Note du Dr Mike Yeadon sur les mesures médicales d’urgence

Le Dr Mike Yeadon commente le « Mémo sur les contre-mesures de l’EUA à envoyer à votre médecin, votre pharmacien, votre employeur, votre école, votre shérif, votre commissaire de comté et aux législateurs de l’État » de Sasha Latypova

[Source : lionessofjudah.substack.com]

Par Dr Mike Yeadon

Je pense que ce mémo est aussi bref et précis qu’il est possible de l’être en ce qui concerne l’écheveau complexe de la criminalité-rendue-légale-sur-papier. Puis-je vous demander de le lire deux fois ?

Le consentement éclairé est tourné en dérision par le mélange de définitions dénuées de sens. On pourrait littéralement placer n’importe quoi dans les flacons et cela resterait conforme aux réglementations absurdes dans le cadre d’une « urgence de santé publique », récemment prolongée jusqu’en 2028. Bien entendu, cela ne s’arrêtera jamais.

Nous ne bénéficions pas ici en Europe (UE ou pas) d’un chercheur juridique ayant la perspective de Katherine Watt(([1] Voir OMS et Nouvel Ordre Mondial, NdT)), associé à un ancien chef d’entreprise, Sasha Latypova, aguerri aux réglementations pharmaceutiques et fédérales.

On m’a dit que, d’après ce que d’autres ont pu constater dans la législation applicable aux « urgences de santé publique », des modifications analogues semblent avoir été mises en vigueur ici aussi. Je pense qu’il serait sage de supposer que c’est le cas, car ce n’est qu’à travers une lentille aussi déformée de réglementations non applicables que le comportement de nos gouvernements, de l’industrie pharmaceutique et de leurs assistants criminels au sein des anciennes agences du médicament prend alors un sens diabolique.

Je vous recommande vivement, si vous ne faites rien d’autre, de trouver des moyens de partager cette information sur le monde parallèle et obscur des soi-disant vaccins, non réglementés, à ARNm et des « contre-mesures » connexes introduites sous le couvert d’une « urgence de santé publique » qui, en réalité, n’existe pas et n’a jamais existé.

Il est vital que des concitoyens innocents de partout aient au moins la chance de lire ce qui les laissera sans doute incrédules. Les faits sont néanmoins exacts.

Je soutiens cette vérité avec toute l’influence que ma réputation peut avoir. La conséquence évidente est qu’il ne faut JAMAIS PERMETTRE QUE CES MATÉRIAUX SOIENT INTRODUITS DANS VOTRE CORPS.

En outre, je ne vois aucune probabilité que la réglementation normale des médicaments reprenne un jour. Cela a des conséquences extrêmement graves pour la sécurité des produits, même ceux qui ont déjà fait l’objet d’une recherche et d’un développement adéquats et d’un examen réglementaire.

En bref, devriez-vous avoir la confiance que vous auriez pu avoir auparavant dans un médicament nécessaire que votre médecin vous avait prescrit ? Je dirais que non. Je ne suis certainement pas convaincu que les inspections se poursuivent comme il se devrait.

J’ai entendu dire que la MHRA britannique manquait en permanence de personnel et je ne vois pas comment des personnes diligentes et professionnellement responsables pourraient être recrutées à l’heure actuelle, car leur travail consisterait en une pantomime de non-respect des règles.

Pour conclure, j’aimerais toujours rappeler aux lecteurs que ces tyrans lunatiques tentent quelque chose de tellement contraire au discours humain normal que je pense qu’un tel système de contrôle devrait être considéré comme « métastable ».

Je veux dire par là qu’il peut sembler très puissant et englobant, mais qu’il ne peut fonctionner qu’avec l’apport constant d’énormes quantités d’argent, la force coercitive et le fait de plier les gens pour qu’ils agissent contre leur petite voix intérieure, c’est-à-dire leur conscience.

Dès qu’il y aura une discontinuité dans l’apport d’énergie nécessaire au fonctionnement de cet horrible système de contrôle, je pense qu’il y a de fortes chances qu’il échoue, et ce de manière potentiellement catastrophique.

Prenez le temps de réfléchir aux meilleurs moyens de résister à la prochaine vague de propagande fondée sur la peur et investissez pratiquement tout ce que vous jugez utile pour acquérir un peu d’indépendance par rapport au contrôle central, ce qui sera utile en cas de crise, réelle ou fictive, qui, à mon avis, sera utilisée pour nous imposer des choses auxquelles vous ne voulez vraiment pas vous conformer.

Plus rarement, j’invite les gens à passer du temps à contempler tranquillement ce qui est vraiment important pour eux et leur famille et, si vous le jugez approprié, à prier.

Avec mes meilleurs vœux,

Mike

Mémo sur les contre-mesures de l’EUA à envoyer à votre médecin, votre pharmacien, votre employeur, votre école, votre shérif, votre commissaire de comté et les législateurs de l’État.

Par Sasha Latypova

Objet : Clarifier le statut juridique des contre-mesures médicales (CMM) de l’EUA

