Plus d’un million d’Israéliens qui n’ont pas reçu de 3e dose ont perdu le pass sanitaire dimanche

[Source : resistance-mondiale.com]

Beaucoup ne pourront pas accéder à certains lieux publics et rassemblements sans un test de virus négatif après un changement de politique nécessitant un rappel six mois après le 2e vaccin COVID-19.

À partir de dimanche, plus d’un million d’Israéliens perdront leur Green Pass (pass sanitaire) après qu’un changement de politique ait dicté qu’un rappel de COVID-19 soit requis six mois après avoir reçu les deux premières doses.

Les données du ministère de la Santé lundi ont montré que 4 710 716 Israéliens ont été vaccinés avec deux doses il y a six mois, mais seulement 3 243 641 d’entre eux ont reçu une dose de rappel.

Même en soustrayant les centaines de milliers de personnes infectées par COVID-19 au cours des six derniers mois, ce qui signifie qu’elles n’auraient pas besoin de la troisième dose de vaccin, le nombre de personnes qui n’auront plus un soi-disant Green Pass dépasse le million.

Le pass n’est valable qu’une semaine après avoir reçu la dernière dose requise, et pendant six mois après. Le document, détenu par ceux qui sont vaccinés ou qui se sont rétablis du COVID-19, permet d’accéder à de nombreux lieux et événements publics, y compris les restaurants et les musées.

Un laissez-passer vert temporaire peut être obtenu grâce à un test de dépistage du virus négatif, qui doit être payé sauf si la personne n’est pas admissible à la vaccination.

Par ailleurs, le ministère a annoncé cette semaine que les patients guéris du COVID-19 devront recevoir une seule dose de vaccin contre le coronavirus après avoir été diagnostiqués, afin de rester éligibles pour recevoir un Green Pass. Auparavant, toutes les personnes récupérées étaient éligibles.

Des enfants montrent leur Green Pass alors qu’ils font la queue à l’entrée du Science Museum de Jérusalem, le 19 août 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

De plus, à partir de dimanche, les personnes infectées après avoir reçu un vaccin ne conserveront leur laissez-passer que six mois supplémentaires. Ensuite, le ministère réexaminera ces cas, a-t-il déclaré.

Israël – le premier pays à offrir officiellement une troisième dose – a commencé sa campagne de rappel COVID-19 le 1er août, en l’étendant initialement aux personnes de plus de 60 ans. Il a ensuite progressivement baissé l’âge d’éligibilité, pour finalement l’étendre à toute personne âgée de 12 ans. et plus qui ont reçu la deuxième injection il y a au moins cinq mois.

Une enseignante reçoit une dose du vaccin COVID-19 dans un centre de vaccination à Jérusalem, le 24 août 2021. (Yonatan Sindel/Flash90)

Le cabinet de haut niveau sur les coronavirus se réunira également dimanche pour la première fois en un mois, le Premier ministre Naftali Bennett étant censé résister à l’imposition de nouvelles restrictions sur les coronavirus malgré des centaines de nouveaux décès dus au COVID.

Depuis la dernière réunion du cabinet du coronavirus, plus de 600 Israéliens sont morts du COVID-19. Le nombre de cas graves dans l’ensemble est légèrement inférieur à ce qu’il était alors, avec 760 enregistrés le 30 août, contre 641 lundi.

Lundi, les chiffres du gouvernement plaçaient le taux de reproduction de base du virus, qui mesure la transmission, à 0,78. Tout nombre supérieur à 1 indique que les infections sont en augmentation, tandis qu’un chiffre en dessous indique qu’une épidémie diminue.

Alors que la quatrième vague d’infections en Israël a enregistré un nombre record de cas quotidiens, le nombre de patients nécessitant une hospitalisation est resté inférieur aux épisodes précédents, ce que les experts attribuent aux taux de vaccination élevés du pays.

Un travailleur de la santé effectue un test rapide d’antigène COVID-19 à Jérusalem, le 26 septembre 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

Le nombre de morts depuis le début de la pandémie est passé lundi à 7 684. Septembre est le deuxième mois consécutif où Israël a enregistré au moins 500 décès, après qu’août ait vu 609 décès attribués au COVID-19.

Dans le même temps, les chiffres du ministère ont montré 3 819 nouvelles infections dimanche, poursuivant une lente tendance à la baisse, bien que les tests aient tendance à baisser fortement au cours des week-ends. Le taux de positivité des tests dimanche était en baisse à 4,19 %.

Traduction de l’article :
Over 1 million Israelis who haven’t had 3rd dose to lose Green Pass on Sunday | The Times of Israel




France — Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de « vaxx oblig »

Par Syndicat « Enseignement Recherche Liberté ! »

La « Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de vaccination obligatoire » rédigée par le syndicat « Enseignement Recherche Libertés! » ayant le mérite d’exister, chacun peut l’envoyer avec un petit mot d’accompagnement…

Cet envoi paraît d’autant plus utile que la vaccination obligatoire est censée compléter la surveillance numérique totale à la chinoise recommandée par le rapport n°673 du sénat.

Jean Happel


Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les Sénateurs

Mesdames et Messieurs les Sénateurs,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné votre proposition de loi relative à la vaccination obligatoire, prévue à la discussion courant octobre 2021.

Outre l’idée, irrationnelle, d’imposer à l’ensemble de la population une injection sous AMM provisoire et conditionnelle et qui est toujours en phase III des essais cliniques, notre syndicat dénonce les contre-vérités nombreuses que comporte l’« Exposé des motifs » censé justifier cette proposition de loi.

Nous rappelons en préambule qu’un vaccin, comme tout traitement médical, doit présenter plus de bénéfices que de risques, protéger le sujet d’une maladie potentiellement grave pour laquelle n’existe aucun traitement et réduire la propagation de l’épidémie. Un vaccin n’est cependant jamais une panacée : 
https://reinfocovid.fr/science/la-vaccination-est-une-excellente-solution-contre-certaines-maladies/

Si notre syndicat fait, comme vous, confiance aux scientifiques, cette confiance ne se confond en aucun cas avec une « croyance » (cf. « Exposé des motifs ») : cela relèverait d’une démarche irrationnelle et conduirait à exposer la population à des dangers plus grands que la maladie dont on prétend la protéger.

  1. Sur la gravité de la COVID-19

Il est connu depuis mars 2020 que les principales victimes de la COVID-19 sont des sujets âgés, obèses et diabétiques présentant généralement des facteurs de risques sanitaires importants. Selon le site
https://geodes.santepubliquefrance.fr/, il est attesté que la population jeune et en bonne santé générale ne risque pas de mourir de la COVID 19. Les chiffres donnés par Géodes indiquent que les décès pour la population en dessous de 20 ans sont plus qu’exceptionnels. On sait aussi que sur l’année 2020, la surmortalité fut identique à celle de 2015, et a surtout concerné des personnes de plus de 80 ans :
https://colab.research.google.com/drive/1TGhYXE7F9LnXavVcvgSa7_PyXGa-lElF

  1. Sur le taux d’incidence de la COVID-19 en septembre 2021

En se penchant par ailleurs sur le taux d’incidence de la COVID-19 sur le territoire français métropolitain, on s’aperçoit qu’il est actuellement très bas (6 cas pour 100 000 habitants). En d’autres termes, nous ne sommes pas, en septembre-octobre 2021, en épidémie :
http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=maladies&mal=25.

  1. Sur la vaccination « altruiste », la protection collective et les variants

Les pays qui mènent des campagnes vaccinales massives contre la Covid sont victimes de vagues d’infections massives (voir Israël). Le vaccin contre la Covid n’empêche ni de développer la maladie ni de la transmettre. D’après des données du CDC (Center for Disease Control and Prevention) rendues publiques en juillet 2021, plus de 70 % des personnes malades de la Covid aux États-Unis étaient doublement vaccinées :
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/pdfs/mm7031e2-H.pdf

Croire à une protection générale (cf. « Exposé des motifs ») par la vaccination universelle est donc une chimère, les personnes vaccinées continuant d’être porteuses, malades et vectrices du virus.

Ainsi, votre affirmation « Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes » relève du vœu pieux.

  1. Sur la vaccination obligatoire et le danger des vaccins anti-COVID-19

Ces produits, en phase III d’expérimentation et sous AMM provisoire et conditionnelle, ne peuvent de surcroît pas être légalement imposés. Contraindre la population à participer à une telle expérimentation médicale enfreint l’article 223-8 du Code Pénal.

Vous ne pouvez non plus ignorer le très récent règlement européen, adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021)1 qui prévoit notamment qu’il y a lieu « d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections ».

Vous osez pourtant le parallèle avec des obligations vaccinales décrétées précédemment pour enrayer des maladies gravement incapacitantes comme la tuberculose, la variole ou la poliomyélite (cf. « Exposé des motifs »). Mais la Covid 19, affection virale grippale pulmonaire classée par le Réseau Sentinelles INSERM dans les infections respiratoires aiguës (IRA), ne correspond pas à ce type de maladie. Au surplus, les vaccins antituberculeux, antivariolique ou antipoliomyélitique ont été rendus obligatoires après une très longue période probatoire, ce qui n’est pas le cas des vaccins contre la Covid, expérimentaux, dont on ne sait rien des effets secondaires à moyen et à long terme, mais dont on connaît bien, en revanche, les effets secondaires immédiats, qui sont nombreux, dont la mort :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf

Pourtant, vous affirmez encore dans votre « Exposé des motifs » que « la vaccination obligatoire (…) est la manifestation de la primauté de l’intérêt général (…) ». Rien ne saurait être plus faux ! La vaccination expérimentale contre la Covid n’offre qu’un espoir, entièrement hypothétique, de « protection générale ». Cela relève en effet, comme vous l’admettez à juste titre, de la « croyance » (cf. « Exposé des motifs »).

En réalité, cette « obligation vaccinale » que vous entendez promouvoir, déraisonnable, contraire à l’intérêt général, illégale, serait pour vous un moyen de vous dispenser de la fastidieuse chasse à ceux des Français qui s’obstineraient, malgré toute la « pédagogie » (si on peut se risquer à l’emploi d’un tel terme…) du gouvernement, à refuser ces injections.

Pour l’ensemble de ces raisons, le syndicat « Enseignement Recherche Libertés ! » combattra cette proposition de loi, et a d’ores et déjà saisi tous les parlementaires pour les persuader de la rejeter.

Avec nos salutations.

Enseignement, Recherche, Libertés !


Emails/courriels des sénateurs

(Réf. www.voxpublic.org)




France : 3 piqûres anti-covid prochainement obligatoires ?




Le passe accélère-t-il la progression de l’épidémie ?

Par Gérard Delépine

L’état pitoyable actuel de la France n’est pas dû au virus,(([1] L’épidémie de grippe asiatique de 1958 a entraîné le même nombre de victimes, mais le gouvernement de l’époque s’est efforcé de ne « pas ajouter l’hystérie à l’épidémie » et la crise s’est terminée sans mesures autoritaires ni conséquences économiques, psychologiques)) mais avant tout aux mesures prétendument sanitaires qui nous été imposées pour soi-disant éviter la submersion du système hospitalier.

Le caractère dogmatique et politique des mesures devient encore plus évident avec l’imposition du passe en France sans considérer ses résultats sur l’évolution de l’épidémie dans les pays qui l’ont instauré avant nous.

Ce résumé court vise à combler cette lacune en s’appuyant sur les chiffres officiels de l’OMS et leurs transcriptions en courbes par l’université John Hopkins.

Les données de l’OMS prouvent que le passe est médicalement dangereux

Quelques pays européens ont imposé le passe à leur population depuis plus de deux mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que cette mesure, loin de ralentir les contaminations, paraît les exacerber.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22

La Grèce a imposé le passe en espérant attirer ainsi les touristes étrangers

Malheureusement le passe a été suivi par la multiplication par 5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %)

La Tchéquie a instauré le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le passe a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Au Danemark la mise en route du passe a été suivi par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.)

Depuis le Danemark a supprimé le passe.

Ainsi dans tous les pays champions du passe, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations

L’échec du passe a été également observé dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un passe.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le passe n’empêche pas les clusters d’apparaître.

Malgré le passe sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs cuisants du passe partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur les hypothèses que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de passe, victime de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec passe aux Pays-Bas comme en Catalogne.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le passe, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le passe l’accélère.

Le Danemark dont la situation sanitaire actuelle ressemble beaucoup à la nôtre vient d’abandonner le passe. On ne comprend pas que notre gouvernement s’obstine à l’imposer, niant ainsi le monde réel.




Témoignage inédit. Gestion des déclarations des « effets indésirables » des vaccins (contre la Covid-19) : « Démission » d’un « membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance » de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament)

[Source : CTIAP* Centre Hospitalier de Cholet]

Un témoignage écrit exceptionnel, inédit, est porté à notre connaissance. C’est une nouvelle alerte qui vient confirmer davantage le bien-fondé des analyses proposées, depuis des mois, par le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet.

Ce témoignage considère que l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) n’aurait pas respecté la méthode qu’elle avait, elle-même, fixée dans le cadre de l’analyse des effets indésirables présumés liés aux vaccins contre la Covid-19.

Pour cette raison, l’auteur de ce témoignage, qui se présente comme étant un « membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM » aurait « démissionné en juin ».

Le CTIAP publie, ci-dessous, un extrait de ce témoignage afin de lancer une nouvelle alerte :

« Bonjour (…),

Je vous ai sans doute dit que j’étais membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM. J’en ai démissionné en juin, les engagements de ʺremise à plat du systèmeʺ n’ayant pas été tenus.

Je viens réagir à votre article (…).

La règle officielle en pharmacovigilance, rappelée dans les premiers rapports sur les vaccins covid, est celle-là : ʺL’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence.ʺ (Rapport ANSM du 28.01.2021, p.4. Je vous le transmets ci-besoin). Prenons l’exemple des décès survenus juste après la vaccination des personnes de + de 75 ans par les vaccins Pfizer et Moderna. La cause du décès n’est pas identifiée. En conséquence, lorsque l’ANSM écrit dans ce même rapport ʺAprès analyse des éléments transmis, au regard du terrain de ces patients, des circonstances de décès, et des connaissances actuelles sur le vaccin, rien ne conduit à conclure que ces décès sont en lien avec la vaccinationʺ simplement parce que ces personnes avaient des comorbidités est un abus de langage et ne correspond pas aux faits. Évidemment, les personnes notamment en EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] ont en grande majorité des comorbidités. Ce n’est pas suffisant pour affirmer qu’il n’y a pas de lien. Selon moi, la vraie formulation devrait être celle-là, selon la règle rappelée par l’ANSM elle-même : ʺAprès analyse des éléments transmis, au regard du terrain de ces patients, des circonstances de décès, et des connaissances actuelles sur le vaccin, rien ne permet de conclure que ces décès ne sont pas en lien avec la vaccination, car aucune autre cause certaine n’a été mise en évidence.ʺ Cette différence entre la règle et son application par l’ANSM est inacceptable.

Vous écrivez (…) [concernant la sous-notification des effets indésirables qui est l’une des limites de la pharmacovigilance] (…). On peut même penser que les vaccinateurs (médecins, pharmaciens, etc) ne vont pas se précipiter pour déclarer un effet indésirable post-vaccinal, notamment s’il est grave, car ʺon ne met pas en cause la vaccinationʺ, c’est un tabou bien intériorisé. Nous avons des témoignages très nombreux à ce sujet.

(…)

On peut penser qu’un jour une enquête judiciaire, et/ou une commission d’enquête parlementaire, vont se pencher sur les mensonges qui ont émaillé cette histoire du Covid.

Il faudrait que ces enquêtes analysent les déclarations d’effets indésirables (qui les a faites, selon quels critères, quel degré de fiabilité…).

Bien à vous,

(…). »

L’analyse révélée par ce témoignage exclusif vient confirmer celles proposées dans les articles du CTIAP ; et en particulier celui qui a été publié, le 20 janvier 2021, sous le titre : « Décès après la vaccination contre la Covid-19 : la « preuve diabolique » (exigée des familles des personnes décédées) ». Dans cette réflexion, on peut lire notamment ceci :

« Au lieu d’exiger de ces familles de prouver l’existence dudit « lien de causalité », ne serait-il pas plus opportun, et plus juste, de demander aux experts (pharmacovigilance, médecine légale (autopsies), etc.) d’apporter la preuve qui permet d’exclure ce lien de causalité ?

Un tel changement de paradigme pourrait permettre de mettre un terme à ladite « preuve diabolique » (…).

Un tel revirement d’approche, un tel renversement de la charge de la preuve, pourrait, peut-être, rétablir la confiance perdue et un minimum d’apaisement pour ces familles (en leur évitant l’habituel « parcours du combattant »).

À qui devrait profiter le doute ? Aux familles des personnes décédées ? Ou aux produits pharmaceutiques et à leurs fabricants ? ».




Reiner FUELLMICH — Les parents vaccinés contaminent leur enfant non vaccinés

[Source : @FlowerPower]






La disparition voulue de Poutine

[Source : Entre La Plume et l’Enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Poutine s’est caché. Enfin, en quelque sorte. Le 14 septembre, il a déclaré que de nombreuses personnes (« des dizaines ») de son cercle intime avaient été testées positives au virus et qu’il devait donc s’isoler. Sa soudaine réclusion a suscité des vagues d’angoisse à travers cet immense pays. Son explication a été accueillie avec incrédulité. Tout le monde autour de Poutine est vacciné et Poutine l’est aussi, du moins l’a-t-il affirmé.

Pourquoi aurait-il besoin de s’isoler ; et comment toutes ces personnes vaccinées pourraient-elles tomber malades ? Le vaccin est-il un faux ? Ou devons-nous chercher une autre explication. Est-il tombé, ou a-t-il été poussé ? Va-t-il revenir ? Est-ce la fin de l’ère de Poutine ? Poutine est-il malade, ou a-t-il été contraint à l’isolement ? S’agit-il d’une conspiration ? Le gouvernement russe est, et a toujours été, de type manuel et non automatique ; l’absence du dirigeant à la barre du puissant navire qu’est l’État russe pourrait être synonyme de problèmes. Les Russes ne croient pas à la version officielle, mais où est la vérité ?

Une semaine avant son annonce, le 8 septembre, un ami proche de Poutine et son ancien garde du corps, l’homme considéré comme un successeur probable, le ministre des Urgences, M. Evgueni Zinichev, est décédé dans des circonstances inhabituelles lors d’un exercice dans l’Arctique. Selon la directrice de RT, Margarita Simonyan, il est mort en essayant de sauver un caméraman tombé d’une falaise. Les rumeurs disent qu’il avait peut-être été ciblé en tant que successeur de Poutine. Juste avant cela, le 7 septembre, Poutine s’était rendu dans une retraite en Sibérie avec son ministre de la Défense, M. Choïgou. De quoi ont-ils discuté, loin des oreilles indiscrètes ? Selon certaines rumeurs, Poutine aurait soupçonné ou découvert un complot contre lui et aurait préféré minimiser ses contacts avec le monde extérieur et même avec ses propres gardes du corps. Homme très prudent, le président Poutine sait que nombreuses sont les personnes et organisations puissantes qui aimeraient le voir mort et il ne veut pas leur donner cette satisfaction. C’est pour cette raison que ses ennemis l’appellent « le vieil homme dans le bunker ». Cependant, Poutine est apparu à la télévision depuis sa cachette.

Par ailleurs, il existe des précédents de dirigeants invoquant un cas de force majeure pour manquer un événement ou éviter une réunion.

Le président Gorbatchev avait appris l’existence d’un complot ourdi par les partisans de la ligne dure soviétique et avait décidé de rester à l’écart, espérant profiter de ses avantages en cas de réussite du complot et avoir un alibi en cas d’échec. Il s’est rendu dans son palais de Crimée-Phoros au cours d’un mois d’août 1991 tumultueux et a prétendu être détenu par des comploteurs ; le complot a échoué, il est retourné dans la capitale, mais il n’a jamais retrouvé ses pouvoirs.

De même, le dernier empereur russe, le tsar Nicolas II, avait appris que des paysans et des ouvriers avaient l’intention de venir au Palais d’hiver pour implorer le tsar. Il décida de se tenir à l’écart des problèmes éventuels et se rendit dans sa résidence de campagne de Tsarskoe Selo. Ses fonctionnaires mitraillèrent les plaideurs lors du dimanche sanglant. C’est ce massacre qui provoqua la première révolution russe de 1905-07, et l’absence du tsar ne le servit aucunement. À une autre échelle, le président Trump est allé jouer au golf pendant que ses partisans se rassemblaient à la Maison Blanche. Cela ne l’a pas aidé : il avait perdu la Maison Blanche et il s’est retrouvé accusé d’actions illégales. Bref, rester à l’écart n’est pas le bon choix pour un dirigeant, mais cela se fait, parfois.

