’hospitalisation et la mort seront comptabilisées

Et ce n’est pas tout. Le CDC dissimule également les échecs de la vaccination et soutient le récit de la « pandémie des non-vaccinés » en ne comptabilisant que les cas post-vaccinaux qui entraînent une hospitalisation ou un décès.

En d’autres termes, si vous avez reçu votre deuxième injection de COVID il y a plus de 14 jours et que vous développez des symptômes, vous ne comptez pas comme un cas post-vaccinal à moins d’être admis à l’hôpital et/ou de mourir du COVID-19 à l’hôpital, même si votre test est positif. Donc, pour résumer, les cas de COVID post-vaccinal ne comptent que si tous les éléments suivants s’appliquent :

  • Le patient a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer ou Moderna il y a au moins 14 jours (ou une dose dans le cas de l’injection monodose de Johnson & Johnson).
  • Le patient est testé positif pour le SRAS-CoV-2 avec un CT de 28 ou moins, ce qui permet d’éviter les faux positifs.
  • Le patient est admis à l’hôpital pour le COVID-19 et/ou décède à l’hôpital.

Les vaccinés représentent probablement l’essentiel des hospitalisations

Si les vaccinés et les non-vaccinés n’étaient pas traités avec des normes aussi différentes, nous constaterions probablement que les vaccinés représentent aujourd’hui la majorité des hospitalisations, ce qui fait de la pandémie de COVID celle des vaccinés. Un article publié le 30 août 2021 par The Epoch Times révèle ce qui se passe réellement sur la ligne de front :15

« Après une batterie de tests, on a diagnostiqué à mon ami une pancréatite. Mais il a été plus facile pour la bureaucratie de l’hôpital d’enregistrer l’admission comme un cas de COVID… Les médias grand public rapportent que les cas graves de COVID concernent principalement les personnes non vaccinées… Est-ce que c’est vraiment ce qui se passe ?

Ce n’est certainement pas le cas en Israël, le premier pays à avoir entièrement vacciné une majorité de ses citoyens contre le virus. Aujourd’hui, le pays affiche l’un des taux d’infection quotidiens les plus élevés et la majorité des personnes qui attrapent le virus (77 % à 83 %, selon l’âge) sont déjà vaccinées, selon les données recueillies par le gouvernement israélien…

Après mon admission, j’ai parlé à l’infirmière du service COVID… Elle m’a dit qu’elle avait reçu les deux vaccins mais qu’elle était inquiète : « Deux tiers de mes patients sont complètement vaccinés », a-t-elle dit. Comment peut-il y avoir un tel décalage entre ce que l’infirmière du service COVID m’a dit et les reportages des médias grand public ? »

Le cœur du problème est que les États-Unis n’essaient même pas d’obtenir un décompte précis. Comme le note The Epoch Times,

« les Centres de contrôle et de prévention des maladies ont publiquement reconnu qu’ils ne disposaient pas de données précises. »

Ainsi, lorsque vous entendez que les cas augmentent, et que la plupart d’entre eux ne sont pas vaccinés, vous devez vous demander : « S’agit-il de personnes qui ont reçu un vaccin et sont tombées malades, deux vaccins et sont tombées malades, ou pas de vaccin du tout ? ». Sans plus de détails, il est impossible de savoir ce qui se passe réellement », indique The Epoch Times.16

Tout ce que nous savons, selon un médecin qui s’est entretenu avec The Epoch Times, c’est que

« les vaccins ne sont pas aussi efficaces que les responsables de la santé publique nous l’ont dit. C’est un produit qui ne fait pas ce qu’il est censé faire. Il est censé arrêter la transmission de ce virus et il ne le fait pas ».

Comptabilisation des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID

En plus de tout cela, les hôpitaux continuent de déclarer des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID. Comme le rapporte The Epoch Times17:

« Les autorités sanitaires du monde entier agissent ainsi depuis le début de la crise du COVID. Par exemple, un jeune homme du comté d’Orange, en Floride, qui est décédé dans un accident de moto l’été dernier, a été initialement considéré comme un décès lié au COVID par les autorités sanitaires de l’État….

Et un ouvrier du bâtiment d’âge moyen, tombé d’une échelle en Croatie, a également été considéré comme un décès dû au COVID… Pour brouiller encore plus les pistes, même les personnes dont le test de dépistage du COVID est négatif sont parfois considérées comme des décès dus au COVID.

Prenons le cas de Matthew Irvin, 26 ans, père de trois enfants, originaire du comté de Yamhill, dans l’Oregon. Comme le rapporte KGW8 News, Irvin s’est rendu aux urgences pour des douleurs à l’estomac, des nausées et des diarrhées le 5 juillet 2020. Mais au lieu de l’admettre à l’hôpital, les médecins l’ont renvoyé chez lui.

Cinq jours plus tard, le 10 juillet 2020, Irvin est mort. Bien que son test COVID se soit révélé négatif deux jours après sa mort et que sa famille ait déclaré aux journalistes et aux responsables de la santé publique que personne dans l’entourage d’Irvin ne présentait de symptômes COVID, le médecin légiste aurait dit à la famille qu’une autopsie n’était pas nécessaire, inscrivant son décès comme un cas de coronavirus. Il a fallu deux mois et demi à l’autorité sanitaire de l’Oregon pour corriger cette erreur.

Dans un exemple encore plus frappant de sur-dénombrement des décès dus au COVID, une maison de retraite du New Jersey qui ne compte que 90 lits a été déclarée à tort comme ayant 753 décès dus au COVID. Selon un porte-parole, il y a eu moins de vingt décès. En d’autres termes, le nombre de décès a été sur-déclaré de 3 700 %. »

[…]

Sources et références




La chanteuse lyrique Espagnole Ainhoa Arteta dans un état grave depuis son injection

[Photo : Ainhoa Arteta, image stock LE MONDE]




Maître Di Vizio explique pourquoi il prend le large

[Source : Gérard Infos]




L’obligation vaccinale des soignants fragilisée par l’indigent décret d’application

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

C’est vrai ! le décret sur la vaccination obligatoire prévu par l’article 12 de la loi du 5 août 2021 fait l’objet d’un débat, le gouvernement soutenant qu’il est intégré dans le décret du 7 août. Cette position soulève de nombreux problèmes, car ce décret se borne très largement à citer la loi, et ne porte aucune des précisions que celle-ci prévoit explicitement. Dans ces conditions, il nous semble qu’il existe une voie pour contester la façon dont la loi concilie (insuffisamment) le secret médical et la déclaration de statut vaccinal auprès de l’employeur.

https://youtu.be/u-7yxHTziqk

Effectivement, il existe un flou sur la parution du décret d’application de l’article 12 de la loi du 5 août 2021, considéré comme intégré au décret du 7 août 2021. Pour mémoire, la loi prévoyait ceci :

II. – Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé, détermine les conditions de vaccination contre la covid-19 des personnes mentionnées au I du présent article. Il précise les différents schémas vaccinaux et, pour chacun d’entre eux, le nombre de doses requises.
Ce décret fixe les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour les personnes mentionnées au même I et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il détermine également les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19.

On retiendra donc que la loi prévoit un décret pour remplir deux objets principaux :

  • expliquer les schémas vaccinaux et le nombre de doses à recevoir pour être “conforme”
  • préciser dans quelle condition les employeurs sont informés du statut vaccinal sans violer le secret médical. 

Le décret du 7 août dispose ceci :

« Art. 49-1.-Hors les cas de contre-indication médicale à la vaccination mentionnés à l’article 2-4, les éléments mentionnés au second alinéa du II de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 susvisée sont :
« 1° Un justificatif du statut vaccinal délivré dans les conditions mentionnées au 2° de l’article 2-2 ;
« 2° Un certificat de rétablissement délivré dans les conditions mentionnées au 3° de l’article 2-2 ;
« 3° A compter de la date d’entrée en vigueur de la loi et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus et à défaut de pouvoir présenter un des justificatifs mentionnés aux présents 1° ou 2°, le résultat d’un examen de dépistage, d’un test ou d’un autotest mentionné au 1° de l’article 2-2 d’au plus 72 heures. A compter 15 septembre 2021 et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, ce justificatif doit être accompagné d’un justificatif de l’administration d’au moins une des doses d’un des schémas vaccinaux mentionnés au 2° de l’article 2-2 comprenant plusieurs doses.
« Les seuls tests antigéniques pouvant être valablement présentés pour l’application du présent 3° sont ceux permettant la détection de la protéine N du SARS-CoV-2.
« La présentation de ces documents est contrôlée dans les conditions mentionnées à l’article 2-3.

On le voit, l’essentiel du décret consiste à… répéter la loi, sans rien y ajouter. Dans ces conditions, le décret semble d’autant plus attaquable qu’il était supposé être rendu sur avis de la Haute Autorité de Santé. Or, comme l’indiquent les visas du décret, celle-ci n’a rendu qu’un seul avis postérieur à la loi : sur les tests auto-géniques. Elle ne s’est pas exprimée sur le schéma vaccinal nécessaire à respecter. Le décret est donc entaché d’illégalité. 

Le décret est-il annulable devant le Conseil d’Etat ?

De notre point de vue, cette réduction du décret d’application à un simple renvoi à la rédaction de la loi, avec un avis très insuffisant (et de pure forme) de la Haute Autorité de Santé, est un motif d’illégalité du décret… et de la loi elle-même. En effet, l’intervention du décret, selon les termes de la loi elle-même, vise à éclaircir les conditions d’application de la loi sur un point très sensible : la conciliation du secret professionnel et de la déclaration vaccinale. 

En restant muet sur ce point, le décret pèche par inaction de l’exécutif et met en danger les libertés fondamentales. Il nous semble donc qu’il y a là, en complément d’un recours contre une décision de suspension prise sans garanties disciplinaires, un motif pour demander l’annulation du décret et affaiblir l’obligation vaccinale. 

Que faire concrètement ?

Ceux qui voudraient se prévaloir de l’incapacité du gouvernement à définir des règles telles que la loi les a prévues ont une vraie possibilité d’ébranler l’édifice juridique qui a conduit à l’obligation vaccinale en mettant en avant l’inaction du pouvoir réglementaire. Pour ce faire, il faut profiter d’un recours devant un tribunal de première instance pour enrichir ses griefs d’une mise en cause de la qualité du décret. 

La mise en cause de l’illégalité du décret obligera les tribunaux à se prononcer. 

Plus subtile, cette mise en cause d’un système où la loi invite à prendre un décret qui se contente de renvoyer à la loi sans rien lui ajouter, sur un sujet aussi sensible que le secret médical, peut conduire à soulever une question prioritaire de constitutionnalité devant le Conseil Constitutionnel… Une procédure encadrée, mais qui peut se relever gagnante, dans la mesure où la question est nouvelle et sérieuse, et où le Conseil Constitutionnel, redisons-le, n’a pas traité cette question dans sa décision du 5 août. 




Des journalistes présentent leurs 10 théories du complot préférées les plus fausses et les plus débiles

Par Nicolas Bonnal

Nous vivons une époque où les débiles vous accusent de débilité. Après Kaboul nos mabouls s’en donnent à cœur joie. Un canard féminin résume ces théories :

1. Bill Gates aurait créé ce virus pour vacciner la population mondiale et lui implémenter une micro-puce dans la foulée. Le fondateur de Microsoft a été contraint de démentir, tant les vidéos l’accusant de vouloir «contrôler les masses» sont devenues virales. Les accusations sont parties de conférences datant de 2015, et repartagées, dans lesquelles le milliardaire annonçait que le monde n’était pas prêt pour la prochaine épidémie. Il faisait référence à Ebola.

2. Il s’agirait d’un programme d’armes biologiques chinois, conçu dans le laboratoire de Wuhan, d’où l’épidémie est partie. La moitié des adhérents veulent que la propagation soit un acte volontaire, l’autre moitié parlant plutôt d’un accident.

3. En Chine aussi, on accuse les autres pays d’être responsables du virus, dont… les Etats-Unis, qui l’auraient créé pour «cibler précisément le peuple chinois». En mars, l’ambassadeur chinois à Washington
a été convoqué par le gouvernement américain pour s’expliquer.

4. Après la chauve-souris et le pangolin, le raton laveur est aussi devenu persona non grata, puisque, en anglais, racoon est l’anagramme de corona. De plus, il passe son temps à se laver les mains et porte un masque…

5. La mouvance d’extrême droite américaine QAnon a affirmé que Donald Trump avait planifié la pandémie pour ordonner un confinement. Il aurait eu pour but de procéder à une «arrestation massive de pédophiles, de politiciens, de personnalités comme Tom Hanks ou Hillary Clinton et d’acteurs hollywoodiens».

6. Selon certains, la 5G propagerait le virus; selon d’autres, elle serait même à l’origine du virus. Des antennes ont été détruites aux Pays-Bas et au Royaume-Uni où ces théories sont très populaires.

7. Dans un post Facebook viral, des internautes avancent que Nostradamus avait prédit la pandémie. Or, les textes partagés… n’ont jamais été écrits par l’auteur français.

8. La Corona a été désertée par les amateurs de bières – on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas. Un sondage publié en mars aux Etats-Unis a montré que 38% des sondés ne boiraient plus de Corona. Parmi eux, 16% soupçonnent un lien entre le virus et la bière. Quand le Covid était encore un sujet de plaisanterie, en janvier et février, les ventes de Corona avaient augmenté de 5%.

9. Par peur de se faire griller les neurones par les pistolets thermomètres (ce qui évidemment n’arrive pas), au Mexique, les clients des magasins ont réussi à faire plier les vigiles: ces derniers prennent désormais leur température au poignet.

10. Fake news encore, des recettes permettraient de se prémunir contre le virus, parmi lesquelles se laver à l’huile de sésame ou à l’urine d’enfant, manger de l’ail ou du foie de bœuf, boire de la Javel (attention, ce peut être mortel), du jus de fenouil ou de gingembre.

On commente ?

https://www.femina.ch/societe/actu-societe/comment-parler-a-un-ami-complotiste?


[NDLR en comparaison, voici quelques éléments factuels :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays
    (voir notamment 
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris
    (voir : 
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent
    (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents
    (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux 
    (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe:
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 
    (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr)):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Ondes électromagnétiques et corps humain
    • Le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 4G+, la 5G, etc. sont des ondes électromagnétiques pulsées.
    • Le corps humain est aussi de nature électrique (influx nerveux et neuronaux, courants électriques dans les mitochondries pour la transformation du glucose en ATP, etc.) et magnétique (présence de magnétite dans les cellules).
    • Même à très faible intensité, les cellules humaines peuvent subir des effets de la part des ondes électromagnétiques (spécialement lorsqu’elles sont pulsées, à cause de l’équivalence des impulsions et de la superposition d’un très grand nombre d’ondes de fréquences différentes — cf. la transformée de Fourier d’un pic de Dirac), ceci notamment par les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique :

]




Donald Trump, le retour ? « Sa popularité n’a pas baissé depuis qu’il a quitté la présidence »

[Source : breizh-info.com]

Aux Etats-Unis, Donald Trump multiplie les interventions ces derniers jours. L’ancien président américain s’est prononcé sur plusieurs sujets sensibles et notamment sur la débâcle en Afghanistan. Donald Trump reproche à son successeur le départ précipité des troupes américaines avant celui des civils américains.

Ces déclarations du 45e président des Etats-Unis annoncent-elles un retour en politique à 3 ans de la présidentielle américaine ? Dave Perkins, analyste de la politique américaine et animateur radio, était l’invité de l’Info avec Stéphanie De Muru pour en parler.