  1. Conformément à l’article 564 de la loi FD&C, telle que modifiée par la loi PAHPRA de 2013, et à la clause de suprématie de la Constitution des États-Unis (article VI, clause 2), les CMM de l’EUA ont potentiellement été exemptées des tests utilisant les bonnes pratiques de laboratoire, les bonnes pratiques cliniques, y compris le consentement éclairé, et de l’évaluation visant à déterminer si des stratégies d’évaluation et d’atténuation des risques (REMS) sont nécessaires.
  2. Les règles de sécurité régissant la fabrication, l’expédition, la détention, la distribution, l’administration et l’étiquetage ne s’appliquent pas nécessairement aux CMM, mais sont soumises à l’avis des responsables de la FDA et du HHS, sans examen approprié par le Congrès ou la justice, pendant la durée de l’état d’urgence déclaré par le HHS. De même, la déclaration d’urgence n’est pas assortie de critères d’arrêt correctement définis, ni d’un contrôle du Congrès ou d’un contrôle judiciaire.
  3. En vertu de la loi fédérale, la FDA doit approuver tout nouveau médicament avant qu’un fabricant ne l’introduise dans le commerce inter-États(([2] See, e.g., 21 U.S.C. § 355 (drugs); 42 U.S.C. § 262 (biologics).)), ce qui suppose que le fabricant dépose une demande d’autorisation de mise sur le marché (Investigational New Drug) et obtienne une dérogation de la FDA pour son utilisation dans le cadre d’une recherche clinique expérimentale réglementée (essais). Ce processus réglementé normal est donc appelé voie réglementaire « expérimentale ». Il exige qu’un fabricant mène une recherche clinique réglementée (essais) dans le cadre de l’IND, en obtenant l’approbation du comité d’examen institutionnel (IRB) pour les protocoles d’essais cliniques, une surveillance indépendante de la sécurité et un consentement éclairé correctement exécuté de la part des volontaires des essais cliniques. En outre, la fabrication des médicaments et des produits biologiques soumis au statut d’expérimentation est réglementée par les bonnes pratiques de fabrication (BPF).(([3] CFR Title 21, including sections in parts 1-99, 200-299, 300-499, 600-799, and 800-1299.))
  4. Les contre-mesures médicales EUA sont radicalement différentes. Elles sont définies par la loi comme des médicaments, des produits biologiques et des dispositifs non expérimentaux déployés en vertu du pouvoir d’autorisation de la FDA, connu sous le nom de « procédure d’autorisation d’utilisation en cas d’urgence » (EUA).(([4] Section 564 FD&C Act. Note that the EUA pathway should not be confused with the “Expanded Access Use” regulatory pathway which is often colloquially referred to as an “emergency use”. The expanded access is an investigational pathway and is regulated in the same manner as all normal drug approvals. (21 CFR 312.310-320) ))
  5. La procédure EUA n’est utilisée que lorsque le secrétaire américain à la santé et aux services sociaux déclare une situation d’urgence.(([5] 21 U.S.C. § 360bbb-3(a)(1), (b).))
  6. Selon la loi, la procédure d’autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas une procédure d’investigation(([6] 21 USC 360bbb-3(k): If a product is the subject of an authorization under this section, the use of such product within the scope of the authorization shall not be considered to constitute a clinical investigation for purposes of section 355(i), 360b(j), or 360j(g) of this title or any other provision of this chapter or section 351 of the Public Health Service Act [42 U.S.C. 262].)) : bien que les fabricants puissent choisir et que la FDA puisse demander d’entreprendre certaines des activités typiquement attendues d’un essai clinique expérimental et d’un processus de validation de la fabrication, aucune des normes réglementaires typiques n’est applicable de manière contraignante.
  7. La FDA a le pouvoir discrétionnaire de délivrer une autorisation de mise sur le marché européenne si le demandeur démontre que son produit « peut être efficace » dans le traitement de la maladie ou de l’affection concernée(([7] 21 U.S.C. § 360bbb-3(c)(2)(A) )). Il est important de souligner qu’aucun autre critère d’approbation n’est applicable de manière contraignante.
  8. La FDA approuvera les produits de l’EUA sur la base d’informations incomplètes tant que le demandeur démontre que le « bénéfice connu et potentiel du produit » l’emporte simplement sur les risques connus et potentiels(([8] 21 U.S.C. § 360bbb3(c)(2)(B) )) et considère qu’il est peu probable que des « données complètes sur l’efficacité » soient disponibles avant l’octroi de l’EUA. En revanche, pour un médicament expérimental (soumis à la procédure d’approbation réglementaire normale), la FDA « doit » refuser l’approbation si le demandeur « ne démontre pas que ce médicament est sûr ».(([9] 21 U.S.C. § 355(d)(2) ; See also 42 U.S.C. § 262(a)(2)(RB) (biologic approved only if it actually “is … safe”).))
  9. Par conséquent, le statut d’EUA d’une CMM empêche la collecte de données d’essais cliniques expérimentaux (soumis à l’IRB et au consentement éclairé) et donc l’acquisition de connaissances scientifiques fiables et valables sur les risques et les avantages associés à la contre-mesure de l’AUE.
  10. Le processus de l’EUA ne permet pas d’obtenir un véritable consentement éclairé de la part des destinataires du produit : alors que le Congrès a demandé à la FDA d’informer directement les professionnels de la santé et les destinataires du produit de tous les « avantages et risques significatifs connus et potentiels » (([10] 21 U.S.C. § 360bbb-3(e)(1)(A)(II) )), des essais cliniques formels réglementés ne sont ni nécessaires ni possibles pour un produit non expérimental de l’EUA. Il n’existe donc pas d’informations fiables et scientifiquement valables sur les risques et les bénéfices d’une AMUE, en particulier pour les technologies extrêmement nouvelles telles que les injections d’ARNm.
  11. En outre, il n’existe aucune norme de contrôle de la qualité de la fabrication, aucune inspection des procédures de fabrication, aucun test de libération des lots et aucune interdiction de grande variabilité entre les lots, aucune interdiction de falsification et aucune obligation de conformité aux bonnes pratiques de fabrication actuelles (BPF). Les produits de l’EUA, bien que non réglementés et non normalisés, « ne doivent pas être considérés comme falsifiés ou mal étiquetés ».(([11] 21 USC 360bbb-3a(c).))

En résumé, le processus par lequel les produits EUA entrent dans le commerce interétatique et les allégations concernant leur sécurité, leur efficacité ou leur contenu reposent uniquement sur l’avis du secrétaire du HHS [Health and Human Services], qui ne nécessite aucune preuve scientifique à l’appui. La loi fédérale autorise les fausses déclarations sur la sécurité, l’efficacité ou le contenu des produits de l’EUA. Par conséquent, les allégations fournies par les autorités sanitaires fédérales ou les fabricants ne peuvent être considérées comme des sources d’information fiables.

Références :

References Emergency Use Authorization of Medical Products and Related Authorities, Guidance for Industry and Other Stakeholders, January 2017 Procedural OMB Control No. 0910-0595 Expiration Date 09/30/202, Emergency Use Authorization of Medical Products and Related Authorities | FDA or direct link at www.fda.gov/media/97321/download, particularly pages 15, 22-25, 27,28, 33, and 39-41. Risk Evaluation and Mitigation Strategies, https://www.fda.gov/regulatory-information/search-fda-guidance-documents/fdas-application-statutory-factors-determining-when-rems-necessary; direct link at https://www.fda.gov/media/100307/download. Power point briefings on Section 564 of the FD&C Act, https://www.fda.gov/emergency-preparedness-and-response/mcm-legal-regulatory-andpolicy-framework/mcm-related-legal-and-policy-presentations-publications-and-qas: 1) August 25th-27, 2020 FDA – CDC Joint Learning Session, Regulatory Updates on Use of Medical Countermeasures Preparedness Summit; 2) February 10, 2021 PHEP Connects Webinar; 3) March 1, 2021, The American Bar Association Health Law Section; Overview of FDAs EUA Authority and COVID-19 Response; 4) March 18, 2021, The Council of State and Territorial Epidemiologists, Public Health Law Webinar; 5) April 21, 2021, Overview from FDA: 2021 Preparedness Summit; 6) May 15, 2021 PMDA (The Pennsylvania Society for Post- Acute and Long-Term Care Medicine), Spring Symposium; and 7) November 21, 2021, FDA’s EUA Authorities, BARDA (Biomedical Advanced Research and Development Authority) Industry Day. Direct links at 1) 2022-09-15 08:43 | Archive of FDA (pagefreezer.com) 2) 202111_CDC PHEP Connect Webinar.pdf 3) 202103_ABA Health Law Section.EUA_.Overview.FDA_.3.1.21.pdf 4) 202103_CSTE_FDA_3_18_21.final__0.pdf 5) Ross Overview_2021_Preparedness_Summit_508KH.pdf 6) J_Ross_20210515_FDAsEUAs_Other_Related_Authorities_508_KH.pdf 7) 202111_FDAs_Emergency_Use_Authorities.pdf

