Chez les von der Leyen, on trafique en duo !

[Source : RL]

Par Mitrophane Crapoussin

Même si l’on voit réapparaître quelques terroristes covidistes télévisuels, le temps passant confirme l’inefficacité des produits expérimentaux, vendus par falsification sous le nom de vaccin, leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ce que confirme une étude allemande rapportant que huit vaccinés sur mille souffrent d’effets secondaires…

Beaucoup s’interrogent sur cette quasi obligation vaccinale qui n’est pas terminée, le passe sanitaire n’étant que suspendu… Les mesures liberticides et le management par la terreur que nous subissons ne sont, encore et toujours, qu’affaires de gros sous et de corruption au plus haut niveau, impliquant Ursula, les siens, nos mafieux européens et hexagonaux.

Ursula et son mari achetés par Vanguard Group ?

La pandémie a commencé en mars 2020. En décembre 2020, comme par hasard… un prof de médecine allemand, chef d’une clinique de Hanovre, Heiko van der Leyen, est propulsé directeur médical d’une très puissante entreprise de Big Pharma américaine, spécialisée dans la technologie de l’ARNm, Orgenesis.

L’OMS, l’UE et nombre d’États pressaient alors les labos pharmaceutiques de trouver un vaccin, ou le contraire… alors qu’il y avait des traitements, lesquels étant anciens ne rapportaient pas beaucoup d’argent et qui furent interdits  ou déconseillés car qui dit traitement dit pas de vaccin…

Flairant le gros coup, Pfizer signa un partenariat avec Orgenesis pour la partie des tests scientifiques et cliniques,  et avec les Allemands de BioNTech pour la fabrication. Pfizer l’a cooptée dans ce projet pour avoir un soutien politique dans les négociations ultérieures avec l’Union européenne avec Merkel et Ursula.

De plus, Orgenesis et Pfizer ont les mêmes actionnnaires dont le célèbre Vanguard Group.

Vanguard plus puissant que BlackRock !

Vanguard détient la plupart des actions d’un autre fonds géant, BlackRock. Les deux grands groupes financiers contrôlent presque tout à l’échelle mondiale, dont Big Pharma… et 90% des médias américains.

Il est presque impossible de trouver tous les propriétaires d’actions du fonds Vanguard. Mais quelques noms se remarquent, selon des sources boursières officielles : Rothschild Investment Corp., Edmond de Rothschild Holding, diverses familles comme Orsini en Italie, Bush aux États-Unis, du Pont, Morgan, Vanderbilt, Rockefeller, la famille royale britannique.

Il se dit aussi que Vanguard comprend des investisseurs tels Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos ou Mark Z, voire Joe Biden et son célèbre fils Hunter.

Alors que la politique sanitaire est du ressort de chacun des États de l’UE, Ursula s’accapara l’achat des vaccins. Le 8 mai 2021, elle  signa le marché avec le patron de Pfizer pour 1,8 milliard de doses de vaccin, livrables jusqu’en 2023.

En l’absence de chiffres officiels, la transaction fut estimé à environ 36 milliards de dollars, soit environ 20 dollars la dose. Tout contrat commercial de ce type comporte des « commissions de performance » pour les intermédiaires. 2 % de 36 milliards équivaut à 760 millions de dollars ! Pour qui ?

Ursula la tricheuse

Elle a étudié la médecine à l’Université de Hanovre et, en 1991, y a obtenu son doctorat. Récemment, elle a été accusée de plagiat par la presse allemande. Des journalistes ont découvert que 43,5% de sa thèse de doctorat était copiée. L’université a conclu que, bien que la thèse ait contenu du plagiat, aucune intention de tromper ne pouvait être prouvée.

Lorsqu’elle était ministre de la Défense (dans les gouvernements III et IV de Merkel), Ursula avait dépensé sans compter pour rémunérer des cabinets conseil dont McKinsey où travaillait l’un de ses fils….  Pour 700 millions d’euros. À cette époque, une commission parlementaire a tenté d’enquêter sur les allégations de mauvaise gestion, mais l’affaire fut étouffée.

Au cours de cette enquête, a fuité l’information selon laquelle Ursula aurait supprimé des données de son téléphone portable.

On sait que la négociation entre Ursula et Bourla (Pfizer) s’est déroulée de façon très opaque, avec des contrats inaccessibles aux eurodéputés, puis caviardés… Les messages et appels  liés à ces transactions ont subitement disparu des téléphones d’Ursula, au grand étonnement de la médiatrice de l’UE Emily O’Reilly .

Une journaliste ayant demandé si ces messages avaient été supprimés, s’ils n’étaient toujours pas archivés ou si les commissaires européens en avaient connaissance, la question est restée sans réponse. Une porte-parole de la CE a confirmé à la presse que les messages courts ne sont pas enregistrés dans le système Ares (le programme d’archivage interne de l’UE). En tout cas, à l’heure actuelle « il n’y a aucune possibilité technique d’enregistrer des messages courts ».

Il convient de noter que ce phénomène est en contradiction avec les règles internes de la Commission, adoptées en 2015. Selon elles, les SMS et messages similaires devraient être copiés dans un e-mail, scannés ou enregistrés d’une autre manière.

À qui profite les crimes ?

Des « vaccins » trouvés et commercialisés en quelques mois, au lieu de la dizaine d’années habituelle…, des labos irresponsables des effets secondaires, lesquels sont niés ou cachés…, des populations obligées aux injections à répétition sous peine de discrimination… pour pousser à la consommation et favoriser les « bénéfices outrageants de Pfizer», comme s’en est ému le professeur Raoult… Tout cela ne révolte personne.

Pfizer a un passé et un lourd passif en matière de corruption et de condamnations… dans de gravissimes scandales où l’on retrouve McKinsey…

Qu’Ursula claque, sans délégation aucune des populations, l’argent des Européens est inacceptable, qu’elle le dépense pour faire assassiner par des « vaccins » forcés ou des armes va devoir se discuter très sérieusement, y compris avec ses 27 complices, dont Macron.

Il est édifiant que celui qui se veut le principal opposant de Macron ne lui parle jamais ni d’Alstom, pas davantage que de Mckinsey, de Pfizer, etc. Serait-il lui aussi sponsorisé par Vanguard?




La condamnation de l’obligation vaccinale par la Cour suprême indienne

[Source : RL]

Par P.-A. Pontoizeau

Nous partageons, a priori, avec l’Inde d’être des grandes démocraties. L’Inde est toujours donnée en exemple d’être la plus grande démocratie du monde avec son milliard et demi d’habitants et ses Etats fédérés. Or, la Cour suprême vient de condamner définitivement la vaccination obligatoire.

Ses motifs sont simples. L’intégrité physique est protégée et elle est inaliénable. Au passage, les conventions internationales signées par la France nous engagent de même. Aucun individu ne peut être forcé à la vaccination. Les juges indiens prennent à leur compte toutes les conventions internationales signées depuis la guerre pour protéger les personnes des décisions abusives des États ou de médecins se considérant maître de nos corps et de nos destins. L’Inde nous rappelle ainsi que l’autonomie de jugement, la décision personnelle sont au-dessus de toute autre considération. Il n’y a pas de transgression possible à ce droit.

Et ces juges, plus préoccupés du libre consentement éclairé que les Occidentaux, ajoutent une obligation à l’attention des laboratoires et des institutions sanitaires. Toutes les données sont publiques, dont celles sur les effets indésirables. Les scientifiques doivent travailler librement, les personnes doivent juger librement, en pleine connaissance de cause, sans préjugé, sans oukase, sans dogmatisme.

Les juges indiens ont aussi averti que la propagande et la menace, les pressions exercées indûment sur les personnes désirant ne pas se faire vacciner étaient inacceptables. Personne ne doit être intimidé, marginalisé, persécuté pour ses opinions et ses choix de santé.

Cette décision des juges de la Cour suprême indienne pose une question. Le raisonnement des juges indiens est-il universel ? Y a-t-il la raison nationale indienne et une autre raison contraire, celle du conseil constitutionnel Français par exemple ? Le juste raisonnement peut-il aboutir à des conclusions contraires selon les pays (clin d’œil à nos « amis » mondialistes !)

Le seul argument raisonnable que j’ai entendu pour justifier de contredire notre droit démocratique commun à l’Inde et à la France était celui de l’utilité. Il aurait été utile à tous de briser temporairement notre liberté parce que l’enjeu collectif le légitimait. Pour cela, il faut croire et surtout prouver que le résultat utile est à la hauteur de l’amputation des libertés fondamentales. Il aurait fallu que l’engagement responsable des États et des laboratoires soit tenu : vaccination obligatoire selon la thérapeutique affirmée en deux doses, protection absolue contre la maladie à l’instar des vaccins traditionnels, innocuité réelle sans effets indésirables graves, et fin de l’épidémie rapide dans la foulée de ce sacrifice. Rien de tout cela n’est au rendez-vous, et les laboratoires savaient en refusant d’endosser la responsabilité de leur production : inédit ! Cet argument d’utilité est faux, n’y revenons pas trop. En résumé : « vaccin » inefficace, « vaccinés » contaminés voire décédés, effets indésirables graves, etc.

[Note de Joseph : l’idée que les vaccins traditionnels protègent de maladies relève de croyances. Cela n’a jamais été démontré de manière rigoureusement scientifique. La formation médicale des médecins en matière vaccinale se résume à quelques heures de propagande fournie par les compagnies vaccinales qui par ailleurs fournissent des études biaisées, voire frauduleuses, sur le sujet.
De plus, la théorie vaccinale et celle plus générale des germes sont contestables et contestées par des pionniers d’un nouveau paradigme médical (basé notamment sur les découvertes de Béchamp, adversaire scientifiquement rigoureux de Pasteur qui lui a fraudé).
Voir le dossier Vaccins et virus.]

En conséquence, les démocraties Occidentales ont violé leur code de santé publique qui oblige à mettre sur le marché des produits sûrs dans leurs bénéfices. Ces démocraties ont violé leurs valeurs fondamentales : respect de la personne humaine, dignité, libre consentement, inviolabilité du corps humain, etc. Reste alors une seule question. Est-il possible maintenant de contredire dans les autres démocraties la sage décision des juges indiens ? Y a-t-il un autre choix démocratique que de revenir urgemment à la protection absolue de la personne humaine et au respect du code de santé publique ? Si nos juges prétendent qu’il y a un autre choix, c’est que nous renonçons aux valeurs humanistes qui ont été patiemment construites au fil des périodes criminelles où les médecins ont été au centre de pouvoirs exorbitants. Le célèbre professeur Fauci n’a-t-il pas récemment revendiqué le droit des institutions sanitaires mondiales à décider sans rendre compte à quiconque. C’est la fin de la démocratie. Pas de concertation, pas de pouvoir législatif, mais aussi pas de jugement, pas d’enregistrement des plaintes, puisque le savant décide et ne rend compte à personne. Voilà le basculement de l’Occident dans le biopouvoir, celui de quelques docteurs Folamour qui veulent tous les pouvoirs sans rendre compte à quiconque.

Partageons le jugement de la Cour suprême indienne du 2 mai 2022 pour interpeler nos contemporains.
https://www.indiatvnews.com/news/india/covid19-vaccination-not-mandatory-supreme-court-order-unvaccinated-individuals-restrictions-2022-05-02-773615

Pierre-Antoine Pontoizeau




La Face cachée du drame de Notre-dame : Des mensonges aux abus de pouvoir

[Source : apar.tv]

Il y a des jours où l’on ne préférerait pas avoir internet. Il y a des jours où face à la vérité on préférait un bon mensonge. Rapide et rassurant. C’est ce que vous risquez de ressentir après le récit glaçant autour de l’incendie de Notre-dame publié par le Media en 4-4-2. Heureusement – comme nous avons l’habitude de le répéter en ce moment – à la fin c’est dieu qui gagne.

Par Rrose Sélavy

Orange et les autorités chargées de la restauration de la cathédrale incendiée le 15 avril 2019 reprennent les visites du monument, mais… virtuelles et payantes. Deux heures de spectacle, dont 45 minutes d’expérience immersive, Éternelle Notre-Dame vous fait voyager dans le temps et plonger dans l’univers de la cathédrale du XIIIᵉ au XXIᵉ siècle. Autrefois on appelait ça tout simplement son et lumière.

La cathédrale est la proie des flammes, comme le montre cette image capturée par un drone de la police. La cathédrale est la proie des flammes, comme le montre cette image capturée par un drone de la police.
© Drone de la Police

A présent, c’est beaucoup mieux. Prix annoncé : 20,99 €. En parcourant le site on apprend que c’est le tarif réduit. La place est à 30,99 € (30 % du prix du billet vont à l’établissement public en charge de la conservation et de la restauration de la cathédrale et à la Fondation Notre-Dame). L’ immersion en plein Moyen-Âge se fait en toute sécurité : pass vaccinal et masque obligatoires. Gel hydroalcoolique disponible à toutes les étapes de la visite. Matériel rigoureusement désinfecté entre chaque séance (casque, sac à dos, lanières). Cent personnes par heure sur 1500m2, soit 15m2 par personne. Ça fait rêver, non ? Le spectacle est produit et réalisé par Amaclio, une société créée par deux passionnés d’histoire, François Nicolas et Bruno Seillier. Leur dernier spectacle, La nuit aux Invalides en juin 2021, n’a pas fait que des heureux. Certains spectateurs ont réservé des places sans être vaccinés. Entre-temps, la législation a changé, le pass sanitaire est devenu obligatoire, mais Amaclio a refusé de les rembourser. Ils se sont épanchés sur les pages Jaunes : société malhonnête, expérience catastrophique, quelle déception ! La société, subissant un plan de redressement depuis le 5 décembre 2018, n’a sans doute pas les moyens de rembourser sa clientèle.

Film catastrophe

Tout aussi virtuel sera le film catastrophe à la française de Jean-Jacques Annaud : Notre-Dame brûle. Il sort le 16 mars, un mois avant la date anniversaire de l’incendie. Budget : 30 millions apportés par TF1, Pathé et Jérôme Seydoux. Le réalisateur, Jean-Jacques Annaud, est membre de l’Académie des Beaux Arts. Il est aussi chevalier de l’Ordre National du Mérite, Chevalier des Palmes Académiques et Commandeur des Arts et Lettres ! Hypothèse de base du scénario : c’est un mégot qui a foutu le feu ou bien un court-circuit. Bref, c’est la faute à pas de chance. Rien de criminel. « La reconstitution heure par heure de l’invraisemblable réalité des évènements du 15 avril 2019 », nous dit UniFrance. C’est en effet invraisemblable.

Jean-Jacques Annaud
Jean-Jacques Annaud et son ami Roman Polanski

On gratte un peu le vernis ? Jean-Jacques Annaud, cité dans les Paradise Papers, a été condamné pour blanchiment de fraude fiscale à neuf mois de prison avec sursis et 120 000 euros d’amende pour avoir oublié de déclarer au fisc 1,2 million d’euros. L’appartenance à la France China Foundation n’a pas suffi à éloigner les aigris du fisc qui se sont demandé où avait disparu l’argent du tournage de Sept ans au Tibet en 1997. Notre-Dame brûle a reçu l’appui du CNC, présidé par Dominique Boutonnat, visé par une plainte pour agression sexuelle et tentative de viol. Comme dirait Jean-Michel Trogneux, Nobody’s perfect !

Produits dérivés métaverses

Autre produit dérivé annoncé par les médias : un jeu en réalité virtuelle au cœur de la cathédrale, fruit de la collaboration entre Jean-Jacques Annaud et le développeur de jeux vidéo français Ubisoft. La cathédrale du jeu Assassin’s Creed Unity, qui se déroule pendant la Révolution française, resservira. À l’aide de lunettes de réalité virtuelle, le joueur tentera de combattre l’incendie et de sauver des reliques. L’exportation du jeu sera « une manière de rendre Notre-Dame plus éternelle que jamais », nous explique FranceInfo. Plus belle qu’avant, a dit le président. Plus éternelle que jamais, affirme France Info. L’incendie aurait-il apporté un « plus » à Notre-Dame ?

Que va devenir la cathédrale ?

L’esthétique médiévale a-t-elle fait son temps ? Certains craignent un nouveau Disneyland. Quand on voit les propositions du diocèse pour l’intérieur, on peut craindre le pire. Le père Gilles Drouin, soutenu par Michel Aupetit, l’archevêque de Paris, a pour projet de « mettre en scène les grands moments de la Bible pour expliquer de la manière la plus intelligible au commun des mortels, qu’il soit chinois ou suédois, ce que tout cela signifie. Il est prévu de projeter sur certains mots et expressions en mandarin, en français ou en espagnol, et en anglais ». Son plan, présenté le 9 décembre 2021, intègre une ouverture à l’art d’aujourd’hui, « dans la tradition de l’histoire de la cathédrale qui a toujours accueilli le meilleur de l’art de son temps » nous explique Famille chrétienne. La commission nationale du patrimoine et de l’architecture de France a quand même exprimé de sérieux doutes sur les futurs bancs pour les fidèles, au design très contemporain, pliables, équipés de roulettes et de lumignons. « Cela ressemblait vraiment à des bancs d’aéroport… Notre avis, après en avoir longtemps discuté, est très réservé »conclut un expert. La reconstruction de l’extérieur se déroule selon un plan plus conventionnel. Bien qu’il ait déjà annoncé un concours international d’architecture pour redessiner la flèche de Notre-Dame, Emmanuel Macron a confirmé que le célèbre élément serait restauré à l’identique.

Ile de la Cité : des milliards en jeu

Avant l’incendie, Notre-Dame et l’île de la Cité avaient déjà éveillé déjà les convoitises des architectes Dominique Perrault et Philippe Belaval. Leur rapport, commandé par François Hollande et Anne Hidalgo en décembre 2015, offrait « une vision de l’île à l’horizon des vingt-cinq prochaines années ». Des milliards en jeu. De quoi plaire aux promoteurs. De quoi faire craindre le pire.

Dominique Perrault, architecte de la Bibliothèque nationale de France, fait partie du réseau  Mitterrand et Lang. Jean-Michel Wilmotte a aménagé une partie des appartements privés de François Mitterrand au palais de l’Élysée. Tous deux font partie du petit monde qui assiste à la cérémonie d’installation de Frédéric Mitterrand à l’académie des Beaux-Arts à Paris, France, le 5 février 2020. Sur les photos on peut voir : Jean-Michel Wilmotte avec Roman Polanski, Yann Arthus-Bertrand, Farah Palhavi, Marc Ladreit de Lacharriere, Adrien Goetz, Marc Lambron, Jacques Perrin, Karim Aga Khan.

Après l’incendie, Jean-Michel Wilmotte et Dominique Perrault sont toujours là et toujours au service du pouvoir en place : selon eux, la restauration de Notre-Dame devra se faire grâce à des techniques et matériaux de construction modernes, seule solution pour respecter le court délai imposé par Emmanuel Macron.

À 50 mètres de Notre-Dame, le pire est déjà arrivé, à l’Hôtel-Dieu

Un tiers de l’Hôtel-Dieu — 20 000 m2, dont l’aile donnant sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame — a été cédé au promoteur Novaxia, après l’incendie de la cathédrale, via un bail de 80 ans de 144 millions d’euros de redevance d’exploitation (244 sur la durée du bail). Anne Hidalgo a insisté pour que l’Hôtel-Dieu ne soit pas classé. Martin Hirsch à la tête de l’AP-HP, son propriétaire, n’y a rien trouvé à redire, malgré l’obstination de la Commission du Vieux-Paris qui le demande depuis mai 2018. Projet de Novaxia : « un pôle “attractivité” avec une offre variée de restauration et de commerces qui viendra renforcer l’attractivité et l’animation de ce lieu emblématique. Un restaurant gastronomique, un café, un “food court” et des commerces seront sélectionnés par les différentes parties prenantes ». En 2020, cette proposition a été primée, pour des raisons très certainement esthétiques et culturelles, par l’association de professionnels du bâtiment Le Geste d’or.

Peu après avoir signé le bail de l’Hôtel-Dieu, Joachim Azan, qui dirige Novaxia, a été condamné à 300 000 € d’amende par l’Autorité des marchés financiers pour « dispositifs lacunaires dans la gestion des conflits d’intérêts, non-respect des limites des frais mentionnées dans le prospectus de présentation des fonds, manquements aux obligations commerciales ainsi que manque de diligence et loyauté à l’égard de la mission de contrôle », etc. Entre Martin Hirsch et Joachim Azan, le sort de l’Hôtel-Dieu est-il en de bonnes mains ?

Sécurité défaillante avant l’incendie

La sécurité de la cathédrale était déléguée à la société Elytis deux agents de la société étaient mobilisés au PC sécurité Notre-Dame — l’un devant l’écran de surveillance, l’autre en ronde sur le terrain. Depuis 2014, pour cause de rentabilité, il n’y en avait plus qu’un, avec en appui un surveillant de la cathédrale. Résultat : impossible de faire des pauses et la moindre sollicitation obligeait l’employé d’Elytis à quitter du regard le système de sécurité incendie.

N’importe qui pouvait monter sur Notre-Dame sans être vu et répandre un produit, comme la nanothermite, évoquée par des complotistes qui doutent que des poutres de neuf siècles puissent prendre feu avec autant de bonne volonté. En effet, comment faire brûler des poutres du XIIe siècle, résistantes comme de l’acier ?

La nanothermite utilisée pour les tours de New York le 11 septembre 2001 est une hypothèse écartée avant toute enquête par le gouvernement et ses médias. Qui dispose de thermite ? L’Armée. Et voilà le Général Georgelin, nommé, deux jours après l’incendie, représentant spécial pour la sauvegarde et la restauration de Notre-Dame. Qu’est-ce qui a pu  provoquer une explosion après le début de l’incendie ? La thermite.

« Je vois pas d’hypothèse que je puisse dire »

Benjamin Mouton n’a pas de conflit d’intérêts (il est à la retraite). Lorsqu’il était architecte en chef des monuments historiques, responsable de Notre-Dame, entre 2000 et 2013, il a supervisé la rénovation de la sécurité incendie. 

« Le sujet de la sécurité incendie a été posé à partir de mon arrivée. J’ai géré le sujet de bout en bout. » Donc la sécurité incendie, il connaît : « Là où j’étais stupéfait c’est de la rapidité avec laquelle le chêne de Notre-Dame a brûlé. Un chêne aussi vieux; ça ne peut pas brûler comme une allumette. C’est absolument incompréhensible. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. Je vois pas d’hypothèse que je puisse dire. »

L’hypothèse d’un court-circuit ou d’un mégot d’un chantier ? 

« J’en ai parlé à mon confrère Philippe Villeneuve, qui est l’architecte en chef des Monuments historiques et qui m’a donné son accord pour que je participe ici ce soir, et il m’a dit avoir connu un seul départ de feu dans la culée, c’est-à-dire dans la partie de toiture qui rencontre le transept. Il m’a dit uniquement ça : “Il n’y avait pas de chantier à cet endroit-là”. »

Un architecte avec conflits d’intérêts déclare : l’incendie était prévisible

François Chatillon, architecte en chef des monuments historiques impliqué dans la restauration de nombreux monuments en France, signale qu’il était bien connu que les poutres de chêne sous le toit en plomb de Notre-Dame présentaient un risque élevé d’incendie.

La Cour des comptes met le nez dans le chantier de restauration

Son rapport ne laisse pas grand-chose de côté, à part l’enquête, qui n’entre pas dans son domaine. Avant l’incendie : des travaux nécessaires restaient en plan. A la date de l’incendie, le mécénat de la Fondation Notre Dame et de la fondation américaine Friends of Notre-Dame de Paris n’avaient rien versé, même si le programme de travaux qu’il contribuait à financer avait connu un début d’exécution, notamment le montage d’un échafaudage de grande ampleur autour de la flèche. Après l’incendie, l’élan de générosité des donateurs a atteint 825 millions d’euros, mais l’utilisation des fonds n’est pas transparente. Le comité de suivi des travaux, créé trois jours après l’incendie et définitivement adopté le 16 juillet 2019, ne s’est pas réuni avant juillet 2020, soit plus d’un an après l’incendie. Il n’a pas pu informer les donateurs de l’emploi des fonds. Des détournements sont suspectés. Ainsi, le siège de l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris est situé au 2Bis cité Martignac, dans un bâtiment propriété de l’État. Coût de la location pour cinq ans de locaux qui devraient être mis à disposition gratuitement : 1,65 M€. Rémunérations de 39 agents : près de 4 M€. La cour des comptes relève qu’il paraît difficile de considérer qu’ils relèvent tous des travaux de conservation et de restauration de la cathédrale.

Un architecte, M. Villeneuve, a proposé un taux de majoration de 30 %, pour les travaux de sécurisation et de consolidation de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Demande revue à la baisse. Ce même architecte a, d’un côté, reçu des indemnités pour la résiliation des marchés en cours dont aucun n’était achevé à la date de l’incendie, et de l’autre, a bénéficié d’un nouveau contrat pour assurer la restauration.

Stratégie du choc

Le choc de l’incendie de Notre-Dame de Paris a permis de reporter l’annonce de mesures aptes à calmer la colère des Gilets Jaunes. Les réactions du gouvernement ont été fulgurantes, comme si elles suivaient un plan, mais nous ne l’envisageons même pas, ce serait du complotisme. Emmanuel Macron « triste » de voir la cathédrale brûler. La joie des deux compères Macron et Philippe est pourtant manifeste (voir vidéo). Tout va vraiment très vite, comme si c’était prévu : incendie le 15, dépôt d’un projet de loi d’exception le 24 pour la reconstruction de Notre-Dame et du quartier de l’île de la Cité (planifiée depuis les années Hollande).

Par l’annonce que Notre-Dame sera reconstruite « plus belle encore », l’inculture confirme en toute décontraction son apparition au sommet de l’État devant un parterre d’architectes. 

« Et je l’ai dit le soir de l’incendie, nous construirons Notre-Dame plus belle encore en repensant ses abords : le parvis, le square Jean XXIII, la promenade du flanc sud de l’Ile-de-la-Cité, dans un dialogue constant, notamment avec le clergé et la Ville de Paris et en nous appuyant sur les travaux qui ont été réalisés il y a maintenant plus de deux ans par plusieurs ici présents, et en lui redonnant une flèche. » 

Et tout ça fissa pour les touristes des Jeux olympiques de 2024. Tiens ! c’était la date prévue par la mission Bélaval-Perrault en 2016.

Les affaires reprennent

Et coucou revoilà le rapport Bélaval-Perrault de 2016, qui prévoit, entre autres nuisances :

« Le parvis de Notre-Dame recouvert d’une immense dalle de verre au-dessus de la crypte archéologique ; aux pieds de la cathédrale, un débarcadère et des plates-formes flottantes accueillant piscine, cafés, restaurants, salles de concert ; le long de la Seine, une longue promenade végétalisée, débarrassée des voitures, reliant les pointes aval et amont de l’île ; deux nouvelles passerelles qui franchissent le fleuve ; un peu partout, des verrières, des passages couverts, des galeries souterraines, des atriums en sous-sol… »

Ne perdons pas de temps avec les appels d’offres

Le surlendemain de l’incendie, 17 avril, le Conseil des ministres…
– a nommé l’ancien chef d’état-major des armées, le général Jean-Louis Georgelin (membre du club du Siècle), pour conduire depuis l’Élysée une mission de représentation spéciale « afin de veiller à l’avancement des procédures et des travaux qui seront engagés » ; C’est ce général qui, lors d’un échange à l’Assemblée nationale le 13 novembre 2019, a demandé à Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques, « qu’il ferme sa gueule » alors que ce dernier avait à plusieurs reprises affirmé son souhait de reconstruire la flèche à l’identique.
– a fait un projet de loi régissant la collecte de fonds, régularisant la nomination du général Georgelin qui a atteint la limite d’âge et surtout exemptant sa mission de toutes les procédures d’appel d’offres, des lois de protection du patrimoine, toutes ces contraintes inutiles qui font toujours perdre un temps précieux.
– a lancé un concours international d’architecture pour reconstruire Notre-Dame.

Parlons d’autre chose

Plusieurs projets sont immédiatement présentés par des designers et des architectes qui dessinent leurs visions de la future cathédrale en tant que rentable attraction touristique. A force de discuter de ces visions plus ou moins aberrantes, on en a oublié les Gilets Jaunes et même la cause de l’incendie.

L’incendie qui a fait passer les Gilets Jaunes à la trappe a également fait disparaître le chef-d’œuvre de parias du Moyen-Âge, les Cagots. Comme les non-vaccinés aujourd’hui, ils étaient stigmatisés. Forcés de vivre à l’écart dans les bois, ils n’avaient que le droit d’être charpentier ou tonnelier. Ce sont eux qui ont construit la charpente de Notre-Dame de Paris selon le nombre d’or. Eux qui, pour entrer dans une église, devaient emprunter une porte dérobée, avaient leur bénitier à part, faisaient leur communion sans contact physique…




Nouveau cri d’alarme de la députée italienne Sarah Cunial contre l’obligation vaccinale

Par Nicole Delépine

[Illustrations et tableaux ajoutés par N et G Delépine]

« Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

(([1] Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire… DÉPUTÉE SARAH CUNIAL 12 septembre 2021))

Nouveau cri de détresse sur le mode sarcastique de la célèbre députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial(([2] exclue de son parti (actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi, pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire))(([3] Sara Cunial : « Cher président Draghi, merci de nous avoir mis en ruine en seulement 12 mois » (maurizioblondet.it) via Maurizio Blondet 6 mai 2022))

Elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, comme à chaque fois… Puis elle s’adresse directement au Pape. À quand un tel discours en France au Parlement ?

« Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments) a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider (cf. blog du Dr Gulisano).

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs, car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document — financé par Bill Gates et Rockefeller — sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ».

Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence.

Le but du Pass Covid européen — qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) — est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ».

L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives, car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino(([4] du mot sicilien pizzinu signifiant « petit bout de papier ». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement)) de Speranza [ministre de la Santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays.

Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les tests nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la Santé] pluri vaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple, car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS — et je dis bien TOUS — payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons, car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes :

par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22 %.

Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique !

Nous parlons de +32 %, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées !(([5] EFFETS DELETERES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! /LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([6] Le point sur les complications des pseudovaccins anticovid au 4 mars 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([7] https://childrenshealthdefense.org/defender/pilots-injured-covid-vaccines-speak/))

Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable — jusqu’à 26 % — de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies, car le chiffre officiel du ministère israélien de la Santé du 13/08/2021 dit que 81 % des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies, car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés !

Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON-VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques craignent le vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.(([8] https://nouveau-monde.ca/chroniquesdu-totalitarisme-psychopathologie-du-totalitarisme/))

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. »

C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Georgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert, car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ».

INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »


Vous avez reconnu le ton clair et net de cette députée qui depuis 2020 fait le maximum pour tenter de faire échapper les Italiens à la folie covid et aux mensonges permanents de la clique mondialiste au service de Big Pharma et de Davos et cie.

Rappelons quelques-unes de ses contributions.

Nous l’avions déjà connue depuis 2020 :

En aout 2021 :

En septembre 2021 : Sara Cunial : parlement italien le 9 septembre — Ciel Voilé (cielvoile.fr) et une superbe intervention

En décembre 2021 un appel gagné au tribunal lui permet de retourner au parlement italien :



Début janvier 2022 :

Elle dénonce les mensonges sur les incidents niés lors de la campagne de vaccination sur les enfants. Elle parle des myocardites particulièrement fréquentes. Elle insiste sur cette campagne de vaccination honteuse, mensongère. Elle demande de « garder vos mains avides » loin de nos enfants.

2022 une nouvelle fois la courageuse députée italienne fort isolée dans son hémicycle, non vaccinée, chassée temporairement de ce fait, va défendre les enfants italiens pour tenter de leur éviter la vaccination obligatoire :

Elle est aussi intervenue lors des explications de vote sur le projet de loi transformant en loi le décret-loi du 24 mars 2022, n. 24, « contenant des dispositions urgentes pour surmonter les mesures de lutte contre la propagation de l’épidémie de COVID-19 », à la suite de la cessation de l’état d’urgence.

Et elle avait fait ce magnifique discours grinçant :

« Merci, Monsieur le Président, et merci à tous mes collègues. Au cours de ces mois, j’ai eu le temps de réfléchir et aujourd’hui, je peux vous dire merci. Merci de vraiment penser au bien de notre pays et de ses citoyens, de donner la priorité à leur santé et de mettre à la disposition de tous des traitements efficaces et sûrs, des remèdes éprouvés, des protocoles innovants et, surtout, personnalisés.

Merci de rendre la recherche libre et indépendante, pour la minutie et la transparence dans la diffusion des données. Merci pour tout ce que vous avez fait dans le seul intérêt du peuple italien ou peut-être d’une partie. Les résultats sont vraiment incroyables et le bien-être, aujourd’hui, grâce à vous, est endémique. Merci au nom de tous les enfants et jeunes italiens de les avoir défendus contre la dépression, l’anxiété, les difficultés d’apprentissage, les réactions indésirables, les suicides ; les premiers qui ont pu profiter de votre vision admirable, les premiers à être encouragés à un mode de vie sain, à respirer profondément, à se nourrir de vraie nourriture, à raconter, à connaître le monde les yeux grands ouverts et l’esprit critique.

Ils ont enfin appris à quel point le sourire d’un enfant peut être dangereusement puissant pour cette société. Merci d’avoir fait de l’école un endroit accueillant et sûr, pour l’argent investi dans les installations, dans la beauté, dans les enseignants.

Merci au nom des agents de santé et de tous les travailleurs qui, ces dernières années, ont vu leur soutien et leurs subventions augmenter : pas un emploi n’a été touché, pas un emploi et pas un travailleur ont été victimes de chantage. Droite ?

Il est très important de savoir que notre Constitution, dans son premier et principal article, n’a pas été affectée le moins du monde en cette période difficile. Ceux qui montrent qu’ils résistent, en effet, doivent être taxés, condamnés à une amende, toujours, je le recommande. Merci de les suspendre et de les supprimer, donc au moins maintenant nous savons vers qui nous tourner.

Merci d’avoir dressé les forces armées contre les citoyens, humilié et poursuivi ceux qui prient même sur la place ou osent boire avec un masque. Merci aussi de nous taxer parce que nous ne sommes pas morts, comme certains l’espéraient peut-être.

L’Italie est une République fondée sur le travail. L’Italie répudie la guerre, toutes les guerres. L’Italie garantit le droit d’étudier. Il ne fait pas de discrimination, Italie.

Merci à ce Parlement d’avoir concrétisé tout ce qui est écrit dans notre Charte constitutionnelle.

Je vous remercie d’avoir lu et répondu à mes 160 questions que, depuis février 2020, j’ai déposées, en vous fournissant tous les éléments pour arrêter les tragédies de plus en plus nombreuses liées à l’administration de poisons : dommages immunologiques, cardiologiques et neurologiques irréversibles ; 40 morts subites seulement pendant les vacances de Pâques. Mais pourquoi lire les questions, si vous savez déjà tout ?

Merci de nous avoir habitués aux bulletins des morts, il est donc plus facile de passer d’une guerre à l’autre.

Vous nous avez fait comprendre que nos agents de santé peuvent être remplacés par des Ukrainiens, mais pas par des Palestiniens, des Africains ou des Sud-Américains. Grâce à ces deux années, aujourd’hui tout est extrêmement clair. Vous nous avez enfin fait comprendre que l’expression “être né en Italie” n’est pas une source de fierté, mais une déclaration de soumission à l’économie de guerre qui a toujours commandé nos institutions : gouvernement, majorités, fausses oppositions, anciennes et nouvelles incluses.

Merci parce qu’en nous enlevant nos services essentiels, notre travail, notre capacité à survivre, vous nous enseignez la dignité de vivre de manière de plus en plus indépendante et autosuffisante. Merci parce que beaucoup d’entre nous ont changé d’emploi, avant que le chantage du travail ne nous change. Il n’est plus temps de déléguer à qui que ce soit, nous n’avons plus besoin de vous. Sous-estimez les Italiens, si vous pensez que vous pouvez nous arrêter et plier avec vos peines, vos amendes et votre violence. Merci d’utiliser l’argent des Italiens pour acheter aux filiales de l’État ce qui est vraiment nécessaire à notre subsistance : la santé, la culture et le bien-être, les armes offensives bénies, l’identité numérique, la 5G, les incinérateurs, les vaccins, bref, toutes les nécessités de base. Et merci, en particulier, aux deux derniers gouvernements, Conte et Draghi, qui ont augmenté les dépenses militaires de 25 à 38 milliards par an, en les soustrayant de la santé et de l’école.

Nous vous remercions parce que, depuis la gestion de l’urgence COVID, nous nous sommes réveillés avec un tiers des entreprises fermées, la crise et la pauvreté endémique, le pouvoir d’achat réduit de moitié, vendu au meilleur oligarque en service, peut-être américain, aussi longtemps ami d’amis. Enfin, nous pouvons remplacer notre made in Italy, notre biodiversité agroalimentaire par des produits contrefaits dans les laboratoires des multinationales de la chimie. Merci. C’est aussi grâce à l’Afrique qui n’avait pas hâte de résoudre le problème séculaire de la mortalité due au COVID, qui ne permet pas à sa population d’atteindre le seuil de survie, toujours garanti par l’extractivisme de l’ENI.

Merci parce que, en passant de la guerre par procuration à faire des Italiens des mandataires de la guerre, de la haine et de la dénonciation, vous nous avez fait comprendre clairement de quel côté nous ne voulons pas être, et cela ici — ici ! – *aucun d’entre vous ne nous représente*.

Au fait, pour nous avoir empêchés d’être complices du mouvement institutionnel dense, merci. Mais surtout merci parce que, en nous marginalisant et en nous isolant, vous nous avez donné l’occasion de construire tant d’arches de salut avec le seul courage de la dignité.

De la satisfaction des besoins induits, nous sommes passés à la création de notre bonheur, de nombreux lieux de vie et de joie dans lesquels grandir dans le respect et la conscience, en célébrant notre mémoire et notre talent.

Merci, parce que vous avez transformé nos peurs les plus profondes en force et en énergie. À l’extérieur des bâtiments, au milieu des gens qui résistent, vous êtes beaucoup mieux ; vous pouvez respirer la volonté, l’esprit d’initiative et célébrer la vie, malgré tout ce que vous décidez ici.

Nous sommes en bonne santé, nous sommes vivants, nous sommes entiers, cohérents et, par conséquent, pas chantables et cela vous fait peur. Au fait, je me suis apporté un kit de survie : je vous conseille de rester très loin de moi, car j’ai de l’eau bénite, de l’ail et des piquets ici avec moi ».




Refuser l’obligation vaccinale prévue ! Informons chaque jour !

Par Nicole Delépine

RAPPELER CHAQUE JOUR À NOS CONCITOYENS INEFFICACITÉ ET DRAMES LIÉS AU VAX COVID POUR REFUSER ENSEMBLE L’OBLIGATION D’INJECTIONS EXPÉRIMENTALES ET DANGEREUSES

Le président réélu l’avait annoncé, il imposerait l’obligation vaccinale à tous et même aux bébés. Le choix évoqué du sénateur Malhuret comme remplaçant de Veran va dans ce sens. Ce sénateur a été un des plus violents dans ses discours contre les non-vaccinés.

Quelques réactions sur Twitter concernant le potentiel nouveau ministre de la Santé

@Spotlight29 « Claude Malhuret est pressenti pour devenir ministre de la Santé. Au-delà de ses positions quasi dictatoriales sur la vaccination obligatoire, il a également été directeur du développement de l’éthique chez Korian (quelle réussite !). Enfin, ce mal luné a quand même 72 ans ! » 6:23 AM · 4 mai 2022

@Tily2601 4 mai @Spotlight29

Co fondateur de Doctissimo avec Laurent Alexandre. Quand on connaît les idées et les relations de Mr Alexandre et les propos de Mr Malhuret. »

Et il contrôle les procurations du vote des Ephads à travers les directeurs 10 h 50 · 4 mai 2022 (à vérifier…)

DEPUIS LA PUBLICATION IMPOSÉE PAR LA JUSTICE AMÉRICAINE DES DOCUMENTS PFIZER, LA PROPAGANDE MÉDIATIQUE NE CHANGE PAS

Pourtant Les documents Pfizer révèlent un scandale immense à l’échelle planétaire

« et les médias se taisent. Ne les appelez plus jamais des journalistes. Ce sont des courtisans. #pfizerdocuments

Procureur Décitoyennisé @menalahy2 “Soyez avertis : La nouvelle que vous n’auriez pas dû voir était que Pfizer a publié 80 000 pages informant le public que leur médicament Covid n’est efficace qu’à 12 % et est extrêmement nocif pour les bébés à naître”.

@KattousM. “12 % d’efficacité après des tests sur une dizaine de souris, aucune idée des impacts sur les femmes enceintes, 9 pages recto verso d’effets secondaires notoires”. »

Par Romain Doyer (@Marc_Doyer @verity_france)

le 5 mai 2022 qui a cruellement perdu sa maman il y a deux jours

« Voici une des neuf pages de la notice #pfizerdocuments concernant les #effetssecondaires du vaccin, sous 👇 la flèche noire vous pouvez apercevoir la pathologie de ma maman #jesuismauricette.#Pfizermatue ».

Alors que certains continuent à nier le lien du Creutzfeld Jacob avec l’injection malgré la publication de Luc Montagnier et Henrion Caude.