Photo d’illustration : DR
[cc] BREIZH-INFO.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Marc Faber prévient «Une fois le COVID terminé, les élites entreront en guerre»

[Source : Aube Digitale via Les 7 du quebec]

Marc Faber, investisseur légendaire, économiste et prévisionniste de marché, pense que les banques centrales (BC) ne vont pas réduire l’impression monétaire. C’est tout le contraire…

Il prévoit que les banques centrales vont imprimer encore plus d’argent à un rythme plus rapide pour maintenir le système économique défaillant un peu plus longtemps. Le Dr Faber explique :

« Ce qui est perçu comme sûr, à savoir l’argent liquide, n’est plus sûr. Il n’est plus sûr. Vous me demandez ce qui est sûr ? Je ne sais pas ce qui est sûr quand vous avez des imprimeurs de monnaie qui impriment de la monnaie indéfiniment. Je ne pense pas qu’ils puissent s’arrêter. Je pense en fait qu’ils doivent accélérer leur impression monétaire. Donc, les actions peuvent monter, mais en termes réels, cela ne signifie pas que votre niveau de vie va augmenter. Peut-être que le niveau de vie des 50 personnes les plus riches du monde va augmenter, mais pas le niveau de vie de l’Américain typique… ou de l’Américain moyen. Ce niveau de vie va baisser…. Toute cette impression monétaire est une mesure désespérée pour empêcher les électeurs de se rebeller. »

Le Dr Faber prédit que non seulement nous allons assister à une plus grande inflation des actifs, mais aussi à une inflation spectaculaire des salaires. Le Dr Faber, qui est titulaire d’un doctorat en économie, déclare :

« Ce qui va se passer selon moi, et que la plupart des gens n’ont pas vraiment envisagé, c’est que nous allons avoir une inflation des salaires. Pour la première fois depuis la fin des années 1970, l’inflation des salaires va s’accélérer, et dans certains cas, elle sera assez spectaculaire. Dans certains États, le salaire minimum est de 15 dollars. Je pourrais voir ce salaire passer à 30 dollars de l’heure très rapidement. Je ne pense pas que l’inflation soit « transitoire » (comme le proclame la Fed). Nous n’aurons pas de stagflation. Nous aurons quelque chose de pire. Nous aurons une hausse des prix et une dépression du niveau de vie de la plupart des gens. »

Inflation, déflation ou stagflation, les banques préparent l’effondrement post-Covid – les 7 du quebec ) 

Le Dr Faber affirme que le marché boursier américain est « surévalué et trop détenu ».

Il aime les actions de pays étrangers, l’immobilier « loin des villes » et l’or physique, l’argent et un peu de cash. M. Faber apprécie également la présence de crypto-monnaies dans son portefeuille.

Le Dr Faber est moins préoccupé par la situation économique que par la montée du socialisme et du communisme dans le monde occidental. (sic)  Faber soutient que le socialisme détruit les économies et la liberté. Faber fait remarquer :

« Je peux vous dire une caractéristique de tous les pays socialistes que j’ai visités dans ma vie, et tous avaient moins de liberté, moins de bonheur que nous, et les niveaux de vie étaient substantiellement, pas un peu, mais substantiellement inférieurs à ce qu’ils sont dans le monde capitaliste libre… Je suis désolé de dire que je pense que le monde occidental s’est engagé dans une voie très dangereuse où essentiellement, grâce aux taux d’intérêt zéro, tout est gratuit. Puis vous obtenez des conséquences involontaires. »

Donc, avec l’inflation qui augmente et le niveau de vie qui baisse en Occident, la possibilité d’une guerre augmente-t-elle ?

Faber répond :

« Je pense qu’une fois que cette histoire de Covid19 sera terminée, l’élite, ceux qui font de l’argent, iront à la guerre. C’est la dernière recette pour maintenir l’unité de la population. »

Rejoignez Greg Hunter pour un tête-à-tête avec le Dr Marc Faber du « Gloom, Boom & Doom Report ». 04/09/21

[Ndlr : d’autres éventualités ont été envisagées, plus ou moins probables, telles qu’une fausse menace venue de l’espace extraplanétaire ou encore une cyberguerre mondiale.]

Dans une autre interview, cette fois avec Adam Taggart de Wealthion, Faber fustige Bernanke, Yellen et Powell « comme les bureaucrates de bas étage que j’ai vus dans l’histoire ».

« Ces gens vont continuer à imprimer de l’argent. »

« Les universitaires diront que nous n’en avons pas imprimé assez. »

« Les banquiers centraux sont des criminels. »

https://www.youtube.com/embed/fDf24HkFXKE

Comme le note Mike Shedlock, le portefeuille de Faber est composé de 25% de métaux précieux, 25% d’immobilier, 25% d’actions et 25% d’obligations. Faber prédit que le cash disparaîtra, mais sera remplacé par des crypto-monnaies de banques centrales «tout aussi mauvaises».

« Qui veut contrôler votre argent ? », demande Faber.

« La beauté de l’or et de l’argent est que personne ne le contrôle ».

De plus, Faber dit « n’oubliez pas : la Fed mentira toujours, de la même manière que les généraux américains ont déformé les conditions infortunées de l’Afghanistan au monde entier afin de maintenir la machine de guerre. »

Et rappelle aux lecteurs de se souvenir des mots de Léon Nikolaïevitch Tolstoï

« Dans toute l’histoire, il n’y a pas de guerre qui n’ait été ourdie par les gouvernements, les gouvernements seuls, indépendamment des intérêts des peuples, pour lesquels la guerre est toujours pernicieuse, même lorsqu’elle réussit. »

Traduction de USA Watch Dog par Aube Digitale




« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers » : l’Angleterre dit « non » au pass sanitaire

[Source : lindependant.fr]

Le ministre de la Santé britannique a annoncé ce dimanche que le projet de passeport vaccinal envisagé notamment pour entrer en discothèque était abandonné.

« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers (…) pour faire ce qui est simplement une activité courante », a expliqué Sajid Javid ce dimanche sur la BBC, rapporte BFMTV.

Le ministre de la Santé a ainsi décidé d’enterrer son projet d’introduire un passeport vaccinal pour les discothèques et les grands évènements, comme les stades. Le gouvernement le juge désormais inutile en raison du succès de la campagne de vaccination.

« Nous l’avons considéré comme il se doit, et tandis que nous devrions le garder en réserve comme une option potentielle, je suis ravi de dire que nous n’allons pas poursuivre avec notre projet de passeport vaccinal », a-t-il ajouté.

81% de personnes complètement vaccinées

Le gouvernement britannique avait pourtant réaffirmé cette semaine son intention de créer un tel passeport vaccinal et s’était d’ailleurs attiré les foudres des professionnels du secteur de la nuit et de nombreux députés, qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition.

Malgré un nombre quotidien de contaminations toujours élevé, le ministre de la Santé estime que le pays peut se passer d’une telle mesure grâce à son taux de vaccination très élevé. Près de 81% de la population de plus de 16 ans dispose d’un schéma vaccinal complet.

Chaque nation du Royaume-Uni disposant néanmoins d’un droit de légiférer sur les restrictions anti-Covid, le gouvernement écossais a lui décidé d’introduire, dès le 1er octobre, un certificat de vaccination pour accéder aux discothèques et à certains événements.

N.M./lindependant.fr




Éviction de Zemmour : Patrick Cohen est lui (parmi d’autres) « sorti du cadre » depuis longtemps

Par Lucien Samir Oulahbib

Sur quoi, tout d’abord, s’appuient tous nos prétentieux prétendants concernant maints sujets, dont C.19 ? Sur le même type d’arguments qu’ils avancent pour dénigrer les traitements précoces en disant que même s’ils marchent ici et là ils ne sont pas nécessaires.

Ainsi un placebo ou une aspirine suffirait pour « soigner » 98 % des gens touchés. Les médecins de plateau s’en délectent : c’est « bénin » pour la plupart de la population, dixit également Google(([1] Cf. ce lien (voir sous la carte mondiale des cas Covid-19) )) en se référant à l’OMS :

« La majorité des personnes atteintes de la Covid-19 ‎ne ressentiront que des symptômes bénins ou ‎modérés et guériront sans traitement particulier ».

Et comme les trois milliards de personnes qui se sont faites injectées vont bien (balayant d’un revers de main les effets secondaires et les morts de cette expérimentation mondiale), tout ce branle-bas de combat concernerait en fait seulement ces fameux « 2 % » qu’il faudrait à tout prix protéger en amont en empêchant de les infecter ou en les injectant massivement, alors que la contamination ne veut pas dire maladie et que la prise de traitements précoces montre empiriquement que celle-ci les protège bien plus que l’injection. D’innombrables exemples le prouvent, mais évidemment placés sous l’aune de la concomitance, comme ces EHPAD et monastères plus touchés mortellement depuis qu’ils ont fait l’injection qu’avant…

De plus, on peut fort bien renverser cet argument qui relativise la portée des traitements précoces. Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’injection d’une partie du virus est sans doute immédiatement détruite par leur système immunitaire. Elle ne leur sert donc à rien (sauf à montrer patte blanche), mais s’avère nuisible à certains, au vu des effets secondaires et des morts, en particulier pour ceux qui, bien que jeunes, ont des malformations génétiques et/ou des comorbidités, du moins lorsqu’ils ont un système immunitaire déficient.

Quelle est alors la réaction d’ensemble d’un Patrick Cohen, déjà lorsqu’il s’en était pris à Raoult ? Précisément, le fait que ce dernier souligne ce caractère « bénin » (OMS, supra) nécessitant plutôt de tester, soigner, isoler les personnes malades et ce de façon précoce (afin d’éviter les séquelles) tout en avançant que les jeunes ont en effet bien plus de risques de mourir d’un accident de la route, y compris de « trottinette électrique » que de cette maladie « bénigne ». Ensuite, lorsque ce même Patrick Cohen (suffisant à souhait) critique dernièrement le dénommé Véran, c’est bien moins pour souligner les déficiences, de plus en plus criantes, de leur « thérapie génique » (exclusive) que de lui signifier robotiquement, à l’instar d’un responsable australien ou néo-zélandais (ou d’un démocrate US, ou d’un sénateur PS français) la « stagnation » du taux d’injection (car il l’avait félicité au contraire du niveau tout de même atteint au préalable). Il présuppose ainsi que ce serait là le facteur clé. D’où la hargne, rentrée, contre les supposés « antivax » qui seraient, eux, les principaux responsables de la persistance virale, bien sûr, ce qui reste évidemment faux au regard des chiffres réels (et où en sont les « clusters » ?). Sans parler de ce qui se passe à l’étranger (qui sont les « non-vaccinés en réa » en réalité ? Nul ne le sait hormis les effets d’opérette habituels : ici un jeune, là une femme enceinte, sans que l’on en sache plus sur leur cas, toujours singulier, mais, en Israël, les choses ne se précisent-elles pas un peu plus, oui ou non ?…).

S’agissant maintenant des autres sujets sur lesquels un Patrick Cohen (parmi mille [animateurs], tels Ruquier, Apathie, Salamé…) « sort du cadre » (expression qu’il a utilisée contre Zemmour) depuis longtemps, il s’agit (tout à l’avenant) de ces problèmes de taille qui sont systématiquement minorés ou mis sur le tapis, comme l’impossibilité de lire uniquement de manière démographique les entrées et sorties migratoires, les financements illégaux de lieux de culte islamique sous couvert de lieux culturels, le tout afin de continuer pour des fins clientélistes à placer sous cloche spirituelle des populations qui ont précisément fui les contrées régies par l’islam. Sans parler du caractère délétère de l’enseignement de ce dernier et du silence abyssal quant à sa propre colonisation en Afrique (du Nord), en Asie, en Inde, toutes choses que Zemmour critique et dénonce en tant qu’éditorialiste, une profession reconnue comme faisant partie du corps journalistique, semble-t-il, et que Patrick Cohen ne se prive pas, lui, d’utiliser pour brocarder un Trump, une Le Pen, etc.,etc. Un temps de parole qu’il faudrait décompter aussi, ou additionner, c’est selon (Zemmour n’étant toujours pas candidat, pourquoi une telle attaque préventive qui s’avère inconstitutionnelle ? Vous avez quatre heures [pour répondre]…).

Est-ce que pour autant et ce faisant Zemmour « sort du cadre républicain » ? Ce n’est pas à un Patrick Cohen de le juger, même s’il peut le dire, ce qui n’est pas la même chose. En tout cas Patrick Cohen sort du cadre français, lui, et en particulier du cadre voltairien. Ne remontons pas plus haut. L’Histoire n’est, semble-t-il, pas son fort.

Aussi, au final (et pour la route), quand une radio comme Europe 1 glougloute parce que Google aurait « démonétisé » FranceSoir, ce « site de désinformation » écrit-elle, on comprend pourquoi Patrick Cohen l’aura quitté lors de cette rentrée : il craignait qu’elle n’aille pas assez loin dans l’épuration, la désinfection des idées « nauséabondes ». C’est chose faite. Patrick Cohen peut donc y revenir tranquillement (en attendant à nouveau F.I, qui sait ?…).

Reste aussi la nécessité de brûler le(s) dernier(s) livre(s) de Zemmour en place de Grève. Les soumis Canadiens ont montré la voie.




Appel aux parents européens : exigez le retrait de l’autorisation des vaccins Covid de Pfizer pour les enfants de 12 ans et plus

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Date limite : 15 septembre 2021
Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’UE du vaccin Pfizer/BioNtech pour les enfants âgés de 12 ans et plus. 
Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne 
Coûts : aucuns frais pour la demande
Détails de l’affaire et formulaire de demande : voir à la fin de cet article.

En Italie, à partir du 6 août, les enfants de plus de 12 ans devront être munis d’un « laissez-passer vert » ou d’un certificat Covid pour accéder aux restaurants, aux installations sportives et culturelles couvertes et même pour fréquenter l’école dès la rentrée.

La présente demande d’annulation découle du fait qu’en pratique, cette mesure introduit de facto une obligation vaccinale  pour les enfants et constitue un danger imminent pour leur santé.  Le recours est dirigé contre la Commission européenne, car elle a délivré une autorisation de mise sur le marché conditionnelle centralisée pour le vaccin, qui ne nécessite pas de décision supplémentaire de la part des États membres (en l’occurrence le gouvernement italien, mais c’est la même chose pour les autres états).

Les enfants en bonne santé ont un risque ZÉRO d’infection par le virus Sars-Cov-2.  Par conséquent, il ne peut y avoir de rapport risque-bénéfice positif pour les enfants, en particulier lorsqu’il s’agit d’injecter une substance basée sur une thérapie génique expérimentale

Les preuves scientifiques citées dans la plainte montrent également que :

Le Covid peut être traité
La transmission asymptomatique n’est pas réelle
Le vaccin Covid n’a aucune efficacité
Il n’y a pas de dosage spécifique du vaccin pour les enfants ; ils auront une injection plus puissante
La coagulation/coagulation sanguine liée à l’utilisation de la protéine spike a été observée comme un effet indésirable dangereux.
Contrairement aux affirmations de Pfizer, la substance injectée ne reste pas dans le bras mais se répand dans tout le corps et s’accumule dans des zones fragiles comme le cerveau, le cœur, les reins et les organes génitaux.

