Appel au réveil urgent : des décès par milliers après la « vaccination » Covid-19

[Sources : Kla.tv]

[Ndlr : Certains pensent que les chiffres des décès et des effets secondaires dus aux vaccins seraient surévalués dans les bases de données officielles européennes et états-uniennes. Cependant :
►L’EMA, l’Agence Européenne des Médicaments, n’accepte que les décès très récents après le vaccin et il en est de même pour l’agence américaine;
►Actuellement en France, les centres de suivi sont débordés et demandent de ne plus signaler
►et les médecins, suivant les directives du Conseil de l’ordre des médecins, tendent à refuser la déclaration auprès des malades (les familles sont outrées et commencent à porter plainte);
►Contrairement à la période de 2020 où presque personne ne connaissait de malades covid dans son entourage, presque tout le monde a maintenant des accidents ou incidents post-vaccination à signaler parmi les proches, mais toujours non signalés, et le médecin dit que les patients ne peuvent pas le signaler (ce qui est faux).]

À quoi ressemble le bilan après environ 3 mois de vaccination Covid-19 ?



Cette émission montre ce qui s’est passé dans les maisons de retraite allemandes après les vaccinations Covid-19. Les chiffres officiels de l’Institut Paul-Ehrlich et de l’Agence européenne des Médicaments (EMA) sont très alarmants.

Comme ces chiffres sont dissimulés ou minimisés par les médias de masse, cet « appel au réveil urgent » est un appel à tous afin que les faits choquants de cette émission soient révélés au public !

16 des 70 résidents sont morts après la vaccination ! Un résident sur quatre est mort après la vaccination !

Leverkusen : 18 morts après la vaccination !

D’autres nouvelles choquantes : Une mortalité bien plus que centuplée après la vaccination par rapport aux années précédentes depuis le début des vaccinations Covid-19.

Une enseignante de 49 ans meurt quelques jours après avoir été vaccinée contre le Covid-19.

244 Britanniques sont morts peu après la vaccination.

Par conséquent, cette expérience irresponsable sur toute l’humanité doit être arrêtée immédiatement ! Aidez-nous à faire en sorte que cet appel au réveil urgent atteigne tout le monde !

Des titres tels que « Quand le turbo de la vaccination s’enflammera-t-il ? », « Le taux de vaccination augmente » ou « Les médecins généralistes devraient enfin vacciner » dominent depuis des mois les premières pages des médias principaux.

Selon la volonté de la chancelière allemande Angela Merkel, le monde entier doit être vacciné contre le Covid-19 le plus rapidement possible ! Elle a dit littéralement : « La pandémie ne sera vaincue que lorsque le monde entier aura été vacciné ».

À cette fin de nouveaux vaccins ont été développés en un temps record de moins de 12 mois. Auparavant, les fabricants de vaccins avaient échoué lamentablement pendant plus de 20 ans avec les vaccins à ARNmessager lors des essais sur les animaux. Cela soulève inévitablement la question suivante : les tests sur les animaux seront-ils désormais effectués sur des humains ? Après tout, ce n’est que par le biais d’une procédure d’approbation abrégée que l’Agence européenne des Médicaments (EMA) a approuvé sous conditions ces vaccins pour l’homme. Alors que les plateformes de médias alternatifs ont publié des articles critiques sur ces nouveaux vaccins Covid-19, la recherche de contributions critiques sur les vaccins dans les médias principaux ressemblait à la recherche de la fameuse aiguille dans une botte de foin !

Les vaccins ont été présentés comme sans alternative et les lanceurs d’alerte ont été et sont toujours ignorés, diffamés ou même censurés. Parmi de nombreux autres experts éminents, Sucharit Bhakdi s’est exprimé dans les « médias alternatifs ». M. Bhakdi est professeur émérite de microbiologie et d’immunologie médicales et ancien président de l’Institut de microbiologie et d’hygiène médicales de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence. Avec 12 autres éminents scientifiques et médecins, il a lancé il y a plusieurs mois une mise en garde urgente contre le risque que les vaccins Covid-19 puissent provoquer des caillots sanguins. Cette mise en garde a maintenant été confirmée de manière démontrable dans la pratique réelle de la vaccination par des décès survenus après des vaccinations Covid-19.

Dans cette émission, nous faisons donc le bilan de trois mois de « pratique de la vaccination contre le Covid-19 ». La base de ce « test pratique » est fournie par les faits et les chiffres publiés dans les rapports des journaux quotidiens, que nous citons comme source. Des sources supplémentaires en allemand peuvent être trouvées sur notre site internet www.kla.tv dans le texte de l’émission.




Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

[Source : ripostelaique.com]

Par Henri Dubost

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost




Tentations totalitaires via le pass de plusieurs nations européennes

Par le Dr Gérard Delépine

La mémoire des peuples est courte. On aurait pu espérer que l’un des moteurs de la pensée nazie (l’eugénisme-hygiénisme) avait été définitivement enterré avec ceux qui les ont mis en application ou ceux qui les ont subis durant la Seconde Guerre mondiale. L’actualité nous montre malheureusement qu’il n’en est rien puisque, après Israël, l’Autriche et l’Allemagne et bientôt la France veulent discriminer une majeure partie de leur population avec un pass vaccinal et imposer une vaccination expérimentale inutile et dangereuse aux enfants.

Le pass est un projet illogique

Il repose sur une incohérence conceptuelle.

Ses partisans croient en l’efficacité des vaccins et se font vacciner, c’est logique et un choix respectable, cohérent avec leur croyance. Mais s’ils croient que les vaccins les protègent, ils n’ont aucune raison d’avoir peur des non-vaccinés et de vouloir leur imposer un vaccin par le pass.

Et s’ils croient que les vaccins les protègent insuffisamment, ils n’ont aucune raison de croire que le pass les protégerait davantage puisqu’il les mettrait au contact de vaccinés susceptibles, comme eux, de leur transmettre le virus.

Alors, pourquoi prôner une mesure illogique, attentatoire aux libertés fondamentales ?

D’autant que les faits établis montrent que la vaccination ne protège ni de la transmission (contaminations) ni des formes graves (mortalité)

La vaccination ne protège pas des contaminations

Les partisans de la vaccination prétendent qu’une couverture vaccinale élevée protégerait efficacement la population. Mais, à ce jour, les rares pays qui ont atteint 70 %(([1] Aucune étude clinique sérieuse dans le monde réel n’a apporté de preuve à cette théorie déduite de simulation)) de couverture vaccinale (Les Seychelles, Gibraltar et l’île de Man) souffrent depuis d’une véritable explosion de l’épidémie, comme si en pratique la vaccination facilitait les contaminations.

D’après les publications de l’OMS(([2] WHO Covid19 Dahboard consulté le 15/5/2021)), avant la campagne de vaccination les Seychelles comptaient 502 cas confirmés. Au 14 mai, avec un taux de 70 % de vaccinés, les cas confirmés atteignaient 9184 (+1800 %).

Depuis, les écoles ont été fermées pour trois semaines et les activités sportives en groupe sont limitées. Les bars, les restaurants et les magasins doivent fermer plus tôt et il est demandé à la population de ne plus se rassembler en dehors de la famille.

Même phénomène de réveil de l’infection par la vaccination à l’île de Man

Même phénomène à Gibraltar où la couverture vaccinale dépasse les 100 % (car la vaccination a été étendue aux visiteurs espagnols)

L’exemple du Koweït est tout aussi démonstratif.

Le Koweït est le champion arabe de la vaccination qui a débuté fin décembre. Depuis la vaccination le nombre hebdomadaire de contaminations a été multiplié par 5 (1625 cas dans la semaine d’avant la vaccination et 8806 dans la semaine du 3/5).

Cette augmentation du nombre des contaminations après la vaccination, observée dans tous les pays qui vaccinent beaucoup est de durée variable : de 4 à 6 semaines en Grande-Bretagne et Israël, elle s’est prolongée 2 mois et demi aux Émirats Arabes Unis.

Certes, il s’agit d’une corrélation purement temporelle entre la date des vaccinations et l’augmentation des contaminations ; mais la constatation d’une telle corrélation dans tous les pays qui vaccinent suggère fortement une relation causale selon un mécanisme qu’il serait urgent d’élucider pour tenter d’y remédier.

Cette incapacité de la vaccination à empêcher la transmission de la maladie a d’ailleurs été reconnue récemment par O. Veran dans son argumentaire au Conseil d’État :

« les personnes vaccinées peuvent diffuser tout de même le virus »

La vaccination ne diminue pas la mortalité Covid19

Les avocats de la vaccination prétendent qu’un haut taux de couverture vaccinale diminuerait le risque de formes graves et la mortalité.

Mais les exemples des Seychelles (taux de couverture vaccinale de 70 %) et de Gibraltar (plus de 100 % de vaccinés) montrent que ces affirmations sont fausses.

Même phénomène à Gibraltar

L’incapacité des vaccins à prévenir les formes graves et la mortalité a également été reconnue par O Veran devant le Conseil d’État « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès, si le vaccin ne fonctionne pas ou en cas de réinfection post vaccinale ».

La propagande/supercherie des prétendus succès anglais et israéliens

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne actuelle sont très faibles. Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition de très nombreuses personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

En effet, dans tous les pays vaccinés, la mortalité a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (la première année) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto une diminution de la mortalité dans l’année à venir.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne

La régression naturelle de l’épidémie explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les évolutions dans les pays vaccinés et non vaccinés ont suivi la même chronologie, mais avec une exacerbation post vaccinale transitoire de la mortalité qui entraîne, à court terme, un excès de mortalité dans le pays le plus vacciné.

Certes, on ne dispose pour l’instant que d’un court recul post-vaccination et il faudrait attendre une éventuelle nouvelle vague pour conclure définitivement, mais l’examen objectif actuel des faits montre que la vaccination large d’une population ne diminue pas la mortalité, mais l’augmente au moins à court terme.

Ceux qui prétendent le contraire nient les faits constatés pour tenter de justifier un pass sanitairement inutile qui renouerait avec des pratiques totalitaires des nazis.

Le pass : la Commission européenne renoue-t-elle avec ses racines nazies ?

Ce livre révèle les importantes similitudes entre la nature antidémocratique de l’Union Européenne et les plans totalitaires d’un « Espace économique global européen » de la période d’avant la Seconde Guerre mondiale. L’information principale de ce livre est que les inspirateurs et architectes de la Constitution Européenne sont essentiellement les juristes qui ont rédigé les lois de l’Europe nazie.

Ainsi Walter Hallstein, membre de l’association nazie des « protecteurs de la loi » de 1936 à 1945 et doyen de la faculté de droit sous Hitler, valida les lois de discrimination visant les juifs et en particulier l’instauration du port de l’étoile jaune. En 1950, il devint conseiller du chancelier Adenauer, rédigea l’essentiel de la constitution européenne puis présida la Commission européenne de 1958 à 1967.

L’instauration d’un pass sanitaire par la commission de Bruxelles réitère donc l’instauration de l’étoile jaune validée sous Hitler par son ancien président. Même idéologie prétendument « sanitaire », même technique appuyée par une propagande totalitaire et une censure féroce des opposants que n’aurait pas désavouée Goebbels.

Ce pass qui veut imposer des « vaccins » expérimentaux est contraire au code de Nuremberg(([3] Amiel P., « “Code de Nuremberg” : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in
Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011 https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_CodeNuremberg_TradAmiel.pdf)) et à la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)) qui stipulent qu’aucun traitement expérimental comme les pseudo vaccins actuels(([5] Ces traitements sont toujours expérimentaux, car leurs essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023 ; d’ailleurs leur autorisation n’est que conditionnelle. De plus les péripéties du vaccin Astra Zeneca et plus récemment du Jansen et du Johnson et Johnson a montré les risques de telles autorisations prématurées.)) ne peut être administré sans le consentement libre et éclairé du receveur.

Ce pass instaure une discrimination entre les populations, un véritable apartheid contraire aux fondements de notre démocratie.

Il a d’ailleurs été refusé par l’OMS(([6] COVID-19: LE COMITÉ D’URGENCE DE L’OMS OPPOSÉ À LA MISE EN PLACE D’UN PASSEPORT VACCINAL
H.G. avec AFP Le 20/04/2021)), la Maison-Blanche(([7] États-Unis : le gouvernement s’oppose au passeport vaccinal La porte-parole de la Maison-Blanche a affirmé ce mardi que le gouvernement américain était formellement opposé à l’idée d’un passeport vaccinal, car « les données personnelles et les droits des Américains doivent être protégés ».
https://www.rtl.fr/actu/international/etats-unis-le-gouvernement-s-oppose-au-passeport-vaccinal-7900017020)) et interdit dans de nombreux états américains, ce qui rendra très compliquée sa mise en œuvre effective.

Le pass, une mesure discriminatoire totalement inutile

Les nombreux états américains qui ont repris une vie normale en supprimant toutes les mesures prétendument sanitaires (sans pass) bénéficient d’un recul majeur de l’épidémie.

L’exemple du Texas dont le gouverneur a eu le courage de libérer ses citoyens contre l’avis des experts et de J. Biden qui avait qualifié son attitude de néandertalienne est très démonstratif.

Depuis sa libération, les statistiques officielles objectivent la poursuite de la chute des nouveaux cas et une quasi-disparition de la mortalité alors que le taux de vaccination complète (32 %) est très loin des taux jugés efficaces par les vaccinolâtres.

Arrêtons d’avoir peur d’un virus qui n’est pas plus mortel que la grippe asiatique de 1959 et qui est sensible aux traitements précoces.

Exigeons la liberté de soigner des médecins ! et la liberté du choix de son traitement par les malades. Et en particulier celui de refuser des traitements expérimentaux aux résultats réels très inquiétants.

Refusons le pass illogique, inefficace, profondément antidémocratique et refusé pour cela par la majorité du monde. L’appliquer en Europe dissuaderait la clientèle extra-européenne de revenir visiter nos pays ; notre industrie du tourisme, fortement ébranlée par les mesures prétendument sanitaires, n’a pas besoin de ce coup de grâce.

Liberté. Liberté chérie.





Les médecins sont tombés dans un trou noir

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

FIN DES PROBLÈMES DE NUMERUS CLAUSUS, ON N’A PLUS BESOIN DE MÉDECINS

Les médecins sont plus de 200 000 en France. Mais, malgré des incitations financières considérables, beaucoup paraissaient réticents à injecter un médicament expérimental vendu comme vaccin. Alors le ministre de la Santé a autorisé les infirmières, les vétérinaires et les pompiers à vacciner. Mais ce n’était pas encore assez. Alors tout le monde ou presque (bientôt) pourra maintenant vacciner, sans préalable, sans examen clinique, sans consentement éclairé.

On n’arrête pas le « progrès ». La loi de santé de Marisol Touraine de janvier 2017(([1] 1704-ANTIBES-CONSEQUENCES-LOI-TOURAINE PDF (nicoledelepine.fr) )) avait entamé le processus en permettant des glissements de tâches entre médecins et infirmiers, puis entre infirmiers et aide-soignant, etc. On était arrivé au fait qu’un personnel de garde non soignant aurait le droit d’aspirer un résident s’il s’étouffait et qu’il n’y avait aucune personne formée sur place. On était déjà dans le délire, mais encore exceptionnel, qui augurait bien de la suite…

Et l’on vient d’apprendre via Europe 1 que « les kinésithérapeutes, aides-soignants, puéricultrices, ambulanciers et titulaires d’une formation de secourisme de niveau 2 peuvent désormais participer à la campagne de vaccination. 500 000 nouveaux vaccinateurs viennent ainsi renforcer les rangs afin d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement. »  Par La rédaction d’Europe 1  13 MAI 2021.

Ce sont eux aussi qui fourniront les certificats verts, sésames de l’entrée en boîtes de nuit, j’imagine…

Rire ou pleurer, qu’est devenue la médecine que nous exercions encore il y a quinze mois ?  Les médecins généralistes libéraux l’ont bien cherché, me direz-vous ! Ils se sont tus, cachés, enfoncés dans leur grotte pour ne pas réagir à l’énorme arnaque du siècle qui fut l’interdiction aux médecins de prescrire selon le serment d’Hippocrate, en donnant les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science.(([2] Pourtant toujours en vigueur légale arrêt mercier 1936))

Une révolution après plus de 2 500 ans de médecine hippocratique

Le ministre, en février mars 2020 et les premiers cas de covid-19, donna l’ordre aux SAMU et au 15 de répondre aux patients de ne prendre que du Doliprane en attendant sagement à domicile l’aggravation et la détresse respiratoire qui les mènerait ou non à l’hôpital en fonction de leur âge.

Silence, on ne traite pas

Sous prétexte qu’un ministre l’impose, et qu’il est soutenu par le président du Conseil de l’Ordre dont la fonction, rappelons-le, n’est absolument pas scientifique, mais uniquement déontologique(([3] Et en autre de faire respecter la loi transparence en santé qui oblige tout médecin qui s’exprime en public de citer ses liens d’intérêts ce que le Conseil de l’Ordre refuse d’appliquer pour les médecins des plateaux télé)) et administrative.

Sidération, silence, les médecins ont disparu, ne vont plus à domicile sous prétexte de couvre-feu et de confinement, les malades restent chez eux et ne consultent pas et voient leurs pathologies chroniques évoluer et d’autres maladies survenir sans diagnostic ni traitement. Les malades s’aggravent dans le silence de leur « cabane » et les médecins disparaissent de la planète France en ville, mais aussi à l’hôpital où, en gros, on ne s’intéresse, ou plutôt on n’a que le droit de s’intéresser à ce qu’on peut classer Covid-19. Le reste attendra… En gros, tous les médecins disparaissent des radars et ne restent que les quelques « réanimateurs » d’hôpital ou de télévision pour entretenir la panique et promouvoir les traitements inefficaces et très chers (remdésivir) ou de prétendus vaccins expérimentaux.

Les cliniques se vident, sommées de stopper toute activité étiquetée non urgente selon le plan Blanc imposé par le Premier ministre Édouard Philippe fin mars 2020, et ce sont les ARS qui décident de ce qui est urgent ou non, se permettent d’annuler des opérations d’ablation de cancer en disant froidement au patient d’aller en radiothérapie…

Plus d’indications pesées longuement en réunion multidisciplinaire, des indications à la volée, administratives. Et toujours le silence des structures hospitalières publiques et privées obéissantes, dans le déni complet de notre métier.

Silence assourdissant de tout ce qui ressemblait antérieurement à un docteur ! Ils (le pouvoir toujours assez impersonnel des ARS !) nous inventent le nec plus ultra, la consultation par télémédecine, un grand rêve de nos dirigeants numérique-dépendants, pensant que cela allait se développer à la faveur de ce grand coronacircus. Ce sera raté comme l’enseignement à distance, mais les docteurs n’en auront pas moins sombré dans le trou noir de la société du Nouvel Ordre mondial.

TROU NOIR

Où sont passés les docteurs ? Craint-on qu’ils ne soient pas aussi obéissants que le gouvernement le souhaiterait pour vacciner en masse avec des substances dites « vaccins », mais insuffisamment testées avant leur autorisation « conditionnelle » de mise sur le marché ? Ces thérapies géniques ou vaccins OGM n’ont jamais été testés complètement chez l’homme et à peine chez l’animal. Elles sont en essai clinique comme l’examen du site clinicaltrials.gov le démontre.

Les médecins, après au moins dix ans d’études et surtout de mises en garde, de normes, de réunions multidisciplinaires, de multiples réunions pour accréditation pour vérifier « les bonnes pratiques », ne seraient-ils finalement pas assez mûrs pour administrer n’importe quoi aux citoyens sous prétexte d’une pandémie dont ils savent (au moins eux) qu’elle est terminée et que les vagues successives ne sont que la conséquence de la création de variants par les pseudo-vaccins ? Pour ceux qui doutent, consultez le site du réseau Sentinelles qui affiche en temps réel les consultations auprès des médecins de ville des maladies respiratoires, dont le Covid-19.

Malgré les assurances du gouvernement qu’ils seraient couverts en cas d’accident vaccinal ou même de décès, les médecins et les infirmiers rechignent à injecter un « produit » expérimental, dont les ingrédients sont cachés et dont les fabricants eux-mêmes, comme le PDG de Pfizer, ne souhaitent pas le recevoir.

Déficits de médecins, voire d’infirmiers pour injecter une substance, alors qu’on rappelle les retraités de ces professions à la rescousse ? Pourquoi tant de difficultés si ce vaccin ou prétendu tel était valable et sans danger ? Alors ils ont appelé les vétérinaires, espérant que nous, les humains, serions plus résistants que les souris et les furets tous morts lors des expérimentations pour vaccin des coronavirus du SRAS et du Mers. À moins que ?

En tous cas, l’aide des vétérinaires puis des pharmaciens à ce geste discutable, mais tout de même facile de réalisation ne suffit toujours pas. Alors ils ont osé appeler les pompiers, les ambulanciers et qui d’autre encore demain ?

Poser et discuter l’indication d’une vaccination reste un acte médical

Dans une vie antérieure pas si lointaine, la vaccination était bien considérée comme un geste médical représentant d’ailleurs le tiers des revenus des pédiatres de ville. Et que signifie acte médical ?

La Haute Autorité de santé avait formulé en début de campagne de vaccination contre le covid-19 le déroulé de la consultation prévaccinale. Demandons-nous si le charmant et dévoué pompier qui croit aider le peuple ou l’ambulancier aimable peuvent réaliser cette discussion préalable et en combien de temps.

« Le dimanche 27 décembre a marqué le coup d’envoi de la campagne de vaccination contre la Covid-19 en France et en Europe.(([4] Covid-19 : quel est le rôle de la consultation prévaccinale ? | Santé Magazine (santemagazine.fr) )) Sur le territoire, les résidents d’un EHPAD de Dijon et ceux d’une unité de soins de longue durée de l’hôpital de Sevran ont été les premiers à en avoir bénéficié. Si la vaccination n’est pas obligatoire pour la population, une étape l’est en revanche pour les personnes qui décident de se faire vacciner : la consultation prévaccinale ».

Comme l’explique la Haute Autorité de santé, elle se fonde

« sur l’évaluation de la situation clinique du patient, l’information sur les bénéfices et les risques du vaccin et sur les préférences, les questionnements et les craintes qu’exprime le patient. ».

« Concrètement, comment se déroule-t-elle ? Elle est réalisée par le médecin traitant ou, à défaut, en priorité par le médecin coordonnateur ou un autre médecin en cas d’indisponibilité des deux premiers. Et ce au plus tard dans les cinq jours qui précèdent la vaccination. À noter que “cette consultation peut être réalisée sur place ou, si cela n’est pas possible, à distance, en téléconsultation avec ou sans vidéotransmission.”, explique le ministère de la Santé dans un guide dédié. Le premier objectif de cette étape est d’identifier l’absence de contre-indication temporaire ou définitive à la vaccination et de déterminer le bénéfice/risque de la vaccination pour les patients ou résidents. »

Il semble bien qu’on ait changé de vie, de monde, de planète entre fin décembre et maintenant. Évidemment l’examen clinique, qui n’était déjà pas au premier plan, a sauté, mais tout le reste dans la foulée… Cela prenait trop de temps… La sécurité, les procédures, l’obsession de l’hôpital public et privé et surtout des tatillonnes ARS qui faisaient fermer un bloc pour quelques cm manquants par rapport à la sacrée sainte norme, une autre vie, l’Ancien Monde nous dira-t-on…

Alors si les ARS disparaissaient dans la foulée et les cérémonials d’accréditation également, tout cela n’aurait pas été vain. Rêvons un peu. Aussi.

Lisez la suite des précautions initiales prévues pour la vaccination extraite de Santé magazine : le patient pourra poser toutes ses questions.

« Sont recherchés les antécédents d’allergie, épisodes infectieux en cours, une infection Covid-19 avec symptômes et datant de moins de 3 mois ainsi qu’une vaccination contre la grippe, car celle-ci doit avoir eu lieu au moins 3 semaines avant la vaccination contre la Covid-19.

 Dans un deuxième temps, le médecin doit “apporter les éléments d’informations nécessaires (bénéfice/risque, effets secondaires connus…) pour que la personne puisse exprimer son choix de se faire vacciner ou non.”, ajoute le ministère de la Santé. Ainsi, le médecin veille à délivrer une information appropriée et compréhensible tandis que le patient peut faire part de ses questionnements et craintes.

La consultation fait l’objet d’une traçabilité écrite puisque les éléments qui en sont issus seront consignés dans le dossier médical de la personne, mais aussi dans le système d’information de suivi de la vaccination contre le SARS-COV-2 appelé “Vaccin Covid”, qui sera opérationnel à compter du 4 janvier 2021. Tout comme le reste de la procédure dans son ensemble : consentement, vaccination, suivi. Ce n’est d’ailleurs qu’à la fin de cette visite que le patient pourra verbaliser son consentement, sachant qu’un résident peut, s’il le souhaite, être accompagné d’un tiers qui observe un rôle d’accompagnement (parent ou proche, bénévole, mandataire judiciaire, personne de confiance…). »

 Eh bien oui, presque tout était prévu, mais trop long, trop compliqué, pas assez de médecins ou bien ceux qui acceptèrent vaccinaient quinze patients à l’heure, se faisant une petite rente au passage sur le dos de la Sécu. Mais finalement — et c’est consolant, il n’y eut probablement pas assez de volontaires pour l’abattage vaccinal des moutons consentants et peu curieux. Trop de responsabilité, au moins morale, puisque la responsabilité pénale est couverte d’emblée par l’État aux frais de la princesse, c’est-à-dire nos impôts pour réparation.

Faute de médecins, on recrute chez les pharmaciens, les vétos, les aides-soignants, les ambulanciers, etc.

Alors on eut recours à toutes les professions proches, mais chacun son métier avec tout le respect que nous leur devons pour leurs compétences, mais me voyez-vous demain remplacer mon voisin pompier ou vous conduire à votre consultation avec ma voiture en guise d’ambulance ? Quant à soigner votre chat, jamais vous ne me le confieriez ou faire vêler la vache de la ferme voisine, encore moins. Chacun son boulot, comme c’est bizarre. Le Président va peut-être demander à son chauffeur de le remplacer le temps de se reposer quelques jours…

Bref, les médecins ont disparu du système sanitaire français et si on l’a fait pour ce sacré covid, on ne voit pas pourquoi votre véto ne vous prescrirait pas votre chimio en même temps que celle de votre chien, cela gagnerait du temps.

Et tout cela pour aligner chaque soir à la télé le nombre de vaccinés et surtout en comparaison avec les pays voisins. Course à l’échalote en attendant les JO, ou programme sanitaire ? On n’en peut plus de ce délire construit, d’apparence de folie. Heureusement, au bout de 14 mois, on a fini par comprendre la stratégie de dissonance cognitive et de mise en sidération perpétuelle de la population afin qu’elle accepte la politique coercitive que le Nouvel Ordre mondial espère imposer.

Et dans tout ce magma délirant, quid de la responsabilité morale des volontaires, mais peut-être pénale quand les patients, victimes éventuelles ou familles de victimes (déjà plus de 10 000 morts reconnus par l’agence européenne sans la GB) découvriront que lors de cette expérimentation avec autorisation de mise sur le marché conditionnelle, il n’existait même pas cette dernière pour les mélanges de vaccin au hasard des disponibilités.

Sans AMM conditionnelle, probablement pas de couverture médicolégale. Ils sont bien courageux ou inconscients, les volontaires de la vaccination pour une maladie qui tue moins de 0,05 % de la population , mais n’est pas sans risque comme le montre le site de l’Agence européenne du médicament consultable par tout le monde, Eudravigilance.

MAIS CELA NE SUFFIT PAS : ON ENTRE DANS LA MÉDECINE FORAINE OU LA « MÉDECINE DRIVE »

Les médecins vont faire concurrence à Mac Do !

Bienvenue au pays du non-secret médical à Francoville [VACCI’DRIVE]

« Une première dans le Val-d’Oise !

En partenariat avec l’ARS, la ville a expérimenté un Vacci’drive (vaccination directement dans votre voiture) ce vendredi 14 mai de 18 h 30 à 19h30 au CSL.

Accueil, consultation médicale, vaccination, surveillance… Tout y est.

Déjà présent dans certains pays d’Europe, ce dispositif a le mérite d’être, pour certains, moins anxiogène. Il arrive à Franconville et sera reconduit selon l’approvisionnement en vaccins.

Inscriptions prochainement.

Merci aux agents et aux professionnels de santé pour la mise en place de cette nouvelle possibilité de vaccination. »

 Peut-on porter plainte pour non-conformité avec l’article 74 du Code de la santé publique, concernant l’interdiction de la médecine foraine, qui ne peut s’exercer qu’exceptionnellement, et dans une unité mobile, mais pas sur le trottoir, comme le plus vieux métier du monde ? se demandent des collègues choqués.

Article 74 (article R.4127-74 du code de la santé publique)

L’exercice de la médecine foraine est interdit ; toutefois des dérogations peuvent être accordées par le Conseil départemental de l’Ordre dans l’intérêt de la santé publique.
Toutefois, quand les nécessités de la santé publique l’exigent, un médecin peut être autorisé à dispenser des consultations et des soins dans une unité mobile selon un programme établi à l’avance.
La demande d’autorisation est adressée au Conseil départemental dans le ressort duquel se situe l’activité envisagée. Celui-ci vérifie que le médecin a pris toutes dispositions pour répondre aux urgences, garantir la qualité, la sécurité et la continuité des soins aux patients qu’il prend en charge.
L’autorisation est personnelle et incessible. Il peut y être mis fin si les conditions fixées aux deux alinéas précédents ne sont plus réunies.
Le Conseil départemental au tableau duquel le médecin est inscrit est informé de la demande lorsque celle-ci concerne une localité située dans un autre département. »

Quelques questions complémentaires à ce sujet :

Combien de temps durent la consultation médicale, l’examen clinique, et l’information sur les risques de médicaments au covid drive ?… On rit (jaune).

Si quelqu’un peut connaître les rémunérations des agents et professionnels de santé dans ces drive ?  Qui accepte cette non-médecine ?

Et si vous êtes curieux, allez voir les commentaires sur la page de Franconville citée qui montre que certains ont encore du bon sens, par exemple le phil o sophe :

« Chacun doit rester libre de se faire vacciner, ou pas, le débat n’est plus trop là… Ce qui devient délirant c’est d’adopter un mode de commercialisation popularisé par Ray Kroc pour un acte médical. Est-ce la proximité du Mc Do qui vous a donné cette idée folle ? Le progrès nous mènera-t-il à nous faire vacciner via ubervacx ? À quand la consultation dentaire en plein air ? À quand l’analyse de sang à l’arrêt de bus ? ! On a un centre de santé, un vaccinodrome, des médecins, des officines, plusieurs hôpitaux et cliniques à proximité, des personnels de santé libéraux, une caserne de pompiers… mais on vaccine à même le trottoir… Je crois que je ne comprends plus trop où on va, mais a priori on y va ! Une des 10 plus grandes puissances économiques mondiales vaccine ses citoyens en pleine rue et on s’en gargarise ».

ou encore Agnès Bernard :

« Je suis bien au Franconville drive ?
Oui, bonjour, je voudrais vous commander un happy vac.
Je prendrai un double cheese frites, un coca et un vaccin en cadeau. 

Je me souviens d’un temps où les moins de vingt ans connaissaient pourtant que l’on finissait devant le tribunal quand on faisait affaire sur un coin de trottoir !
Ahhhh! je suis heureuse de constater que notre société va bien. »

Vous me direz que vu les cadeaux proposés aux USA, comme des billets gratuits pour des parcs, et à NY une part de frites, etc. nous n’avons pas encore tout vu… Bonne lecture :
Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nicole Delépine





Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

[Source : AIMSIB]

Par La rédaction de l’AIMSIB

On s’en doutait tous, cette folie vaccinale n’est pas due qu’à l’incompétence de nos dirigeants. A présent les preuves s’accumulent pour relever également des comportements parfaitement répréhensibles pénalement. Nous ne parlons plus des contrats européens d’achats de vaccins allègrement caviardés avant transmission à nos représentants communautaires, nous visons bien ces sommes d’argent qui passent d’une main à une autre dans le but de pousser à l’achat de certains produits pour en interdire d’autres, et à la fin des fins, depuis un an, allonger la liste des morts de manière indiscutablement criminelle. C’est Inoxydable, membre AIMSIB de la première heure, ancien enquêteur de Police, qui est parti étayer ce dossier lamentable parce qu’il n’est présenté nulle part ailleurs dans la presse grand public: Pourquoi au fait?  Bonne lecture.

« La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien »

attribué à Edmond Burke

Introduction

Selon cet article (1),  la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé samedi un nouveau contrat pour acheter jusqu’à 1,8 milliard de doses de vaccins anti-Covid à BioNTech-Pfizer™:

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Non contente de cette commande pharamineuse dont elle doit se frotter les mains elle ajoute que « d’autres contrats et d’autres technologies vaccinales vont suivre». Ce contrat inclut une commande ferme pour 900 millions de doses et une option pour 900 millions supplémentaires. Ces nouvelles livraisons, prévues dès cette année et jusqu’en 2023, permettront notamment de «s’adapter aux nouveaux variants du coronavirus», mais aussi de «vacciner les enfants et adolescents».

Corruption, belotte…

Pour qui s’intéresse à cette information, on peut se demander jusqu’à quel point la commissaire européenne à la Santé, Madame Stella Kyriakides a joué de son entregent pour finaliser ce merveilleux contrat à propos duquel, le silence sépulcral de nos femmes et hommes politiques résonne d‘un assourdissant silence.

Stella Kyriakides en grande discussion avec le Commissaire Européen André Breton et le Ministre Français de la Santé, Olivier Véran (afp)

Ces faits sont relatés par la presse étrangère (2):

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Cet article provient d’un site non conformiste. lesobservateurs.ch , politiquement correct s’abstenir (3), dont les rédacteurs luttent contre la pensée unique et le conformisme idéologique… donc classé franchement à droite. Mais faut-il encore une fois tuer le messager et occulter le message ?

C’est là qu’on apprend que 4 millions d’€ ont gonflé le compte familial de la commissaire par l’intermédiaire de la Cooperative Bank of Cyprus, qui appartient à l’État Chypriote, et il a été tenté de le déguiser en une sorte de prêt pour éviter le scandale .

Cette somme demeure de provenance difficilement explicable. Les médias chypriotes ont essayé de « rattraper l’affaire » en parlant de corruption passive et c’est pourquoi lesobservateurs.ch  en parle après qu’une agence de presse hongroise ait soulevé le lièvre.