Le document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech devrait nous réveiller :

« le produit expérimental à injection conçu par BioNTech et Pfizer, abusivement appelé vaccin, ne serait pas concluant durant les essais cliniquesà échelle mondialeet ne permettrait pas une mise sur le marché définitive. »

document interne à l’entreprise, axé principalement sur la finance et la rentabilité de cette société allemande. Mais dès la page 8, l’information est sans équivoque :

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, Union européenne ou d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. »(([1] « We may not be able to demonstrate sufficient efficacy or safety of our COVID-19 vaccine and/or variant-specific formulations to obtain permanent regulatory approval in the United States, the United Kingdom, the European Union, or other countries where it has been authorized for emergency use or granted conditional marketing approval »))

https://phmpt.org/pfizers-documents/ Plus que 1 % de protection 7 jours après l’injection ! tout ça pour ça… allez lire vous-même.

VAERS — LE POINT DES ACCIDENTS AU 22 AVRIL 2022

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022.(([2] 21 % des décès signalés au VAERS après les injections contre la COVID sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination. (mondialisation.ca)
La source originale de cet article est The Defender Copyright © Children’s Health Defense, The Defender, 2022))

pour les enfants de 5 à 11 ans

  • 10 290 événements indésirables, dont 248 qualifiés de graves et 5 décès signalés.
  • 19 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).
  • Les CDC utilisent une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences !
  • 40 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

pour les jeunes de 12 à 17 ans

  • 31 113 événements indésirables, dont 1 796 qualifiés de graves et 43 décès.
  • 65 rapports d’anaphylaxie chez des jeunes de 12 à 17 ans, dans lesquels la réaction mettait en danger la vie du patient, nécessitait un traitement ou entraînait la mort — 96 % des cas étant attribués au vaccin de Pfizer.
  • 651 rapports de myocardite et de péricardite, dont 639 cas attribués au vaccin de Pfizer. 166 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas étant attribués à Pfizer.

Tous groupes d’âge confondus :

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022

  • 20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.
  • 54 % des personnes décédées étaient des hommes, 41 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’indiquaient pas le sexe de la personne décédée. L’âge moyen du décès était de 73 ans.
  • Au 15 avril, 5 429 femmes enceintes ont signalé des effets indésirables liés aux vaccins contre la COVID, dont 1 701 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.
  • 3 633 cas de paralysie de Bell signalés, 52 % attribués aux vaccins de Pfizer, 40 % à Moderna et 8 % à J&J.
  • 861 syndromes de Guillain-Barré, avec 42 % des cas attribués à Pfizer, 30 % à Moderna et 28 % à J&J.
  • 2 355 rapports d’anaphylaxie où la réaction a mis en danger la vie du patient, a nécessité un traitement ou a entraîné la mort.
  • 1 672 infarctus du myocarde.
  • 13 733 troubles de la coagulation sanguine aux États-Unis. Parmi ceux-ci, 6 166 attribués à Pfizer, 4 914 à Moderna et 2 653 à J&J. 4 131 cas de myocardite et de péricardite dont 2 532 cas attribués à Pfizer, 1 408 cas à Moderna et 181 cas au vaccin contre la COVID de J&J.

Les troubles cardiaques représentent 20 % des 1,2 million d’accidents signalés après la vaccination COVID, selon les données du VAERS. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur les 12 304 décès signalés aux États-Unis au 1er avril 22, 17 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 21 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 59 % chez des personnes dont les symptômes sont apparus dans les 48 heures suivant la vaccination.

Aux États-Unis, 561 millions de doses de vaccin COVID avaient été administrées au 1er avril, dont 331 millions de doses de Pfizer, 211 millions de doses de Moderna et 19 millions de doses de Johnson & Johnson (J&J). on peut néanmoins supposer que les accidents graves et les décès survenus plus tard dans les semaines suivant la vax n’ont pas été répertoriés pour insuffisance de preuve sur la cause à effet, sans l’argument de poids de la chronologie rapprochée. Mais les auteurs de l’article regrettent l’absence de prise en compte et d’enquête sur des cas plus tardifs

Un homme de 34 ans meurt deux semaines après avoir été vacciné par Pfizer, les CDC n’ont pas enquêté

Un homme de 34 ans est décédé subitement, deux semaines seulement après avoir reçu sa première dose du vaccin COVID de Pfizer, des suites d’une dissection aortique aiguë qui touche habituellement les hommes âgés de 60 à 70 ans.

Au The Defender, la mère de Victor Castillo Simoes, Henrietta, a déclaré que le seul symptôme de son fils était la douleur thoracique qu’il a ressentie peu avant sa mort.

Après sa mort, Henrietta a déclaré que les tests avaient permis d’exclure les facteurs génétiques susceptibles d’avoir causé la maladie cardiaque, et qu’un chercheur prestigieux travaillant avec la famille partageait sa conviction que le vaccin avait déclenché l’événement.

Dans le cas de nombreuses histoires de blessures liées aux vaccins rapportées par The Defender — y compris celle de Simoes — les dossiers médicaux ne sont pas disponibles pour les personnes qui meurent soudainement après avoir reçu un vaccin COVID et qui ne se sont pas rendues à l’hôpital pour y être soignées.

Selon le site web VAERS, cela signifie que le CDC ne donne pas suite à ces décès signalés.

Les conseillers de la FDA en matière de vaccins discutent de la diminution de l’efficacité des vaccins et ignorent les personnes souffrant de complications post vaccinales.

Le Dr Peter Marks, directeur de la division vaccin de la FDA, le Center for Biologics Evaluation and Research, a admis au cours de la réunion que la quatrième dose de vaccin approuvée la semaine dernière était une « mesure palliative » — en d’autres termes, une mesure temporaire à mettre en œuvre jusqu’à ce qu’une solution adéquate soit trouvée à l’avenir.

Pourtant Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur général de l’OMS a prévenu(([3] https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie)):

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel… Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin ».

Pfizer a secrètement engagé plus de 600 personnes pour traiter les rapports de blessures liées aux vaccins

Des documents récemment publiés, obtenus par le biais d’une demande au titre de la loi sur la liberté d’information, ont révélé que Pfizer a embauché environ 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter les rapports d’événements indésirables au cours des trois mois qui ont suivi l’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin COVID-19.

La société a déclaré qu’elle prévoyait d’embaucher un total de 1 800 personnes supplémentaires d’ici la fin juin 2021, selon les documents.

L’analyse de documents de 10 000 pages publiée le 1er avril 2022 par la FDA montre qu’au 28 février 2021, 42 086 rapports de cas (25 379 confirmés médicalement et 16 707 non confirmés médicalement) contenant 158 893 événements indésirables ont été reçus de 63 pays.

La plupart des effets indésirables signalés concernaient les « classes de systèmes d’organes »

les événements de réactogénicité comprenant les troubles généraux et les anomalies au site d’administration (51 335), les troubles du système nerveux (25 957), les troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif (17 283) et les troubles gastro-intestinaux (14 096).

« Malgré ces résultats, Pfizer a déclaré à la FDA que son vaccin était “sûr et bien toléré chez des adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans, sans aucun résultat inattendu en matière de sécurité”. »

Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID

Comme l’a rapporté The Defender le 6 avril, les documents de Pfizer publiés le 1er avril confirment également que Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID de la société pour prévenir les maladies graves.

Lors d’une discussion avec les co-animateurs de “Rising” Robby Soave et Ryan Grim, Kim Iversen a identifié ce qu’elle a appelé la “première bombe” dans les documents : le fait que “l’immunité naturelle fonctionne, et Pfizer le sait”.

Iversen a déclaré que les données des essais cliniques ont montré que les personnes ayant déjà été infectées par la COVID ne présentaient aucune différence de résultats par rapport à celles qui avaient été vaccinées.

Dans l’essai limité, aucun des vaccinés ou des personnes ayant déjà été infectées n’a souffert d’une maladie grave telle que définie par le CDC ou la FDA.

Les données ont également montré que les taux d’infection étaient “statistiquement identiques” chez les personnes vaccinées et celles présentant une immunité naturelle.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi un effet indésirable, quel que soit le vaccin, de remplir un rapport en suivant ces trois étapes.

La source originale de cet article est The Defender

Copyright © Children’s Health DefenseThe Defender, 2022




Une étude établit un lien entre l’augmentation des maladies cardiovasculaires urgentes et le déploiement du vaccin contre le COVID-19

[Source : aubedigitale.com]

Une nouvelle étude a trouvé une corrélation entre une augmentation des événements cardiovasculaires d’urgence chez les personnes de moins de 40 ans pendant le lancement du programme de vaccination israélien contre le COVID-19.

Publiés dans la revue Nature, les chercheurs ont utilisé les données des services médicaux d’urgence nationaux d’Israël entre 2019 et 2021 qui ont évalué les appels d’urgence, ou EMS, chez les personnes âgées de 16 à 39 ans à travers Israël « avec des facteurs potentiels, notamment l’infection par le COVID-19 et les taux de vaccination. »

Ils ont constaté qu’il y avait une augmentation de 25 % des appels EMS entre janvier 2021 et mai 2021, par rapport aux années 2019 et 2020. Israël, qui utilise principalement le vaccin à ARNm de Pfizer, a lancé son programme de vaccination contre le COVID-19 fin décembre 2020.

« Le nombre d’appels d’urgence hebdomadaires était significativement associé aux taux de 1re et 2e doses de vaccin administrées à ce groupe d’âge, mais pas aux taux d’infection par le COVID-19 », ont-ils constaté. « Bien qu’ils n’établissent pas de relations de cause à effet, ces résultats suscitent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés induits par les vaccins et soulignent la relation de cause à effet déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente d’arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes individus. »

Ils recommandent que, lors de l’évaluation des effets secondaires possibles des vaccins et des résultats de l’étude sur le COVID-19, les responsables intègrent les données des EMS et les données pertinentes afin d’identifier les nouvelles tendances sanitaires potentielles, telles qu’une augmentation des appels aux EMS, et « recherchent rapidement les causes sous-jacentes potentielles. »

Une étude récente menée par des chercheurs suédois sur des populations de Finlande, du Danemark, de Suède et de Norvège a suggéré que les inflammations cardiaques nécessitant des soins hospitaliers étaient plus fréquentes chez les personnes ayant reçu les vaccins contre le COVID-19 que chez celles qui ne les avaient pas reçus.

« Ces cas supplémentaires chez les hommes âgés de 16 à 24 ans correspondent à un risque 5 fois plus élevé après Comirnaty et 15 fois plus élevé après Spikevax par rapport aux personnes non vaccinées », a déclaré la semaine dernière à The Epoch Times le Dr Rickard Ljung, professeur et médecin à l’Agence suédoise des produits médicaux qui a participé à l’étude. Spikevax est le nom du vaccin contre le COVID-19 de Moderna, tandis que Comirnaty est le vaccin de Pfizer.

Son équipe a constaté que les taux de myocardite ou de péricardite sont plus élevés que ceux d’une cohorte non vaccinée, soit 38 pour 100 000 après l’administration des secondes doses des vaccins à ARNm.

L’équipe de recherche israélienne a déclaré dans son étude, publiée le 28 avril, qu’elle estime que « les avantages de la vaccination contre le COVID-19 sont clairs, en particulier pour les populations présentant un risque élevé de développer une maladie grave et potentiellement mortelle », comme les personnes âgées ou les personnes immunodéprimées. Cependant, ils ont noté qu’ »il est important de mieux comprendre les risques potentiels afin de minimiser les dommages potentiels ».

En menant leurs recherches, les scientifiques israéliens ont relevé plusieurs failles potentielles, notamment un « biais d’autodéclaration » lorsque les personnes signalent leurs symptômes par le biais de systèmes de déclaration, y compris le système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) géré par le gouvernement fédéral américain, y compris une « sous-déclaration et une surdéclaration » des symptômes liés aux vaccins.

« Même l’étude israélienne, qui repose sur une collecte de données plus proactive, mentionne que certains des cas potentiellement pertinents n’ont pas fait l’objet d’une enquête complète », ont-ils ajouté.

Un deuxième problème auquel les chercheurs se sont heurtés est la façon dont les symptômes de la myocardite, un type d’inflammation cardiaque, se présentent.

« La myocardite est une maladie particulièrement insidieuse avec de multiples manifestations rapportées », ont-ils noté. « Il existe une vaste littérature qui met en évidence les cas asymptomatiques de myocardite, qui sont souvent sous-diagnostiqués. »

Parallèlement, « les lésions myocardiques et la myocardite [sont] prévalentes chez les patients infectés par le COVID-19 », et pas seulement chez ceux qui ont reçu le vaccin, ont-ils précisé.

« Étant donné que le lancement du vaccin contre le COVID-19 a souvent lieu dans un contexte d’infections communautaires par le COVID-19, il pourrait être difficile de déterminer si l’augmentation de l’incidence de la myocardite et des affections cardiovasculaires connexes … est due aux infections par le COVID-19 ou induite par les vaccins contre le COVID-19 « , a-t-il ajouté.

Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la plupart des agences sanitaires du monde entier ont déclaré que les avantages des vaccins COVID-19 l’emportaient sur les risques potentiels. Sur son site Internet, les CDC indiquent que la plupart des patients ayant développé une myocardite ou une péricardite et ayant reçu des soins médicaux ont bien répondu au traitement.

Les symptômes comprennent des douleurs thoraciques, un essoufflement et une sensation de battement rapide ou de palpitation du cœur.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Antidote possible contre la propagande covid qui recommence…

Par Jean Happel

Dans une visio-conférence tenue depuis l’Élysée en juin 2020  avec les dirigeants du WEF, de l’ONU, de l’UE, de l’OMS etc.,  Macron  se pose  très clairement en  leader de la vaccination mondiale.

Les parlementaires sont très probablement tous au courant de ce qui se trame  même s’ils font semblant de ne pas comprendre lorsqu’on leur envoie des documents.

Pour intensifier la résistance à la propagande covidiste par une information directe de la population, un contre-poison, parmi d’autres :

1- Le livre de Toubiana « Covid19 Une autre vision de l’épidémie »

Les vérités d’un épidémiologiste
covid 19 - Une autre vision de l'épidémie, Les vérités d'un épidémiologiste

Épidémiologiste depuis plus de trente ans, Laurent Toubiana est un
scientifique expérimenté qui a suivi et analysé un grand nombre de phénomènes
épidémiques en France et à l’étranger.

Au tout début de la crise du Covid, entre janvier et mars 2020, il a étudié,
avec plusieurs confrères, les données préliminaires qui ont été très
rapidement disponibles. Il a annoncé dès le 11 mars 2020, soit une semaine
avant le confinement, que l’épidémie atteindrait probablement son pic fin
mars, que la phase épidémique elle-même devrait s’achever fin avril et qu’elle
ne serait pas particulièrement sévère. Or, quand on regarde les chiffres deux
ans plus tard, c’est exactement ce qui s’est passé : cette épidémie a causé
des morts, certes, mais pas plus qu’une épidémie de grippe saisonnière. Au
regard des images et des discours apocalyptiques délivrés depuis deux ans,
cela semble difficile à croire mais c’est pourtant la réalité, confirmée dans
ce livre par une étude rigoureuse des chiffres officiels.

Au cours de cette longue crise, à plusieurs reprises et avec prudence, Laurent
Toubiana, a apporté des éclaircissements pour corriger les perspectives. Il a
tenté d’expliquer très tôt en quoi cette nouvelle épidémie ne correspondait
pas aux descriptions dramatiques qui en était faites. Par expérience, il avait
aussi averti d’un éventuel risque de panique, risque qui pouvait être amplifié
par un mécanisme de mimétisme international.

Mais les autorités ont choisi de ne pas écouter, et même de mépriser, les
centaines de scientifiques qui, comme lui, avait averti que cette épidémie ne
serait probablement pas aussi grave qu’annoncé. Nos dirigeants ont massivement
cédé à la panique et préféré s’abriter derrière les modélisations absurdes qui
prédisaient des centaines de milliers de morts, pour faire accepter aux
populations des mesures liberticides sans aucune validité scientifique.

La peur de la maladie et de la mort est profonde. Au cours de cette crise, les
autorités sanitaires ont écouté les habituelles sirènes alarmistes et opté
pour des mesures extravagantes. Elles ont exploité la peur et parfois l’ont
engendrée et maintenue par une communication anxiogène, pour faire accepter
leurs choix. Rares sont les pays qui ont fait confiance à leurs
épidémiologistes. Chiffres définitifs à l’appui, Laurent Toubiana montre ici
que ces pays, par exemple la Suède, ont incontestablement mieux géré cette
crise à tous les niveaux.

Saturation des hôpitaux, campagnes de test massives, obligation vaccinale,
mortalité, le récit médiatique de cette épidémie est tout simplement
mensonger. Laurent Toubiana propose d’adopter une autre vision, au plus près
de la réalité.

Docteur en physique, épidémiologiste et chercheur à l’Institut National de la
Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Laurent Toubiana est un
spécialiste du recueil et de l’analyse des données de santé.

2- Son entretien avec Bercoff




McKinsey et Big Pharma sont dignes du baron de la drogue Pablo Escobar

[Voir aussi :
L’utilisation du paracétamol dans le COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé?]


[Source : francesoir.fr]

Affaire des opioïdes: le triptyque McKinsey-Purdue Pharma-FDA cumule les conflits d’intérêts

La corruption dans le domaine de la santé…
Pexels

Auteur(s): FranceSoir

Aux États-Unis, après le scandale des fabricants d’opioïdes, le cabinet McKinsey se retrouve une fois de plus en première ligne.

Après avoir payé 573 millions de dollars en février 2021, pour solder les plaintes de 49 États américains qui l’accusaient d’avoir contribué à la crise des opioïdes, elle-même ayant abouti à la multiplication par quatre du nombre de décès sur ordonnances liés à des surdoses, le cabinet McKinsey est sous le coup d’un nouveau scandale.

Lire aussi : L’affaire McKinsey est-elle un scandale d’État ?

De quoi s’agit-il ? Cette fois, c’est une vaste affaire de conflits d’intérêts qui implique non seulement le cabinet et les laboratoires pharmaceutiques, mais également la Food and Drug Administration (FDA).

L’enquête, menée par quatre journalistes du New York Times (Christ Hamby, Wait Bogdanich, Michael Forsythe et Jennifer Valentino-DeVries), révèle que le cabinet américain conseillait les laboratoires pharmaceutiques, notamment Purdue Pharma LP, tout en siégeant au sein de la FDA. 

« Depuis 2010, au moins 22 consultants de McKinsey ont travaillé à la fois pour le géant pharmaceutique Purdue (fabricant d’opioïdes) et la FDA« , ont révélé les journalistes.

Quel était le travail du cabinet au sein du régulateur ? Si la réorganisation devait être sa principale mission — ce qui n’empêche pas les conflits d’intérêts, certaines sources évoquent un délit plus grave encore. La direction de McKinsey aurait autorisé ses consultants à préparer les documents qui devaient être, plus tard, validés par les différents régulateurs en charge de contrôler les médicaments. Ils sont au four et au moulin.

L’OxyContin, une molécule au cœur du scandale

Au cœur du scandale, la molécule OxyContin de Purdue est particulièrement visée, bien qu’elle ne soit pas la seule.

Depuis 1995, l’OxyContin était prescrite pour soulager des douleurs sévères comme celles liées au cancer. Mais après une campagne de communication offensive, orchestrée par le cabinet McKinsey, elle aurait fait l’objet d’ordonnances abusives de la part du corps médical, qui l’aurait prescrite pour de nombreuses pathologies moins douloureuses. Pour ce faire, le géant pharmaceutique n’a pas hésité à employer les grands moyens en achetant des scientifiques renommés pour publier des études cliniques minimisant la dangerosité du médicament et les risques d’addictions. Devenue rapidement l’un des opioïdes les plus prescrits, cette molécule serait à l’origine de 52 000 décès depuis 2010.

« Au cœur des 15 ans de relation entre McKinsey et Purdue, il a été question pour le cabinet américain de mettre en place une stratégie ayant pour but de relancer les ventes d’OxyContin en ciblant les médecins, c’est-à-dire ceux qui publiaient des grands articles scientifiques faisant l’éloge du médicament », révélait le New York Post. 

Si dès 2006, certains membres du corps médical alertent quant au nombre de surdosages en constante augmentation, ce n’est qu’en 2017 que le scandale des opioïdes éclate aux États-Unis. Fin décembre 2016, le directeur du CDC Thomas Frieden déclarait que « L’Amérique baigne dans les opioïdes. Il est urgent d’agir ». Conscient du problème, le président Trump instaure une commission pour gérer la crise et se dit prêt à donner 500 millions de dollars pour combattre ce fléau.

La continuation des activités de Purdue

À la suite de ces révélations, Purdue rencontre des difficultés financières. Le laboratoire fait appel une nouvelle fois au cabinet McKinsey pour réorganiser ses activités. Jeff Smith, un partenaire associé très influent du cabinet, accepte cette délicate mission en décembre 2017. Avec ses collaborateurs, il examine les plans d’affaires et les nouvelles molécules proposées par le laboratoire.

Mais le travail de conseil, pour Purdue, n’est pas la seule mission du cabinet. Parallèlement, Jeff Smith et ses collaborateurs aident également la Food and Drug Administration à réorganiser le service qui donne les autorisations de mise sur le marché de la gamme de nouveaux médicaments proposés par le laboratoire.

Depuis ces révélations, le scandale ne cesse de prendre de l’ampleur à mesure que les différents médias s’en emparent. Dans un communiqué relayé par la chaîne CBS, Carolyn Malonye, présidente d’un comité sénatorial américain, demande que le cabinet de conseil soit poursuivi en justice.

« La révélation faite aujourd’hui montre qu’en même temps que la FDA dépendait des conseils de McKinsey pour garantir que le médicament était sûr et pouvait protéger les vies américaines, l’entreprise [McKinsey] était rémunérée par les mêmes géants pharmaceutiques (qui ont déclenché cette épidémie mortelle) afin de les aider à contourner les sévères régulations prévues contre les laboratoires » a-t-elle déclaré.

Malgré le fait que le scandale soit connu depuis plusieurs années, il n’y a eu aucun ralentissement dans la prescription. C’est même le contraire qui s’est produit, puisqu’avec la pandémie de SARS-CoV-2, l’anxiété générée par les confinements et l’inactivité des personnes a aggravé la crise, diminuant la possibilité d’être soigné ou secouru en cas de surdosage des victimes. Ainsi, entre avril 2020 et avril 2021, la population a continué de recourir massivement à ces antalgiques fortement addictifs à base d’opiacés. 100 306 personnes en sont mortes par surdosage, un chiffre en augmentation de 28,5 % par rapport à l’année précédente, qui déplorait 78 056 décès.


[Source : francesoir.fr]

L’affaire McKinsey est-elle un scandale d’État ?

Emmanuel Macron s’exprime lors d’un forum sur la croissance économique
organisé par l’Institut Montaigne et le McKinsey Global Institute à Paris, le 23 juin 2016.
AFP / DR

Auteur(s): FranceSoir

Depuis plusieurs semaines, le McKinsey Gate infuse comme un long poison dans la campagne présidentielle absente d’Emmanuel Macron, mais les grandes chaines de télévision ont enfin décidé d’interroger le président sur le sujet.

Le recours aux cabinets de conseil, une pratique qui n’est pas nouvelle

Cela fait plus de 20 ans que les consultants de cabinets privés, majoritairement anglo-saxons, orientent la politique des États et pas seulement de la France. Dans un livre sorti le 17 février 2022 et intitulé « Les infiltrés », Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre relatent cette mainmise de ces cabinets, installés au cœur des États qui prennent en charge plusieurs dossiers comme la gestion de l’épidémie, la politique vaccinale ou encore la stratégie militaire.

Conseiller les plus hautes autorités de l’État sur les possibles évolutions des politiques publiques, en décliner les orientations stratégiques et piloter l’ensemble des administrations et des services publics dans leur mise en œuvre, tel est le rôle des cabinets comme McKinsey.

Dès mars 2021, France 2 est revenu sur l’affaire McKinsey et sa proximité avec le pouvoir lors d’un numéro de l’émission  « Complément d’enquête » dans lequel Jacques Attali avait accepté de témoigner pour raconter la rencontre d’Emmanuel Macron avec les consultants de McKinsey.

L’épisode se situe en 2007, lorsque Nicolas Sarkozy fait appel à Jacques Attali pour constituer une commission dont l’objectif est de lui proposer des réformes économiques. Pour ce faire, ce dernier s’entoure de consultants de cabinets majoritairement anglo-saxons. Le patron de McKinsey France, Éric Labaye, fait partie de cette commission. Avec lui, plusieurs Young global leader dont Karim Tadjeddine, qui a passé quatre ans au ministère de l’Économie avant de rejoindre le cabinet. Emmanuel Macron, 30 ans, est également présent, comme rapporteur général. L’occasion pour lui de rencontrer ceux qui huit ans plus tard vont assurer la conduite de sa campagne présidentielle.

La campagne présidentielle de 2016-2017

En 2016, Emmanuel Macron, ancien ministre de l’Économie, crée « En Marche » et entraîne quelques milliers de militants censés élaborer un programme dans une ambiance de start-up nation.

« Faire de la politique aujourd’hui, ce n’est pas aller dans une salle voter une motion déjà décidée. C’est faire sur le terrain » déclare-t-il le 5 novembre 2016.

Pourtant, parallèlement à cette horizontalité, à cette démocratie interne affichée, c’est une toute autre stratégie qui se met en place dans l’ombre. Soutenu par une certaine France technocratique, une dizaine de consultants de McKinsey rédigent bénévolement en quelques semaines le programme du parti qui prendra les lettres du nom de l’actuel locataire de l’Élysée.

L’affaire est révélée deux jours avant le second tour de la campagne présidentielle de 2017 suite au piratage de l’équipe de campagne du candidat. Appelée les Macron Leaks, piratés par des hackers inconnus, c’est plus de 20 000 mails qui sont rendus publics notamment les échanges d’emails entre Karim Tadjeddine envoyés depuis sa boîte mail professionnelle. 

Une campagne empêchée par les révélations de la commission d’enquête sénatoriale

En décembre 2021, le Sénat ouvre une commission d’enquête intitulée ‘Influence des cabinets privés sur les politiques publiques ». S’ensuit une investigation très minutieuse dont l’objectif est « d’en finir avec l’opacité ». Pour ce faire, la chambre haute organise pas moins de 40 auditions dont 22 sous serment et recueille 7000 documents confidentiels.

En déplacement à Dijon sur les terres de François Rebsamen, ancien socialiste passé à En Marche, le président peine à masquer sa gêne suite à la polémique qui enfle un peu plus chaque jour autour de l’argent versé à McKinsey.

« Ce n’est pas moi qui signe les contrats. Je vous invite à regarder le code des marchés publics. Le président de la République n’autorise aucune dépense », lance t-il nerveux.

Hélas, les conclusions de la commission sénatoriale sont là pour rappeler que les dépenses de l’État dépassent le milliard d’euros et que « des pans entiers des politiques publiques déléguées à des consultants, n’ont aucune légitimité démocratique« .

Devant la presse, le président, tenant à apporter quelques explications pour justifier ces dépenses, déclare : « Les trois quarts, même plus, ce sont des recours à des prestataires informatiques et à des entreprises pour financer le cyber et l’évolution aux nouveaux risques. L’État a parfois besoin d’avoir des compétences extérieures« .

Un argument immédiatement réfuté par Arnaud Bazin, le président LR de la commission d’enquête de la Haute Assemblée, qui rappelle que le milliard d’euros est une estimation minimale, puisque la commission n’aurait « évalué que les dépenses des ministères et celles de 44 agences de l’État (Pôle emploi, Caisse des dépôts et consignations, etc.), soit seulement 10 % des opérateurs ».
Contestant également les propos d’Emmanuel Macron sur la cybersécurité, il précise que « sur 893 millions de dépenses en conseil effectuées par les ministères en 2021, 445 millions sont des conseils en stratégie et en organisation. 448 millions sont des conseils en informatique, soit la moitié (et non les trois quarts). »

Lire aussi: McKinsey au Sénat : « les conseillers peinent à répondre aux questions de la Commission » 

L’enquête de la commission sénatoriale a par ailleurs révélé que McKinsey n’aurait pas payé d’impôt sur les sociétés depuis plus de 10 ans, suspectant un des dirigeants de faux témoignage. Les sénateurs soupçonnent les filiales françaises de McKinsey d’avoir transféré chaque année d’importantes sommes d’argent à la maison mère, dont le siège se situe dans l’État du Delaware, véritable paradis fiscal aux États-Unis. 

Répondant à la polémique et aux affirmations de la commission de la chambre haute, le cabinet a déclaré que « toutes les entités de McKinsey en France sont assujetties à l’impôt sur les sociétés« . Sans donner tous les détails, il déclare avoir payé « 422 millions d’euros d’impôts et de charges sociales, soit près de 20% de son chiffre d’affaires cumulé« , et assure avoir payé l’impôt « les années où le cabinet a réalisé des bénéfices en France« . 

Tandis que le scandale se précise un peu plus chaque jour, le président a lancé : « s’il y a des preuves de manipulation, que ça aille au pénal« .

Visiblement agacé par les questions du journaliste, c’est un président fébrile qui peine à justifier les dépenses de l’État dans les cabinets de conseils pour concevoir sa politique. De plus en plus de Français se posent des questions sur le doublon de l’administration publique par ces cabinets dont l’apport stratégique, longtemps mis en avant par le chef de l’État et certains de ses ministres, n’est pas toujours facile à saisir.




Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre « le docteur de l’Amérique », Anthony Fauci ?

Par Nicole Delépine

Pourquoi la candidate au poste de gouverneur de l’Arizona veut-elle lancer un mandat d’arrêt contre Fauci, le monsieur vax américain ?

« Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit : “Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent”. Je ne l’ai jamais oublié. »

Robert Kennedy, fils de Robert et neveu du Président JFK

Mai 2022

Kari Lake, la candidate des Républicains soutenue par Donald Trump pour l’élection du Gouverneur de l’Arizona veut lancer un mandat d’arrêt contre Anthony Fauci pour avoir caché les bienfaits de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine !

Rappelons qu’Antony Fauci est le Mr Santé des présidents américains depuis des décennies et que ses exploits connus ont commencé avec le SIDA.

Selon le prologue du livre de R Kennedy :

« Le Dr Anthony Fauci a trôné pendant un demi-siècle en tant que commissaire à la Santé des États-Unis, se préparant à son rôle final de commandant dans la plus grande guerre de l’histoire contre une pandémie mondiale. À partir de 1968, il a occupé différentes fonctions au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), dont il est le directeur depuis novembre 1984. Son salaire annuel de 417 608 $ fait de lui le mieux payé des quatre millions de fonctionnaires fédéraux, le président compris. L’expérience de 50 ans qu’il a acquise en tant que grand manitou d’une puissante administration fédérale, après avoir conseillé six présidents, le Pentagone, les agences de renseignement, les gouvernements étrangers et l’OMS, l’a excellemment préparé à une crise qui allait lui permettre d’exercer un pouvoir dont peu de dirigeants et aucun médecin ont pu se targuer dans l’histoire.

Au cours des premiers mois de l’épidémie, le calme, l’autorité et le côté oncle bienveillant du Dr Fauci ont été le Prozac des Américains assaillis par deux crises existentielles : la présidence Trump et la COVID-19. Les démocrates et les libéraux idéalistes du monde entier, traumatisés par le style de gouvernement chaotique du président Trump, ont trouvé du réconfort dans la présence sereine et forte du Dr Fauci sur la scène de la Maison-Blanche. Il a semblé offrir un contrepoids rationnel, franc et scientifique à la grandiloquence narcissique et agitée du président Trump. Naviguant dans des eaux dangereuses, entre un président erratique et un virus mortel, le Dr Fauci a d’abord fait figure de héros, tel l’Ulysse d’Homère menant son navire entre Scylla et Charybde.

Tournant le dos au sinistre horizon, des Américains confiants ont pris les rames et ont obéi aveuglément à ses ordres, sans se rendre compte qu’ils propulsaient notre pays vers une destination désolée où la démocratie allait mourir. Tout au long de la première année de la crise, le charisme du Dr Fauci et sa voix autoritaire ont inspiré confiance en ses prescriptions. Ils lui ont valu une affection certaine — quoique pas universelle.

De nombreux Américains, consciencieusement enfermés chez eux pour se conformer à la quarantaine imposée par le Dr Fauci, se sont consolés avec la possibilité de rejoindre un fan-club Tony Fauci, de se prélasser sur un coussin “J’aime Fauci”, de boire dans un mug “In Fauci We Trust”, de garder leurs pieds au chaud dans des chaussettes et chaussons Fauci, de s’empiffrer de donuts Fauci, d’afficher une pancarte “Klaxonnez pour le Dr Fauci” devant leur maison ou de se prosterner devant une bougie de prière Dr Fauci. Les aficionados de Fauci pouvaient choisir parmi une variété de jeux en ligne Fauci et une armée de figurines et de bubbleheadse à son effigie. Ils pouvaient même raconter son hagiographie à leur progéniture grâce à un livre pour enfant à sa gloire.

Au plus fort du confinement, Brad Pitt a rendu un hommage révérencieux au Dr Fauci lors de l’émission Saturday Night Live, et Barbara Streisand lui a envoyé un message surprise enregistré lors d’une fête d’anniversaire organisée en son honneur sur Zoom. Le New Yorker l’a surnommé “le docteur de l’Amérique”. »

Ceci ne nous étonne guère, en particulier depuis le livre choc de Robert Kennedy maintenant traduit en de nombreuses langues dont le français, disponible pour tous.

Voici quelques éléments à ce sujet, extraits de l’interview de la journaliste belge Senta Depuydt à l’occasion de la sortie du livre en France et en Belgique(([1] Disponible sur www.neosante.eu :
Le numéro 120 (mars 2022) de Néosanté, revue internationale de santé globale.

Lire la totalité de l’ITW mise en ligne gratuitement par neosanté, vu l’importance des infos et relayez, merci.
Interview Exclusive De Robert Kennedy | NéoSanté Éditions (neosante.eu)

Et KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640pages.indd (neosante.eu) prologue du livre de Robert Kennedy))

à lire en totalité sur le site de Neosanté.


« Robert F. Kennedy, Jr : Les gens qui sont au pouvoir mentent ! » Propos recueillis par Senta Depuydt(([2] Entretien effectué à l’occasion de la sortie du livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » (Collection Résurgence) ))(([3]Retrouvez Robert F. Kennedy, Jr. sur
www.chdeurope.org
(site européen) et www.childrenshealthdefense.org (site américain)
Senta Depuydt, journaliste indépendante, fondatrice de la branche européenne de l’association de l’avocat Robert F. Kennedy, Jr. « Children’s Health Defense Europe » et auteur d’un avant-propos pour l’édition française du livre paru aux éditions Marco Pietteur))

(…). Durant la pandémie, disons que près de 30 % de la population avait une méfiance spontanée envers les autorités et des personnalités comme Anthony Fauci ou Bill Gates. Mais il leur était quand même difficile de concevoir les motifs pour lesquels les responsables de la santé publique agiraient à l’encontre de l’intérêt des citoyens. Les Américains sont assez idéalistes, parfois naïfs. C’est pour les aider à comprendre tout cela que j’ai écrit ce livre.

Vu la somme de crimes et délits que vous documentez là, peut-on espérer des poursuites à leur encontre ?

Difficile à dire. Je pense qu’il y a un espoir que cela arrive, si la situation politique change. Si les républicains gagnent aux élections qui auront lieu à la mi-novembre et qu’ils s’emparent du Sénat, il est probable qu’ils procèdent à des auditions à partir de janvier prochain. D’ici là, je pense que les démocrates et les médias qui font leur propagande vont continuer à les protéger.(([4] Note : l’ancien président des USA et le clan Kennedy sont traditionnellement des démocrates, Robert Kennedy, Jr. s’est lamenté à de nombreuses reprises du manque d’intégrité et de respect des valeurs démocratiques qui règne parmi les membres actuels du parti.)) Mais quand on voit les chiffres, Fauci aura des comptes à rendre sur les politiques de réponse à la pandémie.Plus de 2800 décès par million d’habitants aux USA, c’est extrêmement élevé, alors qu’avec tout le budget et l’expertise dont nous disposons, nous sommes censés avoir les meilleurs résultats.

Au Nigéria, où seul 1,5 % de la population a été vaccinée, ils n’ont eu que 14 morts par million et la plupart des autres pays d’Afrique ont une moyenne qui tourne autour de 170, on ne peut même pas parler de pandémie. Pourtant, au début de la crise, Gates et Fauci multipliaient les discours alarmistes en prédisant une réelle hécatombe en Afrique. Finalement, c’est l’inverse qui s’est produit. Comment cela se fait-il ? Il va tout de même falloir l’expliquer. Personnellement, je pense que c’est en partie parce que ce sont des pays qui ont l’habitude d’utiliser des médicaments simples, efficaces et accessibles, comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. (…)

Quid de Bill Gates ?

Bill Gates est peut-être moins présent dans les médias, mais il reste très actif en coulisses. Et comme il a le contrôle de l’OMS, il continue à pousser tous ces agendas mondialistes, les passeports vaccinaux, l’identité numérique, les politiques alimentaires.Il est extrêmement riche et puissant, très proche de la plupart des gouvernants d’Europe, mais aussi de la Chine, et il collabore étroitement avec le Forum Économique Mondial (Davos). Malheureusement, beaucoup de gens continuent à le révérer et à écouter ses recommandations, ses « prédictions ». Je crois que pour l’instant, il serait difficile de le déboulonner, c’est tout un réseau mondial qui opère avec lui.

À propos de réseau mondial, que pensez-vous de cette histoire de labos de recherche en Ukraine ? Il semble que l’on retrouve un certain nombre d’acteurs identiques dans ce partenariat avec l’Ukraine pour les « programmes de réduction de la menace biologique » ?

(…) lorsque Victoria Nuland, Secrétaire d’état aux affaires politiques et affaires étrangères, a été auditionnée sous serment par le Congrès, elle a semblé particulièrement mal à l’aise en admettant que, oui, les États-Unis financent des labos qui manipulent des souches dangereuses : l’anthrax, certains types d’herpès et même des souches de variole — ce qui est interdit — et de nombreux autres agents susceptibles de créer des pandémies. Dans ce « programme de réduction de la menace sanitaire », nous sommes en présence des mêmes acteurs qu’avec la pandémie. La firme Eco Health Alliance qui avait financé les recherches de gain de fonction des coronavirus à Wuhan avec l’aide de Fauci et Peter Daszak, et USAID qui est une couverture pour les opérations de la CIA.(([5] À ce propos il serait intéressant de rappeler que le baron Peter Piot, responsable en charge de la réponse à la pandémie à l’Union Européenne, a été un des directeurs de USAID et travaille toujours en consultance pour le département de la sécurité américain, ensemble avec son épouse Heidi Larson, directrice du Vaccine Confidence Project. Quelles sont les implications des agences de renseignement américaines dans les politiques de l’Union ?))

Rappelons qu’en 2014, Obama a interdit les recherches de gains de fonction et d’autres types de technologies servant à développer des agents biologiques mortels, jugeant que c’était trop dangereux pour la population humaine. Car cette année-là, des souches dangereuses s’étaient échappées de laboratoires à trois reprises différentes.Fauci et ses acolytes avaient donc reçu l’ordre de mettre fin à 18 expériences de ce type, mais au lieu d’obéir, ils ont poursuivi leurs expériences à l’étranger par l’intermédiaire d’un scientifique nommé Peter Daszak, en créant Eco Health Alliance.Rien qu’à Wuhan ils avaient investi plus de 100 millions de dollars. (…)

IL FAUT ABSOLUMENT QUE LE PUBLIC COMPRENNE QU’IL EST MANIPULÉ PAR DE LA PROPAGANDE. BIG PHARMA CONTRÔLE LA SANTÉ PUBLIQUE, LE COMPLEXE MILITARO-INDUSTRIEL OPÈRE VIA LA CIA ET CONTRÔLE AUSSI LE PENTAGONE. TOUTES CES INSTITUTIONS SONT DETOURNÉES ET NE SONT PLUS AU SERVICE DE LA NATION.

Malheureusement l’Europe semble être sous la même influence. Quel que soit le domaine, on y voit les mêmes experts répétant les mêmes mensonges à l’unisson, peu importe la réalité.

Tout récemment par exemple, un de nos « Fauci » locaux a prétendu que la réponse à la pandémie avait été exemplaire, en donnant pour preuve le fait qu’aux USA les états « rouges » (républicains) avaient eu des résultats désastreux, alors que les états « bleus » (démocrates) s’en étaient mieux sortis, grâce à l’application de mesures draconiennes.

C’est exactement l’inverse ! Il y a même eu un article dans le New York Times qui l’a confirmé : le confinement, les masques, la distanciation sociale, tout cela n’a eu aucun impact sur la circulation de l’épidémie. De manière générale les états qui ont eu une politique plus souple s’en sont mieux sortis, parce qu’ils ont limité les dommages collatéraux provoqués par ces mesures. L’impact sur les enfants, sur la vie des gens, l’impact économique sur les petites et moyennes entreprises, tout cela a été dramatique.

En revanche, cela a permis à ceux qui ont imposé et soutenu ces restrictions (par ex. les GAFA) de s’enrichir d’une manière odieuse. Environ 3,1 trillions de dollars sont partis de la poche des familles américaines vers les méga-corporations et en réalité, c’était une gigantesque opération de racket qui a profité à cette nouvelle caste de milliardaires. Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Sergei Brin, Bill Gates ont censuré toutes les infos critiques sur les politiques sanitaires.

