France — Protégeons les médecins poursuivis pour avoir soigné : Touche pas à mon doc

[Première diffusion sur : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

NOUS RELAYONS CET APPEL AU BON SENS ET AU PARTAGE DE LA PÉTITION
TOUCHE PAS À MON DOC

Citoyens comprenez bien que sans liberté de soigner, il n’y a pas de médecine. Vous le vivez au quotidien depuis deux ans et demi pour l’ensemble de la population. Les petits et grands cancéreux ont été victimes depuis les années 2000 avec l’avènement des plans cancer des conséquences parfois dramatiques de la disparition du choix du traitement par le patient et par son médecin. CETTE DICTATURE SANITAIRE DOIT CESSER. Nous cotisons tous à la Sécurité Sociale. Ce n’est pas pour enrichir Big Pharma qui impose ses molécules chères et inefficaces à tous via les agences et les réunions multidisciplinaires. Si vous n’obéissez pas, votre structure n’aura plus le droit de soigner. Les « protocoles » sont le choix de la technostructure et non le meilleur traitement adapté à vous-même.

Le même principe s’applique aux médecins de ville qui vous ont soigné et préféré les traitements précoces efficaces au non-traitement via le 15, le Doliprane toxique et le Rivotril pour euthanasier les personnes âgées en EHPAD ou en hospitalisation à domicile.  Les vrais médecins fidèles à leur serment et à leurs patients sont poursuivis. Ils sont l’honneur de la médecine. Faites-le savoir et sauvons-les ainsi que les futurs patients.

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Dernièrement, les Directions régionales du Service médical (DRSM, service de la « sécu ») ont transmis au Conseil de l’Ordre des médecins la liste des médecins ayant prescrit des traitements ambulatoires dans le cadre de la Covid. Suite à ce signalement, l’Ordre convoque de nombreux médecins sur l’ensemble du territoire. Pour soutenir les « Docs » qui ont tenu bon au long de cette crise, qui ont gardé la tête sur les épaules, qui ont continué à nous informer, à nous soigner. Pour protéger une médecine individualisée, adaptée à chaque patient, adaptée à chaque histoire, où chaque médecin peut agir en conscience au service du patient qui le lui demande.

Si les médecins qui ont soignés sont attaqués, qui sera là pour nous à la prochaine épidémie ?

Bienvenue sur l’espace « Touche pas à mon Doc ». Sur cet espace, vous pourrez déposer, lire et partager des témoignages de patients ou de professionnels face à la crise.

Le site, https://tpmd.fr/

Canal Télégram, https://t.me/TpmdFr

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]
Manifeste

Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM). En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ». Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé. Nous avons appris à connaître cette maladie. Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales. Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie. Nous avons fait de notre mieux, en conscience. Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades. Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis. Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15”. Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant. Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné. Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison. Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine. Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ? Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée. »

Disons aujourd’hui fermement, TOUCHE PAS À MON DOC !

Pour signer le manifeste : https://tpmd.fr/manifeste/




Message de l’avocat Robert Kennedy Jr à la résistance






On offre nos données, mais on achète leur gaz et leurs vaccins !

[Source : Virginie Joron]


Michèle Rivasi – Pfizer, Ursula von der Leyen et des SMS pour un contrat à 35 milliards d’euros

[Source : Sud Radio]




L’Algérie confirme que le traitement Raoult est très efficace.Si nous avions imité sa stratégie, nous aurions évité 130 000 morts

Par Dr Delépine Gérard

Dans l’épouvantable affaire Lola, c’est la politique du gouvernement français et non pas l’Algérie qui est responsable. Comme dans l’hécatombe française du covid19 : pour le vérifier, consultons les chiffres officiels de l’OMS.

En Algérie, l’épidémie est terminée depuis 6 mois

Depuis le début de cette année, le nombre de nouvelles contaminations journalières est infime (en moyenne moins de 50 durant les 7 derniers mois) ainsi que le montre la courbe retraçant l’historique de l’épidémie et seulement 29 morts ont été attribuées au covid sur les 230 derniers jours :

(du 4 mars 6852 morts au 18 octobre 6881 morts)

À la fin de l’épidémie, le bilan définitif des mesures sanitaires peut être tiré.

En Algérie, le covid n’a pas été plus mortifère qu’une grippe ordinaire : 6881 morts en trente-deux mois sur une population de 42 millions d’habitants.

Durant la même période, la France a compté plus de 156 000 morts attribuées au covid pour 67 millions d’habitants.

On peut donc parler d’un désastre sanitaire français, d’une hécatombe covid.

Comment expliquer la catastrophe sanitaire Covid de la France ?

Les avocats du gouvernement et de Big Pharma prétendront comme d’habitude que ce n’est pas la faute de la stratégie de notre gouvernement, mais des différences dans les populations, le climat… mais ce n’est pas vrai !

Les populations française et algérienne sont très comparables par leurs facteurs de mauvais pronostic covid : mêmes pourcentages de plus de 60 ans12, même sex ratio, un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %) d’obèses3 4 qui ne peuvent donc pas expliquer la différence de mortalité.

Le climat algérien est différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie communes. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et comme la France compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

La seule différence susceptible d’expliquer la discordance considérable entre l’Algérie et la France est celle de leurs stratégies anti-covid respectives.

La stratégie anti-covid gagnante de l’Algérie

Le 23 mars 2020, le Pr D. Raoult publiait les premiers résultats très prometteurs de son traitement associant hydroxychloroquine et Azithromycine.

Une semaine plus tard, le 31 mars 2020, le ministre de la santé algérien, Abderrahmane Benbouzid annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ». 

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole5.

Deux mois plus tard, le 31 mai 2020 lors de la réunion du Conseil algérien des Ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé ; déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine a prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis « une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes ».

La catastrophe covid19 française est donc bien directement la conséquence de la dictature sanitaire que l’on a subie, marquée par la marginalisation des médecins traitants et l’interdiction des traitements précoces. Si nous avions appliqué la stratégie algérienne préconisée par le célèbre virologue, le Pr Raoult, nous aurions pu espérer limiter nos pertes à moins de 10 000 victimes alors que nous en pleurons 156 000.

Cette dictature sanitaire imposée depuis 2020 et encore en cours est déjà responsable d’une surmortalité de plus de 130 000 morts, soit en comparaison plus que nos soldats français morts en l’année 19406, et cinq fois plus que le nombre de soldats français morts durant toute la guerre d’Algérie7 !

Les responsables de ce scandale sanitaire qui perdure avec les tentatives d’injecter encore les personnes âgées et les enfants, seront-ils un jour traînés en justice pour répondre de leurs méfaits dont l’ampleur dépasse tout ce que nous avons vécu depuis 70 ans ?





Conférence du Pr Perronne ovationné au Parlement européen de Strasbourg

Je viens d’écouter la conférence de C. PERRONNE au parlement européen qui résume bien l’histoire de ces deux années folles, et dans cette assemblée qui enfin se réveille, c’est important !

De plus, il a dit quelque chose de fondamental pour les enfants français : écoutez LE quart d’heure à partir de la min 1 h 59 min À PROPOS DE LA VAX OBLIGATOIRE : ONZE VAX EN France !

Il précise qu’il avait signé un peu à contrecœur la tribune en faveur des vax obligatoires, mais qu’avec ce qu’il a découvert sur industrie pharma avec covid, il a de plus en plus de doutes.

Martine Wonner a dit à la suite qu’elle aussi avait voté cette terrible loi, mais que depuis évidemment elle se pose des questions.

A priori la ministre Buzyn avait promis en 2017 que la loi ne serait que pour trois ans. Mais le Premier ministre en commission covid au Parlement français lui a répondu que cette loi était définitive !

Vu le nombre d’appels que je reçois de parents désespérés qui tentent des solutions le plus souvent individuelles… Il me paraît important qu’on profite du doute dans la population, dont les élus, sur Big Pharma pour relancer ce dramatique sujet et tenter de faire supprimer cette honteuse obligation.

Par ailleurs signalons pour aller dans le sens de la dénonciation du déroulé de la dictature sanitaire en France déjà bien ancienne, outre les livres de C. Perronne, ceux de Claude Janvier, J. L. Izambert, Laurent Muchielli et Laurent Toubiana et les plus anciens qui révélaient l’ampleur de la prise en main et en otage la médecine Big Pharma, tels ceux de Marcia Angell, de Philippe Even, de Peter Goetsche, entre autres.

Nicole Delépine

[Source : lemediaen442.fr]

Poursuivi par l’ordre des Médecins en France, applaudi au Parlement européen, Christian Perronne revient sur la politique dite sanitaire de l’Europe et de la France en particulier.

Si le Pr Delfraissy a attendu d’être remercié du Conseil scientifique pour dire la vérité, le Pr Perronne, lui, n’a jamais hésité à dire et à écrire ce qu’il pensait de l’arnaque covid.

[Source : Virginie Joron]

Entretien de avril 2021 avec le Pr Christian Perronne pour son livre « Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! »






Lettre aux médias aveugles

Par Éric Zemmour

Pourtant, souvenez-vous, vous ne vous êtes jamais privés d’interpréter des faits divers pour en tirer des conclusions politiques.

Lettre aux médias aveugles

Paris, le 19 octobre 2022

Chers journalistes indignés,

Lola est morte il y a à peine quatre jours et déjà, nombre d’entre vous ne parlent plus du comment ni du pourquoi de la tragédie qu’elle a vécue, que sa famille continuera à vivre jusqu’à la fin de ses jours et que tant de nos familles connaîtront demain si l’on ne fait rien. 
Cela fait à peine quatre jours, et vous changez déjà de sujet. 

Lola n’est pas encore enterrée, et vous parlez déjà de stratégie politico-médiatique, « d’extrême-droite » et de récupération.

C’est la litanie des grands mots et des grandes indignations : récupération, instrumentalisation, manipulation. La litanie des colères surjouées et des imprécations surfaites. Du ministre de la Justice à vos confrères de France Inter, c’est la même rengaine, la même ritournelle, le même cinéma.

Que nous reprochez-vous donc ? 

D’avoir eu le cœur brisé par le calvaire de la petite Lola ; de l’avoir dit, de l’avoir crié, de l’avoir hurlé. 
D’avoir été révulsés, d’avoir été désespérés, d’avoir été indignés. 
Oui, on s’est indigné. 
On s’est ému. 
On s’est révolté.

Mais c’est toujours la même histoire qui recommence, les mêmes recettes, les mêmes imprécations, les mêmes intimidations, les mêmes inhibitions, le même calendrier. 
D’abord, vous êtes vous-mêmes sidérés par la violence du réel, alors les Français ont le droit à 24 heures d’émotion légitime sans que vous ne leur jetiez l’anathème. 
C’est notre tarif, c’est notre lot. 
Cela ne durera pas.

Puis vous comprenez que cette violence a des causes, vous comprenez que les Français vont comprendre, alors vous reprenez la main. 24 heures d’émotion, pas davantage. Vous sonnez la fin de la trêve. Elle n’a que trop duré à votre goût.

Vous fermez les portes, vous taisez les noms des coupables, vous interdisez l’interprétation, vous menacez, invectivez, dénoncez. 

Vous changez la focale : le sujet n’est plus cette pauvre Lola, ses souffrances, son martyre, la barbarie de sa tortionnaire, mais la récupération par ces infâmes, ces « charognards », ces « vautours ».
Et les charognards, dans votre bouche, ce ne sont pas les assassins mais ceux qui les combattent. Quand les sages Français montrent la lune, les cyniques de plateaux préfèrent regarder le doigt.

Dénoncer et arrêter les assassins, cela ne vous intéresse pas : vous faites de la politique. 

Quand Jérémie Cohen, un autre fils, un autre frère, un autre martyr, a perdu la vie après avoir été tabassé par des barbares, vous avez fait l’omerta sur sa mort. 
J’ai été le seul à en parler. 
Vous avez hurlé à la récupération.

Le père de Jérémie Cohen lui-même est intervenu. Il vous a supplié d’arrêter avec cette accusation, en vous disant qu’il fallait en parler, qu’il souffrait du silence, que c’était même lui qui m’avait contacté pour me demander d’intervenir. 
Vous ne l’avez pas écouté. 

Quand Evelyne Reybert, Patrick Jardin, et tant d’autres parents de martyrs m’ont demandé de faire la lumière sur les causes de la perte de leurs enfants, vous ne les avez pas entendus.

Où est l’indécence quand l’un de vos confrères du Monde qualifie Patrick Jardin de « haineux » parce qu’il dénonce le djihad qui lui a volé sa fille ? 
Où est la morale quand vous cachez aux Français le meurtre de Sarah Halimi lors de la campagne de 2017 pour « ne pas faire le jeu de Marine Le Pen » ?
La douleur des martyrs ne vous touche pas : vous faites de la politique.

Paul Valéry disait : « la politique, c’est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde ». Oui, décidément, vous faites de la politique. 
Vous ne faites même que cela. 

Vous faites de la politique et vous nous reprochez d’en faire. Non seulement, vous limitez notre droit à l’émotion, mais vous nous interdisez le droit d’analyser, d’interpréter, de comprendre et donc d’agir. Vous nous interdisez de chercher les causes qui éviteraient que de telles tragédies se reproduisent.

Et le pire, c’est qu’avec beaucoup de Français, vos injonctions fonctionnent.
Parce que vous leur faites peur, parce que vous les intimidez, parce que vous leur faites croire que la morale est de votre côté et que l’indécence est du côté de ceux qui pleurent.

Pourtant, souvenez-vous, vous ne vous êtes jamais privés d’interpréter des faits divers pour en tirer des conclusions politiques.

Pour éviter la mort des petits Aylan, nous avez-vous dit, il fallait ouvrir nos frontières aux migrants. 
Pour qu’il n’y ait plus de Georges Floyd, il fallait désarmer la police. 
Pour rendre justice à Adama Traoré, Zyed et Bouna, et tous les autres, il fallait traquer le « racisme systémique » de la police et de la République. 

Faire la Une de tous vos journaux sur le petit Aylan en culpabilisant l’Europe entière, c’était sensibiliser à la cause migratoire. 
Parler quatre jours du meurtre d’une enfant par une clandestine, c’est de la récupération politique.

Il y aurait donc des morts qui mériteraient l’interprétation et d’autres qui ne mériteraient que le silence. On les trierait selon quel critère ? L’âge ? La nationalité ? La couleur de peau ? Celle de l’agresseur ? Il y aurait donc des émotions et des interprétations autorisées et des émotions et des interprétations interdites. 

La vérité, c’est que vous voulez garder le monopole de l’émotion et de l’interprétation. Vous seuls avez le droit d’interpréter. Quand nous interprétons, nous récupérons.

La « récupération », c’est l’interprétation interdite. 
Le chantage à la récupération, c’est la loi de l’omerta.

Chers journalistes, je vous le demande : de quelle récupération parlez-vous ? Y a-t-il une campagne électorale ? Y a-t-il quelque chose à gagner ? Quand des parents de victimes, quand certains de vos confrères courageux dénoncent les mêmes causes que nous, sont-ils des charognards eux aussi ?

Ne croyez-vous donc pas aux combats sincères ? 
Ne savez-vous donc pas que chacun d’entre nous porte comme une blessure au fond de lui chacune des agressions, des attaques, des meurtres, de nos frères et de nos soeurs ? 
Ne voyez-vous donc pas que ce sont ces tragédies qui nous obligent à nous battre ? 
Ne comprenez-vous donc pas que nous manquerions à notre devoir si nous nous taisions ? Que notre seule et unique espérance est qu’il n’y ait plus d’autres martyrs ?

Je veux le dire à tous ceux que vous intimidez : nous avons le droit de pleurer le martyre de cette pauvre enfant. Plus encore, nous avons le devoir de combattre les causes de son meurtre et d’empêcher les suivants.  

Parce que Lola aurait pu être notre fille, notre sœur, notre enfant. Oui, notre fille, notre sœur, notre cousine, auraient pu être martyrisées de la même façon, parce que la barbarie frappe les Français au hasard.

Aujourd’hui, les parents de Lola sont touchés, meurtris, dévastés à jamais. Mais demain, comme hier, ce seront d’autres parents qui pleureront la mort d’une enfant, d’autres maris qui pleureront la mort d’une femme, d’autres fils et filles qui pleureront la mort d’une mère.

La tristesse de la tragédie arrivée à Lola appartient évidemment à ses parents, à sa famille, et nous nous inclinons respectueusement devant elle.

Mais la mort de Lola nous concerne tous, car elle n’est pas arrivée par hasard et peut toucher demain chacun d’entre nous.

Nous n’avons pas le droit de nous taire, même si nous n’avons que des coups à prendre, c’est le rôle des lanceurs d’alerte : parce que nous savons que ces meurtres sont évitables, parce que nous connaissons leurs causes et parce que nous connaissons les moyens de les éviter. 

Nous ne vous en voulons pas parce que vous nous insultez. Nous vous en voulons parce que vos intimidations font que nous continuons d’enterrer des Français qui n’auraient jamais dû perdre la vie.

Éric Zemmour

Copyright Parti Reconquête





LIBÉREZ LES « PRISONNIERS » DES EHPADs

[Première publication sur : profession-gendarme.com]

Par Nicole Delépine

L’enfermement inhumain des personnes âgées dans les EHPADs est la démonstration la plus aboutie du déshonneur de certains humains, dès qu’on leur donne un petit pouvoir et qu’on les manipule par la peur. Alors ceux qui ont un grand pouvoir, n’en parlons pas.

Il n’y a jamais eu AUCUNE raison d’enfermer un vieillard dans sa chambre sans visites ni contact avec ses « codétenus », sans sortie dans le jardin…

Rappelons les réflexions de bon sens des comités d’éthique1 :

« Les droits de l’Homme et de la Femme s’arrêtent-ils à l’entrée de l’EHPAD ? La restriction pour les résidents des sorties de l’EHPAD est-elle légale ? …

La Constitution de notre pays garantissant la liberté d’aller et de venir, cette question ne devrait pas se poser. Une personne âgée, capable au sens de la Loi, apte à comprendre la nécessité et la pratique des gestes barrières, est et devrait rester libre de sortir de l’EHPAD

« Il est exclu de priver pendant les temps de confinement, comme observé lors de la première vague de la Covid-19, toute visite, car l’enjeu éthique recoupe celui plus médicopsychologique, à savoir l’indispensable mission de lien que l’accompagnement des familles permet de réaliser auprès des résidents âgés.. » 

Et malheureusement le silence et la poursuite de la coercition règnent encore et l’on apprend par des blessés de la vie (prisonniers ou visiteurs discriminés) qu’en octobre 2022 des « enfermés », Alzheimer de surcroît, n’ont pas le droit de voir leur proche sans masque, qu’ils ne peuvent évidemment pas reconnaître et se sentent donc abandonnés.

Ils le sont de fait, si ce n’est pas par leurs proches dont certains multiplient plaintes et lettres aux autorités diverses (ARS, directeurs, etc.), mais par la société tout entière ou presque. Après les près de 10 000 résidents d’EHPAD « euthanasiés » en mars avril 2020 sans leur consentement ni celui de leurs familles, au prétexte de quelques symptômes compatibles avec le virus2 3 4, et les multiples syndromes de glissement et décès liés à l’isolement, sans explication de l’absence de visites de leurs enfants, les autorités les ont piquousés de force.

Le consentement libre et éclairé ne fut qu’une vaste imposture dans ces circonstances, avec toutes les conséquences physiques, psychiques que l’on commence à connaitre5. Mais il est clair que les effets dits indésirables (de fait jamais désirés) ont été probablement largement sous-estimés, tant il est vrai que Robert Marchand qui à 109 ans faisait du vélo deux semaines plus tôt, décédé quelques jours plus tard d’une crise cardiaque après le pseudovax, ne pouvait être qu’une « coïncidence »6… Et que le grand nombre de ces « coïncidences » devraient interroger nos criminalistes.

Aujourd’hui alors que l’épidémie est terminée depuis belle lurette7 et que la plupart des pays même les plus covidistes8 abandonnent les mesures coercitives et les injections, en France, on veut nous faire croire à une nouvelle vague… Nouvelle vague de délire alimentée par des tests (dont même le CDC a reconnu la non-spécificité)9, « masque » des drames sociaux, grèves, pénuries qui se jouent dans notre pays. Alors si on pouvait dévier l’attention…

Un correspondant fait le point du jour mettant en évidence les chiffres réels. https://covid.irsan.eu : situation le 15 octobre 202210 : pas d’épidémie, que du vent médiatique.

Nos aînés, comme nos enfants et tous les citoyens doivent être libres de leur mouvement, de leurs sorties dehors dans le jardin ou au restaurant, et dans l’établissement lui-même entre résidents. À ce que je sache, on ne retire pas les droits civiques lorsqu’on entre en EHPAD ! Qui se permet, encore aujourd’hui de maltraiter nos aînés ?

Voici ce témoignage reçu d’un proche d’un résident EHPAD, accrochez-vous

Je suis Marie

Par Ity le dimanche 10 octobre 2021, 22:22

De nombreux mois maintenant
Que je vis dans cette résidence
Où le temps passe lentement
Entre le vide et le silence

Trois ans passés déjà qu’on m’y a remisée
Dans cet endroit nouveau qu’on appelle foyer
Trois longues, pénibles et monotones années
Passées loin de chez moi, perdue, déracinée

Les jours pareils, je les regarde passer
Par ma fenêtre, je vois le vent souffler
Le soleil tant aimé ne me réchauffe même plus
Derrière ces murs livides, tout n’est que superflu

Mes journées sont longues, ennuyeuses à pleurer
Pas de lecture, de jeux, juste un écran télé
Que je regarde d’un œil sans même m’intéresser
Quand je patiente assise entre déjeuner et dîner

Et puis il y a ces jours un petit peu animés
Quand j’aperçois la bouille de l’un d’mes bien-aimés
Mon regard est tout de suite rallumé, éclairé
Et sur mes lèvres soudain un sourire est posé

Il y a mes enfants fidèles et réguliers
Et les petits-enfants un peu plus espacés
Tous ces moments précieux me réchauffent le cœur
Dans cet endroit bien glauque envahi de froideur

Les accolades et les petits baisers
Font de ces visites moments privilégiés
Et même si là-haut, du mal à me rappeler
Mes familiers se lassent jamais de répéter

Puis un jour, les voilà se présentant masqués
Leur beau sourire d’un tissu habillé
Plus que nos yeux pour quelques émotions
Quand leurs visages avaient avant tant d’expressions

Je n’ai jamais compris pourquoi cette mascarade
Enfermée seule ici hors de cette parade
Pourquoi mes proches ne veulent plus m’embrasser
Quand mes années commencent pourtant à s’décompter

Mais qu’ont-ils donc tous bien pu faire
De mon monde où il faisait bon vivre
Est-ce vraiment à ce point devenu un enfer
Où plus personne n’a de chance de survivre

Alors on m’a parlé d’un très méchant virus
Tueur impitoyable, contagieux et bien plus
Qu’il s’attaquait à tous et spécialement au vieux
Que c’était en prison que je serai le mieux

Puis les visites fréquentes sont devenues bien rares
Mes enfants mes chéris m’avaient-ils oubliée
Plus le bruit de leurs pas arrivant dans l’couloir
Et cette porte verte désespérément fermée

Et c’est bien une prison que l’on m’a imposée
Avec interdiction de voir mes bien-aimés
Avec même privation de toute liberté
Quand nos repas de groupe nous sont même retirés

Enfermée dans cette chambre à longueur de journée
Quelle était donc ma faute pour y être condamnée
Exemplaire toute ma vie désormais en prison
Même la moindre visite se heurtait à un non !

Et sans le moindre mot de mes geôliers en blouse
Je ne savais même pas qu’ils refoulaient mes proches
Les jours si longs sans eux me refilaient le blues
Et dans ma tête en boucle, les idées les plus moches

Puis vint l’heure du parloir à des heures encadrées
Derrière ces murs de verre comme en maison d’arrêt
Pourquoi ne plus pouvoir toucher mes fils mes filles
Quand c’est tout ce qu’il reste d’une vie qui s’effile

Mais qu’y avait-il donc à redouter comme ça
Était-ce l’hécatombe narrée dans les médias
Même mon écran monotone ne parlait que de ça
Des chiffres en tous sens et des morts à tout va

Je ne comprenais plus ce qu’il s’passait dehors
Pourquoi vivre recluse abandonnée de tous
Qu’avais-je donc commis pour mériter tel sort
Pour finir ma vie, bannie que l’on repousse

Et puis on m’a piquée à multiples reprises
Pour mon bien parait-il, pour ma santé fragile
J’ai subi tout ce cirque sans aucune maîtrise
Avec l’accord éclairé de mes enfants serviles

Les vieux comme cobayes, c’est tellement plus pratique
Même si dans nos entrailles, ça semble si sadique
Pourquoi n’pas nous laisser finir nos vies en paix
N’avons rien demandé sauf dignité, respect

Et puis les jours passant, mon souffle devenu court
Mes jambes lourdes maintenant, serrées dans mes collants
Mes forces disparaissant, plus faible de jour en jour
C’était bien leur poison qui me tuait lentement

J’ai continué ainsi sans la moindre complainte
À l’image de ma vie, femme discrète et simple
Mais jusqu’à l’épuisement, l’inéluctable malaise
Quand la mort vous attire au bord de la falaise

Je ne me relèverai pas de ce terrible coup
Embolie pulmonaire, ma vie ne vaut plus rien
Je vais finir mes jours, épuisée, presque à bout
Aujourd’hui plus qu’hier, dépérir vers la fin

On me dit qu’aujourd’hui pour me rendre visite
Il faut être classé comme aux heures les plus sombres
Mais moi j’en connais un qui quand l’Histoire hésite
Ne cédera jamais à une nation qui sombre

Mais qui sont donc ces gens pour me priver de lui
Que sont devenues nos lois dans une telle folie
Faudra-t-il sortir d’ici les 2 pieds en avant
Pour qu’il puisse à nouveau me serrer tendrement

On m’a privée des sourires en cette fin de vie
De la chaleur des miens en cette fin d’chemin
Des bisous, des câlins, d’la famille, des amis
Quand chaque heure qui passe menace le lendemain

Moi qui croyais en dieu, je ne crois plus personne
De ces sombres années, je veux que mon glas sonne
Je n’ai donc plus la force de continuer ici
N’importe où mais ailleurs, sera le paradis

C’est donc ainsi ici que l’on chérit nos aïeux
Avec tant de mépris, parfois même sans adieux
J’avais rêvé finir, entourée par les miens
Non pas au cri d’Je suis Marie[*], détruite de chagrin…

[*] Note du rédacteur de ce témoignage terrible traduisant le vécu de tant de nos aînés : 
Au nom de tous les prisonniers de nos EHPADs, de ces victimes, de ces sans-voix, de ces sacrifiés de la folie humaine et contre tous les suiveurs bien plus coupables que les meneurs. 11.
Si ce texte vous a plu et/ou surtout touché, partagez-le au plus grand nombre pour lancer un mouvement de libération de nos aïeux qui méritent bien mieux qu’un emprisonnement indigne privés de la chaleur de leurs proches pour finir leurs jours !

