APPEL AU RASSEMBLEMENT

[Source : comitedesalutpublic.fr]

ACTION N°1 – SEMAINE DU 4 AU 13 OCTOBRE 2021

METTRE LES DEPUTÉS DE LA NATION DEVANT LEURS RESPONSABILITÉS DANS LE CADRE DU VOTE DE LA LOI N°2021-1040 DU 5 Août 2021.

MÉTHODOLOGIE

ÉTAPE 1 : CONSTITUER VOTRE COMITÉ DE SALUT DU PEUPLE SUR VOTRE CIRCONSCRIPTION EN VOUS RENDANT SUR LA PAGE « COMMENT NOUS REJOINDRE ? »

ÉTAPE 2 : ENVOYER À VOTRE DEPUTÉ(E) LE COURRIER TÉLÉCHARGEABLE ICI PAR COURRIEL ET VOIE POSTALE EN L’ADAPTANT À VOTRE NUMÉRO DE CIRCONSCRIPTION ET VOS NOMS CANTONS ET L’ENVOYER  LE VENDREDI 1ER OCTOBRE 2021. Y JOINDRE LE CAS ÉCHÉANT LA LETTRE ADRESSÉE AU PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE TÉLÉCHARGEABLE ICI.

ÉTAPE 3 : SANS NOUVELLES DE VOTRE DEPUTÉ(E) PAR COURRIEL, RÉUNIR TOUS LES CITOYENS AVEC PANCARTES, BANDEROLES & DRAPEAUX ET SE REUNIR DEVANT LA PERMANENCE PARLEMENTAIRE (LISTE CONSULTABLE ICI) POUR Y RENCONTRER LE DEPUTÉ ET LUI LIRE PUBLIQUEMENT LE DOCUMENT EN LUI POSANT LES QUESTIONS ET DEMANDER SA POSITION LORS DU VOTE POUR LE PROLONGEMENT DU 13-15 OCTOBRE 2021.

LETTRE AU DEPUTÉ(E) LETTRE AU PRÉSIDENT DE LA REPUBLIQUE 

ÉTAT DES LIEUX DE LA MOBILISATION – MISE À JOUR / LUNDI 4 OCTOBRE 2021 / 22H00

LISTE DES CSP ET DES ACTIONS




Dette : Joe Biden ne peut garantir que les États-Unis ne feront pas défaut

[Source : RT en français]

[Photo : © CHIP SOMODEVILLA / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images Source: AFP]

Le président américain Joe Biden a estimé ce 4 octobre qu’il ne pouvait «pas garantir» que les Etats-Unis ne seraient pas en défaut de paiement le 18 octobre, date butoir pour que le Congrès augmente la capacité d’endettement du pays.

La date limite du 18 octobre approche. Celle au-delà laquelle les Etats-Unis pourraient se retrouver en défaut de paiement si le plafond de la dette n’est pas relevé. L’occasion pour le président américain Joe Biden de fustiger l’opposition républicaine, l’accusant de jouer un jeu «dangereux» au Congrès.

«Ne vous mettez pas en travers du chemin», a-t-il déclaré ce 4 octobre dans un discours à la Maison Blanche, en dénonçant l’«irresponsabilité» des républicains au moment où les démocrates s’emploient à voter un texte augmentant la capacité d’endettement du pays. Le Parti démocrate dispose d’une majorité trop mince pour pouvoir, avec ses seules voix, «relever le plafond de la dette», une manœuvre législative que les parlementaires républicains peuvent empêcher.

«Je ne peux pas croire [qu’un tel scénario se produise]», a lancé le président américain à propos d’un défaut de paiement, qui ne s’est jamais produit dans l’histoire des Etats-Unis. «Est-ce que je peux le garantir ? Je ne peux pas le garantir», a-t-il toutefois ajouté.

Les législateurs ont déjà relevé ou suspendu 78 fois ce «plafond de la dette» depuis 1960. Il s’agit du seuil maximum légal accordé par le Congrès en matière d’emprunt. Actuellement fixé un peu au-dessus de 28 000 milliards de dollars, le Trésor estime qu’il sera atteint le 18 octobre.

Le gouvernement américain devrait alors, du jour au lendemain, cesser de vivre à crédit et sabrer dans ses dépenses. Un défaut de paiement des Etats-Unis aurait aussi des conséquences imprévisibles sur la finance et l’économie internationales, dominées par le dollar et irriguées par les bons du Trésor américain.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/economie/91336-dette-joe-biden-ne-peut-garantir-etats-unis-pas-defaut




Le HMS Queen Elizabeth a rejoint deux porte-avions américains près de Taïwan, où la Chine accentue sa pression militaire

[Source : opex360.com]

PAR LAURENT LAGNEAU

En 2020, Taïwan fit état de 380 incursions de la composante aérienne de l’Armée populaire de libération [APL] dans sa zone d’identification de défense aérienne [ADIZ], ce qui constituait un record depuis la troisième crise du détroit de Formose, en 1995-96. Cette année, plus de 500 incursions aériennes chinoises ont d’ores et déjà été constatées par Taipei… Ce qui met ses forces aériennes à rude épreuve.

Depuis quelques moins, il n’est plus question pour l’APL d’envoyer une patrouille de seulement quelques appareils dans l’ADIZ de Taïwan. Les formations qu’elle y envoient sont toujours plus imposantes et virent à la démonstration de force. Le but? Tester la défense taïwanaise, user son potentiel et faire passer le message que Taipei ne pourra pas s’opposer à la puissance chinoise, même en multipliant les achats d’équipements militaires, principalement [voire exclusivement] auprès des États-Unis.

En janvier, la plus importante formation chinoise repérée dans les environs de Taïwan en une seule journée comptait une quinzaine d’appareils. Puis une vingtaine en mars et près d’une trentaine en juin. Le 1er octobre, jour anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine, ce sont pas moins de 38 appareils, en deux vagues, qui ont été envoyés dans l’ADIZ taïwanaise. Un record. Mais on en était qu’au début…

Le lendemain, en deux fois, 39 avions de l’APL ont patrouillé dans l’ADIZ de Taïwan, plus précisément dans une zone située dans le sud-ouest de l’île considérée comme « rebelle » par Pékin. À la différence de la veille, aucun bombardier stratégique H-6, à capacité nucléaire, n’a été répéré. Même chose durant la journée du 3 octobre, où « seulement » 16 avions chinois ont une nouvelle fois été envoyés en mission dans les environs de taïwan.

Ce jour-là, les États-Unis ont fini par réagir à cette intense activité de l’APL, en se disant « très inquiets ». Et le porte-parole de la diplomatie américaine Ned Price, a dénoncé des « provocations militaires » considérées comme « déstabilisatrices » pour la « paix et la stabilité régionales ».

« Nous exhortons Pékin à cesser ses pressions militaires, diplomatique et économique, et sa coercition contre Taïwan », a déclaré M. Price, avant de réaffirmer « l’engagement indéfectible » des États-Unis auprès de Taïwan.

Mais cette déclaration n’a eu aucun effet… puisque, ce 4 octobre, l’APL a envoyé pas moins de 52 avions dans l’ADIZ taïwanaise en une seule vague, dont 36 chasseurs [34 J-16 et 2 Su-30], 2 appareils de patrouille maritime Y-8 ASW, 2 KJ-500 pour le guet aérien et, surtout 12 bombardiers stratégiques H6. Ce qui, sauf erreur, n’avait jamais été vu jusqu’à présent.

Dérivé du Tupolev Tu-16 soviétique, le H-6 a constamment été modernisé par l’APL. S’il a une capacité nucléaire, ce bombardier peut emporter jusqu’à 9’000 kg de bombes et/ou de missiles air-mer et air-sol. Certains modèles ont été modifiés pour tirer des armes hypersoniques.

Durant ces quatre derniers jours, les appareils de l’APL – 145 au total – ne se sont aventurés qu’une seule fois vers la partie orientale de Taïwan, là où sont situées deux bases stratégiques pour la défense de l’île.

Toutes les autres incursions ont concerné les îles Pratas qui, placées sous la juridiction de Taipei, ne manquent pas d’intérêt pour la Chine dans la mesure où leur contrôle lui permettrait de surveiller les mouvements des navires et des avions – américains – se dirigeant vers la mer de Chine méridionale depuis l’océan Pacifique, tout en tenant à l’oeil le canal de Bashi qui, en plus d’être un passage important pour les opérations militaires, est primortal pour les réseaux de communications au regard du nombre de câbles sous-marins qui y ont été installés, au point d’en faire l’un des principaux point de défaillance potentiel d’Internet.

D’ailleurs, non loin de là, trois groupes aéronavals – deux américains et un britannique – constitués autour des porte-avions USS Ronald Reagan, USS Carl Vinson et HMS Queen Elizabeth, ainsi que plusieurs navires venus du Japon, du Canada et de Nouvelle Zélande, ont effectué un exercice conjoint au cours de ces derniers jours.

Pour rappel, le HMS Queen Elizabeth compte 18 avions F-35B à son bord [dont dix de l’US Marine Corps] tandis que le groupe aérien embarqué de l’USS Carl Vinson est le premier à compter des F-35C parmi ses aéronefs. D’ailleurs, celui-ci a des capacités qui sortent de l’ordinaire dans la mesure où l’accent a été mis sur la guerre électronique, avec sept avions de guerre électronique E/A-18 Growler [au lieu de cinq habituellement] et cinq appareils de guet aérien E-2D Hawkeye [contre quatre].

Photos : Ministère japonais de la Défense




Facebook, Instagram, WhatsApp tombent en rade dans le monde entier après la disparition des registres DNS (C’est même encore pire que ça !)

[Source : Aube Digitale]

[Note de Joseph : si les réseaux virtuels tombent en panne, il reste les relations réelles (à recréer au besoin, ce qui n’exige aucune technologie).]

Mise à jour (20h07) : Facebook semble avoir plus que des problèmes de registres DNS, comme le rapporte Sheera Frenkel du NYT :

« Je viens de parler au téléphone avec une personne qui travaille pour FB et qui a décrit des employés incapables d’entrer dans les bâtiments ce matin pour commencer à évaluer l’étendue de la panne parce que leurs badges ne fonctionnaient pas pour accéder aux portes. »

Mise à jour : Cela fait plusieurs heures, et Facebook, Instagram, Whatsapp, et Facebook Messenger, sont toujours hors service. Selon des chercheurs Internet, Facebook semble être confronté à un problème de système de nom de domaine (DNS).

Le chercheur en sécurité Internet Brian Krebs a tweeté :

Confirmé : Les enregistrements DNS qui indiquent aux systèmes comment trouver Facebook.com ou Instagram.com ont été retirés ce matin des tables de routage mondiales. Pouvez-vous imaginer travailler chez FB en ce moment, lorsque votre courriel ne fonctionne plus et que tous vos outils internes basés sur FB tombent en panne ?

Pour être plus précis (et facteur 5 du Geek), les routes BGP desservant le DNS faisant autorité de Facebook ont été retirées, rendant tous les domaines Facebook inaccessibles. C’est ce qu’affirme @DougMadory , qui s’y connaît un peu en BGP/DNS.

La recherche des enregistrements DNS de Facebook ne donne rien.

Kevin Collier de NBC News a qualifié les problèmes de DNS chez Facebook de « vraiment mauvais ».

Nous ne savons pas encore exactement ce qui se cache derrière le problème de DNS qui a mis Facebook/Instagram/WhatsApp hors ligne, mais c’est vraiment mauvais. Pratiquement tout ce qui passe par ces trois entreprises est inaccessible. Les employés ne peuvent même pas entrer dans les salles de conférence parce qu’elles sont *internet des objets* !

Il y a même une réaction en chaîne sur Internet.

Pendant ce temps, tout le monde sur Twitter…

Downdetector rapporte que Facebook, Instagram, Whatsapp et Facebook Messenger connaissent des problèmes et/ou des pannes dans le monde entier. Cette panne intervient juste avant qu’un lanceur d’alerte de Facebook ne témoigne devant le Congrès mardi.

Les utilisateurs ont commencé à signaler des problèmes sur la plateforme de médias sociaux vers 17h20.

Les utilisateurs de Facebook signalent que le site Web ne se charge pas, avec un message d’erreur indiquant :

« Désolé, un problème est survenu. Nous y travaillons et nous le réparerons dès que possible. »

Andy Stone, porte-parole de Facebook, a reconnu sur Twitter que « certaines personnes ont des difficultés à accéder à nos applications et produits. »

Ces pannes généralisées surviennent alors qu’une lanceuse d’alertes de Facebook doit témoigner devant le Congrès mardi. La lanceuse d’alerte est apparue dans l’émission « 60 Minutes » dimanche, décrivant en détail la mission de l’entreprise technologique, qui consiste à faire passer le profit avant « ce qui est bon pour le public », notamment en luttant contre les discours haineux.

Les actions de l’entreprise technologique ont chuté de 6 % en début d’après-midi, en raison non seulement de la lanceuse d’alertes, mais aussi de la panne mondiale.

Les utilisateurs de Facebook se sont rendus sur Twitter pour se plaindre des pannes :

… et il y a ça :

L’utilisateur de Twitter Chad Loder a tweeté : « Quelqu’un a détruit les enregistrements DNS A et AAA de Facebook, Instagram et WhatsApp. »

Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a répondu au tweet de Loder et demande « A combien? »

Laissez les théoriciens du complot se déchaîner avec les événements d’aujourd’hui :

« Facebook est en panne parce que la lanceuse d’alertes faisait le buzz aujourd’hui avant son témoignage au congrès. Maintenant, il y a une panne qui est en train de buzzer. Un astucieux coup de coms », a déclaré un utilisateur de Twitter.

Le bon côté des choses, c’est qu’avec une grande partie des plateformes de médias sociaux hors service aujourd’hui, les gens vont peut-être se remettre au travail et stimuler la productivité mondiale puisque la panne est généralisée.




Le président brésilien Jair Bolsonaro : les passeports vaccinaux servent à contrôler la population

[Source : anguillesousroche.com]

Alors que les dirigeants occidentaux continuent d’essayer d’imposer des passeports vaccinaux au grand public, le Brésilien Bolsonaro a récemment dénoncé ce passeport, affirmant qu’il conduirait à terme à une véritable tyrannie de la part des gouvernements du monde entier.

« Ces gouverneurs de Rio de Janeiro, Sao Palo, Goias… Vous émettriez un décret par le biais du passeport vaccinal, c’est-à-dire que seuls ceux qui sont vaccinés peuvent aller à l’école, seuls ceux qui sont vaccinés peuvent faire telle chose », a déclaré Bolsonaro.

« Les gars, soit nous avons la liberté, soit nous ne l’avons pas. Et l’histoire dit : que celui qui abandonne une partie de sa liberté pour la sécurité, finit sans liberté et sans sécurité. »

Regardez :

Redvoicemedia.com rapporte : Bolsonaro ne s’est pas arrêté là et a continué à énumérer les conséquences potentielles de l’exigence de passeports de vaccination, affirmant qu’elle conduirait à un contrôle de la population : 

« Si vous acceptez ce passeport de vaccination, une autre exigence viendra bientôt et une autre et une autre… et vous savez où cela s’arrêtera alors… un contrôle de la population. Les personnes qui m’ont le plus accusé d’être un dictateur sont celles qui le font maintenant. »

Alors que certains pourraient croire que le président brésilien réagit de manière excessive, il convient de noter qu’Israël a récemment exigé un laissez-passer vert pour tous les citoyens vaccinés. Dans un premier temps, les citoyens doivent seulement être entièrement vaccinés. Maintenant, le gouvernement israélien a changé la politique pour rendre les laissez-passer invalides jusqu’à ce que les citoyens obtiennent le vaccin de rappel supplémentaire.




Médecins de plateaux : les nouveaux télévangélistes

[Source : RT en français]

[Photo : © REUTERS/Regis Duvignau/File Photo]

Ariel Beresniak, docteur spécialiste en santé publique, met en garde contre les médecins de « plateaux » des médias mainstream, qui relaieraient le discours du pouvoir sur les questions de santé et donneraient une fausse idée du consensus scientifique.


Par Ariel Beresniak.

La « pandémie de Covid » a fait émerger une nouvelle catégorie de médecins, les médecins de « plateaux ». Il ne s’agit pas des plateaux de Madagascar ou des Andes, mais des plateaux de télévision.

Ces médecins étaient inconnus du grand public avant la crise sanitaire. Ils ont été sélectionnés soit par les médias qui étaient à la recherche de médecins experts, soit par le pouvoir exécutif à la recherche de conseillers scientifiques courtisans.

Issus de spécialités très variées (urologues, urgentistes, réanimateurs, diététiciens, généralistes, immunologistes voire même simples administrateurs comme les directeurs d’hôpitaux…), le plus souvent très éloignées de celle des maladies transmissibles, ils sont courtisés par toutes les chaînes d’information car le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives.

Le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives

C’est que l’argument d’autorité allié à un ton péremptoire devant les caméras relèvent d’une stratégie de communication extrêmement efficace utilisée couramment par les télévangélistes américains. Ces successeurs modernes des prédicateurs anglais itinérants méthodistes du XVIIIe siècle fondent leurs stratégies de communication sur la répétition d’un même message élémentaire en utilisant un ton charismatique afin de provoquer une adhésion frénétique collective de l’audience écartant toute velléité d’esprit critique. Comme tous les catéchismes, la parole ne doit souffrir d’aucune critique car chaque question amène une réponse et chaque réponse correspond à une question.

Portés par une notoriété soudaine, il apparaît plus facile à ces médecins de plateaux, non compétents en dynamique des épidémies ou en évaluation des interventions de santé publique, d’adhérer et de colporter un dogme ambiant clé en main, plutôt que d’évoquer des informations alternatives pouvant exiger des investigations et des connaissances particulières.

Oscillant entre un ton condescendant et une agressivité paternaliste, ils relaient et martèlent ainsi avec conviction la communication du pouvoir exécutif, fusse-t-elle contradictoire à quelques semaines d’intervalle. Magister dixit, Le Maître a dit.

Pour convaincre, ces nouveaux télévangélistes ne disent pas « Dieu à dit que… » mais « La communauté scientifique a dit… » ou « La Science montre que… ». Qui peut être contre Dieu, la Communauté scientifique ou la Science ? Le mariage de la télévision et de la blouse blanche fait son grand œuvre : la force de conviction du « vu à la télé » exploite les principes élémentaires du marketing auprès d’un public naïf.

Aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général

Quelques éclaircissements permettent cependant à chacun de développer son propre esprit critique.

En premier lieu, aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général. La communauté scientifique ne cautionne aucun dogme. Elle est une mosaïque composée d’une multitude de chercheurs confrontant leurs idées et leurs travaux. Selon le fameux philosophe de la science Karl Popper, une théorie ne peut d’ailleurs être considérée comme scientifique qu’à la condition où elle peut être réfutée. Sinon il ne s’agit pas de science mais d’idéologie.

En deuxième lieu, un médecin n’est pas un scientifique. Il est à la fois moins et plus que cela : il est un homme de l’art. Un scientifique est titulaire d’une thèse de sciences, et non d’une thèse de médecine dite « d’exercice ». Un scientifique a publié un minimum d’articles scientifiques sur les sujets dont il est censé être compétent. Bien entendu, certains médecins peuvent aussi être de véritables scientifiques mais ils sont alors titulaires de deux doctorats et poursuivent une activité de recherche.

En troisième lieu, un médecin est compétent dans le périmètre de sa spécialité, voire de sa sous-spécialité. Le public devrait s’interroger face aux discours d’un urologue, d’un réanimateur ou d’un diététicien s’exprimant sur des sujets extérieurs à leurs domaines de compétence comme les épidémies à maladies transmissibles. On ne demande pas à un gynécologue obstétricien une prescription de lunettes de vue, ni à un ophtalmologiste de réaliser un accouchement.

La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques

Enfin les questions médicales et les interrogations scientifiques réelles ne se résolvent pas à la majorité ! La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques. Sinon la Terre serait toujours plate et toujours au centre de l’Univers.