Il ne faut pas oublier de se demander « à qui profite le crime » ? Cui bono ? Le public a constamment été manipulé… d’abord avec la pandémie, aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et avant cela en Irak, etc.(…). Tout semble être fait pour poursuivre un agenda global, peu importe les faits ou les données sur lesquelles l’on se base, et pourtant la plupart des gens l’acceptent.

Malheureusement, c’est le résultat du contrôle par la peur. Tant qu’ils sont dominés par la peur, ils se retranchent dans cette sorte de mécanisme de survie, proche de ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm, où les victimes d’enlèvements se mettent à aimer ceux qui les ont kidnappés et se convertissent à leur foi ou leur idéologie, devenant même des fanatiques.

Comment faire pour résister à de tels pouvoirs ? Vous avez souvent dit « la seule barrière qu’il y a entre des prédateurs comme Big Pharma et les enfants, c’est leur mère ».

(…)Malheureusement, il y a un effort considérable pour attaquer ce dernier rempart, par le vote d’une série de lois visant à éliminer l’autorité parentale. Par exemple aux États-Unis, de nombreux états accordent à l’enfant la faculté de consentir seul à la vaccination, allant même jusqu’à interdire aux écoles et aux compagnies d’assurance d’en informer les parents.

Que faut-il faire ? Comment des organisations comme la nôtre, peuvent-elles apporter leur soutien à ces familles ?

Martin Luther King disait qu’il fallait déployer un arsenal d’actions : militer, aller en justice, changer les lois et éduquer et moi j’y ajouterai aussi innover.

(…) Chacun doit avoir le courage d’un guerrier et mener les actions qui sont à sa portée, exploiter toutes les failles du système. C’est la somme de tous ces efforts individuels, ces ripostes sur tous les fronts, qui peut faire la différence. Il faut mener une sorte de guérilla.Ce n’est pas la première fois que la démocratie est sous attaque, on finit par la restaurer, souvent avec des changements positifs à la clé. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, la puissance des technologies de surveillance et de contrôle est au-delà de tout ce que l’on a jamais pu connaître dans l’histoire et c’est un vrai défi. Il est essentiel que la résistance citoyenne se développe plus rapidement que la mise en place de ces instruments de contrôle totalitaire.

Il faut d’abord que l’industrie pharmaceutique paye pour ses crimes. Je pense par exemple à la crise des opioïdes, où tant de gosses sont morts d’overdose, parce que la firme Purdue a véritablement poussé à la consommation de ces médicaments dangereux (l’Oxycotin). Il faut voir la mini-série Dopesick qui revient sur toute cette horreur et c’est la même chose qui se passe avec les vaccins. On pousse à la consommation en cachant les effets secondaires. On ne peut pas faire confiance à ces entreprises.

Nous avons une grave épidémie d’autisme. Pourquoi sommes-nous passés d’un enfant sur 10 000 à 1 enfant sur 44 aux États-Unis ?Pourquoi y a-t-il une épidémie d’allergies alimentaires et d’eczéma, et une explosion du nombre de maladies chroniques, comme le diabète juvénile, le lupus, l’arthrite rhumatoïde, les maladies de Crohn, le syndrome de Guillain Barré ?Les gènes ne peuvent expliquer ces épidémies, cela ne peut être attribué qu’à une toxicité de l’environnement ou de certains produits. D’ailleurs c’est pour cela que nous sommes aussi très actifs sur des questions comme les dangers liés à la 5G, aux pesticides (Kennedy et le bureau d’avocats Michael Baum ont gagné le procès contre le Roundup et Monsanto en 2018 NDLR), la qualité des aliments pour bébé, enfin toutes sortes de pollutions. Donc oui, clairement, le rôle numéro un de la santé publique, c’est d’identifier tous ces facteurs et de les éliminer.Toute cette focalisation sur les maladies infectieuses, n’est qu’une manière de sortir de l’argent. (…)

IL FAUT VRAIMENT QUE LES GENS COMPRENNENT QUE LA PANDÉMIE EST UN ACTE DE GUERRE MONDIALE, UN COUP D’ÉTAT CONTRE LA DÉMOCRATIE. LA RÉPONSE À LA PANDÉMIE N’A JAMAIS ÉTÉ MÉDICALE, ELLE A ÉTÉ D’ORDRE MONÉTAIRE ET MILITAIRE.

Tout le monde doit prendre ses responsabilités et défendre la démocratie. Il faut lutter contre la propagande que l’on nous inflige, et pour cela il est essentiel de développer la pensée critique chez nos enfants.

Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit :

« Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent ».

Je ne l’ai jamais oublié.


La candidate américaine de l’ARIZONA focalise ses reproches gravissimes contre Fauci sur son interdiction des traitements peu coûteux comme l’ivermectine.

Médicaments qui pourtant guérissent les patients atteints de covid particulièrement si prescrits tôt dans l’évolution de la maladie. Nous avons connu les mêmes errements en France dont les autorités refusent systématiquement depuis le début de la crise covid tous les médicaments susceptibles de guérir les malades en commençant par l’hydroxychloroquine conseillée par le PR Raoult.

Et cela continue actuellement en même temps que le gouvernement donne l’AMM sans limitation au Paxlovid de Pfizer, d’efficacité très discutée de même que ses effets indésirables…(([6] Un message DGS-Urgent daté du 5 mai confirme l’entrée dans le droit commun du Paxlovid, jusqu’à présent mis à disposition dans le cadre d’une autorisation d’accès précoce. De ce fait, ses modalités de prescriptions s’allègent.

Paxlovid est composé de deux molécules. La molécule PF-07321332 est l’agent actif qui empêche à la protéine du virus de se répliquer. La molécule de ritonavir, un inhibiteur de la protéase.)) en ce 5 mai 2022.

Les autorités françaises nient l’efficacité démontrée de ces vieux médicaments et poursuivent les médecins qui les utilisent et osent guérir leurs patients. Hippocrate est torturé jusque dans sa tombe.

Le Bamlanivimab médicament très cher et sans efficacité prouvée(([7] anticorps monoclonal bamlanivimab (Lilly/AbCellera) ))

Déjà en 2021 Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » distribué par Lily à plus de 1 000 euros la cure.

Appelé Bamlanivimab, il n’a pas passé la phase 2 des expérimentations. Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… De plus, il fait partie des médicaments susceptibles de favoriser l’apparition de nouveaux variants.(([8] https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/anticorps-monoclonaux-imbroglio-autour-d-un-medicament-risque-mais-pousse-par-l-etat_2145966.html mars 2021))

Aucune raison scientifique d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament. POURTANT

« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu », a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.

Alors pourquoi : derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.

Parmi les directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve Béatrice Cazeneuve :

  • Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ;
  • Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Élysée ;
  • Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.

Comme cela a été résumé sur twitter :

(([9] https://www.liberation.fr/checknews/traitement-contre-le-covid-19-y-a-t-il-un-conflit-dinteret-entre-le-labo-lilly-et-certains-conseillers-du-gouvernement-20210302_2YJH2PU7XFHQNBBUS5YOYGPEAI/))

Le scandale Ivermectine

Depuis plus d’une année, les articles cachés par les médias officiels se multiplient pour dénoncer le blackout sur l’ivermectine après celui sur l’hydroxychloroquine et même sur la vitamine D.

Citons par exemple :

Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine — Xavier Bazin (xavier-bazin.fr)

Ce sont les mêmes autorités qui ont autorisé le Remdesevir, le Paxlovid et le Molnupiravir, mais bloquent un traitement ancien, non toxique pas cher et qui sauve des vies.

Et « en même temps », le gouvernement refuse l’efficace ivermectine à 8 euros !

L’ivermectine n’a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d’utilisation » (RTU), remède d’efficacité majeure contre le Covid-19.

Des médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur :

  • L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain [5] ;
  • Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine [6] ;
  • Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %
  • Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament

En France, le Dr Gérard Maudrux a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine(([10] Le traitement du Covid existe : Ivermectine, efficace à 100 % ? par le Dr Gérard Maudrux — Le Libre Penseur)), s’exprime en janvier 21 et envoie en avril 21 une lettre à Emmanuel Macron(([11] Ivermectine vs Doliprane : le Dr Gérard Maudrux s’exprime dans une lettre à Emmanuel Macron – Le Libre Penseur)). En mai, il interroge officiellement le médecin Olivier Veran sur son refus de guérir les malades du Covid avec l’Ivermectine.(([12] https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/le-medecin-gerard-maudrux-89530 ))

L’article reprend le recours, signé par 1500 médecins, et l’exposé des motifs édité sur son blog :

https://www.covid-factuel.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/(([13] « Contrairement à ce que dit l’ANSM, les conclusions de l’étude citée sont pourtant claires : “La prophylaxie à deux doses par l’ivermectine a été associée à une réduction de 73 % de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les travailleurs de la santé pour le mois suivant. La chimio prophylaxie est pertinente pour endiguer la pandémie”. L’ANSM ne retient que la réserve d’usage exprimée quasi systématiquement dans toutes les études : “ils ont souligné la nécessité d’obtenir confirmation par des études longitudinales ou interventionnelles”. »
Or, aucune étude au monde n’est négative en ce qui concerne la prophylaxie, et l’ANSM prétend le contraire sans avancer une seule étude le démontrant.))

Il détaille efficacité tant en prophylaxie qu’en curatif et son innocuité. L’Ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. Reconnu comme » sans danger pouvant être utilisé à grande échelle » par l’OMS.

À titre de comparaison, Vigibase recueillant les données de pharmacovigilance de plus de 130 pays adhérents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indésirables pour l’Ivermectine, contre 3 695 décès et 161 147 effets indésirables pour le Doliprane.

Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats :

  • L’État indien Uttar Pradesh a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d’ivermectine et de zinc ;
  • Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’ivermectine ;
  • Tout récemment, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.

À l’Assemblée nationale, Olivier Véran s’est cru permis de tenter de ridiculiser la députée Martine Wonner qui l’avait interpellé sur l’ivermectine. Qui était le plus ridicule ?

Olivier Véran a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump ! Combien de temps allons-nous tolérer l’inversion des valeurs médicales et humaines dans ce pays ?

Points communs entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine :

  • vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde
  • Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées — dans certains pays, en vente libre, sans ordonnance
  • Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, car ce sont des médicaments génériques aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits importants avec ces molécules ;
  • Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l’hôpital, donc une fois que l’état du patient s’est détérioré, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine peuvent être données à domicile par des médecins généralistes dès les premiers symptômes :
  • L’ivermectine est encore plus sûre que l’hydroxychloroquine

L’hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage… ce qui n’est pas le cas de l’ivermectine : avec ce médicament, on n’a même pas décelé d’effet indésirable à 10 fois la dose habituelle !

  • L’ivermectine est nettement plus efficace que l’hydroxychloroquine

l’hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement : conclusion de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde, sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille.

Mais cette efficacité n’est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l’hôpital avec l’ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires :

  • En prévention, l’ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n’importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d’infection
  • En traitement, l’ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu’à 75 %

C’est la conclusion de méta-analyses réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill comme celle du Dr Pierre Kory.

Quelques articles de presse médiastream concèdent cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times : « un antiparasitaire bon marché pourrait réduire le risque de mort de la Covid-19 jusqu’à 75 %) »

Ou dans le Daily Mail.

Mais lire aussi Mathilde Debord | 09 mars 2022 : Ivermectine : de la DARPA à Buckingham, jusqu’où ira le scandale ?(([14] Ivermectine, le scandale de l’après-COVID ? | Le Point critique))

James O’Keefe affirme avoir obtenu des documents surprenants concernant les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça

Projet Veritas, la FDA et Pfizer

« Le 10 janvier 2022, le rédacteur en chef du Projet Veritas, James O’Keefe, affirme avoir obtenu “des documents surprenants et inédits concernant les origines du COVID-19, la recherche sur le gain de fonction, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça”.

Pour information, Projet Veritas est une organisation composée de journalistes regroupés autour d’un projet commun : “enquêter et dénoncer la corruption, la malhonnêteté, les délits d’initié, le gaspillage, la fraude et autres inconduites dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et transparente” (LinkedIn). Ce mot d’ordre peut faire sourire, mais le talent des journalistes du Projet Veritas est de parvenir à obtenir des documents accablants pour les personnes qu’ils incriminent, sans que leurs accusations ne soient jamais contredites par la justice ».

Military Documents About Gain of Function Contradict Fauci Testimony Under Oath | Project Veritas

Et encore Anthony Fauci

Au-delà des révélations concernant le financement par le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), Anthony Fauci, d’études de gain de fonction conduites dans le laboratoire P4 de Wuhan, c’est la mise au jour d’un document explosif qui inquiète aujourd’hui l’administration américaine.

« L’efficacité de l’ivermectine et l’hydroxychloroquine est connue des autorités depuis avril 2020 et elle est cohérente avec la manière dont le virus a été modifié »(([15] « Bon nombre des premiers protocoles de traitement ignorés par les autorités fonctionnent parce qu’ils inhibent la réplication virale ou modulent la réponse immunitaire aux protéines de pointe, ce qui est logique dans le contexte créé par EcoHealth. Certains de ces protocoles de traitement inhibent également l’action de la protéine de pointe du moteur. Par exemple, l’ivermectine (identifiée comme curative en avril 2020) agit à toutes les phases de la maladie, car elle inhibe à la fois la réplication virale et module la réponse immunitaire. Il convient de noter que le phosphate de chloroquine (hydroxychloroquine, identifiée en avril 2020 comme curative) est identifié dans le protocole comme un inhibiteur du SRASr-CoV, tout comme l’interféron (identifié en mai 2020 comme curatif). »

Rapport DARPA))

LES « BONS CONSEILS » DE MCKINSEY À OLIVIER VERAN

« Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?

Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le
gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en “négligence délibérée” le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée »(([16] Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? — Le Point Critique))

Au-delà de la polémique sur la guérison de la reine Elisabeth II qui serait due à l’Ivermectine après son infection malgré ses 4 injections anticovid, (mais qu’il ne faut surtout pas ébruiter), informons nos lecteurs qu’il existe maintenant un arsenal thérapeutique large !

L’arsenal thérapeutique contre le COVID-19 compte à ce jour 511 traitements potentiels, dont 30 précoces approuvés par 70 pays, adossés à 1 479 études(([17] https://lepointcritique.fr/2022/03/09/ivermectine-de-la-darpa-a-buckingham-jusquou-ira-le-scandale)) recensées dans la base de données
https://c19early.com/.

Le magazine Nexus a publié un dossier complet sur le sort qui a été réservé à l’ivermectine sous la houlette d’Olivier Véran. Le titre du numéro est un clin d’œil à la décision du ministre d’en censurer l’accès malgré les preuves accablantes de son efficacité.

Dossier « Ivermectine : présumé inefficace ? » (Nexus, numéro de mars 2022)(([18] Le site c19ivermectin.com recense 148 études comparant l’ivermectine à d’autres traitements. Elles ont porté au total sur 85 767 patients.))

Le journaliste Jean-Loup Izambert répond le 3 mai 2022 à Kairos :
Le scandale de l’Ivermectine — interview de Jean-Loup Izambert — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Le CDC admet que la « pandémie de Covid » était le produit d’un test inapproprié

[Source : RI]

[NDLR : pour rappel, l’article original datant de décembre 2021]

par Paul Craig Roberts.

Discrètement, sans l’attention des médias, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont retiré le processus PCR comme test valide pour la détection et l’identification du SRAS-CoV-2.

« Après le 31 décembre 2021, les CDC retireront la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel, le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement ».

Les CDC admettent que le test PCR ne peut pas différencier le SRAS-CoV-2 des virus de la grippe.

J’ai signalé il y a plusieurs mois que les « autorités sanitaires » étaient parvenues à cette décision, mais qu’elles retardaient sa mise en œuvre jusqu’à la fin de 2021. Elles avaient besoin de ce faux test pour entretenir la peur afin d’obtenir le plus de vaccinations, et donc de profits, possible.

Il est extraordinaire que le retrait du test par le CDC n’ait reçu aucune attention de la part des médias ou des politiciens.

Le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur du processus PCR, a déclaré il y a plusieurs années que « le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ». Il n’a jamais été conçu pour être un test Covid.

Le Dr Pascal Sacre, le célèbre Belge spécialisé dans les soins intensifs, a déclaré que le processus RT-PCR a été détourné et appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle pour créer l’apparence d’une pandémie basée sur des résultats de tests bidons et non sur de véritables patients atteints du Covid afin de violer les droits humains et constitutionnels des citoyens.

Comme je l’ai toujours signalé, le test PCR a été délibérément effectué à des cycles élevés, connus pour produire des faux positifs. La plupart des prétendus « cas Covid » n’étaient rien d’autre que des fabrications intentionnelles. Les hôpitaux ont fait partie de l’escroquerie, car ils ont été incités par des récompenses financières à déclarer pratiquement tous les décès comme des décès dus au Covid. C’était facile à faire, car chaque personne mourante, quelle qu’en soit la cause, subissait un test PCR qui produit jusqu’à 97% de faux positifs et était ainsi déclarée « mort Covid ».

La question qui se pose au monde est de savoir si les « autorités sanitaires », qui ne sont en fait que les avocats des profits de Big Pharma, comme l’a prouvé Robert F. Kennedy Jr., les politiciens et les médias menteurs seront tenus responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » lui-même, des pertes et des fermetures d’entreprises causées par les confinements insensés, et des violations extraordinaires des lois de Nuremberg par la vaccination obligatoire.

Les peuples du monde doivent comprendre que la « pandémie de Covid » orchestrée est le plus horrible crime de masse jamais commis dans l’histoire de l’humanité. C’est « l’Occident libre » qui a organisé et perpétré ce crime horrible.

Les personnes qui ont fait confiance à Fauci, qui ont fait confiance à Biden, qui ont fait confiance à l’establishment médical et qui ont fait confiance aux médias ont vu leur vie ruinée.

La race humaine sera-t-elle trop stupide pour comprendre cette tromperie et les conséquences pour les droits de l’homme et la liberté humaine ? Continuera-t-elle à faire confiance aux autorités et aux médias qui l’ont trompée avec un récit contrôlé qui exigeait de réduire au silence et de punir tous les vrais experts ? Si tel est le cas, ils auront été effectivement réduits en esclavage.

Paul Craig Roberts

source : https://www.paulcraigroberts.org
traduction Réseau International




Allons enfants de la Patrie !

[Source : ]

Auteur(s): Xavier Azalbert, pour FranceSoir

EDITO – Si, certes, je me suis permis de reprendre les premiers mots de la Marseillaise, malheureusement, je ne peux pas pousser plus loin ce copier-coller au regard de l’avenir des « enfants de la patrie ».

Hélas, non : pour leur santé en général, « le jour de gloire » est loin d’être arrivé. Car bien qu’il ne soit pas certain que la réinvestiture d’Emmanuel Macron le 7 mai les rétablira dans leurs fonctions respectives de Premier ministre et de ministre de la Santé, Jean Castex et Olivier Véran ont d’ores et déjà fait part expressément de leur volonté d’imposer, et au plus vite, la vaccination contre le Covid pour les enfants, toutes tranches d’âge confondues.

Bien entendu, même si j’espère que pour en préserver nos enfants, nous n’aurons pas à en venir « Aux armes, citoyens », il nous faudra user de tous les moyens existants autorisés. Après tout, les lobbys pharmaceutiques, eux, n’agissent-ils pas de la sorte ?

N’est-ce pas par cette entremise qu’ils ont obtenu du Gouvernement une exonération de toute responsabilité, qui les immunise contre les poursuites pénales en cas de préjudice causé par ce qu’ils nous vendent à prix d’or comme étant un « vaccin » ?

N’est-ce pas par cette même entremise qu’ils ont obtenu une autorisation de mise sur le marché, autorisation dite « provisoire », mais qui perdure depuis deux ans, sur le fondement de données qu’on sait aujourd’hui être totalement incompatibles avec la délivrance d’une AMM, fût-elle « provisoire » ; a fortiori compte dûment tenu du fait que la létalité extrêmement faible de la Covid-19 (0,0037 %) ne peut aucunement matérialiser l’urgence absolue requise en la matière ?

Pour ceux qui répondront par un « oui » à ces trois questions, il devient indispensable de se mobiliser en ce sens.

Car après tout, rappelez-vous. En août 2021, grâce à leur mobilisation, les routiers ont réussi à faire entendre raison au Gouvernement. Mieux ! Ils ont contraint Emmanuel Macron et Jean Castex à passer au travers d’une loi qu’ils avaient pourtant faite eux-mêmes adopter par le Parlement.

Oui ! Parce que la menace de grève générale à compter du 15 août 2021, que les routiers avaient fait planer alors, aurait causé, c’est vrai, au bout d’à peine une semaine, une pénurie alimentaire qui, sans doute, pression de la rue faisant, aurait contraint Emmanuel Macron et Jean Castex à démissionner, s’ils n’eussent pas cédé. Si cette pénurie avait perduré un temps, immanquablement, elle aurait conduit les affamés à se révolter comme jadis en 1789. Les ventre-creux ont fait la révolution.

Parce qu’une telle grève générale aurait eu ces conséquences, voici ce qu’Emmanuel Macron et Jean Castex ont fait.

Ils ont pris un décret qui stipule que les routiers sont exemptés de l’obligation vaccinale, que la loi du 5 août 2021 impose (entre autres professions) aux routiers pour pouvoir travailler.

Or, faisant cela, Emmanuel Macron et Jean Castex se sont rendus coupables du délit (articles 432-1 et 432-2 du Code pénal) de « mise en échec de l’exécution de la loi, par mesure prise par personne dépositaire de l’autorité publique agissant dans l’exercice de ses fonctions. »

Pardi !

Principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs oblige, le pouvoir exécutif (président de la République et Premier ministre) ne peut pas s’opposer (ni par un décret ni par une quelconque autre voie) à l’exécution d’une loi qui a été votée par le pouvoir législatif (Parlement), sans se rendre coupable d’un délit.

A fortiori quand, premièrement, cet autre principe constitutionnel, « la hiérarchie des normes », c’est-à-dire que la loi est supérieure au décret, prévoit que nul décret ne peut déterminer le contraire de ce que la loi établit, et quand, deuxièmement, au terme de l’article 21 alinéa 3 de la Constitution, le Premier ministre « assure l’exécution des lois. »

Or, dès lors que la Constitution non seulement lui interdit de s’opposer à l’exécution de la loi, mais, de plus, lui ordonne d’assurer l’exécution de la loi, si le Premier ministre met en échec l’exécution de la loi par un décret ou par une quelconque autre voie, alors il se rend bel et bien 100% coupable du délit de « mise en échec de l’exécution la loi par personne dépositaire de l’autorité publique agissant dans l’exercice de ses fonctions. »

Et parmi tous ceux qui, pourtant, d’ordinaire, sont enclins à hurler promptement au scandale, à peine, selon eux, le Premier ministre a oublié une virgule ou un trait d’union dans un décret ; nul juriste, nul journaliste, nul politicien prétendument d’opposition, n’a relevé ce délit pourtant on ne peut plus manifeste. Un délit manifeste et dont, actuellement, la mise en œuvre perdure en flagrance.

Donc puisque, grâce à leur mobilisation, les routiers ont réussi à contraindre toutes ces personnes dépositaires de l’autorité publique, président de la République et Premier ministre en tête, à se rendre coupables de ce délit (puni de 10 ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende), simplement pour pouvoir conserver leur place, pères et mères de France, tous autant que nous sommes (routiers compris, évidemment), mobilisons-nous pareillement si le président de la République et le Premier ministre décident de mettre en place ce qui sera sans nul doute perçu comme un « sacrifice de nos enfants ». C’est-à-dire s’ils font voter une loi qui contraint à l’obligation vaccinale tous les enfants de France, toutes catégories d’âges confondues, nouveau-nés compris.

Novak Djokovic nous a montré l’exemple (voir cet édito Jeu, set et match). Lui, mieux encore que les routiers, puisqu’il a agi seul. Seul et contre tous. Quand on est véritablement déterminé, on peut s’opposer avec succès aux instances dirigeantes. Dirigistes, plus exactement.

N’est-ce pas la priorité des parents de tout faire pour préserver la santé de leurs enfants, ceux sur lesquels ils ont l’autorité parentale ?

Les preuves s’accumulant, il est un devoir pour eux de se poser la question du bénéfice/risques de la vaccination anti-Covid, car, si elle devient obligatoire, cela ne s’apparenterait-il pas à un sacrifice ou à un chantage ?

Cela tout particulièrement quand le principal bénéfice réalisé, en l’état de cette campagne de vaccination, ce sont les intérêts financiers du lobby pharmaceutique ?

En effet, cette campagne de vaccination ne tient pas ses promesses initiales (restriction de la contamination et de la transmission), des promesses vendues à grands renforts de communication dans les médias, amenant là à une forme de consentement non éclairé et déloyal du peuple.

Cela a ainsi conduit à ce que certains ne manqueront pas de considérer comme un vol ou un viol du consentement libre et éclairé, droit fondamental s’il en est.

Dès lors, ne peut-on pas comprendre ceux qui vont jusqu’à invoquer la mise en place en France, comme en Chine, d’un contrôle exacerbé de la population à tous les niveaux ? Un pas de plus qui peut aussi présager la mise en place du crédit social comme seule et unique source de revenus pour les « non essentiels », un crédit social dont seraient exclues les personnes « n’ayant pas acheté » le narratif officiel de l’obligation vaccinale.




L’utilisation du paracétamol dans le COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Doliprane et restez chez vous » ! © MYCHELE DANIAU / AFP/Archives]

Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, pour FranceSoir

Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, dans cette tribune, analysent la politique du « paracétamol et restez chez vous » utilisée à l’envi pendant la crise sanitaire, qu’ils jugent « contreproductive en termes de santé comme en termes de coût ». Pour cela, ils traitent dans une première partie de l’historique du médicament depuis le début de la crise, en soulignant notamment les désaccords entre le gouvernement et les autorités sanitaires. Puis, ils analysent les effets néfastes du Doliprane, notamment dans le cadre du traitement contre le Covid-19.

TRIBUNE — Historique 2020-2022 de l’utilisation et des recommandations concernant l’usage du paracétamol et de l’ibuprofène/anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Le ministre de la Santé, Oliver Véran, a tweeté le samedi 14 mars 2020 que les personnes suspectées de Covid-19 devraient éviter les anti-inflammatoires. « La prise d’anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone…) pourrait être un facteur aggravant de l’infection. Si vous avez de la fièvre, prenez du paracétamol », a-t-il dit. (BMJ, 2020)

À l’opposé, quatre jours plus tard, le 18 mars 2020, l’EMA publiait un communiqué remettant en cause ce tweet :

« Il n’existe actuellement aucune preuve scientifique établissant un lien entre l’ibuprofène et l’aggravation de la COVID‑19. L’EMA suit la situation de près et examinera toute nouvelle information disponible à ce sujet dans le contexte de la pandémie. »

Elle recommande donc les deux :

« Lors du début d’un traitement contre la fièvre ou la douleur dans le COVID-19, les patients et les professionnels de la santé doivent envisager toutes les options de traitement disponibles, y compris le paracétamol et les AINS. ».

De plus, le 19 avril, l’OMS publiait un rapport scientifique avec 13 références sur la base de 73 études, dont la conclusion était :

« À l’heure actuelle, il n’y a aucune preuve d’événements indésirables graves, d’utilisation des soins de santé aigus, de survie à long terme ou de qualité de vie chez les patients atteints de COVID-19, à la suite de l’utilisation d’AINS. ».

Aux États-Unis, la FDA de son côté, le 19 mars 2020, écrit qu’elle « a pris connaissance d’articles de presse indiquant que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), tels que l’ibuprofène, pourrait aggraver la maladie à coronavirus (COVID-19). Ces reportages médiatiques faisaient suite à une lettre du 11 mars 2020 dans la revue médicale The Lancet, qui émettait l’hypothèse qu’une enzyme (protéine qui facilite une réaction biochimique dans le corps) est augmentée par les AINS et pourrait aggraver les symptômes de la COVID-19. » L’agence ajoute qu’« à l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

C’est donc une simple phrase sans référence scientifique (« ACE2 peut également être augmenté par les thiazolidinediones et l’ibuprofène »), dans l’étude du Lancet du 11 mars, qui traite du COVID et des diabétiques (Fang L et al., 2020), qui estutilisée par Olivier Véran pour justifier des recommandations en faveur exclusivement du Paracétamol/Acétaminophène (Doliprane). Ce tweet, sans aucune recherche approfondie et sur la base d’une hypothèse, exclut l’utilisation de l’ibuprofène et des AINS. Et ceci est toujours d’actualité alors que, comme on l’a vu, quelques jours plus tard, les grandes agences de santé envoient des recommandations différentes.

Le 16 mars, l’auteur principal de l’article du Lancet, le Dr Michael Roth, directeur d’un groupe de recherche au Département de biomédecine de l’Université et de l’Hôpital universitaire de Bâle, commente alors l’article et sa phrase relative à l’ibuprofene, probablement en réaction au tweet du ministre, puisque c’est avant les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA : « Ce soupçon, qui a été expressément formulé comme une hypothèse, s’adresse aux scientifiques en vue d’une enquête plus approfondie fondée sur des données supplémentaires sur les patients. Cela ne constitue pas une recommandation d’utiliser ou non certains médicaments. Les patients doivent toujours suivre les instructions données par leur médecin », déclare-t-il.

Le site de l’Université de Bâle poursuit :

« En soi, l’enzyme ACE2 est une protéine très précieuse qui favorise la régénération des tissus. Des études antérieures ont montré que les inhibiteurs de l’ACE et les bloqueurs des récepteurs de l’angiotensine entraînent une formation accrue d’ACE2. Malheureusement, le coronavirus SARS-CoV-2 se lie à cette protéine et l’utilise pour pénétrer dans les cellules, où il se multiplie. »

Et selon le professeur Michael Roth, des relations similaires ont été décrites suite à la pandémie de SARS de 2002-2003. 

Le site continue :

« Certains patients souffrant de maladies cardiaques, d’hypertension ou de diabète sont en effet traités avec des médicaments qui augmentent la quantité d’ACE2. »

Et, le Dr Roth conclut :

« Pour cette raison, nous suggérons de poursuivre les recherches sur l’utilisation de ces médicaments chez les patients atteints de COVID-19 ».

En effet, comme on le sait déjà, la protéine ACE2, tout en étant le récepteur du virus SARS-CoV-2 joue un rôle très bénéfique dans la santé sur l’équilibre de la tension artérielle (système rénine-angiotensine), de l’inflammation et dans beaucoup d’aspects positifs dans la COVID, qui est une pathologie inflammatoire. Ainsi, se fonder sur une hypothèse ne privilégiant qu’un aspect simpliste de la question complexe de la maladie COVID et en faire une recommandation générale à ce moment de la pandémie, est un raccourci scientifique hasardeux aux conséquences potentiellement importantes. Depuis, des études ont montré que le paracétamol, comme l’ibuprofène, n’augmentait pas les niveaux d’ACE2 et que l’ibuprofène avait même une activité antivirale in vitro (de Bruin N et al., 2022).

Les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA sont prises en compte dans de nombreux pays comme au Royaume-Uni, où ce changement a été acté au contraire de la France, dès le 17 avril : les agences britanniques des médicaments ont changé leurs conseils sur l’ibuprofène pour dire que le médicament pouvait être utilisé pour traiter les patients présentant des symptômes de Covid-19, même si les preuves qui ont motivé la révision n’ont pas été rendues publiques (Torjesen I, 2020). Le changement fait suite à un examen par le groupe de travail d’experts de la Commission des médicaments à usage humain (CMH) sur le Covid-19 ainsi que des examens antérieurs des preuves, qui a conclu qu’il n’y avait actuellement pas suffisamment de preuves pour établir un lien entre l’utilisation de l’ibuprofène ou d’autres médicaments inflammatoires non stéroïdiens (AINS), et le fait de contracter ou d’aggraver la Covid-19 (Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, 2020). L’examen du groupe n’a pas été publié, mais a incité l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), le NHS England et le National Institute for Health and Care Excellence (NICE) à mettre à jour leurs conseils pour déclarer que les patients pouvaient prendre du paracétamol ou de l’ibuprofène contre les symptômes de la Covid-19, comme la fièvre et les maux de tête (Powis S, 2020).

Il semble qu’Olivier Véran ait aussi été influencé par des médecins français ayant alerté sur la toxicité des anti-inflammatoires « type ibuprofène », qui ont participé à un reportage pour le journal 20Minutes, dont voici un paragraphe très négatif sur l’utilisation de l’ibuprofène (Bosredon, 2020) :

Tous les patients en réanimation avaient pris des anti-inflammatoires

À Bordeaux, on confirme que les cas graves de Covid-19, ne touchent pas que les personnes âgées : les quatre premiers patients admis sont tous jeunes, l’un ayant même seulement 26 ans. » « Nous avons une population différente de celle décrite par nos collègues chinois », confirme le Dr Benjamin Clouzeau (anesthésiste-réanimateur au CHU de Bordeaux). « Mais nos malades ont tous le même profil, et j’insiste là-dessus : ils ont tous pris des anti-inflammatoires type ibuprofène, pour traiter les symptômes de fébrilité. Il faut bannir cela. »

Le 27 mars 2020, seulement quelques jours plus tard, le Dr FitzGerald GA réagit dans le journal Science (FitzGerald GA, 2020) en accusant Olivier Véran de semer la confusion en ce début de pandémie :

« Alors que la pandémie de maladie à coronavirus 2019 COVID-19 continue de s’accélérer, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a semé la confusion en affirmant sur Twitter que des anti-inflammatoires comme l’ibuprofène ou la cortisone pourraient aggraver l’infection. Cependant, les preuves scientifiques n’indiquent pas que la consommation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) met les patients à risque d’une maladie plus grave, alors qu’ils pourraient autrement avoir une infection légère ou asymptomatique par le syndrome respiratoire aigu sévère du coronavirus (SARS-CoV-2). Les personnes qui prennent des AINS pour d’autres raisons ne doivent pas arrêter de le faire de peur d’augmenter leur risque de COVID-19. »

Ceci a été repris dans le journal le Guardian (Willsher K, 2020).

Beaucoup de scientifiques ont donc réagi au tweet d’Olivier Véran. On rappelle aussi les mots prudents de la FDA :

« À l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

Ce tweet un peu rapide n’est pas sans rappeler un autre cas lié au Lancet, sur une autre molécule et avec la même rapidité. Le même Lancet qui publiait en 2021 une étude disant :

« L’utilisation d’AINS n’est pas associée à une mortalité plus élevée ou à une gravité accrue de la COVID-19 (Drake TM et al., 2021). Les décideurs politiques devraient envisager de revoir les conseils émis concernant la prescription d’AINS et la gravité de la COVID-19. »

On parle ici d’une étude réalisée entre le 17 janvier et le 10 août 2020, sur 78 674 patients dans 255 établissements de santé en Angleterre, Écosse et Pays de Galles. Cet article rappelle aussi les propriétés anti-inflammatoires observées pour l’ibuprofène contre des vecteurs de l’inflammation (cytokines impliquées dans le fameux orage inflammatoire) dans la COVID en particulier l’IL-6, mais nous y reviendrons. Autre étude du Lancet (Rheumatology) :

« Au début de la pandémie de COVID-19, les médias craignaient que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier l’ibuprofène, ne puisse exacerber les symptômes de la COVID-19. Ces inquiétudes, basées sur des données non publiées, ont conduit à déconseiller l’utilisation des AINS. »

Et en conclusion :

« La présente étude complète plusieurs études antérieures études d’observation, dont la plupart ont soutenu l’absence d’association entre l’utilisation d’AINS et la COVID-19 gravité. En fin de compte, sur la base des connaissances actuelles, les cliniciens ne doivent pas s’abstenir ou interrompre les AINS chez les patients atteints de COVID-19 si un traitement par AINS est indiqué » (Kragholm K  et al., 2021). »

Ces résultats sont corroborés par de nombreuses autres publications depuis 2020 (Bruce E et al. 2020), dont une méta-analyse d’une équipe française qui aurait pu intéresser nos responsables (Moore N et al., 2020) (Kelleni MT, 2020) (Kelleni MT, 2021). De plus, deux études ont révélé que lorsque l’ibuprofène ou les AINS étaient utilisés seuls chez des patients atteints de COVID-19, il n’y avait aucun décès, contre 3 ou 4 % avec le paracétamol utilisé seul (Rinott E et al., 2020) (Jeong HE et al., 2020).

Hélas, en France, on ne voit pas de changement au tout-paracétamol. Et même opportunément, un rapport de l’ANSM publié le 18/04/2019 et remis à jour le 20/05/2020, intitulé « Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et complications infectieuses graves » vient en soutien aux recommandations gouvernementales pour recommander de ne pas prendre d’ibuprofène, mais plutôt du paracétamol, dans les complications infectieuses graves notamment dans un contexte de varicelle et de pneumonie.

Le problème plus grave est qu’avec le temps, les preuves scientifiques ne vont cesser de s’accumuler en faveur des AINS, dont l’ibuprofène, médicaments génériques, et au contraire en défaveur du médicament de Sanofi, mais sans aucun changement de cap des responsables politiques de la santé en France. On peut regretter aussi l’absence de mise au point de la part du conseil scientifique, qui aurait pu intervenir et même anticiper les risques de toxicité du paracétamol dans le cadre de la COVID-19 au regard du rôle crucial de l’inflammation dans la pathologie de la COVID : on rappelle que le Doliprane n’est pas anti-inflammatoire et qu’il est pro-oxydant, au contraire de l’ibuprofène et des AINS.

L’ANSM rapporte que « La dispensation d’ibuprofène a été quasiment arrêtée à la suite des messages des autorités sanitaires, tandis que la délivrance sur ordonnance de paracétamol a atteint jusqu’à 1 million de patients par jour (pic le 16 mars). » (ANSM, 2020)

Malgré les arguments scientifiques connus et entérinés depuis fin mars 2020 par les plus grandes agences mondiales de la santé, on peut lire encore en juillet 202, en France, les affirmations suivantes de l’HAS adressé à Jérôme Salomon, Directeur Général de la Santé :

Encore répété par la HAS, le 11mars 2022 :

Ou encore sur la page actuelle du site du ministère de la Santé :

Le journal Le Point avait aussi honnêtement rectifié en 2021:

Le gouvernement français a donc choisi de privilégier uniquement le paracétamol dans le cadre de la COVID, tout en refusant systématiquement aux Français différents traitements ambulatoires précoces et en faisant même pression sur les médecins. Il les a notamment empêchés de prescrire l’azithromycine, un traitement qui, en association avec le zinc, a pourtant fait ses preuves, comme une multitude de médecins et patients peuvent en témoigner. Quid de l’aspirine, qui en plus est anticoagulante ?

Questions sur la sécurité du Paracétamol à travers quelques études cliniques rétrospectives

Alors, une question jamais évoquée se pose étant donné cette politique à sens unique concernant le Doliprane. C’était particulièrement prégnant en 2020, mais hélas encore d’actualité, même si de nombreux médecins et personnes éclairées l’ont abandonné : à quel moment a-t-on validé que le paracétamol (Doliprane) était vraiment sécurisé pour la santé, en particulier dans la pathologie de la COVID ? Le Doliprane est-il un médicament anodin comme le pensent beaucoup de Français ?

La réalité est qu’aucune étude observationnelle ni randomisée (les fameuses RCT) n’a été réalisée sur ce médicament. D’autres chercheurs alertent sur ce sujet, dont l’auteur d’un travail sur la base de 2 356 articles scientifiques, et de déclarations individuelles d’effets indésirables du paracétamol dans la pharmacovigilance internationale, base de données VigiBase (Romanov BK , 2021). L’auteur note également qu’aucune revue systématique n’existe, d’articles et d’essais cliniques sur la question de la sécurité du paracétamol utilisé dans le cadre du COVID-19. En comparant les années 2018/2019 et 2021/2021, cet auteur observe que des effets indésirables graves pour le paracétamol ont été plus fréquents dans la période COVID (35,4 %) que dans la période pré-COVID (28,2 %), du 1er janvier 2020 au 31 juillet 2021 (Romanov BK, 2021). La fréquence relative de tous les décès, dans les cas des événements indésirables graves, ont également augmenté dans la période COVID (de 8,9 à 14,3 %).

On en est donc réduits à tenter d’analyser des données à travers des analyses statistiques rétrospectives sur des études existantes. Ainsi, une analyse multivariée sur une cohorte de 524 patients a montré que les patients exposés au paracétamol avaient une probabilité significativement plus élevée d’être dirigés vers des unités de soins dans le groupe d’exposition modérée (100-1000 mg/day, nb de sujet : 256) et fortement exposés (>1000 mg/day ; nb de sujets : 132) que le groupe témoin n’ayant pas reçu de paracétamol (nb de sujets : 136) (Manjani L et al., 1021). La durée de séjour en unité de soins était aussi plus longue (5 vs 10 jours, p < 0,001) et les deux groupes qui ont pris du paracétamol ont aussi eu une mortalité plus élevée : 5,1 % en plus pour le groupe avec prise modérée et 16,5 % en plus (p = 0,001) pour le groupe avec prise supérieure à 1 g/j en comparaison du groupe sans paracétamol. Ils notent aussi un risque plus élevé de nécessiter une assistance respiratoire (2,9 % vs 15,5 % p < 0,001) dans les groupes exposés modérément ou fortement exposés. Cela laisse entendre que le Doliprane pourrait aggraver la maladie de la COVID et augmenter les chances d’hospitalisations, voire de décès.

