France — 60 % des voitures à éliminer d’ici 6 mois et autres mesures d’étouffement économique du peuple

[Source et auteur : nicolasbonnal.com]

Passe de circulation. Vignette crit’air. Dans six mois 60% des voitures (trop vieilles ou pas assez électriques) vont être interdites sur le territoire. Puis 80%. Livraisons interdites et famine. C’est le passe vert mis en place dans leurs métropoles. Le parc auto finira à la poubelle. C’est sur Sud Radio, pas chez les paranos. Le Grand Reset est donc en place. Les COMPTES AU-DESSUS DE TROIS MILLE EUROS VONT AUSSI être interdits. Que va-t-il se passer ? Mort lente en série ou révoltes ? On verra. Le Français a donné toutes les garanties de soumission au système monstrueux d’extermination de masse qui se met en place là. Vive leur Europe en tout cas. BFM : « La plupart des grandes villes françaises vont devenir des ZFE (zones à faibles émissions) d’ici à 2024, avec des plans d’exclusion des véhicules les plus anciens de la circulation. » Tout est déjà voté : alors révoltez-vous ou dormez/crevez.

Nicolas Bonnal

Crit’Air | Ministère de la Transition écologique (ecologie.gouv.fr)

https://www.linternaute.com/auto/guide-pratique-auto/1313313-vignette-crit-air-les-crit-air-4-interdits-dans-le-Vignette Crit’Air : les Crit’air 4 interdits dans le Grand Paris, comment commander les vignettes ? (linternaute.com)

Vignette ou pastille Crit’Air (certificat qualité de l’air) | service-public.fr

En pleine crise économique, le Gouvernement calcule comment interdire la voiture à la moitié des Français (40millionsdautomobilistes.com)

Pourquoi des millions de voitures ne pourront bientôt plus rouler dans les grandes villes (bfmtv.com)

Interdit de respirer, de rouler, de se soigner, et de travailler…

Un lecteur



Le Portail du Grand Changement: Ivan Rioufol : « le Pass sanitaire ne protège rien ! »

Ivan Rioufol : « le Pass sanitaire ne protège rien… c’est une mesure d’allégeance à la politique sanitaire du gouvernement ! »

Ivan Rioufol: « le Pass sanitaire ne protège rien… c’est une mesure d’allégeance à la politique sanitaire du gouvernement ! » (businessbourse.com)

Les individus non vaccinés contre le covid ne pourront plus quitter le Canada par voie aérienne – Egalite et Réconciliation (egaliteetreconciliation.fr)




Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Chers amis,

Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups. 

6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.

Amicalement, Julie

Julie STEVENS

À La Hulpe

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.(([1] « Event 2021 » par le Dr Richard Fleming, version doublée vocalement en français :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/fleming-presentation)) En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente —, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes — les médecins généralistes — ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens — mais ne contraint aucune institution — constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité — avouée par tous les chercheurs honnêtes — à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »(([2] Terme que j’emprunte au doyen du barreau de Grenoble, Me Jean-Pierre Joseph
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/pass-sanitaire-ou-pass-suicidaire)) est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et — ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre — le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1— Fiabilité des études préliminaires :

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts(([3] Par exemple Christine Cotton, biostatisticienne forte de 23 ans d’expérience dans la lecture critique des essais cliniques
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4)) leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2— Efficacité du vaccin :

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3— L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante.

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1 %) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4— Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19.

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov 2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel — une « chimère » — dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue.

5— De la vaccination obligatoire et généralisée.

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul
pour un Covid « naturel » entre 0 à 14 ans,
il est non nul pour l’administration du vaccin.
Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités
de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical — et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale — peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton ou du Dr de Lorgeril (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir — quand la vérité sera enfin établie — la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna — qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères — et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes — de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent — sans souvent pouvoir le démontrer — que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD.(([4] http://youtu.be/Vdg4vVmFy5g)) Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois).





PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

[Photo : Le Pape écoute une question lors de la conférence de presse sur le vol Bratislava-Rome, le 15 septembre 2021.  (Vatican Media)]

Le journaliste Bohumil Petrik (Denník Štandard) :

« La vaccination a divisé les chrétiens, également en Slovaquie. Vous dites que se faire vacciner est un acte d’amour. … Il y a différentes approches dans les différents diocèses sur ce point. Alors, on aimerait tous savoir comment s’entendre, comment se réconcilier sur cette question. »

Citation de François :

« … l’incertitude concernant la réputation de certains vaccins qui ne sont rien d’autre que de l’eau distillée. Cela a apeuré les gens. Puis, d’autres qui disent que c’est un danger, car avec le vaccin, vous êtes infecté… Je ne sais pas bien l’expliquer : certains disent que les vaccins ne sont pas suffisamment testés. Au Vatican, tout le monde est vacciné, sauf un petit groupe… »

Commentaire : Bergoglio admet qu’il ne sait pas bien l’expliquer, mais malgré cela, il utilise l’autorité papale afin de promouvoir des slogans tels que « le vaccin pour tous », « cela doit être fait », « se faire vacciner est un acte d’amour ». La réalité, aujourd’hui, c’est que le fabricant, le gouvernement ou le professionnel de la santé qui vous injecte le vaccin refusent d’assumer la responsabilité de ce vaccin, mais si vous refusez de vous faire vacciner, vous êtes étiqueté comme étant un(e) irresponsable ! Et Bergoglio ajoute que vous n’avez pas non plus d’amour !

Que disent les meilleurs scientifiques et experts ? En plus de beaucoup d’autres, mentionnons juste un récent avertissement urgent du professeur S. Bhakdi d’Allemagne, qui a de nombreuses années d’expérience dans la recherche en tant que microbiologiste et virologue. Il parle de la fraude mondiale au Covid, et d’une fraude encore plus grande concernant la vaccination mondiale contre le Covid. Il met en garde :

« Ne permettez à personne de vous faire de la propagande afin que vous obteniez la deuxième dose ! Si vous avez déjà reçu la première injection et que tout va bien pour vous, remerciez Dieu pour cela. Mais assurez-vous de ne pas obtenir la seconde injection, car alors le danger est vraiment grand. Les lymphocytes tueurs attaquent le corps et peuvent bloquer les vaisseaux sanguins… ce qui peut conduire à une maladie auto-immune, où le corps commence à s’attaquer lui-même ».

Les médecins allemands sont choqués par l’apparence du sang après la vaccination contre le covid-19, et déclarent n’avoir rien vu de tel en 30 à 40 ans de pratique. (https://odysee.com/videoghj:1)

Seule l’immunité innée — immunité « générale » à large spectre — peut mettre fin à cette soi-disant pandémie. Les vaccins ne peuvent jamais arrêter la mutation, l’infectiosité ou la transmission du covid-19, pour la simple raison que ces vaccins ne perçoivent jamais l’avenir, et même le CDC admet qu’ils ne peuvent pas empêcher l’infection ou la transmission. Actuellement, 2,4 milliards de personnes dans le monde sont vaccinées. Même si la vaccination prenait fin maintenant, un milliard de personnes dans le monde pourraient en mourir dans les trois prochaines années.

Ce sont des faits disponibles auprès des experts aujourd’hui. Dans ce contexte, il est choquant que si quelqu’un en Slovaquie souhaite assister à une célébration religieuse avec Bergoglio, la condition était qu’il devienne un rat de laboratoire et reçoive deux doses de vaccin expérimental. Le Code de Nuremberg inclut les expériences effectuées sur les êtres humains parmi les crimes contre l’humanité. Bergoglio ne le sait-il pas ? N’a-t-il pas pitié de ces gens ? Sera-t-il responsable des conséquences, qu’il s’agisse de mutilations ou de décès prématurés chez les jeunes ?

Un vrai berger est obligé de mettre en garde radicalement contre ces dangereux vaccins sur base d’informations véridiques provenant d’experts incorruptibles. Faire appel à ou prendre ses sources à partir des arguments provenant des médias mainstream ou de politiciens corrompus, constitue une trahison du service pastoral. C’est ce que Bergoglio, qui est un faux berger, fait.

Journaliste Gerard O’Connell (America Magazine) :

« … Comme vous le savez, aux États-Unis, après les dernières élections, il y a eu une discussion parmi les évêques concernant le fait de donner la communion aux politiciens qui ont soutenu les lois pro-avortement. Il y a des évêques qui veulent refuser la communion au président et à d’autres. Que pensez-vous de cette réalité, et que recommandez-vous aux évêques ? ».

Citation de François :

« Celui qui pratique un avortement tue. À la troisième semaine de conception, tous les organes sont déjà là. Tous. Même l’ADN. … C’est une vie humaine. Cette vie humaine doit être respectée. Ce principe est si clair. … Est-il juste, est-ce juste, de tuer une vie humaine pour résoudre un problème ? Est-il juste d’engager un tueur à gages pour résoudre un problème ? … C’est pourquoi l’Église est si stricte sur cette question, car accepter cela, c’est un peu comme accepter un meurtre quotidien ».

Commentaire : Ici, Bergoglio dit la pure vérité, exactement comme l’Église l’a toujours prêché. Mais quel paradoxe qu’en même temps, il promeuve cyniquement un vaccin qui contient des tissus arrachés à un bébé à naître, avant que ce bébé ne soit tué ! Il impose avec véhémence ce vaccin à tout le monde, et dit de manière manipulatrice que c’est un acte d’amour !

Il ne répond pas du tout à la question de savoir si la position des évêques américains qui veulent refuser la communion aux partisans publics de l’avortement, c’est-à-dire du meurtre, est correcte ou non. Il est de son devoir d’avertir et d’admonester les politiciens catholiques aux États-Unis et, en outre, non seulement de leur refuser la communion, mais même de les expulser publiquement de l’Église s’ils continuent à promouvoir le meurtre d’enfants à naître et refusent de se repentir. Bergoglio élude cependant cette question et soutient publiquement ces politiciens, même au cours de la campagne électorale.

On sait également que Bergoglio a fait l’éloge d’un avorteur notoire en Italie, responsable de plus de dix mille avortements ! De plus, il l’a béni pour la suite du « travail ». Selon l’enseignement de l’Église, non seulement ceux qui ont avorté sont accusés de meurtre, mais aussi ceux qui y ont participé. Bergoglio bénit les meurtres de masse, appelle le meurtre « travail » et lui donne une décoration papale. C’est pourquoi il est également passible d’une peine pour le meurtre d’enfants à naître. De plus, il est de son devoir d’avertir les politiciens, et s’il ne le fait pas, les paroles de saint Basile s’appliquent à lui :

« Celui qui a le devoir de réprimander dans l’Église et ne le fait pas sera puni comme un meurtrier ».

Citation de Bergoglio :

« Vous souvenez-vous de la tempête provoquée par Amoris Laetitia ? “Hérésie, hérésie !” Dieu merci, il y avait le cardinal Schönborn, un grand théologien qui a clarifié les choses… »

Commentaire : L’exhortation Amoris Laetitia contient-elle des hérésies, ou est-elle orthodoxe ? Pourquoi François, depuis plusieurs années, n’a-t-il pas du tout répondu aux doutes de quatre cardinaux ? Pourquoi n’a-t-il pas répondu à la Correction Filiale émise par les intellectuels et théologiens catholiques ? Au lieu de cela, il fait appel au théologien hérétique Schönborn. Schönborn est connu pour promouvoir l’homosexualité, et a maintenant transformé la cathédrale de Vienne en centre de vaccination.

Journaliste Stefano Maria Paci (télévision italienne Sky TG24) :

« La question concerne la famille : vous en avez parlé avec les autorités hongroises, et hier est arrivée la nouvelle d’une résolution au Parlement européen, résolution qui invite les États membres à reconnaître les mariages homosexuels. Que pensez-vous de ceci ? »

Citation de François :

« Ce sont des lois qui essaient d’améliorer la situation de nombreuses personnes d’orientations sexuelles différentes. Et c’est important… Les États ont la possibilité de les soutenir civilement, de donner une sécurité par l’héritage [l’assurance] santé… »

Commentaire : L’année dernière, dans un documentaire intitulé « François », le pseudo-pape a publiquement soutenu, pour la première fois, la légalisation du mariage homosexuel et de l’adoption d’enfants par les homosexuels. Comme il y avait beaucoup de bruit à ce sujet, on a rapidement soutenu qu’il ne s’agissait que d’un film. Mais Bergoglio ne se défendit pas, il se tut. Et à présent, dans l’avion, au moment où le Parlement européen a publié une résolution, il (François) soutient ouvertement le mariage civil entre personnes du même sexe.

L’enseignement de l’Église est qu’un catholique qui est enclin à l’homosexualité doit combattre cette concupiscence pécheresse, et éviter la prochaine occasion de pécher parce que le salut de son âme immortelle est en jeu. Le mariage homosexuel signifie légaliser l’obstination dans le péché, et rejeter la repentance salvatrice. Si Bergoglio dit qu’ils sont des enfants de Dieu qui n’ont pas besoin de se repentir, et que l’Église doit les accompagner, alors nous demandons : pour aller où ? Vers l’abîme de l’enfer ?

Bergoglio est coupable d’un plus grand péché que les homosexuels, parce qu’il abuse de la plus haute autorité ecclésiastique afin de légaliser le péché.

La sodomie fait tomber une malédiction et l’Écriture met en garde contre elle, parlant du feu temporel et éternel (Jud 1:7 ; 2P 2:6).

De plus, l’homosexualité est désormais associée à une anti-législation décadente, qui promeut l’idéologie du genre, la chirurgie de conversion sexuelle et le vol d’enfants par les services sociaux.

Il est gênant que la plus haute autorité ecclésiastique utilise l’héritage ou l’assurance-maladie comme argument en matière de mariage homosexuel, ferme les yeux sur les dégâts moraux pour les individus et la société, et boycotte la chose la plus importante, qui est le salut de l’âme.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 16 septembre 2021

Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

Abonnez-vous aux newsletters du PCB :
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Grève nationale contre la vaccination en Israël

[Source : Cogiito]

Par Shai Shelly & Philippe A. Jandrok

La grande grève a commencé en Israël

ISRAËL S’ÉVEILLE ENFIN, ET CRIE STOP AU CRIME VACCINAL ET AU MENSONGE D’ÉTAT.

Alors que la presse israélienne aux ordres, refuse de diffuser l’information de cette prise de conscience, le peuple manifeste aujourd’hui son épuisement et son ras-le-bol face à la situation COVID et aux vaccinations criminelles dans tout le pays. Les voitures s’accumulent, se mettent les unes derrière les autres pour bloquer la circulation, le peuple ferme le pays d’une ville a l’autre, toutes les villes sont désormais solidaires dans ce combats pour la vie, pour la survie de tout un peuple.

La négation de la science a pour conséquence, la privation des libertés mais également le massacre de la population israélienne et internationale à l’échèle d’un nouvel Holocauste comme l’affirme le Dr Zelenko à New York, Vera Sharav rescapée des camps et combien d’autres ?

https://www.youtube.com/embed/NGoWgYHl7Os



Le peuple israélien ne supporte plus cette privation de liberté et ce nouvel holocauste organisé par les laboratoires, les industriels de la pharmacie, les banques et le gouvernement Israélien.

Les preuves scientifiques sont criantes, ils ne peuvent plus mentir, ils ne peuvent plus les cacher, les vaccins anti-COVID sont dangereux, mortels, destructeurs de la vie ; le jour de la révolte pour la vérité et l’humanité est enfin arrivé… en Israël.

En ce jour béni, les voitures bloquent tout le pays et toutes les rotondes par des opérations escargots.

DES DIZAINES DE MILLIERS DE CITOYENS ONT PORTÉ PLAINTE CONTRE LA POLICE ET LE GOUVERNEMENT POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Des centaines de milliers de personnes sont dans les rues à manifester et ils ne vont pas cesser de bloquer le pays tant que le gouvernement n’annulera pas le passeport vert et les obligations vaccinales.

La vérité est enfin découverte par le peuple, malgré les dissimulations de Facebook, Youtube et les médias techno-nazis, les vaccins Pfizer ont tué des centaines de milliers de personnes dans tout le pays, alors que le ministre de la santé a déclaré officiellement :

“QU’IL N’Y AVAIT PAS DE VICTIMES VACCINALES APRÈS LA TROISIÈME INJECTION”.

20 000 citoyens ont témoigné que les israéliens sont soit blessés avec de graves effets secondaires, soit ils décèdent rapidement après les injections du vaccin Pfizer.

Le peuple Israélien veut mettre un terme à ce massacre et réclame de retrouver son statut d’êtres humains libres comme avant le déclenchement de la crise pandémique du Coronavirus.

Nous sommes à l’ère des révélations, les psychopathes organisateurs de cette pandémie ne pourront plus se cacher et leurs complices hommes et femmes politiques, médecins, personnels soignants, fonctionnaires, policiers, toutes ces personnes qui ont joué un rôle dans ce crime contre l’humanité devront rendre des comptes.