 « Stella Kirikiades, après sa chute, essaie de s’excuser de toutes les manières possibles faisant croire que cet argent apparemment « sale » n’a rien à voir avec les contrats de vaccination de l’UE s’agissant d’un… prêt. »

Prêt de qui pour quoi, « elle serait de toute façon bien incapable de rembourser », saut peut-être en continuant de sévir ( pardon, servir) au sein de la commission Européenne et c’est le cas par exemple ici (4) :

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Psychologue de formation, en doit s’y connaître en matière de vaccins, mais surtout de… politique.

Qui est derrière l’agence VAN4

Ces articles sont-ils crédibles ?
L’agence VAN4 est-elle digne de foi ? Bien qu’il s’agisse d’une agence d’information proche du premier ministre Hongrois Viktor ORBANà mon sens elle ne peut être plus polluée politiquement que notre bonne agence AFP, surtout sur les problèmes des vaccins et des traitements simples de la Covid.
Cette agence Hongroise, appelée V4NA, a d’ailleurs été enregistrée à Londres par l’ambassadeur de Hongrie au Royaume-Uni, Kristof Szalay-Bobrovniczky, le 31 décembre 2018, selon les documents déposés par la société (6):

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9 avr. 2019 — V4NA’s name reflects a focus on the Visegrad Four countries – Poland, Slovakia, Hungary and the Czech Republic. It plans more coverage of ..

Pourquoi donc ne pas leur accorder autant de crédits qu’aux autres agences de presse empressées auprès de Google, Facebook et des kyrielles de supports de publications relayant les délires vaccinalistes « officiels » ?

Voici ce que dit l’article qu’on peut aussi traduire en français sur son site ;

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Article intitulé : « Le plus grand scandale de corruption de l‘UE se déroule alors que 4 millions d‘€ se retrouvent sur le compte de la commissaire à la santé Européen , la Chypriote Mme Stella Kyriakides qui a signé les contrats d’approvisionnement en vaccins défectueux et tardifs de l’UE » , selon le journaliste M. Omolnar .

Corruption, rebelotte…

Il précise aussi qu’auparavant, il y a des années, Madame Stella Kyriakides a été impliquée dans un programme qui a vu tous les traitements anti-cancéreux privatisés à Chypre sous le déguisement d’opérations bancaires, puis – comme d’habitude – ils ont augmenté les prix de ces traitements, et ce Miklos Omolnar ajoute :

« J’ai rappelé que lorsque la situation était devenue intolérable, l’affaire a été devant le parlement chypriote. Tous les députés ont voté la nationalisation des traitements contre le cancer, réduisant leurs coûts, à l’exception d’une députée, actuelle commissaire européen à la Santé et signataire de ces contrats de vaccination qui ont mis le feu de toutes parts ».

C’est ainsi que l’Union européenne par la toute puissance de Stella Kyriakides, et de la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, a conclu un contrat invraisemblable avec AstraZeneca™. V4NA a envoyé une demande écrite aux deux responsable Européens citées, pour demander des informations supplémentaires sur la question.

Je vous laisse lire l’article de ce mic mac de contrats vaccinaux aux relents pestilentiels de corruptions qu’on veut faire passer comme des erreurs, ou des maladresses. À la Commission Européenne, certains s’en sont émus : question écrite posée par un certain Euro-Député du nom de Sven Giegold (7) :

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001844_EN.html

Madame Kyriakides semble donc coutumière de faits de prise illégale d’intérêt, voire de faits de corruption passive, voire de conflits d’intérêts disons très tortueux, dans ses missions.

Qui est par ailleurs la présidente de la commission européenne ? Elle est médecin, mais selon Wikipédia « Le 27 septembre 2015, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki déclare avoir trouvé « des passages  plagiés dans 27 pages de la thèse de doctorat d’Ursula von der Leyen. » Pas très honnête tout ça. Qui se ressemble s’assemble. Passons.

Quel crédit accorder à l’agence V4NA?

Bien sûr, certains mettent en doute la compétence ce de cette agence Hongroise comme cet autre média du net (8) :

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– « V4 Agency, basée à Londres, est la machine de propagande d’Orbán déguisée en produit médiatique mondial »

Mais le site « atlatszo » est aligné sur l’Union européenne et si l’info relayée les dérangeait, c’est sans doute qu’elle était exacte. Dis-moi qui te finance et je te dirai pour qui tu travailles ou qui tu es…

En définitive lesobservateurs.ch ne fait pas partie du groupe Talmédia devenu TX Group (code SWX : TAMN), connu sous le nom de Tamedia jusqu’en 2020, qui est le plus grand groupe de médias privé de Suisse. „

En gros, Tamedia possède tout (9), et il est n‘est pas indépendant.

Conséquences de cet accord avec l’industrie pharmaceutique au niveau de l’UE, il oblige à l’unisson les états membres à commander pour des milliards d’€ de vaccins.

Ce scandaleux accord dont on aimerait bien connaître les distributions financières dans les différentes poches de leurs protagonistes, n’a semble t-il soulevé aucune campagne de protestations, ni dans les médias « mainstream » ni chez les responsables politiques de tous bords, pas même parmi les élus d’opposition qui auraient pu en faire un cheval de bataille comme la fameuse « tribune » des Officiers et Généraux en retraite ou non ayant recueilli plus de 100000 signatures !

Tout cela est-il dû à la malveillance des politiques, à la corruption, à la stupidité de la plupart des médias, à leurs compromissions, à la terreur inculquée depuis le début de l’épidémie à la population (pas seulement Française), même les jeunes ne réagissent plus ou si peu à la paralysie mentale des philosophes ou des leaders d’opinions, etc…

On comprend mieux quand on regarde qui fait l’opinion et à qui ça rapporte: Médias français, qui possède quoi ? (10)

Avec ça les lobbies de Big-Pharma ont de beaux jours devant eux et surtout, pour des vaccins aussi suspects qu’inutiles finalement, on se rend compte que ce qui intéresse les responsables de l’UE et de notre pays, c’est la manne financière que la vaccination obligatoire de fait rapportera probablement pour leurs intérêts personnels.

Corruption, dix de der provisoire

Pour finir sur le chapitre de la corruption, le dernier IHU Raoult (11) :

Effet des vaccins & Corruption Raoult 11 mai 2021

Vidéo dans laquelle le Pr Didier Raoult décortique l’épidémie, la vaccination et à partir de la 11e minute parle de la corruption en matière de sciences médicales, des liens et conflits d’intérêts. Il y va calmement mais férocement. Imparable. Décrié par certains, mal aimé par d’autres, adulé par ses nombreux sympathisants, on aime ou pas le personnage mais il dit tout.

Si certains ne comprennent pas, je désespère. Que penser d’ailleurs de cette dernière décision de justice (12) :

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Comment un médecin peut-il menacer de mort un confrère au prétexte qu’il défend en son âme et conscience l’utilisation d’une molécule en lieu et place d’une autre?

Probablement pour des raisons qu’il est difficile de détacher d’une corruption avérée, lisez ceci (13) :

France Soir, 24/06/2020

Et l’ANSM dans tout ça?

Elle a pour mission principale d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et produits de santé destinés à l’être humain.

La demande de RTU pour l’ivermectine,  présentée par un gros millier de médecins en traitements de la Covid, tant en prophylaxie qu’en traitement a été complètement rejetée par cet organisme administratif décisionnaire de l’État : est-ce de l’aveuglement, de la corruption intellectuelle ou de la corruption par liens d’intérêts?

Voici entre autres les obligations que la Loi impose à l’ANSM :

« alors que les débats, en premier lieu ceux concernant les acceptations et refus d’AMM de RTU et d’ATU, doivent être enregistrés et conservés, avec le détail et les explications des votes, y compris les opinions minoritaires ».

Au lieu du respect de la Loi, voilà ce que l’ANSM à répondu aux requérants (14) :

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Il faut aujourd’hui que le Dr Maudrux, porte-parole Français de ces médecins adresse un recours hiérarchique contre la décision de l’ANSM auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, déposé le 12 mai 2021. Est-ce qu’on peut attendre quelque chose du Ministre alors que visiblement, lors de sa première demande de RTU pour l’Ivermectine (14) il avait opposé un refus qui bien sûr laisse la porte ouverte à une autorisation future, sur la base d’études scientifiques fiables… aux calendes grecques ou après l’épidémie… cela a déjà eu lieu par le passé et maintenant trop d’enjeux financiers existent.

Conclusion

Je ne sais pas si l’article de lesobservateurs.ch participe à une manipulation de l’opinion, mais je suis certain d’une chose : La nouvelle commande de vaccins AstraZenecca™ ou Pfizer™ destinée à nos enfants qui n’en ont absolument pas besoin, à qui rapportera t-elle ? Servira t-elle à payer les publicités TV lamentables du genre « Ca vous a fait mal ? Eu contraire, je me sens bien mieux maintenant », qui se « gavera » ?

Cet article sur un problème dont nos médias ne veulent pas parler concerne principalement la corruption dans le marché des vaccins Covid, mais en définitive l’épidémie est en baisse pour ne pas dire en chute libre, à quoi sert-il de faire vacciner par le chantage du Pass Sanitaire autant de monde si ce n’est pour justifier les milliards d’euros dépensés et promis à Big Pharma conduisant au désastre sanitaire actuel, à l’endettement faramineux de notre pays pour des générations ?

Il n’y a même pas besoin de démontrer la corruption à tous les étages de la politique sanitaire, cette gabegie se suffit à elle-même.

Donc que devons-nous faire à part hurler haut et fort ?

Inoxydable
Mai 2021


Notes et sources

(1) https://www.lefigaro.fr/flash-eco/vaccins-l-ue-signe-un-contrat-avec-pfizer-biontech-pour-1-8-milliard-de-doses-20210508
(2) https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/
(3) https://lesobservateurs.ch
(4) https://ec.europa.eu/france/news/20210125/declaration_Stella_Kyriakides_livraison_vaccins_astrazeneca_fr
(5) https://v4na.com/en/eu-s-biggest-corruption-scandal-unfolds-as-4m-appear-in-commissioner-s-account
(6) https://www.reuters.com/article/us-hungary-media-news-agency-idUSKCN1RL15X
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Sven_Giegold
(8) https://english.atlatszo.hu/2020/05/25/london-based-v4-agency-is-orbans-propaganda-machine-disguised-as-global-media-product/
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tamedia
(10) https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA#&gid=1&pid=2
(11) https://youtu.be/0-7R3r5_-EA
(12) https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/didier-raoult-avait-porte-plaine-pour-menace-de-mort-300-eu-d-amende-pour-le-professeur-nantais-7124598
(13) https://www.francesoir.fr/societe-sante/top-13-des-revenus-annuels-recents-verses-par-lindustrie-pharmaceutique
(14) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/09/ivermectine-le-cote-obscur-des-decisions/
(15) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/04/10/rtu-pour-livermectine-pourquoi-le-refus-de-lansm/




Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID

[Source anglaise : The Last American Vagabond]

[Traduction : MIRASTNEWS]

Alors que les communautés autochtones du Mexique rejettent le vaccin COVID-19, l’effort international pour convaincre le public de prendre l’injection est pleinement effectif.

Début mars, CNN a rapporté que «des villes entières refusent les vaccins Covid-19 au Mexique», dressant le profil de deux des plus d’une douzaine de municipalités qui ont rejeté les vaccins contre la COVID-19 [en anglais, Coronavirus Desease 2019 ou en français, Maladie à Coronavirus de 2019 – MIRASTNEWS] pour une raison ou une autre. CNN a rendu compte des déclarations des habitants d’Aldama et de San Juan Cancuc, petites villes autochtones situées dans les hauts plateaux du centre de l’État mexicain du Chiapas.

«Pourquoi me faire vacciner? Je ne suis pas malade. Ce ne serait pas bien s’ils essayaient de nous forcer à nous faire vacciner. Je ne sais pas»,

a déclaré à CNN María Magdalena Lopez Santís, une résidente d’Aldama.

Les communautés autochtones du Mexique (et de nombreux Mexicains en général) ont une histoire de méfiance envers le gouvernement fédéral. Après des générations d’ignorance ou de colonisation, les communautés sont largement autonomes et fonctionnent selon leur propre état de droit. C’est cette histoire qui a poussé plusieurs communautés du Chiapas et d’autres régions du Mexique à rejeter complètement les injections COVID-19.

Bien sûr, CNN rapporte que « le manque d’informations et les théories du complot qui se sont répandues dans la région comme une traînée de poudre sont à blâmer pour l’hésitation à la vaccination. » Le secrétaire municipal d’Aldama, Tomás Lopez Pérez, a déclaré à CNN que parce que son peuple «ne sait pas vraiment de quoi sont faits les vaccins, nous pensons qu’ils contiennent le virus [SRAS-CoV-2 de la Covid-19] et c’est la principale raison pour laquelle les gens ne veulent pas se faire vacciner.» 

Le 1er février, José Lopez Lopez, maire de San Juan Cancuc, a publié une lettre aux autorités sanitaires de l’État expliquant pourquoi sa ville n’accepterait pas le vaccin COVID. Lopez Lopez a déclaré que les habitants de San Juan Cancuc rejetteraient en fait tous les vaccins de l’État mexicain.

Le Département de la santé de l’État du Chiapas a déclaré qu’il respecterait l’autonomie des populations autochtones.

Je me suis récemment rendu à San Juan Cancuc pour découvrir par moi-même pourquoi ces communautés autochtones rejettent les vaccins. Les indigènes de San Juan Cancuc parlent un dialecte spécifique de la langue indigène Tseltal connue sous le nom de San Juan Cancuc Tseltal. Avec l’aide d’un homme local interprétant de l’anglais à l’espagnol et de l’espagnol au Tseltal, j’ai pu communiquer avec les membres du conseil de San Juan Cancuc. Bien qu’ils ne s’expriment pas devant la caméra sans la présence de José Lopez Lopez, ils ont partagé une mine d’informations sur la façon dont leur communauté a réagi à la COVID-19.

Pour commencer, le conseil de San Juan Cancuc a déclaré n’avoir vu aucun cas de COVID-19 dans sa communauté. Ils ont également déclaré que la ville n’avait jamais imposé de masques ni de distanciation sociale. Le conseil a déclaré qu’il disposait de ses propres méthodes de guérison des malades qui ne correspondent pas aux politiques du gouvernement mexicain.

Le conseil a déclaré qu’avant la publication de la lettre de février, la communauté avait rejeté les camions apportant des vaccins et d’autres soutiens du gouvernement. La communauté a rejeté les camions à deux reprises avant de finalement publier la lettre faisant savoir publiquement qu’elle rejetait les injections COVID. Le conseil a déclaré que les médecins qui tentaient de venir en ville pour administrer des vaccins se sont fait dire par les autorités de l’État qu’ils ne pourraient pas garantir leur sécurité s’ils entraient à San Juan Cancuc. 

Le conseil a également noté que des lois avaient été adoptées pour garantir que la politique «pas un vaccin de plus» ne puisse pas être modifiée une fois qu’un nouveau maire est élu. Lorsqu’on leur a demandé quel message ils aimeraient partager avec le reste du monde, le conseil a déclaré que «tout le monde devrait faire ce qu’il sait être juste». Ils ont également dit qu’ils croyaient que leur communauté avait prospéré parce qu’ils étaient organisés et unifiés. 

J’ai également parlé avec deux habitants du village indigène de Betania, à environ 30 minutes au sud de San Cristobal de las Casas, au Chiapas. Les habitants ont déclaré que toute leur ville avait également rejeté les injections COVID-19. Ils ont également noté que le gouvernement de l’État offre 950 pesos (environ 50 USD) aux résidents qui reçoivent les vaccins, avec des paiements supplémentaires par enfant dans certains cas. La femme autochtone à qui nous avons parlé a déclaré que les autorités sanitaires locales appellent les résidents et tentent de les persuader de prendre le vaccin. Dans certains cas, on dit aux résidents qu’ils ne peuvent pas continuer à recevoir des soins de santé sans le vaccin. Pourtant, les habitants de Betania ont rejeté les injections.

Burgers, frites, beignets et pots-de-vin

L’idée que les gouvernements pourraient littéralement soudoyer les citoyens avec de l’argent peut sembler choquante ou immorale, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones des petits villages du Mexique. Cependant, cette pratique est de plus en plus courante aux États-Unis et en Europe.

Il y a quelques mois, Krispy Kreme a fait la une des journaux après avoir offert des beignets quotidiens gratuits aux clients avec une preuve de vaccin. Maintenant, les gouvernements des États interviennent avec des offres de hamburgers, de frites, de billets pour des événements et d’argent liquide. 

Dans l’Illinois, 50 000 résidents vaccinés se voient offrir des billets gratuits pour les parcs à thème Six Flags. Les billets sont évalués à un coût de 4 millions de dollars. Dans le Maine, les personnes vaccinées se voient offrir n’importe quoi, des cartes-cadeaux gratuites aux permis de chasse et de pêche. Les résidents vaccinés de l’Ohio sont désormais éligibles pour participer à une loterie avec un prix de 1 million de dollars pour cinq personnes vaccinées de l’Ohio.

L’Ohio donnera à cinq résidents 1 million de dollars chacun à la loterie des vaccins https://t.co/ClsDIHEEpL  

CBS News (@CBSNews) 13 mai 2021

Certaines villes métropolitaines des États-Unis offrent également des prix à ceux qui souhaitent soumettre leur corps et leur esprit au traitement médical expérimental. À Detroit, les résidents sont corrompus avec des cartes de débit prépayées de 50 $ s’ils conduisent une autre personne à un site de vaccination. Il n’y a actuellement aucune limite sur le montant d’argent qu’une personne peut gagner avec ce programme. Dans la région de Houston, le comté de Harris a récemment annoncé 250 000 $ à utiliser pour des cartes-cadeaux, des événements et d’autres incitations.

Les résidents de New York se voient offrir des cartes de métro gratuites de 7 jours, des billets pour des événements sportifs, le zoo du Bronx, le jardin botanique de Brooklyn et le Lincoln Center. Jeudi, le maire de Blasio a annoncé que ceux qui prennent la piqûre peuvent recevoir des bons pour des hamburgers et des frites gratuits de Shake Shack. «Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner», a déclaré le maire de Blasio dans une démonstration dégoûtante incitant les habitants de New York à obtenir un traitement expérimental et non approuvé en échange d’un, généralement, repas malsain.

« Mmmm! … vaccination. » Le maire de New York annonce que Shake Shack donnera de la nourriture gratuite aux New-Yorkais vaccinés.
«Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner.»
– Breaking911 (@ Breaking911) 13 mai 2021

Alors que les pots-de-vin d’argent et de nourriture sont offerts pour inciter les gens à se faire vacciner contre la COVID [Coronavirus Desease ou Maladie à Coronavirus – MIRASTNEWS], l’aspect le plus dérangeant est la tentative de convaincre le public que la seule façon de «revenir à la normale» est de se soumettre à une injection et / ou un passeport vaccinal. En fait, plus tôt cette semaine, le président Joe Biden a annoncé de nouvelles règles relatives au port du masque, déclarant«La règle est désormais simple: faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu’à ce que vous le fassiez.» Le message diffusé au public est clair: si vous n’obtenez pas de vaccin, vous continuerez à être soumis aux restrictions COVID-19. Si vous ne vous conformez pas, vous ne pouvez pas revenir à la «normale».

De plus, ceux qui choisissent d’attendre pour se faire vacciner (ou de ne pas tout obtenir) subissent des pressions, sont diabolisés et censurés en ligne pour avoir exprimé leurs préoccupations et leurs raisons d’hésiter. Alors que les habitants de Betania et de San Juan Cancuc sont unifiés dans leur opposition aux traitements, les résidents des États-Unis sont moins unifiés et moins organisés. Les communautés autochtones du Chiapas peuvent continuer à vivre leur vie comme elles sont habituées, mais les habitants de Houston, New York, Detroit et ailleurs sont confrontés à un environnement de plus en plus totalitaire. 

La seule façon d’avancer est que le peuple des États-Unis et au-delà s’organise et s’oppose directement et rejette les mandats de vaccination forcée et les appels à des passeports vaccinaux. Rien de moins qu’une opposition unifiée ne parviendra à arrêter la marche de la COVID-1984.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : The Last American Vagabond




Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

La mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’Etat donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. Toute la question (non résolue à ce stade) est de savoir quel emprunt Macron et la Commission Européenne font au Great Reset de Davos pour se rallier à cette mesure fondamentale du capitalisme de surveillance prôné par Schwab.

Le pass sanitaire illustre à merveille ces moments de la démocratie qu’on peut appeler des flashs totalitaires: sans modifier l’état général du droit, le pouvoir décide soudain de ne plus le respecter et d’imposer une mesure totalement illégale en utilisant toutes les armes dissuasives du pouvoir : la contrainte, l’intimidation, la corruption. Une petite mise en perspective des différentes étapes de ce dossier emblématique permettra de mieux le comprendre. 

Le pass sanitaire venu de nulle part

L’affaire a commencé le 29 avril dans un entretien à la presse régionale où Emmanuel Macron annonce les mesures de déconfinement qui entrent en vigueur le lundi suivant… et il ajoute, dans une impressionnante démonstration de novlangue : 

Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. Par contre, dans des lieux où se brassent les foules, comme les stades, festivals, foires ou expositions, il serait absurde de ne pas l’utiliser.

Traduction : on ne différencie pas les Français tout de suite, sauf dans les lieux de rassemblement. Ne pas le faire serait « absurde ». Quelle idée au juste serait absurde ? Celle de ne pas différencier les Français ? On le comprend en creux, mais dans la novlangue du « en même temps » tout et son contraire sont dits en permanence : en réalité, le Président de la République saute à pieds joints dans un monde où l’accès aux lieux publics est subordonné à l’affichage de ses données de santé. Les malades sont exclus, et seuls les bien portants sont supposés avoir une place dans le groupe. 

Et Emmanuel Macron termine son intervention par ces phrases emblématiques de la propagande totalitaire :

C’est juste et ça ne fracturera pas le pays. Ce sera un outil supplémentaire pour assurer la protection des Français. 

On retrouve ici tous les mots-clés qui ne cherchent pas à convaincre, mais qui imposent une vision du monde pré-fabriquée aux « citoyens » : le pass sanitaire est juste, il ne fracture pas le pays et il protège les Français. 

Un flash totalitaire au Parlement

Aussitôt dit, aussitôt fait, ou presque. L’interview est publiée le 29 avril, c’est-à-dire un jeudi et, dès le lundi suivant, le gouvernement intègre la proposition d’un pass sanitaire dans le projet de loi mis en discussion à l’Assemblée Nationale sur la « sortie de crise ». Les esprits lucides noteront que, là encore, lorsque le gouvernement évoque la « sortie de crise », il faut comprendre le sens de la novlangue qui désigne en réalité le maintien des mesures liberticides au-delà de la crise. 

Voici la description de l’enchaînement des événements donnée par le député républicain Philippe Gosselin :

Le pass sanitaire, par exemple, nous a été présenté du jour au lendemain, deus ex machina , le 3 mai, quarante-huit heures avant l’examen du projet de loi en commission des lois et, bien sûr, sans que le Conseil d’État ou qu’aucune organisation ou autorité indépendante ne se soit prononcé.

Voilà donc une mesure légale qui restreint les libertés, parachutée dans la loi sans avis préalable du Conseil d’Etat, et finalement adoptée le 12 mai au soir. Soit un délai record pour une disposition fondamentale dans la pratique de nos libertés. C’est précisément ce qu’on appelle un flash totalitaire, un passage en force en dehors de nos libertés. 

La justification sanitaire ne tient pas

Officiellement, il s’agit de protéger notre santé. C’est le propre de la novlangue totalitaire, on ne viole pas les libertés pour abuser du pouvoir, mais pour protéger ceux qu’on enferme ou qu’on exclut. Rhétorique bien connue. 

Sauf que, consulté en urgence, le Conseil Scientifique ne va guère apporter de l’eau au moulin du gouvernement. Voici ce qu’il écrit, dans un avis rendu le 3 mai sur la question du pass sanitaire :

Le Conseil scientifique estime que le pass sanitaire, utilisé de manière temporaire et
exceptionnelle, peut permettre à la population une forme de retour à la vie normale en
minimisant les risques de contamination par le virus SARS-CoV-2. Son usage peut s’inscrire
dans une démarche citoyenne de renforcement des capacités et du pouvoir d’agir des
individus (empowerment) face à l’épidémie tout en prenant en compte la protection de
l’usage des données personnelles.

On s’amusera de l’obsession de la novlangue à tous les étages du pouvoir. Ainsi, instaurer un pass sanitaire serait un « renforcement du pouvoir d’agir des individus »… Il fallait l’oser celle-là. 

Mais, même en versant dans la novlangue, le conseil scientifique montre ses réserves sur les mesures, puisqu’il prétend que le pass « peut permettre » une forme de retour à la vie normale, à condition qu’il soit « temporaire et exceptionnel ». On ne pouvait pas faire plus prudent, et mieux marquer sa défiance vis-à-vis d’une mesure imposée par un Président à qui l’on ne peut manifestement plus dire non explicitement. 

Problème : le pass sanitaire prévu par la loi, et présenté par Olivier Véran à la commission des lois, n’est ni temporaire, ni exceptionnel : il devrait être gravé dans le marbre, même une fois la pandémie vaincue. Nouveau signal totalitaire, donc : on consulte un « corps intermédiaire » en urgence, et on outrepasse son avis. 

Le passage en force au Parlement

Nous avons largement relaté dans nos colonnes les péripéties d’un texte désormais très polémique où Olivier Véran a ouvertement méprisé le Parlement, jusqu’à mettre le texte en minorité. Finalement adopté après un marchandage serré avec le MODEM, dont toutes les contreparties ne sont pas connues, là encore, le flash totalitaire a donné sa mesure. 

Le groupe LREM ne dispose en effet plus d’une majorité absolue, et le gouvernement a dû céder à un marchandage pour faire passer un texte minoritaire. Là encore, on voit comment les mécanismes démocratiques sont tordus dans tous les sens pour faire adopter cette mesure liberticide. 

Un avis de la CNIL qui nourrit la défiance

Nouvelle étape mercredi, lendemain de l’adoption du texte en première lecture par l’Assemblée Nationale : la CNIL se prononce en urgence. Et elle manifeste les mêmes réticences que le Conseil Scientifique vis-à-vis d’une aventure imposée au forceps. 

Là encore, le flash totalitaire fait son oeuvre. Cet avis essentiel, qui souligne les difficultés du pass sanitaire au regard de la démocratie et des libertés, est rendu le lendemain de l’adoption du texte par l’Assemblée… Et l’avis comporte des phrases comme celles-ci :

La CNIL met en avant, dans son avis, l’importance d’assurer l’inclusion de l’ensemble de la population dans le dispositif afin d’éviter tout risque de discrimination, en raison de l’état de santé mais également en raison de la capacité d’accès et d’usage des outils numériques telle que l’application TousAntiCovid.

Il y aurait donc un risque de discrimination ? Mais on se souvient que, le 29 avril, le Président avait affirmé le contraire sans mollir. Il aurait donc menti ?

Macron met en place le Great Reset en France

Pour quelle raison Emmanuel Macron se risque-t-il à un tel flash totalitaire à un an de sa possible réélection, sur un dossier aussi sensible ? Pour l’instant, peu de Français ont compris l’impact que cette mesure aura sur leur vie quotidienne cet été, ce qui explique le calme relatif de leur agacement. Mais l’obligation de montrer des données de santé à un vigile venu d’on ne sait où cet été dans les grands rassemblements risque de susciter pas mal de controverses. 

Pourquoi prendre autant de risques, à l’unisson de ce que fait (ou essaie de faire) la Commission Européenne sur ce sujet ?

Quand c’est flou, on le sait, c’est qu’il y a un loup… Et le loup, nous savons tous quel il est. Il est exposé dans le Great Reset de Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos. Les technostructures européennes sont bien décidées à utiliser la pandémie pour imposer des mesures durables de surveillance généralisée des populations, en violation de la démocratie, au nom de la protection sanitaire. C’est ce qu’on appelle le capitalisme de surveillance, qui passe par un traçage des populations au moyen des technologies nouvelles. 

Face à ce projet public, conscient et organisé, les mécanismes libéraux de protection comme la CNIL semblent bien faibles.  




Un collectif international de médecins met en cause la vaccination anti-COVID

[Source : Le courrier des stratèges]

Un collectif international de médecins se constitue progressivement pour contester devant l’OMS les choix majoritairement effectués en matière de lutte contre le COVID. En particulier, ce collectif regrette l’absence de preuves en matière de « tout vaccin » et pointe du doigt, de manière explosive, l’augmentation de la mortalité due à la vaccination. Nous publions aujourd’hui la première version de leur saisine en cours de préparation. Elle a le mérite de synthétiser les points de débat essentiels aujourd’hui sur la gestion du COVID. Nous insistons sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un document définitif.

Qu’un collectif international de médecins, de scientifiques, d’avocats, se regroupe pour saisir l’Organisation Mondiale de la Santé à propos de la gestion du COVID est un fait majeur qui devrait susciter des débats dans les semaines à venir. Ce collectif encore anonyme a longuement planché sur un document d’une trentaine de pages étayant ses critiques contre l’absence de fondement scientifique propre à de nombreuses mesures prises pour lutter contre le COVID à travers le monde. 

Un collectif international de médecins dénonce les violations de la constitution de l’OMS

Mise en place en 1946, la constitution de l’OMS énumère un certain nombre d’objectifs et de missions poursuivis par l’organisation. Le collectif énumère les manquements à ces fonctions ou objectifs dans la gestion internationale du COVID. 

En particulier, le collectif considère que la plupart des gouvernements ont agi sans preuve scientifique et sans la rigueur scientifique nécessaire pour justifier les mesures de restrictions aux libertés qu’ils ont imposées. 

La question de la vaccination au centre du débat

Le document accorde une large part à la question de la vaccination et apporte des graphiques troublants sur l’impact réel de la vaccination dans la population. On retrouvera par exemple celui-ci, qui retrace la mortalité du fait du virus :

Dans l’hypothèse où ils se confirmeraient ou se vérifieraient, ils indiqueraient une très forte progression de la mortalité dans les semaines qui suivent le début des campagnes de vaccination, avant que ces chiffres ne retombent. 

Ce graphique mérite une ample discussion, soulignons-le, car il indique une coïncidence de temps, mais n’indique pas le lien direct entre vaccination et hausse de la mortalité. De nombreuses explications sont donc encore à trouver sur cet étrange phénomène. En l’état, nous ne savons pas qui sont les personnes décédées après surcroît après le début des campagnes de vaccination : sont-elles décédées du fait de l’injection ou pas ?

Le collectif demande un débat

L’intérêt de ce document ne tient pas aux réponses qu’il donne, mais au droit qu’il revendique de poser des questions, ce qui reste le propre d’une démarche scientifique. Si cette démarche arrivait à son terme, elle présenterait l’immense intérêt de regrouper les questions que posent aujourd’hui des esprits critiques attachés à la démarche scientifique, et qu’une propagande massive qualifie de « complotistes ». 




Vaccin anti-covid-19, un cadeau empoisonné pour les pays pauvres ?

[Source : francesoir.fr]

Par Dr Gérard Delépine

POINT DE VUE – Alors que la propagande vaccinale mobilise tous les médias avec des appels à offrir les vaccins aux pays pauvres, à donner 25 € au cobaye consentant ou selon les pays et leur niveau de vie un bon d’achat de 5 € ou une bière, l’analyse des premiers résultats montre qu’il s’agit d’un cadeau empoisonné.

À quoi correspond cette soi-disant bonté des pays riches ? Faire semblant de vouloir aider les pays pauvres en suspendant les brevets des vaccins expérimentaux ? Pourtant, leurs effets dramatiques remplissent les pages Facebook, puisqu’ils ne sont pas retransmis pas les médias aux ordres… Cadeau empoisonné sûrement, pour faire mine d’avoir une clientèle potentielle. Pourtant, les pays dits pauvres ont été riches des résultats de leurs traitements anti-covid-19 précoces, méprisés par les pays européens par exemple.

En conséquence, pour la majorité d’entre eux, ces pays pauvres n’ont pas eu de mortalité covid-19, et il est extrêmement intrigant de les voir sombrer dans le drame de la vaccination à outrance. Il serait évidemment important de savoir sous quelles pressions des pays aussi efficaces – pendant l’année 2020 – que la Thaïlande, avec très peu de décès, prennent le risque de ces drames post vaccinaux. On saura peut-être un jour pourquoi…

En tout cas, citons l’exemple de Haïti pour lequel l’OMS voulait jouer les pères Noël plutôt que le Diable.

L’OMS offre le vaccin AstraZeneca à Haïti, qui n’en veut pas

« Bien sûr que non, qui voudrait d’un vaccin dont personne ne veut en Occident ? Les Haïtiens ne sont pas des cobayes, ils savent parfaitement ce qui est bien pour eux ou ne l’est pas. De plus, pourquoi s’aventurer dans une campagne de vaccination expérimentale massive pour à peine 251 morts du covid19 pour une population de 11 millions d’habitants ? »
Selon le quotidien haïtien le Nouvelliste, les autorités sanitaires refusent les doses gratuites du vaccin AstraZeneca contre la covid-19.
Une source anonyme au sein du gouvernement estime qu’à cause de la controverse autour de ce vaccin, la population ne l’acceptera pas.
L’Organisation Mondiale de Santé (OMS) s’apprête à expédier gratuitement 756.000 doses du vaccin AstraZeneca en Haïti.
Selon un article publié dans le quotidien, le Nouvelliste, le 6 avril 2021, les autorités sanitaires d’Haïti ne veulent pas accepter ces doses.
Elles estiment que la population va refuser ce vaccin à cause de la polémique autour du produit, soupçonné de provoquer des caillots de sang.

« Comme c’est un cadeau, ils veulent nous l’imposer. » source anonyme au sein des autorités sanitaires haïtiennes.

Le gouvernement haïtien aurait demandé à l’OMS d’expédier le vaccin unidose fabriqué par Johnson and Johnson qui n’a pas besoin d’être conservé à des températures basses. Informations obtenues par la presse espagnole. C’est l’Agencia EFE, la 4e agence de presse mondiale, qui a publié cette information en exclusivité. Le reportage a été repris par la presse internationale, notamment en République Dominicaine.

QUI RÉCLAME DES VACCINS POUR LES PAYS PAUVRES ? 
LES DIRIGEANTS DES PAYS RICHES ! BIZARRE, NON ?