Une étude observationnelle rétrospective est particulièrement intéressante : dans le groupe dit de contrôle, 45 patients sur 77 (58,44 %) ont reçu du paracétamol comme traitement à domicile, alors que dans le groupe suivant un protocole recommandé, utilisant en particulier des anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase (Suter F et al., 2020), seuls 6 sur 86 (6,98 %) utilisaient le paracétamol comme thérapie principale (Suter Fet al., 2021). Le taux d’hospitalisation fut de 1,2 % pour les patients suivant le protocole recommandé et 13,1 % (p = .007) pour les patients utilisant majoritairement du paracétamol, soit 44 jours cumulés d’hospitalisation (groupe protocole recommandé) contre 481 (groupe paracétamol). En plus d’une hospitalisation presque 11 fois supérieure dans le groupe Doliprane, il en découle des frais cumulés d’hospitalisation 10 fois plus élevés finalement : 296 243 euros pour le groupe Doliprane vs 28 355 euros pour le groupe anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase. À noter que 9,2 % du groupe Doliprane a pris des corticoïdes vs 30 % avec le protocole recommandé.

La politique du « Doliprane et restez chez vous » est donc contreproductive en termes de santé comme en termes de coût : 11 fois moins efficace pour l’hospitalisation et 10 fois plus cher pour le contribuable :

Légende : Jours d’hospitalisation cumulés et coûts associés dans les deux groupes étidiés
Panneau A : Jours d’hospitalisation cumulés dans la cohorte de traitement recommandé (recommended cohort) et dans le groupe Paracétmol (control cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)
Panneau B : Coûts cumulés d’hospitalisation dans la cohorte « traitement recommandé » et dans le groupe paracétamol (conrtol cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)

Comment cela est-il possible ? Y a-t-il des mécanismes biologiques connus qui pourrait l’expliquer, alors qu’on prescrit du Doliprane à tout-va, y compris en post-vaccination ?

La réponse est oui, et ces mécanismes biochimiques et physiologiques sont nombreux et connus ! Ils surviennent, il est vrai, essentiellement dans le cadre du dosage plus important que les doses thérapeutiques maximales normalement acceptées (3-4 g/j), mais sont aussi susceptibles d’intervenir à des doses plus basses, notamment en lien avec certaines conditions qui sont associées… avec les comorbidités de la COVID.

Après une brève introduction sur l’historique du paracétamol, nous décrivons ci-dessous sa toxicité générale, mais aussi les mécanismes inflammatoires, coagulants et pro-oxydants connus du paracétamol (Doliprane, Efferalgan…), qui peuvent être néfastes dans le cadre de la pathologie de la COVID-19.

Quelles sont les conséquences biologiques de la prise de paracétamol ?

Antalgique le plus vendu au Monde, le Paracétamol trouve son origine dans l’industrie des colorants du XIXème siècle. Depuis sa commercialisation en France, en 1957, sa consommation ne cesse d’augmenter. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a tiré à plusieurs reprises la sonnette d’alarme, jusqu’à récemment encore. En effet, sous son apparente innocuité, ce dérivé de la Phénacetine, elle-même dérivée de l’Anniline, cache un fonctionnement complexe dont l’entièreté des mécanismes reste à confirmer. Bien que longtemps assimilé aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sa pharmacodynamie apparaît, en fait, bien plus complexe. Aussi, la première hypothèse d’un mécanisme d’action via l’inhibition des cyclo-oxygénases est largement reconsidérée.

A contrario de son mécanisme d’action, son métabolisme est, quant à lui, bien établi. Normalement bien toléré aux doses thérapeutiques, sa métabolisation dans l’organisme n’est pas dénuée d’effets indésirables et/ou d’interactions aux conséquences parfois dramatiques, de sorte que sa toxicité est reconnue depuis 50 ans au moins et depuis 2018, même hors surdosage apparent et à des doses thérapeutiques ou très proches (Kurtovic J and Riordan SM, 203) (Graham GG et al., 2005) notamment avec des facteurs de risque comme d’hépatotoxicité comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie ou chez des adultes âgées de faible poids (les plus fragiles face à la COVID), une séropositivité au VIH ou hépatite C (Bonkovsky HL et al, 1994) (Claridge LC et al., 2010). Ces personnes ont-elles vraiment été averties par les autorités de santé et leurs médecins de ces contrindications nécessitant des précautions d’emploi ?

Toxicité générale du paracétamol et de son métabolite toxique : le N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI

Dans le cadre de son métabolisme, une proportion minime de paracétamol (aussi appelée acétaminophène ou encore acetyl-para-aminophénol) est relâchée dans le système sanguin sous forme inchangée, la majeure partie étant métabolisée au niveau du foie par le biais de plusieurs voies (Steventon GB et al., 1996). Les métabolites actifs distribués dans le sang sont, pour une faible part, inactivés par liaisons avec l’albumine à raison de 10 à 15 % (Gimenez F et al., 2012). Majoritaires, la conjugaison à l’acide glucuronique ou glycuroconjugaison et la conjugaison à l’acide sulfurique ou sulfoconjugaison se partagent environ 80 % de la biotransformation de l’acétaminophène à hauteur d’un ratio moyen de 1/3//2/3. Inactives et non toxiques, les deux formes qui en résultent sont éliminées par voie urinaire.

Suite aux travaux d’Högestätt, une autre voie mineure a été mise en évidence. Ainsi, le paracétamol subit également une hydrolyse catalysée par l’acylamidase et la N-désacétylase du foie aboutissant à un métabolite désacétylé : le P-aminophénol (Högestätt ED et al., 2005).

Enfin, et surtout, la voie oxydative, quant à elle, intervient à une moyenne de 10 %. Associée au cytochrome P450, principalement les enzymes CYP2E1 et CYP2D6, elle aboutit à la formation de N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI (Gimenez F et al., 2012) (Lee SS et al., 1996) (Dong H et al., 2000). C’est ce dérivé du paracétamol qui est hautement toxique, du fait de sa capacité à se lier aux cellules du foie (hépatocytes), il peut en provoquer l’apoptose (mort cellulaire) jusqu’à la nécrose hépatocytaire ou hépatite cytolytique. Il est également responsable de la néphrotoxicité du paracétamol. Il est ainsi responsable de près de 500 décès par an aux États-Unis, ainsi que de 100 000 appels aux centres antipoison américains, de 50 000 visites aux urgences et de 10 000 hospitalisations par an (Lee WM, 2017).

En conditions dites « thérapeutiques », il est rapidement détoxifié par le glutathion (GSH), un petit tripeptide (3 acides aminés) composé d’acide glutamique, de cystéine et de glycine (Steventon GB et al., 1996).

Et, c’est là qu’intervient l’élément qui nous intéresse : le glutathion. Son rôle dans la lutte contre la toxicité du paracétamol est absolument essentiel. Gros consommateur de cet oxydant, seuls 10 g en une prise suffisent à effondrer suffisamment les stocks de cet antioxydant majeur du corps humain. C’est par ce mécanisme, inhérent au fonctionnement de bas du paracétamol, que le paracétamol est devenu, en quelques années, la cause numéro 1 de greffes hépatiques et une molécule régulièrement utilisé dans les tentatives d’autolyse ou suicide. En cas de surdosage, deux molécules sont principalement utilisées :

  • Le charbon actif, capable d’adsorber jusqu’à 90 % du paracétamol s’il est administré dans les cinq premières minutes. Son efficacité est « dose-dépendante » et n’est prouvée que dans un délai de deux heures après ingestion de la surdose.
  • La N-acétylcystéine, véritable antidote, atténue voire évite l’atteinte hépatique en produisant de la cystéine, élément précurseur du glutathion. Néanmoins, sa protection complète ne va pas au-delà dès huit heures après ingestion. Passé ce délai, son activité protectrice décroit progressivement.

Au sujet de l’importance de la toxicité du paracétamol vis-à-vis du glutathion dans le cadre du COVID paracétamol, des chercheurs écrivent :

« Au vu de ce qui précède, poursuivre l’utilisation généreuse du paracétamol peut signifier que nous ignorons les messages importants de la recherche. Cela peut ne pas être inquiétant chez les adultes en bonne santé. À l’inverse, au milieu d’une pandémie dévastatrice, il est plus important que jamais de présenter des arguments satisfaisants pour prescrire du paracétamol aux populations sensibles avec des niveaux de GSH faibles. Nous avons décrit en détail quatre problèmes de santé graves associés à la réduction de GSH et les risques de développer une COVID-19 sévère. Nous suggérons que la sécurité et l’efficacité du paracétamol devraient être étudiées plus en détail dans COVID-19. Des recherches futures pourraient tenter de corréler le taux de mortalité attribuable à la COVID-19 avec les chiffres de doses quotidiennes de paracétamol pour 1 000 habitants dans des pays au niveau de vie similaire. » (Verd S and Verd M, 2020).

Effets néfastes du paracétamol dans le COVID-19 :

Consommation du glutathion : effet délétère sur l’inflammation/stress oxydant et l’immunité dans la COVID-19 – Le premier effet particulièrement délétère du paracétamol et de loin le plus dangereux est donc la consommation de glutathion (GSH).

Certains chercheurs ont suggéré qu’en appauvrissant le GSH, le paracétamol pourrait également aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020). Or, le GSH comme protecteur de l’inflammation et du stress oxydant joue un rôle crucial et central dans la résistance au COVID-19 pour éviter d’évoluer vers une forme grave et la mort (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Ceci a été trop sous-estimé et trop peu évoqué dans la communauté scientifique et pratiquement jamais par la plupart des médecins et des médias. Probablement parce que cela implique de travailler sur des domaines vastes allant de la virologie à l’immunité, l’inflammation/stress oxydant et requérant des notions non seulement médicales, mais aussi de chimie et de biochimie poussées. Un des résultats, notamment chez les médecins, est que l’importance cruciale du stress oxydatif dans la pathologie de la COVID a été largement sous-estimée, quand elle leur est connue, et donc de l’importance centrale du glutathion dans la pathologie de la COVID !

Dans la COVID (et dans toutes les pathologies inflammatoires), l’inflammation est accompagnée de réactions d’oxydation dans les cellules par des petites molécules très réactives (que l’on appelle radicaux libres) qui sont produites sur le site de l’inflammation par un processus appelé stress oxydatif. C’est un peu comme si l’inflammation était le lance-flammes et le stress oxydatif les flammes. Ceci devrait faire l’objet de travaux de recherches supplémentaires notamment pour identifier des traitements antioxydants/anti-inflammatoires y compris pour les formes longues du Covid (Delgado-Roche L et al., 2020) (Cecchini R et al., 2020) (Ntyonga-Pono MP, 2020). Le glutathion est justement le maître antioxydant dans l’organisme qui permet de lutter contre ce stress oxydant dans de nombreuses pathologies (Franco R et al., 2007). Le paracétamol fabrique justement du stress oxydant et notamment des radicaux libres (peroxynitrites en particulier) à l’intérieur des mitochondries (Knight TR et al., 2001) (Knight TR et al., 2002) (Bajt ML et al., 20003) (Ishitsuka Y et al., 2020) (Prasun P, 2021) (Ramachandran A and Jaeschke H, 2019).

Au niveau de l’immunité, un autre effet néfaste de la consommation de GSH par le paracétamol est l’efficacité diminuée des globules blancs, en particulier des lymphocytes T, si importants pour lutter dans la COVID. Ces lymphocytes T ont besoin GSH afin de travailler efficacement, améliorant ainsi l’identification et destruction des bactéries et virus (Droge W and Breitkreutz R, 2000) (Grimble RF and Grimble GK, 1998) (Maciolek JA et al., 2014) (Wang K et al., 2017). Le taux de GSH qui régule l’état oxydatif dans toutes les cellules de l’organisme ralentit également la réplication des virus comme la grippe et d’autres virus respiratoires (Geiler J et al., 2010) ce qui peut donc potentiellement atténuer les symptômes viraux et améliorer la survie (McCarty MF et al.,2010) (De Flora S et al., 1997) (Mata M et al., 2012) (Nencioni L et al., 2003) (Cai J et al., 2003) (Khomich OA et al., 2018) (Ghezzi P et al., 2004).

Effet du paracétamol sur une des voies inflammatoire principales de la COVID-19 : la voie immuno-inflammatoire du complément

La voie du complément est une des voies principales de l’immuno-inflammation dans la COVID-19, notamment dans les formes graves et contribue aussi à la coagulation dans les vaisseaux et à la mort.

Or le paracétamol a été décrit par plusieurs travaux comme un activateur de cette voie inflammatoire, ce qui est préoccupant et jamais évoqué même si d’autres études doivent être menées pour mieux étudier ce sujet. Dans une récente étude, Li et ses collaborateurs rapportent la sur-activation du complément en lien avec la toxicité hépatique du paracétamol et l’effet protecteur de la CRP (C réactive protéine)  (Li HY et al., 2022) (Garcia-Ruiz C et al., 2022).

Dans des études chez l’homme avec surdosage de paracétamol, l’activation du complément a été associée à un dysfonctionnement hépatique (Ellison et al., 1990) (Clapperton et al., 1997).

L’hépatotoxicité induite par le paracétamol est initiée par une lésion précoce des hépatocytes, qui peut évoluer vers l’insuffisance hépatique aiguë par une amplification des lésions hépatiques entraînée par l’activation des cellules immunitaires. Des études antérieures ont rapporté un rôle de l’activation du complément dans les lésions hépatique induites par le paracétamol (Singhal R et al., 2012). Dans cette étude chez la souris, des niveaux plasmatiques élevés de cytokines inflammatoires sont retrouvés, telles que l’interleukine-6, interleukine-10 dont les taux élevés sont prédictifs d’une aggravation de la pathologie COVID (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020) et sont des marqueurs de la sévérité et même de la mortalité (Udomsinprasert W et al., 2020) (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020).

C’est donc une question importante qui est posée ici : la prise de Doliprane, en plus de consommer le GSH, aggrave-t-elle la pathologie COVID en activant une de ses voies inflammatoires et mortelle principale, inflammatoire et pro-coagulante et qui mène au décès : la voie du complément ?

1. Paracétamol et coagulation : activation de la thrombine et autres acteurs de la coagulation

On sait que la coagulation est une conséquence grave de la COVID-19 notamment dans les formes très sévères et terminales.

Il se trouve que le paracétamol a la capacité d’activer des mécanismes pouvant promouvoir la coagulation (en plus de la voie évoquée précédemment). En effet, on sait que la progression des lésions hépatiques induites par le paracétamol est associée à l’activation de la cascade de la coagulation sanguine. La génération de thrombine (enzyme qui convertit le fibrinogène en fibrine, protéine qui participe à la formation de caillots sanguins) est évidente chez les patients présentant une surdose aiguë de paracétamol et dans les modèles murins de lésions hépatiques aiguës (Ganey P et al., 2007) (Gazzard BG et al., 1975) (Sullivan BP et al., 2012). La thrombine active en particulier le proteinase-activated receptor (PAR-1) conduisant à l’activation des plaquettes et à une inflammation (cyclooxygénase-2 et autres cytokines) (Coughlin, 1999) (Uzonyi et al., 2006) (Kawabata and Kawao, 2005). Hautement exprimé dans les plaquettes et les cellules endothéliales, PAR-1 joue un rôle clé dans la médiation de l’interaction entre la coagulation et l’inflammation, ce qui est important dans la pathogenèse des maladies pulmonaires inflammatoires et fibrotiques et c’est le cas dans la COVID (Sriram K and Insel PA, 2021) (Rovai ES et al., 2021).

Aussi, l’administration de paracétamol est associée à des taux plasmatiques de protéine plasminogen activator inhibitor-1 (PAI-1) augmentés (Ganey P et al., 2007) (Bajt ML et al., 2008) (Radonovich MF et al., 2001) (Kastl et al., 2006). Or le PAI-1 est une enzyme qui freine la capacité de fibrinolyse, c’est-à-dire de dissolution de caillots (par inhibition de l’activateur tissulaire du plasminogène (tPA) et de l’urokinase (uPA), eux-mêmes activateurs du plasminogène, enzyme qui permet de dégrader les caillots (Mackman N, 2005) (Schaller J et Gerber SS, 2011). Ce PAI-1 est également important dans la pathologie de la COVID et retrouvé à des taux élevés chez les patients ayant des formes sévères (Khan SS, 2021) (Zuo Y et al., 2021).

Le PAI-1, qui peut être libéré par les cellules de Kupffer en réponse à C5a est augmenté dans le plasma par le paracétamol et réduit par une déplétion préalable du complément (Kastl et al., 2006).

Ces mécanismes inflammatoires et pro-coagulants du paracétamol devraient aussi être pris en compte dans l’utilisation de ce produit après vaccination, ce qui est largement proposé, étant donné que la protéine spike vaccinale (plus concentrée) induit des conséquences inflammatoires importantes qui peuvent expliquer une grande partie des très nombreux effets graves et des décès induit par la vaccination.

2. Fièvre et baisse de l’interféron

Faire baisser la fièvre, comme déjà évoqué dans un article précédent « Covid-19 : le paracétamol aurait-il tué ? » n’est pas forcément une bonne idée. Le paracétamol fait tomber la fièvre et améliore le confort des patients, mais la fièvre a une raison d’être : il s’agit d’un mécanisme de défense bien connu de l’organisme face à l’infection. D’ailleurs, en pédiatrie, les nouvelles recommandations HAS ne préconisent plus de faire « tomber » systématiquement la fièvre, sauf cas particuliers :

Prise en charge de la fièvre chez l’enfant – recommandations HAS : Rôle physiopathologique de la fièvre  « La fièvre est un des moyens de réponse de l’organisme aux infections. Elle est également présente dans les maladies inflammatoires, rares chez l’enfant. La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères (purpura infectieux, septicémie) et il a été observé que des infections graves non fébriles étaient associées à une augmentation de la mortalité. Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques pourrait retarder la guérison de certaines infections virales »

En particulier, le paracétamol, en faisant baisser la température, diminue le taux et l’activité de l’interféron (IFN-I), molécule antivirale produite par l’organisme (Hirai et al., 1984). Des températures plus basses réduisent l’activité de l’interféron de type I et favorisent l’arthrite alphavirale (Prow NA et al.. 2017). Et de plus, il a été publié qu’un bas taux d’interféron est associé aux formes graves de la maladie (Activité altérée d’interféron de type I et réponses inflammatoires dans les patients graves de COVID-19 (Hadjadj J et al., 2020).

C’est un phénomène essentiel, car comme déjà décrit , le SARS-Cov-2 est un mauvais inducteur de la réponse IFN-I in vitro et dans des modèles animaux ainsi que chez l’homme puisque les taux d’IFN-I dans le sérum des patients infectés sont en dessous des niveaux de détection des tests couramment utilisés (Sa Ribero M et al., 2020) (Hadjadj J et al., 2020) (Lee JS et Shin EC, 2020). Le SARS-CoV2 induit encore moins d’IFN-I que le SARS-CoV et ces coronavirus contiennent plusieurs protéines permettant d’échapper à la production ou aux réponses induites par l’interféron (Spiegel M et al., 2005) (Hu Y et al., 2017) (Sa Ribero M et al., 2020). 

Conditions et pathologies associées à la dangerosité du paracétamol : un lien avec les comorbidités du COVID-19 ?

La réduction du GSH est une condition particulièrement sévère pour la réponse antioxydante et antiinflammatoire de l’individu et il est compréhensible que sa déplétion soit cruciale pour l’aggravation du COVID‐19.

Plusieurs facteurs de risques d’hépatotoxicité du paracétamol comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie, une séropositivité au VIH et hépatite C (Moling O et al., 2006).

  • Personnes âgées
    La réduction des taux plasmatiques et intracellulaires de GSH est typique chez les patients âgés (Sekhar RV et al., 2011) en particulier s’ils sont affectés par le syndrome métabolique (Sekhar RV et al., 2011) donc les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de la COVID‐19 ne doivent pas être traités avec paracétamol déclarent certains scientifiques (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Pandolfi S et al., 2021) : «  Les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de COVID‐19 ne doivent pas être traités avec du paracétamol. » Chez des adultes dénutris de faible poids corporel (comme peuvent l’être les personnes âgées, les plus fragiles face au COVID), 4 g de paracétamol répété quotidiennement peut être hépatotoxique (insuffisance hépatique acidose lactique) et a été décrits (Claridge LC et al., 2010). Des cas d’hépatotoxicité aigüe chez des personnes âgées (80 à 91 ans) sans autre risque que l’âge et à des doses faibles (de 1-4 g/j)  ont été reportés après quelques jours d’utilisation et les auteurs invitent à des révisions des doses pour les personnes âgées (Ging P et al., 2016) (Liukas A et al et al., 2011) (What dose of paracetamol for older people?, 2018) voire même chez des personnes un peu plus jeunes (Schmidt LE et al., 2005).

    Ainsi, à la vue de ses interactions, médicamenteuses ou non, ainsi que des répercussions sur la physiologie du vieillissement, la question de la sécurité de son utilisation, chez la personne âgée et/ou fragile se pose. Les recommandations d’usages du paracétamol apparaissent peu respectées pour cette population « pré-fragile » ou « fragile » et de manière globale, ce traitement semble, peu évalué, comme peu surveillé, en EHPAD comme en ville alors que cela devrait s’inscrire dans une démarche de pharmacovigilance et de qualité des soins, en particulier dans le COVID où le paracétamol est pris en continu sur plusieurs jours. Il est globalement reconnu que des surdosages itératifs sont plus délétères qu’un surdosage massif (Craig D et al., 2011). Afin de lutter contre cette surutilisation, l’ANSM a limité sa délivrance à deux boites par prescription. Pour autant, les chiffres de ses délivrances en officine ne décroissent pas, au contraire. La crise sanitaire débutée fin 2019 et surtout les recommandations officielles excluant tout autre molécules dans le traitement des symptômes associé à une infection à SARS-CoV-2 ou variants a permis un pic des consommations allant jusqu’à un million de boites vendues/jours.

    Les personnes âgées peuvent souvent être en déficit de glutathion (Erden-Inal M et al., 2002) (Samiec PS et la., 1998) (Sekhar RV et al., 2011) (Matsubara LS, Machado PE  et al., 1991) (Loguercio C et al., 1996) (Suh JH t eal., 2004) (Lang CA et al., 1992), qui comme on l’a vu, est une molécule clé pour contrer et parfois survivre à la phase inflammatoire (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Or comme on l’a cité le paracétamol en abaissant les niveaux de GSH sont susceptibles d’aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020).

    L’âge étant le paramètre le plus significatif de la mortalité dans la COVID, ignorer ces connaissances est au minimum un manque de sérieux scientifique, au maximum, grave et irresponsable. La COVID est une pathologie où le stress oxydant joue un rôle central et a un lien avec toutes les comorbidités.
     

  • Diabète et obésité, maladies cardiovasculaires 
    La corrélation entre un faible taux de GSH et le diabète est bien établie. Le diabète a été largement associé à des dommages oxydatifs et à une diminution de la teneur en GSH (aussi augmentation du rapport GSSG/GSH, glutathion oxydé/glutathion réduit) dans différents tissus (Yoshida K et al., 1995) (Thornalley PJ et al., 1996). La diminution du GSH est, dans la plupart des cas, associée à une activité accrue du NF-kB, un nœud l’inflammation y compris dans le COVID (Arnalich F et al., 2001). Une étude de Samiec et ses collègues a montré que les niveaux de glutathion total et de sa forme réduite étaient plus faibles dans le plasma des sujets âgés et encore plus bas chez les patients diabétiques (Samiec PS et al., 1998).

    Plusieurs études ont rapporté que chez les patients obèses, le stress oxydatif est aussi associé à une diminution des niveaux de glutathion (Habib S et al, 2015) (Uzun H et al., 2017) et à une diminution du rapport GSH/GSSG) (Zamora-Mendoza R et al., 2018) et que le paracétamol pourrait avoir une toxicité augmentée (Michaut A et al., 2014). De plus, le stress nutritionnel causé par un régime riche en graisses et en glucides favorise le stress oxydatif, comme en témoignent l’augmentation des produits de peroxydation lipidique, la diminution du système antioxydant et la diminution des niveaux de glutathion (Parsanathan R and Jain SK, 2019) (Andrich DE et al., 2019).

    Les maladies cardiovasculaires en général sont associées au stress oxydatif et l’inflammation et les doses de paracétamol devraient être adaptées à la gravité de la pathologie : un homme de 67 ans atteint d’une maladie cardio-pulmonaire chronique a présenté une atteinte hépatique sévère et une atteinte rénale modérément sévère après ingestion à court terme de doses thérapeutiques d’acétaminophène (1 à 3 g/jour pendant 3 jours) (Bonkovsky HL et al, 1994).
     

  • L’hypertension est une comorbidité nettement reconnue dans le COVID
    Une étude chez des patients atteints de maladie coronarienne (CAD) (Sudano I et al., 2010) a montré qu’un traitement au paracétamol était associé à une augmentation significative de la tension artérielle et soulève la question de la prudence de l’usage du paracétamol chez ces patients. De plus, des revues systématiques de la littérature soutiennent l’association entre l’utilisation de paracétamol et l’élévation de la pression artérielle chez les patients souffrant d’hypertension (Turtle EJ et al., 2013). La prise quotidienne régulière de 4 g d’acétaminophène (dose COVID) augmente la pression artérielle systolique chez les personnes souffrant d’hypertension de ≈ 5 mm Hg par rapport au placebo ; « cela augmente le risque cardiovasculaire et remet en question l’innocuité de l’utilisation régulière d’acétaminophène avec cette condition » (MacIntyre IM et al., 2022).

    Ceci est observé aussi dans certaines études aves les AINS, mais pas avec l’aspirine, même si le sujet est débattu (Curhan GC et al., 2002) (Bautista LE et al., 2010).

    Favoriser l’hypertension est donc dangereux dans le COVID en particulier parce que l’hypertension, comme le diabète et d’autres conditions cardiovasculaires peuvent être associées à l’augmentation des protéines MASP (Mannan-binding lectin serine protease) (Bumiller-Bini V et al., 2021) qui activent la voie clé faisant le lien entre l’inflammation et les phénomènes de coagulation en phase finale des formes graves du COVID-19 (la voie des lectines du complément).
     

  • Affections pulmonaires, respiration
    Un grand nombre d’études ont rapporté une toxicité pulmonaire du paracétamol (Kennon-McGill S and (McGill MR, 2017) (Nassini R et al., 2010) (Baudouin SV et al., 1995). Cette dernière étude montre que les lésions pulmonaires aiguës (33 %) peuvent être fréquentes chez les patients atteints d’insuffisance hépatique fulminante induite par le paracétamol et associées à une insuffisance circulatoire systémique et à un œdème cérébral (Baudouin SV et al., 1995). Le développement de lésions pulmonaires aiguës était associé à une mortalité élevée.

    Des études montrent que le phénomène toxique dans le foie se produit également dans les poumons qui possèdent aussi l’enzyme CYP2E1 qui fabrique le dérivé toxique du  paracétamol, le NAPQI, capable de consommer le glutathion et produire des dommages dans les poumons Breen K et al., 1982) (Sandoval J et al., 2019).

    Cette toxicité dans les poumons pourrait même survenir à des doses pour lesquelles le paracétamol n’est pas toxique sur le foie, comme le montre une étude récente chez la souris avec de 140 mg/kg ip (Dobrinskikh E et al., 2021).

    La prise de paracétamol est aussi associée à une aggravation possible de l’asthme et de la Bronchopneumopathie chronique obstructive (COPD) et une baisse de la fonction pulmonaire au contraire de l’aspirine (McKeever TM et al., 2005) (Allmers H et al, 2009) (Beasley RW et al., 2011) (Goto T et al., 2018). D’ailleurs, des chercheurs et médecins s’interrogent sur les effets à long terme de ce médicament qui est utilisé à plus de 65 % chez tous les nourrissons nés à moins de 27 semaines de gestation sur le développement des poumons, alors qu’aucune donnée de sécurité n’est disponible (Wright CJ, 2021).

Autres toxicités, un exemple : l’autisme

On pourrait citer encore plusieurs conditions et maladies dans lesquelles la toxicité du paracétamol est impliquée sans que les autorités de santé, visiblement peu indépendantes, ne s’en inquiètent vraiment.

C’est le cas de l’autisme, pour prendre un dernier exemple très préoccupant en relation, aussi bien avec une exposition prénatale que périnatale (Bittker SS, Bell KR and 2020) (Ji Y et al., 2020) (Ji Y et al., 2020) : « Nos résultats appuient des études antérieures concernant l’association entre l’exposition prénatale et périnatale à l’acétaminophène et le risque de neuro-développemental chez l’enfant et justifient des investigations supplémentaires du trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité et trouble du spectre autistique (TSA) (Ji Y et al., 2020) ». Cette étude vient de la prestigieuse université John Hopkins et est publié dans le JAMA.

Elle a aussi été publiée par le site du NIH, l’agence principale responsable de la recherche et de son financement aux États-Unis :

D’autres grandes études de cohortes (Alemany S et al., 2021), dont une sur plus de 48 631 enfants et un suivi de 12,7 ans a révélé que l’exposition gestationnelle à l’acétaminophène était associée à un risque accru de trouble du spectre autistique lorsqu’un trouble hyperkinétique était également présent (Andrade C et al., 2016).

« Des preuves considérables appuient cette affirmation, notamment l’augmentation exponentielle de l’incidence de l’autisme depuis 1980, lorsque l’acétaminophène a commencé à remplacer l’aspirine chez les nourrissons et les jeunes enfants. » (Good P, 2009). L’impulsion de ce changement a été faite par le CDC, prétendant que l’aspirine était associée au syndrome de Reye — a depuis été démystifiée de manière convaincante. L’auteur conclut : « Si l’aspirine n’est pas à craindre comme cause du syndrome de Reyes et que l’acétaminophène est à craindre comme cause de l’autisme, l’épidémie d’autisme peut-elle être inversée en remplaçant l’acétaminophène par de l’aspirine ou d’autres remèdes ? »

Un mécanisme de sa toxicité a été proposé à travers le système endocannabinoide (Schultz S et al., 2021).

Est-ce que les femmes enceintes ont été prévenues de cela en France, dans le cadre de la COVID ou en général par les agences de santé, les sociétés savantes et nos politiques qui sont si prompts à réagir à ce que dit la Science ? Au contraire, on lit au journal du 13 avril 2020 relativement à l’article L. 551 du Code de la santé publique sur Légifrance : « Le paracétamol est utilisable à tous les stades de la grossesse et compatible avec l’allaitement, contrairement à l’aspirine et à l’ibuprofène contre-indiqué dans ces deux circonstances ».

« france » avec un petit « f » et « santé » avec un petit « s »…

On sent bien que cette molécule a été mise en avant avec des grands bénéfices financiers et malgré des bénéfices de santé contestés, par une grande partie de la communauté scientifique, même en ce qui concerne l’effet antidouleur (da Costa BR et al., 2017).

Conclusion :

Cette revue de la littérature scientifique pose de sérieuses questions sur l’utilité et la sécurité de l’utilisation du paracétamol dans le cadre du COVID, en particulier dans le cadre des comorbidités qui lui sont associées (âge, hypertension, diabète et obésité et autres conditions inflammatoires). D’une manière plus générale d’ailleurs, de nombreux scientifiques se posent la question de l’utilité de cette molécule au regard de sa faible efficacité et de cette toxicité établie (Roberts E et al., 2016).  

Un blockbuster dont on pourrait très probablement se passer, ce qui n’est évidemment pas l’avis de ceux à qui elle rapporte autant d’argent.

Curieusement, là où l’argument du « hors AMM » fut le fer de lance opposé à l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, là où les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) furent déboutés au motif d’évaluation bénéfice/risque en faveur du risque de formes graves, force est de constater, que l’utilisation du paracétamol, tout autant hors AMM, ne fut ni surveillée, ni étudiée. Bien au contraire, puisque les autorités sanitaires le recommandent encore actuellement, avec un peu plus de vigilance aujourd’huin mais la dose quotidienne de 3g/j fut longtemps recommandée sans autres mises en garde. Aucune rectification n’a été faite concernant les AINSn alors qu’ils ont été réhabilités pour le COVID dès la fin mars 2020 par l’ensemble des agences internationales de santé. Dans le cadre d’une pathologie dont nous ne savions rien et dont la concentration aurait pu être jusqu’à une contrindication stricte à son usage, il eut été de rigueur qu’une surveillance accrue de ces interactions soit effectuée. Il n’en fut rien, bien à tort, car si nous ne pourrons probablement jamais évaluer l’impact de l’utilisation du paracétamol sur le nombre de décès associé à la COVID-19, il y joue très probablement un rôle particulier.

La crise sanitaire de la COVID-19, même si elle en cache d’autres, est la plus grande crise de ce début de XXIème siècle. La Santé doit être éclairée par une Science indépendante de la politique et du business afin d’éviter les résultats catastrophiques que l’on observe depuis deux ans. À quel moment des scientifiques, des médecins et des citoyens indépendants vont-ils décider de se réapproprier vraiment la Science au service de notre Santé ?


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WHO. Updated: WHO Now Doesn’t Recommend Avoiding Ibuprofen For COVID-19 Symptoms 2020. https://www.sciencealert.com/who-recommends-to-avoid-taking-ibuprofen-for-covid-19-symptoms . Accessed 1 Mar 2021.

Williams AM, Langley PG, Osei-Hwediah J, Wendon JA and Hughes RD (2003) Hyaluronic acid and endothelial damage due to paracetamol-induced hepatotoxicity. Liver Int 23:110-115.

Willsher K, Anti-inflammatories may aggravate Covid-19, France advises, The Guardian (2020).

https://www.theguardian.com/world/2020/mar/14/anti-inflammatory-drugs-may-aggravate-coronavirus-infection

Wright CJ. Acetaminophen and the Developing Lung: Could There Be Lifelong Consequences? J Pediatr. 2021 Aug;235:264-276.e1. 

Yoshida K, Hirokawa J, Tagami S, Kawakami Y, Urata Y, Kondo T. Weakened cellular scavenging activity against oxidative stress in diabetes mellitus: Regulation of glutathione synthesis and efflux. Diabetologia. 1995;38:201–210.

Zamora-Mendoza R, Rosas-Vargas H, Ramos-Cervantes MT, Garcia-Zuniga P, Perez-Lorenzana H, Mendoza-Lorenzo P, Perez-Ortiz A.C, Estrada-Mena FJ, Miliar-Garcia A, Lara-Padilla E, et al. Dysregulation of mitochondrial function and biogenesis modulators in adipose tissue of obese children. Int. J. Obes. 2018;42:618–624.

Zuo Y, Warnock M, Harbaugh A, Yalavarthi S, Gockman K, Zuo M, et al. Plasma tissue plasminogen activator and plasminogen activator inhibitor–1 in hospitalized COVID-19 patients. Sci Rep. 2021;11:1580. 




Pourquoi un tel déni des effets graves des vax anticovid chez les femmes enceintes ? Mise à jour

Business is business ? Volonté de réduire un peu l’Humanité ? Si ce n’est pas le but, en tous cas cela risque d’en être le résultat !

Et ce déni est aggravé par une publicité mensongère à large échelle et en particulier sur France info qui prétend qu’il n’y aurait aucun risque alors qu’aucun essai clinique randomisé de vaccins anti-Covid 19 sur cette population n’est terminé ! Qui va dénoncer cette publicité mensongère devant le CSA (bien que les plaintes soient le plus souvent jetées à la poubelle, mais il faut essayer tout de même) ?

On connaît depuis longtemps le danger des vaccins en général et particulièrement des pseudo vax covid pour les femmes enceintes : le VAERS l’avait objectivé très tôt. Nous publiions fin 21 dans le livre « Les enfants sacrifiés du covid » ces quelques mots à ce sujet :

« MORTS FŒTALES

Dans le Vaccine Adverse Events Registration System (VAERS) « ll y a eu 1 614 décès fœtaux enregistrés chez des femmes enceintes qui ont reçu une injection contre le Covid-19 ». Injectée et servant de cobaye non déclaré puis qu’aucune femme enceinte n’avait participé au moindre essai clinique officiel de vaccin anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe. Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Mort-nés et décès précoces de nourrissons(([1] 2 620 bébés morts après une vaccination et des rapports d’effets secondaires terribles — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

2 620 bébés morts après les vaccins anticovid enregistrés dans le VAERS

Au 12 novembre 2021 : 2 015 décès de bébés après BioNTech/Pfizer et 689 après Moderna. Johnson & Johnson : 100 décès. Jusqu’à 91 % de fausses couches si le vaccin est administré avant la 20e semaine.

Les pompes funèbres britanniques signalent dix fois plus de décès de bébés.(([2] https://www.wochenblick.at/2-620-tote-babys-nach-impfung-und-berichte-schrecklicher-nebenwirkungen/))

Au cours des 11 derniers mois, il y a donc eu plus de décès de bébés après vaccination contre le COVID-19 que les 2 225 cas totaux survenus en plus de 30 ans, tous vaccins confondus.

En octobre 2021, le New England Journal of Medicine a reconnu que l’étude initiale sur la base de laquelle les autorités sanitaires américaines CDC et la FDA ont recommandé les vaccins aux femmes enceintes était erronée.

Entre-temps, des chercheurs néo-zélandais ont mené une nouvelle étude et sont parvenus à la conclusion que les fausses couches étaient 7 à 8 fois plus fréquentes que ne le montraient les résultats initiaux.

Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes, bien qu’une analyse correcte des données initiales montre que 82 % à 91 % des femmes enceintes vaccinées dans les 20 premières semaines de leur grossesse subissent des fausses couches. »(([3] Les enfants sacrifiés du covid))

Et malheureusement la série noire continue…

Dans le fort intéressant article de Laurent Aventin dans le courrier des stratèges(([4] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/19/les-vaccins-covid-accroissent-ils-la-disparition-des-enfants-a-naitre/)), de nombreuses informations nous inquiètent :

« En Occident, le taux « naturel » de fausses couches toutes choses égales par ailleurs, est environ de 10 à 13 % des grossesses, ce qui est déjà très élevé. Au cours d’une émission américaine The Ben Armstrong Show, Malcom Roberts du Queensland en Australie fait remonter les statistiques d’une clinique gynécologique où le taux de fausse couche a atteint 50 % chez les femmes enceintes vaccinées et jusqu’à 75 % chez celles qui ont été vaccinées au cours du 1er trimestre de la grossesse. »

Malgré l’absence de réaction de prudence de l’ANSM fin mars 2022(([5] Au 25 mars 2022, l’ANSM indique qu’« À ce jour, aucun signal n’a été identifié chez les femmes enceintes et allaitantes avec l’ensemble des vaccins contre le Covid-19 disponibles en France », la HAS recommande la vaccination pour les femmes enceintes de plus de 35 ans notamment et celles qui pourraient être en contact avec des personnes infectées. » COMMENT EST-CE POSSIBLE ?)), il est capital d’informer la population et singulièrement d’alerter les femmes enceintes.

Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale après vaccin administré aux États-Unis avait en fait massivement augmenté (d’environ 2000 %) depuis la mise à disposition des vaccins COVID. (…)

Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de “s’abstenir de rapports hétérosexuels” et de ne pas donner de sperme.

Jusqu’à avril 2022, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées depuis la campagne de vaccination Covid (fin 2020), avec 3 725 morts fœtales déclarées, un décès fœtal pour 147 651 injections.

Il indique qu’il y a eu quatre milliards d’injections vaccinales administrées (autre que Covid) de 2006 à 2019, avec 1 368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions d’injections.

Depuis que les injections de Covid sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux ».

Déni collectif, mais la justice a imposé à Pfizer de rendre publics les documents classés secrets jusque là et les révélations tombent et changent les choses.

Un document de Pfizer  Wayback Machine (archive.org) exigé de la Federal Drug Administration (FDA) en 2021 dans le cadre du Freedom of Information Act (FOIA) montre des résultats inquiétants pour les femmes enceintes au cours de l’essai clinique de Pfizer (dans le cadre du Biological License Application, procédure permettant de valider la mise sur le marché du vaccin).

À la page 12 de ce document (Wayback Machine—archive.org) apparaissent les événements indésirables signalés chez les femmes enceintes ou allaitantes qui ont reçu l’injection sur la période du 1er décembre 2020 au 28 février 2021 dans différents pays à partir de sources diverses internes à Pfizer et d’autres sources extérieures :

23 des 32 grossesses au cours desquelles les parturientes ont reçu un vaccin Pfizer contre Covid se sont terminées par des avortements spontanés.

 Le Dr Peterson Pierre rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.

« Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établis. »

Les femmes enceintes et allaitantes ayant été exclues de l’essai clinique transmis à la FDA pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.(([6] Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? — Le Point Critique article très complet à lire impérativement))

Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques validées. Or il n’y en a pour l’instant aucune.

Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].

Une étude parue en novembre 2021(([7] Karrow NA. Maternal COVID-19 Vaccination and its potential impact on fetal and neonatal development. vaccines. 2021 Nov 18; 9(11):1351. DOI:10.3390/vaccines9111351.)) met aussi en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal :

  « Nous n’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer.»

Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques possibles pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Comment peut-on entendre sur France info la publicité lancinante pour inciter à la vaccination des femmes enceintes en avril 2022 ? Comment en est-on arrivé là ?

L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour fin mars 2022, et identifie 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9].

L’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », mais réalise en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.

Enfin, des médecins de l’armée américaine(([8] Des données de l’armée américaine remettent en cause le discours sur la sécurité des vaccins — ANTIDOTES (wordpress.com) )) attirent l’attention sur une explosion des effets délétères au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins anticovid :

  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

(Les mêmes constatations sont faites pour l’explosion des cancers, des accidents vasculaires, etc.)

