La Suisse arrête la vaccination Covid

[Source : report24.news]

La Suisse retire toutes les recommandations de vaccination Covid

La Suisse arrête les vaccinations Covid : Toutes les recommandations de vaccination ont été retirées, les médecins ne peuvent administrer les vaccins controversés que dans des cas individuels sous certaines conditions, mais assument alors le risque de responsabilité pour les dommages de vaccination. Quand des pays comme l’Allemagne et l’Autriche suivront-ils cet exemple ?

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les questions de vaccination (EKIF) précisent, au 3.4.23, dans leur recommandation de vaccination ( à retrouver sur ce site ) :

En principe, l’OFSP et l’EKIF ne formuleront pas de recommandation de vaccination contre le Covid-19 au printemps/été 2023 en raison de la faible circulation attendue du virus et du niveau élevé d’immunité de la population.

La vaccination n’est possible que dans des cas individuels, à savoir :

La vaccination est possible pour les personnes particulièrement à risque (BGP) ≥ 16 ans si le médecin traitant considère que cela est médicalement indiqué dans la situation épidémiologique respective dans le cas individuel, une protection temporairement accrue contre les maladies graves est à prévoir et la dernière dose de vaccination datant d’au moins 6 mois.

Cependant, aucune recommandation de vaccination pour les patients à risque n’est explicitement donnée ici.

Addendum, 9 avril 2023 : les critiques notent que la prolongation (prétendument illégale) de l’approbation des vaccins de cinq ans supplémentaires ne doit PAS être considérée comme un retrait. Cependant, cela ne change rien au fait des recommandations officielles citées ci-dessus. Ce sont deux faits indépendants.

(…)






Le prix de l’eau

[Source : alternatif-bien-etre.com]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Ce qui se passe depuis plusieurs mois autour de l’eau m’inquiète.

Je ne vous parle pas de la sécheresse que nous avons vécue l’été et l’hiver derniers, mais plutôt de ce à quoi cette sécheresse sert de prétexte : la confiscation de l’eau.

Et, pire que cela, sa privatisation et sa transformation en objet de spéculation boursière, au même titre que des matières premières comme l’or ou le pétrole.

Nous sommes, depuis plusieurs mois et en ce moment même, en train de rentrer dans cette logique très grave de transformation d’un bien commun, indispensable à la vie, en un objet coté en bourse.

Ces derniers jours, les évènements autour de la mégabassine de Sainte-Soline et les annonces d’Emmanuel Macron au sujet d’un futur « éco-watt » de l’eau pour en restreindre la consommation donnent corps à ce changement très préoccupant.

Je vais y revenir plus en détail dans un instant, mais avant j’aimerais rappeler le caractère absolument essentiel de l’eau pour notre santé.

Les premiers problèmes de santé commencent dès 1 % d’eau en moins

Nous sommes faits d’eau. Une mauvaise hydratation a des conséquences bien plus sévères que la seule sensation d’une bouche pâteuse et d’une gorge sèche.

Il suffit d’une perte d’eau d’1 % à peine pour que votre corps ne puisse plus réguler sa température correctement, que votre endurance à l’effort s’amenuise et que vous vous sentiez plus fatigué [1].

Le cerveau, qui contient 76 % d’eau, se ratatine littéralement s’il manque d’eau. Une perte de 2 % d’eau suffit à altérer l’humeur, la mémoire et la vigilance. Si cette faible déshydratation se prolonge, les principales fonctions cognitives peuvent être durablement perturbées [2].

Les premiers signes d’une déshydratation se logent à peu près à tous les étages de votre organisme :

  • Vous avez les yeux secs ;
  • La voix enrouée, ou cassée ;
  • À plus long terme, votre peau se durcit, les rides apparaissent plus vite, ainsi que des taches cutanées ;
  • Votre transit intestinal se ralentit, et vous souffrez régulièrement de constipation ;
  • Vous accumulez les toxines dans les reins et la vessie, qui n’ont plus assez de liquide pour les évacuer ;
  • Vous êtes plus sujet à la fièvre (à cause du rôle de l’eau dans la fonction métabolique de thermorégulation) ;
  • Etc.

L’accès à l’eau potable est donc non seulement un droit fondamental, mais une nécessité sanitaire absolue.

En France, comme dans la plupart des autres pays de l’OCDE, cette nécessité semble, sans jeu de mots, couler de source. Contrairement à plusieurs autres pays moins bien lotis, l’eau n’a pratiquement jamais cessé de couler du robinet.

C’est plutôt le contenu de cette eau qui devient très préoccupant, et qui depuis plusieurs décennies préfigure la confiscation de l’eau à laquelle nous arrivons peu à peu.

De moins en moins d’eau… de plus en plus contaminée

En France, la potabilité de l’eau répond à des normes précises : 63 critères exactement, qui fixent les seuils de valeurs à ne pas dépasser concernant le chlore, les nitrates, l’arsenic, le cyanure, le mercure, etc., etc.

Mais il y a deux problèmes avec ces normes.

Le premier, c’est que ces seuils sont insuffisants : le chlore à lui seul a déjà été démontré comme dangereux aux seuils officiellement admis en France, augmentant les risques de fausse couche chez la femme enceinte, et de cancers de la vessie ou du côlon dans la population générale [3].

Le second problème, c’est que dépasser ces seuils… n’empêche pas l’eau d’être distribuée. Il suffit à la commune de demander une dérogation. Il y a dix ans, en France, 400 communes disposaient d’une telle dérogation [4] (dont un tiers en seule Seine-et-Marne).

Je n’ai pas trouvé les chiffres des dérogations pour 2023. Mais je peux déjà vous livrer une information sûre et certaine, et qui n’a rien d’un scoop : l’eau potable, en France, est aujourd’hui encore plus polluée qu’il y a dix ans.

Ce jeudi 6 avril, l’ANSES a publié un rapport démontrant que la proportion de contamination de l’eau potable a atteint dans notre pays des proportions inouïes, en particulier celle des eaux souterraines et de surface provoquée par un produit de dégradation d’un pesticide utilisé en France entre 1970 et 2019, le chlorothalonil R471811 [5].

Ce métabolite (issu de la dégradation du pesticide après usage) est classé parmi les substances cancérigènes.

L’ensemble du bassin parisien, capitale comprise, recevrait une eau 4 à 5 fois plus concentrée en résidus de chlorothalonil que les seuils tolérés.

Toujours d’après l’ANSES, ce serait aujourd’hui au moins 34 % de l’eau potable distribuée en France métropolitaine qui serait non-conforme aux réglementations sanitaires ; et d’après le journal Le Monde, qui a interrogé un opérateur d’eau public, ce serait en réalité plus de la moitié de la population française qui serait concernée [6].

Même les eaux en bouteille, comme celle d’Evian, ne seraient pas épargnées !

Ne comptez pas sur les politiques au pouvoir pour vous défendre

Une fois ce constat hallucinant effectué, on pourrait espérer que les pouvoirs publics se saisissent du problème et décident de réduire drastiquement les sources de contamination par des substances cancérigènes, et rétablissent des seuils de potabilité corrects.

D’une, c’est (hélas) très difficile.

Et de deux… la volonté de dépolluer l’eau, au plus haut niveau de l’État, est absente.

Il y a à cela une raison désespérément limpide : l’argent des lobbys.

On voit, avec le chlorothalonil, comment cinquante années d’utilisation ininterrompue d’un pesticide ont irrémédiablement dégradé, en surface (l’eau des rivières, des fleuves) comme sous terre (les nappes phréatiques), les eaux.

Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, il faudrait a minima réduire voire interdire les pesticides dont le caractère polluant et dangereux pour la santé est avéré.

C’est exactement l’inverse qui se produit.

Notre ministre de l’agriculture actuel, Marc Fesneau, est actuellement engagé dans une croisade… pour contrecarrer l’interdiction du S-Métolachlore, substance active d’un herbicide utilisé pour désherber, notamment les champs de maïs, de soja ou de tournesols [7].

Là encore, c’est la dégradation de ce produit, une fois usagé, qui pollue l’eau de notre pays.

Aussi l’ANSES a-t-elle demandé l’interdiction de cet herbicide au nom de la santé des Français… mais le ministre de l’agriculture lui-même défend son usage pour, officiellement, que les produits issus de l’agriculture française restent compétitifs !

L’eau est-elle une matière première comme les autres ?

La même logique est à l’œuvre avec l’ahurissante affaire des mégabassines.

Je le rappelle, le principe des mégabassines consiste à puiser l’eau des nappes phréatiques où elle reste au frais, pour la stocker en surface… où elle peut donc s’évaporer.

Cette opération est donc non seulement absurde, mais illustre la gestion à venir de l’eau dans notre pays, placée sous le signe de l’appropriation et de la confiscation.

Au nom de quoi ?

Du profit, et seulement du profit. Cette opération d’extraction et de stockage de l’eau s’apparente à celle du pétrole : on considère que le produit appartient à celui qui fore, aspire et exploite l’eau en sous-sol, comme si c’était une matière première parmi d’autres.

Et au détriment de quoi ?

De la santé publique, puisque le niveau des nappes phréatiques, déjà anormalement abaissé par les sécheresses successives, va directement déterminer nos accès à l’eau potable dans les prochains mois.

Et c’est là que nous entrons dans une logique insidieuse, mais implacable.

Car ce stress hydrique pousse les pouvoirs publics, et M. Macron en tête, à prendre des mesures « préventives » en vue des pénuries d’eau à venir.

Or la démarche du pouvoir ne consiste pas à interdire ce phénomène de confiscation de l’eau à des fins mercantiles… mais à le renforcer.

L’entrée en Bourse de l’eau

Le Président de la République a annoncé les grands axes de son « plan eau », le 30 mars dernier.

Ce plan, qui consiste en 53 mesures, peut se consulter dans le dossier de presse réalisé par le gouvernement (et, je suppose, McKinsey ou quelque autre « cabinet de conseil »), disponible dans le lien en source [8].

Ce plan part d’un constat de bon sens — l’eau est précieuse — et d’une bonne intention — économisons-la.

Mais certaines mesures interpellent, notamment la n° 50 :

« Un outil simple d’accès et d’utilisation sera déployé afin que chacun puisse connaître les restrictions qui s’appliquent en fonction de sa géolocalisation et de sa catégorie d’usager, et les éco-gestes recommandés au regard de la situation hydrologique locale. »

Le déploiement de cet « outil » est prévu pour l’été 2023 ; autrement dit demain. On l’appelle déjà l’« écowatt de l’eau » : il incite à faire des économies d’eau — O.K., très bien — mais reste flou quant à la vraie dimension contraignante de son emploi.

Je crains, pour ma part, que cet outil rejoigne le système de crédit social qui se met progressivement en place dans notre pays et dans la plupart des pays développés [9].

La surveillance et le contrôle de l’usage individuel de l’eau réunissent les critères pour nourrir le modèle social dont le pass vaccinal a été la première expérimentation : le conditionnement d’une existence sociale normale à de « bons comportements » dictés par le pouvoir.

Ces « bons comportements », dont la règle de conduite est en apparence déterminée par le bien commun, est en réalité dictée par la finance et une idéologie de marchandisation tous azimuts, où tout citoyen est puni ou récompensé selon son mode de consommation.

J’en veux pour preuve le changement discret, mais gravissime du statut de l’eau, qui entérine sa confiscation par les sphères financières privées, et son exploitation comme matière première.

Le 7 décembre 2020, l’eau est en effet entrée en bourse au Chicago Mercantile Exchange [10].

Pour le dire simplement : l’eau est devenue, officiellement, une valeur financière sur laquelle on peut spéculer et faire varier les prix selon le bon vouloir des places financières.

Concrètement, l’eau n’est plus seulement considérée comme une ressource à vendre et à acheter (ce qu’elle est depuis longtemps, puisque vous achetez votre eau en bouteille au supermarché), mais comme un « indice » dont on peut faire artificiellement varier la valeur.

Concrètement, ce système fait qu’il peut devenir plus rentable, pour un agriculteur, de vendre l’eau dont il dispose, que de s’en servir pour arroser ses cultures. C’est déjà ce qui se produit en Californie [11].

C’est insensé. L’usage et l’exploitation de l’eau deviennent ainsi un « marché » dont la valeur varie en fonction des circonstances : inutile de vous dire qu’en cas de sécheresse, le « prix de l’eau » va atteindre des sommets…

Ce sera une catastrophe pour 99,99 % de la population humaine, mais une opération financière juteuse pour les 0,01 % ayant des parts dans les sociétés intéressées.

Le rapporteur spécial pour l’ONU Pédro Arrojo-Agudo dénonçait, fin 2021, cette financiarisation de la ressource naturelle :

« Sous le prétexte originel d’être plus performants pour répondre à une période de sécheresse, les acteurs privés ont priorisé le marché au détriment des droits humains et de l’intérêt général. [12] »

Je ne saurais mieux dire.

Au lieu d’économiser l’eau, on spécule dessus

Résumons-nous : nous sommes face à un État qui,

  • 1 — complice des géants de l’agroalimentaire, laisse l’eau, bien universel et essentiel à la vie, être irrémédiablement polluée par des substances dangereuses pour la santé ;
  • 2 — est en train de préparer et d’organiser la confiscation à grande échelle de l’eau et sa gestion « rationnalisée » sur le modèle de n’importe quelle autre matière première non essentielle et cotée en bourse.

Cette financiarisation de l’eau fait complètement abstraction de son statut de ressource vitale.

Autrement dit, l’eau était déjà, depuis l’avènement de l’ère industrielle, une victime collatérale de la recherche effrénée de profit — par la pollution de l’eau douce, ou salée — et devient, par sa raréfaction même et le stress écologique qu’elle subit… une source de profit purement financier.

Je suis convaincu que nous devons nous battre, de toutes nos forces, contre cette dénaturation et cette confiscation de l’eau.

Nous arriverons bientôt pour de bon dans un monde où l’accès à une eau pure et potable, voire à l’eau tout court, sera un privilège accessible à ceux qui en auront les moyens… qu’ils auront acquis sur le dos de la planète, et de la population mondiale.

Si vous avez des idées ou des initiatives pour contrer cette perspective glaçante, merci de les partager en commentaire.

Portez-vous bien,

Rodolphe







Traitements précoces : quand randomisation rime avec escroquerie intellectuelle

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

Alors que j’avais déjà commencé ce nouveau billet pour démontrer le très faible « niveau de preuves » des essais randomisés contrôlés (ERC), relevant plus de la manipulation que de la recherche de la vérité scientifique, l’ANSM vient de publier le 5 avril 2023 un communiqué participant à cette désinformation, où on peut lire :

« Les résultats de plusieurs essais randomisés contre placebo, de bonne qualité méthodologique, permettent aujourd’hui d’affirmer l’absence d’efficacité de l’ivermectine, quelle que soit la dose utilisée en prévention ou en traitement du Covid-19. ».

Personne ne l’a remarqué, mais il y a eu deux phases dans les publications concernant l’ivermectine. Une première vague d’études, toutes favorables, puis après 18 mois, une seconde vague, toutes ne montrant aucune supériorité de l’ivermectine sur le placebo. Surprenant. Les dernières études auxquelles l’ANSM fait allusion sont principalement Together et Activ-6, sans oublier la tentative Principle.

À quoi est due cette différence dans les résultats, alors qu’il s’agit du même traitement, de la même maladie, des mêmes patients et que les résultats devraient donc être les mêmes ? Avec de telles différences, il y en a forcément qui font de grosses erreurs, qui manipulent ou qui mentent.

PREMIÈRE CONSTATATION : comment la méthode pourrait changer le résultat ?

Les premières études, favorables, sont observationnelles, alors que les secondes, défavorables, sont « randomisées et contrôlées ». On ne devrait d’ailleurs pas parler de défavorables, mais de neutres, car le placebo n’a pas encore été démontré comme étant supérieur au produit, mais cela peut encore arriver avec les biais qu’ils introduisent.

Nous avons souvent cité ici l’étude d’Anglemeyer, travail indiscutable fait en 2014 et publié dans Cochrane. Cet énorme recueil de 1 583 méta-analyses avait pour objectif de comparer le résultat des études randomisées avec les études observationnelles, pour voir s’il y avait une différence entre ces deux types d’études. Cela n’a pas été fait sur une seule pathologie, mais sur 228 pathologies différentes, évitant ainsi les biais liés à la pathologie. Le résultat de ce travail montre qu’il n’existe aucune différence entre les études ERC dites « gold standard » et les études observationnelles. C’est logique ! … comment voulez-vous que la méthodologie de l’étude change le résultat du traitement ?

Conclusion, s’il y a pour l’ivermectine une différence entre ces deux types de publications, c’est ailleurs qu’il faut en rechercher la cause, pas dans la nature observationnelle ou ERC.

DEUXIÈME CONSTATATION : le biais intellectuel et financier

Ceux qui rejettent les études observationnelles émettent quelque part un doute quant à l’honnêteté de celui qui a fait l’étude. Permettez-moi d’émettre le même doute quant aux praticiens des études randomisées, et ce d’autant plus que, pour les premiers, il n’est pas question d’argent, ce qui n’est pas le cas pour les seconds.

Les études observationnelles sont faites par des médecins qui traitent, colligent leurs résultats et les publient s’ils sont intéressants. C’est le cas de ces médecins de République Dominicaine qui recevaient les patients dans un centre de soins et les traitaient, avec un rapport sincère pour lequel ils ne recevaient aucune rémunération.

À l’inverse, les patients dans les études ERC sont recrutés par des médecins rémunérés pour cela et pour la charge administrative. Cela n’est pas sans inconvénient, j’en sais quelque chose ayant participé à ce genre d’ » études ». J’ai vite abandonné après la seconde, trop chronophage au détriment des autres soins. Ce n’était pas des soins et ça ne me convenait pas. J’ai pu constater qu’il est facile de biaiser, changer une date ou omettre un élément pour ne pas perdre le temps investi, et le temps, c’est de l’argent… Ce biais important n’est jamais évoqué.

Cette différence, entre des études faites par des praticiens non rémunérés pour l’étude et dont le premier objectif est de soigner, ou par des non-soignants rémunérés, n’est pas anodine. L’intérêt de celui ou de ceux qui sont prêts à investir plusieurs millions dans l’étude est également à prendre en compte. Nombre d’études défavorables à l’égard des traitements ont pour financiers des personnes ou des entreprises liées aux vaccins, et les trois premiers auteurs de Together ont reconnu avoir reçu des fonds du NIH. Ces études ne sont pas indépendantes, alors que les études observationnelles le sont.

TROISIÈME CONSTATATION : le biais matériel et scientifique

Cette troisième constatation est la plus importante, le biais n’étant plus intellectuel ou financier, mais matériel et scientifique. Des faits, rien que des faits : ces études ERC, vantées dans les hautes sphères et seules reconnues, sont inadaptées pour étudier un traitement précoce, quel qu’il soit. S’appuyer sur des études ERC est une escroquerie intellectuelle. Il y a accumulation de biais qui sont trop importants, insurmontables. Je le dis, je l’affirme et je le démontre. Pour rentrer dans le protocole de ce genre d’étude, il y a des délais incompressibles. Il faut plusieurs jours pour la mise en œuvre, beaucoup trop pour pouvoir parler de traitement précoce.

Le patient, qui va se plaindre de troubles, a été contaminé il y a 2-3 jours. Il va alors voir son médecin qui prescrit un test, puis retourne chez le médecin, soit 1 ou 2 jours de plus. On est au mieux en moyenne entre 3 et 5 jours. Pour faire rentrer ce patient dans une étude randomisée « de bonne qualité méthodologique » comme le dit l’ANSM, il faut que le patient réponde à certains critères et qu’il ait un dossier, avec nombre d’examens, qui sont alors prescrits. Il faut donc 1 ou 2 jours de plus pour avoir un dossier complet et voir s’il coche toutes les cases pour être randomisé. Si c’est le cas, le médecin prévient le laboratoire ou l’équipe responsable, qui va contrôler le dossier, effectuer la randomisation, puis envoyer les produits numérotés, étiquetés, au médecin. Ce dernier va reconvoquer le patient pour les lui remettre. Dans le meilleur des cas, il est très difficile de faire tenir tout cela en 4 jours, qui s’ajoutent aux 2-3 jours incompressibles après contamination.

Ainsi quand vous regardez l’étude Activ-6, 3 457 malades voulaient rentrer dans l’étude, seuls 1 591 ont été sélectionnés et la moyenne des traitements a démarré après 7 jours. Un quart des patients a démarré le traitement après plus de 8 jours, sans garantie que cela ne soit pas le 11e ou 12e jour, date arrangée à 10 jours pour ne pas perdre tout le travail antérieur. Un des patients a raconté s’être déclaré au 5e jour, et avoir reçu son colis au 6e jour après déclaration (par la poste, à cause du week-end), soit un total de 11 jours. Il a fait partie de l’étude, soit dans les moins de 10 jours. Il est signalé que 209 patients sélectionnés n’ont pu rentrer dans l’étude, faute d’avoir reçu leurs produits dans les délais. Cela montre bien que démarrer un traitement dans une étude ERC, dans les 3-4 jours qui suivent les premiers troubles, c’est impossible. Quand ils parlent d’évaluer l’efficacité d’un traitement précoce, ils mentent. Le biais est insurmontable. Une étude ERC, avec la qualité demandée à ces études, ne peut être précoce.

Or, on le sait très bien, toutes les études concernant l’ivermectine le disent, plus le traitement est pris tôt, plus il est efficace. Et pour cause : l’ivermectine est censée empêcher le virus de rentrer dans les cellules. Désolé, après 5 jours, ils sont déjà tous rentrés, et cette fonction de l’ivermectine devient sans objet (reste l’immuno-modulation, qui n’est pas la fonction première).

[Note de Joseph : l’ivermectine n’est-elle pas censée être un antiparasitaire ? Quel rapport avec empêcher un supposé virus d’entrer dans les cellules ? De plus en plus de médecins et de chercheurs en médecine contestent la théorie virale qu’ils démontrent non scientifique et relevant aussi d’escroquerie intellectuelle, voire carrément de fraude. Voir le dossier Vaccins et virus. Il est très difficile de remettre en cause une idée quasi universellement admise, surtout lorsqu’elle est défendue par des personnes de grande notoriété comme des prix Nobel. Il est beaucoup plus facile d’écarter les trublions, les empêcheurs de tourner en rond, de les traiter de farfelus, de complotistes ou de gourous de secte.]

L’étude de la République Dominicaine est à l’opposé de ces études ERC, et démontre parfaitement que seules les études observationnelles peuvent évaluer correctement un traitement précoce. Les patients avaient été classés en 4 groupes correspondant à la gravité et l’ancienneté des troubles. Les résultats les plus spectaculaires sont dans le premier groupe, patients renvoyés chez eux avec traitement. En revanche, comme dans les études ERC, ils ne constatent pas de bénéfice du traitement dans le dernier groupe, le plus évolué avec des patients traités tardivement. Même chose dans les constatations du Dr Loué en EHPAD : son seul décès est le patient traité le plus tardivement, au 18ejour.

AUTRES BIAIS

Je ne les citerai pas tous, tant il y en a, plusieurs dizaines pour les plus importants (80 ici pour Together), dans ces études montées secondairement dans le but de prouver qu’il n’y a pas de traitement efficace possible contre le covid. Ces études sont de vastes fumisteries, la première étant celle du Lancetgate à l’été 2021, ce qui ne les empêche pas d’être les seules utilisées par les autorités qui les mettent en avant.

Dans quasiment toutes ces études « neutres », tout a été fait pour que cela soit neutre. L’ivermectine a été donnée en monothérapie, alors que tous les protocoles l’associent avec de la Doxycycline ou de l’Azithromycine. Il est également connu que c’est un ionophore de zinc, et qu’elle est donc plus efficace avec du zinc qui augmente sa biodisponibilité. Vous avez une trithérapie pour le VIH, si vous passez en monothérapie, ce n’est plus la même chose ! Outre cette monothérapie, on a toujours étudié avec le dosage le plus bas, et surtout avec des prises à jeun, en toute connaissance de cause, alors que l’on sait que l’absorption est deux fois plus importante avec un bon repas.