Alors comme en janvier 2015 lorsque la folie s’est déchaînée sur notre pays et que le peuple a réagi, aujourd’hui ce peuple doit se réveiller. Il est temps de crier « Je suis Marie » !12

Ce témoignage doit nous faire honte à tous, car nous avons échoué à réveiller la population et laisser mourir tant d’aînés dans l’indifférence générale, quasi absolue. Les quelques articles que nous avons écrits 13 14 et bien d’autres auteurs, 15 pour transmettre les cris des patients hospitalisés, isolés, abandonnés, interdits d’accompagnement à l’approche de la mort, et de nos aînés devenus prisonniers, en pire, car privés du droit à la promenade journalière des vrais prisonniers, sont tombés dans le silence et le fonds du puits de l’égoïsme intégral.

Cette indifférence n’a d’égale que celle concernant les soignants et pompiers suspendus, sans salaire depuis plus d’un an, sans droit au RSA, ni allocation chômage, et dont certains se sont suicidés16 ou sont devenus SDF. 17

Nous n’avons pas su trouver les mots et espérons que cet appel de Marie résonnera au fond du cœur de chacun, car la libération de ceux qui ont survécu et sont encore enfermés est une Urgence !

Transférez le poème de Marie à tous les députés, sénateurs qu’ils votent une loi de libération s’il faut en arriver là. La loi d’aout 2218 supprimant les mesures coercitives aurait dû les libérer, mais un funeste décret a autorisé les établissements de soins à imposer le masque s’ils le souhaitent.

Au nom de quelle justification médicale, de quelle compétence alors que le masque est démontré être inefficace et dangereux 19 20 21 22

LA BANALITÉ DU MAL

De façon plus générale, il est temps de réfléchir à nouveau à ces concepts oubliés et pourtant si présents, la banalité du mal, si bien explicitée (mais si longtemps incomprise) par Hannah Arendt qu’il est urgent de relire.

Le comportement de trop de soignants dans les Ehpad ou instituts d’handicapés, de médecins obéissants à la doctrine du non-soin imposé par le gouvernement pour la première fois depuis Hippocrate, soit 2500 ans, de citoyens ordinaires vis-à-vis de leurs familles ou dans les supermarchés envers une personne non soumise, qui porte la muselière sous le menton, nous a plongés en moins d’un an dans l’univers kafkaïen des descriptions de Primo Levi.23





De la déshumanisation à la soumission : l’horreur du massacre de Lola qu’il faudrait taire, comme celles d’autres victimes, dont celles de l’injection forcée, si vite oubliées

[photo :
Bouquet de fleurs et message de condoléances à la famille :
« Repose en paix Lola, courage pour la famille »,
le 17 octobre 2022, devant l’immeuble à Paris 19e où vivait Lola, 12 ans,
trois jours après la découverte de son corps dans une malle. © AFP]

Par Nicole Delépine

Pour Lola et tous ces enfants morts de la déliquescence de notre société disloquée, chaotique1

ET L’INSULTE MÉDIATIQUE INSUPPORTABLE À CES MORTS2 3: « FAUT-IL EN PARLER ? »

En hommage à Lola monstrueusement assassinée et considérée comme objet abandonné dans une valise, tentons de protéger les enfants partout dans le monde et singulièrement chez nous, de la sauvagerie qui se développe rapidement sous toutes ses formes, de la plus sanglante, à la maltraitance institutionnelle, soi-disant sanitaire (masques, tests PCR, etc.) et injections morbides et inefficaces anticovid menant parfois à la mort pour un pass ou une inscription au sport…

Les enfants ne sont pas des objets

Ce monde où les humains sont devenus cobayes, objets d’une expérience à échelle mondiale, où leurs vies comptent si peu dans l’inconscient collectif, qu’on peut retrouver une petite fille dans une valise sans que des millions de personnes se lèvent tout de suite en une immense procession silencieuse près de la rue Manin et du parc des Buttes Chaumont…

La violation d’un sanctuaire, l’enfance sacrée

Oui, je ne peux qu’associer la souffrance la plus extrême des parents de Lola à celles des parents de tous ces sacrifiés du covid, de la honteuse manipulation des peuples et de leur abominable soumission à la doxa de la tv et autres médias collabos jusqu’aux journaux féminins et télévisuels.

Ils nient l’horreur du supplice de Lola, la banalisent jusqu’à se demander « s’il faut en parler » et tentent de transformer son martyr en « faits divers ». Les mêmes nient aussi les conséquences tragiques des injections géniques quitte à discuter sur le nombre de décès déclaré par les agences… (En tout état de cause, un médicament préventif ne devrait pas en entraîner UN SEUL).

D’autres, dans le déni absolu de l’horreur indicible, tentent d’utiliser le martyr de Lola pour combattre des « ennemis politiques ». Mais le principal ennemi actuel n’est-il pas notre inconscience collective de la dégradation de notre société qui discoure des heures pour une gifle ou un ordre d’aller dans sa chambre à un enfant, et laissent évoluer la folie collective, nourrie chaque jour par les intégrismes de tout poil, l’islamisme, le covidisme, mais aussi les verts de plus en plus bruns silencieux tant pour Lola que pour les pseudovaccins tueurs.

Oui les tueurs sont dérangés psychiquement, mais a-t-on jamais vu un assassin « normal » ? La réticence trop répandue à honorer le martyr de Samuel Paty est une démonstration supplémentaire de la soumission à la déchéance sociale.

L’horreur indicible du meurtre subi par Lola est inimaginable et dire qu’on « comprend les parents » est une marque de compassion louable, mais à distance de la réalité tant c’est impossible. Les parents des enfants cancéreux que nous avons soigné sans toujours leur sauver la vie savent ce qu’est ce parcours cruel, ce long chemin qui leur enlève leur enfant et ne peuvent jamais oublier. Peuvent-ils même se reconstruire un jour dans le souvenir de l’enfant disparu et la certitude de l’avoir accompagné avec tout l’amour du monde ?

Comment les parents de Lola obligés de subir cette épreuve en une nuit pourront-ils revivre un jour, et de même les parents obéissants ayant fait injecter leur enfant ? Est-ce seulement envisageable ?

Que dire de plus que les autres « Humains » qui ont déjà rendu hommage à Lola, comment décrire l’indicible douleur à cette annonce et la difficulté, voire l’impossibilité de regarder la photo de cette magnifique petite fille privée de vie au seuil de son adolescence. Un dessin hommage de @bloglaurel (merci à vous Laurel). Nous manquons de mots devant l’indicible.

La soumission globale à l’ensauvagement général incorpore ces injections tueuses dans notre société malade. Chaque jour de nouveaux appels à stopper ce délire tueur4. Chaque jour de nouveaux appels à rétablir l’autorité et la sécurité.

Rappelons les décès de nombreux adolescents (sportifs pour un grand nombre) via quelques exemples récoltés sur Telegram. Ne les oublions pas, ces victimes d’une société soumise, aveugle, obéissante. Le massacre des innocents des sociétés anciennes nous sidère à nouveau.

UNE ÉPIDÉMIE DE COÏNCIDENCES CHEZ LES ENFANTS/ADOLESCENTS, [01/07/2022 23:47]5
CLASSIFICATION DU MODE DE DÉCÈS COMME NATUREL, ACCIDENTEL, HOMICIDE OU INDÉTERMINÉ

Comment pourrait-il y avoir entraves à enquête ?

« 1- Les tristes annonces des décès des enfants et adolescents sont publiées dans la rubrique « faits divers ».
2- La publication est rapidement archivée.
3- Le fact checker déclare l’absence de lien de causalité, sans enquête, sur le principe de l’opinion.
4- Des autopsies sont refusées si la mort de l’enfant semble de cause naturelle.
5- Production de Faux certificat de décès ou parcellaire.
6- La police pourrait porter des accusations criminelles dans les cas où elle croit qu’il y a eu un acte répréhensible, mais lorsqu’un enfant meurt dans des circonstances qui ne semblent pas être un homicide, il est extrêmement rare que cela se produise. En dehors du cadre de l’homicide il est rare qu’il y ait enquête.
7- Si un enquêteur décide tout de même de mener une enquête, il est sanctionné. »

https://www.cbc.ca/news/canada/ottawa/helen-grus-suspended-ottawa-police-vaccine-status-1.6398984

Donc, les enfants meurent tranquillement dans leur sommeil, sur le terrain ou de causes inconnues…. et personne ne cherchent !?6

UNE ÉPIDÉMIE DE COÏNCIDENCES CHEZ LES ENFANTS/ADOLESCENTS, [01/07/2022 23:54]

Groupe destiné à recenser les effets secondaires graves à très graves, médiatisés sur les enfants et adolescents :

15/05/2022 deux soignantes sauvent un nourrisson dans le TGV
https://www.letelegramme.fr/bretagne/deux-soignantes-sauvent-un-nourrisson-dans-le-tgv-entre-paris-et-brest-15-05-2022-13028256.php

16/05/2022 Une fillette de 15 mois décède
https://www.lavoixdunord.fr/1180165/article/2022-05-16/sebourg-helicoptere-intervient-enfant-decedee-220516

28/05/2022 Un adolescent en urgence absolue après un arrêt cardiaque
https://www.ladepeche.fr/2022/05/28/haute-garonne-un-adolescent-heliporte-en-urgence-absolue-apres-un-arret-cardiaque-10323544.php

29/05/2022 Une adolescente fait un malaise
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/05/29/l-adolescente-fait-un-malaise-lors-d-une-randonnee

02/06/22 Une collégienne de 12 ans dans un état grave après un malaise cardiaque à la piscine
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/arthez-de-bearn-une-collegienne-de-12-ans-dans-un-etat-grave-apres-un-malaise-cardiaque-a-la-piscine-1654184880

15/05/2022 une fillette manque de se noyer dans une piscine son père la ranime grâce aux pompiers
https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2022/05/15/une-fillette-manque-de-se-noyer-dans-une-piscine-son-pere-la-ranime-grace-aux-pompiers

08/05/2022 Un enfant de 11 ans meurt d’une chute accidentelle
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-enfant-de-11-ans-meurt-d-une-chute-accidentelle-aux-martres-d-artiere-1651997543

30/04/2022 un adolescent de 15 ans décède après un malaise cardiaque lors d’un entraînement de foot https://www.vosgesmatin.fr/faits-divers-justice/2022/04/30/contrexeville-un-adolescent-de-15-ans-decede-des-suites-d-un-malaise-cardiaque-lors-d-un-entrainement-de-foot

09/10/2021 Un adolescent de 17 ans est décédé brutalement au cours d’une séance de sport.
https://www.dna.fr/faits-divers-justice/2021/10/09/un-lyceen-meurt-brutalement-durant-le-cours-de-sport

10/02/2022 Jakob Simard, 12 ans, doit la vie à la rapidité d’exécution d’un professeur d’éducation physique, à la présence d’un défibrillateur à la polyvalente des Quatre-Vents et à l’efficacité des ambulanciers.… https://www.letoiledulac.com/actualite/la-rapidite-dexecution-a-sauve-jakob/

20/01/2022 Un élève de 13 ans a été victime d’un malaise cardiaque,
https://www.ladepeche.fr/2022/01/20/montauban-lado-reanime-par-les-secours-en-plein-college-10058647.php

02/12/2021 La mort subite du jeune sportif de 13 ans
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/pyrenees-atlantiques/pau/la-mort-subite-du-jeune-sportif-au-coeur-des-preoccupations-du-comite-64-de-rugby-7198956.php

05/05/2022 Près de Lyon : L’enfant de 11 ans, victime d’un malaise cardiaque mardi matin alors qu’il se trouvait à l’école, est décédé.
https://www.lyonmag.com/article/122795/pres-de-lyon-l-enfant-victime-d-un-malaise-cardiaque-a-l-ecole-est-decede

Des articles se retrouvent souvent dans la rubrique « faits divers », dans les journaux locaux et sont vite cachés dans les archives.

04/03/22 Une petite fille de 9 ans est morte ce vendredi matin dans la cour de récréation
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nice-deces-d-une-fillette-de-9-ans-dans-la-cour-de-son-ecole-apres-un-malaise-cardiaque-1646393276

25/02/2022 Le bébé décédé à Troyes n’avait pas bu d’alcool et n’avait pas été secoué
https://www.20minutes.fr/faits_divers/3242235-20220225-troyes-non-ce-bebe-n-est-pas-decede-apres-avoir-absorbe-de-l-alcool-ou-ete-secoue

17/02/2022 Un adolescent se plaint de maux de tête, il meurt quelques heures après d’une hémorragie cérébrale
https://www.public.fr/News/Un-adolescent-se-plaint-de-maux-de-tete-il-meurt-quelques-heures-apres-d-une-hemorragie-cerebrale-1700012

11/02/22 Drame un adolescent de 16 ans est décédé après une chute à ski
https://www.lejsl.com/faits-divers-justice/2022/02/12/un-ado-decede-apres-une-chute-sur-une-piste-de-ski

12/02/2022 Doublement vacciné au Pfizer, décès d’un collégien de 16 ans sous respirateur artificiel
https://www.zinfos-moris.com/Covid-19-Doublement-vaccine-au-Pfizer-deces-d-un-collegien-de-16-ans-sous-respirateur-artificiel_a27915.html

05/11/2021 Un garçon de 16 ans fait un malaise cardiaque après le vaccin contre le Covid-19.
https://lopinion.com/articles/actualite/10480_toulouse-un-garcon-de-16-ans-fait-un-malaise-cardiaque-apres-le-vaccin-contre-le-covid-19

UN POINT COMMUN ENTRE LA TRAGÉDIE DE LOLA ET CES ENFANTS « MORTS DE COÏNCIDENCE » :
ILS NOUS EXPLIQUENT QU’IL NE FAUT PAS EN PARLER

ALORS, PARLONS-EN !





Le Parquet européen confirme une enquête sur l’acquisition de vaccins covid-19 dans l’Union européenne

[Source : lemediaen442.fr]

Le compte Twitter du ministère public indépendant de l’Union européenne (EPPO), confirme le 14 octobre 2022 qu’une enquête est en cours sur l’acquisition de vaccins covid-19 dans l’Union européenne. Cette confirmation exceptionnelle vient après l’intérêt extrêmement élevé du public soulevé par l’audience de Pfizer au Parlement européen. Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade.


Une confirmation qui vient le lendemain de l’audition sur les vaccins où Janine Small, présidente des marchés internationaux — qui représentait le PDG Albert Bourla (Pfizer) — laquelle avait admis le 10 octobre 2022 que aucun test sur l’arrêt de la transmission du covid n’a été réalisé sur les vaccins avant leur mise sur le marché. Elle s’était en revanche montrée très évasive concernant les contrats d’achat de vaccins et les textos échangés entre le laboratoire et Ursula von der Leyen.

Les efforts de plusieurs députés européens dont Virginie Joron, Michèle Rivasi, Christine Anderson, Cristian Terhes… ont porté leurs fruits.


Rappelons à nos lecteurs que Pfizer est une entreprise criminelle qui a été condamnée aux États-Unis à 91 reprises à plus de 10 milliards d’amendes pour infractions liées à la sécurité, délits liés à la santé, infractions liées aux marchés publics, charlatanisme, fausses déclarations, corruption, pots-de-vin… Comment une entreprise criminelle de ce type peut-elle avoir en charge la santé de milliards d’êtres humains ?




Les chercheurs comprennent de mieux en mieux les causes de l’autisme

[Source : aimsib.org]

Alors que, de source officielle, l’autisme pourrait toucher un nouveau-né sur cent en France et que ce chiffre pourrait grimper à un sur quarante-quatre aux USA, les spécialistes de la question affectent toujours de ne se quereller que sur la définition exacte de la maladie. Il faudrait pourtant accepter de crever l’abcès du doute entourant la responsabilité des vaccins aluminiques dans la genèse de ces troubles incurables. Il faudrait admettre également que la frénésie vaccinale anticoquelucheuse chez les femmes enceintes est mortifère. Voici la démonstration d’Hypatie A, implacable, sourcée, terrible. Les adjuvants aluminiques induisent des complications catastrophiques et les défenseurs de ces vaccins doivent comprendre qu’il ne leur reste plus grand chose pour s’opposer à l’évidence. Des vaccins obligatoires qui donneraient l’autisme voire des lésions cérébrales de type « bébé secoué », des vaccins pour femmes enceintes qui induiraient des coqueluches post-natales, mais dans quel monde on vit ?  Bonne lecture.

Par Hypathie A

Résumé :
– Le système immunitaire est bien plus complexe et méconnu que ce qu’on croit.
– Les systèmes immunitaires et nerveux (entre autres) sont interconnectés : les mêmes molécules conditionnent les deux systèmes.
– Une très solide littérature démontre qu’activer de façon précoce le système immunitaire peut troubler le développement cérébral et nerveux du nourrisson.
– L’intensité, la durée et la fréquence des activations immunitaires sont des facteurs de risque, le tout en fonction du stade de développement du nourrisson.
– La vaccination a pour but d’activer le système immunitaire : pratiquée pendant la grossesse ou au début de la vie, elle présente un danger réel pour le développement nerveux du nourrisson (en particulier chez les garçons).
– Les adjuvants aluminiques sont un facteur supplémentaire de danger, en activant de manière répétée, plus fortement et plus durablement le système immunitaire (de façon immédiate ou retardée, l’aluminium étant neurotoxique).

Introduction

Les sites dédiés à l’autisme me laissent toujours perplexe : officiellement, on ne sait pas clairement ce qui cause l’autisme. Si tout le monde s’accorde pour considérer qu’il s’agit d’un trouble précoce du neurodéveloppement, probablement multifactoriel, personne ne semble lire la littérature scientifique sur le sujet.

Un exemple, l’article de l’INSERM dédié à l’autisme date toujours de 2018 ! Autant dire qu’on cultive l’obsolescence sur un sujet pourtant d’actualité.

Pour l’institution, l’origine est « largement génétique » [1] (ah bon ?) et bien sûr, il est impossible « de soigner l’autisme ». C’est quand même bizarre. Il y a des troubles, comme ça, qui impactent des millions d’enfants de façon dramatique [2] – la prévalence mondiale se situe officiellement entre 1 et 2% – et pourtant, on serait incapable d’en déterminer la cause… Sauf si on a l’idée saugrenue de lire la littérature scientifique. Car la recherche avance, malgré tout : elle a même fait d’énormes découvertes ces vingt dernières années. L’équipe du Dr Crépeaux nous offre aujourd’hui une revue [3] complète de la littérature.

On peut réellement affirmer qu’on sait quels sont les mécanismes en jeu dans l’apparition des troubles du neurodéveloppement. Et pourtant, l’information ne parvient pas au grand public.

Mais est-ce étonnant quand on comprend les implications cataclysmiques de ces découvertes ?

La clé de l’énigme : le système immunitaire

1 – Un système encore très mal connu

À en croire l’intégralité des articles grand public sur le sujet, le système immunitaire (SI) ne serait qu’un ensemble de « gentils policiers » chargés de poursuivre « les vilains pathogènes ». Il n’est question que de contrôle, de défense, d’attaque et d’entraînement.

Une « machine de guerre » dont chaque rouage n’aurait plus aucun secret à dévoiler… Il n’en est rien. Le système immunitaire est une galaxie inexplorée dont on aperçoit à peine quelques étoiles [4].

C’est ainsi, par exemple, qu’on se garde bien de communiquer sur le fait que le système immunitaire joue un rôle crucial dans le développement et le bon fonctionnement du système nerveux ou du système cardiaque [5]. Et donc, du SI dépend le meilleur… comme le pire, pour le développement de l’organisme [6].

Quelle importance, me direz-vous ? Eh bien, ça change tout ! Absolument tout, et on va voir ça en détail concernant le SI du cerveau.

[Note de Joseph : la notion de système immunitaire provient de la théorie des germes, de son corollaire la théorie virale et de l’idée que l’organisme devait se défendre contre de minuscules agresseurs étrangers tels que les bactéries et les virus. Comme certaines maladies attribuées à ces microscopiques éléments vivants ou pseudo vivants ne semblaient avoir lieu qu’une fois dans la vie d’un individu, la médecine a supposé que le corps s’en trouvait ensuite immunisé, ceci grâce à des composants cellulaires ou protéiques particuliers. Cependant, s’il s’avère — comme l’a pratiquement et scientifiquement démontré le virologue Stefan Lanka — que les virus et les bactéries ne sont pas la cause réelle de telles maladies (voir le dossier Vaccins et virus), mais de simples conséquences d’agressions diverses subies par l’organisme*, alors la notion de système immunitaire devient également caduque et devrait plutôt être remplacée plus judicieusement par celle de système d’autoréparation ou d’entretien du corps.
(* : Les bactéries se comportent en symbiotes vivant normalement en harmonie dans le corps humain et y permettent en particulier l’assimilation de nutriments dans les intestins. Cependant, lorsque leur environnement naturel est plus ou moins gravement perturbé dans ses conditions biochimiques (par exemple par manque d’oxygène), elles se mettent à produire d’autres substances, certaines pouvant être toxiques.
Ce que la virologie a appelé « virus » est naturellement produit par les cellules en manque de nutriment et/ou lorsqu’elles subissent diverses formes d’agression, y compris par des ondes électromagnétiques pulsées telles que le Wi-Fi, la 4G et la 5G.)]

2 – On devrait parler de système Neuro-Immun

Le SI est présent dans tout l’organisme, dans un état de vigilance non active. Lors d’un stimulus immunitaire (blessure, choc, infection, agression chimique, dysfonctionnement de cellules, vaccination…) ce système va réagir : on parle d’activation immunitaire. Cette activation se traduit notamment par la libération de cytokines, des molécules produites par les cellules du SI qui communiquent, amplifient ou inhibent la réponse immunitaire. Jusqu’ici, on est d’accord.

Mais il y a un hic.

Ce que personne ne nous dit, probablement par manque de connaissance sur le sujet, c’est que ces cytokines jouent également un rôle fondamental dans le développement du cerveau [7]. Elles sont nécessaires à chaque étape de sa maturation.

En clair, les mêmes molécules conditionnent le système immunitaire et le système nerveux [8].

Contrairement à la croyance officielle, le système immunitaire et le système nerveux (et donc le cerveau) ne sont pas séparés. Ils sont même carrément interconnectés. Les spécialistes parlent de système neuro-immun [9]. Activer le système immunitaire n’est pas du tout anodin, surtout à certains stades sensibles du développement. Cela peut avoir des répercussions bien plus importantes qu’on le croit.

Voyons ce qu’il en est pour le cerveau en développement.

Activations immunitaires cérébrales précoces

On sait depuis longtemps que le développement du cerveau peut être perturbé par une activation immunitaire précoce [10], et plus précisément par les cytokines générées en cas d’inflammation, qui semblent jouer un rôle clé dans l’apparition des troubles autistiques [11]. Ce mécanisme a fait l’objet de nombreuses études depuis près de vingt ans, à la fois chez la souris, le singe et l’humain [12].

Les cytokines, même produites à distance du cerveau [13], peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) qui protège le cerveau (rappelons que la BHE du nourrisson est immature, plus poreuse que celle de l’adulte) et activer le système immunitaire cérébral : la microglie, les macrophages du système nerveux central. Or, ces cellules microgliales jouent un rôle fondamental dans la construction du cerveau [14] : la concentration en cytokines est critique pour un développement optimal. Une perturbation à ce niveau et c’est la microglie qui s’emballe, causant des troubles dans le développement du cerveau [15].

Plus l’activation immunitaire dure longtemps (voire de façon chronique), plus elle est forte, plus elle est répétée dans le temps… plus le risque d’autisme est grand [16].

Le timing de l’inflammation du cerveau, en fonction du stade de développement, joue un rôle fondamental [17].

Activation Immunitaire Maternelle (MIA)

Un modèle animal a été mis en place depuis 2006 pour étudier l’apparition des troubles du neurodéveloppement. L’idée est d’activer le système immunitaire de la femelle gestante par des injections de produits réactifs non-infectieux [18]. On peut citer les travaux essentiels de l’équipe du Pr Patterson de la prestigieuse Caltech aux USA, qui a mis en évidence ce mécanisme et qui a étudié les répercussions neurologiques de ces injections sur la progéniture [19]. Les résultats étaient si impressionnants que, dès 2006, le Pr Patterson tirait le signal d’alarme au sujet de la vaccination des femmes enceintes :

« Et que fait un vaccin ? Il active le système immunitaire. C’est le BUT de la vaccination. (…) Je pense que la vaccination universelle des femmes enceintes pourrait nous causer toute une série de problèmes » [20].

Leurs recherches, confirmées par d’autres équipes depuis, ont démontré un lien de causalité entre les cytokines pro-inflammatoires IL-6 et IL-17 et l’apparition de troubles autistiques chez la souris, mais aussi chez le singe [21], ainsi que de nombreux troubles associés à l’autisme (dysbiose intestinale, dysfonctionnement des mitochondries, inflammation cérébrale chronique, auto-immunité…) [22]. Chez l’homme, on retrouve des taux élevés de ces cytokines inflammatoires dans le liquide céphalo-rachidien de patients autistes, ainsi qu’une inflammation cérébrale chronique [23] (activation immunitaire permanente du cerveau).

Le « Multiple Hit »

Si une simple activation immunitaire, comme une grippe en cours de grossesse, suffisait à rendre un nourrisson autiste, il est évident que l’histoire de l’humanité aurait été bien différente… Des études récentes ont permis d’approfondir la compréhension du mécanisme en jeu : on observe que l’activation de la microglie, par les cytokines, se fait de façon progressive. La microglie peut en quelque sorte encaisser un certain nombre de stimuli immunitaires, jusqu’à un certain point [24]. Elle s’amorce progressivement avant de s’activer pleinement : on parle d’un modèle de « multiple hit » [25].