Ainsi plus les mois passent, plus les données scientifiques sont inquiétantes, faisant craindre une baisse de la natalité mondiale. But recherché de l’injection covid ou conséquence inattendue de l’absence d’essai incluant les femmes enceintes ?

PROTÉGEZ VOS BÉBÉS !

Mise à jour




Chroniques du totalitarisme – Psychopathologie du totalitarisme

[Source : bookelis.com]

Par Bilheran Ariane

Les Chroniques du totalitarisme ont été rédigées au cours de l’année 2021, pour certaines publiées dans « L’Antipresse« , et pour d’autres directement sur le site de l’auteur. Elles étudient, à partir de l’actualité, différentes notions, comme la mise au pas, la violence, le corps, la folie, la perversion, la paranoïa, le sacrifice, le témoignage, la charité et l’héroïsme, en époque totalitaire. Elles sont ici accompagnées d’articles, dont « Psychopathologie du totalitarisme » qui, en trois volets, résume le problème totalitaire selon les procédés psychiques collectifs décryptés par Ariane Bilheran. Par son analyse en prise directe avec les événements de 2021, l’auteur interroge avec profondeur et amplitude, selon la philosophie politique et la psychopathologie, les troubles qui envahissent périodiquement l’humanité. À certaines époques, l’humanité, prise dans la démesure et la tentation de transgresser les interdits fondamentaux de la civilisation, régresse dans la barbarie.

Le livre inclut également le rapport d’expertise d’Ariane Bilheran donné lors du tribunal populaire organisé par le Dr. Reiner Füllmich, et d’autres textes.

Préface de Slobodan Despot

[Voir aussi :
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective]

Extrait

BIOGRAPHIE

Ariane Bilheran est ancienne élève de l’École Normale Supérieure (Ulm), avec un triple parcours universitaire (master) de lettres classiques, de philosophie et de psychologie.
Docteur en psychopathologie, ancienne chargée de cours à l’Université, elle a publié près d’une trentaine de livres et davantage d’articles sur le thème de la psychologie du pouvoir et de ses déviances (manipulation, harcèlement, autorité, reprise de son pouvoir personnel), analysant le totalitarisme sous l’angle de la paranoïa, avec un double regard de philosophe et psychologue. Son approche de la psychologie n’est pas segmentée, puisque par sa formation et son expérience clinique, elle est spécialisée dans l’enfance, l’adulte, la famille et l’entreprise.
Après plus de dix ans de conseil et d’audit dans les entreprises, au travers notamment d’enquêtes sur des plaintes de harcèlement, elle poursuit son travail de consultations cliniques partout dans le monde via internet, et donne des conférences et des séminaires en France, au Canada et en Amérique du Sud sur ces questions.
Elle est également auteur de livres de littérature (romans et poésies), en français et en espagnol, dont certains ont été primés.




Le string de Coralie pour masquer le McKinsey de Véran

Par Nicole Delépine

La petite culotte qui masque la propagande mensongère de députés invités sur les plateaux par des journalistes révérencieux et soumis le plus souvent

LE VRAI SCANDALE MASQUÉ PAR LES PETITES CULOTTES DE CORALIE DUBOST, EX-COMPAGNE DE VÉRAN – MINISTRE DE LA SANTÉ, INVITÉE PERMANENTE DES PLATEAUX

« La présidente déléguée du groupe LREM à l’Assemblée nationale, Coralie Dubost, députée de l’Hérault sur la 3e circonscription, a été épinglée dans un rapport confidentiel remis au déontologue de l’Assemblée nationale pour des notes de frais inappropriées et pour la gestion de ses collaborateurs, selon une enquête de “Mediapart” publiée ce vendredi 29 avril après-midi intitulée “Les mirobolantes notes de frais de la députée Coralie Dubost”, les faits qui sont reprochés à la députée remontent à 2018, soit quelques mois à peine après son élection. »

(([1] Montpellier : Coralie Dubost, députée de la majorité, épinglée sur la gestion de ses frais de mandat – midilibre.fr. Notons que c’est à nouveau Richard Ferrand qui choisit les candidats députés pour LREM. Voulez-vous recommencer ?))

Je n’avais aucune envie de m’étendre sur le scandale financier de la députée Dubost concernant hôtels de luxe et petites culottes, comparables à l’histoire DE RUGY et les homards, aussi choquant soit-il. Mais il permet de faire oublier très OPPORTUNÉMENT LE SCANDALE INTERNATIONAL MCKINSEY OU ROTHSCHILDGATE passé sous silence dans lequel son ex-compagnon est impliqué pour les décisions concernant la crise du covid.(([2] Depuis la publication, en mars, d’un rapport sénatorial accablant sur le rôle des cabinets de conseil privés dans les décisions de l’État, le cabinet américain McKinsey est au cœur d’un scandale présidentiel.
◆ Un rapport accablant
Le rapport explique que « le recours aux consultants constitue aujourd’hui un réflexe », ces cabinets étant « au cœur des politiques publiques ». Il dénonce une sorte de « dépendance » de l’État envers ces cabinets. Il met également en avant l’explosion des dépenses liées au conseil dans les différents ministères. En 2021, le gouvernement a ainsi dépensé la somme de 893,9 millions d’euros contre 379,1 millions en 2018.
Philippe de Villiers dénonce les liens entre le président Macron, Pfizer et le cabinet McKinsey – Nexus))

Occupons le chaland, qu’il rigole un peu en plus, le Français goguenard oubliera vite qui nous dirige et leurs vrais scandales :

McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale » – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) puis silence :

Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

« Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ? »

« Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

Et pendant ce temps-là, les accidents vaccinaux se multiplient et des scandales de plus en plus graves sont révélés si bien que le Danemark par exemple stoppe sa campagne de vaccination comme le Japon et que la Pologne refuse de recevoir et de payer de nouvelles doses Pfizer, quitte à affronter la Commission européenne qui a commandé 1,3 milliard de doses.

Des données de l’armée américaine remettent en cause le discours sur la sécurité des vaccins – ANTIDOTES (wordpress.com)

Et ce jour 29 avril 2022, 1.2 Million Reports of Injuries After COVID Vaccines, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

« Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié aujourd’hui de nouvelles données montrant qu’un total de 1 247 131 rapports d’événements indésirables consécutifs aux vaccins contre la COVID-19 ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 22 avril 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). VAERS principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

Les données comprenaient un total de 27 532 signalements de décès – une augmentation de 183 par rapport à la semaine précédente – et 224 766 blessures graves, y compris des décès, au cours de la même période – en hausse de 1 930 par rapport à la semaine précédente. »

CACHER CE DRAME INTERNATIONAL MAJEUR PAR UNE PETITE HISTOIRE GRIVOISE DONT RAFFOLENT LES FRANÇAIS CQFD

De Griveaux à Dubost en passant par De Rugy et ses homards, on oublie l’essentiel et E M a beau jeu de se refaire une santé morale en refusant l’ investiture de Coralie à la candidature de député LREM(([3] La députée Coralie Dubost écartée des Législatives par Emmanuel Macron (entreprendre.fr) )). Je vous parie qu’on va en parler beaucoup plus que des scandales McKinsey et autres cabinets de conseil accumulés. Brouillard tactique…

Ce qui est frappant et désolant dans la succession des posts qu’on peut lire au sujet de cette députée en particulier sur tweeter, est le silence complet sur le rôle qu’elle a joué depuis plusieurs années sur la question de l’obligation vaccinale et du pass. Il était ahurissant de voir la déférence et le silence des éditorialistes devant ses affirmations péremptoires et infondées et l’oubli associé de signaler qu’elle était la compagne du ministre de la Santé.

En revenant quelques semaines en arrière, on voit qu’elle défend la vax des femmes enceintes alors que les fausses couches se multiplient pour les grossesses de moins de vingt semaines.

Extraits(([4] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/19/les-vaccins-covid-accroissent-ils-la-disparition-des-enfants-a-naitre/)):
Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté d’environ 2000 % depuis la mise à disposition des vaccins COVID.

Il rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.
Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établis.

Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de « s’abstenir de rapports hétérosexuels » et de ne pas donner de sperme.(([5] Documents publiés sur injonction de la justice américaine à la FDA)) (…)

MENSONGES EN DIRECT

Et on le sait depuis longtemps, mais malgré tout, l’ex de Veran affirme sur le plateau de Cnews :

Le scandale monstrueux est de lui donner la parole sans personne en face pour lui répondre !

Et vous pouvez trouver X interviews de cette députée qui passait pour spécialiste santé  et dont les liens avec le ministre décideur restaient dans l’ombre. On pourrait en écrire un livre modèle Schiappa, du coup.

Coralie Dubost : « ce pass sanitaire est indispensable pour préserver nos… » (sudradio.fr) juillet 2021 alors que ce pass est médicalement inefficace et même contreproductif et qu’il a été abandonné pour ces raisons dans la plupart des pays qui l’ont imposé.

VIDÉO – « Vous ne pouvez pas dire ça » : Coralie Dubost et Pascal Praud en désaccord sur le pass sanitaire – Gala

« À quoi ça sert aujourd’hui ? », s’est interrogé Pascal Praud, alors qu’il débattait sur l’utilité du pass sanitaire dans L’Heure des Pros.
Notons qu’il évolue par moments. Inquiétude pour son avenir de journaliste et pour ses proches ?

Ce mercredi 17 novembre 2021, le présentateur de CNews a reçu Coralie Dubost. Connu pour son franc parler, l’intéressé a souhaité aborder un sujet d’actualité, fâcheux pour certains, avec son invitée du jour. « Vous avez voté jusqu’à fin juillet le pass sanitaire ? Vous trouvez que c’est bien, vous ? », s’est interrogé le collègue d’Ivan Rioufol.

Coralie Dubost, elle aussi réputée pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, a répondu en toute franchise à la question qui lui était posée : 

« Oui oui, moi je l’ai voté parce que je pense que c’est utile pour protéger les Français, sinon je ne le voterais pas. »

Peu convaincu par l’application de cette mesure, Pascal Praud a cherché à comprendre sa véritable utilité : « À quoi ça sert aujourd’hui le pass sanitaire, parce qu’on a toujours des contaminations ? », a-t-il demandé :

« Il sert à réguler la circulation du virus et faire en sorte qu’il ne se propage pas de façon inédite », a-t-elle déclaré, avant de se faire interrompre par Pascal Praud. « Mais non ! Il circule de la même manière ! », s’est-il exclamé. Et l’intéressée de s’agacer : « Non, ah non ! Vous ne pouvez pas dire ça. »

Il aurait pu citer les chiffres officiels de l’OMS illustrés par l’université John Hopkins qui montrent que partout en Europe ou en Israël les instaurations des pass ont précédé une augmentation considérable des contaminations !

Et en décembre 2021, cette déclaration publique n’est-elle pas plus grave encore que cette histoire de strings ?

Tous les poursuivre pour déclaration mensongère mettant en danger la vie d’autrui est capital, mais se fait dans le grand silence médiatique. Et les victimes s’accumulent.(([6] Les « vaccins » augmentent-ils le risque de contamination et de mort par Covid19 ? Confirmation un an plus tard – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Quelques exemples de mensonges médiatiques par une députée de la République, donc a priori crédibles pour les téléspectateurs, en particulier ces pauvres boomers attaqués de partout alors qu’ils sont MANIPULÉS. Que faire dans un EHPAD sinon regarder la chaîne choisie par la direction ?

22 déc. 2020

utah2828 – #Macron2022 @infernale95

Coralie Dubost : Un vaccin trouvé dans des délais records, fait par les meilleurs chercheurs du monde entier. Cette campagne de vaccination concertée, c’est une grande réussite européenne, politique et sanitaire @CBeaune

Mais comment peut-on être ainsi déconnecté de la vérité constatée par l’OMS ?

Marquis de Dreslincourt

@dreslincourt 5 janv.22

Situation effarante: pour justifier les propos injurieux de Macron, les députés LREM mentent sur un sujet aussi grave que le covid. Coralie Dubost hystérique affirme qu’avec la 3e dose, elle protège « son père fragile! » Praud: Mais le vaccin ne protège pas de la transmission même Véran l’a reconnu!

Annie royal

@annieroyal1

@CNEWS

Coralie Dubost, LREM, compare le pseudo-vaccin de Pfizer au vaccin de la grippe!

Le virus de la grippe mute et le vaccin s’adapte chaque année aux nouveaux variants ! Or, depuis sa sortie, la même substance est injectée, quel que soit le variant!

Que Dubost la boucle!

10:46 AM · 5 janv. 2022·Twitter

Et rappelons qu’aucune recommandation de vacciner contre la grippe la population générale n’a jamais été proposée.

utah2828 – #Macron2022 @infernale95

Coralie Dubost : « Les précautions de départ sur un vaccin nouveau étaient compréhensibles. Désormais, nous avons du recul, et nous savons que le vaccin est la clef de sortie de l’épidémie ». 10:01 AM · 3 juil. 2021·Twitter.

Ignore-t-elle que l’OMS a déclaré que « les doses de rappel ne mettront pas fin à la pandémie » et que ses experts ont précisé « Une stratégie de vaccination basée sur des rappels répétés » des premiers vaccins « a peu de chances d’être appropriée ou viable ».

A-t-elle seulement regardé une seule fois les chiffres officiels des agences gouvernementales sur les effets secondaires accumulant décès rapides ou lors d’efforts chez les sportifs, mais aussi énormément de complications cardiaques chez les jeunes mettant en péril la qualité de leur avenir ?

INCOMPÉTENCE OU FRAUDE CONSCIENTE ? MANIPULATION MAJEURE CAMOUFLÉE PAR UN STRING ?

Pas assez de tissu … Dénonçons les scandales majeurs, mal cachés par un string et battons-nous pour informer chaque citoyen des dangers du vax particulièrement pour les enfants.

À moins que nos députés ne soient les nouveaux mannequins pour défendre la mode française dans le monde ?





BioNTech-Pfizer : nouveau « silence des MédiA-agneaux » français ?

[Source : laconcordetv.fr]

Par Hugues Débotte

Il faut télécharger, traduire et lire le document  de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech pour trouver l’argument qui commence à circuler sur la toile : le produit expérimental à injection conçu par BioNTech et Pfizer, abusivement appelé « vaccin », ne serait pas concluant durant les essais cliniques à échelle mondiale et ne permettrait pas une mise sur le marché définitive.

Ce document interne à l’entreprise est un outil axé principalement sur la finance et la rentabilité de cette société Allemande. Mais dès la page 8, l’information est sans équivoque :

« We may not be able to demonstrate sufficient efficacy or safety of our COVID-19 vaccine and/or variant-specific formulations to obtain permanent regulatory approval in the United States, the United Kingdom, the EuropeanUnion, or other countries where it has been authorized for emergency use or granted conditional marketing approval »

Traduction :

Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe Union européenne ou d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

Plus troublant est l’affirmation suivante :

Significant adverse events may occur during our clinical trials or even after receiving regulatory approval, which could delay or terminate clinical trials, delay or prevent regulatory approval or market acceptance of any of our product candidates.

Traduction :

Des événements indésirables importants peuvent survenir au cours de nos essais cliniques ou même après avoir reçu l’approbation réglementaire, ce qui pourrait retarder ou mettre fin aux essais cliniques, retarder ou empêcher l’approbation réglementaire ou l’acceptation par le marché de l’un de nos produits candidats.

En deux lignes, sur un rapport pierre d’angle d’un groupe qui était en perte (179 millions d’euros en 2019) et boudé par les investisseurs (([1] https://www.lopinion.fr/economie/longtemps-boudees-par-les-investisseurs-les-biotechs-allemandes-profitent-du-succes-de-biontech-avec-son-vaccin-contre-la-covid)), il est clairement explicité que :

  • Le « vaccin » conçu avec Pfizer ne serait pas concluant
  • Le produit a été conçu pour œuvrer dans l’urgence
  • Le produit n’est que expérimental, et les citoyens ont été des cobayes
  • « des » évènements indésirables peuvent mettre fin aux essais et mettre un terme à une utilisation pérenne et définitive

Rappelons que le « vaccin » expérimental a été conçu par une collaboration avec Pfizer qui connaissait aussi des déboires (perte de 11 milliards en 2018).

« Des évènements indésirables » font ils référence sans le dire à tous les effets indésirables (dont ceux sur les jeunes non répertoriés en France depuis juillet 2021) et décès constatés anormalement en surnombre (avec une alerte par pharmacovigilance qui ne chiffre que la partie visible de l’iceberg) ?

Une société Allemande avec une société Américaine, toutes deux dans le rouge, deviennent subitement la solution miracle de tous les gouvernements occidentaux avec un produit expérimental injecté à des milliards d’individus pour finalement annoncer que ce « vaccin » magique ne serait pas efficace et n’aurait pas de suite, sinon des effets indésirables et irréversibles.

Pour ce qui est de la question franco-française, elle est justement posée aux médias nationaux classiques qui se sont fait les chantres propagandistes du vaccin : RMC, BFM, CNews, groupe TF1, France Télévision, Europe 1, RTL, Radio France.

Aucun (ou presque) n’aura véritablement mis le doigt sur le rapport COVID de Santé Publique France du 1Er avril 2021 (décidément les hauts fonctionnaires ont de l’humour) qui annonce page 42-43 (en texte, en chiffre et en graphiques) qu’il y a eu 14.000 morts direct du coronavirus sur un an (moins que la grippe de 2016) et que les « 110.000 morts » repris en cœur par le gouvernement, la majorité parlementaire et les médias nationaux n’étaient que les déclaration électronique des hôpitaux (([2] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021)). Autrement dit, Santé Publique France dit qu’il n’y a jamais eu d’épidémie.

Aucun (ou presque) non plus n’aura véritablement procédé à approfondir les questions comme « OFF Investigation » a su le faire sur les conflits d’intérêt du fils de Laurent Fabius au sein des cabinets de conseil Mc Kinsey, qui, entre autre, conseilla le Président de la République et le gouvernement pour valider et inciter à l’utilisation du produit de BioNTech-Pfizer.

Pas plus qu’aucun ne traite par le fond les questions de corruption et de pédocriminalité, sauf tous les 40 ans quand surgit l’affaire du petit Grégory ou la jeune Maïlys.

Alors question : faut-il que ce soit à nous, LA CONCORDE, de pousser au crime ces mêmes médias de devoir faire leur travail et de véritablement aborder ce nouveau scandale, ou vont-ils une fois de plus l’étouffer, restant de dociles agneaux obéissant au pouvoir exécutif et les intérêts privés, ne respectant en rien la Charte de déontologie des journalistes signée à Münich en 1971 ?




Documentaire Hold Out

[Source : dissidencetv.fr]

Documentaire

De Pierre Barnérias 2 h 30 min

Après le détonant HOLD UP, puis le révélateur HOLD ON, voici HOLD OUT, le dernier volet de l’excellente trilogie d’enquêtes réalisées par un collectif d’anciens journalistes.

[Voir aussi :
Le film « Hold On » en accès libre pour alerter contre la vaccination des enfants
« Primum non nocere » : la suite de « Hold-up » va faire du bruit

Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)
(le lien vers le film ne semble plus fonctionnel)]

Vous y découvrirez des informations exclusives qui finiront d’enterrer le narratif de cette pandémie savamment orchestrée !

Extrait du film

Du vivant non identifiable dans nos vaccins contre le Covid19

Dans l un des meilleurs  laboratoire suisse équipé de microscope dernière génération, aux commande un pharmacien clinicien qui a travaillé  pour l un des plus grands laboratoires pharmaceutique et en regardant , sous son microscope le scientifique  après quelques secondes d examen a du mal a contenir son émotion de ce qu’ il découvre dans le vaccin…



2e Extrait du film

De nouvelles découvertes dans les vaccins…

Le Docteur Laurent Montesino nous montre ce qu’ il a découvert dans les vaccins



Révélations sur l’injection par le Dr Laurent Montesino



Découvrez des informations exclusives qui finiront d’enterrer le narratif de cette pandémie savamment orchestrée ! Après le détonant HOLD UP, puis le révélateur HOLD ON, voici HOLD OUT, le dernier volet de la trilogie d’enquêtes réalisées par le collectif de journalistes indépendants CITIZEN LIGHT :

https://crowdbunker.com/channel/bQ4jw1P3

– Pour louer ou acheter le film : https://crowdbunker.com/v/aVMTF49ufv

– Pour soutenir le collectif Citizen Light :

Pour voir Hold Out :

https://dissidencetv.fr/19/04/2022/sante/covid-19/hold-out-film-complet/




Panique au Canada de Trudeau alors que les personnes triplement vaccinées ont un taux de mortalité Covid-19 plus élevé que les personnes non vaccinées

[Source : dailyexpose.uk]

Personne ne peut espérer lire toutes les publications Covid-19 qui se font dans le monde. Mais j’ai reçu des informations sur les statistiques canadiennes sur le Covid-19, disponibles ici.

Par Guy Hatchard

Les partisans de la vaccination seront profondément satisfaits de constater qu’à première vue, les non-vaccinés semblent prendre une raclée. Les graphiques montrent que les non-vaccinés sont plus nombreux que les vaccinés, en termes de cas, d’hospitalisation et de décès. Mais en lisant un peu plus loin, on apprend que les graphiques ci-dessus couvrent tous les cas enregistrés depuis décembre 2020 — le total des cas depuis 2020.

En décembre 2020, pratiquement personne n’était vacciné, donc au début de cet ensemble de données, la plupart n’auraient pas été vaccinés. Ce fait n’a pas échappé à une publication britannique alternative, mais très rigoureuse sur le plan statistique, « The Exposé », qui a entrepris d’exploiter les données officielles disponibles pour découvrir les statistiques actuelles de Covid-19. Vous pouvez lire leur analyse et consulter leurs graphiques ici.

En résumé, pour la période du 21 février au 13 mars 2022, The Expose a constaté que les personnes triplement vaccinées sont actuellement les plus susceptibles d’attraper le Covid, d’être hospitalisées et de mourir (voir ci-dessus).

Si l’on examine les données du monde entier, on constate que dans de nombreuses populations fortement vaccinées, la proportion de cas, d’hospitalisations et de décès augmente de la même manière que chez les vaccinés. Il y a deux explications possibles à cela :

Le virus a muté pour préférer infecter les personnes vaccinées.

Le système immunitaire des vaccinés est compromis par des injections répétées.

Les deux se produisent probablement.

L’aspect le plus inquiétant de cette tendance est qu’il est impossible d’avoir un débat rationnel à ce sujet avec ceux qui prennent les décisions concernant la politique en matière de pandémie. Toute discussion de cette nature est interdite. Il y a quelques jours, j’ai eu une longue conversation avec un éminent pro-vaxxeur aux États-Unis, un microbiologiste. C’est précisément autour du point ci-dessus que notre conversation s’est arrêtée. Alors que les données sont très claires, même pour un profane, pour un pro-vaxxeur, elles doivent être faussées, bien qu’il ne puisse pas dire comment. Je suis très ouvert à la possibilité d’un débat scientifique public modéré, mais j’en arrive à la triste conclusion que cela ne sera pas offert. Sans débat éclairé, nous ne pouvons prétendre vivre dans une société civile.

Ce qui se passe réellement au Canada dans les coulisses

Il me reste donc malheureusement la satire, le dernier recours de ceux qui sont exclus et ne peuvent danser qu’en dehors du cercle de feu. Je ne peux qu’imaginer les conversations du Premier ministre Trudeau avec son mentor Klaus Schwab, dirigeant du Forum économique mondial (Trudeau et Ardern ont tous deux participé à sa formation pour jeunes leaders). La conversation pourrait se dérouler comme suit :

Trudeau : Avez-vous une minute, quelque chose d’urgent est survenu ? Vous m’avez promis que la pandémie réduirait la population mondiale pour atténuer la famine, la surpopulation et la crise climatique. Cela fonctionne, mais les mauvaises personnes sont éradiquées. Mes plus proches partisans, les masses vaccinées, diminuent.

Schwab : Nous travaillons dur pour développer de nouvelles variantes dans nos laboratoires d’armes biologiques afin de rectifier la situation…….

Il s’agit bien sûr de pure fantaisie et d’une stupide théorie du complot qui circule sur le web noir. Une atteinte à l’intégrité des deux hommes. La véritable conversation, enregistrée par des hackers russes, s’est déroulée comme suit :

Trudeau : Vous m’aviez promis que les épidémiologistes, virologistes et experts en santé publique clonés par l’IA que vous avez obtenus de la planète géante Fizzer qui tourne autour de l’étoile super massive Bételgeuse dans la constellation d’Orion fonctionneraient correctement. Ils se sont rebellés. Je veux qu’ils soient renvoyés sur Fizzer et rétablis dans leurs paramètres d’usine de rationalité. Ils devraient aussi être reprogrammés pour permettre la communication avec les humains.

Schwab : Je vais contacter la NASA tout de suite, Bételgeuse est à 642,5 années-lumière. Voyons voir, nous sommes le 1er avril, cela peut prendre un certain temps……


[À propos de l’auteur]

Guy Hatchard, PhD, était auparavant directeur principal chez Genetic ID, une société internationale de tests et de certification en matière de sécurité alimentaire (désormais connue sous le nom de FoodChain ID).




Un média mainstream dénonce l’énorme influence de Big Pharma dans le domaine de la Santé

Un média mainstream dénonce l’énorme influence de Big Pharma dans le domaine de la Santé

Voici l’article du journal LE SOIR de ce 29 avril. Ils y rapportent que les sociétés pharmaceutiques financent à coup de dizaines de millions d’euros des associations qui se présentent auprès des institutions européennes comme étant prétendument « la voix des patients » alors qu’en étant financés par les labos, on peut légitimement supposer qu’elles prêchent pour la paroisse de l’industrie ! Plus fort encore, le journal LE SOIR publie courageusement un schéma très explicite où on découvre que les hôpitaux, eux aussi, sont sous perfusion financière des labos pharmaceutiques… (et donc sous influence). LE SOIR y utilise même l’expression BIG PHARMA qui jusqu’à ce jour était étiquetée comme étant une expression complotiste ! Bravo à ces journalistes courageux qui retrouvent enfin (du moins dans cet article) toute la noblesse de leur métier. Espérons que ce soit le début d’un déferlement de liberté d’expression. Un vent de liberté souffle-t-il enfin sur notre pays ? Partagez ! Svp, partagez au plus grand nombre !

Voir https://www.lesoir.be/439184/article/2022-04-30/open-pharma-les-curieuses-donations-des-firmes-pharma-sciensano pour la version électronique.


https://twitter.com/jlesgards/status/1520492645658906626?s=11



Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?

[Source : lepointcritique.fr]

Olivier Véran s’est toujours défendu d’avoir menti aux Français pendant la pandémie, allant jusqu’à qualifier la diffusion de fakenews de crime de « haute trahison ». Il n’aura pourtant reculé devant aucun mensonge pour forcer les Français à se faire vacciner. Le conflit d’intérêts soulevé par le scandale McKinsey est-il le chaînon manquant permettant enfin d’expliquer pourquoi il a choisi d’hypothéquer leur santé en leur dissimulant des informations cruciales ?

Six mensonges d'Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
© Anita Jankovic

Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ?

Peu sans doute, et c’est bien pour cela que l’obligation vaccinale n’a fait l’objet d’aucune loi. Convaincre plutôt que contraindre, mais à quel prix ? L’objectif de cet article n’est pas de faire l’inventaire des mensonges commis pendant deux ans par Olivier Véran mais de l’interpeller sur six d’entre eux, constitutifs d’une extorsion de consentement dont les conséquences sont potentiellement gravissimes pour le ministre mais aussi et surtout pour les Français.

Au-delà de cet inventaire, il nous paraît urgent, à l’heure de reconduire, ou pas, Emmanuel Macron à la tête de l’État, d’appeler un chat un chat et de demander au ministre s’il a bénéficier de contreparties pour accepter de prendre un tel risque.

Mensonge no 1 : Le vaccin n’est plus en phase de test

« Je vais me permettre peut-être d’éclaircir les choses. Lorsqu’un vaccin a été autorisé, ce qui a été le cas pour les vaccins que nous avons autorisés en France, il y a ensuite une phase d’examen en population générale qui va durer plusieurs années pour voir, et c’est pareil avec tous les médicaments et les produits de santé, ça s’appelle pas un médicament qui est en test, ça s’appelle si vous voulez un médicament qui est en phase de post-test. Un médicament qui est totalement validé ou un médicament qui est validé. […] On le sera pendant des années et ça n’a jamais posé de problème aux Français qui souffrent de maladies chroniques, lorsqu’un médicament innovant arrive et qu’il est validé, c’est-à-dire qu’on sait qu’il est sûr et efficace, derrière on va regarder en population générale. »

Olivier Véran, On est en direct, 26 mars 2022

Non, et le ministre le sait parfaitement, le vaccin ne bénéficie à ce jour que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui signifie concrètement que :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. » (Contrat albanais Pfizer, p. 19)

Source : PfizerLeak  les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

  • Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

  • Le vaccin n’a jamais été évalué pour les utilisations suivantes [1, page 124-126] :
    Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
    Utilisation chez les personnes immunodéprimées
    Utilisation chez les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
    Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
    Interaction avec d’autres vaccins
    Données de cancérogénicité et de génotoxicité » (p. 56)
  • On sait aujourd’hui que la mise sur le marché des vaccins est entachée d’une série de fraudes ou de manquements déontologiques gravissimes. La COVID Canadian Covid Care Alliance a publié plusieurs documents, dont une vidéo, une lanceuse d’alerte de l’entreprise Ventavia ayant coordonné l’essai clinique pour Pfizer attaque aujourd’hui le laboratoire. Son avocat expliquait le 23 février dernier :

« Les essais cliniques de Pfizer sont truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. »

Mensonge no 2 : Les myocardites postvaccinales sont rares et d’évolution toujours favorable

« Aux États-Unis, ils ont fait 7 millions d’injections chez les 5-11 ans. Sur 7 millions d’injections, 14 effets indésirables à titre de myocardite réversible, c’est-à-dire qu’il y a plus de risques, et même beaucoup plus de risques statistiques de faire une forme grave de COVID quand on a entre 5 et 11 ans même quand on n’a pas de comorbidités que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié aux vaccins. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Le Pr P. McCullough, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, alertait au contraire à nouveau, le 26 janvier 2022, sur le risque de myocardite et de péricardite induites par les vaccins ARN messager, évoquant plus de 200 études confirmant la réalité d’un tel risque qui concernerait l’ensemble des enfants et des adultes de moins de 50 ans.

Il explique dans une autre intervention le rôle joué par les nanoparticules lipidiques :

« Les myocardites dues au covid sont légères. Par contre, la myocardite induite par le vaccin est un gros problème. Il y a des changements spectaculaires dans l’ECG. Les troponines sont de 10 fois à 100 fois plus élevées qu’avec l’infection naturelle. »

Selon une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente, publiée en preprint le 27 décembre 2021 [2], ce risque tous vaccins ARNm confondus (Pfizer et Moderna) serait de :

  • 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans.
  • 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans.

Ces incidences sont cohérentes avec celles retrouvées dans de nombreuses études [3-7], mais aussi et surtout avec la cardiotoxicité de la protéine Spike que le ministre de la Santé ne peut pas ignorer [8-13].

Peut-on supposer que les myocardites postvaccinales sont réversibles et sans gravité ?

  • Une étude parue en 2016 [14] décrit la myocardite comme « une maladie potentiellement mortelle associée à une morbidité élevée chez certains patients pédiatriques, en raison de sa capacité à se présenter comme une maladie aiguë et fulminante et à évoluer vers une cardiomyopathie dilatée ». Pourquoi supposer qu’il en serait autrement aujourd’hui ?
  • Les pathologistes allemands et américains disent avoir observé la présence de cicatrices précoces lors de l’autopsie de plusieurs adolescents vaccinés et alertent sur le fait que, dans la mesure où les cellules du cœur ne se renouvellent quasiment pas, les dommages induits par les myocardites postvaccinales sont irréversibles [15-18].
  • Ce risque est aujourd’hui confirmé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains [19] et par la Food and Drug Administration (FDA), qui reconnaît dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer « des risques graves de myocardite et de péricardite », et n’exclut pas des séquelles potentielles à long terme.
  • La FDA a conditionné l’homologation du vaccin pédiatrique Pfizer à la réalisation d’une série d’essais pour évaluer la fréquence de cet effet secondaire, sa gravité, son mécanisme d’apparition et ses éventuelles séquelles. Six essais ont été exigés par le régulateur américain dont l’issue n’est pas connue à ce jour.
  • Enfin, dans un document daté du 26 octobre 2021, Pfizer reconnaît qu’il a besoin d’un délai de cinq ans pour déterminer si les myocardites vaccinales induiront ou non des séquelles. Dans un autre document (formulaire de consentement, p. 20), il estime que leur incidence se situe entre 1/1 000 et 1/10 000 cas.

Pour comprendre la gravité de ce phénomène, c’est la première fois dans l’histoire que les médecins sont confrontés à des infarctus chez les enfants, comme le relate ici une infirmière américaine lors de la table ronde COVID-19: A Second Opinion organisée fin janvier par le sénateur Ron Johnson :

« J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit : ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu : il a été vacciné hier, c’est parfaitement possible ! »

(Nicole Sirotec, 26 janvier 2022)

Comment comprendre dans ces conditions le silence du corps médical français face à une telle situation et l’actuel acharnement à vouloir les vacciner dès l’âge de 5 ans alors qu’ils ne sont pour la majorité d’entre eux pas concernés par le COVID ?

On rappellera que ce n’est pas parce qu’une autorisation est délivrée afin de permettre l’administration du médicament, il doit nécessairement être imposé à l’ensemble d’une population :

  • au Japon, la revue MedCheck alerte sur « le risque de décès de causes cardio-vasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE » auquel la vaccination COVID-19 serait étroitement associée. Les éditeurs évoquent un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans ;
  • les autorités de santé britanniques ne recommandent pas le vaccin chez les adolescents en raison d’une balance bénéfice-risque qu’ils estiment défavorable [20] ;
  • la Floride recommande aujourd’hui de ne pas vacciner les enfants en bonne santé. C’est le premier État à le faire ;
  • après l’arrêt de la vaccination Moderna chez les jeunes adultes dans plusieurs pays d’Europe, le Vietnam et Taïwan ont suspendu la vaccination des adolescents et des enfants suite à des décès et des effets secondaires graves (TrialSite News). Le Brésil déclare l’envisager à son tour selon l’agence Reuters.

Combien de médecins se souviennent aujourd’hui que le premier principe qui leur a été inculqué lorsqu’ils débuté les études est « d’abord de ne pas nuire » (primum non nocere), qu’une balance bénéfice-risque s’évalue toujours individuellement et que le critère pour stopper un essai clinique n’est pas qu’il tue moins la maladie qu’il prétend combattre (est-ce seulement encore le cas depuis que l’on sait que l’immense majorité des personnes estampillées décédées du COVID sont simplement mortes avec le COVID ?), mais simplement qu’il tue ? Pour rappel, le Pr P. McCullough rappelait en juillet 2021 :

« Pour le vaccin de la grippe porcine 1976, ils l’ont arrêté après 25 décès. La limite pour arrêter un programme est de 25 à 50 morts. »

Mensonge no 3 : La balance bénéfice-risque de la vaccination serait systématiquement en faveur des vaccins, notamment chez les enfants

« Il y a plus de risque statistique de faire une forme grave de COVID-19 quand on a entre 5 et 11 ans, même quand on n’a pas de comorbidité que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié au vaccin. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Combien de parents ont fait vacciner leur enfant sur la base des déclarations du ministre de la Santé ? Nous avons détaillé cette balance dans un précédent article.
Parlons-nous la même langue que le ministre ?

Plus récemment, la chercheuse Stefanie Seneff (MIT) a cherché à calculer pour chaque tranche d’âge non pas la balance bénéfice-risque de la vaccination mais la balance coût-risque des injections, c’est-à-dire le risque de mourir de l’inoculation versus celui de mourir du COVID et le bénéfice de la vaccination pour réduire le risque de décéder du COVID.

Ses calculs aboutissent aux ratios suivants, sans appel pour les enfants et les adultes, y compris ceux de plus de 75 ans, le bénéfice (0,13 %) n’étant perceptible qu’au-delà de 80 ans et le risque de décès étant augmenté par la vaccination pour toutes les tranches d’âge [28] :

  • Âge < 18 ans : les personnes de cette tranche d’âge ont un risque augmenté de mourir du COVID si elles sont vaccinées et elles sont 51 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 18 à 29 ans : les personnes sont 16 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 8 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 30 à 39 ans : les personnes sont 15 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 7 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 40 à 49 ans : les personnes sont 9 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 5 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 50 à 59 ans : les personnes sont 2 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont légèrement plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.

Ses calculs sont par ailleurs cohérents avec plusieurs études majeures publiées récemment (PantazatosMeyerCrawfordOhanaKuhbandner) [29-33].

Le Pr Peyromaure dénonçait il y a quelques mois une hérésie (Europe 1). Le Pr Claverie et le Pr La Scola mettent en garde contre l’absence de recul concernant les risques vaccinaux, notamment d’apparition de pathologies cancéreuses ou dégénératives à moyen et long terme, l’étude clinique sur laquelle a été évaluée le vaccin ne comportant que 1 000 enfants.

L’article de Kostoff et al. de décembre 2021 Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ? recense l’ensemble des arguments qui plaident contre l’utilité des injections au sein de cette tranche d’âge, au regard notamment des risques qu’elles engendrent [34]. Comment un ministre peut-il encore les recommander 4 mois plus tard après la publication de cette étude ?

Mensonge no 4 : Le vaccin est sûr pour les femmes enceintes

Conférence de presse d’Olivier Véran concernant la situation sanitaire et la vaccination, 26 août 2021

« Dire qu’on manquerait de recul sur les vaccins est erroné. Nous avons une expertise des vaccins plus importante que sur nombre de médicaments d’usage courant. […] Et je redis ici, les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé. »

Olivier Véran, 26 août 2021

Est-ce vraiment ce que dit la science ?

  • Les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues de l’essai clinique, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.
  • Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
  • Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
  • Une étude parue en novembre 2021 met à son tour en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal [36] : « N’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer. »
  • Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Sur quelles bases s’est faite et continue à se faire la vaccination des femmes enceintes ? L’enthousiasme planétaire des agences de santé et leur confiance instinctive dans le vaccin sont-il une raison suffisante à leur imposer le vaccin ?

  • Les auteurs d’une étude parue en septembre 2021, bien après l’élargissement de la vaccination à l’ensemble des femmes enceintes, dénoncent des recommandations « à la fois mitigées et contradictoires » et « la nécessité d’identifier, de rassembler et de diffuser rapidement les données disponibles sur l’innocuité des vaccins » [37].
  • L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour mais identifie à ce jour 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9]. Les parturientes en sont-elles informées ?
  • Bien que l’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », elle réalise pourtant en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
  • Au 4 mars 2022, elle recensait 588 événements indésirables tous vaccins confondus [39], dont 70 % d’événements indésirables graves (+ 25 % en deux mois), alors que ce taux est seulement de 24 % en population générale. À aucun endroit ne sont précisés ni le nombre de doses administrées ni donc l’incidence de ces événements.
  • À titre d’information, trois médecins du Pentagone ont récemment alerté sur une explosion des effets au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins, la gravité de ces accusations ayant provoqué le lancement d’un essai clinique visant à les confirmer :
  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

Mensonge no 5 : Le vaccin n’a aucun impact sur la fécondité

« Non, les vaccins à ARN messager ne perturbent en aucun cas la fertilité des femmes. C’est aussi quelque chose qu’on entend souvent. Il n’y a aucun lien qui n’existe, ni en théorie ni dans la pratique, et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Non, il est impossible de l’affirmer et là encore, Olivier Véran ne peut l’ignorer puisque les études concernant les troubles menstruels n’ont commencé que fin juillet. Il le peut d’autant moins au regard des alertes émises par la communauté scientifique :

  • Des milliers de femmes dans le monde ont signalé l’apparition des troubles menstruels depuis le début de la campagne de vaccination : fausses couches, absence temporaire ou disparition des règles, entraînant un diagnostic de ménopause précoce. Ménopause ou stérilité ?
    D’autres évoquent des saignements ininterrompus pendant plusieurs semaines, avec pour possible conséquence la destruction prématurée de leur stock d’ovocytes. Le Collectif Où est mon cycle ? relate le cas d’une jeune femme ayant déclaré une endométriose peu de temps après sa vaccination, qui s’est résolue par l’ablation de son utérus.
    L’association Vérity (France), le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins dont un grand nombre concerne des problèmes gynécologiques.

La parole se libère, les témoignages sont aujourd’hui légion (le collectif Où est mon cycle ? était reçu ces derniers jours au Parlement européen et par les sénateurs français) mais la question suivante se pose : ces drames étaient-ils évitables ?

La stérilité masculine est un autre point d’inquiétude :

  • Deux études parues l’une en octobre 2020 [45], l’autre en novembre 2020[46] ont montré que la protéine Spike se lie aux cellules ovocytaires, placentaires, mais également testiculaires, comme le montrait l’étude de biodistribution conduite par Pfizer [AMM p. 54].
  • De nouvelles données ont confirmé ce risque en 2021 : une étude publiée le 20 décembre 2021 [48] montre un remaniement des ovaires par la protéine Spike chez le Poisson-zèbre ; une autre, datée du 11 mai 2021 [49] identifie l’implication de la protéine Spike sur le système de reproduction masculin et la fertilitévia notamment la formation d’anticorps contre une hormone (la kisspeptine).