Le groupe placebo n’était pas forcément sans traitement. L’essai Together se déroulait au Brésil, dans une région où l’on pouvait se procurer de l’ivermectine sans ordonnance, et où elle connaissait un pic de consommation. Sa réputation d’efficacité en prévention et en traitement était donc assez répandue. Or, le protocole expérimental ne fixait aucune condition d’exclusion de l’essai liée à la consommation d’ivermectine préalablement à l’enrôlement. Il n’est donc pas exclu qu’une partie du groupe placebo ait été « sous ivermectine » du fait d’un traitement préventif. Dans une autre étude, Médina, vantée par les autorités, le groupe placebo avait reçu par ailleurs de l’ivermectine par erreur, ce qui n’a pour autant pas arrêté l’étude !

La quasi-totalité de ces études porte sur des populations à moyenne d’âge faible. Dans l’étude Activ-6, 60 % des patients avaient moins de 50 ans. De plus on peut se demander quelle maladie ils ont traitée et si les cobayes étaient vraiment malades, car quand il y a dans le groupe placebo 1 % d’hospitalisations et 0 décès, comment voulez-vous arriver à démontrer que l’ivermectine peut faire mieux ? Dans une population qui guérit seule de la maladie, comment voulez démontrer qu’un traitement fait mieux ? Le résultat ne peut être que neutre. Dans les études observationnelles en EHPAD de Charlotte Bernigaud et de Pierre Loué, les moyennes d’âge étaient de 90 et 83,5 ans, les comorbidités multiples. Là on est dans le concret pour juger des résultats, sans biais concernant l’âge.

Dans l’étude Activ-6 toujours, la moitié des patients étaient vaccinés. Quand on vous dit que cela protège des formes graves, cela fait un peu désordre dans le groupe placebo !

Dans cette étude RCT :

  • Les dossiers médicaux étaient faits via une plateforme internet par les patients eux-mêmes, de même que la description des symptômes et des résultats, alors que dans les études observationnelles, c’est au moins fait par des médecins !
  • Une seule visite à 3 mois, alors que les critères définissant les résultats sont évalués à 7, 14 et 28 jours.
  • Quand on apprend que ces « cobayes » étaient rémunérés via un bon d’achat Amazon de 100 €, et que certains pouvaient appeler les copains « viens, si tu veux gagner un bon d’achat, il suffit de raconter n’importe quoi sur leur site et tu es accepté », d’où le rush inattendu pour les inscriptions. Je ne dis pas que cela s’est passé comme cela, mais tout est fait pour que cela arrive, et la seule chose contrôlée a été le test, pas la manière de remplir les dossiers en ligne, ni les dates et troubles avant et après traitement.
  • Dans la version complémentaire avec dosage plus important (Activ-6 600), 109 patients étaient asymptomatiques lorsqu’ils ont reçu le médicament, mais ont été inclus dans les données, car positifs, avec « infection faible à modérée » qui rentre dans les critères d’admission. Sans commentaire.

Passons sur les nombreuses entorses comme des changements de protocoles en cours d’étude, les résultats préliminaires ne convenant sans doute pas, résultats par ailleurs non publiés alors que dans le protocole initial cela devait être fait tous les 300 patients. Passons sur les data non disponibles pour certaines études, qui renvoient sur des sites hébergeurs qui prétendent ne rien avoir et n’avoir rien reçu (Together). Passons sur les délais pour publier afin de tourner le tout dans un bon sens, les chiffres annoncés en conférence de presse n’étant plus les mêmes dans la publication 7 mois plus tard.

Le « biais » de l’étude Principle relève d’une sorte de mensonge par omission.

Cette étude pilotée par l’Université d’Oxford a sombré dans le ridicule. Les premiers résultats n’étant sans doute pas conformes à ce qu’ils étaient censés démontrer, cette étude a été arrêtée… faute de trouver de l’ivermectine ! ! ! Des milliards de doses étaient disponibles sur la planète, n’importe qui peut en acheter en Inde par 10 kg pour une poignée d’euros. Sans commentaire. Cette Université est aussi celle qui a surdosé l’étude sur l’hydroxychloroquine pour arriver aux conclusions que le produit était dangereux. On sait aussi que c’est elle qui a reçu 40 millions quand le rapport Andrew Hill sur l’ivermectine est sorti. Cela fait beaucoup de coïncidences concernant l’honnêteté de ces études ERC.

Malgré tous ces efforts pour rendre ces études défavorables, malgré des traitements toujours tardifs, toutes ces études montrent dans les chiffres un avantage favorable à l’ivermectine, mais « statistiquement non significatif ». Mission accomplie.

Les autorités sanitaires sont les mieux placées pour constater ces faits, elles ne peuvent les ignorer. Dans ces conditions, leur attitude et leur discours relèvent soit de l’incompétence (ils ne voient rien), soit de la manipulation mensongère (ils savent). Notons au passage que quand l’ANSM se permet d’affirmer que « plusieurs essais randomisés contre placebo, de bonne qualité méthodologique, permettent aujourd’hui d’affirmer l’absence d’efficacité de l’ivermectine… en prévention du Covid-19 », ces études permettant de l’affirmer n’existent pas ! Il n’y a à ce jour « que » 18 études dans le monde en prévention, et toutes donnent des résultats extrêmement positifs. Un mensonge de plus.

Le communiqué défavorable de l’ANSM a été immédiatement diffusé par le Quotidien du Médecin, ce même 5 avril 2023, qui nous a permis d’en prendre connaissance. Mais, quand une étude dit le contraire, ce journal est aux abonnés absents, tout comme les autres d’ailleurs. On est plus proche de la pensée unique qui doit obligatoirement manipuler pour exister, que d’une information plurielle où toutes les opinions s’expriment. Il est vrai que pour ces journaux, comme pour les médecins participant aux études, leur existence tient à leurs sponsors, et l’on a déjà vu de gros laboratoires pharmaceutiques menacer de retirer leurs contrats publicitaires si les journaux publiaient certains articles. Face à l’argent, la liberté d’expression est bien démunie.






Elon Musk est stupéfait après les révélations de François Hollande sur l’Ukraine et demande si la vidéo est réelle

[Source : lemediaen442.fr]

La vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux en ce moment montre l’ancien président français François Hollande piégé dans un canular par des Russes se faisant passer pour l’ancien président ukrainien Petro Porochenko. François Hollande avoue sans détour que les accords de Minsk étaient une ruse de l’OTAN pour militariser l’Ukraine, que les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014 et qu’il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.

Article pour comprendre le contexte :
François Hollande piégé dans un canular : Il avoue la participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine

Des propos d’une extrême gravité venant d’un ancien président de la République ne pouvaient pas passer inaperçus. L’une des vidéos partagées sur Twitter par kanekoa.substack.com a atteint les 2 millions de vues en moins de 11 heures.

L’interview-canular de François Hollande est tellement explosif que le patron de SpaceX et Twitter, Elon Musk, n’en revient pas et demande sous la vidéo “Is this real?” (en français “C’est réel ?”). Le compte kanekoa.substack.com répond au milliardaire en lui renvoyant un lien vers Sud Radio.


Voici la vidéo en question :

Suite à ce coup de maître des Russes et aux aveux explosifs de l’ancien président français François Hollande, il sera difficile pour les médias grand public du monde entier d’ignorer ce scandale incroyable.




Réintégration des soignants en France : « On est toujours dans le flou »

[Source : France Soir]

ENTRETIEN — Une semaine après l’annonce de la Haute autorité de Santé (HAS), l’association « les Blouses Blanches » reste très critique envers l’institution et doute de la bonne réintégration des soignants toujours suspendus depuis 18 mois pour avoir refusé la vaccination contre le Covid-19.

Nous recevons deux membres de ce collectif, Sonia Hamdouchy, aide-soignante et présidente de l’association, et Nathalie Lepage, secrétaire du groupe.

Selon elles, une simple réintégration n’est pas souhaitable : le collectif demande l’abrogation de la loi ayant contraint les soignants à la vaccination, ainsi que le versement de l’ensemble des salaires non distribués depuis le 15 septembre 2021 aux suspendus, alors laissés sans indemnités, ni chômage.








La France toujours mobilisée contre le gouvernement

[NDLR Ce gouvernement est-il représentatif du peuple ? Le sert-il comme il devrait ?]






En Espagne, l’État sommé de rendre publics tous les contrats de vaccins Covid sous 20 jours

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng

Le Conseil espagnol de Transparence et de la Bonne Gouvernance fixe un ultimatum de 20 jours au gouvernement espagnol pour qu’il publie tous les contrats secrets sur les prix de vaccins Covid signés avec les laboratoires.

Le gouvernement socialiste espagnol mis sous pression. Trois ans après le début de la pandémie à Coronavirus qui a poussé les États européens à signer des milliards d’euros de contrats, l’heure est au bilan. Si, au sein de l’UE, tout est fait pour que Ursula Von Der Leyen ne soit pas inquiétée par la justice, dans certains pays membres de l’UE, les gouvernants sont dans le viseur des organisations publiques.

C’est le cas de l’Espagne. En effet, d’après le média espagnol, The Objective qui a donné l’information ce 3 mars, le Conseil espagnol de Transparence et de la Bonne Gouvernance (Consejo de Transparencia y Buen Gobierno) a sommé le gouvernement central de Madrid à rendre publics, sous un délai de 20 jours, les prix des vaccins signés avec les laboratoires.

« L’organisme public donne un délai de 20 jours à l’Exécutif pour qu’il révèle les prix finalisés avec les industries pharmaceutiques et le prix de chaque dose », renseigne la source qui dit avoir consulté un document confidentiel émis par le Conseil de Transparence et de la Bonne Gouvernance.

Et ce n’est pas. En effet, à en croire The Objective, l’organisation publique espagnole met la pression sur José Miñones, le nouveau ministre espagnol de la Santé pour que ce dernier lui fournisse une copie de tous les contrats à travers lesquels le gouvernement a acheté des vaccins contre le Covid aux différents laboratoires. D’après The Objective, le Conseil espagnol de Transparence et de la Bonne Gouvernance s’oppose à la confidentialité imposée par l’État et les labos sur un sujet aussi important.

À peine révélée, l’information commence déjà à faire des vagues sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter. L’affaire risque de connaître une couverture médiatique spectaculaire après le soutien (de l’initiative) par le Parti Populaire (PP), parti de Droite. Ainsi, dans un commentaire posté sur son compte Twitter, Elvira Velasco Morillo, députée du parti, approuve.

« Depuis le Parti Populaire, nous demandons de la transparence dans l’achat des vaccins. José Miñones, vas-tu le faire ? », s’interroge-t-elle :

Et Elvira ne fut pas la seule. L’avocat espagnol, Diego Gomez, a aussi relayé l’information sur son compte Twitter :






L’Afrique du Sud poursuit Pfizer pour son vaccin Covid « dangereux et inefficace »

[Source : le-blog-sam-la-touch]

Selon un expert, l’action en justice intentée par l’Afrique du Sud pour mettre fin à l’utilisation des vaccins à ARNm de Pfizer pourrait avoir des « conséquences mondiales ».
Article originel : South African court action to stop use of Pfizer mRNA jabs could have “global implications” — expert
Daily Telegraph New Zealand, 30.03.23

Un groupe de scientifiques internationaux et d’experts de premier plan a engagé une procédure devant la Haute Cour de Pretoria pour faire cesser l’utilisation de la piqûre à l’ARNm de Pfizer.

Selon le Dr Aseem Malhotra, cardiologue de renommée mondiale, cette affaire pourrait avoir des « implications mondiales ».

Autrefois partisan des produits, le Dr Malhotra a perdu son père d’une maladie cardiaque peu de temps après son rappel et a depuis changé d’avis sur la thérapie génique par l’ARNm.

Il s’agit d’une demande de contrôle judiciaire des produits à ARNm de Pfizer, qui seraient « dangereux et inefficaces ».

Dans un communiqué de presse, Freedom Alliance South Africa (FASA), qui est le plaignant, demande une ordonnance du tribunal pour annuler l’autorisation du gouvernement pour le « vaccin » de Pfizer :

En plus d’exposer les faits montrant une augmentation sans précédent des lésions dues aux vaccins, les articles citent une nouvelle analyse de données réelles qui révèle une association avec une augmentation des décès dus à des causes COVID et non COVID chez les personnes vaccinées par rapport aux personnes non vaccinées. Les données à six mois de l’essai contrôlé randomisé de Pfizer ont révélé une augmentation de près de 50 % du nombre de décès, toutes causes confondues, chez les personnes vaccinées (20 décès) par rapport aux personnes non vaccinées (14 décès).

Les données mondiales montrent des signaux alarmants et des corrélations entre l’administration des vaccins à ARNm COVID de Pfizer et l’augmentation sans précédent des effets indésirables graves chez les patients, notamment des handicaps, des anomalies fœtales, des cancers agressifs et des décès. Alors que la communauté médicale mondiale prend de plus en plus conscience du problème, la FASA s’est attaquée au gouvernement et à l’autorité de réglementation des médicaments, la SAHPRA, afin de préserver la santé publique.
 

S’il est vrai qu’il a été possible de supprimer et de déformer les faits dans le discours public pour ou contre les vaccins, cela ne sera pas possible devant nos tribunaux ».

Le Dr Herman Edeling, éminent neurochirurgien sud-africain, est l’un des témoins experts dans cette affaire. Dans sa déclaration sous serment à l’appui de la demande, Edeling a déclaré : « Ces documents prouvent que le vaccin Comirnaty ne peut pas, et n’aurait jamais dû, être qualifié de “sûr et efficace”. Les demandes présentent des preuves évidentes que l’essai vaccinal de Pfizer pour le Comirnaty semble avoir été un lavage de cerveau — embourbé dans ce qui semble être une manipulation substantielle des données, des inexactitudes dans les données, et des déclarations inexactes sur les résultats ».

M. Malhotra a examiné les preuves fournies par M. Edeling et a déclaré que le dossier était « solide sur le plan factuel, médical et scientifique ».

Il est très probable qu’il y aurait eu beaucoup moins de décès et de maladies dans la population mondiale si le vaccin n’avait jamais été approuvé », a déclaré M. Malhotra.

La procédure a été déposée le 23 mars et la date du procès n’a pas encore été fixée.



UNE NOUVELLE DE PREMIÈRE IMPORTANCE :

« Peu sûr et inefficace
Pfizer va au tribunal !

Dans une affaire historique aux ramifications mondiales, portée devant la Haute Cour de Pretoria, en Afrique du Sud, des scientifiques internationaux et des professionnels de la santé de premier plan ont exigé que l’on se rende d’urgence à l’adresse https://theprint.in/world/british-indian-medic-backs-legal-review-of-covid-vaccine-in-south-africa-high-court-2/1482253/?amp.




L’Ordre des médecins belge rappelé à l’ordre par ses pairs à propos de la gestion de la crise sanitaire du Covid-19

[Source : pan.be]

Nous sommes un collectif de médecins généralistes et spécialistes. Lors du mini-symposium organisé par l’Ordre des Médecins le 4 février dernier, au château du Lac à Genval, sur le thème « Déontologie et vaccination obligatoire », certains éléments qui ont été défendus par les orateurs ont éveillé notre inquiétude. Le 22 février suivant, nous avons donc envoyé un courrier recommandé à l’Ordre dans lequel nous exprimions notre désaccord sur 6 sujets essentiels. « Il ne fait pas de doute que chacun partage le souhait d’une information la plus objective possible. Il est donc de notre devoir, au vu des Articles 37 et 38 du Code de Déontologie médicale, de vous faire part de nos préoccupations liées à des informations soit douteuses, soit erronées, entendues lors de ce symposium (…) L’ouverture d’un débat demandé depuis 3 ans est indispensable ». En l’absence de réponse de leur part, nous avons décidé de faire publier ce courrier dans les médias qui l’accepteraient. L’Ordre des Médecins ne pourra jamais dire qu’il ne savait pas.

Voici en substance nos remarques et réflexions :

1) Les conflits d’intérêts des orateurs : 

Nous déplorons qu’il semble suffire que les orateurs déclarent leurs conflits d’intérêts pour penser que cela garantisse la neutralité de leurs propos. Lorsque des médecins experts sont consultés par les décideurs politiques, qu’ils sont amenés à donner leur avis dans les médias (ou, comme lors du symposium, lorsqu’ils sont invités pour ouvrir le débat avec des confrères), leur totale impartialité devrait absolument être garantie. Lors du symposium, un des orateurs a même cru pouvoir plaisanter en disant : « J’ai tellement de conflits d’intérêts dans le secteur de la vaccination que l’on peut considérer que je n’en n’ai aucun… Je ne favoriserai aucune firme ». À nos yeux, une telle position est inadmissible. Et c’est le rôle de l’Ordre des Médecins d’exiger que chaque expert officiel soit irréprochable et dénué de tout conflit d’intérêts.

2) Les millions de vie qui auraient été sauvées :

Le symposium a débuté par l’affirmation que la vaccination contre le SARS-CoV2 aurait sauvé des millions de vies. Cette affirmation provient d’une étude comparant le nombre de décès réels et une modélisation mathématique visant à estimer le nombre de décès qui se seraient produits sans vaccination. Les modélisations mathématiques peuvent être des outils utiles mais elles doivent être utilisées avec prudence dans le cadre des systèmes vivants complexes.

Les chiffres ayant servi à cette étude ont d’ailleurs été contestés par la directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique. En effet, les auteurs de l’étude ont fortement surestimé le nombre de décès réels en Afrique car, si les chiffres utilisés par les auteurs étaient vrais, cela signifierait que des pays comme le Kenya n’auraient alors déclaré que 3% de leurs morts, hypothèse qui est complètement irréaliste.   

Il a d’ailleurs été très rapidement connu dans cette crise, que l’IFR du SARS-CoV-2 était très faible : en dessous de 3‰ pour les gens âgés de 61 à 69 ans sans comorbidité, et de moins de 1 par million en dessous de 60 ans sans co-morbidité. Le Pr Goldman, en affirmant sans réserve et à plusieurs reprises que des millions de vies ont été sauvées par les vaccins sur base de modélisations mathématiques non adaptées et non fiables, a manqué à son devoir de fournir aux médecins présents une information scientifiquement et médicalement correcte et impartiale. 

3) Une technologie non maîtrisée :  

La technologie de l’ARNm est nouvelle et un certain nombre d’éléments ne sont pas maîtrisés : la posologie, la pharmacocinétique et la bio distribution. En effet, si on connaît la quantité d’ARNm qui est injectée, la quantité de protéine Spike qui sera produite peut varier fortement chez les patients, certains en produisant beaucoup plus que d’autres. Et alors que les experts officiels ont affirmé que le contenu du vaccin restait localisé au site d’injection, les documents remis par Pfizer à l’Agence Européenne du Médicament montraient déjà que les particules lipidiques contenant l’ARNm diffusent dans l’ensemble du corps.  

Durant le symposium, certains confrères ont abordé ces problèmes fondamentaux. Le Pr Goldman a répondu qu’il restait effectivement des inconnues au sujet desquelles les recherches devaient continuer. Parallèlement, il nous a été affirmé plusieurs fois que les « vaccins » à ARNm n’étaient plus en phase expérimentale lorsqu’ils ont été recommandés et administrés à la majorité de la population adulte. Ces deux affirmations sont contradictoires. Soit les caractéristiques essentielles d’un produit pharmaceutique sont connues et maîtrisées et il est alors possible d’affirmer qu’il n’est plus en phase expérimentale. Soit ces caractéristiques essentielles doivent encore faire l’objet de recherches et le produit pharmaceutique est expérimental. 

La population n’a pas été informée que toutes ces inconnues subsistaient au moment de se faire vacciner ni qu’elles subsistent encore alors qu’il est question dans le secteur pharmaceutique de déployer cette technologie à ARNm non maîtrisée pour les futurs vaccins, notamment pour le vaccin antigrippe.

4) Les risques de phénomènes d’auto-immunité :

Alors que le principe des vaccins classiques est d’injecter l’antigène viral pour que le système immunitaire apprenne à synthétiser les anticorps, avec la technologie à ARN messager, ce sont nos propres cellules qui fabriquent l’antigène (la protéine Spike). Il existe un risque, bien connu en médecine, que la protéine Spike s’intègre dans la membrane de la cellule qui l’a synthétisée. Cette cellule est alors marquée comme si elle était une cellule étrangère et va alors être attaquée par le système immunitaire. C’est le même processus de destruction de nos propres cellules qui se produit lors des maladies auto-immunes. 

Or, l’ARN messager ne reste pas localisé dans le muscle de l’épaule après l’injection du vaccin mais il circule dans l’ensemble du corps. Les cellules de nombreux organes peuvent donc être amenées à synthétiser de la protéine Spike et à l’exprimer sur leurs membranes. On risque alors d’observer des maladies auto-immunes touchant ces différents organes, les plus fréquentes étant les myocardites (destruction de cellules musculaires du cœur), les vasculites (destruction de cellules musculaires des parois des vaisseaux sanguins), les myosites (destruction de muscles), les utérites (destruction de cellules musculaires de l’utérus). 

Les orateurs du symposium ont reconnu l’existence potentielle de ce risque mais ont déclaré que cela ne se produisait que très rarement. Selon nos observations sur le terrain, l’apparition de diverses maladies auto-immunes est un phénomène beaucoup moins rare que ce qui est officiellement admis. 

5) Sur la pharmacovigilance : 

Les autorités ont accepté d’endosser la responsabilité de la surveillance des effets secondaires tout en ne disposant pas du personnel nécessaire pour effectuer l’indispensable pharmacovigilance active renforcée qui incombe normalement aux firmes pharmaceutiques. La responsabilité a donc été reportée sur les médecins et ce système de pharmacovigilance passive aboutit toujours à une importante sous-évaluation des effets secondaires. 

Tous les orateurs ont reconnu les importantes défaillances de cette pharmacovigilance. Malgré cela, ils ont continué à affirmer que ces effets secondaires étaient extrèmement rares.  Ce qui est paradoxal puisqu’il est impossible de connaître la fréquence réelle d’un événement qui n’est pas suffisamment rapporté. De plus, une pharmacovigilance défaillante empêche de mettre en balance l’efficacité affirmée contre les formes graves et les risques d’un effet secondaire spécifique en tenant compte du dossier médical de chacun, les patients susceptibles de souffrir d’effets secondaires n’étant pas nécessairement les mêmes que ceux qui bénéficieraient de l’éventuelle efficacité de la vaccination contre les formes graves de covid 19.

6) La transformation du rôle du médecin : 

Au sein de la société, c’est toujours vis-à-vis des patients que les devoirs des médecins sont définis. Jusqu’en 2017, le serment d’Hippocrate incluait cette phrase :

« J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. »

Les modifications apportées en 2017 laissaient déjà présager un début de dérive et les propos tenus lors du symposium ne pouvaient que renforcer nos inquiétudes de voir le rôle du médecin devenir celui d’un fonctionnaire prêtant allégeance à l’État et obligé d’obéir à des consignes rassemblées sous le vocable d’EBM, dont on ignore par qui, sous influence de qui et dans l’intérêt de qui elles seront définies. 

Nous nous opposons fermement à ce que l’Ordre oublie sa mission première de protection de l’intérêt exclusif des patients et devienne un instrument utilisé pour cautionner des décisions politiques. 