Renate Holzeisen a intenté cette action au nom de familles italiennes qui s’opposent aux autorisations de mise sur le marché qui ont été délivrées dans l’UE pour les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech). Bien que les plaignants dans cette affaire soient italiens, tout Européen ayant des enfants peut participer à cette action en justice en tant qu’intervenant. En termes juridiques, un intervenant est une personne qui n’est pas impliqué directement dans le procès en cours mais qui s’y associe en se joignant au plaignant ou en s’unissant au défendeur pour résister aux revendications du plaignant.

La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

Les personnes qui souhaitent devenir intervenants doivent fournir une copie de leur pièce d’identité et une preuve d’inscription dans leur profession à l’avocat coordinateur de leur pays – pour la France vous pouvez contacter la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations  (cliquer ici pour l’adresse concernant cette action) – qui remplira les documents fournis par Maître Holzeisen et enregistrera leur participation.

Pour plus d’informations, veuillez lire l’article ci-dessous. Les formulaires de demande sont disponibles en plusieurs langues sous l’article. Si vous avez besoin des documents dans une langue qui ne figure pas dans la liste, veuillez nous contacter.

La date limite de participation est le 15 septembre 2021.

Vous pouvez lire le texte intégral de l’action en justice ici et regarder une interview de l’avocate Renate Holzeisen ici.

Les parents participants peuvent demander à un avocat européen inscrit au Tribunal e-curia d’introduire une demande d’intervention au titre de l’article 142 du règlement de procédure du Tribunal.

Si la demande est acceptée, le Tribunal admettra le demandeur en tant qu’intervenant, ce qui lui permettra de soutenir l’action et d’assister à toute audience.

La demande doit être déposée en allemand – la langue du recours – dans les six semaines suivant la publication du recours au Journal officiel de l’Union européenne. L’avocat Holzeisen a préparé un projet de demande en allemand mais tous les documents sont également disponibles en plusieurs langues.   Les intervenants potentiels doivent remplir le formulaire et joindre une preuve de leur capacité professionnelle à un avocat national qui examinera les documents et déposera ensuite une demande en leur nom auprès du tribunal de l’UE. Les avocats peuvent demander une inscription temporaire au barreau européen, auquel cas ils auront un accès de 48h pour déposer les documents.

Les intervenants et les avocats ayant besoin d’une assistance supplémentaire peuvent contacter le bureau de l’avocat Holzeisen par courriel.

Historique des actions précédentes : Quatre actions, une pour chaque vaccin autorisé, ont déjà été intentées par l’avocate italienne Renate Holzeisen pour défendre les droits des travailleurs de la santé du nord de l’Italie.

Les travailleurs de la santé italiens ont demandé l’aide de l’avocate Holzeisen après que leur gouvernement leur a demandé d’accepter les vaccins expérimentaux du candidat Covid ou de quitter leur emploi. L’avocat Holzeisen conteste les licences accordées par la Commission européenne dans sa décision d’exécution du 21 décembre 2020 pour l’utilisation de ces produits au sein de l’UE.


DISPONIBLE pour le TÉLÉCHARGEMENT (cliquez sur la langue choisie pour télécharger le PDF) :

Recours en annulation pour le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) :
ANGLAIS / ALLEMAND / FRANÇAIS




Recours collectif contre le pass sanitaire

[Source : NO PASS !!!]

Qui êtes-vous ?

Je suis Guillaume Zambrano, maitre de conférences en droit privé. J’ai fait mes études à Montpellier, où j’ai obtenu mon doctorat en droit en 2012. J’ai également obtenu mon certificat d’aptitude à la profession d’avocat en 2011, mais je ne suis pas inscrit au barreau et je n’exerce pas en tant qu’avocat. J’enseigne à l’université et je me consacre à la recherche sur l’Intelligence Artificielle appliquée au droit.

En quoi consiste cette requête ?

La CEDH [Cour Européenne des Droits de l’Homme] peut condamner les violations des droits fondamentaux commises par les États européens. Une requête est tout simplement une demande faite par un simple particulier – n’importe qui, vous, moi, sans condition de nationalité – pour voir condamner la France en violation des droits fondamentaux.

Comment puis-je participer ?

Avec un simple stylo, deux timbres, une enveloppe et 10 minutes de votre temps. Vous pouvez personnellement attaquer le gouvernement français en saisissant la CEDH. Pour cela, il faut envoyer à la CEDH une requête par la Poste.

Qui peut envoyer la requête ?

Toute personne victime du « pass sanitaire », que ces personnes soient majeures ou mineures, vaccinées ou non-vaccinées. Si vous êtes affecté par la loi sur le « pass sanitaire », simplement parce que vous vous trouvez sur le territoire français, ou parce que vous pourriez potentiellement vous trouver sur le territoire français. Il n’y a pas de condition de nationalité. Toute personne, de n’importe quelle nationalité peut agir. Peu importe également que vous résidiez à l’étranger. N’hésitez pas à envoyer une requête, ce sera au gouvernement français de prouver que vous ne possédez pas la qualité de victime. Ce qui est difficile.

Les membres d’une même famille doivent-ils dupliquer les requêtes ?

Le règlement de la Cour exige que chaque requérant remplisse un formulaire de requête individuellement. La requête est nominative. Il faut donc dupliquer plusieurs fois la même requête : une pour chaque personne, y compris les enfants, qui ont aussi le droit de saisir la Cour.

Ce recours est-il toujours d’actualité ?

Tant que la loi sur le « pass sanitaire » est en application et n’a pas été abrogée, vous pouvez saisir la Cour européenne des droits de l’Homme. L’objectif du recours vise d’abord à dissuader le gouvernement de prolonger le « pass sanitaire » au-delà du 15 novembre, en montrant que les plaintes ne cesseront pas de s’accumuler devant la CEDH tant que la loi sera en vigueur. De plus, même après le 15 novembre, et même si le « pass sanitaire » est finalement abandonné, il sera utile d’obtenir un jugement constatant que la France a violé les droits de l’Homme. Cela empêchera qu’une telle violation se reproduise à l’avenir.

On m’a dit que pour saisir la CEDH, il faut épuiser toutes les voies de recours.

  • C’est vrai. Toutefois en droit, les règles connaissent souvent des exceptions. Pour saisir la CEDH, il faut en théorie avoir épuisé toutes les voies de recours internes. Mais nous sommes dans un cas particulier : la violation résulte de l’existence de la loi elle-même. Pour un exemple d’une affaire où une personne a introduit une requête jugée recevable contre une loi, lire : Arrêt CEDH Grande Chambre, 1er juillet 2014, SAS c. France, requête n°43835/11. Dans cette affaire, la requérante contestait la loi n°2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public, porte atteinte aux articles 3, 8, 9, 10 et 11 de la Convention, en ce qu’elle l’empêche de porter le voile intégral, expression de sa religion musulmane, dans l’espace public. La Cour a jugé la requête recevable, au motif qu’un requérant a la qualité de victime au sens de l’article 34 « s’il est obligé de changer de comportement sous peine de poursuites ou s’il fait partie d’une catégorie de personnes risquant de subir directement les effets de la législation ». (voir, notamment, Marckx c. Belgique, 13 juin 1979, série A no 31, § 27, Johnston et autres c. Irlande, 18 décembre 1986). La Cour constate que la requérante se retrouve dans une telle situation, puisqu’elle doit choisir entre respecter la loi ou se comporter de manière conforme à son identité.
  • Il existe ainsi une exception (jugée par exemple dans l’affaire CEDH, 20 février 1991, Vernillo, requête n° 11889/85 ) permettant de passer outre les voies de recours inutiles ou non effectives en pratique au sens des articles 13 et 35 de la CEDH. Puisque le conseil constitutionnel a déclaré la conformité le 5 août, il n’existe plus en France de voie de recours en mesure d’annuler le « pass sanitaire ». De plus, les simples particuliers n’ont pas la possibilité de saisir directement le conseil constitutionnel, autrement qu’en soulevant une Question Prioritaire de Constitutionnalité. La déclaration de conformité par la décision du 5 août 2021 rend impossible de soulever une QPC.

La saisie de la CEDH est-elle risquée ?

  • Il n’y a aucun risque et c’est parfaitement légal. Vous ne pouvez pas être condamné à payer les frais d’avocat de l’Etat défendeur. Et à la différence des procédures judiciaires en droit français, vous ne pouvez pas être condamné pour recours abusif. La seule sanction du recours abusif consiste à déclarer le recours irrecevable.
  • De plus, j’ai demandé l’anonymat pour les requérants. Cela signifie, comme dans l’affaire S.A.S contre France du 1er juillet 2014, que votre identité ne sera pas révélée publiquement par la Cour. Vous ne serez jamais inquiété pour avoir participé à ce recours, car cela est un secret protégé par la confidentialité.

Combien cela coûte t-il ?

Environ 3 euros pour acheter 2 timbres, une enveloppe et imprimer 13 pages A4. Vous pouvez aussi opter pour un envoi par lettre recommandée (+/-6€) si vous souhaitez accroitre la charge de travail de la CEDH et conserver une preuve de dépôt.

Des frais supplémentaires sont-ils à prévoir ?

  • Je ne réclame aucun honoraire ou versement d’une somme d’argent à quelque titre que ce soit. Ni maintenant, ni plus tard.
  • Les frais de la requête se limitent pour les requérants à l’impression, l’enveloppe et les deux timbres (ou lettre recommandée avec AR).
  • Si la requête prospère devant la CEDH, la Cour nous imposera de désigner un avocat. Dans cette hypothèse, si je ne suis pas en mesure de faire face aux frais d’avocat seul, je ferai un appel à des contributions volontaires de 1 euro maximum. Uniquement pour ceux qui le souhaitent, de manière volontaire, et si nécessaire.

Quel est le lien juridique qui nous unira ?

Juridiquement la signature de ce document crée entre nous un mandat (qu’on peut appeler aussi « pouvoir »). Vous êtes la personne représentée, et j’effectue un acte juridique en votre nom et pour votre compte. Ce mandat est gratuit, je ne vous réclame aucun salaire. En remplissant le formulaire et en l’envoyant à la Cour, vous verrez que vous avez signé et que j’ai moi aussi signé en page 3 l’encadré intitulé « Pouvoir ». Cette signature crée entre nous un contrat, qui est un mandat bénévole, pour lequel je ne réclame aucune rémunération.

Puis-je remplir le document numériquement ?

Lorsque vous remplissez le formulaire pour agir sur le site nopass.fr, le document est rempli numériquement.

Comment compléter la requête ?

Il y a un tutoriel vidéo. Et chaque champ contient des exemples. La chose la plus importante pour assurer la validité de la requête consiste à signer en page 3 et en page 13.

Quelles étapes dois-je suivre ?

Faut-il joindre des documents aux 13 pages de la requête ?

Non, il n’y a absolument rien à ajouter. J’ai transmis à la Cour au nom du groupe, les pièces jointes nécessaires. Vous devez simplement imprimer la requête et la poster à Strasbourg.

Je n’ai pas d’adresse mail à renseigner dans le formulaire d’inscription

L’adresse mail ne sert qu’à communiquer avec les requérants. Vous pouvez créer une adresse spéciale qui ne servira qu’à ce seul recours. Dans tous les cas, votre adresse ne sera utilisée que pour communiquer avec vous, afin de vous renseigner sur l’avancement de la procédure, ou vous demander des renseignements complémentaires si la Cour l’exige.

Puis-je mettre des raisons personnelles dans l’encadré du recours ?

Cela n’est pas nécessaire. Le recours est collectif, il est identique pour toutes les personnes faisant partie du groupe. Nous vous demandons de communiquer vos raisons personnelles dans le formulaire d’inscription, afin de traiter et organiser ces informations. Elles seront transmises à la Cour si elles sont utiles et fournissent des arguments. Si vous souhaitez ajouter des détails personnels, vous êtes libre de le faire, mais cela rendra ma mission de correspondant de la Cour plus difficile.

Je n’arrive pas à valider le formulaire !

Vérifiez que la case GDPR est bien cochée. Le numéro de téléphone doit être valide : 04 12 23 45 67 devient +33 4 12 23 45 67 en format international

Je n’arrive pas à récupérer le formulaire !

Si vous avez validé le formulaire et que pour une raison ou une autre vous ne parvennez pas à le télécharger, pas d’inquiétude: il va être envoyé à votre adresse mail.

Je n’ai pas reçu le mail de confirmation de mon inscription, est-ce normal ?

Un mail de confirmation est envoyé automatiquement, peut-être s’est-il retrouvé dans vos courriers indésirables. Vous y trouverez en pièce jointe le document PDF de la requête, à imprimer, signer et poster à la Cour.

Je n’ai pas d’imprimante, comment faire ?

  • Vous pouvez vous rendre dans un bureau de la Poste, afin d’imprimer les 13 pages. N’oubliez pas que la signature doit être sous forme manuscrite (pas d’initiales). Pour cette seule raison, il est impératif de trouver un moyen d’imprimer le document.
  • Si vraiment vous êtes dans l’impossibilité de vous déplacer, en dernier recours vous utiliser le service en ligne de la poste : https://www.laposte.fr/courriers-colis/conseils-pratiques/envoyez-un-courrier-imprime-sans-stylo-ni-papier
  • Mais Il faudra nécessairement insérer votre signature dans le document PDF ou dessiner votre signature à la souris dans le document.

Puis-je imprimer recto-verso ?

Il est conseillé de faire l’impression recto uniquement mais l’impression recto-verso n’est pas interdite (cela ne change pas le nombre de timbres)

La requête s’affiche mal (pages blanches) ou l’impression de fonctionne pas.

Dois-je envoyer la requête par lettre recommandée (avec RAR) ?

L’envoi en RAR est conseillé par la CEDH mais pas obligatoire. Si vous souhaitez conserver une preuve de dépôt, le RAR est à privilégier.

Dois-je envoyer le recours à la CEDH ou vous le faire parvenir ?

Il faut l’envoyer directement à la CEDH, une vidéo tuto est présente sur ma chaine YouTube. L’adresse est indiquée en dernière page du recours, et également sur la fenêtre pop-up qui s’affiche lorsque vous avez complété le formulaire d’inscription.

Dois-je remplir certains champs ?

Non, hormis votre signature en page 3 et en page 13, vous n’avez rien à renseigner !

Comment m’inscrire sur le site ?

Avec le nouveau formulaire, vous n’avez rien à faire: une fois le PDF généré, vous êtes automatiquement inscrit(e) sur le site.

Où en est ma requête ?

  • Dès que vous avez rempli la requête à l’aide du formulaire, vous êtes automatiquement inscrit dans la liste des requérants. Pour cette raison, il est très important de l’imprimer et de la poster le plus vite possible. Ensuite, l’effet recherché de saturation de la CEDH sera immédiatement atteint : tous les jours, ce sont des centaines de requêtes qui arrivent à la Cour à Strasbourg. Il faut continuer cette mobilisation jusqu’au 15 novembre 2021, afin de dissuader le gouvernement de prolonger la durée de vie du « pass sanitaire » au-delà de cette date.
  • Les délais de jugement de la Cour sont relativement longs : trois ans environ pour obtenir une décision sur le fond de la question. Mais avant, il faudra entamer un dialogue avec la Cour pour passer le filtrage de recevabilité. Cette phase peut durer 12 mois environ. Tout au long de la procédure, je vous maintiendrai informés par courriels, par des informations sur le site, et par des vidéos sur ma chaîne YouTube

Je crains pour mes données, comment et combien de temps celles-ci seront conservées ?

La liste ne sera donnée qu’à la CEDH et sera détruite lorsque celle-ci rendra sa décision. J’ai demandé l’anonymat, donc la Cour connaîtra votre identité et les informations personnelles que vous avez transmises, mais ces informations resteront secrètes.