Peut-on raisonnablement dire qu’aucun lien n’existe ni en théorie ni dans la pratique et se satisfaire des propos rassurants du ministre évoquant les milliards de femmes injectées quand on sait que :

Mensonge no 6 : Le vaccin ne modifie pas le génome

« Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome. D’ailleurs il ne peut même pas rentrer dans le noyau des cellules. Les noyaux sont des sortes de citadelles imprenables. L’ARN il est détruit en quelques heures, de jours, le temps de faire produire hors du noyau par nos cellules des anticorps contre le virus. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Aucune étude de génotoxicité n’a été réalisée par les laboratoires [1, p. 50], mais plusieurs scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination sur l’existence d’un possible risque de modification du génome par les vaccins ARNm [52, 53].

Les récentes découvertes scientifiques leur donnent aujourd’hui raison :

  • Ce risque a été confirmé in vitro dès mai 2021 par l’Académie des sciences [54].
  • Une étude publiée en juin 2021 a montré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) permettront donc de réinscrire des segments d’ARN peuvent dans notre ADN [55, 56].
  • Un article daté du 25 février 2022 mettant en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques clôt à cette polémique [57].

Combien auraient accepté de « se faire injecter dans le corps un produit de thérapie ou cellulaire », qui est la catégorie dans laquelle la FDA et l’Agence européenne des médicaments classent les vaccins à ARN messager (pages 7 et 23 du formulaire de déclaration d’inscription en bourse de BioNTech) ? Selon Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, qui s’interrogeait à voix haute lors du World Helath Summit 2021, ils auraient été… 0,5 %.

Ceci explique-t-il cela ?

De l’obligation vaccinale à l’extorsion de consentement

Nous n’avons relevé ici que les affirmations du ministre de la Santé qui sont factuellement mensongères. D’autres sont éminemment problématiques (le vaccin ne donne pas le cancer, le sida, la maladie de Creutzfelds-Jakob…), car elles ne reposent sur aucun fondement scientifique et sont donc de nature à biaiser le consentement des Français :

Nous avons dénoncé il y a plusieurs semaines le mensonge du ministre de la Santé devant la représentation nationale visant à exclure a priori le rôle du vaccin dans les décès recensés par l’ANSM, dont il est par ailleurs légitime de penser qu’ils sont largement sous-estimés par rapport à nos voisins européens :

  • pas de cause de décès retrouvée dans 44 % des cas étudiés ;
  • aucune ne recherche des causes du décès pour les personnes de plus de 50 ans, la conduisant à exclure de ses investigations 75 % des cas ;
  • pas d’objectif d’exhaustivité dans le recensement des cas (site de l’ANSM).

Son silence interroge et inquiète d’autant plus aujourd’hui puisque le Gouvernement refuse toujours catégoriquement de supprimer le passe vaccinal et de réintégrer les soignants alors que plus rien ne le justifie (déclarations d’Olivier Véran et d’Emmanuel Macron).

Risques vaccinaux réévalués

Études, données de pharmacovigilance, autopsies… les alertes concernant les risques vaccinaux ne cessent de se multiplier. Jamais un vaccin n’aura été associé à un volume aussi élevé d’effets secondaires, dont on considère habituellement (rapport Lazarus) [62]), comme l’a d’ailleurs confirmé récemment Martin Blachier, qu’ils ne sont déclarés qu’à hauteur de 1 % (selon d’autres études, le facteur de sous-déclaration serait de 20 [29] ou de 41 [63, 64]) :

  • L’OMS dénombre à ce jour (5 avril 2022) 3 541 451 effets secondaires observés dans le monde (source : http://www.vigiaccess.org/), dont 40 % se manifestent chez les 18-44 ans.
  • À titre de comparaison, elle dénombre 272 202 effets secondaires pour le vaccin contre la grippe, 15 085 pour le vaccin contre le tétanos, 711 pour le vaccin contre les oreillons survenus depuis 1968, c’est-à-dire survenus en plus de 30 ans versus 1 an. Ces événements indésirables représentent donc 13 fois le nombre d’effets secondaires recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe.
  • Aux États-Unis, le VAERS recense 1 205 753 effets secondaires post vaccination COVID, dont 26 396 décès pour un total de 2 074 104 d’effets secondaires et 35 763 décès post-vaccinaux, ce qui représente 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain.
  • En Europe, la base EudraVigilance (base officielle de l’EMA) recense début avril plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus, le chiffre symbolique des 1 000 000 effets secondaires a été dépassé fin septembre, il s’élève aujourd’hui à 1  746 550.
  • En France, l’ANSM recensait en décembre 2021 [38] : 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations ;
    680 invalidités ;
    1 300 mises en jeu du pronostic vital.
    Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois .

Le lien avec le vaccin est-il avéré ? Impossible de l’affirmer, mais la comparaison au sein de chaque base avec les années précédentes et les autres vaccins est édifiante. Pourquoi se cantonner aux seules données françaises, dont la présentation est particulièrement opaque alors que la promotion des vaccins s’est faite sur la base des données mondiales ? L’explication est peut-être à trouver ici :

D’autres signaux sont éminemment préoccupants, notamment :

  • La multiplication des études portant sur des séries de cas cliniques et/ou des mécanismes physiopathologiques pouvant expliquer l’incidence de ces effets secondaires : plus de 1 000 selon une revue de la littérature (non exhaustive) actualisée au 10 janvier 2022. À titre d’exemple, une étude parue le 3 avril 2022 dénonce, encore une fois, une toxicité cardiaque des vaccins COVID-19 « sans précédent » selon les auteurs [65].
  • Les premières autopsies de personnes vaccinées réalisées en Allemagne [16, 17, 66, 67] et aux États-Unis [18] : les pathologistes alertent depuis plus de six mois sur leurs découvertes (lésions inédites, incidence hors norme de décès de personnes jeunes, notamment mineures).
  • La réévaluation du nombre d’effets indésirables déclarés dans en pharmacovigilance sur la base d’une série d’études [28-33, 63, 64] et, de manière plus inquiétante, sur les données des assureurs allemands : 10 fois plus d’effets secondaires selon l’assureur allemand BKK ProVita. L’un des plus éminemment pathologistes au monde, le Dr Peter Schirmacher, qui a réalisé les toutes premières autopsies de personnes vaccinées alertait à nouveau le 23 mars 2022 30 % des décès suspects imputables au vaccin dans sa pratique, de nombreux cas probablement non signalés et l’inefficacité de la vaccination obligatoire en population générale.
  • L’identification régulière de nouveaux signaux potentiels de sécurité : aphasie postvaccinale (52 en 2019 vs 3 057 rattachés au COVID), pemphigoide bulleuse auto-immune, déjà évoquée comme possible effet secondaire en octobre 2021 (série de cas, dont un mortel), troubles auditifs (l’OMS se décide à enquêter), ces signaux viennent compléter une liste hors norme de pathologies postvaccinales (plus de 1 200 types d’effets secondaires surveillés par Pfizer, recrutement de 1 800 employés supplémentaires pour analyser les signalements d’effets secondaires) [68, p. 6, 30-38].
  • La publication des premières études visant à comparer les effets secondaires des vaccins contre le COVID et du vaccin contre la grippe [69]. Le résultat est sans appel :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »

Que se passe-t-il avec le vaccin Pfizer, alors même que la FDA, dont le directeur général a récemment divulgué comment les laboratoires négociaient l’homologation de leurs produits (ce que confirme la lettre d’accompagnement du virement adressé par Pfizer à l’attention de la scientifique principale de la FDA, le Dr Marion Gruber, qui a démissionné de son poste en novembre 2021 après avoir approuvé le vaccin Pfizer et dont l’époux est le vice-président de la recherche et développement clinique des vaccins), a dû être contrainte par la justice de divulguer les données cliniques de la vaccination Pfizer (en cours de publication).

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1494059501070479360

Les études montrent par ailleurs aujourd’hui que :

  • les effets secondaires sont majorés en cas de vaccination d’une personne ayant été précédemment infectéeOn le sait depuis septembre 2021 : comment comprendre le slogan « Une injection = une infection », considéré comme aberrant par un grand nombre de scientifiques ? [70]
  • les injections répétées induisent une fatigue du système immunitaire et/ou une auto-immunité systémique [71-74]. On le sait en réalité depuis une étude de 2009 selon laquelle : « Une immunisation répétée avec un antigène provoque une auto-immunité systémique chez des souris autrement non sujettes à des maladies auto-immunes spontanées. » [74] Sur quels fondements scientifiques reposent les boosters, actuellement contestés par l’EMA et l’OMS ?
  • le PDG de Moderna l’a d’ailleurs confirmé en 2016 en mettant en cause l’exposition répétée aux nanoparticules lipidiques :

« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

  • le mécanisme vaccinal auquel se réfère le ministre de la Santé a été démenti il y a plusieurs mois : la protéine Spike est non seulement toxique [75-84] mais elle atteint l’ensemble des organes [85-93] (c’est écrit noir sur blanc dans les AMM de Pfizer et de Moderna [93, p. 47]) où elle persiste pendant au moins 60 jours [94, 95] sans qu’on sache si le corps l’éliminera un jour ni pendant combien de temps l’ARNm de synthèse injecté continue d’en produire [96].

Cet échange entre deux médecins concernant l’explosion des décès dans l’Armée américaine devrait logiquement glacer le sang de tout ministre de la Santé :

« Il y a une augmentation de 4 133 % des notifications de décès de militaires dans VAERS (pharmacovigilance vaccinale) entre 2020 et 2021 ! […] Le Dr Theresa Long (lanceuse d’alerte) m’a dit que l’an dernier 88 soldats de Fort Bragg avaient été retrouvés morts dans leur lit ! »

Bénéfices individuels et collectifs imaginaires

Le miracle vaccinal s’est définitivement dissipé il y a plus de six mois :

  • les personnes vaccinées et non vaccinées transmettent le virus de la même manière [97-104] ;
  • une étude d’envergure a démontré en septembre 2021 que le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale [105], les pays vaccinés étant au contraire ceux où le virus circule le plus (OMS).
  • l’Afrique enregistrait en octobre 2021 la baisse des nouveaux cas la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible dans le monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire des cas le plus élevé (OMS). À titre d’exemple, le Nigeria, pionnier dans le recours aux traitements précoces, totalise 3 142 morts pour une population de 206 millions d’habitants (136 fois moins qu’en France) malgré le taux de vaccination le plus faible au monde (8 %).

Le variant Omicron a définitivement rebattu les cartes :

  • en France, le taux d’incidence est actuellement le plus élevé en Bretagne, région la plus vaccinée. Son plus bas niveau est a contrario observé en Guadeloupe, département le moins vacciné. Avec l’émergence du variant Omicron, on parle désormais d’une efficacité négative du vaccin sur les contaminations.
  • en Norvège, une étude vient de chiffrer l’efficacité du vaccin chez les adolescents deux mois après leur deuxième dose : 23 % [106], confirmant les résultats de l’étude danoise de décembre 2021 qui avait déjà montré que les personnes doublement vaccinées s’infectent désormais plus que les personnes non vaccinées (efficacité négative de – 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna) [107].
  • les données récentes de la littérature pointent au contraire une contribution majeure du vaccin dans le développement de formes graves (anticorps facilitants, patients immunodéprimés jamais inclus dans les essais cliniques…), les décès causés par Omicron touchant essentiellement des personnes vaccinées (> 94 %), quasi exclusivement de plus de 60 ans.
Statistiques des décès COVID France par statut vaccinal, décembre 2021, issues de la Drees

Le mythe de l’épidémie de vaccinés est désormais une illusion à ce point criante qu’aucun Français, y compris vacciné, ne peut décemment croire en une quelconque utilité du passe sanitaire.

Comment comprendre dès lors la volonté d’Olivier Véran et du Président de la République de continuer à imposer une obligation vaccinale, illégale au regard du droit européen, au nom d’un risque sanitaire qu’aucune donnée scientifique ne soutient plus désormais, sans s’alarmer à aucun moment ni de la gravité des alertes émises par les scientifiques, ni du poids que font peser sur l’hôpital et sur la société les effets secondaires des vaccins dont Olivier Véran a lui-même reconnu que 24 % d’entre eux étaient des effets secondaires graves ? Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces, s’interrogeait à voix haute un professeur de biologie il y a déjà six mois ? [108]

Israël, laboratoire à ciel ouvert de la vaccination Pfizer avait déjà prévenu en août 2021 : « Ne pensez pas que les boosters sont la solution. » [109] La toute dernière étude du New England Journal of Medicine parue le 5 avril 2022 [110] le confirme pour la quatrième dose, avec :

  • une chute de l’efficacité à près de 10 % en deux semaines ;
  • qui commence à s’effriter après 4 semaines ;
  • qui reste relativement élevée contre les formes graves mais jusqu’à la 6e semaine seulement.

Chacun jugera s’il souhaite ou non se faire inoculer une quatrième fois en un an, en fonction de son risque individuel, mais il doit pouvoir décider en connaissance des risques. Selon le pathologiste Ryan Cole dont nous publions une interview il y a quelques semaines [60], la balance ne plaide pas en faveur d’une énième injection.

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1512309617522528259

Jacques Cohen, Pr émérite à l’URCA de Reims et immunologiste, le confirme d’ailleurs et exprime ses craintes concernant de futures injections : « On a vacciné avec un certain nombre d’incidents. Mais si on met une troisième dose, là, c’est un peu tenter le diable, c’est-à-dire augmenter le taux d’effets secondaires. » Les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakd du collectif Doctor for ethics l’expliquaient dans un article publié le 10 janvier 2022 [111].

La « réactogénicité plus sévère après la 2e dose » figure déjà parmi les signaux actuellement sous surveillance de l’ANSM. Sur quels critères scientifiques est-elle imposée aujourd’hui aux Français, il y a quinze jours au plus de 80 ans, depuis aujourd’hui au plus de 60 ans, et demain ?

L’ombre de la méthode McKinsey ?

Aucun médecin ne peut lucidement soutenir aujourd’hui un programme de vaccination non ciblée, encore moins l’imposer à la population. Aucune institution garante de la Constitution ne peut permettre une telle dérive et une telle entorse au droitpiétant plus de 10 textes de lois, dont le Code de Nuremberg. C’est précisément l’intelligence diabolique du passe sanitaire, qui présente accessoirement l’avantage pour le Gouvernement de ne pas avoir demain à indemniser les victimes, du moins si l’on en croit le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à corriger cette injustice puisqu’Olivier Véran a assuré le contraire, comme il avait assuré le 23 décembre 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire et le passe sanitaire, limité aux événements exceptionnels :

Pourquoi en sommes donc nous là aujourd’hui ? Pourquoi des doses continuent-elles d’être commandées ? Pourquoi les Français doivent-ils vivre avec l’angoisse de devoir se soumettre à des injections objectivement délétères, sans aucune raison apparente ?
Est-on en droit de parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée compte tenu de l’absence d’impact des vaccins sur la mortalité COVID, pourtant revendiquée dans l’AMM pour justifier la précipitation de sa mise sur le marché [1] ?

Le conflit d’intérêts entre le président du Conseil constitutionnel et le cabinet McKinsey est connu depuis des mois. On apprend aujourd’hui à la faveur du contexte électoral que c’est le même cabinet McKinsey qui assure depuis l’origine le pilotage de la stratégie vaccinale française sous la tutelle du ministre de la Santé.

Premier problème, des membres de McKinsey accompagnent gracieusement Emmanuel Macron depuis la création d’En marche ! dont plusieurs cadres sont également des associés du cabinet.

Y a-t-il eu appel d’offres ? On l’ignore, mais si tel est le cas, jamais il n’aurait pu être remporté par un prestataire dont le siège est basé dans un paradis fiscal, en l’occurrence le Delaware. Le Paquet national financier enquête, mais déjà certains s’interrogent.

Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?
Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en « négligence délibérée » le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée :

Est-ce le cabinet McKinsey qui a suggéré que l’on remplace l’évaluation clinique des patients par des tests PCR dont on savait depuis le début qu’ils ne permettent pas d’identifier si une personne est contagieuse ou malade et dont on sait aujourd’hui qu’ils ont effectivement produit un nombre de faux positifs estimé dans certains pays à… 97 % ? (§ 17, iii du jugement rendu par la Cour d’appel de Lisbonne le 11/11/2020) ?

Est-ce également lui qui a proposé que les médecins puissent administrer du rivotril hors AMM sur la base d’un test PCR ?

Est-ce enfin le cabinet McKInsey qui a conseillé au Sénat de rejeter la demande du Pr Toubiana qui réclamait un accès complet aux statistiques de mortalité toutes causes confondues en fonction du profil de vaccination ? Peut-on parler d’« obstruction » comme le pense son auteur ?

Est-ce le cabinet McKInsey qui a encouragé les confinements dont l’échec est aujourd’hui acté [112-114] et dont le retentissement dramatique sur l’économie et la santé mentale autorise à le qualifier de « barbare » ?
Combien de Français se sont fait vacciner pour ne plus jamais revivre ça, combien de jeunes l’ont fait en toute confiance suite aux déclarations d’Olivier Véran ?
On se souvient du slogan qu’il avait utilisé, lors de la visite d’un vaccinodrome :

« Le vaccin est 100 % efficace contre les confinements » ?

Second problème, McKinsey est également actionnaire du laboratoire Pfizer [115, p. 262] dont il a assuré le placement des vaccins dans 78 pays (c’est en tout cas le nombre de pays où il est implanté), via les mandats de vaccination et les passeports sanitaires. Autrement dit, des obligations vaccinales déguisées reposant sur trois piliers fondamentaux : la pression économique, sociale et morale, le refus de soins pour les personnes non vaccinées et la confiance dans le vaccin. Or c’est là que les choses se compliquent.

Faut-il voir dans les mensonges d’Olivier Véran et dans les provocations du Président de la République à l’encontre des non-vaccinés une manière de responsabiliser les Français, quoi qu’il en coûte pour leur santé, ou bien plutôt une méthode de vente agressive ? McKinsey était-il informé des conclusions de l’essai clinique, dont la publication récente des données,sur ordre de la justice confirment selon Philip G. Kerpen ce que les scientifiques ont mis depuis en évidence :

  • Des effets secondaires plus graves et plus fréquents chez les plus jeunes, qui tendent à augmenter en fonction de la dose (p. 324)
  • Une baisse de l’immunité les deux jours suivant l’injection, persistante pendant sept jours (p. 319)
  • Pas ou peu de bénéfices chez ceux ayant déjà contracté le COVID.

Si tel était le cas, Olivier Véran l’était-il également ? La récente nomination (26 août 2021) au poste de directeur de l’Innovation de Pfizer de l’ancien consultant de McKinsey, Aamir Malik, alors en poste lors de la campagne de 2017 interdit-elle de le penser ?

Accélérer alors que tous les signaux sont au rouge, c’est en substance la méthode qu’a utilisée le cabinet McKinsey lors de la crise des opioïdes pour aider l’entreprise Purdue Pharma à augmenter ses ventes. Les décès par overdose augmentent et dissuadent les pharmaciens de maintenir la distribution d’Oxycontin ? Offrez-leur des rabais ! Cynique ? Oui. Bilan : 500 000 morts, un recul de l’espérance de vie des Américains et le plus gros scandale sanitaire de ce siècle. McKinsey sera condamné par la justice, en pleine crise du COVID, peu avant d’être reconduit dans ses missions par le Gouvernement, et s’engagera à ne plus conseiller aucune entreprise pour placer ses produits.

Les passeports sanitaires seraient-ils une alternative relevant du même procédé ? La justice le dira, une plainte a été déposée par plusieurs associations pour « corruption » et « recel de favoritisme ». Mais on ne peut que s’étonner du mimétisme entre la stratégie vaccinale française et celle adoptée pour le compte de Purdue Pharma puisque, depuis la promesse de ne pas imposer la vaccination aux Français et de limiter le pass sanitaire à des situations exceptionnelles, la réponse du Gouvernement face à la terreur des Français de se faire injecter le vaccin a toujours été la suivante :

  • élargir le nombre d’activités et de lieux soumis au pass sanitaire ;
  • augmenter le nombre d’injections requises pour son maintien ;
  • réduire arbitrairement la durée d’immunité sans jamais tenir compte des alertes émises par la communauté scientifique.

Il manquait en effet une explication rationnelle permettant de comprendre comment un ministre de la Santé avait pu mentir aux Français avec un tel aplomb et leur faire courir de tels risques.

Faut-il en conclure que l’acharnement vaccinal qu’ils subissent depuis un an et l’injonction qui leur est faite de se sacrifier au nom de l’intérêt supérieur de la nation n’a jamais eu d’autre finalité que de les transformer en produits de consommation de l’industrie pharmaceutique ?
Combien de millions ont-ils offerts aux laboratoires en leur permettant de tester gratuitement une nouvelle technologie et en effectuant pro bono le placement de leurs « vaccins » ?
Une compensation a-t-elle été négociée en échange de ce cadeau commercial ?

S’il y a une autre explication, il est urgent de la donner.

Références

  1. European Medicines Agency (EMA). Assessment report. Comirnaty: Common name: COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 2021 Feb 19. EMA/707383/2020 Corr.1*1 https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf.
  2. Institut Paul-Ehrlich. Rapport sur les cas suspects d’effets secondaires et de complications vaccinales après vaccination pour se protéger contre le COVID-19 (période de déclaration du 27 décembre 2020 au 31 août 2021). Langen. 2021 Szpt 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf.
  3. Witberg G, et al. Myocarditis after BNT162b2 mRNA vaccine against Covid-19 in Israel. N Engl J Med. 2021. DOI: 10.1056/NEJMoa2109730. DOI: 10.1056/NEJMoa2110737.
  4. Prasad V. Myocarditis under age 40: An update. Brownstone Institute. 2021 Dec 28. https://brownstone.org/articles/myocarditis-under-age-40-an-update/.
  5. Patone M, et al. Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection. Nature Medicine. 2021 Dec 14. DOI: 10.1038/s41591-021-01630-0.
  6. Mevorach D, et al. Myocarditis after BNT162b2 mRNA vaccine against Covid-19 in Israel. N Engl J Med. 2021; 385:2140-2149. DOI: 10.1056/NEJMoa2109730.
  7. Chua GT, et al. Epidemiology of acute myocarditis/pericarditis in Hong Kong adolescents following comirnaty vaccination. Clinical Infectious Diseases. 2021 Nov 28. ciab989. DOI: 10.1093/cid/ciab989.
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  97. Acharya CB, et al. No Significant Difference in Viral Load Between Vaccinated and Unvaccinated, Asymptomatic and Symptomatic Groups Infected with SARS-CoV-2 Delta Variant [Aucune différence significative dans la charge virale entre les groupes vaccinés et non vaccinés, asymptomatiques et symptomatiques infectés par la variante delta du SRAS-CoV-2]. 2021 Sept 29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264262v1.
  98. Riemersma KK, et al. Shedding of Infectious SARS-CoV-2 Despite Vaccination. [Excrétion du SRAS-CoV-2 infectieux malgré la vaccination] 2021 Oct 15. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.07.31.21261387.
  99. Brown CM, Vostok J, Johnson H, et al. Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021;70:1059-1062. DOI: 10.15585/mmwr.mm7031e2
  100. MSNBC. Dr. Fauci: “The CDC Hasn’t Changed, The Virus Has Changed”. 28/07/2021. https://www.youtube.com/watch?v=8Vgn43Ly-L8.
  101. Covid-19 Impfstoffe: Das israelische Fernsehen lässt die Bombe platzen [Vaccins contre le C vid-19 : la télévision israélienne largue la bombe]. 2021 Sept 27. https://uncutnews.ch/covid-19-impfstoffe-das-israelische-fernsehen-laesst-die-bombe-platzen/.
  102. Mallapaty S. COVID vaccines cut the risk of transmitting Delta — but not for long [Les vaccins COVID réduisent le risque de transmission de Delta – mais pas pour longtemps]. Nature. 2021 Oct 5. https://www.nature.com/articles/d41586-021-02689-y#ref-CR1.
  103. Servellita V, et al. Predominance of antibody-resistant SARS-CoV-2 variants in vaccine breakthrough cases from the San Francisco Bay Area, California. 2021 Aug 25. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.08.19.21262139.
  104. Singanayagam A, et al. Community transmission and viral load kinetics of the SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) variant in vaccinated and unvaccinated individuals in the UK: a prospective, longitudinal, cohort study. Lancet Infect Dis. 2021 Oct 29;S1473-3099(21)00648-4. DOI: 10.1016/S1473-3099(21)00648-4.
  105. Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Sept 30. DOI: 10.1007/s10654-021-00808-7.
  106. Veneti L, et al. Vaccine effectiveness with BNT162b2 (Comirnaty, Pfizer-BioNTech) vaccine against reported SARS-CoV-2 Delta and Omicron infection among adolescents, Norway, August 2021 to January 2022. Mar 2022. DOI: 10.1101/2022.03.24.22272854.
  107. Hansen HC, et al. Vaccine effectiveness against SARS-CoV-2 infection with the Omicron or Delta variants following a two-dose or booster BNT162b2 or mRNA-1273 vaccination series: A Danish cohort study. 20/12/2021. DOI: 10.1101/2021.12.20.21267966.
  108. Bio Moon. Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après? FranceSoir. 2021 Oct 30. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pfizer-nest-pas-pasteur-la-3eme-dose-et-apres.
  109. Wadman M. A grim warning from Israel: Vaccination blunts, but does not defeat Delta. Science. 2021;373(6557). https://www.science.org/content/article/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta.
  110. Bar-On YM, et al. Protection by a fourth dose of BNT162b2 against Omicron in Israel. N Engl J Med. 2022 Apr 5. DOI: 10.1056/NEJMoa2201570.
  111. Palmer M, Bhakdi S. M Elementary, my dear Watson: why mRNA vaccines are a very bad idea. Doctors for COVID Ethics. 10/01/2022. https://doctors4covidethics.org/elementary-my-dear-watson-why-mrna-vaccines-are-a-very-bad-idea/.
  112. Drustan JY. Évaluation scientifique d’une idéologie sanitaire. LePointCritique. 2022 Mar 4. https://lepointcritique.fr/2022/03/04/evaluation-scientifique-ideologie-sanitaire/.
  113. Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JP. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. DOI: /10.1111/eci.13484.
  114. Alexander PE. Plus de 400 études sur l’échec des interventions Covid obligatoires (confinements, restrictions, fermetures). Browstone Institute. 2021 Nov 30. https://brownstone-org.translate.goog/articles/more-than-400-studies-on-the-failure-of-compulsory-covid-interventions/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=op,wapp.
  115. Assassi É, Bazin A (dir.). Rapport fait au nom de la commission d’enquête (1) sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Rapport no 578, remis à M. le Président du Sénat le 16 mars 2022. https://t.co/oaaxcBw0wp.

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.




USA — Infanticide bientôt légalisé au Maryland ?

[Source : agoravox.fr]

Infanticide néo-natal : le retour à la barbarie

Par Rémy Mahoudeaux

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(cliché Maryland GovPics CC BY 2.0) 

Juger d’une époque révolue à l’aune des critères moraux d’aujourd’hui, c’est risquer de commettre de grossières erreurs. Cependant, il est inévitable, humain, de comparer et de mesurer l’évolution entre une époque passée et la notre. Nous, occidentaux, héritons du monde latin, mais la virtus n’est plus qu’un vieux souvenir prégnant chez trop peu de monde. Et puis, il faut rappeler que les romains (comme les spartiates d’ailleurs) n’étaient pas des tendres : les nouveaux-nés, en général les plus chétifs et les souffreteux, ou celles nées avec le « mauvais » sexe, pouvaient être exposés, c’est à dire abandonnés dehors. Si un passant décidait de récupérer l’enfant et de le soigner, il pouvait vivre. Sinon, le froid, le soleil, l’absence de nourriture, de soins et les animaux mettaient un terme à sa vie. L’eugénisme n’est pas une invention si récente que ça. Bien sûr, notre première réaction est de crier à la barbarie de cette pratique antique qui fût infligée à Œdipe et à Moïse.

Sauf que cette barbarie a trouvé de modernes zélateurs pour opérer une résurgence, en la personne de législateurs démocrates au Maryland. Si la loi 699(([1] https://www1.cbn.com/cbnnews/us/2022/march/aclj-warns-proposed-maryland-senate-bill-could-legalize-infanticide-up-to-28-days-after-birth)) passe, il ne serait plus possible de mener une enquête criminelle contre ceux qui laisseraient mourir un nouveau-né en s’abstenant de lui prodiguer les soins dont il a besoin. Si une investigation était menée, les personnes visées pourraient demander des dommages contre le dépositaire de la force publique. Bref, il s’agit d’une légalisation de l’infanticide néo-natal.

La tentation est grande de se prendre pour un imprécateur qui maudirait cette époque. De quel étalon user pour mesurer les civilisations ? Dostoievski incitait à visiter les prisons, Gandi à regarder le traitement réservé aux animaux. Kardachev modélisait la consommation énergétique. Et puis Nikki Gemmell écrivait que « Le degré de civilisation d’une société se mesure à la détresse de ses citoyens les plus pauvres, et non au nombre de ses gratte-ciel.  », mais un enfant qui vient de naître n’est pas encore un citoyen. Et puis il y a ces paroles de Jésus rapportées par Matthieu :

Amen je vous le dis
chaque fois que vous l’avez fait à un seul de ceux-ci
mes frères les plus petits
c’est à moi que vous l’avez fait
(([2] Mt 25, 40 – Traduction Cl. Tresmontant))


[Source : anguillesousroche.com]

Les démocrates du Maryland examinent un projet de loi malsain qui pourrait légaliser l’infanticide jusqu’à 28 jours après la naissance

Les démocrates du Maryland ont proposé une nouvelle loi qui permettrait de tuer les bébés dans les 28 premiers jours suivant leur naissance, selon une analyse juridique.

Le projet de loi 669 du Sénat, également connu sous le nom de « Pregnant Person’s Freedom Act of 2022 », est parrainé par le sénateur démocrate William Smith.

Cependant, selon une avocate de l’ACLJ, Olivia Summers, qui a étudié le texte du projet de loi, les problèmes vont au-delà de l’utilisation du mot « personne » à la place de références précises aux femmes ayant des bébés.

« Le projet de loi propose également une révision de la loi sur le meurtre ou l’homicide involontaire du fœtus qui servirait à menotter les enquêtes sur les décès de nourrissons sans rapport avec l’avortement », a déclaré Mme Summers dans son analyse.

Le projet de loi interdit les enquêtes et les poursuites pénales pour les femmes et les médecins pour un « défaut d’action » en relation avec un « décès périnatal ».

« En d’autres termes, un bébé né vivant et en bonne santé pourrait être abandonné et laissé à mourir de faim ou de froid », avertit Summers dans son analyse.

« Rien ne pourrait être fait pour punir ceux qui ont participé à cette mort cruelle. »

Selon Summers, le langage utilisé dans le projet de loi n’est pas clair, de sorte que la loi pourrait être interprétée comme « empêchant les enquêtes sur la mort des nourrissons au moins sept jours APRÈS leur naissance, et peut s’étendre aux nourrissons âgés de quatre semaines ! »

Le code du Maryland ne définit pas le terme « périnatal »a déclaré Summers dans une interview accordée à LifeSite News.

Une loi de 2020 définit cependant les « soins périnatals » comme « la fourniture de soins pendant la grossesse, le travail, l’accouchement et les périodes post-partum et néonatales ».

Une définition sur MedicineNet, définit la périnatalité comme « de la 20e à la 28e semaine de gestation » à « 1 à 4 semaines après la naissance ».

Summers a noté dans son analyse que l’État dispose déjà d’une loi sur le refuge qui permet aux parents de laisser un nouveau-né à un adulte responsable sans crainte de poursuites.

« En vertu de la loi sur le refuge, un parent en détresse qui ne peut ou ne veut pas s’occuper de son nourrisson peut en abandonner la garde en toute sécurité, sans qu’on lui pose de questions »indique le département des services sociaux du Maryland.

« Les nouveau-nés peuvent être laissés dans les hôpitaux ou les postes de police. »

« Il n’y a absolument aucune raison pour que le projet de loi 669 du Sénat du Maryland tente d’empêcher qu’une personne qui laisse mourir son bébé fasse l’objet d’une enquête », avertit Summers.

« Ce projet de loi ne fait qu’exposer davantage le manque total de considération des partisans de l’avortement pour la vie humaine innocente. »

« S’ils veulent vraiment protéger la vie et les femmes, alors les législateurs pourraient simplement prolonger la durée de la disposition de la sphère de sécurité déjà en place. »


Rappel




Unissons-nous contre la vaccination obligatoire qui nous menace

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

PROTÉGEZ VOS ENFANTS ET VOS VIES

Après le désastre du premier, puis deuxième tour pour les souverainistes, que dire ?
NE NOUS LAISSONS PAS DIVISER ET SE HAÏR LES UNS LES AUTRES. Nous sommes tous dans le même bateau et il coule. Écopons. Et comprenons l’échec et le désarroi des Français qui aiment la France et sont choqués qu’un président ouvre son quinquennat par l’hymne européen et non la Marseillaise. Quel nouvel aveu, dont il ne s’est jamais caché. Quelle Europe ? Celle de la Hongrie et de la Pologne ou celle de la Commission européenne et de sa gestion antidémocratique guidée par ses conflits d’intérêts ?

Qu’on me permettre une pensée émue pour Beethoven manipulé, utilisé… Moi qui l’aime tant, j’aurais préféré être sourde que d’entendre cela… Humour noir en rapport avec l’humeur de ce triste jour. Mais courage, camarades, « faisons face » comme le dit le slogan du corps de FFI de mon père au barrage de l’Aigle…

Bien sûr, la hargne anti FN (RN ainsi renommé par les médias et le pouvoir) ont joué leur rôle, mais ne devons-nous pas nous interroger sur nos responsabilités propres dans cette campagne où, par exemple, le sujet majeur de la santé réelle des Français n’a pas été débattu (en même temps que le Frexit que d’autres détailleront mieux que moi) ni les conséquences désastreuses des mesures autoritaires inefficaces soi-disant prises pour lutter contre le covid.
Les militants souverainistes de la première phase de la campagne ont échoué, faute de s’unir et de s’écouter. Comment est-on arrivé à une absence d’alliance militante entre E. Z. et Florian Philippot, Dupont Aignan, Asselineau et quelques autres ? Pourquoi le mot Frexit n’a-t-il pas fait la Une de la campagne… ? Faute aux sondages ? Mais quelle est cette passion de suivre ceux qui nous détruisent et de tenter de s’adapter à leurs informations sur ce que voudraient les Français ? Politiques, soyez sincères et fidèles à vos choix comme la montée de E Z l’a démontré et sa tentative de se modeler au lissage des sondages l’a plié…

La perte de qualité des soins et la vaccination rendue obligatoire de fait ont réduit notre médecine de jadis à peau de chagrin, et les opposants à Macron n’ont pas su mettre en exergue les dangers extrêmes de la situation. Le pouvoir macroniste a joué la vieille peur du « fascisme », mais la peur de l’hygiénisme eugéniste a été tue par les opposants, en dehors de quelques exceptions marginalisées comme Florian Philippot qui pourtant a su réunir chaque semaine de nombreux « éveillés ».

Les partis traditionnels et même les nouveaux comme Reconquête n’ont pas vu ou voulu voir la transformation majeure de la société qu’entraînent ces vaccinations à outrance et la disparition de la médecine « normale ».
Même Marine qui fut un temps le refuge de beaucoup pour échapper au deuxième quinquennat du même s’est prononcée pour la « télémédecine » comme E. Macron. Inversion des valeurs incompréhensible. Le manque de médecins n’est pas lié à une absence de formation ou même d’argent, mais de PERTE DE LIBERTÉ DE SOIGNER, un élément majeur absent de la campagne.

Eric Zemmour avait évoqué la disparition des ARS, mais il aurait dû en faire un sujet majeur tant leur existence a détruit le système de santé en deux décennies. Il fallait expliquer, développer, car ces agences régionales sont un nœud de destruction du système de santé.

Nous ne détaillerons pas en ce matin douloureux l’ensemble des conséquences des injections, mais en voici quelques-unes à prendre en compte pour la campagne des législatives. Défendons les citoyens en protégeant santé, cœur et cerveau en refusant les injections multiples dont le pouvoir nocif s’aggrave avec la répétition.
Gardons-nous de juger les victimes de la propagande qui ont « veauté » en toute inconscience de la gravité de leur décision, et ce, dès le premier tour. Ils sont manipulés par un totalitarisme montant et le peuple ne doit pas se laisser diviser malgré la tristesse d’un soir attendu comme un miracle.

LES SUJETS ÂGÉS MULTI VACCINÉS

Ils ont été embarqués dans ce processus totalitaire de vaccination à répétition et leur santé s’est pour bon nombre d’entre eux altérée, le symptôme prédominant étant la fatigue, mais aussi des troubles de mémoire et d’orientation, des infections banales qui durent plus longtemps qu’autrefois, tout ceci sans parler des morts brutales, mais qui n’arrivent qu’aux autres, c’est bien connu…

Dans ce contexte, comment soumis à l’intoxication mensongère de tous les médias auraient-ils pu résister en nombre. Gardons-nous de les juger. Les Français ne sont ni pires ni meilleurs que les Allemands qui ont voté et porté Hitler au pouvoir.

Comprendre les mécanismes de l’installation du totalitarisme pour le combattre serait plus efficace que de rejeter la « faute » sur les vieux et sur les jeunes qui auraient voté E. Macron… Relire ou lire Hannah Arendt et Ariane Bilheran s’imposent en urgence pour mieux combattre l’aspirant dictateur à l’aube de la campagne des législatives.

LES ADULTES VACCINES MALGRÉ EUX EN PAIENT LES CONSÉQUENCES ET METTENT EN DANGER LA VIE D’AUTRUI DANS CERTAINS MÉTIERS

Les alertes des pilotes se multiplient dans le silence assourdissant des médias, mais combien de temps vont-ils oser encore prendre l’avion eux-mêmes ?
Selon une lettre de l’organisation californienne Advocates for Citizens’ Rights
Les obligations de vaccination contre la COVID-19 pour les pilotes violent les réglementations fédérales et mettent les pilotes et les passagers en danger. Le groupe a cité plusieurs cas de pilotes handicapés ou mourants après le vaccin.

La lettre, récemment rendue publique, a été remise en main propre en décembre 2021 à l’ancien directeur de la Federal Aviation Administration (FAA), au département des Transports des États-Unis, au ministère américain de la Justice (DOJ), ainsi qu’aux PDG et conseillers juridiques des principaux transporteurs aériens américains (American Airlines, Alaska Airlines, Delta Airlines, Southwest Airlines et United Airlines).

Il comprend des données montrant que les pilotes de l’industrie de l’aviation — y compris les pilotes commerciaux, militaires et de l’aviation générale — font face à des risques accrus pour la santé liés aux vaccins en raison de la nature unique de leur profession.

La lettre indique également qu’un nombre important de complications causées par les vaccins et d’effets indésirables impliquant des pilotes ont été enregistrés et, dans certains cas, ont forcé les pilotes à cesser de voler.

La lettre affirme :

Les règlements fédéraux qui interdisent aux pilotes qui ont reçu des produits médicaux non approuvés par la FDA, tels que les vaccins contre la COVID, de voler sont violés.
Les pilotes vaccinés volent potentiellement avec des problèmes de santé induits par les vaccins qui peuvent être exacerbés par le vol à haute altitude, dont des problèmes cardiaques et de coagulation du sang, ce qui pourrait entraîner un accident vasculaire cérébral ou un arrêt cardiaque.

Certains pilotes ont subi des décès et des blessures graves à la suite de la vaccination contre la COVID.
Le gouvernement fédéral est conscient des problèmes associés aux vaccins, d’après les plaintes déposées auprès des organismes gouvernementaux.
Les risques pour la santé des pilotes liés aux vaccins peuvent entraîner un événement catastrophique tel qu’un accident d’avion, avec de multiples décès et des responsabilités juridiques et monétaires importantes pour le gouvernement, les assureurs et les compagnies aériennes.
« Notre gouvernement a une longue histoire, même avec les approbations et les lancements de produits […] de se tromper », a déclaré Dundas. « Témoin de la thalidomide, du DDT, de toutes sortes de choses comme ça. »(…)

LES ENFANTS SONT MENACÉS DE VACCINATION OBLIGATOIRE

Et pourtant ils ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas le virus.

Message lu sur un réseau social :
Je souhaite alerter sur les 12 millions de doses pédiatriques Pfizer reçues officiellement par le gouvernement français dans un silence assourdissant, discrètement, pendant la campagne électorale. Vous pouvez vérifier vous-même :

https://data.gouv.fr dans le champ de recherche en haut à droite, tapez « livraison » puis validez. Choisissez la 1ère réponse puis la vaccination.

Faites défiler jusqu’au fichier » flux-total-nat.csv ». Visualisez et constatez que la colonne de droite : le nombre de doses reçues entre le 6 février et le 24 avril est de 9 millions avec en totalité 12 millions.
Merci de relayer un maximum pour nos loulous ».

Oui les maîtres du monde rêvent depuis longtemps d’empêcher la population de penser…

Certains ont retrouvé les écrits de Steiner : Rudolf Steiner (1861-1925)
« Dans l’avenir, nous éliminerons l’âme avec la médecine. Sous le prétexte d’un “point de vue de santé”, il y aura un vaccin par lequel le corps humain sera traité dès que possible directement à la naissance, afin que l’être humain ne puisse pas développer la pensée de l’existence de l’âme et de l’Esprit. 