Principales lois d’habilitation :

Les six principales lois d’habilitation sont les suivantes :

  • Titre 21 — Federal Food and Drugs Act, § 360bbb et seq, “Expanded access to unapproved therapies and diagnostics”, tel qu’établi en 1997;
  • Titre 42 — Public Health Service Act (loi sur le service de santé publique), §247 d et seq, « Public health emergencies » (urgences en matière de santé publique), tel qu’établi en 1983 ;
  • Titre 42 — Public Health Service Act, §300 hh et seq, « National All-Hazards Preparedness for Public Health Emergencies », tel qu’établi en 2002 ;
  • Titre 42 — Public Health Service Act, §300aa-1 et seq, « Vaccines », tel qu’établi en 1986 ;
  • Title 10 – Armed Forces Act, at § 4021 et seq, « Research projects: transactions other than contracts and grants », tel qu’établi pour l’utilisation par le DoD pour les contrats de « prototypes » en 2015 ;
  • Titre 50, chapitre 32, § 1511 et seq, « Chemical and Biological Warfare », tel qu’établi en 1969.




L’intention de nuire — Preuve de la conspiration en vue de commettre des meurtres de masse par le DOD, le HHS et le cartel pharmaceutique américains

[Source : @ReligiareOriginel]




Bonus




Eugénistes 2.0 & transhumanistes : leur guerre ouverte contre les peuples

Mise à jour : la totalité des vidéos de l’émission.

« Pour combattre un ennemi, il faut être capable de le voir. »

Sasha Latypova
[Voir aussi https://nouveau-monde.ca/?s=Sasha+Latypova]

Partie 1/3

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée ou « le syndicat jaune » (article évoqué en début de la première vidéo),
Les liens étroits France-Chine symbolisés par l’Institut Pasteur (évoquant notamment Mérieux),
Le professeur Didier Raoult est-il vraiment un dissident des autorités et mesures sanitaires ? (sur la fausse dissidence de Raoult),
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et Armes biologiques ? (sur les supposés virus « augmentés » qui font aussi partie du mensonge mondial et auxquels semble néanmoins continuer à croire l’intervenant de la vidéo, Alain Schollaert),
La pierre angulaire de Big Pharma (expliquant brièvement pourquoi l’industrie pharmaceutique gagne à maintenir la croyance dans les virus pathogènes, croyance bien plus facilement entretenue grâce aux labos P4 et aux supposés virus tueurs qui y seraient développés),
UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT) (réfutation détaillée de la virologie),
Aveuglés par la pseudo-science (montrant en quoi la virologie ne suit pas la méthode scientifique et l’expose comme pseudo science),
L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle notamment la méthode scientifique et les conditions nécessaires et suffisantes pour démontrer l’existence d’un lien de causalité entre deux phénomènes),
Le château de cartes de la théorie des germes
et les autres articles du dossier Vaccins et virus.]


Partie 2/3

Partie 3/3

Questions/Réponses




« Cher Dr Malone… »

[Source : sashalatypova.substack.com]

Par Sasha Latypova — 1er mai 2024

Robert Malone a récemment publié un billet dans lequel il revient sur les raisons qui l’ont poussé à se faire vacciner avec Moderna et sur la lésion vaccinale qu’il a subie par la suite :

Au début de l’année 2021, j’ai parlé à des collègues de la FDA qui m’ont assuré que le vaccin était sûr et qu’il aidait les personnes atteintes de Covid de longue durée. Ils m’ont également assuré que la toxicité que j’avais observée avec les LNP dans les années 1990 avait été résolue grâce à de nouvelles formulations. J’ai fait confiance à mon gouvernement et à la santé publique. J’ai fait confiance à mes amis. À ce moment-là, presque personne n’écrivait sur la myocardite ou même sur le fait que le vaccin produisait des effets indésirables. Franchement, j’étais fier d’avoir participé à l’invention de cet ensemble de technologies et heureux de voir les idées évoluer vers quelque chose qui sauverait des vies. J’étais loin de me douter que toutes les activités de « recherche et développement » menées au cours des années qui ont suivi mon départ n’avaient jamais abordé les problèmes de sécurité initiaux et qu’en fait, l’ajout de la pseudouridine1 avait rendu ces produits encore plus dangereux. N’oubliez pas que la plupart des recherches menées par les entreprises ne sont jamais publiées — littéralement, nous, le public, n’avons aucun moyen de savoir ce qui a été fait ou n’a pas été fait. Nous devions faire confiance au gouvernement.

Permettez-moi de préparer le terrain pour cette lettre ouverte en disant que Robert Malone pense que je suis l’un de ces détracteurs, qui le traque de manière absolument déraisonnable sur tout l’Internet avec des commentaires haineux, etc. Il pense qu’il s’agit d’une affaire personnelle. Récemment, il a publié un article de psychologie inventé par des amateurs, insinuant lourdement que tous ceux qui n’ont jamais été d’accord avec ses déclarations, qui ont souligné ses conflits d’intérêts vraiment graves ou qui n’ont pas été d’accord avec ses opinions le sont uniquement parce qu’ils sont des personnalités narcissiques de la « triade sombre ».

Cher Dr Malone,

Je ne vous déteste pas. Ce n’est pas personnel. Certains disent que vous mentez sur le fait que vous auriez reçu des injections de Moderna et que vous auriez été blessé par ces injections. Mais je vous crois sur ce point, car je crois toutes les victimes. Il y a d’autres raisons, et j’espère que cette lettre les expliquera clairement.