Rappel des faits avérés à la date du 7 mai 2021 : des signaux d’alerte européens négligés

En Grande-Bretagne

La campagne nationale de vaccination a commencé début décembre 2020. Au 3 mai 2021, un total de 50 297 911 doses de vaccin avait été administré, assurant une couverture vaccinale de la population supérieure à 50%. Les autorités se félicitent du faible taux actuel de nouveaux cas qu’ils attribuent à la vaccination, mais oublient de rappeler les très fortes augmentations de contaminations et de décès observés juste après cette vaccination, avec 32 023 morts en janvier et 17 000 morts en février 2021, les 2 mois records de la mortalité attribuée au covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Le recul actuel de l’épidémie en GB pourrait ainsi être en partie la conséquence du « moissonnage » du début d’année qui a fait disparaitre les personnes les plus fragiles et diminué d’autant le nombre des anglais âgés à risque.

Le recul concomitant et général de l’épidémie observé aussi et « en même temps » dans les pays européens peu vaccinés comme les Pays-Bas ou la Suède est évidemment un élément majeur à prendre en compte dans l’évaluation de l’effet « vaccin ».

Le premier ministre B. Johnson ne s’y trompe probablement pas puisqu’il a lancé un grand plan de recherche sur les traitements précoces du covid-19 et promet aux sujets de la Reine des médicaments simples à prendre à domicile à partir de septembre en cas de covid-19 débutant. Adieu le sacro-saint doliprane.

À Monaco

Au 31 décembre 2020, Monaco recensait 3 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début janvier 2021. Depuis le nombre de morts covid-19 a été multiplié par 10.

À Gibraltar

Au 8 décembre 2020, après dix mois d’épidémie, Gibraltar recensait 1034 cas confirmés et 5 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début décembre comme en Grande-Bretagne.

Depuis lors, le nombre de contaminés a été multiplié par quatre et celui des morts covid-19 par 19.

Mais ces signes d’alerte, comme la nature expérimentale des vaccins anti-covid-19 actuels, ont été cachés par les médias qui ont amplifié leur propagande vaccinale mensongère. 

Dramatique évolution post vaccinale en Mongolie pays jusque-là sans covid-19

Le covid-19 aurait été introduit en Mongolie par un Français travaillant dans le commerce d’uranium. Avant la vaccination, la Mongolie faisant partie des pays presque épargnés par la mortalité covid-19. Au 23 février 2021, elle comptait 2 morts du covid et un total de 2 723 cas positifs depuis le début de l’épidémie. Qu’avait-elle besoin de se lancer dans ce scénario mondial tragique, sans besoin sanitaire évident et sachant qu’il existe des traitements précoces très efficaces et bon marché.

Appliquant les recommandations de l’OMS et avec l’aide du GAVI et de la Chine et quelles pressions (?), elle a vacciné largement sa population à partir du 23 février. Depuis, le nombre de contaminés a été multiplié par 18 et celui des morts par 65 (130 le 6/5/2021).

Malheureux Cambodge

Le covid-19 aurait été introduit dans le pays par un chinois âgé de 60 ans de Wuhan traité, guéri et reparti en Chine avec sa famille. Jusqu’en février 2021, la situation était très satisfaisante avec un taux très faible de contaminés et l’absence de mortalité attribuée au covid-19.  Mais après une rupture de quarantaine d’un nouveau groupe de chinois en visite, la peur (?) a gagné le gouvernement. Officiellement pour protéger la saison touristique qui assure une grande part des ressources du pays, la vaccination a débuté le 24 février 2021 avec un don de vaccins chinois et au premier mai 2021, un total de 2 284 788 doses de vaccin avait été administré.

Mais depuis la vaccination, le nombre de contaminés a explosé passant de 633 le 24/2/2021 à 16 971 le 5 mai et le pays déplore maintenant 110 morts malgré un confinement sévère qui a entraîné des émeutes de la faim durement réprimées.

Et les touristes ne se pressent plus guère pour visiter le pays.

Il faut espérer que les autorités s’inspireront de l’Inde et proposerons rapidement les traitements précoces pour stopper les transmissions et les malades.

La Thaïlande victime de son pari vaccinal : le modèle s’effondre

Avant la vaccination, la Thaïlande, grâce aux contrôles des frontières et aux traitements précoces, faisait partie des nombreux pays affichant un bilan covid-19 satisfaisant avec seulement 25 000 contaminés et 83 morts en un an. Malheureusement, les prudentes réserves du premier ministre concernant le caractère expérimental des vaccins ont été abandonnées en espérant qu’une vaccination généralisée de la population puisse faire revenir les touristes étrangers.

La campagne de vaccination a débuté fin février 2021. Le modèle asiatique s’est effondré et la conformité à la mode mondiale reste peu compréhensible, car ils avaient su résister à la mode du confinement généralisé. Depuis la vaccination, les contaminations et la mortalité ont augmenté fortement. Au 5/5/21 la Thaïlande comptait 74 900 cas (+200%) et 318 morts (+300%). Et d’après le journal Gavroche de Thaïlande, citant le ministre Phiphat Ratchakitprakarn, les espoirs touristiques de 2021 basés sur l’accueil des touristes vaccinés sont en train de s’évanouir.

Pauvres Seychelles, victimes de la propagande vaccinale

Ce petit état africain, qui compte à peu près 100 000 habitants, est pauvre et le tourisme constitue sa principale ressource. Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas confirmés, sans aucun mort, mais avait dû fermer les liaisons aériennes avec les pays infectés. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses, qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai 2021, il est devenu le pays le plus vacciné au monde avec une couverture vaccinale de 70%.

Mais depuis, les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus atteignant près de 500 cas journaliers, plusieurs jours de suite en début mai, obligeant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.

Avant la vaccination, le pays comptait 500 cas et un mort. Après 4 mois de vaccination, le nombre de contaminations a été multiplié par 12, la mortalité par 28, le pays est confiné et sa saison touristique est fortement compromise.

Le vaccin covid-19 confronté à la réalité

Dans tous les pays pauvres, jusque-là relativement épargnés par le covid-19, les campagnes de vaccination ont été suivies par un accroissement considérable des contaminations et de la mortalité, et leur espoir de rassurer les touristes a été déçu.

Ces constatations rappellent l’importance de disposer de résultats définitifs et d’essais qualitatifs avant de recommander un traitement. Même s’il se fait passer à tort pour un vaccin… La catastrophe sanitaire constatée dans ces pays risque de se transformer sous peu en scandale politique, si nos autorités continuent à nier la réalité et à jouer les bons samaritains en offrant des doses de vaccins aux pays pauvres.




Parents, protégez vos enfants : refusez tests et vaccins !

Par Nicole Delépine

Qu’en diront nos enfants ? – YouTube

Dis papa, dis pourquoi, tu n’as pas réagi,
Quand ils nous ont masqués nous aussi ?
Et pourquoi, dis papa, tu n’t’es pas opposé
Quand ils nous empêchaient de respirer ?
Dis papa, mais de quoi, aviez-vous donc si peur
Pour les laisser commettre ces horreurs ?
Qui a pris votre esprit, a glacé votre cœur
A fait d’vous des robots sans valeurs ?

Ma chérie, la télé les médias répétaient qu’on était en danger
Les gens n’arrivaient plus à penser, à s’aimer, s’demander simplement
Qu’en diront nos enfants ?
Dis papa, dis pourquoi, tu n t’es pas rebellé,

Quand ils punirent ceux qui résistaient ?
Et comment, dis papa, as-tu pu les laisser
M’injecter l’ARN messager ?
Mais par quoi, dis papa, étiez-vous aveuglés
Pour ne pas voir la vérité ?
L’imposture nous paraît tellement grosse aujourd’hui
Qu’on n’comprend pas ce qui vous a pris

J ai si honte, mon bébé, de les avoir laissés contrôler mes pensées
Aveuglé par la peur, la confiance en ces gens, j’oubliais simplement
Qu’en diront nos enfants ?

Dis papa, dis comment, avez-vous finalement
Mis fin à cet acharnement ?
Et comment avez-vous fait pour tout reconstruire
Pour que renaissent l’amour les sourires ?
Dis papa, dis comment, as-tu pu surmonter
Les blessures, la colère, les regrets?
Retrouver la joie d’vivre, la foi et l’insouciance?
Malgré ce poids sur ta conscience ?

Ma chérie il fallut pardonner nos erreurs pour tout recommencer
Pour ouvrir notre cœur et sourire à la vie, dans un nouvel élan
Réinventer le temps
Qu’en dis-tu mon enfant ?

Si vous arrivez à écouter cette chanson sans quelques larmes, alors fermez tout, partez sur une île déserte ou une baraque en haut d’une montagne, quelques jours sans médias, sans journaux, sans voisins, sans collègues et sans commerçants.

Personne, personne autour de vous, isolez-vous dans une cabane sans confort, quelques jours pour vous retrouver et réaliser ce que nous avons fait ensemble aux enfants, aux bébés incapables de reconnaître les visages de leurs nurses, aux étudiants dont certains entraient pour la première fois dans une chambre de quelques m² loin du cocon familial, aux soignants auxquels on a laissé croire qu’interdire les médicaments était logique, les conduisant à l’impasse psychologique et au désespoir, aux adultes auxquels on a fait croire qu’il fallait refuser les visites à leurs vieux parents enfermés non coupables sans amour, aux enfants – le pire – qu’ils faisaient courir un risque à leurs familles s’ils jouaient avec un camarade dans la cour d’école.

Et pourquoi, pour qui, pour obéir à quelques angoissés délirants inconscients ou indifférents au mal qu’ils allaient engendrer sur plusieurs générations ?

Nous avons laissé faire, plus ou moins, mais laissé faire de fait, puisque nous en sommes encore là quatorze mois plus tard et que des patients contaminés (par les vaccinés ou pas) se retrouvent avec une prescription de Doliprane parce que le docteur a peur. Peur de quoi ? De devoir se suicider bientôt quand il réalisera qu’il a laissé mourir des malades pour rien, pour avoir eu peur d’un « ordre » qui aurait dû se taire rapidement si une majorité de collègues avait parlé haut et fort !

Certes, certains d’entre nous ont essayé de parler, d’informer mais nous n’avons pas trouvé les mots pour toucher les proches, les voisins, les amis, les lecteurs, les auditeurs des nombreuses petites chaînes web qui pourtant donnaient la parole à ceux qui sentaient le drame s’étendre.

Nous en sommes venus, pour certains, trop nombreux, à décider de ne plus parler de « ça » avec des frères, des parents, des beaux-parents pour ne pas se « fâcher ». Vous aurez, nous aurons la guerre et le déshonneur.

Nous avons plus ou moins essayé de combattre la bête immonde qui montait inexorablement, relu les auteurs qui l’avaient si bien décrite, de Hannah Arendt à Orwell et Huxley, mais raté notre alerte trop basse, trop peu audible, trop douce, trop bienveillante dans un monde de brutes.

Et maintenant les enfants de six ans sont handicapés par le masque pour apprendre à lire, à parler, alors que nous savions tous d’emblée que les enfants n’attrapaient pas le covid et ne le transmettaient pas. Ils étouffent et nous regardons ailleurs après avoir signé une pétition de bonne conscience.

Les articles sur Nexus, France soir et quelques autres médias résistants mais tellement minoritaires le répétaient, mais sans les mots adaptés probablement pour combattre l’hydre de la désinformation permanente qui continue à démolir tous les papiers qui expliquent, rassurent, combattent, encore aujourd’hui alors que la sidération est passée, que beaucoup savent.

Nos parents, à nous babyboomers, nous ont donné une enfance paisible, évitant les récits trop durs de la guerre mondiale qu’ils venaient de vivre. Nous aurions dû comprendre que 70 ans de paix ne pouvaient durer sans terreur, sans drame, que ce qui s’était vécu à quelques centaines de km de nous en Serbie, au Kosovo ou ailleurs nous concernait et que nous ne sommes protégés d’aucune horreur, d’aucun totalitarisme. Se mettre la tête dans le sable n’a jamais sauvé une autruche.

Vous savez tout cela finalement, même si votre cerveau vous refuse encore de l’accepter.

Alors aujourd’hui je ne répéterai qu’une chose, ne laissez pas vos enfants se faire tester inutilement deux fois par semaine. L’énorme angoisse que vont leur entraîner ces prélèvements récurrents impossibles à leur expliquer sans les affoler, et le drame d’un « positif » éventuel qui fermera la classe « par sa faute », alors que nous savons que ces tests sont faux,(([1] Chez les asymptomatiques, un test PCR positif avec le nombre de séances d’amplification trop élevé fait en France ne signifie dans 97 % des cas ni que vous êtes porteur de virus, ni que vous serez malade, ni que vous êtes ou serez contagieux.)) non fiables, même de l’avis de l’OMS en janvier 2021.

Et pire encore, ne les laissez pas vacciner par ces molécules expérimentales aux 230 composants et plus, jamais testées sérieusement, dont les risques immédiats filtrent dans les journaux et dont les risques à moyen et long terme sur leur fertilité, leur immunité, etc. sont INCONNUS.

Alors que vos enfants ne risquent rien du Covid-19 et qu’ils ne peuvent donc pas tirer le moindre bénéfice des prétendus vaccins

Écoutez cette chanson, pleurez un bon coup, autant que nécessaire et enfin réveillez-vous et réagissez.

Il n’y aura pas de tests à l’école si les parents en majorité refusent ces examens.

Il n’y aura pas de vaccination des enfants si VOUS refusez l’inconnu pour vos petits.

Il n’y aura pas de passeport sanitaire si les Français se rappellent enfin qu’ils sont des hommes responsables qui doivent décider de leur destin et ne sont pas les robots que les dirigeants et leurs amis milliardaires souhaiteraient qu’ils deviennent.

Les pays européens qui ont refusé les restrictions de liberté prétendument sanitaires inefficaces comme la Finlande, la Biélorussie, les Pays-Bas ou la Suède ont de bien meilleurs résultats Covid-19 que nous.

Des pays entiers sont libérés, le Texas et les quatre cinquièmes des USA et bien d’autres. Soyons ou plutôt redevenons les dignes enfants de nos illustres ancêtres, faisons respecter les libertés qu’ils ont chèrement léguées.

Qu’en diront nos enfants ? – YouTube

Dis papa, dis pourquoi, tu n’as pas réagi,
Quand ils nous ont masqués nous aussi ?
Et pourquoi, dis papa, tu n’t’es pas opposé
Quand ils nous empêchaient de respirer ?
Dis papa, mais de quoi, aviez-vous donc si peur
Pour les laisser commettre ces horreurs ?
Qui a pris votre esprit, a glacé votre cœur
A fait d’vous des robots sans valeurs ?

Ma chérie, la télé les médias répétaient qu’on était en danger
Les gens n’arrivaient plus à penser, à s’aimer, s’demander simplement
Qu’en diront nos enfants ?
Dis papa, dis pourquoi, tu n t’es pas rebellé,

Quand ils punirent ceux qui résistaient ?
Et comment, dis papa, as-tu pu les laisser
M’injecter l’ARN messager ?
Mais par quoi, dis papa, étiez-vous aveuglés
Pour ne pas voir la vérité ?
L’imposture nous paraît tellement grosse aujourd’hui
Qu’on n’comprend pas ce qui vous a pris

J ai si honte, mon bébé, de les avoir laissés contrôler mes pensées
Aveuglé par la peur, la confiance en ces gens, j’oubliais simplement
Qu’en diront nos enfants ?

Dis papa, dis comment, avez-vous finalement
Mis fin à cet acharnement ?
Et comment avez-vous fait pour tout reconstruire
Pour que renaissent l’amour les sourires ?
Dis papa, dis comment, as-tu pu surmonter
Les blessures, la colère, les regrets?
Retrouver la joie d’vivre, la foi et l’insouciance?
Malgré ce poids sur ta conscience ?

Ma chérie il fallut pardonner nos erreurs pour tout recommencer
Pour ouvrir notre cœur et sourire à la vie, dans un nouvel élan
Réinventer le temps
Qu’en dis-tu mon enfant ?

Nicole Delépine


[Note de Joseph : Il n’y a pour l’instant malheureusement pas beaucoup de monde à vraiment réaliser ce qu’il se passe, à regarder les choses en face et à vouloir trouver et utiliser La clef de la libération, car notamment cette dernière demande des efforts et plus les gens ont vécu dans le confort matériel et l’éloignement de toute religion et de toute spiritualité authentique, plus ils demandent avant tout de rester dans leur confort physique, émotionnel, mental et faussement moral. Il semble bien que nous soyons très proches de l’époque de la « moisson » (voir L’épée, le bon grain et l’ivraie).]




Au pays de Dracula, les vaccinés reçoivent un diplôme de courage !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Lors de la peste noire – la vraie, qui décima des millions d’Européens, et pas celle inventée par notre ministre de la « Santé » (selon son titre officiel), les paysans et villageois fuyaient le plus loin possible des lieux infestés où s’accumulaient les morts.

Imagine-t-on, si un traitement efficace avait été connu, la nécessité de trouver toutes sortes de sollicitations holistiques pour conduire les gens à accepter le traitement miracle ?

Mais en ce XXIe siècle on aura tout vu !  De la prime de 25 € au bon d’achat de 5 euros à la pinte de bière, ou 20 points proposés par Bernard Pivot à l’oral du bac (une blague ?), les avantages proposés aux cobayes sont variés pour les conduire à accepter cette redoutable piqûre dont ils sentent bien, pour le moins, que le bénéfice n’est pas évident.

Des cobayes non rémunérés mais flattés

Il est vrai que les vaccins covid sont en phase expérimentale et que les citoyens commencent au moins à le savoir un peu. Notons que Big Pharma s’est vraiment bien débrouillée, elle ne paie pas ses cobayes comme habituellement (des sommes de plusieurs centaines d’euros pour les essais habituels de médicaments) et de plus les agences de santé et les États l’ont exonérée de toute responsabilité pénale ou/financière en cas de pépin… y compris le décès. Les États paieront, enfin… nos impôts. Pas belle la vie ?

En ce qui concerne l’épidémie presque terminée du covid qui a nettoyé la grippe au passage, mais pour laquelle il faut continuer à affoler la population, l’imagination des marchands du temple est au pouvoir.  Le double but est bien sûr les bénéfices financiers fantastiques liés aux vaccins pour Big Pharma et des avantages politiques pour les dirigeants du Nouvel Ordre mondial, imposer des lois liberticides et une surveillance policière croissante.

L’imagination au pouvoir des marchands

Et nous pouvons être admiratifs des qualités commerciales des marchands de vaccins. Là où on découvre s’il en était besoin qu’il n’est plus question de médecine, mais bien de commerce et donc de marketing.

Dans le petit papier de msn.com[1] qui relate la vaccination des Roumains chez Dracula, tout y est et on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer. Malgré le côté tragique de la situation, quand on connaît les multiples effets secondaires, dont des décès (près de 9 000 post-vaccinaux en UE chez des sujets qui ne risquaient rien, pour beaucoup, du covid ou presque) et la flambée des cas et des malades dans des pays jusque-là quasiment indemnes avec l’arrivée des campagnes de vaccination[2] [3] [4].

Le pseudo-vaccin au château de Dracula

Examinons ce petit article : tous les mots clefs y sont. Tout d’abord le titre : les Roumains se font « piquer » au château de Dracula.  De mon temps, on disait vacciner et se faire piquer était réservé aux animaux qu’on faisait euthanasier en fin de vie par le vétérinaire. Tout un programme.

Poursuivons : le futur cobaye profite de l’opportunité « prend son courage à deux mains ». Pourquoi ? pour un DTPolio, en faisait-on autant ? Non, cela sous-entend bien le mystère, et le cinéma qui entoure cette « piquouse » pour parler comme eux.

Le comble, comme aux gosses qui passent un diplôme de nage ou de sécurité routière, les personnes piquées reçoivent un « diplôme » attestant de quoi ? Je vous le donne en mille : de « leur courage et responsabilité ». Pourquoi tant de courage si ce pseudo-vaccin était anodin comme les médias veulent nous le faire admettre à longueur d’émission ?

Ils seront accueillis au château de Dracula à Bran dans les « cent prochaines années »… Message subliminal de vie éternelle grâce à la potion magique prônée par Bill Gates ? Faust hante-t-il le château de Dracula ?

Qui organise ces séances de distraction faustienne ?

Évidemment pas un médecin qui s’évertuerait à expliquer avantages (? s’il en trouvait par rapport aux traitements précoces et sans danger) et inconvénients possibles, les effets secondaires beaucoup plus fréquents qu’avec les autres vaccins, comme celui de la grippe par exemple (et déjà signalés sur le site de l’agence européenne du médicament, l’EMA et Eudravigilance, où chaque curieux peut aller, surtout avant de se décider, ce serait prudent).

Le médecin respecterait ainsi le serment d’Hippocrate et le Code de Nuremberg sanctifié par la déclaration d’Helsinki et la convention d’Oviedo.

Mais non, ici à Bran comme à Disney en France, on est dans le plaisir, le ludique, le léger et donc c’est le directeur du MARKETING qui invite et organise. Tout y est, n’est-ce pas ?  Et comme il ne doute de rien dans la pub, il prévoit pour les futurs cobayes qu’il qualifie de « téméraires, une visite de : « la salle des tortures » abritée dans la forteresse. On est dans un « ciblage touristique ».

Nous voilà donc dans les fins fonds des Carpates, chez « l’empaleur » Vlad Tepes, prince roumain du XVe  siècle, particulièrement sanguinaire pour avoir inspiré à l’écrivain irlandais Bram Stoker le personnage de Dracula. Tout est dans le symbole, volontaire ou inconscient, ils font très fort ces Roumains.

Comme aux USA, et en France en particulier, tout le monde n’est pas forcément volontaire pour être cobaye non rémunéré du plus grand essai mondial de médicaments encore jamais testés, et dont les prédécesseurs, tentatives de vaccins anti-coronavirus du SRAS et du Mers avaient tué les animaux tests.

Ici en matière de vaccin anti-covid, les labos ont sauté l’étape animale officiellement en raison de manque d’animaux de laboratoire et des militants anti-souffrance animale. Si ces associations pouvaient inclure dans leurs combats les animaux humains, ce serait une bonne idée.

Alors les Roumains qui avaient refusé les mesures liberticides sont sollicités via des vaccidrives et des marathons vaccinatoires ouverts 24 h sur 24 dans des lieux mythiques comme la salle du Palais à Bucarest. Pourquoi pas dans les salles de l’hôpital ? Non, c’est un peu comme la nuit de visite gratuite des musées français !  Et les moins de 50 ans (moins de mille morts en France depuis quatorze mois pour une maladie qui, le cas échéant, se traite facilement si on donne le traitement tôt), y vont en famille, en sortie du dimanche.  Pourquoi tout ce CIRQUE ?

Et comme partout la campagne vaccinale s’accompagne d’une remontée des décès…

Beatrice Mahler, directrice de l’hôpital Marius Nasta de Bucarest dit que près de 3,6 millions de Roumains ont reçu au moins une dose de vaccin contre le coronavirus dans ce pays de 19 millions d’habitants qui veut franchir le cap des 5 millions de vaccinés d’ici début juin.

Pourquoi ? Au nom de qui ? Sous la pression de qui ? Au moins on connaît le montant des motivations [5] de Stella Kirikiades, la ministre de la Santé chypriote de l’Union européenne qui a signé les contrats des vaccins covid avec les entreprises pharma et dont le compte bancaire privé a depuis été crédité de 4 millions d’euros

Nicole Delépine


[1] Vaccination : Les Roumains se font piquer au « château de Dracula » (msn.com)

[2] Bientôt 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » contre la Covid-19 (reseauinternational.net)
En date du 27.04.21, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, pour la seule Union européenne (sans la Grande-Bretagne).

[3] Faut-il se faire vacciner ? À trancher sur les faits objectifs ! | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

[4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/

[5] https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/




Serons-nous à nouveau sauvés par les Américains ? L’exemple du Texas libéré !

Par le Dr Gérard Delépine

En cette période où les institutions européennes et nos politiques restreignent les libertés pour nous obliger à nous faire injecter des pseudo vaccins qui sont des médicaments expérimentaux géniques, les USA montrent la voie à suivre.

La liberté reviendra-t-elle une fois encore d’Amérique du Nord ?

Greg Abbott a libéré le Texas de la tyrannie des experts

Le 2 mars 2021, le gouverneur du Texas Greg Abbott a déclaré qu’il n’écouterait plus A. Fauci le conseiller médical des présidents des USA, et a supprimé par décret toutes les restrictions prétendument sanitaires, dont l’obligation emblématique du port de masque. Fauci, lui a prédit alors un cataclysme épidémique à venir.

Greg Abbott s’est aussi attiré les injures d’autres covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Prophéties ou desiderata des politiques ?

Mais la vérité médicale ne suit pas les prophéties tirées de simulations catastrophiques plus ou moins dictées par les politiques. Au Texas, revenu à une vie quasi normale, la réouverture des écoles et universités, des commerces et des compétitions sportives au public (comme le montre cette vidéo de la réouverture du stade des Texas Rangers) ne s’est pas accompagnée de recrudescence de l’épidémie !

Au contraire, depuis la libération de l’état, la mortalité quotidienne attribuée au Covid19 diminue, alors que ce n’est pas toujours le cas dans les états qui maintiennent les restrictions de liberté. !

La régression de l’épidémie s’est poursuivie sans que les prophètes-modélisateurs parviennent à expliquer les erreurs considérables de leurs dernières simulations catastrophiques démenties par les faits. À moins qu’ils ne le souhaitent pas.

La décision courageuse de Greg Abbott a fait tache d’huile

La décision du gouverneur du Texas a été suivie par les autres gouverneurs républicains, puis dans la plupart des états démocrates. Aujourd’hui les états qui imposent encore des restrictions sont très minoritaires ainsi que l’illustre cette carte publiée le 3/5 par le New York Times (tous les états en bleu sont ouverts complètement).

Aux USA, depuis janvier 2021, la régression de l’épidémie se poursuit partout et plus rapidement dans les états libérés que dans ceux qui maintiennent des restrictions.

Ceci démontre que les confinements et l’obligation du port des masques et autres mesures pseudo-sanitaires ne servaient à rien ou étaient délétères, n’en déplaise aux désinformateurs de Arte et France télévision.

La régression de l’épidémie n’est pas due à la vaccination

L’analyse de la courbe de régression de la mortalité publiée par l’OMS le 9/5

et sa comparaison avec la courbe des vaccinations publiée par le CDC

montrent que la spectaculaire régression de la mortalité n’est pas due à la vaccination.

En effet cette régression de la mortalité a commencé début janvier 2021 alors que la vaccination, commencée le 13/12/2020 était trop récente pour agir, que les vaccinés n’avaient reçu qu’une dose t qu’ils ne représentaient que moins de 5 % de la population, alors que les apôtres de la vaccination affirment qu’un recul d’au moins deux mois et qu’une couverture vaccinale de 70 % sont nécessaires à son action.

Au revoir, les vaccinodromes

Le recul spontané de l’épidémie, la libération de la population des restrictions iniques et la prise en compte de complications parfois graves des pseudovaccins actuels ont montré aux Américains que la « vaccination » présentait actuellement une balance avantage/risques très défavorable pour la très grande majorité de la population qui a déserté les vaccinodromes.(([1] https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/05/05/aux-etats-unis-la-vaccination-fatigue-et-le-reve-de-l-immunite-collective-s-eloigne))

Actuellement environ un tiers de la population américaine est vaccinée et les tentatives de Big Pharma et de ses représentants d’instaurer une obligation vaccinale par la loi ou par le pass vaccinal ont été refusées par la Maison-Blanche et par de nombreux gouverneurs d’états qui ont décrété illégal l’usage de passeport vaccinal, car contraire aux libertés individuelles garanties par la Constitution. C’est heureux pour nos amis d’Amérique qui éviteront ainsi le triste sort des habitants des Seychelles.

La catastrophe vaccinale des Seychelles

Ce petit état africain pauvre compte à peu près 100 000 habitants et cherche à favoriser le tourisme de luxe qui constitue sa principale ressource.

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid19 confirmés sans aucun mort. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a pourtant décidé de vacciner massivement la population (sous quelle influence ?

L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai, il est devenu le pays le plus vacciné au monde avec une couverture vaccinale de 70 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles font face à une hausse considérable des cas positifs à coronavirus qui ont atteint près de 500 cas journaliers plusieurs jours de suite début mai, obligeant le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos. Au 8 mai 21, le pays comptait 6811 cas confirmés et 28 morts contre 500 cas et 1 mort avant la vaccination.

Après 4 mois de vaccination, le nombre de contaminations a été multiplié par 12, la mortalité par 28, le pays est confiné et sa saison touristique est fortement compromise malgré un taux de couverture vaccinale de 70 %.

Le mythe vaccinal covid19 confronté à la réalité

Dans tous les pays pauvres, jusque-là relativement épargnés par le Covid19, les campagnes de vaccination ont été suivies par un accroissement considérable des contaminations et de la mortalité et leur espoir de rassurer leurs potentiels touristes a été déçu.

Ces constatations rappellent l’importance de disposer de résultats définitifs d’essais bien faits avant de recommander un traitement expérimental même s’il se fait passer à tort pour un vaccin.

Cette catastrophe sanitaire avérée dans ces pays va se transformer sous peu en scandale politique si nos autorités continuent de nier la réalité et à vouloir imposer des obligations mortifères.

Suivons l’exemple du peuple américain, n’ayons plus peur de vivre, de vivre normalement, libérons-nous !

En matière de santé aussi la démocratie est plus efficace que la dictature !





Troubles menstruels méconnus post-vaccin covid-19

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Les « vaccins » anti-covid font parler, au moins sur les réseaux sociaux, des accidents graves et même de décès liés à leur injection, et globalement d’incidents considérés comme potentiellement liés au vaccin, c’est-à-dire survenus dans les quatre semaines suivant l’injection (en particulier, accidents vasculaires et neurologiques).

Même si les signalements sont certainement très sous-estimés (de l’ordre de 1 % de la réalité) il est tout de même très impressionnant de constater en Union européenne (par exemple) près de 8 800 décès directement reconnus comme probablement en rapport avec un des 4 vaccins anti-covid par l’agence européenne.

Il est étonnant que ce chiffre énorme, (même si relativement faible par rapport aux millions de personnes vaccinées), ne perturbe pas plus les futurs vaccinés que les agences chargées de la sécurité. Rappelons qu’un vaccin devrait être préventif, s’adresser aux personnes à risque et en aucun cas à des jeunes qui présentent un risque zéro de l’infection visée, ici le covid-19.

Le rapport bénéfice/risque ne peut être que négatif dans les populations à risque zéro comme les enfants actuellement menacés par les politiciens dont certains corrompus.(([1] Comme la ministre chypriote Albert Coroz : Stella Kirikiades qui aurait touché 4 millions d’euros après avoir signé les contrats d’achat de vaccins https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/ ))

La « tolérance » actuelle sur les décès entraînés par ces molécules en essai thérapeutique n’a de parallèle que l’immonde propagande qui inonde tous les médias dans le monde depuis plus d’un an pour cette sinistre mise en scène du coronacircus.

Dans l’émission « Tucker Carlson Tonight », sur Fox News, Carlson, célèbre présentateur américain habituellement pro-vaccin, a cité des statistiques gouvernementales montrant que plus d’Américains sont morts après avoir pris le vaccin covid en quatre mois qu’à la suite de tous les autres vaccins combinés en plus d’une décennie et demie.

Les données officielles du  gouvernement américain sur «  vaccine adverse event reporting system » (VAERS) montrent que 3 362 Américains – ou 30 personnes par jour – sont  morts du vaccin Covid entre décembre 2020 et le mois dernier.

« Plus de personnes, selon VAERS, sont mortes après avoir reçu le vaccin en quatre mois au cours d’une seule campagne de vaccination que de tous les autres vaccins combinés sur plus d’une décennie et demie », a déclaré Carlson.

Le nombre de décès est probablement beaucoup plus élevé que ce que VAERS rapporte, a déclaré Carlson, citant des rapports soumis au ministère de la Santé et des Services sociaux en 2010 qui ont révélé que « moins de 1 % des effets indésirables du vaccin sont signalés par le système VAERS ».

Carlson a également mentionné dans son émission les informations majeures suivantes :

« De tous les vaccins MENVEO administrés pour prévenir la méningite bactérienne, une seule personne est décédée du vaccin entre 2010 et 2015. En 1976, 45 millions d’Américains ont été vaccinés contre la grippe H1N1. Au total, 53 personnes sont mortes du vaccin. Le gouvernement américain a mis fin au programme de vaccination parce que les autorités ont décidé qu’il était trop risqué. »

Les vaccins Covid ont contribué à 8 000 hospitalisations aux États-Unis, selon VAERS ».(([2] Tucker Carlson : How Many Americans Have Died After Taking COVID Vaccines ? • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Cette indication est capitale, car chacun se demande à partir de combien de décès une agence de l’État suspend-elle la pratique d’un vaccin. La réponse précise sur le vaccin H1N1 dont Mme Bachelot a dû jeter des millions de doses achetées trop rapidement nous informe sur les réactions de l’époque dans des situations similaires.  Près de 9 000 décès reconnus en UE en ce début du joli mois de mai depuis le début des vaccinations anti-covid et répartis parmi les quatre produits injectés. Ne serait-ce pas temps de cesser ce sinistre scénario ?

Où sont passées les féministes ?

Le corps de la femme une nouvelle fois maltraité n’intéresse-t-il que le docteur Marc Girard ?(([3] D’Hippocrate au “crime organisé” : comment la médicalisation de la femme a fait tomber les barrières de la moralité – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))(([4] La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))

Les effets indésirables moins spectaculaires que les décès sont complètement invisibilisés mais gâchent la vie courante de nombreuses citoyennes devenues patientes après une vaccination sous prétexte d’un virus si peu méchant chez les femmes encore réglées sans comorbidité.

La protéine SPIKE dans le collimateur des vaccins anti-covid

Certes ceux qui s’intéressent aux vaccins savent maintenant qu’ils visent tous la fameuse protéine spike et qu’ils pourraient entraîner des troubles de la reproduction. Chacun a entendu la multiplication des avortements en Grande-Bretagne dans les premières semaines de la vaccination intensive et la mort d’un enfant allaité par une mère vaccinée deux jours plutôt.

Mais ces faits lourds ne doivent pas masquer le quotidien plus banal mais inacceptable de nombreuses femmes « pour une prévention d’une maladie à létalité mineure (moins de 0,01 % de décès liés au covid19) » ?

Alors qu’apprend-on sur le vécu des femmes vaccinées ?