Klaus Schwab, grand ordonnateur du Forum Economique Mondial nous averti de sa fausse bienveillance et de sa prochaine globale cyber attaque – car nous pensons qu’il n’y est pas étranger – pour empêcher l’humanité d’accéder à la véritable information et pour permettre aux banques d’imposer la monnaie numérique en pillant l’argent des citoyens du monde entier. Cette opération sert également à tous ces criminels pour s’échapper, se cacher et tenter de garder le contrôle sur notre humanité.

Restons lucides, ne cédons à aucune panique, celles et ceux qui portent la lumière de la vérité devront tenir bon face à la tempête qui s’affaiblit de jour en jour. Le peuple vaincra car, il est dans la vérité.

Il ne tient qu’à nous toutes et tous, êtres bienveillants de faire s’écrouler ce géant aux pieds d’argile.





https://www.facebook.com/nurit.orvieto/videos/289437172731496

THE GREAT STRIKE HAS BEGUN IN ISRAEL




Molnupiravir : futur scandale ou avancée ?

[Source : covid-factuel.fr]

Par ZOLA

Tous les journaux, nationaux et régionaux, saluent une grande avancée dans la lutte contre la covid, après les déclarations de Merck concernant son futur traitement précoce en comprimés. Il réduirait de 50% hospitalisations et décès, sans effets secondaires, mais qui est allé voir ce qui pouvait se cacher derrière cette étude que certains commencent à critiquer ?

Vous verrez qu’il sera rapidement validé par les autorités sanitaires, avec une seule étude financée par le labo qui n’a aucun conflit d’intérêts [on tousse], alors que les mêmes autorités refusent d’autres produits, plus efficaces (75% au lieu de 50%, et surtout plus “safe”), malgré plus de 60 études, provenant de scientifiques non liés financièrement à une autorisation. Il est vrai qu’à plus de 712 dollars le traitement (coût de fabrication 17 dollars), multiplié par des milliards, la dot est plus intéressante qu’un produit qui ne coûte rien et ne rapporte rien. Rappelons que l’»indépendante» EMA est financée à 85% par les redevances des laboratoires sur les AMM accordées. Vous comprendrez aussi mieux pourquoi Merck a lancé en même temps une campagne de dénigrement de l’ivermectine. Ce qui est moins compréhensible est le soutien des autorités sanitaires et de scientifiques dans cette campagne, reprise par toute la presse.

Les virus sont particulièrement difficiles à attaquer avec des médicaments. Ils produisent des copies d’eux-mêmes, en pénétrant et détournant des fonctions cellulaires de l’hôte pour se reproduire. Le problème est de détruire le virus sans endommager les cellules, et quand on y arrive, le résultat n’est pas durable car les virus mutent pour survivre, tout comme les bactéries acquièrent des résistances aux antibiotiques. S’il y a eu quelques avancées thérapeutiques anti virales, on ne les trouve que contre les affections chroniques comme le VIH, l’herpès et l’hépatite C, mais pas pour les affections aigues comme la dengue, le chikungunya ou le virus du Nil occidental, et plus récemment le SARS ou le MERS, voire la grippe tout court, sans traitement depuis des décennies. Le Sars-Cov-2 aura peut-être permis des découvertes comme celle de l’ivermectine, dont le mode d’action empêche les virus de pénétrer dans les cellules, et déjà saluée pour son action contre ces affections aigues sans traitement. Nous en entendrons parler à l’avenir, en mono, bi ou trithérapie, car barrée aujourd’hui pour des raisons financières, elle n’a pas dit son dernier mot. Elle n’a toutefois pas l’exclusivité d’une découverte thérapeutique contre les virus.

Le Molnupiravir serait un antiviral à large spectre. La molécule n’est pas ancienne, elle a 40 ans, et si elle n’a pas percé, ce qu’a fait très rapidement l’ivermectine, c’est en raison de certaines craintes. En effet, du fait de son mode d’action, il fait partie d’une catégorie de produits, les « nucléosides mutagènes », qui n’empêchent pas le virus de se répliquer, mais qui introduisent des erreurs dans l’ARN du virus qui sont ensuite répliquées jusqu’à sa disparition. Le grain de sable qui fait dérailler la machine.

Le Molnupiravir est métabolisé en ribonucléotide triphosphate, qui va se substituer à la cytidine triphopsphate ou à l’uridine triphosphate, comme support de l’enzyme ARN polymérase, ce qui engendre des erreurs dans la copie du brin d’ARN du virus, empêchant sa reproduction.

La crainte est que ce mode d’action présente un risque mutagène. En biologie un mutagène est un agent qui change le génome (l’ADN) d’un organisme, ce qui entraîne des mutations génétiques. Sont classés par exemple comme mutagènes l’Acyclovir, mais aussi la Dépakine et surtout la Thalidomide de sinistre mémoire. 

Notons que la première commercialisation de la Thalidomide (sous le nom de Grippex) était pour la grippe ! Notons également que le laboratoire Ridgeback Biotherapeutics qui a acheté la molécule le 19 mars 2020, et qui le développe actuellement avec Merck qui a racheté les droits, souhaitait le développer au départ également pour la grippe avec moultes subsides du National Institute of Health.

Le Molnupiravir présenterait peu d’effets secondaires (comme le Remdesivir et les vaccins sur les premières études), » mais un doute persiste sur le risque d’éventuels effets mutagènes pour l’homme à moyen ou long terme, voire sur plusieurs générations (risque démontré chez d’autres mammifères) », peut-on lire dans la page Wikipédia. Si le Molnupiravir n’a pas montré de problème dans des études chez le furet, plusieurs autres nucléosides ont été abandonnés par le passé alors qu’ils n’ont pas montré non plus de problème chez l’animal. 

C’est le cas de la Zidovudine (Retrovir), administrée à des femmes enceintes en Espagne de 2000 à 2009, entrainant 6,9% de malformations congénitales (uniquement majeures, en excluant les malformations mineures type angiomes, naevus, kystes ovariens,..). C’est le cas également en 2012 d’un traitement contre l’hépatite C, pour lequel Bristol-Myers Squibb avait déboursé 2,5 milliards, qui en quelques mois s’est montré source de problèmes graves lors de la phase d’essais sur l’homme, ayant conduit à l’abandon.

En 2012, la société Pharmasset Inc. (Gilead) avait abandonné ses études sur le Molnupiravir en raison de la crainte qu’il soit mutagène et n’entraîne des malformations congénitales, en vertu du principe de précaution.

En raison de ce risque, en novembre 2019, plus d’un mois avant que la Chine ne rende publique le début de l’épidémie de COVID-19 à Wuhan l’immunologiste Rick Bright, directeur de la Biomedical Advanced Research and Development Authority avait alerté les autorités contre son utilisation dans les affections virales, des chercheurs avaient déjà étudié de manière intensive le principe actif du molnupiravir, et découvert in vitro et in vivo (chez l’animal) que si cette molécule inhibait effectivement la réplication d’une gamme de virus à ARN (dont la grippe), elle avait des effets mutagènes potentiels très préoccupants sur les organismes colonisés par ces virus. Il dénonçait également des conflits d’intérêts et pressions de l’administration Trump, avec petits arrangements financiers entre amis. Comme il insistait, dénonçant l’injection de fonds publics (300 millions de dollars), il sera démis de ses fonction le 20 avril 2020 suite à son refus de débloquer des fonds pour la société Ridgeback Biotherapeutics, qui en avait déjà obtenu du NIH pour des études contre la grippe. Il sera réhabilité par l’administration Biden, après enquête confirmant ses dires.

Le premier résultat du Molnupiravir sur le Sars-Cov-2, est une étude sur 202 patients, étude menée par le Dr Wendy Painter, épouse de Georges Painter (président de l’Emory Institute for Drug Development), qui a lancé l’aventure avec Wendy Holman , directrice co-fondatrice de Ridgeback Biotherapeutics en 2015, après une carrière dans la finance.

En mars 2021, des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill ont présenté une étude sur l’ingrédient principal du médicament lors de la même conférence sur les maladies infectieuses où Ridgeback a présenté ses données. Les chercheurs de l’université ont déclaré, sur la base de leurs tests, que l’utilisation du molnupiravir devrait être limitée à ceux susceptibles d’obtenir les plus grands avantages, “en raison des risques à long terme inconnus associés à l’exposition systémique à un mutagène de l’ADN”. Merck a refusé de commenter les recherches de l’UNC.

D’un autre côté, certains scientifiques disent que, parce que le médicament n’est destiné à être utilisé que pendant cinq jours, le risque est limité. Bright a également mis un peu d’eau dans son vin “Toute préoccupation que j’avais à propos d’un groupe universitaire ou d’une petite startup essayant d’aller trop vite, celles-ci ont été atténuées lorsque Merck s’est impliqué”, dit-il, ajoutant qu’il faisait confiance au fabricant de médicaments pour effectuer les bonnes études de sécurité.  Je ne vois pas ce que le changement de propriétaire pourrait changer aux propriétés de la molécule, et si Merck dit avoir étudié à des doses plus élevées et pendant des périodes plus longues que celles qui seraient administrées aux humains, ayant racheté les droits en mai, quel est le recul de ces études ?

S’il ne s’agit que de craintes, liées à des inconvénients avérés concernant des molécules voisines ayant le même mode d’action, la prudence impose un peu de recul, mais le rapport bénéfice/risque et le principe de précaution, ont-ils encore une certaine valeur quand on voit ce qui est fait depuis le début de la crise, où les seuls médicaments proposés sont expérimentaux, sans recul, et achetés avant publications des seuls laboratoires. Dans le même temps, on refuse d’expérimenter des médicaments éprouvés, distribués depuis des décennies à des milliards d’individus, avec des résultats publiés par nombre de scientifiques qui n’ont pas d’intérêts directs à leur distribution.

Enfin, pour sourire une peu : Merck, financé par les autorités américaines, aurait mis en veille des études en cours du Molnupiravir contre l’encéphalite équine vénézuélienne, alors que dans le même temps, les mêmes, Merck et autorités, accusent l’ivermectine d’être un médicament pour les chevaux à ne pas utiliser chez l’homme ! Et devinez qu’est-ce que l’on prescrit ausssi contre l’encéphalite équine vénézuélienne ? Je vous le donne en mille : de l’ivermectine ! Le monde se porterait-il mieux si les vétérinaires remplaçaient les médecins ?

MONEYPIRAVIR

Pour ceux qui veulent aller plus loin, un article très pointu de Nature sur le mode d’action, et qui conclut sur la prudence à adopter face au risque mutagène observé chez les mammifères.




Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci

[Source : voltairenet.org]

The Intercept a publié le 23 septembre 2021 une demande de subvention d’EcoHealth Alliance soumise à la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) en 2018.(([1] « Leaked Grant Proposal Details High-Risk Coronavirus Research] », Sharon Lerner & Maia Hibbett, The Intercept, September 23 2021.)) On peut y lire que cette société se propose de créer en laboratoire un virus artificiel à partir de coronavirus de chauve-souris.(([2] https://www.documentcloud.org/documents/21066966-defuse-proposal))

L’ancien conseiller économique du président Donald Trump, Peter Navarro, a par ailleurs révélé qu’EcoHealth Alliance a servi au docteur Anthony Fauci à détourner de l’argent public US pour financer des recherches — illégales aux États-Unis — effectuées par le laboratoire P4 de Wuhan (Chine).

Le directeur d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, est l’auteur principal de la pétition, parue dans The Lancet,(([3] « Statement in support of the scientists, public health professionals, and medical professionals of China combatting COVID-19 », The Lancet, February 19, 2020.)) pour soutenir les professionnels de santé de Wuhan injustement accusés d’être responsables de l’épidémie de Covid-19. Peter Daszak a aussi été membre de la Mission d’information de l’OMS à Wuhan.

Alex Jones (InfoWars) a diffusé, le 4 septembre 2021, deux extraits d’une vidéo diffusée par la chaîne publique états-unienne CSPAN, en octobre 2019, d’une table ronde sur la création d’un vaccin universel contre la grippe.(([4] « Monday Night Emergency Broadcast : Video of Fauci and HHS Plotting to Stage Massive Health Scare Using “New Virus” Emerges », InfoWars, September 4, 2021.))

Les experts y débattent de la nécessité
• de modifier la procédure d’habilitation des vaccins contre la grippe et
• de changer la manière dont on produit les vaccins contre la grippe et de les remplacer par des système ARN messager.
Ils constatent que l’industrie pharmaceutique ne franchira pas le pas car la grippe n’est pas une maladie qui fait peur.

Le docteur Anthony Fauci déclare alors en substance qu’il faudrait un choc, une épidémie d’une sorte de grippe beaucoup plus mortelle, pour que l’industrie pharmaceutique et l’Humanité avancent.

Anthony Fauci est directeur, depuis 1984, de l’Institut national US des allergies et maladies infectieuses (National Institute of Allergy and Infectious Diseases). Il a été un collaborateur du secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et a milité en 2004 pour son projet de confinement des personnes saines. Il est membre de « L’Aube rouge »,(([5] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.)) le groupe qui a milité en 2020 pour l’application du plan de confinement des personnes saines à l’occasion de l’épidémie de Covid-19. Il a été nommé par le président Donald Trump à la cellule de crise sur la Covid-19 et a été maintenu à ce poste par le président Joe Biden.





Les mécanismes des régimes totalitaires

[Extrait de Viol des esprits et psychose de masse – Anthropo-logiques]

Audition donnée devant la Commission Corona de l’avocat allemand Reiner Fuellmich par le Pr Mattias Desmet. Celui-ci enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires.

Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes.

Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique diffuses, amplifiées par la perte de liens sociaux. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable que tout facteur obvie apparaissant porte en lui le risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation.

Un agent comme le coronavirus peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse : grâce au Covid, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés.

La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas), les gens s’éprouvent victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié (le redoutable virus, auquel se retrouvent agglutinés ceux qui contestent le narratif officiel -complotistes et antivaxx selon les étiquettes de circonstance- désignés eux aussi comme des « dangers publics » ) et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).

Dans ce processus, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples renoncent actuellement à leurs droits et libertés.

Une fois cet « engoncement » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance implique nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante, perspective psychiquement insupportable. Ce qui explique pourquoi les « covidistes » (autorités et population) sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer.

Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile pour elle l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend à l’inverse les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes.

Les chiffres insensés que continue à produire la Task Force scientifique suisse dans ses hallucinations modélisatoires en est un bon exemple : après avoir prétendu à l’encontre de toute réalité que les confinements avaient sauvé des dizaines de milliers de vies (là où la vraie science montre qu’il n’ont pas eu d’impact favorable) sa vice-présidente Samia Hurst est venue il y a peu expliquer aux médias complaisants que le pass sanitaire allait permettre maintenant d’éviter des dizaines de milliers d’hospitalisations, là où les meilleurs épidémiologistes ont montré son inutilité en ce sens. A part aligner les « 0 » après un nombre entier dans de parfaits fantasmes pseudoscentifiques, les élucubrations de la Task Force ne sont rien d’autre depuis le début de l’épidémie de Covid que des productions proprement délirantes au regard des critères de la vraie science.

Symptôme d’un mal plus profond : comme le problème n’est pas intellectuel ou logique, les données véridiques ne peuvent rien pour ces psychismes azimutés. Qui se tiennent parmi hélas dans une grande bouffée psychotique pour le plus grand malheur de la population.

Alors comment sortir de l’ornière ?! Mattias Desmet souligne qu’il y a toujours dans les formations de masse une répartition inégale de la population : à peu près 30% est captive de l’hypnose collective et ne dispose pas de la ressource nécessaire à la remettre en question. 40% de la population est simplement emportée par le mouvement, mais tout en conservant la ressource latente de se questionner et de sentir intuitivement que quelque chose ne joue pas. En particulier dans la présentation absurde des données. Enfin, de 20 à 30% de la population est constituée de personnes qui ont une immunité psychique face à la formation de masse. Elles ont vocation à être des gardiens des valeurs humaines et du bon sens, avec pour objectif principal de garder le dialogue ouvert avec les 40% de personnes « récupérables ».

Cette audition est si éclairante, si fondamentale, que je ne peux qu’en recommander vivement le visionnement. Fuellmich et son équipe poussent évidemment les questions plus loin, notamment quant à la possible « ingénierie » délibérée et impliquant donc une responsabilité pénale de certains acteurs. La suite est à découvrir ici :



  • Article « Masse und Macht renommées « La formation de masse » par Mattias Desmet » par Valoloz sur son blog de Mediapart : cliquer ici.
  • Dr. Mattias Desmet – psychological crisis and mass formation, podcast (en anglais) : cliquer ici.

[Voir aussi :
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




Aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de l’épidémie d’après Harvard

[Source : LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

LE JOURNAL EUROPÉEN D’ÉPIDÉMIOLOGIE publie une étude de Harvard qui DÉMONTRE QU IL N Y A AUCUN LIEN ENTRE LE TAUX DE VACCINATION et l’évolution de la pandémie. Nous nous en doutions en comparant les courbes de 2021 et de 2020, mais cent fois par jour la rengaine : la vaccination a fait reculer l’épidémie !

Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude, collectant et analysant des données jusqu’au 3 septembre 2021 démonte les dires des plateaux télé.

Non les vaccins n’ont pas reculer la pandémie qui est cyclique. Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le Covid-19 dans le monde. Le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis (É.-U.) serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination.(([1] Vaccinations CDC. CDC COVID data tracker. Centers for Disease Control and Prevention. 2021. 
https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccinations.)) Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni.(([2] Nicolas E. Germany mulls restrictions for unvaccinated as cases soar. EUobserver; 2021. 
https://euobserver.com/coronavirus/152534.)) Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de Covid-19.(([3] Estrin D. Highly vaccinated Israel is seeing a dramatic surge in New COVID cases. Here’s why. NPR; 2021. 
https://www.npr.org/sections/goatsandsoda/2021/08/20/1029628471/highly-vaccinated-israel-is-seeing-a-dramatic-surge-in-new-covid-cases-heres-why.)) Nous étudions la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour les pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19. En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de Covid-19 plus élevés pour 1 million de personnes.

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de Covid-19 les plus élevés pour 1 million de personnes.

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19 est encore illustrée, par exemple, par la comparaison de l’Islande et du Portugal. Les deux pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

En résumé, même si des efforts doivent être faits pour encourager les populations à se faire vacciner, cela doit être fait avec humilité et respect. La stigmatisation des populations peut faire plus de mal que de bien.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie :

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITÉ

90 % ou 100 % de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité. C’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains. L’étude mathématique de l’Institut Pasteur mise à mal.

40 % ou 90 % de vaccinés, il y a une petite différence, mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Que se passe-t-il quand les plus vulnérables sont presque tous vaccinés ? Selon les médecins de plateaux télé et de Pasteur (les mêmes), la mortalité s’effondre, car les mathématiques l’ont démontré !!!

Jadis les Soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un bon data analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions, mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie est Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) il vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité Covid. Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’états voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains, le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé. Dans d’autres au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit elle par une baisse des décès Covid ?

La vérification ne va pas vraiment dans le sens attendu, entre des comtés dans lesquels 70 % des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90 % il n’y a pas de différence significative

Réduire de 10 à 0 % le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité





Au sujet de la vaccination obligatoire




Lien entre relations sociales et santé

[Source : plos.org]

Relations sociales et risque de mortalité : une revue méta-analytique

Résumé

Contexte

La qualité et la quantité des relations sociales des individus
ont été liées non seulement à la santé mentale.
mais aussi à la morbidité et à la mortalité.

Objectifs

Cette revue méta-analytique a été menée pour déterminer dans quelle mesure les relations sociales influencent le risque de mortalité, quels aspects des relations sociales sont les plus prédictifs et quels facteurs peuvent modérer le risque.

Extraction des données

Les données ont été extraites sur plusieurs caractéristiques des participants, y compris la cause de la mortalité, l’état de santé initial et les conditions de santé préexistantes, ainsi que sur les caractéristiques de l’étude, y compris la durée du suivi et le type d’évaluation des relations sociales.nes bleues) 

Résultats

Dans l’ensemble des 148 études (308 849 participants), la taille de l’effet moyen pondéré par les effets aléatoires était OR = 1,50 (IC à 95 % : 1,42 à 1,59), ce qui indique une probabilité de survie accrue de 50 % pour les participants ayant des relations sociales plus fortes. Ce résultat est resté cohérent quels que soient l’âge, le sexe, l’état de santé initial, la cause du décès et la période de suivi. Des différences significatives ont été constatées selon le type de mesure sociale évaluée (p<0,001) ; l’association était la plus forte pour les mesures complexes de l’intégration sociale (OR = 1,91 ; IC 95 % 1,63 à 2,23) et la plus faible pour les indicateurs binaires du statut résidentiel (vivre seul ou avec d’autres) (OR = 1,19 ; IC 95 % 0,99 à 1,44).

Conclusions

L’influence des relations sociales sur le risque de mortalité
est comparable aux facteurs de risque de mortalité bien établis.


[Source : infochretienne.com]

Comment vivre heureux et en bonne santé ?
Découvrez la réponse des scientifiques d’Harvard

Quand les équipes de recherche d’Harvard ont interrogé les jeunes adultes de la génération Y sur le but de leur vie, et la manière avec laquelle ils pensaient accéder au bonheur, 80% d’entre eux ont reconnu vouloir être riche et 50% célèbre ! Mais qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux et en bonne santé pour toute la vie ? 4 générations de chercheurs se sont succédées tout au long d’une étude inédite, réalisée sur un échantillon de 724 hommes pendant 75 ans. Et la réponse à cette grande question est désormais connue et démontrée scientifiquement. Elle n’est en aucun cas liée à la richesse, à la célébrité ou au travail.



Cette étude est la plus longue jamais réalisée. 75 ans d’enquêtes, de questionnaires, d’entretiens, d’analyses médicales, de scanners, conduits par 4 directeurs de recherche successifs, ont permis d’étudier de manière scientifique ce qui rend vraiment les gens heureux.

Le projet initié par l’Université d’Harvard a démarré en 1938. 2 groupes de jeunes garçons de 19 à 20 ans ont été constitués. Le premier était formé par des étudiants de Harvard en deuxième année. Des jeunes garçons pauvres des bas quartiers du Boston des années 30 constituait le deuxième groupe. 60 de ces hommes sont toujours en vie aujourd’hui.

L’étude a commencé par des entretiens avec les garçons et leurs parents, ainsi que des analyses médicales variées. Tous les 2 ans, le rituel s’est répété, s’étoffant peu à peu, au fur et à mesure des progrès de la science et de l’imagerie médicale.

Les jeunes hommes sont devenus ouvriers, maçons, avocats, médecins… L’un d’eux est même devenu président des États-Unis ! Certains sont devenus alcooliques, schyzophrènes… Quelques-uns ont pris l’ascenseur social et d’autres ont fait le chemin inverse.

Aujourd’hui l’étude s’est élargie et porte sur les épouses, les enfants et petits-enfants. Des dizaines de milliers de pages de données ont été collectées autour de cette passionnante étude, pour pouvoir répondre à la grande question de la recette du bonheur.

« Comment vivre heureux et en bonne santé ? »

La réponse est simple :

Ni l’argent, ni le travail, ni la célébrité ne sont nécessaires au bonheur et à la bonne santé.
C’est la nature de nos relations qui compte.

Les relations harmonieuses nous rendent plus heureux et en meilleure santé !

Selon l’actuel directeur de recherche, le psychiatre Robert Waldinger, l’étude au long cours enseigne 3 grandes leçons :

  • Les connexions sociales sont d’une importance capitale et la solitude tue. Les personnes les plus connectées à leurs amis à leurs familles sont en meilleure santé. Mais la solitude est toxique. Les gens isolés socialement voient leur santé décliner en milieu de vie, et leurs fonctions cérébrales ralentissent plus vite.
  • Ce n’est pas le nombre d’amis qui compte, ce n’est pas non plus le fait de vivre en couple, mais c’est la qualité des relations avec ses proches qui importe. Vivre en conflit est désastreux pour la santé, alors que les relations chaleureuses protègent notre santé. Les quinquagénaires qui ont de bonnes relations deviennent des octogénaires en bonne santé.
  • Les relations de qualité ne protègent pas que notre corps. Elles protègent également notre cerveau. Les personnes qui ont des relations de qualité à 80 ans, ont moins de problèmes de mémorisation et le cerveau est mieux protégé. Certains couples d’octogénaires se disputent, mais tant qu’ils peuvent compter l’un sur l’autre, leur mémoire ne flanche pas.

Le psychiatre conclut sa présentation ainsi :

« On aimerait une solution facile… Les relations sont désordonnées et compliquées. C’est un dur labeur de s’accrocher à sa famille et ses amis, ce n’est ni sexy ni glamour. C’est tout le long de la vie. Ça ne finit jamais ! »

Les querelles et les mauvaises relations laissent des empreintes indélébiles en nous. Laissons nos écrans pour des temps de qualités, allons discuter pendant de longues marches, préservons les relations avec nos proches.

Nul besoin de la richesse, de la célébrité ou d’un travail valorisant, une belle vie se construit avec de bonnes relations.

« On n’a pas le temps, si brève est la vie, pour les chamailleries, les excuses, l’animosité, les appels à rendre des comptes. On n’a que le temps pour aimer et pas un instant de plus, pour ainsi dire, que pour ça. »

Mark Twain

H.L.


[Source : PubMed (nih.gov)]

Dans la maladie et dans la santé :
La corégulation de l’inflammation et du comportement social

Résumé

Bien qu’il ait été communément admis que le système immunitaire et les processus qui régissent le comportement social sont des entités distinctes et non communicantes, les recherches menées au cours des dernières décennies suggèrent le contraire.

Des preuves considérables montrent maintenant que
les processus inflammatoires et le comportement social
sont en fait de puissants régulateurs les uns des autres.

Cette revue résume d’abord les preuves que les processus inflammatoires régulent le comportement social, conduisant à des changements caractéristiques qui peuvent aider un individu à naviguer dans l’environnement social pendant les périodes de maladie. Plus précisément, cette revue montre que l’inflammation :

  • (1) augmente la sensibilité neuronale liée à la menace pour les expériences sociales négatives (par exemple, le rejet, les réactions sociales négatives), probablement pour augmenter la sensibilité aux menaces pour le bien-être ou la sécurité afin de les éviter
  • et (2) augmente la sensibilité neuronale liée à la récompense pour les expériences sociales positives (par exemple, voir des personnes proches et recevoir des réactions sociales positives), probablement pour augmenter la motivation liée à l’approche des autres qui pourraient fournir un soutien et des soins pendant la maladie.

Ensuite, cette revue résume les preuves montrant que le comportement social régule également certains aspects de l’activité inflammatoire, préparant le corps à des situations dans lesquelles les blessures et les infections sont plus probables (isolement social). Ici, nous passons en revue les recherches montrant :

  • (1) que l’exposition à des facteurs de stress social augmente l’activité pro-inflammatoire,
  • (2) que les individus qui sont plus isolés socialement (c’est-à-dire solitaires) présentent une activité pro-inflammatoire accrue,
  • et (3) que les individus qui sont plus isolés socialement présentent une activité pro-inflammatoire accrue en réponse à un défi inflammatoire ou à un facteur de stress social. Les implications de la corégulation de l’inflammation et du comportement social sont discutées.



Euro numérique, saisie des comptes bancaires au delà de 3000 €, Eric Verhaeghe nous explique

[Source : Eric Verhaeghe]

Ancien haut-fonctionnaire, énarque, auteur du Courrier des Stratèges, spécialiste du Great Reset, Éric Verhaeghe nous explique notre futur proche:
– création de l’euro numérique par la BCE, une cryptomonnaie du type bitcoin;
– saisie des comptes bancaires au delà de 3000 euros pour éviter que les gens soient autonomes;
– fin de la propriété individuelle, on sera tous locataires;
– extension du passe sanitaire à tous les domaines de la vie;
– généralisation du contrôle numérique à reconnaissance faciale.

Y a-t-il un lien entre le pass sanitaire et l’euro numérique? – 09.09.2021, Sputnik France (sputniknews.com)






« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Idriss Aberkane : « L’État français est un des plus gros producteurs de fake news »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Idriss Aberkane a relevé le défi ! Conférencier, essayiste, titulaire de plusieurs doctorats dans des disciplines aussi différentes que les sciences cognitives, la géopolitique ou encore la littérature comparée, Idriss Aberkane est consultant international, auprès de gouvernements et d’entreprises, avec pour sujet de prédilection le développement durable.

S’intéressant toujours à ses premières amours, la biologie ou les mathématiques, il dénonce le niveau de corruption inédit de l’industrie pharmaceutique comme il l’avait évoqué dans un debriefing en décembre 2020. Un exemple : la déclaration d’un éditorialiste de CNN qui affirmait que l’ivermectine était un vermifuge pour chevaux. Or, si l’ivermectine est effectivement à usage vétérinaire, cette molécule multi-thérapeutique qui a été découverte par un prix Nobel de physiologie en médecine, était indiquée chez l’homme avant d’être prescrite en médecine vétérinaire. La vérité étant dans la totalité d’une information, celle-ci, si elle est incomplète, la transforme en mensonge aggravé.

Il fustige le « deux poids, deux mesures » en matière de preuves demandées pour les différentes molécules thérapeutiques, des exigences nulles pour certains traitements coûteux et innovants, tandis qu’il est demandé à des molécules repositionnées un niveau de preuve toujours plus élevé.



Rappelant le parcours exceptionnel du professeur Raoult, il regrette une époque où l’on peut dénigrer les plus grands savants du jour au lendemain. A ce propos, il cite Malcolm X qui avait dit dans les années 60 : « Méfiez-vous des médias : ils peuvent vous faire adorer votre oppresseur et vous faire détester les opprimés ».

Sur la décision du président Macron de créer un observatoire contre le complotisme destiné à contrôler les fausses informations, il déplore une idée catastrophique alors que l’État en est un plus gros producteur de fake news. Le pouvoir médiatique étant l’un des plus puissants, l’enquête ne peut revenir in fine qu’au peuple, seule entité rigoureuse et légitime pour vérifier, recouper, échanger, discuter et contredire l’information. Pour cela, il réclame un journalisme citoyen, le combat du terrorisme intellectuel, l’arrêt immédiat d’un système qui promeut de fausses élites et le retour à la méritocratie.

Un « Défi de la vérité » à l’image de son invité : éclectique, percutant et iconoclaste.




Après la ceinture de sécurité, puis le Pass sanitaire, bientôt le gilet de sauvetage obligatoire pour tous

[Source : Florian Philippot sur Twitter]

[Humour]




Dr Nicole Delépine à Ondes de choc sur LaUnetv

[Source : LaUnetv2]






Un tribunal italien se range du côté d’une infirmière suspendue à tort pour avoir refusé le vaccin contre le COVID-19

[Source : resistance-mondiale.com]

La décision renverse les précédents et consacre dans la loi l’illégitimité du licenciement ou de la suspension sans solde des salariés pour non-vaccination.  

MILAN, Italie, ( LifeSiteNews ) – Un tribunal civil s’est rangé du côté d’une infirmière qui a été suspendue sans salaire après avoir refusé le vaccin COVID-19.

La décision a été rendue par le tribunal de Milan le 16 septembre, suite à l’appel de l’infirmière italienne, qui n’a pas été nommée. Elle avait été suspendue sans salaire en février parce qu’elle refusait de recevoir le vaccin au mépris d’ une obligation vaccinale imposée par son employeur. Le tribunal a qualifié la suspension d’« illégitime » et a ordonné à l’employeur de verser à l’infirmière l’intégralité de son salaire avec intérêts et arriérés. La décision annule les décisions de justice antérieures pour des cas similaires.  

C’est la première fois en Italie qu’un tribunal donne raison à un salarié dans une affaire de suspension ou de licenciement pour non-vaccination. 

La décision émane de l’un des tribunaux les plus autoritaires d’Italie et est considérée comme particulièrement importante car elle annule les précédents et consacre dans la loi l’illégitimité du licenciement ou de la suspension d’employés sans salaire pour non-vaccination.  

“C’était l’un des premiers cas de suspension d’un travailleur de la santé”, a déclaré Mauro Sandri, l’avocat de l’infirmière, dans une interview sur YouTube.

Sandri a comparé le cas à celui de 5 infirmières dans une situation similaire ; ils ont perdu leur appel en mai. 

« Tout le monde [en Italie] se souviendra de la décision de Belluno, lorsque 5 infirmières suspendues par leur employeur ont fait appel et l’ont perdu », a-t-il déclaré.  

« Les médias grand public ont amplifié le résultat de cette décision en allant jusqu’à dire qu’il était inutile de faire appel aux suspensions imposées par les employeurs.  

Sandri a ensuite rappelé que la décision dans cette affaire avait été “malheureusement imitée par d’autres tribunaux, dont Modène et Vérone” et qu’”une jurisprudence avait été créée, autorisant les employeurs à suspendre leurs employés”. 

Toutes les tentatives précédentes de Sandri pour faire appel de telles décisions avaient été infructueuses. Cependant, il voit que cette nouvelle décision avait renversé la tendance. 

“Cette décision a été extrêmement positive, car elle a établi le caractère illégitime de la suspension”, a-t-il déclaré.  

L’infirmière en question était suspendue depuis février et n’avait reçu aucun salaire depuis cette date. Le tribunal a donc ordonné à l’employeur de lui verser son salaire pour toute la période pendant laquelle elle n’avait pas été indemnisée, avec des intérêts en sus, comme l’a souligné Sandri. 

“Le recours visait à obtenir sa réintégration dans le travail (…) Nous avons donc demandé cela, ainsi qu’un paiement intégral de son salaire, avec arriérés.” 