Considérons cette possibilité. Qu’est-ce qui pourrait pousser Poutine à réaliser un Phoros-2 ? La période actuelle est très mouvementée et un Poutine en bonne santé devrait se rendre à Douchanbé et s’occuper des élections législatives russes, entre autres choses.

Le Sommet de Douchanbé

Les 16 et 17 septembre, le double sommet de l’OCS et de l’OTSC s’est tenu à Douchanbé. L’OCS et l’OTSC sont deux organisations internationales différentes, bien que leurs membres coïncident en partie. M. Poutine était censé venir en personne et s’occuper des dispositions relatives à l’après-Afghanistan, même si cela pouvait se traiter à distance. Mais il devait également rencontrer les dirigeants de la Chine, de l’Inde et de l’Iran. Le sommet prévu avec le président Xi était particulièrement important, car les deux dirigeants ne se sont pas rencontrés en personne depuis longtemps. Des rumeurs circulent à Moscou selon lesquelles Poutine éviterait de rencontrer le dirigeant chinois, alors que cette rencontre était prévue immédiatement après le sommet de Genève avec Joe Biden. Le sommet Poutine – Xi avait été prévu encore plus tôt, pour coïncider avec le 20ème anniversaire du traité d’amitié russo-chinois ; il a ensuite été reporté à cause du sommet de Genève, puis tout simplement annulé. Xi était censé venir à Douchanbé pour le sommet de l’OCS. Lorsqu’il a appris que Poutine ne viendrait pas, il est également resté chez lui. Ainsi, ce sommet très important entre deux dirigeants ne s’est pas concrétisé. Se pourrait-il que Poutine ne veuille pas être vu comme se rangeant du côté de la Chine, dans le contexte du triangle fatidique Washington-Moscou-Pékin ? Peut-être. Les élites russes sont divisées : certains préfèrent des relations étroites avec la Chine, d’autres veulent que la Russie se range du côté de l’Occident. Poutine cherche à équilibrer ces deux groupes. Qui sera le premier à conclure un accord avec Biden, Poutine ou Xi ? Peut-être Poutine préfère-t-il ne pas intervenir et laisser Xi s’y essayer le premier, lors du prochain sommet du G2.

La place physique de Poutine à Douchanbé a été prise par Alexandre Loukachenko, le solide président du Belarus, et il a visiblement apprécié cette tâche. Il y a quelques années, après que le Belarus et la Russie eurent conclu l’accord sur l’État de l’Union, les gens pensaient que Loukachenko dirigerait les deux États, ou au moins qu’il s’occuperait aussi des affaires intérieures russes. On avait le sentiment que Loukachenko serait le meilleur pour l’économie, l’agriculture, l’industrie et la structure sociale que Poutine, qui s’occupait davantage des affaires étrangères. Si la Russie et le Belarus votaient pour un président, les Biélorusses voteraient pour Poutine, tandis que les Russes voteraient pour Loukachenko, disait-on en plaisantant. Cependant, cela ne s’est pas produit. Loukachenko a très bien géré la session de Douchanbé et Poutine s’est entretenu avec eux par liaison vidéo.

Il semble qu’ils n’aient pas réussi à faire entendre raison à l’obstination de M. Rahmon, même s’ils ont essayé. La Russie est prête à défendre le Tadjikistan en cas d’offensive ou d’infiltration des Taliban. Mais le président tadjik a des projets beaucoup plus audacieux. Il s’élève contre l’ingérence des Taliban au Tadjikistan, mais espère ressusciter l’Alliance du Nord, le groupe des chefs de guerre du Nord, ennemis des Taliban. Il s’agit principalement de membres de groupes ethniques minoritaires, dont beaucoup de Tadjiks, le deuxième groupe ethnique le plus important (après les Pachtounes) d’Afghanistan. Il semble que Rahmon souhaiterait briser l’Afghanistan et y créer un deuxième État tadjik, ce qui signifierait un nouvel épisode de guerre civile, ce que personne ne souhaite.

Il a été rapporté que Rahmon a reçu et amusé Ahmad Massoud, le « rebelle du Panchir », et l’ancien vice-président de l’Afghanistan Amrullah Saleh (qui s’est déclaré « président par intérim de l’Afghanistan », après la fuite de Ghani). Il n’est pas certain qu’une telle réunion ait réellement eu lieu. Il ne s’agit peut-être que de l’un des nombreux exemples de fausses nouvelles en provenance d’Afghanistan produites par les usines à fausses nouvelles indiennes. Si celle-ci était vraie, cela franchirait la ligne rouge dans les relations entre les deux pays voisins.

La Russie n’apprécierait pas non plus : La Russie a établi des relations de travail avec les Taliban ; les Taliban ont demandé à la Russie de les aider à retrouver leur siège légitime à l’ONU ; ils ont proposé une visite d’État à Moscou. La « résistance du Panchir » a été vaincue sans combat. Certains des « résistants » errent dans les montagnes et font appel au soutien de politiciens américains belliqueux, mais pour le reste, ils ont perdu leur guerre. Apparemment, Massoud et Saleh ont trouvé un refuge au Tadjikistan ; ce pourrait donner lieu à un geste humanitaire, à moins que l’ambitieux Rahmon ne transforme son pays en base dans la guerre civile afghane.

Toutefois, cette évolution ne justifierait pas que Poutine les héberge, à moins qu’il n’y ait des problèmes de sécurité.

Les élections parlementaires russes

La Russie va « rattraper et dépasser l’Amérique », déclarait Nikita Khrouchtchev en 1957. Les récentes élections parlementaires (17-19 septembre 2021) pourraient être considérées comme une nouvelle tentative pour faire mieux que la fraude électorale américaine. Mais les Russes n’ont pas pu dépasser la Cité brillante sur la colline : les dernières élections présidentielles américaines étaient si profondément malhonnêtes que personne n’a pu les battre. N’empêche que les Russes ont bel et bien essayé.

La Russie a un système mixte pour l’élection des membres du Parlement : certains sont élus par une liste de parti et d’autres par un système majoritaire. Dans les endroits où les gens ont été autorisés à voter librement et où leurs voix ont été décemment comptées, – principalement en Sibérie – les communistes ont gagné. Ailleurs, le parti au pouvoir, Russie Unie, a obtenu les sièges. Ils ont utilisé toutes les méthodes appliquées avec succès par les démocrates américains. Les gens ont été autorisés à voter à domicile et les équipes de collecte ont récolté de nombreux votes. Il y a eu plus de votants que d’inscrits. L’opposition a été tenue à l’écart du dépouillement. Les scellés des urnes étaient souvent brisés. Mais la meilleure méthode reste le vote numérique, autorisé dans quelques villes dont Moscou.

Comme le vote par correspondance à Detroit, le vote numérique à Moscou était en totale contradiction avec le vrai vote papier. Voici l’image du vote de Moscou, à gauche – le vote réel seulement, à droite – le vote réel et numérique ; vert pour l’opposition (principalement communiste), bleu pour les candidats du gouvernement. Le vote numérique à Moscou présentait une caractéristique inhabituelle : les électeurs étaient autorisés à changer d’avis et à voter à nouveau. Le gouvernement pouvait donc voir les résultats et faire « re-voter » autant qu’il le voulait.

La « démocratie » russe est aussi limitée que partout ailleurs. Le processus politique est contrôlé par un organe directeur appelé AP (Administration du Président) ; il n’est même pas mentionné dans la constitution, mais c’est lui qui décide qui peut participer aux élections et qui sera élu au parlement. Ils font aussi des coups bas, en créant des partis dissidents pour voler des voix à l’opposition. L’AP a décidé que les communistes ne devaient pas obtenir plus de 20% des voix, tandis que le parti au pouvoir, Russie Unie, devait en obtenir environ 50%. Telles étaient les instructions données aux chefs locaux et ils n’ont fait que suivre les ordres. Dans quelques districts où les patrons locaux ont décidé d’ignorer les ordres de l’AP, les communistes ont obtenu jusqu’à 30%, et Russie Unie moins de 30%. Avec les socialistes, les Rouges russes pourraient former le nouveau gouvernement. Ils seraient heureux de servir sous les ordres de Poutine.

Les Rouges russes ne ressemblent pas à la gauche américaine (et européenne). Ils sont contre la politique des minorités, contre le discours sur le genre et la race, ils aiment le Christ et Staline. Les Rouges russes diffèrent de la droite américaine (et européenne), car ils sont favorables à une nationalisation massive, à un service de santé complet et à une éducation gratuite ; ils sont contre les oligarques et n’aiment pas l’immigration. En bref, ils sont beaucoup plus poutinistes que Poutine. Et ils ne sont pas favorables à l’Occident. Leur ascension changerait les choses à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, pour la première fois depuis 1996, ils sont devenus populaires parmi les jeunes ainsi que parmi les citoyens plus âgés. Bien qu’ils soient très différents de l’opposition libérale pro-occidentale, ils ont appris à faire les choses ensemble contre le diktat de l’AP. Le CPRF est fondamentalement un parti social-démocrate, parfaitement apte à gouverner, mais l’AP le considère comme trop indépendant.

Les communistes ont rejeté les résultats du vote numérique ; le gouvernement a répondu par la force. De nombreux candidats communistes et leur personnel ont été arrêtés. Le gouvernement a interdit les manifestations et les rassemblements de protestation, sous le prétexte du Coronavirus. Que feraient-ils sans le Corona, je me le demande ! L’Occident a accusé à juste titre les autorités russes de manipuler les résultats des élections ; à tort, il a attribué le succès de l’opposition à Navalny et à ses libéraux pro-occidentaux. Mais les Rouges sont assez timides, pour deux raisons : ils sont plutôt favorables à Poutine et à sa politique étrangère, et ils ont peur d’être mis hors la loi et interdits, comme cela s’était produit sous Eltsine. Les libéraux avaient renversé les communistes et bombardé le parlement dans les années 1990, et ils ne vont pas permettre le retour des rouges, m’a dit un membre du parlement russe, la Douma.

En outre, la population a bien digéré les résultats. Il n’y a pas eu de grands rassemblements ou de manifestations ; certes, ils étaient interdits, mais les gens ont accepté l’interdiction plutôt docilement. Il n’y a pas de révolution à venir, ni même de grandes manifestations. Apparemment, les Russes se sont réconciliés avec cette « démocratie limitée ». Comme nous tous : de l’Australie aux États-Unis, de la France à l’Allemagne, la vraie démocratie est morte. Au lieu de cela, nous avons une tyrannie sanitaire avec quelques « élections » pour sauver la face, corrigées par une fraude électorale massive.

Les Russes pensent qu’ils vont bien. Les gens ont leurs salaires, leurs voitures, leurs maisons de campagne ; les villes sont en bon état, il n’y a pas beaucoup de chômage. Avant les élections, le Covid obéissant a presque disparu ; maintenant il risque de réapparaître, mais c’est le cas partout dans le monde. Il n’y a donc pas de motifs forts de protestation, comme c’était le cas en 1991 ou même en 2011. De plus en plus de gens arrivent à la conclusion que les élections ne sont qu’une farce. Mais cela ne suffit pas à pousser les gens à la révolution.

J’ai parlé à des personnes proches du Kremlin ; elles m’ont dit qu’elles pensaient que Poutine s’était caché à cause des élections, car ses services de sécurité n’étaient pas certains de la façon dont les masses allaient réagir à la fraude électorale. On aurait pu avoir une répétition de 1991, lorsque des masses énormes de personnes avaient renversé le pouvoir soviétique. Nous voyons maintenant que cela ne s’est pas produit. Les gens ont pris tout cela de haut. Mais la sécurité aime jouer la carte de la surenchère. À Washington, Londres et Moscou, il y a plus de policiers que de manifestants dans pratiquement tous les rassemblements.

Une semaine après les élections, elles ont été totalement oubliées. Le jour de la publication des résultats, il y a eu une fusillade de masse ; un jeune homme de 18 ans a pris un fusil de chasse et a abattu six élèves dans son école. Ces attaques terroristes surviennent opportunément lorsqu’il est nécessaire de changer radicalement l’ordre du jour, et il y a suffisamment d’hommes mentalement perturbés pour commettre un massacre si on ne les arrête pas à l’avance.

Conclusion

Nous ne savons pas avec certitude pourquoi Poutine a décidé d’affirmer qu’il devait s’auto-isoler. Il n’est pas totalement impossible (bien que peu probable) qu’il y ait effectivement une épidémie de Covid. Sinon, cela pourrait être lié à l’incertitude des élections ou à l’imminence du sommet Poutine-Xi, ou, effectivement, il y aurait eu un complot qui a été découvert. Poutine sortira très probablement de son abri le 29 septembre, pour son sommet avec le président Erdogan, car ils ont beaucoup de choses à se dire. Mais sa réclusion ne lui fera pas gagner des points aux yeux des Russes.

Traduit par Maria Poumier
– Source : The Unz Review (Etats-Unis)




Résultats de l’audit en Arizona : 54 000 bulletins illégaux identifiés

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Elisabeth Dancet, pour FranceSoirA+A

CHRONIQUE – Le 24 septembre, le rapport d’audit du comté de Maricopa a enfin été rendu public devant le Sénat, retransmis en direct et en vidéo. La présidente Karen Fann a rappelé que l’objectif de cet audit judiciaire est avant tout d’assurer et de rétablir l’intégrité électorale, non seulement dans le principal comté, mais dans tout l’État de l’Arizona où un sondage récent a révélé que 45 % des citoyens n’ont pas confiance dans les résultats de l’élection.

La situation est identique dans tout le pays. K. Fann a aussi répété que, depuis le départ, l’équipe des fonctionnaires du comté s’est opposée à l’audit judiciaire. De ce fait, l’audit est le plus complet possible, tel qu’il n’a jamais été conduit ni en Arizona ni dans aucun autre État, mais il n’inclut pas l’analyse informatique des routeurs, qui n’ont pas été délivrés par le comté, malgré l’assignation judiciaire. Il est fort probable que ces routeurs aient gardé la trace de cyberattaques similaires à celles identifiées et rendues publiques au cours du cyber symposium en août dernier.

Plus de 17 000 bulletins par correspondance comptés en double

La présentation a duré plus de trois heures. Elle a démarré avec le Dr Shiva Ayyadurai, expert engagé tardivement par le Sénat arizonien pour contrôler les images des enveloppes des bulletins de vote par correspondance et vérifier leur validité. Chaque enveloppe est signée par l’émetteur, la signature doit être lisible et correspondre à l’identité de l’électeur qui a envoyé le bulletin. Cet ingénieur agrégé de technologie du MIT, spécialiste des logiciels de reconnaissance de forme, a communiqué son analyse des 1 929 240 enveloppes reçues par le comté de Maricopa. Grâce à son analyse, son équipe a identifié 17 322 bulletins en double, alors que le comté avait proclamé dans son rapport n’avoir trouvé aucun duplicata. Ensuite, son logiciel a analysé les signatures « gribouillis » qui ne sont pas valables : là encore, son logiciel en a identifié 2 580 quand le comté en a rapporté 587 seulement.

Plus de 54 000 bulletins illégaux identifiés dans ce rapport

Ces doublons viennent s’ajouter aux résultats du rapport de l’audit judiciaire piloté par l’équipe de Doug Logan, président de Cyber Ninja, rompu à la conduite d’audits pour de grandes banques américaines ainsi que pour le gouvernement. Cet expert-comptable a également participé à la mise en lumière des fraudes commises dans le comté d’Antrim dans le Michigan. D. Logan a insisté sur le travail gigantesque accompli pour auditer les bulletins du comté de Maricopa, le plus peuplé de l’État. Démarré au mois de mai dernier, cet audit a représenté plusieurs mois de travail et fait appel à plus de 1 500 volontaires citoyens du comté ayant voté aux dernières élections, pour vérifier à la main plus de 2,1 millions de bulletins. Après avoir décrit en détail les procédures de sécurité mises en place pour conduire l’audit et protéger les bulletins, il a annoncé les résultats : si le décompte total est très proche de ceux effectués précédemment, le total des bulletins invalides est a minima de 54 319 bulletins (cf. le tableau récapitulatif en fin d’article). Ceux-ci comprennent les bulletins d’électeurs fantômes, ceux qui ont voté dans plusieurs comtés et ceux qui ont été comptabilisés plusieurs fois. Il s’agit de doublons différents des votes par correspondance analysés par le Dr Shiva. Ceux-ci ont dû être photocopiés lorsqu’ils n’étaient pas en bon état ou illisibles, ils doivent être stockés séparément des autres pour pouvoir contrôler l’unicité de leur numéro de série. Il s’agit de s’assurer que chaque électeur enregistré a déposé un bulletin et un seul, que son bulletin de vote est valide et n’a pas été altéré ni modifié. Plus de 54 000 bulletins invalides, soit plus de cinq fois le différentiel de 10 457 voix entre Biden et Trump, qui a donné Joe Biden gagnant. Cet audit judiciaire confirme ce que de nombreux patriotes savent depuis plusieurs mois : cette élection a été truquée. Les médias mainstream ont beau en minimiser l’effet, les résultats de cet audit vont booster les procédures entamées dans d’autres États, plus particulièrement en Géorgie, en Pennsylvanie et dans le Michigan. Le sénateur Sonny Borelli affirme que les preuves de ces violations répétées de la loi durant le traitement des bulletins annule le résultat des élections.

Les agents électoraux complices

L’examen des machines de vote et des tabulateurs a en effet révélé des éléments remarquables et mis à jour le non-respect des procédures de cyber sécurité minimales pour protéger les systèmes de vote électronique. Les mots de passe sont restés les mêmes depuis l’installation des machines par le fabricant, et n’ont pas été individualisés pour permettre l’identification des intervenants. La confiance accordée à un fabricant privé par les agents électoraux a porté préjudice aux principes même de la démocratie puisqu’ils doivent assurer l’intégrité du processus électoral. De plus, alors que l’historique doit être sauvegardé pendant 22 mois après l’élection, une partie du journal de bord des transactions a été écrasée par des employés électoraux les 2 février, 3 mars et 12 avril 2021 – autrement dit avant le démarrage de l’audit – effaçant ainsi 37 000 requêtes alors que c’est interdit par les lois de l’État et les lois fédérales. Malgré le mot de passe à tout faire, ces fonctionnaires ont été identifiés grâce à des enregistrements vidéos capturés aux mêmes dates. Leurs noms n’ont pas été révélés publiquement mais seront communiqués sur demande à l’avocat général. Gageons que certains agents du comté ont du mal à trouver le sommeil… Steve Chucri, le superviseur de l’équipe, a annoncé sa démission après que des enregistrements téléphoniques ont été rendus publics quelques jours avant la remise du rapport. Durant ces échanges, il critique la réaction de ses collègues face aux assignations reçues du Sénat exigeant les routeurs, et confirme qu’il a des doutes sur les résultats de l’élection et la fiabilité des machines Dominion.

Le jeu de dupes continue

La société d’audit Cyber Ninja a produit deux versions du rapport, qui ont toutes deux fuité 48 heures avant la remise officielle au Sénat. La conclusion de la première est très claire : étant donnée la quantité de bulletins invalides, cette élection n’aurait jamais dû être certifiée car les résultats ne sont pas fiables. Mais une fois n’est pas coutume, les auteurs du rapport ont eux aussi été menacés s’ils concluaient de cette façon. Là encore, si la justice faisait son travail, une investigation devrait être ordonnée immédiatement pour savoir qui a menacé les auditeurs et à quelles fins ? La version « light » remise au Sénat est identique à la première, sans les décomptes des bulletins invalides par candidat, ni la conclusion… Un vrai jeu de dupes qui a permis au gouverneur de l’Arizona Doug Ducey d’affirmer publiquement dès le lendemain que les élections ne seront pas dé-certifiées. Au mois de novembre dernier, ce républicain avait moqué les auditions publiques de témoins conduites par l’avocat Rudy Giuliani à Phoenix. Avait-il des informations qu’il préférait ne pas rendre publiques ? Est-il inquiet concernant sa propre élection ? Le représentant du Congrès arizonien Mike Finchem souligne que le gouverneur a remis au vice-président Mike Pence et aux représentants du gouvernement fédéral un document avec des résultats erronés d’au moins 54 000 votes. Ces chiffres étant faux, il devrait être assigné devant un grand jury pour avoir trompé le gouvernement fédéral. Déjà très critiqué par les citoyens pour sa gestion de la crise covid, sa cote s’effondre dans les sondages…

Comment dé-certifier l’élection ?