Je souhaite savoir s’il est possible d’imprimer votre requête et la faire signer par des manifestants.

Il est parfaitement légal d’imprimer la requête en dizaines d’exemplaires, de la distribuer sur la voie publique et mieux de faire des ateliers de signature. Ensuite, vous pouvez parfaitement coordonner les envois et envoyer les requêtes signées en blocs par cartons entiers. Néanmoins, attention, il faut que tous les requérants soient bien inscrits sur le site, en remplissant le formulaire en ligne. Car sinon, ils ne seront pas comptabilisés dans le groupe. Pensez à leur faire compléter ce formulaire au moment de la signature de la requête, pour éviter des oublis.

Je souhaite apporter mon aide et mon soutien contre le « pass sanitaire ». Comment dois-je faire ?

La meilleure façon d’aider à promouvoir cette action est d’y participer en envoyant la requête puis de relayer le message sur les réseaux sociaux ou dans votre entourage. La chose la plus utile c’est de diffuser et convaincre. N’hésitez pas à envoyer des mails à des personnalités susceptibles d’avoir de la sympathie pour cette action et disposant d’une large audience. Plus le message est visible, plus nombreux seront les participants. L’aide la plus vitale consiste à expliquer cette démarche autour de vous, dans vos cercles militants, en faisant des vidéos YouTube (que je peux aussi relayer sur ma chaîne). Faites connaître votre démarche et incitez les autres à vous imiter : vaccinés ou non-vaccinés tout le monde est victime du « pass sanitaire », même ceux qui en possèdent un, puisqu’ils doivent quand même se soumettre à des contrôles abusifs.

À quelle échéance imaginez-vous un résultat (positif ou négatif) ?

La première échéance c’est la date du 15 novembre 2021. À ce moment nous saurons si le gouvernement décide de prolonger ou d’abandonner le « pass sanitaire ». Le résultat attendu immédiat consiste à saturer le fonctionnement de la CEDH par le nombre de plaintes. Cet effet sera obtenu dès que nous franchirons la barre des 40.000 requérants inscrits. Surveillez le compteur dans le coin supérieur droit du site, pour suivre la progression du nombre de requérant. Un résultat négatif de rejet des requêtes peut intervenir assez vite, en quelques mois. Un résultat positif de recevabilité tardera au minimum 12 mois, et un résultat très positif de jugement au fond condamnant la loi sur le « pass sanitaire » n’interviendra pas avant 3 ans. Notre objectif premier est beaucoup plus proche : faire monter la pression sur le gouvernement français avant le 15 novembre, en ayant franchi la barre des 40.000 requérants. Cela sera un résultat très visible, qui contribuera à l’abandon de la loi sur le « pass sanitaire », car provoquant trop de problèmes judiciaires.




Sir Christopher Chope sur les effets secondaires de la « vaccination » anti-Covid : « du jamais vu »

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LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse

[Source : I’M OK Le Grand Réveil]

Cette vidéo aide à comprendre comment la « plandémie » Covid-19 permet d’installer le totalitarisme (forme de psychose de masse) du Nouvel Ordre Mondial.


Cette vidéo a été réalisée en collaboration avec l’Académie des idées et traduite sur la plate-forme TRAD.PUB par Rémi IGOR 31 et doublée par I’M OK. l’Académie des idées créent des vidéos expliquant les idées des grands penseurs de l’histoire afin d’aider à fournir au monde plus de connaissances, pour donner du pouvoir à l’individu et pour promouvoir la liberté. Consultez leur chaîne youtube pour un contenu plus brillant. https://www.youtube.com/c/academyofideas ou visitez leur site Web pour en savoir plus https://academyofideas.com/.

Dans cette vidéo, nous allons explorer la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques, la psychose de masse. Une psychose de masse est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction. Deux exemples de psychoses de masse sont les chasses aux sorcières américaines et européennes des 16e et 17e siècles et la montée du totalitarisme au 20e siècle.

Cette vidéo a pour but de répondre aux questions concernant les psychoses de masse : Qu’est-ce que c’est ? Comment cela commence-t-il ? S’est-elle déjà produite ? Sommes-nous en train d’en vivre une en ce moment même ? Et si oui, comment peut-on inverser les étapes d’une psychose de masse ?




France : la dictature en marche à Martigues

[Source : Offres d’emploi leboncoin.fr]

L’annonce sous forme de capture d’écran (à télécharger au besoin) :




Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

13 septembre 2021 / Commentaires ferméssur Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

Le 15 septembre prochain, le Dr Amine UMLIL, responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier (CH) de Cholet et plusieurs professionnels de la santé et autres professionnels risquent la suspension de leurs fonctions avec une interruption immédiate de leur rémunération, et sans possibilité d’exercer une autre activité rémunérée.

La lettre ouverte ci-dessous constitue le fondement d’une pétition nationale de soutien à l’excellent travail de vigilance pharmacologique du Dr Amine UMLIL, et de protestation contre la menace de suspension de ses fonctions. Elle vient en complément d’un dépôt d’une requête en Référé liberté au tribunal administratif de Nantes demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale (contre la Covid-19), avec une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à titre subsidiaire et une question préjudicielle à titre encore plus subsidiaire. Elle fait également suite à la suppression abusive et scandaleuse de la page web du Centre Territorial d’Information et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP), jusqu’alors incluse dans le site du centre hospitalier de Cholet. Cet événement grave de par sa symbolique constitue le point d’orgue d’une campagne de harcèlement et d’intimidation contre la personne et le travail légitime de veille et d’information accompli par le Dr UMLIL au sein du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Par ailleurs, cette lettre ponctue elle-même une série de lettres ouvertes du Dr UMLIL, qui pour la grande majorité sont restées sans réponses :

–    la première était adressée au Ministre des solidarités et de la santé, M. Olivier VERAN, et l’interpellait sur l’illégalité du projet de vaccination obligatoire, lettre restée sans réponse ;

–    la seconde invitait son contradicteur, le Dr Jean-Michel DEBARRE, à un débat télévisé public à une heure de grande écoute. Cette seconde est également restée sans réponse et n’a même pas, du reste, été relayée par le Courrier de l’Ouest, comme s’il y avait une volonté manifeste d’enterrer à tout prix le débat scientifique et de faire taire les voix dissidentes courageuses. En tout état de cause, il est certain qu‘un refus de débattre publiquement peut être interprété, comme l’écrit le Dr UMLIL, “comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de [m]ses réflexions publiées” ;

–    la troisième lettre ouverte adressée à la direction du centre hospitalier de Cholet marquait une étape supplémentaire dans le combat du Dr UMLIL pour faire triompher la science, la raison et le droit contre la pseudoscience, la folie, les mensonges, les conflits d’intérêt et collusions entre les groupes pharmaceutiques, le monde politique et les organismes de santé publique. Il y révélait les jacasseries, puérilités et mesquineries d’un directeur d’hôpital davantage effrayé par les insinuations de “complotisme” d’un critique anonyme sur Twitter que par les avertissements d’un scientifique professionnel qualifié au sujet de l’illégalité de l’obligation vaccinale et des effets indésirables potentiels des vaccins. Il y révélait de savoureux détails sur des pratiques inimaginables dans un établissement hospitalier qui datent d’une époque révolue et montrent les dessous de la “science” officielle.

Dans cette lettre ouverte, nous présentons l’activité de vigilance pharmacologique et argumentons sur un de ses apports déterminants lorsqu’elle est exercée librement, c’est-à-dire dans un climat de confiance réciproque avec le système. Nous mettons ensuite en avant la contribution particulière du CTIAP avec à sa tête le serviteur exceptionnel de son métier en la personne du Dr Amine UMLIL. Les obstacles rencontrés lors de ce service de vigilance sont énumérés et étayés de façon à permettre au lecteur d’évaluer le niveau de déstabilisation et de sabotage subis. Finalement, un appel légitime au soutien du Dr Amine UMLIL est lancé, manifesté par la signature d’une pétition.

Sur la nature de la pharmacovigilance et ses apports (en exercice libre) : cas de la Covid-19

Le travail de vigilance pharmacologique est essentiel pour un fonctionnement sain du système pharmaceutique. D’après la définition indiquée sur le site du ministère français des solidarités et de la santé, il “a pour objet la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré. Elle constitue une garantie qui s’exerce tout au long de la vie d’un médicament”.

Cela est simple à comprendre. Par exemple, lorsque m’approchant d’une destination identifiée, je n’en sais pas le chemin sur le dernier kilomètre, je peux me faire aider par un passant. Si ce dernier m’indique la direction, je me mets ensuite en marche dans cette direction suivant un ordre du cerveau à mes muscles ; mais ce sont mes yeux ou à défaut un bâton qui m’aident à détecter et contourner les obstacles plus ou moins dangereux pendant ce parcours. De façon analogue, les terminaisons nerveuses de la peau vous permettent d’éviter de vous brûler au troisième degré, même si prendre et transporter la tasse de thé chaud sont bien les gestes que vous aviez décidé de faire. Les fonctions de contrôle et de régulation des systèmes, parties intégrantes même de l’organisme, sont donc nécessaires et même vitales. Le système pharmaceutique ne fait pas exception.

L’un des impacts majeurs de ce travail de pharmacovigilance est de générer la confiance des usagers dans le bon fonctionnement de l’écosystème pharmaceutique. Les tensions actuelles qui traversent notre nation illustrent intensément les menaces graves que fait peser l’étouffement ou le dysfonctionnement de tout mécanisme régulateur – générateur de confiance – sur l’équilibre sociétal. Voici un échange entre le Courrier de l’Ouest et le directeur du CH Cholet, datant de décembre 2020, rapporté par le Dr UMLIL et concernant la 7e réunion d’information indépendante destinée au public. Elle portait justement sur le sujet des vaccins contre la Covid-19. Cet échange expose la pertinence de l’activité du CTIAP comme instrument de vulgarisation dans le contexte actuel :

« Bonjour,

Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs. Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ? (…) »

Courrier de l’Ouest.

“À cette question du journal, vous le directeur avez répondu ceci :

« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],

La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID. Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins. La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue. (…) »

Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier (CH) de Cholet.

C’est certainement sur la confiance (légitime) en une information claire et transparente provenant de la pharmacovigilance que veut s’appuyer notre premier ministre, M. Jean CASTEX [JC, ci-dessous] lorsqu’il l’évoque dans cette interview :

– JC : Ce vaccin présente une certaine efficacité notamment pour les formes les plus graves de la maladie. Donc, nous avons un système qui s’appelle la pharmacovigilance où on suit cela de très près ; de façon extrêmement rigoureuse. Je peux vous assurer que si j’avais le moindre doute, si j’avais le moindre doute…

– Animateur : Vous demanderiez la suspension.

– JC : Absolument ! Parce que c’est mon devoir, c’est ma responsabilité. Mais à ce stade, il faut avoir confiance en ce vaccin.

Extrait à retrouver dans cette vidéo, à l’instant 17’15.

La question légitime que l’on serait naturellement porté à se poser est la suivante :

La pharmacovigilance française ou internationale a-t-elle à ce jour produit, agrégé et délivré une information claire et transparente relative aux solutions pharmaceutiques à la pandémie de Covid-19 ?

Nous croyons que les quelques éléments rapportés ci-dessous permettront au lecteur de pouvoir répondre sans ambiguïté à cette dernière question.

Rappelons, s’il en est besoin, que la résolution du volet sanitaire de la crise que nous vivons aujourd’hui se dessine à l’échelle mondiale autour d’une campagne quasi globale de vaccination, avec principalement des vaccins dits à ARN/ADN. Ces vaccins, divergeant du principe habituel de conception de vaccins, s’appuient sur l’émission de message ADN/ARN ordonnant à la machinerie de l’expression génique cellulaire de synthétiser massivement la protéine spike (qui caractérise le virus) ; une réponse immunitaire est ainsi forcée en réaction à cette apparition. Le principe habituel, consistant aussi à forcer une réponse immunitaire, la favorise par une injection d’un échantillon inoffensif du virus isolé, sans intrusion autoritaire dans la machinerie génique cellulaire.

Dans ce premier article, l’auteur(([1] Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire.) )) élabore une surveillance des vaccins ARN/ADN au travers de leurs impacts relatifs sur la propagation du virus qu’ils doivent combattre. Il s’appuie sur des données nationales issues de sources étatiques ou d’organisations internationales officielles (compilées et traitées par ourworldindata.org, voir au bas de la page Web), et portant sur le nombre de personnes testées positives à la Covid-19 et le nombre de personnes décédées de la Covid-19. Ces données couvrent la période allant de décembre 2020 au 16 juillet 2021 – correspondant à la campagne globale de vaccination. Pour les 15 pays les plus vaccinés, ces données permettent une conclusion que l’on peut considérer comme une connaissance certaine :

La vaccination n’a pas empêché l’émergence de nouveaux cas ni la contamination, puisque des phases épidémiques tardives ont été observées dans les 15 pays les plus vaccinés (> 50 % de moyenne) à la date du 16 juillet 2021.

Cette conclusion et toutes celles que l’on peut tirer de ces données-là ouvrent le champ de réflexion sur d’autres interrogations, dont la question principale suivante : quelle est la proportion de vaccinés/non-vaccinés parmi les nouveaux cas ? Nous y revenons plus bas.

Dans un séminaire donné à l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU) Méditerranée tenu le 29 juin 2021, le Pr Peter McCullough, qui a « traité des personnes de plus de 90 ans à la maison qui ont été malades, mais sans être hospitalisées », a rassemblé les données de plusieurs dizaines d’études ayant élaboré une surveillance de la valeur thérapeutique de plusieurs traitements anti-Covid : ivermectine et hydroxychloroquine pour les plus connus, mais également infusions d’anticorps anti-protéine spike, favipiravir, corticostéroïdes, colchicine, anticoagulants. Les méta-études (résumés synthétiques des études) concernant en particulier l’ivermectine et l’hydroxychloroquine révèlent les données suivantes :

Phase/Type d’essais Nombre d’essais Amélioration en %
IVERMECTINE pour Covid-19 au 26 août 2021
63 essais, 613 scientifiques, 26 398 patients
Traitement prophylactique 14 86
Traitement précoce 27 72
Traitement tardif 22 40
Nombre de décès survenus 25 58
Essai randomisé 31 58
HYDROXYCHLOROQUINE pour Covid-19 au 26 août 21
279 essais, 4555 scientifiques, 398 331 patients
Traitement précoce 30 65
Traitement précoce RCT 7 48
Traitement tardif 190 21
Nombre de décès survenus après traitement précoce 13 75
Essai randomisé 43 23

Les données présentées ont conduit le Pr McCullough aux conclusions suivantes :

  • La période de maladie avant l’hospitalisation est LA période favorable d’intervention.
  • L’hospitalisation et le traitement tardif correspondent à une sûreté faible des médicaments avec une mortalité intolérablement haute.
  • Le traitement ambulatoire précoce, réalisé séquentiellement avec un panache de médicaments a un profil bénéfice-risque positif (risques réduits d’hospitalisation et de décès.)

Relativement à ces traitements, le docteur Harvey Risch de l’université de Yale a affirmé dans un article-témoignage que la clé pour vaincre la Covid-19 existe déjà : il y mentionne de nombreuses études sur des traitements avec zéro mort sur des quantités importantes de patients à haut risque atteints de la Covid-19, et provenant d’Israël, des États-Unis, du Brésil. Il rapporte aussi qu’en Suisse, autour de la période allant du 27 mai au 11 juin 2020, un pic de 400 % du nombre de morts de la Covid-19 s’est intercalé entre une interdiction gouvernementale de prescription libre d’hydroxychloroquine et la levée de cette interdiction.