De nombreuses femmes disent que les effets secondaires du vaccin Covid ont un impact sur leurs règles, alors pourquoi les médecins ne s’en soucient-ils pas ?(([5] Women say COVID vaccine side effects impact their periods, so why don’t doctors care ? – Israel News – Haaretz.com))

Nous rapportons ici les réflexions d’un journal israélien dans un pays fort largement vacciné en très peu de temps, et où les effets sur les contaminations et les décès post vaccinaux ont été déjà relayés.(([6] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

N’importe quel vaccin peut perturber les menstruations, mais la façon dont l’établissement médical a réagi aux descriptions de cet effet secondaire possible du vaccin coronavirus reflète un problème plus général.

Quelques exemples de l’article cité concernant l’expérience israélienne sont relatés ici.

Une femme de 36 ans s’est rendue chez le médecin après avoir subi des saignements vaginaux deux jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus. Son gynécologue a effectué un examen et l’a envoyée pour des analyses sanguines. « L’hémorragie a duré 10 jours, et le médecin m’a dit qu’il semble que mes règles sont arrivées tôt. « Je lui ai dit : bizarre, parce que mes règles ont été très régulières au cours de la dernière année. » « Cela arrive », a rétorqué le docteur de façon désinvolte que cela peut être un signe de ménopause précoce. « C’était comme un coup de poing à l’intestin », dit-elle.

« Il n’est pas nécessaire d’expliquer à quel point il est difficile pour une femme de mon âge de recevoir des nouvelles comme celle-là de son médecin. Pendant quelques semaines, j’étais vraiment en deuil de la fertilité que j’avais apparemment perdue ».

« Ce n’est que lorsqu’un ami, après que je lui ai parlé de mon état déplorable, a suggéré qu’il est peut-être vraiment lié au vaccin – que je l’ai googolé et découvert, à ma grande surprise, qu’un grand nombre de femmes ont signalé des saignements vaginaux et des périodes irrégulières après avoir été vaccinées.

J’étais en état de choc. Pourquoi ne m’ont-ils pas avertie que cela pourrait être l’un des effets secondaires du vaccin, comme ils m’ont mis en garde contre une faible fièvre et des douleurs au bras ? Pourquoi mon médecin n’a-t-il pas dit un mot à ce sujet ?

« Une histoire parmi un nombre infini sur les effets du vaccin sur les cycles menstruels. Une période précoce ou tardive, plus lourde que jamais ou plus douloureuse que d’habitude – les témoignages des femmes s’accumulent. Et comment l’établissement médical les traite-t- il ? »

C’est pourquoi nous pensons utile de vous informer, car le consentement éclairé est la base de la médecine d’Hippocrate, particulièrement en ce qui concerne l’expérimentation au cours des essais thérapeutiques comme le sont actuellement les vaccins anti-covid-19 dont aucun essai phase 3 n’est terminé.

Bien sûr le stress émotionnel lié au contexte actuel depuis un an et la campagne au grand galop de vaccinations en Israël peuvent favoriser les troubles des règles. Les stress physiques liés aux changements de vie sont aussi des facteurs connus de dérèglement du cycle menstruel.

« On sait que l’acte d’inoculation lui-même peut susciter un certain stress physique, et en particulier le vaccin contre le coronavirus, qui a également causé un stress émotionnel pour beaucoup de gens. Une réponse inflammatoire est une réaction immunitaire normale aux vaccins, ce qui affecte également les saignements vaginaux. Dr. Lior Shahar in Tel Aviv donne un exemple : on sait que le fait de se faire vacciner contre le papillomavirus (Gardasil) perturbe les périodes des femmes et des jeunes filles.

Les effets du vaccin sur les menstruations n’ont pas été étudiés à l’avance par les entreprises qui fabriquent les vaccins. »

Comment les ressentis des femmes ont-ils été reçus par les institutions médicales ?

« L’établissement médical a traité la question avec dérision. En ce qui le concerne, l’apparition de saignements vaginaux ou de perturbations dans les menstruations sont des phénomènes de routine qui se produisent de temps en temps, il n’y a donc aucune raison de les traiter comme un effet secondaire. »

« Quand j’ai demandé dans les groupes de médecins, et aux médecins individuellement – médecins de famille et gynécologues, hommes et femmes – j’ai entendu : « il y a des rapports, mais ils sont sans fondement », « J’ai entendu des patients dire que cela arrive, mais je n’ai pas vérifié la littérature », « je ne connais aucune référence médicale à cela », et ainsi de suite.

Certains de ces médecins pratiquent également la médecine fondée sur le genre.

Le mois dernier, des personnes ont été testées pour le coronavirus dans un complexe de la ville arabe de Tayibe, dans le centre d’Israël. Il semble que les patientes signalent fréquemment ces troubles gynécologiques, mais l’établissement n’en tient pas compte.

Qu’est-ce que cette histoire nous dit sur la façon dont l’établissement médical considère les phénomènes qui n’affectent que les femmes ?

« Il y a une discrimination évidente ici ». Bien sûr, cela rappelle les déclarations terrifiantes que le professeur Galia Rahav, chef de l’unité des maladies infectieuses au Centre médical Shaba, Tel Hashomer, a déclaré à l’époque sur la paralysie du nerf facial comme un effet secondaire du vaccin :

« Au début, ils ont dit que ce sont des femmes hystériques, mais apparemment pas, parce que nous voyons les effets chez les hommes aussi, et je crois que c’est réel.

« Ce n’est pas la partie choquante. La paralysie faciale, comme le saignement vaginal, n’est pas un événement rare. Mais lorsqu’il y a soudainement une multiplicité d’incidents en conjonction avec le vaccin, cela soulève des questions.

Bien sûr, cela comprend la question de savoir s’il s’agit d’une distorsion résultant de la surdéclaration, mais aussi de savoir s’il s’agit d’un effet secondaire.

Dans les groupes de médecins dont je suis membre, il y a eu d’innombrables discussions sur le sujet de la paralysie du nerf facial, mais aucune discussion sur les saignements chez les femmes. Il est scandaleux de découvrir que lorsque ces rapports sont des femmes, cela ne soulève pas de questions ou de discussions.

Je suppose que nous avons fait des progrès dans ce domaine depuis que nous avons découvert la différence dans la façon dont les hommes et les femmes éprouvent des crises cardiaques, par exemple. Dans quelle mesure la médecine fondée sur le genre a-t-elle progressé et comment ces progrès sont-ils exprimés ?

« Il y a certainement eu des progrès dans la médecine fondée sur le genre. Par exemple, la FDA interdit maintenant d’approuver un médicament sans le tester sur les femmes aussi, et d’examiner la différence dans ses effets sur les femmes et les hommes. Aujourd’hui, il y a des médicaments qui sont approuvés à l’avance juste pour les femmes ou tout simplement pour les hommes. Mais dans les facultés de médecine, ils n’apprennent toujours pas ces différences d’une manière organisée, et la plupart des professionnels de la santé ne connaissent pas du tout les fondements de la médecine fondée sur le genre.

« Mais la médecine fondée sur le genre n’est qu’une partie du problème, et il y a le vrai problème. La médecine fondée sur le genre ne traite que des différences biologiques entre les hommes et les femmes et ne tient pas compte des problèmes liés aux déséquilibres de pouvoir, à la discrimination, aux stéréotypes, au silence, à la violence ouverte ou cachée, à la minimisation des femmes dans l’espace public, à l’accessibilité aux services de santé – autant de choses qui contribuent tant à l’inégalité entre les sexes en matière de santé. C’est certainement vrai pour les femmes qui sont marginalisées de plusieurs façons – les femmes qui sont mizrahi, arabes, lesbiennes, âgées, en surpoids, handicapées et ainsi de suite. »

« C’est pourquoi la médecine fondée sur le genre ne suffit pas. Il y a un besoin de médecine féministe. C’est la véritable médecine égale, qui donne une voix aux femmes, qui comprend qu’une femme n’est pas seulement un corps, mais une totalité des expériences et des rôles sociaux, des codes, des attentes et du harcèlement sexuel, et le lien entre elles et son état médical physique et psychologique ne peut être rompu.

Tant qu’il n’y aura pas une compréhension profonde de ce lien, il n’y aura pas de bonne médecine égale pour les femmes, ni pour aucun groupe défavorisé dans la société ».

Une façon originale de voir la médecine à laquelle il faut réfléchir, mais en attendant écouter les femmes qui subissent des troubles menstruels à la suite du vaccin serait une première étape.

Des témoignages dans d’autres régions du monde

Emma Kahn dans sa lettre mensuelle sur le site de l’AIMSIB(([7] Lettre d’infos du 5 mai 2021 – AIMSIB)) signale aussi le fait que de nombreuses femmes se plaignent de saignements irréguliers à la suite du vaccin Pfizer, cela pourrait être dû à des ménopauses précoces selon la publication de health.com.(([8] https://www.health.com/condition/infectious-diseases/coronavirus/can-covid-vaccine-affect-my-period))
Dans un long fil de discussion sur Twitter, Kate Clancy, PhD, professeur associé à l’université de l’Illinois, rapporte : « une collègue avait entendu d’autres personnes dire que leurs règles étaient abondantes après la vaccination. Je suis curieuse de savoir si d’autres femmes ayant leurs règles ont également remarqué des changements ? J’ai reçu la première dose de Moderna il y a une semaine et demie, j’ai eu mes règles un jour ou deux plus tôt et j’ai l’impression d’avoir à nouveau 20 ans. »
D’autres ont raconté leur propre histoire. « Je suis exactement une semaine après ma deuxième injection de Moderna et j’ai commencé un cycle très dur pour moi, et j’ai environ 2,5 semaines d’avance », a écrit l’une d’elles.

« J’ai reçu le Moderna le dernier jour de mes règles. Neuf (!!!!) jours plus tard, une autre période est apparue et cela a été un cauchemar », a commenté une autre.

Les histoires personnelles se multiplient : « je suis à trois semaines de ma première piqûre de Moderna et j’ai commencé mes règles au milieu d’une plaquette de contraceptifs ». « Cela ne m’est jamais arrivé en 12 ans de prise de la pilule. Je n’ai même jamais de taches entre les périodes. »

Les changements de règles sont-ils donc un effet secondaire légitime du vaccin ?

Existe-t-il des recherches sur les vaccins Covid-19 et les cycles menstruels ?
Pas vraiment. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) disposent d’un Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), programme de surveillance dans lequel chacun peut signaler les effets secondaires qu’il a ressentis après avoir reçu le vaccin.

Plusieurs dizaines de femmes ont déclaré avoir eu des règles plus abondantes que d’habitude, des crampes douloureuses et des cycles menstruels inhabituels après avoir été vaccinées. Mais étant donné que n’importe qui peut soumettre n’importe quoi au système, tout cela est considéré comme anecdotique à ce stade.
Pour les femmes qui signalent des douleurs plus importantes que d’habitude, « il se peut que les douleurs post-vaccinales s’ajoutent aux douleurs menstruelles normales », explique à Health l’expert en maladies infectieuses Amesh A. Adalja, MD, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security dans le Maryland.

Le flux plus abondant est un peu plus difficile à expliquer. Une petite étude portant sur 233 femmes en âge de procréer présentant un diagnostic clinique de Covid-19 a fait état de certains changements menstruels. Sur les 177 patientes ayant des données sur leurs règles, 25 % avaient des « changements de volume menstruel », 20 % avaient des règles plus légères que d’habitude et 19 % avaient un cycle plus long que d’habitude, selon l’étude, publiée en janvier dans la revue Reproductive BioMedicine Online.

Il est possible que le vaccin Covid-19 ait un effet similaire, mais on ne le sait pas pour l’instant.

À l’heure actuelle, ces données sur la vie quotidienne des femmes restent peu connues et il importe que des médecins cliniciens s’y intéressent. La médecine n’est pas que celle des épidémiologistes, des simulations.

Les chiffres ne doivent pas faire oublier les êtres humains soumis à des interventions extérieures pas nécessairement justifiées. Elles devraient être informées des conséquences graves possibles, y compris les décès, liées aux vaccins expérimentaux mais aussi aux troubles de la vie quotidienne à même parfois de leur gâcher la vie.

Les doutes sur les perturbations de la fertilité à court et plus long terme devraient être élucidés avant une généralisation des pseudo-vaccins anti-covid contre une maladie non létale dans l’extrême majorité des cas. Pourquoi tant de hâte à vacciner des femmes réglées qui, du fait de leur sexe et de leur âge, ne risquent rien ?

Nicole Delépine





Analyse de la gestion de la crise sanitaire : Vers une nouvelle inquisition

[Source et auteur : Martine Wonner]

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »

Phrase prêtée à Voltaire.

Pourtant, la crise sanitaire semble bien avoir éteint une flamme au Pays des lumières. Depuis plusieurs mois, en tant que parlementaire, en tant que médecin, en tant que citoyenne, je suis constamment attaquée selon des procédés particulièrement inquiétants.

Articles de presse aux titres calomnieux, accusations infondées, informations tronquées, lorsqu’elles ne sont pas simplement totalement erronées : certaines officines ont, depuis le début de cette crise, escamoté aux citoyens le droit le plus élémentaire d’être correctement informés.

Les conséquences de la gestion de la crise sanitaire sont pourtant réelles : de la lassitude à la colère ; alors que je constate avec stupeur le refus itératif de mes collègues de venir débattre avec leurs administrés, je vois une gronde se soulever sur les territoires, Je sais que bon nombre de mes collègues partage avec moi le constat des dérives actuelles du pouvoir omnipotent et souhaite ce dialogue.

Force est de constater que si ce débat est aujourd’hui impossible, ce n’est pas par crainte du débat lui-même, mais par peur des « décodages » de la presse. Soutenir que des molécules peuvent permettre d’améliorer l’immunité et donc diminuer le taux de létalité face à la Covid-19, entraine la sanction directe d’un article vous dépeignant avec des qualificatifs injurieux inadmissibles. Soutenir que nous glissons vers un État portant les traits caractéristiques de l’autoritarisme, induit la sanction directe d’un article vous dépeignant sous les traits d’une personne ayant embrassé les théories d’extrême droite, etc…

Mon combat en tant que parlementaire a été constant depuis le début de mon mandat : protéger les droits humains, les personnes vulnérables, les « exclus », toujours dans un esprit de justice sociale sur le socle d’une économie forte.

Protection des minorités, protection des migrants, lutte contre toutes formes de racismes et de discriminations, lutte contre la destruction de l’environnement, droit des femmes, ouverture à la PMA pour toutes, droit à l’IVG. Certains peuvent me reprocher ces prises de position, elles sont miennes, reflet de mes valeurs et de mes convictions. Je les assume.

En tant qu’élue de la Nation, j’assiste depuis le mois de mars 2020 à l’affaiblissement total de la démocratie parlementaire ; les médias jouent un rôle déterminant, n’hésitant pas, en tant que 4e pouvoir, à prendre position en faveur d’un exécutif disposant déjà de quasiment tous les pouvoirs. Le projet de loi « organisant la sortie de crise sanitaire », inscrit la semaine prochaine en séance publique à l’Assemblée nationale, est à ce titre illustratif de la volonté du Gouvernement de faire perdurer l’état d’urgence sanitaire et les restrictions que nous connaissons depuis maintenant plus de 13 mois.

Une nouvelle chasse aux sorcières, organisée par autant de nouveaux procureurs autodésignés, semble avoir débuté : fichage en ligne, délation, complicité et duperie avec le pouvoir, voilà le lot quotidien d’une nouvelle presse de non-information.

Je nourris l’espoir d’un sursaut citoyen, capable de pouvoir faire naître un esprit critique face à ces pratiques moyenâgeuses. Je nourris l’espoir d’une presse plurielle, d’une presse d’investigation, d’une presse indépendante.

« Liberté de la presse et séparation des pouvoirs » pourrait être la nouvelle devise des français. L’enjeu n’est ni plus ni moins celui de la sauvegarde de notre démocratie.




Dr. Gérard Delépine : Alerte sur les vaccins et le pass vaccinal

[Source : Cercle Aristote]

https://youtu.be/m5prIU8xZNE



Le totalitarisme vaccinal s’exprime sans masque

Par Gérard Delépine

Dans un journal financier français appelé l’Opinion,(([1] 2 mai 2021)) la chronique d’un inquisiteur de la secte covidiste, Éric le Boucher, jette le masque et affirme sans honte :

« il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ».

Au-delà de la banalisation inadmissible d’un passeport vaccinal que trois quarts des Français refusent en dépit de l’intoxication médiatique,(([2] LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) punir ceux qui refusent l’injection expérimentale d’une thérapie génique intitulée à tort « vaccin » devient une idée proposée par un journaliste français. Il est temps de se réveiller !

Que ceux qui pensent exagérée la comparaison de notre époque avec des périodes troublées des années trente, et les angoisses sur les mesures extrêmes comme l’isolement dans des « camps » appelés encore pudiquement hôtels de résistants à la secte covid, et éventuellement l’éloignement des enfants, soient vigilants à ce qui n’est encore qu’écart de langage, mais impose une attention de tous les instants de ceux pour qui les mots de liberté, de consentement éclairé, de convention d’Helsinki ou de code de Nuremberg ont encore un sens.

Cette chronique menaçante de l’Opinion affiche l’ignorance scientifique et/ou mauvaise foi du rédacteur, et proclame son mépris pour la démocratie, et la volonté du peuple.

Il faut la dénoncer, car malheureusement la faiblesse des réactions politiques à l’annonce d’un passeport vaccinal, sauf exception, ne saurait rassurer. L’hypnose ayant accompagné la sidération induite par une propagande continue sur les chaînes d’information TV ou radio et la presse écrite a conduit à un état d’apparente décérébration ou au moins d’apathie d’une part encore importante de la population, même si le réveil semble avoir quelques frémissements. Goebbels, de l’enfer où il brûle sûrement, doit être jaloux de la puissance médiatique actuelle et de ses pouvoirs de censure mondiale…

Ignorance et incohérence de la chronique à propos des USA

Manifestement, cet article comme d’autres n’a pas bien analysé la régression de l’épidémie aux USA. Contre toute évidence, il attribue celle-ci à la vaccination.

Or le recul de l’épidémie aux USA a commencé dès janvier 2021, alors que le taux de vaccinés ne dépassait pas les 5 %. En totale contradiction avec le credo de sa chronique :

« si l’on veut en finir véritablement avec cette pandémie, il faut atteindre le fameux seuil de “l’immunité collective”, autour de 70 % de la population vaccinée ».

En mars 2021, le gouverneur du Texas, Greg Abbott a supprimé les mesures prétendument sanitaires sans écouter les covido-terroristes, dont Joe Biden et Fauci, qui lui prédisaient un cataclysme épidémique. Il s’est aussi attiré les injures d’autres covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom déclarant que cette décision était « absolument irresponsable ». Beto O’Rourke qualifiait le parti républicain du parti du « culte de la mort », et Joe Biden estimait la décision de « pensée néanderthalienne », Keith Olbermann répétait que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Leur boule de cristal les a trahis. La vérité est têtue. Au Texas, revenu à une vie quasi normale, la régression de l’épidémie s’est poursuivie sans que les modélisateurs annonciateurs de catastrophes parviennent à s’expliquer sur les erreurs considérables de leur dernière prophétie catastrophique démentie par les faits.

La décision du Texas a été suivie par les autres gouverneurs républicains, puis dans de nombreux états démocrates ainsi que l’illustre cette carte publiée le 3/5 par le New York Time.

Aux USA, depuis janvier 2021, la régression de l’épidémie se poursuit partout et plus rapidement dans les états libérés que dans ceux qui maintiennent des restrictions. Ceci démontre que les confinements et l’obligation du port des masques et des autres mesures pseudo-sanitaires ne servaient à rien ou étaient délétères, n’en déplaise aux désinformateurs de Arte et France télévision.(([3] Désintox. États-Unis : non, le Texas n’a pas démontré l’inutilité du port du masque antiCovid
France télévision le 16/04/2021))

Compte tenu de cette évolution naturelle favorable et des complications parfois graves des pseudo-vaccins actuels, les Américains ont compris que la « vaccination » actuelle présentait une balance avantage/risques très défavorable pour la très grande majorité de la population et ils ont déserté les vaccinodromes.

Ceci est jugé intolérable par Éric Le Boucher dont les convictions démocratiques paraissent bien incertaines et qui réclame une obligation vaccinale par des médicaments expérimentaux qui n’ont toujours pas reçu d’autorisation autre que conditionnelle de mise sur le marché, les essais ne devant clore leur première estimation qu’en 2023.

Heureusement que la Constitution américaine protège mieux les Américains que la nôtre ou qu’elle est mieux respectée.

Les vaccinalistes à outrance voudraient vendre 7 milliards de vaccins même à ceux qui n’en ont pas besoin. Dans quel but ?

Fort de leur foi en des produits (ou en bons représentants de commerce de l’industrie pharmaceutique ?) Le Boucher et d’autres affirment : « il faudra vacciner au moins 70 % des 7,7 milliards d’individus sur Terre » comme l’avait déjà proposé un député français sur sud radio en avril 2020. Ils ne remarquent pas que le Covid a surtout sévi dans les pays occidentaux riches et qu’il n’y a donc aucune raison et au contraire beaucoup de risque à introduire les vaccins actuels dans des pays sans mortalité Covid 19 notable.

En effet, dans ces pays, les courbes publiées par l’OMS(([4] Que chacun peut vérifier sur https://covid19.who.int/)) montrent que la vaccination est suivie pendant quatre à six semaines d’une explosion de la mortalité attribuée au Covid19.

Qu’il s’agisse de la Mongolie :

De la Thaïlande :

Ou du Cambodge :

Ou encore les micro-États européens comme Monaco ou Gibraltar

OBJECTIFS OFFICIELS DES VACCINATIONS ANTICOVID

Le but théorique de la vaccination est de diminuer le nombre de malades et d’éviter les transmissions et les formes graves. Les données de l’OMS prouvent que c’est le contraire qui se produit avec les vaccins covid actuels.

Dans les pays souffrant fortement du Covid, des évolutions post vaccinales désastreuses ont aussi été observées

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril :(([5] Bilan catastrophique sur la vaccination en Israël – Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com) ))

« les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente. Ces mois de janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle depuis le début de l’épidémie et totalise près du quart de la mortalité globale.

Des évolutions aussi inquiétantes ont été constatées au Chili :

en Inde

au Koweït

aux Émirats Arabes Unis,

au Bahrein(([6] G Delépine : Et surgit une hécatombe post vaccinale
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Mais la foi des vaccinolâtres dans la vaccination Covid19, comme toutes les croyances, ne se discute pas et ne peut pas être mise en cause par les faits avérés dans le monde réel. Triste pour les victimes des vaccins et leurs proches.

Le totalitarisme militant

Le Boucher, entre autres, proclame sans honte :

« les gouvernements devront imposer, comme avec le confinement, la santé collective contre la liberté individuelle ».

Pourtant le confinement n’a pas imposé « la santé collective » dans le monde réel, mais lui a considérablement nui, augmentant la mortalité Covid et celles de toutes les pathologies chroniques, l’aggravant par les complications psychiatriques et les morts collatérales par défaut de soins.(([7] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique)) Tous les pays qui ont imposé cette technique moyenâgeuse se retrouvent dans le peloton des plus fortes mortalités Covid19 par million d’habitants.

Tous les religieux fanatiques ou prophètes illuminés de cette secte covidiste tentent de nous effrayer avec la bête. Le Boucher le formule ainsi : « la bête n’est pas sur le déclin, elle n’est pas morte, elle peut revenir, donc elle reviendra » avant de réciter un crédo sans aucun argument scientifique du monde réel. « Pour en finir une bonne fois pour toutes, il faut vacciner tout le monde ou presque ». N’a-t-il jamais entendu parler des traitements précoces qui ont réglé le problème dans tous les pays qui l’ont accepté ?

Les covidistes militants, dont le Premier Ministre, ignorent-ils que le Pr Delfraissy lui-même ne croit plus au confinement ni au vaccin salvateur ainsi qu’il l’a précisé dans sa lettre récente au Lancet(([8] L Atlani-Duault, B Lina, B Chauvin, JF Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 VOLUME 6, NUMÉRO 4.)) cosignée par des membres du conseil scientifique ?

« Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».

Même le ministre de la Santé français commence à parler d’antibiotiques, d’anticoagulants pour les malades et Boris Johnson promet aux Anglais des traitements précoces à prendre à domicile pour septembre. Le journal l’Opinion retarde-t-il d’une guerre ou bien faut-il vendre le maximum de vaccins avant de devoir les jeter comme pour le vaccin de H1N1 de Mme Bachelot passée à la culture…

La vraie bête immonde qui nous menace dans le monde réel est le totalitarisme, quel qu’en soit le prétexte.

Les fanatiques de la secte Covid19 qui crachent depuis plus d’un an sur notre devise « Liberté », notre Constitution, notre démocratie sont responsables de la pire crise sociale, sanitaire, éducative, économique depuis un siècle.

S’ils « croient » au vaccin (ce qui est leur droit absolu), qu’ils se vaccinent, mais qu’ils soient logiques. Puisqu’ils sont sûrs de l’efficacité de leur médicament, ils devraient se sentir protégés et n’ont donc aucune raison d’avoir peur du contact avec les non-vaccinés et de vouloir imposer aux autres leur croyance mortifère, les discriminations, ou la nouvelle étoile jaune (le pass).

Les USA nous ont montré que le retour à la liberté est parfaitement possible sans risque. Suivons son exemple.

Les résultats des essais ne seront pas connus avant plusieurs mois

Il faut attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et des campagnes vaccinales actuelles pour savoir si les vaccinés seront réellement globalement protégés et durant combien de temps, si la vaccination peut réellement diminuer les contaminations sur le long terme et si les complications ne seront pas trop nombreuses, en particulier chez les vieillards à comorbidité lourde qui auraient dû constituer la cible naturelle de cette thérapie.

Ce n’est donc qu’en 2023 que le bilan avantages-risques pourra commencer à être évalué permettant de définir éventuellement des indications médicalement fondées.

Les menaces des vaccinolâtres témoignent de leur foi, mais n’apportent aucun argument scientifique et leur agressivité sectaire montre le danger des extrémismes totalitaires.

Se contenter d’excommunications ou de fatwas contre ceux qui doutent nous ramène quelques siècles en arrière au temps des guerres de religion.

Revenons aux faits avérés et confrontons des arguments objectifs.





LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT

Par le docteur Gérard Delépine

Le chantage « vacciné ou discriminé » de nos gouvernants suscite la collaboration active de certains soumis, politiques, artistes, professions en péril, médecins, pharmaciens, biologistes, etc. et des médias aux ordres des milliardaires.

Au lieu de réclamer avec l’ensemble de la population le retour de nos libertés fondamentales bafouées inutilement, et l’autorisation des traitements précoces efficaces, ils préfèrent cautionner des mesures antidémocratiques d’apartheid et jouer les capos.

Ainsi certains prestataires de services du secteur des mariages auraient proposé au ministère la mise en place d’un pass sanitaire(([1] Marcelo Torello Covid-19 : pour les mariages, bientôt un pass sanitaire ? le point le 03/05/2021)) pour pouvoir se marier, comme le directeur du festival d’Avignon(([2] Festival d’Avignon – Olivier Py : « Il faudra un pass sanitaire pour entrer dans la Cour d’honneur « La Provence 1/5/2021)) pour pouvoir assister au festival. Jean Vilar doit se retourner dans sa tombe ! le maire de la Baule aurait aussi vendu son âme du diable pour des broutilles.

Certains politiques se démasquent, rendant très inquiets pour les prochaines élections.

De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par Jean-Christophe Lagarde et François Bayrou, nous avons entendu des appels à l’élargissement de la vaccination voire à son obligation, sans cri d’orfraie contre cette étoile jaune-verte du Covid qui viendrait discriminer honteusement des catégories de population : les vaccinés, les non-vaccinés, les allergiques, les anciens malades covid chroniques, etc. et tous ceux dont les statuts particuliers ne leur permettraient pas d’entrer dans les cases prévues par nos administratifs.

70 ans après la Seconde Guerre mondiale et les horreurs de la Shoah, et des juifs discriminés par le port de l’épouvantable étoile jaune, comment la mémoire collective peut-elle manquer à ce point ?

Cette discrimination envisagée ne choque pas la plupart des journalistes, y compris les femmes, les gens de couleur, etc. qui passent leurs vies à trouver des anomalies racialistes dans l’Histoire et dans notre culture.

Un exemple grotesque du jour : le baiser du Prince à la Belle au Bois dormant est-il raciste ?

Nous en sommes à ce degré de folie, mais séparer les gens sur la foi d’un vaccin qui ne protège pas, d’un test PCR qui est un vaste enfumage, d’un statut sanguin d’anticorps sans valeur médicale ne les gênerait pas ! Comme d’ailleurs les végans ou autres écologistes militants contre les OGM dans l’alimentation, qui ne sont pas pour autant conduits à refuser une drogue injectable dans son propre organisme de type OGM.

Et pourtant, rappelons-le une nouvelle fois, il n’y a pas de Pandémie comme l’affirme le rédacteur en chef du Lancet : « covid-19 » is not a pandemic »(([3] Lancet vol 396,10255 SEPT 2020 P 874)). La mortalité directe du Covid a touché essentiellement les plus de 80 ans et les conséquences se verront surtout sur tous les drames, non du virus, mais des mesures liberticides majeures prises par les pays soumis à l’ordre mondial dirigé au moins apparemment par l’OMS.

L’effet premier de la pseudo « pandémie » Covid est-il la perte de tout bon sens ?

QUELS SONT LES VRAIS MOTIFS D’UN PASSEPORT SANITAIRE ?

Notons qu’en ce début mai 2021, il est déjà refusé par les USA, la Russie, et l’Inde et singulièrement l’OMS. Mais l’UE, et la France à ses pieds sont plus extrémistes que tous les autres. Pourtant imagine-t-on la France se couper de sa riche clientèle américaine libre de circuler chez elle, ou bien imposer son passeport sanitaire aux Européens et pas à tous les autres voyageurs? On voit bien que tout cela est grotesque et a surtout dans l’immédiat le but de convaincre à la vaccination un maximum de Français et d’éviter d’avoir trop de doses inutilisées comme pour le vaccin H1N1.

NÉANMOINS LA TENTATION TOTALITAIRE EST PRÉSENTE

C’est la démocratie qu’ils veulent assassiner

Rappelons ici que le droit au mariage constitue l’un des droits humains fondamentaux, et que toutes les restrictions de liberté qu’on nous impose n’ont aucune utilité sanitaire démontrée. Elles ont totalement échoué et nous ont placés, en un an, parmi les six grands pays européens à la mortalité Covid19 la plus forte.

De même, la liberté de se réunir et de disposer de son corps représente un des droits humains essentiels.

Comme celui de refuser de prétendus vaccins (de fait produits de thérapie génique différents des vaccins classiques) totalement expérimentaux. Leurs résultats actuels en populations sont très inquiétants, car suivis de très fortes hausses post vaccinales des contaminations et des morts attribués au Covid19, pendant 4 à 6 semaines ainsi que l’illustre la comparaison des courbes OMS des épidémies en Grande-Bretagne que les médias érigent en succès.

Les Pays-Bas sont discrets, mais tellement plus efficaces, en ne vaccinant qu’avec discernement

On peut comprendre les difficultés extrêmes de nombreuses professions menacées de mort par les médias qui taisent les traitements précoces efficaces qui ont démontré tout leur intérêt dans les pays qui les ont utilisés.

Mais cela devrait les inciter à devenir des résistants, à combattre fermement la tyrannie au lieu de tenter des petits arrangements avec les tyrans. Les libertés ne se négocient pas, elles s’obtiennent et se défendent par la lutte ! La collaboration avec l’oppresseur affaiblit la résistance et doit être sanctionnée. Boycottons tous ceux qui prônent de pareilles mesures !

Se marier est un droit reconnu et protégé par des textes fondamentaux

Que ce soit l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1948, l’article 23 du Pacte International des droits Civils et Politique, l’article 8 et 12 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

La décision n° 2003-484 du 20 novembre 2003 du Conseil Constitutionnel a rappelé que la liberté matrimoniale est un principe à valeur constitutionnelle protégé par les articles 2 et 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

Le mariage comme les festivals doivent rester des fêtes. Limiter le nombre de personnes, leur faculté de choisir leurs tenues (en fermant des magasins jugés non essentiels), leurs modalités festives constitue des atteintes disproportionnées à ce droit.

Ces fêtes ne sont pas dangereuses

Après la fête de la musique, les fêtes sauvages techno ou pas, le carnaval de Marseille ou la réunion récente des Buttes Chaumont, les covidterroristes ont prétendu que leurs participants mettaient en danger autrui, les policiers ont parfois dérapé(([4] Vidéo exclusive : les images d’une opération de police qui dérape à Marseille La Provence 3/5/2021 https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6342405/video-exclusive-les-images-dune-operation-de-police-qui-derape-a-marseille.html)), et les procureurs ont poursuivi en justice leurs organisateurs.

Pourtant aucun de ces rassemblements n’a été suivi par le moindre cluster. Dans un monde où la raison dominerait, la charge de la preuve devrait incomber aux avocats du confinement et des mesures sanitaires, car ce sont eux qui ont abandonné 100 ans de sagesse médicale en santé publique et l’ont remplacé par des obligations jupitériennes non testées piétinant la liberté, le libre choix du médecin pour le traitement de son patient, et des droits de l’homme.

Des mesures sanitaires liberticides aux résultats catastrophiques

La chloroquine a été interdite de prescription au prétexte qu’il n’existait pas de preuve scientifique de son efficacité. Mais les mesures de restrictions de libertés ont été imposées alors qu’aucune preuve n’existe qu’elles puissent être utiles.

Et depuis un an, la totalité des études analysant les faits avérés montrent qu’elles ne modifient guère l’évolution de l’épidémie et qu’elles infligent des dommages considérables(([5] https://torontosun.com/opinion/columnists/canadian-experts-research-finds-lockdown-harms-are-10-times-gL Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,reater-than-benefits/wcm/cc911cf4-fb29-4cb7-9f7e-3d39b368fb6f/amp/?)) non seulement sanitaires (victimes collatérales par défaut de soins, troubles psychiques, suicides), mais aussi crise économique, explosion de la dette, massacre de l’enseignement, et de l’avenir des jeunes, chômage.

Les avocats français de ces mesures (J. P. Delfraissy et le conseil scientifique) se sont basés sur leur foi dans la prophétie de Ferguson (simple simulation mathématique totalement erronée).