Tout d’abord, un bref mot de remerciement. Dans votre message, vous avez fait référence au site web Howbad is Your Batch (howbad.info) où vous avez trouvé vos numéros de lots Moderna. Merci pour cette référence. Il s’agit du site web que Craig Paaradekooper a créé avec mon aide, y compris 160 dollars pour l’hébergement. Il a été inspiré par mon analyse originale de la variabilité des événements indésirables et des décès pour les lots de vaccins Covid, qui a été publiée pour la première fois le 31 octobre 2021 dans The Exposé (un journal britannique). Craig a vu cette publication et a fait sa propre analyse indépendante qu’il a publiée sur Bitchute le 16 novembre 2021. Pendant plus d’un an, nous avons collaboré à la recherche de données dans ce domaine. Le site web est devenu extrêmement populaire, permettant aux gens de voir par eux-mêmes combien de morts et de blessés ont été causés par la technologie que vous prétendez avoir inventée.

Ensuite, examinons vos affirmations selon lesquelles je vous aurais « attaqué » et surtout « continuellement, tout le temps », comme vous l’avez affirmé avec colère lors de la désormais célèbre interview de Doc Malik, le 16 janvier 2024. Trois jours après cette interview, vous avez décidé de me bloquer sur X/Twitter et avez ensuite publié ce mensonge malveillant et diffamatoire sous la forme d’une « question » :

Mon mari n’a aucun lien avec le FEM, mais vous avez prouvé publiquement que vous êtes un menteur. Je ne vous avais pas attaqué avant cette diffamation idiote de votre part pour une raison simple : il n’y avait pas lieu de le faire. Je n’étais pas d’accord avec le fait que vous poursuiviez les Breggins et le Dr Ruby (que vous avez publiquement traité de « tarte » — quel gentleman !). Je n’étais pas d’accord avec votre préparation à la pandémie, car les pandémies sont une fiction utilisée par les psychopathes de l’État profond pour instaurer une tyrannie mondiale. Mes désaccords n’étaient pas des « attaques », mais des désaccords factuels, étayés par des preuves substantielles. Depuis le 16 janvier, j’ai de nombreuses bonnes raisons de dénoncer vos mensonges, vos conflits d’intérêts et la propagande sur la préparation à la pandémie que vous mettez en avant.

Extrait 1 (commençant à environ 30 minutes de l’interview) :

(VIDÉO sur site source)

Transcription (accentuation ajoutée) :

À 30:22 — Ahmad Malik demande : « Parlons de la FDA… Sasha Latypova a participé à mon podcast et elle a dit clairement que le DoD et la DARPA… »

RM : « Sasha Latypova dit beaucoup de conneries et elle m’attaque tout le temps, beaucoup de gens pensent qu’elle est en fait une opposition contrôlée. Elle fait beaucoup de déclarations qui ne sont pas étayées, et si vous regardez les documents, ils sont loin d’être ce qu’elle affirme qu’ils sont »… « Contrairement à Sasha, je suis un expert en affaires gouvernementales et en rédaction de contrats gouvernementaux et d’affaires réglementaires. Je sais de quoi je parle ! J’ai rédigé des contrats OTA2 ! Je connais intimement ces clauses ! … »

C’est ce qu’on appelle le « bad-jacketing »3, n’est-ce pas ? Vous prétendez être un expert en la matière : « Beaucoup de gens pensent qu’elle est une opposition contrôlée ». Qui sont ces « nombreuses personnes », Bob ? Voulez-vous développer, et peut-être montrer quelques preuves que je suis « contrôlée » et par qui/quoi ? Peut-être un ou plusieurs contrats de non-divulgation en cours avec une entité vraiment puissante, avec de l’argent et des armes ? Oh, attendez, je suis bête, c’est vous ! Vous avez ces CDA4 qui vous permettent d’être contrôlé par la partie qui a déclenché l’empoisonnement de masse et la privation de droits sous prétexte d’une « pandémie », à savoir le gouvernement américain et le ministère de la Défense. Plus tôt dans l’interview, vous avez engueulé Doc Malik pour avoir remis en question le caractère sacré de la pandémie. Accuser les autres de faire ce que vous faites — pouvez-vous me rafraîchir la mémoire, s’agissait-il d’Alinsky ou de Goebbels ?

Je ne savais pas que vous étiez également un expert de l’OTA ! C’est bon à savoir. Il aurait été encore mieux de le savoir aux alentours de 2020, lorsque vous étiez occupé à rédiger des guides sur la Covid et à falsifier la science avec de la famotidine5 pour 21 millions de dollars pour le compte de la DARPA. Les contrats OTA pour les contre-mesures contre la Covid ont été passés par le ministère de la défense pour un montant d’environ 50 milliards de dollars à l’époque. Il aurait été formidable que vous en fassiez mention sur le podcast de Joe Rogan ou de Dark Horse ou sur tout autre média social de haut niveau pour les Américains trompés qui pensaient tous qu’ils recevaient des produits pharmaceutiques sûrs et réglementés et non des contre-mesures militaires non réglementées, dangereuses et sans responsabilité de l’EUA6. Pourquoi n’avez-vous rien dit à l’époque ? Pourquoi n’avez-vous rien dit dans l’interview de Doc Malik du 16 janvier pour réfuter ce que j’ai dit au sujet des contrats OTA/Covid ? Quelle preuve de l’expertise d’OTA pouvez-vous apporter, si ce n’est l’affirmation rageuse que vous l’avez ? Pourquoi avez-vous attendu pour affirmer que vous aviez une expertise dans ce domaine jusqu’à ce que des non-experts en OTA, @Katherine Watt et moi-même ayons trouvé et examiné la loi pertinente et les contrats, et jusqu’à ce que @Debbie Lerman, une journaliste qui n’était pas auparavant une experte en OTA, ait compris pourquoi et comment le HHS7 s’est « associé » avec le DOD pour contourner leurs restrictions respectives en matière d’OTA ? Il s’avère que cela était nécessaire pour commander un volume massif de « prototypes et de démonstrations » (poison chimique non réglementé) et prétendre qu’il s’agissait de médicaments réglementés pour les militaires et les civils. Le saviez-vous en 2020 ?

En tant qu’expert, vous semblez toujours avoir plusieurs longueurs de retard sur les non-experts !

Clip 2 :

(VIDÉO sur site source)

Transcription :

RM : J’ai également étudié en profondeur les documents relatifs aux réglementations sanitaires d’urgence et ce qu’ils stipulent. Ils stipulent qu’en cas de déclaration d’urgence, la Défense sera impliquée. Sasha prétend que c’est une opération contrôlée par le ministère de la Défense. Je n’ai pas vu cette documentation.