L’ignorance de ces principes par le public permet aux télévangélistes en blouse blanche de manipuler très facilement leur audience par les techniques bien connues de lavage de cerveau dont l’objectif est d’amenuiser les résistances pour faciliter la persuasion :

  • Isolement social : situation imposée à la population pendant les confinements et couvre-feux, générant une vulnérabilité extrême
  • Contrôle de l’information et dénigrement de l’esprit critique : répétition de la pensée officielle unique avec avertissement à se méfier des informations alternatives présentées comme complotistes appartenant au camp du « mal »
  • Tromperie : déformation de la réalité par simplification pour accentuer le côté dramatique de l’épidémie et entretenir la peur
  • Soumission : incitation à se conformer au dogme
  • Identification au groupe : chaque individu abandonne sa propre personnalité pour rejoindre celle du groupe, par exemple des vaccinés
  • Contrôle du vocabulaire : une véritable novlangue s’est imposée depuis le début de l’épidémie (nombre de « cas », « clusters », on « sauve des vies », « pas de traitements », « la seule solution est la vaccination généralisée », etc.)
  • Distorsion de l’autorité : la seule autorité médicale valable est celle de l’État qui concentre tous les pouvoirs, relayés par les télévangélistes en blouse blanche. Les discours des autres médecins sont pervertis et à éviter.

Par ces moyens, la population se sent nécessairement fragilisée physiquement et moralement. Les sujets, se sentant coupables de risquer de contaminer les autres s’ils ne suivent pas strictement les règles imposées, demeurent les cibles idéales d’une persuasion psychologique.

Ces mécanismes d’avilissement de la population pendant la pandémie de Covid-19 n’auraient pas pu se mettre en place sans la complicité des principaux médias dits « mainstream » et du pouvoir exécutif qu’ils servent. Si les journalistes de ces médias avaient fait correctement leur métier, ils auraient sélectionné des spécialistes en fonction du périmètre de leurs compétences pour répondre aux questions légitimes de la population, ne serait-ce qu’en consultant la nature de leurs travaux accessibles sur les bases de données scientifiques. Les chaînes d’information auraient ainsi prôné des débats contradictoires d’experts confrontant tous les points de vue médicaux, plutôt que d’interviewer un seul médecin par plateau, lui laissant le champ libre pour déverser ses éléments de langage face à un public suffisamment fragilisé pour être conquis par le discours officiel. Il n’est ainsi pas étonnant que ce public manipulé constitue vite une majorité qui cherche à forcer la minorité dissidente à la rejoindre en servitude.

Le principe fondamental de la démocratie n’est-il pas de protéger la minorité contre la tyrannie de la majorité ? C’est bien le rôle de la Constitution censée protéger les droits de tous. Encore faut-il qu’elle soit respectée !

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/91312-medecins-plateaux-nouveaux-televangelistes-ariel-beresniak




« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah

[Photo : wikipedia]

« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah
Lettre ouverte de survivants des atrocités de la Seconde Guerre mondiale
Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience

Chaque jour nous découvrons un nouvel appel à cesser cette injection génique mortifère vendue aux peuples comme vaccin réactivant leur confiance inconsciente en ces médicaments.

Mensonge grave, car l’inefficacité est évidente, mais se complique d’accidents graves et de décès inacceptables de personnes de plus en plus jeunes, à mesure que l’obligation s’élargit de fait ou par extorsion de consentement devant les privations de liberté qu’impose le refus de la piqûre.

Nous partageons ici la lettre ouverte de rescapés de l’Holocauste et de leurs familles : « Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience »

Comme la lettre ouverte de Vera Sharav et coll. précédemment publiée,(([1] Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov, Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID-19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.
Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) ils insistent avec des mots comparables sur l’horrible scénario en cours qui leur évoquent la Shoah.

Malgré le déni du journal Libération, ce sont bien des survivants qui écrivent et supplient les autorités de cesser ce massacre.

(La Rédaction)


Stop the Covid Holocaust ! Open Letter—Global Research—Centre for Research on Globalization

Envoyé à :

  • Agence médicale européenne (EMA), Union européenne
  • Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), Royaume-Uni
  • L’Agence australienne de réglementation de la santé, AHPRA, Australie
  • Administration des produits thérapeutiques (TGA), Australie
  • Medsafe, Nouvelle-Zélande
  • Fédération des organismes de réglementation médicale (FMRAC), Canada

***

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. 

Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons. En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de la mi-1997 à la fin de 2013, soit une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité. Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature

Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain. C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

 Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.(([2] Le « vaccin » COVID-19 et le code de Nuremberg. Crimes contre l’humanité, génocide))

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Re (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Re (b) : Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé. En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant nombres de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

« Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains. Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus.

Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques par suite de la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés par suite de la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code de Nuremberg :

« Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent requis de lui, qu’un la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental »

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence :

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningoencéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thromboembolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils et filles, et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.

Selon les présents consentements :

Rabbi Hillel Handler
Hagar Schafrir
Sorin Shapira
Mascha Orel
Morry Krispijn
Shimon Yanowitz
Hila Moscovich
Tamir Turgal
Amira Segal
Jacqueline Ingenhoes
Andrea Drescher
Edgar Siemund, Esq.


Ecoutez aussi la vidéo de Vera Sharav qui pointe le rôle terrible des médecins pendant les atrocités nazies et de façon comparable dans le drame actuel de la mascarade covid.






Les Pièges de l’identité numérique

[Source : Cercle Aristote]

Pierre Yves Rougeyron échange dans le cadre du Cercle Aristote avec PHilippe Guillemant, physicien, spécialiste en intelligence artificielle au CNRS sur l’identité numérique, ses pièges, son rapport avec l’Intelligence artificielle et la 5G.




Irresponsabilité pénale d’un criminel et psychiatrie

Par Diane Vincero

Covid-19 : Le Conseil d’État Propose de Limiter le Champ de la Responsabilité Pénale des Politiques en Temps de Crise ! L’ÉTAT PROTÈGE ses Responsables Publics et Privés PAR TOUS LES MOYENS !
https://myessentielles.fr/covid-19-le-conseil-detat-propose-de-limiter-le-champ-de-la-responsabilite-penale-des-politiques-en-temps-de-crise-letat-protege-ses-responsables-publics-et-prives-par-tous-les-moyens/

La folie continue. Après Big pharma qui (impose) obtient (vers 2003) une loi les dégageant de toute responsabilité sur les effets secondaires de leurs vaccins, ce qui leur a permis d’imposer… 11 vaccins sur des bébés!!!!…, les  dirigeants politiques se dégagent de toute responsabilité sur leurs actes par rapport au covid !!!!!
Si cela ne s’appelle pas un état de dictature absolue ???!!!!. Pendant ce temps, vous, si vous volez un œuf, vous vous prenez un bœuf dans la figure !!!

AHURISSANT !!!!!!!     STOP !!!!      CELA  N’EST PLUS  POSSIBLE !!!      UNE HONTE !!!!   
👺QUELLE BANDE DE PERVERS MINABLES !!!! ON SE CROIRAIT À LA MATERNELLE !!!!

« alors moi, je serais le docteur, et toi, tu serais le malade »… qui devient: « alors moi, je serais le pauvre irresponsable, et toi, tu serais… la pauvre cloche qui se fait tout le temps b…berner »…   👹

MAIS, DANS LE FOND, S’ILS SE CONSIDÈRENT COMME DES IRRESPONSABLES… N’EST-CE PAS PRECISÉMENT CE QUI AMÈNE UN CRIMINEL, JUGÉ IRRESPONSABLE DE SON ACTE, EN PSYCHIATRIE ??? 🙃😊  Pauvres petits biquets, jugés irresponsables de leurs actes, quelle suprême vexation !!! 😥😭  Finalement, les fous ne sont pas dans les asiles psychiatriques, ils sont… au gouvernement et sur les routes 😊🙃 

En réalité, il ne faut surtout pas laisser la possibilité à ces dirigeants de plaider la folie, car ils s’en tireraient à bon compte. Non, ils doivent payer à la hauteur de tous leurs crimes contre l’humanité, et purger leur peine en bonne et due forme, au milieu des autres criminels du peuple, sans aucun passe-droit. 




Comment la pénurie d’électricité en Chine menace le monde

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

La Chine traverse une véritable pénurie d’électricité, en partie due à un rationnement décidé par le gouvernement chinois lui-même, qui met aujourd’hui en danger l’équilibre économique mondial. Largement imputable à la raréfaction du charbon, encore beaucoup utilisé en Chine, cette crise cause déjà de nombreuses pénuries de bien de consommation, qui se répercute sur l’ensemble des pays du monde. Le danger, encore imperceptible, pourrait causer un grand krach économique et une hyper-inflation dans les mois à venir.

La pénurie d’électricité, due à une pénurie de charbon en Chine paraît, aux Européens ordinaires, complètement surannée et improbable. Et pourtant, elle pourrait avoir des répercussions économiques considérables, et mettre l’économie mondiale au bord d’un collapse colossal. 

Une pénurie d’électricité en partie organisée

On oublie trop souvent que la Chine est encore très dépendante du charbon pour fabriquer son énergie, et tout particulièrement son électricité. Dès le mois de décembre 2020, la Chine décidait de rationner son électricité faute de charbon suffisant à consommer. 

En réalité, cette pénurie est organisée. Selon le consensus des analystes, la Chine dispose en effet encore de plusieurs décennies de réserves prouvées de charbon. Simplement, l’objectif écologique de neutralité carbone oblige les autorités du pays à jongler entre les réserves prouvées et le niveau de pollution dégagé par le charbon. 

Pour répondre à ces objectifs environnementaux, les autorités chinoises promettent depuis plusieurs années de mettre en place des mécanismes de limitation de la production de carbone. Ce fameux marché du carbone est finalement entré en vigueur cette année, avec 4 ans de retard. 

Pour mémoire, la Chine produit près du tiers des émissions de CO2 dans le monde. 

On le voit, le rationnement électrique résulte directement de l’application à la Chine des normes environnementales mondiales.

Une vraie tension industrielle

Dans ce contexte très particulier, la Chine a rapidement vu les difficultés survenir, ce qui constitue une vraie prise de risque pour le régime chinois lui-même. En effet, depuis plusieurs semaines, 17 régions représentant 66% du PIB chinois ont imposé des restrictions à la production d’électricité, tout particulièrement dans le domaine industriel. Mais l’ampleur de la consommation mondiale, largement poussée par le plan Biden et son helicopter money, oblige les usines à augmenter leur production et à puiser dans les réserves. 

Face à cette surchauffe, le gouvernement doit ordonner des coupures d’électricité tous azimuts. Ainsi, le taïwanais Unimicron Technology, fournisseur d’Apple, a révélé que ses sites dans deux régions de Chine continentale devaient stopper leur production de dimanche jusqu’à jeudi. Un sous-traitant du fabricant américain de voitures électriques Tesla a reçu un ordre similaire, selon un communiqué boursier.

Pourtant, le gouvernement chinois a tout fait pour éviter d’en arriver là, ordonnant notamment, en contradiction avec les engagements environnementaux du pays, la réouverture de 53 mines au cours de l’été

Malgré ses tentatives d’échapper au pire, la situation paraît désormais bloquée, et l’ensemble de la planète condamné aux pénuries. 

Les risques d’hyper-inflation toujours plus grands

Jamais le monde contemporain n’aura connu une telle réunion de facteurs susceptibles de relancer l’hyper-inflation. L’industrie chinoise fortement perturbée par les pénuries d’électricité devrait en effet raréfier des biens très recherchés comme les téléphones portables ou les ordinateurs

Dans le même temps, la consommation, notamment aux Etats-Unis, continue son expansion. Selon Reuters, les dépenses de consommation ont augmenté de 0,8% au mois d’août outre-Atlantique. Le taux d’épargne y est tombé à moins de 10%. 

Les éléments d’une grave surchauffe sont là, et devraient se traduire par une forte augmentation des prix. On pourrait même pousser jusqu’à affirmer que l’économie mondiale se prépare à une nouvelle “stagflation”, puisque les normes environnementales chères aux écologistes et à Greta Thunberg empêchent toute croissance. 

En l’état, l’inflation américaine atteint les 3,6% annuels. 

Une situation compliquée pour le gouvernement chinois

Mais la principale difficulté, et le principal risque de collapse mondial tient à la situation intérieure en Chine. Les analystes estiment en effet que la croissance de l’économie chinoise devrait désormais se heurter à de sérieux obstacles du fait de l’application des normes environnementales. L’américaine Goldman Sachs dit tabler désormais sur 7,8% contre 8,2% auparavant, du fait des « importantes pressions » sur les industries lourdes. La prospérité de l’une des sociétés les plus étatisées et les plus surveillées au monde est donc en jeu. 

Cette crainte probable du gouvernement chinois de devoir face à une déception des Chinois vis-à-vis de la politique économique peut expliquer le regain de tension impérialiste dans le pays. Depuis quelques semaines, l’aviation chinoise multiplie en effet les incursions dans l’espace aérien taïwanais et envoie les signaux d’une stratégie agressive. 

La guerre pour détourner l’attention des problématiques intérieures ? Voilà une stratégie bien connue, qui doit vous pousser à réfléchir sur votre propre stratégie de résistance à un collapse mondial. Nous avons déjà évoqué ce sujet à plusieurs reprises. Nous en ferons un thème de prédilection désormais. 

Au passage, on peut se demander comment ce premier exemple marquant de passage à la décroissance du fait de l’application de la neutralité carbone n’illustre pas les risques de conflit mondial liés aux changements environnementaux. 


[Source : lefigaro.fr]

Taïwan : incursion record de 39 avions militaires chinois

Par Le Figaro avec AFPPublié le 02/10/2021 à 05:56, mis à jour le 02/10/2021 à 19:44

La présence d’avions de chasse chinois dans sa zone d’identification de défense aérienne («Adiz», selon son acronyme en anglais), a conduit Taïwan à faire décoller des aéronefs. Mandy Cheng / AFP

Les incursions de l’aviation chinoise dans la zone aérienne de défense de l’État insulaire sont de plus en plus fréquentes. Taïwan accuse Pékin de faire monter la pression et de vouloir nuire à la paix dans la région.

Un nombre record d’avions militaires chinois, 39 au total, ont pénétré dans la zone d’identification de défense aérienne de Taïwan samedi 2 octobre battant le record de 38 incursions de la veille, 1er octobre et jour anniversaire de la Chine communiste. Cette démonstration de force intervient quelques jours après que Pékin a accusé la Grande-Bretagne d’avoir envoyé un navire de guerre dans le détroit de Taïwan avec de «sinistres desseins». Taïwan a accusé Pékin, ce samedi, de faire monter la pression et de vouloir nuire à la paix dans la région.

La présence dans sa zone d’identification de défense aérienne («Adiz», selon son acronyme en anglais) de 22 avions de chasse, deux bombardiers et un avion de lutte anti-sous-marine a conduit les forces militaires taïwanaises à faire décoller leurs propres aéronefs pour leur intimer l’ordre de partir, a indiqué le ministère de la Défense.

Plus de 500 incursions cette année contre 380 la précédente

Une zone d’identification de défense aérienne est un espace aérien dans lequel un État souhaite identifier et localiser les aéronefs pour des raisons de sécurité nationale. Les incursions de l’aviation chinoise dans cette zone sont fréquentes, Pékin entendant effectuer ainsi des démonstrations de force. Plus de 500 ont déjà été détectées cette année contre 380 l’an dernier, ce qui constituait déjà un record. Le précédent record quotidien avant ces deux journées de vendredi et samedi remonte au 15 juin, lorsque 28 appareils avaient franchi la zone de défense aérienne de Taïwan.

La Chine communiste considère l’île, dirigée aujourd’hui par un régime démocratique, comme une province rebelle appelée à rentrer dans son giron, si nécessaire par la force. La Chine n’a pas cessé d’intensifier les pressions sur Taïwan depuis l’élection en 2016 de la présidente Tsai Ing-wen, qui rejette la vision de Pékin selon laquelle l’île fait partie d’une «seule Chine».

La semaine dernière, Pékin a envoyé 24 appareils dans cette zone après que Taïwan a demandé à adhérer à un important accord commercial transpacifique. Les incursions de vendredi interviennent après que la Grande-Bretagne a envoyé, le 27 septembre et pour la première fois depuis 2008, un navire de guerre dans le détroit de Taïwan.Le commandement de l’Armée populaire de libération a condamné cet acte, accusant la Grande-Bretagne de nourrir de «mauvaises intentions visant à saboter la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan».




Hommage aux enfants « morts pour la France » dans la lutte contre le Covid

Par Alain Tortosa

Remerciements éternels aux parents solidaires du sacrifice de leurs enfants injectés

La Nation est bien trop timide et timorée !

Les médias ne rendent pas suffisamment justice et hommage à tous les enfants et adolescents en pleine santé qui n’ont pas hésité à donner leur vie ou leur santé pour essayer de sauver des vieux grabataires.

Vous enfants balayés par cette injection dans la force de l’âge et à l’avenir radieux, êtes des « héros » et la France ne vous oubliera jamais !

Je voudrais être le plus juste possible et remercier :

  • Le gouvernement et particulièrement le ministère de la Santé et de l’Éducation.
  • Les députés, préfets, hommes politiques et les maires.
  • Les médias grand public et TOUS leurs « journalistes ».
  • L’OMS, les médecins médiatiques, les médecins et infirmiers injecteurs grassement arrosés.
  • Les personnels de l’éducation et les enseignants.
  • Les entreprises privées qui ont offert des avantages commerciaux aux enfants injectés ou qui ont mis en œuvre des « vaccibus ».

Mais aussi tous ceux qui ont œuvré à la publicité pour inciter, manipuler, fait pression, culpabilisé, instauré le pass sanitaire, afin qu’un maximum d’enfants soient injectés.

Vous, acteurs, n’avez pas hésité une seconde à donner de votre personne et continuez à mettre toute votre énergie afin d’envoyer un maximum de soldats enfants au front dans cette guerre impitoyable !

Sachez que je n’oublierai JAMAIS vos actions au service de l’injection massive des enfants et que je mettrai mon énergie à rappeler votre participation active lors de l’après-guerre.

Je ne manquerai pas de rafraîchir la mémoire aux plus modestes d’entre vous qui diront alors qu’ils manquaient d’informations…

Je tiens d’autant plus à vous rendre hommage, vous les protagonistes qui ont conduit à l’injection massive de ces « vaccins » pour des enfants en pleine santé, que…

Vous n’avez pas reculé devant les difficultés qui auraient pu faire barrage à cette injection de masse et prévenir le sacrifice de ces enfants et je vous en remercie.

  • Ignorer que les données sont mensongères.
  • Ignorer qu’il existe des traitements.
  • Ignorer que de nombreuses personnes âgées ont été terminées au Rivotril.
  • Ignorer que le paracétamol a précipité dans la mort des patients.
  • Ignorer que les enfants en bonne santé ne sont pas concernés par cette maladie.
  • Ignorer que l’immunité de masse est un leurre et que ces injections ne bloquent pas le virus.
  • Ignorer les statistiques officielles publiées et effets secondaires dramatiques.

Espérons qu’un maximum d’enfants et parents prendront modèle sur ces « héros morts pour la France ».

Fasse que la plupart s’engagent « héroïquement » dans la lutte contre le « fléau » et n’hésitent à se faire injecter ces produits, en hommage aux victimes, et ce au péril de leur vie ou de leur santé.

Produits qui sont « les seuls qui permettront de mettre fin à cette odieuse pandémie » tueuse de vieux !

Non ces enfants ne seront pas morts en vain et on élèvera une stèle à leur mémoire afin que personne n’oublie leur « merveilleux sacrifice ».

Vive la République populaire de France ! Vive la France !

Alain Tortosa.

3 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa2021003-enfants-injectes-morts-pour-la-france.pdf




Le Seigneur des « vaccins »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Je ne suis pas pratiquant, au sens habituel du terme, d’une religion ou d’un courant ésotérique.

Par contre, j’ai beaucoup lu, étudié, réfléchi, curieux de tout, ouvert à priori à tout. 

Je n’exclus rien, je vais partout, surtout si une autorité me dit, sans autre argument que son « autorité », de ne pas y aller.

Grâce à cette qualité (considérée comme un danger par certains), je continue à apprendre, inlassablement.