Une exposition à des toxiques environnementaux, une inflammation chronique ou une vaccination pendant la grossesse peuvent servir de « premier hit », capable d’amorcer la microglie, la plaçant dans un état de vigilance accrue : on parle d’amorçage. [26] Notons qu’il existe évidemment des susceptibilités génétiques, le fait que l’enfant soit un garçon étant la plus évidente – car les femelles seraient « moins inflammatoires » que les mâles [27].

Avec un deuxième voire troisième stimulus immunitaire, la microglie va s’activer pleinement. Une fois activée, elle va à son tour sécréter des cytokines pro-inflammatoires dont IL-17 et IL-6 [28] considérée comme nécessaire et suffisante pour causer l’autisme [29]. C’est un cercle vicieux : l’activation immunitaire devient chronique et délétère pour le système nerveux central (comme dans les maladies auto-immunes…) [30].

« … tous les facteurs qui modifient le nombre ou l’état d’activation de la microglie, soit in utero ou pendant la période post-natale précoce, peuvent affecter profondément le développement neuronal, entraînant ainsi des troubles neurodéveloppementaux dont l’autisme » [31].

Concrètement, un nourrisson mâle dont la maman aurait un trouble chronique, serait vaccinée et/ou en contact avec des polluants persistants, peut avoir une microglie amorcée in utero, et donc prête à s’activer au prochain stimulus immunitaire y compris après la naissance…

Activation Immunitaire Post-natale

Mais le plus intéressant, si je puis dire, c’est que les recherches récentes mettent en évidence que cet « amorçage », qui peut se faire in utero via « l’Activation Immunitaire Maternelle », peut également se produire après la naissance. Une étude de la Harvard Medical School [32] a testé toutes ces possibilités par des injections non-infectieuses pré et post-natales. Voici sa conclusion :

« Dans la plupart des cas, les effets les plus dramatiques ont été obtenus avec le « double hit » (activation immunitaire de la mère et activation immunitaire post-natale) »
et

« L’activation immunitaire post-natale semble être suffisante pour produire les trois caractéristiques principales de l’autisme ».

Déjà en 2018, l’équipe tentait de tirer le signal d’alarme [33], soulignant dans le résumé d’introduction : « L’activation du système immunitaire pendant le développement pré-natal et post-natal précoce peut contribuer au développement de l’autisme ».

Notez bien, car c’est d’une importance cruciale : toutes ces études ont été réalisées par injection de substances réactives en l’absence d’infection, autrement dit, la présence d’un virus ou d’une bactérie n’est pas nécessaire pour activer le système immunitaire. L’activation immunitaire est bien plus durable (plusieurs mois) en cas de toxiques persistants, comme un adjuvant vaccinal, dont le rôle est précisément d’activer le système immunitaire durablement.

Le rôle de la vaccination dans les troubles du neurodéveloppement

Les vaccinations ont lieu pendant les années cruciales du développement cérébral. La formation des neurones, des cellules gliales, des synapses ou des gaines de myéline commence pendant la grossesse et se poursuit pendant des années après la naissance. Toutes ces étapes peuvent être impactées par une surproduction de la cytokine IL-6 [34] (en particulier la formation des synapses, zones de contact fonctionnel entre les neurones).

Il est donc théoriquement possible qu’un vaccin puisse impacter le développement cérébral. Voyons en pratique.

Les vaccinations ont lieu pendant des phases cruciales du développement cérébral [35]
(calendrier vaccinal états-unien, proche du français)

L’histoire emblématique du vaccin DTCoq

Le lien entre vaccination et inflammation du cerveau (et donc perturbation de son développement) ne date pas d’hier… Le premier signal d’alarme sur le sujet remonte aux années 70, exactement au moment où les vaccins à l’aluminium ont remplacé leurs versions non-adjuvées [36].

Le fameux DTCoq (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche contenant de l’aluminium) est devenu en quelques années le vaccin du scandale, accusé de provoquer des dommages cérébraux [37] et la mort subite de nourrissons [38].

Or, la formule du DTCoq a été modifiée au début des années 70, pour permettre une production à plus grande échelle : l’ajout de l’adjuvant aluminique a permis de produire beaucoup plus de vaccins à partir de la même quantité d’antigènes. Comme d’habitude, le choix des industriels est imposé de force au grand public. Mais devant le nombre de plaintes déposées, les grands laboratoires voient fondre leurs précieux bénéfices : la situation n’est pas tenable.

Les industriels prennent le problème en main :

– Ils envoient ces vaccins « impopulaires », mais très rentables, en Afrique (où ils font encore des ravages [39]).
– Ils modifient la formule du DTCoq (qu’ils recombinent dans les penta et hexavalents) pour dire que tout va beaucoup mieux maintenant, sans avoir à le démontrer…
– Car ils obtiennent l’immunité légale via l’obligation vaccinale [40], afin de ne plus être ennuyés par les réclamations intempestives du public : c’est la collectivité qui paiera les « très très rares » accidents vaccinaux désormais…
– Du coup, les systèmes de pharmacovigilance publics ne sont pas très motivés pour surveiller les signaux d’alarme, ils restent donc passifs, complexes et obsolètes, histoire de ne rien détecter de gênant [41].

Parallèlement à tout cela, on a vu la multiplication du nombre d’injections, mais aussi la dégradation de notre environnement, progressivement envahi par la chimie synthétique [42] et les métaux toxiques. On a surtout pu observer l’explosion exponentielle des cas d’autisme dans la population.

Environnement toxique et vaccins : un cocktail explosif

Il est certain que les systèmes immunitaires des femmes enceintes sont aujourd’hui sollicités en permanence pour gérer la pollution, un stress ou une maladie chronique. Une majorité d’enfants naissent probablement avec une microglie au moins en partie amorcée.

Dans ce contexte délétère, augmenter le nombre de stimulations immunitaires (le nombre de vaccinations obligatoires ou recommandées), ne peut que conduire à une explosion des troubles du neurodéveloppement.

Alors qu’il y a encore quelques années, le corps de la femme enceinte était considéré à juste titre comme intouchable, les autorités sanitaires recommandent désormais aux femmes enceintes de plus en plus de vaccins (certains contenant de l’aluminium, dont on sait qu’il peut traverser le placenta [43]).

Aucune étude portant sur la vaccination de la femme enceinte ne s’intéresse à l’impact de la vaccination sur le développement neurologique de l’enfant (on imagine bien pourquoi).

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir vingt années de recherche disponibles sur un neurotoxique avéré…

Adjuvants aluminiques : une arme de destruction neurologique

On le sait bien aujourd’hui, les particules d’aluminium injectées dans le muscle sont phagocytées par les macrophages du système immunitaire et peuvent migrer dans tout l’organisme (y compris le cerveau) [44]. Ces particules peuvent nuire au développement neurologique de plein de façons différentes !

Neurotoxique et très persistant

L’aluminium, en plus d’être neurotoxique, est aussi très biopersistant, provoquant une stimulation immunitaire de longue durée… ce qui est un danger pour le développement du système nerveux central du nourrisson [45].

Pro-inflammatoire même à distance !

On sait qu’une vaccination adjuvée à l’aluminium peut provoquer la sécrétion de la cytokine IL-6 dans le cerveau de rats nouveau-nés [46]. Et on l’a vu, IL-6 est « nécessaire et suffisante » pour causer des troubles du neurodéveloppement [47].

Une étude de UC Davis [48] a observé qu’une simple injection d’adjuvant aluminique (seul ou dans un vaccin) chez le jeune rat causait une augmentation d’IL-6 dans le cerveau.

En clair, l’aluminium n’a même pas besoin d’entrer dans le cerveau : en déclenchant une inflammation dans le muscle, au site d’injection périphérique, il peut activer durablement la microglie cérébrale, via la sécrétion de cytokines (en particulier IL-6) [49].

Mais ce n’est pas tout…

Cette toxicité à court terme est renforcée par une toxicité retardée, due à la pénétration cérébrale des adjuvants aluminiques, qui peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) en cas d’inflammation ou chez le nourrisson dont la BHE est immature. Certains produits contenus dans les vaccins pédiatriques, comme le polysorbate 80, permettent d’améliorer la porosité de la BHE… afin de faciliter l’accès au cerveau ? [50]

Le fait que la vaccination puisse provoquer une inflammation cérébrale, donc une augmentation du niveau de cytokines pro-inflammatoires, est aujourd’hui bien documenté, une revue sur ce sujet précis existe. [51]

Un dernier pour la route ?

L’autre facteur représentant un danger pour le développement neurologique est finalement la fréquence des injections : plus le système immunitaire est stimulé en intensité, en durée, mais aussi de façon répétée, plus la microglie a de chance de s’activer pleinement.

En clair, tout, absolument tout est fait pour activer au maximum la microglie des nourrissons et provoquer des troubles du neurodéveloppement : un environnement pollué, des activations immunitaires précoces et fréquentes, des croyances médicales obsolètes, des connaissances scientifiques totalement ignorées… voire censurées [52].

On voudrait causer ces troubles, on ne s’y prendrait pas autrement.

Vaccination de la femme enceinte

Pour finir, faisons un petit point sur la vaccination chez la femme enceinte. Je passe sur le « vaccin » anti-covid qui a déjà fait couler beaucoup d’encre [53].

Depuis avril 2022, la HAS recommande la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche à chaque grossesse (même si la femme a été vaccinée peu de temps avant la grossesse) afin de protéger les nouveau-nés et les nourrissons de moins de six mois [54]. Les vaccins recommandés sont généralement des tétravalents (Diphtérie Tétanos Coqueluche Polio) à l’aluminium.

Que sait-on de la sécurité de cette vaccination ? Sans grande surprise, pas grand-chose. Les études financées par les grands labos [55] sont bien évidemment rassurantes puisque tous les effets indésirables sont considérés comme non relatifs à la vaccination. Les bébés, eux, n’ont été observés que pendant un mois… et bien sûr, la question de leur développement neurologique n’a effleuré personne… Rappelons que l’âge moyen du diagnostic d’autisme est de 50 mois [56].

Mais alors, que sait-on de l’efficacité de ce procédé : vacciner la mère pour protéger l’enfant ? C’est là que ça se complique. Les labos nous disent qu’un transfert des anticorps anticoquelucheux maternels s’opère chez le nouveau-né. Peut-on réellement en conclure que l’enfant est mieux protégé contre la maladie ? Rien n’est moins sûr : de façon générale, la vaccination contre la coqueluche a été décriée dans la communauté scientifique ces dernières années, accusée d’être trop peu efficace [57]. Une étude de 2019 [58] conclut même que les enfants vaccinés seront plus sensibles à la maladie, tout au long de leur vie.

Mais le plus perturbant, c’est que les chercheurs (en lien avec l’industrie) semblent avoir décelé une potentielle interférence entre les anticorps de la mère et ceux de l’enfant vacciné, comme en témoigne cet échange entre la Pr Helen Petousis-Harris, vaccinologue membre du GAVSC de l’OMS, et Stanley Plotkin, surnommé le « parrain des vaccins », probablement l’une des plus grandes sommités dans le domaine.

Dans ce mail datant du 17 juillet 2019, Helen explique que, dans deux études de cohorte qu’ils viennent de réaliser, les enfants nés de mères vaccinées pendant la grossesse sont plus sensibles à la coqueluche, une fois vaccinés à six semaines.

On dirait bien un exemple de « facilitation de l’infection par les vaccins », comme on l’a vu pour le vaccin contre la dengue… ou le covid [59]. La vaccination des mères semble donc nuire à l’enfant, y compris en termes de protection contre la coqueluche : une forte concentration d’anticorps ne signifie pas que l’enfant est protégé. Peut-être même le contraire.

Mais ce qui est très étrange, c’est que le jour même, Mme Petousis-Harris envoyait pour publication cette étude de cohorte [60] dont elle parle… et qui ne mentionne absolument rien concernant ce « petit » problème de facilitation de l’infection…

Le grand public n’a de toute évidence pas besoin de savoir.

Conclusion

Je ne peux pas m’empêcher d’y penser… Si un vaccin peut causer une activation microgliale et que celle-ci devient hors de contrôle… cette inflammation cérébrale ne pourrait-elle pas conduire aux signes cliniques observés chez les enfants victimes du « syndrome du bébé secoué » sans qu’il y ait le moindre choc [61] ? Que penser alors de tous ces cas d’assistantes maternelles [62], bien évidemment formées au danger de secouer un bébé, et autres parents accusés d’avoir maltraité leurs enfants… alors qu’une vaccination pourrait être responsable de ces lésions cérébrales ? [63]

À la lecture de la revue du Dr Crépeaux et de son équipe (réalisée notamment grâce aux dons du public, je le souligne) et de la littérature dans son ensemble, une chose me paraît évidente : tous les ingrédients sont réunis pour nuire au bon développement neurologique d’un maximum d’enfants. Il me semble que la médecine est passée du côté obscur de la force, depuis très longtemps : en maintenant des croyances non fondées scientifiquement, au prétexte que la vaccination serait aussi incritiquable qu’un dogme religieux, on condamne une partie grandissante de l’humanité à vivre coupée d’elle-même, avec des cerveaux qui ne sont pas ceux qu’ils auraient dû avoir, avec des troubles chroniques qui ne permettent pas l’accès au bien-être physique et mental, pour la majorité des autistes… et leurs proches [64].

Nous sommes au milieu d’une guerre de l’information : chaque personne qui comprend les enjeux et a accès à ces données doit agir pour la diffusion de ce savoir, en particulier auprès des médecins. Nous avons absolument tous un rôle à jouer dans cette histoire.

– Les chercheurs qui, contre vents et marées, produisent la connaissance, sans savoir s’ils auront encore des financements l’année prochaine. N’hésitez pas à les soutenir : ce sont eux qui nous permettent de comprendre ce qui se passe réellement : https://www.helloasso.com/associations/association-e3m/formulaires/3
– Les médias alternatifs, les associations de patients et les citoyens qui lisent cette science et tentent de la transmettre au public le plus large possible.
– Les activistes qui déterrent des informations dissimulées au public
– Les soignants capables de remettre en question leurs croyances… et qui en paient le prix fort.
– Les parents qui luttent pour protéger leurs enfants de cette barbarie… ou pour les soigner (car oui, c’est possible).

C’est exactement ce que nous montrent les événements de ces deux dernières années. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette histoire. C’est notre histoire. Et personne d’autre que nous n’a le droit de l’écrire à notre place. Alors n’hésitez pas à faire passer le message à tous les médecins, infirmiers, pédiatres, pharmaciens que vous croiserez :

« Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités,
peuvent vous faire commettre des atrocités. »

Anonyme

Hypatie A
Octobre 2022




Réponse de LHK à la censure : le livre Dépossession est en ligne pour une lecture libre

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam

Ami lecteur, j’en suis venue à me résoudre à poster le PDF de Dépossession en lecture libre sur ce site. Pourquoi ? Parce que mes travaux dérangent plus que jamais une micro-élite qui fait ce qu’elle peut pour empêcher mon travail d’atteindre le public. Souvenez-vous de cette publication de 2020…

https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/22/au-sujet-de-la-censure-et-du-plagiat-de-mes-livres/

Par conséquent, mettre Dépossession en ligne est un acte de rébellion soft face à des dinosaures qui ne m’impressionnent pas.




Suspensions, censures et science en déroute

[Source : Ligne Droite]

La généticienne et spécialiste de l’ARN revient sur le premier anniversaire de la suspension des soignants à cause de la politique sanitaire menée par nos gouvernants depuis deux ans.




Avec Roland Gori, relancer la pensée vers de nouvelles utopies

Par Nicole Delépine

En écho à l’appel des appels de Roland Gori, ici une suggestion pour le lire, l’écouter, puis penser, et aller mieux.

Roland Gori1, comme d’autres veilleurs, est-il l’équivalent du canari dans les mines qui guettait le danger comme il le raconte ? L’écouter fait toujours du bien, car il nous rappelle déjà la nécessité pour soi-même et son équilibre de penser, de lire, de réfléchir et ensuite de confronter ses idées avec d’autres. Et si l’on est en désaccord avec certaines positions, qu’importe, l’essentiel est de discuter avec les autres, avec soi-même, de redevenir humain et non machine obéissante et soumise.

Écoutez cette vidéo de 2020 sur son livre : «  et si l’effondrement avait déjà eu lieu »2

Prenez le temps, il sera gagné !

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu : l’étrange défaite de nos croyances3

S’adapter à l’époque, à ses rythmes et mutations, s’impose comme un impératif dans nos sociétés contemporaines.

Dans ces adaptations sociétales, néolibéralisme et scientisme œuvrent au service d’une idéologie du progrès qui semble sans limites. Pris dans une logique du court terme faisant abstraction du temps et de l’espace, le sujet contemporain se trouve contraint à l’adaptabilité, entravé dans sa capacité à penser, à projeter, à créer…

Les crises écologiques et sanitaires actuelles interrogent tout particulièrement ce rapport au monde et à l’humain. S’y associent des discours sur l’effondrement qui ne sont pas sans effet.

Dans son ouvrage intitulé : « Et si l’effondrement avait déjà eu lieu ? L’étrange défaite de nos croyances », Roland Gori nous invite à appréhender et penser l’effondrement, dans une nécessaire articulation entre passé, présent et futur. Relancer la pensée… vers de nouvelles utopies…

Et je dirai pour chacun d’entre nous… Prenons le temps de lire, d’écouter, de réfléchir, il ne sera pas perdu… Sans oublier de lire « la fabrique des imposteurs ».

Appréhendons l’univers de Roland Gori à travers quelques interviews.

Roland Gori : « Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer »4

De « l’Appel des appels » en 20095, à son dernier ouvrage, Un monde sans esprit. La fabrique des terrorismes, en passant par La dignité de penser, La folie évaluation (Les nouvelles fabriques de la servitude) ou L’individu ingouvernable, Roland Gori, apporte sa contribution à l’agora politique.

Question : Vous avez récemment affirmé que plus personne ne croit que le libéralisme puisse réduire les inégalités. Est-ce à dire que le libéralisme est moribond et que la question du « progrès social » par exemple va pouvoir être posée dans de nouvelles conditions ?

R. G. :

« Depuis le début, le libéralisme fait fausse route sur sa conception de l’Homme, il fait l’impasse sur le besoin de reconnaissance sociale, symbolique. Après l’effondrement du Mur de Berlin et l’effondrement du discours révolutionnaire, il y a eu une autoroute pour l’ultralibéralisme ou le néo-libéralisme qui, aujourd’hui, est en train de se discréditer.

Le discours sous la forme du néo-libéralisme des années 1980-1990 n’est plus crédible et on aboutit à une crise qui rappelle la phrase de Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Toutes les affaires qui sortent aujourd’hui mettent en évidence l’état d’un système qui se révèle hypocrite. On fait l’impasse sur le besoin de partager une expérience sensible, une certaine conception de la liberté.

La crise des valeurs libérales de la fin du XIXe siècle a débouché sur la Première Guerre mondiale, dans l’entre-deux-guerres, elle a débouché sur l’émergence de partis totalitaires, qui n’ont pas tenu leurs promesses par rapport à des populations humiliées. On voit comment ces partis ont récolté toutes les colères, les frustrations.

Aujourd’hui, on assiste à l’émergence de nouveaux fruits de cette crise avec Daech, Al-Qaïda, mais aussi le regain des nationalismes avec Trump, le Brexit d’une certaine façon, la montée de l’extrême droite en Autriche, certains gouvernements d’Europe centrale. Nous ne sommes pas dans une situation identique à celle des années 30, mais cela lui ressemble étrangement. D’où l’urgence de proposer une autre conception philosophique, une autre conception de la vie en société. On peut parier sur le progrès social, sur d’autres manières de travailler, de vivre ensemble.

La révolution numérique peut être une chance pour se parler, pour innover, même s’il y a aussi un risque de confiscation du monde, du savoir-faire et du savoir de l’artisan et de l’ouvrier, par le mode d’emploi de la machine.

C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de lancer le « Manifeste des oeuvriers » avec le journaliste Charles Silvestre et le musicien Bernard Lubat. Il s’agit de restituer cette dimension d’œuvre alors que le travail est taylorisé, même chez les médecins, les infirmières, les enseignants, les magistrats où les activités sont de plus en plus semblables à des actes standardisés.

: Vous avez été l’initiateur de « l’Appel des appels » il y a huit ans. Quel chemin a été parcouru depuis selon vous ?

“Aujourd’hui, on voit bien avec « Nuit debout » et les tentatives de culture alternative qu’il y a un peu partout une remise en cause de cette civilisation néo-libérale qui, de mon point de vue, est à l’agonie, Macron relevant de la bulle politique spéculative. Il y a un discrédit du modèle, on y croit de moins en moins. L’échec du gouvernement a été de continuer avec un logiciel à peu près identique. En somme, on veut nous obliger à être pratiquants alors que nous ne sommes plus croyants (…)

L’idéologie libérale a réussi à dévaloriser le mot même d’utopie. Est-ce que ce n’est pas la source du problème ?

« C’est un mot traité de manière péjorative, non pas comme une fiction romanesque. Il y a une interdiction de rêver. Or, si un homme ne peut pas rêver, il crève. Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer. Je crois qu’un des mérites de la ligne de Pierre Laurent est d’inviter à des débats pour construire des projets. Il faut remettre l’utopie au cœur du discours politique. »

[NDLR : à propos d’utopies,
voir Manifeste pour un nouveau monde]

Réflexions de Jalil Bennani — extraits

L’effondrement dont il s’agit dans cet ouvrage6 est celui de nos catégories de pensée et de notre rapport au temps, du lien entre passé, présent et futur. (..) Il nous montre avec une grande érudition, en s’appuyant sur de nombreux exemples historiques, que les crises résultent d’une rencontre entre un événement et des conditions sociales. Il dénonce avec force l’impréparation de nos sociétés face à un facteur environnemental.

… « l’idée de catastrophe, la catégorie de l’effondrement, constituent le retour du refoulé qui se glisse dans le discours d’une civilisation de l’instant, l’irruption d’une temporalité que l’on veut méconnaître à la hauteur de l’oubli de la mort ». Les causes des catastrophes sont bien les inégalités sociales, l’atteinte à la dignité humaine, la dérégulation de la planète, la course à la rentabilité, les exigences toujours plus grandes de productivité et d’utilitarisme.

Parmi les questions qui m’ont fortement interpellé dans ce livre, je retiens celle relative à « l’homme machine ». Tout au long de ses recherches, Roland Gori a été fasciné par le texte de Tausk7, « La genèse de la machine à influencer au cours de la schizophrénie ».

La construction délirante est la véritable machine qui persécute le schizophrène et elle est isomorphe au corps, plus précisément au fantôme d’une totalité du corps à même de contenir et de donner un sens à ses cénesthopathies. J’avais dans les années quatre-vingt montré dans mon ouvrage Le corps suspect, à quel point l’ouvrier, dont le destin était brisé à la suite d’un accident du travail, s’exprimait comme si son corps était une machine.

La subjectivité est cachée et profondément réprimée. Le patient en appelle à une solution technique.

Ce corps sans plaisir interroge l’imaginaire du corps médical qui a montré bien des résistances aux notions freudiennes. Un corps auquel il n’a été demandé que d’être corps-machine a accepté ce contrat. En cela, il a rejoint la machine industrielle et la machine médicale.

Une machine objectivante et normalisante.8

Robert Linhart a vécu cette expérience en devenant ouvrier spécialisé dans l’usine Citroën de la Porte de Choisy à Paris, en 1968. Il a fait partie des centaines de militants intellectuels qui s’embauchaient dans les usines. Il raconte les rythmes, les méthodes de surveillance et de répression. L’auteur rapporte qu’il n’a jamais autant perçu le sens du mot « économie ». Économie de gestes, de paroles, de désirs. Il faut s’être frotté à cette réalité matérielle pour prendre conscience de sa dureté, des souffrances, des risques et de la mise à disposition du corps au profit de la machine.

Roland Gori rappelle bien dans son ouvrage le « spectre » qui hante nos sociétés, la situation des plus pauvres, des plus vulnérables parmi lesquels figurent les migrants. Ils « viennent de notre futur pour hanter notre présent », écrit-il. Sa réflexion sur le temps s’avère ici essentielle : ‘Penser la catastrophe supposerait que nous puissions changer notre rapport au temps.  Nous sommes aujourd’hui dans un paradoxe : en même temps que l’on nous enjoint de penser à l’avenir, nous nous trouvons contraints par « l’actualisme technique » de la civilisation des machines. Il dénonce « la religion positiviste » qui vient au service de l’industrie et dont nous sommes les héritiers : « C’est sur les ruines de cette révolution symbolique avec ses exigences de productivité, d’utilitarisme, de positivisme et d’efficacité louant la force et la raison instrumentale que se profilent les risques d’effondrement ».

Roland Gori relève très justement que le sujet de la psychanalyse a « besoin des normes de son époque pour pouvoir se les réapproprier et les trahir ». Comme l’artiste, le psychanalyste est témoin et acteur de son époque.9

… L’art, comme la vie, est une réparation par les émotions qu’il produit et des juxtapositions des images, des représentations, des installations… Alors que dans les cultures occidentales modernes, la réparation vise à revenir à l’état original, dans les cultures extra-occidentales traditionnelles la réparation procède de l’inverse. Roland Gori écrit très justement : « La vie moderne est une invitation à effacer les traces ». Cacher, masquer la suture d’un objet réparé est une prétention à revenir à l’identique, ce qui est impossible ou pure illusion…

Roland Gori articule avec brio les notions d’individuel et de collectif, en évitant toute confusion entre l’agent social et le sujet de la psychanalyse.

Et la référence à Winnicott apporte un étayage essentiel à l’ouvrage : « Le traumatisme a bien eu lieu, mais à un moment où, pour une raison ou pour une autre, le patient n’était pas en mesure de l’éprouver… à ce moment de son histoire, il n’avait pas la possibilité d’intégrer le traumatisme qui surgissait », la crainte de l’effondrement devenant alors une tentative de donner au traumatisme une existence psychique et sociale.

(…) Le traumatique est déjà là, avant qu’un événement ne lui permette de se révéler. Roland Gori s’appuie sur Winnicott pour poser cette hypothèse : les effondrements que nous craignons voir advenir dans le futur ou le présent ont déjà eu lieu. Ce qui s’est effondré c’est notre cadre mental, symbolique, psychique pour penser le monde, pour nous penser, ce qui justifie le sous-titre de l’ouvrage L’étrange défaite de nos croyances.