Analysant les faits avérés, ils ont récemment reconnu la nocivité du confinement : « l’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».et la nécessité d’un changement de stratégie sanitaire(([6] Le Conseil scientifique retourne sa veste partiellement sur le confinement. L’heure des comptes approche-t-elle ? (francesoir.fr) )) : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie »

Les pays européens tels que la Biélorussie, les Pays-Bas, la Finlande et la Suède qui n’ont pas imposé ces mesures liberticides ont une mortalité Covid bien plus faible que la nôtre.

Les états américains qui ont supprimé la totalité de ces mesures abracadabrantesques, comme le Texas et le Mississippi, bénéficient de la poursuite de la décrue majeure de l’épidémie avant même que la vaccination ait pu agir, puisqu’au 23 avril 2021 moins d’un tiers de la population était vaccinée alors que ses promoteurs estiment que la couverture vaccinale doit atteindre 70-80% pour qu’elle soit efficace.

Le pass vaccinal témoigne d’une angoisse qui ignore la logique. Si l’on croit à l’efficacité et à l’innocuité du vaccin et si on a peur de la maladie, il est normal de se faire vacciner; mais si on croit que le vaccin protège le vacciné, il est totalement illogique de craindre le contact des non-vaccinés et incompréhensible de vouloir leur imposer un médicament expérimental, d’autant que le ministre lui-même reconnaît que la vaccination n’empêche pas les transmissions virales et que le Conseil d’État s’est rangé à son avis «les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. » (([7] https://www.europe1.fr/sante/le-conseil-detat-deboute-un-octogenaire-vaccine-qui-demandait-a-etre-deconfine-4035600)) (([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees))

Conséquences du pass vaccinal en France

Le pass vaccinal n’est pas recommandé par l’OMS ni par la Maison-Blanche, et interdit dans de nombreux États américains, car jugé contraire à la constitution. Ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne le prônent.

Imposer dans les restaurants, les hôtels, les festivals et autres lieux de culture et de spectacles français un tel pass vaccinal aboutirait à dissuader les clientèles étrangères de venir visiter la France, de fréquenter nos établissements et les inciteraient à se diriger vers des pays plus libres.

Ce n’est pas d’un pass repoussoir de clientèle que ces professionnels ont besoin.

Ce dont la France a besoin ce n’est pas d’un pass inapplicable que seuls quelques pays européens veulent imposer, mais du retour aux libertés de se déplacer et de travailler pour tous et de la liberté de prescrire pour les médecins.

L’exemple de tous les pays qui ont récemment tenté la suppression des mesures prétendument sanitaires montre que ce n’est pas dangereux.

Comme le disait Victor Hugo « la seule chose dont j’ai peur, ce sont des gens qui ont peur »

Boycottons les collabos
Privilégions les commerçants résistants que vous trouverez en consultant ANIMAP, le site des commerçants qui ne demandent aucune preuve de test ou de vaccin sur les sites

Et des appels à se liguer pour refuser le passeport sanitaire émanent de partout. Citons l’appel de Mike Yeadon relayé par le blog de jeannesmits (réf 8)

Le passeport vaccinal, un instrument de tyrannie durable, inédit, et absolu, selon Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer(([9] https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html)) 30 avril 21

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a évoqué il y a quelques jours les plans visant à étendre la mise en œuvre du passeport vert dans un appel public à la vigilance adressé à America ’s Front line Doctors, association de médecins qui soutient les traitements efficaces contre le COVID-19 et s’oppose à la vaccination au moyen d’un agent biologique expérimental :

« Nous y sommes en Israël maintenant, et le Royaume-Uni sera pareil dans quelques semaines. »

Emmanuel Macron a annoncé que le passeport sanitaire devrait être mis en place début juin en France pour autoriser l’accès aux grandes manifestations publiques. Ce ne serait pas un passeport vaccinal, mais de « statut COVID », puisqu’il faudrait apporter la preuve soit de la vaccination, soit d’un test covid négatif de moins de 48 heures, soit d’une infection ayant muni le porteur d’anticorps.

Ce que dit Mike Yeadon, les outils sont là : ce sont eux qui sont mis en place.

« Certains diront que cela relève du fantasme. Je les aide à l’espérer, comme le disait ma chère Maman. Mais sachez que d’ores et déjà en Alaska, un village interdit à ses habitants de faire leurs courses en personne si elles n’ont pas été vaccinées. Et là, pour le coup, il ne s’agit pas d’une mesure ponctuelle pour « stopper la pandémie » : il n’y a aucune raison de revenir en arrière. »

MESSAGE DE Mike Yeadon aux médecins américains de Front Line Doctors

  • « À vous qui pensez que les passeports vaccinaux sont bons, ou du moins corrects, je m’adresse à vous.
  • Si vous êtes une personne vulnérable et que vous avez été vacciné, vous êtes protégé. Vous n’avez pas besoin de connaître le statut immunitaire d’autrui. Remarquez que même s’ils ont été vaccinés, cela ne garantit pas qu’ils ne puissent pas être porteurs d’une seule particule virale et vous la transmettre. Il n’est donc pas utile pour vous ou pour votre sécurité de savoir que tout le monde a été vacciné.
  • Si vous avez refusé de vous faire vacciner, par exemple, parce que vous n’êtes pas exposé à ce virus, sachant que les jeunes sont PLUS exposés à la grippe qu’au COVID-19, vous n’avez pas non plus besoin de connaître le statut immunitaire des autres.
  • La vaccination protège ceux qui en ont besoin. Les passeports vaccinaux ne protègent personne.
  • Mais le passeport vaccinal est utile à nos maîtres. Il s’agira de la première base de données au format commun, utilisable de Boston à Bogota, contenant votre identifiant numérique unique et un indicateur d’état de santé modifiable (initialement relatif au statut vaccinal).
  • Celui qui contrôle cette base de données et tout algorithme régissant ce qu’elle autorise ou refuse, possède un contrôle absolument totalitaire sur tous les aspects de votre vie.
  • Imaginez un avenir dans lequel un passeport vaccinal valide serait nécessaire pour entrer dans un terrain de sport ou un musée. Passeport vaccinal invalide : pas d’entrée.
  • Imaginez maintenant que les règles soient durcies (et elles le seront). Désormais, vous ne pourrez plus entrer dans les grands centres commerciaux ou dans des hôtels sans un passe valide.
  • Ira-t-on plus loin ? Bien sûr, pourquoi pas. L’algorithme sera modifié et vous ne pourrez plus entrer dans les grands supermarchés ou prendre les transports publics.
  • Une étape tyrannique pourrait consister en une modification de Visa/MasterCard qui exigerait un passeport vaccinal valide AVANT qu’un terminal ne s’ouvre pour une transaction d’achat.
  • Dès lors, vous ne pourriez même pas acheter une bouteille d’eau. Ou du carburant. Ou quoi que ce soit d’autre.
  • Ping ! Votre passeport vaccinal vous ordonne de vous présenter pour votre rappel de vaccin. Si vous ne le faites pas, votre passe expire. Pensez-vous avoir le choix ?
  • Ping ! On vous rappelle que vous devez aussi amener votre petit-fils, car sa mère ne l’a pas fait. Si vous ne le faites pas, votre passe devient invalide, tout comme celui de la mère du bébé. Pensez-vous toujours que vous aurez le choix ?
  • Le fait que je puisse facilement trouver des exemples doit au moins vous indiquer que le potentiel de contrôle totalitaire de toute la population se trouve tapi comme un ver au centre de cet avenir orwellien.
  • Ce n’est pas de la spéculation. On nous dit que ce système est sur le point d’arriver. Vous serez contraint de vous faire vacciner ou vous serez rapidement marginalisé.
  • Une fois que vous serez vaccinés, les libertés limitées qu’ils vous accordent peuvent être retirées à tout moment.
  • Ne vous faites pas d’illusions en imaginant que « personne ne pourrait être aussi méchant ». Je vous renvoie à de nombreux exemples au cours du siècle dernier. Il y a beaucoup de gens mauvais et la seule différence ici est l’ÉCHELLE et la nature irréversible du mal.
  • Maintenant que vous avez vu ce qu’il est si facile de faire pour prendre le contrôle total d’une société entière, vous DEVEZ vous opposer et trouver des moyens d’empêcher un système de passeport vaccinal de voir le jour. Par tous les us et moyens nécessaires. Enfin, à ceux qui disent que tout cela relève seulement d’une série d’erreurs malencontreuses et de l’incompétence, je vous invite à regarder ce documentaire. Bien avant d’arriver à la fin, vous réaliserez, comme je l’ai fait avec une horreur croissante, qu’il ne s’agit absolument pas d’incompétence. C’est un exercice répété et des exercices de ce type sont utilisés pour des jeux de guerre depuis des années, voire des décennies. Cela vous fera peut-être changer d’avis sur les origines de ce désordre et de ces crimes. Mais s’il vous plaît, une chose : ne dites pas qu’on ne vous a pas prévenus. »(([10] © leblogdejeannesmits pour la traduction
    Les liens de partage sur les réseaux sociaux ne figurent plus sous les articles de ce blog. Censure ? Aidez-moi à faire circuler les informations ci-dessus en copiant ce lien permanent https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html pour le partager par courriel ou sur une plateforme que vous fréquentez. Merci !))

Vous êtes prévenus ! PRÉVENEZ VOS VOISINS ET AMIS.

RÉSISTEZ !





La mystification du Covid19 en Inde : les faits réels

Par Gérard Delépine

Étude basée sur les chiffres officiels de l’OMS

La propagande terrorisante redouble via le croquemitaine indien

Nous devrions plutôt envier l’Inde pour ses résultats anti covid-19 ! Le pouvoir, et les médias proches de lui sentent que la population française commence à ne plus supporter les mesures prétendument sanitaires imposées depuis un an. La population devient de plus en plus réticente à la vaccination.

Ils ont donc créé un nouveau croquemitaine anxiogène destiné à relancer la panique qui bloque réflexion et rébellion : le double variant indien.

À les entendre, l’Inde serait en passe de se transformer en pays de zombies, par une catastrophe sanitaire sans précédent, avec des scènes d’apocalypse, des hôpitaux débordés, des respirateurs absents, des morts abandonnés sur les trottoirs.(([1] Une vidéo montrant des victimes sur les trottoirs a été démasquée comme correspondant à l’accident))

Avant de croire ces désinformations du pouvoir et des médias, il faut considérer les faits, les faits avérés et publiés sur des sites fiables tels que celui de l’OMS ou du OurWorldinData.

En vérifiant vous-même, vous constaterez que l’Inde comptabilise depuis le début de l’épidémie, par million d’habitants, dix fois moins de morts attribuées au Covid19 que la France.

Au lieu de pleurer sur leur sort et se laisser terroriser par leur « variant » supposé nous envahir et nous tuer tous, nous devrions être jaloux des résultats indiens et essayer de comprendre comment un pays moins avancé se montre capable de nous surpasser à ce point.

Les faits bruts : une situation globale meilleure que la nôtre

L’Inde est un immense pays, un véritable continent. Sa population (1,3 milliard) est le double de celle de l’Europe et presque vingt fois celle de la France.

Ce premier mai 2021, d’après l’OMS sur son site WHO Covid19 Dashboard consultable à https://covid19.who.int/region/searo/country/in), l’Inde a comptabilisé au total 18 762 976 cas confirmés de Covid19 et 208 330 morts contre 5 505 700 cas et 103 540 morts en France.

La mortalité par million d’habitants s’élève à 160 en Inde contre 1586 en France. Dix fois moins !

Comparaison des mortalités entre Inde et pays européens

Ces excellents résultats sur la mortalité attribuée au Covid19 ne sont pas récents. La comparaison des mortalités quotidiennes par million d’habitants avec les pays européens reste constamment en sa faveur depuis le début de la crise.

Les graphiques suivants issus de OurWorldinData sont suffisamment explicites, qu’il s’agisse de la comparaison avec la Grande-Bretagne et avec les grands pays européens ou américains.

MORTALITÉ COMPARÉE Inde — Grande-Bretagne

La courbe de l’Inde en vert se situe tout en bas sur le graphique ci-dessus.

La comparaison des mortalités attribués au Covid-19 avec les autres grands pays d’Europe ou d’Amérique est également très parlante.

La courbe des décès de l’Inde établie au 23 avril 2021, en orange, se situe tout en bas sur le graphique. La mortalité y est la plus faible des grands pays ici comparés.

Ces résultats globaux sont d’autant plus remarquables que les services de soins de santé de l’Inde sont nettement inadaptés, marqués par l’insuffisance d’approvisionnement en matériel critique (oxygène, respirateurs) et en lits d’hôpitaux, situation aggravée par la spéculation et la corruption, au point que le gouvernement a annoncé que tout fonctionnaire qui serait pris en flagrant délit d’organiser sciemment la pénurie serait passible de la peine de mort.

Tout se passait bien sous traitements précoces et avant la campagne de vaccination

Parmi les hypothèses permettant de comprendre pourquoi l’Inde a aussi bien résisté au Covid19, alors que nous subissions la crise de plein fouet, il faut rappeler que la task force sanitaire indienne a d’emblée recommandé les traitements précoces et en particulier l’hydroxychloroquine(([2] HIMANI CHANDNA India’s use of chloroquine to prevent Covid-19 based on data from Chinese studies
Niti Aayog member V.K Paul, The print Z7/3/2020)) à tous les malades dès le premier signe clinique et même à titre préventif(([3] 4 or more hydroxychloroquine doses reduced risk of coronavirus in healthcare workers : ICMR study)) pour les personnes exposées (soignants et famille dont un membre était contagieux.)

Une augmentation récente des cas et de la mortalité à l’arrivée du vaccin !

La menace Covid-19 indienne paraissait sous contrôle jusqu’à l’introduction de la vaccination le 16 janvier 2021, et l’accélération de la campagne de vaccination depuis début mars utilisant principalement la version indienne de l’injection expérimentale d’Astra Zeneca.

À la fin du mois de mars, l’Inde avait administré au total 55 800 000 premières doses et réalisé 9 300 000 vaccinations complètes.

Comme ailleurs, aggravation de la situation avec la campagne vaccinale

Cette campagne de vaccination a été suivie d’une franche augmentation des contaminations, puis des décès comme le montre cette courbe de l’OMS.

Notez que les cas de COVID-19 étaient en baisse au moment du début de la vaccination.

Cette explosion de nouvelles contaminations et de décès suivant la campagne de vaccination est plus sévère dans les zones très vaccinées, ce qui suggère qu’elle pourrait avoir une part de responsabilité, plus que le double mutant repéré là-bas, mais pas plus fréquent dans ces zones.

L’État indien de l’Uttar Pradesh(([4] L’Inde est une république fédérale depuis 1950))

a recommandé le traitement prophylactique ZIVERDO (zinc, ivermectine, antibiotique) et vacciné 2,7 % de sa population. Il regroupe 15 % de la population indienne avec 5 % des cas, 6 % des décès, un taux d’incidence de 0,32 % et 4,47 décès pour 100 000 habitants.

L’État de Mumbai

très vacciné compte 9 % de la population, mais 25 % des cas totaux en Inde, et 35 % des décès (soit une mortalité supérieure à 50 pour 100 000 habitants).

Le même phénomène d’exacerbation de l’épidémie après la vaccination a été observé dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné et justifie la recherche d’un éventuel lien de cause à effet.(([5] Mise à jour le 30 avril 2021 dans :
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Cette relation possiblement causale est en tous cas apparue suffisamment évidente à de nombreux villageois hindous pour qu’ils chassent à coups de pierre les agents venus pour les vacciner !

Conclusions

Mise en perspective, la situation sanitaire en Inde n’a rien d’inquiétant, d’autant que le gouvernement indien a ralenti la campagne de vaccination.

Les 3000-3500 morts quotidiens rapportés en cette dernière semaine d’avril 2021 ne correspondent, à l’échelle de la France, qu’à 150-175 personnes, alors qu’au plus fort de la première vague, la France en comptait 3 fois plus.

La chronologie campagne de vaccination précédant une poussée épidémique, déjà observée dans tous les pays qui vaccinent beaucoup, soulève de véritables inquiétudes qui méritent des études épidémiologiques urgentes.

Il faut espérer que les nouvelles recommandations des autorités sanitaires indiennes, ajoutant l’Ivermectine aux autres traitements employés, permettront à ce grand pays de reprendre rapidement le contrôle de l’épidémie et de garder sa place de champion mondial anti covid des grands pays.





Et surgit une hécatombe post vaccinale !

Par Gérard Delépine

L’hécatombe mondiale post vaccin anti Covid19 va progressivement mettre fin au mythe vaccinal

Alors qu’une propagande sans pareil (et incompréhensible si le médicament était à l’évidence efficace et sans danger) et des mesures liberticides veulent nous imposer une prétendue « vaccination » par des médicaments nouveaux mal évalués, les résultats des premiers mois des campagnes citées partout en exemple comme succès sont marqués par une augmentation paradoxale des contaminations et de la mortalité dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné.

Les faits avérés

Sont illustrés par les courbes de l’OMS publiées sur son site WHO Covid19 Dashboard additionnées de nos commentaires en rouge.

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril sur les effets secondaires du vaccin Pfizer.(([1] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314))

« Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. « Il n’y a jamais eu de vaccin qui ait nui à autant de personnes… Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. En fait, janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle et totalise près du quart de la mortalité globale.

Au Chili, les contaminations et la mortalité ont augmenté depuis la vaccination

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination, des fortes hausses des contaminations (+150%) et de la mortalité (+140%) globales ont aussi été observées

Au Bahreïn

Mais aussi au Koweït : les quatre mois post vaccination comptabilisent presque autant de contaminations que les dix mois précédents et 40% des décès survenus depuis le début de l’épidémie.

Mais aussi en Mongolie

Mais aussi à Monaco qui comptait seulement 3 décès avant la vaccination et plus de 30 aujourd’hui

Et à Gibraltar

Que peut -on déduire de ces faits avérés ?

Que les essais de ces vaccins ont été insuffisants. Aucun n’est terminé et il eut été judicieux d’attendre les résultats de ces essais (prévus à partir de janvier 2023)

Aucun d’entre eux ne signalait la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires.

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives si une nouvelle poussée survenait.

La situation s’est heureusement stabilisée en Israël et en Grande Bretagne en même temps que dans des pays peu vaccinés comme la Suède et les Pays Bas qui ont traversé cette période sans exacerbation brutale post vaccinale.

La comparaison montre une amplification nette de la mortalité en GB très vaccinée par rapport aux Pays-Bas peu vaccinés. Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en GB (934/M) dépasse le double de celle des PB (411/M).

Hypothèses qui pourraient expliquer cette surmortalité

Les vaccins ne sont pas assez efficaces : ils n’empêchent pas d’être malade ni n’évitent la transmission virale à l’entourage, comme l’a précisé le ministre de la Santé français le 31 mars 2021. La trop faible concentration d’anticorps favorise l’aggravation de la maladie par le phénomène des anticorps facilitants et facilite l’apparition de variants résistants.

Certains variants seraient susceptibles de s’accompagner d’une augmentation considérable de l’incidence de la maladie et de sa mortalité pendant les 6 à 8 semaines qui suivent les premières injections.

Les vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper le Covid19

Que l’on soit président du Pérou (M Vizcarra), ancienne ministre de la santé (R Bachelot), chirurgienne (Joëlle Huth) ou pensionnaires d ‘Ehpad en France(([2] OBS Des résidents de maisons de retraite contaminés par des variants alors qu’ils étaient vaccinés contre le Covid 23/4/2021)) (([3] S AURENCHE RTL Les infos de 18h – Coronavirus : 47 résidents d ‘Ehpad contaminés malgré la vaccination 22/2/2021)) (comme dans de nombreux autres pays comme les USA(([4] États-Unis : un variant du Covid se propage dans une maison de retraite malgré la vaccination Le Figaro avec AFP le 24/4)), l’Allemagne, l’Espagne), les vaccins actuels n’empêchent donc pas d’attraper la maladie.

Le risque serait plus élevé après la première injection, mais une vaccination complète ne protège pas non plus ainsi que vient cruellement de le rappeler la déconvenue récente de deux retraités marseillais(([5] CLAIRE DOMENECH Pourtant vacciné avec Pfizer, un couple marseillais contracte le Covid-19 Capital 23/4/2021)) vaccinés au Pfizer.

On ne doit pas croire qu’en se vaccinant on se protège du Covid19 et les propagandes pros vaccinales visant à retrouver une vie normale via un passeport sanitaire ne sont que de la manipulation politique sans fondement scientifique.

Les vaccins actuels n’évitent pas de mourir de Covid19

L’ARS de Guyane vient d’annoncer la mort de covid19 de deux retraités malgré une vaccination complète.(([6] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/guyane-deux-personnes-vaccinees-decedent-du-covid-19-7239925))

Plusieurs pensionnaires des Ehpad précédemment cités et des nonnes du couvent de Kentucky sont morts de Covid alors qu’ils avaient été totalement vaccinés et vivaient dans un grand isolement depuis un an et même après la vaccination.

L’affirmation partout répétée que la vaccination protège des formes graves n’est donc pas vraie ainsi que l’a reconnu récemment notre ministre de la santé O. Veran :

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

(([7] Les propos hallucinants d’Olivier Véran « Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin… le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers » | Europe Israël news (europe-israel.org) ))

Les vaccins actuels ne préviennent pas la transmission de la maladie

C’est ce que rappelle le Conseil d‘Etat suivant en cela les affirmations du ministère(([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) dans un mémoire de réponse :

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ».

La vaccination peut favoriser l’apparition de variants

De nombreux chercheurs ont remarqué que la plupart des variants connus sont apparus dans les pays ou avaient été testés des médicaments (Remdesevir) ou des vaccins insuffisamment efficaces.

Cette hypothèse avait été soulevée par l’Académie de Médecine en janvier.(([9] le 11 janvier 2021 Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?))

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Et confirmée par JF Delfraissy et d’autres membres du conseil scientifique(([10] L Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,4)):

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin ».

L’échappement immunitaire par apparition des variants rend illusoire l’espoir de résoudre cette crise par les vaccins :

« ce changement du comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start ».

Cette incapacité à éradiquer l’épidémie par les vaccins rend encore plus indispensables les traitements précoces

Boris Johnson qui prétend avoir protégé son pays par les vaccins ne doit pas en être aussi certain, puisqu’il vient de promettre aux anglais qu’ils bénéficieront avant la fin de l’année de médicaments contre le Covid19 à prendre à domicile dès les premiers signes de la maladie.

Et pour confirmer sa promesse, il a alloué des sommes importantes au fond de recherche créé pour cet objectif.

Le Pr Éric Caumes, en février dernier a reconnu(([11] https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/lincorrect/covid-19-est-on-passe-a-cote-de-traitements-miracles/)): « cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. » Cette erreur est d’autant plus tragique que plusieurs traitements préventifs et curatifs ont démontré une très grande efficacité.

Même Olivier Véran a dû faire une “concession” au traitement précoce en admettant que les médecins généralistes pouvaient prescrire aux patients atteints de Covid-19 un antibiotique pour « éviter la pneumonie ». Il a de plus annoncé, le financement de 45 nouveaux projets de recherche appliquée(([12] https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/financement-de-45-nouveaux-projets-de-recherche-appliquee-sur-le-coronavirus)) sur le Coronavirus COVID-19 pour près de 22 millions d’euros et encourage les Français à participer aux études. Espérons seulement qu’il ne s’agit pas d’essais conçus et réalisés uniquement pour discréditer les traitements bon marché comme les fameux essais Discovery et Hycovid dont on attend toujours les résultats définitifs.

L’échec annoncé des vaccins impose de revoir complètement la stratégie sanitaire du gouvernement et devrait calmer l’arrogante campagne de publicité actuelle sur toutes les chaines TV recrutant comme agents de pub des personnalités aussi compétentes que A. Roumanoff. Misère.

Que chacun puisse juger librement et peser son propre bénéfice -risque mais sans culpabiliser ou traiter de débiles ceux qui n’ont aucune envie de jouer à la roulette russe ou au cobaye.





La « banalité du mal » : EHPAD, institutions pour handicapés…

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

La « banalité du mal » dans les EHPAD, les institutions pour handicapés et ailleurs…

Misère et silence sur le sort des handicapés en ces temps de coronafolie. Une bouteille à la mer

Chaque jour nous recevons des témoignages de personnes perdues, isolées, ne sachant comment et à qui s’adresser pour défendre des membres de leur famille. Que pouvons-nous faire pour elles en dehors de cette bouteille à la mer, afin qu’ils se reconnaissent et se regroupent ? C’est peut-être déjà le cas par des plaintes multiples mais invisibles car non relayées par les médias, cachées. Faites-le savoir, le cas échéant.

LE DIABLE EST DANS LES DÉTAILS

« Témoignage : ce que nous avons vécu. 

 “Je suis le frère d’une personne handicapée. Mes parents et moi, nous nous sommes toujours préoccupés de sa santé. Or la situation que nous vivons actuellement nous préoccupe beaucoup.

On a eu la chance d’avoir ma sœur pendant tout le 1er confinement, jamais malade, aucun symptôme durant cette période. À l’issue de cette période, début juillet, nous avons été les derniers convoqués par l’administration, avec d’autres parents, pour le retour de ma sœur dans le centre.

Ils nous ont expliqué les règles du retour et comment tout se passerait.

 Déjà certaines personnes s’opposaient à la vaccination que nous pressentions et au test PCR. Nous fûmes parmi ces personnes.

J’ai aussi profité pour parler de mes inquiétudes causées par le comportement de certains éducateurs. En effet, le nombre de fois où j’ai senti la fumée de cigarette à l’intérieur des bâtiments m’exaspérait surtout en pleine épidémie respiratoire. J’avais soulevé le problème, mais aucune réponse ne m’a été donnée sur ce point par les personnes de l’administration qui nous ont reçus.

 Arrive le deuxième confinement. Ma sœur est restée sans nous voir, seulement une heure par semaine.

 J’avais pourtant lu dans un article de journal sur internet, qu’un de mes collègues m’a montré, que les personnes handicapées pouvaient rentrer dans leurs familles pendant les weekends.

L’administration n’a pas pris une telle disposition. Malheureusement, j’ai perdu cet article de journal. Mais je me souviens l’avoir montré à une employée. La directrice a dit qu’il ne fallait pas croire tout ce qui est écrit forcément lors d’une convocation.

 Convocation qui a eu lieu le 30 novembre dernier pendant laquelle on nous a accusés de ne pas respecter les consignes de sécurité. La seule erreur de ma mère est d’avoir sonné et de se mettre à l’écart du bâtiment ensuite pour signaler notre présence. On ne savait pas à quel autre endroit joindre les éducateurs.

 On nous a reproché d’avoir caressé ma sœur alors que j’ai vu une des employées, le masque sous le nez mettre celui de ma sœur entourée de cinq autres employés qui n’ont rien dit.

Durant cette convocation tendue, il a été sujet de la vaccination.

 Ma sœur ne peut pas communiquer verbalement ou par écrit mais son avis lui aurait été demandé… Et si nous refusions on aurait été accusés “de ne pas respecter la volonté de ma sœur” si elle l’acceptait le vaccin.

J’ai été aussi accusé de critiquer le personnel, tout ça parce que j’ai fait part de mon exaspération quant à la fumée de cigarette qui circule dans le bâtiment. L’odeur est forte. Et combien j’ai vu d’éducateurs fumer près de personnes handicapées dans d’autres département aussi.

En décembre, on nous demande une lettre pour spécifier notre refus de la vaccination pour ma sœur. ce que je fis. Mais quelques jours après, j’apprends de la tutrice que la volonté de ma sœur serait recueillie alors qu’elle est dans l’impossibilité physique de communiquer comme nous.

Un courrier de l’administration nous incite à les faire vacciner ” pour le bien de la collectivité” et que la vaccination serait le seul moyen d’enrayer l’épidémie. Rien dans ce courrier mentionnait que le refus des familles serait respecté. 

J’ai donc écrit une lettre recommandée avec AR en justifiant notre refus avec des sources officielles. On a quand même reçu une lettre mentionnant qu’elle n’a pas été vaccinée. 

Aujourd’hui j’ai écrit une deuxième lettre avec aussi une autre mise en demeure pour refus des tests nasopharyngés après avoir pris connaissance de l’alerte de l’académie nationale de médecine. 

j’apprends ce soir même qu’elle sera isolée 10 jours durant car ils auraient trouvé un cas positif “non malade” chez ces adultes. Ma sœur serait un cas contact. Rien ne nous a été dit concernant les modalités d’isolement…”

J’ai peut-être oublié des choses. Mais voilà, je pourrais dire autre chose, des détails…  Mais ça en dit long sur la situation. » 

par L. Z.

CHAQUE JOUR DE PETITES VEXATIONS OU PIRE, DE L’ABANDON PAR ISOLEMENT

Ce vaccin « thérapie génique » expérimental est imposé de fait dans les Ehpad et dans les instituts pour handicapés sans respect de fait du Code de Nuremberg qui semble bien oublié.(([1] 
Imposer un vaccin expérimental ou la violation du code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg dans la loi soumise au parlement en novembre 2017 ? | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Sous prétexte de sécurité ou d’obéissance venue « d’en haut » de multiples petits « kapos » dignes des camps de concentration de la Deuxième Guerre mondiale se sont levés pour faire respecter l’ordre, leur ordre, leur petit pouvoir mesquin qui gâche la vie d’humbles citoyens INVISIBLES et en tous cas rendus invisibles.

Que pouvons-nous faire pour eux ? Pour cette femme dont on nous dit qu’elle ne peut communiquer mais que « son avis sera respecté pour l’accord du vaccin », alors que ses proches le refusent ?

LA BANALITÉ DU MAL

De façon plus générale, il est temps de réfléchir à nouveau à ces concepts oubliés et pourtant si présents, la banalité du mal, si bien explicitée (mais si longtemps incomprise) par Hannah Arendt qu’il est urgent de relire.

Le comportement de trop de soignants dans les Ehpad ou instituts d’handicapés, de médecins obéissants à la doctrine du non-soin imposé par le gouvernement pour la première fois depuis Hippocrate, soit 2500 ans, de citoyens ordinaires vis-à-vis de leurs familles ou dans les supermarchés envers une personne non soumise, qui porte la muselière sous le menton, nous a plongés en moins d’un an dans l’univers kafkaïen des descriptions de Primo Levi.(([2] Dans l’admirable recueil qu’il rapporta de l’horreur de la déportation : « Si c’est un homme ». Il le décrit ainsi : « son regard ne fut pas celui d’un homme à un autre homme ; et si je pouvais expliquer à fond la nature de ce regard, échangé comme à travers la vitre d’un aquarium entre deux êtres appartenant à deux mondes différents, j’aurais expliqué du même coup l’essence de la grande folie du troisième Reich. »))

Une expérimentation sur la population mondiale d’un potentiel modificateur du génome
Hitler n’a pas osé ou n’en a pas eu les moyens

L’acceptation quasi généralisée du « vaccin » de fait thérapie génique ou OGM, EXPÉRIMENTAL par les macroniens, mais plus invraisemblable par toutes les oppositions – sauf F. Philippot -, laisse pantois.  La revendication d’un vaccin obligatoire par aussi bien M. Lepen que J.-L. Mélenchon mais aussi des députés autrefois plus clairvoyants comme J.-C. Lagarde qui défendit les enfants atteints de cancer et la liberté thérapeutique, fait froid dans le dos. Le maire de Cannes faisait espérer un espoir de renouvellement à LR et nous démoralise en ouvrant ses centres de vaccination au lieu d’informer sur le caractère expérimental de ces médicaments qu’ils rêvent tous de nous imposer. Les Cannois ne sont pas mieux lotis que les Niçois, ce qui nous désespère.

Même Éric Zemmour ne dénonce pas haut et fort la transformation en rats de laboratoire d’une énorme partie de la population aveuglée, sidérée, apeurée. Sur qui compter ?

Comment un philosophe comme Onfray peut-il accepter voire prôner cet essai thérapeutique à échelle mondiale sans voir qu’il trahit ses congénères ? Comment tous les politiques marchent-ils dans l’intoxication et la multiplient et rivalisent sur le nombre de centres ouverts, mais pas sur l’information des cobayes qui ont remplacé les rats, puisque l’expérimentation animale a été sautée « faute de temps ». De fait elle avait été catastrophique dans les essais des précédents coronavirus, SRAS et Mers car les animaux vaccinés étaient décédés plus rapidement que les non vaccinés.

Si on vaccine quinze patients à l’heure, comment peut-on interroger, examiner, informer le cobaye et le surveiller un minimum de temps après la vaccination ?  Et certains commentateurs n’hésitent pas à prétendre que le Code de Nuremberg est dépassé, qu’il n’a pas valeur de loi… L’horreur est parmi nous, ouvrez les yeux et informez.

Ne criez pas que nous sommes loin du monde qui mena aux camps. Par acceptation quotidienne d’une petite dégradation supplémentaire et de l’humiliation, au contraire, chaque jour de soumission silencieuse, d’éloignement d’amis refusant les ukases de la secte covid nous en rapproche et il est encore temps d’ouvrir les yeux, afin d’éviter des années d’horreur.

La « Banalité du mal »(([3] Hannah Arendt et la banalité du mal (institut-éthique-contemporaine.org) )) est quotidienne à des degrés divers, mais chaque jour un peu plus qu’hier et moins que demain.

La « Banalité du mal est l’expression paradoxale, utilisée pour la première fois par Hannah Arendt, (philosophe juive réfugiée aux USA, auteur des « origines du totalitarisme »), à l’occasion du procès de Eichmann, responsable nazi capturé à Buenos Aires en mai 1960 par les services secrets israéliens, et jugé à Jérusalem en avril 1961.

Cette notion suscita une énorme polémique, tant elle paraissait inacceptable à l’époque, comme aujourd’hui encore, à chacun d’entre nous. Ces criminels nazis responsables des pires horreurs étaient de fait, semblables à nous tous.

« Voilà donc posée la plus grande interrogation pour la pensée : tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante. Certes, « il eût été réconfortant de croire qu’Eichmann était un monstre » écrit-elle. Pourtant, beaucoup lui ressemblaient : « ni pervers, ni sadiques ». Ces gens étaient « effroyablement normaux ».

L’inhumain en chacun d’entre nous

« La banalité du mal » est un concept philosophique d’une importance inégalée, car il pose donc la possibilité de l’inhumain en chacun d’entre nous. En cela, il est certes, novateur. Novateur et précisément attaché au XXe siècle, parce que « cette possibilité de l’inhumain émerge nécessairement de la nocivité d’un système totalitaire, et suppose que le crime soit commis dans des circonstances telles que les « criminels » ne puissent sentir ou savoir qu’ils font le mal ».