Médecin « orthodoxe » issu d’une université belge et d’un cursus classique, j’ai longtemps suivi le chemin balisé, marché dans les clous et traversé lorsque le feu passe au vert, presque toujours.

La curiosité, défaut incurable chez moi, m’a amené sur des chemins de traverse, là où vous rencontrez des personnes, foulez des sols, dénichez des trésors qualifiés par ceux qui tracent les routes et balisent les passages pour piétons, de sources corrompues (expression moderne : « fake news »), d’enseignants infréquentables.

Je ne suis pas un gourou, pas plus qu’Alexander De Croo, Young Global Leader 2015, Alexander De Croo devient Young Global Leader | Focus on Belgium, pas plus qu’Edouard Philippe et le président Macron, Young Global Leaders respectivement en 2011 et 2012, ou Olivier Véran en 2019, Emmanuel Macron et Edouard Philippe, ces « young leaders » qui nous gouvernent – Gala

Vérifiez par vous-même, tous les chefs ou sous-chefs des gouvernements ayant appliqué la feuille de route en 2020,  le plan établi par le cartel des véritables gourous, ont été des Young Global Leaders, la « secte du forum économique mondial du Great Reset »

Non, je ne suis pas un gourou, pas plus ou moins que Bill Gates ou Tedros Adhanom Ghebreyesus (chef de l’OMS-Organisation Mondiale de la Santé) qui eux, pourtant, sans être soignant ni médecin, entraînent le monde dans leur idéologie terroriste sanitaire.

Par contre, oui, je suis médecin depuis 25 ans, anesthésiste-réanimateur depuis 17 ans (quelqu’un qui endort et réveille les gens, les endort pour leur éviter la souffrance et les réveille pour leur rendre leur autonomie).

Fort de ma curiosité, de mes apprentissages et de mon ouverture à tout ce qui peut aider l’humanité, sans tabous ni censures, je dis à l’humanité entière de stopper cette course vers la mort.

Descendez du train fou en marche. 

Je sais, cela fait peur, cela peut faire mal, et en même temps, tant que vous sentez la douleur, c’est que vous êtes vivant.

Reprenez votre autonomie physique et intellectuelle et protégez vos enfants.

Ces Young Global leader devenus « Leaders » (gourous) tout courts ne vous veulent pas du bien.

Sous couvert de ces injections mortelles (immédiatement ou à distance par stérilisation), autant de chevaux de Troie de la mort dans votre corps, dans votre esprit et dans votre âme, ils vont font croire qu’ils veulent vous sauver.

C’est faux. C’est convaincant, bien présenté, mais c’est faux.

S’ils voulaient vous sauver, ils vous diraient depuis longtemps de bouger davantage, de mieux manger (vraiment, pas des produits lights qui vous empoisonnent autant que les produits « lourds », Reévaluer les risques de l’aspartame. Nouvelles données expérimentales et épidémiologiques), de gérer votre stress au quotidien, de prendre soin de votre microbiote, de prendre des compléments alimentaires, certains toute l’année dans un pays comme la Belgique (vitamine D).

Cela n’est possible, malheureusement, que grâce à la complicité de certaines personnes qui dirigent les institutions censées nous protéger et les médias principaux censés nous informer. 

Comme le dit le professeur Nagarra au procureur Henry Volney (Yves Montand) dans I comme Icare, le film d’Henri Verneuil, il suffit de morceler les responsabilités : 

« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable. » © Henri Verneuil, I comme Icare, 1979.

Cela vous rappelle quelque chose ? 

Délation encouragée, violence sur des citoyens sans défense banalisée, justifiée même, citoyens exclus des hôpitaux pour le seul « crime » de ne pas être « encore » injecté par un produit expérimental, ce vendeur dans un magasin d’électro-ménager qui vous ordonne de mettre votre masque correctement, le tenancier de bar transformé à la fois en policier et en médecin puisque vous devez dorénavant lui montrer votre état de santé.

Où croyez-vous que cela nous mène ?

Le dire maintenant, ce qui est considéré comme choquant par les mêmes qui vous disent que tout va bien, est la seule chance de ne pas franchir le seuil au-delà duquel tout espoir d’éviter la répétition de l’Histoire sera définitivement perdu.

Qui est Pfizer pour être aussi « puissant », à la fin ? 

Malgré le total de décès dus à la vaccination, même ce chiffre officiel de 15 937 morts issu du programme de surveillance des États-Unis (VAERS)-période du 14 décembre 2020 au 24 septembre 2021), dont on sait qu’il est largement sous-estimé, Pfizer, au casier judiciaire lourdement chargé, continue, reste en lice (Le casier judiciaire de Pfizer et son « vaccin » tueur (reseauinternational.net) 

Pfizer s’attaque à présent aux femmes enceintes sur toute la durée de leur grossesse, aux femmes ayant accouché malgré 1444 fausses couches déclarées (en réalité bien plus) ou naissances prématurées, malformées.

Certaines femmes font pression pour résister, appeler à l’aide ou alerter (« La main sur le berceau », Big Pharma étend ses injections aux femmes enceintes et aux enfants — Les Maîtres du Monde — Sott.net) mais c’est la pression de Pfizer qui l’emporte, systématiquement.

Alors, logiquement puisque nous les laissons faire, Pfizer s’attaque aux enfants de 5 à 11 ans, avec une demande d’autorisation en urgence pour leur produit toxique, alors que 21 jeunes de 12 à 17 ans sont décédés récemment aux États-Unis.

La seule chose de nouvelle dans leur vie ? Avoir accepté le produit toxique de Pfizer. 

Sérieusement, faut-il faire des autopsies pour vous convaincre ?

Alors que presqu’aucun jeune de moins de 30 ans, à moins d’une maladie débilitante préalable, n’est mort du COVID-19 ou n’a fait la moindre forme grave.

Qui est Pfizer ? 

Qui est « Big Pharma » ? 

Derrière ces firmes se trouvent des personnes, des noms, des responsables autorisés. 

Dorénavant, citons ces noms qui servent le Système, appelé Sauron dans le Seigneur des Anneaux.

Nous pourrions appeler le Système actuel, le Seigneur des ‘vaccins’, avec à sa tête Sauron, à son service des Balrogs, des serviteurs zélés, des « idiots » utiles (cf. I comme Icare), des traîtres (Saroumane), des gens qui regardent et d’autres qui attendent.

Ne riez pas. 

L’analogie est réaliste.

Les mots sont importants ! 

Ils activent à notre insu des concepts profondément ancrés dans nos inconscients individuel et collectif : les archétypes chers à Carl Jung.

Malgré l’évidence, les preuves de plus en plus solides et les témoignages de plus en plus convaincants, les ‘vaccins’, même avant le Covid, ne sont pas les bienfaiteurs de l’humanité (Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net), mais il faut du temps pour tirer un archétype de son piédestal doré.

Aujourd’hui, le concept de ‘vaccin’ utilisé comme cheval de Troie, permet à une firme frappée de la plus grosse amende fédérale de l’histoire des États-Unis, associée à BioNTech, et à d’autres firmes aussi peu recommandables d’entraîner la partie de l’humanité qui les dérange (vous et moi) vers une extinction qui ne devra rien au hasard, avec la complicité d’escrocs aux dents blanches et au costume parfait.

Certains y vont gaiement, en chantant, en suivant le joueur de flûte. 

D’autres y vont car ils se sentent coupable d’être vivant : les gourous criminels ont réussi à leur faire croire qu’ils sont les responsables-coupables du dérèglement climatique, du racisme à l’égard des gens de couleur (le blanc est une couleur), du terrorisme, des inégalités, des crises et aujourd’hui, des pandémies.

Oui, pour « Sauron le système », nous ne nous laverons jamais assez les mains, nous ne mettrons jamais assez bien notre masque et nous n’accepterons jamais assez de leurs produits (faussement appelés vaccins) dans notre corps meurtri.

Certains, les pires, y vont sciemment, soit pour y gratter quelque avantage, soit pour y briller telle une lumière d’Udûn*.

Faites attention aux mots. N’utilisez plus ceux de l’Ennemi. 

Bannissez le mot qui commence par v et se termine par n ! Et les mots comme ‘obligatoire’, ‘confinement’, ‘masque’, ‘lavage des mains’, ‘distanciation sociale’…, leurs mots, leurs expressions utilisées à dessein pour envelopper leurs poisons dans un concept archétypal puissant et salvateur (perçu comme tel par la majorité de l’humanité), pour mieux les faire accepter à une population de plus « hypnotisée » via la peur, la répétition, la confusion et les ruptures de pattern (outils utilisés pour plonger à son insu une personne en hypnose, état de conscience caractérisé par une hypersuggestibilité, une sensibilité exagérée à l’influence).

Utilisez les mots réels  qui désignent ce que ces choses sont vraiment :

  • V…n = injection transgénique
  • Masque = obstacle respiratoire
  • Lavage des mains = trouble hygiénique compulsif
  • Distanciation sociale = isolement social

Ce sont des propositions. 

Le plus important est d’avoir compris la raison pour laquelle ces considérations sémantiques sont capitales dans le combat que nous menons contre l’idéologie transgénique actuelle.

Je m’adresse particulièrement à tous ceux qui ont compris, qui ont ouvert les yeux sur tout cela aujourd’hui.

Dans ce passage particulièrement sombre du premier volet du Seigneur des Anneaux (« La Communauté de l’Anneau), dans la Moria, les caves de Khazad-dûm, le spectateur-lecteur voit deux feux s’affronter.

Gandalf contre le Balrog. Anor contre Udûn. La Flamme peut servir le Bien, elle peut servir le Mal. La Flamme peut vous réchauffer, comme elle peut vous brûler.

Quel fabuleux message d’espoir à toute la planète encore libre et vivace.

Udûn ne passera pas, grâce à chacun d’entre vous, petites et grandes flammes d’Anor.

Dr Pascal Sacré


Que veut dire Gandalf par « Feu secret », « Flamme d’Anor » et « Flamme d’Udûn » ? (askfrance.me)  Anor est un nom pour le Soleil en Terre du Milieu, tandis qu’Udûn (qui se traduit par enfer) est le nom de l’un des premiers repaires de Morgoth, le Maître de Sauron. « J’ai le pouvoir du bien de mon côté, vous avez le pouvoir du mal ».

Image en vedette : Photo du film : Le Seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau

Dr Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l’hopital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaille dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Tyrannie sanitaire

[Source de l’image : breizh-info.com]




L’école en famille

[Source : Nexus]

Par Nexus Magazine

Reportage : une famille nous raconte son expérience de l’instruction en famille

En plein cœur de la Creuse, nous avons rencontré  Sarah et Adrien avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, qui ont accepté de se prêter au jeu de la caméra pour partager avec nous leur expérience de l’instruction en famille. Ils ont passé 5 ans à la maison, mais sont aujourd’hui scolarisés au collège pour une troisième année d’école.

Friperie, bibliothèque associative partagée, journées de la gratuité trimestrielles, grand potager communautaire, le tout autour d’une belle maison en pierre que Sarah et Adrien prennent le temps de retaper. Quand on arrive sur le lieu de vie de cette petite famille, on s’y sent tout de suite à l’aise et bien accueilli, par les plus grands, comme par les plus petits. Un contact se crée facilement avec les parents, mais également avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, âgés respectivement de 13 ans et 11 ans et demi. Leur âge nous étonne, quand on voit l’aisance et le vocabulaire avec lesquels ils communiquent avec leurs comparses, mais aussi nous autres, les « vieux ». Les quatre membres de cette famille nous confieront chacun avec leurs propres mots et ressentis leur expérience de l’instruction en famille, qui sera bientôt soumise à une demande d’autorisation plutôt qu’à une simple déclaration auprès des instances publiques.

◆ L’instruction en famille vue par les enfants

Avant le témoignage des parents, découvrez tout d’abord en vidéo comment ont vécu l’instruction en famille Eden et Zenayah :

https://www.youtube.com/embed/R_D0VLve5Vk

◆ Respecter le rythme familial et individuel

Eden et Zenayah ont bénéficié de l’instruction en famille à partir de leurs 6 ans, puisqu’à leur époque, l’instruction était obligatoire à partir de cet âge-là, et non pas à partir de 3 ans.

« C’est avant tout pour respecter notre rythme de vie et le leur que nous avons choisi l’instruction en famille », nous expliquent Sarah et Adrien. « Nous nous déplacions beaucoup, à la recherche d’une propriété que nous voulions transformer en lieu de vie ouvertDe plus, le rythme scolaire à l’école est très réglé, dense et mouvementé, et le fait de les instruire à la maison nous a permis de transmettre des connaissances à nos enfants lorsqu’ils étaient prêts à les recevoir. »

◆ Une vision différente de l’école

Sarah et Adrien reconnaissent ne  pas leur avoir donné une image très réjouissante de l’école, même si Sarah a beaucoup aimé y aller, ainsi que « l’ambiance copains » sur place.  Il n’en a pas été ainsi pour Adrien. Pour lui, elle génère des « pseudo-relations sociales » éphémères, tout comme les connaissances qu’on y acquiert. Il nous confie que c’est après avoir quitté le lycée qu’il détestait et où il a l’impression de ne rien avoir appris d’essentiel à part lire et compter, qu’il est tombé bien bas. Et que c’est à ce moment-là qu’il est tombé de haut, en se relevant tout seul et en acceptant parfois l’aide de personnes inattendues. Les quelques souvenirs qu’il garde de l’école lui semblent secondaires.
Sarah évoque les matières enseignées : « Tout ce qu’on a appris nous sert aujourd’hui rarement, à part les bases. Dans l’enseignement secondaire, à moins d’avoir choisi une profession très spécifique en lien avec les études choisies, on ne se souvient pas de grand-chose. Certes, tu apprends à l’école. Certes, tu peux te faire des copains, mais tu peux aussi être mis de côté, montré du doigt. Tu peux apprendre, mais pas forcément à ton rythme. Je pense que l’école a encore beaucoup de travail pour être adaptée à l’enfant. Elle oublie souvent que l’enfant est un adulte en devenir et qu’il se doit d’être autonome, et pas que sur son travail scolaire. »

◆ De l’autonomie guidée

Sarah poursuit : « Ça n’est pas nous qui leur avons appris à lire, à compter, ou les bases nécessaires. C’est eux qui ont appris, seuls, en étant accompagnés par nous, parents. Nous leur avons donné des outils et eux les ont utilisés. » Jusqu’à 7-8 ans, les parents d’Eden et Zenayah les ont beaucoup laissés se débrouiller en autonomie, principalement par le jeu et avec un accès à l’extérieur assez grand, avec une parenthèse d’un an et demi en école Montessori qui leur a permis de découvrir le concept de l’école et de la collectivité lorsqu’ils n’avaient pas encore 6 ans.
Les initier également à la vie du quotidien dans une famille a été très important pour Adrien et Sarah. « Nos enfants, depuis qu’ils ont 3 ou 4 ans, participent aux tâches de la maison, et on y tient encore, maintenant qu’ils sont scolarisés. Il n’y a pas de raison qu’ils mettent les deux pieds sous la table ou restent derrière leur écran. Dans certaines écoles alternatives, les enfants participent au ménage et à la cuisine, et je trouve cela très bien. » Adrien complète : « On a voulu leur apprendre que ça n’est ni au système, ni à leurs parents de tout prendre en charge pour eux et qu’ils ont leur propre chemin à trouver. »

◆ Un niveau adapté au cadre scolaire classique, pour les enfants… et les parents !

Ces années n’ont posé aucun problème à Eden et Zenayah pour entrer au collège. « Bien sûr, lorsqu’ils ont exprimé la demande de changer de mode d’instruction, on a veillé à faire un bilan de là où ils en étaient, et de là où ils devaient en être pour rentrer dans leurs classes respectives, et ça allait. » Pour pouvoir instruire ses enfants, les parents eux-mêmes doivent avoir certaines compétences. « Comment enseigner la grammaire à ses enfants si soi-même on ne la comprend pas ? Ça veut dire qu’il faut réviser avec nos enfants à des moment donnés et se replonger dans certaines règles qu’on applique quand on écrit et auxquelles on ne réfléchit plus. Je pense que jusqu’à dix ans, on a tous le niveau pour faire ça, mais au-delà, il y a des matières dans lesquelles on n’a peut-être pas envie de se replonger ou qu’on ne souhaite pas intégrer. »

◆ Un apprentissage mutuel

« J’estime avoir appris énormément grâce à mes enfants et à tout ce temps passé avec eux. L’instruction  n’est pas allée que dans un sens », reconnaît Adrien. Pour lui, avec leur  cerveau en formation et évolutif, les enfants sont plus intelligents que les adultes très souvent « butés » selon lui. Il est épaté par leur capacité à trouver des solutions pour réaliser certains objectifs que lui n’avait pas entrevues. Il ne prend pas cela pour de l’insolence, mais pour de l’ingéniosité et de l’ouverture d’esprit dont il veut s’inspirer. « Ils m’ont également appris à reconnaître et accepter mes émotions, à accepter l’autre dans ses différences, malgré mon impatience ».

◆ Un besoin de prendre son envol à un moment donné

Entre 6 et 10 ans, l’instruction en famille s’est plutôt bien passée dans cette famille selon les dires de chacun de ses membres.. « On avait un temps quotidien de travail scolaire, mais parfois, eux comme nous, n’avions pas envie de le prendre. Il nous est donc arrivé de laisser couler. » Même s’ils avaient des copains dans le village qui eux allaient à l’école, ainsi que des activités à l’extérieur du foyer familial comme les sorties culturelles, la piscine et le cirque, les deux enfants d’un tempérament très sociable ont exprimé le besoin de ne plus être tout le temps avec leurs parents. Sarah souligne qu’« être 24h sur 24 ensemble, ça peut être contraignant. Il faut que les enfants et les parents aient les épaules pour ça. Même si on a choisi d’avoir des enfants, on n’a pas choisi leur personnalité, tout comme ils n’ont pas choisi la nôtre. Je crois que l’être humain a besoin d’un contact autre que celui avec sa famille, et ce contact, on le trouve majoritairement à l’école dans un premier temps ».

◆ D’autres formes d’instruction à trouver et peaufiner

Pour Adrien, il n’existe aucune école idéale, mais uniquement des expériences éducatives qui peuvent être bonnes, mais  toujours à parfaire. Il a la conviction qu’à partir du  moment où l’enfant est à l’école, les parents n’ont plus un mot à dire sur ce qu’il y vit. Que l’administration, froide et impersonnelle, s’accapare en quelque sorte le pouvoir sur les jeunes et infantilise complètement les parents. Ce qui est dommage pour Sarah, c’est qu’on ne propose pas de réelle alternative à l’école : « Soit on va à l’école, soit on n’y va pas. Certes il existe d’autres écoles que les écoles classiques, mais ça reste des écoles. Et instruire nos enfants aux côtés d’autres enfants est aujourd’hui non recevable auprès de l’académie lors du contrôle annuel. » Les enfants d’Adrien et Sarah ont d’ailleurs pendant un an et demi intégré une école Montessori. « Je pense qu’il y aurait d’autres possibilités pour permettre aux enfants de se retrouver, car c’est important qu’ils le fassent, dans des cadres différents, où ils pourraient s’instruire et progresser. Heureusement il existe actuellement des écoles parentales qui se créent et de petites structures entre particuliers, et je trouve ça bien qu’on aille dans ce sens-là. Qu’on permette davantage à l’enfant de choisir ce qu’il peut faire de ses journées, qu’il soit autonome et responsable tout en étant bien accompagné me semble fondamental. C’est un être intelligent, qui se rend compte de ce dont il a besoin pour son bonheur, et ce, dès le plus âge. »

◆  Une nouvelle loi qui met des bâtons dans les roues

Adrien et Sarah ne sont foncièrement pas d’accord avec la nouvelle loi sur le séparatisme qui vient de sortir et qui risque de limiter sérieusement la possibilité de faire l’instruction en famille. Mais Sarah reste confiante et déterminée : « Cette loi va encourager les parents à faire des pieds et des mains pour pouvoir y arriver. Ce qu’ils veulent donner, c’est une autorisation. Est-ce que ça va changer grand-chose ? Est-ce qu’ils vont la donner à tous ? Qui va donner cette autorisation ? Est-ce que l’Éducation nationale va se pencher sur tous les dossiers de demande d’instruction en famille pour déterminer les spécificités de l’enfant ? Ce qui me met en  rogne, c’est que ça va peut-être pousser certains parents à trouver des stratagèmes pour pouvoir instruire leurs enfants en famille, alors qu’à la base, ils n’ont pas envie d’être malhonnêtes. Mais pense que des parents déterminés trouveront une façon ou une autre de parvenir à leur fin. »

Adrien pense que grâce à ces années en famille, ses enfants vivent davantage l’instant présent, ont la capacité de savourer les liens relationnels qu’ils peuvent avoir, en faisant preuve de discernement et sans s’attacher à tout le monde. Quant à Sarah, elle ne peut pas encore dire si elle leur a permis d’acquérir des valeurs différentes de celles qu’ils auraient acquises à l’école. Avec un grand sourire, elle conclue : « C’est encore trop tôt. Je pourrai peut-être vous dire quand ils auront dix ans de plus ! »

🗞 Découvrez notre dernier article intitulé « Instruction en famille : incohérence et manipulation gouvernementales » dans notre dernier numéro en kiosque et en ligne : https://magazine.nexus.fr/n136




France : « Maintenant, ça suffit…Le gouvernement doit absolument lever toutes ces mesures liberticides ! On n’a pas droit de faire vivre cela à nos enfants !!! »

[Source : businessbourse.com]




Les États-Unis vont-ils se désunir ?