L’avocat italien est convaincu que la nouvelle décision servira de jurisprudence pour des affaires similaires à l’avenir. 

« La décision du tribunal constituera certainement une référence pour les décisions futures », a déclaré Sandri.

« Ça va être une étape importante (…). Pour moi, cela va également servir de base à d’autres affaires que j’ai en cours. »

L’avocat a encouragé les travailleurs dans des situations similaires après avoir résisté aux pressions pour prendre le vaccin à poursuivre non seulement pour perte de salaire mais aussi pour dommages et intérêts. Sandri a décrit les tactiques alarmistes et les menaces utilisées par certains employeurs qui font pression sur leurs travailleurs pour qu’ils se fassent vacciner comme une forme de « intimidation ».  

« Le même principe peut être appliqué dans de nombreuses autres situations où il existe une obligation vaccinale », a-t-il déclaré.

« Toute personne employée dans une entreprise qui a subi des pressions indues pour se faire vacciner et peut-être suspendue pour ne pas l’avoir fait devient ainsi une victime d’intimidation. »  

Sandri considère également la décision comme un développement prometteur dans la lutte en cours contre l’imposition du « Green Pass » en Italie. 

“Cette décision nous montre à quel point il est important de défendre vos droits de manière efficace afin d’obtenir des résultats”, a-t-il déclaré.

Source : Italian court sides with nurse wrongly suspended for refusing COVID-19 jab – LifeSite (lifesitenews.com)




URGENT : aidez Maître Marian à mener son offensive contre la suspension des soignants non-vaccinés

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Enfin une bonne nouvelle sur la suspension des soignants non-vaccinés : maître Maud Marian, avocate à Paris, propose de les défendre bénévolement (ou presque, il faut payer les frais de déplacement), selon la stratégie de l’Himalaya par la face Sud que j’ai proposée, c’est-à-dire de remise en cause des suspensions sans traitement pour des raisons techniques et non politiques. Rejoignez-la d’où que vous veniez ! Il faut qu’elle puisse agir dans toute la France pour obtenir la jurisprudence qui va bien.



Les soignants non-vaccinés suspendus doivent absolument prendre contact avec Maître Maud Marian, du barreau de Paris, mais qui a l’ambition de plaider dans toute la France. Elle se concentre pour l’instant sur les soignants dont les indemnités maladies ont été suspendues par l’employeur en toute illégalité. 

Aidez-la à attaquer dans toute la France pour obtenir une jurisprudence positive. 

L’argent n’est pas un problème : ses plaidoiries sont aux frais réels. 

Tenez-moi au courant sur lecourrierdesstrateges@gmail.com (et écrivez-lui tout de suite à l’adresse qu’elle donne dans la vidéo). 




APPEL AU RASSEMBLEMENT

[Source : comitedesalutpublic.fr]

ACTION N°1 – SEMAINE DU 4 AU 13 OCTOBRE 2021

METTRE LES DEPUTÉS DE LA NATION DEVANT LEURS RESPONSABILITÉS DANS LE CADRE DU VOTE DE LA LOI N°2021-1040 DU 5 Août 2021.

MÉTHODOLOGIE

ÉTAPE 1 : CONSTITUER VOTRE COMITÉ DE SALUT DU PEUPLE SUR VOTRE CIRCONSCRIPTION EN VOUS RENDANT SUR LA PAGE « COMMENT NOUS REJOINDRE ? »

ÉTAPE 2 : ENVOYER À VOTRE DEPUTÉ(E) LE COURRIER TÉLÉCHARGEABLE ICI PAR COURRIEL ET VOIE POSTALE EN L’ADAPTANT À VOTRE NUMÉRO DE CIRCONSCRIPTION ET VOS NOMS CANTONS ET L’ENVOYER  LE VENDREDI 1ER OCTOBRE 2021. Y JOINDRE LE CAS ÉCHÉANT LA LETTRE ADRESSÉE AU PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE TÉLÉCHARGEABLE ICI.

ÉTAPE 3 : SANS NOUVELLES DE VOTRE DEPUTÉ(E) PAR COURRIEL, RÉUNIR TOUS LES CITOYENS AVEC PANCARTES, BANDEROLES & DRAPEAUX ET SE REUNIR DEVANT LA PERMANENCE PARLEMENTAIRE (LISTE CONSULTABLE ICI) POUR Y RENCONTRER LE DEPUTÉ ET LUI LIRE PUBLIQUEMENT LE DOCUMENT EN LUI POSANT LES QUESTIONS ET DEMANDER SA POSITION LORS DU VOTE POUR LE PROLONGEMENT DU 13-15 OCTOBRE 2021.

LETTRE AU DEPUTÉ(E) LETTRE AU PRÉSIDENT DE LA REPUBLIQUE 

ÉTAT DES LIEUX DE LA MOBILISATION – MISE À JOUR / LUNDI 4 OCTOBRE 2021 / 22H00

LISTE DES CSP ET DES ACTIONS




Facebook, Instagram, WhatsApp tombent en rade dans le monde entier après la disparition des registres DNS (C’est même encore pire que ça !)

[Source : Aube Digitale]

[Note de Joseph : si les réseaux virtuels tombent en panne, il reste les relations réelles (à recréer au besoin, ce qui n’exige aucune technologie).]

Mise à jour (20h07) : Facebook semble avoir plus que des problèmes de registres DNS, comme le rapporte Sheera Frenkel du NYT :

« Je viens de parler au téléphone avec une personne qui travaille pour FB et qui a décrit des employés incapables d’entrer dans les bâtiments ce matin pour commencer à évaluer l’étendue de la panne parce que leurs badges ne fonctionnaient pas pour accéder aux portes. »

Mise à jour : Cela fait plusieurs heures, et Facebook, Instagram, Whatsapp, et Facebook Messenger, sont toujours hors service. Selon des chercheurs Internet, Facebook semble être confronté à un problème de système de nom de domaine (DNS).

Le chercheur en sécurité Internet Brian Krebs a tweeté :

Confirmé : Les enregistrements DNS qui indiquent aux systèmes comment trouver Facebook.com ou Instagram.com ont été retirés ce matin des tables de routage mondiales. Pouvez-vous imaginer travailler chez FB en ce moment, lorsque votre courriel ne fonctionne plus et que tous vos outils internes basés sur FB tombent en panne ?

Pour être plus précis (et facteur 5 du Geek), les routes BGP desservant le DNS faisant autorité de Facebook ont été retirées, rendant tous les domaines Facebook inaccessibles. C’est ce qu’affirme @DougMadory , qui s’y connaît un peu en BGP/DNS.

La recherche des enregistrements DNS de Facebook ne donne rien.

Kevin Collier de NBC News a qualifié les problèmes de DNS chez Facebook de « vraiment mauvais ».

Nous ne savons pas encore exactement ce qui se cache derrière le problème de DNS qui a mis Facebook/Instagram/WhatsApp hors ligne, mais c’est vraiment mauvais. Pratiquement tout ce qui passe par ces trois entreprises est inaccessible. Les employés ne peuvent même pas entrer dans les salles de conférence parce qu’elles sont *internet des objets* !

Il y a même une réaction en chaîne sur Internet.

Pendant ce temps, tout le monde sur Twitter…

Downdetector rapporte que Facebook, Instagram, Whatsapp et Facebook Messenger connaissent des problèmes et/ou des pannes dans le monde entier. Cette panne intervient juste avant qu’un lanceur d’alerte de Facebook ne témoigne devant le Congrès mardi.

Les utilisateurs ont commencé à signaler des problèmes sur la plateforme de médias sociaux vers 17h20.

Les utilisateurs de Facebook signalent que le site Web ne se charge pas, avec un message d’erreur indiquant :

« Désolé, un problème est survenu. Nous y travaillons et nous le réparerons dès que possible. »

Andy Stone, porte-parole de Facebook, a reconnu sur Twitter que « certaines personnes ont des difficultés à accéder à nos applications et produits. »

Ces pannes généralisées surviennent alors qu’une lanceuse d’alertes de Facebook doit témoigner devant le Congrès mardi. La lanceuse d’alerte est apparue dans l’émission « 60 Minutes » dimanche, décrivant en détail la mission de l’entreprise technologique, qui consiste à faire passer le profit avant « ce qui est bon pour le public », notamment en luttant contre les discours haineux.

Les actions de l’entreprise technologique ont chuté de 6 % en début d’après-midi, en raison non seulement de la lanceuse d’alertes, mais aussi de la panne mondiale.

Les utilisateurs de Facebook se sont rendus sur Twitter pour se plaindre des pannes :

… et il y a ça :

L’utilisateur de Twitter Chad Loder a tweeté : « Quelqu’un a détruit les enregistrements DNS A et AAA de Facebook, Instagram et WhatsApp. »

Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a répondu au tweet de Loder et demande « A combien? »

Laissez les théoriciens du complot se déchaîner avec les événements d’aujourd’hui :

« Facebook est en panne parce que la lanceuse d’alertes faisait le buzz aujourd’hui avant son témoignage au congrès. Maintenant, il y a une panne qui est en train de buzzer. Un astucieux coup de coms », a déclaré un utilisateur de Twitter.

Le bon côté des choses, c’est qu’avec une grande partie des plateformes de médias sociaux hors service aujourd’hui, les gens vont peut-être se remettre au travail et stimuler la productivité mondiale puisque la panne est généralisée.




Le président brésilien Jair Bolsonaro : les passeports vaccinaux servent à contrôler la population

[Source : anguillesousroche.com]

Alors que les dirigeants occidentaux continuent d’essayer d’imposer des passeports vaccinaux au grand public, le Brésilien Bolsonaro a récemment dénoncé ce passeport, affirmant qu’il conduirait à terme à une véritable tyrannie de la part des gouvernements du monde entier.

« Ces gouverneurs de Rio de Janeiro, Sao Palo, Goias… Vous émettriez un décret par le biais du passeport vaccinal, c’est-à-dire que seuls ceux qui sont vaccinés peuvent aller à l’école, seuls ceux qui sont vaccinés peuvent faire telle chose », a déclaré Bolsonaro.

« Les gars, soit nous avons la liberté, soit nous ne l’avons pas. Et l’histoire dit : que celui qui abandonne une partie de sa liberté pour la sécurité, finit sans liberté et sans sécurité. »

Regardez :

Redvoicemedia.com rapporte : Bolsonaro ne s’est pas arrêté là et a continué à énumérer les conséquences potentielles de l’exigence de passeports de vaccination, affirmant qu’elle conduirait à un contrôle de la population : 

« Si vous acceptez ce passeport de vaccination, une autre exigence viendra bientôt et une autre et une autre… et vous savez où cela s’arrêtera alors… un contrôle de la population. Les personnes qui m’ont le plus accusé d’être un dictateur sont celles qui le font maintenant. »

Alors que certains pourraient croire que le président brésilien réagit de manière excessive, il convient de noter qu’Israël a récemment exigé un laissez-passer vert pour tous les citoyens vaccinés. Dans un premier temps, les citoyens doivent seulement être entièrement vaccinés. Maintenant, le gouvernement israélien a changé la politique pour rendre les laissez-passer invalides jusqu’à ce que les citoyens obtiennent le vaccin de rappel supplémentaire.




Médecins de plateaux : les nouveaux télévangélistes

[Source : RT en français]

[Photo : © REUTERS/Regis Duvignau/File Photo]

Ariel Beresniak, docteur spécialiste en santé publique, met en garde contre les médecins de « plateaux » des médias mainstream, qui relaieraient le discours du pouvoir sur les questions de santé et donneraient une fausse idée du consensus scientifique.


Par Ariel Beresniak.

La « pandémie de Covid » a fait émerger une nouvelle catégorie de médecins, les médecins de « plateaux ». Il ne s’agit pas des plateaux de Madagascar ou des Andes, mais des plateaux de télévision.

Ces médecins étaient inconnus du grand public avant la crise sanitaire. Ils ont été sélectionnés soit par les médias qui étaient à la recherche de médecins experts, soit par le pouvoir exécutif à la recherche de conseillers scientifiques courtisans.

Issus de spécialités très variées (urologues, urgentistes, réanimateurs, diététiciens, généralistes, immunologistes voire même simples administrateurs comme les directeurs d’hôpitaux…), le plus souvent très éloignées de celle des maladies transmissibles, ils sont courtisés par toutes les chaînes d’information car le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives.

Le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives

C’est que l’argument d’autorité allié à un ton péremptoire devant les caméras relèvent d’une stratégie de communication extrêmement efficace utilisée couramment par les télévangélistes américains. Ces successeurs modernes des prédicateurs anglais itinérants méthodistes du XVIIIe siècle fondent leurs stratégies de communication sur la répétition d’un même message élémentaire en utilisant un ton charismatique afin de provoquer une adhésion frénétique collective de l’audience écartant toute velléité d’esprit critique. Comme tous les catéchismes, la parole ne doit souffrir d’aucune critique car chaque question amène une réponse et chaque réponse correspond à une question.

Portés par une notoriété soudaine, il apparaît plus facile à ces médecins de plateaux, non compétents en dynamique des épidémies ou en évaluation des interventions de santé publique, d’adhérer et de colporter un dogme ambiant clé en main, plutôt que d’évoquer des informations alternatives pouvant exiger des investigations et des connaissances particulières.

Oscillant entre un ton condescendant et une agressivité paternaliste, ils relaient et martèlent ainsi avec conviction la communication du pouvoir exécutif, fusse-t-elle contradictoire à quelques semaines d’intervalle. Magister dixit, Le Maître a dit.

Pour convaincre, ces nouveaux télévangélistes ne disent pas « Dieu à dit que… » mais « La communauté scientifique a dit… » ou « La Science montre que… ». Qui peut être contre Dieu, la Communauté scientifique ou la Science ? Le mariage de la télévision et de la blouse blanche fait son grand œuvre : la force de conviction du « vu à la télé » exploite les principes élémentaires du marketing auprès d’un public naïf.

Aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général

Quelques éclaircissements permettent cependant à chacun de développer son propre esprit critique.

En premier lieu, aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général. La communauté scientifique ne cautionne aucun dogme. Elle est une mosaïque composée d’une multitude de chercheurs confrontant leurs idées et leurs travaux. Selon le fameux philosophe de la science Karl Popper, une théorie ne peut d’ailleurs être considérée comme scientifique qu’à la condition où elle peut être réfutée. Sinon il ne s’agit pas de science mais d’idéologie.

En deuxième lieu, un médecin n’est pas un scientifique. Il est à la fois moins et plus que cela : il est un homme de l’art. Un scientifique est titulaire d’une thèse de sciences, et non d’une thèse de médecine dite « d’exercice ». Un scientifique a publié un minimum d’articles scientifiques sur les sujets dont il est censé être compétent. Bien entendu, certains médecins peuvent aussi être de véritables scientifiques mais ils sont alors titulaires de deux doctorats et poursuivent une activité de recherche.

En troisième lieu, un médecin est compétent dans le périmètre de sa spécialité, voire de sa sous-spécialité. Le public devrait s’interroger face aux discours d’un urologue, d’un réanimateur ou d’un diététicien s’exprimant sur des sujets extérieurs à leurs domaines de compétence comme les épidémies à maladies transmissibles. On ne demande pas à un gynécologue obstétricien une prescription de lunettes de vue, ni à un ophtalmologiste de réaliser un accouchement.

La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques

Enfin les questions médicales et les interrogations scientifiques réelles ne se résolvent pas à la majorité ! La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques. Sinon la Terre serait toujours plate et toujours au centre de l’Univers.

L’ignorance de ces principes par le public permet aux télévangélistes en blouse blanche de manipuler très facilement leur audience par les techniques bien connues de lavage de cerveau dont l’objectif est d’amenuiser les résistances pour faciliter la persuasion :

  • Isolement social : situation imposée à la population pendant les confinements et couvre-feux, générant une vulnérabilité extrême
  • Contrôle de l’information et dénigrement de l’esprit critique : répétition de la pensée officielle unique avec avertissement à se méfier des informations alternatives présentées comme complotistes appartenant au camp du « mal »
  • Tromperie : déformation de la réalité par simplification pour accentuer le côté dramatique de l’épidémie et entretenir la peur
  • Soumission : incitation à se conformer au dogme
  • Identification au groupe : chaque individu abandonne sa propre personnalité pour rejoindre celle du groupe, par exemple des vaccinés
  • Contrôle du vocabulaire : une véritable novlangue s’est imposée depuis le début de l’épidémie (nombre de « cas », « clusters », on « sauve des vies », « pas de traitements », « la seule solution est la vaccination généralisée », etc.)
  • Distorsion de l’autorité : la seule autorité médicale valable est celle de l’État qui concentre tous les pouvoirs, relayés par les télévangélistes en blouse blanche. Les discours des autres médecins sont pervertis et à éviter.

Par ces moyens, la population se sent nécessairement fragilisée physiquement et moralement. Les sujets, se sentant coupables de risquer de contaminer les autres s’ils ne suivent pas strictement les règles imposées, demeurent les cibles idéales d’une persuasion psychologique.