Quelqu’un pourrait-il m’indiquer cette plongée en profondeur dans les règlements sanitaires d’urgence par le Dr Malone, et me dire quand elle a été publiée, si tant est qu’elle existe ? J’ai tellement de questions sans réponse. Pourquoi le ministère de la Défense serait-il impliqué dans un prétendu événement de « santé publique » sur le sol américain ? Quelles sont les lois qui autorisent le déploiement des forces armées fédérales sur le territoire américain et sur les terres non fédérales appartenant aux États qui ne sont vraisemblablement pas en guerre ? Pourquoi le colonel Matt Hepburn, de la DARPA, a-t-il appelé le consortium pharmaceutique sur la pandémie le 4 février 2020 pour lui dire que la Covid était une menace pour la sécurité nationale ? Qu’est-ce qui a justifié cette déclaration extraordinaire alors qu’il n’y avait pas de Covid aux États-Unis, qu’il n’y en avait presque pas dans le monde et que personne n’en était mort à l’époque (ou depuis lors, en fait8) ? Qu’est-ce qui a justifié ces activités militarisées extraordinaires, Bob ? S’il vous plaît, dites-le-nous, à nous, petites gens, qui ne sommes pas des experts comme vous ?

Vous dites que vous n’avez pas vu les documents prouvant que l’OWS9 était contrôlé par le ministère de la Défense. Cela ne signifie pas que la documentation est inexistante, mais seulement que vous n’êtes pas un expert dans les domaines où vous prétendez l’être, ou que vous avez un problème de perte de mémoire étrange et très prononcé (causé par le ministère de la Défense ?). Vous avez vu cette documentation, au moins une fois, lorsque je l’ai présentée en janvier 2023 à Stockholm. Vous souvenez-vous que vous êtes monté sur scène après la présentation et que vous m’avez serré dans vos bras ? Vous l’avez donc vu ! Ce tableau qui indique clairement que le DoD est le chef des opérations d’OWS. Ce tableau est disponible depuis octobre 2020 :

Le général Gustave Perna était le chef des opérations d’OWS. Ce type :

Il ne s’agit pas de Peter Marks ni de Robert Kadlec comme vous le prétendez plus loin dans l’interview, bien que Peter Marks soit effectivement crédité du nom OWS. C’est un fan de Star Trek. Et c’est aussi votre ami, Bob, du moins vous le pensiez. Je reviendrai sur ce point dans une minute.

Vous dites que c’est la faute de Kadlec et qu’il « pourrait être de la CIA ». Il pourrait être les deux, puisqu’il a personnellement alloué les milliards de dollars pillés aux contribuables sous la forme de « contrats de contre-mesures Covid » à ses copains de l’industrie pharmaceutique, y compris votre propre bébé — Inovio Pharmaceuticals ! Toutefois, outre les milliards de dollars de contrats sans appel d’offres qui ont été passés par le ministère de la Défense pour fabriquer toute une série de poisons et de systèmes meurtriers, je me permets d’attirer votre attention sur le fait que les dirigeants du ministère de la Défense d’OWS ont tenu de nombreuses conférences de presse en 2020 et 2021, expliquant clairement au monde entier qu’ils étaient en fait les responsables. Regardez ces uniformes prestigieux, ces insignes et ces grades militaires ! Non seulement ils sont en charge de l’OWS, mais ils affirment également à plusieurs reprises qu’ils sont en charge de l’ensemble du gouvernement. Écoutez le général Talley souffrir de la forme particulière du syndrome de Tourrete du ministère de la Défense : il s’agit d’un extrait d’une seule (!) conférence de presse du Pentagone, le 2 juin 2020.

(VIDÉO sur site source)

Bien entendu, il ne s’agit pas du seul document attestant que le ministère de la Défense est responsable de l’opération « Warp Speed » ! Loin de là. Voici un résumé de 14 pages discutant du rôle du DoD et des contrats OTA, préparé à la demande du sénateur Ron Johnson par moi-même, Katherine Watt et plusieurs avocats et autres professionnels (moins les pièces jointes). Je vous invite à réfuter calmement tout ce qui précède, mais, s’il vous plaît, évitons les explosions de colère en proclamant notre expertise sans rien dire de substantiel. Cette façon de faire est de plus en plus éculée.

Et bien sûr, ce n’est pas la première fois qu’un véritable expert vous le fait remarquer. Vous vous souvenez que le Dr Mike Yeadon en a parlé en décembre 2023 et que vous lui avez dit de « se taire » ? Oui, je m’en souviens ! Oui, c’était la première fois que je vous critiquais publiquement, Bob, pour votre impolitesse et pour avoir soigneusement « ignoré » la vérité. « Ne pas remarquer », par exemple ne pas remarquer que la Défense est en charge de l’OWS alors qu’elle l’est clairement, est une façon sophistiquée et pratique de mentir. Je cite ma propre déclaration :

Il est possible que les « experts » ne comprennent pas comment ce crime est commis et par qui, et il est possible qu’ils n’aient pas vu les réponses précédentes de la FDA (même dans les dépositions au tribunal), qu’ils ne soient pas au courant des décisions des juges fédéraux dans des affaires clés, qu’ils ne comprennent pas la loi américaine actuelle et qu’ils n’aient jamais entendu parler des contre-mesures de l’EUA (alors qu’ils travaillent pour la DoD et la DTRA10 et sont payés pour élaborer des contre-mesures). C’est possible, mais peu probable. Et si c’est le cas, pourquoi les appelle-t-on encore des experts ?

Pourquoi les grands experts posent-ils toujours la même question et s’attendent-ils à une réponse différente ? Cette citation est d’ailleurs attribuée à tort à Einstein.

Je ne pense pas que ce soit un signe de folie. Personne n’est stupide ou ne commet d’erreur. Il est clair que tous ces faux pas ont pour but de passer à côté de la vérité le plus longtemps possible pendant la construction de la prison mondiale.