Aux médecins matérialistes, sera confiée la tâche de retirer l’âme de l’humanité. Comme aujourd’hui, les gens sont vaccinés contre cette maladie ou cette autre maladie, donc à l’avenir, les enfants seront vaccinés avec une substance qui peut être produite précisément de telle manière que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés contre la “folie” de la vie spirituelle. Ils seront extrêmement intelligents, mais ils ne développeront pas de conscience, et c’est le véritable objectif de certains cercles matérialistes.

Avec un tel vaccin, vous pouvez facilement libérer le corps éthérique dans le corps physique. Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l’univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable, et l’homme deviendrait un automate, car le corps physique de l’homme doit être relié sur cette Terre par la volonté spirituelle. Ainsi, le vaccin devient une sorte de force ahrimanique [NDLR : dérivé de Ahriman] ; l’homme ne pourra plus se débarrasser d’un sentiment matérialiste profond. Il devient matérialiste dès la constitution et ne peut plus s’élever vers le spirituel. »

Rudolf Steiner (1861-1925)

Effets secondaires multiples

Nous avons colligé à de nombreuses reprises les effets secondaires reconnus par les banques de données américaines, britanniques et européennes et surveillé l’inexorable montée des complications et même des décès. Avec le recul, des effets délétères plus discrets au début apparaissent.

Dr Alexandra Henrion Caude :

« Nous avons de quoi nous inquiéter… Oui, il y a une possibilité que les vaccins altèrent la fertilité de nos garçons ! En France, on ne parle même pas des troubles menstruels chez nos filles… »

Voir les effets dans l’article récent du 23 avril LA FIN DU VACCIN PFIZER ANNONCÉE ?
Et le diaporama de début mars 2022 qui met en évidence la mortalité augmentée chez les 15 — 19 ans en Angleterre.
Ne vous laissez pas prendre à la propagande qui recommence avec la multiplication des tentes à tests covid qui réapparaissent.

OUI avec la réélection de Emmanuel Macron la propagande covidiste va reprendre plus que jamais d’autant que les accidents liés à l’injection apparaissent de plus en plus au grand jour, l’urgence pour les macronistes est de faire injecter rapidement les vax commandés… alors même que tous les experts reconnaissent qu’ils sont inefficaces sur la contagion, inefficaces sur la transmission et que le covid infantile est trois fois moins mortel que la grippe saisonnière.
Donc comme le dit fort justement un correspondant, Macron réélu, la propagande covidiste va reprendre avec à la clef la vaccination obligatoire et le passe vaccinal couplé à l’identité numérique sans lequel progressivement toute vie sociale sera interdite comme en Chine.

« Pour tenter d’en limiter l’impact, il nous incombe à tous d’informer sans relâche le plus de gens possible autour de nous que les seuls critères d’une épidémie c’est le nombre de malades et le nombre de morts (L.Toubiana) et que les vrais chiffres du covid sont publiés chaque semaine sur le site de l’IRSAN
https://covid.irsan.eu (Tableau de bord)

Cette semaine, le nombre de “malades” covid était de 46 pour 100 000 habitants (taux d’incidence obtenu par la moyenne des relevés du Réseau sentinelles et de SOS médecins). »

J H

Il est temps de sortir de la PEUR par une psychothérapie collective ! vax, non vax et votants de tous bords pour sauver nos enfants ! Unissons-nous !




Macron réélu — « Il va y avoir du sang ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote et Michel Maffesoli, sociologue, auteur de « L’ère des soulèvements »




Les pilotes vaccinés COVID font des arrêts cardiaques en plein vol, mais les médias restent silencieux pour ne pas créer une « hésitation vaccinale »

[Source : cogiito.com]

Par : Ethan Huff

https://citizens.news/612098.html

Un pilote américain en parfaite santé avant son vaccin COVID, capitaine d’un Airbus 321 de la compagnie American Airlines, a failli mourir en plein vol d’un arrêt cardiaque probablement causé par les “vaccins” contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), 7 minutes après son atterrissage à Dallas. Il s’est manifesté de son lit d’hôpital pour partager son histoire avec les médias alternatifs.

[Voir aussi :
USA — Déjà 111 pilotes d’avion morts après le Vax !]

Le capitaine Snow est très en colère contre la compagnie aérienne qui l’a forcé à prendre ce vaccin par chantage à l’emploi : “pas de vaccin-pas de travail

Il a lancé un appel aux médias alternatifs en racontant son histoire ; depuis, il souffre de nombreux effets secondaires liés au vaccin COVID et son état de santé très impacté ne cesse de décroitre. Il affirme que si son accident cardiaque s’était produit 7 minutes plus tôt, l’avion se serait probablement écrasé avec tous les passagers. Ce n’est pas la première fois que les compagnies aériennes harcèlent et font du chantage à leurs pilotes, c’est tout à fait documenté et de nombreux signalement ont été envoyé aux syndicats et aux avocats pour prévenir ce type de comportement des compagnies d’aviation, la FAA qui couvrent et ne divulguent jamais ces accidents trop fréquents comme déclaré dans la vidéo ci dessous.


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“Nous en avons assez, nous nous levons pour dénoncer ce qui nous arrivent (nous LES pilotes américains) et les responsables vont payer, pas seulement au niveau des compagnies aériennes, ils vont tous être poursuivis pour ce qu’ils nous ont fait et nous n’allons plus subir cette injustice à partir de maintenant…

je suis là pour vous dire la vérité, il y a plus de 200 cas identiques à celui du Capitaine Snow et personne ne fait rien, alors nous allons agir…car ils mettent en danger les passagers et leurs équipages…”

Comme les grands médias sous contrôle refusent d’aborder cet épisode, le capitaine Robert Snow d’American Airlines a saisi l’occasion d’en parler au journaliste Stew Peters dans une interview récente à travers son représentant : Joshua Yoder. Cette vidéo est disponible sur le site de Steve Kirsch et sur cogiito.com.

Stew Peters demande si tous les retards, les annulations de vol, les transfers de baggages qui se perdent et qui vont à l’opposé où ils devraient aller, si tous ces accidents, en apparence mineurs, sont-ils liés aux vaccins COVID ?

La réponse est oui dans la plus grande majorité des cas! Le témoin Joshua Yoder déclare :

J’ai été contacté par une pilote vaccinée par coercition qui vient d’avoir sa 4e crise cardiaque et qui m’a dit

” Josh, je ne sais pas si je vais vivre encore longtemps…”

https://rumble.com/v11gxvu-vaxxed-pilot-goes-into-cardiac-arrest-in-cockpit-freedom-flyers-expose-mass.html

En résumé, le Capitaine de bord, Robert Snow est furieux que le gouvernement des États-Unis oblige les pilotes de ligne à se faire injecter des substances – ce qui est contraire à la loi, pour être clair – afin de conserver leur emploi.

Le règlement est flagrant, tyrannique et n’a tout simplement aucun sens d’un point de vue épidémiologique qui suppose que les injections offrent réellement une protection (ce qui n’est pas le cas).

“De plus, quel est l’avantage de vacciner les pilotes ?

a demandé Kirsch.

“Ce n’est pas comme si le pilote allait transmettre le COVID aux passagers. La probabilité que cela se produise est très proche de zéro.”

Soudain, pro-vax contre anti-vax n’a plus d’importance lorsque l’avion dans lequel vous êtes risque de s’écraser

Kirsch a cherché à savoir quels autres organes de presse avaient repris l’histoire du Capitaine Snow. En utilisant Google pour effectuer une requête à la fois dans la recherche “Tout” et dans la recherche “Actualités”, Kirsch n’a trouvé aucun article dans les médias prétendus “fiables” sur le sujet.

Bien sûr, il y en avait quelques-uns dans la recherche “Tout” sur des sites de médias alternatifs, mais pas un seule provenant d’une source d’information majeure. Dans la section “Actualités” de Google, pas un seul article sur le Capitaine Snow n’est apparu.

C’est inquiétant car, l’incident du Capitaine Snow lors d’un récent vol aurait pu provoquer une catastrophe faisant de nombreuses victimes. Il démontre les dangers d’imposer ces vaccins COVID aux pilotes qui, à haute altitude, pourraient subir de graves effets sur leur santé et affecter leurs performances.

Dieu nous en préserve, mais si un pilote venait à mourir en plein vol, ce serait au second pilote de faire atterrir l’avion en toute sécurité pendant le reste du trajet. Et si quelque chose arrivait à ce second pilote pour les mêmes raisons, la partie serait terminée.

La presse californienne a repris l’histoire, selon l’un des lecteurs de Kirsch, mais ce n’est pas exactement une source grand public. Il est difficile de dire combien de personnes ont pu voir le titre et lire l’histoire.

Un autre a déclaré que le journal The Hill a repris l’histoire et prévoit de publier un article à ce sujet, nous verrons si cela se concrétise.

“Pouvons-nous, d’une manière ou d’une autre, parrainer M. Robert Snow et d’autres pilotes blessés de diverses compagnies aériennes pour qu’ils viennent participer à une discussion de groupe ? (c’est possible, mais les compagnies aériennes vont les licencier, ils auront donc besoin d’une protection financière…), répond un autre.

Étant donné que cette affaire a le potentiel d’affecter des personnes qui, autrement, ne seraient pas intéressées par le fait qu’un étranger soit blessé par “malchance” ou non, il me semble qu’un tel événement aurait le potentiel de devenir majeur.”

Ce même commentateur a poursuivi en déclarant quelle personne saine d’esprit se soucierait-elle des anti-vax par rapport aux pro-vax si son avion risquait de s’écraser à cause d’un accident vaccinal ? Une large diffusion de cet accident qui aurait pu être dramatique pourrait amener plus de gens à réfléchir sur les implications de ce type de mandats.

“Si le nombre de pilotes accidentés vaccinaux (COVID) est aussi élevé que ce Pilote le prétend, nous avons peut-être une chance de faire changer d’avis le public”, ajoute encore le commentateur.

“Malheureusement, je pense que la seule façon dont la connaissance, et l’acceptation des ravages du vaxx COVID va se généraliser, car le commun des mortels se trouvera à un moment ou à un autre directement et personnellement concerné, ainsi que des personnes de sa connaissance, au point que cela lui sautera aux yeux, à gauche comme à droite”, a ajouté un autre.

Les dernières nouvelles sur le génocide de la grippe de Fauci peuvent être consultées sur le site suivant Genocide.news.

Sources :

SteveKirsch.substack.com

NaturalNews.com

Voici la vidéo d’un embaumeur qui déclare trouver des caillots sanguins dans la zone de l’artère Iliaque, il n’y a jamais de caillots dans cette artère, mais les vaccinés en ont d’énormes :






Un député canadien promet d’examiner les décès liés au vaccin anti-COVID s’il est élu chef du Parti conservateur

[Source : medias-presse.info]

Canada – Le député conservateur (MP) Marc Dalton est récemment entré dans la course pour devenir chef du parti conservateur et a promis d’examiner les effets secondaires liés aux injections contre le Covid s’il était élu.

Dans un tweet, il a posté :

« Les blessures de C Vax sont réelles ! Est-ce arrivé à quelqu’un que vous connaissez ? Il y a beaucoup d’effets secondaires potentiels… »

« Avez-vous souffert d’une blessure due au vaccin COVID? » a-t-il demandé dans la vidéo.

« … caillots sanguins, myocardite, crises cardiaques, paralysie, irrégularités menstruelles, fausses couches, la liste est longue. »

Dans la vidéo, il a promis d’inclure un «examen public complet» dans le cadre d’une enquête sur la gestion par le gouvernement fédéral de la pandémie déclarée.

Dans une autre vidéo publiée le 21 avril, il a déclaré que « les conséquences du vaccin COVID sont beaucoup plus graves que nous avons été amenés à le croire ».

Il a ensuite déclaré qu’il appellerait à un examen spécial de « tous ceux qui sont décédés dans les trois mois suivant la réception du vaccin », avec une attention particulière portée à ceux qui « étaient en bonne santé auparavant » ou s’ils avaient moins de 50 ans.

Marc Dalton a poursuivi en disant qu’on lui avait raconté des histoires de nombreuses personnes, y compris des électeurs, qui avaient « perdu des êtres chers » peu de temps après avoir reçu les « vaccins » contre le Covid.

Un électeur lui a dit que « sa mère est décédée dans les 15 minutes qui ont suivi sa vaccination, suite à un choc anaphylactique ».

« Je pense que nous devons approfondir cela », a-t-il déclaré.

Dalton a un solide dossier de vote pro-vie et pro-famille. Campaign Life Coalition (CLC) a déclaré que l’organisation soutenait sa candidature.

Dans le monde entier, un tsunami de décès et de graves problèmes de santé ont été signalés après avoir reçu un vaccin anti-COVID disponible, avec des taux d’incidents inhabituellement élevés chez les jeunes.




500 000 Américains meurent chaque année à cause de l’usage de médicaments antidouleur




Le plus grand danger pour nos libertés ne serait-il pas la réélection de E. Macron ?

Par Gérard Delépine

Les médias et le gouvernement essayent de nous faire croire que reconduire E. Macron protégerait nos libertés, que menacerait par ailleurs M le Pen.

Pourtant le quinquennat Macron a été le plus antidémocratique et antisocial de la cinquième république avec utilisation permanente de mensonges d’état, propagande massive, censure, persécution des donneurs d’alerte et des opposants, fichage généralisé et restriction des libertés…

Que restera-t-il de nos libertés s’il poursuit ses attaques contre elles pendant 5 ans de plus ?

Mensonges permanents pour manipuler l’opinion, faire régner la terreur et culpabiliser les opposants

Les mensonges sur l’intérêt supposé des masques ont été les premiers à atteindre des sommets ubuesques que chacun garde en mémoire.(([1] https://www.bfmtv.com/politique/olivier-veran-l-usage-des-masques-est-inutile-en-dehors-des-regles-d-utilisation-definies_VN-202003040077.html))(([2] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/commerces-les-masques-sont-desormais-obligatoires_4050923.html))(([3] https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/04/06/port-du-masque-l-executif-amorce-un-virage-a-180-degres_6035698_823448.html))

Allocutions répétées des membres de l’exécutif et des interventions de la Direction générale de la santé, relayées par les principaux médias et spots publicitaires anxiogènes quotidiens, conçus par une agence de communication, experte en sciences comportementales. Allocution présidentielle martelant que nous sommes en guerre alors qu’il n’en est rien. Allocutions ministérielles présentant des chiffres exorbitants et infondés avec mise en avant permanentes des testés « positifs » et non pas des « malades » afin de présenter des chiffres susceptibles d’entretenir la terreur.

Manipulation liée aux tests PCR du SARS-CoV2

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre. Ces constatations ont initialement été faites sur 3790 cas positifs.(([4] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491,
https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603?login=false)) Cette étude a conclu : « À un seuil de cycle (ct) de 25, environ 70 % des échantillons restent positifs dans la culture cellulaire (c’est-à-dire qu’ils étaient infectés) ; dans un ct de 30, 20 % des échantillons sont restés positifs ; dans un ct de 35,3 % des échantillons sont restés positifs ; et à un ct supérieur à 35, aucun échantillon n’est resté positif (infectieux) en culture cellulaire (voir diagramme). »

La confirmation de l’absence d’intérêt médical des tests PCR chez les asymptomatiques a été confirmé lors du dépistage colossal (10 millions de personnes testées) autour de Wuhan(([5] http://www.chinadaily.com.cn/a/202006/03/WS5ed6f96ea310a8b24115a6a8.html))(([6] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez onze millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars lundi 9 août 2020)) où aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR ne s’est révélé porteur de virus, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.(([7] Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w))

Le 11 novembre 2020, la 3e chambre pénale de la cour d’appel de Lisbonne(([8] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés.)) se basant sur les données de la littérature internationale a condamné le recours exclusif au test PCR comme moyen de diagnostic de covid.

« Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins. Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2.

La cour rappelle que le diagnostic de malade du covid devrait être posé par un médecin inscrit à l’ordre des médecins et non pas un simple test pratiqué et interprété par des non-médecins. Le médecin se doit d’examiner son patient, prescrire des examens complémentaires éventuels, de l’interroger, avant de poser un diagnostic. »

Manipulation du taux d’incidence

(nombre de personnes infectées sur 100 000 habitants)(([9] https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite)): le seuil épidémique d’alerte pour chaque épidémie à virus respiratoire (syndromes grippaux)(([10] https://www.santepubliquefrance.fr/etudes-et-enquetes/covid-19-une-enquete-pour-suivre-l-evolution-des-comportements-et-de-la-sante-mentale-pendant-l-epidemie))(([11] V.DAR Page 13 sur 44 bilan annuel)) auparavant fixé entre 150 et 200 cas pour 100 000 habitants a été abaissé à 50 cas pour 100 000 habitants, en mai 2020. Ce changement de seuil a pour but de faire croire que la situation est grave, ce qui permet aux Agences régionales de santé (A.R.S.), aux préfets et à l’exécutif de prendre des mesures liberticides

Mensonges concernant les patients en hôpitaux : les malades et décédés ont été comptabilisés covid-19 sur la simple foi d’un test frauduleux même lorsque le décès et/ou la maladie étaient la conséquence d’une autre pathologie ou d’un accident.

Manipulation des taux d’occupation des lits de réanimation : le gouvernement a décidé d’abaisser le seuil de vigilance de 60 % à 40 % de patients covid-19 en réanimation et le seuil d’alerte de 80 à 60 %.

Opacité autour des patients décédés : absence d’autopsie (voire interdiction) qui aurait permis d’établir la cause réelle de la mort. Le même refus d’autopsie est actuellement pratiqué en cas de mort après vaccination afin de nier tout lien possible de causalité.

[La Pologne n’achètera plus de « vaccins » anticovid :
https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-pologne-nachetera-ni-ne-paiera-plus-le-vaccin-anti-covid]

Gestion de crise totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière et globalement très inefficace.

En effet, en cas d’épidémie, les experts savent qu’il est nécessaire d’isoler les « malades » (non pas les « positifs ») et de les soigner.

Confinement(([12] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Imposant une astreinte à domicile de toute la population, mesure pourtant totalement contraire à l’état de la science.

Violant le droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.

Violant la liberté d’entreprendre visant spécifiquement les P.M.E. : les commerçants, les indépendants, le secteur de la culture et de l’événementiel, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le tourisme, etc.

Violant le droit de manifester et de se rassembler et usant de violence à l’encontre des manifestants (ou interdiction pure et simple).

Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.

Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France.

Toutes les études scientifiques indépendantes ont depuis démontré que ces confinements n’ont entraîné aucune réduction des taux de transmission du Covid-19, ni une réduction du nombre des décès, mais de nombreuses victimes par défaut de soins, des dommages majeurs à l’enseignement, un recul sans précédent du PIB et de l’économie de la France, une augmentation de la pauvreté et des inégalités sociales.

Mesures de couvre-feu et d’interdictions diverses restreignant les libertés sans aucune justification scientifique, faisant fi de l’intelligence collective et traitant les citoyens comme des mineurs alors qu’aucune étude scientifique des faits constatés n’a démontré qu’elles pouvaient avoir un effet utile sur l’épidémie.

Euthanasie active des anciens dans les EPHAD et dans certains hôpitaux par administration du Rivotril alors que l’euthanasie active est interdite en France.(([13] Loi Clayes-Léonetti n° 2016-87 du 2 février 2016))

La volonté de mettre à l’isolement des citoyens simplement « positifs » à un test fallacieux (proposition de loi du député Olivier Becht) et volonté d’étendre cette séquestration aux non-vaccinés attestée par le projet de loi 3714. Allocution présidentielle du 24 novembre 2020 menaçante :

« Je souhaite que le gouvernement et le Parlement prévoient les conditions pour s’assurer de l’isolement des personnes contaminées, y compris de manière plus contraignante ».

Décision de rendre le port du masque obligatoire en toutes circonstances pour les adultes (juillet 2020), puis les enfants(([14] l’article 36 du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020)) (octobre 2020) alors qu’aucune étude scientifique ne démontre l’utilité du masque en cas d’épidémie de Covid et que beaucoup rappellent l’absence de bénéfices et la nocivité du port du masque, même pour les professionnels(([15] Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery (Journal Neurocirurgia, 19 avril 2008 — PMID 18500410))(([16] Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial (American Journal of Infection Control, 12 février 2009 – PMID 19216002))(([17] A cluster randomised trial of cloth masks compared with medical masks in healthcare workers (British Medical Journal, 22 avril 2015 PMID: 25903751) : 20)). Mesure parfaitement disproportionnée, qui ne tient pas compte de la balance bénéfice/risques en l’état des connaissances scientifiques.

Interdiction de traitements anti-covid-19 disponibles bon marché en violation des droits du patient, de la liberté de prescrire et des données de la science.

Le 19 novembre 2020 le Professeur Harvey Risch, MD, PhD, spécialiste en épidémiologie et maladies chroniques de l’université de médecine de Yale, auditionné par le Sénat américain affirme(([18] https://www.hsgac.senate.gov/imo/media/doc/Testimony-Risch-2020-11-19.pdf)):

« Les preuves des avantages de l’hydroxychloroquine utilisée à un stade précoce chez les patients ambulatoires à haut risque sont extrêmement solides, et les preuves d’absence d’effets nocifs sont tout aussi solides.

Cet ensemble de preuves l’emporte nettement sur les preuves de risques/bénéfices du Remdesivir, des anticorps monoclonaux ou du bamlanivimab, difficile à utiliser, que la FDA a approuvés pour les autorisations d’utilisation d’urgence, tout en refusant l’autorisation d’utilisation d’urgence de l’hydroxychloroquine. Ce double standard flagrant pour l’hydroxychloroquine doit être immédiatement renversé et sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence approuvée. C’est ainsi que nous nous mettrons sur la voie d’un traitement ambulatoire précoce et d’une réduction importante de la mortalité ».

En France aussi ce double standard de critères d’autorisation a été scandaleusement appliqué en autorisant le Remdesivir alors que cette molécule extrêmement coûteuse n’avait aucunement démontré son efficacité qui a d’ailleurs été niée depuis par l’O.M.S.

Censure et violation de la liberté d’expression

Tous les médias, Facebook et Twitter ont interdit l’expression d’opinion contestant le récit officiel en les qualifiant systématiquement de fausses nouvelles et leurs auteurs traités de complotistes et d’antivax même lorsqu’ils avaient toute leur vie défendu les vrais vaccins comme les Pr Raoult et Perronne.

Depuis le début de son mandat, E M a choisi de placer l’information sous contrôle. Dès lors, tout était possible, et la fermeture de RT France n’est que le résultat de « la propagande et la censure voulue » par le président de la République.

Il n’y a eu aucun débat sur la réalité de la crise, l’intérêt médical des mesures ou la nécessité d’un état d’urgence.

Les délibérations du conseil scientifique pilotant les décisions sanitaires ont été déclarées Secret-défense pour 50 ans et en même temps J. Castex affirmait que cette politique était transparente !

Le conseil de l’ordre des médecins a rétabli le délit d’opinion(([19] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion#disqus_thread)) à la demande du gouvernement et poursuivi de nombreux médecins qui exprimaient des doutes sur la stratégie anti-covid de E. Macron.

Le 24 décembre 2020, J. Castex s’est attaqué à la liberté d’expression des médecins en publiant un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle.

Emmanuel Macron a installé une commission prétendument indépendante visant à lutter contre les fausses informations, présidée par le sociologue Gérald Bronner et dont les membres ont été choisis par l’Élysée. Beaucoup d’entre eux ont la fâcheuse habitude d’user du terme « complotisme » comme d’un anathème contre quiconque pense mal (= différemment du gouvernement).

Persécution des donneurs d’alerte et des soignants vaccino prudents

Raoult, Perronne et bien d’autres médecins dont la seule faute était de dénoncer les erreurs et mensonges du récit officiel et de s’y opposer publiquement ont été diffamés, poursuivis par l’ordre, démis de leurs fonctions et parfois chassés de leur emploi.

Et pour pouvoir évincer de la profession médicale sans possibilité de recours les médecins, chirurgiens-dentistes sage-femme, pharmacien et autres soignants infirmiers, masseur-kinésithérapeutes, pédicure-podologue qui n’obéiraient pas aux ukases gouvernementaux, E. Macron a créé par ordonnance en date du 19 juillet 2021 un « Conseil national de certification ». Officiellement chargé de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles [et] l’actualisation et le niveau des connaissances, il dispose en pratique du droit exorbitant de retirer le droit d’exercer des médecins. Il abolit en pratique la valeur du diplôme de docteur en médecine puisqu’elle peut décider seule de supprimer le droit d’exercice aux soignants qui lui déplaise.

L’obligation vaccinale des soignants a exclu inutilement de la profession 15 000 à 30 000 soignants. Ce n’étaient pas des antivax comme les ont présentés le gouvernement et les médias (ils avaient dans le passé accepté de recevoir de vrais vaccins et de les injecter) mais des soignants qui ayant observé des complications vaccinales étaient devenus vaccino prudents, attendant les résultats définitifs des essais toujours en cours avant de se décider de les accepter ou non. Ils ont été exclus de la profession sans salaire ni chômage aggravant le manque cruel de personnel qualifié et le nombre de déserts médicaux tandis que le ministre et les ARS prétendent qu’ils n’auraient « pas de soignants dans les placards ».

Roi de la propagande, de la censure, de la persécution des donneurs d’alerte et des opposants, du fichage généralisé et des restrictions des libertés, E. Macron le fait en cohérence avec la complaisance qu’il éprouve envers les régimes et dirigeants autoritaires, comme la Chine (initiatrice du confinement) ou du Qatar, apôtre de l’obligation vaccinale.





La fin de la vaccination PFIZER est-elle proche ?

Par Nicole Delépine

La Pologne prend une décision majeure et s’oppose à la Commission européenne. La fin de Pfizer et la remise en question de l’UE ?

« Varsovie refuse d’accepter et de payer de nouvelles livraisons de vaccins »(([1] Covid-19 : 181 morts en 24 heures, 25 276 malades hospitalisés (lefigaro.fr) ))

La Pologne refuse de recevoir et de payer de nouvelles livraisons de vaccins anti-Covid, a déclaré mardi le ministre de la Santé, indiquant que son pays disposait toujours de 25 millions de doses non utilisées.

« À la fin de la semaine dernière, nous avons eu recours à la clause de force majeure et informé à la fois la Commission européenne et le principal fabricant de vaccins (Pfizer, ndlr) que nous refusions de recevoir ces vaccins et que nous refusions également d’effectuer les paiements », a déclaré Adam Niedzielski à la télévision d’informations en continu TVN24.

« Cette situation entraînera un conflit juridique. En fait il a déjà lieu », a-t-il ajouté en indiquant que le contrat portant sur les vaccins avait été signé « entre la Commission et les producteurs » et que son pays ne fait pas directement partie de ce contrat.

Selon lui, la Pologne, pays de 38 millions d’habitants, dispose toujours de 25 millions de doses de vaccins, alors que 67 à 70 millions d’autres ont été commandées. Actuellement, environ 51 % des Polonais ont été entièrement vaccinés, 59 % ont reçu une seule dose, et le taux de vaccination a fortement baissé, selon les données du ministère de la Santé.

Un peu de transparence montre les dangers des injections Pfizer

Cette information survient en même temps des groupes d’avocats ont obtenu par jugements que Pfizer ouvre les dossiers qu’il comptait garder secrets 75 ans. Ces dossiers sont explosifs : par exemple Pfizer savait dès le début de la pandémie que l’immunité naturelle était meilleure que celle obtenue par l’injection.

Des effets secondaires graves et des décès avaient été cachés sur le premier essai. :

La quantité de vax selon les lots varient de 1 à 100 expliquant les différences majeures d’effets secondaires. Un essai mondial caché à la population cobaye.

Informations relayées sur twitter : (Tara F [56]) le 17 avril 2022 et theepochtimes, suite à la publication le 1er avril 2022 d’un autre lot de 11 000 documents Pfizer par la Food and Drug Administration des États-Unis.(([2] FDA and Pfizer Knew COVID Shot Caused Immunosuppression (theepochtimes.com) ))

Aucune différence d’évolution n’a été observée entre ceux qui avaient déjà été infectés par le COVID et ceux qui avaient reçu le vaccin. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave.

La 2e révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez ceux âgés de 55 ans et plus. Fait intéressant, la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.

Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, les personnes de tous âges souffraient d’une immunosuppression transitoire ou, en d’autres termes, d’un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la 1re dose.

Cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur premier vaccin et officiellement complètement vaccinées 2 semaines après la deuxième dose.

Or, si les personnes sont sensibles à l’infection au cours de cette première semaine, mais sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection alors que ce n’est tout simplement pas vrai.

L’essai Pfizer avait d’emblée montré que l’infection était plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo et de manière significative : 409 contre 287 — au cours des 7 premiers jours suivant le vaccin.

Pfizer et la Food and Drug Administration des USA conscients dès le premier essai que le vaccin provoquait une immunosuppression.

Les dernières données du gouvernement britannique montrent que

par rapport aux non-vaccinés, ceux qui ont reçu deux doses sont :

– Jusqu’à 3 fois plus susceptibles d’être diagnostiqués positifs au COVID-19

– 2 fois plus susceptibles d’être hospitalisés avec COVID-19

– 3 fois plus susceptibles de mourir du COVID-19

La comparaison des taux de mortalité suggère que toute personne de plus de 40 ans qui a été doublement piquée est désormais plus susceptible de mourir du COVID qu’une personne non vaccinée du même âge.

Complications des pseudo vaccins aux USA

Au 25 mars 2022, il y avait aux USA 145 781 hospitalisations et 26 396 décès répertoriés liés à la « vaccination ». Et en UE (27 pays seulement sans la GB)

La documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.

Un formulaire de consentement pédiatrique énumère plusieurs effets secondaires possibles, y compris un taux de myocardite de 10 sur 100 000 — bien supérieur au taux de 1 sur 50 000 (c’est-à-dire 2 sur 100 000) précédemment rapporté par les gouvernants et les médias mainstream.

Dans l’histoire moderne, aucun médicament n’a été aussi nocif et mortel que ces injections expérimentales.

Et pour les vaccins seulement :

Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de son « vaccin » ARNm dans le monde. Divisé par 158 893 effets secondaires dont il avait reçu notification, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1/800

IL SAVAIT. Il était tout simplement irresponsable de « vacciner » en masse !

Pfizer avoue avoir engagé 600 personnes juste pour traiter « le grand nombre de rapports d’effets secondaires des vaccins » et prévoyait d’en engager 1800 pour fin juin 2021 !

Pendant ce temps Macron déclarait le vaccin obligatoire pour les soignants et imposait le Pass Sanitaire…

Révélé par les documents publiés via FDA dans un nouveau lot, on en est à 11 000 documents maintenant. Page 6 du rapport « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf »

DRAME COLLECTIF

De l’aide proposée sur le canal Telegram Artemisia college :

Éloïse Soave :

Via : https://odysee.com/@LeLibrePenseur.org : 2/LLE20-Eloise-Soave-pfizer:4 Soave :

« Nous allons vers des effets secondaires à retardement. Il y a des personnes qui ont des effets secondaires à l’instant T, mais pour celles qui n’en ont pas, personne ne dit que dans 1 an, 2 ans, vous n’allez pas avoir la liste qui est déjà constatée par pharmacovigilance sur les effets secondaires… Il n’y a personne qui vous le garantit aujourd’hui… Ce sera notre héritage à tous… J’ai beaucoup de témoignages d’hommes sur les effets secondaires… De gros problèmes d’érection, problèmes cardiaques… AVC entraînant la mort… Je vous invite à me contacter, si vous avez besoin d’aide juridique ou autre ».

Pour des informations récentes sur les effets secondaires, vous pouvez écouter les replays du doctothon du 16 avril 2022.

Et aussi aller voir Instagram #OUESTMONCYCLE — APRÈS LA « VACCINATION » ?

Lola Dewaere (actrice) a brisé le silence : « Hémorragie et caillots de sang » :

https://www.rtl.fr/culture/medias-people/cotonavirus-lola-dewaere-temoigne-des-douleurs-dont-elle-est-victime-depuis-sa-vaccination-7900134121.

Lola Dewaere témoigne des douleurs dont elle est victime depuis sa vaccination

« Hémorragie et caillots de sang », l’actrice Lola Dewaere parle de son calvaire qu’elle associe a ses vaccinations contre le Covid-19.

Lola Dewaere
Lola Dewaere
Crédit : CHARLY TRIBALLEAU / AFP

« MOI JE VEUX QUE ÇA S’ARRÊTE ! » supplie Lola Dewaere dans une publication Instagram. L’actrice française y explique son parcours vaccinal, semé de syndrome pré menstruel, d’absence de règles et d’hémorragies accompagnées de caillots de sang.

Lola Dewaere explique comment elle vit avec ces symptômes : « Je dois aller tous les jours tourner avec 1 culotte prémenstruelle + 1 serviette par-dessus + 1 tampon et je dois me changer toutes les 10 minutes, car même ces triples protections ne suffisent pas! » L’actrice de 42 ans se compare notamment à des scènes de film d’horreur pour imager le flux menstruel insupportable qu’elle subis depuis maintenant plusieurs mois.

Selon elle, ces symptômes sont dus aux trois doses de vaccin contre le Covid-19 qu’elle a reçues depuis le mois d’aout. Elle appelle également aux témoignages en partageant une photo du compte @ouesmoncycle, qui partage des témoignages de femmes ayant des cycles menstruels perturbés depuis leur injection de vaccin Covid-19. 


https://www.instagram.com/p/CbDIhFBAD2e

Les experts en parlent depuis longtemps :

Alexandra Henrion-Caude (généticienne, à 22 min) :



Diane Protat (avocate, vidéo de Reaction19 du 8 mars 2022 à 31 min) :

https://videos.reaction19.fr/?mediaId=e010b212-e6fa-4467-803c-0a47dc666a15

Recensement de témoignages de femmes à la suite de la « vaccination » :

OSONS-EN PARLER ENSEMBLE : Les pseudo vaccins font débander !

Et les hommes finissent par parler aussi de leurs problèmes d’érection molle puis absente associée à une grande fatigue après les injections, mais ces troubles de l’érection sont bientôt mis sur le compte d’une dépression liée au contexte. Ben voyons !

Pour ne pas être soumis à l’obligation de la pseudo vaccination et ses complications : voter tout sauf Macron !

Et pendant ce temps-là le président espère être reconduit et a déjà promis s’il était réélu la vaccination obligatoire pour tous y compris pour les petits

Vous voulez vraiment continuer le massacre ? À VOUS DE JOUER DIMANCHE, ET NE CROYEZ SURTOUT PAS AUX VIDÉOS ET AUTRES QUI VOUS SOMMENT DE NE PAS ALLER VOTER

MANIPULATION




Un médecin de l’armée américaine révèle que les médecins ont reçu l’ordre de ne pas signaler les effets indésirables liés aux « vaccins » anti-Covid

[Source : medias-presse.info]

Un lieutenant-colonel et médecin militaire de l’armée américaine a décrit comment on a dit à des médecins de l’armée de ne pas enregistrer de dossiers sur les effets indésirables du vaccin contre le COVID dans les bases de données officielles.

« Soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça. Cela n’existe pas » », a déclaré le Dr Peter Chambers, lieutenant-colonel de l’armée américaine, béret vert des forces spéciales et médecin militaire.

Chambers a fait ces commentaires dans le cadre de la neuvième conférence en ligne de la Truth For Health Foundation, qui traitait le sujet des effets secondaires des injection de « vaccin » anti-COVID.

Alors qu’il débattait de la vaccination au sein des forces armées avec le Dr Elizabeth Lee Vliet, présidente et chef de la direction de la Fondation, le Dr Chambers a fait la lumière sur sa récente expérience en tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, une mission de sécurité frontalière de l’armée à la frontière avec le Mexique.

Le Dr Chambers, un vétéran de 39 ans et récipiendaire de la Purple Heart, a reçu l’injection de Moderna en janvier 2021, ignorant les effets secondaires potentiels. Il se considère désormais comme un défenseur des « blessés du vaccin » en raison des effets indésirables qu’il a subis par la suite.

Il a rapidement développé un « brouillard cérébral » d’un genre qu’il n’avait jamais connu.

À la suite d’une éventuelle IRM, après des épisodes de vertiges, d’étourdissements et de nausées qui l’ont amené à faire un accident avec un camion en revenant d’une patrouille de nuit, le Dr Chambers a reçu un diagnostic de démyélinisation, une maladie qui affecte le tissu nerveux.

Il a raconté comment il avait vu « plusieurs soldats » souffrir également des effets secondaires similaires des injections, ainsi que « six soldats qui ont été aux soins intensifs », et un soldat qui a été forcé de prendre une deuxième injection alors qu’il avait déjà souffert de micro-coagulation après sa première injection.

Le Dr Chambers a noté les détails de ses constats et les a enregistrés dans le système de notification des effets indésirables liés aux vaccins (VAERS) du CDC. Cependant, il a révélé au Dr Vliet que les chirurgiens des hôpitaux militaires ne signalaient aucun des effets indésirables qu’ils constataient. « On leur avait dit de ne pas entrer de cas dans le VAERS ».

« Les médecins m’ont dit personnellement dans le service actif qui fonctionnait à Fort Sam Houston, qu’ils ne devaient pas entrer les cas d’effets secondaires dans le système VAERS », a-t-il ajouté.

« Ainsi, lorsque vous essayez de parler à d’autres collègues, soit ils détournent le regard, soit ils disent simplement : « Eh bien, je ne peux pas faire ça ».

En tant que chirurgien du groupe de travail pour l’opération Lone Star, le Dr Chambers a dû remplir des formulaires de consentement éclairé, conformément aux règlements de l’armée, pour les soldats prenant les vaccins anti-COVID.

Le Dr Chambers a ensuite témoigné lors d’une audience devant un tribunal fédéral le 10 mars à Tampa dans l’affaire Navy SEAL 1 c. Austin . Le Dr Chambers a déclaré qu’il avait subi des pressions pour faire vacciner les soldats et a présenté comme pièce à conviction une instruction sur les exemptions religieuses qui disait : « Les soldats vont essayer. Les soldats échoueront. »




Doctothon — effets secondaires des pseudo-vaxxxxins Covid

Source : https://www.doctothon.com/doctothon-effets-secondaires

« Après avoir visionné une partie du Doctothon de 24 h sur les effets secondaires désastreux et souvent mortels déclenchés par ces très dangereuses injections chimiques géniques, on ne peut que TIRER LA SONNETTE D’ALARME et de demander d’URGENCE l’ARRÊT IMMÉDIAT de l’injection de ces pseudo vaxxxxins.
Pour rappel. Concernant les intervenants dans ce Doctothon, il s’agit tous de courageux chercheurs, professeurs, médecins universitaires, médecins généralistes, spécialistes, virologues, pharmaciens, psychologues, infirmières… d’origine internationale qui sont tous des gens compétents et fiables d’un haut niveau scientifique n’ayant pas de conflits d’intérêts déclarés.

Il est absolument nécessaire de continuer d’engager des actions judiciaires pour :
— Faire indemniser les nombreuses victimes.
— Faire condamner très sévèrement tous les laboratoires, médecins, scientifiques et politiques véreux qui ont tous contribué à cette catastrophe pseudo-vaxxxxinale planétaire. 
— Exiger l’abolition de la dictature dans laquelle nous ont plongés les antagonistes et le rétablissement de NOTRE LIBERTÉ INDIVIDUELLE.

Là, nous ne sommes plus dans ledit “complotisme”, mais dans la réalité des faits. Je compte sur l’ensemble de la population française et mondiale pour soutenir les différentes initiatives existantes qui vont toutes dans ce même sens. »

Richard

LIENS POUR REVOIR LE LIVE (APRES DIFFUSION) : 

https://www.youtube.com/watch?v=LlOrmkl1Cj0

https://fb.watch/bl_jwvjLOV/

https://crowdbunker.com/channel/yDSMNLuN (après diffusion) 




Effets graves des vaccins : des chiffres aveuglants qui restent dans l’ombre

[Source : covidhub.ch]

La réalité des cas graves et des morts semble apparaître au grand jour aux Etats-Unis, révélée par des études solides. Mais les médias accaparés par la guerre en Ukraine peuvent-ils s’y intéresser ?

La vérité et l’étendue des effets graves des «vaccins» Covid deviennent de plus en plus évidentes, notamment suite à l’obligation imposée par la justice étasunienne à Pfizer de révéler l’ensemble de ses données sur les essais cliniques et les effets secondaires cachés. Pourtant, la guerre en Ukraine semble éclipser fort «opportunément» des preuves alarmantes qui devraient normalement faire la Une des médias.

Les documents relatifs au vaccin de Pfizer contredisent le récit «sûr et efficace» qui avait conduit à autoriser dans la hâte les injections géniques dès fin 2020. 9 pages d’effets secondaires, 158 893 effets secondaires, 42 086 rapports de cas pathologiques, 1 223 décès au cours des trois premiers mois d’utilisation du Pfizer et un taux de mortalité record chez les jeunes américains au cours du second semestre de 2021.

Demande judiciaire

L’avocat Aaron Siri et un groupe de scientifiques et de professionnels de la santé appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMPT) ont déposé une demande en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA) auprès de la Food and Drug Administration des États-Unis afin d’obtenir les documents utilisés pour approuver le vaccin à ARNm de Pfizer en août 2021.

La FDA avait réussi à examiner l’ensemble des 329 000 pages de données et à accorder une autorisation d’urgence au vaccin Pfizer en seulement 108 jours, mais a ensuite demandé 75 ans pour divulguer intégralement ces informations au PHMPT et au public.