Matt DePerno, l’avocat constitutionnel engagé pour auditer les résultats du comté d’Antrim dans le Michigan, certifie que les résultats de l’audit conduit en Arizona attestent de la fraude massive intervenue lors des élections présidentielles, que ces fraudes sont quasi identiques à celles que lui et son équipe ont découvert à Antrim, et que l’élection doit être dé-certifiée. Il a envoyé une note à la sénatrice Wendy Rogers arguant que les 9° et 10° amendements de la Constitution donnent pouvoir aux législateurs de dé-certifier l’élection dans de telles circonstances. C’est maintenant aux sénateurs et aux représentants de l’État de se battre pour obtenir cette dé-certification. Karen Fann a adressé le rapport complet à l’avocat général Mark Brnovich, qui s’est engagé à mener toutes les actions légales nécessaires

Au milieu de la tourmente provoquée par le retrait des troupes d’Afghanistan, les afflux massifs de migrants à la frontière du Texas, un événement étrange est passé pratiquement inaperçu le 7 septembre dernier. Joe Biden a signé la prolongation de l’ordre exécutif N° 13848 de Donald Trump daté du 12 septembre 2018, autorisant l’État d’urgence national en cas de cyberattaques venues de l’étranger susceptibles d’interférer avec les élections américaines : une manière d’assurer sa propre destitution le moment venu ?
En tout cas, avec les résultats de l’audit du comté de Maricopa, le génie est sorti de sa bouteille et il n’y retournera pas.

Auteur(s): Elisabeth Dancet, pour FranceSoir




Pierre Gentillet : « On nous a menti sur tout, le masque et le Pass Sanitaire… On va aller jusqu’où dans le mensonge ? On se moque de nous ! »

[Source : businessbourse.com]

« On nous a menti sur tout, le masque et le Pass Sanitaire…On va aller jusqu’où dans le mensonge ? On se moque de nous ! Je ne comprensds pas comment Olivier Verran peut rester ministre après ça ? »

« C’est extraordinaire à quel point la parole politique a été discréditée…Nous devions passés dans un état temporaire, mais cet état est en train de devenir un état permanent ! Dès que le gouvernement nous promet quelque chose, systématiquement c’est l’inverse qui se produit… »




L’acteur Keanu Reeves dit prier pour « que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre »

[Source : ]

L’acteur américain Keanu Reeves, qui a le courage de témoigner sa foi, a publié sur son compte Telegram un message intéressant :

« Beaucoup de gens ont essayé de me poignarder dans le dos au moment où j’ai décidé de dire la vérité ! Il est même impossible de visualiser les sombres secrets qu’ils nous cachent. Lorsque vous êtes dans la bonne direction, vous devez être prudent et dur en même temps car les requins n’attendent qu’une goutte de sang et ils viendront droit sur vous, impitoyablement motivés pour vous déchirer. Juste parce que vous avez découvert la VÉRITÉ.

Ma prière est que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre, nous devons leur montrer le bon chemin ! Il faut se battre et ne pas reculer ! »




Un procureur italien inculpe trois médecins après la mort d’un ado de 14 ans à la suite de sa « vaccination » anti-Covid

[Source : medias-presse.info]

En Italie, un adolescent de 14 ans est mort à la suite de sa deuxième injection de pseudo vaccin contre le Covid-19. Comme cela arrive partout y compris en France dans l’indifférence médiatique qui n’y voit au mieux qu’un simple fait divers.

Mais la différence réelle et essentielle réside précisément dans le fait qu’en Italie ce décès tragique n’a pas laissé indifférent le magistrat saisi du dossier. Bien au contraire, le procureur a inculpé trois médecins, dont celui qui a fait la deuxième injection !

La responsabilité personnelle des médecins va commencer à en faire palpiter certains. Avis aux médecins de chez nous qui se font les promoteurs inconditionnels de cette expérimentation aux graves effets secondaires ! Leur tour pourrait venir. La dictature sanitaire ne les protégera pas éternellement. Il faudra tôt ou tard rendre des comptes.




La mémoire du stress dû au WIFI est aussi angoissante que la mémoire de la douleur

[Source : Kla.TV]

[Illustration : Thinkstock]

Le transfert de données sans fil WIFI fonctionne avec des fréquences de 2,4 et 5 gigahertz. De courtes impulsions cadencées à 10 hertz sont insérées dans cette transmission radio basée sur les micro-ondes.
Le professeur Lebrecht von Klitzing a découvert que ce sont précisément ces impulsions qui peuvent provoquer des perturbations intenses dans les processus du corps. Lorsqu’elles sont utilisées fréquemment, le corps peut même former une mémoire du stress, de la même manière que la douleur forme une mémoire de la douleur sur une plus longue période.
À cause de cette mémoire du stress, une électrohypersensibilité chronique, un stress oxydatif et d’autres symptômes peuvent se développer.

Alors que dans le domaine médical, on veille strictement à ce que les patients souffrant de douleurs ne développent pas une mémoire de la douleur exténuante, on ne fait rien pour empêcher développement d’une mémoire du stress due à l’utilisation du WIFI, qui ne fait pas moins souffrir, n’est pas empêché. Au contraire, même les écoles sont équipées de WIFI, bien qu’il existe une véritable alternative sous la forme d’un réseau local câblé (LAN). Pourtant c’est surtout avec les enfants que des dommages irréparables sont à craindre, car ils sont encore en pleine croissance.

D’une certaine manière, il semble que l’esprit du temps et la politique générale des médias fassent que l’on n’entende presque que l’opinion des experts achetés par les grandes entreprises, tandis que les experts indépendants qui ont la santé publique à l’esprit sont presque complètement ignorés.

Toutefois, pour se protéger des dommages tragiques, il est essentiel d’écouter sans parti-pris toutes les voix d’experts.




Haute trahison ? Bradage de la souveraineté de la France ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Dominique Delawarde.

Trois courtes vidéos qui montrent, une fois de plus, la duplicité de ceux qui nous gouvernent.

1 – Dans un extrait d’interview de 2 minutes sur une chaîne inattaquable, du 26 Septembre 2021, Arnaud Montebourg aborde le problème du dépeçage de la France et affirme très clairement : 

« dans cette affaire, Macron n’est pas complice, il est auteur ».

https://youtu.be/5w1RqBeQjVg

2 – Dans le cadre de l’émission bien connue « C dans l’air », sur RTL matin, Olivier Marleix, président de la commission d’enquête sur l’affaire Alstom fait apparaître la duplicité de l’exécutif et le rôle trouble joué par Monsieur Macron dans la catastrophe Alstom. L’émission démontre, au passage, l’importance d’Alstom dans la sécurité énergétique nationale …. Cette vidéo date un peu, mais reste pourtant d’une actualité brulante.

https://youtu.be/BsPOfDAMIcI

3 – Dans sa dernière vidéo postée hier, Raoult revient sur le harcèlement « institutionnel » permanent dont il a été l’objet depuis 18 mois … Il revient également sur la baisse progressive de la létalité des variants Covid et explique les principales raisons de cette baisse.

En dépit des apparences, ces vidéos vont dans le même sens en faisant apparaître des méthodes mafieuses utilisées par un exécutif que les électeurs français, manipulés par une meute médiatique instrumentalisée, ont porté au pouvoir en 2017.

Bonne ré-information

Dominique Delawarde




New York lance la loi martiale médicale avec des troupes pour prendre le contrôle des hôpitaux où des travailleurs de la santé non vaxés sont licenciés en masse

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

La prise de contrôle de la société par la loi martiale a commencé à New York, où le gouverneur Kathy Hochul a annoncé le licenciement massif d’agents de santé non vaccinés, qui seront remplacés par des travailleurs étrangers et des troupes de la Garde nationale.

Ce même modèle de remplacement des travailleurs civils par des troupes militaires sera reproduit dans les forces de l’ordre, les ambulanciers paramédicaux, les pompiers, les chauffeurs de camion, les ouvriers d’usine et d’autres secteurs de l’économie qui s’effondrent rapidement en raison des restrictions de verrouillage de la covid. Le résultat est que nous assistons à une prise de contrôle militaire rapide de la société sous le couvert d’un «état d’urgence» à la suite de pénuries de personnel qui sont en fait causées par les propres politiques du gouvernement.

[Ndlr : lorsqu’un pays expérimente une mesure, une tactique ou une stratégie liberticide supplémentaire au cours de cette plandémie Covid, on peut s’attendre à ce que les autres gouvernements s’en inspirent au cours des semaines ou des mois suivants.]

La seule raison pour laquelle les hôpitaux de New York manquent désespérément de travailleurs de la santé, bien sûr, c’est parce que des dirigeants gouvernementaux corrompus ont veillé à ce que tous les travailleurs non vaxxés soient licenciés. Ce sont les mêmes travailleurs qui ont survécu à 2020 sans vaccins contre le covid, travaillant en première ligne de la « plandémie »  causée artificiellement par des protéines de pointe et du graphène, mais maintenant ils sont jetés dans la rue parce qu’ils ne prendront pas de vaccin en 2021.

« La Gouv. Kathy Hochul a déclaré samedi qu’elle était prête à déclarer l’état d’urgence si le mandat de vaccination de l’État pour l’industrie des soins de santé entraînait une pénurie ingérable de travailleurs lorsque la règle entrera en vigueur lundi », a rapporté WSKG.org ce week-end.

New York annonce également l’utilisation de troupes de la Garde nationale et une prise de contrôle fédérale des soins de santé locaux. Comme le rapporte WSKG :

L’État envisage également d’activer des membres de la Garde nationale formés médicalement pour combler les lacunes dans les effectifs de la santé, et pourrait travailler avec le gouvernement fédéral pour faire venir des équipes de travailleurs médicaux pour aider les établissements de santé locaux.

C’est la phase d’ouverture de la prise de contrôle de la loi martiale médicale sur l’Amérique, et si elle n’est pas stoppée, elle risque de se transformer rapidement en manœuvres de plus en plus totalitaires de la part du régime :

  • Postes de contrôle des vaccins militaires sur les routes et les autoroutes.
  • Des troupes militaires assurent les livraisons de nourriture et de carburant, contrôlant les infrastructures critiques.
  • La militarisation de la nourriture, de l’essence, des fournitures médicales et d’autres articles essentiels, les empêchant d’entrer dans les États rouges qui refusent de pousser les vaccins obligatoires.
  • Les troupes militaires gardant les entrées des épiceries, des églises, des centres commerciaux et d’autres bâtiments, exigeant des passeports vaccinaux « Den Ausweis, bitte» avant d’autoriser les gens à entrer.
  • Des troupes militaires extrayant involontairement des personnes de leurs maisons sous la menace d’une arme et les emmenant dans des camps de la mort dirigés par le CDC. [1]

Voici une carte des camps de la mort de covid actuellement en activité par le CDC. Vous pouvez confirmer cette carte sur le site Web du CDC.

New York crée sa propre « crise » du personnel, puis utilise la crise qu’elle a créée pour déployer la loi martiale médicale

New York a créé cette crise en licenciant des travailleurs de la santé en premier lieu. Puis, au fur et à mesure que cette «crise du personnel» se déroule, New York utilise la crise pour déployer des migrants de remplacement (pour remplacer tous les malades sur le point de mourir qui ont subi un lavage de cerveau suffisant pour qu’ils acceptent la piquouse qui les achève) et installer des troupes militaires dans des postes d’infrastructure clés. .

Une partie de cette opération psychologique consiste à habituer le peuple américain à voir des troupes tout gérer : hôpitaux, transports, usines, forces de l’ordre, etc. Une fois que toutes les troupes sont en place, Biden invoquera simplement l’Insurrection Act, et déclarera que tous les anti-vaxxers sont engagé dans une « insurrection », puis dépêchera les troupes pour rassembler et/ou exécuter tous ses ennemis politiques. Cette liste d’exécution comprendra des chrétiens, des pasteurs, des médecins au franc-parler, etc.

Je couvre tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, qui expose le programme génocidaire de l’industrie des vaccins et le régime criminel de Biden :

Brighteon.com/ce8bdd6d-8aab-48ef-b23c-82d2f73937bf

Mardi 28 septembre 2021 par Mike Adams Source




Vaccination obligatoire : l’Agence européenne des médicaments ne sait pas répondre non plus !

[Source : francesoir.fr]

[Photo : MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités. De grandes contraintes aussi. Alors que certains professionnels de santé, indispensables dans la gestion de la crise sanitaire, sont exclus de l’hôpital pour ne pas s’être soumis à l’obligation vaccinale, une bataille plus discrète se joue en ce moment même auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (AEM).

Ces autorités ont récemment été sollicitées par l’avocat de trois associations pour s’assurer du respect des règlements européens et des autorisations européennes (autorisations de mise sur le marché conditionnelles) dont bénéficient les vaccins anticovid.

Une simple visite de courtoisie qui s’avère être un pavé dans la mare puisque ni l’agence française ni l’agence européenne ne savent répondre. Me Teissedre vient en effet de recevoir cette réponse surprenante de la direction de l’Agence européenne des médicaments : « Nous examinons actuellement votre demande et vous répondrons en temps voulu ».

Curieuse réponse lorsque l’on sait que depuis plusieurs semaines le temps non seulement est venu, mais il est aussi passé ! En effet, les délais réglementaires sont expirés. C’est le cas du délai à observer pour le renouvellement annuel de chaque autorisation délivrée à chacun des vaccins actuellement sur le marché mais aussi des délais dont disposaient les fabricants pour transmettre à l’AEM les données complémentaires relatives aux caractéristiques des produits vaccinaux.

On ne parle pas de rien puisqu’il est question de connaître notamment la composition de la substance active des vaccins et des excipients ! Pourquoi alors l’agence européenne entretient-elle le mystère lorsqu’un avocat lui pose des questions aussi légitimes, sachant que l’agence française a déjà botté en touche en renvoyant l’encombrante requête vers l’Agence européenne des médicaments ?

Voir aussi : Données relatives aux vaccins : l’ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre

Les fabricants disposent évidemment d’une armada de juristes compétents qui connaissent par cœur ces délais. Alors imaginer que le calendrier relatif à l’évaluation des vaccins ne serait pas respecté est-il vraiment raisonnable ?

La réponse est oui. Et c’est même l’hypothèse privilégiée. La revue Prescrire a consacré en novembre 2017 un article à ce sujet, à l’occasion des 10 ans (2006-2016) de pratique des autorisations de mise sur le marché conditionnelles. Ces autorisations sont des autorisations anticipées répondant à une urgence. Aux termes de chacune de ces autorisations, les fabricants s’engagent à fournir à l’agence européenne régulièrement, post-autorisation, des données essentielles sur le produit mis sur le marché.

Sauf que la revue Prescrire relevait dans son article de novembre 2017 que les fabricants jouent rarement le jeu une fois l’autorisation octroyée ; l’agence ayant ensuite tendance à se montrer très laxiste. Le problème ici est que c’est le monde entier que l’on vaccine, sous la contrainte, que la vaccination des enfants européens est envisagée et on parle de 3e, de 4e dose en dehors de tout cadre alors même que de nombreux États ont retiré du marché 2 vaccins (Janssen et AstraZeneca) sur 4.

Il est donc plus que difficile dans un tel contexte de passer sous les radars… Une autre explication est également donnée par la députée européenne Madame Michèle Rivasi, qui déclare dans une vidéo récente que les fabricants ont besoin de protéger leur savoir-faire, ce qui expliquerait leur refus de livrer des informations stratégiques.

Madame Rivasi a pu poser la question à l’Agence européenne des médicaments : « Est-ce que vous savez tous les ingrédients qui ont été mis dans un vaccin ? Ils m’ont dit que non alors que normalement même s’il y a une partie confidentielle elle devrait avoir accès à ces données ».

Ce qui veut dire aussi au passage que la Commission européenne s’est contractuellement engagée à garantir les fabricants contre toutes les conséquences financières liées à des déconvenues vaccinales, incluant les honoraires des avocats, sans avoir pu préalablement évaluer le risque.

Notons qu’alors qu’elles préconisent des lois liberticides et contraignantes, les autorités sanitaires ne sont même pas en capacité de faire respecter les obligations qui sont les leurs. En droit, l’obligation vaccinale, inscrite à l’article 12 de la loi du 5 août 2021, sur la validité de laquelle le Conseil constitutionnel ne s’est pas encore prononcé, est donc plus fragile qu’il n’y paraît.

Manifestement le législateur n’est pas si sûr de lui en l’édictant puisque la loi qui l’institue prévoit aussi qu’un décret, pris après avis de la Haute autorité de santé, peut suspendre l’obligation en fonction notamment des connaissances médicales et scientifiques. Or, dans la mesure où cette connaissance est impossible, on peut considérer que la loi ne peut plus être appliquée et l’obligation ne peut plus être maintenue. L’obligation vaccinale, en l’état des connaissances, est contraire au consentement libre et éclairé, et expose en plus les pouvoirs publics à un risque considérable car la responsabilité pour l’État n’est pas la même selon que la vaccination est obligatoire ou ne l’est pas.

Auteur(s): FranceSoir




« Liberté » : le film manifeste de Magà Ettori contre le passe sanitaire

[Source : Magà Ettori]

Comme son titre l’indique, le sujet du documentaire, c’est la liberté : « La liberté, c’est de pouvoir s’exprimer, la liberté, c’est de pouvoir aider ». C’est aussi la liberté de refuser un vaccin qui est toujours en phase expérimentale, sans pour autant être chassé de son travail, ou encore celle de dénoncer l’infâme passe sanitaire et la ségrégation qu’il instaure dans une société qui n’a jamais été autant divisée.

Farouche adversaire de la politique autoritaire mise en place par le gouvernement, le réalisateur Magà Ettori a choisi de donner la parole à plusieurs autres opposants au passe sanitaire ou à la vaccination obligatoire. Le film se présente comme un outil de contre-pensée politique et scientifique, permettant à ceux que l’on n’entend jamais dans les médias « mainstream » de s’exprimer.




Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

[Sources : @LaUneTV2 et Docteur Yoga Denis]

https://youtu.be/Vdg4vVmFy5g






On a enfin des résultats sur les conséquences du Pfizer sur les souris et on comprend mieux pourquoi ils refusent les autopsies post injection pour les humains décédés

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Ne dites plus « on n’a pas le recul », malheureusement les études confirment les pires inquiétudes

La fameuse protéine spike induite par la vaccination ne disparait pas rapidement, mais demeure plusieurs semaines dans l’organisme occasionnant des dégâts qui rappellent celles de sa cousine induite par la contamination.

C’est une catastrophe si par malheur l’injection ne se fait pas dans le muscle, mais dans une veine, une catastrophe également si le vacciné est déjà contaminé ou le devient dans les jours qui suivent.

On comprend mieux l’explosion des décès attribués à la Covid au printemps dernier en pleine phase vaccinale. On comprend mieux les effets secondaires… Il ne faut pas se contenter du résumé de l’étude (les injections intraveineuses sont dangereuses) mais bien lire une fois de plus tout le matériel complémentaire.

Résultats d’autopsies humaines

Toutes les sources ici :

https://www.francesoir.fr/societe-sante/allemagne-autopsies-5-deces-sur-10-lies-aux-vaccins

Soutenu par les professeurs Sucharit Bhakdi et Stefan Homburg et par le Corona Auschuss de Reiner Fuellmich, un nouvel institut de médecine légale a tenu lundi sa première conférence de presse, pour présenter les éléments de preuve désormais disponibles sur les accidents mortels qu’ont pu entraîner les injections dites anti-covid.

Selon un rapport paru dans le bulletin allemand Corona Transition, les professeurs Arne Burkhardt et Walter Lang, médecins légistes, ont présenté lundi 20 septembre à Reutlingen le résultat de dix autopsies pratiquées sur six Allemands et quatre Autrichiens, tous décédés suite aux injections.

Sur les dix décès, sept sont « probablement » liées aux injections, dont cinq le sont « très probablement ». Pour les trois derniers cas, l’un d’entre eux reste à évaluer, un autre semble être « une coïncidence », et pour le dernier, le lien « est possible, mais pas certain ».

Ils ont résumé les conséquences des injections comme une « crise de folie des lymphocytes » (Lymphozyten-Amok). Les lymphocytes sont un sous-groupe de globules blancs associés aux réactions immunitaires.

Particulièrement étrange et inattendu, Dr Arne Burkhardt a découvert trois maladies auto-immunes extrêmement rares au cours de ces autopsies : le syndrome de Sjögren, la vasculite leucoclasmique de la peau, et la maladie de Hashimoto.

Pour ce qui est de la myocardite lymphocytique, la diagnose la plus répandue, elle est difficile à déceler même sous microscope et souvent interprétée comme simple infarctus.

Au cours des dernières années en Allemagne, la mort de 20 personnes seulement a pu être mise en relation avec des vaccinations. Par contre, entre janvier et juillet 2021, c’est-à-dire depuis le lancement de la campagne d’injections anti-covid, suivies de 1 230 signalements de décès comme accidents vaccinaux. Il s’agit donc au minimum de dix fois le nombre de morts par rapport aux vaccins conventionnels, sans même parler des dizaines de milliers d’accidents vaccinaux n’ayant pas immédiatement entraîné la mort.

La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque et 100 % des souris vaccinées sont victimes de nécrose.