Signataires :

  • Dr Alexandre Brigitte, Pédopsychiatre 
  • Dr Allen Marie-Louise, Médecin généraliste
  • Dr Andry Cécile, Médecin Généraliste
  • Dr Antoine Philippe, Psychiatre
  • Dr Bachelart Daniel, Pédiatre
  • Dr Baudoux Véronique, Médecin généraliste
  • Dr Beckaert Gaëtane, Médecin généraliste
  • Dr Bernaerts François, Médecin généraliste
  • Dr Bigligiu Teodora, anesthésiste
  • Dr Burlet Olivier, Radiologue
  • Dr Bureau Michel, Neurologue
  • Dr Caruso Frédéric, Anesthésiste-Réanimateur
  • Dr Chayma Chara, Médecin généraliste
  • Dr Colignon Alain, Chirurgien vasculaire
  • Dr Coremans Christine, Cardio-pédiatre
  • Dr Croux Isabelle, Psychiatre
  • Dr Dale Anne-Marie, Médecin généraliste 
  • Dr Daubie Pascale, Médecin généraliste
  • Dr Defays Véronique, Médecin généraliste
  • Dr Del Bingo Arnaud, Médecin généraliste 
  • Dr Deprez Joël, Anesthésiste
  • Dr Dery Ludivine, Médecin généraliste
  • Dr Devos Philippe, Médecin Homéopathe
  • Dr Duchateau Édouard, Ophtalmologue
  • Dr Espeel Benoît, Interniste et intensiviste adulte et pédiatrique
  • Dr Fernez Pascale, Médecin généraliste
  • Dr Fox Marie-Aurore, Anesthésiste
  • Dr Franchimont Anne, Médecin généraliste
  • Dr Frère Pascal, Hémato-oncologue
  • Dr Genin Jeanine, Dermatologue
  • Dr Goareguer Frédéric, Pédopsychiatre
  • Dr Guilmot Damien, Psychiatre
  • Dr Guiot Françoise, Dermatologue
  • Dr Gyorgyike Lipcsei, Anatomopathologiste
  • Dr Hausmann Caroline, Médecin généraliste
  • Dr Hennuy Véronique, Anesthésie-Réanimation
  • Dr Hoang Philippe, Chirurgien de la main
  • Dr Kayser Laurence, gynécologue
  • Dr Lambot Dany, Chirurgien de la main
  • Dr Laporte Marianne, Dermatologue
  • Dr Lequeu Xavier, Médecin généraliste
  • Dr Laschet Alexandra, Médecine physique
  • Dr Letawe Caroline, Dermatologue
  • Dr Leyh Philippe, Médecin généraliste
  • Dr Lhoest Olivier, Anesthésiste-Réanimateur
  • Dr Locht Bénédicte, Ophtalmologue
  • Dr Louis Frédéric, Anesthésiste
  • Dr Michaud Bernard, Médecin généraliste 
  • Dr Montesanti Jessica, Radiologue
  • Dr Mulder Bernard, Médecin généraliste
  • Dr Neuprez Audrey, Médecine physique et Réadaptation Fonctionnelle
  • Dr Nicolay Benoît, Anesthésiste réanimateur
  • Dr Parent Florence, Santé publique
  • Dr Rassart Jacky, Médecin généraliste 
  • Dr Résimont Stéphane, ORL
  • Dr Scerbo Franca, Oncologue
  • Dr Perrier Jean-Charles, Médecin du travail
  • Dr Petermans Marie-France, Pédiatre
  • Dr Renard Alain, Médecin généraliste 
  • Dr Reymann Judith, Médecin généraliste
  • Dr Skrzypek Benoît, Médecin généraliste, addictologie
  • Dr Tinant France, Médecine physique et réadaptation fonctionnelle
  • Dr Theunissen Émilie, Médecine physique
  • Dr Thiry Sylviane, Médecin généraliste
  • Dr van Stappen Anne, auteure et conférencière
  • Dr Vermer Donald, Gastro-entérologue
  • Dr Wera Marie-Isabelle, psychiatre
  • Dr Wève Alain, Anesthésiste
  • Dr Willemaers Valentine, Dermatologue
  • Pr Zizi Martin, ex Directeur Service Epidémiologie et Biostatistiques à la Défense, MD-PhD, biophysique et biologie moleculaire, ex president de Commission d’Éthique

Références :




L’OTAN disperse de l’uranium appauvri à travers le monde

[Source : Anaïs Tea]

Reese Report: L’OTAN disperse de l’uranium appauvri à travers le monde

Autres sources :

https://www.veteranstoday.com/2019/04/03/deadly-dust-us-spreading-radiation-and-no-one-wants-to-raise-the-issue-author/

https://amp.theguardian.com/world/2014/jun/19/us-depleted-uranium-weapons-civilian-areas-iraq

https://youtu.be/RNi_1pbSqGY

https://www.publichealth.va.gov/exposures/depleted_uranium/

https://tvtonight.com.au/2019/01/foreign-correspondent-jan-29-2.html

http://edition.cnn.com/WORLD/9702/10/marines.japan/

https://hilo.hawaii.edu/campuscenter/hohonu/volumes/documents/Vol07x14FacilitatingaCommunityResponsetoFepletedUranium.pdf

https://english.almayadeen.net/news/politics/europe-may-face-cancer-birth-defects-if-kiev-uses-depleted-u




https://twitter.com/laurentozon/status/1642504267654103042?s=43






La Hongrie et l’Italie adoptent des lois visant à protéger les citoyens contre l’utilisation d’insectes dans l’alimentation

[Source : anguillesousroche.com]

[Illustration : un chef prépare des pâtes spéciales avec de la farine d’insectes à base de criquets ou de grillons.]

Les mondialistes tentent de laver le cerveau des citoyens avec leur propagande environnementale et nutritionnelle afin de contrôler leurs choix alimentaires.

La Hongrie a adopté des règles plus strictes contre l’insectification clandestine des aliments. Le ministre de l’agriculture, István Nagy, a annoncé sur son site de médias sociaux que les aliments contenant des protéines d’insectes devaient désormais porter l’étiquette “Attention ! Aliment contenant des protéines d’insectes” et doivent être présentés séparément des autres produits.

Le ministre a souligné que le gouvernement souhaitait protéger les consommateurs hongrois des aliments contenant des protéines d’insectes autorisés par Bruxelles dans l’Union européenne (UE) grâce à des règles strictes en matière d’étiquetage et de séparation des produits.

La Hongrie est le seul État membre à ne pas avoir soutenu l’intention de l’UE d’autoriser la commercialisation d’insectes en tant qu’aliments et ingrédients alimentaires dans l’UE.

Il a ajouté que la Commission européenne mettait en péril nos traditions gastronomiques et nos habitudes alimentaires. C’est pourquoi le ministère de l’agriculture a modifié le règlement relatif à l’étiquetage des denrées alimentaires afin de fournir des informations précises aux consommateurs.

Les produits contenant des protéines d’insectes seront clairement distingués et séparés dans les rayons des magasins. Les emballages et les étiquettes non conformes pourront continuer à être utilisés pendant trois mois, et les produits qui en sont pourvus pourront rester sur le marché pendant trois mois au maximum. István Nagy a également souligné qu’aucune amende ne sera imposée en cas de non-respect du règlement modifié pendant 90 jours.

Il a souligné que les enquêtes représentatives menées par l’Office national de sécurité de la chaîne alimentaire montrent clairement que depuis 2016, la proportion de personnes en Hongrie qui ne mangeront pas d’insectes a augmenté de 2,4 %.

Ceux qui préfèrent acheter des aliments d’origine hongroise ne veulent pas manger d’insectes. En outre, il a souligné que les agriculteurs hongrois fournissent toujours à la population hongroise des denrées alimentaires de haute qualité, fraîches et de bonne qualité, et qu’il n’y a donc pas lieu de craindre une pénurie de nourriture ou de protéines.

Il a également précisé que le règlement n’affectait pas les additifs dérivés d’insectes, qui ont été largement utilisés par l’industrie alimentaire, mais qui s’appliquent aux insectes en tant qu’ingrédients.

L’Italie interdit la farine d’insectes dans ses pâtes

L’Italie a interdit la farine d’insectes dans ses pâtes, rapporte The Times

“L’utilisation croissante dans la cuisine de farine fabriquée à partir de grillons, de criquets et de larves d’insectes a suscité une vive opposition en Italie, où le gouvernement a décidé d’interdire son utilisation dans les pizzas et les pâtes et de la mettre à l’écart dans les rayons des supermarchés.”

Craignant que les insectes ne soient associés à la cuisine italienne, trois ministres du gouvernement ont convoqué une conférence de presse à Rome pour annoncer quatre décrets visant à prendre des mesures de répression. “Fondamentalement, ces farines ne sont pas confondues avec les aliments produits en Italie”, a déclaré le ministre de l’agriculture, Francesco Lollobrigida.

Comme nous l’avons déjà signalé à la Fondation RAIR USA, les mondialistes non élus et autoproclamés se battent depuis des années pour que les Occidentaux mangent des insectes. Ils espèrent laver le cerveau des citoyens avec des récits environnementaux et nutritionnels afin de contrôler leurs choix alimentaires. 

“Bourrée de vitamines, de protéines et de minéraux, la farine de grillons est de plus en plus considérée comme un moyen écologique d’obtenir des nutriments, et le marché devrait atteindre 3,5 milliards de dollars d’ici à 2029. L’UE a déjà autorisé les aliments fabriqués à partir de grillons, de criquets et de larves de ténébrions. En janvier, les larves de vers de farine ont été ajoutées à la liste.”

Toutefois, les quatre insectes sont cités dans les décrets italiens, qui exigent que les produits qui en contiennent soient étiquetés en gros caractères et présentés séparément des autres aliments.

“Ceux qui veulent manger ces produits peuvent le faire, mais ceux qui ne le veulent pas, et j’imagine que c’est le cas de la plupart des Italiens, pourront choisir”, a déclaré M. Lollobrigida.

Orazio Schillaci, le ministre de la santé, a déclaré que la législation interdirait également l’utilisation de farines d’insectes dans les produits italiens “typiques” tels que les pizzas et les pâtes.

Dans une nouvelle tentative de promouvoir la cuisine italienne, le gouvernement a annoncé jeudi qu’il proposerait l’inscription de la cuisine italienne sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.



The Times/Origo

Lire aussi : Le Qatar interdit les aliments contenant des insectes

Source : RAIR Foundation – Traduit par Anguille sous roche




194 pays membres de l’OMS se révoltent et exigent de publier les contrats entre labos et gouvernements

[Source : lecourrier-du-soir.com]

[Photo : Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, assiste à une conférence de presse organisée par l’Association genevoise des correspondants des Nations Unies (ACANU) dans le contexte de l’épidémie de COVID-19, causée par le nouveau coronavirus, le 3 juillet 2020 au siège de l’OMS à Genève.
(Photo par Fabrice COFFRINI / POOL / AFP)]

Par Cheikh Dieng

Lecourrier-du-soir.com invite ses chers lecteurs à relire la révélation exclusive faite en novembre dernier par l’agence de presse Reuters. Comme par hasard, les médias de masse refusent catégoriquement d’en parler et quand ils le font, c’est pour lui consacrer quelques lignes

Excellente lecture

[NDLR L’article de Reuters date de novembre 2022.]


« D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements.

Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.

En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.

Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.

Tout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les Etats membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.

Sur les réseaux sociaux, le pacte n’a pas manqué de susciter des réactions.






France : complaisance généralisée avec la fraude… les étrangers sont inquiets

[Source : redactionmedicale.fr]

Indépendamment du cas du CNRS ci-dessous, c’est un système français qui tolère et ne condamne pas les fraudeurs… Pire les lanceurs d’alerte peuvent être mis en cause… Pire encore, des référents intégrité pourraient protéger les institutions !!! Je cite les faits avant de référencer l’initiative de collègues étrangers qui s’étonnent de la tolérance française des cas de méconduites.

Il faut que les médias s’en mêlent, car les institutions dorment

C’est le 5 décembre 2022 dans Le Monde, David Larousserie évoque Une affaire d’inconduite scientifique agite un laboratoire de recherche en chimie avec le sous-titre « Publications trafiquées ou simples erreurs ? Une directrice de recherche d’une unité mixte CNRS-Sorbonne Paris Nord attend le verdict de la procédure disciplinaire. “Le Monde” a enquêté sur cette affaire, qui met aussi à l’épreuve les instances scientifiques. » Le sous-titre sous-entend clairement la passivité du CNRS. J’ai regardé les images incriminées, et effectivement ce sont bien plus que des méconduites… Cette histoire a commencé en 2021 et il faut absolument féliciter et soutenir le lanceur d’alerte, plutôt que le blâmer. L’article du Monde est factuel et je ne le résume pas. Il établit clairement les méconduites, et je copie l’avant-dernier paragraphe :

Au-delà du cas particulier, l’affaire pose de nouveau la question des conséquences négatives que peuvent avoir sur les personnes et la science la course aux publications qui privilégie la quantité à la qualité, le peu de diligence ou de rigueur des éditeurs à corriger ou retirer des articles incriminés, mais aussi le manque de transparence des procédures d’enquête. Elle montre aussi la difficulté à concilier la nécessaire protection des personnes et la confiance dans la qualité de ce qui est publié.

Explicitement : les conséquences négatives existent par la non-correction des méconduites, les revues scientifiques sont passives (ont-elles eu le rapport fait par le CNRS ?), les procédures d’enquête ne sont pas claires. La question de fond est, comme dans d’autres pays, la transparence et la publicité des rapports d’enquête. Tout est caché, ce qui me fait supposer que l’image des institutions est protégée, plutôt que de lutter contre la fraude.

Est-ce que le système français protège les fraudeurs ? OUI

La décision contre la responsable des méconduites est risible : « Mme X (matricule SIRHUS n°[…]), directrice de recherche de deuxième classe du CNRS, affectée au sein du laboratoire […], est exclue de ses fonctions pour une durée d’un mois à compter de la notification de la présente décision. » Allez voir ce qui se passe dans les pays qui considèrent les méconduites comme répréhensibles !

Le 22 février 2023, une lettre ouverte au CNRS a été signée par 17 experts de l’intégrité scientifique. J’en connais la moitié et j’atteste de leur rigueur. Ils viennent des pays suivants : Australie, France, Hollande, Irlande, Norvège, Royaume-Uni, Suède, Suisse, USA. Je signe cette lettre ouverte qui commente ce cas de méconduites et suppose les complicités de nos hauts dirigeants.

La lettre s’adresse au président du CNRS et deux personnes sont en copie : le référent intégrité du CNRS, la directrice de l’Ofis. Une traduction française existe et je ne reprends qu’un paragraphe :

« Que doit-il donc se passer lorsque l’on soupçonne une fraude ? Nous proposons qu’une enquête soit menée rapidement et que tous les résultats soient communiqués de manière transparente. En cas d’erreurs graves dans les publications, les articles devraient être immédiatement rétractés, tout financement de la recherche utilisé pour des recherches frauduleuses devrait être restitué aux agences de financement et la personne responsable de la fraude ne devrait pas être autorisée à diriger un laboratoire de recherche ou à encadrer des étudiants. Le lanceur d’alerte doit être protégé contre toutes représailles. »

En France, c’est simple : les rapports d’enquête sont secrets, les revues n’ont pas le rapport ni la recommandation des institutions pour prendre des décisions, jamais le financement n’est restitué aux financeurs, et on fait promettre aux fraudeurs de ne pas recommencer !! De plus, on fait signer aux jeunes chercheurs un serment d’intégrité, et on décide de les former : ils n’ont rien fait ! Ils observent les séniors impunis… et les institutions qui se protègent. Rien ne changera, car il n’y a pas de volonté de changer… allez vous renseigner sur d’autres cas…

Dans le PDF de la lettre ouverte (Open letter to CNRS_22 Feb 23 version française en page 11), je retiens : Il y a une forte tendance à minimiser la gravité des fautes professionnelles et à recommander que les travaux publiés soient « corrigés » plutôt que retirés. Et une autre réalité : Les scientifiques honnêtes en début de carrière travaillant dans le laboratoire où des inconduites se produisent ont généralement le choix entre nuire à leurs perspectives de carrière en signalant la fraude ou quitter la recherche scientifique

Personne ne veut s’attaquer à la fraude en France et l’agitation autour de l’intégrité est stérile.

Félicitons Sylvestre Huet qui, sur son blog hébergé par Le Monde, a publié la version française de cette lettre qu’il qualifie d’acide. Il dit :

« Et si cette lettre existe, c’est que les signataires ont l’expérience de la trop grande réticence des institutions scientifiques à traiter avec la vigueur indispensable ces méconduites. Le CNRS n’est donc pas original. »

PS Merci au collègue qui m’a transmis l’information. L’image mise en avant a été empruntée au CEDIF (https://comitecedif.wordpress.com/2017/01/22/halte-a-limpunite/). CEDIF pour Comité Élargi de Défense de l’Individu et des Familles






Une psychologue contre la machine

[Source : piecesetmaindoeuvre.com]

Par Florence V.

Florence, une lectrice nous écrit :

« Bonjour,
Je vous suis depuis des années.
Je suis psychologue clinicienne. J’ai récemment participé à une évaluation de patients obèses dans le cadre d’une prise en charge expérimentale.
J’ai ensuite suivi une formation qui explique le parcours des patients et j’ai compris que le financement des prises en charges (séances de psy, de gym, de diététicienne, journée complète pluridisciplinaire, etc.) n’est décidé QUE par un logiciel en fonction des résultats des questionnaires auto-évaluatifs remplis par les patients et relus en entretien clinique avec les patients par les praticiens évaluateurs.
J’ai mis fin à mon contrat de prestation de service et je vous joins la lettre (…) »

Ci-dessous [en fin d’article] sa lettre, pour ceux qui cherchent des modèles de courrier refusant l’automatisation de leur métier, de leurs missions et de leur vie.

Cela nous rappelle un autre témoignage, entendu voici 15 ans lors du congrès d’un syndicat de psychologues et de psychiatres qui nous avait invités.

« Un patient me consulte parce qu’il se sent déprimé. Il a déjà vu un confrère, qui l’a reçu le nez sur son ordinateur. Ayant exposé le motif de sa visite, il s’est vu bombarder de questions que le médecin lisait à l’écran, entrant les réponses dans la machine. A la fin du questionnaire, celui-ci a tapé sur la touche « Entrée », pris connaissance du résultat et déclaré au patient : « Non, vous n’êtes pas déprimé ». »

Ces psychologues voudraient exercer leur métier de cliniciens. Du grec klinikosklinein, « être couché » : « qui observe directement les manifestations de la maladie, au chevet du malade » (dictionnaire Le Robert). Voilà qui contrevient au projet technocratique de supprimer toute observation directe des phénomènes vivants, notamment humains. C’est à quoi servent les algorithmes, le big data, l’intelligence artificielle, bref, le monde-machine. Éliminer l’humain, l’observateur comme l’observé, car un patient calculé par un algorithme devient une chose, tel le paquet scanné par le lecteur de QR code. Mais les Smartiens ont désormais l’habitude.

La preuve, voici comment le directeur du programme expérimental de prise en charge des patients obèses se justifie auprès de notre lectrice démissionnaire :

« – éliminer l’humain permet d’éviter les connivences, au cas où le patient connaîtrait personnellement tel ou tel intervenant ; (…)
 le staff de cliniciens a la possibilité de décider d’une autre prise en charge que celle prévue par le logiciel, mais celle-ci ne serait alors pas financée et resterait donc à la charge du patient ;
 le logiciel a pour visée, outre d’éviter les connivences entre patients et soignants, de faire gagner beaucoup de temps clinique en effectuant lui-même les calculs de « scores de symptômes » liés aux questionnaires (quelques additions et une division). »

Des connivences, vous voulez dire, des liens entre humains  ?

« Ce sont là ( …) des faits désagréables, je le sais. Mais aussi, la plupart des faits historiques sont désagréables », vous répond le Directeur du Centre d’Incubation et de Conditionnement.(([1] A. Huxley, Le Meilleur des Mondes (1932) ))

Si vous tenez à une prise de décision humaine, c’est à vos frais. Et ce sera bientôt le cas pour tout : la prise en charge machinique, automate, pour les subissants, et le contact, le service humain, le soin par une personne pour les puissants. A moins qu’une majorité imite notre lectrice et fasse connaître publiquement son refus ?

(Pour lire le courrier de Florence, ouvrir le document ci-dessous.)







Situation en France en ce début avril






Selon Virginie Joron, les laboratoires pharmaceutiques financent l’EMA à plus de 85 %

[Source : Ciel Voilé]








Covid-19 : Un milliardaire veut vendre aux enchères du « sperme non-vacciné »

[Source : 20minutes.fr]

[Illustration : Guo Wengui assure avoir en stock près de 6.000 ovules et « quelques millions de spermatozoïdes » de donneurs non-vaccinés. — SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA]

OR BLANC — Ce proche de Steve Bannon a promis de demander une lettre d’un avocat pour certifier la non-vaccination du donneur

La bourse aux idées étranges. Un milliardaire chinois en exil, proche des réseaux trumpistes, veut organiser en juin, une vente aux enchères en ligne de « sperme non-vacciné ».

Guo Wengui assure avoir en stock près de 6.000 ovules et « quelques millions de spermatozoïdes » de donneurs non-vaccinés. Ces enchères d’un nouveau genre incluront aussi « son propre sperme, bien sûr », a-t-il précisé.

Pourquoi du sperme d’homme non-vacciné ? Parce que les spermatozoïdes d’hommes n’ayant pas reçu d’injection contre le Covid-19 seraient la réponse à une théorie complotiste, qui assure que les vaccins causent une stérilité massive.

Proche de Steve Bannon

Guo Wengui, dont l’exil doré aux Etats-Unis a été perturbé par son arrestation mi-mars pour fraudes présumées, compte organiser ces enchères en juin sur le réseau social conservateur Gettr. « Du sperme et des ovules de nos camarades de combat seront mis aux enchères sur notre plateforme Gettr entre le 1er et le 6 juin », a annoncé Guo Wengui en février. Traqué par la Chine, où il est accusé de fraudes financières, le magnat est un proche de l’ancien conseiller de Donald Trump, Steve Bannon.

Mais son arrestation pourrait bien faire dérailler ses plans. Le magnat est accusé d’avoir orchestré une fraude complexe visant à extorquer plus d’un milliard de dollars à des milliers de personnes qui le suivent en ligne.

Que ces enchères aient lieu ou pas, elles ont déjà fait sensation sur Gettr, des fans du milliardaire y voyant l’occasion de « sauver l’avenir de l’humanité » ou assurant que le sperme d’homme non-vacciné est « le futur Bitcoin ». « Ces enchères reposent, de façon plus large, sur des faux arguments selon lesquels les vaccins anti-Covid ont nui à la fertilité », déclare à l’AFP John Gregory, de l’organisme de surveillance de l’information NewsGuard.

« Les auteurs de désinformation sur le vaccin propagent cette affirmation, alors que de nombreuses études médicales montrent que les vaccins n’ont pas d’impact négatif sur la fertilité des hommes et des femmes. »

Le mouvement du « sang pur »

Guo Wengui n’a pas précisé comment le liquide serait testé ou expédié. Mais il a promis d’utiliser des « méthodes scientifiques » et de demander une lettre d’un avocat pour certifier la non-vaccination du donneur.

Le projet s’inscrit dans le mouvement dit « du sang pur », qui affirme à tort que le vaccin contre le Covid-19 contamine le corps. Ceux qui y croient évitent donc à tout prix les transfusions sanguines de personnes vaccinées mais également leur sperme, ou même leur lait maternel. Ces théories fumeuses ont un potentiel lucratif, qui a éveillé l’intérêt de certains militants anti-vaccins.

Le sperme d’homme non-vacciné a même été surnommé « le nouvel or blanc » par un utilisateur de Gettr enthousiasmé. Des tasses et t-shirts « sperme non-vacciné disponible » peuvent aussi être achetés sur Amazon et eBay.






France : la mobilisation se poursuit






Pourquoi tant de pénuries de médicaments ?

[Source : francesoir.fr]

Par Docteur Gérard Guillaume

TRIBUNE/OPINION — Le phénomène n’est pas nouveau, mais il ne cesse de prendre de l’ampleur. Les pénuries de médicaments se sont aggravées en 2022, persistent en 2023, tant au niveau français qu’européen.