«Le gouvernement protège Pfizer»

Siri a écrit sur son Substack :

« Alors, mettons les choses au clair. Le gouvernement fédéral protège Pfizer de toute responsabilité. Lui donne des milliards de dollars. Oblige les Américains à se faire injecter son produit. Mais ne vous laisse pas voir les données prouvant la sécurité et l’efficacité de son produit. Pour qui le gouvernement travaille-t-il ? »

Alors que l’affaire judiciaire était en cours, les 91 premières pages de documents de Pfizer publiées en novembre 2021 ont révélé que dans les 90 premiers jours suivant l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin à ARNm de Pfizer, la société avait déjà reçu 158 893 rapports d’effets secondaires et 42 086 rapports de cas pathologiques, dont 1 223 décès.

Ces effets secondaires indésirables comprenaient 25 957 troubles du système nerveux, 17 283 troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif, 14 096 troubles gastro-intestinaux, 1 972 troubles du système sanguin et lymphatique et 1 098 troubles cardiaques.

La FDA sommée de divulguer les données

En janvier, un juge a ordonné à la FDA de publier ses données cliniques sur les vaccins Covid-19 de Pfizer, ce qui a entraîné la publication d’une partie des documents de Pfizer – plus de 10 000 pages – par la FDA le 1er mars 2022.

Cette tranche de documents comprenait 9-pages d’effets secondaires qui énumèrent 1 291 effets indésirables potentiels par ordre alphabétique.

Dans un tableau distinct intitulé « Problèmes de sécurité« , Pfizer a informé la FDA que l’anaphylaxie était un « risque identifié« , que la sur-maladie associée au vaccin (VAED) était un « risque potentiel » et que le géant pharmaceutique manquait d’informations concernant l’utilisation pendant la grossesse, l’utilisation chez les enfants et l’efficacité du vaccin.

Des centaines d’employés embauchés pour suivre les effets secondaires

Une autre série de documents publiés fin mars a révélé que Pfizer a reçu tellement de rapports d’effets secondaires indésirables au cours des trois premiers mois suivant le lancement du vaccin qu’elle a embauché 600 employés à temps plein uniquement pour traiter les rapports d’événements indésirables liés aux effets secondaires du vaccin, et qu’elle prévoit d’en embaucher 1200 autres d’ici juin 2021.

Le site d’information The Blaze a également révélé le mois dernier que le gouvernement américain a payé des centaines d’entreprises médiatiques pour faire la publicité des vaccins contre le Covid-19, tandis que ces mêmes médias répétaient les mantras « sûr et efficace » et « pandémie de non-vaccination » sans informer le public de toute étude ou donnée scientifique contraire.

Orchestration d’une campagne médiatique «positive»

En réponse à une demande déposée par Blaze Media en vertu de la loi sur la liberté de l’information, le HHS (Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis – WIKI) a révélé qu’il avait acheté de la publicité à ABCCBS et NBC, ainsi qu’aux chaînes d’information câblées Fox NewsCNN et MSNBC, à d’anciennes publications médiatiques comme le New York Post, le Los Angeles Times et le Washington Post, à des sociétés de médias numériques comme BuzzFeed News et Newsmax, et à des centaines de journaux et de chaînes de télévision locaux.

« Ces médias ont été collectivement responsables de la publication d’un nombre incalculable d’articles et de segments vidéo concernant le vaccin, qui étaient presque uniformément positifs sur le vaccin en termes d’efficacité et de sécurité« , a rapporté Blaze Media.

Les mantras «sûr et efficace» contredits par les décès constatés

Alors que le gouvernement fédéral et les médias d’entreprise répétaient les mantras «sûr et efficace» et «pandémie des non-vaccinés», les données d’Israël, d’Islande et de Singapour ont montré que la majorité des cas de Covid-19 se sont produits chez les personnes présentant un parcours vaccinal complet au cours de l’été 2021, et les données d’Angleterre ont montré que plus de 70% des décès dus au Covid-19 se sont produits chez les personnes présentant un parcours vaccinal complet depuis septembre 2021.

En outre, de nombreuses bases de données gouvernementales officielles ont émis des signaux d’alarme indiquant que les vaccins à ARNm sont loin d’être aussi sûrs que prévu.

Le nombre total de décès associés aux vaccins Covid-19 dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS – Système de pharmacovigilence recensant les effets secondaires dus aux vaccins, NdT) des CDC est de 26 396, soit près du triple des 9 619 décès associés à tous les autres vaccins combinés au cours des 32 dernières années.

1,2 million de cas rapportés

ll y a eu un total de 1 205 753 rapports associés aux vaccins contre le Covid-19 dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des CDC, y compris :

  • 145 781 hospitalisations
  • 125 791 soins urgents
  • 48 852 handicapés permanents
  • 41 320 réactions allergiques graves
  • 37 579 myocardite/péricardite
  • 26 396 décès
  • 14 949 paralysie de Bell
  • 13 527 crises cardiaques
  • 13 224 bardeaux
  • 9 533 anaphylaxie
  • 6 256 thrombocytopénie
  • 4 423 fausses couches

Les CDC affirment qu’aucun de ces décès n’a été causé par les vaccins Covid-19, mais leurs propres données montrent que 50 % des décès surviennent dans les 48 heures suivant la vaccination, avec une corrélation directe entre le nombre de décès et le nombre de jours après la vaccination.

Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis. (Réd. Covidhub: les estimations généralement admises indiquent qu’à peine 10% des effets secondaires sont rapportés)

Explosion de maladies dans l’armée

Des lanceurs d’alerte ont publié la base de données épidémiologiques médicales du ministère de la Défense (DMED) et ont signé des déclarations sous serment selon lesquelles les données correspondaient à leur expérience clinique dans le traitement des soldats en 2021. Les données ont montré ces pourcentages d’augmentation des maladies parmi le personnel militaire par rapport à la moyenne des cinq dernières années :

  1. Hypertension – augmentation de 2 181 %.
  2. Crises cardiaques – augmentation de 269%.
  3. Cancer : augmentation de 300 %.
  4. Péricardite – augmentation de 175 %.
  5. Myocardite – augmentation de 285 %.
  6. Embolies pulmonaires – augmentation de 467 %.
  7. Infarctus cérébral – augmentation de 393 %.
  8. Paralysie de Bell – augmentation de 319 %.
  9. Syndrôme de Guillain-Barré – augmentation de 250 %.
  10. Immunodéficiences – augmentation de 275 %.
  11. Irrégularité menstruelle – augmentation de 476 %.
  12. Sclérose en plaques – augmentation de 487 %.
  13. Fausse couche – augmentation de 306%.
  14. VIH – augmentation de 590 %.
  15. Douleur thoracique – augmentation de 1 529 %.
  16. Respiration difficile – augmentation de 905 %.
  17. Problèmes neurologiques – augmentation de 1048%.

Le ministère de la Défense a répondu, par l’intermédiaire d’un site Web de fact-checking, qu’il s’agissait d’un problème dans sa base de données, qui a entraîné une sous-déclaration des données des cinq dernières années, et que ce problème n’a été découvert qu’après que ces médecins militaires ont attiré son attention sur l’augmentation de la maladie.

Le risque cardiaque pour les jeunes

Le risque de myocardite ou d’inflammation cardiaque, en particulier chez les jeunes hommes, a été établi par de nombreux gouvernements dans le monde, ce qui a conduit huit pays à suspendre les vaccins contre le Covid-19 pour les groupes d’âge plus jeunes en raison du risque de myocardite.

  • Taiwan suspend le 2ème vaccin Pfizer pour les 12-17 ans
  • L’Islande suspend Moderna pour tous les âges
  • La Suède suspend Moderna pour les moins de 30 ans
  • La Finlande suspend Moderna pour les moins de 30 ans
  • Le Danmark suspend Moderna pour les moins de 18 ans
  • La Norvège suspend Moderna pour les moins de 18 ans
  • La France suspend Moderna pour les moins de 30 ans
  • L’Allemagne suspend Moderna pour les moins de 30 ans

En outre, la Suède et la Norvège ne recommandent pas les vaccins contre le Covid-19 pour les enfants de moins de 12 ans et le Royaume-Uni ne recommande pas les vaccins contre le Covid-19 pour la majorité des enfants de moins de 18 ans.

Les grands médias ne répercutent pas

Alors que les médias grand public et les grandes entreprises technologiques ont occulté tout ce qui s’opposait au mantra de Pfizer, «sûr et efficace», plus de 17 000 médecins et scientifiques ont signé la déclaration de Rome recommandant de ne pas vacciner les enfants en bonne santé en raison du risque d’effets secondaires, du profil de sécurité à long terme inconnu de ces vaccins à ARNm et du risque négligeable de Covid-19 pour les enfants.

Les médias grand public ont supprimé les études d’autopsie qui montrent que les vaccins Covid-19 sont la cause du décès.

Le Dr Peter Schirmacher, pathologiste allemand de renommée mondiale, a publié en août 2021 un rapport d’autopsie de 40 personnes décédées dans les deux semaines suivant leur vaccination avec les vaccins COVID-19.

Il a déterminé que 30 à 40 % de ces personnes sont mortes à cause de la vaccination.

Médecin allemand de haut vol réduit au silence

Le Dr Shirmacher a estimé que la fréquence des conséquences fatales de la vaccination est sous-estimée. Le pathologiste a cité « des effets secondaires rares et graves de la vaccination – comme une thrombose veineuse cérébrale ou des maladies auto-immunes. »

Le Dr Peter Schirmacher est président par intérim de la Société allemande de pathologie, directeur de l’Institut de pathologie de l’hôpital universitaire de Heidelberg et président de l’Association allemande pour l’étude du foie.

Les médias n’en ont pas parlé et les géants d’internet ont interdit les comptes qui tentaient de partager le rapport du Dr Schirmacher. L’entrepreneur et mécène Steve Kirsch a révélé que la « famille de Schirmacher était menacée s’il continuait à parler. Alors il a arrêté de parler. C’est la façon dont la science fonctionne aujourd’hui. »

Autopsies alarmantes ignorées

Les docteurs Sucharit Bhakdi et Arne Burkhardt ont réalisé des autopsies séparées de personnes décédées dans un délai de 7 jours à 6 mois après avoir été vaccinées avec les vaccins contre le COVID-19.

Ils ont déterminé que 14 des 15 (93%) personnes autopsiées sont mortes d’affections causées par le vaccin contre le COVID-19. Leur étude, publiée le ou vers le 10 décembre 2021, est également confrontée au désintérêt des médias. Les médecins ont conclu :

«L’analyse histopathologique montre des preuves évidentes de pathologie de type auto-immune induite par le vaccin dans de multiples organes. Il est évident que l’on doit s’attendre à ce qu’une myriade d’événements indésirables dérivant de tels processus d’auto-attaque se produisent très fréquemment chez tous les individus, en particulier après des injections de rappel. Il ne fait aucun doute que l’injection de vaccins génétiques COVID-19 met des vies en danger de maladie et de mort. Nous notons que les vaccins à ARNm et à vecteur sont représentés parmi ces cas, de même que les quatre principaux fabricants. »

Les docteurs Arne Burkhardt et Sucharit Bhakdi ont présenté leur étude d’autopsie le 10 décembre 2021, mais elle a été largement ignorée, dénigrée ou censurée par les médias grand public et les grandes entreprises technologiques.

Les sociétés d’assurance révèlent la mortalité en hausse des 18-64 ans

Les données du CDC et le PDG d’une compagnie d’assurance de 100 milliards de dollars ont déclaré que le taux de mortalité en 2021 pour les personnes âgées de 18 à 64 ans a augmenté de façon étonnante de 40% par rapport aux niveaux pré-pandémiques et que la majorité des décès ne sont pas classés comme étant dus au Covid-19.

« Nous constatons actuellement les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons jamais vus dans l’histoire de ce secteur, et pas seulement chez OneAmerica« , a déclaré Scott Davison, directeur de la compagnie d’assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, qui existe depuis 1877 et compte environ 2 400 employés.

Cette augmentation représente «un nombre énorme», parmi «principalement les personnes en âge de travailler» qui ont des plans d’assurance-vie de groupe parrainés par l’employeur par le biais de OneAmerica, selon The Center Square.

«Du jamais vu»

«Et ce que nous avons vu juste au troisième trimestre, nous le voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité sont en hausse de 40% par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie« , a déclaré Davison lors d’une conférence de presse en ligne la semaine dernière. « Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas (c’est-à-dire d’une gravité qui n’arrive en moyenne qu’une année sur 200) correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la prépandémie. »

« Donc 40%, c’est du jamais vu« , a-t-il ajouté.

Cette augmentation record des taux de mortalité chez les personnes âgées de 25 à 64 ans, qui a débuté en juillet 2021, peut être observée dans les données de mortalité (toutes causes) des CDC présentées ci-dessous par le site USMortality.com :

Davantage de vaccinés parmi les morts

Comme l’a déjà publié Kanekoa’s Newsletter, une analyse critique des données originales de l’essai clinique de Pfizer montre que davantage de personnes sont mortes dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo.

Pfizer a supprimé l’essai en double-aveugle au bout de deux mois, n’a pas testé les biomarqueurs qui auraient constitué des signes précurseurs de la maladie et a qualifié de «douleur abdominale fonctionnelle» l’un des participants à l’essai, âgé de 12 ans, paralysé dans un fauteuil roulant et contraint de s’alimenter par sonde.

Déjà en 2008, le New York Times a publié un article intitulé « Des experts concluent que Pfizer a manipulé des études« .

Pfizer : des milliards versés aux médecins… et à la justice

Pfizer a retardé la publication d’études négatives, a déformé des données négatives pour les présenter sous un jour plus positif et a contrôlé le flux de données de recherche clinique afin de promouvoir son médicament contre l’épilepsie Neurontin.

En 2010, le New York Times a publié un article intitulé « Pfizer donne des détails sur les paiements aux médecins« .

Pfizer a admis avoir versé environ 20 millions de dollars à 4 500 médecins et autres professionnels de la santé pour des consultations et des interventions en son nom au cours des six derniers mois de 2009. Pfizer a également versé 15,3 millions de dollars à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques au cours de la même période.

Pfizer, qui a payé pendant plusieurs décennies des milliards de dollars d’amendes pénales, a réussi à s’emparer des médias, des grandes entreprises technologiques et des agences de réglementation pendant la crise du Covid-19, mais ses propres documents contredisent le récit « sûr et efficace » qui a été servi au public américain.




Atteinte à la dignité de la personne humaine sous l’empire d’Emmanuel Macron : une dignité que Marine Le Pen propose de rétablir

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Amine Umlil, pour FranceSoir

TRIBUNE — C’est en ma qualité de citoyen français, à «l’apparence arabo-musulmane» – expression empruntée à un homme politique français – et venant de l’autre côté de la Méditerranée il y a maintenant plus de 30 ans, que je souhaite publiquement m’exprimer quelques jours avant le vote du second tour de l’élection présidentielle prévu dimanche 24 avril 2022.

La France m’a chaleureusement accueilli et permis de construire un curriculum vitae (C.V.) dont un extrait est disponible sur le site du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet. J’ai toujours mis à disposition, et en œuvre de façon effective, ces formations et compétences acquises en poursuivant un seul et exclusif but : celui de l’efficience (qualité, sécurité, coût) des soins notamment médicamenteux dispensés à toute personne humaine.

Durant cette longue formation hospitalo-universitaire (« bac + 15 » avant de prétendre à un poste de praticien hospitalier ; « 3 ans » de licence dans une première faculté de droit ; « 2 ans » de Master en droit de la santé dans une seconde faculté de droit et à l’EHESP (école des hautes études en santé publique) ; soit près de « 20 ans »), menée en parallèle avec notamment des compétitions sportives (en particulier football et karaté shotokan, je n’ai jamais subi de discrimination.

Une telle discrimination est venue, brutalement et de façon insidieuse, me percuter lors de mon exercice professionnel en tant que pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier au sein de l’hôpital public de Cholet. Mais cette discrimination ne m’empêche pas de travailler et de vivre. J’ai appris à vivre avec cette discrimination eu égard à sa chronicité ; elle ne serait l’œuvre que de l’arbitraire. Elle ne serait que l’expression de la jalousie, la médiocrité, l’hypocrisie, l’incompétence, l’hostilité, la haine, la mauvaise foi, la calomnie, la xénophobie, etc. Ou peut-être, la matérialisation d’une volonté de ʺplaire au Maîtreʺ afin d’obtenir quelques avantages et servir des intérêts catégoriels et personnels.

Mais, je ne pense pas me tromper beaucoup en disant que je n’ai jamais été aussi discriminé, humilié, méprisé, violenté, etc. que sous l’empire du président de la République, Monsieur Emmanuel Macron. Néanmoins, cette fois, je me sens moins seul : cette discrimination, fondée sur l’état de santé de la personne humaine, cible tous mes concitoyens français. Lorsque nous sommes tous dans la galère, c’est que tout va bien.

Comme nombre de mes concitoyens, et violemment, je me vois « socialement désactivé de façon extrajudiciaire ». Sans jugement ni même un entretien préalable, mes fonctions sont suspendues, ma rémunération est immédiatement interrompue, tout autre travail rémunéré m’est interdit. Le non-respect de cette interdiction de travail m’expose même à des sanctions pénales : amende, emprisonnement, condamnation à des travaux d’intérêt général.

Un criminel, lui, est présumé innocent avant d’être jugé par un tribunal impartial et tant que ce jugement n’est pas revêtu de l’autorité de la chose jugée (tant qu’il n’est pas devenu définitif). Lui, il a le droit de présenter sa défense avant la prononciation de la sanction. Une fois détenu, il est pris en charge, logé, nourri et peut travailler en vue de sa réinsertion.

Avec brutalité, une simple décision administrative, signée par un fonctionnaire zélé au C.V. inconnu, me propulse ainsi dans un monde jusqu’alors improbable, inattendu. Le séjour, qui se profile, est d’une durée indéterminée. L’horizon s’assombrit. Mais, je ne suis pas seul. Je rejoins la cohorte de toutes ces femmes et de tous ces hommes qui viennent d’être, eux aussi, déclarés socialement éteints, indésirables. Mais ces Hommes sont intrinsèquement éclairés et demeurent profondément humains.

Voir aussi : « Il y a eu une cassure »: comment vivent les soignants suspendus, quatre mois après ?

Soudainement, je suis mis dans un « état de nécessité » et ne peux m’empêcher de penser au juge Paul Magnaud.

Une image se dessine. Elle révèle une nouvelle forme de sanction. Une forme inédite de représailles. De maltraitance. Je suis mis dans une position indéfinie, attaché psychologiquement et de façon invisible par les conséquences escomptées, projetées, inévitables, de l’interdiction de tout travail rémunéré. Une sangle mentale qui me projette l’impossibilité de pouvoir continuer à subvenir à mes besoins vitaux et non d’estime ; et à ceux de ma famille, une cible par ricochet. Une musique qui me chante : vous serez bientôt incapable d’accéder aux biens et aux services de première nécessité. Bientôt, vous allez pouvoir crever de faim. Ma position est figée de façon illimitée en espérant mon usure ; une perte de repères qui me conduirait à m’abandonner à mon invisible tortionnaire, à céder à ses désirs : à accepter de m’injecter, finalement, le produit expérimental.

Quelle différence entre cette image (ci-dessus décrite) et celle qui consiste à attacher une personne humaine (qui, elle, est condamnée suite à un procès équitable à la peine capitale) sur une chaise avant de lui injecter le produit fatal ?

Nombreux sont les soignants et autres professionnels tels que les pompiers qui refusent cette injection expérimentale, car ils semblent percevoir la mort au bout de la seringue.

Traitements inhumains et dégradants ? De la torture ? Une nouvelle forme de la peine capitale de nature psychologique et sociale ?

Sous l’empire d’Emmanuel Macron, le « dernier jour du condamné, sans procès équitable, à la peine capitale de nature psychologique et sociale » semble désormais écrit.

De façon inattendue, de manière imprévisible, le pas est franchi.

Je me sens trahi.

Désormais, j’appartiens à ce nouveau groupe doté d’un statut particulier et placé hors de l’espèce humaine.

Brusquement, tout s’arrête donc. Impuissant, je ne peux que contempler ce long parcours hospitalo-universitaire qui vient d’être soudainement, et brutalement, malmené par un acte administratif qui ne semble pas émouvoir, outre mesure, les ʺSeigneursʺ du Conseil d’État. Un simple papier d’une seule page, nommé « Décision N°2021- X », me propulse ainsi dans une dimension aux contours incertains. Une exécution qui vient anéantir cette expérience professionnelle acquise et punir les enseignements dispensés par mes Maîtres de la faculté ; au détriment de l’usager du système de santé et de la collectivité. En quelques secondes, le temps s’arrête.

Voir aussi : « Aujourd’hui, il n’y a pas de contre-pouvoir » Dr Amine Umlil

En pareilles circonstances, le calme et la patience sont de rigueur. Un regard dans le rétroviseur s’impose. Histoire de faire le point. Le temps de dresser un état des lieux et de repérer les différentes variables de la nouvelle équation soumise. Un instant pour tenter de comprendre. Un moment de réflexion qui cherche à dessiner le visage de cette nouvelle planète aux paysages étranges et insaisissables. Les premiers traits de ce visage révèlent la première des pauvretés, des inégalités, des vulnérabilités. Cette misère est celle du travestissement du sens des mots qui, combiné au pervertissement du raisonnement, constitue la source première dans laquelle la main invisible puise l’alinéation suprême de toute une population humaine.

Les faits relevés, en temps réel, depuis plusieurs mois, pourraient bien révéler une affaire inédite dans l’histoire de la science moderne, de la médecine, de la pharmacie, du droit.

Le médecin aurait cédé la place au ʺvendeurʺ qui tombe même la chemise devant les caméras pour ʺdonner l’exempleʺ, pense-t-il.

Les « données acquises de la science », sur lesquelles le médecin fonde sa prescription, sont supplantées par des slogans.

À l’information médicale et pharmaceutique succède la communication commerciale et ses avatars politique, administratif, médiatique.

« Tous vaccinés, tous protégés » ;
« Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (avec une photo montrant des jeunes personnes pédalant à la surface de l’eau (mer ou rivière ?) ;
« Les vaccins ont des effets désirables » (avec une photo où l’on voit une jeune fille et un jeune garçon s’embrasser) ;
« Etc. ».

Autant d’affiches et bidouillages publicitaires, utilisant des techniques de vente et fonctionnant comme des hameçons, qui cherchent à ferrer des personnes humaines, dont les plus jeunes d’entre elles, pour le restant de leurs vies.

Mais, en cas d’effets indésirables notamment graves, par exemple en cas de « décès » constaté après l’injection expérimentale, le vendeur exige « la preuve diabolique » aux personnes qui affirment avoir été victimes de leurs méthodes déloyales, plus même que du produit expérimental lui-même.

Sous la présidence d’Emmanuel Macron, une nouvelle parenthèse dans notre corpus juridique, hérité du droit romain, aurait été, vigoureusement et dangereusement, ouverte.

Cette parenthèse est celle de l’impossible consentement.

Impossible eu égard aux incertitudes sur le rapport bénéfice/risque du produit expérimental d’une part ; et aux méthodes utilisées qui sont susceptibles de relever du dol (action du vendeur consistant à cacher à l’acheteur des éléments essentiels du produit en vente par mensonge, et/ou par manœuvres frauduleuses, et/ou par réticence afin de conclure la vente) et de la contrainte (violence) d’autre part.

L’information du public sur ce produit n’a été ni claire, ni loyale, ni appropriée, ni pérenne comme l’exige la loi (au sens large) et notamment le Code de la santé publique. Une telle distorsion est susceptible de vicier le consentement de la personne qui est censé être libre et éclairé. Ce consentement, mis au rang des libertés fondamentales, est même renforcé lors des essais cliniques tels que ceux, toujours en cours, qui concernent ces vaccins contre la Covid-19.

Vicier ce consentement revient à porter atteinte aux principes protégés de l’inviolabilité, de l’indisponibilité, de l’inaliénabilité du corps humain ; au principe de l’autonomie de la volonté de la personne humaine.

En somme, vicier ce consentement revient à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Lors de la ʺgestionʺ de la Covid-19 (maladie liée au coronavirus : le Sars-CoV-2), la France, et l’Occident en général, semble avoir subi le traitement jusqu’alors infligé à l’hémisphère Sud ; et que Jean Ziegler a décrit, dès 2005, dans L’Empire de la honte. Il s’agit notamment la « soumission des peuples aux intérêts des grandes compagnies privées ». Dans ce livre, paru chez Fayard, l’auteur cite ce que Jean-Paul Marat aurait publié dans L’Ami du peuple (le 26 juillet 1790), dans un célèbre texte intitulé « Vrais moyens que le peuple soit heureux et libre » :

« Le premier coup que les princes portent à la liberté n’est pas de violer avec audace les lois, mais de les faire oublier… Pour enchaîner les peuples, ils commencent par les endormir. »

Monsieur Emmanuel Macron a réussi l’exploit d’arriver à adoucir mon regard, qui reste néanmoins vigilant, envers ce qui est désigné comme étant « l’extrême droite ». C’est dire à quel point je ressens la nausée, et c’est peu dire, envers la politique d’obligation vaccinale contre la Covid-19 directement imposée par une soi-disant ʺloiʺ qui heurte notre bloc de constitutionnalité, qui ne respecte pas le droit européen, qui viole les conventions internationales telles que la Convention d’Oviedo ; ou indirectement dictée via l’infâme passe sanitaire ou vaccinal.

Concernant ce consentement de la personne humaine, notre système juridique (composé de textes nationaux (français), régionaux (européens) et internationaux) est irrigué par le Code de Nuremberg. En ayant rappelé ce fait historique lors d’une réflexion sur ladite obligation vaccinale contre la Covid-19, je suis cité directement devant le tribunal correctionnel d’Angers (Maine-et-Loire) pour « Injures publiques » à l’encontre de deux « fonctionnaires » qui « se sentent » visés.

Ce procès, au parfum de Nuremberg, est prévu le jeudi 28 avril 2022 à 14 heures. Je suis « le prévenu », l’accusé.

Non, je ne pense donc pas me tromper beaucoup en disant que je n’ai jamais vu pareille atteinte à la dignité de la personne humaine, jamais subi une telle discrimination, que sous l’empire d’Emmanuel Macron.

Madame Marine Le Pen, elle, propose de rétablir cette dignité perdue pour toute personne concernée. Aujourd’hui, et dans l’urgence, c’est ce seul point qui compte désormais. Elle, au moins, n’a jamais été en position de gouverner la France ; et à ce titre, elle pourrait bénéficier du doute et prétendre à une présomption simple de bonne foi jusqu’à preuve du contraire. D’autant plus qu’Emmanuel Macron ne semble pas vouloir fermer ladite parenthèse ouverte qui pourrait nous amener vers un avenir incertain, voire dangereux.

Après tout, « À Amine, il ne manque pourtant que l’« r » de Marine. » (Le Spectre de l’Isotèle).

« Luchar es mi destino.
« Cette nuit, j’ai rêvé du mur. Ce mur auquel j’ai parlé tout au long de l’été dernier. » (Entre Dieu et moi, c’est fini, de Katarina Mazetti). Un mur de verre à travers lequel j’ai aperçu de loin mon ami Amine Leblanc.
En réalité, ce mur est sourd et muet. Je n’ai su lui parler qu’avec mon regard. Il n’a pu me répondre qu’en me laissant entrevoir de brèves images en temps réel. Des images tantôt en couleurs, tantôt en noir et blanc. Une étrange distinction qui laisserait supposer que le blanc et le noir ne seraient point des couleurs. Une classification, une standardisation, une mise en relief comme si l’on voulait opposer le white au black.
Ce mur-écran, c’est comme un voyage sur place, dans le temps et dans l’espace, qui devient possible par un simple regard à travers ce mur-frontière. Ce mur-prison. Impuissant, je me suis contenté d’observer les courtes séquences qui me sont présentées dans le désordre. Des événements qui se déroulent au pays des Codes-Bleu-Marianne. Un paysage situé de l’autre côté de la rive. De l’autre côté de ce mur-miroir. Un film long, et en même temps intense, que j’ai regardé durant l’été dernier, la gorge serrée. Et cette nuit, dans mon rêve, j’ai revu cette scène qui ne cesse de me hanter.
(…). » Le Spectre de l’Isotèle, Amine Umlil

[Voir aussi https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lettre-ouverte-vaccins-contre-la-covid-19-monsieur-le-president-demission-veran]

Texte initialement publié sur « Analyse citoyenne indépendante« , le blog d’Amine Umlil, et repris avec l’aimable autorisation de son auteur.

Auteur(s): Amine Umlil, pour FranceSoir




Lettre aux citoyens de confession musulmane : attention vax obligatoires en vue

[Voir aussi sur RL]

Par Nicole Delépine

Lettre aux citoyens, aux anciens collègues et amis de confession musulmane : attention aux vax obligatoires que nous promet Macron.

Rapportons tout d’abord les réflexions de Youssef Hindi d’après premier tour et l’éclairage qu’il donne au vote Mélenchon dont 7/10 citoyens de confession musulmane auraient voté pour lui.

ÉTAIENT-ILS BIEN INFORMÉS ? Savent-ils que J.L.MELENCHON DÉFEND LES LGBT, LE WOKISME, ETC. ;

Youssef Hindi explique que les citoyens musulmans qui ont voté pour Jean-Luc Mélenchon, ne sont probablement pas réellement informés(([1] Telegram: Contact @YoussefHindi)): celui-ci défend les LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres) et l’enseignement de la théorie du genre à l’école tout à fait répréhensible du point de vue islamique (et autres…).

En ce qui concerne MLP, il estime qu’elle a des positions de gauchiste et non d’extrême droite et se bat pour la laïcité, il ne pense pas que le vote pour Emmanuel Macron soit meilleur du point de vue de leur foi.

Il compare ce qu’ont fait Darmanin et Macron qui ont poursuivi dans le « blasphème » (il cite la visite d’EM au Liban). La 3 ième république s’est attaquée violemment au catholicisme, mais ne s’est pas mêlée du culte catholique. En revanche, E. M voudrait s’en mêler pour l’islam…

Pour Youssef Hindi, Emmanuel Macron est plus radical, il est une synthèse du wokisme, des LGBT. D’un point de vue islamique, le vote pour JLM et pour E.M est plus condamnable que celui pour MLP.

« Voter contre Emmanuel Macron, c’est réduire sa légitimité. Il faut lui faire barrage pour l’affaiblir.
Ce qui vous attend, c’est la vax obligatoire, c’est l’appauvrissement. »(…)

LES RISQUES DE LA PSEUDO-VACCINATION

Mon combat pendant ces deux ans a été d’informer au maximum les citoyens contre les mensonges de la coronafolie, en particulier contre les pseudo vax expérimentaux. L’étude des effets cachés des injections expérimentales est tragique, tant les situations terribles s’amoncellent. Et comme pédiatre et cancérologue, je tente d’avertir les gens afin qu’ils fassent échapper au moins leurs enfants à ces injections mortifères.(([2] Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([3] Les enfants sacrifiés du covid G et N Delépine éditions fauves janvier 2022))

Dans ce contexte, j’ai été émue par le texte envoyé par une militante des libertés, enseignante de français en collège, relatant sa tentative d’information (imposée) dans ses classes, en l’occurrence des 5e. J’ai découvert à cette occasion un aspect qui m’avait jusque-là échappé et que je souhaite partager avec vous tous.(([4] Réflexions d’un professeur de lettres soumise à un devoir d’information de ses élèves sur le vax covid, entre mythe et réalité — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Au sein de cette belle tribune, on peut lire :

« (…) Un autre document évoquait la dangerosité de l’injection sur les femmes enceintes et les problèmes de stérilité. »

Une main s’est levée, en jetant des coups d’œil nerveux à d’autres camarades sans arrêt. La voix était faible et gênée. Il est vrai qu’on était au début de l’année scolaire et qu’il peut être très intimidant de s’exprimer à cet âge au milieu de 29 autres congénères.

Mais ici, il semblait qu’il y ait un secret qui allait être dévoilé dans la peur et l’incertitude de l’assentiment, même des amies les plus proches, un secret qui ne demandait pourtant qu’à s’ouvrir, une gesticulation insoutenable le trahissant.

« C’est vrai ! », a-t-elle presque hurlé l’œil hirsute, « c’est vrai ! », « je connais des jeunes filles qui n’ont plus leurs règles depuis qu’elles se sont fait vacciner ». Puis, les autres, celles touchées en plein cœur par les œillades fébriles ont fini par ouvrir la bouche, au milieu des « n’importe quoi, ça se saurait si c’était vrai ». Cette vigueur à réfuter était la preuve manifeste d’un rejet de type déni comme l’on a pu en observer tant dans notre société adulte et cette scène n’échappait pas à la règle. Ses « sœurs » ont confirmé pourtant : il y avait bien un problème de menstruations dans bon nombre de cas, au moins temporaire, et de l’ordre de 1 à 3 mois en post-injection, voire de 6 mois au fil des injections. Puis, la cloche a sonné et vous savez comme c’est à cet âge ! Tous les sacs se sont refermés à la vitesse des fermetures éclair et de l’Enfer d’être là sans savoir vraiment pourquoi. Le pourquoi ? Un problème récurrent chez ces enfants qui ont besoin de sens là où on ne leur en donne pas. »

« J’ai cru aller boire mon café à la suite de l’incident, mais la jeune fille, la première, vous savez, celle qui s’étrangle de ce qu’elle voit et se jette au front, pas par courage, mais par incapacité à faire autrement face à l’inacceptable, elle attendait derrière moi comme une ombre. Elle était mince et s’était faufilée pour devenir ce mur et que les autres sortent en l’oubliant. Elle a fait signe à ses sœurs d’aller en récré sans elle puis, après s’être assuré que nulle autre que moi ne pouvait l’entendre, elle m’a raconté comment elle avait cherché des preuves pour argumenter en défaveur de la vaccination et n’en avait trouvé aucune et comment il n’y en avait pas plus en faveur sur les sites gouverne-menteurs. Elle souhaitait que je lui donne mes sources pour en lire plus.

Peut-être avait-elle trouvé pour la première fois sur le sujet, dans ce froid établissement, une porte ouverte et libre qui ne risquait pas de se refermer en couperet. Je lui demandais alors si c’était elle la jeune fille : elle m’a parlé de sa sœur biologique et de ses autres sœurs, de ses cousines, de toutes ces jeunes filles vaccinées qui n’avaient plus leurs règles. Il faut préciser que dans notre culture, je parle de l’une de mes cultures d’origine, la culture orientale, les femmes parlent entre elles, peu importe qu’il y ait un hammam ou pas.

Dans ces familles marocaines comme dans les familles algériennes ou tunisiennes, les femmes échangent sur l’intimité et se confient. Là, la confidence était rude, glaçante : les jeunes femmes vaccinées voyaient leur vie changer, car elles se faisaient répudier par leurs maris, faute de pouvoir enfanter et d’avoir leurs règles, mauvais signe pour la fertilité.

La jeune fille vivait dans la peur et l’incompréhension, l’impuissance de pouvoir aider ses grandes sœurs, le sentiment d’appartenir à un monde qui n’était pas le même que ses camarades : liée à celles qui partageaient ce quotidien, ses amies, sœurs et cousines dans un communautarisme créé par ceux qui les y avaient enfermées et les regardaient de l’extérieur.

Alors devant la volonté claire et affirmée du candidat Macron de faire vacciner toute la population via l’obligation vaccinale préconisée par l’UE et en particulier de nos petits, il me semble indispensable de vous informer directement avant que trop de jeunes votants naïfs se fassent berner par JL Mélenchon qui aurait des liens rapprochés avec le président en poste et qui leur demande de ne surtout pas voter MLP.

Macron et Mélenchon ont échangé des SMS, dimanche soir. Le message du leader insoumis est ainsi résumé : « J’ai clairement pris position contre Le Pen. À vous, maintenant, de donner des signes clairs à nos électeurs pour leur permettre de bouger »

Le Canard enchaîné — 13/04/2022

Toute la population, quelle que soit ses croyances doit savoir que l’obligation vaccinale nous menace en cas d’élection de Emmanuel Macron.

Ils doivent connaître tous les dangers en tous genres de ces injections morbides, y compris les aspects particuliers en fonction des pratiques et religions.

Et le seul moyen d’y échapper est d’évacuer l’alliance morbide Macron Mélenchon qui pointe son nez.(([5] Vers une cohabitation Macron-Mélenchon ? — Riposte Laique))

EN RÉSUMÉ :

TOUT SAUF MACRON !

ÉVITEZ L’ABSTENTION QUI FAVORISE LE SORTANT

QUI EST POUR LA VACCINATION OBLIGATOIRE Y COMPRIS CHEZ LES ENFANTS.

Protégez vos femmes, vos sœurs, vos enfants ; combien de fausses-couches chez les femmes enceintes vax.

POUR LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS AVEC REMBOURSEMENT DE LEURS RÉMUNÉRATIONS VOLÉES QUE MLP A PROMIS(([6] Au cours de son meeting à Avignon, dans le Vaucluse, ce jeudi 14 avril, Marine Le Pen a dévoilé plusieurs mesures concernant les conséquences de la crise sanitaire. L’une des plus emblématiques repose sur la volonté de la candidate qualifiée pour le second tour de l’élection présidentielle de réintégrer les personnes non vaccinées travaillant dans des établissements de santé. « Je réintégrerai les 15 000 soignants expulsés (par l’obligation de la vaccination et du pass sanitaire NDLR) comme des malpropres » « Et je leur verserai les salaires dont ils ont été injustement privés », a-t-elle annoncé.
Présidentielle 2022 : Marine Le Pen veut réintégrer les soignants non vaccinés — Valeurs actuelles))

POUR LA SUPPRESSION TOTALE DU PASS Y COMPRIS A L’HÔPITAL, les malades sont encore interdits de visites de proches non vaccinés actuellement !

POUR LA RECONSTRUCTION DU SYSTÈME DE SANTÉ EN ÉVACUANT LE POIDS DE LA BUREAUCRATIE

Dr Nicole Delépine




Macron lit-il les statistiques de l’OMS avant de critiquer la chloroquine et de soutenir le Vax ?

Par Dr Nicole & Gérard Delépine

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Lors d’une interview récente, E. Macron pensait discréditer sa rivale en affirmant « si Le Pen avait été au pouvoir vous auriez eu la chloroquine et pas de vaccin » espérant ainsi s’attirer la reconnaissance d’un électorat bien conditionné par la propagande des médias.

© BFMTV Emmanuel Macron face à la presse le 12 avril à Mulhouse :

« Je n’oublie pas ce que Madame Le Pen a dit constamment pendant la crise du Covid », a déclaré Emmanuel Macron lors d’un micro-tendu, avant de détailler: « Elle allait soigner les gens à la chloroquine. Elle allait vacciner les gens avec un vaccin russe dont même l’Organisation mondiale de la santé a déclaré qu’il n’était pas efficace… Et elle a critiqué assez méthodiquement toutes les décisions prises par le gouvernement, sans lesquelles nous n’aurions pas tenu« .

Et pourtant ce fut une des meilleures déclarations de MLP pendant cette crise du covid, et le plus beau compliment qu’il peut lui faire. Oui, il fallait traiter les patients de covid19 par l’hydroxychloroquine dont l’efficacité se confirme à long terme. Ecoutez la récente interview du Pr Raoult et du Pr Millon : Chloroquine & Censure – YouTube

Et l’analyse complète du PR Million

Présentation complète du Pr Million : https://filesender.renater.fr/?s=down…

Il devrait aussi lire les résultats des injections expérimentales tels qu’ils sont publiés par l’OMS et l’université John Hopkins et reproduits en français dans :

Les « vaccins » augmentent-ils le risque de contamination et de mort par Covid19 ? Confirmation un an plus tard – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Qu’il s’agisse de l’échec des injections Pfizer en Israël :

Ou de l’échec des injections Astra Zeneca et autres en Grande Bretagne :

Si Macron était mieux informé, il aurait évité cet argument de la chloroquine inefficace et du vaccin salvateur car il clame ainsi son ignorance des données avérées de l’OMS qui démontrent que les pays qui ont utilisé la chloroquine pleurent en moyenne dix fois moins de morts Covid que ceux qui comme la France ont appliqué la stratégie du tout vaccin.

Les pays qui ont utilisé l’hydroxychloroquine sont essentiellement africains

Les pays africains tropicaux sont des zones d’endémie du paludisme et leurs populations prennent tous les jours des antipaludéens. Certaines régions de l’inde et du Pakistan vivent sous la même menace et utilisent la même protection. L’Inde après examen des données avérées par son comité Covid a axé officiellement sa stratégie Covid sur les traitements précoces et même préventifs par HCQ (hydroxychloroquine), antibiotiques et ivermectine. L’Algérie a fermement conseillé et largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid19.

Les pays occidentaux riches ont au contraire suivi les recommandations de l’OMS, officiellement refusé la chloroquine et imposé la vaccination forcée.

Les données de l’OMS mises en graphique par l’Université John Hopkins prouvent que la stratégie du tout vaccin aboutit à une mortalité 5 à 20 fois supérieure à celle centrée sur la chloroquine.

Si Le Pen avait été au pouvoir et permis aux médecins d’utiliser la chloroquine comme le conseillaient les Professeurs Raoult et Perronne, et de nombreux autres en France et à l’étranger, nous déplorerions 120000 à 130000 morts de covid de moins !

Avant de s’autoglorifier de sa politique sanitaire que lui a conseillée McKinsey, le candidat Macron et le collège des généralistes enseignants feraient bien de vérifier les données que l’OMS publie sur OMS Covid Dashboard !

Auteurs : Dr Nicole & Gérard Delépine