Ces mécanismes d’avilissement de la population pendant la pandémie de Covid-19 n’auraient pas pu se mettre en place sans la complicité des principaux médias dits « mainstream » et du pouvoir exécutif qu’ils servent. Si les journalistes de ces médias avaient fait correctement leur métier, ils auraient sélectionné des spécialistes en fonction du périmètre de leurs compétences pour répondre aux questions légitimes de la population, ne serait-ce qu’en consultant la nature de leurs travaux accessibles sur les bases de données scientifiques. Les chaînes d’information auraient ainsi prôné des débats contradictoires d’experts confrontant tous les points de vue médicaux, plutôt que d’interviewer un seul médecin par plateau, lui laissant le champ libre pour déverser ses éléments de langage face à un public suffisamment fragilisé pour être conquis par le discours officiel. Il n’est ainsi pas étonnant que ce public manipulé constitue vite une majorité qui cherche à forcer la minorité dissidente à la rejoindre en servitude.

Le principe fondamental de la démocratie n’est-il pas de protéger la minorité contre la tyrannie de la majorité ? C’est bien le rôle de la Constitution censée protéger les droits de tous. Encore faut-il qu’elle soit respectée !

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/91312-medecins-plateaux-nouveaux-televangelistes-ariel-beresniak




« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah

[Photo : wikipedia]

« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah
Lettre ouverte de survivants des atrocités de la Seconde Guerre mondiale
Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience

Chaque jour nous découvrons un nouvel appel à cesser cette injection génique mortifère vendue aux peuples comme vaccin réactivant leur confiance inconsciente en ces médicaments.

Mensonge grave, car l’inefficacité est évidente, mais se complique d’accidents graves et de décès inacceptables de personnes de plus en plus jeunes, à mesure que l’obligation s’élargit de fait ou par extorsion de consentement devant les privations de liberté qu’impose le refus de la piqûre.

Nous partageons ici la lettre ouverte de rescapés de l’Holocauste et de leurs familles : « Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience »

Comme la lettre ouverte de Vera Sharav et coll. précédemment publiée,(([1] Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov, Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID-19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.
Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) ils insistent avec des mots comparables sur l’horrible scénario en cours qui leur évoquent la Shoah.

Malgré le déni du journal Libération, ce sont bien des survivants qui écrivent et supplient les autorités de cesser ce massacre.

(La Rédaction)


Stop the Covid Holocaust ! Open Letter—Global Research—Centre for Research on Globalization

Envoyé à :

  • Agence médicale européenne (EMA), Union européenne
  • Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), Royaume-Uni
  • L’Agence australienne de réglementation de la santé, AHPRA, Australie
  • Administration des produits thérapeutiques (TGA), Australie
  • Medsafe, Nouvelle-Zélande
  • Fédération des organismes de réglementation médicale (FMRAC), Canada

***

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. 

Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons. En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de la mi-1997 à la fin de 2013, soit une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité. Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature

Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain. C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

 Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.(([2] Le « vaccin » COVID-19 et le code de Nuremberg. Crimes contre l’humanité, génocide))

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Re (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Re (b) : Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé. En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant nombres de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

« Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains. Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus.

Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques par suite de la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés par suite de la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code de Nuremberg :

« Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent requis de lui, qu’un la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental »

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence :

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningoencéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thromboembolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.

Selon les présents consentements :

Rabbi Hillel Handler
Hagar Schafrir
Sorin Shapira
Mascha Orel
Morry Krispijn
Shimon Yanowitz
Hila Moscovich
Tamir Turgal
Amira Segal
Jacqueline Ingenhoes
Andrea Drescher
Edgar Siemund, Esq.


Ecoutez aussi la vidéo de Vera Sharav qui pointe le rôle terrible des médecins pendant les atrocités nazies et de façon comparable dans le drame actuel de la mascarade covid.






Le Seigneur des « vaccins »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vont font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vaccination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vaccin » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vaccins’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vaccins’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vaccin’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vaccins) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré


Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Tyrannie sanitaire

[Source de l’image : breizh-info.com]




L’école en famille

[Source : Nexus]

Par Nexus Magazine

Reportage : une famille nous raconte son expérience de l’instruction en famille

En plein cœur de la Creuse, nous avons rencontré  Sarah et Adrien avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, qui ont accepté de se prêter au jeu de la caméra pour partager avec nous leur expérience de l’instruction en famille. Ils ont passé 5 ans à la maison, mais sont aujourd’hui scolarisés au collège pour une troisième année d’école.

Friperie, bibliothèque associative partagée, journées de la gratuité trimestrielles, grand potager communautaire, le tout autour d’une belle maison en pierre que Sarah et Adrien prennent le temps de retaper. Quand on arrive sur le lieu de vie de cette petite famille, on s’y sent tout de suite à l’aise et bien accueilli, par les plus grands, comme par les plus petits. Un contact se crée facilement avec les parents, mais également avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, âgés respectivement de 13 ans et 11 ans et demi. Leur âge nous étonne, quand on voit l’aisance et le vocabulaire avec lesquels ils communiquent avec leurs comparses, mais aussi nous autres, les « vieux ». Les quatre membres de cette famille nous confieront chacun avec leurs propres mots et ressentis leur expérience de l’instruction en famille, qui sera bientôt soumise à une demande d’autorisation plutôt qu’à une simple déclaration auprès des instances publiques.

◆ L’instruction en famille vue par les enfants

Avant le témoignage des parents, découvrez tout d’abord en vidéo comment ont vécu l’instruction en famille Eden et Zenayah :

https://www.youtube.com/embed/R_D0VLve5Vk

◆ Respecter le rythme familial et individuel

Eden et Zenayah ont bénéficié de l’instruction en famille à partir de leurs 6 ans, puisqu’à leur époque, l’instruction était obligatoire à partir de cet âge-là, et non pas à partir de 3 ans.

« C’est avant tout pour respecter notre rythme de vie et le leur que nous avons choisi l’instruction en famille », nous expliquent Sarah et Adrien. « Nous nous déplacions beaucoup, à la recherche d’une propriété que nous voulions transformer en lieu de vie ouvertDe plus, le rythme scolaire à l’école est très réglé, dense et mouvementé, et le fait de les instruire à la maison nous a permis de transmettre des connaissances à nos enfants lorsqu’ils étaient prêts à les recevoir. »

◆ Une vision différente de l’école

Sarah et Adrien reconnaissent ne  pas leur avoir donné une image très réjouissante de l’école, même si Sarah a beaucoup aimé y aller, ainsi que « l’ambiance copains » sur place.  Il n’en a pas été ainsi pour Adrien. Pour lui, elle génère des « pseudo-relations sociales » éphémères, tout comme les connaissances qu’on y acquiert. Il nous confie que c’est après avoir quitté le lycée qu’il détestait et où il a l’impression de ne rien avoir appris d’essentiel à part lire et compter, qu’il est tombé bien bas. Et que c’est à ce moment-là qu’il est tombé de haut, en se relevant tout seul et en acceptant parfois l’aide de personnes inattendues. Les quelques souvenirs qu’il garde de l’école lui semblent secondaires.
Sarah évoque les matières enseignées : « Tout ce qu’on a appris nous sert aujourd’hui rarement, à part les bases. Dans l’enseignement secondaire, à moins d’avoir choisi une profession très spécifique en lien avec les études choisies, on ne se souvient pas de grand-chose. Certes, tu apprends à l’école. Certes, tu peux te faire des copains, mais tu peux aussi être mis de côté, montré du doigt. Tu peux apprendre, mais pas forcément à ton rythme. Je pense que l’école a encore beaucoup de travail pour être adaptée à l’enfant. Elle oublie souvent que l’enfant est un adulte en devenir et qu’il se doit d’être autonome, et pas que sur son travail scolaire. »

◆ De l’autonomie guidée

Sarah poursuit : « Ça n’est pas nous qui leur avons appris à lire, à compter, ou les bases nécessaires. C’est eux qui ont appris, seuls, en étant accompagnés par nous, parents. Nous leur avons donné des outils et eux les ont utilisés. » Jusqu’à 7-8 ans, les parents d’Eden et Zenayah les ont beaucoup laissés se débrouiller en autonomie, principalement par le jeu et avec un accès à l’extérieur assez grand, avec une parenthèse d’un an et demi en école Montessori qui leur a permis de découvrir le concept de l’école et de la collectivité lorsqu’ils n’avaient pas encore 6 ans.
Les initier également à la vie du quotidien dans une famille a été très important pour Adrien et Sarah. « Nos enfants, depuis qu’ils ont 3 ou 4 ans, participent aux tâches de la maison, et on y tient encore, maintenant qu’ils sont scolarisés. Il n’y a pas de raison qu’ils mettent les deux pieds sous la table ou restent derrière leur écran. Dans certaines écoles alternatives, les enfants participent au ménage et à la cuisine, et je trouve cela très bien. » Adrien complète : « On a voulu leur apprendre que ça n’est ni au système, ni à leurs parents de tout prendre en charge pour eux et qu’ils ont leur propre chemin à trouver. »

◆ Un niveau adapté au cadre scolaire classique, pour les enfants… et les parents !

Ces années n’ont posé aucun problème à Eden et Zenayah pour entrer au collège. « Bien sûr, lorsqu’ils ont exprimé la demande de changer de mode d’instruction, on a veillé à faire un bilan de là où ils en étaient, et de là où ils devaient en être pour rentrer dans leurs classes respectives, et ça allait. » Pour pouvoir instruire ses enfants, les parents eux-mêmes doivent avoir certaines compétences. « Comment enseigner la grammaire à ses enfants si soi-même on ne la comprend pas ? Ça veut dire qu’il faut réviser avec nos enfants à des moment donnés et se replonger dans certaines règles qu’on applique quand on écrit et auxquelles on ne réfléchit plus. Je pense que jusqu’à dix ans, on a tous le niveau pour faire ça, mais au-delà, il y a des matières dans lesquelles on n’a peut-être pas envie de se replonger ou qu’on ne souhaite pas intégrer. »

◆ Un apprentissage mutuel

« J’estime avoir appris énormément grâce à mes enfants et à tout ce temps passé avec eux. L’instruction  n’est pas allée que dans un sens », reconnaît Adrien. Pour lui, avec leur  cerveau en formation et évolutif, les enfants sont plus intelligents que les adultes très souvent « butés » selon lui. Il est épaté par leur capacité à trouver des solutions pour réaliser certains objectifs que lui n’avait pas entrevues. Il ne prend pas cela pour de l’insolence, mais pour de l’ingéniosité et de l’ouverture d’esprit dont il veut s’inspirer. « Ils m’ont également appris à reconnaître et accepter mes émotions, à accepter l’autre dans ses différences, malgré mon impatience ».

◆ Un besoin de prendre son envol à un moment donné

Entre 6 et 10 ans, l’instruction en famille s’est plutôt bien passée dans cette famille selon les dires de chacun de ses membres.. « On avait un temps quotidien de travail scolaire, mais parfois, eux comme nous, n’avions pas envie de le prendre. Il nous est donc arrivé de laisser couler. » Même s’ils avaient des copains dans le village qui eux allaient à l’école, ainsi que des activités à l’extérieur du foyer familial comme les sorties culturelles, la piscine et le cirque, les deux enfants d’un tempérament très sociable ont exprimé le besoin de ne plus être tout le temps avec leurs parents. Sarah souligne qu’« être 24h sur 24 ensemble, ça peut être contraignant. Il faut que les enfants et les parents aient les épaules pour ça. Même si on a choisi d’avoir des enfants, on n’a pas choisi leur personnalité, tout comme ils n’ont pas choisi la nôtre. Je crois que l’être humain a besoin d’un contact autre que celui avec sa famille, et ce contact, on le trouve majoritairement à l’école dans un premier temps ».

◆ D’autres formes d’instruction à trouver et peaufiner

Pour Adrien, il n’existe aucune école idéale, mais uniquement des expériences éducatives qui peuvent être bonnes, mais  toujours à parfaire. Il a la conviction qu’à partir du  moment où l’enfant est à l’école, les parents n’ont plus un mot à dire sur ce qu’il y vit. Que l’administration, froide et impersonnelle, s’accapare en quelque sorte le pouvoir sur les jeunes et infantilise complètement les parents. Ce qui est dommage pour Sarah, c’est qu’on ne propose pas de réelle alternative à l’école : « Soit on va à l’école, soit on n’y va pas. Certes il existe d’autres écoles que les écoles classiques, mais ça reste des écoles. Et instruire nos enfants aux côtés d’autres enfants est aujourd’hui non recevable auprès de l’académie lors du contrôle annuel. » Les enfants d’Adrien et Sarah ont d’ailleurs pendant un an et demi intégré une école Montessori. « Je pense qu’il y aurait d’autres possibilités pour permettre aux enfants de se retrouver, car c’est important qu’ils le fassent, dans des cadres différents, où ils pourraient s’instruire et progresser. Heureusement il existe actuellement des écoles parentales qui se créent et de petites structures entre particuliers, et je trouve ça bien qu’on aille dans ce sens-là. Qu’on permette davantage à l’enfant de choisir ce qu’il peut faire de ses journées, qu’il soit autonome et responsable tout en étant bien accompagné me semble fondamental. C’est un être intelligent, qui se rend compte de ce dont il a besoin pour son bonheur, et ce, dès le plus âge. »

◆  Une nouvelle loi qui met des bâtons dans les roues

Adrien et Sarah ne sont foncièrement pas d’accord avec la nouvelle loi sur le séparatisme qui vient de sortir et qui risque de limiter sérieusement la possibilité de faire l’instruction en famille. Mais Sarah reste confiante et déterminée : « Cette loi va encourager les parents à faire des pieds et des mains pour pouvoir y arriver. Ce qu’ils veulent donner, c’est une autorisation. Est-ce que ça va changer grand-chose ? Est-ce qu’ils vont la donner à tous ? Qui va donner cette autorisation ? Est-ce que l’Éducation nationale va se pencher sur tous les dossiers de demande d’instruction en famille pour déterminer les spécificités de l’enfant ? Ce qui me met en  rogne, c’est que ça va peut-être pousser certains parents à trouver des stratagèmes pour pouvoir instruire leurs enfants en famille, alors qu’à la base, ils n’ont pas envie d’être malhonnêtes. Mais pense que des parents déterminés trouveront une façon ou une autre de parvenir à leur fin. »

Adrien pense que grâce à ces années en famille, ses enfants vivent davantage l’instant présent, ont la capacité de savourer les liens relationnels qu’ils peuvent avoir, en faisant preuve de discernement et sans s’attacher à tout le monde. Quant à Sarah, elle ne peut pas encore dire si elle leur a permis d’acquérir des valeurs différentes de celles qu’ils auraient acquises à l’école. Avec un grand sourire, elle conclue : « C’est encore trop tôt. Je pourrai peut-être vous dire quand ils auront dix ans de plus ! »

🗞 Découvrez notre dernier article intitulé « Instruction en famille : incohérence et manipulation gouvernementales » dans notre dernier numéro en kiosque et en ligne : https://magazine.nexus.fr/n136




France : « Maintenant, ça suffit…Le gouvernement doit absolument lever toutes ces mesures liberticides ! On n’a pas droit de faire vivre cela à nos enfants !!! »

[Source : businessbourse.com]




Les États-Unis vont-ils se désunir ?

[Extraits de Dedefensa.org]

(…) enquête de l’honorable Center for Politics de l’université de Virginie. La guerre civile n’est pas inéluctable lorsque les deux ennemis jurés sont d’accord pour se séparer.

Pour l’heure, ce que nous dit cette enquête est bien que nous avons, non pas un affrontement, non pas une mésentent,e mais une irrémédiable fracture que les deux camps s’accordent pour juger irréversible.

« Plus de la moitié des Américains qui ont voté pour Trump sont favorables à ce que les États “rouges” [républicains] fassent sécession de l’Union, selon un récent sondage qui révèle également que près de la moitié des électeurs de Biden sont du même avis. La nation est-elle en route vers une guerre civile 2.0 ?

Selon un sondage publié vendredi, quelque 52% des électeurs de Trump interrogés par le Center for Politics de l’université de Virginie estiment que le pays se porterait mieux si les États à vote républicain (“rouges”) faisaient sécession de l’Union pour former leur propre nation. Un quart de ces électeurs sont tout à fait d’accord avec ce sentiment.

Les électeurs de Trump ne sont pas les seuls à penser qu’il est temps pour les États-Unis de se désunir. Quelque 41% des électeurs de Biden approuvent également cette idée, et un plus petit pourcentage, – 18%,– sont fortement d’accord.

Les implications pour l’“autre’ parti si la sécession n’avait pas lieu sont sans aucun doute plus inquiétantes. Une majorité non négligeable des électeurs de Trump et de Biden sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle “si notre société le veut, il est du devoir de tout vrai citoyen d’aider à éliminer le mal qui empoisonne notre pays de l’intérieur”. Il est bien sûr évident que personne ne se présente pour défendre “le mal” ou s’identifier à lui, et il apparaît tout aussi évident que les deux partis se réfèrent à l’autre lorsqu’ils utilisent un tel terme.