Ce phénomène recouvre deux types de situations clairement définies : la première, « la rupture de stock », autrement dit l’impossibilité pour un laboratoire de fabriquer ou d’exploiter un médicament ou un vaccin.

La deuxième, « la rupture d’approvisionnement » ou « tension d’approvisionnement », définie comme l’incapacité pour une pharmacie d’officine ou une pharmacie hospitalière de dispenser un médicament à un patient dans un délai garanti de 72 heures après avoir effectué une demande auprès de deux distributeurs.

Ces ruptures peuvent être de courte durée, ou beaucoup plus longues, jusqu’à l’arrêt du produit.

En dix ans, le nombre de médicaments en rupture de stock a été multiplié par plus de dix, passant de 44 en 2008 à plus de 600 en 2018. Le problème a pris des proportions inégalées en 2020 : l’Agence Nationale de Santé et du Médicament (ANSM) a reçu 2446 signalements de traitements essentiels en rupture de stock ou en tension d’approvisionnement contre 1504 en 2019. Les ruptures ou risques de ruptures ont concerné 2160 références de médicaments en 2021, contre 871 en 2018.

Le Brexit a allongé la liste : pas moins de 108 médicaments sont en effet importés du Royaume-Uni. En 2022, le phénomène s’est accentué, puisqu’à la mi-août, les ruptures d’approvisionnement concernaient 12,5 % des références, contre 6,5 % en janvier, d’après le groupement d’intérêt économique (GIE), la hausse du coût de l’énergie et du transport ayant aggravé la situation.

Chaque jour, ce sont de nouveaux médicaments qui n’arrivent pas dans les pharmacies de ville, comme d’hôpital, les derniers en date, l’amoxicilline, le paracétamol. L’approvisionnement du paracétamol, antidouleur le plus prescrit en France, est en tension depuis l’été 2022. L’agence du médicament (ANSM) a demandé aux pharmaciens d’éviter de vendre plus de deux boîtes par patient, même si les industriels assurent que leur production suffit à répondre aux besoins.

L’amoxicilline connaît principalement des difficultés d’approvisionnement sous sa forme de sirop destiné aux enfants. Et les difficultés de ces derniers mois ne se limitent malheureusement pas à ces deux médicaments, la xylocaïne à 1 % fait de plus en plus défaut.

L’ANSM met à disposition la liste des médicaments d’intérêt thérapeutique majeur (MITM) faisant actuellement l’objet de difficultés d’approvisionnement et pour lesquels il n’y a pas ou pas suffisamment d’alternatives thérapeutiques disponibles sur le marché français.

Les conséquences de ces ruptures d’approvisionnement peuvent être plus ou moins graves selon la nature des médicaments. Réduites quand il existe des produits de substitution, si on fait fi des problèmes de tolérance, d’efficacité et d’observance que ce désagrément peut engendrer.

Il en va tout autrement quand cela concerne des médicaments dits MITM qui ne disposent pas d’alternatives et peuvent générer une interruption thérapeutique qui représente une perte de chance pour le patient voire mettre en jeu le pronostic vital de patients. Dans cette catégorie on trouve des médicaments du système nerveux, des antidiabétiques, des anti-infectieux, des anticancéreux, mais aussi des anesthésiques, des antiépileptiques… Médicaments qui connaissent (ou ont connu) une rupture de stock significative sur la durée, selon l’ANSM.

Anticancéreux — BCG Medac : poudre et solvant pour suspension pour administration intravésicale ; Belustine 40 mg : gélule ; Bleomycine Bellon 15 mg : poudre pour solution injectable ; Hycamtin 0,25 mg : gélule ; Javlor 25 mg/ml : solution à diluer pour perfusion (flacon de 10 ml) ; Methotrexate Mylan 100 mg/ml : solution injectable (10 flacons de 10 ml et 10 flacons de 50 ml) ; Mitomycine Accord 10 mg : poudre pour solution injectable, pour perfusion ; ou pour voie intravésicale ; Paclitaxel Kabi 6 mg/ml : solution à diluer pour perfusion ; Pemetrexed Fresenius Kabi, flacons de 100 mg et de 500 mg : poudre pour solution à diluer pour perfusion ; Tomudex 2 mg : poudre pour solution pour perfusion ; Vitrakvi 20 mg/ml : solution buvable (flacon de 100 ml) ; Zevalin 1,6 mg/ml : trousse pour préparations ; radiopharmaceutiques pour perfusion

Antibiotiques — Ansatipine 150 mg : gélule ; Claventin : poudre pour solution injectable (I.V.) ; Linezolide Ohre Pharma 600 mg : comprimé pelliculé ; Timentin 3,1 g : poudre pour solution injectable (ticarcilline/acide clavulanique) ; Zerbaxa 0,1 g/0,5 g : poudre pour solution à diluer pour perfusion

Antiinflammatoires — Dipentum 250 mg et 500 mg : comprimé ; Solumedrol 40 mg/2 ml : lyophilisat et solution pour usage parentéral

Traitements hormonaux — Alkonatrem 150 mg : gélule (chlorhydrate de déméclocycline) ; DepoProdasone 500 mg : suspension injectable ; Octim 150 microgrammes/dose : solution pour pulvérisation nasale

Antihémorragiques Exacyl 1 g/10 ml : solution buvable ; Octafix 100 Ul/ml : poudre et solvant pour solution injectable ; Trasylol 500 000 UIK/50 ml : solution injectable

Médicaments pour le cœur — Brevibloc 10 mg/ml : solution pour perfusion (poche de 250 ml) ; Spécialités Spironolactone Altizide 25 mg/15 mg : comprimé pelliculé sécable

Antihypertenseurs Eupressyl LP 30 mg et 60 mg : gélule ; Mediatensyl LP 30 mg et 60 mg : gélule ; Spécialités à base de Valsartan : seul ou en association avec l’hydrochlorothiazide ; Trandate 5 mg/ml : solution injectable ; Urapidil 100 mg/20 ml : solution injectable

Antiépileptiques Gardenal 50 mg : comprimé (boîte de 30) ; Zonisamide Mylan 100 m : gélule

Immunosuppresseurs Imeth 2,5 mg : comprimé

Antipsychotiques — Semap 20 mg : comprimé

Les médicaments contre la maladie de Parkinson Comtan 200 mg : comprimé pelliculé (boîte de 60) ; Parlodel 5 mg et 10 mg : gélule Sinemet LP 200 mg/50 mg : comprimé à libération prolongée

Médicaments contre la détresse respiratoire — Vectarion injectable : lyophilisat et solution pour préparation injectable

Antidiabétiques — Minirin Spray 10 microgrammes par dose : solution endonasale en flacon pulvérisateur ; Novorapid Pumpcart 100 unités/ml : solution injectable en cartouche

Traitements du reflux gastro-œsophagien — Cimetidine Arrow 200 mg : comprimé effervescent

Antiostéoporotiques Alendronate 10 mg : comprimé

Traitements oculaires — Miochole 20 mg : poudre et solvant pour solution intraoculaire ; Visudyne 15 mg : poudre pour solution pour perfusion

Antiallergiques — Alyostal Venin d’abeille Apis Mellifera 110 et 550 microgrammes : poudre et solvant pour solution injectable ; Alyostal Venin de guêpe Polistes 110 microgrammes et 550 microgrammes : poudre et solvant pour solution injectable

Médicaments contre la leucinose — Acides aminés pour leucinose décompensée AP-HP : solution pour perfusion

Traitements de la surcharge en fer — Ferriprox 100 mg/ml : solution buvable

Traitements du syndrome des jambes sans repos — Ropinirole Mylan 0,5 mg : comprimé pelliculé

Médicaments contre le syndrome de Lambert-Ealton — Firdapse 10 mg :comprimé

Myorelaxants — Atracurium Hospira 10 mg/ml : solution injectable (flacon de 25 ml)

Anesthésiants — Chlorhydrate de Procaïne Lavoisier 10 et 20 mg/ml : solution injectable

Thiopental Medipha 500 mg et 1 g — poudre pour solution injectable

Relaxants musculaires — Cisatracurium Mylan 2 mg/ml : solution injectable ou pour perfusion (ampoule de 10 ml)

Antiinfectieux — Voriconazole Ohre Pharma 200 mg : poudre pour solution pour perfusion

Produits pour le diagnostic de la tuberculose — Tubertest : solution injectable, dérivé protéinique purifié de tuberculine

Substituts de nutrition parentérale — Vaminolact : solution pour perfusion en flacon de verre de 100 ml et de1 000 ml

Antiparasitaires — Pentacarinat 300 mg : poudre pour aérosol et pour usage parentéral

Médicaments pour le sevrage tabagique — Champix 0,5 mg et 1 mg : comprimé pelliculé

Eaux pour préparations injectables — Eau pour préparations injectables en poche de 250 ml, 500 ml et 1 000 ml

À cette liste impressionnante et édifiante, on pourrait ajouter des corticoïdes comme l’Altim-cortivazol dont les rhumatologues et surtout les patients sont privés depuis 2017.

Comment en est-on arrivé là ? Comment passe-t-on du rang de la sixième puissance mondiale à celui d’un pays en voie de sous-développement ? À qui la faute ? Comme nous allons le voir, les responsabilités sont partagées.

Les causes sont multiples, économiques, industrielles et réglementaires. Les acteurs concernés en France sont aussi bien les industriels que les pouvoirs publics et les organismes de régulation dans le domaine de la santé : ANSM, Comité économique des produits de santé (CEPS), Direction Générale de la Santé (DGS), etc. S’il fallait envisager une solution pérenne, de nombreux acteurs doivent ainsi se coordonner pour résoudre cette situation, selon un rapport de 2018 de l’Académie de Pharmacie « Indisponibilité des Médicaments ».

La mondialisation a conduit à la délocalisation des chaînes de production en Asie où les coûts de production sont réduits et les exigences réglementaires moindres. En 2017, 80 % des fabricants de substances actives utilisées pour des médicaments disponibles en Europe étaient situés en dehors de l’européenne, contre 20 % il y a 30 ans.

Cette dépendance envers l’Asie n’est pas propre à la pharmacie, c’est le résultat de 40 ans d’échanges et de transferts de production internationaux non régulés.

L’un des principaux facteurs de fuite des industries pharmaceutiques est sans conteste le coût de production. Sans négliger le fait que les exécutifs français étaient ravis de voir certaines industries polluantes comme celle de la chimie partir ailleurs, le comble de l’hypocrisie.

En France : 170 sites de production de médicaments étaient recensés sur le territoire national en 2015, contre 224 en 2013, soit une baisse de 24 %. Industrie Pharma Magazine, en octobre 2020 a recensé 206 sites de production de médicaments en France dans les régions Île-de-France, Normandie, Centre-Val de Loire et Auvergne-Rhône-Alpes.

La relocalisation de l’industrie pharmaceutique est certes un enjeu majeur, encore faut-il assurer une compétitivité de la production, il faut innover et développer des procédés moins impactant pour l’environnement, ces industries sont de type Seveso et personne n’en veut !

La flambée des coûts énergétiques risque de compromettre les efforts déployés pour rendre ces régions plus autosuffisantes, alors que la crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine, semble-t-il, ont aggravé les problèmes d’approvisionnement en matières premières. L’aluminium qui sert d’emballage au médicament a vu son coût augmenté de 30 % et ses délais de livraison de 40 %, quant aux cartons leur coût a augmenté de 50 % et le délai de livraison de 150 %.

Malgré le maillage industriel, la France est passée en 10 ans de premier fabricant d’Europe, à quatrième, en termes de valeur de production, derrière la Suisse, l’Allemagne et l’Italie après avoir été leader de 1995 à 2008.

Un médicament est composé d’un ou de plusieurs principes actifs, à l’origine des effets thérapeutiques, associés à des excipients. Il convient de distinguer d’une part, la production de la matière première, « la partie la plus importante », et d’autre part, l’élaboration du médicament en lui-même. Ces étapes sont rarement effectuées sur un même territoire. Autrement dit : la chaîne de production d’un médicament est fragmentée entre les continents. Seuls 22 % des principaux médicaments remboursés en ville sont produits en France.

La faute à une activité vieillissante : depuis la date de publication de leur autorisation de mise sur le marché (AMM), les deux tiers des molécules qui composent ces médicaments ont en moyenne vingt ans d’existence.

Des causes financières : la commercialisation des médicaments anciens à bas prix s’avère progressivement impossible, en dépit de leur intérêt thérapeutique évident. Les prix n’ont pas été actualisés et les marges sont trop faibles pour que les industriels investissent dans les structures de production. L’industrie abandonne souvent des produits non rentables et se concentre sur des produits nouveaux, qui rapportent beaucoup plus.

L’intérêt des patients passe au second rang loin derrière celui des laboratoires. En France, le prix des médicaments reste faible et il est strictement encadré par l’État. Certains laboratoires français vendent à perte ; les médicaments cédés sont moins chers que ce qu’ils ont coûté à fabriquer. Tout particulièrement les médicaments dits anciens dont le prix est devenu très bas.

Un constat qui s’applique également aux génériques. Ces derniers sont fabriqués et vendus à des prix encore plus faibles que les médicaments « originaux », à partir desquels sont conçus les médicaments génériques).

C’est la recherche de rentabilité la plus élevée qui a conduit les laboratoires à délocaliser massivement (notamment en Asie) la fabrication de la matière première des médicaments. D’autre part, c’est cette même quête de la rentabilité qui a tenté les industriels d’organiser, en quelque sorte, eux-mêmes la pénurie afin de faire exploser les prix et leurs bénéfices. Voilà une stratégie commerciale de l’industrie pharmaceutique qui provoque un grave problème, de soins en premier lieu.

Les causes économiques et financières

Les prix des médicaments n’ont pas été actualisés. Les marges sont trop faibles. Cela n’encourage pas les industriels à investir dans des structures de production adaptées à ces molécules.

Le prix de certains anticancéreux ou antibiotiques anciens n’est pas actualisé, voire non soutenu : cela conduit à des marges trop faibles pour que les industriels investissent dans les structures de production. Ce qui peut produire un arrêt de la commercialisation et donc les ruptures ou tensions d’approvisionnement.

L’industrie abandonne souvent des produits non rentables et se concentre sur des produits nouveaux, qui rapportent beaucoup plus. Notons qu’il n’existe quasiment jamais de rupture de médicaments chers. De plus, le différentiel de prix entre les différents États européens est souvent un handicap pour la France, surtout lorsque les stocks sont faibles à tous les niveaux de la chaîne de production et de distribution et ne permettent pas de couvrir les ruptures majeures pour les pays les moins attractifs.

Quels que soient les arguments avancés, la santé et la vie d’une personne ne peuvent être tributaires de la seule logique de rentabilité financière de l’industrie pharmaceutique. Le médicament n’est pas un bien de consommation comme un autre, il peut être soumis à la même logique de business. Mais si un laboratoire peut réaliser la quasi-totalité de son chiffre d’affaires grâce à la Sécurité sociale en France : peut-il être en droit de renoncer à des traitements essentiels pour le public ?

Les causes industrielles : la tension sur la chaîne d’approvisionnement des médicaments ne date pas d’hier. La problématique de l’offre et de la demande existe depuis bien longtemps. Une demande qui augmente chaque année de plus de 5 %.

Les industriels fonctionnent en flux tendu : cela est plus avantageux économiquement afin de produire sans faire de stocks. Citons le rapport de l’Académie nationale de pharmacie, précité :

« la mondialisation de l’industrie du médicament a bouleversé le circuit du médicament : délocalisation de la production des principes actifs (et parfois des produits finis) vers l’Asie (Inde, Chine, Sud-est asiatique…) pour diminuer les coûts et/ou s’affranchir de contraintes environnementales coûteuses ; complexification de la chaîne logistique (approvisionnement, production, étiquetage pays-dépendant, distribution) ; prévisions de vente de plus en plus difficiles (nouveaux pays, appels d’offres + impact des génériques) ; productions multidestinations (pas assez de “différenciation retardée” possible) ; centre de décision économique à l’échelle mondiale et loin de l’Europe (USA). Pour réduire les ruptures et les tensions et produire les quantités nécessaires, les enjeux industriels sont multiples : il s’agit de réduire les délais de production, d’accroître la productivité et, pour cela, de réduire la variabilité des étapes de production. Il s’agit aussi d’investir dans de nouvelles capacités industrielles. Toutes ces améliorations supposent le recours à des “variations d’AMM”. Il est donc nécessaire que les procédures de variation soient optimisées en parallèle si l’on veut pouvoir mettre en place des améliorations rapidement et sans être ralenti par les temps d’évaluation desdites variations. »

Les causes réglementaires

Les normes BPF (bonnes pratiques de fabrication) ainsi que les normes réglementaires (sans compter les normes environnementales) sont en augmentation constante depuis 20 ans. Auxquelles s’ajoutent les exigences environnementales. Ainsi, les BPF sont passées de 50 à 300 pages. Complexification des traitements administratifs post-AMM sans coordination entre États.

La majorité des médicaments sont des produits gérés par des AMM nationales. Les approbations de modification du dossier d’AMM sont nationales alors que les entreprises sont mondiales et que les variations décidées concernent nécessairement tous les pays dans lesquels chaque médicament est commercialisé.

En conséquence, chaque changement peut prendre jusqu’à cinq ans jusqu’à la dernière approbation. De plus, on constate la mise en place d’exigences réglementaires propres aux nouveaux pays en voie de développement (ex. : multiplication du nombre de pays avec recontrôle des lots de vaccins par l’autorité nationale).

Toujours dans le rapport de l’Académie nationale de médecine :

« on peut constater un durcissement des inspections sans reconnaissance mutuelle ni accord sur les conclusions (ex : une grande entreprise française a sur l’ensemble de ses sites industriels chaque année 240 inspections, dont 70 pour les 18 sites français). Les industriels sont pris entre d’une part l’augmentation régulière des réglementations et des coûts associés, et, d’autre part, la baisse régulière des prix de vente, rendant progressivement impossible la commercialisation des médicaments anciens à bas prix, en dépit de leur intérêt thérapeutique évident. »

Les solutions

Les orientations stratégiques du pays dans le domaine de la politique industrielle et de l’innovation en santé sont définies par deux instances de dialogue entre l’État et les entreprises du médicament :

— le Conseil stratégique des industries de santé (CSIS), créé en 2004 pour renforcer l’attractivité industrielle de la France. L’ambition du CSIS 2021 est de « faire de la France la 1re nation innovante et souveraine en santé d’ici 2030 ». Vaste ambition quand on a laissé la France dégringoler au rang de pays sous-développé !

— le Comité stratégique de filière des industries et technologies de santé (CSF ITS), créé en mars 2013, à l’image de celui des industries dites stratégiques (ferroviaire, automobile, aéronautique). Il associe les entreprises du médicament humain et vétérinaire, du dispositif médical, du diagnostic médical, de la biotechnologie et de la e-santé, ainsi que les syndicats de salariés et les organismes professionnels concernés.

En 2019, des filières d’avenir ont été envisagées autour de la bioproduction, de l’antibiorésistance, de l’intelligence artificielle et du numérique en santé ou encore du développement international. La relocalisation de principes actifs, intermédiaires ou médicaments essentiels. En 2021, quatre nouveaux projets structurants ont été ajoutés : l’imagerie médicale ; le renforcement de la filière diagnostic in vitro ; la transformation numérique ; mais surtout : La relocalisation de principes actifs, intermédiaires ou médicaments essentiels.

Le ministère de la Santé avait dévoilé le 8 juillet 2019, ses pistes pour « lutter contre les pénuries et améliorer la disponibilité des médicaments en France. » La feuille de route ministérielle comprenait 28 actions regroupées en quatre axes : promouvoir la transparence et la qualité de l’information ; mener des actions de prévention et de gestion sur l’ensemble du circuit du médicament ; renforcer la coordination nationale et la coopération européenne ; proposer une nouvelle gouvernance en instaurant un comité de pilotage.

Ce plan 2019-2022 de gestion des pénuries de médicaments élaboré par Agnès Buzyn alors ministre de la Santé, a été enterré avec la pandémie. Les entreprises du médicament n’ont toujours pas été sollicitées par le gouvernement pour participer à l’élaboration d’un nouveau plan et les différents acteurs dénoncent l’absence d’outils de pilotage de la situation. Cela s’est vu récemment avec la réapparition de crise et la manifeste absence de solutions proposées par l’actuel ministre de la Santé, M. Braun.

Lors de la Question d’actualité au gouvernement n° 0089G de M. Bruno Belin (Vienne —Les Républicains) publiée dans le JO Sénat du 10/11/2022 M. Bruno Belin s’exprime ainsi :

« Monsieur le président, mes chers collègues, la France est à sec ! À sec d’argent, à sec d’eau, à sec d’électricité, à sec de gaz, à sec de nucléaire, à sec de médecins… Et maintenant à sec de certains médicaments : Spasfon et Gaviscon, nous cherchons ; amoxicilline et paracétamol aussi rares que le pétrole ; en cette période d’épidémie de bronchiolite, c’est dramatique ! Ce sont pourtant des médicaments matures, peu onéreux et essentiels tout au long de l’année. Monsieur le ministre de la Santé, ma question est si simple qu’elle inquiète les professionnels de santé et les patients : quelle est votre stratégie pour que la France puisse retrouver sa souveraineté sur les produits de santé ? »

Réponse de François Braun :

« Nous avons un plan pénurie, vous le savez, sur lequel je ferai bientôt le point. En ce qui concerne le développement d’une filière française de l’industrie du médicament, également voulue par le Président de la République, je vous rappelle que dans le cadre du plan France 2030, quelques 7,5 milliards d’euros ont été investis dans cette filière. »

Réponse de M. Bruno Belin :

« Voici la réalité : Sanofi est incapable de faire un vaccin ; des médicaments sont contingentés tous les matins ; l’accès à la santé est plus compliqué… La réalité c’est la régression indiscutable de la puissance sanitaire de la France ! La mascarade des masques a illustré de façon insoutenable cette impuissance, cette faiblesse, et aujourd’hui, ce sont des médicaments qui manquent ! Il faut réindustrialiser la France, car c’est par là que passe le combat pour la santé — et donc pour la vie. »

La déplorable incurie des pouvoirs publics

Nous le constatons et le déplorons, les phénomènes de pénurie de médicaments prennent de l’ampleur d’année en année. Bien que les causes de ces pénuries soient identifiées, les pouvoirs publics ne se sont pas attaqués avec toute la fermeté aux causes de ces pénuries.

Ce ne sont pas les propositions qui ont fait défaut : nous reprenons ici celles du magazine de l’UFC-Que Choisir, et celles du Sénat.

Proposition de l’association UFC-Que Choisir :

— Renforcer les sanctions envers les laboratoires ; « les éventuelles relocalisations de production de médicaments en France et en Europe doivent être entreprises grâce à des financements publics », « qu’elles ne concernent que des médicaments d’intérêt thérapeutique majeur (MITM), et prioritairement les plus anciens et concernés par des pénuries récurrentes » ; « qu’une production publique de médicaments soit développée afin d’assurer la fabrication continue de ceux délaissés par les laboratoires ».

Proposition du Sénat :

— Le rapport d’information du Sénat du 20 octobre 2022 « examine les difficultés d’accès aux médicaments qui résultent de problèmes de disponibilité ou d’un prix trop élevé. Les rapporteurs formulent des observations en réponse à la stratégie pharmaceutique adoptée par la Commission européenne le 25 novembre 2020 qui prépare une réforme de la législation européenne en la matière. La mission d’information du Sénat vient de rendre public un rapport alarmant sur la perte d’indépendance sanitaire de la France. Parmi leurs 30 propositions, dont certaines pourraient faire l’objet d’amendements au PLFSS 2019, figure la possibilité pour les pharmaciens de substituer des médicaments sans demander l’avis du médecin. »

Les rapporteurs de la commission des affaires européennes du Sénat ont formulé les observations et propositions suivantes :

1) Anticiper et limiter les pénuries de médicaments, constituer des stocks avec le soutien financier de l’Union européenne, et de définir des plans de gestion des pénuries qui seront validés par l’Agence européenne des médicaments ;

2) Assurer la souveraineté sanitaire de l’Union européenne : près de 40 % des médicaments finis commercialisés dans l’UE proviennent de pays tiers ;

3) Garantir un accès aux médicaments à des prix abordables.