[Extraits de Dedefensa.org]

(…) enquête de l’honorable Center for Politics de l’université de Virginie. La guerre civile n’est pas inéluctable lorsque les deux ennemis jurés sont d’accord pour se séparer.

Pour l’heure, ce que nous dit cette enquête est bien que nous avons, non pas un affrontement, non pas une mésentent,e mais une irrémédiable fracture que les deux camps s’accordent pour juger irréversible.

« Plus de la moitié des Américains qui ont voté pour Trump sont favorables à ce que les États “rouges” [républicains] fassent sécession de l’Union, selon un récent sondage qui révèle également que près de la moitié des électeurs de Biden sont du même avis. La nation est-elle en route vers une guerre civile 2.0 ?

Selon un sondage publié vendredi, quelque 52% des électeurs de Trump interrogés par le Center for Politics de l’université de Virginie estiment que le pays se porterait mieux si les États à vote républicain (“rouges”) faisaient sécession de l’Union pour former leur propre nation. Un quart de ces électeurs sont tout à fait d’accord avec ce sentiment.

Les électeurs de Trump ne sont pas les seuls à penser qu’il est temps pour les États-Unis de se désunir. Quelque 41% des électeurs de Biden approuvent également cette idée, et un plus petit pourcentage, – 18%,– sont fortement d’accord.

Les implications pour l’“autre’ parti si la sécession n’avait pas lieu sont sans aucun doute plus inquiétantes. Une majorité non négligeable des électeurs de Trump et de Biden sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle “si notre société le veut, il est du devoir de tout vrai citoyen d’aider à éliminer le mal qui empoisonne notre pays de l’intérieur”. Il est bien sûr évident que personne ne se présente pour défendre “le mal” ou s’identifier à lui, et il apparaît tout aussi évident que les deux partis se réfèrent à l’autre lorsqu’ils utilisent un tel terme.

Des pourcentages énormes de 80% des électeurs de Biden et de 84% des électeurs de Trump sont d’accord pour dire que les élus de l’autre parti “présentent un danger clair et immédiat pour la démocratie américaine”.

En ce qui concerne les “valeurs”, près de 90% des électeurs de Trump pensent que le parti démocrate veut “éliminer l’influence des valeurs traditionnelles dans la vie et la culture américaines”, tandis que 78% des électeurs de Biden pensent la même chose, – en substituant “progressiste” à “traditionnel”.

Ce n’est pas nécessairement seulement la haine ou le dédain qui est à l’origine de ce clivage, – dans de nombreux cas, c’est la peur qui domine. Les électeurs de Biden et de Trump (80% et 82%, respectivement) craignent qu’eux-mêmes ou un de leurs proches “ne subissent une perte ou une souffrance personnelle en raison des effets des politiques [du parti adverse] à l’avenir”. 

Près des trois quarts des deux partis ont perdu la foi dans le premier amendement, suggérant que “certaines sources médiatiques des extrêmes [droite/gauche] sont devenues si mensongères qu’elles devraient être censurées pour mettre fin à la diffusion de mensonges dangereux”.

Les deux partis considèrent les médias qui favorisent le “camp” opposé comme un bras de facto du parti concerné. 77% des démocrates estimant que Fox News, par exemple, est un organe de presse du GOP qui diffuse des fausses nouvelles, tandis que 88% des républicains considèrent MSNBC comme une ruche de faux jetons progressistes.

Ne voyant apparemment pas de place pour la nuance, 76% des électeurs de Trump déclarent qu’il n’y a “aucune différence réelle entre les démocrates et les socialistes”, tandis que 56% des électeurs de Biden répondent qu’il n’y a “aucune différence réelle entre les républicains et les fascistes”.

En imaginant comment réparer leur nation divisée, une minorité non négligeable, tant à gauche qu’à droite, a donné libre cours au totalitarisme qui sommeille en elle, suggérant que “ce serait mieux pour l’Amérique si le président, quel qu’il soit, pouvait prendre les mesures nécessaires sans être contraint par le Congrès ou les tribunaux”. Bien que ce chiffre ne s’élève qu’à 46% pour les Démocrates et seulement 44% pour les Républicains, les deux “camps” ont été assez ouverts quant à leur désir d’un “leader puissant” qui pourrait “détruire les courants radicaux et immoraux qui prévalent dans la société actuelle”.

Pas moins de 82% des républicains sont prêts à embrasser un tel homme fort (ou femme forte), et même 62% des démocrates approuvent cette idée. Une proportion similaire pense qu’il y a “beaucoup de gens radicaux et immoraux qui essaient de tout gâcher” et que “notre société doit les arrêter”.

Les sondeurs n’ont pas demandé qui étaient ces personnes radicales et immorales, supposant peut-être que c’était l’autre parti qui servait de bouc émissaire, – bien que le vitriol contre ces “radicaux” ait reçu une approbation bipartite beaucoup plus importante que le clivage politique lui-même.

Les médias américains, –  en particulier ceux du courant dominant, – déplorent souvent le manque d’unité nationale, qu’ils imputent principalement à Trump et à ses partisans. Même le rapport de Mediaite sur le sondage qui a montré que le désir de sécession est bipartisan semblait conçu pour diviser davantage la population, déclarant dans son titre que les “électeurs de Trump” sont ceux qui demandaient la sécession même si plus de 40% des électeurs de Biden appellent à la même chose. »

La “Guerre Civile 1.0” comme l’on dirait en termes numériques, ou Guerre de Sécession comme l’on dit d’une manière plus conforme à la vérité historique, opposait deux camps aux buts opposés : le Sud voulait la sécession, le Nord s’y opposait. Le feu et le sang réglèrent ce désaccord. Dans le cas de 2021 (…) ce qui frappe est l’accord pour considérer l’irrémédiabilité du désaccord. L’affrontement le cède à l’entente pour le divorce. (…)

Tout cela doit être pour l’instant considéré comme théorique puisqu’il n’existe aucune “unité” réelle et franche, de type géographique ou ethnique, entre les deux camps. (…) Cette situation qui reste notablement éparpillée est un problème certainement très lourd pour une sécession ordonnée. Pour autant, l’activisme désormais bien connu des gouverneurs des États (essentiellement conservateurs), avec l’exercice de leurs pouvoirs au maximum prévu et en confrontation directe avec le “centre” de Washington D.C. (complètement progressiste), montre que la vie politique est en cours de changement.

(…)

Il est difficile, voire impossible, d’envisager un avenir optimiste pour la cohésion des États-Unis d’Amérique. Les USA ne se sortiront pas de cette crise dans leurs structures actuelles… Pour rendre le propos plus clair en le renversant : cela signifie que la crise ne se dénouera qu’avec la fin des États-Unis dans leurs structures actuelles, et donc l’une ou l’autre formule de sécession(s), de fragmentation, de dislocation.




Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis, nous avons recueilli les propos de l’association ReinfoCovid sur place pour faire un point sur la situation sanitaire :

En Nouvelle-Calédonie, l’obligation vaccinale pour les majeurs à été votée au début du mois. Comment voyez-vous l’épidémie évoluer depuis ?

L’obligation vaccinale pour les majeurs a été votée le 03 septembre 2021 par le Congrès, quelques jours avant la détection d’un premier cas officiel de covid-19 en Nouvelle-Calédonie sur l’année 2021, jusque-là « Covid-free ». Depuis la détection de ce premier cas, de nombreux cas ont été détectés, avec, d’après les chiffres officiels au 25 septembre, 339 hospitalisations, 56 réanimations, 1 986 guérisons et 73 décès. Nous regrettons et dénonçons la décision de classer « covid » tout décès spontané sur le territoire, ce qui fausse les chiffres à la hausse et crée de la panique au sein de la population à l’annonce des décès dits « Covid » dans les médias locaux.

Pourtant, de nouvelles mesures de restrictions ont été remises en place juste après, et le gouvernement a annoncé renforcer ses aides économiques pour les entreprises calédoniennes. Comment la population réagit-elle face à cela ?

Le confinement strict a été annoncé le lendemain de la détection du premier cas covid-19, pour une durée de 15 jours, et a par la suite été prolongé jusqu’au 4 octobre (au moins). La population reste divisée sur la prolongation du confinement. Malgré les aides économiques, l’impact reste important, et d’autres secteurs comme l’éducation, avec la fermeture des établissements scolaires, sont fortement impactés. Une partie de la population est consciente qu’il n’a jamais été prouvé que le confinement réduisait la propagation de l’épidémie.

La population réagit très globalement dans la peur, celle d’attraper le virus et d’en mourir, comme cela est martelé quotidiennement dans les médias, avec désormais cette obligation à la vaccination pour les plus de 18 ans, qui est présentée comme la seule et unique solution pour éviter la mort.

Pour autant, le travail de ré-information de RéinfoCovid NC, depuis des mois maintenant, invite la population à la plus grande prudence face à l’injection expérimentale, avec le recul que l’on a des pays très majoritairement vaccinés. Ces derniers n’ont toujours pas « éradiqué » l’épidémie, bien au contraire, ils connaissent une recrudescence sans précédent de malades du covid parmi la population vaccinée et l’encombrement des hôpitaux.

La population du pays est de plus en plus consciente du besoin de traitements qui fonctionnent partout dans le monde, comme l’ivermectine, bien que les autorités locales ne permettent pas aux médecins de prescrire ces traitements précoces, ce que nous condamnons formellement. Depuis le vote de l’obligation vaccinale pour les plus de 18 ans, une partie de la population s’est jetée sur les « vaccinodromes » déployés en masse partout dans le pays. Après une quinzaine de jours, le rythme de vaccination a fortement diminué, ce que l’on explique par la réticence de la population non vaccinée à recevoir un produit expérimental, et du fait aussi de la survenue de nombreux effets indésirables, parmi lesquels plusieurs décès post-vaccinaux, qui n’ont pas fait la une des journaux locaux mais qui font l’objet de témoignages sur les réseaux sociaux.

D’un point de vue juridique, plusieurs recours en référé contre la délibération 44/CP ont été portés, notamment par une association locale et des citoyens.

Vous parliez d’un grand jour et d’un « ultimatum pour le gouvernement », pouvez-vous nous expliquer ?

Mercredi 22 septembre 2021, a été remis au gouvernement, au Congrès et au Haut-Commissariat de la République (représentant l’État français), un courrier commun signé par une quinzaine de collectifs, d’associations, de syndicats, de représentants du personnel, de professionnels et de citoyens, dans lequel nous demandons l’annulation pure et simple de la délibération 44/CP portant sur l’obligation vaccinale, pour laisser libre choix à chacun d’une liberté vaccinale avec une information claire, loyale, libre et appropriée.

Nous demandions également la mise en place de protocoles thérapeutiques préventifs et précoces pour la prise en charge du covid-19, en particulier l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et certains antibiotiques (azytromicine et doxycycline). Nous réclamions également la libre prescription par les médecins de terrain.

Nous demandions enfin de cesser les discussions visant à l’instauration d’un « passe sanitaire » en Nouvelle-Calédonie, dispositif liberticide et discriminatoire qui ne sera pas accepté par la population.

Dans ce courrier, nous avions invité expressément les autorités à accueillir les représentants de chaque entité signataire sous 48h afin d’obtenir une réponse à nos demandes. Aucune réponse n’a été faite à l’heure actuelle.

En parallèle, un rassemblement pacifique citoyen a été organisé à Nouméa par les entités signataires le 25 septembre, rassemblant environ 8 000 personnes, pour la liberté vaccinale, pour l’annulation de la délibération 44/CP, pour la liberté de se soigner, pour la libre prescription des médecins et le refus du « passe sanitaire ».

Lien vers la vidéo du rassemblement

Non loin de chez vous, le Dr Théron, qui exerce sur l’île de Tahiti, a été placé en garde à vue au début du mois. Avez-vous eu vent des réactions en Polynésie ?


En effet, nous avons vu les réactions vives de la population, en soutien au Dr Théron, suite à cette mise en garde à vue. Les images de son « interpellation », où il a été trainé littéralement comme un terroriste par les forces de l’ordre ont profondément choqué les populations dans toute la zone pacifique.
 Nous adressons tout notre soutien au Dr Théron, ainsi qu’à la population de la Polynésie. En Nouvelle-Calédonie, la pétition de soutien au Dr Théron a été relayée massivement.

À la proue du monde, l’île va être un théâtre expérimental surprenant. Que le monde ouvre l’œil. Le peuple est éveillé. Témoignages et plaintes risquent de bouleverser l’épisode insulaire…

Auteur(s): FranceSoir




Comment asservir un peuple ?

[Source : breizh-info.com]

« Vous voulez connaître le secret pour asservir un peuple ? Prévoir les comportements, contrôler les actions ? Déterminer les pensées ? Comment faire ? Certains ont tenté la coercition. Notre méthode est bien plus efficace, bien plus durable, bien plus profonde. Voulez-vous la connaître ? Écoutez bien.

Choisir un peuple en perte de repères, perdu, la suite sera d’autant plus efficace. Guerre longue, disparition de la tradition et de la foi, déclin civilisationnel, sentiment de déclassement : tout est bon à prendre. Ces peuples sont confrontés à un vide. C’est le moment parfait pour mettre en place notre système d’asservissement. La nature a horreur du vide. Les individus n’ont plus de repères ? À nous de leur en proposer : la valeur de l’argent, le goût du confort, le sens du matériel ; attractif et séduisant. Adhésion à ces valeurs : rapide et totale. L’avoir prend le dessus sur l’être. Les gens sont fiers de ce qu’ils possèdent, les gens commencent à se définir parce qu’ils possèdent. Et pour posséder, il faut acheter. Mais rapidement, l’achat des objets du quotidien ne suffit plus. La machine s’essouffle. Il faut posséder plus, toujours plus. On fait naître chez tous des nouveaux désirs, des désirs de plus en plus récurrents. Le désir devient besoin, le peuple devient marché, l’individu devient consommateur, la consommation devient reine… mais l’emprise est encore trop superficielle. Il faut rendre la dynamique plus durable, faire de cet attrait pour la consommation… une addiction. L’addiction, c’est quoi ? Une perte du libre arbitre qui découle d’une habitude.

Pour y arriver encore plus sûrement, s’appuyer sur la science : sociologie, ethnologie, sciences olfactives, neurosciences, toutes viennent renforcer encore plus les mécanismes d’addiction. Le progrès technique vient nourrir la dynamique ; on introduit alors le monde numérique. Tout est accessible plus vite, plus proche. Les notifications affluent à toute heure, donnant l’illusion du plaisir, l’illusion du bonheur. Le temps de cerveau disponible devient alors marchandise. Plus ça avance, plus le cerveau reptilien prend le dessus. Plus ça avance, plus l’emprise est totale. Les centres commerciaux sont devenus des prisons dans lesquelles les gens rentrent volontairement. Désormais, l’addiction est totale, la pathologie reconnue. Les individus en portent même les stigmates : depuis 2000, les gens qui naissent ont un QI inférieur à celui des générations antérieures. C’est la première fois. Un peuple millénaire fier est vaincu, asservi, se mettant lui-même aux chevilles les chaînes qui assurent sa servitude. Par leur addiction à la consommation, les Européens ont perdu la maîtrise de leur destin. Vous pensez avoir échappé à notre entreprise ? En êtes-vous vraiment sûr ? »

https://youtu.be/M9wGM49u2o0

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Des infirmières canadiennes lanceuses d’alerte disent que de nombreuses personnes meurent des vaccins contre le Covid, les hôpitaux sont remplis de personnes entièrement vaccinées

[Source : ZEjournal.mobi]

[Ndlr : au Québec et au Canada en général, les médias mainstream font croire le contraire, à savoir que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées, sachant qu’en fait des personnes n’ayant reçu qu’une dose sont le plus souvent considérées comme non vaccinées et que si elles meurent peu de temps après la vaccination, on dit qu’elles sont mortes de la Covid-19, mais surtout pas d’un effet secondaire du « vaccin ». Dans beaucoup de pays, il semble bien qu’il faille passer par des médias étrangers ou par des médias alternatifs pour avoir un autre son de cloche que celui du gouvernement.]

Deux infirmières canadiennes se sont exprimées en tant que lanceuses d’alerte et ont révélé ce qu’elles ont vu pendant la pandémie de Covid-19. Les infirmières ont décrit avoir vu des personnes mourir après la vaccination et des hôpitaux submergés de personnes entièrement vaccinées souffrant de Covid.

Erica Beardsley, qui a été infirmière pendant 11 ans dans la petite ville de Pontiac, dans la province canadienne de Québec, a récemment démissionné après que son employeur lui a ordonné de se faire vacciner.

Lors d’une manifestation contre le mandat anti-vaccin au Canada, Beardsley a parlé à un journaliste de ce dont elle a été témoin pendant la pandémie.

« J’ai vu physiquement des gens retenir des personnes âgées et les vacciner contre leur gré pendant qu’elles criaient ‘Non’ », a-t-elle déclaré.

« J’ai vu des patients se suicider et… une fois qu’ils sont morts, ils les testent pour le COVID. Pourquoi? Pourquoi les testons-nous pour COVID ? »

« J’ai vu beaucoup de gens mourir d’une crise cardiaque peu de temps après le vaccin », a-t-elle poursuivi. « J’ai été témoin de fausses couches à terme cinq jours, quatre jours après le vaccin ».

Bien qu’il vienne d’une ville d’environ 5 000 habitants, Beardsley a déclaré que cela devenait un phénomène inquiétant.

« Je suis dans un petit hôpital, un petit hôpital. J’ai travaillé à tous les étages », a déclaré Beardsley. Elle a dit qu’elle a travaillé dans les soins de longue durée, les soins généraux, le service des urgences et même pour la clinique externe de son hôpital. « J’ai tout vu. »

« Je n’ai rien à perdre, rien à cacher. Ils voulaient me faire vacciner et j’ai refusé. »

Une deuxième infirmière travaillant à l’hôpital St. Michael’s de Toronto affirme que l’hôpital est rempli de patients Covid entièrement vaccinés.

Un journaliste a demandé : « Les hôpitaux sont-ils pleins de patients Covid ?

L’infirmière a répondu : « Les hôpitaux sont à peu près pleins de gens qui ont été vaccinés. Ils retournent à l’hôpital en raison de leurs vaccinations. »

« Alors vous me dites que les gens qui se sont fait vacciner sont à l’hôpital en ce moment ? » demanda le journaliste.

« Oui, pas seulement à St. Michael’s, mais partout dans le monde », a déclaré l’infirmière. « C’est ce qui revient dans les hôpitaux à cette période de l’année, alors que les hôpitaux devraient être au plus bas, ce sont des gens qui sont vaccinés ».