Cette étude a fourni des preuves in vivo que l’injection intraveineuse par inadvertance de vaccins à ARNm COVID-19 peut induire une myopéricardite. Un bref retrait du piston de la seringue pour exclure l’aspiration de sang peut être un moyen possible de réduire ce risque.

EXPERIENCES SUR LES SOURIS

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34406358/

Les meilleures analyses viennent des vétos

https://twitter.com/TheVeto3/photo



https://t.co/1d5XfUfqBk?amp=1

TheVeto
@TheVeto3 DMV, DEA ScV, PhD, Post-PhD, Assistant Professeur – Maladies infectieuses, Pathologie, Microbiologie, Biologie Moléculaire, Epidémiologie, Vaccinologie

1/13 Attention💣 à RT!
Existe-t-il une étude in vivo qui montre qu’injecter les vaccins ARNm anti-SARS-Cov-2 induit des myo/péricardites? Super! Une équipe a testé l’injection ARNm Pfizer sur des souris! Les effets sur le coeur de ces malheureuses est juste hallucinant! Let’s go!

2/13 Ils ont comparé l’injection intraveineuse (IV) et intramusculaire (IM) contre placebo avec un rappel à 14 jours. On se doute que les effets seront amplifiés par l’injection IV contre IM. A l’autopsie, le coeur change d’aspect. Cela fait vraiment envie! Cfr flèches blanches.

3/13 Résultats dans le tableau. Infiltration immunitaire myo/péricarde et dégénérescence/nécrose des cellules du coeur (cardiomyocytes) chez 100% des souris 2j après leur 2ème dose (IV ou IM) … atteinte hépatique 2j après la première dose du groupe IV (100%) et IM (50%)

4/13 Le muscle cardiaque est littéralement envahit par des cellules immunitaires et s’altère à différents endroits. La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque (cardiomyocytes, histiocytes, endothéliocytes)

5/13 Les petites souris ne meurent pas, elles ne se plaignent pas mais leur poids a diminué par rapport aux groupes contrôles. L’histoire ne dira pas si leur espérance de vie a été raccourcie. Mais on nous dit que ce n’est pas grave de faire une myocardite …

6/13 Critique: la dose injectée aux souris est environ 500x celle injectée à l’Homme, en proportion du poids. S’ils avaient du inoculer la même dose qu’à l’Homme (500x moins), ils auraient peut-être dû autopsier des millions de souris pour voir des myocardites … pauvres souris

7/13 « C’est la dose qui fait le poison » disait l’ancêtre Paracelse!
Par dose, Moderna contient 100μg d’ARNm et Pfizer 30μg. On pourrait s’attendre à avoir plus de myocardite avec Moderna.
Regardons les dernières données de l’ANSM au 24/09/2021 sur les myocardites.

8/13 Moderna: 79 myocardites pour 9.567.020 doses
Pfizer: 251 myocardites pour 68.603.875 doses
Bingo! Pour 10 millions de doses injectées il y a 83 myocardites avec Moderna et 37 myocardites avec Pfizer.
Soit 2,25 fois plus de risque de faire une myocardite avec Moderna.

9/13 Question: Pfizer étudie l’élargissement de la vaccination aux enfants de 5-11 ans sur base d’une étude portant sur seulement 2.268 enfants et une dose injectée à 10μg. Pourquoi Pfizer divise par 3 la dose d’ARNm pour les 5-11 ans? Pas trouvé la réponse.

10/13 Si j’étais responsable vaccin chez Pfizer, en voyant ce qui est dit plus haut, j’aurais aussi diminuer la dose par 3 pour diminuer le risque. Vous imaginez, injecter une dose de 30μg alors qu’ils pèsent entre 20 et 40kg? Je voudrais pas avoir la 1/2 de la planète sur le dos

11/13 Diminuer la dose, c’est risqué de diminuer l’efficacité … de toute façon cela ne se verra pas puisqu’ils ne risquent rien! Pourquoi vouloir les vacciner avec un risque d’effets indésirables alors que le contexte épidémique est calme et qu’ils ne risquent rien?💵?

12/13 Conseil: Si vous vous faites injecter l’ARNm, demandez bien à la personne qui vous injecte le vaccin d’effectuer un petite aspiration sur la seringue pour bien vérifier qu’il ne vous fait pas une injection intra-veineuse! Vous verrez qu’à la TV ils ne le font jamais!😱😯

13/13 PS: Merci aux 46 petites souris qui ont donné leur vie pour nous éclairer. RIP.


Pour comprendre ce qu’il se passe dans le corps post-vacc ARNm pourquoi ne pas biopsier la peau de ceux qui font des réactions cutanées post-vacc pour le transposer aux autres effets indésirables? Super une publication est sortie dans Clinics in Dermatology.

Le récepteur ACE-2 est exprimé dans les cellules endothéliales des vaisseaux de nombreux organes ainsi que les plaquettes sanguines. On pourrait donc s’attendre à des effets indésirables post-vacc ARNm très variables … ce que l’on observe!

Des personnes montrant des « rash » cutanés post-vacc ARNm à différents endroits du corps, les biopsies donne des vascularites lymphocytaires avec dermatite et la spike vaccinale s’y retrouve chaque fois dans les vaisseaux sanguins du derme!

D’où l’hypothèse que les spikes vaccinales pourraient passer du muscle deltoïde dans le sang et agir à distance dans le corps comme des « pseudovirions » se liant là où est exprimé le récepteur ACE-2, provoquant localement réaction immune et inflammation.

Myocardite/péricardite, lymphadénopathie, appendicite, glomérulonéphrite, thrombocytopénie, métrorragie, vascularite/thrombose, hépatite, pancréatite, dermatite, neuropathies, …

MULTIPLICATION PAR DIX DES CAS HABITUELS DE MYOCARDIES



L’une des façons d’imputer des pathologies aux vaccins contre le Covid est de comparer leur incidence habituelle et leur incidence durant la période vaccinale. On peut voir dans ce tableau des CDC l’augmentation de pathologies cardiaques chez les jeunes

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8415509/




Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




3e dose vaccinale appelée « booster »

[Source : La Minute de Ricardo]

Bonjour à tous, comme ici derrière moi, la maison brûle. En novembre 2021, vous aurez le droit à la troisième dose, plus la quatrième et bien sûr, sûrement la cinquième ! La personne et son corps vont devenir une véritable éponge. Il y a aussi cette autre injection contre la grippe qui va devenir obligatoire ! Il faudra en plus faire un test tous les trois jours, un test de 75 euros, bien sûr, payant ! Mais au delà de ça, ils veulent nous faire ce que les médecins appellent une explosion sur le plan immunitaire. En gros, m’a confirmé un médecin de Marseille tout à l’heure au téléphone, on n’aura plus les moyens de se défendre contre toute agression autre que le Covid, staphylocoque, tumeurs et autres. Bref, le corps ne pourra pas lutter. Alors, ceux qui ont peur des doses vont être considérés comme hors la loi. La répression est en train de s’organiser ! Elle va, croyez moi, être violente ! On rentre maintenant dans le dur ! En Israël, la quatrième dose est votée !

Avec Natacha, nous avons rencontré une représentante de Pfizer en Europe en toute confidentialité. Elle nous confirme trois choses: 1 – Les vaccins vont être remplacés par des pilules testées en Belgique à l’heure actuelle et qui vont donc remplacer la piqûre. 2 – On ne pourra plus sortir du pays sans la troisième dose qui rendra caduques les deux premières, ce qui sera le cas en Grande-Bretagne dans les jours qui viennent. 3 – Et puis cette terrible information: savez vous comment ils appellent la troisième dose chez Pfizer ? Ils appellent ça le booster ! Cette troisième dose a pour objet de vous surcharger pendant cinq ans, ! Un booster, si vous voulez encore vous faire piquer, libre à vous, ce sera sans moi et on se battra, croyez moi, jusqu’au bout. C’est quoi tout cela ? En fait, c’est une forme d’euthanasie sans son propre consentement !






Lettre ouverte aux assassins d’enfants

Par Alain Tortosa

À partir de jeudi ce n’est plus « la bourse ou la vie », mais « la santé ou la vie » pour les enfants français de 12 à 17 ans.

Pass sanitaire obligatoire pour vivre, aller à la piscine, au cinéma ou au restaurant…

Officiellement, tout enfant de 12 ans ou plus devra être vacciné pour pouvoir avoir une vie d’ado.

J’imagine que quelques crétins manipulateurs, corrompus ou de mauvaise foi pourraient rajouter « mais non ils peuvent faire un test PCR ! » Un test PCR invasif et dangereux toutes les 48 heures et qui sera facturé 44 euros dès le 15 octobre, vous appelez cela un choix ?!

Notez que je n’aborderai pas ici l’aspect légal ou illégal de la vomissure (il n’y a pas de décret d’application pour les mineurs à ce jour, mais cela n’empêche pas la propagande).

Pourquoi obligez-vous la « vaccination » des enfants ?

Si l’on en croit votre incessante propagande que vous matraquez depuis des mois, c’est pour mettre fin à la fameuse « pandémie ».

Il existe bien encore ici et là parmi vous quelques pourritures pour faire croire que le Covid peut toucher n’importe qui et que des enfants peuvent être hospitalisés… Certains osent même parler de « Covid long » pour une population qui généralement ne fait que des Covid asymptomatiques. Notons que vous avez réussi à inventer depuis l’année dernière la « maladie sans symptômes et sans risque » ce qui d’un point de vue marketing est assez « merveilleux ».

Bref, il est quand même majoritairement reconnu, même dans la sphère des plus corrompus, que le Sars-cov2 et ses variants sont totalement inoffensifs pour les enfants.

Donc vous actez sans sourciller que :

« La vaccination des enfants est uniquement un acte SO-LI-DAI-RE ».

« Les enfants DOIVENT se vacciner pour sauver des personnes âgées en fin de vie ou des malades, »

Sur le papier cela pourrait presque se défendre, si…

Et c’est bien là le problème, les « SI » sont délirants dans cette affaire.

Vous, âmes damnées, reconnaissez que le risque lié aux injections n’est pas NUL.
Vous allez jusqu’à trouver publiquement acceptable, quand bien même le risque serait de 1 sur 1 million, que des enfants aient des séquelles à vie ou meurent pour espérer sauver… des vieux !

C’est acté.
Dans votre « nouveau monde », la « solidarité » veut que l’on puisse sacrifier quelques enfants au bénéfice hypothétique d’adultes en fin de vie interdits de traitements.

La publicité gouvernementale que vous cautionnez ne se cache même pas pour dire aux enfants qu’ils doivent protéger « papi ou mamie » avec des masques ou des injections.

Comment font papi et Mamie pour l’accepter ?
Comment font papi et Mamie pour ne pas être dans la rue et dire NON ?
Comment font papi et Mamie pour se regarder encore dans un miroir  ?

Le bénéfice du doute que l’on aurait pu vous accorder au début a fondu comme neige au soleil depuis bien longtemps. Votre propagande nous a convaincus qu’un ARN messager expérimental était ce qu’il y avait de plus sûr pour les injections y compris pour des enfants ! Que l’on était « certain » de son « innocuité », car injecté à plus d’un milliard d’humains !

Mais aujourd’hui et à la veille de la mise en œuvre de cette loi inique et criminelle…
Criminelle, car elle conduit inexorablement à TUER sciemment des enfants pour un dessein que j’ignore.

  • Vous SAVEZ que « l’injection » massive n’est PAS de nature à stopper la contamination.
  • Vous SAVEZ que l’immunité de masse est un leurre ou une tromperie.

Votre entreprise est d’autant plus criminelle et préméditée que vous savez que la « vaccination » des enfants n’a RIEN de solidaire et qu’elle ne permettra pas d’arrêter l’épidémie.

Pire encore :

  • Vous SAVEZ que ces injections sont potentiellement mortelles à court terme.
  • Vous SAVEZ que des enfants sont déjà morts de ces injections.
  • Vous SAVEZ qu’il y a notamment des problèmes menstruels chez les jeunes filles.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques sur la fertilité.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques à long terme que nous ne maîtrisons pas !

Des parents incitent leurs enfants ou cèdent à leurs demandes d’injection.

Telle une loterie macabre leurs enfants seront peut-être les « heureux » gagnants dont le premier prix est la MORT et le prix de consolation un handicap à vie !

Et pour quoi ?

  • Pour aller à la piscine avec les copains ?
  • Pour aller au cinéma avec les copains ?
  • Pour aller au restaurant avec les copains ?

Et c’est là que l’on touche du doigt votre cynisme et votre absence totale d’humanité ou d’empathie, vous les décideurs. Vous savez à quel point il est important à l’adolescence de faire partie du groupe et à quel point le rejet est difficile à vivre à une période de la vie où l’on se cherche.

Vous FORCEZ les enfants à jouer à la roulette russe pour pouvoir vivre leur vie d’ado et en plus vous les habituez à présenter un QR-code pour ce qui touche au quotidien.

Vous les tuez DEUX FOIS :

  • Une fois par l’injection d’un poison.
  • Et une autre fois par l’annihilation du sentiment ou de la conscience de la liberté.

Vous êtes à vomir, vous les décideurs, vous les politiques, vous les médecins complices et vous les médias à la botte.

Tous sans exception, vous avez du sang d’enfants sur les mains et ce n’est pas avec du gel hydroalcoolique que vous pourrez l’enlever.

Alain Tortosa.

28 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210928-lettre-ouverte-aux-assassins-d-enfants.pdf




Mme Whitmer, gouverneur du Michigan, interdit le port du masque et la vaccination obligatoire

[Source : lemediaen442.fr]

Comme le rapporte Fox News le gouverneur démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer, et la législature de l’État se sont mis d’accord sur une proposition de budget qui interdit aux responsables de la santé d’ordonner le port du masque dans les écoles et aux agences publiques de l’État d’obliger employés ou clients à se faire vacciner.


La gouverneure démocrate a accepté une disposition des républicains interdisant d’aller plus loin que les plans du président Joe Biden : donc pas de vaccination obligatoire dans les entreprises de moins de 100 salariés et dans celles n’appartenant pas au secteur de santé.

« Le directeur ou l’agent de santé local ne doit pas émettre ni appliquer d’ordonnances ou d’autres directives exigeant qu’une personne de moins de 18 ans dans cet État porte un masque facial ou un couvre-visage », selon le nouveau projet de loi budgétaire du Michigan.

L’accord budgétaire de 70 milliards de dollars empêcherait également les agences publiques du Michigan d’appliquer la vaccination aux employés et aux clients. « Je suis ravi que la législature et moi ayons pu nous mettre d’accord sur un budget bipartite », a déclaré Whitmer dans un communiqué, selon MLive. 

« Notre collaboration témoigne de ce qui est possible lorsque nous travaillons ensemble et donnons la priorité à nos familles, nos communautés et nos petites entreprises. »

Après avoir soutenu les restrictions, le confinement… l’impopularité a obligé Gretchen Whitmer à s’attaquer aux masques et à la vaccination obligatoire en se soumettant au désir de la population. En mai 2020 des manifestants armés avaient pénétré la maison d’État du Michigan pour protester contre les restrictions.

Traduction Le Média en 4-4-2  




L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ? Mise à jour

[Source : Le Saker Francophone]

[Mise à jour : une fuite WikiLeaks]

Wikileaks révèle des scènes coupées de l’alunissage filmées dans le désert du Nevada.


L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ?

Une introduction à la mère de toutes les théories du complot


Par Moon Landing Skeptic – Le 1er avril 2019 – Source Unz Review

D’après une enquête, 52% des britanniques pensent que l’alunissage est une infox

Le 50e anniversaire de l’alunissage d’Apollo 11 approche à grands pas. En 2016, une enquête a montré que 52 % du public britannique pensait que les missions Apollo étaient truquées. Le scepticisme est plus élevé chez ceux qui étaient trop jeunes pour le voir en direct à la télévision : 73 % des 25-34 ans croient que nous n’avons pas atterri sur la lune, comparativement à 38 % de ceux de 55 ans ou plus. Ces chiffres semblent augmenter chaque année. Les incroyants britanniques n’étaient que 25 % il y a dix ans. On ne sait pas combien ils sont aujourd’hui, mais un sondage réalisé en 2018 par le Centre russe de recherche sur l’opinion publique a révélé que 57 % des Russes croient qu’il n’y a jamais eu d’alunissage habité.

En d’autres termes, plus les gens sont instruits et plus ils sont capables de raisonner rationnellement, moins ils croient aux alunissages. Aux États-Unis, ce pourcentage semble beaucoup plus faible : Un sondage Gallup de 1999 a révélé que seulement 6 % des Américains doutent des débarquements sur la lune, et un sondage Pew Research de 2013 a montré que ce chiffre n’est passé qu’à 7 %. Il n’est donc pas surprenant qu’un sondage Pew Research de 2010 ait montré que 63% des Américains étaient confiants que la NASA allait faire atterrir un astronaute sur Mars d’ici 2050.

Les croyants sont-ils en danger d’extinction ?

La théorie du canular lunaire était presque inconnue avant l’arrivée d’Internet et elle a pris de l’ampleur avec le développement de YouTube, qui a permis à quiconque s’y intéressait d’examiner de près les images d’Apollo. Auparavant, les personnes qui avaient de sérieux doutes avaient peu de moyens de les partager et de rendre leur cas convaincant. L’un des pionniers a été Bill Kaysing, qui a abordé le sujet en 1976 avec son livre qu’il a publié lui-même : On n’est jamais allé sur la lune ; L’escroquerie américaine à 30 milliards de dollars. On peut le qualifier de lanceur d’alerte, puisqu’il travaillait pour Rocketdyne, la société qui a conçu et construit les fusées Apollo. Ralph René est ensuite arrivé avec son NASA Mooned America ! également auto-publié.

La recherche a gagné en profondeur et en ampleur, et l’incrédulité est devenue virale autour du 30e anniversaire d’Apollo 11, grâce en grande partie au directeur de la photographie britannique David Percy, co-auteur du livre Dark Moon avec Mary Bennett, et réalisateur du documentaire de trois heures « What Happened on the Moon ? An Investigation into Apollo » (2000), présenté par Ronnie Stronge. Il demeure à ce jour très précieux pour quiconque est disposé à se faire une opinion éclairée.

Puis, il y a eu « A Funny Thing Happened on the way to the Moon » (2001), réalisé par Bart Sibrel, qui apporte un éclairage précieux sur le contexte historique. Sibrel a également mis les astronautes de la NASA au défi de jurer sur la Bible, devant la caméra, qu’ils avaient marché sur la lune, et il a compilé ces séquences dans « Astronauts Gone Wild », ainsi que des séquences plus utiles de déclarations embarrassantes faites par des astronautes de la NASA qui sont censés avoir marché sur la lune mais semblent peu convaincants et consistants ; Alan Bean d’Apollo 12 qui apprend par Sibrel que le passage à la ceinture de radiation Van Allen est « à voir absolument ».

Puis, à partir de ces films et d’autres sources, est arrivé le documentaire télévisé novateur « Did we land on the moon ? » (2001),
réalisé par John Moffet pour Fox TV. À ma connaissance et à mon avis,
c’est encore la meilleure introduction aux arguments des « théoriciens du canular lunaire » : Vous pouvez le regarder ici à partir de sa rediffusion en 2013 sur Channel 5 :

Il y a très peu de livres disponibles sur le sujet. Je ne suis pas au courant d’une recherche plus approfondie que One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space par le chercheur allemand Gerhard Wisnewski, publié à l’origine en 2005, dont je citerai plusieurs extraits.

Je ne vais pas discuter de toutes les preuves présentées dans ces
sources. Je ne peux que les recommander, ainsi que quelques autres en
passant. Je vais simplement trier ce que je considère comme les
arguments les plus convaincants, ajouter quelques développements
récents, donner ma meilleure conclusion, placer la question dans une
perspective historique plus large et en tirer quelques leçons sur la
Matrice dans laquelle nous vivons.

Tout d’abord, nous devons être clairs quant à l’objectif d’une telle enquête. Nous ne devons pas nous attendre à une preuve concluante que Neil Armstrong, ou tout autre marcheur sur la lune d’Apollo, n’a pas marché sur la lune. Cela ne peut être prouvé, en l’absence de preuves indiscutables qu’il était ailleurs (en orbite autour de la terre, par exemple) au moment précis où il prétendait avoir passé sur la lune. Dans la plupart des cas, vous ne pouvez pas prouver que quelque chose ne s’est pas produit, tout comme vous ne pouvez pas prouver que quelque chose n’existe pas. Vous ne pouvez pas prouver, par exemple, que les licornes n’existent pas. C’est pourquoi le fardeau de la preuve incombe à quiconque prétend qu’elle existe. Si je vous dis que j’ai marché sur la lune, vous me demanderez de le prouver, et vous ne prendrez pas pour réponse : « Non, prouve le toi que je n’y suis pas allé. » Est-ce que ça fait une différence si je suis la NASA ? C’est le cas, car traiter la NASA de menteuse vous amènera inévitablement à remettre en question tout ce à quoi votre gouvernement et les médias grand public vous ont fait croire. C’est un pas de géant ! Tout comme les enfants de parents violents, les citoyens honnêtes des gouvernements violents auront tendance à réprimer les preuves de la malveillance de leur gouvernement. Ainsi, les gens choisissent de croire à l’alunissage, sans même demander de preuves, simplement parce que : « Ils ne nous auraient pas menti pendant plus de 50 ans, n’est-ce pas ? Les médias auraient dénoncé le mensonge il y a longtemps (n’oubliez pas le Watergate) ! Et qu’en est-il des 250 000 personnes impliquées dans le projet ? Quelqu’un aurait parlé. » En fait, je m’entends parler comme ça il y a encore 10 ans à peine. Toutes ces objections doivent en effet être prises en compte.