Des pourcentages énormes de 80% des électeurs de Biden et de 84% des électeurs de Trump sont d’accord pour dire que les élus de l’autre parti “présentent un danger clair et immédiat pour la démocratie américaine”.

En ce qui concerne les “valeurs”, près de 90% des électeurs de Trump pensent que le parti démocrate veut “éliminer l’influence des valeurs traditionnelles dans la vie et la culture américaines”, tandis que 78% des électeurs de Biden pensent la même chose, – en substituant “progressiste” à “traditionnel”.

Ce n’est pas nécessairement seulement la haine ou le dédain qui est à l’origine de ce clivage, – dans de nombreux cas, c’est la peur qui domine. Les électeurs de Biden et de Trump (80% et 82%, respectivement) craignent qu’eux-mêmes ou un de leurs proches “ne subissent une perte ou une souffrance personnelle en raison des effets des politiques [du parti adverse] à l’avenir”. 

Près des trois quarts des deux partis ont perdu la foi dans le premier amendement, suggérant que “certaines sources médiatiques des extrêmes [droite/gauche] sont devenues si mensongères qu’elles devraient être censurées pour mettre fin à la diffusion de mensonges dangereux”.

Les deux partis considèrent les médias qui favorisent le “camp” opposé comme un bras de facto du parti concerné. 77% des démocrates estimant que Fox News, par exemple, est un organe de presse du GOP qui diffuse des fausses nouvelles, tandis que 88% des républicains considèrent MSNBC comme une ruche de faux jetons progressistes.

Ne voyant apparemment pas de place pour la nuance, 76% des électeurs de Trump déclarent qu’il n’y a “aucune différence réelle entre les démocrates et les socialistes”, tandis que 56% des électeurs de Biden répondent qu’il n’y a “aucune différence réelle entre les républicains et les fascistes”.

En imaginant comment réparer leur nation divisée, une minorité non négligeable, tant à gauche qu’à droite, a donné libre cours au totalitarisme qui sommeille en elle, suggérant que “ce serait mieux pour l’Amérique si le président, quel qu’il soit, pouvait prendre les mesures nécessaires sans être contraint par le Congrès ou les tribunaux”. Bien que ce chiffre ne s’élève qu’à 46% pour les Démocrates et seulement 44% pour les Républicains, les deux “camps” ont été assez ouverts quant à leur désir d’un “leader puissant” qui pourrait “détruire les courants radicaux et immoraux qui prévalent dans la société actuelle”.

Pas moins de 82% des républicains sont prêts à embrasser un tel homme fort (ou femme forte), et même 62% des démocrates approuvent cette idée. Une proportion similaire pense qu’il y a “beaucoup de gens radicaux et immoraux qui essaient de tout gâcher” et que “notre société doit les arrêter”.

Les sondeurs n’ont pas demandé qui étaient ces personnes radicales et immorales, supposant peut-être que c’était l’autre parti qui servait de bouc émissaire, – bien que le vitriol contre ces “radicaux” ait reçu une approbation bipartite beaucoup plus importante que le clivage politique lui-même.

Les médias américains, –  en particulier ceux du courant dominant, – déplorent souvent le manque d’unité nationale, qu’ils imputent principalement à Trump et à ses partisans. Même le rapport de Mediaite sur le sondage qui a montré que le désir de sécession est bipartisan semblait conçu pour diviser davantage la population, déclarant dans son titre que les “électeurs de Trump” sont ceux qui demandaient la sécession même si plus de 40% des électeurs de Biden appellent à la même chose. »

La “Guerre Civile 1.0” comme l’on dirait en termes numériques, ou Guerre de Sécession comme l’on dit d’une manière plus conforme à la vérité historique, opposait deux camps aux buts opposés : le Sud voulait la sécession, le Nord s’y opposait. Le feu et le sang réglèrent ce désaccord. Dans le cas de 2021 (…) ce qui frappe est l’accord pour considérer l’irrémédiabilité du désaccord. L’affrontement le cède à l’entente pour le divorce. (…)

Tout cela doit être pour l’instant considéré comme théorique puisqu’il n’existe aucune “unité” réelle et franche, de type géographique ou ethnique, entre les deux camps. (…) Cette situation qui reste notablement éparpillée est un problème certainement très lourd pour une sécession ordonnée. Pour autant, l’activisme désormais bien connu des gouverneurs des États (essentiellement conservateurs), avec l’exercice de leurs pouvoirs au maximum prévu et en confrontation directe avec le “centre” de Washington D.C. (complètement progressiste), montre que la vie politique est en cours de changement.

(…)

Il est difficile, voire impossible, d’envisager un avenir optimiste pour la cohésion des États-Unis d’Amérique. Les USA ne se sortiront pas de cette crise dans leurs structures actuelles… Pour rendre le propos plus clair en le renversant : cela signifie que la crise ne se dénouera qu’avec la fin des États-Unis dans leurs structures actuelles, et donc l’une ou l’autre formule de sécession(s), de fragmentation, de dislocation.




Comment asservir un peuple ?

[Source : breizh-info.com]

« Vous voulez connaître le secret pour asservir un peuple ? Prévoir les comportements, contrôler les actions ? Déterminer les pensées ? Comment faire ? Certains ont tenté la coercition. Notre méthode est bien plus efficace, bien plus durable, bien plus profonde. Voulez-vous la connaître ? Écoutez bien.

Choisir un peuple en perte de repères, perdu, la suite sera d’autant plus efficace. Guerre longue, disparition de la tradition et de la foi, déclin civilisationnel, sentiment de déclassement : tout est bon à prendre. Ces peuples sont confrontés à un vide. C’est le moment parfait pour mettre en place notre système d’asservissement. La nature a horreur du vide. Les individus n’ont plus de repères ? À nous de leur en proposer : la valeur de l’argent, le goût du confort, le sens du matériel ; attractif et séduisant. Adhésion à ces valeurs : rapide et totale. L’avoir prend le dessus sur l’être. Les gens sont fiers de ce qu’ils possèdent, les gens commencent à se définir parce qu’ils possèdent. Et pour posséder, il faut acheter. Mais rapidement, l’achat des objets du quotidien ne suffit plus. La machine s’essouffle. Il faut posséder plus, toujours plus. On fait naître chez tous des nouveaux désirs, des désirs de plus en plus récurrents. Le désir devient besoin, le peuple devient marché, l’individu devient consommateur, la consommation devient reine… mais l’emprise est encore trop superficielle. Il faut rendre la dynamique plus durable, faire de cet attrait pour la consommation… une addiction. L’addiction, c’est quoi ? Une perte du libre arbitre qui découle d’une habitude.

Pour y arriver encore plus sûrement, s’appuyer sur la science : sociologie, ethnologie, sciences olfactives, neurosciences, toutes viennent renforcer encore plus les mécanismes d’addiction. Le progrès technique vient nourrir la dynamique ; on introduit alors le monde numérique. Tout est accessible plus vite, plus proche. Les notifications affluent à toute heure, donnant l’illusion du plaisir, l’illusion du bonheur. Le temps de cerveau disponible devient alors marchandise. Plus ça avance, plus le cerveau reptilien prend le dessus. Plus ça avance, plus l’emprise est totale. Les centres commerciaux sont devenus des prisons dans lesquelles les gens rentrent volontairement. Désormais, l’addiction est totale, la pathologie reconnue. Les individus en portent même les stigmates : depuis 2000, les gens qui naissent ont un QI inférieur à celui des générations antérieures. C’est la première fois. Un peuple millénaire fier est vaincu, asservi, se mettant lui-même aux chevilles les chaînes qui assurent sa servitude. Par leur addiction à la consommation, les Européens ont perdu la maîtrise de leur destin. Vous pensez avoir échappé à notre entreprise ? En êtes-vous vraiment sûr ? »

https://youtu.be/M9wGM49u2o0

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Des infirmières canadiennes lanceuses d’alerte disent que de nombreuses personnes meurent des vaccins contre le Covid, les hôpitaux sont remplis de personnes entièrement vaccinées

[Source : ZEjournal.mobi]

[Ndlr : au Québec et au Canada en général, les médias mainstream font croire le contraire, à savoir que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées, sachant qu’en fait des personnes n’ayant reçu qu’une dose sont le plus souvent considérées comme non vaccinées et que si elles meurent peu de temps après la vaccination, on dit qu’elles sont mortes de la Covid-19, mais surtout pas d’un effet secondaire du « vaccin ». Dans beaucoup de pays, il semble bien qu’il faille passer par des médias étrangers ou par des médias alternatifs pour avoir un autre son de cloche que celui du gouvernement.]

Deux infirmières canadiennes se sont exprimées en tant que lanceuses d’alerte et ont révélé ce qu’elles ont vu pendant la pandémie de Covid-19. Les infirmières ont décrit avoir vu des personnes mourir après la vaccination et des hôpitaux submergés de personnes entièrement vaccinées souffrant de Covid.

Erica Beardsley, qui a été infirmière pendant 11 ans dans la petite ville de Pontiac, dans la province canadienne de Québec, a récemment démissionné après que son employeur lui a ordonné de se faire vacciner.

Lors d’une manifestation contre le mandat anti-vaccin au Canada, Beardsley a parlé à un journaliste de ce dont elle a été témoin pendant la pandémie.

« J’ai vu physiquement des gens retenir des personnes âgées et les vacciner contre leur gré pendant qu’elles criaient ‘Non’ », a-t-elle déclaré.

« J’ai vu des patients se suicider et… une fois qu’ils sont morts, ils les testent pour le COVID. Pourquoi? Pourquoi les testons-nous pour COVID ? »

« J’ai vu beaucoup de gens mourir d’une crise cardiaque peu de temps après le vaccin », a-t-elle poursuivi. « J’ai été témoin de fausses couches à terme cinq jours, quatre jours après le vaccin ».

Bien qu’il vienne d’une ville d’environ 5 000 habitants, Beardsley a déclaré que cela devenait un phénomène inquiétant.

« Je suis dans un petit hôpital, un petit hôpital. J’ai travaillé à tous les étages », a déclaré Beardsley. Elle a dit qu’elle a travaillé dans les soins de longue durée, les soins généraux, le service des urgences et même pour la clinique externe de son hôpital. « J’ai tout vu. »

« Je n’ai rien à perdre, rien à cacher. Ils voulaient me faire vacciner et j’ai refusé. »

Une deuxième infirmière travaillant à l’hôpital St. Michael’s de Toronto affirme que l’hôpital est rempli de patients Covid entièrement vaccinés.

Un journaliste a demandé : « Les hôpitaux sont-ils pleins de patients Covid ?

L’infirmière a répondu : « Les hôpitaux sont à peu près pleins de gens qui ont été vaccinés. Ils retournent à l’hôpital en raison de leurs vaccinations. »

« Alors vous me dites que les gens qui se sont fait vacciner sont à l’hôpital en ce moment ? » demanda le journaliste.

« Oui, pas seulement à St. Michael’s, mais partout dans le monde », a déclaré l’infirmière. « C’est ce qui revient dans les hôpitaux à cette période de l’année, alors que les hôpitaux devraient être au plus bas, ce sont des gens qui sont vaccinés ».

Actuellement, au Canada, tous les travailleurs de la santé doivent être vaccinés ou risquent de perdre leur emploi. Cela inclut ceux qui travaillent dans les hôpitaux et dans un établissement de soins. Cependant, le gouvernement canadien a récemment annoncé que tous les travailleurs fédéraux doivent être vaccinés contre le Covid-19 d’ici la fin septembre.

Une fois ce mandat en place, une autre règle sera introduite pour rendre les injections obligatoires pour ceux qui travaillent dans les transports aérien, ferroviaire et maritime, et sera mise en œuvre «dès que possible à l’automne et au plus tard fin octobre. », a déclaré le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.



Source : The Daily Expose (Royaume-Uni)




Scandale de la crise covid-19 : un panorama des liens et possibles conflits d’intérêt

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pixabay FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Une enquête en immersion dans la « fricosphère »

La bulle science est-elle bien couverte ? Pure et sans tache, exempte d’éléments matériels froids, métalliques, pouvant la salir ? Debout ! Tournez donc le dos aux conflits d’intérêt nuisant à l’intérêt du patient ! Au garde-à-vous devant la Vertu ! Les médecins auraient-ils étudié la médecine seulement pour l’argent, ou plutôt, nous l’espérons, pour soigner nos semblables ?

Trois panoramas ont déjà été publiés évoquant tour à tour :

  • le panorama de l’escroquerie (diagnostic, traitement et vaccin) – le Pr Buzyn et le Pr Karine Lacombe ont été mises en examen quelques jours après.
  • celui du harcèlement organisé contre l’IHU et le Professeur Raoult – que le Pr Raoult n’a pas hésité à dénoncer comme de la « délinquance antiélitisme ». Des plaintes ont été constituées ou vont l’être.
  • Et pour finir celui autour de RéInfoCovid, le collectif créé par le Dr Fouché et plus particulièrement de l’association RéInfo Liberté – pour lequel l’avocat Me Heringuez a dû se fendre d’un courrier de mise en demeure au journal « le Monde » pour avoir enfreint le code de déontologie journalistique à plusieurs reprises.

Quelques pépites dans ces enquêtes. Voici aujourd’hui, la suite sur les conflits d’intérêts et comment se plonger dans l’analyse et leur identification. Remontant la chaine des liens éventuels à partir d’ exemples concrets. « Qui est le jouet des apparences se laisse séduire par des mensonges ». écrivait Anatole France en 1901 . 

Avant-propos

Inutile de revenir en longueur sur ce qu’a déjà mis en lumière FranceSoir quant aux conflits d’intérêts de l’OMS ou aux conflits d’intérêt financiers des médecins plateaux TV parmi lesquels le Professeur Lacombe reléguée au pied du podium – un petit rappel suffit :

Pas plus qu’il n’est utile de revenir sur les essais cliniques randomisés que le chercheur Valère Lounnas décrivait comme « la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques ».

Voici un petit exemple pratique autour d’un article scientifique pouvant mettre le lecteur sur la voie et faire comprendre comment un article peut être entaché de liens d’intérêts modifiant ses conclusions. Et faire taire ceux qui se mettent à hurler sur les réseaux sociaux dès que leurs turpitudes sont mises à jour. L’inélégance du hérisson urticant (@Sonic_Urticant identifié dans la harcelosphère contre l’IHU) ou le spécialiste du publireportage Pokemon @Willvs (alias William Audureau du Monde).

Le commencement passe par une analyse méthodique. Pour cela nous ferons appel à la méthode des « no Fake med » (groupe s’étant violement opposé à la recherche de l’IHU du Pr Didier Raoult pour des raisons de faiblesses méthodologiques !). Deux groupes sont nécessaire.

  • Un contrôle et
  • un soumis au dictat des intérêts matériels.

Le groupe contrôle

Pour commencer nous prenons l’étude italienne sur 3500 patients qui concluait à un bénéfice significatif du traitement des patients hospitalisés covid-19 avec l’hydroxychloroquine. Résultat : une baisse significative statistiquement de la mortalité de 30%.

Ce résultat correspond à celui observé à l’IHU du Pr Raoult sur la cohorte de 2000 patients hospitalisés (30% de baisse du risque de décès).

La réplicabilité des résultats est retrouvée dans deux autres études avec des cohortes similaires. En Italie, l’étude Di Castelnuovo sur 4000 patients – avec un bénéfice confirmé chez les patients à risque faible avant traitement. Cateau et al en Belgique reproduit aussi le bénéfice pour l’hydroxychloroquine. Autant pour les « no fake med » qui disent que le consensus scientifique conclut que l’hydroxychloroquine ne marche pas.

Le groupe à analyser

En continuant le parallèle, il est important de regarder le groupe à analyser. En l’occurrence les études ne reproduisant pas les résultats ci-dessus. Sands et al 2021 montre qu’il n’y a pas de bénéfice clinique chez les patients hospitalisés. Essayons de comprendre pourquoi ?

Le premier réflexe est de chercher les différences dans les conditions expérimentales ou des biais systématiques – suspecter un conflit d’intérêt.

Pourquoi tant de discordance et un effet diamétralement opposé ?

D’un côté un effet bénéfique prouvé dans de nombreux articles et de l’autre un effet délétère ? Ceci défie toute logique, y compris celle affectée des No Fake med.

Analysons ! Quels sont les biais ? Recherchons les conflits d’intérêt. A première vue, tout va bien, les auteurs ne déclarant pas de conflit d’intérêt.

Analysons plus en détail. Y aurait t-il (ô subtilité !) un lien d’intérêt ? Oui, la recherche a été financée par « HCA health system ». C’est le second réflexe à avoir – demander qui paie la recherche et les auteurs ?