Justement, le Pr McCullough a aussi présenté des indicateurs qui permettent d’évaluer très objectivement les effets indésirables des vaccins à ARN/ADN. Sachant que par exemple, en 1976, la surveillance avait conduit à l’arrêt du programme de vaccination contre la grippe porcine après (seulement) 25 morts enregistrés, il est rapporté par le Pr McCullough les données suivantes :

Au 11 juin 2021, le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] – plateforme de collecte des événements adverses liés aux vaccins – affichait pour les seuls vaccins à ARN/ADN 5993 morts et 20 737 hospitalisations pour 358 379 signalements. En comparaison, le cumul de ces mêmes indicateurs avant les vaccins ARN/ADN produit une moyenne d’environ 158 morts par an pour 16 320 signalements annuels : ces dernières données portant sur un total de 70 vaccins différents et 500 millions d’injections. L’on peut donc observer, à part les hausses explosives des nombres absolus d’événements rapportés et de décès (2 200 % et 3 700 % respectivement), une hausse de 72 % de la proportion de décès parmi les événements rapportés.

Ces données ont conduit le professeur à la conclusion suivante :

Les vaccins à ARN/ADN ont un profil de sûreté défavorable, et ne peuvent dès lors pas être approuvés pour un usage clinique.

Cette conclusion est partagée par un très grand nombre de spécialistes de ce domaine, et s’appuie, comme mentionné précédemment, sur des dizaines d’études produites par des scientifiques du monde entier. Un article datant de mai 2021 présente les questions urgentes que posent 57 médecins et spécialistes de 17 pays différents, et met littéralement en demeure les régulateurs nationaux et internationaux de suspendre incessamment la campagne courante de vaccinations, afin de « commencer des évaluations critiques indépendantes » et un « dialogue pluraliste » portant sur des questions critiques nécessitant des réponses urgentes si l’on souhaite particulièrement « éviter une érosion à l’échelle mondiale de la confiance du public dans la science et dans la santé publique ». Et cette érosion ne menace pas seulement le grand public, mais s’attaque aux corps constituants du système médical et paramédical. À titre d’exemple, ce témoignage viral d’un sapeur-pompier lyonnais qui découvre avec beaucoup d’émotion que les nombreux AVC qu’il a observés récemment dans l’exercice de sa fonction « ont bien un lien avec » l’injection des vaccins à ARN/ADN, et qu’il n’y a « rien qui ne remonte » malgré le fait que les infirmières « alertent tout le monde »…

L’émergence de toutes ces données ainsi que les conclusions logiques qui en ont découlé ont conduit le Pr McCullough à entreprendre de les vulgariser largement, jusque devant une commission sénatoriale du Texas, aux États-Unis, dont la présidente a été directement impactée par le traitement et la guérison de son époux à domicile. Il s’est impliqué, avec des partenaires de l’Association des médecins et chirurgiens américains, dans l’édition – salutaire pour des milliers d’autres – du guide de traitement de la Covid-19 à domicile.

Sur les causes d’une pharmacovigilance qui dysfonctionne et ses graves conséquences

« La justice ne viendra pas à Athènes jusqu’à ce que ceux qui ne sont pas blessés soient aussi indignés que ceux qui sont blessés. »

Thucydides

En France, nous pourrions (presque) tous avoir oublié les récents et moins récents scandales sanitaires. Est-ce que l’on devrait attendre d’être soi-même victime directe ou indirecte dans l’un de ces scandales, avant de joindre sa voix à celles et ceux qui exigent les garanties d’un fonctionnement plus clair, transparent et sain des organes publics et des système médicaux et paramédicaux qu’ils sont censés surveiller ?

Dans un récent article intitulé « Médicaments, argent et faits trompeurs », la journaliste Laura Spinney réaffirme qu’il “est plus que jamais essentiel que la société puisse faire confiance aux entreprises pharmaceutiques qui cherchent à obtenir une approbation règlementaire”. Or, en citant dans son article les travaux du pédopsychiatre Jon Jureidini et du philosophe Leemon McHenry, elle rapporte que ceux-ci “contestent l’hypothèse selon laquelle tous les médicaments et appareils médicaux approuvés sont sûrs et efficaces. Ils avertissent que lorsque la science clinique s’accroche à la course aux profits de l’industrie pharmaceutique, la méthode scientifique est sapée par les effets de marketing et le tri sélectif des données. Ils proposent une solution inspirée par le philosophe des sciences Karl Popper : retirer les essais des médicaments des mains des fabricants”. Cette solution forte s’appuie sur le constat par les auteurs de “déformations volontaires de données de sécurité et d’efficacité” lors d’essais sur la paroxétine et le citalopram, respectivement objets des études 329 de GlaxoSmithKline et CIT-MD-18 de Forest Laboratories.

Peter C. Gotzche, dans son livre Remèdes mortels et crimes organisés, particulièrement étayé de preuves détaillées, constate que l’une des causes de cette atrophie de l’action de pharmacovigilance réside dans le fait que « les patients ont confiance (aveuglément ! NDLR) dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… » Avis bien résumé par lui par ces mots : “Tout ce que nous savons sur leur compte (c’est-à-dire sur les médicaments), c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins…”

Concernant les conséquences de ces actions, nous avons déjà mentionné l’effet dévastateur de la perte de confiance du public, et surtout – dans la crise actuelle – du personnel médical et paramédical. Le système, qui se veut vigilant et se dote d’organes consacrés, apparaît comme schizophrène puisqu’il s’emploie à asphyxier méthodiquement ces organes. En ce qui concerne la confiance, notamment dans les acteurs industriels de production et de vente de médicaments, il existe une liste de condamnations(([2] Les liens donnés plus bas apparaissant dans l’histoire fictive extraite des réseaux sociaux. Les sites sont en anglais.)) dont la longueur est tout simplement choquante ! En fait, la violence du choc est renforcée à la lecture des motifs de condamnation (falsifications volontaires, etc.) et surtout au constat de la forte proportion de récidive. Qualifieriez-vous de responsable une attitude qui consisterait à exiger des garanties claires et fortes face à une proposition d’injection d’un vaccin provenant de l’un de ces acteurs industriels, dont l’utilisation est frappée de surcroît d’une autorisation de mise sur le marché dite conditionnelle (AMM) ? Et comment qualifieriez-vous l’attitude d’un chef de famille qui n’exigerait pas ces garanties ? Une histoire – (probablement) fictive – publiée(([3] Pseudonyme Anna-Lyse sur Twitter.)) sur un réseau social illustre bien ce questionnement :

Suis-je une mère irresponsable ?
Pfizer…

15 sept. 1825. Une mère, 3 enfants. Accusée à tort d’irresponsabilité, elle a été éloignée, retenue loin de ceux-ci, dès lors en situation de grande détresse. Le plus âgé avait 15 ans.
AstraZeneca… 

Une lettre, dans laquelle elle rassure, et décrit comment ils vont pouvoir affronter l’année à venir sans elle (la cachette de la bourse, la tante à 3 j de charrette, etc.)
Johnson & Johnson…

Ce jour-là, la prison ne lui a proposé, comme messager de la lettre, nul autre qu’un abuseur récidiviste, sortant de prison du fait d’un aménagement de peine “opportun”.

Avec tout ça, Moderna devrait-elle garder son SM-102 secret ? 

Ils ont insisté, affirmant qu’ils n’avaient pas le choix…

Finalement, nous ne mentionnerons pas le nombre de décès et autres destructions physiologiques et psychologiques vécues par les victimes d’un consentement non éclairé à exposer leurs êtres à des substances ou des protocoles de traitement. L’absence de cette lumière éclairante étant fortement favorisée par l’absence d’exercice libre ou la défaillance orchestrée des systèmes de régulation, et particulièrement la pharmacovigilance. À ce sujet, des réseaux sociaux ont incompréhensiblement et, semble-t-il, abusivement censuré un groupe destiné à recenser les victimes d’effets indésirables en France. Mais sur d’autres plateformes plusieurs témoignages sont apparus ; et ceux-ci ne décrivent probablement qu’une partie émergée de l’iceberg, tant la censure sur les réseaux sociaux apparaît anormalement intense contre les témoignages de ce type. Quelques-uns, très emblématiques, apparaissent dans ce documentaire sur AstraZeneca.

Sur les obstacles à l’exercice libre de la pharmacovigilance et le rapport positif à la contradiction du Dr UMLIL

Si les huit (8) ans de « gestation administrative » du CTIAP – dont le projet était prêt dès le 10 décembre 2007 – pouvaient déjà interpeller, la litanie d’obstacles de toutes sortes qui se succèdent depuis les premières prises de positions critiques émanant de cet organisme dans la crise actuelle doit interpeller encore davantage le lecteur de cette lettre. Et ce au regard, d’une part, de la reconnaissance profonde, unanime et prolongée dans le temps de la qualité du travail accompli par le Dr UMLIL avant ces dites prises de position ; et d’autre part, du fait de la qualité de l’approche du CTIAP et de son directeur le Dr Amine UMLIL face aux objections exprimées sur le fond : cette approche consistait à ouvrir systématiquement une discussion publique à travers des lettres ouvertes, des droits de réponse au médias relais des opinions de ses contradicteurs, et même des débats télévisés censés présenter les preuves contradictoires. Dans ces différents courriers, il ne nous a pas été donné de trouver ni propos offensants sur la forme, ni arguments de fond qui n’aient été étayés par une preuve documentaire. De plus, il apparaît à notre lecture que les réponses et propositions du Dr UMLIL n’étaient que peu frappées de l’horizontalité stérile, de la plate – et souvent puérile – mise en défaut du contradicteur, mais tendaient toujours à viser la prise en compte de l’enjeu ultime de sa fonction, qui est de faire émerger et s’imposer le factuel et l’information utiles pour l’usager du système pharmaceutique, même à travers l’épreuve de la contradiction.

Les obstacles à l’exercice libre de pharmacovigilance opposés au CTIAP ainsi qu’au Dr UMLIL reproduisent les formes qu’il est possible d’observer concernant plusieurs chercheurs ou praticiens ayant exprimé des opinions divergentes : sources d’origines collégiale, institutionnelle et médiatique, telle une hydre à 3 têtes. Nous faisons remarquer qu’une quatrième tête judiciaire est malheureusement plutôt rare, sinon elle aurait eu la vertu de susciter un apport de preuves probantes de la part des deux parties, permettant ainsi à l’opinion de juger plus justement de la pertinence des positions respectives.

D’un point de vue collégial, le principal obstacle provient de l’attitude de la direction du centre hospitalier de Cholet, avec en tête son directeur Pierre VOLLOT. Ce sont principalement des dénis de compétences ou de légitimité injustifiés au regard des faits, tendant à décrédibiliser l’action ou la personne du Dr UMLIL. Or la conséquence logique principale de la décrédibilisation d’une action ou d’une personne est l’affaiblissement de son impact dans l’atteinte des objectifs de sa mission. L’on peut même se questionner sur la profondeur de ce que subit personnellement le Dr UMLIL en coulisse lorsque ce dernier révèle, preuve à l’appui, avoir été informé par sa direction de l’envoi d’une lettre adressée à un organe disciplinaire contre lui, au travers d’un recommandé avec accusé de réception “adressé alors que j’étais en congé”. Le chapelet des obstacles, manquements, et – il faut le dire – sabotages, est égrené par le docteur, dans sa réponse au directeur Pierre VOLLOT du 23 août 2021, et sa réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet du 10 avril 2021.

D’un point de vue institutionnel, c’est le docteur UMLIL qui a été personnellement visé par une lettre adressée au centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière (CNG), organe disciplinaire consacré. Dans cette lettre de dénonciation, à laquelle le Dr UMLIL a répondu par une lettre ouverte au CNG du 10 août 2021 (avec ampliation adressée à la tutelle), Pierre VOLLOT évoque un droit de réserve qu’il oppose à la diffusion d’avis critiques et d’analyses proposées par le Dr UMLIL à travers le canal du CTIAP.
Or, sur la forme, le recours à ce droit de réserve à l’encontre d’un pharmacien des hôpitaux s’évapore devant plusieurs dispositions du Code de santé publique qui enjoignent, par exemple, de ne « se soumettre à aucune contrainte financière, commerciale, technique ou morale, de quelque nature que ce soit, qui serait susceptible de porter atteinte à son indépendance dans l’exercice de sa profession » (R. 4235-18 du CSP). Sur le fond, et en cohérence avec ce que nous avons pu constater continuellement dans l’action du Dr UMLIL, sa réponse fut adressée via un avocat sous forme de « lettre – recommandée avec avis de réception – l’invitant [Pierre VOLLOT] à formuler, de façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ».La réponse de Pierre VOLLOT ne contenait « aucun reproche envers les analyses publiées sur le site du CTIAP ».

Le dernier champ d’obstacles, de véhicule médiatique, nous apparaît revêtir une violence particulière, du fait de l’amplification par le nombre et les réseaux sociaux. Il nous est apparu comme constitué d’amalgames, d’omissions, d’enquêtes à charge omettant de consulter les sujets avant publication et ignorant les droits de réponse, et quelques fois de censures grossières et surtout injustifiées, au regard du principe d’équité.

Il s’y trouve en particulier l’évolution plutôt déroutante de la couverture du travail et de l’impact du CTIAP et du Dr UMLIL par le journal Le Courrier de l’Ouest. Toujours avec coupures de presses et autres preuves renseignées, le Dr UMLIL fait constater que :

« le Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avaient toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre 2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment l’indépendance et la rigueur des analyses proposées.

[…]

Mais, brusquement, les analyses proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax »« complotiste », pourvoyeur de « fausses informations »

Le positionnement initial était aligné sur celui de plusieurs confrères généralistes et spécialisés par lesquels les « réflexions et alertes ont été également relayées » : Le PointLe MondeLe NouvelObsLe Quotidien du PharmacienHospimedia, parmi d’autres.

Mais un article du 14 août dernier – publié sur le Web par Ouest France –  intitulé « Amine Umlil de nouveau en conflit avec l’hôpital », réunit dans son contenu un ensemble de déclarations tendancieuses et peu empreintes de la neutralité promue par la déclaration de Munich. Extrait :

« Le pharmacien est très actif sur son blog et sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19, le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. »

De plus, ici encore, le professionnalisme et a minima la déontologie, sinon la probité du journal sont sérieusement défiés par un fait marquant. En effet, à la lecture de la fermeture de l’article :

« Contacté, Amine UMLIL n’était pas disponible, hier »,

La banalité que transporte cette mention n’aurait pas permis de découvrir, sinon de par la révélation par le Dr UMLIL des échanges constituant ce contact, que deux informations avaient été données par le journaliste : (i) seulement un « mot, bref » devait paraître le lendemain, en attendant (ii) d’être « contacté par un ou une de mes collègues » la semaine suivante ; réponses à valeur de promesses, que l’on peut considérer comme logiques, puisqu’à la sollicitation du journaliste le matin même pour l’après-midi (c’est-à-dire la veille de la publication), le Dr UMLIL avait répondu :

« Bonjour Monsieur [nom du journaliste],

Merci pour votre message.

Je ne peux pas cet après-midi.

La semaine prochaine, si vous pouvez.