Actuellement, au Canada, tous les travailleurs de la santé doivent être vaccinés ou risquent de perdre leur emploi. Cela inclut ceux qui travaillent dans les hôpitaux et dans un établissement de soins. Cependant, le gouvernement canadien a récemment annoncé que tous les travailleurs fédéraux doivent être vaccinés contre le Covid-19 d’ici la fin septembre.

Une fois ce mandat en place, une autre règle sera introduite pour rendre les injections obligatoires pour ceux qui travaillent dans les transports aérien, ferroviaire et maritime, et sera mise en œuvre «dès que possible à l’automne et au plus tard fin octobre. », a déclaré le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.



Source : The Daily Expose (Royaume-Uni)




Scandale de la crise covid-19 : un panorama des liens et possibles conflits d’intérêt

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pixabay FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Une enquête en immersion dans la « fricosphère »

La bulle science est-elle bien couverte ? Pure et sans tache, exempte d’éléments matériels froids, métalliques, pouvant la salir ? Debout ! Tournez donc le dos aux conflits d’intérêt nuisant à l’intérêt du patient ! Au garde-à-vous devant la Vertu ! Les médecins auraient-ils étudié la médecine seulement pour l’argent, ou plutôt, nous l’espérons, pour soigner nos semblables ?

Trois panoramas ont déjà été publiés évoquant tour à tour :

  • le panorama de l’escroquerie (diagnostic, traitement et vaccin) – le Pr Buzyn et le Pr Karine Lacombe ont été mises en examen quelques jours après.
  • celui du harcèlement organisé contre l’IHU et le Professeur Raoult – que le Pr Raoult n’a pas hésité à dénoncer comme de la « délinquance antiélitisme ». Des plaintes ont été constituées ou vont l’être.
  • Et pour finir celui autour de RéInfoCovid, le collectif créé par le Dr Fouché et plus particulièrement de l’association RéInfo Liberté – pour lequel l’avocat Me Heringuez a dû se fendre d’un courrier de mise en demeure au journal « le Monde » pour avoir enfreint le code de déontologie journalistique à plusieurs reprises.

Quelques pépites dans ces enquêtes. Voici aujourd’hui, la suite sur les conflits d’intérêts et comment se plonger dans l’analyse et leur identification. Remontant la chaine des liens éventuels à partir d’ exemples concrets. « Qui est le jouet des apparences se laisse séduire par des mensonges ». écrivait Anatole France en 1901 . 

Avant-propos

Inutile de revenir en longueur sur ce qu’a déjà mis en lumière FranceSoir quant aux conflits d’intérêts de l’OMS ou aux conflits d’intérêt financiers des médecins plateaux TV parmi lesquels le Professeur Lacombe reléguée au pied du podium – un petit rappel suffit :

Pas plus qu’il n’est utile de revenir sur les essais cliniques randomisés que le chercheur Valère Lounnas décrivait comme « la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques ».

Voici un petit exemple pratique autour d’un article scientifique pouvant mettre le lecteur sur la voie et faire comprendre comment un article peut être entaché de liens d’intérêts modifiant ses conclusions. Et faire taire ceux qui se mettent à hurler sur les réseaux sociaux dès que leurs turpitudes sont mises à jour. L’inélégance du hérisson urticant (@Sonic_Urticant identifié dans la harcelosphère contre l’IHU) ou le spécialiste du publireportage Pokemon @Willvs (alias William Audureau du Monde).

Le commencement passe par une analyse méthodique. Pour cela nous ferons appel à la méthode des « no Fake med » (groupe s’étant violement opposé à la recherche de l’IHU du Pr Didier Raoult pour des raisons de faiblesses méthodologiques !). Deux groupes sont nécessaire.

  • Un contrôle et
  • un soumis au dictat des intérêts matériels.

Le groupe contrôle

Pour commencer nous prenons l’étude italienne sur 3500 patients qui concluait à un bénéfice significatif du traitement des patients hospitalisés covid-19 avec l’hydroxychloroquine. Résultat : une baisse significative statistiquement de la mortalité de 30%.

Ce résultat correspond à celui observé à l’IHU du Pr Raoult sur la cohorte de 2000 patients hospitalisés (30% de baisse du risque de décès).

La réplicabilité des résultats est retrouvée dans deux autres études avec des cohortes similaires. En Italie, l’étude Di Castelnuovo sur 4000 patients – avec un bénéfice confirmé chez les patients à risque faible avant traitement. Cateau et al en Belgique reproduit aussi le bénéfice pour l’hydroxychloroquine. Autant pour les « no fake med » qui disent que le consensus scientifique conclut que l’hydroxychloroquine ne marche pas.

Le groupe à analyser

En continuant le parallèle, il est important de regarder le groupe à analyser. En l’occurrence les études ne reproduisant pas les résultats ci-dessus. Sands et al 2021 montre qu’il n’y a pas de bénéfice clinique chez les patients hospitalisés. Essayons de comprendre pourquoi ?

Le premier réflexe est de chercher les différences dans les conditions expérimentales ou des biais systématiques – suspecter un conflit d’intérêt.

Pourquoi tant de discordance et un effet diamétralement opposé ?

D’un côté un effet bénéfique prouvé dans de nombreux articles et de l’autre un effet délétère ? Ceci défie toute logique, y compris celle affectée des No Fake med.

Analysons ! Quels sont les biais ? Recherchons les conflits d’intérêt. A première vue, tout va bien, les auteurs ne déclarant pas de conflit d’intérêt.

Analysons plus en détail. Y aurait t-il (ô subtilité !) un lien d’intérêt ? Oui, la recherche a été financée par « HCA health system ». C’est le second réflexe à avoir – demander qui paie la recherche et les auteurs ?

Dans le cas présent, bien que les auteurs n’aient pas été payés directement par HCA health system, ceci constitue sans aucun doute un paramètre à prendre en compte. Il faut aussi bien regarder les affiliations des auteurs.
Et, oui les auteurs, employés HCA health system, doivent leur poste et leur travail à qui les emploie.

Les auteurs sont payés par le financeur de la recherche exposée dans l’article.

Cependant il faut chercher plus loin pour comprendre. A commencer par la taille des enjeux financiers. Oui, le pouvoir et l’argent mènent ce monde étranger à ses origines, depuis la chute des valeurs ou perte de bien des repères.

Qui est HCA health system ?

Le plus grand groupe hospitalier privé au monde avec 50 milliards de dollars de chiffres d’affaire en 2020. Le réflexe 2 est donc d’analyser la taille des enjeux financiers. 50 milliards ce n’est pas une paille.

Comprenons que HCA health system a une vocation lucrative et non pas humaniste et académique. Le bien-être du patient ne serait ainsi pas, pour cette corporation, une priorité !

Continuons par paraphraser Monsieur Philippe de Villiers, nous dirons que nous avons tiré sur le fil du conflit d’intérêt et tout est venu.

Le réflexe 4 est donc de clarifier les financeurs du financeur de la recherche. Regardons les actionnaires de la société HCA. Vanguard, un financier américain, truste sept des quinze premières places en terme d’actionnariat.

Continuons à tirer sur le fil de la pelote en remontant les actionnaires. Les médias mainstream diraient-ils que nous complotons?

Non, nous enquêtons – Vanguard Blackrock serait un financeur majeur en lien avec HCA health system.

Et nous associons et synthétisons nos découvertes.

Nous découvrons, ô hasard, que Vanguard Blackrock est un financeur indirect d’Elsevier, la maison d’édition du fameux (fake) article concluant en la nocivité de l’hydroxychloroquine.

Et nous tombons aussitôt sur les liens unissant SPILF – ELSEVIER- et le Dr Nathan Peiffer Smadja qui a été un des « négationnistes de l’efficacité de l’hydroxychloroquine » et un « promoteur du Remdesivir » (section plus bas dans l’article). A commencer par sa fameuse méta-analyse qu’il n’a sans doute pas écrite (contrairement à ce qu’il a affirmé par écrit sur l’article) car il n’était pas auteur dans la prépublication, et par des colloques SPILF.

https://www.elsevier.com/fr-fr/clinical-solutions/evenements/serie-infectio-le-point-sur

Parallèlement le Professeur Karine Lacombe tente de faire la promotion de ce traitement sur des critères intermédiaires (durée d’hospitalisation diminuée grâce à ce traitement, sans jamais mentionner les effets indésirables ni l’absence d’impact sur la mortalité).

Parallèlement, nous remarquons que le journal dans lequel est paru l’article incriminé est celui d’une société savante « International Society for Infectious disease (ISID) »… financée par… Pfizer.

Tirons la pelote. Les « No fake med » opposants affichés à l’IHU vont-ils apprécier ? Ils devraient puisqu’ils sont les champions du monde de l’intégrité !

Tirons la pelote et apparaît encore Vanguard Blackrock, financeur de Pfizer.

Patience, tirons encore un peu sur le fil ! Soyez attentifs, lecteurs, journalistes et médecins des plateaux TV !

Il ne reste plus qu’à reconstituer le puzzle et regarder tous ces liens pouvant entacher l’intégrité scientifique.

Pfizer et le vaccin d’un côté, Gilead et le Remdesivir de l’autre

Rappelons le LIEN d’intérêt unissant le jeune Docteur Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. L’association savante des infectiologues français a des liens si étroits avec Gilead que le laboratoire américain sponsorise les badges de leur colloque annuel

Rappelons (nous l’avions mentionné en début d’article) que François-Xavier Lescure de Paris – Bichat (qui a reçu de l’argent de Gilead) est l’adjoint du Pr Yazdan Yazdanpanah. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine.

Peut-être est ce pour cette raison que le jeune Nathan a recommandé le Remdesivir dans un « élan fougueux ». Cela a déjà été écrit mais rappelons les faits : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-diagnostic-traitements-vaccin-panorama-dune-escroquerie

Son thread fait croire que le HCSP a recommandé, en mars 2020, des thérapies cliniques alors que ce n’est pas sa mission. L’avis disait à Mr Véran de prendre un arrêté pour usage compassionnel du #remdesivir, ce qu’il n’a pas fait.

Attention, les conséquences sont concrètes ; cet article relate la toxicité de ce médicament utilisé à l’hôpital Bichât chez François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah (et donc chez le Dr Nathan Peiffer-Smadja).

Sur cinq patients, quatre effets indésirables hépatiques et/ou rénaux, dont deux patients en dialyse !

Mais, intérêt oblige le délire continue ! https://twitter.com/VirusWar/status/1439159792921190405?s=20

Autorisation en décembre 2020

Autorisation en juin 2021 !

Et pourtant une nouvelle étude parue dans le Lancet confirme l’absence d’intérêt du Remdesivir :

Attention, concernant la malhonnêteté, il y a des cas particuliers…

Il ne reste plus qu’à finir l’analyse par une bonne méthodologie pour faire plaisir aux « No Fake Med » que certains n’hésitent pas à décrire comme des « scientistes étroits ». Le « cas contrôle » n’avait pas de liens financiers pouvant influencer ses conclusions.

Pour conclure, quand vous lisez un article scientifique, n’hésitez pas à remonter le fil des financements et des liens d’intérêt; reconstituez vous-même le puzzle !

Rappelons que certains avocats ont déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale et n’hésitent plus à le comparer au procès dit de Nuremberg.

Si vous êtes arrivés jusqu’ici, ne croyez pas un mot de ce qui est écrit, vérifiez par vous-même.

Enquête réalisée par la rédaction de FranceSoir avec le Collectif Citoyen.

Auteur(s): FranceSoir




Une ex-employée de Facebook fait trembler le géant américain avec ses révélations

[Source : sputniknews.com]

[Photo : © REUTERS / Stephen Lam]

Par Julia Belyakova

Une série de révélations a été faite grâce à des documents connus sous le nom de Facebook Files, transmis à la Security and Exchange Commission par une lanceuse d’alertes. Selon le Wall Street Journal, qui a pu consulter des documents, le fonctionnement de l’entreprise semble ne toujours pas correspondre au discours public de la direction.Est-ce que des temps difficiles attendent l’entreprise Facebook et sa direction? Une lanceuse d’alertes qui avait déjà révélé une partie des documents portant sur des règlements intérieurs de travail du réseau social, donnant la base à une série de publications par le Wall Street Journal qui a pu les consulter, aurait promis de sortir de l’ombre ce dimanche 3 octobre dans l’émission 60 Minutes de la chaîne CBS.

Toutefois, elle avait déjà transmis certains documents, connus sous le nom de Facebook Files, pour une étude à la Security and Exchange Commission (SEC), l’organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Et selon les investigations menées par le Wall Street Journal, parmi les révélations faites par cette lanceuse d’alertes, il y a l’effet négatif d’Instagram sur les jeunes, jamais communiqué par Facebook, alors qu’il s’agit de résultats d’une étude interne, la censure manuelle des comptes de personnalités et influenceurs, ce qui prouverait l’implication du facteur humain dans cette censure qui comme il s’avère n’est pas faite par des robots.

L’influence négative d’Instagram

Les chercheurs d’Instagram, qui appartient à Facebook, étudient depuis des années comment l’application de partage de photos touche des millions de jeunes utilisateurs. À plusieurs reprises, la société a constaté qu’Instagram était nuisible pour un pourcentage important d’entre eux, en particulier les adolescentes, plus que d’autres plateformes de réseaux sociaux. En public, Facebook a constamment minimisé les effets négatifs de l’application, y compris dans les déclarations au Congrès, et n’a pas rendu sa recherche publique ou disponible pour les universitaires ou les législateurs qui l’ont demandée. En réponse, Facebook dit que les effets négatifs ne sont pas répandus, que la recherche en santé mentale est précieuse et que certains des aspects nocifs ne sont pas faciles à traiter, précise le Wall Street Journal dans sa publication.

Les comptes privilégiés

Mark Zuckerberg a publiquement déclaré que Facebook permettait à ses plus de trois milliards d’utilisateurs de parler sur un pied d’égalité avec les élites de la politique, de la culture et du journalisme, et que ses normes de comportement s’appliquent à tous, peu importe leur statut ou leur renommée, rappelle le média. En privé, l’entreprise a conçu un programme, connu sous le nom de « vérification croisée » ou « XCheck », créé comme une mesure de contrôle de la qualité pour les comptes de haut niveau. Aujourd’hui, il protège des millions de comptes privilégiés, montrent les documents. Beaucoup abusent de ce privilège, publiant des images relevant du harcèlement et de l’incitation à la violence qui conduiraient généralement à des sanctions. Les comptes de personnalités faisant partie de ces listes « privilégiées » sont traités manuellement, ainsi cela prend plus de temps et la modération n’est pas exempte d’un facteur et jugement humains. Cela concerne presque six millions de comptes (5,8 millions à en croire les documents dévoilés). Parfois, XCheck avait protégé des personnalités publiques dont les messages contiennent du harcèlement ou de l’incitation à la violence, violations qui généralement conduiraient à des sanctions pour les utilisateurs réguliers. En 2019, il a permis à la star internationale du football Neymar de montrer des photos nues d’une femme, qui l’avait accusé de viol, à des dizaines de millions de ses fans avant que le contenu ne soit supprimé par Facebook, démontrent les documents.

L’un des documents internes consultés explique aux employés ce qu’est le programme XCheck de la manière suivante:

« Cela signifie que, pour un petit nombre de membres de notre communauté, nous n’appliquons pas nos politiques et nos normes. Contrairement au reste de notre communauté, ces personnes peuvent violer nos normes sans aucune conséquence », indique le Wall Street Journal, citant l’une des notes il a pu consulter.

Facebook a répondu pour sa part que critiquer ce programme était justifié, qu’il a été conçu pour un bon but et que l’entreprise travaillait à le corriger.

Le trafic d’organes humains, la pornographie et les cartels de la drogue

De nombreux documents Facebook examinés par le Wall Street Journal montrent des employés s’alarmant de la façon dont la plateforme est utilisée dans les pays en développement, où sa base d’utilisateurs est énorme et en expansion. Des employés ont signalé que les trafiquants d’êtres humains au Moyen-Orient utilisaient le site pour attirer les femmes. Ils ont averti que les groupes armés éthiopiens utilisaient le site pour inciter à la violence contre les minorités ethniques. Ils ont envoyé des alertes à leurs patrons sur la vente d’organes, la pornographie et l’action du gouvernement contre la dissidence politique, selon les documents. Ils montrent également la réaction de l’entreprise, qui dans de nombreux cas est inadéquate ou reste sans réponse.

Notamment, en janvier 2021, un ancien policier devenu enquêteur pour Facebook a publié une note de service pour tout le personnel sur le tableau des messages internes où il a détaillé un nouvel ensemble de ce qu’il a appelé « les apprentissages ». Le plus important d’entre eux était celui qui portait sur un cartel mexicain de la drogue utilisant Facebook pour recruter, former et payer les tueurs à gages, donne comme exemple le Wall Street Journal, en se référant aux documents révélés. Le comportement était choquant dans nombre de cas rapportés et en violation flagrante des règles de Facebook. Mais l’entreprise n’a pas empêché le cartel de publier sur Facebook ou Instagram.

Un porte-parole de Facebook a déclaré que l’entreprise avait déployé des équipes à travers le monde, des partenariats locaux et des vérificateurs de faits tiers pour augmenter la sécurité des utilisateurs.

L’impact de Facebook dans la campagne vaccinale

Facebook a pesé de tout son poids dans la promotion des vaccins contre le Covid-19, « une priorité de compagnie supérieure », souligne une note interne, dans une démonstration de Mark Zuckerberg pour faire valoir que sa création est une force pour le bien dans le monde. Il a fini par démontrer des lacunes entre ses aspirations et la réalité de la plus grande plateforme sociale du monde. Les activistes ont inondé le réseau, selon les notes internes consultées par le quotidien. Ils ont utilisé les outils de Facebook pour semer le doute sur la gravité de la menace de la pandémie et la sécurité de la principale arme des autorités pour la combattre. Les problèmes liés au Covid-19 ont créé des difficultés pour la direction de Facebook. Même quand il fixait un objectif, le chef de l’exécutif ne pouvait pas diriger la plateforme comme il le voulait. Un porte-parole de Facebook a déclaré dans un communiqué que les données montrent que l’hésitation vaccinale des gens aux États-Unis sur Facebook a diminué d’environ 50% depuis janvier, et que les documents montrent le « processus de routine de l’entreprise pour faire face à des défis difficiles ».

Une fuite précédente liée à Cambridge Analytica

Il ne s’agit pas de la première fuite géante chez Facebook. En 2018, le scandale autour du cabinet britannique Cambridge Analytica, qui avait récupéré les données de 87 millions d’utilisateurs à des fins de propagande politique, avait porté un coup dur à la réputation du réseau social qui compte actuellement près de 2,8 milliards d’usagers mensuels.

En octobre 2020, une association de consommateurs a annoncé lancer une action en justice au Royaume-Uni contre Facebook pour l’utilisation illégale de données d’utilisateurs en Angleterre et au pays de Galles, à la suite de l’affaire Cambridge Analytica. Précédemment, Facebook avait accepté de payer une amende de 500.000 livres sterling (585.000 euros) au Royaume-Uni.




La dirigeante tyrannique australienne Gladys Berejiklian est évincée

[Source : Aube Digitale]

La dirigeante australienne corrompue et tyrannique qui a juré de forcer les citoyens qui ne se conforment pas à la loi à rester enfermés pour toujours a démissionné en disgrâce.

Gladys Berejiklian, visiblement ébranlée, a démissionné de façon spectaculaire de son poste de premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud vendredi, après que l’organisme de surveillance de la corruption de l’État a constaté qu’elle avait violé son serment.

Gladys Berejiklian s’était auparavant vantée auprès des habitants de la Nouvelle-Galles du Sud que les personnes non vaccinées parmi eux resteraient en état de confinement pour toujours.

La dirigeante de 51 ans a non seulement démissionné de son poste de premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud, mais aussi de celui de député de Willoughby, quittant ainsi définitivement la politique.

« J’ai dû prendre une décision difficile cette nuit », a déclaré Mme Berejiklian avec colère à un groupe de journalistes aujourd’hui, tout en lisant à la hâte une déclaration préparée à l’avance. Elle a refusé de répondre aux questions des journalistes.