« La commission des affaires européennes du Sénat souhaite que la Commission européenne définisse par des lignes directrices la notion de prix juste et équitable et qu’elle mette en place un fonds de solidarité, géré conjointement avec les États membres, pour soutenir l’achat de médicaments innovants répondant à des besoins. »

4) Favoriser le développement des médicaments de demain.

« La Commission européenne souhaite consacrer, dans le cadre du programme Horizon Europe, 8,2 milliards d’euros à la recherche dans le domaine de la santé, dont 2 milliards pour la recherche contre le cancer. En parallèle, le programme “l’Union pour la santé”, dont l’un des principaux objectifs est d’améliorer l’accès aux soins, est doté d’un budget de 5,1 milliards d’euros. Pour optimiser la gestion de ces fonds, la commission des affaires européennes du Sénat estime indispensable de définir la notion de besoins médicaux non satisfaits, besoins vers lesquels les financements publics devraient être orientés par priorité : notamment la lutte contre le cancer, la résistance aux antimicrobiens et le traitement des maladies rares et des maladies infantiles. »






L’analyse des vaccins, qui a fait l’effet d’une bombe, révèle un préjudice économique de 147 milliards de dollars et des dizaines de millions de personnes blessées ou handicapées, rien que pour les USA

[Source : zerohedge.com]

[Transmis par Élisabeth FV]

Par Tyler Durden

💉 ☠️ 🇺🇸 — Un nouveau rapport estime que 26,6 millions de personnes ont été blessées, 1,36 million handicapées et 300 000 décès en excès peuvent être attribués aux dommages causés par l’injection ARNm COVID-19 pour la seule année 2022, ce qui a coûté près de 147 milliards de dollars à l’économie.

La société de recherche Phinance Technologies, fondée et dirigée par Ed Dowd, ancien gestionnaire de portefeuille chez Blackrock, Yuri Nunes (PhD en physique, MSc en mathématiques) et Carlos Alegria (PhD en physique, finance), a divisé l’impact des vaccins en quatre grandes catégories pour estimer les coûts humains associés au vaccin Covid-19 :

  • aucun effet ou asymptomatique,
  • ceux qui ont subi des blessures (résultat léger à modéré),
  • ceux qui sont devenus invalides (résultat sévère)
  • et la mort (résultat extrême).

Les données sur les incapacités et les blessures dues aux vaccins proviennent directement du Bureau of Labor Statistics (BLS), tandis que les chiffres relatifs à la surmortalité sont tirés des chiffres officiels sur les décès aux États-Unis par le biais de deux méthodes différentes.

Il est important de noter que les personnes appartenant à une catégorie (blessées, par exemple) peuvent passer à d’autres catégories de gravité, ce que cette analyse ne prend pas en compte.

« Nous devons garder à l’esprit que ces regroupements ne sont pas seulement une tentative de caractériser les différents niveaux de dommages causés par les inoculations, mais qu’ils ne sont pas statiques et qu’ils peuvent interagir les uns avec les autres », peut-on lire dans le rapport. « Par exemple, il peut y avoir des individus qui n’ont pas eu d’effets visibles après la vaccination, mais qui peuvent néanmoins être affectés. »

« Les personnes ayant subi des blessures légères à la suite des inoculations pourraient, au fil du temps, développer des blessures graves au point d’être handicapées, ou une issue extrême telle que la mort. »






États-Unis : +60 % de décès maternels en 2021

[Source : covidhub.ch]

Le CDC (Centre de contrôle des maladies) américain a publié les chiffres alarmants concernant les femmes enceintes décédées lors de leur accouchement en 2021 aux États-Unis, pour constater une augmentation de 60 % par rapport à 2019 et le plus haut niveau observé depuis 1965.

Qu’est-ce que le « décès maternel » ?

L’Organisation mondiale de la santé le définit comme « le décès d’une femme enceinte ou dans les 42 jours suivant la fin de la grossesse, pour toute cause liée ou aggravée par la grossesse ou sa prise en charge, à l’exclusion de toute cause accidentelle ou secondaire ».

Les États-Unis ont le taux de mortalité maternelle le plus élevé de tous les pays développés, selon le Fonds du Commonwealth et les dernières données de l’OMS. Selon un rapport publié en mars 2023 par le CDC, le taux de mortalité maternelle pour 2021 était de 32,9 décès pour 100 000 naissances vivantes, contre un taux de 23,8 en 2020 et de 20,1 en 2019.

Ce n’est pas dû au Covid… mais personne ne parle des vaccins

CNN, défiant toute logique, attribue au virus seul cette augmentation en 2021. Or 2021 a été l’année d’un variant moins létal avec une majorité de la population qui avait déjà été en contact avec le Sars-CoV-2. Si la cause de cette augmentation de la mortalité maternelle était réellement le virus, c’est donc logiquement en 2020 qu’elle aurait dû être la plus marquée, l’année de la souche virale la plus létale au sein d’une population pas encore immunisée.

L’arrivée des injections ARNm en 2021 n’est pas du tout évoquée par CNN, pas plus que par le CDC qui ne fournit aucune statistique en fonction du statut vaccinal Covid. Les pro-vax auraient d’ailleurs certainement fanfaronné si 2021 avait connu une baisse des décès maternels, qui aurait été attribuée à la campagne de vaccination des femmes enceintes. Or c’est le contraire qui s’est produit.

CNN continue à encourager les femmes enceintes à se vacciner

Seule la disparité entre ethnies est mise en avant et disséquée par le CDC, montrant un phénomène connu de longue date, soit que les femmes noires et hispaniques sont plus touchées, notamment pour des questions liées à la pauvreté, comme les habitudes alimentaires et l’accès à des soins de qualité. Certains y voient une tentative de diversion.

Dans son reportage, CNN répète une fois de plus l’importance de vacciner les femmes enceintes contre le Covid, les considérant encore à risque malgré le fait que 99 % de la population soit immunisée en 2023. Nous avons récemment rassemblé dans un article les données scientifiques qui démontrent qu’une telle mesure devrait être évitée à tout prix. Les injections causent sept à huit fois plus de fausses-couches pour les femmes à moins de 20 semaines de grossesse.

Et l’effet des mesures contraignantes ?

Grand absent de l’analyse de CNN, l’effet possible des mesures Covid n’est évoqué nulle part non plus. On peut penser au port du masque obligatoire lors de l’accouchement, qui a pu péjorer les conditions du travail pour de nombreuses futures mamans, en augmentant le nombre d’issues fatales pour les femmes déjà atteintes dans leur santé.



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Une association parlementaire transpartisane déclare la guerre au wokisme

[Source : bvoltaire.fr]

Par Marc Baudriller

« Mesdames et messieurs les parlementaires, chers collègues, je prends la liberté de vous adresser ce courrier pour vous alerter au sujet de l’emprise croissante qu’exerce sur notre société et ses institutions une nouvelle entreprise idéologique : le wokisme. »

Ce 22 mars, le député RN du Loir-et-Cher Roger Chudeau a pris sa plus belle plume pour écrire aux députés, aux anciens députés, aux sénateurs élus, aux anciens sénateurs et aux députés européens. Tous ? Non, les députés et sénateurs LFI et Verts, jugés irrémédiablement atteints, ne recevront pas la missive. Il ne seront pas invités, le 12 avril, lorsque la création d’une association parlementaire transpartisane sera annoncée lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale. Imaginée par Roger Chudeau et Philippe Olivier, député européen et stratège du RN, cette Association francophone des parlementaires contre le wokisme veut rassembler les élus de tous les partis conscients de ce fléau. « Le wokisme est fondamentalement d’essence totalitaire, ce qui ne peut que susciter la résistance des républicains et des démocrates attachés aux principes de la République et au respect de la vérité scientifique », écrit Roger Chudeau dans sa missive aux élus. « Représentants du peuple français, nous nous devons de réagir, de dénoncer et de mettre fin à ce projet nihiliste », conclut-il. Le projet ne s’arrête pas aux frontières françaises, car « le wokisme est un danger pour la francophonie », nous confie Roger Chudeau, joint au téléphone par BV. Il a écrit aux présidents des groupes parlementaires de l’Assemblée nationale pour qu’une proposition de loi soit inscrite à l’ordre du jour.

Dans son manifeste, la future association alarme clairement sur le danger qui menace la société française après avoir ravagé la société américaine et bien d’autres : 

« Le wokisme est un communautarisme, voire une forme de séparatisme, martèle le texte. Il fonctionne objectivement comme une entreprise de nature sectaire (le philosophe Jean-François Braunstein parle de « religion woke »), inaccessible à tout dialogue contradictoire et tenté par l’anathème, prélude aux violences verbales, puis physiques. »

Roger Chudeau a toute légitimité pour lancer cette digue parlementaire ambitieuse à ce redoutable dissolvant civilisationnel. Ancien inspecteur général de l’Éducation nationale, il fut conseiller éducation de Français Fillon Premier ministre (2007-2012) et conseiller au sein des cabinets de Gilles de Robien, le ministre de l’Éducation nationale, de 2005 à 2007. Il anime depuis peu La Minute de l’anti-Pap sur les réseaux sociaux, en réponse à la minute hebdomadaire du ministre de l’Éducation nationale dont il suit et dénonce les dérives. BV l’a interviewé récemment à ce sujet.

Mais le défi de cette entreprise consiste à dépasser le cercle des députés RN pour donner corps à la vocation transpartisane de ce nouvel outil parlementaire. Roger Chudeau est confiant : « Je ne vois pas comment des députés LR, Renaissance, communistes à l’échelle française et européenne, refuseront de nous rejoindre », répond-il à BV. La députée Renaissance Aurore Bergé n’avait-elle pas signé une proposition de loi interdisant l’écriture inclusive en 2017 ? D’autres amendements ou propositions de loi hostiles à cette forme de révisionnisme orthographique ont été déposés au Sénat et à l’Assemblée en 2021 et 2022 par des personnalités extérieures au RN, conscientes du défi.

Le 12, l’association élira donc son bureau, son président (le poste échoira sans doute à Roger Chudeau), ses vice-présidents, secrétaire et trésorier. Ce sera le point de départ d’une déclaration de guerre à cette idéologie. L’Association francophone des parlementaires contre le wokisme s’y opposera par la loi en faisant interdire les réunions racisées ou genrées et le transgenre dans le sport, en bloquant « les subventions publiques à des organisations ouvertement wokistes » ou en interpellant le gouvernement. Elle entend « créer des groupes de vigilance et des associations dans tous les domaines de la vie publique où sévit le wokisme : école, bibliothèques, arts (cinéma, théâtre, littérature, etc.) ». Ambitieuse, la nouvelle association veut mettre sur pied « une plate-forme Internet anti-wokiste relevant tous les errements de ce mouvement en continu » pour interpeller publiquement les GAFAM sur leur rôle dans la diffusion de ces idées. Elle produira, enfin, « un lexique critique du wokisme qui sera diffusé largement » et « interviendra dans tous les médias et les réseaux sociaux au niveau national et européen pour dénoncer inlassablement le wokisme sous toutes ses formes ». Il serait bon que les écoles et les universités ne soient pas oubliées dans cette contre-attaque pleine d’espoir.

Pour que les faussaires, les diviseurs et les salisseurs de notre Histoire ne puissent plus agir sans contradiction.




Les statistiques officielles britanniques des décès toutes causes par statut vaccinal prouvent que la surmortalité 2022 ne concerne que les injectés. Pour les morts covid, ils sont peu nombreux, mais vaccinés…

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

En France ils refusent de fournir les statistiques de décès covid et toutes causes en fonction du statut vaccinal. Le seul moyen de faire taire les complotistes que nous sommes en prouvant l’efficacité et la non-dangerosité des injections. Mais que redoutent-ils, ces représentants de la vraie Science ?

En Angleterre nous disposons de ces statistiques, c’est effrayant. Dans la 2e partie de l’article les statistiques covid ne manquent pas d’intérêt, elles prouvent que les morts covid sont en réalité peu nombreux mais vaccinés.

1 Les décès toutes causes : depuis le début 2022 la surmortalité ne concerne que les injectés

Il faut rappeler que les plus âgés sont les plus « boostés »

Angleterre. Décès par statut vaccinal. MISE À JOUR. Taux bruts mensuels de mortalité selon l’âge par 100 000, de avril 2021 à la fin 2022

Les statistiques concernent toutes les causes des maladies et pas seulement la Covid

Pour les plus de 90 ans le taux de mortalité des vaccinés est de 1700/100000 par mois, celui des non-vaccinés de 1000/100000. Du simple au double en fin de période.

Pas de différence significative pour les 80 à 89 ans jusqu’en janvier 2022, mais à partir de là et sur toute l’année 50 % de décès en plus pour 100 000 chez les vaccinés

L’évolution est identique pour les 70/79 ans et pour les 60/69 ans avec une rupture et un renversement au début de l’année 2022

Pour les plus jeunes les taux de mortalité sont bien plus faibles, par exemple 2 pour 100 000 pour les 18 à 39 ans vaccinés et 1 pour 100 000 pour les non-vaccinés. Ils sont donc moins significatifs, mais la tendance est identique : dégradation du taux de mortalité pour les vaccinés à partir du début 2022.

Ces stats doivent cependant tenir compte des décès oubliés (majoritairement des vaccinés)

Une chose est certaine : la surmortalité toutes causes des injectés en 2022, et ce pour tous les âges :

Selon ONS Data pour mai 2022 les risques de décès toutes causes sont majorés de 20 à 70 % pour toutes les tranches d’âges

Sources:

https://ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/birthsdeathsandmarriages/deaths/datasets/deathsbyvaccinationstatusengland…
https://coronavirus.data.gov.uk/details/download… (https://api.coronavirus.data.gov.uk/v2/data?areaType=nation&areaCode=E92000001&metric=vaccinationsAgeDemographics&format=csv…). Previous analysis.
https://twitter.com/OS51388957/status/1576204422857703424?s=20… :

2 les statistiques covid ne manquent pas d’intérêt, elles prouvent que les morts covid sont en réalité peu nombreux mais vaccinés

En Angleterre nous disposons de ces statistiques pour les décès covid et regardez bien.




Retraites : Macron ne nous laisse pas le choix, faut tout bloquer !

[Source : ripostelaique.com]

Par Robert CLORIC

Dans la vie il faut savoir ce qu’on veut. On veut que ça change, oui ou non ? J’ai ai assez des pleurnichards qui se plaignent en disant qu’ils languissent que tout s’arrête, car bientôt ils ne vont pas pouvoir travailler. Il est des situations qui méritent un sacrifice. Et celle que nous vivons aujourd’hui en mérite un, et même un gros. 2 ans de plus à travailler c’est énorme et va impacter nos vies au-delà de ce que l’on peut imaginer. Il peut s’en passer des choses, en 2 ans. À l’époque de la retraite à 60 ans, un jeune retraité est venu s’installer dans notre lotissement. Deux ans plus tard, il a été emporté en 4 mois par un cancer à 62 ans. Ce n’est pas le cas de tout le monde, mais ça fait réfléchir.

L’histoire de l’homme tend vers plus de progrès social. La retraire était à 65 ans et Mitterrand l’a passée à 60 ans. Cela va dans le sens du progrès, vers un mieux-vivre et une juste répartition du travail. Je préfère payer des retraités fatigués que des RSA en pleine forme. Par solution de facilité, différents gouvernements ont (pour faire simple) passé cet âge de départ à 62 et dernièrement à 64 ans. À l’encontre de ce que voudrait une évolution normale des conditions de vie et de travail. Dites-vous bien que si cette réforme reste en place, vous aurez la même dans 5 ou 6 ans pour passer la retraite à 65, 66 voire 67 ans. Et ainsi de suite. Le but ultime étant de ne plus payer de retraités, car ceux-ci seront morts au boulot.

Je soutiens entièrement les actions en cours. Quitte à être bloqué, à ne plus pouvoir me déplacer ou autre. J’ai fait quelques provisions et je suis paré. J’ai expliqué tout cela dans un article précédent.
https://ripostelaique.com/antilles-letat-comme-les-racailles-ne-comprend-que-le-rapport-de-force.html

Comme disait Napoléon, à un moment donné, il faut aller au contact. Et ce temps est venu. Le pouvoir ne cédera qu’avec la force. Vous avez entendu la réponse de Macron. La foule n’est rien, seul le peuple est légitime grâce aux élus. Oui, mais on n’écoute pas le peuple et les élus se comportent en voyous. En passant, merci Ciotti. Ceux qui commencent à râler ne comprennent pas que c’est leurs vies qui sont en jeu et celle de leurs enfants. En plus ce sont les mêmes qui ont bien fermé leurs gueules pendant les confinements et probablement qui ont voté Macron au second tour.

La France est en train de partie à vau-l’eau. Plus d’industrie, plus d’indépendance énergétique, plus d’agriculture, plus d’instruction, plus de cohésion sociale ni populaire, les réseaux routier, ferroviaire, électrique qui partent en c…, les ventes à la découpe de nos fleurons, les privatisations à outrance, les investissements hasardeux avec le pognon des Français, j’en passe et des pires. Si le peuple ne reprend pas la main, nous allons vivre des heures sombres et catastrophiques.

Alors oui, il faut manifester. Oui ça en gêne certains, mais que ceux-là se disent que le sacrifice en vaut la peine et qu’ils doivent rejoindre le mouvement. Manifester à la pépère, le pouvoir n’en a rien à cirer. Tout casser, ce n’est pas la solution. Reste juste à tout bloquer.

[Note de Joseph : et si plutôt que de simplement tout bloquer et tout paralyser, au risque d’asphyxie économique, les gens impliqués dans ces manifestations et autres mouvements sociaux s’organisaient localement, départementalement, régionalement et même nationalement (avec Internet, c’est faisable) pour bâtir des réseaux parallèles d’échange, d’entraide et de vie économique, à l’image des CSP d’Alexandre Juving-Brunet ou dans leur prolongement, ou encore avec leur appui ? Le blocage est similaire à une destruction, à l’image d’un caillot sanguin qui produit un infarctus puis la mort. Alors que des réseaux parallèles sont similaires à de nouveaux vaisseaux qui se créent sur le cœur pour remplacer ceux qui sont mal en point.
Il existe déjà en France des initiatives éparpillées et multiples, semble-t-il, qui vont dans le sens de la création d’un Nouveau Monde. À un moment, elles pourraient converger et s’unir ou au moins s’épauler mutuellement et s’entraider dans leurs différentes approches.
Manifeste pour un nouveau monde (les sept groupes qui sont indiqués dans ce petit ouvrage représentent essentiellement une modélisation des tendances et prédispositions humaines dans la gestion du monde formel.)]




Nous avons vécu la fin d’un siècle : c’est la fin d’un système

[Source : reseauinternational.net]

Par Miri Anne Finch

« Le viol pourrait tout aussi bien être légal à Londres », a déclaré un officier de haut rang de la police de Londres, comme l’ont rapporté les journaux nationaux cette semaine.

« Je ne dénoncerais pas mon propre viol », a ajouté une autre policière, commentant l’incapacité totale des forces de police londoniennes à enquêter de manière appropriée sur les crimes sexuels.

Il s’agit là de l’une des déclarations les plus accablantes et cataclysmiques qu’il soit possible de faire au sujet d’une institution ostensiblement conçue pour nous protéger, et de l’une des preuves les plus irrévocables et les plus accablantes que le Royaume-Uni est devenu un État en faillite. L’incapacité à fournir des garanties et des protections de base à sa population est un facteur déterminant d’un État qui a dépassé les stades préliminaires de « fragile » et de « crise » pour atteindre la destination finale « en faillite ».

Dire que le viol « pourrait tout aussi bien être légal » dans la capitale d’un pays démocratique du premier monde (nous ne parlons pas ici d’un village médiéval barbare et arriéré, après tout, mais de l’une des villes les plus cosmopolites et les plus riches du monde), c’est signer l’arrêt de mort de ce pays : la capitale donne le ton culturel au reste du pays, et si le viol est maintenant effectivement légal à Londres, il ne faudra pas longtemps avant que cela ne se répande dans le reste du pays également.

Il s’agit bien sûr d’une volonté délibérée. Si ce n’était pas le cas, cette nouvelle terrifiante, une menace énorme pour la sécurité nationale et la sécurité des femmes, n’aurait jamais fait l’objet d’un coup de sirène à la une des journaux du pays, pour des raisons qui sont certainement assez évidentes.

La loi a un effet dissuasif sur les criminels en puissance. Tout le monde n’a pas un sens moral parfaitement opérationnel, malheureusement, mais presque tout le monde a peur d’être appréhendé par la police et d’aller en prison. Le fait que le viol ait toujours été considéré comme l’un des crimes les plus abjects, juste après le meurtre, a un effet dissuasif efficace sur les personnes qui, si la loi était plus laxiste, seraient susceptibles de commettre ce type d’infraction.

Ainsi, le fait d’annoncer dans tous les journaux du pays que le viol est désormais légal et que les chances de poursuite des violeurs sont quasiment nulles est un grand feu vert donné aux délinquants sexuels en puissance pour qu’ils commencent à s’attaquer aux femmes en toute impunité. C’est évident. Si les services de sécurité britanniques s’intéressaient de près ou de loin à la protection des femmes, ils n’en parleraient pas du tout dans les journaux — s’il y a un cas où les journaux devraient être frappés d’une D-Notice (interdiction de diffusion), c’est bien celui-là — et travailleraient discrètement dans les coulisses pour réformer rapidement la culture policière.

Ainsi, la raison évidente pour laquelle cette affaire a été étalée dans tous les journaux est explicitement de miner davantage l’infrastructure de sécurité du Royaume-Uni, dans le cadre de la démolition planifiée et contrôlée de notre culture actuelle — et de toutes les démocraties occidentales et libérales dans le monde entier. N’oubliez pas non plus que le Royaume-Uni importe actuellement des milliers de jeunes hommes célibataires en provenance de pays qui ont des attitudes moyenâgeuses en matière de consentement sexuel et de droits des femmes — des pays qui pensent, par exemple, que si une femme sort en public sans être couverte de la tête aux pieds et sans être accompagnée d’un chaperon masculin, c’est une pute (et donc a une bonne raison de se faire agresser).

Par conséquent, le but des publireportages « hey, les violeurs, le viol est maintenant légal » est le même que celui des reportages « les politiciens maladroits et incompétents » (Alexander « Boris » Johnson ayant maintenant déclaré publiquement : « Je ne suis pas un menteur, je suis juste un crétin »). Il s’agit de nous faire perdre totalement confiance dans toutes les structures existantes afin qu’elles soient entièrement démolies et remplacées par quelque chose de nouveau (« 6uild 6ack 6etter »).

Un article très opportun a été publié dans le Daily Mail (le deuxième journal le plus lu du pays) cette semaine, de concert avec les histoires de « viol légal » :

« La MORT de la démocratie : Alors que Xi Jinping déclare qu’un changement sans précédent depuis 100 ans est en train de se produire, un expert explique comment les dirigeants occidentaux ineptes ouvrent la voie aux autocrates pour qu’ils prennent le contrôle du monde en ne s’attaquant pas aux problèmes nationaux ».

Je vous recommande vivement de lire l’article dans son intégralité (même si vous voudrez peut-être boire un café extra-fort, peut-être irlandais, avant), car c’est l’un des résumés les plus succincts et les plus plausibles que j’aie lus depuis un certain temps de ce vers quoi nous nous dirigeons probablement, et pourquoi. Le fait que les grands médias le publient suggère qu’il s’agit d’une forme de programmation prédictive — non pas un « si » mais un « quand ».