Revenons à Peter Marks, Dr Malone. Le fait est que vous avez fait une grosse erreur. Ce n’était pas votre ami. Les cafards n’ont pas la capacité d’être des amis. Ses qualités humaines sont superficielles. Il/elle/quoi que ce soit, c’était un test de vos compétences en matière d’industrie pharmaceutique et de nature du gouvernement. Je suis désolé d’annoncer la mauvaise nouvelle, mais vous avez échoué. L’un d’entre nous est un expert, et l’autre a fait confiance à Peter Marks. Portez-vous bien. J’espère que votre corps se remettra à temps de la blessure causée par le vaccin. Votre réputation ne le fera peut-être pas…

Sincèrement,

Sasha Latypova


1 « La pseudouridine (notée ψ) est un ribonucléoside dérivé de l’uridine. On la trouve dans certains ARN non codants, comme les ARN de transfert ou les ARN ribosomiques. La pseudouridine n’est pas incorporée lors du processus de transcription, mais résulte d’une modification post-transcriptionnelle de certains résidus d’uridine. C’est la modification de base la plus fréquente dans l’ARN, elle est retrouvée chez l’ensemble des organismes vivants. » (Wikipédia) — NdT.

2 Other Transaction Authority (Autorité pour d’autres transactions) est le terme couramment utilisé pour désigner l’autorité (10 U.S.C. 4021) du Département de la Défense (DoD) pour réaliser certains prototypes, projets de recherche et de production. — NdT.

3 Le bad-jacketing est un terme qui désigne le fait de mettre en doute l’authenticité de la bonne foi ou de l’identité d’une personne — NdT.

4 Confidential Disclosure Agreement : accord de divulgation confidentielle — NdT.

5 La famotidine est utilisée pour traiter les ulcères de l’estomac (gastriques et duodénaux), l’œsophagite érosive (brûlures d’estomac ou remontées acides) et le reflux gastro-œsophagien (RGO) — NdT.

6 Emergency Use Authorization (Autorisation d’utilisation en cas d’urgence) — NdT.

7 Health & Human Services (Santé et services sociaux) — NdT.

8 L’auteur fait partie des personnes qui n’ont pas trouvé de preuves d’une nouvelle maladie et ne se sont pas contentées des déclarations officielles — NdT.

9 Opération « Warp Speed » — NdT.

10 Defense Threat Reduction Agency (Agence de la Défense pour la réduction des menaces) — NdT.




Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid

[Source: conservativewoman.co.uk]

Par le Dr Mike Yeadon — 22 mars 2023

Le Dr Mike Yeadon est titulaire d’un diplôme en biochimie et toxicologie et d’un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il a passé plus de 30 ans à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde, il a quitté Pfizer en 2011 en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il s’agissait du poste de recherche le plus élevé dans ce domaine au sein de Pfizer. Depuis qu’il a quitté Pfizer, le Dr Yeadon a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue en 2017 à Novartis, la plus grande société pharmaceutique du monde.

Je suis de plus en plus frustré par la façon dont le débat est contrôlé autour de la question des origines du prétendu nouveau virus, le SRAS-CoV-2, et j’en suis venu à ne plus croire qu’il ait jamais été en circulation et qu’il ait causé des maladies et des décès à grande échelle. Il est inquiétant de constater que presque personne n’envisage cette possibilité, bien que la biologie moléculaire soit la discipline dans laquelle il est le plus facile de tricher. En effet, il n’est pas possible de le faire sans ordinateur, et le séquençage nécessite des algorithmes complexes et, surtout, des hypothèses. En modifiant les algorithmes et les hypothèses, il est possible de modifier considérablement les conclusions.

Cela soulève la question de savoir pourquoi on accorde une telle importance à la tempête médiatique autour de Fauci, de Wuhan et d’une éventuelle évasion du laboratoire. Après tout, les « coupables » exercent un contrôle important sur les médias. Il n’y a pas de journalisme indépendant à l’heure actuelle. Ce n’est pas comme s’ils avaient besoin d’embarrasser l’establishment. Je fais remarquer aux lecteurs qu’ils ont choisi de le faire.

De qui s’agit-il quand je dis « ils » et « les auteurs » ? Il y a un certain nombre de candidats en lice pour ce poste, avec leurs complices des laboratoires pharmaceutiques, dont plusieurs sont nommés dans l’excellente série en cinq parties de Paula Jardine pour TCW, Anatomie du sinistre projet Covid. En haut de la liste, on trouve le Forum Économique Mondial et ses nombreux acolytes politiques, parmi lesquels Justin Trudeau et Jacinda Ardern.

Mais cela ne répond pas à la question de savoir pourquoi ils se concentrent sur la genèse du virus. À mon avis, ils font tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer que vous considérez cet événement exactement comme ils le souhaitent. Plus précisément, qu’il y a eu un nouveau virus.

Je ne suis pas le seul à l’avoir cru au début de la « pandémie », mais au fil du temps, j’ai vu suffisamment de preuves pour mettre cette idée en doute. En outre, dans le cadre d’un coup d’État mondial, je me suis mis à la place des auteurs les plus hauts placés et les plus cachés. Lors d’une séance de questions-réponses, ils apprendraient que l’effet d’un nouvel agent pathogène mis sur le marché ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel qu’ils ne l’avaient prévu et détruire des civilisations avancées. Ces décideurs de haut niveau concluraient, à mon avis, que ce risque naturel leur est intolérable. Ils aspirent à un contrôle total, et le large éventail de résultats possibles d’une dissémination délibérée milite contre ce plan d’action : « Non, nous n’allons pas faire cela. Revenez avec un plan où l’incertitude sur les résultats est très réduite ».

Je pense qu’ils ont choisi d’ajouter un mensonge supplémentaire à l’énorme pile de mensonges qui a entouré toute cette affaire. Ce mensonge consiste à dire qu’il y a déjà eu en circulation un nouveau virus respiratoire qui, de manière cruciale, a provoqué des maladies et des décès à grande échelle. En fait, ce n’est pas le cas.

Au lieu de cela, on nous a dit qu’il y avait un nouvel agent pathogène effrayant et on a fait monter le porno de la peur jusqu’à l’échelle 11, et on l’a maintenu à ce niveau. Cela va de pair avec les tricheries sur les séquences génétiques, les protocoles de test PCR (sondes, amorces, conditions d’amplification et de recuit, cycles), ignorant le matériel génétique contaminant provenant non seulement de prétendues sources virales humaines, mais aussi les sources bactériennes et fongiques. Pourquoi, par exemple, ont-ils dû insérer les bâtonnets de prélèvement directement dans nos sinus ? Était-ce pour maximiser les séquences génétiques non humaines ? (NdT : Le recuit est le processus d’assemblage de l’ADN ou de l’ARN simple brin par des liaisons hydrogène pour former un polynucléotide double brin).