« J’ai le regret de vous annoncer que je n’ai pas d’autre choix que de démissionner du poste de Premier ministre ».

Le Daily Mail rapporte : Les libéraux de Nouvelle-Galles du Sud vont maintenant élire un nouveau leader. Le trésorier Dominic Perrottet, qui est en tête de liste, a déclaré qu’il allait parler à sa famille et à ses collègues pendant le week-end avant de décider s’il allait se présenter.

Le ministre de l’aménagement du territoire, Rob Stokes, qui a toujours souhaité occuper le poste suprême, a déclaré qu’il se présenterait et le ministre du tourisme, Stuart Ayres, fait également l’objet de discussions.

« Je suis extrêmement confiante que la personne qui me succédera sera plus que capable de poursuivre ce travail. Veuillez leur accorder votre confiance », a déclaré Mme Berejiklian.

La Commission indépendante contre la corruption cherche à savoir si Mme Berejiklian a encouragé ou permis la corruption de son ex-petit ami secret et ancien député de Wagga Wagga, M. Maguire, entre 2012 et 2018.

Elle cherchera également à savoir si elle a abusé de la confiance du public en ne signalant pas tout soupçon de comportement corrompu et quel rôle elle a dû jouer dans l’octroi de deux subventions gouvernementales dans l’électorat de M. Maguire.

Une enquête publique de l’ICAC sur cette affaire se tiendra pendant environ 10 jours à partir du 18 octobre, sous la supervision de la commissaire adjointe Ruth McColl SC.

M. Maguire est accusé d’avoir abusé de sa fonction publique après avoir admis avoir été impliqué dans un système d’échange d’argent contre des visas et avoir cherché à obtenir des commissions secrètes pour le courtage de transactions immobilières. Il a été contraint de démissionner en 2018.

Mme Berejiklian – qui semblait pleurer – a nié tout acte répréhensible et a critiqué l’organisme de surveillance pour avoir annoncé son enquête sur elle alors que l’État sort d’un confinement du Covid de quatre mois.

« Compte tenu des restrictions imposées par les restrictions du Covid, ma démission du poste de premier ministre ne pouvait pas tomber plus mal, mais le moment est totalement indépendant de ma volonté, car l’ICAC a choisi de prendre cette mesure pendant les semaines les plus difficiles de l’histoire de l’État. »

« Démissionner en ce moment est contraire à tous les fibres de mon être et c’est quelque chose que je ne veux pas faire », a-t-elle déclaré.




Camps de détention du COVID-19 : Les rafles gouvernementales des résistants sont-elles notre avenir ?

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

« Sans doute les camps de concentration étaient-ils un moyen, une menace utilisée pour maintenir l’ordre. »

Albert Speer, procès de Nuremberg

Il ne s’agit plus de savoir si le gouvernement enfermera les Américains pour avoir défié ses mandats, mais quand.

Voici ce que nous savons : le gouvernement a les moyens, les muscles et la motivation pour détenir les individus qui résistent à ses ordres et ne se conforment pas à ses mandats dans un vaste éventail de prisons, de centres de détention et de camps de concentration de la FEMA payés avec l’argent des contribuables.

Ce n’est qu’une question de temps.

La question la plus brûlante n’a plus d’importance (les vaccins obligatoires, l’immigration, les droits des armes à feu, l’avortement, le mariage homosexuel, les soins de santé, la critique du gouvernement, la protestation contre les résultats des élections, etc.

Le travail préparatoire a déjà été effectué

En vertu de la disposition relative à la détention indéfinie de la loi sur l’autorisation de la défense nationale (NDAA), le président et l’armée peuvent détenir et emprisonner des citoyens américains sans accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme des terroristes.

Il n’est donc pas surprenant que le simple fait de critiquer le gouvernement ou de s’opposer à la vaccination contre le COVID-19 puisse vous faire qualifier de terroriste.

Après tout, il suffit de peu de choses pour être considéré comme un terroriste, d’autant plus que le gouvernement aime utiliser indifféremment les mots « anti-gouvernemental », « extrémiste » et « terroriste ».

Par exemple, le département de la sécurité intérieure définit les extrémistes comme des individus, des vétérans militaires et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale ».

Les vétérans militaires revenant d’Irak et d’Afghanistan peuvent également être qualifiés d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles par le gouvernement, car ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre. »

En effet, si vous croyez en vos droits constitutionnels et les exercez (à savoir, votre droit de parler librement, de pratiquer librement votre culte, de vous associer à des personnes partageant vos opinions politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d’exiger un mandat avant d’être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement anti-gouvernementale, raciste, bigote, anarchique ou souveraine), vous pourriez figurer en tête de la liste de surveillance du gouvernement en matière de terrorisme.

En outre, comme le souligne un éditorial du New York Times, vous pouvez être un extrémiste antigouvernemental (alias terroriste domestique) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement ne complote pour confisquer vos armes à feu, si vous pensez que l’économie est sur le point de s’effondrer et que le gouvernement va bientôt déclarer la loi martiale, ou si vous affichez un nombre inhabituel d’autocollants politiques et/ou idéologiques sur votre voiture.

Selon le FBI, vous pourriez également être classé comme une menace de terrorisme intérieur si vous adhérez à des théories du complot ou osez souscrire à des opinions contraires à celles du gouvernement.

Le gouvernement dispose également d’une liste de plus en plus longue, partagée avec les centres de fusion et les services répressifs, d’idéologies, de comportements, d’affiliations et d’autres caractéristiques susceptibles de signaler une personne comme suspecte et de la faire passer pour un ennemi potentiel de l’État.

C’est ce qui se passe lorsque l’on confie non seulement le pouvoir de déterminer qui est un danger potentiel aux agences gouvernementales, aux tribunaux et à la police, mais que l’on donne également à ces agences l’autorité libérale d’enfermer des individus pour des méfaits perçus.

C’est un système qui ne demande qu’à être abusé par des bureaucrates assoiffés de pouvoir et désireux de conserver leur pouvoir à tout prix.

Cela s’est déjà produit auparavant.

Comme le montre l’histoire, le gouvernement américain n’hésite pas à enfermer ses propres citoyens à ses propres fins

Il suffit de remonter aux années 1940, lorsque le gouvernement fédéral a proclamé que les Américains d’origine japonaise, qualifiés de dissidents potentiels, pouvaient être placés dans des camps de concentration (ou d’internement) sur la seule base de leur origine ethnique, pour voir jusqu’où le gouvernement fédéral est prêt à aller pour maintenir « l’ordre » dans son pays.

La Cour suprême des États-Unis a validé le programme de détention dans l’affaire Korematsu v. US (1944), concluant que la nécessité pour le gouvernement d’assurer la sécurité du pays l’emportait sur les libertés individuelles.

Bien que cette décision Korematsu n’ait jamais été formellement annulée, le juge en chef Roberts a opiné dans l’affaire Trump v. Hawaii (2018) que

« la relocalisation forcée de citoyens américains dans des camps de concentration, uniquement et explicitement sur la base de la race, est objectivement illégale et en dehors de la portée de l’autorité présidentielle. »

Les déclarations de Roberts n’offrent guère d’assurance en matière de sécurité, compte tenu de la tendance du gouvernement à contourner la règle de droit lorsque cela satisfait ses objectifs. Soulignant que de telles détentions manifestement illégales pourraient se reproduire – avec la bénédiction des tribunaux – le juge Scalia a un jour averti :

« En temps de guerre, les lois se taisent. »

En fait, la création de camps de détention au niveau national fait depuis longtemps partie du budget et des opérations du gouvernement, relevant de la FEMA, l’Agence fédérale de gestion des urgences.

L’histoire trouble de la FEMA remonte aux années 1970, lorsque le président Carter l’a créée par le biais d’un décret fusionnant plusieurs agences gouvernementales d’aide en cas de catastrophe en une seule grande agence.

Dans les années 1980, cependant, des rapports ont commencé à faire état d’exercices secrets d’entraînement de type militaire menés par la FEMA et le ministère de la Défense. Sous le nom de code Rex-84, 34 agences fédérales, dont la CIA et les services secrets, ont été formées à la gestion des troubles civils intérieurs.

Le rôle de la FEMA dans la création de camps d’internement américains top-secret est bien documenté

Mais faites attention à qui vous partagez cette information : il s’avère que le fait de s’inquiéter de l’existence des camps de détention de la FEMA fait partie de la liste croissante d’opinions et d’activités qui peuvent amener un agent fédéral ou un fonctionnaire à penser que vous êtes un extrémiste (alias un terroriste) ou que vous êtes favorable à des activités terroristes, et que vous pouvez donc être placé en détention pour une durée indéterminée en vertu de la NDAA. Cette liste de points de vue « dangereux » comprend également la défense des droits de l’État, la conviction que l’État n’est pas nécessaire ou est indésirable, la « théorie de la conspiration », les préoccupations concernant les camps de la FEMA, l’opposition à la guerre, l’organisation pour la « justice économique », la frustration à l’égard des « idéologies dominantes », l’opposition à l’avortement, l’opposition à la mondialisation et le stockage de munitions.

Si vous voulez avoir des camps d’internement sur le sol américain, il faut bien que quelqu’un les construise.

Ainsi, en 2006, il a été annoncé que Kellogg Brown and Root, une filiale de Halliburton, avait obtenu un contrat de 385 millions de dollars pour construire des centres de détention américains. Bien que le gouvernement et Halliburton n’aient pas précisé où et quand ces centres de détention nationaux seraient construits, ils en ont justifié la nécessité en cas « d’afflux urgent d’immigrants, ou pour soutenir le développement rapide de nouveaux programmes » en cas d’autres urgences telles que des « catastrophes naturelles. »

Bien entendu, ces camps de détention devront être utilisés pour toute personne considérée comme une menace pour le gouvernement, et cela inclut les dissidents politiques.

Ce n’est donc pas une coïncidence si le gouvernement américain a, depuis les années 1980, acquis et maintenu, sans mandat ni ordonnance du tribunal, une base de données de noms et d’informations sur des Américains considérés comme des menaces pour la nation.

Comme le rapporte Salon, cette base de données, qui aurait été baptisée « Main Core », doit être utilisée par l’armée et la FEMA en cas d’urgence nationale ou de loi martiale pour localiser et rassembler les Américains considérés comme des menaces pour la sécurité nationale. Il y a au moins 8 millions d’Américains dans la base de données Main Core.

Avance rapide jusqu’en 2009, lorsque le département de la sécurité intérieure (DHS) a publié deux rapports, l’un sur l’ »extrémisme de droite », qui définit largement les extrémistes de droite comme des individus et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale », et l’autre sur l’ »extrémisme de gauche », qui qualifie d’extrémistes les groupes de défense de l’environnement et des droits des animaux.

Chose incroyable, les deux rapports utilisent indifféremment les mots terroriste et extrémiste.

La même année, le DHS a lancé l’opération Vigilant Eagle, qui prévoit la surveillance des vétérans de l’armée revenant d’Irak, d’Afghanistan et d’autres pays lointains, les qualifiant d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles parce qu’ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre ».

Ces rapports indiquent que pour le gouvernement, ce que l’on appelle l’extrémisme n’est pas une question partisane. Toute personne perçue comme s’opposant au gouvernement – qu’elle soit de gauche, de droite ou quelque part entre les deux – est une cible, ce qui nous ramène, en boucle, à la question de savoir si le gouvernement exercera le pouvoir qu’il prétend posséder pour détenir toute personne perçue comme une menace, c’est-à-dire toute personne critiquant le gouvernement.

La réponse courte est : oui.

La réponse plus longue est plus compliquée.

Malgré ce que certains peuvent penser, la Constitution n’est pas une incantation magique contre les méfaits du gouvernement. En effet, son efficacité dépend de ceux qui la respectent.

Toutefois, en l’absence de tribunaux disposés à faire respecter les dispositions de la Constitution lorsque des représentants du gouvernement n’en tiennent pas compte et en l’absence de citoyens suffisamment informés pour être indignés lorsque ces dispositions sont remises en cause, la Constitution n’offre que peu ou pas de protection contre les raids des équipes d’intervention, la surveillance domestique, les tirs de la police sur des citoyens non armés, les détentions illimitées, etc.

Pour être franc, les tribunaux et la police ont tellement harmonisé leur façon de penser que tout est permis quand c’est fait au nom de la sécurité nationale, de la lutte contre la criminalité et du terrorisme.

Par conséquent, l’Amérique ne fonctionne plus dans le cadre d’un système de justice caractérisé par une procédure régulière, la présomption d’innocence, une cause probable et des interdictions claires concernant les excès du gouvernement et les abus de la police. Au lieu de cela, nos cours de justice ont été transformées en cours d’ordre, défendant les intérêts du gouvernement plutôt que les droits des citoyens, tels qu’ils sont inscrits dans la Constitution.

Nous semblons boucler la boucle sur de nombreux fronts

Il y a vingt ans, nous débattions de la question de savoir si les non-citoyens – par exemple, les soi-disant combattants ennemis détenus à Guantanamo Bay et les Américains musulmans raflés à la suite des attentats du 11 septembre – avaient droit aux protections prévues par la Constitution, notamment en ce qui concerne la détention indéfinie. À l’époque, les Américains ne se préoccupaient pas outre mesure des droits des non-citoyens, et aujourd’hui, c’est nous qui sommes dans la position peu enviable d’être ciblés par notre propre gouvernement pour une détention indéfinie.

De même, la plupart des Américains ne se sont pas inquiétés outre mesure lorsque la Cour suprême des États-Unis a donné aux policiers de l’Arizona le feu vert pour arrêter, fouiller et interroger quiconque – vraisemblablement ceux qui correspondent à un profil racial particulier – qu’ils soupçonnent d’être un immigrant illégal. Dix ans plus tard, les flics ont largement carte blanche pour arrêter tout individu, citoyen ou non, qu’ils soupçonnent de faire quelque chose d’illégal (attention, à notre époque de surcriminalisation, cela peut aller de donner à manger aux oiseaux à la culture d’orchidées exotiques).

De même, il existe encore aujourd’hui une partie non négligeable de la population qui ne se préoccupe pas de la pratique du gouvernement consistant à espionner les Américains, car on leur a lavé le cerveau en leur faisant croire que si vous ne faites rien de mal, vous n’avez rien à craindre.

Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils n’apprennent à leurs dépens que dans un État policier, peu importe qui vous êtes ou à quel point vous prétendez être vertueux, car finalement, vous serez mis dans le même sac que tous les autres et tout ce que vous ferez sera « mauvais » et suspect.

C’est d’ailleurs ce qui se passe déjà, la police s’appuyant sur des logiciels de surveillance tels que ShadowDragon pour observer l’activité des gens sur les médias sociaux et sur d’autres sites Web, qu’ils soient ou non soupçonnés d’un crime, et les utiliser potentiellement contre eux en cas de besoin.

Il s’avère que nous sommes dans Soleil Vert, cannibalisés par un gouvernement qui cherche à nous soutirer jusqu’à la dernière goutte.

Le film Soleil Vert (Soylent Green) de 1973, avec Charlton Heston et Edward G. Robinson, se déroule en 2022 dans une ville de New York surpeuplée, polluée et affamée, dont les habitants dépendent des aliments synthétiques fabriqués par la Soylent Corporation pour survivre.

Heston joue le rôle d’un policier qui enquête sur un meurtre et découvre l’effroyable vérité sur l’ingrédient principal du biscuit, Soleil Vert, qui constitue la principale source d’alimentation d’une population affamée. « Ce sont les gens. Soleil Vert c’est de la chaire humaine », déclare le personnage de Heston. « Ils fabriquent notre nourriture à partir de personnes. Bientôt, ils nous élèveront comme du bétail pour nous nourrir. »

Oh, comme il avait raison.

Soleil Vert est en effet constitué de personnes ou, dans notre cas, Soleil Vert est constitué de nos propres données personnelles, reprises, reconditionnées et utilisées par les entreprises et le gouvernement pour nous piéger dans des prisons de notre propre fabrication.

Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les empiètements sur nos droits lorsque le pouvoir, la technologie et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions, un peu comme le personnage d’Edward G. Robinson dans Soleil Vert. Robinson dans Soylent Green, à regarder le passé avec nostalgie, à revenir à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions et aller où nous voulions sans que ces pensées, ces mots et ces mouvements ne soient suivis, traités et stockés par des géants industriels comme Google, vendus à des agences gouvernementales comme la NSA et la CIA, et utilisés contre nous par une police militarisée avec son armée de technologies futuristes.

Nous n’en sommes pas encore là, mais comme je l’explique clairement dans mon livre 
Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictionnel 
The Erik Blair Diariesce moment décisif se rapproche à chaque minute.

Traduction du Rutherford Institute par Aube Digitale




Le commissaire de police en chef australien refuse d’appliquer le décret du passeport vaccinal

[Source : Aube Digitale]

La révolte grandit après des manifestations sauvages.

Le commissaire de police de la Nouvelle-Galles du Sud a refusé de faire respecter le passeport vaccinal imposé par l’État, révélant que les agents ne vérifieront pas le statut vaccinal des personnes dans les restaurants, les clubs et les bars.

Le gouvernement s’apprête à faire passer un décret qui interdira à toute personne non vaccinée d’entrer dans de nombreux lieux jusqu’au 1er décembre au moins, reprenant ainsi le système de ségrégation adopté dans de nombreux pays occidentaux.

Toutefois, après que des questions aient commencé à se poser quant à savoir si les entreprises seraient contraintes d’imposer ces mesures à leurs clients, le commissaire de la police de Nouvelle-Galles du Sud, Mick Fuller, a précisé que ses agents ne patrouilleraient pas.

« Le rôle de la police en termes de passeports vaccinaux, nous ne nous promènerons pas dans les restaurants, les cafés et les pubs pour vérifier si les gens sont doublement vaccinés », a-t-il déclaré.

« [Mais] nous aiderons certainement les propriétaires de restaurants et de magasins s’ils refusent l’entrée à quelqu’un – nous répondrons certainement pour aider ces personnes. »

Le ministre de la Santé, Brad Hazzard, a affirmé que ce serait à la police de faire respecter les mesures, mais cela ne semble pas devoir se produire.

Contrairement à ce qui se passe dans certains pays, les entreprises ne risquent pas d’amende si elles laissent entrer des personnes non vaccinées, ce qui rend l’ensemble du dispositif plutôt inutile.

Comme nous l’avons déjà souligné, de nombreuses entreprises en France n’appliquent pas le passeport vaccinal, pourtant prévu par la loi.

Depuis le début de la semaine dernière, Melbourne est secouée par des manifestations indisciplinées après qu’un syndicat d’ouvriers du bâtiment a exigé que ses employés se fassent vacciner ou perdent leur emploi.

Après que les travailleurs de la construction ont organisé une manifestation devant le siège du syndicat, le gouvernement a annoncé qu’il arrêterait tout travail lié à l’industrie pendant deux semaines à titre de sanction.

Cela a conduit à de nouveaux affrontements entre la police et les manifestants, avec des flics anti-émeute et des unités spéciales normalement réservées aux opérations anti-terroristes lâchées sur les Australiens.

Pendant ce temps, le Dr Kerry Chant, responsable de la santé en Nouvelle-Galles du Sud, a révélé la vérité hier en laissant entendre que les mesures de confinement du COVID resteront en place même si les gens se font vacciner.




Plus d’un million d’Israéliens qui n’ont pas reçu de 3e dose ont perdu le pass sanitaire dimanche

[Source : resistance-mondiale.com]

Beaucoup ne pourront pas accéder à certains lieux publics et rassemblements sans un test de virus négatif après un changement de politique nécessitant un rappel six mois après le 2e vaccin COVID-19.

À partir de dimanche, plus d’un million d’Israéliens perdront leur Green Pass (pass sanitaire) après qu’un changement de politique ait dicté qu’un rappel de COVID-19 soit requis six mois après avoir reçu les deux premières doses.

Les données du ministère de la Santé lundi ont montré que 4 710 716 Israéliens ont été vaccinés avec deux doses il y a six mois, mais seulement 3 243 641 d’entre eux ont reçu une dose de rappel.