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu est un ouvrage fort, psychanalytique, philosophique, sociologique, politique. L’auteur, initiateur de l’Appel des appels, un collectif national « pour résister à la destruction volontaire de tout ce qui tisse le lien social », nous invite à une réflexion riche et incontournable pour inventer de nouvelles catégories de pensée, repenser notre rapport au temps, le lien entre passé, présent et futur, nos oublis, nos croyances.

Sandre Evrard nous livre une autre approche de la pensée de Roland Gori et son analyse de la gestion de la crise du Covid :

« Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir » – Le Comptoir 10

Le Comptoir : Vous avez longtemps traité de la question de l’importance du rapport au patient, du dialogue et des affects mis à mal par un type de modernité asséchante et scientiste. Est-ce que ces mesures autoritaires prises pour lutter contre la covid-19 ne viennent pas justement mettre en place une biopolitique qui renforce la négation du citoyen en tant que sujet — et partant porte atteinte à la démocratie, qui est certes un ordre politique, mais aussi quelque chose qui s’ancre dans les mœurs de l’individu ?

Roland Gori :

Notre modernité accroît une hégémonie culturelle, celle de la rationalité instrumentale qui tend à exploiter les individus et le vivant comme un stock d’énergie à exploiter à l’infini.

D’où les problèmes actuels dont on ne dit pas suffisamment quelle part est la nôtre dans l’émergence des épidémies par nos modes de vie et nos industries qui modifient notre biotope. Nous sommes prisonniers de valeurs et d’un système de pensée qui datent du début des sociétés thermo-industrielles. Ces astres morts continuent à nous éclairer et les normes qu’ils prescrivent contribuent à la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons.

Alors, plutôt que de remettre en cause ces normes dont le système de pensée s’effondre, les pouvoirs préfèrent gérer la crise sanitaire avec les moyens traditionnels de la biopolitique des populations.(..).

Mais le problème demeure, d’abord parce que cette prise en charge concerne le court terme et méconnaît que nous sommes actuellement dans ce que l’on appelle une « transition épidémique », c’est-à-dire une transition culturelle qui s’accompagne toujours de l’émergence des épidémies. Ensuite, au lieu de mobiliser les communautés, les peuples, pour lutter contre la pandémie, les pouvoirs politiques gèrent bureaucratiquement et algorithmiquement les populations avec l’arsenal des moyens de la santé publique, de l’épidémiologie et des nouvelles technologies.

C’est la même langue technocratique qui tend à se mondialiser avec des dialectes différents selon les pays et les régimes politiques. Il n’y a pas de représentants des sciences sociales et humaines dans les Conseils de crise, ce qui est significatif d’un déni du caractère social, culturel et psychologique de la crise.

Ce qui passe à la trappe dans cette approche de la pandémie, c’est le sujet singulier du colloque médical comme le concept de peuple, un peuple souverain de ses responsabilités politiques et sociales, un sujet responsable et solidaire.

À la place vous avez la notion de population qui fait de chaque individu un « segment de population statistique » et du peuple une « collection de catégories statistiques » dépourvue de toute dimension politique. Là est la vraie atteinte à la démocratie et pas dans les « gestes barrières », il faut prendre un peu de recul.

« L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent. »

À cette défaite de la solidarité sociale et de la responsabilité subjective s’ajoute la notion d’opinion publique, notion qui témoigne de la dégénérescence des concepts et des moyens de penser le collectif.

Cette façon de faire appel aux experts pour justifier tout et son contraire, ces discours contradictoires, mais surtout ces appels au civisme et ces consignes comme « se laver les mains » ou « bien aérer la fenêtre »… Sans parler de ces lois qui semblent impossibles à respecter – et poussent ainsi à leur irrespect. Ne peut-on pas parler ici d’infantilisation ? Le cas échéant, quelles pourraient être les conséquences d’une telle infantilisation ?

… Depuis le XIXe siècle, l’hygiène publique joue deux rôles au moins qu’il ne faut surtout pas confondre. D’une part elle tend à éviter aux humains de tomber malades grâce à un dépistage et à une prévention des facteurs de risques des maladies.

Et, d’autre part elle tend à se transformer en « bible » des conduites, en « orthographe » des comportements en « pathologisant » les moindres des anomalies de comportement.

La notion « molle » de « troubles du comportement » arrive à point nommé pour séquestrer le plus de monde possible dans des dispositifs de contrôle et de normalisation des citoyens.

La néo-psychiatrie est devenue une hygiène du corps social en vue de contrôler et de normaliser, ce n’est pas la même chose que de dépister les facteurs de risques des épidémies et les moyens de s’en protéger. Ce serait une grave erreur. L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent, au contraire.

Le politique s’est réduit toujours davantage à une « conduite de conduites » rationalisées en vue d’une production économique et industrielle, un « déblocage épistémologique » comme dit Michel Foucault, qui a permis à la médecine d’étendre à l’infini son pouvoir et son champ de compétence en se mettant au service des pouvoirs. C’est cette « médicalisation de l’existence » que Michel Foucault appelle biopolitique, bio-histoire, somatocratie, dans son essai Naissance de la biopolitique. Cet usage social des savoirs médicaux ne doit pas être confondu avec les découvertes et les soins des praticiens.

« Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’“expertise” à laquelle les “experts” se sont livrés au moment de la pandémie. »

L’impression d’infantilisation dont vous parlez est davantage une réaction morale qu’une action politique à la perversion sociale et politique des savoirs médicaux. Ce serait se tromper de cible que de s’en prendre aux mesures sanitaires plutôt qu’au pouvoir en place. Bien au contraire les savoirs médico-biologiques peuvent contribuer à la résistance politique en interrogeant les pouvoirs sur leurs choix décisionnels : pourquoi laisser les grandes surfaces ouvertes et fermer les lieux culturels ? Pourquoi entasser les gens dans des transports en commun et fermer les amphithéâtres ? Pourquoi avoir externalisé la fabrication du matériel sanitaire (masques, tests, respirateurs, médicaments…) en faisant prévaloir les intérêts privés sur le Bien Public ?

L’hygiène publique a aussi, dès la fin du XIXe siècle, servi les intérêts du peuple en obligeant les puissants à reconnaître le rôle des facteurs environnementaux dans la fabrique de maladies (professionnelles en particulier ou le mal-logement).

Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’« expertise » à laquelle les « experts » se sont livrés au moment de la pandémie. Ils n’étaient plus savants, mais « experts » et se sont trouvés associés à la crise d’autorité des politiques. Politiques et experts ont ainsi pris les vices de la « société du spectacle » pour reprendre le concept de Guy Debord. Les informations que les politiques et les scientifiques nous ont offertes se sont transformées en « marchandises » vendues à l’opinion publique à la cantonade des réseaux sociaux et des médias afin d’en capter des parts de marché.

Vous avez beaucoup travaillé sur la question de la normalisation des comportements notamment par l’usage abusif de la raison scientifique, mais aussi par celui des statistiques. Que vous inspire cette façon de faire la politique gouvernée par les statistiques et les modèles ? Peut-on voir là aussi une façon de « nous faire taire » pour reprendre vos mots, de fabriquer du consentement et de l’adhésion, car ce qui a été fait serait fait « pour notre bien » ?

Depuis le début du libéralisme, les pouvoirs politiques ont joué sur deux leviers pour conduire la conduite des citoyens : l’économie et l’opinion au nom desquelles ils rationalisent les comportements et fabriquent des habitus, au sens de Pierre Bourdieu, des schémas de pensée et d’action. La rationalité technoscientifique et les statistiques (qui signifient étymologiquement « en rapport à l’État ») sont au premier plan dans cette manière de gouverner au sein d’un univers désacralisé, désenchanté. De fait, les prescriptions d’hygiène publique apparaissent comme un ensemble de règles établies et codifiées par le savoir médical et scientifique qui sert à réguler socialement la société et à conformer les comportements par une soumission sociale librement consentie, car scientifiquement incontournable. C’est le nouage diabolique qui s’est alors historiquement établi entre le capitalisme (néo)— libéral et les savoirs et les pratiques biopolitiques.

… Il s’agit pour les citoyens de se réapproprier une démocratie confisquée par la technocratie et la propagande de la com’ qui fait de l’information une marchandise. Il faut donc décider, mais pas décider dans un individualisme de masse assassin et suicidaire, non, décider démocratiquement par plus de science, plus de parole et plus de responsabilité.

Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir. La population c’est le peuple moins la politique, un capital humain sans humanité, il faut rétablir l’humanité.

L’opinion publique, c’est le peuple transformé en marchandise, transformé en consommateurs, il faut remettre du politique et dénoncer un pouvoir qui prend ses décisions aux sondages d’opinion !

… La résistance à cette normalisation sociale insidieuse, à cette infantilisation, elle passe par la restitution de la vérité en sciences et en politique, vérité adultérée par le capitalisme néolibéral. Face aux virus et aux épidémies, c’est la fraternité et la solidarité qui prévalent. On ne s’en sortira pas autrement, car nous entrons dans une ère de turbulences, une période de « transition épidémique » dont la pandémie de covid-19 est la sentinelle.11


1 Roland Gori est psychanalyste et professeur émérite de psychopathologie à l’université d’Aix Marseille.

« Un monde sans esprit. La fabrique du terrorisme », « L’individu ingouvernable », « La dignité de penser », « La santé totalitaire, essai sur la médicalisation de l’existence ».

Engagé dans les débats d’actualité de notre société, il plaide notamment pour « des sciences encore humaines » et s’oppose aux « dérives du scientisme » notamment en psychiatrie et plus largement à « l’instrumentalisation de l’humain ».

2 Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu. L’étrange défaite de nos croyances, Les liens qui libèrent, été 2020, 304 pages, 20 €, ISBN : 979-10-209-0864-3.

3 Vendredi 29 janvier : Visioconférence de Roland Gori autour de son dernier livre (appeldesappels.org)

4 LA MARSEILLAISE / MARSEILLE / 13/02/2017 | et Jean-François Arnichand

« Politis », n° 1438, du 26 janvier au 1er février 2017.

5 L’Appel des Appels

Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l’éducation, de la recherche, de l’information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d’Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée bafouée par une société du mépris.

6 [Chronique] Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu, par Jalil Bennani (appeldesappels.org)

7

8 Lire l’ouvrage L’établi de Robert Linhart bouleversant qui raconte ce que représente, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Il montre de manière étincelante le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets, ce que Marx appelait les rapports de production.

9 Lire Kader Attia, un artiste de son temps qui a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2016. Ses recherches socioculturelles l’ont conduit à la notion de réparation, un concept qu’il a développé philosophiquement dans ses écrits et symboliquement dans son œuvre.

10 PAR GALAAD WILGOS LE 18 MARS 2022

11 Voir aussi Podcast de France Inter où Roland Gori affirme que « le Progrès est un mirage » et une « doctrine de paresseux »

Tribune de Roland Gori dans L’Humanité : « Je suis en colère »

“Attention au relâchement” : l’infantilisation de masse comme stratégie politique, sur la revue Frustration

Roland Gori et Marie José Del Volgo, 2005, La santé totalitaire. Essai sur la médicalisation de l’existence, Paris, Flammarion, 2008.

R. Gori, De la société d’imposture au courage de la vérité, Conférence à Bordeaux, Colloque 24 février 2021.

Max Weber, 1904-1905, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, Pocket, 1991.




La guerre avance selon le plan de la Rand Corporation

[Source : mondialisation.ca]

Par Manlio Dinucci

États-Unis, Union Européenne et d’autres pays ont jusqu’à présent « donné » à l’Ukraine environ 100 milliards d’euros de fournitures militaires. C’est de l’argent qui, directement ou indirectement, sort de nos poches. Ce chiffre est en augmentation continue. L’Union Européenne entraînera 15 mille militaires ukrainiens dans deux camps en Pologne et dans un autre état membre.

Au sommet OTAN des ministres de la Défense, le secrétaire général Stoltenberg informe : « À la suite du sabotage des gazoducs Nord Stream, nous avons doublé notre présence en Mer Baltique et en Mer du Nord à plus de 30 navires ». Ce qu’est la matrice de l’attaque est confirmé par le fait qu’on a empêché la société Gazprom russe, co-propriétaire du Nord Stream, de participer aux enquêtes sur les explosions sous-marines. 

Moscou a les preuves que, en plus de saboter le Nord Stream, on a tenté de faire exploser le gazoduc Turkstream, le seul intact pour transporter le gaz russe en Europe. Malgré l’assurance de Stoltenberg que “l’OTAN n’est pas une partie en cause dans le conflit”, les preuves existent que les plus de 22 tonnes d’explosifs utilisées pour l’attentat du pont de Crimée, ont été expédiées depuis l’Ukraine à travers la Bulgarie, pays de l’OTAN.

Alors que la Russie se déclare prête à des négociations pour une solution politique, le G7 ferme toute tractation en posant comme condition préliminaire le « retrait complet et inconditionné » de la Russie hors d’Ukraine. Simultanément l’OTAN procède en Europe, dans la semaine du 17 au 23 octobre, à la manœuvre de guerre nucléaire Steadfast Noon au bord du territoire russe. Y participe aussi la Pologne, qui demande à avoir des armes nucléaires USA sur son propre territoire.

La guerre avance selon le plan élaboré en 2019 par la Rand Corporation pour le compte du Pentagone : “Attaquer la Russie sur son flanc le plus vulnérable, celui de son économie dépendante de l’exportation de gaz et pétrole. Opérer pour que les pays européens de l’OTAN augmentent leurs propres forces dans une fonction anti-Russie. Déployer en Europe des bombardiers stratégiques et des missiles nucléaires dirigés contre la Russie. Fournir des aides létales à l’Ukraine en exploitant le plus grand point de vulnérabilité extérieure de la Russie”. 

Manlio Dinucci

Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo de vendredi 14 octobre 2022 à 20H30 sur la chaîne italienne nationale Byoblu https://www.byoblu.com/category/grandangolo-pangea/

Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio

Image en vedette : Capture d’écran. almayadeen.net, 28 mars 2022

Pour aller plus loin lire :

Rand Corp : comment abattre la Russie

Publié pour la première fois le 21 mai 2019

La source originale de cet article est Grandangolo – Byoblu.com
Copyright © Manlio DinucciGrandangolo – Byoblu.com, 2022




Femmes enceintes, enfants allaités : l’injection anticovid19 est dangereuse. INFORMONS !

LA PUB pour l’injection revient sur les chaînes de télé et de radio !!!
ATTENTION DANGER !

Nous en avions parlé il y a bien longtemps dès 2021 lorsque les données du VAERS avaient rapporté des drames déjà signalés par les femmes enceintes. Mais curieusement la gent féminine soumise a continué, pour trop d’entre elles, à se laisser injecter sous de terribles et scandaleuses pressions, par ce poison terrible, tant pour elles-mêmes que pour leurs bébés.1

Ce 12 octobre 2022 sur Telegram, cette vidéo déjà connue d’un bébé qui doit souffrir… Remarquez son regard noir très éveillé, caractéristique https://t.me/c/1366813323/439694

Déjà début 2021 un rapport du VAERS signalait une tragédie : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez

AMPUTER des enfants à naître dans l’utérus… la cruauté est irréelle : Le bras d’un nouveau-né AMPUTÉ après que la mère ait pris des vaccins contre le virus COVID et que le bébé ait souffert de caillots sanguins dans l’utérus. — France Medias Numérique

Publié par Augustin Hamilton le 14/12/2021 15:17

« “Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène(.), son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque”.

Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une “exposition transplacentaire” au vaccin ARNm

Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021. »

Un rapport du VAERS décrit un bébé de cinq mois qui était allaité et est décédé d’un trouble hémorragique auto-immun rare, le purpura thrombocytopénique thrombotique (PTT), après avoir développé une éruption cutanée le jour suivant la vaccination de sa mère par COVID.2

Et les informations se multiplient avec des chiffres ahurissants depuis bientôt deux ans.

L’info du jour d’octobre 2022 nous vient d’Allemagne :

« Le gynécologue-obstétricien James Thorp3 dit ce qu’il remarque chez ses patientes enceintes. Le nombre de fausses couches s’est multiplié. Il enregistre de nombreux cas d’anomalies fœtales, cardiaques en particulier.

Parfois, les anomalies entraînent un arrêt cardiaque, a expliqué Thorp. Il y a aussi de nombreux problèmes avec le placenta, qui bloquent la croissance du fœtus.

Nous avons vu une mortalité fœtale, une croissance anormale des organes et bien plus encore”, a poursuivi le gynécologue.

Il est convaincu que de nombreux enfants souffrent de VAIDS (Vaccine Acquired Immunodeficiency Syndrome), à cause du thymus, très grand chez le fœtus (très petit chez un adulte).

Le thymus est nécessaire au premier contact du corps avec un antigène pour déclencher la réaction des cellules T. La protéine Spike du vaccin s’accumule dans le thymus, entre autres, après une vaccination Covid ».

Et les commentaires, nombreux, confirment ce que tous ceux qui veulent bien parler avouent :

« Je suis naturopathe, et que ce soit mon entourage, les clients… je constate aussi pour beaucoup de problèmes lors de grossesses, il y a beaucoup de préma[turés], de soucis médicaux sur les enfants, de malformations plus ou moins importantes, de femmes alitées ou en arrêt très tôt pour divers soucis… malheureusement ce n’est que le début »

par Van MGL

Ou encore par Patricia Chaibriant :

« les bébés qui ont reçu le vaccin sont à classer dans la catégorie “génétiquement modifiés” comme les jumelles chinoises et leur avenir est derrière eux. »4

Dès juin 2022, l’Australie qui fut pourtant un des pires covidistes de la planète avoue :



Notons sur le VAERS à la date du 30 09 2022

162 enfants de moins de 18 ans décédés.

Oui, l’allaitement par une mère vaccinée fait des risques au le bébé et on le sait depuis des mois…

Après la découverte de traces du vaccin COVID-195 dans le lait maternel de femmes ayant récemment accouché, une nouvelle analyse a révélé6 un problème préoccupant7: 648 cas d’effets secondaires et 3 décès signalés chez des nourrissons allaités dont les mères avaient reçu le vaccin COVID-19.

📌 Décès 1 « J’allaitais mon fils à l’époque. J’ai tiré mon lait dans l’heure qui a suivi l’injection. Mon fils de 5 mois a été allaité la nuit suivant la piqûre et a ensuite bu le lait pompé que j’avais obtenu le jour même de la piqûre. 11 jours plus tard, il a été retrouvé sans réaction… »8

📌 Décès 2 « La patiente9 a reçu la deuxième dose de Pfizer… son enfant de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre… Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé. »10

📌 Décès 3 « La mère du nourrisson a reçu la deuxième dose de Pfizer… La mère allaite activement le nourrisson. 24 heures après que la mère ait reçu la 2e dose de Pfizer, le nourrisson a présenté une bradycardie importante (baisse du rythme cardiaque), une désaturation (faible taux d’oxygène dans le sang entraînant une coloration bleue du nourrisson)… »11

Des preuves académiques existent, comme l’article du JAMA12 de la présence de l’ARNm du « vaccin » dans le lait maternel

Et en Grande-Bretagne :


Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 1er juillet 2022, pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, montrent :

  • 13 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

EN RÉSUMÉ, INJECTER UNE FEMME ENCEINTE FAIT COURIR UN GROS RISQUE À SON BÉBÉ

Ces injections sont d’autant plus injustifiées que compte tenu de leur sexe et de leur âge jeune les femmes enceintes ne risquent pratiquement rien du covid (sauf si elles souffrent de pathologie préexistante lourde mais comme les injections sont incapables de les protéger…).

APPLIQUEZ LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION : ABSTENEZ — VOUS !





Sortir de l’Europe, une question de vie ou de mort pour la France

[Source : breizh-info.com]

Alain Falento (Sortir de l’Europe) : « Les États-Unis ont dessiné l’Union européenne selon leurs besoins » [Interview]

Sortir de l’Europe, une question de vie ou de mort. Tel est le titre d’un livre, édité aux éditions Riposte Laïque (à commander ici) et écrit par Alain Falento.

Pour l’auteur, cela ne fait aucun doute, l’Union Européenne et ses institutions se sont construites sans les peuples qui composent notre continent.

« Pendant 40 ans, la construction européenne s’est déroulée sans nous ; depuis la ratification du traité de Maastricht, elle se fait malgré nous. L’euro ne constitue absolument pas une sécurité pour la France et les Français, au contraire. L’Allemagne vampirise l’Europe. La guerre menée contre la Russie, sous l’égide de l’OTAN, va d’abord frapper les peuples européens, et accélérer l’inévitable krach financier. Les instances européennes mettent délibérément nos vies en danger. La monnaie numérique que l’Union européenne rêve de mettre en place dissimule une ultime spoliation des citoyens. Après le passe sanitaire, ils rêvent de mettre en place le passe climatique, pour aller vers un contrôle social à la Chinoise de la population. Si nous ne prenons pas collectivement conscience de l’état critique de la situation, en sortant de l’Union européenne et de l’euro, nous allons entériner la disparition d’un pays vieux de 1500 ans. Il est encore possible d’éviter cette catastrophe, mais le temps nous est compté. Question de vie ou de mort. »

Un livre qui appelle nécessairement à un débat. Un débat saisi au vol par notre rédacteur en chef, qui a posé quelques questions à Alain Falento.

Breizh-info.com : Pouvez-vous, tout d’abord, vous présenter à nos lecteurs ?

Alain Falento : J’ai 48 ans, j’ai exercé les fonctions de gestionnaire de fonds dans une grande banque française, de consultant en investissement pour des groupes étrangers, et de chef d’entreprise dans des domaines variés. Je m’intéresse depuis longtemps au concept de souveraineté dans tous ses aspects, et particulièrement sous l’angle économique et financier.

Breizh-info.com : Vous expliquez dans votre nouvel ouvrage que « la construction européenne s’est faite sans nous », mais qui est le « nous » ? En quoi le peuple français est-il plus impliqué dans la construction de la société française que de la société européenne ?

Alain Falento : Entre le plan Schuman de 1950, et le traité de Maastricht de 1992, pas une seule fois le peuple français n’a été consulté sur la question de la construction européenne. Pire encore, Monnet et Schuman ont même avoué fièrement que, dès le début, les détails du plan avaient été volontairement cachés aux membres du gouvernement français afin d’éviter toute forme de contestation. Cela en dit long sur la vision qu’avaient ces gens de la démocratie.

La dernière fois que nos dirigeants ont daigné nous consulter, c’était en 2005 sur le projet de traité constitutionnel européen, et le référendum s’était soldé par un « Non ». Malgré cela, les autocrates européens sont passés outre, et ont malgré tout poursuivi la construction européenne comme ils l’entendaient. Il ne me semble donc pas illégitime de considérer que cette Union européenne s’est faite sans nous, le peuple, jusqu’au Traité de Maastricht de 1992, et même malgré nous depuis 2005.

La comparaison que vous faites entre l’implication du peuple français dans la construction européenne et dans l’évolution de la société française est très intéressante. En ce qui concerne la société française, vous avez toujours le loisir de voter pour qui vous voulez tous les 5 ans, alors que les autocrates européens sont purement et simplement nommés, et échappent à la sanction du suffrage universel.

Cependant, ces deux problématiques ne sont pas indépendantes ; comme nous l’évoquerons sans doute un peu plus loin dans l’entretien, l’évolution de la société française dépend en réalité complètement de la Commission européenne depuis la ratification du traité de Maastricht.

Par exemple, ce que nos dirigeants appellent pudiquement « la mutation démographique » de la France, à savoir l’invasion migratoire, n’est plus du ressort de l’État français depuis qu’il s’est volontairement dessaisi de cette prérogative en ratifiant le traité de Maastricht en 1992. Le peuple français n’a tout simplement plus son mot à dire en la matière.

Breizh-info.com : Il y a chez les souverainistes français l’argumentation continue évoquant la perte de souveraineté au profit de l’Union Européenne. Mais la République française n’est-elle pas la maman, le moteur, avec l’Allemagne, de la philosophie de l’UE ? Finalement, ne sont-ce pas tous les autres pays qui constituent l’UE qui sont les victimes, non pas de l’UE, mais de la France et de l’Allemagne ?

Alain Falento : Il ne faut pas s’imaginer que la construction européenne est d’origine européenne. Cela fait partie des mythes fondateurs, un continent qui aurait collectivement pris conscience de la nécessité de la construction d’une entité supranationale afin de garantir une paix éternelle et une prospérité insolente. La vérité est, hélas, différente. L’Allemagne et la France n’avaient tout simplement pas leur mot à dire à la sortie de la Seconde Guerre mondiale. Les États-Unis opéraient sur l’Europe occidentale un contrôle économique, militaire et idéologique total, et ils ont dessiné l’Union européenne selon leurs besoins. Ils nous ont même imposé leur mythologie avec les Pères Fondateurs et la notion d’États-Unis d’Europe !

Le Général de Gaulle n’a jamais cru dans les structures supranationales, et il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour en limiter le développement. Hélas, ceux qui lui ont succédé se sont tout simplement vautrés dans l’idéologie européiste.

La construction européenne, telle qu’elle s’est faite jusqu’à maintenant, a eu pour unique objectif de servir les intérêts de l’Allemagne, qui est parvenue à imposer ses vues à des dirigeants français indigents. Il faut l’admettre, depuis Pompidou, nous n’avons élu que des traîtres à la tête de notre pays, boursouflés d’ambition européenne, et peu intéressés par la défense des intérêts de ceux qui les ont pourtant amenés au pouvoir. Les trois derniers (Sarkozy, Hollande et Macron) se sont même complu dans une servilité totale vis-à-vis de l’Allemagne.

Quant aux autres membres de l’Union européenne, hors membres fondateurs, ils ont tous pleuré et supplié pour en faire partie. Les pays du Sud et les derniers entrants (pays de l’ex bloc communiste) ont grassement profité des fonds européens pour sortir du sous-développement. Ils doivent à l’Union européenne, et donc en grande partie à la France, de bénéficier aujourd’hui d’infrastructures modernes. Les pays, dits du Club de Visegrad (Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie), pour nous remercier, se liguent en un groupe de pression afin de maximiser le montant de leurs subsides européens. La seule vraie victime de l’Union européenne, c’est bien la France ! Nous payons plus de 20 % du budget européen, et nous ne récoltons que désindustrialisation, trahison, immigration et concurrence déloyale de la part de nos pseudo partenaires européens.

Breizh-info.com : Vous évoquez la mise en place à venir d’un pass climatique. Mais les autorités françaises n’ont pas attendu l’UE pour tout verrouiller dans le pays. Là encore, l’UE semble avoir le dos large non ?