Elle suppose que le système totalitaire en place ait réussi préalablement à tuer « l’animal politique » en l’homme, qu’il veut rayer de la surface de la terre, pour n’en conserver que l’aspect biologique. Pour les nazis spécifiquement, il s’agissait, à travers la Shoah, de créer « l’espèce animale humaine ».

Pour ce faire, il s’agissait de déshumaniser l’homme en le dépolitisant, au sens étymologique du mot. Tendre à supprimer la chose qui faisait de lui un être humain, en détruisant d’abord ce qui le rattachait à une communauté. Ces condamnés faisaient alors l’insoutenable expérience de « non-appartenance » au monde qu’Arendt appellera : « la désolation ».(([4] Hannah Arendt et la banalité du mal (institut-ethique-contemporaine.org) ))  »

Le monde de « la désolation »

Ne reconnaissez-vous pas dans cette description de la dépolitisation progressive et la déshumanisation de l’être humain, ce que nous subissons depuis plus d’une année, avec les auto-autorisations, les contraventions pour surfer seul sur la mer ou bronzer seul sur la plage ou se promener seul à cheval en forêt, accusé sans fondement scientifique de mettre en cause la santé publique et de favoriser la dissémination du très malin virus venu d’ailleurs !

Si les foules se plient à ces rites débiles et constamment contradictoires, ce n’est que parce que nous sommes entrés pas à pas dans ce processus totalitaire de dénaturation de l’homme qui se transforme petit à petit en esclave.

OUVRONS LES YEUX. Ôtons les muselières infâmes et indignes.(([5] Procédure judiciaire de Maitre JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))  Refusons tous les codes et tous les signes de discrimination entre les humains !  L’étoile jaune, verte ou bleue comme le passeport vaccinal doivent être définitivement enterrés dans le fumier de l’histoire. Notons que ces signes d’horreur veulent nous être imposés pour des vaccins reconnus inefficaces contre la transmission virale par le ministre O. Veran(([6] Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation   le passeport est refusé par USA et OMS est-ce difficile de le faire savoir ?)) (([7] http://echelledejacob.blogspot.com/2021/04/effets-secondaires-en-europe-sur-les.html)) et/ou des tests PCR condamnés en justice dans plusieurs pays du monde pour supercherie. Ne sommes-nous pas déjà robotisés ?(([8] 
L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)
Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr 
RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf))

« Le mal dans sa forme extrême et dans sa forme banale devient un refus de communiquer avec l’autre, de le reconnaître comme tel, comme si l’identification à la loi se substituait à l’identification au semblable. C’est d’ailleurs ainsi qu’Arendt délie volonté et responsabilité.(([9] Voir Hannah Arendt, Responsabilité et Jugement, Payot, 2005)) On peut faire le mal sans le vouloir, avoir le sentiment de faire son devoir et pourtant être responsable. Telle est la leçon donnée par le procès Eichmann. Telle est la leçon philosophique capitale que nous propose Hannah Arendt, dont le concept de « banalité du mal » n’a pas fini de nous laisser penser, en ce nouveau siècle. »

Il est probablement encore temps d’en sortir avant de nouveaux épisodes encore plus tragiques déjà envisagés et matérialisés par des locaux adéquats (camps), comme la séparation des familles, les enfants enlevés aux parents récalcitrants, etc.

Les foules se lèvent en Angleterre, aux Pays- Bas, en Suisse et ailleurs contre l’épouvantable passeport vaccinal qui transformerait notre France en univers policier chinois.

Des avocats accumulent les preuves pour un Nuremberg 2.(([10] COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les habitants du Texas et du Mississippi ont repris une vie normale et sans obligation vaccinale et la situation sanitaire de ces deux États s’est franchement améliorée depuis cette libération. Les vaccinodromes américains ferment faute de clients.

Mississipi.jpg (605×340)

Les Français seront-ils les derniers à se lever pour brandir à nouveau le drapeau de la liberté ?

Nicole Delépine





Le NHS anglais passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Après le CDC(([1] Center for disease control and prevention USA)), le NHS(([2] National Health Service (NHS) système de la santé publique du Royaume-Uni, fournit l’essentiel des soins en Grande-Bretagne, fondée en 1948)) anglais passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19

« Ils vous mentent – Les données officielles du NHS montrent que seulement 3 542 personnes sont réellement mortes de COVID-19 »

(([3] They’re lying to you – Official NHS data shows only 3.5K have died of COVID-19 – Daily Expose))

À l’instar des Français, les Anglais ont été confinés pendant de longs mois avec, comme chez nous, le slogan mensonger « sauvez des vies » destiné à calmer les peuples.

Le journal « the Daily News » revient sur les milliers de vies perdues faute de soins, faute de travail et de ruines des entreprises.

Le peuple anglais (comme le nôtre) a toléré l’intolérable pour sauver des vies. On lui a fait croire que 125 000 personnes étaient décédées directement du Covid-19 et que beaucoup plus seraient décédés sans les mesures de confinement. En France, le Président surfe sur les « cent mille morts » qui sont aussi très contestables et contestés.

Aujourd’hui l’énormité du mensonge dont ont été victimes les Anglais est démontrée par l’examen des données officielles du NHS résumées dans le document « Covid-19 et décès totaux » que les journalistes du Daily ont examiné en détail.

Un tableau fournit la ventilation des 86 308 décès présumés de Covid-19 survenus jusqu’au 31 mars 2021 en nombre de personnes ayant une maladie préexistante et en personnes dépourvues de maladie préexistante.

Sur les 86 308 décès survenus chez des personnes avec résultat positif au test de dépistage du « Covid », 82 766 le sont des suites de conditions préexistantes. Seulement 3 542 personnes sans comorbidités connues sont mortes.

Cela ne signifie pas que les 3 542 morts sans conditions préexistantes connues soient effectivement morts de Covid-19. Cela signifie simplement qu’ils n’avaient pas d’autres maladies connues susceptibles de les tuer. Il est tout à fait possible qu’ils soient morts d’autres causes, comme d’un accident de voiture par exemple.

ENREGISTREMENT DE TOUS DÉCÈS DE PATIENTS POSITIFS EN COVID-19

C’est tout à fait possible car les ordres ont été d’emblée d’enregistrer les décès « comme Covid » pour toute personne décédée dans les 28 jours suivant la réception d’un test positif pour le SRAS-CoV-2 !

Sur les 82 766 décès survenus dans les hôpitaux chez des personnes avec test positif pour le SRAS-CoV 2 et affections préexistantes, 14 090 d’entre eux avaient une maladie rénale chronique. « Cela représente plus de 11,2 % des 125 000 morts qui ont été utilisés pour justifier la tyrannie dictatoriale de l’année écoulée ».

Le NHS liste 62 054 de ces conditions sous-jacentes comme « autres » ; 13 391 des 82 766 décès étaient dus à une maladie pulmonaire chronique, 13 495 étaient atteints de démence et 8 544 avaient une maladie cardiaque, tous présumés « Covid ».

602 DÉCÈS CHEZ LES MOINS DE 60 ANS SANS MALADIES PREEXISTANTE !

Le plus grand nombre de décès à test positif (45 127) est survenu chez les personnes âgées de plus de 80 ans souffrant de maladies graves préexistantes.

Chez les personnes âgées de 60 à 79 ans à test positif et comorbidités, 31 522 décès ont été comptabilisés.

Chez les moins de 60 ans, depuis le début de l’épidémie, dans les hôpitaux anglais, il n’y a eu que 602 décès survenus chez des personnes testées positives sans comorbidités, et 5 569 chez des personnes testées positives et souffrant de maladie préexistante.

Le Daily se demande l’intérêt des autorités anglaises d’avoir bloqué toute une population qui ne risquait pratiquement rien du Covid-19.

« Les écoliers ont vu leur éducation stoppée, les adolescents ont vu leur jeune vie ruinée, de nouveaux parents ont été laissés isolés pour lutter seuls sans l’aide de leurs familles, la liste est sans fin ».

La majorité des décès qui peuvent effectivement être dus au Covid-19 (seulement 3 542 en tout) se sont produits, dans la très grande majorité chez des personnes âgées de plus de 75 ans.

Le gouvernement britannique a fourni une carte des « décès survenus dans les 28 jours suivant un test positif » par date de décès et par âge.

Les décès covid les plus fréquents se sont produits chez les personnes âgées de 90 ans et plus.

Le groupe d’âge suivant avec le plus de décès étant 85-89, puis 80-84 et ainsi de suite. Il y a une diminution générale du nombre de décès jusqu’à environ 65-69 ans.

Ensuite nous voyons une chute spectaculaire (proche de zéro) pour les personnes âgées de moins de 60 ans.

« L’espérance de vie moyenne au Royaume-Uni est de 81 ans. Pourtant, le Royaume-Uni a appliqué la tyrannie dictatoriale, détruit l’économie, décimé les entreprises et les moyens de subsistance des gens et créé un flot de problèmes de santé mentale pour éviter la mort de gens qui ont vécu plus longtemps que l’espérance de vie moyenne de 81 ans ».

IT’S ALL A LIE Le 13 avril 2021 dans « Breaking News »

L’enquête sur les données Office national des statistiques National Health Service pour l’année de Covid-19 révèle le plus grand mensonge du siècle.

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Nicole Delépine





Le sacrifice des enfants par un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aïeux

Par Nicole et Gérard Delépine

Le sacrifice des enfants par un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aïeux(([1] Children Next to be Sacrificed to COVID-19 mRNA Injections as 12-Year-Old Girl is Paralyzed During Trials (healthimpactnews.com) ))

[Illustration : Offrande à Moloch par Charles Foster]

Alors que depuis un an, nous nous efforçons de rappeler que les enfants sont « innocents du covid-19 », qu’ils ne transmettent pratiquement pas le virus, ni aux autres enfants ni aux adultes, nous découvrons avec horreur les projets de vaccination large des enfants de l’UE dans le fallacieux espoir d’interrompre la transmission virale avec des vaccins.

Ne jetons pas aux oubliettes plus de deux millénaires de progrès. Ne nous conduisons pas comme les Carthaginois du roman de Flaubert(([2] Salammbô est un roman historique de Gustave Flaubert, paru le 24 novembre 1862 chez Michel Lévy frère qui relate de manière romantique la révolte des mercenaires contre Carthage.)) en exposant des enfants innocents au Dieu vaccin Covid19 qui deviendrait alors le digne héritier du dieu Moloch.

Il est urgent d’agir, de se réveiller, de refuser de sacrifier nos enfants à nos angoisses amplifiées par la propagande terrorisante des médias aux ordres de quelques milliardaires qui tentent de transformer notre civilisation, voire de la liquider.

Les enfants ne risquent rien du coronavirus

L’étude de la littérature internationale démontre que les enfants ne sont pas menacés par cette épidémie.

Toutes les séries rapportées,(([3]
►Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
►Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. Mar 23, 2020; 35(11)
►LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.
►Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. Apr 7, 2020. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
►Ya-Nan Han et al. A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
►Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
►Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.)) tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, et qu’il risque moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.

Aucun mort uniquement dû au Covid-19 n’a été recensé en France depuis quinze mois sur près de douze millions d’enfants âgés de moins de quinze ans (les trois morts testés PCR positifs étaient de grands immunodéprimés) alors que la grippe a fait en moyenne 8 victimes annuelles dans ce groupe d’âge.

L’OMS confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien.

Chez les enfants, ce risque infime fait qu’aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination, alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu’à la mort, sont rapportées dans les médias.

Les enfants ne transmettent pas le virus

Les médias et le gouvernement tentent de nous effrayer avec des enfants dépistés positifs, mais ne précisent jamais que les asymptomatiques dépistés « positifs » ne sont pas des malades, n’excrètent pas le virus et ne peuvent donc pas contaminer leur entourage.

Si beaucoup d’émissions TV ou radio nous présentent « Mme Duchnok dont le fils aurait contaminé le professeur », aucune étude scientifique sérieuse ne l’a démontré. Parmi les 11 703 études internationales recensées sur la base de données PubMed le 25 avril 2021 sous les termes « Children Covid19 » dont 1849 avec « Children Covid19 transmission », on n’en trouve aucune qui rapporte avec certitude la contamination d’un autre enfant ou même d’un adulte en éliminant toutes les autres sources possibles. 

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 15 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al. pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois(([5] Fontanet et al. SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville(([6] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)) du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants de la naissance à l’âge de 15 ans et permet de conclure que :

« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et il n’y a pas de cas d’enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans(([7] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD) )) et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande(([8] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903)), avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie,(([9] D’après l’Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.who.int/vaccine_safety/initiative/communication/network/ncirs/en/
Et Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([10] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)): sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce,(([11] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece: a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ; 10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394)) l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour,(([12] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19: cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/features/covid-19)) deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([13]
►Weiyong Liu. et al.: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
►Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/S1473-3099(20)30232
►Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
►Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
►Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars))

Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.

Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s’agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90 %), ou d’infections anciennes qu’ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris.

La fréquence de ces faux positifs chez les asymptomatiques est considérable : 97 % des cas lorsque le test PCR est réalisé avec un nombre de cycles d’amplification trop élevé). L’OMS a récemment recommandé de toujours considérer l’état clinique avant d’interpréter un test qu’elle ne juge pas utile pour un dépistage massif.

La parfaite inutilité des dépistages systématiques a été démontrée par les plus massifs d’entre eux, celui de Wuhan portant sur près de 10 millions de Chinois : aucun des asymptomatiques PCR positifs ne s’est révélé excréteur de virus, n’est devenu malade ni n’a contaminé quiconque.

Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l’objet d’une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu’elles sont liées au personnel adulte. Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie, leur vaccination, même si elle était efficace et sans danger ne servirait à rien pour protéger les autres.

Allons-nous répéter les expériences nazies des vaccins ?

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants : « La santé de mon patient sera mon premier souci »

et le Code international d’éthique médicale énonce que « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ». Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants pour protéger autrui viole donc aussi les principes éthiques de la médecine.

Moderna et Pfizer ont annoncé récemment qu’ils commençaient des essais de leurs « vaccins » anticovid (de fait injections d’ARNm COVID) sur des enfants âgés de 6 mois à 11 ans. Plusieurs essais sont déjà visibles sur la base de données internationale clinicaltrials.gov disponible pour tous.

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Moderna a actuellement un essai en cours avec des enfants âgés de 12 à 17 ans avec environ 3000 participants.

Ces essais thérapeutiques sans intérêt médical ne sont pas sans risque : une jeune fille de 12 ans nommée « Maddie » en est déjà la victime, paraplégique.(([14] chaîne YouTube nommée WhatsHerFace ou sur la chaîne Rumble et la chaîne Bitchute si censure))

Si vous lisez en détail le descriptif de l’essai thérapeutique (tapez Covid19, Moderna ou Pfizer par exemple et children), vous voyez qu’est exigé le « consentement éclairé » des parents. Comment ce consentement peut-il être véritablement éclairé alors que cette maladie ne touche pas les enfants et qu’ils ne la transmettent pas aux adultes ? Même si tel était le cas, il ne serait pas éthique de se servir des enfants pour protéger d’autres humains et contraire au code de Nuremberg qui spécifie clairement que l’avantage supposé doit d’abord être direct. Quel bénéfice-risque quand la maladie est absente dans cette tranche d’âge ?

Le code de Nuremberg suivi des conventions d’Helsinki et d’Oviedo est formel. Ne pas les respecter nous ramène au temps des nazis. Sacrifier des enfants à la recherche est inacceptable. Mais à quelle époque cela nous ramène-t-il ? Comment pouvons-nous en arriver là ? Le sacrifice de son enfant à des fins de pratiques occultes a existé tout au long de l’histoire humaine. En est-on revenu à ces coutumes au moment où l’on s’apprête à conquérir Mars ? Ou bien les élites ont-elles comme certains le prétendent usé de pratiques infâmes qu’elles chercheraient à laver ?

La science corrompue suit une dérive sectaire

Les humains vivant en 2020 ont-ils été tellement paniqués par cette mascarade du coronacircus qu’ils ont besoin, comme de lointains ancêtres, de sacrifier aux puissances occultes qu’ils imaginent leur avoir infligé cette pandémie ?

« Les hommes ont toujours cherché à s’attirer les bonnes grâces de la divinité en particulier par la pratique des sacrifices. Sacrifier, c’est “faire sacrer” : une offrande passe dans le domaine divin et, en retour, le prêtre transmet des dons du ciel, tels que bénédictions, instructions, pardon ».

(([15] Les sacrifices dans la Bible | S.B.E.V. (bible-service.net) ))

« Sacrifices humains ? Le sacrifice humain est considéré comme une abomination en Israël et Juda… où cette pratique a néanmoins existé ! Sous l’influence des peuples voisins ? À Gezer (à mi-chemin entre Jérusalem et la Méditerranée, au N-O), près d’un lieu de culte cananéen, on a retrouvé des squelettes d’enfants. Au IXe siècle av. J.-C., un prince de Jéricho sacrifie son fils aîné lors de la reconstruction de la ville (1 Rois 16,34). À Jérusalem, au VIIIe siècle, les rois Achaz et Manassé commettent des actes semblables (2 Rois 16,3 et 21,16). Au VIIe siècle, le prophète Jérémie témoigne : “Les Judéens érigent le tumulus de Tafeth pour que leurs fils et leurs filles y soient consumés par le feu” (7,31). En cas de détresse, offrir ce que l’on a de plus cher demeure donc une tentation constante et cela, jusqu’au moment de l’Exil. Après l’Exil, quand le livre de l’Exode est mis en forme, il sera affirmé que tout premier-né “appartient” au Seigneur, mais qu’il faut le “racheter” par un animal (Ex 13,2.13 et 34,19-20) : le Seigneur est le Dieu de la vie »., © SBEV. Maurice Autané.

Une telle croyance est basée sur la peur, et ceux qui vendent cette peur agissent pour les intérêts de ceux qui vendent les « médicaments » pour nous protéger soi-disant de la chose redoutée. Tout au long d’une grande partie de l’histoire, la « santé » a été considérée principalement comme une question spirituelle, et si l’on était « malade », on rendait visite à un « prêtre » en son temple pour trouver comment apaiser les esprits, ou les dieux par une offrande, un ex-voto. »

On peut se demander si la « science » absolutiste qui a oublié le doute fécond et la discussion ouverte indispensable aux progrès n’a pas remplacé la religion de plus en plus absente de notre civilisation occidentale. La fameuse prophétie de Malraux (ou pas) sur « le XXIe siècle qui sera religieux ou spirituel ou ne sera pas » s’illustre au mieux dans nos nouvelles pratiques quasi barbares.

Les nouveaux ayatollahs des plateaux télé qui prétendent tout savoir, tout prévoir et veulent tout imposer relèvent plus de la secte que de la vraie science noyée par la corruption, tricheries, et manipulations élaborées. Ils sont même apparemment prêts à imposer des pratiques ancestrales et cruelles comme le SACRIFICE de nos enfants à travers une expérimentation mondiale de produits susceptibles de modifier le patrimoine génétique de l’humanité s’ils sont injectés à suffisamment de cobayes. Tragédie moderne.

« Les gens font confiance à ces autorités pseudo médicales ou pseudoscientifiques de la même manière que les croyants font confiance aux prêtres, pasteurs, imams ou autres autorités religieuses. Ces parents ignorants qui inscrivent leurs enfants à des essais expérimentaux covid-19 “vaccin” suivent le même chemin que les anciens qui ont écouté les autorités responsables de leur époque, et ont sacrifié leurs enfants aux prêtres pratiquant la sorcellerie ou la magie, leur faisant confiance et croyant qu’ils faisaient réellement quelque chose de bien pour eux-mêmes et leurs familles. »

Comment protéger vraiment nos vieillards ?

Les pays européens qui ont suivi les consignes de Ferguson et de l’OMS (confinement généralisé et absence de traitement précoce) souffrent des mortalités covid19 les plus élevées par million d’habitants (au 25/4/21 : 2070/M pour la Belgique, 1940/M en Italie, 1877/M au Royaume-Uni, 1563 en France).

Nos gouvernants ont parié que la fin de crise serait obtenue par des traitements nouveaux ou des vaccins, mais le Remdesevir s’est révélé un traitement hors de prix toxique et incapable de diminuer la mortalité.

Les vaccins actuels apparaissent beaucoup moins efficaces et plus toxiques que proclamés par les communiqués de victoire des laboratoires et incapables de prévenir la transmission. O Veran l’a reconnu ainsi dans un mémoire récent au Conseil d’État « les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». De plus d’après les membres du comité scientifique dont Delfraissy(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)) les vaccins suscitent l’apparition de variants contre lesquels ils sont inopérants : « Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. … La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme.

À ce jour l’Inde a subi le plus grand nombre mondial de contaminations (16 960 172 cas confirmés) et malgré la faiblesse de son réseau de soin elle compte proportionnellement dix fois moins de victimes que la France (148/M contre 1563/M) et la décision de son comité sanitaire de recommander des traitements précoces et même parfois préventifs (dont la chloroquine) en est certainement responsable.

Boris Johnson a enfin compris que les vaccins ne constituent pas la solution et l’importance de traiter précocement l’infection pour prévenir les aggravations(([17] Agence Reuters British PM Johnson launches search for COVID-19 antiviral treatments 20/4/2021.)) ; il vient de débloquer des fonds conséquents pour réaliser des essais et promet : “avant la fin de l’année, les Anglais infectés pourront être soignés à domicile avec des médicaments, pour réduire le besoin de lits d’hôpital”.

Serons-nous encore une fois les derniers à admettre l’importance des traitements précoces ?

Pour sauver nos vieux, il ne faut pas vacciner les enfants ;
il faut laisser les médecins prescrire !





HEUREUX TEXANS ENFIN LIBRES !

Par Nicole Delépine

La dictature sanitaire imposée depuis un an est un dramatique échec

Depuis plus d’un an, nous subissons une politique totalitaire absurde appuyée par une propagande terrorisante diffusée par tous les médias. Plus de contacts sociaux, arrêt des activités scolaires, universitaires et sportives. Interdictions de travailler pour la plupart des professionnels du spectacle, de la restauration. Astreinte à domicile de la population saine, emprisonnement des pensionnaires d’EHPAD même vaccinés, masques obligatoires même pour les enfants, même à l’extérieur, même seul en forêt ou en montagne. Et ce pour suivre une prophétie apocalyptique, sans aucune justification scientifique basée sur des faits.

Vue d’Allemagne, la France est devenue l’Absurdistan

Un an de cette expérience sociale jusqu’ici inédite montre que la prophétie de Ferguson de l’Imperial College, conseiller de B. Johnson et de l’OMS, basée sur des hypothèses inexactes, était totalement fausse, surestimant les risques réels de la maladie par presque dix. Aucun des pays qui ont refusé d’appliquer le confinement aveugle qu’il proclamait indispensable n’a subi les décès annoncés ni vu ses hôpitaux débordés.(([1] L’Hôtel Dieu sur l’ile saint Louis à PARIS vient de fermer cent lits pour tourner un fil de JJ Annaud… Que dira Castex ce soir sur le manque de lits parisiens ?))

L’analyse rétrospective des données de l’OMS prouve que ces mesures liberticides ont été totalement inefficaces sur l’épidémie. La France se situe actuellement dans le top 6 des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants attribuées au Covid19 avec tous les autres grands pays européens qui ont appliqué cette politique de confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants). L’inefficacité de ces mesures liberticides est affirmée par toutes les études scientifiques publiées par des analystes indépendants des gouvernements qui les ont imposées et des élèves du prophète Ferguson. La comparaison avec l’évolution des pays qui ne les ont jamais appliquées comme la Suède, la Finlande, la Biélorussie qui pleurent beaucoup moins de victimes directes et collatérales que nous, est cruelle.

Conséquences dramatiques des confinements

De plus, la nocivité considérable de ces mesures est maintenant avérée avec de graves pertes de bien-être actuel et futur, dues au chômage, à la pauvreté, à l’insécurité alimentaire, à l’interruption des soins de santé préventifs, diagnostiques et thérapeutiques, à l’arrêt de l’éducation de la jeunesse, à la solitude et à la détérioration de la santé mentale et à la violence conjugale.

Ces dégâts dus au confinement sont aujourd’hui reconnus même par ceux qui en ont été les avocats comme l’expert canadien Anthony Furey(([2] Les méfaits du verrouillage sont 10 fois plus importants que les avantages
https://torontosun.com/opinion/columnists/canadian-experts-research-finds-lockdown-harms-are-10-times-greater-than-benefits/wcm/cc911cf4-fb29-4cb7-9f7e-3d39b368fb6f/amp/?)) et des membres du comité scientifique français (Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy) dans un court article au Lancet.(([3] Laetitia Atlani-Duau, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021))

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».

Leurs conclusions sont claires.

« Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».

Mais la majorité des politiques ne savent pas comment abandonner cette politique catastrophique de la peur sans perdre la face ?

Il faut en effet l’honnêteté des Scandinaves pour reconnaître comme Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique : « les résultats obtenus avec confinement ou sans confinement auraient été similaires ».

Soulignons encore l’honnêteté et le courage dont a fait preuve la Première ministre norvégienne Erna Solberg lors d’une allocution à la télévision norvégienne.

« Certaines, voire la plupart, des mesures sévères imposées, comme la fermeture des écoles, n’étaient peut-être pas nécessaires. J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur »

Il lui aurait été tellement plus facile de se glorifier d’une des plus basses mortalités européennes, attribuée au Covid19. Au 20/4/21 la Norvège compte 162 morts par millions d’habitants contre 1540 en France.

Mais reconnaître ses erreurs n’est pas une attitude habituelle de nos dirigeants

L’espoir de la sortie de crise par les vaccins s’évanouit avec les mutants

La prophétie de Ferguson prévoyait la fin du confinement avec l’arrivée d’un médicament nouveau (tel que le Remdesevir(([4] Dont l’usage pour le covid19 a été condamné depuis par l’OMS)) ) ou des vaccins. On peut même se demander si le seul but de ses colossales « erreurs » de prévision n’était pas de faire la promotion de médicaments nouveaux créant ainsi un marché mondial colossal.

Mais les vaccins, toujours expérimentaux (les premiers résultats définitifs sont espérés pour 2123), mis trop rapidement sur le marché, sont suivis de trop nombreuses complications observées même chez des personnes qui ne risquaient rien du Covid19 (les moins de 60 ans) et pour lesquelles la balance avantage risque est considérablement négative.

De plus, l’espoir de contrôler l’épidémie par les vaccins semble s’évanouir avec l’évasion immunitaire liée à l’apparition de mutants de plus en plus nombreux.(([5] Callaway E La variante COVID à propagation rapide peut échapper aux réponses immunitaires.
La nature. 2021 ; 589 : 500-501)) (([6] Hie B, Zhong ED, Berger B, Bryson B Apprendre le langage de l’évolution virale et de l’évasion.
La science. 2021 ; 371 : 284-288))

Au point que le comité scientifique le reconnaît à demi-mot :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin.  Cette évolution, associée à l’émergence de mutants d’échappement immunitaires, a été observée non seulement avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Une telle évolution pourrait être assistée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. L’arrivée rapide des variantes du SRAS-CoV-2 telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. »

« Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouvelles variantes émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

L’exemple de la recrudescence brutale de l’épidémie et du reconfinement récent de la population chilienne, pourtant la plus vaccinée d’Amérique latine, l’illustre clairement.

Pour retrouver sans risque nos libertés, laissons les médecins prescrire

Jamais dans l’histoire de notre pays des gouvernants n’avaient interdit aux médecins de traiter leurs malades. Ce gouvernement l’a fait ! Et cette décision sans précédent est vraisemblablement responsable de 30000 à 50000 morts de Covid19. L’Inde dont le système hospitalier est en plus mauvais état que le nôtre et qui compte le plus grand nombre de contaminés du monde a recommandé les traitements précoces par chloroquine dès avril 2020 et compte actuellement 12 fois moins de morts par millions d’habitants que nous.

Il est vrai que l’un des objectifs de santé publique de notre ministre de la Santé semble de mettre à l’écart des décisions médicales le corps médical, comme le confirme sa politique de vaccinodromes malgré l’échec de sa campagne H1N1.

Il faut oser revivre ! Suivons l’exemple du Texas

Rappelons les conclusions du rapport d’António Guterres, neuvième Secrétaire général des Nations Unies présenté le 23 avril 2020 soulignant comment les droits de l’homme peuvent et doivent guider la réponse et le rétablissement du COVID-19. Malheureusement ce rapport a été trop ignoré dans la pratique.

« Les gens — et leurs droits — doivent être au premier plan. Plus que jamais, les gouvernements doivent être transparents, réactifs et responsables. L’espace civique et la liberté de la presse sont essentiels. Les organisations de la société civile et le secteur privé ont un rôle essentiel à jouer. »

Les mesures liberticides qu’on nous impose inutilement et la propagande de la peur détruisent tout ce qui fait notre civilisation. L’homme est un animal social ; sans ces contacts nous perdons notre humanité. Osons revivre comme des hommes civilisés ; n’ayons plus peur de vivre. Redonnons espoir aux Français et tout particulièrement à notre jeunesse. Libérons-la. Libérons-nous.

Ces mesures prétendument sanitaires n’étaient pas nécessaires. La Suède, la Finlande, les Pays-Bas, la Biélorussie qui ne les ont pas imposées à leurs peuples ont une mortalité attribuée au Covid19 plus faible que la nôtre. Et les états qui s’en affranchissent ne voient pas l’épidémie revenir.

Contrairement aux « covidterroristes » qui prétendent sans preuve scientifique que l’obligation de port généralisé du masque est utile(([7] L’unique étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 « Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial » n’a pas pu mettre en évidence d’effet significatif protecteur du port du masque consultable à https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/m20-6817)) et qui comme Karine Lacombe affirme que sa suppression sera difficile : « ça, ce sera très compliqué, probablement pas avant 2022 », la suppression de cette obligation est sans risque et ne semble perdurer que pour alimenter la peur et la soumission.

Au Texas, le gouverneur Greg Abbott a supprimé l’obligation de port de masque, par décret le 2 mars 2021 et levé toutes les autres restrictions.

Le président Biden avait critiqué cette décision en la qualifiant de « pensée néandertalienne » et le directeur du CDC Fauci prévoyait que la mortalité allait exploser.

Pourtant la réouverture des écoles et universités, des commerces et des compétitions sportives au public ne s’est pas accompagnée de recrudescence de l’épidémie ! Au contraire, depuis la reprise d’une vie normale, la mortalité quotidienne attribuée au Covid19 diminue au Texas, alors que ce n’est pas toujours le cas dans les états qui vaccinent largement et maintiennent les restrictions de liberté !

Et ce n’est pas la vaccination qui a permis ce recul de la mortalité, car moins de 10% de la population du Texas est actuellement vaccinée.

Pendant ce temps, dans le Mississippi, qui a levé son obligation de port du masque le 3 mars, il y a eu une baisse de plus de 50% des cas suspects de Covid19.

En matière de santé aussi la démocratie est plus efficace que la dictature !

Suivons l’exemple de ces états américains. Libérons-nous !





COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ?

Par Nicole Delépine

Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

Acceptons-en l’augure !

https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d’après les participants.

Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

2020News publie le texte de son discours ici.

EXTRAITS LIBRES

« Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd’hui 

  • non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
  • En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
  • Des millions d’opérations, d’examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d’autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
  • Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
  • Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
  • Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
  • Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
  • Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression ? »

Et oui c’est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l’Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d’après le président biélorusse).

Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l’énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l’OMS et au conseil sanitaire international de l’OMS[1] signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

Les pays signataires s’étaient mis d’accord pour appliquer les mesures décidées par l’OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu’il y avait pandémie, ce qu’a fait l’OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d’un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l’OMS qu’il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l’UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

Combien de temps, ce sera aux peuples d’en décider.

A ce jour, il n’y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l’injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ». 

Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

Qu’en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d’obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d’autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d’expression et donc au cœur de la démocratie.

Dans l’intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c’est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ?  « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l’année dernière l’ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !

  • À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?

Conformément à l’OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l’Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)

  • Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?

La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l’Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l’on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document  rédigé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur bien formé à l’évaluation des risques pour la protection de la population.

Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.

  • Quelle est la fiabilité du test PCR

pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du virus corona) et l’a fait recommandé par l’OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

Or

« un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n’est même pas approuvé à cet effet. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis et non d’une véritable autorisation complète. »

Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

« Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d’un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l’Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l’Université de Bielefeld. »  Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

Les dégâts sont monstrueux dignes d’une guerre mondiale

Même l’OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s’épuise.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

Des dizaines de scientifiques ont aujourd’hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

Même l’OMS et l’homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

C’est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d’une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

« La détection de l’ARN viral n’indique pas la présence d’un virus infectieux ou que Covid 19 est l’agent causal des symptômes cliniques ».  Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Habituellement, au moins jusqu’à l’apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

Soulignons que l’affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n’y a pas du tout d’infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l’a montré à la fin de l’année dernière[5].

Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :

  1. a) l’affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
  2. b) l’affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections

viennent de Drosten le conseiller d’A. Merkel et de l’OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d’une femme chinoise visitant l’Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu’un test PCR positif n’a aucune valeur informative sur les infections.[6]

Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d’intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s’il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d’autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n’avait pas lieu.

Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s’est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu’à aujourd’hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

Ajoutons qu’il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l’OMS. Difficile de croire à de l’incompétence.

L’avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d’empathie ou de pitié  a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

« Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d’extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l’un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

Ce dernier a déclaré 

« – que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,
– qu’il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,
– et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l’économie ? »

En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu’il ordonne de telles mesures destructrices ?  Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

Reiner Fuellmich

« Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral – en plus de Drosten – le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l’industrie technologique appellent tous à l’introduction d’un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu’ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

« Un groupe d’avocats en réseau international en constante augmentation – en particulier avec le droit anglo-américain – travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l’a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

 Selon une autre interview [7] :

Il y a quelques jours, Fuellmich s’est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare :  « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d’autres ».
Au cours de l’interview, il a déclaré à propos de l’approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l’humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu’il n’a jamais été question d’un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
Nuremberg 2

Les vaccins corona n’ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d’expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s’attendaient pas à ce que tant d’effets secondaires se produisent à ce jour.

Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu’ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c’est la raison pour laquelle ils font tant d’erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.