Bien à vous,

(…) »

Un certain surplus d’honnêteté intellectuelle ou de devoir d’équité envers le Dr UMLIL, sachant le contenu – à charge – de ce qui était attendu comme « mot bref », aurait favorisé cette autre écriture de la fermeture de l’article, par exemple :

« Contacté hier, Amine UMLIL n’était pas disponible. »

Dans une publication dans laquelle le Dr UMLIL dénonce cet article et plusieurs autres meurtrissures publiques contre son image, l’on énumère plusieurs des procédés médiatiques subis par beaucoup trop de chercheurs, scientifiques et praticiens à travers le monde, qui sont passés de la reconnaissance élargie de leurs mérites vers la mise au banc et les injures du fait de l’expression légitime, raisonnée et lucide de questionnements légitimes et de divergences de points de vue.

Sur la reconnaissance de la qualité des contributions particulières du CTIAP et du Dr UMLIL et leur efficacité mesurable

D’abord comme responsable de la pharmacovigilance depuis son recrutement en septembre 2002, ayant mis en place la coordination des vigilances sanitaires en 2007 au centre hospitalier de Cholet, et enfin comme fondateur et acteur majeur du CTIAP dès 2015, le Dr UMLIL a réalisé un travail excellent et reconnu comme tel ; et ce, partant de ses collègues (éventuellement hiérarchiques) jusqu’aux médias locaux et nationaux, généraux ou spécialisés.

Le Point avait qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple », et le Quotidien du Pharmacien avait salué « la pédagogie d’un pharmacien ».

Un « Docteur en médecine »« psychiatre des hôpitaux »« praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :

« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,

1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :

— des connaissances scientifiques et méthodologiques rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : cette évaluation indépendante des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;

— une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;

— une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci, mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;

— une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;

— un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.  (…) ».

L’actuel directeur du centre hospitalier de Cholet, Pierre Vollot, attestait en 2017, auprès du ministère public d’Angers :
« […] Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »

D’autre part, quand le législateur mosaïque recommandait, dans une loi sociale du texte biblique, de ne pas craindre le service prophétique de l’individu dont les oracles ne s’accomplissent pas, il ne croyait peut-être pas si bien fournir un indicateur objectif de mesure pour tout service de vigilance. Ici, et en l’espèce, dans une lettre ouverte datant du 12 mars 2021, le Dr UMLIL avertissait déjà de la nécessité d’un « recueil de consentement libre et éclairé », dénonçant alors le « projet d’obligation vaccinale » comme contrevenant aux articles 7.3.1 et 7.3.2 de « la résolution 2361 » du Conseil de l’Europe « adoptée le 27 janvier 2021 – alors même que même la loi introduisant le pass sanitaire n’allait intervenir que deux mois plus tard. Propos conclus à l’époque en qualifiant ledit projet de « faute juridique, morale, éthique et politique notamment ». Si six mois plus tard l’atmosphère sociale est saturée de ces sujets-là précisément, c’est bien dire que depuis sa vigie – le CTIAP, la sentinelle UMLIL avait bien vu ! Sinon cela révèle tout au moins la fiabilité de ses sources et une fatale efficacité du travail de vigilance effectué à ce moment-là, qui consiste à (pré)voir et signaler les anormalités et menaces perçues.

Appel final à manifester son adhésion à la nécessité de l’exercice libre de la vigilance pharmacologique et son soutien au CTIAP et au Dr UMLIL

Sur la base de ce qui précède, nous, signataires rassemblés par le collectif Vigilance Pandémie, appelons à exprimer concrètement l’adhésion à l’exercice libre de la pharmacovigilance, fonction vitale de notre système de santé, et ce en signant la pétition de soutien à l’un de ses fleurons nationaux, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet, et au Dr Amine UMLIL son fondateur et dont il est une principale figure active. Ce dernier est particulièrement menacé aujourd’hui par la perte de son poste du fait d’une obligation vaccinale dont la teneur sanitaire et juridique a été l’objet de ses critiques ordonnées.

La toile, à travers plusieurs médias, des sites internet ainsi que les réseaux sociaux, révèle une multiplication d’obstacles et sabotages de plusieurs scientifiques et praticiens en médical, biomédical et paramédical. Mais nous nous sommes focalisés sur le cas du CTIAP et du Dr UMLIL du fait de la fonction stratégique qu’ils occupent en faveur de la santé de tout le système en France. C’est ce que nous nous sommes employés à démontrer et à étayer dans cette lettre. Le soutien au Dr UMLIL et à son travail va unir et cristalliser toutes nos affirmations individuelles de la nécessité d’une pharmacovigilance forte en France. C’est donc là une démarche d’engagement nécessaire et stratégique dans le processus d’assainissement du système pharmaceutique et sanitaire en France.

Engageons-nous donc résolument à signer cette pétition dès maintenant !

Signataires :

Dominique TASSOT,

Ancien directeur R&D d’un groupe pharmaceutique

Alexandra HENRION CAUDE,

Directrice de recherche, spécialiste de l’ARN

Edouard HUSSON,

Professeur des universités

Gérald PECH,

Ingénieur dans l’industrie, ancien chercheur

Didier MAGNE,

Directeur industriel chez Symbiose SE2D

Agnès D’AMILLY,

Directrice administrative et financière

Maître Virginie DE ARAUJO RECCHI,

Avocate au Barreau de Paris, membre de l’Institut Art & Droit et de l’American Bar Association

Nicole DELEPINE,

Cancérologue, ancienne chef de service d’oncologie pédiatrique


Notes




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.




Fabrice Di Visio demonte le plateau de TPMP sur le pass sanitaire

[Source : profession-gendarme.com]

https://youtu.be/WMlS2Gn0ZwU

Break Time TV 37,3 k abonnés

Il aurait également pu ajouter que le pass sanitaire manque de logique car n’étant pas obligatoire dans les transports (et autres lieux bondés comme les marchés les écoles les facs), des millions de personnes s’y retrouvent collés chaque jour…

Source : Youtube




Qui contrôle le monde occidental aujourd’hui ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Dominique Delawarde.

Les présidents ou chefs d’état occidentaux gouvernent-ils réellement leur pays ?

Subissent-ils des pressions, des influences de la part de groupes ou de lobbies transnationaux dont la puissance financière dépasse, de loin, celle des États et qui, en occident, tiennent entre leurs mains l’avenir des hommes politiques et l’économie des pays qu’ils dirigent ?

C’est une question que beaucoup de citoyens ne se posent jamais (ils s’en fichent et votent sous le coup de l’émotion du moment), mais c’est une question que d’autres citoyens, plus curieux, plus lucides, plus inquiets pour l’avenir de leurs enfants, plus éduqués peut être, se posent avec insistance.

Il convient donc d’y répondre le plus simplement du monde en se mettant à la portée des moins instruits de nos compatriotes, en se fondant sur des faits incontestables et facilement vérifiables par tous, sur des sources inattaquables, pour que chacun comprenne comment fonctionne le « système » et pourquoi un petit nombre d’acteurs, parfaitement identifiés, peuvent affaiblir un pays, contrôler son économie, faire plier des gouvernements, faire élire ou abattre un président, décider de la paix ou de la guerre en fonction de leurs intérêts, imposer leurs lois et leurs règles tout en sauvant les apparences, s’emparer du contrôle des médias mainstream les plus influents, manipuler les opinions publiques, contrôler une partie importante et suffisante des appareils exécutif, législatif et judiciaire… etc., etc.

Le documentaire ci-après, de sources néerlandaises et anglosaxonnes mais présenté en français, entre dans les coulisses du grand « théâtre » occidental, de manière très pédagogique et très factuelle, et décrit la situation telle qu’elle est aujourd’hui.

Il fait apparaître, progressivement, les institutions qui contrôlent, en fait, l’économie occidentale, et qui détiennent l’essentiel de la puissance financière. Il fait apparaître clairement les liens inextricables qui unissent ces institutions entre elles.

Tous les géopoliticiens dignes de ce nom devraient garder aujourd’hui, en arrière plan de leurs réflexions et de leurs analyses, ces éléments fondateurs de « la mondialisation heureuse » que l’on nous promet et que certains « dominants » voudraient bien voir aboutir à leur plus grand profit. (Great Reset)

Branchez votre ordinateur sur votre téléviseur, installez vous dans votre fauteuil et vous comprendrez mieux la marche du monde après 45 minutes de documentaire.

Les plus curieux pourront, si l’idée leur en vient, creuser les biographies des individus qui  ont fondé et/ou qui dirigent aujourd’hui les dix institutions dominantes. Ils découvriront alors QUI contrôle vraiment le monde occidental et, accessoirement, notre pays.

*

Voici un documentaire qui répond de manière limpide et irréfutable à la question : Qui contrôle vraiment le monde occidental aujourd’hui ?



Dominique Delawarde


[Voir aussi :
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Les 4 firmes qui possèdent les USA
Vers une gouvernance médico-génocidaire mondiale planifiée ?]




La Coordination Santé Libre appelle les soignants à faire pression sur le gouvernement

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Soignants en grève. AFP]

Auteur(s): FranceSoir

Dans un communiqué de presse ce jour, la Coordination Santé Libre (CSL), qui regroupe différentes associations de médecins, soignants et scientifiques, appelle à un retrait immédiat de l’obligation vaccinale qui sera imposée à certains professionnels à partir du 15 septembre.

Dans cette lettre, l’obligation vaccinale est jugée « illégale », « choquante » et « scandaleuse », notamment du fait de son incompatibilité avec le Code du travail. Par ailleurs, la façon dont cette loi a été promulguée reste mal acceptée. À ce sujet, la CSL rappelle notamment « la sous-représentation des parlementaires ayant voté cette loi » et « la complaisance du Conseil constitutionnel », sur fond de prorogation de l’état d’urgence sanitaire.

Voir aussi : des débats parlementaires à l’image de la société, confus et électriques

En réponse à cela, grâce à l’union de ses différents membres, la CSL met un point d’honneur à la réinformation depuis sa création en janvier 2021. Sur son site, on trouve notamment les vidéos de leur Conseil Scientifique Indépendant (CSI), qui se réunit chaque jeudi pour traiter de différents sujets de santé ou de société.

Outre l’information, la CSL appelle finalement tous les professionnels concernés par l’ogligation vaccinale à faire pression sur le gouvernement, au travers des recours juridiques notamment. L’association BonSens par exemple, propose à chacun de signer ses plaintes collectives. Sur le site de Reinfo Covid, on trouve plusieurs modèles de lettres juridiques, rédigées avec des avocats, destinées à aider les professionnels en difficulté. De fait, depuis l’application du passe sanitaire en août, le parquet de Paris et la Cour de justice de la République croulent tous deux sous les plaintes, notamment grâce aux modèles de l’association créée par Me Fabrice Di Vizio.

Voir aussi : gestion de crise sanitaire : les plaintes pleuvent

Par ailleurs, d’autres moyens de lutte sont aussi envisageables et ouverts à un plus grand nombre, tels que l’affichage, la manifestation, les pétitions, le boycott ou encore la grève. À ce sujet, la CSL ponctue d’ailleurs sa lettre en apportant son soutien à l’appel à une grève illimitée des professionnels de la santé du Syndicat Liberté Santé.

Voir ici : le communiqué du Syndicat Liberté Santé

Communiqué de la Coordination Santé Libre

Auteur(s): FranceSoir




Fête de Wallonie… « non merci! »

[Source : Kairos (kairospresse.be)]

[Photo : Les Fêtes de Wallonie à Namur en 2019 – Belga]

Marie-Rose Cavalier-Bohon, ancienne membre du Parlement de Wallonie, a partagé avec nous ce courrier qu’elle a envoyé aux président du Parlement wallon, des Membres du Bureau et du Ministre Président du Gouvernement de Wallonie, ainsi qu’aux différents députés. Elle y explique pourquoi elle refuse leur invitation à la cérémonie officielle des Fêtes de Wallonie en cette année 2021.

Mesdames Jacqueline Galant, Sophie Pécriaux, Sybille de Coster-Bauchau, Messieurs J‑Claude Marcourt, Manu Disabato, et au Ministre Président du Gouvernement ; Mer Elio Di Rupo.

Chères Mesdames et Chers Messieurs les Députés,

Comme ex-parlementaire wallonne, c’est toujours un plaisir pour moi de recevoir une invitation venant d’une Assemblée importante en termes de choix politiques pour notre Région .

Assemblée pour laquelle j’ai tenté de donner le meilleur au travers des compétences qui m’étaient attribuées, car son rôle de relais entre l’U.E, le Fédéral, les entités fédérées et sa tutelle sur les Communes, est déterminant.

L’invitation de ce jour, me laisse plus que perplexe.

En effet, pour assister à cette cérémonie, aux propositions ou bilans politiques des uns et des autres, qui sont pour moi indispensables dans la compréhension des mesures prise en fonction de l’intérêt général, je dois nécessairement présenter « un certificat Covid numérique de l’UE » !!!!

Curieuse, j’ai donc lu les étapes de ce certificat indispensable pour recouvrer la possibilité de voyager et ….plus simplement, d’assister, à quelques km de chez moi, à la mise en valeur de l’Assemblée régionale (https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_21_2593)

Suite à cette lecture, j’en déduis qu’à chacun de mes déplacements, même pour vous entendre,  je dois quand même présenter :

– soit une vaccination complète ( très mal nommée me semble-t-il, puisqu’il s’agit d’une thérapie génique qui a obtenu une autorisation de mise sur le marché » PROVISOIRE, mais que l’on promotionne à tout va !) ,

– un test PCR( remis au goût du jour sans arrêt, dont les trop nombreux cycles d’analyse (dixit Mer Van Laethem) montrent tout et n’importe quoi, …mais ils sont quand même utilisés pour la poursuite des mesures prises suite à « ladite pandémie » !),

– un certificat médical qui atteste ma guérison, tout ceci, de manière à correspondre aux diktats sanitaires et validés par les Assemblées politiques.

Ces diktats sont pour moi, tout à fait disproportionnés, voire mensongers, puisque pour voyager aujourd’hui, même « vacciné » , de nouveaux tests sont exigés et doivent être négatifs. 

A ce sujet, j’ai sans doute mal lu « la loi pandémie » …serait-elle la base de l’application de ce certificat de traçage national ou non ?

Comme en France, cette application est-elle décidée ?

Merci de m’éclairer à ce sujet.

Mesdames , Messieurs les Députés, je dois vous dire que cette invitation « sous conditions » me met mal à l’aise , j’espère aussi que je ne suis pas la seule !!!

Il me faut donc, pour pouvoir fêter notre Région, pour pouvoir vous entendre, vous présenter officiellement le fait que je ne suis pas malade. Ces conditions dépassent mon entendement !

Juste une question encore : allez-vous persister dans cette fuite en avant, vers un monde de surveillance à tout crin , de contrôle partout, même au sein des Assemblées dites démocratiques et citoyennes ?

J’ai juste l’impression en vivant ces difficultés qualifiées de « sanitaires », portées fièrement par les autorités politiques, de vivre un cauchemar !

C’est la raison pour laquelle, ce 18 septembre, lors des Fêtes de Wallonie et jour de mon anniversaire, je ne pourrai pas vous rejoindre pour les raisons invoquées et je le regrette.

Comme dit le Président Macron , « le jour d’après ne sera pas le jour d’avant » !!!!Vous portez ces choix politiques de manière, me semble-t-il, avec obéissance et irresponsabilité. Dommage !

Une toute dernière remarque ; l’Assemblée wallonne fut pour moi, magique de « pouvoir, de savoir, d’espoir ».

Bien à vous

M‑R Cavalier

Deux pièces jointes si vous avez du temps …et si cela vous intéresse.