Alain Falento : Il convient de bien comprendre qu’aucun passe vaccinal, climatique ou énergétique ne peut voir le jour en France si la Commission européenne n’en est pas à l’origine. C’est écrit noir sur blanc dans les traités, toute régulation de la circulation des personnes au sein de l’espace Schengen est du ressort exclusif de l’Union Européenne, excepté pour une très courte durée, et dans le cadre de mesures d’urgence. Par contre, je vous concède bien volontiers que, lorsqu’il s’agit de prendre des mesures liberticides, les dirigeants et fonctionnaires français font preuve d’un zèle malsain.

Depuis la ratification du traité de Maastricht, nous avons de notre plein gré accepté de ne plus être un État à part entière. Nous ne possédons plus aucun des attributs d’un État souverain (battre monnaie, voter les lois, rendre la justice, décider de la paix et de la guerre, décider qui se trouve sur le territoire et qui obtient la nationalité).

Plus aucune décision d’importance ne se prend au niveau national. Le seul pouvoir de décision qui reste à l’exécutif réside dans la mise en place de petites brimades envers la population (vitesse réduite sur les routes, zones à faible émission, éborgnement et mutilation de gilets jaunes).

L’Assemblée nationale n’est qu’une chambre d’enregistrement des directives européennes, rien de plus. Soit les lois qui y sont votées correspondent au cadre fixé par l’Union européenne, soit elles sont retoquées directement par le Conseil d’État, la Cour de Justice de l’Union européenne ou la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Quant au gouvernement, il n’a absolument aucune marge de manœuvre. Même le budget de l’État est validé au niveau européen.

Vous avez d’ailleurs certainement remarqué que les présidents français se déplacent systématiquement dans les sommets internationaux, flanqués par un ou plusieurs représentants de la Commission européenne. C’est un symbole très fort de notre perte totale de souveraineté économique et de notre mise sous tutelle en matière de politique de défense.

À mon sens, c’est cette désertion du pouvoir des instances nationales qui explique la baisse de qualité du personnel politique ; le pouvoir ne se trouve plus là. Des gens d’une médiocrité effrayante qui, il y a 30 ans, n’auraient jamais pu caresser le moindre espoir de devenir député, se retrouvent aujourd’hui à mener les débats à l’Assemblée nationale. Là où l’on débattait il y a quelques décennies de l’abolition de la peine de mort, ou du droit à l’avortement, on discute maintenant du symbole machiste du barbecue…

Breizh-info.com : Vous dites que l’euro ne constitue pas une sécurité pour les Français. Techniquement, à quoi amènerait un retour au franc ?

Alain Falento : Il faut être sacrément de mauvaise foi pour continuer de soutenir que l’euro constitue une sécurité pour les Français. D’ailleurs, même les thuriféraires de l’euro ne s’aventurent même plus à l’affirmer. Il y a 20 ans, on nous garantissait que l’euro allait être une source de prospérité et de stabilité qui ferait jeu égal avec le dollar américain, le yen et le yuan. À peine huit ans après sa création, la zone euro était déjà au bord de l’explosion, et ne doit sa survie qu’à l’intervention des Américains. Les pays du Sud et la France se sont endettés au-delà de toute limite à cause d’une devise qui ne correspond pas à leurs besoins. Plus personne n’ose affirmer que l’euro est une devise appropriée pour la France ; on se contente de nous menacer en nous expliquant que la sortie est impossible, car trop compliquée et que notre sortie de l’euro entraînerait sa disparition et celle de l’Union européenne.

Nous acceptons donc sans broncher un renversement de la charge de la preuve. Ce qui était un outil de prospérité est devenu un but en soi, et on tente de nous faire accepter des raisonnements qui défient les lois de la logique élémentaire, consistant à dire qu’il faut sauver l’euro pour sauver l’UE, car sans l’UE il n’y aura plus d’euro.

Si vous observez la santé économique des membres de l’Union européenne, vous remarquerez que ceux qui ont conservé leur devise nationale (Suède, Danemark, Royaume-Uni) n’ont absolument pas changé d’avis, bien au contraire. Même les derniers entrants, comme les pays de l’Est (Pologne, Rep. Tchèque, Hongrie) ne manifestent plus la volonté de faire partie de la zone euro, bien que théoriquement, cela fasse partie des traités.

Quant à l’impossibilité d’un retour au franc, je rappellerai simplement que nous sommes bien passés du franc à l’euro. Pour quelle raison l’inverse ne serait-il pas possible. L’argument d’irréversibilité ne vise qu’à nous faire peur. En 1991, l’URSS s’est effondrée, donnant naissance à plus de 15 nouveaux pays qui ont tous une monnaie nationale et une banque centrale. L’Islande a environ 300 mille habitants, mais possède sa banque centrale et sa monnaie. La Tchécoslovaquie s’est scindée en deux parties, la République tchèque, qui a sa propre devise, et la Slovaquie qui est dans la zone euro. Le Royaume-Uni, pays d’une taille comparable au nôtre tant en termes de population que de PIB, n’a jamais abandonné sa devise nationale. Alors pourquoi diable ce qui est vrai pour les autres ne le serait pas pour nous ?

Ceux qui tentent désespérément de nous convaincre qu’une sortie de l’euro est impossible utilisent un argument économique et un argument juridique. Le premier nous menace d’une inflation épouvantable en cas de retour au franc. Mais l’inflation, nous l’avons déjà, car l’euro ne nous protège en rien. Cette période d’inflation que nous vivons actuellement n’est que très partiellement due à la situation en Ukraine ; elle est surtout la conséquence d’une baisse de l’euro. Si l’euro s’effondre face au dollar, générant la majeure partie de l’inflation, c’est avant tout parce que l’euro n’est plus une devise qui inspire confiance au niveau mondial, et c’est un euphémisme de le formuler ainsi.

Le deuxième argument justifiant d’une impossibilité de sortir de l’euro, utilise le fait que notre dette gigantesque est libellée en euros, et que par conséquent elle doit être réglée en euros. Je ne sais pas s’il faut rire ou pleurer d’un argument comme celui-là, quand on sait qu’avant l’avènement de l’euro, notre dette était libellée en franc, et que visiblement il n’y a pas eu de problèmes pour la convertir en euros.

Il existe une loi internationale, dite « Lex Monetae », qui stipule qu’un état a le droit de rembourser sa dette dans sa monnaie nationale, si cette dette dépend de son droit national. Environ 95% de la dette française étant de droit français, elle pourra donc être remboursable en francs. De plus, nous serions en droit d’en fixer nous-mêmes la parité vis-à-vis de l’euro. L’économiste Jacques Sapir a depuis longtemps traité de ce sujet.

De plus, comme je l’explique dans mon livre, l’euro n’est pas une monnaie unique, mais une monnaie commune. Techniquement c’est très différent, car la vérité c’est qu’il n’y a pas un euro, mais 19 euros différents, dont on force les cours de change à parité. Sortir de l’euro est techniquement bien plus facile qu’on ne le pense, et ce d’autant plus que nous avons conservé notre Banque Nationale (la Banque de France), à l’instar des 18 autres pays de la zone euro. En réalité, c’est comme si l’euro avait dés le départ était construit pour disparaître, contrairement à tout ce qui est dit par nos dirigeants.

La question qu’il convient de se poser n’est pas ce qu’il se passerait en cas de retour au franc, mais plutôt ce qui va nous arriver si nous restons dans l’euro. Personnellement, entre la certitude de se crasher dans un mur à pleine vitesse, et sauter en marche malgré les blessures éventuelles, je préfère de loin la deuxième solution.

Certains pays seront de toute façon contraints de sortir de la zone euro. L’Italie et même la France ne pourront pas tenir face à la hausse des taux qui a été amorcée par la BCE. Il est préférable de décider nous-mêmes de la date de sortie que d’en être éjectés de force.

De plus, il est un scénario que peu de gens veulent considérer, mais qui nous plongerait dans une crise extrêmement grave : la sortie volontaire de l’Allemagne de l’euro. Cette éventualité est à considérer plus que jamais. Ce pays n’hésitera pas un instant à franchir le pas si cela est nécessaire au maintien de sa suprématie économique.

Breizh-info.com : Si demain, la France quitte l’Union Européenne, cette dernière meurt de facto. Mais eu égard à la tiers-mondialisation du pays à l’heure actuelle, comment entendez-vous pouvoir rivaliser avec d’énormes blocs comme les USA, la Chine, la Russie, l’Inde, sans alliance continentale ?

Alain Falento : Vous avez entièrement raison, l’Union européenne ne survivrait pas à un départ de la France. Et alors ? Nous devons crever la gueule ouverte, accepter une immigration insupportable et un chômage de masse pour sauver une structure qui était supposée nous offrir sécurité et prospérité pour l’éternité, mais n’a tenu aucune de ses promesses ? Il ne faut pas confondre la fin et les moyens. Comme toute structure nuisible, l’Union européenne doit disparaître.

L’argument de la taille est le plus utilisé par les européistes ; comme par hasard, la France aurait exactement la taille non optimale pour être souveraine. Ce n’est vraiment pas de chance.

L’argument de la taille, pour justifier l’existence de l’Union européenne, ne tient pas. Il existe une multitude d’états souverains (Suisse, Corée du Sud, Royaume-Uni) qui sont plus petits que nous ou de taille comparable, et qui parviennent à défendre leurs intérêts face aux grandes puissances démographiques et économiques. Pour quelle raison n’en serions-nous pas également capables ? sommes-nous plus médiocres qu’eux ? De plus, il ne faut pas confondre sortie de l’Union européenne et fin de la coopération avec les autres États européens. De par notre position géographique, notre démographie et notre PIB, nous sommes incontournables. Nos principaux voisins signeront bien évidemment avec nous des accords de coopérations bilatéraux, comme il en a toujours été, bien avant le Traité de Maastricht. Il n’est tout simplement plus acceptable que des fonctionnaires européens signent des accords internationaux en notre nom, contre nos intérêts fondamentaux, sans que nous ne puissions rien faire.

Si vous vous plongez dans la lecture des traités européens, vous y constaterez qu’il n’y est aucunement question de nous protéger contre qui que ce soit. L’Union européenne, du point de vue économique, n’est que l’institutionnalisation d’une guerre économique totale entre les états membres, à travers la sacro-sainte concurrence libre et non faussée, et la libre circulation des personnes et des capitaux. Ainsi, nos portes sont grandes ouvertes aux prédateurs du monde entier, qui s’emparent de toutes nos entreprises et infrastructures stratégiques, conquièrent nos marchés, sans que l’Union européenne ne demande aucune réciprocité.

Dans le domaine agricole, par exemple, l’UE n’a jamais défendu les intérêts de nos agriculteurs. Bien au contraire, l’UE n’a de cesse que de signer des accords de libre-échange avec des puissances agricoles qui ne sont pas soumis aux mêmes normes que nous. Si nous restons au sein de cette structure supranationale, d’ici quelques décennies, il n’y aura tout simplement plus d’agriculteurs en France.

Breizh-info.com : dernière question, provocante sans doute. Le souverainisme n’est-il pas finalement un vieux conservatisme dépassé qui par ailleurs, n’a pas montré dans le passé récent qu’il était garant de la sécurité des peuples, cf. les deux guerres civiles en Europe au 20e siècle ? À l’heure où l’homme blanc est menacé de devenir une minorité y compris sur sa propre terre, le souverainisme ne doit-il pas être dépassé par d’autres politiques, d’autres priorités ?

Alain Falento : Il ne faut pas confondre le souverainisme et le conservatisme. Le souverainisme, au sens littéral du terme, n’est que la doctrine qui soutient la structure nationale par opposition aux instances supranationales. Le souverainisme peut donc faire montre de conservatisme, ou non, selon les besoins.

La question cruciale que vous posez est la suivante : l’échelon national est-il le plus pertinent pour préserver la paix et répondre au défi démographique que nous pose l’Afrique ? Il est légitime de se poser la question, mais le principe de réalité s’impose. L’Union européenne est une fiction. J’ai vécu dans de nombreux pays européens, et je dois avouer que je ne sais pas ce qu’est un citoyen européen. Il n’y a pas plus de peuple européen que de licornes.

Quant à la paix dont notre pays a bénéficié depuis près de 80 ans, il le doit plus à son armée et à sa bombe atomique qu’à l’Union européenne. Quand le gaz et l’énergie viendront à manquer, que le chômage et l’inflation feront des ravages, nous verrons bien ce qu’il restera de cette utopie supranationale européenne.

Une autre option consisterait à considérer que, si l’échelon supranational n’est pas le plus pertinent pour répondre aux problèmes de sécurité qui se posent à nous, alors l’échelon régional l’est peut-être. Certains pensent même que c’est à l’échelle locale qu’il faut se désarrimer de l’État central. Je pense personnellement que la dernière stratégie est la plus pertinente, comme mesure d’urgence. Toutes les stratégies de type « sécessioniste » doivent cependant se faire dans la discrétion, car vous avez beau décider de vous déconnecter de l’État central, ce dernier ne va malheureusement pas accepter de se déconnecter de vous.

En effet, nous vivons dans un monde dans lequel règne l’ordre westphalien. Que nous le voulions ou non, la seule structure qui soit reconnue internationalement, c’est celle de la nation. Vous pouvez vous sentir Breton, Corse ou Catalan, vous ne disposez cependant que de la nationalité française, qui est la seule qui sera reconnue en France comme à l’étranger. On peut le déplorer, mais il en est ainsi et cela ne va probablement pas changer de sitôt.

Il faut être raisonnable ; souverainistes ou régionalistes, nous avons tous un problème commun : l’immigration de masse et notre disparition programmée. Il ne sert à rien de discuter des impôts, des taxes et des retraites si nous sommes balayés par des nuées d’immigrants venus d’Afrique, la plupart musulmans de surcroît. Si nous ne réagissons pas, il ne restera rien de notre pays et de nos régions. Il faut s’opposer à leur installation par tous les moyens possibles. C’est ça la priorité. Le reste pourra se discuter plus tard.

Une chose est cependant certaine : l’Union européenne est profondément immigrationniste, et nous lui avons transféré toutes les compétences en matière de politique migratoire. Il est donc plus qu’urgent de nous extraire de cette structure au plus vite, si nous ne voulons pas être minoritaires dans notre pays dans 30 ans.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Non à une guerre qui n’est pas la nôtre !

De grandes manifestations unitaires pour la paix ont lieu en Allemagne. Et nous, que faisons-nous ?

Comme boomer, j’ai souvenir de périodes difficiles survenues pendant les Trente Glorieuses, tellement idéalisées comme des moments de paix, de détente, de joie. Pourtant ces années ne furent pas toujours si faciles et ne correspondent en rien à l’image d’Épinal que les médias aiment imposer.

Le souvenir des monstrueux drames d’Hiroshima et Nagasaki encore très récents était omniprésent. Puis la guerre d’Indochine, dans laquelle seuls les militaires de carrière et les engagés volontaires combattaient, planait dans l’atmosphère.

La guerre du canal de Suez (1956) puis la crise des missiles russes à Cuba ravivèrent le spectre de l’holocauste nucléaire.

La guerre d’Algérie (1954-1962) vint brouiller nos vies :

période douloureuse pour nous tous qui vivions dans la crainte de l’appel d’un des jeunes de la famille ou des amis à rejoindre le contingent (Français effectuant leur service militaire alors obligatoire), d’autant plus que les métropolitains n’avaient aucune raison ni envie d’aller se battre contre les Algériens dont beaucoup travaillaient en France et faisaient partie de la famille francophone. Les harkis qui sillonnaient, mitraillette en main, le boulevard parisien que je traversais pour aller à l’école nous montraient que la guerre, la vraie, n’était pas si lointaine. Angoisse omniprésente.

Les années 1950-1960 n’avaient rien à voir avec le climat d’hostilité entre générations que les médias suscitent aujourd’hui. Bref, globalement on s’aimait tous bien et on ne comprenait absolument pas pourquoi il faudrait « tirer » sur nos frères. Au bled, certains appelés nouaient des relations fraternelles avec les villageois pour lesquels cette guerre de l’autre côté de la Méditerranée était aussi incompréhensible que pour nous en métropole. Certains médecins avaient même fait le projet de s’installer dans ce pays chaleureux.

Pour les appelés, « l’objection de conscience » — refus d’utiliser les armes — était passible de prison jusqu’en 2011 lorsque la Cour européenne1 reconnut ce statut.

J’ai le souvenir aigu de multiples manifestations (dont on trouve peu de traces sur le web) qui réunissaient des centaines de milliers de travailleurs de tout âge et niveau social et de sensibilités politiques différentes, scandant « Paix en Algérie », des dizaines, puis centaines de milliers de gens unis pour faire cesser ce qu’on appelait pudiquement « les évènements ».

La manifestation du 8 février 1962 reste inscrite dans nos mémoires en raison d’une répression policière brutale entraînant 8 morts,2 dont celle d’un adolescent de 15 ans. Nous avions beaucoup couru pour échapper aux policiers soudain déchaînés (j’étais avec une femme enceinte de sept mois dont l’état nous avait préoccupés).

L’énorme hommage de centaines de milliers de personnes (plus d’un million contrairement aux quelques chiffres sur Internet) dans un silence absolu pendant des heures et des heures, de la République au Père-Lachaise, fut l’électrochoc supplémentaire, accélérant probablement les accords d’Évian un mois plus tard.

Ces accords furent-ils accélérés en raison de la situation politique explosive ? En tout cas, ils furent bâclés, abandonnant honteusement trop de harkis au massacre en Algérie et conduisant à l’exode des pieds-noirs menacés, parfois assassinés, laissant tout derrière eux leurs biens et surtout leur cœur. Les historiens pourront un jour évaluer les conséquences des évènements successifs, car 60 ans plus tard, la douleur reste vive et l’objectivité encore trop absente.

L’indépendance aurait pu être négociée dans de bien meilleures conditions pour tous si on avait eu la sagesse d’éviter cette guerre ! Mais il est malheureusement vrai que la majorité des divorces se passent mal.

Tout ceci pour rappeler que quand un peuple n’en peut plus de la guerre, il sait le dire.

Les Trente Glorieuses3 l’ont été pour l’économie, mais n’ont pas constitué une période d’insouciance ou d’abondance (nous travaillions souvent sans nous plaindre plus de 48 heures par semaine) que certains décrivent actuellement. La classe moyenne comptait ses sous chaque jour pour être sûre de « finir le mois ». Certes on trouvait du travail, souvent dur et loin du domicile. Cela apparaissait comme « normal ».

Le message antiguerre fut repris en 68 par les jeunes en colère qui criaient « faites l’amour, pas la guerre »

Quand, à la suite du massacre de Charlie en 2015, le peuple fut appelé à manifester, des millions de Français furent aussi au rendez-vous. Faut-il attendre souffrance, inquiétude, angoisse et morts supplémentaires pour sortir en nombre et imposer le point de vue du peuple aux dirigeants dont les intérêts ne sont pas les nôtres ?

Mais la politique est faite par ceux qui ne vont pas au front et finissent par s’entendre pendant que les « rien » ou les sans dents se tuent pour les intérêts des puissants qui réécrivent l’histoire ensuite pour la peindre en leur gloire.

Qui peut croire que ce soient les malheurs des Ukrainiens qui fassent pleurer Biden et les dirigeants européens alors que le Donbass, en violation des accords de Minsk certifiés par la France et l’Allemagne, était bombardé depuis 2014, entraînant des milliers de morts, et que les attaques quotidiennes au Yémen, en Arménie et ailleurs les laissent indifférents ? Ne soyons pas naïfs et soyons des grains de sable pour sauver l’Humanité.

Un peu comme en ce moment, l’épouvantail de la bombe atomique faisait avaler beaucoup de manipulations aux citoyens. L’Homme change peu, même les dirigeants qui se basent sur les enseignements de Machiavel pour instiller « la peur ».

Alexis Poulin
@Poulin2012 12 OCT

Macron :

« nous sommes en guerre »

Les Français :

« nous sommes en grève »

La campagne de grève mondiale appelle à une « riposte unifiée contre l’agenda mondialiste ». • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Un peu d’espoir vient de ces propositions de « riposte mondiale » dans ce monde de dingues où un sénateur ose dire qu’il ne faut pas augmenter les salaires puisqu’il va y avoir la guerre mondiale !!!!!! Fameuse parole  !! les twittos lui répondent intelligemment que, dans ce cas, autant en profiter. Que font les psy ?

LES FRANÇAIS REFUSENT LA GUERRE DE L’OTAN ET DES USA CONTRE LA RUSSIE

Les sanctions décidées sans concertation avec les peuples par la commissaire non élue de l’UE et par certains chefs d’État, dont le nôtre (sans avis du Parlement), n’ont fait que ruiner l’UE et les populations menacées de froid, de famine, de pénuries d’essence, etc. cet hiver. Et E. Macron a avoué que nous payons le gaz des USA quatre fois plus cher que le gaz russe (interview sur France 2 le 12 octobre 2022).

Et tous nos concitoyens que l’on peut entendre sur les marchés, dans les magasins, ou sur les réseaux chantent un air différent : cette « guerre », non déclarée, mais qui ruine nos armées et le pays tout entier, et nous désigne comme ennemis, ne nous concerne pas, en tous cas pas plus que la guerre au Yémen ou en Arménie.

Et ce d’autant que certaines cruelles vérités commencent à sortir !

« Les militaires ukrainiens de la 25e brigade de l’UFC ont affirmé que leurs commandants militaires ordonnent de tuer des civils dans les villages et de tuer des militaires ukrainiens blessés qui demandent leur évacuation. Les militaires ukrainiens refusent d’aller en guerre avec un tel commandement. En entrant dans le village — tirez sur tout le monde : un tel ordre a été reçu par les militaires ukrainiens de la 25e brigade des forces armées ukrainiennes pendant l’une des batailles. Selon eux, ils ont tué des civils, même des femmes et des enfants, jeté des grenades dans des caves où les gens se cachaient.

Mais ils ont décidé de parler de ces atrocités uniquement parce que leurs commandants les ont laissés sur la ligne de front et ont ordonné d’achever leurs collègues blessés pour ne pas organiser une évacuation. https://southfront.org/in-video-ukrainian-servicemen-reveal-crimes-of-their-command/ Silvano trotta sur Telegram »

🔴🇲🇫 Aberrations gouvernementales : est-ce que les Français savent ?

« Est-ce que les Français savent que les Chinois achètent le gaz russe et le revendent à l’Europe 4 fois le prix ?? »
« L’Arabie Saoudite a négocié le pétrole russe et le revend aux occidentaux au prix fort. »

@rec0nciliati0n #nicolasdupontaignan #sudradio #jacquesbaud ♬ son original – Rec0nciliati0n


Mais comment peut-on être aussi bêêêtes ?🤦😩😩😩

Militant.André.D @Circonscripti18‬

💥 #Ukraine️ ⚡ @BFMTV@LCI‬@France2tv@TF1‬ , des milliers d’épouses ukrainiennes👇 témoignent que leurs maris mobilisés tués sur le front ont été déclarés « libérés » pour retenir leurs salaires ou bien « déserteurs » par le régime de #Kyiv pour ne pas payer leurs compensations. pic.twitter.com/3xg2THwkRd 13/10/2022 07:43‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬

La révolte quotidienne des Allemands

Si les nouvelles étaient moins censurées sur les médias, on pourrait suivre la révolte des Allemands opposés à la guerre et aux sanctions qui ruinent leurs économies, etc. Chaque jour dans de nombreuses villes y compris les petites. Qu’attendons-nous ?

DEVONS-NOUS NOUS UNIR LE TEMPS NÉCESSAIRE PAR DES MANIFESTATIONS NOMBREUSES PACIFIQUES DANS TOUTES LES VILLES DE FRANCE ET PERMANENTES, TANT QUE LA PAIX NE SERA PAS ACTÉE, TANT QUE NOS LIVRAISONS D’ARMES NE CESSERONT PAS ?

Et si le chef de l’État a des doutes sur le choix des Français par rapport à ses engagements guerriers qu’il organise un référendum sur la volonté des Français de faire la guerre à la Russie. Comme le maire de Callac qui refuse de demander à ses administrés par référendum leur avis sur l’arrivée de migrants, il est probable qu’E. M. en connaît d’avance le résultat ! Un débat au Parlement serait le bienvenu !

UNE GRANDE MARCHE UNIE CONTRE LA GUERRE ?

Battons-nous pour la paix et l’amélioration des conditions de vie. N’est-il pas temps que des millions d’entre nous, étiquetés droite, gauche, centre, ou blanc, vert, rouge, violet orange ou jaune se réunissent dans une grande marche contre la guerre ?

Les médias répètent que la majorité des Français sont du côté des « Ukrainiens ». Peut-être, mais desquels, les victimes de la comédie jouée par un acteur payé par l’OTAN et les USA dont les femmes révèlent que celui-ci les a trompés et laissées sans ressource ?

Nous avions eu l’habitude de ces montages, de ces images extraites d’autres guerres, et présentées comme l’actuelle. Ces falsifications sont vite démasquées sur le web, mais les téléspectateurs des chaînes d’info auront eu le temps d’être manipulés, mais exceptionnellement réniformés.

Mais les Allemands manifestent


Dans ce contexte de résistance internationale aux visées des mondialistes dans lesquelles s’inscrivent le scénario covid, puis la crise en Ukraine avant celle de l’énergie, il est intéressant de s’intéresser aux suggestions de résistance d’autres humains, nos frères d’infortune.

La campagne de grève mondiale appelle à une « riposte unifiée contre l’agenda mondialiste »

Tous les dimanches à 20 heures. À l’heure de Londres, Global Walkout annonce une nouvelle « étape » ou action que les gens peuvent entreprendre pour se dégager de l’agenda mondialiste et entraver sa progression.

Il est temps de prendre des mesures pratiques — individuellement et collectivement — pour faire obstacle à l’agenda mondialiste et nous donner les moyens de créer la vie que nous voulons vivre, selon Reignite Freedom.

Ainsi, le 4 septembre, l’équipe de Reignite Freedom — dont le Dr Peter McCullough, le Dr Robert Malone, le président de Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Jr. et huit autres éminents critiques de l’agenda mondialiste — a lancé une grève mondiale.

Tous les dimanches à 20 heures, heure de Londres (14 heures ET), Global Walkout annonce une nouvelle “étape” ou action que les gens peuvent entreprendre pour se dégager de l’agenda mondialiste et entraver sa progression.