L’avocat a poursuivi en disant qu’un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l’affaire est désormais si importante qu’elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »

L’Europe : principal champ de bataille

Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s’agit d’un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

 Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »

Fuellmich s’est également entretenu avec un autre lanceur d’alerte, qui a expliqué pourquoi l’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L’Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent contrôler l’Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

Les médias grand public prétendent qu’une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l’avocat, ce n’est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d’aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »

Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

https://youtu.be/jFOb2xqqcU0
CRIME CONTRE L’HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite – Bing video

[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[2] Robert Koch Institute

[3] Centers for Disease Control and Prevention – CDC  américain

[4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur la validité des tests PCR et

[5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] C. Drosten l’heure des comptes France soir N Delépine

[7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl)  Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel
in Mens en Dier 12 april 2021




Chronique d’une mort annoncée des vaccins antiCovid 19 : résultats au 11 avril 2021

Par Gérard Delépine

Un espoir devenu mirage s’évanouit un peu plus chaque jour

Depuis le début de la crise, le gouvernement et les médias entretiennent l’espoir qu’un médicament nouveau ou des vaccins miracles viennent résoudre la crise sanitaire et nous libérer.

Mais l’échec des vaccins précédents contre les Coronavirus humains, depuis 2003, et animaliers, la mise en évidence d’anticorps facilitants susceptibles d’aggraver la maladie, les résultats précoces très inquiétants des campagnes de vaccination et l’apparition de variants résistants font disparaître chaque jour un peu plus cet espoir, comme s’évanouissent les mirages dans le désert au fur et à mesure qu’on s’approche d’eux.

La prophétie de Ferguson faisait d’emblée la propagande des futurs vaccins

Le rapport 9 de l’Imperial College, publié le 16 mars 2020 (mais resté secret défense pendant plusieurs semaines), a entraîné la panique et la décision immédiate du confinement général et aveugle.(([1] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Il prophétisait, en l’absence de mesures sanitaires fortes, un pic de mortalité vers le 3e mois de l’épidémie, avec des hôpitaux saturés et des lits de soins intensifs refusant les malades.

« Pour une épidémie non maîtrisée, nous prévoyons que la capacité en lits de soins intensifs sera dépassée dès la deuxième semaine d’avril, avec un pic de la demande en soins intensifs plus de 30 fois supérieur à l’offre maximale possible dans les deux pays et un nombre total de décès de 510000 en Grande-Bretagne et de 2,2 millions aux USA, et cela sans tenir compte des morts supplémentaires liées à l’absence de traitement d’autres maladies du fait de la saturation des hôpitaux. »

Ce scénario de film d’horreur a été qualifié ainsi par le PR Raoult :

« ce n’est pas de la science, plutôt de la science-fiction qui évoque les prédictions de Nostradamus. »

Comme tous les prophètes imbus de leur révélation, Ferguson indiquait l’unique chemin du salut : l’astreinte à domicile de toute la population(([2] Stratégie du « tous ensemble avec le virus » médicalement délirante, car contraire à la quarantaine séparant les malades de la population saine)) imposée par la police pompeusement appelée « stratégie de suppression » et prétendait que la stratégie d’atténuation(([3] La stratégie d’atténuation regroupe les techniques traditionnelles : quarantaine des malades identifiés, isolement des sujets à risques, hygiène, utilisation des gestes et de matériel barrière. Associé à l’hygiène et à la destruction des animaux vecteurs éventuels elle a permis de stopper les grandes épidémies mortifères qu’a connues l’humanité.)) serait insuffisante pour éviter une mortalité élevée.

La stratégie de suppression prétendait pouvoir maîtriser rapidement l’épidémie en imposant l’astreinte à résidence de toute la population, par la force, sous contrôle policier sans séparer les malades des biens portants !

Elle prévoyait l’enfermement indiscriminé des populations entrecoupé de relâchements partiels des mesures, afin que les gens puissent progressivement récupérer un semblant de vie sociale et économique. Cette astreinte à résidence de la population devait durer « 12 à 21 mois en attendant la mise sur le marché d’un médicament nouveau ou d’un vaccin » pourtant très hypothétique dans des délais aussi courts. Dans la simulation de Ferguson, cette stratégie réduisait le nombre de morts à quelques milliers (non plus en centaines de milles ou en millions). Mais il y a loin de la prédiction à la réalité que l’on observe aujourd’hui.

Bilan d’un an de confinement et autres mesures liberticides(([4] Autopsie d’un confinement aveugle N et G Delépine éditions Fauves 2020))

Conçue par des mathématiciens non-médecins, qui paraissent ignorer la balance avantages/risques, la stratégie de confinement négligeait ses conséquences sanitaires, scolaires, universitaires, familiales, économiques, sociétales et politiques pourtant parfaitement prévisibles d’emblée et que nous avons d’ailleurs signalées dès le 21 mars 2020(([5] Delépine — Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox, 21 mars 2020)) et détaillées quelques jours plus tard(([6] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)).

Un an plus tard, le bilan des confinements stricts est catastrophique ; aucune étude sérieuse n’a pu montrer qu’il ait pu diminuer ou contenir l’épidémie(([7] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis — Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest. 2021 Jan 5 ; e13484. doi : 10.1111/eci.13484.)) et tous les scientifiques reconnaissent qu’il est responsable d’un nombre colossal de victimes collatérales, même ceux qui l’ont proposé initialement comme le conseil scientifique gouvernemental.

En effet, dans une lettre récente au Lancet(([8] Delfraissy et al. — Immune evasion means we need a new COVID 19 social contract Lancet February 18, 2021
https://doi org/10.1016/)), Le Pr Delfraissy et 4 autres membres du comité scientifique ont sonné le glas du confinement.

« Il est temps d’abandonner une politique de la peur centrée sur des confinements itératifs. Leur impact a été dévastateur sur l’économie, le chômage, les dettes et la santé mentale en particulier sur les jeunes et le pire reste à venir. Continuer à confiner globalement n’est plus tenable même si cela reste attractif pour de nombreux politiques ».

La politique de la peur versus le traitement précoce refusé par les autorités

Mais, en France, la politique de la peur persiste comme la propagande renforcée pour des vaccins supposés nous sauver, associé au le chantage de plus en plus insistant « vacciné ou confiné » et au harcèlement individuel sur nos téléphones. Alors que ces vaccins sont expérimentaux, que les résultats des premières campagnes de vaccination sont très inquiétants, que les accidents post vaccinaux se multiplient, les mutations virales annulent tout espoir de leur efficacité.

Les tentatives de vaccin anti-coronavirus précédentes ont toutes échoué

Dans l’essai vaccinal contre la péritonite féline, les chatons vaccinés sont morts plus rapidement que les non-vaccinés.

Chez le furet,  le candidat vaccin a provoqué des hépatites.

Chez la souris et chez le macaque rhésus chinois, les vaccins ont provoqué des lésions pulmonaires.

Dans le cadre des essais vaccinaux contre le MERS (MERS-CoV), chez des souris un phénomène d’anticorps facilitants a été observé.

Aucun vaccin humain contre le MERS ou le SRAS n’a pu être mis au point malgré plusieurs années de recherche. Ces observations dans les essais vaccinaux contre le SRAS et le MERS sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des vaccins contre la COVID 19 dont le virus est proche.

Les vaccins commercialisés à cette date (avril 2021) contre le coronavirus du Covid-19 sont tous expérimentaux

Contrairement à ce qu’ont prétendu l’AFP et de nombreux médias, aucun des vaccins actuels n’a terminé ses essais phase 3. Les premiers résultats définitifs sont prévus pour janvier 2023 ! Il s’agit donc par définition de traitements expérimentaux qui ne bénéficient d’ailleurs que d’autorisation conditionnelle délivrée pour « raison d’urgence » en attendant les résultats définitifs.

Les errements des autorisations, des suspensions intermittentes, des modifications des recommandations témoignent d’ailleurs tous les jours qu’il s’agit de médicaments très partiellement évalués.

Les seuls résultats dont on dispose actuellement sont ceux des premières campagnes de vaccinations et ceux-ci sont actuellement très inquiétants.

Résultats angoissants des premières campagnes de vaccination

Les médias célèbrent le succès des campagnes de vaccination à l’aune du pourcentage des vaccinés, mais ne parlent presque jamais des seules choses qui importent pour les vaccinés, les bénéfices qu’ils peuvent en attendre et les risques qu’ils prennent en se vaccinant.

La Grande-Bretagne est le premier champion de la vaccination qui a commencé le 7 décembre 2020.

Au 11 avril 2021, 39 846 781 doses de vaccin avaient été administrées, plus de la moitié des Britanniques auraient reçu au moins une dose de vaccin, et la grande majorité des personnes âgées de plus 70 ans auraient reçu leurs deux doses. D’après les courbes OMS du 13 4 2021, la vaccination commencée le 4 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1674138 contaminations.

En quatre mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 369779.

Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 4 décembre, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En quatre mois post-vaccination, ce chiffre a plus que doublé passant à 127087 (+100 %). Surtout, lors de cette recrudescence de la mortalité, d’après un rapport gouvernemental, 70 % des décès ont touché des personnes qui avaient reçu leurs deux doses de vaccin(([9] SPI-M-O : Summary of further modelling of easing restrictions — Roadmap Step 2 Date : 31 Mars 2021
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/975909/S1182_SPI-M-O_Summary_of_modelling_of_easing_roadmap_step_2_restrictions.pdf)).

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec 9037923 doses de vaccin administrées et plus de 45 % de sa population vaccinée au 2 avril 2021.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, les ÉAU comptaient 195 818 contaminations. En trois mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 489485 (+150 %). Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 23 décembre avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, les Émirats Arabes Unis comptaient 642 morts attribuées au Covid-19. Le 14 avril, ce chiffre a plus que doublé passant à 1541 (+150 %). Le mois de février 2021 a établi le record mensuel de la mortalité (375), devançant celui de mars (271).

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer.

Au 4 avril 2021, 10 096 213 doses de vaccin avaient été administrées et près de la moitié de la population vaccinée. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières pendant 2 mois, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

La mortalité a suivi la courbe des contaminations. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité (1427) depuis le début de l’épidémie dans ce pays et celui de février le second (774).

À Gibraltar (34000 habitants) la vaccination a commencé le 9 janvier 2021.

À cette date l’état comptait 2789 cas et 11 morts attribués au Covid19.

Depuis ce jour, les contaminations ont été multipliées par 2 (4277) et les morts par 8,5 (94).

À Monaco

(38000 habitants) la vaccination a commencé le 31 décembre et au 2 avril 2021, un total de 20510 doses de vaccin avait été administré. Le 31 décembre, Monaco comptait 858 cas et 3 morts. Quatre mois après le début de la vaccination au 14 avril, ces chiffres étaient respectivement passés à 2378 (+200 %) et 31 (+900 %).

Résultats globaux

Dans tous les pays largement vaccinés, l’évolution a été marquée pendant 4 à 6 semaines post vaccinales par une augmentation sans précédent du nombre quotidien des contaminations et des décès, avant une stabilisation proche des chiffres d’avant vaccination. Ces évolutions très angoissantes ne correspondent absolument pas aux chiffres de protection annoncés par les communiqués de victoire des firmes.

Les accidents post vaccinaux se multiplient

Certains effets secondaires sérieux des vaccins sont particulièrement fréquents. Ainsi la vaccination des soignants a été suivie de 20 à 40 % de malaises obligeant les soignants vaccinés à arrêter de travailler un à plusieurs jours et la Haute Autorité de santé à conseiller de ne plus vacciner tout le personnel d’une équipe le même jour.

Des accidents rares, mais très graves ont été rapportés chez des jeunes en pleine santé qui ne craignaient rien du Covid19 : un interne de médecine est mort à Nantes et un pompier du Var s’est retrouvé en réanimation. La possibilité de ces accidents graves explique la réticence croissante des soignants à se faire vacciner.

Chez les personnes très âgées, les effets secondaires des vaccins sont fréquents et la fragilité des pensionnaires d’EHPAD explique les conséquences dramatiques qu’ils peuvent entraîner.

Après 27 morts survenus dans ces établissements l’agence norvégienne a d’ailleurs déconseillé de les vacciner(([10] Covid-19 : la Norvège enquête sur 23 décès chez des patients âgés fragiles après la vaccination
BMJ 2021 ; 372 : n149)) « Des effets indésirables courants peuvent avoir contribué à une évolution sévère chez les personnes âgées fragiles ». En Grande-Bretagne le décès du Prince Philip et en France — les décès post vaccinaux des plusieurs centenaires doyens de leur région et les suites post vaccinales de la ministre Roselyne Bachelot nous rappellent la sagesse de cette recommandation.

Les chiffres officiels des effets secondaires graves et des décès reconnus liés à la vaccination par l’EMA agence européenne du médicament, sont consultables sur la base de données EUDRAVIGILANCE et mis à jour régulièrement. Au 3 avril 2021, le tableau suivant résume la situation.

Remarque (@niusMarco) : Bilan Eudravigilance du 9 avril 2020

20 fois plus d’effets secondaires déclarés et de décès que pour H1N1 en 15 ans. Quasiment le même nombre d’injections (61 et 65 millions), mais pour le covid 60 % une seule dose.

Quelques hypothèses à l’origine des échecs en efficacité et effets secondaires

Le risque d’anticorps facilitants a été rappelé par l’Académie de Médecine

L’antécédent de la Dengue de Sanofi

L’aggravation d’une maladie par une vaccination destinée à la combattre a été récemment illustrée par le scandale sanitaire de la vaccination contre la dengue avec la mort de plusieurs centaines d’enfants aux Philippines. Cette catastrophe sanitaire est liée phénomène des « anticorps facilitants », ou ADE (antibody-dependent enhancement : aggravation dépendante des anticorps) ou VAED (vaccine-associated enhanced disease).

Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou que ces anticorps ont une faible spécificité.

Renoncement progressif des autorités françaises

L’académie de Médecine

Dans son communiqué du 11 janvier 2021 concernant les vaccins Covid19 l’Académie de Médecine précise :

« Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants…

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale… fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Le ministre et le conseil scientifique

Le ministre O. Veran et J.F. Delfraissy président du conseil scientifique ne croient plus que les vaccins seront la solution

Dans leur lettre au Lancet déjà citée(([11] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)), Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy confient qu’ils ne croient plus guère que les vaccins feront disparaître l’épidémie :

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variantes du SRAS-CoV-2 sont corrélées avec l’absence d’une protection immunitaire robuste après la première exposition à des virus antérieurs (de type sauvage), ou même à un vaccin.

Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de l’évasion immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais aussi avec d’autres virus…

L’arrivée rapide de variantes du SRAS-CoV-2, telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil, suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes sont apparues pourrait avoir mis une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’une variante avec une transmissibilité accrue.

En cas d’évasion immunitaire importante, les vaccins actuels sont susceptibles d’offrir encore certains avantages aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire la sélection virale et l’évasion, rendant la perspective d’atteindre l’immunité de base de plus en plus éloignée. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes apparaissent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Olivier Véran, dans un mémoire récent au Conseil d’État(([12] https://www.bfmtv.com/police-justice/covid-19-un-homme-vaccine-depose-un-recours-devant-le-conseil-d-etat-pour-pouvoir-deroger-au-confinement_AN-202103300186.html)) reconnaît ainsi que les vaccins protègent peu les vaccinés :

« l’efficacité des vaccins est partielle » et n’empêche pas les transmissions de la maladie : « le vaccin réduit le risque de contracter une forme grave de la maladie, mais il n’empêche pas d’être porteur du virus et de le transmettre aux tiers ».

La mort annoncée des vaccins anti covid

L’Astra Zeneca est mort ou presque. Le Jansen-Jansen est mis en pause. Le Pfizer a favorisé l’apparition de variants résistants en Israël et en Grande— Bretagne.

Ni le conseil scientifique, ni O. Veran, le ministre de la Santé ne croient plus que les vaccins résoudront la crise sanitaire. Alors pourquoi continue-t-on à faire la promotion de ces vaccins ?





Rendez-nous nos piscines : elles tuent le virus du Covid-19 ! Mise à jour

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com)]

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50 m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet. [1]

« Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée. Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule ! (…)

 Il apparut que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades, ne contaminaient ni enfants ni adultes. »

Néanmoins des mesures coercitives furent prises bloquant la vie normale des Français dont bon nombre supportèrent très mal les privations de liberté, les sportifs en particulier. Tout ferma contre toute logique, car sans étude spécifique, il semblait bien que la pratique de la natation dans un milieu très javellisé ne devait pas être un sport à risques. Mais la politique eut le dessus d’une logique quelque peu sanitaire.

La sortie du tunnel ? La lumière à l’horizon comme dit l’avocat Reiner Fuellmich

L’Imperial college nous a fait plonger dans une catastrophe internationale via les prévisions fallacieuses de ses simulateurs et leur chef Neil Ferguson [2]. Vont-ils nous en sortir en nous faisant replonger dans nos piscines avec délectation ?

Nous avions alerté il y a quelques semaines sur le désarroi des nageurs, jeunes et vieux privés de leur milieu devenu naturel et partie intégrante de leur vie et de leur bien-être. [3] Actuellement, à l’occasion de la réouverture des piscines en Grande-Bretagne, une équipe de virologues de Londres de l’Imperial College publie son étude sur la survie du coronavirus SARS-2 dans l’eau de piscine et conclue à la destruction quasi complète du virus en piscine.

L’eau de la piscine inactive le virus du Covid-19 en 30 secondes dans les bonnes conditions, selon une nouvelle étude [4].

Les résultats suggèrent que le risque de transmission de Covid-19 dans l’eau de la piscine est « incroyablement faible » selon l’expression des chercheurs anglais. Les études ont été réalisées en collaboration entre Swim England et l’entreprise de natation pour bébés Water Babies et la Royal Life Saving Society UK (RLSS UK).

L’étude sur l’eau des piscines a été entreprise par le virologue et expert en virus respiratoires de premier plan, le professeur Wendy Barclay, en collaboration avec le Dr Jonathan Brown, associé de recherche, et Maya Moshe, technicienne de recherche à l’Imperial College de Londres, et le projet géré par Alex Blackwell, responsable des piscines et des installations de Water Babies.

Le professeur Barclay a examiné les effets de l’eau de piscine sur le virus responsable du Covid-19, SRAS-CoV-2, pour évaluer la quantité de temps et de contact nécessaires pour inactiver le virus à différents niveaux de chlore et de pH.

« Le virus ne survit pas »

La recherche a établi que 1,5 mg par litre de chlore libre avec un pH entre 7-7,2 réduit l’infectiosité du virus de plus de 1 000 fois en 30 secondes.

Des tests supplémentaires effectués sur différentes gammes de chlore et de pH ont confirmé que le chlore dans l’eau de la piscine était plus efficace avec un pH inférieur – ce qui est conforme aux directives actuelles pour le fonctionnement de la piscine.

Déclarations du virologue en charge de l’expérience

Le professeur Wendy Barclay a déclaré :

« Nous avons effectué ces expériences dans nos laboratoires de confinement élevé à Londres.  « Dans ces conditions de sécurité, nous sommes en mesure de mesurer la capacité du virus à infecter les cellules, ce qui est la première étape de sa transmission.

« En mélangeant le virus avec l’eau de la piscine livrée par l’équipe des Water Babies, nous avons pu montrer que le virus ne survit pas dans l’eau de la piscine : il n’était plus infectieux. « Cela couplé avec l’énorme facteur de dilution du virus qui pourrait trouver son chemin dans une piscine d’une personne infectée suggère la possibilité de contracter Covid-19 de l’eau de la piscine est négligeable ».

Les piscines sont des milieux dénués de danger pour la contamination du virus. Raison de plus pour que le gouvernement autorise la reprise de la natation en milieu ouvert et fermé, sans risque sanitaire. Les sportifs licenciés amoureux de l’eau ont été particulièrement frustrés depuis un an. Il est impératif qu’ils puissent reprendre leur entraînement le plus rapidement possible afin de retrouver leur forme physique mais aussi morale.

Pour tous, la possibilité de reprendre une activité sportive est capitale. Comme d’autres, nous avons insisté sur la terrible détérioration de l’état mental de l’ensemble du peuple, mais singulièrement des jeunes et enfants. Il est capital qu’ils retrouvent des activités sportives leur permettant de plus de reprendre une vie sociale avec des camarades de classe, des coachs.

IRONIE DU SORT ? Sauvés par l’Imperial college ?

Par ironie du sort, l’Imperial college fut un des instruments de la catastrophe covid via les mesures de confinement qu’il conseilla. La sortie de la folie collective de mesures liberticides inappropriées viendra-t-elle de la même Université ?

ROUVRONS LES PISCINES SANS ATTENDRE

AUCUNE RAISON SANITAIRE NE JUSTIFIE UNE SEULE SECONDE LA POURSUITE DE LEUR FERMETURE

Nicole Delépine


[1] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- la en tsunami ! – “La politique est une poubelle qu’il faudrait vider plus souvent”© (observatoiredumensonge.com)

[2] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[3] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- là en tsunami ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[4] Swimming pool water inactivates Covid-19 virus in 30 seconds


Mise à jour — Complément

  Le risque de noyade chez les enfants est-il à craindre ? (aufeminin.com)   « Covid-19 : avec la fermeture des piscines, un risque d’explosion des noyades chez les enfants est-il à craindre ?

par Suruthi SRIKUMAR créé le 9 mars 2021

« La pandémie de coronavirus a bouleversé les activités scolaires et extra-scolaires des enfants, les empêchant, par exemple, d’apprendre à nager à la piscine. Une conséquence désastreuse pour les professionnels qui craignent une hausse des noyades cet été.


Au total, 800 000 élèves n’ont pas pu suivre leur cycle de natation à cause des piscines fermées ou partiellement fermées. Pourtant pour de nombreux élèves, notamment ceux issus de milieux populaires, l’école était le seul endroit où ils apprenaient à nager. En effet, en Seine-Saint-Denis, un jeune sur deux n’a pas son attestation scolaire savoir nager (ASSN).

Mais depuis un an, cet apprentissage a été perturbé, voire totalement interrompu à cause du covid-19.
Une fermeture qui n’est pas sans conséquence. “C’est un an de perdu, qu’on pourra difficilement rattraper”, s’inquiètent des professeurs d’EPS au Parisien. (Fermeture des piscines : le virus a-t-il créé une génération de non-nageurs ? – Le Parisien)

En effet, à l’approche des vacances d’été, le fléau estival des noyades inquiète. Chaque année, 1000 personnes se noient, un chiffre qui ne cesse d’augmenter depuis six ans. Axel Lamotte, maître-nageur en Seine-Saint-Denis et secrétaire général adjoint du Syndicat national professionnel des maîtres-nageurs sauveteurs indiquent : “Les enfants n’ayant pas accès de façon normale à l’éveil aquatique et à l’apprentissage de la natation depuis un an, nous sommes inquiets du nombre de noyades qui pourrait grandir en 2021”, explique-t-il au Parisien. “Quand les cohortes d’élèves 2020/2021 vont débarquer sur les plages ou les bases de loisirs, cela va être catastrophique !”, s’alarme-t-il.

Selon une étude de Santé publique France, il existe une hausse de 96 % des décès par noyade chez les enfants de moins de 6 ans, et de 132 % dans les piscines privées familiales. »




STOP AU HARCÈLEMENT VIA SMS – VACCIN ANTICOVID

Par Nicole Delépine

Non au harcèlement par SMS pour le vaccin covid, virus qui a tué moins de 0,1 % des Français[1]

Au secours ! Goebbels, roi de la propaganda d’Hitler est revenu.

La publicité mensongère du gouvernement sur toutes la chaines de télévision (payée par nos impôts), et les médias dominants est maintenant complétée par le harcèlement individuel sur notre propre téléphone par SMS.

Attention ne vous laissez pas manipuler !

Ces SMS comme les appels de la sécurité sociale pour passer des tests PCR ne sont en rien des obligations, mais des incitations répétées qui constituent du harcèlement (possiblement passible de poursuites ?)

Combien de victimes déjà de ce harcèlement honteux qui ont passé des tests PCR dangereux[2] inutiles couteux[3], ruineux pour la sécu et non fiables, les asymptomatiques positifs étant à 97 % des faux positifs ne montrant que des traces de virus non spécifiques et aucunement preuve ni d’une infection active à corona ni d’une contagiosité.[4]

Combien de fermetures de classes nuisibles aux enfants, d’arrêt maladie inutile et destructeur pour le citoyen bloqué (et non malade et non contagieux)[5] et pour les entreprises désorganisées, alors que les asymptomatiques ne contaminent jamais personne comme l’étude de Nature sur dix millions de chinois[6] l’a démontré s’il en était besoin.[7]

MONSTRUEUSE DESINFORMATION PLURIQUOTIDIENNE SUR LES TV

Cette vidéo montrant des petits-enfants qui courent embrasser leur grand-mère qu’on retrouve ensuite à l’hôpital est scandaleusement culpabilisante, mensongère[8] et honteuse !

Les enfants ne contaminent ni adultes ni enfants.

Les lits de réanimation ne sont pas encombrés davantage que les dernières années en dépit des nombreuses suppressions de lits réalisées ces dernières années et qui été poursuivies durant la pandémie. (300000 lits en trente ans).

Le traitement précoce du covid diminue fortement le risque d’hospitalisation.

 Pire encore, depuis mars 2020, les personnes âgées ne sont pas acceptées et mises rapidement sous Rivotril dans les EHPADs pour les « soulager » c’est -à- dire les euthanasier sans leur accord, ni ceux de leurs familles.  

NON ILS N’ONT PAS VOULU SAUVER LES ANCIENS

 CETTE PROPAGANDE EST MENSONGÈRE

 Ne vous laissez pas intoxiquer si on vous dit que les mesures imposées à tous le sont pour sauver les vieux ! Depuis le début de la pandémie, les personnes âgées ont subi des refus de traitement précoce et en cas d’aggravation des refus d’hospitalisation à l’hôpital et du Rivotril injectable et létal en cas de détresse respiratoire débutante suspecte !

D’ailleurs de quoi discute-t-on à l’Assemblée nationale actuellement, non pas de légaliser l’usage de l’ivermectine, de la chloroquine et de tous les traitements précoces, mais de l’euthanasie.

Politique de mort contre la vie. Heureusement que des Français se réveillent et font de la musique en dansant dans les gares.

Il nous parait important de partager avec vous cette lettre que vous pourriez adresser à votre docteur s’il vous harcèle lui aussi (il y en a de nombreux en ce moment, probablement eux aussi harcelés par leurs instances sécurité sociale, ordre etc…)

« Voici un exemple de lettre-réponse à adresser à votre médecin qui, hypnotisé par le coronacircus vous incite à la vaccination sans s’embarrasser de la notion de consentement libre et éclairé. 

Lettre-réponse au médecin qui vous propose de vous piquer[9]

« Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation à recevoir un vaccin ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative, j’aimerais que vous m’informiez1 en me répondant par écrit sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

  1. Me donner la liste complète des ingrédients des vaccins mis en circulation actuellement dans notre pays
  1. Me certifier que le vaccin que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses
  2. Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;
  3. M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long terme
  4. Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo, que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN
  5. Me certifier que ce vaccin ne contient pas d’inserts du virus VIH
  1. Me certifier que le vaccin ne contient pas de puce d’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nanotechnologie se présentant sous une forme quelconque
  2. Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits
  3. Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2, en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg.

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes :

  1. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter de porter un masque ?
  2. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?
  3. Si je me fais vacciner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?
  4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vaccinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?
  5. Si je me fais vacciner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?
  6. Si je me fais vacciner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec

hospitalisation, ainsi que la mort ?

  1. Si je me fais vacciner, serai-je contagieux pour les autres ?
  2. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (moi ou ma famille) indemnisé ? Et par qui ?

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du gouvernement, mais également par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vaccinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé, après avoir évalué objectivement la balance bénéfices/risques.

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vaccin qui me conviendrait le mieux. Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine :

 « primum non nocere ».

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

Notes :

  1. « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des Médecins de Belgique (juillet 2011).
  2. Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du Patient– article 7 §2 : « La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit. »
  3. « Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
  4. « L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature. »

(Merci à Philippe L.)

P.J. Document au format PDF

 Un commentaire de Zorba44

Il serait bon d’ajouter à cette lettre une demande à votre médecin deux choses :

+ liste de ses conflits d’intérêts éventuels avec des labos pharmaceutiques
+ une copie de son attestation d’assurance professionnelle et les conditions générales et particulières des risques et des montants couverts

 VOICI CE QUE VOUS POURREZ DEMANDER À VOTRE MÉDECIN !

Si vous voulez des informations complémentaires laissées de côté avant la pression monstrueuse que nous subissons, écoutez les vidéos de notre éminente collègue Alexandra Henrion Caude[10] « amoureuse de l’ARN » qui le connait bien :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN. Je suis une amoureuse de l’ARN… une adepte de ses capacités immenses… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… Et d’ailleurs on a essayé ce genre de thérapie sur des malades… Si on n’y arrive même pas encore sur des malades, alors le mettre en œuvre sur une population saine… Ce n’est pas de la folie dans l’absolu, c’est de la folie dans les circonstances actuelles d’une dizaine d’années de développement et de connaissances qui s’accumulent. »

« L’essai de Pfizer se terminera en 2022… D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet d’un essai biomédical…. Un cobaye. »


[1] Une récente étude John Ioannidis estime que l’infection fatality rate (IFR) dû à 0.15 % soit semblable à celui de la grippe saisonnière

[2] Académie de médecine les tests par prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque, 
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/08/covid-19-les-tests-naso-pharynges-ne-sont-pas-sans-risque-previent-l-academie-de-medecine_6076072_3244.html

[3] Les dépenses liées à ces tests sont actuellement estimées à deux milliards d’euros

[4] L’OMS admet enfin que les tests PCR créent des faux positifs France Soir 1/1/2021

[5] Jonas F Ludvigsson   Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ;109(8) :1525-1530.  doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.

[6] Cao S et al Dépistage des acides nucléiques du SRAS-CoV-2 après le verrouillage chez près de dix millions d’habitants de Wuhan, en Chine. Nat Commun 2020 ; 11 : 5917. doi : 10.1038 / s41467-020-19802-w. pmid : 33219229

[8] Aucun cas d’une telle évolution n’a été décrit dans la littérature par ailleurs extrêmement improbable en l’état actuel de la science

[9] Lettre-réponse à adresser aux médecins qui vous proposent de vous vacciner (lemediaen442.fr) Publié le 28 mars 2021 par Olivier Demeulenaere

[10] Alexandra Henrion-Caude : « Utiliser de l’ARN sur des gens sains est une pure folie | « Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com)




Les soignants n’ont aucune raison objective de se vacciner contre le covid19

Par Dr Gérard Delépine

L’obligation prônée par certains serait un scandale

Il y a un mois, un pharmacien de l’APHP réclamait une obligation vaccinale anticovid19 pour les soignants. Les personnels hospitaliers ne sont pas des enfants et pèsent les bénéfices/risques d’une telle solution. Pourquoi les infantiliser ? Nous tenterons ici de combler les lacunes qui peuvent conduire à une telle proposition.

Au moins 4 raisons majeures s’opposent à une telle obligation.

  • Ces vaccins sont toujours expérimentaux. On n’en connaît donc pas leurs complications à long terme, en particulier sur leurs effets génétiques et la stérilité éventuelle.
  • Ils n’offrent pas aux vaccinés une protection certaine contre la maladie.
  • Rien ne prouve qu’ils soient capables de limiter la transmission de la maladie, bien au contraire.
  • Ils exposent à de nombreuses complications, dont certaines mortelles.
Ces vaccins sont expérimentaux

Les vaccins ont été mis sur le marché avec une « autorisation conditionnelle », car on ne dispose actuellement d’aucun résultat définitif d’essais. Ceux-ci devraient se terminer seulement en 2023-2024, ainsi que le précise le site officiel américain Clinical Trials.gov visible par tout un chacun.

Les lois internationales signées par la France depuis le procès de Nuremberg 1947

Or imposer à quiconque un traitement expérimental est contraire à la déclaration d’Helsinki(([1] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/ Suite des conventions internationales signées par les pays depuis le procès de Nuremberg)) de l’Association Médicale mondiale qui énonce clairement :

25.   La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

8. Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

Les vaccins ne protègent pas de la maladie ni de ses formes graves

Les médias nous inondent de communiqués de victoire des laboratoires, des services de vaccination ou de dirigeants qui se servent de la vaccination pour renforcer leur popularité ou tenter de redorer leur blason.

Ceci explique probablement la quasi-unanimité des politiques en faveur du vaccin. Ils supposent probablement que le peuple attend le vaccin comme le messie et s’occupent plus de la logistique, disponibilité des lots, des lieux pour injection, etc., plus que de la sécurité et de l’efficacité prévisible. Ils sont manifestement mal informés.

RÉSULTATS DES CAMPAGNES DE VACCINATION DANS LA VIE RÉELLE

Mais l’analyse objective des données de l’OMS concernant les pays champions de la vaccination est très angoissante, car dans tous ces pays les premiers mois de la vaccination ont été marqués par une recrudescence forte des mortalités en relation avec le covid19.

Ainsi en Grande-Bretagne, les quatre mois post-vaccination ont été assombris par 65 581 morts supplémentaires alors que les 9 mois précédents n’en comptaient que 61 245.

Même évolution en Israël (3085 morts avant la vaccination et 3131 depuis la vaccination de masse), aux Émirats Arabes Unis (642 avant vs 860 après) ou à Gibraltar (11 avant et 83 après).

La comparaison des évolutions des mortalités en Grande-Bretagne très vaccinée et en Suède très peu vaccinée évoque une corrélation entre l’aggravation de la mortalité et la vaccination.

Cette corrélation temporelle évidente justifie des études complémentaires pour voir s’il existe un lien de causalité directe.

Mise en garde de l’Académie de Médecine en janvier

Cette aggravation des mortalités après vaccination montre que la mise en garde de l’Académie de médecine(([2] Communiqué de l’Académie du && janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)) sur les risques d’anticorps facilitants(([3] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020 ;5(10) : 1185-91)) était justifiée : « dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération.

Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Mise en garde du ministre de la Santé sur les aléas et dangers de la vaccination en mars 2021

À l’occasion d’un recours au Conseil d’État d’un patient vacciné à deux reprises, et âgé de 83 ans réclamant sa « libération » de toute mesure d’enfermement étant donné sa protection supposée, le ministre a dans son rapport donné des éléments surprenants par rapport à la campagne de vaccination tous azimuts jusqu’aux pubs télévisées. Nul doute que son rapport au Conseil d’État va faire réfléchir.

Cette incapacité à prévenir les formes graves de la maladie a même été affirmée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans son argumentation récente devant le Conseil d’État(([4] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)) « efficacité partielle des vaccins », « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

La balance individuelle bénéfices/risques de la vaccination pour les soignants paraît actuellement négative, car bon nombre d’entre eux sont à risque extrêmement faible en raison de leur âge jeune voire très jeune, et d’autant plus que de nombreuses complications post-vaccinales ont déjà été rapportées en dépit du faible recul en mois de la vaccination.