Mais avant cela, la chose scientifique à faire est de commencer par
la question : la NASA peut-elle prouver qu’elle a envoyé des hommes sur
la lune ? Si la réponse est non, la prochaine étape consiste à décider
si nous les croyons sur parole ou non. Pour cela, il faut se demander
quelles auraient pu être les raisons d’un mensonge d’une telle ampleur.
Nous y viendrons.

Mais, tout d’abord, la NASA peut-elle fournir des preuves tangibles de l’atterrissage sur la lune ?

Des preuves solides comme le roc depuis l’Antarctique

Si, ils le peuvent. Ils ont rapporté des morceaux de lune : environ
380 kilogrammes de roches lunaires et d’échantillons de sol, toutes
missions Apollo confondues. Les roches lunaires prouvent l’atterrissage
sur la lune, n’est-ce pas ? Oui, mais seulement s’il peut être fermement
établi qu’elles n’ont pas été extraites sur Terre. Et c’est là le
problème. Comme expliqué ici, « des météorites ont été
trouvées en Antarctique qui ont prouvé qu’elles avaient les mêmes
caractéristiques que les roches lunaires »
. Il peut être utile de
savoir qu’en 1967, deux ans avant Apollo 11, la NASA a organisé une
expédition en Antarctique, rejointe par Wernher Von Braun, le principal
propagandiste de la NASA pour les missions lunaires ; l’Antarctique est
la région de la Terre qui compte la plus grande concentration de
météorites, mais on ignore si l’expédition a inclus des géologues et si
des météorites ont été rapportées. En fait, ce n’est qu’en 1972 que les
météorites lunaires ont été officiellement découvertes en Antarctique ;
leur origine lunaire, bien sûr, a été déterminée par comparaison avec
les échantillons lunaires rapportés par les équipes d’Apollo (Wisnewksi
202).

Les rochers de la lune sont donc loin de prouver l’atterrissage sur la lune. En fait, on ne peut prouver qu’aucune des soi-disant roches lunaires n’a été ramenée de la lune plutôt que de l’Antarctique ou d’ailleurs sur terre. Mais la situation s’aggrave : il a été prouvé de manière concluante que certaines des soi-disant roches de la lune sont fausses. Dans les années 1990, l’astrobiologiste britannique Andrew Steele a eu le privilège spécial d’approcher certains des précieux échantillons enfermés dans des coffres-forts de la NASA et, imaginez sa surprise quand il y découvre une soie, des morceaux de plastique, du nylon, du téflon et de petits animaux terrestres (Wisnewski 207). Une autre pierre de lune a fait la une des journaux lorsque, 40 ans après avoir été remise personnellement par Neil Armstrong et Buzz Aldrin au premier ministre néerlandais, elle a été examinée de près et s’est révélée être du bois pétrifié. Certes, quelques fausses pierres de lune ne prouvent pas que toutes les pierres de lune sont fausses. Mais ce devrait être une raison suffisante pour commencer un examen scientifique systématique des douzaines d’autres échantillons que les États-Unis ont cédé de façon officielle en 1969 et dans les années 1970.

La preuve photographique

Quelles sont les autres preuves que la NASA a de l’atterrissage sur
la lune ? Les films et les photos, bien sûr ! Les films sont notoirement
flous, ce qui rend leur examen difficile. Comment, par exemple,
pouvez-vous être sûr que l’astronaute David Scott d’Apollo 15 fait
tomber un vrai marteau et une vraie plume pour démontrer la gravité
newtonienne dans un environnement sans atmosphère, quand vous pouvez à
peine voir les objets ? Nous avons une photo claire du marteau et de la
plume sur le sol, mais comment savoir s’ils sont identiques aux objets
flous déposés dans le film ?

Ce qui serait utile pour une enquête correcte, ce sont les images originales de la NASA. Les chercheurs demandent l’accès à ces films depuis des décennies, en vertu du Freedom of Information Act. En 2006, ils ont reçu une réponse. Voici ce que vous pouvez lire sur Reuters :

La NASA a admis en 2006 que personne n’avait trouvé les
enregistrements vidéo originaux de l’atterrissage du 20 juillet 1969.
Depuis lors, Richard Nafzger, ingénieur au Goddard Space Flight Center
de la NASA dans le Maryland, qui a supervisé le traitement télévisuel
sur les sites de suivi au sol pendant la mission Apollo 11, les cherche.
La bonne nouvelle, c’est qu’il a trouvé où ils sont allés. La mauvaise
nouvelle, c’est qu’ils faisaient partie d’un lot de 200 000 cassettes
qui ont été magnétiquement effacées et réutilisées pour économiser de
l’argent.

Les Russes sont si méchants : à la suite de cet aveu de la NASA, les autorités russes ont commencé à exiger une enquête internationale.

Heureusement, nous avons les photos. En plus de planter un drapeau américain et de recueillir des échantillons de roches, les astronautes ont passé beaucoup de temps à prendre des photos sur la lune. Et soyons justes : en 2015, la NASA en a publié des milliers en haute résolution. Elles sont accessibles ici, et peuvent être examinées en détail. La plupart d’entre elles sont remarquables par leur qualité.

L’équipage d’Apollo 11 a utilisé un Hasselblad 500C standard avec
quelques modifications, dont le retrait du miroir réfléchissant. Le film
utilisé était un film diapositif Kodak Ektachrome standard, 160 ASA.
C’est un film étonnamment sensible pour un endroit où la lumière du
soleil n’est filtrée par aucune atmosphère, surtout si l’on considère
que certaines photos, parfaitement exposées, ont été prises directement
contre le soleil. Il y a aussi des problèmes techniques avec la
fiabilité de ce matériau à la surface de la lune, où les températures
vont de moins de 100°C à plus de 100°C : la seule protection contre la
chaleur pour la caméra et le chargeur était un revêtement réflexif. (La
façon dont les astronautes survivent à de telles températures est un
problème encore plus grave).

Un autre aspect problématique est la qualité professionnelle de la
plupart de ces photos. Chaque plan pris par Neil Armstrong, par exemple,
est parfaitement cadré et exposé. Wisnewski (144-149) souligne à juste
titre à quel point c’est incroyable, étant donné qu’Armstrong (ou tout
autre astronaute) ne pouvait pas viser, puisque la caméra était fixée
sur sa poitrine où il ne pouvait même pas la voir. Sans parler de la
difficulté de régler manuellement l’ouverture, le temps d’exposition, la
mise au point et le champ de vision avec ses gants pressurisés et
aucune vision de l’appareil, et sans aucune expérience de la
photographie sur l’environnement lunaire. Nous devons nous rappeler que
la photographie était un métier très spécialisé à l’époque, même sur
terre, et il est assez étonnant de voir que toutes les photos
d’Armstrong sont parfaites.

Plus précisément, y a-t-il des preuves que ces photos ont été prises
sur la lune ? Aucune, quelle qu’elle soit. Elles sont faciles à
fabriquer en studio. En fait, la NASA a fait beaucoup d’efforts pour
entraîner les astronautes à l’intérieur en reproduisant l’état de la
surface lunaire tel qu’ils l’imaginaient, en fabriquant des tonnes de « poussière de lune »
à cette fin (avant même que quiconque ait vu la vraie poussière
lunaire), et même en simulant le ciel noir. Certaines des photographies
prises dans ces studios de cinéma, comme celle qui suit, tirée des
archives de la NASA, seraient difficiles à distinguer de la « vraie » chose, si elles étaient cadrées différemment.

Armstrong et Aldrin s’exerçant sur de la fausse poussière de lune sous un faux ciel noir

Soyons réalistes : il n’y a aucune preuve que l’une ou l’autre des
photographies d’Apollo soit authentique. Ce n’est peut-être pas
suffisant pour déstabiliser les croyants. Mais qu’est-ce que cela veut
dire que bon nombre de ces photographies sont « pleines d’incohérences et d’anomalies », pour reprendre les mots de David Percy, qui prouve son point de vue dans « What Happened on the Moon ? ».
Le film contient une interview de Jan Lundberg, ingénieur de projet
pour l’Apollo Hasselblad. Lorsqu’on lui demande d’expliquer certaines
des incohérences concernant les ombres et l’exposition (par exemple, les
astronautes entièrement éclairés bien qu’ils soient dans l’ombre du
module lunaire, comme dans la photo reproduite sur la couverture du
livre de Wisnewski), il répond : « Je ne peux pas expliquer ça. Cela m’échappe… pourquoi. »

Soit dit en passant, l’aveu embarrassé de Lundberg illustre
parfaitement à quel point le cloisonnement a pu rendre possible le
canular lunaire. Comme les centaines de milliers de personnes impliquées
dans le projet, il a travaillé sur la base du « ce que tu as besoin de savoir »
et n’avait aucune raison de soupçonner qu’il travaillait pour autre
chose que ce qu’on lui avait dit, du moins jusqu’à ce qu’on lui demande
d’expliquer des images impossibles. Seule une poignée de personnes
devaient connaître le tableau global, et il n’est même pas certain que
le président Nixon était parmi eux. Comme l’illustre Wisnewski (121-126)
avec le programme Corona alias Discoverer (un satellite de
recherche américain lancé vers 1959 dans le but secret d’espionner
l’Union soviétique), il est faux de supposer que les communautés
militaires, spatiales et du renseignement américaines ne peuvent garder
un secret. Pour prendre un autre exemple, des centaines de milliers de
personnes ont travaillé sur le projet Manhattan, qui est resté
complètement caché du public jusqu’à ce que la bombe soit larguée sur
Hiroshima.

Je ne vais pas énumérer et examiner les anomalies des photographies d’Apollo, car elles sont analysées dans les documentaires mentionnés ci-dessus. Mais je recommande de parcourir et de zoomer sur les photographies haute définition du site d’archives de la NASA, dans le but d’évaluer leur crédibilité avec un minimum de bon sens. Demandez-vous, par exemple, si vous pouvez croire que le module lunaire Apollo 11 Eagle (ici, ici ou ici) aurait pu faire atterrir deux astronautes sur la lune et les renvoyer en orbite lunaire pour se reconnecter avec le module de commandement orbital. Ou choisissez le LM Antares d’Apollo 14 (ici), ou le LM Orion d’Apollo 16 (ici, ou ici avec le rover qui s’en est miraculeusement sorti), ou le LM Challenger d’Apollo 17 (ici). Rappelons que ces huttes minables devaient être pressurisées hermétiquement dans un environnement sous vide et que, dans les deux derniers cas, deux astronautes ont passé plus de 3 jours (respectivement 71 heures et 76 heures) sur la lune et dormi 3 nuits dans le module. Si vous voulez être guidé dans cette réflexion, je peux vous recommander cette vidéo de 15 minutes.

Module lunaire Apollo 11 avec Neil Armstrong
Scène d’ascension du module lunaire d’Apollo 17, photographié à partir du module de commandement avant le rendez-vous.

Où sont passées toutes les étoiles ?

Si les équipages d’Apollo avaient photographié le ciel étoilé de la
lune, cela aurait pu servir à la NASA pour contrer l’accusation de
fraude. Dans les années 1960, il aurait été très difficile d’effectuer
les calculs informatiques nécessaires à la cohérence de la constellation
d’étoiles. Malheureusement, personne n’y a pensé à la NASA. On a
demandé aux astronautes de regarder en bas et de ramasser des roches, et
non de regarder vers le haut et d’étudier les étoiles. C’est comme si
la NASA était une congrégation de géologues qui méprisaient
l’astronomie. Et dire qu’ils dépensent des milliards de dollars pour
envoyer des télescopes sur orbite terrestre ! Pour être honnête, j’ai lu
un article sur un télescope installé par l’équipage d’Apollo 16, mais
il semble que personne n’ait jamais vu ce qui en est ressorti. En tout
cas, pas une seule photo des archives de la NASA ne montre une étoile
dans le ciel.

L’explication officielle ? Il n’y avait tout simplement pas d’étoiles visibles dans le ciel lunaire. Point final. C’est tellement incroyable que même certains « démineurs de canulars lunaires » préfèrent expliquer le ciel noir de toutes les photographies Apollo comme résultant d’une faible exposition. Mais ils ont tort : les astronautes n’ont vu aucune étoile de leurs propres yeux. Tous, d’Apollon 11 à Apollon 17, déclaraient constamment que le ciel était complètement noir, « un immense ciel de velours noir – totalement noir », selon les mots d’Edgar Mitchell, le sixième homme sur la lune.

Était-ce parce que la luminosité de la surface de la lune était trop
forte, de sorte que leurs yeux ne pouvaient pas s’ajuster ? (un jour sur
la lune dure 27 jours terrestres, de sorte que les astronautes qui ont
atterri sur le côté illuminé de la lune n’ont jamais vécu une nuit sur
la lune). Si c’était la raison, alors au moins, les astronautes auraient
dû voir beaucoup d’étoiles lorsqu’ils voyageaient entre la terre et la
lune. Ils n’en ont pas vu. Quand ils ont orbité autour de la lune et
sont passés dans son ombre, ils se sont retrouvés dans l’obscurité
totale, et n’ont vu aucune étoile. Michael Collins, qui a orbité autour
de la lune plusieurs fois dans le module de commandement pendant
qu’Aldrin et Armstrong étaient sur la lune, a déclaré dans leur
conférence de presse 1969 : « Je ne me souviens pas en avoir vu ! ».
C’est l’une des remarques les plus étranges que l’on puisse trouver
chez un astronaute, mais toute la conférence de presse est une
expérience bizarre à regarder.

Ne demandez rien à Neil Armstrong

L’interview de Neil Armstrong en novembre 1970 est tout aussi bizarre. Elle a été utilisée par plusieurs sceptiques comme preuve qu’il ment. Je recommande vivement cette analyse très professionnelle commandée par Richard D. Hall de RichPlanet TV à Peter Hyatt, un expert reconnu à l’échelle nationale dans la détection de la tromperie. Je trouve cela dévastateur pour la crédibilité d’Armstrong.

Après cela, Armstrong a dû recevoir l’ordre de se tenir à l’écart des interviews. Mais lorsqu’on lui a permis de faire une dernière apparition à l’occasion du 40e anniversaire de sa marche sur la lune, il en a profité pour se comparer à un perroquet, « le seul oiseau qui pouvait parler » mais « ne volait pas très bien », et pour conclure par une remarque énigmatique sur « les percées disponibles pour ceux qui peuvent enlever une couche protectrice de la vérité ». Dieu seul sait ce qu’il dirait s’il était maintenant invité à prendre la parole pour le 50e anniversaire ! Heureusement pour la crédibilité des missions Apollo, il a maintenant quitté la terre pour de bon, et son histoire peut maintenant être racontée par Hollywood.

Attachez votre ceinture Van Allen

Nous avons cherché à savoir s’il y a des preuves que l’atterrissage sur la lune était réel. Nous n’en avons pas trouvé. Au lieu de cela, nous avons trouvé des preuves qu’ils n’étaient pas réels. Mais en fait, c’était à peine nécessaire : Les ingénieurs de la NASA eux-mêmes nous disent que cela est impossible, pour la simple raison que les astronautes devaient traverser la ceinture de rayonnement Van Allen, ce qui les aurait tué et aurait endommagé également l’équipement électronique. Écoutez, dans la vidéo de 10 minutes ci-dessous, des astrophysiciens et des astronautes admettant par inadvertance que la technologie permettant d’envoyer des hommes au-delà de l’orbite terrestre inférieure n’est pas encore disponible.

C’est peut-être la raison pour laquelle, depuis la présidence de
Tricky Dick, aucune mission habitée sur la lune, ni même au-delà de
l’orbite terrestre basse, n’a jamais été entreprise. N’oubliez pas que
la Station spatiale internationale est en orbite à une distance de 250
milles de la Terre, alors que la lune est à environ 237 000 milles de la
Terre. Le 14 janvier 2004, le président George W. Bush, s’exprimant au
siège de la NASA, a annoncé une nouvelle tentative pour « mettre a nouveau pied sur la lune » et au-delà, et a fait remarquer : « Au
cours des 30 dernières années, aucun être humain n’a mis le pied sur un
autre monde, ou ne s’est aventuré plus loin dans l’espace que 386
milles, soit approximativement la distance entre Washington D.C. et
Boston, Massachusetts »,
(cité dans Wisnewski 329). Aucune annonce de mission habitée sur la lune n’est sortie de cette annonce.

Le temps travaille à l’avantage des théoriciens du canular lunaire, car chaque année qui passe amène les gens à s’interroger : « S’il était si facile d’envoyer un homme sur la lune entre 1969 et 1972, pourquoi n’a-t-on pas recommencé depuis ? » .
Moins de la moitié des Britanniques et des Russes croient encore à un
atterrissage sur la lune. Parmi les personnes instruites, ce pourcentage
diminue rapidement. Que se passera-t-il dans vingt ans, quand les
Américains réaliseront que presque personne d’autre qu’eux n’y croit ?
Les États-Unis d’Amérique survivront-ils à l’exposition de ce canular
géant ?

La fabrication de la croyance

Si les alunissages d’Apollo ont été simulés, de sérieuses questions
devraient être posées au sujet de la NASA, pour commencer. Ensuite, il
serait nécessaire de réfléchir en profondeur à ce qu’il est advenu des
États-Unis depuis la Seconde guerre mondiale. Et au-delà, le canular
lunaire est le point de départ idéal pour réfléchir sur le contrôle
hypnotique que la télévision et les médias ont acquis sur notre esprit.
Ce n’est pas seulement une question politique. C’est une bataille pour
nos âmes.

La première étape consiste à sortir de nos croyances infantiles au
sujet de la NASA et à faire une étude de base sur ce dont il s’agit. La National Aeronautics and Space Administration
a été fondée en 1958 par le président Eisenhower. Nombreux sont ceux
qui aujourd’hui félicitent Eisenhower d’avoir mis en garde les
Américains, à leur départ, contre la menace croissante du complexe
militaro-industriel et le « risque d’une montée désastreuse du pouvoir entre de mauvaises mains ».
Ironiquement, la fondation de la NASA a été en soi un pas de géant pour
le complexe militaro-industriel. Il ne fait aucun doute que le
soi-disant « programme spatial civil » de la NASA
était d’abord et avant tout une couverture pour un programme militaire.
La loi sur la NASA de 1958 prévoyait explicitement une collaboration
étroite avec le ministère de la Défense et, en pratique, le Pentagone a
participé à toutes les décisions concernant les programmes Mercury,
Gemini et Apollo. Erlend Kennan et Edmund Harvey ont documenté ce point
dans « Mission vers la lune : un examen critique de la NASA et du programme spatial », dès 1969, et ont conclu :

Il demeure impératif que la NASA conserve son statut de
porte-parole décent de l’ère spatiale afin d’obtenir le soutien du
public pour tous les projets spatiaux et de donner aux efforts spatiaux
du ministère de la Défense une « couverture » efficace. (cité dans
Wisnewski 296).

Outre le lancement de satellites à des fins d’espionnage, la NASA
devait contribuer au développement de fusées transcontinentales. Car
après la Seconde guerre mondiale, l’équation était simple : « Fusée + bombe atomique = puissance mondiale », (Wisnewski 62).

Le but paramilitaire de la NASA est essentiel pour comprendre le canular Apollo. Car en matière de programmes militaires, « ce
que le public sait est aussi connu de l’ennemi. Cela signifie qu’en
principe, le public et l’ennemi peuvent être considérés comme une seule
et même chose »,
(Wisnewski 7). Par conséquent, nous devons
comprendre que tromper le public américain n’était pas une perversion de
l’objectif initial de la NASA, mais une partie intégrante de celui-ci.