Citant le nouveau livre « Vaincre les dictateurs », de l’expert politique Charles Dunst, l’article déclare :

« La victoire n’appartiendra pas à celui qui possède la plus grande armée. », affirme Dunst. Elle sera remportée par celui qui prouvera que son système fonctionne le mieux. »

Dans sa vision apocalyptique, les États-Unis perdent face à la Chine non pas parce qu’ils manquent d’armes, mais parce qu’ils manquent de conviction dans leur propre mode de vie.

Dunst, membre associé du Centre for Strategic and International Studies, a déclaré : « Nous avons déjà assisté à ce type de choc des idéaux pendant la guerre froide. Mais le défi auquel nous sommes confrontés aujourd’hui est plus grave qu’il ne l’était contre les Soviétiques. »

Personne ne s’est rendu à Moscou dans les années 1980 et n’est rentré chez lui en se disant : « Je veux que ma ville soit comme ça ». Mais il y a un risque que les gens qui se rendent aujourd’hui dans des pays comme la Chine, qui voient leurs gratte-ciel et leurs autoroutes, rentrent chez eux en le pensant.

Cela a affaibli le soutien à la démocratie dans le monde entier. L’armée est importante, mais nous ne pouvons pas nous concentrer uniquement sur la défense, il faut mettre l’accent sur la bonne gouvernance — c’est en fin de compte plus important.

Comment pouvons-nous défendre la démocratie à l’étranger si elle ne fonctionne pas chez nous ?

Et c’est là que réside le nœud du problème : comment pouvons-nous nous battre pour défendre nos démocraties si elles ne fonctionnent manifestement pas ? L’article se poursuit ainsi :

Il y a vingt ans, la démocratie semblait être le meilleur système de gouvernance parce que tous les pays les plus riches et les plus puissants, avec les meilleurs niveaux de vie, utilisaient ce système.

Mais en 2020, l’espérance de vie aux Émirats arabes unis a dépassé celle des États-Unis pour la première fois. La même année, le Forum économique mondial a classé Singapour — qui vit sous un régime de parti unique depuis 1959 — au-dessus du Royaume-Uni pour ce qui est de la mobilité sociale.

La Chine, qui devance l’Occident en termes de croissance économique depuis des décennies, dépense aujourd’hui plus en infrastructures que les États-Unis et l’Europe réunis. Elle a également été la première à déployer des technologies telles que la 5G.

Cela explique peut-être pourquoi « l’indice de démocratie » annuel de The Economist sur la solidité du système dans le monde a connu une baisse chaque année depuis 2015.

La chute la plus importante jamais enregistrée s’est produite entre 2020 et 2021 pour atteindre un niveau historiquement bas depuis la première publication de l’indice en 2006, et il a stagné depuis lors.

L’auteur conclut en disant qu’en fin de compte, la plupart des gens préfèrent la sécurité à la liberté et que lorsque les libertés démocratiques ne parviennent pas à protéger leurs besoins les plus fondamentaux en matière de sécurité, ils optent volontiers pour des autocraties.

Le Royaume-Uni est depuis longtemps une démocratie libérale, qui met l’accent sur la liberté individuelle et se sépare d’institutions considérées comme désuètes et oppressives, telles que la religion, la tradition et les valeurs familiales « à l’ancienne ». Depuis les années 1960, on raconte que ces superstitions dépassées et vieillottes oppriment les gens et que ce dont ils ont vraiment besoin, c’est d’être libérés de ces choses, afin de pouvoir « découvrir qui ils sont vraiment ». On a supposé que libérer les gens des chaînes de la tradition et de l’obligation les rendrait plus heureux et plus épanouis.

Ce n’est pas le cas.

C’est le problème fondamental auquel nous sommes confrontés dans les démocraties libérales occidentales, et la raison pour laquelle nous aurons tant de mal à opposer une défense solide aux puissantes forces autocratiques qui nous prennent pour cible : notre « mode de vie » repose sur un grand nombre d’illusions et de mensonges. Les attitudes libérales qui ont libéré les gens du « fardeau » de la tradition, de la culture et de la communauté n’ont pas seulement échoué à les rendre plus heureux, elles ont même eu l’effet exactement inverse, les adolescents issus de familles libérales étant beaucoup plus enclins à la dépression que ceux issus de milieux plus conservateurs (avec un petit « c ») (et les adultes qui s’identifient comme politiquement/culturellement libéraux sont beaucoup plus susceptibles d’être en mauvaise santé mentale).

En effet, contrairement aux dogmes libéraux à la mode, les gens ne naissent pas parfaitement formés, avec des personnalités, des passions et des objectifs pleinement réalisés, qu’il suffit de laisser tranquilles pour qu’ils « soient ce qu’ils sont vraiment ». Ils naissent plutôt beaucoup plus informes et malléables que cela, avec un profond besoin de richesse culturelle, d’une vie communautaire, d’un sens et d’un but au-delà du matériel. Si ces éléments ne leur sont pas accessibles et qu’ils reçoivent à la place de vagues messages sur la « libération » et la « liberté » et sur le fait d’être ce qu’ils sont vraiment, la dépression est souvent un résultat inévitable, car nous ne sommes pas « ce que nous sommes vraiment » dès la naissance. L’impact de l’éducation et de l’environnement est énorme, et les adultes humains — bien qu’ils puissent certainement avoir certaines prédispositions et prédilections innées — sont en fin de compte faits, et non nés. Après tout, lorsqu’une fleur ne s’épanouit pas, on ne répare pas la fleur — on l’envoie en thérapie, on la soigne, etc. — nous corrigeons l’environnement dans lequel elle pousse.

Cependant, le Royaume-Uni libéral et démocratique — qui a certainement eu un jour une culture florissante et facilement définissable — existe aujourd’hui dans une sorte de vide « post-culturel », où personne ne sait vraiment ce qu’est notre culture. Si je demandais à une centaine de résidents britanniques de longue date : « Qu’est-ce que la culture britannique ? » En revanche, si je posais la même question à cent habitants d’un pays autocratique, comme la Chine ou l’Iran, les réponses que je recevrais seraient pour la plupart très similaires.

De toute évidence, il est impératif d’être en mesure d’identifier ce qu’est votre culture pour pouvoir la défendre vigoureusement. Puis-je moi-même définir la culture britannique ? Non, pas vraiment. Je connais les valeurs politiques et civiques que nous sommes censés défendre (et ce sont de bonnes valeurs), comme la liberté d’expression et l’égalité des chances, mais la culture, c’est bien plus que de la politique. La culture, ce sont les valeurs morales, la communauté, l’art, la littérature, la cuisine et, oui, dans presque tous les cas, la religion — il est très rare qu’une culture solide existe et prospère sans religion. Il est très rare qu’une culture solide existe et prospère sans religion. Ce n’est pas un commentaire sur le fait que la religion soit bonne ou mauvaise, c’est juste une observation historique. Les religions peuvent devenir des facteurs de division lorsqu’elles sont opposées les unes aux autres, mais dans les pays où elles prospèrent, elles peuvent agir comme des adhésifs culturels, dans la mesure où, même si les gens ont d’autres désaccords (comme c’est toujours le cas), ils ont au moins cette croyance fondamentale partagée.

La bataille perpétuelle que les êtres humains ont toujours dû mener consiste à trouver un équilibre entre le désir d’autonomie personnelle et le besoin d’appartenance et de communauté, et, nécessairement, plus on a l’un, moins on a l’autre. Le Royaume-Uni s’est fortement orienté vers l’autonomie personnelle au cours des décennies d’après-guerre, et si cela a manifestement été bénéfique pour certains, cela n’a pas avantagé la société dans son ensemble, la plupart de nos communautés étant aujourd’hui fracturées et dispersées et les gens plus seuls et malheureux que jamais. Nous avons donc recherché l’autonomie personnelle à tout prix, pensant que c’était la voie vers un bonheur et un épanouissement accrus, et que tous les sacrifices requis en cours de route en valaient la peine — et nous nous sommes lourdement trompés.

D’autres cultures n’ont pas fait les mêmes choix et, bien qu’elles soient en fin de compte plus oppressives — souvent de manière obscène —, il n’en reste pas moins que leurs membres sont souvent moins seuls, plus connectés à leur communauté et — comme nous l’avons expliqué au début de cet article — plus en sécurité.

Lorsque vous vivez dans une culture qui, comme la nôtre, encourage la mutilation chirurgicale et la stérilisation d’adolescents en bonne santé, tout en organisant des spectacles de drag queens pornographiques explicites pour les bébés, il est difficile d’affirmer que vivre sous un système autocratique pourrait être pire. En effet, un régime qui promeut les valeurs morales et adopte une ligne dure à l’égard de la dégénérescence sera, pour de nombreuses personnes, beaucoup plus attrayant que ce que nous avons aujourd’hui. Nous ne pourrons jamais « tout avoir » et sacrifier une partie de la liberté individuelle et des valeurs civiques libérales en échange d’une culture « nettoyée » avec une meilleure sécurité et de meilleures protections, peut sembler une offre très attrayante pour certains.

Voilà donc l’avenir redoutable auquel nous devons faire face : lorsque la Chine, la Russie ou qui que ce soit d’autre déclarera qu’elle abandonne les systèmes politiques démocratiques et les valeurs sociales libérales pour les remplacer par un conservatisme sévère et un gouvernement mondial unique, y aura-t-il suffisamment de gens pour s’y opposer ?

Je soupçonne que la réponse est non, et que ce processus a été minutieusement planifié sur plusieurs décennies, et qu’il a atteint son point culminant avec le « Covid ». Afin de donner aux démocraties leur coup de grâce, il faut prouver au peuple qu’elles sont corrompues et brisées à un degré irrémédiable. Le discours habituel sur l’incompétence et la cupidité des hommes politiques ne suffira pas à provoquer des appels massifs en faveur du démantèlement de la démocratie. Il faudra quelque chose de bien pire que cela.

Que diriez-vous donc de la révélation que des acteurs politiques (tant l’administration actuelle que l’opposition) ont parrainé et promu avec force un programme qui a brutalement abrégé la vie de millions de personnes ?

Que le gouvernement démocratiquement élu a injecté aux frères et sœurs, aux parents, aux maris et aux femmes, et même aux enfants de la nation, un sérum mortel qui déchire actuellement les familles alors que de plus en plus de jeunes individus en bonne santé « meurent subitement » ?

Lorsqu’il sera enfin révélé sur la scène mondiale ce que ces injections ont fait aux gens — que des millions d’entre eux ont été mutilés à vie et que leur espérance de vie a été réduite de plusieurs décennies — alors ce sera la fin. La colère et la trahison des masses seront telles que rien ne suffira, si ce n’est, comme je l’ai vu dans un récent message d’indignation sur les médias sociaux, de « tout brûler ».

Et cela, comme je l’ai dit, est voulu. Si votre gouvernement démocratiquement élu (et son opposition) peut être d’une incompétence et/ou d’une méchanceté si colossale et inconcevable qu’il vous fait cela, comment peut-on encore faire confiance à ce système ?

C’est ainsi que je crois que l’histoire sera racontée et, dans l’état actuel des choses, je pense qu’il est très probable que les prochaines élections générales au Royaume-Uni seront les dernières. Avec une participation électorale en chute libre d’année en année, et un nouvel obstacle introduit cette année en termes d’identification des électeurs, il semble assez évident que ce système est à bout de souffle, et qu’il n’est pas destiné à avoir un avenir à long terme.

Pouvons-nous arrêter cette descente en avant vers une tyrannie autocratique explicite ? Nous pouvons certainement essayer. Mais en nous fortifiant pour l’avenir, il est également important de reconnaître que nous sommes réellement un « État défaillant » et que, quoi que nous fassions, l’avenir sera très différent du passé, même du passé très récent. Nous ne reviendrons jamais en arrière.

Pourtant, ce n’est pas une mauvaise chose, et je suis sûr que beaucoup en conviendront. Après tout, ce n’est pas comme si nous vivions dans une utopie béate que le « Covid » aurait soudainement fait disparaître. Le Covid était simplement l’aboutissement de décennies et de décennies de mauvaise planification, d’institutions corrompues et de pourriture culturelle.

Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute que l’avenir sera difficile et bien moins « confortable » que la vie que beaucoup d’entre nous ont pu mener avant la pandémie. Mais n’oubliez pas que dans certains dialectes anciens, le symbole du « danger » est aussi celui de « l’opportunité ».

Source : Miri AF

traduction Réseau International




France – La mobilisation se poursuit




Gardasil Episode 7 : Entre mensonges et corruptions

[Source : aimsib.org]

Par La rédaction de l’AIMSIB

Il n’est pas de meilleure compagnie qui ne se quitte, provisoirement nous l’espérons, et Marceau nous livre ici le dernier opus de sa série concernant ce révoltant plan mondial de vaccination. Contre un risque qui n’a jamais été démontré, d’abord, avec un produit dont la toxicité féroce demeure toujours soigneusement camouflée, ensuite, et pour finir à un tarif flirtant avec les 400€ par enfant. Les « valises de biftons » (cf infra) parcourent le monde, les vigilances indépendantes s’évanouissent et le camp retranché tenu par les défenseurs des enfants va bientôt devoir nécessiter que des troupes fraîches prennent part au conflit. Politiciens, décideurs, journalistes, médecins, parents, la santé de nos enfants est clairement mise en danger par le culte du veau d’or de l’argent sale, aidez-nous, aidez-vous. À bientôt Marceau et merci. Bonne lecture.

𝟳ème et dernier épisode de la série consacrée au 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑎𝑠𝑖𝑙. Série qui pourrait être complétée en fonction de l’avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.

[Voir aussi :
Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus
Gardasil, un vaccin de moins en moins polémique et de moins en moins dangereux au fil du temps ?
Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?
Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?
Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel
Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans
Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil
Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons
Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité]

Récapitulatif des épisodes précédents

Rappelons (voir tous les épisodes 1-6) que le Gardasil est un vaccin développé par Merck pour la « prévention » des cancers causés par une famille de virus appelés les papillomavirus humains (PVH). La firme pharmaceutique a obtenu la mise sur le marché de ce vaccin par une procédure accélérée en juin 2006 avec des résultats d’essais cliniques trompeurs qui ont exagéré les avantages et largement sous-estimé les risques et les effets indésirables du vaccin.

Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques alarmistes, de fausses publicités et des lobbyistes politiques pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes avec le Gardasil.

Aujourd’hui, des milliers de filles qui ont reçu le vaccin Gardasil subissent de graves conséquences néfastes pour leur santé et des centaines sont décédées des suites de complications liées au vaccin dans le silence complice des autorités sanitaires.

L’infection virale à PVH est la maladie sexuellement transmissible la plus courante et la majorité des gens contracteront le PVH à un moment donné de leur vie. La plupart des cas de PVH sont entièrement bénins, mais s’ils ne sont pas traités, un très faible pourcentage de cas de PVH (<1%) chez les femmes peuvent éventuellement se transformer en cancer du col de l’utérus. La meilleure prévention étant donc le dépistage qui fonctionne très bien en France, alors pourquoi vouloir imposer ce vaccin ?

Parce que les lobbys de Merck poussent devant le risque de la fin de la poule aux œufs d’or avec les procès qui vont commencer aux USA ?

Une promotion aussi repoussante qu’efficace

Après la mort de plusieurs petites indiennes, Bill Gates veut à présent s’en prendre à nos enfants ! [1]

Le même Bill Gates – via l’OMS et Gavi – fait une priorité de cette vaccination de tous nos ados, pourquoi ? [2] [3]

Merck incite les politiques du monde entier à rendre ce vaccin obligatoire afin de ne plus être responsable des effets secondaires graves de ses injections comme nous l’avons montré dans les épisodes précédents. [4] [5]

Nous osons à peine évoquer la proposition de loi opportune du député Pierre MOREL À L’HUISSIER pour rendre la vaccination contre le PVH obligatoire.

Qu’est-ce qui a bien pu le pousser à pondre ce torchon le 15 novembre 2022 ? [6]

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Intéressant de parcourir quelques-unes des dernières actualités de son parcours… [7] [8] [9] [10] [11]

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Le 8 décembre dernier, le Président Macron et son ministre de la Santé Braun se disent eux aussi favorables à rendre ce produit obligatoire 🥶, ils ont été suivis le 10 décembre par le clip de propagande de la députée macroniste Prisca Thevenot aussitôt applaudie par un lobby LGBT+ (associé Renaissance), quelle est cette manie de systématiquement vouloir sexualiser les enfants et maintenant leur imposer cette vaccination ?

La vaccination obligatoire, techniquement ça change tout

De quoi se mêle-t-il ce lobby ? Fichez la paix à NOS enfants ! [12]

En cas d’obligation, les victimes devront alors prouver le lien entre leurs maladies et le Gardasil pour recevoir une compensation minable de l’état. Mais l’état français ne reconnait aucun lien entre la vaccination et les effets secondaires sans y être contraint une fois que d’autres pays reconnaissent ces liens.

Ce que sait faire le gouvernement français, c’est contraindre et étouffer les affaires ! Nous ne sommes que du bétail pour ces gens et Macron voudrait rendre ce produit obligatoire pour exonérer Merck de toute responsabilité ? Comment compte-t-il faire ? Demander à Sainte-Ursula de négocier des contrats à l’échelon européen avec Merck par SMS ?

Combien de personnalités politiques Merck a-t-il déjà corrompues pour leur faire voter l’obligation vaccinale pour le Gardasil ?

Comme démontré précédemment,

Merck a dissimulé des faits importants sur l’efficacité (ou l’absence d’efficacité) et la sécurité du Gardasil au cours du processus d’approbation accéléré. Merck n’a pas non plus effectué d’investigations et d’études médicales complètes et appropriées au cours des étapes de pré-approbation ou de post approbation. Les essais cliniques entrepris par Merck n’ont même pas examiné le potentiel du Gardasil pour prévenir le cancer, mais uniquement l’immunogénicité !

Ça ne vous rappelle rien ?! [13] [14]

Le CDC américain l’écrit lui-même sur son site : aucune corrélation entre immunogénicité et protection. Post-autorisation de mise sur le marché, ils disent que ces injections préviendraient des verrues cervicales, ce qui n’est pas un cancer ! Ces verrues se résorbent toutes seules sans traitement. [15]

Post-approbation ils ont fait des études bidon pour analyser si le Gardasil pouvait prévenir les conditions précurseurs potentielles (verrues, lésions) qui disparaissent seules dans >> 99% des cas sans conduire à des cancers !

Merck a ensuite soumis des données trompeuses suggérant que ces « conditions précurseurs » entraînent inexorablement le cancer, ce qui est FAUX !

La campagne marketing trompeuse de Merck et la corruption des politiques et autres ONG/lobbys pour rendre la vaccination Gardasil obligatoire.

Avant et après l’approbation du Gardasil, Merck s’est engagé dans des tactiques de marketing sans scrupule conçues pour surestimer à la fois les risques associés au PVH et la prétendue efficacité de Gardasil afin d’effrayer le public et de l’amener à accepter des vaccinations de masse des adolescents.

Avant le Gardasil, il n’y avait pas d’urgence de santé publique contre le PVH aux États-Unis et dans d’autres pays comme la France, et peu de femmes avaient même entendu parler du PVH. Il y avait donc peu ou pas de demande pour un vaccin contre le PVH.

Parenthèse : c’est comme pour la propagande cette année au sujet des VRS (Virus Respiratoires Syncytiaux) qui étaient jusque-là de simples virus respiratoires hivernaux donnant des symptômes grippaux avec comme traitement du doliprane et de l’amoxicilline. Cette année ils sont subitement devenus terribles avec un nom « VRS » dont l’écrasante majorité des français n’a jamais entendu parler auparavant. Et rupture de l’antibiotique amoxicilline pour que les gens, surtout les enfants, morflent bien. Pourquoi ? Car Pfizer arrive l’an prochain avec le vaccin contre les VRS. Les mêmes gens se souviendront des 10 jours cloués au lit et de leurs enfants au tapis toussant dans la douleur à cause de ces méchants « VRS » et ils iront courir se faire vacciner sans faire le lien. Fermons la parenthèse !

Afin d’assurer le succès financier de son nouveau « Saint Graal », Merck a précédé le déploiement du Gardasil par des années de marketing coûteux de « sensibilisation à la maladie » du PVH.

Sans parler des lobbys et de la corruption des politiques dans tous les pays développés, poussant initialement au remboursement accéléré de ce vaccin et à des campagnes agressives de culpabilisation pour pousser les parents à vacciner leurs filles dans un premier temps puis tous les ados, sans aucun fondement scientifique. [16]

En plus de sa campagne publicitaire agressive et culpabilisante pour les parents, Merck a également utilisé des lobbyistes politiques et des incitations financières pour essayer de convaincre les législatures des États américains (pareil dans d’autres pays) à rendre le vaccin Gardasil obligatoire.

À partir de 2004, Merck a injecté des millions de dollars dans des organisations de lobbying politique telles que Women in Government et NACCHO aux USA. Ces organisations ont alors commencé à pousser agressivement les législateurs à travers le pays pour rendre obligatoires les vaccins Gardasil pour toutes les filles américaines.

Merck a complété ces lobbyistes rémunérés par des contributions aux campagnes politiques et des millions en financement direct aux services de santé des États.

Entre 2012 et 2018, Merck a directement acheminé 92 millions de dollars au ministère de la Santé du Maryland pour la promotion des vaccins Gardasil dans les écoles publiques. Ce financement a essentiellement servi à payer les responsables scolaires pour tromper les élèves et les parents en leur faisant croire que la vaccination Gardasil était obligatoire alors qu’elle ne l’était pas ! En Europe et en France vous pensez une seule seconde qu’ils n’ont pas opéré de la même manière ?

Merck a fait pression sur tous les politiques avec ses lobbys pour faire progresser l’utilisation des vaccins Gardasil.

Merck irait même plus loin et présenterait son programme aux politiciens au pouvoir pour placer son produit dans une position favorable. La société pharmaceutique a dépensé des millions de dollars en incitations financières, en contributions de campagne et en financement direct aux politiciens et aux institutions de l’État avec le pouvoir d’offrir le Gardasil au plus grand nombre d’enfants possible et de présenter leur produit comme une étape nécessaire pour arrêter un problème qu’ils ont dépeint comme plus grave que la réalité.

Aux USA, face à la révolte des parents, des médecins et des associations de consommateurs, Merck a promis d’arrêter ses campagnes de lobbying agressives pour faire passer des lois d’obligation vaccinale pour les pré-adolescentes. [17] [18]

Mais qui peut leur faire confiance ? Qui pour vérifier ce qui se déroule dans les couloirs des parlements à travers le monde ou dans les bureaux des chefs d’États ?

En effet, dès 2014, d’un seul coup et en chœur les parlementaires de tous les pays européens ont poussé le Gardasil dans leurs pays respectifs. Le Président Hollande inclura le Gardasil comme arme dans son plan cancer 2014-2019 en visant 60% de vaccination des adolescentes. [19]

Le ministre de la Santé Xavier Bertrand avait validé le Gardasil et son remboursement avant même que les autorités de santé françaises ne se soient prononcées ! Regardez cette vidéo de France 5 jusqu’au bout et enregistrez-la pour les batailles à venir. Regardez les parlementaires plaider pour le Gardasil dans leur pays respectif, et les mains de Xavier Bertrand trembler après avoir fait son annonce devant le parlement. Regardez son expression corporelle ! Il n’est pas à son aise. [20]

Quelle est la probabilité que tout ceci ne se passe en même temps sans la pression des lobbys de Merck ? Combien ces parlementaires ont-ils été payés ?

Combien de valises de « biftons » comme a dit lui-même le PGD de Merck ?

https://web.archive.org/web/20130614114735/http://www.liberation.fr/economie/06014396-le-laboratoire-merck-et-les-valises-de-biftons [21]

Agnès Buzyn aussi a envisagé de le rendre obligatoire en 2018 avec les autres 11 vaccins mais, devant la mauvaise presse de ce produit, elle a reculé et aujourd’hui Macron voudrait le rendre obligatoire « quand tout cela sera installé… » ?