« Beaucoup d’entre nous, moi y compris, avons inconsciemment souscrit au mondialisme en acceptant les commodités qu’il nous offrait à travers la communication technologique et la facilité des opérations bancaires », a déclaré Monica Smit, responsable de la campagne Global Walkout, dans la vidéo d’introduction de la Global Walkout.

Smit, qui a fondé et dirige Reignite Democracy Australia, (Ré-enflammer la démocratie en Australie) a déclaré :

« Si nous voulons repousser stratégiquement le mondialisme, nous devons montrer l’exemple et nous désenchaîner lentement.

“Nous avons déjà le pouvoir. Nous sommes déjà assez nombreux. Nous devons juste agir à l’unisson… Un pas après l’autre, nous nous efforcerons progressivement de nous déconnecter de l’agenda mondialiste.”

Selon son site Web, les personnes qui prennent des mesures pratiques peuvent créer un élan suffisant pour « créer des barrages » dans l’agenda mondialiste :

« Lorsque des millions de personnes dans le monde agiront à l’unisson, nous deviendrons une force efficace qui ne pourra être ignorée.

Avec un nombre suffisant de personnes, la famille de la marche mondiale peut commencer à s’engager dans des actions significatives qui encourageront les entreprises et les gouvernements à prendre note et à considérer notre point de vue.

Si nos actions peuvent affecter directement le portefeuille des mondialistes, ils n’auront peut-être pas d’autre choix que d’écouter. »

Inspiré par le convoi des camionneurs canadiens pour la liberté médicale

« Le Convoi canadien a été la source d’inspiration de [for creating the Global Walkout] », a déclaré Smit auLe Défenseur. « Je me suis dit : “Imaginez que nous fassions ça partout dans le monde en même temps.” »

Elle a ajouté :

« Le plus important, c’est que tout le monde peut participer, peu importe où il vit, ce qu’il fait ou quel est son mode de vie. Cela demande très peu d’énergie mais peut avoir un impact énorme si on le fait à l’unisson au niveau mondial.

Vous pouvez participer à chaque étape dans la mesure où vous vous sentez à l’aise. Si vous n’aimez pas une étape, vous n’êtes pas obligé de la faire. Si vous aimez l’étape suivante, faites-la. »

Outre Smit, Kennedy, McCullough et Malone, les membres de l’équipe de lancement de Reignite Freedom sont les suivants :

La grève mondiale : étape par étape

Global Walkout, qui a jusqu’à présent annoncé quatre étapes, annoncera la cinquième le 2 octobre. Voici comment se présente la campagne jusqu’à présent :

Étape 1 : Garder l’argent liquide : L’étape 1, annoncée le 4 septembre, conseillait aux participants d’utiliser l’argent liquide autant que possible.

Un document imprimable suggère aux participants d’utiliser cette amorce de conversation : “J’ai payé en liquide aujourd’hui pour une raison” :

« 1. Pour économiser à cette entreprise de l’argent sur les frais de transaction

2. Donner à cette entreprise plus de contrôle sur ses bénéfices

3. SOUTENIR l’économie et la communauté locales

4. Pour garder mes achats et ma localisation anonymes

5. Pour garder l’argent comptant vivant ! »

Le site web comprend également un document que les entreprises peuvent utiliser pour expliquer aux clients pourquoi elles les encouragent à payer en espèces :

« 1. Nous économiserons instantanément de l’argent sur les frais de transaction.

2. Si nous pouvons économiser de l’argent, nous pouvons garder notre personnel employé et redonner à notre communauté locale.

3. Nous aurons davantage de contrôle sur nos bénéfices.

4. Les petites et moyennes entreprises comme celle-ci font partie intégrante de la prospérité et de la croissance de notre économie locale et de notre communauté.

5. Ça aide à garder l’argent comptant en vie ! »

Étape 2 : Achetez local : Étape 2 Dans le cadre de cette campagne, annoncée le 11 septembre, les participants sont invités à :

« localiser et soutenir autant que possible les épiceries et marchés familiaux. Essayez d’acheter des produits cultivés localement pour soutenir les communautés agricoles et les marchés de votre région. Si vous vivez en ville, recherchez les produits frais qui sont cultivés dans votre région. »

Le Global Walkout a fourni ces conseils :

« 1. Si vous avez le temps, faites des recherches sur ce qui est cultivé dans votre région.

2. Recherchez les épiceries familiales locales ou les magasins de fruits et légumes. Demandez-leur quels produits sont d’origine locale et achetez ces produits.

3. Renseignez-vous sur la date du prochain marché dans votre région, et sur sa fréquence. Essayez d’y aller autant que possible et achetez suffisamment de produits frais pour tenir jusqu’au prochain jour de marché.

4. Si vous entamez une conversation avec les propriétaires ou le personnel du magasin, dites-leur pourquoi vous êtes là et pourquoi vous faites l’effort d’y faire vos achats. C’est un excellent moyen d’engager la conversation et ils l’apprécieront. »

Le site web comprenait également un document que les participants pouvaient partager avec d’autres personnes pour expliquer l’importance de soutenir les agriculteurs locaux et les petites entreprises.

Troisième étape : laisser tomber les médias grand public : Annoncé le 18 septembre, L’étape 3 invitait les participants à :

« se désabonner de tous les médias grand public. Supprimez les applications de votre téléphone, de votre ordinateur portable et de votre tablette et désuivez tous leurs médias sociaux et leurs chaînes YouTube. Essayez d’éviter les médias grand public pendant au moins une semaine, même si le titre est intriguant. »

Le site Web de la Marche mondiale comprend un document que les participants peuvent partager avec d’autres personnes et qui explique « pourquoi réduire la consommation des médias grand public est une bonne idée » et propose trois suggestions pour accomplir la troisième étape :

« 1. Supprimez toutes les applications des médias grand public de votre téléphone, tablette, ordinateur portable et ordinateur. Désabonnez-vous des paiements mensuels si vous êtes inscrit à l’un d’entre eux.

2. Veillez également à supprimer ou à masquer les applications d’information génériques préinstallées sur votre téléphone et vos appareils.

3. Évitez autant que possible le clickbait. Nous savons tous qu’ils créent des titres qui sont trompeurs. Ne cliquez pas dessus. »

Étape 4 : Soutenir les petites banques : L’étape 4 de la Grève mondiale, annoncée le 25 septembre, demande aux participants de soutenir les petites banques en transférant autant de comptes que possible vers un syndicat ou une banque locale.

Selon le site web de Global Walkout :

« Les petites banques soutiennent davantage les entreprises familiales locales. Si vous y investissez votre argent, vous aidez l’économie locale dans son ensemble.

Si suffisamment de gens retirent leur argent des grandes banques, celles-ci auront moins de contrôle.

Dans certains cas, les petites banques sont moins contrôlées par les grandes entreprises et le gouvernement.

Nous ne sommes pas certains de ce que l’avenir nous réserve. Nous savons que les mondialistes tentent d’instaurer une carte d’identité numérique et une société sans argent liquide. Cette mesure à elle seule ne l’empêchera pas, mais c’est un début. »

Le site Web comprend un document que les participants peuvent utiliser lors de conversations avec le personnel de leur nouvelle et ancienne banque pour expliquer pourquoi ils optent pour des banques plus petites.

En conclusion, il faut sérieusement refuser que notre pays s’engage dans une guerre qu’il n’a pas voulue, qui ne le concerne pas. Combien d’entre vous s’étaient-ils intéressés à la guerre dans le Donbass depuis 2014 ou bien aux enfants décharnés du Yémen qui reçoivent sur leurs têtes des bombes françaises ? On ne peut s’occuper de tout, certes, et c’est pour cela par exemple que je n’écris en général que sur les problèmes médicaux.

Mais pourquoi éviter des injections morbides et laisser quelques mondialistes entraîner les peuples vers l’extinction ? Alors battons-nous ensemble pour nos enfants, petits-enfants et générations futures. La Terre survivra quoiqu’en pensent les écolos, ce sont les Humains qui sont en cause et pourraient disparaître.


1 Estimant que :

« l’opposition au service militaire motivée par un conflit grave et insurmontable entre l’obligation de servir dans l’armée et la conscience d’une personne, constituait une conviction atteignant un degré suffisant de force, de sérieux, de cohérence et d’importance pour entraîner l’application des garanties de l’article 9. »

2 Non compris un blessé qui décédera trois mois plus tard

3 Les Trente Glorieuses : 1945 à 1975 après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette période coïncide avec une reprise économique et des changements sociaux rapides, ce qui justifie sa caractérisation comme un « âge d’or », ce qu’il ne fut que pour les capitalistes et non la classe moyenne.




La campagne de grève mondiale appelle à une « riposte unifiée contre l’agenda mondialiste »

Tous les dimanches à 20 heures. À l’heure de Londres, Global Walkout annonce une nouvelle « étape » ou action que les gens peuvent entreprendre pour se dégager de l’agenda mondialiste et entraver sa progression.

Il est temps de prendre des mesures pratiques — individuellement et collectivement — pour faire obstacle à l’agenda mondialiste et nous donner les moyens de créer la vie que nous voulons vivre, selon Reignite Freedom.

Ainsi, le 4 septembre, l’équipe de Reignite Freedom — dont le Dr Peter McCullough, le Dr Robert Malone, le président de Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Jr. et huit autres éminents critiques de l’agenda mondialiste — a lancé une grève mondiale.

Tous les dimanches à 20 heures, heure de Londres (14 heures ET), Global Walkout annonce une nouvelle “étape” ou action que les gens peuvent entreprendre pour se dégager de l’agenda mondialiste et entraver sa progression.

« Beaucoup d’entre nous, moi y compris, avons inconsciemment souscrit au mondialisme en acceptant les commodités qu’il nous offrait à travers la communication technologique et la facilité des opérations bancaires », a déclaré Monica Smit, responsable de la campagne Global Walkout, dans la vidéo d’introduction de la Global Walkout.

Smit, qui a fondé et dirige Reignite Democracy Australia, (Ré-enflammer la démocratie en Australie) a déclaré :

« Si nous voulons repousser stratégiquement le mondialisme, nous devons montrer l’exemple et nous désenchaîner lentement.

“Nous avons déjà le pouvoir. Nous sommes déjà assez nombreux. Nous devons juste agir à l’unisson… Un pas après l’autre, nous nous efforcerons progressivement de nous déconnecter de l’agenda mondialiste.”

Selon son site Web, les personnes qui prennent des mesures pratiques peuvent créer un élan suffisant pour « créer des barrages » dans l’agenda mondialiste :

« Lorsque des millions de personnes dans le monde agiront à l’unisson, nous deviendrons une force efficace qui ne pourra être ignorée.

Avec un nombre suffisant de personnes, la famille de la marche mondiale peut commencer à s’engager dans des actions significatives qui encourageront les entreprises et les gouvernements à prendre note et à considérer notre point de vue.

Si nos actions peuvent affecter directement le portefeuille des mondialistes, ils n’auront peut-être pas d’autre choix que d’écouter. »

Inspiré par le convoi des camionneurs canadiens pour la liberté médicale

« Le Convoi canadien a été la source d’inspiration de [for creating the Global Walkout] », a déclaré Smit auLe Défenseur. « Je me suis dit : “Imaginez que nous fassions ça partout dans le monde en même temps.” »

Elle a ajouté :

« Le plus important, c’est que tout le monde peut participer, peu importe où il vit, ce qu’il fait ou quel est son mode de vie. Cela demande très peu d’énergie mais peut avoir un impact énorme si on le fait à l’unisson au niveau mondial.

Vous pouvez participer à chaque étape dans la mesure où vous vous sentez à l’aise. Si vous n’aimez pas une étape, vous n’êtes pas obligé de la faire. Si vous aimez l’étape suivante, faites-la. »

Outre Smit, Kennedy, McCullough et Malone, les membres de l’équipe de lancement de Reignite Freedom sont les suivants :

La grève mondiale : étape par étape

Global Walkout, qui a jusqu’à présent annoncé quatre étapes, annoncera la cinquième le 2 octobre. Voici comment se présente la campagne jusqu’à présent :

Étape 1 : Garder l’argent liquide : L’étape 1, annoncée le 4 septembre, conseillait aux participants d’utiliser l’argent liquide autant que possible.

Un document imprimable suggère aux participants d’utiliser cette amorce de conversation : “J’ai payé en liquide aujourd’hui pour une raison” :

« 1. Pour économiser à cette entreprise de l’argent sur les frais de transaction

2. Donner à cette entreprise plus de contrôle sur ses bénéfices

3. SOUTENIR l’économie et la communauté locales

4. Pour garder mes achats et ma localisation anonymes

5. Pour garder l’argent comptant vivant ! »

Le site web comprend également un document que les entreprises peuvent utiliser pour expliquer aux clients pourquoi elles les encouragent à payer en espèces :

« 1. Nous économiserons instantanément de l’argent sur les frais de transaction.

2. Si nous pouvons économiser de l’argent, nous pouvons garder notre personnel employé et redonner à notre communauté locale.

3. Nous aurons davantage de contrôle sur nos bénéfices.

4. Les petites et moyennes entreprises comme celle-ci font partie intégrante de la prospérité et de la croissance de notre économie locale et de notre communauté.

5. Ça aide à garder l’argent comptant en vie ! »

Étape 2 : Achetez local : Étape 2 Dans le cadre de cette campagne, annoncée le 11 septembre, les participants sont invités à :

« localiser et soutenir autant que possible les épiceries et marchés familiaux. Essayez d’acheter des produits cultivés localement pour soutenir les communautés agricoles et les marchés de votre région. Si vous vivez en ville, recherchez les produits frais qui sont cultivés dans votre région. »

Le Global Walkout a fourni ces conseils :

« 1. Si vous avez le temps, faites des recherches sur ce qui est cultivé dans votre région.

2. Recherchez les épiceries familiales locales ou les magasins de fruits et légumes. Demandez-leur quels produits sont d’origine locale et achetez ces produits.

3. Renseignez-vous sur la date du prochain marché dans votre région, et sur sa fréquence. Essayez d’y aller autant que possible et achetez suffisamment de produits frais pour tenir jusqu’au prochain jour de marché.

4. Si vous entamez une conversation avec les propriétaires ou le personnel du magasin, dites-leur pourquoi vous êtes là et pourquoi vous faites l’effort d’y faire vos achats. C’est un excellent moyen d’engager la conversation et ils l’apprécieront. »

Le site web comprenait également un document que les participants pouvaient partager avec d’autres personnes pour expliquer l’importance de soutenir les agriculteurs locaux et les petites entreprises.

Troisième étape : laisser tomber les médias grand public : Annoncé le 18 septembre, L’étape 3 invitait les participants à :

« se désabonner de tous les médias grand public. Supprimez les applications de votre téléphone, de votre ordinateur portable et de votre tablette et désuivez tous leurs médias sociaux et leurs chaînes YouTube. Essayez d’éviter les médias grand public pendant au moins une semaine, même si le titre est intriguant. »

Le site Web de la Marche mondiale comprend un document que les participants peuvent partager avec d’autres personnes et qui explique « pourquoi réduire la consommation des médias grand public est une bonne idée » et propose trois suggestions pour accomplir la troisième étape :

« 1. Supprimez toutes les applications des médias grand public de votre téléphone, tablette, ordinateur portable et ordinateur. Désabonnez-vous des paiements mensuels si vous êtes inscrit à l’un d’entre eux.

2. Veillez également à supprimer ou à masquer les applications d’information génériques préinstallées sur votre téléphone et vos appareils.

3. Évitez autant que possible le clickbait. Nous savons tous qu’ils créent des titres qui sont trompeurs. Ne cliquez pas dessus. »

Étape 4 : Soutenir les petites banques : L’étape 4 de la Grève mondiale, annoncée le 25 septembre, demande aux participants de soutenir les petites banques en transférant autant de comptes que possible vers un syndicat ou une banque locale.

Selon le site web de Global Walkout :

« Les petites banques soutiennent davantage les entreprises familiales locales. Si vous y investissez votre argent, vous aidez l’économie locale dans son ensemble.

Si suffisamment de gens retirent leur argent des grandes banques, celles-ci auront moins de contrôle.

Dans certains cas, les petites banques sont moins contrôlées par les grandes entreprises et le gouvernement.

Nous ne sommes pas certains de ce que l’avenir nous réserve. Nous savons que les mondialistes tentent d’instaurer une carte d’identité numérique et une société sans argent liquide. Cette mesure à elle seule ne l’empêchera pas, mais c’est un début. »

Le site Web comprend un document que les participants peuvent utiliser lors de conversations avec le personnel de leur nouvelle et ancienne banque pour expliquer pourquoi ils optent pour des banques plus petites.




Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans

[Source : childrenshealthdefense.org]

Baum Hedlund Aristei & Goldman et Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense, ont déposé cette semaine leur première plainte pour « wrongful death » (mort injustifiée) contre Merck, alléguant que le vaccin VPH Gardasil du fabricant a causé la mort de Noah Tate Foley, 13 ans.

[Voir aussi :
Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil]

Baum Hedlund Aristei & Goldman et Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense, ont intenté cette semaine un procès pour « wrongful death » (mort injustifiée) contre Merck, alléguant que le vaccin VPH Gardasil du fabricant a causé la mort de Noah Tate Foley, 13 ans.

L’action civile, déposée devant le tribunal de district américain du Middle District de la Caroline du Nord au nom des parents de Noah, Clifton et Kelli Foley, allègue que Noah est décédé le 8 octobre 2020 d’une encéphalite causée par un processus de dysrégulation auto-immune/autoinflammatoire directement lié à l’injection de Gardasil qu’il a reçue en 2018.

L’action en justice allègue également que le vaccin a provoqué une maladie dysautonomique, neurologique et auto-immune hétérogène ainsi qu’une constellation de symptômes, de complications, de blessures et d’autres événements indésirables, qui ont conduit au décès de Noah.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté plusieurs procès contre Merck pour avoir dissimulé les effets secondaires connus de son vaccin Gardasil, mais il s’agit de leur premier procès pour décès.

Noah a reçu sa première et unique injection de Gardasil le 7 mai 2018, deux jours après son 11e anniversaire.

Avant le Gardasil, Noah était un enfant heureux et en bonne santé, sans maladie auto-immune et sans problème d’autonomie. Il aimait chasser et pêcher avec son père, jouer avec sa petite sœur, construire des Legos et jouer de la batterie.

Il aimait aussi l’école et était actif dans son église. Par-dessus tout, Noah aimait sa famille et chérissait les moments qu’ils passaient ensemble.

Environ deux semaines après l’injection de Gardasil, Noah a développé des fièvres qui ont atteint jusqu’à 102,9 degrés. Une semaine plus tard, les médecins ont vérifié le sang de Noah afin d’exclure la mononucléose ou d’autres causes de ses symptômes.

Les tests n’ont pas identifié de cause, alors que les fièvres de Noah sont allées et venues tout au long de l’été 2018.

Le 10 octobre 2018, Noah s’est rendu à l’urgence du centre médical de l’université de Duke. Après un examen et des tests sanguins, les médecins ont dit à la mère de Noah, Kelli, que les marqueurs inflammatoires de son fils étaient élevés, peut-être en raison d’une infection virale.

Ils ont envoyé Noah au service des maladies infectieuses de l’université, où des analyses sanguines ont révélé que le nombre de globules blancs de Noah avait triplé en deux semaines.

Pendant des mois, Noah a subi d’innombrables visites chez le médecin et des tests, notamment une biopsie et un scanner d’un ganglion lymphatique gonflé.

La famille a attendu 35 jours avant que les médecins n’écartent la possibilité d’un cancer. La période d’attente a été « longue et torturante », selon Kelli.

Si les Foley se sont réjouis d’apprendre que Noah n’avait pas de cancer, ils n’avaient toujours pas de réponse à la cause sous-jacente de ses problèmes de santé.

Le 7 mai 2019, Noah a consulté un médecin pour discuter de sa perte de poids. Son poids avait chuté à 69 livres, son IMC (indice de masse corporelle) se situait dans le quatrième percentile à 14,79 et ses marqueurs inflammatoires restaient élevés.

Le 21 mai 2019, une consultation de gastroentérologie pédiatrique a porté sur un ” processus auto-immun ou inflammatoire. ”

Le 29 septembre 2020, la jambe gauche de Noah s’est engourdie. Son visage et sa langue se sont engourdis alors que sa mère le conduisait à l’hôpital.

Le temps que Noah arrive à l’urgence, il a vomi. À 18 h, il ne répondait plus du tout.

Noah a été transporté au Duke University Medical Hospital, où son état a rapidement décliné.

Le 30 septembre 2020, Noah était presque complètement mort cérébralement. Le 8 octobre 2020, il est décédé quatre heures après le retrait de son tube respiratoire.

« Notre foi est très forte », a déclaré Kelli, « c’est pourquoi je sais que, malgré la douleur que notre famille continue de ressentir en l’absence de Noah, nous ne laisserons pas sa mort être vaine. Nous nous battrons pour lui en obtenant justice contre Merck pour ce qu’ils lui ont fait. »

Le père de Noah, Clifton, a déclaré :

« J’ai perdu mon compagnon de pêche et de chasse, et ma fille a perdu son meilleur ami. On dit que le temps guérit toutes les blessures, mais perdre son fils est quelque chose dont on ne guérit jamais vraiment. Chaque jour, nous ressentons cette perte, et ça ne devient pas plus facile. »

Les Foley ont invoqué “plusieurs raisons” pour engager une action en justice contre Merck. Dans une déclaration, ils ont dit :

« Avant tout, nous voulons que justice soit rendue à notre fils, qui a énormément souffert parce que Merck ne nous a rien dit des effets indésirables graves qui étaient possibles. Nous voulons des comptes et la reconnaissance que ce qu’ils ont fait est mal.

“Nous espérons que notre affaire sensibilisera les gens et donnera à d’autres familles la possibilité de faire des choix plus éclairés sur les risques associés au Gardasil.

“Enfin, nous voulons une forme de clôture, ce qui est quelque chose que nous n’avons jamais eu”.

31 actions en justice pour préjudice causé par le vaccin Gardasil consolidées le mois dernier

En août, une commission judiciaire a rendu une ordonnance consolidant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des blessures prétendument causées par son vaccin anti-VPH Gardasil.

Les poursuites allèguent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et exagérer l’efficacité du vaccin.

Le panel n’a pas été « convaincu » par l’argument de Merck selon lequel la consolidation des affaires augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour blessures dues aux vaccins.

Les poursuites consistent en des actions en responsabilité des produits, des actions en rupture de garantie, en fraude, en négligence et, dans certains cas, en violation des lois étatiques de protection des consommateurs.

La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte blessés par le vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral, a déclaré Kennedy.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté de nombreuses actions en justice contre Merck, alléguant que la société dissimule sciemment les effets indésirables associés à son vaccin Gardasil. Il s’agit notamment de :

Bien que chaque cas soit unique, tous les plaignants s’accordent à dire que si Merck avait dit la vérité sur les dangers connus associés à Gardasil, ils n’auraient jamais consenti au vaccin contre le VPH.




L’Europe enregistre officiellement une augmentation choquante de 239 % de la surmortalité chez les adolescents et les jeunes adultes depuis que l’EMA a approuvé le vaccin Covid-19

[Source : anna-bellas.com]

Les chiffres officiels de la mortalité en Europe révèlent une augmentation choquante de 239 % des décès en excès chez les adolescents et les jeunes adultes âgés de 15 à 44 ans depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’injection de Covid-19.

La surmortalité de cette tranche d’âge a augmenté de 280 % dans toute l’Europe en 2021, avec 5 479 décès en excès.

Malheureusement, le nombre de décès enregistrés chez les 15-44 ans en 2022 est plus élevé que celui de la même période au cours des six dernières années, ce qui a été suivi d’une augmentation de 187 % des décès en excès depuis le début de l’année.

EuroMOMO est une activité européenne de surveillance de la mortalité. L’organisation déclare que son objectif est de « détecter et mesurer les décès excédentaires liés à la grippe saisonnière, aux pandémies et aux autres menaces pour la santé publique ».

Les statistiques nationales officielles de mortalité sont fournies chaque semaine par les 29 pays européens ou régions infranationales faisant partie du réseau de collaboration EuroMOMO, soutenu par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et hébergé par le Statens Serum Institut, au Danemark.

Le graphique suivant montre les totaux cumulés de décès hebdomadaires en excès entre 2017 et 2022 chez les adolescents et les jeunes adultes âgés de 15 à 44 ans à travers l’Europe. Le graphique a été extrait du site web d’EuroMOMO et peut être consulté ici.

Comme vous pouvez le constater, à partir de la semaine 37 de 2022, il y a eu plus de décès en excès chez les 15-44 ans qu’il n’y en a eu pendant la même période de n’importe quelle autre année, y compris en 2020 qui aurait été l’apogée de la pandémie de Covid-19.

Le nombre de décès en excès en 2021 dans cette tranche d’âge dépasse également largement le nombre de décès en excès de chaque année précédente.

Le graphique suivant a été établi à partir des données fournies par EuroMOMO et montre le nombre de décès en excès par an de 2017 à 2021 -.

L’Agence européenne des médicaments a accordé pour la première fois l’autorisation d’utilisation en urgence d’un vaccin Covid-19 le 21 décembre 2020 pour tous les plus de 18 ans. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, l’année qui a suivi a vu les adolescents et les jeunes adultes souffrir d’un nombre record de décès en excès, totalisant 5 749.

Cela représente 2 462 décès de plus qu’en 2020, au plus fort de la pandémie de Covid-19, et 4 235 décès de plus que la moyenne de 2017 à 2020.

Cela équivaut à une augmentation de 280 % de la surmortalité chez les 15 à 44 ans en 2021 par rapport à la moyenne de 2017 à 2020.

Le graphique suivant a été établi à partir des données fournies par EuroMOMO et montre le nombre de décès en excès entre la semaine 0 et la semaine 37 par an de 2017 à 2022 -.

En 2022, il y a eu jusqu’à présent 3 437 décès en excès chez les 15 à 44 ans. Cela représente 1 179 décès de plus que ce qui s’est produit en 2020, à l’apogée présumée de la pandémie de Covid-19, et 2 241 décès de plus que la moyenne de 2017 à 2020.

Cela équivaut à une augmentation de 187 % de la surmortalité chez les 15-44 ans en 2021 par rapport à la moyenne de 2017 à 2020.