Il incombait à Kennedy de vendre le programme lunaire au Congrès et au public américain afin d’augmenter considérablement le budget de la NASA. Le 25 mai 1961, à peine 43 jours après que Yuri Gagarine eu terminé une orbite autour de la terre, Kennedy a livré devant le Congrès un message spécial sur les « besoins nationaux urgents ». Il a demandé 7 à 9 milliards de dollars supplémentaires au cours des cinq prochaines années pour le programme spatial, dans le but, selon lui, d’« atteindre l’objectif, avant la fin de cette décennie, de faire atterrir un homme sur la lune et de le ramener en toute sécurité sur Terre. Aucun projet spatial de cette période ne sera plus impressionnant pour l’humanité ou plus important pour l’exploration spatiale à longue distance. »

Kennedy peut être blâmé pour avoir dupé le public américain, mais il est probable qu’il ait été dupé lui-même, tout comme la CIA l’avait piégé dans l’invasion désastreuse de la Baie des cochons, un mois auparavant. Quoi qu’il en soit, la lune était l’idée de Johnson, pas celle de Kennedy. On croit que Kennedy a été convaincu par un mémorandum de Lyndon Johnson, intitulé « Evaluation of Space Program », daté du 28 avril 1961, supposément basé sur des délibérations avec de hauts responsables de la NASA. Le mémo assurait le président de la faisabilité d’un « atterrissage et d’un retour en toute sécurité d’un homme sur la lune d’ici 1966 ou 1967 », si « un effort sérieux » était fait. Pour ce qui est de l’avantage, Johnson l’a exprimé de cette façon :

Les autres nations, indépendamment de leur appréciation
de nos valeurs idéalistes, auront tendance à s’aligner sur le pays
qu’elles croient être le chef de file mondial – le gagnant à long terme.
Les réalisations spectaculaires dans l’espace sont de plus en plus
considérées comme un indicateur majeur du leadership mondial.

Un mois après son discours au Congrès, Kennedy a officiellement nommé son vice-président à la tête du National Aeronautics and Space Council, chargé d’explorer le projet lunaire. Comme Alan Wasser l’a dit :

Peu de gens aujourd’hui réalisent ou se souviennent, mais
un seul homme, Lyndon Baines Johnson, ‘LBJ’, est le principal
responsable du début et de la fin de La Course à l’espace.

Cela explique pourquoi les industries texanes ont été les plus
grandes bénéficiaires du programme spatial, et pourquoi le Centre des
engins spatiaux habités de la NASA à Houston, a été rebaptisé le Lyndon B. Johnson Space Center en 1973.

Sous Eisenhower, Johnson était à la fois le leader de la majorité au
Sénat et un acteur clé dans le secteur texan du complexe
militaro-industriel. Il est intéressant de savoir que l’ébauche
originale du discours d’adieu d’Eisenhower, écrite par ses assistants
Malcolm Moos et Ralph Williams, parlait du « Complexe militaro-industriel du Congrès »,
mais Eisenhower a abandonné la citation du Congrès –  par peur,
peut-être, de Johnson. La corruption de Johnson s’est aggravée après
qu’il est devenu vice-président et a nommé ses amis texans à la tête de
la Marine : d’abord John Connally, puis Fred Korth, qui a démissionné en
octobre 1963, après que le ministère de la Justice (dirigé par Robert
Kennedy) l’ait impliqué pour corruption dans le contrat des avions TFX
de la Force aérienne et de la Marine.

La NASA n’était pas seulement un camouflage pour les développements
militaires. C’était un rêve fabriqué pour laisser les Américains
regarder le ciel pendant que leur gouvernement commettait des atrocités
au Vietnam. Ainsi, la NASA avait aussi des liens étroits avec
l’industrie cinématographique. Son premier patron, T. Keith Glennan
(1958-1961) avait une longue expérience dans la gestion de studios de
cinéma à Hollywood (Wisnewski 298).

Walt Disney avec Wernher von Braun, « Père de la science des fusées », en 1954

Pendant la période de transition entre Johnson et Nixon, Apollo 8
aurait transporté trois astronautes dix fois autour de la lune. Puis,
après deux autres missions d’essais (Apollo 9 et 10), six membres de
l’équipage d’Apollo ont atterri sur la Lune de 1969 à 1972, le tout sous
la présidence de Nixon. Wisnewski (130-139) fournit un parallèle
spectaculaire montrant comment les nouvelles de dernière heure liées au
programme Apollo ont commodément détourné l’attention du public
américain des crimes de guerre au Vietnam. Apollo 11 a atterri sur la
lune deux mois après que les médias eurent révélé des bombardements
illégaux au Cambodge, et le programme Apollo a cessé juste après la fin
officielle de l’engagement des États-Unis en Asie du Sud-Est. Alors,
écrit Wisnewski :

Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des
milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts
vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient
en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une
conquête d’un tout autre genre. (131)

Pour le reste du monde, le frisson culturel et technologique provoqué
par l’alunissage a dû être aussi bouleversant et désarmant que le coup
négatif du 11 septembre. Jusqu’à ce jour, les États-Unis tirent leur
force de l’admiration sans bornes suscitée par ces alunissages. Et je
maintiens toujours que cette « conquête » de la lune, ce mythe antique
de l’humanité, a élevé l’Amérique au statut de nation quasi-divine. Les
alunissages s’inscrivent dans la stratégie psychologique globale
d’auto-agrandissement du pays, associée à l’asservissement, à
l’affaiblissement et à la démoralisation des autres. (287)

Les voyages spatiaux civils sont devenus une forme d’« opium pour le
peuple », une promesse de rédemption apportant un avenir nouveau et
meilleur pour l’univers. (63)

En effet, voyager sur la lune et revenir vivant est un exploit aux
proportions mythiques. C’est comme voyager dans l’Autre Monde et revenir
dans le monde des vivants avec son corps physique. Cela fait des
astronautes de la NASA les égaux des anciens héros surnaturels, des
demi-dieux immortels, et cette qualité semi-divine se reflète sur les
États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages
d’Apollo : il s’agissait d’une nouvelle religion mondiale qui élevait
les États-Unis au-dessus de toutes les autres nations terrestres. On a
beaucoup parlé des religions institutionnelles comme moyen de contrôle
mental collectif. Mais aucune croyance religieuse ne peut se comparer au
débarquement sur la lune en termes d’abus cyniques de la crédulité des
gens. Et aucune religion ne pouvait rivaliser, jusqu’à récemment, pour
le nombre de croyants dans le monde.

La leçon la plus profonde est que cela a été rendu possible par la
télévision, et aurait été impossible autrement. Personne ne l’aurait cru
s’il ne l’avait pas vu de ses propres yeux.

Dans « Par-delà le miroir » de Lewis Carroll, Alice dit à la Reine Blanche qu’« on ne peut pas croire des choses impossibles », mais la Reine insiste sur le fait que c’est possible avec assez de pratique : « Quand
j’avais ton âge, je le faisais toujours une demi-heure par jour.
Parfois, j’ai cru jusqu’à six choses impossibles avant le
petit-déjeuner. »
Avec la télévision, croire en six alunissages impossibles est venu sans effort.

Annexe : l’hypothèse de Kubrick

Avant d’être diffusés à la télévision, les alunissages d’Apollo étaient des productions de studio. Il n’est donc pas étonnant que l’un des dénonciateurs les plus influents ait été le cinéaste hollywoodien Peter Hyams avec son film Capricorn One (1978).

Bien qu’il n’ait aucun rapport avec la question de la réalité ou de
la possibilité de l’alunissage, et ne devrait pas être pris comme
argument, je voudrais mentionner ici l’un des développements les plus
intrigants de la théorie du complot du canular lunaire : la suggestion
que le réalisateur Stanley Kubrick a collaboré avec la NASA dans la
réalisation des films lunaires Apollo pendant son film « 2001 : Odyssée de l’Espace », (1968), auquel il a commencé à travailler dès 1964, peu après la fin de son film antimilitaire « Dr Folamour ».
Selon la rumeur, Kubrick aurait ensuite été contraint de conclure un
pacte faustien en échange de financements et d’autres formes d’aide. Que
Kubrick ait reçu le soutien de la NASA pour son film 2001
n’est en fait un secret pour personne : le scénario a été co-écrit par
Arthur C. Clark, un supporter enthousiaste et contributeur aux aventures
de la NASA, et plusieurs assistants pour le film, tels que Harry Lange
et Frederick Ordway, avaient travaillé pour la NASA et des entrepreneurs
aérospatiaux. Certains croient donc que 2001 faisait partie
d’un programme de la NASA à la fois pour fasciner le public avec les
voyages spatiaux et pour tester les techniques de production.

Cette hypothèse s’est d’abord posée lorsque les sceptiques qui étudiaient les photos et les films d’Apollo se sont convaincus qu’ils avaient été réalisés dans des studios de cinéma en utilisant la technique appelée projection sur écran, qui avait été perfectionnée par Stanley Kubrick pour son film 2001.

La théorie existait déjà depuis un certain temps, lorsqu’un « fauxdocumentaire »  français intitulé « Dark Side of the Moon », réalisé par William Karel, a été diffusé sur Arte en 2002, comme une tentative très intelligente mais futile de le démystifier.

Mais la théorie a gagné une nouvelle vigueur lorsque le réalisateur Jay Weidner y a ajouté l’hypothèse que Kubrick a avoué sa participation de façon énigmatique dans son film « The Shining » de 1980. Weidner présente ses arguments dans son documentaire « Kubrick’s Odyssey : Secrets Hidden in the Films of Stanley Kubrick. Part One : Kubrick and Apollo ». Il donne également un bref résumé de sa théorie dans le film documentaire Room 237 (2012), disponible sur vimeo (la contribution de Weidner se situe entre 00:44:25 et 00:51:55, et entre 1:16:00 et 1:16:45). Vous pouvez voir ici la contribution de Weidner sur YouTube :

Quand j’ai entendu parler de cette théorie pour la première fois et que j’ai regardé Room 237 (je n’ai pas regardé le film Odyssée de Kubrick), je n’y ai pas beaucoup pensé. Mais après avoir regardé à nouveau The Shining avec cela à l’esprit, après avoir étudié les autres films de Kubrick (en particulier Eyes Wide Shut,
qui l’a tué d’une façon ou d’une autre) et leurs couches de sens
cachés, et après avoir appris son obsession perfectionniste pour chaque
détail, je trouve cette théorie fascinante, mais aussi très plausible.

Le point de départ de Weidner est l’observation que, bien que le film The Shining
soit prétendument basé sur le roman du même titre de Stephen King,
Kubrick a ignoré le scénario adapté par King lui-même, et a changé
tellement de choses dans l’histoire qu’on peut dire que c’est une
histoire totalement différente, ce qui a rendu King très amer. Kubrick
semble avoir utilisé le roman de King comme couverture pour une histoire
à lui. Ce qui est donc intéressant, c’est de se concentrer
exclusivement sur les éléments du film qui s’écartent du roman de King,
et sur les détails qui ne semblent pas avoir d’incidence directe sur le
récit principal. Weidner n’est pas le seul à adopter cette approche : de
nombreux admirateurs de Kubrick pensent que le film a des
significations cachées. Certains prétendent, de façon convaincante je
crois, qu’il contient des références énigmatiques à la maltraitance des
enfants, un thème sous-jacent également dans Eyes Wide Shut.
Mais Weidner lit dans le film un sous-texte qui équivaut à une
confession autobiographique du rôle de Kubrick dans la simulation de
l’alunissage d’Apollo onze ans auparavant.

Selon cette interprétation, Jack Torrance (Jack Nicholson) représente
Kubrick lui-même, tandis que l’hôtel Overlook (construit sur un
cimetière indien) représente l’Amérique. Le gérant de l’hôtel, Stuart
Ullman (Barry Nelson), maquillé en JFK, représente le gouvernement
américain (ainsi que peut-être le JFK Space Center), tandis que son
assistant Bill Watson, qui observe Torrance sans dire un mot, représente
le monde des renseignements.

Stuart Ullmann (l’État) et Bill Watson (l’État profond)

Deux scènes en particulier donnent les clés de ce récit énigmatique.
La première, c’est lorsque Danny (représentant l’enfant de Kubrick,
c’est-à-dire les films Apollo) se lève en portant un pull Apollo 11, sur
un tapis au design similaire au Launch Complex d’où les fusées
Apollo ont été tirées. Peu après, Danny entre dans la chambre n°237,
qui contient le secret de l’hôtel. Le numéro de chambre était 217 dans
le roman de King, mais Kubrick l’a changé à 237 en référence à la
distance de 237,000 miles qui sépare la terre de la lune (selon
l’estimation courante à l’époque). La « chambre 237 » est en fait la « chambre lunaire », car « chambre/room » ressemble à « lune/moon » lorsqu’on lit le mot à l’envers, et Kubrick nous a appris à lire les mots à l’envers dans la scène où le mot « redrum » devient « meurtre/murder » dans le miroir.

Danny (l’enfant de Jack/Kubrick) est Apollo 11 (une production Disney ?)

La deuxième scène la plus importante du point de vue du sous-texte
énigmatique de Kubrick est lorsque Wendy découvre que Jack, qui est
censé écrire un roman, a tapé une seule phrase à maintes reprises : « Le travail et le manque de loisir font de Jack un garçon ennuyeux. »
Cette phrase, qui doit avoir été choisie par Kubrick pour un but bien
précis, prend un sens secondaire une fois que l’on se rend compte que
Tout/All, dans un script de machine à écrire américaine, ne peut être
distingué de A11, qui peut signifier Apollo 11.

La femme du réalisateur découvre qu’il a fait A(pollo) 11, sans loisir. [Regardez le pllay de la 1ere ligne, NdT]

Lorsque Jack surprend Wendy en train de lire les pages, il lui dit à quel point son contrat est sérieux :

As-tu déjà pensé un seul instant à mes responsabilités
envers mes employeurs ? (…) Est-ce important pour vous que les
propriétaires m’aient fait entièrement confiance et que j’aie signé une
lettre d’entente, un contrat, dans lequel j’ai accepté cette
responsabilité ? (…) Vous est-il déjà venu à l’esprit ce qui arriverait à
mon avenir si je n’assumais pas mes responsabilités ?

Outre ces deux scènes, il existe un certain nombre d’autres indices
qui étayent cette lecture subliminale. Pourquoi Kubrick, par exemple,
a-t-il fait ressembler le dessin de la tapisserie indienne dans le salon
principal à des fusées ? Est-ce que le fait que Jack les vise avec une
balle représente Kubrick « en train de tourner » les films d’Apollo ?

Juste après cette photo, Wendy et Danny vont dans le labyrinthe de
haies. Jack regarde ensuite un modèle du labyrinthe à l’intérieur du
salon, qui se confond avec le vrai labyrinthe en fondu enchaîné,
suggérant que le labyrinthe n’est pas réel. Le plan aérien de l’hôtel
Overlook, qui montre clairement qu’il n’y a pas de labyrinthe à côté de
l’hôtel, laisse également deviner ce fait. Venant de Kubrick, ça ne peut
pas être une erreur de continuité.

Des impossibilités spatiales déconcertantes dans le film ont également été découvertes par des gens étudiant attentivement ce film tels que Rob Ager. Ce ne sont pas des erreurs, car Kubrick s’est donné beaucoup de mal pour les produire. Par conséquent, elles doivent avoir un message à faire passer, peut-être que ce qui semble être à l’extérieur a en fait été filmé à l’intérieur.

Il y a aussi deux brèves allusions à la télévision qui correspondent au prétendu sous-texte : une remarque sarcastique sur la notion que ce qui est vu à la télévision est « OK » (voir la scène ici), et une télévision mystérieusement sans fil (impossible en 1980) montrant le film Summer of 42.

« Tu vois, c’est bon, il l’a vu à la télé ! »

Un autre indice possible laissé par Kubrick pour nous faire savoir qu’il avait l’intention de lire The Shining comme une autobiographie énigmatique, est le documentaire qu’il a demandé à sa fille Vivian de tourner sur le plateau du film (maintenant inclus comme bonus dans les DVDs). Il fait apparaître Kubrick comme un miroir de Jack Torrance. Cela a été détecté même par des critiques sans intérêt pour la théorie d’Apollo, comme Rob Ager, qui écrit :

La décision de Kubrick d’autoriser le tournage d’un documentaire sur le plateau de The Shining
a constitué une rupture sans précédent par rapport à sa politique de
travail ultra-secrète habituelle. Toutes les images de l’arrière-scène
ont été filmées par sa fille Vivian. Sans s’en rendre compte, de
nombreux critiques de cinéma et biographes ont accidentellement
identifié le motif de Kubrick pour la sortie de ce documentaire. À
maintes reprises, ils ont décrit son comportement dans les coulisses
comme étant comparable à celui du personnage principal du film, Jack
Torrance. Une des biographies que j’ai lues (…) affirmait même qu’il y
avait des blagues sur les similitudes d’apparence et de comportement
entre le personnage de Jack Nicholson et Stanley Kubrick. Ma théorie est
que Kubrick a délibérément créé ces parallèles entre lui et Jack, à la
fois dans le documentaire et parmi son équipe en général. Mais l’exemple
le plus frappant de ce parallèle est le traitement dégradant de
l’actrice Shelley Duvall (Wendy) et de l’acteur Scatman Crothers
(Halloran) par Kubrick, tous deux victimes de la folie de Jack Torrance.

Jack is writing a horror story, and so is Stanley, here shown typing in his daughter’s documentary
Jack écrit une histoire d’horreur, tout comme Stanley, ici montré en train de taper un textes dans le documentaire de sa fille.

Moon Landing Skeptic

Note du Saker Francophone : Il semble que Ron Unz soit en guerre personnelle pour dévoiler l'envers du décors, touche après touche. La pression monte doucement mais sûrement et on peut se demander à quel moment le rideau va tomber. On ne perd pas de vue que la crise économique menace, fragilisant encore un peu plus un système bien mal en point. Ou alors c'est un poisson d'avril ... qui sait.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le plus grand flou règne sur l’ampleur exacte des effets secondaires du vaccin. On doit à l’OMS et à sa base partagée par le centre d’Uppsala, la base VigiAccess, de donner quelques éléments d’informations un peu plus fiables que les éléments transmis par l’ANSM en France, et par quelques autres. On retiendra que cette base recense plus d’un million de cas d’effets secondaires pour la seule Europe, et pour la seule année 2021, du fait de la vaccination contre le COVID. Un chiffre qui sème le trouble sur la sincérité des chiffres en France.

Les effets secondaires du vaccin (ou des vaccins) contre le COVID constituent le grand tabou de la communication gouvernementale partout en Europe. Officiellement, le vaccin nous délivre de la maladie et se révèle parfaitement sûr. Sauf que les chiffres officiels, les quelques chiffres qui percent, ne disent pas exactement cela. 

Les effets secondaires selon l’OMS

On en veut pour preuve les chiffres globaux donnés par cette très dangereuse institution complotiste appelée l’OMS, sur la base VigiAccess opérée par l’Uppsala Monitoring Centre, tout ce qu’il y a de plus officiel donc. Nous reproduisons ci-dessus le nombre d’effets secondaires du vaccin comptabilisés par continent, tous vaccins confondus. 

On s’aperçoit que l’Europe est championne de l’effet secondaire, alors qu’elle compte environ 280 millions d’habitants vaccinés (on en compterait 380 millions aux Etats-Unis). Pour être exact, 1.074.200 effets secondaires étaient comptabilisés sur notre continent, soit un cas toutes les 560 millions d’injections environ, ou 1 cas pour 280 vaccinés. Ce n’est quand même pas rien.

Assez étonnamment, la proportion aux Etats-Unis est beaucoup moins importante. 

L’OMS contredit l’ANSM

En France, l’ANSM vient péniblement de reconnaître 90.000 cas d’effets secondaires (mais les autorités françaises sont avares sur les chiffres). 

On sait que la France a pratiqué environ 90 millions d’injections (nous nous contentons ici de cottes mal taillées, car tout recensement au jour le jour est impossible), soit un effet secondaire pour 1.000 injections. Autrement dit deux fois moins en France qu’en Europe. Mais c’est quand même bizarre.

Une fois de plus, ces incohérences dans les données officielles posent la question de la transparence sur les effets du vaccin. Et sur ce point, le débat est ouvert : la démocratie gagnerait à informer le public de façon transparente sur la réalité vaccinale. 

Quels effets secondaires des vaccins ?

Si les chiffres de l’OMS présentent l’inconvénient de ne pas décomposer plus précisément (notamment par vaccins) les effets secondaires, ils ont l’avantage de faire une synthèse chiffrées des différents types d’effets secondaires. 

Certains chiffres alertent. On constate ainsi plus de 100.000 problèmes cardiaques, plus de 115.000 problèmes vasculaires, 225.000 problèmes respiratoires, près de 300.000 problèmes dermatologiques, près de 650.000 problèmes musculosquelettiques… sans compter les 100.000 problèmes psychiatriques. 

