Une publicité révoltante de Pfizer présente les enfants vaccinés comme des « super-héros », et oublie ceux qui souffrent d’effets secondaires

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Matt Agorist

Le géant pharmaceutique multimilliardaire, dont les malversations ont défrayé la chronique dans le passé, a non seulement enregistré des profits exponentiels pendant la pandémie du fait que les contribuables ont été contraints de payer le vaccin, mais a également bénéficié de milliards de dollars des contribuables pour faire la publicité dudit vaccin. La manne de profits réalisés grâce à la vaccination des adultes a rapidement incité la firme à s’intéresser aux enfants pour pallier la diminution de sa clientèle. Bien que les enfants n’aient pratiquement aucune chance de mourir du COVID-19, la Food and Drug Administration (FDA) s’est empressée d’approuver le vaccin à ARNm de Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Après avoir dépensé des milliards de dollars en publicités financées par les contribuables pour convaincre les adultes de se faire vacciner, Pfizer a lancé cette semaine une nouvelle publicité qui cible sa nouvelle clientèle, les enfants. La société s’est surpassée en qualifiant les enfants, qui ont reçu l’injection dans le cadre de l’expérience, de « super-héros » dotés de « super-pouvoirs ».

« Il y a des super-héros de toutes les tailles.🦸🏽‍♀️🦸🏻🦸🏿‍♂️🦸🏼‍♀️ Regardez cette vidéo où de vrais enfants remercient leurs super-héros : les volontaires de l’essai clinique du vaccin #Covid19 âgés de 5 à 11 ans. Notre reconnaissance envers les participants à l’essai et leurs familles est infinie 💙 #ScienceWillWin »

Voilà la scandaleuse vidéo en question:

Malheureusement, les enfants de la vidéo ci-dessus ne sont pas des héros. Aucun d’entre eux n’est en âge de consentir à recevoir un vaccin et ils ont tous été offerts au géant pharmaceutique comme cobayes par leurs parents.

La publicité semble s’adresser spécifiquement aux « super-héros », que seraient les enfants qui ont servi de cobayes, mais elle a, en réalité, pour objectif d’influencer tous les enfants.

« Si je me fais vacciner, je serai un super-héros ! »

Naturellement, cette publicité n’enthousiasme pas ceux dont un membre de la famille ou un ami a souffert d’effets secondaires. En conséquence, les dislikes [pouce en bas] sur la vidéo ont déjà dépassé les likes [pouce en haut] et ils s’accumulent rapidement.

Il est important de souligner que l’écrasante majorité des personnes qui se font vacciner n’ont que peu ou pas d’effets secondaires. Cependant, dire qu’il n’y a aucun risque et censurer ceux qui soulignent ces risques est, au mieux, contraire à l’éthique et, au pire, carrément malhonnête.

[Ndlr : le nombre de vaccinés anticovid n’ayant pas eu d’effets secondaires notables est probablement loin de représenter une majorité « écrasante ». Selon les sites officiels chargés de rapporter les effets secondaires post-vaccinaux, autant en Amérique qu’en Europe, leur nombre dépasse le million, sachant que de nombreux médecins s’accordent à dire que seulement 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.]

Comme le rapporte le TFTP (TheFreeThoughtProject), la pression en faveur de la vaccination des enfants s’intensifie en dépit du fait que le virus ne représente pas une menace pour les enfants. De plus, comme les Américains sont en train de le découvrir, le vaccin perd de son efficacité au fil du temps, ce qui entraîne un grand nombre de nouveaux cas que les Centres de contrôle des maladies (CDC) ne peuvent plus dissimuler.

En plus de ces nouveaux cas, il a été signalé aux CDC un nombre record d’effets indésirables dont souffrent aussi un grand nombre d’enfants. L’un de ces enfants – qui a participé à l’essai de Pfizer et qui est un « super-héros » selon la publicité ci-dessus – est Maddie de Garay. On lui a injecté le vaccin de Pfizer lorsqu’elle avait 12 ans. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant.

Comme Pfizer, la famille de Maddie a réalisé une vidéo pour raconter son expérience du vaccin. Mais contrairement à Pfizer, la vidéo de Maddie a été censurée sur YouTube et l’est toujours. De plus, Comcast a retiré la vidéo la semaine dernière, alors qu’elle devait être diffusée avant que le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes ne se réunisse pour discuter des vaccins COVID-19 destinés aux enfants.



Un autre de ces « super-héros » qui a été censuré jusqu’à l’oubli est Ernesto Ramirez Jr. qui faisait partie des centaines d’enfants qui, comme Maddie, ont été vaccinés très tôt. Malheureusement, contrairement à Maddie, il n’a pas survécu et cinq jours après l’injection, selon son père, Ernesto est mort subitement.

« J’ai entendu toujours plus de publicités affirmer que c’était sans danger pour les adolescents, alors j’ai dit ‘OK’ », a déclaré le père d’Ernesto Ramirez à Ivory Hecker, un journaliste de Fox 26 Houston, plus tôt dans l’année. « Deux ou trois semaines plus tard, le CDC a commencé à annoncer que des enfants avaient le cœur hypertrophié. »

« Le cœur d’un garçon de cet âge pèse normalement moins de 250 grammes », a déclaré le Dr Peter McCullough, un médecin de Dallas dans la vidéo de Hecker. « Dans son cas, il pesait plus de 500 grammes ».

Ramirez a essayé de collecter des fonds pour les funérailles de son fils décédé, mais parce qu’il a prétendu que l’injection a tué son fils, GoFundMe a supprimé sa collecte.

Apparemment, les multinationales de la haute technologie ont décidé que seuls ceux qui louent l’efficacité du vaccin ont droit à la parole. Si vous ou votre enfant avez souffert des effets secondaires du vaccin, vous n’avez pas le droit de le dire. Si vous vous interrogez sur le raison de cette censure, regardez la vidéo ci-dessous !

Matt Agorist

Article original en anglais :

Creepy Pfizer Ad Tells Kids They Are “Superheroes” for Taking Jab, Ignores Injuries of Others

Traduction : Dominique Muselet pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est TheFreeThoughtProject.com
Copyright © Matt AgoristTheFreeThoughtProject.com, 2021




Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation

[Source : reseauinternational.net]

Par Mike Whitney

« Je pense qu’il est très probable que la prochaine phase impliquera des décès à une échelle qui éclipsera les allégations de “décès par Covid-19” »

Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer


Question : Pourquoi la mortalité en Écosse est-elle plus élevée en 2021 qu’en 2020 ?

Réponse : Parce que plus de gens meurent. Et la raison pour laquelle plus de gens meurent est que plus de gens ont été vaccinés. En d’autres termes, il y a un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin contre le Covid-19.

Q : Vous ne pouvez pas le prouver.

R : Vous avez raison, je ne peux pas. Les preuves sont toutes circonstancielles. Mais elles sont tout de même convaincantes. Par exemple, l’augmentation de la mortalité ne se produit pas seulement en Écosse. Elle se produit dans de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination de masse plus tôt dans l’année. Ils constatent tous une hausse significative de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi cela ? Que font-ils différemment en 2021 de ce qu’ils faisaient les années précédentes ?

Q : Je vois où vous voulez en venir, mais je ne pense toujours pas que vous ayez suffisamment de preuves pour étayer vos arguments.

R : Ok, alors dites-moi : Pourquoi y a-t-il plus de gens qui meurent en 2021 qu’en 2020 ? Et n’oubliez pas que la mortalité toutes causes confondues n’est pas seulement en légère hausse, mais qu’elle dépasse largement la moyenne des cinq dernières années. Regardez ce récent article d’Alex Berenson sur Substack :

« L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; le nombre de décès hebdomadaires est désormais supérieur de 30% à la normale.

14 octobre : Ceci est extrait du tableau de bord quotidien Covid-19 de Public Health Scotland :

“Les 315 décès excédentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne pré-pandémique sur cinq ans pour cette période de l’année. C’est la 20ème semaine consécutive où le nombre de décès excédentaires est supérieur à la moyenne quinquennale et la plus élevée depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021”.

Même en excluant les décès dus au Covid, ils étaient près de 20% au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse »1.

Q : Mais comment pouvez-vous construire un dossier sur les données d’un seul pays ? C’est ridicule.

R : Mais il ne s’agit pas seulement de l’Écosse. La même règle s’applique à de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination plus tôt dans l’année. Voici plus d’informations de Berenson :

« Ajoutez l’Allemagne – la nation la plus peuplée d’Europe – aux pays qui connaissent une mortalité anormalement élevée, toutes causes confondues, qui n’est PAS liée au Covid.

En septembre, l’Allemagne a signalé près de 78 000 décès, soit plus de 10% de plus que le chiffre attendu, ont déclaré les démographes du gouvernement allemand en début de semaine.

Presse : “Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10% au-dessus de la moyenne des années précédentes” »2.

Et puis il y a ceci, tiré du compte Twitter de Data Analyst (regardez les graphiques) :

Data Analysis @Data_is_Louder

26 octobre – Mystère COVID, Le Danemark, la Finlande et la Norvège enregistrent une surmortalité plus importante que lors de leur pic épidémique du Covid. Ces mystérieux excès de décès se sont produits en même temps que le déploiement de la vaccination.

Danemark – « 5 mois d’affilée, 2021 a battu le record de 10 ans de décès de personnes, toutes causes confondues… décès covid proches de zéro au cours de la même période ».

Il en va de même en Irlande, au Royaume-Uni et en Israël. Jetez un coup d’œil à l’Angleterre (de 10 à 59 ans).

« Ce qui est si inquiétant dans ce graphique, c’est qu’il montre comment les vaccins ciblent les jeunes. “Alors que le bilan des décès dus au COVID a été largement confiné aux personnes âgées… ce sont les jeunes qui supportent le poids des blessures dues aux vaccins. Selon VigiAccess, la base de données des événements indésirables de l’Organisation mondiale de la Santé, 41% des plus de 2,4 millions de lésions vaccinales signalées à ce jour concernent les moins de 44 ans, et seulement 6% les plus de 75 ans” »3.

C’est quelque chose que vous ne lirez pas dans les médias, et pour une bonne raison. Parce que cela saperait leur objectif mortel de continuer à vanter les mérites du vaccin.

Joel Smalley, analyste quantitatif, nous en dit plus :

« Mise à jour hebdomadaire des décès par les CDC. “Malgré” une vaccination complète à plus de 80%, depuis le 24 juillet, les décès de personnes âgées de plus de 65 ans en Floride ont augmenté de 14% par rapport à la même période l’année dernière. “Malgré” une vaccination complète à au moins 50% chez les moins de 65 ans, les décès sont en hausse de 46% et continueront d’augmenter au fur et à mesure du rattrapage des déclarations ».

Les exemples sont partout sur Internet. Il n’est pas nécessaire de chercher bien loin. Partout où des vaccinations de masse ont eu lieu, là aussi, la mortalité a augmenté. Et, une fois de plus, il ne s’agit pas de décès dus au Covid. Il s’agit principalement de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de caillots sanguins, de maladies circulatoires et de problèmes neurologiques ; les mêmes affections induites par les vaccins contre lesquelles les médecins et les scientifiques qui nous disent la vérité depuis le début nous ont mis en garde. Il s’avère qu’ils avaient raison après tout.

En clair, les vaccins augmentent le nombre de décès, au lieu de le réduire. Ils aggravent les choses au lieu de les améliorer. Ils perpétuent la crise au lieu d’y mettre fin. Et c’est pourquoi la ligne rouge du graphique est orientée vers le haut. Elle indique que le nombre de décès continuera à augmenter tant que nous continuerons à faire ce que nous faisons actuellement, en inoculant à des millions de personnes un agent pathogène cytotoxique qui déclenche la formation de caillots sanguins, l’inflammation et l’auto-immunité. Voici un autre graphique de l’Écosse avec un bref commentaire du Daily Skeptic :

« … la présence d’une épidémie de Covid n’a pas été constatée à l’été 2020, mais l’est à l’été 2021. Qu’est-ce qui diffère entre ces deux années ? La réponse la plus évidente est le déploiement de la vaccination contre le COVID-19. Il n’y avait pas de programme de vaccination COVID-19 en 2020, mais il y a eu un déploiement des vaccinations contre le Covid de manière séquentielle à des groupes d’âge de plus en plus jeunes en 2021, un modèle que nous voyons dans la manifestation de la surmortalité. … Le système de notification des événements indésirables Yellow Card, […] a déjà enregistré plus de 1700 décès dans la population britannique associés aux vaccins anti-covid. Il y a donc de bonnes raisons de penser que la vaccination contre le COVID-19 est un facteur contribuant à l’augmentation spectaculaire de la surmortalité estivale en Écosse en 2021 »4.

Avez-vous remarqué comment les médias tentent de dissimuler la soudaine augmentation de la mortalité ? Voici un bon exemple tiré d’un article du UK Telegraph :

« Alors que l’attention reste fixée sur le Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge discrètement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès supplémentaires qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, cette situation est tout à fait inhabituelle pour l’été. Bien que l’on s’attende à une surmortalité pendant les mois d’hiver, lorsque le froid et les infections saisonnières se combinent pour mettre la pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.

Cette année est une exception inquiétante.

Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9619 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4635) n’ont pas été causés par le Covid-19.

Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?

Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, 2103 décès supplémentaires ont été enregistrés pour des cardiopathies ischémiques, 1552 pour des insuffisances cardiaques, ainsi que 760 décès supplémentaires pour des maladies cérébrovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes, et 3915 pour d’autres maladies circulatoires »5.

Donc, selon l’article, il y a eu :

  • 24% de décès par insuffisance cardiaque de plus que la base de référence
  • 19% de cardiopathies ischémiques
  • 16% de maladies cérébrovasculaires (accidents vasculaires cérébraux)
  • 18% d’autres maladies circulatoires

Toutes ces affections cérébro-vasculaires, cardiaques et circulatoires ne sont pas tombées du ciel en 2021. Ce sont des lésions générées par les vaccins. Vous ne voyez pas ?

Et elles sont toutes liées à la protéine spike qui est le « mécanisme d’action biologique » qui « endommage les vaisseaux sanguins, les organes, et provoque des caillots sanguins, et qui peut tuer un être humain ? ». (Citation : Dr Peter McCullough)

Vous êtes-vous demandé pourquoi plus de personnes sont mortes cette année du Covid que durant toute l’année 2020 ? Selon Johns Hopkins, le Covid a tué 353 000 personnes aux États-Unis en 2020. Mais en seulement 10 mois en 2021, 390 000 personnes sont mortes. Comment cela est-il possible ? Après tout :

  1. Beaucoup de personnes extrêmement vulnérables sont déjà mortes.
  2. Selon les experts, la variant Delta n’est pas aussi mortel que l’infection originale de Wuhan.
  3. 100 millions de personnes (selon le CDC) ont déjà survécu au Covid et possèdent désormais une immunité naturelle.
  4. Et 190 millions de personnes ont été doublement vaccinées.

Ce sont quatre raisons pour lesquelles les décès devraient diminuer. Mais ils ne diminuent pas, ils augmentent.

Pourquoi ?

Le vaccin, voilà pourquoi.

Et pourquoi les pays ayant les taux de mortalité les plus élevés pour le Covid-19 sont aussi les pays les plus vaccinés ?

C’est parce qu’« il y a une corrélation positive importante entre le pourcentage de vaccination et les décès ».

Mais ne me croyez pas sur parole. Vérifiez par vous-même. Faites vos propres recherches.

Tout récemment, le professeur Norman Fenton de l’Université Queen Mary de Londres a passé au crible les statistiques du gouvernement (ONS) pour voir s’il pouvait « déterminer le risque-bénéfice global des vaccins contre le Covid-19 » en comparant « les taux de mortalité toutes causes confondues entre les vaccinés et les non-vaccinés dans chaque catégorie d’âge ».

Sa pensée sur la question était simple :

« Si le Covid est aussi dangereux qu’on le prétend – et si le vaccin est aussi efficace qu’on le prétend – nous devrions à ce jour avoir constaté beaucoup plus de décès liés au Covid chez les non-vaccinés que chez les vaccinés…(et) Si le vaccin est aussi sûr qu’on le prétend, alors il devrait y avoir un peu plus de décès de causes non liées au Covid chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (dans chaque groupe d’âge). Ainsi, le nombre de décès, toutes causes confondues, devrait être plus élevé chez les non-vaccinés que chez les vaccinés (dans chaque groupe d’âge), ce qui confirmerait que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques »6.

Simple, non ? En d’autres termes, si le vaccin est si génial, les données devraient le montrer clairement. Mais ce n’est pas ce que Fenton a trouvé. Ce qu’il a trouvé est le contraire. Il a constaté que la mortalité toutes causes confondues est plus élevée chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées. (Fenton espérait que son analyse aurait un impact sur le débat concernant le programme de vaccination en cours, mais au lieu de cela, il a été vicieusement dénoncé comme un extrémiste de droite, ce qui est ce qui arrive à tous ceux qui osent remettre en question le récit officiel. Voici plus d’informations de NPR :

« Dans le service des urgences de l’hôpital Sparrow de Lansing, dans le Michigan, les membres du personnel s’efforcent de soigner des patients qui se présentent beaucoup plus malades qu’ils ne l’ont jamais été. Tiffani Dusang, directrice des soins infirmiers du service des urgences, vibre pratiquement d’anxiété refoulée en regardant tous les patients allongés sur une longue file de brancards poussés contre les murs beiges des couloirs de l’hôpital. “C’est dur à regarder”, dit-elle dans sa voix chaude de Texane.

Mais il n’y a rien qu’elle puisse faire. Les 72 chambres des urgences sont déjà remplies.

“Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de calme”.

Même dans les régions du pays où le COVID-19 ne submerge pas le système de santé, les patients se présentent aux urgences plus malades qu’avant la pandémie, leurs maladies étant plus avancées et nécessitant des soins plus complexes.

Les mois de retard dans les traitements ont exacerbé les maladies chroniques et aggravé les symptômes. Selon les médecins et les infirmières, la gravité des maladies est très variable et comprend, entre autres, des douleurs abdominales, des problèmes respiratoires, des caillots sanguins, des problèmes cardiaques et des tentatives de suicide »7.

Je répète : « douleurs abdominales, problèmes respiratoires, caillots sanguins, problèmes cardiaques ». En d’autres termes, l’engorgement des salles d’urgence pourrait aussi bien être lié à des blessures induites par le vaccin qu’à des « traitements retardés ». Et remarquez que l’auteur semble sincèrement préoccupé par la multiplication des salles d’urgence, mais ne mentionne jamais l’éléphant dans la pièce : le vaccin. S’agit-il d’une simple erreur de sa part ou avait-il vraiment l’intention d’embobiner ses lecteurs dès le départ ?

Ensuite, il y a cette perle du New York Post qui tente de préparer le public à l’assaut de troubles « thromboemboliques » auquel nous serons confrontés dans un avenir très proche. L’article est judicieusement intitulé « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans ». Voici un extrait de l’article :

« Quand on pense à une crise cardiaque, on imagine immédiatement quelqu’un de plus âgé et qui pourrait déjà avoir des problèmes de santé sous-jacents. Mais les experts ont averti que des femmes de 22 ans seulement pouvaient être frappées par une maladie peu connue.

La dissection spontanée de l’artère coronaire (SCAD) se produit lorsqu’une déchirure se forme dans un vaisseau sanguin du cœur, rapporte le New York Post. Elle peut ralentir ou bloquer le flux sanguin vers le cœur, provoquant une crise cardiaque, des anomalies du rythme cardiaque ou une mort subite, selon les experts de la Mayo Clinic.

En général, il s’agit d’une affection peu fréquente, mais les médecins exhortent les femmes à demander un diagnostic et des soins lorsqu’elles présentent des symptômes. Cette affection est plus fréquente chez les femmes âgées de 30 à 60 ans, mais les experts ont signalé qu’elle touche des femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans »8.

C’est compris ? Donc, selon le Post, il est parfaitement normal qu’une jeune femme de 22 ans en bonne santé soit frappée par une crise cardiaque. Pensez-vous que l’auteur essaie peut-être d’adoucir les attitudes à l’égard des blessures causées par les vaccins avant qu’elles ne nous frappent comme une tonne de briques ? En effet, c’est le cas, tout comme l’article du Times of India sur la superstar des célébrités et fou de fitness, Puneeth Rajkumar, décédé il y a quelques jours d’un arrêt cardiaque. Il avait 46 ans. Selon le Times of India :

« La mort soudaine de Rajkumar a une fois de plus mis en évidence les dangers auxquels sont confrontés de nombreux trentenaires et quadragénaires aujourd’hui, à savoir le risque croissant de maladies cardiaques et d’arrêts cardiaques. […] (Rajkumar) a été victime d’un malaise cardiaque massif alors qu’il faisait de l’exercice dans un gymnase. Connu pour être ouvertement en forme et en bonne santé, Rajkumar avait l’habitude de s’entraîner souvent…

On observe une augmentation choquante du nombre d’arrêts cardiaques chez les jeunes, voire les jeunes de 20 ans. Alors que les maladies cardiaques et les arrêts cardiaques étaient généralement considérés comme des « problèmes de personnes âgées », ce n’est plus le cas et c’est désormais un signe d’alerte auquel les médecins invitent les gens à faire attention. […]

En raison de la pandémie, les médecins ont également souligné que la préoccupation pour les questions liées à la santé cardiaque a été repoussée, et il est maintenant plus probable qu’avant que les gens souffrent de crises cardiaques et d’arrêts cardiaques silencieux »9.

A-t-on l’impression que les médias ont accepté leur rôle de complice d’une extermination de masse ou est-ce une exagération ?

Quoi qu’il en soit, nous pouvons nous attendre à voir un déluge d’articles similaires surgir partout dans un avenir proche. Des articles comme celui-ci :

« L’activité physique peut augmenter le risque de crise cardiaque, selon une étude – Les nouvelles conclusions ne l’emportent pas sur les bienfaits de l’exercice, soulignent les chercheurs », The Irish Times.

Ou ceci :

« Les crises cardiaques chez les jeunes sont en augmentation », The Hindu

Ou encore ceci :

« Le nombre de crises cardiaques a augmenté en 2021, l’âge n’étant pas une barrière ; voici ce qui en est à l’origine », cnbctv18.

Vous voyez ce qui se passe ? Ces articles à l’emporte-pièce ont tous été concoctés dans le même but : faire croire au public que la vague extraordinaire de décès chez les jeunes en bonne santé est tout à fait normale. (« Rien à voir ici. Circulez ») Mais, bien sûr, rien de tout cela n’est normal. Tout est effroyablement bizarre et choquant, et c’est pourquoi nous nous concentrons tant sur les décès excessifs et la mortalité toutes causes confondues. Car nous pensons qu’ils fourniront les preuves dont nous avons besoin pour démontrer que le vaccin est un élément essentiel du programme de dépopulation de l’élite visant à réduire la population mondiale de milliards de personnes. Nous croyons toujours que c’est ce qui se passe réellement. Les grands argentiers ont décidé d’éradiquer quelques milliards d’entre nous, les cafards, pour avoir plus de place pour garer leurs Learjets. Il se trouve qu’ils ont opté pour le vaccin comme alternative « moins salissante » que de nous faucher dans les rues avec des mitrailleuses. Non pas qu’ils perdent le sommeil à cause de ça.

Alors, comment se passe le plan, vous demandez ? Regardez ça :

« Selon les statistiques de mortalité toutes causes confondues, le nombre d’Américains décédés entre janvier 2021 et août 2021 est supérieur de 18% au taux de mortalité moyen entre 2015 et 2019 ».

Et voici un extrait d’un article qui a extrait ses données d’une recherche plus diversifiée. Jetez-y un coup d’œil :

« La piqûre COVID est-elle responsable de la surmortalité ?…

Matthew Crawford, de la lettre d’information Rounding the Earth, a examiné les statistiques de mortalité avant et après le déploiement des piqûres de COVID… Crawford poursuit en examinant les données de pays où l’adoption du vaccin est importante tout en ayant simultanément des taux très faibles de COVID-19. De cette manière, il est possible de se faire une meilleure idée de la question de savoir si les injections anti-covid pourraient être responsables de la surmortalité, par opposition à l’infection elle-même.

Il a identifié 23 pays qui répondent à ce critère, représentant 1,88 milliard d’individus, soit environ un quart de la population mondiale […] Crawford procède à un certain nombre d’ajustements afin d’éliminer les valeurs aberrantes susceptibles de fausser les ensembles de données, (mais) après avoir éliminé les nations dont le nombre de décès dus au COVID était supérieur à 100 par million avant leur programme de vaccination, il est parvenu à 13 pays représentant une population combinée de 354 millions d’habitants […]

Il est remarquable de constater que le nombre de décès dus au COVID dans ces 13 pays est 11,61 fois plus élevé après la vaccination qu’avant le déploiement des vaccins. Dans cinq de ces 13 pays, 90% des décès dus au COVID-19 ont été enregistrés après le début des campagnes de vaccination.

“À première vue, ces résultats renforcent l’idée que les vaccins expérimentaux tuent des gens”, écrit Crawford. “À tout le moins, il s’agit d’un signal de sécurité dramatique de plus qui devrait inciter les autorités qui se soucient de notre santé à se réunir pour discuter de la manière d’affiner les données qu’elles n’analysent pas, à la connaissance de tous…” »10.

Intéressant, non ? Donc, si vous prenez les pays où il n’y a pas beaucoup de virus, et que vous inoculez quand même une tonne de personnes, alors vous pouvez vraiment voir combien de personnes sont tuées par le vaccin. Au moins 10 fois plus !

En revanche, dans les pays où la propagation virale est importante, les effets néfastes du vaccin sont beaucoup moins visibles. Mais quelle que soit la manière dont on la décrit, la protéine spike érode l’infrastructure vitale du corps, affaiblissant le système vasculaire, tuant les cellules saines et les mitochondries, épuisant les lymphocytes tueurs et court-circuitant le système immunitaire. Les répercussions de cette attaque féroce peuvent prendre la forme d’une myriade d’affections qui se développent inévitablement à partir d’un système circulatoire ravagé par un agent pathogène : arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire, auto-immunité, etc. À l’heure actuelle, les crises cardiaques semblent être en tête de liste. Consultez ce bref article du Dr Peter McCullough :

« Le monde est maintenant témoin d’une pandémie de crises cardiaques N-STEMI causées par des caillots sanguins.

Un certain type de crise cardiaque est en augmentation dans le monde entier. En Écosse, les professionnels de la santé ont constaté une forte augmentation d’un type de crise cardiaque potentiellement mortel appelé crise N-STEMI. Cette affection résulte de l’obstruction partielle d’une artère qui coupe l’approvisionnement en sang du cœur. Elle présente moins de lésions tissulaires qu’une crise STEMI classique, mais peut être tout aussi fatale […] Les cas de crise STEMI sont restés stables pendant des années, (mais) ils ont récemment augmenté… Au cours de l’été, l’hôpital a dû augmenter son nombre de lits de cardiologie de 44%, car les travailleurs de la santé de première ligne ont dû faire face à une demande accrue de patients victimes de crises cardiaques ».

Une pandémie de crises cardiaques provoquée par une injection cytotoxique qui inflige des dommages à ses victimes, qu’elles meurent ou non. Est-ce là un résumé exact du vaccin contre le Covid-19 ?

Oui. Voici plus d’informations de The Expose :

« Les données disponibles auprès du Centre de Contrôle des Maladies aux États-Unis montrent que depuis le lancement du programme de vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis, les décès dus à des “résultats cliniques anormaux non classés ailleurs” ont augmenté de manière exponentielle par rapport aux niveaux de vaccination antérieurs au Covid-19 […]

Les décès de cette catégorie comprennent les cas pour lesquels aucun diagnostic plus spécifique n’a pu être posé… ou les symptômes étaient difficiles à déterminer… ou les cas ont été référés ailleurs.

[…] le nombre de décès dus à des résultats cliniques anormaux […] a maintenu une moyenne stable d’un peu plus de 1000 par semaine depuis février 2020, et était également à ces niveaux avant que la prétendue pandémie ne frappe les États-Unis. Cependant, vers la fin du mois de mars et le début du mois d’avril 2021, le nombre de décès anormaux enregistrés par semaine a soudainement augmenté… pour atteindre plus de 7000 par semaine à la mi-septembre, ce qui représente une augmentation de 600% par rapport à la moyenne observée chaque semaine avant le début du déploiement de la vaccination Covid-19.

La question est bien sûr : pourquoi ?

[…] La seule chose que des millions de personnes ont en commun depuis que les décès anormaux ont commencé à augmenter par rapport à la moyenne attendue, c’est que des millions de personnes ont reçu une injection expérimentale, pour laquelle il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme permettant de savoir quelles en seront les conséquences.

Les données officielles du CDC suggèrent que les conséquences d’un déploiement expérimental massif de la vaccination sont une augmentation choquante et brutale du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées »11

Cet article est cohérent avec les nombreuses histoires que nous avons entendues de la part d’infirmières rapportant des patients présentant des symptômes inhabituels qui échappent au diagnostic traditionnel. Cela ne devrait pas être surprenant étant donné les propriétés uniques de la protéine spike dont l’attaque furtive du système vasculaire a déjà déclenché un tsunami de maladies cardiovasculaires, neurologiques et immunologiques comme on n’en a jamais vu auparavant. Tous ces décès peuvent être attribués à un « poison mortel » qui augmente sans cesse la mortalité toutes causes confondues tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes. Si vous en doutez, jetez un coup d’œil au nombre d’athlètes qui meurent peu après avoir reçu une injection. C’est une histoire qui ne peut que déprimer tout être humain normal.

Voir ici : « Une vague de sportifs dans le monde souffrant de problèmes de santé inhabituelles », Not The Beeb.com.

Regardez également cette vidéo éclairante de 2 minutes qui traite de l’arrêt cardiaque et de notre système bidon de notification des blessures dues aux vaccins. (VAERS)

Le Dr Mike Yeadon a résumé les récents développements dans un commentaire qu’il a posté sur le Morningstar Channel la semaine dernière. Il a déclaré :

« Il n’y a pas de fin logique … si ce n’est la tyrannie totalitaire … et la dépopulation massive … Certains collègues sont d’accord avec la partie tyrannie, mais rechignent sur la partie dépopulation. (Mais) Les preuves l’indiquent fermement ».

En effet.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International


[Références]

  1. « L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont maintenant 30% au-dessus de la normale », Alex Berenson Substack
  2. « Il n’y a pas que le Royaume-Uni ; les décès, toutes causes confondues, sont également bien supérieurs à la normale en Allemagne (80% des adultes sont entièrement vaccinés », Alex Berenson Substack
  3. « La véritable pandémie vient de commencer, et il s’agit des crises cardiaques provoquées par les vaccins anti-covid chez les jeunes », Lifesite News
  4. « Les vaccins sont-ils à l’origine des décès excessifs en Écosse, demande un professeur de biologie », The Daily Skeptic
  5. « Des milliers de personnes de plus que d’habitude meurent… mais ce n’est pas à cause du Covid », Telegraph
  6. « Des divergences et des incohérences dans les ensembles de données du gouvernement britannique compromettent l’exactitude des comparaisons des taux de mortalité entre les vaccinés et les non-vaccinés »
  7. « Les urgences sont maintenant submergées de patients gravement malades – mais beaucoup n’ont même pas le COVID », NPR
  8. « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans », New York Post
  9. « L’acteur kannada Puneeth Rajkumar meurt à 46 ans, il a souffert d’un grave arrêt cardiaque alors qu’il faisait de l’exercice », Times of India
  10. « Les vaccins COVID sont-ils responsables de la hausse de la mortalité ? », Mercola.com
  11. « Investigation : Les données officielles du CDC montrent une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées depuis le début des vaccinations Covid-19 », The Expose



« Régime coercitif » – Le vrai visage du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Kla.TV]






Je ne sais plus où et quand je me suis perdu… Avant j’étais médecin, avant j’avais une éthique, avant je ne tuais pas…

Par Alain Tortosa

« Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est purement fortuite. »

NDLR

Je sors d’un direct de plus sur une chaîne « d’informations » et je ne compte plus mes interventions. J’ai l’impression de passer plus de temps dans les taxis et sur les plateaux télé que dans mon service. En même temps, comme dirait notre Président, pour ce que j’y fais, cela ne changerait pas grand-chose.

Toute l’équipe m’a congratulé une fois de plus… les journalistes, les techniciens, le rédacteur en chef… Ils semblent heureux, ils semblent apprécier le « grand » médecin et professeur que je suis.

Me voici dans la salle de démaquillage, je me vois dans le miroir… en fait non, je ne me vois plus, je vois une image, mais ce n’est plus moi… juste un pantin éteint sans âme qui vient de jouer la même scène macabre une fois de plus.

Pendant « l’interview », les « journalistes » buvaient mes mots comme des paroles d’évangile. Comme d’habitude aucun d’entre eux n’a émis le moindre questionnement ni la moindre réflexion pouvant mettre en doute mes propos. Ils se contentaient d’en rajouter une couche… Si moi je me suis perdu, que dire de ces robots décérébrés imbus d’eux-mêmes ?

Rendez-vous compte que je leur ai affirmé que ces injections étaient parfaitement tolérées, pas le moindre effet secondaire grave ! Je leur dirais que les injectés ont vu leur cancer disparaître qu’ils approuveraient sans sourciller.

Tout passe !
Hier Véran a dit qu’il n’y avait aucun mort d’une injection et ça passe comme une lettre à la poste. Les « vérificateurs de l’information », comme ils se nomment, ont fait une démonstration magistrale !

« Il n’y a aucun mort parce qu’il ne peut pas être prouvé que le vaccin soit la cause du décès. »

L’autre jour, j’ai vu arriver aux urgences un homme de 30 ans sportif, sans antécédent, qui est décédé sous mes yeux 30 minutes après sa « dose »… un de plus. Ah, ils ont raison, il n’y a pas de preuves, car il faudrait remonter le temps et voir si il serait décédé sans l’injection, la belle affaire.

Quant aux effets secondaires, c’est extraordinaire… nous n’avons même plus besoin de faire pression pour empêcher les médecins du service de les déclarer. Ils savent qu’ils ont intérêt à se taire pour ne pas compromettre leur carrière. Et à ce stade, ils ne font même plus le lien entre les injections et les effets qui se produisent dans les heures ou jours qui suivent. Leur cerveau est en dissociation.

Je suis bien tranquille pour ma fin de carrière et je sais que je vais pouvoir encore monter en grade. Le directeur de l’hôpital m’a dit que nous avions reçu une subvention de 30 millions d’euros d’un laboratoire pharmaceutique et que d’autres suivront ! Une « chance » inespérée… mais pour qui, pour quoi ? Pour s’en mettre plein les poches ?

Et voilà j’en suis à dire sur les plateaux qu’il n’y a aucun effet secondaire des vaccins ! Mon service croule de patients hospitalisés et je fais semblant d’ignorer que la majorité de ces personnes sont vaccinées et qu’avant, soit elles allaient bien, soit leur maladie chronique était stabilisée avant leur injection… J’en suis même à dire, sans être perturbé, que leurs défenses immunitaires sont affaiblies par le masque.

Et je rajoute quoi devant les médias ? Qu’il ne faut surtout pas se relâcher, qu’il faut porter le masque et que le remettre aux enfants est totalement indispensable ! Je me dégoûte, nous masquons des enfants quand nous n’en portons que devant le public ou les médias. Je peux aussi dire avec un aplomb terrible qu’il y a des enfants hospitalisés pour Covid dans l’hôpital. C’est sûr, ils ont le Covid, ou disons plutôt que quelqu’un a inscrit Covid dans leur dossier, et puis c’est toujours ça de gagné pour les entrées d’argent de l’hôpital. Une « omission » de plus devant les médias quand « j’oublierai » de parler de leur maladie de cœur, de leur leucémie ou de leur obésité morbide. Ah il a bon dos le Covid !

Et c’est ainsi que je n’hésite pas à affirmer que le Covid touche aussi les enfants, que le vaccin ne présente aucun danger pour eux et qu’il faut absolument les vacciner pour… protéger les vaccinés !

Existe-t-il ce journaliste qui va me faire taire ? Existe-t-il ce journaliste qui va vouloir se rendre dans mon service et regarder les dossiers médicaux quand j’ose affirmer que 90 % des patients Covid ne sont pas vaccinés ?! Tu m’étonnes qu’il n’y a que des non-vaccinés, on se garde bien de faire des tests sur les vaccinés…

Demain on va passer le message de nos services « saturés » par des vaccinés deux doses et qu’il faut donc faire la troisième qui « protège » et ce, sans contradicteurs. Quand ce sera l’heure de la quatrième dose, on parlera alors des services saturés par les vaccinés trois doses et ce dans l’indifférence générale des médias.

Attention, j’insiste bien dans ces médias pour que l’on ne parle pas de 3e dose, mais de « rappel » et même de « booster ». J’en suis même à dire que c’est aussi la procédure standard pour de nombreux vaccins comme celui de la tuberculose. Qu’il est tout à fait « classique » et même « habituel » pour un vaccin de ne pas bloquer les contaminations et ne pas prévenir de tomber malade… Nous sommes abreuvés depuis des dizaines d’années sur le « vaccin solidaire », celui qui sauve des vies et j’ose dire (une vérité ?) que l’absence de protection contre les contaminations est un classique chez les vaccins. Tout passe, je vous le dis, je peux tout dire et ils gobent tout avec bonheur.

Ils croient même que je m’informe, que je lis les études, que je passe des heures alors que j’ai acquis mon « savoir » en écoutant la radio dans le taxi qui menait au studio d’enregistrement. Je n’en sais pas plus ou pas moins, question de point de vue, que l’AFP ! C’est d’autant plus « drôle » que je n’hésite pas à cracher sur mes confrères complotistes dont je sais pertinemment qu’ils investissent leur temps et leur intelligence dans une démarche scientifique.