Le graphique suivant montre le nombre total de décès chez les 15 à 44 ans en 2021 et 2022 jusqu’à présent, ainsi que la moyenne combinée de la semaine 0 à la semaine 52 de 2017 à 2020 et de la semaine 0 à la semaine 37 de 2017 à 2020.

Cela montre qu’il y a eu 6 069 décès de plus tout au long de 2021 et 2022 jusqu’à présent par rapport à la moyenne de 2017 à 2020. Cela équivaut à une augmentation globale de 239 %.

Récemment, nous avons révélé comment une enquête exclusive menée par l’équipe de The Exposé a forcé le département officiel des statistiques de l’Union européenne à entamer une enquête à l’échelle européenne pour déterminer pourquoi il y a eu une augmentation significative de la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’injection de Covid-19 pour les enfants.

Nous demandons maintenant au même département de lancer une autre enquête à l’échelle européenne pour savoir pourquoi il y a également eu une augmentation significative de la surmortalité chez les adolescents et les jeunes adultes depuis que l’Agence européenne des médicaments a accordé pour la première fois une autorisation d’utilisation d’urgence à une injection de Covid-19 à la fin de 2020.

Une augmentation qui ne montre malheureusement aucun signe de ralentissement.

https://expose-news.com/2022/09/25/europe-young-adult-deaths-239-percent-increase/




Combien de temps peut-on vivre dans le déni ? L’énergie

[Source : loikleflochprigent.fr]

Par Loïk Le Floch-Prigent

La politique énergétique française est déstabilisée depuis des dizaines d’années, les résultats s’affichent désormais au grand jour, mais on se refuse toujours à accepter d’observer la réalité et, en conséquence, de prendre les mesures de correction indispensables pour redresser l’économie de notre pays et surtout son industrie.

La formule d’Einstein : « la folie c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent » s’imprime durablement dans la France d’aujourd’hui, car après avoir constaté sa désindustrialisation à l’occasion de la crise du Covid, elle ne veut pas voir que le mauvais traitement du dossier énergie amorce une nouvelle poussée de faillites et une accélération des délocalisations industrielles lourdement responsables de nos déboires actuels. Dans l’industrie, un échec est analysé avec rigueur dans un exercice difficile et nécessaire qui s’appelle un « retour d’expérience », c’est à ce prix que le pays tout entier doit s’atteler s’il veut éviter de sombrer rapidement, on ne peut pas vivre dans le déni, ou du moins pas très longtemps.

Déjà en 1973 les « chocs pétroliers » avaient ébranlé nos certitudes et nous avions constaté que nous avions eu tort de nous endormir pendant des dizaines d’années avec un prix bas de l’énergie et une abondance venue d’ailleurs. La nécessité de disposer d’une énergie abondante, bon marché et souveraine était évidente et toute la politique nationale, tous les acteurs économiques et sociaux, s’étaient mis en ordre de marche pour consolider nos activités autour d’un programme nucléaire ambitieux, du maintien de notre hydraulique, d’une recherche dans l’énergie solaire et d’une maîtrise de nos consommations. On se souvient, par exemple, des concours lancés pour des automobiles consommant un litre aux cent kilomètres ou la création d’un Commissariat à l’Énergie Solaire (le COMES). On doit aussi se rappeler des risques pris dans les installations pétrolières et gazières en mer du Nord pour nous libérer de la dépendance des gisements du Moyen-Orient. La conscience de la fragilité de notre prospérité était profonde et imprégnait toutes les couches de la société tandis que le rationnement des produits pétroliers désorganisait toutes les vies quotidiennes.

Quand le chômage de masse s’est installé dans notre pays, non seulement nous n’avons pas voulu examiner ses causes profondes, mais nous avons préconisé des remèdes à court terme dont chacun connaissait l’inefficacité réelle, nous nous sommes enfoncés dans le déni, et on peut observer que nous continuons en partie à nous y complaire.

Ces questions ont d’ailleurs déserté le débat politique et l’écologisme politique a gagné la bataille de l’opinion avec la domination des peurs, la peur nucléaire, la peur des pollutions, la peur de la disparition de la planète et la nécessité de la « précaution » inscrite dans la Constitution ! La prospérité elle-même était remise en question, était-elle vraiment nécessaire, ne pourrions nous pas revenir à vivre d’amour et d’eau fraîche, dans les bois, sous la tente, avec les animaux sauvages et le chant si doux du rossignol ? L’image d’un bonheur sans fin attaché au milieu naturel bafoué par l’industrie et les producteurs d’énergie s’est durablement imprégnée dans la société avec cette image redoutable d’une voiture électrique silencieuse sur une belle route bitumée, un enfant souriant à l’arrière regardant avec émotion une éolienne, silencieuse aussi, lui apportant l’énergie du vent… à domicile. Cette image est superbe et terrifiante, car on y mesure le mensonge qu’il va falloir combattre pour revenir sur des dizaines d’années d’abandon et de lâchetés. Ces merveilleux moulins sont posés avec du béton et sont en métal, les deux constituants les plus énergivores de notre civilisation. Celle-ci repose sur le ciment et l’acier et donc sur une énergie abondante, bon marché et concentrée.

Avec la biomasse, l’hydroélectricité, la géothermie et le nucléaire ce sont les énergies « pilotables »  c’est-à-dire qu’elles peuvent être appelées à tout moment par le consommateur. L’énergie éolienne et l’énergie solaire, appelées souvent énergies renouvelables « nouvelles » sont intermittentes, c’est-à-dire qu’il faut qu’il y ait un vent suffisant ou du soleil pour qu’elles fonctionnent.

L’écologisme politique a d’abord voulu éliminer le nucléaire — la peur du danger, toujours la peur — puis elle a combattu le diesel en ville à cause de la pollution en arguant sur le nombre de morts par an en France de maladies respiratoires dues à ce carburant, puis elle s’est saisie des rapports du GIEC pour dénoncer les fossiles dans leur ensemble avec une éradication du charbon immédiate suivie d’un programme de changement complet de civilisation en Europe pour donner l’exemple au monde entier, voitures électriques, pompes à chaleur (électriques !)… Pour diriger vers la « bonne solution « pour l’humanité elle a aussi démonté la filière hydraulique en arguant des atteintes à l’environnement et à la biodiversité, la chasse aux barrages était aussi lancée ! Il ne restait donc plus, si on n’oublie pas la géothermie, que les énergies intermittentes — éoliennes et panneaux solaires —, les énergies « vertes » propres » et… gratuites, car on ne paie pas le vent et le soleil. Tel est donc l’avenir radieux qui nous est promis, en France d’abord, en Allemagne aussi, et, bien évidemment portée par ce comportement exemplaire, la planète suivra, elle qui est si malade de tous ses humains sales et gaspilleurs, elle retrouvera sa virginité originelle et arrêtera ses caprices climatiques, ses volcans, ses tornades, tout ce qui trouble notre quotidien. Tel est le message reçu depuis plus de vingt ans, et tel est le message relayé désormais par tous les médias et une grande partie des politiques de tout bord qui n’osent plus mettre en doute le catéchisme sous peine de l’excommunication immédiate. Tout individu atteint d’un doute ou d’un questionnement peut être rejeté de toutes les radios et télévisions et cela pour le personnel politique c’est la mort immédiate !

Et pourtant  un nombre toujours plus grand de scientifiques et de techniciens qui n’ont pas d’ambition électorale s’exprime de plus en plus et de mieux en mieux pour mettre à mal la doctrine et surtout les solutions qui sont ainsi retenues. On notera que la Commission européenne, le Parlement européen, la plupart des organismes d’État sont imprégnés par ces croyances en pensant s’appuyer sur la science et préparer l’avenir de leurs enfants. Quand l’ADEME ou RTE en France adhèrent profondément à cette vision, ils sont sincères, mais leurs professeurs de sciences n’ont pas été convaincants ou ils dormaient pendant les cours, désolé cela ne marche pas et la guerre en Ukraine accélérant une crise de l’énergie latente qui allait arriver dans les deux ou trois ans a précipité les choses, désormais ceux qui veulent voir n’ont qu’à regarder : le roi écologiste politique est nu.

Tout d’abord penser que dans un délai court l’humanité va pouvoir se passer, sans révolution des plus faibles, de 80 % de ses sources d’énergie est un enfantillage. L’humanité peut s’adapter à des changements de température, mais pas au retour en arrière civilisationnel, c’est-à-dire le dénuement, tous les humains aspirent à la prospérité et à la consommation. Tous veulent leur automobile, si le changement qu’on leur propose c’est le transport de masse obligatoire ils ne seront pas d’accord ! Le totalitarisme « vert » ne peut pas « passer », ce n’est pas un plafond de verre, c’est un plafond en béton. Quoi qu’il arrive, l’humanité a fonctionné à la recherche d’une énergie abondante, bon marché et souveraine, si elle possède du charbon, du pétrole ou du gaz elle l’utilisera là où elle en dispose.

Le mix énergétique français, nucléaire électrique, hydroélectricité et pics électriques satisfaits par le gaz, pouvait ensuite aller vers une généralisation électrique plus importante avec véhicules électriques et pompes à chaleur. Mais cet exemple n’aurait pas été exemplaire puisque difficilement reproductible dans les pays charbonniers, pétroliers ou gaziers, c’était bon marché ou du moins pas trop cher pour nous, nous étions souverains, tous les pays ne pouvaient suivre notre exemple ! De toute façon il fallait imaginer que les fossiles allaient encore être utilisés partout dans le monde et que la recherche devait donc porter sur la montée des rendements, le contrôle et l’éradication des polluants et la captation et le traitement du CO2 puisque l’on considérait la décarbonation indispensable.

Le nucléaire est en voie d’abandon en Allemagne et en Belgique, il a failli périr plusieurs fois en France, cela reste un espoir pour l’humanité, mais d’abord pour la France qui, malgré les politiciens qui ont désiré ou  décidé sa mort a encore des compétences mondialement reconnues dans la construction, la maintenance et l’exploitation autour d’EDF et de Framatome et les 100 000 employés des sous-traitants regroupés dans le GIFEN. Les centrales chinoises, finlandaises et britanniques ont aidé à la survie de notre appareil industriel ! Profitons-en. Par contre avec l’arrêt de Super Phénix en 1997 et celui d’Astrid en 2019 on a mis une croix sur les réacteurs de quatrième génération, ce sont eux qui vont utiliser pendant des centaines d’années pour faire de l’énergie les déchets de nos centrales, on espère que le programme sera relancé pour que nous ne soyons pas conduits à acheter aux Chinois, aux Russes ou aux Américains les résultats des travaux dont nous étions les pionniers.

L’hydraulique a été un des points forts de notre pays, Sogreah/Neyrpic/Alstom a porté hautes les couleurs du pays à travers le monde, construisant la moitié des turbines planétaires. L’écologisme politique n’aime pas les barrages. Quand elle parle d’énergies renouvelables, elle met de côté l’hydraulique. Alstom est devenue General Electric. C’est une honte, nous le savons tous.

Elles rajoutent de l’aléatoire à l’utilisation de l’électricité frappée par un aléatoire structurel, celui d’avoir à servir tous les consommateurs qui allument un appareil sans perte de puissance. Car l’électricité ne se stocke pas, le gestionnaire du réseau doit donc équilibrer chaque seconde la production et la consommation et la consommation par définition est aléatoire. Si l’on ajoute l’aléa du vent ou du soleil, on rajoute des coûts de régulation inutiles puisque chaque usine « renouvelable » est « doublée » par une centrale à énergie fossile (ou hydraulique) qui va être appelée dès qu’elle faiblit ou qu’elle arrête. Les cours d’électricité sont bien loin dans le cursus de nos parlementaires (entre autres), mais cette caractéristique pénalise les énergies intermittentes au point que, quand le gaz disparaît, l’Allemagne s’effondre, elle n’est plus électrique que 25 % du temps ! C’est ce mensonge ou cet oubli du caractère « inutile » sur le réseau électrique de tous les nouveaux moulins à vent qui fragilisent aujourd’hui l’Europe, ce qui ne veut pas dire que les énergies éolienne et solaire sont inutiles. Elles peuvent être remarquables en circuits courts avec autoconsommation, sur les îles comme au Danemark, dans des endroits non desservis… mais c’est un appoint « intermittent ». Ce n’est pas une base ! Quant à la « complémentarité » nucléaire/éolienne et solaire présentée comme une évidence par certains politiciens, je leur demande instamment de retourner rapidement à l’école, le nucléaire est une base, elle est bon marché dans la production continue, on ne va pas commencer à jouer au yoyo avec le combustible nucléaire pour satisfaire une diarrhée verbale trompeuse, la seule réelle complémentarité si on veut poursuivre dans l’erreur des usines intermittentes c’est le gaz, c’est ce qui a été prévu pour la Bretagne Nord avec les horreurs d’éoliennes au Cap Fréhel et d’Erquy « doublées » par une centrale à gaz à Landivisiau : ceux qui font doivent le dire, même si c’est cher et stupide ! A Saint-Nazaire, c’est la centrale EDF de Cordemais (charbon/pellets) qui va faire le travail pour que la Bretagne Sud ne soit pas dans le noir en hiver ! Pas le parc d’éoliennes en mer !

Le mix énergétique c’est la cohabitation, deux innovations verbales nationales, inutiles de vouloir lancer des anathèmes, un jour il faudra affronter la réalité, le plus tôt sera le bienvenu si l’on veut maintenir notre prospérité.




Dépistage du cancer du sein : les mensonges d’Octobre Rose

[Source : Jérémie Mercier]




Octobre Rose, l’arnaque continue

[Source : jeremie-mercier.com]

Par Jérémie Mercier

Comme chaque année, « Octobre Rose » revient.

Des femmes (surtout mais aussi des hommes) mettent un T-shirt rose, font une course et donnent quelques euros « pour lutter contre le cancer du sein ». D’autres, pleines de bonnes intentions achètent des petits rubans roses pour « soutenir la recherche contre cette satanée maladie ».

J’ai déjà expliqué pourquoi ce « dépistage du cancer du sein » était une arnaque dans deux autres articles : https://www.jeremie-mercier.com/octobre-rose-la-totale-arnaque/ (interview du cancérologue Gérard Delépine) et https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/ (interview de la radiologue et présidente de l’association « Cancer Rose » Cécile Bour)

Cette année, j’en remets une couche, avec 2 vidéos.

• Dans la première, je rappelle qui est derrière Octobre Rose (pas des gens qui vous veulent du bien !) et pourquoi le dépistage du cancer du sein est inutile et dangereux (…) :



L’industrie de la maladie (et en particulier celle du cancer) prend les gens pour des imbéciles de façon assez incroyable…

• Dans la 2e vidéo, je rediscute avec Gérard Delépine (cancérologue avec lequel nous dénoncions l’arnaque Octobre Rose déjà en 2018) de sa position en 2022 et nous apportons quelques éclairages sur les autres dépistages de cancer (prostate, thyroïde, col de l’utérus). La vidéo est visible uniquement sur CrowdBunker pour le moment (à cause de ma punition par YouTube 🤬)

(Vidéo en début d’article)

Après ça, je pense que tu vas arrêter de courir en rose 😅

Sinon, je t’invite si ce n’est déjà fait à rejoindre mon Club Privé Santé, afin de réellement redevenir acteur et responsable de ta santé. Pour rejoindre le Club Privé Santé, c’est par ici : https://bit.ly/ClubPriveSante

Attention aux faux messages santé de l’industrie de la maladie et j’espère pouvoir t’aider à reprendre le contrôle sur ta santé par des approches intelligentes et efficaces !

Dis-moi en commentaire après avoir jeté un coup d’œil à la liste des prochains experts en santé naturelle que je vais inviter quelle(s) thématique(s) tu souhaiterais que j’aborde plus tard 🙂




Stop aux injections anti-covid chez les jeunes : la recommandation des agences sanitaires du Danemark, Royaume-Uni, Belgique et Suède

Vacciner les jeunes contre le covid est inutile, inefficace et dangereux. De plus en plus d’agences sanitaires nationales le reconnaissent et retirent leur recommandation initiale basée sur les communiqués publicitaires mensongers des fabricants de vaccin.

Dès que les pseudo vaccins covid ont été mis sur le marché, nous avons dénoncé leur utilisation comme totalement inutile chez l’enfant (car ils ne risquent rien du covid) et potentiellement dangereuse (car ces injections totalement expérimentales n’avaient pas été entièrement testées.)

Malheureusement les agences sanitaires ont collaboré à la propagande sanitaire gouvernementale en prétendant contre toute évidence scientifique que la balance avantages/risques de ces injections expérimentales était positive entraînant de trop nombreuses injections d’enfants. Mais le retour à la raison de nombreuses agences sanitaires étrangères vient relancer un débat jusqu’ici occulté.

Les enfants souffrent exceptionnellement du Covid19 et seulement de formes bénignes. Ils ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel des injections.

Weiyong Liu rapporte1 que le Covid19 n’est responsable que de 2 % des pneumopathies de l’enfant et précise :

« Tous les patients se sont rétablis après l’hospitalisation pendant une durée médiane de 7, 5 jours ».

Hao Hong2 confirme les moins de 18 ans ne représentent que 0,6 % des infectés à Covid19. Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies sur 73 414 cas estime que les moins de 19 ans constituent moins de 1 % des infectés3. Zhonghua Liu4 a remarqué que : « sur 44 672 cas confirmés en laboratoire seulement 416 cas (0,9 %) étaient âgés de 0 à 9 ans et 549 (1,2 %) étaient âgés de 10 à 19 ans ; le taux de mortalité dans le groupe des 0-19 était de 0,18 % ». Aucune forme sévère observée sur les 300 nourrissons polonais de moins de 1 an atteints de covid suivi par Małgorzata Sobolewska —5 ni parmi les 1749 enfants islandais infectés par le SARS-CoV-2 en 3 vagues d’infections6.

Aux États-Unis, les données des CDC 7confirment la rareté des infections à Covid chez l’enfant : « Parmi 149 082 cas signalés pour lesquels l’âge était connu, 2 572 (1. 7 %) concernaient des enfants de moins de 18 ans » et leur risque létal très faible : « trois décès ont été signalés parmi les cas pédiatriques inclus dans cette analyse », soit un risque de 0,12 %. La macroanalyse (revue systématique de la littérature) de Jonas F Ludvigsson 8 confirme ces constatations.

Au 7 juillet 2022, après deux ans et demi d’épidémie santé publique France recensait 94 décès chez les moins de 18 ans « avec infection SARSCoV2 ». Le « lien possible avec la Covid-19 » était établi dans 33 cas dont 29 présentaient des comorbidités très sévères.

Santé publique France précisait : « Lorsque les enfants présentaient des comorbidités sévères, le lien entre la Covid-19 et le décès était cependant difficile à établir », « dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie », soit seulement 4 enfants sans comorbidité morts en 30 mois contre 7 à 10 décès d’enfants (essentiellement chez les moins de 1 an) par an, lors des épidémies de grippe d’avant le covid.

Cette revue de la littérature confirme que le Covid 19 est rare, presque toujours bénin chez l’enfant et que sa mortalité dans cette tranche d’âge est inférieure à celle de la grippe saisonnière.

Les enfants ne sont pas vecteurs de contamination9. Leur vaccination ne diminuerait donc pas la transmission de la maladie autour d’eux.

L’étude de Santé Publique France du cas de l’enfant infecté des Contamines10 est très démonstrative. Ayant été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club, l’enfant n’a contaminé personne, pas même les deux autres enfants de sa fratrie.

Dans l’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois11, les scientifiques ont étudié 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes et qui n’ont contaminé personne, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que :

« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, a déclaré lors d’une interview :

« La Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique »12.

Aux Pays-Bas, dix patients COVID-19 âgés de moins de 18 ans ont eu 43 contacts étroits avec d’autres enfants et adultes et aucun d’entre eux n’est tombé malade13.

Une étude australienne a analysé des cas confirmés de COVID-19 chez 9 enfants et 9 employés des écoles qui ont été en contact étroit avec 735 enfants. Deux enfants pourraient avoir été infectés par l’un de ces 18 patients. Aucun autre enseignant ou membre du personnel n’a contracté le COVID-1914.

Une étude irlandaise 15 portant sur 924 enfants et 101 adultes qui avaient eu des contacts étroits avec un malade à l’école, aucun n’a eu le COVID-19.

En Suède16 la poursuite des activités scolaires n’a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes.

Comme le concluent B Lee et W V Raszka 17 dès août 2020 :

« dans la transmission du Covid19, l’enfant est innocent »..

La vaccination des enfants ne peut donc pas avoir d’intérêt altruiste, d’autant que les pseudo vaccins se sont révélés incapables d’empêcher les transmissions.

Comme le confirment les données officielles de l’OMS mises en graphique par l’université John Hopkins.

Inutiles chez l’enfant et inefficaces à tout âge, les injections ne sont pas sans risques

Trop d’enfants ont reçu ces injections expérimentales et certains ont souffert de complications sévères (en particulier des myocardites)18 dont le risque majoré par la seconde dose et estimé à 0,25 cas pour 100 000 doses du vaccin Comirnaty et 0,29 cas pour 100 000 doses du vaccin Spikevax.

D’autant que ces myocardites post-vaccinales se révèlent plus graves qu’annoncé : 25 % des myocardites post-vaccinales ont été hospitalisées en réanimation, 16,5 % des patients n’étaient pas guéris au bout de 90 jours, environ 50 % des patients présentaient des IRM anormales et 25 % des patients considérés « guéris » étaient encore sous traitement médicamenteux19.

Il ne faut pas « vacciner » les enfants contre le covid

Les faits établis montrent sans ambiguïté que la balance avantage/risques de la pseudo vaccination la contre-indique chez l’enfant. C’est l’opinion de Gérald Kierzek 20 ou de Martin Blachier.

De plus de nombreuses agences sanitaires européennes ne recommandent plus l’injection

Le 1er juillet 2022, les autorités sanitaires du Danemark ont émis de nouvelles directives recommandant aux moins de 18 ans de ne pas être vaccinés21 :

« Les enfants et les adolescents tombent très rarement gravement malades avec Covid-19 avec la variante Omicron. Ainsi, à compter du 1er juillet 2022, il ne sera plus possible pour les enfants et adolescents de moins de 18 ans de recevoir la 1re injection. À partir du 1er septembre 2022, recevoir la deuxième injection ne sera plus possible. Un petit nombre d’enfants présentant un risque particulièrement accru de progression grave de la maladie continueront d’avoir la possibilité de se faire vacciner après évaluation individuelle par un médecin. »

Le 3 septembre 2022, le Royaume-Uni a levé sa recommandation pour les moins de 11 ans en bonne santé22.

Et aussi les autorités sanitaires belges qui ne recommandent plus les injections pour les moins de 50 ans.

Le vendredi 30 septembre 2022, l’autorité de santé suédoise a annoncé qu’elle ne recommanderait plus la vaccination contre le Covid-19 pour les adolescents âgés de 12 à 17 ans en bonne santé, en raison du « risque très faible » de développer une forme grave de la maladie à cet âge.

Les agences sanitaires françaises seront-elles les dernières à reconnaître l’évidence ?


1 Weiyong Liu. et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371

2Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001

3 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72,314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI : 10.1001/jama.2020.2648.

4 Epidemiology Working Group for NCIP Epidemic Response, Chinese Center for Disease Control and Prevention. [The epidemiological characteristics of an outbreak of 2019 novel coronavirus diseases (COVID-19) in China]. Zhonghua Liu Xing Bing Xue Za Zhi. 2020 Feb 10;41(2):145-151. Chinese. doi : 10.3760/cma.j.issn.0254-6450.2020.02.003. PMID : 32064853.

5 Sobolewska-Pilarczyk, M., Pokorska-Śpiewak, M., Stachowiak, A. et al. COVID-19 infections in infants. Sci Rep 12, 7765 (2022). https://doi.org/10.1038/s41598-022-11068-0

6 Thors V, Bjornsdottir KL, Love T, Haraldsson A. SARS-CoV-2 Infections in Icelandic Children: Close Follow-up of All Confirmed Cases in a Nationwide Study. Pediatr Infect Dis J. 2022 Oct 1;41(10):835-840. doi: 10.1097/INF.0000000000003626. Epub 2022 Jul 8. PMID : 35797713 ; PMCID : PMC9508943.

7 Intervention Team CDC COVID-19. Coronavirus Disease 2019 in Children—US February 12th April 2. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 2020 10 avril ; 69 (14) : 422-426 doi: 10.15585 / mmwr.mm6914e4

8 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.

9 http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

10 Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

11 A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

12 Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287

13 National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19

14 Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar

15 Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.

16 Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00:1—3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

17 Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

18 https://actu.fr/grand-est/faulx_54188/lorraine-covid-19-atteint-d-une-myocardite-apres-son-vaccin-il-passe-quatre-jours-a-l-hopital_43988075.html

19 Myocardites post-vaccinales : plus graves qu’annoncées https://1001rss.com/myocardites-post-vaccinales-plus-graves-quannoncees/2022/10/06/

20 Gérald Kierzek Il ne faut pas vacciner les enfants HTTPS://WWW.GALA.FR/L_ACTU/NEWS_DE_STARS/EXCLU-GERALD-KIERZEK-IL-NE-FAUT-PAS-VACCINER-LES-ENFANTS_482383

21 https://www.riotimesonline.com/brazil-news/modern-day-censorship/denmark-to-completely-stop-covid-vaccinations-for-minors-as-of-sept-1/

22 Ouest-France avec AFP https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/royaume-uni-pas-de-vaccin-anti-covid-pour-les-12-15-ans-en-bonne-sante-2e9bed2e-0ccf-11ec-8f66-1caeab7b6




« De la punition et de l’obstination » : Sylviane Noël cingle le refus du gouvernement de réintégrer les soignants suspendus

[Source : FranceSoir]

Mardi 4 octobre, le Sénat a débattu sur les urgences hospitalières et les soins non programmés à la demande du groupe Les Républicains. À cette occasion, la sénatrice LR Sylviane Noël a interpellé Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, sur la nécessité de réintégrer les professionnels de santé suspendus depuis le 15 septembre 2021 suite à leur refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19. Évoquant « un système de santé à l’agonie », elle a fait valoir que « nous ne pouvons plus nous passer du moindre soignant » en vue de pallier la pénurie d’effectifs dans les hôpitaux.

https://www.youtube.com/embed/Y2AS4tnd4BQ

La femme politique de droite a tout d’abord souligné dans la première partie de son intervention qu’en France :

« avec plus de 20 millions de passages par an, les hôpitaux sont engorgés au plus haut point et confrontés à un double effet ciseau : d’une part, la pénurie de soignants, plus grave que jamais, et un fort recours aux urgences pour nos compatriotes. »

Dans la seconde partie de son intervention, martelant que « cette situation n’est plus tenable », Mme Noël a ensuite rappelé que la « quasi-totalité des pays ont abandonné cette mesure » et que le gouvernement laisse désormais le « libre-choix » aux soignants de se faire vacciner contre le Covid-19. « Dans ces circonstances, le maintien de cette mesure est incompréhensible et relève davantage de la punition et de l’obstination que de la justification sanitaire », a-t-elle ensuite asséné, attirant l’attention sur le fait que « notre système de santé est à l’agonie » et que « nous ne pouvons plus nous passer du moindre soignant ». Et de demander à la ministre : 

« Ma question est simple : quand envisagez-vous de lever cette mesure, qui engendre un peu plus de dysfonctionnements et d’engorgements ? »

« Je veux dire à celles et ceux qui pensent que c’est une réponse miracle pour répondre aux problèmes d’effectifs de l’hôpital, qu’ils se trompent », a rétorqué Mme Firmin-Le Bodo, qui estime qu’il ne s’agit pas de milliers de soignants suspendus mais de « quelques centaines de personnes sur plus de 300 000 soignants ».