Même en soustrayant les centaines de milliers de personnes infectées par COVID-19 au cours des six derniers mois, ce qui signifie qu’elles n’auraient pas besoin de la troisième dose de vaccin, le nombre de personnes qui n’auront plus un soi-disant Green Pass dépasse le million.

Le pass n’est valable qu’une semaine après avoir reçu la dernière dose requise, et pendant six mois après. Le document, détenu par ceux qui sont vaccinés ou qui se sont rétablis du COVID-19, permet d’accéder à de nombreux lieux et événements publics, y compris les restaurants et les musées.

Un laissez-passer vert temporaire peut être obtenu grâce à un test de dépistage du virus négatif, qui doit être payé sauf si la personne n’est pas admissible à la vaccination.

Par ailleurs, le ministère a annoncé cette semaine que les patients guéris du COVID-19 devront recevoir une seule dose de vaccin contre le coronavirus après avoir été diagnostiqués, afin de rester éligibles pour recevoir un Green Pass. Auparavant, toutes les personnes récupérées étaient éligibles.

Des enfants montrent leur Green Pass alors qu’ils font la queue à l’entrée du Science Museum de Jérusalem, le 19 août 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

De plus, à partir de dimanche, les personnes infectées après avoir reçu un vaccin ne conserveront leur laissez-passer que six mois supplémentaires. Ensuite, le ministère réexaminera ces cas, a-t-il déclaré.

Israël – le premier pays à offrir officiellement une troisième dose – a commencé sa campagne de rappel COVID-19 le 1er août, en l’étendant initialement aux personnes de plus de 60 ans. Il a ensuite progressivement baissé l’âge d’éligibilité, pour finalement l’étendre à toute personne âgée de 12 ans. et plus qui ont reçu la deuxième injection il y a au moins cinq mois.

Une enseignante reçoit une dose du vaccin COVID-19 dans un centre de vaccination à Jérusalem, le 24 août 2021. (Yonatan Sindel/Flash90)

Le cabinet de haut niveau sur les coronavirus se réunira également dimanche pour la première fois en un mois, le Premier ministre Naftali Bennett étant censé résister à l’imposition de nouvelles restrictions sur les coronavirus malgré des centaines de nouveaux décès dus au COVID.

Depuis la dernière réunion du cabinet du coronavirus, plus de 600 Israéliens sont morts du COVID-19. Le nombre de cas graves dans l’ensemble est légèrement inférieur à ce qu’il était alors, avec 760 enregistrés le 30 août, contre 641 lundi.

Lundi, les chiffres du gouvernement plaçaient le taux de reproduction de base du virus, qui mesure la transmission, à 0,78. Tout nombre supérieur à 1 indique que les infections sont en augmentation, tandis qu’un chiffre en dessous indique qu’une épidémie diminue.

Alors que la quatrième vague d’infections en Israël a enregistré un nombre record de cas quotidiens, le nombre de patients nécessitant une hospitalisation est resté inférieur aux épisodes précédents, ce que les experts attribuent aux taux de vaccination élevés du pays.

Un travailleur de la santé effectue un test rapide d’antigène COVID-19 à Jérusalem, le 26 septembre 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

Le nombre de morts depuis le début de la pandémie est passé lundi à 7 684. Septembre est le deuxième mois consécutif où Israël a enregistré au moins 500 décès, après qu’août ait vu 609 décès attribués au COVID-19.

Dans le même temps, les chiffres du ministère ont montré 3 819 nouvelles infections dimanche, poursuivant une lente tendance à la baisse, bien que les tests aient tendance à baisser fortement au cours des week-ends. Le taux de positivité des tests dimanche était en baisse à 4,19 %.

Traduction de l’article :
Over 1 million Israelis who haven’t had 3rd dose to lose Green Pass on Sunday | The Times of Israel




Carine Montaner, députée du parlement Andorran, prévient que les responsables devront rendre des comptes

[Source : Ma France]



La vérité
Kearunn Mc EIRE

Carine Montaner, parlement Andorre

On aimerait entendre le même discours en France




France — Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de « vaxx oblig »

Par Syndicat « Enseignement Recherche Liberté ! »

La « Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de vaccination obligatoire » rédigée par le syndicat « Enseignement Recherche Libertés! » ayant le mérite d’exister, chacun peut l’envoyer avec un petit mot d’accompagnement…

Cet envoi paraît d’autant plus utile que la vaccination obligatoire est censée compléter la surveillance numérique totale à la chinoise recommandée par le rapport n°673 du sénat.

Jean Happel


Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les Sénateurs

Mesdames et Messieurs les Sénateurs,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné votre proposition de loi relative à la vaccination obligatoire, prévue à la discussion courant octobre 2021.

Outre l’idée, irrationnelle, d’imposer à l’ensemble de la population une injection sous AMM provisoire et conditionnelle et qui est toujours en phase III des essais cliniques, notre syndicat dénonce les contre-vérités nombreuses que comporte l’« Exposé des motifs » censé justifier cette proposition de loi.

Nous rappelons en préambule qu’un vaccin, comme tout traitement médical, doit présenter plus de bénéfices que de risques, protéger le sujet d’une maladie potentiellement grave pour laquelle n’existe aucun traitement et réduire la propagation de l’épidémie. Un vaccin n’est cependant jamais une panacée : 
https://reinfocovid.fr/science/la-vaccination-est-une-excellente-solution-contre-certaines-maladies/

Si notre syndicat fait, comme vous, confiance aux scientifiques, cette confiance ne se confond en aucun cas avec une « croyance » (cf. « Exposé des motifs ») : cela relèverait d’une démarche irrationnelle et conduirait à exposer la population à des dangers plus grands que la maladie dont on prétend la protéger.

  1. Sur la gravité de la COVID-19

Il est connu depuis mars 2020 que les principales victimes de la COVID-19 sont des sujets âgés, obèses et diabétiques présentant généralement des facteurs de risques sanitaires importants. Selon le site
https://geodes.santepubliquefrance.fr/, il est attesté que la population jeune et en bonne santé générale ne risque pas de mourir de la COVID 19. Les chiffres donnés par Géodes indiquent que les décès pour la population en dessous de 20 ans sont plus qu’exceptionnels. On sait aussi que sur l’année 2020, la surmortalité fut identique à celle de 2015, et a surtout concerné des personnes de plus de 80 ans :
https://colab.research.google.com/drive/1TGhYXE7F9LnXavVcvgSa7_PyXGa-lElF

  1. Sur le taux d’incidence de la COVID-19 en septembre 2021

En se penchant par ailleurs sur le taux d’incidence de la COVID-19 sur le territoire français métropolitain, on s’aperçoit qu’il est actuellement très bas (6 cas pour 100 000 habitants). En d’autres termes, nous ne sommes pas, en septembre-octobre 2021, en épidémie :
http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=maladies&mal=25.

  1. Sur la vaccination « altruiste », la protection collective et les variants

Les pays qui mènent des campagnes vaccinales massives contre la Covid sont victimes de vagues d’infections massives (voir Israël). Le vaccin contre la Covid n’empêche ni de développer la maladie ni de la transmettre. D’après des données du CDC (Center for Disease Control and Prevention) rendues publiques en juillet 2021, plus de 70 % des personnes malades de la Covid aux États-Unis étaient doublement vaccinées :
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/pdfs/mm7031e2-H.pdf

Croire à une protection générale (cf. « Exposé des motifs ») par la vaccination universelle est donc une chimère, les personnes vaccinées continuant d’être porteuses, malades et vectrices du virus.

Ainsi, votre affirmation « Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes » relève du vœu pieux.

  1. Sur la vaccination obligatoire et le danger des vaccins anti-COVID-19

Ces produits, en phase III d’expérimentation et sous AMM provisoire et conditionnelle, ne peuvent de surcroît pas être légalement imposés. Contraindre la population à participer à une telle expérimentation médicale enfreint l’article 223-8 du Code Pénal.

Vous ne pouvez non plus ignorer le très récent règlement européen, adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021)1 qui prévoit notamment qu’il y a lieu « d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections ».

Vous osez pourtant le parallèle avec des obligations vaccinales décrétées précédemment pour enrayer des maladies gravement incapacitantes comme la tuberculose, la variole ou la poliomyélite (cf. « Exposé des motifs »). Mais la Covid 19, affection virale grippale pulmonaire classée par le Réseau Sentinelles INSERM dans les infections respiratoires aiguës (IRA), ne correspond pas à ce type de maladie. Au surplus, les vaccins antituberculeux, antivariolique ou antipoliomyélitique ont été rendus obligatoires après une très longue période probatoire, ce qui n’est pas le cas des vaccins contre la Covid, expérimentaux, dont on ne sait rien des effets secondaires à moyen et à long terme, mais dont on connaît bien, en revanche, les effets secondaires immédiats, qui sont nombreux, dont la mort :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf

Pourtant, vous affirmez encore dans votre « Exposé des motifs » que « la vaccination obligatoire (…) est la manifestation de la primauté de l’intérêt général (…) ». Rien ne saurait être plus faux ! La vaccination expérimentale contre la Covid n’offre qu’un espoir, entièrement hypothétique, de « protection générale ». Cela relève en effet, comme vous l’admettez à juste titre, de la « croyance » (cf. « Exposé des motifs »).

En réalité, cette « obligation vaccinale » que vous entendez promouvoir, déraisonnable, contraire à l’intérêt général, illégale, serait pour vous un moyen de vous dispenser de la fastidieuse chasse à ceux des Français qui s’obstineraient, malgré toute la « pédagogie » (si on peut se risquer à l’emploi d’un tel terme…) du gouvernement, à refuser ces injections.

Pour l’ensemble de ces raisons, le syndicat « Enseignement Recherche Libertés ! » combattra cette proposition de loi, et a d’ores et déjà saisi tous les parlementaires pour les persuader de la rejeter.

Avec nos salutations.

Enseignement, Recherche, Libertés !


Emails/courriels des sénateurs

(Réf. www.voxpublic.org)




Attention, covid : le nouveau virus informatique

Par Diane Vincero

Début 2020, le monde était, aux dires des dirigeants, attaqué par un virus nommé covid.

On a vu défiler les mesures liberticides, telles que :

  • le port du masque, obligatoire alors qu’il laisse passer toutes les particules inférieures à 0,6 µm, le SARS-CoV-2 mesurant à peine de 0,06 à 0,14 µm, c’est-à-dire environ 4 fois plus petit que les mailles des masques
  • le confinement et le couvre-feu,
  • l’interdiction d’accès aux zones de distraction (cafés, restaurants, cinémas, tourisme, etc.)                                 
  • l’obligation du passe sanitaire,

puis le début de la vaccination obligatoire le 15 septembre dernier.

Parallèlement, a été menée la chasse aux médecins non vaccinés en salariat, avec suspension du contrat de travail et du salaire depuis le 15 septembre, et aussi la chasse aux médecins en cabinet libéral, par la suppression du remboursement de leurs consultations pour leurs patients. Ceux-ci sont obligés d’aller consulter un médecin vacciné et le médecin non vacciné voit la disparition pure et simple de ses revenus. Mais, ses cotisations URSSAF, caisse de retraite des médecins, etc. continuent (qui représentent environ la moitié des honoraires versés par les patients, soit en volume, 6 mois de travail sur une année…). La chute assurée, avec parallèlement non seulement l’absence de revenus, mais aussi la constitution de dettes faramineuses auprès des différentes caisses qui savent se montrer très présentes quand il s’agit de réclamer ce qu’elles estiment être leur dû…

Et, comme si ce n’était pas suffisant, cerise sur le gâteau, en cas d’interruption d’exercice pendant plus d’un mois (qui signifie respect de l’interdiction d’exercer par le médecin…), l’ARS signale ce dernier au conseil de l’ordre qui va pouvoir le sanctionner !!!!!!

Mais, et nous en arrivons au titre de ce texte, la folie ne s’arrête pas là !

Il existe un système de téléconsultations, porté par des plateformes comme LIVI et QARE. Les échanges entre les médecins et les patients se passent à distance par visioconférence, système particulièrement bien adapté aux consultations des psychiatres.

QARE a décidé « d’appliquer la loi », loi qui l’obligerait à refuser les médecins salariés non vaccinés, même s’ils ne consultent que par visioconférence !!! 

Faut-il imaginer qu’à l’insu de tous (personne n’en avait jamais parlé !!!…), le virus du covid peut attaquer en passant par….. internet !!!!!               

Même les informaticiens n’étaient pas au courant !!! Il va falloir prévenir les fabricants d’antivirus, non ??!!                 

Si ce n’était pas aussi dramatique, cela pourrait prêter à sourire….

On marche sur la tête !!!

Mais, chose curieuse, QARE n’applique pas cette loi pour ses médecins libéraux, consultant pourtant également par visioconférence !!!!

Reste à vérifier si les autres plateformes (LIVI, etc.) ont aussi perdu la raison??

Ne vivons-nous pas là une époque où la raison et la logique laissent totalement place à la folie ???

Résultat : on met les médecins face à un « choix » terriblement cruel :

  • soit ils se vaccinent et prennent alors le risque de mourir ou de développer une pathologie handicapante, et ils ne pourront plus subvenir aux besoins de leur famille,
  • soit ils ne se font pas vacciner et se retrouvent sans travail et sans ressource, et ils ne pourront plus subvenir aux besoins de leur famille…

Est-ce vraiment un CHOIX ???!!!

À DIFFUSER LARGEMENT, y compris aux différentes associations, différents collectifs, etc., etc.




Le train est en marche

Par Diane Vincero

[Photo : bahnbilder.ch]

Sachant que le monde entier se retrouve actuellement soumis au pouvoir infini et écrasant des GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon), des grands lobbies pharmaceutiques (Pfizer etc.) et chimiques (Monsanto etc.), l’action doit se porter directement au niveau de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) — dépassées par — soumises aux grands lobbies.

En ce sens, le CSAPE, syndicat anti-corruption, a pris maintenant une position de force à l’échelle mondiale en rassemblant des acteurs de tous les pays :

CSAPE SYNDICATS ET ASSOCIATIONS anti-corruption

Plainte personnalisée CSAPE

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<object class="wp-block-file__embed" data="https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2021/10/PLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITE.pdf" type="application/pdf" style="width:100%;height:600px" aria-label="Contenu embarqué <strong>PLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITEPLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITETélécharger

LE TRAIN EST LANCÉ : 7,8 milliards d’habitants face à… une poignée de possédants (politiques et lobbyistes)…

Cette poignée de dirigeants table sur l’asservissement, à son unique profit, de l’armée, de la gendarmerie et de la police, pour détruire l’Humanité et engranger toujours plus de richesses. 

Projet manifestement totalement délirant et machiavélique puisque dores et déjà, 1 % de l’Humanité détient… 99 % des richesses!! 

Ce besoin pathologique d’asservir le monde entier, est en fait, une position de faiblesse de la part de cette poignée de dirigeants. 

En effet, quand on est normalement constitué, on n’a nul besoin d’asservir qui que ce soit …

Mais, ce besoin coûte que coûte d’asservir et de manipuler l’armée, la gendarmerie et la police… montre également et surtout, une peur intense des 7,8 milliards de membres de l’Humanité que nous sommes.

Des milliers de personnes sont mortes du Covid à la suite d’un refus de traitement précoce salvateur.
La Déclaration ci-dessous est un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements — sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des instances ordinales (conseils de l’ordre des médecins, des avocats, etc.), des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies.

Si vous êtes médecin ou scientifique et que vous souhaitez signer la déclaration :

https://doctorsandscientistsdeclaration.org/ (traduction en français : Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19).

En n’oubliant pas que l’action du CSAPE sera celle qui prévaudra sur l’ensemble, d’où l’intérêt que toutes ces différentes actions et groupements ci-dessus et ci-dessous se fédèrent. 

Lettre pour les médecins de l’enfant – Collectif de santé pédiatrique (collectifdesantepediatrique.fr)

LETTRE OUVERTE A NOS CONSOEURS ET CONFRERES MEDECINS DE L’ENFANT, Pédiatres, Généralistes, Médecins Scolaires, Médecins de PMI, Pédopsychiatres…
Cher(è)s Collègues, Nous sommes à l’aube d’une vaccination de masse des enfants contre une maladie qui ne les concerne quasiment pas, qu’ils transmettent peu et cela avec une technique expérimentale dont les […]

Hallucinant! Qui sont les victimes ? Les parents et ceux décédés après vaccin : Mélanie Macip 15 ans, Maxime Beltra 22 ans, Anthony Rio 24 ans? Ou bien, ces messieurs en costume qui refusent de discuter? Je n’ai jamais menacé. Ils ont peur de la vérité.

Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

Pause avec Olivier Soulier, venu nous présenter le Syndicat Liberté Santé :

« En 2021, la médecine est passée totalement sous le joug de l’industrie pharmaceutique […] asservie à des objectifs qui ne sont plus la santé. »

Article :

« On nous ment encore sur les chiffres des soignants non-vaccinés » Olivier Soulier (francesoir.fr)

🧭 Après l’obligation vaccinale, le retour du confinement et l’arrestation du Dr Théron [Voir La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid], entretien avec RéinfoCovid Nouvelle-Calédonie pour faire un point sur la situation sanitaire : « Que le monde ouvre l’œil » 👇

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis.

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » (francesoir.fr)

Une fois de plus, il faut que toutes ces actions, collectifs, associations, se fédèrent et rejoignent le CSAPE pour avoir enfin LE poids indispensable et qu’elles portent ainsi leur action au niveau suprême de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) soumises aux GAFA, Big Pharma, Monsanto, etc.

UNE CHOSE IMPORTANTE ENFIN : 

la poignée de dirigeants fonctionne sur le mode de la manipulation perverse : ils tablent entre autres, sur de la violence de la part des peuples, pour justifier du lancement de l’armée, de la gendarmerie et de la police contre eux. 

Ces dirigeants n’hésiteront pas non plus à payer des individus pour semer le début de la violence, comme une sorte de détonateur…

Coupons-leur l’herbe sous les pieds : ne marchons pas dans leur stratagème. Et si par malheur, quelques personnes commencent à faire preuve de violence, la règle d’or sera alors de s’en écarter immédiatement, pour bien scinder les choses et éviter l’amalgame…

En termes de manipulation, n’oublions jamais que le principe est de mettre en avant un « beau principe » (« prendre telle décision pour soi-disant le bien du peuple »), pour mieux cacher derrière, des actions destructrices et financières… 

N’oublions jamais que les états ne sont pas philanthropes (ils ne sont pas là dans l’intérêt des peuples), c’est même écrit dans les manuels scolaires de philo!!!…

Voici un exemple de l’absence de philanthropie, parmi tant d’autres, à réfléchir : pourquoi et de quel droit, un agriculteur n’a-t-il pas le droit de vendre des semences originelles de fruits et de légumes (!!!!), alors qu’en Norvège, dans un bunker, toutes les semences originelles sont stockées, ne laissant aux peuples que les semences OGM qui détruisent la santé de milliards d’individus et les rendent tributaires de Big Pharma ?? 

Où est le lézard ??? Etc., etc.

DIFFUSEZ LARGEMENT


Site pour l’organisation de mobilisations

Les clés de la mobilisation citoyenne (accelerateurdelamobilisation.org)




Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid

Publié par CSAPE

Des survivants de l’Holocauste se joignent aux avocats, au Dr Fleming et au professeur Luc Montagnier pour exiger que la Cour pénale internationale inculpe les gouvernements du monde de crimes contre l’humanité, de génocide et de violations du Code de Nuremberg.

Le 26 septembre 2021

Les survivants des camps de concentration nazis ont envoyé une lettre à la Cour pénale internationale pour une « demande d’enquête » conjointe à celle d’avocats qui ont soumis des preuves, ainsi que les déclarations sous serment du professeur Luc Montagnier et du Dr Richard Fleming, alléguant que les gouvernements du monde entier et leurs conseillers sont complices de génocide, de crimes contre l’humanité et d’infractions au Code de Nuremberg.

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont soumis une « demande d’enquête » de 27 pages à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye en avril 2021, alléguant que le gouvernement britannique et ses conseillers étaient complices de crimes contre l’humanité au nom du Covid-19.