Combien ces gens ont-ils été payés pour mettre la vie de nos enfants en jeu ?

COMBIEN ????!!! [22]

En 2019 des voix s’élèvent contre la corruption par les labos poussant ce vaccin et demandent un moratoire [23] :

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Et ce produit qui est considéré comme le vaccin le plus dangereux avant les injections COVID-19 est aussi le plus cher jamais approuvé :

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Le Cervarix, vaccin bivalent de GSK contre 2 souches du papillomavirus, est la même daube ! [24] Une fois que le Gardasil a été approuvé pour les préadolescentes, Merck a lancé une campagne de propagande agressive visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n’ont pas vacciné leurs filles avec le Gardasil. La campagne de Merck impliquait que les « bons parents » vaccinent leurs enfants avec le Gardasil. [25]

Au cours de ces efforts de marketing agressif, Merck a frauduleusement dissimulé les risques et les dangers connus du vaccin contre le PVH tout en exagérant son efficacité. Merck a commercialisé le Gardasil avec la campagne la plus agressive jamais montée pour promouvoir un vaccin, dépensant plus en publicité Gardasil que toute autre campagne publicitaire de vaccin précédente. (voir extrait à partir de 15 min 40 sec dans la vidéo) [26]

Au passage, la même émission de France 5 « Le magazine de la santé » présentée par Marina Carrère d’Encausse diffusait ce documentaire en 2014-2015 mais aujourd’hui, c’est devenu impossible, les mêmes personnes servent la propagande… [27]

La publicité de Merck laissait entendre que vous étiez un mauvais parent si vous ne vacciniez pas votre enfant avec le Gardasil pour le protéger contre le cancer.

Ce que la publicité a laissé de côté, c’est qu’il n’y a pas une seule étude pour soutenir l’affirmation de Merck selon laquelle le Gardasil prévient certains types de cancer.

Au contraire, des études ont montré que le Gardasil pourrait être plus susceptible de provoquer le cancer que de le prévenir (voir épisode 6).

« Merck sait que s’ils divulguaient la vérité sur le potentiel du Gardasil à provoquer des réactions indésirables graves et des maladies horribles, y compris des maladies auto-immunes, et la mort de certains receveurs, personne ne recevrait le vaccin », Merck a profité de milliards en faisant peur aux parents et en cachant les faits. [28]

L’inquiétude concernant la sécurité du Gardasil augmente

Au fil des ans, les parents sont devenus de plus en plus préoccupés par la sécurité du Gardasil. Selon une enquête de 2021, 23 % des parents qui ont refusé la vaccination contre le PVH pour leur enfant en 2018 ont fait part de préoccupations concernant la sécurité, contre 13 % en 2015. [29] Normalement, les médicaments deviennent plus acceptés au fil du temps à mesure que leur innocuité est démontrée dans le monde réel. Ce n’est pourtant pas le cas avec le Gardasil, ce qui pourrait être une indication que de plus en plus de gens connaissent ou ont entendu parler de jeunes souffrant de problèmes graves.

Tout comme lesdits « vaccins » COVID-19 ! [30]

L’innocuité d’un vaccin comme le Gardasil devrait être totale car il est administré à des enfants et des adolescents en parfaite santé dont le risque futur de mourir d’un cancer du col de l’utérus est nul au moment où il est administré, et seulement 2,2 pour 100 000 à l’âge de 58 ans sans dépistage et sans traitement.

Merck a donc promis aux régulateurs, aux pédiatres et au public que les inoculations administrées aux filles de 9 à 12 ans conféreraient une immunité contre un cancer relativement rare qui ne tue généralement pas avant l’âge de 58 ans !

De plus, il convient de noter que les facteurs de risque d’infection au PVH chez les jeunes femmes sont [31] [32] :

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Alors, considérant que les principaux facteurs de risque sont des choix de comportements modifiables, ne serait-il pas plus logique d’éduquer les jeunes femmes et hommes aux risques et comment les éviter, plutôt que de vouloir rendre ce vaccin obligatoire et décréter les capotes gratuites dès 15 ans pour les inciter à faire EXACTEMENT l’inverse de la prévention ???

Il existe également de nombreuses preuves montrant que les frottis vaginaux peu coûteux sont le moyen le plus efficace d’identifier une infection au PVH et, en la traitant, d’empêcher qu’elle ne se transforme en cancer.

Ancien employé de Merck, la société américaine qui a développé le Gardasil, le Dr Bernard Dalbergue a affirmé dans une interview accordée en 2014 au magazine français Principes de Santé, que le médicament avait été mis sur le marché trop rapidement, et le qualifie de « conte de fées médical ». Il a déclaré que le vaccin ne faisait rien pour prévenir le cancer du col de l’utérus et que « les très nombreux effets indésirables détruisaient des vies et même tuaient », mais que son approbation hâtive du financement aux États-Unis et en Europe était motivée par les marges bénéficiaires des fabricants.

Il a déclaré que Gardasil « sera le plus grand scandale médical de tous les temps », mais ça c’était avant les injections COVID-19 ! Le Dr Dalbergue n’est pas anti-vaccins. [33] [34] [35] [36]

Conclusion provisoire

La série Gardasil se termine donc et je ne doute pas qu’avec ces informations vous ne ferez pas vacciner vos ados. Il faut faire circuler et éduquer le grand public pour faire bloc contre Macron quand il viendra avec cette aberration d’obligation vaccinale.

Pour finir jetons à nouveau un œil sur l’état du compteur des amendes auxquelles Merck a déjà été condamné depuis 2000…

10 467 160 581 $ [37]

Dix milliards quatre-cent-soixante-sept millions cent- soixante mille cinq-cent-quatre-vingt-un dollars

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Et n’hésitons pas à relire la fabuleuse histoire de la contribution de Merck au sabordage organisé de l’ivermectine dès début 2021. [38]

Voici également un ouvrage qui m’a été conseillé [39] :

Hasard du calendrier, en sortant de consultation chez la pédiatre avec ma fille, je me suis rendu compte qu’elle avait rajouté sur l’ordonnance en plus de la vitamine D annuelle le fameux sérum, alors même que je venais aimablement de décliner sa proposition… !

Marceau
Mars 2023

Pour revenir au premier épisode:

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

Notes et références :




Participer à une manifestation non déclarée ne fait pas de vous un délinquant

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Manifestation contre la réforme des retraites, le 15 mars 2023 à Paris.
 AFP – Alain JOCARD]

Par Lauriane Bernard, France-Soir

Depuis plusieurs jours, des images d’arrestations de manifestants nous parviennent sur les réseaux sociaux. La Cour de cassation a pourtant rappelé en juin 2022 qu’aucun texte de loi n’incrimine le seul fait d’être présent à une manifestation non déclarée.  

Contrairement à ce qu’a laissé entendre le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin aux journalistes de BFMTV, participer à une manifestation non déclarée n’est pas illégal. Il en va autrement de la participation à une manifestation expressément interdite : cela constitue alors une infraction. 

Seule la commission d’une infraction justifie une arrestation pendant une manifestation non déclarée 

La liberté de manifester n’est pas dans la Constitution. Néanmoins, le Conseil constitutionnel lui a reconnu une valeur constitutionnelle, dans une certaine limite. Une liberté doit toujours se concilier avec d’autres devoirs.  

Si par exemple un manifestant s’en prend à la sécurité des biens et des personnes qui l’entourent à l’occasion d’un rassemblement, il ne peut pas invoquer sa liberté absolue de manifester pour se défendre des infractions qu’on pourrait lui reprocher. La commission d’une infraction justifie toujours une arrestation pendant une manifestation, qu’elle soit déclarée ou non.  

Participer n’est pas organiser 

Le code de la sécurité intérieure impose la règle de la déclaration préalable pour toutes les manifestations organisées sur la voie publique. Cependant, dans le cas d’un évènement mal déclaré ou pas déclaré du tout, l’organisateur est la seule personne susceptible d’encourir des poursuites.  

Assister à une manifestation non-déclarée ne constitue ni un délit, ni une contravention et les forces de l’ordre ne peuvent donc même pas délivrer une amende de 135 € pour ce motif. Comment se fait-il alors que les interpellations se succèdent depuis jeudi dernier ?  

« Pas d’interpellations injustifiées” selon le préfet de police de Paris  

Sur le plateau de BFMTV, le préfet de police de Paris Laurent Nunez assure, ce mardi 21 mars, qu’il n’y a pas eu d’interpellations injustifiées. Toutes les personnes escortées au poste de police auraient été suspectées d’avoir commis des actes de violence. 

Des propos qui contrastent avec les images rapportées par Cemil Sanli sur son compte Twitter. Le journaliste a couvert les manifestations du 19 mars dans les rues de Paris. Il a filmé plusieurs riverains désorientés, dont cette femme, confuse, ne semblant pas comprendre pourquoi elle se fait arrêter par la police. Elle se défend d’être une manifestante et clame qu’elle ne faisait que passer par là.

Toujours selon BFMTV :

sur les 292 interpellations réalisées à Paris le 16 mars au soir, à la place de la Concorde, seules neuf personnes ont été déférées devant la justice”.   




La loterie des lots pourris, le talon d’Achille de Big Pharma

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Chers lecteurs,

la raison pour laquelle j’ai publié un dossier sur la qualité des vaccins Covid dans le numéro de mars de Néosanté, c’est parce qu’en réalité c’est LE talon d’Achille de Big Pharma.

Vous vous souvenez certainement de la légende d’Achille le célèbre guerrier de la mythologie grecque que sa mère avait plongé dans le Styx, le fleuve des enfers, afin de le rendre invulnérable. On a parfois l’impression qu’avec Big Pharma, c’est la même chose. Ils sont intouchables, ils ont pris un bain complet d’immunité juridique, médiatique et politique. On est dans l’univers du mythe, personne ne peut toucher à la vaccination qui a « sauvé des millions de vie ».

Et pourtant… Achille avait un point faible, ce fameux talon par lequel sa mère le tenait en le plongeant dans le fleuve, et qui fut sa perte, lorsque Pâris tira précisément sa flèche à cet endroit-là. Et bien, je prétends que Big Pharma aussi a son talon d’Achille, et c’est la qualité des vaccins.

1. Pro-vax ou anti-vax, tout le monde s’accorde sur l’importance de la qualité des vaccins

Il y a trois raisons qui me font penser cela. Tout d’abord, c’est un sujet sur lequel tout le monde peut tomber d’accord. Peu importe que l’on soit pour ou contre les vaccins, il y aura unanimité pour dire que ces fioles ne doivent contenir ni plus, ni moins que ce qu’elles sont censées contenir et qui est marqué sur la notice. Sinon, c’est de la fraude et on met la vie des gens en danger. C’est comme cela pour n’importe quel autre produit. Le chocolat doit contenir un certain pourcentage de cacao, la viande ne doit pas être périmée, le lait ne doit pas être contaminé de bactéries. Il y a des inspecteurs qui font des contrôles « au hasard » dans les points de vente, et lorsqu’il y a un problème, on rappelle le produit, on suspend tout immédiatement.

Idem pour les vaccins, non ?

Non.

2. Pour la qualité, Pharma garde sa responsabilité

La deuxième raison pour penser que la qualité est le point faible de l’industrie du vaccin est que juridiquement, c’est à peu près le seul cas où Big Pharma reste responsable. Si vous avez vu le film 1986 the Act : quand Pharma fait la loi, vous savez qu’aux États-Unis, tous les procès liés à des dommages vaccinaux sont sortis du circuit normal de la justice. Ils sont d’office traités par un tribunal administratif spécial affecté à la vaccination, qui a un mode de fonctionnement inique et dont l’objectif est évidemment d’indemniser le moins de victimes possible. De par ce système, l’industrie est exemptée de toute responsabilité légale depuis des décennies (discussion sur ce film avec Marc Daoud de Nexus). Chez nous, cela se passe toujours dans le circuit judiciaire normal, en responsabilité civile, mais dans la pratique, les procès traînent parfois 20 ans, « la science » ne permet jamais de conclure à un lien de causalité et les victimes restent sur le carreau. En fait, la seule chose qui est de la responsabilité directe du fabricant, que ce soit aux États-Unis ou en Europe, c’est de livrer un produit conforme à ce qu’il a annoncé dans les dossiers d’autorisation de mise sur le marché, et ce pour chaque lot.

3. Il y a incontestablement des lots pourris et non conformes en circulation

Depuis le début de la vaccination, le lot pourri ou « hot lot » est la terreur des producteurs, au point qu’aux États-Unis, après avoir eu quelques expériences qui ont failli coûter cher à l’industrie, celle-ci a décidé de régler le problème en séparant les lots pour les distribuer aux quatre coins du territoire, afin d’éviter qu’un lot problème ne soit trop voyant. (voir film 1986 The act). Car, si 20 personnes tombent raides après une vaccination dans la même ville, l’on s’apercevra de suite qu’il y a un mauvais lot, et plus personne ne voudra se faire vacciner. Tandis que s’il n’y a qu’une personne dans 20 états, on a beaucoup moins de chance de voir un « signal » indiquant que l’on est tombé sur un lot pourri. L’on pourra éventuellement le détecter dans une base de données, mais peu risquent de s’en apercevoir.

L’on objectera que c’était « avant », mais qu’aujourd’hui cela a bien changé et, comme me dit une connaissance qui travaillé dans l’industrie du vaccin « tu n’imagines pas le nombre de contrôles »… » stricts », « rigoureux », etc., je veux bien le croire, mais ces contrôles « stricts » portent sur un nombre de paramètres limité.

Je maintiens : la qualité des lots pose problème. On peut y trouver toutes sortes de contaminations ou de pollutions, et les principes actifs se dégradent facilement avec la température.

C’est un sujet auquel j’ai déjà consacré plusieurs articles (Nexus 121) avant la vaccination Covid, principalement à partir des analyses indépendantes sur les vaccins pédiatriques, effectuées par l’association italienne Corvelva.

Connues sous le nom de « Vaccinegate » les résultats des analyses toxicologiques, metagénomiques et microscopiques (nanoparticules) publiés par Corvelva avaient montré que la plupart des lots diffèrent et que de nombreux vaccins sont non-conformes ou « sales » : pollutions avec des nanoparticules métalliques, traces de pesticides ou de médicaments (amphétamines, antibiotiques, antiépileptiques), contamination par des virus et de l’ADN, et aussi incroyable que cela puisse paraître dans quelques cas, l’on ne retrouvait pas l’agent pathogène en quantité suffisante (dans ce cas inutile de vacciner si l’agent actif ne s’y trouve pas).

Au minimum, l’on peut parler de grave négligence, car ces anomalies peuvent être dangereuses pour la santé. Avec d’autres produits, il y aurait un rappel, une inspection, un retrait du marché. Ici, l’on temporise ou l’on censure. L’on ne peut pas affirmer qu’il y ait eu une intention de nuire et que l’on y aurait mis volontairement des crasses. En revanche, il y a un silence et une inaction coupables, car toutes les compagnies pharmaceutiques et toutes les agences de santé ont été notifiées et, après plusieurs années de déboire devant les tribunaux, le gouvernement refuse toujours d’effectuer les analyses ordonnées par les tribunaux afin de vérifier ou d’infirmer les résultats présentés.

À mon humble avis, avant le Covid, il y avait déjà de quoi mettre la clé sous la porte des usines à vaccins. En attendant, il y a plus urgent que les « bons vieux vaccins à l’ancienne ». En effet, il semble qu’avec les lots de vaccins Covid, l’on passe réellement à la vitesse supérieure.

4. La loterie des vaccins Covid : pas de pot pour ceux qui tombent sur le mauvais lot !

Tout le monde aura été étonné d’entendre certaines personnes se plaindre des effets épouvantables qu’elles ont éprouvés suite à une ou plusieurs injections Covid, alors que d’autres n’ont vraiment absolument rien eu. Évidemment, il peut y avoir de multiples raisons pour cela, mais une des hypothèses à considérer c’est qu’on ne leur pas injecté la même chose…

Aux États-Unis, la base de données VAERS qui enregistre les évènements indésirables suivant une vaccination fait mention du numéro de lot (ce n’est pas le cas en Europe). C’est grâce à cela que des chercheurs indépendants ont pu informer le public en répertoriant les effets et les décès par lots des vaccins Covid sur le site How Bad Is My Batch. L’on constate d’ailleurs un très grand intérêt du public pour cette question, puisqu’au moment d’écrire cet article, leur compteur affiche pas moins de 112 035 225 visites !

Voici ce qui devrait convaincre tout le monde de cesser immédiatement ces campagnes de vaccination :

* De toute évidence certains lots sont beaucoup plus toxiques que d’autres.

* Les lots toxiques ont un étiquetage spécifique dans des séries qui se suivent. La présence de séries de lots différents ne peut donc pas être un hasard. Des produits différents ont été fabriqués à différents moments.

Il est IMPÉRATIF DE RÉFLÉCHIR À TOUT CE QUE CES DEUX CONSTATS IMPLIQUENT.

Voici quelques exemples qui ont été relevés :

Lots Pfizer

X représente le nombre d’effets indésirables et Y les numéros de lots.

Lorsque les codes de lots Pfizer sont classés par ordre alphanumérique le long de l’axe des x, le schéma suivant apparaît —

Comme vous pouvez le constater, les lots sont classés par ordre alphanumérique dans des fourchettes de toxicité spécifiques. Et ces fourchettes diminuent linéairement à mesure que l’on monte dans l’alphabet, de telle sorte que —

EN > EP EP > ER ER > EW

FA > FC FC > FD FD > FE FE > FH

On peut débattre de la question de savoir si cela est délibéré ou non ; en tout cas, cela semble délibéré — et les scientifiques ont l’habitude d’étiqueter soigneusement chaque condition expérimentale afin d’en surveiller et d’en enregistrer les effets. Il se pourrait bien que des lots de toxicité variable aient été soigneusement étiquetés et testés sur le public, produisant différentes gammes de réactions indésirables. Par exemple :

La série EN de Pfizer (turquoise)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EN en turquoise. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots avec 2000 à 3000 effets indésirables chacun — mais en dessous de ce groupe il y a un grand vide, et enfin il y a un grand nombre de lots EN très proches de l’axe des x.

Un examen approfondi révèle que 12 lots se situent dans la fourchette 2000-3000. Ensuite, il y a 678 lots dans la fourchette 1-37 — et rien entre les deux. Examinez les données ci-dessous pour la série EN. La chute soudaine de 2000 à 37 est remarquable. Ce modèle de variation de la toxicité ne semble pas aléatoire, car s’il l’était, nous nous attendrions à une gradation avec des nuances de toxicité entre le haut et le bas.

L’impression de non aléatoire est renforcée par l’observation que tous les lots de l’intervalle 2000-3000 ont les codes de lot suivants —

EN6198 EN6199

EN6200 EN6201 EN6202 EN6203 EN6204 EN6205 EN6206 EN6207 EN6208

Les codes des lots se suivent dans une série mathématique parfaite. C’est comme si ces lots supertoxiques avaient été soigneusement étiquetés, afin que leurs effets puissent être suivis et enregistrés. Nous avons ici 12 lots — chacun produisant 100 fois plus d’effets indésirables que les autres lots — aucun d’entre eux n’a été rappelé par Pfizer — Pfizer a permis que ces lots soient déployés l’un après l’autre.

Le même phénomène se produit avec les séries EO, ER et EW.

La série EW de Pfizer (vert)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EW en vert. Vous verrez qu’il y a un groupe de 30 lots produisant entre 2500 et 1200 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il n’y a que 3 lots produisant 100 à 300 déclarations d’effets indésirables, puis tous les lots restants produisent moins de 22 déclarations d’effets indésirables.

Il semble évident que 30 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 30 lots sont les suivants : —

EW0150 EW0151 EW0153 EW0158

EW0161 EW0162 EW0164 EW0165 EW0167 EW0168 EW0169

EW0170 EW0171 EW0172 EW0173 EW0175 EW0176 EW0177 EW0178 EW0179

EW0180 EW0181 EW0182 EW0183 EW0185 EW0186 EW0187

EW0191 EW0196 EW0198

EW0202 EW0217

Les codes des lots super toxiques font tous partie d’une série mathématique continue.

La éérie ER de Pfizer (jaune)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série ER en jaune. Vous verrez qu’il y a un groupe de 11 lots produisant entre 1570 et 3337 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, tous les lots restants produisent 22 déclarations d’effets indésirables ou moins.

Il semble évident que 11 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 11 lots sont —

ER8727 ER8729 ER8730 ER8731 ER8732 ER8733 ER8734 ER8735 ER8736 ER8737

ER2613

Tous les codes de ces lots super-toxiques font partie d’une série mathématique continue.

Série EL de Pfizer (bleu marine)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EL en bleu marine. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots produisant entre 1169 et 2675 rapports d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il y a une chute rapide et soudaine des effets indésirables.

Les lots les plus toxiques de la série EL ont souvent des codes de lot qui font partie d’une série mathématique.

EL0140 EL0142

EL1283 EL1284

EL3246 EL3247 EL3248 EL3249

EL3302

EL8982

EL9261. EL9262. EL9263. EL926 EL9265. EL9266. EL9267. EL9269

Les codes de ces lots super-toxiques font partie de séries mathématiques continues.

5. Coup de bol ou placébo ?

Qu’est-ce qui peut expliquer cette variation du genre « tout ou rien » ?

Selon Craig Paardekooper, la raison des lots super toxiques pourrait correspondre à une expérience à grande échelle entre des lots « biologiquement actifs » et des placébos.

En s’intéressant à la liste de dates d’expiration des lots publiée sur le site du CDC. — CDC Expiry List and Biologically Active Lots (Liste d’expiration du CDC et lots biologiquement actifs) le chercheur et a fait une observation assez surprenante, à savoir que l’on n’y retrouve pas tous les numéros de lots apparaissant dans la banque de données VAERS, mais principalement les lots toxiques ou qui seraient « biologiquement actifs ».

Voici sa démarche :

« Le CDC publie une liste de tous les lots fabriqués avec les dates de péremption. Une liste complète est publiée en annexe. J’ai émis l’hypothèse que la liste de péremption était une liste des lots biologiquement actifs parce que seuls les lots biologiquement actifs sont dangereux une fois périmés. Le sérum physiologique se périme, mais sur une période beaucoup plus longue, et ne présente qu’un risque minime (certains affirment même que le sérum physiologique ne se périme pas). Seuls les lots biologiquement actifs auraient été fabriqués par Pfizer, Moderna, etc.. Les services d’une société pharmaceutique très coûteuse n’auraient pas été nécessaires pour fabriquer du sérum physiologique inerte.

Sur la base de ces deux raisons, j’ai supposé que la liste de péremption était une liste définitive des lots biologiquement actifs.

Mon objectif dans cette étude était donc d’examiner la base de données VAERS afin d’identifier les lots ayant les effets biologiques les plus importants et de voir si ces lots correspondaient à ceux figurant sur la liste de péremption du CDC.

Mon hypothèse était qu’il y aurait une forte correspondance.

La méthode

J’ai utilisé la base de données VAERS pour les États-Unis uniquement et pour l’année 2021. J’ai compté le nombre de rapports d’effets indésirables, de décès, d’invalidités et de maladies mettant la vie en danger associés à chaque code de lot Pfizer, puis j’ai classé les lots en fonction du nombre le plus élevé d’effets indésirables.

Résultats

Voici un gros plan de la série EK de Pfizer dans les données VAERS.

Les lots biologiquement actifs (avec le plus d’effets secondaires graves) semblent être EK9231, EK5730 et EK4176. La liste d’expiration de lots du CDC ne mentionne que 4 lots EK. 3 correspondent, l’on n’a pas de trace du 4e.