Bientôt un identifiant numérique pour tous ? | Les Echos 
Entreprises, institutions internationales et ONG rêvent d’un système mondial permettant d’authentifier l’identité de n’importe qui, n’importe où. 
www.lesechos.fr

Scoop : qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le passe sanitaire ? – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)
Mais en quoi le Great Reset a‑t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations. 
lecourrierdesstrateges.fr




La 25e heure et la prophétie de notre extermination technique

Par Nicolas Bonnal

[Article initialement publié notamment sur reseauinternational.net]

La vingt-cinquième heure ? C’est selon Virgil Gheorgiu : « Le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien. »

Nous y sommes, car nous avons devant nous une conspiration avec des moyens techniques et financiers formidables, une conspiration formée exclusivement de victimes et de bourreaux volontaires. On a vu les bras croisés le cauchemar s’asseoir depuis la mondialisation des années 90 et la lutte contre le terrorisme, puis progresser cette année à une vitesse prodigieuse, cauchemar que rien n’interrompt en cette Noël de pleine apostasie catholique romaine. La dégoûtante involution du Vatican s’est faite dans la totale indifférence du troupeau de nos bourgeois cathos, et on comprend ce qui pouvait motiver Drumont, Bloy ou Bernanos contre une telle engeance de bien-pensants. Un pour cent ou un pour mille de résistants ? Le reste s’est assis masqué et a applaudi.

La situation est pire que sous le nazisme ou le communisme, car à cette époque elle était localisée. Il y a des Thomas Mann, il y a des Soljenitsyne pour témoigner, pour tonner contre, comme dit Flaubert. Là, la situation techno-nazie de Schwab et consorts est et sera globale. La crise du virus a déclenché une solution totalitaire planétaire et des expédients ubiquitaires et démentiels. Certes c’est surtout l’occident la cible, et cette vieille race blanche toujours plus gâteuse, que je mettais en garde il y a dix (Lettre ouverte) ou trente ans (La Nuit du lemming). Mais c’est le propre des Cassandre de n’être jamais crus ou des Laocoon d’être étouffés par les serpents. Lisez dans Virgile l’entrée du cheval dans la cité de Troie pour comprendre. Après la mort de Laocoon, le peuple troyen enjoué abat les murs et laisse entrer la machine pleine de guerriers. Allez, un peu de latin :

Diuidimus muros et moenia pandimus urbis. [Nous divisons les murs et ouvrons les murs de la ville. ]

Nous sommes donc à la veille d’une gigantesque extermination et d’un total arraisonnement. Et tout cela se passe facilement et posément, devant les yeux des victimes consentantes ou indifférentes que nous sommes. Nous payons ici l’addition de la technique et de notre soumission. De Chateaubriand à Heidegger elle a été rappelée par tous les penseurs (voyez mes chroniques). C’est cette dépendance monotone qui nous rend incapables de nous défendre contre les jobards de l’économie et de l’administration qui aujourd’hui veulent faire de leur troupeau humain le bifteck de Soleil vert ou les esclaves en laisse électronique. Et le troupeau est volontaire, enthousiaste comme disait Céline avant juin 40.

Chateaubriand dans ses Mémoires :

« Au milieu de cela, remarquez une contradiction phénoménale : l’état matériel s’améliore, le progrès intellectuel s’accroît, et les nations au lieu de profiter s’amoindrissent : d’où vient cette contradiction ?
C’est que nous avons perdu dans l’ordre moral. En tout temps il y a eu des crimes ; mais ils n’étaient point commis de sang−froid, comme ils le sont de nos jours, en raison de la perte du sentiment religieux. À cette heure ils ne révoltent plus, ils paraissent une conséquence de la marche du temps ; si on les jugeait autrefois d’une manière différente, c’est qu’on n’était pas encore, ainsi qu’on l’ose affirmer, assez avancé dans la connaissance de l’homme ; on les analyse actuellement ; on les éprouve au creuset, afin de voir ce qu’on peut en tirer d’utile, comme la chimie trouve des ingrédients dans les voiries. »

Voilà pourquoi les parlements et les administrations ne seront arrêtés par rien. Et le troupeau renâclera peut-être trois minutes, mais il se soumettra comme les autres fois sauf qu’ici ce sera global et simultané. Quant aux minorités rebelles (1 % tout au plus) le moins que l’on puisse dire c’est qu’elles ne sont pas très agissantes…

Dans la vingt-cinquième heure, Virgil Gheorghiu dénonce avec son personnage Trajan notre déchéance liée au progrès, au confort, à la technique, à la bureaucratie, ce qu’on voudra. Et cela donne :

« Nous apprenons les lois et la manière de parler de nos esclaves pour mieux les diriger. Et ainsi, peu à peu, sans même nous rendre compte, nous renonçons à nos qualités humaines, à nos lois propres. Nous nous déshumanisons, nous adoptons le style de vie de nos esclaves techniques… »

Cela explique pourquoi l’homme moderne fils des droits constitués et pas gagnés se laisse liquider partout si commodément.

« L’homme moderne sait que lui-même et ses semblables sont des éléments qu’on peut remplacer. »

Celui qui ne veut pas de leur ordre nouveau sera liquidé ou marginalisé (pas de restau, de magasin, de transport, d’eau, d’électricité). Georghiu, futur prêtre orthodoxe, le dit :

« Ceux qui ne respectent pas les lois de la machine, promue au rang des lois sociales, sont punis. L’être humain qui vit en minorité devient, le temps aidant, une minorité prolétaire. »

L’humain déshumanisé, Gheorghiu l’appelle le citoyen technique :

« Les esclaves techniques gagneront la guerre. Ils s’émanciperont et viendront les citoyens techniques de notre société. Et nous, les êtres humains, nous deviendrons les prolétaires d’une société organisée selon les besoins et la culture de la majorité des citoyens, c’est-à-dire des citoyens techniques. »

Et comme Chateaubriand, Gheorghiu rappelle :

« Dans la société contemporaine, le sacrifice humain n’est même plus digne d’être mentionné. Il est banal. Et la vie humaine n’a de valeur qu’en tant que source d’énergie. »

Et de conclure moins lugubre que visionnaire :

« Nous périrons donc enchaînés par les esclaves techniques. Mon roman sera le livre de cet épilogue… Il s’appellera la vingt-cinquième heure. Le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien. Ce n’est pas la dernière heure : c’est une heure après la dernière heure. Le temps précis de la société occidentale. C’est l’heure actuelle, l’heure exacte. »

Je dis moins lugubre que visionnaire, car il est temps de voir et de dire que tout cela est au final scientifique et juste, comme disait l’orthodoxe Vladimir Volkoff. Volkoff disait que le bolchévique c’est celui qui en veut plus, idéaliste, progressiste, banquier central, militaire ou agent secret ou même journaliste. Le troupeau c’est celui qui n’y croit pas ou ricane et de toute manière se soumet. C’est celui qui en veut moins. C’est le troupeau des Troyens euphoriques.

Virgil Gheorghiu – La vingt-cinquième heure


[Ndlr : pour terminer sur une note moins pessimiste,
voir La clef de la libération
ou encore L’avenir se crée maintenant]




Prise de contrôle du mouvement anti-pass sanitaire français

[Source : voltairenet.org]

Les manifestations contre les « pass sanitaires » se multiplient en Europe. Il s’agit de s’opposer à une discrimination entre les citoyens selon leur état de santé.

À Paris, deux manifestations concurrentes auront lieu, ce 11 septembre 2021. L’une est organisée par Floriant Philippot, un républicain ayant débuté à gauche au Mouvement des citoyens de Jean-Pierre Chevènement puis étant passé à droite au Front national de Marine Le Pen. L’autre par Jérôme Rodriguez, un Gilet jaune qui fut éborgné en janvier 2019 par la police durant une manifestation et qui eut la chance d’être indemnisé le 11 mars dernier.

La première manifestation entend promouvoir la souveraineté française. La seconde ambitionne de réunir tous les opposants au président Emmanuel Macron.

Or, les affiches diffusées par Jérôme Rodriguez sont ornées d’un poing levé. Pas n’importe quel poing levé : le logo déposé de Black Lives Matter, l’organisation racialiste états-unienne. C’est aussi le logo de toutes révolution colorées organisées par la National Endowment for Democracy[1] et les hommes de Gene Sharp[2] depuis trente ans.

À n’en pas douter, le mouvement de Jérôme Rodriguez va bientôt dégénérer et emporter avec lui une partie des opposants au président Macron pour le plus grand bénéfice de ce dernier.


[1] « La NED, vitrine légale de la CIA », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie) , Réseau Voltaire, 6 octobre 2010.

[2] « L’Albert Einstein Institution : la non-violence version CIA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 juin 2007.




Rand Paul : Les obligations en matière de vaccins qui ignorent l’immunité naturelle ne devraient pas être respectées

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

Rédigé par Steve Watson via Summit News

Le sénateur Rand Paul a répondu à l’annonce de Joe Biden concernant le mandat de vaccination obligatoire de grande envergure en déclarant qu’il ignore la science et que les Américains devraient s’y opposer.

Écrivant sur Twitter, Paul a noté :

« Les mandats de vaccination qui ignorent l’immunité naturelle ignorent la science, ne sont pas scientifiques, et ne devraient pas être respectés ou promulgués par le gouvernement. »

Paul fait valoir depuis des mois que les programmes de vaccination sans discernement sont antiscientifiques car ils ne tiennent pas compte de l’immunité naturelle, qui constitue une meilleure forme de protection que les vaccins expérimentaux.

« Jusqu’à ce qu’on me montre des preuves que les personnes qui ont déjà eu l’infection meurent en grand nombre, ou sont hospitalisées ou tombent très malades, j’ai juste pris ma décision personnelle de ne pas me faire vacciner parce que j’ai déjà eu la maladie et que j’ai une immunité naturelle », a déclaré Paul en mai.

Dans une autre déclaration, Paul a noté : « Dicter qu’une personne guérie du COVID-19 avec une immunité naturelle doit également se soumettre à un vaccin – sans preuve scientifique – n’est rien d’autre que de l’orgueil démesuré. Si vous n’avez aucune preuve que les personnes ayant acquis une immunité naturelle contractent ou transmettent la maladie en nombre réel, alors vous devriez peut-être vous taire. »

Paul était l’un des nombreux législateurs du GOP à s’exprimer contre l’annonce de Biden concernant le mandat de vaccination.

Un professeur de l’université de Californie, Irvine, est allé plus loin en intentant un procès contre le conseil d’administration et le président du système scolaire pour avoir imposé un vaccin même à ceux qui sont immunisés.

SBG rapporte qu’Aaron Kheriaty, professeur de psychiatrie et de comportement humain, a intenté un procès après avoir été informé que sa propre immunité naturelle n’avait aucune importance dans le cadre du mandat de vaccination.

Kheriaty, également directeur du programme d’éthique médicale de l’UCI et membre du groupe de travail sur la bioéthique des soins intensifs du bureau du président de l’UC, a déclaré : « J’ai l’impression d’être traité de manière inégale ».

« Si mon immunité est aussi bonne, voire très probablement meilleure, que celle conférée par le vaccin, il ne semble y avoir aucune base rationnelle pour discriminer ma forme d’immunité et m’obliger à avoir une autre forme d’immunité », a ajouté M. Kheriaty.

En ce qui concerne les autres personnes qui ont exprimé des préoccupations au sujet du mandat scolaire, M. Kheriaty a ajouté qu’ »il est devenu clair pour moi que si je ne me levais pas, en tant qu’éthicien médical, pour essayer de représenter ces voix, alors ces personnes seraient écrasées par ces politiques ».

Dans un mémoire juridique, Kheriaty et d’autres membres de la faculté affirment qu’ »il est contraire à l’éthique médicale d’exposer une personne à ce risque alors qu’elle possède une immunité robuste et durable qui neutralise le SARS-CoV-2 en cas d’exposition ».

La recherche a prouvé que la guérison du COVID procure une immunité meilleure et plus durable que les vaccins. Une étude menée en Espagne a même révélé que les anticorps IgG des professionnels de santé contre le SARS-CoV-2 restaient constants, voire augmentaient, sept mois après l’infection, alors que les personnes vaccinées se voient maintenant dire qu’elles ont besoin de rappels.

En mai dernier, le Dr Marty Makary, professeur à la faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins, a fait remarquer que le fait que plus de la moitié des Américains aient développé une immunité naturelle contre le coronavirus est généralement ignoré et que cela constitue « l’un des plus grands échecs de notre direction médicale actuelle ».




La Suisse défigurée

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

L’impensable s’est produit : dans une décision qu’absolument rien ne justifie (nous le verrons plus bas) en termes de santé publique, le Conseil fédéral vient à son tour d’imposer un pass sécuritaire (et en aucun cas sanitaire) violant la Constitution ainsi que les fondements de notre démocratie et de notre état de droit.

Instaurant un véritable apartheid sur la base de la soumission à une injonction vaccinale scientifiquement et éthiquement indéfendable, le gouvernement suisse, à la suite de nombreux autres, emporte avec lui sa population dans une fuite en avant vers un univers orwellien fait de contrôle social, de soumission à l’autorité, de stigmatisation et de discrimination massive des citoyens faisant usage de leur liberté de conscience et de leurs droits fondamentaux dès lors qu’ils osent s’opposer aux dogmes gouvernementaux.

Reprenons les choses dans le bon ordre : le pass dit sanitaire est en réalité inutile face à l’épidémie, comme le résume sans ambiguïté un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Martin Kulldorf de la Harvard Medical School, dans une formule lapidaire : « Les dernière données scientifiques démolissent les arguments en faveur des pass vaccinaux » (à lire ici).

Le pass sanitaire non seulement ne sert à rien pour juguler la circulation du Sars-CoV-2, mais il est en outre injuste, antisocial, discriminatoire et non-éthique.

Qualifiant la gestion de l’épidémie par nos pays de « fiasco de santé publique », le Pr Kulldorff rappelle que « la réponse à la pandémie a été vraiment horrible et est allée à l’encontre des principes de base de la santé publique que nous suivons depuis de nombreuses décennies. »

Les citoyens sont désormais pris dans une « double-contrainte » perverse faisant croire que nous aurions le choix entre la vaccination généralisée et les confinements à répétition. Cette doxa, assénée en continu depuis 18 mois par les gouvernements, des « autorités de santé » arrosées par les firmes pharmaceutiques et une presse subventionnée interdisant désormais tout débat digne de ce nom, est purement et simplement fausse.

Certes, il se trouve des sectateurs zélés pour l’affirmer en abusant de leur crédibilité institutionnelle. Seulement voilà : ce n’est pas juste que le Pr Kulldorff tiendrait des thèses bizarres dans son coin. Un nombre impressionnant d’épidémiologistes les plus renommés, travaillant au sein des meilleures facultés de médecine, essayent désespérément de faire entendre ce message depuis une année.

Le parti-pris de nos gouvernements d’imposer des confinements qui créent des dégâts majeurs sans permettre de se protéger de la circulation du virus, l’imposition de mesures absurdes et vexatoires comme le port du masque (inutile face aux virus), et maintenant la coercition (directe ou indirecte) exercée pour pousser la population à se faire vacciner sont rien de moins que des abominations en termes de santé publique. Des initiatives absurdes, contraires à toute la science accumulée au long des dernières décennies, et qui sapent (à juste titre) la confiance de la population.