Il est évident que nos dirigeants politiques et culturels, y compris la défunte reine, étaient heureux de se rencontrer et de se saluer sans se tester, sans se masquer et sans prendre de distance sociale. Ils n’avaient pas peur. Dans le scénario ci-dessus, quelques personnes auraient su qu’il n’y avait pas de nouveau danger dans leur environnement. S’il y avait vraiment un agent pathogène mortel dans le pays, je ne crois pas qu’ils auraient eu le courage ou le besoin d’agir avec nonchalance et de risquer d’être exposés au virus.

Ce qui me convainc le plus, ce sont les données américaines sur la mortalité toutes causes confondues (NdT : en anglais ACM pour All Cause Mortality) par État, sexe, âge et date d’apparition, telles qu’elles ont été analysées par Denis Rancourt et ses collègues. La tendance à l’augmentation de l’ACM n’est pas compatible avec la présence d’un nouveau virus respiratoire comme cause principale.

Si j’ai raison de dire qu’il n’y a pas eu de nouveau virus, quelle idée de génie que de prétendre qu’il y en a eu un ! Maintenant, ils veulent seulement que vous vous demandiez comment ce « virus tueur » s’est retrouvé dans la population humaine. S’agit-il d’une émergence naturelle (une chauve-souris sauvage a mordu un pangolin qui a fini par être vendu sur un marché de poissons de Wuhan) ou d’une création prétentieuse d’un chercheur chinois, aidé en cours de route par un chercheur de l’université de Caroline du Nord financé par Fauci, qui ont ainsi contourné une pause présidentielle sur ce type de travaux ? La question se pose ensuite de savoir si l’arrivée du virus dans le grand public est due à une négligence et à une fuite de laboratoire, ou si quelqu’un l’a délibérément propagé ?

Je dois également souligner que les auteurs de ces actes contrôlent hermétiquement les médias de masse par le biais d’une mainmise des grandes entreprises technologiques et du gouvernement, documentée en partie ici, ici et ici. C’est pourquoi ils ont trouvé si facile de censurer des gens comme moi. Si une histoire apparaît sur plusieurs réseaux de télévision, c’est qu’ils sont d’accord avec elle ou qu’elle a été activement mise en place. Elle ne sera pas authentique. Ils ne disent jamais la vérité. Je ne pense pas qu’ils aient dit la vérité depuis le début de ce coup d’État, et probablement bien avant. La plupart des soi-disant journalistes ont perdu de vue ce qu’était la vérité.

Je pense que les auteurs (qui pourraient être tout ou partie de Gates, Fauci, Farrar, Vallance, CEPI, EcoHealth Alliance, DARPA et de nombreux autres) ont semé la controverse sur les origines du SRAS-CoV-2 parce qu’un peu d’embarras pour l’establishment était un petit prix à payer pour persuader la plupart d’entre nous qu’il devait certainement y avoir un nouveau virus alors qu’il n’y en a pas. (Et ils s’en sont tirés jusqu’à présent).

Certains de mes collègues ne croient pas que ce que l’on nous a dit (à savoir qu’un virus a été construit expérimentalement) soit même possible sur le plan technologique. Je n’ai pas les connaissances nécessaires pour évaluer cette idée. Mais pour moi, le reste tient la route d’une manière qu’aucune autre explication ne permet.

À cet égard, une ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique, Sasha Latypova, s’adressant à Robert F Kennedy Jr dans son podcast du jeudi 16 mars dernier, décrit les nombreuses preuves des contrats et des relations qui étaient en place avant l’ère Covid. Des contrats ont été signés pour des milliards de dollars en février 2020. Non seulement la production requise n’aurait jamais lieu (il est ridicule de signer un engagement d’une telle ampleur), mais elle ne peut pas être réalisée. Elle a estimé qu’il fallait environ un kilogramme d’ADN. Il n’y a pas autant d’ADN de qualité médicale sur la planète à un moment donné. Cela s’explique par le fait qu’il est difficile à fabriquer, très coûteux, entièrement sur mesure et difficile à stocker pendant de longues périodes. En outre, les quantités d’une séquence d’ADN spécifique requises et stockées par les fournisseurs commerciaux sont de l’ordre du milligramme, voire du gramme. Il a donc toujours été impossible, quelle que soit la somme d’argent dépensée, d’accomplir ce qu’ils prétendent avoir fait en peu de temps.

Par conséquent, les faits ne permettent pas d’autre conclusion que celle d’un crime de grande ampleur, largement planifié. En soi, cela exclut l’émergence naturelle d’un agent pathogène, à moins d’une providence divine. Logiquement, il ne reste plus qu’une fuite ou, comme je l’affirme, un mensonge et une opération psychologique. La première hypothèse est possible ou non, mais ce qui n’est pas contestable, c’est qu’une telle opération pourrait être réalisée, et se déroulerait probablement sans problème, avec un véritable agent pathogène. Si un agent pathogène est libéré, on peut s’attendre à presque tous les résultats, sauf celui que l’on souhaite vraisemblablement. Je ne peux arriver à aucune autre conclusion que celle d’un faux.

Pour conclure, je ne dis pas que les gens n’étaient pas malades ou qu’ils ne mouraient pas en grand nombre. Je ne discute que des causes des maladies et des décès. Les gens ont été rendus malades et certains ont été tués par toutes les causes préexistantes, amplifiées par la peur, ce qui a entraîné une immunosuppression et une série d’actions révoltantes. Notez même le chevauchement officiel des signes et symptômes de la « Covid-19 » et des maladies existantes. Ils ont notamment réduit de 50 % les prescriptions d’antibiotiques aux États-Unis en 2020. Ils ont veillé à ce qu’un grand nombre de personnes âgées fragiles soient ventilées mécaniquement (NdT : l’intubation qui est tellement douloureuse qu’il faut anesthésier les personnes — l’État de New York en avait commandé 20 000 à General Motors pour n’en utiliser que quelques-uns, car ils se sont rendu compte qu’ils tuaient les gens), une procédure qui, chez ces sujets, est presque contre-indiquée. Certaines se sont vu administrer du remdésivir, un poison pour les reins. Dans les maisons de soins, elles ont reçu du midazolam et de la morphine, des dépresseurs respiratoires dont l’association est quasiment contre-indiquée chez les patients souffrant de difficultés respiratoires. S’ils sont utilisés, ils doivent faire l’objet d’une surveillance étroite, le plus souvent au moyen de systèmes d’alarme automatisés reliés à une surveillance cardiorespiratoire vitale, y compris une surveillance des gaz sanguins au bout du doigt. Cela ne s’est pas produit dans les maisons de soins.