Le CSAPE en France a porté plainte à la CPI.(([1] Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens
Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 — Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22
Nous contacter : csape.sg@hotmail.com — site : www.csape.international))(([2] Compte rendu sur la plainte à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant SARS-CoV-2 et le vaccin covid19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) août 2021))(([3] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) 2 juillet 2021))(([4] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Une nouvelle demande depuis l’été soumise à la CPI en raison de la grande quantité de nouvelles preuves et d’informations révélées au cours des derniers mois. Les avocats disposent désormais de preuves convaincantes que « le virus SRAS — CoV-2 et les “vaccins” Covid-19 sont des armes biologiques délibérément envisagées lancées en deux phases sur des peuples du monde sans méfiance ».

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont confirmé qu’elles étaient désormais jointes par des avocats qui ont déposé des demandes d’enquêtes similaires auprès de la Cour pénale internationale, en France, en République tchèque et en Slovaquie.

L’équipe d’avocats et d’experts a reçu le soutien des survivants de l’holocauste,

Ceux-ci ont adressé une lettre à la CPI décrivant leurs graves préoccupations concernant la réponse mondiale à Covid-19 et les dangers des injections expérimentales de Covid-19 utilisées pour prétendument combattre le virus.

La lettre envoyée est signée par trois des très rares survivants des camps de concentration nazis, qui ont vécu de première main les horreurs de l’Holocauste, choqués et consternés par le mal qu’ils voient se dérouler une fois de plus, cette fois dans le monde entier — et en particulier, le mépris total apparent pour le Code de Nuremberg.

Ces mêmes survivants ont déjà remis une lettre à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et au régulateur britannique des médicaments (MHRA) exigeant l’arrêt du déploiement du vaccin Covid-19 par suite de la décision de la FDA d’accorder l’approbation complète des nouveaux lots de vaccins Pfizer Covid-19

Les survivants ont accusé les autorités de ne pas avoir correctement informé les populations des risques liés aux vaccins et d’avoir violé le droit au consentement libre et éclairé en vertu du Code de Nuremberg.

Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov,(([5] Voir aussi Israeli Holocaust Survivor Vera Sharav and Dr Reiner Fuellmich on “Global Genocide” — Bible Science Forum))(([6] Israeli holocaust survivor Vera Sharav (public advocate for human rights and the founder and president of the Alliance for Human Research Protection (AHRP)).)) Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID— 19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.

Les survivants de l’Holocauste ont ainsi conclu leur lettre :

« Nous, en tant que survivants des camps de concentration, avons été témoins de nombreuses atrocités commises pendant la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait plus jamais, mais pourtant cela se reproduit. Quelle prise de conscience accablante : combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur de prendre le “vaccin” ?

Combien ont survécu à l’Holocauste, mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ? Combien ont-elles survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau, mais n’ont-elles pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

Nous vous implorons donc d’accepter la “demande d’enquête” conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête urgente sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code par de nombreux responsables, qui ont déclenché tant de morts inutiles et d’accidents graves et continuent de le faire quotidiennement.

La Cour pénale internationale, en tant que tribunal de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes les plus odieux et de traduire les auteurs en justice.

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des motifs formels. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lus.

Nous savons que vous êtes conscients, à cause de ces affirmations, que des millions de personnes sont accidentés et handicapés et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

Par exemple, les avocats irlandais ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis lors, davantage de personnes sont décédées, sont tombées malades en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus).

Et vous n’êtes pas intervenus. Vous êtes averti en outre du fait que les enfants sont désormais de plus en plus parmi les victimes de la “vaccination”.

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique,

chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

Nous exigeons la fin immédiate de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves que vous ne pouvez pas ignorer.

Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants — non.

Faire le bon choix.

L’histoire ne vous regarde pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous — la responsabilité vous appartient. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir. »

VERSION INTÉGRALE DE LA LETTRE DES SURVIVANTS

« À Monsieur le Procureur de la Cour pénale internationale, M. Karim Khan

Nous soussignés, en tant que survivants des camps de concentration nazis ayant subi des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous nous sentons obligés de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre pour soutenir la « demande d’enquête » conjointe soumise à la Cour pénale internationale au nom du Royaume-Uni (143.21), de la Slovaquie (133.21), de la France (271/21) et de la République tchèque (326/21) le 12 août 2021.

Le contenu de la « demande » comprend des déclarations sous serment de témoins experts, le Dr Richard Fleming, le professeur Luc Montagnier et le Dr Kevin McCairn. Il est évident pour nous qu’une autre série d’événements horribles, touchant cette fois tous les peuples du monde, se déroule sous nos yeux.

Cependant, la majorité de la population mondiale ne se rend pas encore compte de ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé tel que celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

Nous, cependant, nous savons.

Nous nous souvenons du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous avons une impression de déjà-vu qui est si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres semblables. Les innocents menacés comprennent maintenant des enfants, et même des nourrissons.

En quatre mois seulement, les « vaccins » COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles réunis entre la mi-1997 et la fin 2013, soit une période de 15,5 ans.

Et les personnes âgées de 18 à 64 ans qui étaient à peine menacées par le COVID-19 et qui, par conséquent, n’apparaissaient pas dans les statistiques de mortalité sur ou avec le COVID-19 représentent jusqu’à 80 % des enregistrements en tant que victimes de la « vaccination ».

La base de données EudraVigilance rapporte que jusqu’au 18 septembre 2021, 24 863 décès et 3 691 366 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre prétendus vaccins expérimentaux COVID-19.

En ce qui concerne les chiffres réels, le célèbre rapport Lazarus de Harvard Pilgrim Health Care Inc., publié en 2009, a révélé qu’en général, seul 1 % des effets indésirables des vaccins est signalé :

Les effets indésirables des médicaments et des vaccins sont fréquents, mais peu signalés. Bien que 25 % des patients ambulatoires subissent un événement indésirable lié à un médicament, moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés.”

Nous vous demandons d’aider à arrêter immédiatement cette expérience médicale impie et criminelle sur l’humanité.

Ce que l’on appelle « vaccination » contre le virus SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant l’immunisation de la planète entière n’a été accomplie en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

Il s’agit d’une expérience médicale à laquelle le code de Nuremberg doit être appliqué.

Les 10 principes éthiques contenus dans ce document représentent un code fondamental d’éthique médicale qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg afin de garantir que les êtres humains ne seraient plus jamais soumis à des expériences et procédures médicales involontaires, mais c’est pourtant exactement ce qui se passe actuellement dans le monde.

Nous vous rappelons ce qui suit.

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) “Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; qu’elle doit être dans une situation telle qu’elle puisse exercer le libre pouvoir de choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, de surenchère ou de toute autre forme de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet concerné pour lui permettre de prendre une décision compréhensible et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, celui-ci soit informé de la nature, de la durée et du but de l’expérience, de la méthode et des moyens par lesquels elle sera menée, de tous les inconvénients et dangers auxquels on peut raisonnablement s’attendre, et des effets sur sa santé ou sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de s’assurer de la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. Il s’agit d’un devoir et d’une responsabilité personnels qui ne peuvent pas être délégués à une autre personne en toute impunité.

Re. (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les gouvernements et les médias répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contre-vérités jusqu’à ce qu’elles soient crues.

Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des personnes non vaccinées. S’il y a 80 ans, les Juifs étaient diabolisés en tant que propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui, ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus.

L’intégrité physique, la liberté de voyager, la liberté de travailler, toute coexistence ont été retirées aux gens afin de leur imposer la vaccination

On incite les enfants à se faire vacciner contre l’avis de leurs parents.

Re (b) : Les 22 terribles effets secondaires déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental.

Ils sont les suivants :

  • Syndrome de Guillain-Barré
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée
  • Myélite transverse Encéphalite/encéphalomyélite/méningo-encéphalite/méningite/encépholapathie
  • Convulsions/épilepsies
  • Accident vasculaire cérébral
  • Narcolepsie et cataplexie
  • Anaphylaxie
  • Infarctus myocardique aigu
  • Myocardite/péricardite
  • Maladie auto-immune, Décès, Problèmes lors de la grossesse et de l’accouchement, Autres maladies démyélinisantes aiguës
  • Réactions allergiques non anaphylactiques
  • Thrombocytopénie
  • Coagulation intravasculaire disséminée
  • Thromboembolie veineuse
  • Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  • Maladie de Kawasaki Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’ENFANT
  • Maladie renforcée par un vaccin.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

Entre-temps, des milliers d’effets secondaires sont enregistrés dans de nombreuses bases de données.

Tandis que les soi-disant numéros de cas (positifs de covid) sont diffusés dans des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires graves ni de la manière et du lieu où ils doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les décès et les effets indésirables enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans certaines bases de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience”.

La “vaccination” contre le COVID-19 s’est avérée plus dangereuse que la maladie COVID-19 pour environ 99% des humains.

Comme l’a démontré Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque face au virus. Les données montrent que des enfants qui ne courent aucun risque avec le virus ont eu des crises cardiaques après avoir été vaccinés ; en attendant la mise à jour depuis août 2021, plus de 15 000 ont subi des événements indésirables — dont plus de 900 événements graves.

Au moins 16 adolescents sont morts après avoir été vaccinés aux États-Unis. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons ces lignes.

Pourtant, le principe 10 du Code dit :

Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent qui sont exigés de lui, que la poursuite de l’expérience risque d’entraîner une blessure, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.”

Selon les allégations, environ 52% de la population mondiale a reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de personnes blessées par les vaccins, de personnes en phase terminale et de personnes décédées dans le monde aurait dû être faite depuis longtemps.

Nous craignons qu’ils soient déjà des millions. En tant que survivants des camps de concentration, nous avons été témoins de nombreuses atrocités commises au cours de la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait jamais, pourtant cela se reproduit.

Quelle constatation accablante : Combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur à prendre le “vaccin” et n’ont pas survécu ? Combien ont survécu à l’Holocauste, mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ?

Combien ont survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau, mais n’ont pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

Nous vous implorons donc d’accepter la “demande d’enquête” conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code de Nuremberg par de nombreux auteurs, qui ont causé tant de morts inutiles et de blessures graves et continuent de le faire quotidiennement.

La Cour pénale internationale, en tant que juridiction de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes, les plus odieux, et de traduire leurs auteurs en justice.

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des raisons formelles. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lues. Nous savons que vous êtes conscient, en raison de ces accusations, que des millions de personnes sont blessées et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

Par exemple, les avocats israéliens ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis, d’autres personnes sont mortes, sont tombées en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus). Et vous n’êtes pas intervenu. Vous cautionnez en outre le fait que les enfants font désormais de plus en plus partie des victimes de la “vaccination”.

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique, et non de vous porter volontaire en acceptant de manière approbatrice l’atteinte à la vie humaine.

Chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves dont vous disposez. Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants — non.

Faites ce qui est juste. L’histoire ne vous verra pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous — la responsabilité vous incombe. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments distingués.

Signé Moshe Brown ; Hillel Handler ; Vera Sharav Survivants des camps de concentration nazis


Chers lecteurs, ne restez pas passifs après cette lecture si émouvante et douloureuse, dont on imagine l’effort des auteurs pour se replonger dans ces horreurs qu’ils espéraient ne plus voir.

Diffusez cette lettre et en même temps ces plaintes auxquelles vous pouvez vous joindre par l’intermédiaire de la CSAPE et informez vos élus, désinformés comme beaucoup de français par la propagande quotidienne. Informez !

Et écrivez aux sénateurs, qui peut-être faute d’informations risquent de voter une obligation vaccinale pour tous les Français.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr)





France : 3 piqûres anti-covid prochainement obligatoires ?




Le passe accélère-t-il la progression de l’épidémie ?

Par Gérard Delépine

L’état pitoyable actuel de la France n’est pas dû au virus,(([1] L’épidémie de grippe asiatique de 1958 a entraîné le même nombre de victimes, mais le gouvernement de l’époque s’est efforcé de ne « pas ajouter l’hystérie à l’épidémie » et la crise s’est terminée sans mesures autoritaires ni conséquences économiques, psychologiques)) mais avant tout aux mesures prétendument sanitaires qui nous été imposées pour soi-disant éviter la submersion du système hospitalier.

Le caractère dogmatique et politique des mesures devient encore plus évident avec l’imposition du passe en France sans considérer ses résultats sur l’évolution de l’épidémie dans les pays qui l’ont instauré avant nous.

Ce résumé court vise à combler cette lacune en s’appuyant sur les chiffres officiels de l’OMS et leurs transcriptions en courbes par l’université John Hopkins.

Les données de l’OMS prouvent que le passe est médicalement dangereux

Quelques pays européens ont imposé le passe à leur population depuis plus de deux mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que cette mesure, loin de ralentir les contaminations, paraît les exacerber.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22

La Grèce a imposé le passe en espérant attirer ainsi les touristes étrangers

Malheureusement le passe a été suivi par la multiplication par 5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %)

La Tchéquie a instauré le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le passe a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Au Danemark la mise en route du passe a été suivi par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.)

Depuis le Danemark a supprimé le passe.

Ainsi dans tous les pays champions du passe, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations

L’échec du passe a été également observé dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un passe.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le passe n’empêche pas les clusters d’apparaître.

Malgré le passe sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs cuisants du passe partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur les hypothèses que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de passe, victime de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec passe aux Pays-Bas comme en Catalogne.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le passe, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le passe l’accélère.

Le Danemark dont la situation sanitaire actuelle ressemble beaucoup à la nôtre vient d’abandonner le passe. On ne comprend pas que notre gouvernement s’obstine à l’imposer, niant ainsi le monde réel.




Témoignage inédit. Gestion des déclarations des « effets indésirables » des vaccins (contre la Covid-19) : « Démission » d’un « membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance » de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament)

[Source : CTIAP* Centre Hospitalier de Cholet]

Un témoignage écrit exceptionnel, inédit, est porté à notre connaissance. C’est une nouvelle alerte qui vient confirmer davantage le bien-fondé des analyses proposées, depuis des mois, par le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet.

Ce témoignage considère que l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) n’aurait pas respecté la méthode qu’elle avait, elle-même, fixée dans le cadre de l’analyse des effets indésirables présumés liés aux vaccins contre la Covid-19.

Pour cette raison, l’auteur de ce témoignage, qui se présente comme étant un « membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM » aurait « démissionné en juin ».

Le CTIAP publie, ci-dessous, un extrait de ce témoignage afin de lancer une nouvelle alerte :

« Bonjour (…),

Je vous ai sans doute dit que j’étais membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM. J’en ai démissionné en juin, les engagements de ʺremise à plat du systèmeʺ n’ayant pas été tenus.

Je viens réagir à votre article (…).

La règle officielle en pharmacovigilance, rappelée dans les premiers rapports sur les vaccins covid, est celle-là : ʺL’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence.ʺ (Rapport ANSM du 28.01.2021, p.4. Je vous le transmets ci-besoin). Prenons l’exemple des décès survenus juste après la vaccination des personnes de + de 75 ans par les vaccins Pfizer et Moderna. La cause du décès n’est pas identifiée. En conséquence, lorsque l’ANSM écrit dans ce même rapport ʺAprès analyse des éléments transmis, au regard du terrain de ces patients, des circonstances de décès, et des connaissances actuelles sur le vaccin, rien ne conduit à conclure que ces décès sont en lien avec la vaccinationʺ simplement parce que ces personnes avaient des comorbidités est un abus de langage et ne correspond pas aux faits. Évidemment, les personnes notamment en EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] ont en grande majorité des comorbidités. Ce n’est pas suffisant pour affirmer qu’il n’y a pas de lien. Selon moi, la vraie formulation devrait être celle-là, selon la règle rappelée par l’ANSM elle-même : ʺAprès analyse des éléments transmis, au regard du terrain de ces patients, des circonstances de décès, et des connaissances actuelles sur le vaccin, rien ne permet de conclure que ces décès ne sont pas en lien avec la vaccination, car aucune autre cause certaine n’a été mise en évidence.ʺ Cette différence entre la règle et son application par l’ANSM est inacceptable.

Vous écrivez (…) [concernant la sous-notification des effets indésirables qui est l’une des limites de la pharmacovigilance] (…). On peut même penser que les vaccinateurs (médecins, pharmaciens, etc) ne vont pas se précipiter pour déclarer un effet indésirable post-vaccinal, notamment s’il est grave, car ʺon ne met pas en cause la vaccinationʺ, c’est un tabou bien intériorisé. Nous avons des témoignages très nombreux à ce sujet.

(…)

On peut penser qu’un jour une enquête judiciaire, et/ou une commission d’enquête parlementaire, vont se pencher sur les mensonges qui ont émaillé cette histoire du Covid.

Il faudrait que ces enquêtes analysent les déclarations d’effets indésirables (qui les a faites, selon quels critères, quel degré de fiabilité…).

Bien à vous,

(…). »

L’analyse révélée par ce témoignage exclusif vient confirmer celles proposées dans les articles du CTIAP ; et en particulier celui qui a été publié, le 20 janvier 2021, sous le titre : « Décès après la vaccination contre la Covid-19 : la « preuve diabolique » (exigée des familles des personnes décédées) ». Dans cette réflexion, on peut lire notamment ceci :

« Au lieu d’exiger de ces familles de prouver l’existence dudit « lien de causalité », ne serait-il pas plus opportun, et plus juste, de demander aux experts (pharmacovigilance, médecine légale (autopsies), etc.) d’apporter la preuve qui permet d’exclure ce lien de causalité ?

Un tel changement de paradigme pourrait permettre de mettre un terme à ladite « preuve diabolique » (…).

Un tel revirement d’approche, un tel renversement de la charge de la preuve, pourrait, peut-être, rétablir la confiance perdue et un minimum d’apaisement pour ces familles (en leur évitant l’habituel « parcours du combattant »).

À qui devrait profiter le doute ? Aux familles des personnes décédées ? Ou aux produits pharmaceutiques et à leurs fabricants ? ».




Le temps des sociologues « marrons »

Par Lucien Samir Oulahbib

« Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence (criminelle) contre le COVID-19 », titre Le Courrier des Stratèges, ce qui va sans doute donner quelque peu du travail à cette nouvelle commission « marron » (puisque mise en place par ces « incompétents criminels ») chargée, paraît-il, de traquer le « complotisme ».

Comment en sont-ils tous arrivés là ? Tous ? Tous, à commencer par les membres de cette commission qui, au mépris de l’état actuel des connaissances liées en médecine aux résultats effectifs de la pratique, récusent toute autre alternative que cette IGE (injection génique expérimentale), alors que les chiffres montrent — y compris pour les personnes à risque — qu’il convient bien mieux de les traiter de toute manière aussi de façon précoce avec des médicaments d’autant plus éprouvés maintenant que nous avons quasiment dépassé deux ans de vérifications validées mondialement.

L’analyse peut déjà repérer que la vanité, la jalousie et l’envie sont des moteurs puissants, naturels permettant d’imposer son propre réel à celui déjà là. Ce qui revient à nier bien sûr ce dernier, donc à le détruire pour s’y substituer. Mais il y a chez certaines personnes, pour des raisons à étudier, de façon évidemment singulière une tendance à exagérer vers l’extrême la puissance de ces moteurs. Ainsi plus la réalité à détruire résiste, plus émerge une méticulosité féroce à pourchasser, harceler le réel récalcitrant, ou les symptômes « classiques » de la psychose paranoïaque.

Ainsi plus les projections et modélisations sont infirmées (pire que la peste noire, vous dis-je, le variant D au-dessus des autres, vous allez alors voir que la majorité désormais des réas sont des personnes à risque et pour beaucoup sous IGE, sans parler des effets secondaires dont certains de plus en plus létaux. Voir sur ce point le CSI du 30/09/21, lui-même harcelé), plus les orcs de la Secte s’énervent, éructent, s’affublent de « Science », bientôt de « Voie », à la façon du fou poursuivant Tintin avec une aiguille, image prémonitoire.

Comment déjouer cette mise en abîme ?… En montrant de manière durable que leur visage d’ange masque celui de la monstruosité humaine, trop humaine, renforcée par son institutionnalisation globalisée qui détruit nations, corps et âmes, chairs à canon, matières premières, tout en jouant de la lyre (et de la planche à billets).