Et oui, mais eux n’ont pas droit de cité… Une affirmation scientifique, fruit d’un travail de longue haleine, étayée par des preuves, que je balaye d’un simple mot : « Mensonge ! » et le tour est joué pour les discréditer.

Je ne sais plus quand je me suis perdu… quand j’ai renoncé à voir mes patients comme des êtres humains, mais comme une rente viagère.

Est-ce quand je me suis mis à prescrire des « nouvelles » molécules trois fois plus chères dans lesquelles les laboratoires avaient ajouté un peu de vitamines à la formulation précédente qui allait tomber dans le domaine public et devenir un générique ? En même temps, comme dirait l’autre, si ce n’était pas moi qui faisais la promotion de ces « médicaments », un autre confrère aux dents longues s’en chargerait… Alors, autant profiter de quinze jours de vacances, pardon de « séminaire », aux Caraïbes. Ou est-ce quand j’ai renoncé à guérir pour faire de chaque humain un « malade » à vie avec un traitement ?
Je ne suis plus médecin, je suis un VRP, un commercial au service de la mauvaise santé chronique cité en exemple par ses pairs.

Les années précédentes, je passais dans les médias en disant que mon service était saturé par la grippe, service qu’il fallait bien que je remplisse avec n’importe qui pour ne pas risquer la fermeture de lits l’année suivante. Que voulez-vous, il faut bien faire tourner l’usine… Le service qui a le plus de personnels sera bientôt celui de la branche « croissance et optimisation »… Les administratifs étant depuis belle lurette plus nombreux que les soignants. Et quand je dis « soignants », je rigole. Ils passent la moitié de leur temps sur leur ordinateur à saisir des données pour prouver la « qualité » des soins. Parfois j’ai l’impression de vivre en URSS à l’époque ou elle produisait sur le papier de quoi nourrir trois fois la planète entière alors que le peuple crevait de faim. Ah! il peut être fier le directeur, ah il peut être fier le ministre de la Santé ! Nous sommes les meilleurs !

Que reste-t-il de mes illusions, de mes valeurs ? J’en suis là aujourd’hui, devant des plateaux télé, à me réjouir de l’interdiction faite à des médecins de prescrire des molécules de plusieurs dizaines d’années. J’ose même dire qu’elles sont (devenues) dangereuses (tout en étant prescrites tous les jours à des dizaines de milliers de patients, mais pour d’autres pathologies).

Qui aurait pu croire que j’eusse pu tomber si bas !

J’ose me réjouir devant les médias de l’interdiction de travailler pour des confrères qui n’ont pas un vrai faux passe-sanitaire… comme moi. Rendez-vous compte, ces « mauvaises » personnes « égoïstes et complotistes » menacent la santé des patients vaccinés… ben voyons ! Les héros d’hier sont devenus les salauds d’aujourd’hui. Tous ces bons Français qui les applaudissaient seraient prêts à les tondre sur la place publique pour garantir leur « sécurité ».

Il n’y a pas UN journaliste mainstream pour noter que le manque dramatique de postes et la fermeture de services sont aussi liés à cette obligation vaccinale !

Je ne cherche plus à soulager la souffrance, je ne cherche plus à soigner, je ne cherche plus à guérir…

J’explique à mes employés qu’il faut passer un minimum de temps avec les patients, que l’on est pas là pour papoter avec eux, que nous devons être « efficaces ».

30 ans d’études et d’exercice de la médecine pour donner du paracétamol qui, au mieux, ne fera pas empirer les symptômes d’un malade Covid et dont la toxicité est largement documentée. Puis de l’oxygène à forte dose histoire de bien faire exploser les alvéoles pulmonaires et si ce n’est pas suffisant, un petit coup de Rivotril pour terminer le patient grabataire !

Je suis un « bon » praticien qui s’empêche de vomir dès qu’il se regarde.

Officiellement, grâce à cela, je ne suis pas une « pourriture » comme certains de mes confrères, ceux qui « osent » donner de l’hydroxychloroquine, des antibiotiques ou de l’Ivermectine à leurs patients qui en auraient besoin plutôt que rester spectateur (ou même acteur) de leur mort.

Nous pouvons être vraiment « fiers » de disposer d’un Conseil de l’Ordre qui les poursuit aujourd’hui pour « exercice de la médecine ».

Des siècles de recherche, des siècles de lumière, des siècles de déontologie pour en arriver à punir celles et ceux qui n’ont pas trahi leur serment ! Sartre disait que l’enfer c’est les autres alors que l’enfer c’est moi-même.

Je me suis à ce point perdu que j’en suis à recommander l’injection d’ARNm totalement expérimental chez des enfants et des bébés en bonne santé dont je sais bien qu’ils ne font JAMAIS de formes graves de Covid ! Ne vous méprenez pas, je me garde bien de dire aux journalistes que cette technique est expérimentale. Bien au contraire, je rassure en disant qu’elle est utilisée sans risque depuis des dizaines d’années. De toutes les façons, si c’est pour mentir tout passe. Seule la vérité est devenue totalement prohibée.

Ah ! j’en ai vu des jeunes enfants en bonne santé mourir de la grippe, mais pas un seul du Covid ! J’ai beau me mentir pour m’éviter de vomir tous les matins, je sais bien, comme TOUS les professionnels de santé, que ce gentil Covid n’est pas une maladie pédiatrique. Mais cela ne m’empêche pas ni mes illustres confrères « respectables », de dire le contraire et de parler de ce fameux Covid long.

Je suis abject au point de dire que personne ne connaît le devenir sur 10 ou 20 ans d’enfants qui ont attrapé le Covid comme si nous pouvions connaître les conséquences à long terme des injections expérimentales ! Et quand on voit les dégâts actuels, difficile d’être optimiste sur ce long terme.

J’envoie donc des enfants vers l’injection dont je sais pertinemment que certains vont faire des réactions graves et même mourir pour une minorité d’entre eux. Et ce alors que je sais et que j’ose même dire à la télé que le vaccin n’empêche pas la contamination. Êtes-vous conscients de l’absurdité criminelle de ma démarche ?

Injecter des enfants en bas âge en bonne santé d’un produit expérimental dangereux qui au mieux les protégerait d’une forme grave qu’ils ne font jamais, et ce dans le but officiel de protéger des personnes en fin de vie, tout en sachant que cette injection ne les empêchera pas de les contaminer !

Non seulement ce délire n’est pas contredit par le moindre journaliste, journaliste qui censure la parole des professionnels qui eux n’ont pas perdu leur dignité. Pire encore, cette folie est amplifiée à l’infinie comme une « démarche à la fois éthique et efficace » pour lutter contre le Covid. Covid que le réseau Sentinelles ne voit même plus dans les consultations des généralistes !

Primum non nocere [D’abord ne pas nuire] qu’ils disaient ? Trop drôle !

Après des adultes en bonne santé, j’envoie désormais à la mort des enfants avec strictement aucun bénéfice personnel ni même d’un point de vue de la santé publique.

Et tout ce que je risque, c’est une Légion d’honneur remise des mains par ce « Président » à la solde des entreprises pharmaceutiques et autres maîtres du monde !

Heureusement, j’arrive suffisamment à me mentir à moi-même certains jours pour croire en mes mensonges avec l’aide de l’OMS, des politiques, des médecins médiatiques et des journalistes qui répètent tous la même chose, « preuve » en est que les « autres » ne sont que des complotistes !

Je ne sais pas si je serai rattrapé un jour par la justice des hommes, mais s’il y a un enfer, je me suis acheté un billet de première classe ! Et ce n’est pas des avions privés qu’il faudra affréter vers l’enfer, mais des charters entiers, tant nous sommes nombreux à avoir du sang sur les mains.

Alain Tortosa.(([1] Fiction ?))

9 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211109-j-ai-vendu-mon-ame-au-diable.pdf




Julie Ponesse, professeur d’éthique, sur la politique COVID : « La plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés »

[Source : Le blog de Jeanne Smits]

Je vous propose aujourd’hui la traduction intégrale de l’intervention publique d’un professeur d’éthique canadien, Julie Ponesse, lors d’une réunion de The Democracy Fund. Le Dr Ponesse a été licenciée pour faute en septembre pour avoir refusé le vaccin expérimental COVID exigé par son employeur, Western University au Canada. Son appel à la résistance est un modèle du genre.

La retranscription de son intervention originale en anglais a été publiée ici par le Brownstone Institute.

J’aurais sans doute quelques points de désaccord avec cette femme remarquable (notamment au sujet de la démocratie – il faisait sûrement meilleur être sujet de Louis IX que citoyen sous Macron ! – et de son choix de personnalités ; ainsi Margaret Mead dont elle invoque une remarque intéressante et vraie a ouvert la voie à la révolution sexuelle des années 1960) mais nous pouvons tous partager l’essentiel de son message. – J.S.

Jeanne Smits


Revenez quelques années en arrière, à l’automne 2019, par exemple. Que faisiez-vous alors ? À quoi ressemblait votre vie ? A quoi teniez-vous alors ? De quoi aviez-vous le plus peur ? Comment imaginiez-vous l’avenir ?

Voilà la personne avec laquelle j’aimerais parler pendant les 15 prochaines minutes, et je commencerai par ma propre histoire ; à la fin, j’aurai une faveur à demander et un petit secret à partager.

À l’automne 2019, j’étais professeur d’éthique et de philosophie antique ; j’enseignais aux étudiants la pensée critique et l’importance de la réflexion personnelle, comment poser de bonnes questions et évaluer les preuves, comment apprendre du passé et pourquoi la démocratie exige la vertu civique.

Faisons un accéléré au 16 septembre 2021, date à laquelle j’ai reçu une lettre de « licenciement avec motif » après avoir contesté, et refusé de respecter, la vaccination obligatoire imposée par mon employeur. J’ai été licenciée pour avoir fait exactement ce pour quoi j’avais été engagé. J’étais un professeur d’éthique qui remettait en question ce que je considérais comme une exigence contraire à l’éthique. Il ne faut pas chercher bien loin pour voir l’ironie de la chose.

Le Canada est régi par des lois qui sont fondées sur l’éthique. On pourrait dire que l’éthique est le fondement de notre démocratie.

« Le droit de déterminer ce qui doit ou ne doit pas être fait avec son propre corps, et d’être libre vis-à-vis des traitements médicaux non consensuels, est un droit profondément ancré dans notre système de common law. »

Ces mots ne sont pas de moi ; ce sont ceux du juge Sydney Robins de la Cour d’appel de l’Ontario.

À de très rares exceptions près, le corps de chaque personne est considéré comme inviolable dans le droit canadien, et c’est l’éthique sous-jacente du Code de Nuremberg, la promesse faite à l’humanité que nous n’autoriserions plus jamais des prises de décision médicale non informée et non volontaire, même pour le bien du patient, et même au nom du bien public.

Par définition, la vaccination obligatoire est une stratégie d’immunisation coercitive : en l’absence de coercition – la menace de perdre son emploi, par exemple – les gens accepteraient volontairement de faire ce que le mandat tente de réaliser !

Aujourd’hui, les employeurs prennent nos carrières en otage et nous privent de notre participation à l’économie et à la vie publique. Leur justification est suivante :

« Nous sommes en pleine pandémie, et nous devons donc renoncer à l’autonomie de notre corps au nom du bien public. »

Parlons donc un peu d’autonomie et de bien public.

En cas d’urgence, le Parlement et les législatures provinciales disposent d’un pouvoir limité pour adopter des lois qui violent certains droits de la Charte au nom du bien public. Mais, pour justifier ces violations, la vaccination obligatoire devrait satisfaire à un seuil d’exigence très élevé : il faudrait, par exemple, que le COVID-19, soit un agent pathogène très virulent pour lequel il n’existe aucun traitement adéquat, et l’efficacité et la sécurité des vaccins devraient être démontrées.

L’état actuel des choses au Canada ne répond à aucun de ces critères.

Considérons les faits suivants :

1) le COVID-19 a un taux de fatalité par rapport à l’infection qui ne représente même pas 1 % de celui de la variole (et il pose encore moins de risque pour les enfants) ;

2) il existe un certain nombre de produits pharmaceutiques sûrs et très efficaces pour le traiter (notamment des anticorps monoclonaux, l’Ivermectine, la fluvoxamine, la vitamine D et le zinc) ;

3) ET les vaccins ont fait l’objet de plus d’événements indésirables (y compris d’innombrables décès) que tous les autres vaccins sur le marché au cours des 30 dernières années.

À la lumière de ces faits, je me pose de nombreuses questions :

  • Pourquoi les vaccinés se voient-ils accorder des passeports vaccinaux et l’accès aux espaces publics, alors que le directeur du CDC a déclaré que les vaccins COVID-19 ne peuvent pas empêcher la transmission ?
  • Pourquoi la vaccination est-elle la SEULE stratégie d’atténuation alors que les preuves émergentes (y compris une étude récente de Harvard) ne mettent en évidence aucune relation perceptible entre le taux de vaccination et les nouveaux cas ?
  • Pourquoi notre gouvernement continue-t-il de ne pas recommander l’ivermectine comme traitement, alors que les National Institutes of Health des États-Unis le soutiennent et que l’État d’Uttar Pradesh, en Inde, l’a distribué à ses 230 millions d’habitants, réduisant ainsi son taux de mortalité liée au COVID à près de zéro ? Comment l’Inde a-t-elle pu dépasser le Canada en matière de soins de santé ?
  • Pourquoi sommes-nous sur le point de vacciner des enfants de 5 ans alors que le COVID présente pour eux moins de risques que les réactions potentielles aux vaccins ET alors qu’il n’existe AUCUN système de surveillance efficace des vaccins ?
  • Pourquoi nous concentrons-nous sur les avantages limités de l’immunité induite par le vaccin alors que des études dans le monde réel montrent que l’immunité naturelle est plus protectrice, plus puissante et plus durable ?
  • Pourquoi flétrissons-nous ceux qui hésitent à se faire vacciner et non ceux qui veulent imposer le vaccin à tout prix ?
  • « Pourquoi, comme l’a récemment demandé une infirmière, les personnes protégées doivent-elles être protégées des personnes non protégées en contraignant ces dernières à utiliser une protection qui de toute façon n’a pas protégé les personnes protégées ? »

À tous les égards et sous tous les angles, ce château de cartes est sur le point de s’effondrer…

Mais la question qui m’intéresse est de savoir pourquoi il ne s’est pas déjà effondré ? Pourquoi ces questions ne font-elles pas la une de tous les grands journaux du Canada chaque jour ?

Les bonnes personnes n’ont-elles tout simplement pas vu les bonnes données ? S’agit-il simplement d’une erreur administrative… à l’échelle mondiale ?

Qu’est-il donc arrivé à nos dirigeants ? Notre premier ministre a lancé le cri de guerre : « Ne croyez pas que vous monterez dans un avion », a-t-il menacé. Les promesses de campagne sont devenues des politiques publiques ségrégationnistes. Notre gouvernement nous encourage quotidiennement à nous diviser et à être haineux.

Comment les choses ont-elles pu changer si radicalement ? Comment nous, Canadiens, avons-nous pu changer aussi radicalement ?

J’observe que nous sommes confrontés à une pandémie, non pas seulement d’un virus, mais d’une pandémie de conformisme et de complaisance, dans une culture du silence, de la censure et de l’intimidation institutionnalisée.

Les médias mainstream aiment à dire que nous menons une « guerre de l’information » : que la désinformation, et même le questionnement et le doute, ont été les fléaux de cette pandémie.

Mais ce n’est pas seulement l’information qui a été instrumentalisée comme arme, dans cette guerre ; c’est aussi le droit d’une personne à penser par elle-même.

J’ai entendu dire : « Eh bien, je n’y connais pas grand-chose en virus, donc je ne devrais pas vraiment avoir d’opinion », mais…

La question n’est pas de savoir si vous en savez plus sur la virologie que nos responsables de la santé publique ; la question est de savoir pourquoi nous ne leur reprochons pas tous de ne pas être prêts à s’engager sur la voie des preuves et à débattre avec celui qui a une opinion différente.

Nous devrions demander non pas un résultat, mais le rétablissement d’un processus.

Sans ce processus, nous n’avons pas de science, nous n’avons pas de démocratie.

Sans ce processus, nous sommes dans une espèce de guerre morale.

Mais, les guerres du passé avaient des frontières claires et nettes : l’Est et l’Ouest, les patriotes et le gouvernement.

La guerre où nous nous trouvons aujourd’hui est une guerre d’infiltration et non d’invasion, d’intimidation et non de libre choix, de forces psychologiques si insidieuses que nous en venons à croire que les idées sont les nôtres et que nous y faisons notre devoir en abandonnant nos droits.

Comme l’a dit récemment un sage collègue :

« C’est une guerre qui porte sur le rôle du gouvernement. Il s’agit de notre liberté de penser et de poser des questions, et de savoir si l’autonomie individuelle peut être réduite à un privilège conditionnel ou si elle demeure un droit. C’est une guerre qui vise à déterminer si vous devez rester un citoyen ou devenir un sujet. Il s’agit de savoir à qui vous appartenez… à vous-même ou à l’État. »

Elle porte sur le point où nous établissons la ligne de démarcation.

Il n’est pas question ici de libéraux et de conservateurs, de pro et d’anti-vaxx, d’experts et de profanes. Chacun a le devoir de se soucier de la vérité, chacun devrait se soucier des processus scientifiques et démocratiques, chacun devrait se soucier des autres.

Je dirais qu’il n’y a pas grand-chose à faire pour assurer la survie de notre nation si notre liberté de débattre, de critiquer, d’exiger des preuves quant à ce que notre gouvernement nous demande, ne survit pas avec elle.

En tant que personne née dans les années 70, je n’ai jamais pensé que je devrais mener CE type de guerre ; que le droit à l’autonomie corporelle, à l’échange libre et transparent d’informations serait menacé.

Pensez un instant aux horreurs les plus inimaginables du siècle dernier – la « solution finale », l’apartheid sud-africain, les génocides rwandais et cambodgiens. Ne sommes-nous pas censés nous souvenir des atrocités du passé pour ne pas les répéter ? Eh bien, la mémoire est courte, les chaînes familiales sont brisées, les nouveaux soucis éclipsent les anciens, et les leçons du passé se perdent dans l’histoire ancienne pour être oubliées.

Aujourd’hui, les vaccinés semblent jouir de tous les droits et privilèges d’une société civilisée : liberté de mouvement, accès à l’éducation, approbation des gouvernements, des législateurs, des journalistes, des amis et de la famille. La vaccination est le ticket pour un retour CONDITIONNEL de notre droit à participer à la société canadienne.

Mais comme l’a dit John F Kennedy :

« Les droits de chaque homme sont diminués lorsque les droits d’un seul homme sont menacés. »

CONCLUSION :

Je n’ai aucun doute sur le fait que COVID-19 est la plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés ; non pas à cause d’un virus ; celui-ci n’est qu’un chapitre d’une histoire beaucoup plus longue et complexe ; mais à cause de notre réponse à ce virus.

Et cette réponse est en train, je crois, de gagner sa place dans tous les manuels d’éthique médicale qui seront publiés au cours du siècle prochain.

Que pouvons-nous faire ?

Comme l’a dit le chimiste et auteur canadien Orlando Battista, « Une erreur ne devient une faute que lorsque vous refusez de la corriger. »

Dans notre monde, la politesse, « se débrouiller », « passer sous le radar » semblent être devenus les seuls objectifs. Finis les révolutionnaires des années 60, finis les patriotes de l’Amérique primitive. Nous sommes les victimes – et les soldats – d’une pandémie du conformisme.

Mais le conformisme n’est pas une vertu, il n’est pas neutre, et il n’est certainement pas inoffensif.

Lorsque Hannah Arendt a couvert le procès d’Adolf Eichmann pour le New Yorker en 1961, elle s’attendait à trouver un homme complexe, arrogant, diabolique, voire psychotique. Elle a trouvé tout le contraire. Elle a été frappée par son « caractère très ordinaire ». Il était « terriblement normal, terrifiant dans sa normalité », écrit-elle, un homme qui « ne faisait que suivre les ordres », comme il le répétait sans cesse. Ce qu’elle a découvert, c’est ce qu’elle a appelé la « banalité du mal », la tendance irréfléchie des gens ordinaires à obéir aux ordres afin de se conformer sans penser par eux-mêmes.

Les messages dédaigneux et bien rodés de nos responsables de la santé publique ont créé une machine très efficace qui ne publie pas ses preuves et ne s’engage pas dans un débat, mais émet des ordres que nous suivons avec empressement. Avec l’aide des médias, ses erreurs sont cachées, ses politiques ne sont pas remises en question et ses dissidents réduits au silence.

Comment briser ce silence ? Comment retrouver la raison et reconstruire notre démocratie ? Il est peut-être temps de faire un peu de bruit. Des études ont prouvé qu’une fois qu’une idée est adoptée par seulement 10 % de la population, c’est le point de basculement où les idées, opinions et croyances seront rapidement adoptées par les autres. Un 10 % qui parle, un 10 % qui fait du bruit, il n’en faut pas plus.

La démocratie, « le règne du peuple », ne permet pas seulement la liberté d’expression et de recherche, elle l’exige.

Et le petit secret que je vous ai promis au début ? Le voici : vous n’êtes PAS une mauvaise personne parce que vous exigez des preuves, vous n’êtes pas une mauvaise personne parce que vous faites confiance à votre instinct, et vous n’êtes pas une mauvaise personne parce que vous voulez penser par vous-même. En réalité, c’est le contraire qui est vrai.

Si la perte de la justice vous inquiète, si le genre de vie que pourront mener nos enfants vous fait du souci, si vous voulez retrouver votre pays – le pays qui était autrefois l’envie du monde entier – c’est maintenant qu’il faut agir. Il n’y a pas de raison d’attendre, vous ne pouvez pas vous offrir le luxe d’attendre, ou trouver des excuses. C’est maintenant que nous avons besoin de vous.

C’est maintenant qu’il faut appeler nos politiciens et écrire à nos journaux. C’est le moment de protester, c’est le moment de contester et même de désobéir à notre gouvernement.

Comme l’a dit Margaret Mead :

« Ne doutez jamais qu’un petit groupe de citoyens réfléchis et engagés puisse changer le monde ; en fait, c’est la seule chose qui y soit jamais parvenue. »

En d’autres termes, vous n’avez pas besoin d’une tribu de héros, d’une masse de héros, d’un pays de héros. Il ne vous en faut qu’un seul. Vous pouvez apporter votre contribution et vous POUVEZ faire la différence. Les pilotes de Southwest Airlines, la police montée canadienne, les infirmières du University Health Network font tous une différence.

Et cette faveur que je devais vous demander ? Nous avons besoin de héros maintenant plus que jamais. Notre démocratie demande des volontaires… Serez-vous un héros, pour notre pays, pour nos enfants ? Ferez-vous partie des 10 % qui font du bruit ?

Dr Julie Ponesse,
Discours du 28 octobre 2021
pour “The Democracy Fund”

© leblogdejeannesmits pour la traduction.




Le nazisme d’aujourd’hui et ses trois nouvelles branches (néo-léninisme, djihadisme, scientisme hygiéniste)

Par Lucien Samir Oulahbib

Contrairement aux idées reçues, le nazisme originel reprochait moins au marxisme et au bolchevisme leur critique acerbe du capitalisme et du libéralisme, mais le fait qu’ils oubliaient d’en dénoncer le caractère essentiellement « juif » (abordé tout de même par Marx dans sa « Question juive ») ; d’où la dénonciation du « judéo-bolchevisme » qui aurait détourné, trahi en quelque sorte les idéaux communs antilibéraux au sens d’assujettir l’individu à l’État « national » prolétarien que devient aussi d’un certain côté l’URSS de Staline (« socialisme dans un seul pays »), d’où les accointances entre ce dernier et Hitler. Staline avait d’ailleurs permis à ce que secrètement les forces spéciales allemandes s’entraînent sur le sol russe, tout en faisant de plus en plus la chasse aux juifs (quitte à leur reconnaître le droit d’avoir un « État » en 1947, tout en aboutissant, en 53, au dit « complot des blouses blanches »).

Aujourd’hui, le fait que de plus en plus les individus soient classés et attaqués, y compris violemment, en fonction de leur couleur de peau, de leur position critique vis-à-vis de l’islam (islamophobie), du climat (« négationnisme »), de la santé (complotisme et conspirationnisme) relève finalement d’une idéologie globale. On peut caractériser dorénavant et également celle-ci de (néo)nazie au sens non pas dudit « point Godwin », mais du fait qu’elle ne regroupe pas seulement des suprématistes « blancs ». Cependant, elle représente aussi tout courant qui met en avant une couleur de peau et une « conception du monde » aux préceptes sacralisés et dont la critique nécessite une répression sévère, voire annihilante, comme le réclame de plus en plus ce qu’il est possible de nommer désormais (puisqu’elle abat ses cartes) la néonazie-sphère française dont par exemple un Patrick Cohen, un Christian Barbier, un certain « Tonneau » (percé), une Annie Hidalgo et tant d’autres (tels ces remugles staliniens sortis d’un Jurassic Park « déconstruit ») en sont de plus en plus les chantres aux propos violents et de plus en plus exterminateurs.

Cette néonazie-sphère encourage par exemple le fait d’attaquer violemment des réunions qu’elles soient liés à une rencontre autour du climat comme récemment en Allemagne, autour de la liberté de critiquer l’islam (comme l’indique Didier Lemaire), sans oublier bien sûr les attaques incessantes à l’encontre des réunions de Zemmour (encouragées par Hidalgo), de Marine Le Pen (mais aussi naguère à l’encontre des déplacements de Sarkozy lorsqu’il tenait des propos fermes sur ces sujets). Elle encourage aussi la diabolisation accentuée envers tous ceux qui critiquent la montée en puissance du scientisme hygiéniste symbolisée par la mise à l’Index des professeurs de médecine Perronne et Raoult et la manipulation statistique à marche forcée à l’encontre des traitements précoces et des chiffres réels sur LA maladie, et les effets secondaires liés aux injections expérimentales actuelles (Médiapart en tchékiste patenté par exemple).

Ces exemples montrent de plus en plus plusieurs choses : d’une part une méconnaissance globale (vu le niveau intellectuel de plus en plus faible des « élites » animant cette néonazie-sphère) des idéologies de leurs racines et leur manifestation, d’autre part le fait que ces dernières évoluent, se transforment et passent dans leur contraire supposé.

Ainsi droite, extrême droite, fascisme, nazisme ne sont pas divers points s’accentuant d’un même continuum contrairement à ce que la vulgate stalinienne et sartrienne a pu ébaucher dans les années 30-60. Schématiquement énoncé, la droite en ses diverses composantes s’appuie également et en premier lieu sur la notion de liberté plus ou moins « ouverte » ou « mixte » (au sens aristotélicien) selon les tendances. Alors que ladite extrême droite rompt totalement avec cette idée d’ouverture, préfère plutôt la fermeture en la justifiant par les notions de tradition non plus évolutive, mais rigide, débouchant sur la préservation impérieuse du socle ethnique « originel », le tout en tentant de dépasser les césures élite/peuple, gauche/droite dans une conception du « social » bien plus étatiste que nationaliste en réalité. En effet, ce qui a pu donner le fascisme, le nazisme et le pétainisme (ces trois branches ayant chacune leur spécificité) se rassemble autour de deux idées fortes : extirper l’idée de liberté au sein du « social » afin de mieux protéger l’ethnie, collectiviser peu à peu toute la société civile en plaçant à sa tête des éléments sûrs afin de renforcer l’ethnie, et, pour ce faire, éliminer tout élément étranger au socle ethnique fondamental en particulier les juifs pour le nazisme et dans une certaine mesure pour le fascisme et le pétainisme, car si ces derniers avaient pour objet d’écarter les juifs y compris « nationaux » des affaires de l’État, ils ne voulaient pas les liquider comme le firent les nazis (et les staliniens d’un certain côté), même si à la toute fin du régime de Vichy le poids grandissant de la Milice fait que Laval se fait directement complice de l’extermination, rompant dans ce cas avec les courants maurrassiens anti-germains qui préférèrent peu à peu s’agréger à la mouvance gaullienne.

Le néo-léninisme, le djihadisme et le scientisme hygiéniste ressuscitent en quelque sorte, avec des nuances bien sûr, le socle fondamental du nazisme basé sur le remplacement (des juifs par les Aryens), l’épuration (mise à l’écart des écrits jugés contraires à l’enseignement officiel), l’assainissement (mise à l’écart de populations susceptibles de contaminer celles qui sont déclarées « saines » et qu’il faut protéger).

Ces trois branches agrégées désormais au néonazisme vont en effet appuyer le remplacement des autochtones par des « indigénistes » qui ainsi se vengent du supposé mal « absolu » des premiers. Elles vont également réclamer, exiger et finalement obtenir peu à peu l’effacement de tout ce qui peut rappeler un passé glorieux puisqu’il est censé avoir été établi uniquement par la domination et la servitude. Et d’autre part, ces trois branches vont, dans la foulée, réclamer, exiger et finalement obtenir de plus en plus l’épuration des administrations et des institutions de la « société civile », en particulier de tout élément hostile à leur idéologie globale basée de plus en plus sur la couleur de peau, le catastrophisme multiforme, et l’hygiénisme scientiste, ce triptyque fondamental du nazisme canal historique :

« (…)il existe entre nous et les bolchevistes plus de points communs que de divergences, et tout d’abord le véritable esprit révolutionnaire que l’on trouve en Russie comme chez nous, partout du moins où les marxistes juifs ne mènent pas le jeu. J’ai toujours tenu compte de cette vérité et c’est pourquoi j’ai donné l’ordre d’accepter immédiatement dans le parti tous les ex-communistes. Les petits-bourgeois sociaux-démocrates et les bonzes des syndicats ne pourront jamais devenir de véritables nationaux-socialistes ; les communistes toujours. » (Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, Paris, éditions Pluriel, 1979, pp. 190-191).

Traduit aujourd’hui, cela implique la convergence effective de ces trois branches (néo-léninisme, djihadisme hygiénisme, scientiste affairiste), ne serait-ce le fait qu’aucune exaction djihadiste n’est formellement non pas « condamnée », mais expliquée dans ses profondeurs (sinon par le « déséquilibre » et la « mauvaise » lecture de l’islam dans le texte), y compris lorsque des délits et crimes mériteraient bien plus que des propositions de circonstance (« agrandir les trottoirs », « leur laisser le temps d’apprendre nos codes »). Idem pour le catastrophisme dit « écologiste » censé être l’apanage du seul « Occident », alors que le président du régime maoïste, premier pollueur de la planète, n’était même pas présent à leur cérémonie annuelle et que les chiffres sont tout autant truqués qu’exagérés. Et même chose pour l’hygiénisme scientiste qui aujourd’hui cherche également à masquer son affairisme exacerbé par des menaces supplémentaires de ségrégation et d’internement, bref, de purification biologique, et ce malgré les scandales à répétition (caviardage, truquage, expérimentations sauvages ou à la va-vite à l’instar du Pfizergate). Le tout permet d’écarter tout élément qui refuse d’appartenir à cette nouvelle race métaphysique néonazie dont le néo-léninisme et le catastrophisme sont les branches actives et qui peuvent même afficher des visages d’ange alors que par exemple les « violences faites aux femmes » dénoncées par ces derniers ne désignent jamais leurs alliés objectifs du djihadisme qui, comme le dit Didier Lemaire, pousse pourtant ses victimes à s’exclure, à fuir dans une sorte d’émigration intérieure si elles ne veulent pas être violentées ou poussées au suicide (comme pour Mila encore actuellement).

Aussi faut-il être de plus en plus sans concession : si l’on vous traite de « facho » rétorquez « néonazi » — tendance djihadiste, hygiéniste, néo-léniniste — c’est selon, tout dépend de la prothèse milicienne qui viendra perturber votre geste de citoyen français, celui de débattre, de critiquer, d’applaudir qui bon vous semble. Ne vous laissez surtout pas intimider par des créatures qui certes vont vous rétorquer qu’il n’y a ni Goulag ni Shoah, sauf que d’une part ces horreurs n’apparaissent ni en 17 ni en 33, et que les assassinats djihadistes atteignent désormais plus de cent mille tués au niveau mondial, et d’autre part la forme d’extermination que peut prendre ce néonazisme peut être plus subtile basée par exemple sur l’implosion, la soumission, le démembrement, l’autodestruction, l’expérimentation queer et autres injections le tout sur plusieurs années voire décennies…




L’empire de la haute finance avale les institutions supranationales et s’installe, au nom du climat

[Source : Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Direction GFANZ ; Source : GFANZ

Quand les PDG de BlackRock, de la City, de la Bank of America, de Banco Santander, de HSBC, du London Stock Exchange Group, Singapore Exchange, et du Fonds David Rockefeller se réunissent en 2021, ils s’entendent sur la nouvelle structure de Planète Finance post-Covid. Et idéalement, ils fusionnent avec les institutions supragouvernementales qu’ils ont manipulées à l’envi depuis les Accords de Bretton Woods.

Les banquiers centraux se sont joints à la fête de la City-Wall Street!

Et les banquiers centraux profitant de la méconnaissance du grand public de leurs tours de passe-passe, ont servi de courroie de transmission des liquidités locales vers ces ultra-puissants qui sont finalement leurs futurs patrons. Je vous remets des graphiques incroyablement scandaleux qui n’émeuvent pas grand monde qui montrent comment elles ont récupéré les réserves des banques sous prétexte de sécurité. En clair, on a forcé les banques à se doter de montagnes de liquidités et de titres de très haute qualité, puis à les déposer auprès de la banque centrale.

Regardez comment les banques centrales influencent les capitalisations boursières et l’enrichissement démesuré d’une poignée d’élus

Forte d’immenses volumes à la fois de liquidités et d’actifs financiers, Planète Finance se dote d’une gouvernance financière mondiale ultra-puissante.

Une idéologie fasciste décrite par Mussolini.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/04/leurope-entre-dans-une-ere-fasciste-et-dit-adieu-aux-libertes-individuelles-france/

La gouvernance mondiale du Nouveau Modèle est centrée sur la finance.

Ces individus cités ci-dessus, leurs associés et alliés forment LA gouvernance mondiale. Le pouvoir politique de gouvernants est « has been » dans la mesure où les Etats, les territoires, les compagnies, les individus ont perdu le contrôle de leurs outils de production, de leurs richesses, de leurs ressources naturelles, etc. Regardez ce qu’écrivait en 1970 Zbigniew Brzezinski:

BETWEEN TWO AGES, America’s Role in the Technetronic Era, Zbigniew Brzezinski, 1970

La 1WorldCompany, l’aboutissement d’une guerre livrée aux Etats publics et aux citoyens.

Cette idéologie qui met la finance au centre de la vie publique est en train de finir de faire la guerre aux Etats, aux marchés ouverts, aux citoyens. Et cette idéologie d’essence nazie a mis à terre la démocratie et avec elle le principe de la dignité humaine.

Vous n’avez plus rien et ils ont tout.

La Dépossession est à un tel stade qu’il est à craindre même pour la suffisance alimentaire décente, autre que des asticots et autres ignominies vantées par les suppôts du système baalien.

Bref, l’élite financière anglo-saxonne n’a plus besoin de se cacher derrière le tigre américain pour conquérir le monde. Elle est en train de le laisser tomber pour assumer enfin aux yeux de tous son immense puissance qui a été installée grâce à la techno-usure portée à son paroxysme.

Un grand merci aux banques centrales sans lesquelles ceci n’aurait jamais pu avoir lieu.

LHK

L’Alliance des banquiers soutenue par l’ONU annonce un plan « vert » pour transformer le système financier mondial. Whitney Webb

Les intérêts financiers privés les plus puissants du monde, sous le couvert de la COP26, ont élaboré un plan pour transformer le système financier mondial en fusionnant avec des institutions comme la Banque mondiale et en les utilisant pour éroder davantage la souveraineté nationale dans le monde en développement.

Mercredi, une alliance « dirigée par l’industrie et convoquée par l’ONU » d’institutions bancaires et financières privées a  annoncé des plans à la conférence COP26 pour remanier le rôle des institutions financières mondiales et régionales, y compris la Banque mondiale et le FMI, dans le cadre d’un plan plus large visant à « transformer » le système financier mondial.

L’objectif officiellement déclaré de cette refonte proposée, par les membres de l’alliance, est de promouvoir la transition vers une économie « net-zéro ». Cependant, la « réimagination » proposée par le groupe des institutions financières internationales (IFI), selon leur « rapport d’étape » récemment publié, permettrait également de fusionner ces institutions avec les intérêts bancaires privés qui composent l’alliance ;

créer un nouveau système de « gouvernance financière mondiale »;

et éroder la souveraineté nationale parmi les pays en développement en les forçant à établir des environnements commerciaux jugés « favorables » aux intérêts des membres de l’alliance. En d’autres termes,les puissants intérêts bancaires qui composent ce groupe poussent à recréer l’ensemble du système financier mondial à leur profit sous prétexte de promouvoir la durabilité.

Cette alliance, appelée Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ), a été lancée en avril par John Kerry, envoyé spécial du président américain pour le changement climatique ; Janet Yellen, secrétaire américaine au Trésor et ancienne présidente de la Réserve fédérale ; et Mark Carney, l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’action et le financement climatiques et ancien président de la Banque d’Angleterre et de la Banque du Canada. Carney, qui est également le conseiller financier du Premier ministre britannique pour la conférence COP26, copréside actuellement l’alliance avec le milliardaire américain et ancien maire de New York, Michael Bloomberg. 

Lors de sa création, GFANZ a déclaré qu’il « fournirait un forum de coordination stratégique entre les dirigeants des institutions financières de l’ensemble du secteur financier pour accélérer la transition vers une économie nette zéro » et

« mobiliser les trillions de dollars nécessaires » pour accomplir les objectifs du groupe. objectifs zéro émission.