Bien qu’il soit établi que la vaccination n’empêche ni la transmission du Covid-19 ni de développer des formes graves de la maladie, et bien que l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPESCT) a reconnu dans son rapport d’étape rendu le 9 juin 2022 le risque d’effets indésirables liés à l’injection, la ministre a réitéré que le personnel médical non-vacciné avait « refusé de se protéger pour protéger les autres ». Elle ajoute : « Les avis du Conseil scientifique et de la Haute Autorité de santé ont été rendus et ils sont favorables au maintien de l’obligation de vaccination contre la Covid-19 des personnels exerçant dans les établissements de santé et médico-sociaux ». Se basant sur les avis très controversés de quelques scientifiques choisis, elle a assuré que le gouvernement a « toujours géré cette crise en nous basant sur les recommandations des scientifiques et ce n’est pas aujourd’hui que cela va changer. »




Allemagne — Le gouvernement est extrêmement préoccupé par l’ampleur des manifestations qui ont été organisées contre La Pass Vaccinal ainsi que toutes les restrictions sanitaires

[Source : businessbourse.com]

Le gouvernement allemand est sérieusement « préoccupé » par le grand nombre de protestations contre les restrictions COVID ces dernières semaines, qui sont les plus répandues dans l’histoire du pays.

Le grand journal allemand influent « Die Welt » révèle que le même jour, des manifestations ont eu lieu dans plus de 1 000 endroits à travers le pays.

« Le gouvernement est préoccupé par les actions décentralisées », rapporte le journal, une source qui affirme qu’il s’agit d’un phénomène « l’immense » et qualifie les manifestations d’impressionnantes ».

« Jamais auparavant dans l’histoire de la République fédérale il n’y a eu de manifestations aussi étendues que ces dernières semaines », indique le rapport, le gouvernement comptant 1 046 manifestations distinctes impliquant environ 188 000 participants.

Au lieu de décrire de tels développements comme « impressionnants », on pourrait penser que les autorités allemandes envisageraient peut-être d’écouter la volonté de leur peuple.

Un scandale à Hambourg où le maire a faussement affirmé que les non-vaccinés représentaient 95 % des cas de COVID, n’a rien fait pour rétablir la confiance du peuple.

Une enquête du Sénat a révélé que le nombre réel était de 14,3 %.

L’Allemagne poursuit son projet de rendre le vaccin COVID obligatoire, avec un débat parlementaire sur la question, prévu la semaine prochaine.

L’année dernière, le rédacteur en chef du principal journal allemand « Das Bild » s’est excusé d’avoir transmis des horreurs sur la couverture de son journal en mettant en avant la peur du COVID, en ayant exagéré la notion selon laquelle certains enfants seraient susceptibles d’assassiner leur grand-mère s’ils étaient atteints du virus ».

Comme nous l’avons souligné précédemment, la République tchèque a abandonné son projet de rendre le vaccin COVID obligatoire pour certains groupes après de nombreuses manifestations importantes à Prague.

Ce qu’il faut bien retenir concernant le nouveau variant Omicron qui n’est pas plus grave qu’une simple grippe, c’est que la plupart des pays européens ont commencé à lever progressivement un certain nombre de restrictions sanitaires bien que des pays comme l’Autriche ou la France envisagent toujours de rendre la vaccination obligatoire.

Source : zerohedge




Kanye West et la petite-fille de Bob Marley portent un tee-shirt « White Lives Matter » pour dénoncer l’escroquerie « Black Lives Matter »

[Source : lemediaen442.fr]

Le 3 octobre, lors de son défilé Yeezy à Paris, le rappeur Kanye West a décidé d’afficher la couleur. Elle n’est pas celle tant attendue de la gauche française. En effet il arborait un tee-shirt floqué de la formule White Lives Matter. Comme Kanye West est lui-même noir, cela ne va pas être facile pour les médias de le traiter de raciste.

Loin de s’arrêter en route, le rappeur dira le lendemain du défilé : « Tout le monde sait ça, Black Lives Matter était une arnaque. Maintenant c’est terminé. De rien. » La commentatrice politique américaine Candace Owens s’était, elle aussi, affichée avec le tee-shirt lors de la Paris Fashion Week.

Autre personnalité, et non des moindres, Selah Marley — qui est la petite-fille de l’icône du reggae Bob Marley et la fille de la chanteuse Lauryn Hill — a elle aussi choisi d’aider Kanye à lancer sa nouvelle ligne de vêtements, puisqu’elle portait une chemise White Lives Matter au côté du rappeur.

Kanye West a parfaitement identifié la marque de George Soros qui finançait à coup de millions le mouvement politique né en 2013 aux États-Unis au sein de la communauté afro-américaine afin de faire tomber le président Trump, d’accuser les Blancs d’être racistes, tout en oubliant de souligner que 88,9 % des « Noirs ou Africains-Américains » ont été tués en 2018 par des « Noirs ou Africains-Américains » (2 600 homicides sur 2 925). L’idée était de diviser selon la couleur de la peau une société divisée par l’argent, afin de mieux la contrôler, un exercice dans lequel excelle l’Open Society Foundations du milliardaire George Soros.

Au passage, Janaya Khan qui est l’épouse de Patrisse Khan-Cullors, cofondatrice de Black Lives Matter avait utilisé l’élan de générosité mondial pour se servir dans la caisse afin d’acheter un manoir de 925 mètres carrés pour 6,3 millions de dollars en juillet 2021.


https://twitter.com/adebizi6/status/1578393178633289730?s=43
https://twitter.com/adebizi6/status/1578393181376462848?s=43
https://twitter.com/claireroyale1/status/1578195504696958976?s=43



Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil

Par Dr Gérard Delépine

Pour les marchands de vaccins, limiter l’indication du Gardasil, vaccin anti-papillomavirus, à « la prévention du cancer du col de l’utérus » a un inconvénient majeur : on ne peut le vendre qu’aux femmes qui ne constituent qu’une moitié de la population mondiale. Perdre la moitié d’un marché si rentable leur est insupportable. C’est pour cela qu’une campagne de propagande pro Gardasil pour les garçons se développe actuellement dans les médias, relayée par le ministère, et des médecins trompés ou corrompus.

Il faut rappeler que les cancers liés au HPV sont rarissimes chez les hommes y compris chez les populations à risque que sont les homosexuels, quasiment les seuls concernés (800 cancers par an pour 67 millions de Français).

De plus, ces vaccins n’ont toujours pas démontré d’efficacité réelle dans la prévention des cancers invasifs du col utérin chez la femme, liés au HPV : au contraire on observe dans certains groupes de femmes une augmentation du risque de cancer après cette vaccination1 2.

Le Gardasil n’est pas un vaccin sans risque, car il expose à de complications, en particulier neurologiques.

Prendre des risques réels pour un bénéfice non démontré n’est pas raisonnable. Ne vaccinons pas les garçons par le Gardasil !

Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré

(Un ami gendarme m’a rappelé que « Sur les lieux d’un crime, on trouve aussi les témoins »

Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs favorisants, eux — mêmes liés entre eux dont : l’activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d’inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq), les déficits immunitaires et les infections génitales dont l’herpès, le Chlamydia et une vingtaine de souches de HPV.

Depuis la mise sur le marché des vaccins antiHPV les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus.

Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin et le bacille de Doderlein dans le vagin.

Plus de cent cinquante souches de papillomavirus infestent l’Homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées3) ou lors d’acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre et à plusieurs reprises et s’en débarrasseront naturellement dans 90 % des cas en quelques mois sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée.

Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes et la multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorisent la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer de plusieurs années, sans qu’aucune preuve de causalité directe n’ait jamais été établie avec certitude.

On n’a jamais réussi à créer un cancer chez une lapine en infestant son col de l’utérus par des HPV, alors qu’on fait apparaître un cancer cutané en badigeonnant de goudron la peau d’un lapin. Les HPV se comportent donc possiblement comme de simples témoins d’une activité sexuelle importante, accusés d’être coupables de cancérisation parce que présents sur les lieux. Possibles témoins innocents du cancer.

L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL.

D’ailleurs, après 15 ans de vaccination des filles en Australie et en Grande-Bretagne si l’efficacité des vaccins est démontrée sur les lésions bénignes (condylomes, verrues) contre les souches de HPV ciblées par le vaccin, aucune diminution d’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’est apparue dans les registres nationaux du cancer.

En Australie : en 2018, 936 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2022, on estime que 942 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués en Australie4

ou en Grande-Bretagne Au cours de la dernière décennie au Royaume-Uni (entre 2006-2008 et 2016-2018), les taux d’incidence du cancer du col de l’utérus chez les femmes sont restés stables.5

Il en est de même en Suède6.

Les multiples articles qui proclamant chaque année que les pays qui vaccinent sont en passe d’éradiquer ces cancers ne regardent pas les faits avérés et officiels, mais se basent uniquement sur des modélisations aux hypothèses fausses choisies à des fins de propagande marchande.

Le cancer anal ne menace qu’une partie infime de la population masculine

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le moteur de la proposition des centres de contrôle et de prévention des maladies infectieuses (CDC) américains de vacciner les garçons. Mais ce cancer, très rare, ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle et ne justifie donc pas une vaccination généralisée.

En France, environ 800 cas de cancer anal surviennent chaque année chez l’homme touchant presque exclusivement les homosexuels masculins (74% des cas) adeptes de rapports passifs anaux, surtout s’ils ont multiplié les partenaires sexuels.

La séropositivité au virus du sida (77 % des cas) multiplie par 40 leur risque de cancer anal qui n’est pas diminué par les antiviraux actifs sur la charge virale. Le tabagisme et les traitements immunodépresseurs représentent aussi des facteurs favorisants. Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer, mais là encore la responsabilité causale n’est pas démontrée. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif, le risque de cancer anal est infime même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie et de la Grande-Bretagne ne sont pas en faveur d’une efficacité préventive des vaccins antiHPV contre le cancer anal.

Depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur incidence de cancer anal a augmenté et même plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Les courbes britanniques sont très démonstratives, car depuis la vaccination des filles, l’incidence du cancer anal chez les femmes a augmenté de 50 % (de 2/100000 à 3/100000) alors que durant la même période, chez les hommes, l’incidence n’a augmenté que de 15 % de 1,5/100 000 à 1,7/100 000). On peut donc craindre que ce vaccin antiHPV favorise l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition précoce et plus fréquente d’un cancer du col utérin contrairement à tous les espoirs.

Pour éviter le cancer de l’anus, il est statistiquement beaucoup plus efficace d’utiliser un préservatif (qui diminue le risque de Sida et des autres maladies sexuellement transmissibles).

La peur du cancer anal instillée par les médias a permis de proposer le vaccin aux hommes homosexuels et à tous adultes ayant des « pratiques à risque » (sexe anal passif). Malheureusement pour les marchands de vaccin, ils représenteraient moins de 5% de la population, marché trop petit, sauf si on arrive à convaincre les politiques d’imposer une obligation pour tous, « au cas où » ou pour « éviter les discriminations » !

Les cancers ORL

Les hommes n’ont pas d’utérus et ne sont pas tous homosexuels passifs aussi, pour élargir le marché aux hétérosexuels masculins, les fabricants de vaccin7 ont instrumentalisé les cancers ORL comme une menace des virus HPV, sans davantage d’arguments scientifiques solides sur la causalité.

En France, on observe chaque année environ 14000 nouveaux cas8 de cancers des voies aériennes supérieures, ce qui en fait le 5e cancer le plus fréquent. La quasi-totalité de ces cancers est due à l’alcool et au tabac ainsi qu’en témoigne depuis quelques années leur diminution d’incidence après la diminution de consommation de ces toxiques chez les hommes alors qu’on note comme en Espagne9 une augmentation de l’incidence chez les femmes, depuis l’augmentation de leur consommation d’alcool et de tabac.

Certains cancers de la gorge et de l’amygdale s’accompagnent d’une infection par le papillomavirus comme dans les cas de Michael Douglas10, Marcia Cross et son mari11 très fortement médiatisés par les marchands de vaccin pour en faire une promotion hollywoodienne de leurs produits.

Mais si la responsabilité du cunnilingus est vraisemblable dans la transmission virale entre partenaires, il n’est toujours pas démontré que ce virus constitue un facteur de risque de cancer de l’oropharynx lorsque les autres les conditions du développement de ce cancer (tabagisme, immunodéficience) ne sont pas réunies.

D’ailleurs, après avoir imputé son cancer au sexe oral, Michael Douglas est finalement revenu sur ses déclarations initiales12, précisant qu’il était aussi fumeur et buveur levant ainsi le soupçon de responsabilité du cunnilingus comme raison de son cancer de la gorge.

Aux USA, l’analyse des chiffres bruts de l’étude qui a créé l’inquiétude montre qu’il est trop tôt pour parler d’une recrudescence de cancers oropharyngés dus à la sexualité orale. Certes une augmentation de l’incidence du cancer de l’oropharynx en particulier des amygdales chez les Américains blancs de moins de 50 ans sans antécédent de consommation d’alcool ou de tabac a été observé13, mais le nombre absolu de cas reste faible14.

Et comme il est rappelé à chaque fois qu’on évoque une complication vaccinale « lien statistique ne signifie pas causalité ».« Ce virus est retrouvé chez des malades souffrant de cancer des amygdales et dans celui de la base de la langue. Cela ne veut pas dire pour autant que le HPV va être la cause de la cancérogenèse au niveau de l’amygdale, ça reste à démontrer15. »

En France, il n’y a pas d’augmentation démontrée de cette étiologie de cancer même si la recherche devenue systématique du virus devant tout cancer ORL va faire apparaître sa présence plus fréquente qu’on ne supposait jadis.

De plus, en Australie comme en Grande-Bretagne la vaccination des filles depuis plus de 15 ans n’a pas été suivie par la diminution des cancers ORL.

Pour éviter les cancers ORL, il est beaucoup plus efficace de ne pas fumer, de boire peu d’alcool et d’utiliser des préservatifs pour se protéger du sida que de se vacciner par Gardasil.

Le Gardasil est parfois suivi de complications

Le calvaire d’Océane 16 17 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés certainement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et possiblement à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges.

Ne vaccinons pas les garçons par le Gardasil, pas plus que les filles chez lesquelles les risques sont connus et les bénéfices non démontrés !

ATTENTION à la propagande marchande en cours !

Vacciner chaque année la totalité d’une classe d’âge (380 000 garçons) pour espérer prévenir, selon des hypothèses de causalité exclusive très incertaines, quelques cancers cantonnés à un groupe très spécifique est donc totalement disproportionné du point de vue médical, puisque cela reviendrait à prendre des risques certains pour un bénéfice hypothétique très incertain.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination est également totalement exorbitant, car il faudrait dépenser 3,5 milliards d’euros la première année puis 180 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! Au point que la députée Laure de la Raudière18 avait proposé une taxe Gardasil sur le tabac afin de financer cette vaccination qu’elle voulait, avec 15 membres de la majorité présidentielle rendre obligatoire !





Comment l’État a tenté de s’introduire dans les comptes bancaires des Français

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]

Richard Détente, fondateur de la chaîne de vulgarisation économique Grand Angle, décrypte comment l’État a demandé l’accès au solde de tous les comptes bancaires des Français.




Nouvelles de l’association AMETIST pour la défense des enfants cancéreux

Association AMETIST      Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné

Le 9 septembre 2022

Madame, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents

Pendant ces deux années et demie de vie hors du réel, les membres de l’association Ametist disponibles ont tenté de poursuivre les buts de nos combats communs en informant le plus souvent directement par email et/ou téléphone les parents et patients en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques et en particulier éviter une amputation.

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019 a, en particulier, beaucoup parlé et discuté avec les parents ainsi que nos secrétaires, trésorière, et médecins conseillers fort sollicités par la pub médiatique sur le covid et le traitement de leurs enfants et adolescents.

Nous écrivions en 2019 que le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est de plus en plus d’actualité, car le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas éprouvés, et les traitements basés sur la recherche et les nouvelles molécules..

Les établissements et les médecins sont soumis aux autorisations des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est raffermi depuis 2009 et certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie, alors que c’était leur pratique depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice dans les cancers osseux entre autres, comme en chimiothérapie. Ces autorisations s’imposent à tous les établissements qu’ils soient publics ou privés, conventionnés ou non. Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer.

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements haute couture adaptés de très près à chacun ».

Tout cela reste plus que jamais vrai, car comme nous l’avons tous vécu depuis février 2020 les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour leurs patients, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.

Notre combat se poursuit plus que jamais afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

Malheureusement d’autres obligations existent et/ou menacent nos enfants.  La volonté ouverte de nos gouvernants d’imposer l’injection génique expérimentale anticovid aux enfants y compris les plus jeunes  est combattue par de nombreux collectifs de parents auxquels nous apportons notre aide. Nous avons participé à des campagnes d’information sur le mésusage du masque et ses dangers et sur les dramatiques effets secondaires des pseudovax chez les jeunes, pourtant à risque zéro du covid et ne transmettant pas le virus, donc chez lesquels l’injection est à bénéfice zéro et à risques importants (myocardites, troubles menstruels, maladie auto-immune, lymphomes, etc. ).

Grâce à un gros don ciblé d’une de nos bénévoles nous avons pu distribuer le livre « les enfants sacrifiés du covid », Éditions Fauves de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, élus, par courrier en juillet 2022 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue.

Le projet de loi visant à imposer la vaccination par Gardasil aux filles et garçons, alors que les résultats sont inquiétants, est un exemple du poids des autorités sur notre santé et notre libre arbitre.    Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

Ainsi, AMETIST continue à combattre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles nombreuses par mail ou téléphone ou posées à travers les réseaux (https://association.ametist.org/ et Facebook AMETIST).

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation auprès de vos amis, et connaissances, et de votre soutien financier, aussi petit soit-il en ces temps difficiles. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements éprouvés.

La présidente Line Turco-Patras et le bureau


BON DE SOUTIEN 2022     à découper et à joindre à votre envoi   ……………………………Euros

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Par chèque à l’ordre d’AMETIST  Ou paiement par PAYPAL sur notre site http://www.ametist.org    Vous pouvez déduire 66% du montant de votre don de votre impôt sur le revenu  Reçu fiscal adressé sur demande à préciser sur ce bon

Pour que nos actions puissent continuer, merci de votre aide. MERCI de diffuser le message et de relayer l’information

AMETIST   Bat C, 50 bis Avenue de la République 93190 LIVRY GARGAN

Mail de la présidente : lt4@live.fr




Les témoignages chocs de femmes victimes d’effets secondaires à cause du vaccin

[Source : Sud Radio]

Avec Diane Protat, avocate et Mélodie Feron du collectif « Où est mon cycle ? », auteur de « Où est mon cycle ? — Et toi, où est le tien ? », collection résurgence.





Les suspendus ont la parole

[Source : Kairos Presse]






Le prix de la Liberté : « lettre ouverte à Monsieur Macron »

[Source : place-armes.fr via profession-gendarme.com]

Non, je ne veux pas payer ce que vous appelez, à tort, « le prix de la liberté » et qui n’est que le prix de vos fautes, de votre aveuglement, de votre ambition.

Monsieur Macron vous avez décidé que nous devions payer le prix de la liberté !

S’il est incontestable que la liberté a un prix encore faut-il analyser où et par qui la liberté est menacée, qui sont les responsables des atteintes à cette liberté, qui en sont les défenseurs et finalement quel en est le prix et qui doit payer.

La liberté de la France est-elle menacée ? Celle de l’Allemagne ? De la Belgique ? De l’Italie ? De la Grande-Bretagne ? De l’Espagne ? La réponse est évidemment non.

VOS FAUTES

Oui votre responsabilité engagée dans cette crise et votre faute est énorme :

En 2014 à l’initiative du président F HOLLANDE, de la Chancelière A. MERKEL, du Président V POUTINE et du président ukrainien POROCHENKO, mais surtout, en l’absence des USA, sont signés les accords de MINSK II (suite à l’échec des accords de MINSK I). Ces accords resteront dans l’Histoire sous l’appellation « format NORMANDIE ».

Ces accords stipulaient principalement :

  • – un arrêt des combats entre l’armée ukrainienne et les séparatistes russophones de l’Est ukrainien (majoritaires dans le Donbass)
  • – un échange des prisonniers
  • – le retrait des armes lourdes
  • – l’ouverture d’un processus de large autonomie des zones russophones via une réforme constitutionnelle ukrainienne.

En ce qui concerne l’issue tragique que l’Europe est en train de vivre, quelque soient les responsabilités de V POUTINE sur lesquelles le peuple français n’a aucun pouvoir, en ce qui vous concerne VOUS ÉTIEZ RESPONSABLE de la partie incombant à la France que vous prétendez représenter : veiller au respect de ces accords. Vous ne l’avez jamais fait !

Il ne s’agit pas d’erreur, il s’agit d’une faute lourde, car VOUS ÊTES RESPONSABLE

Monsieur Macron, vous avez raté le rendez-vous avec l’Histoire. La place de la France historiquement a toujours été d’équilibrer les forces, de stabiliser l’Europe. Mais il est vrai qu’en faculté d’économie on apprend à faire de l’argent et on réduit l’histoire à une conversation de bistrot.

Cette place de la France, gagnée au prix de milliers de morts, de paroles données, d’engagements tenus vous aurait permis d’être l’arbitre ce cette crise, d’en éviter l’horreur qui vient, de remplir enfin le véritable rôle de la France. Pour cela il fallait s’élever au-dessus de la mêlée bêlante, tenir à distance les cabinets de conseils. Vous auriez laissé dans l’Histoire votre nom et probablement au parlement suédois.

Comment peut-on croire que l’on veut la paix en livrant des armes lourdes appartenant au peuple français sans même demander au parlement son aval ?

De quel droit engagez-vous notre pays, nos enfants dans une cobelligérance de plus en plus évidente ! Les conventions de La Haye de 1903 sont claires : Former des soldats d’un pays belligérant est interdit, laisser transiter sur son sol des armes d’un pays belligérant est un acte de cobelligérance. Que direz-vous aux Français si la Russie en conformité avec ces accords de La Haye en venait à frapper la France ? C’est au peuple français de décider, pas à vous !

N’est pas de Gaulle qui veut. Tous les cours de théâtre, même avec les meilleurs professeurs, ne pourront vous donner une stature internationale, car pour obtenir une telle stature il faut justement oublier le théâtre, la « com », le business et se plonger dans la raison et apprendre un minimum l’Histoire !

Le prix de la Liberté, comme vous dites, n’est qu’un camouflage de votre immense ratage. Vous ne pourrez pas longtemps mettre sur le dos de l’Ukraine tous les maux consécutifs à votre gestion désastreuse :

  • – Non, la crise des hôpitaux n’est pas due à l’Ukraine
  • – Non, la pénurie de médecins dans nos régions n’est pas due à l’Ukraine
  • – Non, la crise des Gilets Jaunes n’est pas due à l’Ukraine
  • – Non, les rodéos urbains mortels ne sont pas dus à l’Ukraine
  • – Non, la circulation de la drogue dans nos banlieues n’est pas due à l’Ukraine
  • – Non, l’effondrement moral de notre pays n’est pas dû à l’Ukraine
  • – Non, la désertion des enseignants n’est pas due à l’Ukraine
  • – Non, l’augmentation de la violence, les agressions, les meurtres ne sont pas dus à l’Ukraine.

Cela, c’est VOTRE bilan, l’Ukraine a bon dos. Elle est bien utile cette crise pour faire diversion !

Nous ignorions d’ailleurs que l’Ukraine était le premier producteur de chocolat (hausse du chocolat 14 % !), un grand producteur d’huile d’olive (hausse de 15 % du prix de l’huile d’olive), fabricant de moutarde et autres balivernes. Vous prenez les Français pour des gogos et pour le moment ça ne marche pas trop mal je dois le reconnaître.

Alors NON, NON et encore NON, je ne veux pas payer vos fautes et votre ambition

Ce que vous appelez hypocritement le prix de la liberté n’est que le prix de votre incompétence et de votre ambition !

Et puisque vous vous pensez chef de guerre, je vous dédie ces paroles du grand Georges Brassens :

« Ô vous les boutefeux
Ô vous les bons apôtres
Mourez donc les premiers
Nous vous cédons le pas
Mais de grâce morbleu
Laissez vivre les autres
La vie est à peu près
Leur seul luxe ici-bas »

P Mulsant est ancien officier du renseignement intérieur




Point sur la situation Ukrainienne par Jacques Baud

[Source : Cercle Aristote]




Manifestations mondiales contre les mesures sanitaires

[Source : Infos et Culture]

[Note de Joseph :
depuis des mois, des années et même des décennies que les gens manifestent, à part quand les manifestations sont organisées depuis l’étranger (essentiellement les États-Unis) pour provoquer des « révolutions de couleur », est-ce que cela produit des résultats notables ? Est-ce que les gouvernements sautent ? Est-ce que la vie s’améliore ou au contraire se détériore progressivement ? Et surtout, est-ce que le Système saute pour laisser la place à un nouveau paradigme ?
Pour les Français, une démarche salutaire est celle proposée par Alexandre Juving-Brunet : https://nouveau-monde.ca/le-franc-libre-presentation-de-la-serie-fiduciaire/]