Dans le cas présent, bien que les auteurs n’aient pas été payés directement par HCA health system, ceci constitue sans aucun doute un paramètre à prendre en compte. Il faut aussi bien regarder les affiliations des auteurs.
Et, oui les auteurs, employés HCA health system, doivent leur poste et leur travail à qui les emploie.

Les auteurs sont payés par le financeur de la recherche exposée dans l’article.

Cependant il faut chercher plus loin pour comprendre. A commencer par la taille des enjeux financiers. Oui, le pouvoir et l’argent mènent ce monde étranger à ses origines, depuis la chute des valeurs ou perte de bien des repères.

Qui est HCA health system ?

Le plus grand groupe hospitalier privé au monde avec 50 milliards de dollars de chiffres d’affaire en 2020. Le réflexe 2 est donc d’analyser la taille des enjeux financiers. 50 milliards ce n’est pas une paille.

Comprenons que HCA health system a une vocation lucrative et non pas humaniste et académique. Le bien-être du patient ne serait ainsi pas, pour cette corporation, une priorité !

Continuons par paraphraser Monsieur Philippe de Villiers, nous dirons que nous avons tiré sur le fil du conflit d’intérêt et tout est venu.

Le réflexe 4 est donc de clarifier les financeurs du financeur de la recherche. Regardons les actionnaires de la société HCA. Vanguard, un financier américain, truste sept des quinze premières places en terme d’actionnariat.

Continuons à tirer sur le fil de la pelote en remontant les actionnaires. Les médias mainstream diraient-ils que nous complotons?

Non, nous enquêtons – Vanguard Blackrock serait un financeur majeur en lien avec HCA health system.

Et nous associons et synthétisons nos découvertes.

Nous découvrons, ô hasard, que Vanguard Blackrock est un financeur indirect d’Elsevier, la maison d’édition du fameux (fake) article concluant en la nocivité de l’hydroxychloroquine.

Et nous tombons aussitôt sur les liens unissant SPILF – ELSEVIER- et le Dr Nathan Peiffer Smadja qui a été un des « négationnistes de l’efficacité de l’hydroxychloroquine » et un « promoteur du Remdesivir » (section plus bas dans l’article). A commencer par sa fameuse méta-analyse qu’il n’a sans doute pas écrite (contrairement à ce qu’il a affirmé par écrit sur l’article) car il n’était pas auteur dans la prépublication, et par des colloques SPILF.

https://www.elsevier.com/fr-fr/clinical-solutions/evenements/serie-infectio-le-point-sur

Parallèlement le Professeur Karine Lacombe tente de faire la promotion de ce traitement sur des critères intermédiaires (durée d’hospitalisation diminuée grâce à ce traitement, sans jamais mentionner les effets indésirables ni l’absence d’impact sur la mortalité).

Parallèlement, nous remarquons que le journal dans lequel est paru l’article incriminé est celui d’une société savante « International Society for Infectious disease (ISID) »… financée par… Pfizer.

Tirons la pelote. Les « No fake med » opposants affichés à l’IHU vont-ils apprécier ? Ils devraient puisqu’ils sont les champions du monde de l’intégrité !

Tirons la pelote et apparaît encore Vanguard Blackrock, financeur de Pfizer.

Patience, tirons encore un peu sur le fil ! Soyez attentifs, lecteurs, journalistes et médecins des plateaux TV !

Il ne reste plus qu’à reconstituer le puzzle et regarder tous ces liens pouvant entacher l’intégrité scientifique.

Pfizer et le vaccin d’un côté, Gilead et le Remdesivir de l’autre

Rappelons le LIEN d’intérêt unissant le jeune Docteur Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. L’association savante des infectiologues français a des liens si étroits avec Gilead que le laboratoire américain sponsorise les badges de leur colloque annuel

Rappelons (nous l’avions mentionné en début d’article) que François-Xavier Lescure de Paris – Bichat (qui a reçu de l’argent de Gilead) est l’adjoint du Pr Yazdan Yazdanpanah. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine.

Peut-être est ce pour cette raison que le jeune Nathan a recommandé le Remdesivir dans un « élan fougueux ». Cela a déjà été écrit mais rappelons les faits : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-diagnostic-traitements-vaccin-panorama-dune-escroquerie

Son thread fait croire que le HCSP a recommandé, en mars 2020, des thérapies cliniques alors que ce n’est pas sa mission. L’avis disait à Mr Véran de prendre un arrêté pour usage compassionnel du #remdesivir, ce qu’il n’a pas fait.

Attention, les conséquences sont concrètes ; cet article relate la toxicité de ce médicament utilisé à l’hôpital Bichât chez François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah (et donc chez le Dr Nathan Peiffer-Smadja).

Sur cinq patients, quatre effets indésirables hépatiques et/ou rénaux, dont deux patients en dialyse !

Mais, intérêt oblige le délire continue ! https://twitter.com/VirusWar/status/1439159792921190405?s=20

Autorisation en décembre 2020

Autorisation en juin 2021 !

Et pourtant une nouvelle étude parue dans le Lancet confirme l’absence d’intérêt du Remdesivir :

Attention, concernant la malhonnêteté, il y a des cas particuliers…

Il ne reste plus qu’à finir l’analyse par une bonne méthodologie pour faire plaisir aux « No Fake Med » que certains n’hésitent pas à décrire comme des « scientistes étroits ». Le « cas contrôle » n’avait pas de liens financiers pouvant influencer ses conclusions.

Pour conclure, quand vous lisez un article scientifique, n’hésitez pas à remonter le fil des financements et des liens d’intérêt; reconstituez vous-même le puzzle !

Rappelons que certains avocats ont déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale et n’hésitent plus à le comparer au procès dit de Nuremberg.

Si vous êtes arrivés jusqu’ici, ne croyez pas un mot de ce qui est écrit, vérifiez par vous-même.

Enquête réalisée par la rédaction de FranceSoir avec le Collectif Citoyen.

Auteur(s): FranceSoir




Une ex-employée de Facebook fait trembler le géant américain avec ses révélations

[Source : sputniknews.com]

[Photo : © REUTERS / Stephen Lam]

Par Julia Belyakova

Une série de révélations a été faite grâce à des documents connus sous le nom de Facebook Files, transmis à la Security and Exchange Commission par une lanceuse d’alertes. Selon le Wall Street Journal, qui a pu consulter des documents, le fonctionnement de l’entreprise semble ne toujours pas correspondre au discours public de la direction.Est-ce que des temps difficiles attendent l’entreprise Facebook et sa direction? Une lanceuse d’alertes qui avait déjà révélé une partie des documents portant sur des règlements intérieurs de travail du réseau social, donnant la base à une série de publications par le Wall Street Journal qui a pu les consulter, aurait promis de sortir de l’ombre ce dimanche 3 octobre dans l’émission 60 Minutes de la chaîne CBS.

Toutefois, elle avait déjà transmis certains documents, connus sous le nom de Facebook Files, pour une étude à la Security and Exchange Commission (SEC), l’organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Et selon les investigations menées par le Wall Street Journal, parmi les révélations faites par cette lanceuse d’alertes, il y a l’effet négatif d’Instagram sur les jeunes, jamais communiqué par Facebook, alors qu’il s’agit de résultats d’une étude interne, la censure manuelle des comptes de personnalités et influenceurs, ce qui prouverait l’implication du facteur humain dans cette censure qui comme il s’avère n’est pas faite par des robots.

L’influence négative d’Instagram

Les chercheurs d’Instagram, qui appartient à Facebook, étudient depuis des années comment l’application de partage de photos touche des millions de jeunes utilisateurs. À plusieurs reprises, la société a constaté qu’Instagram était nuisible pour un pourcentage important d’entre eux, en particulier les adolescentes, plus que d’autres plateformes de réseaux sociaux. En public, Facebook a constamment minimisé les effets négatifs de l’application, y compris dans les déclarations au Congrès, et n’a pas rendu sa recherche publique ou disponible pour les universitaires ou les législateurs qui l’ont demandée. En réponse, Facebook dit que les effets négatifs ne sont pas répandus, que la recherche en santé mentale est précieuse et que certains des aspects nocifs ne sont pas faciles à traiter, précise le Wall Street Journal dans sa publication.

Les comptes privilégiés

Mark Zuckerberg a publiquement déclaré que Facebook permettait à ses plus de trois milliards d’utilisateurs de parler sur un pied d’égalité avec les élites de la politique, de la culture et du journalisme, et que ses normes de comportement s’appliquent à tous, peu importe leur statut ou leur renommée, rappelle le média. En privé, l’entreprise a conçu un programme, connu sous le nom de « vérification croisée » ou « XCheck », créé comme une mesure de contrôle de la qualité pour les comptes de haut niveau. Aujourd’hui, il protège des millions de comptes privilégiés, montrent les documents. Beaucoup abusent de ce privilège, publiant des images relevant du harcèlement et de l’incitation à la violence qui conduiraient généralement à des sanctions. Les comptes de personnalités faisant partie de ces listes « privilégiées » sont traités manuellement, ainsi cela prend plus de temps et la modération n’est pas exempte d’un facteur et jugement humains. Cela concerne presque six millions de comptes (5,8 millions à en croire les documents dévoilés). Parfois, XCheck avait protégé des personnalités publiques dont les messages contiennent du harcèlement ou de l’incitation à la violence, violations qui généralement conduiraient à des sanctions pour les utilisateurs réguliers. En 2019, il a permis à la star internationale du football Neymar de montrer des photos nues d’une femme, qui l’avait accusé de viol, à des dizaines de millions de ses fans avant que le contenu ne soit supprimé par Facebook, démontrent les documents.

L’un des documents internes consultés explique aux employés ce qu’est le programme XCheck de la manière suivante:

« Cela signifie que, pour un petit nombre de membres de notre communauté, nous n’appliquons pas nos politiques et nos normes. Contrairement au reste de notre communauté, ces personnes peuvent violer nos normes sans aucune conséquence », indique le Wall Street Journal, citant l’une des notes il a pu consulter.

Facebook a répondu pour sa part que critiquer ce programme était justifié, qu’il a été conçu pour un bon but et que l’entreprise travaillait à le corriger.

Le trafic d’organes humains, la pornographie et les cartels de la drogue

De nombreux documents Facebook examinés par le Wall Street Journal montrent des employés s’alarmant de la façon dont la plateforme est utilisée dans les pays en développement, où sa base d’utilisateurs est énorme et en expansion. Des employés ont signalé que les trafiquants d’êtres humains au Moyen-Orient utilisaient le site pour attirer les femmes. Ils ont averti que les groupes armés éthiopiens utilisaient le site pour inciter à la violence contre les minorités ethniques. Ils ont envoyé des alertes à leurs patrons sur la vente d’organes, la pornographie et l’action du gouvernement contre la dissidence politique, selon les documents. Ils montrent également la réaction de l’entreprise, qui dans de nombreux cas est inadéquate ou reste sans réponse.

Notamment, en janvier 2021, un ancien policier devenu enquêteur pour Facebook a publié une note de service pour tout le personnel sur le tableau des messages internes où il a détaillé un nouvel ensemble de ce qu’il a appelé « les apprentissages ». Le plus important d’entre eux était celui qui portait sur un cartel mexicain de la drogue utilisant Facebook pour recruter, former et payer les tueurs à gages, donne comme exemple le Wall Street Journal, en se référant aux documents révélés. Le comportement était choquant dans nombre de cas rapportés et en violation flagrante des règles de Facebook. Mais l’entreprise n’a pas empêché le cartel de publier sur Facebook ou Instagram.

Un porte-parole de Facebook a déclaré que l’entreprise avait déployé des équipes à travers le monde, des partenariats locaux et des vérificateurs de faits tiers pour augmenter la sécurité des utilisateurs.

L’impact de Facebook dans la campagne vaccinale

Facebook a pesé de tout son poids dans la promotion des vaccins contre le Covid-19, « une priorité de compagnie supérieure », souligne une note interne, dans une démonstration de Mark Zuckerberg pour faire valoir que sa création est une force pour le bien dans le monde. Il a fini par démontrer des lacunes entre ses aspirations et la réalité de la plus grande plateforme sociale du monde. Les activistes ont inondé le réseau, selon les notes internes consultées par le quotidien. Ils ont utilisé les outils de Facebook pour semer le doute sur la gravité de la menace de la pandémie et la sécurité de la principale arme des autorités pour la combattre. Les problèmes liés au Covid-19 ont créé des difficultés pour la direction de Facebook. Même quand il fixait un objectif, le chef de l’exécutif ne pouvait pas diriger la plateforme comme il le voulait. Un porte-parole de Facebook a déclaré dans un communiqué que les données montrent que l’hésitation vaccinale des gens aux États-Unis sur Facebook a diminué d’environ 50% depuis janvier, et que les documents montrent le « processus de routine de l’entreprise pour faire face à des défis difficiles ».

Une fuite précédente liée à Cambridge Analytica

Il ne s’agit pas de la première fuite géante chez Facebook. En 2018, le scandale autour du cabinet britannique Cambridge Analytica, qui avait récupéré les données de 87 millions d’utilisateurs à des fins de propagande politique, avait porté un coup dur à la réputation du réseau social qui compte actuellement près de 2,8 milliards d’usagers mensuels.

En octobre 2020, une association de consommateurs a annoncé lancer une action en justice au Royaume-Uni contre Facebook pour l’utilisation illégale de données d’utilisateurs en Angleterre et au pays de Galles, à la suite de l’affaire Cambridge Analytica. Précédemment, Facebook avait accepté de payer une amende de 500.000 livres sterling (585.000 euros) au Royaume-Uni.




La dirigeante tyrannique australienne Gladys Berejiklian est évincée

[Source : Aube Digitale]

La dirigeante australienne corrompue et tyrannique qui a juré de forcer les citoyens qui ne se conforment pas à la loi à rester enfermés pour toujours a démissionné en disgrâce.

Gladys Berejiklian, visiblement ébranlée, a démissionné de façon spectaculaire de son poste de premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud vendredi, après que l’organisme de surveillance de la corruption de l’État a constaté qu’elle avait violé son serment.

Gladys Berejiklian s’était auparavant vantée auprès des habitants de la Nouvelle-Galles du Sud que les personnes non vaccinées parmi eux resteraient en état de confinement pour toujours.

La dirigeante de 51 ans a non seulement démissionné de son poste de premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud, mais aussi de celui de député de Willoughby, quittant ainsi définitivement la politique.

« J’ai dû prendre une décision difficile cette nuit », a déclaré Mme Berejiklian avec colère à un groupe de journalistes aujourd’hui, tout en lisant à la hâte une déclaration préparée à l’avance. Elle a refusé de répondre aux questions des journalistes.

« J’ai le regret de vous annoncer que je n’ai pas d’autre choix que de démissionner du poste de Premier ministre ».

Le Daily Mail rapporte : Les libéraux de Nouvelle-Galles du Sud vont maintenant élire un nouveau leader. Le trésorier Dominic Perrottet, qui est en tête de liste, a déclaré qu’il allait parler à sa famille et à ses collègues pendant le week-end avant de décider s’il allait se présenter.

Le ministre de l’aménagement du territoire, Rob Stokes, qui a toujours souhaité occuper le poste suprême, a déclaré qu’il se présenterait et le ministre du tourisme, Stuart Ayres, fait également l’objet de discussions.

« Je suis extrêmement confiante que la personne qui me succédera sera plus que capable de poursuivre ce travail. Veuillez leur accorder votre confiance », a déclaré Mme Berejiklian.

La Commission indépendante contre la corruption cherche à savoir si Mme Berejiklian a encouragé ou permis la corruption de son ex-petit ami secret et ancien député de Wagga Wagga, M. Maguire, entre 2012 et 2018.

Elle cherchera également à savoir si elle a abusé de la confiance du public en ne signalant pas tout soupçon de comportement corrompu et quel rôle elle a dû jouer dans l’octroi de deux subventions gouvernementales dans l’électorat de M. Maguire.

Une enquête publique de l’ICAC sur cette affaire se tiendra pendant environ 10 jours à partir du 18 octobre, sous la supervision de la commissaire adjointe Ruth McColl SC.

M. Maguire est accusé d’avoir abusé de sa fonction publique après avoir admis avoir été impliqué dans un système d’échange d’argent contre des visas et avoir cherché à obtenir des commissions secrètes pour le courtage de transactions immobilières. Il a été contraint de démissionner en 2018.

Mme Berejiklian – qui semblait pleurer – a nié tout acte répréhensible et a critiqué l’organisme de surveillance pour avoir annoncé son enquête sur elle alors que l’État sort d’un confinement du Covid de quatre mois.

« Compte tenu des restrictions imposées par les restrictions du Covid, ma démission du poste de premier ministre ne pouvait pas tomber plus mal, mais le moment est totalement indépendant de ma volonté, car l’ICAC a choisi de prendre cette mesure pendant les semaines les plus difficiles de l’histoire de l’État. »

« Démissionner en ce moment est contraire à tous les fibres de mon être et c’est quelque chose que je ne veux pas faire », a-t-elle déclaré.




Camps de détention du COVID-19 : Les rafles gouvernementales des résistants sont-elles notre avenir ?

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

« Sans doute les camps de concentration étaient-ils un moyen, une menace utilisée pour maintenir l’ordre. »

Albert Speer, procès de Nuremberg

Il ne s’agit plus de savoir si le gouvernement enfermera les Américains pour avoir défié ses mandats, mais quand.

Voici ce que nous savons : le gouvernement a les moyens, les muscles et la motivation pour détenir les individus qui résistent à ses ordres et ne se conforment pas à ses mandats dans un vaste éventail de prisons, de centres de détention et de camps de concentration de la FEMA payés avec l’argent des contribuables.

Ce n’est qu’une question de temps.

La question la plus brûlante n’a plus d’importance (les vaccins obligatoires, l’immigration, les droits des armes à feu, l’avortement, le mariage homosexuel, les soins de santé, la critique du gouvernement, la protestation contre les résultats des élections, etc.

Le travail préparatoire a déjà été effectué

En vertu de la disposition relative à la détention indéfinie de la loi sur l’autorisation de la défense nationale (NDAA), le président et l’armée peuvent détenir et emprisonner des citoyens américains sans accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme des terroristes.

Il n’est donc pas surprenant que le simple fait de critiquer le gouvernement ou de s’opposer à la vaccination contre le COVID-19 puisse vous faire qualifier de terroriste.

Après tout, il suffit de peu de choses pour être considéré comme un terroriste, d’autant plus que le gouvernement aime utiliser indifféremment les mots « anti-gouvernemental », « extrémiste » et « terroriste ».

Par exemple, le département de la sécurité intérieure définit les extrémistes comme des individus, des vétérans militaires et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale ».

Les vétérans militaires revenant d’Irak et d’Afghanistan peuvent également être qualifiés d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles par le gouvernement, car ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre. »

En effet, si vous croyez en vos droits constitutionnels et les exercez (à savoir, votre droit de parler librement, de pratiquer librement votre culte, de vous associer à des personnes partageant vos opinions politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d’exiger un mandat avant d’être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement anti-gouvernementale, raciste, bigote, anarchique ou souveraine), vous pourriez figurer en tête de la liste de surveillance du gouvernement en matière de terrorisme.

En outre, comme le souligne un éditorial du New York Times, vous pouvez être un extrémiste antigouvernemental (alias terroriste domestique) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement ne complote pour confisquer vos armes à feu, si vous pensez que l’économie est sur le point de s’effondrer et que le gouvernement va bientôt déclarer la loi martiale, ou si vous affichez un nombre inhabituel d’autocollants politiques et/ou idéologiques sur votre voiture.

Selon le FBI, vous pourriez également être classé comme une menace de terrorisme intérieur si vous adhérez à des théories du complot ou osez souscrire à des opinions contraires à celles du gouvernement.

Le gouvernement dispose également d’une liste de plus en plus longue, partagée avec les centres de fusion et les services répressifs, d’idéologies, de comportements, d’affiliations et d’autres caractéristiques susceptibles de signaler une personne comme suspecte et de la faire passer pour un ennemi potentiel de l’État.

C’est ce qui se passe lorsque l’on confie non seulement le pouvoir de déterminer qui est un danger potentiel aux agences gouvernementales, aux tribunaux et à la police, mais que l’on donne également à ces agences l’autorité libérale d’enfermer des individus pour des méfaits perçus.

C’est un système qui ne demande qu’à être abusé par des bureaucrates assoiffés de pouvoir et désireux de conserver leur pouvoir à tout prix.

Cela s’est déjà produit auparavant.

Comme le montre l’histoire, le gouvernement américain n’hésite pas à enfermer ses propres citoyens à ses propres fins

Il suffit de remonter aux années 1940, lorsque le gouvernement fédéral a proclamé que les Américains d’origine japonaise, qualifiés de dissidents potentiels, pouvaient être placés dans des camps de concentration (ou d’internement) sur la seule base de leur origine ethnique, pour voir jusqu’où le gouvernement fédéral est prêt à aller pour maintenir « l’ordre » dans son pays.

La Cour suprême des États-Unis a validé le programme de détention dans l’affaire Korematsu v. US (1944), concluant que la nécessité pour le gouvernement d’assurer la sécurité du pays l’emportait sur les libertés individuelles.

Bien que cette décision Korematsu n’ait jamais été formellement annulée, le juge en chef Roberts a opiné dans l’affaire Trump v. Hawaii (2018) que

« la relocalisation forcée de citoyens américains dans des camps de concentration, uniquement et explicitement sur la base de la race, est objectivement illégale et en dehors de la portée de l’autorité présidentielle. »

Les déclarations de Roberts n’offrent guère d’assurance en matière de sécurité, compte tenu de la tendance du gouvernement à contourner la règle de droit lorsque cela satisfait ses objectifs. Soulignant que de telles détentions manifestement illégales pourraient se reproduire – avec la bénédiction des tribunaux – le juge Scalia a un jour averti :

« En temps de guerre, les lois se taisent. »

En fait, la création de camps de détention au niveau national fait depuis longtemps partie du budget et des opérations du gouvernement, relevant de la FEMA, l’Agence fédérale de gestion des urgences.

L’histoire trouble de la FEMA remonte aux années 1970, lorsque le président Carter l’a créée par le biais d’un décret fusionnant plusieurs agences gouvernementales d’aide en cas de catastrophe en une seule grande agence.

Dans les années 1980, cependant, des rapports ont commencé à faire état d’exercices secrets d’entraînement de type militaire menés par la FEMA et le ministère de la Défense. Sous le nom de code Rex-84, 34 agences fédérales, dont la CIA et les services secrets, ont été formées à la gestion des troubles civils intérieurs.

Le rôle de la FEMA dans la création de camps d’internement américains top-secret est bien documenté

Mais faites attention à qui vous partagez cette information : il s’avère que le fait de s’inquiéter de l’existence des camps de détention de la FEMA fait partie de la liste croissante d’opinions et d’activités qui peuvent amener un agent fédéral ou un fonctionnaire à penser que vous êtes un extrémiste (alias un terroriste) ou que vous êtes favorable à des activités terroristes, et que vous pouvez donc être placé en détention pour une durée indéterminée en vertu de la NDAA. Cette liste de points de vue « dangereux » comprend également la défense des droits de l’État, la conviction que l’État n’est pas nécessaire ou est indésirable, la « théorie de la conspiration », les préoccupations concernant les camps de la FEMA, l’opposition à la guerre, l’organisation pour la « justice économique », la frustration à l’égard des « idéologies dominantes », l’opposition à l’avortement, l’opposition à la mondialisation et le stockage de munitions.

Si vous voulez avoir des camps d’internement sur le sol américain, il faut bien que quelqu’un les construise.

Ainsi, en 2006, il a été annoncé que Kellogg Brown and Root, une filiale de Halliburton, avait obtenu un contrat de 385 millions de dollars pour construire des centres de détention américains. Bien que le gouvernement et Halliburton n’aient pas précisé où et quand ces centres de détention nationaux seraient construits, ils en ont justifié la nécessité en cas « d’afflux urgent d’immigrants, ou pour soutenir le développement rapide de nouveaux programmes » en cas d’autres urgences telles que des « catastrophes naturelles. »

Bien entendu, ces camps de détention devront être utilisés pour toute personne considérée comme une menace pour le gouvernement, et cela inclut les dissidents politiques.

Ce n’est donc pas une coïncidence si le gouvernement américain a, depuis les années 1980, acquis et maintenu, sans mandat ni ordonnance du tribunal, une base de données de noms et d’informations sur des Américains considérés comme des menaces pour la nation.

Comme le rapporte Salon, cette base de données, qui aurait été baptisée « Main Core », doit être utilisée par l’armée et la FEMA en cas d’urgence nationale ou de loi martiale pour localiser et rassembler les Américains considérés comme des menaces pour la sécurité nationale. Il y a au moins 8 millions d’Américains dans la base de données Main Core.

Avance rapide jusqu’en 2009, lorsque le département de la sécurité intérieure (DHS) a publié deux rapports, l’un sur l’ »extrémisme de droite », qui définit largement les extrémistes de droite comme des individus et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale », et l’autre sur l’ »extrémisme de gauche », qui qualifie d’extrémistes les groupes de défense de l’environnement et des droits des animaux.

Chose incroyable, les deux rapports utilisent indifféremment les mots terroriste et extrémiste.

La même année, le DHS a lancé l’opération Vigilant Eagle, qui prévoit la surveillance des vétérans de l’armée revenant d’Irak, d’Afghanistan et d’autres pays lointains, les qualifiant d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles parce qu’ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre ».

Ces rapports indiquent que pour le gouvernement, ce que l’on appelle l’extrémisme n’est pas une question partisane. Toute personne perçue comme s’opposant au gouvernement – qu’elle soit de gauche, de droite ou quelque part entre les deux – est une cible, ce qui nous ramène, en boucle, à la question de savoir si le gouvernement exercera le pouvoir qu’il prétend posséder pour détenir toute personne perçue comme une menace, c’est-à-dire toute personne critiquant le gouvernement.

La réponse courte est : oui.

La réponse plus longue est plus compliquée.

Malgré ce que certains peuvent penser, la Constitution n’est pas une incantation magique contre les méfaits du gouvernement. En effet, son efficacité dépend de ceux qui la respectent.

Toutefois, en l’absence de tribunaux disposés à faire respecter les dispositions de la Constitution lorsque des représentants du gouvernement n’en tiennent pas compte et en l’absence de citoyens suffisamment informés pour être indignés lorsque ces dispositions sont remises en cause, la Constitution n’offre que peu ou pas de protection contre les raids des équipes d’intervention, la surveillance domestique, les tirs de la police sur des citoyens non armés, les détentions illimitées, etc.

Pour être franc, les tribunaux et la police ont tellement harmonisé leur façon de penser que tout est permis quand c’est fait au nom de la sécurité nationale, de la lutte contre la criminalité et du terrorisme.

Par conséquent, l’Amérique ne fonctionne plus dans le cadre d’un système de justice caractérisé par une procédure régulière, la présomption d’innocence, une cause probable et des interdictions claires concernant les excès du gouvernement et les abus de la police. Au lieu de cela, nos cours de justice ont été transformées en cours d’ordre, défendant les intérêts du gouvernement plutôt que les droits des citoyens, tels qu’ils sont inscrits dans la Constitution.

Nous semblons boucler la boucle sur de nombreux fronts

Il y a vingt ans, nous débattions de la question de savoir si les non-citoyens – par exemple, les soi-disant combattants ennemis détenus à Guantanamo Bay et les Américains musulmans raflés à la suite des attentats du 11 septembre – avaient droit aux protections prévues par la Constitution, notamment en ce qui concerne la détention indéfinie. À l’époque, les Américains ne se préoccupaient pas outre mesure des droits des non-citoyens, et aujourd’hui, c’est nous qui sommes dans la position peu enviable d’être ciblés par notre propre gouvernement pour une détention indéfinie.

De même, la plupart des Américains ne se sont pas inquiétés outre mesure lorsque la Cour suprême des États-Unis a donné aux policiers de l’Arizona le feu vert pour arrêter, fouiller et interroger quiconque – vraisemblablement ceux qui correspondent à un profil racial particulier – qu’ils soupçonnent d’être un immigrant illégal. Dix ans plus tard, les flics ont largement carte blanche pour arrêter tout individu, citoyen ou non, qu’ils soupçonnent de faire quelque chose d’illégal (attention, à notre époque de surcriminalisation, cela peut aller de donner à manger aux oiseaux à la culture d’orchidées exotiques).

De même, il existe encore aujourd’hui une partie non négligeable de la population qui ne se préoccupe pas de la pratique du gouvernement consistant à espionner les Américains, car on leur a lavé le cerveau en leur faisant croire que si vous ne faites rien de mal, vous n’avez rien à craindre.

Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils n’apprennent à leurs dépens que dans un État policier, peu importe qui vous êtes ou à quel point vous prétendez être vertueux, car finalement, vous serez mis dans le même sac que tous les autres et tout ce que vous ferez sera « mauvais » et suspect.

C’est d’ailleurs ce qui se passe déjà, la police s’appuyant sur des logiciels de surveillance tels que ShadowDragon pour observer l’activité des gens sur les médias sociaux et sur d’autres sites Web, qu’ils soient ou non soupçonnés d’un crime, et les utiliser potentiellement contre eux en cas de besoin.

Il s’avère que nous sommes dans Soleil Vert, cannibalisés par un gouvernement qui cherche à nous soutirer jusqu’à la dernière goutte.

Le film Soleil Vert (Soylent Green) de 1973, avec Charlton Heston et Edward G. Robinson, se déroule en 2022 dans une ville de New York surpeuplée, polluée et affamée, dont les habitants dépendent des aliments synthétiques fabriqués par la Soylent Corporation pour survivre.

Heston joue le rôle d’un policier qui enquête sur un meurtre et découvre l’effroyable vérité sur l’ingrédient principal du biscuit, Soleil Vert, qui constitue la principale source d’alimentation d’une population affamée. « Ce sont les gens. Soleil Vert c’est de la chaire humaine », déclare le personnage de Heston. « Ils fabriquent notre nourriture à partir de personnes. Bientôt, ils nous élèveront comme du bétail pour nous nourrir. »

Oh, comme il avait raison.

Soleil Vert est en effet constitué de personnes ou, dans notre cas, Soleil Vert est constitué de nos propres données personnelles, reprises, reconditionnées et utilisées par les entreprises et le gouvernement pour nous piéger dans des prisons de notre propre fabrication.

Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les empiètements sur nos droits lorsque le pouvoir, la technologie et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions, un peu comme le personnage d’Edward G. Robinson dans Soleil Vert. Robinson dans Soylent Green, à regarder le passé avec nostalgie, à revenir à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions et aller où nous voulions sans que ces pensées, ces mots et ces mouvements ne soient suivis, traités et stockés par des géants industriels comme Google, vendus à des agences gouvernementales comme la NSA et la CIA, et utilisés contre nous par une police militarisée avec son armée de technologies futuristes.

Nous n’en sommes pas encore là, mais comme je l’explique clairement dans mon livre 
Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictionnel 
The Erik Blair Diariesce moment décisif se rapproche à chaque minute.

Traduction du Rutherford Institute par Aube Digitale




Le commissaire de police en chef australien refuse d’appliquer le décret du passeport vaccinal

[Source : Aube Digitale]

La révolte grandit après des manifestations sauvages.

Le commissaire de police de la Nouvelle-Galles du Sud a refusé de faire respecter le passeport vaccinal imposé par l’État, révélant que les agents ne vérifieront pas le statut vaccinal des personnes dans les restaurants, les clubs et les bars.

Le gouvernement s’apprête à faire passer un décret qui interdira à toute personne non vaccinée d’entrer dans de nombreux lieux jusqu’au 1er décembre au moins, reprenant ainsi le système de ségrégation adopté dans de nombreux pays occidentaux.

Toutefois, après que des questions aient commencé à se poser quant à savoir si les entreprises seraient contraintes d’imposer ces mesures à leurs clients, le commissaire de la police de Nouvelle-Galles du Sud, Mick Fuller, a précisé que ses agents ne patrouilleraient pas.

« Le rôle de la police en termes de passeports vaccinaux, nous ne nous promènerons pas dans les restaurants, les cafés et les pubs pour vérifier si les gens sont doublement vaccinés », a-t-il déclaré.

« [Mais] nous aiderons certainement les propriétaires de restaurants et de magasins s’ils refusent l’entrée à quelqu’un – nous répondrons certainement pour aider ces personnes. »

Le ministre de la Santé, Brad Hazzard, a affirmé que ce serait à la police de faire respecter les mesures, mais cela ne semble pas devoir se produire.

Contrairement à ce qui se passe dans certains pays, les entreprises ne risquent pas d’amende si elles laissent entrer des personnes non vaccinées, ce qui rend l’ensemble du dispositif plutôt inutile.

Comme nous l’avons déjà souligné, de nombreuses entreprises en France n’appliquent pas le passeport vaccinal, pourtant prévu par la loi.

Depuis le début de la semaine dernière, Melbourne est secouée par des manifestations indisciplinées après qu’un syndicat d’ouvriers du bâtiment a exigé que ses employés se fassent vacciner ou perdent leur emploi.

Après que les travailleurs de la construction ont organisé une manifestation devant le siège du syndicat, le gouvernement a annoncé qu’il arrêterait tout travail lié à l’industrie pendant deux semaines à titre de sanction.

Cela a conduit à de nouveaux affrontements entre la police et les manifestants, avec des flics anti-émeute et des unités spéciales normalement réservées aux opérations anti-terroristes lâchées sur les Australiens.

Pendant ce temps, le Dr Kerry Chant, responsable de la santé en Nouvelle-Galles du Sud, a révélé la vérité hier en laissant entendre que les mesures de confinement du COVID resteront en place même si les gens se font vacciner.