Au moment du lancement de l’alliance, le Premier ministre britannique Boris Johnson a décrit GFANZ comme « unissant les banques et les institutions financières du monde derrière la transition mondiale vers le zéro net », tandis que John Kerry a noté que « les plus grands acteurs financiers du monde reconnaissent que la transition énergétique représente un vaste opportunité commerciale.

En analysant ces deux déclarations ensemble, il semble clair que GFANZ a uni les banques privées et les institutions financières les plus puissantes du monde derrière ce qu’elles considèrent, avant tout, comme« une vaste opportunité commerciale », dont ils commercialisent leur exploitation comme un « impératif planétaire ».

John Kerry en conversation avec Christine Amanpour de CNN à la COP 26 ; Source : CNN

GFANZ est composé de plusieurs « alliances sous-sectorielles », dont la Net Zero Asset Managers Initiative ( NZAM ), la Net Zero Asset Owner Alliance ( NZAOA ) et la Net Zero Banking Alliance ( NZBA ). Ensemble, ils contrôlent une part formidable des intérêts bancaires et financiers privés mondiaux, la NZBA à elle seule représentant actuellement  43%  de tous les actifs bancaires mondiaux. Cependant, les « plus grands acteurs financiers » qui  dominent GFANZ  comprennent les PDG de BlackRock, Citi, Bank of America, Banco Santander et HSBC, ainsi que David Schwimmer, PDG du London Stock Exchange Group et Nili Gilbert, président du comité d’investissement. du Fonds David Rockefeller. 

Notamment, une autre entité liée à Rockefeller, la Fondation Rockefeller, a  récemment joué un rôle central  dans la création de Natural Asset Corporations (NAC) en septembre. Ces NAC cherchent à créer une nouvelle classe d’actifs qui mettrait en vente le monde naturel, ainsi que les processus écologiques qui sous-tendent toute vie, sous prétexte de les « protéger ». Les directeurs de GFANZ, dont Larry Fink de BlackRock, sont depuis longtemps enthousiasmés par les perspectives des NAC et d’autres efforts connexes pour financiariser le monde naturel et il a également joué un rôle clé dans la promotion de cette financiarisation comme nécessaire pour lutter contre le changement climatique.

Dans le cadre de la COP26, GFANZ – un groupe clé à cette conférence – publie un plan visant à augmenter « les flux de capitaux privés vers les économies émergentes et en développement ». Selon le communiqué de presse de l’alliance , ce plan se concentre sur « le développement de plates-formes nationales pour connecter le capital privé désormais énorme engagé à zéro net avec des projets nationaux, en augmentant le financement mixte par le biais des BMD [banques de développement multilatérales] et en développant des marchés mondiaux du carbone crédibles et à haute intégrité ». Le communiqué de presse note que cet « énorme capital privé » est de l’argent que les membres de l’alliance cherchent à investir dans les pays émergents et en développement, estimé à plus de 130 000 milliards de dollars, et que – afin de déployer ces milliers de milliards en investissement – ​​« le système financier mondial est en train d’être transformés » par cette alliance même en coordination avec le groupe qui les a convoqués, les Nations Unies.

Proposer une reprise

Les détails du plan de GFANZ visant à déployer des milliers de milliards d’investissements de membres dans les marchés émergents et les pays en développement ont été publiés dans le premier « rapport d’étape » de l’alliance , dont la publication a été programmée pour coïncider avec la conférence COP26. Le rapport détaille le « plan de travail et les ambitions à court terme » de l’alliance, que l’alliance résume succinctement comme un « programme de travail pour transformer le système financier ».

Le rapport note que l’alliance est passée du stade « d’engagement » au stade « d’engagement », avec l’objectif principal de l’étape d’engagement étant la « mobilisation de capitaux privés dans les marchés émergents et les pays en développement par le biais du leadership du secteur privé et du secteur public. collaboration privée. Ce faisant, selon le rapport, GFANZ cherche à créer « une architecture financière internationale » qui augmentera les niveaux d’investissement privé des membres de l’alliance dans ces économies. Leurs principaux objectifs à cet égard tournent autour de la création de « plates-formes nationales ambitieuses » et d’une collaboration accrue entre les BMD et le secteur financier privé.

Rapport d’avancement GFANZ

Selon GFANZ, une « plate-forme nationale » est  définie comme  un mécanisme qui réunit et aligne les « parties prenantes », c’est-à-dire un mécanisme de partenariat public-privé/capitalisme des parties prenantes, « autour d’un problème ou d’une géographie spécifique ». Parmi les exemples proposés, citons la Climate Finance Leadership Initiative  (CFLI) de Mike Bloomberg  , en partenariat avec Goldman Sachs et HSBC, entre autres institutions du secteur privé. Bien qu’ils soient présentés comme étant dirigés par des « parties prenantes », les exemples existants de « plates-formes nationales » offerts par le GFANZ sont soit des initiatives dirigées par le secteur privé, comme le FCIL, soit des partenariats public-privé dominés par de puissantes sociétés multinationales et des milliardaires.

Comme  expliqué récemment par le journaliste et chercheur Iain Davis, ces modèles de mécanismes de « capitalisme des parties prenantes » – bien que présentés comme offrant une forme de capitalisme « plus responsable » – permettent plutôt aux entreprises et aux entités privées de participer à la formation des régulations qui régissent leurs propres marchés et de leur donner un rôle considérablement accru dans la prise de décision politique en les plaçant sur un pied d’égalité avec les gouvernements nationaux. C’est essentiellement une manière créative de commercialiser le « corporatisme », la définition du fascisme tristement célèbre par le dictateur italien Benito Mussolini.

En plus de la création de « plates-formes nationales » « corporatistes » qui se concentrent sur des domaines et/ou des problèmes spécifiques dans le monde en développement, GFANZ vise également à « corporatiser » davantage les banques multilatérales de développement (BMD) et les institutions de financement du développement (IFD) afin pour mieux atteindre les objectifs d’investissement des membres de l’alliance. Selon l’alliance, cela est décrit comme une augmentation de la « collaboration MBD-secteur privé ».  Le rapport GFANZ  note que « les BMD jouent un rôle essentiel en aidant à accroître les flux d’investissement » dans le monde en développement. Les BMD, comme la Banque mondiale,  ont longtemps été critiquées pour avoir accompli cette tâche en piégeant les pays en développement dans la dette, puis en utilisant cette dette pour forcer ces pays à déréglementer les marchés (en particulier les marchés financiers), à privatiser les actifs de l’État et à mettre en œuvre des politiques d’austérité impopulaires.  Le rapport GFANZ  indique clairement que l’alliance cherche maintenant à utiliser ces mêmes tactiques controversées des BMD en forçant une déréglementation encore plus grande sur les pays en développement pour faciliter les investissements « verts » des membres de l’alliance.

Le rapport  indique explicitement  que les BMD devraient être utilisées pour inciter les pays en développement « à créer les bons environnements propices de haut niveau et transversaux » pour les investissements des membres de l’alliance dans ces pays. Les niveaux nettement plus élevés d’investissement en capital privé, qui sont nécessaires pour atteindre Net-Zero par GFANZ, exigent que les BMD soient utilisées pour inciter les pays en développement à « établir des environnements commerciaux propices aux investissements ; un cadre reproductible pour le déploiement des investissements de capitaux privés ; et des pipelines d’opportunités d’investissement bancables. GFANZ note ensuite que « les capitaux et les investissements privés iront à ces projets si les gouvernements et les décideurs créent les conditions appropriées », c’est-à-dire des environnements propices aux investissements du secteur privé. 

En d’autres termes, à travers l’augmentation proposée de l’implication du secteur privé dans les BMD, comme la Banque mondiale et les banques régionales de développement, les membres de l’alliance cherchent à utiliser les BMD pour imposer à l’échelle mondiale une déréglementation massive et étendue aux pays en développement en utilisant la poussée de décarbonation comme justification. Les BMD ne doivent plus piéger les pays en développement dans la dette pour forcer des politiques qui profitent aux entités étrangères et multinationales du secteur privé, car les justifications liées au changement climatique peuvent désormais être utilisées aux mêmes fins. 

Le PDG de BlackRock et directeur de GFANZ, Larry Fink, s’entretient avec CNBC pendant la COP26 ; Source : CNBC

Cette nouvelle modalité pour les BMD, ainsi que leur fusion avec le secteur privé, est finalement ce que GFANZ propose en termes de « ré-imaginer » ces institutions. GFANZ principal et chef de la direction de BlackRock Larry Fink, au cours  d’ un panel de COP26  qui a eu lieu le 2 Novembre e , explicitement fait référence au plan de refonte de ces institutions quand il a dit que: « Si nous voulons être sérieux au sujet du changement climatique dans les pays émergents , nous allons devoir vraiment nous concentrer sur la réimagination de la Banque mondiale et du FMI.

Fink  continua :

« Ils sont le prêteur principal, et il n’y a pas assez de capitaux privés qui entrent dans le monde émergent aujourd’hui en raison des risques associés au risque politique, en investissant dans des investissements dans les friches industrielles – si nous voulons vraiment augmenter le capital d’investissement dans le monde émergent… J’exhorte les propriétaires de ces institutions, les actionnaires, de se concentrer sur la façon dont nous réimaginons ces institutions et repenser leur charte. »

Les plans proposés par GFANZ pour réinventer les BMD sont particulièrement alarmants étant donné que les documents militaires américains divulgués admettent ouvertement que ces banques sont essentiellement des « armes financières » qui ont été utilisées comme « instruments financiers et instruments diplomatiques de la puissance nationale des États-Unis » ainsi que des instruments de ce que ces mêmes les documents se réfèrent au « système de gouvernance mondiale actuel » qui sont utilisés pour forcer les pays en développement à adopter des politiques qu’ils n’auraient pas autrement. 

En outre, compte tenu des déclarations de Fink, il ne devrait pas être surprenant que le rapport GFANZ note que leurs efforts pour établir des « plates-formes nationales » et modifier le fonctionnement et les chartes des BMD sont un élément clé de la mise en œuvre des recommandations pré-planifiées visant à « saisir la nouvelle moment de Bretton Woods » et refaçonner le système de « gouvernance financière mondiale » afin de « promouvoir la stabilité économique et la croissance durable ». 

Comme indiqué dans d’autres documents de GFANZ et sur leur site Web, l’objectif de l’alliance est la transformation du système financier mondial et il ressort clairement des déclarations des membres et des documents de l’alliance que l’objectif de cette transformation est de faciliter les objectifs d’investissement des membres de l’alliance. au-delà de ce qui est actuellement possible en utilisant les diktats liés au changement climatique, par opposition à la dette, comme moyen à cette fin.

L’ONU et la « Révolution tranquille »

À la lumière de l’adhésion de GFANZ et de leurs ambitions, certains peuvent se demander pourquoi les Nations Unies soutiendraient une telle initiative prédatrice. Les Nations Unies, après tout, ne travaillent-elles pas principalement avec les gouvernements nationaux par opposition aux intérêts du secteur privé ?

Bien que ce soit certainement la perception publique dominante de l’ONU, l’organisation a – pendant des décennies – suivi un modèle de « capitalisation des parties prenantes » qui privilégie le secteur privé et les « philanthropes » milliardaires par rapport aux gouvernements nationaux, ces derniers étant simplement chargés de créer « » environnements favorables » pour les politiques créées par et au profit des premiers. 

S’adressant au Forum économique mondial en 1998, le secrétaire général de l’ONU de l’époque, Kofi Annan,  a clairement exprimé ce changement :

« L’ONU s’est transformée depuis notre dernière rencontre ici à Davos. L’Organisation a subi une refonte complète que j’ai qualifiée de « révolution tranquille »… Un changement fondamental s’est produit. Les Nations Unies ne traitaient autrefois qu’avec les gouvernements. À présent, nous savons que la paix et la prospérité ne peuvent être atteintes sans des partenariats impliquant les gouvernements, les organisations internationales, le monde des affaires et la société civile… Les affaires des Nations Unies impliquent les entreprises du monde.

L’ONU étant désormais essentiellement un véhicule pour la promotion du capitalisme des parties prenantes, il est tout à fait normal qu’elle « convoque » et soutienne les efforts d’un groupe comme GFANZ pour étendre ce modèle de capitalisme des parties prenantes à d’autres institutions impliquées dans la gouvernance mondiale, en particulier la finance mondiale. gouvernance. Permettre aux membres de GFANZ, c’est-à-dire bon nombre des plus grandes banques privées et institutions financières du monde, de fusionner avec les BMD, de refaire le « système de gouvernance financière mondiale » et d’acquérir un contrôle accru sur les décisions politiques dans le monde émergent est le rêve d’un banquier devenu réalité. Pour en arriver là, tout ce dont ils ont eu besoin est de convaincre suffisamment de la population mondiale que de tels changements sont nécessaires en raison de l’urgence perçue du changement climatique et de la nécessité de décarboniser rapidement l’économie. Pourtant, s’il est mis en pratique,ce qui en résultera n’est guère un monde « plus vert », mais un monde dominé par une petite élite financière et technocratique qui est libre de profiter et de piller à la fois le « capital naturel » et le « capital humain » comme bon lui semble. 

Aujourd’hui, les BMD sont utilisées comme des « instruments de pouvoir » qui utilisent la dette pour forcer les pays en développement à mettre en œuvre des politiques qui profitent aux intérêts étrangers, et non à leurs intérêts nationaux. Si GFANZ réussit, les BMD de demain seront essentiellement utilisées pour éliminer la souveraineté nationale,  privatiser les « actifs naturels »  (par exemple, les écosystèmes, les processus écologiques) du monde en développement et imposer des politiques de plus en plus technocratiques conçues par les institutions de gouvernance mondiale et les groupes de réflexion sur populations de plus en plus défavorisées. 

Bien que GFANZ se soit enveloppé d’une rhétorique noble de « sauver la planète », leurs plans se résument finalement à un coup d’État dirigé par les entreprises qui rendra le système financier mondial encore plus corrompu et prédateur et réduira davantage la souveraineté des gouvernements nationaux dans le monde en développement.

Auteur Whitney Webb

UN-Backed Banker Alliance Announces “Green” Plan to Transform the Global Financial System




Lettre ouverte à Mr le Président de la République, Emmanuel Macron cc à Mr le Premier Ministre, Jean Castex

Par Nicole et Gérard Delépine

lettre ouverte au president de la république 7 NOV 21 def

Le 7 novembre 2021

Nous supposons que vos équipes vous informent quotidiennement de l’évolution de l’épidémie covid. Néanmoins, au vu des chiffres officiels de santé publique France et du réseau sentinelles, nous nous permettons de vous adresser le point que nous avons établi, en tant que cliniciens, tant sur l’épidémie en Europe que dans notre pays.

Au vu de ces résultats, nous sommes convaincus que vous pourrez rassurer les Français afin qu’ils reprennent une vie de plus en plus normale, favorable à l’économie mais aussi à l’état psychologique de tous.  Nous vous remercions de votre attention.

L’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels.  Voici les éléments factuels (derniers chiffres de l’OMS et courbes de OurWorldinData).(([1]  Tous les chiffres et courbes publiés sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par OurWorldinData et peuvent également être retrouvées en tapant OurWorldinData covid suivi du nom du pays en anglais))

Mr Castex a donné les chiffres globaux d’IRA (insuffisance respiratoire aigüe) mais peu sont liés à covid (4 pour 100000). Les média citent les « décès du jour » mais omettent de relativiser par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts covid versus mortalité journalière en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux…

En France, le nombre de cas lié au covid est globalement bas et stable.

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,0009. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20000 cas) anglais (40000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles(([2] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr) )) d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, réponse que donne le réseau sentinelle.

Les chiffres du réseau sentinelle montrent que l’épidémie covid est terminée

D’après le réseau Sentinelles(([3] Le réseau sentinelle officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.

La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.)), l’incidence est inférieure  à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100.000 habitants en 2016)

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas  aux infections liées au covid mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aigues (taux  fixé plus  bas qu’avant 2020).

En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021) :

Publié le 03/11/2021

le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de ´ COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 ´ [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les ´ enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter une circulation des rhinovirus (hRV),
virus respiratoire syncytial (VRS),
métapneumovirus (hMPV) 
la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en ´ Ile-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en ´ Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau sentinelles. »

Les chiffres de mortalité de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2% de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’institut Pasteur, jusqu’ici toujours démenties par les faits.

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère que la précédente. C’est le cas du variant delta dont la forte circulation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens démontrent que l’épidémie est terminée en Europe de l’Ouest et en Scandinavie.

Merci Mr le Président d’avoir parcouru ce document qui démontre que la crise covid est passée dans notre pays. Nous restons à votre entière disposition pour tout complément d’information.

Avec notre respect.

N. Delépine pédiatre cancérologue et G. Delépine chirurgien oncologue et statisticien





Étude sur les raisons qui ont poussé les Luxembourgeois à se laisser vacciner contre la Covid-19 et sur la réalité du nombre de personnes ayant eu des effets secondaires après avoir opté pour cet acte irréversible

[Source : efvv.eu]




Ubérisation de la politique et grand effondrement

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Infographie : l’ubérisation en 15 secteurs | Observatoire Uberisation et Economie Collaborative]

Par Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal

Zemmour, Macron, LREM, RN, LR, LFI… Nous nous approchons de ces élections dérisoires et nous découvrons de nouveaux partis politiques, vite créés, bâclés et usagés. La destruction en règle de la France depuis Chirac-Sarkozy-Lagarde concerne aussi les partis politiques. Elle gagne les services publics, l’hôpital et tout le reste et reflète notre vie ordinaire : nous sombrons dans le modèle Blade runner décrit par Ridley Scott il y a quarante ans (voyez mon livre), soit la misère et la précarité pendant qu’au sommet s’édifient des fortunes colossales qui ne se basent sur rien mais organisent notre dystopie parce qu’elles contrôlent notre mental (voyez le livre de ma femme sur Dick). Tesla devient la première marque vendue en Europe.

Rappelons ce que notre encyclopédie polyvalente et elle-même ubérisée (Wikipédia donc) nous dit de l’ubérisation :

L’ubérisation (du nom de l’entreprise Uber), ou la plateformisation, est un phénomène récent dans le domaine de l’économie consistant en l’utilisation de services permettant aux professionnels et aux clients de se mettre en contact direct, de manière quasi instantanée, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies.

Toute cette technologie américaine réorganise le monde et nos sociétés, se vante Wikipédia :

La mutualisation de la gestion administrative et des infrastructures lourdes permet notamment de réduire le coût de revient de ce type de service ainsi que les poids des formalités pour les usagers. Les moyens technologiques permettant l’ubérisation sont la généralisation du haut débit, de l’internet mobile, des smartphones et de la géolocalisation.

C’est la fin du modèle des Trente Glorieuses, se vante  notre encyclopédie :

Ce modèle d’organisation du travail repose sur le travail à la tâche et s’oppose de fait à celui reconnu depuis des générations, et particulièrement depuis les Trente Glorieuses, c’est-à-dire le monde fixe et réglementé du salariat. L’ubérisation s’inscrit de manière plus large dans le cadre d’une branche intégrée au marché de l’économie à la tâche.

Le mot « ubérisation » vient du grand patron de Publicis qui soumit la presse dans les années 80 :

Le terme « ubérisation » est un néologisme, popularisé en francophonie par Maurice Lévy après un entretien accordé au Financial Times en décembre 2014. Le terme provient de l’entreprise Uber qui a généralisé à l’échelle planétaire un service de voiture de tourisme avec chauffeur entrant directement en concurrence avec les taxis.

La blague fut de nous faire croire que le taxi Uber est moins cher que nos taxis de la Marne ou leurs successeurs disparus. La fin de tout professionnalisme et de toute compétence est la clé du système : d’où la nullité des personnels politiques, diplomatiques et même militaires. Mais quand on rêve de grand effondrement…

Les caractéristiques de ce service sont en premier lieu les gains financiers importants liés à l’évitement des contraintes réglementaires et législatives de la concurrence classique (l’acquisition d’une licence de taxi dans le cadre d’Uber), mais aussi la quasi-instantanéité, la mutualisation de ressources et la faible part d’infrastructure lourde (bureaux, services supports, etc.) dans le coût du service, ainsi que la maîtrise des outils numériques.

On voit aussi ce que donne la fin des infrastructures lourdes chères à ces imbéciles : l’effondrement de l’infrastructure dans tous les pays occidentaux (USA, France, Allemagne).

[Note de Joseph Stroberg : si certaines élites semblent apprécier de passer par le chaos pour achever la construction de leur Nouvel Ordre Mondial, le résultat pourrait être bien différent de celui de leurs attentes, surtout si cet ordre lui-même subit un violent choc en retour. Au lieu d’asservir l’Homme et d’enchaîner l’Humanité à la machine, cela pourrait en fait aboutir à la libération de la Créativité et à la floraison de la Conscience : un nouveau ciel et une nouvelle terre pour une Humanité rénovée, souveraine depuis l’individu jusqu’à sa totalité, en conformité cette fois avec le dessein cosmique.]

Le Petit Larousse est lui-même euphorique sur le sujet :

Le terme « ubérisation » fait son apparition dans le dictionnaire Le Petit Larousse 2017, qui le définit comme : la « remise en cause du modèle économique d’une entreprise ou d’un secteur d’activité par l’arrivée d’un nouvel acteur proposant les mêmes services à des prix moindres, effectués par des indépendants plutôt que des salariés, le plus souvent via des plates-formes de réservation sur Internet.

Encore plus euphorique le Figaro (la presse aussi a été ubérisée, et depuis longtemps encore). Au sujet de l’ubérisation, Guillaume Sarlat explique dans Le Figaro :

L’ubérisation, tout le monde en parle aujourd’hui : tous les business models des grands groupes seraient sur le point d’être disruptés, ubérisés, désintermédiés, commoditisés, en un mot pulvérisés par une multitude de startups beaucoup plus agiles et innovantes.

Retenons le mot de pulvériser. Pour le reste le petit mange-merde du Figaro pulvérise la langue de Malherbe et de Chateaubriand. L’ubérisation amorce le bref règne des pignoufs qui veulent nous amener à un âge technocratique de ténèbres sauce Davos.

On a parlé d’économie à la tâche, alors expliquons :

L’économie à la tâche (de l’anglais gig economy, gig signifiant le concert, on a souvent payé les musiciens d’une soirée une fois le bal terminé) On la désigne aussi sous le nom d’économie à la demande ou économie des petits boulots. C’est un système basé sur des emplois flexibles, temporaires ou indépendants.

La politique est devenue un petit boulot. Chacun opinera et/ou appréciera.
L’optimisme médiatique ajoute :

En 2021, livraison de repas à domicile, voitures avec chauffeur, participation rémunérée à des sondages, micro-tâches d’assistance aux algorithmes, aux réseaux sociaux, aux corrections de données, « l’économie des petits boulots » génère un chiffre d’affaires mondial de 5 000 milliards de dollars.

Un petit bémol :

En 2025, 500 millions de personnes pourraient dépendre pour vivre des petits boulots associés à l’économie à la tâche. La liberté et la simplicité d’accès qui font le succès des plates-formes reposent aujourd’hui sur l’exploitation de ces travailleurs.

Les travailleurs ne sont pas les seuls exploités : les clients et les consommateurs aussi. L’ubérisation de la culture et de l’enseignement ont préparé les jeunes générations à accepter leur condition d’ilote. Le bobo d’aujourd’hui (et sa descendance ruineuse et efflanquée) a la sous-culture média de sa femme de ménage ubérisée.

Cette dégradation du matériel humain préparée depuis quarante ans (voyez ma Lettre ouverte à la vieille race blanche) était la condition sine qua non et le préalable du démantèlement terminal de notre société et de notre patrie. Le mécontentement étant lui-même ubérisé politiquement, la caste de Blade runner a peu de soucis à se faire.

Nicolas Bonnal 




Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »

[Source : La chaîne humaine (lachainehumaine.com)]

Par Jeanne Traduction



Les nouvelles formes de guerre

Les gouvernements occidentaux de l’alliance militaire de l’OTAN développent des tactiques de « guerre cognitive » , utilisant les menaces supposées de la Chine et de la Russie pour justifier la conduite d’une « bataille pour votre cerveau » dans le « domaine humain » , pour « faire de chacun une arme. »

L’OTAN développe de nouvelles formes de guerre pour mener une « bataille pour le cerveau » , comme le dit l’alliance militaire.

Le cartel militaire de l’OTAN dirigé par les États-Unis a testé de nouveaux modes de guerre hybride contre ses adversaires autoproclamés, notamment la guerre économiquela cyberguerrela guerre de l’information et la guerre psychologique.

Aujourd’hui, l’OTAN met au point un tout nouveau type de combat qu’elle a baptisé « guerre cognitive ». Décrite comme une « militarisation des sciences du cerveau« , cette nouvelle méthode consiste à « pirater l’individu » en exploitant « les vulnérabilités du cerveau humain » afin de mettre en œuvre une « ingénierie sociale » plus sophistiquée.

Jusqu’à récemment, l’OTAN avait divisé la guerre en cinq domaines opérationnels différents : air, terre, mer, espace et cyber. Mais avec son développement de stratégies de guerre cognitive, l’alliance militaire discute d’un nouveau niveau, le sixième : le  » domaine humain. « 

Une étude de 2020 parrainée par l’OTAN1 sur cette nouvelle forme de guerre explique clairement : « Alors que les actions menées dans les cinq domaines sont exécutées afin d’avoir un effet sur le domaine humain, l’objectif de la guerre cognitive est de faire de chacun une arme. »

« Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle », souligne le rapport. « Les humains sont le domaine contesté » et « les conflits futurs se produiront probablement parmi les gens numériquement d’abord et physiquement ensuite, à proximité des centres de pouvoir politique et économique. »

Si l’étude soutenue par l’OTAN insiste sur le fait qu’une grande partie de ses recherches sur la guerre cognitive est conçue à des fins défensives, elle concède également que l’alliance militaire développe des tactiques offensives, en déclarant : « L’humain est très souvent la principale vulnérabilité et il convient de le reconnaître afin de protéger le capital humain de l’OTAN, mais aussi de pouvoir tirer parti des vulnérabilités de nos adversaires. »

Dans une révélation qui fait froid dans le dos, le rapport dit explicitement que « l’objectif de la guerre cognitive est de nuire aux sociétés et pas seulement aux militaires. »

Avec des populations civiles entières dans le collimateur de l’OTAN, le rapport souligne que les armées occidentales doivent travailler plus étroitement avec le monde universitaire pour armer les sciences sociales et humaines et aider l’alliance à développer ses capacités de guerre cognitive.

L’étude décrit ce phénomène comme « la militarisation des sciences du cerveau ». Mais il semble évident que le développement de la guerre cognitive par l’OTAN conduira à une militarisation de tous les aspects de la société et de la psychologie humaines, des relations sociales les plus intimes à l’esprit lui même.

Cette militarisation globale de la société se reflète dans le ton paranoïaque du rapport parrainé par l’OTAN, qui met en garde contre « une cinquième colonne intégrée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents ». L’étude indique clairement que ces « concurrents » censés exploiter la conscience des dissidents occidentaux sont la Chine et la Russie.

En d’autres termes, ce document montre que les figures du cartel militaire de l’OTAN considèrent de plus en plus leur propre population nationale comme une menace, craignant que les civils ne soient de potentielles cellules dormantes chinoises ou russes, de redoutables « cinquièmes colonnes » qui remettent en cause la stabilité des « démocraties libérales occidentales. »

Le développement par l’OTAN de nouvelles formes de guerre hybride intervient à un moment où les campagnes militaires des États membres ciblent les populations nationales à un niveau sans précédent.

Le Ottawa Times a rapporté en septembre dernier que le Commandement des opérations conjointes de l’armée canadienne a profité de la pandémie de Covid-19 pour mener une guerre de l’information contre sa propre population, en testant des tactiques de propagande sur des civils canadiens.

Des rapports internes parrainés par l’OTAN suggèrent que cette divulgation ne fait qu’effleurer la surface d’une vague de nouvelles techniques de guerre non conventionnelles employées par les armées occidentales dans le monde entier.

Le Canada accueille le « Défi innovation de l’OTAN » sur la guerre cognitive

Deux fois par an, l’OTAN organise un « événement de terrain » qu’elle qualifie de « défi de l’innovation ». Ces campagnes, organisées alternativement au printemps et à l’automne par les États membres, font appel à des entreprises privées, à des organisations et à des chercheurs pour aider à mettre au point de nouvelles tactiques et technologies pour l’alliance militaire.

Ces défis reflètent l’influence prédominante de l’idéologie néolibérale au sein de l’OTAN, les participants mobilisant le marché libre, les partenariats public-privé et la promesse de prix en espèces pour faire avancer le programme du complexe militaro-industriel.

Le défi Innovation de l’automne 2021 de l’OTAN2 est organisé par le Canada et s’intitule « La menace invisible : Outils pour contrer la guerre cognitive ».

« La guerre cognitive cherche à changer non seulement ce que les gens pensent, mais aussi la façon dont ils agissent », a écrit le gouvernement canadien dans sa déclaration officielle sur le défi. « Les attaques contre le domaine cognitif impliquent l’intégration de capacités de cybernétique, de désinformation/misinformation, de psychologie et d’ingénierie sociale. »

Le communiqué d’Ottawa poursuit : « La guerre cognitive positionne l’esprit comme un espace de combat et un domaine contesté. Son objectif est de semer la dissonance, de susciter des récits contradictoires, de polariser l’opinion et de radicaliser les groupes. La guerre cognitive peut inciter les gens à agir d’une manière qui peut perturber ou fragmenter une société autrement cohésive. »

Des responsables militaires canadiens soutenus par l’OTAN discutent de la guerre cognitive lors d’une table ronde

Un groupe de défense appelé l’Association OTAN du Canada s’est mobilisé pour soutenir ce défi de l’innovation, travaillant en étroite collaboration avec des entrepreneurs militaires pour inciter le secteur privé à investir dans de nouvelles recherches au nom de l’OTAN – et de ses propres résultats.

Bien que l’Association canadienne de l’OTAN (NAOC) soit techniquement une ONG indépendante, sa mission est de promouvoir l’OTAN, et l’organisation se vante sur son site Web : « La NAOC entretient des liens étroits avec le gouvernement du Canada3 , notamment avec Affaires mondiales Canada et le ministère de la Défense nationale. »

Dans le cadre de ses efforts pour promouvoir le Défi d’innovation de l’OTAN du Canada, le NAOC a organisé une table ronde sur la guerre cognitive4 le 5 octobre.

Le chercheur qui a rédigé l’étude définitive sur la guerre cognitive parrainée par l’OTAN en 2020, François du Cluzel, a participé à l’événement, aux côtés d’officiers militaires canadiens soutenus par l’OTAN.

Le panel était supervisé par Robert Baines, président de l’Association OTAN du Canada. Il était animé par Garrick Ngai, un responsable du marketing dans l’industrie de l’armement qui est conseiller auprès du ministère canadien de la Défense nationale et vice-président et directeur du NAOC. 

M. Baines a ouvert l’événement en indiquant que les participants discuteraient de « la guerre cognitive et du nouveau domaine de concurrence, où les acteurs étatiques et non étatiques cherchent à influencer ce que les gens pensent et comment ils agissent ». Le président du NAOC s’est également réjoui des « opportunités lucratives pour les entreprises canadiennes » que promettait ce défi d’innovation de l’OTAN.

Un chercheur de l’OTAN décrit la guerre cognitive comme « un moyen de nuire au cerveau »

Le panel du 5 octobre a débuté avec François du Cluzel, un ancien officier militaire français qui, en 2013, a contribué à la création du NATO Innovation Hub (iHub), qu’il dirige depuis lors depuis sa base de Norfolk, en Virginie.

Bien que l’iHub insiste sur son site Web, pour des raisons juridiques, sur le fait que les « opinions exprimées sur cette plateforme ne constituent pas des points de vue de l’OTAN ou de toute autre organisation », l’organisation est parrainée par le Commandement allié Transformation (ACT), décrit comme « l’un des deux commandements stratégiques à la tête de la structure de commandement militaire de l’OTAN. »

L’iHub agit donc comme une sorte de centre de recherche ou de groupe de réflexion interne à l’OTAN. Ses recherches ne constituent pas nécessairement une politique officielle de l’OTAN, mais elles sont directement soutenues et supervisées par l’OTAN.

En 2020, le commandant suprême allié Transformation (SACT) de l’OTAN a chargé du Cluzel, en tant que responsable de l’iHub, de mener une étude de six mois sur la guerre cognitive.

M. du Cluzel a résumé ses recherches lors du panel d’octobre dernier. Il a commencé ses remarques en notant que la guerre cognitive « est actuellement l’un des sujets les plus chauds pour l’OTAN » et « est devenue un terme récurrent dans la terminologie militaire ces dernières années ».

Bien que français, M. Du Cluzel a souligné que la stratégie de guerre cognitive « est actuellement développée par mon commandement ici à Norfolk, aux États-Unis. »

Le responsable iHub de l’OTAN s’est exprimé à l’aide d’une présentation PowerPoint, et a commencé par une diapositive provocatrice décrivant la guerre cognitive comme « une bataille pour le cerveau. »

« La guerre cognitive est un nouveau concept qui commence dans la sphère de l’information, c’est une sorte de guerre hybride », a déclaré M. du Cluzel.

« Cela commence avec l’hyper-connectivité. Tout le monde a un téléphone portable », a-t-il poursuivi.
« Cela commence par l’information car l’information est, si je puis dire, le carburant de la guerre cognitive. Mais cela va bien au-delà de la seule information, qui est une opération autonome – la guerre de l’information est une opération autonome. »

La guerre cognitive recoupe les entreprises Big Tech et la surveillance de masse, car « il s’agit de tirer parti du big data », explique du Cluzel. « Nous produisons des données partout où nous allons. Chaque minute, chaque seconde, nous allons en ligne. Et c’est extrêmement facile de tirer parti de ces données pour mieux vous connaître et utiliser ces connaissances pour changer votre façon de penser. »

Naturellement, le chercheur de l’OTAN a affirmé que les « adversaires » étrangers sont les agresseurs supposés qui utilisent la guerre cognitive. Mais dans le même temps, il a précisé que l’alliance militaire occidentale mettait au point ses propres tactiques.

Du Cluzel a défini la guerre cognitive comme « l’art d’utiliser des technologies pour modifier la cognition de cibles humaines ».

« Ces technologies, a-t-il noté, intègrent les domaines des NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, technologies de l’information et sciences cognitives. L’ensemble forme une sorte de cocktail très dangereux qui permet de manipuler davantage le cerveau », a-t-il ajouté.

Du Cluzel a poursuivi en expliquant que cette nouvelle méthode d’attaque exotique « va bien au-delà » de la guerre de l’information ou des opérations psychologiques (psyops).

« La guerre cognitive n’est pas seulement une lutte contre ce que nous pensons, mais c’est plutôt une lutte contre la façon dont nous pensons, si nous pouvons changer la façon dont les gens pensent », a-t-il déclaré. « C’est beaucoup plus puissant et cela va bien au-delà de la [guerre] de l’information et des opérations psychologiques ».

De Cluzel poursuit : « Il est crucial de comprendre qu’il s’agit d’un jeu sur notre cognition, sur la façon dont notre cerveau traite l’information et la transforme en connaissance, plutôt qu’un jeu uniquement sur l’information ou sur les aspects psychologiques de notre cerveau. Ce n’est pas seulement une action contre ce que nous pensons, mais aussi une action contre la façon dont nous pensons, la façon dont nous traitons l’information et la transformons en connaissance. »

« En d’autres termes, la guerre cognitive n’est pas seulement un autre mot, un autre nom pour la guerre de l’information. C’est une guerre contre notre processeur individuel, notre cerveau. »

Le chercheur de l’OTAN a souligné que « cela est extrêmement important pour nous, les militaires », car « cela a le potentiel, en développant de nouvelles armes et de nouveaux moyens de nuire au cerveau, d’engager les neurosciences et la technologie dans de très nombreuses approches différentes pour influencer l’écologie humaine… car vous savez tous qu’il est très facile de transformer une technologie civile en une technologie militaire. »

Quant à savoir qui pourraient être les cibles de la guerre cognitive, du Cluzel a révélé que tout le monde est sur la table. « La guerre cognitive a une portée universelle, en commençant par l’individu jusqu’aux États et aux organisations multinationales« , a-t-il déclaré. « Son champ d’action est global et vise à prendre le contrôle de l’être humain, civil comme militaire. » 

Et le secteur privé a un intérêt financier à faire progresser la recherche sur la guerre cognitive, a-t-il noté : « Les investissements massifs réalisés dans le monde entier dans le domaine des neurosciences laissent penser que le domaine cognitif sera probablement l’un des champs de bataille du futur. »

Le développement de la guerre cognitive transforme totalement le conflit militaire tel que nous le connaissons, a déclaré M. du Cluzel, en ajoutant « une troisième dimension de combat majeure au champ de bataille moderne : à la dimension physique et informationnelle s’ajoute désormais une dimension cognitive. »

Cela « crée un nouvel espace de compétition au-delà de ce que l’on appelle les cinq domaines d’opérations – ou domaines terrestre, maritime, aérien, cybernétique et spatial. La guerre dans l’arène cognitive mobilise un éventail plus large d’espaces de combat que ne peuvent le faire les seules dimensions physique et informationnelle. »

En bref, les humains eux-mêmes sont le nouveau domaine contesté dans ce nouveau mode de guerre hybride, aux côtés de la terre, de la mer, de l’air, du cyberespace et de l’espace.

L’étude de l’OTAN sur la guerre cognitive met en garde contre la « cinquième colonne embarquée »

L’étude menée par François du Cluzel, responsable du Hub d’innovation de l’OTAN, de juin à novembre 2020, a été parrainée par le Commandement allié Transformation du cartel militaire, et publiée sous la forme d’un rapport de 45 pages en janvier 2021 (PDF)5.