Elles sont de surcroît profondément antisociales puisqu’elles privilégient les classes sociales qui peuvent travailler à domicile et jouissent de bons salaires alors qu’elles font s’abattre un vent de désolation sur les groupes précaires ou démunis de la population.

Elles maltraitent, abusent et traumatisent les groupes les plus vulnérables mais aussi la population dans son entier sans le moindre bénéfice sanitaire, si l’on s’en tient à ce que montre la science.

Alors ?

Alors il faudra bien que les naïfs et les crédules (notamment dans nos affligeants parlements) commencent à entendre que si nos gouvernements infligent cette maltraitance et ces dégâts à la population, c’est bien parce qu’ils poursuivent un autre agenda.

Le premier est évident : en exigeant par exemple que les personnes immunisées suite à une infection au Sars-CoV-2 reçoivent malgré tout une dose de « vaccin génique » pour avoir droit au pass dit sanitaire, les autorités prouvent si besoin était qu’elles servent bel et bien les intérêts des firmes pharmaco-vaccinales et non la protection de la santé de la population. Comme avec toutes les maladies infectieuses, l’immunité naturelle (rayée de ses définitions par l’OMS !) est de loin la plus puissante et la plus durable. Un vaccin supplémentaire n’apporte aucun bénéfice autre que pour le trésor des pharmas. L’exiger est une hérésie, certes pas perdue pour tout le monde.

Mais il y a sans doute beaucoup plus que cela. En conclusion des investigations de son comité d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich rappelle que depuis le début, cette crise n’a rien de sanitaire. Elle est avant tout économique et probablement financière : les états (à l’exception frappante de la Suisse !) sont aujourd’hui endettés au-delà de leur capacité de remboursement et avec des fonds de pension en quasi-faillite. Le « Great Reset » abondamment invoqué (allant de pair avec l’imposition d’un système de surveillance numérique des individus « à la chinoise ») viserait à ponctionner l’épargne des particuliers, opération requérant un prétexte impérieux.

Ces questions sont trop éloignées de mon domaine d’expertise pour que j’ose m’y aventurer. A d’autres, qui en ont les compétences, de continuer à le faire. Par contre, je ne vois aucune raison au monde qui puisse expliquer rationnellement à partir de la situation sanitaire la décision honteuse du Conseil fédéral d’instaurer cet apartheid inutile, injuste et immoral, alors que la situation épidémique est actuellement calme et maîtrisées dans notre pays.

Sachant que si elle devait par malheur se péjorer, le pass sécuritaire n’aiderait de toute manière en rien.

Trahison

Nous sommes donc devant une véritable trahison. Trahison de notre identité nationale. Trahisons des intérêts du peuple – que nos Conseillers fédéraux ont fait le serment de servir,  de protéger et de défendre. Trahison de nos valeurs, de nos us et coutumes, de notre génie qui a permis au cours des siècles à des groupes diversifiés de cohabiter et de collaborer sans que les minorités se retrouvent écrasées sous le joug des majorités.

Ces temps sont désormais révolus. Pour puiser dans ce bel et grand imaginaire patriotique, notre pays est né de ce que des communautés rurales des vallées alpines ont refusé de se soumettre à la brutalité et à l’arbitraire de puissances étrangères. Elles se sont battues pour être maîtres chez elles, décider de leur destin en leur âme et conscience, élire leurs propres juges, cultiver leurs valeurs dans le respect envers la Création tout entière.

Je l’avais souligné lors d’une conférence de presse à Berne au printemps (censurée sur YouTube en dépit que tout ce que j’y avançais était documenté) : le mât dressé par un bailli étranger sur la place centrale d’Altdorf, au sommet duquel était placé le chapeau de l’Empereur et devant lequel tout citoyen était forcé à s’agenouiller est désormais celui dressé par notre propre gouvernement.

Guillaume Tell passant par-là refusa de se prosterner devant cette idole. Rudoyé par les gardes, il affirma fièrement qu’il ne s’agenouillait que devant Dieu.

On peut bien sûr faire de cette légende une question religieuse. Ou choisir une lecture symbolique, et donc universelle. « On ne peut servir en même temps Dieu et Mammon » dira Celui devant qui Tell acceptait de s’agenouiller selon ses convictions religieuses. Ce qui veut dire bien sûr : « vous ne pouvez servir en même temps l’intérêt commun, la cause de notre humanité, et les intérêts privilégiés de quelques-uns ».

Nos autorités politiques, tout comme les autorités scientifiques, médicales et médiatiques hélas, se révèlent brutalement prostituées à d’autres intérêts que celui souverain de la population. Elles se rendent coupables, je l’avais indiqué au printemps, ni plus ni moins que de haute trahison.

Dans une salutaire prise de conscience, le Conseiller fédéral Ueli Maurer partageait il y a quelques jours ses doutes sur le pass autoritaire, soulignant qu’il allait dans le sens d’une soumission des citoyens à l’état profondément contraire à nos us et coutumes ainsi qu’à nos valeurs.

Malgré le travail de propagande honteux des médias pour faire passer ceux qui se réfèrent encore à la science non-prostituée pour des « complotistes » des « antivaxx » ou des « imposteurs », il faut croire -parce que notre devenir en dépend- que le rude bon sens de nos aïeux, préservé sur la haute crête des cimes, saura voir la nature de ce nouvel ennemi, un ennemi de l’intérieur vendu à des intérêts extérieurs, et lui réserver le sort qu’il mérite.

Tout ce que j’avance ici est évidemment à nouveau documenté.

J’invite ainsi toute personne ayant des doutes ou voulant en avoir le cœur net à lire les deux articles -re-publiés ici et ici– présentant les analyses du Pr Kulldorff. Une objection que j’entends souvent est en effet : « mais, si vous aviez raison, pourquoi nos professeurs des hôpitaux disent-ils le contraire ? »

Objection valide !

En lisant les propos de Martin Kulldorff, ils découvriront comment les meilleurs épidémiologistes au monde, travaillant dans les meilleures universités, se sont vus combattre, censurer et même calomnier parce qu’ils rappelaient simplement l’état de la science et la réalité des connaissances en santé publique.

Ce qui pose de vraies questions !

  • Quand Kulldorff dit que la gestion mondiale du Covid est un fiasco horrible et sans précédent alors que Didier Pittet nous explique qu’on a à peu près tout bien fait, grâce à lui notamment, et qu’il a même trouvé plutôt réussie la gestion désastreuse du gouvernement français…
  • Quand Samia Hurst, vice-présidente de la Task Force affirme que si on n’avait pas imposé de confinements, il y aurait eu des dizaines de milliers de morts en plus alors que John Ioannidis, l’épidémiologiste le plus cité au monde, conclut de ses recherches que les confinements n’ont pas montré d’utilité avérée…
  • Quand le Pr Pollard (du Groupe vaccinal d’Oxford) explique à la mi-août qu’à la lumière des dernières données sur l’efficacité vaccinale, l’objectif d’une immunité vaccinale est un mirage, et que Didier Pittet et Mauro Poggia viennent sur le plateau de la RTS trois semaines plus tard affirmer avec arrogance le contraire…
  • Quand Antoine Flahaut réclame le masquage et la vaccination forcée des enfants alors que le Pr Kulldorff montre que ces deux mesures sont injustifiées, inutiles et non-éthiques…
  • Quand la Conférence des directeurs cantonaux de la santé ne cesse de demander des mesures de plus en plus coercitives et abusives alors que les meilleurs épidémiologistes réclament depuis des mois qu’on laisse vivre le plus normalement possible la société dans son ensemble tout en protégeant diligemment les groupes à risque, ce qui correspond à ce qu’on a toujours su devoir faire et qui était prévu dans TOUS les plans pandémie nationaux…

Eh bien oui, on a alors bel et bien un problème. Des points de vue aussi contradictoires ne peuvent être vrais simultanément.

Si les Suisses en avaient eu le courage, nous aurions créé une Commission d’enquête, honnête et indépendante, sur les mesures dites sanitaires depuis longtemps. Soit, nous en avons alors manqué.

Il est heureusement encore temps de nous souvenir de l’ouverture magistrale de notre Constitution et de mettre hors d’état de nuire (par tous les moyens légaux) ceux qui cherchent ni plus ni moins qu’à la détruire :

(…)

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance
pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités
dans le respect de l’autre et l’équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution que voici : …

J’ai mal à ma Suisse aujourd’hui, comme tant d’autres de mes compatriotes. Une Suisse actuellement trahie, bafouée, violentée, défigurée par ses autorités et son gouvernement.

Tous ceux qui participent à cette dérive scandaleuse feraient bien s’y réfléchir à deux fois.

Nous leur ferons échec.




Pr Luc Montagnier : Ces vaccins sont inutiles, dangereux et inefficaces.

[Source : Etresouverain.com]

[Ndlr : l’interview commence après 45 secondes. Il est en italien, mais sous-titré en français.]






Tintin, Astérix et Lucky Luke brûlés et jetés: le milieu scolaire canadien livré au mouvement «woke»?

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Par Jérôme Blanchet-Gravel

Quelque 5.000 livres jugés racistes ont été brûlés et jetés au Canada par un regroupement d’écoles au nom de la «réconciliation» avec les autochtones. L’affaire fait le tour du monde. Selon Claude Simard, spécialiste des sciences de l’éducation, il s’agit d’un geste «antipédagogique» témoignant d’une volonté d’endoctrinement.

La nouvelle s’est vite invitée dans la campagne électorale fédérale. Le 7 septembre dernier, la presse canadienne a appris que près de 5.000 livres avaient été brûlés, jetés ou pilonnés par un conseil scolaire de l’Ontario. Le motif de cet autodafé des temps modernes: les ouvrages contiendraient des stéréotypes et des représentations jugées racistes envers les Premières Nations.

À notre micro, Claude Simard fustige d’emblée «cette « cancel culture » qui tente d’effacer tout ce qui n’est pas conforme à sa vision du monde»:

«On pourrait parler d’une entreprise d’endoctrinement du monde scolaire axée sur l’inculcation d’une sorte de mythe antidiscriminatoire. L’autodafé ontarien est à l’évidence le résultat du wokisme qui se répand de plus en plus en Amérique du Nord. Ses promoteurs ont réussi à amener le monde de l’éducation à censurer les lectures des jeunes et à bannir tout livre qui semble s’écarter de la doctrine de la pureté sociale», tonne le professeur honoraire, auteur de nombreuses grammaires scolaires.

Parmi les livres retirés des bibliothèques figurent entre autres des albums des bandes dessinées Tintin, Astérix et Lucky Luke.

Une mise à l’index en réaction au scandale des pensionnats?

Les exemplaires du célèbre numéro Tintin en Amérique ont été retirés par le comité chargé de la révision des catalogues, un symbole qui fait particulièrement réagir. Des ouvrages savants rédigés par des auteurs renommés font également partie de la liste, de même que des romans et des encyclopédies.

La polémique survient alors que des recherches sont toujours en cours sur divers sites pour identifier les dépouilles d’enfants autochtones disparus à l’époque du système des pensionnats. Jusqu’à présent, quatre charniers contenant des corps d’élèves ont été mis à jour, plongeant chaque fois le pays dans un nouveau deuil. Ces découvertes mettent en lumière le rôle de l’État canadien et de l’Église catholique dans le «génocide culturel» des Amérindiens, selon les mots choisis par la Commission de vérité et réconciliation.

D’après les chiffres d’Ottawa, durant les XIXe et XXe siècles, 150.000 jeunes ont été placés dans ces établissements contre la volonté de leurs familles. Un certain nombre d’entre eux ont été victimes de mauvais traitements et d’abus sexuels. En réaction à ces découvertes, une dizaine d’églises avaient déjà été incendiées.

Claude Simard dit comprendre le traumatisme vécu par plusieurs membres des nations autochtones, mais il s’oppose catégoriquement aux méthodes employées par les acteurs du mouvement «décolonial». «Il n’y a rien de plus antipédagogique et de plus dévastateur que les index et les autodafés», réagit le professeur, pour qui cette entreprise va à l’encontre même de la mission éducatrice de l’école:

«Empêcher les jeunes de lire des livres de différentes époques et de divers horizons au nom d’une morale intransigeante conduit à leur imposer une pensée unique et à les habituer à se conformer servilement aux normes du groupe dominant. On ne peut former des citoyens libres qu’en amenant les jeunes à développer leur intelligence et leur jugement par la confrontation d’une pluralité de points de vue», poursuit l’ex-doyen de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval.

Le Conseil scolaire catholique Providence chapeaute trente écoles en Ontario (23 primaires et 7 secondaires), ces établissements accueillent en tout 10.000 élèves.

«La glorification des Premières Nations conduit à des dérives»

Se présentant comme une «gardienne du savoir autochtone», l’une des principales responsables du projet de retrait de livres, Suzy Kies, est coprésidente de la Commission autochtone du Parti libéral du Canada, formation dont le chef est le Premier ministre fédéral, Justin Trudeau. Le 8 septembre, le réseau Radio-Canada a révélé que Mme Kies ne pouvait être considérée comme une femme autochtone en vertu de divers critères officiels, ce qui ajoute à la polémique. Pour Claude Simard, cette imposture montre aussi le caractère idéologique du «vertuisme social actuel»:

«Le wokisme se mêle ici au courant décolonial qui entend lutter contre une décolonisation incomplète des peuples, notamment d’Amérique. Mais la glorification aveugle des Premières Nations conduit à des dérives comme celle de l’autodafé ontarien. Quand on entend l’instigatrice de cette purge littéraire, Suzy Kies, déclarer qu’un livre sur les autochtones doit être écrit ou du moins supervisé par un autochtone, on ne peut s’empêcher de voir un racisme inversé», analyse-t-il.

Questionné par les médias durant sa tournée électorale, Justin Trudeau a affirmé qu’il ne revenait pas à l’État central «de gérer des décisions des commissions scolaires». «Au niveau personnel, je ne suis jamais d’accord avec le fait de brûler des livres, mais il faut aussi se souvenir que ce n’est pas à moi, ce n’est pas aux non-autochtones de dire aux autochtones comment ils devraient se sentir ou comment ils devraient agir pour avancer la réconciliation», a déclaré le Premier ministre sortant.

Une attitude conciliante qui tranche avec le point de vue du Premier ministre québécois sur le sujet, François Legault:

«Pour moi, brûler des livres, c’est un acte atroce», a quant à lui opposé le chef d’État de centre.

Selon Claude Simard, aucun chef de parti fédéral ne s’est suffisamment montré ferme envers le conseil scolaire et le ministère de l’Éducation de l’Ontario, lequel l’a appuyé dans certaines démarches: «Par souci de bien-pensance, surtout en période électorale, aucun des chefs dans la course n’a vraiment eu en fait le courage de dénoncer le caractère totalitaire de l’autodafé ontarien et de proposer une analyse critique des dérives du milieu scolaire canadien», déplore l’ex-enseignant.

Dans l’embarras et sous la pression, le Conseil scolaire catholique Providence a annoncé le 8 septembre qu’il suspendait le retrait et la destruction de livres. La direction du conseil s’est également dite «troublée et inquiète» d’apprendre que Suzy Kies n’était pas amérindienne à part entière:

«Le Conseil scolaire catholique Providence croyait fermement les affirmations de Suzy Kies lorsqu’elle disait être autochtone de la Confédération des Wbanakis et du clan de la Tortue», a déclaré la porte-parole de l’organisation, Lyne Cossette.

[Voir aussi :
La star hollywoodienne Kirstie Alley dit qu’elle croit que les démocrates et la foule « woke » sont déterminés à normaliser la pédophilie auprès des masses
Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique]