Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





Agriculteurs, « Les mesurettes proposées, c’est de l’enfumage, de l’hypnose. Réveillez-vous ! »




Le professeur Stefan Homburg résume parfaitement le monstrueux mensonge covid

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »]




À une jeune fille inconnue

[Source : tribunejuive.info]

Par Rémi Ferrand

A une jeune fille inconnue

Étais-tu inquiète, le soir à la ferme

Quand Papa parlait, du prix des luzernes

D’une voix très basse, comme dans un murmure

Sous les paperasses, faisant des ratures.

Étais-tu soucieuse, devant la caissière,

Quand Maman comptait le prix des affaires

Et qu’elle retirait du tapis tout noir

Une chose trop chère qu’elle disait vouloir.

Avais-tu donc honte, les jours de collège,

Quand tu comparais tes baskets beiges

Qu’on vend à Carrefour ou à Kiabi

Avec les Nike Air des garçons jolis.

Avais-tu appris, avec tous les tiens,

Le sort qu’on réserve à ceux qui matin

Se lèvent aux aurores pour aller aux champs,

Et travaillent encore au soleil couchant.

Mais étais-tu fière, de voir sur la table,

Le vin et le lait, sortant de l’étable,

Ou bien la farine du pain qui a cuit,

Et dont tous disaient : “on l’a fait ici !”

Étais-tu déjà, malgré ton jeune âge

De celles qui savent, et disent bien sage,

“Moi papa plus tard, je ferai comme avant

Et puis comme toi, je serai paysan !”

Et grandissant là, roulant vers l’école

Ignorant les traites, Crédit Agricole,

Politique commune et libre marché,

Tu pensais aux prunes et puis au verger.

Et as-tu donc ri, de voir sur la route,

Tous ces grands tracteurs qui malgré les doutes,

Faisaient la kermesse comme dans un grand soir

Pour ne pas subir et garder l’espoir.

Et t’es-tu serrée tout contre ta mère,

As tu regardé les yeux de ton père,

Qui plus loin voyait foncer droit sur vous

Une voiture pressée pleine de voyous.

As-tu entendu, la route qui pleure,

La campagne qui hurle parce qu’ici on meurt,

Et la foule idiote qui ne sait comment

On s’envole en France quand on a 12 ans.

© Rémi Ferrand




Le libre-échange tue l’agriculture française

[Source : reporterre.net]

[Illustration : Des agriculteurs manifestent début décembre 2023 devant la Draaf, la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bretagne, pour protester contre les importations de viandes étrangères. – © Loic Venance / AFP]

Par Emmanuel Clévenot

Les traités de libéralisation du commerce ratifiés par l’Europe avec l’aval de la France sont une plaie pour les agriculteurs français. Leurs normes, plus faibles, avantagent les pays exportateurs.

L’odeur du lisier déversé par les tracteurs aux quatre coins du pays contrarie les narines de l’exécutif. Le 22 janvier au soir, le Premier ministre recevait à l’hôtel Matignon le président de la FNSEA, syndicat agricole majoritaire, et celui de son petit poucet, les Jeunes agriculteurs (JA). Aux prémices de leur colère se dresse un millefeuille de normes — pour la plupart environnementales — jugées insupportables : suppression des pesticides, préservation des haies, obligation de laisser des terres en jachère…

« Supprimer ces normes n’est qu’un mirage », prévient de son côté Sylvie Colas, secrétaire nationale de la Confédération paysanne. Pour elle, l’urgence absolue est tout autre : rompre avec le libre-échange. « Les traités de libéralisation du commerce, signés entre l’Union européenne et différents pays étrangers, créent pour nous une véritable concurrence déloyale, détaille la maraîchère et éleveuse de volailles dans le Gers. N’étant pas soumis aux mêmes normes, les produits importés affichent des prix cassés… tirant ainsi les nôtres vers le bas. »

Le 20 janvier, sur le réseau social X, le Premier ministre Gabriel Attal tentait mollement d’apaiser le ras-le-bol des paysans en déclarant : « Notre agriculture est vitale pour la souveraineté de la France. » Des propos en total décalage avec la politique menée aujourd’hui, assure l’économiste Maxime Combes : « L’Europe ne cesse, avec l’aval d’Emmanuel Macron, de négocier et ratifier de tels accords. À chaque fois, ceux-ci augmentent les quotas d’importation sans taxe de produits agricoles venant de l’autre bout de la planète. »

Un nuage plane encore dans le ciel des agriculteurs, qui se révoltent depuis une semaine.
Celui d’un potentiel accord entre l’Union et le Mercosur.
© Patrick Batard/AFP

Dernier en date, l’accord avec la Nouvelle-Zélande, soutenu par 83 % des eurodéputés au mois de novembre 2023. Celui-ci prévoit à terme de supprimer la totalité des droits de douane sur les kiwis, les pommes, les oignons, le miel… ainsi que 10 000 tonnes annuelles de viande bovine, 15 000 tonnes de beurre, 25 000 tonnes de fromages ou encore 15 000 tonnes de lait en poudre. « Il ne s’agit pas de sucre de canne ou de mangues, mais bien d’aliments que l’on sait produire en Europe », poursuit le collaborateur de l’association internationale Aitec, défendant des alternatives aux politiques néolibérales.

Rainbow Warrior

Un contingent significatif sur la viande ovine — 38 000 tonnes — affectera par ailleurs les éleveurs de brebis. « En jetant un coup d’œil dans le rétroviseur, on sait déjà à quoi s’attendre, se désole Michèle Boudoin, éleveuse d’ovins dans le Puy-de-Dôme. En 1985, l’affaire du Rainbow Warrior [navire de Greenpeace coulé par les services secrets français en Nouvelle-Zélande] a fragilisé nos relations avec la Nouvelle-Zélande. Désireuse de poursuivre ses essais nucléaires dans le Pacifique, la France a alors contribué à la création d’un premier accord entre l’Union et les Néo-Zélandais. » Dès lors, 228 000 tonnes de mouton furent importées par l’Europe chaque année. Avec le Brexit, ce chiffre est retombé à 150 000 tonnes… auxquelles s’ajouteront bientôt les 38 000 tonnes du nouvel accord.

C’est à la suite d’une affaire diplomatique, celle du Rainbow Warrior,
qu’un accord avec la Nouvelle-Zélande a été conclu.
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Où a mené cette politique ? « Regardez les pâturages et vous comprendrez, développe la présidente de la Fédération nationale ovine, chapotée par la FNSEA. Dans les années 1990, nous étions autosuffisants à 128 %. Aujourd’hui, 4 des 9 millions de brebis françaises ont disparu et notre consommation dépend à 60 % des importations étrangères. »

« Les éleveurs ne peuvent plus vivre de leur métier »

Aussi nécessaires soient les normes environnementales, elle dénonce une bataille à armes inégales : « Nous perdons du temps et de l’argent à assurer la traçabilité de la viande, là où celle des produits importés n’est pas demandée. Certains produits vétérinaires proscrits chez nous pour la santé humaine et le bien-être animal sont autorisés là-bas. » Sans compter les cotisations sociales et le salaire des employés incomparables. Au final, le gigot d’agneau Label rouge de Michèle Boudoin coûte 25 €/kg… « là où le prix du leur dégringole à 9 €/kg » : « Les éleveurs ne peuvent plus vivre de leur métier, ça nous a anéantis. »

Mettre la main sur le lithium

Ratifié en décembre, l’accord avec la Nouvelle-Zélande est loin d’être le seul. Mexique, Chili, Australie, Kenya, Brésil, Paraguay… Une pléthore d’alliances commerciales fourmille dans les tiroirs de la Commission européenne. Certaines patientent, d’autres sont déjà en vigueur. « Abordés pays par pays, les quotas peuvent sembler modestes au regard de ce que nous consommons en Europe, concède l’économiste Maxime Combes. Seulement, l’accumulation de ces accords finit par peser et nous rendre dépendants des approvisionnements étrangers. » Pour l’heure, l’élevage bovin, ovin et caprin reste la principale victime de ce paradigme du libre-échange. Plus les traités seront nombreux et diversifiés, plus cette pression risque de s’accroître et grignoter d’autres secteurs.

Alors, à quoi bon s’entêter ainsi ? Pour Maxime Combes, l’Europe s’empresse de signer de nouveaux accords pour mettre la main sur des ressources jugées primordiales dans le verdissement de l’économie. À savoir, le lithium, le cuivre ou encore l’hydrogène : « Pour aider les multinationales européennes à ouvrir des marchés dans des pays comme le Chili ou le Kenya, il faut leur acheter quelque chose en échange. Ici, des produits agricoles. » Du côté de la Nouvelle-Zélande, Michèle Boudoin décrit de semblables manœuvres géopolitiques. « Dans les couloirs de Bruxelles, le message est clair : il nous faut un allié dans le Pacifique, quitte à faire trinquer nos éleveurs locaux. »

« Une déstabilisation massive des marchés agricoles européens »

Un grand nuage plane encore dans le ciel des agriculteurs. Celui d’un potentiel accord entre l’Union et le Mercosur… Autrement dit, d’une toute autre dimension. « Il s’agit là de quatre pays, dont deux ayant une économie agricole colossale : le Brésil et l’Argentine, poursuit l’économiste. Finaliser un tel accord signerait une déstabilisation massive des marchés agricoles européens. » En 2020, devant la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron avait déclaré avoir « stoppé net » les négociations à ce sujet. Mais voilà qu’en juin 2023, son désormais ex-ministre du Commerce, Olivier Becht, témoignait vouloir « évidemment conclure » cet accord. « Les négociations n’ont jamais fini, conclut Maxime Combes. Elles se poursuivent porte close, avec une absence totale de transparence. »

Une chose est sûre, aux yeux de Sylvie Colas : pointer du doigt les normes environnementales, c’est se tromper de cible. « La déforestation en Amazonie et les émissions carbone induites par l’acheminement des produits accélèrent la crise climatique. Et celle-ci n’a pas de frontière », insiste la secrétaire nationale de la Confédération paysanne. Dans son département du Gers, cet automne, l’envolée des températures aurait facilité la propagation d’une maladie dans les élevages bovins.




Des vaccins obligatoires classés comme vénéneux ? Pour mieux promouvoir ensuite les faux vaccins dits à ARNm ?

[Mise à jour en complément de la vidéo :]

L’ANSM classe les vaccins pédiatriques parmi les substances vénéneuses

[Source : covidhub.ch]

Le 7 septembre 2023, la directrice générale de l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments et des produits de santé française (ANSM) classait l’ensemble des vaccins, à l’exception des vaccins grippaux, sur la liste I des substances vénéneuses. Présenté comme un moyen d’harmoniser les conditions de prescription, ce changement interroge. Quels peuvent être les motifs et les conséquences d’une telle décision ? S’agit-il d’une manœuvre permettant de faciliter la mise sur le marché de nouveaux « vaccins » de type ARNmessager qui remplaceraient les vaccins « classiques » ? Le Dr Martine Gardénal, homéopathe, médecin d’une équipe française aux Jeux Olympiques, membre active de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, a commenté cette information sur l’émission radio Tocsin matinale.

« On joue aux apprentis sorciers »

Le Dr Gardénal rappelle qu’en France, dans les deux premières années de vie d’un enfant, les 11 vaccins pédiatriques obligatoires représentent plus de 30 doses injectées. Que se passera-t-il si ces vaccins viennent à être remplacés par des nouvelles technologies à ARNmessager ? De même, est-il normal que le dosage injecté soit le même pour un bébé de quelques kilos que pour un adulte ? Elle s’insurge aussi sur le fait que des études de pharmacovigilance ne soient pas réalisées et que les rapports d’évaluation des vaccins obligatoires ne soient pas communiqués.

Pour le Dr Martine Gardénal :

On joue aux apprentis sorciers et il faut tirer la sonnette d’alarme tout de suite.

La médecin insiste sur la nécessité de sensibiliser les parents aux enjeux actuels et les invite à remettre en question l’obligation vaccinale. La Ligue Nationale pour la Liberté des vaccinations a donc relancé une nouvelle pétition pour demander la suppression des 11 vaccins pédiatriques obligatoires.




BLOCAGES : endurcissez-vous, cela va être féroce !

[Source : L’Investisseur sans costume]

Par Guy de la Fortelle

Il y a quelque chose de pourri au Royaume de France.

Et Hamlet est une omelette qui s’étale devant les intérêts du grand corporatisme fasciste mondialiste.

Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA va publier ce soir une liste de revendications agricoles.

Sauf que : Arnaud Rousseau en plus de son engagement syndical est surtout président du groupe Avril, géant de l’huile (1/3 du marché) et des biocarburants. Nous avions déjà parlé d’Avril pour son rôle essentiel dans les pénuries d’huile de 2022, ces gens sont des charognards (

• Pénuries : Le 1er producteur d’huile…).

Quand Arnaud Rousseau négocie les hausses de taxes sur le Gazole non routier, son groupe Avril se frotte les mains, car l’accord comporte le développement d’une filière de biocarburants professionnels… Et quelques mois plus tard, le syndicaliste monte sur les barricades et publie les revendications qu’il avait lui-même abandonnées à la table des négociations.

Cela marche de la même manière avec la PAC qui détruit notre agriculture, mais favorise Avril en forçant l’adoption des biocarburants.

Cela marche de la même manière avec les traités de libre-échange ou l’aide à l’Ukraine qui affaiblissent notre agriculture, mais renforcent le grand transformateur d’oléagineux qu’est Avril qui peut importer les OGM du Canada dont la production est pourtant interdite en Europe et les graines d’Ukraine qui lui permettent de fabriquer ses huiles à bas prix et maximiser ses marges.

Au fond Avril n’est plus vraiment un groupe agroalimentaire, mais un groupe de chimie. C’est vous dire ce qu’est devenue notre bouffe.

Plus simplement, comment Arnaud Rousseau dont le groupe a réalisé un profit record l’année dernière peut-il représenter l’immense majorité des agriculteurs sacrifiés à l’autel de ce grand corporatisme fasciste dont il est un digne représentant ?

Généralement, c’est à ce moment que l’on entend une sorte de ricanement sadique : de quoi se plaignent-ils ? Les paysans n’avaient qu’à élire quelqu’un d’autre à la tête de leur syndicat majoriaire.

Évidemment…

C’est oublier qu’en interne, Arnaud Rousseau était le seul candidat d’une élection à l’africaine n’ayant rien de démocratique.

C’est oublier aussi qu’en externe la FNSEA est le seul syndicat à qui le gouvernement ouvre la porte des négociations. Les autres syndicats sont étouffés par la politique publique de la chaise vide.

Cette fusion de l’État et de la grande corporation qui exigent le sacrifice du peuple : Nous avons la définition même d’un corporatisme fasciste dont nous ne sommes pas prêts d’arrêter de crever.

Nous avons les mêmes dérives en finance, les mêmes dérives dans l’industrie (Anne Lauvergeon est d’ailleurs au CA d’Avril).

Nous touchons au mal de notre époque, ce corporatisme étant lui-même une réaction de défense et de prédation face à la baisse tendancielle des marges depuis 1945.




Agriculteurs en Colère : Cette fois c’est TROP !

[Source : Canard Réfractaire]

SOURCES :
https://www.humanite.fr/social-et-economie/agriculteurs/a-la-tete-de-la-fnsea-qui-est-arnaud-rousseau-le-businessman-qui-voulait-passer-pour-un-paysan

00:00 Introduction
00:27 Les actions
03:12 Critique FNSEA
13:16 Consigne




« Un transgenre est une personne qu’on rend malade et dépendante à vie »

[Source : Stella Kamnga]

Si la transition de genre a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène de dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance. Comment admettre, en effet, qu’un mineur, qui n’est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?

Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale des traitements et opérations alors que l’OMS déclare que la dysphorie de genre n’est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-elle un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ? Autant de questions et de réponses pour éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs.




La colère agricole européenne « drôlement plus populaire que les moisissures oligarchiques »




La colère des agriculteurs : un cocktail explosif

[Source : blogrioufol.com]

Par Ivan Rioufol

Attention ! Cocktail explosif. La colère des agriculteurs français, longtemps contenue, porte en elle les composants d’une possible déflagration sociale. En effet, la révolte qui se lève ne met pas seulement en cause la technocratie européenne, productrice de normes irréalistes qui exaspèrent aussi les agriculteurs allemands, belges, hollandais, espagnols, etc. Cette jacquerie, lancée initialement en Occitanie, est aussi la révolte existentielle d’une France rurale et enracinée qui est en passe de disparaître, menacée par le grand effacement mondialiste. Or cette possible dilution d’un mode de vie dépasse la réalité du monde agricole, qui ne compte plus que 416 000 exploitations, soit moins de 3 % de la population. Cette France oubliée, héritière de traditions historiques et familiales, parle aux Français gagnés par le sentiment de dépossession de leur nation et de leur destin. La France agricole est le symbole de cette France populaire qui n’intéresse pas les « élites » urbaines et déracinées. Celles-ci n’ont d’yeux que pour les « quartiers populaires » promus pour faire la France de demain. En cela, la montée en puissance de la contestation agricole ressemble à ce que fut l’insurrection des Gilets jaunes. D’autant que la pression de la fiscalité verte, qui avait été le déclencheur du mouvement, revient à la charge. Ce lundi, sur Europe 1, Priscat Thévenot, porte-parole du gouvernement, a parlé d’une « colère légitime ». Mais c’est notamment la politique d’Emmanuel Macron qui est mise en accusation.

L’européisme du chef de l’État l’oblige à cautionner la politique de l’Union européenne qui, au nom de la transition écologique, maltraite le monde agricole et ce qu’il représente comme société ancrée dans le concret. Depuis le Pacte vert (2019), l’UE a voté une quinzaine de textes qui imposent de nouvelles contraintes. Comme l’explique Christiane Lambert, l’ancienne patronne de la FNSEA : « La Commission européenne n’écoute pas les agriculteurs » (La Tribune, 21 janvier). La décision des technocrates de Bruxelles de suspendre les droits de douane sur les importations de céréales venues d’Ukraine a accentué la concurrence déloyale. En France, les producteurs ont déjà à supporter, outre des normes supplémentaires, la suppression des avantages fiscaux pour le gazole non routier (GNR), utilisé notamment pour les tracteurs. Le rétablissement de la taxe intérieure de consommation finale sur l’électricité (TICFE) s’ajoute à la liste, concernant tous les consommateurs. Après une hausse de 31 % du tarif de l’électricité l’an dernier, Bruno Le Maire vient d’annoncer 9, 8 % d’augmentation, en pointant la responsabilité de Poutine dans sa guerre contre l’Ukraine. En réalité, ces hausses sont dues à une politique énergétique erratique qui a ralenti le programme nucléaire, et à d’absurdes accords tarifaires européens (ARENDH) qui lient la France au nom de son adhésion sans faille à l’UE. Le monde réel n’a pas fini de faire trembler le Pouvoir.





Quand l’EMA fait disparaître les effets secondaires des vaccins

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

C’est bien connu, pour faire baisser la température, il suffit de casser le thermomètre. Pour qu’on ne parle plus des effets secondaires de tel ou tel traitement, il suffit de ne plus les enregistrer, voire d’effacer ceux qui ont déjà été enregistrés. Ainsi plus d’effets secondaires, plus de problèmes, le traitement devient sûr et efficace.

Catherine Theilhet est programmatrice retraitée de la mairie de Paris. Elle aime bien les chiffres et nous a déjà fait des billets (1, 2, 3), épluchant notamment les publications statistiques VAERS, EMA, et ANSM, interrogeant régulièrement ces institutions pour avoir plus de précisions. Elle conserve ces données pour mieux suivre et comparer, et vient de faire des découvertes concernant la base de données de l’EMA, Agence Européenne du Médicament. En comparant les chiffres de l’EMA de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1er janvier 2024, elle constate que des dizaines de milliers de cas, autrefois répertoriés, ont disparu dans les dernières publications.

Voici le fruit de ses découvertes, comparant les chiffres de 2021 à 2023 avec ceux publiés au 1er janvier 2024 : 

Pour la source EMA : https://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#

Ont disparu : 2 827 cas de surdité, 2 282 cas de cécité, 14 969 myocardites, 11 424 péricardites, 7 079 thromboses, 7 295 embolies, 10 566 aménorrhées, 11 541 dysménorrhées, 4 241 morts, etc. Et quand Catherine Theilhet interroge l’EMA sur les dossiers qui disparaissent (et parfois réapparaissent), on lui répond qu’une base de données est « vivante » et qu’il est donc normal qu’elle change… 

Des pays ne communiquent plus ces statistiques. D’autres, comme la Nouvelle-Zélande, mettent en prison ceux qui les communiquent, non parce qu’ils donneraient de fausses informations, mais parce qu’ils communiquent les bons chiffres officiels. On dissuade de faire des autopsies pour éviter de connaître les vraies causes, entretenant le doute. On décourage ceux qui veulent transmettre, on les montre du doigt pour qu’ils se sentent coupables en faisant bien leur travail. J’en connais qui ne transmettent plus pour être tranquilles. Il est anormal de voir toutes ces déclarations faites par les familles ou les patients, alors que toutes devraient être faites par les médecins, c’est leur rôle, pire, c’est leur devoir.

Le témoignage de la femme de Jean-Pierre Pernaud est édifiant et résume bien la situation : son médecin, avant de présenter ses condoléances, lui a tout de suite dit « surtout, vous dites bien qu’il est mort de son cancer », alors que les derniers bilans montraient une rémission complète et que depuis sa dernière dose, il faisait AVC sur AVC jusqu’à l’accident mortel.

Dans ces conditions, avec le peu déclaré dont une partie est effacée, ce qui est relaté, ce que nous voyons, n’est que la partie émergée d’un iceberg.




Le gouvernement français peut être considéré comme moralement responsable de ce qui s’est passé à Kharkov

[Source : stratpol.com]

Caroline Galacteros, docteur en sciences politiques, directrice du centre d’analyse GEOPRAGMA, a livré son analyse sur l’élimination de 60 mercenaires français par les forces armées russes à Kharkov.

Tout d’abord, l’expert a noté le caractère illégal d’un phénomène tel que le « mercenariat » pour l’espace juridique français.

« Le mercenariat est interdit [par la loi française]. Par conséquent, il sera nécessaire de comprendre qui étaient exactement les Français morts. Il est rapporté qu’il s’agit majoritairement d’anciens militaires associés à la Légion Étrangère.

D’une manière ou d’une autre, la Russie a envoyé un certain signal à la France et à l’OTAN dans un contexte de durcissement des postures de part et d’autre et d’un soutien militaire et politique renouvelé de notre pays à l’Ukraine ».

La participation de mercenaires des pays de l’OTAN au conflit en Ukraine aggrave la menace déjà forte sur la sécurité européenne.

Étant donné que les morts ne sont pas des soldats français en activité, on peut dire que la responsabilité de la France est ici morale et politique plutôt que juridique. Car ces citoyens français souvent d’origine ukrainienne sont incités à aller se battre dans la zone du conflit par le narratif des dirigeants du pays sur le conflit ukrainien.

« Il y a une certaine responsabilité morale des autorités françaises. Cependant, il est difficile de parler d’une responsabilité plus large, car les forces armées françaises ne sont pas en tant que telles sur le territoire de l’Ukraine. Mais comme la France aide officiellement l’armée ukrainienne, cela donne à certaines personnes l’idée qu’elles peuvent aller se battre légitimement pour l’Ukraine ».

Mme Galacteros est convaincue que la position de la France et de nombreux autres pays européens sur le soutien total de l’Ukraine porte un coup direct à la stabilité en Europe, détruit les relations avec la Russie et remet en question la sécurité des pays du continent européen.

« La France, comme les autres pays européens, est impliquée dans le soutien financier, militaire et politique de l’Ukraine. La politique de Paris encourage certaines personnes à prendre part, sous une forme ou une autre, à un conflit armé. Et si les citoyens français se rendent dans une zone de conflit, ils prennent les risques correspondants. Ce n’est pas un jeu, la Russie suit tout de près et sait où se trouvent ces regroupements de combattants annexes. La France n’a pas la responsabilité de la sécurité de ces combattants qui vont de leur propre gré en Ukraine. Mais plus il y a de situations semblables, plus nos relations avec la Russie s’enveniment. De ce point de vue, on peut dire que la sécurité des pays européens, dont la France, est de plus en plus menacée ».




Allemagne : pourquoi Scholtz n’a pas d’argent pour ses agriculteurs

Par Nicole Delépine

Les agriculteurs allemands ont décortiqué le budget de leur pays en cherchant à comprendre pourquoi on ne voulait pas baisser leurs taxes.

Si leurs chiffres sont justes, nos cheveux se dressent sur nos têtes. Les Allemands comme le français en ont assez de nourrir la terre entière quand deux agriculteurs français se suicident chaque jour et que leur revenu moyen est de l’ordre de 350 euros par mois, c’est-à-dire beaucoup moins que les étrangers venus illégalement en France.

Selon @BPartisans
Le 21 JANVIER 2024 :

Allemagne Les agriculteurs de Saxe ont calculé combien d’argent le gouvernement dépense à des fins étranges pendant la crise. Bien entendu, les Allemands fournissent cette information en se demandant pourquoi Scholz n’a pas d’argent pour les agriculteurs.

  • 28 milliards — pour la guerre et le financement des agences gouvernementales de l’Ukraine
  • 10 milliards d’euros pour la croissance des énergies vertes en Inde
  • 4 Milliards d’euros pour l’énergie verte en Afrique
  • 781 millions d’euros — pour le développement de la Syrie
  • 579 millions d’euros — pour le développement de l’Inde
  • 473 millions d’euros — pour le développement de la Chine
  • 392 millions d’euros — pour le développement de l’Éthiopie
  • 375 millions d’euros — pour le développement de la Turquie
  • 354 millions d’euros — pour le développement de l’Indonésie
  • 350 millions d’euros pour l’Irak
  • 345 millions d’euros pour la Jordanie
  • 327 millions d’euros — pour le développement de l’Afghanistan et d’autres pays
  • 87 millions d’euros pour la généralisation de l’assurance maladie en Tanzanie
  • 120 millions d’euros pour étendre l’utilisation des sources d’énergie renouvelable dans le réseau électrique du Pakistan
  • 94 millions d’euros — pour les réformes de la politique financière et climatique de la Zambie
  • 200 millions d’euros — pour mettre en œuvre les objectifs climatiques nationaux de la Colombie 184 millions d’euros pour la transformation verte, la réforme administrative et la lutte contre la corruption en Serbie
  • 40 millions d’euros pour les ménages dans le besoin afin d’atténuer la montée en flèche des coûts en Moldavie
  • 315 millions d’euros pour les bus et les pistes cyclables au Pérou
  • 640 millions d’euros pour des projets climatiques et les énergies renouvelables au Nigeria
  • 44 millions d’euros — pour la Palestine
  • 170 millions d’euros pour une transition énergétique socialement juste au Sénégal
  • 80 millions d’euros, notamment pour la production de produits de football en coton biologique en Inde
  • 100 millions d’euros, notamment pour l’éducation sexuelle au Mozambique

Nous répétons. Scholz dépense 100 millions d’euros pour l’éducation sexuelle au Mozambique.

Apparemment, il ne s’agit pas d’une idiotie, mais d’un sabotage délibéré de l’économie allemande. Des stratagèmes de corruption et des pots-de-vin aux décideurs ne peuvent pas non plus être exclus.

https://www.lindependant.fr/2024/01/19/blocus-des-agriculteurs-en-occitanie-si-gabriel-attal-ne-vient-pas-nous-voir-on-ira-le-chercher-a-matignon-en-tracteur-11706183.php




Le scandale sanitaire Gardasil

[Source : Vivre sainement]






Pfizer épinglé pour avoir versé plus de 8 millions dollars à des élus pour faire avancer son agenda

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng

Pfizer, une nouvelle fois, pris la main dans le pot de confiture. Trois ans après l’arrivée de la pandémie à Coronavirus, le laboratoire américain continue de faire parler de lui. Et cette fois-ci, c’est une nouvelle révélation accablante faite par le média américain California Globe qui risque de le mettre dans l’embarras.

En effet, dans un article publié sur son site ce 16 janvier 2024, le média nord-américain dévoile les immenses dons que le géant pharmaceutique verse à des hommes politiques en plein mandat afin de faire avancer son agenda. Une pratique qui s’apparente quelque peu à de la corruption molle.

Et les chiffres présentés par le média sont à couper le souffle. Ainsi, à en croire California Globe (qui se base sur un rapport), entre 2021 et 2022, Pfizer a versé 8,5 millions de dollars à des élus dans tous les États d’Amérique. Et rien que dans l’État de Californie, le laboratoire a versé 162 400 dollars à des élus.

Toujours selon la même source, Pfizer a versé 133 000 dollars à des membres de l’Assemblée Californienne et 29 400 dollars à des Sénateurs de cet État. Dans l’article lu par Lecourrier-du-soir.com, California Globe cite des noms de grandes personnalités américaines qui ont bénéficié des largesses du plus influent laboratoire au monde.

Ainsi, l’on apprend que les Républicains Kevin McCarthy et Ken Calvert ont, tous deux, touché 10 000 dollars. La très influente Nancy Pelosi a, quant à elle, touché 5 000 dollars. Pour les sénateurs qui ont été financés par le laboratoire, figurent : Bill Dodd qui a touché 3 000 euros, mais aussi Anthony Portantino et Rob Bonta qui ont touché respectivement 3 500 dollars et 5 000 dollars du même laboratoire.




Crise canadienne de l’immigration : l’orgie de faux demandeurs

[Source : journaldemontreal.com]

Faux étudiants, faux collèges, tout est bon pour entrer au Canada

Par Mario Dumont

La perte de contrôle du dossier de l’immigration depuis deux ans rattrape cruellement le gouvernement de Justin Trudeau. À trop vouloir montrer le visage d’un pays accueillant et généreux, le Canada a fini par être perçu comme un pays dont il est facile d’abuser.

À ce point, le Canada n’a pas le choix de réduire le nombre de nouveaux arrivants, ne serait-ce que pour calmer la crise du logement. Le Canada doit aussi rétablir la crédibilité de sa gestion des frontières et de son système d’immigration.

À la lumière des aberrations entendues récemment, je me permettrai une suggestion. Pourquoi ne pas commencer l’exercice de reprise de contrôle sur la situation en s’attaquant à tout ce qui est faux ?

Les faux demandeurs, les faux dossiers et même les faux étudiants. Vous vous demandez de quoi je parle? Explications.

Étudiant sans étudier

C’est si facile d’entrer au Canada que plusieurs réussissent en utilisant carrément de fausses prétentions. Hier, le Globe and Mail révélait que 19 % de ceux qui sont admis au Canada à titre d’étudiants étrangers… n’étudient pas ! C’est Statistique Canada qui a compilé les données.

La catégorie des étudiants contribue à l’explosion du nombre de nouveaux arrivants au Canada. De 637 000 en 2019, le nombre est passé à 807 000 trois ans plus tard. Calculez : 19 % de ces 800 000 qui n’étudient pas vraiment, cela représente plus de 150 000 faux.

De surcroît, on aurait laissé se développer des collèges privés qui ne sont pas véritablement des établissements d’éducation. Ils sont simplement des instruments pour faciliter l’entrée au Canada en faisant délivrer des visas d’étudiants. Faux collèges, faux étudiants, cela fait plus de deux ans que le gouvernement fédéral est averti, et le manège continue.

PHOTO D’ARCHIVES, AFP

Demandeurs d’asile

Un autre grand nombre de personnes arrivent comme demandeurs d’asile. C’était le cas de tous ceux qui se présentaient au chemin Roxham. Depuis la fermeture de ce célèbre chemin de campagne, c’est à l’aéroport qu’ils affluent par milliers.

Malheureusement, ces demandeurs du statut de réfugiés au Canada doivent aussi être divisés en deux catégories : les vrais et les faux. Les vrais demandeurs d’asile sont réellement en danger dans leur pays. Dû à la guerre, à une guerre civile ou à la répression, leur sécurité est menacée dans leur pays.

Nous avons un devoir de les accueillir. Nous sommes signataires de conventions internationales, nous avons la chance de vivre dans un pays riche, nous devons faire notre part pour ouvrir les bras à cette détresse.

Or sur les dizaines de milliers qui arrivent aux aéroports canadiens, il y a une part significative de faux demandeurs d’asile. Ils veulent profiter d’un pays plus prospère, avec un meilleur niveau de vie, on comprend. Mais ils ne sont ni menacés, ni en danger dans leur pays. Ils profitent de la facilité de rentrer et de la lenteur à traiter les dossiers pour s’installer.

Quand le faux passe si facilement, on appelle ça une passoire.




Baisse de natalité et surmortalité au Québec

Prise de conscience de l’impact très probable des vaccins :




L’acharnement contre le Pr Didier Raoult est antiscientifique et indécent

Par Dr Gérard Delépine

Dans une vidéo de ce jour, mise en avant sans modération par un journaliste qui ne donne que ses initiales (M.D.) et publiée par 20 minutes1, l’avocat Maxence Gallo, trompé par un article digne du Lancet Gate23, prétend :

«En tout état de cause, les familles des patients décédés qui ont été traitées à l’hydroxychloroquine peuvent engager un recours [civil] à l’encontre de Didier Raoult ». « Homicide involontaire », « mise en danger délibérée d’autrui ».

Mais pourquoi pas pour l’accuser du crime suprême d’hérésie ?

On ne peut pas reprocher à Maître Maxence Gallo de chercher des clients ni de défendre aussi des menteurs, c’est la base de son métier4. On ne peut pas non plus reprocher à un non-médecin de ne pas se rendre compte du caractère totalement fallacieux d’un article paru dans une revue française jadis prestigieuse, mais aujourd’hui dépendante des lobbys financiers qui le font vivre… Aussi pour lui éviter de perdre son temps en le laissant se fourvoyer dans des procédures vouées d’avance à l’échec, je lui communique des faits avérés qu’il pourra facilement consulter sur Pubmed (base bibliographique médicale du Sénat américain), sur les publications de l’OMS (omscoviddashboard) ou celles de l’université John Hopkins (ourworldindata covid), tous en en libre accès.

Dans le monde réel, l’hydroxychloroquine n’est guère toxique

C’est l’un des médicaments les plus utilisés dans le monde. Depuis 1945 il a été administré contre le paludisme à des milliards d’adultes, d’enfants et de femmes enceintes pendant de très longues périodes sans accident toxique notable au prix de quelques précautions chez les cardiaques et les malades de porphyrie ou de rétinopathie. Ce médicament est si peu toxique qu’on pouvait, avant le Covid, se le procurer en France sans ordonnance, comme je l’ai fait personnellement fait lorsque je me rendais en pays d’endémie pour des congrès.

Et brutalement, à l’occasion du covid, il se serait transformé en médicament tueur. Il faut ne rien connaître à la médecine, n’avoir aucune mémoire, ou être de mauvaise foi pour croire pareille sornette. Revenons au monde réel, aux faits établis.

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop qui a largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid a confirmé la faible toxicité de ce traitement lors d’une interview à Marianne sur le sujet 5 : « On a constaté des effets secondaires, mais bénins, qui ont tous disparu sans qu’il y ait de traitement supplémentaire, notamment des diarrhées… … On a eu à constater quelques cas de troubles du rythme cardiaque, qui ont cessé sans traitement, ainsi que quelques cas de palpitations cardiaques. Globalement le traitement est bien supporté. ».

L’excellente tolérance de l’HCQ été confirmée par le comité scientifique algérien et bien détaillée dans la vidéo de canal Algérie consultable à https://www.youtube.com/watch?v=wz8cv2NlNZA

Cette bonne tolérance habituelle de l’HCQ chez les sujets sains et aux doses recommandées est confirmée par une revue Cochrane6 et par tous les autres pays qui l’ont utilisée et par les manuels de thérapeutiques.

L’article des auteurs lyonnais7 n’est pas une étude réalisée dans le monde réel, mais une simulation aux hypothèses fausses

Elle prétend que l’hydroxychloroquine utilisée contre le covid aurait causé « près de 17 000 décès dans six pays (en Belgique, en Espagne, en France, en Italie, en Turquie et aux États-Unis) », que « le nombre de victimes est probablement bien plus grand. »

On ne peut pas reprocher à un avocat de croire de telles bêtises, mais il aurait pu se rendre compte que la prétendue étude n’était pas une étude de faits avérés, mais seulement une simulation biaisée8 basée sur une sélection arbitraire d’articles qui n’utilisaient pas l’HCQ selon les modalités proposées par D. Raoult (doses trop fortes et/ou administrées trop tard) et sur des données en partie inventées, comme l’a très bien démontré Gibertie dans son excellente analyse9.

Pour instruire aussi maître Maxence Gallo sur le caractère salvateur du traitement Raoult, nous lui rappellerons quelques faits authentifiés par les données de l’OMS, par des agences sanitaires et les déclarations de ministres de la Santé de nombreux pays.

Le traitement Raoult a prouvé son efficacité en Algérie

Le 31 mars 2020, le ministre de la Santé algérien, Abderrahmane Benbouzid, annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole.

Le 31 mai 2020, lors de la réunion du Conseil algérien des ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis “une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes”. »

Depuis janvier 2022 l’épidémie Covid est terminée en Algérie et, en octobre 2022 la mortalité Covid globale y était 22 fois moindre que celle de la France pour une population des 2/3 (44M vs 67M) soit, par million d’habitants, 15 fois moindre.

Une telle différence n’est pas expliquée par leurs facteurs de mauvais pronostic: mêmes pourcentages de plus de 60 ans10 11, et un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %)12 13.

Le climat algérien, différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie commune. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et, comme la France, compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité au Sénégal

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop, expliquait à Marianne14 :

« J’ai choisi au départ, en mars 2020, d’utiliser cette combinaison thérapeutique après lecture d’articles scientifiques sur l’effet de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine ainsi qu’après avoir étudié les analyses préliminaires du Professeur Raoult. Par ailleurs, ces molécules étaient connues en Afrique, pas très coûteuses et accessibles rapidement. C’était une urgence, une question de santé publique. On ne pouvait pas rester sans rien faire. Dès les premières études, nous avons remarqué que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine faisait mieux que l’absence de traitement ou que l’hydroxychloroquine seule. »

« Nous avons depuis réalisé une analyse multivariée 15 ; le résultat reste constant : l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour soigner est bénéfique. »

Au 31/12/2023 le Sénégal comptait 113 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (22 fois moins)16

le président sénégalais Macky Sall a d’ailleurs remercié le professeur Raoult en l’élevant à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité en Côte d’Ivoire

La directive du ministère de la Santé, édictée le 4 avril 2020, a recommandé l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à une antibiothérapie pour les cas sévères. Les espoirs portés sur l’arrivée des vaccins ont été tempérés par la réticence d’une partie de la population à adhérer à la campagne nationale de vaccination et à peine 40 % de la population du pays était injectée en décembre 22 lorsque l’épidémie s’est arrêtée.

Grâce au traitement Raoult, au 31/12/2023, la Côte d’Ivoire comptait 29 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (89 fois moins !).

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité dans de nombreux autres pays africains

En Guinée, le docteur Noël Tordo, grand virologue et responsable de l’Institut Pasteur à Conakry a rapporté sur sud radio 17 :

« En Guinée, nous donnons de la chloroquine et cela a ses effets sur les premières phases »

En RD Congo, le président Félix Tshisekedi a estimé en 2020 qu’il était « urgent que soit produite une quantité industrielle de chloroquine »18.

Mais aussi au Bénin, Burkina Faso, Cameroun où les gouvernants ont généralisé avec succès le traitement à base de chloroquine bien connue sur le continent, peu chère et vendue en pharmacie sans ordonnance. Cette utilisation massive de la chloroquine explique en partie la très faible mortalité Covid (30 à 200 fois inférieure à celle des USA ou de l’Europe) tout à fait inattendue dans ces pays pauvres où les systèmes de santé sont terriblement dépourvus de médecins, d’infirmières et de médicaments :

La pauvreté de ces pays africains a évité la corruption et la propagande pro vaccinales que nous avons subies et leur a permis d’utiliser les traitements bon marché qui ont sauvé leurs populations.

L’ensemble des médias français a repris ces désinformations sur la prétendue toxicité de la chloroquine et sa supposée inefficacité sans même émettre des réserves sur leur méthodologie, ni leurs hypothèses fausses. Leurs conclusions ne sont plus crédibles aujourd’hui avec le recul et les chiffres de mortalité covid dont on dispose. Honte à eux et aux auteurs lyonnais pour leur torchon pseudo scientifique qui les discrédite et aussi malheureusement la revue qui a accepté de le publier.

Mais peut-être que M.D., 20 minutes, Maxence Gallo, Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA et les membres du comité de lecture Biomedicine & Pharmacotherapy ignorent ce qui se passe en Afrique…

Pourquoi une telle haine contre D. Raoult ?

La démarche scientifique se caractérise par la remise en question permanente des vérités considérées comme établies. Dès qu’un fait ne cadre pas avec l’hypothèse dominante, celle-ci doit être discutée et être abandonnée au profit d’une hypothèse plus adaptée aux faits. En science être minoritaire et susciter les controverses permet souvent de faire progresser les connaissances.

La démarche religieuse se caractérise au contraire par des croyances qui ne peuvent pas être remises en cause sans être traité d’hérétique. La violence infondée qui s’exerce contre D. Raoult est caractéristique d’une démarche religieuse qui l’a soumis à l’inquisition du conseil de l’Ordre.

Cette religion à laquelle il s’oppose est celle de la finance et son crime d’avoir proposé des traitements dont les brevets sont tombés dans le domaine public et qui pour cela rapportent trop peu à l’industrie pharmaceutique et à ses complices.

Il a jadis critiqué le business des antibiotiques sur https://www.youtube.com/watch?v=hCImb7T_BJw

Le torrent de haine qui se déverse sur lui ne serait-il pas lié à son impardonnable récidive récente avec sa critique ferme des pseudo vaccins covid résumé dans un tweet récent :

« Nous sommes contents de voir que le surgeon général de Floride, équivalent de notre ministre de la santé, demande à la FDA d’interdire les vaccins contre le covid Pfizer et moderna. »19

« Ces vaccins, contrairement à leurs indications et à toutes les règles pharmaceutiques, contiennent des quantités considérables (100 000 copies par ml) d’ADN, alors qu’elles ne devaient en contenir que des traces. »Ces copies d’ADN associées au plasmide qui a permis de créer l’ARN ont été démontrées, à d’autres occasions, dans le passé, comme des agents de cancer, en particulier de lymphomes et de leucémies.20

Dans la prochaine étape, je vous détaillerai comment les ARN injectés ont produit des protéines inconnues qui expliquent, peut-être, la survenue imprévue d’encéphalopathie de type Creutzfeld-Jacob liées aux prions fabriqués à cette occasion, ce que prédisait le Pr Montagnier. Ne vous inquiétez pas, on continue à travailler au lieu de jaser, je ne quitte pas le champ de bataille.21

Conseil à maître Maxence Gallo

Il vous sera beaucoup plus facile de trouver des victimes des pseudo vaccins covid que de chercher en vain des victimes du traitement Raoult.

Vous pourriez certainement incriminer la responsabilité pénale de tous les journalistes, fonctionnaires et politiques qui ont poussé ces victimes à se vacciner en diffusant de fausses informations mettant en danger la vie d’autrui.

Suivez l’exemple des avocats US et suivez les procès fédéraux en cours qui vous fourniront des informations juridiques profitables !

1 https://www.20minutes.fr/sante/4069015-20240105-covid-19-hydroxychloroquine-liee-mort-17-000-personnes-durant-premiere-vague

2 https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931

3 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/15/covid-19-le-lancetgate-revele-des-failles-de-l-edition-scientifique_6042946_1650684.html

4 Cet avocat au vu de l’article sur les soi-disant 17 000 morts de l’hcq, pourtant démontré fallacieux, propose aux éventuels victimes de l’hcq de les défendre

5 https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

6 https://www.cochrane.org/fr/CD013587/INFECTN_la-chloroquine-ou-lhydroxychloroquine-est-elle-utile-pour-traiter-les-personnes-atteintes-de-la

7 Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA Deaths induced by compassionate use of hydroxychloroquine during the first COVID-19 wave: an estimate Biomedicine & Pharmacotherapy Volume 171, February 2024, 116,055

8 Des calculs basés sur des hypothèses fausses

9 https://pgibertie.com/2024/01/04/hydroxychloroquine-les-chiffres-sont-inventes-molibard-et-sa-bande-sont-en-passe-de-remplacer-la-call-girl-du-lancet-gate/

10 https://www.tsa-algerie.com/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/

11 https://www.senioractu.com/France-les-plus-de-60-ans-representent-22-6-de-la-population_a11937.html

12 https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/strategie-nationale-de-sante/priorite-prevention-rester-en-bonne-sante-tout-au-long-de-sa-vie-11031/priorite-prevention-les-mesures-phares-detaillees/article/obesite-prevention-et-prise-en-charge

13 https://www.reporters.dz/sante-medecine-pres-de-10-millions-dalgeriens-sont-obeses

14 Ibid 3 : https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

15 Analyse statistique permettant d’évaluer l’importance particulière des différents facteurs pronostiques

16 https://ourworldindata.org/covid-cases?country=~FRA

17 https://www.youtube.com/watch?v=QJuBIXJturA

18 rapporte Actualité CD
https://actualite.cd/2020/03/24/rdc-tshisekedi-insiste-sur-lurgence-de-produire-une-quantite-industrielle-de-la

19 https://floridahealth.gov/_documents/newsroom/press-releases/2024/01/20240103-halt-use-covid19-mrna-vaccines.pr.pdf

20 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/14724672/

21 Tweet du 17/1/2024




Parce qu’il n’y a pas de pays sans paysans

[Source : Tatiana Ventôse via synthesenationale]

Alors que les agriculteurs allemands rappellent, dans un silence médiatique assourdissant, qu’il n’y a pas de pays sans paysans, se souvenir du caractère vital des campagnes dans la survie de la France.




Mise à jour :

Insatisfaits des mesures annoncées hier. Les Agriculteurs français montent le ton et bloquent des routes. L’A64 à Toulouse (Carbonne) dans les deux sens ainsi qu’en Ariège sur la RN20 sur les quatre voies, entre autres, et comptent bloquer jusqu’à lundi pour commencer.

Revendications sont les suivantes :

  • – MHE : déblocage urgent des enveloppes promises par l’État
  • – GNR : réhabilitation du taux d’exonération de la TICPE
  • – Irrigation : projets de réserves, autorisations d’irrigation inchangées, pas de taxations supplémentaires.

Page Jeunes Agriculteurs Occitanie :
https://www.facebook.com/jeunesagriculteurs.occitanie

Page Jeunes Agriculteurs Ariège :
https://www.facebook.com/Jeunesagriculteurs09

Actu pour Toulouse :
https://www.facebook.com/actutoulouse

Actu pour Ariège :
https://www.facebook.com/pyreneesfm





La destruction planifiée de l’école publique française

[Source : PLACE D ARMES IDF]

Éducation : diversités éducative et culturelle. Enjeux pour la France et stratégie pour un renouveau éducatif.
[Intervention de Claude Meunier-Berthelot]




Danger de l’éducation sexuelle incluant la théorie du genre

[Publication initiale : docteur.nicoledelepine.fr]

[Illustration : les messages de Booba ont disparu de X, mais il en reste des traces.]

Par Nicole Delépine

Dysphorie de genre et enfance sacrifiée — DIJON — 13 JANVIER 2024
(PowerPoint. Ci-dessous, l’équivalent du diaporama en PDF 🙂

Merci à Réaction19 et ReinfoBourgogne pour cette conférence à 4 mains qui nous a permis de parler à nouveau du danger qui guette tous les enfants français de la maternelle au collège via les séances obligatoires d’éducation sexuelle, incluant la théorie du genre, puisqu’il s’agit de lutter contre les « stéréotypes » c’est-à-dire contre l’évidence de bon sens qu’il existe deux sexes depuis des millénaires.

INFORMEZ VOS PROCHES VOS ASSOCIATIONS VOS AMIS ET RELATIONS.

ON NE PEUT PAS LAISSER CASSER LES CERVEAUX DES ENFANTS PAR DES DISCOURS ET DES IMAGES PROCHES DE LA PÉDOPHILIE.

Distribuez des tracts comme ceux ci-dessous surtout à ceux qui ne fréquentent pas les réseaux sociaux et peuvent ignorer ces horreurs MERCI A TOUS. PROTÉGEZ NOS ENFANTS.

Ces violences psychiques entraînent des stress traumatiques peu curables et compromettent l’avenir des enfants soumis à ces « séances d’éducation sexuelle ».




Dossier vaccin enfants : poison ou protection ?

😳 Après avoir vu ça, je peux vous garantir que plus personne ne fera injecter un vaccin à son bébé.

Avec l’espoir évidemment que cette vidéo circule.

Et j’espère que le corps médical en prendra connaissance.

➡️ VACCINATION POUR LES ENFANTS :
9 choses à savoir sur la vaccination.

Tout le monde devrait être informé sur les vaccins, faites vos propres recherches et vérifiez ce que nous vous présentons !

1/ saviez-vous que la plupart des maladies avait déjà disparu grâce à une amélioration de l’hygiène ?

2/ Saviez-vous qu’aux États-Unis les bébés de la naissance à 15 mois, reçoivent 26 injections contre 14 maladies différentes ?

3/ Saviez-vous que parmi tous ces cocktails vaccinaux, aucune étude n’a été réalisée sur les effets secondaires ?

4/ Saviez-vous que le nombre de personnes atteintes d’autisme augmente de façon exponentielle chaque année ?
L’autisme touche 1 enfant sur 54.

5/ Saviez-vous qu’il n’y a pas d’autisme dans les communautés Amish ?

6/ Saviez-vous que le gouvernement américain a dû verser 4,5 milliards de dollars américains à titre de compensation financière à la suite de vaccinations qui ont mal tourné ?

7/ Saviez-vous que la même stratégie a été utilisée lors de la pandémie porcine en 2009 et la pandémie de Covid 19 ?

8/ saviez-vous que 58 % des décès de nourrissons sont survenus dans les 3 jours suivants la vaccination, et 75 % dans la semaine qui a suivi ?
Avez-vous déjà entendu parler du syndrome de mort subite du nourrisson ?

9/ Saviez-vous que les adjudants suivants sont utilisés dans les vaccins ?
Thiomersal, Formaldéhyde, Aluminium, Tissu foetal. (

)

Merci de nous encourager en rtt.
Rejoignez Relayez la Vérité Diffusée
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[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]




Les agriculteurs en Allemagne et ailleurs en Europe

Mise à jour 15/01/2023 :


https://twitter.com/_2019_ncov/status/1731009664542757021?s=43




Un avocat engagé pour préserver nos libertés : Parcours de Maître Carlo Alberto Brusa !

[Source : Nicolas BOUVIER]

Maître Carlo-Alberto Brusa est un avocat italien à la cour de Paris 1, notamment connu lors de la pandémie de Covid-19 pour ses positions en 2020 et 2021 contre le port du masque et les restrictions de liberté ainsi que pour son opposition à la vaccination. Il est le fondateur de Réaction 19, une association loi 1901, libre et autonome, dont l’objet est de se battre dans le domaine du droit contre toutes mesures qui, dans le cadre de la pandémie du Covid-19 portent atteinte aux libertés et aux droits de l’homme en France, en Europe et dans le monde.

Site internet : https://reaction19.fr/

Twitter/X : cab2626

Facebook : reaction19asso




Explosion de turbo-cancers chez les médecins canadiens vaccinés à 99,9 %

[Source : @ledeclencheur]

L’oncologue William Makis qui a diagnostiqué plus de 20 000 patients atteints de cancer au cours de sa carrière, déclare :

« Je n’ai jamais rien vu de tel… je n’ai jamais vu de cancers du sein de stade 4 chez des femmes d’une vingtaine d’années. Je n’ai jamais vu de cancers du côlon au stade 4 chez des hommes et des femmes de 20 à 30 ans. Des leucémies qui vous tuent en quelques jours, voire en quelques heures, après le diagnostic. »






Comment la presse désinforme sur le Gardasil

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Gérard Delépine

Dans un article récemment publié dans Le Parisien, l’absence de neutralité de la journaliste Elsa Mari est évidente dans son analyse de l’actuel échec de la campagne scolaire de vaccination par Gardasil. Elle se contente de répéter les déclarations trompeuses d’experts étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.

Elle cite en exemple « l’Australie, qui table sur une quasi-disparition du cancer du col de l’utérus d’ici 2035 » sans préciser que l’article qui le prétend n’est qu’une simulation publicitaire établie sur des hypothèses fausses, et elle ne consulte pas non plus les données de l’agence officielle australienne.

Dans le monde réel, depuis la campagne de vaccination scolaire, le nombre annuel de cancers invasifs a augmenté de 25 % passant de 756 en 2007 à 942 en 2022 :

Et l’incidence globale standardisée, qui corrige les modifications liées au vieillissement et à l’augmentation de la population, ne diminue plus, se stabilisant autour de 7,2/100 000 :

Même dans le groupe d’âge des 25-34 ans, le plus vacciné, l’incidence des cancers invasifs est passé de 7,9/100 000 à 9,1 :

Sur la base de ces données, comment peut-on y voir une « quasi-disparition du cancer du col de l’utérus » ?

La journaliste prétend aussi que « l’annonce du président de vacciner les collégiens contre le papillomavirus à la rentrée avait fait briller les yeux des médecins », alors qu’elle ne réjouissait que les médecins liés au laboratoire et ceux qui vivent des vaccinations (pédiatres et gynécologues).

Cet article du Parisien prétend encore que « l’Australie fait rêver l’Hexagone » et nous décerne « un bonnet d’âne » pour notre réticence à cette vaccination qui nous placerait loin derrière l’Angleterre, l’Italie, le Portugal, l’Espagne, la Suède, les Pays-Bas.

Mais elle cache que l’incidence du cancer invasif du col dans tous ces pays apôtres du Gardasil dépasse celle de France (6/100000) : 7,1/100 000 en Australie, 6,4 en Italie (en 2017)1, 6,9 aux Pays-Bas.

Il est invraisemblable de la voir citer des pays où le risque de cancer invasif du col est de 67 % à 170 % supérieur au nôtre, tel que le Royaume-Uni (10/100000), la Suède (10,4/100 000), ou le Portugal, champion du Gardasil, mais aussi du cancer du col avec une couverture vaccinale dépassant les 80 % et une incidence de cancer du col atteignant 16,2/100 000.

Tout comme les lobbys pro-Gardasil et les médecins trop liés à l’industrie pharmaceutique, la journaliste préfère prendre comme critère d’efficacité d’une campagne de vaccination le pourcentage de vaccinées à l’incidence du cancer du col dans la population !

Elle rapporte encore les regrets de Xavier Carcopino2 qui accuse « l’autorisation des deux parents d’avoir complexifié l’accès de leur enfant à la piqûre » sans rappeler qu’il ne s’agit que de l’application de l’autorité parentale qui instituent les parents coresponsables du bien-être de leur enfant mineur.

L’article répète mot pour mot le slogan des injections Covid : « Ce vaccin est efficace et sûr, on a un excellent recul » alors que le Gardasil, efficace contre les infections aux souches de HPV du vaccin (9 sur plus de 150 !), n’a toujours pas prouvé son efficacité contre le cancer 17 ans après sa mise sur le marché, et que de nombreuses manifestations dénonçant ses graves complications ont eu lieu dans de nombreux pays :

Et enfin que des procès en class action dénonçant les mensonges de Merck se tiennent actuellement aux USA, rassemblant les plaintes de centaines de victimes.

La parole est donnée à Daniel Floret 3 qui tente d’innocenter le vaccin anti-hépatite B des complications neurologiques marquées par une augmentation de 65 % de SEP après le pic de vaccination contre l’hépatite B en 1994. Vaccin dont la responsabilité a été reconnue par la justice française et européenne par les arrêts de la cour administrative d’appel de Lyon (du 4 mai 2016), de la Cour de cassation (9 Juillet 2009) et le pourvoi n° 08-11.073 de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 juin 2017.

Sans compter que ce vaccin anti-hépatite B, présenté comme moyen d’éviter le cancer du foie, a été suivi dans tous les pays occidentaux qui l’ont rendu obligatoire, du triplement (voire plus) de l’incidence du cancer qu’il était censé prévenir, comme en France :

Le dramatique résultat de la première vaccination présentée comme anti-cancéreuse justifie donc la plus grande prudence !

L’échec de la campagne de vaccination Gardasil ne provient pas de l’ignorance de la population mais, depuis la catastrophe Covid, de sa prise de conscience que les autorités sanitaires mentent fréquemment pour nous imposer par tous les moyens des vaccins et traitements aux bénéfices incertains et aux complications nombreuses qu’elles nient ensuite opiniâtrement.

La soi-disant « malédiction française » contre le Gardasil est la conséquence de la prise de conscience croissante des mensonges du gouvernement et de la presse.

Redonner confiance à la population nécessite une transparence complète. Créer des pseudo-comités scientifiques protégés par le secret-défense, refuser de rendre publics les contrats d’achat des vaccins et nier les complications reconnues dans les pays étrangers décrédibilise totalement la parole de l’État et la confiance dans les vaccins.

De même le plaidoyer pro-Gardasil d’Elsa Mari qui ne donne la parole qu’à des témoins pro-vax et ne se réfère pas aux faits établis, comme les chiffres publiés par l’OMS, décrédibilise le Parisien et participe à la chute des ventes.

Comme l’aurait affirmé le président Abraham Lincoln : « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »


1 National burden of cancer in Italy, 1990–2017: a systematic analysis for the global burden of disease study 2017.

2 Président de la société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale dont les membres vivent en partie de l’administration du vaccin.

3 Qui a touché près de 80 000 euros, d’Alliance Healthcare, 43 900 euros, d’UTIP, 33 650 euros, du Collège des hautes études de Médecine 1600 euros, mais aussi de IP SC : BioMERIEUX, Sanofi, Pasteur MSD, Cemka Eval, Abbott Synagis…




Extension et soutien européen de la grève des agriculteurs allemands

« Trop c’est trop »  : le mouvement des agriculteurs allemands s’intensifie

Mise à jour 10/01/2024


Mise à jour 09/01/2024


Mise à jour :

Déferlement de la colère des agriculteurs allemands jusqu’au blocage du pays  ?

https://www.francesoir.fr/politique-monde/deferlement-de-la-colere-des-agriculteurs-allemands-jusqu-au-blocage-du-pays

Par Lauriane Bernard, France-Soir

Ce lundi 8 janvier, le mouvement « Zu viel ist zu viel » (“Trop, c’est trop”) se déploie à travers toute l’Allemagne. Bien que le gouvernement ait partiellement reculé le jeudi 4 janvier sur la suppression des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR), les agriculteurs allemands ne décolèrent pas. Des blocages routiers et autoroutiers se profilent alors que la fédération des transports appelle à suivre le mouvement.

Comme expliqué dans notre précédent article, la Cour constitutionnelle allemande a retoqué le budget 2024 présenté par Olaf Scholz en novembre. Forcé d’opérer des coupes budgétaires, le chancelier a opté pour la suppression d’allègements fiscaux sur le diesel agricole et sur l’impôt sur les tracteurs, ce qui a déclenché la colère des agriculteurs dès décembre. 

Lire la suite …


[Illustration : Tracteurs stationnés sur la Pariser platz, non loin de la Porte de Brandebourg, Berlin, 18 décembre 2023.
 John MacDougall]

[Source : francesoir.fr]

Par Lauriane Bernard, France-Soir

La fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR) déclenche la colère des agriculteurs allemands, qui devraient être bientôt rejoints par les cheminots et les routiers. Le mouvement de manifestation « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») s’intensifie. Une vague de manifestations sans précédent est annoncée pour le 8 janvier prochain.

Le 18 décembre dernier, plus de 1 500 tracteurs ont bloqué la circulation des rues de Berlin. Depuis, des centaines d’engins agricoles circulent dans de nombreuses autres villes allemandes.

Fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR)

À l’instar de la France, l’Allemagne se dirige vers la fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR). Dans l’Hexagone, Bruno Le Maire, soucieux de favoriser les investissements verts, a annoncé dès septembre qu’il fallait s’attendre à une défiscalisation progressive du carburant de 2024 à 2030. De l’autre côté du Rhin, on mise plutôt sur la fin des subventions, mais pour des raisons budgétaires.

En novembre, la Cour de justice de Karlsruhe a tapé sur les doigts de la coalition dirigée par Olaf Scholz. Le chancelier s’était mis en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique. Sauf que pour la Cour suprême allemande, ces 60 milliards d’euros, initialement destinés à amortir l’impact économique du Covid, ne pouvaient être dépensés pour autre chose.

Et depuis cette suppression massive de crédits, c’est le casse-tête. Non seulement contraint par la règle constitutionnelle du « frein à l’endettement » qui limite le déficit budgétaire annuel du pays à 0,35% du PIB, le gouvernement souhaite combler les trous dans le fonds de financement pour la transition écologique. Le coupable n’est-il pas tout trouvé ?

Quitte à rogner sur certaines dépenses, autant commencer par les allègements fiscaux qui favorisent la consommation d’énergies fossiles, au grand dam des agriculteurs, qui ne moissonnent pas encore en tracteur électrique.

« Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop »)

Peut-être un brin inspiré par le bon mot de leurs voisins, qui scandent : « On marche sur la tête ! » à travers les campagnes de France, mais surtout par le mouvement de révolte initié par les agriculteurs hollandais, les paysans allemands défilent par centaines depuis la mi-décembre à bord de leurs tracteurs en arborant le slogan : « Trop, c’est trop » (« Zu viel ist zu viel »).

Leurs revendications sont claires. D’après un article paru dans le Berliner Zeitung du 28 décembre, ils comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité. M. Joachim Rukwied, président de l’Union des agriculteurs allemands, appelle à une semaine d’action à partir du 8 janvier. Une grande manifestation est programmée à Berlin le 15 janvier, juste avant que la commission budgétaire du Bundestag n’arrête le budget fédéral pour 2024.

Mais la colère ne se cantonne déjà plus au monde agricole. Elle a aussi gagné les cheminots et les routiers, qui veulent se joindre au mouvement. Et risque de faire traînée de poudre et se propager aux restaurateurs. Malgré la promesse de campagne du candidat Scholz de ne pas augmenter la TVA une fois élu, la taxe sur les denrées alimentaires vient de passer de 7 à 19 % le 1er janvier. L’ancien gouvernement avait réduit la TVA il y a trois ans pour sauver les restaurants de la faillite pendant l’épidémie de Covid. Il semblerait qu’il soit désormais temps de payer l’addition.





En Nouvelle-Zélande, cette députée maorie sidère le parlement avec son premier discours enflammé

[Source : LeHuffPost]




Vœux du Professeur Christian Perronne

[Source : bonsens.info]

Vœux 2024

Chers résistants, chers éveillés,

Voilà bientôt quatre ans que notre beau pays est tombé bien bas par la volonté d’un petit groupe de personnes ultrariches et ultrapuissantes qui ne nous veulent pas du bien. L’Union européenne a renié toutes ses valeurs démocratiques en se laissant diriger par une Commission qui outrepasse ses droits. C’est le cas notamment pour l’achat par dizaines de milliards de produits expérimentaux que les médias aux ordres nous ont fait passer pour des vaccins et pour la dépense de dizaines de milliards pour des guerres injustes et perdues d’avance. Le peuple de France souffre, comme beaucoup de peuples en Europe. On attaque la protection sociale et on détruit le système de santé. Les urgences des hôpitaux ferment faute de personnel. Les médecins sont en voie de raréfaction et même de disparition pour certaines spécialités. On profite de la répression Covid pour pourchasser les médecins qui soignent la maladie de Lyme chronique qui touche des millions de personnes en Europe et en Amérique du Nord, dont beaucoup meurent à petit feu, abandonnées par le système de santé, pour protéger des intérêts militaires. Une rare bonne nouvelle en 2023 a été la reconnaissance par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention), centre de surveillance des maladies aux États-Unis, de l’existence de la forme chronique de la maladie de Lyme, déniée depuis des décennies. Mais l’élite est à des années-lumière de la souffrance des citoyens, elle profite dans son monde. Il y a un feu d’artifice de personnalités politiques mises en examen pour des scandales sexuels ou financiers, mais personne n’est condamné. On dirait que c’est devenu la norme pour avoir des responsabilités républicaines. Le parlement est piétiné. La liberté d’expression est bâillonnée et l’on va profiter des Jeux Olympiques pour renforcer, de façon pérenne, le contrôle sur les citoyens. La mortalité augmente de façon très inquiétante depuis les campagnes « vaccinales » Covid, y compris chez les jeunes avec beaucoup de crises cardiaques, d’accidents vasculaires et de cancers d’évolution fulgurante. Cette surmortalité est reconnue, mais officiellement la cause est inconnue et l’on nous bloque l’accès aux données de santé qui sont devenues secret d’État ! La fertilité est en baisse, et cela depuis quelques mois après le début des campagnes d’inoculation. La France, par nature optimiste, qui avait un des taux de natalité les plus élevés en Europe, fait beaucoup moins d’enfants. Jamais depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’horizon n’a été aussi sombre. Les jeunes sont tristes, rivés à leur smartphone, et préfèrent se soumettre sans se poser de questions, plutôt que d’affronter la réalité de plein fouet. Pourtant je vois une immense lueur d’espoir. Après la phase d’abnégation où les Français ont été terrorisés par des messages de peur incessants, de plus en plus de personnes se réveillent de ce cauchemar et ne lisent plus ou n’écoutent plus les médias de grand chemin. Ces médias n’existeraient plus aujourd’hui sans les milliards de subventions donnés par le gouvernement. Les Français apprennent à se prendre en charge sans compter sur l’État qui n’est plus là pour les protéger ni les aider. Les Français apprennent à dire non aux diktats injustes. Un immense esprit de solidarité parcourt à nouveau le pays. Les valeurs familiales n’ont jamais été aussi fortes. Il faut parfois surmonter des épreuves pour connaître le meilleur. La crise Covid et les manipulations de masse ont provoqué des fractures graves dans les familles et parmi les amis. Il est très difficile pour une personne qui s’est soumise aux injonctions brutales de l’autorité, en pensant bien, d’accepter l’idée de s’être laissée abuser et de le reconnaître. La conséquence peut être la colère, mais c’est encore souvent le déni. La réalité est trop violente à regarder en face. Il faut donc faire preuve de bienveillance et de patience pour retrouver nos liens si chers. Ces milliardaires qui nous organisent ces crises auront permis à des millions de Français de découvrir que nous ne vivons plus en démocratie. L’éveil a déjà touché des milliards d’habitants sur la planète et ce mouvement est inarrêtable. Alors tous ensemble, marchons avec le cœur au ventre vers la libération et une ère nouvelle pleine d’humanité. Je vous remercie infiniment pour votre soutien constant et si chaleureux et vous souhaite pour vous, votre famille et vos proches une excellente année 2024.

Christian PERRONNE




Hydroxychloroquine : LES CHIFFRES SONT INVENTÉS ! Molimard et sa bande sont en passe de remplacer la call-girl du Lancet Gate

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Molimard fait mieux que la Call Girl Ariane Anderson, il resuce les résultats des fameuses études RECOVERY ET DISCOVERY et invente des chiffres dignes du Gorafi :

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X#bib20

MAIS COMMENT ONT ILS TROUVÉ LE % DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ ? ILS LES ONT INVENTÉS !

Non il ne s’agit pas de données officielles, mais d’une INVENTION ; ils sont partis du pourcentage de patients traités à l’HCQ dans des études choisies par eux puis ils ont fait une moyenne qui est devenu… le % de patients traités à l’HCQ dans le pays.

Mais ces études n’ont jamais été représentatives des pratiques hospitalières !

Comment s’étonner qu’ils nous donnent des taux de traitement de 16 % en France et 51 % EN Belgique ou 80 % en Espagne

CES DIFFÉRENCES SONT INCOHÉRENTES ET PROUVENT LE CARACTÈRE FANTAISISTE DES CHIFFRES

Nous avons mené une revue systématique et une méta-analyse d’ études de cohorte pour estimer les taux de mortalité et la proportion d’exposition à l’HCQ chez les patients hospitalisés dans chaque pays représenté dans les études disponibles. Nous avons effectué une recherche documentaire pour identifier toutes les études publiées rapportant le nombre de patients sous tous les traitements examinés dans le cadre du Covid-19. Nous avons effectué une recherche dans Pubmed, du 1er décembre 2019 au 15 mars 2021, en utilisant les mots-clés « coronavirus », « coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 », « SARS-CoV-2 », « nouveau coronavirus », « nCoV », « 2019-nCoV » et « Covid-19 » et « cohorte ». Depuis Pubmed, nous avons sélectionné les études selon les critères d’inclusion suivants : étude multicentrique, taille de l’étude ≥ 500 patients pour éviter l’effet centre, étude rapportant les traitements utilisés dans le Covid-19 et le nombre de patients traités avec ces médicaments. Les études incluant uniquement les patients recevant de l’HCQ, ayant reçu de l’HCQ à partir d’août 2020, et les patients déjà traités par HCQ pour des maladies auto-immunes ont été exclues, ainsi que les études menées dans des pays pour lesquels les données sur la mortalité manquaient

COMME DANS LE LANCET GATE, LES CHIFFRES DONNÉS POUR ÉVALUER LE NOMBRE DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ SONT TOTALEMENT FANTAISISTES COMME LE DÉMONTRE L’EXEMPLE BELGE

En France on apprend que 16 % des hospitalisés ont été traités à l’HCQ… PIPO ils n’en savent rien, ils ont choisi deux études de référence portant sur 2285 patients… Ils en ont déduit 15,6 % de traités à l’HCQ pour 100 000 patients.

En réalité de 10 à 80 %, on n’en sait rien !

En Espagne ils nous disent que 83.5 % des hospitalisés sont traités à l’HCQ… Pourquoi cette différence ? ON N’EN SAIT RIEN.

Tout part de là : de 25 000 cas étudiés, ils en déduisent ce qui s’est passé pour 104 750.

MAIS POUR LA BELGIQUE NOUS AVONS LES VRAIS CHIFFRES OFFICIELS ET LEURS DONNÉES SONT ENCORE UNE FOIS INVENTÉES — LES PREUVES
La démonstration de Véronique Baudoux

Véronique Baudoux
@VBaudoux

Il y a eu en réalité 4 542 traités sur 19 644 hospitalisés

Il y a eu pour la période concernée deux fois plus de patients traités à l’HCQ que dans la réalité (chiffres du ministère)

Les auteurs estiment ce nombre à 10.018. Comment l’ont-ils obtenu ? En se référant à l’étude nationale belge qui s’est déroulée jusqu’au 24 mai 2020.

De cette étude, ils ont extrait le taux de prescription d’HCQ de 51 % et ils l’ont appliqué à TOUS les patients hospitalisés (19.644) alors qu’en réalité, ce ne sont que 51 % des 8910 patients inclus dans l’étude qui ont reçu l’HCQ, soit 4542 personnes

La première erreur méthodologique est donc de généraliser ce taux de prescription de 51 % extrait de l’étude à l’ensemble des patients belges hospitalisés pour Covid. Car cela aboutit à un nombre de 10 018 personnes au lieu de 4 542. C’est une grosse différence !La question a été posée lors de la séance à la Chambre des Représentants du 16 juin 2020, et la ministre belge de la Santé a répondu que 5 000 personnes avaient reçu l’HCQ en Belgique.

Le 24 mai 2020, il y avait eu 17 357 patients hospitalisés pour Covid en Belgique. Et 4 542 patients avaient reçu l’HCQ. L’ÉTUDE EN TROUVE DEUX FOIS PLUS QUE LA RÉALITÉ.

À moins d’accuser Sciensano et la ministre de la Santé belge de mentir, ce chiffre de 10.018 patients belges ayant reçu de l’HCQ est donc FAUX !

COMMENT ONT-ILS TROUVÉ LE TAUX MOYEN DE SURMORTALITÉ LIÉ À L’HCQ ? ILS L’ONT INVENTÉ !

Il a fallu un an et demi pour publier cette étude annoncée en juin 2022 et dont les résultats ont changé à plusieurs reprises : 9 500 décès [1], puis 16 000 [2] dans 8 pays et enfin 16 000 dans 6 pays [3]. Cette étude s’appuie sur deux données importantes dont l’interprétation est erronée.

La méthode est la même, partir d’études choisies et extrapoler avec des différences extravagantes (du simple au double pour la mortalité toute cause entre la France et ses voisins.

Le nombre de patients traités par HCQ pour Covid-19 pour chaque pays variait de 10 018 à 551 417, avec une exposition hétérogène variant de 16 % [France] à 84 % [Espagne]. Les taux de mortalité ont été calculés à partir des données d’une [Belgique][19] à 20 cohortes [USA] [Fig. 2][40][41][42][43][44][45][46][47][48][49][50][51][52][53] [54][55][56][57][58][59].La mortalité toutes causes confondues des patients hospitalisés variait de 6 % [Turquie] à 23 % [Italie]

Mais le chiffre de surmortalité lié à l’HCQ est le même partout, il est complètement inventé : 11 %

Il provient de l’interprétation d’une étude qui reprenait les expériences RECOVERY ET SOLIDARITY pour lesquelles la dose d’HCQ était… TOXIQUE ET 12 FOIS PLUS ÉLEVÉE QUE CELLE PRESCRITE PAR RAOULT

Le nombre médian de décès liés à l’HCQ en Belgique, en Turquie, en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis était de 240 [fourchette non estimable], 95 [fourchette 92-128], 199 [fourchette non estimable], 1822 [fourchette 1170-128]. 2 063), 1 895 (plage de 1 475 à 2 094) et 12 739 (plage de 3 244 à 15 570), respectivement. Dans l’ensemble, en utilisant les estimations médianes de l’utilisation du HCQ dans chaque pays, nous avons estimé que 16 990 décès à l’hôpital liés au HCQ (plage de 6 420 à 20 294) sont survenus dans les pays pour lesquels des données sont disponibles.

En effet, les auteurs ont appliqué un taux moyen de surmortalité de l’HCQ tiré de la méta-analyse Axfors dont on sait qu’elle reprend des études dans lesquelles les dosages d’HCQ sont nettement supérieurs aux dosages utilisés en Belgique.

Étude anglaise Recovery : ils ont assassiné les cardiaques…

Publié le 9 octobre 2020 par pgibertie

La grande étude anglaise Recovery posait problème, nous en savons plus ; ils ont assassiné les cardiaques ! C’est ce que nous apprennent de nouvelles données… Leur dose d’HCQ était 12 fois plus forte que ce qui est conseillé dans le Royaume-Uni (200 mg jour) : https://www.medicines.org.uk/emc/files/pil.11516.pdf.

Rappelons que l’hydroxychloroquine est efficace dès les premiers symptômes, ensuite il faut préférer anticoagulants et stéroïdes.

Elle permet d’éviter l’intubation c’est son intérêt.

Les malades de Recovery étaient. avant de recevoir l’hydroxychloroquine :

Malade en moyenne depuis 9 jours
sous oxygène pour 77 % d’entre eux et un sur six déjà intubé

L’hydroxychloroquine ne doit pas être donnée aux cardiaques, un électrocardiogramme est nécessaire. Nous constatons que les malades anglais étaient non seulement affaiblis, maispour 27 % d’entre eux l’hydroxychloroquine posait problème (422 sur 1 561). Aux cardiaques s’ajoutaient des posologies contre-indiquées : 119 et 8 % surtout des insuffisances rénales sévères.

AU MOINS UN TIERS DES MALADES NE POUVAIENT PAS RECEVOIR DE L’HYDROXYCHLOROQUINE EN TOUS CAS PAS A FORTES DOSES

Les auteurs citent Axfors et coll. [11] insinuant que, quelle que soit la posologie, l’HCQ seule est associée à une mortalité accrue. Cette interprétation est erronée, comme indiqué dans les compléments, ce risque n’existe pas à faibles doses. Cela a été confirmé par Ioannidis lui-même [12].

Recovery et solidarity représentent 90 % du poids d’Axfors et coll.

Axfors et coll. [13— Suppléments Tableau S3] ont constaté une augmentation du risque de 12 % uniquement pour l’HCQ à forte dose (récupération, sollicitude, plafond de remappage), dans 3 études impliquant 6 711 patients. Le groupe HCQ à faible dose (23 études, 3 301 patients) n’a réduit ce risque que de 1 %, alors que le RC était de 0,97 (0,71, 1,30). il est impossible que l’HCQ à faible dose entraîne un excès de risque de 11 %, risque non démontré par un grand nombre d’études observationnelles (HCQ à faible dose). L’ICMR d’Inde a mis en garde l’OMS contre les doses élevées de récupération.

Les auteurs n’ont pas indiqué le schéma thérapeutique utilisé dans les différents hôpitaux. Ceci est préoccupant, car les seuls essais cliniques faisant état d’une tendance à la nocivité (sans signification statistique) ont utilisé des doses totales beaucoup plus élevées que dans le cadre d’un usage compassionnel. Extrapoler un effet cardiotoxique putatif sans tenir compte de l’effet établi dépendant de la concentration de la chloroquine est erroné.

La majeure partie du poids de la méta-analyse d’Axfors provient d’essais cliniques à fortes doses (Recovery/SOLIDARITÉ). Avez-vous procédé à une comparaison du modèle que vous proposez avec les résultats réels des études incluses dans votre analyse pour valider sa pertinence ?

https://pubpeer.com/publications/CC52948B43670BCD51E1B617E7BDAC

LA MÉTHODE DE L’ÉTUDE

ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites.

On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé.

On le multiplie par le nombre de décès Covid.

ON ARRIVE À UN RÉSULTAT REPRIS PAR LES MÉDIAS.




En France les militaires ne meurent plus sous les balles, mais par les injections

L’intervenante est le Dr Typhaine Pinsolle que l’on peut voir aussi ci-dessous
[qu’elle ne remette pas en question l’existence de virus pathogènes est une autre affaire. Comme beaucoup de personnes travaillant dans le milieu médical, elle nest probablement pas informée de la réfutation de la pseudo théorie virale ou na pas voulu se pencher sérieusement sur la question.] :

Dr Typhaine Pinsolle au Sénat sur les effets secondaires du Covid19. Paris/France – 07 Novembre 2023
Autre lien pour la vidéo, en cas de censure : https://crowdbunker.com/v/98a1USuQom

Une autre vidéo sur cette intervention :





France — Attention, votre enfant peut être placé sur un simple témoignage de votre voisine…

[Source : RL]

Par Sophie Durand

Histoire véridique : un mercredi à midi, dans un pavillon de banlieue, une maman fait déjeuner ses enfants. L’un d’eux fait un caprice et se met à hurler, chose très fréquente de laquelle il ne faut pas s’inquiéter outre mesure. Qui d’entre nous, enfant, n’a jamais hurlé, avec ou sans raison ? Cela permet à l’enfant de se relaxer, de décompresser.

La maman envoie l’enfant se calmer dans le jardin. Cinq minutes après arrive un fourgon de police. L’enfant est arraché malgré lui à sa famille sidérée. Un coup de fil au parquet et l’enfant est placé à l’ASE (aide sociale à l’enfance, assez dévoyée) pour un délai de quinze jours.

C’est une voisine malveillante qui avait téléphoné à la police. Pure délation scandaleuse et jalousie. Pendant le covid, il y a eu 30 % de plus de signalements de voisins malveillants qui n’avaient rien d’autre à faire que d’espionner leurs voisins dans un but malintentionné, voire pervers. Une vraie maladie. Que les délateurs s’occupent de leurs propres affaires et le monde ira mieux.

Le lendemain la famille est entendue, il y a une enquête de voisinage, école, éducateurs, tout le monde est interrogé. On ne trouve aucune trace de maltraitance. Mais l’enfant est toujours placé. Il réclame ses parents tous les jours. Il faudra attendre l’audience devant le juge des enfants pour que le juge, raisonnable (ce qui devient hélas ! exceptionnel) classe l’affaire. L’enfant a pu enfin rentrer chez lui.

D’autres n’ont même pas eu cette chance et sont placés durant des années. Parfois jusqu’à leur majorité, et dans des cadres où ils sont très malheureux, ont leur vie brisée. Il suffit de lire les forums dédiés pour avoir les cheveux qui se dressent sur la tête. Sans parler de la vie de leurs parents, qui pleurent leurs enfants.

Lors de l’enquête, les enquêteurs ont le droit de vous convoquer, de vous interroger et de se rendre à votre domicile pour tout vérifier, contrôler votre cadre de vie, ouvrir les placards, passer leur doigt sur les étagères pour voir s’il y a de la poussière.

La procédure peut traîner et les parents ne pas voir rapidement le juge pour enfants, car la justice-mur-des-cons est débordée. Le comble : les parents n’ont pas le droit de faire un recours contre l’ordonnance de placement provisoire par le parquet (OPP) et le parquet peut traîner les pieds avant de saisir le juge d’instruction.

Lorsque j’étais avocat, il y a longtemps, le système était totalement différent. Un enfant restait de préférence dans sa famille, car on estimait que quoi qu’elle ait fait, c’était là que l’enfant était le mieux, sauf en cas de danger grave. Le placement était l’exception.

Mais de nos jours, on assiste à une montée en puissance de psychologues peu compétents et avides de pouvoir. Il suffit qu’une mère soit jugée trop fusionnelle, ou que les parents ne soient pas classiques (trop religieux, pas assez dans la doxa ambiante — pro LGBT et pro-trans par exemple, ou partisans de l’école à la maison…) pour que l’enfant soit placé.

Certains intervenants dans ces dossiers sont honnêtes, mais d’autres « rédigent des rapports empreints de grossières erreurs ou d’interprétations personnelles entièrement sujettes à caution » dit l’avocat spécialisé Adeline Le Gouvello ou encore Me Christine Cerrada pour laquelle « les placements abusifs sont devenus le quotidien des avocats qui interviennent dans ces affaires. »

Le placement en foyer, c’est l’horreur : certains des autres enfants sont violents et commettent des abus sexuels sur les autres enfants, avec tout ce que cela implique.

Le placement en famille d’accueil est moins grave nous dit-on, mais là aussi les abus sexuels et autres maltraitances existent.

Très grave : dans 50 % des cas, le placement aurait pu être évité, selon le rapport de l’inspecteur des Affaires sociales Pierre Naves, en 2000 et confirmé en 2006 ! Ce ne sont donc pas moins de 90 000 jeunes qui n’auraient pas dû être retirés à leurs familles, grosso modo.

Un conseil à la justice débordée : ne pas enfler inutilement ces affaires et la justice sera moins débordée, ce qui profitera à tout le monde…

Alors certes un enfant meurt tous les cinq jours de mauvais traitements dans sa famille. On a du mal d’ailleurs à croire à ce chiffre.

Mais de là à placer préventivement un enfant alors que le droit pénal est tout sauf préventif selon l’adage « nulla poena sine culpa », nulle peine sans faute, qui est d’ailleurs reconnu comme un droit de l’homme par la Cour de justice de l’Union européenne, et indique qu’on ne peut condamner quelqu’un sans la commission d’une infraction par cette personne, ce qui semble logique, mais de nos jours la logique n’est plus ce qu’elle était…

Les petits juges sans éthique et autres petits enquêteurs sans principes et procureurs délirants qui ont trempé dans ces drames devraient se faire du souci pour le jour où tous ces enfants placés devenus grands demanderont des comptes à ceux qui les ont privés abusivement de leur vie et de leur famille.




ADN dans les vaccins ? Les médecins allemands en colère

[Source : covidhub.ch]

En Allemagne, la révélation d’importantes quantités d’ADN dans les vaccins a créé la foire d’empoigne dans le monde médical. Début décembre, l’association des praticiens de la médecine (MBV) a adressé un courrier à tous les médecins généralistes pour les avertir de ce danger pour la santé et de ses conséquences légales. L’institut fédéral responsable du contrôle des vaccins a immédiatement démenti ces accusations, parlant de données inexactes et de « fake news ». Mais ses arguments ont aussitôt été démontés par un groupe de scientifiques, le MWGFD, qui a confirmé les dangers liés à l’ADN dans les vaccins Covid. L’affaire les a même poussés à porter de lourdes accusations contre l’Institut Paul Ehrlich, qui est responsable de la pharmacovigilance en Allemagne, et qui conseille l’Agence européenne des médicaments.

Le « Plasmidgate »

La tentative de l’Institut Paul Ehrlich (IPE) de faire passer les informations concernant la présence d’ADN dans les vaccins pour des « fake news » a suscité un véritable tollé et lancé le débat sur la place publique. C’est tout d’abord la chaîne de télévision allemande MDR qui a réalisé un reportage sur le sujet. Peu après, le magazine en ligne Focus a lui aussi publié un dossier sur ce que l’on appelle aujourd’hui « le Plasmidgate ». À présent, le scandale prend de l’ampleur, car il apparaît que l’Institut Paul Ehrlich n’a jamais effectué de véritables contrôles des vaccins Covid. Il s’est seulement limité à vérifier les documents fournis par les fabricants. Cet aveu est un véritable choc pour de nombreux médecins et pour le public. Comment imaginer que l’autorité responsable de la sécurité des médicaments donne de facto carte blanche aux fabricants, en se fiant à leurs propres affirmations sur la qualité du produit ?

[Note de Joseph :

Cette affaire de supposé ADN contaminant des vaccins est probablement du même ordre que celle du prétendu ARNm, à savoir un écran de fumée pour cacher le vrai problème : la nanotechnologie à base de graphène. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/next-dose-3-faut-il-encore-des-preuves/.

C’est quand même bizarre que des médias mainstream (allemands dans le présent cas) ébruitent cette affaire d’ADN et que d’autre part des laboratoires vraiment indépendants qui ont analysé le contenu de plus d’une dizaine de sortes de vaxins anticovid n’aient pas trouvé trace de matériel biologique (pas de présence des éléments chimiques typiques du vivant, notamment azote et phosphore). Voir https://nouveau-monde.ca/dr-david-a-hughes-quy-a-t-il-dans-les-soi-disant-vaccins-covid-19-preuves-dun-crime-mondial-contre-lhumani/.

Si les analyses supposément génétiques reposent sur le même genre de cuisine que la virologie (notamment avec la PCR et l’usage de logiciels de séquençage qui ne font que mouliner dans le virtuel et inventer au final des séquences dont il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de leur existence dans la nature. Voir https://nouveau-monde.ca/un-adieu-a-la-virologie-edition-pour-expert/), alors il n’est pas étonnant que des labos officiels puissent trouver de l’ADN ou de l’ARNm là où des indépendants sans conflits d’intérêts n’ont rien trouvé de tel.

En réponse à la peur génétique (ADN, ARNm, Spyke), il existe maintenant suffisamment d’indications (d’après l’épigénétique) que le code génétique n’est naturellement pas fixe, mais se modifie selon l’environnement et selon le psychisme de l’individu (Voir Génétique : Le génome en dissolution, Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus et Vos pensées contrôlent votre ADN !). On pourrait répondre que l’affaire du graphène peut aussi engendrer la peur, mais on sait que celui-ci est naturellement éliminé du corps en quelques mois et que l’élimination peut être accélérée par des antioxydants, même si sous forme d’hydroxyde il est plus difficile à éliminer.

La raison pour laquelle ils poussent autant les rappels anticovid et de nouveaux vaccins, ce n’est pas pour booster l’immunité (dont le concept lui-même est probablement erroné si la théorie des germes et sa fille virale sont fausses. Il faudrait alors par exemple parler de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage), mais pour renouveler le stock de nanotechnologie graphénisée dans le corps des vaccinés. Le graphène lui-même pourrait être renouvelé notamment par l’ingestion alimentaire, infection médicale (sur les masques et les écouvillons de tests PCR [cela a été observé]), cosmétique, aqueuse (dans les boissons ou l’eau du robinet) ou aérienne (par les chemtrails) de cette substance.

On peut aussi se poser la question du pourquoi de la présence du graphène. Eh bien pour transformer l’Homme en transhumain, selon les vœux de sieur Schwab et de psychopathes milliardaires, afin de mieux l’asservir :

Nanotechnologie à base de graphène (contenant l’identifiant universel sous forme d’adresse MAC)
+ 5G/6G + CBDC + Crédit social
= Marque de la Bête

Voir Nanotechnologie et « vaccins »

]

L’association des praticiens de médecine pose aujourd’hui des questions fort embarrassantes :

Qu’est-ce qui pousse l’agence de contrôle à vouloir mettre fin à une action qui contribue à la sécurité des médicaments ? L’IPE part-il du principe que les connaissances sur les impuretés de l’ADN peuvent devenir un problème pour la sécurité des vaccins ? Plusieurs travaux d’analyse ont démontré que les vaccins à ARNm présentent d’importantes contaminations de l’ADN. L’IPE n’est-il pas au courant de ces publications scientifiques ? Des spécialistes avaient pourtant alerté l’agence dès les premières publications des chercheurs américains sur ce sujet. À présent, ils sont maintenant encore plus irrités et alarmés.

Collusion avec BioNTech

La MVB a aussi souligné que le professeur Cichutek, président de l’Institut Paul Ehrlich, est un des plus grands chercheurs allemands en matière de thérapie génique et qu’il avait lui-même décrit en détail les dangers des thérapies géniques, dans les années 90. Selon ses propres termes, la vaccination avec des vaccins contenant des acides nucléiques équivaut à « une forme particulière de transfert de gènes/thérapie génique ». Et,

une conséquence génétique indésirable des vaccinations avec des vaccins contenant des acides nucléiques pourrait être une mutagenèse par insertion de gènes cellulaires… entraînant un risque accru de cancer.

Au vu du contenu inquiétant de cette publication du professeur Cichutek datant de 1994, la MBV exige des explications publiques ! Quand, où et comment les risques qu’il a lui-même énumérés ont-ils été étudiés plus en détail ? Jusqu’à présent, l’IPE a refusé de fournir la moindre réponse à ces questions.

Selon un ancien directeur de la caisse des assurances-maladie (KVB), le Dr Krimmel, un spécialiste en médecine générale, l’attitude de l’Institut Paul Ehrlich a « aggravé la situation ». Elle est « de nature à ôter au public ses dernières illusions quant au bon fonctionnement de la surveillance de la production de vaccins à ARNm ».

Pourquoi l’Institut ne veut-il pas dissiper ce « terrible soupçon » de contamination massive par de l’ADN ? Que sait l’IPE sur ce sujet, étant donné qu’il avait lui-même conseillé la société productrice BioNtech d’obtenir l’autorisation du vaccin ?

En juin 2023, le ministre de la santé allemand a tweeté depuis la salle « de contrôle des vaccins » de l’Institut Paul Ehrlich que « grâce au Prof. Cichutek et à l’IPE les vaccins Covid ont été approuvés plus rapidement »

Trompés par les agences

La MBV a rappelé qu’il existe deux procédés de fabrication différents pour les vaccins à ARNm, comme l’Agence européenne des médicaments l’a bien mentionné dans son rapport d’évaluation du 19.02.2021 (concernant Comirnaty, EMA/707 383/2020, CHMP).

Le produit soumis à l’évaluation des agences sanitaires était un vaccin produit par qPCR. Mais pourla production de masse des vaccins Covid, on a ensuite utilisé un procédé nettement plus « rapide » en produisant de l’ARNm à partir de plasmides d’ADN.

Dans sa lettre initiale aux généralistes, la MBV a aussi accusé l’IPE d’avoir trompé les médecins et les pharmaciens en affirmant que les avantages des vaccins à ARNm Covid-19 l’emportaient nettement sur les risques éventuels. D’innombrables études l’ont prouvé, mais les autorités allemandes persistent dans leur politique de désinformation.

Il est très problématique que l’IPE ne soit pas encore intervenu en lançant ses propres enquêtes pour évaluer la qualité des produits. Mais le fait qu’il s’arroge le droit d’interdire, sans base juridique et de manière totalement inappropriée, une initiative privée visant à remédier à la situation, n’est en aucun cas compréhensible. En fin de compte, l’action de l’Institut de contrôle semble avoir pour seul objectif d’empêcher délibérément les initiatives visant à établir la sécurité des médicaments. L’Institut Paul Ehrlich agit donc manifestement à l’encontre de sa mission légale !

Chaos dans le génome

Le Plasmidgate pourrait bien être le coup de grâce à la politique du « tout-vaccin » menée par les autorités sanitaires de différents pays. Plusieurs équipes de chercheurs indépendants ont montré les différentes manières dont le génome est attaqué par les vaccins Covid. En premier lieu, la présence d’ADN contaminant les injections Covid dans des quantités qui dépassent de mille fois les résidus autorisés par l’Agence européenne des médicaments peut entraîner une modification du génome de la personne injectée.

Mais il y a encore d’autres raisons pour lesquelles les injections Covid peuvent avoir des conséquences gravissimes sur la génétique humaine. La protéine Spike codifiée dans les vaccins n’est pas la protéine Spike d’origine, mais une version ayant subi une modification génétique. Ce sont donc d’autres protéines qui sont produites par les vaccinés. Récemment, une étude italienne a d’ailleurs permis de différencier les protéines Spike naturelles des protéines Spike vaccinales dans le sang des sujets infectés.

Une découverte récente est le fait que cette « Spike modifiée » entraîne des erreurs de lecture du génome, avec comme conséquence la production de toute une série de protéines différentes, connues ou inconnues, dont on ignore l’action sur l’organisme.

Au stade actuel, « c’est un plongeon dans l’inconnu ». Il est pratiquement impossible d’en prédire les effets à court et à long terme et ceux-ci peuvent très bien varier d’une personne vaccinée à l’autre. Conscients du danger que cela représente, scientifiques et médecins sont de plus en plus nombreux à penser que poursuivre l’utilisation de technologies à base d’ARNm s’apparente à de la folie. Tous plaident pour un arrêt immédiat de ces expériences et pour le retrait immédiat des vaccins encore sur le marché.

(…)