Ce document glaçant montre comment la guerre contemporaine a atteint une sorte de stade dystopique, autrefois imaginable uniquement dans la science-fiction.

« La nature de la guerre a changé », souligne le rapport. « La majorité des conflits actuels restent en dessous du seuil de la définition traditionnellement admise de la guerre, mais de nouvelles formes de guerre sont apparues, comme la guerre cognitive (CW), tandis que l’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de la guerre. »

Pour l’OTAN, la recherche sur la guerre cognitive n’est pas seulement défensive, elle est aussi très offensive.

« Développer des capacités pour nuire aux capacités cognitives des adversaires sera une nécessité », indique clairement le rapport de du Cluzel. « En d’autres termes, l’OTAN devra obtenir la capacité de sauvegarder son processus décisionnel et de perturber celui de l’adversaire. »

Et n’importe qui peut être la cible de ces opérations de guerre cognitive : « Tout utilisateur des technologies modernes de l’information est une cible potentielle. Il vise l’ensemble du capital humain d’une nation » , ajoute sinistrement le rapport.

« Outre l’exécution potentielle d’une guerre cognitive en complément d’un conflit militaire, elle peut également être menée seule, sans aucun lien avec un engagement des forces armées », poursuit l’étude. « De plus, la guerre cognitive est potentiellement sans fin puisqu’il ne peut y avoir de traité de paix ou de reddition pour ce type de conflit. »

Tout comme ce nouveau mode de combat n’a pas de frontières géographiques, il n’a pas non plus de limite de temps : « Ce champ de bataille est mondial via internet. Sans début ni fin, cette conquête ne connaît aucun répit, rythmée par les notifications de nos smartphones, en tout lieu, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »

L’étude parrainée par l’OTAN note que « certains pays de l’OTAN ont déjà reconnu que les techniques et technologies neuroscientifiques ont un fort potentiel d’utilisation opérationnelle dans diverses entreprises de sécurité, de défense et de renseignement ».

Elle parle de percées dans les « méthodes et technologies neuroscientifiques » (neuroS/T), et précise « l’utilisation des résultats et des produits de la recherche pour faciliter directement les performances des combattants, l’intégration d’interfaces homme-machine pour optimiser les capacités de combat des véhicules semi-autonomes (par exemple, les drones), et le développement d’armes biologiques et chimiques (c’est-à-dire les neuroarmes) ».

Le Pentagone fait partie des principales institutions qui font avancer ces recherches inédites, comme le souligne le rapport : « Bien qu’un certain nombre de nations aient poursuivi et poursuivent actuellement des travaux de recherche et de développement neuroscientifiques à des fins militaires, les efforts les plus proactifs à cet égard ont peut-être été menés par le ministère de la défense des États-Unis, les travaux de recherche et de développement les plus notables et les plus rapides étant menés par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et l’Intelligence Advanced Research Projects Activity (IARPA) ».

Selon l’étude, les utilisations militaires de la recherche en neurosciences et technologies de l’information comprennent la collecte de renseignements, la formation, « l’optimisation des performances et de la résilience du personnel de combat et de soutien militaire » et, bien sûr, « l’utilisation directe des neurosciences et des neurotechnologies à des fins militaires. »

Cette militarisation des neurosciences et des neurotechnologies peut être et sera fatale, a clairement indiqué l’étude parrainée par l’OTAN. La recherche peut « être utilisée pour atténuer l’agression et favoriser les cognitions et les émotions d’affiliation ou de passivité ; induire la morbidité, le handicap ou la souffrance ; et « neutraliser » les adversaires potentiels ou provoquer la mortalité » – en d’autres termes, pour mutiler et tuer des gens.

Le rapport cite le général de division américain Robert H. Scales, qui résume la nouvelle philosophie de combat de l’OTAN : « La victoire se définira davantage en termes de capture de l’avantage psychoculturel plutôt que géographique. »

Et tandis que l’OTAN développe des tactiques de guerre cognitive pour « capturer le psycho-culturel », elle arme aussi de plus en plus divers domaines scientifiques.

L’étude parle du « creuset des sciences des données et des sciences humaines », et souligne que « la combinaison des sciences sociales et de l’ingénierie des systèmes sera essentielle pour aider les analystes militaires à améliorer la production de renseignements. »

« Si la puissance cinétique ne permet pas de vaincre l’ennemi, la psychologie et les sciences comportementales et sociales connexes sont appelées à combler le vide. »
« L’exploitation des sciences sociales sera centrale dans l’élaboration du plan d’opérations du domaine humain« , poursuit le rapport. « Il soutiendra les opérations de combat en fournissant des plans d’action potentiels pour l’ensemble de l’environnement humain environnant, y compris les forces ennemies, mais aussi en déterminant les éléments humains clés tels que le centre de gravité cognitif, le comportement souhaité comme état final. »

Toutes les disciplines universitaires seront impliquées dans la guerre cognitive, et pas seulement les sciences dures. « Au sein de l’armée, les compétences en anthropologie, ethnographie, histoire, psychologie, entre autres, seront plus que jamais nécessaires pour coopérer avec les militaires », indique l’étude parrainée par l’OTAN.

Le rapport s’achève sur une citation inquiétante : « Les progrès réalisés aujourd’hui dans les domaines des nanotechnologies, des biotechnologies, des technologies de l’information et des sciences cognitives (NBIC), dopés par la marche apparemment imparable d’une troïka triomphante composée de l’intelligence artificielle, du Big Data et de la « dépendance numérique » civilisationnelle, ont créé une perspective bien plus inquiétante : une cinquième colonne embarquée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents. »

« Le concept moderne de la guerre n’est pas une question d’armes mais d’influence », posait-il. « La victoire à long terme restera uniquement dépendante de la capacité à influencer, affecter, changer ou avoir un impact sur le domaine cognitif. »

L’étude parrainée par l’OTAN se termine ensuite par un paragraphe final qui indique sans ambiguïté que l’objectif ultime de l’alliance militaire occidentale n’est pas seulement le contrôle physique de la planète, mais aussi le contrôle de l’esprit des gens :
« La guerre cognitive pourrait bien être l’élément manquant qui permet de passer de la victoire militaire sur le champ de bataille à un succès politique durable. Le domaine humain pourrait bien être le domaine décisif, dans lequel les opérations multi-domaines permettent d’obtenir l’effet souhaité par le commandant. Les cinq premiers domaines peuvent donner des victoires tactiques et opérationnelles ; seul le domaine humain peut donner la victoire finale et complète. »

Un officier canadien des opérations spéciales souligne l’importance de la guerre cognitive

Lorsque François du Cluzel, le chercheur de l’OTAN qui a mené l’étude sur la guerre cognitive, a conclu ses remarques dans le cadre du panel de l’Association canadienne de l’OTAN du 5 octobre, il a été suivi par Andy Bonvie, un commandant du Centre canadien d’entraînement aux opérations spéciales.

Fort de plus de 30 ans d’expérience au sein des Forces armées canadiennes, M. Bonvie a parlé de la façon dont les armées occidentales utilisent les recherches menées par M. du Cluzel et d’autres, et incorporent de nouvelles techniques de guerre cognitive dans leurs activités de combat.

« La guerre cognitive est un nouveau type de guerre hybride pour nous », a déclaré Bonvie. « Et cela signifie que nous devons examiner les seuils traditionnels de conflit et comment les choses qui sont faites sont vraiment en dessous de ces seuils de conflit, les attaques cognitives, et les formes non cinétiques et les menaces non combatives pour nous. Nous devons mieux comprendre ces attaques et adapter leurs actions et notre formation en conséquence pour pouvoir opérer dans ces différents environnements. »

Bien qu’il ait présenté les actions de l’OTAN comme étant « défensives », affirmant que les « adversaires » utilisaient la guerre cognitive contre eux, Andy Bonvie a été sans ambiguïté sur le fait que les armées occidentales développent elles-mêmes ces techniques, afin de conserver un « avantage tactique. »
« Nous ne pouvons pas perdre l’avantage tactique pour nos troupes que nous plaçons à l’avant, car il s’étend non seulement sur le plan tactique, mais aussi sur le plan stratégique », a-t-il déclaré. « Certaines de ces différentes capacités dont nous disposons et dont nous bénéficions tout à coup pourraient être pivotées pour être utilisées contre nous. Nous devons donc mieux comprendre la rapidité avec laquelle nos adversaires s’adaptent aux choses, puis être en mesure de prédire où ils vont dans le futur, afin de nous aider à être et à maintenir l’avantage tactique pour nos troupes à l’avenir. »

La guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée à ce jour

Marie-Pierre Raymond, un lieutenant-colonel canadien à la retraite qui occupe actuellement le poste de « scientifique de la défense et gestionnaire de portefeuille d’innovation » pour le programme d’innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense des Forces armées canadiennes, a également rejoint le panel du 5 octobre.

« Il est loin le temps où la guerre était menée pour acquérir plus de terres » , a déclaré Raymond. « Maintenant, le nouvel objectif est de changer les idéologies des adversaires, ce qui fait du cerveau le centre de gravité de l’humainEt cela fait de l’humain le domaine contesté, et l’esprit devient le champ de bataille. »

« Lorsque nous parlons de menaces hybrides, la guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée vue à ce jour », a-t-elle ajouté, notant qu’elle vise à influencer la prise de décision des individus et « à influencer un groupe d’individus sur leur comportement, dans le but d’obtenir un avantage tactique ou stratégique. »

Raymond a noté que la guerre cognitive recoupe aussi fortement l’intelligence artificielle, le big data et les médias sociaux, et reflète « l’évolution rapide des neurosciences comme outil de guerre. »

Raymond aide à superviser le Défi innovation automne 2021 de l’OTAN au nom du ministère de la Défense nationale du Canada, qui a délégué les responsabilités de gestion au programme Innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense (IDEaS) de l’armée, où elle travaille.

Dans un jargon très technique, Mme Raymond a indiqué que le programme de guerre cognitive n’est pas uniquement défensif, mais aussi offensif : « Ce défi appelle une solution qui soutiendra le domaine humain naissant de l’OTAN et fera démarrer le développement d’un écosystème de la cognition au sein de l’alliance, et qui soutiendra le développement de nouvelles applications, de nouveaux systèmes, de nouveaux outils et concepts menant à des actions concrètes dans le domaine cognitif. »

Elle a souligné que cela « nécessitera une coopération soutenue entre les alliés, les innovateurs et les chercheurs pour permettre à nos troupes de combattre et de gagner dans le domaine cognitif. C’est ce que nous espérons voir émerger de cet appel aux innovateurs et aux chercheurs. »

Pour susciter l’intérêt des entreprises pour le défi d’innovation de l’OTAN, Mme Raymond a déclaré : « Les candidats bénéficieront d’une visibilité nationale et internationale et recevront des prix en espèces pour la meilleure solution. » Elle a ensuite ajouté de façon alléchante : « Les candidats pourraient également en bénéficier en leur donnant potentiellement accès à un marché de 30 pays. »

Un officier militaire canadien appelle les entreprises à investir dans la recherche de l’OTAN sur la guerre cognitive

L’autre institution qui gère le défi d’innovation de l’OTAN de l’automne 2021 au nom du ministère de la Défense nationale du Canada est le Commandement des forces d’opérations spéciales (CANSOFCOM). 

Un officier militaire canadien qui travaille avec le COMFOSCAN, Shekhar Gothi, était le dernier panéliste de l’événement organisé par l’Association OTAN du Canada le 5 octobre. M. Gothi est l’ « officier d’innovation » du COMFOSCAN pour le sud de l’Ontario.

Il a conclu l’événement en lançant un appel aux entreprises pour qu’elles investissent dans la recherche sur la guerre cognitive de l’OTAN.

Le Défi Innovation semestriel fait « partie du rythme de combat de l’OTAN », a déclaré M. Gothi avec enthousiasme.

Il a fait remarquer qu’au printemps 2021, le Portugal a organisé un défi d’innovation de l’OTAN6 axé sur la guerre dans l’espace.

Au printemps 2020, les Pays-Bas ont accueilli un défi d’innovation de l’OTAN7 axé sur le Covid-19.

M. Gothi a rassuré les investisseurs en leur disant que l’OTAN se pliera en quatre pour défendre leurs résultats : « Je peux assurer à tous que le défi d’innovation de l’OTAN indique que tous les innovateurs conserveront le contrôle total de leur propriété intellectuelle. L’OTAN ne prendra donc pas le contrôle de cette propriété. Le Canada non plus. Les innovateurs conserveront le contrôle de leur propriété intellectuelle. »

Ce commentaire était une conclusion appropriée au panel, affirmant que l’OTAN et ses alliés du complexe militaro-industriel cherchent non seulement à dominer le monde et les humains qui s’y trouvent avec des techniques de guerre cognitive troublantes, mais aussi à s’assurer que les entreprises et leurs actionnaires continuent de profiter de ces efforts impériaux.

Jeanne Traduction

Sources :

Source de l’article : https://thegrayzone.com/2021/10/08/nato-cognitive-warfare-brain/




Michel-Yves Bolloré : « La question de l’existence de Dieu est un sujet qui intéresse les gens et qui les touche »

[Source : breizh-info.com]

Dieu. La science, les preuves. Vous avez sans doute entendu parler de ce livre, qui est celui qui s’est le plus vendu (avec celui d’Eric Zemmour) sur Amazon depuis trois mois.

Il a été rédigé par Michel-Yves Bolloré, ingénieur en informatique, maître ès sciences et docteur en gestion des affaires de l’Université Paris Dauphine. De 1981 à 1990, il participe avec son frère à la direction du groupe Bolloré dont il dirige la branche industrielle. En 1990, il fonde son propre groupe France-Essor dont l’activité est centrée principalement sur l’industrie mécanique.

Et par Olivier Bonnassies, ancien élève de l’École Polytechnique (X86), diplômé de l’Institut HEC start up et de l’Institut Catholique de Paris (licence en théologie). Entrepreneur, il a créé plusieurs sociétés. Non croyant jusqu’à l’âge de 20 ans, il est auteur d’une vingtaine de livres et de vidéos et de quelques spectacles, scénarios, articles, newsletters et sites Internet sur des sujets souvent liés à la rationalité de la foi.

Pendant près de quatre siècles, de Copernic à Freud en passant par Galilée et Darwin, les découvertes scientifiques se sont accumulées de façon spectaculaire, donnant l’impression qu’il était possible d’expliquer l’Univers sans avoir besoin de recourir à un dieu créateur. Et c’est ainsi qu’au début du XXe siècle, le matérialisme triomphait intellectuellement.

De façon aussi imprévue qu’étonnante, le balancier de la science est reparti dans l’autre sens, avec une force incroyable. Les découvertes de la Relativité, de la mécanique quantique, de l’expansion de l’Univers, de sa mort thermique, du Big Bang, du réglage fin de l’Univers ou de la complexité du vivant, se sont succédées.

Ces connaissances nouvelles sont venues dynamiter les certitudes ancrées dans l’esprit collectif du XXe siècle, au point que l’on peut dire aujourd’hui que le matérialisme, qui n’a jamais été qu’une croyance comme une autre, est en passe de devenir une croyance irrationnelle.

Dans une langue accessible à tous, les auteurs de ce livre,  retracent de façon passionnante l’histoire de ces avancées et offrent un panorama rigoureux des nouvelles preuves de l’existence de Dieu. À l’orée du XXe siècle, croire en un dieu créateur semblait s’opposer à la science. Aujourd’hui, ne serait-ce pas le contraire ?

Une invitation à la réflexion et au débat. Un débat que nous avons amorcé avec Michel-Yves Bolloré, qui a répondu à nos questions.

À commander chez les éditions Trédaniel

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Michel-Yves Bolloré : Je suis ingénieur en informatique, maître ès sciences et docteur en gestion des affaires de l’Université Paris Dauphine. De 1981 à 1990, j’ai participé avec mon frère à la direction du groupe Bolloré, dont j’ai dirigé la branche industrielle. En 1990, j’ai fondé mon propre groupe, France-Essor, dont l’activité était centrée sur l’industrie mécanique.

J’ai toujours été passionné par la science et les découvertes scientifiques ; je rêvais d’un livre qui m’aurait permis de comprendre les implications de ces découvertes, mais je ne l’ai jamais trouvé. C’est finalement la raison pour laquelle nous avons entrepris d’écrire le livre Dieu, la science, les preuves : l’aube d’une révolution, avec mon co-auteur, Olivier Bonnassies, diplômé de l’École Polytechnique (promotion 1986), de l’Institut HEC Start up et de l’Institut Catholique de Paris (licence en théologie). Véritable entrepreneur, il a créé plusieurs sociétés.

Non croyant jusqu’à l’âge de 20 ans, il est l’auteur d’une vingtaine de livres et de vidéos sur des sujets souvent liés à la rationalité de la foi.

Breizh-info.com : Vous êtes tous les deux catholiques et pratiquants. Cela ne biaise-t-il pas un peu, dès le départ, la façon dont vous avez mené votre enquête scientifique ?

Michel-Yves Bolloré : Non, je ne pense pas, pour trois raisons. D’abord, nous avons réalisé ce livre avec une casquette de scientifique. Ensuite, nous avons travaillé avec de nombreux spécialistes, en majorité incroyants. Enfin, il était nécessaire d’aborder le sujet avec autant d’objectivité que possible, afin de produire un livre qui puisse susciter un vrai débat entre les croyants, les non-croyants et les agnostiques.

,Ainsi, l’ouvrage a été relu, corrigé et apprécié par Robert Wilson, prix Nobel de physique en 1978 pour avoir découvert le rayonnement de fond cosmologique qui constitue la preuve majeure de l’existence du Big Bang ; il a rédigé la préface du livre, alors qu’il est agnostique. Nous savons par ailleurs, grâce aux nombreux retours que nous avons eus, que le souci de la vérité est très apprécié. Nous avons notamment été félicités pour le chapitre sur Einstein qui présente les choses de manière complète (citations à l’appui), à savoir que le grand savant croyait en un esprit créateur à l’origine de l’Univers, sans toutefois croire en un Dieu personnel.

Breizh-info.com : En quoi est-il important d’étayer scientifiquement la possibilité de l’existence de Dieu ?

Michel-Yves Bolloré : Dieu existe-t-il ? C’est là une question fondamentale que chacun se pose au moins une fois dans sa vie. À un moment ou à un autre, on se demande forcément d’où l’on vient, où l’on va et s’il y a une vie après cette vie. Mais cette interrogation apparaît souvent insoluble : beaucoup de gens croient, beaucoup de gens ne croient pas, et pourtant, dans chacun de ces deux groupes se trouvent des personnes intelligentes. On en conclut alors qu’il est impossible de trancher sur cette question qui, de ce fait, ne présente plus d’intérêt. On la met dans un tiroir fermé à clé et l’on n’y pense plus. Mais aujourd’hui, les choses ont changé : il semblerait que cette question puisse désormais être résolue. C’est la grande réflexion que propose notre livre.

Breizh-info.com : Comment les choses se présentent-elles aujourd’hui, selon vous ?

Michel-Yves Bolloré : Il y a toujours eu de nombreuses raisons de croire en Dieu : l’émerveillement que l’on peut ressentir devant la beauté de l’Univers, sa grandeur, son ordre et son existence même… C’est pour cela que, de tout temps, les hommes ont cru en un dieu créateur. Mais à partir du XVIe siècle, la science a commencé à développer des explications alternatives. De Copernic à Freud en passant par Galilée, Laplace et Darwin, toutes les avancées scientifiques semblaient contredire l’idée que l’on se faisait de Dieu ou, du moins, rendre inutile l’hypothèse de son existence. À partir de là, conforté par le poids et le prestige de la science, le discours matérialiste athée est devenu dominant.

Quels ont été les progrès de la science qui ont changé et impacté cette recherche sur l’existence de Dieu ?

Michel-Yves Bolloré : Progressivement, et sans que le grand public n’en prenne vraiment conscience, la science a connu un profond revirement. Avec les découvertes de la thermodynamique, de la Relativité, de la mécanique quantique, de la naissance de la cosmologie, du Big Bang, du réglage incroyablement fin de l’Univers et de la complexité en biologie, c’est une immense révolution conceptuelle qui, depuis 100 ans, se déploie sous nos yeux. Elle conclut que le temps, l’espace et la matière – qui sont tous trois irrémédiablement liés, comme nous l’a fait comprendre Albert Einstein –, ont eu un début absolu. Leur émergence soudaine suppose donc une cause qui ne soit ni temporelle, ni spatiale, ni matérielle. Cette cause ressemble à la définition que la philosophie et la théologie donnent classiquement de « Dieu ». Et cette cause première a réglé l’Univers d’une manière totalement improbable, afin que les atomes, les étoiles et la vie complexe soit possibles. Ces deux découvertes, étayées par de nombreuses autres disciplines, changent tout.

Breizh-info.com : Quelles sont les principales conclusions que vous soumettez aux lecteurs ?

Michel-Yves Bolloré : Face à ces constats nouveaux, la démarche la plus naturelle, voire la seule explication rationnelle, est d’en déduire que, à l’origine de tout, un esprit créateur supérieurement intelligent a créé l’Univers pour que la vie et l’homme puissent exister un jour. Cette conclusion par la science rejoint celle de tous les autres domaines du savoir abordés de manière rationnelle : il y a donc aujourd’hui un faisceau de preuves convergentes, rationnelles et indépendantes qui semble permettre de se forger une conviction, au-delà de tout doute raisonnable. Voilà ce que ce livre met sur la table, en proposant d’en débattre. Chacun pourra se faire sa propre opinion grâce aux éléments sérieux, vérifiés et à jour que nous présentons, mais il est clair que la question de l’existence de Dieu est de moins en moins indéterminée, car la connaissance a beaucoup progressé. Comme disait Newton en reprenant une expression du Moyen Âge, nous sommes « juchés sur des épaules de géants », parce que nous bénéficions des découvertes extraordinaires des savants du XXe siècle : grâce à elles, nous pouvons voir beaucoup plus loin, dépasser beaucoup d’incertitudes et arriver à de véritables conclusions.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous le succès déjà impressionnant de votre livre alors que, finalement, la presse mainstream n’en a que très peu parlé ?

Michel-Yves Bolloré : Contrairement aux idées reçues, la question de l’existence de Dieu est un sujet qui intéresse les gens et qui les touche, comme on a pu le constater dès la sortie du livre. Effectivement, beaucoup de grands médias n’en ont pas encore parlé, mais le livre vient de sortir et il n’est pas anormal qu’un petit délai de réflexion, de découverte de l’ouvrage ne s’écoule avant de voir surgir les grands débats que nous appelons de nos vœux. Nous espérons beaucoup qu’il en sera ainsi. Il serait triste que des journalistes oublient leur vocation et leur professionnalisme par peur d’être critiqués ou par une forme de parti pris, et que les athées n’aient pas à cœur de défendre leurs positions.

Breizh-info.com : Sommes-nous à l’aube d’une révolution spirituelle ?

Michel-Yves Bolloré : Non, mais nous sommes sans doute à l’aube de la prise de conscience qu’une véritable révolution scientifique a eu lieu dans les 100 dernières années. Cette révolution conceptuelle majeure est aussi extraordinaire que celles engendrées par Copernic ou Darwin. Il y a un siècle, la quasi-totalité des grands savants pensait que l’Univers était stable, éternel, infini. 100 ans après, plus aucun scientifique ne pense cela. Il faut du temps pour en mesurer toutes les implications et pour que le grand public en saisisse la portée. Nous voulons contribuer à diffuser largement ces connaissances et leurs implications qui, de toute façon, seront tôt ou tard connues des gens, c’est inévitable.

Auriez-vous d’autres ouvrages sur le sujet à conseiller à nos lecteurs en quête de réponse dans leur chemin spirituel ?

Michel-Yves Bolloré : Notre livre a l’originalité d’être une synthèse assez complète, avec des angles jamais abordés à ce jour. Beaucoup d’équivalents partiels existent dans le monde anglo-saxon où ce retournement de la science est bien mieux connu. Par exemple, un très beau livre de Stephen Meyer vient d’être publié cette année : The Return of the God Hypothesis. En France, il y a encore bien peu de publications de ce type. Certains scientifiques ont pourtant été des précurseurs, comme Igor et Grichka Bogdanoff qui, en 1991, ont écrit avec Jean Guitton le livre à succès Dieu et la science puis, en 2010, Le visage de Dieu, vendu à plusieurs millions d’exemplaires. On peut citer aussi Jean Staune qui a publié en 2006 son best-seller Notre existence a-t-elle un sens ? et, plus récemment, Explorateurs de l’invisible en 2018.

Toutes ces enquêtes, antérieures à la nôtre, esquissaient les mêmes conclusions, mais les dernières années ont encore apporté bien des éclaircissements… En conclusion, je voudrais préciser que notre livre ne s’adresse pas qu’aux curieux, mais bien à tout le monde ! Nous avons travaillé pour cela avec deux exigences : l’exactitude scientifique, qui était un préalable nécessaire, et l’accessibilité, pour que l’ouvrage puisse être lu par tous. Nous pensons, en effet, que les découvertes scientifiques modernes apportent assez d’éléments nouveaux pour que chacun se repose la question de l’existence de Dieu, d’une manière nouvelle. In fine, notre message est clair : oubliez vos a priori et laissez-vous interpeller par les faits rapportés dans notre livre, pour vous forger votre propre opinion, en toute connaissance de cause !

Propos recueillis par YV

Photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021 dépêche libre de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine




Dr Josiane JOSPELAGE : Je suis interpellée par cette atteinte grave à l’éthique. Le légal est-il moral ?

[Source : EVOLUTION MARTINIQUE]

Ce courrier du Docteur Josiane Jospelage expose sa position au regard de l’obligation vaccinale et fait des propositions de sortie de crise.


Docteur Josiane JOSPELAGE Pédiatre 
Centre hospitalier du Saint Esprit 
97270 Saint Esprit ​​​​​

​​​​​​​À Monsieur le Docteur Jérôme VIGUIER 
​​​​​​​Directeur de l’Agence Régionale de santé 

​​​​Le 29 octobre 2021

Monsieur le Directeur,

J’ai pris connaissance de votre courrier du 6 octobre 2021 m’invitant à régulariser ma situation vaccinale contre le COVID 19, eu égard à la loi du 5 aout 2021. Ma réponse est la suivante :

Je n’ai absolument pas l’intention de me faire vacciner contre le Covid 19 qui est une maladie infectieuse passagère dont le taux de guérison spontanée sans séquelles avoisine les 80% et la mortalité inférieure à 5%. On est loin de la situation de la variole, de la tuberculose, de la fièvre typhoïde ou de l’hépatite B qui sont des maladies que j’ai connues il y a quelques années et qui de fait requéraient une prévention efficace. Aucune urgence sanitaire ne justifie une telle législation répressive. Un cancer sur deux tue et pourtant la lutte contre ce fléau est encore timide.

Je ne peux donner mon consentement « éclairé » à des produits pour la plupart mis sur le marché à titre « conditionnel » pour satisfaire une obligation. Il   y a là une entrave grave à l’objection de conscience qui pose de sérieux problèmes éthiques. Le légal est-il moral ?  En tant que citoyenne, médecin, je suis interpellée par cette atteinte grave à l’éthique et la conscience individuelle qui ont toujours été préservées au moins pour l’exercice médical.

J’ai analysé avec la plus grande attention la composition des vaccins mis actuellement sur le marché français et ma conviction intime est que le rapport bénéfice /risque individuel et collectif penche du côté des risques.

Les risques à court terme exposés par exemple dans le dictionnaire Vidal des médicaments, concernant le vaccin Pfizer à ARN Messager COMMINARTY sont inacceptables,même s’ils sont rarissimes. Les   myocardites, les péricardites, sont bien souvent bénignes mais elles peuvent conduire à une insuffisance cardiaque chronique voire un décès prématuré inopiné. Les   hémorragies utérines dénommées « irrégularités menstruelles » d’ordre immunologique et non hormonalepeuvent perturber l’ensemble du système immunitaire y compris chez la femme ménopausée. L’adjuvant   polyéthylène glycol peut causer des morts immédiates, subites par choc anaphylactique. 

Par ailleurs, la composition du vaccin COMINARTY que j’ai longuement analysée, montre qu’il s’agit non pas d’un ARN messager naturel, copie fidèle de l’ARN natif du virus, comme dans tous les autres vaccins (virus atténué, gêne recombinant,ADN recombinant du vaccin de la grippe ou de l’hépatite B)mais d’un pur produit de synthèse « modifié formulé » introduisant des « mutations » dont la pharmacocinétique non produite est mystérieuse. Quelle est par exemple la durée de vie de l’ARN messager synthétique ? La durée de vie de 24 heures annoncée concerne l’ARN messager naturel. Quel est le devenir dans l’organisme des nanotubes de carbone qui enrobent l’ARN ? Selon mes connaissances la voie métabolique d’élimination des nanoparticules stockées dans les cellules nerveuses est à ce jour inconnue (nanotubes de titane, de fer, d’aluminium). Ces nanomatériaux   peuvent facilement du fait de leur taille nanométrique pénétrer la paroi des vaisseaux, les cellules sanguines, le cœur et ne restent pas cantonnées au seul muscle deltoïde. Aucun autre vaccin que le Pfizer n’est enrobé de nanoparticules, ce qui ne permet aucune comparaison. Or actuellement même après une vaccination par le JANSEN le rappel doit être effectué avec le Pfizer.

Après donc lecture de cette documentation et une analyse rigoureuse de ce produit vaccinal, comme les autres d’ailleurs à ARN messager ou non, les risques à court moyen et long terme me sont apparus   inacceptables et je ne pourrai pas donner mon consentement éclairé.

Quel bénéfice peut – on attendre de cette vaccination de masse ?

Il a été question de la prévention des formes graves. Pour le moment je n’en ai aucune preuve. Plusieurs personnes vaccinées ont été contaminées, ont diffusé le virus autour d’elles et ont bénéficié d’oxygénothérapie à domicile voire de surveillance hospitalière.

Ce n’est pas parce que 94% des personnes admises en réanimation pour COVID n’étaient pas vaccinées que la cause de leur état vient de la non vaccination !! Nous le savons tous » Une relation statistique épidémiologique n’est pas une relation causale. Il s’agit d’une fausse cause prise pour une vraie cause « PRO CAUSA NON CAUSA », c’est du moins ceque nous avons appris en statistique médicale.

De surplus, nous avons un exemple criant avec la crise sanitaire du chlordécone, où chacun a pu apprécier les contorsions explicatives sur le lien de causalité entre cancer de la prostate et chlordécone. « Il ne saurait répète- t -on, avoir de lien de causalité directe tiré d’une relation statistique ou d’une étude épidémiologique ». Il faut chercher tous les facteurs confondants. Etablir une relation toxicologique et une preuve mécanistique. Au total après 10 années de discussion de preuve de l’action épigénétique perturbateur endocrinien, toxicologique dose -réponse, l’INSERM nous dit en juin 2021 que le lien entre cancer de la prostate et chlordécone est « vraisemblable, » Or s’agissant du COVID, en moins d’une année la relation causale est établie ! Qui a recherché des facteurs confondants ?

94% des personnes en réanimation étaient atteintes d’obésité morbide. L’obésité morbide constituant un état d’inflammation chronique avec libération de cytokines et interleukine par stress oxydatif. 50%   avaient ou un diabète ou une hypertension artérielle.

Le syndrome métabolique est un premier facteur confondant et le risque pour ces personnes se réitérera lors de n’importe quel épisode inflammatoire aigu.

Pendant toute la période critique des mois de juillet et aout 2021 nous avons eu deux fois par semaine une pollution par la brume de sable qui comme vous le savez fragilise l’arbre respiratoire. Sans compter la pollution chronique par les nanoparticules aériennes dont on connait l’action sur les alvéoles pulmonaires. Et l’hydrogène sulfuré inhalé de façon subaigüe par les habitants de la côte atlantique Deuxièmefacteur confondant l’environnement non pris en compte

Il ne faut pas non plus minimiser l’imprégnation de 92% de la population par le chlordécone, présente vraisemblablement chez plus de 90% des hospitalisés qui peut générer troubles immunitaires obésité diabète, hypertension. Troisième facteur confondant non pris en compte.

De plus, au niveau physiopathologique et toxicologique, on a du mal à imaginer comment on peut en quelques mois affirmer qu’une « vaccination peut empêcher une forme grave ». Une observation du même type a été faite avec   le BCG   chez l’enfant, dont on a compris qu’il empêchait non pas l’infection tuberculeuse mais la méningite tuberculeuse mais il a fallu des dizaines d’années pour parvenir à cette conclusion en observant l’immunité cellulaire induite. 

Il reste donc le doute et l’incertitude qui ont accompagnéd’ailleurs l’exercice médical pendant des millénaires et que l’on rejette aujourd’hui d’un revers de main. L’affirmation facile ,l’absence de prudence  et de doute des décideurs, pourtant bien jeunes, sans recul médical, est une  de mes préoccupations que j’espère vous partagerez , qui  risque d’avoir des conséquences gravissimes pour la médecine de demain. Les médecins ne pourront plus dire « Je ne sais pas » Et ils vont se contredire. Or il est évident qu’aujourd’hui nous ne savons pas grand-chose de ce Coronavirus 19 qui n’a cessé de nous surprendre par ses mutations et ses variants. Quand en 1992 l’obligation vaccinale a été légalisée chez les collégiens, quelques parents ont signalé des cas de sclérose en plaque apparus au décours de la vaccination. Le   Ministre de   la santé de l’époque Bernard KOUCHNER   a levé l’obligation vaccinale en précisant que le doute et l’incertitude devraient amener à être vigilant. A ce jour le doute sur le vaccin de l’hépatite B n’est toujours pas levé puisque sur la notice des vaccins ce risque figure encore. 

En conclusion je vous dirai que dans le doute sur l’innocuité de ces vaccins, compte tenu du peu de bénéfice attendu, et surtout de leur durée éphémère, le rapport bénéfice /risque de la vaccination pour moi comme à mon sens pour la société martiniquaise que j’ai toujours servie, penche nettement du côté des risques et que ma décision est prise de ne pas me faire vacciner QUOI QU’ IL EN COUTE.

Le bénéfice /risque pour la société, affiché comme un acte de la solidarité, est lui aussi trop aléatoire à mon avis pour qu’il prenne le dessus sur le mien. On voit bien l’épidémie re -flamber dans les pays bien vaccinés. La vaccination ne saurait être la solution devant une pandémie quand le réservoir de virus n’est pas qu’humain. Par contre il peut y avoir des alternatives à la vaccination à ne pas minimiser 

Si je peux me permettre, car il faut bien sortir de cette crise, je vous suggérerais de négocier un long moratoire sur cette obligation vaccinale avec les autorités. Pourquoi ?

1/ Beaucoup de médecins libéraux ont eu recours à des prises en charge alternatives à la vaccination lors de l’épidémie Il serait bon de faire une étude rétrospective , sans parti pris, de leurs expériences car elles ont évité nombre d’hospitalisation et les patients martiniquais se le disent et leur en  sont gré Lors de l’épidémie de grippe H1N1 en 2009,  tous les médecins ont prescrit des antiviraux en première intention dès les premiers signes grippaux, ont complémenté leurs patients en vitamine .Cela est inscrit dans  la mémoire collective .

2/ Il faut à mon sens passer un temps suffisant à comprendre et prendre en compte le vécu douloureux de la population lors de l’épidémie non pas tant du fait du nombre de morts, ce que l’on peut avoir lors des catastrophes naturelles, mais du sentiment de trahison par les autorités sanitaires qui « ont laissé mourir la population » en leur donnant des consignes inadaptées « Mot d’ordre  Paracétamol 8j et SAMU si détresse respiratoire » est vécu comme un abandon thérapeutique. Lors de cette épidémie les patients n’ont pas été invités à consulter leur médecin traitant pour évaluer leur état de santé et faire ou non des prescriptions de première intention et de suivi pendant la première semaine en lieu et place du paracétamol qui est connu pour réduire le glutathion indispensable à l’immunité cellulaire.

Il faut rétablir un dialogue de confiance avec la population en urgence 

Il ne faut pas passer en force à mon avis mais panser cette douleur le temps nécessaire.

3/ Pendant cette épidémie les familles se sont déchirées comme jamais auparavant. Le    corps médical et paramédical est divisé, éprouvé. 

4/ La société toute entière est dans un état de souffrance inimaginable. Il faut que l’ARS entende cette souffrance et tente d’y remédier le temps nécessaire.

Il faut rétablir en urgence une communauté médicale tournée vers le soin. 

Sinon ce sera l’explosion sociale n’importe quand et n’importe comment. 

5/ La méthode coercitive ne convient pas.  Priver la population de fêtes de Noel alors que les familles ont besoin de se retrouver après les deuils douloureux ou les confinements, ne contribuera pas à apaiser la souffrance. Il vaut mieux réexpliquer ce qu’est ce virus et comment se protéger comme lors de la première vague, insister sur les consignes sanitaires et rétablir la confiance.

Ce n’est qu’après tout cela que la question de l’obligation vaccinale ou non pourra être réexaminée

Je reste à votre disposition pour en parler et aider à sortir de cette impasse.

En attendant je vous prie d’agréer mes salutations respectueuses.

Docteur Josiane JOSPELAGE




Le centre hospitalier de Cholet lance une étude sur les effets indésirables du vaccin dans les départements des Pays-de-la Loire

[Source : lemediaen442.fr]

Le 27 mars 2018, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet a annoncé la mise en place de « Consultations effets indésirables médicamenteux et pharmacovigilance ». Cette information a été diffusée, y compris par voie de presse comme le montre cet article d’Ouest-France en date du 4 avril 2018.


Depuis quelques mois, le CTIAP est sollicité dans le cadre des effets indésirables présumés liés aux vaccins contre la Covid-19. Le CTIAP a répondu à ces attentes en mettant à disposition des professionnels de santé et du public notamment plusieurs analyses concernant le rapport bénéfice/risque de ces médicaments qui ont bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne, centralisée, qualifiée de « conditionnelle ».

Récemment, le CTIAP a reçu une demande émanant de professionnels de santé dont des médecins, de juristes, de citoyens. Cette demande souhaite la mise en place d’une étude dans la région des Pays-de-la-Loire (départements 44, 49, 53, 72, 85) dont l’objectif vise « dans une population donnée (Pays de Loire) » à « avoir un aperçu des effets potentiels indésirables au décours de la vaccination contre la Covid-19, d’avoir aussi une idée des pathologies émergentes » notamment. Cette étude concerne « toutes les personnes de la région des Pays de Loire qui ont eu des effets indésirables plus ou moins marqués voire graves, suite aux vaccins contre la Covid-19 ». Cette demande précise : « En outre, nous observons un certain nombre de personnes qui décompensent une ou plusieurs de leurs maladies qu’ils ont eues ou en état dit « peu bruyant » au décours de la vaccination Covid-19. Cela pourrait être éventuellement des effets indésirables à considérer. C’est en signalant le maximum de ces situations que nous aurons (…) des réponses à cette hypothèse ».

Le CTIAP a donc accepté d’apporter son aide en coordonnant cette étude. Il propose les actions suivantes :

–    Assurer le lien entre les déclarants et les centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) territorialement compétents : en réceptionnant les déclarations effectuées dans la fiche simplifiée (ci-dessous proposée et qui assure l’anonymat pour les patients), et en transmettant ces notifications audits CRPV ;

–    Faire un bilan de façon régulière sur ces notifications effectuées en pharmacovigilance.

Les déclarants ont également le choix d’envoyer leurs signalements directement aux CRPV concernés avant de nous adresser une copie de cette déclaration.

Toute personne souhaitant participer à cette étude est donc invitée à remplir la fiche simplifiée (voir ici) et à la transmettre au CTIAP par voie postale ou par e-mail aux adresses indiquées :

Adresse postale :

Docteur Amine UMLIL, unité Pharmacovigilance/CTIAP/Coordination des vigilances sanitaires

Centre hospitalier de Cholet ; 1, rue Marengo ; 49325 CHOLET Cedex

Adresse E-mail : ctiap@ch-cholet.fr

Fiche simplifiée de signalement en pharmacovigilance

Cliquez ici pour : Formulaire (3 pages) à imprimer et à remplir avant envoi (version imprimable en pièce jointe)




Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir

Par Nicole Delépine

Laisserons-nous les enfants courir le risque d’atteinte cardiaque post pseudovaccin Covid pour sauver une sortie au resto ?

Ou même une inscription dans un club de foot ?

Laissez-les jouer devant l’immeuble avec les copains ou courir les champs si vous êtes à la campagne. Rien ne vaut la santé, et on a vécu sans salle de gym avec équipements lourds pour COURIR, sans club payant !

Un adulte sympathique aidait les gosses dehors à faire des passes … La coronafolie va bien se terminer et d’autant plus vite que nous ne céderons pas.

Ne risquez pas l’avenir de votre petit, pour quelques mois de vie « différente » et pas « anormale », car finalement courir sur un tapis fixe est -il plus normal qu’une balade dans les bois ? Ce sera l’occasion de leur expliquer la vie d’autrefois, et la gabegie actuelle plutôt que des grands cinémas pro-planète… Les bobos parisiens ont-ils renoncé à leur SUV pour se promener et à leurs clubs de sport consommateurs d’énergie ? En tous cas les milliardaires n’ont pas renoncé à leurs jets privés pour se montrer et faire croire qu’ils veulent sauver la planète, mais c’est un autre sujet (apparemment).

DES ALERTES MULTIPLES (sauf en France, comme pour Tchernobyl ?)

Info : une nouvelle catastrophe

F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a été diagnostiqué d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer(([1] https://theCovidworld.com/florian-dagoury-world-record-holder-in-static-breath-hold-freediving-diagnosed-with-myopericarditis-after-pfizer-vaccine-possible-end-of-career/))

L’agence de presse allemande dresse une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés.(([2] A partir de 13 ans! Longue liste d’athlètes « soudainement » décédés ou gravement malades (report24.news) ))

« Nous avons pris beaucoup de temps pour cette recherche, en choisissant chaque cas individuellement. Y a-t-il eu un nombre évident de décès « soudains et inattendus » dans le sport et le sport d’élite seulement à la mi-2021 ? Une accumulation possible depuis le début des vaccinations géniques peut (et ne veut pas) être expliquée par n’importe qui du côté officiel. Selon la lecture des médias et de la politique, peut-être victimes de chantage et de pots-de-vin, ce sont des coïncidences malheureuses – bien que même les jeunes de 13 ans souffrant de problèmes cardiaques tombent sur le terrain. »

L’agence de presse poursuit, par objectivité :

« Nous voudrions commencer ce rapport par les arguments de l’autre partie, car il est toujours important d’écouter toutes les parties. Nous voudrions également recommander ce principe à la presse judiciaire et au système, même s’il n’y a pas d’importantes subventions d’État à utiliser pour cela.

En 2016, le média français Futura Santé s’est plaint de « nombreux » décès cardiaques dans le football. Elle toucherait 2 athlètes sur 100 000 par an en France, soit un total de 1 000 à 1 500 personnes. Le « New Statesman » parle de 12 jeunes qui meurent de mort subite d’origine cardiaque en courant – chaque semaine. L’article a été publié en novembre 2018 en Angleterre. En février 2019, le journal autrichien der Standard a demandé pourquoi la mort cardiaque survient « si fréquemment » dans le sport.

« ll n’existe pas de statistiques fiables à des fins de comparaison. Mais dans Wikipédia, il y a des listes d’athlètes qui sont morts pendant le jeu. Cette liste remonte à 1889 et est longue à première vue – mais en fin de compte, il s’avère que même dans les « années de catastrophe », environ 5 à 8 décès de ce type ont été enregistrés ».

 Y a-t-il plus de gens qui meurent actuellement « soudainement et de manière inattendue » dans le sport, surtout lorsqu’il s’agit de professionnels et d’athlètes de haut niveau ? Et est-ce à cause de la vaccination ? ou bien avons-nous cauchemardé ?

Plus de 75 cas connus au cours des 5 derniers mois(([3] Veuillez signaler d’autres cas ou erreurs: redaktion@report24.news))

Etc.. Suite sur l’article de référence :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-

Peut-on vraiment croire au hasard et discuter doctement de l’imputabilité alors que des familles sont endeuillées et des enfants sacrifiés au nom de la soumission aux directives dites sanitaires. Jusqu’à quel degré l’aveuglement aide-t-il à vivre ?

Les atteintes cardiaques chez l’enfant sont rares

Contrairement à ce qu’essaient de vous faire croire les médias, les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu (les années 60) grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque, en l’absence de comorbidité comme des maladies auto-immunes ou des lésions post médicamenteuses (chimiothérapie anticancéreuse par exemple).

L’incidence des myocardites chez l’enfant, estimée entre 2007-2016 aux USA est de 1/100 000.(([4] R Vasudeva, P Bhatt, C Lilje Tendances des hospitalisations pédiatriques liées à la myocardite aiguë aux États-Unis, 2007-2016 AM J Cardiology . 15 juin 2021; 149:95-102 doi: 10.1016/j.amjcard.2021.03.019. Publication en ligne du 20 mars 2021.))

Même les maladies cardiaques congénitales s’étaient raréfiées dans nos contrées via le dépistage anténatal (et beaucoup d’avortements à la moindre communication interauriculaire) et via les interventions précoces pour les enfants nés avec des anomalies acceptées par la famille. Bref le concept de « maladie bleue » par exemple ne vous était plus familier et tant mieux.

Actuellement, les myocardites et péricardites peuvent se rencontrer dans le cadre de maladies virales, mais sont alors le plus souvent bénignes et de courte durée et plus fréquemment chez des sujets fragiles, voire immunodéprimés.

Plus exceptionnellement se rencontre en pédiatrie une myocardite grave et menaçante à l’occasion d’un diagnostic difficile qui débouche sur une maladie congénitale exceptionnelle.

Nous sommes alors dans le cadre de maladies rares, dites orphelines(([5] Définition del’OMS maladie orpheline si incidence = ou < à 6 /100 000 habitants)) et non de pathologies habituelles comme on aimerait vous le faire croire pour minimiser la tragédie actuelle, conséquence de pseudo vaccination inutile et dangereuse.

Donc une nouvelle fois, le récit médiatique démarre par d’énormes mensonges.

Non, les crises cardiaques qui tombent du ciel ne sont pas habituelles chez les jeunes qui jouent au foot dans la cour.

Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques des journalistes corrompus ou devenus complètement fous via la coronafolie.

Qu’est-ce au fond qu’une myocardite ?

Les myocardites et les péricardites sont des inflammations du muscle cardiaque (myocardites) ou de son enveloppe, le péricarde (péricardites). Classiquement elles se révèlent par une fatigue croissante, des douleurs thoraciques, des difficultés de plus en plus importantes à respirer, une accélération du rythme cardiaque, une baisse de la pression artérielle, et parfois des douleurs dans les membres. La maladie est parfois accompagnée de fièvre, car une infection virale ou bactérienne peut être à l’origine de l’atteinte cardiaque. Ce n’est pas le tableau le plus courant actuellement.

Elles peuvent passer inaperçues et ne se révéler brutalement que par un énorme malaise, voire une mort subite, à l’occasion d’un effort. Ce sont les jeunes sportifs qui paient actuellement un lourd tribut. Et les médecins belges recommandent depuis plusieurs mois de ne pas faire d’efforts au moins dans la semaine suivant l’injection.

L’évolution de la myocardite peut être très variable. Elle ne provoque souvent que des symptômes mineurs, mais elle peut aussi entraîner un arrêt cardiaque brutal ou guérir en laissant des séquelles permanentes responsable dans 20% des cas de mort dans les 5 ans qui suivent pour les myocardites habituelles.

Il est évident que les notions générales évolutives citées ici sont liées aux myocardites infectieuses ou congénitales connues et que personne ne peut prédire les conséquences de l’atteinte cardiaque par la protéine spike créée via l’injection génique nouvelle. Combien de temps le vacciné produit-il de protéines spike susceptibles d’aggraver la maladie et/ou de se compléter par d’autres lésions sur d’autres organes ? Aucune réponse claire possible sans recul.

Les prédictions de guérison possibles basées sur l’évolution des myocardites d’autres origines n’ont aucune valeur. Il serait honnête d’avouer que l’on ne sait pas ! Ce qui est certain est qu’un énorme doute existe sur l’avenir de ces patients.

ATTENTION AU BÉNÉFICE/RISQUE

Les marchands de vaccin aimeraient nous faire croire et l’écrivent sans remords, que le Covid donne plus de risque de myocardite que le vax. Ils inventent et/ou manipulent les données, oubliant que les jeunes ne meurent pas de Covid, alors que les jeunes vaccinés meurent de crise cardiaque. Regardons les données.

Quels sont les risques de myocardite après infection Covid chez les jeunes 

La myocardite (ou péricardite ou myopéricardite) résultant d’une infection primaire à la Covid19 s’est produite à un taux de 450 par million chez les jeunes hommes malades du Covid. Les jeunes hommes infectés par le virus sont plus susceptibles de développer une myocardite que ceux qui ont reçu le vaccin nous dit-on.(([6] Risk of Myocarditis from Covid-19 Infection in People Under Age 20: A Population-Based Analysis (nih.gov) ))

Mais ce pourcentage omet de préciser que la maladie clinique du Covid est exceptionnelle chez le jeune de moins de 20 ans et que ces atteintes cardiaques sont bénignes et d’évolution favorable rapide.

Il serait honnête d’avouer que le Covid chez le jeune ne tue pas alors que la myocardite post-vaccinale d’un sujet sain non malade tue parfois et confisque l’avenir du jeune en tous les cas. Comparaison purement chiffrée n’est pas raison.

La myocardite du vaccin antiCovid

L’histoire médiatique de l’atteinte cardiaque post vaccination remonte à quelques mois après le début des injections intensives vers mai 2021.

Fin mai 2021, le comité de sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une déclaration d’intérêt concernant les cas signalés d’inflammation myocardique et/ou péricardique survenant chez des patients après vaccination avec des vaccins à ARNm Covid-19. Cela faisait suite à un petit nombre de cas signalés en Israël et aux États-Unis.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans. Les cas semblaient être principalement chez les hommes et se développer peu de temps après l’administration de la 2e dose.

Démonstration de l’imputabilité de l’atteinte cardiaque à la vaccination

Les Canadiens ont vérifié chez l’adulte, sur deux mois de juin à fin juillet 2021 la survenue de myocardites après injection, ce qui a permis d’établir clairement(([7] https://resistance-mondiale.com/vaccination-contre-larnm-Covid-19-et-developpement-de-la-myopericardite-confirmee-par-cmr)) la temporalité entre l’apparition de la myocardite et la vaccination.

Les symptômes constatés chez les cardiaques canadiens sont résumés dans le tableau tiré de leur article.

Il s’agit de la plus grande série de la littérature à établir clairement la relation temporelle entre la vaccination par l’ARNm Covid, les symptômes cliniques de la myocardite et les résultats de l’IRM.

Chez la plupart des patients, l’apparition des symptômes a commencé dans les premiers jours suivants la vaccination avec des anomalies correspondantes des biomarqueurs et de l’ECG. L’IRM cardiaque a confirmé des modifications myocardiques et péricardiques aiguës avec la présence d’un œdème démontré à la fois par la cartographie des tissus et le rehaussement tardif du gadolinium. Les symptômes se sont résorbés rapidement avec le traitement standard et les patients ont pu sortir en quelques jours.

Si la cohorte canadienne avait capturé tous les cas dans la région d’Ottawa, l’incidence de la myocardite serait de 0,1 % de toutes les doses de vaccin (32 cas/32 379 doses x 100), ou 10 cas de myocardite pour 10 000 doses de vaccin. Cette étude concerne des adultes, mais est intéressante pour notre sujet, car elle confirme le lien entre atteinte cardiaque et injection génique.

L’une des cohortes les plus importantes à ce jour a décrit la nécessité d’un traitement de l’insuffisance cardiaque chez 40 % de ses patients atteints de myocardite (malgré l’absence d’épisodes d’insuffisance cardiaque antérieurs) et de soins intensifs chez 10 %. Mais l’étude concerne les adultes et la maladie cardiaque post vaccinale paraît d’autant plus grave que le sujet est plus jeune.

L’inflammation péricardique est un épiphénomène d’inflammation myocardique ; cela a également été démontré dans la série de cas de Starekova et al. La véritable péricardite diffuse isolée est rare dans la littérature.

La myocardite a été décrite comme complication de vaccins classiques, mais dans des proportions beaucoup plus faibles qu’avec les pseudovax antiCovid

La myopéricardite est une complication reconnue associée à quelques vaccins, aux États-Unis représentant 0,1% de tous les effets indésirables collectés par le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS).(([8] Le CDC, Centre for Disease Control, organisme officiel américain qui surveille les maladies aux USA. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) système officiel de pharmacovigilance américain.)) Ces rapports, recueillis entre 1990 et 2018, révèlent que 79 % des cas concernaient des hommes et sont survenus principalement dans les 2 semaines suivant la vaccination.

Myocardites associées aux injections antiCovid aux USA selon les données du VAERS

Les évènements indésirables cardiaques sont nettement plus fréquents chez les jeunes garçons d’autant plus qu’ils sont plus jeunes et qu’ils ont reçu deux doses de vaccin. Les signes cliniques apparaissent dans les jours suivant l’injection. Relevons la fréquence considérablement augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale : 23 % de plus entre 12 et 15 ans, 40 fois plus entre 16 et 17 ans.(([9] CDC Awardee Covid-19 Vaccination Planning Meeting))

Une autre étude dite stratifiée a été réalisée sur les myocardites chez les adolescents et leurs liens avec les vaccins à ARNm à partir des données du VAERS  pour comparer le danger respectif de la maladie Covid et du vaccin.(([10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1 « SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »))

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même

Le CDC rapporte qu’il y a 94 à 96% d’hospitalisation des myocardites/péricardites post-vaccinales.

Les garçons de 12 à 15 ans sont 12 fois plus sujets à des effets indésirables cardiaques que les filles du même âge, et cela principalement après la seconde injection du vaccin.

Pour les garçons de 12 à 15 ans, ont été enregistrés 162,2 cas d’effets indésirables cardiaques par million d’injections de vaccins anti-Covid, contre 94 cas / million chez les 15-17 ans, évènements ayant nécessité une hospitalisation.

Cette étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.(([11] SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children
Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »
https://medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1.full.pdf))(([12] Vaccination plus risquée que la Covid-19 pour les 12-17 ans – REINFOCovid))

Comparaison de la fréquence générale des myocardites avant et après vax antiCovid

Une étude récente(([13] Forty hospitals in Washington, Oregon, Montana, and Los Angeles County, California, that were part of the Providence health care system and used the same electronic medical record (EMR) were included)) chez l’adulte a comparé le taux de myocardites dans les périodes prévaccination et post vax(([14] George A. Diaz, MD1; Guilford T. Parsons, MD, MS2; Sara K. Gering, BS, BSN3; et al Audrey R. Meier, MPH4; Ian V. Hutchinson, PhD, DSc5; Ari Robicsek, MD2 Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 JAMA2021 Sep 28;326(12):1210-1212.doi: 10.1001/jama.2021.13443
Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 – PubMed (nih.gov) )) Jan 2019–Jan 2021) et pendant la période de vaccination Covid-19 vaccination (Fevrier-Mai 2021) au sein d’un large système de santé américain

Le nombre mensuel moyen de cas de myocardites ou de myo-péricardites pendant la période pré vaccinale était de 16.9 pour 100000 (95% CI, 15.3-18.6) vs 27.3 (95% CI, 22.4-32.9) durant la période vaccinale (P < .001).

Le nombre moyen de péricardites était pendant les mêmes périodes de 49.1 (95% CI, 46.4-51.9) et 78.8 (95% CI, 70.3-87.9), respectivement (P < .001).

Les myocardites se développent rapidement chez les patients les plus jeunes et surtout après la seconde dose. Les péricardites affectent surtout les patients plus âgés et soit après la première, soit après la seconde.

Fréquence en fonction de l’âge et du sexe – grand pic chez les garçons entre 12 et 20 ans

Les CDC américains (centres officiels : Centers for Disease Control and Prevention) ont rapporté l’association entre Covid-19 mRNA vaccins and myocardite surtout chez les garçons les plus jeunes dans les quelques jours suivant la deuxième injection.

Sur la base des données du Vaccine Adverse Events Reporting System, le CDC a estimé que l’incidence de la myocardite après toute vaccination Covid-19 est de 0,48 cas pour 100 000 au total et de 1,2 cas pour 100 000 parmi les vaccinés âgés de 18 à 29 ans.

Un rapport de la campagne de vaccination de l’armée américaine contre le Covid-19 a noté une incidence de 8,2 cas de myocardite pour 100 000 hommes militaires (un total de 23 cas). Les enquêteurs de l’étude militaire ont identifié un dysfonctionnement ventriculaire gauche chez 17% des hommes (tous les cas étant légers ou légers à modérés). 

Myocardites en UE selon le site officiel de l’EMA : Eudravigilance

Myocardites des 12-17 sur Eudravigilance et vaccination des 12-17 ans en France

Du 1er avril au 15 juin, 3 myocardites ont été déclarées sur Eudravigilance chez les 12-17 ans. Puis le « vaccin » est arrivé pour les enfants, et le nombre de myocardites a explosé ! Alors, pure coïncidence ?(([15] Yoann 3 oct sur tweeter))

Eudravigilance (2.10.2021).

À ce jour, + de 28 000 décès liés aux « vaccins » déclarés dans les pays membres de l’UE.
Sur 12-17 ans, plus de 500 myocardites imputables aux Vaccins antiCovid.

Les Effets secondaires globaux dits pudiquement « indésirables » s’approchent des 3 millions.. Et l’on sait tous que les remontées d’informations sont inférieures à 5 %. Qu’en est -il de la réalité ?

Resituons les atteintes cardiaques dans les atteintes globales en UE (sur 27 pays hors G-B)

Les études israéliennes

Un premier rapport d’Israël en avril 2021 a mis en évidence une relation séquentielle apparente entre la réception du vaccin à ARNm Covid-19 et la myocardite, la plupart survenant chez des jeunes hommes auparavant en bonne santé et avec une incidence 5 à 25 fois supérieure au taux de fond habituel.

Le mécanisme précis reste obscur et les théories incluent un effet trophique direct du virus (bien qu’il n’y ait aucun rapport d’isolats viraux provenant d’une biopsie endomyocardique), et une réponse immunitaire exagérée de l’hôte invoquant les cellules T cytotoxiques en tandem avec la tempête de cytokines

En conséquence, la Food and Drug Administration aux États-Unis et l’Agence de la santé publique du Canada ont décidé d’ajouter des étiquettes de mise en garde aux vaccins à ARNm Pfizer et Moderna soulignant le risque de maladie cardiaque inflammatoire. Cela a été signalé secondairement par l’EMA et il a été demandé aux médecins de signaler ce risque … tout en ne dissuadant pas de faire l’injection…

Le rapport initial d’Israël note une incidence
de 1 sur 3000 à 1 sur 6000 myocardites
suite à la vaccination chez les jeunes adultes.

Les médecins israéliens ont été les premiers à sonner l’alarme dans un silence assourdissant dans les premières semaines.(([16] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Ils ont évalué l’incidence de la myocardite après vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer) dans une seule organisation de soins de santé (HCO) en Israël et décrit l’évolution clinique et la gravité de la maladie à partir d’un examen des dossiers des patients.

Les estimations du VAERS américain sont inférieures à celles israéliennes, probablement en raison des différentes méthodes utilisées pour identifier les cas (déclaration passive au CDC vs dossiers de santé électroniques en Israël ). 

Dans l’étude israélienne de Barda et al.la vaccination a entraîné un excès de 2,7 cas de myocardite pour 100 000 personnes vaccinées. 

Dans cette étude de cohorte rétrospective portant sur des personnes âgées de 16 ans ou plus dans un grand système de santé israélien, l’incidence estimée de la myocardite dans les 42 jours suivant l’injection (d’au moins une dose du vaccin à ARNm BNT162b2) était de 2,13 cas pour 100 000 vaccinés et 10,69 cas pour 100 000 chez les hommes âgés de 16 à 29 ans

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([17] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))(([18] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))(([19] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées, et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins… (comme en France ou en Belgique et en suisse.)

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades (présentent des signes de maladies) du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). Ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites.

Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant

ET si vous voulez revenir au concret, chez de vrais enfants et non des statistiques

Je terminerai par le récit fictif d’Alain Tortosa à propos d’un enfant sain de six ans brutalement décédé futur astronaute qui rejoindra plus vite que prévu les étoiles. Si des larmes ne vous montent pas aux yeux, demandez-vous ce que les mesures antiCovid ont fait de vous…(([20] Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.[1]»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie[2]» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa[3]

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf

  1. [1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e
  2. [2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19
  3. [3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »

Alors avant de croire des recommandations mercantiles prônant l’injection anti Covid à vos enfants souvenez-vous des faits indiscutablement établis.





Quand le système monétaire MONDIAL tombera…

[Source : rusty james news]

… ce sera le 666 SystemE

[Ndlr : s’il a existé ou existe encore une conspiration de cet ordre, elle a visiblement pris du retard puisque la date de finalisation mentionnée en fin d’article — 1995 — est largement dépassée.]

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System… Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80 on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on ne le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires.

On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »…

À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution…

Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, sont prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé – comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné et s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini.

Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose.

Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.
De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant les nations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unis.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également un ancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte que « les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. » Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait :

« Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant :

« Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique.

Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue :

« L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale ».

En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen,…). On oblige(ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminatis. En effet, ce programme extrait d’une revue financière, rejoint l’article 4 du code des Illuminatis :

« … afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminatis il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminatis disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales – actions, valeurs, fonds mutuels, rentes – sur lesquels des fortunes encore plus grandes – celles des masses – vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation, se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU – les plus grands banquiers de la planète, – l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations, se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts à rembourser [cf. Charles Gave, « Des lions menés par des ânes », chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront – avant l’implosion – qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système, seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplie(ront) et augmente(ront) la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures aux niveau social. S’en suivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

article_Manif-Londres



Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org via profession-gendarme.com]

[Voir Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français ! pour le rapport complet]

Extrait du rapport du Pr Zelenko déjà publié en entier sur PG [Profession Gendarme] ; cette partie concerne les maîtres du monde et les différentes organisations qui leur permettent de tout contrôler dans leurs seuls intérêts.
Pour ceux (trolls ou autres) qui sur le site accablent les juifs ils devraient comprendre en raison de la personnalité d’un des auteurs, le médecin, que les juifs comme les autres populations sont victimes de criminels qu’on croit juifs comme les Rothschild mais qui sont membres d’une mafia khazars qui ont pris le nom du blason corporatiste de leur boutique en Allemagne, le bouclier rouge.

Profession Gendarme

[Voir L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Qui sont ces criminels ?

Découvrez les familles obscures qui gouvernent le monde

Qui sont exactement ces criminels ? Avons-nous certains de leurs noms et où ils se trouvent ? Comment opèrent-ils et comment peut-on faire pour les arrêter ? Une partie importante de la réponse est donnée par le magnifique documentaire Monopoly, qui peut être visionné sur StopWorldControl.com.

MONOPOLY révèle en détail, avec toutes les preuves à l’écran, comment pratiquement tout dans notre monde appartient aux mêmes personnes. Cela montre qui ils sont et ce qu’ils prévoient pour l’humanité. À voir pour tout le monde !

[Voir aussi Les projets des Maîtres du Monde]

Parce que ces entités super riches possèdent tout, c’est un jeu d’enfant pour elles de contrôler le monde. Ils possèdent Apple, Facebook, Twitter, Google, Facebook et le reste de Big Tech, tous les principaux médias d’information, toute l’industrie du voyage, toute l’industrie alimentaire, les banques, l’industrie du vêtement, etc.

En achetant stratégiquement tout, ils ont acquis un monopole sans égal dans le monde entier. Quelque chose dont Jules César ne pouvait que rêver…

Ils possèdent également l’ensemble du secteur de la santé, ce qui leur permet de dire aux hôpitaux du monde entier ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Ils ont positionné leurs marionnettes politiques dans les gouvernements du monde entier par la fraude électorale, la corruption et le chantage. Une fois que nous comprenons cela, nous pouvons voir comment ils sont capables d’imposer la tyrannie partout dans le monde.

Cela me mènerait trop loin de nommer toutes les entités individuelles impliquées, mais je vais en révéler quelques-unes, qui sont au cœur de ce réseau. En Italie, il existe par exemple 13 familles ou lignées italiennes, appelées la «noblesse noire». Je les appelle « la mafia sous stéroïdes ». Ces familles, ainsi que d’autres dynasties similaires d’autres régions de la terre, se considèrent supérieures au reste de l’humanité. Ils considèrent les gens ordinaires comme des « insectes », des « bovins » et des « chiens ». C’est littéralement comment ils écrivent sur vous et moi dans leur littérature.

Ils croient que c’est leur destin de régner sur l’humanité, qui doit devenir leurs esclaves.

Jeff Bezos, Bill Gates, Georges Soros

Ces familles sont organisées selon une hiérarchie pyramidale, où finalement tout le monde répond aux mêmes marionnettistes au sommet.

La clé de leur pouvoir est le secret, donc personne ne peut les toucher.

C’est pourquoi les vrais leaders restent toujours dans l’ombre.

La population mondiale ne voit que des marionnettes qui opèrent sur le devant de la scène mondiale, comme des politiciens contrôlés, des célébrités hollywoodiennes, des dirigeants industriels, des personnalités des médias, etc.

Certaines marionnettes plus connues sont Klaus Schwab, Bill Gates, George Soros, les Clinton, la famille Bush, etc.

Bien qu’ils soient tous individuellement très riches et puissants, ils sont soumis à des entités plus haut placées dans la hiérarchie, mais qui s’assurent de rester hors de vueLe secret est leur force.

L’une de leurs stratégies consiste à mettre en place des organisations publiques « mondiales », qui sont leurs plates-formes visibles pour élaborer leur agenda. L’un d’eux est devenu très important pendant cette pandémie organisée et s’appelle l’Organisation mondiale de la santé, qui est principalement financée par Bill Gates, une marionnette clé de ce réseau criminel. L’OMS dicte à toute l’humanité – pensez-y ! – ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire en matière de santé. Personne n’a élu l’Organisation mondiale de la santé et personne ne veut qu’ils soient là pour intimider chaque médecin, infirmière et praticien de la santé dans une obéissance aveugle.

L’OMS force le monde entier à se soumettre inconditionnellement à ses « directives » tyranniques, qui sont plus souvent anti-scientifiques que fondées sur une science appropriée.

L’OMS a par exemple dit au monde entier d’utiliser le test PCR pour découvrir les cas de covid, alors que ce test ne peut pas discerner les différents types d’agents pathogènes, et produit jusqu’à 93% de faux positifs. Ce test défectueux est le principal outil pour dire au monde qu’il y a une pandémie, alors qu’aucun dispositif médical dans l’histoire n’a jamais été aussi peu fiable. Pourtant, ce protocole anti-scientifique est imposé au monde entier, pour favoriser l’illusion d’une pandémie mondiale, qui repose principalement sur des faux positifs. Les centaines de millions de soi-disant « cas de covid » ne sont que des faux positifs, résultant d’un test fatalement défectueux. Le virus Sars-Cov-2 n’a jamais été isolé et purifié, il est donc impossible de le tester. C’est une arnaque aux proportions astronomiques.

C’est un exemple de la façon dont une « organisation mondiale » est utilisée pour déployer le programme de soumission de l’humanité à la tyrannie, au nom de la « protection de votre santé ».

Une organisation similaire est l’Organisation des Nations Unies, qui se présente comme le soi-disant « gardien de la paix » de ce monde. Leur agenda est cependant de soumettre toute l’humanité à un gouvernement mondial. L’ONU travaille en étroite collaboration avec l’Union européenne et l’OTAN, qui sont des outils similaires pour les familles criminelles pour anéantir l’indépendance des nations et mettre en place un gouvernement mondial.

Un autre acteur public est le Forum économique mondial, fondé par Klaus Schwab.

[Voir aussi :
Les valeurs familiales de Schwab
et
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Forum économique mondial se présente comme un groupe de réflexion pour les riches et les puissants du monde, où ils « cherchent des solutions aux problèmes du monde ».

Leur mot magique est « développement durable » qui prétend assurer un avenir meilleur à notre monde. En collaboration avec l’ONU, ils ont développé le soi-disant Agenda21, qui prétend offrir la solution ultime pour un monde plus durable.

En réalité, cela signifie rien de moins que de s’emparer de tous les droits, libertés et propriétés de l’ensemble de la population mondiale et de tout mettre entre les mains des super-riches.

Ensuite, il y a l’empire bancaire, qui contrôle tout l’argent du monde. Leur travail consiste à créer une société sans argent liquide où seuls ceux qui sont connectés numériquement au système de surveillance et d’esclavage, auront toujours accès aux finances. Le gouvernement nigérian a été généreusement payé par eux, pour réserver les services bancaires strictement aux vaccinés, un exemple qui sera bientôt suivi par d’autres pays.

Une entité de premier plan dans l’empire bancaire est la célèbre famille Rothschild. Ils possèdent les banques centrales de 165 pays, contrôlant ainsi les flux monétaires dans la plupart des pays. Depuis les temps anciens, cette famille s’est consacrée au culte de la plus sombre de toutes les forces. Une autre famille bien connue est celle des Rockefeller. Ils ont publié le « Scénario du futur » en 2010.

[Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation
et
La synagogue de Satan]

Des entités comme le Rockefeller Institute se présentent comme des protecteurs de l’humanité, mais derrière ce masque humanitaire se cache un visage macabre de soif de pouvoir.

J’ai déjà mentionné la noblesse noire d’Italie. Leur stratégie la plus efficace a été de se cacher derrière le beau visage du christianisme, lorsqu’ils ont établi le Vatican à Rome, en tant que « centre du catholicisme romain ».

Derrière l’architecture monumentale des cathédrales majestueuses, se cache pourtant un monde si sombre et pervers, qu’aucun être humain normal ne pourrait jamais le comprendre. L’exposition récente d’abus organisés et systématiques d’enfants dans ce bastion religieux n’est que la plus petite pointe d’un iceberg si profond qu’il traumatiserait la plupart d’entre nous, si nous savions ce qui s’y passe.

Ne vous y trompez pas : il y a aussi de bonnes personnes religieuses au Vatican, qui n’ont tout simplement aucune idée de ce qui se passe dans les coulisses.

[Voir aussi :
La Bête de la Mer: l’Église Catholique Romaine dans la Prophétie
Ndlr : le mot « Église » signifie originellement « Assemblée de fidèles » et l’Église guidée par Simon était une assemblée de chrétiens, d’essence spirituelle. Le Catholicisme Romain s’est lui construit sur des pierres.]

C’est tout un immense théâtre de marionnettes, où la majorité des gens – même la plupart de ceux qui sont complices – n’ont pas la moindre idée de ce qui se passe et de la façon dont tout le monde est trompé.

Le Vatican est situé à l’intérieur de la Cité du Vatican, qui est un État souverain indépendant de l’Italie, où aucune loi italienne n’a d’autorité. Parce qu’ils ne sont soumis aux lois d’aucun pays, pas même de l’Italie qui les entoure, ils peuvent commettre tous les crimes qu’ils veulent.

Des États souverains similaires à l’intérieur des nations sont « La Cité de Londres » (un État indépendant au sein de Londres qui échappe à toutes les lois britanniques mais contrôle le gouvernement britannique), « Washington DC » (ou le District de Columbia, qui est un État souverain à l’intérieur des États-Unis États, qui règne sur le peuple américain). Les familles criminelles ont mis en place ces « États au sein des nations » intouchables à partir desquels elles opèrent.

La Cité du Vatican est la plus importante de toutes, et c’est ici que les plus hauts marionnettistes ont leur siège.

Nous connaissons tous le Pape Blanc, un rôle qui est actuellement joué par le Pape François. Son travail consiste à contrôler la communauté de foi catholique romaine dans le monde entier et à l’orienter vers le Nouvel Ordre Mondial. Dans plusieurs messages publics, il appelle tous les croyants à se faire vacciner112, et continue à proclamer le Nouvel Ordre Mondial comme la seule solution aux problèmes du monde. Voici quelques-unes de ses déclarations :113

« Nous pouvons guérir l’injustice en construisant un nouvel ordre mondial … Le chemin du salut de l’humanité passe par la création de un nouveau modèle de développement … prendre soin de la Terre, avec des choix personnels et politiques radicaux, … sans pour autant une vision globale il n’y aura pas d’avenir … nous devons mettre un terme au nationalisme qui n’a pas de vision d’avenir … »

Outre le pape blanc, il existe également un pape noir moins connu qui a beaucoup plus de pouvoir, mais qui travaille davantage dans les coulisses.

Le Pape Noir est cependant toujours soumis à celui qui siège sur un trône plus élevé : le Pape Gris. Ce marionnettiste suprême opère entièrement dans l’ombre, d’où il détient un énorme pouvoir sur le monde.

Si vous voulez comprendre comment tout cela est né historiquement, vous devez rechercher les sombres origines spirituelles des jésuites. Je vais le laisser ici, pour l’instant, car ce sujet peut facilement nous conduire trop loin.

Nous devons comprendre que ce réseau criminel est de nature hautement spirituelle et que tous ceux qui sont au sommet sont impliqués dans de sombres pratiques spirituelles anciennes.

Pour parler franchement, ce sont des satanistes, aussi appelés lucifériens. Leur stratégie est cependant de toujours se cacher derrière de magnifiques masques, qui montrent le contraire de qui ils sont.

[Voir aussi : Quelle est la différence entre le diable, Lucifer et Satan? Religion la maison de l’esprit – Jecoco.com]

Nous le voyons avec Klaus Schwab, qui utilise une rhétorique éloquente pour ensorceler l’esprit de son public mondial et le convaincre que la plus noble de toutes les causes est de s’assurer que chaque humain sur terre pensera et ressentira exactement la même chose. « Elevez l’humanité dans une conscience collective ».

La façon dont il présente ce plan fou et délirant est cependant si rusée que la plupart des gens lui feraient une ovation debout, après avoir entendu son discours. La même chose que nous voyons avec le Pape Blanc, qui parle magnifiquement de prendre soin des pauvres, de mettre fin à l’injustice, de sauver la Terre et d’autres nobles causes, alors qu’en fait il dit simplement : « Le monde entier doit être asservi à un gouvernement mondial unique. , où personne n’aura de voix, de droits, de libertés, de biens, d’identité ou de vie privée. » C‘est le même genre d’hypnose qu’ils utilisent pour imposer les vaccins : « Le monde est attaqué par une maladie mortelle, mais nous avons une solution merveilleuse : des vaccins qui sauvent des vies. Hourra! » Que ces merveilleux vaccins contiennent des créatures vivantes avec des tentacules, des nanoparticules qui s’auto-assemblent, des substances hautement toxiques, et qu’elles en tuent des millions, n’est évidemment pas mentionné.

Il s’agit d’hypnotiser l’humanité en utilisant des formes raffinées d’hypocrisie et de tromperie.

Une autre façon pour ces criminels d’opérer est de s’organiser en soi-disant sociétés secrètes, pour établir leur influence cachée dans chaque nation.

En dehors des sociétés complètement cachées, il existe aussi des cultes plus publics, comme la franc-maçonnerie.

C’est l’une des organisations spirituelles les plus connues, utilisée pour influencer les autorités locales dans pratiquement chaque ville de chaque nation.

Ils attirent des personnes en position d’autorité, prétendant être une organisation innocente qui veut aider l’humanité.

Ce n’est que lorsque les membres grimpent aux niveaux supérieurs de la franc-maçonnerie, qu’ils découvrent que c’est du satanisme.

La franc-maçonnerie vise à faire des personnes influentes de chaque communauté leurs membres, afin qu’elles puissent les utiliser pour la réalisation de leurs plans.

Le lanceur d’alerte de Google Zach Vorhies109 m’a dit dans une conversation personnelle qu’en 2016, Google a présenté ses plans pour programmer l’humanité dans un endroit révélateur : le siège de la franc-maçonnerie de San Francisco. Là, Google a informé son personnel de la stratégie de l’entreprise : façonner l’esprit de l’humanité. Cela illustre comment la franc-maçonnerie joue un rôle central dans cet agenda mondial.

Les nombreuses sociétés secrètes travaillent en étroite collaboration avec les services secrets des nations, comme par exemple la CIA et le FBI en Amérique. Des entités qui, en apparence, combattent le crime, mais sont en réalité parmi les pires de toutes les organisations criminelles.

Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte, qui a été assassiné pour ses aveux, a admis il y a quelques années que les journalistes du monde entier sont payés par les services secrets, les sociétés secrètes, les agences gouvernementales, les milliardaires, etc. pour toujours mentir et ne jamais dire la vérité à le public.

[Voir Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Son témoignage important peut être vu dans le documentaire BUSTED sur StopWorldControl.com. C’est à cause des aveux de ce brave journaliste – qui fut rédacteur en chef d’un des plus grands journaux d’Europe – qu’un grand réveil est en train de se produire en Allemagne. Son livre a ouvert les yeux de la population allemande, qui est désormais une force majeure contre le Nouvel Ordre Mondial.

Bien que la Cité du Vatican, Washington DC et la ville de Londres soient le siège des familles criminelles, bon nombre de leurs opérations logistiques ont été transférées vers des pays asiatiques, car ils prévoient d’utiliser la Chine pour renverser le reste du monde. Le régime communiste oppressif d’esclavage total et de contrôle qu’ils ont installé en Chine, doit maintenant être étendu au reste du monde.

Notre ennemi n’est cependant pas le Parti communiste chinois, puisqu’ils sont aussi de simples marionnettes. Ceux qui tirent les ficelles sont toujours assis dans la Cité du Vatican.

La bonne nouvelle est qu’il y a eu beaucoup de luttes intestines dans ce réseau criminel, ce qui l’a fait s’effondrer dans plusieurs camps, qui se disputent tous la domination mondiale. Puisse cette confusion parmi eux augmenter, alors qu’ils tombent dans leurs propres fosses et que leurs plans échouent lamentablement.

On peut en dire beaucoup plus sur tout cela, car de nombreux livres ont été écrits sur ce réseau criminel, par des chercheurs qui ont souvent consacré leur vie entière à les exposer. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez trouver une mine d’informations de qualité compilées par d’excellents chercheurs sur le site Web néerlandais Ellaster.nl. Utilisez Google Translate pour lire les articles :
https://www.ellaster.nl/category/val-vancabal/cabal

Vous pouvez également regarder la série documentaire « La chute de la Cabale » sur StopWorldControl.com, un chef-d’œuvre du journalisme qui explique beaucoup de choses sur cette « cabale » mondiale. (Traduction en français de cette série de vidéos « La chute de la cabale », ici :
https://infovf.com/video/les-origines-cabale-part-the-sequel-the-fall-the-cabal-janet-ossebaard–1746.html )

Source : The vaccine death report par Valdimir Zelenko et David John Sörensen pages 37 à 42.

Traduction : par https://la-verite-vous-rendra-libres.org/




Propositions iconoclastes pour la prochaine élection présidentielle française

Par Lucien SA Oulahbib

  • Il y a environ 200 000 avortements par an en France, pourtant beaucoup de couples cherchent à adopter et n’y arrivent pas alors que la majorité est pourtant hétérosexuelle, ne parlons pas des autres… Pourquoi ne serait-il pas alors possible de proposer à ces femmes qui veulent avorter la possibilité soit d’accoucher sous X, soit de les accompagner financièrement jusqu’à qu’elles puissent subvenir aux besoins de l’enfant et des siens surtout lorsqu’elles sont très jeunes ? Quitte pour les autres à imaginer de nouvelles maisons d’accueil pour femmes si leur milieu familial et social s’avère hostile.
    .
  • Nombre de témoignages montrent que beaucoup de femmes, même jeunes, auraient aimé mener à leur terme leur maternité si elles avaient connu un environnement favorable. Mais elles subissent souvent la pression idéologique de groupes fanatisés agitant le refus de toute « emprise sur les corps » alors que ces mêmes groupes ne disent absolument rien à l’encontre de la contrainte étatiste actuelle sur ces derniers ; ne parlons pas de leur silence abyssal à l’encontre des pays qui les oppressent et obligent à leur migration censée cyniquement « remplacer » ces avortements faisant chuter la démographie de manière de plus en plus dramatique.
    .
  • Il faudrait interroger tous les candidats à la Présidentielle française sur ce point. Tous ? Oui…
    .
  • Concernant maintenant le point sans doute le plus attaqué des propositions de Zemmour concernant sa conception de la « préférence nationale » (le terme même étant traité de « fascisant » depuis des lustres alors que l’on ne peut pas être fonctionnaire sans être justement « Français » au moins sur le papier) est on le sait le suivant : réserver les allocations de solidarité, hors cotisations sociales, aux nationaux, ce qui implique que même les étrangers en situation régulière n’auraient plus le droit de les toucher (CAF, APL, RSA, CMU, AME…). À cela plusieurs conséquences pratiques : avant même de réfléchir sur sa philosophie, concrètement cela va impliquer un sérieux manque à gagner pour beaucoup de foyers d’étrangers. Est-ce que cela va les inciter à repartir vers leur pays d’origine dans lequel ils survivaient et étaient oppressés (mais très peu l’admettent) ?
    .
  • Pas sûr. Mais cela ne veut pas dire que cela ne soit pas salutaire pour ces étrangers, du moins pour ceux qui veulent réellement s’agréger à la nation française et sa culture.
    .
  • En effet, si dans un premier temps cela peut engendrer beaucoup de tensions et même embarrasser nombre de Français d’origine étrangère jusqu’à ce que cela déclenche des affrontements violents dont il n’est pas sûr que leur émergence puisse être réellement colmatée vu l’état réel actuel des forces de l’ordre et de la justice, par contre cela peut libérer les familles qui veulent s’émanciper durablement de la pression communautariste, mais ont toujours été empêchées par cette dernière de faire le premier pas vers la demande de naturalisation pleine et entière (voir infra). C’est d’ailleurs l’intervention de la loi sur les signes ostensibles qui a relativement protégé la jeunesse de cette pression communautaire, relativement parce que sitôt rentrée dans ses foyers cette jeunesse, en particulier féminine, reste toujours et en permanence harcelée, malmenée, menacée, violentée, parfois brûlée et même tuée sous l’indifférence générale des Autorités et des Milices pseudo-féministes et antifa à leurs ordres.
    .
  • Mais je ne militerai pas pour un « assouplissement », du moins tel quel, des conditions permettant d’acquérir la nationalité française (ou de la réintégrer pour les « Algériens » nés avant 1962 comme ce fut le cas pour ma famille en 1971, présente en France depuis 1954 et obligée de fuir parce que mon père était menacé du fait de sa lutte pour une « Algérie plurielle » et qu’il avait réintégré la religion chrétienne, dominante avant l’invasion arabo-musulmane). Je militerai plutôt pour que la possibilité d’être naturalisé ou de réintégrer la nationalité française soit subordonnée à deux conditions impliquant d’une part une extension de la loi sur les signes ostensibles et d’autre part l’acceptation des nouvelles contraintes liées au regroupement familial (à savoir perdre les allocations dites de « solidarité »).
    .
  • Ainsi demander la nationalité française ou la réintégrer implique strictement d’accepter ses us et coutumes ce qui implique donc d’une part que le port de signes religieux ostensibles ne soit pas possible non seulement durant la cérémonie, mais en général et en priorité dans les établissements publics et les entreprises privées, transports compris (la « rue » restant libre, mais son « espace commun » reste ouvert à la critique civilisationnelle), et, d’autre part, le fait de demander un regroupement familial implique de voir ses allocations de solidarité être en effet supprimées parce que ce n’est pas du devoir national de la France que de supporter les impérities des pays d’origine, mais plutôt à ces derniers et plus largement à ladite Communauté internationale d’y remédier.
    .
  • Il n’est en effet pas du tout « équitable » que ne soit pas reconnu le statut de réfugiés économiques qui inciterait, voire forcerait, les structures internationales qui s’occupent de réfugiés en général (irréguliers, mais aussi réguliers) à les prendre en compte. Ceci implique concrètement que ce soit ces structures qui financent des camps de réfugiés édifiés par ailleurs de manière responsable à la différence de ces cloaques comme la « jungle de Calais » ou ces différents sites de réfugiés irréguliers installés dans ces nouveaux bidonvilles qui fleurissent de plus en plus.
    .
  • La France devrait d’ailleurs suspendre ses participations de toutes sortes à ces instances tant qu’elles ne prennent pas à bras le corps ces problèmes, en particulier l’UE, ce qui impliquera de suspendre la somme allouée par la France à cette dernière, et d’opérer en effet la politique dite de la « chaise vide » jusqu’à militer au niveau mondial pour la constitution d’une nouvelle organisation des nations qui pourrait se nommer Alliance des Nations Démocratiques (AND) dans laquelle ne serait acceptées que les nations respectant réellement les libertés de penser, d’entreprendre et de choisir les institutions et le mode de vie adéquats à leur singularité civilisationnelle, du moins dans les limites de la nouvelle Charte reprenant les principes des droits de l’Homme et du Citoyen, mais en les précisant et en les élargissant en conformité avec les acquis civilisationnels atteints aujourd’hui comme l’égalité homme/femme, la liberté de penser, de s’exprimer, de se soigner, d’être instruit en fonction de considérations qui respectent le socle de la Charte indiquant que la liberté est le primat conditionnant l’égalité et la fraternité.
    .
  • De ce fait, il faut proposer également, du moins déjà en France, que la santé ne soit plus sous la dépendance d’un ministère ou d’organismes, qu’ils soient publics ou privés, mais soit prise en charge par le citoyen lui-même via un chèque « santé » qui lui redistribue ses cotisations afin qu’il puisse choisir l’organisme de son choix. L’État ici n’a pas à suspendre les libertés fondamentales, mais à les protéger à partir du moment où la liberté de soins est suffisamment prise en charge par des organismes responsables indépendants des pressions financières et idéologiques.
    .
  • Idem pour l’enseignement qui n’a pas besoin d’un ministère, mais de directives dites d’instructions publiques et non plus d’éducation nationale, les régions départements et communes prenant en charge ces instructions de telle sorte qu’elles veillent à ce qu’une réelle pluralité pédagogique les accompagne, tout en faisant en sorte que le « chèque » d’enseignement distribué à chaque famille soit réellement investi à cet effet.
    .
  • Les enseignants doivent être directement recrutés par les établissements scolaires à partir du moment où ils possèdent un diplôme nationalement reconnu.
    .
  • Le ministère de la Culture doit aussi disparaître et être remplacé par une régionalisation renforcée (du moins lorsque les régions seront redimensionnées dans leur état d’origine [infra]. Les aides et prêts ne doivent plus être dépendants d’organismes idéologiquement orientés, mais réellement pluralistes ce qui implique d’en faire un audit.
    .
  • Les ministères de l’Économie, de l’Industrie et de l’Environnement doivent être regroupés au sein d’un ministère du développement territorial équilibré [DTE] ce qui permettrait d’acheminer les attractions multiformes dont les investissements, de telle sorte qu’aucune région et commune, qu’aucun département soit défavorisé ou au contraire surdimensionné.
    .
  • Ceci implique d’encadrer l’énumération de ces propositions [dont une part est visible dans Intérêt général et bien commun : pour une théorie rénovée de l’Action Publique, 2014] par ces deux points constitutionnels : 1/les principales tâches d’intérêt général comme la sécurité, la défense, les relations diplomatiques restent l’apanage de l’État central et sont sous le contrôle de l’Assemblée nationale. 2/ toutes les tâches propres au « bien commun » [enseignement, santé, développement territorial comprenant les infrastructures énergétiques…] sont l’apanage des instances régionales, départementales, communales, sous le contrôle du Sénat, ce qui implique un rééquilibrage des pouvoirs de décision de ces deux Chambres, considérant par exemple que les députés qui interviennent au sein de l’UE doivent être les mêmes qu’au niveau national [par roulement], qu’il existe aussi une dissociation entre élections présidentielles et législatives, le mandat des premières revenant à sept ans, celui des secondes à cinq ans, mais sur la base d’une proportionnelle majoritaire à un tour ce qui évite les alliances de circonstance et le non-émiettement de la majorité dégagée.
    .
  • Au niveau international, il faudra faire de toute façon un audit des organisations dédiées et des types d’alliances aujourd’hui en vigueur.
    .

À suivre…




USA — Clay Higgins fait un discours fort et inspirant : « Nous n’obtempérerons pas ! »

[Source : L’Informateur. (qactus.fr)]

« Certains d’entre nous sont des Américains libres et nous préférons mourir debout que vivre à genoux. Si vous voulez vous faire vacciner, faites-le. Si vous ne le voulez pas, ne le faites pas. C’est la liberté qui est en jeu et certains d’entre nous sont prêts à mener ce combat avec chaque goutte de leur sang. »



Les Américains réclament la liberté. Nous, le peuple, sommes unis contre un gouvernement en constante expansion « et une dette nationale paralysante. Aucun vrai républicain ne devrait soutenir le programme socialiste Biden. »

« C’est une victoire pour la liberté. Notre lutte contre le mandat inconstitutionnel du vaccin Biden se poursuit… au Congrès et devant les tribunaux. je suis reconnaissant à mon ami @AGJeffLandry pour avoir mené cette contestation judiciaire au nom des travailleurs de la Louisiane.

« Dans une victoire majeure pour la liberté des créateurs d’emplois et de leurs employés, la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit vient d’arrêter la tentative de l’administration Biden d’imposer des vaccins aux entreprises de 100 travailleurs ou plus. »

« Dans une victoire majeure pour la liberté des créateurs d’emplois et de leurs employés, la Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit vient d’arrêter la tentative de l’administration Biden d’imposer des vaccins aux entreprises de 100 travailleurs ou plus.

« L’action de la Cour empêche non seulement Biden d’aller de l’avant avec son excès illégal, mais commande également l’examen judicieuse que nous avons demandé.@POTUS n’imposera pas de procédures médicales au peuple américain sans les freins et contrepoids prévus par notre Constitution.#lagov#lalege



Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective

[Source : Anthropo-logiques]

J’ai eu l’occasion d’effectuer une présentation la semaine passée au Conseil scientifique indépendant sur ce thème, développé peu auparavant dans un article sur ce blog intitulé « Viol des esprits et psychose de masse« .

La plupart de nos concitoyens n’arrivent en effet pas à comprendre ce dans quoi nous sommes réellement engagés. Dans un état d’esprit présentant les caractéristiques croisées d’un état hypnotique et psychotraumatique (allant jusqu’au fameux « syndrome de Stockholm »), ils s’illusionnent majoritairement sur le fait que nous sommes dans une simple parenthèse de limitation de nos droits fondamentaux due à une terrible pandémie. Cette limitation et les mesures de contrainte, brutales, qui nous sont imposées servant à nous protéger le temps que passe cette menace et que nous puissions revenir « au monde d’avant. »

Cette erreur de perspective est tellement massive (mais aussi tellement grave) que j’ai repris les analyses des meilleurs auteurs sur cette question et sorti (comme toujours) les critères d’évaluation validés en la matière. Lesquels montrent que nous sommes déjà profondément engagés dans une dérive totalitaire, bien plus loin que nous pouvons pour la plupart d’entre nous le penser.

Comme toujours, je demande à mes lecteurs ou interlocuteurs de ne surtout pas me croire sur parole, mais d’avoir le courage d’affronter les éléments et analyses que je soumets à leur compréhension. Lesquels éléments et analyses proviennent bien sûr de sources bien plus compétentes et reconnues que je le suis moi-même.

Voici donc la vidéo, avec le fichier (en format pdf téléchargeable) de cette présentation :



  • Présentation au format pdf, pour télécharger : cliquer ici.

Cette présentation a été précédée d’une intervention passionnante de Patrice Gibertie, historien et auteur d’un blog hautement recommandable, sur le thème  « Approche géopolitique et géographique des traitements : du paracétamol au Molnupiravir ».


[Voir aussi :
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




Radio Courtoisie — Ligne droite du 4 novembre

[Source : Radio Courtoisie]

  • Bulletin d’actualités

Avec Eléonore de Vulpillières

  • La libre information : #Pfizergate !

Avec Surya Arby, informaticien, mathématicien, membre de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Internationale et Bienveillante (AIMSIB)

  • Chronique des réseaux sociaux

Avec Alister Rivière, directeur de GETTR en France (le réseau social alternatif qui défend la liberté d’opinion)

  • L’éclairage du jour : La guerre UE-Pologne – une guerre idéologique

Avec Patrick Edery, dirigeant d’entreprise, éditorialiste à l’hebdomadaire du syndicat Solidarnosc et rédacteur en chef de sa version française en ligne

  • Table ronde : COP26 – climat et enjeux

Avec Philippe Charlez, expert en questions énergétiques à l’Institut Sapiens, auteur du livre L’Utopie de la croissance verte aux éditions Jacques-Marie Laffont

Avec Rémy Prud’homme, professeur émérite d’économie à l’Université de Paris XII, auteur notamment des livres L’idéologie du réchauffement. Science molle et doctrine dure et Le mythe des énergies renouvelables. Quand on aime on ne compte pas aux éditions de l’Artilleur

  • Bulletin des réseaux sociaux 

Avec Eléonore de Vulpillières

  • Grand angle

Avec Nicolas Vidal, fondateur et rédacteur en chef de Putsch

  • Vu de haut : Un député soutient la candidature d’Eric Zemmour aux élections présidentielles

Avec Joachim Son Forget, député (non inscrit) des Français établis hors de France

  • Focus matin : Zapping sur les autres matinales

Avec Vincent Lenoble





La technique répétitive de la peur basée sur du vent… sans épidémie réelle

Par Gérard Delépine

N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins

Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens(([1] Une modélisation-prophétie catastrophe de plus de l’institut Pasteur : P Bosetti, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet, D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France, HAL Pasteur (Septembre 2021)
https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-03272638 v2))(([2] O. Veran La cinquième vague du Covid-19 imminente ? La mise en garde. La dépêche
mar. 2 novembre 2021))(([3] Dans son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021, Santé publique France prévient, une nouvelle fois :
« la reprise épidémique (du Covid, ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain, avec un taux d’incidence en augmentation pour la troisième semaine consécutive »)) de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass… Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des Chinois…

Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre Président et à notre Premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et sénateurs, avec une certaine écoute.

Voici les éléments factuels à leur communiquer.

Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts

Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS courant 2021.

Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews, il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à connaître également.

De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.

En France, le nombre de cas est globalement bas et stable

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,000 9. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité, comme nous le verrons ci-après.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles(([4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr) )) d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.

Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée

D’après le réseau Sentinelles,(([5] Le réseau Sentinelles officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.
La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.)) l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës — taux fixé plus bas qu’avant 2020 —, pour mieux inquiéter la population.

En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021 :

Publié le 03/11/2021

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :
une circulation des rhinovirus (hRV),
virus respiratoire syncytial (VRS),
métapneumovirus (hMPV)
la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau Sentinelles.

Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2 % de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande terrorisante.

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Prévoir l’avenir est difficile

Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.

Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.

N’ayez plus peur.

N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.

Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous constaterez que l’épidémie est terminée.

Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très efficaces.

Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.

N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.





La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Imaginez que l’humanité déciderait un jour – très bientôt – d’arrêter de porter des masques. À l’unisson : pas [de masques] dans la rue, pas dans les restaurants, pas dans les magasins, pas dans les événements sportifs – tout simplement nulle part. Contre tous les ordres d’une bonne partie des 193 gouvernements membres de l’ONU, ou du moins des gouvernements occidentaux. Et, en effet, contre l’ensemble du système des Nations Unies – contre les ordres de M. Antonio Guterres, lui-même. Oui, en effet. Beaucoup d’agences des Nations Unies, pas encore toutes, ont commencé à rendre obligatoire l’injection pour leur personnel… ou autres.

Comment se fait-il que tout le monde n’ait pas encore pensé que quelque chose ne va pas ? Qui va très mal. Se peut-il qu’il s’agisse simplement de la dissonance cognitive ? Vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout, mais le confort de votre maison ne vous permet pas de l’admettre ? C’était le cas dans le Troisième Reich, cela a mis en avant la tyrannie d’Hitler. Le reste appartient à l’histoire.

L’alternative à envisager serait que tous ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter s’en tiennent à leur décision et la rendent publique. Ils défient les ordres totalement illégaux et inconstitutionnels du gouvernement, le système de l’ONU qui reçoit leurs ordres de l’obscur culte invisible menaçant de mort ceux qui refusent d’obéir.

Il faut s’imaginer que personne n’écouterait ces ordres absurdes et anticonstitutionnels, pas même la police, ni l’armée – les deux institutions chargées d’appliquer la loi se rangeraient du côté du peuple – ce même peuple dont ils ont juré de défendre les droits.

En fait, cela s’est produit plus d’une fois dans le monde, là où la brutalité policière était particulièrement importante, un groupe de policiers de première ligne a soudainement enlevé leur casque et marché avec le peuple – en France, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Suisse et ailleurs. Dernièrement, une situation similaire s’est probablement manifestée dans l’État de Victoria, en Australie, où les habitants de Melbourne sont littéralement confinés depuis des mois.

Une policière a démissionné et s’est présentée sur le devant de la scène en donnant des entrevues et en révélant que la majorité de ses collègues pensent de la même façon, mais ils ont peur de perdre leur emploi et / ou d’être punis par le gouverneur tyrannique de Victoria. C’est un bon début. Regardez ce reportage.

Cela doit se produire à l’unisson. Dans la solidarité. Dans la plupart des pays européens, vous n’êtes pas le droit d’aller au restaurant ou à tout événement public à moins que vous ne puissiez présenter le votre preuve de vaccination anti-Covid (certificat vaxx) – un infâme code QR sur votre téléphone portable, qui sera lu par un autre téléphone portable, programmé pour lire votre QR-code.

Photo : Manifestation à Montréal, le 30 octobre 2021, par Micheline Ladouceur

Vous n’avez aucune idée de ce qui est ou de ce qui sera éventuellement mis sur ce code QR. L’objectif est d’obtenir tous vos renseignements personnels, votre dossier médial complet, votre casier judiciaire, en passant par vos comptes bancaires – tout sur vous en fait. Mais cela sans que vous soyez au courant. Vous ne pouvez pas lire ce qui se trouve sur le code QR. « Eux », « ils » le peuvent, car il est programmé de cette façon.

En fait, l’objectif est d’implanter ce code QR dans votre corps. C’est à peu près ce que Klaus Schwab a fièrement dit dans un bref entretien (environ 2 minutes de vidéo ci-dessous) avec la télévision suisse française en 2016. Il présente les choses comme suit :  : les humains deviendront des « transhumains ».

Vidéo : Vers la tyrannie numérique avec Peter Koenig



La vidéo a depuis été « vérifiée » (“fact-checked”) sur Internet. M. Microsoft, Bill Gates, a en fait parlé d’un système d’exploitation (Operating System) implanté dans le corps humain. Ainsi, nous, les humains, devons avoir un corps capable de répondre aux ondes électromagnétiques, en d’autres termes, notre corps doit être transformé en champs électromagnétiques (CEM). Cela se fait, par l’ARNm- « vaccin » (« vaxx)  qui est injecté dans les tissus de notre corps.

Avez-vous remarqué que Pfizer et Moderna, les deux sociétés pionnières  de l’ARNm – qui n’est absolument pas un vaccin, vous feriez mieux de le croire – sont-elles les seules compagnies à avoir obtenu l’autorisation en Occident ? Ils ont maintenant ajouté AstraZeneca et Johnson & Johnson – ces « vaccins » ne sont différents que dans la mesure où leur mécanisme de « mise à mort » est différent.

Ces « vaccins » produisent également des caillots sanguins et des protéines de pointe (protéine Spike). Les premiers peuvent entraîner des blocages respiratoires allant jusqu’aux embolies du poumon, du cerveau, voire du cœur. La protéine de pointe se propage à toutes vos cellules. Ils finissent par attaquer votre système de défense immunitaire, vous rendant beaucoup plus vulnérable à tout type de maladie, en particulier aux cancers. Pourquoi n’autorisent-ils pas le Spoutnik V russe ou l’un des vaccins chinois, tous deux basés sur des méthodes de vaccination traditionnelles ?

Les Russes et les Chinois ne travaillent pas pour le programme de réduction de la population.

Voyez cette histoire / vidéo d’horreur bien documentée par le Dr Madej : Dr. Carrie Madej: First U.S. Lab Examines “Vaccine” Vials, Horrific Findings Revealed (Dr Carrie Madej : Premier États-Unis Le laboratoire examine les flacons « vaccins », des résultats horribles révélés). Non, ce n’est pas pour effrayer qui que ce soit. C’est pour apporter la réalité dans le confort de votre maison et, espérons-le, vous jeter hors de votre confort dans un monde auquel vous et tout le monde devez participer à la résistance.

Savez-vous que les vaccins d’ARNm vous injectent du graphène, un fluide hautement toxique, qui crée dans tout votre corps un champ électromagnétique (CEM), réceptif aux ondes courtes ultra-courtes 5G et bientôt 6G qui pourront éventuellement manipuler votre cerveau et toutes vos informations, maintenant progressivement stockées sur votre QR-code personnalisé, vous transformant, humain, en – selon les mots de Klaus Schwab, un « transhumain » – qui n’est plus en possession de sa propre volonté ou de son compte bancaire ?

Votre argent, soit dit en passant, si vous ne l’avez pas déjà remarqué, ne sera bientôt plus de l’argent physique que vous pourrez toucher et remettre à un caissier ou à un fournisseur, mais il s’agira de toute l’argent électronique et numérique, sur lequel vous pouvez toujours avoir le contrôle, parce qu’ils vous le permettent. Mais une fois qu’ils auront décidé que vous devez abandonner le contrôle, il disparaîtra.

Avez-vous remarqué à quelle vitesse les distributeurs automatiques disparaissent ? Comment les caissiers dans les banques disparaissent? Ils ne seront bientôt plus nécessaires, car vous ne contrôlez plus l’argent liquide. Il y a des pays d’Europe du Nord qui en sont presque là : la numérisation complète. Dans certains pays, dont la Suède, certaines personnes ont déjà volontairement laissé implanter une nanopuce sous la peau de leur poignet. La puce fonctionne comme un compte bancaire intégré. Les jeunes adorent ça. C’est tellement cool. Vous balayez votre main, même plus de carte et le paiement est effectué. Sauf que ces personnes n’ont aucune idée de la façon dont cela se déroulera dans le futur.

Attention, cela ne s’applique qu’aux personnes qui survivent à la fausse vaccination – ou plutôt à la campagne d’inoculation. Parce que, savez-vous, que beaucoup plus de personnes sont mortes et meurent encore en recevant le vaccin-ARNm toxique que de la covid elle-même ? – Non, bien sûr que non. Le gouvernement et les grands médias ne vous en parleront pas. Les HARSAH reçoivent des milliards de dollars des gouvernements pour vous mentir.

Donc, tout ce qui précède ne s’applique qu’aux personnes qui survivent aux inoculations à long terme. Parce qu’il y a de fortes chances que vous ne surviviez pas. Du faux vaccin, pas du covid. Voir la vidéo en anglais : A Final Warning to Humanity from Former Pfizer Chief Scientist Michael Yeadon (Vidéo : Un dernier avertissement à l’humanité de l’ancien scientifique en chef de Pfizer Michael Yeadon).

Revenons au port du masque. C’était la première étape – dans la phase du verrouillage (Lockstep) – souvenez-vous du rapport Rockefeller 2010 – où les auteurs décrivent la « phase Lockstep« , ce qui signifie que les 193 pays membres de l’ONU les 193 pays membres de l’ONU font la même chose au même moment, le verrouillage (en « lockstep ») ? – Eh bien, nous avons déjà dépassé cette phase.

Cette phase Lockstep permet à chaque gouvernement du monde d’ordonner à son peuple de porter des masques, partout. La science (non corrompue) a prouvé depuis longtemps que le port du masque ne prévient ni le covid ni aucune maladie virale, mais cela cause d’énormes dommages en réduisant l’apport en oxygène de 20 à 50 %, selon le type de masque. Au lieu de cela, vous respirez votre propre CO2.

Mais ce n’est pas tout, les séquelles psychologiques causés par le port forcé d’un masque sont énormes. C’est une humiliation pure et simple; c’est une expérience pouvant mener à la dépression. Vous parlez aux gens, mais vous ne pouvez pas les reconnaître dans de nombreux cas, les voix sont étouffées, souvent difficiles à comprendre – et l’expression faciale qui en dit tant dans une conversation a disparu. Les dépressions ont explosé, tout comme les suicides. Mais les gouvernements et les grands média, bien rémunérés, ainsi que la « science corrompue » (bought science), ne parlent pas de ces effets désastreux.

À propos de la « science corrompue » : Beaucoup de gens ne peuvent tout simplement pas imaginer le monde corrompu que nous sommes devenus en l’espace de seulement deux décennies.

Mettons le début du compte à rebours au 11 septembre.

C’est à ce moment-là que les grands mensonges officiels ont commencé, et que la coercition des diseurs de vérité s’est installée. La plupart des scientifiques, de la police ou d’autres témoins de première main ont des familles, une carrière, un revenu stable. Ils ne veulent pas de « ennuis ». Et les ennuis peuvent aller du harcèlement à la perte d’emploi en passant par la mort. Ce n’est pas une blague. C’est ainsi que fonctionne le « système » aujourd’hui. Soit vous êtes dans la matrice et vivez une vie d’un certain confort, soit vous prenez la pilule rouge – et vous êtes seul.

Dernièrement,  le système a franchi une étape supplémentaire : l’internet, « la mine d’or » de toutes les informations, est soumis à une censure sévère.

Toutes les informations gênantes sont soit complètement supprimées, soit « vérifiées par les faits ». Si vous vérifiez qui est derrière les vérificateurs de faits (“fact-checked’), ce que la plupart des gens ne font pas, vous voyez qu’il s’agit de grands groupes d’intérêt, dans le cas du covid, principalement des produits pharmaceutiques, aidés par Bill Gates et compagnie. Il est donc de plus en plus difficile de trouver des informations crédibles.

Youtube vient de déclarer que toute information, aussi scientifiquement prouvée soit-elle, qui va à l’encontre du « récit officiel du changement climatique » sera supprimée. C’est si simple. Nous sommes ainsi contrôlés alors que la VÉRITÉ est dominé et manipulé par des intérêts privés.

Oui, le monde a besoin d’une Grande réinitialisation (Great Reset), mais non pas à la façon Klaus Schwab, pas non plus selon le FEM (Forum économique mondial) mais selon une conception issuet du peuple. C’est pourquoi la solidarité, et non la soumission, est si importante. Quand prendrons-nous conscience de cette réalité ?

Il y a néanmoins d’importantes exceptions. Aux États-Unis, au moins au Texas et en Floride et dans d’autres, États, principalement les États républicains, ne suivent pas le mot d’ordre de port du masque, ni toutes les conséquences qui l’accompagnent, comme les tests. Les gens sont libres de porter ou de ne pas porter le masque. La plupart ne le portent pas. Et le taux de contamination covid est en fait moins élevé que dans d’autres États, comme la Californie, où cette règle absurde est strictement appliquée. Peut-être que cette « moins grande incidence du covid », comme au Texas, va de pair, avec le nombre de personnes qui n’optent pas de se faire injecter. De plus, les rapports du gouvernement de l’État sont plus honnêtes que dans les États qui imposent le port du masque et injection.

C’est quelque chose à prendre en considération.

Pour augmenter la cadence de la peur – Bill Gates a déjà déclaré en 2018 qu’une maladie bien plus mortelle que le covid attend peut-être l’humanité, une épidémie de Marburg-R. Regardez ça.

C’est une fièvre hémorragique qui a été décrite pour la première fois en 1967, avec une brève épidémie qui a tué 376 personnes. Il est décrit comme étant à peu près aussi mortel qu’Ebola. Dans la vidéo ci-dessous se trouve un message de Kieran Morrisey – directeur de l’hôpital universitaire, Dublin, Irlande. Voir aussi ça de plus près.

Vrai ou faux ? Peu importe. Il est d’abord conçu pour inculquer la peur, et la peur, nous le savons maintenant, abaisse notre système de défense et nous rend vulnérables à obéir aux ordres – exactement ce que nous, en tant qu’humanité, devrions cesser de faire et de redevenir nous-mêmes : des êtres humains souverains.



L’étape suivante est la numérisation complète. La vaccination imaginaire qui est contrainte par quelque moyen que ce soit par l’administration Biden, qui est un excellent exemple pour de nombreux pays européens, et le QR-code progressent rapidement, sans même que les gens ne s’en rendent compte.

N’oubliez pas que l’Agenda ID2020 – également une invention de Bill Gates – bat son plein. Voyez ceci.

Il est maintenant testé en Afrique de l’Ouest, où des personnes se sont portées « volontaires » pour participer à un exercice dans lequel elles n’ont accès à leur argent que par le biais d’un « compte bancaire » implanté dans leur corps. Ce compte peut être et est contrôlé de l’extérieur. C’est une partie de ce qui nous attend en Occident lorsque la Grande réinitialisation se mettra en place. Voir aussi ceci (dernier tiers de la même vidéo que ci-dessus) Dr. Carrie Madej : Le premier laboratoire américain examine les fioles de « vaccins », des résultats horribles sont révélés (en anglais).

Dans une certaine mesure, ce système est également testé par certaines personnes en Suède qui ont volontairement implanté sous leur peau une puce. Peut-être plus encore, mais ils ne le savent pas.

C’est la future codification QR du monde.

Il faut donc être conscient de ce à quoi les codes QR sont réellement destinés, de ce qu’ils peuvent faire et feront à l’avenir, si nous ne les arrêtons pas. C’est toujours la même question. Nous devons être pleinement conscients de ce qui arrive – et nous devons nous libérer de la peur, nous devons devenir désobéissants et redevenir nous-mêmes. Nous devons revenir à ce que nous sommes depuis la naissance, des êtres humains souverains.

Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous devons réagir rapidement.

Peter Koenig


Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation

Lien vers l’article original :

The Final Solution. Full Digitization. “The QR Codification of the World”
By Peter Koenig, le 22 octobre 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation

Image en vedette : Image du domaine public de la page COVID-Protest de Wiki.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Florian Dagoury, recordman du monde d’apnée, diagnostiqué avec une myocardite et une péricardite après sa vaccination Pfizer

[Source : lemediaen442.fr]

Le recordman du monde en apnée statique, Florian Dagoury, 34 ans, a partagé son témoignage sur Instagram suite à sa deuxième injection Pfizer. « Je veux juste partager mon expérience problématique après ma vaccination et peut-être avoir quelques témoignages et histoires similaires… » Son témoignage s’accompagne d’une vidéo filmant les dommages au cœur sur l’échographe cardiovasculaire à l’hôpital Samitivej Thonburi de Bangkok en Thaïlande.

Le Français, basé en Thaïlande, a connu une diminution significative de sa capacité à retenir sa respiration et s’est rendu chez un cardiologue qui lui a dit qu’il s’agissait d’un effet secondaire courant du vaccin Pfizer. Un autre cardiologue lui diagnostiquera une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale (Insuffisance mitrale) . Voici son témoignage :

« Après ma deuxième dose, j’ai remarqué que mon rythme cardiaque était beaucoup plus élevé que la normale et que ma capacité à retenir mon souffle avait considérablement diminué. Pendant le sommeil, je suis à 65-70 bpm — battement par minute (BPM) —  au lieu de 37-45 bpm. Pendant la journée, je suis toujours au-dessus de 100 bpm au lieu de 65 bpm, même lorsque je m’assois et me détends. Une fois, j’ai même atteint 177 bpm alors que je dînais avec des amis ! Dix jours après mon deuxième vaccin, j’ai consulté un cardiologue qui m’a dit que c’était un effet secondaire courant du vaccin Pfizer, qu’il ne fallait pas s’inquiéter et qu’il fallait se reposer. Quarante jours après le deuxième vaccin, je n’avais pas progressé et j’ai donc consulté un autre cardiologue qui m’a diagnostiqué une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale ! Il s’agit essentiellement d’une inflammation des muscles cardiaques causée par le système immunitaire et de petites fuites de sang provenant des valves qui ne se ferment plus correctement. J’ai maintenant du mal à atteindre 8 mn d’apnée, 150 m de plongée et j’ai même une forte envie de respirer en faisant des plongées de 40 m. Une diminution de 30 % de mes performances de plongée en gros. »

Florian Dagoury recommande aux plongeurs d’apnée du monde entier d’éviter les vaccins ARNn et de choisir les vaccins « fait à l’ancienne comme Sputnik [NDLR : non recommu par l’AEM et l’OMS], Sinovac, Sinopharm ».