On aimerait disposer en France d’un tableau clinique aussi précis. Cela aiderait au consentement libre et éclairé




« La seule urgence, c’est le sursaut parlementaire » : lettre ouverte

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : F.Froger / D6 – FS]

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir

LETTRE OUVERTE – Chambon-sur-Lignon, le 20 septembre 2021 – Madame, Monsieur, chers parlementaires,

Depuis le début de cette mandature, vous légiférez dans l’urgence plus souvent qu’il n’est souhaitable, cela vous agace et c’est bien légitime. Le nombre de motions de rejet préalable et de rappels au règlement occupent plus de place dans vos débats que les échanges constructifs sur le fond. Il est intolérable pour le peuple que vous représentez de voir que l’on coupe vos micros quand votre temps de parole est écoulé, sans vous laisser finir vos phrases.

Sur Public Sénat, deux sénateurs ont témoigné : l’un raconte qu’il a légiféré « avec un pistolet sur la tempe », l’autre qu’elle a eu le sentiment d’être en garde à vue, de ne pouvoir sortir qu’une fois qu’elle aura, non pas avoué, mais voté. C’est édifiant. À travers les parlementaires, c’est le peuple qui est méprisé par le pouvoir en place, et vous ne pouvez pas laisser perdurer cette situation. Il serait long de revenir sur toutes les lois que vous avez votées dans l’urgence, je vous propose de nous concentrer sur la dernière.

Les chiffres officiels

Au moment où vous légifériez dans l’urgence, voilà ce que disaient les chiffres officiels du réseau Sentinelles sur le nombre de cas symptomatiques remontés par les médecins généralistes :

Le seuil d’alerte est de 170 cas pour 100 000 habitants. La semaine où vous légifériez dans l’urgence, on était à moins de dix ! Les chiffres de Santé Publique France sur le nombre de décès avec la covid étaient aussi en baisse. Mais, après que le président s’est exprimé le 12 juillet, ils remontent, avec la reprise de la vaccination. Le jour où vous légifériez dans l’urgence, selon les chiffres officiels, 20 personnes en moyenne mouraient avec la covid, sur plus de 1 600 décès :

Mais ce qui devrait beaucoup plus retenir votre attention, ce sont les chiffres de la pharmacovigilance, pris sur le très officiel site de l’ANSM, sur la mortalité post-vaccination. À ce jour, on a déjà constaté en France :

  • 761 décès suite à la vaccination Pfizzer
  • 206 décès suite à la vaccination AstraZeneca
  • 17 décès suite au vaccin Janssen
  • 44 décès suite au vaccin Moderna

Ces vaccins ont tué plus en six mois, que tous les vaccins confondus en 30 ans. Le minimum que l’on puisse attendre d’un vaccin, c’est son innocuité. Force est de constater qu’elle n’est pas scientifiquement prouvée.

Alors pourquoi avez-vous légiféré dans l’urgence ?

Vous l’avez fait sur la base d’une projection mathématique prépubliée sur le site de l’Institut Pasteur, et retenue par le Conseil scientifique. Or, il se trouve que vous avez été trompés. Cette étude fait l’objet d’une plainte car le modèle mathématique est critiquable du point de vue de plusieurs scientifiques, qui en ont fait une relecture minutieuse. Depuis ce dépôt de plainte, cette étude, comme celle qui avait été publiée par le Lancet sur les traitements précoces, semble avoir été rétractée. La loi cadre que vous aviez votée prévoyait qu’en cas d’amélioration, le décret puisse être levé. Le fait est que le pic épidémique annoncé ne s’est pas produit, et que les chiffres du réseau sentinelles montrent clairement une amélioration ces derniers jours :

De nombreux scientifiques s’appuient sur leur domaine de compétence pour dénoncer les exagérations sanitaires. Au lieu de les faire taire, ne vaudrait-il pas mieux les entendre dans un débat d’idées équilibré ? Il est impossible de les citer tous, mais parlons au moins que quelques-uns d’entre eux : Vincent Pavan, qui dénonce l’étude sur laquelle repose nos privations de liberté ; Amine Umlil, qui souhaite débattre avec Olivier Véran ; Christian Vélot, qui explique pourquoi la vaccination de masse n’est pas nécessairement une bonne idée dans le cas précis du coronavirus, devraient être écoutés. Je ne sais pas s’ils se trompent ou s’ils ont raison. Mais les parlementaires devraient faire en sorte qu’on les entende et que leurs arguments soient confrontés à ceux des ministres. J’attire également votre attention sur la lettre ouverte que BonSens adresse au président de la République.

S’agissant du passe sanitaire

L’OMS ne le recommandait pas, le Conseil européen non plus, les pays qui l’avaient préconisé l’ont abandonné au moment même où vous l’adoptiez dans l’urgence. Soyons pragmatiques et réfléchissons : les vaccins n’empêchent ni la contamination ni la transmission, ils permettent seulement d’atténuer les effets du virus pour éviter les formes graves. Ce sont les bases sur lesquelles les AMM conditionnelles ont été délivrées. Olivier Véran le rappelle au Conseil d’État quand un octogénaire demande, après avoir été vacciné, à ne plus respecter les gestes barrière. Si l’on n’a pas la certitude que les personnes vaccinées ne peuvent pas transmettre le virus, alors il faut exiger pour sa délivrance un test négatif pour tout le monde, pas seulement pour les non-vaccinés. Si cela devait s’avérer inapplicable, alors on s’abstiendrait de le mettre en place.

S’agissant de l’obligation vaccinale

Il faut écouter les scientifiques exposer leurs arguments. Est-ce que la vaccination contre le coronavirus s’apparente à la grippe (nombreux variants) ? Est-ce qu’on peut obtenir une immunité collective avec les quatre vaccins dont on dispose ? Il semble que les effets indésirables graves (1 028 décès après vaccination sur les sept premiers mois) disqualifient les quatre vaccins préconisés aujourd’hui en France, faut-il persister ? Ne vaudrait-il pas mieux s’intéresser à d’autres technologies ? Au vaccin de Valneva par exemple ?

En conséquence, vous devez être inventifs

Le moment est venu de trouver des solutions pour éviter de vous laissez enfermer dans la prochaine procédure d’urgence. Vous connaissez les règles de fonctionnement du Parlement. Vous connaissez la Constitution. Vous avez le pouvoir de nous représenter mais c’est aussi un devoir : pouvoir législatif et pouvoir de contrôle de l’exécutif. Que nous soyons vaccinés volontairement, vaccinés par obligation professionnelle, ou non vaccinés, nous sommes tous pour la liberté et le triomphe de la démocratie !
 
Si vous arrivez à stopper la marche forcée qui vous est imposée, quelque soit la solution que vous proposerez pour sortir de cette impasse, et restaurer la démocratie qui nous est chère, nous, le peuple, vous soutiendrons.
 
Dans l’attente de votre sursaut, nous vous prions d’agréer, nos salutations républicaines.

Dominique Bard, pour un collectif du Haut-Lignon

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir




Bayonne — des soignants virés témoignent




Tous vaccinés, tous menacés

[Source : ripostelaique.com]

Par Laurent Droit

« Tous vaccinés, tous condamnés !! »

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Sur les chaînes de télévision, l’État continue de diffuser toute la journée des spots publicitaires du genre « lutte contre le sida » dans le but de faire « vacciner » un maximum de gens contre le Coronavirus, quels que soient ses autres noms.

Sous le titre/thème « Spot TV sur la vaccination – le débat » celui-ci met en scène une famille ou une bande d’amis à table qui débattent sur l’intérêt ou non du vaccin. Débat, donc avis différents.
Ce qui est clair, c’est que cela représente la grande masse des Français peu instruits de ces choses et en ignorant à peu près tout.
Leur discussion est donc assez stérile.
Voir le spot : https://www.dailymotion.com/video/x83jaht

Cela se termine par un texte froid de l’autorité publique :

– « On peut débattre de tout… sauf des chiffres »
– « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »
– « Tous vaccinés, tous protégés. »
– « Plus d’informations sur les lieux de vaccination sur www.sante.fr »

Et la fin traditionnelle des communications gouvernementales :

À noter qu’aujourd’hui la santé passe après les « solidarités » dans un ministère fourre-tout où on considère que la santé a peu d’importance et passe largement après les solidarités (qui restent à définir et à préciser)…!
C’est totalement stupide comme ordre des priorités…

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Je souhaite maintenant revenir sur la dialectique de ce message de fin.

Primo, « on peut débattre de tout sauf des chiffres. »

Je me demande bien ce que peuvent faire tous nos fantastiques scientifiques qui débattent sans arrêt entre eux de choses chiffrées d’un très haut niveau pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin dans nos vies, dans le monde entier.
On peut parfaitement débattre des chiffres sur leur précision, mais lorsque la démonstration de l’exactitude d’un chiffre a été faite et reconnue par la communauté scientifique, il devient assez difficile de le contester, sauf à apporter une autre démonstration tout aussi exacte mais différente.
Cette formule est donc fausse.
C’est un mensonge.
C’est une « fake-news » d’État !
Elle est faite pour endormir les naïfs et les crédules dans le but de les contraindre mentalement et de les culpabiliser à se faire vacciner.
Pourquoi ? Parce que Macron est le manipulateur en chef de toutes les manipulations de masse en France et que Macron et ses subalternes ont pour mission de faire injecter à tous les Français une substance nocive, dangereuse et à terme mortelle afin de faire diminuer la population française de souche d’origine, dans le cadre du Grand Remplacement et du Great Reset mondial décidé par les mondialistes.
À noter que les immigrés ne sont pas invités au bal des injections.

Secundo, « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »

Cette allégation gratuite est parfaitement mensongère aujourd’hui. C’est en effet tout le contraire qui se passe, car la vérité démontrée et dénoncée par d’innombrables médecins, biologistes et scientifiques non soumis au diktat de la doxa macronienne qui l’ont exprimée de nombreuses fois et de nombreuses manières :
En France et dans le monde, aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées dans des états désespérés ont déjà reçu une ou deux doses d’un des vaccins.
Et leur état désespéré est précisément lié aux effets secondaires dramatiques des pseudo-vaccins de grande toxicité.
J’en ai parlé suffisamment longuement dans mon livre avec tous les liens nécessaires pour en faire une preuve indiscutable : http://cabalard.free.fr/1zemmour.html

Mais je vous ai quand même noté quelques liens importants à la fin de cet article.

Par ailleurs, on ne doit pas dire « le covid », mais « la covid-19 » car il s’agit de LA maladie covid identifiée en 2019.

Tercio, enfin, ce slogan qui fleure bon le dentifrice ou la lessive miracle :
« Tous vaccinés, tous protégés. » est également l’exact contraire de la réalité démontrée dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire que les vaccins sont très dangereux et introduisent dans l’organisme humain de nombreuses substances nocives, toxiques pouvant apporter des pathologies nombreuses et très graves susceptibles d’entraîner la mort dans des délais qui vont de quelques minutes après l’injection à plusieurs mois ou plusieurs années, sans plus de précisions, car nous n’avons pas encore assez de recul pour en juger (il faudrait au moins 5 ans).

La seule vérité c’est que « tous vaccinés » signifie en réalité « tous condamnés à mort » dans des délais inconnus, mais sans doute pas très longs. Mais en aucun cas protégés.

Je souhaite aussi préciser que ces substances hautement toxiques fabriquées et vendues par l’industrie pharmaceutique sont tout sauf des vaccins, comme je l’ai aussi déjà expliqué en long et en large dans mon livre et dans des articles, avec tous les témoignages de nombreux scientifiques non politisés dont la sincérité et l’honnêteté ne peuvent pas être mises en doute.

Nous vivons malheureusement une période extrêmement grave et pénible sur le plan sanitaire où, en plus, l’État Macron totalitaire s’ingénie à mentir au peuple français à longueur de temps dans des buts qui sont aujourd’hui connus de tous, même si beaucoup en doutent encore, tant cela peut paraître incroyable.
Mais des choses encore plus incroyables se sont produites tout au cours notre histoire et il faut quand même que les Français ouvrent un peu les yeux…

Attention, des articles prétendant démentir que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires dangereux et que le rapport bénéfice/risque est largement favorable, courent sur le web. Ce sont des mensonges.
Ne les croyez pas !!!
L’État Macron fait tout pour vous cacher la vérité.

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Ne croyez jamais ce gouvernement de menteurs professionnels, mettez en doute toutes leurs déclarations concernant cette crise sanitaire, éloignez-vous de ces vaccins, refusez-les et avertissez vos amis et votre famille de leurs dangers mortels et aussi exigez que soient largement vendus et distribués les vrais traitements curatifs anciens, connus et efficaces qui ont déjà sauvé des centaines de milliers de personnes atteintes de la Covid-19. Chloroquine et Ivermectine associées à des antibiotiques qui éviteront les complications comme l’azithromycine ou la clarithromycine.

Cela dit, je ne vais pas refaire mon livre ici. Vous n’avez qu’à le lire, il est gratuit et en ligne.

Laurent Droit

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Liens :

Vidéo récente qui semble montrer que Pfizer refuse d’endosser toute responsabilité devant les États quant aux effets secondaires probablement nombreux et létaux de leurs « vaccins. »
Chacun en tirera ses propres conclusions…
« La députée @MicheleRivasi au CSI : beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusent les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires. »
https://twitter.com/boutaour/status/1441354445980258311

« Film Covid, 26 raisons pour refuser les vaccins » 
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

« Dr Zelenko nous dit tout sur le Covid et l’acharnement vaccinal. Accrochez-vous, c’est dur !! »
https://rumble.com/vky0dy-dr-zelenko-nous-dit-tout-sur-le-covid-et-lacharnement-vaccinal.-accrochez-v.html

« Décrypter le coup du passe sanitaire et la stratégie de la caste mondialisée »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

« Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ? » 
https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q

« Covid-19 : la stratégie d’immunité collective par la vaccination est-elle remise en cause en Islande ? »
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-strategie-d-immunite-collective-par-la-vaccination-est-elle-remise-en-cause-en-islande-20210811

« La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique » 
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique

« 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” Covid-19 »
https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

« TRIBUNE – Un aperçu sur le scandale du vaccin COVID-19 et du passe sanitaire »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-le-regne-de-la-cupidite-et-la-chute-de-la-medecine-occidentale-moderne

« Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène (très dangereux) dans les injections Covid et leur létalité » Vidéo très importante en anglais sous-titré de 22’49. 
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Alerte-!-Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-confirme-la-pr%C3%A9sence-d’oxyde-de-graph%C3%A8ne-dans-les-injections-Covid-et-leur-l%C3%A9talit%C3%A9.:c

Docteur Nicole Delépine : « Tous vaccinés, mais pas protégés ! » 
https://ripostelaique.com/tous-vaccines-mais-pas-proteges.html
et aussi :
« Sortir du délire : les thérapies géniques ne sont pas des vaccins » 
https://ripostelaique.com/sortir-du-delire-les-therapies-geniques-ne-sont-pas-des-vaccins.html

Docteur Nicole Delépine : « Des témoignages personnels dramatiques avec l’injection génique se multiplient »
https://ripostelaique.com/des-temoignages-personnels-dramatiques-avec-linjection-genique-se-multiplient.html

Docteur Nicole Delépine, encore une excellente étude de sa part sur le scandale de la vaccination des enfants :
« Il faut stopper la publicité à la vaccination des enfants » 
https://ripostelaique.com/il-faut-stopper-la-publicite-a-la-vaccination-des-enfants.html

« Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur – à coeur ouvert »
La vérité sur les traitements, les tests et procédures, sur l’efficacité des injections.
https://rumble.com/vkybzq-le-dr.-laurent-montesino-ranimateur-coeur-ouvert.html

Le témoignage de cet homme, directeur d’une entreprise de pompes funèbres australienne, est tout aussi important que courageux.
« Le témoignage capital d’un directeur des pompes funèbres » 
https://reseauinternational.net/un-temoignage-capital/
Autre source :
http://www.urantia-gaia.info/2021/09/21/un-temoignage-capital/#more-9853

« Les surprises d’analyses de sang de personnes vaccinées » Observations par plusieurs personnes, dans un laboratoire, d’anomalies sanguines dangereuses, sur une vidéo de microbiologie. Commenté en français.
La conclusion est qu’il s’agit d’un crime à grande échelle, de l’euthanasie collective.
https://rumble.com/vluavl-les-surprises-danalyses-de-sang-de-personne-vaccines.html




Obélix et le Pass sanitaire

[Transmis par Christine Côte]

[Note de Joseph : n’étant pas Obélix et n’ayant pas ne serait-ce que le dixième de sa force physique, le commun des mortels gagne bien sûr à trouver des solutions plus adaptées que la violence.]




Les véhicules électriques sont-ils sains, sûrs et écologiques ?

[Source : courriel]

Ce que vous voyez dans cette vidéo est une voiture électrique raccordée à une borne de recharge avec une cellule en court-circuit, ce qui va déclencher l’incendie et la réaction en chaîne du feu. D’abord l’arrière de la première voiture, puis finalement le feu se propage à toutes les voitures dans cette ligne de charge.

C’est la raison pour laquelle de nombreux parkings souterrains en Allemagne refusent l’accès aux véhicules électriques et ne sont pas équipés de bornes de recharge.

Notez le temps qu’il a fallu pour détruire 3 voitures, 1,15 minute. La première voiture a été détruite en 38 secondes environ.

Le feu ne peut pas être éteint avec l’eau. (c’est un feu électrique et les tensions sont élevées).

À titre d’exemple, le pack de batteries de la Tesla Model 3 fonctionne sur une tension de 350 Volts.

Par ailleurs, aucun service d’incendie ne s’approchera d’une voiture alimentée par batterie en feu à cause des gaz toxiques (l’oxygène et l’azote brûlent dans la réaction produisant des fumées toxiques) produits pendant l’incendie.

À l’heure actuelle, aucune installation de recyclage ne prend les restes d’une voiture électrique incendiée en raison des produits chimiques toxiques contenus dans les batteries.

C’est réjouissant l’écologie. [Ndlr : l’écologie dans sa forme idéologique et fanatique.]




Parodies vaccinales

Par Frédéric H.

2 vidéos parodiques en réaction au clip de propagande vaccinale actuel (« on peut débattre de tout, sauf des chiffres ») :

Le seul vaccin disponible, c’est notre IMMUNITÉ naturelle Cultivons la, préservons la :




Effondrement prévisible du système de santé du Québec ?

[Source : samizdat.qc.ca]

Paul Gosselin (23/9/2021)

À ce stade de la crise du Covid, on a probablement tous entendu parler, entre les branches, de personnes devenues gravement malades, voire décédées suite à suite de son vaccin. Dans mon cas, un beau-frère est décédé dans son sommeil une semaine après son vaccin. Puisqu’on n’a pas fait d’autopsie, alors ça évite d’établir la cause. Je me doute que pour ces cas le système médical québécois recommande fortement aux familles de ne pas demander d’autopsie, si ce n’est de REFUSER toute demande d’autopsie (même de la part des membres des familles directement concernés). Mais avec un laps de temps aussi court, il est LOGIQUE de faire ce lien et poser des questions sérieuses.

Un contact québécois m’a parlé d’un père de famille qu’il connaît, un gars super-athlète, probablement dans le top 5 % des Québécois pour la forme physique (faisant la traversée à la nage du Lac St-Jean), mais qui est décédé deux semaines après sa double dose du vaccin anti-Covid. Il avait des enfants… Évidemment certains n’ont pas été exposés à de telles choses et peuvent penser que ça ne peut t’être que de quelques cas isolés, car après tout: « On nous dit que les vaccins anti-Covid sont efficaces et sécuritaires ». À ceux-là, je vous invite à lire l’article de Hartnett dans les références.

Mais là, non seulement le premier ministre du Québec François Legault met de plus en plus de pression sur la population en général pour imposer le vaccin, mais le 7 septembre il a annoncé qu’à partir du 15 octobre, que tout le personnel médical du Québec doit être vacciné. Cela implique la perte d’emploi pour ceux qui osent refuser. Quel chantage extraordinaire pour imposer le vaccin !! Et le écise que cette exigence vise les organismes suivants :

  • les centres locaux de services communautaires;
  • les centres hospitaliers;
  • les centres d’hébergement et de soins de longue durée, publics, privés non conventionnés et conventionnés;
  • les centres de protection de l’enfance et de la jeunesse;
  • les centres de réadaptation;
  • les établissements privés conventionnés autres que les CHSLD;
  • les ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF);
  • les résidences privées pour aînés;
  • les groupes de médecine familiale (GMF);
  • les titulaires de permis d’exploitation de services ambulanciers et la Corporation d’Urgences-santé;
  • les laboratoires d’imagerie médicale offrant des services publics;
  • les entreprises d’économie sociale en aide à domicile;
  • certains groupes communautaires et acteurs qui offrent des services aux personnes vulnérables.

C’est d’ailleurs le même scénario en France où officiellement que c’est 3,000 membres du personnel médical du système médical français qui seront mis à pied. Mais cette infirmière française rejette ces chiffres et affirme que c’est plutôt 300,000 membres du personnel médical qui seront mis à pied !