EK4176

EK4244

EK5730

EK9231

Voici la série EL

Sur la liste d’expiration des lots du CDC les lots EL sont :

EL0140 EL0142 EL1283 EL1284 EL3246 EL3247 EL3248 EL3249 EL3302 EL8982 EL9261 EL9262 EL9263 EL9264

EL9265 EL9266 EL9267 EL9269

La correspondance est parfaite !

Toujours selon Paardekooper :

“Il se peut que les lots présentant peu d’effets indésirables constituent le groupe placebo/de contrôle. Il a été suggéré qu’il s’agissait simplement d’une erreur d’orthographe des lots hautement toxiques et qu’ils n’existaient donc pas vraiment. En d’autres termes, certaines personnes ont suggéré que tous les lots sont également toxiques et qu’il n’y a pas de placebos. Ils en concluent donc que les lots présentant un faible nombre d’effets indésirables ne sont que des erreurs d’orthographe des lots toxiques.

Afin d’examiner cette question, j’ai dressé une liste de tous les codes de lots présentant un faible nombre d’effets indésirables pour la série EL. Le format correct pour ces lots devrait être EL suivi de 4 chiffres. J’ai éliminé tous les codes de lots qui n’avaient pas ce format. Il me restait 360 codes de lots avec le format correct, mais simplement avec des effets indésirables faibles. Ces codes de lot se répartissaient également en séries mathématiques distinctes, et ces séries étaient très différentes des séries toxiques.

L’analyse des séries à faible toxicité révélera sans aucun doute une certaine systématisation des nombres et des gammes de ces lots. Les placebos, tout comme les lots biologiquement actifs, ne seraient pas distribués de manière aléatoire ou non planifiée.

Quels sont les risques de dommages ? 5 % des lots sont toxiques

La série EL comptait 18 lots hautement toxiques et 360 lots faiblement toxiques. Le rapport entre les mauvais lots et les bons lots est donc de 18 : 360, soit 1 : 20. Le maintien des mauvais lots à un niveau de 5 % les maintiendra juste sous le radar de la perception.

Si 1 lot sur 20 est toxique, et si chaque personne reçoit deux injections de vaccin par an, alors —

au bout d’un an, le risque de recevoir un lot toxique est de 1 sur 10

après 2 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 5

après 3 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 3.

Bien entendu, cela suppose que le pourcentage de lots super-toxiques reste constant à 5 %.

D’autres questions se posent évidemment : notamment quelle est la taille des différents lots et où ont-ils été expédiés ? À suivre dans un prochain article sur ce thème !

Et pour finir…

Ce qui m’inspire aujourd’hui

Prendre de la hauteur !

Fermer les yeux et se donner un moment de répit avant de continuer d’affronter ce monde en pleine métamorphose. Albatross m’est tout à coup revenu en mémoire, ce thème lancinant que l’on écoutait à l’âge ado pour s’évader dans l’imaginaire, d’autres lieux, une autre époque. Ce n’est pas très sophistiqué, mais ça fonctionne (en tous cas chez moi !) Ça fait du bien de se replonger dans une époque où nous avions au moins l’impression d’être libres 🙂




Covid – Le journal allemand SPIEGEL admet avoir échoué dans son rôle de quatrième pouvoir

[Source : le1.ma]

Le journal allemand SPIEGEL admet soudainement avoir échoué dans son rôle de quatrième pouvoir. Alexander Neubacher, responsable de la rubrique Opinion & Débat du célèbre média allemand a signé ce samedi une tribune sous le titre : « Restrictions durant la pandémie de Corona : Nous, les ratés du Corona » où il revient sur la tentation autoritaire qui a gagné son pays durant la pandémie.


Par Alexander Neubacher

Il y a un peu plus de deux ans, alors que nous étions coincés entre deux vagues de Corona, j’écrivais ici dans une chronique que de nombreuses personnes aspiraient à des mesures de plus en plus sévères pour enfin endiguer cette fichue pandémie. Moi y compris. J’écrivais : «La tentation autoritaire est grande. Je découvre le dictateur en moi».

De nombreux Allemands considéraient alors la Chine comme un modèle d’efficacité dans la lutte contre la coronavirus. Des dizaines de milliers de personnes soutenaient des initiatives comme #ZeroCovid, réclamaient une intervention de la politique allemande, un «shutdown» radical, un ralentissement de l’économie et de la vie publique.

En effet, de nombreuses libertés ont été fortement restreintes. Il y a eu, vous vous en souvenez, des interdictions de sortie, des interdictions de contact, des interdictions de voyager. En Bavière : restrictions de sortie de jour et de nuit. A Hambourg : obligation de porter un masque à l’extérieur sur les parcours de jogging. A Berlin, il était interdit de s’asseoir sur un banc d’un jardin public.

Entre-temps, nous savons que certaines mesures Corona n’étaient pas seulement discutables ou absurdes, mais aussi illégales. La Cour constitutionnelle du Brandebourg (un ancien Land est-allemand (l’ex-RDA), situé dans le nord-est de l’Allemagne) vient de décider que la loi communale dite d’urgence Corona était contraire à la Constitution du Land, car elle annulait la séparation des pouvoirs. La plainte avait été déposée par le groupe parlementaire de l’AfD, qui peut désormais se poser en héros constitutionnel.

Avec le recul, il est effrayant de voir avec quelle facilité les libertés ont été suspendues.

Le couvre-feu d’une journée entière en Bavière n’aurait pas dû non plus être instauré de cette manière : «disproportionné», a entre-temps jugé le tribunal administratif fédéral. D’autres litiges concernant les mesures de la Corona sont encore en cours ; les rouages de la justice tournent lentement.

Il est toujours facile de dire après coup ce qui aurait été mieux. Mais ce qui me bouleverse après coup, c’est la facilité avec laquelle les libertés ont été suspendues dans notre société soi-disant si libérale. Le vernis de la civilisation est manifestement plus fin que je ne le pensais à cet égard. La liberté n’est-elle pour les Allemands qu’un concept de beau temps, comme le demandait il y a quelques jours Frank Schorkopf, spécialiste du droit public à Göttingen, sur le site SPIEGEL.de ?

Le contrôle et les contrepoids font partie de la démocratie ; c’est particulièrement important en temps de crise. Lors de la pandémie, cela n’a pas bien fonctionné. A Berlin, la grande coalition gouvernait avec une majorité opulente, dans les Länder, la prudence d’équipe a longtemps dominé, de Markus Söder (CSU) en Bavière à Peter Tschentscher (SPD) à Hambourg.

Trop peu de personnes se sont opposées lorsque la politique a ordonné pour la première fois, il y a trois ans, des fermetures d’écoles et les a ensuite prolongées pendant des mois : pas de Cour constitutionnelle fédérale, pas d’Académie nationale des sciences, pas de Conseil allemand d’éthique, pas de Christian Drosten. Ce qui, comme je le dirais aujourd’hui, était une énorme négligence.

Et nous, les médias, y compris ceux du SPIEGEL, qui aimons nous considérer comme le quatrième pouvoir ? Je crains que le dictateur qui sommeille en nous n’ait été assez fort.




Motion de censure contre Macron ?

https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/retraites-c-est-inadmissible-d-utiliser-un-49-3-et-de-mettre-le-feu-au-pays-estime-charles-de-courson_5716568.html




Covid : une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars

[Source : RL]

Par Christian Navis

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer, claironne :

« 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au-delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnations symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1 % de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer elle-même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/




Les apprentis sorciers stoppés dans leur folie

Par Nicole Delépine

« Les apprentis sorciers stoppés dans leur folie »1

Merci à notre collègue et amie, Alexandra Henrion Caude pour « les apprentis sorciers » et plus encore son long combat depuis trois années contre la plandémie covid19, faisant suite à ses prises de position courageuses et nécessaires sur les dérives de la pseudo bioéthique (et très isolées) qui permet maintenant d’« avorter » un bébé viable si la mère présente des difficultés psychiques.2

Petit retour en arrière, je ne connaissais pas le Pr Henrion-Caude en début 2020, mais l’ai découverte avec bonheur en cherchant comment dénoncer certains éléments de la loi dite de bioéthique3 qui devait se discuter à l’Assemblée nationale fin juillet 2020 (et votée définitivement en août 2021, évidemment en période de congés et dans un étrange silence médiatique et médical… Car évidemment quoi de moins important que de décider d’autoriser l’avortement ou appelé tel jusqu’à neuf mois (intitulé infanticide jusqu’au nouveau Code pénal qui a supprimé cette incrimination spécifique remplacée par le meurtre sur un mineur de moins de 15 ans)4 ou la fabrication de chimères homme — chèvre ou homme-lapin, etc..

Quelle joie ce fut pour moi de rencontrer par ses articles et vidéos une spécialiste du domaine qui osait dire les choses, combattre les dérives, expliciter, permettre d’en débattre enfin………

Elle avait tiré l’alarme en 2019

Alors que la France s’apprêtait à généraliser la Procréation Médicalement Assistée, le docteur Alexandra Henrion-Caude, généticienne et directeur de recherche à l’INSERM, avait tiré la sonnette d’alarme. En raison d’un recul scientifique très insuffisant sur les pratiques concernées banalisées et leurs contrôles totalement insuffisants, l’épigénéticienne livrait ses inquiétudes sur les enfants à naître et la société en devenir.

Des enfants issus de FIV fragilisés

« Peu de scientifiques osent le dire : certaines pathologies se retrouvent surreprésentées chez les enfants nés d’une PMA. Fertilité plus faible chez les petits garçons, syndromes récurrents, les conséquences de cette pratique promue par les politiques semblent loin d’être maîtrisées. Des parents sous informés face à des risques pour la santé des enfants à naître, la plupart des médecins adoptent le déni. Rares sont les professionnels de santé qui disent la vérité aux parents sur les risques de complications de santé que pourront porter leurs futurs enfants. De même, les pratiques de stimulation hormonale revêtent un caractère invasif important pour les femmes sans qu’elles en soient informées au préalable… »5

Ce fut le premier vote de la loi dite de bioéthique fin juillet 2020 adoptée en août 2021 dont l’article phare était la PMA pour toutes, mais qui contenait de nombreux autres points inquiétants, comme l’avortement de fait jusqu’à neuf mois…

Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance Vita dénonçait une « complète rupture éthique. La majorité présidentielle a fait prévaloir l’intérêt d’adultes au détriment des droits de l’enfant, et s’est obstinée à intensifier la manipulation du vivant, sans aucun principe de précaution ».

Bien avant le scénario Covid, le DR Henrion-Caude se battait pour l’Humanité contre la perversion de la société et les dérives de la science.

LOIS DE BIOÉTHIQUE : UNE DÉRIVE EUGÉNIQUE ET TRANSHUMANISTE AVEC ALEXANDRA HENRION CAUDE du 30 07 20206

Après moins d’une semaine de débats à l’Assemblée Nationale, le texte de révision des lois de bioéthique avait été voté dans la nuit du 31 juillet au 1er août. Entretien réalisé par Delphine Allaire. « Le texte a été voté au cœur de la nuit par 60 voix contre 37 et 4 abstentions, sous des applaudissements de la majorité. » Il est insensé que des modifications aussi importantes de nos lois et donc de notre société puissent être votées par si peu de députés sans un quota de présences exigées (comme dans toute assemblée de copropriétaires ou autres !).

Écoutons A H-C

« Une loi de bioéthique se définit comme ayant pour but d’encadrer le développement du progrès pour protéger les droits fondamentaux de la personne ».

Dans le cas présent, il n’y a ni encadrement d’un développement du progrès, ni protection des droits fondamentaux de la personne, quel qu’en soit l’âge ou le stade de développement. C’est une loi de rupture, de transgression par rapport à l’humanité, de transgression sociétale, qui compromet durablement la santé des individus.

Déjà, car elle autorise l’État à devenir géniteur. L’État se permet d’avoir un accès aux ovocytes, en proposant aux femmes de les conserver. Cela lui permet de faire des expériences sur l’embryon jusqu’à 14 jours.

Deuxièmement, le droit à l’enfant.

Le Sénat en France avait dit qu’il fallait inscrire en préalable de cette loi la mention que nul n’avait le droit à l’enfant. Les parlementaires à l’Assemblée ont restauré la notion de droit d’une personne sur une autre, en supprimant la phrase : « Nul n’a le droit à l’enfant ».

Enfin, ce projet de loi supprime tous les liens de parenté biologique pour les remplacer par des liens d’intention.

QUELS SONT LES DANGERS DE CETTE LOI RELATIFS À LA MANIPULATION DU VIVANT ?

Elle autorise les modifications de l’espèce humaine, la création d’embryons génétiquement modifiés, mais aussi la création de nouvelles espèces, générées par le mélange homme-animal, les fameuses chimères. Elle institue enfin l’eugénisme, selon des critères numérologiques du nombre de chromosomes.

Ensuite, c’est une loi qui n’a aucune indication médicale, et se revendique comme telle. Elle n’informe pas des risques encourus sur la santé des enfants à naître. Des risques notables d’infertilité des générations futures, qui n’auront d’autres choix que de recourir aussi à la procréation médicalement assistée. L’autre aspect, c’est l’augmentation des maladies épigénétiques, jusqu’à quatre fois chez les enfants issus de PMA. On n’en informe jamais les parents.

Comment expliquez-vous cette volonté politique paradoxale de révolutionner ainsi la biologie ?

« Il y a un mensonge, car sur 34 points de cette loi, 30 ne concernent pas la PMA pour toutes, mais relèvent des transgressions que je vous ai énumérées : conservation des ovocytes, chimères homme-animal, modifications génétiques. La raison avancée pour laquelle cette loi doit être discutée là, en plein cœur de l’été alors que l’Hémicycle est vide, serait qu’elle représente une urgence sanitaire. Mais qui dit urgence sanitaire, dit indication médicale. Or, elle n’en a pas.

Cette loi revendique être un accompagnement des changements sociétaux. Ça n’est pas exact, car des homosexuelles femmes qui ont des enfants, cela a déjà eu lieu depuis des années, avec un contact physiologique, par insémination naturelle ou artificielle. C’est donc un passage en force, sans respect des débats, pour une loi qui n’est un progrès pour personne. » 7

ET LES APPRENTIS SORCIERS ONT CONTINUÉ LE MASSACRE DE LA SCIENCE, DE LA SOCIÉTÉ ET DE L’HUMAIN

Notre éminente collègue, chercheur en génétique (singulièrement sur l’ARNm), a réussi le prodige d’écrire un livre 8court, lisible par tous, sans termes sophistiqués qui auraient fait « savants » comme tant d’autres livres, et qui donc permet à chacun en quelques heures de lecture de décrypter et confirmer le scénario de la plandémie du Covid199. Nous ne saurions donc que vous recommandez de le lire très vite afin d’aider les citoyens encore trompés par la propagande du gouvernement et des médias officiels sur ce sujet à enfin comprendre ce qui s’est passé.

Les plus méfiants sauront lire les informations médiatiques anglaises qui détaillent via le fil de 100 000 SMS échangés entre les puissants du Royaume-Uni, les moqueries des membres de l’élite sur les décisions imposées au vulgus pecum dont ils connaissaient les mensonges..10

Pour les plus curieux, le DR Henrion — Caude fournit en fin d’ouvrage toute la bibliographie scientifique internationale sur lesquels elle fonde ses démonstrations. Quel dommage que les journalistes, mais aussi enseignants, chercheurs de toutes spécialités et dramatiquement médecins, aient refusé de l’écouter, comme tant d’autres scientifiques tels les PR Raoult et Perronne, et laissé abîmer tant de vies par les mesures coercitives, confinement, masques, distanciation inutiles, et perverses et pire encore par les injections géniques expérimentales scandaleusement appelées vaccins alors qu’elles ne contiennent aucun antigène extrait du virus. Chaque jour apporte de nouvelles constatations terribles sur la mortalité globale en particulier des plus jeunes, liée directement aux effets secondaires des pseudovax11 (myocardites…), mais aussi aux pertes de défense immunitaire, dont les conséquences, un peu plus lentes à apparaître, s’étaleront probablement sur de longues années (turbocancers12 13, maladies auto-immunes et neurologiques, etc..).14

Ce livre de 2023 est l’accomplissement d’un combat de chaque jour depuis trois ans contre la coronafolie et la suite de ses engagements pour la bioéthique. Nous ne saurions mieux le présenter qu’Yves Lusson : Les « apprentis sorciers » stoppés dans leur folie. 15

« Âmes sensibles, surtout ne pas s’abstenir : nous aurons besoin de tous, à commencer par tous ceux qui ne supportent plus de devoir se soumettre à une société atteinte de démence.

Écrit pour donner à la population toutes les clés d’une catastrophe planétaire — le scandale sanitaire du “vaccin” à ARNm contre le Covid, “jusqu’à 98 fois plus dangereux que le Covid lui-même” (page 21) —, ce livre m’a plongé dans un abîme de sentiments vertigineux, allant de la profonde tristesse à l’éblouissement, en passant par la colère, voire même la rage.

Les apprentis sorciers est d’abord le fruit d’un travail colossal, méthodique, scrupuleux et génial, produit par une scientifique de très haut niveau, courageuse et rigoureuse, qui n’a pas lésiné sur ses efforts, aussi bien pour mettre l’ARNm à la portée du quidam — le peuple, concerné jusque dans sa chair par cette “vaccination” très spéciale à tous points de vue — que pour renvoyer l’ensemble de ses affirmations à une multitude d’études toutes plus sérieuses les unes que les autres réalisées par des scientifiques parmi les plus reconnus et fiables au monde. »16

Ce livre est : « l’œuvre d’un être profondément humain et digne, qui a su rester debout face à un ouragan mondial inédit de non-sens et d’abus, ébranlant tant de nos institutions qui semblaient à beaucoup d’entre nous inébranlables : l’OMS, les gouvernements, les autorités médicales, la recherche scientifique, les médias, etc.

Extrêmement solide dans la lucidité de son récit, dans la clarté de ses explications, dans le sérieux de ses références, ce livre nous pose plus de questions qu’il n’y répond sur comment nous en sommes arrivés là. Quelle démence collective nous a plongés dans autant de mensonges, d’imprudences, d’inconsciences, d’irrationalités, d’irresponsabilités, politiques, médicales, médiatiques, mais aussi de tout un chacun ? 

De nombreux spécialistes en sciences humaines auront à cœur se pencher sur cette “perte de raison” planétaire, et sur les phénomènes individuels et collectifs qui y auront conduits. En attendant, des centaines de millions de personnes auront été trompées, manipulées, forcées, maltraitées, par des élites défaillantes, corrompues ou perverses dont forcément de nombreux procès détermineront les degrés de responsabilité, voire de culpabilité. 

Mais c’est aussi la défaillance d’une société tout entière qu’il faudra voir, entendre, reconnaître, examiner, comprendre, analyser. », car si nos dirigeants nous ont maltraités, les populations ont trop facilement accepté les atteintes à leurs libertés.17





L’Élection de Macron est-elle un chèque en blanc pour passer sa réforme ?

[Source : maximetandonnet.wordpress.com]

Réforme des retraites : et si la classe politique avait tout faux ?

Par Maxime Tandonnet

« Le résultat des élections de 2022 doit impérativement prévaloir sur les sondages et sur “la rue” » : cette affirmation domine le discours officiel, politique et médiatique, pour justifier la volonté du pouvoir actuel et de ses alliés de mener à son terme, quoi qu’il arrive, l’emblématique réforme des retraites. Ainsi, le report à 64 ans du départ de l’âge à la retraite, dérivé de la promesse de campagne de M. Macron de porter cet âge à 65 ans, serait comme gravé dans le marbre. Un tel raisonnement se heurte à l’esprit initial de la Ve République. Dans l’esprit de son fondateur, Charles de Gaulle, l’élection ne valait pas une sorte de chèque en blanc pour les dirigeants politiques, dont la légitimité pour réformer le pays reposait, au-delà du scrutin initial, sur la confiance populaire préservée. D’où les referendums successifs où le Général engageait sa confiance et la poursuite de son mandat. Présider ou gouverner la France contre son gré, sans la confiance et le soutien populaire, était inconcevable à ses yeux.

Les faits lui donnent raison. C’est une erreur profonde de prétendre qu’en élisant le président Macron en 2022, une majorité des Français (globalement) lui a accordé un feu vert pour mettre en œuvre les 65 ou 64 ans. La présidentielle de 2022 s’est déroulée sans véritable campagne, sans le moindre débat de fond, entre les terreurs covidesques et le déclenchement de la guerre d’Ukraine. Le choix de nombreux électeurs de l’actuel président était dominé par la crainte de voir M. Mélenchon ou Mme Le Pen parvenir à l’Élysée. Certes à un moment de la campagne, pour couper l’herbe sous le pied de la candidate de droite, le candidat-président a annoncé un report de l’âge de la retraite à 65 ans (tandis que quelques mois auparavant, il fustigeait cette mesure comme hypocrite). Mais il est abusif d’affirmer que les électeurs (dans leur ensemble) avaient cette mesure à l’esprit quand ils ont voté dans un contexte global extrêmement anxiogène. Quant au message principal, des législatives qui ont suivi, avec 46 % de participation, le refus d’accorder une majorité absolue au chef de l’État manifestait bien au contraire une volonté populaire de ne pas accorder au président un blanc-seing, y compris sur les 65 ans.

La séquence politique actuelle est dramatique pour la démocratie française. La mesure phare des 64 ans est immensément impopulaire et rejetée par les trois quarts des Français et les neuf dixièmes des actifs comme le prouvent toutes les enquêtes d’opinion, confirmant une réalité que chacun peut percevoir dans sa vie quotidienne. Or, sous de mauvais prétextes, la classe dirigeante donne le sentiment de n’en tenir aucun compte. Elle s’enfonce dans une attitude qui manifeste une sorte de fuite dans le mépris et la déconnexion. Pire : dans ce bras de fer entre les élites dirigeantes et le peuple, c’est le peuple qui a raison sur le fond. Les 64 ans ne servent strictement à rien compte tenu de la règle des 43 annuités. Leur unique effet sera d’obliger à travailler plus de 43 ans quelques catégories de travailleurs ayant commencé avant 21 ans donc ayant peu fait d’études (et échappant aux dérogations prévues pour les carrières longues). Le reproche d’inutilité et d’injustice envers cette mesure totémique est avéré. L’image d’une classe politique obtuse, refusant d’écouter le pays, à l’abri de ses palais et engoncée dans l’indifférence pendant que la France populaire s’enfonce dans une nouvelle galère — le blocage de l’économie et des transports — est dévastatrice.

Selon le discours dominant, le président « ne pourrait plus gouverner s’il renonçait à cette mesure ». Pourtant, qu’il cède ou non, la confiance, déjà fragile, sera définitivement rompue avec le pays, obérant gravement la suite de son mandat. Et quasiment toute la classe politique sortira perdante de cette épreuve de force entre elle-même et la Nation. Les leaders officiels de la droite LR se sont gravement compromis avec la majorité présidentielle dans une logique d’arrogance au prétexte de coller à un programme qui, à quatre reprises (présidentielles et législatives), a contribué à leur défaite. La Nupes a fait naufrage dans l’outrance. Cette crise sociale a aussi montré les limites de la « dédiabolisation » du RN, avec lequel les syndicats rejettent tout contact, un parti qui ne parviendra jamais à incarner l’apaisement et une réconciliation dont la France a tellement besoin. Dans cette débâcle qui signe peut-être le paroxysme de la décomposition politique et semble ouvrir sur un abîme, seuls les « frondeurs » de la droite LR pourraient éventuellement tirer leur épingle du jeu. Ils sont une vingtaine de la jeune génération LR. Ils ont compris (contrairement aux leaders du parti) qu’au-delà de l’emblématique report à 64 ans (encore une fois inutile et injuste) se jouait un bras de fer entre les « élites dirigeantes » incarnées par la présidence Macron et la France populaire, le monde du travail. À condition cependant de ne pas faire naufrage à leur tour dans la mégalomanie, la prétention solitaire et le culte de la personnalité.