Le Média en 4-4-2 




Quelques députés européens s’élèvent contre les mesures discriminatoires covidiennes

[Source : Quadrillage Traduction]

Les députés européens se positionnent contre le pass vert sanitaire — Conférence de presse du 28 octobre 2021 à Bruxelles



Transcription et traduction par Quadrillage Traduction

Cristian TERHES — Roumanie

Déjà en ligne. Tout va bien. Cool. Eh bien, merci beaucoup d’être à nouveau ici avec nous. Une semaine s’est écoulée depuis la dernière conférence que nous avons tenue à Strasbourg, où nous avons fait part de nos profondes inquiétudes quant à ce qui était prévu au Parlement, en particulier la décision du Bureau des dirigeants du Parlement de priver pratiquement tout le personnel, nos assistants et nous-mêmes en tant qu’élus directs par les citoyens européens, toutes ces personnes vont être privées de leurs droits fondamentaux, le droit de travailler, le droit de décider ce qu’elles veulent faire de leur propre corps. Et néanmoins, dans notre cas, le droit que nous avons et les immunités parlementaires que nous avons en tant qu’élus par le peuple de ne pas être influencés de quelque manière que ce soit lorsque nous accomplissons notre mandat. Donc chacun d’entre nous qui sommes présents ici et beaucoup d’entre nous sont à la maison pour nous soutenir, nous avons cette situation de pandémie, beaucoup d’entre nous à cause de toutes ces mesures sont à la maison, mais ils sont tous derrière nous. Nous sommes donc à nouveau ici aujourd’hui pour exprimer exactement ce qui s’est passé. Chacun d’entre nous va présenter de son point de vue ce qui s’est passé au cours de cette semaine au Parlement, et quel est le plan en cours. J’ai à ma gauche, ma collègue d’Italie, Francesca Donato, ma collègue d’Allemagne, Christine Anderson, une autre collègue du groupe similaire. Et à ma droite, j’ai mon collègue de Croatie, Ivan SINCIC. Et une autre collègue de Croatie, KOULOKTSIC;. Est-ce correct ? Oui, en fait c’est Mislav KOLAKUSIC;. Je sais que c’est difficile avec tous ces noms, mais ce qui est amusant c’est que nous sommes du même côté, venant de pays différents, et nous soutenons exactement la même chose, le respect des droits fondamentaux de chaque personne travaillant pour le Parlement et de chaque citoyen européen. Donc, sans plus attendre, j’aimerais que ma collègue Christine Anderson prenne la parole.

Christine Anderson — Allemagne

Oui, bonjour. Tout d’abord, merci beaucoup à tous ceux d’entre vous qui se sont donné beaucoup de mal pour nous exprimer leur soutien dans une quantité écrasante de courriels. Merci beaucoup. Nous faisons cela pour vous. Dans toute l’Europe, les gouvernements ont fait des efforts considérables pour que les gens soient vaccinés. On nous a promis que les vaccinations allaient changer la donne et restaurer notre liberté. Il s’avère que rien de tout cela n’était vrai. Le vaccin ne vous rend pas immunisé. Vous pouvez toujours contracter le virus et vous pouvez toujours être contagieux. La seule chose que ce vaccin a faite à coup sûr, c’est de déverser des milliards et des milliards de dollars dans les poches des entreprises pharmaceutiques. J’ai voté contre le certificat vert numérique en avril dernier. Malheureusement, il a été adopté malgré tout, ce qui montre bien qu’il n’y a qu’une minorité de députés européens qui défendent vraiment les valeurs européennes. La majorité des députés européens, pour des raisons que je ne connais pas, soutiennent manifestement l’oppression du peuple tout en prétendant sans vergogne le faire pour le bien du peuple. Mais ce n’est pas le but qui rend un système oppressif, ce sont toujours les méthodes par lesquelles le but est poursuivi. Chaque fois qu’un gouvernement prétend avoir à cœur l’intérêt du peuple, il faut y réfléchir à deux fois. Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui nous fait croire que c’est différent aujourd’hui ? Si le siècle des Lumières a apporté quelque chose, c’est certainement ceci : ne prenez jamais pour argent comptant ce qu’un gouvernement vous dit. Remettez toujours en question tout ce qu’un gouvernement fait, ou ne fait pas. Cherchez toujours les arrière-pensées et demandez toujours Cui Bono à qui cela profite. Lorsqu’une élite politique fait pression à ce point et recourt à l’extorsion et à la manipulation pour arriver à ses fins, vous pouvez presque toujours être sûr que votre intérêt n’est certainement pas celui qu’elle avait à cœur. En ce qui me concerne, je ne me ferai pas vacciner avec quoi que ce soit qui n’a pas été correctement examiné et testé et qui n’a pas montré de preuves scientifiques solides que les avantages l’emportent sur la maladie elle-même ni sur les effets secondaires à long terme dont nous ne savons rien à ce jour. Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental. Et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, il me donnera la liberté. Soyons clairs sur un point : PERSONNE NE M’ACCORDE LA LIBERTÉ puisque JE SUIS UNE PERSONNE LIBRE. J’ose donc prendre le risque que la Commission européenne et le gouvernement allemand me jettent en prison, m’enferment et jettent la clé si ça leur chante. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si le citoyen libre que je suis choisit de ne pas se faire vacciner. Enfin, je voudrais que vous réfléchissiez à cette question. L’utilisation obligatoire du certificat vert numérique porte atteinte à tout ce que les Européens défendent. Elle viole les droits fondamentaux garantis par la Constitution et constitue le premier pas vers l’insupportable système de crédit social chinois. Je ne tolérerai jamais cela. Je ne supporterai jamais cela. Merci.

Francesca DONATO — Italie

Merci.

Merci, Christine. Je suis d’accord avec presque tout ce que vous avez dit, mais ce que je veux ajouter ici, c’est que ce dont nous discutons aujourd’hui et ce qui devrait nous inquiéter n’est pas une question d’être pour ou contre les vaccins Covid. La question aujourd’hui est de savoir si nous sommes censés laisser les citoyens européens sans la sauvegarde de leurs droits fondamentaux et précisément le droit d’avoir un emploi, d’être traité de manière égale par les institutions sans aucune discrimination et le droit de protéger l’intégrité de leur corps en choisissant une liberté complète, celle d’accepter ou non un traitement sanitaire. Tous les citoyens doivent être libres de choisir les risques qu’ils veulent courir pour leur propre santé et ceux qu’ils ne sont pas prêts à affronter. L’obligation de faire fonctionner les certificats Covid n’est qu’une extorsion du consentement à un choix personnel sur son propre corps et viole les droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la charte européenne et dans de nombreuses lois de l’UE. Nous sommes ici pour appeler au respect des valeurs fondamentales européennes et de la liberté, à la non-discrimination, et à la dignité humaine. Si nous acceptons le mandat d’un certificat numérique pour l’exercice de nos droits fondamentaux, nous ne bénéficierons plus de ces droits en tant qu’êtres humains, mais nous serons soumis à l’autorisation de certaines autorités pour vivre notre vie en liberté. Est-ce là le modèle de société dans lequel nous voulons vivre ? Est-ce là l’Europe que nous avons été élus pour représenter ? Les droits de l’homme sont-ils facultatifs selon nos valeurs fondamentales ? Ma réponse est NON, NON, NON ! !! Nous avons reçu notre mandat directement des citoyens européens et nous leur devons un respect total avant tout autre sujet privé ou public. Personne, aucune instance n’est légitimée à nous empêcher d’exercer notre mandat sauf si nous commettons un crime et que le Parlement tout entier décide de révoquer l’immunité diplomatique que les traités nous accordent. Le Bureau du Parlement ne peut pas violer les garanties de nos députés pour quelque raison que ce soit, et il ne peut pas non plus restreindre les droits des travailleurs européens. Nous défendrons nos droits et vos droits par tous les moyens, qu’ils soient juridiques, politiques ou physiques. L’heure n’est plus à la peur et à l’hésitation. Aujourd’hui, il est grand temps d’être courageux et unis. C’est ce que nous sommes. Merci,

Ivan SINCIC — Croatie

Merci beaucoup, mes chers collègues. Cette semaine encore, nous sommes ici pour dire non à la discrimination et non à la ségrégation. Nous sommes ici pour défendre les droits fondamentaux et les droits de l’homme. Je vais le répéter. Le certificat vert numérique est illogique, il n’est pas scientifique et il est inutile pour résoudre cette crise. Au contraire, il donne aux personnes qui le portent un faux sentiment de sécurité, qu’elles ne peuvent pas être infectées elles-mêmes ou infecter les autres. De plus en plus de données scientifiques et d’expériences quotidiennes le confirment. La DGC ne concerne pas ici notre santé. Il s’agit de politique. Il s’agit de droits. Partout en Europe, des politiques ont été mises en place qui ont volé la vie normale des gens. Les gouvernements font de plus en plus de chantage aux citoyens. Le gouvernement croate admet ouvertement que les DGC ne sont qu’une pression supplémentaire sur ceux qui ne veulent pas se faire vacciner pour une raison quelconque. Vous ne pouvez pas avoir une vie normale si vous n’avez pas de DGC. Vous ne pouvez pas avoir vos libertés si vous n’avez pas de DGC. D’un autre côté, les personnes en bonne santé sont privées de leurs libertés et de leurs droits constitutionnels. Ils ne vont pas arrêter, mes amis. Il faut les arrêter. Cela ne va pas s’arrêter tout seul. Cela va s’étendre. Cela viendra à votre porte. Il fera chanter votre vie, chaque partie de votre vie. C’est pourquoi nous disons continuellement non. Nous avons nos droits inaliénables. Cela signifie que personne ne peut nous les enlever. Nous avons des documents internationaux tels que la Convention d’Oviedo, le Code de Nuremberg, les résolutions des Conseils de l’Europe, ou divers types, les conventions de bioéthique, etc. Ces documents ne signifient-ils plus rien ? N’ont-ils pas été, au moins pour certains d’entre eux, ratifiés par notre Parlement ? N’ont-ils pas été un standard immuable ? Depuis des décennies ? Bien sûr que si. Et les constitutions nationales ? N’ont-elles pas plus de valeurs ? Si, elles en ont. Et nous avons même des décisions de cours constitutionnelles en Europe qui montrent que tout cela est mauvais et que les libertés ne peuvent pas être supprimées et que les amendes qui ont été imposées aux citoyens qui voulaient simplement être libérés de la nature obligatoire de tout cela, que ces amendes doivent être supprimées et que l’argent doit être rendu à ces citoyens.

Ces documents et normes que j’ai mentionnés sont toujours en vigueur. Ils n’ont pas été retirés du pouvoir simplement parce qu’un gouvernement a fait pression avec une politique différente. Ils sont toujours en vigueur et ils le seront toujours. Et nous nous battrons pour ces normes et documents, et nous les invoquons. Une autre norme que nous avons est que les citoyens européens ont le droit de choisir leur propre thérapie pour n’importe quelle maladie, y compris le Covid 19. Ils ont le droit, en consultation avec leur médecin, avec leur médecin de famille, de faire les meilleurs choix pour leur santé. Qu’il s’agisse d’un vaccin ou d’un traitement, ou de tout ce qui sera inventé. C’est votre propre choix en tant que patient. Aucun gouvernement ne peut vous contraindre à choisir un certain type de produit médical. Le certificat vert numérique est un problème européen. Ce n’est pas seulement un problème de l’Italie ou de la Lituanie ou du Parlement européen maintenant, le bâtiment du Parlement européen. C’est un problème européen. C’est un problème commun. Ce n’est pas le problème d’un seul pays européen. C’est un problème qui nous concerne tous. Cela ne sera pas limité, comme je l’ai dit, à un seul pays, cela viendra à votre porte. Et plus tôt nous dirons non, plus fort sera le message que nous enverrons. J’appelle tous les peuples libres d’Europe à résister à la DGC partout où ils le peuvent. Luttez pour vos droits.

Merci ;

Cristian TERHES

Nous avons été élus par le peuple. C’est ce que dit le Traité. Mais nous ne devons pas oublier que nous sommes élus ici POUR les gens. Nous devons avoir à l’esprit le meilleur intérêt des gens, parce que c’est la raison pour laquelle ils nous ont élus ici au Parlement européen. Tous ces dirigeants du Parlement européen aiment se féliciter eux-mêmes, chaque fois qu’ils vont en conférence de presse pour dire que c’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne. La question qu’il faut leur poser est la suivante : est-ce vraiment le cas ? Avez-vous dit à ces personnes au Parlement européen quand vous avez décidé de supprimer leurs droits fondamentaux, pourquoi vous l’avez fait ? Vous voyez, nous avons tous ces traités, comme l’a dit mon collègue, selon lesquels aucun traitement médical ne doit vous être imposé à moins que vous n’en décidiez librement et en connaissance de cause. Maintenant, il est clair que ce qu’ils font maintenant pour conditionner les acteurs du Parlement, pour avoir ce certificat vert, viole la liberté des gens de choisir avec quoi ils veulent être vaccinés ou testés ? Mais il y a l’autre aspect, et la question que j’ai adressée non seulement à vous, au Parlement, mais à chaque citoyen européen, de demander à votre propre gouvernement. Avez-vous été correctement informés de ce qui se passe ? Parce que nous avons eu beaucoup de débats au début de cette année au Parlement où nous avons demandé un accès complet au contrat signé entre ces sociétés qui produisent les vaccins et l’Union européenne. Et je cite un article d’EUROACTIV qui dit ce qui suit, article du 22 janvier 2021 qui dit ce qui suit :  « le contrat signé entre l’entreprise pharmaceutique et la Commission européenne en novembre 2020 a été mis à disposition mardi dans un format rédigé après que l’entreprise ait accepté d’ouvrir le contrat à l’examen ». Quoi ? Quoi ? Vous imposez donc un produit médical aux citoyens européens. Nous avons découvert qu’ils savaient ce qu’il y a dans ce contrat, pas seulement eux, mais nous, nous ne le savons pas. Donc après beaucoup de pression au Parlement, comme le dit l’article, ces contrats ont été divulgués à nous et au public. Et je veux vous montrer certaines de ces pages. Et vous me direz s’il est acceptable que les citoyens européens soient exposés à cette situation où ils ne peuvent pas venir travailler, où ils ne peuvent pas entrer dans un magasin, où ils ne peuvent pas aller à l’école avec leurs enfants, où ils ne peuvent pas se déplacer librement d’un pays à l’autre à moins d’être vaccinés avec l’un de ces produits. Voilà donc les contrats qui ont été divulgués par la Commission avec l’approbation de l’entreprise. C’est du jamais vu. Et je vais juste vous montrer les pages. Ce sont les pages, vous voyez. (Les articles des pages sont entièrement noircies, NDLR).

Rires du public.

Ils appellent ça la transparence de nos jours…

C’est donc le principe fondamental de la démocratie. Je vous demande, les gars, est-ce de la transparence ? Est-ce que vous voyez quelque chose ? Parce que nous ne voyons rien ! L’argent des citoyens européens a été donné par Ursula von Der Leyen à ces entreprises. Que s’est-il passé avec cet argent ? Où est-il ? Pourquoi ne sont-ils pas disponibles pour le peuple et totalement transparents ? Pour que nous sachions tous ce qui se passe. La différence entre la tyrannie et la démocratie est très simple : lorsque le gouvernement sait tout sur vous, c’est la tyrannie. Je sais ce que c’est que de vivre dans la tyrannie. Quand vous savez tout sur votre gouvernement, c’est la démocratie. C’est pourquoi nous sommes en train de faire l’éloge de cette institution. C’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne et même nous, les députés, élus directement par le peuple, pour le peuple, nous n’avons pas été en mesure de voir dans ce contrat. Donc comme nous l’avons dit la semaine dernière, nous sommes là pour vous et nous nous battrons pour vous. Je sais que beaucoup d’entre vous luttent dans toute l’Europe et que beaucoup d’entre vous travaillant pour les institutions européennes luttent en ce moment. Mais un ancien président américain a dit que la liberté était à une génération de l’extinction. Nous vivons ce genre de moment maintenant, et c’est notre devoir et notre appel à combattre la liberté. Merci.

Eamonn KELLY — République d’Irlande

Mon nom est Eamonn Kelly. Je suis l’attaché de presse pour aujourd’hui. Je demande à tous les journalistes ici présents, et seulement aux journalistes, s’il vous plaît, car c’est une conférence de presse, de lever la main. Dites-moi votre nom, votre organisation médiatique, et je prendrai une question. Donc tous les journalistes présents ici, pouvez-vous s’il vous plaît lever la main ? De la bonne volonté, s’il vous plaît.

Journaliste 1

(Présentation inaudible). Il est clair qu’autour du passeport vert dans toute l’Europe, d’accord, il est clair que vous n’en voulez pas. Avez-vous une idée d’une alternative que vous voulez proposer, ou pensez-vous que nous devrions juste faire comme si rien ne se passait et vivre notre vie normalement et en ce qui concerne l’obligation de vaccination, le pass vert est aussi un test pour être testé. Vous n’êtes pas obligé de vous faire vacciner. Vous pouvez vous faire tester, notamment au Parlement européen où vous avez le privilège d’avoir des tests gratuits, ce que d’autres personnes n’ont pas, ne pensez-vous pas que ce serait une alternative pour vous de passer un test ? Merci.

Francesca DONATO

Merci. Eh bien, le fait est qu’il n’est pas vrai que dans toute l’Europe nous avons des certificats Covid exigés pour exercer notre liberté. Le certificat Covid a été introduit par ce Parlement juste pour favoriser la libre circulation entre les Etats membres au moment où les frontières étaient fermées à cause de la propagation de la pandémie. Et c’est la raison pour laquelle le Parlement a voté cette mesure avec la garantie de ne permettre aucune discrimination entre les citoyens et surtout pour les citoyens non vaccinés. Ce que nous voyons aujourd’hui est un abus de ce certificat, une distorsion de son objectif initial. Et l’alternative est de laisser les gens libres d’exercer leurs droits, leurs droits à la libre circulation, le droit au travail, le droit de vivre une vie pleine et entière dans la dignité, parce que les tests sont un traitement médical et nous ne pouvons pas être forcés même à faire des tests toutes les 48 heures, parce qu’imposer des tests seulement aux personnes non vaccinées est juste une discrimination parce que cela introduit une sorte de présomption, une présomption absolue d’être infectieux pour les personnes qui ne sont pas vaccinées, ce qui est totalement infondé du point de vue scientifique, parce que les personnes non vaccinées sont très souvent immunisées contre le Covid pour la guérison ou en tout cas, sont des personnes saines, parfaitement saines. Et le risque d’être infecté n’est pas lié au fait d’être vacciné ou non. Donc il n’y a aucune base légale ou scientifique pour cette mesure.

Eamonn KELLY

Merci beaucoup. Puis-je avoir d’autres journalistes ici avec des questions, s’il vous plaît ? Eh bien, puis-je demander au journaliste en ligne là-bas de l’ANSA de lever la main et de poser une question.

Cristian TERHES

Oui, je vois qu’il y a une question de Laura ZORMOZA. Je vais lire la question à haute voix. « Je me demandais si les intervenants prévoient une action contre le Parlement européen ou quelles sont les prochaines étapes pour ce groupe ? »

Nous avons déjà eu deux conférences de presse et je dirais que ce n’est que le début de ce qui va arriver. Et comme nous l’avons dit aujourd’hui, nous utiliserons tous les outils démocratiques disponibles pour lutter pour les droits de chacun. Néanmoins, nous ne devons jamais oublier que nous sommes censés vivre dans une Union européenne où la liberté doit être considérée comme un droit fondamental et inaliénable. Personne ne devrait négocier sur nos libertés. Et nous en sommes à un point où même dans cette maison, au Parlement européen, un petit groupe de personnes a décidé unilatéralement que les députés, nos assistants et les employés du Parlement, beaucoup d’entre eux travaillent pour ces institutions, pour ces institutions depuis des décennies. Mais malheureusement, beaucoup d’entre eux ont des problèmes de santé. Et je veux lire ce qu’une personne travaillant pour le Parlement m’a envoyé, et je pense que beaucoup d’Européens peuvent ressentir la douleur de cette personne. Cette personne nous a écrit et nous a dit : « Je vous écris parce qu’on m’a reconnu une grave maladie neurodégénérative. Pour cela, j’ai évité de me faire vacciner. Je ne souhaite pas que ma maladie s’aggrave et que je perde mon fragile équilibre de santé que j’ai à peine atteint jusqu’à présent. Selon la communication du Secrétaire Général du Parlement européen envoyée hier, je devrais être testé une à deux fois par semaine avec toutes les conséquences liées à la détresse. Ont-ils pensé au fait que des personnes comme moi, désireuses de travailler, d’être actives, se découragent et s’épuisent devant les complications d’un laissez-passer vert ? “Nous passons toutes ces résolutions en plénière où nous reconnaissons tous les droits des personnes qui sont malades, qui ont différents handicaps. Beaucoup d’entre eux travaillent pour cette maison. Ils veulent servir les citoyens. Donc ce qui a été imposé hier ici, cela affecte leur droit fondamental. Donc, pour répéter ce que j’ai dit, nous ferons TOUT ce qu’il faut pour nous battre pour la liberté de chaque citoyen européen.

Eamonn KELLY

Merci beaucoup. Je voudrais demander à Pietro de l’ANSA, l’agence italienne. Vous avez la main levée. Si vous pouvez essayer de faire fonctionner votre micro, nous serons heureux d’entendre votre accent transalpin. Essayez juste ce micro…

Pouvez-vous appuyer sur le bouton ‘parler’ et ne soyez pas timide.

Pietro (Journaliste 2)

Vous m’entendez maintenant ? OK. Bonjour à tous. Une question très rapide. Vous avez parlé du personnel du Parlement européen, et je me demandais si vous avez un contact direct avec l’une des organisations ou l’Union et si vous avez une idée des personnes qui pourraient être affectées par cette décision ?

Cristian TERHES

Je peux répondre rapidement à cette question. Oui. Nous avons été contactés par de nombreux syndicats du personnel, et il y a de nombreuses discussions entre les membres du personnel, et nous verrons comment cela va évoluer. Mais je dois vous dire que les gens sont très inquiets, les personnes en bonne santé ou celles qui ont certains problèmes de santé sont toutes inquiètes parce que ce mandat conditionne leur droit fondamental au travail. Ils réalisent, OK, nous acceptons cela maintenant. Mais où cela va-t-il s’arrêter ? Que vont-ils nous imposer ensuite ? Nous venons de recevoir un message de quelqu’un qui a dit que même les grands-parents et les parents ne pourront pas amener leurs enfants dans un jardin d’enfants que nous avons ici près de chez nous, à moins qu’ils n’aient un certificat vert. Ainsi, même dans le cadre de la loi belge, ces règles ne sont pas appliquées pour une raison ou une autre. Le Parlement européen veut donner l’exemple d’une institution totalitaire à ses employés.

(inaudible)

Exactement.

Eamonn Kelly

Bien. Y a-t-il d’autres journalistes présents ici ? D’autres questions en ligne, s’il vous plaît ?

OK. Merci beaucoup à tous d’être venus. Juste un dernier commentaire de la part de Madame…

Christine ANDERSON

J’aimerais également faire un commentaire sur la question du collègue italien. Vous vous posiez la question à savoir si les tests n’étaient pas un problème, si nous pouvions le faire. Je m’oppose fermement à cette idée, car vous devez certainement reconnaître que le fait de tester les personnes non vaccinées n’est qu’un moyen de faire pression sur ces personnes pour qu’elles se fassent finalement vacciner. Cela n’a aucun sens, puisque, comme je l’ai souligné, même les personnes vaccinées seront infectieuses. Donc, si vous êtes vraiment soucieux d’arrêter la propagation de ce virus, alors vous devez tester toutes les personnes, point final. C’est pourquoi les tests sont inacceptables. Merci.

Eamonn KELLY

Désolé. D’autres questions ? Eh bien, c’est seulement pour les journalistes, s’il vous plaît. Donc je suis désolé pour ça. Il n’y a personne d’autre en ligne. Et je voudrais remercier tout le monde d’être venu, tous les journalistes qui sont venus et nos courageux députés européens qui ont pris position, qui veulent être des gens libres dans un pays libre. Merci beaucoup à tous. Et bonne continuation.




L’Ordre des médecins : le tribunal des exceptions

[Source : Nexus]

[Photo by wax115 from FreeImages]

À l’heure où le professeur Didier Raoult est convoqué par la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins, on ne peut que s’étonner de la célérité avec laquelle cet Ordre poursuit celles et ceux qui, par exemple, pour combattre la Covid-19, proposent d’autres pistes que la vaccination (dernièrement avec l’Ivermectine). Alors que ce même Ordre est étrangement paralysé dès qu’il s’agit de poursuivre des confrères pour viols.

◆ Des viols passés sous silence

C’est ce que révèle l’enquête d’Élise Lucet « Agressions sexuelles sur ordonnance » (Envoyé spécial, 04/11/21) : « Des femmes souvent très jeunes violées ou agressées sexuellement dans le cabinet de leur médecin. […] Des lanceurs d’alerte sanctionnés  et l’Ordre des Médecins qui n’intervient pas toujours malgré les signalements… »

◆ Exercice illégal de la guérison

L’occasion de lire ou relire le livre de Sylvie Simon « Exercice illégal de la guérison » (Marco Pietteur, mars 1998). L’auteure, qui fut une plume régulière de Nexus, posait une question essentielle :

« Comment exercer légalement la médecine en respectant le serment d’Hippocrate et les droits des malades, malgré la dictature du Conseil de l’Ordre ajoutée à celle des lobbies pharmaceutiques ? »

Dans cet ouvrage, Sylvie Simon

« qui a su recueillir les témoignages de médecins courageux, nous permet d’accéder aux rouages d’une machine commandée par ce Tribunal d’exception qu’est le Conseil de l’Ordre, de découvrir comment celui-ci use et abuse de son pouvoir régalien afin de museler les médecins qui choisissent de guérir les patients exclusivement selon leur savoir et leur conscienceCe livre permet ainsi, à travers les expériences vécues de différents praticiens, de comprendre la douleur de ceux qui vouent leur vie à soigner les malades et qui se voient soudain interdits d’exercer sous prétexte qu’ils osent remettre en cause un système largement gangrené par le pouvoir médico-économique. »




SCIENCE DE L’HORREUR : La protéine de pointe du vaccin pénètre dans les noyaux cellulaires, supprime le moteur de réparation de l’ADN du corps humain, déclenchera une explosion de cancer, d’immunodéficience, de troubles auto-immuns et de vieillissement accéléré

Par Mike Adams

Image: SCIENCE HORROR: Vaccine spike protein enters cell nuclei, suppresses DNA repair engine of the human body, will unleash explosion of cancer, immunodeficiency, autoimmune disorders and accelerated aging

Cette découverte ne peut être décrite que comme une véritable « horreur » dans ses implications. De nouvelles recherches étonnantes publiées dans Virus, qui font partie de l’édition SARS-CoV-2 Host Cell Interactions de MDPI (Open Access Journals) révèlent que les protéines de pointe du vaccin pénètrent dans les noyaux cellulaires et font des ravages dans le mécanisme de réparation de l’ADN des cellules, supprimant jusqu’à 90 % de la réparation de l’ADN.

Le document de recherche est intitulé «SARS-CoV-2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro» et est rédigé par Hui Jiang et Ya-Fang Mei, au Département de biosciences moléculaires, The Wenner- Gren Institute, Université de Stockholm, SE-10691 Stockholm, Suède, et le Département de microbiologie clinique, Virologie, Université d’Umeå, SE-90185 Umeå, Suède, respectivement.

Nous avons enregistré une copie du document de recherche dans un document PDF :

Dans la conclusion de l’article, les auteurs écrivent: «Nous avons constaté que la protéine de pointe inhibait de manière marquée la formation de foyers BRCA1 et 53BP1 (Figure 3D-G). Ensemble, ces données montrent que la protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 inhibe la réparation des dommages à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.

Le mécanisme de réparation de l’ADN, connu sous le nom de NHEJ (Non-Homologous End Joining) est une sorte de système de « réponse d’urgence » intracellulaire qui répare les cassures d’ADN double brin. Sans le mécanisme NHEJ, toute vie multicellulaire avancée cesserait d’exister. Aucun être humain, animal ou végétal ne peut survivre si l’intégrité de son code génétique n’est pas protégée et constamment réparée par de multiples mécanismes.

Les dommages à l’ADN peuvent être causés par l’exposition aux rayonnements, aux produits chimiques présents dans les aliments et les produits de soins personnels, ou même l’exposition à du matériel de mammographie. Une exposition excessive au soleil peut également provoquer des ruptures d’ADN, et des mutations mineures de l’ADN se produisent spontanément dans tous les organismes vivants. Les pilotes de ligne, par exemple, sont régulièrement exposés aux rayonnements ionisants dus au vol en altitude.

Chez une personne normale et en bonne santé, le mécanisme NHEJ répare l’ADN et empêche une mutation pathogène de se produire. Mais en présence de la protéine de pointe du vaccin, l’efficacité du NHEJ est supprimée jusqu’à 90 %, ce qui signifie qu’il est incapable de faire son travail en raison de la capacité supprimée à recruter des protéines pour la réparation.

En conséquence, les « erreurs » suivantes sont introduites dans les chromosomes à l’intérieur des noyaux des cellules humaines, toutes dues à la présence de la protéine de pointe des vaccins à ARNm :

  • Mutations ou « erreurs » dans la séquence génétique.
  • SUPPRESSIONS de segments entiers du code génétique.
  • INSERTIONS de segments incorrects.
  • Mélange et appariement / permutations du code génétique.

Ces erreurs, lorsqu’elles sont exprimées par la division cellulaire et la réplication, entraînent :

  • Une explosion de cancers et de tumeurs cancéreuses dans tout le corps.
  • Perte de production de cellules B et T du système immunitaire (c’est-à-dire immunodéficience induite).
  • Troubles auto-immuns.
  • Vieillissement accéléré et longueur des télomères réduite.
  • Perte de fonctionnement de systèmes organiques complexes tels que circulatoire, neurologique, endocrinien, musculo-squelettique, etc.
  • Dommages cellulaires ressemblant à un empoisonnement par rayonnement alors que les cellules se détruisent de l’intérieur.

Beaucoup de ces effets sont, bien sûr, fatals. D’autres vont accabler les victimes du vaccin de blessures débilitantes horribles et de dysfonctionnements d’organes qui nécessiteront toute une vie d’interventions médicales. 

La protéine de pointe entre dans le noyau de la cellule

Du document ci-dessus :

Mécaniquement, nous avons constaté que la protéine de pointe se localise dans le noyau et inhibe la réparation des dommages à l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN BRCA1 et 53BP1 sur le site des dommages.

Cela signifie que la protéine de pointe, qui est générée dans les ribosomes cellulaires après que les cellules ont été détournées par les vaccins à ARNm, ne quitte pas toujours la cellule et ne pénètre pas dans la circulation sanguine, comme nous le disent les partisans du vaccin à ARNm. Dans certains cas, la protéine de pointe pénètre dans le noyau cellulaire. Là, elle interfère avec le mécanisme de réparation de l’ADN tel que décrit tout au long de cet article.

« Étonnamment, nous avons trouvé l’abondance de la protéine de pointe dans le noyau (figure 1A) », ont conclu les auteurs de l’étude.

Cela signifie, sans aucun doute, que les vaccins à ARNm entraînent des altérations chromosomiques dans les cellules du corps. C’est la confirmation que de tels vaccins font effectivement des ravages dans l’intégrité génétique et présentent des effets secondaires qui n’ont pas été anticipés ou décrits par les partisans du vaccin à ARNm.

Le Dr Thomas Levy écrit sur la toxicité de la protéine de pointe sur Orthomolecular.org :

Des inquiétudes ont été soulevées concernant la dissémination de la protéine de pointe dans tout le corps après la vaccination. Plutôt que de rester localisées au site d’injection afin de provoquer la réponse immunitaire et rien de plus, la présence de protéines de pointe a été détectée dans tout le corps de certains individus vaccinés. De plus, il semble que certaines des protéines de pointe circulantes se lient simplement aux récepteurs ACE2 sans pénétrer dans la cellule, induisant une réponse auto-immune à l’ensemble de l’entité protéine de pointe cellule. Selon le type de cellule qui se lie à la protéine de pointe, l’un des nombreux problèmes médicaux auto-immuns peut en résulter.

Plus alarmant encore, le Dr Levy explique que les preuves actuelles montrent que la protéine de pointe continue d’être produite dans le corps, après l’injection initiale d’ARNm. Il explique:

Bien que la pathologie sous-jacente reste à définir complètement, une explication des problèmes de tendances thrombotiques et d’autres symptômes observés chez les patients chroniques COVID et post-vaccination est directement liée à la présence persistante de la partie protéine de pointe du coronavirus. Certains rapports affirment que la protéine de pointe peut continuer à être produite après la liaison initiale aux récepteurs ACE2 et l’entrée dans certaines des cellules qu’elle cible initialement. Les tableaux cliniques de la COVID chronique et de la toxicité post-vaccinale semblent très similaires, et les deux sont probablement dus à cette présence continue et à cette diffusion à l’échelle du corps de la protéine de pointe (Mendelson et al., 2020 ; Aucott et Rebman, 2021 ; Levy , 2021 ; Raveendran, 2021).

La protéine de pointe pleine longueur a entraîné la plus grande suppression du mécanisme de réparation de l’ADN NHEJ

Voir les chiffres ci-dessous. Les fragments viraux du SRAS-CoV-2 sont nommés « Nsp1, Nsp5 » et ainsi de suite. La pointe pleine longueur est appelée « pointe » et la nucléocapside – une autre partie structurelle de l’agent pathogène de la protéine de pointe entière – est identifiée séparément.

De l’étude :

La surexpression de Nsp1, Nsp5, Nsp13, Nsp14 et des protéines de pointe a diminué l’efficacité de la réparation HR et NHEJ (Figure 1B-E et Figure S2A,B).

Les figures C et E montrent la suppression de la réparation NHEJ par ces différentes portions de fragments viraux. (Voir les lignes graphiques verticales bleues représentant les niveaux d’activité / efficacité du mécanisme de réparation de l’ADN).

Ce que ces données montrent, c’est que la plus grande suppression de l’activité NHEJ est mesurée lorsque la protéine de pointe complète est présente. De l’étude :

Ensemble, ces données montrent que la protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 inhibe la réparation des dommages à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.

Il s’agit de la protéine de pointe qui est générée par les propres cellules du corps après avoir reçu l’injection d’un vaccin à ARNm :

Dans la figure 2, ci-dessous, nous voyons que la suppression de l’activité NHEJ présente une réponse dose-dépendante à la présence de protéine de pointe (figures 2B et 2C). Cela indique que plus il y a de protéines de pointe, plus la suppression de la réparation de l’ADN est importante :

La figure en bas à droite, 2G, montre comment la présence de la protéine de pointe inhibe la réparation de l’ADN à la suite de diverses agressions de l’ADN, telles que les radiations, l’exposition chimique ou l’oxydation. Fait important, comme l’expliquent les auteurs de l’étude :

Après différents traitements des dommages à l’ADN, tels que l’irradiation, le traitement à la doxorubicine et le traitement au H2O2, il y a moins de réparation en présence de la protéine de pointe (Figure 2F, G). Ensemble, ces données démontrent que la protéine de pointe affecte directement la réparation de l’ADN dans le noyau.  

L’exposition à la 5G, l’exposition aux chemtrails, l’exposition aux produits chimiques alimentaires, la mammographie et même l’exposition au soleil feront des ravages chez ceux qui ont pris des vaccins à ARNm

Le résultat horrible de cette découverte est que les personnes qui ont pris des vaccins à ARNm subiront une réparation de l’ADN supprimée, des expositions croissantes qui étaient autrefois considérées comme des problèmes mineurs par rapport à des menaces importantes pour leur santé.

En d’autres termes, les personnes exposées aux rayonnements 5G, aux examens de mammographie, aux produits chimiques plastifiants dans les produits alimentaires et aux substances cancérigènes dans les produits de soins personnels (détergents à lessive, parfums, shampooings, lotions pour la peau, etc.) seront incapables de réparer les dommages à l’ADN causés par ces expositions. Après des expositions relativement faibles, ils commenceront à muter et à développer des cancers dans tout leur corps.

N’oubliez pas que l’exposition à la 5G entraîne la production de peroxynitrite dans le sang, un radical libre extrêmement dangereux qui endommage l’ADN des cellules du cerveau et des tissus du corps.

Cela pourrait même être décrit comme une sorte de système d’arme binaire où les vaccins à ARNm affaiblissent la réparation de l’ADN, et l’exposition à la 5G (ou exposition chimique dans l’approvisionnement alimentaire) fournit l’arme qui brise les brins d’ADN et empêche le corps de maintenir l’intégrité génétique pendant réplication cellulaire. Cela ne prend pas longtemps pour s’exprimer de manières physiques horribles, telles que la tentative de croissance de tissus d’organes internes à la surface de la peau ou du visage, c’est pourquoi j’ai intitulé le podcast Situation Update d’aujourd’hui, «Monstres, zombies et mutants.»

La présence de la protéine de pointe interfère avec la fonction immunitaire normale et conduit à une immunodéficience (une affection semblable au SIDA)

Cette recherche révèle également que les protéines de pointe des vaccins à ARNm peuvent conduire à des conditions d’immunodéficience, similaires au SIDA. Cela est cohérent avec ce que nous avons précédemment rapporté sur la baisse de la fonction immunitaire d’environ 5% par semaine chez ceux qui ont pris des vaccins Covid. De l’étude :

…[L]a perte de fonction de protéines clés de réparation de l’ADN telles que ATM, DNA-PKcs, 53BP1, et al., entraîne des défauts dans la réparation NHEJ qui inhibent la production de cellules B et T fonctionnelles, entraînant une immunodéficience.

La fonction immunitaire est également affectée de manière critique par la présence de la protéine de pointe, pouvant conduire à des mutations cancéreuses dans toutes les cellules du corps. Comme l’explique l’étude :

La réparation des dommages à l’ADN, en particulier la réparation NHEJ, est essentielle pour la recombinaison V(D)J, qui est au cœur de l’immunité des cellules B et T.

Comme l’explique également Science Direct :

Le maintien de l’intégrité génomique est impératif pour la survie d’un organisme. Parmi les différents dommages à l’ADN, les cassures double brin (DSB) sont considérées comme les plus délétères car elles peuvent entraîner la mort cellulaire si elles ne sont pas réparées ou des réarrangements chromosomiques lorsqu’ils sont mal réparés, conduisant au cancer.

De plus, des mutations dans les gènes NHEJ, notamment Ku70 et Ku80, ont été associées à une durée de vie raccourcie chez la souris [54]. De plus, des défauts dans l’ADN-PKcs (protéine kinase dépendante de l’ADN) ont entraîné une altération du maintien des télomères et une durée de vie raccourcie chez la souris [55]. Pris ensemble, ces éléments de preuve suggèrent que NHEJ joue un rôle important dans la prévention de l’augmentation liée à l’âge de l’instabilité génomique et du déclin fonctionnel.

En effet, cela signifie que la suppression par la protéine de pointe du mécanisme de réparation de l’ADN NHEJ conduit également à une durée de vie réduite et à un vieillissement accéléré.

Selon certaines estimations, 50% des personnes injectées avec des vaccins à ARNm mourront dans les cinq ans. Nous avons maintenant une meilleure compréhension des mécanismes par lesquels ces décès induits par le vaccin peuvent se produire.

Écoutez l’explication verbale de tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui :



Nous en parlerons également plus en détail dans le podcast de demain. Recevez chaque jour le nouveau podcast sur :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport

Mike Adams

Traduction : MIRASTNEWS




Le Japon abandonne le déploiement du vax, passe à l’ivermectine et met fin à la Covid presque du jour au lendemain

[Source : ZEjournal.mobi]

L’absurdité actuelle du COVID-19 ici aux États-Unis existe uniquement et exclusivement parce que nos gouvernements n’ont pas utilisé le bon traitement. Ils ont utilisé des soi-disant « vaccins » alors que le Japon vient de prouver, en moins d’UN MOIS, que l’ivermectine peut anéantir la maladie.

Note de l’éditeur :

Il a été porté à mon attention qu’un petit site Web qui s’appelle « LeadStories.com » prétend que cet article n’est pas correct car ILS n’ont pu trouver aucune information sur aucun site Web du gouvernement japonais sur la santé à ce sujet. De toute évidence, LEUR incapacité à trouver quelque chose ne rend pas cet article « non correct ». La simple vérité est qu’en septembre, le chef de l’Association médicale de Tokyo est allé à la télévision nationale et a dit aux médecins de commencer à utiliser l’ivermectine. Ils l’ont fait. Nous y sommes, un peu plus d’un mois plus tard, et le COVID est quasi inexistant au Japon ! Nous restons fidèles à notre histoire.

Pour ce que ça vaut, le site Web « LeadStories.com » se classe 92 476 dans le monde. Le site Hal Turner Show est beaucoup plus grand, se classant à 85 341 dans le monde. Des sites plus petits comme LeadStories.com essaient de devenir plus gros en attaquant des sites Web plus grands comme celui-ci. Mais leur journalisme de mauvaise qualité est évident sur son visage. 

Au cas où vous seriez intéressé, LeadStories.com n’a jamais contacté l’émission de radio Hal Turner pour se renseigner sur notre histoire avant de nous écrire pour nous salir. Quel genre de « journaliste » écrit une histoire sans contacter le sujet réel de l’histoire ? Un idiot utile, peut-être ? Quelqu’un qui ne s’intéresse qu’à vanter la ligne du parti, peut-être ? Quelqu’un qui a un agenda à faire avancer, peut-être ? Soyez le juge.

— Hal Turner

L’Agence suédoise de santé publique a recommandé mercredi un arrêt temporaire de l’utilisation du vaccin Moderna COVID-19 chez les jeunes adultes, citant des inquiétudes concernant les effets secondaires rares sur le cœur. Il a déclaré que la pause devrait initialement être en vigueur jusqu’au 1er décembre, expliquant qu’il avait reçu des preuves d’un risque accru d’effets secondaires tels que l’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) et l’inflammation du péricarde (péricardite). { lien vers CBS News (sécurisé) ]

La Finlande, le Danemark et la Norvège se sont également éloignés des vaccins COVID. 

Finlande jeudi dernier a rejoint la Suède, le Danemark et la Norvège en recommandant contre l’ utilisation de  Moderna  Inc.  vaccin Covid-19 dans les groupes d’âge plus jeunes, invoquant des risques d’effets secondaires cardiovasculaires rares ont – ils dit les mesures de précaution se justifie.

L’Institut finlandais de la santé et du bien-être a déclaré jeudi dernier qu’il suspendrait l’utilisation du vaccin Moderna chez les hommes de moins de 30 ans, à la suite d’une mesure similaire prise mercredi dernier par les régulateurs suédois. Le Danemark a déclaré mercredi dernier qu’il n’offrirait pas le vaccin Moderna aux moins de 18 ans par mesure de précaution.

La Norvège a conseillé mercredi que tous les moins de 18 ans ne devraient pas recevoir le vaccin Moderna , même s’ils avaient déjà reçu une dose, et a recommandé aux hommes de moins de 30 ans d’envisager de se faire plutôt vacciner par  Pfizer  Inc.  et  BioNTech . Des responsables norvégiens ont cité des données américaines, canadiennes et nordiques, affirmant que les risques absolus restaient faibles et qualifiant l’avis de « mesure de précaution ».

L’Agence européenne des médicaments a déclaré jeudi que de nouvelles données préliminaires des pays nordiques étayaient un avertissement que l’agence a adopté en juillet selon lequel des maladies cardiaques inflammatoires appelées myocardite et péricardite peuvent survenir dans de très rares cas après la vaccination avec des injections Covid-19 faites par Moderna et Pfizer-BioNTech .

De loin, cependant, la superstar absolue parmi les pays étrangers confrontés au COVID est le Japon. Le Japon a RETIRÉ les vaccins et remplacé l’ivermectine – et en un mois, a éliminé le COVID dans ce pays !

Des questions ?

Juste pour que vous compreniez la chronologie.

En septembre, les décès dus aux vaccins COVID-19 faisaient l’objet d’une enquête.

À peu près à ce moment-là, les flacons étaient sous surveillance et du matériel « magnétique » métallique y a été trouvé.

Très peu de temps après, le ministre japonais de la Santé a annoncé que les médecins pourraient prescrire de l’ivermectine.

Un mois plus tard, la presse occidentale est choquée que COVID ait pratiquement disparu de l’île.

Trouver?

Comprendre?

Voilà à quoi cela ressemble dans un pays qui a encore un État de droit. Le gouvernement réagit aux rapports de décès et de vax contaminés, passe à un véritable traitement, les gens vont mieux et le virus disparaît.

Comparez maintenant cela à ce qui se passe aux États-Unis, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les trois pays connaissent un échec lamentable dans leur gestion du COVID-19, et cet échec a entraîné une perte stupéfiante de liberté et une destruction du commerce.

C’est la plus grosse actualité du moment.

Le Japon a mis fin au COVID. Il l’a fait après avoir arrêté le déploiement de vax et est passé à l’ivermectine.

Période. Arrêt dur.

Opinion éditoriale de Hal Turner

Si votre gouvernement voulait vraiment mettre fin au COVID, si tel était son véritable objectif, il ferait ce que le Japon a fait.

Vous pouvez utiliser le Japon comme étude de cas chaque fois que quelqu’un commence à marmonner des conneries sur la façon dont le vax vous aide à vous empêcher de rendre les autres malades avec ce contre quoi ils ont été vaxés.

Vous l’utilisez comme étude de cas lorsqu’ils essaient de faire des arguments boiteux sur la façon dont le gouvernement fait vraiment de son mieux pour mettre fin à COVID et c’est la foule MAGA qui provoque les variantes et maintient le virus.

Le Japon a arrêté de vaxer. Le Japon est allé à l’IVM. Le Japon est exempt de COVID. Il l’a fait en moins d’un mois !

Donc, si votre gouvernement ne fait pas ce que le Japon a fait, maintenant que le JAPON A BATTU COVID, que dit-il de votre gouvernement ?

Il dit que les théoriciens du complot avaient raison ! Ils avaient raison. C’est une conviction accablante du récit selon lequel le gouvernement est en quelque sorte une force bienveillante contre le fait que vous attrapiez des virus.

Non, car nous avons maintenant un précédent historique d’un gouvernement faisant la bonne chose et obtenant le WIN.

Si votre gouvernement ne le fait pas, c’est parce que le vax concerne autre chose que le bien public.

Hummm. De quoi peut-il s’agir ? Que diriez-vous du contrôle totalitaire !

Le Japon a commencé à vaxer plus tard et a arrêté plus tôt que le Massachusetts. Le Massachusetts lutte toujours contre COVID avec quelques milliers de cas révolutionnaires par semaine. Le Japon est fini.




Face au PfizerGate, Nicolas Dupont-Aignan demande des explications

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Scandale dans l’étude Pfizer révélé par une lanceuse d’alerte dans le British Medical Journal ! L’ancienne directrice régionale de Ventavia, sous-traitant de Pfizer chargé des essais cliniques, explique que les données ont été falsifiées, les patients non suivis malgré des effets indésirables, l’étude menée sans double aveugle !!! L’étude sur laquelle Olivier Véran vaccine par la contrainte des millions de Français serait donc frauduleuse ! Je demande la mise sur pied d’urgence de la commission d’enquête sur les vaccins que je réclame depuis des semaines.

https://youtu.be/dAq2TmEfRH4



ILS AURONT TOUT OSÉ : POURSUIVRE D. RAOULT, HONNEUR DE LA MÉDECINE FRANÇAISE

Par Gérard Delépine

Docteur Gérard Delépine chirurgien et statisticien

(je déclare l’absence de tout lien d’intérêt avec des firmes du médicament) 

Alors que se poursuit sur les ondes médiatiques(([1] propriétés de huit milliardaires)) le défilé scandaleux de médecins incompétents et corrompus, ne déclarant jamais leurs conflits d’intérêts, donc en violant la loi « transparence en santé », la honteuse convocation devant le conseil de l’ordre des médecins de notre virologue mondialement reconnu et respecté fait la une des médias, qui osent lui coller le terme de charlatan…

Depuis deux ans, ils n’auront pas cessé d’user quotidiennement de l’inversion des valeurs. « La paix, c’est la guerre », remettant Orwell au goût du jour.

« Ainsi durant près de trois heures, la chambre disciplinaire, présidée par un magistrat administratif assisté de huit médecins, a examiné deux plaintes déposées fin 2020 par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône et le Conseil national de l’Ordre des médecins ? Sur la base de plusieurs signalements initialement effectués par la société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), par des praticiens hospitaliers et des particuliers contre Didier Raoult ».

Qui sont-ils pour le « juger » ? Il n’a fait que guérir les patients qui venaient jusqu’à Marseille pour échapper au tragique « maison, Doliprane, détresse respiratoire et Rivotril (d’où euthanasie d’environ 10 000 personnes âgées »)…

Pendant que le ministre se permettait d’interdire aux médecins de soigner, en mars 2020, probablement pour la première fois au monde depuis Hippocrate et 2500 ans, et que la plupart des docteurs malgré leurs quinze ans de médecine se courbaient devant les menaces du conseil de l’ordre, reniant leur serment d’Hippocrate et leur métier, les rapides interventions du Pr Raoult nous ont vite revigorés, confirmant l’impression que la pandémie du coronavirus n’était qu’une grippe comme les autres, à condition toutefois de ne pas euthanasier les vieux susceptibles d’en être atteints, et de soigner les pneumopathies virales par les antibiotiques habituels associées au traitement déjà connu depuis 2003 pour le SRAS et republié par les Chinois quelques semaines plus tôt.

« Il est reproché au praticien marseillais d’avoir fait la promotion de l’hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19, sans données scientifiques établies, ce qui s’apparente à du « charlatanisme » d’avoir pris des « risques inconsidérés » en soignant des patients avec ce traitement « non éprouvé par la science » et d’avoir « manqué à son devoir de confraternité » envers d’autres médecins, a détaillé la rapporteure de la chambre disciplinaire. »(([2] Didier Raoult : « On fait le procès de la réussite » se défend l’infectiologue marseillais, taxé de « charlatanisme » par ses pairs — ladepeche.fr))

Comment peut-on écrire une telle accusation alors que la nivaquine a été utilisée depuis 70 ans en usage libre sans ordonnance et après les nombreuses publications confirmant les premières de Raoult ?

« Pour Me P. Carlini, avocat de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône, ces poursuites ont été entreprises pour soutenir les ‘médecins libéraux héroïques’ bousculés par « des patients angoissés » réclamant, « sans rien y connaitre », un traitement à l’hydroxychloroquine, en se basant uniquement « sur la parole d’un éminent scientifique marseillais émise sans aucune prudence » sur les plateaux télé et les réseaux sociaux. »

Comment peuvent-ils ignorer les nombreux(([3] Plus de 195 études ont été publiées dont 131 dans des revues à comité de lecture référencées sur PubMed et 70 % affirment l’efficacité de l’HCQ)) articles publiés dans des revues à comité de lecture et référencés sur les banques de données internationales telles que PubMed avant de faire de telles déclarations infondées ? Comment peuvent-ils ignorer que les autorités sanitaires de nombreux pays regroupant plus de la moitié de la population mondiale (Chine, Corée, Inde, Taiwan, Malaisie, Bahreïn, Turquie, Qatar, Maroc, Algérie, Nigéria, Sénégal, Cuba) ont recommandé ce traitement et qu’ils s’en sortent tous avec des mortalités Covid bien inférieures aux nôtres ?

Comment peuvent-ils ignorer que le Conseil d’État italien a fait droit au recours des médecins contre la note de l’Aifa(([4] Agence italienne du médicament)) qui suspendait l’utilisation de ce produit en soulignant que la « base de données cliniques non ambiguës affirme son efficacité au seul stade précoce de la maladie ».

Quant aux plateaux télé, ce ne sont pas particulièrement Didier Raoult ou ses collaborateurs qui les ont envahis, mais bien ceux qui ont tenté de le disqualifier en les calomniant. Et en faisant parfois la promotion de médicaments inefficaces, toxiques et très chers comme le Remdesivir déconseillé depuis par l’OMS.(([5] L’OMS ne recommande pas l’administration de Remdesivir aux patients COVID-19 20 novembre 2020 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients))

Quant à « l’héroïsme » des médecins libéraux qui n’ont su qu’obéir à la bureaucratie et se plier aux menaces du conseil de l’ordre et du ministre, il relève de la Novlangue, tant leur lâcheté vis-à-vis des patients a déshonoré notre profession et a été responsable de nombreuses morts évitables et de tragédies familiales (interdiction des visites, refus de voir et d’embrasser une dernière fois le défunt, pratiques dépourvues d’humanité, etc.).

À l’heure où ces mêmes médecins prétendument héroïques qui n’ont pas hésité à injecter un produit expérimental en phase trois, agissant sur l’ARN, et qu’explose le Pfizergate, comment peut-on entendre ces récriminations sur le Pr Raoult et ses collaborateurs, jusqu’à les accuser d’avoir traité des patients tuberculeux, les accusant d’essais cliniques illégaux. On a l’impression que trop de « médecins » ont oublié ce qu’est la médecine clinique, le traitement des malades… Quant aux bureaucrates, ils ne l’ont jamais su.

« Comme un criminel »

« Ce sont les médecins qui se plaignent de nous, pas les patients », a rétorqué Didier Raoult, assurant avoir reçu « plus de 600.000 patients » au sein de l’IHU durant la crise sanitaire, « sans aucune plainte ».

On peut être étonné et scandalisé que le Conseil de l’ordre fonde son accusation sur des études biaisées, incomplètes et mal conçues comme
« la britannique Recovery(([6] Étude qui utilisait des doses toxiques folles (4 fois la dose maximale prévue par le VIDAL) dans le seul but de disqualifier HCQ)), la française Hycovid(([7] Étude qui a été incapable de conclure faute de patients après un arrêt secondaire à la publication totalement fallacieuse du LancetGate)), ou Solidarity menée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) — qui ont toutes conclu que l’hydroxychloroquine n’était pas efficace contre le Covid-19, a pourtant rappelé la chambre disciplinaire ».

Pourtant la très mauvaise qualité de ces études parcellaires a largement été démontrée, tandis que les résultats mondiaux des antipaludéens ont démontré la véracité des thèses du Professeur Raoult, ne serait-ce que par le taux exceptionnellement bas de la mortalité par SARS-CoV-2 dans les pays d’Afrique dont la population est régulièrement sous hydroxychloroquine.(([8] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/))

Pour Me Fabrice Di Vizio, avocat de D. Raoult, le sujet de l’hydroxychloroquine est un « faux débat ». Son client, dit-il, est jugé « comme un criminel », essentiellement pour ses prises de position critiques sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités ».

Que le procès fait à Raoult devienne le procès d’un ordre à supprimer

Rappelons que l’ordre des médecins a été créé par Vichy et que sa première décision a été de radier les médecins juifs avant de les dénoncer aux Allemands ; qu’une de ses autres recommandations aux médecins a été de « dénoncer les blessures par balle aux autorités » (de Vichy) pour qu’elles puissent arrêter les résistants qu’ils auraient soignés.

Rappelons que la loi transparence santé l’a chargé de veiller au respect de la déclaration des liens d’intérêt avant toute annonce d’un médecin au public. Qu’il a pourtant systématiquement oublié de poursuivre les médecins de plateau télé pour ces absences répétées de déclaration d’intérêts même lorsqu’ils faisaient de la publicité pour des traitements inefficaces.

On peut tout autant s’étonner qu’il n’ait pas appelé le gouvernement au respect de la déontologie médicale et en particulier à l’indépendance des médecins dans le choix de leurs ordonnances et à respecter leur refus de délivrer des médicaments mortels (Rivotril).

Historiquement, les connotations négatives des Ordres professionnels et Corporations sont nombreuses… Renvoyant à un passé archaïque et condamnable fait de groupes professionnels fermés, protectionnistes, mercantiles, s’octroyant des privilèges et des monopoles, défendant leurs intérêts en dehors du bien collectif commun, ils peuvent aller jusqu’à freiner l’innovation. Reconnus « dangereux », ils ont été abolis par le Décret Allarde et la Loi Le Chapelier en 1791 lors de la Révolution Française.

Leur rétablissement a été soutenu par les pays dictatoriaux et le fascisme (Mussolini, Franco, Salazar, Pétain…). De Gaulle avait supprimé cet ordre des médecins en 1945. Mitterrand s’était engagé à supprimer cet ordre enfant de la philosophie fasciste. Battons-nous pour le supprimer au plus tôt !

Heureusement de courageux politiques appellent à sa dissolution comme Florian Philippot

et des citoyens le soutiennent à son arrivée à Bordeaux :

https://twitter.com/LE_GENERAL_OFFL/status/1456544547677347844




Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi…

Par Alain Tortosa

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.(([1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e))»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie(([2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19))» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa(([3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »))

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf




Principes de la vente agressive (santé, climat, politique) et comment s’en protéger

Par Lucien SA Oulahbib

1/ Santé

  • Rendre la « dose » suivante indispensable alors que le Pfizergate éclate et qu’elle s’avère inefficace, par exemple en Israël, à Singapour… comparée aux traitements précoces qui empêcheraient de fait les cas graves. Maints exemples de médecins, d’hôpitaux qui ont soigné avec et qui ont eu d’excellents résultats (aucun mort), mais qui ont été poursuivis, cassés, aujourd’hui brisés(([1] comme l’indique le dernier CSI, à 1 h 50))…
  • Au lieu de cela les hygiénistes affairistes vont agiter le drapeau rouge des chiffres de « rebond » (infimes) et des lettres en justifiant la fermeture de lits puisque l’injection protège de « la » maladie comme si celle-ci était le fléau majeur, ce qui est le comble de l’absurde, alors que certaines sources montrent que cette injection accroît les risques chez les jeunes et au sein de certaines pathologies comme les cancers.
  • Mais pour faire oublier ces dangers et incohérences, la Milice propagandiste de la Secte culpabilise les non-injectés en les montrant du doigt comme étant la cause de la persistance de la présence virale et de la nécessité de faire porter la muselière aux enfants afin de protéger les premiers alors que les injectés sont tout autant contaminants (sinon plus, selon certaines sources) et que les enfants même « positifs » ne transmettent pas ce virus du moins de manière dangereuse — à des personnes bien portantes et n’ayant pas de comorbidités (comme cela s’est passé sur le Charles de Gaulle où il n’y a eu aucun mort, ce qui plaide pour l’idée d’une immunité croisée comme l’indique également le CSI du 4/11/21 qui par ailleurs montre entre autres les dangers croissants des effets secondaires…).
  • Il suffit d’observer les pays massivement injectés et les autres pour observer que les premiers sont bien plus touchés que les seconds, d’autant que ces derniers (du moins ceux qui ont refusé d’être corrompus, achetés par Big Pharma et ses prothèses politiques) choisissent plutôt les traitements précoces et c’est cela qui est de plus en plus déterminant bien plus que la prépondérance de la jeunesse dans leur démographie.
  • Sans parler de l’impact des maladies dites « chroniques » qui touchent bien plus les populations occidentales qui ne font pas assez attention à leur alimentation et à leur culture physique… Un phénomène qui a été bien analysé par la « naturopathie » aujourd’hui violemment combattue par la médecine allopathique (du moins celle formatée par Big Pharma, les autres médecins encore « hippocratiens » étant eux balayés comme catégorie dépassée), jusqu’à exclure l’homéopathie et les huiles essentielles, mettant même à l’index la vitamine D. Bref, tout ce qui permettrait de renforcer naturellement notre système immunitaire est considéré désormais par la Secte comme un frein à son expansion, et aussi, plus métaphysiquement, comme étant une anomalie, le dernier terrain vague, cette nature « sauvage » qu’il s’agirait de dompter, d’effacer ou alors de nier puisque pour certains courants issus des Lumières, la « nature » n’existe pas, tout serait « conditionné ». Aujourd’hui les nouveaux adeptes parlent de « construit » à l’instar de l’industrie du bâtiment (la « postmodernité » est d’abord un concept architectural visant à effacer déjà la notion de « centre » genre Brasilia). Les avatars d’aujourd’hui, en transe sur ces questions, en sont au fond seulement les nouveaux poissons-pilotes (voir ici Ethique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du Sens… et autres articles dans les revues dogma.lu et esprit critique).

2/ Climat

  • La confusion entre météo et climat bat son plein et permet peu à peu, comme l’indique Philippe Herlin, de transformer ledit « passe sanitaire » en « passe écologiste » forçant encore plus les populations à accepter sous contrainte cette fausse « transition ».
  • Ainsi alors qu’une tendance climatique doit s’appuyer sur trente ans d’observation (et non uniquement sur la modélisation, (voir le site des climato-réalistes), le moindre évènement météo (lié d’ailleurs souvent à des effets circonstanciés produits par exemple d’un bétonnage mal conçu, d’une disparition des talus, d’un manque d’égouttage, d’une « mégalopolisation » à outrance…) pousse à un catastrophisme visant à culpabiliser là aussi contre le moteur thermique qui a pourtant fait d’énormes transformations, contre le chauffage au bois, au fioul, et peu à peu contre tout chauffage non issu des dites « énergies renouvelables » ce qui fait qu’à terme un « quota » carbone sera intégré dans le « pass » à côté de la « dose », mais aussi un quota de « bonne citoyenneté » (ou « crédit social ») entamé si l’on dit des choses pas « politiquement correctes ». Mais une tolérance sera sans doute admise pour les étrangers qui ne « connaissent pas nos normes et codes » comme il a été déjà vu pour diverses affaires sociétales.

3/ Politique

  • La « nation » est devenue un frein à cette uniformisation et standardisation QR-codée, symbolisée aussi par ces implantations d’immenses centres commerciaux (ou « malls ») qui sont devenus ces TV géantes, séduisantes et séductrices dans lesquelles les « particules élémentaires » humaines que nous sommes devenus — en particulier pour la Secte (S.S.A) — s’activent elles-mêmes pour animer ce vaste faisceau cathodique mondialisé, pixels par milliards formant ainsi l’image — écran global visionné en temps réel par les robots statisticiens qui vont ainsi évaluer le taux marginal de tel ou tel produit au sein de chaque matrice individuelle.
  • Dans ce cadre il faut éliminer toute « particule » hostile qui empêcherait cette homogénéisation, car elle modifierait, entraverait la modélisation prédicatrice des coûts et profits calculés globalement, ce qui fait par exemple que telle fermeture d’usine liée à un surcoût apparaît « logique » tout en étant faux rationnellement, car cela implique des transferts de compétence, des extinctions de toutes les retombées connexes puisqu’une usine faisait « tourner » villes et villages à proximité…
  • Ce qui a eu pour conséquences la destruction des classes salariées populaires et moyennes, la constitution de nouvelles classes supérieures bénéficiaires en matière de gestion à distance, logistique, transports privés de marchandises, communication, médias, fictions, médicaments…
  • Où l’on voit se dessiner la césure entre les gagnants et les perdants de la globalisation et donc la césure politique entre patriotes/souverainistes d’un côté et globalistes/relativistes de l’autre puisque les premiers cherchent à contrer cette destruction et sortir de ses gravas pour restaurer (en effet), mais en mieux (Versailles versus le Louvre) tandis que les seconds veulent l’accélérer avec ce « pass global »…
  • Mais il faut savoir aussi balayer devant sa porte : ainsi lorsque la Chine est rentrée à l’OMC le ministre chinois du Commerce avait indiqué en 2005 qu’il avait été négocié dix à quinze ans de délais concernant le textile afin que les pays de l’UE puissent non seulement s’adapter, mais prévenir bien en amont l’arrivée des produits chinois. Rien n’a été fait par les politiques ou si peu. Hormis le luxe, mais qui sous-traite en Asie et en Afrique du Nord.
  • Ce qui impliquerait déjà la baisse des impôts de production, mais aussi la refondation du système de sécurité sociale en s’appuyant sur des cotisations proportionnelles et non progressives, du moins si celles-ci sont prises en charge à la fois par les organismes de sécurité sociale qui comprennent également les assurances et les mutuelles.
  • Au lieu par exemple de voir les budgets de l’hôpital et des retraites être assis uniquement sur les cotisations sociales, ils pourraient être aussi assis sur les cotisations assurantielles et mutualisées, ce qui permettrait de bénéficier de leur puissance financière mondialisée de telle sorte que ce ne serait pas seulement les assurés anglo-saxons et leurs retraités qui en bénéficieraient du fait des économies d’échelle ; et en plus cela coûterait moins cher dans le cadre dudit « salaire complet ».
  • Concernant maintenant la question de « l’être ensemble » (plutôt que le « vivre ensemble » trop vague), il s’avère que les récents débats autour de la laïcité confondent celle-ci avec la « neutralité » alors qu’il s’agissait surtout pour Jules Ferry de placer en premier lieu la nécessité d’une instruction morale et civique afin de mieux armer la liberté de conscience pour être un bon citoyen.
  • Aussi il est clair que si l’on accepte de vivre dans un pays ayant cette philosophie, tout signe ostensible indiquant que l’on n’est pas d’accord ne doit pas être au moins admis dans les services publics animés justement par cette philosophie… Quant à la « rue », il faut laisser libre la critique contre ces signes, politiques en réalité, et surtout protéger les personnes qui ne veulent pas porter de tels signes, mais qui sont obligées par leur « communauté ». C’est d’ailleurs là l’esprit de la loi contre les signes ostensibles à l’école, loi portée par un Bernard Stasi qui était loin du « fascisme » dont aujourd’hui il serait certainement affublé…
  • Enfin, deux enjeux semblent se mouvoir à l’horizon : s’il est possible de remettre sur les rails d’une néo-modernité affinée les trains de la laïcité, de l’économie politique, du développement territorial, des conflits sur le partage de la valeur ajoutée (avec plus de participation de cogestion de nouveaux syndicats), alors les tensions politiques devraient être circonscrites ; si ce n’est pas le cas, les solutions plus radicales seraient envisagées comme le fait de ne pas attendre par exemple que les étrangers irréguliers soient pris en charge par la solidarité internationale et non plus seulement nationale en tranchant exclusivement pour la seule solidarité nationale.
  • De même, alors que le droit du sol est ce ferment démographique permettant à une nation qui se veut forte et unie malgré les conflits permanents, il s’en trouve fragilisé dans son inconditionnalité s’il n’existe pas aussi une « politeia » qui le sous-tend, c’est–à-dire non pas seulement une « polis » qui gère au mieux la Cité, mais une politeia qui permet au sentiment d’appartenance de prévaloir.
  • Or nous sommes précisément à une « croisée des chemins » : soit la France et aussi les démocraties en général se ressaisissent en conservant les acquis et en affinant ces derniers grâce à une politique néo-moderne puissante, soit ce n’est pas le cas et alors les solutions (ou « médecines ») plus radicales seront agitées (comme s’amputer de populations hostiles).
  • Faisons en sorte que ces dernières solutions n’arrivent pas, mais dans ce cas, donnons-nous les moyens de faire en sorte que la conservation et l’affinement des acquis civilisationnels deviennent effectifs, sinon il ne servira à rien de crier sans cesse « au loup, au loup » surtout si celui-ci s’avère être précisément celui qui hurle le plus fort… Alors qu’il est au service (commandé ?) de la S.S.A.



Analyses sanguines post-injection

[Source : Sciences en conscience – RéinfoCovid]






La société française vire-t-elle à la société chinoise, sans l’accord des citoyens ? Entre fraude Pfizer et G20 en jet

Par Nicole Delépine

Un beau combat citoyen pour une triste issue à ce jour : « urgence sanitaire » prorogée jusqu’en juillet 2021 ? Le vote du 5 novembre redressera-t-il la barre en rendant l’honneur à notre chambre des députés ?

En France, l’épidémie est terminée depuis plusieurs mois

L’existence d’une épidémie ne doit pas se mesurer sur des tests non fiables qui donnent une majorité de faux positifs, mais sur l’incidence des malades (ceux qui ont des signes et qui consultent leurs médecins) et sur la mortalité constatée. Or le réseau Sentinelles démontre chaque jour que l’épidémie de coronavirus est terminée (incidence de 5/100000 habitants) et que les virus qui courent comme à chaque automne sont des VRS ou des métapneumovirus :

De même la mortalité quotidienne rapportée publiée par l’OMS est descendue à une moyenne de 25/jour soit 2 % la mortalité globale :

Mais l’Assemblée nationale a prorogé le 4 novembre à 3 h du matin l’état d’urgence sanitaire

et en même temps remis en selle les amendements supprimés par le Sénat, comme la suppression du secret médical qui permettra aux directeurs d’école (qui n’avaient rien demandé) de connaître le statut vaccinal des élèves. Ils étaient 275 présents.(([1] Si la Constitution est réécrite un jour il faudra légiférer entre autres, sur les quorums et les séances de nuit et sur les procédures accélérées sans aucun fondement. Le casier judiciaire vierge devrait être exigé comme il l’est pour les fonctionnaires et les procédures judiciaires en cours devraient faire discuter la poursuite de la mission parlementaire pendant le temps du litige. Comment peut-on être à la fois interdit de diriger une entreprise et voter pour décider du sort de 67 millions de personnes ? Sans parler des mis en examen pour des charges plus lourdes, etc.))

«Chèque en blanc au gouvernement» ? L’Assemblée vote le projet de loi de «vigilance sanitaire» — RT en français

Le texte a été approuvé par 147 voix contre 125 et deux abstentions. Il a effacé les modifications des sénateurs qui vont revoir ce nouveau texte ce jour avant une lecture finale le vendredi 5 novembre.

IL EST ENCORE TEMPS DE JOINDRE VOS DÉPUTÉS

L’opposition critique à juste raison un « chèque en blanc au gouvernement » et cette loi comme un « outil de la société du contrôle permanent »

Le vote pour la présidentielle sera donc réalisé, s’il a lieu, sous régime d’exception (qui devient progressivement la règle) et les manifestations soumises au bon vouloir du gouvernement. Nos députés ont-ils vraiment voulu cela ?

Un combat citoyen, des lettres via la poste, des mails, des appels téléphoniques et des manifestations

Des milliers de Français les ont joints par mail ou téléphone ou lettre postale pour exprimer leur rejet de l’état d’urgence pour une épidémie terminée, des décisions inadaptées comme le masque à nouveau chez les enfants qui ne sont jamais gravement malades du covid et ne transmettent le virus, ni aux autres enfants, ni aux adultes ou l’exigence d’un passe sanitaire pour consulter à l’hôpital….

Ils en ont assez des mesures liberticides sans aucun fondement sanitaire. Les tribunaux sont noyés sous les plaintes classées le plus souvent sans suite, mais cachant mal la poussière sous le tapis. Alors cela doit cesser avec le vote de la loi dite de vigilance ou pas, le gouvernement doit stopper ces mesures impopulaires. Quelques députés ont exprimé ce ras-le-bol y compris ceux qui pendant un temps ont soutenu le confinement, le masque et la vaccination.

Entre G20 tout puissant et Pfizergate, qui gagnera ?

Mais les accidents majeurs et si nombreux des pseudo vaccins covid explosent pendant que les scandales liés à la mascarade covid se multiplient. De Fauci le Mr vaccin des USA pris la main dans le sac de mensonges sur sa participation financière aux recherches de Wuhan sur les gains de fonction (augmentation de la virulence des coronavirus), au Pfizergate sur le trucage des essais thérapeutiques initiaux, et des contrats opaques signés avec l’UE et en particulier la lause excluant par avance toute action en justice contre les laboratoires fabricant les vaccins

https://twitter.com/i/status/1456268394190151690

Le Pfizergate(([2] « Pfizergate » ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer — Ventavia — FDA (francesoir.fr) ))

Évidemment le géant Pfizer qui espère atteindre les 36 milliards de dollars grâce à ses injections géniques ne fait pas ses essais lui-même, il sous-traite !

Une fraude de grande ampleur, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Administration (FDA), a été révélée par le British Medical Journal, revue classiquement considérée comme sérieuse et fiable.(([3] Covid-19 : Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial
BMJ 2021 ; 375 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021) ))

Pfizer opère « à la vitesse de la science » disait Albert Bourla en 2020 le PDG de Pfizer. Qu’est— ce que cela veut dire finalement si ce n’est que la science n’est plus la science, mais du business.

Un directeur régional du sous-traitant Ventavia Research Group, a déclaré au British Medical Journal que la société Ventavia qui assurait les essais cliniques, avait falsifié des données, enlevé l’anonymat des profils, employé des vaccinateurs insuffisamment formés, et tardé à assurer le suivi des effets indésirables signalés dans l’essai pivot de phase III.

Les essais cliniques s’effectuent sur 44 000 personnes et sur 153 sites dans le monde, dont trois sites de l’entreprise Ventavia au Texas. Pour certains chercheurs, la rapidité a peut-être été obtenue au détriment de l’intégrité des données et de la sécurité des participants. Le personnel chargé des contrôles de qualité était submergé par le nombre de problèmes qu’il découvrait. Après avoir les avoir signalés à plusieurs reprises à Ventavia, la directrice régionale, Brook Jackson, a envoyé une plainte par courriel à la Food and Drug Administration (FDA).

Dans cette lettre, Mme Jackson a énuméré plusieurs problèmes dont elle avait été témoin :

  • l’absence de sérieux dans la manipulation des vaccins, qui ne sont pas conservés à la bonne température et mal étiquetés.
  • l’absence de suivi des patients.

Rappelant que toute personne signalant un effet secondaire doit être contactée dans les 24 heures, elle fait mention de plusieurs personnes qui ont effectué des signalements, mais jamais recontactées.

Cette lettre mentionne également des employés, ciblés par Ventavia pour avoir signalé des problèmes et qui ont appelés au silence par la FDA, avant d’être rapidement licenciée… Mais elle est partie avec de nombreux documents qu’elle a remis au BMJ d’où son article explosif.

Le double aveugle et l’anonymat des participants à l’essai ne sont pas respectés, mais la FDA avertie n’en tient aucun compte pour donner son feu vert à l’AMM. Il est clair que la science est oubliée.

Ces révélations ont été confirmées par plusieurs employés de Ventavia et discréditent le récit officiel « d’essais menés avec une vitesse spectaculaire et inédite, sans rien concéder aux exigences de rigueur, de sécurité et d’intégrité scientifique ». Bref elle démontre une gigantesque manipulation mondiale avec les conséquences que l’on connaît d’ores et déjà avec les nombreux morts et malades du vaccin.

Un tel scandale devrait évidemment être dénoncé sur les ondes et dans les parlements de tous les pays afin de faire stopper cette expérimentation à grande échelle. Un moratoire s’impose pour le moins. Notre ministre qui a stoppé net l’utilisation de la chloroquine par suite d’un article mensonger dans le Lancet (rapidement démasqué et retiré), saura-t-il enfin prendre une mesure sanitaire véritable en stoppant le massacre ?

Les milliardaires du G20 versus les peuples réveillés par le monde

Nous sommes actuellement dans une course de vitesse entre les milliardaires et dirigeants à leur botte réunis en ce moment au G20 via des jets privés multiples (près de 200, paraît-il) « pour sauver la planète » via le Grand Reset de Klaus Schwab, et des peuples qui se réveillent partout dans le monde, protestent, manifestent, et découvrent peu à peu l’ampleur des mensonges. Récemment par exemple, la confirmation d’un nombre réel très inférieur aux chiffres annoncés de morts du covid en Italie, mais aussi dans d’autres pays, dont les USA et l’Angleterre.

Qui gagnera ? l’avenir de l’Humanité est en jeu et il serait grand temps de stopper les injections toxiques menaçant notre ADN avant que trop d’humains n’aient été contaminés.