Les vaccins actuels n’empêchent pas la transmission de la maladie

La motivation sociétale « il faudrait vacciner les soignants pour protéger les malades ou les pensionnaires des Ehpad » n’est pas plus fondée scientifiquement que la foi en un bénéfice individuel.

En effet si les communiqués des services de communication des laboratoires, des services de vaccination prétendent que les vaccins seraient efficaces à plus de 90%, les relevés des contaminations publiés par l’OMS montrent le contraire : dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné, le nombre de contaminations a explosé durant les 6 semaines post vaccinales avant que l’épidémie ne régresse dans la plupart des pays, vaccinés ou non signant une relative fin de l’épidémie.

Que ce soit en Grande-Bretagne :

En Israël :

Ou aux Émirats Arabes Unis :

Ou au Bahreïn

L’espoir éventuel de protéger les autres en se vaccinant paraît donc illusoire.

HISTOIRE D’UNE MORT ANNONCÉE DU VACCIN COMME DU REMDESIVIR

Le professeur Delfraissy et quatre membres du comité scientifique ont récemment prévenu(([5] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 Lancet 18 février 2021DOI : https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0)) de l’échec prévisible de la stratégie vaccinale actuelle :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus.

Une telle évolution pourrait être favorisée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle.

La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».

Cette incapacité du vaccin à prévenir la transmission a elle aussi été reconnue par O. Veran dans son argumentaire devant le Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Il est donc illusoire de promouvoir la vaccination des soignants pour limiter la transmission dans les hôpitaux.

Les vaccins actuels exposent à de nombreuses complications, dont des décès

Les campagnes de vaccination des soignants de plusieurs hôpitaux ont été retardées ou interrompues du fait de réactions indésirables rendant 20% à 40% des personnels incapables de travailler. La Haute Autorité de Santé a depuis recommandé d’échelonner les vaccinations des soignants d’un même service.

Les pompiers des Bouches-du-Rhône ont suspendu leur campagne de vaccination après qu’un pompier d’Arles ait été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection.

À Nantes, un étudiant en médecine en bonne santé est mort après la vaccination. Sa mort s’ajoute aux 5993 morts post-vaccinales comptabilisées par Eudravigilance au 2 avril 2021.

Ces complications sont d’autant plus insupportables que les soignants ont pour la plupart moins de 60 ans et qu’ils ne risquent pratiquement rien du Covid.

Elles expliquent les réticences des personnels à se faire vacciner.

Les entreprises du médicament et le ministère affirment en chœur que les vaccins sont sans dangers, mais alors pourquoi ont-ils convenu d’exonérer par avance les fabricants et les médecins vaccinateurs de toute responsabilité en cas de complications ?

Nos impôts paient les vaccins et paieront aussi le coût des indemnisations pour accident vaccinal, comme en Chine lorsque les familles devaient payer la balle qui a servi à l’exécution de leur enfant.

Expérimentaux, incapables de réellement protéger contre le Covid19, incapables d’éviter la transmission de la maladie et sources de complications pour une maladie quasiment toujours bénigne chez les soignants jeunes, les vaccins n’ont actuellement aucun intérêt pour eux ni de fait pour leur entourage et patients. Proposer une obligation vaccinale traduit dans ces conditions un comportement totalitaire(([6] Lors du procès des médecins de Nuremberg la pratique d’essai vaccinaux forcés sur les déportés a été l’une des raisons de plusieurs condamnations à mort)).

On peut protéger les soignants par des traitements préventifs

Le 22 mai 2020, le conseil indien pour la recherche médicale a recommandé la prévention par hydroxychloroquine pour le personnel soignant et les familles au contact des malades. Au 5 avril 2021, malgré ses hôpitaux en pire état que les nôtres, déplore 126 morts/million d’habitants contre 1469/M en France. L’interdiction de tout traitement précoce aboutit à ce qu’on déplore 12 fois plus de morts que les hindous.

Si on veut limiter l’épidémie, ce n’est pas de vaccin dont on a besoin, mais de diagnostic et de traitements précoces administrés par les médecins traitants !





“Un matin pas comme les autres” en Belgique

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Quel bonheur de lire quelques lignes de réconfort après tant de mois de grisaille et de complicité de bien trop de personnes de différents secteurs, comme les médecins cois devant leur Conseil de l’Ordre et oubliant, pour trop d’entre eux, leur serment d’Hippocrate, et comme les juges et députés validant quasi automatiquement les desiderata des puissants du moment.

Alors oui, comme dit dans un post Mme Anne-Emmanuelle Bourgaux, enseignante en droit constitutionnel à l’université de Mons en Belgique, cela fait du bien de lire la sentence d’un tribunal belge condamnant en première instance les décisions gouvernementales. Nous sommes heureux de vous transférer ce billet car, comme elle, nous ne pouvons pas penser que des peuples soumis à la terreur de leurs gouvernements depuis de nombreux mois ne finiront pas par réagir.

La cour belge a affirmé que les lois contre le covid sont illégales.

Voici ce post réconfortant

« Ce matin était un matin comme tous les matins depuis plus d’un an.
Ce matin, les cinémas et les hôtels, restaurants et cafés (HORECA) étaient toujours fermés ; les écoles et les coiffeurs l’étaient à nouveau ; les universités l’étaient derechef ; les musées et les hôtels, on ne sait plus (et eux non plus).
Ce matin, je donnais cours à mes chers étudiants qui sont plus de la moitié à avoir des symptômes de dépression, qui ne voient que la quadrature de leur écran et des plannings de réunion et de cours, qui, pour certains, manquent de basculer dans la rue, ou de basculer tout court.
Mais ce matin avait décidément décidé de ne pas être un matin comme les autres.

Ce matin, saisie par la Ligue des Droits de l’Homme, la présidente du Tribunal de Première Instance de Bruxelles s’est fâchée toute rouge.

Extraits choisis :

  • “Il s’agit de restrictions aux libertés publiques sans précédent depuis la IIème Guerre Mondiale”
  • “Lorsque tant de libertés fondamentales sont limitées depuis plus d’une année, il s’agit en l’espèce de constater que le maintien de telles restrictions sur la durée et, à ce stade, sans restriction dans le temps (la prorogation systématique de la durée des mesures par voie d’arrêtés n’est que l’apparat d’une durée illimitée) constitue nécessairement une aggravation des conséquences pour les destinataires de ces libertés”.
  • “Les parties demanderesses apportent suffisamment d’éléments concrets qui permettent de constater qu’une décision est immédiatement souhaitable lorsqu’elles détaillent :
    • l’impact psychologique des mesures sur la santé mentale des enfants et des adolescents ;
    • la mise à mal de l’éducation scolaire et de l’enseignement supérieur ;
    • le fait que les enfants ne puissent plus pratiquer des activités extra-scolaires ;
    • l’augmentation des violences intrafamiliales
    • la précarisation sociale, affective et financière d’une large partie des citoyens ;
    • les conditions d’incarcération des détenus ;
    • l’exclusion sociale et familiale des personnes âgées (…).

Tant que ces constats demeurent, l’urgence d’y remédier demeure”.

  • “C’est la prolongation des mesures en cause jusqu’au 1er avril 2021 par arrêté ministériel du 6 février 2021 qui a décidé les demanderesses à nous saisir s’agissant d’une prolongation de deux mois sans qu’une réelle communication n’ait été faite à ce sujet”.
  • “Il s’avère que la fermeture des établissements (culturels, sportifs, récréatifs, événementiel, « HoReCa » des professions de contact, la suspension de l’obligation scolaire, la limitation des rassemblements public et privé, la liberté de circuler depuis ou vers la Belgique, échappent (…) aux termes “réquisition et évacuation” et, partant, au cadre restrictif et prévisible de l’habilitation prévue par la loi du 15 mai 2007″.
  • “Si l’urgence des premiers temps de l’épidémie aurait pu expliquer qu’il faille s’appuyer sur la loi du 15 mai 2007, il ne paraît plus justifier de s’en prévaloir plusieurs mois après l’émergence de la crise sanitaire (…).

En l’espèce des restrictions aux droits et libertés et droits constitutionnels nécessitent, prima facie (= à première vue) une base légale solide que ne constitue pas, en apparence, la loi du 15 mai 2007 ».

  • A cet égard, c’est au législateur d’intervenir pour décider des limites à apporter aux libertés fondamentales“.
  • La “motivation stéréotypée” pour éviter “la consultation de la Section de Législation du Conseil d’Etat qui n’a pas été consultée pour avis depuis un an” pose également “un problème de légalité”
  • RESTREINDRE “DE MANIERE ILLEGALE LES LIBERTES CONSTITUTIONNELLES A POUR CONSEQUENCE QU’UNE PARTIE DES DISPOSITIONS DE LA CONSTITUTION SONT SUSPENDUES, CE QUE L’ARTICLE 187 DE LA CONSTITUTION INTERDIT”.
  • En conséquence, l’Etat est invité “à prendre toutes les mesures mettant fin à la situation d’illégalité (…) en demeurant libre dans le choix des moyens pour y parvenir” et ce “dans un délai de 30 jours”.
  • Et comme “il ressort des éléments de la cause et des pièces déposées que l’Etat belge a été interpellé à de multiples reprises quant à la légalité des mesures édictées (…) sans qu’elles aient été prises en considération” : à défaut de mettre fin à l’illégalité, 5000 euros d’astreintes/jour avec un maximum de 200 000 euros. »

Alors bien sûr, à ce matin pas comme les autres a rapidement succédé un après-midi comme les autres : déjà, la ministre de l’Intérieur annonce qu’elle fait appel de cette ordonnance.

Comme me le dit un de mes chers étudiants : “elle réagit comme ces étudiants qui ratent un examen et plutôt de se demander ce qui cloche chez eux, ils attaquent le prof”.
Mais qu’à cela ne tienne : cet après-midi, on se dit que pour une fois, l’arriéré judiciaire bruxellois a du bon. À force de sous-financer la justice, c’est l’arroseur arrosé : cet appel mettra bien plus d’un mois pour aboutir. Plus moyen de tergiverser/reporter/prolonger/échapper au problème.

Alors ce soir, après ce matin pas comme les autres et malgré cet après-midi qui fait déjà semblant de rien, après 12 mois 1/2, 37 arrêtés ministériels, des dizaines d’arrêts du Conseil d’État décevants, des jugements courageux réformés en appel, des heures de discussion, de relecture, d’interventions, avec mes étudiants du Labovir-IUS, on était content.

Contents que cette décision, ce ne soit pas un Poisson d’avril.

https://www.lalibre.be/belgique/politique-belge/l-etat-condamne-par-le-tribunal-de-premiere-instance-a-lever-toutes-les-mesures-covid-60644f7e9978e2410fea59fa (Merci à Maryam Benayad)

https://bx1.be/categories/news/letat-belge-condamne-a-adopter-un-cadre-legal-pour-encadrer-les-mesures-covid/?theme=classic (Merci à Adeline Bauwin)

DEPUIS LE DÉBUT DE LA CRISE, LES PARLEMENTAIRES NE DÉFENDENT PAS NOS DROITS ET LIBERTÉS »

Ce n’est pas nouveau que Mme Bourgaux défende les institutions. On peut lire par exemple en janvier 2021, Anne-Emmanuelle Bourgaux (UMons) : « depuis le début de la crise, les parlementaires ne défendent pas nos droits et libertés ».

Anne-Emmanuelle Bourgaux, professeure de droit et constitutionnaliste à l’université de Mons, invitée du Grand Oral RTBF/Le Soir.

Mis en ligne le 30/01/2021

« Dans la Constitution belge, il y a un principe très vieux mais génial et d’une modernité incroyable qui est le principe de légalité : il y a des choses qui doivent faire l’objet de débat parlementaire, précisément pour que la balance entre les intérêts se fasse de manière pluraliste et transparente. Concrètement : est-ce qu’en privilégiant des mesures fortes sur le Covid-19 on n’abandonne pas la jeunesse ? Dans quelle mesure la dépression des jeunes c’est moins ou plus important que la mort par maladie ? Dans la Constitution, les représentants élus doivent faire des arbitrages sur ce genre de questions importantes. Mais en Belgique, on voit la mise en œuvre de procédures opaques : je vous laisse réfléchir à la qualité délibérative d’une consultation électronique des membres du Comité de concertation. Je pense qu’on atteint le niveau zéro. »

En Belgique, à force de mettre en place ce cocktail inédit entre une difficulté de comprendre les enjeux du débat parce qu’il manque de transparence, et une augmentation flagrante de l’approche répressive, les autorités produisent du désespoir chez les citoyens. Il ne faut donc pas s’étonner de voir naître des manifestations violentes. »

Nicole Delépine




D’après Olivier Véran, le vaccin ne sert à rien

[Source : Salim_Laibi_LLP]




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Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats des vaccinations sont excellents et en particulier qu’elles auraient fait disparaître l’épidémie en Grande-Bretagne avec l’absence de morts (!) et en particulier en Écosse. Pourtant curieusement les données de l’OMS montrent le contraire.

En effet, après la vaccination les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté ; les trois derniers mois (post-vaccination) cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

La comparaison avec la Suède non confinée et très peu vaccinée est éloquente ; entre début décembre (début de la vaccination) et le 29 mars 2021 la Grande- Bretagne a compté 62 547 morts attribuées au Covid-19 (soit 919/million d’habitants) contre 5 371 (537/M) en Suède sur la même période.

Au total, depuis la vaccination la Grande-Bretagne s’est hissée au deuxième rang européen des plus fortes mortalités Covid-19 avec 1 807 morts/M derrière la Belgique(1 988/M)

Comment des médias peuvent-ils proclamer que la vaccination britannique serait un succès et qu’elle éviterait les formes graves ! Les journalistes recopient-ils les bulletins de victoire des firmes pharmaceutiques et du gouvernement britannique, sans vérifier que leur propagande est compatible avec les chiffres officiels de l’OMS que chacun peut consulter sur le site WHO Covid19 Dashboard ?

Le succès d’une vaccination de masse ne se mesure pas au pourcentage de vaccinés mais seulement à la diminution du nombre des contaminations et à la chute de la mortalité. Or dans tous les pays champions de la vaccination, on assiste au contraire à une augmentation forte de ces deux indices. Autre exemple, les Émirats arabes unis :

Ces évolutions post-vaccinales sont très inquiétantes. Elles suggèrent que le trop faible taux d’anticorps après la première injection de vaccin aurait favorisé un phénomène d’anticorps facilitants [1] aggravant la mortalité, comme le craignait l’Académie de médecine dans son communiqué du 11 janvier dernier :

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants.

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Ces risques de la vaccination anti-Covid-19 ont d’ailleurs aussi été soulignés par 5 membres du Comité scientifique, dont le professeur Delfraissy dans un article récent publié dans le Lancet [2] :

« L’arrivée rapide des variants du SRAS-CoV-2 tels que les variants identifiés pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une évasion immunitaire dite naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue.

Si une évasion immunitaire importante se produit, les vaccins actuels offriront probablement encore un certain bénéfice aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme… ».

Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur,  fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et comme principale réponse à la pandémie ».

  1. Véran a d’ailleurs récemment reconnu dans un mémoire adressé au Conseil d’État [3] 

1°) L’efficacité partielle des vaccins”, “l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants.”

2°) Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant.”

3°) “le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers.

Dans la mesure où le ministère reconnaît que le vaccin n’offre pas de protection individuelle suffisante, qu’il expose aux formes graves et qu’il n’empêche pas la transmission du virus, on ne comprend pas pourquoi il persiste dans sa propagande actuelle qui prétend le contraire.

Les vérités affirmées devant le Conseil d’État devraient faire réfléchir ceux qui veulent se faire vacciner en croyant ainsi se protéger et protéger les autres et retrouver leurs libertés. Même si vous cédez au chantage « vacciné ou confiné » vous ne serez ni protégé, ni libre. Le Conseil d’État a débouté l’octogénaire qui s’était fait vacciné pour redevenir libre.

Dr Gérard Delépine


[1] https://www.vidal.fr/actualites/26105-vaccins-contre-la-covid-19-doit-on-s-inquieter-du-risque-de-maladie-aggravee-chez-les-personnes-vaccinees.html

[2] L Atlani-Duault, Bruno Lina, F Chauvin J-F Delfraissy D Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18, https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext

[3] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911




L’État belge condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

[Source : Le Soir]

Par Laurence Wauters

Info «Le Soir» – L’État condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

Le tribunal de première instance de Bruxelles a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours. Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision.

[NDLR Dans l’hypothèse où cette décision judiciaire serait effectivement suivie d’effets, elle n’est malheureusement pas obtenue par le biais des preuves existantes en matière médicale, mais pour des raisons procédurales et, de plus, l’État belge fera probablement appel.]

La Ligue des droits humains avait introduit, il y a trois semaines au nom de tous les Belges, une action en référé devant le tribunal de première instance de Bruxelles. Celui-ci a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours, a appris « Le Soir ». Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision. Le tribunal des référés a estimé que l’urgence invoquée par les demandeurs était établie par le fait de la prolongation jusqu’au 1er avril, par arrêté ministériel du 6 février dernier, des mesures querellées, et ce « sans qu’une réelle communication ait été faite sur le sujet ».

Les demandeurs mettaient en cause la responsabilité de l’État belge en ce qu’il aurait commis une faute en adoptant des mesures, par voie réglementaire, attentatoires aux libertés fondamentales « en méconnaissance des règles constitutionnelles et/ou légales qui lui imposent de s’abstenir ou d’agir dans un sens déterminé ». Aucune des trois lois invoquées par l’État belge pour restreindre les libertés des Belges, estimaient Me Despontin et Me Lackner pour la LDH, ne pouvaient servir de base sous-jacente à l’arrêté ministériel litigieux. L’arrêté ministériel, soulignaient les deux avocates, « viole le principe de subsidiarité du droit pénal, l’obligation de consultation du Conseil d’État et le principe de la sécurité juridique ».

https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01613302/zone/34/showtitle/1/src/q00kxur/?tagparamdecoded=News

Comme d’autres l’avaient fait avant, sans jusqu’ici obtenir gain de cause, la LDH soulignait que le défendeur, en l’occurrence l’État, « s’était abstenu de légiférer alors qu’il savait que l’arrêté ministériel était illégal » et que d’autre part, il a cautionné les poursuites et les sanctions pénales « illégales » liées à l’application de cet arrêté.

La principale loi sur laquelle se basait la ministre de l’Intérieur pour adopter les mesures « corona » est celle du 15 mai 2007 sur la société civile, qui concerne des mesures d’évacuation et qui a été adoptée suite à la catastrophe de Ghislenghien. Le tribunal de première instance constate, dans l’ordonnance rendue ce matin, que cette loi définit « de manière restrictive et prévisible les pouvoirs ainsi conférés à l’exécutif », et que la situation liée au covid-19 n’est pas visée par cette loi. « La fermeture des divers établissements (culturels, festifs, sportifs, récréatifs, événementiels, horeca, des professions de contacts), la suspension de l’obligation scolaire, la limitation des rassemblements publics ou privés, la limitation de circuler depuis et vers la Belgique échappent aux notions que le langage courant nous impose des termes « réquisition et évacuation », conclut l’ordonnance.

Il apparaît, dit le tribunal de première instance, que les mesures restrictives des libertés constitutionnelles et des droits de l’homme, édictées par l’arrêté ministériel du 28 octobre 2020 et ses arrêtés subséquents « ne reposent, en apparence, pas sur une base légale suffisante. »

Le montant d’astreinte fixé à 5.000 euros/jour ne pourra excéder un total de 200.000 euros. « Au regard des circonstances complexes liées à la crise sanitaire et sans les remettre en cause », le tribunal a accordé un délai de 30 jours calendrier à l’État pour se conformer à la décision. Il serait étonnant que l’État n’interjette pas appel de cette décision.

Notons que la loi « pandémie », destinée à mettre fin à ces problématiques, sera débattue ce mercredi après-midi en commission à la Chambre.

Au cabinet du Premier ministre, on ne réagit pas pour l’instant. On attend d’étudier le jugement du tribunal de première instance de Bruxelles.




Même le Pr Delfraissy déconseille confinement et politique de la peur

Par Dr Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Mais pourquoi le président Emmanuel Macron n’écoute-t-il plus le président du Comité scientifique ?  Et pourquoi certains réclament-ils un nouveau confinement ?

Il y a un an, on ne connaissait pas bien le Covid-19 et le Président a eu peur.

La peur, créée par la prophétie apocalyptique de Ferguson (500 000 morts en France) et amplifiée par la propagande terrorisante du gouvernement et des médias, lui a fait accepter un confinement aveugle [1] qui ne reposait sur aucun argument scientifique du monde réel, mais seulement sur un modèle mathématique imparfait, reposant sur des hypothèses fausses.

Le Président vraisemblablement subjugué par les modélisateurs du Comité scientifique et l’utilisation de modèle informatique, a préféré croire les prédictions d’un mathématicien au lieu de suivre la sagesse médicale traditionnelle, qui venait pourtant de faire ses preuves en Corée du Sud, Taïwan et au Japon.

Car comme le précise J.-P. Delfraissy, dans son article récent, [2] le confinement « est une mesure attirante pour les dirigeants politiques craignant une responsabilité juridique pour des réponses nationales lentes ou indécises ».

Espérant que le confinement masquerait l’état pitoyable de nos hôpitaux [3] affaiblis par 20 ans de gestion bureaucratique, nos gouvernants ont créé la pire crise sanitaire depuis plus d’un siècle et la pire crise économique depuis la dernière guerre. Macron a déclaré la guerre, mais sa stratégie du confinement aveugle (doublé d’une interdiction des traitements précoces sous l’influence des lobbies et de son gouvernement) nous a conduit à une cuisante défaite contre la maladie, tout en massacrant les forces vives de la nation.

Car la crise dramatique que nous subissons actuellement n’est pas due au Covid-19, mais aux mesures totalitaires scientifiquement infondées, disproportionnées et souvent stupides qu’ils nous ont imposées.

Bilan d’un an de confinement et de mesures prétendument sanitaires 

Sur le front du Covid-19, les résultats des confinements sont catastrophiques. Les confinements aveugles, expériences sociales inédites jusqu’ici, n’ont pas atteint leur objectif de diminuer le nombre des contaminations ou de ralentir leur rythme [4] [5] [6].

L’analyse des trajectoires des épidémies avant et après le verrouillage, par la recherche des points de rupture (break point analysis), ne montre aucun signe de discontinuité dans les tendances du taux de croissance, du temps de doublement et du nombre de reproduction.

En extrapolant les tendances des taux de croissance avant le verrouillage, il n’existe aucun élément de preuve que les confinements aveugles auraient sauvé des vies dans le monde réel, contrairement à ce que prétendent les études basées sur les modèles mathématiques des proches de Ferguson qui comparent des morts virtuelles attendues (estimations grossies de 1000 %) au nombre réellement observé [7].

Les rares succès apparents sont en fait liés aux reculs naturels de l’épidémie qui ont précédé le confinement comme en Grande-Bretagne, en Italie (ainsi que le montre la figure suivante) [8] ou en Norvège ainsi que l’a courageusement reconnu le Premier ministre norvégien Erna Solberg, lors d’un discours à la télévision nationale le 27 mai 2020 : « était-il nécessaire de fermer les écoles ? “Peut-être pasJ’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur ».

La comparaison du début des épidémies dans les différents pays montre même que le confinement aveugle enfermant ensemble malades et bien-portants augmente parfois la vitesse de propagation de l’épidémie, comme le prouve la comparaison de deux pays voisins (Belgique et Pays-Bas) aux populations très proches par leur âge, leur mode de vie et l’état de leurs hôpitaux.

Après un an d’épidémie et de mesures sanitaires sévères, au 26 mars 2021, la France avec 1 422 morts/million d’habitants trône sur le podium des 5 plus fortes mortalités européennes attribuées au Covid-19 avec les autres grands pays européens champions du confinement aveugle : la Belgique (1969/M), la Grande-Bretagne (1863/M), l’Italie (1766/M), l’Espagne (1592/M).

alors que ceux qui n’ont pas confiné à l’aveugle souffrent d’une mortalité Covid-19 plus faible, qu’il s’agisse des Pays-Bas (957/M), de la Finlande(148/M), de la Suède (1324/M) ou de la Biélorussie (231/M).

Comme le reconnaissent (enfin) J.-P. Delfraissy et ses coauteurs du Comité scientifique : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».

Mais le désastre sanitaire du confinement ne se limite pas au Covid-19

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Le confinement et le plan blanc ont entraîné des arrêts et/ou des retards de traitement de toutes les pathologies non Covid. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont eu des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générant des pathologies psychiatriques.

En France, on peut estimer qu’au moins 60 000 morts supplémentaires actuelles et/ou futures sont des victimes des retards et/ou défauts de soins et on ne peut que regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes collatérales. Qu’il s’agisse de maladies aiguës (crises cardiaques, embolies, accidents vasculaires cérébraux) ou de malades chroniques abandonnées à cause du Plan blanc [9] ou des cancers non diagnostiqués.

Les jeunes qui ne craignent presque rien du Covid-19 ont vu leurs études massacrées et leurs relations sociales gravement perturbées à une période où elles sont essentielles à leur épanouissement personnel et social futur. La véritable menace sanitaire actuelle est celle des problèmes psychiatriques amplifiés ou créés par le confinement et qui se traduit dans la hausse des consultations psychiatriques, l’augmentation forte de la consommation des antidépresseurs et de la fréquence des suicides qui menacent maintenant même les enfants.

La précarité et les troubles psychiques chez les étudiants, secondaires à l’arrêt des cours “en présentiel”, ne pourront être qu’aggravés par un nouveau confinement.

Ainsi que le reconnaît Delfraissy :

« les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

La courageuse prise de position du professeur Delfraissy et des autres membres du Conseil scientifique prouvent qu’ils ont conservé leur esprit scientifique et qu’ils ont capables d’analyser les faits, contrairement aux dirigeants politiques et aux représentants de commerce des firmes qui veulent nous maintenir en esclavage jusque nous acceptions de nous faire traiter ou vacciner avec des produits expérimentaux.

Inefficace ou délétère sur le Covid-19, catastrophique pour les autres pathologies, dramatiques pour les jeunes, responsable d’une crise économique [10] , d’un chômage record, le confinement est inefficace et totalement nuisible.

Et l’argument, on « ne peut rien faire d’autre car nos hôpitaux ne sont pas prêts » qui pouvait se discuter il y a un an, est aujourd’hui devenu scandaleux. En un an on a dépensé 120 milliards d’euros pour la crise, on pouvait largement augmenter les lits de réanimation en rouvrant les hôpitaux récemment fermés (à Paris comme l’Hôtel-Dieu ou le Val-de-Grâce que des gestionnaires envisagent de transformer en centres commerciaux ou hôtel de luxe. Et soulignons une nouvelle fois le traitement précoce qui diminue drastiquement le besoin de lits de réanimation.

L’expérience acquise depuis 1 an prouve sans équivoque que le confinement aveugle est sanitairement délétère, catastrophique pour les jeunes, l’éducation, les violences familiales, l’économie, la démocratie, la vie sociale, en un mot pour tout ce qui nous rend humain.

Même le professeur Delfraissy le reconnaît publiquement avec 4 autres membres du Comité scientifique. Comment certains ministres peuvent-ils encore oser en menacer le pays ? Comment peuvent-ils encore interdire aux médecins de traiter leurs malades en leur âme et conscience ? Et comment les journalistes peuvent-ils prétendre que ce confinement serait voulu par le Conseil scientifique ? en tous cas pas par tous ses membres. On choisit celui qui nous arrange !

Au classement mondial du bonheur 2020 [11], les pays européens qui n’ont pas confiné occupent 4 des 6 premières places : Finlande et Islande étant les champions suivis par les Pays-Bas (5e) et la Suède tandis que la Grande-Bretagne passe de la 13e à la 18e place et la France recule d’un rang (21e).

Le confinement, sanitairement désastreux ne fait pas le bonheur !  Stop confinement !

Dr Gérard Delépine


[1] ne séparant pas les malades des bien-portants. Voir Autopsie d’un confinement aveugle par N. et G. Delépine éditions Fauves septembre 2020

[2] JF Delfraissy and al  Lancet Public health, avril 21, 6,4

[3] Pourtant clamée haut et fort par les soignants lors des grèves et des manifestations durement réprimées

[4] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic. https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717

[5] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest   2021 Jan 5 ; e13484. doi :10.1111/eci.13484.

[6] Wieland, T. Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au Covid-19 en Allemagne. Saf. Sci. 131, 104924 (2020).

[7] l’article de Flexman prétend que le confinement aurait sauvé plus de 3 millions d’Européens ; il cite la Suède où le confinement a sauvé 26 OOO Suédois alors que la Suède n’a jamais confiné. Il affirme aussi que le confinement a sauvé 450 000 Allemands alors sur une période où l’Allemagne n’a pas confiné ! !

[8] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 https://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[9] L’Académie de chirurgie s’en est inquiétée dans son communiqué du 15 mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines

[10] Déjà 120 milliards d’euros envolés

[11] world happiness report 2020 WHR+21.pd




L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique

[Source : Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Le test du polymérase de transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) fut appliqué par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en date du 23 janvier 2020 afin de détecter le virus SARS-COV-2, suivant les recommandations d’un groupe de recherche en virologie (basé à l’hôpital universitaire Charité de Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l’étude Drosten).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas «Nous avons fait une erreur». La rétraction est soigneusement formulée. 

Alors que l’OMS ne nie pas la validité de ses « directives trompeuses » en date de janvier 2020, elle suggère néanmoins de « Retester », ce qui dans la pratique est une impossibilité.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al. :

Le nombre de cycles d’amplification [devrait être] inférieur à 35; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détecte uniquement les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire… (en anglais, Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet implicitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé au point de départ en janvier 2020, en liaison  avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui fut recommandé par l’OMS), les segments du virus SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant «cas positifs» confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois sont erronés (n’ont aucune validité du point de vue scientifique ).

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al., le Ct> 35 a été la norme «dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la «rétractation» soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe:

« Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.  (emphase ajoutée par l’auteur). »

Estimations Erronées 

Ce n’est pas une question de  «faibles positifs» ou de «risque de faux positifs». L’enjeu relève  au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que  l’estimation du covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR:   «il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…».

« Retester, On s’est trompé… ».  Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sense. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommendation contradictoire de l’OMS de « retester » confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA COVID SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.


Je dois mentionner qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :   The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset  (Chapitre II). Egalement disponible en français.


Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nation Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de la dite  «pandémie». Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les segments du virus Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’extrême  pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique Pieter Borger et al. :

« Si quelqu’un est testé par PCR positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme cela est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne est infectée est inférieure à 3% , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%   (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique of Drosten Study )

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97% » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».

Au moment d’écrire ces lignes (mi-mars 2021), malgré le mea culpa de l’OMS, le test PCR continue à être utilisé afin de faire augmenter les chiffres en flèche.
L’objectif consiste à  justifier les politiques de verrouillage en cours.

Ces estimations erronées sont à leur tour manipulées afin d’assurer une tendance à la hausse des positifs Covid. De plus, ces tests PCR ne sont pas accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.

Et maintenant, les gouvernements dans plusieurs pays ont émis des avertissements d’une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin Covid-19.

Et ces déclarations trompeuses se basent sur des statistiques qui sont le résultat d’une méthodologie totalement erronée. Par ailleurs, il n’y a absolument aucune base scientifique pour mettre en œuvre le vaccin Covid-19.

L’OMS et l’évaluation scientifique de Pieter Borger , et al. (cité ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests RT-PCR adoptés par les gouvernements afin de justifier le verrouillage et la déstabilisation des économies nationales sont (selon l’OMS) totalement ERRONÉES. 

Il s’agit de comprendre qu’il y a un jeu de chiffres (basées sur des estimations qui au point de départ sont trompeuses). Ces chiffres sont cités sans relâche 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements.

Il s’agit d’une vérité mensongère dont l’objectif est d’alimenter la campagne de la peur. L’ objectif est de «justifier»  TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :

  • verrouillage, confinement,
  • fermeture de l’activité économique, chômage, pauvreté et banqueroutes,
  • distanciation sociale,
  • masque facial,
  • couvre-feu,
  • programme de vaccination.

Données et statistiques mensongères.
Réfléchissez avant de vous faire vacciner.
Et maintenant, nous sommes entrés dans une soi-disant «troisième vague». (où sont les données ??).
C’est «un paquet de mensonges». 
C’est un crime contre l’humanité. 

Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement en anglais :

The WHO Confirms that the Covid-19 PCR Test is Flawed: Estimates of “Positive Cases” are Meaningless. The Lockdown Has No Scientific Basis, le 19 mars 2021.

Version française par l’auteur, Michel Chossudovsky.


A consulter :

Livre électronique de Michel Chossudovsky intitulé: (Dix chapitres)

La crise mondiale du coronavirus de 2020 : Détruire la société civile, la dépression économique, le coup d’État mondial et la « grande réinitialisation »

Voir Michel Chossudovsky, Note biographique

Articles de Michel Chossudovsky (en français)


Texte intégral de la directive OMS du 20 janvier 2021
English
français

Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

20 janvier 2021Alerte de produit médical

Type de produit : Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

Date: 13 janvier 2021

Identifiant OMS : 2020/5, version 2

Public cible : Personnel de laboratoire et utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro (DIV).

Objetif de cet avis : Apporter des précisions aux informations précédemment transmises par l’OMS. Cet avis remplace la version 1 de l’avis de l’OMS à l’attention des utilisateurs de tests de diagnostic in vitro 2020/5, publiée le 14 décembre 2020.

Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions fournies dans le mode d’emploi lors de l’interprétation des résultats obtenus pour les échantillons analysés par la méthode PCR.

Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.

La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques.

Conseils aux utilisateurs de DIV : 

  1. Veuillez lire attentivement le mode d’emploi dans son intégralité.
  2. Contactez votre représentant local si un élément quelconque du mode d’emploi vous paraît ambigu.
  3. Vérifiez le mode d’emploi de chaque lot entrant afin de repérer toute modification des instructions.
  4. Indiquez la valeur de Ct dans le rapport transmis au prestataire de soins ayant demandé l’analyse.

Personne à contacter pour toute information complémentaire :

Anita SANDS, Réglementation et préqualification, Organisation mondiale de la Santé, courriel : rapidalert@who.int

Références bibliographiques :

  1. Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2. Genève, Organisation mondiale de la Santé, 2020, numéro de référence OMS : WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.2. Altman DG, Bland JM. Diagnostic tests
  2. Predictive values. BMJ. 1994 Jul 9;309(6947):102. doi: 10.1136/bmj.309.6947.102.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
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