UNE INFIRMIÈRE parle vrai :

« Vous pensez vraiment qu’il n’y a que 3 000 soignants mis à la porte ? Les vrais chiffres sont 300 000 !! […] »

(Laurent Du Mcse – VK – 7 minutes – 16/9/2021)



Au Québec, il ne faut pas se leurrer, il est probable que les conséquences du geste irresponsable de François Legault touchant l’imposition du vaccin anti-Covid sur le personnel médical seront EXACTEMENT les mêmes que celles prévues par cette infirmière, c’est-à-dire d’exclure du système de santé un grand nombre de personnes compétentes à un moment où il en faudrait justement plus de personnel. À ce sujet, récemment un autre contact ayant longtemps travaillé dans le système de santé québécois m’a avoué

Je sais de sources sures que le système de santé du Québec s’effondre d’ici quelques mois, un an tout au plus…

Et si on entend parler de plus en plus des conséquences dramatiques des vaccins sur la population en générale, qu’en est-il du personnel médical vacciné ? Un de me contacts m’a raconté l’anecdote (histoire vraie) suivante :

Je connais un gars travaillant dans un CHSLD, un gars en forme, actif, svelte. Un gars jamais malade, pas de diabète, pas de boisson ni de drogue. Quelques jours après son 2e “ vaccin ”, il éprouve une forte douleur dans l’un de ses pieds. Plusieurs médicaments antidouleurs plus tard, il passe une très mauvaise nuit. Le lendemain la douleur est trop forte malgré les analgésiques, il va à l’hôpital et les médecins lui apprennent que son pied est comblé de caillots sanguins et qu’ils doivent l’amputer… Et c’est ce qu’ils ont fait.

Mais ce n’est qu’un cas connu. Et si effectivement au Québec dans les prochaines semaines et mois on commence à faire face de plus en plus aux conséquences dramatiques des vaccins anti-Covid sur le personnel médical vacciné, logiquement on va faire face à événement dramatique et sans précédent, c’est-à-dire une implosion du système de santé. Le premier coup de démolition du système de santé ce sera l’exclusion du personnel médical non-vacciné, mais le deuxième premier coup de démolition du système sera le personnel vacciné qui commencera à tomber suite aux répercussions toxiques du vaccin à l’ARNm… Et à moins de voir reculer le gouvernement sur l’exclusion du personnel médical non vacciné alors il ne faut pas s’étonner que le gouvernement soit pris pour traiter avec une crise de grande envergure. Comment s’en sortiront-ils sans subir (eux-mêmes…) trop de répercussions directes ? À vrai dire le hargne que le gouvernement met pour imposer, par toutes sortes de moyens (et par la menace essentiellement…), le vaccin expose le fait que les Legault et Arruda savent bien qu’il leur reste peu de temps avant que les retombés catastrophiques du vaccin deviennent évidentes aux yeux de toute la population.

On peut s’attendre à quel genre de réaction du gouvernement ?

Que va faire le gouvernement Legault lorsque les conséquences de ses décisions de saboter le système de santé seront manifestes aux yeux de tous ? Que va-t-il se passer quand les gens vont hurler qu’ils paient leurs taxes pour avoir accès au système de santé et que (faute de personnel adéquat) on leur REFUSE les services auxquels ils ont droit ?

Mais on voit une constante dans la gestion gouvernementale, il y a toujours une porte de sortie pour les menteurs et les manipulateurs… Dans ce cas-ci, il faudra créer des coupables. Et ces coupables sont là, tout prêts. Eh oui, vous l’avez deviné, ce sont les non—vaccinés. Ainsi lorsque la crise du système de santé deviendra INDÉNIABLE, Legault et Dubé vont trouver quelques cas de personnes non-vaccinés qui auraient contaminé le personnel médical vacciné. Ah quel horreur ?? Mais, vous vous demandez peut-être comment des personnes vaccinées peuvent attraper le Covid s’ils sont vaccinés ?? Sans doute on vous dira que vous vous posez trop de questions, taisez-vous… Mais enfin, voyant tout le blabla débile sur les variants Delta, Epsilon, etc. il ne sera PAS étonnant qu’on met de l’avant un truc manipulateur du genre : “ On vient de découvrir que chez les non-vaccinés, le Covid fait des mutations multiples qui mettent en danger TOUTE la population. Ainsi pour leur bien (et le bien de la population en général), il faut mettre en isolation obligatoire les non-vaccinés, les mettre en quarantaine, les interner dans des camps(([1] – Et NON, ce n’est pas une blague ou “fake news”. En octobre l’an dernier, le député ontarien Randy Hillier a osé poser des questions à ce sujet, mais on lui a RAPIDEMENT coupé la parole…
Doug Ford gov’t won’t deny COVID-19 quarantine camps are coming to Ontario
(YouTube – 5 minutes – 9/10/2020) )) (ou, si nécessaire, les exterminer)… ” Évidemment l’avenir seulement diras si ces spéculations seront complètement réfutées et à coté de la plaque ou s’ils seront dépassées par la réalité des événements…

Évidemment ça peut sembler complètement farfelu, si ce n’est irresponsable, de se permettre de telles spéculations, mais faisons face à la dure réalité actuelle. Cher lecteur/lectrice, si tu pouvais reculer dans le temps et raconter à ton moi du premier janvier 2020 TOUTES les restrictions, violations de liberté et changements de comportement que tu as déjà vus, ne penses-tu pas que ton moi du début 2020 ne trouverais pas complètement farfelues tes affirmations et te demanderait pas si tu as (peut-être) fait des abus de substances hallucinogènes, si ce n’est de te traiter de complètement dérangé, cinglé et irrationnel ??

Comment on construit un bouc émissaire commode

Voyons le cas du Mega Fitness Gym à Saint-Romuald. (avril 2021). Ce qui est un fait est qu’un client du gym, Étienne Desrochers-Jean est décédé à cette époque. La journaliste de RadioCan Marie Maude Pontbriand (7/4/2021) précise au sujet de Desrochers-Jean que

Il avait auparavant reçu un résultat positif à un test de dépistage de la COVID-19, mais rien ne permet d’affirmer qu’il a contracté le virus au Mega Fitness Gym.

Est-ce que l’on peut prouver que le Covid a vraiment tué cet homme ? Je me le demande… Enfin, si la famille de Étienne Desrochers-Jean a toutes mes sympathies les plus sincères, évidemment pour le gouvernement ce décès est TRÈS commode et ce n’est pas un hasard non plus que les grands médias leur ont donné toute cette attention à ce cas de décès particulier (et pas à d’autres).(([2] – Tout en ignorant totalement les pertes d’emploi et suicides résultant des politiques de restrictions et isolement qu’a mis en place le régime de Legault.)) Dans un article par le journaliste Alain Rochefort (RadioCan – 7/4/2021), le Mathieu Boivin, le porte-parole du CIUSSS de la Capitale-Nationale, fit ces commentaires :

Bien sûr, dans le contexte épidémiologique actuel, nous n’hésiterons pas à utiliser tous les moyens et leviers à notre disposition pour contrer toute menace à la santé et la sécurité de la population de la Capitale-Nationale. C’est ce que nous avons fait dans cet établissement, ajoute M. Boivin.

Et le titre cet article ultra-culpabilisant de Rochefort fait valoir que 419 cas de covid sont liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. Oh, encore des cas, c’est-à-dire des positifs au test PCR que tous savent ne signifient rien… En général les gens classés positifs au test PCR ne sont pas malades, c’est-à-dire n’ont pas de symptômes de Covid. Et Rochefort va plus loin en insinuant (à mots couverts) que la troisième vague de Covid dans la région de Québec (et TOUTES les restrictions qui suivent) soit de la faute du Mega Fitness Gym.

L’éclosion dans ce gym, propriété de Daniel Marino, qui a  défié la santé publique à quelques reprises, ne peut cependant être considérée comme la cause unique de la troisième vague à Québec, insiste la santé publique.

Et dans le dossier du Mega Fitness Gym on a même vu RadioCan (Marie Maude Pontbriand – 5/4/2021) donner la parole au maire de la ville de Québec afin qu’il s’en prenne au poste Radio X qui avait un moment appuyé le Mega Fitness Gym. Dans l’article de Pontbriand, Labeaume a d’ailleurs traité RadioX de dangereux et les proprios du gym, d’irresponsables. Dans un autre article par Sébastien Tanguay (RadioCan – 3/4/2021) on a encore donné la parole au maire Labeaume qui a proféré la menace légale suivante (pas très voilée) à l’égard du proprio du gym, menace qui évidemment vise tout autre commerce osant braver les restrictions.

Selon le maire de Québec, autant le Mega Fitness Gym que le [bar] Kirouac sont bien chanceux qu’au point de vue légal, la loi ne puisse pas les rejoindre.

Et dans le même article de Tanguay, Labeaume en rajoute du guilt-mongering au sujet du proprio du gym :

C’est le cas parfait. Le gars, grand génie, contestait les mesures sanitaires et ironiquement, ironiquement, ce grand monsieur-là, tout d’un coup, a fait que la pandémie déferle en ville. Il en est grandement responsable. 

Récemment un copain m’écrivait disant :

Plus le temps passe et plus l’on est enclin à penser que plusieurs États et gouvernements profitent d’un maintien de la crise à des fins autres (politiques). Il est étonnant de constater le silence généralisé des ordres professionnels du milieu de la santé, des syndicats, des partis d’opposition, etc. Avec l’expérience on apprend que quand tous les médias disent de regarder quelque part, l’action véritable se passe souvent ailleurs. Peut-on suggérer par exemple, des objectifs tels que la mort planifiée des États-Nations souverains, la disparition des classes moyennes instruites avec un retour vers une prochaine génération moins (ou mal) instruite et dont le principal caractéristique serait la docilité ?

Un autre contact m’a souligné qu’au Québec, les partis de l’opposition politique ne sont pas silencieux, mais en fait sont manifestement tout à fait complices du néo-totalitarisme que l’on installe au Québec, décret par décret, loi spéciale, par loi spéciale… Voici une nouvelle (offert par les journalistes Vincent Larin et Geneviève Lajoie de TVA – 23/9/2021) qui offre un élément de preuve de plus de cette tendance, soit l’adoption par l’Assemblée nationale du Québec d’une loi interdisant aux “ antivaccins ” de manifester à moins de 50 mètres des garderies, écoles, hôpitaux ou de centres de vaccination et de dépistage. Larin et Lajoie observent :

“ Si la version initiale du projet de loi du gouvernement prévoyait déjà des amendes salées, de 1000 à 6000 $ pour les manifestations et de 2000 à 12 000 $ pour les menaces ou l’intimidation, elles ont finalement été doublées. (…) Geneviève Guilbault a toutefois rejeté la demande du Parti libéral du Québec de permettre aux tribunaux d’emprisonner jusqu’à six mois les multirécidivistes, une mesure qu’elle juge “excessive”. ”

On constate ici que la supposée « opposition » est en fait un acteur très important pour aider à maintenir une dictature, car ils demandent toujours pire que ce que la CAQ finit par appliquer. Quelle folie! Et les journalistes Larin et Lajoie citent la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault qui dit :

« Geneviève Guilbault voit aussi “un lien manifeste” entre les critiques contre les mesures sanitaires et celles contre le gouvernement. C’est pourquoi “si quelqu’un, sur Facebook, écrivait « le gouvernement, dictature, blablabla, allons protester […] devant telle école », le policier pourrait déjà interdire”, dit-elle.  »

C’est curieux comment cette classe dirigeante tolère si peu les critiques. Mais s’ils n’aiment pas se faire traiter de totalitaires, la solution est pourtant simple. Ils n’ont qu’à commencer à montrer du respect de la Charte des droits ainsi que du respect envers le peuple. Et qui sait? Et si cette nouvelle loi anti-manifestations n’est justement pour but de se protéger des effets qu’ils ont prévus de l’effondrement du système de santé du Québec suite à leur exclusion du personnel médical refusant le vaccin? Une telle loi laisse bien entendre que l’effondrement du système de santé est non pas un accident, mais voulu…

Il est donc clair que cette classe dirigeante a un mépris très profond des droits du peuple. La liberté d’expression ? Oui, on veut bien vous accorder ce privilège, mais à la condition que vous pensez exactement (et servilement) comme nous… On se retrouve donc avec un régime tout à fait comparable aux régimes islamiques. Sous un régime islamique intégriste, où règne la Charia, puisque l’État est considéré “ défenseur de l’Islam ”, alors un critique contre l’État (ou ses dirigeants) est alors considéré intolérable, car implicitement une critique contre l’Islam. Ainsi, au Québec avec le parti de François Legault on se retrouve avec un régime intégriste, totalitaire où le covidisme devient Vérité (ou religion) d’État et ainsi la critique contre le covidisme est désormais considérée une hérésie qu’il faut chasser. On a donc affaire à une nouvelle Inquisition High Tech. Qu’auraient fait les inquisiteurs du Âge avec le contact-tracing je me le demande ? On peu supposer que ça leur aurait grandement facilité leur travail…


Ressources

Le fanatisme religieux Covidien /Covidian Religious Fanaticism.


Références

John Gideon Hartnett (2021) Les injections anti-COVID tuent un grand nombre de personnes, prévient le docteur COVID de haut niveau Peter McCullough. (Samizdat)

Lance D Johnson – Canadian government erecting a network of covid detainment camps and “isolation” sites to incarcerate those who don’t cooperate with medical tyranny. (JellyFIsh News – 16/410/2020)

Vincent Larin et Geneviève Lajoie – La loi pour repousser les manifestations en lien avec les mesures sanitaires adoptée. (TVA Nouvelles – 23/9/2021)

François Legault – Pandémie de COVID-19 – Le gouvernement du Québec annonce la vaccination obligatoire des intervenants de la santé et des services sociaux. (Publié par : Cabinet du ministre de la Santé et des Services sociaux ; En collaboration avec : Cabinet du premier ministre) – 7 septembre 2021, 17 h 23

François Legault – CONCERNANT l’ordonnance de mesures visant à protéger la santé de la population dans la situation de pandémie de la COVID-19. [la version administrative du décret numéro 1276-2021 du 24 septembre 2021] -> loi anti-manifestations

Marie Maude Pontbriand – COVID-19 : le coroner enquête sur la mort d’un membre du Mega Fitness Gym. (RadioCan –7/4/2021)

Alain Rochefort – 419 cas liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. (RadioCan – 7/4/2021)

Marie Maude Pontbriand – Régis Labeaume s’en prend à Dan Marino et aux propriétaires de CHOI. (RadioCan – 5/4/2021)

Sébastien Tanguay – Le maire Labeaume vitriolique envers le Mega Fitness Gym. (RadioCan – 3/4/2021)


Notes




URGENT : Véran rétropédale sur les sanctions aux soignants non-vaccinés en arrêt-maladie

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Après avoir annoncé en toute illégalité l’interruption des versements maladies pour les soignants non-vaccinés, Olivier Véran a bien dû manger son chapeau. Alors que, depuis plusieurs semaines, les directeurs d’hôpitaux avaient affirmé aux non-vaccinés que, même en arrêt-maladie, ils ne percevraient aucun revenu, une circulaire diffusée par les ARS aux chefs d’établissement a finalement rétabli le droit. On y verra un signe supplémentaire de la « légèreté » avec laquelle l’équipe actuellement au pouvoir traite les dossiers du pays.

Les soignants non-vaccinés ont fait l’objet, depuis le mois d’août, d’un déferlement de violence managériale sans égal, dans l’indifférence générale des organisations syndicales représentatives dont il faudra se souvenir le jour J.

Cette violence inouïe d’une institution vis-à-vis de ses salariés ne s’est pas seulement déployée dans des comportements de harcèlement ponctuel (nous avons reçu des témoignages accablants sur des chefs d’équipe interpellant des collaborateurs en réunion pour les interroger sur leur statut vaccinal et les humilier sans complexe sur leur refus du vaccin). Elle s’est aussi traduite par un harcèlement institutionnel, avec une multitude de mails, de SMS, de courriers recommandés ou non, contenant des menaces et des intimidations. 

Dans la panoplie de ce harcèlement, les hôpitaux ont utilisé une arme absolument illégale, qui a beaucoup inquiété les soignants : l’interruption des indemnités maladie pour les soignants non-vaccinés. Beaucoup ont en effet légitimement craqué sous la pression haineuse qui s’est exercée sur eux au mois d’août, et ont souvent plongé dans un désespoir et une angoisse qui les ont obligés à s’arrêter avant le 15 septembre. 

Une menace illégale des hôpitaux

Nous avons eu l’occasion à plusieurs reprises, depuis le mois d’août, de rappeler que l’interruption des versements maladie était illégale en cas de suspension de l’agent. La règle est simple : un agent malade peut être suspendu (sans traitement) durant sa maladie, mais l’interruption de traitement ne commence qu’à la fin de l’arrêt-maladie

Cette règle vaut pour les suspensions intervenues après le début de l’arrêt-maladie, mais aussi pour les arrêts maladie qui interviennent pendant la suspension. Une jurisprudence constante prévoit qu’un agent suspendu bénéficie d’une indemnisation de sa maladie. Comme on le voit dans la capture d’écran ci-dessus : le ministère de la Santé a fait un premier pas en appliquant la règle du maintien de l’indemnisation maladie commencé avant la suspension. Reste à franchir la deuxième étape, qui est de reconnaître clairement qu’un agent suspendu qui tombe malade doit être indemnisé. 

Une violence patronale rare

Il faudra quand même un jour tirer le bilan des six semaines qui viennent de s’écouler, en documentant les fautes commises par le gouvernement relevant de la correctionnelle (et incontestablement, menacer illégalement des fonctionnaires a participé à un harcèlement moral qui relève du code pénal), et mener les procédures utiles pour obtenir réparation de ces fautes.

Dans la pratique, le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet a donné le signal d’un déferlement de haine contre les non-vaccinés que certains affidés se sont chargés de propager. On pense au président de la Fédération Hospitalière Française (FHF), Frédéric Valletoux, accessoirement maire de Fontainebleau, qui a consciencieusement adopté les lignes les plus extrémistes, violant la loi au passage, contre les soignants résistants. 

Il en est ressorti une violence patronale dans les hôpitaux qui méritera d’être réparée comme il se devra. 




Les Opérations d’influence chinoises

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

L’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) en France a récemment publié un rapport de 646 pages intitulé « Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien ». Ce volumineux rapport a été rédigé par Paul Charon (directeur du domaine « Renseignement, anticipation et menaces hybrides » de l’IRSEM) et Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (directeur de l’IRSEM).

Pendant longtemps, on a pu dire que la Chine, contrairement à la Russie, cherchait davantage à être aimée que crainte ; qu’elle voulait séduire, projeter une image positive d’elle-même dans le monde, susciter l’admiration. Pékin n’a pas renoncé à séduire, à son attractivité et à son ambition de façonner les normes internationales, et il reste essentiel pour le Parti communiste de ne pas « perdre la face ». Mais, en même temps, Pékin assume de plus en plus d’infiltrer et de contraindre : ses opérations d’influence se sont considérablement durcies ces dernières années et ses méthodes ressemblent de plus en plus à celles employées par Moscou. C’est un « moment machiavélien » au sens où le Parti-État semble désormais estimer que, comme l’écrivait Machiavel dans Le Prince, « il est plus sûr d’être craint que d’être aimé ». Ce qui correspond à une « russianisation » des opérations d’influence chinoises.

Ce rapport s’intéresse à cette évolution, avec l’ambition de couvrir tout le spectre de l’influence, de la plus bénigne (diplomatie publique) à la plus maligne, c’est-à-dire l’ingérence (activités clandestines). Pour ce faire, il procède en quatre parties, présentant successivement les principaux concepts ; les acteurs mettant en œuvre ces opérations, notamment la base 311 de l’Armée populaire de libération ; les actions conduites par Pékin à l’égard des diasporas, des médias, de la diplomatie, de l’économie, de la politique, de l’éducation, des think tanks et en termes de manipulations de l’information, entre autres leviers ; et enfin quelques études de cas (Taïwan, Singapour, Suède, Canada, et les opérations ayant visé les manifestants hongkongais en 2019 ou cherché à faire croire à l’origine américaine de la Covid-19 en 2020). La conclusion revient sur cette « russianisation », qui a trois composantes : Pékin s’inspire de Moscou dans plusieurs registres, il subsiste évidemment des différences entre les deux, et il existe aussi un certain degré de coopération. Pour finir, le rapport évalue l’efficacité de cette nouvelle posture chinoise qui peut s’enorgueillir de certains succès tactiques, mais constitue un échec stratégique.


Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien

Pour lire la suite : L’Institut de recherche stratégique de l’École militaire a publié son rapport : Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien




Dictature sanitaire : bon résumé par un professeur de droit

https://twitter.com/PATRIOTOSORUS/status/1441613423788298240?s=20