Je pense que la principale raison des mensonges sur le nouveau virus est un désir de prévisibilité et de contrôle total, avec l’intention clairement exprimée de transformer la société, en commençant par démanteler le système financier par des fermetures et des congés, tandis que l’objectif pratique immédiat de la fermeture était de fournir le casus belli pour injecter au plus grand nombre de personnes possible des substances conçues non pas pour induire une immunité, mais pour exiger une inoculation répétée, pour causer des blessures et la mort, et pour contrôler la liberté de mouvement. Je suis sûr qu’ils sont satisfaits d’avoir injecté au moins 6 000 000 000 de personnes.

Notez que, bien que l’on estime que 10 à 15 millions de personnes ont été tuées par des « vaccins » toxiques, il ne s’agit là que de la première des nombreuses injections d’ARNm à venir. Tout porte à croire que les moyens de vous forcer à en accepter dix autres ont été anticipés, car c’est le nombre de doses que votre gouvernement a accepté d’acheter. Acheter quoi ? Eh bien, il a déjà été question que tous les vaccins existants soient reformatés sous forme d’ARNm. Si c’est le cas, je ne pense pas qu’une personne à qui l’on aura injecté dix doses supplémentaires échappera à la mort ou à des maladies graves limitant l’espérance de vie. Inciter votre corps à fabriquer des protéines qui ne sont pas les siennes induira axiomatiquement une attaque auto-immune de la part de votre propre corps. Votre maladie sera liée à la destination de la dose injectée et, bien sûr, à la consistance du produit injecté. Jusqu’à présent, ils ont été terriblement irréguliers. Il n’est pas certain qu’ils auraient pu être fabriqués et lancés s’ils avaient été soumis aux exigences de qualité habituelles et s’ils n’avaient pas bénéficié d’autorisations « d’utilisation d’urgence ». Bien sûr, comme nous le savons maintenant, les régulateurs (NdT : les autorités de régulation du genre FDA ou CDC) ont joué un rôle important en plus de mentir à l’armée américaine, l’organisation qui a passé les premières commandes de « vaccins » et qui a fixé toutes les conditions contractuelles pour des sociétés telles que Moderna et Pfizer.

[Note de Joseph : s’il n’y a pas assez d’ADN médical sur la planète pour les contrats vaccinaux, pourquoi y aurait-il suffisamment d’ARNm pour produire des milliards de doses de vaccins ?
Plusieurs équipes de recherche indépendantes n’ont pas trouvé de traces organiques dans les vaccins (contrairement à celles qui prétendent que des doses étaient infectées par de l’ADN animal), mais ont trouvé de la nanotechnologie à base de graphène. L’idée de l’ARNm et de la supposée protéine Spike relève visiblement de la même arnaque globale, un écran de fumée de plus pour cacher le véritable contenu (le graphène) et la réelle finalité des vaccins anticovid et les nouvelles versions graphénisées des anciens vaccins (le transhumanisme). Voir notamment Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?]

Les poulets rentrent à la maison pour se percher maintenant dans le système bancaire.

Comme je le dis toujours, je n’ai pas beaucoup de certitudes. Je n’ai pas de copie du scénario de ce qui est le plus grand crime de l’histoire. Mais, quelle que soit la nature du Covid, je ne crois pas que ce que l’on appelait la grippe ait disparu comme par hasard au début de l’année 2020. C’est un autre mensonge. C’est ce qu’ils font. C’est tout ce qu’ils font.

À ceux qui sentent que tout ne va pas bien, mais qui ne veulent pas faire le saut psychologique vers le monde diabolique dans lequel je pense que nous vivons actuellement, je signale l’asymétrie des risques. Si vous suivez le récit officiel et que j’ai raison, vous et vos enfants perdrez toutes vos libertés et probablement vos vies. Si vous croyez ce que je dis et que j’ai tort, on se moquera de vous. Ces options sont loin d’être équilibrées. Un acteur rationnel devrait cesser de croire ce qu’on lui dit. Ce n’est pas une position sûre que de garder votre conseiller et de baisser la tête. C’est la chose la plus dangereuse que vous puissiez faire.

Traduction Jean Bitterlin, 13 mars 2024




Nouveaux documents explosifs : La mascarade révélée USA

[Source : Joe Massot – Originel Religiare via RI]

D’après de nouveaux documents, le Département de la Défense — c’est-à-dire le DOD, le Pentagone — aurait contrôlé le programme COVID-19 dès le début. Ils se sont également couverts eux et tous leurs complices judiciairement de sorte qu’aucun tribunal ne puisse techniquement rendre justice !

L’invitée de Clayton Morris est l’ancienne dirigeante d’une organisation de recherche pharmaceutique sous contrat, Sasha Latypova, et elle montre ce qu’elle a trouvé grâce à ses recherches, au départ basées sur le fait que le vaccin Covid présentait de nombreuses anomalies de fabrication.

Comprenez bien que depuis la fameuse opération Warp Speed de Trump jusqu’au « nous sommes en guerre » de Macron, toutes ces déclarations visant à traiter la pandémie artificielle du labovirus sars-cov-2 servent à entretenir leur auto-permission de mentir et de traiter ce qui devrait être une affaire de santé comme une affaire de défense militaire. Il s’agit de lois d’exception du même type que les mesures spéciales qui accompagnent généralement les attentats (sous fausse bannière).

On apprend que non seulement tout cela avait été anticipé, mais aussi que des consignes ont été malicieusement données pour entretenir le mensonge dès les années 2012-2013, et que tout ce qui concerne ces injections est couvert par le secret militaire. Toute communication autour des essais précliniques n’était qu’un très vaste mensonge profitant de ces lois d’exception.

C’était donc bel et bien une effroyable conspiration politique, jusqu’au processus d’approbation des vaccins de la FDA, comme le reste, une mise en scène servant, comme chacun peut s’en douter, un tout autre plan dont la suite consiste à sacrer l’OMS internationalement pour leur permettre de faire la pluie et le beau temps du monde concernant notre liberté.

Ne dépendez plus des institutions privées et publiques, gouvernementales, pseudo religieuses et pseudo scientifiques, votre liberté originelle n’a pas été créée pour être soumise aux conditions de ces traîtres à la vie ! Il n’y a rien a attendre des gouvernements qui ne font que semblant de se battre puisqu’ils sont tous impliqués ou au mieux révèlent leur impuissance face aux outils de la justice internationale corrompue et Le Livre de Vie (www.lelivredevie.com) annonçait que toute cette félonie prendrait réalité dès 2000 !

Source de la vidéo:
https://www.youtube.com/watch?v=ERvURcpg3JE